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1 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
effet, depuis lors, elle n’a fait que se fortifier en politique et en médecine ; elle habite aujourd’hui l’Allemagne, et rend de
THÉORIES. PHILOSOPHIE MEDICO-MAGNETIQUE. CHAPITRE III. De la Médecine magnétique (Suite.) Nous avons vu l’immense maj
de frictionner, sont encore plus explicites que ceux du prince de la médecine ; quelques passages de la traduction latine sont
gtemps eu Egypte, nous a laissé des détails d’un grand intérêt sur la médecine des Égyptiens. Ils admettaient deux sortes de fri
p. 70. (2) Journal des Savauts, février 173*. (3) Histoire de la Médecine , lo-l, p. 100. (4) P. Atpini, de Medicina ægypt
adies. Les habitants du Malabar, qui s’adonnaient à la pratique de la médecine , divisaient les maladies en huit catégories, qui
du sixième siècle; il s’est beaucoup étendu sur les avantages que la médecine relirait des frictions dans le plus grand nombre
nt médecin de Montpellier (3), une recherche fort intéressante sur la médecine des frictions. Ce praticien fait même observer qu
maturge irlandais, dont nous avons rapporté la plupart des cures à la médecine d'imagination, se servait quelquefois des frictio
frottait la nuque avec force et persévérance. Il est étrange que la médecine par friction , appuyée, dans tous les temps , sur
ance, et cette méthode se trouva reléguée au nombre des utopies de la médecine empirique du seizième siècle. Que penser d’une se
? La conduite outrageante de la majorité des membres de l’Académie de médecine envers Mesmer; les poursuites déloyales exercées
(1) Pechlin. Observations sur Val. Greatrakes. (2) La Faculté de médecine publia, le 28 août 1784, un décret contre la prat
r le Magn.; par M. Mialle, t. II, p. 04 et 103. (3) Dictionnaire de Médecine , 1836, t. XIII, p. 513. mênic irritantes ; elle
commandables, et que l’impartialité des retardataires restituera à la médecine des frictions les prérogatives qui lui appartienn
t je les savourai à longs traits. N’ayant aucune connaissance de la médecine , j’allai me placer sur les bancs do l’école, et j
dissection , je m’y livrai, je pris môme mes inscriptions d’élève en médecine . Je fréquentai un peu les leçons du Collège de Fr
« imposition de tes mains, afin de leur apprendre « qu’il existe une médecine supérieure à la leur, « parce qu’elle découle de
rale que je veux enseigner : ce sont tout simplement les règles de la médecine magnétique. Vos ouvrages sont excellents; mais il
à celles que les hommes produisent, comme nous préférerons bientôt la médecine de la nature à celle de la science ; car entre ce
autorisé à enseigner et pratiquer le magnétisme. » Trois docteurs en médecine furent nommés pour l’examiner sur cette matière.
es jugeons pas ; nous demandons qu’on les examine. Il y a là, pour la médecine humaine, aussi bien que pour l’art vétérinaire, u
casion solennelle, pris la défense du magnétisme devant l’Académie de médecine . Il s’est même fait traiter par ce moyen à la fin
THÉORIES. PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE III. De la Médecine magnétique. (Suite.) De l'imposition des main
ion des mains et te toucher sont deux procédés qui se rattachent à la médecine occulte des anciens; nous ne pouvons pas douter d
naient pas les propriétés, et si nous avons cru devoir rapporter à la médecine d'imagination le plus grand nombre des cures obte
ierre Borel(6), G. Cardan (7), etc., accordaient un grand crédit à la médecine d’attouchement ; malheureusement l’obscurité qui
iculièrement dans les cérémonies religieuses et les exorcismes. Cette médecine d’attouchement paraît appartenir aux pratiques my
mmes qui réunissaient aux fonctions ecclésiastiques le monopole de la médecine . (1) Art de connaître les Hommes, p. 380. (2)
sement. J. lliolan, professeur d’anatomie et doyen de la Faculté de médecine de Paris, ainsi que Thomas Bar-tholin, professeur
ulté de médecine de Paris, ainsi que Thomas Bar-tholin, professeur de médecine à Copenhague (2), nous font l’exposé historique d
0. (5) Ouvrage cité, p. Il0. tous les temps, n'appartinssent à la médecine magnétique. Ces pratiques rentraient, il est vrai
figuraient, comme complices de l'infraction d’exercice illégal de la médecine , deux Polonais; l’un, pharmacien, Soko-low-ki ; l
étisme animal. « Parmi ces commissaires, choisis dans la Faculté de médecine de Paris et dans l’Académie royale des sciences,
en i8a5 des débats animés ont eu lieu au sein de l’Académie royale de médecine sur le magnétisme animal. « Là, on a entendu de
même que nous devons la connaissance de ce fait, enfin, l’Académie de Médecine , en ¡S5y, a nommé de nouveaux commissaires pour l
u somnambulisme, après une enquête solennelle au nom de l’Académie de médecine , prolongée pendant cinq années, après avoir appel
ique chez les peuples de l’antiquité. La tradition qui fait sortir la médecine des temples est la consécration de cette vérité:
sultations des sibylles, les cures miraculeuses (1) Dictionnaire de Médecine , article Hippocrate, par te D' Feller. produite
ès-efficace de guérison dans une foule d’affections sur lesquelles la médecine demeurait impuissante. Mesmer, encouragé d’abord
ures. Au dernier moment, il n’essuya que des refus. « La Faculté de médecine se montra plus intolérante encore ; il lui offrit
e singulière naïveté , «/pie les guéri-« sons ne signifiaient rien en médecine ; »et rédigeant leur rapport après une investigati
terjeté par les époux Mongruel, « En ce qui touche l’exercice de la médecine : « Considérant qu’il résulte de l’instruction
ngruel se sont livrés sans droit et sans qua« lité à l’exercice de la médecine ; « Qu’ils allèguent vainement qu’ils ont fait c
nt vainement qu’ils ont fait contrôler et approuver par un docteur en médecine les consultations qu’ils donnaient sur la pratiqu
al, déclare les époux Mongruel cou-" pables d’exercice illégal fie la médecine et de divination, contraventions prévues par les
époux Mongruel chacun à 5 francs d’amende pour exercice illégal de la médecine , el chacun également à cinq jours d’emprisonnemen
Besançon. J’ajoulai seulement le volumineux rapport de 1’Académie de médecine , exprimant l’opinion de la commission nommée en i
à Paris, en i84o, dans un livra intitulé : le Magnétisme opposé à la médecine . J’avais aperçu trop défaits merveilleux pour q
ence de la science. Le mesmérisme joue déjà un rôle important dans la médecine et de grands praticiens le considèrent comme un u
7 février.) LA SORCIÈRE DE IIOM.MNVII.LE. — EXERCICE ILLÉGAL DE LA MÉDECINE . — ESCROQUERIE A L’AIDE DU SOMNAMBULISME. La fi
e correctionnelle, sous la double prévention d’exercice illégal de la médecine et d’escroquerie. Le premier témoin entendu est
M. le président, à la prévenue. Yous vous livrez à l’exercice de la médecine ? La prévenue. Quand je le voudrais, je ne le p
Quand je le voudrais, je ne le pourrais ; je ne connais pas un mot de médecine . Je ne fais que des prières. M. LE président. Y
rie, et en outre à i5 fr. d’amende sur celui d’exercice illégal de la médecine . (Gazette des Tribunaux.) La plupart des pers
eury. (Audience du 5 mars ) SOMNAMBULISME. — EXERCICE ILLÉGAL DE LA MÉDECINE . — VINGT-SIX PRÉVENUS. Voici les noms et qualit
e Batard est prévenue d’escroquerie. La prévention d’exercice de la médecine est basée tant sur des annonces faites dans les j
la tête un-capuchon qu’il rabattait pour ne pas s’empoisonner avec la médecine que je prends jjour le tuer. « Mais soyez tranqui
fait d’escroquerie; mais il l’a condamnée pour exercice illégal de la médecine , ainsi que ses co-prévenus, à 5 fr. d'amende, et
ente. Nous avons rapporté naguère (i) une décision de l’Académie de médecine , par laquelle cette illustre infirme s’est engagé
clairer : il fallut bien accepter son hostile démission. C’est à la médecine que le magnétisme a été jusqu’ici le plus appliqu
douteux. Un des jeunes et très-éloquent professeur de la Faculté de médecine , M. Malgaine, a parlé longuement du magnétisme, d
comment les médecins , se succédant au lit du malade, avec chacun une médecine différente, étaient pour moi autant d'énigmes ; c
magnétistes réparent, autant qu’il est en eux, les maux causés par la médecine dite savante, et l’Académie de médecine a conserv
n eux, les maux causés par la médecine dite savante, et l’Académie de médecine a conservé la même ignorance des faits et son mêm
e, Puffendorf, que le roi paraissait avoir lus. On passa bientôt à la médecine . Quelqu’un parla du magnétisme : « J’aurais bien
utation dans le pays. Elle fut poursuivie pour exercice illégal de la médecine et condamnée, par jugement du i ] décembre 18'19,
1. Rose Patrix était inculpée d’escroquerie, d’exercice illégal de la médecine et de la pharmacie, et de vente de remèdes secret
s considérables. Pour justifier l’imputation d’exercice illégal de la médecine , il soutient que M. Anctin n’était qu’un prête-no
réât pas les maladies. — llose n’est, pas somnambule, elle fait de la médecine ordinaire; et comme elle a adopté le système de G
' llusson, après une enquête solennelle faite au nom de l’Académie de médecine , et prolongée pendant cinq années, a présenté un
ainte d’être couvert d’un ridicule ineffaçable. Tout en pratiquant la médecine , M. P.ostan vit, ii son grand étonnement, se prod
és sans leur assigner un emploi utile. On appliqua le magnétisme à la médecine , soit en magnétisant les malades, soit en obtenan
à moins que la nature ou le hasard ne sc mettent de votre coté. Si la médecine est ainsi impuissante à remplir le but qu’elle s’
nterdire de profiler d’une aussi belle découverte ? Comment, quand la médecine ordinaire ne peut nous soulager, et que le somnam
c que des pièces sans rapport avec l’exercice du somnambulisme, de la médecine ou de la pharmacie, scraienl réservées pour élre
erveau ; et la somnambule ignorante qui n’a jamais ouvert un livre de médecine , qui ne lit point, et chez laquelle on ne trouver
ce qu’on ignore. Toujours est-il que cela est. (1) Dictionnaire de Médecine , V. Magnitiimt. Deleutc constate les communicatio
de Broussais, qui employaient les sangsues comme moyen souverain; la médecine Leroy, dont l’auleur était médecin, et qui a eu t
llement. Rose Patrix est en outre prévenue d'exercice illégal de la médecine . Quand elle a été traduite une première fois deva
Elle s’est entendue, comme vous le savez, avec M. Anctin, docteur en médecine , qui s’est servi, comme bon lui a semblé de la lu
ait bien le droit d’agir ainsi. Autorisé par son diplôme à exercer la médecine , il lui est loisible d’adopter telle méthode qu’i
quoi serait-il contraint de préférer la conjecture à la certitude, la médecine impuissante à la médecine qui guérit ? Évidemme
e préférer la conjecture à la certitude, la médecine impuissante à la médecine qui guérit ? Évidemment, le système que nous co
me, il n’y aurait, ni d’un côté ni de l’autre, exercice illégal de la médecine . A plus forte raison le délit n’exisle-t-il pas q
au point de vue légal, c’e.sl que la somnambule ne se mêle jamais de médecine sans qu’un médecin diplômé préside à la cousultat
dans la rigueur du texte , la loi punisse tout exercice illégal de la médecine , même quand il n’y a pas habitude, néanmoins un s
res personnes charitables qui accidentellement font quelques actes de médecine , ne sont point inquiétés. Il serait juste d’appli
droit, il suffirait, pour juger une queslion d’exercice illégal ne la médecine , de constater le fait matériel, et d’appliquer le
s reprochés à Rose Patrix constituent ou non l’exercice illégal de la médecine . Nous nous sommes efforcé de démontrer qu'elle a
importante. Oui, sans doute, depuis dix-huit mois elle a fait de lit médecine dans ce pays; mais ce qu’il faut constater aussi,
i vont la trouver, ee sont les individus désespérés, pour lesquels la médecine officielle a en vain’épuisé toutes ses ressourc
tout le voisinage, et qui avaient en vain subi les tâtonnements de la médecine et les drogues pharmaceutiques, étaient-ils dupes
nambule El s'il ressort des débals des vérités peu llaiieuses pour la médecine , à qui la faute? Les médecins les plus éclairés o
erie appareille, réussissent souvent mieux que les vieux moyens de la médecine allopathique. « Vous prescrivez des composés mu
pu tout aussi bien dire Pourquoi pas cinq?.... En voulant défendre la médecine officielle, on tire sur ses propres troupes ; car
aurez jamais que des probabilités de trouver exactement la vérité. La médecine qu'on oppose au somnambulisme n'a pas la prétenti
ne serait pas juste qu’une seule classe accaparât les avantages de la médecine somnambulique. Ainsi, au point de vue du droit
et égard. Elle se soumettra de son mieux aux lois sur la police de la médecine . Mais elle ne peut promettre de renoncer à l’admi
prévention d’escroquerie , et condamnée, pour exercice illégal de la médecine et vente de remèdes secrets, à i5 jours de prison
ancs d’amende ; Léon Patrix, pour complicité d’exercice illégal de la médecine , à i5 francs d’amende; M. Cornet, pour vente de r
sans contredit, en fait de magnétisme. A l’exception d’un docteur en médecine qui n’a pas craint de s’en déclarer publiquement
qui vient à l’appui de cette opinion. La « Convention nationale de Médecine » , sorte de congrès qui se tient annuellement da
endront avec joie : elle a chargé le Dr Caldwell, le patriarche de la médecine en ce pays, de faire pour la session de i85i, qui
7. PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQl THÉORIES. CHAPITRE III. De la Médecine magnétique. (Suite.) Le premier qui réunit en c
ait pas apprécier l'influence des pôles, n’est pas digne d’exercer la médecine . » La doctrine des pôles devait nécessairement
sont généralement admis à notre époque comme base fondamentale de la médecine magnétique , et s’il existe quelque dissidence en
nt recours les malades qu’un sot aveuglement ne fera pas préférer une médecine inventée par les hommes vains et orgueilleux, à u
t plus véritablement vrai que cette proposition : Toute découverte en médecine , sur le diagnostic et surtout sur la thérapeutiqu
’appauvrir le médecin. Découvrir c’est simplifier. De plus en plus la médecine tend à devenir facile et agréable; or, c’est la m
s en plus la médecine tend à devenir facile et agréable; or, c’est la médecine facile et agréable qui tue le médecin. « La déc
t de médicaments surtout, le mauvais, l’amer, le nauséabond. Plus une médecine est répugnante, plus le malade y attache d’effica
Ah ! qui vous rendra, mes chers confrères, le temps, le bon temps des médecines bien noires, dont les matériaux concassés, co-hob
ie en conséquence. Il vous donnait 3 fr. pour l’affreux déboire de la médecine composée ; il ne veut donner que vingt sous pour
considération et d’appauvrissement. « En vérité, je vous le dis, la médecine facile et la médecine agréable nous tuera tous. »
auvrissement. « En vérité, je vous le dis, la médecine facile et la médecine agréable nous tuera tous. » En vérité, nous vou
Lepelletier, 20, compris dans la prévention d’exercice illégal de la médecine que la 7e chambre était appelée à juger le 5 de c
contre un grand nombre d’individus inculpés d’exercice illégal de la médecine à l’aide de somnam- huüsme, poursuites qui se s
ttait avec beaucoup de raison que la législation sur l’exercice de la médecine , si incomplète, si insuffisante à tous égards , n
ant la po- lice correctionnelle , pour avoir exercé illégalement la médecine . Lors du la descente du commissaire do police au
’expliquer. Messieurs, dit le sieur Possin, on dit que j’ai exercé la médecine : erreur. J'endors M. Cuny, qui est mon gendre, l
n’a pas à s’en occuper; il ne s’agit ici que d’exercice illégal de la médecine . le prévenu. Eh bien ! soit; la loi défend l’ex
le prévenu. Eh bien ! soit; la loi défend l’exercice illégal de la médecine ; mais elle défend aussi le transport des dépêches
roi ; ces messieurs nous firent condamner pour exercice illégal de la médecine : c’était justice , nous n’avions point de diplôm
du que le jugement, en réservant la question d’exercice illégal de la médecine , n’a pas contrevenu à la loi de l’an XI ; rejette
ES. - —Bip PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE III. De la Médecine magnétique. (Suite.) Le fluide magnétique ven
leur et qu’on en recueillera tous les bienfaits. « L’avantage de la médecine magnétique, suivant Maxwell (i), est de pouvoir ê
ée en tout temps, sans crainte de troubler la nature, avantage que la médecine ordinaire est loin de partager. » Ce principe e
et ne dédaignait pas de faire usage des médicaments. L’ulilité de la médecine ordinaire ne peut être contestée dans le traiteme
ontré les ressources que l’on tire (1) Ouvrage cité, p. 199. delà médecine magnétique, nous devons en signaler aussi les dan
invoquer de nombreuses observations à l’appui de cette opinion. Si la médecine magnétique abrégeait quelquefois le terme de la v
ation. L’insufflation est un des procédés les plus favorables de la médecine magnétique. Les effets bienfaisants sont attestés
ce, où l’erreur a pris la place de la vérité. « Qu’est pour nous la médecine dite savante ? Une oeuvre de raison désespérante,
oûte qui, selon moi, peut seule solidifier l’édifice médical ; car la médecine aujourd’hui, partagée en deux camps ennemis s’ana
ertitude. Une loi de ventôse an XI règle en France l’exercice de la médecine ; scs principales dispositions défendent à tout i
i n’excédera pas six mois. (Art. 5G.) Les personnes qui exercent la médecine sans prendre aucun titre, sont passibles d’une am
pondrons : Oui; à la seconde nous dirons : Non. I. L’exercice de la médecine consiste en partie dans l’indication de remèdes d
s doivent être intentées. Le somnambule est alors un instrument de la médecine , il lui prête ses facultés et ne les lui impose p
rdonnances, le somnambule serait condamné pour exercice illégal de la médecine , et le signataire serait déclaré complice. (V. le
ée acte médical et soumise à l'application de la loi de l’an XI. La médecine est une science officielle qui possède ses règles
e. Nous le voyons, aucune analogie n’existe entre les pratiques de la médecine officielle et celles du magnétisme, il ne devrait
ence, et que la Faculté traite de chimérique (Voir le Dictionnaire de médecine , article de M. Bouil-laud), doivent être considér
cal, une violation de la loi, une usurpation sur les privilèges de la médecine . Mais où les tribunaux arrêteront-ils leur sollic
e Troyes et d’Auxerre, comme s’étant livré à l’exercice illégal de la médecine . Il a reconnu s’être livré à la magnétisation dir
u’il ne ré-ï suite pas de l’instruction qucJ. de Rovère a exercé « la médecine , dit qu’il n’y a pas lieu ni à piéven-4 tion, ni
ce sera maintenue, sans doute, et aussi longtemps que les Facultés de médecine n’auront pas ouvert leurs portes à l’enseignement
é, au traitement des maladies, aux recherches les plus secrètes de la médecine et de la psychologie. Grâce à elle, des poursuite
cal, sans doule; car, pour le public, il ne lit point les journaux de médecine . Mais aujourd'hui chaque médecin un peu instruit
à 3J. le Dr Anquetin, inculpé de complicité d’exercice illégal de la médecine , et à M. Cornet, pharmacien, inculpé de complicit
ers de santé munis d’un diplôme délivré par une Faculté ou un Jury do médecine , le droit exclusif d’exercer l’art de guérir, n’e
de se plaindre, en ruinant les malades el les parents des morts. La médecine ordinaire et du jour doit être mise hors d’exécut
ilepsie, l’hydropisie, la paralysie, el lanl d’autres maladies que la médecine ordinaire déclare incurables. Le magnétisme est
commande de ne pas faire trop de tentatives de cc genre, parce que la médecine est cncoretoule puissante, el elle pourrait bien
ent des maladies intérieures, et devenir un puissant auxiliaire de la médecine . « Malheureusement, le charlalanisme et le lucr
a été signalée par la publication d’articles sur la supériorité de la médecine hahnemanienne, dont un , touchant au mesmérisme ,
il faut le noter, c’est l’anti-phlogislique de Broussais; là c’est la médecine la plus agissante, quelquefois l'cxpcctation la p
ecs nombreux..... Ce point de contact existe entre vous et l’ancienne médecine , mais vos raisons, ainsi que les siennes, sont bi
dent : rhumatisme aigu aux deux genoux, maladieainsi qualifiée par la médecine , et traitée pendant trois ou quatre jours, secund
léry, dans VAbeille du ier décembre 1849 (1), soulagé beaucoup par la médecine , mais non guéri, me fut amené en septembre dernie
J. B. Au reste, à la renaissance des arts, on parlait beaucoup de la médecine d'attouchement. En 1600, Yan Helniont et Maxwell,
étisme est un moyen thérapeutique, et, à ce titre, il appartient à la médecine exclusivement; lorsque ses effets purs seront mie
ura contre une foule de ces phénomènes dits nerveux, si rebelles à la médecine ancienne, un remède assuré : c’est vers col heure
née passée, je suis resté le seul, parmi mes confrères de. l’Kcole de médecine , qui s’occupât du magnétisme, quoique j’eusse plu
ions générales dtsla valeur du magnétisme, ou des diatribes contre la médecine , bien fondées sans doute, mais il me semble qu’il
que M. Bennett ne soit un homme très capable et très-instruit dans la médecine et la physiologie; mais moi, qui n’ai jamais prat
la médecine et la physiologie; mais moi, qui n’ai jamais pratiqué la médecine , qui ne suis pas instruit comme lui dans l'anatom
nt comment me punir d'avoir trahi la gloire de l’Uni-versité et de la médecine . Mais, quant aux leçons, c’est mon adversaire qui
dans les murs académiques (i). M. le Dr Alison, notre professeur de médecine pratique le plus distingué, autrefois professeur
qu’elle soit extraite d’un recueil académique, les autres feuilles de médecine n’en ont pas même fait mention. Cette attitude mo
ure sera l'explication continuée du moyen de guérir les maladies sans médecines . Après la lecture, M. Fiske fera plusieurs expé
e à un aveugle armé d’un bâton..... Assez longtemps on a fait de la médecine sans connaître le mode d’action des agents dont o
homéopathe; mais il n’est pas la panacée universelle, pas plus que la médecine électrique est la seule vraie médecine.....Elec
universelle, pas plus que la médecine électrique est la seule vraie médecine .....Electricité, magnétisme, ont besoin, pour r
ile dans les « maladies nerveuses, » qui sont à la fois celles que la médecine savante s'avoue impuissante à guérir, et celles q
prééminence de ce que vous appelez magnétisme sur les procédés d’une médecine que, d’un ton ironique, vous traitez de savante,
horribles qu’on appelle : hystérie, épilepsie, «-.mire lesquels la médecine ne peut rien, et que le magnétisme guérit.... O
ne voulons point dire par là qu’il faille repousser les secours de la médecine , cl se confier exclusivement au magnétisme : nous
le malade est déclaré incurable ; car il y a bien des condamnés de la médecine qui se portent assez bien. En voici un exemple ré
sent. C’est déjà révolter le bon sens et retomber dans la folie de la médecine universelle, que d’attendre d’une seule substance
Or, les virus, sources affreuses de celte prédisposition, auxquels la médecine ancienne n’a su opposer que des barrières impuiss
paraître exclusif, vous consentez à l’intervention des secours de la médecine . De quelle médecine? Est-ce de l’ancienne, qui a
vous consentez à l’intervention des secours de la médecine. De quelle médecine ? Est-ce de l’ancienne, qui a fait son temps et qu
éclectisme magnétique que vous voudriez... Mais, à cette heure , la médecine a trouvé un point assuré, l’éclectisme médical n’
e dit-on pas qu’elles ne prouvent rien? Parlons donc de ces cas où la médecine n’ayant rien fait, le magnétisme est venu faire u
ecine n’ayant rien fait, le magnétisme est venu faire un peu, puis la médecine encore, sans être plus heureuse qu’auparavant. Ce
ns, et jamais il n’avait articulé une syllabe. Inutile de dire que la médecine avait épuisé ses ressources. Pour montrer aux par
les a négligées des deux parts. Ainsi elles ont été abandonnées à la médecine et ne s’y sont pas toujours trouvées eu très-bonn
aments. Un jour, bien persuadé que la famille devait être lasse de la médecine , je proposai d’employer le magnétisme. A peine av
ouvez lire l’article Magnétisme dans le supplément du Dictionnaire de médecine de Fabre. L’auteur de l’article a pris à tâche de
dans toutes scs évolutions. J’employai d’abord pour le combattre la médecine ordinaire (fans calembour) : les vomitifs, les pu
admis, il sera le salut de la soriété, s’il n’est pas l’avenir de la médecine ; car ses bienfaits se répandent de plus on plus
oie qu’on verra se compléter l’ceuvre restée imparfaite du père de la médecine ? Tous ces célèbres manipulateurs de systèmes tel
tout ce qu’il en reste encore ? « Messieurs, il est évident que la médecine a toujours erré au hasard, et qu’elle reste encor
ique; noire triomphe ne sera complot que lorsque l’enseignement de la médecine sera perfectionné au point que toutes les faculté
er les jeunes personnes, quand elles ont de ces indispositions que la médecine cherche vainement à combattre par les émissions s
rt, élait connue dans son voisinage pour se livrer à l’exercice de la médecine et au magnétisme; mais ce n’étaient là que les pl
s a condamnés : elle, i°à i5 fr. d’amende pour exercice illégal de la médecine ; 2° à 100 fr. d’amende pour vente de remèdes sec
elle des Tribunaux du 29 août : «Le sieur D...., ancien étudiant en médecine , s’était mis à donner des consultations ; mais un
l’autorité intervint, et il fut poursuivi pour exercice illégal de la médecine . N’étant plus à l’aise à Paris, il se mit à parco
ique , sous l’inculpation d’escroquerie et d’exercice illégal de la | médecine . » Les abus journaliers qui se commettent à l’a
THÉORIES. PHIXiOSOFHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE III. DE LA MÉDECINE MAGNÉTIQUE. (Fis.) De la magnétisation interméd
du vulgaire sous la forme de véritables obsessions, le monopole de la médecine , uniquement concentré entre les mains des prêtres
nière de notre eau magnétisée, abstraction faite des influences de la médecine d'imagination. Le mystère dont les anciens ont
s, laissera probablement toujours planer un doute sur l’origine de la médecine (1) Lcloyer, Hist. des Spectres, p. 022. (2)
ion des médicaments. Ce genre de trituration est connu sous le nom de médecine iatraleplique. Nous sommes éloignés certainement
fin du dix-septième siècle que l’harmonie devint un accessoire de la médecine magnétique. Le Père Kircher (5) s’attacha à démon
le éveillera. Qu’il nous suffise d’en indiquer les bienfaits, dont la médecine a profité dans ces derniers temps : « La musiqu
pour appuyer noire jugement. Dr Alfred PERRIER. (Incessamment la Médecine somnambulique.) (1) Do l'Élcctricit«? animale,
ouffrances qu’endurait ce pauvre corps, malgré tous les efforts de la médecine . Les médecins ne s’étonnaient que d’une chose, c’
té leur professeur, écrivit son article Magnétisme du Dictionnaire de médecine . Quatre-vingts pages pleines de graves erreurs ,
le Dr Foissac proposa un nouvel examen du magnétisme, et l’Académiede médecine nomma une commission de onze membres, dont neuf c
apport à l’Académie qui l’adopta. En i832,M. Fillas-sier, étudiant en médecine , prit le magnétisme pour sujet de sa thèse inaugu
roussais, le même qui avait dit que « si le magnétisme était vrai, la médecine serait une absurdité. » Voici les derniers mots d
l? Une lampe était près de s’éteindre faute d’huile. II sentit que la médecine , dans ce cas, ne pouvait prolonger la vie : il in
de la Seine condamna la dame Sauce-rotte, pour exercice illégal de la médecine , à i5 fr. d’amende; pour vente de remèdes secrets
7 novembre.) SOMNAMBULISME — ESCROQUERIE. — EXERCICE ILLÉGAL DE LA MÉDECINE . — VENTE DE REMÈDES SECRETS. Les prévenus sont
étiseur, rue Caumarlin, 3g, déjà condamné pour exercice illégal de la médecine (i); 2° la fille Dufay, dite Mme Otom, comme comp
nte-cinq ans. Le prévenu est interrogé sur le fait d’exercice de la médecine . M. l'avocat de la République. Depuis votre con
ient et vous ne les guérissiez pas. Le prévenu. Je n’ai pas fait de médecine depuis ma condamnation. M. l’avocat de la Répub
onne lecture de pièces prouvant que le sieur Lolmède a bien exercé la médecine depuis sa condamnation. Arrivé à un sieur Ogresse
voyé les prévenus sur ce chef. Sur le chef d’exercice illégal de la médecine et de vente de remèdes secrets, le tribunal a con
e à l’accouchement, 485. Extraction de glandes, 518. § II. Cas de médecine . — Maux et affections guéris ou soulagés par le m
objet de vulgariser 1e magnétisme, de manière à ce qu’il devienne la médecine des familles, 578 à 609, 679, 740. Erreurs des
communiqués sympathiquement du malade au somnambule consulté, 219. Médecine magnétique des Anciens. Voy. Frictions, etc. Me
Philosophie médico-magnétique, par le Dr Alfred Perrier. Ch. III : Médecine magnétique (suite), 9, 61, 257, 325, 705. — Somma
Escroquerie (prévention d'). Voy. Tribunaux. Exercice illégal de la médecine . Voy. Législation et Tribunaux. Expériences mag
flexions par M. du Potet, 622. Tribunaux. 1° Exercice illégal de la médecine , prévention d’escroquerie, etc. Procès de M. et M
2 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
HYSIOLOGIQUE REVUE DOCUMENTAIRE ILLUSTRÉE PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Redacteur
le de Psychologie, parle DpSaint-Yves Ménard, membre de l'Académie de médecine , vice-président de la Société de Pathologie compa
seur au Muséum, par M. le Dr Albert Robin, professeur à la Faculté de Médecine par M. le D' Huchard, membre de l'Académie de méd
la Faculté de Médecine par M. le D' Huchard, membre de l'Académie de médecine , enfin par M. Bienvenu-Martin, président de la fê
r à la faculté des lettres, Dr Beauvisage, professeur à la faculté de médecine , et Dr Bérillon. Dans l'après-midi : communicat
nsdéjà inscrites: M. le Dr BeauvisaGe : professeur, à la faculté de médecine de Lyon : Les programmes de l'enseignement primai
Distinction honorifique M. le Dr Hallopeau, membre de l'Académie de médecine , médecin de l'hôpital Saint-Louis et professeur a
'Académie des sciences ; Albert Robin, professeur à la Faculté de médecine ; IIuchard, membre de l'Académie de médecine ; Ed
ofesseur à la Faculté de médecine ; IIuchard, membre de l'Académie de médecine ; Edmond Perrier, directeur du Muséum ; Giard, pr
t pris place : M. le professeur Albert Robin, membre de l'Académie de médecine ; M. le Dr Hughard, membre de l'Académie de médec
de l'Académie de médecine ; M. le Dr Hughard, membre de l'Académie de médecine ; M. L. Achille, vice-président du Conseil munici
té de la Seines M. le professeur Hallopeau, membre de l'Académie de médecine ; M. le Dr Saint-Yves Ménard, membre de l'Académi
mie de médecine ; M. le Dr Saint-Yves Ménard, membre de l'Académie de médecine ; M. le Dr Gréhant, professeur au Muséum, membre
e ; M. le Dr Gréhant, professeur au Muséum, membre de l'Académie de médecine ; Madame Gréhant ; M. Bouvier, professeur au Musé
x-Arts ; M. le Dr Fiessixger, membre correspondant de l'Académie de médecine ; M. le Dr Leblond, médecin de Saint-Lazare ;
Jules Jacob ; M. le D' Suarès de Mendoza, directeur des Archives de Médecine spéciale ; M. le Dr Lamouroux ; M. Edeline,
a préfecture de police ; M. le Dr Jûffroy. professeur à la Faculté de médecine ; M. Giard, professeur à la Sorbonne; M. Melcot, a
eur à la Faculté de Lyon; M. le D'Lancereaux, membre de l'Académie de médecine ; M. Jules Gautier, chef du cabinet du ministre d
Hamy, professeur au Muséum ; M. le Dr Henrot, directeur de l'Ecole de médecine de Reims ; M. Laisant, examinateur à l'Ecole poly
tal des Enfants malades; M. le D'Bordier, directeur de l'Ecole de médecine de Grenoble: M. Echard, conseiller général de l'Y
s hautes études; M- le Dr Retterer, professeur agrégé à la Faculté de médecine ; M. le D-r Duret, doyen de la Faculté libre de m
a Faculté de médecine ; M. le D-r Duret, doyen de la Faculté libre de médecine de Lille ; M. Malluile, conseiller général de l'Y
qui en dit long? Un professeur de la Faculté — oui, de la Faculté de Médecine , et l'un des plus éminents, — ne se cache point p
s vous ? » — « Je suis répétiteur à Chap-tal et je fais mes études de médecine . « — Eh bien, Monsieur Bérillon, vous me faites l
professeur au Muséum d'histoire naturelle, membre de l'Académie de médecine . Je suis heureux, mon cher confrère, de renouve
) Discours de M. le Dr Saint-Yves-Ménard, membre de l'Académie de Médecine . Mon cher Bérillon' Nous devions nous rencont
e c on » est responsable de la situation créée à l'hypnotisme dans la médecine contemporaine, t On » a tout fait pour la discréd
in moral expérimenté. Toutes ces conditions sont des lieux communs en médecine , qu'il faut relever pourtant... seulement quand o
me ! C'est vraiment curieux ! L'hypnotisme n'a pas de chance! Non! La médecine des sorciers qui faisaient avaler couleuvres et t
cessite. Voilà pour le spécialiste. Dans la pratique générale de la médecine , l'hypnotisme sera toujours supérieur à la « psyc
de troubles divers que l'on rencontre souvent dans la pratique de la médecine générale ! Qu'il apprenne ce qu'on peut obtenir p
ientifique de la psychothérapie générale s'imposera à nos facultés de médecine car il faut que le médecin apprenne la nosologie
prise en France. On va bien à l'Université pour y faire son droit, sa médecine , etc., mais, pour former un homme instruit, on se
ne, chez le professeur Teissier, le dévoué président de la section de médecine , a été féerique. Les banquets offerts par MM. les
etc. Il faut d'ailleurs reconnaître que le succès de la section de médecine fut assurément dû à la haute autorité de son prés
des prisons de Lyon; M. le Dr Royet, chef de clinique à la Faculté de médecine ; M. le Dr Maurice Roy, professeur à l'Ecole denta
Gascard, conférencier; M. le docteur Henrot, directeur de l'Ecole de médecine de Reims; M. Fauré-Hérouart, conseiller d'arrondi
fesseur au lycée Ampère ; M. Bretin, chef des travaux à la Faculté de médecine ; M. le professeur Lacassagne; M. le Dr Bordier, d
. le professeur Lacassagne; M. le Dr Bordier, directeur de l'Ecole de médecine de Grenoble ;M. Bou-lian, contrôleur à l'asile dé
polytechnique ; M. le D' E. Martin, chef des travaux à la Faculté de médecine , Mme Bérillon; M. Mironneau. directeur de l'Ecole
criminelle, créé par le professeur Lacassagne. Le chef des travaux de médecine légale, M. Etienne Martin, a fait, avec sa grande
ême thèse avait déjà été soutenue en 1900 au Congrès international de médecine par M. le professeur Jeoffroy, lors- qu'il dé
'aurais garde d'oublier ses cours à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine , son apostolat dans les congrès, son œuvre de bon
innover. Ne croyez pas que ces hostilités se rencontrent seulement en médecine . L'esprit de routine existe dans tous les milieux
s.) Discours de M. le Dr Albert Robin, professeur à la Faculté de médecine , membre de l'Académie de médecine. Mon cher Bér
Robin, professeur à la Faculté de médecine, membre de l'Académie de médecine . Mon cher Bérillon, Vous avez, je crois, dix-
re du Conseil de l'ordre des Avocats, vice-président de la Société de médecine légale. Le procès-verbal de la précédente séanc
Dr Paul Magnin : Rapport médico-légal sur l'exercice illégal de la médecine par une voyante : Discussion : M. Rocher, Dr Paul
s statistiques de mon intervention. Laissant ici de côté les cas de médecine ou de chirurgie générales, j'ai eu, depuis ces hu
ne comportent ni son étymologie, ni son histoire. L'empirisme est la médecine basée sur l'expérience, c'est-à-dire une doctrine
ion de conseillers mal inspirés, vient de créer un nouveau diplôme de médecine . On lui a accolé l'épi— thète de supérieur, pour
primés aux applaudissements de tous. Un professeur de la Faculté de médecine prétend qu'avec ce nouveau diplôme, il n'y aurait
Bérillon, dans une brochure intitulée Le concours de l'agrégation en médecine et son remplacement par l'institution de privat-d
usion et abaissement du niveau de l'enseignement dans nos Facultés de médecine . Le Banquet en l'honneur du Dr Bérillon (Suit
cteur Huchard. médecin de l'hôpital Necker, membre de l'Académie de Médecine . M. Bienvenu-Martin, ancien ministre de l'Instr
fait des cours libres depuis 1888 à l'Ecole pratique de la Faculté de Médecine ; depuis longtemps, médecin-inspecteur des asiles
tobre 1877, j'arrivai à Paris pour prendre ma première inscription de médecine , j'étais dans une situation extrêmement modeste,
e j'y passai, il me fut possible de prendre mes seize inscriptions de médecine . Obéissant à l'inclination naturelle de mon espri
lle fête c'était d'assister à ses admirables leçons sur le Progrès en médecine par l'expérimention, où il nous initiait à la pra
aire de paléontologie; de Retterer, le savant agrégé de la faculté de médecine ; de Malard, le naturaliste méthodique, que l'amo
mpathies. (Applaudissements.) Tout en me livrant à l'exercice de la médecine générale, il m'était possible, à Paris, de poursu
ui développais mes idées sur le rôle que la psychologie doit jouer en médecine , l'expression de sa physionomie devenait de plus
ra cette fonction risque de compromettre son élection à l'Académie de médecine . » Il me répondit: « Vous croyez qu'en acceptant
aliéner les suffrages d'un certain nombre de membres de l'Académie de médecine . Eh bien, cela me décide. Dites à vos amis que j'
u raison de ne pas douter du libéralisme des membres de l'Académie de médecine , car il fut élu par la presque unanimité des suff
il supérieur des Facultés à faire à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine , pendant le semestre d'été, un cours libre sur le
exprimé par M. le professeur Brouardel, alors doyen de la Faculté de médecine , au libéralisme duquel je suis heureux de rendre
s Dumontpallier, Mesnet, Luys, Albert Robin, membres de l'Académie de Médecine , Auguste Voisin, médecin de la Salpêtrière, le pr
de sa valeur scientifique et de son titre de membre de l'Académie de médecine . (Applaudissements.) M. le professeur Gréhant,
, je citerai d'abord le professeur Hallopeau, membre de l'Académie de médecine , dont les encouragements ne m'ont jamais fait déf
rs continués pendant dix-huit ans à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine , à l'Institut psycho-physiologique et à l'Ecole d
re du Conseil ce l'Ordre des avocats, vice-président de la Société de médecine légale. Rapport médico-légal sur une voyante
élit d'escroquerie pour ne retenir que celui d'exercice illégal de la médecine et condamné MIU X..., son père et son frère à une
Notre proposition tendant à supprimer le concours de l'agrégation en médecine a été votée par le congrès de l'Enseignement supé
eux, il faut citer M. le professeur Bcrgonié qui, dans le Journal de médecine de Bordeaux. Encore, avec son esprit de justice a
r son collègue de rint-'rieur et de rendre aux cours de la Faculté de médecine quelques visites inopinées, il éprouverait assuré
re du Conseil de l'Ordre des avocats, vice-président de la Société de médecine légale. La kleptomanie et son traitement par la
iers dans le Médoc. M. le Prof. Arnozan raconte, dans le Journal de Médecine de Bordeaux, le fait suivant qui est très suggest
n par la lumière bleue Le docteur Larrivé publie dans le Journal de Médecine et de Chirurgie pratiques une note sur un procédé
ours si bien inspiré lorsqu'il s'agit de défendre le beau renom de la médecine française, avait eu l'ingénieuse idée de demander
ous les hommes de progrès et qui est simplement : fa séparation de la Médecine et de l'Etat. ¦ » La note ci-jointe, parue da
ans notre dernier numéro, à savoir que le concours de l'agrégation en médecine ne sert plus qu'à favoriser l'injustice et qu'il
cilement en feuilletant la collection du journal de Maurice Robin, La Médecine internationale, où, je crois bien, elle a été pub
té faite sans l'ombre do maladie. III. — M. V. de B..., étudiant en médecine , traité par moi pendant les trois dernières année
r et même susceptibles de guérison complète. On ne connait guère en médecine vétérinaire les tics que par leurs manifestations
vait été atteint. Cette éducation n'est malheureusement pas facile en médecine vétérinaire, où le temps manque et surtout où il
être aussi pour amener des essais de traitement dans l'une et l'autre médecine . PSYCHOLOGIE ANIMALE La division du travail c
toite de psychologie a la Sorbonne ; Blaxcbabd. prof, à la Faculté de Médecine ; Boibac, recteur de l'Académie de Dijon ; Lionel
onne; '¦!'¦:¦.. prof, a la Sorbonne; H • •. . membre de l'Académie de médecine ; Ri dot, prof. non. au Collège de France: Albert
t, prof. non. au Collège de France: Albert Robix, prof, a la FacuUede médecine ; J. Voisin, médecin de I» Salpetriere, École d
us la présidence de M. le D' Albert Robin, professeur a la Faculté de médecine . — Excursion psychologique à travers les anomalie
lu, in-12, 131 pages, Bonvalot-Jouve, Paris, 1906. Dr G. Schräder : Médecine hypodermique vétérinaire, in-12, 91 pages, biblio
lit à l'égard de l'enseignement public ? Notre glorieuse Faculté de médecine qui s'élève tout près d'ici n'a pas à prendre omb
ofesseur Pinard s'est exprimé : • Toute personne voulant exercer la médecine chez nous doit être pourvue d'un diplôme d'Etat l
être pourvue d'un diplôme d'Etat lui conférant le titre de docteur en médecine . Tous les docteurs subissent les mêmes examens.
s de leur titre, ils ont le droit d'exercer toutes les branches de la médecine . Libre à eux de se cantonner ensuite dans une bra
j'ajoute, un grand médecin. On l'a dit avec raison : a L'amour de la médecine fait le savant, seul l'amour du malade fait le mé
professeur. D'où la nécessité de proclamer que le titre de docteur en médecine doit également suffire pour enseigner. Recruter l
'intelligence, d'érudition et d'éloquence, c'est condamner l'École de médecine à une décadence irrémédiable. Dans son discours
eu pour point de départ que le favoritisme éhonté dont la Faculté de médecine a déjà donné tant de preuves. BULLETIN BIBLIOGR
us la présidence de M. le D' Albert Robot, professeur à la Faculté de médecine . — Excursion psychologique à travers les anomalie
un second provoqué par notre confrère le Dr Berthod. directeur de la Médecine sociale. Le nombre des votants dans le premier av
titre de professeur ne doit-il pas être accessible à tout docteur en Médecine (ainsique l'éta-. Mit le décret du 22 août 1854 ?
ministre de l'Instruction publique. Le concours de l'agrégation en médecine ; nécessité de son remplacement par l'institution
eignement officiel est duc à l'agrégation. — Les grands progrès de la médecine sont dûs à l'enseignement médical libre. — Le rem
ement médical libre. — Le remplacement du concours de l'agrégation en médecine par l'institution des privat-docenten. Au Congr
1904, la question du recrutement des professeurs des Facultés de médecine fut exposée dans un rapport rédigé par MM. les pr
e si profond, que nous donnait naguère le docteur Fiessinger, dans la Médecine moderne : « Un professeur, écrivait-il, ne pens
ion précaire et sans issue faite aux candidats reçus, l'agrégation en médecine aboutissait à un enseignement donné sans enthousi
iode de neuf ans, comme cela arrive pour les agrégés de la Faculté de médecine . Tous ces arguments parurent valables aux profe
docent ne fil pâlir la renommée des anciens agrégés. Les agrégés en médecine témoignaient ainsi de leur faible confiance dans
démonstration de ce fait indéniable que tous les grands progrès de la médecine sont dus à l'enseignement médical libre, constitu
t libre a toujours occupé le premier rang dans tous les progrès de la médecine française. L'enseignement médical officiel n'
t de gloire sur la science française. Notre grand Pasteur, à qui la médecine contemporaine doit ses méthodes les plus fructueu
, voudra se spécialiser dans l'étude d'une branche particulière de la médecine , ne pourra jamais prétendre à la compétence des p
aa mort, par un de ces revirements si fréquents dans l'histoire de la médecine , tout le monde s'empressa de rendre hommage à sa
ndance à la folie du doute, etc.). Ces cas relèvent tout à fait de la médecine , et ne doivent pas nous arrêter ici. (1) D' Bér
e la prudence et les précautions voulues, a mérité de prendre rang en médecine et se place, dans certaines maladies, bien au-des
ocat à la Cour d'appel du tribunal mixte du Caire, ancien étudiant en médecine , parfaitement au courant de l'hypnotisme et de la
. 4. Dr Félix Regnault.— Le cas de Solcillant au point de vue de la médecine psychiatrique. Discussion : Dr Demonchy, Dr Bér
. le Dr Huchard, médecin de l'Hôpital Xecker, membre de l'Académie de médecine . En un style alerte, dans lequel on retrouve to
'assainissement médical. I)' E. D. Le concours de l'agrégation en médecine ; nécessité de son remplacement par l'institution
eignement officiel est duc à l'agrégation. — Les grands progrès de la médecine sont dûs a l'enseignement médical libre. — Le rem
ement médical libre. — Le remplacement du concours de l'agrégation en médecine par l'institution des prival-docenien. {Suite)
qui, dans le cours du xise siècle, ont assuré la prépondérance de la médecine française, ont toutes été conçues et réalisées pa
oute attache universitaire. Les branches les plus importantes de la médecine ont été créées uniquement par des représentants d
if, est dû à des professeurs libres, tenus à l'écart de la Faculté de médecine . 11 en est de même de toutes les conquêtes modern
même de toutes les conquêtes modernes réalisées dans le domaine de la médecine expérimentale et de la thérapeutique. Un rapide e
ence d'un professeur libre, le D' Moure. S'il est une branche de la médecine qui ait été tenue en discrédit par les agrégés, c
Mans. La plupart d'entre eux ne sont même pas professeurs à PEcoIe de médecine de la ville où ils résident. Cependant, c'est à l
édiatement cette criante injustice, à renoncer à l'enseignement. En médecine et en thérapeutique générales, Bichat {'), Laenne
'anatomie et la physiologie. Il y créa le premier cours méthodique de médecine opératoire et il y dirigeait les dissections de q
s élevés, Ce grand homme, dont la statue décore la cour de l'Ecole de Médecine do Paris, ne fut jamais admis à l'honneur d*y pro
son enseignement libre dans un amphithéâtre situé hors de l'Ecole de Médecine . thérapeutique des maladies du cœur. Ses ense
idérable qu'on ne voit aux cours les plus suivis de la Faculté ? La médecine expérimentale est née tout entière hors de la Fac
La médecine expérimentale est née tout entière hors de la Faculté de médecine . Le premier professeur titulaire de la chaire de
Faculté de médecine. Le premier professeur titulaire de la chaire de médecine expérimentale, Rayer, n'était pas agrégé, et pour
lors, les hommes qui ont le plus contribué en France au progrès de la médecine expérimentale ont été Davaine, Emile Blanchard, B
ions systématiques qui ont été suscitées contre les découvertes de la médecine expérimentale onttoujours pris naissance au sein
ine expérimentale onttoujours pris naissance au sein de la Faculté de médecine . Elles émanaient de professeurs qui avaient été d
te même de la communication que fit M. le Dr Bérillon à la Société de médecine et de chirurgie pratiques de Paris, en 1894, « le
t encore le Dr Bérillon dans sa communication de 1894 à la Société de médecine et de chirurgie pratiques de Paris, auraient pu f
ute médication ressortissant soit à la p h armaco thérapie, soit à la médecine des agents physiques ? Non, certes, ce serait êtr
}. Cours libre de psïchopathologie du tube digestif a la Faculté de médecine de paris. — (2* Semestre de l'Année scolaire 1906
aire 1906-1907). — M. le Docteur Paul Fabez reprendra à la Faculté de Médecine {Amphithéâtre Cruveilhier, 15, rue de l'Ecole de
e et fait voter les vœux suivants : 1° L'agrégation des Facultés de médecine , telle qu'elle existe, doit être supprimée ; 28
ns formulées avec tant de netteté par la corporation des étudiants en médecine . Le porte-parole de l'association corporative des
, il n'aura pas le pouvoir de commander l'admiration. La Faculté de médecine ne possède plus de ces maîtres dont le seul prest
mposante manifestation, contre le régime suranné auquel la Faculté de médecine doit d'être entraînée vers une déshonorante décad
onorante décadence. D* Bébillok. Le concours de l'agrégation en médecine ; nécessité de son remplacement par l'Institution
ychologie à l'Ecole pratique de la Faculté. (Suite) La Faculté de médecine n'a jamais pris la moindre part à renseignement d
niversité, à extirper quelques molaires. Les grands dignitaires de la médecine n'ont jamais pu se défendre d'un légitime émoi à
p supérieur à celui qui se donne dans les amphithéâtres de l'Ecole de médecine . Les Ecoles dentaires feront bien de ne pas s'end
probablement pas à être réparé. • Il n'est pas une branche de la médecine où l'institution de l'agrégation n'ait fait senti
uence délétère et stérilisante. C'est également à l'agrégation que la médecine doit d'avoir perdu la légitime influence qu'e
galement le grand mérite d'entretenir la tradition des rapports de la médecine avec la psychologie, l'un par ses recherches sur
pie et de la psychologie médicale à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine . Dans le cours de mes études, je fus frappé de
il supérieur des Facultés à faire à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine , pendant le semestre d'été, un cours libre sur le
exprimé par M. le professeur Brouardel, alors doyen de la Faculté de médecine , au libéralisme duquel je suis heureux de rendre
le local le plus anti-hygiénique de Paris se trouvait à la Faculté de médecine . Aucune suite naturellement, ne fut donnée à mes
à celles des professeurs titulaires. La façon d'agir de la Faculté de médecine n'indique-t-elle pas, d'une façon très frappante,
mes louanges. Deuxième cas. — M. Moh... Ch., étudiant à l'Ecole de médecine du Caire, âgé de 24 ans, vint me consulter le 20
n de former les générations futures. Le concours de l'agrégation en médecine ; nécessité de son remplacement par l'institution
eignement officiel est duo a l'agrégation. — Les grands progrès de la médecine sont dûs a l'enseignement médical libre. — Le rem
ement médical libre. — Le remplacement du concours de l'agrégation en médecine par l'institution des privat-docenten. (Fin)
é groupaient généralement fort peu d'élèves. Mais, dès que l'Ecole de médecine constatait, parle succès croissant d'un professeu
que, de l'aveu même d'un certain nombre de professeurs de Facultés de médecine , l'agrégation a fait son temps. Elle doit donc fa
eignement et sur la production des travaux scientifiques ». Dans la Médecine moderne, M. le Dr Félix Regnault sonnaéga-lement
firmer ainsi leur opinion. Ils ont bien mérité de la science et de la médecine françaises! » * • * En allant au congrès de
er que le régime du concours, en ce qui concerne l'enseignement de la médecine , n'a satisfait personne, c'est que ceux que favor
terruption de quinze années. Gela ne se voit que dans tes Facultés de médecine , où d'ailleurs trois quarts des agrégés n'arriven
te suivante : « A la suite d'un concours d'agrégation à la Faculté de médecine , resté célèbre par une illégalité cyniquement com
nseignant. Tous les trois ans, les divers concours de l'agrégation en médecine ouvrent à dix ou onze candidats, qui ne sont pas
Notre proposition tendant à supprimer le concours de l'agrégation en médecine fut votée en 1894 à l'unanimité par les membres d
s ». par Jules et Roger Voisin, p. 175. Concours de l'agrégation en médecine et les privat-docenten, par Bérillon, p. 257, 290
. Cours libre de psychopathologie du tube digestif à la l'acuité de médecine de Paris, par Paul Farez, p. 320. Cours pratiqu
3 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
de l'hypnotisme en psychologie, aussi bien qu'en thérapeutique et en médecine légale. Nous n'avons pas hésité, cependant, a e
charlatans qui le compromettaient en l'exploitant. Après l'Ecole de médecine , nous avons vu successivement REVUE DE L'HYPNOT
és savantes : Société de Biologie, Académie des Sciences, Académie de Médecine , etc., s'ouvrir à des études laissées trop longte
t agir, et celles où, au contraire, il faut s'abstenir ? Puisque la médecine , au nom de la science et de l'art, a. dans ces de
utique, du 1er au 5 août. Président : M. Moutard-Martin. Congrès de médecine mentale, du 5 au 10 août. Président : M. Falret.
riminelle, du 10 au 17 août. Président : M. Th. Roussel. Congrès de médecine légale, du 19 au 24 août. Président: : M. Brouard
. Ballet, médecin des hôpitaux, professeur agrégé & la Faculté de médecine . M. le Dr Beaunis, professeur à la Faculté de N
chologie physiologique. M. le Dr Bernheim, professeur à la Faculté de médecine de Nancy. M. Bordier, avocat a la Cour d'appel de
Bordier, avocat a la Cour d'appel de Paris, membre de la Société de médecine légale. M. le Dr Bourru, professeur à l'École d
iété de médecine légale. M. le Dr Bourru, professeur à l'École de médecine de Rochefort. M. le Dr Brian d, médecin en chef d
chef de l'Asile de Villejuif. M. le Dr Burot. professeur à l'Ecole de médecine de Rochefort. M. le Dr Collineau, membre de la So
le Dr Dejérine, médecin de Bicêtre, professeur agrégé à la Faculté de médecine . M. le Dr Dubois, membre du Conseil municipal d
e de la Société d; biologie. M. le Dr fontan, professeur à l'École de médecine de Toulon. M. le Dr Forel, médecin en chef de l'A
orts de la suggestion et du somnambulisme avec la jurisprudence et la médecine légale. — La responsabilité dans les états hypnot
uggestion. 11. M. le Dr Burot (de Rochefort).— L'auto-hypnotisme en médecine légale, la. M. le Dr Bernheim (de Nancy). — Les h
eudis, samedis, de 10 heures à midi. Les médecins et les étudiants en médecine peuvent y assister. Portugal. — Le Gouvernement
nd nombre de communications diverses, concernant la thérapeutique, la médecine légale, la pédagogie et la psychiatrie sont annon
de Grèce, de Turquie, du Canada, des Etats-Unis, etc..- L'Académie de médecine de Belgique a désigné un de ses membres, M. le pr
u (1) Letulle, De l'hystérie mercurielle. — Gazette hebdomadaire de médecine et de chinirgie, p. 616. 1887. (2) Rendu, Hysté
PAR LA SUGGESTION Par le docteur P. BUROT, professeur à l'Ecole de médecine de Rochefort. Mme Bon..., 58 ans, était atteint
ès d'hygiène et de démographie. Séances du 4 au 11 août, à l'Ecole de médecine . Lundi 5, à 3 heures. — Séance d'ouverture du C
e médecine. Lundi 5, à 3 heures. — Séance d'ouverture du Congrès de médecine mentale. Séances du 5 au 10 août, au Collège de F
e psychologie physiologique. Séances du 6 au 10 août, à la Faculté de médecine (Amphithéâtre du laboratoire de physiologie). M
Dr G. Ballet, médectc des hôpitaux, professeur agrégé à la Faculté de médecine . M. le Dr Beaunis, professeur à la Faculté de N
chologie physiologique. M. le Dr Bernheim, professeur a la Faculté de médecine de Nancy. H. Bordier, avocat a la Cour d'appel de
Bordier, avocat a la Cour d'appel de Paris, membre de la Société de médecine légale. H. le Dr Bourru, professeur à l'École d
iété de médecine légale. H. le Dr Bourru, professeur à l'École de médecine de Rochefort. H. le Dr Bruno, médecin en chef de
chef de l'Asile de Villejuif. M. le Dr BUrot. professeur à l'École de médecine de Rochefort. M. le Drr Collineau, membre de la S
le Dr Déjérine, médecin de Bicêtre, professeur agrégé à la Faculté de médecine . H. le Dr Dubois, membre du Conseil municipal d
de la Société de biologie. M le Dr Fontan. professeur à l'École de médecine de Toulon. M. le Dr Forel, médecin en chef de l'A
. M. le Dr Mesnet. médecin de l'Hôtel-Dieu, membre de l'Académie de médecine . M. le Dr Ramadier, médecin de l'Asile de Vaucl
orts de la suggestion et du somnambulisme avec la jurisprudence et la médecine légale. — La responsabilité dans les états hypnot
ypnotisme. 3. M. le Dr Burot (de Rochefort). — L'auto-suggestion en médecine légale. 4. M. le Dr Laurent (de Paris). — Actio
eudis, samedis, de 10 heures à midi. Les médecins et les étudiants en médecine peuvent y assister. Hospice de la salpêtrière.
mentale. — M. le Dr Rommelaere, secrétaire général à l'Académie de médecine de Belgique, dont le projet d'interdiction des sé
blée, vient d'être élu membre correspondant étranger de 1 Académie de médecine de Paris. Distinctions honorifiques. — Parmi le
ique de l'hypnotisme, qui eut lieu au sein de la Société Viennoise de médecine , on est allé jusqu'à dire que ce serait un grand
peuvent réussir (1) Communication faite au Congrès international de médecine mentale, dans la séance du mardi 6 août. assuré
e Bordeaux; LOM- BROSO, de Turin. M. le Dr MESNET (de l'Académie de médecine .) BUREAU: Président: M. DUMONTPALLIER- Vice
Dr G. BALLET, médecin des hôpitaux, professeur agrège à la Faculté de médecine . M. le DrBARÉZY, de la Société de Psychologie p
hologie physiologique. M. le Dr BERHEIM. professeur a la Faculté de médecine de Nancy. M. BINET Alfred, de la Société de Psy
BORDIER, avocat à la Cour d'appel de Paris, membre de la Société de médecine légale. M. de BOURGON, lauréat de l'Association s
ON, médecin à Méru (Oise). M. le Dr BOURRU, professeur à l'École de médecine de Rochefort. M. BOURIOT Emille, administrateur d
ef de l'Asile de Villejuif. M. le Dr BUROT. professeur a l'École de médecine de Rochefort. M. CAUSTIER. licencié ès-scienecs
e Dr DÉJÉRINE médecin de Bicêtre, professeur agrégé à la Faculté de médecine . M. delcro Jules, publiciste à Paris. M. le Dr
, M. le Dr MESNET, médecin de l'Hôtel-Dieu, membre de l'Académie de médecine . M. METZGER Daniel, professeur de sourds muets
rges, licencie es sciences. M- le Dr PUEL, lauréat de l'Académie de médecine . M- PUPIN, secrétaire de la Faculté de médecine
at de l'Académie de médecine. M- PUPIN, secrétaire de la Faculté de médecine . M. le Dr RAmAdier, médecin de l'Asile de Vaucl
NCIN, publiciste à Paris. M. le Dr TILLAUX, membre de l'Académie de médecine , chirurgien de l'Hotel-Dieu. M. T0UTÉE, juge au
losophie, à Helsingfors (Finlande). M. HENRIQUEZ Francis. étudiant en médecine (Etats-Unis de Colombie). M. le Dr HERRERO Abdan
eur à l'Université de Louvain. M. 1e Dr LOMBROSQ César, professeur de médecine mentale a la Faculté de Turin. M. le Dr MARÉCHA
esseur à l'Université de Louvain, délégué officiel de l'Académie de médecine de Belgique M. le Dr MUNIZ Manuel, médecin-major,
SEMAL, médecin en chef de l'Asile de Mons, membre de l'Acade mie de médecine de Belgique. M. le Dr SAVINOFF Serge, médecin à M
SAVINOFF Serge, médecin à Moscou. M. le Dr SPERLING, de la Société de médecine de Berlin. M. le Dr SIDERIS, de la Faculté d'Athè
elle, assez grande u l'Ecole de Nancy, surtout en thérapeutique et en médecine légale. MM. Bernheim, Beaunis, Liébeult et Liégeo
'hypnotisme s'imposait aux discussions du monde savant. L'Académie de médecine de Belgique n'a-t-elle pas désigne l'un de ces me
amphithéâtres de l'Hotel-Dieu. Il annonce que l'Académie royale de médecine de Belgique a désigné un de ses membres. M. Masoi
l'ombre. » Il ajoute même qu'il n'y a pas plus de rapport entre la médecine et le magnétisme qu'entre la géométrie et la reli
discussion magistrale qui a eu lieu l'année dernière a l'Académie de médecine de Belgique a mis, du reste, suffisamment en reli
ntroduit d'une manière officielle dans les programmes des facultés de médecine . Il n'est pas besoin pour cela d'exiger des candi
de médecine. Il n'est pas besoin pour cela d'exiger des candidats en médecine , au moment de leurs examens de doctorat, la justi
tre soumise aux lois et aux règlements qui régissent l'exercice de la médecine . III. Il est désirable que l'étude de l'hypnoti
criminelle a émis le vœu que les médecins ainsi que les étudiants en médecine légale et les étudiants en droit pénal, accompagn
titre usurpé, naturellement, de docteur. — a la suite du Congrès de médecine mentale. il a été décidé qu'un Congrès rational d
'Octobre, d'un Congres qui pourrait prendre le titre de Congrès de la Médecine illégale. Ce Contres, d'après son (programme, sem
ours des industriels encore nombreux, qui vivent de la pratique de la médecine illégale. La publication des comptes-rendus de
a Seine sur l'étendue et la gravité d'ara certain nombre de délits de médecine illégale qui se commettent journellement a Paris.
Docteur Falret, Médecin de la Salpétrière, Président du Congrès de médecine mentale (1) Le domaine de la pathologie mentale
tent le fait d'observation qui est in- (1) Rapport lu au Congrès de médecine mentale. _ (2) Delasiauve a même fait de la con
Professeur libre de gynécologie à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine de Paris (1) Messieurs, Je ne saurais mieux c
runte au mémoire de Raciborski, publié dans les Archives générales de médecine de 1865, numéro du mois de mai. « C'est, dit-il
des tabétiques, idée que j'avais émise dCs l'origine à la Société de médecine de Nancy, où elle fut vivement combattue. La méde
à la Société de médecine de Nancy, où elle fut vivement combattue. La médecine actuelle, trop imbue des idées orga-niciennes, cr
. M. de Bourgon, au nom des internes des hôpitaux, des étudiants en médecine et des élèves de l'Ecole normale supérieure, prés
e lunch, M. le professeur Masoin (de Louvain) membre de l'Académie de médecine de Belgique, remercie M. Auguste Voisin dans les
lsocrate, Solon, Démosthène. Xénophon, Alcibiade. et les pères de la médecine . Hippocrate et Galien. N'oublions pas Scipioa auq
production exacte de tous les nez professoraux de la docte Faculté de médecine de Naples ! Nous voilà donc prévenus : une nouv
empresse de publier pour l'édification du public, relativement à la médecine des somnambules. Monsieur le Rédacteur, A pro
ges d'un intéressant rapport de MM. Descourts et Lutaud au Congrès de médecine légale. Après avoir montré comment débute général
udis. samedis, de dix heures à midi. Les médecins et les étudiants en médecine peuvent y assister. — Congrès de pysiologie. —
, communiquait une observation des plus intéressantes i l'Académie de Médecine sur le même sujet. Il s'agissait d'une opéra-tion
ique n'étaient pas moins bons que ceux de mes collègues de la vieille médecine . Il y a plus de trente ans que j'ai fait avec M.
nous qui pourraient éprouver le besoin de raffermir leur foi dans la médecine traditionnelle n'ont qu'à relire les pages puissa
mseignement libre, — m Lafon. chimis-expert. lauréat da l'académie de médecine , ancien préparateur du professeur Brouardel. fera
udis, samedis, de dix heures a midi. Les médecins et les étudiants en médecine peuvent y assister. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE INTER
DECINE LÉGALE (0 Par le docteur P. BUROT. Professeur à l'École de médecine de Rochefort. Les accidents morbides qui relève
orts de la suggestion et du somnambulisme avec la jurisprudence et la médecine légale. — La responsabilité dans les états hypnot
Docteur Liébeault, mais aussi deux membres éminents de la faculté de médecine de Nancy, MM. les docteurs Bernheim et Beaunis.
rniers (p. 3821. » De son coté. M. Brouardel professe, à son Cours de médecine légale, que les somnambules ne réalisent que « le
teur Licbeault, les professeurs Bcrnheim et Beaunis, de la faculté de médecine de Nancy, et Liégeois, de la faculté de droit, ti
our que le médecin doive se préoccuper de la seconde question. 2°En médecine légale, comment un expert pourra-t-il établir la
ait de nature à intriguer bien des lecteurs. « Un jeune étudiant en médecine avait porté plainte contre un médecin de la ville
DON SANCHEZ HERRERO Professeur de clinique médicale à la Faculté de médecine de Valladolid Tant que l'hypnotiseur n'emploie
EZ UN HYSTÉRIQUE Par le docteur P. BUROT Proffesseur à l'École de Médecine de Rochefort. Les troubles circulatoires que l'
offert aux membres du Congrès à l'Asile de Villejuif. Hypnotisme et médecine légale. Le tribunal de Nuremberg, en Bavière, v
es corps savants ont exprimé des idées analogues. Après l'Académie de médecine de Belgique, qui se prononçait it la presque unan
La gravité du phénomène et les conséquences qu'il peut entraîner en médecine légale n'échapperont à personne. Nous ferons au
ivre sur la Suggestion et le Somnambulisme dam leurs rapports avec la médecine légale n'ont pas jusqu'ici donné lieu à une discu
SUGGESTION ET RÉACTION Par le Dr P. BU ROT Profeseur à l'école de médecine de Rochefort. L'étude des phénomènes réactionne
n présence d'un sujet hypno-tisable. SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉTÉ DE MÉDECINE LEGALE Séance du 13 janvier 1890.— Présidence d
r de l'Université catholique de Lou-vain, et délégué de l'Académie de médecine de Bruxelles, a porté un toast très applaudi. au
d'influence auprès de l'administration supérieure que nos journaux de médecine , que nos Sociétés de médecine, que les neuro-path
stration supérieure que nos journaux de médecine, que nos Sociétés de médecine , que les neuro-pathologîstes les plus éminents, c
r ta Catalepsie, fut couronné, il y a quarante ans, par l'Académie dé médecine . Pue! s'était toujours préoccupé des problèmes qu
n honnête homme dans toute l'acception du mot ; après avoir exercé la médecine à Paris pendant plus de cinquante ans, il est mor
la pathologie mentale et les maladies de l'encéphale, a la Faculté de Médecine , les mardis, jeudis et samedis, à quatre heures.
eudi», samedis de dix heures à midi. Les médecins et les étudiants en médecine peuvent y assister. — UN MUSÉE PSYCHOLOGIQUE —
ts pouvant servir à l'étude des passions, » — Peix. _ L'Académie de médecine de Belgique vient de partager le prix de 8,ooo fr
n d'un habile ventriloque; enfin l'aimable M. Roger, de l'Académie de médecine , contestant avec opiniâtreté la réalité des phéno
éminents que nous-venons de citer, qu'ils n'aient pas appartenu a la médecine militaire, ils seraient condamnés a attendre que
même des succès dans les concours académiques. Après avoir étudié la médecine pendant quelques mois, il est passé à l'étude du
un épileptique et dont l'observation a été publiée dans un journal de médecine (Bulletin médical, 1889, n» 18). Tout le monde co
onc en lui-même nullement un obstacle à la validité d'un testament. Médecine clandestine Le parquet de Château-Gontier, sais
de ces individus qui. dans les campagnes, exercent clandestinement la médecine , avait une façon toute particulière de soigner se
té parle malade pendant un i/jd'heurc Leur ignorance des choses de la médecine , comme de l'hypnotisme, est com -plète, et ils ne
pathologique, gérant Virchow; 4° Pharmacologie gérant, Liebreich; 5° Médecine interne, gérant Ler- den; 6° Pediatrie, gérant
cal: et climalologie (histoire et statistique). gérant Hirsch; 17°- Médecine légale, gérant Liman; 18°- Hygiène militaire, gér
e on détail assez curieux. Depuis du ans le nombre des étudiants en médecine a doublé. Il y avait, en 1888, 6.455 étudiants
é. Il y avait, en 1888, 6.455 étudiants inscrits dans les écoles de médecine . Or. si le nombre des étudiants s'est considéra
Hypnose. (Münch, méd. Wechemichr,.5). CARL DU PREL : Hypnotisme et médecine . (Revue spirite, 15 dec. 1889, ler Janvier 1890.
lin Runisch. 40). ZAWICZ [ P. I. Ochorowicz comme réformateur de la médecine .] Gaz. lek.. Sér. II, t. VIII, p.567 Warszawa. 18
lle, dans l'amphithéâtre de la clinique chirurgicale de la Faculté de médecine . Briquet a écrit dans son Traité de l'hystérie,
s. (1)Avant mon séjour à Dombresson, j'exerçai pendant douze ans la médecine au Logle; m'oc-cupant de préférence de l'étude de
) contre la science patentée et conservatrice (Ladame), celui de la médecine qui se croit faite (1) M D.. .. ayant dans le c
Dufour, qui s'occupa de ce soin. pour les malades (Ladame) et dela médecine qui estime que les malades sont faits pour elle (
RONIQUE ET CORRESPONDANCE Cours à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine M. le docteur Bérillon. directeur de la Revue d
soir, dans l'amphithéâtre n° 3, de l'Ecole pritique de la Faculté de médecine un cours libre de Pathologie nerveuse et de psych
. L'hypnotisme dans les rapports avec la déontologie médicale et la médecine légale. X. Les causes d'insuccès, les écueils e
roduite en note dans la réponse à mon rapport et dans Magnétiseurs et Médecines ), cette phrase significative où l'auteur parle de
ombre supérieur à cent.» Communication de M. Mesnet à l'Académie de médecine . Notre éminent collaborateur M. le docteur Mesn
le docteur Mesnet. médecin de l'Hôtel-Dieu et membre de l'Académie de médecine , a lait mardi dernier devant l'Académie, une lect
nal. Les soussignés ont été désignés par les délègues des Facultés de médecine et des principales Sociétés médicales de l'Empire
stions suivantes qui peuvent intéresser nos lecteurs. — N° 1. Prix de médecine ; De l'influence du tabac et de la nicotine sur l
hish. The american Society for psychical research Les journaux de médecine américains annoncent qu'une importante Société ps
s déjections. J'ai fait autrefois une communication à la Société de médecine publique sur l'hygiène pans les pensionnats de je
OUVELLES COURS. — M le professeur Brocarde: a commencé le cours de / médecine le lundi 17 mars 1890, à quatre heures de l'après
r Paul Loye, préparateur à la Faculté des sciences et à la Faculté de médecine , vient d'être nommé maître de conférences de phys
le Docteur MESNET Médecin de l'Hôtel-Dieu, membre de l'Académie de Médecine Ma communication a pour but d'appeler l'attenti
lative â des expériences d'hypnotisme sur les malades d'un service de médecine de l'Hôtel-Dieu devant un public non médical (1).
aites, devant d'autres personnes que des médecins, dans les salle* de médecine de l'Hôtel-Dieu..., (1) Nous extrayons ce compt
entifique. En dehors de quelques médecins et de- quelques élèves en médecine , il y avait M. Alexandre Dumas et M. Morault. Il
s de la compétence du Conseil municipal: elle relève de l'Académie de médecine , il est libre de la lui porter. M. DESPRÉS. — M
ubstances aussi importantes, n'ont été admises dans la pratique de la médecine militaire qu'après la sanction des sociétés savan
après la sanction des sociétés savantes et notamment de l'Académie de médecine . Dans nos prescriptions, nous ne devons pas sorti
trouve pas, et voilà tout. Qu'il tasse ses preuves, que l'Académie de médecine décide qu'il rend de réels services, qu'il convie
lus importantes,il saurait que l'Académie des sciences. l'Académie de médecine , la Société médicale des hôpitaux, la Société de
norerait pas que M. le Professeur Proust, secrétaire de l'Académie de médecine , avait précisément choisi l'année dernière, comme
e fameux baquet magnétique et la condamnation de la Société royale de médecine de Paris, à la suite de l'examen ordonné par Loui
lettres du général Noizet, les nouvelles discussions de l'Académie de médecine et le rapport du Dr Husson. M. Liégeois rapporte
ux restèrent fermés, et les déclarations imprudentes de l'Académie de médecine déclarant qu'elle ne s'occuperait plus du magnéti
sable et par suite suggestionnable. C'est la un chapitre important de médecine légale. Le livre de M. Liégeois doit être le vade
ur Brouardel : s'il n'est pa» possible d'imposer à tous les élèves en médecine de faire des études médico-légales complètes, il
dans les services spéciaux, permettrait de subir un nouvel examen de médecine légale proprement dite, et ceux qui l'auraient pa
ion mentale M. Gilbert Ballet a donné communication à la société de médecine légale d'un rapport sur l'état mental d'un employ
re, la science ne devrait désormais plus avoir rien de commun avec la médecine maritime et cela A tous les degrés de la hiérarch
rsonnalité (Congrès de l'Hypnotisme). BUROT De l'auto-suggestion en médecine legale. (Congres de l'Hypnotisme). CH. RICHET E
e et me bornerai à vous résumer les résultats de la psychothérapie en médecine mentale. Parmi les savants expérimentateurs dan
la suggestion hypnotique a été communiqué par M. Ladame au congres de médecine mentale de 1889. MM. Kraft-Kbing et von Schrenk-N
àl'abri d'une nouvelle contravention, il s'associa avec un docteur en médecine et il continue aujourd'hui sa lucrative industrie
vi quand même Vandevoir et Detrez,non pas pour exercice illégal de la médecine , mais pour escroquerie, la condamnation de ce che
faculté toute spéciale que possède son sujet qai m'a jamais étudié la médecine ) de reconnaître les maladies, soit sur les patien
portant travail de M. le professeur Masoin. NOUVELLES Académie de Médecine . — Notre émirent collaborateur. M. le professeur
r . Lacassagne vient d'être elu membre correspondant de l'Académie de médecine de Paris. Nous toi envoyons toutes nos félicitati
leçons sont exclusivement destinées aux médecins et aux étudiants en médecine . Congres annuelle d'allenation mentale. — Nous
Relation de la paralysie générale et de la syphilis. — 2° Question de médecine légale. — Le projet de révision de la loi du 30 j
tomatisme psychologique, par André La-lande 363. Auto-suggestion en médecine légale (de l'). par Burot. 170. Brûlure provoqu
rès de l'hypnotisme, 22. Communication de M. Mesnet a l'Académie de médecine , 315. Concours relatif à l'hypnotisme. Congrè
s), 348. Étude-médico-sociale sur le nez, 122. Exercice illégal de la médecine , 377. Exercices immodérés de l'esprit, 221. Expér
sychologie physiologique (l') . par Edg. Bérillon. 1. Hypnotisme et médecine légale, 330. Hypnotismus (der). par Albert Moll
le réglementation du), 254. Matériel de la faculté du langage, 6, Médecine clandestine, 282. Médecine légale, auto-suggest
Matériel de la faculté du langage, 6, Médecine clandestine, 282. Médecine légale, auto-suggestion en), 170, Médecine mili
cine clandestine, 282. Médecine légale, auto-suggestion en), 170, Médecine militaire (l'hypnotisme et la), par Bérillon, 257
ns l'hypnotisme. 276. Société contre l'abus du tabac, 317. Société de médecine légale, 347. Société de psychiatrie de Hollande,
an. 134, Suggestion et du somnambulisme dans leurs rapports avec la médecine légale, par Liégeois. 345. Suggestion et réacti
4 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
out disposés à se faire Autrichiens ; et, par la loi en projet sur la médecine , le but caché de tant de grands hommes est d’empê
époque pour aider ce progrès et rétablir les principes oubliés de la médecine antique, compagne des premiers âges de l’homme.
Italie, et du contenu du livre analysé. _On lit dans le journal de Médecine de Toulouse, du mois dernier : « Nous avons à
contraire dans la formation de la nouvelle loi, sur l’exercice de la médecine , qu ils vont publier. C’est bien vrai que le magn
publier. C’est bien vrai que le magnétisme n'a rien que faire avec la médecine , étant, par sa nature, un agent physique dont tou
ienne érudition. Le candidat Righi, à l’occasion de son doctorat en médecine , a publié un livre qui traite de la quasi-nullité
t en médecine, a publié un livre qui traite de la quasi-nullité de la médecine même, si elle refuse l’hoinœopathie et le magnéti
tique, j’ai trouvé que le magnétisme est un puissant auxiliaire de la médecine homœopathique. Avant de terminer cette lettre,
e de nouveau souvent à l’épreuve. S’il lui est défendu de faire de la médecine , il aura encore assez d’autres misères à secourir
n. Je me rappelle qu’ayant rassemblé un grand nombre de malades, la médecine en prit ombrage, et que la justice, prenant fait
tous armés de bâtons ferrés ; plusieurs même portaient du poison : la médecine les en avait nourris. Revue «les Journaux. — Le
e décembre reproduit l’anecdote que nous avons extraite du Journal de médecine de Toulouse, et insérée dans notre dernier numéro
anonyme qui la rédigeait. La même chose est arrivée au Journal de la médecine théologique que le R. P. Ililarion Tissot rédigea
t de l’esprit fort, et voulait que l’on doutât de tout, excepté de la médecine . Ce soir-là il l’avait fait venir pour le consult
s, c’est-à-dire à l’extension du magnétisme et à l’introduction de la médecine somnambulique dans les habitudes, ou bien à la ri
nces ou diminuaient beaucoup les quantités. M. Bardinet, docteur en médecine . — J’ai été chargé par M. le procureur du roi et
a voulu pendant que j’étais endormie. Si j’avais su que j’exerçais la médecine , je ne l’aurais pas fait. Si je n’ai pas répondu
ce la double pré- vention d’escroquerie et d’exercice illégal de la médecine . » MMes Bac et Descoulures ont présenté la défe
querie, et les a déclarés coupables du délit d’exercice illégal de la médecine . En conséquence, les prévenus ont été condamnés à
ré aussi obscur qu’improductif. Il en est de même de l’exercice de la médecine , en tant que science, et telle quelle est pratiqu
France, si la Providence n’avait permis que notre savante académie de médecine ne fût pour ce cas seulement frappée de cécité !
arrivé pour nous, comme il est venu pour toutes choses. L’Académie de médecine et celle des sciences vont rendre leur compte; et
incipes féconds ne trouveront plus d’entraves à leur enseignement. La médecine magnétique et fomnambulique ne sera plus entravée
son ministre. Assez de sang, assez de meurtres, plus de poisons. La médecine actuelle doit être réformée, l’humanité comme la
essai et défendis qu’on le dérangeât. Je me fis conduire à l’Ecole de Médecine , à un mille de là, dans l’espoir d’y rencontrer l
age. Vous exigez de moi, leur dirais-je, un diplôme pour exercer la médecine quasi-spirituelle ou magnétique, puisque je n’en
-spirituelle ou magnétique, puisque je n’en fais pas d'autre. Celte médecine se pratique d’abord sans lavements, sangsues, sai
intenant, où trouvera-t-on en France une académie où l’on enseigne la médecine quasi-spirituelle ou magnétique, afin d’y aller f
le part. Si donc il n’existe pas en France une seule académie où la médecine quasi-spirituelle ou magnétique soit enseignée, i
démie peut m’offrir ? Si l on me dit que ce n’est pas un diplôme en médecine quasi-spirituelle ou magnétique que l’on exige de
magnétique que l’on exige de moi, mais tout simplement un diplôme en médecine ordinaire ou matérielle ; alors je dirais, que ce
ce diplôme, juridiquement parlant, ne m’autoriserait pas à exercer la médecine quasi-spirituelle ou magnétique, dont on m’interd
m’interdit l’usage, et la raison en est très-simple. Un diplôme en médecine ordinaire ou matérielle attesterait uniquement ma
a capacité à l’égard de ladite science, et nullement par rapport à la médecine quasi-spirituelle ou magnétique. Donc, en faisa
quasi-spirituelle ou magnétique. Donc, en faisant de cette dernière médecine , en vertu d’un diplôme en médecine ordinaire, on
Donc, en faisant de cette dernière médecine, en vertu d’un diplôme en médecine ordinaire, on pourrait m’attaquer en justice comm
i l’on me dit encore que la loi défendant de pratiquer toute sorte de médecine sans un diplôme académique, le citoyen Laforgue,
se trouvant pas muni de ce titre, il ne pouvait pas plus faire de la médecine ordinaire que magnétique; je répondrai, que cette
ction de la loi en question, les législateurs ne connaissaient pas la médecine quasi-spirituelle ou magnétique : donc ils ne pur
qui voudra en faire ; celui qui préférera ce mode de traitement à la médecine des écoles sera entièrement libre de son choix, d
pail a abordé la question du magnétisme dans sa Revue, élémentaire de Médecine et de Pharmacie, du 15 janvier, nous ne savons pa
de 22 ans, qui depuis 2 années avait épuisé tous les secours de la médecine sans avoir pu arrêter la progression de son mal.
grande satisfaction. Plus tard, privé de mes soins, il s’adressa à la médecine homœopaihique. Les poudres qui lui furent données
affection avait été rebelle à tous les traitements imaginables de la médecine et à tontes les recettes de bonnes femmes les plu
et cent fois nous vous l’avons dit : en la repoussant toujours, votre médecine sera mensongère, vos sciences n’auront aucun but.
s adresser l’exposé de quelques cures opérées par le magnétisme ou la médecine somnambulique, mais vous en avez, beaucoup plus q
ns prêtres, il y a quelques mois, engagea une malade à y recourir, la médecine ne pouvant plus rien pour elle; un autre, non moi
uisez, pour les reformer sur des fondements nouveaux, ces facultés de médecine où de faux systèmes tiennent la place de la scien
s éminemment curatives. Et s’est ainsi qu’un nouvel art, une nouvelle médecine s’est établie parmi les hommes. Mais lorsqu’on ve
résidence, il adressa le procès-verbal de cette opération à lecole de médecine : « Avec l’espoir, dit-il dans sa lettre d’envoi,
ale. » Sa Seigneurie, en conseil, se joint entièrement à l’école de médecine pour encourager les efforts du docteur Johnstonc
précitée, cette question A été sérieusement examinée par l’école d*e médecine ; les étudiants s’y sont magnétisés les uns les au
viens de lire l’extrait de la correspondance de la Société royale de médecine relativement au magnétisme animal, rédigé par M.
lusieurs malades, d’en constater l’état par tous les moyens connus en médecine , et l’état bien constaté et signé par M. Thouret
cité. Nécrologie. — M. le docteur Guersent, membre de l’académie de médecine , vient de mourir dans un âge assez peu avancé. Me
qu’ils aillent grossir la pacotille inutile qui fait la gloire de la médecine . Persuadés que la véritable médecine est dans l
utile qui fait la gloire de la médecine. Persuadés que la véritable médecine est dans le magnétisme et le somnambulisme, nous
uxième édition de l’ouvrage de M. le docteur Charpignon, Physiologie, médecine et métaphysique du magnétisme, vient fie paraît
t les immenses découvertes de la physiologie, de la physique et de la médecine . Nous nous bornerons donc au conseil. Que l’homme
s’il est doux de rendre quelquefois la santé à des malheureux que la médecine ordinaire avait déclarés incurables, ou qu’elle a
’autres, on ne nous poursuit pas du moins pour exercice illégal de la médecine ... Agréez, monsieur le baron, l’assurance de mo
t, il était bien loin de montrer les développements de son âge, et la médecine y avait perdu son latin, lorsque le docteur B....
dont elle n’avait pas souffert depuis trois ans. Comme autrefois, la médecine ne l’avait pas soulagée ; elle voulut maintenant
ait soumis, sans le moindre succès, aux tâtonnements ordinaires de la médecine . J’approchai ma main, et en moins d’un quart d’he
priveraient pas moins de se livrer à leurs études. Quelle admirable médecine que celle qui se trouve dans la main de chacun !.
ue des Journaux. — M. le docteur Perry a publié dans le Journal de la médecine homœopathique, n° de février, un travail très-rem
leur nouvelle doctrine et observer les deux régies ci-dessus quand la médecine , qui devrait les guider, n’a pas encore su classe
n avaient point encore rencontré de semblables dans les annales de la médecine . Le sieur Chenel avait jugé à propos, je ne sai
Plusieurs thèses ont été présentées, et soutenues avec éclat, sur la médecine , la physiologie, la psychologie et la métaphysiqu
d’une institution pour l'enseignement du magnétisme, 126. Ecole de Médecine de Madras. — Evoque la question du magnétisme et
gnétique, 364. P. chal (de Calvi). — Analyse, 255. Physiologie, médecine et métaphysique du magnétisme. Charpignon. — Ment
69, 159, 216. Tribunaux. — Condamnation pour exercice illégal de la médecine à Paris, 29 ; — à Nancy, 53 ;— à Limoges, 74.—Id.
Mesmeric hospital; tandis qu’ici sur huit généraux un seul survit. Médecine bavarde et menteuse, chirurgie incomplète et impu
crois bien (pie vous ne l’auriez jamais atteint par les remèdes de la médecine . Votre dernière lettre est du H», si vous voule
sme languit, est presque nulle en Espagne, depuis que le clergé et la médecine en ont interdit la pratique. M. l’abbé Almignana
devant une commission d’hommes compétents ? Puisque l’exercice de la médecine est mis, par la loi, sous l’œil de la police et s
ences à l’égard de sa découverte, de la malveillance de l’Académie de médecine à l’endroit de ses cures; mais depuis cette époqu
est que spécieux; cela ne satisfait pas la raison. Dans un pays où la médecine savante est assujettie à la police de l’Etat, la
pays où la médecine savante est assujettie à la police de l’Etat, la médecine tâtonnante ne saurait avoir de privilège. Or vous
ar nons ne prétendons pas être un jupe infaillible. Tout système de médecine trouve en nous l'indifférence : nous savons qu'il
(Je mémoire est précis; il résume succinctement plusieurs systèmes de médecine au point de vue de ce magnétiseur. Nous n’entrero
les discussions que peuvent soulever les idées de cet auteur sur les médecines , classiqueet homœopathique; c’est aux représentan
pondérable spécial ; 3" Corps, agrégat, formé de nombreux éléments. médecine , une amère pensée de découragement vous saisit au
est celle de la mort; or il serait injuste d'accuser, en principe, la médecine , quand, vaincue dnns la lutte qu’elle engage avec
uit, sur les résultats de sa pratique. En méditant l’histoire de la médecine , on est frappé d’étonnement en voyant les nombreu
prodigieux de doctrines médicales qui ont paru comme rivales «le la médecine hippocratique est dû à ce que leurs auteurs, s'ap
er en quatre classes les doctrines qui ont régné et régnent encore en médecine . La première, qui esl en quelque sorte négative
dre. Cette pensée a été pour le génie de Hahnemann, l’origine de la médecine homœopathique, en lui révélant ce principe fondam
e médecin homœo-pathe. Malgré la base ruineuse de ce principe de la médecine homœopathique, je concevrai encore qu’il pût cons
mmença tout d’abord par réduire de beaucoup les doses usitées dans la médecine ordinaire. 11 employa alors des fractions de grai
vue du chaos qui régit la thérapeutique et la matière médicale de la médecine des écoles? Ne pensait-il pas comme un médecin qu
r. A la place de ces médecins, malheureusement trop confiants dans la médecine ma thématique, chimique et polypharmaceutique, su
réclament le secours de l’homœopathie, sont ceux que n’a pu guérir la médecine orilinairc. Fatigués d’attendre la santé qu’on le
nt de Hahnemann. » En voici assez pour la part de la nature dans la médecine homœopathiquc; ce sujet serait riche à traiter, m
à l’eau la vertu purgative, et l’individu, bien éveillé, buvant cette médecine bien simple, éprouvait son action évacuante, mais
us les systèmes qui prétendent apporter quelque perfectionnement à la médecine , quand donc j’expérimentai 1 hoinœopathie, il arr
res, il n’y faut pas penser, parce que ce sont des médicaments que la médecine ordinaire ne répudierait pas à quelquesgouttes, e
t comme blasés par l’habitude. Ceci s’applique à tout, du reste, à la médecine ordinaire comme à l’homœopathie, et c’est pénétré
s l’a dit?Certes, le nombre des individus guéris de la gale par notre médecine est bien grand, et après leur guérison on n'a rie
néanmoins avec admiration que Hahnemann a préparé pour l’avenir de la médecine un progrès véritable. A lui reviendra, en effet,
arole, depuis 5 ans, et à qui 011 avait prodigué tous les soins de la médecine ordinaire, sans succès, a élé guérie en cinq séan
as remarquables de névropathie. t vol. in-8. maladies. Peu à pou la médecine magnétique a pris faveur parmi les ouvrier», et a
reur, quand ils prennent l’art de la médication pour la science de la médecine entièrement ignorée de nos jours. Des magnétise
de grands succès curatifs, je crois difficilement que, semblable à la médecine universelle, l’agent mes-mérien soit également ap
ue des élèves qu’il avait formés, le magnétisme grandit et devint une médecine populaire, rivale de celle des écoles. Les proc
as très-rare, puisque, par une inconcevable aberration, l’académie de médecine persiste à nier l’évidence et à laisser entre les
la guérison de maladies qui ont été traitées infructueusement par la médecine . Ces faits sont évidents pour tous ceux qui ont
cteurs Passavant, Klug, Volfart, ont voulu consacrer ce principe en médecine , mais l’expérience les a bientôt convaincus de so
grandes dans les lois et les habitudes qui régissent l’exercice de la médecine , que je n’ose en croire la possibilité, de bien l
systèmes qui tour à tour se sont cru la véritable loi pratique de la médecine , il me reste, pour compléter le cadre des système
i a rapport à la question si controversée du magnétisme. Physiologie, médecine et métaphysique du magnétisme. 1 vol. iü-8 de 600
t des partisans. On compte dans quelques villes des établissements de médecine hydrothérapique ; on applique quelquefois cette m
n tant qu’elle prétend s’ériger en principe général, car autrement la médecine expérimentale et d’observation enseigne que certa
ine, M. Raspail est parvenu à faire adopter par un nombreux public sa médecine pratique. Le publicjen effet ne raisonne pas, il
as au contraire la preuve de l'impuissance de l’homme à découvrir une médecine qui, reposant sur des lois invariables, soit appl
ilosophie transcendante, une doctrine unitaire est donc impossible en médecine . En vain celles qui s’approchent le plus des*lois
une comparaison forcée enseigneront que tel doit être l’avenir de la médecine ; le médecin, véritable disciple de la nature, se
les douleurs et les maladies, avec ces fléaux de la vie terrestre une médecine heureuse et malheureuse! car, comme je le disais
sais en commençant, il faut mourir ! ! Quelle est donc la meilleure médecine , demanderont avec anxiété ceux qui souffrent? Cet
nce ? L’étude ne peut donner ce talent. Eh bien! il en est de même en médecine , il y a un génie, un tact médical, et le médecin
le pense. N’é-coutez pas les recommandations sociales; les titres en médecine prouvent quelquefois tout autre chose que l’art e
. M. P. — Toute discussion éclaire l’homme; il semble qu’en fait de médecine c’est le contraire de cet axiome qu’il faut adopt
er dans le passé pour y retrouver les vérités naturelles, bases de la médecine antique? Nous estimons M. Charpignon, c’est l’h
à un élève de Mesmer : En admettant l’existence du magnétisme, cette médecine sera toujours la très-humble servante de celle de
servante-maîtresse. Nous dirons, nous : Le magnétisme régnera sur la médecine classique, effacera tout ce qu’elle a de faux et
de M. Charpignon pour y trouver les arguments propres à renverser la médecine ; car il a, quand il i'â voulu, fait plus que tous
inle, encore un pasdans cette route, et c’en est fait de la vieille médecine : on n’en voudra plus, elle n’existera plus que c
comme souvenir. Voyez déjà les malades dédaigner les sommités de la médecine pour courir chez les somnambules ? Croyez-vous qu
à mes appels et me prêter son concours ; n’est-il pas évident que la médecine est là tout entière? Sans doute, le magnétisme ne
conde. Si on prouve la justesse de leur axiome, jl faudra rétablir la médecine des écoles; car les médecins ont fait plus de mal
utes les forces connus. » Par la vérité nouvelle la philosophie, la médecine , demfme que la physiologie et la psychologie sont
lmes et tranquilles, et amené de véritables folies. Les annales de la médecine et de la jurisprudence offrent un ensemble, saisi
itulée : Observation du magnétisme occulte, par Emile Roy, docteur en médecine , ancien chirurgien-major; imprimée à Paris chez B
où ils l'avaient traduit sous l’inculpation d’exercice illégal de la médecine , ils lui font maintenant un procès de tendance. L
rve nous ne les blâmerions jamais. BIBLIOGRAPHIE. Histoire de i.a médecine depuis son origine jusqu'au xix' siècle, par do
its, théories et systèmes qui se sont produits depuis l’enfance de !a médecine . Nous nous bornerons à l’aperçu des points qui co
doit rien celer de ce qui la concerne ou s y rattache. A l’article Médecine de Chinois, dans l’énumération de leurs moyens th
mbeau du savoir antique. Des âges oubliés ont eu leurs sciences, leur médecine , dont la trace est pour nous perdue. Qu’étaient
de leurs adeptes. » Ces passages sont les seuls de VHistoire de Ut médecine , où il soit parlé du magnétisme; lésons en est tr
é reconnue déjà par Hippo-crate, qui dit, dans le traité de XAncienne médecine : u Les maladies guérissent tantôt par des contra
xclusives des deux doctrines aujourd’hui rivales; c’est le père de la médecine lui-même qui les met d’accord. Mais il reste à dé
plus faible, et c'est à juste titre, je dois le dire, qu’un traité de médecine que j'ai lu récemment les désigne sous le nom de
er Bailliére, par M. Emile Roy, ancien chirurgien-major et docteur en médecine , sous le titre de : Observations du magnétisme oc
fassent jamais magnétiseurs. Telle est mon opinion sur la fusion des médecines ; je ne crois la conciliation possible que sur le
oglyphes étaient la tradition. Ne soyons pas surpris si l’art de la médecine est resté si longtemps un secret, lorsque nous sa
es , car le plus grand nombre des écrivains s’accordent à dire que la médecine doit son origine aux prescriptions formulées pend
L’observation fidèle de ses avis a sauvé des malades abandonnés de la médecine . » L’orateur Aristide, qui vivait sous l’empere
ir le9 choses futures. » Boissier de Sauvages, savant professeur de médecine à Montpellier, a consigné, dans sa Nosologie prat
omène irrécusable ( Électricité animale ). M. Rostan, professeur de médecine à la l'acuité de Paris, affirme avoir vu des somn
u-bin-Gaulhier, etc., ces savants propagateurs du magnétisme et de la médecine somnambulique. Tous ceux qui s’attacheront avec
mpuissance à les expliquer ? Un célèbre professeur de la Faculté de Médecine de Paris écrivait, le 27 octobre 1838, au docteur
-elle pas l’explication de l’étrange déni de justice de l'Académie de Médecine ? ( Voir le Rapport de M. Husson. ) Si des corp
rcés dans leurs derniers retranchements. Un membre de l’Académie de Médecine déclare, dans la séance du i4 février i8î(i, que
de bienveillance universelle; que s'il devient, pour ainsi dire, une médecine de famille, alors disparaîtront les jongleurs et
phie, p. .'|22j partage entièrement cette opinion. Le professeur de médecine de Lyon Petetin, qui nous a laissé de si curieuse
’administration des remèdes, ou s’adresseront aux connaissances de la médecine . T.e secours d’un magnétiseur intelligent leur se
que'nous avons chaque jour l’occasion de signaler les insuccès de la médecine systématique. Tous nos médecins qui s’évertuent à
nt l’instinct médical est bien constaté, obtiennent leur guérison. La médecine classique osera-t-elle leur disputer ce privilège
l ; nous en reparlerons à l’occasion. BIBLIOGRAPHIE. PHYSIOLOGIE, MÉDECINE ET MÉTAPHYSIQUE DU MAGNÉTISME; parle D' Ciurpigno
heureux d’avoir aujourd’hui à faire connaître l’œuvre d’un docteur en médecine qui mérite à juste titre de fixer l’atlention des
gnon appelle Physiologie du magnétisme. Dans la deuxième partie, la Médecine du magnétisme, l’auteur comprend : i° la médecine
deuxième partie, la Médecine du magnétisme, l’auteur comprend : i° la médecine magnétique, c’est-à-dire, l’appréciation de la pu
nient l’action du magnétisme comme agent physique et curatif. 2° La médecine somnambulique. Ici le somnambulisme est étudié da
faculté; il compare les services qu’elle peut rendre avec ceux de la médecine classique; il discute l’utilité du somnambulisme
ement monotone. Il affirme qu’on ne peut trouver dans les ouvrages de médecine un seul cas bien observé, montrant qu’une personn
t également décédés. Chronique. — Le nouveau doyen de la Faculté de Médecine de Paris , M. Bérard, fait actuellement un Cours
du Potet à l’Hôtcl-Dieu , et du rapport de M. Husson à l’Académie de Médecine de Paris, qui établissent des faits irréfutables
long cours contre lesquelles échouent tous les moyens suggérés par la médecine classique ? « A ceux qui voudront répéter, cont
aucoup d’enthousiastes de celte science ont dit qu’elle renversait la médecine de fond en comble. Le magnétisme confirme , au co
étisme confirme , au contraire, beaucoup de vérités proclamées par la médecine ; et il opère lui même comme le font les remèdes,
édés, car toutes les affections névrurgiques devant les- quelles la médecine ordinaire reste impuissante, ne sont qu’un jeu po
s souffrances , quelle n’avait point trouvé dans les ressources de la médecine , elle écrivit à l’évêque du lieu pour le prier
men de ce système, 146. Homeopathie. — Critique, 80. Histoire de la Médecine , par le docteur Renouard. — Analyse, 221. Halluci
5 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
PHYSIOLOGIQUE Paraissant tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGA MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédacteur e
Faculté des lettres. le docteur Grasset, professeur à la Faculté de médecine de Montpellier. Liégeois, professeur à la Faculté
de médec ine de Paris, le docteur Raymond, professeur à la Faculté de médecine de Paris, le docteur Richet (Charles), professeur
ine de Paris, le docteur Richet (Charles), professeur à la Faculté de médecine de Paris. le docteur DüRaND de Gros. le docteur
la Faculté de Bordeaux, le Dr Richer (Paul), membre de l'Académie de médecine , le Dr Rodin (Albert), membre de l'Académie de mé
l'Académie de médecine, le Dr Rodin (Albert), membre de l'Académie de médecine . Tarde, professeur au collège de France. Tout
L’hypnotisme devant la loi du 30 novembre 1892, sur l’exercice de la médecine . — Intervention des pouvoirs publics dans la régl
Dr Vincent, médecin principal de la marine. — L’Académie royale de médecine de Belgique a délégué M. le professeur Masoin de
us la présidence de M. le professeur Raymond, membre de l’Académie de médecine . 1° Discours de réception par M. le Dr Jules Vo
de la métaphysique.... a Cette croyance universelle qui soutient la médecine et produit tous les résultats médicaux, est fauss
. 11 est singulier qu’en ces jours de découvertes scientifiques où la médecine a partagé les triomphes des sciences physiques on
cs d’aliénés, y complète son cours à l’Ecole pratique delà Faculté de médecine (semestre d’été) par des conférences sur les appl
hypnotisme devant la loi du 30novembre 1802, sur l'exercice de la médecine . — Intervention des pouvoirs publics dans la régl
’ambassade de Paris. Délégués des Sociétés — L’Académie royale de médecine de Belgique a délégué M. le professeur Masoin, de
L'hypnotisme devant la loi du 30 novembre 1892, sur l'exercice de la médecine . — Intervention des pouvoirs publics dans la régl
i. I I. — Hypnotisme thérapeutique. La loi sur l'exercice de la médecine doit-elle être interprétée dans un sens favorable
iption médicamenteuse, et que, par suite, il n'y a pas exercice de la médecine ; ils se font forts de plusieurs jugements et arrê
oir établi que la pratique de 1 hypnotisme est bien une branche de la médecine . C’est pourquoi nous avons l’honneur de propose
eutique soit soumis à la loi du 30 novembre 1892 sur l'exercice de la médecine . Dr Henri Lemesle. II Hypnotisme expériment
i-ci, en effet, ne prévoit et ne réprime que l'exercice illégal de la médecine . Or l’exercice, cet exercice illégal, ne peut c
rgicales; 3" Pratiques étrangères en elles-mêmes à l’exercice de la médecine et de la chirurgie (hypnotisme, magnétisme, massa
nsi qu’il l’a expliqué dans une communication récente à l’Académie de médecine , il empruntait son sérum à un veau auquel il fais
s d’aliénés, y complète son cours à l’Ecole pratique de la Faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
notes et mémoires présentés à la Société de Biologie, à l’Académie de médecine , à rAcadémie des sciences, puis dans la thèse de
ôle complexe qu’il devait jouer plus tard. En dehors de la Faculté de médecine il fréquentait assidûment le Muséum et l’Ecolc de
des, et de sa vaste érudition. A l’Ecole pratique de la Faculté rie médecine , il lait chaque année, depuis IS88, un cours libr
de sorcellerie par son entourage. Toutefois, après avoir exercé la médecine pendant dix ans, il était parvenu à amasser un pe
deste clinique de la rue de Bellevue. Le professeur rie la Faculté de médecine souriait des pratiques à la fois étranges et naïv
rre Durand, né :'i Gros Aveyron), le 10 juin 18*20, lil ses études de médecine , d’abord à Montpellier, puis à Paris. Au 2 dé
e ; il montre aussi quelle en est l'importance dans le domaine île la médecine légale et dans celui de l'hominienIture. Or, il
ue (liSüii) ; La philosophie physiologique et médicale à VAcadémie de médecine (1868) ; Ontologie et psy- cliotogiephysiolog
à’hypnologio cl de psychologie du 17 juillet 1900. Compte rendu de la Médecine moderne (25 juillet 19tX>). que les condit
et de son dévouement, le professeur Raymond, membre de l'Académie de Médecine , nous a apporté le patronage de la neurologie ofl
, à Vienne. Belgique. M. le Dr MaSOin. délégué de l’Académie de médecine de Belgique, professeur à l’Université de Louvain
e, à Guerchy (Yonne). M. le Dr Bernhkim, professeur à la Faculté de médecine de Nancy. M. le DrBir.HAUT, chirurgien de l’hôp
’études philosophiques et sociales, Paris. M. Contexàu, étudiant en médecine , Paris. M. le Dr Coste deLagrave, à Durtol (Puy
Paris. M. le Dr Huchard, médecin de Necker, membre de l'Académie de médecine de Paris. M. Julliot, docteur en droit, Paris.
. M. le Dr Joffroy, professeur de maladies mentales à la Faculté de médecine de Paris. M. le Dr JoinE (Paul), Lille. M. le
ur en droit, à Paris. M. le D' Paul Richer, membre de l’Académie de médecine , Paris. M. le Dr Ch. Richet, professeur à la Fa
de médecine, Paris. M. le Dr Ch. Richet, professeur à la Faculté de médecine de Paris. M. le Dr Raffegeau, directeur de ¡‘Et
i, de Varsovie. M. le Dr Stembo, de Vilna. M. Stembo, étudiant en médecine , Vilna. Roumanie. M. le Dr Thiron (Constantin
io, Turquie d’Asie. M. le Dr Zambaco-Pacha, membre de l'Académie de médecine , correspondant de l'institut, à Constantinople.
l, et M. L. Achille. DÉLÉGUÉS DES SOCIÉTÉS — L’Académie royale de médecine de Belgique a délégué M. le professeur Masoin, de
l’enfance a délégué MM. lesDr‘ Chassaing et Degoix. — La Société de médecine et de chirurgie pratiques de Paris était représen
Praticiens était représentée par M. le Dr Bilhaut. — La Société de médecine dosimétrique était représentée par M. le Dr Bourd
lbert Colas, trésorier, M. le Dr Paul Ricubr, membre de l'Académie de médecine , M. le Dr Paul Magnin, vice-président de la Socié
Society de New-York, M. le Dr Caryo-phillis, délégué de la Société de médecine d’Athènes, M. le professeur Zeliqzon, délégué de
au lycée Janson de Sailly ; le D«-Grasset, professeur à la Faculté de médecine de Montpellier ; Liégeois, professeur à la Facult
Présidents d'honneur : MM. le Dr Joffroy, professeur à la Faculté do médecine de Paris ; le Dr Raymond, professeur à la Faculté
ulté do médecine de Paris ; le Dr Raymond, professeur à la Faculté de médecine de Paris ; M. le Dr Charles Richbt, professeur à
récieux procédés d’analyse en physiologie normale et pathologique, en médecine légale, en psychologie, en sociologie et en pédag
de nos collaborateurs des savants de l'Ecole de Droit, de l'Ecole de Médecine , de l’Ecole d’Alfort et de la Faculté des Science
et surtout par ceux qui s’appuient sur les bases fondamentales cle la médecine , de la physiologie et de la psychologie. Le contr
de voir, à la tête de cette réunion, un représentant de la Faculté de Médecine de Paris, celui qui est chargé de renseignement o
e des chroniqueurs de l’avenir. Elle leur (1) Parmi les journaux do médecine qui ont donne des compte-rendus détaillés du Cong
ue appelée à exercer une influence considérable sur l'évolution de la médecine philosophique. Dès le lendemain du Congres, le
hilosophique. Dès le lendemain du Congres, le doyen des journaux de médecine français, la Gazelle des Hôpituux (1) publiait le
di?cutabie les services que la suggestion hypnotique peut rendre à la médecine . Il en est résulté la nouvelle thérapeutique dési
ut psycho-phvsiologique, ont permis de jeter les bases d'une nouvelle médecine morale et de formuler les principes d'une éducati
80. il n’y ait rien d'infaillible, pas plus que dans le reste do lu médecine , c'est indéniable. L’électricité aussi a été niée
ut psychophysiologique. COURS ET CONFÉRENCES Le sommeil devant la médecine légale. Leçon faite à la Faculté de médecine pa
Le sommeil devant la médecine légale. Leçon faite à la Faculté de médecine par M. le professeur Brouardel I. — Sommeil nat
robablement pratiqué le coit. Six (1) Hofmann, Nouveaux cléments de médecine pratique ; CommenU-ircs du proies* scur Brouardcl
dinb. Med. Journ., 186*2, p. 570. (2) Hofmann, Nouveaux cléments de médecine légale] Commentaires du professeur Brouardel, p.
on des narcotiques habituels, ceux qui sont employés journellement en médecine , n'est pas immédiate, mais qu'il se passe une dem
cs d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique delà Faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
héorique et pratique d'hypnotisme thérapeutique pour les étudiants en médecine à l’Université d’Amsterdam. Appelé, deux ans aprè
et eut la bonne fortune d’attacher le docteur Winkler à la faculté de médecine de son université libre, comme professeur de neur
ing Brouwer. Le docteur A. de Jong, attaché d’abord à la faculté de médecine d’Amsterdam en qualité de privaat-docenl en psych
taphysique » qui lui a servi de thèse inaugurale pour son doctorat en médecine (Septembre 1898). Dans une publication récente
aque dédicatoire figurent les noms des trois membres de la faculté de médecine et de droit de l’université de Nancy : H. Beaun
ndes dans les analyses. COURS ET CONFÉRENCES Le sommeil devant la médecine légale. Leçon faite à la Faculté de médecine pa
Le sommeil devant la médecine légale. Leçon faite à la Faculté de médecine par M. le professeur Brouaiidel (suite) III.
atteinte avait été portée à leur réputation. (1) Vibort, Précis de médecine légale, 1S0G, p. 41 G. (2) Hofmann, Nouveaux él
e médecine légale, 1S0G, p. 41 G. (2) Hofmann, Nouveaux éléments de médecine légale ; Commentaires du professeur BrouardeJ, is
e de police nous commit tous deux 'MM. Coste, directeur de l’Ecole de médecine de Marseille, et Broquier, chirurgien de l’hôtcl-
citée par la Ca^eltJ des hùpitauv, 1SS5, n* ICC, p. 424. démie de médecine au nom d'une commission composée de Double, Ma-ge
œurs. Paris, 7* édit., 1878. p. UU. (3) Urouardcl, L'exercice de la médecine et le charlatanisme, 1898, p. 385. tion et sa
id ., J805, t.ll, p. 3G5). (2) Math. Duval, Nouveau dictionnaire de médecine et de chirurgie pratiques, art. Hypnotisme, t. XV
cs d’aliénés, y complète son cours à î'Ecole pratique delà Faculté de médecine (semestre d’été) par des conférences sur les appl
our pius de détails: D' Félix ReOXAült, Les Schémas en psychologie. — Médecine moderne, août 1S97, p. 50i. 2®L’extase est ob
as dans la discussion de savoir si l’hypnotisme est une branche de la médecine et s’il y a ou non des remèdes hypnotiques à pres
juste titre, revendiqué comme un maître par les professionnels de la médecine psychologique. Cela ne manquera peut-être pas d’é
raison tout à l'heure de proclamer M. Renouvier Pun des maîtres de la médecine psychologique. En somme, dès 1850, il a, à l’ex
apeutique psychique dans tous les cas de vertige et principalement en médecine mentale. De plus, il a exposé très explicitement
vre de M. Jules Sour.v(l). T/Académie des sciences et l'Académie de médecine viennent d’accorder simultanément une de leurs pl
erveux central. Le 18 décembre, à la séance annuelle de l’Académie de médecine , M. Jules Soury a également été proclamé, pour le
. ParM. le Professeur Derove. La séance annuelle de l’Académie de Médecine a eu lieu le mardi 18 décembre dernier. Le profes
e sujet ne peut nous laisser indifférents, car le but essentiel de la médecine est la guérison des malades, sans distinction des
s d’aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine (semestre d’été) par des conférences sur les appl
Dumontpallier, Mesnet, Luvs, Albert liobin, membres de ¡’Académie de médecine , Charles Richet, professeur à la Faculté de médec
de ¡’Académie de médecine, Charles Richet, professeur à la Faculté de médecine , M. Monod, directeur de l'hygiène publique au Min
.... Bordeaux, 1S95. — Les psychoses post-opératoires., (Société de médecine de Bordeaux, juillet, octobre, 1898, et 9me congr
re onirique consécutij aux brûlures graves. (Congrès international de médecine de 1900, section de psychiatrie). — Sur l'origi
sous bénéfice d’inventaire cer- (1) Revue de ¡'Hypnotisme, 1806, et Médecine moderne, 18%, p. 31. (2) Dr Boissarie : Les Gra
graves du côté de l’appareil de la. (1) Voir pour plus de détails: Médecine Moderne, 1" décembre 1893, p. I IGOet Hypnotisme,
nous relevons celle de-M. le Dr Paul Richer, membre de l’Académie de médecine . Aucun n’avait plus de titre à cette distinction.
s Coureurs, qu'il montrait récemment à ses collègues de l’Académie de Médecine , sans compter ses statuettes de malades : myxœdèm
cs d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique delà Faculté de médecine (semestre d’été) par des conférences sur les appl
Timée. (Edition Cousin, XII, p. 241.) (2) Aétios : Sei\e livres de médecine , 4“* partie, Ch. 5S. ü ou mouvement irrégul
lenô IiKi‘K.2 : Sur un cas d’hystérie à forme particulière. (Revue de médecine , août suffisant pour rétablir les contacts, p
) René Lépine : Sur un cas d'hystérie à forme particulière. (Revue de médecine , 1891, p. 713.) (5) Mathias Duval : Hypothèses
ents affectifs. Le professeur Brouardel, traitant dans son cours de médecine légale, en 1887, la question des suggestions crim
son esprit et il guérira. JURISPRUDENCE L’exercice illégal de la médecine par les magnétiseurs Les magnétiseurs tombent-i
tombent-ils sous l’appiication de la loi relative à l’exercice de la médecine ? Voilà la question que la chambre criminelle de
qui avait acquitté un magnétiseur poursuivi pour exercice illégal de médecine . M. le conseiller rapporteur Dupré s’est pronon
plôme de médecin. Le législateur, en exigeant pour l’exercice de la médecine ce diplôme, n’a pas affranchi de cette obligation
s’approprie les motifs, que X..., non investi du titre de docteur en médecine et ne soffrant à sa clientèle que comme magnétise
ux termes de l’article 16 de la loi susvisée, «exerce illégalement la médecine toute personne qui, non munie du diplôme de docte
nt la médecine toute personne qui, non munie du diplôme de docteur en médecine , prend part habituellement ou par une direction s
et que, par suite, « les articles punissant l’exercice illégal de la médecine ne pourraient leur être appliques que le jour où
e intense avec conservation de la mémoire musicale. A la société de médecine interne de Berlin, M. Leyden a présenté un malade
cs d’aliénés, y complète son cours à l’Ecole pratique delà Faculté de médecine (semestre d’été) par des conférences sur les appl
à la lumière oxydrique.) Cours a l’Ecole pratique de la Faculté de Médecine . — M. le Dr Bérillon, médecin-inspecteur des asil
le lundi 22 avril, à cinq heures, à l'Ecole pratique de la Faculté de Médecine (amphithéâtre Cruveilbier), un cours libre sur :
eurs chez une enfant de dix ans, par M. AUSSET, Société centrale de médecine du département du Nord, 23 mars 1000. II y a un
s oculaires de l'hystérie,parM. Grand-Cl¿ment, Société nationale de médecine dé Lyon, il juin I ‘.*1*0. Les manifestations l
s d’aliénés, y complète son cours à l'EcoIe pratique de la Faculté de médecine (semestre d’été) par des conférences sur les appl
tut psycho-physiologique. Cours a l'Ecole pratique de la Faculté de Médecine . — M. le Dr Bérillon, médecin-inspecteur des asil
le lundi 22 avril, à cinq heures, à l’Ecole pratique de la Faculté de Médecine (amphithéâtre Cruveilhier), un cours libre sur :
s personnes non diplômées constitue le délit d’exercice illégal de la médecine . Il remercie en outre M. le Dr Félix Regnault de
avec quelqu’un qui était venu me voir pour un tou» autre sujet que la médecine , mais qui avait mis habilement la conversation su
trésorier, 1, place Jussieu. Le professeur Joffroy à l’Académie de médecine Par 65 voix sur 7i votants, M. le professeur Jo
x sur 7i votants, M. le professeur Joffroy a été élu à l’Aca-démic de médecine . De taille moyenne, portant la moustache et la
cs d’aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique delà Faculté de médecine semestre d’été) par des conférences sur les appli
tut psycho-physiologique. Cours a l’Ecole pratique de la Faculté de Médecine . — M. le Dr Bérillon, médecin-inspecteur des asil
le lundi 22 avril, à cinq heures, à l’Ecole pratique de la Faculté de Médecine (amphithéâtre Cruveilbier), un cours libre sur :
ches d’une science qui est le couronnement et comme la sanction de la médecine , c’est-à-dire la thérapeutique considérée dans so
a psychologie, par M. Willis 13. Parks, (Atlanta. Journal-Record of médecine ), octobre 1900. M. Willis B. Parks distingue de
oit sont admises à concourir au même titre que celles des Facultés de médecine . Les thèses devront être adressées avant le 31
i forment par leur groupement un chapitre des plus intéressants de la médecine d’imagination. Le professeur Déjerine M. le D
M. le Dr Déjerine, qui vient d’être nommé professeur d’histoire de la médecine à la Faculté de Paris, est né le 3 août 1849, à G
moelle à cette altération. Ce travail fut couronné par la Faculté de Médecine . Ce n’était pas d'ailleurs l'œuvre inaugurale du
nommé en 1832. médecin des hôpitaux, devenait agrégé de la Faculté de médecine en 1886, avec une thèse qui fit époque sur YH
ant qu’il ne limite pas longtemps son enseignement à l’histoire de la médecine , et qu’il occupe bientôt une des chaires de clini
ficile (Un), p. 61. Centaure (Un), p. 63. Charcot à l'Académie de médecine (L'é loge de), par Debove, p. 217. Chorée (Sur
. 32, 224. Cours du Dr Bérillon à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine , p. 288, 320, 352. Cours pratique d'Hypnotisme
61. Ethéromanie en Allemagne (L'), p. 286. Exercice illégal de la médecine par les magnétiseurs (L’), p. 279. Exposition
chitsch, p. 314. Hypnotisme (L') devant la loi sur l’exercice de la médecine , par Henri Lemesle, p. 47. par Th. Julliot....
. Surdi-mutité (La), par Saint-Hilaire, p. 317. Sommeil devant la médecine légale (Le), par Brouardel, p. 123, 149. Somnam
6 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
ion hypnotique. Par M. le Dr Dumontpallier, membre do l'Académie do Médecine . Mlle C. V..., âgée de 14 ans, a l'extérieur d'
s nombreuse nous avons remarqué : MM. Magnan, membre de l'Académie de Médecine , Auguste Voisin, président de la Société médico-p
préfet de la Seine, Raymond et Jeoffroy, professeurs à la faculté de médecine , G. Ballet, professeur agrégé à la faculté, Chris
rs éloquents ont été prononcés par MM. Magnan au nom de l'Académie de Médecine , Auguste Voisin et Ritti, au nom de la Société mé
nous avons eu l'occasion d'observer, se trouve celle d'un étudiant en médecine de troisième année, atteint d'héma-tophobie, et q
es séances de suggestion. Les phobies observées chez les étudiants en médecine , ont heureusement un caractère transitoire, comme
mmettre une erreur. Il a vendu sa pharmacie et commencé ses études de médecine . N'est-ce pas, pour un prédisposé à la neurasthén
des membres de la Société. M. Dumontpallier, membre de l'Académie de médecine , a ouvert la série des toasts en montrant les pro
par l'union de ceux qui croient à l'union de la psychologie et de la médecine . Il a terminé son discours, très applaudi, en buv
honneurs que nous lui rendons, par les progrès qu'il a imprimés à la médecine mentale. Depuis sa nomination de médecin de la
autant plus utile à l'enseignement, qu'il est proche de la Faculté de médecine . Il y créa aussi, après Baillarger, un enseigne
seignement populaire supérieur. — M. Retterer, agrégé à la Faculté de médecine , est chargé du cours de biologie à l'Hôtel-de-Vil
tatue de Claude Bernard. — L'ouverture du premier Congrès français de médecine interne à Lyon coïncidera avec l'inauguration de
urtout de la psychologie et de la physiologie du cerveau, employée en médecine et en beaucoup d'autres cas. La doctrine de la su
ce que vous voyez. » « Mlle Ella n'ayant jamais ouvert un livre de médecine ignorait le langage médical. Elle expliqua cepend
le que dans la presse politique. Après avoir relaté ces faits dans la Médecine moderne, notre distingué confrère, le Dr Félix Re
du dans les environs qu'elle était ressuscitée. Congrès français de médecine interne (1re session, Lyon, 1894). — M. le profes
ion. » Dr Treille (Alcide). — « Le onzième Congrès International de médecine ». Brochure in-8». Dr W. Ireland. — « On affect
es membres de la commission. Nominations. — M. G. Dumas, docteur en médecine , agrégé de philosophie, est nommé professeur de p
sujet : Auguste Gautier : Recherches historiques sur l'exercice delà médecine dans les Temples chez les peuples de l'antiquité.
re. Revue archéologique. 3- série, T. V, 1885, p. 265.Vercontre. — La médecine sacerdotale dans l'antiquité grecque. Revue Arché
inauguré son cours de clinique des maladies nerveuses à la Faculté de médecine de Paris, devant un auditoire aussi brillant que
lté devint vacante par suite de l'accession de Vulpian à la chaire de médecine expérimentale, Charcot fut naturellement choisi p
aient au plus haut degré tous ceux qui s'intéressent aux choses de la médecine , de la physiologie, de la psychologie — où le mon
t presque sans manquer une séance. Il fut élu membre de l'Académie de Médecine en 1872 et membre de l'Institut en 1883. La liste
stes les plus compétents de notre époque, de Strümpell. Son rôle en médecine a été à la fois celui d'un homme d'avant-garde, d
gogiques de l'hypnotisme. M. le Dr !.. \ -. membre de l'Académie de médecine , a fait don à l'Institut psycho-physiologique d'i
, Faculté de Paris. — M. le Dr Luys vient d'offrir à la Faculté de médecine , pour le musée Dupuytren, une collection de cerve
usqu'aux lésions les plus caractéristiques de la folie. Académie de médecine . — Aux termes de son testament, M. Herpin, en son
amentaires de faire les démarches nécessaires auprès de l'Académie de médecine pour la fondation d'un prix annuel de 3,000 fr.,
,000 fr. de rente 3 0/0 française que M. Herpin lègue à l'Académie de médecine . OUVRAGES REÇUS A LA REVUE D' G. Apostoli. —
is, 1894. M. Cottignies. — La législation des Aliénés au Congrès de médecine mentale. Brochure in-4% 32 pages. Millot frère et
E. 9e année. — n° 7. Janvier 1895. LE CONCOURS DE L'AGRÉGATION EN MÉDECINE Le concours de l'agrégation devant le Congrès d
cours par l'institution des privat-docent. — Les grands progrès de la médecine sont dus à l'enseignement médical libre. — Opinio
août 1894, la question du recrutement des professeurs des Facultés de médecine avait été exposée dans un rapport rédigé par MM.
t Lortet. Lorsque ce rapport fut mis en discussion dans la section de médecine , le rapporteur, M. Lépine, avec un grand libérali
s scandales qui font le tour de la presse, etc., etc. La section de médecine avait commencé par admettre un principe nouveau,
t libre a toujours occupé le premier rang dans tous les progrès de la médecine française. L'enseignement médical officiel n'a ja
n'avait jamais abordé aucun concours. Notre grand Pasteur, à qui la médecine contemporaine doit ses méthodes les plus fructueu
, voudra se spécialiser dans l'étude d'une branche particulière de la médecine , ne pourra jamais prétendre à la compétence de la
ransformer son cerveau en dictionnaire. Des branches entières de la médecine , et non des moins importantes, doivent tous leurs
e plus admirable professeur d'accouchements qui ait jamais existé. En médecine et en thérapeutique générales, Bretonneau, Rayer,
e un praticien. C'est également à cette institution surannée que la médecine doit d'avoir perdu la légitime influence qu'elle
Il a cherché et créé une méthode nouvelle, et il a fait progresser la médecine . Dans les hôpitaux de Paris, MM. Mesnet et Dumo
galement le grand mérite d'entretenir la tradition des rapports de la médecine avec la psychologie, l'un par ses recherches su
y groupaient généralement fort peu d'élèves. Mais, dès que l'Ecole de médecine constatait, par le succès croissant d'un professe
à celles des professeurs titulaires. La façon d'agir de la Faculté de médecine n'indique-t-elle pas, d'une façon très frappante,
ifficulté de répondre à cette série d'arguments mettait la section de médecine du congrès de l'Enseignement supérieur dans l'obl
congrès. Hâtons-nous de le reconnaître, presque tous les journaux de médecine ont approuvé, sans réserve, la suppression du con
que, de l'aveu même d'un certain nombre de professeurs de Facultés de médecine , l'agrégation a fait son temps. Elle doit donc fa
seignement et sur la production de travaux scientifiques. » Dans la Médecine moderne, M. le Dr Félix Iîegnault sonnait ainsi
irmer ainsi leur opinion. Ils ont bien mérit'é de la science et de la médecine françaises ! » En allant au congrès de l'Enseig
s que le régime du concours, en ce qui con-cerne l'enseignement de la médecine , n'avait satisfait personne. Ceux que favorise le
te suivante : « A la suite d'un concours d'agrégation à la Faculté de médecine , resté célèbre par une illégalité cyniquement com
nseignant. Tous les trois ans, les divers concours de l'agrégation en médecine ouvrent à dix ou onze candidats, qui ne sont pas
Notre proposition tendant à supprimer le concours de l'agrégation en médecine a été votée par le congrès de l'Enseignement supé
e de l'Hypnotisme, 1893. Décembre. (3) Introduction a l'Etude de la médecine expérimentale. (4) Trente-neuvième édition. 187
bien autrement redoutables que les poisons utilisés aujourd'hui en médecine . Ces poisons, les personnes autorisées à pratique
et empêchant les psychologues présents et futurs, même étrangers à la médecine , de se livrer à leurs travaux. Les professeurs De
service à l'humanité et à éclairer la science. _ Aster e Denis. La médecine des Primitifs d'Australie M. Elie Reclus, avec
dans son nouveau livre, les Primitifs d'Australie, la manière dont la médecine est exercée chez cette race. « Les nègres, dit-
a population souffrent de quelque affection hépatique. « En fait de médecine , ils déclarent la graisse humaine le plus efficac
rs aura lieu dans la salle de la consultation externe). Académie dk Médecine . — Dans sa dernière séance, l'académie a élu M. l
l'académie a élu M. le Dr Motet, secrétaire général de la Société de médecine légale, membre titulaire dans la section de médec
de la Société de médecine légale, membre titulaire dans la section de médecine légale. Nous adressons à notre eminent confrère n
essons à notre eminent confrère nos vives félicitations. Congrès de Médecine mentale et nervedse. — Le sixième Congrès annuel
ogie mentale : les psychoses de la vieillesse ; rapporteur, M. Ritti. Médecine légale: les impulsions épileptiques au point de v
'il est, un étudiant est à peine assis sur les bancs de la faculté de médecine , qu'il est au fait de la théorie ; il les a à pei
s démentie. Ces résultats sont assurément très encourageants, et la médecine et la science ne seront plus désormais impuissant
Superstitions ardennaises. — Le Dr Jaillot, qui a longtemps exercé la médecine à Apremont, sur les confins de la Meuse et des Ar
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . Les prochaines séances auront donc lieu les lu
etit liseur de pensées. Le Dr Quintard a communiqué à la Société de médecine d'Angers l'histoire d'un petit prodige de 6 ans q
un certain nombre de concours français. Bibliothèque circulante de médecine . M. le Dr Marcel Baudouin, secrétaire général d
le premier en France, l'idée de fonder une Bibliothèque circulante de Médecine , organisée à l'instar des Circulating Library de
ont vient d'être atteint le Dr Demosthène, professeur à la Faculté de médecine de Buca- rest : « La personne qui « honore » le
ts corporels. Le Dr Curier, dans un travail lu devant l'Académie de médecine de New-York, demande l'application de peines corp
inuera les lundis et vendredis suivants à la même heure. Faculté de médecine de Paris. — Clinique de pathologie mentale, M. Jo
nerveux, M. Raymond, mardi et vendredi, à 10 heures (Salpétrière). — Médecine légale, M. Brouardel, lundi et vendredi, à 4 heur
truction a été ouverte. L'hypnotisme en Russie. — Le département de médecine du ministère de l'intérieur ayant à décider si un
es de la moelle épinière » et un autre sur « l'emploi du phosphore en médecine . » .11 a publié depuis : a Delà myélite aiguë»,
ces travaux lui ouvraient le 15 juin 1880 les portes de l'Académie de médecine , et il était promu officier de la Légion d'honneu
, de vous faire un peu de morale. Je suppose que tous vous étudiez la médecine avec ardeur, je suis persuadé que votre repos est
sons miraculeuses racontées par M. Lasserre. Comme il s'agissait de médecine , n'était-il pas naturel que les médecins, plus an
E MÉDICALE La pratique du magnétisme et la loi sur l'exercice de la médecine Un arrêt récent de la Cour d'Angers semble indi
magnétisme ne peut être considérée comme constituant l'exercice de la médecine tel qu'il a été défini par la loi du 30 novembre
30 novembre 1892. Cette interprétation a inspiré à un rédacteur de la Médecine moderne des considérations très intéressantes que
s que nous nous faisons un devoir de reproduire. Le rédacteur de la Médecine moderne a d'abord exposé quelle était, sous l'anc
en leur faveur par la cour d'Angers de la loi nouvelle de 1892 sur la médecine légale. L'arrêt de la cour d'Angers proclame qu
me que la loi nouvelle a déterminé ce qu'est l'exercice illégal de la médecine et qu'elle n'a pas attribué ce caractère aux manœ
iences purement « scientifiques et n'entreraient pas dans celui de la médecine proprement « dite, c'est-à-dire ne se serviraient
ne définit « pas les faits qui constituent l'exercice illégale de la médecine , de la « chirurgie, de l'art dentaire et de la pr
ifique; 2° La loi n'a pas défini les faits d'exercice illégal de la médecine pour laisser aux tribunaux le soin d'apprécier;
de guérir la maladie par des procédés magnétiques, c'est faire de la médecine illégale si l'on n'est pas diplômé. Cette thèse
océdés magnétiques ne seraient jamais considérés comme exercice de la médecine ; . 2° La loi de 1892 a défini l'exercice illég
édecins. Est-ce à dire qu'on a laissé la porte grande ouverte à une médecine nouvelle appelée le magnétisme, et qu'on a permis
s'il est vrai que la loi a défini nettement l'exercice illégal de la médecine . Ici, nous partageons absolument l'avis du trib
générale. Que dit la loi dans son article 16? Exerce inégalement la médecine : 1° Toute personne qui, non munie d'un diplôme
l est certain qu'il y a là une définition de l'exercice illégal de la médecine ; mais le tribunal a raison de dire que la loi n'a
s hommes, un coup terrible porté à l'exercice déjà si difficile de la médecine dans les campagnes ; le corps médical en souffrir
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . Les prochaines séances auront donc lieu les lu
ut une exclamation générale d'etonnement. La victime du lupus, que la médecine avait été impuissante à guérir, était devenue de
té de Prague, connu par divers travaux sur la sensation. Faculté de médecine de rome. — Est nommé privat-docent de psychiatrie
e commission spéciale pour l'organisation du Congrès international de médecine qui aura lieu dans cette ville en 1896. Le présid
dans cette ville en 1896. Le président est le doyen de la Faculté de médecine de Moscou, J.-Th. Klein. Cette commission fait pa
bres duquel se trouvent presque tous les professeurs de la Faculté de médecine de Moscou. Congrès des Sociétés Savantes. — La
avancement des sciences, à Bordeaux, le 4 août. — Deuxième Congrès de médecine interne, â Bordeaux, le 10 août (M. Pitres, prési
ecin hors ligne a rapporté autrefois, dans une brochure concernant la médecine légale du sommeil, pour ne citer que les meurtres
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . Les prochaines séances auront donc lieu les lu
r sa force, mais par sa fréquence. » Le Concours de l'agrégation en médecine Notre éminent collaborateur le professeur Grass
it. On ne tardera sans doute pas à faire de même pour l'agrégation de médecine . On n'a pas oublié que le Congrès de l'enseigneme
on du docteur Bérillon, la suppression du concours de l'agrégation en médecine . Maintenant la parole est au directeur de l'Ensei
es d'irritabilité nerveuse, et que, suivant une expression chère à la médecine contemporaine, les Malgaches sont, par le seul fa
le lundi 29 avril, à cinq heures, à l'Ecole pratique de la faculté de médecine , (amphithéâtre Cruvelhier), un cours libre sur le
es bulletins de la commission d'hygiène de l'enfance de l'Académie de médecine . La Société a reçu un travail de M. le docteur Sc
produit de la manie aiguë et des hallucinations. ENSEIGNEMENT DE LA MÉDECINE Comment on passe sa thèse ! Notre collaborate
M. le docteur Félix Regnault, vient de publier sous ce titre, dans la Médecine moderne, un courageux article qui nous parait mér
on in extenso. On se demande comment les professeurs de la Faculté de Médecine peuvent rester indifférents quand on leur signale
en n'est plus vrai. Vous tous qui pensiez que la thèse de doctorat en médecine n'avait été conservée que parce qu'elle était u
nopole fructueux de fabricants de thèse, pour telle ou telle école de médecine . « On va même plus loin, et certaine revue médi
de courage, un des stigmates de la dégénérescence de notre faculté de médecine . REVUE D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHOTHÉRAPIE Trai
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . La prochaine séance aura lieu le lundi 17 juin
rées à l'étude de l'hypnotisme dans ses rapports avec la pédagogie et médecine légale. Ecoles d'ambulancières et d'ambulancier
r mettre les étudiants en droit un peu au courant des pratiques de la médecine légale, on les fait assister aux nécropsies judic
t que gagner à acquérir ainsi de visu les notions fondamentales de la médecine légale. Il ne serait peut-être pas non plus inuti
Catalepsie. — Diverses manifestations de l'hystérie. — L'hystérie en médecine légale ; 5° Hypnotisme. — Sommeil hypnotique. —
le lundi 29 avril, à cinq heures, à l'Ecole pratique de la faculté de médecine (amphithéâtre Cruvelhier), un cours libre sur les
juin seront consacrées à l'étude des rapports de l'hypnotisme sur la médecine légale. Facultés Etrangères. — M. le Dr Meyer,
est le fondateur du remarquable Musée physiologique de la Faculté de médecine de Paris. Société des Sauveteurs de la Seine. —
rappelle l'importance des travaux de M. Calmeil au point de vue de la médecine philosophique. M. le Président met aux voix la
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . La séance annuelle et le banquet de la Société
l'hypnotisme au traitement des maladies mentales. Biographie. — La Médecine moderne du 8 Juin consacre un article biographiqu
article biographique à M. le Dr Dumontpalier, membre de l'académie de médecine . Elle rappelle qu'il dirige les travaux de la Soc
oratoire de pathologie et de thérapeutique générales de la Faculté de médecine de Paris. Etudiants étrangers. — Dans la semain
la semaine d'hiver 1894-1895, on comptait à Vienne 1.881 étudiants en médecine ; à Berlin, 1.220; à Munich, 1.168; à Wurzburg, 77
par Bérillon, 306. Adolescent (le sommeil de 1'). 158. Agrégation en médecine (le concours de 1'), 193, 317. Alcoolisme chron
té d'Hypno- logie et de psychologie, 58. Bibliothèque circulante de médecine , 251. Charcot (le professeur), par Debove, 272.
es de la philosophie, par Julliot, 119. Concours de l'agrégation en médecine (le), par Bérillon, 193, 317. Congrès internati
par L. Berteaux, 210. Mugnétisme et la loi sur l'exercice de la médecine (la pratique du), 279. Marmotte (le sommeil hiver
6. Meurtre sur un médecin par un épilep- tique (tentative de), 285. Médecine des Primitifs d'Australie (la), 222. Médianiq
7 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
PHYSIOLOGIQUE Paraissant tous les mois PSYCHOLOGIE - PÉDAGOGIE - MÉDECINE LÉGAL MALADIES MENTALES & NERVEUSES Rédacte
, professeur à l'Ecole d'Anthropologie: LUYS. membre de l'Académie de médecine , médecin de la Charité; Max DESSOIR (de Berlin) ;
isme qui, depuis six mois, occupe toutes les séances de l'Académie de médecine de Belgique, ne peut manquer d'avoir une grande i
s les plus concluantes, l'honorable M. Roger, membre de l'Académie de médecine de Paris, pouvait dire, sans soulever trop de pro
édagogie expérimentales, à la physiologie, à la thérapeutique et à la médecine légale. Nous n'admettrons jamais que les expéri
ar l'Association Française pour l'avancement des Sciences (section de médecine publique et d'hygiène professionnelle). Dans l'un
e puis accepter les rigueurs. (1) Discours prononcé à l'Académie de médecine de Belgique. Ainsi, par exemple, si j'ai bien
. En cela, je ne fais que suivre des traditions non interrompues en médecine ; je. ne fais que répondre au sentiment que nous
e publique est attribuée, pour une part, aux progrès accumulés par la médecine contemporaine. Sans doute, les progrès des scienc
core parvenu, au moment où le fait était publié par le Journal de médecine Je Bordeaux, par l' Union médicale de Paris du 2
x qui. sans avoir la sollicitude, la prudence et les ressources de la médecine , assument une si lourde responsabilité et provoqu
t, par la force des choses, à notre profession médicale. C'est à la médecine , en effet, qu'il appartient de guérir l'aliénatio
dolescents et même des enfants. C'est pourquoi l'Académie Royale de médecine de Belgique fera une œuvre sage et salutaire, à m
'orateur rappelle d'abord qu'une commission, nommée par l'Académie de médecine de Paris, a déclaré inexacte la prétendue action
nstitue, à n'en pas douter, la contravention d'exercice illégal de la médecine , à moins que le magnétiseur ne soit pourvu d'un d
aucun diplôme; » Qu'elle est donc coupable d'exercice illégal de la médecine ; » Attendu qu'il n'en est pas de même au regard d
» Relaxe également David de la contravention d'exercice illégal de la médecine ; » Retient cette contravention au regard de la
n ce qui concerne l'application de la loi relative à l'exercice de la médecine . Mais nous avons le droit de nous étonner en ente
eule. » Dr A. Forel., » Professeur de psychiatrie à la Faculté de médecine de Zurich. » BIBLIOGRAPHIE Bibliographie de l
vient la biblographie proprement dite, divisée en : Généralités; II. Médecine ; III. Magnétisme et Hypnotisme: ce dernier chapit
ansfert; IV. Physiologie ; V. Psychologie et Pédagogie ; VI. Droit et médecine légale ; VII. Action à distance (divisé en : Acti
périodiques. Le n° I (Généralités). comprend 101 ouvrages ; » Il ( Médecine ), » 199 » ». I (Magnétisme), 36 » » IV (Physi
otisme. Cet enseignement est réservé aux médecins et aux étudiants en médecine . Société de psychologie. — Dans sa séance du lu
et du somnambulisme, dans leurs rapports avec la jurisprudence et la médecine légale. L'ouvrage paraîtra prochainement chez M.
endu qu'on ne l'avait supposé jusqu'à ce jour. . En second lieu, la médecine légale peut trouver des ressources nouvelles dans
dater de l5 juillet 1888, nul ne pourra pratiquer dans la Régence la médecine , la chirurgie et les accouchements, s'il n'est po
s heures de l'après-midi, dans le grand amphithéâtre de la Faculté de médecine , sous la présidence de M. Chauveau, assisté de MM
on, 1887. De l'hypnotisme, discours prononcé à l'Académie royale de médecine par le Dr LEFEBEVRE. membre de l'Académie. — Brux
CE Ce qu; nous avions prévu l'année dernière, lorsque l'Académie de médecine nommait une commission chargée de vérifier les ex
s et mentales de toute espèce et de toute forme, contre lesquelles la médecine épuise inutilement ses ressources, n'ont pas d'au
tre que le docteur Fiiz Gibbon, médecin royal et agrégé au collège de médecine de Bordeaux, écrivait, le 22 mat i;85. au marquis
aque côté. Une commission, nommée en février 1820 par l'Académie de médecine pour étudier les phénomènes du magnétisme, publia
ules donnant des consultations médicales, pour exercice illégal de la médecine , il n'y a pas Heu de leur appliquer nécessairemen
plaide devant le tribunal de Blois. SOCIÉTÉS SAVANTES ACADÉMIE DE MÉDECINE Séance du 7 août. — Présidence de M. Mérakd.
dresse à son honorabilité ou à sa bonne foi. ? Reste la question de médecine légale? Ici il laisse la parole a M. Brouardel. M
té émus. J'ai demandé une discussion approfondie. car. cd fait de médecine légale, il faut être d'une prudence extrême. J'in
et en expérience, qu'à l'action réelle de» médicaments. ACADÉMIE DE MÉDECINE DE BELGIQUE Séance du 3o juin. — Présidence de
nt confrère le dr L.-H. Petit, bibliothécaire adjoint à la Faculté de médecine , qui vient d'organiser avec un si légitime succés
italiens qui ont soigné l'empereur du Brésil à Turin. Etudiantes en médecine en Suisse. — En Suisse, dans les quatre Facultes
antes en médecine en Suisse. — En Suisse, dans les quatre Facultes de médecine suisses qui admettent les femmes comme élèves, on
isses). II y a donc actuellement en Suisse 102 femmes qui étudient la médecine . (Rev. mèd. de l'Est ) OUVRAGES REÇUS A LA REVU
é d'hygiène sociale, par le Dr Jules Rochard, membre de l'Académie de médecine . — Lecrosnier et Babé, un fort vol. in-8° de 700
XEDECISB DE ROCHEFO»r Parmi les observations faites à l'Académie de médecine et relatives à l'action à distance des médicament
travail forme la première partie du discour» prononcé i l'Académie de médecine par M. le Dr Crocq, pendant la discuwioa sur l'hy
nt de vue que récemment encore le docteur Masoin, soin, professeur de médecine mentale à l'Université catholique de Louvain, a t
cette question et a demandé, dans un mémoire présenté à l'Académie de médecine de Bruxelles, que l'usage de l'hypnotisme, comme
ducation? CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Les femmes et l'étude de la médecine . A l'assemblée des naturalistes et médecins all
dans une séance intéressante, la question de savoir si l'étude de la médecine et l'exercice de cet art pouvaient être permis au
ontre l'admission officielle des étudiantes aux cours des facultés at médecine . Il ne les tolère qu'à titre d'exception. Il prét
prétend que cette science doit rester aux .i. DiLAtuuvt, Journal de médecine mentale. T. II, p. 8, i86a. Paris. mains des
s les dons de l'esprit ont été sa propriété. IL Waideyer avoue que la médecine a été aussi pendant longtemps l'apanagedes femmes
d'études sérieuses et de brillants examens, le droit de professer la médecine . Il cite avec éloges Louise Bourgeois, Marguerite
ien inventé, pas plus en obstétrique que dans d'autres branches de la médecine , et que les études féminines ne peuvent qu'entrav
et que les études féminines ne peuvent qu'entraver les progrès de la médecine . C'est même au nom de l'humanité tout entière qu'
venue à chasser de son sein les femmes courageuses qui se vouent à la médecine , dussent-elles ne rien découvrir de nouveau, alor
aissance, et pour les douleurs dame, conséquence; de la maternité, la médecine ne trouvera point de remède. » « — Et enfin vou
s la santé et dans la maladie.) dauchez : Du rôle de l'imagination en médecine . Journ. des sciences méd. de Lille. t. IV. p. 8
. des scien-ces méd. de Lille, t. IV, p. 201-217. 1882. ducloux: La médecine d'imagination, les maladies imaginaires et la thé
ude à l'hypnotisme et aux suggestions à l'état de veille- (Arch. de médecine militaire, juin 1888.) trujillano : Accessos epil
et le somnambu--Usine dans leurs rapports avec la jurisprudence et la médecine , légale. Notre émînent collaborateur avait seul l
aire. C'est pourquoi certaines personnes du régiment, étrangères a la médecine , l'interrogèrent et furent étonnées de voir qu'il
opinion. Plus généralement celle-ci est la (1) Moizabd. Journal de médecine ei de chirurgie, Paris, (al Mono, ta Peur, ?• é
aisonneuvc. 27 fois sur 70 par Boucher et 10 DiLASiM-ve, Journal dt médecine mentale. — Emotion». Scn* c root il. T. 1, p. 203
L HOMŒOPATHIE? Par le D' DESPLATS Professeur à la Faculté libre de médecine de Lille Il paraîtra peut-être présomptueux à q
x-là seuls peuvent parler de l'homccopathie qui n'entendent rien à la médecine , il faut bien reconnaître qu'un professeur, dont
re de la doctrine homœopathique. Il naquit eu Saxe en 1755. étudia la médecine à Leipzig et fut reçu docteur a Erlangen en 1779.
elle avait les exemples sous les veux. u NOUVELLES Faculté de médecine de Paris. — M.le professeur Charcot a commencé le
lefebvre : De l'hypnotisme. Discours prononcé à l'Académie royale de médecine de Belique-.- le 28 avril 1888. Bruxelles, 1888.
n et du somnambulisme dans leurs rapports avec la jurisprudence et la médecine légale. 1 vol. de 760 pages. O. Doin, Paris (7
si probants, n'est-on pos stupéfoit d'entendre dire, a l'Académie de médecine de Belgique, que de nos jours l'hypnotisme passer
t pas les connaissances voulues. CONGRÈS DE LA SOCIÉTÉ ITALIENNE DE MÉDECINE INTERNE Tenu à Rome du ao bu 34 octobre iSSS. H
a suggestion dans la production de tons ces phénomènes. ACADÉMIE DE MÉDECINE DE BELGIQUE. Suite de la discussion du npport d
MŒOPATHIE ? Par M. le D' DESPLATS Professeur à la Faculté" libre de médecine de Lille La question des doses a, pour le publi
a surprise du monde savant lorsque Davaine communiqua à l'Académie de médecine ses expériences sur l'action du virus septique. U
ce. — Cours. — M. le professeur Brown-Séquard commençera. le cours de médecine le mardi 4 décembre, a deux heures et demie, sall
ric. A maintes reprises, nous avons entendu répéter que l'Académie de médecine était résolue à rejeter impitoyablement tout ce q
ucun fondement. Tout d'abord, à la séance annuelle de l'Académie de médecine . M. Proust, qui remplit depuis six ans les (oncti
e les enregistrer. Au mois d'avril i883. la Section d'hygiène c: de médecine publique de l'Association française pour l'avance
mme mojw| curât il fussent soumises aux lois qui régissent \ .c de h\ médecine . » La même proposition vient d'être reprise dev
e. » La même proposition vient d'être reprise devant la Société de] médecine légale de Paris par MM. Brouardel et Gilles de la
chard, Brown-Séquard, Charcot. et aux autres membres de la Section de médecine de l'Académie des sciences, l'expression de notre
rUftltR A LA PACULTi Dt MÉDECINE Secrétaire annuel de l'Académie de Médecine de Paris Une certaine partie de mon auditoire n
s pour le psychologue, de l'exaltation politique ou religieuse? Et en médecine , la suggestion ne tient-elle pas une grande place
es au malade et encore plus préjudiciables au médecin. société de médecine légale Séance du ? décembre. — Présidence de M.
r de soumettre à la Société la proposition suivante : • La Société de médecine légale émet le vœu que les séances publiques d'hy
lundi 24 décembre iSSS, l'Académie des sciences, dans le concours de médecine et chirurgie {fondation Moniyon), a accordé les r
nimât. Le dé'it de couvrage en Angleterre. ï.e Conseil général de médecine , qui surveille l'enseignement médical dans le Roy
nement médical dans le Royaume-1'ni et accorde le permis d'exercer la médecine après obtention des diplômes nécessaires, vient d
ec une personne non pourvue de diplôme afin qu'elle puisse exercer la médecine . Cette contravention est ires commune. ma:s ce n'
être comparés a ceux de l'abus de l'alcool. Exercice illégal de la médecine . Dans le cours qu'il professe s: magistralement
ine. Dans le cours qu'il professe s: magistralement a la Faculté de médecine , M. Brouardc!. traitant la question de l'exercice
ecine, M. Brouardc!. traitant la question de l'exercice illégal de la médecine , ne pouvait manquer de parler des magnétiseurs. V
ets or. a vu qu'on pouvait être poursuivi pour exercicï illégal de la médecine , on s'est attaché un docteur ou un officier de sa
de santé. On les condamne comme complices parce au ils ont exercé 1? médecine tout en faisant complitemtut abstraction de leur
haux de France. > Ceux qui s'adonnent n l'exercice illégal de la médecine pourraient croire qu il leur suffît, pour échappe
esseur de clinique des maladie» mentale* ci nerveuses à la Faculté de médecine de Montpellier. Faccltk de «koïcine dk Nascr. —
et da somnambulisme daos leurs rappoits avec la JBrisprudcncc. et la médecine légale. Paris. 1888. ln-16. 760 p. IXt*lx: 1! :
ritici. Torino, 1888. 16 p. Roeczniowski : [L'hypnostisme dans la médecine .] Kron. t. IX, p. 201, 261, 335. 413. Warspaun.
L'École du service de santé militaire de Strasbourg et la Faculté de médecine de Strasbourg de 1856 à 187o. Discours prononcé à
856 à 187o. Discours prononcé à la séance de rentrée de la Faculté de médecine du Nancy, le 31 octobre 1888. Brochure in-8°, 22
cipal de la Marine / Nous avons inséré dans notre livre Éléments de médecine suggestive paru l'année dernière, l'observation d
ue, chimie, histoire naturelle' ; 3" Faculté de droit ; 4° Faculté de médecine . Dans l'ancien régime. Vannée scolaire n'était
était de quatre ans dans toutes les Facultés, excepté à la Faculté de médecine , où cette durée était de cinq ans. Le nouveau r
aucune Faculté de l'Empire. L'enseignement complet à la Faculté de médecine embrassant dix semestres, l'élève en possession d
ie deux diplômes de doctorat: i" le diplôme de médecin ou licencié en médecine , et 2» le diplôme de docteur en médecine, ou mieu
me de médecin ou licencié en médecine, et 2» le diplôme de docteur en médecine , ou mieux de docteur ès sciences médicales. Il y
t auparavant par le fait de son diplôme de médecin ou licencié en médecine ; mais le litre de docteur ès sciences médicales
de ceux qui aspirent à une charge dans 1 enseignement officiel de la médecine : professeurs, assistants, médecins des hôpitaux,
CE PAR LA SUGGESTION Par 1« D' P. BU ROT, professeur à l'Ecole de médecine de Rochefort Mlle E..., 19 ans, chlorotique, a
les jeudis suivants à la même heure. MM. les médecins et étudiants en médecine seront admis à ce cours sur la présentation de le
amené aux connaissances spéciales dont il a tiré parti; il étudia la médecine et se fit recevoir docteur. En agissant ainsi,
fois d'énergie et de dignité. Il eût pu se livrer à l'exercice de la médecine , comme le font tant d'individus, sans même se don
n dommages-intérêts au General Médical Council (Conseil général de la médecine ), qui avait rayé son nom du Media! Remisier (list
M. Grancher, Lépine, Strauss et Joffroy, prend le titre d'Archives de médecine expérimentale et d~ anatomie pathologique. Ces
Ministère de la guerre qui en fait les frais, parce que la Faculté de médecine de Saint-Pétersbourg, qui porte le nom d'Académie
decine de Saint-Pétersbourg, qui porte le nom d'Académie militaire de médecine , est placée sous la direction de ce ministère et
diffère complètement de l'organisation des cliniques de la Faculté de médecine de Paris. Les hôpitaux-cliniques soni exclusive
s de clinique des maladies mentales et nerveuses dans les Facultés de médecine de Russie sont : MM. Micrnewsky, à Saint-Pétersbo
. a Kiew, et Bcchtercw. a Kazan. Rien qu'il n'y ait pas de Faculté de médecine à l'Université d'Odessa, on a pourtant organisé d
chimie peuvent assister aux cours de première année de la Faculté de médecine et réciproquement, sans être obligés, comme chez
ées scientifiques sont, pour la plupart, communs aux deux Facultés de médecine et de sciences. Mais les laboratoire* des cliniqu
es de ces cliniques, à l'enseignement et aux travaux des étudiant* en médecine . Avant de terminer ces considérations générales
nier, io février, a eu lieu, dans le grand amphithéâtre ex l'Ecole de médecine , l'assemblée générale de l'Association médicale m
ents aient recours à des pratiques qui sont du domaine exclusif de la médecine ? A ce compte, il n'y aurait pas de raison pour qu
être réalisés dans ce nouvel ordre d'idees. NOUVELLES Académie de médecine . — Prix. — L'Académie go médecine pose la questio
d'idees. NOUVELLES Académie de médecine. — Prix. — L'Académie go médecine pose la question suivante pour le prix de l'hygiè
es asiles publics d'aliénés de la Seine : 1» Internes titulaires en médecine : mm. Roubinowitch, Bcchct, Berbez, Rieder. Marie
z, Rieder. Marie. Blin, Bernard et Rave. 2* Internes provisoires en médecine : mm. Gucrin, Vjgouroux, Barazer et Tar-gowla.
e XXI, n« 1-3, p. 333. Paris, 1889. m-rot : De l'auto-sueecstion en médecine légale. Rev. phil.. année XIV, n* i, p. 111. Pari
erme à une comédie jouée avec pleine conscience, et les annales de la médecine mentale attestent partout quel mal immense l'abus
ubmersion mal'aura épilcptique. Opinion d'un savant étranger sur la médecine française. M. It docteur Hart, rédacteur en che
ouverture, pour le second semestre, de cours libres à la Faculté de médecine de Pari»; ils seront professés par MM. Bérillon,
icales, une place vraie, scientifique et définitive : la biologie, la médecine proprement dite en sont devenues tributaires. Ce
du soir, dans l'amphithéâtre n" 3 de l'Ecole pratique delà Faculté de médecine , un cours libre de Pathologie nerveuse sur les Ap
iques d hypnotisme à Genève. Il y a deux mois, l'Académie royale de médecine de Belgique, après une longue discussion, votait
e. Tout récemment {dans sa séance du io décembre itóS), la Société de médecine légale de Paris votait a l'unanimité une proposit
e donner leurs dangereuses représentations. L'émineni professeur de médecine légale de Paris. M. le D'Brouardel, ea appuyant l
ne jumelle, je pouvais suivre les mouvements des doigts. société de médecine de berlin SJaace du 10 avril iSSo. — Présidence
LH BLOT. «vx HLKCI, t TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES Académie de médecine , 85, 87. Académie de médecine de Belgique. 87,
E ANALYTIQUE DES MATIÈRES Académie de médecine, 85, 87. Académie de médecine de Belgique. 87, 88, 176. Acquisitions dans l
Congés d'hypnologie (un), 350. Congrès de la Société italienne de médecine interne. 176. Congres scientifiques en 1889, 94
me nerveux en Russie, par Raymond. 240, 278. Exercice illégal de la médecine , 221. Expérience de la carte magnéstisée. 274. Ex
le Dr Bernheim (sur une), par Delbœuf, 202. Femmes et l'étude de la médecine (les), 124. Folie lypémaniaque, guérison par la
Burot, 337. Massage chez le chien 222. Massage et masseur. 254. Médecine française ,(1a). 318. Médicaments à distance (l
re expérience de suggestion, 192. Société de biologie. 59. Société de médecine légale, 219 Société impériale des médecins de V
8 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
e que M. Roger a dit à ce sujet. La position d’agrégé à la Faculté de Médecine donne à la parole de M. Roger une valeur trop con
tements de cœur, et sur qui l’on a épuisé toutes les ressources de la médecine ; depuis que je le magnétise il va beaucoup mieux
sur ce que j’ai observé que des cas anciens, et rebelles à toutes les médecines , ont cédé par l’usage de mon eau. Je citerai tro
en temps il me vient des malheureux abandonnés ou mal traités par la médecine classique. Je vais vous faire, le plus succinctem
uefois davantage. Les exemples abondent en zoologie, en botanique, en médecine ; votre instruction me dispense d’en citer. Cette
e l’utilité immédiate du magnétisme en l’enseignant comme principe de médecine domestique. Dans la seule ville de la nouvelle
sidérez que pour beaucoup de ceux qui peuvent se faire soigner par la médecine , le magnétisme n’est qu’un amusement révocable; t
3. Il n’a ressenti aucune douleur depuis l’opération. g 2. — CAS DE MÉDECINE . 10 Engorgement glanduleux. Du a3 décembre 18
. 11 n’obtint qu’un soulagement toujours momentané des moyens de la médecine . 11 est affecté depuis cinq semaines d’une doul
athie et le magnétisme, auxquelles sont admis des jeunes étudiants de médecine . C’est dans ces conférences que le Dr Coddé donne
rapports officiels, etc., publié par le gouvernement. g 2. — CAS SE MÉDECINE . (Suite.) 5° Engorgement glanduleux. Du 18
ême la cause de sa singulière maladie. 11 est déplorable de voir la médecine volontairement impuissante dans toutes les affect
er une vérité utile. Les médecins veulent rester étrangers à la vraie médecine jusqu’au jour, peu éloigné, où le magnétisme devi
ais je me borne à m’étonner qu’un homme aussi distingué, docteur en médecine , placé à la tête de l’homéopathie par des trava
es prêtres seuls jouissaient alors du privilège illimité d’exercer la médecine ; ils soumettaient leurs malades à des épreuves qu
. TOME VIII. — RI" 90. —25 MAHS (i De là l’origine probable de la médecine somnam-liulique; il y eut en tout temps des perso
les avantages que l'homme peut retirer de la divination , l’art de la médecine est le plus important; «car, dit-il, les savants
et ceux-ci en répandirent la connaissance : de là est né l’art de la médecine . >» Jamblique (2), après avoir attesté que l
recevait pendant le sommeil dans le temple d’Esculape, ajoute que la médecine ne doit son origine qu’aux songes que nous envoie
tions qui existaient alors dans les temples de Cos. Le prince de la médecine , tout en convenant que le véritable talent du méd
écesseurs; le silence qu’il observe sur les procédés mystérieux de la médecine ne nous est-il pas expliqué par la formule du ser
u Magnétisme, p. 95. (2) Ilippocrut. Opéra. Depuis llippocralc la médecine n’a pas fait un pas ; la médecine empirique seule
rut. Opéra. Depuis llippocralc la médecine n’a pas fait un pas ; la médecine empirique seule a quelquefois rempli cette lacune
la médecine empirique seule a quelquefois rempli cette lacune, que la médecine magnétique est appelée à combler entièrement lors
er avec nous la véritable cause de ces guérisons merveilleuses que la médecine classique ne peut revendiquer. Nous nous attacher
s, qu’elle ne peut manquer d exciter notre intérêt. CHAPITRE Ier. Médecine transplantaloire. On désignait sous le nom de t
ra beaucoup de partisans. Les Allemands, séduits par cette nouvelle médecine , lui accordèrent longtemps toute leur confiance.
es, et des jongleries les plus absurdes. Le charlatanisme exploita la médecine transplan- (1) Philosophie mosa'ique, par Hober
sa'ique, par Hoberl Flud. taloire comme on exploite de nos jours la médecine magnétique. Comment révoquer en doute l'authent
es qui, mieux cultivés, nous eussent offert une moisson abondante. La médecine systématique, semblable aux idoles du jour, ne pe
s en donnerons facilement l’explication lorsque nous traiterons de la Médecine d'imagination. Nous trouvons dans les œuvres de
anglais, rapporte de nombreux exemples de maladies qui cédèrent à la médecine transplantatoire ; il nous apprend que l’on a sou
ute un jour l’explication de ce phénomène. Quelques partisans de la médecine transplanta-toire eurent la prétention de guérir
unesse. Nous sommes éloignés de nous faire les apologistes de cette médecine criminelle qui ne profitait aux malades qu’au pér
ps, et voyez les résultats que vous obtiendrez. Le magnétisme et la médecine doivent marcher ensemble, s’aider l’un l'autre; l
pparente dans 1 état de l’intéressante malade, ce que n’a pu faire la médecine . Nous attendons des détails directs et plus compl
ls directs et plus complets. BIBLIOGRAPHIE. PREMIERS PRINCIPES DE MÉDECINE , par le Dr À. IîiLi.mr.; traduit de l’anglais de
, en modifiant leur état actuel pour y substituer un état nouveau. La médecine ne procède pas autrement: les remèdes qu’elle pre
’on croira pouvoir y réussir, dans les nombreuses circonstances où la médecine , impuissante à guérir par les moyens chimiques, e
comme pouvant être utilement employé à la manière des remèdes que la médecine classe en dérivatifs, révulsifs, rubéfiants, pour
qui concerne les maladies nerveuses, pour le traitement desquelles la médecine est le plus souvent impuissante, l’auteur exprime
ne influence capable arrête toujours facilement. Or, dites-nous si la médecine , avec ses poisons, les médecins avec leurs doctri
rès-réservé à l’endroit du somnambulisme, en tant qu’auxiliaire de la médecine . A la vérité, il admet, après examen, la réalité
taires, « niais, » sc liaient-ils d’ajouter, « c’est ce que fait « la médecine . » Ilélas! pas toujours; et c’est bien son impuis
évralgie très-opiniâtre à la région occipitale, et contre laquelle la médecine avait inutilement usé quelques-unes de ses doulou
us entêtés à l’endroit du magnétisme sont aussi les plus ignorants en médecine , et je pense que cette remarque aura été faite pa
les douleurs, et qui devait inévitablement la conduire au tombeau, la médecine n’y pouvant rien , nous dit-elle. Enfin la malade
anité. « Si nous ne nous trompons , messieurs, tous les systèmes de médecine doivent tomber dans l’oubli, et faire place aux i
r tous les hommes, et que, descendant dans la famille, il devienne la médecine naturelle, comme Dieu l’a voulu. La poésie succ
tout jeune homme, avenir du magnétisme, qui puise dans l’étude de la médecine tout ce qui peut venir en aide au puissant agent
— C’est à n’y rien comprendre. Le docteur Teste, après avoir renié la médecine , propagea le magnétisme par des Cours, des livres
r je sais par une expérience de dix-sept ans combien la science de la médecine est conjecturale; aussi, en terminant, ferai-je u
omme précédemment, exposer d’abord les cas de chirurgie, puis ceux de médecine . § 1. — CAS DE CH1HUHGIX. Première Observatio
certitude que d’une seule chose : le nombre infini des illusions. La médecine ne fournit non plus aucun fait conciliable avecle
vant le traitement, cet enfant, qui avait été soumis à l’action de la médecine ordinaire, était dans un état qui laissait peu d’
es lieux où se trouvent des eaux sulfureuses... Depuis longtemps la médecine emploie les machines électriques lorsqu’elle juge
us courageuse persévérance, aux traitements les plus énergiques de la médecine classique. Tôt nomina census. Le mal fit des prog
donner en d’autres termes, mon cher; elle perdrait son naturel. La médecine et la chirurgie battues par le magnétisme, sous l
Mesmer, p. 113, aphorisme 80. (2) Jtàpporl de la Société ruijale de médecine , 1" part., 5 I. (5) Mémoires et Aphorismes de M
de Mesmer, p. 172 ; apli. 333 et 331. — Kurl-Sprengel, Hist. de la médecine (traduclion de M. Jourdan), t. VI, p. 101 et 102.
la doctrine du maître, il ne craignit pas d’adresser à la Faculté de médecine un insultant défi. Qu’on fit choix de vingt-quatr
, 14, et 15.— Foissac, Rapports el discussions de CAcadémie royale de médecine sur le Magnétisme animal, lióle 1, p. 221. (2)
Magnétisme animal, lióle 1, p. 221. (2) Kurl-Sprengel, Ilisl. de la médecine , t. VI, p. 10Í. (5) Ilisl. de la médecine, p. 1
rl-Sprengel, Ilisl. de la médecine, t. VI, p. 10Í. (5) Ilisl. de la médecine , p. 103. multiplièrent. Tout Paris s’agita auto
llement condamnés par deux commissions, l’une de la Société royale de médecine , l’autre de la Faculté de médecine et de l'Académ
ons, l’une de la Société royale de médecine, l’autre de la Faculté de médecine et de l'Académic des sciences. On remarqua que Ju
académique du Magnétisme animal, p, 20. — Kurl-Sprengel, l/isl. de la médecine , l. VI, p. 105. port impartial et modéré à ceu
t du Magnétisme animal : épigraphe. (2) Kurl-Sprengel, Illst. de la médecine , t. VI, p. 117. (3) Yoy. dans la brochure de Mi
apports officiels, etc., publié par le gouvernement. § II. — CAS DE MÉDECINE . La pathologie interne ne fournit que peu d’obs
ette nouvelle découverte qui paraissait destinée à renverser toute la médecine , et peut-être quelque chose de plus respecté que
Il est dit dans le Rapport des commissaires de la Société royale de Médecine . Paris, 1784, in-4, I" pari., ç II, p. 4. « SI.
uscles, ou bien en se faisant pincer, piquer, briller, en avalant des médecines * etc. , etc. Toujours en présence de son aiguill
ndigents de midi à cinq heures du soir. — Uu docteur de la Faculté de Médecine est attaché à demeure el spécialement à la maison
. THÉORIES. PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE II. De la Médecine d'imagination. L’histoire de la médecine empiri
UE. CHAPITRE II. De la Médecine d'imagination. L’histoire de la médecine empirique nous a présenté, dans tous les temps et
auxiliaire, dent la nature nous a toujours indiqué l'usage. « Si la médecine d'imagination, disait le docteur Desion à ses dét
es détracteurs (2), est la meilleure, pourquoi ne ferions-nous pas la médecine d’imagination? » Paroles judicieuses qui, dans
M. Orfila, qui osa défendre le magnétisme devant l’Académie royale de médecine . Tous les physiologistes ont été frappés des me
uteux, dit-il (2), qu'une ferme confiance, qu’une foi ardente dans la médecine et le médecin, contribuent beaucoup à rétablir la
aucoup à rétablir la santé, et quelquefois sont plus efficaces que la médecine elle-même. * Pomponace (3) fait ressortir les e
s évacuations vinrent, au bout de quelques heures, donner raison à la médecine d’imagination. Nous allons passer en revue tous
asser en revue tous les traitements qui nous semblent appartenir à la médecine d’imagination. Loin de nous la pensée de porter a
e la pratique du magnétisme a dû quelquefois servir d’auxiliaire à la médecine d’imagination ; mais nous ne pouvons nous dissimu
Cette visite fut peut-être plus salutaire que tous les secours de la médecine . Il a existé, dans tous les temps, des hommes o
roire que ces pratiques se rapprochent dans la plupart des cas, de la médecine magnétique. Aussi noys ne nous en occuperons pas
.. Quoi qu’il en soit, les charmes se sont si bien introduits dans la médecine , que toutes les nations du monde les ont pratiqué
e; le rubis, de l’hypochondrie; la pierre d’aigle, (1) llist. du la Médecine , p. 13 et 76. do l’avortcment. Les habitants do
plus de vogue. « On ne peut croire, dit Thouret (a), combien cette médecine singulière acquit de faveur ; quels partisans ill
e violentes discussions à ce sujet entre les membres de l’Académie de médecine . Dygby publia en 1673 un ouvrage fort curieux (
malade avec une parfaite confiahce. Pierre Servius , professeur de médecine à Rome, tout en s’abstenant de juger leâ effets d
ration par des sudorifiques. Ces cures rentrant dans les effets de la médecine ordinaire, ne doivent pas nous occuper......
rô-neur. — On imprime en ce moment un supplément au Dictionnaire de médecine , par Fabre. Le magnétisme est compris au nombre d
eux dont il préparait l’avenir. « Le docteur Bertrand retourna à la médecine , faute de trouver un [appui chez les hommes qu’il
« Le docteur Roslan aussi, sans abandonner le magnétisme, préféra la médecine , comme plus lucrative et menant aux honneurs. «
) THÉORIES. PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE II. De la Médecine d’imagination. (Suite.) Si les talismans, les
her dans les sciences naturelles : la physique, la psychologie, et la médecine , tout ce qui a trait au magnétisme, et relier ces
. THÉORIES. PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE II. De la Médecine d'imagination. (Suite.) Les bizarres anomalie
ontre les guérisseurs qui avaient recours aux procédés étrangers à la médecine (1). Plalon (2) proposa une loi contre eux. Amm
il l’expulsait entièrement. Ce dernier procédé étant du ressort de la médecine magnétique, nous y reviendrons plus tard ; mainte
des cures du célèbre thaumaturge, qui nous paraissent appartenir à la médecine de l’imagination ; car elles n’étaient ordinairem
ique était très-mauvaise, et il recourut en vain aux ressources de la médecine pour l’améliorer. 11 crut enfin reconnaître dans
ion de revenir sur cette question, lorsque nous nous occuperons de la médecine magnétique. Nous ne pouvons nous dispenser de c
urs esclaves de l’observation, nous ferons une guerre incessante à la médecine exclusive dont nous avons souvent apprécié les da
n est du reste partagée par tous les hommes qui se sont occupés de la médecine d’imagination (5). Si, au lieu d’ossements respec
éprouvassent la moindre souffrance. » Lorsque nous traiterons de la médecine magnétique, nous reviendrons sur ces étranges mod
. Ensuite ils se déchiraient le corps avec des ins- (1) Eléments de Médecine , t. Il, p. 565. trumonts tranchants, et voyaien
. Depuis elle a confondu le monde. L’application du magnétisme à la médecine laissait en dehors de ses bienfaits une nombreuse
Rentré au sein de ma famille, où j’ai exercé pendant dix-sept ans la médecine , personne mieux que moi ne sait combien il es.t
de vue; sa dissertation fut longue et remplie des termes usuels de la médecine , où je crois vraiment qu’un laxicographe aurait p
erbal ayant été dressé contre lui, comme ayant illégalement exerce-la médecine , une instruction a eu lieu dans les formes prescr
’il ne résulte pas de l’instruction que Jules de Rovère ail exercé la médecine ; Con fi me l’ordonna uce ci-dessus datée dénonc
. Il me reçut avec bonté , et me demanda si j’avais été traité par la médecine . Je lui répondis : Oui. Il me demanda encore si j
ieur Antoine MESMER, âgé de quatre-vingt-un ans ; il était docteur en médecine , et inventeur du magnétisme. — Il était né le a5
tue l’étre ne périt point tout entier! Ose annoncer l’existence d’une médecine souveraine, qui, en même temps qu’elle purifie le
ant de la haute opinion qu’ils avai nt d’eux-mêmes, la vérité de leur médecine exacte. — Cet autre docteur, arrivant à l’Académi
elle qui fait trouver les remèdes existe, et c’est là l’é-cueil de la médecine somnambulique. On est, en effet, naturellement po
les guident dans leurs prescriptions à l’aide de certaines études de médecine et de botanique. Bienheureux ceux dont la pharmac
phe, et occupé en ce moment d’une nouvelle organisation des écoles de médecine . Quelle circonstance plus favorable pour apport
a forcé de reconnaître l’étendue de mes découvertes en physique et en médecine , et leur application utile pour le perfectionneme
et à celle de l'humanité. Salut et respect, MESMER, Docteur en Médecine , à Paris ce 5 nivôse l'an 7*, rue Gaillon, Ma
s en perfectionnements, sont arrivés à ne plus savoir s’il existe une médecine , et doutent d’eux-mêmes. Ah ! c’est que la scie
é et donné à l’homme. Le magnétisme et le somnaüibulisme ! Voilà la médecine de la nature. Dieu donna à l’hortitoié plus qu’au
magnétisé par M. Jos. Barthet, pour une affection qui a résisté à la médecine scolastique. — La Patrie des 18 et 1 g novembre
était un prêtre interdit; qu’il se livrait à l’exercice illégal de la médecine , débitait des médicaments, et attirait chez lui d
n° 7 de l’art. 479 du Code pénal ; 3° d'avoir exercé illégalement la médecine , délit prévu par la loi du 19 ventôse an XI ; 4°
boulevard Beau-voisine. n. 70. D. Vous avez exercé illégalement la médecine ? — R. Jamais. D. Cependant, nous avons entend
R. Boulevard Beauvoi-sine, 70. 1). Vous avez exercé illégalement la médecine ? — R. Je ne sais pas ce qu’on veut dire; je sai
s médicales, qui avait été nommée en 1825, à Paris, par l’Académie de médecine , pour faire un rapport sur le magnétisme, a concl
ce chef de prévention se confond avec celui d’exercice illégal de la médecine ; « En ce qui concerne l’exercice illégal de la
égal de la médecine ; « En ce qui concerne l’exercice illégal de la médecine : « Attendu qu’il résulte des débats que Joly n
cin ou d’oflicier de santé, et que les faits d’exercice illégal de la médecine remonteraient à plusieurs années; qu’ils sont, dè
é par le gouvernement. — Cas de chirurgie, 78, 97, 353, 417. — Cas de médecine , 112, 129, 456. Infirmerie mesmérique de Londre
Scirrus testium, 356. Tumeurs cartilagineuses, 82. § II. Cas de médecine . — Maux et affections guéris ou soulagés ¡par le
outades de M. l’abbé Moigne, à propos de cette question, 351 , 478. Médecine d’imagination. Effets de l’imaginalion sur l’orga
29. — Convulsionnaires de St.-Médard, 555. — Danse de St.-Guy, 557. Médecine transplantatoire. Maladies passant du corps d’un
er. — Préambule : Le somnambulisme dans l’antiquité, 161. — Ch. Ier : Médecine transplantatoire, 166. — Ch. Il : Médecine d’imag
ntiquité, 161. — Ch. Ier : Médecine transplantatoire, 166. — Ch. Il : Médecine d’imagination, 481, 523, 537. (Voy. plus haut le
paraît avoir son origine dans les révélations somnambuliques, 163. — Médecine des somnambules , 171, 193, 292, 326, 431, 644. —
Porto-Ricco. Lettre du Dr Cruxent, 127. Malades abandonnés de la médecine , et guéris par le magnétisme, 33, 207, 221, 338,
et examen critique par M. Chocarne, 657, 681. Premiers principes de Médecine , par le Dr Billing, traduit de l’anglais par le D
9 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
rsité de Genève ; LIÉBEAULT (de Nancy); LUYS, membre de l'Académie de médecine , médecin de la Charité; MESNET, médecin de l'Hôte
tude de l'hypnotisme a permis aussi de jeter les bases d'une nouvelle médecine morale dont les effets ne tarderont pas à être ju
conscience, du somnambulisme. Ajoutez à cela les nombreux délits de médecine illégale qui ne peuvent manquer de résulter de l'
FAUX TÉMOIGNAGES Par M. le Dr BERNHEIM professeur a la faculté de médecine de nancy Dans mon livre sur la suggestion, j'ai
semblables; il a appelé ré- cemment l'attention de l'Académie de médecine sur les faux témoignages des entants devant la ju
individuelles. Albert de Rochas. SOCIÉTÉS SAVANTES ACADÉMIE DE MÉDECINE Séance du 21 juin. — Présidence de M. Sappey
et de soumettre à des expériences fréquemment répétées. (Journal de médecine de Bordeaux.) BIBLIOGRAPHIE I. — De la Morphi
it les représentations d'hypnotisme que des personnes étrangères à la médecine donnaient dans différents théâtres de la ville. C
ersonnes diplômées en France. Dans Paris seulement, on compte 2,188 médecine (le sixième du total général), 1,523 sages-femmes
tes. Les individus des deux sexes inculpés d'exercice illégal de la médecine forment encore un contingent annuel de 35o en moy
valeur de 100 fr., est offert par M. le Dr Depierris à l'étudiant en médecine , à quelque école française qu'il appartienne, qui
aise. » Le concours sera clos le 31 décembre 1888. N° 3. —Prix de médecine . — Rapporter au moins quatre observations inédite
CTIONS MÉDICO-LÉGALES Par M. le D' MESNET MEMBRE DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE , MÉDECIN DE L'HOTEL-DIEU La communication que j
ues, et nous conduisent à cette déduction logique, fort importante en médecine légale, que ce dédoublement de la mémoire pourrai
s contractées pendant l'hypnose. Avant de résoudre ces questions de médecine légale, l'auteur expose les conditions psycho-phy
e physique. Mais de même qu'on a dû créer l'orthopédie, branche de la médecine qui a pour but le redressement des difformités ph
» Veuillez agréer, etc. » Dr S. Pozzi, » Agrégé à la Faculté de médecine , chirurgien de Lourciae. » II est en effet fréq
ur, qu'un décret présidentiel vient de lui conférer. — Académie; de médecine , — Nous enregistrons avec le plus grand plaisir l
plaisir l'élection, . dans la section de physiologie, a l'Académie de médecine , de notre confrère et ami M. le docteur Laborde,
ées déjà, sous le nom d'hémi- (i) Communication lue à l'Académie de médecine , le mardi 3o août 1887. plégies, émotives un
ÉTY ancien interne des hôpitaux de PARIS, LAURÉAT DE LA» FACULTÉ DE MÉDECINE Le nomme l..., âge de 32 ans, hémianesthésique
a psychologie la place qu'elle a le droit de revendiquer à l'École de médecine . M. Ch. Richet aura réalisé un des progrès les pl
physiologique. Dr Edg. Bérillon. SOCIETES SAVANTES ACADÉMIE DE MÉDECINE Séance du 2 août 1887. — Présidence de M. Sappe
n en votant à l'unanimité les conclusions suivantes : L'Académie de médecine appelle l'attention des pouvoirs publics sur la n
la primeur de toutes les communications laites, tant à la section de médecine qu à celles d'économie politique et de pédagogie,
se rapprochent de celles qui viennent d'être votées par l'Académie de médecine française. Il est cependant un rapport qui offre
Nocard. professeur de clinique chirurgicale, membre de l'Académie de médecine , est nomme directeur de l'Ecole d'Alfort, en remp
echnique, membre de la So-ciété de chirurgie, membre de l'Académie de médecine , vient de mourir à Saint-Germain-en-Laye. Ava
ourir à Saint-Germain-en-Laye. Avant de se livrer à l'etude de la médecine , Giraud-Teulon avait consacré plusieurs années
e autre direction. Il faisait partie, depuis 1874, de l'Académie de médecine , section de physique et de chimie médicales. IN
THÉRAPEUTIQUE BULLET» La communication de M. Luys à l'Académie de médecine , coïncidant avec la publication du livre de MM. B
stion si délicate, l'attention du monde scientifique. L'Académie de médecine , selon l'usage, a désigné immédiatement une commi
lon, avait été choisi comme secrétaire par la section d'hygiène et de médecine publique. Dans cette dernière section, M. le pr
T D'HYPNOTISME(1) Par M. le Docteur J. LUYS membre de l'Académie de médecine , médecin de la charité (Suite et fin) Les per
s hypnotisés. Nos deux éminents confrères, professeurs â l'Ecole de médecine de Rochefort, ont donc constaté que chez les suje
ment la nature et les effets. (i) Communication lue a l'Académie de médecine , le mardi 3o août 1887. Les réactions produit
des traces matérielles de son passage ? Ce sont là des problèmes de médecine légale d'un intérêt très puissant et qui sont des
ION Par MM. les Docteurs BOURRU et BUROT professeurs a l'école de médecine de rochefort Les lois générales de la vie sont
é dans notre thérapeutique. En 1837, Martin signalait a la Société de médecine de Lyon les cures merveilleuses déterminées par l
e l'hypnotisme, quand il est mis en œuvre par des gens étrangers à la médecine . M. Andrieu fut appelé, il y a quelque temps, p
2 septembre, sous la présidence de M. le Dr Rochard, de l'Académie de médecine . Le Congres a attire à Toulouse un grand nombre
10 septembre, pour prendre part au neuvième Congrès International de médecine . Parmi les notabilités médicales qui représentaie
ré par la persuasion. Par M. le Dr Burot, professeur à l'Ecole de médecine de Rochefort. Depuis six mois, j'observe un cas
nait un autre de date récente dans lequel l'opérateur (un étudiant en médecine ) n'a péché que par ignorance. (1) P. Despine. É
use). Secrétaire: M. Berillon (de Paris). ( De l'auto-suggestion en médecine légale. Par M. le Dr Burot, professeur à l'Ecol
ion en médecine légale. Par M. le Dr Burot, professeur à l'Ecole de médecine de Rochefort. Beaucoup d'esprits s'inquiètent d
e se soulageait lui-même. Je pensai à utiliser l'auto-suggestion en médecine légale, et les résultats obtenus dépassèrent mes
ris, vice-président; 1e docteur Bouchard, professeur il la Faculté de médecine de Paris; le docteur Brouardel. doyen de la Facul
té de médecine de Paris; le docteur Brouardel. doyen de la Faculté de médecine de Paris; Dujardin-Beaumetz, membre de l'Académie
ulté de médecine de Paris; Dujardin-Beaumetz, membre de l'Académie de médecine ; Lacazc-Duthiers, professeur à la Faculté des sc
é des sciences de Paris ; le docteur Lagneau, membre de l'Académie de médecine ; le docteur Perrin, membre de l'Académie de méde
e l'Académie de médecine ; le docteur Perrin, membre de l'Académie de médecine ; le docteur Proust, professeur d'hygiène à la Fa
de médecine ; le docteur Proust, professeur d'hygiène à la Faculté de médecine ; le docteur Rochard. membre de l'Académie de méd
la Faculté de médecine ; le docteur Rochard. membre de l'Académie de médecine ; le docteur A. Martin, auditeur au Comité consul
s 1880) Davezac: Leçons sur l'hystérie et l'hypnotisme. (Journal de médecine de Bordeaux, 1885, 1886. 1887.) Luys : Les émot
n voie de le devenir, il est indique de faire appel au concours de la médecine . Le pédagogue et le médecin se compléteront l'u
ience nouvelle dont le vrai nom est l'orthopédie morale. SOCIÉTÉ DE MÉDECINE DE BERLIN Séance du 26 octobre 1887. — Présiden
ue la commission même qui a été choisie dans le sein de l'Académie de médecine , pour contrôler les expériences de M. Luys, ne no
msterdam le 3o septembre et le 1er octobre 1887. Dans la section de médecine présidé: par l'éminent ophtalmologue d'Utrecht. M
ndérante dans la série des médications fonctionnelles adoptées par la médecine officielle; il finit sa lecture en rappelant à so
échies, dans l'esprit de ses compatriotes, il a fait, à la Société de médecine de Berlin, une longue communication sur les faits
ir u la lourdeur germanique. Les énormités débitées a la Société de médecine de Berlin, à la suite de la communication de M. M
fiques : a Ils ont jugé, apprécié, examiné, décidé. Et pourtant, la médecine , la physiologie et la psychologie ne s'apprennent
es scientifiques qu'il enseigne, a décidé de n'admettre les élèves en médecine et les médecins, aux démonstrations, que par-grou
nt les phénomènes d'hypnotisme avec la psychologie morbide et avec la médecine légale. Nous publierons dans notre prochain numér
relles. Médecin-docteur ès letrres. — M. Ernest Faligan, docteur en médecine de la Faculté de Paris, a soutenu les deux thèses
e 1887-1888, par M. François Franck.— M. Brown-Séquard, professeur de médecine audit Collège, est autorisé à se faire suppléer,
nécologie. — Doin, édit., in-8°, 1887; 2 fr, 5o. L'hypnotisme et la médecine légale, par le Dr Ladame, privat-docênt à l'Uni
Trois experts furent désignés par la cour : MM. Jaumes. professeur de médecine légale à la faculté de Montpellier; le docteur Ca
eptée et pratiquée par tous, sera une des plus belles conquêtes de la médecine contemporaine. REVUE CRITIQUE UN ROMAN DE M.
ns présenter ces symptômes et a pu quitter l'hôpital, » ACADÉMIE DE MÉDECINE Séance du 6 décembre 1887. — Présidence de M. S
'abus du tabac un prix de trois cents francs à décerner au docteur en médecine , français ou étranger, qui relatera le plus de ca
nnée. Boucher fils mettait sous les yeux des membres de la Société de médecine de Rouen un jeune homme de 20 ans, sujet à des cr
A DISTANCE Par M. le Dr Charles RICHET PROFESSEUR A LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE PARIS I La remarquable série d'expériences
eurs, dans un travail présenté comme thèse inaugurale . la Faculté de médecine , en 1884. Excitait-on , par exemple, sur un mem
omper, « car le médicament était trop fort. » On savait déjà que la médecine homœopathique est avant tout une médecine suggest
. » On savait déjà que la médecine homœopathique est avant tout une médecine suggestive et que les granules que prescrivent le
ue- décernera un prix de 600 francs à l'auteur du meilleur travail de médecine , chirurgie ou obstétrique, qui lui aura été adres
la Fatuité de Bordeaux. — In-8°. Bordeaux, 1887. L'hypnotisme et la médecine légale, par le docteur Ladane, privat-iocent à l'
de l'Islande (1) Catat, enseigne de vaisseau de réserve, docteur en médecine . (Th. inaug., 1837. Paris.) et de la péninsul
à peu connue. Puis on considère les applications de l'hypnotisme à la médecine , à la chirurgie. Terminons par quelques citatio
is dormant du conte de fées n'était certainement pas fort instruit en médecine , sans quoi il n'aurait pas couru avec autant d'ar
iques l'usage de ce moyen dans les mains de personnes étrangères à la médecine . * Janvier 1860. — Le Dr Azam publie, dans le
* Janvier 1860. — Le Dr Azam publie, dans les Archives générales de médecine , sur le sommeil nerveux ou hypnotisme, dont il do
aravant, désireux d'exprimer à M. le Dr Azam. professeur à l'Ecole de médecine de Bordeaux, toute sa reconnaissance pour l'empre
. Amsterdam, 3 février 1888. Df A. W. Van Renterghem. Eléments de médecine suggestive (Hypnotisme et suggestion. — Faits cli
. Fontan et Ségard apportent aux fondations de l'édifice (c'est de la médecine suggestive qu'il s'agit), sous la forme d'un livr
confondus avec les phénomènes de la suggestion, la philosophie de la médecine suggestive, où se trouve notamment proclamée la r
lis, par exemple, dans le livre de MM. Fontan et Ségard, (Eléments de médecine suggestive, p. 7 et suiv.) que le phénomène physi
Gazette des Hôpitaux du 6 mars :886). Le jour même où l'Académie de médecine entendait la lecture du rapport de M. Dujardin-Be
s et ses avantages souvent réels. » SOCIÉTÉS SAVANTES ACADÉMIE DE MÉDECINE Séance du 6 mars. — Présidence de M. Hérard.
é, la conclusion suivante : « La commission, nommée par l'Académie de médecine pour examiner les faits avancés par M. Luys, dans
mises en expérience et que, par conséquent, ni la thérapeutique ni la médecine légale n'ont à tenir compte de pareils effets. »
endant deux minutes, n'a donné lieu à aucune réaction.» ACADÉMIE DE MÉDECINE DE BELGIQUE Séance du 38 janvier 1888. — Présid
ion suivante, sous forme de motion d'ordre : « L'Académie royale de médecine de Belgique, considérant que la pratique vulgaris
la justice, a répondu en ces termes : « Je savais que-l'Académie de médecine de Belgique était saisie de la question et qu ell
er, que M. Bourneville vient de rééditer, est le premier effort de la médecine mentale, a la Renaissance, pour débarrasser la sc
s des experts que nous publions ci-après, combien les principes de la médecine scientifique étaient encore ignorés de nos confrè
u soir, dans l'amphithéâtre n° 3 de l'Ecole pratique de la Faculté de médecine , un cours libre sur les application de l'hypnotis
ux déclarations pessimistes portées à la tribune de l'Académie de médecine de Paris, lors de la discussion sur le surmenage
yauté de ses intentions et de son caractère. NOUVELLES Faculté de médecine de Pairis. Année scolaire 1887-88 (2e semestre. —
e médecine de Pairis. Année scolaire 1887-88 (2e semestre. — Cours de médecine légale. - M. le professeur Brouardel a commencé l
médecine légale. - M. le professeur Brouardel a commencé le cours de médecine légale, le lundi 10 mars 1888, à a heures de lapr
ant le second semestre de l'année scolaire 1887-1888, à la Faculté de médecine : MM. les docteurs Bouloumié. sur la thérapeutique
sonnalité, par les docteurs Bourru et Burot, professeurs à l'École de médecine de Rochefort. — Bibliothèque scientifique contemp
L'ÉCOLE DE NANCY Par M. le Dr BERNHEIM professeur a la faculté de médecine de nancy La doctrine de l'Ecole de Nancy, sur l
unich, en réponse aux assertions incompétentes émises à la Société de médecine de Berlin : « Le protesseur Ewald pense que la
ÈCHOLALIE ET COPROLALIE Par M. le Dr BUROT professeur a l'école de médecine de rochefort Il y a six mois, au Congrès de Tou
présentations publiques des magnétiseurs. En ce moment, l'Académie dc médecine de Belgique est saisie par plusieurs de ses membr
s exigés par la loi, ils commettent le délit d'exercice illégal de la médecine . Je demande donc que la section d'hygiène appel
gicales ou même simplement de vivisection. L'exercice illégal de la médecine ne résulte pas du fait de donner ses soins à un m
laissée entre les mains du premier venu. La section d'hygiène et de médecine publique, consultée, émet, à l'unanimité, le vœu
moyen curatif soient soumises aux lois qui régissent l'exercice de la médecine . section de pedagogie Ont été élus: Président
e traitement des habitudes vicieuses par la suggestion. ACADÉMIE DE MÉDECINE DE BELGIQUE De l'opportunité d'Interdire les sé
oient paralysés. Plusieurs thèses de doctorat et même d'agrégation en médecine ont été consacrées a des études psychologiques :
OGRAPHIE La Folie érotique, par B. Ball, professeur a la Faculté de médecine de Paris. — 1888. J.-B. Baillière et fils, éditeu
hilosophe que pour le médecin. » Par ses connexions intimes avec la médecine légale, elle offre, au point de vue pratique, une
otisme, dans l'amphithêatre n° 3 de l'Ecole pratique de la Faculté de médecine . Il le continuera les lundis et vendre-dis a 5 he
nuera les lundis et vendre-dis a 5 heures. Association générale des médecine de France. — L'Association, dans sa réunion annue
ES D'HYPNOTISME Dans sa séance du 28 janvier dernier, l'Académie de médecine de Belgique, ayant été saisie par son honorable s
« La pratique de l'hypnotisme appartient complètement à l'art de la médecine et doit être soumise aux lois et règlements qui s
ET DU SOMNAMBULISME DANS LEURS RAPPORTS AVEC LA JURISPRUDENCE ET LA MÉDECINE LÉGALE Par M. Jules LIÉGEOIS PROFESSEUR a la
et du somnambulisme, dans leurs rapports avec la jurisprudence et la médecine légale. Vous voulez bien me demander de donner au
orts avec les sciences médicales, l'autre avec la jurisprudence et la médecine légale. (1) Cet article nous a été adresse par
rvons d'en faire l'objet d'une publication prochaine. ACADÉMIE DE MÉDECINE DE BELGIQUE De l'opportunité d'interdire les sé
s attestons bien clairement que nous n'entendons pas réclamer pour la médecine le monopole des manœuvres hypnotiques, encore bie
es titres; il y a la nature même du fonds qu'il s'agit de creuser. La médecine s'en est donc saisie comme d'une question de phys
J'ai l'honneur de déposer la proposition suivante : « L'Académie de médecine de Belgique, considérant que tout appel lait à un
cet état spasmodique propre à la seconde enfance, et qu'on désigne en médecine sous le nom de terreurs nocturnes. Or, les enfant
monomanie des cloîtres. Magie, Force psychique et Spiritisme. 4° La Médecine dans la littérature du moyen Sge : Farces, Morali
pitre de son livre, le Dr Dupouy expose le rôle important joué par la médecine dans la littérature du moyen âge. Les anecdotes p
suivies de l'examen du rapport présenté par M. Masoin à l'Académie de médecine , par J. Delbœuf.— Brochure in-8°-, 110 pages. Liè
boissons alcooliques (Congrès de Zurich contre l', 121. Académie de médecine , 26, 27, 88, 3o6. Académie de médecine de Belgiqu
ch contre l', 121. Académie de médecine, 26, 27, 88, 3o6. Académie de médecine de Belgique, 3o9, 342. 368. Accès de délire m
t, 27. Autopsie (la Société mutuelle d'), 193. Auto-suggestion en médecine légale, par Burot, 154. Auto-suggestion (procéd
une), par Brémaud. 16 Massage (du), par Dujardin-Beaumetz, 118. Médecine légale (de l'auto-suggestion en). par Burot. 15
118. Médecine légale (de l'auto-suggestion en). par Burot. 154. Médecine suggestive (éléments de), 282. Mensonge (habitude
d'hypnotisme à Granges. 217. Société de biologie, 247. Société de médecine de Berlin, 180. Société médico-psychologique, 209
) et du somnambulisme dans leurs rapports avec la jurisprudence et la médecine légale, par Liégeois, 356. Suggestion mentale (
10 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
rsité de Genève ; LIÉBEAULT (de Nancy); LUYS, membre de l'Académie de médecine , médecin de la Charité; MESNET, médecin de l'Hôte
tude de l'hypnotisme a permis aussi de jeter les bases d'une nouvelle médecine morale dont les effets ne tarderont pas à être ju
conscience, du somnambulisme. Ajoutez à cela les nombreux délits de médecine illégale qui ne peuvent manquer de résulter de l'
FAUX TÉMOIGNAGES Par M. le Dr BERNHEIM professeur a la faculté de médecine de nancy Dans mon livre sur la suggestion, j'ai
semblables; il a appelé ré- cemment l'attention de l'Académie de médecine sur les faux témoignages des entants devant la ju
individuelles. Albert de Rochas. SOCIÉTÉS SAVANTES ACADÉMIE DE MÉDECINE Séance du 21 juin. — Présidence de M. Sappey
et de soumettre à des expériences fréquemment répétées. (Journal de médecine de Bordeaux.) BIBLIOGRAPHIE I. — De la Morphi
it les représentations d'hypnotisme que des personnes étrangères à la médecine donnaient dans différents théâtres de la ville. C
ersonnes diplômées en France. Dans Paris seulement, on compte 2,188 médecine (le sixième du total général), 1,523 sages-femmes
tes. Les individus des deux sexes inculpés d'exercice illégal de la médecine forment encore un contingent annuel de 35o en moy
valeur de 100 fr., est offert par M. le Dr Depierris à l'étudiant en médecine , à quelque école française qu'il appartienne, qui
aise. » Le concours sera clos le 31 décembre 1888. N° 3. —Prix de médecine . — Rapporter au moins quatre observations inédite
CTIONS MÉDICO-LÉGALES Par M. le D' MESNET MEMBRE DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE , MÉDECIN DE L'HOTEL-DIEU La communication que j
ues, et nous conduisent à cette déduction logique, fort importante en médecine légale, que ce dédoublement de la mémoire pourrai
s contractées pendant l'hypnose. Avant de résoudre ces questions de médecine légale, l'auteur expose les conditions psycho-phy
e physique. Mais de même qu'on a dû créer l'orthopédie, branche de la médecine qui a pour but le redressement des difformités ph
» Veuillez agréer, etc. » Dr S. Pozzi, » Agrégé à la Faculté de médecine , chirurgien de Lourciae. » II est en effet fréq
ur, qu'un décret présidentiel vient de lui conférer. — Académie; de médecine , — Nous enregistrons avec le plus grand plaisir l
plaisir l'élection, . dans la section de physiologie, a l'Académie de médecine , de notre confrère et ami M. le docteur Laborde,
ées déjà, sous le nom d'hémi- (i) Communication lue à l'Académie de médecine , le mardi 3o août 1887. plégies, émotives un
ÉTY ancien interne des hôpitaux de PARIS, LAURÉAT DE LA» FACULTÉ DE MÉDECINE Le nomme l..., âge de 32 ans, hémianesthésique
a psychologie la place qu'elle a le droit de revendiquer à l'École de médecine . M. Ch. Richet aura réalisé un des progrès les pl
physiologique. Dr Edg. Bérillon. SOCIETES SAVANTES ACADÉMIE DE MÉDECINE Séance du 2 août 1887. — Présidence de M. Sappe
n en votant à l'unanimité les conclusions suivantes : L'Académie de médecine appelle l'attention des pouvoirs publics sur la n
la primeur de toutes les communications laites, tant à la section de médecine qu à celles d'économie politique et de pédagogie,
se rapprochent de celles qui viennent d'être votées par l'Académie de médecine française. Il est cependant un rapport qui offre
Nocard. professeur de clinique chirurgicale, membre de l'Académie de médecine , est nomme directeur de l'Ecole d'Alfort, en remp
echnique, membre de la So-ciété de chirurgie, membre de l'Académie de médecine , vient de mourir à Saint-Germain-en-Laye. Ava
ourir à Saint-Germain-en-Laye. Avant de se livrer à l'etude de la médecine , Giraud-Teulon avait consacré plusieurs années
e autre direction. Il faisait partie, depuis 1874, de l'Académie de médecine , section de physique et de chimie médicales. IN
THÉRAPEUTIQUE BULLET» La communication de M. Luys à l'Académie de médecine , coïncidant avec la publication du livre de MM. B
stion si délicate, l'attention du monde scientifique. L'Académie de médecine , selon l'usage, a désigné immédiatement une commi
lon, avait été choisi comme secrétaire par la section d'hygiène et de médecine publique. Dans cette dernière section, M. le pr
T D'HYPNOTISME(1) Par M. le Docteur J. LUYS membre de l'Académie de médecine , médecin de la charité (Suite et fin) Les per
s hypnotisés. Nos deux éminents confrères, professeurs â l'Ecole de médecine de Rochefort, ont donc constaté que chez les suje
ment la nature et les effets. (i) Communication lue a l'Académie de médecine , le mardi 3o août 1887. Les réactions produit
des traces matérielles de son passage ? Ce sont là des problèmes de médecine légale d'un intérêt très puissant et qui sont des
ION Par MM. les Docteurs BOURRU et BUROT professeurs a l'école de médecine de rochefort Les lois générales de la vie sont
é dans notre thérapeutique. En 1837, Martin signalait a la Société de médecine de Lyon les cures merveilleuses déterminées par l
e l'hypnotisme, quand il est mis en œuvre par des gens étrangers à la médecine . M. Andrieu fut appelé, il y a quelque temps, p
2 septembre, sous la présidence de M. le Dr Rochard, de l'Académie de médecine . Le Congres a attire à Toulouse un grand nombre
10 septembre, pour prendre part au neuvième Congrès International de médecine . Parmi les notabilités médicales qui représentaie
ré par la persuasion. Par M. le Dr Burot, professeur à l'Ecole de médecine de Rochefort. Depuis six mois, j'observe un cas
nait un autre de date récente dans lequel l'opérateur (un étudiant en médecine ) n'a péché que par ignorance. (1) P. Despine. É
use). Secrétaire: M. Berillon (de Paris). ( De l'auto-suggestion en médecine légale. Par M. le Dr Burot, professeur à l'Ecol
ion en médecine légale. Par M. le Dr Burot, professeur à l'Ecole de médecine de Rochefort. Beaucoup d'esprits s'inquiètent d
e se soulageait lui-même. Je pensai à utiliser l'auto-suggestion en médecine légale, et les résultats obtenus dépassèrent mes
ris, vice-président; 1e docteur Bouchard, professeur il la Faculté de médecine de Paris; le docteur Brouardel. doyen de la Facul
té de médecine de Paris; le docteur Brouardel. doyen de la Faculté de médecine de Paris; Dujardin-Beaumetz, membre de l'Académie
ulté de médecine de Paris; Dujardin-Beaumetz, membre de l'Académie de médecine ; Lacazc-Duthiers, professeur à la Faculté des sc
é des sciences de Paris ; le docteur Lagneau, membre de l'Académie de médecine ; le docteur Perrin, membre de l'Académie de méde
e l'Académie de médecine ; le docteur Perrin, membre de l'Académie de médecine ; le docteur Proust, professeur d'hygiène à la Fa
de médecine ; le docteur Proust, professeur d'hygiène à la Faculté de médecine ; le docteur Rochard. membre de l'Académie de méd
la Faculté de médecine ; le docteur Rochard. membre de l'Académie de médecine ; le docteur A. Martin, auditeur au Comité consul
s 1880) Davezac: Leçons sur l'hystérie et l'hypnotisme. (Journal de médecine de Bordeaux, 1885, 1886. 1887.) Luys : Les émot
n voie de le devenir, il est indique de faire appel au concours de la médecine . Le pédagogue et le médecin se compléteront l'u
ience nouvelle dont le vrai nom est l'orthopédie morale. SOCIÉTÉ DE MÉDECINE DE BERLIN Séance du 26 octobre 1887. — Présiden
ue la commission même qui a été choisie dans le sein de l'Académie de médecine , pour contrôler les expériences de M. Luys, ne no
msterdam le 3o septembre et le 1er octobre 1887. Dans la section de médecine présidé: par l'éminent ophtalmologue d'Utrecht. M
ndérante dans la série des médications fonctionnelles adoptées par la médecine officielle; il finit sa lecture en rappelant à so
échies, dans l'esprit de ses compatriotes, il a fait, à la Société de médecine de Berlin, une longue communication sur les faits
ir u la lourdeur germanique. Les énormités débitées a la Société de médecine de Berlin, à la suite de la communication de M. M
fiques : a Ils ont jugé, apprécié, examiné, décidé. Et pourtant, la médecine , la physiologie et la psychologie ne s'apprennent
es scientifiques qu'il enseigne, a décidé de n'admettre les élèves en médecine et les médecins, aux démonstrations, que par-grou
nt les phénomènes d'hypnotisme avec la psychologie morbide et avec la médecine légale. Nous publierons dans notre prochain numér
relles. Médecin-docteur ès letrres. — M. Ernest Faligan, docteur en médecine de la Faculté de Paris, a soutenu les deux thèses
e 1887-1888, par M. François Franck.— M. Brown-Séquard, professeur de médecine audit Collège, est autorisé à se faire suppléer,
nécologie. — Doin, édit., in-8°, 1887; 2 fr, 5o. L'hypnotisme et la médecine légale, par le Dr Ladame, privat-docênt à l'Uni
Trois experts furent désignés par la cour : MM. Jaumes. professeur de médecine légale à la faculté de Montpellier; le docteur Ca
eptée et pratiquée par tous, sera une des plus belles conquêtes de la médecine contemporaine. REVUE CRITIQUE UN ROMAN DE M.
ns présenter ces symptômes et a pu quitter l'hôpital, » ACADÉMIE DE MÉDECINE Séance du 6 décembre 1887. — Présidence de M. S
'abus du tabac un prix de trois cents francs à décerner au docteur en médecine , français ou étranger, qui relatera le plus de ca
nnée. Boucher fils mettait sous les yeux des membres de la Société de médecine de Rouen un jeune homme de 20 ans, sujet à des cr
A DISTANCE Par M. le Dr Charles RICHET PROFESSEUR A LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE PARIS I La remarquable série d'expériences
eurs, dans un travail présenté comme thèse inaugurale . la Faculté de médecine , en 1884. Excitait-on , par exemple, sur un mem
omper, « car le médicament était trop fort. » On savait déjà que la médecine homœopathique est avant tout une médecine suggest
. » On savait déjà que la médecine homœopathique est avant tout une médecine suggestive et que les granules que prescrivent le
ue- décernera un prix de 600 francs à l'auteur du meilleur travail de médecine , chirurgie ou obstétrique, qui lui aura été adres
la Fatuité de Bordeaux. — In-8°. Bordeaux, 1887. L'hypnotisme et la médecine légale, par le docteur Ladane, privat-iocent à l'
de l'Islande (1) Catat, enseigne de vaisseau de réserve, docteur en médecine . (Th. inaug., 1837. Paris.) et de la péninsul
à peu connue. Puis on considère les applications de l'hypnotisme à la médecine , à la chirurgie. Terminons par quelques citatio
is dormant du conte de fées n'était certainement pas fort instruit en médecine , sans quoi il n'aurait pas couru avec autant d'ar
iques l'usage de ce moyen dans les mains de personnes étrangères à la médecine . * Janvier 1860. — Le Dr Azam publie, dans le
* Janvier 1860. — Le Dr Azam publie, dans les Archives générales de médecine , sur le sommeil nerveux ou hypnotisme, dont il do
aravant, désireux d'exprimer à M. le Dr Azam. professeur à l'Ecole de médecine de Bordeaux, toute sa reconnaissance pour l'empre
. Amsterdam, 3 février 1888. Df A. W. Van Renterghem. Eléments de médecine suggestive (Hypnotisme et suggestion. — Faits cli
. Fontan et Ségard apportent aux fondations de l'édifice (c'est de la médecine suggestive qu'il s'agit), sous la forme d'un livr
confondus avec les phénomènes de la suggestion, la philosophie de la médecine suggestive, où se trouve notamment proclamée la r
lis, par exemple, dans le livre de MM. Fontan et Ségard, (Eléments de médecine suggestive, p. 7 et suiv.) que le phénomène physi
Gazette des Hôpitaux du 6 mars :886). Le jour même où l'Académie de médecine entendait la lecture du rapport de M. Dujardin-Be
s et ses avantages souvent réels. » SOCIÉTÉS SAVANTES ACADÉMIE DE MÉDECINE Séance du 6 mars. — Présidence de M. Hérard.
é, la conclusion suivante : « La commission, nommée par l'Académie de médecine pour examiner les faits avancés par M. Luys, dans
mises en expérience et que, par conséquent, ni la thérapeutique ni la médecine légale n'ont à tenir compte de pareils effets. »
endant deux minutes, n'a donné lieu à aucune réaction.» ACADÉMIE DE MÉDECINE DE BELGIQUE Séance du 38 janvier 1888. — Présid
ion suivante, sous forme de motion d'ordre : « L'Académie royale de médecine de Belgique, considérant que la pratique vulgaris
la justice, a répondu en ces termes : « Je savais que-l'Académie de médecine de Belgique était saisie de la question et qu ell
er, que M. Bourneville vient de rééditer, est le premier effort de la médecine mentale, a la Renaissance, pour débarrasser la sc
s des experts que nous publions ci-après, combien les principes de la médecine scientifique étaient encore ignorés de nos confrè
u soir, dans l'amphithéâtre n° 3 de l'Ecole pratique de la Faculté de médecine , un cours libre sur les application de l'hypnotis
ux déclarations pessimistes portées à la tribune de l'Académie de médecine de Paris, lors de la discussion sur le surmenage
yauté de ses intentions et de son caractère. NOUVELLES Faculté de médecine de Pairis. Année scolaire 1887-88 (2e semestre. —
e médecine de Pairis. Année scolaire 1887-88 (2e semestre. — Cours de médecine légale. - M. le professeur Brouardel a commencé l
médecine légale. - M. le professeur Brouardel a commencé le cours de médecine légale, le lundi 10 mars 1888, à a heures de lapr
ant le second semestre de l'année scolaire 1887-1888, à la Faculté de médecine : MM. les docteurs Bouloumié. sur la thérapeutique
sonnalité, par les docteurs Bourru et Burot, professeurs à l'École de médecine de Rochefort. — Bibliothèque scientifique contemp
L'ÉCOLE DE NANCY Par M. le Dr BERNHEIM professeur a la faculté de médecine de nancy La doctrine de l'Ecole de Nancy, sur l
unich, en réponse aux assertions incompétentes émises à la Société de médecine de Berlin : « Le protesseur Ewald pense que la
ÈCHOLALIE ET COPROLALIE Par M. le Dr BUROT professeur a l'école de médecine de rochefort Il y a six mois, au Congrès de Tou
présentations publiques des magnétiseurs. En ce moment, l'Académie dc médecine de Belgique est saisie par plusieurs de ses membr
s exigés par la loi, ils commettent le délit d'exercice illégal de la médecine . Je demande donc que la section d'hygiène appel
gicales ou même simplement de vivisection. L'exercice illégal de la médecine ne résulte pas du fait de donner ses soins à un m
laissée entre les mains du premier venu. La section d'hygiène et de médecine publique, consultée, émet, à l'unanimité, le vœu
moyen curatif soient soumises aux lois qui régissent l'exercice de la médecine . section de pedagogie Ont été élus: Président
e traitement des habitudes vicieuses par la suggestion. ACADÉMIE DE MÉDECINE DE BELGIQUE De l'opportunité d'Interdire les sé
oient paralysés. Plusieurs thèses de doctorat et même d'agrégation en médecine ont été consacrées a des études psychologiques :
OGRAPHIE La Folie érotique, par B. Ball, professeur a la Faculté de médecine de Paris. — 1888. J.-B. Baillière et fils, éditeu
hilosophe que pour le médecin. » Par ses connexions intimes avec la médecine légale, elle offre, au point de vue pratique, une
otisme, dans l'amphithêatre n° 3 de l'Ecole pratique de la Faculté de médecine . Il le continuera les lundis et vendre-dis a 5 he
nuera les lundis et vendre-dis a 5 heures. Association générale des médecine de France. — L'Association, dans sa réunion annue
ES D'HYPNOTISME Dans sa séance du 28 janvier dernier, l'Académie de médecine de Belgique, ayant été saisie par son honorable s
« La pratique de l'hypnotisme appartient complètement à l'art de la médecine et doit être soumise aux lois et règlements qui s
ET DU SOMNAMBULISME DANS LEURS RAPPORTS AVEC LA JURISPRUDENCE ET LA MÉDECINE LÉGALE Par M. Jules LIÉGEOIS PROFESSEUR a la
et du somnambulisme, dans leurs rapports avec la jurisprudence et la médecine légale. Vous voulez bien me demander de donner au
orts avec les sciences médicales, l'autre avec la jurisprudence et la médecine légale. (1) Cet article nous a été adresse par
rvons d'en faire l'objet d'une publication prochaine. ACADÉMIE DE MÉDECINE DE BELGIQUE De l'opportunité d'interdire les sé
s attestons bien clairement que nous n'entendons pas réclamer pour la médecine le monopole des manœuvres hypnotiques, encore bie
es titres; il y a la nature même du fonds qu'il s'agit de creuser. La médecine s'en est donc saisie comme d'une question de phys
J'ai l'honneur de déposer la proposition suivante : « L'Académie de médecine de Belgique, considérant que tout appel lait à un
cet état spasmodique propre à la seconde enfance, et qu'on désigne en médecine sous le nom de terreurs nocturnes. Or, les enfant
monomanie des cloîtres. Magie, Force psychique et Spiritisme. 4° La Médecine dans la littérature du moyen Sge : Farces, Morali
pitre de son livre, le Dr Dupouy expose le rôle important joué par la médecine dans la littérature du moyen âge. Les anecdotes p
suivies de l'examen du rapport présenté par M. Masoin à l'Académie de médecine , par J. Delbœuf.— Brochure in-8°-, 110 pages. Liè
boissons alcooliques (Congrès de Zurich contre l', 121. Académie de médecine , 26, 27, 88, 3o6. Académie de médecine de Belgiqu
ch contre l', 121. Académie de médecine, 26, 27, 88, 3o6. Académie de médecine de Belgique, 3o9, 342. 368. Accès de délire m
t, 27. Autopsie (la Société mutuelle d'), 193. Auto-suggestion en médecine légale, par Burot, 154. Auto-suggestion (procéd
une), par Brémaud. 16 Massage (du), par Dujardin-Beaumetz, 118. Médecine légale (de l'auto-suggestion en). par Burot. 15
118. Médecine légale (de l'auto-suggestion en). par Burot. 154. Médecine suggestive (éléments de), 282. Mensonge (habitude
d'hypnotisme à Granges. 217. Société de biologie, 247. Société de médecine de Berlin, 180. Société médico-psychologique, 209
) et du somnambulisme dans leurs rapports avec la jurisprudence et la médecine légale, par Liégeois, 356. Suggestion mentale (
11 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
PHYSIOLOGIQUE Paraissant tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE-MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Redacteur
ofesseur de philosophie au lycée Hoche, de M. Max Dessoir, docteur en médecine et-en philosophie, privat-docent à l'Université d
mais il eut de l'insomnie, une fièvre cérébrale et mourut (Journal de médecine , août 1760). Un accusé criminel, Patenotte, tém
nte, sous la présidence de M. Du-montpallier, membre de l'Académie de médecine . La réunion sera suivie d'un banquet. (Prix du
e enseignée à aucun des élèves qui n'ont pas commencé leurs études de médecine . Cette école est due à l'initiative de M. le Dr A
. le Dr Archambaud. Aucun candidat, à moins qu'il ne soit étudiant en médecine , n'est admis à suivre les cours avant d'avoir pas
ue. — Une souscription est ouverte par l'Association des Etudiants en médecine de l'Université de Liège, à l'effet d'organiser u
f. Belgique. — Nous apprenons avec un vif plaisir que l'Académie de médecine de Belgique vient de décerner le prix de 600 fran
lle revue vient de paraître en Allemagne sous le titre ta Revue de la médecine sociale; le deuxième numéro contient un intéressa
enso : « Ce jourd'huy, jour de mars 1566, nous sousignés, docteurs on médecine et chirurgiens, demeurants à Laon, nous sommes tr
RONIQUE ET CORRESPONDANCE La suggestion du suicide. La Société de médecine de Berne vient de voter la décision suivante: ? D
mise à la disposition des étudiants inscrits. Troisième Congrès de médecine . — Le troisième Congrès de médecine se tiendra à
inscrits. Troisième Congrès de médecine. — Le troisième Congrès de médecine se tiendra à Nancy, en 1896, sous la présidence d
est là, d'ailleurs, ce qui se fait souvent pour d'autres questions de médecine légale. Anorexie mentale. M. Paul Sollier, de
CE MÉDICALE Les magnétiseurs et la loi de 1892 sur l'exercice de la médecine Le 20 mai, les Délégués de l'Union des Syndicat
on et application de la loi du 30 Novembre 1892, sur l'exercice de la médecine . Monsieur le Ministre, Se rappelant quelle bi
ésulte de l'information et des débats que Jacob, sans être docteur en médecine ni oQîcier de santé, reçoit chaque jour, 23, aven
gislateur que de prétendre que la nouvelle loi sur l'exercice de la médecine .....ne punit pas les pratiques magnétiques, les
UDENCE MÉDICALE scientifiques et n'entreraient pas dans celui de la médecine proprement dite, c'est-à-dire ne se serviraient p
lle ne définit pas les faits qui constituent l'exercice illégal de la médecine , de la chirurgie, de l'art dentaire et de la prat
iplômes exigés par la loi, a exercé habituellement et illégalement la médecine , en faisant des passes magnétiques à des malades
in que la veuve Blin a déjà été condamnée pour exercice illégal de la médecine et qu'il y a lieu pour le Tribunal de se montrer
loi lorsqu'il est pratiqué par toute autre personne qu'un docteur en médecine . Mais, sur appel de la femme Blin, la Cour d'An
loi de ventôse an XI, qui ne définissait pas l'exercice illégal de la médecine , ces faits pouvaient être réprimés, it n'en saura
ns tribunaux apportent dans la répression de l'exercice illégal de la médecine . Veuillez, Monsieur le Ministre, etc.... CHRO
s souvent associés dans l'étude des questions de responsabilité et de médecine légale. M. le Dr Jacques Bertillon porte un toast
, qui avait prévu la révolution qui s'accomplit dans le domaine de la médecine psychologique. M. le secrétaire général propose d
que est mise à la disposition des étudiants inscrits. Académie de médecine . — M. le professeur Azam, de Bordeaux, qui fut un
me, vient d'être nommé membre correspondant national de l'Académie de médecine de Paris. Nous lui adressons nos plus vives félic
Paris. Nous lui adressons nos plus vives félicitations. Faculté de médecine de Konigsberg. — M. le docteur F. Meschede, priva
cent de psychiatrie,est nommé professeur extraordinaire. Faculté de médecine de Wurlzbourg. — M. le docteur K. Iïieger, profes
ttribuée à cette cause. En la supprimant, nous faisons plus que de la médecine palliative. La seconde malade que je vous prése
et avait l'aspect de l'encéphaloide. SOCIÉTÉS SAVANTES CONGRÈS DE MÉDECINE INTERNE [Session de Bordeaux 1895) L'électrot
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . Les prochaines séances auront lieu les lundis
rier, 1, place Jussieu. L'inanition chez le mouton. Le Recueil de médecine vétérinaire rapporte, d'après The Veterina-Wan, p
conditions, M. le docteur O. Rosenbach, professeur extraordinaire de médecine interne à la Faculté de médecine de Breslau, a pu
enbach, professeur extraordinaire de médecine interne à la Faculté de médecine de Breslau, a pu se convaincre qu'il suffit simpl
le de gymnastique médicale et de massage de Bordeaux. — Le Journal de médecine de Bordeaux annonce la création à Bordeaux d'une
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . La prochaine séance aura lieu le lundi 16 Déce
e de la liberté. A quoi rêvent les jeunes filles. Le Journal de médecine de Paris cite le curieux extrait suivant des Mémo
es, une conférence sur L'éducation intégrale du cerveau. Faculté de Médecine : Clinique des maladies du système nerveux,— M. l
employés dans le même dessein, et souvent avec un égal succès, par la médecine ? Interdirez-vous à celle-ci de traiter et de gué
laborateur ? Et par des considérations pareilles, défendrez-vous à la médecine de connaître de certains autres vices, tels par e
que. Thèse, Paris, 1880. (2) Hirtz et Frœnkel. — Polyurie hystérique. Médecine moderne, octobre 1895. Delpech a vu un hystér
la suggestion hypnotique habituelle. SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉTÉ DE MÉDECINE LÉGALE Séance du 9 décembre 1895. — Présidence
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . Les prochaines séances auront lieu les lundis
etter. Membres du Comité : Dr Grashey, professeur à la Faculté de Médecine ; Dr Rüdinger, professeur à la Faculté de Médecine
eur à la Faculté de Médecine; Dr Rüdinger, professeur à la Faculté de Médecine ; Dr J. Ranque, professeur à la Faculté de philos
la Pitié. Le Comité d'organisation du XIIe Congrès international de médecine , qui doit se tenir à Moscou en août 1897, vient d
1896. UNE CURE MERVEILLEUSE DE SYCOSIS La plupart des journaux de médecine russes et allemands avaient enregistré sans comme
ifique exceptionnel. L'analyse de ce travail nous a été donnée par la Médecine Moderne, et c'est à cet intéressant journal que n
ent les progrès réalisés depuis quelques années dans le domaine de la médecine psychologique. S'adressant aux membres de la Soci
econnaissance à M. le docteur Sopus Torup, professeur à la Faculté de Médecine de Christiania ; à M. le docteur Edward Bull, méd
le rôle que les rêves des hystériques peuvent être appelés à jouer en médecine légale ; rôle d'autant plus à craindre que, bien
age du lobe occipital gauche. VARIÉTÉS Alexandre Dumas fils et la médecine Conversation avec lo Dr Domontpallier, membre d
cine Conversation avec lo Dr Domontpallier, membre de l'Académie de médecine (1). Comme on comprend qu'elle ait tenté cet es
ien des fois, que la bibliothèque de Marly était riche en ouvrages de médecine ; que les encyclopédies médicales y côtoyaient le
apprenait pas davantage sur les connaissances de Dumas en matière de médecine . Qui pouvait nous éclairer à ce sujet ? « Si vo
nouveau ! » s'écriait-il. Et pourtant cet homme ne croyait pas à la médecine . Il consultait volontiers les empiriques, et non
ente, sous la présidence de M. Dumontpallier, membre de l'Académie de médecine . Les prochaines séances auront lieu les lundis
tion. L'Institut Pasteur serait-il en train de devenir une faculté de médecine homœopathique ? A propos de la contagion du meu
boratoire de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris, est nommé chef honoraire dudit laborato
va nous le faire connaître : « Je soussigné, M. Davreux, docteur en médecine , etc., déclare que ce qui suit est entièrement co
ment à ces stigmates le caractère surnaturel que l'Académie royale de médecine de Belgique elle-même, appelée à se prononcer, s'
re témoin de cette scène que le père, j'appelle mon tîls, étudiant en médecine , pour contrôler au besoin l'expérience. La jeune
vitalisme dont les derniers adeptes se sont réfugiés à la faculté de médecine de Montpellier? On pourrait le croire en lisant l
ganicisme qui, depuis près d'un siècle, dominant les choses de la médecine , a imprimé à cette science une impulsion vraiment
du névrose, par le ?' J. Dèjerixe, professeur agrégé à la faculté de médecine de Paris, médecin de la Salpêtrière. — In-i° de 3
ons sur les maladies nerveuses, les samedis à 10 heures. Congrès de médecine mentale et nerveuse. — Le septième Congrès annuel
Nancy, sous la présidence de M. le Dr Pitres, doyen de la Faculté de Médecine de Bordeaux. Le programme comprendra : 1° Que
nsi l'éther, employé comme anesthésique en chirurgie, sert souvent en médecine comme médicament excitant. Le chloral est le mé
D ?' F. Regsault. Rôle de l'hypnotisme dans l'histoire des religions. Médecine moderne, 1894, p. 1452. (2) Zeitschrijt fur hyp
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . Lec prochaines séances auront lieu les lundis
en 1560 et reproduit dans la thèse de M. P. Lafeuille (La Faculté de médecine de Cahors, Lyon 1895), constitue un document inté
ts inscrits. Cours d'hypnotisme à l'Ecole pratique de la Faculté de Médecine M. le Dr Bérillon, inspecteur adjoint des asile
utorisé par le Conseil supérieur des Facultés à faire à la Faculté de médecine un cours libre sur le sujet suivant : Psychologie
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . Les prochaines séances auront lieu les lundis
Sully, de Londres ; ?. B. Titchenerj d'Ithakn. L'enseignement de la médecine Le D' Bérillon, à la dernière réunion du Syndic
gues d'une proposition relative aux Cours litres dans les Facultés de Médecine , et tendant à une réglementation plus libérale. A
ée qui régit les cours libres par le projet suivant : Les docteurs en médecine qui voudraient faire un cours libre dans une Facu
urs. Le nombre des candidats admis pourrait être illimité. L'Ecole dc médecine n'aurait à fournir aux: professeurs libres que la
plement la création d'un Certificat d'aptitude à l'enseignement de la médecine . L'Hypnotisme au théâtre Le nouveau théâtre d
, comme romplices et solidairement coupables d'exercice illégal de la médecine , a infligé une amende de 300 francs à l'officier
ts inscrits. Cours d'hypnotisme à l'Ecole pratique de la Faculté de Médecine M. le d' Bérillon a commencé son cours le mardi
le D' E. Réois, Chargé du Cours des maladies mentales à la Faculté de Médecine . Le sujet que je désire présenter à la Société
... C9i endormi par M. Regnault devant les nicmlires de In Société dc Médecine . Interrogé, il déclare qu'il a revu la nuit qu'un
il avait annoncé à plusieurs personnes que les Archives générales de médecine venaient de changer de directeur. Après avoir ain
as douteux. Le fait que j'ai l'honneur de soumettre à la Société de médecine de Paris me parait intéressant, d'abord par sa ra
la nécessité de contre-expertiser 1. Communication à la Société do médecine de Paris. pour trancher, d'une façon définiti
logie, la Physiologie et la Pathologie, et dans ses applications a la Médecine , à la Chirurgie, a la Physiologie expérimentale,
s a la Médecine, à la Chirurgie, a la Physiologie expérimentale, à la Médecine légale et à l'Education. Ainsi, les application
e : A la page 111, quatrième alinéa, on lit : o L'éducation et la médecine de l'âme trouvent dans le braidisme des moyens d'
fixer la suggestion. · Ses cours à PEcole pratique de la Faculté de Médecine , l'enseignement qu'il donne à sa Clinique et les
e doit d'être accepté aujourd'hui comme une conquête définitive de la médecine . M. Auguste Voisin. — Je remercie M. Bérillon d
qu'on a signalé, à la Société médico-psychologique et à l'Académie de Médecine , des cas très nombreux de malades condamnés pour
serait d'instituer dans les Facultés de Droit un cours portant sur la médecine légale en ce qui concerne les aliénés ou ceux qu'
s'inquiéter que des phénomènes extérieurs et s'appliquer à guérir, la médecine légale a le devoir d'en rechercher le déterminism
nte, sous la présidence dc M. Dumont-paliier, membre de l'Académie de médecine . Les prochaines séances auront lieu les lundis
al français d'Initiative et de Propagande du Congrès international de Médecine de Moscou. [7/19-14/26 août 1897). A la réunion d
nal français d'Initiative et de Propagandedu Congrès international de Médecine deMoscou en ?89?. Ce Comité a pour mission de m
més membres de ce Comité: 1° MM. les Doyens de toutes les Facultés de Médecine de France ; 2° M. le Président de l'Académie dc M
Facultés de Médecine de France ; 2° M. le Président de l'Académie dc Médecine ; 3° Tous les membres de l'Association de la Pres
part aux travaux du Congrès de l'hypnotisme, en 1889.? l'Académie de médecine de Belgique, il avait fait un rapport très docume
sera celle de M. le docteur D ? montp allier, membre de l'Académie de médecine , président perpétuel de la Société d'hypnologie e
ses de l'accouchement. JURISPRUDENCE L'hypnotisme à l'Académie de médecine de Belgique M. Masoin vient de déposera l'Acadé
nt l'un des chapitres les moins étudiés et les moins documentés de la médecine vétérinaire. Bien qu'ils offrent un incontestable
nt sur la terre du docteur Dieu devant guérir le genre humain. « La médecine , la chirurgie n'existent plus, s'écriait-il, il n
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . Adresser les communications à M. le Dr Bérillo
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . Les auteurs sont invités à adresser dès à prés
lineau ; trésorier, Ch. Daveluy. Conférence sur l'hypnotisme à la « Médecine moderne. » La première conférence organisée par
à la « Médecine moderne. » La première conférence organisée par la Médecine moderne a eu lieu le jeudi 11 juin, comme nous l'
ns. Longtemps avant l'heure indiquée, la vaste salle de lecture de la Médecine moderne était déjà remplie par une foule nombreus
it déjà remplie par une foule nombreuse de médecins et d'étudiants en médecine . Le conférencier, M. le Dr Bérillon, médecin insp
tre à l'hypnotisme les mérites suivants : il constitue un retour à la médecine philosophique dont nos aînés tiraient un si grand
; il élargit la sphère d'action thérapeutique; enfin il constitue une médecine préventive de la plus grande efficacité contre le
5, boulevard Haussmann, Paris, 1895. Mon in (Dr e.) — Formulaire de médecine pratique, i vol. in-8 de 696 pages. Société d'édi
Suisse (étude sur l'), par Puteaux. 123. Alexandre Dumas fils et la médecine , 216. Aliénés à Paris en 1894 (les), 30. Alié
res et concours sur épreuves, 125. Conférence sur l'hypnotisme à la Médecine moderne, 379. Congrès de médecine interne, 121.
Conférence sur l'hypnotisme à la Médecine moderne, 379. Congrès de médecine interne, 121. Congrès de psychologie de Munich,
63, 95, 158, 190, 222, 254, 287, 317, 352, 377. Enseignement de la médecine , par le Dr Bérillon, 315. Enseignement dc l'hyp
ique (la médication), par Fer-rand, 257. Hypnotisme à l'Académie de médecine de Belgique, 361. Hypnotisme dans la thérapeuti
aux (les), 316. Magnétiseurs et la loi de 1892 sur l'exercice de la médecine des), 87. Malade (présentation de) 109. Massa
de tempérance et les asiles pour les buveurs (les), 123. Société de médecine légale, 186. Société de médecine et de chirurgi
s buveurs (les), 123. Société de médecine légale, 186. Société de médecine et de chirurgie de Bordeaux, 347. Sommeil impér
12 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
IQUE 9 1 4 9 8 Paraissant tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES - Rédac
PHYSIOLOGIQUE Paraissant tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédacteru
il supérieur des Facultés à faire à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine , pendant le semestre d'été, un cours libre sur le
orable exprimé par M. le professeur Brouardel, doyen de la Faculté de médecine , au libéralisme duquel nous sommes heureux de ren
ker (de Florence); MM. les Drs Luys, Ferrand, membre de l'Académie de médecine , Bianchi (de Parme), Marcelin, Cazeux, H. Lemesle
péri-utérines). Par M. le Dr DuMONTPALIER, membre de l'académie de médecine . Il est d'obsevation courante que toute personn
yables qu'il avait à combattre contre les orthodoxes praticiens de la médecine et du mesmérisme ; et il se plaignait de ce que,
lles, avec beaucoup de références à Braid, parut dans les Archives de Médecine en 1860. A peu près à la même époque, Broca, qui
a Salpétrière, relativement à l'action des aimants, des métaux et des médecines contenues dans des tubes cachetés. Braid démontra
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . La prochaine séance do la Société aura lieu le
ésorier, 1, place Jussieu. Les magnétiseurs et l'exercice de la médecine . Le tribunal d'Angers vient de rendre une décis
xe l'application des principes de la lot de 1802 sur l'exercice de la médecine . Un sieur Mouroux. établi magnétiseur à Angers,
ville, qui lui reprochait de nombreux faits d'exercice illégal de la médecine . Le syndicat des médecins d'Angers se portait p
et les magnétiseurs, les articles punissant l'exercice illégal de la médecine ne pouvant leur êtro appliqués, ajoute le rapport
s d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
ment, il « faut être sain d'esprit. » Art. 909. — « Les docteurs en médecine ou en chirurgie, les officiers « de santé et les
909 du Code civil, ne doit pas ¦ être limitée aux seuls docteurs en médecine ou en chirurgie, officiers t de santé ou pharmaci
tale de leur influence illusoire, lu à New-York, devant l'Académie de Médecine , ressemble strictement à tout ce qui avait été di
nfin sur le cerveau. Les aimants ordinaires dont il est fait usage en médecine , disent-ils, ont un effet purement subjectif ou p
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie do médecine . Les prochai nés séances de la Société auront l
Société a groupé autour de M. Dumontpallicr, membre de l'Académie de Médecine , qui présidait, un grand nombre de convives. Parm
A la fin du dîner, des toasts nombreux ont été portés au succès de la médecine psychologique, et M. le Dr Vogt a présenté quelqu
s d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
rapport sur Fkyprudisme et la suggestion dans leurs rapports avec la médecine légale, et M. le professeur Bernheim avait été na
a première fois, dans la douzième session du Congrès international de médecine , les honneurs d'un rapport officiel, a acquis ain
omptueuse. Nous aurons terminé ce rapide exposé du rôle joué par la médecine psychologique au Congrès de Moscou, quand nous au
r M. le D1 BotrcBEn.dc Rouen. Au premier Congrès Français annuel de médecine mentale tenu à Rouen en 1890, nous avons signalé
ons de Iïcrnheim relativement au rôle joué par la suggestion, dans la médecine ordinaire, étaient depuis longtemps exprimées par
ue qui se propose à notre observation est, dans le présent état de la médecine , une pure absurdité et une simple condescendance
n de quassia, et qui disait: o J'ai l'habitude de toujours donner des médecines qui produisent d'appréciables effets; par conséqu
ent pas les qualités que nous avions l'habitude de leur attribuer. La médecine commence comme une superstition enveloppée par de
ce d'un sujet destiné à révolutionner la théorie et la pratique de la médecine . Autant que je puisse savoir, le seul écrivain
tie de plusieurs assemblées savantes, entre autres : de l'Académie de médecine (1877), de la Société de biologie; il avait été l
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . Les prochaines séances de la Société auront li
aymond, professeur de clinique des maladies nerveuses à la Faculté de médecine de Paris, a reçu du professeur Beohteref, de l'Ac
de Paris, a reçu du professeur Beohteref, de l'Académie militaire de médecine de Saint-Pétersbourg, la dépêche suivante : « S
s d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'éléj par des conférences sur les appl
et du somnambulisme, dans leurs rapports avec la jurisprudence et la médecine légale. 1 vol. Rr. in-18. Paris, 1«S9. 0. Doin, é
e de l'hypnotisme et de la suggestion en philosophie, en histoire, en médecine , en jurisprudence; il montre comment cette scienc
m d'Amsterdam et par M. le Dr Crocq père, membre de l'Académie de Médecine de Belgique. De l'aveu de presque tous les méde
r Chrétien et seize étudiants appartenant, la plupart à la Faculté de médecine , quelques-uns aux Facultés de droit et des lettre
ques-uns aux Facultés de droit et des lettres. M. C..., étudiant en médecine , se présente pour servir de sujet pour les expéri
male. Seconde expérience faite le même soir. M. B..., étudiant en médecine , se présente pour servir de sujet. Je n'insistera
st suggéré, en généralisant une impulsion partielle. Un étudiant en médecine , M. X..., qui n'assistait pas à la première séanc
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . Les prochaines séances de la Société auront li
s d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
pportau Congrès de Moscou sur la suggestion dans ses rapports avec la médecine légale, 1897), j'ai toujours affirmé le contraire
actuel de nos connaissances, qu'il est tout naturel qu'un Congrès de médecine légale ait porté la question à son ordre du jour,
ébranler ce scepticisme opposé à l'administration de (1) Congres de Médecine légale: Bruxelles, 1877. la justice, telle qu
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallîcr, membre de l'Académie de médecine . Les prochaines séances de la Société auront li
d'aliénés, y complète son cours à. l'Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
Faculté de Bologne. — M. le Dr- Al. Grigorjev est nommé professeur de médecine légale à la Faculté de Varsovie. NÉCROLOGIE W
ut psycho-physiologique de Paris, à l'Ecole pratique de la Faculté de Médecine et dans de nombreuses conférences; grâce aux disc
r Hypnotisme t 1896, 10* année, p. t, et Comptes rendus du Congrès do Médecine , Lyon, 1895, p. 677. 16* Bérillos. — Le traitem
e à la pédagogie des dégénérés héréditaires (Congres international de médecine , Moscou, 1897.] ÉTUDE MÉDICO-LÈGALE DE L'HY
Eloge du Dr J. Luys. Par M. Dumontpallier, membre de l'Académie de Médecine . Messieurs, Je viens, aujourd'hui, rendre hom
Luys, ancien interne lauréat des hôpitaux, lauréat de l'Académie de médecine , de la Faculté de médecine et de l'Académie des s
éat des hôpitaux, lauréat de l'Académie de médecine, de la Faculté de médecine et de l'Académie des sciences, médecin des hôpita
cadémie des sciences, médecin des hôpitaux et membre de l'Académie de médecine , avait consacré plus de quarante années de sa vie
la part qui revient à l'usage du miscros-cope dans les travaux de la médecine clinique. C'est à lui que nous devons la premiè
ctueux pour l'homme dont la vie entière fut consacrée à l'étude de la médecine , et qui fut un des premiers par ses recherches, s
nte, sous la présidence de M. Dumont-patlicr, membre de l'Académie de médecine . Les prochaines séances de la Société auront li
s d'aliénés, y complète son cours ù l'Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
nvier, à cinq heures, M. le dr Dumontpallier, membre de l'Académie de médecine , fera une conférence sur ; Comment j'ai été condu
trations expérimentales et de présentations d'appareils. Faculté de Médecine . — Cliniques des maladies nerveuses: M. le profes
notisme. Conférences. — M. le Dr Bérillon fera, dans la salle de la Médecine moderne, 100. boulevard Saint-Germain, le mardi 1
(avec projections). Prix. — Dans la liste de prix de l'Académie de médecine , nous relevons les récompenses suivantes : Prix
, in-12, Alcan. Paris, 1897. Maurice de Fleury. — Introduction à la médecine de l'esprit. in-8°, 476 pages, Alcan. Paris, 1897
et du somnambulisme, dans eurs rapports avec la jurisprudence et la médecine légale. 1 vol. gr. in-18. Paris. O. Doin, édite
euse (p. 37!) ». De son côté, M, Brouardel professe, à son cours de médecine légale de l'Université de Paris, que o les somnam
at qui se livre précisément sur le terrain de la psychologie et de la médecine . M. de Rochas me parait, en effet, tomber dans un
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . Les prochaines séances de la Société auront li
s d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
ES MAITRES DE L'HYPNOTISME M. le Dr MESNET, Membre de l'Académie de Médecine M. le Dr Mesket (de Paris). Le D' Mesnet, mem
M. le Dr Mesket (de Paris). Le D' Mesnet, membre de l'Académie de Médecine , médecin honoraire des hôpitaux, officier de la L
ompu ses travaux. Il était né à Saumur, en 1825. C'est a l'Ecole de Médecine d'Angers qu'il commença ses études médicales,
erveau et du système nerveux. En 1856, il publia dans les Archives de Médecine une étude tout à fait originale sur la folie rhum
inale sur la folie rhumatismale. En 18G0, parut, dans les Archives de Médecine , sous le titre de : « Somnambulisme pathologique
e à troubler l'ordre social. Cerise, qui fut chargé par l'Académie de Médecine d'analyser la très intéressante communication de
t furent aussi témoins un certain nombre d'étudiants de la Faculté de médecine de Paris. Mais, à cause du peu de temps dont il d
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . Les prochaines séances de la Société auront li
s d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
pélrlère, et notamment par M. le Dr Brouardel, doyen de la Faculté de Médecine de Paris. M. Brouardel fonde son opinion sur l'
oncé trop vite. D'ailleurs, à celte opinion du savant professeur de médecine légale de la Faculté de Paris, nous avons plus d'
u somnambulisme, etc., p. 537. (2) Annales d’hygiène publique et de médecine légale, 1879, 3e série p. 44. (3) J. Liégeois :
idée en thérapeutique. Par M. Ddmontpalubr, membre do l'Académie de Médecine . Dans la séance du 19 juillet 1897 ('), je comm
nte, sous la présidence de M. Dumonl-pallier, membre de l'Académie de médecine . Les prochaines séances de la Société auront li
s d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
hypnotiques et de la psychologie expérimentale à la philosophie, à la médecine légale, à la thérapeutique, à la connaissance des
Etude clinique de. l'éjal mental des hystériques. L'hystérie et la médecine légale. 27 avril : Etude de la suggestion au poin
EIGNEMENT SUPÉRIEUR LIBRE COURS A L'ÉCOLE PRATIQUE DE LA FACULTÉ DE MÉDECINE Semestre d'été 1897-1898 M. le D' Bérillon, méd
le mardi 19 Avril, à cinq heures, à l'Ecole Pratique de la Faculté de médecine (amphithéâtre Cruvcilbier), un cours libre sur le
précurseurs. Liébeault, né en 1823, à Favières (Meurthe), étudia la médecine à Strasbourg. Il fut de bonne heure attiré vers l
arlatan et d'imposteur. On s'arrangea pour l'écarter de la Société de médecine de Nancy. Il est naturel que tout homme qui app
seur. En 1881, M. Dumont, chef des travaux physiques de la Faculté de Médecine , eut l'idée de suivre ses consultations. Il fut c
tant cinq à six fois par jour. Bernheim, professeur à la Faculté de médecine de Nancy, expérimenta à son tour dans son service
orts de la suggestion et du somnambulisme avec la jurisprudence et la médecine légale (1088). L'Ecole de Nancy était fondée. D
romettante. En 1891, M. Déjcrine, professeur agrégé à la Faculté de médecine de Paris a, dans La Médecine moderne, pris nettem
crine, professeur agrégé à la Faculté de médecine de Paris a, dans La Médecine moderne, pris nettement position avec l'Ecole de
r le vol J. L. (2) D* Déjerine : Hypnotisme et suggestion». Voy. La Médecine moderne, 1891, p.79 (3) Revue philosophique, 18
un admirable instrument de vivisection morale et intellectuelle. En Médecine , c'est toute une révolution, qui jette des lumièr
ci du somnamoulisme, dans leurs rapports avec la jurisprudence et la médecine légale. Une science qui. née d'hier, a déjà d
lôsistunce obstinée quo.penianl près d'un deiui-siécle, l'Académie de Médecine a opposée à tout ce qui était du ressort de l'byp
frères lorsqu'à Nancy môme il demanda a faire partie de la Société do médecine de cette ville ? En même temps, ii Pans, au sein
ères, deux gentilshommes normands, dévots et exerçant gratuitement la médecine par charité, vinrent lui donner leurs soins. C'ét
nte, snus la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . Les prochaines séances de la Société auront li
banquet. L'élection du professeur Charles Rlchet à l'Académie de médecine . L'élection du professeur Charles Kiehet à l'Ac
e médecine. L'élection du professeur Charles Kiehet à l'Académie de Médecine a été accueillie dans le monde scientifique et ph
ccasion du voyage présidentiel et du dernier congrès international de médecine , sur les Russes, sur leurs mœurs, leurs sentiment
s d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
août 1900, immédiatement après Ja clôture du Congrès international de médecine . » Le bureau du comité exécutif est ainsi const
'hypnotisme devant la loi du 30 novembre 1892, sur l'exercice de la médecine . — Intervention des pouvoirs publics dans la régl
s qu'il est appelé à rendre non seulement au praticien qui fait de la médecine générale, mais encore au spécialiste en neuropath
nuit la lumière aux ténèbres. » Les principaux cas dans lesquels la médecine psychologique a donné à Wetterstrand de remarquab
us la présidence de M. le, V)' Dumontpallier, membre de l'Académie de Médecine . Les auteurs sont invités à adresser, dès à pré
ixée au Lundi 11 Juillet, a quatre heures. Election a l'Académie de Médecine . — Nous apprenons avec un grand plaisir l'électio
ne. — Nous apprenons avec un grand plaisir l'élection à l'Académie de Médecine de M. le Dr Paul Richer, qui fut un des élève
s d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de là faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
, in-12, Alean. Paris, 1897. Maurice de Fleury. — Introduction à ta médecine de l'esprit. in-8o, 476 pages, Alean. Paris, Î897
physiologique, 190. Cours libre à l'école pratique de la faculté de médecine (programme), 287. Criminels aliénes, par le Dr
dans la), 281. Magnétiseurs, 57. Magnétiseurs et l'exercice de la médecine (les), 31. Maladies mentales (de l'application
s Dr Valentin et Hartenberg, 155. Richet (Charles), à l'Académie de médecine (élection du professeur), 317. Richer (Paul) El
lection du professeur), 317. Richer (Paul) Election à l'Académie de Médecine , 378. Scoliose suggérée chez un hystérique, 351
13 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
HYSIOLOGIQUE REVUE DOCUMENTAIRE ILLUSTRÉE PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédacteur
sous la présidence de M. le Dr Albert Robin, membre de l'Académie de Médecine , assisté de M. le professeur Beaunls, membre d'ho
tte hésitait à se mouiller les pieds. » (2) £t) P. Marie : Revue de médecine , ISSî. page 339. Leclerc : L'angine de poitrine
l. M. le Dr Albert Robin, médecin de Beaujon, membre de l'Académie de médecine , présidait. A ses côtés avaient pris place, M. le
Société, M. le D' Boix, rédacteur en chef des « Archives générales de médecine ». Parmi les convives, nous devons citer M. le
les nous citerons celles de M. le D' Huchard, membre de l'Académie de médecine , Dr Beaunis professeur honoraire à l'Université d
raire à l'Université de Nancy, D' Raymond, professeur à la Faculté de médecine , Dr Brousse, président du Conseil municipal de Pa
l'éloge de la Société qui a contribué à développer les rapports de la médecine et de la psychologie. Après le banquet, on prés
et climatiques de France. — L'enseignement de la psychiatrie et de la médecine légale a la Faculté de droit. Dans sa dernière
révéla les services que l'art peut rendre par son association avec la médecine . Le livre sur les démoniaques a démontré avec la
r d'anatomie a l'Ecole des Beaux-Arts. Devenu membre de l'Académie de médecine et aujourd'hui membre de l'académie des Beaux-ÀTl
apie et d'hygiène urbaine, M. le Dp Hu-chard, membre de l'Académie de médecine , avait proposé le vœu qu'une Commission permanent
Dès l'automne prochain, l'enseignement de la psychiatrie et de la médecine légale sera organisé à la Faculté de droit de Par
nsi dire, systématiquement, à l'écart des études de psychologie ou de médecine mentale. Il leur paraissait qu'il y aurait quelqu
les faire comprendre. Il nous faut un moment devenir professeur de médecine mentale, pour traiter de deux symptômes hystériqu
saisissante est absolument conforme à celle donnée dans nos livres de médecine : la voici : o On n'a plus alors de sensations
ncé ; quelques-unes ont été particulièrement actives. A la section de médecine , M. le Df Bérillon a fait une communication d'ord
me science de l'éducation. M. le Dr Brunoo, directeur de l'Ecole de médecine de Rouen signalait la fréquence dans toute la Nor
n 1905 Présidence de M. le D' Albert Uobîn, membre de l'Académie de médecine , assisté do M. le D' Brousse, président du Consei
re des lettres d'excuses de M. le D' Huchard, membre de l'Académie de médecine , de M. le professeur Raymond, de M. Boirac, vice-
sseur Raymond, de M. Boirac, vice-président, recteur de l'Académie de médecine de Dijon, de MM. les D" Orlitzky (de Moscou), Hce
a tant contribué à développer les rapports de la psychologie avec la médecine . Le rôle joué par l'hypnotisme et par la psychoth
On ne confondra pas la grimace avec les tics. La graphologie et la médecine par M. le Dr Pierre Boccard (1) Pourquoi la Méd
phologie et la médecine par M. le Dr Pierre Boccard (1) Pourquoi la Médecine , qui met chaque jour à contribution tous les moye
t fera une communication sur les enfants anormaux. 2. Le congrès de médecine interne, qui sera présidé par M. le professeur Lé
nadette est-elle d'un quart d'heure à une demi-heure? Nos livres de médecine donnent en effet cette période de temps comme lim
les six principaux caractères de l'extase signalés dans nos livres de médecine : 1° l'obnubilation des sensations; 2° La concent
. , 20e Année. — ? 5. Novembre 1905. BULLETIN Le congrès de médecine interne tenu ù Liège sous la présidence de M. le
du Congrès de médecine- La séance inaugurale du congrès français de médecine a eu lieu à Liège, 26 septembre. Elle était prési
le premier, M. Bouchard, le plus ancien des présidents du congrès de médecine , a en termes des plus heureux, démontré l'utilité
communications ont été faites sur les branches les plus variées de la médecine . La psychologie médicale y a môme été abordée. En
eurologie et de psychiatrie suivait immédiatement celle du congrès de médecine . Ce qui caractérise ce congrès, et ce qui constit
nd désir eût été d'être utile à quelque chose et il souhaitait que la médecine pût tirer quelque profit de son observation. Ré
Arts, sous la présidence de M. le Dr Huchard, membre de l'Académie de médecine . Le programme détaille des cours sera publiédans
sson. 15 francs. Dp Raoul Bbunon : Notes sur le musée de l'Ecole de médecine de Rouen. Rouen, 20 fr., in-8, 1905. Dr Gustave
les maladies contagieuses sont communes à l'homme et aux animaux, la médecine humaine et la médecine vétérinaire n'ont plus de
ses sont communes à l'homme et aux animaux, la médecine humaine et la médecine vétérinaire n'ont plus de raison de rester séparé
Raymond, Albert Robin, Blanchard, Saint-Yves-Ménard, de l'Académie de médecine , MM. les professeurs Arlolng, Cadlot, Baron, des
a Heu sous la présidence de M. le Dr Huchard, membre de l'Académie de médecine , et de M. le Dr Brousse, président du Conseil mun
Duchauffour, président. Nous, soussigné, professeur à la Faculté de Médecine , avons été désigné par Monsieur le Président du T
puis plus... Ah ! elle m'a mis hors de moi, et il faudra plus de huit médecines et douze lavements pour reposer tout ceci! Le M
Dejouhet. Nous, soussigné, E. Brissaud, professeur à la Faculté de Médecine , avons été commis par M. le Président du Tribunal
présenté dans un cas récent où le DT Sêbileau, agrégé à la Faculté de médecine , chargé d'examiner un malade qui avait été traité
les simulateurs trouvent des leçons non seulement dans les livres de médecine , mais même les examens, auxquels ils sont soumis
ues de l'émoti-vitè morbide. D'Ch. Valentino : La psychologie de la médecine hindoue. M. Caustier, professeur au lycée Con
ond, professeur de la Clinique des maladies nerveuses à la Faculté de Médecine de Paris ; de M. le D' Brousse, président du Cons
ofesseur au lycée Louis-lc-Grand, Fiessinger, membre de l'Académie de médecine , de Milloué, conservateur au Musée Guimct. Elles
Alfort, Dr Saint-Yves Ménard et M. Benjamin, membres de l'Académie de médecine , D' Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière, Dr P
inaires, et souhaité la création si légitime du diplôme de docteur en médecine vétérinaire; M. le professeur Charrin et M. Saint
ur la création d'une chaire de clinique thérapeutique à la Faculté de médecine . M. le Dr Albert Robin a été désigné par le M
r le Ministre pour être le titulaire de cette chaire et la Faculté de médecine a ratifié, presque à l'unanimité, le choix du gén
'hérédité, publiée par le professeur Bordier, directeur de l'Ecole de médecine de Grenoble, nous trouvons mis en relief le fait
s, sous la présidence d'honneur du D'Huchard, membre de l'Académie de médecine , et la présidence du Dr J. Voisin, médecin de la
sidence de M. le Dr Fiessinger, membre correspondant de l'Académie de médecine . — Les maladies de lavolontê, par M. le Dr Paul J
d, professeur de la clinique des maladies nerveuses à la Faculté de médecine , président d'honneur du comité. 6* Inauguration d
la présidence d'honneur de M. le Dr Huchard, membre de l'Académie de médecine , et la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médec
ous avons remarqué M. leDr Saint-Yves-Ménard, membre de l'Académie de médecine , les Dc'Pau de Saint-Martin, Lux, Dubois (de Sauj
étuel de l'Académie des sciences, Raymond, professeur à la Faculté de médecine , Albert Robin, professeur à la Faculté de médecin
ur à la Faculté de médecine, Albert Robin, professeur à la Faculté de médecine , Binet, directeur du laboratoire de psychologie à
Nous en retrouvons la manifestation dans la conception générale de la médecine , qu'il exprimait en février 1902, à l'ouverture d
la chaire de clinique thérapeutique, récemment créée à la Faculté de médecine . Lorsque notre Ecole, à ses débuts, n'avait pour
Tout d'abord religieuse, puis philosophique, elle est entrée dans la médecine par le domaine du merveilleux et vous savez comme
ot avait de suite compris le rôle immense qu'était appelée à jouer la médecine de l'esprit. « Il nous apparait, ainsi que l'a
ts forts semblent se croire spirituels en tournant en ridicule la médecine d'imagination. Combien de fois ai-je entendu mon
rait presque dire qu'en agissant ainsi Peter ne faisait pas que de la médecine d'imagination et qu'il pressentait en quelque sor
é la Société. M. le Dr Bérillon rend compte également du congrès de médecine interne auquel il a assisté comme délégué de la S
ond, professeur de la Clinique des maladies nerveuses à la Faculté de médecine de Paris, et M. le Dr Beaunis, professeur honorai
e de Paris, et M. le Dr Beaunis, professeur honoraire à la Faculté de médecine de Nancy. Président : M. le Dr J. Voisin, médec
embres du Comité : MM. le Dr Albert Robin, professeur à la Faculté de médecine de Paris; le Dr Huchard, membre de l'Académie de
Faculté de médecine de Paris; le Dr Huchard, membre de l'Académie de médecine ; le Dr Paul Magnin, professeur à l'Ecole de psych
'hypnologie ; le Dr Fiessinger, membre correspondant de l'Académie de médecine ; le D' Paul Farez, professeur à l'Ecole de psycho
istance publique, M. le Dr Saint-Yves Ménard, membre de l'Académie de médecine , M. le Dr Lloyd-Tuckey (de Londres), M. le Dr Pau
echnique. M. le Dr Fies-singer, membre correspondant de l'Académie de médecine , M. Cornejo, ministre plénipotentiaire du Pérou,
; M. le Dr Prieur, seerétairo général de la Société d'histoire de la médecine , M. le Dr Ducor, président de la Société de médec
d'histoire de la médecine, M. le Dr Ducor, président de la Société de médecine et de chirurgie pratiques, M. Léon de Rosny, prés
cuses adressées par M. le professeur Raymond, membre de l'Académie de médecine , M. le professeur Albert Robin, membre de l'Acadé
e de médecine, M. le professeur Albert Robin, membre de l'Académie de médecine , M. le D' Brousse, président du Conseil municipal
ésident du Conseil municipal, M. le Dr Motet, membre de l'Académie de médecine , M. le Dr Huchard, membre de l'Académie de médeci
de l'Académie de médecine, M. le Dr Huchard, membre de l'Académie de médecine , M. Laurent, secrétaire général de la préfecture
, et le D* Corset, secrétaire général). La Société d'histoire de la médecine (par le D* Prieur, secrétaire général). La Sociét
s sciences psychiques (parle D' Paul Joire, président). La Société de médecine et de chirurgie pratique (par le D* Ducon, présid
nçaise, qui n'a pas oublié l'époque où il s'initiait aux choses de la médecine , a mis sa voix puissante au service du poète. Nou
stance publique ; M. le DT Saint-Yves-Ménard, membre de l'Académie de médecine , et M. le Dr Lloyd-Tuckey (de Londres), n'ont pas
soulager, à guérir un grand nombre de malades et à doter l'art de la médecine d'une méthode nouvelle. « C'est à Liébeault,
aquit, le 16 septembre 1823, Liébeault, Ambrolse, Auguste, docteur en médecine , médecin modeste et homme de bien, qui ouvrit une
de Strasbourg.il se montra étudiant studieux, et fut reçu docteur en médecine , le 7 février 1850. Pendant les deux dernières
t dès lors l'intention de se consacrer à cette branche spéciale de la médecine , mais son professeur de clinique, le Dr Schiitzen
t de vue, il ne fut pas mieux partagé que Braid, auquel la Section de médecine de l'Associa- tion britannique pour l'avancem
rand jour ! Qu'im-. portent surtout les anathèmes et les dogmes de la médecine classique, lorsque, établi sur le terrain solide
érivent de ses doctrines se rattachent autant à la sociologie qu'à la médecine proprement dite, et ce n'est pas ce qui en consti
lt a une portée plus étendue que celle de multiples applications à la médecine . Deux hommes éminents, MM. les professeurs Liégeo
'influence exercée par les travaux de Liébeault dans le domaine de la médecine légale et de la jurisprudence. Il exprima le souh
année, pendant le semestre d'été, à l'Ecole pratique de la faculté de médecine , aura lieu cette année dans la salle de l'Ecole d
inq heures, sous la présidence de M. Huchard, membre de l'Académie de médecine . Le programme du cours sera publié dans le procha
en termes extrêmement flatteurs par M. Debove, doyen de la Faculté de médecine . M. Albert Robin a exposé, en termes très élevé
à l'admiration de tous. Le docteur Magnan, membre de l'Académie de médecine , a consacré plus de quarante années à l'étude des
t dès 1888, dans son enseignement à l'Ecole pratique de la Faculté de Médecine et à sa clinique, Bérillon montrait à ses auditeu
eci me rappelle l'histoire de deux grands obsédés qui ont traversé la médecine au xvi° siècle : Paracelse et Van Helmont. Le pre
a lieu sous la présidence de M. le D'Huchard, membre de l'Académie de Médecine . Programme des Cours Mardi 8 Mai. — Introductio
c Le Dr Bérillon, chargé de cours à l'école pratique de la faculté de médecine de l'université de Paris, professeur à l'école de
s. » C'est l'enseignement donné à l'école pratique de la faculté de médecine depuis 1888 par le Dr Bérillon, sur la psychologi
t été exposées par lui, dès 18S8, à l'école pratique de la faculté de médecine . Il y démontrait le rôle des aboulies, des timi
, en 18SS, dans sa première leçon à l'école pratique de la faculté de médecine : « Tous me demandez quelle est ma spécialité ? i
ts envahis par le choléra. » * Il en est de même dans la Revue de médecine , du Dr Paul Archam-baud : « Nous avons, dit-il,
ofesseur Lionel Daurîac vient d'accorder à notre ami dans la Revue de médecine et de chirurgie féminine, de Mm la doctoresse Bou
e des sciences, de M. le T)T Albert Robin, professeur à la faculté de médecine , de M. ïe D* Huchard, membre de l'académie de méd
la faculté de médecine, de M. ïe D* Huchard, membre de l'académie de médecine , de M. le professeur Edmond Perrier, directeur du
ubois. « Depuis que la suggestion a été quelque peu reconnue par la médecine , des symptômes particuliers se sont fait jour dan
iser : on trouve les mêmes imperfections dans tous les domaines de la médecine et c'est une calomnie basse et indigne de les att
hypnotiseurs dans tous ses écrits du Correspondant et de la Revue de Médecine . Mais c'était trop attendre de Berne et nous espé
Discussion : Dr Bérillon. Dr Ch. Talextixo. — La psychologie de la médecine hindoue. Discussion : Dr Bérillon, IL Lionel Daui
stion. Cours de Psychopathologie du tube digestif à la Faculté de médecine (2* semestre de l'année scolaire 1905-1906) M
ire 1905-1906) M. le Docteur Paul Farez a inauguré, à la Faculté de Médecine (Amphithéâtre Cruveilhier, 15, rue de l'Ecole de
tion ou la curat ion de toutes les affections les plus diverses de la médecine générale chez tous les malades, même ceux qui ne
l de l'académie des sciences; Albert Robin, professeur à laFacuIté de médecine ; Huchabd, membre de l'Académie de médecine; Edmon
professeur à laFacuIté de médecine; Huchabd, membre de l'Académie de médecine ; Edmond Périmer, directeur du Muséum; Giaiid, pro
trand, de Stockholm, qui a aussi abandonné la pratique générale de la médecine pour se livrer à l'hypnotisme écrit dans son livr
e du médecin traitant, M. le Professeur Bùck, directeur de l'Ecole de médecine d'Alger. Des liens d'amitié unissaient depuis lon
rareté des kystes hydatiques de l'estomac, ce qui est une question de médecine et de chirurgie générale, permettez-moi d'attirer
88, 320. Cours de Pychopathologie du tube digestif, à la Faculté de Médecine , par le Dr Paul Farez, p. 352. Critique du livr
Modifications que subit la), par Paul Joire, p. 119. Graphologie et médecine , par Boucard, p. 93. Grimace (La), par Bloch, p
14 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
, et réhabilite le principe qu’il avait nié d’abord. Un étudiant en médecine , d’une forte constitution, magnétisé, éprouvait u
sifs, en se plaignant d’une grande altération. Un autre étudiant en médecine , nommé Faivre, éprouvait du magnétisme les effets
, le nitrate d’argent et toute cette série de poisons que la nouvelle médecine donne comme remèdes. Avant de soulager les malade
ailleurs la sensibilité du sujet et votre pouvoir magnétique. Notre médecine étant d’un ordre physique et moral, vous devez,
on n’a pas encore voulu les aborder. Comment alors la philosophie, la médecine , la physique progresseront-elles si on s’obstine
ons de Neustadt, sur l’Orla, s’est établi à Naumbourg. Il y exerce la médecine par le procédé du magnétisme animal. Ses cures he
vines. — Qu’est-ce que le magnétisme ? — Le magnétisme , c’est la médecine de la nature •(et il écrit ces mots sur un morcea
ens s’exercent spiri-« tuellement. « Qu’on empêche l’exercice de la médecine par des « personnes étrangères à cet art, rien dé
mitif; et, comme le médecin qui, ne sachant plus rien de la véritable médecine ,cherche dans son esprit ce qui peut la rappeler,
du 1er janvier au 25février 1840. MM.Guignard. MM. Druhen, élève en médecine . Combftte, Jules. Mayer, — Froiidhon. Nicolas
vocat. Guyon, — Goux, médecin. i Guilmette, — MM. Petcy, élève en médecine . Viancin, — Grosperrin, — Faivre, — Merlin,
esseur de pathologie interne * et de clinique médicale à l’école de médecine du “ Caire, d’où il est arrivé récemment, ce dern
syncopes fréquentes, etc., etc., et depuis six ans aux prises avec la médecine , qui ne lui avait apporté aucun soulagement, lors
ocha de son enfant, pris d’une affection aiguë de poitrine et dont la médecine désespérait ; elle considéra un instant son enfan
bre, elle tombait malade jusqu’au mois de mai. Tons les remèdes de la médecine ne pouvaient arrêter cette maladie ni en abréger
e mois. Elle ne se relèvera jamais de cette po-« sition ; l’art de la médecine , les soins des médecins « ne produiront sur elle
ons l’excellence de notre découverte en guérissant les malades que la médecine abandonne, en soulageant tout au moins ceux qui n
u jeûne ceux qui allaient dormir dans les temples. Le* anna'es île la médecine sont remplies d'observations de ce genre sur de*
ans le monde : l’homœopalhic cl le magnétisme. On délaisse la vieille médecine , celte bonne mère dont les mamelles se tarissent
r quelques instants à rechercher dans quelles conditions se trouve la médecine , et quelles modifications la théorie et la pratiq
et à l’avenir do notre profession. « On s’est beaucoup occupé de la médecine durant l’année qui vient de s’écouler. Des médeci
se révèlent des symptômes alarmants. Oh délibère sur l’avenir de la médecine : ne devrnit-on pas plutôt prendro quelque souci
ôt prendro quelque souci de son existence même? Je m’explique. « La médecine ne peut exister qu’à la condition que.les malades
d’hui de se le dissimuler, une certaine partie du public abandonne la médecine classique, qu’on appelle ironiquement \'ancienne,
médecine classique, qu’on appelle ironiquement \'ancienne, la vieille médecine , et les malades vont se livrer corps et biens à c
, et les malades vont se livrer corps et biens à ce qu’ils nomment la médecine nouvelle, croyant fermement s’associer ainsi aux
à fait inespérée, alors qu’ils étaient soumis aux pratiques de celte médecine , et on comprend que l'enthousiasme ou l’intérêt a
ant, si ce mieux arrive, quelle sera la part réelle du médicament? La médecine est toujours portée à attribuer la guérison aux m
tout entière, j’ajouterais que c’est surtout dans les services où la médecine est la plus active que la mortalité est la plus c
re les conséquences qu’on peut tirer de son emploi. « Nous avons la médecine du camphre. Ici, c’est tout un roman. Les maladie
uraient échapper à une complète destruction. « Nous avons encore la médecine à l’ammoniaque. Son auteur fatigue périodiquement
nt médicales, et malheureusement je crains que toutes les lois sur la médecine ne puissent réussir à déraciner d’aussi déplorabl
tème, opposé à toute idée de physiologie, s’appelait, par euphémisme, médecine physiologique. Et cependant son auteur ne manquai
i un homme d’un rare mérite, comme écrivain ; membre de l’Académie de Médecine , ancien député, etc., etc., etc. Il fut le plus p
e heureuse épouse a guéri son mari. Donc, sans aucun médicament, sans médecine même, on peut guérir une névralgie sciatique dè
épulsion déterminés ad libitum s’observent ensuite sur un étudiant en médecine que, dans cet état, quatre personnes, chacune phy
s commentaire. « La justice de Privas, assistée de deux docteurs en médecine , a fait exhumer le cadavre dii nommé Cha-pus, mor
end de répondre. Qu’avez-vous fait? Vous pouviez donner une base à la médecine , la rendre réelle, marcher enfin; vous avez mieux
lues. Mais comme j’ai été reçu par le jury permanent de la Faculté de Médecine de Montpellier, en vertu d’une autorisation de M.
ation ne leur soit pas faite: ils sont si innocents de meurtre ! Leur médecine est si bénigne! Tant de gens qui ne sont plus s’e
ement médical seront déclarés morts guéris; ceux qui abandonneront la médecine avant ce dernier terme seront déclarés être de ma
nible d'a-« vouer, dit le docteur Castel, membre de l'Académie • de Médecine , que ce système a rempli la France de « funéraill
France; car j’exerçais un art diabolique, tout à fait contraire à la médecine , et, dans ce cas, les prêtres étaient dirigés par
cine, et, dans ce cas, les prêtres étaient dirigés par une Faculté de Médecine . Je n’ai pas oublié que l’Université, dans une vi
ppelé en cette ville pour donner ses soins à quelques malades que là' médecine classique n’avait pu ni soulager ni guérir. « L
dit le Passe-Temps, que ce projet (1) Voyez Magnétisme oppose à ta médecine , pages 101 et possim. soit adopté par les Chamb
-porains, dès que j’&i eu compris que le magnétisme renfermait la médecine naturelle , je me ,suis livré à son étude, et qua
ceux qui s’honorent du titre desavant, contre toutes les facultés de médecine comme corps, et contre chaque médecin en particul
n médecin qui censure tout ce qui se «attache de près ou de loin à lu médecine ;,il jette au panier tout ce qui est magnétisme ou
ion, çompcwée de MM. Gelof, Lichtzinningen et YanLirçpel, docteurs en médecine , \erspruglen et.Pilmaua, ^pothieaires-junës, fut
t; « Obet, d.-m. P., membre correspondant de l’A-caxlémie royale de Médecine ; « Gibon,d.-m. P.; « Bordonno, chirurgien de
t; « Ricard; « Pesnel, Vous croyez, lecteurs, que l’Académie de Médecine bilité? Vous croyez que l’Académie des Sciences
omme vous êtes simples et candides ! Les Académies des Sciences et do Médecine étudier le magnétisme et revenir sur leur passé !
e Académie « des Sciences, votre Société royale et votre Faculté « de médecine de Paris ont prétendu me couvrir tour « à tour. L
ait libérales , la reconstitution des corps savants, des sociétés «de médecine , qui lui avaient été opposés; écrivait des mémoir
lan nouveau d’édu- cation pour les peuples et un système complet de médecine pour la génération nouvelle. « Demandait-il une
, ayant des saillies, des bons mots ; il fera tout ici, excepté de la médecine . Malade, dans ton désespoir, garde-toi d’appele
s bientôt il abandonna la théologie et les Jésuites pour s'occuper de médecine , qu’il commença à pratiquer six ans après, sous l
etc., etc. Y a-t-il dans notre conduite, lorsque nous attaquons la médecine classique et les médecins, le moindre désir de ve
i? C’est une question que nous soumettons aux doctes de la Faculté de Médecine . Quant à présent, nous nous contentons de citer u
re. Le magnétisme trouve place maintenant dans tous les ouvrages de médecine . Tout auteur soucieux de sa considération prend
ble. ' Le docteur Emangard y déplore la résistance opiniâtre que la médecine oppose à l’examen du mesmérisme. « Avant de nier
outes les questions , voulait résoudre tous les problèmes; éducation, médecine , finances, rien ne lui était étranger. Il écrivit
l’eussions certainement laissé dans nos cartons, si des principes de médecine et d’hygiène, où le magnétisme trouve son applica
ante, ni même aucun souvenir de ce qui s’était passé. ( Journal île médecine de Bordeaux. ) Hydroscopie. — Partout la présen
lus manifeste. N’csl-i! pas bien étonnant que, dans une Académie de médecine , composée de tant de savants, on soit obligé de d
ous voulez que la peur ne vous saisisse, n’ouvrez jamais un livre (le médecine ; car dans cet amas de contradictions et d’erreurs
conçues que fastidieusement assemblées. On dit que la pratique de la médecine est rebutante; je dis plus, elle n’est pas, sous
). » Vingt volumes ne pourraient suffire à l’examen des systèmes de médecine , et ce travail d’ailleurs n’aboutirait à rien. Ma
ts sensibles sur diverses personnes, et notamment sur des malades. La médecine pourrait-elle, pur hasard, tirer parti de cette s
vec cette série de phénomènes insolites que, sous différents noms, la médecine étudie depuis si longtemps, et, il faut l’avouer,
lejuge-ment d’Henriette, M. Barbier (d’Amiens) lit à l’Aca— démie de médecine l’histoire d’une femme qui, ayant entendu raconte
étisme, en cequ’elle crée des somnambules systématiques; or, comme en médecine seulement les systèmes sont nombreux,on aurait bi
rgue. Ainsi a été fait de Mesmer et de ses disciples. Assujettir la médecine à la connaissance d’un agent tout-puissant qui po
à la Charité et au Val-de-Grâce, devant les membres de l’Académie de médecine , par de célèbres médecins français et étrangers;
g. — Obet, D.-M.-P., membre corres- pondant de l’Académie royale de médecine . —. Cibon, D.-M.-P. —Fossev, procureur du roi.— L
spirituel article, nous citerons les suivantes : « Quant à la vieille médecine , elle se meurt, elle est morte : les passes magné
rte maladie de poitrine... « Al) ! je le dois dire à la gloire delà médecine , elle a « fait, en cette occasion, une bello chos
me considéré seulement dans sa vie physique. « Le magnétisme est la médecine universelle dont celle qu’on enseigne dans les fa
question du ma-«'gnétisme. Pendant un demi-siècle, les facultés de « médecine de l’Angleterre ont ridiculisé les faits de « mag
étaillé d’expériences faites à (I) Voyci mon Magnétisme opposé d la médecine , pige 186 et suivantes. Trin o par un mngnétoph
er que M. Ilarrison n’est point un magnétiseur ambulant; il étudie la médecine , et les deux séances qu’il a données étaient grat
nous allons établir notre science à côté de la leur. Les Facultés de médecine rejettent aussi notre moyen de guérir; elles dise
la force; 4° Dans l’équilibre (2). (1) Physiologie, partie de la médecine el des soins physiques. (2} Pai lie de la gymna
our : laissez subsister les choses que nous voyons sans protester. La médecine applaudira, et l’Académie des Sciences continuera
— M. Viancin fait l’analyse d’un ouvrage de M. Guyard, intitulé : la Médecine jugée par les médecins. C’est un éloquent plaidoy
re la méthode Raspail et autres. Nous n’avons à nous occuper ni de la médecine Leroy, ni des cigarettes camphrées. Certes, il y
de la pharmacie, par des moyens tout différents de ceux qu’emploie la médecine actuelle. Déjà vous saviez qu’il existait un agen
taient ne pouvaient faire entendre lo langage de la raison. > La médecine , ayant rejeté le somnambulisme, comme elle avait
grand nombre de ces victimes de l’ignorance médicale. L’Àcadémic de médecine n’avait point, il faut l’avouer, tous les torts q
et. Quel progrès! Voyez déjà comme la science avançait! L’Académie de médecine avait de nouvoau été mise en demeure d’examiner l
suite au prochain numéro.) SOCIÉTÉS SAVANTES. ACADÉMIE ROYALE DE MÉDECINE . Séance du 26 octobre. —L’Académie reçoit de M.
par le magnétisme, des malades soumis à ces doses meurtrières que la médecine actuelle emploie. Ainsi tout se touche, s’encha
, sa marche n’en serait que plus certaine, plus assurée. FACULTÉ DE MÉDECINE DE PARIS. Nous trouvons dans le discours de ren
s médical de Paris veut faire considérer comme exercice illégal de la médecine . Notre maître pense que les Chambres ne sanctionn
ion des tribunaux; car dans ce cas tout échappe. Ce n’est point de la médecine ni rien qui lui ressemble; car qu’est-ce que la m
point de la médecine ni rien qui lui ressemble; car qu’est-ce que la médecine ? un art fondé sur l’observation attentive des mal
forces tout autre moyen proposé, et par ce laissé le champ libre. La médecine morale, qui est une dépendance du magnétisme, a é
bienfaisante, se porte sur les malades qui nous approchent. Voilà la médecine magnétique dans son acception vraie et la plus
ns etcommandés par l’Evangile. «11 ferait beau voir une Académie de médecine citer Jésus devant un tribunal, et ses apôtres qu
it en police correctionnelle sous prévention d'exercice illégal de la médecine . Le tribunal le renvoya de la plainte par les mot
nt que sa femme, malade depuis huit ans et inutilement traitée par la médecine ordinaire, venait d’être guérie par le magnétisme
la prière, comme on sait, est très-grande ; c’est ce qu’on appelle la médecine morale ; comme telle, elle fait partie de nos élu
e. TOME m. lô DÉCEMBRE 18ilG. 11 On voit au cabinet de l’Ecolc de médecine de Paris le cadavre desséché d’uno femme qui exer
qu’à Montpellier j’établissais, en présence de la vieille Faculté de médecine et de toute la ville, la réalité du magnétisme pa
rapport, accablant par les faits négatifs, se lisait à l’Académie de médecine , et venait détruire en partie ce que j’avais eu t
em piriquesqui exercent sans aucun litre; « 2" Ceux qui font de la médecine à l’aido des somnambules; « 3° Ceux qui font de
decine à l’aido des somnambules; « 3° Ceux qui font de la prétendue médecine dite homœopatbique. » Les docteurs Giraud, Ilur
la pratique du magnétisme dans le projet de loi sur l’exercice de la médecine . Le Somnambule, journal magnétique de Lyon , an
uoi se joignent des considérations de psychologie swedenborgienne, de médecine spirituelle ou de guérison par la prière, ainsi q
es. Mais je ne puis mieux établir celte universalité d’exercice de la médecine qu’en vous citant l’aventure suivante: a On dit
«tiers. » — Voilà bien rencontré! Et, à la vérité, chacun se mcsle de médecine , et il y a peu de gens qui ne pensent y savoir be
êts, pouvaient, en connaissance de cause, juger de l'excellence de la médecine . Les intéressés, les médecins seuls furent appelé
stituent, mais non de leur imposer tel ou tel médecin, telle ou telle médecine . Aussi la loi de l’an XI, tout en créant un privi
n’a-t-elle nullement voulu contraindre ceux qui ne croient point à la médecine à recevoir les soins du médecin. Elle a donc perm
elle a laissé chacun libre de se passer de médecin et de faire do la médecine à sa fantaisie. Ce droit est passé dans la famill
, qu’il n’a pour appui que de vains systèmes; ils avouent même que la médecine Ils n’auraient point cette franchise, dont on
guérit 1c plus souvent. Ce naïf aveu signifie tout simplement que la médecine officielle est une chimère. Mais passons là-dessu
M. Poulard, était traduit sous la prévention d’exercice illégal de la médecine . Pourquoi? Parce que, aidé de la seconde vue d’un
qui en a déjà été faite à l’illustre Raspnil, pour avoir découvert la médecine qui porte son nom. Nous sommes donc bien loin de
, en faisant marcher les paralytiques, ils exerçaient illégalement la médecine . La loi seule nous paraît mauvaise, et nous avons
e dire pour en solliciter la réforme. Oui, l’exercice illégal de la médecine est non-seulement un délit, mais c’est un crime c
rne à demander une condamnation pour cause d’cxercico illégal de la médecine . «M° Rappet, avocat des prévenus, fait remarque
éveloppe ensuite quelques considérations de droit pour établir que la médecine faite au moyen du magnétisme ne doit pas être sou
par son jugement, a déclaré qu’une somnambule ne peut pas faire de la médecine et donner des consultations sans être assistée d’
de force musculaire. 263 Exagérations magnétiques. 346 Exercice de la médecine et du magnétisme comparés. 291 Fascination. 102,
, 121, 250 Malade et le médecin (le). 40 Mort et le médecin (la). 179 Médecine jugée par les médecins (la). 265 Monument mesméri
15 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine (le V. MAGNAN Membre de l'Académie ! de m
a Faculté de médecine (le V. MAGNAN Membre de l'Académie ! de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Aunc). F.
r de clinique des maladies du système nerveux à la Facilité (le médecine de Paris. COI.LABORITRUIl5 PIIINCIPÀUX )1.%
s'agissait dans leur cas d'une liémorrhagie sous- . Dictionnaire de médecine el de chirurgie pratique . Article Méninges. 8
lusion médicale se dégage de cette théorie : c'est qu'il existe une médecine psychique, et que la volonté, sous l'influence
de Fursac, chef de clinique des maladies mentales de la Faculté de médecine de Paris, est inscrit sur la liste des admissib
absolument inutile. C'est pourquoi il nous parait surprenant que la médecine se soit bornée à trai- ter ces maladies elles-m
vec la gymnastique passive sont décrits dans la Revue centrale de médecine générale, 1897, sous la rubrique : « Mouvements
brés et des vertébrés; pdr le D1' Hvvet. (Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique, décembre 1900.) L'étude co
t, au besoin, à ceux qui se laissaient persuader difficilement, une médecine de circonstance, et tout fut dit. Quant aux nou
aire. P. KEHAVAL. XX. Hystérie et suggestion. (Académie royale de Médecine de Madrid.) j / Sur une communication de M.
et arriérés en Belgique ; par le Dl LEY. (Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique, décembre 1899.) \ La B
ropose, conformément aux voeux récemment formulés par la Société de médecine mentale, de créer : 1° Pour les idiots et les i
s les 2 ans à l'asile. P. Sérieux. XIIIe Congrès international de médecine . (Paris, 2-9 août 1900.) I. Section de Neurol
Mercredi 8 août. Séance du matin, 9 heures. Quatrième ques- tion. Médecine légale. Les perversions sexuelles obsédantes et i
ures. Continuation de la discussion. Communications diverses sur la médecine légale des aliénés. - thé prostate gland in rel
s parents. Etude clinique, par l\1ne Louise Robinovitch, docteur en médecine à New-York. Sur les rapports des maladies men-
Im" Lannelongue et l3ronardel. Ce Comité disposera, à la Faculté de médecine , d'une très belle salle où les dames congressiste
nts, nous avons pensé que ceux qui s'in- téressent aux choses de la médecine mentale, de l'assistance des aliénés et de l'en
6 ENSEIGNEMENT. - Université de Würzbourg (Bavière). (Faculté 'de médecine : 8' professeurs ordinaires; 8 professeurs z ex
malades sont admis sans plus de formalités que dans les services de médecine interne ou de chirurgie. La clinique sert de bure
stants. Université de Giessen (Grand-Duché de Hesse). (Faculté de médecine : 17 professeurs et privat-docenten ; 140 étudi
au centre de la ville, à proximité des instituts de gynécologie, de médecine interne, d'anatomie pathologique, d'hygiène, d'op
psychiatrie de l'université de Giessen (Bul- letin de la Société de médecine mentale de Belgique, décembre 1896, p. 393-399)
etc. Université d'Iéna (Grand-Duché de Saxe-Weimar). (Faculté de médecine : 12 professeurs ordinaires ; 8 professeurs ext
e. A. FENAYROU. XLIII. La congestion cérébrale devant l'Académie de médecine en 1861 ; par M. P. Marie. (Presse médicale, 3
çon générale. Déjà, en 1861, dans une communication à l'Académie de médecine , Trousseau avait émis une opinion analogue : il
la maladie de Basedow ont che- ' Nous avons publié en 1861, dans la Médecine contemporaine, une revue analytique et critique
nt permis de constater leur parfaite intégrité. H. DENY. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 1. Aliénés méconnus et condamnés; par l
qui restent forcé- ment étrangers aux connaissances spéciales de la médecine ; 2° Les magistrats devraient donc considérer co
ue du Code en usage au Canada, est un commentaire critique REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 229 du Code civil, dans ses rapports av
avouer son amour sans bornes pour l'acteur S..., et son 30 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. désir'de se débarrasser de son mari, La
dits, on ne pouvait conclure a l'irresponsabilité dans le REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 231 sens de la loi. Mais les troubles n
ouve assez souvent des idées de jalousie, certainement 232 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. , pathologiques, qui cependant ne donne
, en expose avec détail le méca- nisme légal. R. M. C. ' REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 233 VIII. La responsabilité des aliénés
atif, et emprunté à un magistrat anglais, l'un de ceux 234 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. qui ont le plus étudié cette question :
raves. (Le Petit Var, 29 août 1900.) XIIIe CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . (2-9 août 1900.) Section de psychiatrie. E
00.) Section de psychiatrie. En 1889, le Congrès international de médecine mentale était auto- nome. Cette année il a été
a été constitué en une section spéciale du Congrès international de médecine . Il a été aussi organisé une section pour la ne
ur la plupart au grand mouvement qui a déjà fait tant progresser la médecine générale et les sciences biologiques, mais enco
résident de la section de Psychiatrie. 2R8 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . les auto-intoxications peuvent simultanément i
n milieu mieux approprié à leur état. HI . CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . Pour eux différents modes d'assistance sont pr
et de l'exercice précoce et anormal de 'ÏW CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . l'activité génératrice prennent sources d'autr
fréquentes; elles reparaissent généralement à l'âge adulte; 11° La médecine légale des psychoses de la puberté est soumise
des psychoses de la puberté est soumise aux règles ordinaires de la médecine légale des'aliénés ; mais les cas relatifs à la
lent avoir une physionomie clinique se 246 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . rapprochant de celle qui a été décrite par Kal
mpagner d'aucune complication phobique 248 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . et rester à l'état de maladie simple de la rou
pose ainsi àla tendance à l'obsession. 250 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . En revanche, la méthode présente l'inconvénien
la pratique, comme les causes morbides 252 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . ' atteignent souvent à la fois le système céré
sation de la section de Neuropathologie du Congrès international de médecine de Paris, j'ai l'honneur et le plaisir, au nom
dent de la section de Neurologie. 2 S il . CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE ! les plus illustres représentants de la scienc
i a été si fécond en découvertes scienti- fiques de tout, ordre; la médecine en a recueilli sa très large part. Pour ce qui
que n'avait guère progressé jusque- 250 C) CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . là et pour cause. Aussi, s'attachait-on princi
ertes qui se sont succédées dans cette 260 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . voie de recherches. Peu d'années se passèrent
s, des cliniciens ont révolutionné, de 262 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . fond en comble, notre connaissance du système
qui représente un des groupements du XIII° Congrès international de Médecine , se trouve être en même temps le IIe Congrès in
grès spécial de Neurologie avec le XIIL° Congrès international de Médecine . L'abondance des travaux qui incombent aux neur
mbres de la Section de Neurologie du XIII0 Congrès international de Médecine , assemblés à la Sorbonne, dans l'amphi- théâtre
bres de la Section de Psychiatrie du XIII" Congrès international de Médecine , assemblés à l'Ecole de Pharmacie, envoient aux
lèbre, qui est à la fois homme politique et membre de l'Académie de médecine . La bonne affirme tenir ce fait de 11111° G...
le or Singer. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Annuaire de l'internat en médecine des Asiles publics d'aliénés du déparlement de
anches et un plan de la ville hors texte. KRAFFT-EBING (R. von).- Médecine légale des aliénés. (Édition française traduite
nées par moi dans un autre article. (XIII' Congrès international de médecine . Paris. Masson et Ci., éditeurs, 1900.) 276 thé
où nous sommes il ne faut jamais oublier le premier précepte de la médecine « non nocere » et ne pas dédaigner, à cause de
ie. Contribution à l'étude de la. ihyroïdile typhique. (Archives de médecine et de pharmacie militaires, 189G.) Charvot. Etu
s, 1888. Testevin. Thyroïdites infectieuses suppurées. {Archives de médecine et de pharmacie militaires, 1899.) SYNDROME D
é de l'adulte : guérison par le traitement thyroïdien. (Archives de médecine et de pharmacie mils- taires, 1899.) * Roger
e but de démontrer cette identité. XIII» CONÇUES INTERNATIONAL DE MÉDECINE . Section de Psychiatrie. Séance du 4 août. Ph
nation sauvage du voisinage du Caucase 302 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . qu'on appelait « Macrocéphales » à cause d'une
es, et que nous n'avons pu vérifier. 304 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . spéciale, brièvement résumée ainsi : front fuy
es lobes Archives, 2 série, t. X. 20 306 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . temporal et sphénoidal et à la région orbitale
elleuses sont aplanies. Le cerveau est 308 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . ordinairement de dimensions normales, mais les
l y avait ordinairement une surproduc- 310 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . tion marquée de névroglie et une prolifération
. Les désordres sclérotiques sont, na- 312 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . turellement, dans beaucoup de cas, à la périod
ée de la pathologie de l'idiotie par Beach, dans le Dictionnaire de médecine psychologique, de Tuke (1892). Pour ce qui est
c., de Bicêtre pendant l'année 1890. 314 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . rieures. Il n'existe pas de véritable arrêt de
ec des planches dans les comptes rendus du Congrès international de médecine mentale de Paris'. C'est cette même année, en 1
Olo[jifjucs sur l'idiotie. Compte rendu du Congres international de médecine mentale de 1878, tenu à Pans (p. 215 et suiv.).
se des circonvolutions (cas de Mate)), 316 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . Meine), mais se distinguant de cette dernière
couche faite du lobe temporal droit : 318 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . très rares, dispersées, isolées et jamais aggl
ulaire (Idiotie hydrocépha- lique) ; 320 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . 8° Idiotie avec cachexie pachydermique ou idio
s la AncmvEs, 21 série, t. X. 21 e'2'.I, CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . guérison, la thérapeutique doit conserver et a
t de toutes les affections mentales. z 324 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . ` M. BRIAND pratique l'alitement depuis quatre
réhension de ces faits, la connais- 326 6 CONGRÈS, INTERNATIONAL DE MÉDECINE . sance nous apparut d'un vrai mécanisme frénate
des lésions. Dans l'aphasie motrice e 328 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . pure (sans agraphie) ou aphémie pure, la lésio
é particulière d'aphasie de ce premier 330 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . groupe, qui a souvent été décrite comme aphasi
tirpations plus ou moins étendues, des 332 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . séparations de l'écorce de la substance blanch
la déglutition s'accompagne de quintes 334 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . de toux et de reflux des liquides par le nez ;
ent directement au cerveau humain. Les 336 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . méthodes qui se basent sur l'anatomie comparée
a partie Archives, 2° série, t. X 22 338 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . moyenne du gyrus angularis, la 3° circonvoluti
organisé pourrait rendre d'énormes services à la popu- lation, à la médecine et surtout aux élèves de nos cliniques médicale
missions. Université de Leipzig (Royaume de Saxe). La faculté de médecine de l'université de Leipzig comptait, lors de no
t de cet article fut communiqué au XIII, Congrès interna- tional de médecine de Paris. Section de Neurologie. ' Voir Archive
mes). Université de Halle (Prusse, province de Saxe). (Faculté de médecine : 12 Professeurs ordinaires, 10 Professeurs ext
extraordinaires, 10 Privat-docenteu; 284 étudiants.) La Faculté de médecine de l'université de Halle, ne disposa, pendant p
, G femmes). Université de Bonn (Province Rhénane). (Faculté de médecine : 11 Professeurs ordinaires ; 12 Professeurs ex
ion des malades el du personnel de la Clinique de psychiatrie el de médecine nerveuse de l'Université de llctlle-1T'illenLea
le coûte. lima, Fischer, 1897. Analysé in Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique, 1897, p. 350. LES CLINIQ
SYCHIATRIQUES. 391 Université de Kônigsberg (Prusse). (Faculté de médecine : 8 Professeurs ordinaires ; 10 Professeurs ext
que d'une très faible excitation. M. Leduc (professeur à l'École de médecine de Nantes) a étudié les modifications de l'exci
ant c'est que, contrairement à ce qui a été affirmé à l'Académie de Médecine par Marey, la galvanisation cérébrale est sans
és sur cette importante qliestiorule physiologie pathologique et de médecine légale, expose ses- recherches personnelles faite
sé est celui du secteur parisien de la 410 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . rive gauche qui est à 92 périodes. Arrivant au
-faradisation. Dr L.-lt. nEG ? lU1. .\ [Il CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . Section de Neurologie. Séance du vendredi 3
lisation qui se fait d'après la repré- 412 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . sentation des noyaux intracorticaux (les conti
entes régions de l'écorce cérébrale. Xlll- Congrès international de médecine . Section pour l'anatomiedescrip- tive, 1900.
anatomiedescrip- tive, 1900. AU ! r GOGIiI : ..INTERNATIONAL DE MÉDECINE . leux restent un peu en.retard ; cependant chez
plus tard de bons dessins relativement 416 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . bon marché, il faut d'abord publier une série
Paris). Archives, 2 série, t. X. 27 418 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . Etude clinique de la fonction kinesthésique (s
aque mouvement passif du côté droit. 420 0 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . Alors il y avait du côté gauche : destruction
ésenter à son égard un réel progrès. 422 2 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . Séance de l'après-midi. PRÉSIDENCE DE M. LE PR
avant tout les lobes occipitaux. . 424 £ . CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . Application du cinématographe à l'élude des tr
nt, sur le terrain clinique. En 1885, j'ai publié, dans la Revue de médecine , un mémoire sur la pathogénie de certains accid
nnera-t-il l'explication de ces faits. 426 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . M. von Moaaoow (de Zurich). Les lacunes selon
crocéphales, dont 3 avaient été montrés au Congrès international de médecine mentale de 1889. Il indique, à l'aide des photo
Paris). Je présente 15 photographies 428 8 CONGRÈS international DE médecine . microscopiques reproduisant l'aspect des cellu
I. On ne saurait contester l'importance accordée, aujourd'hui, en médecine légale, à l'étude des perversions sexuelles. La q
nergie Archives, '2* série, t. X, 28 434 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . inhibitoire du sujet; l'impulsion est conditio
, pour ce qui est des impressions dont 436 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . le consensus engendre, d'ordinaire, l'excitati
charge de missions. Université de Berlin (Prusse). (Faculté de médecine : 14 Professeurs ordinaires ; 33 Professeurs ex
e moderne, a joué un rôle capital dans l'histoire des progrès de la médecine mentale en L'russe. Nous croyons devoir le rapp
Les conférences cliniques de neuropathologie, de psychiatrie et de médecine légale du professeur Mendel ; le cours (payant) d
iversité de Greisswald (Prusse, province de Poméranie). (Faculté de médecine : 9 Professeurs ordinaires ; 9 Professeurs extr
té de Kiel (Prusse, province de Sclilesvig-Ilolsteiii). (Faculté de médecine : 7 Professeurs ordinaires ; 8 Professeurs extr
Université de Goettingen (Prusse, Province de Hanovre). (Faculté de médecine : 12 Professeurs ordinaires ; 5 Professeurs ext
mes). Université de Tûbingen (Royaume de Wurtemberg). (Faculté de médecine : 8 Professeurs ordinaires; 5 Professeurs extra
478 S ENSEIGNEMENT. Université d'Erlangen (Bavière). (Faculté (le médecine : 9 Professeurs ordinaires ; 5 Professeurs extr
ancs. Université de Heidelberg (Grand-Duché de Bade). (Faculté de médecine : 13 Professeurs ordinaires; 8 Professeurs extr
de 1 pour 3 malades. Université de Marbourg (Prusse). (Faculté de médecine : 12 Professeurs ordinaires; 4 Professeurs extr
tion 1. Université de Fribourg (Grand-Duché de Bade). (Faculté de médecine : 13 Professeurs ordinaires; 7 Professeurs extr
Université de Breslau (Prusse, province de Sibérie). (Faculté de médecine : 11 Professeurs ordinaires; 13 Professeurs ext
emmes). Université de Strasbourg (Alsace-Lorraine). z (Faculté de médecine : 12 Professeurs ordinaires; il Professeurs ext
docent. Archives, 2° série, t. X. 31 482 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . Population (1° janvier 1898) : aliénés : Ci (2
rencontrer. La jalousie de l'inverti appelle des réactions dont la médecine légale peut avoir à s'oc- cuper. VU ! . EI\OT
é; le cerveau antérieur y préside seul 484 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . (Magnan). C'est l'idée qu'exprimait Esqnirol e
connus pour le déclarer irresponsable 486 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE . La responsabilité des obsédés n'est pas celle
ssés à des actes médico- légaux. Il y a donc là, comme toujours, en médecine légale, une question d'espèce et de mesure, et
). Chez quelques amputés il existe des 488 CONGRÈS international DE médecine . hallucinations visuelles qui viennent se suraj
endus de Bicêtre de 1880 à 1900. (B.). 490 CONGRÈS international DE médecine . très peu marqués, très peu nombreux, ce qui le
oluidine sur des segments de la partie 492 CONGRÈS international DE médecine . inférieure de la troisième frontale gauche et
E. Discussion : M. DOUTRE13ENTE. - z 494 congrès international DE médecine . Présentations de photographies, pièces tiiî«to
chède, la sec- tion de Psychiatrie du NUI0 Congrès international de Médecine est déclarée close. Nous rappelons à nos lecteu
ns un nombre restreint de cas de cette 496 CONGRÈS international DE MÉDECINE . affection, dans laquelle, au contraire, l'exag
sent la Archives, 2" série, t. X. 32 498 CONGRÈS international DE médecine . communication de Bastian, d'après laquelle la
de ce réflexe avec tendance au clonus 500 congrès international de médecine . sous l'influence de la gaieté et une diminutio
lorsque chez l'adulte elle est un peu 502 congrès international DE médecine . ancienne - outre la dégénérescence de la voie
la moelle, c'est-à-dire dans la région 504 congrès international DE médecine . qui correspond au faisceau pyramidal croisé et
lobe pariétal seul, ou le lobe parié- 506 congrès international DE médecine . tal et d'autres lobes. Les lésions pariétales
ique reste au fond le même, les diffé- 508 congrès international DE médecine . 1 rences des lésions étant de nature quantitat
zones de Flechsig seront considérées. 510 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE .- II. Les changements pathologiques des cordons
Asile DE Maine-et-Loire. -Un concours pour une place d'Interne en médecine à l'asile d'aliénés de Sainte-Gemmes-sur-Loire (M
eine. Concours pour la nomination aux places d'interne titulaire en médecine , vacantes au 1er janvier 1901, dans les asiles
un concours pour la nomination aux places d'interne titu- laire en médecine vacantes dans lesdits établissements au 1er jan-
ca- démie, en 1861, par P. Marie, 225. Congrès international de médecine . Section de neurologie, 1 in, 325, 410, 482,
16 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
ite menteuse est venu l'arrêter à temps. FOLKLORE ET HISTOIRE DE LA MÉDECINE L'École arabe et la croyance aux sortilèges p
. M. le professeur Proust, étudiant dans son cours, à la faculté de médecine , les progrès de l'hygiène à travers les âges, a f
lèges et aux panacées dans les premières périodes de l'histoire de la médecine . Il a été amené il étahlir une comparaison qui s'
tout d'abord, savoir reconnaître. La vulgarisation des choses de la médecine est néfastes aux personnes predisposéesà l'hypoco
oprement dites, évitons toujours, ô mes confrères, tic verser dans la médecine cadavériste. Notre chronique doit rester vivante
La vulgarisation médicale bien faite remontera ta foi du malade en la médecine et lui suggérera de guérir : en montrant au clien
Itouladc tle Muimret : « I_es gens du monde lisent trop de livres de médecine et les médecins pas assez! » Nos confrères nous
reprochent, parfois, d'être encvclopédistes : mais c'est encore, en médecine , la meilleure manière d'être I..... spécialiste.
uvions de tous les systèmes qui ont, périu- diqucnicut. inondé lu médecine . Combien de ces systènies n'uni tenu et ne tienne
à être autre chose «pi'iin calcul de probabilités ! L'introduction en médecine îles nouvelles méthodes a évidemment comblé un gr
! ("est parleur contact que nous jkiuyoiis faire entrevoir à tous la médecine agissante et ces lumineuses clartés qui sortent d
x de pa«age : nous serons |arfois plus utiles en enseignant plutôt la médecine des gardes-malades que celle des laboratoires. Ob
jamais faire fi : si orgueilleux que nous soyons de la belle et pure médecine scientifique, n'oublions jamais que la plupart de
di des démonstrations pratiques d" électro-physiologie ¦ Faculté de médecine de Paiiis. — L'assemblée des professeurs a dressé
e M. Gilbert Ballet. M. Joffroy remplacera douc M. Ball. Faculté de médecine dk Madrid. — M. le Dr Sanchez Herrero. professeur
st aujourd'hui accepté par l'École de Nancy. J.Delebœuf. Congres de médecine mentale. "Session dc La Kochclle. aoùl Mardi Ie
bles pendant ."13 jours. L'hypnotisme en Russie Le département de médecine au Ministère de l'intérieur vient de reconnaître
n observant strirtenient les disposition» de l'article 115 du code de médecine . Ils seront tenus seulement d'informer les aulori
h- m«»ins dangereux de tous les traitements actuellement utilisés en médecine , il laissera tomber eu dé-suétiidc les dernières
rait un fait assez fréquent. Pendant de longues années. l'Académie de médecine n été assaillie de communications dans lesquelles
9pages. — Bergcr-Levrnull. Paris 1893;. J. Janicot — L'Exereiee dr la médecine thermale au point de no-de !a Déontologie médical
uctmr Mmroukakis mit conimuui|Uc il v à un mois. l'un à la Societe de médecine et de chirurgie pratiques. I autre à la Société d
les lois d'assistance et de protection, le» lois sur l'exercice de la médecine et sur la santé publique. » ï-a présidence île
nage de la profonde affection qui les unît au maître. La section de médecine a entendu des communications aussi nombreuses qu'
ience (1) Par le Docteur Azam. professeur honoraire à la Faculté de médecine de Bordeaux. Le docteur Aza m a été un initiate
t avisé, innovateur hardi souvent, le docteur Charcot a exerce sur la médecine routemporaine une inHuence considérable autant qu
ateur ! Quel silence encore lorsque sa voix s'élevait à l'Académie de médecine ou a l'Institut ! Partout son opinion et ses disc
n du bureau central des hôpitaux ; professeur agrégé de lu Faculté de médecine de Paris en 1860, il était, en l862, attaché au s
des maladies du système nerveux, ses travaux publiés dans la revue de médecine , dans les Archives de pathologie expérimentale et
autre sonnerie n'a jamais produit cet effet. Lorsque j'exerçais In médecine , afin qu'on n'éveillât personne autre que moi dan
exquise cordialité, aux membres médecins du congres par la Société de médecine de- Besancon et de la Franche-Comté, lorsque M. l
ervice militaire que lorsqu'ils sont pourvus du diplôme de docteur en médecine , il raconte les difficultés qu'il a ren--contrées
des extrémités qui a été décrite par M. Jules Simon. Le Journal de médecine de Bruxelles rapporte, d'après Hirt (de Berlin .
le midi de ta France, en 1893. — Communication faite à l'Académie de Médecine , le 9 mai 1893 (in-8° 62 pages. G. Musson, Paris.
, hors de Nancy : .'i8 fois dans le canton où. 14 ans, j'ai exercé la médecine des remèdes, il y a 28 ans ; 12 fois, il y a 57 a
es classiques : -i fois, il y a 42 ans, à Srasbourg où j'ai étudié la médecine , et enfin I fois en un lieu où je ne suis jamais
mpte aussi des 14 ans que j'ai passés dans le bourg où j'ai exercé la médecine , il y a 28 ans. je ne vois pas qu'à propos de ces
été confirmée par un des membres les plus accrédités de l'Académie de médecine de Paris, Devergie, qui approuva le rapport d'une
MIQUE L'application de la loi sur l'hypnotisme devant l'Académie de médecine de Belgique. On se souvient qu'après d'importan
'après d'importantes discussions qui eurent lieu tant j l'Académie de médecine de Belgique qu'à la Chambres des députés belge. u
on à laquelle celle autorisation vient de donner lieu â l'Académie de médecine . II. — M. Crocq. — Messieurs, je suis chargé pu
pour un journaliste que de se gausser des médecins diplômés et de la médecine ? « Déjà, le journal le Soir, dans un article e
compte. M. Thiry. — Si l'on permet à un homme qui ne connaît pas la médecine de pratiquer l'hypnotisme et de l'appliquer au tr
tudes de ce médecin et de dire s'il peut être autorisé à pratiquer la médecine dans le pays. Il ne semble donc que. lorsqu'il s'
is je ne croîs pas qu'il entre dans les attributions de l'Académie de médecine de faire subir des espèces d'examens de capacité.
xamens de capacité. M. Crocq. — Et le jury du troisième doctorat en médecine ? M. Masoin. — Oui, mais il y a un autre rouage
21 ans accomplis ou n'étant pas saine d'esprît. s'il n'est docteur en médecine ou munì d'une autorisation de Gouverement. « L'
ans aucune valeur médicale, elle n'avait pas de raison d'élrc dans la médecine , que les résultats obtenus n'étaient que des guér
i chirurgien célèbre, visitant un an avant de commencer ses études de médecine , un hôpital propre et ciré comme pour un jour de
lle est assez souvent l'objet, sa guérisou, surtout par le fait de la médecine ou du médecin, ne doit pas être chose fréquente.
lsen. Bruxelles, le 14 octobre 1893. L'hypnotisme â l'Académie de médecine de Belgique. M. Masoin interpellé par un de ses
le Dr Masoin. l'éminent secrétaire perpétuel de l'Académie rovale de médecine , et de M. Léopold Mallar, représentant de Verrier
nt ma manière d'opérer. « Quelques attestations de personnes que la médecine courante n'a pu guérir et que j'ai eu l'occasion
ment de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Faculté de médecine de Paris: M. le Dr Brissaud, agrégé est chargé pe
medi des démonstrations pratiques d'électro-physiologie. Faculté de médecine de Vienne. — M. le Df J. von Wagner, professeur e
. — M. le Df J. von Wagner, professeur extraordinaire â la Faculté de médecine de Gratz, a été nommé professeur ordinaire de psy
-Bcaumctz. directeur de la 7s direction au Ministère de la Guerre, la médecine militaire: M. le DrLucas, M. le Dr Leroy de Mérlc
r la seconde une question de neurologie; la troisième une question de médecine légale ou d'administration. L'Académie des scie
ourd'hui lundi, â l'élection d'un membre titulaire dans la section de médecine et de chirurgie, en rem pincement de M. Charcot.
taux. 10 juin 18U3.) G. Lemoine. — Un cas de surdi-mutité hystérique ( Médecine moderne, 31 mai.et 3 juin 1803.) O. Lassas. —
UE & LE SPONTANÉ(1) Par M le Dr MENNET. membre de l'Académie de médecine , inédcriu de l'Hùtct-Diea. I.e somnambulisme pr
gal Journal; le Bulletin de la Psychological section de la Société de médecine légale de New-York. La correspondance écrite co
Distinction honorifique. M. Bernheim, professeur à la Faculté île médecine de Nancy, a été nommé chevalier de la Légion d'ho
« Agréez, etc. « J. Delbœuf. » Eloge de Charcot à, la Société de médecine de Berlin. En ouvrant la séance de reprise des
erlin. En ouvrant la séance de reprise des travaux de la Société de médecine de Berlin, M- le professeur Leyden a prononcé que
aux qu'il avait publie- depuis leîGtl dans les Archives générales île médecine , les nombreux mémoires qu'il avait communiqués â
avait communiqués â la Société médico-psychologique, à l'Académie de médecine , son livre sur le somnambulisme et la fascination
dernière publication, au double point de vue de la clinique et de la médecine légale, fixe, et cela d'une manière irréfutable,
personnels. Dr Ul'NOXTPALLH.N, (A suivre) Membre de l'Académie de médecine . CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE L'attentit contr
. Les mercredis : interrogatoire des malades. Un cours élémentaire de médecine mentale en quinze leçons sera fait par M. le Dr I
sque simultanément, M. le Dr Dupon-chel (2) publiait dans la Revue de médecine un mémoire dans lequel il démontrait le rôle cons
de Neurologie.} (2) DUPONCHEL : L'hvslcric dans l'armée. (Revue de médecine , 10 juin 1886, n° 6, p. 517.) (3) GaassiT : Que
ses baccalauréats, il prit ses premières inscriptions à la Faculté de médecine . Quand il eut à passer ses examens, il se fit ref
é de la sorte. Humilie, il n'osa plus remettre les pieds à l'Ecole de médecine et se lit inscrire à l'Ecole de droit. L'époque d
C'est ce qui va probablement le déterminer à reprendre ses études de médecine , car. noas ne devons pas l'oublier, les facultés
pas été fréquent Ci. Dans les traités les plus réputès consacrés a la médecine légale des aliénés, c'est â peine s'il est l'ail
ries. C'étaient M. le docteur Duinoutpallier, membre de l'Académie de médecine : M. le docteur Manouvrier, de l'Ecole d'anthropol
comprendront combien sont nombreuses et importantes les questions de médecine légale qui se rapportent à ce sujet : avortements
aite de la fascination, est d'un grand intérêt et fournit encore à la médecine légale des arguments irréfutables sur l'irrespons
qui a présidé a la rédaction d'une œuvre qui fait grand honneur à la médecine française. Cet ouvrage est de ceux que le médec
de lire et de méditer. Dr DUMONTPALLIEr, Membre de l'Académie de médecine . Maladies et hygiène des gens nerveux. Par le
à la Société, de la part de M. le Dr Mosnel. membre de l'Académie de médecine , un livre sur Le somnambulisme provoqué et la fas
la Dr. Felix regnault. L'hypnotisme en dehors de son importance en médecine et en psvchologie. occupe encore une grande place
urément celle des certificats de guérison constatés par un docteur en médecine . Celui-ci ne voit le client que guérison établi
es de mesurer avec mon remède, seul capable d'agir intus et extra, en médecine el en chirurgie, j'ai nommé la Gaieté (Jocus hone
iser, jouer des instruments musicaux, aussi lire chose plaisante, » Médecine OPÉratoire. — Je ne dois pas oublier de mentionne
erre. commission de l'hvpnnlisme, nommée par la Société anglaise de médecine il l'assemblée de Birmingham en 1890, a présenté
hes qu'il a faites, à l'occasion du prochain congre» international de médecine de Rome. comme secrétaire du Comité d'initiative
e Secrétaire gêneral: Marcel. Baudoix. XIe Congres international de médecine de Rome. Les membres de l''Association de la Pr
français doivent prendre une part active au Congrès international de médecine de Rome. Ils se fondent sur les raisons suiva
vement scientifiques, consiste à poser et à discuter les questions de médecine générale et spéciale et d'hygiène qui intéressent
es d'électro-physiologic. Cours à l'Ecole pratique de la Faculté de Médecine . M. le docteur Bérillon. médecin inspecteur adj
r, dans l'amphitéàtre Cruvellier, à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine , un cours libre de pathologie nerveuse et de psyc
H Étude critique Par M. le Dr BERNHEIM professeur â la Faculté de médecine dis Nancy. L'hypnose comme moyen thérapeutique,
'étranges théories sur la responsabilité. Cette (1) Dictionnaire de médecine et de chirurgie pratiques. question fort comp
) J 'ajouterai pour les personnes qui n'ont pas passé par l'école ,le médecine , que la dissection est un travail intellectuel qu
t médical - M. Brouardel a consacré quelques leçons de son cours de médecine légale au secret médical. Il insiste sur la rés
de noire Faculté en 1810. Il revint alors à Mnurtce pour y exercer la médecine . Mais il n'y lit qu'un court séjour. Paris l'atti
é, succéder d'emblée à l'illustre Claude Bernard, comme professeur de médecine expérimentale au Collège de France. F^n 1886. il
ace de Vulpian, membre de l'Académie des sciences, dans la section de médecine et de chirurgie. La ii- éuuméraiion des travaux
tement psychothérapique. Courss n l'Ecole pratique de In Faculté ds Médecine . M. le docteur Bérillon. médecin inspecteur adj
, dans l'amphithéâtre Cruvellier. à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine , un cours libre de pathologie nerveuse es de psyc
nce des découvertes d'une grande importance, et, lorsque la chaire de médecine générale au Collège de France devint vacante à la
constatés. Aucun sujet d'étude se rapportant ù la physiologie, à la médecine , à la thérapeutique ne restait étranger pour lo p
ourant de toutes les publications afférentes à la physiologie et à la médecine . 11 fonda cl dirigea, pendant de longues années,
culier du sultan. A cette occasion, le D' Pardo, n lu à la Société de médecine de Constanlinoplc, une notice sur In vie et les t
malades, aussitôt que la peur les a pris, ont parcouru les traités de médecine et, en étudiant les symptômes do la maladie qu'il
démie a procédé à l'élection d'un membre titulaire dans la section de médecine en remplacement de Et. B rown-Séquard. M. d'Arson
ABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES Abus des drogus (l'), 348. Académie de médecine de Belgique, 120. Accouchement (sommeil suggéré
rodichze. 53. Congrès de Rome, 314, 321. Congrès international de médecine de Rome (XIe), 285. Congrès de l'Association fr
85. Congrès de l'Association française à Besançon, 61. Congrès de médecine mentale, 28. Contagion du meurtre (la), par Pau
e Dr Liébeault (la), 183. Cours a l'école pratique de la Faculté de Médecine , 288, 319. Dégénéres (fréquence de l'onycho-
x sortilèges (l'), par Proust, 20. Eloge de Charcot a la Société de médecine de Berlin. 182. Enfant menteur (une observation
nce aux suggestions par A. de Jong, 130. Hypnotisme à l'Académie de Médecine de Belgique (l'), 152. Hypnotisme dans la genès
17 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
PHYSIOLOGIQUE Paraissant tous les mois PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LEGATE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES } Rédacte
entateurs et par ceux qui s'appuient sur les lois fondamentales de la médecine , de la physiologie et de la psychologie. Le contr
La Société délègue, pour la représenter au congrès international de médecine de Madrid, MM. Jules Voisin, Bérillon et Iïatïcge
vons citer M. le Dr Fiessinger, membre correspondant de l'Académie de médecine , MM. les D" Prosper Van Velsen, directeur de l'In
ales d'orthopédie, M. le Dr Aragon, rédacteur en chef des Annales, de médecine et de chirurgie- MM. les DM Paul Joire, de Lille;
méthodes scientifiques, M. Quinque, professeur d'enfants arriérés. La médecine vétérinaire était représentée par MM. Lépinay, pr
excepté les internes des hôpitaux et les candidats au professorat de médecine , bien entendu. A ce propos, mentionnons que les i
emment la thèse qu'il avait soutenue sur a Le secret professionnel en médecine d (1). Je suis attaché à l'auteur par des liens
ourtes réflexions sur cette grave question du secret professionnel en médecine , en la considérant surtout au point de vue psycho
à son médecin? (1) D' Charles Valentino. Le secret professionnel en médecine . Sa valeur sociale. Préface par M. Jules Clarelîe
onnu ces fanfarons de santé qui n'ont pas assez de railleries pour la médecine et les. médecins et qui, au moindre bobo, appelle
teur Hofler, de Tolz (Bavière), le très savant traditionnaliste de la médecine populaire, m'a faitl'honneur de m'écrire à ce suj
e ('). Par M«« la Dr«"« Mêlante Lipinska, Lauréate de l'Académie de Médecine de Paris. Pendant mon séjour à Stockholm, grâce
naître sa méthode thérapeutique. Le Dr Otto Wetter strand exerce la médecine depuis 1873 ; quant au traitement hypnotique, il
psychothérapie en 1888 et depuis il s'est voué à cette branche de la médecine avec toute sa persévérance et son intelligence. L
es devant un auditoire nombreux composé de médecins et d'étudiants en médecine , (1) Communication faite au Congrès des aliénls
blié en allemand un livre sur l'hypnotisme et son application dans la médecine pratique, qui a été traduit en russe, en anglais
Professeurs Raymond et Déjcrinc, le Dr Paul Richer (de l'Académie de médecine ), les D" Doyen, David (de Xarbonne), Lalanne (de
a Société la nomination de M. le Dr Paul Richer, de l'Académie de médecine , à la chaire d'anatomic artistique de l'Ecole des
ff; il s'occupait de l'enseignement de la psychologie à la Faculté de médecine de l'Université de Moscou. Il fonda le laboratoir
gestion hypnotique peut guérir un minimum de 45 pour cent. Comme la médecine ne connaît aucun remède plus efficace dans le tra
ant est, à cet égard, des plus démonstratifs. Le malade, docteur en médecine , a pris soin de rédiger son observation succincte
applications thérapeutiques de la suggestion. Je ne m'occupe ni de médecine générale, ni de chirurgie et j'ai abandonné en gr
MM. les professeurs Landouzy et Raymond, délégués de l'Académie de médecine ; le professeur Gaucher, médecin à l'hôpital Saint
esseurs Pitres et Régis; le professeur Mairet, doyen de la Faculté de médecine de Montpellier; les professeurs Grasset, Carrieu,
ogie moderne : Conquête des localisations spinales, enrichissant la médecine de la conception anatomo-clinique, sur laquelle e
lignes saisissantes, qu'on citait le 18 décembre 1900 à l'Académie de médecine , et qu'on ne citera jamais trop, parce que l'éloq
obie Par le Dr Ch. FiESSiXGER Membre correspondant de l'Académie dé Médecine . La divulgation par la presse quotidienne des a
ommes de lettres, enfin et — pourquoi non? — jusqu'à deux docteurs en médecine , actuellement à la retraite, l'un comme capitaine
ssible qu'à des médecins pourvus du titre universitaire de docteur en médecine ! Officiers de santé ou docteurs, le titre, d'ail
euse évolution sociale vers un ordre d'idées rationnel et nouveau. La médecine militaire, rompant ses entraves, a pu conquérir l
t personne n'eût osé jusque-là rêver l'éclosion. L'émancipation de la médecine militaire s'est réalisée au plus grand profit de
à la langue ne sont pas tout à fait rares. Fournier, à l'Académie de médecine , a communiqué un cas de faux cancer et Galippe un
, époque à laquelle nous présentions nos observations à l'Académie de Médecine de Paris, nous avons eu six cas traités par cette
n (de Méru). L'électricité et tous les agents physiques utilisés en médecine , la physicothérapie enfin, qui est aujourd'hui à
ntal et thérapeutique, in-S° 350 p. Vigot, édit., place de l'Ecole de Médecine et bureaux de la Revue de l'Hypnotisme. Prix: 10
énien du nom de Hanan (de Bétbanie) (M. Baudouin. Jésus médecin et la médecine des Esséniens. — Ga%. méd.de Paris, 9 mai 1903, p
it, la propriété de guérir les maux d'yeux (Tradition fort ancienne : Médecine préhistorique/. Les ouvrages de pharmacologie d
ion chrétienne, dans le but de réaliser un miracle, d'une pratique de médecine populaire, c'est-à-dire d'un culte préhistorique.
scientifiques, 4, rue Antoine-Dubois. France et par l'Académie de Médecine , montrent assez que ce livre venait à son heure..
cet ouvrage un des plus instructifs et des moins arides des précis de médecine mentale judiciaire et rendront les plus grands se
on, qui avait à ses côtés. MM. Lancereaux, président de l'Académie de médecine , et Drouhet, sénateur de la Réunion. Dans l'assis
le collaborateur de Brown-Séquard, Besançon, directeur du Journal de médecine interne, Bérillon. médecin inspecteur des asiles
ation de leurs besoins personnels, Rivière présentait à la Faculté de Médecine de Paris, une thèse philosophique où la hauteur d
rdiesse des conceptions. Dans ce travail intitulé : Du Positivisme en médecine par la fonction nerveuse. Rivière se révélait sou
était fort audacieux de soutenir do telles idées devant la Faculté de Médecine de Paris. Les questions psychologiques étaient no
ceux qui ont préparé la réconciliation, si longtemps attendue, de la médecine avec la psychologie. Soutenu par une foi d'apôt
spinaux et grand sympathique) lui semblait condenser en elle toute la médecine future. Après avoir formulé la théorie, il se m
ntal et thérapeutique. in-S° 350 p. Vigot, édit., place de l'Ecole de Médecine et bureaux de la Revue de l'Hypnotisme. Prix: 10
la présidence de M. le professeur Blanchard, membre de l'Académie de médecine , professeur à la Faculté de Médecine. La leçon
anchard, membre de l'Académie de médecine, professeur à la Faculté de Médecine . La leçon d'ouverture sera faite par notre coll
présentées récemment par M. le professeur Blanchard, à l'Académie de Médecine , sur la maladie du sommeil, des enseignements don
la présidence de M. le professeur Blanchard, membre de l'Académie de médecine , professeur à la Faculté de médecine. ORDRE DU
anchard, membre de l'Académie de médecine, professeur à la Faculté de médecine . ORDRE DU JOUR : 1° D' Bêrillon : L'École de
ous la présidence du professeur R. Blanchard, membre de l'Académie de médecine . L'enseignement de l'Ecole de psychologie est pub
D' Hippolyte Baraduc fera un coûts libre, à l'Ecole de la Faculté de Médecine , sur les Vibrations de la vitalité humaine (Métho
ntal et thérapeutique, in-S° 350 p. Vigot. édit., place de l'Ecole de Médecine et bureaux de la Revue de l'Hypnotisme. Prix: 10
ul Fabez, professeur à l'Ecole de psychologie. — La psychologie et la médecine , par M. !e professeur R. Blax-chard, membre de l'
médecine, par M. !e professeur R. Blax-chard, membre de l'Académie de médecine . La réouverture annuelle des cours de l'Ecole d
us la présidence de M. le Dr R. Blanchard, professeur à la Faculté de médecine . Aux côtés de M. le professeur Blanchard, avaie
Montaigne, M. le Dr Fiessinger, membre correspondant de l'Académie de médecine , M. Valentino, chef de bureau de ministère des Be
l la création d'une ligue contre l'alcoolisme. Au prochain congrès de médecine qui se tient à Buenos-Ayres au mois d'avril proch
ondateur du musée Guimet, et sur M. Huchard, membre rie l'Académie de Médecine . Ces maîtres éminents, absents de Paris, nous ont
fesseurs Tarde, du Collège de France ; Albert Robin, do l'Académie de Médecine ; Giard, de la Sorbonne. Les encouragements et le
er la bienvenue à M. le professeur Blanchard, membre de l'Académie de Médecine . En le remerciant du grand honneur qu'il nous fai
rs; il y a là de quoi émouvoir le cœur de tout philanthrope. Enfin la médecine est totalement impuissante à prévenir aussi bien
à Auteuil, et que M. le Professeur Blanchard présenta à l'Académie de médecine , le ??? octobre 1903. Bobanghi est mort il y a qu
is à cinq heures, la Psychopathologie du Rêve. La psychologie et la médecine Allocution de M. le Professeur R. Blanchard Pro
llocution de M. le Professeur R. Blanchard Professeur à la Faculté de Médecine , Membre de l'Académie de Médecine Mesdames, Mes
lanchard Professeur à la Faculté de Médecine, Membre de l'Académie de Médecine Mesdames, Messieurs, Il y a un quart de siècl
ramme non seulement des chapitres qui relèvent plus directement de la médecine mais encore des questions qui touchent à la psych
on nom. A une époque plus récente, on a vu des philosophes venir à la médecine et ne plus se contenter d'études incomplètes, bor
r d'approfondir les graves questions de la psychologie a conduit à la médecine ? Une telle évolution, chez de tels hommes, n'es
e démontre, mieux que tout argument, l'influence prépondérante que la médecine clinique et expérimentale a définitivement acquis
tapes de son existence si digne et si bien remplie. Reçu docteur en médecine en 1858, il alla s'installer à Pont-Saint-Vincent
nt-Saint-Vincent, à 13 kilomètres de Nancy. Après y avoir pratiqué la médecine pendant dix ans et avoir acquis dans toute la con
nt de vue, il ne fut pas mieux partagé que Braid auquel la section de médecine de l'Association britannique pour l'avancement de
L'hypnotisme au théâtre - M. Victorien Sardou, ancien étudiant en médecine , n'a pas hésité à déclarer dans une interwiew du
ité à déclarer dans une interwiew du Figaro : « Lorsque j'étudiais la médecine , je m'occupais beaucoup, en compagnie de camarade
au D'Liébeault. — Le cas de la dormeuse de Thenelles h l'Académie de médecine . — Un hommage au professeur Pitres. — Kant, précu
nt indique comment il arrivait à pratiquer sur lui-même une véritable médecine morale et prétendait en détournant son attention
s le 111 septembre 1833, il fait d'excellentes études a la Faculté de médecine de Strasbourg. Interne en 1848, docteur en médeci
s a la Faculté de médecine de Strasbourg. Interne en 1848, docteur en médecine deux ans plus tard, ayant passé une thèse brillan
ation moins mystique, et d'une plus pratique efficacité. Il étudia la médecine à Strasbourg. Un jour, à la clinique, son maîtr
intrigué, au restaurant, il lut un rapport de Dubois à l'Académie de médecine , sur les expériences d'Azam, avec la fameuse somn
traitèrent de charlatan et d'imposteur. On l'écarta de la Société de médecine . Il guérissait trop... En 1866, il publia son l
. En !.¦¦¦:. M. Dumont, chef des travaux physiques de la Faculté de médecine , suivit ses cours et adopta sa méthode. M. Bernhe
ire triompher leur découverte, qui modifie profondément aussi bien la médecine que la jurisprudence. Dès lors, de toutes parts
'articles élogieux concernant Liébeault ont paru dans les journaux de médecine anglais. A A. Liébeault, D.-M. Le 18 févrie
le de Nancy, mourait à Nancy, dans sa 8le année. Il avait étudié la médecine à l'Université de Strasbourg. Après avoir pratiqu
dié la médecine à l'Université de Strasbourg. Après avoir pratiqué la médecine ordinaire pendant quelques années à la campagne,
mbres de l'Université de Nancy : Bernheim, professeur à la Faculté de médecine , Liégeois, professeur de droit, et Beaunis, profe
rthe), le ?? septembre 1823. 11 avait fait ses études à la Faculté de Médecine de Strasbourg. Reçu interne au concours de 1848,
ncu par le mémoire que venait de présenter le Dr Azam à l'Académie de Médecine , et frappé, d'autre part, d'un fait qu'il avait o
e Gen. . .'.......................... 2 M. Boutteville, étudiant en médecine .............. 5 Les Élèves et les Auditeurs de
uggestion. COURS DE PSYCHOLOGIE à l'Ecole pratique de la Faculté de Médecine Semestre d'Été 1904 M. le Dr Bérillon, médeci
undi 18 avril, à cinq heures, à l'Ecole pratique de la Faculté de Médecine (amphithéâtre Cruveilhier), un Cours de psycholog
ne (amphithéâtre Cruveilhier), un Cours de psychologie appliquée à la médecine . Il le continuera les jeudis et lundis suivants à
onnaître les services que Liébeault a rendus à la psychologie et à la médecine , nous avons voulu placer cette souscription sous
Nous voulons seulement soulever à son sujet une question délicate de médecine légale. Supposons qu'à la suite d'une bagarre, d'
sychique dont je vous ai, bien des fois, exposé les grandes lignes. MÉDECINE ET RELIGION 61 : 2 Les miracles du curé d'Ars
, du Vésinct id........... 5 Dr Fiessinger, Membre de l'Académie de Médecine , ld. . . . 5 Dr Pottier, Membre de la Société d
lté de Paris ; M. le Dr Beaunis, professeur honoraire à la faculté de médecine de Nancy. Président : M. le Dr Jules Voisin, méde
hologie. Membres du comité: M. le Dc Huchard, membre de l'Académie de médecine , M. le Dr Albert Robin, membre de l'Académie de m
'Académie de médecine, M. le Dr Albert Robin, membre de l'Académie de médecine , M. le Dr Fiessinger, membre correspondant de l'A
médecine, M. le Dr Fiessinger, membre correspondant de l'Académie de médecine , M. le Dr Paul Magnin, professeur à l'Ecole de ps
erveux, lui demandent avec angoisse s'il est vraiment possible que la médecine soit impuissante dans ce cas-là! On prescrit géné
ait de plus en plus, se désolait de son sort, parlait aigrement de la médecine en présence du docteur et pensait au suicide. E
ère............... 20 fr. M. le Dr HuChard, membre de l'Académie de Médecine .... 20 Ml le Dr Tripier, ancien président de la
d, p. 157. Cours de psychologie à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine , p. 319. Cours pratique d'hypnotisme et de psyc
hérapie (Faits noureaux de), par Bourdon, p. 140. Psychologie et la médecine (La), par Blanchard, p.2 43. Rage (Traitement
18 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
urtant passer au travers des toiles de l’université, du clergé, de la médecine et des académies. Vous allez, comme lui, rencon
eut la loi ; car Jésus-Christ serait accusé d’exercer illégalement la médecine : 15 fr., c’est létaux admis pour les somnambules
idité des somnambules, sera considérée comme exerçant illégalement la médecine , et sera passible des mêmes peines. « Art. A. —
s consultations sera de même considéré comme exerçant illégalement la médecine . • Joignez de fortes pénalités à l'exercice ill
médecine. • Joignez de fortes pénalités à l'exercice illégal de la médecine , après avoir admis les quatre articles qui précèd
u du docteur Ordinaire, touchant l'introduction du magnétisme dans !a médecine . Ne pouvant plus repousser, on veut maintenant em
s m’en avez raconté, et vous concevrez alors comme moi que l’Ecole do médecine est une trop étroite enceinte pour contenir une v
ré de l'existence du magnétisme, il en sonda les secrets ci rejeta la médecine scolastiqiie, qui lui apparut dès !ors telle que’
’est produite une scène analogue à celle qui eut lieu à l’Aeadémie de médecine le 24 janvier 1820. M. Récamier disait alors qu
nous fait aussi parvenir une longue liste de maladies guéries par la médecine magnétique. Nous devons faire observer cepen- d
sée s'abîme en voulant approfondir ces mystères. ACADÉMIE ROYALE DE MÉDECINE . Séance du 12 janvier. — M. Malgaigne entretien
rbre de la science magnétique. L'Union médicale, nouveau journal de médecine , contient dans son quatrième numéro d’amères plai
traités d'hygiène publique, contient un fragment bien curieux sur la médecine des émirs, dont les pratiques sont identiques ave
r qu’ils pussent se consacrer entièrement à l'exercice de ce genre de médecine , mais à la condition de ne [tas recevoir plus de
es pratiques sur la guérison de certaines maladies; les annales de la médecine en contiennent de nombreux exemples. Pour ma part
, le plus civilisé de tous, on cncourage, on récompense, on honore la médecine qui tue, mais on ne fait rien pour celle qui guér
squ’elle sert de guide. Pourquoi faut-il que la chirurgie, comme la médecine , laisse en dehors des hôpitaux ce magnétisme qui
veuse au suprême degré, avait été habituée par son frère, étudiant en médecine , à s’endormir sous l’influence magnétique.....Je
, tout danger disparaît. Les docteurs en droit canon, comme ceux en médecine , arrangeront les faits magnétiques selon leurs in
eurs, vous en verrez bien d'autres : le somnambulisme entrera dans la médecine aiusr. Quelques médecins ayant la faculté somnamb
son existence au public. «Somnambule reçu médecin par la Faculté de médecine « de Paris. Ce somnambule, endormi tous les jours
a eu lieu chez Mm” P‘", somnambule, prévenue d'exercice illégal de la médecine . Cette affaire se dénouera devant la police corre
s notre maître. — Ceux qui croiraient que nous faisons à la vieille médecine une guerre injuste, que nos plaintes sont exagéré
. mêlant, de temps immémorial, de faire ce qu’on appelle ]a petite médecine . D'ailleurs ces religieuses contrôlent parfois uo
dons à être juges de la cause, à le punir s'il a toléré l’usage d’une médecine domestique, et à l’acquitter toujours lorsque, po
ieux pour les médecins rechercher dans le magnétisme les principes de médecine naturelle qui s’y trouvent, et réformer ainsi la
l'âme n’aurait pu se manifester. Elle agit donc dès le principe comme médecine souveraine en réglant, pinçant toutes choses comm
r nous montrer sa puissance médica-trice, ses efforts et sa vertu? Lu médecine scolaslique sait-elle au moins l’imiter? Elle eu
lus qu’elle ne peut se passer de son concours : quand nature ne veut, médecine ne peut; et les médicaments même bien indiqués re
i accompagnent ordinairement les traitements qui font l’orgueil de la médecine . Il en est ici comme dos deux insensibilités: mag
un des membres de cette immense députation. — Un nouveau journal de médecine espagnol, cl Te-legrafo medico, parle du magnétis
tantôt il est pour et tantôt contre nous. — Le projet de loi sur la médecine annoncé depuis longtemps a été présenté a la Cham
ques maladies contre lesquelles il fautchercherdes ressources dans la médecine . On peut supposer d’ailleurs avec certitude que
t, par une imprudente apologie, d’encourager l’exercice illégal de la médecine . Ces encouragements s’adressaient à une femme (Ca
vent soutenu que le magnétisme détruirait les systèmes qui régnent en médecine ; chaque jour en apporte la preuve. Un médecin amé
nous ne sommes pas appelés à « discuter les points controversés de la médecine ; mais, « en présence des faits qui se produisent
saura bien en exiger l’accomplissement. Au reste, l’his-« toire de la médecine doit suffisamment montrer aux «jeunes membres de
’est bien sage ii lui d’étudier la magic , car c’est véritablement la médecine des dieux. » Platon conseillait la recherche de c
tions de l’histoire; la poésie, reine des lettres; la philosophie, la médecine , la magie, la physique, l’environnaient de tant d
roniques, vaste abîme où viennent s’engoufrer tous les inconnus de la médecine ; les succès qu'ils y obtinrent dépassèrent toute
lanche de salut des naufragés, le refuge des incurables de toutes les médecines . Beaucoup de ces malheureux y trouvèrent la cur
ernel le plus éclairé lui furent-ils prodigués avec les secours de la médecine , rien ne put arrêter les rapides progrès d’un mal
fait encore, et si le magnétisme ne réussissait pas tout de suite, la médecine classique me restait en perspective. Si les moyen
jours dans les névroses idiopathiques, précisément dans des cas ou la médecine ordinaire est obligée d'avouer sa complète impuis
u'il en serait susceptible; ic ne m’arrêterai par conséquent pas à la médecine somnambulique, d’autant plus que mou expérience p
nambulisme sera pour la philosophie ce que le magnétisme sera pour la médecine : l’une s’applique à l’âme et l’autre à la vitali
ait le Livre de prophéties composé par Philippe Olivarius, docteur en médecine , chirurgien et astrologue ; ce livre contenait pl
sophid, consultissimumque (J.-B. Porta), et aussi connaître à fond la médecine : medicinœ quoque haud sit ignarus (Albert). La
e à fond la médecine: medicinœ quoque haud sit ignarus (Albert). La médecine surtout était une des branches les plus fleuries
oici le fait. Je voudrais bien savoir ce que dirait notre Académie de médecine si l’on soumettait l’un après l’autre ses membres
herchaient, à répandre une vérité nouvelle, les vrais principes de la médecine , l’art de calmer les douleurs. Vous le savez, M
démagnétisation feraient cesser ce phénomène. Et où tout l’art de la médecine est venu échouer, la nature, incitée à faire ente
l’acte de constitution ci-dessus. SOCIÉTÉS SAVANTES. FACULTÉ DE MÉDECINE DE PARIS. J’ai suivi les belles leçons que M. T
IS. J’ai suivi les belles leçons que M. Trousseau fait à l’Ècole de médecine avec toute l’assiduité, avec toute la passion qu’
spoir est fondé ; car on discute en ce moment le projet de loi sur la médecine à la Chambre des Pairs, et le paragraphe qui nous
igne; — Obel, D.-M., P., membre correspondant de l’Académie royale de médecine ; — Henry, négociant, commandant de la garde na
e prévention d’homicide par imprudence et de l’exercice illégal de la médecine . « Au mois de novembre dernier, un sieur Baffar
ade, après avoir inutilement eu recours h toutes les ressources de la médecine , voulut essayer du somnambulisme; il fit venir la
éris par les soins de la dame Ponson de maladies contre lesquelles la médecine ordinaire avait échoué. «Néanmoins M. Saillard,
at du roi, soutient la prévention relative à l’exercice illégal de la médecine , tout en abandonnant la prévention d’homicide par
s médecins. Est-ce là, aux tenues d0 la loi, l’exercice illégal de la médecine ? S’il en était ainsi, ne serions-nous pas tous le
, et l’a condamnée seulement comme coupable d’exercice illégal de la médecine . » — Le somnambulisme, produit d’une force dont
e à l’infini; il est destiné à s’établir partout en concurrence de la médecine . Les doctes facultés, justement alarmées de sa su
on des êtres à des intérêts de caste, à des besoins du moment. a La médecine n’est pas un droit, mais une science, » et le tem
837 Académie des sciences. 19,89, 200 — — de Stockholm. 76 — de médecine . 55 Affaire Cuny. 29, 87 Aimant médicinal. 33
375 Extase épidémique. 216 Erreurs cl préjugés. 223 Faculté de médecine . 331 Fièvre cérébrale. 40 — typhoïde. 180, 22
. Lacoste. Archiviste, M. Lebrun. SOCIÉTÉS SAVANTES. FACULTÉ DE MÉDECINE DE PARIS. Cours de M. Trousseau. II y a entre
ULTÉ DE MÉDECINE DE PARIS. Cours de M. Trousseau. II y a entre la médecine et le magnétisme une con-nexité si grande qu’on n
hoses, je les communiquerai. Henri Ev...e. VARIÉTÉS. Loi sur la médecine . — La Chambre des Pairs vient de finir la discuss
hambre des Pairs vient de finir la discussion du projet de loi sur la médecine . On sait que, sans que le mot de magnétisme soit
mais de progrès sous beaucoup d'autres. Il y a différents systèmes en médecine ; les nouveaux sont-ils les meilleurs ou les moin
celle enceinte se sont très-bien trouvés de ce qui est proscrit parla médecine ; beaucoup admirent ce moyen curatif nouveau qui v
ron vingt ans qu'il m’y a guéri du choléra, époque depuis laquelle la médecine n’a point visité ma famille. «La cellule et les
ière à Paris. Le magnétisme a partout à combattre l’intérêt dans la médecine , l’ignorance dans le clergé; et de ces deux adver
ans des lieux consacrés, célébreront la naissance du révélateur de la médecine naturelle. 11 sera beau de voir, à jour dit, en t
etc. D. — A-t-elle été traitée par tous les moyens ordinaires de la médecine , et quel a été le résultat de ces traitements?
madame Pouson, somnambule, afin de comparer son opinions celle de la médecine ordinaire? R. — Oui, surtout pour trouver dans
’il faut seconder. Eà quovergil naluraest discemla, dit le père de la médecine . On devrait recourir au somnambulisme dans les
udience. » Revue des journaux. — Le numéro de niai du Journal de la médecine homéopathique résumant ce qu'on a dit pour et con
ent d’être condamnée à 15 francs d’amende pour exercice illégal de la médecine . Elle était, en outre, accusée d’homicide involon
urs de charité, en un mot, par tous ceux qui se mêlent de faire de la médecine , et même de donner des soins et des conseils médi
1 v. in-S». Paris, 1846, 5” édition. Chez Labbé, place de l'Ecole de Médecine . La soif du savoir est si grande chez certains
savoir accru, soutenant la nouvelle science au sein de la Société de médecine pratique, et depuis en divers endroits de ses écr
is physiques de l’organisation humaine. Je croyais alors que toute la médecine était dans la pharmacie. Je savais le corps humai
t qui ne se peut guère transmettre alors qu’on l’a appris. « Quelle médecine pourrait se comparer à l’action du fluide magnéti
à en préciser les effets, à en indiquer l'usage et les moyens? Quelle médecine que celle qui se trouve dans tous les individus,
r la guérison duquel j’ai trop éprouvé la nullité des secours de la médecine et des eaux, que j’espère sortir par l’effet des
de tête et d’estomac, et d’une diarrhée continue, j’ai mis en vain la médecine en pratique pour me guérir. Depuis environ deux m
gré la forte opposition qu’il trouva dans la Faculté et l’Académie de médecine . « La Révolution nous sépara pendant plusieurs
s leurs privilèges; le projet de loi en est devant la législature; la médecine serait un métier comme tant d'autres. Sans doute
dinaire : nous comprenons l’antipathie insurmontable qui existe de la médecine au magnétisme; nous croyons que le Créateur, en d
unir préalablement d’un diplôme de savant ; nous pensons enfin que la médecine et le magnétisme doivent continuer à faire chambr
e et le magnétisme doivent continuer à faire chambre à part, comme la médecine a voulu qu’il en fût jusqu’ici. Vous, Monsieur,
et le défaut de soins aggravent quelquefois une affection légère, une médecine aveugle en fait bien plus souvent une maladie gra
, contre toute espèce de rapprochement qu'on voudrait tenter entre la médecine et le magnétisme. Dieu merci, on n’a pas besoin d
eur défaut de santé quelquefois, et bien d’autres causes, font que la médecine et le magnétisme sont inconciliables. Nos docte
véritable photophobie. Quand on les pousse a bout, ils disent que la médecine admet l'action magnétique, mais non la clairvoyan
es qui donnèrent beaucoup d’inquiétude à son mari et à sa famille. La médecine ne fui pas négligée, et elle fit bien tout ce qu’
ais bien un abcès que la nature, plus forte que les révulsifs de la médecine , conduisit à résolution dans l’œsophage ou l’esto
ennemis k combattre; car, malgré l’assurance qu’on m’avait donnée, la médecine agissait eucore quelquefois, mais k mon insu; des
al, ni une contravention à la loi du G mars 1818 sur l’exercice de la médecine . Ce jugement, que nous approuvons complètement,
qu’il ne commet pas d’escroquerie. Quant à l’exercice illégal de la médecine , la loi de 1818 est une loi de police qui a simpl
édecin, et cela est juste. Mais le magnétiseur prétend-il faire de la médecine et guérir suivant les règles acquises dans les Fa
e à soutenir que le magnétisme guérit. Or, le magnétisme n’est pas la médecine , tant s’en faut! c’est mie«® ou plus mal, comme o
l et faire que chacun ait son avis, sa doctrine, comme nous voyons en médecine la même maladie jugée d’autant de manières qu’on
ouverneur du Bengal. En janvier 1846, M. Esdaile adressa à l’Ecole de Médecine la relation de soixante-quinze opérations pratiqu
ivi une longue discussion rapportée dans le numéro 8 du Journal de la médecine ho-mœojHithiipic. — Le New Orléans commércial T
. Aussi, monsieur le baron, vous pensez que je dus avoir recours à la médecine ; je vis plusieurs docteurs célèbres, et ma maladi
ante-cinq ans, d’une constitution éminemment syphilitique, quoique la médecine vulgaire l’ait débarrassé à sa manière d'un virus
ion, ou quand ils en seront chargés, en faire le rapport à l’École de médecine pour l’information du gouvernement. De ces rappor
ue les malheureux portent au loin leur douleur; ces misérables que la médecine a couverts de ses stygmates et remplis de ses poi
faire plus que nous. On accuse M. Laforgue d’exercice illégal de la médecine , c’est une raillerie amère ; il ne se sert point
ne. Celte femme s’est-elle jamais plainte des soins infructueux de la médecine ? Elle a payé pour l’aggravation de ses souffranc
pendu, ni crucifié, ni même condamné; car il ne pratique pas plus la médecine qu’il n’enseigne de dogme nouveau ; partant, il n
, car il ne la trouva point à son chevet quand la mort l’assiégea. La médecine que nous attaquons fut seule chargée de veiller s
lE, chef de bataillon en reforme à Pau , envoyé à VAcadémie royale de médecine le !1 avril 183V, par Jf. Charonceuil, procureur
me est encore l’objet de vives controverses; mais enfin l’Académie de Médecine de Paris l’adopta il y a seize ans; plus tard. M.
s l’adopta il y a seize ans; plus tard. M. FiIlassier, alors élève en médecine , soutint sa thèse inaugurale sur le magnétisme, e
tion des intestins, qui dégénéra bientôt en un llux dyssentérique. La médecine le combattit, et elle avait réussi à le faire dis
compte qu’il avait pris une quantité considérable de remèdes dûs à la médecine classique ou aux commères; il avait même fait usa
rouvé. Ceci tient h des causes qui ne cesseront d'exister tant que la médecine parcourera le cercle vicieux où son matérialisme
satanique, ne sont-ils pas enthousiasmés des guérisons opérées par la médecine de la nature? La Sainteté de Pie IX, après avoi
la seconde édition de l’ouvrage du docteur Charpignon : Physiologie, médecine et métaphysique de magnétisme. On la dit double d
tribués au somnambulisme magnétique, les applications qu’on en fit en médecine , el, de là, nous tâcherons d’émettre l’opinion qu
age sous le nom de charlatanisme, comme la chimie, l’astronomie et la médecine ont fait le leur sous le nom d’astrologie el d'em
la publication, a paru le 15 novembre, sous le titre de Journal de la Médecine théologique. Il est on ne peut plus hostile au ma
seur Jules Cluquel, celui de M. Oudet, membre de l’académie royale de médecine , garantissent suffisamment l’au-ihenlicilé de ces
oin, je n’espérais plus de guérison. J’avais suivi les conseils de la médecine et j’en étais réduit à des douleurs sourdes, mais
machines de nos cabinets de physique. M. de la Salzède, docteur en médecine , de la faculté de Paris, vient de publier un écri
, sous la double prévention d’escroquerie et d’exercice illégal de la médecine el de la pharmacie. Après l’audilion des témoin
s vous contrevenez aux lois et règlements relatifs à l’exercice de la médecine . La prévenue : Je ne croyais rien faire de cont
égal de la pharmacie, pour s’en tenir à l'exercice seul illégal de la médecine , le tribunal condamne la dame Sausserotte à 5 fra
Nous cilons textuellement : Mémoire de M. F. A. Mesmer, docteur en médecine , sur les découvertes, \ vol. ,* a Paris. chez Fuc
ons de le dire, l’ouvrage de Mesmer n’est pas simplement destiné à la médecine ; il entre aussi dans le domaine de la physique, c
dans le plein. Passant ensuite à l’application de son système à la médecine , il dit : la maladie n’est que le dérangement des
vrait au moins d’a- voir rappelé les vrais principes en matière île médecine , d'avoir écarté celle nosologie confuse, espèce d
rs. 87, 160, 192, 222, 255, 288 Cours de M. Trousseau à la faculté de médecine , il rétracte en partie ce qu'il a dit du magnétis
e M. de Boissy, à la chambre des pairs, sur l’exer-cice illégal de la médecine et la pratique du magnétisme médical. 25 Docume
petit neveu. 87 Etrangleurs, voy. Phanségars. Ether. — Son emploi en médecine , 14; en chirurgie, 59; ses inconvénients. 16 El
oires de Mesmer. — Analyse. 370 Magiciens de l’Inde. 96 Migraine. 108 Médecine (projet de loi sur la) voy. Discours. Magie ; a
19 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
PHYSIOLOGIQUE Paraissant tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rèditleur
, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NEVROSES, MALADIES MENTALES ET NERVEUSES, MÉDECINE LÉGALE, PÉDAGOGIE CRIMINOLOGIE, PSYCHOLOGIE PHYSI
ypnologie et de psychologie, p. 27.—Les homicides en Italie, p. 28. — Médecine rétrospective, p. 29. — Idée fixe et obsession, p
1853 à 185G, lauréat des hôpitaux, il était reçu, en 1857, docteur en médecine , avec une thèse sur L'infection purulente et l'in
médecin des hôpitaux. En 1875, il obtenait un prix à l'Académie de médecine pour un mémoire sur l'étude Des anomalies de l'ér
ences des mémoires sur L'hypnotisme et l'hystérie, et à l'Académie de médecine sur Les anes-thésiques. De 1886 à 1892, il fais
très suivies sur la gynécologie. En 1892, il donnait ù l'Académie de médecine de savantes communications sur le traitement loca
modeste médecin de campagne dont les patientes recherches ont doté la médecine d'une thérapeutique nouvelle : la suggestion. E
ichement documentées, resta sans écho chez les savants. L'Académie de Médecine de Paris daigna, à la vérité, consacrer une de se
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . Adresser les communications à M. le Dr Bérillo
banquet annuel. M. le docteur Dumontpallier, membre de l'Académie de médecine , présidait. Parmi les nombreux convives, nous dev
depuis sa fondation, malgré les résistances et les hésitations de la médecine officielle, toujours la dernière à entrer dans la
l'union des diverses doctrines dans un but unique, celui de doter la médecine d'une conquête destinée à constituer une des bran
rale par l'orthopédie physique. La psychothérapie exerce sur toute la médecine une influence salutaire. En développant chez les
cas, féliciter M. Garofalo d'avoir eu le courage de signalerun mal. Médecine rétrospective. La commission des manuscrits his
logie française avaient envoyé des délégués au Congrès. La Faculté de Médecine de Paris étaient représentée par M. le professeur
ui a trait à une aventure de Stuart Mill, et à celle d'un étudiant en médecine de Paris racontée par M. Binet). Mais dans le cas
u par l'éminent Dr Kogevnikoff, professeurde psychiatrie à l'école de médecine de cette ville. Ce rapport, qui supplée au laconi
nstitue bien, comme on l'a dit, « une des plus belles conquêtes de la médecine moderne. » La guérison des obsessions par la
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . La prochaine réunion de la Société aura lieu le
rder d'un an la réunion du prochain congrès. Le congrès français de médecine , à Nancy, a clos sa session le 10 août. Il a été
semaine qui précède Pâques. Ce rejet à 1898 du prochain congrès de médecine a été inspiré par le désir de ne point empêcher l
ances réactionnaires et qu'il n'a jamais occupé ni en chirurgie ni en médecine la place à laquelle il aurait pu prétendre. OUV
ion actuelle, il fut nommé interne des hôpitaux en 1872, docteur en médecine en 1879, docteur ès sciences en 1878, agrégé de l
édecine en 1879, docteur ès sciences en 1878, agrégé de la Faculté de médecine au concours de la même année, et succéda à Béclar
envisagé dans ses rapports avec la thérapeutique, la pédagogie et la médecine légale devait d'ailleurs faire l'objet d'un autre
C'est ainsi que par une compréhension très nette des besoins de la médecine psychologique et de la psychothérapie pratique, M
aux questions d'hypnotisme relatives à la pratique journalière de la médecine . Les organisateurs du congrès de l'hypnotisme ava
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallicr, membre de l'Académie de médecine . La reprise des travaux de la Société aura lieu
; G0 L'hypnotisme et la suggestion dans les maladies mentales et en médecine légale. Maladies nerveuses : 1° Pathologie de la
ax, à propos de la thérapeutique psychique, vient de publier, dans la Médecine Moderne, un article dans lequel il ne craint pas
ien qu'on ne peut demander à un membre correspondant de l'Académie de médecine de retourner sur les bancs de l'école, ou mieux d
s les cas d'aliénation mentale,-Troplong écrivait : « Je pense que la médecine légale, malgré ses prétentions, n'a ajouté aucun
s une escroquerie, une enquête scientifique. Les indécisions que la médecine a pour mission de résoudre sont autrement délicat
doit être en rapport avec le degré de responsabilité de l'agent. — La médecine mentale et l'anthropologie criminelle sont venues
iété, sous la présidence de M. Dumontpallier, membre de l'Académie de médecine . Rôle thérapeutique de la suggestion et de L'an
anto-suggestion par m. le D. Dumoxtpallier, membre de l'académie de médecine *. Une dame, du meilleur monde, âgée de 37 ans,
éoccupe le plus ; il a eu la malencontreuse idée d'ouvrir un livre de médecine populaire et le voilà persuadé qu'il a tous les p
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . Les prochaines séances de la Société auront li
nvier, à cinq heures, M. le Dr Dumontpallier, membre de l'Académie de médecine , fera une conférence sur : La conversion d'un cli
responsabilité des alcooliques, présenté au Congrès international de médecine mentale, tenu à Paris en 1889 1, M. Motet fait si
responsabilité des actes. Comptes-rendus du Congres international de médecine mental tenu à Paris, en 1889, p. 465. A parti
ces du somnambule sont celles de l'homme éveillé et conscient. Or, en médecine légale, l'expert n'étant pas convoqué au moment d
une réponse affirmative. Le docteur H., bibliothécaire de l'Ecole de médecine , et un de ses amis ëtantvenus chez moi, commencèr
e de Bright, dont j'ai rapporté en partie l'histoire dans la Revue de médecine , 1894, pp. 713 et suivantes. Ce jeune homme avait
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . Les prochaines séances de la Société auront li
s d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
nvier, à cinq heures, M. le Dr Dumontpallicr, membre de l'Académie de médecine , fera une conférence sur : La conversion d'un cli
xtraites d'un article de M. le Dr Fiessinger, d'Oyonnax, paru dans la Médecine Moderne, sous le titre : Thérapeutique psychique.
icle sur la Thérapeutique psychique paru il y a quelque temps dans la Médecine Moderne. « Tout cela ne serait pas pour me dépl
logie. « Dr Ch. FIESSINGER, « Membre correspondant de l'Académie de Médecine . » Nous soumettons ce qui précède aux. élèves i
té ; sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . Les prochaines séances de la Société auront li
e M. Kraft Ebing, lequel occupe, comme on sait, à Vienne la chaire de médecine mentale, a fait dernièrement une leçon d'une he
c.— L article très intéressant de M. Durand a paru dans le Journal de Médecine de Bordeaux, déc. 1881 et a paru au tirage à pari
s d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
nvier, à cinq heures, M. le Dr Dumontpallier, membre de l'Académie de médecine , fera une conférence sur : La conversion d'un cli
parti pris. C'est aussi l'avis émis, il y a quelques années, dans la Médecine moderne, par M. le professeur Déjerine, de la Fac
ont si bien mis en évidence, au cours de ces dernières années. » (La Médecine Moderne, janvier 1891, p. 73 et 80.) En 1888,
et du somnambulisme, dans leurs rapports avec la jurisprudence et la médecine légale. 1 vol. in-18, de vii-758 p. O. Doin, édit
re encore le chef incontesté. Et M. Brouardel, doyen de la Faculté de médecine de Paris, professe, à son Cours de Médecine légal
l, doyen de la Faculté de médecine de Paris, professe, à son Cours de Médecine légale, que les somnambules ne réalisent que « le
uggestion à l'état de veille. Par M. Renoux, élève de la Faculté de Médecine de Nancy. C'est un malade âgé do 39 ans et bien
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . Les prochaines séances de la Société auront li
s d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
Parmi eux, nous pourrions citer plusieurs professeurs à lu Faculté de Médecine de Paris, des membres de l'Institut, des littérat
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . Les prochaines séances de la Société auront li
e médicale fameuse, celle de Stahl, avait formulé les principes d'une médecine morale. Pour Stahl, lorsque le régime de l'économ
puis, sance digne de la lutte que le médecin doit soutenir. Toute la médecine résidant dans ces deux termes : a la foi et la vo
a guérison qui commence. Malheureusement, dans l'application de cette médecine de l'esprit, il arrive souvent que ce sont ceux q
d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pra-jique de la faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
EIGNEMENT SUPÉRIEUR LIBRE COURS A L'ÉCOLE PRATIQUE DE LA FACULTÉ DE MÉDECINE Semestre d'été 1896-1897 M. le Dr Bérillon, méd
a le mardi 9 Mars, à cinq heures, à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine (amphithéâtre Cruveilhier), un cours libre su
. le Dr Jules Voisin, le jeudi, à 10 heures du matin. La Faculté de Médecine de Paris au Conseil de l'Université. — Cours libr
aire de pathologie expérimentale et comparée, vacante à la Faculté de Médecine par le décès de M. Straus, le Conseil de l'Univer
torisé l'ouverture des cours libres ci-après désignés à la Faculté de médecine . — M. le Dr Petit : anesthésie et antiseptiques;
u mécanisme de son engagement. Dissertation présentée à la Faculté de Médecine de Genève, pour obtenir le titre de Privat-Docent
endrer le blépharospasme, comme dans le cas de Laséguc (Arch. gén. de médecine , juin 1878). C'est en vain que j'ai cherché des z
vrier 1886.) Lasègue. — Des hystéries périphériques. (Arch, ginèr. de médecine . Juin 1878.) Meyer. — Revue générale d'ophthalmol
et la nature du fait existant ne variera pas d'un atome parce que la médecine ne pourra donner la véritable raison pour laquell
1889, M. le Dr Bérillon professe, à l'Ecole pratique de la Faculté de Médecine , un cours libre sur la psychologie physiologique
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . Les prochaines séances de ta Société auront li
s d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
ure encore 1 m. 50 de hauteur sur 75 cent, de largeur. — Congrès de Médecine de Moscou. — Sur la demande du Comité exécutif du
u mécanisme de son engagement. Dissertation présentée à la Faculté de Médecine de Genève, pour obtenir le titre de Privat-Docent
n article sur i Braidism in Quain's *>, paru dans « Dictionarry of Médecine s, exprimait le regret que Braid ne rejetât pas t
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . Les prochaines séances de la Société auront li
s d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
ent l'influence. Il y a quelques années, alors que je m'occupais de médecine générale, il était rare que je ne puisse détermin
tats sont obtenus dans la pratique ordinaire, par la prescription des médecines qui stimulent ou irritent les organes, et accrois
ntion sur les cures obtenues par les infinitésimales petites doses de médecine mises en pratique dans l'homceopathie. « Celles-c
gale à 61 fois la grosseur de la terre pour contenir un seul grain de médecine . Au momentoù Braid pensait que l'action des rem
durant le traitement ordinaire, sont dûs entièrement aux effets de la médecine et combien, indirectement, aux effets de l'attent
ment de la pure influence physique, qui proviendrait d'ailleurs de la médecine spéciale, en supposant que le malade n'aurait pas
nte, sous la présidence de M. Dumont-pallier, membre de l'Académie de médecine . La prochaine séance de la Société aura lieu
s d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
Exposition universelle de Bruxelles de 1897 Congrès international de médecine légale. Parmi les rapports généraux, nous devon
armi les rapports généraux, nous devons signaler les suivants : IV. — Médecine mentale. — i1* question : De la responsabilité, n
'une et de l'autre ; cette science, Cabanis l'a ébauchée ; c'est à la médecine à la perfectionner. Il ne faut pas élever un mur
ux, du dynanisme cérébral. (1) Discours de M. Bousquet. Académie de Médecine (Séance du 12 juin 1855.) Le cerveau est un l
tier consentement du sujet, ce qui place l'hypnotisme au-dessus de la médecine , car beaucoup de médicaments efficaces ont été em
volonté, au moyen d'irrésistibles pouvoirs et de passes secrètes. » Médecine et Chirurgie. Braid accorde une valeur beaucoup
ente, sous la présidence de M. Dumontpallier, Membre de l'Académie de Médecine . Les Auteurs sont invités à adresser dès à prés
Fils de Médecin .... 1 0.15 Pharmaciens...... 21 3,2 Étudiants en médecine . 21 3,2 Etudiants en pharmacie, 4 0,6 Infirm
... 1 0,1 Fermière...... . 1 0,1 Comme le remarque à ce propos la Médecine moderne, la fréquence de la morphinomanie parmi l
s d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
olumes, etc.). Les Congrès de 1897. XIIe Congres international de Médecine , à Moscou, du 19 au 26 Août. Section des maladies
et la suggestion dans leurs rapports avec les maladies mentales et la médecine légale, » — A. Tokarski (de Moscou) : « De l'appl
, 63. Congrès d'anthropologie criminelle, 63. Congrès français de médecine (le), 63. Congrès de l'hypnotisme expérimentale
ion hypnotique, par Ber-nheim. 91. Maîtres de l'hypnotisme et de la médecine (les), 1, 65. Mal de mer et le moyen de le prév
venir par la suggestion hypnotique (le), par le Dr Gorodichze, 124. Médecine rétrospective, par le Dr Wil-dey, xviie siècle, 2
20 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
, somnambulisme, suggestion névroses, maladies mentales et nerveuses, médecine légale, pédagogie criminologie, psychologie physi
nement découragé un esprit moins déterminé que le sien. La section de médecine de l'Association britannique pour l'avancement de
la Société de l'élection de M. Ic professeur Raymond à l'Académie do Médecine . La Société ducïde que des félicitations seront a
tions ; Attendu que deux fois condamnée pour exercice illégal de la médecine , en mars 1898, elle se fait assister depuis cette
elle se fait assister depuis cette époque du sieur Gibert, docteur en médecine ; Attendu que le D1 Gibert allègue qu'il prend
t son concours à la femme Guerliau, coupable d'exercice illégal de la médecine , à l'effet de la soustraire aux prescriptions de
e soit restée Intacte. Traitement des morphinomanes La Société de médecine et de chirurgie pratiques, reconnaissant qu'il y
s d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
Dieu, sous la présidence de M. Dumontpallier, membre de l'Académie de médecine , avait confié à une commission composée de MM.Dum
août 1900, immédiatement après la clôture du Congrès international de médecine . Se conformant à ce vœu, la commission supérieu
er, charge de cours à Paris, le D' Grasset,professeur a In Faculté de médecine de Montpellier. Liégeois, professeur à la Faculté
nts d'honneur. MM. le Dr Azam, professeur honoraire à la Faculté de médecine de Bordeaux. le Dr Joffroy, professeur à la Fac
de médecine de Bordeaux. le Dr Joffroy, professeur à la Faculté de médecine de Paris. le Dr Raymond, professeur à la Facult
lté de médecine de Paris. le Dr Raymond, professeur à la Faculté de médecine de Paris. le Dr Richet (Charles), professeur à
decine de Paris. le Dr Richet (Charles), professeur à la Faculté de médecine de Paris. le Dr Durand de Gros. le Dr Liébeault
la Faculté de Bordeaux, le Dr RiCHER (Paul), membre des l'Académie de médecine , le Dr Robin (Albert), membre de l'Académie de mé
l'Académie de médecine, le Dr Robin (Albert), membre de l'Académie de médecine ./page> page n="39"> MM. Tarde, chef de
té de Cambridge. Espagne. M. le D' Heimano, prof, ù la Faculté do médecine de Madrid. Grèce. M. le Dr Catsahas, prof, à
decine de Madrid. Grèce. M. le Dr Catsahas, prof, à la Faculté de médecine d'Athènes. Hollande. M. le Dr Van Kentërghem,
L'hypnotisme devant la loi du 30 novembre 1892, sur l'exercice de la médecine .— Intervention des pouvoirs publics dans la régle
ives, nous devons citer M. le Dr Paul Richer, membre de l'Académie de médecine ; M. Melcot, avocat général à la Cour de cassation
adémie de Grenoble; de M. le D' Albert Robin, membre de l'Académie ee médecine : de M. le D'Babinski, médecin de la Pitié; Tarde
M. Paul Richer et Raymond, dont il célèbre l'élection à l'Académie de médecine , et celle des nouveaux vice-présidents : MM. Lion
Les os humains, en effet, étaient souvent employés dans l'ancienne médecine , Charras (i), Lemery et d'autres nous apprennent
elle, par Nico-as Lenwy, do l'Académie royale des sciences docteur en médecine , MliCCLXI, p. %. — Histoire générale des Drogues,
n'en finirions pas si nous voulions nous arrêter à tous les (t) Lu médecine de la superstition, International médical Magasin
philosophique sur les principes de l'algèbre: universelle. Il Ut sa médecine d'abord à Montpellier (1845), puis â Paris. Il se
re 1887. (3) WsTTiiUSTBAîiu : L'Hypnotisme ei ses applications à la médecine pratique, p. 73-76./page> page n="78">
ement du 6 janvier d'appliquer les peines de l'exercice illégal de la médecine à des magnétiseurs. Ils avaient donné des soins à
duquel : « Les articles visant et punissant l'exercice illégale de la médecine ne pourraient leur être appliqués que le jour où
dence toute latitude pour examiner les actes d'exercice illégal de la médecine . Or le jugement que nous commentons applique l'
Cour de Paris qui interprètent sainement la loi sur l'exercice de la médecine dans un procès intente à deux magnétiseurs : rî;m
révenus soutiennent qu'il Jeur est licite, sans diplôme de docteur eu médecine ni d'officier de sanlé, de soigner (1) Dans Je
pratiques ? Les articles visant et punissant l'exercice illégal de la médecine ne pourraient leur être appliqués que le jour où
nt à toute personne non munie d'un diplôme délivré par une faculté de médecine , de prendre part habituellement ou par directions
s être considérées comme constituant par elles-mêmes l'exercice de la médecine ; que, par suite, les expériences magnétiques fai
andaient au Parlement d'ajouter au projet de loi sur l'exercice de la médecine un article qui, s'il avait été inséré dans la loi
l'hypnotisme appliqué au traitement des maladies à l'exercice de la médecine ; qu'ainsi, il n'y a pas d'argument sûr à tirer de
chères bêtes de Favières. 11 n'y retourna pas et devint étudiant en médecine , à Strasbourg. Et alors deux hasards préparèrent
camarade apportait au restaurant un rapport de Dubois à l'Académie de médecine sur les expériences magnétiques d'Azam, de Bordea
tion à voir s'achever un siècle dont l'œuvre a été si considérable en médecine comme dans toutes les branches de l'activité huma
où il a été si a bon de vivre, quand on s'intéresse aux choses de la médecine »? Ne trouvez-vous pas, en tout cas, que l'heur
ays à celte époque. En esquissant ainsi rapidement l'histoire de la médecine française dans ces derniers cent ans, j'essaierai
r. (1) Extraits du discours prononcé i l'inauguration du Congrus do médecine EatcrCu à Lille, le '.'8 juillet 1893, par nntr.&
Le Chancelier de l'Université de Montpellier a d'abord introduit en médecine la méthode inductive, la méthode de Bacon, qui fa
devait rester la méthode scientifique et vraiment féconde de toute la médecine du XIX' siècle. En second lieu, il dégagea les
anatomie pathologique générale. Ainsi s'ouvrait brillamment pour la médecine ce XIX0 siècle, que la Révolution française et un
t et Balzac ont atteint ou dépassé vingt ans. Quelle pléiade ! En médecine , les Écoles de santé ont été fondées à Paris, Mon
les cliniciens s'efforçaient d'appliquer toutes ces découvertes à la médecine proprement dite, qui progressait d'autant. C'est
bus qu'on en fit, et qui en dénatura la valeur, mit en péril la vraie médecine . Cette regrettable période est symbolisée dans
émissions sanguines, dont on abusa d'une manière lamentable. Cette médecine que Broussais appelait à tort « physiologique » é
saire, de combat. Mais c'est certainement en neuropathologie que la Médecine française est la plus brillante. Dés le commenc
déjà dit : « Concluons qu'il faut transporter la philosophie dans la médecine et la médecine dans la philosophie ». Les beaux
oncluons qu'il faut transporter la philosophie dans la médecine et la médecine dans la philosophie ». Les beaux travaux de l'é
de ce vœu, et vous savez les grands services que la philosophie et la médecine se rendent aujourd'hui mutuellement en allant sin
diagnostic et psychothérapie); 3e Applications de l'hypnotisme à la médecine légale; 4' Applications de l'hypnotisme à la pé
dra à l'application rigoureuse de la loi sur l'exercice illégal de la médecine , toute superstition dans le domaine médical ne di
il de l'enfant. par M. le D' E. Pëiuek. Directeur île» ¦ Annulée de Médecine cl de Chirurgie Infantiles ». Le efu6 des mères
es prononcées en réalité par lo ventriloque à la poupée qu'on meut. Médecine et mysticisme A côté des Christian Scientist's,
s'est fondé à Londres une secte nouvelle, également dédaigneuse de la médecine , mais pour d'autres raisons. Ses adeptes se nomme
D'autre part, il s'est formé dans la Nouvelle-Angleterre une école de Médecine qui est pratique et qui réussit. Les études, le d
s d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
OGIE Séance du 12 Juillet 1SM. — Présidence de M. Jules Voisin La médecine primitive par les semblables Par le Docleur Fel
eur, mais je me bornerai à montrer que ce précepte était suivi par la médecine primitive, et que, non seulement les sauvages, ma
s d'aliénés, y complète son cours à l'école pratique de la Faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
age n="187"> Un cas de toux hystérique, par M. Sorbl. Société de médecine de Toulouse, séance de 11 juillet 1839. Une jeu
âge de 77 ans, de M. le Dr Azam, professeur honoraire à la Faculté de Médecine , associé national de l'Académie de Médecine de Pa
honoraire à la Faculté de Médecine, associé national de l'Académie de Médecine de Paris depuis 1895, chevalier de la Légion d'ho
erveux ou hypnotisme paru, en 18G0, dans les Archives gé-. nérales de médecine . Ce travail fut le premier publié en France sur
ir quelques affronts : sa candidature ayant été posée à l'Académie do Médecine , un des membres les plus considérables, sinon des
o genre. Nous ne nous attarderons pas à. signaler lee nombreux cas de médecine légale qui ont irait aux témoignages des hystériq
el pathologique sur le Rire et les exhitarants, tbése île doctorat en médecine par J. il. Raclis. (?) Physiologia crepitus ven
du roi, premier docteur régent, chancelier et juge de l'université en médecine de Montpellier. Son Traité futd'abord composé en
ons du poêle é:r.iont tenus par MM. de Nablas. doyen de la Faculté de Médecine ; Saignât, professeur à ïa Faculté de Droit, vioe
Précurseur en plusieurs matières dis notions qui fj^t l'orgueil de la médecine con temporaire, il voulait quo rica ne lui fût ét
s d'aliénés, y complète son cours à. l'Ecole pratique delà Faculté de médecine (aemosirc d'été) par des conférences sur les appl
bdon Sanchez Herrero, professeur de clinique médicale à la Faculté de médecine de Valladolid, a montré que, par la chloroformïsa
onsidérablement atténuée. Il n'en est pas de même quand on fait de la médecine privée dans son cabinet. M. Albert Chaiipentier
onséquences à tirer concernent à la fois la pathologie générale et la médecine légale : 1° Au cours de la phtisie pulmonaire,
déchéance brusque accompagnée de fièvre ; 5° En ce qui concerne la médecine légale, il serait désirable que les Inculpés de q
cs d'aliénés, y complète son couis à l'Ecole pratique delà Faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
L'hypnotisme devant la loi du 30 novembre 189.'. sur l'exercice de la médecine . — Intervention des pouvoirs publics dans la régl
s d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
cs d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique delà Faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
inuera les vendredis et mardis suivants à la même heure. Faculté de médecine (École pratique). — M. le Dr Bérillon, médecin in
cera le lundi 7 mai à cinq heures, à lEcolc pratique de la Faculté de médecine (amphithéâtre Cruveilhier) un cours libre de Psyc
l'époque de la puberté, par M. Jules Voisin, Gazette hebdomadaire de Médecine et de Chirurgie, 24 dec. 1S99, p. 12;'ô. M. Jul
Voisin doit être individualisée comme une véritable entité morbide. MÉDECINE LÉGALE Les Sourds-Muets et l'article 64 du Code
ycée Janson de Sailly. le docteur Grasset, professeur à la Faculté de médecine de Montpellier. Liégeois, professeur à la Faculté
onneur. . MM. le docteur Azam. professeur honoraire à la Faculté de médecine de Bordeaux. le docteur Jopfboy, professeur à l
édecine de Bordeaux. le docteur Jopfboy, professeur à la Faculté de médecine de Paris, le docteur Raymond, professeur à la Fac
de médecine de Paris, le docteur Raymond, professeur à la Faculté de médecine de Paris, le docteur Hichet (Charles), professeur
ine de Paris, le docteur Hichet (Charles), professeur à la Faculté de médecine d«-Paris. le docteur Durand de Gros. lo docteur
L'hypnotisme devant la loi du 30 novembre IS92, sur l'exercice de la médecine . — Intervention des pouvoirs publics dans la régl
ême d'Esculape. Un cas de toux hystérique, par M. Sorel. Société de médecine de Toulouse. Une. jeune fille de 18 ans, issu
unis à Lyon pour lui remettre une plaquette en bronze représentant la médecine expérimentale, œuvre de Roty. Répondant au prés
e clinique, M. Lépine a dit qu'en mettant sous ses yeux l'image de la Médecine expérimentale, ses élèves avaient sans doute voul
s correspondant de l'Institut: l'année suivante, ce fut l'Académie de médecine qui le nomma correspondant pour l'élire plus tard
rs à l'Ecole pra-/page> page n="352"> tique delà Faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
tut psycho-physiologique. COURS A L'ÉCOLE PRATIQUE DE LA FACULTÉ DE MÉDECINE Semestre d'été 1900. M. le Dr Bérillon, médec
ra, le lundi 7 mai à cinq heures, à l'Ecole pratique de la Faculté de Médecine [amphithéâtre Cruvcilhier) un cours libre de Psyc
tisme et suggestion par M. le Dr Beknheim, Professeur â la Faculté de Médecine de Nancy. Je ne suis pas tout à fait d'accord a
Dr Manouvriez (de Valenciennes) Membre correspondant de l'Académie de Médecine . Le 15 février 1809,1a Sous-Préfecture nous com
DT Vincent, médecin principal de la marine. — L'Académie royale de médecine de Belgique a délégué M. le pro-/page> page
us la présidence de M. le professeur Raymond, membre de l'Académie de médecine . programme provisoire : i° Discours de récept
92, 223, 255, 287, 350. Coure à l'école pratique do la faculté de médecine (Programme), p. 350. Cours annexe professé à Lill
n médicale en France au XIX siècle, par Grasset, p. 101. Faculté de médecine , p. 320. Faux témoignages suggérés, par Paul
es jouissances artistiques (Le) par Lange, (de Copenhague), p. 316. Médecine et Mysticisme, p. 125. Médecine primitive par les
par Lange, (de Copenhague), p. 316. Médecine et Mysticisme, p. 125. Médecine primitive par les semblables (La), par Félix Re
cine primitive par les semblables (La), par Félix Regnault, p. 141. Médecine légale, 341. Mémoire dans les différentes races
21 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
PHYSIOLOGIQUE Paraissant tous les mois PSYCHOLOGIE - PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGAI/ê7 MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédac
nt dans les concours qui ouvrent la porte des emplois officiels de la médecine . Les successifs écroulements des théories et des
de ce néo-vitalisme physiologique encore flottant et indécis dans la médecine , quand, sous d'autres formes et avec d'autres nom
ntale. Par analogie avec certaines expériences de physiologie ou de médecine expérimentale, le but de l'hypnotisme sera toujou
ion et aux autres procédés d'investigation de la physiologie et de la médecine expérimentale. L'hypnotisme ne provoque aucune lé
la méthode que Claude Bernard, dans son Introduction à l étude de la médecine expérimentale, formulait dans les termes suivants
t dans les termes suivants : « La première condition pour faire de la médecine expérimentale, c'est d'être d'abord médecin obser
mbre que l'art. 16 de la loi de 1892, visant l'exercice illégal de la médecine soit modifié et que « les pratiques. du massage e
nt le peu de valeur. Quel est le but de la loi sur l'exercice de la médecine ? C'est justement d'exiger l'aptitude de ceux qui
seignement nécessaire à l'exercice de cet art, mais non à celui de la médecine . Aussi la loi se montre aussi sévère pour eux q
r de protéger la santé publique ? En ne permettant l'exercice de la médecine qu'à ceux qui, après un certain nombre d'années c
justifié de leurs capacités pour l'obtention du diplôme de docteur en médecine , la loi remplit un devoir vis-à-vis de la société
aux dentistes, malgré leurs connaissances spéciales, l'exercice de la médecine , aille autoriser le premier venu à user vis-à-vis
nétisme, soit soumis à la loi du 30 nov. 1802, sur l'exercice « de la médecine . » Ce vœu de la Société d'Hypnologie, approuvé
de paraître sous forme d'un (1) Vigot, éditeur. Place de l'Ecole de Médecine . Et bureaux de la Revue de l'hyp-notisme, 14, rue
les maladies mentales. — Rapporteur : M. Lalanne (de Bordeaux); 3° Médecine légale : Les auto accusateurs au pointde vue médi
M. le professeur Raymond, le Dr Albert Robin, membre de l'Académie de médecine , le Dr Landrieux, médecin de Lari-boisière, le Dr
to y occupent naturellement une large place. Il y a là un chapitre de médecine d'imagination des plus intéressants. Parmi les
d de son père qu'il sera médecin ; et Galien s'adonne à l'étude de la médecine . Peut-on sérieusement prétendre que, dans ces c
rofesseur Raymond, médecin de la Salpêtrière, membre de l'Académie de médecine , le Dr Albert Robin, professeur agrégé à la Facul
eur agrégé à la Faculté, médecin de la Pitié, membre de l'Académie de médecine , le Dr Landrieux, médecin de Lariboisière, le Dr
des modifications purement dynamiques. Nous avons trop l'habitude en médecine de nous laisser envahir par une anatomie patholog
a psychologie scientifique. (1) Vigot, éditeur, place de l'Ecole de Médecine , et bureaux de la Revue de l'Hypnotisme, 14, rue
numéros. Ensuite, à la séance d'ouverture, le directeur de l'Ecole de médecine de Grenoble, M. le professeur Bordier, a démontré
pitale du Dauphiné, M. le professeur Bordier, directeur de l'Ecole de médecine , et M. Boirac, recteur de l'Académie de Grenoble.
rimentale (') Par M. le professeur Bordier, directeur de l'Ecole de médecine de Grenoble. Je suis heureux de saluer, au nom
decine de Grenoble. Je suis heureux de saluer, au nom de l'Ecole de Médecine et de Pharmacie (j'ajoute au nom du corps médical
t. Si vous avez été conduit ici par votre sympathie pour l'Ecole de Médecine de l'Université de Grenoble, sympathie dont nous
ous n'avez pas de diplôme professionnel, vous avez du moins étudié la médecine ; vous l'avez fait en naturaliste et en philosophe
ure où toutes les sciences se préoccupent de leur utilité sociale, la médecine , dont cela a toujours été la destination, la méde
ité sociale, la médecine, dont cela a toujours été la destination, la médecine mentale, plus que toute autre, a le droit d'être
les questions d'hygiène et de prophylaxie sociale? C'est bien à la médecine , en particulier à la médecine mentale, à la neuro
prophylaxie sociale? C'est bien à la médecine, en particulier à la médecine mentale, à la neurologie et à la psychologie expé
nic. Mais quoiqu'il possède (1) Communication faite à la Société de médecine de Gand. à fond ces deux derniers auteurs il
surtout traité des plantes médicinales il est tenté par l'étude de la Médecine et demande dans quels ouvrages il pourrait bien l
le font « sourire ». C'est qu'il se fait lui, une autre idée de la Médecine . « Est-ce que la science de guérir peut se transm
lus tard il nous le dira au cours de son œuvre, on ne peut exercer la médecine que si on a reçu de Dieu le don de guérir. C'est
vital et un agent : le ferment. Néanmoins il continue l'étude de la médecine , lit deux fois les œuvres de Galien — une fois ce
'arabes et modernes, avoir lu et annoté plus de six cents ouvrages de médecine . Plus tard, il lira Paracelse, qu'il trouvera t
avec regret l'insuffisance, l'incertitude et l'état conjectural de la médecine . « Je savais, dit-il, discuter théoriquement sur
érissent seules ou aboutissent à des maladies incurables. L'art de la médecine est une invention pleine d'imposture. Les Romains
sont du reste infidèles. Pourquoi donc entrer dans la pratique de la médecine ? pour avoir à subir la torture de l'impuissance d
tourmenté, car au fond il estattiré par l'étude et la pratique de la médecine et n'en est détourné que par sa famille et ses hé
ment en 1609, à Vilvorde. Et c'est là que pendant 17 ans il exerce la médecine à sa façon, soignant plutôt les pauvres que les r
naquit le (6 septembre 1823 LIÉBEAULT, Ambroise, Auguste, docteur en médecine , médecin modeste et homme de bien, qui ouvrit une
ocuments des Ecoles des Physiciens. Aussi son livre est-il intitulé : Médecine nouvelle ou Principes nouveaux de Physique. Si no
ourquoi n'a-t-il jamais voulu être simplement Van Helmont, docteur en médecine ? parce que le titre était pour lui de trop peu d
, il était noble et c'était déchoir pour un noble que de pratiquer la médecine . — « Indignatus mecum dolui, qui nobilis essem, q
n îiostra familia, Me-dicinae nuncuparem. » Aussi ne pratique-t-il la médecine qu'en grand seigneur, se faisant mal payer et don
donnant gratuitement des médicaments. Ajoutons qu'il se faisait de la médecine une idée extra-terrestre. Pour lui c'est Dieu qui
our lui, comme nous l'avons déjà dit plus haut, on ne peut exercer la Médecine que si on a reçu de Dieu lui-même le don de guéri
on grand ouvrage : Ortus Medicinse. Pour lui, depuis Hippocrate, la Médecine n'a pas fait de progrès. Il faut chercher s'il n'
ot diversement interprété aux différentes époques de l'histoire de la Médecine . Le mot Archée (de ap/, principe, commencement, c
commencement, cause première) a été employé pour la première fois en Médecine par Paracelse, qui l'avait emprunté au moine Basi
première. Un grand nombre de faits miraculeux sont du domaine de la médecine et plus spécialement du domaine de l'aliénation m
y, un volume in-8. Vigot, frères, Editeurs, 23, Place de l'École de Médecine , Paris.......................6 francs. Des di
roit sont admises à concourir au même titre que celle des Facultés de Médecine : Les thèses devront être adressées avant le 31
convénients considérables qui résultaient de l'exercice illégal de la médecine par les empiriques et nous nous associons pleinem
erait dans l'application stricte de la loi qui régit l'exercice de la médecine . Le Dr Salomon, lui, proposait d'introduire la
et de l'importance en thérapeutique nerveuse de l'hypnotisme et de la médecine psychologique. De plus, l'enseignement libre offr
pléter son éducation médicale. Malheureusement, tous les étudiants en médecine n'ont pas la véritable vocation qui fait seule le
sychologues. Ce qu'il faut souhaiter avec le Dr Salomon, c'est que la médecine française revienne aux traditions philosophiques
en la même qualité à Dijon. M. le Dr Richer, membre de l'Académie de médecine et de la Société d'hypnologie, s'est vu décerner
u baron de Jouest (2.000 fr.) pour son ouvrage intitulé : L'Art et la Médecine . Enfin, à M. Caustier, professeur agrégé au Lycée
aturel et miraculeux. Le docteur Crolas, professeur à la Faculté de médecine de Lyon prit comme sujet de thèse (1867) les Para
rits par l'archevêque d'Arras ne semblent-ils pas tirés d'un livre de médecine traitant de l'hystérie? N'ai-je pas raison de dir
n leur attribue une valeur métamérique. » Les thèses de doctorat en médecine sont le plus souvent dénuées de toute valeur. M.
digués, l'année dernière par M. Albert Robin, membre de l'Académie de médecine , et, il y a deux ans, par M. Tarde, professeur au
bre, Novembre, Décembre 1902. (2) Ce mémoire a été la à la Société de médecine d'Alger. J'ouvre une parenthèse pour signaler
ptique par M. le Dr Fiessinger, membre correspondant de l'Académie de médecine Vendredi 13 février, à 8 h. 1/2 L'émotivitê mor
La certitude médicale : Influence des Rayons X sur les progrès de la médecine par M. le Dr de Bourgade la DardyE, directeur du
e ; Giard, professeur àla Sorbonne ; HUchard, membre de l'Académie de médecine ; Ribot, professeur honoraire au Collège de Franc
Académie des sciences morales ; Albert Robin, membre de l'Académie de médecine ; Tarde, professeur au Collège de France, membre
de l'Université, M. le Dr Saint-Yves-Ménard, membre de l'Académie de médecine , M. Terrier, professeur à l'Ecole normale supérie
technique, M. le Dr Fiessinger, membre correspondant de l'Académie de médecine , M. le Dr Chervin, président de la Société des Co
s Dumontpallier, Mesnet, Luys, Albert Robin, membres de l'Académie de médecine . Actuellement, notre Comité de patronage se com
e. L'année dernière, M. le Dr Albert Robin, membre de l'Académie de médecine , dans le discours qu'il prononça le jour de la ré
Marseille) et une autre de M. le Dr Huchard, membre de l'Académie de Médecine , médecin de l'hôpital Necker. M. le Secrétaire
Société MM. les Drs Fiessinger, membre correspondant de l'Académie de Médecine , Léon Leriche, directeur du Sanatorium de Meu
nt sur les récidives. 4. Dr Demonchy : Psychologie de l'étudiant en médecine américain. 5. Dr Henry Lemesle : Une stigmatisé
ptique par M. le Dr Fiessinger, membre correspondant de l'Académie de médecine Vendredi 13 février, à 8 h. 1/2 L'émotivité mor
La certitude, médicale : Influence des Rayons X sur les progrès de la médecine par M. le Dr de Bourgade la Dardye, directeur du
; Giard, profes-*eur à la Sorbonne; Huchard, membre de l'Académie de médecine ; Guimet, directeur du Musée des religions ; RibOt
oraire au Collège de France ; Albert Robin.\, membre de l'Académie de médecine ; Tarde, professeur au Collège de France ; Jules
ntale. Par analogie avec certaines expériences de physiologie ou de médecine expérimentale, le but de l'hypnotisme sera toujou
ion et aux autres procédés d'investigation de la physiologie et de la médecine expérimentale. L'hypnotisme ne provoque aucune lé
e,- par le Dr Ch. Fiessinger, membre correspondant de l'Académie de Médecine . La psychologie du phtisique vient d'être l'obj
MM. les Dr Bêrillox et Paul FAREz VIGOT, éditeur, place de l'École de Médecine , Paris Les comptes rendus du 2e Congrès interna
édico-légat, par MM. les Dr (1) Vigot, éditeur, place de l'Ecole de Médecine , et bureaux de la Revue de l'Hypnotisme, 11, rue
NOUVELLES Cours d'hypnotisme a l'Ecole pratique de la Faculté de médecine de Paris. — Le Dr Bérillon commencera, le lundi 1
lundi 11 mai 1903. à cinq heures, à l'Ecole pratique de la faculté de médecine , amphithéâtre Cruveilhier, un cours libre sur le
In-8, 320 pages avec 58 figures. Vigot, éditeur, place de l'Ecole de Médecine , et bureaux de la Revue de l'Hypnotisme. 14, rue
soit un miracle », dit dans sa déposition le sieur Billet, docteur en médecine de la faculté de Montpellier, « Je suis prêt de l
NOUVELLES Cours d'hypnotisme a l'Ecole pratique de la Faculté de médecine de Paris. — Le Dr Bérillon commencera, le lundi 1
lundi 11 mai 1903, à cinq heures, à l'Ecole pratique de la faculté de médecine , amphithéâtre Cruveilhier, un cours libre sur le
. In-8,320 pages avec 58 ligures. Vigot, éditeur, place de l'Ecole de Médecine , et bureaux de la Revue de l'Hypnotisme, 14, rue
évroses professionnelles. Elles ont été publiées dans les journaux de médecine de l'époque (1), et nous les reproduisons à titre
et de consultation, déclarant que rien n'était capable de modi- (1) Médecine moderne et Revue médicale. Mai 1897. fier son
a suggestion hypnotique. M. Demonchy : Psychologie de l'étudiant en médecine américain. M. de Bourgade la Dardye: La psychol
mité. La séance est levée à 6 h. 40. Psychologie de l'étudiant en médecine américain, par M. le Dr L. Demonchy. Les prés
e vue social, comme au point de vue plus particulier de l'étudiant en médecine , l'effort est en commun. Communauté dans l'effort
r l'individu. Pour les groupes, il en est de môme. Car à l'Ecole de Médecine les étudiants ne sont pas isolés, ils se réunisse
onseil d'administration chercheront-ils à rendre l'enseignement de la médecine essentiellement pratique. Ils y gagneront comme l
it, en un mot il est entraîné: et les échecs sont rares. L'Ecole de Médecine américaine forme donc un tout, une unité sociale,
Personnage. Leur personnalité est très marquée. Ils sont étudiants en médecine et ne veulent pas être autre chose. L'art, la lit
, et de leur plus récent éditeur Bouchard, dominent en effet toute la médecine ; et, si nous exceptons pour une part restreinte
le soignait, praticien distingué et professeur d'une de nos Ecoles de médecine , se décida à le mettre au régime lacté — avec du
lle, p. 159. Cours d'Hypnotisme à l'Ecole pratique de la Faculté de Médecine de Paris, p. 320, 351. Coxalgie suggérée par le
nctions psychiques (Influence de l'), par Pron, p. 188. Etudiant en médecine américain (Psychologie del').par L. Demonchy, p.
t la biologie (La), par Giard, p. 241. Psychologie de l'étudiant en médecine américain, par L. Demonchy, p. 364. Psychlatrik
22 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
OGIE PHYSIOLOGIQUE Paraissant tous mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédacteur
a pathologie, à la thérapeutique et à l'étude do la responsabilité en médecine légale, il a continué à imprimer à nos études la
maints de nos honorables confrères, qui sont bien près d'expliquer la médecine tout entière par la suggestion, nouvelle panacée
etlaurant Mignon, 110, boulevard Saint-Germain (en face de l'Ecole de Médecine ). Knvoyer les adhésions au banquet à M. le Secr
nommé grand-croix de l'Ordre de la couronne de Roumsnie. Faculté dm médecine do N?n??. — M. le professeur Bernheim est nommé a
nt la description a éte donner dans une communication à la Société de médecine pratique et au Congrès pour l'avancement des Scie
ves félicitations à l'occasion de sa récente élection à l'Académie de Médecine . La Société d'Hypnologie et de Psychologie est he
magnétisme par un empirique constitue le cas d'exercice illégal de la médecine . M. le secrétaire général fait un exposé de la
hille, etc. La récente élection de M. Dumontpallier à l'Académie de Médecine avait donné à cette fête un attrait de plus et
et ils sont heureux de porter un toast a son élection à l'Académie de Médecine . M. Dumoatpallier remercie le secrétaire généra
ier. A l'occasion de l'élection de M. Dumonlpallier à l'Académie de Médecine , ses anciens élèves ont eu l'idée de lui offrir.
ur de notre cher maître, le Dr Dumontpallier, membre de l'Académie de Médecine . » Ce discours, couvert d'une triple salve d'ap
étisme » par un empirique constitue le délit d'exercice illégal de la médecine . Dans sa séance annuelle du 11 juillet, la Soci
n vient de décider que la loi de ventôse, relative à l'exercice de la médecine , s'applique à tous ceux qui attirent à eux des ma
dicaments, ce qui lui permettait de prétendre qu'il n'exerçait pas ta médecine . L'une de ses clientes, la femme N.... est devenu
it «a la précaution de se couvrir de la collaboration d'un docteur en médecine pour légitimer ses pratiques « magnétiques ». V
rlatans et des empiriques, en réservant exclusivement aux docteurs en médecine et en chirurgie et aux officiers de santé l'exerc
e personne non diplômée, une infraction à la loi sur l'exercice de la médecine . REVUE BIBLIOGRAPHIQUE Die Suggestions-Thérap
de Méru (Oise). S'il est vrai qu'on ne doit pas faire consister la médecine tout entière dans la suggestion, qu'on ne doit pa
othérapie. NOUVELLES Les Pharmaciens en Belgique. — L'Académie de Médecine de Belgique à voté la résolution suivante : • L
étendue de la physiologie, de la chimie et de la physique font que la médecine , de nos jours, s'appuie principalement sur les ag
rce de les négliger, de mésestimer leur existence et leur pouvoir, la médecine s'égare. Elle n'apprendra jamais à connaître l'
ermets d'interposer ici la remarque que je ne sous-entends pas que la médecine est trop matérialiste. Les sciences naturelles
l. Il me semble que la plus grande faute, la faute principale de la médecine moderne réside dans la négligence et dans le déda
un des membres. Et pourtant de tout temps l'idée fondamentale de la médecine est restée la même ; pour arriver à guérir il fau
de celle faculté on ne peut plus utile ? » Cela regarde surtout la médecine proprement dite et spécialement le traitement des
rme ou une autre, et ils font des guérisons que n'a pas pu obtenir la médecine officielle. Cela ne mène à rien que d'ignorer a
s parfaitement honnêtes comme le curé Kneipp. Il est rationnel que la médecine méprise la suggestion sous forme de réclame, mais
ivaille. Cet équivalent elle le trouvera dans la psychothérapie. La médecine ne doit pas rester aveugle en se contentant d'amé
de trop en s'étant débarrassés du vitalisme. (Charpignon : Études de médecine animique et vitaliste. De la part de la médecine
arpignon : Études de médecine animique et vitaliste. De la part de la médecine morale dans le traitement des maladies nerveusee,
se et guérit tout. Faut-Il doue que la psychologie introduite dans la médecine vienne simplement y apporter le gâchis. Claude Be
facultés intellectuelles, nn de ces malades se décide à demander à la médecine de les guérir d'un mal qu'elle a presque toujours
vêtement chez les peuples primitifs anciens et modernes. Faculté de Médecine de Paris. Clinique des maladies du système nerv
et me permettra de demander à votre Société si. au point de vue Je la médecine légale, on peut considérer, ainsi que j'ai essayé
e suggestive, Par M. le Dr DUMONTPALLIER, membre de l'Académie de Médecine . Une jeune personne de douze ans et demi, affec
ulté de se livrer isolément aux cm les nécessaires. « La Faculté de Médecine de Paris possède actuellement un cours libre d'hy
salutations les plus distinguées. « Signé : Peeters, • Docteur en médecine . chirurgie et accouchements de la Faculté de Brux
cas d'audition colorée à laquelle elle peut être souvent associée. Médecine et confession Nous allons reproduire un documen
de Paris, pour motiver une signification adressée à M..-, docteur en médecine . Il ne fallait pas moins qu'une copie authentique
nt pris leurs degrés, et privez pour toujours du pouvoir d'exercer la médecine en aucun lieu de notre royaume; ordonnons qu'il e
l889, et son concours nous a été des plus précieux. — La section de médecine et de chirurgie de l'Académie des Sciences vient
-il, et, d'un ion bref: - Vous êtes plus curieuse qu'un étudiant en médecine ». Elle se coucha et l'opération se termina bien.
aux voix les candidatures de M. le Dr Luys membre de l'Académie de Médecine , médecin de la Charité; de M. le Dr Mavroukakis,
des Annales psychiques; de M. le Dr Brémaud, professeur à l'École de Médecine de Brest; de M. le Dr Charles Vie. Ces candidat
es plus distingués. M. le Dr Cabanes, qui a publié dans le Journal de Médecine de Paris uu article très intéressant sur les crim
ne peut être simulé ; le malade n'est pas au courant des choses de la médecine , il ne sait pas que l'hystérie détermine ce mode
. JURISPRUDENCE MÉDICALE L'Hypnotisme et l'exercice illégal de la médecine . Un médicastre bien connu, dont les premiers ex
par le Tribunal correctionnel de la Seine pour exercice illégal de la médecine . A différents points de vue, notamment à celui de
ation ultérieure et prochaine de la nouvelle loi sur l'exercice de la médecine , ce jugement et certaines circonstances de la cau
s après la mise en vigueur de la nouvelle loi : « Je ne fais pas de médecine , a-t-il dit en substance aux juges, et je n'ordon
livrant sur eux à aucune pratique chirurgicale, il n'exerçait pas la médecine , mais faisait simplement du magnétisme. « Or, a-t
magnétisme. « Or, a-t-il ajouté, la loi nouvelle sur l'exercice de la médecine permet explicitement aux profanes les pratiques d
celle du zouave guérisseur : « La nouvelle loi sur l'exercice de la médecine , dans son article 16, édic-tant les pénalités rel
icle 16, édic-tant les pénalités relatives à l'exercice illégal de la médecine , de la chirurgie, de l'art dentaire el de la prat
considérait l'hypnotisation comme un procédé d'exercice illégal de la médecine . « Cette manière de voir a été affirmée en term
s membres présents de la commission que la loi sur l'exercice de la médecine ne visait ni les masseurs, ni les magnétiseurs,
ert du massage, du magnétisme ou de l'hypno-tisme, ils feraient de la médecine ou prescriraient des médicaments. » Dans ces co
de la lettre que de l'esprit de la nouvelle loi sur l'exercice de La médecine . Une des formes principales du charlatanisme qu
ésulte de l'information et des débats que Jacob, sans être docteur en médecine ni officier de santé, reçoit, chaque jour, 23, av
isla-lateur que de prétendre que la nouvelle loi sur l'exercice de la médecine , promulguée le 30 novembre 1892, mais seulement e
ériences purement scientifiques et n'entreraient pas dans celui de la médecine proprement dite, c'est-à-dire ne se serviraient p
lle ne définit pas les faits qui constituent l'exercice illégal de la médecine , de la chirurgie, de l'art dentaire et de la prat
3 novembre 1892, « Par M. le Dr BERNHEIM, professeur A la Faculté de Médecine de Nancy. Monsieur le recteur, Messieurs, C'e
sieur le recteur, Messieurs, C'est à un professeur de la Faculté de Médecine qu'incombe, cette année, le périlleux honneur de
ous entretenir quelques instants. Et, d'abord, pourquoi la Faculté de Médecine , qui donne un enseignement professionnel, vient-e
pporte, ces écoles ne constituent pas des Facultés. Seule, l'Ecole de Médecine est considérée comme telle, dans tous les pays du
ant. Si, à l'exclusion des autres écoles professionnelles, celle de médecine est néanmoins considérée comme une école de haut
est ensuite parce que l'application de cette science, c'est-à-dire la médecine proprement dite, ne peut être distraite de la sci
sister, fonctionner et se garantir. Tout cela est de l'humanité. La médecine seule étudie l'homme complet en lui-môme, l'homme
a physiologie, avec sa biologie et sa psychologie ! C'est elle que la médecine doit étudier et explorer, c'est elle que le médec
it matérialistes, parce que nous traitons la matière. On nous dit les médecine du corps et non ceux de lame. Médecins du corps,
exacte, basée sur les faits expérimentaux, par ses applications à la médecine , a la sociologie, à l'humanité, elle constitue, j
s venant à Lourdes ont tous plus ou moins épuisé les ressources de la médecine , et c'est pour s'adresser directement à celte pui
ots! Que vient faire ici un médecin ? Constater l'impuissance de la médecine dans certains cas par opposition à 1s toute-puiss
'est le supprimer. Le Credo quia absurdum est La régie. A Lourdes, la médecine ne peut être que la servante de la religion. Pass
ladies mentales. — Rapporteurs : MM. Régis et Chevalier-Lavaure. 2s Médecine légale : Des faux témoignages des aliénés devant
été préférable de joindre l'anthropologie criminelle à la section de médecine légale, à laquelle elle s'allie par des liens tou
90.) Semelaigne. — Philippe pinet et sen œuvre, au point de vue de la médecine mentale. (Un volume in.-8°- de 176 pages. — Imp
orme. Études sur les terreurs paniques chez les animaux. (Recueil île médecine vétérinaire. 1871, p. 753.) — G. Fleming. Panics
ions, 1892, p. 398. (3) Rodet Doctrine physiologique appliquée à la médecine vétérinaire, 1828, p. 272. établie est tenace,
Dr René Semolaigne, ancien chef de clinique adjoint de la Faculté de médecine , présenté par MM. Du-montpallier et Bérillon. Cet
voix les candidatures de M. le Dr Marot, préparateur à la Faculté de médecine , présenté par MM. Auguste Voisin et Bérillon; de
hicago; de M Clarck Bell, une invitation à prendre part an Congrès de médecine légale, organisé à l'Exposition de Chicago par la
nt les idées qui ont été émises par cet auteur : « L'hypnotisme, en médecine comme en pédagogie et jurisprudence, à eu son âge
cadres, dans des limites rigoureusement définies. En physiologie, en médecine pratique, eu psycbologio, il est toujours le bien
l'on commence à les combattre. Mois très souvent il faut finir par la médecine , spécialement avec l'hypnotisme et la suggestion.
e Paris, a été nommé interne des hôpitaux en 1855. et reçu docteur eu médecine en 1862. Sa thèse avait pour titre : Des Embolies
2 août 1470, agrégé de la Faculté en 18CG, et membre de l'Académie de Médecine en 1883. Apres avoir fait, pendant deux ans ( 1
des maladies de l'encéphale, qui venait d'être créée 4 la Faculté da Médecine de Paris. Depuis lors. M- le professeur Bail s'es
nt d'être élue présidente de la section neurologique de l'Académie de médecine de New-York, c'est la première fois qu'une femme
ours. Voici les questions qui intéressent nos lecteurs : N° 1. Prix médecine . — Rapporter au moins quatre observations inédite
tablissement à enseignement supérieur et de préférence une Faculté de médecine . La Société de Médecine «le Lombardie s'est réu
RAPIQUE. Par le Dr. BRÉMAUD, médecin principal de la A l'École de Médecine navale de Brest- L'observation suivante pourrai
nt d'un médecin de Nantes, le Dr M... : « Je, soussigné, docteur en médecine , certifie que le sieur Pierre E.... actuel- lemen
eut poser un diagnostic absolument certain, car lorsqu'on s'occupe de médecine infantile, on est frappé du nombre d'enfants qui
etin médical, (2) Lot. cit., p. 87. Observation 48. (3)Journal de médecine et chirurgie pratiques, 10 octobre 1891. p. 732 (
ystériques entre deux ans et demi et cinq ans. — Grancher: Journal de médecine et de chirurgie pratiques, mai 1891, p. 336. — Ch
et de chirurgie pratiques, mai 1891, p. 336. — Chaumier : Académie do médecine , 1er décembre 1891. mais je fais mes réserves a
observé le cas d'an petit garçon mentant par peur. (1) Académie de Médecine , 26 octobre 1880. (2) Annales médico-psychologi
e Comité central italien relativement au Congrès inter- national de médecine de Rome, et a résumé les démarche faites récemmen
ommission nommée pour l'étude du service militaire des étudiants en médecine . , le Secretaire : Marcel Baudouin. NÉCROLOGIE
olie du doute avec délire du toucti't ». (Bulletin de la Societé de médecine mentale, de Belgique, 1893.) L'Administrateur-G
ancé, était médecin honoraire des hôpitaux et membre de l'Académie de Médecine . C'était un clinicien de l'ancienne école, obse
x. Il avait conservé jusqu'à la dernière heure un grand amour pour la médecine , et, si les infirmités de son grand âge ne lui pe
uses des enfants. M. Bourneville, le samedi, à 9 heures. Faculté de médecine de Bobdeaux. — M. le D' Régis est chargé. Jusqu'à
olaire, d'un cours complémentaire des maladies mentales. Faculté de médecine de Paris. — La chaire de clinique de pathologie m
de pathologie mentale et des maladies de l'encéphale, à la Faculté de médecine de Paris est déclarée vacante. La statue de Thé
a lait toucher du doigt les différences qui distinguent la Faculté de médecine qu'il dirige de la Faculté antique, fermée, stati
del, « qu'on ne peut laisser à une corporation le soin d'enseigner la médecine et de faire des médecins, et s'il avait vécu quel
ois de plus, la Faculté d'État élait créée. » L'ancienne Faculté de médecine répondait par des procès, par des anathèmes à tou
), 183. État mental chez les hystériques, 167. Exercice illégal de là médecine et l'hypnotisme. 230. Extériorisation de la sen
hypnotique, par Féré, 262. Hypnotisme et l'exercice illégal de la médecine (l') 236. Hypnotisme chez les Annamites! (l'), 35
étisme » par un empirique constitue le délit d'exercice illégal de la médecine , 59. Léthargie observée chez uno enfant de trei
nétisme [par un empirique constitue le délit d'exercice illégal de la médecine l'emploi du), 59. Malade trop curieuse (une], 1
ar la suggestion, par Mavroukakis, 280. Marotte, necrologie, 352. Médecine et confession. 185. Mémoire dans les états hypn
23 (1850) Journal du magnétisme [Tome IX]
Si les auteurs anciens nous fournissent fort peu de détails sur la Médecine magnétique, nous ne pouvons l’attribuer qu’aux pr
rofonds mystères dont toutes les sciences étaient alors entourées. La médecine somnam-bulique, au contraire, remonte à la plus h
HILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTlOOE. THÉORIES (i). CHAPITRE III. De la Médecine magnétique. Du Fluide magnétique. (1) Voyez l
adies. Nous croyons avoir démontré dans l’article qui précède, que la médecine d'imagination est toujours subordonnée à la foi d
d'imagination est toujours subordonnée à la foi des malades. Dans la médecine magnétique, au contraire, la confiance des malade
physique et du moral de l'bomme, 1.1, p. 1Î2. Ce lut la Faculté de médecine qui condamnq l’usage du quinquina et de l'antimoi
s; il le nommait Archée ou esprit architecte. Toute l’influence de la médecine résidait, suivant lui, dans les vertus magnétique
Jérôme Cardan, qui professa longtemps à Milan les mathématiques et la médecine , affirmait que la nature avait horreur du vide, e
Dr Ilaynel. et s'jmpathet., lib. 1, c. 27. (2) Aphorisme 78. (3) Médecine magnétique, !)' conclusion. CLINIQUE MAGNÉTIQUE
t bientôt un arrêt vint condamner Despard pour exercice illégal de la médecine . » Nécrologie. — M. le colonel Roger, l’un des
pensée allait trouver les affligés, et, plus efficace que toutes les médecines , elle portait en eux un baume divin, l.e magnétis
THÉORIES. PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE III. De la Médecine magnétique. (Suile.) F.-A. Mesmer, médecin al
en reconnaître l’importance. Desion, docteur-régent de la Faculté de médecine , mit en pratique tous les principes de Mesmer, et
ma volonté, de (1) Opéra. (2) Nouvelle théorie médic. (3) De la Médecine magnélique. (i) De Mira. Corp. subtil. mon ce
t électriques. » (1) Voyez le Rapport de M. Ilusson à l’Académie de Médecine . (2) Principes. (3) Voyez le Comple-rendu des
x, et des effets si variables du magnétisme. Petetin, professeur de médecine à Lyon, attribuait à l’électricité tous les phéno
oplexie nerv.) (3) Cours de Pathol. générale. (6) Dictionnaire de Médecine . nerveux sur le sang, el réciproquement du sang
THÉORIES. FHIZ.OSOPHIX MÉDIOO-IWAONfTIÇUE. CHAPITRE III. i De la Médecine magnétique (Salle.) Quant à la perception du fl
adressée. Elle nous a été communiquée par un membre de l’Académie de médecine , M. Boutron, qui la conserve avec la pétition à F
auteur et notre impartialité : SOINS CONTRE LE CHOLÉRA. COURS DE MÉDECINE DE FAMILLE. OU LE MAGNÉTISME APPLIQUÉ AU TRAI
n se rappelle cet aveu de Broussais : Si le Magnétisme était vrai, la Médecine serait une absurdité. La science du magnétisme
te sa simplicité, à guérir et à soulager ceux qui souffrent. C’est la médecine trop longtemps exilée de la famille par la fausse
r intelligence, est au rebours de la marche suivie par la nature. L^, médecine classique interroge tou-s les éléments ; elle exp
large, de* Yiepdra. W“e science-mère appelée échangé!- le pivot de )a médecine classique, de la philosophie et des «cienpe*- H
BERT (de Camay). THÉORIES. PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. De la Médecine magnétique (Suite.) CHAPITRE III. Nous rece
ne fa--mille, atteinte d’une maladie nerveuse tellement grave, que la médecine ordinaire, aux abois, avait depuis longtemps, déj
sées au parquet du procureur^ la première poux exercice illégal de la médecine , et la seconde comme ayant violé la jeune fille
méritaient; mais pour faire cesser tout doute quaat à la sûreté de la médecine magnétique, je fais les propositions suivantes à
ions, la tiennent enserrée depuis des siècles, grâce aux Académies de médecine et de théologie, grâce à l'imbroglio philosophiqu
oici ce dont il s’agissait. : UN PROPHÈTE. — EXERCICE ILLÉGAL DE LA MÉDECINE . Audience du 27 mars. Plût au ciel que tous c
a femme. Il dit qu’il n’a pas pris la qualité de médecin ni exercé la médecine ; mais il a pratiqué le magnétisme. Le magnétisme,
THÉORIES. PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE III. De la Médecine magnétique. (Suite.) Réponse aux objections d
lisme. Cette légère ébauche n’est qu’une introduction à l’étude de la médecine magnétique. Je suis trop heureux, du reste, qu’el
parcours encore en aveugle. Lorsque j’aurai traité successivement la médecine somnambulique et la médecine spiritualiste, j’ai
Lorsque j’aurai traité successivement la médecine somnambulique et la médecine spiritualiste, j’ai l’espoir que nous ne serons p
peut être bien mieux pratiqué, en l’associant aux moyens usuels de la médecine . Le gouvernement a suffisamment manifesté son opi
rd pour des préjugés aussi fortement enracinés que le sont ceux de la médecine contre les nouveautés en général et le magnétisme
e des débats d’une affaire d’escroquerie, et d’exercice illégal de la médecine , dirigée contre le nommé Riéder et la femme Picho
nt contre les somnambules, sous l’inculpation dYxercice illégal de la médecine . Trois procès de ce genre s’instruisent en ce m
é du Magnétisme animal, considéré sous le rapport de l’hygiène, de la médecine légale et de la thérapeutique, imprimé en i85g.
ux? Car en anéantissant voire fausse philosophie, en détruisant votre médecine , en mettant à découvert les vrais principes de la
, l’extrait suivant de son compte rendu de la séance de l’Académie de médecine , du 14 dudit mois, présidée par M. Bri-cheleau.
» C'est à ne pas croire , et cependant cela est vrai. L’Académie de médecine ne s’occupera plus désormais de magnétisme. Celte
le magnétisme sera la science du nouveau monde; sa religion comme sa médecine , car il est ce principe mystérieux que couvraient
une philosophie nouvelle propre à rallier tous les esprits; est-ce la médecine , enfin, non celle des écoles; mais celle plus vra
ERT (de Garnay). THÉORIES. PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. De la Médecine magnétique (Suile.) CHAPITRE III. Réplique du
objections, vous dites : « Lorsque j’aurai traité successivement la médecine « somnambulique et lajmédecine spiritualiste, j’a
rétexte aux poursuites dont il était l’objet; que c’était toujours la médecine qui persécutait en lui le magnétisme. Le jury rép
losophique, bien autrement importante que celle qu’elle peut avoir en médecine . Aussi la vulgarisation de cette doctrine révélat
aphysique, soit en philosophie, soit en physiologie comparée, soit en médecine . D' CHARPIGNON. : Orléans, juin 1850. Chron
une des personnes dont les noms suivent. N’est-ce pas surtout dans la médecine que vous voulez porter le magnétisme; et, lorsque
été appelés à constater un sucés que n’avait pu obtenir l’élite de la médecine ; et le récit de celte cure proclamée par la press
s ce genre de traitements lui amenèrent bientôt tous les rebuts de la médecine . Le guérisseur improvisé fut. comme il arrive tou
est passée; il n’y a plus que le courant ordinaire des malades que la médecine abandonne. La vue des boiteux, des fiévreux, etc.
onscience. L’expérience eut lieu devant un grand nom. bre d’élèves en médecine , et les détails en furent rendus publics : le Jou
r égard. Un seul a fait exception : c’est M. E. V. Léger, étudiant en médecine , et prosecteur d’anatomie à l’école nationale des
est déjà fait connaître par de belles applications du magnétisme à la médecine et à la chirurgie, en ville et dans les hôpitaux.
lice, et j’espère , par de nombreux exemples, prouver bientôt que la médecine des vrais somnambules n’a rien qui répugne à la r
ine des vrais somnambules n’a rien qui répugne à la raison, et que la médecine magnétique est la médecine naturelle et primitive
’a rien qui répugne à la raison, et que la médecine magnétique est la médecine naturelle et primitive.... Si cependant on s’imag
oyens, dans des cas désespérés pour toutes les personnes livrées à la médecine ordinaire; mais , tout en admettant ce principe,
à la médecine ordinaire; mais , tout en admettant ce principe, que la médecine magnétique est la première des médecines, je suis
admettant ce principe, que la médecine magnétique est la première des médecines , je suis fort loin de la croire d’une application
t et une judicieuse critique; mais aussi, qu’avec ces conditions , la médecine des somnambules, loin de déroger à la dignité de
éfenseurs. C...LE. VARIÉTÉS. Saint-Barthélemy magnétique. — I-a médecine saignante, purgeante et clystérisante veut anéant
ence (sic) , comme professeur de chimie, de physique, d’hygiène et de médecine naturelle. Je magnétisai ; j’obtins la guérison d
gnétisai ; j’obtins la guérison de quelques malades abandonnés par la médecine . J'ai formé des somnambules lucides et extatiques
ntente un procès, sur la triple prévention : 1° d’exercice illégal de médecine ; 2° d’avoir tué un enfant (infanticide); 5* d’es
correctionnelle, sous la double inculpation d’exercice illégal de la médecine , et d’escroquerie, elle fut condamnée, le 27 mars
république conlrc plusieurs somnambules, pour exercice illégal de la médecine , et escroquerie. Des médecins qui assistaient ces
ence de M. Fleurv. — Audience du 31 juillet. EXERCICE ILLÉGAL DE LA MÉDECINE . — DIVINATION. — ESCROQUERIE. — MAGNÉTISME ET SOM
z ainsi à Mongruel et à sa femme les moyens d’exercer illégalement la médecine , et le plus souvent vous signiez des ordonnances
riteriez qu’on vous retirât immédiatement l’autorisalion d’exercer la médecine . Quant à vous, Pokoloski, vous clés accusé de c
le prévenue du double délit d’escroquerie et d’exercice illégal de la médecine . Il s’agit aujourd’hui, devant le tribunal de s
et en l’absence de pièces pouvant établir l'exercice illégal de la médecine , plusieurs onl élé renvoyées devant le tribunal
a rien trouvé chez elle établissant le délit d’exercice illégal de la médecine ; mais on l’a surprise en exercice de divination ,
i fut poursuivie, il y aqtielques années, pour exercice illégal de la médecine , vient de mourir à Paris. — M. Condor, étudiant
l de la médecine, vient de mourir à Paris. — M. Condor, étudiant en médecine sur qui M. du Potet fit ses premières expériences
ses travaux ma-gnétologiques, — L’éditeur du Magnétisme opposé à la Médecine , par M. du Potet, vient de réduire de 6 à 5 franc
THÉORIES. PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE III. De la Médecine magnètiquè, (Suite.) Considérations snr le fl
dront faire concurrence aux autres chaires publiques. Les facultés de médecine ouvriront leur sein à cette doctrine, qui aura se
s’est élevée entre les citoyens Ordinaire et Perrier, au sujet de la médecine magnétique; nous croyons devoir en présenter le r
des angoisses et qui a épuisé sans succès toutes les ressources de la médecine , on refuserait un dernier recours à la vie! Il ne
pas même comparu devant messieurs les commissaires de l’Académie de médecine , quoique la presque totalité des journaux de la F
outes les maladies qui affectent les parties extérieures du corps. La médecine proprement dite, la médecine interne, aura à peu
ent les parties extérieures du corps. La médecine proprement dite, la médecine interne, aura à peu près la certitude et la préci
médecine interne, aura à peu près la certitude et la précision de la médecine externe. La justice humaine, à son tour, encour
tation, on ne pourra jamais accepter le témoignae des somnambules, en médecine , que lorsqu’on le verra concorder avec les autres
in dont on va juger. » Quel est ce 1)' B'**, assez marquant dans la médecine pour que l’éditeur de VIllustration ait cru devoi
inconnu; et qu’en cela, bien différemment de ce qui est relatif à la médecine , nul intérêt ne ferait obstacle. C'était donc par
. — EXPLICATION DES SONGES. — ESCROQUERIE. — EXERCICE ILLÉGAL DE LA MÉDECINE . Nous avons, dans notre numéro du i*r de ce moi
és par défaut à treize mois de prison; le sieur Grabowski, docteur en médecine , traduit pour complicité, fut condamné à 5 fr. d’
ténèbres de la fausse science. Le charlatanisme s’est glissé dans la médecine , il l’a déconsidérée, non tuée, parce qu’elle ren
ils s’y exerceront pour le plus grand bien de ceux qui soufl'rent, la médecine sera non détruite, mais réformée, et l’art de gué
THÉORIES. PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE III. De la Médecine magnétique. (Suite.) Conclusion du débàl sur
vé la discussion qui vient d’être close (i). 2° DES PRINCIPES. La médecine magnétique était tombée dans le plus profond oubl
ecins alchimistes. Paracelse affirmait que le plus grand secret de la médecine était renfermé dans les vertus magnétiques du san
peut l’appeler le plus grand arcane de la nature, qui renferme, comme médecine universelle, le remède à une infinité de maladies
rit n’ait quelquefois dissipée sans le secours des médecins..... La médecine universelle n’est autre chose que l’esprit vital
que, nous n’en excluons aucune; et si nous donnons la préférence à la médecine magnétique , c’est qu’elle nous paraît d’une supé
24 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
r l’état des pauvres religieuses et y appliquer les remèdes de la médecine (1). L’enquête commença donc sous ces auspices av
ntre des prétentions vraiment exagérées et injustes parfois envers la médecine que souvent nous lisions dans un journal que nous
ions dont l’effet sera, je l’espère, de montrer que la pratique de la médecine n/est pas incompatible avec celle du magnétisme.
ourrais continuer à énumérer les cas assez nombreux dans lesquels une médecine intelligente a l’influence la plus positive, mais
i dit assez pour que le principe de l’existence et de l’utilité d’une médecine d’observation et de raisonnement soit admis sans
lète, pour être aussi fructueuse que la théorie le fait connaître, la médecine doit donc avoir égard à la double nature des élém
rois termes conduit à une doctrine incomplète. Or, nous savons que la médecine classique reste dans cette exclusion des forces v
ucides sentent et voient les choses qui peuvent les guérir. De là, la médecine intuitive. Les annales du magnétisme sont remplie
té, et moi-même j’eri ai cité de fort remarquables. Ce principe de la médecine intuitive me paraît donc certain, et je le procla
41, tandis que depuis, en 1848, j'ai fait paraître cette Physiologie, Médecine et Métaphysique du magnétisme, corrigée par l’exp
e dure toujours au moins 4 à 5 semaines malgré tous les secours de la médecine et de la pharmacie : le magnétisme dissipe ce mal
e l’épilepsie. Si cette maladie, contre laquelle les ressources de la médecine sont impuissantes, a pu être guérie par une cause
entait beaucoup la malade, je voulus tenter si, concurremment avec la médecine ordinaire, la magnétisation directe pourrait amen
« M. X... avait été introduit chez moi par M. Roberaud (étudiant en médecine à l’hôpital de Nîmes), avec qui j’étais entré en
e Peyron, jeune fille du Cou-vet (Isère). Mais comme l’exercice de la médecine est interdit aux prêtres, bien que saint Luc n'ai
l à la jambe, que le médecin , après lui avoir lait payer beaucoup de médecines mutilas, luirecontmanda d’aller à l’hospice pour
ravail, on le croirait sorti de la plume d’un membre de l’Académie de médecine faisant un rapport sur le somnambulisme. Vingt fo
rpignon à M. le baron du Potet sur les rapports du magnétisme avec la médecine classique et le, catholicisme. Orléans. La po
que vous considériez le magnétisme comme un moyen régénérateur de la médecine des écoles et comme une doctrine devant modifier
n oute, dis-je, le magnétisme a les rapports les plus intimes avec la médecine et avec la métaphysique ; mais ces rapports vont-
s deux questions capitales savoir, les rapports du magnétisme avec la médecine , puis avec la religion. MÉDECINE ET MAGNÉTISME.
les rapports du magnétisme avec la médecine, puis avec la religion. MÉDECINE ET MAGNÉTISME. Quant à l’origine de la médecine
avec la religion. MÉDECINE ET MAGNÉTISME. Quant à l’origine de la médecine , vous et moi, monsieur le baron, nous sommes
qu’elles étaient consultées, copiées, et c’est ainsi que commença la médecine ordinaire, vulgaire, en opposition avec la médeci
i que commença la médecine ordinaire, vulgaire, en opposition avec la médecine sacrée. Les frictions lentes étaient administrées
force vive qui l'ait la vie. lies principes les mieux arrêtés dans la médecine ne trouvent pas grâce, les médicaments les plus é
s que vous écriviez au n° 5 du journal, r On n'ira plus aux écoles de médecine chercher les idées systématiques de nos illustres
chirurgie restera inébranlable, mais restreinte dans sa pratique, la médecine verra sa décadence, qomme ces vieux pouvoirs fond
r lesquels ils guérissaient les malades; et vous ne croiriez pas à la médecine ? 11 est possible, soyez-en certain, à l’intellig
me malade pour obtenir un résultat qui sera le retour de la santé. La médecine existe donc comme science et comme art, il faut l
ibles à l’action de cette force vive. Comparez les traitements par la médecine et par le magnétisme des embarras bilieux graves,
verrez que l’avantage n’est pas pour le magnétisme. y Cependant la médecine , telle qu’elle est enseignée et pratiquée, est lo
orces, l'âme et la vie ou l'agent vital, doit donc faire partie de la médecine pour la compléter ; mais il ne saurait la remplac
idus. N'usez point vos facultés si brillantes à vouloir détruire la médecine ; loin de là, cherchez à opérer l’alliance de deu
retrouvent, après avoir été séparées durant tant de siècles. Si la médecine et le magnétisme peuvent faire alliance, comme sc
venables pour son état que le magnétisme. Les spécialités existent en médecine pratique, c'est une nouvelle à ajouter; le temps
espoir perdu pour son avenir, qu’un de ses amis, grand partisan de la médecine somnambulique, vient de lui proposer d’en faire l
ntiments qui vous animent, et de la sincérité de votre croyance en la médecine classique que vous défendez. Vous me croyez l’enn
eux vous montrer, Monsieur, que nos succès Bont éclatants là où votre médecine échoue, là où toutes les ¡lumières de l’école ont
magnétisme ; ce sera vous prouver que si cet agent n’est pas toute la médecine , il en réunit du moins tous les avantages, sans p
, épileptique ; guérie en vingt-un jours. Je, soussigné, docteur en médecine , en chirurgie et accouchement, après examen minut
ns, pour lesquelles depuis dix ans j’ai employé tous les moyens de la médecine ordinaire, sans éprouver un jour complet de soula
avoir été dans les premiers jours soulagée de cette affection que la médecine ordinaire avait été impuissante à réduire. Je n
cat. Suivent les signatures des commissaires : Fauconnier, docteur en médecine ; Boyer, docteur-médecin, A. de Ploeq , docteur-mé
était malade de consomption lente ; elle employa les ressources de la médecine jusqu'à ce que son médecin déclara qu'aucun trait
gnon à M. le baron du l'olet, sur les rop ports du magnétisme avec la médecine classique et le catholicisme. La religion est u
re le magné- tisme et le catholicisme la même alliance qu’avec la médecine . Toute science qui est vraie émane de Dieu. et le
magnétisme peut suffire et ceux où il a besoin d’être secondé par la médecine . Le magnétiseur thérapeuthe doit donc posséder qu
rouver que tout cela est im-possible, qu’il n’y a de salut que par la médecine hippocra-lique : les malades, indûment guéris par
incline ! ! ! Tu fus un céleste inventeur, Quand tu trouvas qu'en médecine , L'agent le plus sûr, c’est le cœur. « Aimez-
ntage contr,e les somnambules. Comment ! messieurs de la faculté de médecine ne sont pas satisfaits des rigueurs delà loi cont
alement à vulgariser un moyen facile de faire du bien , en mettant la médecine naturelle à la portée de tous, et que nous nous s
ête, et la justice est saisie. » (iliaque colonne dos journaux de médecine contient presque infailliblement, dans une langue
ncombe, ainsi que toutes les malades de l'espèce contre lesquelles la médecine vulgaire se déclare impuissante, en ces termes :
animal vivant, quand il ressentira les piqûres qu’on lui fait, et la médecine n’existera réellement que quand elle s’occupera a
à la prière.... La prière, je crois qu’il n’y a pas beaucoup de cette médecine à la Faculté ni chez les pharmaciens. Ce traiteme
ersonnes ont été guéries de maux, abandonnées comme incurables par la médecine . Malgré cela, je ne puis obtenir la guérison de
il y avait une com- mission composée de membres de l’Académie de médecine . M. Mabru déclare qu’il n’a pas besoin de commiss
onséquent jusqu’aux discussions qui se sont produites à l’Académie de médecine , une première fois sur la provocation du docteur
d tort de ne pas soumettre son rapport à la sanction de l’Académie de médecine . La vérité n’a jamais rien perdu à la discussion
quomodo UOet pravum. G. Grimaud de Caux. LE MAGNÉTISME ET LA MÉDECINE LÉGALE. VIOL ACCOMPLI PENDANT LE SOMMEIL MAGNÉT
ÉTIQUE. RAPPORT PAR MM. LES DOCTEURS COSTE, DIRECTEUR DE l’ÉCOLE DE MÉDECINE , ET RROQUIER, CHIRURGIEN CHEF-INTERNE. En fai
OLE DE MÉDECINE, ET RROQUIER, CHIRURGIEN CHEF-INTERNE. En fait de médecine légale, les questions les plus délicates et les p
re déflorée ? Cette question touche un point tout-àrfait neuf de la médecine légale. Car si cette science est aujourd’hui fixé
trouvons dans le rapport déM. flus-son, fait en 1831 à l'Académie de Médecine , au nom d’une commission composée de MM. Double,
M. Devergie, médecin de l’hôpital Saint-Louis, et auteur du Traité de Médecine légale. Voici la réponse écrite que nous a adress
rer l’âge d'or. Ainsi soit-il. A. S. Morin. BIBLIOGRAPHIE. LA MÉDECINE DANS SES RAPPORTS AVEC LA RELIGION, ou réfutation
solutions contraires. Cette direction a été trop souvent celle de la médecine , et vous êtes dans la vérité où l’on se repose sa
t livre intitulé : La Vérité du magnétisme animal, et l'utilité de ta médecine magnétique et somnambu-lique. C’est un résumé cla
stence du magnétisme et ses bienfaits, place bien au-dessus de lui la médecine ; il lui semble que cette science a une valeur pr
n différent, et nous avons dans nos écrits soutenu cette idée, que la médecine des écoles ne sera un jour que l’auxiliaire du ma
rt de guérir par les' remèdes. Voici ce que nous extrayons, contre la médecine , d’un ouvrage récent ayant pour titre Essai de mé
ns, contre la médecine, d’un ouvrage récent ayant pour titre Essai de médecine pratique. Baron du Poïet. « La science médicale
mai. Tome XVji. _ no 39. _ 2« Série. — 10 aoùl 1858. M Oui, la médecine , cet art scientifique, est loin d’être un» scienc
la nôtre. La crédulité et l’incrédulité ont, dans l’histoire de la médecine , eu des effets tout aussi faux et.tout aussi dan
produit par leur exagération exclusive des effets bien déplorables en médecine î l’une a voulu faire de la médecine une vaine th
e des effets bien déplorables en médecine î l’une a voulu faire de la médecine une vaine théorie, l’autre un métier irrationnel.
de la médecine une vaine théorie, l’autre un métier irrationnel. La médecine a toujours réfléchi les iulluonces dominantes
aladies est-elle scientifiquement peu avancée ; et cette partie de la médecine est loin d’être à la hauteur de la physiologie, q
glent la santé. Cette supériorité de la physiologie sur l’art de la médecine générale a eu aussi des effets très-nuisibles. El
lle a occasionné un envahissement dominateur de la physiologie sur la médecine proprement dite ; et le docteur Broussais a été l
endu sa domination sur tout l’art de guérir, en voulant simplifier la médecine , en en faisant une branche dépendante uniquement
e praticiens dans son sein. La revue si spirituelle des systèmes de médecine , par Broussais, n’est qu’un exposé critique des d
cité et de la marche logique du broussaisisme. Cependant le but de la médecine n’est pas de faire des systèmes élégants, symétri
ret, de la Société royale; puis les écrits de Virey, de l'Académie de médecine ; puis enfin ceux de Dubois (d'Amiens), de cette m
attendez un peu, soyez moins empressés, nous passerons bien vite, la médecine est là; vous vous coucherez bientôt dans notre li
ncore, ce qu'ils veulent toujours ignorer pourrions-nous dire, cette, médecine naturelle, ce don de Dieu déposé dans le sein de
, opérerait des guérisons incurables par les secours ordinaires de la médecine , développerait des facultés nouvelles d’une maniè
ts dans leurs causes, pouvoir enfin utiliser ces diverses facultés en médecine , en philosophie, etc., tel est l’ensemble des phé
e les mêmes obligations, rien de plus , rien de moins ; ici, comme en médecine , comme en physique, comme partout, le bien ou le
les et les plus grands bienfaits. CLINIQUE. LE MAGNÉTISME ET LA MÉDECINE . La Gazctta mcdica, journal de medecine publié
termine le journaliste. a Nous faisons des vœux pour l’union de la médecine et du magnétisme. La médecine a eu le grand tort
ous faisons des vœux pour l’union de la médecine et du magnétisme. La médecine a eu le grand tort jusqu’ici de se refuser à un s
’art qu'ils professaient, et déclaraient, hautement, que tout dans la médecine n’était que conjectures, et, tout bas, que la méd
e tout dans la médecine n’était que conjectures, et, tout bas, que la médecine n’existait pas. Baron Du Potet. ( La suite au p
poursuive, si on croit en avoir le droit, pour exercice illégal de la médecine , soit, ils le préfèrent ; ils aiment cent fois mi
qui serait arrivé s’ils eussent été accusés d'exercice illégal de la médecine . Les lois actuelles, comme on sait, garantissent
s dans la vessie, et a employé sans succès tous les remèdes connus en médecine . 11 devint très-faible, très-abattu, et dans une
t un pharmacien qui déclarèrent que c’étaient des remèdes employés en médecine , mais le docteur ajouta qu'il ne voulait pas, pou
malade n'aient pas eu recours à l’action magnétique, surtout quand la médecine confessait son impuissance à terminer une crise q
ute, c’est la réalité de la mort de l’indrtidu. Or, il est reconnu en médecine , qu’il n’y a aucun signe certain de la mort, et q
et d’études! quelle source de méditations! Pour moi, ici est la vraie médecine , la vraie philosophie. On contemple l’ouvrage de
ême je devrais me recoucher cinq minutes après ; de ne prendre aucune médecine , et de boire de l’eau froide à discrétion. Pendan
une homme était pauvre. Il venait à Paris pour terminer ses études de médecine . 11 aime une jeune fille que son père lui a refus
s lui en ferez votre compliment, et vous lui donne • rez une leçon de médecine . Ce n’est pas tout, mais seulement les bagatelles
quets mesmériens, il a célébré en vers chaleureux les bienfaits de la médecine naturelle. Dans le petit écrit qu’il vient de pub
eaux rabattus : c’est pourtant bien lui qui entretenait l’Académie de médecine dans son rire sur les prétendues merveilles du so
adversaires : mais, nous devons l’avouer, il y avait à F Académie de médecine , desconsciences honnêtes, des gens convaincus
qu’on pût vérifier s’il simulait son état. « M. Stone, étudiant en médecine à Salem, présenté à la commission par il. Storer,
in ni le grec pour guérir ses semblables. 11 y a presque un traité de médecine dans ces trois mots : Imposition des mains ; il y
n'en montrez guère. — Comment, Monsieur, l'Académie impériale do médecine serait donc une sotte; tant d’hommes de génie, qu
s ou des visionnaires. Voyez-vous tous ces illustres professeurs de médecine exacte, cherchant dans le temple élevé par la sag
r des synthèses générales. La physique, la chimie, la minéralogie, la médecine , etc., etc., ont puisé leurs premiers principes à
prendrons dans la science un tout petit point, celui qui intéresse la médecine . C’est à cette par- lie île la science généra
ations chirurgicales, l’Amérique imita les docteurs allemands , et la médecine en France voulut bien alors essayer de ce moyen d
. Robert, chirurgien de l’hôpital de Beaujon, membre de l’Académie de médecine . Voici extraites de la Revue de thérapeutique méd
oroformisation. M. Heurteloup, dans une autre séance de l’Académie de médecine , va plus loin que M. Robert, et, au lieu de dosag
uoi? je l’ai dit dès le début de cet article : parce que FAcadémie de médecine a sa routine, ses préjugés qui arrêtent sa marche
money. — Pauvres malades, vous croyez bénévolement qu’on a étudié la médecine pour vous guérir. On se fait médecin en France co
re du cercle et la recherche de la pierre philosophale. L’Académie de médecine nie hardiment le magnétisme, se voile la face de
réouverture et nomination des dignitaires, 335. CLINIQUE. CAS DE MÉDECINE . — Maux guéris ou soulagés. Affection de la moe
ues qui en découlent. Dissertation par M. l’abbé Caupert, 426, 449. Médecine (la) et le magnétisme. Considérations sur leur va
docteur Char-pignon, 73, 207. — Réponse par M. du Potet, 225, 393. Médecine (la) légale ot le magnétisme. Une femme endormie
d’être une science positive. Extrait d'un ouvrage intitulé : Essai de médecine pratique. 393. i Somnambules (des) et médiums,
ruyer, 186. Valeur (de la) du magnétisme et de ses rapports avec la médecine et la religion. M. le docteur Charpi-gnon, s’adre
cherche à montrer que le magnétisme n'est point appelé à remplacer la médecine , ni à modifier la religion, mais à servir de comp
étisme, et, de l’autre, aux fréquents insuccès des divers systèmes de médecine , ainsi qu'aux dangers qui accompagnent l’emploi
77 Roch, 643;—Mme Jobey de Ligny, 208. Prise de bec des journaux de médecine entre eux, 335. Prodiges (les) de la rue du Bac
e animal, par A. Bauche. Examen et appréciation, par M. Morin, 248. Médecine (la) dans ses rapports avec la religion, ou réfut
La-mothe, 105. Vérité (la) du magnétisme animal, et l'utilité de la médecine magnétique et somnambulique, par M. Guidi. Mentio
25 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
PHYSIOLOGIQUE Paraissant tous les mois PSYCHOLOGIE - PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédacteur
reur judiciair par le docteur BERNHEIM Professeur à la Faculté de Médecine de Nancy. J'ai maintes fois dit et écrit : Rien
IQUE SUGGESTIVE Par le Docteur BERNHEIM Professur à la Faculté de médecine de Nancy. Hyperesthésie circonscrite en un poin
t, avec sa haute autorité, ce sujet interressant devant la Société de médecine de Zurich-11 faisait remarquer l'embarras dans le
ené le Dr Forel â exprimer les vœux suivant que nous trouvons dans la Médecine moderne. 1° Que la notion de diminution du disc
st évidemment la conséquence des résolutions votées par l'Académie de médecine de Belgique. On se souvient que les conclusions g
Nous tenons de bonne source que la nouvelle loi sur l'exercice de la médecine en France, loi actuellement soumise au parlement,
déjà la maladie comme fort ancienne. P. Dabry, dans son livre sur La médecine cbeiles Chinois, donne des détails très circonsta
leçon» sont exclusivement destincet aux médecin» et aui étudiant' en médecine . Socarrt Huiuamd. — Prix — Dans sa lémee du ai
on en gynécologe : In-8°, 15 pages 1890. Paris, Place de l'Ecole de Médecine , 23-Dr E. Bérillon . — Le Suggestion. Ses applica
il exposait avec tant de modestie étaient appelées à révolutionner la médecine . Cette révolution aura, dans un délai très rappro
emble sur l'état mental des régicides, pouvant intéressera la fois la médecine légale et la nosologie M. Laschi, dans son mémo
pacité, le serment et rengagement suivants : Je mettrai mon maître de médecine au même rang que les auteurs de mes jours; je par
tiendrai ses enfants pour des frères, et. s ils désirent apprendre la médecine , je la leur enseignerai sans salaire ni engagemen
engagements solennels montrent combien, déjà en ces temps reculés, la médecine était une noble profession L'Université catholi
oupez court aux interrogations sous prétexte que vous faites assez de médecine toute la journée, pour être heureux de vous en re
venez de chez de très sottes gens, pour qui l'hygiène n'est pas de la médecine cl qui trouvent que t:e n'est pas la peine d'appe
de la " Society for Psychial Research" L'hypnotisme à la Faculté de médecine M le docteur Déjerine, prolesseur asrégè, a ter
'appliquer avec succès l'hypnotisme et la suggestion, on verra que la médecine psychologique était bien représentée au Congrès d
même sujet. Les deux grandes hypnotisées présentées a la Société de médecine de Wilna, le i a octobre 1888, et dont j'ai publi
ion continuera à produire d'excellents effets. Dans la pratique de la médecine , il faut savoir se résigner â n'obtenir souvent q
question de la simulation soit discutée de concert avec la section de médecine légale. Il considère comme diffìcile la détermina
la discussion seront publiées dans le prochain numéro). CONGRÈS DE MÉDECINE MENTALE Tenu à Rouen du 5 au 8 août 1890 Lors
Tenu à Rouen du 5 au 8 août 1890 Lors du Congrès international de médecine mentale tenu l'on dernier à Paris, à l'occasion d
lames pharmaceutiques dont il encombre les bulletins de l'académie de médecine , il s'élèverait certainement une voix indépendant
r vu Schylock reparaître dans une nouvelle incarnation et exerçant la médecine . Pour l'honneur du corps médical français, les
dès prisent du succès d'un livre publié sous ce titre alléchant : La médecine moderne : Schylock médecin. Les documents vèrid
ation bienveillante Le médecin qui veut s'initier aux secrets de la médecine suggestive ne consultera pas en vain le livre de
s, samedis, de 10 heures à midi. Les mé- decins et les étudiants en médecine peuvent y assister. L'aliénation mentale en n
son de santé de Kulparkow. — M. Raymondaud, directeur de l'Ecole de médecine de Limoges, est nommé chevalier de la légion d'ho
lement à M. le docteur Gariel. professeur de physique à la Faculté de médecine de Paru et secrétaire du Conseil de ladite associ
ence. Ils ne diffèrent que par la forme cli- 1 Achives générales de médecine , 1864 p. 385 et 700. 2 Uber cinen weng bekanrt
re dî ses inquiétudes et de sa maladie. Il a beaucoup lu de livres de médecine , s'est instruit sur 1' hypnotisme et les maladies
boréoptisme dans la pratique courante des accouchements. SOCIÉTÉ DE MÉDECINE VÉTÉRINAIRE DE PARIS L'hypnotisme étudié chez l
ion ayant ponr but loreaniiation lœale du prochain Con g rei françd^H médecine mentale oui doit le tenir en 1S91 dan* celte vill
. rTCiidee par se |ule Meleui. a jagé hier pour ciercicc illégal delà médecine ui Individu de 13 an*> Ê^^H Didier, don'. Ic
diagnostic. ""Ces considérations nous ont ramené sur le domaine de la médecine pratique: nous avons abordé la suggestion thérape
e. (Réal Encyclopédie t. X). Passons à un sujet plus sérieux, etc. ( Médecine moderne N" 11, 1890.) Ht voilà la question tran
t et une science qui exigent une expérience longue, et des notions de médecine et de psychologie profondes. La doctrine de la
n et le Somnambulisme dans leurs rapporti avec la jurisprudence et la médecine légale, nous pensons qu'il peut y avoir quei-qu'i
LIÉNÉS Par le docteur G. BALLET Professeur agregé oàla Faculté de Médecine Médecin des Hôpitaux. L'histoire du sommeil m
ne ou vieux, paysan ou général, professeur d'écriture ou docteur en médecine , etc? « En même temps quu'on voit le traits de
u un accueil favorable de l'Académie dçs sciences et de l'Académie de médecine de Paris. En le présentant à la Société de Biolog
Le livre du docteur Batcman apporte une contribution précieuse i la médecine psychologique. Son analyse de la nature de la par
à des demoiselles. Ces diplômes se divisent ainsi : 3ô de docteurs en médecine , 69 de bacheliers es-sciences et es-lettres, 13 d
ockroy s'est exprimé devant la commission relative à l'exercice de la médecine : « Notre collègue M. David considère l'hypnoti
d considère l'hypnotisation comme un procédé d'exercice illégal de la médecine et dirige contre celui qui, sans être muni d'un d
e de 100 à 500 francs. « Le temps n'est pas loin où tout docteur en médecine qui osait parler de magnétisme animal était gourm
n, le véritable écrivain procèdent d'un réflexe très ana-logne. Caria médecine est un art, au même titre que la peinture et la m
le nom d'Encausse et comme col aborateur d'un membre de l'Académie de médecine . Nous croyons rendre service a la fois a l'honora
pro-position ayant pour objet la création , à Paris, d'un Institut de médecine légale. On ne saurait trop désirer les succès d
entification ds la préfecture de police. — RUSSIE Le département de médecine du ministère de linteneura adressé dernièrement u
laiupgcition pendant 'es acccicon»ui'- et i ^m-.eiie. (bo rase]. La médecine rune. So 11. 'S90.) M0RAVIS1K : ~« b»*ternche Ocs
CHMITZ (A): Der Kjpnoti.mut in lôremiteher Beiiehung. .Hypso'.ifme et médecine légale) (l'iener jabris tr. der geriebSicb Med.
dus qui exercent, à Paris, la piraterie dans la science comme dans la médecine , donnant effrontément comme des découvertes perso
deviendrait hystérique, etc. Passons a un sujet « plus sérieux, etc. ( Médecine moderne, n°11, 1890 ) » « Et voila la question
'ensei-gnement médical, qu'il trouve en décadence, et des concours de médecine qui, tels qu'ils sont, lui paraissent aboutir à l
l partout ailleurs, choix des chefs ou aides de clinique (docteurs en médecine ) par les chefs de service. 3° Nomination de che
r les énormes ressources clinique» mises à leur disposition Ainsi, la médecine pratique, qui ne s'apprend qu'au lit dn malade, s
raphologues. NOUVELLES Faculté de droit de Paris — Court libre de médecine légale. Des Caractères disr-tinctifs de l'aliénat
T SUGGESTION Par M. le D" DÊJËBJNE, profewor agrégé i la Faculté de Médecine . On sait que la question de l'hypnotisme est en
at est resté stationnai» (3) Fontan et Segard (Toulon). Éléments de médecine suggestive, Paris, 1887, p. 110 et suivantes. (
n et du somnambulisme dans leuri rapports avec la jurisprudence et ta médecine légale, 1889, p. 728. (3) IbttL, p. 637. vl)
re de Charpignon : Rapports du magnétisme avec la jurisprudence et la médecine légale, 1860. Il est vrai que les opinions de cet
de cette ville. La dernière conférence était faite à la Faculté de Médecine par M. Bertrand, professeur à la Faculté des Lett
rreur, dit-il. dans un cours d'anatomie et trouva sa vocation dans la médecine . Reçu docteur k Montpellier, il s'établit à Tou
qu'une cataleptique répondait à la question : « Que pensez-vous de la médecine ? — C'est un bel art. Le ciel éclaire ses succès
pour démontrer que le Gouvernement devait fonder à Lyon une école de médecine : il s'appuyait sur ce que Lyon était habile par
rons que nous aurons souvent l'occasion de l'entendre à l'Académie de médecine , où sa parole fait autorité dans toutes les quest
sa parole fait autorité dans toutes les questions qui relèvent de la médecine legale et de la médecine psychologique. Le Crân
dans toutes les questions qui relèvent de la médecine legale et de la médecine psychologique. Le Crâne de Mozart On sait que
aladies nerveuses et mentales, sur l'assistance, la législation et la médecine légale des aliénés. Le premier volume, consacré
e renferme surtout des travaux sur l'assistance, la législation et la médecine légale des aliénés; ou y trouve une élude sur la
er, M- Henry Meuret; bibliothécaire. M. Paul Wirlath. —Un Comité de médecine américains offre un prix de 2,000 francs au meill
l'application hétéronome des courants continus d'aimant. (Journal de médecine , 11 janvier 1891.) Cuus (De). — De la Suggestio
se, l'idée qu'il considérait ces sujets tl) -iT'iir'i 'jènrialtt de Médecine , ("Trier 1860 : Etwi" sur !e icmnambutieme pathol
is; et lors de la discussion soulevée en 1888, à l'Académie royale de Médecine de Belgique, M. le professeur Masoin, à l'appui d
igues de Magnétisme animal, rapport communiqué a l'Académie royale de Médecine de Belgique, dans sa séance du 25 février 1SS8, n
r. Je crois qu'il est Intéressant de la reproduire dans un journal de médecine , car elle appelle l'attention sor OB point de vue
l'Hypnotisme. M. le Dr Déjérine, professeur agrégé à la Faculté de Médecine de Paris, a fait à l'Hospice des Enfants assistés
estre d'été de l'année 1890-1891, à l'École pratique de la Faculté de Médecine de Paris, un cours libre sur les matières suivant
isin et Harani, dans une communication faite le 6 août, au Congres de médecine mentale de Rouen, exposant le résultat de leurs r
s les derniers temps ; c'est bien, si l'on peut transporter le mol en médecine , une maladie fin de siècle par excellence. Ses ca
arcot. Mais ce n'est pas tout : le neuropathologue cultive aussi la médecine légale, et c'est à ce litre qu'il nous présente e
i cru qu'il convenait de porter l'affaire devant l'Académie royale de Médecine de Belgique. J'ai donc mis sons les yeux de mes h
dans l'amphithéâtre Cruveilhier. à l'École pratique de la Faculté de Médecine , un cours libre sur le sujet suivant: Psychologie
mentale. Cours a l'Université- de LYon. — Après les conférences de médecine légale, faites à la Faculté de Droit, par M. le p
ences hypnotiques, peut-il être poursuivi pour exercice illégal de la médecine ? > La conférence a adopté l'affirmative. Nou
s un but curatif par une personne n'ayant pas qualité pour exercer la médecine . Si la conférence des avocats a voulu dire que
oulu dire que les individus qui se livrent à l'exercice illégal de la médecine n'ont pas plus le droit de recourir à la pratique
s psychologiques peuvent constituer ce délit d'exercice illégal de la médecine , nous pensons qu'elle a fait une mauvaise interpr
mblée dimanche 8 février, dans le grand amphithéâtre do la Faculté de Médecine , sous la présidence de M. Lagoguey. Depuis sa f
e l'Académie française, président ; G. Ballet, agrégé à la Faculté de Médecine de Paris; Beaunis, professeur a la Faculté de Méd
la Faculté de Médecine de Paris; Beaunis, professeur a la Faculté de Médecine de Nancy; L. Marinier, maître de conférences à l'
e pratique des Hautes Études ; Ch. Rlcbet, professeur à la Faculté de Médecine de Paris, et le colonel A. de Rochas, administrat
ne sera publié sans une autorisation formelle. Réorganisation de la médecine légale. — La Société de la Gironde, consultée par
'Association des médecins de France, relativement à la pratique de la médecine légale, approuve : 1' Qu'il soit créé un diplôme
ans, par chaque Cour d'appel et après avis préalable de la Faculté de Médecine et des tribunaux de première Instance de la régio
Médical.) OUVRAGES REÇUS A LA REVUE Momk(Dr E.). — Formulaire de Médecine pratique, avec une lettre-préface de M. le profes
ntrée : la thérapeutique suggestive doit entrer dans le domaine de la médecine usuelle. C'est pour arriver à ce bat que je pou
en sont la conséquence habituelle >. (1) Gaiel/e hebdomadaire de Médecine el de Chirurgie, 1871. Nous avons observé un ca
chiques de cet état B sont aussi exactement ceux que tl) Journal de médecine et de chirurgie, IStfl, toute LX1I. Toa observe
dans l'amphithéâtre Cruveilhier. à l'Ecole pratique de la Faculté de Médecine , un cours libre sur le sujet suivant : Psychologi
ai sera consacrée à l'étude de l'hypnotisme dans ses rapports avec la médecine légale et, en particulier, des suggestions crimin
es intellectuels consécutifs aux traumatismes du cerveau (Archives de Médecine , février 1881). ciable aa bénéficiaire de l'ass
nistre des Travaux publics, et de M. le LV E. Vidal, de l'Académie de Médecine , président de la Société. Après avoir entendu l'a
bUcaiions de la Société et 1,250 exemplaires de VAvit de rAcadêmie d* Médecine . Elle a déclaré, en outre, un prix de 100 franc
étaire général de l'Association générale des médecins de France. La médecine légale au Missouri. —Il est probable que, même da
collèges » de cet Eut d'exiger des docteurs des épreuves sérieuses de médecine légale à leurs examens, ceux-là seuls pouvant fai
si à soulager, à guérir grand nombre de malades et a doté l'art de la médecine d'une méthode thérapeutique nouvelle : « la Sugge
Nancy, M- Liégeois, un tribut d'éloges, parce qu'il a compris que la médecine légale avait a puiser de grands enseignements dan
on et U Somnambulisme dans leurs rapports avec la jurisprudence et ta médecine légale s, est un travail érudit et consciencieux,
'art de guérir. Voilà pourquoi ce jour marquera dans l'histoire de la médecine et de la science. Je ne veax pas exagérer le mé
arole au nom des médecins anglais, a retracé les services rendus à la médecine et à la psychologie par la doctrine de la suggest
e ses prétendues prédictions, qu'elle a pour ainsi dire pratiqué la médecine et qu'avec les revenus qu'elle en tirait elle ent
urs font-ils des miracles (les) ? 347. Hypnotisme à la Faculté de Médecine (l'). 60. Hypnotisme à Gênes (leçons sur), 158.
26 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
PHYSIOLOGIQUE Paraissant tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédacteur
e. sans cependant sortir du domaine positif de la 1 clinique et de la médecine légale, elles présenteront un grand intérêt I pou
oprement dits ; car, comme je l'ai démontré, depuis la création de la médecine jusqu'à nos jours, la suggestion, c'est-à-dire l'
ponse à ces nouveaux outrages, j'ai communiqué à l'Académie royale de Médecine le rapport composé par M. le docteur Schoofs et p
disposition de tout lecteur dans le Bulletin de l'Académie royale de Médecine de Belgique, année 1891, n° 3; je soumets cette œ
le. En remplissant les fonction? do rapporteur à l'Académie royale de Médecine pour la question des dangers de l'hypnotisme, com
pour l'immense majorité. Mon rapport a été présenté à l'Académie de Médecine le 25 février 1888 ; comment y tenir compte d'une
ue mon honorable collègue, M. Semai, avait communiqué à l'Académie de Médecine une grande partie de la lettre qui lui avait été
enne au sérieux ou non. Mais, pour Dieu! qu'elles ne se mêlent pas de médecine . Pour t'en être occupée, voici M™* veuve Auftinge
umaine. Dans ce second volume sont aussi traitées la question de la médecine légale de l'hypnotisme et celle du zoomagnétisme.
contre les délits commis par l'enfant, il constate que le rôle de la médecine légale dans l'appréciation des actes commis par l
KharkofT. Garmer (Paul). — La Mélancolie dans ses rapports avec ta Médecine tégole, in-8", 18 pages. — Masson, Paris, 1891.
ézières. 1891. Pitres (Dr A.), professeur et doyen de la Faculté de médecine de Bordeaux. — Leçons cliniques sur l'Hystérie et
it déjà débitées le 28 mars dans une séance publique do l'Académie do Médecine de Belgique et dont lui. secrétaire, s'est vu ref
'Université Catholique de Louvain. secrétaire de l'Académie royale de Médecine de Belgique. Examen critique du rapport des méd
s fait*. Cette lettre me valat, en séance publique de l'Académie de Médecine , le 28 mars, une réponse de la part de al. Masoin
l'hypnotisme. Cette loi a été réclamée et inspirée par l'Académie de Médecine où, chose inquiétante, M. le secrétaire passe pou
a pathologie, à la thérapeutique et à l'étude de la responsabilité en médecine légale. Art. 2. — La Société se compose de memb
vait été instituteur dans un village avant de commencer ses études de médecine . Il nous a maintes fois dit que lorsqu'il se trou
à des erreurs de thérapeutique et fera considérer les médecins et la médecine à un faux point de vue. 27. — L'expérience néce
êtée, après une longue et minutieuse discussion, l'Académie royalo de Médecine de Belgique : l'expose des motifs fait connaître,
tion du premier corps savant médical belge : « L'Académie royale de Médecine de Belgique, considérant les inconvénients « et l
urant des récentes conquêtes de la pathologio nerveuse Déjerine. ( Médecine moderne.) NOUVELLES -'Association américaine
esse, dans la dernière réunion qu'elle vient de tenir à l'Académie de Médecine de New-York, a adopté la proposition suivante du
ésenter un intérêt considérable. Congrès do la Société italienne do Médecine interne en 1891. — Le-4e Congrès de la Société
Jean TARCNANOFF. professeur de physiologie à l'Académie impériale de Médecine de Saint-Pétersbourg. En ce moment, chez nous
tre relevé : c'est le fait inexact consistant en ce que l'Académie de Médecine de Belgique m'aurait refusé une insertion dans le
re des lettres de M. le professeur Bas-naert, membre de l'Académie de Médecine de Belgique, et de M. le D' Hcbbsr Schlbidbn, de
estion et Hypnotisme Par le D' Bernheim, professeur à la Faculté de Médecine de Nancy. J'ai pensé qu'il était bon, à notre p
0,000 habitants, il y a, en France et en Allemagne, 14,4 étudiants en médecine , 23,8 en Autriche, 26,7 en Hollande, 24,2 en Belg
tiques de l'information judiciaire et de l'enseignement spécial de la médecine légale. OUVRAGES REÇUS A LA REVUE Babinski (J
(Annales médico-psychologiques, 1891). ?aris. — L'ictus émotionel en médecine légale. (Revue médicale de l'Eu. 1891, p. 11.) ?i
échopté (A.). — Commentaire de la nouvelle loi sur l'exercice de la médecine , (In-8, 116 pafts.) Raymond (F.). — De ranssIÂési
an de TARCHANOFF, professeur de physiologie à l'Académie impériale de Médecine de Saint-Pétersbourg. Suite (1) IV L'abse
lications. Cette lettre n'avait qu'un but, c'était de démontrer qu'en médecine légale il n'était pas toujours facile d'arriver à
estion et Hypnotisme Par le Dr BERNHEIM, professeur a la Faculté de Médecine de Nancy. Suite (1) Voici un autre homme, âgé
aucun résultai. J'avais entretenu, l'année dernière, le Congrès de Médecine mentale de Rouen d'essais que j'avais entrepris a
nt donné qu'il s'agirait la d'une des plus grandes découvertes que la médecine ait faites depuis uo quart de siècle; il nous fau
. Delbœuf, celle de la presque unanimité des membres de l'Académie de Médecine . D'ailleurs, messieurs, à notre sens, il suffir
le disions en commençant, des vœux formulés par l'Académie royale de Médecine de Belgique, nous venons de voir dans quelles con
A de remarquables mémoires, communiqués par M. Mesnct à l'Académie de Médecine , sur l'automatisme dan» le somnaav bulisme sponta
national d'hygiène. — Dans le discours d'ouverture lu a la section de médecine préventive du septième Congrès internaiionsl de L
es, mais qui exige également de grandes précautions, et le rùle de la médecine préventive est de mettre en garde contre les dang
il se présentait en dernier lieu chez un dentiste renommé, docteur en médecine , qui l'éclaira sur la nature de son niai. Dès lor
le professeur Dr Albert Eulcnburg, l'auteur du grand dictionnaire de médecine et de chirurgie : « Real Encyclopâdie der gesamml
lectriques dégagées finit par amener des résultats fâcheux. > La médecine devant les tribunaux. a la Cour de Poitiers, lo
e, Moscou, 1891.) Rossolymo (Grégoire), privat decent ? la Faculté do médecine do Moscou. — Recherckei expérimentales sur les
tique suggestive, Par M. le Dr BERNHEIM, professeur à la Faculté de Médecine de Nancy. Habitudes d'onanisme depuis trois ans
communication que j'ai faite de concert avec M. Harant, au Congres de médecine mentale de Rouen, en août 1890, et dont les concl
ns absolument les conclusions que nous avons présentées au Congrès de médecine mentale de Rouen. Dr Auguste Voisin, Harant,
e cause et dans des cas appropriés, peut être d'une grande utilité en médecine et en chirurgie; 10° Dans le traitement des per
5.) Bernheim. — « Contribution a. l'étude des aphasies »- (Revue de médecine , n° 5, 10 mai 1891.) Charcot. — « Sur un cas d'
logiques qui s'v rattachent : physiologie, pathologie, thérapeutique, médecine légale (ln-18. 1891.) Kierman (J.-G.). — « Sexu
utre point de législation médicale vivement réclamé par l'Académie de Médecine . II s'agit de la pratique de l'hypnotisme, et voi
e de 26 à 1,000 francs. Art. 2. — Quiconque, n'étant pas docteur en médecine , aura hypnotisé une personne qui n'avait pas atte
'amende et l'emprisonnement contre « quiconque n'étant pas docteur en médecine , aura hypnotisé une personne qui n'avait pas atte
ue, pour l'administration du chloroforme, il suffit que le docteur en médecine assiste à l'opération et vous ne voulez pas qu'il
t un enfant ou un aliéné: Vous exigez, dans ce cas, que le docteur en médecine hypnolise lui-même où que l'enfant ou l'aliéné so
tous ceux, quelle que soit leur aptitude, qui ne sont pas diplômé* en médecine : (Interrupiions.j ???? demande pourquoi celte d
les poings fermés quand il s'agit de la poursuite des manœuvres de la médecine illégale, devront savoir fermer l'œil à propos, d
ages suggérés chez les enfants, Par M. Edgar BÉRILLON. docteur en médecine , licencié en droit, directeur de la Revue de l'Hy
ination, notre éminent confrère en lirait la déduction qu'il faut, en médecine légale, se tenir en garde contre les dépositions
ettant jamais aux personnes ne possédant pas le diplôme de docteur en médecine d'hypnotiser les enfants et les aliénés. Il a ado
un ans accomplis ou n'étant pas saine d'esprit, s'il n'est docteur en médecine ou muni d'une autorisation de la Commission médic
tion de la Commission médicale provinciale et assisté d'un docteur en médecine . « L'autorisation de la Commission médicale ne
professeurs de l'École d'Anthropologie, des membres de l'Académie de Médecine , etc. L'Administrateur-Gérant : Émilz BOURIOT.
Le professeur Trousseau disait qu'il n'y a pas de petites choses en médecine , el cela me parait vrai, surtout pour la thérapeu
par le jy Sollier, dans un article récent (août 1891) de la Revue de Médecine , pour se convaincre que l'intimidation joue un gr
sse romande, n° 6, 20 juin.) Lépine. — Mutisme hystérique .Revue de médecine , 10 oct. 1891.) Letourneau. — . Le passé et l'a
). — Du somnambulisme spontané avec double personnalité . (Journal de médecine et de chirurgie pratiques, 10 janvier 1891.) Ma
Condamnation à trois ans de prison (Annales d'hygiène publique et de médecine légale, n' 3, septembre.) Rtou. — - Les neurast
' 3, septembre.) Rtou. — - Les neurasthénie» psychiques (Journal de médecine de Bordeaux, 36, L'administrateur-Gerant : Emil
et : Autographismes et stigmates. Communication faite a l'Académie de Médecine (séance du 25 mars 1890). (11) V. Cornu : Contr
aladies mentales. Si l'on s'en rapporte à son étymo-logie \r-jXr„ âme médecine ), son acceptation est beaucoup plus étendue et
t beaucoup plus étendue et ce mot comprend tout ce qui a trait à la médecine de l'âme ou de l'esprit. Il a d'ailleurs l'avanta
e gouvernement peut dire qu'il ne marche que poussé par l'Académie de Médecine , qui a demandé le projet de loi. Soit ! Mais les
st! fût-on académicien. N'avons-nous pas vu, en 1842, l'Académie de Médecine de France décide, qu'elle ne s'occuperait plus du
dans l'amphithéâtre Cruveilhier, à l'Ecole pratique de la Faculté de Médecine , un cours libre sur les applications cliniques et
pports avec le sommeil et avec les troubles du mouvement .. (Revue de médecine , n°'5, 10 mai 1891 Ringier (G.) — Erfolge des t
eirgie hystérique). Formes pathogéniques. Traitement moral. (Revue de médecine , n° 8, 10 août.) Sollier et Malapert. — Contrac
n et du Somnambulisme dans leurs rapports avec la Jurisprudence et la médecine légale; I vol. in-18. Paris, Oci. Doin, éditeur.
uste Voisin, le D'Bérillon, le D' Proust, secrétaire de l'Académie de Médecine , le IV Déjerine, le L> Garuier. médecin de la
ités (1} ». 6* M. le LV Déjerine, professeur agrégé à la Faculté de Médecine de Paris, a fait des suggestions à deux jeunes ge
ent parlant. La thérapie suggestive a >a place dans le champ de la médecine usuelle, de la sociologie et de la pédagogie, san
sumé tel qu'il a paru dans les procès-verbaux de l'Académie royale de Médecine ; ce résumé, le voici : • En présence des attaqu
sommeil hypnotique était simulé et que les « prévenus pratiquaient la médecine d'une manière ignare, frauduleuse, - dangereuse m
e, a commencé, le samedi 19 mars, à l'Ecole pratique de la Faculté de Médecine (amphithéâtre Cruveilhier}, un cours libre sur le
in, professeor à l'Université de Louvain, secrétaire de l'Académie de Médecine , alieniste de l'adminHtration pénitentiaire. «
iculier sur la douleur racbidienne dans le ion- thoracique. (Revue de Médecine , lK*J, p. 394.) Il gauche, sifflements ou bou
avait été endormie quatre ans auparavant i>ar un jeune éludiaul en médecine qui lui avait fait défense de se laisser endormir
ofondément altérée, est au contraire certaine. (D'après le Journal de Médecine et de Chirurgie pratiques.) Diabète insipide gu
eux fois à comparaître devant un tribunal pour exercice illégal de la médecine , l'abbé Kneipp a été acquitté deux fois. L'abbé
des explicatives; il rendra les plus grands services aux étudiants en médecine , pour étudier et repasser rapidement les différen
in des hôpitaux de Bordeaux et qui occupait dignement à la Faculté de Médecine la chaire de thérapeutique, a publié de très inté
e plus grand éloge. Dans un travail paru en 1871 dans le Journal de Médecine de Bordeaux, 11 avait fourni une explication fort
decin en chef de l'asile de Rodez (Aveyron). Exercico illégal de la médecine . — Après deux audiences, le Tribunal correctionne
ondamné Bloche a dix francs (!!) d'amende pour exercice illégal de la médecine . OUVRAGES REÇUS A LA REVUE Binet alfred — l*$
13, rue de Slédicls, Paris, I8W.J Monin (Dr V E-). — Formulaire de médecine pratique. (Un volume in-18 de 650 pages. —Socié
d'éditions scientifiques, 4, rue Antoine-Dubois [place de l'Ecole de Médecine ], Paris, 1892.) Régla (P. do). — Les Bas-fonds
(Revue philosophique, avril 1892.) Davezac. — • L'alcoolisme et la médecine légale -. (Journal de Méd. de Bordeaux, 1891-92
et souvent même sans le savoir (que de fois cela n'a-t-il pas lieu en médecine par exemple!) Un animal, un objet peuvent produ
a candidature de M. le Dr Saint-IIilaire, préparateur à la Faculté de Médecine de Pari»; de M. de Jol'y. avocat à la Cour d'Appe
il ira toujours aux corps savants qui représentent officiellement la médecine . Pour se renseigner sur la moralité des aspirants
tice. — Pardon! La Jante des gens est en cause, d'après l'Académie de Médecine , et il t a donc une seconde condition, qui suppos
i votent, il c'y a que ténèbres et incertitudes dans le domaine de la médecine el de l'hypnotisme. En toulez-vous la preuve? L'h
le qui subjugue. M. Tack. — Ce n'est pas l'opinion de l'Académie de Médecine . M. La Jbunb, ministre de la Justice. — Erreur!
ecine. M. La Jbunb, ministre de la Justice. — Erreur! L'Académie de Médecine estime que l'hypnotisme arme d'une puissance redo
est l'agent mystérieux. Avons-nous en tort de consulter l'Académie de Médecine et de nous en rapporter à ses décisions officiell
dire. El on s'étonne de ce que nous avons tait appel à l'Académie de Médecine ! Le* honorables MM. Grosûis el Magis demandent
des Commissions médicale* et, le cas échéant, celui de l'Académie de Médecine jusqu'au jour où nous aurons nae section de l'hyp
sonne qui veut hypnotiser des enfants ou des aliénés, soit docteur en médecine ou munie d'une autorisation de la commission médi
ion de la commission médicale provinciale et assistée d'un docteur en médecine . Comme l'a pressenti l'honorable ministre de la
sain d'esprit. Dans tons les autres cas, une personne étrangère à la médecine peut librement exercer l'hypnotisme sous forme d'
21 ans accomplis ou n'étant pas saine d'esprit, s'il n'est docteur en médecine ou muni d'une autorisation du gouvernemont. « L
e, éclairés par l'histoire de W. Pitt. La Revue internationale de médecine analyse à ce sujet un curieux article du Médical
27 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
es de détails nécros-copiques insérées dans les Archives générales de médecine (3e série, t. IX, 1840) par M. Charcellay. Après
ans un rapport lu en 1837 sur ce sujet par M. Andral, à l'Académie de médecine , on trouve l'énoncé des principaux résultats qui
s fever et de la fièvre typhoïde et Angleterre {Archives générales de médecine , 8e série, t. VI, 1839, pp. 120, 265, et Guide du
téchiale des contre dans la fièvre typhoïde. (Archives générales de médecine , janvier 1842.) SYMPTOM ATOLOG1E. A. Prodrome
llemand, par lesquels les médecins des hôpitaux et les professeurs de médecine , à Saint-Pétersbourg, désignent la maladie? » R
trait des ?wtices de M. le docteur Seidlitz, professeur de l'Ecole de Médecine de Saint-Pétersbourg, sur la peste qui a régné da
langen, 1847, in-4) cap. II. p. 387. — Rapport à l'Académie royale de médecine sur la peste et les qua-rantaines, fait au nom d'
peste. Les membres de la commission nommée en 1844, par l'Académie do médecine , pour examiner toutes les questions relatives aux
1838 au 31 décembre 1840. (Dans les Bulletins de l'Académie royale de médecine , 1842, t. VII, p. 1045). — Fi. Littré, Article Fi
édicales, 1838, t. XVII, p. 271. — Monneret et Fleury, Com-pendium de médecine pratique. (Article Fièvre jaune, t. V, p. 481). —
cent autopsies. M. le docteur Catel [Bulletin de 1 Académie royale de médecine , 18 t2, p. 1060) l'a également rencontrée sur cen
ou spécifique qui puisse triompher de la fièvre jaune, et c'est à la médecine symptomatique qu'il convient ici d'avoir recours.
lus de cent autopsies. M. le docteur Catel (Bulletin de l'Académie de médecine , 1842, p. 1060) l'a également rencontrée en 1838
en général, pensons-nous, l'un des effets de la manie d'improviser en médecine , travers encore si communément répandu, on le sai
, etc. Les Notes ou Mémoires émanant de médecins ou d'étu-diants en médecine ont nécessairement un tout autre carac-tère. Malh
e en parallèle avec celui que nous venons d'emprunter à un journal de médecine publié à Dublin (Dublin Médical Press, numéro du
me ouvrage de Yoigtel un fait em-prunté aux Mémoires de la Société de médecine de Londres pour 1792 (t. III) : « Une jeune fille
ns qu'on ne le croirait de prime abord par la lecture des journaux de médecine . On les trouve plutôt dans les livres relatifs au
d'observer chez les animaux ; mais il indique que, dans le journal de médecine vétérinaire d'Utrecht (Magazin voor vee-artsenij-
onsignée tout au long dans l'article Acéphalocyste du Dictionnaire de médecine et de chirurgie pratique et considéré par M. Cruv
té insérée dans les Transactions de la Société pour Vavancement de la médecine et delà chirurgie (1793). Nous en donnons ici un
ui a été insérée par M. Lesauvage dans les Bulletins de la Faculté de médecine (1842), on rencontre, comme dans la précédente, d
érie, 18S3. CINQUIÈME PARTIE Thérapeutique. DE I/EXPECTATION EN MÉDECINE (THÈSE D'AGRÉGATION, 1857 l) Entreprendre l'h
E D'AGRÉGATION, 1857 l) Entreprendre l'histoire de l'expectation en médecine , ce se-rait vouloir passer en revue les divers sy
de concours pour l'agrégation, présentée et soutenue à la Fa-culté de médecine , le 17 avril 1857. Charcot. Œuvr. compl. t. vin
ion, et cette vue spéculative qui perce dans le langage du père de la médecine contenait déjà en germe les exagérations dont le
ctions qui ont une tendance naturelle vers une solution favorable. La médecine agissante devrait, par contre, trouver constammen
urces. Le mieux à faire en pareil cas, c'est de ne point nuire, et la médecine expectante trouve dans cette nouvelle considérati
il ne devrait plus y avoir de prétexte pour distinguer deux sortes de médecines , l'une agissante et l'autre expectante, à chacune
squ'il s'agit, par exemple, d'apprécier la valeur d'un médicament. En médecine vétéri-naire, où rien ne la repousse, cette métho
re, comme nous avons voulu le faire, la question de l'expeclation, en médecine , dans ses véritables limites, les sources auxqu
on suivante : Déterminer quelles sont les maladies dans lesquelles la médecine agissante est préférable à Vexpectante, et celle-
nous signalons les articles Agis-sante [Médecine), et Expectation en médecine , du Dictionnaire des sciences médicales, articles
essaire de bien déterminer ce qu'on doit entendre par expectation, en médecine . « On donne, en médecine, dit M. Littré, le nom e
r ce qu'on doit entendre par expectation, en médecine. « On donne, en médecine , dit M. Littré, le nom expectation à des règles d
à éloigner les agents et les circonstances nuisibles. » — Les termes médecine expectante, méthode expectante, sont fort souvent
s ; c'est ce qu'il importait d'établir. Voullonne sépare nettement la médecine expectante de la médecine agissante, et les oppos
it d'établir. Voullonne sépare nettement la médecine expectante de la médecine agissante, et les oppose l'une à l'autre. « Nous
agissante, et les oppose l'une à l'autre. « Nous appellerons, dit-il, médecine agissante, l'application d'un secours quelcon-que
malade éprouverait sans l'application de ce secours. Au contraire, la médecine est expectante, non-seule-ment quand elle s'absti
ssortir, dans sa définition, la différence qui existe en réalité 1. Médecine expectante, 6 vol. in-8. Lyon, 1803. 2. Essai s
r fixé, dans le sens que nous venons d'indiquer, les dénominations de médecine agissante et de méthode d'ex-pectation, Pinel fai
ter toute équivoque dans l'usage de ces mots, et de faire voir que la médecine d'observation n'est nullement susceptible de deux
on tenterait d'en enrayer la marche, d'en supprimer les périodes ? La médecine agissante, dans ces cas-là, n'est donc pas applic
ombattre les phénomènes hypersthéniques? N'est-ce pas, au fond, de la médecine expectante? La coqueluche ne parcourt-elle pas to
cité même, ces maladies rentrent de plein droit dans le domaine de la médecine prophylactique et de l'hygiène. Pour la plupart e
semblent être en effet directe-ment attaquables par les agents de la médecine agissante ; et, ce que l'esprit est ainsi porté à
énergiques sont souvent invoqués pour témoigner de la puissance delà médecine active. Cependant, les succès annoncés par une se
r 3 cas. Il convient seulement de re-marquer que très probablement la médecine expectante n'a pas été rigou-reusement suivie dan
fet les maladies et les indispositions habituelles appartiennent à la médecine expectante ; mais nous devons nous borner ici à c
ceptibles d'être heureusement modifiées par l'emploi des agents de la médecine agissante. Ce n'est pas sans raison que "Raymond
s affections-là surtout qu'il serait juste de dire : « L'avenir de la médecine , et par conséquent son véritable progrès, doi-ven
d'autres motifs véritablement fondés sur l'expé-rience. X. Toute médecine rationnelle, dit M. le professeur Rostan, est fon
sent-ils, avec Hencke et Hufeland, que si jamais on doit préférer une médecine expectante et pas-sive, c'est dans bon nombre des
. Ce sont les enfants les plus jeunes qui supportent le moins bien la médecine active, et chez lesquels les soins hygiéniques et
dans bien des circonstances. Ainsi, plus l'enfant est jeune, plus la médecine expectante est applicable.» Les vieillards, les g
des enfants, t. I, p. 60, 1855. 3. Traité sur différents objets de médecine , t. Il, 1749. règle générale, on doit, chez une
ns de suffisantes raisons d'expérience antérieure, dans un système de médecine active, pertubatrice et désespérée1.» L'expecta
le il convient d'en user2. » 1. Gouraud, Thèse pour l'agrégation en médecine , Paris, 1835. 2. Ghomel, Êlêm. de path. gén., h
aître exactement la durée et l'intensité des maladies traitées par la médecine expectante ; et l'on pourrait alors juger de l'ef
ecine expectante ; et l'on pourrait alors juger de l'efficacité de la médecine agissante dans le traitement des maladies, et, da
tion sous un autre nom, ne s'éloignaient pas de celles que fournit la médecine agissante, furent amenés à essayer l'expectation
certains. La fiè-vre intermittente est certainement le triomphe de la médecine agissante : cette maladie spécifique a trouvé son
Êlém de path. gén., p. 577. 3. Loc. cit , t. III, p. 289 et s. 4. Médecine clinique, 3e éd., p. 458 et s. S'il est des méd
cela est dans la nature des choses. Mais il n'y a pas deux espèces de médecine , l'une nécessairement agissante, l'autre toujours
r d'une médication très active et qui aient le courage de faire de la médecine d'expectation, en présence de symptômes aussi ala
uente de cette même affection, lorsqu'on n'emploie contre elle qu'une médecine purement expectante ; mais le terme de comparaiso
e, et il se garde bien d'en tirer des con-clusions absolues contre la médecine expectante. Ce que M. Grisolle ma pas tenté, d'au
es-tent fidèles à leurs principes, ne font rien autre chose que de la médecine expectante déguisée. Les résultats qu'ils obtien-
e expectante ne perd pas plus de malades affectés de pneumonie que la médecine active, conclusion bien intéres-sante et qui trou
étendue aux statistiques restreintes publiées par les partisans de la médecine active. De ces faits, il paraît résulter que la
. M. Marrotte, dans un mémoire inséré dans les Archi-ves générales de médecine (De la fièvre synoque péripneumo-nique, juillet e
logue que les autres : elles comptent dans la statistique, soit de la médecine expectante, soit de la médecine agissante. Dans l
ptent dans la statistique, soit de la médecine expectante, soit de la médecine agissante. Dans l'opinion de M. Marrotte, elles d
es il s'exprime à ce sujet, dans l'article Arsenic du Dictionnaire de médecine et de chirurgie pratiques (t. Itl, p. 373, §XIV,
stérieures (ataxie locomotrice progressive). (Gazette hebdomadaire de médecine et de chirurgie, 1862, nos 16 et 18.) 3. Nous r
age, Stuttgard, 1834, p. 57 ; — Duchenne (de Boulogne), Arch. gén. de médecine , avril 1859, p. 444 ;— Trousseau, Leçons clinique
Enfin, l'année dernière (1866) Eulenberg a présenté, à la Société de médecine de Berlin, un malade qui avait été complètement g
revenir à l'état normal. C'est en pareil cas, quel'intervention de la médecine peut être couronnée d'un succès relatif; on peut
ve, Elem. chemise, quse docuit. H. Boerhaave. Bàle, 1745. — Fourcroy. Médecine éclairée par les sciences physiques, 1791, t. I.
Med., 1799, t. IV et 1800, t. VI. — Faucher. Annales de la Société de médecine de Montpellier, 1806, t. VII.-— Powell. Observati
...... S00 CINQUIÈME PARTIE Thérapeutique. I. De l'expectation en médecine .................................. 305 II. De l'
. Erythème produit par la lumière électrique, 201. Expectation en médecine , 305; — bibliographie, définition, 310; — — m
28 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
s la presse. Voici ce qu’il nous répond : « La glace est rompue, la médecine ofilcielle ouvre ses rangs au magnétisme animal e
ades à traiter, et si j’étais quelquefois obligé d’avoir recours à la médecine pour ceux de mes patients qui ne voulaient point
connaissait point assez pour savoir que je faisais alors mon coure de médecine . K Mais je reviens à mon sujet. « Une fois qu
. linroii DU i’OTET, proin iéluire-gérant. EXERCICE ILLÉGAL DE LA MÉDECINE . DON DIVIN PtfNl DU DERNIER SÜPPIICECHEZ LES JU
t restée muette, depuis un mois, sur ce même sujet, et l'A-cadémie de médecine n’a pas manqué d’imiter cette prudente abstention
llent recueil rédigé parM, Dechambre, dans la Gazette hebdomadaire de médecine el de chirurgie du 30 décembre dernier, qu’on tro
; Jallet, 'chef des travaux anatomiques, et des élèves de l’école de médecine de Poitiers. L'un d'eux place une spatule à deux
tugais, le maréchal duc de Saldanha, a publié un ouvrage intitulé ^/a médecine en 1868, oiiil déploie une immense érudition etfa
allons montrer qu’il y a nou-seulement une vie mystérieuse, mais une médecine souveraine, et que celui qui s’y exerce peut, san
4onc ainsi les erreurs fatales de nos antagonistes et seriût la vraie médecine . C’est un sujet grave à exanûner ; mais, quant à
le nom d’hypnotisme. « 11 paraît que, vers 1855, un dictionnaire de médecine , publié par MM. Ch. Robin et Littré, mentionna le
urquoi plusieurs docteurs de ma connaissance pratiquent sans bruit la médecine hanema-nieone, et cherchent, dans l’emploi des mé
noncèrent sur cette question ; l'Académie des sciences, l’Académie de médecine , furent appelées à examiner ce que Mesmer prétend
de la terre, mais ils out perdu l’einpir« du ciel. Les erreurs de la médecine oITiciellc soiit aussi capir taies ; la décadence
sfaire aux exigences des personnes présentes et qui n’ont foi qu’à la médecine , j’envoie prendre de la teinture d’arnica à la ph
oheXIX__N“ 71. — 2* SERIE. — 10 MiK IStiU. « EXERCICE ILIËGAL HE tA MÉDECINE . Un abomination aux facultés. IS fr. d'amrndc,
daine Gi ison et l’a fait condamner, non pour exercice illégal de lu médecine , non pas pour consultationa dans l’état de somnam
il ignorer les célèbres débats que souleva, dans l’Académie royale de médecine de Paris, la proposition faite par un jeune médec
u scrutin secret par 35 voix contre 25. Le même jour, la section de médecine arrêta qu'une commission spéciale serait chargée
sur l’opportunité de la création de chaires nouvelles, la fa-cidté de médecine vient d’admettre à une grande majorité l’avis que
’admettre à une grande majorité l’avis que la chaire d’histoire do la médecine fût rétablie. (Voir journal Constitutionnel, 27 m
finisse même par triompher de cette horrible maladie, désespoir de la médecine , si jamais elle a éprouvé du désespoir de ses ins
ssi merveilleuse, qui pourrait défier celle de toutes les facultés de médecine rénnies, ferait-elle craindre qu’elle n'entraîne,
s’en sont emparés, ils l’exploitent tous les jours, à la honte de la médecine , et de la manière la plus scandaleuse, sur les tr
. BIBLIOGRAPHIE. Rapports dü macnStisme avecla itRispnuDENCE etla médecine IÉ6ALE, parj, Chaipignon, docteur en médecine. Br
ecla itRispnuDENCE etla médecine IÉ6ALE, parj, Chaipignon, docteur en médecine . Brochure in-8, chez Germer-Baillière, libraire,
dérations sur les ¡'apports du magoétisme avec la jurisprudence et la médecine légale. Ce travail m’a paru d’autant plus nécessa
as des magnétiseurs diplômés ? La multiplicité des applications de la médecine rend en effet très-difficile, pour le médecin, l'
c point de lois, point de mœurs, point de sacerdoce ni de facultés de médecine , puisque le magüétisme est exercé libremcnl dans
st-il pas la raédecine iiaturello., celle que Dieu nous a donnée ? La médecine aamnle des pays civilisés n’en veut pas. ne veut
pris bien vite d’un accès de sommeii nerveua:; j’imite l’Académie de médecine , je n’admire point, mais je me tais. Baron du P
et de marcher dans les sentiers inconnus. Si vous vous destinez à la médecine ,. .. c est un grand arl, — l’.arl divin de gagner
erle avec les savants, ne parlez point du ciel avec les prêtres, delà médecine divine avec les médecins; ne faites enfin aucune
se est certaine , vers ceux qui gnériront le plus et le mieux. Que la médecine diplômée profite donc de la présentation de l’hyp
ci m’est personnelle, et lo fait s’est produit pendant des visites de médecine pure, où le magnétisme n’intervenait ni comme con
. HYPNOTISME. DERNIÈRE CONFÉRENCE DE M. PHILIPPS. L’Académie de médecine , reconnaissant que l’hypnotisme est le très-proch
fontaine)) ou se désaltéré la science oflicielle ! Le Désir, toute la médecine spirituelle (en fait et en allégoi-ie) des écrits
a coupe de Sapliir ; que le cuiur s'élève à Dieu, la pa^-nacée (1) ou médecine dorée des travaux hermétiques, et le (Í) \a sav
s, et le (Í) \a savanl P, Kircher donne, de XF.UrlrphUofopkique, ou médecine (torée, une descriptinn aussi aiti'.iyante que va
re guérit quelques maladies réputées incurables et abandonnées par la médecine ordinaire. J'airive au fait : Madame Simon no
sens, et ceux que vous avez guéris étant justement tes malades que la médecine des écoles avait le plus maltraités, ces malades,
ependant, avant l'expérience décisive dü docteur Broca, la faculté de médecine aurait peut-être envoyé aux petites maisons celui
envoyons à MM. Broca, Velpeau, et à Ja commis-sioQ que l’Académie de médecine a nommée pour l’exa-men de l'hypnotisme, l’extrai
ait, en 178i, une doubleet sévère condamnation, l’une à la Faculté de médecine , et l’autre au sein môme de Y Académie des scienc
omme de la valeur de M. le professeur Rostan a écrit [Dictionnaire de médecine en 21 volumes, et Traité iChygiène) et professé à
t le désir prononcé de faire rentrer le magnétisme dans le sein de la médecine , comme une des branches les plus fécondes de la t
, l’électricité eil’électro-magnétii^me; avec la physiologie, avec la médecine qu'il relève d’un mécanisme matérialiste à un vit
urprendre, c’est que la Société royale de Londres et les académies de médecine n’aient pas encore songé k faire venir quelques-u
irés ime supériorité évidente, car ils peuvent, sans Je secours de la médecine , guérir une foule de maladies où l’art du médecin
on n'avait qu’à parler magnétisme pour exciter des rires de pitié. La médecine , forte de l’inditTéronce de l'Académie, dans un d
VFRTIOK DES MÉDECINS. - BECETAlILIti. Il y a exercice illégal de la médecine dam le fitil 4e la perionru non pourvu« de diplôm
e diplôme çu/ donne des contullaliont / peu imfiorle çu’un docleur en médecine appoie ta lignaiure au 6ai dei ardonnaneei, lor
ce matériel et moral qui teur est causé jiar l'exercice illégal de la médecine , peu importe que chacun des iiUervenanis ne puisi
e tribunal correctionnel, sous la prévention d'exercice illégal de la médecine . Un certain nombre de médecins se portèrent à l
légalement l'art (le guérir, puisqu'elle est assistée d'un docteur en médecine , qui contrôle ses indications, sigue ses ordonnan
rrait Être l’objet, la demoiselle Bressac a, chez elle, un docteur en médecine qui appose sa signature au bas des oi'donnuncos,
lte la preuve que la prévenue s’est livrée à l’exercice illégal de la médecine , notamment aux jours indiqués dans la plainte;
r alinéa de celle loi s’applique i ceux qui, exerçant illégalement la médecine , n’ont point pris le titre de docteur ou d’olTici
de des intervenants, parties civiles: 1 Attendu que les docteurs en médecine Bachelet, Barrier et autres, n'agissent point com
; « Attendu que la demoiselle Bressac, en exerçant illégalement la médecine , a fait aux intervenants une concnrrence illicite
ent dévoué à soulager par le mesmérisme les malades abandonnés par la médecine , et j’ai pum’assui'er par l’observation et par l’
ar le corps médical, puisque, comme vous le savez déjà, l’Académie de médecine a cru faire justice en me condanmant à l'amende,
attendu qu’elle reconnaissait que j’exerçais de fait illégalement la médecine , en exerçant le magnétisme pour guérir les maladi
nous. La majorité de ces messieurs auxquels, pendant leurs études de médecine , on n’a jamais enseigné, ni expliqué ce qu'est le
isons que j'ai déjà réalisées ici chez des malades abaiidoimés par la médecine ont été assez importantes pour ébranler l’incrédu
de Mesmer, par les auteura de la science médicale comme un système de médecine , dite médeciue magnétique ; de sorte que l’appela
adies sans présenter le diplôme qui lui donne la faculté d'exercer la médecine , a violé laloi, et a encouni la peine de l’art, i
à la honte de l'Académie de Paris, et à la gloire de la faculté de médecine de Rio Janeiro quia su si loyalement recomiattre
rès-peu précise, mais fort sage. a M. Hugson gisait : L'Académie de médecine devrait encourager les recherches sur le magnétis
observés à l’at-toiichemeîit Bt à l’imagination : c L’histoire de la médecine , y est-îl dit, renferme une infinité d’exemples d
ns les maladies qui résistent, qui s’einpircntuiêJDo aux moyens de la médecine ofiîcielle, nous le coiUcsterioiis vainement ; ma
e. Je n’achèverai pas la liste des arguties que soulève la nouvelle médecine contre ses bienfaits ; en pareil cas, semper est
e des écoles et des procédés, àl’escient ou non de ses praticiens, la médecine , dans les cas de maladie, se formule et s’équilib
remption décisive, fruit irrécusable d’une mûre expérience. Oui, la médecine infinitésimale possède un dynamisme réel, qui, ma
l'on puisse démontrer, de manière à pouvoir em-« brasser l'art de la médecine en général, ni secondairement, etc. » lin de no
«Blre eux par une loi d'affinili vitale » F.-E. Fodéré, professeur de médecine légale à la Faculté de Strasbourg. (Biiai iMoriqu
es médicaments appropriés est d'un très-précieux secours. Alors, la médecine infinitésimale harmonise parfaitement son atmo-sp
contemporain se prononce puur I afTirmative. • L'homéopathie est la médecine des miracles, la médecine des temples égyptiens,
uur I afTirmative. • L'homéopathie est la médecine des miracles, la médecine des temples égyptiens, la médecine des mages de l
e est la médecine des miracles, la médecine des temples égyptiens, la médecine des mages de l'Orient, comme l’arche de Moïse éta
; souvent de la fièvre ; pouls petit. (( Un Agrégé de la Faculté de médecine de Paris pronostique la mort avant le terme de sb
intérêt qu’on ne lui en accorde généralement. A côté de notre antique médecine , de cette médecine que l’expérience de tant de si
i en accorde généralement. A côté de notre antique médecine, de cette médecine que l’expérience de tant de siècles, que l’autori
lustres a justement consacrée, etc..... ou plutôt en face d’elle, une médecine rivale s’est levée, dressant fièrement étendard c
èrement étendard contre étendard, etc..... u Chaque jour l’ancieone médecine voit ses rangs s’é* durcir; chaque jour enfin la
l’ancieone médecine voit ses rangs s’é* durcir; chaque jour enfin la médecine nouvelle, rkoméo^ pathie, s’il faut l’appeler par
ute n’est plus permis à cet égard. » Joübdan, Membre de l’Académie de Médecine . [Traité de imt. méd. pure. Préface.) ii II ne
ent en 1832, est sous la haute inspection dc membres de l’Académie de médecine . Chaque année les comptos reniius officiels de l’
aris, 1860, chez J.-Ii. Baillière, libraire de [Académie impériale de Médecine . Ce recueil, dont je ne connais personnellement
ie, après plus de trente ans d’activité pratique dans les rangs de la médecine de l’école. D' Clever de Maldignv. RÉSURRECTI
uelque cliose. Le magnétisme produisit dans ce cas-ci l’elTel d’une médecine Leroi : et cette crise favorable mit fin aux anxi
ences, les doctrines, voire même les systèmes, sont tributaires de la médecine pliilosophiciue qui les embrasse et les résume to
a vie humaine. Après avoir posé ces vastes prolégomènes, il aborde la médecine proprement dite ; il nous la montre à l'étal nais
somnambulisme, connaissances qui incombent toutes plus ou moins à la médecine . « La philosopliie est la science dc la raison
or, mais le véritable objet delenrs travaux était la découverte d’une médecine universelle, d’un breuvage de vie. « La cabale
ouvriers, dans des conférences gratuites à ramphiihéâtrede l'Ecolc de médecine , a brillammenl sanctionné les idées de Laplace, à
rêtre sage ne n^fuse pas a raison phiUisnphique. Pré» du doclrvr en médecine et du maçnéliste, cependant, auquel s'adresse ma
es lorces qui semblent ne point être dévolues à la nature humaine. La médecine est muette, elle ne sait rien nous dire, elle nie
le Traité de physiologie kumaineieJ. Béclard, professeur à l'Ecole de Médecine à Paris (édition Labé 1856), et vous lirez, p. 96
rs écrits, j’ai manifesté la répugnance que j’avais & admettre la médecine homœoputhique dans ses principei fondamenlaujc, s
mœopa* thique. Sans doute les faits sont la suprême logique, mais, en médecine , il faut que ces faits soient assez nombretix et
urs propriétés, les lois de îour application édecine, donc il y a une médecine basée sur •opriétés matérielles de cei'taines sub
omœopathiques que dans celles des allopathes, tout cela prouve que la médecine qui se rapproche le plus de la nature est la meil
n général prodiguent trop les médicaments à doses énergiques ; que la médecine vitaliste, celle da vrai vitalisme, est peu connu
ladies, mais non pas de toutes. Oui, estimable confrère, il y a une médecine utile; c’est celle qui, sachant que l'faomme est
rofesseur de Théologie morale à la Sorbonne, Docteur en Théologie, en Médecine et ës LeUtes, etc. (L'ësprit nuM*iN f.t ses facul
s doute, m’écrivez-vous, les faits sont la suprême logique ; mais, en médecine , i] faut qi|e ces faits soient asses nombreux, as
ars 1856. On a épuisé sur ce jeune homme toutes prescriptions de la médecine allopathique et liomœopathique, maiscelasanssuccè
etour à Varsovie, je tombe malade et suis obligé d’avoir recours à la médecine . Les médicaments que je prends d’abord ne modifie
e moi l'idée d'en faire une panacée universelle, ni de l'isoler de la médecine . L'union de ces deux sciences, union franche et l
transversales. » (I)eleuse,page 3.5ft.) Voilà encore un docteur en médecine , un magnétiseur, observateur profond, persuadé de
manifestement où elle était placée. Philosophie, je vis tes erreurs; médecine , je vis tes caprices et tes égarements ; et je co
ctuellement dans les oubliettes de notre Institut et de l’Académie de Médecine , va braver la persécution de ces hauts barons, et
eur. Amputation de cuisse, 36. i Extraction de dents, 620. CAS DE MÉDECINE . — Maux guiris ou soulagés. Accès convulsifs, 1
nsidérations sur les rapports du magnétisme avec lnjurisprudence otTa médecine légale, par point de vue professiunnel ; par M. l
vaincus, 111. Effet plaisant du magnétisme animal sur l'Académie de médecine . Petite satire par M. du Potet, 657 Enchanteur
sauvage, 165; – par il signor Zanetti, 222. Exercice illégal de la médecine en France, 193, 331; — au Brésil, Formules caba
Magnétiseurs et somnambules poursuivis pour exercice illégal de la médecine . 193, 331, 352. Main (la) de gloire. Main de pe
ire; fable par M. Jobard, 294. Progrès du magnetisme. L’Académie de médecine de Rio-Janeiro, considérant que le magnétisme ani
e Vanderhagen, dite l'ex-femme sauvage, 165. — Exercice illégal de la médecine procès de M. Ferdinand Rouget, à Toulouse, 193; d
t. Mention, 224. Rapports du magnétisme avec la jurisprudence et la médecine lé gale, par le Dr Charpignon. Préface et concl
29 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
ont d’exact et de sérieux, ont été recueillis par nous. Physiologie, médecine , magie, sorcellerie, tout jusqu’aux faits de spir
r eux de la santé et de se soustraire à la science conjecturale de la médecine ! Rappelez-vo»s que le magnétisme laisse apercevo
gtemps au sein de la république médicale. Il y a, vous le savez, en médecine un. tas de sectes dont lès systèmes pratiques se
ais des médecins, des docteurs patentés, qui viennent déclarer que la médecine officielle avec tous ses systèmes n’est plus bonn
ste-t-elle seulement? Avez-vous oublié ces paroles de Sydenham : « La médecine est l'art de bavarder bien plutôt que l'art de gu
is, et Bichatj et Aliberl donc ! ont-ils assez dit leurs vérités à la médecine ! La belle science, en effet, qui change de panac
ation à l'empirisme, et il a trouvé la grande loi régénératrice de fa médecine , la loi des semblables. Allop. — Ah ! oui, je l
vous guérissez, en vertu du principe hippocratique « que la meilleure médecine consiste souvent à ne rien faire du tout; » voub
nombreuse de maladies , souvent très-graves, à propos de laquelle la médecine officielle , sobre d’aveux de ce genre, reconnaît
rer les rates, donc il ne faüt plus que le remède réussisse. Élève en médecine , élève en pharmacie, variétés de graines de même
ue le decteur Douillet. Baron Do Potet. A M. Douillet, docteur en médecine . Paris, 9 juillet 1840. « Mon très-honoré con
évère ; quelles sont les preuves dont vous l’appuyez? Non, jamais, en médecine , je n’ai abandonné la route expérimentale; je n’a
rience, au contraire, qui m’a démontré qu’au lit du malade toutes vos médecines sont presque toujours impuissantes, nuisibles ou
que je suis le seul médecin de mon avis ; oui, pour la nocuité de vos médecines , non pour leur impuissance. Les faits et gestes d
eurs les plus aimables et les plus appelés : on sait gu’il définit la médecine , l’art divin... de gagner dt l’argent. Voyez le
ment convaincu que quelque chose d’efïicace pût se rencontrer dans sa médecine ou dans l'une des vôtres, est-ce qu’il n’y aurait
temps, j'espère bien vous voir convenir que tout est fatras en votre médecine , excepté pourtant le diagnostic ; quoiqu’à vrai d
cultiver la botanique, la chimie, la physique, la minéralogie, la médecine , l'astronomie ou les mathématiques ; à vous héris
je l'affirme, ne le cédait en rien à la première. « Les ouvrages de médecine relatent les facultés extraordinaires dont les so
r, à l’occasion du procès intenté par des homœopathes à un journal de médecine , un de vos honorables correspondants, M. Petit d'
fait; 2»les anathèmes lancés contre l'ho-mœopathie par l’Académie de médecine . Ce n’est pas en parlant à un magnétiseur et de
lies, et que toutes les sciences qui tiennent de près ou de loin à la médecine ou seulement à la biologie sont plus ou moins ent
la pratique. A Petit d’Obmoy. Nous exlrayans du Scapel, journal de médecine et de pharmacie, la lettre suivante qui lui a été
rsaires la philosophie (surtout celle de Descartes), la théologie, la médecine , et cependant il est toujours là, résistant à tou
bert dans son traité de thérapeutique, Rostan dans le Dictionnaire de médecine et dans son cours d’hygiène. M. Trousseau même, 1
e docteur Wart a envoyé, le 22 novembre 1842 , à la Société royale de médecine de Londres, un mémoire sur l’amputation d’une cui
ent. Si donc l’homme, qui est l’autorité la plus puissante en fait de médecine légale, a une conviction personnelle sur le magné
médecin de la Faculté de Paris, membre correspondant de la Société de médecine de Gand, etc., etc. (1). (I) Gand, imprimerie d
Gyselink. Celte brochure est un cï-it d ;s Annales do la Sociétii de médecine de Gand. Cette brochure ayant été peu répandu
on la rencontre toute luxuriante dans les zones plus tempérées de la médecine ? ? J’ai cm, dit l’auteur dans son avant-propos,
nt une aménorrhée pour laquelle elle reçut les soins ordinaires de la médecine . Une grande frayeur fut le point de départ de tou
TOUCHER I» UNE MAIN FÉMININE. — POURSUITE POUR EXERCICE ILLÉGAL DE LA MÉDECINE . A l’appel de la cause, Mlle Marie Bressac cont
e. Il en résulte que Mlle Bressac exerce à Lyon, cours Morand, 29, la médecine ; qu elle donne des consultations, délivre des ord
t. INTERROGATOIRE. M. le Président. Vous convenez avoir exercé la médecine , avoir donné des consultations non-seulement le j
l’application de la loi pénale, soutient que l’exercice illégal de la médecine , sans usurpation de titre, constitue une contrave
régime des devins, les autres corporels, tombant dans le domaine delà médecine . Les corporels se divisent en six classes : Io
uvée par le magnétisme d’uno affection très-grave, contre laquelle la médecine avait vainement épuisé toutes ses ressources. Dan
e occuper la place qu’il mérite entre la physique, la physiologie, la médecine et la philosophie. « Cette introduction d’aille
à Desion, 1 exclusion de la Faculté et l’interdiction d’exercer la médecine : grâce aux progrès des idées libérales, un médec
ns le magnétisme une panacée universelle, destinée à devenir la seule médecine et à tenir lieu de toute science, il reconnaît la
intelligente et sa combinaison avec toutes les ressources de la saine médecine , conduire à des guérisons inespérées, et surtout
plusieurs autres éminents magnétistes, qu’il serait à désirer que la médecine adoptât le magnétisme et fût appelée, au moins da
es, je suis enfin parvenu, dans ces pays lointains, et en dépit de la médecine , — que je professe quelquefois avec assez de succ
eparaissent; et cet horrible état dure... environ trois mois ! « La médecine , lorcée alors de s’avouer impuissante, a recours
deux enfants qu’elle adorait, se voit sur le point d’en perdre un. La médecine avait dit son dernier mot, et la pauvre mère éta‘
e, et, faute de pouvoir me consulter, on avait encore eu recours à la médecine , qui, comme dans le cas précédent, avait été comp
dre , rapportées par M. le docteur Perrv, dans la Revue gallicane (le médecine homœopathique, tome 1,. page 595. « Ce médecin
A proprement parler, cette assertion n’est vraie que de l’Académie de médecine qui, bien certaine de connaître les bornes du pos
ait entrer des considérations d’une forme plus que singulière, sur la médecine et la thérapeu- tique allopalhique et homieop
iner à braver, lui médecin (dit_M. Lélut), Yanalhème de l’Académie de médecine , qui traite maintenant le magnétisme animal c
nd pas de fait, et l’on se trouve déjà bien en avant de l'Académie de médecine aux yeux de laquelle ce somnambulisme n’existe pa
, Alibert dans son Traité de Thtrapeüihie, Rostandansle IHctiommre de médecine , et dansson Coursd' hygiéne.M. Trousseau lui-même
tous, M. le baron du Po-tet, il ne paraît plus d’ouvrage important de médecine qui au moins ne fasse mention du magnétisme, ne f
aurait pu porter atteinte à ceci ou à cela; et même en parlant de la médecine , ma critique fut modérée : je restai dans un cerc
t pratique, a été soulevée par la défense. L’exercice illégal de la médecine par la dame A..., sans usurpation du titre d’offi
on, des ordonnances signées par X... « qui a le titre de docteur en médecine ; « Qu'il s’agitderechercherles circonstances d
l y a délit, et « qu’il s’agit d’examiner si l’exercice illégal de la médecine «sans usurpation de titres constitue un délit ou
ndon regrettable de la dignité que i le titre honorable de docteur en médecine devait lui faire « conserver, mais qu’aux termes
nvaincue d’avoir, depuis moins « de trois ans, exercé illégalement la médecine ....; la con-« damne à 15 fr. d’amende, à 40 fr. d
ause de la vérité. A. S. Morin. variétés. Plusieurs docteurs en médecine et plusieurs magnétiseurs très-renommés se sont m
tant à cinq mois. Après insuccès de tous les remèdes ordinaires de la médecine , cure magnétique entreprise d'après le conseil du
oir, et qui passe pour guérir notamment le cancer à l’égard duquel la médecine officielle avoue son impuissance. ■ Des brochures
us , M. le docteur Velpeau fulminait contre lui, devant l’Académie de médecine , un réquisitoire en règle, et tout le corps médic
ssent d’exploiter la crédulité publique. Il existe, en dehors de la médecine officielle, une infinité de remèdes plus ou moins
utes les prétentions les chances d’une expérimentation solennelle. La médecine , en s’enquérant du spécifique annoncé par un homm
dra comme un poison mortel. Il ne s’ensuit pas davantage de là que la médecine n’existe pas. La science est d’essence divine ; m
ue c’est sur cette double vue, qu’est fondée « toute la science de la médecine illégale, tout le savoir des somnambules magnétiq
nature de la maladie et lui indiquent les termes techniques usités en médecine pour décrire chaque particularité de la maladie.
oit lui interdire, on lui ouvre, d’un autre côté, en l’appliquant àla médecine , une voie large, grandiose, profitable à l'humani
ude à l'exercice du somnambulisme, on l’antorise à venir en aide à la médecine pratique. L’idée nous parait excellente ; mais à
e délivrer de tels certificats? 11 ne faut pas songer à l’Académie de médecine qui a décidé qu’elle jetterait au panier tout mé-
rait en relief ceux dont les facultés précieuses peuvent fournir à la médecine un auxiliaire extrêmement utile. Le jury pourrait
octeur SchifT, de Francfort-sur-le-Mein, a communiqué à l’Académie de médecine de Paris un moyen de faire entendre des coups « p
ucune cause naturelle. Il fait un appel aux membres de lî Académie de Médecine , les invite à assister à ses expériences et se fa
s hauts faits et auprès duquel il convie les membres de l'Académie de Médecine , a consenti à présenter ses expériences à la comm
yse d’un article publié par les Annales cl Bulletins de la Sociétc de médecine de Gand, et intitulé : Observations d'un cas dhys
champ des sciences. J’aime surtout à recueillir les témoignages de la médecine , parce que c’est elle qu’on a été forcé de prend
is ces lignes, d’élaguer autant que possible tout ce qui a trait à la médecine . « L’observation que j’ai l’honneur de soumettr
correctionnels.) Audience du 9 juin 1859. Exercice illégal de la médecine . — Escroquerie. Le sommeil magnétique est-il un
statuer non plus seulement sur les questions d’exercice illégal de la médecine et de complicité du docteur Murât, signataire des
s faits sur lesquels est basée l’inculpation d’exercice illégal de la médecine , et, renversant le système de la prévention, il f
tent en matière de science. Abordant le chef d’exercice illégal de la médecine , il soutient que son client n’est pas coauteur et
e que le docteur Murât soit déclaré coupable d’exercice illégal de la médecine conjointement avec M" Berney, et à ce que tous de
ui condamne M'“c Berney à 15 fr. d'amende pour exercice illégal de la médecine , et a condamné les parties civiles aux dépens.
our les névralgies si fréquentes aujourd’hui, et contre lesquelles la médecine s’avoue impuissante. — C’est merveilleux, murmu
t simple dans les différentes cures que j’entreprends en dehors de la médecine proprement dite, il m'arrive cependant quelquefoi
des incrédules, et qui, une fois surtout, a fait le déses poir de la médecine . « 11 s’agit d’un phénomène psychologique très-
ous voudriez me le faire accroire, mais bien pour votre enfant que la médecine va laisser mourir, parce qu’elle n’a pas su remon
s, l’enfant allait déjà mieux. Mais, hélas ! il faut bien le dire, la médecine ne voulut point lâcher sa proie, et la mort ue ta
ernier numéro d’une affaire d’escroquerie et d’exercice illégal de la médecine , jugée par la Cour impériale de Lyon, nous avons
cte elle-même, n’en commet pas moins le fait d’exercice illégal de la médecine , prévu et puni par les art. 35 et 36 de la loi du
législatives prises contre la divination et l’exercice illicite de la médecine . Mais de temps en temps quelques victimes sont sa
ire, lorsque l’on pense que l'avenir du magnétisme est de remanier la médecine , puis la législation, et de propager par toute la
s seulement voulu montrer quelques autres de ces guérisons que la médecine officielle 11e sait pas produire, et il s’en lait
hermite interro-geoit ce messager, à sçavoir s’il voudroit prendre la médecine pour et au lieu du malade. Si le messager répondo
éférence par feu Burdin, c’est que, comme il l'exposait àTAcadémie de Médecine , les autres expériences sont presque toujours suj
ULOUSE. CHAMBRE DES APPELS CORRECTIONNELS. Exercice illégal de la médecine . — Magnétisme. — Assistance d'un officier de sant
davezan, à 15 fr. d'amende, comme convaincus d’exercice illégal de la médecine commis en commun. Gratens est le berceau de ces
Le ministère public ayant vu dans ces faits l’exercice illégal de la médecine , commis de complicité avec un médecin, avait trad
it pu se rendre complice des autres prévenus exerçant illégalement la médecine , parce que l'infraction prévue par la loi de vent
res, je repris courage et laissai venir à moi tous les malades que la médecine aban -donnait. En quelques jours, mes deux somn
nt, établir une relation de cause à effet. Ce furent deux docteurs en médecine qui furent appelés, tous deux, de leur aveu, parf
ux commissaires de l’Académie des sciences et de la société royale de médecine , tous les moyens de s’éclairer sur le magnétisme;
et qui, par leurs instances, ont forcé en quelque sorte l’Académie de médecine à sortir de sa majestueuse apathie pour s’occuper
partout on chantait les louanges du moderne Escu-lape; la Faculté de Médecine était consternée et protesta contre des guérisons
emps des druides, nous disent, il est vrai, que ceux-ci exerçaient la médecine , mais sans assurer qu’ils eussent le don de guéri
SOCIÉTÉ MÉDICO-PSYCHOLOGIQUE. Tout le monde sait que l'Académie de médecine , à la suite de divers travaux ayant pour but de v
1) Voir Journal du Magnétisme, 18S6, t. XV, p. 413. le Journal de médecine de Vandermonde, pour l’année 1765, on trouve l'hi
s. « — Oui, me répondit-il, c’est l’épouse de M. L...... docteur en médecine , rue St..., n°.....Cette dame a déjà été fréquemm
ns qu’on pourrait faire de la rendre comestible. Elle est employée en médecine , dit-il, comme l’un des meilleurs succédanés du d
approche beaucoup de celui de nos somnambules. M. J. Curl, docteur en médecine , écrit de Paris (Illinois) : « En novembre 1858
gue et cruelle affection qui avait épuisé toutes les ressources de la médecine . Elle obéit avec empressement, et dans sa relatio
t-il, une grande répugnance à aborder ce sujet. Lorsque l’Académie de Médecine a décidé, par un vote solennel, qu’elle ne s’occu
ses lecteurs dans le vague. Il fait ressortir les avantages que la médecine peut retirer du magnétisme par la production de l
utent, ne savent point, et qui attendent patiemment que l’Académie de médecine se soit prononcée sur le magnétisme pour avoir un
ntôt, émerveillés de leurs succès, une révolution aurait lieu dans la médecine , et cette science ténébreuse pourrait alors se va
e aussi pour quelques autres membres de l’Académie des sciences et de médecine . En 1851, le Journal du Magnétisme publiait au
compte rendu et observations, par M. Morin, 554. CLINIQUE. CAS DE MÉDECINE . — Maux guéris ou soulagés. Aménorrhée, 230.
525, 561, 582, 590, 636; — sur l'homéopathie, 12, 57, 144 ; — sur la médecine extra-of ficielle, à propos du docteur noir, 237.
magnétoscope, décrit par M. le Dr Léger, 11. Magnétisme (Le) et la médecine . Lettres du Dr Frappart, au sujet des prévent
contre le magnétisme et surtout contre son emploi thérapeutique, 33 Médecine (La) extra-officielle aux prises avec la médecine
thérapeutique, 33 Médecine (La) extra-officielle aux prises avec la médecine officielle. Chicanes suscitées à M. Vriès, médeci
sme dans les doctrines du spiritualiste moderne, 208. — L'Académie de médecine adoptant l'idée déjà émise par le Dr Schilf, attr
cellerie, etc., sont en jeu. Voy. Tribunaux. Exercice illégal de la médecine . Voy. Tribunaux. Histoires de revenants, 380,
n du magnétisme par des médecins appelés comme experts dans un cas de médecine légale, 470. — Commentaires à ce sujet, par M. Mo
3. Somnambules et magnétiseurs poursuivis pour exercice illégal de la médecine , etc. Voy. Tribunaux. Spiritualisme (Le) en Améri
ré des somnambules et leurs magnétiseurs, pour exercice illégal de la médecine , ou pour escroquerie, à Paris, 365 ; à Lyon, 80,
30 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
res présents. M. te D'Beaunis, professeur honoraire à la Faculté de Médecine de Nancy, avait fait à la Société l'honneur de pr
nuelle. Il était assisté de M. le D' Huchard, membre de l'Académie de Médecine , et de M. le professeur Lionel Dauriac. A l'occas
oint rendu insensible à celle des autres, l'a réclamé h la Société de médecine légale en termes éloquents. « Mourir chargé d'a
es de M. Motet et nous déplorons qu'il se soit trouvé des journaux de médecine assez mal inspirés pour accueillir des commérages
il était pratiqué par des magnétiseurs n'ayant rien de commun avec la médecine ; maintenant, il en reconnaît les résultats thérap
aternel. M. le D' Huchard, médecin de Xecker, membre de l'Académie de Médecine , présidait. A ses côtés avaient pris place M. le
ent pris place M. le D' Beaunis, professeur honoraire à la Faculté de Médecine de Nancy, M. le D' Tripier, ancien président de l
la Société, M. le D'Fiessinger, membre correspondant de la Faculté de Médecine , M. le D' Bérillon, médecin inspecteur des asiles
naison d'une longue maladie, a donné matière à de nombreux travaux de médecine rétrospective. On peut donc considérer le sujet t
URRICIER Le seul nettoyabte et sans danger Présente à l'Académie de Médecine par le Professeur Budin. STERILISATEUR du parfa
i, rue Antoine-Dubois. A la librairie Vigot. ?3, Place de l'Ecole de Médecine . a brl'xklixs A la librairie Matolez: 3. rue
PHYSIOLOGIQUE Paraissant tons les moi* PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE HALA.DIES MENTALES ET NERVEUSES RtfifiMm
, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES, MALADIES MENTALES ET NERVEUSES, MÉDECINE LÉO A LE, PÉDAGOGIE CRIMrNOLOOIE. PSYCHOLOGIE PHY
formules du grand et du petit Albert, qu'à comprendre et pratiquer la médecine de l'esprit. Cette évolution nous explique le t
r M. le D' DakOGLOU [du Cairel. L'hypnotisme sous le contrôle de la médecine , de la physiologie et de la psychologie est deven
l'essence de térébenthine. qui sonl d'un usage si répandu dans la médecine populaire. Ma supposition se trouve confirmée; en
1MIYS10L0GIQUB Paraissant lorn I'" moli PSTCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Riiittcur
, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES, MALADIES MENTALES et NERVEUSES. MÉDECINE légale, PÉDAGOGIE CWMINQLOOIE. PSÏCHOLOOIE PHrSlO
rofesseur Brissaud, montrant le rôle que la philosophie associée à la médecine peuvent exercer sur l'évolution des idées médical
t, il s'agit d'un seul et même cas. 11 est arrivé très fréquemment en médecine que l'observation du même sujet soit prise par di
n d'attaques dura environ (1) Observation présentée à l'Académie de Médecine par il. le P* Lancoreoux, le 8 mars I90i et à la
cs d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique delà Faculté de médecine [semestre d'été) par des conférences sur les appl
es Légion d'honneur. — M. le D' Tillaux, président de l'Académie de médecine , professeur de clinique chirurgicale, est élevé à
n et du somnambulisme dans leurs rapports avec la jurisprudence et la médecine légale. Membre fondateur de la Société d'hypnolog
PHYSIOLOGIQUE Paraissant tous les mois PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rfliftar
, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES, MALADIES MENTALES ET NERVEUSES, MÉDECINE LÉGALE, PÉDAGOGIE CRIMINOLOGIE, PSYCHOLOGIE PHYSI
s d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
URRICIER Le seul nettoyable et sans danger Présenta a l'Académie de Médecine par le Professeur Bcdis. STÉRILISATEUR do PARFA
: 4, rue Antoine-Dubois. Ain librairie Vlgot, 23. Pince de lT.coIe do Médecine , abhoxri.t.es A la librairie Mayolez : 3, ruo
SIOLOGIQUE REVUE DOCUMENTAIRE ILLUSTRÉE PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES resultarl
, somnambulisme, suqgest10n névroses, maladies mentales et nerveuses, médecine legale, pédagogie criminolooie. psrchologie physi
RRESPONDANCE. — Société d'hypnolo- gie et de psychologie, p. 150. — Médecine et religion : miracles, p. 159. — Le nombre des a
assez intensif (Fig. 24). Il (1) Deuxième bulletin de la Faculté de médecine de Paris, 1915. nous démontre qu'elle no redo
parents, bien inspirés, la conduisirent à la Société de la Faculté de médecine , ses dons naturels constituaient toute sa richess
s.d'aliénés, y comptète son cours à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sûr les appl
ante présente encore plus d'intérêt, puisqu'il s'agit d'un docteur en médecine , dgé de 26 ans. Etant enfant, il était timide.
tient assez rapidement. M. le IV Huchard, membre de l'Académie de Médecine , Taisant à la Société l'honneur d'assister à la s
nterne de l'Asile d'aliénés de Marseille, a présentée à la Faculté de Médecine de Montpellier, sous le titre : De l'influence du
que. D' Paul Farbz : Nouveaux faits de suggestion éthyl-méthylique. Médecine et Religion : Mira-clcs. La Semaine religieuse,
les miracles. Voici le passage essentiel de ces déclarations : * La médecine confine à la religion plus qu'on ne saurait le cr
4, rue Antolne-Dubols. A la librairie Vlgot, 23. Place de l'Ecole de Médecine . a bruxelles A la librairie Ma volez : S, rue
S CM A MBDLISME, SUGGESTION NÉVROSES. MALADIES MENTALES ET NERVEUSES. MÉDECINE LB6ALE, PÉDAOOOIB CRIMINOLOOIE, PSYCHOLOGIE PHYSI
on qu'en donnait le D' Duhring lorsqu'il la présenta aux étudiants en médecine de l'Université : La voix est douce, elle a un ti
s d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
es de l'imprégnation alcoolique, sa postérité pale pour lui et, si la médecine n'intervient pas, la famille va sombrer et s'étei
CIER Le seul nettoyable et sans danger Présenté & l'Académie de Médecine par le Professeur Bcont. STÉRILISATEUR du parfa
SIOLOGIQUE REVUE DOCUMENTAIRE ILLUSTRÉE PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LEGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES !)-". ¦ i
. somnambulisme. suggestion NÉVROSES. maladies mentales et nerveuses. médecine légale. PÉDAG001S criminologie. psvcholooie physi
s cours. M. le Dr Fies* singer, membre correspondant de l'Académie de médecine , a bien voulu occuper la chaire d'Histoire de la
Professeur Charles Richet, professeur de physiologie à la Faculté de médecine de Paris comme président de la Society for psychi
s d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine (semestre .d'été) par des conférences sur les app
, sous la présidence de M. le D' Lance-BfAUXj membre de l'Académie de médecine . — Les châtiments contre les buueurs sous l'ancie
rier, sous la présidence de M. le Dr Huchard, membre de l'Académie de médecine . —La psychologie du courageet l'éducation du cara
sidence de M. le D- Fiessingeb, membre correspondant de l'Académie de médecine . — La graphologie envisagée commeprocéoîé d'inves
en France. Broch, extraite du Bulletin de la Société d'histoire de la médecine . Blanchard : Les maladies ténércennes dans Varl
URRICIER Le seul nettoyable et sans danger Présent* k l'Académie de Médecine par le Professeur Bon». STÉRILISATEUR du parfai
4. rue Antoine-Dubois. A la librairie VIgot, ?3, Place de l'Ecole de Médecine . a linUXELLES A la librairie MayOlex : 3, rue
SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES, MALADIES U ENTA LES ET NERVEUSES, MÉDECINE LÉGALE, PÉDAGOGIE CBIM1NOLO01E, PSYCHOLOGIE PHYSI
heureux de citer MM. le D' Saint-Yves Ménard, membre de l'Académie de Médecine , Lalsant, examinateur & l'Ecole polytechnique
union, en particulier M. lo professeur Dcbovc, doyen de la Faculté de médecine , retenu aune commission universitaire. Nous som
ouleverser ic monde des sciences et particulièrement les choses de la médecine , tout fut à la bactériologie. On ne pouvait entre
Des 1888, il fait, tous les ans, à l'école pratique de la Faculté de médecine , un cours sur les applications thérapeutiques de
s d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur lesappli
ude de mon éminent maître, If. le D' Bordier, directeur de l'Ecole de médecine de Grenoble, parue en ¡902 sous le titre : Le Dre
URRICIER Le seul netioyable et sans danger Présente à l'Académie de Médecine par le Professeur Bcdix. STÉRILISATEUR du PARFA
4, ruo Antoine-Duboia. A la librairie Vlgot, ?3, Place de l'Ecole de Médecine . a bruxelm» A la librairie Mayoi.es : 3, rue
SIOLOGIQUE REVUE DOCUMENTAIRE ILLUSTRÉE PSYCHOLOGIE - PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES MMar m i(
, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES, MALADIES MENTALES ET NERVEUSES, MÉDECINE LESALE, PÉDAGOGIE CRIMINOLOGIE, PSYCHOLOGIE PHYSI
mbre considérable d'auditeurs. M. Lancereaux, membre de l'Académie de médecine , qui avait accepté la présidence de la conférence
ogie du courage ; & ce sujet, M. Huchard, membre de l'Académie de médecine , auquel avait été dévolu la présidence de cette c
la présidence de M. Flesslnger. membre correspondant do l'Académie de Médecine , le D' Paul Joire (de Lille), a abordé l'étude de
cs d'aliénés, y complète son cours à l'Kcole pratique delà Faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
nne, et Huchard, médecin de l'hôpital Neeker, membre de l'Académie de médecine . L'ordre du jour appelle les communications sui
isme et de la psychologie Cours a l'Ecole pratique de la Faculté de médecine . — M. le docteur Bérillon, médecin inspecteur des
lundi 15 mai 1905, à cinq heures, à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine (amphithéâtre Cru-vcilhier), un cours de psycholo
e (amphithéâtre Cru-vcilhier), un cours de psychologie appliquée à la médecine . Il le continuera les jeudis et lundis suivants à
4, rue Antoine-Dubois. A la librairie Vlgot, 23, Place de l'Ecole de Médecine . a bruxelles A la librairie Matolez : 3, rue
isme et de la psychologie : Cours A l'Ecole pratique de la Faculté de Médecine , p. 320. SUPPLEMENT A LA REVUE DE L'HYPNOTISM
son sexe feminiu. Le 18 octobre 1897, lo D' llabcrda, professeur de médecine légale à Flg. W. — Mme x..., femme a barbe, age
d'en observer se sont empressés de les signaler dans les recueils de médecine mentale. Le D' Mac Dowall, médecin de l'asiled'
ifs que la volonté est incapable de reproduire, de leur importance en médecine légale. M. le Président annonce la mort de M. l
cs d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique delà Faculté de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les appl
isme et de la psychologie Cours a l'Ecole pratique de la Faculté de médecine . — Psycholooie médicale : hypnotisme. — M. le doc
lundi 15 mai 1905, à cinq heures, à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine (amphithéâtre Cruveilhicr), un cours de psycholog
ne (amphithéâtre Cruveilhicr), un cours de psychologie appliquée à la médecine . Il le continuera les jeudis et lundis suivants à
URRICIER Le seul nettoyable et sans danger Présenté à l'Académie de Médecine par le Professeur Bcdik. | STÉRILISATEUR du par
4. rue Antoine-Dubois. A la librairie Vlgot, ?3, Place de l'Ecole de Médecine . a uoxtu.es A la librairie Ma yoles : 3. rue
IOLOGIQUE REVUE OOCUniENTAIRE ILLUSTRÉE PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES fWutliLt
, SOMNAMBULISME, SU00B6TI0S NEVROSES, MALADIES MENTALES ET NERVEUSES, MÉDECINE LÉGALE, PÉDAOOÔIB CRIMINOLOGIE, PSYCHOLOGIE PH YS
me et de la psychologie : Cours A l'Ecole pratique de la Faculté de Médecine , p. 352. La BEVUE DE L'HYPNOTISME est l'organe
ur de M. le professeur Benunls, professeur honoraire de la Faculté de médecine de Nancy et directeur honoraire du premier labora
rès intéressants documents à publier sur les femmes à barbe devant la médecine légale, ainsi que sur les femmes à barbe dans l'h
s d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique de la Faculté do médecine (semestre d'été) par des conférences pur les appl
isme et de la psychologie Cours a l'Ecole pratique de la Faculté de médecine . — Pstcholooie médicale: hypnotisme. — M. le doct
lundi 15 mai 1905, à cinq heures, à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine (amphithéâtre Cruveilhier), un cours de psycholog
ne (amphithéâtre Cruveilhier), un cours de psychologie appliquée à la médecine . Il le continuera les jeudis et lundis suivants à
URRICIER Le seul netloyable et sans danger Présente a l'Académie do Médecine par le Professeur Bvdik. STÉRILISATEUR du PARFA
4, rue Antoine-Dubois. A la librairie Vigot, 23, Place de l'Ecole de Médecine . a BAUXBLLI& A la librairie Mavolez : 3,
SIOLOGIQUE REVUE DOCUMENTAIRE ILLUSTRÉE psychologie — pédagogie — médecine légale maladies mentales et nerveuses RUirbir e
, somnambulisme, suggestion KEVROS8S, maladies mentales et nerveuses, médecine légale, pedagogie criminologie, psychologie physi
résidence d'honneur de H. le Df Albert Robin, membre de l'Académie de médecine , et la présidence de M. le Dr J. Voisin, médecin
s la présidence d'honneur de M. Albert Robin, membre de l'Académie de médecine . Ordre du Jour : 1° Compte rendu de la situatio
u), par Bérillon, p. 231. Cours à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine , p. 288, 320, 352. Cours pratique d'Hypnotisme
es), p. 354. Mérite agricole, p. 94. Métapsychistes. 258. Miracles ( Médecine et religion), p. 159. Migraine datant de vingt an
4, rue Antoine-Du bols. A la librairie VIgot, 23, Place de l'Ecole de Médecine . A BRUXELLES A la librairie Mayolez : 3. rue
31 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
s malades qui recourent au magnétisme ont épuisé les ressources de la médecine ordinaire; beaucoup ont en outre essayé de l’homé
ovation en attaquant le magnétisme. C’est la Gazette hebdomadaire de médecine et de chirurgie qui a l’avantage de lui servir d’
Je la fis magnétiser en présence de deux médecins et d’un étudiant en médecine . Lorsque le bras était insensible, j’y plantais p
madaire. « Ayant lu, dans le numéro du 10 novembre de la Gazette de Médecine et de Chirurgie, un article signé du Dr SchifF (d
nant tous les SchilT du monde, renforcés môme de tous les journaux de médecine , sont et seront impuissants à arrêter l’essor du
TET. VARIÉTÉS. Cauacric«. — Nos grands seigneurs de l’Académie de médecine ne veulent point que le magnétisme soit un fait.
disparaîtra comme par enchantement. Quand nos savants le voudront, la médecine fera un progrès inespéré et prendra le premier ra
stement sa raison. Revue des Journaux. — La Gazette hebdomadaire de médecine et de chirurgie, citée plus haut, déclare que la
ne et demande sans cesse et sans relâche le plus grand dévouement? La médecine actuelle est donc une industrie; le magnétisme es
long à venir, peut-être même ne viendra-t-il jamais ! Dans ce cas, la médecine tombera de plus en plus bas dans l’opinion; on co
e moyen : lorsque je verrai le magnétisme enseigné dans les écoles de médecine , lorsque je le verrai pratiquer dans les hôpitaux
que les médecins nous refusent. «Au rapport de Cotugno, un élève en médecine disséquant, à Bologne en 1780, une souris vivante
omprend facilement qu’ici la chirurgie vaudra infiniment mieux que la médecine , dont les moyens seraient alors presque toujours
vus le boire avec avidité; nous nous rappelons surtout un étudiant en médecine frappé de la forme adyna-mique la plus terrible :
sonnes assez influentes, appartenant au clergé, au barreau, même à la médecine , sont venues nous féliciter et nous assurer de le
a législature vient de voter pour ressusciter la libre pratique de la médecine , et elle émet le vœu que la presse quotidienne le
e doit rien juger qu’après un consciencieux examen. Qu’importe que la médecine parisienne s’obstine «à ne pas sortir de son orni
hique, et on sait qu’il existe à Cincinnati un Institut éclectique de médecine où on étudie tout, même le magnétisme, l’homéopat
mot. Un ignorant, un magnétiseur donne au médecin une leçon de vraie médecine . Passons à d’autres faits : Voici une jeune f
n croire certains auteurs, il fallait regarder le mesmérisme comme la médecine universelle et comme la clef mystérieuse de tous
es, opérerait des guérisons incurables par le secours ordinaire de la médecine , développerait des facultés nouvelles d’une maniè
, rien de plus, rien de moins ; de même qu’en physique, en chimie, en médecine , comme partout en un mot, le bien ou le mal moral
e le magnétisme fait ici de rapides progrès, et surtout au sein de la médecine ; je n’en veux pour preuve que l’exemple suivant
rétablie. J’ai fait, il y a environ vingt jours, un nouvel essai de médecine magnétique. J’avais des coliques depuis deux jour
recours à un verre d’eau magnétisée prise le matin à jeun en guise de médecine . Cette eau a produit l’effet d’un purgatif et m’a
lié. Cette analyse impartiale est signée L. Molard. — Un recueil de médecine domestique, le Médecin de la Maison, du 15 mars,
naturels. Je communiquai cette proposition à mon ami et confrère en médecine et en incrédulité, le Dr B...., et celui-ci me co
mentales par suite de la lésion ou de l’altération de l’organe que la médecine est complètement impuissante à constater, si ce n
on du grand édifice de la science magnétique. c. CASATl, Docteur en médecine cl en chirurgie. FAITS ET EXPÉRIENCES. 1° HIS
mari était alors commandant du fort d’ivry. Voyant aujourd’hui que la médecine est impuissante à soulager sa tendre mère, elle é
e, à peu près dans les mêmes conditions et également abandonnée de la médecine ordinaire, me prièrent d’essayer de sauver leur f
celui-ci cesserait d’exister. Il n'y a déclips6 ¡ci que cette pauvre médecine ; car en vérité elle fait triste figure 1 Baron
espère pouvoir se passer de cette connaissance. « Qu’est-ce que la médecine des Écoles? La réunion de mille systèmes différen
elles. Le plus sage de nos médecins est celui qui ne croit point à la médecine et abandonne, par conscience, le soin de guérir l
éserver et de guérir. » « Ce fut là une révélation sans exemple. La médecine fut ébranlée sur ses bases ; la science antique f
roqueries commises à l’aide du magnétisme et d’exercice illégal de la médecine . Les dépositions suivantes font connaître les c
force la double prévention d’escroquerie et d’exercice illégal de la médecine , en disant qu’une certaine mise eu scène constitu
des expériences ou consultations. Quant à l’exercice illégal de la médecine , quoiqu’il ne soit produit aucun fait de médecine
rcice illégal de la médecine, quoiqu’il ne soit produit aucun fait de médecine dans la cause et qu’aucun témoin n’ait déposé que
particulières, constitue à lui seul le délit d’exercice illégal de la médecine . M" Pezzani, avocat des époux Mongruel, prend l
ribunal n’a pas les moyens d’apprécier s ils ont réellement exercé la médecine , contrairement à la loi ; « En ce qui touche l’
mettre à l’abri de tous les malheurs, en faisant ainsi une espèce de médecine de précaution que l’on aurait sans doute administ
ide administré ! Quant aux merveilles inouïes, foudroyantes pour la médecine et obtenues depuis si longtemps dans la guérison
e inspection aussi minutieuse que celle de M. Prunel, son collègue en médecine mais non en beauté, M. le Dr Petit, conclut lui,
eurs, et exactement du même genre et cependant causes différentes; la médecine ordinaire appelée dans ce cas aurait certainement
à ce grand guérisseur d’incurables, car il refusa. Ainsi, là où la médecine scientifique, la médecine officielle, avait échou
ncurables, car il refusa. Ainsi, là où la médecine scientifique, la médecine officielle, avait échoué dans ses deux écoles rec
t souffrait cruellement depuis cinq ans ; toutes les ressources de la médecine y avaient été épuisées. M. Déchanesls, fils du
jà signalé ses tendances anti-magnétiques, la Gazette hebdomadaire de médecine et île chirurgie, a publié, il y a près d’un an,
st docteur, professeur agrégé et sous-bibliothécaire de la Faculté de médecine de Paris; à ces titres divers, il ne pouvait pas,
l faudrait encore un peu de bonne foi et de justice. Or la Faculté de Médecine est essentiellement distincte de la Faculté de Dr
it l’anatomie sau . avoir jamais touché le cadavre d’un animal, et la médecine sans avoir observé un malade ; et, pour comble d’
ependant passent pour n’être point trop antipathiques à l’Académie de médecine , peu importe. 11 admet l’action de l’agent magnét
lesquels se passent de telles scènes sont eux-mêmes fort ignorants en médecine et en anatomie. » Les termes sont durs, et M. S
bres de la société, qui seraient reconnus par elle digne d’exercer la médecine magnétique et d’en faire exclusivement à tout aut
d’accorder à ces derniers l’autorisation d’exercer ostensiblement la médecine Magnetique, il y aurait à leur égard beaucoup de
nt depuis trente siècles, qu’on voit signalés dans tous les livres de médecine . On concevrait qu’un médecin dise qu’il 11e peut
s voyons, au seizième et au dix-septième siècle, former la base de la médecine . A mesure que l’esprit humain frayait plus nettem
pourrions, dans sa vénération stationnaire et fanatique de la vieille médecine , voir passer le bout de l’oreille du fétichisme ;
les innombrables services que le magnétisme est appelé à rendre à la médecine , il en est un sur lequel je crois devoir appeler
nétisme peut, non seulement être considéré comme un bon adjuvant à la médecine , mais qu’il peut, dans certains cas, servir à écl
s avons essayé de les amener l’examen et au jugement de la Société de médecine . Ces messieurs se sont contentés de répondre par
racles, pratiquait en Angleterre, à la fin du dix-septième siècle, la médecine d’attouchement, et il déplaçait ainsi les douleur
« J’extrais, d’un mémoire de Desion, docteur régent de la Faculté de médecine de Paris, l’indication de quelques maladies contr
ns à 1785 et à l’extrait de la correspondance de la Société royale de médecine relativement au magnétisme animal, donné par Thou
était répandue dans toutes les provinces. Or, les différents corps de médecine qui en surveillaient les effets s'élevèrent unani
antité de documents : « Qu’il n’y a en France aucunes compagnies de médecine qui aient adopté la doctrine du magnétisme animal
tiseurs, on verra qu’elles ont la même valeur que les guérisons de la médecine sympathique, et que l’on guérit avec le fluide ma
isme tel qu’il est devenu de nos jours? Que la très-docte académie de médecine de Paris continue à le repousser avec une opiniât
ne commission permanente de onze membres est nommée par l’Académie de médecine , afin d’examiner, de faire un rapport sur le magn
ri en deux jours d’une entérite chronique dont tous les remèdes de la médecine n’avaient pu le débarrasser, et il vient lui-mème
nt le droit de s’honorer du titre de magnétiseurs. Eh! mon Dieu! la médecine n’a-t-elle pas aussi ses empiriques, et 11’a-t-el
dictionnaires, veuillez prendre la peine d’ouvrir le Dictionnaire de médecine publié en 1825. Entendez bien qu’il sagit ici de
première édition (1) écrit par un homme dont le nom fait loi dans la médecine , dont le savoir est profondément considéré même à
sprit de la génération médicale. Ou bien, c’est une des gloires de la médecine moderne, un des plus grands praticiens (1) Il n
ièrent condamnation contre un magnétiseur pour exercice illégal de la médecine , — c’est-à-dire — qui demandent que l’on condamne
duire contre les magnétiseurs d’autre preuve d’exercice illégal de la médecine que le témoignage des malades par eux guéris. A
-mêmes. Puis, d’autre part, on poursuit pour exercice illégal de la médecine les magnétiseurs qui ont opéré gratuitement. Ou
ne constitue pas, qui ne peut pas constituer l’exercice illégal de la médecine . (le n’est peut-être pas le même individu qui a
diques contre les magnétiseurs, l’accusation d’exercice illégal de la médecine , — pour avoir guéri ou tenté de guérir par le m
usage, soit externe, soit interne. Est-ce là l'exercice illégal de la médecine ? Et d'abord il vous faudrait prouver (pie la béné
oirais devoir choisir le terrain de la (1) L'exercice illégal de la médecine constitue une contravention et non un délit. En m
u prêtre et non au médecin qu’on doit assimiler celui qui bénit. — La médecine et le mesmérisme ne sont point rivaux, et c’est p
à leur but commun, le soulagement de leurs frères qui souffrent. La médecine constitue une science. Nous respectons, nous hono
u ragle. » Cette observation peut servir à résoudre une question de médecine légale qui peut à chaque instant être portée deva
s somnambules viennent d’être poursuivies pour exercice illégal de la médecine . Mme Barthélémy, condamnée par le tribunal de p
27 mars 1850.) M. Pertus a communiqué dernièrement à la Société de médecine pratique un fait excessivement curieux de catalep
ais je restai désormais éloigné de la scène sur laquelle la véritable médecine n’avait plus aucun rôle à jouer. « Plus tard, l
t cessé complètement. » Que direz-vous, lecteur, de cette véritable médecine qui ne guérit point et dont les ministres éprouve
e à l’idée de tous ceux qui souffrent et languissent, et que là où la médecine savante a échoué on commence à nous appeler Enc
e a échoué on commence à nous appeler Encore un peu de temps, et la médecine savante en sera réduite à faire de belles dissert
ifférences avec le sommeil et le rive, par Louis de Séiié, doctour en médecine . — 1 vol. in—li. — Paris, 1855. Depuis les bell
eaucoup d’autres moyens violents, perturbateurs : « employés par la médecine actuelle avec un entrain regrettable, et que les
eurs cures très-remarquables dues au magnétisme et dans des cas où la médecine est impuissante. Parmi les maladies dont la guéri
t ce motif qui nous fait entrer en lice. 1° Gazette hebdomadaire de médecine et de chirurgie. On devait s’attendre à voir ce
n vérifier leurs dires, et l’on verra qu’ils ont aussi bien raison en médecine qu’en physiologie. Presque en même temps, et co
ien, tantôt pour le mal des nations. La philosophie, la science, la médecine profiteront de nos efforts; la religion même en b
— je ne puis, on le présume, exercer grandement... ce second genre de médecine . Voilà pour mes fonctions professionnelles. Q
n’être de quelque secours. En effet, ayant étudié plusieurs années la médecine et même obtenu des distinctions dans les concours
ppréhendais surtout qu’il ne voulût m'offrir, outre les secours de la médecine , les redoutables consolations de la religion cath
Varnier, Georgct, llostan, et les dissertations devant la Faculté de médecine de Paris, années 1834, 1835, de MM. Jozwik, Hamar
gnoraient jusqu’au nom de magnétisme, des littérateurs, des élèves en médecine , des épileptiques, des dames du monde, des jeunes
résultats si intéressants et qui peuvent avoir sur les progrès de la médecine une influence si grande, ne devrait pas être mépr
nt être rangées sous trois espèces : les maladies naturelles, dont la médecine donne le remède ; les maladies diaboliques, qui n
rait. Le célèbre de Haen, médecin de Maric-Thérèse et professeur de médecine pratique à Vienne, fut charmé d’examiner les fait
sociation médicale des Etats sardes, par M. I’easo Cajilo, docteur en médecine et en chirurgie. Brochure in-8°. Saluzzo, 1855.
int-Guy. On avait employé, mais en vain , toutes les ressources de la médecine . Après quelques mois d’un traitement magnétique d
tion, et le public jugera si d’aussi belles cures, dans des cas où la médecine ordinaire est impuissante, sont indignes de l’att
de magnétisme , avec le concours de M. Annibal Camiletti, docteur en médecine . Le directeur, profondément pénétré de l’utilité
r, me dit-il, et je suis parfaitement guéri. Je lui demandai à quelle médecine il avait eu recours. — Je n’ai pris aucun remède,
le l)r Grimes, qui employa, mais en vain, toutes les ressources de la médecine . Reconnaissant enfin l’inutilité de ses efforts,
titre : Observation de magnétisme occulte, par Émile Roy, docteur en médecine , ancien chirurgien major. L’auteur raconte que tr
n esprit raisonnable ou médieâtre qui vous fait de la morale ou de la médecine par habitude; mais quand ledit esprit s’est ret
et la clef de l’immortalité ; il possède la pierre philosophale et la médecine universelle ; il connaît les lois du mouvement pe
tion de ma gnétisme animal, etc ; article publié dans la Gazette de médecine et de chirurgie, par le Dr L. A. Segond. — Réfuta
Almi gnana, 329 ; — par M. A. S. Morin, 464. Magnétisme (le) et la médecine . Débat entre M. le Dr Schiff et M. Re gazzoni au
erbe, 309, 337, 363. — Divergences de vues de la part des journaux de médecine , relativement au magnétisme, aux tables tournante
32 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
te découverte; en vain nous avons également sollicité les Facultés de Médecine . de la faire enseigner dans les écoles et appliqu
magnétistes. Nous ne désirons pas la guerre avec les apôtres de la médecine classique, de la science dite exacte; mais, si no
nce qui les résume toutes. Je la tire du rapport fait à Y Académie de Médecine en 1831, par le docteur Husson : « C’est princi
s étaient faites rue de Poitiers, dans le local même de l’Académie de Médecine . Ces faits, quoique concluants, furent repris d
n trouve un exemple dans le rapport du docteur Husson à l’Académie de Médecine en 1831. « Une action magnétique plus prononcée
le plus que vous pourrez. Cherchez, si vous avez des connaissances en médecine , l’organe principalement affecté et dirigez vos d
iques que le gouvernement va s’occuper des établissements d’écoles de médecine ; ces réformes se devront faire par les médecins
toire avec l'indépendance r*l la dignité d'un peuple organisé. La médecine nous fait l'aveu qu'elle se trouve toujours dans
hargé gratuitement : a de toutes les fonctions chirurgicales et de la médecine ; b de l’instruction dans l’art de guérir et de pr
uit de vos recherches sur le magnétisme, des élèves de notre école de médecine avaient déjà quelques notions, bien imparfaites s
urs témoins, parmi lesquels on comptait des professeurs de l’école de médecine , plusieurs élè- ves et des hospitalières. Les r
« La commission administrative, informée que des élèves de l’école de médecine s'étaient permis de magnétiser des malades dans l
ard honorable et respecté de tous, M. Vertet, directeur de l’école de médecine , en l’accusant d’avoir provoqué cette proscriptio
érieure des religieuses était chargée (I) de surveiller les élèves en médecine dans les salles de l’hôpital. On ne dit nulle par
tel que vous venez de l’entendre à MM. les professeurs de l’école do médecine , à qui je demandais justice, et qui, tout indigné
d’é-minents services. Déjà des cures nombreuses ont eu lieu là où la médecine avait échoué complètement. La lièvre no doit po
ns la nuit du 13 au 14 avril. Je ne négligeai aucun des moyens que la médecine conseillait en pareil cas, (1) Foissac, Rort su
t temps été traitées par le magnétisme; elles font le désespoir de la médecine , qui est, en général, impuissante. Les traités su
éelle se laisse alors apercevoir. 11 y a tout un système nouveau de médecine à faire ici s’il est vrai que l’agent magnétiqu
adie, montrant toute sa gravité, appelait les secours puissants de la médecine . Je ne puis ici espérer être compris que d’un trè
Orléans, le 15 décembre 1840. « Le docteur Georget disait que la médecine des somnambules était la plus parfaite. Vous avez
lus honorable. -Créez une chaire de magnétisme animal à la Faculté de Médecine pour qu’on y enseigne comme complément des études
e pratique bienfaisante, rendirent justice et bénirent cette nouvelle médecine . Mais quel- ques sçavunts de ce pays, Taisant p
les médecins savent parfaitement bien que, pour guérir tel organe, la médecine met souvent le trouble dans les fonctions de quel
ieurs années de date «telle avait pris sans succès un grand nombre de médecines . Je la magnétisai selon son désir, et au bout de
mme je l’avais supposé, et qu’il était guéri par le magnétisme et une médecine particulière. C’était aussi, selon elle, la cause
fet vérifié. Je pense que dans ce cas l’union du magnétisme avec la médecine a été très-heureuse et a contribué à produire un
ux remarques de l’excellent Deleuze sur l’union du magnétisme avec la médecine . ACTION DES NARCOTIQUES SUR LE CERVEAU. TROUB
e, par conséquent, très-irritable ; je n’ai pas besoin de dire que la médecine la plus active fut employée par moi dés le début
ps perdu dans le magnétisme et abandonner tous secours venant de la médecine ? Non, sans doute. Mais il faut forcer les médecin
onseillé par un médecin honorable. Il est temps, pour l’honneur de la médecine , que des préventions injustes cessent d’exister.
DOULEUR, DANS UN ÉTAT MAGNÉTIQUE. Rapport lu à l’Académie royale de Médecine , le 11 juillet 1843. Le samedi 10 juin 1843, à
d’Harvard, Ware, Lewis, Lodge, Parker, d’un grand nombre d’élèves en médecine , et enfin de l’auteur de l'article, le docteur Be
médiocre. Il fait des tableaux comme beaucoup de médecins font de la médecine , sans art, sans science, sans génie. Peut-être av
ns un de leurs bons moments; car ce n’est plus, dès lors, que de la médecine ordinaire, et, comme telle, accompagnée de danger
du magnétisme. — A la suite des leçons de M. Trousseau à l’Ecole de Médecine , il s’est ouvert, rue des Poitevins, n. 10, un co
s Poitevins, n. 10, un cours de magnétisme à l’usage des étudiants en médecine . — On lit dans la Mouche du 22 avril : « Un s
le magnétisme, et on voit qu’elle ne l’oublie pas. Elle doit à celte médecine de la nature la guérison d’une complication de ma
é le vœu qu’une chaire de magnétisme animal fût créée à la Faculté de Médecine de Paris. J’ai examiné cette demande avec atten
tivement ce qui suit. M. Ilusson, s’adressant un jour à l’Académie de Médecine (il en était alors le président), lui disait : «
un nœud sur une corde tendue, mais guérir des maladies rebelles à la médecine , sans employer aucun remède. Je ferai ces chose
emèdes ; vous pouvez tourmenter, tuer ces infortunées, mais par votre médecine vous ne les guérirez pas. Vos tractions les plu
pérations et que les faits doivent se passer. Le conseil supérieur de médecine a nommé trois commissaires, hommes distingués, pr
relation. Rapport de mes expériences a été lu au conseil supérieur de médecine ; les conclusions m’étaient favorables. J’eusse pu
este de plus en plus. Ici il faut nécessairement des connaissances en médecine ; heureux sont alors les magnétiseurs qui les poss
Mémoire sur une amputation de la cuisse, lu ù la Société royale de Médecine et de Chirurgie de Londres le 22 nov. 18/|2 (2).
communiquer leurs lumières. Cet asile sera ouvert aux malades que la médecine a maltraités, et, par des leçons basées sur l’exp
esprit à voire œuvre. Dans les affections chroniques rebelles à la médecine , dont je vous ai déjà parlé, c’est là qu’il vous
é des purgatifs? Non. On on avait usé largement, sans oublier mémo la médecine de leroy, et sans profit aucun. Lo magnétisme pou
ience, et 011 s’en ira par une lente agonie, malgré les secours de la médecine , retrouver d’illustres aïeux. Partout la mort moi
ment plus que lui. C’est pour cela qu’il faut surtout se garder de la médecine savante, qui est la plus cruelle do toutes les sc
ions les plus graves sc font sans douleur, les maladies rebelles â la médecine sont guéries par le magnétisme; bien plus, les ex
Ces cas sont extrêmement rares ; ils se ren- contrent aussi dans la médecine ; il est des malades dont les organes s’irritent à
EXTEII1II\.ITEIR. — Après un long entretien roulant sur des sujets de médecine , un médecin arabe s'informa avec instance de ce q
t la foudre, et paralysant les effets de ses redoutables carreaux! la médecine promenant dans les n isies débris de l’humanité m
veau la question en la présentant sous un nouveau jour. La section de médecine , après quelque hésitation, accorda une séance spé
6 septembre 18/|5. l'IlHKMtlIKSSIKHISlIE. — Si Mesmer a ouvert à la médecine une ère nouvelle de progrès, son disciple, de Itu
M. Icdocleur Iîd. I.angleliert, ancien membre de l’école pratique de médecine , professeur d’anatomie cl de physiologie, a bien
s. Et je ne dis pas ceci pour le magnétisme seulement, mais en toutes médecines , et môme en chirurgie. Cela vient des principes m
ous silence encore quelques affections quelquefois très-rebelles à la médecine , et où lo magnétisme réussit parfaitement. Qu’o
s moyens qui peuvent lui venir en aide. Ce sera un jour le rôle de la médecine ; elle étudiera avec plus de fruit l’art de guérir
es passions entrent en lice. Comment établir une confraternité que la médecine repousse, et marcher d’un pas égal vers le même b
e de la confection du dictionnaire de la langue, l’Académie royale de Médecine se fait, à ce qu’il parait, arbitre de la vérité,
beaucoup de mépris aux magnétiseurs sincères, comme les charlatans en médecine avaient beaucoup nui à la réputation des vérifabl
sparait : les trois oranges a deviennent visibles. (I) Physiologie, médecine et métaphysique du magnélitme, page 65. « Deman
int qu’elle serait de nouveau traitée publiquement dans la section de médecine . Pendant deux heures, et avec cet accent de convi
i en passant un fait qui le confirme : Mandé un jour à PAcadémic de médecine pour y magnétiser des malades devant plusieurs me
l’on ne pensait pas qu’il eût jamais approfondis. Il se moquait de la médecine , disait qu’il était moins fou qu’elle, qu’il se g
MM. Kiihnholtz, professeur agrégé et bblio-tbécaire de la Faculté de Médecine de Montpellier, Blondin, Cliapotin, Rimbaud et au
s sangs no venaient pas régulièrement. Voyant que les remèdes de la médecine ne lui donnaient aucun soulagement, il lui vint
haient de sortir et de se livrer au travail. Tous les remèdes de la médecine ayant été sans succès, elle entendit parler du ma
hydropique. Malade depuis quinze ans, abandonnée entièrement de la médecine , je la magnétise depuis le 2~> mai ; sa magnét
u vouloir bien faire 1111 rapport sur cette expericnccà ('Académie de Médecine .— « Mon cher monsieur, « me répondit-il, l'Acndém
elle cité: le premier, aussi distingué par Imminence de son savoir en médecine que par l'élévation de ses vues libérales el phil
se disputer à outrance. La vérité mesmérienne, c’est-à-dire la vraie médecine , quand il en a été question dans cette curieuse a
ge au lieu de nous repousser; toutes ces démonstrations de la vieille médecine ne changeront rien aux choses. A un ordre ancien
ata-nisme qui envahit chaque jour davantage la pratique de toutes lus médecines . Nous portons ombrage à nos adversaires; la pen
ura ce que c’esl que le magnétisme, et qu’il apprendra à connaître la médecine des écoles. Nous exposerons scs monstrueuses erre
s avaient grand'peine à la maintenir « dans son lit. Les moyens de Ih médecine étaient « impuissants, non-seulement à guérir,
mal et sa prolongation, quand on emploie les moyens conseillés par la médecine , ne permettent pas de douter que l’action thérape
rès réel. Les ennemis du magnétisme doivent tomber avec le temps-, la médecine des écoles doit se transformer ou elle sera anéan
ussent venus dire au monde, du liant de leur tribune : « La véritable médecine esl enfin décou-« verte-, celle que nous avons ta
voyi î Somnambulisme lucide. Leçons de M. Trousseau ù la Faculté de médecine . 2.13 Lésions Iraumatiques. 657 Mémoire de Me
33 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
n quelques secondes, une foule d’affections rebelles à l’action de la médecine , et dont plusieurs étaient devenues chroniques.
sme est donc une œuvre philosophique bien supérieure anx œuvres de la médecine . Nulle comparaison même ne peut s’établir entre l
artés divines et qu’il reconnaît son impuissance et sa vanité. La médecine des écoles est devenue un mensonge, une illusion.
e là, ressort cette différence capitale entre les deux arts, entre la médecine des écoles et la médecine magnétique : la premièr
ence capitale entre les deux arts, entre la médecine des écoles et la médecine magnétique : la première, toute matérialiste, l’a
E. On a déjà, cité de nombreuses cures réputées impossibles pour la médecine et qu’a opérées le magnétisme par sa puissance di
entiques dont l’autoritéest irréfutable : Je, soussigné, docteur en médecine , résidant à Toulouse, certifie avoir soigné avec
sur le moral, qui est malheureusement trop négligé ; il ferait de la médecine des passions, conseil que nous adressons, en pass
et qu’ils ne saisissent que la matière comme étant un tout. Otez à la médecine trois ou quatre agents dont elle connaît à peu pr
ion, agents qui n’agissent, selon nous, que par aversion des sens, la médecine est réduite aux abois. Les faits produits par tou
s médicaments, et des succès sont venus couronner leurs efforts. La médecine sympathique des derniers siècles était sur le che
de l’infini ? Mais nous nous éloignons de notre sujet, revenons à la médecine . Il faut faire sortir des découvertes d’abord c
ans l’emploi de poison, sans user de remèdes matériels. Procéder en médecine autrement que le médecin paraît déraisonnable, et
vec les poisons fournis par la chimie , et c’est sur la chimie que la médecine a fondé toutes ses espérances. Son erreur (cell
rétendu faire aussi bien que cet ar-chée, que ce génie inconnu, et la médecine est devenue sa vante, conception hardie autant qu
plus languissante et plus souffreteuse. Le magnétisme va réformer la médecine , sa destinée est d’être le premier des arts, la s
e premier des arts, la science des sciences. Science différente de la médecine , laquelle rétrograde au lieu d’avancer, et qui,
, que tout marche à pas de géant, n’a point fait un pas. C’est que la médecine a quitté la vraie route : elle a des matériaux en
oi les médecins sc plaindraient-ils? ils ont ce qu’ils ont rôvé : une médecine savante. La médecine de la nature, la science de
aindraient-ils? ils ont ce qu’ils ont rôvé : une médecine savante. La médecine de la nature, la science de Dieu, c’est-à-dire le
s dernièrement quelques-uns de ces faits à un de mes amis (docteur en médecine ) avec lequel je suis lié depuis trente-deux ans,
es; Jésus rendait la vue aux aveugles, guérissait les malades , cette médecine divine est aujourd’hui proscrite par les académie
e nososcopie dynamo- thérapique , par llilarion Iluguct, docteur en médecine . (Brochure, 1857). Voici un médecin qui vient
édecin qui vient hautement confesser l’inanité et l’impuissance de la médecine , et qui propose de la destituer d’une mission qu’
s de l’organisme. » Il conclut ainsi : « Il faudra bien qu’un jour la médecine officielle ou plutôt artificielle s*abdique en fa
eur de la nososcopie et du mesmérisme qui doivent servir de base à la médecine naturelle. » H cherche ensuite à expliquer les
sera bientôt dans toutes les familles , on n’ira plus aux •écoles de médecine chercher les idées systématiques de nos illustres
chirurgie restera inébranlable, mais restreinte dans sa pratique, la médecine verra bientôt sa décadence, comme ces vieux pouvo
rce matérielle, la force morale , l’agent de la vie comme principe de médecine , ce que révèle l’âme comme la loi religieuse. On
’autorité publique, à l’instar de ce qui a lieu pour l’exercice de la médecine , de la pharmacie et de plusieurs autres! professi
eur. Ou peut se demander si cette limite n’est pas dépassée. Ainsi la médecine , bien qu’elle ne soit pas syndiquée, est réglemen
s , disciples de Raspail, magnétiseurs, somnambules , etc., font à la médecine une rude concurrence; et , certes, les individus
monopole , l’humanité serait privée des procédés bienfaisants que la médecine repousse. Dans les cas même oü la science avoue s
inadmissible. Et puisqu’en fait, une foule d’individus étrangers à la médecine guérissent sans être • poursuivis , ne vaudrait-i
sme par les médecins n’est ni rationnel ni équitable. En effet, si la médecine exige de Ion- gues et laborieuses éludes, il
sultations, peuvent être poursuivis, soit pour exercice illégal de la médecine , soit pour contravention à l’art, h79 (n° 7) du C
est inconnu. Z. PIÉRABI, POURSUITES POUR EXERCICE ILLÉGAL DE LA MÉDECINE . On lit dans les journaux : «M. Fortin, curéd
orrectionnelle pour répondre à une poursuite d’exercice illégal de la médecine et de la chirurgie ; voici dans quelles circonsta
le tribunal d’Auxerre, à 1 fr. d’amende, pour exercice illégal de la médecine . «C’était làunsimple avertissement; aussi, à pa
de la faculté sont chatouilleux à propos de l’txercice illégal de la médecine . Les nombreux procès intentés à des somnambules s
rable Laforgue , de Pau). Donc, employez les ressources divines de la médecine naturelle, rétablissez des organisations empoison
ncore une fois, quand aura-t-on le bon sens de croire que l’art de la médecine n’est pas une vaine science, abîme de conjectures
ce témoignage à la suite des autres. M. de Quatrefages, docteur en médecine , membre de l’institut , fait en ce moment, au Jar
médical qu’on le saisira d’abord. Non. Tout agent qui guérit ruine la médecine ; ce n’est pas non plus comme principe et base d’
cience officielle ne pas reconnaître l’agent découvert par Mesmer, la médecine également n’en veut point comme force médicatrice
eil. Voulez-vous voir renaître la philosophie, la psychologie et la médecine , ayez de la patience, une persévérance à toute ép
que. ARRÊT DE LA COUR DE LIMOGES. SOMNAMBULISME ET EXERCICE DE LA MÉDECINE . La cour de Limoges, par arrêt infirmatif d’un
’une somnambule ne commettait point le délit d’exercice illégal de la médecine , et qu’il n’y avait point complicité de la part d
même cas , être poursuivi pour complicité de l’exercice illégal de la médecine . Sans qu’il soit besoin d’apprécier, a dit l’ar
de la somnambule, il a, d’après la loi, le droit absolu d’exercer la médecine , abstraction faite du mode de traitement employé
rrectionnelle de Limoges, sous la prévention d’exercice illégal de la médecine . Ils furent l’un et l’autre condamnés à 15 fr. d’
x, prise comme auteur principal du délit d’exercice illégal de la médecine , et contre les sieurs Au-guet et Laporte, pris co
ans beaucoup d’autres sciences, notamment dans la zoologie et dans la médecine , dont les annales contiennent le récit de faits e
une certaine époque le ressuscité avait cessé d’être vivant. Mais la médecine avoue que cette preuve est impossible. Tout ce qu
pour les mères qui, comme moi, n’auront pu recevoir aucun bien de la médecine . Ma fille Claire, âgée de vingt-trois ans, fut
Le 15 mars, je présentai ma fille à un somnambule, qui déclara que la médecine était impuissante pour sa maladie. Le magnétisme
e guérison et lui donnant la double satisfaction de ce que pouvait la médecine de Dieu. Celle-ci magnétisa jusqu’au mardi soir
magnétiseurs comme escrocs ou pour exercice de la divination et de la médecine , bien qu’ils n’aient fait que guérir et que rendr
s, qui acquitte une somnambule poursuivie pour exercice illégal de la médecine , et l«médecin qui l’avait assistée dans scs consu
s, prescrit des traitements aux malades, et qu’elle a ainsi exercé la médecine sans diplôme ni certificat ; que Audi-guet (son m
norait pas que la dame Cheyroux se livrait à l’exercice illégal de la médecine , et qu’en la facilitant dans ses pratiques, il s
re, de sa nature indélébile, lui confère le droit absolu d’exercer la médecine dans les limites fixées par la loi, abstraction f
n qualité d’auteur principal ou de complice, d’exercice illégal de la médecine ; qu’ainsi la prévention manque de base légale, a
e. Le médecin , muni d’un diplôme, a légalement le droit d'exercer la médecine , sans être assujetti à aucune doctrine privilégi
mystérieuse pour la science, se porte électivement sur tel organe, la médecine substantielle est réduite à des palliatifs. On
a chirurgie n’a pas moins de services à attendre du magnétisme que la médecine interne. Nous prions nos collègues de nous pard
s médailles de bronze ont été décernées : 1* A M. Teste, docteur en médecine de la Faculté de Paris, auteur d’ouvrages estimés
er une cure capitale, inutilement entreprise par les ressources de la médecine ordinaire, et parfaitement accomplie entre les ma
ait pas eu son pantacle (2) particulier, le sceau de (1) Docteur en médecine et en chirurgie, auteur d’un livre sur I’électri*
d’expérience, 'en servant d’abord moi-mime de.-uji-t. (2) Elève en médecine . (S) Os essais, qui, pour délivrer l’esprit, au
lle distribue à l'infinité de forces répandues dans ses œuvres. Une médecine qui date d’hier et qui grandira plus qu’cll«ne le
ue je m'adresse exclusivement aux médecins. Comme je ne fais que d«la médecine gratuite, j’achète les médicaments chez un pharma
du peuple sur les savants, c’est sa philosophie nouvelle et sa vraie médecine . Il aura fallu conquérir ces choses sur tous les
publié à ce sujet des relations pleines d’intérêt qui prouvent que la médecine et le somnambulisme, loin d’être nécessairement e
t assez de crédit pour les exclure de l’enseignement de la Faculté de médecine et de celui du Collège de France. Heureusement le
lus palpables de la puissance magnétique. Le magnétisme appliqué à la médecine , ou plutôt, si vous voulez, le magnétisme devenu
n à craindre? la malade était condamnée à mourir de par la Faculté de médecine . O11 me mit donc en présence de la malade ; c’éta
, pour laquelle elle avait épuisé en vain toutes les ressources de la médecine . Voici quel était •son état lorsqu’elle eut recou
collège comme étant affecté de somnambulisme nocturne. La faculté de médecine , consultée à ce sujet, proposait de le purger à m
nt un des bons chimistes de Paris. Je puis affirmer à la société de médecine pratique que le somnambulisme et la catalepsie na
pessima, a dit Boerhave, c’est toujours vrai. Quand donc aura-t-on la médecine libre comme aux Etats-Unis ? Car la médecine n’es
Quand donc aura-t-on la médecine libre comme aux Etats-Unis ? Car la médecine n’est pas une science , mais un instinct, un don
ns cet état de choses, le tribunal résolut de consulter la faculté de médecine de Prague sur un cas aussi épineux. Toutss les pi
ieure à celle que vous assignez, monsieur le rédacteur, un docteur en médecine , M. Burdin, offrit un prix modeste de 3,000 fr. a
in de partager, à cet égard, le dédain et l’aversion de l’Académie de médecine ; elle serait prête à accueillir les mémoires imp
devoir récriminer sur celle opposition injuste cl ignorante contre la médecine . C’est contre les mêdecins qu'il aurait dû dire
e a dit, dans l’introduction de son excellent ouvrage : Physiologie , médecine et métaphysique du magnétisme (page 3) , ces proi
tisme doit remet ire dans la voie qui mène à la véritéla physique, la médecine et la philosophie. (Page 5.) « La confiance dan
demandent souvent une médication tout opposée aux connaissances de la médecine classique , et qui, selon ses règles, devrait iné
ce cette hydropique presque sans pouls? » Et plus bas : ...... La médecine naturelle doit être dégagée de nos idées et de
tuelle et trop véridique satire contre nos savants de l’école et leur médecine conjecturale. Mais je ne puis résister au désir d
les médecins et même un peu, et par voie de conséquence, contre leur médecine ; mais, bien que je lusse inspiré beaucoup des éc
de la science olliciellc, l'absurdité de les employer à propos de la médecine de la nature ; médecine pour laquelle on doit au
c, l'absurdité de les employer à propos de la médecine de la nature ; médecine pour laquelle on doit au contraire employer, — ai
de sa pratique, ou qui en envoie l’observation à un jour- nal de médecine , y joint-il des certificats de véracité? Non, il
tre mon avis et appliquer le magnétisme dans des cas désespérés où la médecine avait dit son dernier mot. — J’ai obtenu quelques
heures après avoir reçu votre dépêche (I). Le cas était pressant, la médecine aux abois ne savait plus h quel saint se vouer. J
ant, comme vous allez le voir, les honneurs n’en sont pas restés à la médecine . Je commençai, le 25 janvier dernier, le traite
nt lorsque tout fut épuisé, science, espoir et argent. Où s’arrête la médecine , le magnétisme commence !... Après quelques jou
facile d’insinuer à la pauvre mère qu’il était temps de recourir à la médecine ; que le magnétisme n’avait fait que du mal à sa f
m’a dit qu’elle a peur des médecins et qu’elle ne veut pas prendre de médecine . « D’après tout ce que je viens de rapporter, i
naux. Ce n’est point par des moyens humains, par les ressources de la médecine , que l’on doit combattre ces lléaux, non plus que
molaires, 239. | Ablation de la table maxillaire, 239. § II. — CAS DE MÉDECINE . — Maux guéris ou soulagés. Abcès dans la régio
gnétisme est une œuvre philosophique bien supérieure aux œuvres de la médecine . Développement de cette proposition, par M. du
le spiritualisme. Réponse par MM. du Potet, 459; — Piérart, 449. Médecine (la) et le magnétisme. Débats divers entre médeci
me fût réglementé officiellement, à l'instar de ce qui a lieu pour la médecine , la pharmacie, etc. M. Morin combat cette idée en
'acquittement d'une somnambule poursuivie pour exercice illégal de la médecine , et du médecin qui l'assistait dans ses consultat
somnambules , magnétiseurs et rebouteurs, pour exercice illégal de la médecine , 138, 161, 225, 521. BIBLIOGRAPHIE. Arbre (l'
isse de nososcopie dynamo-thérapique, par Hilarion Huguet, docteur en médecine . L'auteur confesse hautement l'inanité et l’impui
édecine. L'auteur confesse hautement l'inanité et l’impuissance de la médecine , et propose d'y substituer la lucidité som-nambul
34 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
té , Von SCHRENX-NOTZING (de Munich) ; RAYMOND, prof, a la Faculté de médecine ; STADELMANN (de Dresde) ; J. VOISIN, méd. de la S
mmunications se rattachant à la psychologie, à la jurisprudence, à la médecine légale, à la sociologie et à la psychologie compa
clusion des yeux et des paupières. Le professeur Raymond /in Revue de Médecine , mai et juillet 1891) rapporte l'observation d'un
ntendre quelques onychophages. Le Dr Galippe, membre de l'Académie de médecine , auquel on doit une étude des plus remarquables s
sujet dont M. le Pr. Dieulafoy a rapporté l'histoire a l'Académie de médecine . L'homme en question qui était intelligent, culti
got. Paris 190«, 1 fr. D' Bérillox : Le concours de l'agrégation en médecine : nécessité de ?on remplacement par l'institution
t de ces recherches l'objet d'une thèse soutenue devant la faculté de médecine de Paris. Il convient de le féliciter de sa hardi
s relaté dans notre dernier numéro le fait communiqué à l'Académie de Médecine par M. le professeur Dieulafoy, d'un individu qui
e l'hypnotisme expérimental et thérapeutique, ses applications à ta médecine , à l'éducation et à la psycholoaie. — Vigot frère
t à la psycholoaie. — Vigot frères, éditeurs, 23, place de l'Ecole de médecine , Paris. Un vol. in-8° écu avec 44 figures démonst
Vigot. Paris 1906, 1 fr. Dr Bèrillon : Le concours de l'agrégation en médecine : nécessité de son remplacement par l'instituti
recherché les applications au droit civil, au droit criminel et ft la médecine légale. Son mémoire qui Tut discuté pendant plu
ion et le somnambulisme dans leurs rapports avec U jurisprudence et U médecine légale. Ces travaux eurent un grand retentissem
eur d'agriculture ; le docteur Beauvisage, professeur à la Faculté de médecine de Lyon ; Mlle Lucie Bèrillon, professeur au lycé
a masse. Ensuite M.le Dr Beauvisage,professeur à-la Facultémixte de médecine et de pharmacie de Lyon, dans une brillante c
local. A ses côtés avaient pris place M. le Dr Gréhant. professeur de Médecine et Madame Gréhant, M. le Dr Bèrillon, professeur
ologie et Madame Bèrillon ; M. Beauvisage, professeur à la faculté de médecine de Lyon ; M. Julien Ray, professeur à la faculté
professeur au lycée Molière : M. le Dr Noury, professeur a l'Ecole de médecine de Caen ; M. le Dr Mally, professeur à l'Ecole de
l'Ecole de médecine de Caen ; M. le Dr Mally, professeur à l'Ecole de médecine de Clermont : M. le Dr Damoglou, du Caire ; M. Gr
e de l'Hypnotisme. 1 fr. Dr Bérillon : Le concours de l'agrégation en médecine : nécessité de son remplacement par l'instituti
(p. 106) et Hack-Tuke (p. 54). Gratiolet raconte qu'un étudiant en médecine , au cours de son initiation à la franc-maçonnerie
honnêtes. Ceux-ci sont plutôt réservés a l'usage des personnes. La médecine , même populaire, pourrait se réduire à presque ri
xualité. L'opinion d'un agrégé sur le concours de l'agrégation en médecine Au congrès des pratriclens il Lille le concours
bées les études scient! tiques et psychologiques dans nos facultés de médecine . Depuis longtemps nous savons que toutes les oppo
nt, qui, par ses découvertes dans le domoine de l'hypnotisme et de la médecine légale, s'est acquis une notoriété universelle.
l'Hypnotisme. 1 fr. j Dr Bébillox : Le concours de l'agrégation en médecine : nécessité de son remplacement par l'instituti
tein Serge. Paris 1908. "Worcester, Mac Comb et Coriat : Religion and médecine . In-12, relié, 427 pages. Treubner. London 1908
r de la Maison de santé d'Epinay ; Dr Motais. directeur de l'Ecole de médecine d'Angers ; Lr Dorvaux, de Thiant (Nord), Dr Vicen
pas la perte de son idée, car la jurisprudence actuelle qui, comme la médecine , s'est emparée du mot suggestion et l'emploie à t
aquelle est soumise la psychothérapie, lutte que le récent congrès de médecine de G-enève vient de mettre de nouveau en évidence
le dans un rang médiocre, et Claude Bernard, refusé à l'agrégation de médecine , ne se révéla qu'après trente ans. Que l'avenir
de l'Hypnotisme. 1 fr. Dr Bérillon : Le concours de l'agrégation en médecine : nécessité de son remplacement par l'institution
e effet a lieu chez les animaux. Ollina (1) LUtré : Dictionnaire de médecine ; iu-1. Hippomnne. conseille la civette comme
iété de la mort du professeur Hamy, de l'Institut et de l'Académie de médecine . D exprime les regrets qne nous inspire la perte
Le professeur E.-T. Hamy, membre de l'Institut et de l'Académie de Médecine , est mort le mercredi 18 novembre. Voici en quels
M. le professeur Paul Bicher, président de la Société française de la médecine , salua son cercueil. ¦ Lorsqu'un homme comme le
Hamy fut comme le bon génie de la Société française d'histoire de la médecine . Sa vaste érudition tenait en réserve une mine in
de fumeurs d'opium M. Anglade a présenté récemment à la Société de médecine de Bordeaux un couple de fumeurs d'opium. Le mari
chaires a la Faculté pour les hommes qui honoraient la science et la médecine française. Il en fut ainsi pour Rayer, pour Germa
les rapports de la suggestion hypnotique avec la jurisprudence et la médecine légale. Un mémoire qu'il lut à l'Académie des Sci
toire de psychologie à la Sorbonne ; Blanchard, prof, à la Faculté de Médecine : Boirac, recteur de l'Académie de Dijon ; Bhissa
rac, recteur de l'Académie de Dijon ; Bhissaud, prof. a la Faculté de Médecine ; Lionel Dauriac, prof. non. de la Faculté de Mon
bonne ; Giard, prof, à la Sorbonne ; Huchard, membre de l'Académie de Médecine ; Ribot, prof. hon, au Collège de France ; Albert
prof. hon, au Collège de France ; Albert Robin, prof. à la Faculté de Médecine : J. Voisin, médecin de la Salpétrière. ÉCOLE
ycho-physlologlque de Paris, fondé en 1SS9. est destiné à fournir aux médecine et aux étudiants un enseignement pratique permane
de l'Hypnotisme. 1 fr. Dr Bérillox : Le concours de l'agrégation en médecine : nécessité de son remplacement par l'institution
ques (pavillon Ter-rillon, Salpétrière). — Lauréat de l'Académie de Médecine (Prix Herpln). — Lauréat de l'Académie de médec
de l'Académie de Médecine (Prix Herpln). — Lauréat de l'Académie de médecine (Prix Lallemandj. — Président de la Sociéié méd
nt de la Sociéié médico-psychologique. — Président de la Société de médecine du 9* arrondissement. — Président perpétuel de
e M. le Dr Raymond, professeur il la Faculté, membre de l'Académie de Médecine , et sous la préslcence d'honneur de M. le D' Clem
excuser, entre autres M. le docteur Hnchard, membre de l'Académie de médecine . M. le professeur Lionel Dauriac, M. le professeu
janvier sous la présidence dnDrBris-saud, professeur k la Faculté de Médecine . Ce jour-là. le professeur Ebeyd-Oullah, de Const
La correspondance imprimée comprend : Le concours de l'Agrégation en médecine ; nécessité de son remplacement par l'institution
es tirés d'un article publié par le DT Chouqckt, dans les Archives de Médecine coloniale. Signalons en passant quelques exempl
. Comme dans notre pharmacie, le dosage est ici des plus délicats. Eu médecine vétérinaire on pourrait aussi recueillir des médi
de l'Hypnotisme. 1 fr. Dp BÉRILLON : Le concours de l'agrégation en médecine : nécessité de son remplacement par l'institution
été Inspiré par des eavants de bonne marque, désireux d'émanciper la médecine de l'influence des esprits ronti-nlers aussi nomb
t confrère, le D( Cabanes, u donné récemment lecture, a l'Académie Je médecine , d'une étude sur « les médecins Inspirateurs de M
i qu'une brochure de il. le Dr Plantier (d'Annonay) : Les rescapés en médecine . il. le Secrétaire Général fait part a la Socié
dès le début de son enseignement à l'Ecole pratique de la Faculté de Médecine , Bérillon. sous le titre général de Thérapeutique
ofesseur F. Raymond, professeur à la Faculté, membre de l'Académie de médecine , et sous la présidence d'honneur de M. le Dr Clem
r René Aragon ; M. le Dr Scabez demendoza,directeur des Archives de médecine spéciale ; M. le Dr Arthault de Vkyey ; M. le Dr
a maison de Santé d'Epinay-sur-Seîne ; M. Jean Tabrius, étudiant en médecine ; M. Romain Tardif, pharmacien ; M. Etienne T
de l'Institut Pasteur ; M. le Dr Hallopeac, membre de l'Académie de médecine ; M. le Dr Besxier, membre de l'Académie de méd
l'Académie de médecine ; M. le Dr Besxier, membre de l'Académie de médecine ; M. le professeur Hcttsel, membre de l'Académi
mie de médecine ; M. le professeur Hcttsel, membre de l'Académie de médecine ; M. le Dr Becrnier, chirurgien des hôpitaux ;
sky, de Saratcw : M. le professeur Gréhaxt, membre de l'Académie de médecine ; Madame Gréraxt ; M. le DT FiESSESGER, membre
réraxt ; M. le DT FiESSESGER, membre correspondant de l'académie de médecine : M. le Dr Roger, professeur à la Faculté de mé
l'académie de médecine : M. le Dr Roger, professeur à la Faculté de médecine : M. le Dr Le Cors ; M. le Dr Bossuat ; M.
ult, d'Angers ; M. le Dr Saint-Yves Menard, membre de G Académie de médecine ; M. le Dr Avezou. ancien interne des Hôpitaux
a lettre suivante de M. de Saint-Yves Ménard, membre de l'Académie de médecine , ancien président de la Société de pathologie com
professeur Hutinel, professeur à la faculté, membre de l'Académie de médecine , adressait au D'Touehard, les excuses suivantes :
anquet, ce sont : M. le professeur Laxdouzy, doyen de la faculté de médecine ; M. Cordelet, vice-président du Sénat :M. le Dr
sseur Cazenecve. sénateur ; M. le Dr Huchard, membre de l'Académie de médecine ; M. le professeur jr. Blanchard, membre de l'Aca
de médecine ; M. le professeur jr. Blanchard, membre de l'Académie de médecine ; M.Sciiraiieck.directeur de l'Administration péni
olongés). Discours de M. le D: Raymond Professeur a la faculté de médecine , membre de l'Académie de médecine Messieurs, mo
aymond Professeur a la faculté de médecine, membre de l'Académie de médecine Messieurs, mon cher ami, / Lorsque plusieurs
apfe. cette démonstration aurait été superflue. Or des vétérans dh la médecine , tout comme des jeunes esprits forts, ne disconti
ivera pas à un plus grand approfondissement et que son application en médecine ne viendra pas à se généraliser davantage, enfin
s ce dernier chef les relations théoriques entre la psychologie et la médecine avec exclusion des applications directes de la ps
at physiologique de l'esprit montre des relations nombreuses entre fa médecine et la psychologie. Comme appartenant à la psychol
octrines émanant tant de la psychiatrie que des autres domaines de la médecine et comprenant l'étude des fonctions motrices en g
me de la Salpfitrière. M. le D'Paul Fahkz a repris, à la Faculté de Médecine 'Amphithéâtre Croveilhler, 13, rue de l'Ecole de
1909. BULLETIN L'élection du professeur Brissaud à l'académie de médecine . Le Congres de climutologie d'Alger sons 1« prési
Le professeur Brissaud qui vient d'être élu membre de l'académie de médecine est une des physionomies les plus sympathiques et
onomies les plus sympathiques et les plus marquantes do la faculté de médecine de Paris. Né en 1852, a Besançon, d'une famille d
de Scarron, sur l'Histoire des expressions populaires relatives à la médecine , sans omettre la guérison des écrouelles par les
-névroses. L'apparition des cliniciens psychologues, préposés à cette médecine de l'esprit dont le domaine s;étend chaque jour d
organisateurs de la section de neurologie an congrès international de médecine de Paris proclama la supériorité scientifique de
t absolument dédaignées. Il fut même tenu ù l'index par la Société de médecine de Xancy. Liébeault n'en fut nullement affecté et
u grand jour ! Qu'importent surtout les anathèmes et les dogmes de la médecine classique, lorsque, établi sur le terrain solide
bservations que j'ai pu faire que je désire soumettre à l'Académie de médecine . * * * En décembre 1891, l'Administration gén
al de 587 entrées à l'Ecole. (1) Communication faite ?? l'Académie de Médecine . Si nous faisons remarquer que dans ces 20 de
Professeur adjoint de Clinique des maladies meutules a In Faculté de médecine de Bordeaux Je désire vous présenter deux enfan
maintenant les cuisses écartées. (1) Communication à la Société de médecine et de chirurgie de Bordeaux. Quoi qu'il en so
rit par un médecin rompu ? la pratique, et initié ft la science de la médecine psychologique par le docteur Oscar Vogt. directeu
Accroissement chez le nouveau né, par Variot, p. 60. Agrégation en médecine (Opinion d'un agrégé sur le concours de l') p. 12
35 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
e convives. Aux côtés de M. le Dr Fiessinger, membre de l'Académie de Médecine qui présidait, avaient pris place M. le Dr Jules
de la SalpG-trière, M. le Dr Beau visage, professeur à la Faculté de médecine de Lyon, sénateur ; M. Lionel Dauriac. professeur
Il ne se passe guère d'année que, dans quelqu'une de nos Facultés de médecine , on ne présente une ou plusieurs thèses de Doctor
sidence de M. le Dr FRESSINGER, membre correspondant de l'Académie de Médecine . Le procès-verbal de la séance précédente est l
rechercha les applications au droit criminel, au droit civil et à la médecine légale. C'est à Damvillers, dans la Meuse, que
lébrité procurée par de retentissantes polémiques sur une question de médecine . Il ne songeait guère à l'hypnotisme quand il f
et du somnambulisme dans leurs rapports avec les jurisprudences et la médecine légale ». La théorie de Liégeois eut des partis
ces délicates questions. Ds ne m'en voudront pas de constater que la médecine , comme le droit, connaît l'incertitude des doctri
re en observant que la défense ayant à faire trancher nne question de médecine , n'avait trouvé, pour soutenir un système favorab
aison de manœuvres hypnotiques ? Je n'en ai pas trouvé. Un docteur en médecine objecterait que la question ne pouvait pas se pos
sidence de M. le Dr Fiessinger, membre correspondant de l'Académie de médecine . L'auto-suggestion graphique dans le traitement
l'entrée et à la sortie de la malade par Mr Jean Tarrius. étudiant en médecine indiquent bien le progrès obtenu pendant les six
ar cette évolution. Depuis les encyclopédistes et les progrès de la médecine mentale, les Pierre d'Alcantara ou les Rose de Li
pratiques, par 31. le docteur Beauvisage, professeur a la Faculté de Médecine de Lyon, auquel on doit l'organisation à Lyon des
de l'Hypnotisme, 1 fr. Dr Bérillox : Le concours de l'agrégation en médecine : nécessité de son remplacement par l'institution
les rapports de la suggestion hypnotique avec la jurisprudence et la médecine légale. Je voudrais simplement rappeler ici les g
es et s'y passionna tant qu'il lui vint l'idée de faire les études de médecine et de prendre son grade de docteur de façon n avo
n et le somnambulisme dans leurs rapports avec la jurisprudence et la médecine légale, volumineux ouvrage qui parut en 1889 en r
l n'a cessé d'être appliqué à tort et à travers. Jugez-en plutôt : En médecine , la suggestion c'est la parole do- psychothérapeu
ment les miracles produits nu tombeau de Saint-Louis : Un fragment de médecine rétrospective dans La Philosophie positive, t. V,
par M. le Docteur E. Régis. professeur de psychiatrie à la Faculté de médecine . Médecin-Inspecteur spécialiste des Ecoles commun
ors quelles peuvent être les déductions d'un pareil fait. Par lui, la médecine des états nerveux devient capable de modifier les
n et du somnambulisme dans leurs rapports avec la Jurisprudence et la Médecine légale ». L'œuvre, enrichie d'expériences nouve
nsulte de tous les pays, fait entrer l'hypnotisme dans le droit et la médecine légale. Pour cette raison, Liégeois appartient
, à la page 52: « L'homme à qui l'on confère le diplôme de Docteur en médecine a passé cinq ou six années de sa vie à. étudier l
inisme ne soit évident... Toute l'histoire de la psychiatrie et de la médecine lui crie le déterminisme de nos actes .... etc. »
ine lui crie le déterminisme de nos actes .... etc. » L'étudiant en médecine n'a vu, dans l'organisme humain, ni liberté, ni.
sidence de M. le Dr Fiessinger, membre correspondant de l'Académie de Médecine (Suite) La rééducation professionnelle après
pétrière. CONGRÈS ET SOCIÉTÉS SAVANTES Congrès international de médecine de Buda-Pest (août 1909) Le rôle du psychologue
une orientation plus précise des progrès de la microbiologie et de la médecine expérimentale, de l'étude plus approfondie de la
organisme. « Il faut, a écrit Hippocrate. rallier la philosophie à la médecine et la médecine à la philosophie, car le médecin p
faut, a écrit Hippocrate. rallier la philosophie à la médecine et la médecine à la philosophie, car le médecin philosophe est é
'auteur a fait un résumé succinct de la philosophie pragmatique de la médecine et tenté d'expliquer, autant que possible, la rai
i des nouvelles méthodes dont il venait de doter la psychologie et la médecine (1) Il n'en fut rien. Ce fut en vain que des homm
m : Note sur le sommeil nerveux on hypnotisme. (Archives générales de médecine . 1800). (8) Demarquay et Giraud-Teulon. Recherc
es de l'esprit. Faut-il donc que la psychologie, introduite dans ta médecine , vienne simplement y apporter le gâchis ? » Hél
s ? » Hélas ! ce n'est pas l'introduction de la psychologie dans la médecine que provient toot le mal. Il résulte, au contrair
à comprendre « L'homme à qui l'on confère le diplôme de docteur en médecine a passé cinq ou six années de sa vie a étudier l'
attention. Toute l'histoire de la psychiatrie, toute l'histoire de la médecine lui crie le déterminisme de nos actes et il veut
ement s'il est déterministe on non. Mais il écrit : « L'étudiant en médecine n'a vu dans l'organisme humain ni liberté ni resp
sidence de M. le Dr Fiessinger, membre correspondant de l'Académie de Médecine Le traitement diététique de la paresse par le
toire de psychologie à la Sorbonne : Blaxchard, prof, à la Faculté de Médecine : Boirac, recteur de l'Académie de Dijon : Brissa
rac, recteur de l'Académie de Dijon : Brissaud, prof, à la Faculté de Médecine ; Lionel Dauriac, prof. hon, de la Faculté de Mon
bonue ; Giard, prof, a la Sorbonne : Huchard, membre de l'Académie de Médecine ; Ribot, prof. hou. au Collège de France ; Albert
prof. hou. au Collège de France ; Albert Robin, prof, à la Faculté de Médecine ; J. Voisin, médecin de la Salpêtrière. Ecolede
ne de l'Hypnotisme 1 fr. Dr Bérillox : Le concours de l'agrégation en médecine : nécessité de son remplacement par l'instituti
le de psychologie. — Une leçon sur la psychothérapie il la Faculté de médecine . La dixième réouverture des cours de l'Ecole de
professeur Gilbert sur lit psychothérapie avait amené à la Faculté de médecine une recrudescence d'auditeurs. Désireux de connaî
cas échéant, la psychothérapie. L'émincnt professeur de la faculté de médecine no m'en voudra assurément pas d'eu douter. TRAV
ratique, soit au point de vue de l'action, soit au point de vue de la médecine , générale ou spéciale. Les uns sont hypermnésique
indépendant ne sont pas si rares que vous le croyez, a la Faculté de médecine : j'estime qu'il y a actuellement dix, huit profe
on regret d'avoir trop longtemps méeonnn le rôle de la psychologie en médecine , qne Je m'étais enhardi U lni parler de l'idée qn
éance, le doyen Hugounenq, adresse au Maître, au nom de la Faculté de médecine , les félicitations de ses collègues, pnis des dis
d'imposteur par ses pairs (2). En 16-12, nous voyons la Faculté de Médecine de Paris déclarer que le sang ne circule pas (3),
., 1908, in-S", p. 339. (2) Cf. jean' biolan (prof, à la faculté de médecine , doyen du Collège de France), Opitscuta Anatomiea
a si longuement approfondi. COURS ET CONFÉRENCES Le rôle de la médecine : Le médecin philosophe et psychologue par le p
rôle philosophique et psychologique des médecins. « Aujourd'hui, la médecine étant devenue une science n'impose pas de dogmes,
er de leur état pathologique. « Si le psychologue doit connaître la médecine , le médecin ne peut ignorer la psychologie même q
s plus atroces. Aussi connalt-on mieux l'Ame humaine en pratiquant la médecine qu'en péripatétisant dans les jardins de l'Académ
it et un cœur gauche, et qu'ainsi on peut y loger tous les amours. La médecine ne se nourrit pas de sentinent et de poésie, mais
titut psychophysiologique, 49, rue Saint-André-des-Arts. Faculté de médecine Psychothérapie. —M. le professeur Déjerine fera
ntevideo, pour représenter la Société an Congrès international de médecine de New-York. Les communications inscrites a l'o
de l'agrégation. — Un enseignement de psychothérapie à la faculté de médecine de Paris. Chaque année, M. le professeur Albert
, Syndicat médical de Paris. Association corporative des étudiants en médecine de Paris, qui ont, lors du concours de l'agrégati
té le cours du professeur Déjerlnc, vient de faire dans le Journal de Médecine de Paris un résumé de cet enseignement auquel nou
et tend de plus en pins a devenir spiritualiste. A côté de l'Ecole de Médecine traditionnelle, qui ne croit pouvoir guérir qu'av
mbre dans le « Journal des Practictcns ». et plus récemment dans la « Médecine Moderne ». Dès le premier jour, le tabac a été su
e au traitement des maladies commet le délit d'exercice illégal de la médecine La Chambre criminelle de la Cour de Cassation a
ragraphe lar, de la loi du 30 novembre 1S92, l'exercice illégal de la médecine consiste dans le fait pur une personne non munie
. ., ancien boucher, dépourvu de tout titre l'autorisant à exercer la médecine et seulement muni d'nn diplôme délivré par une so
é a bon droit que X... avait commis le délit d'exercice illégal de la médecine , visé par l'article 16 de la loi de 1892 et répri
édie mentale. — M. le docteur Paul Fabbz reprendra, à la Faculté de Médecine (Amphithéâtre Cruveilhier, 15, rue de l'Ecole de
plement à des affections somaiiqnes, qui exigent l'intervention d'une médecine corporelle, sans laquelle le traitement est conda
illustres et vous dire tout de suite que la graphologie peut aider la médecine à découvrir quelques unes de leurs défaillances.
jugale. Cette obsession s'était renforcée par la lecture de livres de médecine traitant de cette maladie et l'obsession avai
sexualité et le Conseil d'Etat « n y a dix-hnit mois, la facnlté de médecine recevait nn don d'une vingtaine de mille francs à
t médical. Après avoir exposé les causes qui rendent l'exercice de la médecine de pins en pins pénible, notre collègue s'est app
ur lui, il est indispensable d'initier l'étudiant, dans les écoles de médecine , A la pratique de la psychothérapie. Les différen
thérapie, telle qne la conçoit le Dr Tan Renter-ghelm, sont : 1» La médecine morale ; 9' La médecine éducative : 8* La méd
çoit le Dr Tan Renter-ghelm, sont : 1» La médecine morale ; 9' La médecine éducative : 8* La médecine suggestive ; 5» La
sont : 1» La médecine morale ; 9' La médecine éducative : 8* La médecine suggestive ; 5» La médecine psycho-analytique o
; 9' La médecine éducative : 8* La médecine suggestive ; 5» La médecine psycho-analytique ou cathnrtlque. Chacun de ces
possibilité de l'organiser d'une façon effective dans les facultés de médecine . Nous croyons que( pendant longtemps encore, cet
e moderne pent être fi ère de se réclamer d'un homme qui a compris la médecine sous son vrai jour, en a excusé les faiblesses et
ance, la clinique moderne est une des branches les pluB élevées de la médecine . Aussi ne comprend-on pas le dédain de quelques h
t le monde n'est pas clinicien, parce que la clinique est l'art de la médecine et que tout le monde n'est pas artiste. Or la méd
st l'art de la médecine et que tout le monde n'est pas artiste. Or la médecine française doit rester cliniqne avant tout. >
atre heures, sous la présidence du D Huchard, membre de l'académie de médecine . Le bureau de la Société adresse a tous nos col
ilosophe, par Debove. p. 221. Magnétiseur et exercice illégal de la médecine , p. 286, Mémoire chez Xapoléon, Cuvier et de
ment, par Le Cave-lier, p. 127, 130. Psychothérapie à la Faculté de Médecine , p. 161, 258. Psychothérapie dans l'enseignemen
36 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
RAITÉ COMPLET DE L'ANATOMIE DE L'HOMME ANATOMIE CHIRURGICALE et MÉDECINE OPÉRATOIRE avec TRAITES COMPLÉMENTAIRES de
TS PAR M. LE DOCTEUR DUCHAUSSOY Agrégé professeur à la faculté de médecine de Paris AVEC LE CONCOURS DE M. POCHET, DESSINA
es-unes des opinions émises dans le tome II des textes généraux de la Médecine opératoire (t. YII du Traité coinplet de FAnatomi
er depuis l'appréciation qui en a été faite page 3o6 du tome II de la Médecine opératoire. La cautérisation a donné quelques s
nts^ dont les premiers essais ont été décrits page 307 du t. II de la Médecine opératoire, ont été de nouveau employés avec quel
tats obtenus par Jobert ont entièrement transformé cette partie de la médecine opératoire, et c'est à l'émulation qu'ont pro-voq
own, Diseases of the women, London, 1862, et Gazette hebdo-madaire de médecine et de chirurgie, p. 277, 1863. Monteros, du Tra
VAGIN. (^e sujet a été traité à la page 3i5 du second volume de la Médecine opératoire , sous le titre Renversement du vagin;
ainsi pédiculisée. Pour avoir une idée exacte des ressources que la médecine opératoire peut offrir contre les différentes var
périnée, opération déjà décrite à la page 3i5 du second volume de la Médecine opératoire; soit une des opérations destinées à r
Bulletin de thérapeutique, 1844. Jobert, Mémoires de l'académie de médecine , t. VIII, p. 697. Malgaigne, sur la Rectocèle.
697. Malgaigne, sur la Rectocèle. Mémoires de l'académie royale de médecine ^ 1838, vol. VII, et Manuel de médecine opératoire
moires de l'académie royale de médecine^ 1838, vol. VII, et Manuel de médecine opératoire, 1861. Léon Coze, de la Rectocèle va
ce qui a été dit sur ce sujet, à la page 3oo du second vo-lume de la médecine opératoire, il est utile d'ajouter quelques dével
Comme on l'a déjà dit à la page 3oo du second volume des textes de la médecine opératoire, il y a des degrés de déchirure du pér
ry, vol. IV. Verneuil, Étude historique, dans Gazette hebdomadaire de médecine et de chirurgie, passim, 1862. OPERATIONS SUR L
ns de chirurgie (Académie des sciences, décembre 1854, et Académie de médecine , 26 février 1856). Ellis. Cautérisation galvani
la Société de chirurgie de Paris, 1856; et Bulletin de l'Académie de médecine , 10 novembre 1857). De Seré. Bulletin de la Soc
vons étant encore au-jourd'hui très discutée (séance de l'Académie de médecine de Paris, II février i868), puisqu'en France on n
cette question fut portée pour la première fois devant l'Académie de médecine . Hourmann {Recherches sur les injections dans la
a-riées et suivies d'excellents effets.) Enfin M. Avrard {Académie de médecine de Paris, séances des 7 et i\ janvier, [\ fé-vrie
t après l'apphcation du redresseur^, qui, porté devant l'A-cadémie de médecine de Paris par M. Broca, y provoqua la mémorable di
des hôpitaux, 1852 et 1854. Passim et Communications à l'Académie de médecine de Paris, 1854. Depaul. Rapport sur le traiteme
rines par les pes-saires intra-utérins et Discussions à l'Académie de médecine de Paris, 1854, Bulletin de FAcadènie, t. XIX.
cès dus à l'emploi des redresseurs-utérins. Levret. Dans Journal de médecine , de chirurgie et de pharmacie de Roux. m. a. août
Historique de cathétérisme de l'utérus, dans Gazette hehdoma-daire de médecine et de chirurgie, 1859, page 356. Lair. Nouvelle
sme utérin. Paris, 1865. Avrard. Hystéromètre dilatateur. Académie de médecine , août 1865. Guy on. Étude sur les cavités de l'ut
fois. Les occlusions accidentelles envisagées au point de vue de la médecine opératoire doivent être divisées en incomplètes,
sujet a été traité aux pages 333 et suivantes du second volume de la médecine opératoire ; l'auteur de ce bon article s'est pla
ont été suffisamment décrits aux pages et 335 du second volume de la Médecine opéra-toire; nous ferons seulement remarquer qu'i
tes que celles qu'avait posées Lisfranc [yoy. page 334, vol, II de la Médecine opératoire); l'expérience de ces vin"t dernières
distinction que nous établissons ici est utile au point de vue de la médecine opératoire. L'hypertrophie glo-bulaire est souven
e faire descendre avec des érignes pour arrêter une hémorrhagie. La médecine opératoire est presque la seule ressource à in-vo
e accidentelle qui les retient. On voit donc que l'intervention de la médecine opératoire est parfaitement justifiée par la natu
riété de la maladie. Paris, 1859, dans les Mé-moires de l'Académie de médecine , t. XXIII. Académie de médecine de Paris : Disc
dans les Mé-moires de l'Académie de médecine, t. XXIII. Académie de médecine de Paris : Discussions sur ce sujet en mars, avri
1846. Favrot. Revue médico-chirurg. Janv. 1848. HuUin. Mémoires de médecine et de chirurgie pratiques. Paris, 1862, et Rullet
ine et de chirurgie pratiques. Paris, 1862, et Rulletin de l'acad. de médecine de Paris, t. VII et t. VIII. Simon de Rostoek.
isé en trois parties et considéré seulement dans ses rapports avec la médecine opératoire. 1" Tumeurs fibreuses pendant la gro
. Guy's Hospital reports, april 1844. Danyau. Bulletin de Vacad. de médecine . Paris, 1851, et Recherches sur les polypes fibre
nant les injections iodées; l'observation qu'il a lue à l'Académie de médecine en i856 y est devenue le point de dépait d'une di
res, dans l'Expé-rience, t. V et VI. Paris, 1840. Rambaud. Acad. de médecine de Paris, fév. 1842. Cazeaux. Des Kystes de l'o
Huguier, Velpeau, Jobert, etc. Discussion impor-tante à l'Académie de médecine de Paris en 1855, 1856, 1857, t. XXI et XXII des
cfiirurgicale. Paris, 1851, p. 79. Nélaton. Bulletins de l'Acad. de médecine . Paris, 1861-1862. Maisonneuve. Gazette des hôpit
sciences médicales. Garnier. Paris, 1865, p. 433. Buys. Journal de médecine et de chirurgie. Bruxelles, t. XL, 1865. Péan.
9 déc. 1869. Kœberlé. De l'Ovariotomie, dans Mémoires de l'Acad. de médecine de Paris. 1864. Laskowsky. Étude sur l'hydropis
L XXXIII. London, 1726. Laumonier. Histoire de la Société royale de médecine , 1782, t. V, p. 492. Chambon. Maladies des femmes
aum. Vierunddreissig Ovariotomieen. Miinchen, 1869. SUPPLÉMENT A LA MÉDECINE OPÉRATOIRE, PLANCHE 1 (GRANDEUR NATURELLE). F
. Aiguille. 11. Sonde à dard. 15. Aiguille fixe. Suppléments à la Médecine opératoire. PL. I. FISTULES URINAIRES CHEZ
l'adossement des lambeaux après le rapprochement. Suppléments à la Médecine opératoire. PL. II. (deux tiers de la grandeu
cloaque qui reçoit l'urine et le sang des règles. Suppléments à la Médecine opératoire. PL.III. FISTULES URINAIRES CHEZ
double action mérite une attention parti-culière. Suppléments à la Médecine opératoire. PL. IV. FISTULES URINAIRES CHEZ
pales espèces de fistules urinaires chez la femme. Suppléments à la Médecine opératoire. PL. V. RESTAURATION DU PÉRINÉE
. Toutes les sutures vaginales sont entre-coupées. Suppléments à la Médecine opératoire. PL. VI. INCISION ET DILATATION
termine le manche on règle Fécartement à son gré. Suppléments à la Médecine opératoire. PL.VII. EXPLORATION, CAUTÉRISATIO
ement courbé qui se meut facilement dans le vagin. Suppléments à la Médecine opératoire. PL.Vlll. INSTRUMENTS ET APPAREILS
Figure xxxix. Introduction du spéculum américain. Suppléments à la Médecine opératoire. PL. IX. CORPS FIBREUX ET POLY
té gauche et le pédicule sera en-touré par le fil. Suppléments à la Médecine opératoire. PL . X . AMPUTATION DU COL DE L'U
our saisir de larges plis de la muqueuse du vagin. Suppléments à la Médecine opératoire. PL . XI. OVARIOTOMIE AMPUTATION
putation, et montrant ainsi la portion retranchée. Suppléments à la Médecine opératoire. PL. XII. sijpii.kmi^:nt a la jVik
qu'on divise par portions â l'aide d'un serre-nœud. Supplément à la Médecine opératoire. PL. Xlll. OPÉRATIONS contre L
serres-griffes pour saisir les kystes de l'ovaire. Supplément à la Médecine opératoire. PL . XIV. SUPPI.KMKNT A I.A MÉOEC
angrené. CG, cœcum. C L, côlon ascendant. (Rostan.) Supplément à la Médecine opératoire. PL. XV. ÉTRANGLEMENTS INTERNES
on voit cette incision commencée dans la figure x. Supplément à la Médecine opératoire. PL. XVI. suii'i,é\ii:ni' a i,a mé
braneuse. Ces deux figures sont d'après M. Servoin. Supplément à la Médecine opératoire. PL. XVII. SUPPLÉMENT A UA MÉDECIN
ces types que par des modifications insignifiantes. Supplément à la Médecine opératoire. PL. XVIII. SUPPLÉMENT V r,A MÉDEC
alors le mandrin cen-tral qui agit comme un foret. Supplément à la Médecine opératoire. PL. XIX. CALCULS URINAIRES, PONCT
par suite de ce vice de conformation de l'urèthre. Supplément à la Médecine opératoire. PL. XX. OPERATIONS sur L'ANUS
numéro des bougies en étain graduées de Ph. Bayer. Supplément à la Médecine opératoire. PL. XXI. OPERATIONS contre L'
Hir placé avec l'aiguille dans la dernière pi-qûre. Supplément à la Médecine opératoire. PL. XXII. SIIPPLKMKJNT A LA MKDKC
on le voit en h, après son extraction. Krishaber. Suppléments à la Médecine opératoire. PL.XXIII. SirPPI.ÉMRNT A LA MÉDEC
Suppléments à la Médecine opératoire. PL.XXIII. SirPPI.ÉMRNT A LA MÉDECINE OPÉKATOIliE, PLANCHE -l/i. OPÉRATIONS SUli
mordu pendant qu'il maintient l'épiglotte relevée. Suppléments à la Médecine opératoire. PL. XXIV.
37 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
permettrons tout d’abord de formuler ici notre opinion à propos de la médecine allopathique et homœopathi-que. Nous dirons simpl
écembre 1859. Elle prenait comme remède sûr, une fois par semaine, la médecine Le Roy, sans oublier le vomitif. La malade croy
ai pu reconnaître l’efficacité du magnétisme et sa supériorité sur la médecine , puisque j’ai guéri des malades que les médecins
ence des religions, l’abaissement de l’ordre moral, l’inanité de la médecine . Ils voient bien que tous le» arts, que les scien
nt un ascendant tel, que dans lès discussions de l’Académie royale de médecine sur le magnétisme animal, on ne prononça jamais s
saurait effleurer. Vous, l’auteur de ces lignes : « L'Académie de Médecine et celle des Sciences n’ont pas hésité à nier la
isme, dénomination créée par les savants du moyen âge.» (Physiologie, Médecine et Métaphysique du Magnétisme.) Vous, l’auteur
a les jambes enflées ; il est malade et son état empirera sans que la médecine encore arrête les progrès de ce mal. La jeune i
n'en finirions pas si nous \oulions parler des cas où l’inanité de la médecine , son impuissance se révèle et se montre dans tout
rire de tous nos Flourens et des lauréats d’Académie. Les chaires de médecine , d’où devraient sortir constamment L’enseignement
cher- (I) L’Été ci Nice, etc., 2' édition, par J. N, Pollet, Dr en médecine de la Faculté de Paris, cher à ravir à la natur
il'n’a fait que du bien, puisque la plupart du temps la où toutes les médecines possibles et imaginables n’avaient pas même pu so
ie ne peut être guérie sans crise, c’était aussi l’avis du pure de la médecine . Mais ces crises ou réactions peuvent avoir lim d
édecins; mais notre voix n'a point été entendue et l'impuissance delà médecine savante continue ù se montrer. Baron du Potet.
tout ce qui éclate, tout ce '■ et éblouit. Tout son bagage est là. La médecine - «e connaît rien autre chose, si ce n’est aujo
ien vu. Tout ce qu’on raconte est mensonger et il est du devoir de la médecine de purger la science de toutes ces erreurs d’espr
n'aient jamais été réclamés que par des incurables, par ceux que la médecine officielle n’a pu guérir, j’ai toujours eu jusqu'
x opiniâtre survenue depùis deux ans. On va voir la supériorité de la médecine magnétique sur la médecine officielle. Cependant
deux ans. On va voir la supériorité de la médecine magnétique sur la médecine officielle. Cependant les médecins n’eurent jamai
e a obtenu un succès éclatant, il est tout naturel de conclure que la médecine est une bien grande pauvreté à côté des énergies
de cette guérison, comparée aux nombreuses et vaines tentatives de la médecine . Je laisse au lecteur le soin facile de tirer de
ans nul correctif de sa part, M. E. D. Forgucs prête au professeur de médecine , l’un des personnages de son drame d'Elsie Venner
té appelé à Saint-Pétersbourg pour donner ses soins à une dame que la médecine avait presque abandonnée, consentit à entreprendr
viendraient clairvoyants ne rendraient pas d’importants services à la médecine en général, mais surtout à la thérapie, dont les
t collaborateur, M. Henry Anilr cin, vient de terminer un ouvrage île médecine d 1 destiné aux familles, sous ce titre: Le Guide
ants proprement dits. J’ai montré ces devins et ces augures, — car la médecine ne consiste qu’à étudier les symptômes des maladi
ptômes des maladies, à deviner et à augurer : jamais on ne fera de la médecine une science exacte, car la nature s’y oppose;—je
aire cesser cette pauvreté, lui seul est tout un monde : philosophie, médecine ne peuvent produire rien de durable sans lui, et
r, car les gouvernements les protégent. Citons un exemple, prenons la médecine : elle forme un corps dans l’État ; elle a son en
en niait bientôt les vertus très-vantées. Il semble donc que plus la médecine fait d’efforts pour avancer vers le progrès, plus
demander silaProvidence veille ausalutdeshumainsetsi les F acuités de médecine sont utiles. On voit d’abord que les médecins ont
ieux, etc. » Dumas, membre de l’institut, professeur de la faculté do Médecine , etc. (Extrait d'une leçon en Î8H). « Avec la c
magnétiques. ÉTUDES. DU SOMNAMBULISME MAGNÉTIQUE. SA VALEUR EN MÉDECINE . — SA DIRECTION. * Plongé dans un sommeil facti
sme sous un tout autre point de vue que celui de son application à la médecine , je ne me serais pas donné la peine d’examiner la
me, toutes les fois qu’ils s’écarteront de leur mission spéciale : la médecine . Pourtant je ne proscris pas les expériences tant
us loin, lui : il voulait suppri- mer les médecins et l’étude de la médecine , et ne s'en rapporter qu’aux somnambules pour le
buliques. Si l’utilité des facultés somnambuliques, appliquées à la médecine , n’est point douteuse, l’utilité des études médic
, au lieu de : Partie; lisez : Portée. NOUVELLES ET FAITS DIVERS. MÉDECINE EXACTE. Or écomei, petits et grands, Le récit
XX -N° 114. — 2* Série. -2!i septembre (86). tion it la section de médecine , sur mes réclamations très-calmes, mais énergique
icales qui déclare juste le contraire de ce qu’a décidé l’Académie de médecine : Au panier, dit l’Académie. Étudions, dit le c
toutes leurs applications : elle signifiait la science et l'art de la médecine . Ce n'était là, toutefois, que la portion profa
voir ce magnétiste changer de langage, comme il a changé d’opinion en médecine . Il niait la vérité de l’bomœopalhie : il est mai
enant medecin homœopathe et Vice-président de la Société gallicane de médecine homœopathique. Très-bien I c’est avancer else lib
eut mettre en action. Tel est le principe, tel est le mécanisme de la Médecine so/airid Orphée. Telle est aussi la démonstration
pour la guérison demandée. » Le Dr A Guépin, professeur à l'école de médecine de Nantes. (Philosophie du XIXe siècle). (3) L’
ns encore ici notre complète ignorance (1). »Calmeil (Dictionnaire de médecine ). Vous vous débattiez contre ces ludibriaFauni (P
uête soit ouverte, etc. « L'Académie des sciences, ni l'Académie de médecine , n’ont pas le droit de maintenir leur décision de
es à 1789, les correspondances, les biographies, les dictionnaires de médecine , l’encyclopédie, les journaux du temps, même les
présente ses assertions à l’Académie des sciences et à la Faculté de médecine . — Premier établissement de traitement magnétique
s. III. Lettre de Mesmer & M......— Réfutation de la Faculté de médecine . IV. Premières relations avec le Dr Desion. — P
é publique veut pénétrer le secret de Mesmer. — Bizarre formule de la médecine magnético-magique donnée par le Mercure de France
— Noms des commis- “•aires et des délégués de la Société royale de Médecine . — Bailly, rapporteur. —Expériences chez d'Eslon
il ne nécessitait l’usage d’aucuns des médicaments répugnants dont la médecine ancienne était si prodigue. Cet homme était Mes
général. Le jeudi 31 mars, le Journal de Paris disait dans un article Médecine : « M. Mesmer, mé-« decin de la Faculté de Vienne
onservées dans les papyrus, et, le même usage subsiste encore dans la médecine telle que l'entendent divflrs peuples de l'Oriënt
e n’est qu’une machine, une horloge qu’on nettoie et qu’on répare. La médecine est de la chimie, et Dieu sait quelle chimie ! Ce
aient pour devins et que l’on croyait inspirés par la divinité? Notre médecine actuelle ferait rire si elle n’empoisonnait pas.
t morts, leurs parents avouèrent qu'ils n’avaient pas eu recours à la médecine . Conduits devant la justice pour y être réprimand
s de M. Le Roi. Les démarches entreprises auprès île l’Académie de. médecine n'eurent pas de meilleurs résultats. Mesmer s’en
ès, le 27 aoust, on lisait dans la môme feuille, sous le titre ; Il MÉDECINE . ii En donnant la plus prompte publicité à la l
s des originaux contenus dans les registres de la « société royale de médecine .) » Signé : Vicq-d’Azvr, secrétaire perpétuel (
me devrait être accueillie et même remarquée, si la Société royale de médecine avait consenti à nommer une nouvelle commission,
u’il lit au mois de septembre du I)r d'Ëslon, membre de la Faculté de médecine , premier médecin ordinaire de Mgr le comte d’Arto
, « qu’il est plus facile de rassembler les médecins de la Faculté de médecine de Paris pour un dîner que pour une visite d’hôpi
SU, une feuille publique (1) annonça qu’elle donnait la recette de la médecine magnético-magique, défraya-t-elle pendant huit jo
vaporé, mort. » Ce lut bientôt le tour (Sun sieur Pmdet, docteur en médecine etgazetier, puis celui d’un sieur Bâcher, rédacte
e etgazetier, puis celui d’un sieur Bâcher, rédacteur d’un journal de médecine , et de bien d'autres encore, mais notre but n’éta
uy, v. 5, p. 152 et 153. C. Les opérateurs » dit le Dictionnaire de médecine (1) « avaient dans les mains une baguette de fer
t pas quitter la France de cette manière (3). » (I) Dictionnaire Je Médecine , v. 13,p. 404. 2 l.e dernier fui enlevé trop lô
bus des boissons spiritueuses, ap. Annales d’hygiène publique et de médecine légale, tom. XX, p. 20 et suiv.; Hoeg, Guldberg,
sur ce sujet l’ouvrage plein d’intérêt et auquel l’Académie royale de médecine vient d'accorder un prix, du docteur Baillarger,
ouvelle du bureau et liste des dignitaires, 157. CLINIQUE. CAS DE MÉDECINE . — Maux guéris ou soulagés. Affection mentale,
Henry André, 340, 606. Causeries de M. Du Potet sur l'inanité de la médecine , sur l'obstination des médecins et des savants à
diverses, 88, 248, 509. Somnambulismo (du) magnétique. Sa valeur en médecine , sa direction, etc.; étude par M . Henry André, 4
e physique les faits que M. Squire accomplit dans l’obscurité, 442. Médecine et magnétisme. Réfutation, par M. Bernard, d’un d
fulminant contre la concurrence illégale que le magnétisme fait à la médecine , 151. Médiums et somnambules. M. Henry André, e
tisme à Paris , par M. Paul Fassy, 554, 625. Exercice illégal de la médecine . Réquisitoire de Me Andral, fils du célèbre médec
ailles et mentions décernées par le jury magnétique, 279, 317, 327. Médecine (la) exacte. Bévue des médecins du sultan Abd-ul-
38 (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]
TUDES ET THÉORIES RECHERCHES MÉDICO - MAGNÉTIQUES. CHAPITRE IV. MÉDECINE SOUNAMBULIQUE. L’ignorance et la superstition o
historique suffisant pour nous faire apprécier, à toute sa valeur, la médecine des anciens ; nous savons seulement que les prêtr
rêveries de leur siècle ; et, tout en signalant les avantages que la médecine peut retirer des affections de l’âme, ils convena
haldéens furent les premiers peuples qui se livrèrent à l’étude de la médecine somnambulique ; ce fut surtout en Égypte que cett
eur Vespasien opéra des cures magnétiques (5). Chez les Scythes, la médecine occulte était exercée par des prêtres et des magi
uthier, ne peut laisser aucun doute sur l’application des songes à la médecine occulte des anciens. Nous ne pouvons donner une i
cculte des anciens. Nous ne pouvons donner une idée plus exacte de la médecine somnambulique des temps passés, qu’en insérant ic
ions bien arrêtées sur ce principe qui fait aujourd'hui la base de la médecine homéopathique. (S)Ælii Arislidis Adrianensis or
et l’expérience. Nous retrouvons chez les Romains des traces de la médecine somnanibulique dont les Indiens, les Égyptiens et
e idée bien suffisante. On constatera que la plupart des termes de la médecine occulte des Romains tirent leur étymologie de la
’ont rien innové, et si l’observation leur révéla les avantages de la médecine somnanibulique, leurs habitudes belliqueuses les
procédés magiques; ils rendirent à Esculape et aux autres dieux de la médecine occulte les honneurs que leur offraient les ancie
011 abolit les cérémonies païennes et les temples furent détruits. La médecine occulte fut rigoureusement prohibée sous Valens e
Gallien, il sut allier la doctrine des plus célèbres méthodistes à la médecine empirique. Les disputes théologiques et la véné
sciences et les arts et rétablirent les bibliothèques. On repoussa la médecine des moines pour revenir'aux principes d’Hippocrat
sciences physiques et mathématiques. 11 soutint la possibilité d’une médecine universelle, dont on devait, disait-il, recherche
tres, malgré la défense des conciles, se livrèrent à l'exercice de la médecine occulte, qui devint entre leurs mains l'instrumen
on exorcisait les malades comme de véritables possédés. Plus tard, la médecine hermétique occupa tous les esprits. Malgré ses te
Introil iipprt., c. I regards les mystérieuses élucubrations de la médecine occulte. Jér. Cardan (1), qui tombait en somnambu
a des individus qui se promènent en dormant. L’un des oracles de la médecine , Gallien, marchait pendant son sommeil, et Jér. C
. (4) Des Charmes ou Enchantements, p. 132, liv. II. (5) Élcm. de Médecine , t. Il, p. MO. (C) Électricité animale. Lu pr
onneur d’avoir utilisé la découverte du somnambulisme au profit de la médecine . Nous ne pouvons nier que le doctenr allemand ne
y consacra un chapitre de son Histoire critique. Ce fut alors que la médecine magnétique prit une extension nouvelle, on fit de
du système du monde, quand elle sera bien approfondie , bannira de la médecine une foule d’erreurs. » Le somnambulisme lucide,
ueraient pas, au besoin, à cet égard. nul n'a le droit d’exercer la médecine , s’il n’y est autorisé. Or, la loi ne reconnaît n
uggeri propose de traiter tous les malades déclarés incurables par la médecine officielle, et il désire que les médecins assiste
posais dans le monde comme un franc magnétiseur. Mes Observations de Médecine pratique, dont j’ai eu l’honneur de vous faire pa
sexagénaire, et les données en physique, en histoire naturelle et en médecine , que je dois à mon éducation, et que n’ont pas to
, sur le principe que ma propre expérience m’a lait adopter sur cette médecine de la nature, principe que je regarde comme un de
, et si, d’un autre côté, le magnétisme animal guérit des maux que la médecine ordinaire ne guérit pas, je le demande à Votre Gr
la connaissance à Aix, en 1831, mon premier volume A’Observations de médecine pratique. L’ouvrage du Dr Charpignon y fera suite
s des ordonnances de la Faculté; et, sans poisons, que deviendrait la médecine ? « L’action magnétique, disent les enthousiaste
imal peut avoir une action quelconque, il entre dans le domaine de la médecine . Peut-être pourrait-on s’en servir utilement pour
thérapeutique aux lois réglementaires qui régissent l’exercice de la médecine dans nos États. Les gouvernements du nord, qui so
nces de l’homme, eussent sur la physique, sur le magnétisme et sur la médecine en général, des notions plus exactes qu’ils n’en
tout!!! En effet, le magnétisme animal est, à proprement parler, la médecine de la nature, la médecine domestique, la médecine
nétisme animal est, à proprement parler, la médecine de la nature, la médecine domestique, la médecine providentielle qui, seule
oprement parler, la médecine de la nature, la médecine domestique, la médecine providentielle qui, seule, réussit dans une infin
Je dirai plus encore, Monseigneur, le magnétisme animal est la seide médecine qui soit sans danger pour les malades, et la prem
me moyen thérapeutique, il entre nécessairement dans le domaine de la médecine ; l’on doit, par conséquent, suivre à son égard,
n cher maître, Quand il se passe quelque fait nouveau concernant la médecine , le médecin de la localité s’empresse d’en faire
’est pas sms importance, non plus, de savoir que l’Académie royale lo médecine a déjà lait examiner plusieurs fois les expérienc
DE CASSATION (Chambre criminelle.) Audience du 24 décembre 1852. MÉDECINE . — EXERCICE ILLÉGAL. — MAGNÉTISME. JjC traiteme
rce n’a pas de diplôme de médecin, constitue l'exercice illégal de la médecine , puni par l’art. 35 de la loi du. 19 ventôse an x
sous la double inculpation d’escroquerie et d’exercice illégal de la médecine . A la suite de cette information, la chambre du
tisme; que dès lors il n’était pas convaincu d’exercice illégal de la médecine . » (1) 11 a été également décidé par un jugemen
ôse an XI, en ce que l’arrêt dénoncé a considéré comme exercice de la médecine les conseils donnés aux malades dans des opératio
3, 36)|, dans lesquels on voit qu’aux yeux de la loi, exercice de la médecine et exercice de l’art de guérir sont deux expressi
se an XI, ainsi conçu : « Tout individu qui continuera d’exercer la médecine et la a chirurgie saus être sur les listes dont i
par cela même, avoir force de loi. Je dirai même, Monseigneur, que la médecine , sous ce rapport, est peut-être pire que toutes l
opes ou de véritables hommes de science. Cependant, Monseigneur, la médecine est une espèce de sacerdoce qui a pour base les l
, qui ont fait jusqu’à présent et (pii font encore le désespoir de la médecine , lorsque des manœuvres ou des remèdes intempestif
laisser échapper ad libitum l’électricité dont on les charge avec la médecine ordinaire ; l’impressionnabilité extrême et norma
sique. Quant aux opinions manifestées par la Facidté, l’Académie de médecine de Paris, et même l’institut royal, tout petit ac
le saint-office attribue au diable, ne voulant pas les attribuer à la médecine , dont il 11e s’est jamais occupé (et qui, au fond
et ont nécessairement l’air de la pousser. Aussi, toute la Faculté de médecine et tout le corps médical, ainsi que la Faculté de
n mémoire ces souvenirs divers, que je pourrais multiplier encore. En médecine , en physiologie, en philosophie générale et appli
croyons que les résultats de cette découverte seront immenses pour la médecine ; car les académiciens qui ne croient point à l’e
eurs, M. le l)r Husson, auteur du fameux rapport fait à l’Académie de médecine en 1831, C’était un des médecins les plus conscie
le à l’ordre, par exemple, dans lequel se montrent et se succèdent en médecine les symptômes d’une maladie ; j’ai pensé qu’une s
. — Le Moniteur belge du 31 mars contient uneloi sur l’exercice de la médecine , dont il résulte que la pratique du magnétisme es
ique pour avoir soulagé ses semblables trop souvent abandonnés par la médecine légale. On 11e pouvait attendre moins de la tol
doute de porter un toste à M. Vlem-minx , président de l’Académie de médecine , dans le prochain banquet anniversaire de la nais
l’art de guérir, ne puisse tomber dans le domaine public. Académie de médecine , vous avez eu mille fois raison de jeter au panie
yen de faire adopter par nos confrères cette branche importante de la médecine , c’est de multiplier, autant que possible, les ob
de chambre magnétisée. Le rhumatisan est un professeur de l’École de médecine , M. M...... qui n'a pas été converti pour cela au
moire de Mesmer, de l’homme que les deux académies des sciences et de médecine réunies ont essayé de flétrir des noms de charlat
1 vol. in-8°. Paris, 1853. Presque tous les nouveaux ouvrages de médecine ont quelques pages consacrées au magnétisme, soit
e ici, en raison des ressources puissantes qu’il fournit parfois à la médecine . En effet, l’histoire nous apprend que, dans tous
sur la loi du serment. Enfin, de l’avis de tous les écrivains, cette médecine sacrée constituait la meilleure et la plus import
ette connaissance par des procédés dont on retrouve la source dans la médecine occulte ou hypnoscopi-que des premiers hommes.
e la rétablir. Voici les conseils donnés par le nouveau docteur. « La médecine , tant homéopathique qu’allopathique, ne lui « con
ysiologie du Système nerveux, chap. S, g 7. Rapport à 1 Académie de médecine sur les Expériences magnétiques, lu les 21 et S»
bliques faites à l’Ilôtel-Dieu eu 1820. M. Rostan. Dictionnaire i.e Médecine , art. Magniilismo animal. Dcleuzc. Bibliothèque
indiquent par leurs noms propres (quoiqu’ils ignorent entièrement la médecine ) les maladies internes d’une personne présente, q
«Dans un rapport adressé à Louis XVI par les membres de l’Académie de médecine , 011 lit ce qui suit : « Les sens (1) s'allumen
y perdre leurs « forces et leur santé. » « Dans le Dictionnaire de médecine , article magnétisme animal, le Dr llostan a dit e
manifesta et empêcha de lui donner son bain. Jusqu’ici, lecteur, la médecine , avec son jargon barbare et ses incertitudes, vou
chose.... — Quoi donc? — C’est que nous avons les mîmes idées en médecine . Faut pas que ça vous étonne. Ah ! c’est bientôt
étisme ; c’est précisément dans les corps savants, dans l’Académie de médecine et parmi les plus hautes sommités de la science,
ENCONTRE. Ce long mémoire est extrait mot pour mot du Journal de Médecine de Bordeaux. —N°8, août 1844. — C’est, comme on
tisme est complètement étranger à cette observation ; c’est un cas de médecine pure, circonstance qui en augmente beaucoup la va
essant problème psychologique et d’un cas, heureusement bien rare, de médecine légale. « A.-B. FLEÜRY. » On exagère évidemme
out le monde a compris que M. Arago faisait allusion it l’Académie de médecine , qui a décidé, par un vole solennel, qu’elle ne s
i du mouvement perpétuel. « Avec lui nous croyons que l’Académie de médecine a eu tort. lxs faits qui constatent l'action de l
ous l’influence d’une cause morbide. Mais, direz-vous | peut-être, la médecine ne connaît point de maladie présentant île sembla
fois et constatés d’une manière irrécusable. 11 rejette également la médecine somnambulique, au risque d'être fort peu conséque
ette matière une clairvoyance admirable, ont guéri des malades que la médecine n’avait pu même soulager et avait déclarés incura
ans l’emploi d’aucun remède. Il est accusé d’exercice illégal de la médecine . M. le procureur impérial conclut à sa condamnati
que s’explique cette longue et opiniàü-e résistance de l'Académie de médecine , qui n’a cédé qu’à grande peine à l’évidence des
lui en laissons la responsabilité : ......Ajoutons cependant que la médecine externe a été l’objet de travaux remarquables d
savant, un savantde la science constituée, un membre de l’Académie de médecine , le Dr Fourc.... « Je lui faisais part de mon a
esse des Fous. C’est un recueil d’idées neuves sur l’architecture, la médecine et même la navigation aérienne. Je ne parlerai
t moral le plus complet, par suite de l’inefficacité des moyens de la médecine allopathique, homéopathique et hydrothérapique, l
our la déterminer à se laisser magnétiser, l’assurant que, puisque la médecine avait été impuissante, ma fille, sans aucun doute
action de dents, 561. | Hernie crurale étranglée, 385. § II. Cas de médecine . — Maux guéris ou soulagés. Affaiblissement ner
magnétisés, 285. Manifestations (des) spirituelles. Voy. Esprits. Médecine (de la) somnambulique, par M le Dr Alfr. Perrier
mbulisme (du) : naturel et spontané; — artificiel ou magnétique. Voy. Médecine somnamb. Tables (des) tournantes et parlantes.
vue pénal, par M. Emile Jay, avocat, 95. — Loi sur l’exercice de la médecine en Belgique, commentée par M. Jobard, 247. Magn
omte de R... en Styrie, 126. Tribunaux. — 1° Exercice illégal de la médecine : Procès de M. J. de Rovère, 144; — de M. Chevali
39 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
PHYSIOLOGIQUE Paraissant tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES fiêliel
çon faite à la SalpC-trlûre, le 23 Juin 1891. Gazette hebdomadaire de médecine et de chirurgie. Juillet 1691. (2) A. Tamburin
-NoUiwr, Tokarsky, Jules Voisin, etc. professeur d'histoire de la médecine et de la chirurgie à la Faculté de Médecine de Pa
ofesseur d'histoire de la médecine et de la chirurgie à la Faculté de Médecine de Paris. La Société vote à l'unanimité desfélici
is. par MM. les docteurs Beiullox et Wateau. Un jeune étudiant en médecine , licencié en philosophie, âgé de 30 ans, souffrai
voqué et la suggestion directe. Désirant, dès le commencement de sa médecine , se spécialiser dans la psychothérapie à laquelle
hez bon nombre de sujets nerveux, il ne faudrait recourir à une autre médecine que quand la psychothérapie aurait bien et dûment
jets doivent être adressés. Les cas de ce genre sont bien connus en médecine mentale ; ils ont été décrits sous le nom de foli
lle variété de rongeurs Nous connaissions, écrit M. Talamon dans la Médecine Moderne, les rongeurs d'ongles, que M. Bérîllon a
roust, do MM. les D" Paul Richer et Huchard, membres de l'Académie de Médecine , de M. Boirac, recteur de l'Académie de Grenoble,
er de le démontrer. Je crois que les faits d'exercice illégal de la médecine peuvent se grouper en trois catégories : 1" Pre
xaminés en soi, ne constituent pas, à proprement parler, des actes de médecine ou de chirurgie. Au premier plan, nous placerons
à des actes, qui, en eux-mêmes, ne sont pas du domaine exclusif de la médecine , mais qui peuvent revêtir un caractère médical, l
ériences purement scientifiques et n'entreraient pas dans celui de la médecine proprement dite, c'est-à-dire ne se serviraient p
l nous lisons ces mots : « Le temps n'est pas loin où tout docteur en médecine , qui osait parler de magnétisme animal, était gou
le ne pass.'/ jusqu'à ta rage. « La fièvre ne me quittait point : les médecines que l'on m'avait « données sans discontinuation d
n de la légation de France en Chine, vient d'adresser à l'Académie de médecine un important mémoire intitulé : Hystérie et Boxeu
21 ans accomplis ou n'étant pas saine d'esprit, s'il n'est docteur en médecine ou muni d'une autorisatian du gouvernement. L'aut
cette loi avait été provoqué par un vœu émis par l'Académie royale de médecine dans sa séance du 25 novembre 1888: « L'Académie
ambre des députés. M. Masoin, dans son rapport à l'Académie royale de médecine , s'exprimait dans le même sens : «.....Les séan
liques d'hypnotisme. Au mois d'avril 1888, la section d'hygiène et de médecine publique de l'Association française pour l'avance
té, Messieurs, la motion formulée dans le même sens par l'Académie de médecine de Belgique, le 25 novembre 1888- J'y ajouterai d
entiques émanant de la Société de biologie de Paris, de la Société de médecine légale de Paris, (sur la proposition de MM. Broua
a proposition que je viens de vous citer. J'ajoute que, étranger à la médecine , je n'ai pas la compétence nécessaire pour prendr
e professeur Morselli, de Turin, MM. Ruel et Kuborn, de l'Académie de médecine de lielgique. Le principal argument qu'ils invo
r une citation que j'emprunte au rapport de M. Masoin à l'Académie de médecine de Belgique : « Il est imprudent de montrer aux f
de MM. les professeurs Joffroy,Raymond, Ch. Richet. de la Faculté de médecine , de M. le professeur Beaunis, de M. le professeur
ce ; de MM. les D" Paul Richet et Iluchard, membres' de l'Académie de Médecine ; de M. Boirac, vice-président, recteur de l'Acadé
tits vagabonds de Cagliari Par M. le D' Mario Caruaha Professeur de médecine légale à l'Université de Cagliari. La criminali
seur, Durand (de Gros) avait bien dit, dès 1860 : « L'éducation et la médecine de l'âme trouvent dans le braidisme, [c'est-à-dir
ères spéciaux avec manche en bois, tels qu'ils étaient usités dans la médecine ancienne. Pour l'application il n'y a pas de li
oyais « pas homme à ressusciter les morts. — J'avoue que j'entends la médecine , « répondit Rhazès, mais je ne sais pas rendre la
ièrement avec tant de « succès, je ne l'ai trouvé dans aucun livre de médecine , ni ne le tiens « d'aucun maitre; mais II m'arriv
ffrages de la foule, seul peut trouver. (Eloy, Dict. historique de la médecine , t. IX, p. 6) {1). Jésus guérit des lépreux, ma
ement le psoriasis). (a) (t) Reproduit dans Bouchut, Histoire de la médecine , 1.1, p. 2i5. (2) De même au Maroc on dislingue d
ne ont été produites; le docteur Haugton a signalé dans le Journal de médecine de Dublin, le fait de fausses grossesses chez un
Renaudot, continuait les Galettes de son père, et s'occupait moins de médecine que de journalisme. Sur lui et sur son frère Eusè
et sur son frère Eusèbe, médecin comme lui. Gui Patin, professeur de médecine au Collège de France, est catégorique : « Ils ne
; Giard, professeur à la Sorbonne ; Huchard, membre de l'Académie de médecine ; Kibot, professeur honoraire au Collège de France
'Académie des sciences morales; Albert Robin, membre de l'Académie de médecine ; Tarde, professeur au Collège de France, membre d
sous la présidence de M. le Dr Albert Robin, membre de l'Académie de médecine . Hypnotisme thérapeutique M le D' Bérillon, p
sous la présidence de M; le Dr Albert Robin, membre de l'Académie de Médecine . Aux côtés de M. Albert Robin, avaient pris place
M. les Dr* Iluchard et Lucas-Champion-nière, membres de l'Académie de Médecine , M. le Dr Godon, directeur de l'Ecole dentaire de
e éminent maitre. M." le Dr Albert Robin, membre de l'Académie de Médecine , pour l'honneur qu'il nous fait en présidant la s
ié à celui de ses collègues des hôpitaux de Paris et de l'Académie de Médecine : Dumontpallier, Luys et Mesnet. En 1896, à la
nt dans les concours qui ouvrent la porte des emplois officiels de la médecine . Les successifs écroulements des théories et des
de ce néo-vitalisme physiologique encore flottant et indécis dans la médecine , quand, sous d'autres formes et avec d'autres nom
hésie par la bouteille de chloroforme vide). Ceci nous conduit à la médecine suggestive moderne, car Vhypnolisme est un nom po
léthargie à droite. JURISPRUDENCE MÉDICALE Exercice illégal de la médecine par les magnétiseurs MÉDECINE. — EXERCICE ILLÉG
NCE MÉDICALE Exercice illégal de la médecine par les magnétiseurs MÉDECINE . — EXERCICE ILLÉGAL. — MAGNÉTISME. — MAGNÉTISEUR.
mbre f 893, s'il est dépourvu de tout titre l'autorisant à exercer la médecine . (Cour d'appel de Rennes, 6 mars 1901). La Co
ouffraient; a Considérant que le treizième Congrès international de médecine légale a déclaré que le magnétisme est un véritab
t l'inculpé Mouroux, dépourvu de tout titre l'autorisant à exercer la médecine , s'est livré au traitement des maladies ; « Con
ze ou vingt dernières années, lequel, comme on l'a dit, faisait de la médecine une longue et navrante méditation sur la mort. M.
votre magnifique leçon. Voilà de la vraie pratique, voilà de la vraie médecine ! Vous m'avez fait le très grand honneur de cite
lle n'est fréquemment que la conséquence. Vous ne définissez pas la médecine comme les classiques modernes qui l'appellent l'a
lent l'art de connaître les maladies ; je suis sûr que vous dites: la médecine est l'art de connaître les maladies dans le but d
estable domaine. Vous continuez à la tenir comme le but suprême de la médecine . Vous renouez la tradition interrompue des maît
vos auditeurs. Vous serez applaudi encore par tous ceux qui aiment la médecine , qui demeurent croyants en thérapeutique et qui g
pensée en ineffaçables caractères cette sublime parole du père de la médecine : « C'est une œuvre divine que de guérir les mala
vient un assidu du service de Charcot et dans sa thèse de doctorat en médecine expose magistralement Y Etat mental des hystériqu
eront « simplement » attribués à ce que l'on est convenu d'appeler en médecine l'Hystérie ; mais l'étiquette nous importe peu ;
s des années ; si on ne le soigne pas, il deviendra vite un dément. MÉDECINE PROFESSIONNELLE A propos de la pétition des mas
e réformer l'article 16 du 30 novembre 1393, réglant l'exercice de la médecine . Cet article, en effet, est devenu menaçant pour
is traqués, et sous le coup de poursuites pour exercice illégal de la médecine , ont eu l'idée de faire circuler une pétition, qu
ardée comme dangereuse et considérée comme exercice illégal de la médecine , et cela, non seulement en France, mais dans tous
primant l'exercice du magnétisme. Le 11 octobre 1825, l'Académie de médecine demande la répression de la pratique des magnétis
ance, les magnétiseurs sont considérés comme exerçant illégalement la médecine . Le 19 mars 1874, la cour d'Aix établit, par un
cour d'Aix établit, par un jugement, qu'il y a exercice illégal de la médecine de la part de l'individu qui traite par le magnét
complice, le D' Grubouski, sont condamnés pour exercice illégal de ta médecine , à la suite de pratiques de magnétisme. La Cour d
^^^^ Cours du docteur Bérillon. a l'école pratique de la faculté de médecine M. le docteur Bérillon, médecin inspecteur des
21 avril, à cinq heures du soir, à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine , amphithéâtre Cruveilhier, un cours libre sur les
initions de l'hypnotisme. — Rôle de l'hypnotisme en psychologie et en médecine . Jeudi 24 Avril. . La technique de l'hypnotisme
. — Le cours de M. le Dr Bérillon à l'Ecole pratique de la faculté de médecine sera complété par une conférence, avec projection
sociologie criminelle soit le résultat d'un heureux mariage entre la médecine et le droit pénal. La sociologie criminelle pre
sionomie intelligente, douce et empreinte de bonté. Il est docteur en médecine et se voue avec la plus ardente conviction à l'ac
p. 192. Cours du Dr Bérillon à l'École pratique de la Faculté de médecine , p. 320. Démence chez un chien (Un cas de), p.
lt (Une lettre du Dr), p. 257. Magnétiseurs (Exercice illégal de la médecine par les), p. 283. Masseurs et magnétiseurs (A p
40 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
NÉES ET SYPHILITIQUES PAR PAUL RICHER MEMBRE DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE PROFESSEUR d'ANATOMIE A L'ÉCOLE DES BEAUX-ART
UX-ARTS GILLES DE la TOURETTE PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DE MÉDECINE ' MÉDECIN DES HÔPITAUX ALBERT LONDE DIRECTE
Y MEIGE PARIS MASSON ET ce, Éditeurs libraires DE l'académie DE MÉDECINE 120, Boulevard Saint-Germain (6e) 1903 NOUV
thologiques. M. Boinet y insistait, en communiquant à l'Académie de médecine , le 19 février 1901, l'histoire d'un homme de 3
monde . (2) Eo. Claparède, La psychologie dans ses rapports avec la médecine (Revue méd. de la Suisse- rom., octobre 1901).
e de M. Paul Richer,extraitde son important ouvrage sur l'Art et la Médecine . ' . La liste des figurations de ce genre sembl
e un urinal. Il s'agit d'une image symbolique¡d'un des patrons delà médecine , saint Damien peut-être, ou plus probablement s
de la Salpêtrière, 1899). Ibid., Les Urologues (Archives I;enér.rde médecine , mai 1900). HEIIMANN PETErs, Der Arzt und die H
). LES UIioLOGUE5 61 Evangélistes, qui passe pour avoir exercé la médecine , et sous le patronage duquel était placé le Col
Marc, un autre Evangéliste ? ... Mais saint Marc ne pratiqua pas la médecine ? ... Ou bien, est-ce une allégorie contre les mé
ient d'étuis en paille munis d'un couvercle. Dans une Note sur la médecine en Flandre au aIV9 siècle (1), le Dr Paul Dorve
amien ? ...»(2). (1) Voy. IIxnY Meige, Les Urologues, Arch. gén. de médecine , mai-juin 1900. (2) On peut voir encore dans la
rien, et font cela affin que le médecin ordonne grande quantité de médecine . » Et celle remarque judicieuse de M. Dorveaux
nous fait pénétrer dans l'intimité des moeurs de son époque. Là, la médecine et la pharmacie se pratiquent en famille. Les c
riant d'un air entendu. Nous connaissons cette bonne pratique. Sans médecine et sans alchimie, elle sait faire le diagnostic
rof. Dr Heinrich Ohersteiner, IX lleft., 1902, p. 329. FACULTÉ DE MÉDECINE DE NANCY UN CAS DE SYPHILIS HÉRÉDITAIRE TARDIVE
Des différentes (Ol1l1eS de leptoméningiles tuberculeuses, Revue de médecine , 1886. 98 RICIION quelles se joindrait très s
mbre 1901. (3) KuppEL, Article : Syphilis cérébrale, in Traité de médecine et de thérapeutique, Brouardel. SYPHILIS HÉRÉ
données de la clinique et de l'anatomie pathologique ». FACULTÉ DE MÉDECINE DE BORDEAUX MONSTRUEUSE DÉFORMATION DU TIBIA DR
Lll : AVEC AMYÉLIE PAn Il E BRISSAUD Professeur à la Faculté de médecine de Paris. ET BRUANDET Ancien interne des
cephalie und Amyelie, Virchow's Arch., 15 Bd. 1. 1898. FACULTÉ DE MÉDECINE DE NANCY PARAPLÉGIE CERVICALE INCOMPLÈTE PAR
e médicale Chef des travaux d'anatomie pathologique à la Faculté de médecine de Nancy. Les tumeurs de la moelle sont.assez r
, p. 93-122. (2) Dejerine et Thomas. Cavités médullaires. Traité de médecine . Brouardel et Gilbert, t. IX, p. 681. (3) Cit
rologie de Paris, séance du 6 mai 1903. (2) Archives générales de médecine , 1902, oct. (3) Congrès internat. de Neurol. et
sur klinische Chirurgie, Band. XX, Heft 3. (9) Boinet. Académie de médecine de Paris, 19 février 1901. ' (10) CESTAN. Nouve
sait volontiers : « Après la soupe, une goutte de vin est une bonne médecine . » Nos pères savaient aussi qu'il est plus mauv
m, Sur les formes incomplètes de la neurofibromatose (Arch. gén. de médecine , juillet 1898). 236 HENRY MEIGE ET FEINDEL un
YPHILIS DANS L'ART PAR R. BLANCFiARD Professeur à la Faculté de médecine de Paris, Président de la Société française d'h
decine de Paris, Président de la Société française d'histoire de la médecine . Le dernier numéro de la Nouvelle Iconographie
ie ; rare série, puisque P. Richer, dans son beau livre l'Art et la médecine , n'a pas consacré une seule ligne à l'iconograp
emment en grandeur de l'original ; la bibliothèque de la Faculté de médecine possède un exem- plaire de cette reproduction (
ers et en figures (A'V7= siècle). r- Publié par le Dr LE Pileur, La médecine anecdotique, I, 1901, p. 90, 4, 82, 110, 144, 1
L. HASKOVEC (de Piaâue). J'ai publié dans les Archives bohèmes de médecine clinique (t. III) un cas d'hystérie et un cas d
EEus, Notes et documents sur le Gheel ancien (Annales de la Soc. de médecine de Gand, 1902 ; id. dans les Actes du Congrès d
rrivaient à Gheel qu'après avoir épuisé toutes les ressources de la médecine laïque. L'un d'eux avait consulté « presque tou
ques dans l'Art, Ibid., n° 2, 1896. Voy. aussi PAUL Richer, Arl et médecine , p. 33 et 34, les figures 22 et 23, d'après d'a
tures de l'Horlus deliciarunt, reproduite par P. Richer (L'Ad et la Médecine , fig. 24, f. 14 et 16). 316 P. MASOIN ET.IIENRY
ente (Gaz. hebdom., 1814). Babinski - Article Névrite, in Traité de médecine , Paris, 1894. Balfour. - Treatise of comparativ
e ont été faites au laboratoire de photo-radiographie de l'Ecole de médecine dirigé par M. le professeur Castex, l'ama- bili
pondent plutôt aux habitudes motrices intempes- tives désignées, en médecine humaine, sous le nom de stéréotypies. Cette déc
evaux, et les stigmates physiques dits de dégénérescence réunis, en médecine humaine par MM. Morel et Magnan, et si bien déc
ie du cro- ,cliet droit et surdents des deux côtés. (t) Traité de médecine Charcot-Bouchard-Brissaud. t. VI. Article Psychos
les par cet état de déséquilibration psychomotrice qu'ont étudié en médecine humaine MM. Henry Meige et Feindel et dont nous
, p. 733. (2) Ibid., 1902, liv. VI, p. 1170. (3) Revue (russe) de médecine , 1902, n° 19, p. 501. (4) Ibid., 1903, n" 1, p.
ers à recueillir l'ample moisson des oeuvres d'art intéres- sant la médecine . - Un collaborateur de Charcot, M. Paul Richer,
hies de M. Henry Meige, sous ces titre général : Les Peintres de la Médecine [Écoles flamande et hollandaise) : les Pierres
eurs de dents, la Saignée, etc. Un recueil, ayant pour litre Art et Médecine , et composé d'un certain nombre de ces études,
é d'un certain nombre de ces études, fut couronné par l'Académie de Médecine , en 1900. Plus tard encore, de npuveaux collabo
e au même sujet. Un remarquable volume du Dr Paul Ricber, tôt et la Médecine (1), paru au mois de mars 1902, était venu donn
t venu donner le plus éclatant témoignage du labeur accompli par la médecine française dans la critique des oeuvres d'art. L
nt aux médecins d'éta- blir la signification et la portée... « La médecine est en possession de décider si telle ou telle im
et Paul Richer ? ... Le vo- lume de M. Paul Richer sur l'Art et la Médecine en fait plus d'une fois mention. Il n'y a guère
her ? .. C'est qu'il semble que le nom (1) PAUL Richer, L'Art et la Médecine , Voy. Introduction, p. 8 et p. 189 à 193. DE LA
autres auteurs français qui ont écrit sur les questions d'art et de médecine n'avaient pas omis de rappeler l'article de Virch
e à entendre que les collections d'oeuvres d'art se rapportant à la médecine sont nombreuses en Allemagne ; du moins, est-on
litiques), du Dr Blanchard (parasitologie, médailles relatives à la médecine , etc.), des Drs Tuffier, Hartmann, Hamonic, Wic
ternationale de Paris, en 1900, se trouvait un Musé rétrospectif de médecine et de chirurgie. M. Tuffier a publié un Rapport
exposés. La même année, à l'occa- sion du Congrès international de Médecine , M. Thibierge, avait pris l'heu- reuse initiati
adies populaires, la collection des documents figurés relatifs à la médecine , commentés et reproduits par M. Henry Meige dans
ents ou des reproductions inédites des oeuvres d'art intéressant la médecine . Grâce à ces bienveillants appuis, son oeuvre m
s remerciements les plus sincères à tous les Journaux et Revues, de Médecine , d'Art, d'Histoire, qui, en France comme à l'ét
e, il a eu la bonne pensée de donner à son ouvrage le titre de : La Médecine dans la peinture classique bien différent, n !
en différent, n ! est-il pas vrai, de celui-ci : Les Peintres de la Médecine - qui avait figuré depuis une dizaine d'années
tanément l'idée de collectionner les oeuvres d'art rela- tives à la médecine : pareille idée n'a rîen que de banal. Mais, lors
Parlant de la riche exposition d'objets consacrés à l'histoire de la Médecine qui se trouve au Musée Germanique de Nuremberg,
re le relevé méthodique de tous les articles concernant l'Art et la Médecine ,publiés par elle depuis sa fondation. Leur simp
n hystérique, p. 101-121 (1 phot.). Henry MEiGE. Les Peintres de la Médecine . Samuel Van lIoogslmalen (Ecole collait- daise)
it- daise), p. 192-201 (2 phot.). Henry MEiGE. Les Peintres de la Médecine (Ecoles flamande et hollandaise). Les Opération
(5 phot., 5 fig.). Année 1896. Henry MEIGE. - Les Peintres de la Médecine (Peintures murales de Pompéi). Enée Blessé, p.
Art, p 161-188 (4 phot., 2 fig.). Henry MEIGE. - Les Peintres de la Médecine (Ecoles flamande et hollandaise). Les Opération
l'épaule, p. 316-320 (1 phot.). ' Henry Meige. - Les Peintres de la médecine (Ecoles flamande el hollandaise), L'opé- ration
81-384 (1 phot.). Année 1897. Henry 1'IEIGE. - Les Peintres de la Médecine (Ecoles flamande et hollandaise), Les Pédicures
10 (1 phot., 9 fig.). Année 1898. Henry MEiGc. Les Peintres de la Médecine (Ecoles flamande el hollandaise), Docu- ments n
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE 427 Henry MEiGE. Les Peintres de la Médecine . Une opération sur l'oeil, p. 59-62 (1 phot.).
de Têtes », p. 110-116 (2 phot.). Henry MEiGE. Les Peintres de la Médecine , Le mal d'Amour, p. 51-68 (4 phot.), p. 226-260
2 (6 phot.), p. 420-432 (6 phot.). Henry- Meige. Les Peintres de la Médecine , Le Vieillard malade de Jean Sleen, p. 497-500
p. 497-500 (1 phot.). Année 1900 Henry MEiGE. Les Peintres de la Médecine . « Pierres de Tête » et « Pierres de Ven- tre »
e française. Au point de vue des rapports généraux de l'Art avec la Médecine , ils consulteront avec grand profit les importa
r l'étude critique des documents figurés intéressant l'Histoire de la médecine et la représentation des difformités ou des mal
esse médicale, 21 avril 1900). Les Urologues (Archives générales de médecine , mari 1900). Le Feu qui châtie el le feu qui gu
re 1900). La Circoncision enseignée par l'image (Archives génér. de médecine , mai 1901). La Médecine au musée du l'rado (Pre
n enseignée par l'image (Archives génér. de médecine, mai 1901). La Médecine au musée du l'rado (Presse médicale, juillet 1903
Documents nouveaux sur la Pédicures dans l'art (Ar- chives gén. de médecine , 1903). Dans une publication que ne peuvent ign
en 1901 un article intitulé : La Triple Alliance : Histoire, Art et Médecine , où sont signales tous les travaux de critique
s extraits et des images présentant l'intérêt pour l'Histoire de la Médecine . Janus publie également des répertoires bi- bli
, des documents écrits.] extrêmement précieux pour l'histoire de la médecine . De nombreuses figures concernant les accouchem
Une étude, plus récente encore, de M. P. Peugniez, L'histoire et la Médecine dans l'Art religieux. L'Eglise St-Géry de Cambr
nnaître un nombre déjà important de documents figurés relatifs à la médecine (peintures, gravures, médailles, sceaux, etc.) si
41 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine tle Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie
ulté de médecine tle Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Agile clinique (Sle-Annc) F. R
eur de clinique Jcs m;nl,nJics du svstemc nerveux à LW'aculé de médecine de l'.nrns. coccenuwTSUUS PRINCIPAUX 11D1.
énérale. Lésions el symptômes spinaux. Formes pinales. (Archives de Médecine expér., n° 1, 1891.) . UN CAS DE PARALYSIE GÉ
plégie nucléaire; par M. le D'' Marfan. (Revue tinter- nationale de médecine et de chirurgie : 10 décembre 1897.) Observatio
3 : 1SEDGN; par M..le profes- seur Potain. [Revue internationale de médecine et de chirurgie, 10 mars 1897.) ) L'observati
. XIV. 11ÉMORRIIAG1ES D1\S LA NEURASTHÉNIE; pal' AUNET. (Bévue de médecine , septembre 1897.) Les troubles vasomoteurs ont
'ÉTUDE DES tumeurs DU corps calleux; par Dévie et P.VIOT. (Revue de médecine , décembre 1897.) Observation d'un malade mort d
A ! 'iCI'; hépatique Er névrite périphérique; par GOUJET. (Revue de médecine , juillet 1897.) Observation d'une malade morte
Hamel. XVIII. Polynévrite paludéenne; par J. REGNAULT. (Revue de médecine , septembre 1897.) La polynévrite paludéenne ava
professeur MAIRET (de Montpellier), correspondant de l'Académie de Médecine , et le Dr Vires, chef'de clinique. Le livre que
dans l'intérieur duquel il n'y a plus place que pour ' Archives de médecine expérimentale, 1891. erger. Analyse in Revue ne
ité nous ont frappé. A l'article : Syphilis MÉDULLAIRE du Traité de médecine , ' Semaine médicale, loc. cit. 96 ANATOMIE
dicale, 1897. Doin, éditeur. . Pal, cité par Babinski, in Traité de médecine Charcot et Brissaud. Art. OUVRITES. Archives,
En premier lieu, celui de Roumaillac, préparateur à la faculté de médecine de Bordeaux, sur l'éleclrodiagnostic et son utili
brile a pris fin. Nous avons communiqué au Congrès international de médecine , de Moscou les résultats que nous avions obtenu
5J., docteur en 1858, chef de clinique de Bouillaud ¡lIa Faculté de Médecine de Paris en 1862, il fut nommé médecin de Bicêt
s il l'hôtel de ville. Les autres séances auront lieu à 1'l,cole de Médecine où le secrétariat se trouvera également pendant
nce solennelle d'ouver- ture à la Mairie. Soir, 2 heures : Ecole de Médecine . Constitu- tion du bureau. Nomination des deux
urs de l'année 1897; par le D1' Petrucci, directeur-médecin chef. - Médecine mentale a la campagne. Un cas de respiration de C
de transport les plus commodes, du centre de la ville à l'Ecole de médecine , sont les tramways de la place du Ralliement et
l'asile de Sainte-Gemmes-sur-Loire. XIII0 Congrès international DE médecine (Paris, 2-0 août 19U0;. Section de psychiatrie.
ganisation de la section de psychiatrie du Congrès international de médecine qui se tiendra à Paris, du 2 au 9 août 1900, s'
s, médecin à l'asile Sainte- Anne ; Magnan, membre de l'Académie de médecine , médecin à l'asile Sainte-Anne ; Mairet, profes
e la Société médico-psychologique; Motet, membre de l'Académie de médecine , Parant, médecin de la maison de Santé de Toulous
mie pathologique, une autre de thérapeutique, enfin une dernière de médecine légale. Cette séance eut lieu le 18 juin 1898.
aîner dans l'organisation des établissements consacrés aux aliénés; Médecine légale : Les perver- 8ÏOIIS sexuelles obsédante
uvée par Schultze dans son rapport fait au Congrès international de médecine de Moscou (1897). En appliquant à notre observa
du matin du 3 août. * Maurice de Fleury. Bulletin de l'Académie de médecine , 1898. ° Weber. De l'auto-intoxication dans l'é
- gers, ayant à ses côtés M. le Dr Motet, membre de l'Académie de médecine , Regnard, inspecteur général de l'Assistance publ
é. » Succédant à,M. Joxé, M. le DJ Motet, membre de l'Académie de médecine , a prononcé le discours suivant : -. « Mesdames
ntes paroles ont été pro- noncées sur la nécessité de l'union de la médecine mentale et de la neuropathologie. Avec moins de
t conçu Lombroso ; mais il est resté quelque chose qui relève de la médecine mentale et que nous connaissions depuis bien lo
ans la vulgarisation de ces idées nous appartient et que c'est à la médecine légale des aliénés qu'est dû l'immense effort q
sées à sa compétence, n'avance rien dont il ne soit pas sûr. ' La médecine légale des aliénés avec les intéressants problème
er et à résoudre, est l'une des branches les plus importantes de la médecine légale prise dans son ensemble. Elle est singul
xpérience nécessaire. Je voudrais que les jeunes gens, étudiants en médecine des facultés, des écoles de plein exercice, qui
ecins experts. « M. le professeur Brouardel, doyen de la Faculté de médecine de Paris, dans un rapport présenté à la Société
ulté de médecine de Paris, dans un rapport présenté à la Société de médecine légale le 18 févrierl884, demandait que l'instr
me ou d'un certificat témoignant des connaissances du candi- dat en médecine légale, fut institué. « L'Association générale
expérience au service de ceux qui se senti- raient attirés vers la médecine légale de l'aliénation mentale. Qui mieux que n
ncé ses travaux à 2 heures dans le grand amphithéâtre de l'École de Médecine . M. Motet, président du Congrès, présidait. M
dé. « Nous sommes ici, Messieurs, dans une ville qui a donné à la médecine d'illustres savants. Autour de cet amphithéâtre v
ortraits : on consetve pieusement leur souvenir dans cette Ecole de médecine où le directeur M. le professeur Legludic et se
s présidents d'honneur : MM. le D1' Magnan, membre de l'Académie de Médecine ; le Dr Regnard, inspecteur général de l'Assist
ef de l'asile de Dron ; le le Dl' Legludic, directeur de l'École de Médecine d'Angers ; vice-prési- dents : MM. le Dr Pariss
t à la différen- cier du délirium tremens. En 1850, à la Société de médecine de Paris, Grisolle, Robert et Requin déclarèren
ations gynécolo- giques et Gaillard Thomas rapporte à l'Académie de médecine de New-York trente-huit cas nouveaux. Des mémoi
Dans la remarquable communication de M. le Dr Régis à la Société de médecine de Bordeaux, il s'agit d'un cas de confusion ment
36 SOCIÉTÉS SAVANTES. « J'adressai au Dr Motel, alors au congrès de médecine légale de Bruxelles, un télégramme l'informant
e, actuellement si en progrès. « Je salue M. Joffroy, professeur de médecine mentale de la Faculté de Paris, MM. Magnan de S
le préfet, M. le Dr Legludic, le distingué directeur de l'École de médecine d'Angers, qui nous a réservé un amphithéâtre po
. le docteur Petrucci, M. le docteur Motet, membre de l'Académie de médecine , dit une allocution qui, par la grâce et le cha
le, et j'ai conservé la reconnaissance la plus vive pour l'Ecole de médecine d'Angers, pour la mémoire de mes premiers maîtr
gues, qui, dans la matu- rité de votre talent, êtes la gloire de la médecine mentale et de la neuropathologie, vous jeunes g
biologie, M. Petrucci doit publier son travail dans les Archives de médecine d'Angers, nous espérons qu'il insistera sur les
e en 1879. Son fils, un des élèves les plus brillants de l'école de médecine d'Angers, est également une victime du devoir,
dans tous les établissements éloignés des facultés et des écoles de médecine où sont aujourd'hui obligatoires le stage et le
i obligatoires le stage et les exercices pratiques des étudiants en médecine , un employé était chargé de tenir les cahiers d
ecteur médecin aidé de deux internes qui devraient être docteurs en médecine ou n'avoir plus que leur thèse à passer. Le non
nt secondaire passif ; par le Dr F. MALTY. (Gazette hebdomadaire de médecine et de chirurgie, le, mai 1898.) A la suite d'un
ité nerveuse. P. Rellay. 'VU. Gliome DU BULBE; par Joseph COLLINS. ( Médecine , Chicago, décembre 1897.) Les néoplasmes du b
e- ment un paralytique. G. D. V. LES opérations GYNÉCOLOGIQUES EN MÉDECINE mentale ; par le Dr CuYLITS. (Bull. de la Soc.
IQUES EN MÉDECINE mentale ; par le Dr CuYLITS. (Bull. de la Soc. de médecine mentale de Belgique, décembre 1897.) On sait
dans le numéro d'août. Le Dr PAUL RICHER, Membre de l'Académie de médecine * 348 BIOGRAPHIE. cun sa besogne. L'étudiant
grand talent comme un médecin. La récente élection de l'Académie de Médecine a prouvé heureusement le contraire ; j'aime à e
GILLES DE la TOURNETTE. VARIA. XIIIe CONGRÈS international DE médecine . Paris, 2-9 août 1900. . Section de psychiatr
ganisation de la section de psychiatrie du Congrès international de médecine , qui se tiendra à Paris, du 2 au 9 août 1900, s
pour la Belgique : M. More),, de l'asile de Mons. 350 VARIA. Médecine légale. - Les perversions sexuelles obsédantes et
0 hommes et 55 femmes. Parmi leshommes, il y avait 20 doc- teurs en médecine , 2 pharmaciens et 2 gardes-malades, qui mouru-
eux ans, dans les 362 CLINIQUE MENTALE. ' Archives générales de médecine , l'observation d'une dame de trente ans, sujett
bert Ballet et M. Paul Bloch, qui ont rédigé l'article du Traité de médecine de Charcot et Bouchard, trouvent que les troubl
en particulier. Avec M. Huet, à qui on doit l'article du Manuel de médecine de Debove et Achard, nous voyons que des anesth
tation la plus logique de ce cas est donc d'admettre que REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 413 l'alcool a provoqué un état convuls
le d'aliments dans les voies respiratoires. - P. RELLAY. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. I. DE L'ÉPILEPSIE, au POINT DE VUE CLIN
tain temps : c'est l'amnésie tardive d'Ottolenghi. 414 revue DE MÉDECINE légale. Une variété importante de l'épilepsie p
i des actes délictueux ou criminels, qu'ils aient été ou REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 415 non l'objet de poursuites judiciair
naît pas et dont il ne conçoit pas, le plus souvent, 416 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. la nécessité : le défaut d'instruction
experts des deux parties devraient avoir une conférence REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 417 Î avant le jugement, à l'effet de p
in., fasc. 2, 1897.) Archives, 2. série, t. VI. 27 418 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. VI. ASEXUALISATION DES CRIMINELS; par M
seulement aidé sa femme à échapper à des embarras finan- REVUE DE médecine légale. 419 ciers. Traduit en cour d'assises il
ier (de Londres) pose les questions suivantes : Dans 440 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. un procès criminel, les médecins connai
hiatrique; par le Du' Théo 11ELLOGG. En dehors des connaissances de médecine et de chirurgie géné- rales, connaissances qui
plexes, des plus difficiles. En plus des connaissances générales de médecine et de chirurgie, il doit être un bon hygiéniste
ces générales et spéciales acquises dans la pratique générale de la médecine , et dans des services spéciaux de maladies nerv
ine. Concours pour. la nomination aux places d'interne titulaire en médecine vacantes au 1er janvier 1899, dans les asiles p
ulation de l'épi- .- lepsie au point de vue de la pratique et de la médecine légale. » Il a collaboré aux Annales médico-psy
gue M. le D'' Delaporte ; tous trois sont d'importants documents de médecine légale et méritent d'être consultés. (Annales m
re' d'encéphalite interstitielle. En 1883 il y a eu à la Société de médecine de Berlin 3 une longue discussion à ce sujet, s
s une voie positive et scientifique et par là même se rattacha à la médecine générale. Les progrès en anatomie et physiologi
nte. De cette façon le psychiatre reste en contact intime avec la médecine générale et il peut affirmer, en s'en rapportant
être apporté par l'obligation imposée par le conseil général de la médecine aux étudiants de l'avenir, d'étudier les affect
ant sur les principes généraux qui régissent l'enseigne- ment de la médecine , le praticien ordinaire traiterait bientôt la f
oisonné son mari et son père, racontent les Annales d'hygiène et de médecine légale pour 1894, fut condamnée aux travaux forcé
hologiques du dépeçage criminel, par Niiia- Rodngues, professeur de médecine légale à la Faculté de Bahia (Brésil). M. Vina-
es aliénistes et neurolo gistes français, 65, 148, 201, 326. - de médecine , 150. - interna- tional de médecine de 1900, 34
çais, 65, 148, 201, 326. - de médecine, 150. - interna- tional de médecine de 1900, 349. Contractures hystéro-traumatique
42 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
LIÉE SOUS LA DIRECTION DE MM. V. MAC.NIXN Membre de l'Académie de médecine . Médecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). I--
sseur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Bordeaux. COLLABORATEURS PRINCIPAUX : MM.
L'angoisse au cours de la paralysie générale ; par FERÉ, (Revue de Médecine ; avril 190G.) Deux observations de paralytique
la Faculté de Bruxelles. Mémoire couronné par l'académie royale de médecine de f3elgidue ? Bruxelles 1906. Ce remarquable t
ires : MM. Thoinot, professeur de mé- decine légale à la Faculté de médecine de Paris, ; Rémond, pro- fesseur à la Faculté d
aculté de médecine de Paris, ; Rémond, pro- fesseur à la Faculté de médecine de Toulouse ; Paris, chargé de cours à la facul
té de médecine de Toulouse ; Paris, chargé de cours à la faculté de médecine de \ancy ; Vallon, médecin en chef de l'asile c
. · Concours pour la nomination à 4 places d'interne titulaire en médecine dont trois d Bailleul et une à Armentières et 3 p
di 18 mars'1907, à 9 heures précises il sera ouvert à la Faculté de médecine de Lille un concours public pour la nomi-' nati
ES. - Concours pour la nomination à 4 places d'interne titulaire en médecine , dont trois à Baxlleul et une à Armentières, et 3
i 18 mars 1907, à 9 heures précises, il sera ouvert à la Faculté de médecine de Lille, un concours public pour la nomi- nati
n concours public pour la nomi- nation à quatre places d'interne en médecine et à trois places d'interne provisoire aux asil
s et formalités à remplir : Sont admis au concours les étudiants en médecine possédant au moins dix inscriptions de doctorat
oins dix inscriptions de doctorat, dans une faculté ou une école de médecine de l'Etat. Les candidats devront, pour être inscr
ncours. Le jury est composé de cinq membres, savoir : un docteur en médecine , délégué de-)Ion- sieur le préfet, président ;
n. A l'expiration de leurs fonctions, les internesreçus docteurs en médecine et se destinant à l'adjuvat des asiles, peuvent ê
s géné- raux, 2 membres choisis par le Préfet, dont un docteur en médecine , le curateur dont il sera parlé plus loin, et un
de leurs chefs le respect dû à l'expérience ; en se souvenant qu'en médecine mentale la pratique seule compte, les expressio
stage : c'est le pro- grès 1 La Chambre a pourtant reconnu que la médecine men- tale exige des connaissances spéciales, lo
médecin, mais par tous les collaborateurs de celui-ci, internes en médecine , infir- miers, surveillants-chefs. Le médecin e
ent rechuté sans ces précautions. C'est parce que la pratique de la médecine mentale exige le contact continu du médecin et
rt a fait justement observer que le médecin traitant, faisant de la médecine générale,ne sera plus spé- cialiste. Ce n'est q
rs, ce seront les médecins du dehors qui feront passagèrement de la médecine mentale. Il suf- fira à d'anciens internes des
D'ailleurs ce système de médecins traitants, libres d'exercer la médecine au dehors, a existé et existe sans doute encore
te. I Au surplus, personne d'entre nous ne demandait à exercer la médecine civile ; nous n'y sommes point pré- parés, et i
e médecins ne se fasse pas. Car j'estime que, si l'on désire que la médecine mentale réalise de plus rapides progrès, on doi
malacie et goitre exophtalmique, par ToLOT et SAR- VONAT. (Revue de médecine , mai 1906.) Observation d'une femme de 12 ans a
a glande pituitaire ; par Al- berto SALOON (de Florence). (Revue de médecine , avril 1906.) L'auteur cite un grand nombre d'a
s spinale à forme amyotrophique ; par LAU- Nois et POROT, (Revue de médecine , 1906.) La maladie d'Alhert Duchesne tend à êtr
toires et hallucina- tions obsédantes ; par Serge ranoff. (Rivui de médecine , avril 1906.) , Les dégénérés obsédés étaient
LE. XLI. Note sur l'épilepsie massive : par Ch. Féré. (Revue de - médecine , avril 1 ! )OG.) Il faut entendre ici parépilep
ement ampullaire. II insiste sur les services que peut rendre, à la médecine mentale, ce mode d'investigation. M. Vallon fai
Goget ; Médecins-adjoints : Drs Pelissier, Dromard ; 2 internes en médecine ; 2 internes en pharmacie. 2° Aix. Direc- teur.
11. Keraval, Legrain, Marandon de Dioytyal, Sérieux ; 5 internes en médecine , 3 en pharmacie. 5° Charenton : Directeur, M. D
Michel ; 2 médecins en chef : MM. Boudrie et Lw off ; 2 internes en médecine , 2 en pharmacie. Vaucluse ; Directeur, 1\1. Pic
hon : 3 médecins en chef : Blin, Dupain et Vigoureux; 3 internes en médecine , 2 en pharmacie. Ville-Evrard (Voir le départem
in-chef, Dr Belletrud ; Médecin adjoint, Dr Mercier ; 2 internes en médecine ; 1 interne en pharmacie. VAUCLUSE. Asile pub
s : ;\1. le D'' Claude, de Paris. ;\1. le Dr Schnyder. de Berne. c) Médecine légale. L'ex- pertise médico-légale et la quest
des membres associés (dames, membres de la famille, étudiants en médecine ) présentés par un membre adhérent. Les asiles d'a
AUGEAT. Poste vacant d'élève inter- ne. Un poste d'élève interne en médecine est actuellement va- cant à l'asile d'aliénés d
énées DE Saint-Yon. Concours pour la nomination de deux internes en médecine . Le lundi 11 mars 1 ! IOî, à 10 heures du matin
11 mars 1 ! IOî, à 10 heures du matin il sera ouvert, à l'école de médecine de Rouen,un concours public pour la nomination
de Rouen,un concours public pour la nomination de deux internes en médecine . Les candidats qui désirent prendre part à ce .co
urront prendre part au concours tous les docteurs ou étu- diants en médecine , âgés de moins de 30 ans révolus le jour de l'o
Paul .1. MoBfus, ancien privât docent de neurologie à la Faculté de médecine de Leipzig. 11 avait publié d'intéressants ouvrag
la vie et les travaux de F.-J. Gall. La même année, à la Faculté de Médecine de Lyon, le docteur Lélang avait présenté une e
. Brochure grand in-8° de 180 pages. - DELASIAUVE (J.) Journal de médecine mentale, résu- mant au point de vue médico-psyc
les et morales, à l'usage des médecins praticiens, des étudiants en médecine , des jurisconsultes, des administrateurs et des
eil général, deux membres choisis par le préfet, dont un docteur en médecine , un juge titulaire ou suppléant, dé- signé par
fet après avis du Conseil général. Ils peuvent exercer librement la médecine . Leur nombre sera déter- miné pour chaque asile
l est joint à cette déclaration un rapport dressé par un docteur en médecine , conformément aux prescriptions des paragraphes
la prudence et les précautions voulues, a mérité do prendre rang en médecine et se place, dans certaines maladies, bien au-
r cela sa personnalité consciente. Le cas de Soleillant devant la médecine psychiatrique M. Félix Régnaui.t. Les journaux
ne. Concours pour la nomi- nation aux places d'interne titulaire en médecine , dans les Asiles publics d'aliénés du départeme
un Concours pour la nomina- tion aux places d'Interne titulaire en Médecine dans lesdits éta- blissements. Les candidats qu
lités à remplir : Pourront prendra.part au Concours des Docteurs en Médecine munis du diplôme délivrés par les Facultés de l
ivrés par les Facultés de l'Etat et les Elu- diantsou Etudiantes en médecine , sans distinction de nationa- lité, possédant s
iciaire ; 3° Certificat de revaccination ; 4° Diplôme de docteur en médecine ou certificat de seize inscriptions prises dans
t de seize inscriptions prises dans une des Facultés ou ' Ecoles de médecine de l'Etat. Ce dernier certificat devra indiquer
te de trois heures, sur un sujet de pathologie externe 268 VARIA ( médecine et chirurgie). Il sera accordé trente points pour
iate à tenir par le médecin en présence d'un cas clinique urgent de médecine , de chirurgie ou d'obstétrique. Seront seuls ad
Asile public D'ALIÉNÉS de CLERMONT (Oise). - Une place d'interne de médecine est actuellement vacante àl'Asile des alié- nés
en quelques mois en démence catatoni- que. 11. \.... étudiant en médecine , âge de 30 ans. Débuta 18 ans pai une longue pé
conditions. Sont ad- mis à concourir : les membres de l'Académie de médecine , les pro- fesseurs et agrégés des facultés de m
'Académie de médecine, les pro- fesseurs et agrégés des facultés de médecine , les docteurs en méde- cine ayant rempli pendan
d'un asile d'a- liénés ou des quartiers d'hospices, les docteurs en médecine qui, s'étant distingués par leur enseignement o
que sur l'état mental de la personne à placer.signé d'un docteur en médecine et dûment légalisé. Ce rapport doit être circon
cureur de la République, et il est provisoirement sur- 340 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. sis à la sortie. Ce sursis provisoire c
t pas ici d'une diminution de décharge thermique, non plus REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 341 que d'une rétention thermique, car
ution de la différenciation du sens musculaire est pré 342 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. coce dans la paralysie générale, où nou
s ? Probablement d'une organisation défectueuse des neuro- REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. , 313 nes ou d'une déchéance moléculair
teur réclame, cn'particulier, l'extension de plus eu 344 REVU[-- DE MÉDECINE LÉGALE. plus grande des différents modes d'assi
te fait tous les ans des leçons sur les maladies mentales et sur la médecine légale des aliénés. Tous les ans, la Gazelle Mé
LIÉNÉS de LESVELLEC, prés Vannes PIORBIHAN;. Un poste Il'interne en médecine est vacant a l'asile d'aliénés de Les- vellec p
Cours LIBRE DE PSYCHOP.\THOLOGIE du TUBE digestif LA FA· culté DE médecine de Paris (2° semestre de l'année scolaire 190fo
édecin de la Sal- pêfrière ancien chef de clinique de la faculté de médecine de Paris, expert près les tribunaux, reprendra
vais le démontrer tout de suite. A Toulouse, en 1897, au Congrès de Médecine mentale, dans un rapport sur l'organisation méd
ec Es- quirol que tout est médical dans un asile d'aliénés,que la médecine doit y avoir la haute main. » - « La sépara- ti
assification pathologique de l'idiotie. Au Congrès International de Médecine de Paris de 1900 Shuttleworth et Beach ainsi qu
omes neurasthénifor- mes ; par le Dr Crocq. (Bulletin de la Soc. de médecine mentale de Belgique, décembre 1906.) L'auteur
toire et ses résultats ; par le Dr ME au s. (Bulletin de la Soc. de médecine mentale de Belgique,décembre 1906). Après un
tionale de Charenton. Asiles de la Seine. Concours DE l'Internat EN médecine (1907). Le Concours s'est ouvert le S avril à 2
écrite sur un sujet de pathologie interne et de pathologie externe ( médecine et chirur- gie). Les candidats ont eu à traiter
ans l'une étaient : Métrorrhagies, Coma. domination des Internes en médecine des asiles, titulaires et pro- visoires en 1907
). Le docteur FOYE \U de COURII : Ll.ES, lau- réat de l'Académie de médecine , licencié ès sciences physiques et naturelles,
15 avril, à six heures du soir, à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine de Paris, amphithéâtre Cru 1'eilhicl', et le co
ues relativement à la paralysie générale, par A. Marie. (Revue de Médecine , mai 1906.) Au cours d'une mission en Egypte et
ologie nerveuse. 497 intéressants à rapprocher de ceux rapportés en médecine humaine qui ont pu être suivis d'autopsie et da
n 1852, Féré avait commencé ses études à Rouen, dans cette Ecole de médecine qui façonne avec tant de vigueur et de science
sité s'impose. B.P. X11L - Le roman scientifique d'Emile Zola. - La Médecine et les / ! onpoM-3/< ! cna)'t : par le Dr He
procédés de complai- sance sont encore de mise dans les données de médecine géné- rale ; l'intéressant personnage qu'est le
grès. Le Congrès comprend : 1° Des membres adhérents (docteurs en médecine ) ; 2° Des membres associés (dames, membres de la
2° Des membres associés (dames, membres de la famille, étudiants en médecine , présentés par un membre adhé- rent). Les asile
cins-adjoints des asiles viennent d'être nommés agrégés (Section de Médecine ), ,,1. le Dr LÉPINE, fils de notre ami, le prof
eine. Concours de l'In- 34 530 TABLE DES MATIERES . ternat en médecine (1907), p. 447. Amaurose permanente soudaine
Cours libre de psychopathologie du tube digestif à la Faculté de médecine de Paris, p. 331 ? libre sur les névroses et ps
l'état mental ; par Lewis Bruce, p.6 1. 4. Marche. Voir Phobie. Médecine psychiatrique. Le cas de Soleillant devant la -
sy et Roussy, p. 502. Zola. Le roman scientifique d'Emile -. La médecine et les Rougon-\Iacquart ; par Mar- tineau, p.
43 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
1889 Vol. XVII. Janvier 1889. N° 49 ARCHIVES DE NEUROLOGIE ' MÉDECINE LÉGALE . t 1 . .. QUELQUES FAITS MEDICO-LEGAU
mon égard et m'ont forcé à être plus Archives, t. XVII. ' l 2' * MÉDECINE LÉGALE. inhumain qu'eux. L'huissier avait saisi
crit sous le nom de persécutés persécuteurs. Cette tendance aux 4 MÉDECINE LÉGALE. idées de persécution sans hallucination
bondantes et presque continuelles, cela depuis plusieurs mois. (5 MÉDECINE LÉGALE. L'ensemble des faits nous porte à voir
du 16 novembre 1888. l'fi 1 nn M. Cotard. Congrès international de médecine mentale. )I. LI : SECnÉrvnF général fait connaî
des travaux du comité d'orga- nisation du Congrès international de médecine mentale de 1889. Ce congrès se tiendra au grand
889. Ce congrès se tiendra au grand amphithéâtre de la faculté de médecine du 19 au 24 août. Il comprendra des membres fon-
tablissements spéciaux, publics et privés. Rapporteur M. Bail. c. Médecine légale. De la responsabilité des alcoolisés. Ra
rt, a admis le sys- tème d'un rapport unique signé d'un docteur' en médecine . C'est cette rédaction qui doit être mise aux v
ami, M. Paul Loye, préparateur de physiologie à la Sor- bonne et de médecine légale à la Faculté, dont les lecteurs du Progr
rtent à la physio- logie pure et d'autres qui sont du domaine de la médecine légale. A la première de ces sciences se rattac
et du somnambulisme dans leurs rapports avec la jurisprudence et la médecine légale'; par M. J. Liégeois, pro- 1 9e édition,
on médecins commettent oui ou non le délit d'exercice illégal de la médecine , toutes choses qui méritaient bien, ce nous sem
mblent pas exister par lui. Quant au délit d'exercice illégal de la médecine , quant à la question qui se pose partout aujour
ment l'hypnotisme, mais encore que cette ignorance des choses de la médecine est un avantage dans l'espèce. II parait, en ef
il est beaucoup plus utile d'avoir fait des études de droit que de médecine - l'auteur de cela, nous écrit-il (p. V.) : « L
r de cela, nous écrit-il (p. V.) : « Les phénomènes hypnotiques, en médecine , c'est ou peu s'en faut une révolution. Je suis
rappellerai que Pasteur a fait d'assez belles décou- vertes, que la médecine semble destinée à utiliser chaque jour davantag
a réponse estaccep- lable, mais croit-on, puisque M. Liégeois parle médecine légale, qu'un tribunal déclarera non simulateur
lème. On prendrait pour centre des villes possédant des facultés de médecine ou des Ecoles préparatoires, comme Nancy, Lyon,
pour les mé- decins des hôpitaux et les professeurs des facultés de médecine de toutes les grandes villes-. Cette suprématie
chacune d'elles soit une faculté, soit une Ecole prépara- toire de médecine . » M. Donnet, après avoir rappelé que, suivant
r centre de chacune, d'eues les villes qui possèdent une Faculté de médecine de l'Etat. Les candidats devront être docteur
lté de médecine de l'Etat. Les candidats devront être docteurs en médecine de l'une desdites Facultés de l'Etat et de nati
ux scientifiques de contribuer à la bonne renommée de la Faculté de médecine de Paris. Ces raisons n'ont pas été acceptées
nts et on rendrait d'inconleslables services à l'enseignement de la médecine mentale'. ' Le jury Ju concours des médecins al
te que « un- professeur de la Faculté ou de l'Ecole préparatoire de médecine , suivant le cas, pourra être dé- signé aux lieu
hef des asiles de la région; 2° d'un inspecteur général, docteur en médecine ; - 3" d'un professeur désigné pur la Faculté de
docteur en médecine; - 3" d'un professeur désigné pur la Faculté de médecine ; 4° d'un juge suppléant. -Les médecins en chef
u exlerne ; 6) une question portant sur la pathologie mentale et la médecine légale des aliénés. La Commission a été unanime
m des points sera de trente; 21 Une question orale portant sur la médecine et la chirurgie ordi- naires, pour laquelle il
es asiles d'aliénés, situés dans le voisi- nage des six Facultés de médecine de France. La Commission s'est réuniele mercred
centre de chacune d'elles, les villes qui possèdent une Faculté de médecine de l'Etat. Les candidats devront être docteurs
des asiles de la région ; 2° ,d'un inspecteur général, docteur en médecine ; 3° d'un professeur désigné par la Faculté de mé
mum des points sera de trente. 2° Une question orale portant sur la médecine et la chirurgie ordinaires, pour laquelle il se
Asiles publics d'aliénés, arrête : Article premier. Les docteurs en médecine .nommés par la voie du concours internes dans l
cours à ouvrir eu 1888, il convient de tenir compte aux docteurs en médecine du stage qu'ils peuvent avoir accompli comme in
l'arrêté ministériel du 18 juillet 1888 susvisé, les doc- teurs en médecine remplissant les conditions, autres que celle de
ir le numéro du Progrès médical du 15 septembre). Les docteurs en médecine satisfaisant aux conditions détermi- nées par l
'une décision ministérielle spéciale du 19 octobre, les docteurs en médecine âgés de plus de 30 ans, mais remplissant les au
les renseigne- ments que nous avons reçu. Région de la Faculté de médecine (le Lille. Jury : MM. le Dl Napias, inspecteur
decin en chef de Fasile de Prémontré; le De Castiaux, professeur de médecine légale à la Faculté de Lille. Epreuves : 1° Epr
p. orale, 14 sur 20; Ep. clinique, 26 sur 30. Région delà Facultéde médecine de Paris.-Le concours s'est ou- vert le 26 déce
sance de l'État, président; le Dr Bail, délégué de la Faculté de médecine de Paris; le Dr Magnan, médecin de l'asile Sainte
du jury, pour leurs brillantes épreuves. Région de la Faculté de médecine de Nancy. Deux candidats. Jury : Président : M.
re et delà Salpètrière y prennent part. Concours pour l'internat en médecine . Le jury est ainsi composé : médecins des asile
s, a fini par fixer l'attention et finira par aboutir. Faculté DE médecine DE MoNTPELLIER. M. Mairet, vient d'être nommé p
orwich (Anelctcrrr), membre correspondant étranger de l'Académie de médecine . De l'Aphasie sensorielle. Dans les dernières a
lt; ? f<« sur )'M/te;7/ct<)t, 1882. ! Bulletin de l'Académie de Médecine , t. XXV, p. 828. 3 Der Apkasische Symptomen cor
n, p. ` ? i3. °8É, 288. 'Schafer Op. cil., p. 3, et 7. 3 Revue de Médecine , lévrier 1888, p. 132. 22'l Il PATHOLOGIE NERVE
noeuvres hypnotiqnes quelconques, il est abso- lument étranger à la médecine et n'a jamais assisté à aucune expérience sur l
T LA NEUROLOGIE5; Par F. RAYMOND, professeur agrégé à la Faculté de médecine , médecin de l'hôpital Saint-Antoine. La premi
e les magnétiseurs coupables tout au moins d'exercice illégal de la médecine . Pour l'hypnotisme criminel, on ne peut que met
a loi, en créant dans chaque faculté de droit un enseignement de la médecine légale dans lequel une large part, sera faite à
heureusement, est loin d'être complètement élu- cidé, à savoir : la médecine légale et la thérapeutique, dans leurs rapports
son grade). - 111. le Dr GosseLm, professeur-suppléant à l'école de médecine de Caen, est nommé médecin de l'asile d'alié- n
s thèses inaugurales soutenues en 1888 ou 1889 dans les facultés de médecine de France, sur un sujet de pathologie mentale et
du somnambulisme dans leurs rap- ports avec la jurisprudence et la médecine légale. Volume in-12 de 758 pages. - Paris, z.
sultats fondés sur cette méthode, quoique très importants pour la médecine , paraissent trop vagues et incom- AncmvES, t. X
T LA NEUROLOGIE'; Par F. RAYMOND, professeur agrégé à la Faculté de médecine , médecin de l'hôpital Saint-Antoine. V. DES L
ée sous la direction de M. Moc- xoutkowsky, agrégé de la Faculté de médecine de Saint-Pé- tersbourg. Nous y avons vu, pour l
troubles intellectuels occa- sionnés par des cysticerques. Revue de Médecine , 1886. Un cas de paralysie ascendanle aiguë de,
giques du grand sym- pathique dans la paralysie générale.- Revue de Médecine , 1886. 478 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Po
itution des cordons postérieurs de la moelle chez l'homme. Revue de Médecine , n° 14, 1887. Pototsky. Du plexus lombo-sacré.
Rorowitcb. Contribution à l'étude de la glande thyroïde. Revue de médecine , n° 14, 1886. Des conséquences de l'extirpation
, Par le D' G. CousoT. Dans le n° 51 du Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique (1888), M. le D'' G. CousoT
e. Nous n'aurons pas, pour cela, Messieurs, adressé à la Société de médecine mentale de Belgique une classification complète
rend compte des difficultés de ce diagnostic au point de vue de la médecine légale. M. le Dr ZENNER dit que les phénomènes
s études du droit, et suivant son goût, il se livra à l'étude de la médecine . Il se fit recevoir doc- teur d'abord à la Facu
Saint-Venant (compris dans la 3e classe). Congrès international DE médecine mentale. La Société médico-psychologique a déci
nce du 29 octobre 1888 l'organisation d'un Congrès international de médecine mentale qui se tiendra à Paris du 5 au 10 août
la pathologie mentale, l'assistance publique, la législation et la médecine légale des aliénés pourront être sou- mis au Co
t. Le Comité espère que tous ceux qui s'intéressent aux études de médecine mentale, aux questions si délicates d'assistance
uestions si délicates d'assistance publi- que, de législation et de médecine légale des aliénés, voudront bien prendre part
issements spéciaux, publics et privés. Rapporteur, M. B. Ball. III. Médecine légale : De la responsabilité des alcoolisés. R
(B.), professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Paris, membre de l'Acadé- mie de médecine, v
ntales à la Faculté de médecine de Paris, membre de l'Acadé- mie de médecine , vice-président de la Société médico-psycholo-
ologique. Membres du Comité. MM. BLANCHE, mem- bre de l'Académie de médecine ; CoranD, médecin de la maison de santé de Vanv
de l'asile Sainte-Anne ; Motet secrétaire général de la Société de médecine légale ; Voisin (Aug.), médecin de la Salpêtriè
1; - de l'association des médecins anglais, 122; international de médecine men- tale, 118; des médecins et chi- rurgiens
44 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie
culté de médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). F.
eur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris. COLLABORATEUR ? - PRINCIPAUX MM.
du mouton. Fia. 11. Les trois malades fin septembre 1895. t) 8 MÉDECINE LÉGALE. L'action de là glande, dans ces cas, es
oissement de la taille en fournit la démonstration péremptoire 3. MÉDECINE LÉGALE. ATAXIE LOCOMOTRICE ET FOLIE SIMULÉES.
it, ancien interne des hôpitaux de Paris, pro- fesseur à l'école de médecine de Rennes, : a publié en détail dans les Annale
.) 1 Annales de Lourdes, novembre-décembre 1889, janvier 1890. 30 MÉDECINE LÉGALE. ville. Le 23 décembre 1893, il demande
ville a envoyé chercher des agents et on m'a arrêté. » , 1 32 ' - MÉDECINE LÉGALE. Le système de défense adopté par Delann
; · · Par le D' M. KLIPPEL. Chef de laboratoire de la Faculté de médecine . (Clinique du professeur Joffroy.) La questio
ci l'ancelonaie pathologique de la paralysie générale. (Congrès de Médecine mentale. Blois, 1893.) 1 Minnich. Zeilsclu'illl
e Gombault, etc. Ce sont du côté des 1 Klippel et Durante. Revue de médecine , 1895, et Durante. Soc. Anal., 1895. 1 Loc. c
udo-hypertrophique qui loin de représenter .une surac- 1 Congrès de médecine de Bordeaux, 1895. COMMENT DÉBUTENT LES DÉGÉNÉR
r le brome, l'antipyrine, la nicotine, etc. (Al'ch. hon- groises de médecine , t. II.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 45 com
. IX. Sur LE traitement thyroïdien, son histoire ET son emploi en médecine interne; par S.-J. -'¡ETLZER. (The-New 1'01'" méd
les localisations pas plus que la chirurgie cranio-cérébrale et la médecine mentale n'ayant dit leur dernier mot. L. A. Mar
é proposé pour la pre- mier fois par Quincke au Congrès allemand de médecine de 1891. Celle méthode repose sur la donnée que
tants. Un magistrat, ne pouvant qu'être incom- pétent en matière de médecine , devra toujours recourir aux lu- mières d'un ex
mbre 1895). Asile d'aliénés DE la SEINE. Concours de. l'internat en médecine . Ce concours s'est ouvert le 2 décembre; 57 can
n, Talamon et Caput : Asile de Bnov. Le concours pour l'internat en médecine de l'asile de Bron vient de se terminer par les
M. Lamy, Grousset et Bouveyron. - Archives russes de pathologie, de médecine ET DE D\CTéIllOLO- (dE, publiées sous la direct
se de tous les articles originaux).7fA't)'c/t/f'M de Pathologie, de Médecine clinique el de Bactériologie publieront : I. Des
nés. Brochure in- de 11 pages. Extrait du Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique. 1891. CAU\IVE.1U. Un nouve
es. On peut aussi employer un faisceau de chiendent qui donne une médecine sociale. 117 sensation de fraîcheur. C'est là,
git dans ce cas comme le traitement thyroïdien. or L.-R. REGNIER. MÉDECINE SOCIALE. SUR LE rôle FUTUR DU MÉDECIN dans LE t
La grande notoriété de l'auteur, la remarquable largeur de vues 118 MÉDECINE SOCIALE. qu'il apporte dans l'examen de la ques
la population ; voici, pour les Etats-Unis, les chiffres précis : MÉDECINE SOCIALE. 119 En matière de crime et de peine, i
ut se garder d'une senti- mentalité qui serait aussi déplacée qu'en médecine ou en chirur- gie. Le crime est une lésion du c
raitement des criminels se résoudra en deux ordres de mesures : 120 MÉDECINE SOCIALE. mesures de réforme et d'amendement pou
entraîner. La distinction de llavelock Ellis entre le criminel pro- MÉDECINE SOCIALE. 121 1 fessionnel et le criminel-né de
t un malheureux qu'il faut traiter avec soin et protéger contre 122 MÉDECINE SOCIALE. les influences extérieures nocives qui
'observation dont il est l'objet à la prison ou à la maison de cor- MÉDECINE SOCIALE. 123 rection ; et un prisonnier, âgé de
correction (Reformatory) d'El- mira, dans l'Etat de New-York. 124 MÉDECINE SOCIALE. Le système de cette maison, qu'il sera
soit; 4° l'éloignement d'un milieu et de fréquentations dont l'ac- MÉDECINE SOCIALE. 12S tion est démoralisante; 5° l'éduca
tre'un crime. Qu'on les enferme si l'on veut; mais pas au nom de la médecine mentale. Us doivent être con- damnés comme de v
ment du service médical de nos asiles : le corps des internes en médecine . Cette institution est-elle au moins capable d'at
étours ni réticences, la vérité. Revenons au corps de l'internat en médecine des asiles. Quel est le rôle de l'interne dans
on sur la 1'evision de la loi de 1838. Comptes rendus du Congrès de médecine mentale de Lyon, 7 août 1891. Masson, 1892. 158
à fait étrangères, telles que travaux pratiques de dissec- tion, de médecine opératoire, d'anatomie pathologique, stage d'ac
mme un bagage inutile, pourraient-ils s'intéresser aux choses de la médecine mentale et à la tâche toute spéciale qui leur e
s éminents pour leur enseigner ce qu'il leur importe de savoir : la médecine interne, 'Grâce à l'initiative et à la persévér
s au concours. Peuvent prendre part à ce concours, les étudiants en médecine pour- vus de huit inscriptions au moins et âgés
ccouchements'. On ne saurait, certes, en vouloir à des étudiants en médecine de chercher à dévelop- per leur instruction méd
sentiellement provisoire, ils se désintéressent plus ou moins de la médecine mentale et du traitement des aliénés. Nous n'en
oute le dévouement et les qualités professionnelles des internes en médecine de nos asiles. Si un grand nombre d'entre eux n
re internes (titulaires ou provisoires, parfois même étudiants en médecine n'ayant point pris part au concours) se succéder
nés, il arrive qu'un certain nombre d'internes prennent goût à la médecine mentale, et se sentent attirés vers la carrière d
e craignons pas de nous répéter ayant en vue d'exercer plus tard la médecine ordinaire, ne saurait se passionner pour l'étud
de la correspondance avec les familles, et rédigent des rapports de médecine légale. Ces détails suffisent pour montrer la d
ion qui est jointe au dossier du malade. 'Le nombre des internes en médecine des asiles de la Seine s'élève à dix-sent. Ils
par MM. G. MARINESCO et Paul SÉRIEUX. (Mémoires de l'Académie de médecine de Belgique, XIV, fasc. 2, 1895.) Ce travail, b
nographies : les Dégénérescences psychiques, dans l'Encyclopédie de médecine légale de Maschka (1882); la Folie morale (1879),
page de l'éloge de Gubler prononcé -par M. Bergeron à l'Académie de médecine . L'éloquent secrétaire perpétuel y rappelle en
st-à- dire quatre années d'études, et d'autoriser les docteurs en médecine à prendre part au concours'. Les épreuves du co
'est le nom que leur donne le Règlement), en assistants docteurs en médecine . Dans ce but, on peut, non pas imiter servileme
de tout candidat à l'internat des hôpitaux le titre de doc- teur en médecine . Les considérations dans lesquelles entre l'auteu
struction des internes est suffisante, qu'ils ont cinq à six ans de médecine . u Le concours ne sera pas encombré de jeunes g
« Pourquoi, dit-il, les internes les plus anciens, docteurs en « médecine , ayant passé un concours spécial d'internat, et f
ats, etc.), que la loi les auto- « rise à exercer comme docteurs en médecine ? Ces assistants, « internes transformés, serai
ssements ; 2° Pourront prendre part au concours, les étudiants en médecine pourvus de seize inscriptions prises dans une Fac
e inscriptions prises dans une Faculté française et les docteurs en médecine , âgés de moins de trente ans; 3° L'épreuve éc
quels on va choisir les internes ont des connaissances sérieuses en médecine et non pas s'ils sont déjà des spécialistes en
Jahrb. f. Psychiatrie, t. XIV, f. 1, 2'.) P. Sérieux. Congrès DE médecine mentale ET NERVEUSE. Le septième Congrès annuel
ancy, sous la présidence de M. le De Pitres, doyen de la Faculté de Médecine de Bordeaux. Le programme comprendra : I. Quest
de Lyon, Bordeaux, Nancy, Montpellier et Toulouse. Les docteurs en médecine satisfaisant aux conditions énumérées dans les
e quelque temps, devint Archives, 2e série, t. I. 19 290 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. , flasque en même temps que disparaissa
atilique mais ne pense pas que l'amnésie puisse être invo- REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 291 quée pour excuser le parjure. L'hys
(Annales médico-psycholo- giques, mai 1895). E. B. 292 , REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. ' IV. Les MESURES législatives CONTRE L
plus grande ingénuité s'est-il livré à la divination ainsi qu'à la médecine , faisant de nombreuses dupes dans ce coin perdu
e. (Annales médico-psychocogiques, oct. 189 : i.) E. 13. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 293 VI. DE l'évidence DE l'état S11V de
énés ET LE droit civil; par le D'' L. DERODE. (Bzlll. de la Soc. de Médecine Ment, de Belgique, décembre 1894.) On sait que,
pédéraste reste d'aspect masculin ; ses penchants sont 294 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE matériels et grossiers. La pédérastie es
e DES ÉPILEPTIQUES ; par le Dr 1\IASOIN. (Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique, décembre 1894.) L'auteur é
rêt énorme à deux points de vue bien différents : la clinique et la médecine légale. « Les troubles nerveux consécutifs aux
s explicatives; il rendra les plus grands services aux étudiants en médecine pour étudier ou repasser rapidement les différe
isque la récidive se manifeste au bout de quelque temps. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. Xi. L'ANALYSE D'UN crime; pai- Joseph L
'influence de ses idées délirantes, commit un meurtre. 336 REVUE DE MÉDECINE LEGALE. Condamné d'abord à mort par le tribunal
es et ont confirmé les idées de Bernheim et de Liébault. REVUE DE MÉDECINE LEGALE. 337 Quelques médecins légistes cependan
suicidés. Ces pénalités Archives, 2e série, t. I. 22 338 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. même sont ordinairement évitées, puisqu
s'en occuper; 2° déclarer que toute tentative de suicide, REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 339 suivie ou non de succès, constitue
afolie aussi bien que le mal social qui en est la conséquence. La médecine , d'un autre côté, dans un but à la fois pophylac-
'inversion génitale. (Rapp. : D'' lIAGtTOr, membre de l'Académie de médecine , à Paris.) 15. Relation entre la prédisposition
im., 1890, p. 540. 3 Déjerine. Soc. de biologie, 5 juillet 1890, et Médecine moderne, 10 juillet 1890. ' Bruhl. Contributi
après les avoir étudiés séparément; il fait ressortir le but de la médecine men- tale : d'une part faire l'histoire des mal
par excellence, ne peut avoir qu'une application bien restreinte en médecine mentale, et que, même employée complè- tement e
d'observatio il reproche de n'avoir pas encore déterminé de lois en médecine mentale, l'aliénation mentale n'ayant été jusqu
ques, 84. 1 IIe - international de psychologie à Munich, 88. - de médecine men- tale et nerveuse, 254. - des mé- decins
-, par Sieglitz, 62. Traitement -, son histoire et son emploi en médecine interne, par Metzler, ri3. Tics convllsifs. T
45 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
près avoir épuisé, sans pouvoir guérir, toutes les ressources de la médecine et de la pharmacie, l’avait prié d’aller consulte
u de mécanique , à cause des phénomènes matériels, ou à l’Académie de médecine comme faits physiologiques. Quant à celle-ci, ell
ppeler quelques documents d’une valeur incontestable. — L’Académie de médecine chargea, en 1826, une commission d’examiner les f
nétisme la demoiselle Samson qui n’avait pu obtenir des secours de la médecine aucun soulagement, mais encore il a démontré de l
x trophées. Les rapports de la commission permanente de l’Académie de médecine ne sont pas seulement un titre de gloire pour M.
ui ont suivi des cures de maladies chroniques, de ces maladies que la médecine est impuissante à guérir, même souvent dont elle
oudrait, à moins d’une sorte d’amour héroïque pour la vérité, voir la médecine subir cette transformation ? Quel prix ne lui fau
e est rare ; plus rare encore est l’héroïsme anonyme. Le jour où la médecine aura reconnu que le magnétisme est trop vivace po
issant remède pour la soulager et même pour la guérir. D., élève en médecine . Cas de somnambulisme observé par M. le Dr Arch
gnétiseurs triomphent des attaques d’hystérie ; en est-il ainsi de la médecine ? Voici la réponse du professeur Piorry, un des pl
t s’appliquer à une foule de maladies nerveuses, contre lesquelles la médecine est très-souvent impuissante , tandis que le magn
usage public de la présente attestation. « Ch. de Vadréal, élève en médecine . » Expliquez-moi ce fait par une banalité de fo
ts, mourait à quatorze ans, après avoir épuisé tous les secours de la médecine . Mon ami avait une somnambule très-lucide, on le
l’enfer? Est-ce qu’il ne fut point un temps où l'on anathématisait la médecine aussi, parce qu’elle se mêlait de guérir les lèpr
blable, quoiqu’elle ne soit pas sans précédent dans les annales de la médecine . d Cette jeune personne est continuellement dan
Magnétiseurs, vous en savez plus que les médecins sur la véritable médecine ; continuez votre active propagande et le jour du
eur. VARIÉTÉS. I.E LOUSTIC DE LA FACULTÉ. Parmi les journaux de médecine , il en est plusieurs qui reconnaissent la réalité
out pas les seuls qui aient cette prétention , et il me semble que la médecine n’a pas d’autre but. M. Latour serait-il désabusé
lité de sa part; car, pour ne mentionner qu’une des découvertes de la médecine , ne peut-elle pas, par l’emploi du chloroforme, i
observer que l’insuccès doit rendre modeste, et que le champion de la médecine n’a pas à se glorifier du fait qu’il nous raconte
somnambule, en serait-il bien plus avancé? N’arrive-t-il jamais à la médecine de se tromper? Hélas ! il nous en donne un frappa
tition exacte de ce qui s’est passé toutes les fois que l’Académie de médecine a voulu intervenir dans cette question, toutes le
ulière, comme émanant du rapporteur d’une commission de l’Académie de médecine ? N’a-t-il jamais entendu parler des débats auxqu
ture de toutes les portes, pour soulager et guérir les malades que la médecine ne peut guérir et qu'elle condamne à vivre avec l
Et l’homœopathie ne se trouve-t-elle pas aussi en dissidence avec la médecine officielle? Ne voyons-nous pas encore de grands
e l’espèce humaine. DARHIEAU, Médecin. POLÉMIQUE. DÉBÂCLE DE LA MÉDECINE . Depuis bien des siècles, la médecine a été en
POLÉMIQUE. DÉBÂCLE DE LA MÉDECINE. Depuis bien des siècles, la médecine a été en butte à des attaques de tout genre-, on
tout prix un régime qui les protège ou une issue qui les sauve... La médecine est mise à la portée de toutes les intelligences,
vide qui se fait autour de nous et rendront bientôt l’exercice de la médecine plus stérile encore que laborieux. — Nos progrès
névitable où disparaîtra, pour sa plus grande part, la pratique de la médecine , en même temps que, par une action corrélative, n
t réduits... à faire, dans quelques journaux, l’oraison funèbre de la médecine . Comment avoir le cœur assez dur pour ne pas s’in
imprécations, contiennent un principe de vie, et que c’est là que la médecine doit trouver sa régénération ? Le magnétisme déve
iel : guérissez ; la théorie se fera plus tard, si c’est possible. La médecine officielle n’est-elle pas, en grande partie, empi
ous voulons tous, faire descendre dans la famille les principes d’une médecine naturelle, bien supérieure à celle enseignée dans
ons point, Messieurs, tous les systèmes des sciences vont crouler; la médecine , la physiologie, la fausse philosophie, ne pourro
à traiter certaines névroses si rebelles aux moyens curatifs de la médecine ordinaire, et m'offre d’entreprendre le traitemen
guérit directement, mais encore il improvise des médecins ; c’est une médecine tout entière, la science de la médecine naturelle
vise des médecins ; c’est une médecine tout entière, la science de la médecine naturelle qui doit fort donner à penser à la méde
a science de la médecine naturelle qui doit fort donner à penser à la médecine des écoles. Quoi donc d’étonnant si, dès sa premi
uratif. Ce ne sont pas les malades qui manquent, pas même ceux que la médecine a prononcés incurables; ce sont les opérateurs, c
e docteur Koreff l’était en parlant des hautes classes : moment où la médecine officielle, à bout de dénégations absurdes, et en
forcée par l'opinion publique, s’emparera du magnétisme, cette unique médecine de la nature, pour l’étouffer tout doucement dans
le faux semblant de s’en laire un auxiliaire, alors que c’est à elle, médecine des écoles, que revient cet humble rôle. Donc,
qui n’est rien moins que prouvés, que ce bienfait du Créateur, cette médecine de la nature, ce précieux reste de la puissance a
n’est plus seulement adulte, mais qu’il est viril, majeur, et que la médecine des écoles a cessé d'être. Pardon de cette nouv
s et regardés comme miraculeux , sont rejetés comme des fables par la médecine officielle. Les magnétiseurs, — avec raison suiva
rir et m’empêchait de marcher depuis dix-huit jours, et h laquelle la médecine officielle pronostiquait encore un long cours. Co
e radicale et de l’attester par sa signature. G. CARAMAGNA, Dr en médecine et en chirurgie. San-Damiano d’Asti, 11 mai 185
lle médication appartenait réellement la guérison. SIR1ATI. Dr en médecine et en chirurgie. Milan , avril 1856. Le docte
entes convulsions contre lesquelles échouèrent tous les efforts de la médecine . C’est vers cette époque qu’elle entra à mon se
cuisse et de la jambe, inutilement traité par tous les moyens de la médecine . (En 4 mois.) Un cas d’épilepsie, remontant à s
j’ai à faire : c’est cette opposition injuste et ignorante contre la médecine ... En vérité, on dirait que toutes les maladies s
nutiles prétentions! La science qui étudie l’homme est complexe et la médecine est loin d’être nulle. La science officielle est
dire, dès ce jour, le magnétisme n’y a point effacé les vérités de la médecine , et la médecine n’a pu se passer du magnétisme. T
r, le magnétisme n’y a point effacé les vérités de la médecine, et la médecine n’a pu se passer du magnétisme. Tout mûrit à son
ux besoins de l’organisme. C’est ainsi que, par une combinaison de la médecine naturelle et de la médecine artificielle, il a ét
’est ainsi que, par une combinaison de la médecine naturelle et de la médecine artificielle, il a été possible de guérir une des
nous renfermer dans notre spécialité et nos aptitudes , je dirai : La médecine sera toujours un art et une science, et il y aura
lle, comparaissait sous la double prévention d’exercice illégal de la médecine et d’escroquerie. Voici les faits curieux et étra
ui-même un peu après sa sortie du bain, et les premiers secours de la médecine n’avaient pu le ranimer. M. Marcillet, s’approcha
est tout bonnement un rébus. 11 y a des gens chez qui le goût d’une médecine noire provoque la nausée, d’autres que l’odeur d’
scie qu’on afl'ùte agace presque tout le monde. — Quant à nous, notre médecine , notre bête puante, notre araignée, notre crapaud
icences. A. PETIT D ORMOV. DE LA CATALEPSIE, par Puel, docteur en médecine , mémoire couronné par l’Académie impériale de m
, docteur en médecine, mémoire couronné par l’Académie impériale de médecine . Brochure in-4. Paris, Baillière, 1856. La ca
et les extatiques ; enfin cette maladie, qui fait le désespoir de la médecine ordinaire, cède au magnétisme, et c’est un des ca
es moyens employés pour la combattre, conclut à l’impuissance de la médecine . « J'avais essayé, dit-il, de mettre une sorte de
rs, pourvu que la chose soit acceptée. Peut-être même l’Académie de médecine , pour ménager son amour-propre, inventera-t-elle
judicieux docteur Husson, dans son excellent rapport à l’Académie de médecine sur le magnétisme, rapporte qu’un malade, devenu
s évidente sur la réalité du magnétisme ; réalité que les journaux de médecine prennent à tâche de dissimuler au public avec le
ois , l’ont envoyée au tribunal d’Avesnes pour exercice illégal de la médecine ; mais toujours elle a été absoute, et elle s’est
de siècle en siècle. Qui sait s’il n’en sera pas ainsi de ceux de la médecine actuelle, do ceux des prétendus corps savants à l
cation du magnétisme à la thérapeutique ; ce sera là, suivant lui, la médecine de l’avenir ; par là «. L’homme fera rayonner sa
apôtres ont été de sublimes médecins, s'ils ont doté l'humanité de la médecine de l'avenir, si le magnétisme curatif est un des
es membres les plus éminents, M. François Orioli, de Rome, docteur en médecine , professeur d’archéologie à l’université de Rome,
. Il y a surtout une notice fort bien faite sur Quelques médecins sam médecine . Elle commence ainsi ; « Est-il possible à des ho
rganisation. SOMNAMBULISME. — ESCROQUERIE. — EXERCICE ILLÉGAL DE LA MÉDECINE . Le rôle de la justice criminelle en face du so
ce correctionnelle sous la double prévention d’exercice illégal de la médecine et d’escroquerie. Le premier délit fut seul rec
érieux, appartenant au barreau, à la littérature, à l’industrie, à la médecine , au clergé mûme, se seront donné le détestable pl
qui lui a inspiré cette pensée , parce que l’âne savant a aussi en médecine de très-grands secrets à dévoiler et une très-gra
heim du 28 février 1856. M. Sicme/ink, à Amsterdam, qui pratique la médecine magnétique, n'est pas seulement doué de la force
ec une grande circonspection , ce ne doit être qu’un auxiliaire de la médecine et du magnétisme direct, et non un mode unique et
premiers travaux de la société , 45, 251 , 387. CLINIQUE. CAS DE MÉDECINE . — Maux guéris ou soulagés. Affaiblissement de
hommes au moyen de rapports sympathi- CONTROVERSES. Débâcle de la médecine . Lamentations de M. le docteur Sanderet sur l'env
89; — au Canada, 645; en Californie, 617. Tendances des journaux de médecine à l’égard du magnétisme, 106, 210, 254. Tribuna
orable au magnétisme, 609. Catalepsie (de la), par Puel, docteur en médecine .— Citations, analyse et examen au point de vue du
46 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Professeur de clinique des maladies mentales a la Faculté de médecine de Paris. ' V. MAGNAN Membre de l'Académie
é de médecine de Paris. ' V. MAGNAN Membre de l'Académie e de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Anne). F.
eur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris. COLLABORATEURS PRINCIPAUX MM. ABA
une névropathe dégénérée ; par 1\IARANDON DE MONTHYEL. (Journal de médecine et de chirurgie pratiques, janvier 1901, p. 02.
s oscillations rythmiques siégeant aux lèvres, au cou, aux REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 43 mains et aux pieds, diminuant sous l
névrogliques et des dilatations épendy- maires. ' G. D. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. I. L'affaire Waldstein à Prague : deux
le cas de complications, ne représente pas une forme de 4 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. folie : c'est une modification de l'éta
inion de notre éminent ami, le professeur Benedikt. (B.) REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 45 lement. Ces doctrines se divisent, e
et l'agraphie se complètent. 11 s'agit d'aphasie mo- 46 6 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. trice ; l'intelligence reste intacle, e
ts d'opinion deux à deux, l'aliéné fut renvoyé devant la Société de médecine , la plus haute institution médicale de la Russi
rtout et en tout lieu. Ils se transmettent par les paroles REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 47 et les gestes des personnes environn
asmodique de l'urèllere. M. BATEAU rapporte le cas d'un étudiant en médecine qui, atteint depuis trois mois mois d'un rétréc
on physique ou psy- chique. BIBLIOGRAPHIE. I. La pratique de la médecine mentale; par P. KERA V AL. (1901, Vigot frères,
lace à l'hygiène et à l'éducation physique. L'éducation, comme la médecine , est un art qui s'appuie sur une BIBLIOGRAPHIE.
me question ; rapport de M. Taguet. A 2 heures, séance à l'Ecole de médecine ; communications avec projections. Mardi 6 août.
de charbon. 1 . 1 Briand. Compte rendu du Congrès international de médecine men- tale, 1889. fallut. Annales d'hygiène pu
édecine men- tale, 1889. fallut. Annales d'hygiène publique el de médecine légale, 1893. $De Beauvais. Bulletin de la Soci
l de médecine légale, 1893. $De Beauvais. Bulletin de la Société de médecine légale, 1885. Tli,)msen. ctH ? <7<) ? Wbc
Wbc/te/ ! sc/i)' ? /7, 1888. 5 Brouardel. Bulletin de l'Académie de médecine , 1893. ° 'lrénel. Intoxication par C 0. (Gaz. h
du cadavre d'un nègre. L'au- topsie pratiquée par le professeur de médecine légale donna des résultats nuls, à cause de l'é
les Comptes rendus de la section de Xeurologie du Congr. intel ? de médecine de 1900. deux intéiessantes communications de M
ichi(tirii, III, 1898.) . . l Voyez XIIe Congrès international de médecine : Zur Pathogenese der Ilerderscheinungen bei de
sible M. 1 Cruchet et Aubaret. Un cas de cécité hystérique (Soc. de médecine et de chirurgie de Bordeaux, séance du 22 mars
Ginestous et de Fornel. Soc. anal. el phys. de Bordeaux. (Journ. de médecine de Bordeaux, 2r juin 1900, p. kJH-o7.) 3 Il. Pa
e de l'Intérieur, et de M. le D'' Chénieux, directeur de l'École de Médecine de Limoges, a présidé la séance d'ouverture à 1
r. (Applaudissements.) M. le D'' Ciiénieux, directeur de l'Ecole de Médecine , pro- nonce le discours suivant : Mon cher pr
dical de notre pays limousin, et en particulier celui de l'Ecole de médecine , qui vous compta parmi ses élèves; et que je re
noms qu'il faudrait tous citer. C'est encore au nom de l'Ecole de médecine et du corps médical de cette région que je vous a
nt pas vos seuls grands hommes. Monsieur le Directeur de l'Ecole de médecine , Au nom de l'Ecole de Limoges vous nous avez, v
S SAVANTES. 239 française, s'intéressent à l'une des branches de la médecine qui ont le plus progressé à notre époque, le mo
ndait, et dont la section de neurologie du congrès international de médecine de 1900 a proclamé la légitimité, par un vote q
pas loin de l'entendre et de l'écouter. , Parler dans un congrès de médecine mentale du péril alcoolique, c'est s'exposer au
eur; M. le De Raymondaud, père, directeur honoraire de l'Ecole de médecine ; M. le 1)" Chénieux, directeur de l'Ecole de méde
de l'Ecole de médecine; M. le 1)" Chénieux, directeur de l'Ecole de médecine ; M. le professeur Bouchard ; M. le D1' Bournevi
n, de Saint-Péters- bourg ; M. le De Motet, membre de l'Académie de médecine ; M. le professeur Pitres; M. le professeur Raym
res. Au champagne, M. le docteur DELOTTE, pro- fesseur à l'Ecole de Médecine , a pris la parole en ces termes : Mesdames, Mes
, M. le maire de la ville de Limoges, M. le directeur de l'école de médecine , vous ont ouvert solennellement les portes de n
thologie expérimentale du pro- fesseur Chantemesse, à la faculté de médecine de Paris, et, d'autre part, des recherches clin
n de tous. (A suivre.) BIBLIOGRAPHIE. IX. Thèses DE la Faculté DE MÉDECINE DE Bordeaux SUR les maladies mentales ET nerveu
Asile d'aliénés DE 1\aoGEaT (Haute-Vienne). - Un poste d'interne en médecine est vacant dans cet asile. Traitement argent 800
dire que quand on sait la syphilis et l'hystérie, on sait toute la médecine , car la syphilis détermine des lésions, et l'hy
s nerveux intermittents d'origine palustre ; par Broquit. (Revue le Médecine , mai 1901.) Observation prise à l'hôpital milit
a quinine. M. Il. XLIV. Polynévrite palustre ; par BorwT. (Revue de Médecine , - mai 1901.) Un cas de polynévrite dû au pal
s. M. liauEL. XLV. La névrose d'angoisse : par HAMEMBERG. (Revue de Médecine , juin 1901.) Frend a décrit déjà sous ce nom
plète, l'indication d'un travail publié en 1884, dans la lieviie de médecine , par 11. Maurice de Fleury, alors mon interne,
337 sière, maire de Limoges, M. Chénieux, directeur de l'école de médecine , la plupart des médecins de la ville, parmi les-
quer quelques-unes : 1° Dans les cas 1 E. Régis. Manuel pratique de médecine mentale, 2 édition, 1892. 2 Pitres et Régis. L'
chien (en collaboration avec M. le professeur a-. GILBERT Ballet). Médecine moderne, 29 mars 1899. Contribution à l'anatomi
lire dans les maladies aiguës (en collaboration avec G. DES%'AULX). Médecine moderne, août 1899. Sur un syndrome mental fréque
maladies infectieuses (Communications au Congrès de 1900, Palis, et Médecine moderne, août 1900). M. Gilbert* Ballet affirme
par le Dr Prosper Leuarsrar, membre correspondant de l'Académie de médecine . Catatonie et insuffisance rénale. N11. RLCrs
e : Les tics en général, M. le Dr Noguès, rapporteur. Question de médecine légale : Les auto-accusateurs au point de vue m
pourront être ajournées. 12 observations inédites. - DEVAY. Xfl. Médecine légale des aliénés ; par VON KluFFT-EmNG. Trad.
resse du sommeil, des états passionnels normaux font entrer dans la médecine légale des faits qu'on n'en rapproche en généra
ntal istes. l'. Itl'LLaS-. XIV. Epilepsie. Traitement, ass'sia/lce, médecine légale : par P. liov : l.cvsco. 1 vol. in-13. P
Facultés ou des Ecoles prépara- 420 SOCIÉTÉS SAVANTES. toires de médecine ; sur l'utilité qu'il y aurait à ce que le progra
si partout où, à côté de la ville qui a une Faculté ou une Ecole de médecine , il y a un asile. SI. BRIAND met en parallèle l
s dans les Asiles situés au voisinage des Facultés ou des écoles de Médecine . M. BouRNEVILLE répète que c'est dans les ville
s les villes où siègent les Facultés ou les Écoles préparatoires de médecine ; Que ces écoles aient un programme minimum uni
R. DE Musgrave-Clay. VII. Règlement du concours de l'internat en médecine des asiles c publics d'aliénés de la Seine. P
1900. Vu le projet de réglementation du concours de l'internat en médecine des asiles publics d'aliénés de la Seine, adopté
re, un concours public pour la nomination aux 'emplois d'interne en médecine dans les asiles publics d'aliénés de la Seine.
affiches apposées dans Paris, notamment aux abords de l'École de médecine et dans les hôpitaux et hospices. - ART. 2. Pou
ces. - ART. 2. Pourront prendre part aux concours les docteurs en médecine munis du diplôme délivré par les Facultés de l'Ét
s du diplôme délivré par les Facultés de l'État et les étudiants en médecine possédant seize inscriptions de doc- torat. A
certificat constatant seize incriptions ou le grade de docteur en médecine , et, en outre, pour les étudiants en médecine, co
e grade de docteur en médecine, et, en outre, pour les étudiants en médecine , constatant qu'ils n'on pas subi de peines disc
ssi, décidé à pres- crire la revaccination de tous les étudiants en médecine ; cette mesure devrait être appliquée à tous les
heures sur un sujet de pathologie interne et de pathologie externe ( médecine et chirurgie). Il sera accordé trente points po
le livre de M. F. Thomas. J. BOYER ,,VI. Annuaire de l'Internat en Médecine des Asiles d'aliénés de la Seine, cinquième ann
es d'aliénés, aux prix de l'Académie des sciences, de l'Académie de médecine , de la Société médico-psychologique, etc. C'est
avait été instantanée. (Le Bonhomme Normand, 19-25 juillet 1901). Médecine légale psychiatrique. M. le Dr Paul GnnrvrEa, méd
et le vendredi de chaque semaine à la même heure. les docteurs en médecine , les internes des hôpitaux et les étudiants parve
224 et seq. * Esquirol. Mal. mentales, t. I. 3 Tardieu. Traité de médecine légale. blorel. Traité des Maul, mentales, p. 3
éfenseur imaginaire. Elle répète constamment qu'elle est docteur en médecine , membre de l'Acadé- mie. Elle est magnétisée et
le du sujet, les stéréotypies ' ' J. P. Falret. Leçons cliniques de médecine mentale (faites à l'hospice de la Salpêtrière).
nt pas dissipés par les sens externes). - 1 Observations rares de médecine , d'anatomie et de chirurgie, traduites du latin
e, traduites du latin de M. Vander-Wiel, par M. Planque, docteur en médecine , liv. II, obs. V, 1698. 510 - CLINIQUE NERVEU
al. LUI. Abcès du cerveau à pneumocoques ; par BOJ,4FT. (Revue de Médecine , 1901.) Deux cas d'abcès du cerveau avec pneumo
Des foyers lacunaires de désintégration ; par P. Marie. ' (Revue de Médecine , avril 1901.) L'hémiplégie des vieillards n'est
ticle contient aussi quelques renseignements sur les procédés de la médecine et de la chirurgie générales). SIMOUN. REVUE DE
sions pro- posées, leprix Esquirol est décerné à. Petit, interne en médecine , à l'Asile clinique, et une mention très honora
eur Schrameck, chef des travaux d'ophtalmologie. Enseignement de la médecine légale psychiatrique. M. le Dr Paul GARNIER, mé
Cas de traités sans médica- tion sédative, par Hitchcock, 413. Médecine mentale. Pratique de la - , par Kéraval, 68.
47 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
érique, ce n'est pas l'affection ? » Dans le récent dictionnaire de médecine mentale de M. Hack Tuke, les deux articles cons
veux, t. III, p. 238. 0 3 solfier. L'anorexie hystérique. (Revue de médecine , 1891, p. 626.) 16 REVUE GÉNÉRALE. plus ou mo
timement à l'hystérie. C'est là un fait curieux de l'histoire de la médecine , il a une signification importante et montre la
études classiques qu'il mena vite. Puis il vint à Paris étudier la médecine et passa sa thèse en 1830. Il alla s'établir à
is et les fatigues d'une nombreuse clientèle. Mais l'exercice de la médecine en province, à la campagne sur- tout, constitua
Bulletins de la Société médicale des Hôpitaux 1 et de la Société de médecine de Paris. En M. Delasiauve, le publiciste ne fu
zette hebdomadaire, de 1854 à 1851, année où il fonda le Journal de médecine mentale, dont tous les articles sartaient de sa
formeraient des traités complets de psychologie, de pathologie, de médecine légale et de thérapeutique des maladies mentale
es questions politiques à l'ordre du jour, sur l'enseignement de la médecine , sur l'Assis- tance publique. On peut le consid
le mieux mis en relief l'importance, au point de vue social, de la médecine et du médecin. Par ses travaux en psychiatrie,
l1usion de l'enseignement primaire, à mettre l'en- seignement de la médecine plus en harmonie avec les besoins des étudiants
le Directeur de la Revue Médicale, 1844 ; , Rapport à la Société de médecine de Paris sur les questions pro- posées dans les
5, inlr5; - Du projet de loi sur l'exercice de l'enseignement de la médecine , 187 ; La République, ce qu'elle est, ce qu'ell
laissant parmi nous que des amis. C'est une grande perte pour la médecine mentale, qui vient s'ajouter à toutes cellesque
Baillarger, Morel, etc., etc., noms célèbres qui ont illustré la médecine mentale française au xixe siècle, et dont les tra
bord destiné à notre spécialité. Reçu docteur en 1830, il exerça la médecine pratique dans son pays, pendant un certain nombre
la plus active. Il publia alors son livre sur l'Organisation de la médecine en France, travail auquel il attachait une gran
s journaux républicains, sans négliger cependant ses travaux sur la médecine mentale, NÉCROLOGIE. 73 l'épilepsie et l'éduc
ilepsie et son traitement, son oeuvre principale est son Journal de médecine mentale, qu'il dirigea seul et à ses frais, pen
oppements, ses idées person- nelles sur la pathologie mentale et la médecine légale des aliénés, tout en discutant avec éner
rop des tendances purement psycholo- giques qui dominaient alors la médecine mentale. Son ardeur pour la science à laquelle
études sur la stupeur, sur les pseudo-monoma- nies, son Journal de médecine menta le qu 'il a rédigé presque seul pendant u
le névrose. Dans un recueil arrêté au dixième volume, le Journal de médecine mentale, fondé par lui et dont il fut le princi
iénés DE GHEEL (BELGIQUE) ; par Mme MARGAEET A. CLEAVES, docteur en médecine (The Jourltal of Mental Science. Avril 1891.)
ue les asiles ne soient pas plus largement ouverts aux étudiants en médecine , et même 84 ik asiles d'aliénés. qu'un stage
la nouvelle Société. Eh ! voilà qui promet ! Exercice illégal de la médecine . Rue de la Jonquière, près de l'avenue de Saint
magnétiseur est en ce moment poursuivi pour exercice illégal de la médecine . - Je n'ai pas un médicament chez moi, nous dit
SPASMODIQUE) Par le D' RAYMOND, Professeur agrégé à la Faculté de Médecine , médecin de l'hôpital Lariboisière, Je viens d'
sur l'épilepsie, etc., volumes, dont divers journaux américains de médecine ont publié des analyses intéressantes. ,, i , ,
ongrès de Blois, août 1892. Et, le 20 juin dernier, à l'Académie de médecine ; 8° dans ce même cas, l'opération a fait consta
la crainte que ces sociétés spéciales n'émiettassent l'unité de la médecine . Virchow lui-même n'était pas tranquille. Or, l'a
par le Dr Long- bois (de Joigny). (Annales d'Hygiène publique et de médecine légale, 4891.) Deux observations intéressante
guin recommande contre les névroses. J. Noir. VARIA. Cf ? GRÈs DE médecine mentale. (Session de La Rochelle, août 1893.)
e du D' Dewey. (Annales med. psychol.) FAITS DIVERS. Faculté DE médecine DE Paris. Nominations : àt. LEFILLIATRE, intern
e des maladies mentales, en remplacement de M. Champion. Faculté DE MÉDECINE DE Bordeaux. - M. le Dr Régis est chargé, jus-
atrie en remplacement de M. Meynert, décédé. ' Académie royale DE médecine DE BELGIQUE. Prix : Nous ex- trayons du program
s. Brochure in-8° de 13 pages. Extrait du Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique. Gand, 1893. Le rédacteur
Ses études secondaires achevées, il se fit inscrire à la Faculté de médecine . Il fut reçu interne des hôpitaux en 1848 et pa
ujet de thèse d'agrégation avait pour titre : De l'ex- pectation en médecine (1857) et le second : De la pneumonie chronique
eçon de haute philosophie médicale intitulée : Parallèle entre la médecine empirique et la médecine scientifique . Il repr
ie médicale intitulée : Parallèle entre la médecine empirique et la médecine scientifique . Il reprit l'année suivante (1868
mé, en 1872 ', professeur d'anatomie patholo- gique à la Faculté de médecine de Paris, en remplace- ment de son ami Vulpian
t et compré- ' Cette même année, il fut élu membre de l'Académie de médecine . 2 Elles ont été publiées par nous. 3 Publiée
fonder le Progrès médical (1873), qu'il créa la Revue mensuelle de médecine et de chirur- gie (1877), et que nous fimes par
ation. ' Publiés par Georges Guinon. 192 J.-M. CHARCOT. lion en médecine , l'Inopportunité de l'administration des prépar
tée, il était, sans contestation, estimé comme un des maîtres de la médecine . Les étrangers avaient plus que nous la reculée
taxique. § IV. Travaux publiés dans les autres journaux. Revue de médecine : Étude antique et clinique de la doctrine des
obablement d'origine hystérique (1892). , Gazette hebdomadaire de médecine et de chirurgie : De 1884 à 1889 inclus, il ne
achiale chez l'homme, présentant des difficultés de diagnostic ; La médecine vibratoire : Application des vibrations rapides
1 Des tics et des liqueurs; La Gazette des hôpitaux elle Journal de médecine et de chirurgie pratiques, ont publié de nombre
ce-président de ladite Société, en 1860 ; Membre de l'Académie de Médecine de Paris en 1872 ; Membre correspondant de la S
e de Londres, en 1874; Membre correspondant de la Société royale de Médecine de Buda- Pesth, en 1876 ; Membre correspondan
Pesth, en 1876 ; Membre correspondant de la Société impériale de Médecine de Vienne, en 1878 ; Membre honoraire de la «
Charcot a été nommé : Membre correspondant de {'Académie royale de médecine de Bel- giqzie ; Membre honoraire de la Socié
ique Flo- 1'entine (1881) ; Membre correspondant de l'Académie de médecine de New-I'orlc; Membre honoraire de la Société p
es médicales de Lis- bonne ; ,- Membre honoraire de la Société de médecine de Londres; Membre honoraire de l'Académie roya
té de médecine de Londres; Membre honoraire de l'Académie royale de médecine de Rome; Membre honoraire de l'Association neur
né à M. Charcot un prix de 2,500 francs dans le concours Montyon, médecine et chirurgie, de l'année 1880, pour l'ouvrage int
nces de Dublin) en mars 1883. Membre correspondant de l'Académie de médecine de Rio-de- Janeiro (1883) ; Membre de la Soci
e de médecine de Rio-de- Janeiro (1883) ; Membre de la Société de médecine de Suède (1883) ; Membre correspondant étranger
ne de Suède (1883) ; Membre correspondant étranger de la Société de médecine publique de Belgique (1883); Membre de l'Acad
de l'Université de Kief (1884) ; Membre honoraire de l'Académie de médecine d'Irlande (1885) ; Membre de l'Académie des sci
ité de Bologne (1888) ; Membre honoraire de la Société impériale de médecine de Cons- tantinople (1889) ; Membre de l'Acad
o-cleirurgica de Perugia (1889) ; Membre de la Société impériale de médecine du Caucase (1889) ; Membre de la Société du Col
neto di science, lettcre ed arti (1889) ; Membre de la Société de médecine de Vienne (1890) ; Membre de l'Université de Du
de la Faculté de méde- cine ; Cadet de Gassicourt, de l'Académie de médecine ; Hanot, délégué de la Société médicale des hôp
es représentants de l'Institut, de l'Académie et de la Faculté de médecine . Le deuil était conduit par MM. Jean Charcot, M
Daremberg, Javal, Lagneau, Lancereaux, membres de l'Aca- démie de Médecine ; MM. Bouchard, Cornil, Debove, Farabeuf, Fourn
Germain Sée, Straus, Tillaux, Verneuil, professeurs à la Faculté de Médecine ; M. le profes- seur Pierret, de la Faculté de
esse, Charrin, Dejerine, Landouzy, Poirier, agrégés à la Faculté de Médecine ; MM. Babinski, Balzer, Bourneville, Champetier
uait beaucoup les voitures de l'Institut et celles de la Faculté de médecine , où avaient pris place les pro- fesseurs et le
ational d'assis- tance publique de 1889,au Congrès international de médecine men- tale de la même année sur la création des
TE pose la question de savoir quelle estla conduite à tenir pour la médecine lorsque l'autorité judiciaire ou adminis- trati
e deux crânes qui ont figuré dans une communication à l'Académie de médecine et sur lesquels on ob- serve une disjonction re
ORMATIF Par M. le D' F. RAYMOND Professeur agrégé à la Faculté de Médecine , Médecin de l'hôpital Lariboisière. 11 n'existe
taient la cause unique et primordiale de l'aliéna- tion mentale, la médecine resterait singulièrement désarmée en face de,la
tales Préparateur du cours de Pathologie générale A la Faculté de médecine de Lyon. Nous avons 'eu l'occasion de pratiquer
nt dans la littérature psychia- trique ; c'est dans les ouvrages de médecine légale (Tardieu) que l'on en rencontre le plus
années. R. M. C. LVII. Richard ET SYSfOND, LEUR INFLUENCE SUR la médecine mentale; par D. HACr TUKE. (The journal of Ment
lité et les hallucina- tions verbales psycizo-motrices. (Congrès de médecine mentale de Paris, 1889.) 2 J. Séglas. (4MH. m
aite à la Salpêtrière, par J. Babinski. (Gazette hebdoma- ctaire de médecine et de chirurgie, juillet 1891.) Voir aussi : As
, l'avait condamnée, elle demanda à la Vierge une guérison que la médecine lui refusait. C'était une grande dévote, très con
o. : )La Société donne le soin d'organiser le, prochain, Congrès de médecine mentale et de neurologie une commission composé
rs prenant à coeur leur épigraphe, ont voulu démontrer que : c la médecine , au moment où ils en commençaient l'étude, subiss
is d'en donner un résumé. Leur ouvrage a ainsi l'air d'un manuel de médecine dont le chapitre du traitement ne comporterait
nt la mort du savant défunt sont parvenus, le drapeau de l'Ecole de médecine a été mis en berne, et, pendant la journée du l
; osmio-ferro-lé- ;Ematoayliqne,jparIiaiser; 484., t CoGnÈs, `de, médecine , mentale, u;, 171 ? 1 ? r des, m6decinsalienis
ses et mentales, par Ven- tura, 236. ' ' 1 Exercice illégal de la médecine , 89. Exophtalmie, cas d'- compliquant une nép
48 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
Les Leçons sur les maladies du système nerveux ». INTRODUCTION LA MÉDECINE EMPIRIQUE ET LA MÉDECINE SCIENTIFIQUE PARALLÈLE E
es du système nerveux ». INTRODUCTION LA MÉDECINE EMPIRIQUE ET LA MÉDECINE SCIENTIFIQUE PARALLÈLE ENTRE LES ANCIENS ET LES M
à dominer l'esprit d'hypothèse. Pour ce qui concerne spécialement la médecine , qui seule doit nous occuper ici, jamais on n'a v
és, nous croyons reconnaître une différence capitale entre l'ancienne médecine et la médecine moderne. La première a toujours ma
s reconnaître une différence capitale entre l'ancienne médecine et la médecine moderne. La première a toujours manqué des élémen
ut tout d'abord indiquer en quel point de l'histoire finit l'ancienne médecine , pour faire place à la médecine nouvelle. T.
point de l'histoire finit l'ancienne médecine, pour faire place à la médecine nouvelle. T. La médecine a vu s'opérer de nos
ancienne médecine, pour faire place à la médecine nouvelle. T. La médecine a vu s'opérer de nos jours une révolution profond
s'est ouvert à partir de cette époque entre l'ancienne et la nouvelle médecine , ce serait évidemment aller beaucoup trop loin. N
le do-maine pathologique. Avant l'époque où elle s'est produite, la médecine était renfermée à peu près tout entière dans l'ét
x traits caractéristi-ques les principes fondamentaux acceptés par la médecine moderne : 1° En premier lieu, les symptômes aut
ister par elles-mêmes, et c'est là, pour ainsi dire, la matière de la médecine . L'intervention des sciences biologiques, — y com
ports naturels. C'est là, croyons-nous, le véritable carac-tère de la médecine empirique. On peut désigner, en somme, par cette
ont rendu à la pathologie et à proclamer hautement que l'avenir de la médecine est là. Au reste, ce qui a manqué à nos prédéce
déjà maniée à l'école d'Alexandrie, a 1. Résumé de l'histoire de la médecine , etc. — Union médicale, 1865. « transformé la p
e, 1865. « transformé la physiologie du système nerveux, alors la « médecine change de face. » Or, messieurs, cette physiolo
figure d'Hip-pocrate. Messieurs, quels ont été les fruits de cette médecine sys-tématiquement isolée de tout contact étranger
à l'envahissement de la philosophie de l'époque. Elle affirme que la médecine doit marcher dans ses propres voies, en s'appuyan
de faits généraux ou partiels, qui constituent en définitive la seule médecine traditionnelle qui commande notre res-pect. Nou
'ap-précier les ressources de la méthode d'observation appliquée à la médecine , alors même qu'elle se renferme volontairement da
n scienti-fique, et l'on a même pu établir sur de tels fondements une médecine pratique, que rien n'empêche de parvenir à un cer
YEcole anatomique — c'est ainsi qu'on l'ap-pelle,—a apportés dans la médecine . C'est un point sur lequel il est inutile d'insis
ions et n'y répond plus. Elle ne prétend pas d'ailleurs régenter la médecine , mais seulement l'éclairer et fournir une base so
messieurs, d'insister longtemps sur 1. Introduction à l'étude de la médecine expérimentale. Paris, 1865 — Voir surtout, pages
347, 348, 358, 369. les services innombrables qu a déjà rendus a la médecine la judicieuse intervention des données de la phys
On the importance of the application of Physiology to the practice of Médecine and Surgery. — In Dublin Quarterly Review of Med.
procher de plus en plus de la physiologie pour donner naissance à une médecine vraiment rationnelle. Tel est le but vers leque
que peuvent avoir les tendances scientifiques sur l'a-vancement de la médecine , il me suffira de vous rappeler la remarquable tr
t un noyau central entouré d'une atmosphère 2. Pendant ce temps, la médecine en était réduite à un état dé- 1. « La pratique
iculiers. Et cependant, messieurs, cette partie si intéressante de la médecine a été bien longtemps négligée, et ce n'est guère
on de la combler ; cependant, à l'époque où il écrivait son Traité de médecine clinique, l'hospice de la Salpétrière avait déjà
ensemble et de créer la Nosographie philosophique, en appliquant à la médecine la méthode de l'analyse, suivant le langage un pe
herches sur les maladies de la vieillesse, présentées à l'Académie de médecine en 1840. Mais l'observateur français avait été pr
Une méthode entièrement opposée a inspiré les études 1. Archives de médecine . 1835-36. 2. Die Krankeilen des höheren Allers,
en- 1. Etudes cliniques sur les maladies des vieillards (Journal de médecine de Beau. 1843.) 2. Article Vieillesse du Supplé
Article Vieillesse du Supplément au Dictionnaire des Dictionnaires de médecine . Paris, 1851. 3. Geist. — Klinik des Greisenkra
étails, ce ne sera que pour en déduire des applications directes à la médecine pratique. Certaines modifications d'ensemble fr
'affaiblissement musculaire progressif chez les vieillards. [Ardi, de médecine , 1862.) 2. Geist, op. cit., p. 102. La plupar
iel dont l'étude constitue l'un des côtés les plus intéressants de la médecine des vieillards. 2° Parmi les maladies qui peuve
constater des faits analogues. C'est ainsi que dans 1. Archives de Médecine , 1836, t. XII, p. 57. la fièvre jaune épidémiqu
effet, par des circonstances malheu-reusement trop exceptionnelles en médecine , nous connais-sons ici une matière morbifique, do
de, dans le sang et les humeurs, pour parler le langage de l'ancienne médecine ; c'est aussi l'urate de soude qui cons-titue les
u pendant la nuit ; cet état se prolonge cinq à six jours, lorsque la médecine inter-vient, huitàquinze jours, lorsqu'elle n'int
e des différences les plus essentiel-les entre l'esprit de l'ancienne médecine , et celui de la science contemporaine. Nous abord
le docteur Vigla en a rapporté un exemple intéressant à la Société de médecine des hôpitaux. Mais il existe une seconde forme
q diabétiques (1); au contraire, M. le docteur Seegen,qui professe la médecine aux eaux de Carlsbad, et dont les malades apparti
'appendice inséré à la fin de cette leçon. 3. Tweedie. — Library of Médecine . Vol. V, art. Goût. nuil. Les travailleurs qui
temps modernes. Sous ce rapport, l'archéologie vient au secours de la médecine , et les fouilles de Pompéi nous ont appris que le
atisme aigu et subaigu. Dans le langage scolastique de l'ancienne médecine , le terme subaigu s'appliquait aux maladies aiguë
nients. Il est des cas où le colchique ne peut pas être employé. La médecine n'est point pour cela complètement désarmée : 11
rhumatisme chronique est une affection que toutes lesressources de la médecine , dans la majorité des cas, ne parviennent pas à g
ture des parties profondes. 1. Voyez : Brown-Séquard. — Archives de médecine , 1856, t. II, pp. 400-484. Lectures on Physiology
15 juin. 2, Dans l'excellent article Chaleur du Nouveau diction, de médecine et de chirurgie pratiques (t. VI. 1867, p, 808.)
médicale, t. I, art. Arthrite rhumatismale. 2. Piorry. — Traité de médecine pratique, t. III. 3. Adams.— Cyclopedia of Anat
n mémoire sur la goutte et le rhumatisme, inséré dans les Archives de médecine en 1843 (3). A l'autopsie du malade qui fait le s
es du rein, t. II, p. 540. 2, T. II, p. 42. Archives générales de médecine , 4° série, t. III, p. 285, rein, également enva
ubliée, il y a une vingtaine d'années, dans les Archives générales de médecine (1843, 4e sér., t. III, p. 275) par M. de Casteln
ssimilation, « comme la créatine dans les muscles ». (Dictionnaire de médecine , etc., 1865 p. 078. — Programme du cours d'histol
ont la publication est toute récente et qui fait partie du Système de médecine , édité par le docteur Russell Reynolds (t. I, p.
praclice of physic, t. II, p. 707. London, 1857); W.Budd (Library of médecine , t.V, p. 222); Wells (On gout, p. 223. London, 18
de Rennes (Mémoires sur le colchi-que d'automne, in Archiv. génér. de médecine , p, 37, 5° série, t. XVIII. Paris, 1801); Galtier
s un intéressant travail de M. J. Begbie (Contribu-tions to practical médecine . Edinburgh, 1866, p. 24, obs. XIII et VIV). Il
tisme articulaire chronique: Landre Beauvais, Thèses de la faculté de médecine de Paris, an VIII. — Chomel, Dissertation sur le
enu aucun des accidents de l'intoxication iodique. (Archiv. génér. de médecine , 1850, t. II. p. 037.) Emploi de l'arsenic. — L
s caractérisé.» {.Leçons de physiologie expé-rimentale appliquée à la médecine , cours du semestre d'hiver 1854-1855. Paris, 1855
Heïlk., 1859, p. 16). Au contraire, le docteur Seegen, qui exerce la médecine aux eaux de Garlsbad, et dont les malades apparti
: « Quand le diabète apparaît, la goutte cesse. » (Reynod's System of Médecine . London, 1866 t. I, p. 825.) — Le pronostic peut
ment. Ce n'est pas d'ailleurs seidement sur ce point des choses de la médecine que Sha-kespeare s'est montré un peintre fidèle,
troduction.................................................... m La médecine empirique et la médecine scientifique ; parallèle
..................................... m La médecine empirique et la médecine scientifique ; parallèle entre les anciens et les
49 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la de médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie
à la de médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique z F. RAYMOND
ur «le clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine «le Paris. COt.l.ADOHATItdllS P111NCIP1UX H
cier de ces notions nouvelles non seulement l'hygiène mais aussi la médecine ; désormais la thérapeutique par le mouvement é
diminution de la réaction pupil- laire. L'importance de ce signe en médecine légale saute aux yeux. P. IEIiAVAL. IX. De la
uées dans les muscles de la fesse; par Ropter et 1'auzoN. (Revue de médecine , septembre 1901.) Il s'agit de deux sujets syph
l comme toxique et comme déshydratant ; par Ch.VALENTiNO. (Revue de médecine , 1902.) REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 99 VII. Trait
épileptique par l'alitement; par MARaN- DON DE l10,NTYEL. (Revue de médecine , 1902.) L'alitement a été essayé par l'auteur,
panation de l'apophyse mastoïde; par Lépine (Société natio- nale de médecine de Lyon, il novembre 1901.) SOCIÉTÉS SAVANTES.
civile, les auteurs ne se sont pas proposés de faire un manuel de médecine légale des aliénés; ils envisagent l'aliéné au po
Mairet, professeur de clinique des maladies mentales la Faculté de Médecine de Montpellier; le Dr Rémond, professeur de cli
émond, professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Toulouse ; le Dr Régis, chargé de cours à la
médecine de Toulouse ; le Dr Régis, chargé de cours à la Faculté de médecine de Bordeaux; le Dr Magnan, médecin en chef de l
ives (p. 71). varia. 117 Épreuve orale : (Question portant sur la médecine et la chirurgie en général). (5 séances). Premi
. Questions restées dans l'urne : 1° Rétrécissement de l'oesophage ( médecine et chirurgie) ; 20 Insuffisance hépatique (symp
phage. -Questions restées dans l'urne. : 1° Pleurésies purulentes : médecine et chirur- gie ; 2° méningite tuberculeuse : sy
ue mentale. Asile d'aliénés DE la SEINE : Concours de l'Internat en médecine . Ce concours a commencé le 101' décembre à l'Hô
rminant : le jury a émis plusieurs voeux : 1° Que les étudiantes en médecine soient admises à con- courir pour l'internat de
ases deBobrouïslc et delllouiletr. Il entra ensuite à la Faculté de Médecine de l'Université de Varsovie. 11 termina ses étu
ladies neiveuses et men- tales du douzième Congrès international de médecine , il fit deux communications, l'une sous ce titr
dit Etablissement. On trou- vera chez le concierge de la Faculté de médecine et à la Maison Nationale des exemplaires de l'a
ges avec 32 figures. Librairie A. Maioine, 23-25, rue de l'Ecole de Médecine . Prix. FARQUIiAR I;UZZARD. Uniradicular palsies
odélirants. M. de Boeck'2, dans une communication à la Société de médecine mentale de Belgique sur la contagion de la folie,
' De Boeck. De la contagion de la folie (Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique, 1893, p. il6). 3 Arnaud. L
s inférieurs du même côté ; par 111. DUPLANT. (Société nationale de Médecine de Lyon, 20 mai 1901.) M. Duplant présente un m
ralysie asthénique bulbo-spinale; par Leclerc (Société nationale de médecine de Lyon, 2 décembre 1901). M. Leclerc présente
rome de Bénédikt. (Revue neurologique, août 1901.) E. B. REVUE DE MÉDECINE .LÉGALE. I. Des résultats positifs et indiscuta
ions, les cas de ce genre peuvent se diviser en deux 192 ) REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. catégories : 1° les phobies; 2° la psyc
, dans un rapport des plus intéressants, pose, devant la Société de médecine légale, la question de savoir si l'on est auto-
absolument indiquées : d'abord dans ceux où il est éta- ' REVUE DE médecine légale. 193, bli que l'individu s'est trouvé da
ques. Il s'agissait Archives, 2" série, t. XV. 13 194 ik revue DE médecine légale. d'un capitaine de navire de commerce qu
au début n'est pas tellement difficile que l'on ne puisse REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 195 sûrement éviter que les malades de
ge dans l'Education, par le D1' A. Bordier, directeur de l'école de médecine et de pharmacie de Grenoble (conférence faite à
connaisse suffisamment le domaine exploré par la physiologie et la médecine pour qu'il ait eu quelque sorte l'empirisme de
ue, par M. le Dr 1'lESSmcr.a, membre correspondant de l'Académie de médecine . Vendredi 13 février, à huit heures et demie, L
a certitude médicale : Influence des Hayons X sur les progrès de la médecine , par M. le 1), de Bourgade la D : 1RDY1 ? , dir
i en a suivi la lecture, ainsi que la discussion de la Société de Médecine de Bordeaux (Btcll. ntéd., 17 juillet 1898) démon
r foffroy (Ili-esse i)2é(liectie, 19 mars 1898). Professeur Berger [ Médecine moderne. 17 juin 1899). - Professeur Duplay in're
98. Revue de psychiatrie, août 1898). Ozenne et Reynier (Société de médecine et c/)'K. pral., mai 1898). -Gallois (I3ullelin
D, Mignot, chef de cli- nique des maladies mentales à la Faculté de Médecine ). Mmo Ch... journalière, âgée de trente-huit à
servés. Banquet au Dr Régis. Le Comité de rédaction du Journal de Médecine a été heureux de la décoration accordée à un de s
cette autorité de parole que tout le monde lui connaît. {Journal de médecine de Bordeaux, du 1<"' février 1903). Nous aus
X. Tumeur du nerf acoutisque ; par M. Lépine. {Société nationale de Médecine de Lyon, 13 mai 1901.) M. Lépine présente le ce
avec attitude cérébel- leuse ; par M. Lépine. {Société nationale de médecine de Lyon) 8 juil- let 1901. M. Lépine présente
e du tympan par lésion latérale ; par Pauly ; (Société nationale de médecine de Lyoti, 25 novembre 1901). M. Pauly présent
olontaires. G. D. XLIII. Asthme vésical ; par 6,%%viisiii {Revue de Médecine 1899). Quelques observations d'accès de dyspnée
I. L'angor pectoris non coronarienne ; par MoREL-LAYALLEE {Revue de Médecine , 1899). - Observation d'une angor pectoris surv
raitement. A. M. L. L'adipose douloureuse ; par CH. Feré. {Revue de médecine , août 1901.) L'adipose douloureuse, déjà décr
s d'une émotion pathologique; par Vaschide et Marchand. {Revue de médecine , septembre 1901.) Recherches expérimentales fai
e névrite périphérique d'origine paludéenne; par BURQUET. {Revue de médecine , août 1901.) LUI. Sur une forme d'hérédo-ataxie
e forme d'hérédo-ataxie cérébelleuse; par Tnounn et Roux. (Revue de médecine septembre 1901.) Observation d'un malade appart
spéciale de tabès amyotrophiques ; par Chrétien et Thomas (Revue de Médecine 1899). Observation d'un cas de tabès avec absen
ie oculo-motrice périodique ou récidivante) ; par Mathis. {Revue de médecine , nov. 1901.) M. II. LVI. Contribution à l'étu
cidents névropathiques de l'in- digestion ; par Ch. Féré. {Revue de médecine , janvier 1902.) Passant en revue les rapports e
LVII. Trois cas de polynévrite palustre ; par C. Mathis. {Revue de médecine 1902.) M. H. LVIII. Quelques cas de sclérodermi
flexes est resté le même. Ce traitement peut rendre des services en médecine mentale en relevant les forces des malades, en
ves (p. 70). CONCOURS POUR la nomination A deux places D'INTERNE EN médecine A l'asile d'aliénés DE CLERMONT, (OISE). Le c
emplir : '' Pourront prendre part au concours tous les étudiants en médecine ayant moins de trente'ans révolus le jour de l'
le d'aliénés de Bron (Rhône); M. Rémond, professeur à la Faculté de médecine de Toulouse (chaire des maladies mentales); M.
e des maladies mentales); M. Régis, chargé du cours à la Faculté de médecine de Bordeaux (chaire des maladies mentales). Nou
, septembre 1901.) E. B. VI. L'instinct sexuel; par FIRRÉ (Revue de Médecine 1899). L'instinct peut être défini une activité
d'une pléiade d'honneur qui ont rendu les plus grands services à la médecine mentale. M. Motet souhaite ensuite la bienvenue
lé des phénomènes de même ordre, tels sont certains cas signalés en médecine légale d'impul- sions post-comitiales au viol o
nt été d'autant plus précieux qu'il était étranger aux choses de la médecine et exposait spontanément ce qui lui était arriv
898. flartenberg. La Névrose d'Angoisse, Congrès international de Médecine . Section de Neurologie. Paris, 1900. La Névrose d
tion de Neurologie. Paris, 1900. La Névrose d'An- goisse. (Revue de Médecine . nos 6, 7, 8. Paris, 1901) et 1 vol. Alcan, édi
ous les reproches que seules méri- ' Communications à l'Académie de Médecine (2 août 1898, 28 juillet 1899, 13 novembre 1900
i juillet 1901. Vigot, frères, éditeurs. Revue générale in Revue de Médecine , 10 août 1902, p. 723. LES STIGMATES OBSTÉTRICA
cale, formulées par M. Porak dans un récent rapport à l'Académie de médecine 1, il reste toute une catégorie de faits indisc
caux. Ils démontrent nettement l'identité 1 Bullet. de l'ficacl. de Médecine , 3° série, t. 1LVIII, 2S octobre 1902, p. 340.
nt la direc- tion de l'asile lui-même à une personne étrangère à la médecine . Enfin, l'auteur aborde la question du personne
la guérison fut promptement obtenue. Phychologie de l'étudiant en médecine américain. M. DsuoNCUY. Aux Etats-Unis, l'organ
rt et de but entre les 'élèves et le corps enseignant. L'école de médecine américaine forme un tout, une sorte d'en- traîn
RAPHIQUE. Catalogue complet des Thèses de doctoral de la Faculté de Médecine de Bordeaux. z de 48 payes. Ilobers à Bordeaux.
'hystérie ; Par le D' ALBERT CHARPENTIER Lauréat de la Faculté de Médecine de Paris. M. Bernheim a fait paraître dans le B
s mentales. La solution fut encore ajournée. En 1848, la Faculté de médecine intervint, sans pouvoir faire aboutir le projet
téléphonique très complète. Eclairage électrique. ' La Faculté de médecine de Giessen compte 17 Professeurs et Privat- Doc
nouvel institut d'hygiène, les autres cliniques (de gynécologie, de médecine interne, d'ophtalmologie, de chirurgie), l'Inst
proximité du pavillon d'isolement pour contagieux de la clinique de médecine permet de se passer d'une installation de ce ge
doit classer son état dans l'ordre des psychasthénies. (Journal de médecine et de chirurgie pratiques du 10 mars 1903.) L
me tonique du mouvement des pupilles. P. IiERAVAL. Conférences de médecine légale psychiatrique (3° trimestre sco- laire).
médecin en chef de l'Infirmerie spé- ciale, est chargé du cours de médecine légale psychiatrique, 3° série de conférences,
e : 111. BOURN1.1'ILLE, samedi, à9lleures et demie. Confé- rence de médecine légale psychiatrique : M. Paul G.1RNIER, à l'in-
l'Adjuvat. 116. Asiles d' de la Seinp, concours de l'Internat en médecine , 117. Les en liberté, 11, 195, 574. Suicide d
rick, 191. Concours pour la nomination à deux places d'interne en médecine à l'asile d'aliénés de Clermont (Oise), 316,
cine à l'asile d'aliénés de Clermont (Oise), 316, Conférence de médecine légale psy- chiatrique, 543. Congrès. Troisiè
riodique- ment, par Kure, 361. Etudiant. Psychologie de l' - en médecine américain, par Demou- chv, 477. TABLE DES MAT
50 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
r manœuvrer un de ces instruments. — La suite au prochain numéro. — MÉDECINE HYDROPHOBIE RABIQUE OBSERVÉE DANS LE SERVICE
ps entier 0m,33. — La suite au prochain numéro. — La Rédaction. MÉDECINE ENDOCARDITE PUERPÉRALE TYPHOÏDE Nous avons pu
ues sur les maladies du cœur, par M. Bucquoy, agrégé de la Faculté de médecine , médecin des hôpitaux; br. gr. in-8° de 88 pages,
Adrien Delahaye. — Ma¬nuel de pathologie chirurgicale spéciale et de médecine opératoire, par Roser, chez Chamerot et Lauwere
rédigées, ayant trait à l'anatomie, à la patîiologie externe et à la médecine opératoire. Quel profit peut-on tirer de la lectu
nt point un traité d'anatomie, un traité de chi¬rurgie et un livre de médecine opératoire : le tout concourt à un but capital, l
xamen microscopique de ce lœnia, par le docteur Davaine. (Archives de médecine navale, février 1870.) 2. Taenia solium. — a, e
nt : a. de montméja. REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX DE PARIS MÉDECINE LÉGALE ÉTUDE PHOTOGRAPHIQUE SUR LA RÉTINE DES S
E DES SUJETS ASSASSINÉS (Extrait d'un l'apport frit à la Société de médecine légale, par M. Yeknois1.) Il y a un certain nom
couvrir une nouvelle application de la photographie aux recherches de médecine légale ; on a pu, en soumettant au da¬guerréotype
fut reproduite par la plu¬part des journaux politiques et surtout de médecine ; mais elle tomba bientôt dans l'oubli, quand, en
te : " La photographie, d'autre part, a été offerte à la Société de médecine légale par M. le docteur Bourion, ancien préparat
tion : Énigme de 1 Consulter : Applications de la photographie à la médecine légale, avec '2 planches photographiées, par M. V
par M. Vernois; brochure in-8°, chez J.-B. Baillière. 2e année. 4 médecine légale, personne n'en put deviner le mot. Et même
rait penser, au point de vue de la science et de son application à la médecine légale. 11 s'agissait, comme vous le voyez, de re
C'est là, je crois, la conséquence pratique à laquelle la Société de médecine légale pourra donner son approbation. Votre rap
les sur le rôle que la photographie peut être appelée à jouer dans la médecine légale. Depuis longtemps déjà elle a prêté son
ieurs les avocats. J'ai en vain cherché dans les Traités mo¬dernes de médecine légale, surtout à l'article Identité , dans MM. D
es étrangères aux substances toxiques, mais qui sont du ressort de la médecine légale1 et où l'on s'occupe lon¬guement des secou
ncontré un chapitre consacré aux applications de la photographie à la médecine légale. Je n'ai pas la prétention de l'écrire. Je
êtements de la victime et de 1 Briand et Cliaudé, Manuel complet de médecine légale, Ie édition. Paris,1863, p. 729. — Dans la
r des écrits des aliénés au point de vue de la séniéio-logie et de la médecine légale. (Ann. d'hyg., IIe série, 1864, t. XXI, p.
musculaires ' Acad. de méd., séance du 19 avril 186i. 2 Journal de médecine mentale, 1864, p. 195. des membres supérieurs e
re. Ce fait qui eut l'honneur assez rare d'un rapport à l'Académie de médecine , par M. Ségalas, souleva de la part de MM. Rouill
ale, et il y a des alternatives de constipation et de 1 Académie de médecine , séance du 19 avril 18b4 diarrhée. En raison de
ns le Journal de Hufeland (mai 1825) repro¬duite dans les Archives de médecine (t. IX, p. 427), j'eus recours à 1 hum. de méd.
chez le second quatorze mètres1. MM. Gomez, Gallard, etc. (Journal de médecine et de chi¬rurgie pratiques, 1867, p. 510), procèd
juger par ce que nous avons déjà vu de ces appareils. 2e année. 4 MÉDECINE RHUMATISME CHRONIQUE; DIFFORMITÉS CONSIDÉRABLES
ncore dans l'Abeille médi- 1 M. Brunet a communiqué à la Société de médecine de Bordeaux, en 1852, 25 ou 30 succès. MM. Lamoth
LA CHOROÏDE ET DE L'IRIS PAR M. A. DESPRÉS, AGRÉGÉ DE LA FACULTÉ DE MÉDECINE , CHIRURGIEN DE L'HÔPITAL DE LOURCINE. Les vices
il peut avoir pour le mé¬decin légiste. Tout récemment, la Société de médecine légale avait à examiner les motifs qui avaient pr
conditions peu¬vent avoir un véritable intérêt au point de vue de la médecine lé¬gale).—Cerveau, très-légères arborisations del
Tandis que, dans ces dernières années, les diverses branches de la médecine profitaient largement des données anatomo patholo
conduit, dit M. le professeur Herrgott (rap¬port fait à la Société de médecine de Strasbourg), il s'y trouve des obstacles qu'il
gnes par lesquelles M. Herrgott terminait son rapport à la Société de médecine de Strasbourg. Nous sommes heureux de les transcr
MPLIQUÉ REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX BEC-DE-LIÈVRE GUÉRI MÉDECINE CALCUL VOLUMINEUX DANS LE REIN DROIT. - NÉPHRIT
onnaissons néan¬moins les grands services rendus à cette partie de la médecine par nos dermatologistes et le grand jour dont ils
les exercent leur action. » — Clot-Bey, le grand organisateur de la médecine en Egypte, s'est fort préoccupé de rechercher l'c
ce à l'obligeance du docteur Mehemet-Aly-Bey, directeur de l'École de médecine du Caire. — La fin au prochain numéro. — THÉR
octorat. — 30 juillet 1870. - Observation communiquée à la Société de médecine d'Elbeuf. un coup avec la pointe de son serpill
ien fait voir M.Mar-rotte dans un mémoire publié dans les Archives de médecine , en 1860. Les hémorrhagies de cause locale peuv
mis en relief par M. Davaine, dans un mémoire lu devant l'Académie de médecine . En ce qui concerne l'ophthalmie, nous sommes fer
cteurs aux minutieuses recherches de M. Lorain sur ce sujet [Étude de médecine clinique). cette particularité a déjà été notée
de Montméja), 46. — Manuel de pathologie chirurgicale spéciale et de médecine opératoire, par Roser (anal, de Montméja), 47.— A
ntméja, 204. M Magnan, 41. Maxillaire inférieur (voy. Fibrome,. Médecine légale, 73. Monstre double monocéphalien, par
51 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Professeur de clinique des maladies mentales 3 la [''acuité de médecine ie l',u m. V. MAGNAN Membre de l'Académie
uité de médecine ie l',u m. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Ste-Annc). F.
eur de clinique des maladies du système nerveux à la Farulté de médecine de Pans. coi 9.ADOI%ÀTH(Ilts Principaux 1t1
minées dans nos Comptes-rendus et dont les auteurs des traités de médecine pourraient assurément tirer profit. 1 Tableau C
tit les mou- r ? Villejean. Art. Valériane. Nouveau dictionnaire de médecine et de chirurgie pratique, t. XXXVIII, 1885, p.
dans l'hypophyse ou dans la glande pinéale. (Archives t Bohèmes de médecine clinique, a, 1902, t.,III, fascicule 4). ? 1 1 SA
lques auteurs,' date de la' communication de P. Marie au Congrès de médecine de 1900. On les observe dans les noyaux centrau
1/2, visite du musée-bliblio- thèque. 2 heures, séance à l'Ecole de médecine ; installation du bureau. 70 VARIA. Discuss
tion à l'hôtel de ville. iv Samedi 2. 9 heures, séance à l'Ecole de médecine . Discus-;S cussion de la 2e question : Les tics
; communications diverses. , Mardi 5. 9 heures, séance à l'Ecole de médecine . Discus- sion de la 3e question : Les auto-accu
1902.' Art. 2. Les candidats devront être Français et docteurs en médecine d'une des facultés de l'Etat, avoir satisfait a l
des ma- ladies mentales, en exercice dans des Facultés ou Écoles de médecine de l'État ; 3° trois directeurs médecins ou méd
- mum des points sera de 10; 3° une question orale portant sur la médecine et la chirurgie en général, pour laquelle il sera
pathologie mentale et des maladies de l'encéphale à la Faculté de médecine de l'Université de Paris. Ge dernier se trouvera
hiatrie, puisd'As- tros dans son remarquable travail de la Revue de Médecine , de 1894 sur le syndrome de Weber, les ont à n
e de Londe, lléuédo-aldxie cérébelleuse, Paris, 1895. 1 Traité de médecine et de Thérapeutique, de Brouardel et Gilbert, t
être lié tantôt à un état de dépression ' Cité par Mosny. Manuel de médecine , Debove-Achard, t. III, art. Sclérose en plaque
bes et des ferments, a fait une révolution telle, que les livres de médecine écrits avant lui ne peuvent plus servir à l'ins
symptômes se succé- dant comme dans les descriptions d'un livre de médecine : il fut pris pendant six semaines d'un sommeil
. P. KERAYAL. XIV. Les paralysies laryngées et leur importance en médecine générale; par \V.-J. GLEI'RSMANN. (1'lce Alezv-
s plus élevées de la psychopathologie, de la neuropathologie, de la médecine légale, de l'administration des asiles, de l'as
dies de la sensi- bilité et de l'intelligence, l'administration, la médecine légale, la jurisprudence et la statistique ».-
ion, on le sait resta ouverte. La psychialrie est une branche de la médecine . Aussi les ques- tions de thérapeutique ont-ell
'assistance des épileptiques. Les problèmes les plus délicats de la médecine légale furent traités par la Société. Citons le
tombe au nom de la Société médico-psychotogique et de la Société de médecine légale qu'il a associées dans son suprême hommage
lusieurs études ultérieures, données soit aux Archives générales de médecine (185 et 1858), soit à la Société 9 ? iédico-psy
-psycho log iq ite (1858), soit au premier Congrès international de médecine mentale (1878) . Nommé médecin de Bicêtre en 18
183 Entre temps, les questions relatives à l'Assistance et à 'la' Médecine légale des aliénés attiraient l'attention de Jule
le choisissant encore comme président du Congrès international de médecine mentale (1889) et comme président de la Société'd
al de médecine mentale (1889) et comme président de la Société'de médecine légale de France (1893-1894). ' Mais Jules Falr
a profession, il laisse une trace ineffaçable dans l'histoire de la médecine mentale au xixe siècle, et tous ceux qui l'ont
fonctionnel ou physiologique des organes pour faire oeuvre utile en médecine pratique. L'anatomie clinique, avec sa méthode
ncien interne de Saint- Lazare, préparateur adjoint à la faculté de médecine , médecin électricien, avec préface de M. le P1'
tricien, avec préface de M. le P1' GAMEL, membre de l'aca- démie de médecine . J.-B. Baillière, éditeur. Ce guide se divise e
roi, sous ce titre un peu long : Le 17-é- sor de la pratique de la médecine oit le Dictionnaire médical conte- nant l'histo
AR les docteurs Serge S0UKUA3 OFF, Privat-doccnt de la faculté de médecine , médecin de la clinique psychiatrique 1 de Mosc
bservé dans les établissements d'aliénés {Mémoires de l'Académie de médecine , t. XI, p. 552). « Etat des yeux. Les yeux révè
moins considérables. » ' Lannelongue. Article Mamelles. In Dict. de médecine et de chirurgie pratiques, p. 522. q Trépier.
général du Congrès ; M. le docteur Bordier, directeur de l'Ecole de Médecine . Dans l'assistance, de nom- breux professeurs e
maire de Grenoble; M. le docteur Bordier, direc- teur de l'Ecole de Médecine ; M. le docteur Dufour, ancien député ; M. Boir
éminent anthropologiste et socio- logue, le directeur de l'Ecole de Médecine de Grenoble, devenue entre ses mains presque un
e, la Biblio- thèque, les Congressistes se sont réunis à l'Ecole de Médecine où les a reçus M. le Dr Bordier, directeur de l
ordier Messieurs, Je suis heureux de saluer, au nom de l'Ecole de Médecine et de Pharmacie (j'ajoute au nom du corps médic
t. Si vous avez été conduit ici par votre sympathie pour l'Ecole de Médecine de l'Université de Grenoble, sympathie dont nou
s n'avez pas de diplôme professionnel, vous avez du moins étudié la médecine ; vous l'avez fait en naturaliste et en philoso-
e où toutes les sciences se préoccupent de leur utilité sociale, la médecine , dont cela a toujours été la destination, la mé
sociale, la médecine, dont cela a toujours été la destination, la médecine mentale, plus que toute autre, a le droit d'être
questions d'hygiène et de pro- phylaxie sociale ? C'est bien à la médecine , en particulier à la médecine mentale, à la neu
phylaxie sociale ? C'est bien à la médecine, en particulier à la médecine mentale, à la neurologie et à la psychologie ex
e la même question, M. Samuel GARDER envoie une note intitulée : La médecine légale des états anxieux. RÉCEPTION A L'HÔTEL D
ontrent l'analyse clinique et l'expérimentation pyscho- logique. La médecine psychologique française en particulier, sous l'
varia. 281 1 de troubles d'association. La psychologie a rendu à la médecine le double service de pénétrer la nature intime
pathologie mentale et des maladies de l'encé- phale à la Faculté de médecine de Paris est nommé médecin-adjoint à l'asile d'
Falret. La folie à deux ou folie communiquée (Archives générales de médecine , septembre 1877). Archives, 2- série, t. XIV. 1
délits ou de crimes dont ils doivent rendre compte à la justice. En médecine légale, auto-accusation est donc synonyme d'aut
fournit en moyenne, par an l ou 16 corps non- réclamés à l'école de médecine de Grenoble, parmi lesquels en moyenne , un de
Médecin de l'Asile de Maréville Chargé de Cours il la Faculté de Médecine de Nancy. L'observation sur laquelle repose cet
pilepsie par la sympathectomie,par JAnoULAY y et LANNOIS. (Revue de Médecine 1899.) Le traitement de l'épilepsie par la symp
ire de l'Asile clinique, professeur agrégé de l'ancienne faculté de médecine de Strasbourg. Il était un des repré- sentants
né le 3 février 1823 à Châlons-sur-Marne, avait été reçu docteur en médecine de la Faculté de Paris, le 11 mai 1849, après d
s. Le 15 novembre 1853, il prenait part au concours d'agrégation en médecine ouvert devant la Faculté de Strasbourg. Ses pro
ent en effet redoutables. Il fut néanmoins nommé dans la section de médecine à la suite d'un brillant concours et après avoi
85. Dès 1849, 25 juillet, il avaitété nommé membre de la Société de médecine du département de la Moselle, et le 14 mars 185
comme H. DAGONET. 451 , . membre correspondant à la Société de médecine de Strasbourg. Les membres de la Société académ
Les membres de la Société académique de ChàIons, des Sociétés de médecine de Nancy et de Metz, de Goettingen, etc., le reçu
écrire de sa main, déjvtrem- blante, tout le chapitre relatif à la médecine légale de l'aliéné, dans laquelle il avait acqu
cien en chef Les deux médecins en chef avaient chacun un interne en médecine et un interne en pharmacie. Le D1' Girard (de C
esquels l'auteur montre à la fois ses connaissances approfondies en médecine men- tale et ses qualités d'administrateur. Leu
ités d'administrateur. Leur ensemble forme un véri- table traité de médecine et de science médico-administrative, tou- jours
EIKE. Concours pour la nomination aux places d'interne titulaire en médecine dans les asiles publics d'aliénés du départemen
un concours pour la nomination aux places d'Interne titu- laire en Médecine dans lesdits établissements. Les candidats qui
eine de rompre; on assiste à ces t Mémoire présenté à l'Académie de médecine , mention honorable au Prix CI Vl'leux. Archiv
icardite est souvent une découverte d'autopsie, Netter, . Traité de Médecine , Cliarcot-Bouchar(l, t. IV, p. 906. 1 '. ALIÉNÉ
é à l'aimant, avec tableaux et 32 figures ; par Cli. MUE. (Revue de médecine , 1902.) Expériences que l'auteur a faites sur l
ent incurables et du ressort de la crimi- nologie, plutôt que de la médecine ou de la pédagogie. En terminant, l'auteur va a
il sont les suivantes : - Il est remarquable dans l'histoire delà médecine que la syphilis du foie, la syphilis du cerveau
VE CLAT. XXXII. Lanévrose d'angoisse ; par IIAIITEMBLERG. (Reçue de médecine , août 1901.) Après avoir exposé les principau
z les paralytiques généraux ; par - MARANDOK de l10,NTYEL (Revue de médecine , 1899). Les troubles moteurs ont été observés c
des paralysies psychiques ; par llAL'sEn et Lostat JACOB. (Reçue de médecine , nov. 1901.) Quatre observations dont trois se
. XXXVI. Le vertige psychique ; par VAscniDE et VURPAS. (Revue de médecine , mai 1903.) Il s'agit ici du trouble angoissant
osso-laryngée, par Sano, 160. Les laryngées et leur importance en médecine gé- nérale, par Steitsmann. 1G1. - générale à
52 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie
culté de médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sie-Anne). F.
eur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris. COLLABORATEURS PRINCIPAUX MM. BAB
Chef de clinique intérimaire Interne des hôpitaux à la Faculté de médecine de Montpellier. Nous avons eu l'occasion de s
dans une très intéressante revue générale (Gazette hebdomadaire de médecine et de chirurgie, 11 mars 1893), admet deux ordr
rlin, janvier 1892. 3 Favre. Arch. de Virchow 1891 et Gaz. hebd. de médecine et chirur- gie, mai 1891. 1 22 PHYSIOLOGIE PA
usier. Traitement de l'épilepsie, 1880. Bulletin de l'Aca- démie de Médecine . Belgique. DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE.
nog.de luSvlpétrière, 1895, n° 1. Communication faite au Congrès de médecine mentale de Clermont-Ferrand, 1894. L'auteur rap
e deux, cellules qui s'influencent réci- proquement. u . REVUE DE MÉDECINE LEGALE. 51 Cet exposé raccourci montre la paren
tre esprit dans les rouages de ce dernier. , P. KEnavaL. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. I. Etat mental DE S... Clément, accusé
que, il offre tous les symptômes classiques d'une manie 54 REVUE DE MÉDECINE LEGALE périodique, et non ceux d'une simple man
urs desquelles s'est produit le traumatisme, ainsi que des REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 55 suites immédiates de l'accident; il
ubles nerveux tantôt se développent immédiatement après 56 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. le traumatisme, tantôt ils en sont sépa
t favorable ? elles ne donnent point lieu à une expertise. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 57 Leur marche est-elle chronique ? le
t de M. Garnier, des plus intéressants et publié in ex- 58 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. tenso, montre bien comment l'auteur put
avation de la maladie. Paul Sérieux. II. ORIGINE ET progrès DE la médecine mentale; par le D' Régis. (The Alienist and Neu
ctobre 1894.) , Historiqne intéressant des progrès accomplis par la médecine mentale depuis Hippocrate, son fondateur, jusqu
médical de l'asile qui comprend cinq médecins et trois internes en médecine . La distri- bution de ce laboratoire parait des
ontusions, a dû s'aliter. (Paris, 8 fév.) - . Congrès français DE MÉDECINE . Le Congrès français de Médecine doit tenir à B
8 fév.) - . Congrès français DE MÉDECINE. Le Congrès français de Médecine doit tenir à Bordeaux sa seconde session sous l
Dr Ch. Bouchard, membre de l'Ins- titut, professeur à la Faculté de Médecine de Paris. Elle s'ouvrira le 8 août 1895, pendan
ur à la Faculté de Nancy; M. le Dl' Laborde membre de l'Académie de médecine . FAITS DIVERS. 93 Les communications personne
isation de membre titulaire est fixée à 20 francs. Les étudiants en médecine peuvent être admis comme membres associés, moye
moyennant une cotisation de 10 francs. FAITS DIVERS. Académie DE MÉDECINE . Nous annonçons avec plaisir la nomi- nation à
DECINE. Nous annonçons avec plaisir la nomi- nation à l'Académie de médecine de notre excellent ami M. le Dr P. Regnard, pro
, imp. -ï9$. Vol. XXX. Août 1895. N° 102 ARCHIVES DE NEUROLOGIE MÉDECINE LÉGALE. INFANTICIDE ET HYSTÉRIE; Par le D'A.
transitoire, non plus que d'une impulsion Archives, t. a\1. 7 98 MÉDECINE LÉGALE. instinctive qui l'ait conduite, sans qu
pour les bien juger l'expérience que donne seule la pratique de la médecine légale et des débats criminels en matière d'inf
sparaître son enfant. Elle avait été ' Legrand du Saulle. Traité de médecine légale. Paris, 1886. 100 MÉDECINE LÉGALE. dén
' Legrand du Saulle. Traité de médecine légale. Paris, 1886. 100 MÉDECINE LÉGALE. dénoncée par la rumeur publique. L'atti
a déclaré n'avoir rien entendu et ne s'être aperçu de rien. '102 MÉDECINE LÉGALE. allégations fausses sur lesquelles il e
nternes a déterminé de graves accidents nerveux. Lanature deces 104 MÉDECINE LÉGALE. accidents ainsi que de l'exaltation cér
casionnées par son premier enfant que pour celles qui Fig. 5. 106 MÉDECINE LÉGALE. devaient résulter du second. Mais de la
cherchés rapports donton comprend l'uti- lité au point de vue de la médecine opératoire, l'auteur aemployé un procédé inédit
s aliénés criminels. Il expose que la commis- sion de la Société de médecine légale chargée d'étudier cette question a repro
du 1er au 7 août 1895, dans un des amphithéâtres de la Faculté de médecine , place d'Aquitaine, où le secrétariat se trouvera
n de délégués de la Société philomatique Soir, 2 heures (Faculté de médecine ). Pre- mière question du programme : Les psycho
excursions du Congrès de l'avancement des sciences et du Congrès de médecine interne. (Voir les programmes spé- ciaux.) VA
rachis. » Olivier dit que Lapeyre a déjà décrit dans le Journal de médecine , LXV, un tubercule dans la région de l'olive et
nière que Raymond2 dans un article publié en 1886, dans la Revue de médecine . Cet auteur insiste surtout sur la fréquence de
ert, etc. L'explication que donne à cet égard Weil dans la Revue de médecine , 1893, n° 6, et d'après laquelle il faut rattac
rs d'origine infectieuse). Sbornilc lelcarsky. (Archives bohèmes de médecine , 11, 1, 1887.) . 2 B. Sachs. - Kurze Mittheilun
sident du tribunal civil; professeur Pitres, doyen de la Faculté de médecine ; Dr Régis, secrétaire général du Congrès. Une n
ncore des médecins de la ville et du département, et d'étudiants en médecine remplis- sait le bel amphithéàtre de la Faculté
vins. En terminant, M. Berniquet parle des travaux de la Faculté de médecine de Bordeaux et de son éminent doyen, M. Pitres.
édicales les mêmes connaissances que dans les autres branches de la médecine . Sans doute, il y a encore bien des deside- rat
si la riche cité bordelaise a déjà beaucoup fait pour la Faculté de Médecine , il lui reste encore à faire; je veux profiter de
ale que l'aliénation mentale a été en quelque sorte distraite de la médecine , de sorte que les médecins ont délaissé la- méd
istraite de la médecine, de sorte que les médecins ont délaissé la- médecine mentale comme chose étrangère à leur art, et qu
époque qui n'est pas bien éloignée, on aurait volontiers regardé la médecine générale comme s'adressant à la matière, pendan
ictions ont vécu, mais la scission qu'elles avaient faite, entre la médecine et l'aliénation mentale, n'a pas encore disparu
est illogique de ne pas incor- porer complètement l'aliénation à la médecine . C'est ce que réclame le simple bon sens. Qu'es
tion mentale la même instruction que dans les autres branches de la médecine et étudiait la médecine mentale, non pas de faç
truction que dans les autres branches de la médecine et étudiait la médecine mentale, non pas de façon à être un aliéniste r
ec les mêmes garanties que l'enseignement des autres branches de la médecine , avec stage dans les Asiles, avec examen spécia
ns-nous donc-tous à l'oeuvre et, suivant la devise de la Faculté de Médecine de Bordeaux Pro scientix, zcrbe et pat1'iæ, tra-
rou, premier président; profes- seur Pitres, doyen de la Faculté de médecine ; Th. Roussel, sénateur; Pujol, Roth (de Moscou)
ont nommés vice-pré- sidents. iMM. Sabrazès, agrégé à la Faculté de médecine ; le D''Tissié (de Bordeaux), et Roubinovitch, c
ié (de Bordeaux), et Roubinovitch, chef de clinique à la Faculté de médecine de Paris, sont nommés secrétaires des séances.
sont pas des déments vésaniques, mais des déments organiques. - La médecine légale des psychoses de la vieillesse est soumi
psychoses de la vieillesse est soumise aux règles ordinaires de la médecine légale des aliénés. Les cas relatifs à la capac
produit-elle chez la femme et faut-il y attribuer une importance en médecine légale ? M. Trenel (de Vannes) communique une o
ésie des actes ont une conséquence importante au point de vue de la médecine légale : c'est que les épileptiques impulsifs,
la qualité. » M. Régis insiste sur l'importance particulière de la médecine légale au point de vue particulier de la loi mi
lepsie larvée; une étude a été présentée en son nom à l'Académie de Médecine par M. Mesnet en 1883. Au point de vue médico-l
ec stage scolaire des étudiants, soit institué dans les Facultés de médecine . Bordeaux voudra être la première ville de Fran
les essences de liqueurs déclarées dangereuses par l'Aca- démie de Médecine . BouR'<E\iLLE. Recherches cliniques et théra
insi qu'avant l'article de MM. Brissaud et Meige dans le Journal de Médecine et de chirurgie pratiques de Paris, les concept
t là, d'ailleurs, ce qui se fait souvent pour d'autres questions de médecine légale. M. BnnNnïs (de Bayonne). Un cas d'alhét
range à son opinion; M. P. Marie ne la décrit pas dans le Traité de médecine . M. J.-B. Charcot s'inscrit en faux contre cett
a des exemples, y lit-on, qui montrent que par l'intervention de la médecine et par d'autres mesures utiles, on est arrivé à
siles d'aliénés. Paris, 186'r. ! Moreau de Tours. Réflexions sur la médecine psychiatrique en Allemagne,. Annal, médico-psyc
quatre observations nouvelles prises à la clinique de la faculté de médecine de Vienne. Les deux premiers cas pré- sentent c
si que le lui a reproché Leidesdorf, un idéaliste etun ennemi de la médecine exacte, qu'il était au contraire au courant de
é par la réunion d'articles écrits par Massalongo pout le T1aité de médecine italien. Il s'agit donc d'une oeuvre essentiell
ses par M. le D' Gilbert Ballet, professeur agrégé de la Faculté de médecine de Paris, un des maîtres les plus émi- nents et
ry d'origine influenzique que naguère il communiqua au Congrès de médecine mentale et de neurologie de Bordeaux. REVUE DE
publique de France, par le I)r Lancereaux, membre de l'Académie de médecine ; la Ilollande, par MM. de Heemskerke et Ruysch;
. Toulouse, chef de clinique des maladies mentales de la Faculté de médecine , chargé par M. le professeur Joffroy de faire u
calisations. Contribution à l'étude des cérébrales, par Shaw, 398 Médecine mentale. Origine et pro- grès de la -, par Régi
53 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Professeur de clinique des maindies mentales à la Faculté de médecine de Paris. Y. MAGNAN 1 Membre de l'Académie
lté de médecine de Paris. Y. MAGNAN 1 Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique · (Ste-Anne). F
eur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris. Rédacteur en ckef : BOUItNh V1LLE
r morbide puissant,' la diathèse syphilitique. Ces deux 54 REVUE DE MÉDECINE LEGALE.. facteurs avaient en, quelque sorte pré
t aujourd'hui avancer ta question. ,.ri ' ;^, ^r . ' , . . REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 5a Parmi les décisions prises à propos
ie'use description dé lâ inéthode ? 9 f' `t""· · '4 P ? K. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. ' 57 - V. L'importance DE la menstruati
er'* d'utiles modifications.»'^ ,là z" ? ! AÎ 1 cti- L"4 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 59 X.' UN CAS D'AST.&SIE-AB,SIS HYS
ux individus, qui ne sont ni fous ni-tout» fait sains 60 , REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. t. , i , , J1W uir « ! ' c- , " --d " ,
d'aliénés de Villejuif. (Mémoire' couronné 'par ''l'Académie' de"* médecine ,- prix Civrieux, 1892),- in-40 de 104 pages, Ma
rois dernières années, l'auteur a publié dans plusieurs journaux de médecine les cas d'alcoolisme qu'il a eu l'occasion de t
dans un article sur la Dypsomanie, publié dans le Diction- naire de médecine psychologique de Tube : j 1° Ivrognerie périodi
merican Journal of lnsanily, 1893.) E. B. Concours DE la Société DE médecine mentale DE BELGIQUE. Première question. Etude c
digents.yestzde=350 francs par, an.' (Bulletin de i la Société t de Médecine , mentale de Belgique,' décembre.1893.) = Nous,
s. Rapporteur ( Il. 1P." IARIE*' professeursagrégéldé la Faculté de médecine de Paris; 3° Législation et administration : de
Les mercredis : Interrogatoire des malades. Un cours élémentaire de médecine mentale en quinze leçons sera fait par M. le De
et de janvier. Inspection DES AL1LNG5. -AI. OscarTHnius, docteur en médecine à Dolhain-Limbour, est nommé membre du Comité p
t Ralchmaninoll'. Contribution à la névrite périphérique. (Revue de médecine , 1892, p. 321.) ARCHIVES, t. XXVII. 7 98 ANAT
e. 15G varia. Trésorier : M. G. Maison, libraire de l'Académie de médecine . Membres du, Comité : MM. Challemel-Lacour, pré
trauss, le Dr Terrier, le Dr Tillaux, pro- fesseurs à la Faculté de médecine de Paris. MM. Marey, Ranvier, Ribot, professeur
stoire naturelle. MM. le D'' Laboulbene, président de l'Académie de médecine ; le D Ber;eron, secrétaire perpétuel de l'Acadé
e de médecine; le D Ber;eron, secrétaire perpétuel de l'Académie de médecine ; le Dr Cadet de Gassicourt, le Dr Magnan, membr
le Dr Cadet de Gassicourt, le Dr Magnan, membres de l'Académie de médecine .. MM. le baron Larrey, inspecteur général du Se
Service de santé de la marine, en retraite, membre de l'Académie de médecine . MM. le Dr Pitres, doyen de la Faculté de médec
de l'Académie de médecine. MM. le Dr Pitres, doyen de la Faculté de médecine de Bordeaux; le D'' Azam, professeur à la Facul
té de médecine de Bordeaux; le D'' Azam, professeur à la Faculté de médecine de Bordeaux; le Dr Folet, doyen de la Faculté d
aculté de médecine de Bordeaux; le Dr Folet, doyen de la Faculté de médecine de Lille ; M. le profes- seur Lortet, doyen de
decine de Lille ; M. le profes- seur Lortet, doyen de la Faculté de médecine de Lyon; le Dr Lépine, professeur à la Faculté
culté de médecine de Lyon; le Dr Lépine, professeur à la Faculté de médecine de Lyon; le D'' Mairet, doyen de la Faculté de
Faculté de médecine de Lyon; le D'' Mairet, doyen de la Faculté de médecine de Montpellier; le Dr Grasset, profes- seur à l
édecine de Montpellier; le Dr Grasset, profes- seur à la Faculté de médecine de Montpellier. MM. Planchon, directeur de l'Ec
périeure de pharmacie ; le Dr Heyden- reich, doyen de la Faculté de médecine de Nancy; le Dr Demange, professeur à la Facult
lté de médecine de Nancy; le Dr Demange, professeur à la Faculté de médecine de Nancy; le Dr Caubet, doyen de la Faculté de
Faculté de médecine de Nancy; le Dr Caubet, doyen de la Faculté de médecine de Toulouse; le Dr André, pro- fesseur à la Fac
de médecine de Toulouse; le Dr André, pro- fesseur à la Faculté de médecine de Toulouse. MM. Trasbot, direc- teur de l'Ecol
l'Ecole vétérinaire d'Alfort, membre de l'Académie de VARIA. 181 médecine ; Nocard, professeur à l'Ecole vétérinaire d'Alfo
professeur à l'Ecole vétérinaire d'Alfort, membre de l'Académie de médecine . MM. Peyron, directeur général de l'Assistance
taux; le Dr Heim, membre de la Société des agrégés de la Faculté de médecine de Paris; le Dr Cornil, président de la Société
nil, président de la Société anatomique, professeur à la Faculté de médecine ; Chau- veau, président de la Société -de biolog
udiants; Londe, Meunier, Brocarde). représen- tants des internes en médecine des hôpitaux de Paris. Elèves et amis de M. le
Pierret, ancien interne de M. Charcot, profes- seur à la Faculté de médecine de Lyon; le Dr Poirier, chef des travaux anatom
Lyon; le Dr Poirier, chef des travaux anatomiques de la Faculté de médecine de Paris; le D'' Raymond, ancien interne de M.
os 68 et 69 des Archives de iVe ),ologie. Sous ce titre : 176 ' ' - MÉDECINE LÉGALE. Note.sur un aliéné homicide, étaient ex
: bout'à'' l'autre que l'application', à un'point particulier'de la médecine mentale; des 'doctrines généï : âles'aûsavânt'i
is de plus sur les. merveilleux' effets d'un agent-qui fournit à la médecine , comme,on l'a dit, l'occasion « d'un des plus b
> VIII. Des INJECTIONS sous-cutanées DE sulfate DE DUBOISINE EN médecine mentale; par J. MASSAUT. (Bull.,de là Société,
e de la commission de revision de la législation pénale. FACULTÉ DE médecine de paris. La chaire de clinique des mala- dies'
aire de clinique des mala- dies'du système nerveux de la Faculté de médecine de Paris, vient enfin d'être déclarée vacante.
du laboratoire de clinique des maladies mentales de- la Faculté de médecine de Paris, est constitué ainsi qu'il suit, pour
'il suit, pour l'année scolaire 1893-1894 : MM. KLIPPEL, docteur en médecine , chef; SERYEAUX, docteur en médecine, aide; SAU
1894 : MM. KLIPPEL, docteur en médecine, chef; SERYEAUX, docteur en médecine , aide; SAUviNEAU (Arthur- Simon-Charles), docte
ur en médecine, aide; SAUviNEAU (Arthur- Simon-Charles), docteur en médecine , en remplacement de M. Le- FILLIATRE, dont les
issances les plus précises sur la phy- siologie nous viennent de la médecine D. C'est elle que préco- nisait Morgagni quand
intéressant mémoire publié en 1863 par la Gazette hebdoma- daire de médecine et de chirurgie, qu'un malade aphasique étant v
d'un sâvnt éminent,du professeur, de phy- siologie de la Faculté de médecine de Paris,elle ne, saurait être O · ? " ... à..t
T , .« . al , 0A01 1 <il-,Tl ? oa^[ -1,'cl .'o . f ? "Tr'IIJ.,r, médecine , en 893,' comme au Congres de Blois en août 1VI
s que\nous,ayons résumés, dans notre communication., l'Académief,de; médecine ,`IL"ÿ ! a. eu 15 décès, mortalité'de beaucoup s
rère des plus estimés, M. le Dr Comby, consacre depuis un mois à la médecine infantile 1. * En fait, M. Bourneville y donne
dudit.établissement.^On^trouvera chez le concierge de la Faculté-de médecine et à la Maison nationale des exemplaires de l'a
Persistaizec durant trois 1 Observation communiquée à la Société de médecine mentale de Belgique, séance d'avril 1894. Arc
l'encéphalite chronique interstitielle diffuse. (Revue mensuelle de médecine ? idées 1877);iu. Recherches ! ,surS%les-\\centre
chel.corlicale'descirconuolu- tions fronto-pariétales.4 Académie de médecine , 5rléc.,l87fi : (Anzal. méd. psychol., 1877.) t
.·.u 1,' t * · 2 Lépine.- Du trismus d'origine cérébrale. (Revue de médecine , 1882.) 340 ^ .. < , ...[CLINIQUE MENTALE ?
'adulte, forme tétanique. Trismus d'origine cérébrale'. (Révt(è'-de médecine , 1893,' p.413 ! ) ? A -vMMr ->- i>' ' - s
atrique et introduire dans les examens en question la matière de la médecine mentale ; 2° l'ad- ministration centrale doit s
ons savantes' : l'auteur a fait dés emprunts'hombréux'aujournal de1 médecine * du^Van ? der Monde, mais soit' fatigue 'soit'
.')... e - : .rifr i T.'Yl .rlei-i'r1 : 11- De l'enseignement DE'LA médecine ^mentale en BEr;çAei : ; ,pay le "'D^X.' FnANCo
énéral de' to-uLes'les ? dsitibiis "6t f des ? connais- n sances en médecine mentale sont particulièrement indispensables. '
es scienti- fiques de notre pays. (1-1 FAITS DIVERS. Faculté DE médecine DE PARIS. - Dans sa réunion du jeudi 15 mars, l
édecine DE PARIS. - Dans sa réunion du jeudi 15 mars, la Faculté de médecine a présenté, pour la chaire de clinique des mala
an ? Maladies du système nerveux, p. 322. · -· Pitres. - Journal de médecine de Bordeaux, 27 janvier 1884. ' Blocq, cité 'pa
: Sur les formes spinales de la paralysie générale, in Journal " de Médecine et de Chirurgie pratique, 10 avril 1894. ' ' ` "
n ^'entourant des -mêmes moyens d'appréciation tout en dehors de la médecine et des conseils juridiques., Sans doute quand i
ous a entraîné à lire l'Éloge de ce savant prononcé à'l'Académie de médecine le 1er décembre 1839 par Bousquet, l'un-de~ses
ons été. aidé par M. le Dr Dureau, bibliothécaire,de l'Académie de, médecine et par . 111,Jules Soury (de- la Bibliothèque n
881); ? prix de' physiologie expéri- mentale;'1857; = professeur'de médecine au Collège de France; directeur de deux laborat
l'Ecole des Hautes-Etudes ; mem- bre correspondant'de l'Académie de Médecine et de la Société de Chirurgie de'Paris; membre
du cours"de pathologie comparée et, expéri- mentale à la Faculté de Médecine de Paris (de 1869 à 1872) ; mé- decin de l'Hôpi
également la direction des « Archives o/ scientific azzd Praclical médecine , and Surgery » paraissant en Amérique. ' "<
contient que 150 lits répartis entre trois services : le service de médecine interne; le service de chirurgie; le quartier d
. D'abord onii-eçut exclusivement des malades, de chirurgie et de médecine ; depuis 1880, on admet également des aliénés. En
192. , r ' . Uuboisine, injections sous-cutanées de sulfate de en médecine men- tale, par Massant, 229. Dure-mère ? sur
dans les maladies nerveuses, par 1 - Massy,.462 ? r",....A ? rTO Médecine mentale en Belgique, par ? ' · Francotte, 398.
asse-Saxe et de West- phalie, par Keraval, 456 ; congrès de la de médecine mentale de Belgique, 75; des aliénistes allem
54 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
son de Périclès, où pourtant, selon I.eclerc, dans son Histoire de ta Médecine , un esclave avait été guéri par un remède révélé
s. Pausanias (1), dont Sprengell se fait fort dans son histoire de la médecine (2), nous relatera les mêmes faits avec de nouvea
songes « à l'aide desquels les malades sont guéris; et l'art de la « médecine lui-même, ajoute-t-il, ne s’est formé que par « c
ÉTUDES ET THÉORIESV BÎCKIHCHIS MÉDICO-MAGNÉTIQUES CHAPITRE V. MÉDECINE SP11UTLALI5TE. — ILLUMINISME. L'homme primitif
iverses ét lient nécessaires pour exposer complètement nos \uessur la médecine spiritna/is/c. Maintenant nous allons aborder dir
a souvent impossible d’apprécier la différence qui existe entre cette médecine et celle dite d'imagination, que nous avons dével
te d'imagination, que nous avons développée antérieurement (1). I.a médecine spirilualiste se rapproche essentiellement de la
(1). I.a médecine spirilualiste se rapproche essentiellement de la médecine d’imagination, par ses effets; elle en diffère se
ÉTUDES ET THÉORIES. RECHERCHES MÉDICO - MAGNÉTIQUES CHAPITRE V. MÉDECINE SPIRITUALITE. — ILLUMINISME. (Suite). L’origi
us possédons sur l’iEumi-nisme ne font qu'effleurer la question de la médecine spiri-tualiste. Presque exclusivement consacrés à
’Église pèsent encore aujourd’hui sur la secte rinfrasicnnc (1). La médecine doit certainement des obligations au quiétisme; 0
» F.n bornant ici les citations, nous circonscrivons l'étude de la médecine spiritualiste dans un cadre bien restreint. Il no
ùlresiie l'illuminisme peuvent se réduire en trois sections : I" Lu médecine de concentrai ion, c'est-à-dire l'action curative
uridiction théologique ; 3" Enfin nous réservons la dénomination de médecine spi-ritualiste à la détermination mutuelle d’une
ction des substances animiques entre elles. On confondra souvent la médecine spiritualiste avec la médecine d’imagination ; qu
entre elles. On confondra souvent la médecine spiritualiste avec la médecine d’imagination ; quelques-uns même proclameront le
rce le commerce de la librairie sans brevet, l'ignorant qui exerce la médecine sans diplôme ; lous ces gens pourraient dire comm
me laisse pas vendre des livres, si 011 ne me laisse pas faire de la médecine , il faut .lone voler ? J.a parole esl à voire d
é magnétique, et sera reconnu par toute personne, même étrangère à la médecine , plus facilement que l’aquosité du sang dont il n
ela a eu lieu à l’avant-dernière séance du Waux-Hall, sur un élève en médecine chez lequel on ne pouvait rien obtenir par les mo
du Mesmérisme, combien la pratique de cette branche importante de la médecine développe dans le cœur de l'homme les sentiments
ouver par un roman combien de crimes on peut commettre à l’aide de la médecine et de la confession, affirmera sans doute, comme
ndwich, rapporté par Y Univers Pittoresque., vin passage relatif à la médecine , et analogue aux procédés magnétiques; l’auteur s
stamment, une médaille de bronze. 5" M. L.-J. DU PLANTY, docteur en médecine , demeurant il Saint-Ouen , prés Paris. Vous ven
ire le plus rebelle. Avouant complètement l’impuissance de la vieille médecine dans le plus grand nombre des cas, et puisant aux
aissance : il est marquis. Mais loin de croire déroger en exerçant la médecine magnétique, il s’y livre avec ardeur. Déjà beauco
règne endéraiquement, il était journellement témoin des insuccès delà médecine . L’idée lui vint d’employer le magnétisme contre
aux magistrats qu’il ne vendait pas de remèdes et n’exerçait pas la médecine . 11 lui a élé répondu qu'on n’était pas venu pour
ce rapport est toujours le Koran de nos académies des sciences et de médecine . C’est dire que ces institutions, d’ailleurs illu
ses coudées franches à l’endroit du libre-penser, que son académie de médecine (car il y a aussi une académie de médecine à Madr
enser, que son académie de médecine (car il y a aussi une académie de médecine à Madrid) soit plus tolérante que la nôtre, et bi
overses entre les magnétistes et les académies; lorsque l’Académie de médecine a décrété qu’elle mettrait au panier toute commun
n double bien. « Sa vertu divine « Répand des trésors! « C'est la médecine « Do l'éme et du corps. » Am : Du haut en bas.
e est une allusion bouffonne il la séance dans laquello l'Académie de médecine a décidé que toute communication concernant lo ma
orte de juridiction qui équivaudrait un jour à celle de la Faculté de médecine . Quand je vous visiterai, je vous ferai part de m
qui souffraient , de les soigner, de leur apporter le bienfait de la médecine naturelle. De nombreuses guérisons, dont quelques
employés contre cette affection échouèrent. C’est alors que voyant la médecine impuissante, ou l’engagea à recourir au magnétism
e côté de trois centimètres. Nous devons ici faire remarquer que la médecine possède aussi dans les préparations iodées un moy
pour attaquer cette maladie, et que le médecin qui ferait alors de la médecine allopatho-magnétique aurait moitié plus de chance
de février, afin de savoir si cette maladie, qui est si rebelle à la médecine ordinaire, ne pourrait pas être modifiée favorabl
her sans sautiller. Tout ce cortège de symptômes contre lesquels la médecine a si peu de puissance, céda en grande partie à la
U POTET. BIBLIOGRAPHIE. L'ABEILLE MÉDICALE, Revuo des Journaux de Médecine , rédigée par le Dr Comet. Bureaux , 9, boulovart
r la nature et les effets du magnétisme animal ? « Aucun journal de médecine n’a encore publié sur ce sujet que des négations
sent, la seule polémique qui ait été soutenue. « Dans un recueil de médecine essentiellement pratique, connu par son indépenda
ps. h° Les somnambules sont-ils en état de rendre des services à la médecine , malgré l’inconstance de leur lucidité et les éga
lité. — La torpille et l’électricité animale. — Bains de torpilles. — Médecine de transplantation. - Électricité mâle et femelle
il en soit, ces poissons électriques forment la première assise de la médecine de transplantation ; l’électricité animale, chez
11 prouve que tout animal est électrique , il s’ensuivra que toute la médecine de transplantation ne reposera que sur des donnée
haque jour, de telle à telle heure, recevoir les soins gratuits de la médecine magnétique. Le magnétisme ayant été annoncé com
qui savait combien sa découverte avait de chances de triomphe par la médecine , sollicita la création d'une clinique dans l’un d
yncopes fréquentes, etc. Après avoir été longtemps aux prises avec la médecine el les médecins, qui ne lui avaient procuré aucun
publique. » Touchante confraternité ! La Gazelle hebdomadaire de Médecine et de Chirurgie a consacré plusieurs feuilletons
les premières instructions que j'ai reçues dans l’enseignement de la médecine eussent été dirigées par des professeurs aussi éc
it du bon sens, à porter le trouble dans celte frêle organisation. La médecine hippocratique n’a point de spécifique pour guérir
illiolmologues n’en parlent point. — Nystcn, dans sou Dictionnaire de Médecine , le définit ainsi : « Lithiase ou lithiasie, s. f
agnétisme seul a redonné la santé en moins de cinq mois, alors que la médecine classique avait dépensé un temps excessivement lo
nétiseurs, je ne le considère plus comme l’égal ni l’auxiliaire de la médecine , je le mets infiniment au-dessus. Si quelques-uns
s pourrez lire dans un petit livre récemment annoncé sous le nom de : Médecine du pauvre el du riche, et dans une enseigne non t
ition, Y et calera et les points, sortent de la plume d’un docteur en médecine , «président de la Société philanthre-«magnétique,
ent de la Société philanthre-«magnétique,» assisté d’un « ex-élève en médecine , » secrétaire de ladite Société. Quant à l’auteur
de toutes les bourses, puisque la méthode a résolu le problème de la médecine du pauvre cl du riche. Espérons que les agents de
a disposition un moyen qui peut si avantageusement venir en aide à la médecine . Agréez, etc. I.OUVET, „ . „„ docteur-médec
sprit dans les opérations magnétiques. — La Gazette hebdomadaire de Médecine et de Chirurgie, qui se publie sous les auspices
M. le D'Second, professeur agrégé et bibliothécaire de la Faculté de médecine de Paris, vient de publier son opinion sur le mag
aient brûlantes et d’une couleur foncée. Mon beau-frère, docteur en médecine , qui se trouvait en ce moment auprès de moi, me c
es tortures qu’on lui préparait, elle renonça aux prescriptions de la médecine pour se livrer uniquement à l’action bienfaisante
cès, sans qu’on pût l’en faire revenir par les moyens employés par la médecine ordinaire, qui avaient réussi jusque-là sur elle.
cablé de demandes et de questions de tous genres sur la politique, la médecine , la religion, etc., ne resta jamais court. L’on é
radition a conservé quelqu’une des pratiques occultes des anciens. La médecine , dans les temps passés, avait pour base la vérité
idée, montre son empire et sa force. N’est-il pas accablant pour la médecine de voir des char-latuns, des hommes à secrets, de
nées. Après qu’il eut employé les meilleurs ou les pires moyens de la médecine , on lui conseilla le magnétisme comme dernière re
t ne veut point fournir une arme propre à combattre les erreurs de la médecine touchant le magnétisme. Qu’eût fait un magnétis
ier cette observation, qui fut adressée dans le temps à l’Académie de médecine , d’abord parce qu’elle est rare, et qu’ensuite, à
es intelligences au lieu de les éclairer ; comme la philosophie et la médecine , elles n’ont point fait un pas en avant, et la mê
auvre et avait une si petite clientèle, qu’il résolut d'abandonner la médecine pour se livrer au commerce. Il resta longtemps da
ns, et de je ne sais combien d’autres expériences que lit sur elle la médecine , elle 11e fit qu’aller de mal en pis jusqu’à ce q
t quelquefois indiqués par elle à petites doses, comme les emploie la médecine homéopatique. Les verrues de cheval réduites en p
e la ville, qui déclaraient avoir employé toutes les ressources de la médecine et n’avaient pu cependant lui procurer aucun soul
voris les clameurs de l’ignorance ! Le magnétisme est déjà comme la médecine , la guerre est dans son camp. Une foule d’êtres r
ntion des esprits. Il exprime avec beaucoup de raison le vœu que la médecine s’empare du somnambulisme pour s’aider de son con
t obtenu des cures admirables; il y a là toute une régénération de la médecine , el cette thérapeutique n’est pas exposée aux err
agnétisme. Voici un procédé du même genre, rapporté par le Journal de Médecine et de Chirurgie pratiques, du mois de septembre.
es corps savants français, et montre la nécessité, pour l’Académie de médecine , de refaire, pour le présent , le travail que la
usé ce soin à la découverte la plus utile aux hommes? Les Facultés de médecine et des sciences avaient donc perdu le sens commun
n l’accusât de mal user du magnétisme, qui devrait servirsurtont à la médecine et au soulagement de l’humanité. « — Je vous en
veut le considérer comme un moyen auxiliaire de la chirurgie et de la médecine , il peut être d'une grande utilité. Si 011 s’atta
urant : « Le magnétisme fait ici des progrès, surtout au sein de la médecine . » — Le journal de M. Morin, la Magic du XIX’si
mer. 457. — Direction el travaux, 228, 455, 764. CLINIQUE. Cas de médecine . — Maux guéris ou soulagés. Abcès de la cornée,
sme. Aperçu des doctrines de Swedenborg, de Sainl-Martin, etc., 98. Médecine spiritualiste. Sa pratique dans tous les temps, 6
at ordinaire, 701. Philosophie médico-magnétique. Recherches sur la médecine spiri-tualiste dans tous les temps, par M. le Dr
763. BIBLIOGRAPHIE. Abeille (l') médicale, Revue des journaux de médecine , rédigée par le Dr Cornet. — Examen d'un mémoire
55 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Observation XX. -J'ai lu l'observation de ce malade à la Société de médecine légale, et elle a été publiée dans un des dernier
on de l'hémiplégie. Un cas de l'auteur ; un cas de Pitres (Revue de médecine , 10 avril 1888). L'observation de Loevenfeld se
ne homme de vingt et un ans affecté du type Charcot-Marie (Revue de médecine , 1886), tandis que sa soeur "âgée de dix-neuf a
décrites d'onomatomanie. M. FaLnET. Dans mon rapport au Congrès de médecine mentale, j'avais établi que les obsessions n'ét
programme du prix Falret : les folies diathé- siques, l'Académie de médecine n'entendait assurément pas demander aux concurr
nts digne de la haute récompense que lui a décernée l'Aca- démie de médecine . A. CULLEItIIE. VARIA LES MÉDECINS ADJOINTS.
de l'asile de Bonneval; G. Ballet, professeur agrégea la Faculté de médecine ; suppléant, M. Schils, médecin de l'asile de Les
e l'asile d'Ar- mentières ; M. Castiaux, professeur à la Faculté de médecine , sup- pléant, M. Cortyl, médecin, directeur de
s, médecin de l'asile de Bordeaux ; Picot, délégué de la Faculté de médecine ; suppléant, Dr Larrieu, médecin de l'asile de C
e corps de la fille de M. Tourdes, doyen honoraire de la Faculté de médecine de Nancy. La fille de M. Tourdes, qui était âgée
bante de madame épuisant les courants électriques de monsieur ! (La Médecine moderne.) La MORPHINOMANIE A deux. Il y a déjà
alités de la science ! » FAITS DIVERS. 141 Exercice illégal de la MÉDECINE . L'Institut dynamodermique du Havre. - Il y a q
, qui l'a condamné à 1,000 fr. d'amende pour exercice illégal de la médecine . Ce n'est pas la première fois que le directeur
rges GUINON et J.-B CHARCOT. RITTI (A.). - Congrès international de médecine mentale tenu à Paris du 5 au 10 août 1889 (Comp
lysie générale. 1 1111ckle. - On gênerai paralysis of the insane. MÉDECINE LÉGALE NOTE SUR UN ALIÉNÉ HOMICIDE; Par le D'
, 'parce qu'il l'empêchait de dormir en ronflant trop bruyam- 158 MÉDECINE LÉGALE. ment. Il existe aussi d'autres cas anal
u'on reconnaisse comme légitime ce principe, dont l'importance en médecine légale est considérable, à savoir : que la tend
s mieux caractérisées qui soient, au point de vue symptomatique, eu médecine mentale. Elle com- prend trois périodes. La sec
de conceptions délirantes longue- ment pesées et commentées. 160 MÉDECINE LÉGALE. Certains persécutés sont plus portés au
1 Les qucrulents des Allemand». ARCIILYCS, t. XXIII. 1 1 'J6 . MÉDECINE LÉGALE.' 1 Lasègue, la tendance au 'meurtre n'a
élirantes prédominantes. Il.se remet complètement et bientôt il 164 MÉDECINE LÉGALE. est calme et raisonnant. On l'envoie au
ison, comme un des plus dange- reux aliénés de l'asile. 166 . M ' MÉDECINE LÉGALE. ( C... (Louis), âgé de trente-trois ans
. Mais un jour, rencontrant dans les champs . ! <,. J 1 i' 168 MÉDECINE LÉGALE. une fillette de treize ans, il la viola
e sujet, qui doit rester absolu- ment pratique, puisqu'il s'agit de médecine légale. NOTE SUR UN ALIÉNÉ HOMICIDE. 169 En r
nsabilité, qu'il s'agisse d'aliénés ou même de normaux. 170 ... . MÉDECINE LÉGALE. - ,.On.cherche toujours à les résoudre
e est bien. l'aboutissant ? dans certains cas' d'alcoolisme, du 172 MÉDECINE LÉGALE. ' meurtre accompli pendant son cours pe
se et irraisonnée. Un fait assez intéressant pour être signalé en médecine légale : Dans les grandes villes, dans les clas
e pour qu'on puisse admettre que la volonté ait été, par son 174* MÉDECINE LÉGALE. , fait, annihiléa momentanément ? ' On
1 Société nuJdico-psychologique, séance du 25 janvier 1886. , 176 ' MÉDECINE LÉGALE. taires à lourde hérédité quelquefois, n
accès vésaniques, ordinairement Iran- ARCHIVES, t. XXIII. 12 178 MÉDECINE LÉGALE. sitoires (auxquels il a déjà été fait a
les qui leur donnent un aspect spécial et commun, ce qui permet, en médecine légale, de les réunir et d'en faire une vraie c
eption métaphysique du libre arbitre, les autres sont d'ordre 180 MÉDECINE LÉGALE. NOTE SUR UN ALIÉNÉ HOMICIDE. scientifiq
mi- cide dans la folie morale, ce serait quitter le domaine de la médecine et entrer da'ns celui de la criminologie. Le fo
é des urines tabétiques glycosuriques sem- ' Le Gendre. - Traité de médecine , t. I, p. 407. Paris, 1891. . ASSOCIATION DU TA
ations, sa valeur diagnostique et pronostique; Le Secret Médical en médecine mentale; Les colonies d'aliénés. Un rapport ser
ossE. Service de M. FEBVRÈ. Interne : M. j[OUNIC. Discours SUR la médecine psychologique PRONONCÉ au CONGRÈS INTERCOLONL1L
a SEINE. Le concours pour la nomination à huit places d'internes eu médecine dans les asiles d'aliénés de la Seine s'est ter
s la présidence de M. Henry Sigdwick. ONZIÈME CONGRÈS allemand de MÉDECINE INTERNE. Dans ce Con- grès, qui se tiendra à Le
iabète pancréatique expérimental (M. Minkowski). Académie royale DE MÉDECINE DE BELGIQUE. Parmi les sujets proposés aux conc
ique, et auteur de nombreux travaux interprétant les sciences et la médecine , entre autres : le sommeil et les rêves; la mag
L7[IYI,;TÉItIE; Par' D' Ernest MESNET, Membre de l'Acadéiiiie de médecine , Médecin honoraire de l'Hôtel-Dieu. En 1872, il
jets de fêtes, de plaisirs, de parties de - ' Archives générales de médecine , février 1860. somnambulisme spontané ET hystér
t d'abord nous entendre sur ce mot. Autrefois, dans les ouvrages de médecine ,' on réunissait sous ce titre « étal mental du
Anesthésie de la rétine, etc., bulle- tins de l'Académie royale de médecine de Belgique, 1886, et'du même auteur : Sur une
psychologue français, Maine de Biran, que les élèves de l'école de médecine auront quelque jour à étudier, ou simplement de
e de la pathogénie de cette albuminurie. ♦ Archives, t. XXIII. 24 MÉDECINE LÉGALE. .. NOTE SUR UN ALIÉNÉ HOMICIDE'; Par
D' CAMUSET, Médecin-directeur de l'asile de Bonneval. . II. - En médecine légale, il ne suffit pas d'affirmer qu'un meurt
itaire et sa femme n'a jamais eu de fausse couche. On peut donc 372 MÉDECINE LÉGALE. supposer que s'il a bien, comme il le d
marque de'la morsure quinze jours après), tâchant de diminuer 374 MÉDECINE LÉGALE. ses souffrances internes, morales, en p
e fois. Et de fait, il lui arrive assez souvent de dire froide- 378 MÉDECINE LÉGALE. ment « que c'est M... qu'il aurait dû t
hérédi- taire, car, que 'la névropathie résulte de l'hérédité 380 MÉDECINE LÉGALE. morbide, ce qui s'observe le plus génér
rôlée par l'observation directe, par l'anatomie pathologique. 382 MÉDECINE LÉGALE. et d'énumérer les caractères distinctif
et cette circonstance rend bien improbable la guérison réelle 384 MÉDECINE LÉGALE. de la psychose.- On doit plutôt admettr
ore subi aucune modification remarquable. Les quelques principes de médecine légale des aliénés, que j'ai rappelés dans cett
re, et qui par eux-mêmes peu- vent avoir une certaine importance en médecine légale, sans aller cependaut jusqu'à déterminer
de psychopathie relevant de la maladie de Basedow. C'est un fait de médecine légale qui n'est pas commun. Il s'agit d'un mag
qu'elle l'est parmi nous. Et si l'on songe au peu de progrès que la médecine proprement dite a faits par la clinique pure de
'un instrument nouveau, comme laryn- goscope ou l'ophtalmoscope, la médecine clinique proprement dite est restée très statio
de l'expérimenta- tion physio-pathologique dans les affaires de la médecine . « Oui, c'était la bonne cause, et aujourd'hui
our de mon cher ami Cornil, actuellement professeur à la Faculté de médecine de Paris, président de la Société anatomique. I
tribué déjà à rehausser, dans ces dernières ' années, l'éclat de la Médecine française. « Après M. Bouchard, que j'ai eu l'i
seur à la Faculté de Lyon; Pit.res, enfin, doyen de la Faculté de médecine de Bordeaux qui, malgré ses occupations pres- s
le aura lieu à Bruxelles du 28 août au 3 septembre 1892. Faculté DE médecine DE BERLIN. M. le Dr Karl Mueli, privat- .docent
a condanné Bloche à 10 francs d'amende pour exercice illégal de la médecine . Ce n'est pas cela qui empêchera Ville Wolff de
- Lyon, 18 mars. - M. Porleret, âgé de trente-deux ans, docteur en médecine , ancien chef de clinique ophtalmologique, habit
sile d'aliénés de Rodez. M. le Dr James Ross, professeur adjoint de médecine à Otten's College, Manchester. BULLETIN BIBLI
56 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
LIÉE SOUS LA DIRECTION DE MM. V. MGNtIN \ Membre de l'Académie de médecine . 1 Médecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). I
sseur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Bordeaux. COLLABORATEURS PRINCIPAUX : MM.
xploitateurs des asiles, relèvent bien plus des tribunaux que de la médecine , de la prison que de l'asile. M. CIIASLii; dé
emeurer extérieurement et se consacrer librement a l'exercice de la médecine en dehors des asiles par assimilation aux médec
ésie consécutive (1). Il) MOTET. - Annales d'hygiène publique ci de médecine légale, 1`31 -- G \IINIEH, ibid., 1W î. 1'uou.;
cadémie des sciences mort. Archives, 0' série, 1907, l. IL 7 '.{8 MÉDECINE LEGALE. A cette maigre collection d'observation
nnt;tr.l. L'hypnotisme ci Il suggestion dans leurs rapports avec la médecine légale (XII* Congrès inlernalio- nal de médecin
s rapports avec la médecine légale (XII* Congrès inlernalio- nal de médecine , 1897). B1.1UTE. Annales 111édico-psycllOlogiques
accès somnambuliques et sans hallucinations. Ces dernières se 102 MÉDECINE LÉGALE. produisent encore de temps en temps la
en irai me cacher loin, bien loin. Tu verras si je les aimerai 104. MÉDECINE LÉGALE. « bien et si je les élèverai bien ; je
hemi- nent et viennent sortir en de nombreux points du corps. 106 MÉDECINE LÉGALE. 8° Décès.- En mai, elle est prise d'ent
rieu- res, comme l'action de la couleur rouge, celle de l'air 108 MÉDECINE LÉGALE. frais qui frappe subitement son visage,
ent les voir à se rendre, samedi matin, à 9 heures, à la Faculté de médecine . ' Le Dr Gaspard de la Rive. M. le Dr Ladame
d'imprimer une marque infa- mante à un délinquant qui relève de la médecine , et celui de protéger insuffisamment la société
ins (1) ; - , Par CLARK BELL, L. L. D. Président de la Société de médecine légale de New-York. Le salut du système de témo
nsidération et toute confiance. C'est une véritable honte pour la médecine que maintenant plus aucun cas important de déme
er. La faute est au système lui-même et non à la profession de la médecine . La loi devrait être changée de telle manière qu'
ar- reau, les hommes célèbres des deux professions de droit et de médecine et les juristes médico-légaux et experts médicaux
TES ET NEUROLOGISTES. selon la juste remarque de FALRET fils : « La médecine légale de cette affection sera toujours l'une d
te une des gloires les moins contestées les plus sympathiques de la médecine Française, je lui dirai qu'il CONGRÈS DES MÉDEC
ntes reprises,nous avons publié dans le Progrès des articles sur la médecine his- torique et plusieurs fois nous avons souha
d'aliénés DE Sainte-Gemmes (Maine-et-Loire.) Une place d'interne en médecine à l'asile d'aliénés de Sl-Gemmes-sur-Loire, prè
-Gemmes-sur-Loire, près Angers, se trouve vacante. Les étudiants en médecine désirant occuper celte fonction sont invités à
éditeur, 1885. (2) Archives de Neurologie, 190 1. (3) Journal de Médecine de Bordeaux : « Les songes d'attaque dos épi- l
La Démence précoce, Paris 1904. (4) Gilbert Bai.i.et. In Traité de médecine Bouciinrd-Brissaud 2° édition, tome X. , (5)
ments, au siège de la préfecture et, s'il y a lieu, à la faculté de médecine et à l'asile départemental d'aliénés. Art. 4. S
l'intérieur sur une liste de trois noms présentée par la faculté de médecine de Paris ; deux médecins en chef des asiles pub
Jaco ; PAR LES D" LI' ET SANO. La séance de juin de la Société de médecine mentale de Belgique a eu lieu à l'asile Fort Ja
es modifications purement dynamiques. Nous avons trop l'habitude en médecine de nous lais- ser envahir par une anatomie path
E XX. Sur le syndrome vestibulaire ; par M. Raymond. (Académie de médecine , 5 février 1907) · On sait que le nerf vestibul
d'origine myélopathi- que ; par MM. LECLERC et Roubier. (Société de médecine de Lyon, 25 février 1907. in Lyon méd., 28 avri
hologie de la Sorbonne.Le Prof. Raymond, professeur à la faculté de médecine , mem- bre de l'Académie de médecine. Ilollet, p
ond, professeur à la faculté de médecine, mem- bre de l'Académie de médecine . Ilollet, président de la société de patronage
biter extérieurement et se consacrer libre- ment à l'exercice de la médecine en dehors des asiles par assi- milation aux méd
roposition de loi la disposition relative au libre exer- cice de la médecine et de faire de la résidence du médecin dans l'a
es 15.261. Le nombre des médecins 236 ; - Le nombre des internes en médecine 145. Concours le l'internat des asiles d'aliéné
nés DE LFS-1-Ll.l-.C, pues Vannes (Morbihan). Un poste d'interne en médecine est vacant à l'asile d'aliénés de Les\eHec près
it de séquestration arbitraire où seraient compromises gravement la médecine et la magistrature est controversé. La justice
e des médecins d'asile ; par JEAN LÉPINE Agrégé à la Faculté de médecine de Lyon. Médecin-adjoint de l'asile de Bron. ,
araît au premier abord. Seules, des personnes ne sachant rien de la médecine peuvent croire qu'il se réduit à la désignation
i plus loin, de ne pas interdire à celui-ci le libre exercice de la médecine . Il convient donc de lui en donner, comme l'a f
e grande ville, et avant tout de celles où se trouve une Faculté de médecine , il me semble nécessaire que la majeure partie
s un laboratoire de la Fa- culté voisine. Ce sont des recherches de médecine expéri- mentale, pour lesquelles le conseil gén
que jour plus indigente, a besoin d'être éclairée par l'usage de la médecine générale, avertie LA,LOI DUBIEF ET LA RÉSIDENCE
non exclusivement psychiatriques, par des études de biologie et de médecine . M. Lefort, député de Rouen, qui a beaucoup sou
omme pour ceux de l'asile, la psychiatrie n'est qu'une partie de la médecine générale, et ne peut être exercée sans l'expéri
aisons, qui me paraissent plaider en faveur du libre exercice de la médecine par les médecins d'asile, acquièrent toute leur
r en fournir les moyens. En leur permettant le libre exercice de la médecine , en admettant qu'ils fussent mêlés à la vie méd
te due à l'hypertension émotive. A si- gnaler au point de vue de la médecine des accidents du tra- vail. Paralysie de l'él
né par un vole de l'assemblée générale à toute personne, docteur en médecine ou non, qui aura rendu des services éminents so
ions sur la responsabilité sont intéressantes au point de vue de la médecine légale des aliénés ; du fait de la maladie, ré-
ins d'Asile. Voici bientôt dix-huit ansque j'aifait,au Con- grès de médecine mentale de Iloueii,une première communica- tion
énés DE RODEZ. - Postes d'interne vacants- Deux postes d'interne en médecine sont actuellement vacantes à l'Asile d'aliénés
des simulations conscientes,si difficiles à reconnaître parfois en médecine légale,et celle des simulations inconscientes s
DROMARD et LEVAS SORT. (1 vol. 200 p. Couronné par l'Acadé- mie de Médecine . F. Alcan, éditeur. On sait qu'il n'y a pas une
ts. Il se termine par un chapitre, non le moins important, sur la médecine légale des amnésies. La médecine légale des amn
, non le moins important, sur la médecine légale des amnésies. La médecine légale des amnésies est, à coup sûr, un des chapi
ai1'es. : \DI. le docteur Mairet, professeur doyen de la faculté de médecine de Montpellier (Hérault). Gilbert Ballet, profe
e Montpellier (Hérault). Gilbert Ballet, professeur à la faculté de médecine de Paris, Régis, pro- fesseur adjoint à la facu
é de médecine de Paris, Régis, pro- fesseur adjoint à la faculté de médecine de Bordeaux (Gironde). Itamadier directeur-méde
e 6 décembre 1907. G. Clemenceau. concoursannuel DE l'internat EN MÉDECINE DES asiles DE la SEINE. Une conférence gratui
e, à Paris. Peuvent prendre part au concours, tous les étudiants en médecine ayant 16 inscriptions prises dans une Faculté d
16 inscriptions prises dans une Faculté de l'Etal. Les docteurs en médecine sont admis également. Une seule condition est i
1907, M. le Dr E.Re- GIS professeur de psychiatrie à la Faculté de médecine , est nommé médecin-inspecteur spécial des école
urn ancien chef de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Lyon, médecin-adjoint de l'asile d'aliénés de
nommer en même temps, dans chacune des branches importantes de la médecine et delà chirurgie infantile, un médecin-inspecteu
a formation de sulfate de plomb, et comme le malade n'a pris aucune médecine dont pour- rait dépendre cette couleur des sell
M r t, r 0 en Fig. 8. ALelier;,cleLissag. 452 REVUE DE MÉDECINE LEGALE. Depuis 1883, il y a une boucherie dans
gton en 1910 ; par MM. Magnan, Henri IIZONOD et Motet. (Académie de Médecine , 5 févr. 1907.) Voici les conclusions de ce rap
de la dysenterie bacillai- re ; parVAiLLARD et DopTER (Académie de Médecine , 9 avril 1907.) Cette méthode a été essayée d
ui- vant le-procédé de M. Paul Salmon; par Halloteau (Académie de médecine , 4 juin 1907.) Cette méthode consiste il inject
e de la préfecture et, s'il y a lieu, à la fa- culté ou àl'école de médecine et à l'asile départemental d'alié- nés, varia
pathologie mentale et des maladies de l'encé- phale à la faculté de médecine de Paris ayant été, par décisions antérieures,
'intérieur, sur une liste de trois noms présentée par la faculté de médecine de Paris. Deux médecins en chef des asiles publ
s les Universités belges, un enseignement méthodique et suivi de la médecine mentale ; 2° que de tout pustulant d'une place
des asiles publics d'aliénés, p. 397. - au- nuel de l'internat en médecine des asiles de la Seine, p. 398. Décret portan
57 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Professeur de clinique des maladies mentales à I, Faculté de médecine de Paris. 1 V. MAGNAN Membre de l'Académie
lté de médecine de Paris. 1 V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (SIe-Ali lie).
eur de cliniyue des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris. COLLABOHATIiUHS l'ItIpCIPAUE MSI.
" - ' PAII ns DOCTEURS J. TEISSIER. Professeur à la Faculté de médecine doL¡on. ET T JO.\XNY ROUX, E\.-l11lcrnc d
nt M. Arnaud', en parlant de la période 1 Régis. Manuel pratique de médecine mentale, 1885, p. 318. Il. Schule. Traité clini
çons sur les maladies mentales, 2° édit., 1890, p. 861. 5 Traité de médecine de Charcot-Bouchard, t. VI, p. 1042. 8 Magnan e
paralysie générale el de la folie, mémoire couronné par l'Acad. de médecine ; prix Civrieux, 1865. TROUBLES TROPHIQUES DE LA
de la paralysie générale. Thèse de Tans, 1866, p. 15. a Traité de médecine de Charcot-Bouchard, t. VI, p. 1025. 3 Bonnet e
umgens beitete Aulla.-e. Stuttgard, 1888. ' Babinsky. - Traité de médecine Charcot-Bouchard, t. VI, article Néphrite périp
eurs sont d'avis que, dans 72 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. ces cas, la médecine étant impuissante, c'est aux procédés chirurgi-
la section des deux sympathiques cervicaux. A. Lrraonoo. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. I. La responsabilité dans ses rapports
l responsabilité as related to insunily) ; par t\V.-T. PATTERSON ( Médecine Détroit, mars 1896). Existe-t-il, se demande l'
lle que l'hypnotisme ne peut'jamais aller à rencontre de - REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. ï7 7 l'éducation et du fond du caractèr
ts. A. Marie. IV. Des rapports entre l'anthropologie CRIMINELLE, la MÉDECINE légale ET la psychiatrie; par le professeur A.
ogie criminelle, tout en ayant bien des points de con- tact avec la médecine légale et avec la psychiatrie, ne peut faire pa
ans l'enseignement, on doit aussi la considé- rer comme telle. La médecine légale a avec l'anthropologie criminelle les même
ique, de l'anatomie pathologique, de la hactériologie, etc. Dans la médecine légale comme dans l'anthropologie criminelle 78
a médecine légale comme dans l'anthropologie criminelle 78 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. l'application de données provenant d'un
'a pas besoin, je crois, d'autres éclaircissements. De sorte que la médecine légale, tout en s'aidant de l'anthropologie cri
suite l'étude faite avec la plus grande étendue de l'élio- REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 79 logie, et particulièrement des momen
IDE. LE SUCIIDE sans motifs; par le Do' LnurTS. Le laboratoire de médecine légale de l'Université de Lyon a entrepris, dep
e directrice de cette dernière enquête, relativement au 80 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. suicide, est la suivante : « Un homme é
nsacrés à cette catégorie d'enfants anormaux. B. III. Archives de médecine expérimentale et d'nncttomie pathologique, fond
' ; -, PAR LES DOCTEURS J. TEISSIER, PlOfcsscur à la Faculté de médecine de LSon. L T ' Jo.wsu ROUC,' ,' E\-iiiten
r, par suppléance des parties voisines, création de nou- ' Revue de médecine , 1897. 118 CLINIQUE NERVEUSE. velles associat
rale sans parvenir à l'élucider, sans 1 Communication au Congrès de médecine mentale et neurologie de Bruxelles, 1897. 128
i établi ailleurs, notamment dans une communication à l'Académie de médecine de Paris (1892) et dans la Revue médicale de l'
s, ainsi que je le disais déjà dans une communication au Congres de médecine men- tale et neurologie de Nancy (août 1896).
un certain nombre, notamment dans un travail soumis à l'Académie de médecine de Paris en 1892, et publié dans la Bévue médic
° cinq années de doctorat. Pour les candidats ayant été internes en médecine dans les hôpitaux et hospices de Paris ou dans
irecteur de l'Assistance publique et avec le doyen de la Faculté de médecine de Paris pour étudier le transfert de la clinique
êtrière et pour organiser un stage obliga- toire dans un service de médecine mentale que devrait faire tout candidat au doct
ait faire tout candidat au doctorat. Le concours de l'Internat en médecine s'est terminé par la nomination de MM. Castin,
Internes provi- soires : MAI. Dupouy, Bardy, Ésnault. ? Académie DE médecine . Dans sa séance annuelle du 14 décembre, l'Acad
ppel. Paralysie générale, lésions et symptômes spéciaux. (Aclr. cle médecine expér·inrenlale,lS91.) 196 . CLINIQUE MENTALE.
fidèle à la clinique. En clinique, principalement en clinique de médecine men- tale, les renseignements des malades et mê
le Dr Thouvenet, chargé du cours de clinique médicale à l'Ecole de médecine et de pharmacie de Limoges, a étudié, dans le d
iale A symptômes CÉRÉBRO-3fÉDULLAIRES; parPAULY et Bonne. (Revue de médecine , mars 1897) Maladie survenue chez trois frères
dans l'anémie PERNICIEUSE protopathique ; par E. LENOBLR. (Revue de médecine , juin 1897.) Cas d'anémie pernicieuse primiti
XXVII. DE la psychose polynévritique ; par SOUHBANOFF. (Revue de médecine , mai 1897.) Après un court résumé historique de
XXVIII. UN cas DE gliome cérébral; par DEVIC et CODMONT. (Revue de médecine , avril 1897.) Gliome chez une femme de quarante
. SUR UN cas particulier DE cécité psychique; par Lépine. (Revue de médecine , juin 1897.) On sait que la cécité psychique de
ésident à la cour de cassation'. - Questions de physiologie et de médecine . - L'étude de l'action physiologique et patholo
incu, bien con- vaincu. L'alcool est un poison : la physiologie, la médecine nous le démontrent péremptoirement ; il suffit
nt, ces rapports sont publiés ultérieurement dans les Recueils de médecine . M. Bailly ne pense pas que la situation créée
r les Dr" Régis et V. ROBERT. Depuis quelque temps, la Faculté de médecine de Bordeaux pro- duit un nombre assez considéra
ro- duit un nombre assez considérable de thèses de neurologie, de médecine légale, de psychologie et de psychiatrie, et ce m
I). lllqetr.Lt. NÉCROLOGIE. Le Dt MESNET, membre de l'Académie de médecine , médecin honoraire des hôpitaux, etc., est mort
9S, sous la prési- dence de M. le Dr Motet, membre de l'Académie de médecine . Le programme comprendra : 1° Questions mises à
Rapporteur : M. le Dr Sabrazès, professeur agrégé de la faculté de médecine de Bordeaux. Médecine légale. Les délires trans
Sabrazès, professeur agrégé de la faculté de médecine de Bordeaux. Médecine légale. Les délires transitoires au point de vu
-Loire, près Angers (Maine-et-Loire). FAITS DIVERS. Académie de médecine . Prix proposés pour 1898, 1899, 1900. Règlement
1898, 1899, 1900. Règlement. Les concours des prix de l'Académie de médecine sont clos, tous les ans, fin février. Les ouvra
Les prix seuls donnent droit au titre de lauréat de l'Académie de médecine . Année 1808. '- Prix de l'Académie. 1.000 franc
lleur mémoire ou oeuvre inédite, sur n'importe quelle branche de la médecine . Prix l3ailla·ger. 2.000 francs. Ce prix sera d
certaines lectures, qu'il s'agissait d'un état mor- bide et que la médecine pourrait lui être de quelque secours. Mais il l
ènes, l'inversion congénitale est en dehors du champ d'action de la médecine ; il n'est pas plus possible de restaurer le se
E L'IMPORTANCE DE LA DÉGÉNÉRESCENCE POUR LA pratique générale DE la médecine ; par le D'' HALDOR SNÉVË. Ce sont surtout les
er. AI·m type. In a chilti of seveia years) ; par Wharton SINKLER. ( Médecine , Détroit août, 1897.) Dans cette observation, i
attue par les lois mêmes de l'évolution. La valeur suggestive de la médecine générale exagérée par quelques auteurs (Witks, An
DES aliénés EN BELGIQUF,; par le 1)' PEETERS. (Bull. de la Soc. de médecine mentale de Belgique, 1897, n', 86.) Le Dr Pee
S MAUDIES mentales ; par le Dr X. FRANCOTTE. (Bull. de la Soc. de médecine mentale de Belgique, septembre 1897.) En qualit
cet état de choses et pense- t-il que les grandes découvertes de la médecine moderne seront 'chèrement payées, si les médeci
une ligne bien tranchée entre les soins à donner aux malades et la médecine proprement dite. Pour réunir les meilleures cha
is pour escroquerie (Art. 405, C. P.) ; pour exercice illégal de la médecine (Loi de 1892) ; pour pratiques de divination (Art
es dix der- nières années, avait presque exclusivement relevé de la médecine , est depuis cette époque en voie de se transfor
totale, d'une façon brusque. Notre honoré collègue de la Société de médecine de la Rochelle, le docteur Prioux, visitant unj
s qui s'en dégagent au triple point de vue de la physiologie, de la médecine légale et de la clinique pure. Observation. Jeu
aire de la chirurgie médullaire quand même ». Au point de vue de la médecine légale, il faut se sou- venir qu'on se trouve n
ce (18704871 j et lorsque, à son retour, il commença à pratiquer la médecine à New-York, sa grande habileté et ses connaissa
a de nombreux mémoires, des leçons, des observations relatives à la Médecine générale, à la Neurologie et à la Psychiatrie.
a Neto-l'o ? h neurologicul Society. B. VARIA. LES PEINTRES DE la médecine . LES pédicures au XVIIC siècle. L\ lèpre dans L
s maladies MENTaLES.- M. le D1' Chénieux, direc- teur de l'Ecole de médecine de Limoges, dans son discours de rentrée à ladi
on son cadavre et la ressuscitaient par la physique magique et la médecine noire. C'est surtout le soir qu'on la fait mourir
ique de cette affection. Dr F. DLIVAY. XVJ. Thèses de la Faculté de médecine de Paris, relatives aux maladies mentales et ne
ger à ce que de pareils malades doivent coûter de blanchissage. (La Médecine moderne, 19 février.) VII. Du RÔLE DU médecin d
, par Mamourowsky et Mololetkoff, 87. Anthropologie criminelle, médecine légale et psychiatrie, par Zucca- relli, 77.
e- man, 136. Importance de la - dans la pratique générale de la médecine , par Suévé, 308. D1.I.IRC chronique des persécu
syphilis comme facteur essentiel, par Clerc, 508. Peintres de la médecine , parMeige, 426. Pelviennes. Relations étiolog
58 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Professeur de clinique des maladies mentales a la Faculté de médecine de Pans. V. MAGNAN Membre de l'Académie d
aculté de médecine de Pans. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Aune). F.
eur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris. COLLABOH1TBU11S PRINCIPAUX ¡l'l.
es. 1900 Vol. IX. Janvier 1900. N° 49. ARCHIVES DE NEUROLOGIE MÉDECINE LÉGALE. L'Odyssée d'un délinquant simulateur.
de très généralement applicable, malgré la diversité des espèces en médecine légale, est, à mon sens, celle de ne rien. préj
qui souillait ses chaussures de travail dont l'empreinte s'ap- 4 MÉDECINE LÉGALE. pliquait en outre exactement à celles l
sécutions. « Comme signes de dégénérescence, nous notons de la si MÉDECINE LÉGALE. microcéphalie, de l'asymétrie faciale,
quences de son affection convulsive, à ses idées bien arrêtées 8 MÉDECINE LÉGALE. de vengeance et à son délire de persécu
r sur sa route dans un village, dans le but, a-t-il dit, d'aller 10 MÉDECINE LÉGALE. en centrale pour y gagner quelque argen
la période de son aliénation mentale prétendue. Il me remit 12 7 MÉDECINE LÉGALE. alors ultérieurement un mémoire contena
tirée du mot utérus matrice, que à tort ou à raison les docteurs en médecine croyaient que le siège se trouvait dans la matr
tre cliose que les nerfs concentrés et fait gonfler l'estomac; '1 r MÉDECINE LÉGALE. que le sujet ressent une douleur perfor
cru à son authenticité. Après quelques hésitations de sa part, 16 MÉDECINE LÉGALE. je finis par vaincre la répugnance de C
arti à un moment donné. Il avait en sa possession un vieux livre de médecine , dont il faisait son bré- viaire. L'étudiant mo
rveillant. Cette surveillance lui Archives, 2° série, t. ]X, 2 18 MÉDECINE . LÉGALE. pesait, comme une marque de défiance q
jugements, de l'irritabilité manifeste de son caractère, de la 20 MÉDECINE LÉGALE. vanité de sa nature et surtout de la po
l'avait jamais été et qu'il était temps d'enlever à cet homme 24 ik MÉDECINE LÉGALE. la qualité de malade. Il n'avait pas d'
écoutées du tribunal; il sortit alors la tête haute en narguant la médecine . Depuis, il erra sans se fixer nulle part, enfi
ait par défaut une amende de 500 francs pour exercice illégal de la médecine ! / 26 6 médecine légale. Enfin le 26 décembr
amende de 500 francs pour exercice illégal de la médecine ! / 26 6 médecine légale. Enfin le 26 décembre 1893, il fut conda
de prison pour port illégal de décoration, exercice illégal de la médecine et outrages à des agents. C'est alors qu'il fit o
re. On voit qu'il avait fait des progrès depuis son contact avec la médecine et qu'il avait plus d'un tour dans sun sac. Je
ves par des contre-suggestions appropriées. A. Fenayrou. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 1. Assassinat d'un médecin par un indiv
intéressant rapport médico-légal que publie le Dr 1'ehrlin REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 55 démontre de nouveau cette banale vér
ge est obligé de se prononcer sans cette observation. 56 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. L'observation a l'asile n'est pas admis
uite par un milieu commun, ce que Strahan a appelé la cou- REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 57 Î sanguinité sociale, peut être un p
ésumer ainsi : - substituer à la notion de la responsa- 58 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. bilité morale, celle de la responsabili
ent être considérés comme des malades et l'on n'a pas à se REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 59 préoccuper de savoir,si on ne risque
la thérapeu- tique suggestive. A. Fenayrou. V. Les progrès de la médecine contemporaine et l'hygiène des fonctions psychi
difie du même coup la quantité de sueur secrétée. L'hypnotisme en médecine infantile. 1\1'. VLAViANOS (d'Athènes) présente
ous avons d'abord l'important mémoire de Lan- nois dans la Revue de médecine , sur lequel nous aurons à revenir. Dans aucun d
est une dissertation inaugu- rale de Hermann Etter à la Faculté de médecine de Tubingue. Cet auteur nous donne 6 observatio
ussie a coûté huit à dix fois moins, au minimum, que le reste de la médecine publique, en ce qui con- cerne les dépenses ter
sans déterminer la sensation de contact (Nois- chewsky, Société de médecine de Dinabourg ou Dwensk, 2 avril 1896, 23 novemb
e déchéance brusque accompagnée de fièvre. 5° En ce qui concerne la médecine légale, il serait désirable que les inculpés de
bilité pénale; par le Dr Dallesugne. M. Dallemagne, professeur de médecine légale à l'Université de Bruxelles, qui, dans l
les personnes, médecins ou magistrats, qui voudraient connaître la médecine légale des maladies mentales, de recourir à des
onges d'attaques des épileptiques; par Maurice DucosTÉ. (Journal de Médecine de Bordeaux. 1899, nos zig49.) Quatre observati
tion de l'état moniliforme des neurones. (Bulletin de la Société de médecine men- tale de Belgique, 1898, décembre, n° 91, p
tions microscopiques du système nerveux. (Bulletin de la société de médecine mentale de Belgique, 1898. mars, n° 88.) Kurp
Léplne (R.). Sur un cas d'hystérie à forme particulière. (Revue de médecine , 1894, p. 713.) LuGAM. 1\uovi datti e nuovi pro
oscopiques de cerveaux d'aliénés. (Bulletin de l'académie royale de médecine de Belgique, 1898, n° 1.) PERNICE (B.) et SCAGL
tipolaires et la théorie du « Neurone ». (Bulletin de l'académie de médecine , Paris, 1895.) RoBERTSON (Lord) et DABID ORR. T
gements (méthode de Golgi). (,17-chives (russes) tleptithologies de médecine clinique et de bactériologie, 1899, ni l.) IhBA
ait les besoins du baccalauréat. Dès ses premières inscriptions de. médecine , il prit la bonne habitude de fréquenter les hô
développement des maladies mentales : le premier lu à l'Académie de médecine dans la séance du 21 novembre 1871, ne fut pas
- vice des aliénés, M. Motet, secrétaire général de la Société de médecine légale et membre de l'Académie de médecine, M.
général de la Société de médecine légale et membre de l'Académie de médecine , M. Gley, secrétaire général de la Société de B
il acquit rapidement des connais- sances cliniques très étendues en médecine mentale et ner- veuse, durant son internat il l
ennent aux études d'ana- « tomie pathologique, de physiologie et de médecine légale, « dans ce qu'elles ont de plus élevé, d
dont l'érudition, le savoir, la compétence en tout ce qui touche la médecine mentale, étaient universellement reconnus. C'
s candidats devront être Français et docteurs d'une des facultés de médecine de l'État et avoir satisfait à la loi sur le 38
consacré au traitement de l'aliénation men- tale. Les docteurs en médecine nommés par la voie du concours chefs de cliniqu
inspecteur général des éta- blissements de bienfaisance, docteur en médecine président ; 2° d'un professeur désigné par la f
n médecine président ; 2° d'un professeur désigné par la faculté de médecine de la région où se tiendra le concours ; 3° de
. dans les hôpitaux, c'est plutôt chefs de clinique des Facultés de médecine qu'il faudrait dire. VARIA. 383 des asiles pu
maximum des points sera de 30. 2° Une question orale portant sur la médecine et la chirurgie en général, pour laquelle il se
pathologie mentale et des maladies de l'encéphale de la faculté de médecine de l'uni- versité de Paris, qui aura subi l'exa
). Asile d'aliénés DE Saint-Alban. Un emploi de second interne en médecine est vacant à l'Asile public d'aliénés de Saint-Al
hez les malades en état de stupeur ». Au Congrès international de médecine mentale tenu à Paris en z1887, M. le docteur Be
ition), p. 230 et 2G0. 3 Comptes rendus du Congrès international de médecine mentale tenu à Paris en 1889, p. 409. CORDE M
e, avec le dos d'un couteau 1 Rapport présenté au Congrès annuel de médecine mentale, tenu à La Rochelle en 1893, le session
s en faveur de son origine infectieuse. j Nouveau dictionnaire de médecine et de chirurgie pratiques de Jaccoud, t. XXIII,
est exceptionnelle et la terminaison ordinaire est la démence. La médecine légale se ramène à une question de diagnostic. En
te du 12 janvier courant, ont été nommés : Internes tilidaires en médecine : MM. Mailet (François-Joseph), Vurpas (Claudiu
nest-llonoré-Louis), Meunier (Paul-Gaston). Internes provisoires en médecine : MM. Masselon (Pierre-René), Bienvenu (Paul-Lé
hypothèse, le malade n'avait que peu de chances d'amélioration. La médecine est, en effet, impuis- , REVUE DE PATHOLOGIE NE
e années, que son baccalauréat ès-sciences et son premier examen de médecine , et souvent même, dénué de toutes ressources, i
ec Dubois, car il comptait s'établir en Normandie et y pratiquer la médecine . Au mois d'avril, il se trouve de nouveau sans
famille, ses malades et l'étude. Le 11 décembre 1860 l'Académie de Médecine lui décernait un prix pour son mémoire sur le d
e la mélancolie. L'un des prin- cipaux collaborateurs du Journal de Médecine mentale, fondé par son maitre Delasiauve, il y
s travaux et ses occupations. BIOGRAPHIE. 537 Ses études sur la médecine ne suffisaient pas à son activité. Epris de son
aimé. René Semelaigne. Index des principaux ouvrages concernant la médecine men- tale, publiés par Armand SEMELAIGNE. Dia
d SEMELAIGNE. Diagnostic et traitement de la dipsomanie (Journal de Médecine mentale) ; Considérations diagnostiques sur les
mais aussi les moins fréquents, à en diminuer le hideux aspect. La médecine proprement dite, ou plutôt la médecine à mé- di
iminuer le hideux aspect. La médecine proprement dite, ou plutôt la médecine à mé- dicaments a un rôle très limité; elle ne
e thyroïde. L'intervention chi- rurgicale n'est jamais indiquée. La médecine pédagogique, au con- traire, doit diriger le tr
s. - Paris, 1900. - Librairie Cati et Naud. 101llCE. - Mémento de médecine thermale à l'usage des praticiens. - Volume in-
l- leuse, par Ruggeri, 310. Fonctions psychiques. Progrès de la médecine et de l'hygiène des -, par Sikorsky, 62. Forc
59 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
REVUE DOCUMENTAIRE ILLUSTRÉE 914 9 8 PSTCHOLOG1E — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédacteur
am) ; Von SCHRENK-NOTZING(de Munich) ; RAYMOND, prof, à la Faculté de médecine ; STADELMANN (de Dresde) ; J. VOISIN.méd. de la S
au professeur de la clinique des maladies nerveuses de la Faculté de Médecine de maintenir l'intégrité des conquêtes scientifiq
professeur Albert Robin, de M. le Dr Huchard, membre de l'Académie de Médecine ; de M. Boirac, recteur de l'Académie de Dijon, d
pilepsie est en effet une complication très grave, contre laquelle la médecine et la chirurgie sont souvent à peu près impuissan
avaient pris place : M. le Dr Méry, professeur agrégé à la Faculté de médecine ; M. le professeur Lionel Dauriac, vice-président
Trêves ; M. le Dr Fies-singer, membre correspondant de l'Académie de médecine . Parmi les convives, nous devons citer : M. le
on de l'enseignement supérieur-—L'autonomie des facultés et écoles de médecine , par M. le Dr Leredde. Dans l'après-midi : Assemb
rt de guérir appelée, dans un avenir peu lointain, à révolutionner la médecine . » Welterstrand, en effet, n'était pas de ceux
femme d'intelligence, de caractère, comme le raconte le professeur de médecine Sachs dans son traité de réhabilitation des Mucke
uvisage, premier adjoint au maire de Lyon, professeur à la Faculté de Médecine ; M. le Pr Ubeyd-Oullah, de Constantinople ; Mme
e servent concurremment des trois modes principaux qui constituent la médecine de l'esprit. La priorité de la pédagogie morale
guérison complète. VARIÉTÉS De la, valeur médicale des rêves La médecine hippocratique n'était pas'indifférente à l'utilis
ses travaux les plus connus : « L'hypnotisme et ses applications à (a médecine pratique », a été traduit en toutes les langues l
ette passion évincée en moi par celle de ma maturité, je veux dire la médecine . Or, cette « première maîtresse » me possédait en
gagée, si bien circonscrite entre les professionnels ordinaires de la médecine légale psychiatrique que je décidai de me taire.
n'a qu'à passer par la brèche que vous avez ouverte. Revenons à la médecine légale. La question de la responsabilité morale
, une fois pour toutes et très expressément, que la responsabilité en médecine légale a le sens unique de l'imputabilité psychol
à des contradictions « qui ne tournent pas toujours à l'honneur de la médecine . » C'est donc, encore une fois, un argument d'ord
e. Le Dr Bérillon et le Dr Paul Farez qui, à leur titre de docteur en médecine ont ajouté celui de licencié en droit et de licen
sous la présidence de M. le D.r Brissaud, professeur à la Faculté de médecine , médecin de l'Hotel-Dieu. La leçon d'ouverture
bonne ; Giard. prof, a la Sorbonne ; Huchard, membre de l'Académie de médecine ; Ribot. prof. bon. au Collece de France ; Albert
prof. bon. au Collece de France ; Albert Robin. prof, à la Faculté de médecine ; J. Voisin. médecin a la Salpêtrière. ?cole de
, sous la présidence de M. le Dr Brissaod, professeur à la Faculté de Médecine médecin de l'Hôtel-Dieu. ORDRE DU JOUR : 1° D
a présidence de M. le professeur Brissaud, professeur à la Faculté de médecine , médecin de l'Hôtel-Dieu. L'ordre du jour est a
constants de ce maître pour fusionner en un seul groupement les deux médecines , la médecine humaine et la médecine animale. Actu
ce maître pour fusionner en un seul groupement les deux médecines, la médecine humaine et la médecine animale. Actuellement, grâ
r en un seul groupement les deux médecines, la médecine humaine et la médecine animale. Actuellement, grâce à la Société de path
cadémie » le Dr Huchard signale le fait regrettable que l'Académie de médecine est devenue une simple succursale de la Faculté d
adémie de médecine est devenue une simple succursale de la Faculté de médecine . Actuellement les médecins des hôpitaux les plus
action 1 Quant à l'Académie, elle méritera son titre de « Sénat de la médecine » en réparant les injustices, en conservant son i
ologie, sous la présidence du D' Brissaud, professeur à la Faculté de Médecine . La huitième réouverture des cours de l'école d
[sous la présidence de M. le Dr Bris saud, professeur à la Faculté de Médecine , médecin à l'Hôtel-Dieu. A ses côtés avaient pr
es professeurs du Collège de France, de la Sorbonne, de la Faculté de médecine même. Celui qui nous, fait le très grand honneu
ien, titulaire d'une des chaires les plus importantes à la Faculté de médecine de Paris, M. le professeur Brissaud a étudié avec
eler que bien avant ce début j'ai moi-même, dans un cours public de « Médecine mentale appliquée à l'étude du Droit ¦¦ (1901-190
e ? » — Par une grâce d'Etat ! — Laissons au médecin son expertise de médecine pure. Déclinons l'offre trop belle qu'on lui fait
cuments que l'histoire nous a transmis, à travers les siècles, sur la médecine juive, nous pouvons affirmer que la médecine, che
vers les siècles, sur la médecine juive, nous pouvons affirmer que la médecine , chez les Hébreux, remonte au moins à Moise qui,
épilepsie, etc. ; mais l'art de guérir constituait un privilège et la médecine était la propriété exclusive des prêtres. La Bibl
ait la propriété exclusive des prêtres. La Bible dit, en effet : « La médecine est réservée aux prêtres et aux enfants de Lévi.
idérable sur leurs contemporains. Mais tandis que, sous Salomon, la médecine juive semble faire quel-, ques progrès, la pathol
et homme d'un caractère si noble et si élevé. Membre de l'Académie de médecine , Dumontpallier a laissé derrière lui une oeuvre d
. Voici mon rapport : o Je soussigné, Maurice Toulzac, docteur en médecine et médecin légiste de l'Université de Paris, deme
davantage, je n'ai voulu amorcer une discussion transcendante sur la médecine mentale. C'est un cas banal d'observation quoti
l est un sujet sur lequel les médecins légistes et les professeurs de médecine légale ne manquent jamais d'exercer les traits d'
t. (L. I, § 1 ?. D. XLIV, 7.) (3} A Rome, pendant fort longtemps la médecine fut exercée par des Grecs, esclaves ou affranchis
vi la science. Après lui, le docteur Motet, membre de l'Académie de Médecine , M. Gley, professeur au Collège de France, les do
Tous ont été unanimes à dire quelle révolution il a apportée dans la médecine mentale en fondant sa méthode sur l'observation a
endus des Congrès de Genève et d'Amsterdam parus dans les journaux de médecine , M. Sollier semble être moins absolu que dans ses
e l'érythémophobie. (Comptes-rendus du XIIe Congrès international, le médecine . 1897). Pitres et Régis : L'obsession de la rouge
Cours libbe de psychopathologie du tdbe digestif a la Faculté de Médecine de Pàbis (2° semestre de l'Année scolaire 1907-19
scolaire 1907-1908). — M. le Dr Paul Farez reprendra, à la Faculté de Médecine (Amphithéâtre Oru-veilhier, 15, rue de l'École de
Amsterdam) Le Docteur Quackenbos, de New-York, a fait ses études de médecine au College of Physicians and surgeons of New-York
Allocution de M. le docteur Brissaud, Professeur à la Faculté de Médecine Le qualificatif de tyran n'avait pas à l'origin
x ou coléreux. SOCIÉTÉS SAVANTES L'onychophagie à l'Académie de médecine « Rapport de M. Galippe, sur un mémoire de M. l
es diverses et surtout l'onanisme (Dr E. Bérillon). (lj Académie de Médecine , séance du 3 mars 1900. Parmi les stigmates p
9. Cours libre de psychopathologie du tube digestif à la Faculté de médecine , p. 319. Cours d'hypnotisme et de psychothérapi
et les yeux cernés (L'), p. 318. Onychophagie (L') à l'Académie de médecine , par Galippe, p. 370. Paralysie hystérique du m
60 (1913) Exposé des travaux scientifiques
I PARIS MASSON & C,c, ÉDITEURS LIBRAIRES DE LA ÇA DÉ MIE DE MÉDECINE E 120, ROUt.r.VAftD SAIKT-GHKtAÏX (6.) 1913
ner- veux. Trois ans plus tard, j'ai publié dans les Archives de Médecine expé- rimentale (2 £ 1) un travail complémentai
ains muscles, ceux de la face, ainsi que je l'ai indiqué (Traité de Médecine , t. X, p. 76), dès le troisième ou le quatrième j
u «signe de Babinski », par A. Charpentier (Revue internationale de médecine et de chirurgie, 22 septembre 1900). 120 Réfl
t réflexes tendineux, par Van Gehuchten (Congrès inter- national de médecine de Paris, igloo, section de Neurologie, p. 170).
stence d'un petit ulcus juxta-pylorique. Duhot et Leroy (Société de médecine du département du Nord, 25 avril igi3, in Semai
insi que je l'ai dit au dernier Congrès de Neu- rologie (Congrès de Médecine de i goo, Section de Neurologie. Comptes rendus
- ment mercuriel du tabes » (Bulletins el Mémoires de la Société de médecine de Paris, séances du 25 janvier et du 14 févrie
de ces données sont admises sans conteste. Dans tous les traités de médecine , on en trouve l'exposé (voir : a. Traité de médec
les traités de médecine, on en trouve l'exposé (voir : a. Traité de médecine Brouardel, Gilbert, t. VIII, pp. 4.87, 51o. Hém
t. VIII, pp. 4.87, 51o. Hémiplégie, par Pierre Marie; b. Traité de médecine Charcot, Bouchard, Brissaud, t. IX, p. 51. Hémi
Je terminais ainsi une communication sur ce sujet à l'Académie de Médecine (170). « En résumé, les services que peut rendr
parmi les symptômes cérébelleux « pro pes ». Bing (Rev. suisse de Médecine , 2g décembre igi r) écrit ceci : « Sur huit cas d
disease and ilieli- signifi- cance, p. 77. Congrès international de médecine de Londres, ig 13) s'exprime ainsi à ce sujet :
e cérébel- leuse et l'ataxie radiculaire. - Bing (Revue suisse de Médecine , 2g décembre I\) 1 [) signale ce symptôme dans
orteils était très net des deux côtés. Cestan et Guillain (Revue de Médecine , octobre J goo, p. 8 t 5) ont constaté un tor-
'à présent. » Renon, dans une leçon clinique (Archives générales de médecine , 4 avril igo5) intitulée : et Rétrécissement mi
ux indications thérapeutiques posées par chacune d'elles. ' 2° La médecine légale a aussi tiré parti de mes recherches. Les
158, 1G2, 175, 191, IgG.) Neurologistes, cliniciens s'occupant de médecine générale et aliénistes ont pres- que tous admis
de mort, reconnaissant pour cause une hémorragie méningée (Revue de Médecine , 1883). 7. Sur un cas de pseudo-pellagre (Gazet
ance des lésions dans les cornes antérieures de la moelle (Revue de Médecine , 1884). 10. Note sur un cas de pneumonie tuberc
aire systématique combinée (en collaboration avec Chagrin. Revue de Médecine , 188ô). 17. Sur la présence dans les muscles st
1889, nO' 4tJ et 5o). 24. Faisceaux neuro-musculaires (Archives de Médecine expérimentale, lor mai 1889). 25. Arthropathi
. 2(). Paraplégie flasque par compression de la moelle (Archives de Médecine expé- riurenlale el d'elnalomie pathologique, i
ale liystérique(Id., 16 décembre 18qq). 3g. Les névrites (Traité de médecine Charcol-I3ouclrard, chez Masson). 40. Contractu
ques (Id.). G5. Tabès avec cécité (Xlllc Congrès international de Médecine , Paris, igoo. Section de Neurologie). 66. Scl
particulier du vertige auriculaire par la rachicentèse (Académie de Médecine , 28 décembre igo3. Annales des maladies de l'or
s que la volonté est incapable de reproduire. De leur importance en médecine légale (Leçon faite à la Pitié. Gazette des Hôpit
« La définition et la nature de l'Hystérie » (Archives générales de Médecine , mars tgo). 136. Sur la rachicentèse dans les t
nière pour la ponction lombaire (Leçon faite à la Pitié. Journal de médecine et de chirurgie pratiques, 10 juin 1908). 151.
ons de l'appareil céré- belleux et de leurs perturbations (Revue de médecine interne et de thérapeutique, mai igog). 162.
réflexes de défense (en collaboration avec Jar- kowski. Académie de Médecine . Bulletin médical, 17 janvier igio). 166. Hypot
14 avril igio). 170. De la craniectomie décompressive (Académie de Médecine . Bulletin médical, 20 avril igio). 171. Sur l
ive dans les tumeurs cérébrales (Leçon faite à la Pitié. Journal de Médecine et de Chirurgie pratiques, 10 juin igio). 174.
gie, 7 juillet igio). 175. De l'hypnotisme en thérapeutique et en médecine légale (Semaine médi- cale, 27 juillet igio).
61 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Professeur de clinique des maladies mentales a la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie
culté de médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Anne). F.
eur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris. COLLABORITEUITS PRINCIPIUX MM. AB
ts. Leur nombre est égal à celui des universités. Chaque faculté de médecine a tenu, en effet à assurer l'enseignement des m
rganisation matérielle vulgarisent les notions de psychiatrie et de médecine légale indispensables aux praticiens, en même t
s aux praticiens, en même temps qu'ils favorisent les progrès de la médecine men- tale et de l'assistance des aliénés '. D
Esquirol '. Pourquoi faut-il que, si fréquemment, l'histoire de la médecine mentale nous montre les réformes réclamées par
convaincre de l'importance des ' Voir le Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique, n, 85, juin 1897, p. 144,
erer Ausdrucksbewegungen, tirage à part des actes du 14- congrès de médecine interne à Wiesbaden, avril 1896. 42 ENSEIGNEM
état intéressant au double point de vue de la psychologie et de la médecine légale. L'auteur rapporte trois cas dans lesque
XVI. Etiologie de la paralysie générale ; par Sérieux. (Revue de médecine , février 1900.) Cinquante-huit observations de
tin, mort dans son lit. Le cadavre a été transporté à la Faculté de médecine pour l'au- topsie. (Le Temps du 17 novembre 190
ndiqué dans une communication au dernier con- grès international de médecine les facteurs les plus éner- giques des psychose
nombre de jumeaux dont je résume ici l'observation. ' Académie de médecine , 23-30 octobre 1900. À A Cullerre. Pronostic él
Y. IX. Hyperthermie nerveuse chez la femme ; par LEVEN. (Revue de médecine , mars 1000.) Trois observations d'hyperthermie
II. X. Des névrites palustres; par Sacquépée et-DopLER. (Revue de médecine , avril et juin 1900.) Les auteurs donnent un ap
s. A. Fenayrou. SOCIÉTÉS SAVANTES. xiii, CONGRES INTERNATIONAL DE MÉDECINE . Section de Neurologie '. Séance du 7 août (a
du Congrès d'Électricité à Paris, 1889). Bulletin de l'Académie de médecine 1899 et Archives d'Electricité médicale, janvie
ernational de Neurologie, indépendant du Congrès internatio- nal de Médecine ; 2 Dans le prochain Congrès international de M
io- nal de Médecine ; 2 Dans le prochain Congrès international de Médecine qui se réunira à Madrid, en 1903, il sera créé
nos recher ? ches faites au laboratoire d'histologie de l'Ecole de Médecine de Bennes sur des coupes fines d'encéphale de c
és avec une science que peut seule donner une longue pratique de la médecine légale. On ne sanrait leur ajouter une ligne, m
es avec détails les acquisitions les plus récentes qu'a pu faire la médecine légale. Le médecin-expert a-t-il. par exemple,
fait mettre sous les yeux du lecteur : la loi sur l'exercice de la médecine , sur les accidents du travail, le décret sur la
e pathologie mentale et des maladies de l'encéphale à la faculté de médecine de Paris, est nommé médecin adjoint à l'asile d
nhomme Normand du il au 17 janvier 1901.) Bulletin de la Société de médecine publique et d'hygiène profession- nelle. - Tome
fMH ! 0(He familiale, Th. Paris, 1898, p. 18 et sq.. ' ' Revue de Médecine , 183fui. MALADIE NERVEUSE FAMILIALE. zou ment
50 ' 'Berlin. 7tH. 11'octieosc%., 1885, p. 489 et 509. 8 Revue de Médecine , 1887. 2C8 CLINIQUE NERVEUSE. enfants, étaien
aque année par les auto- rités sur la présentation de la Faculté de médecine . En 1894 le nombre des examinateurs, pour le Ph
l a suivi en qualité de Prakliknnt 1 les cliniques de chirurgie, de médecine et d'accou- chements, qu'il a fait deux accouch
hologique et pathologie générale; 4° chirurgie et ophtalmologie; 5° médecine ; 6° accouchement et gynécologie ; 7° hygiène. -
succès l'étudiant, devenu Pi-alitische ? - Arzt, peut pratiquer, la médecine . .Pour obtenir le titre de Docteur qui, à lui s
, pour les étudiants pauvres. Le service militaire des étudiants en médecine est organisé de la façon suivante : l'année de
ions suivantes : -. « L'Etat a le devoir de donner aux étudiants en médecine , dans de meilleures conditions qu'actuellement,
us, Kreisarzt) qui a dans ses attributions tout ce qui a trait à la médecine légale, à la police sanitaire et à la police mé
rüfua9, qui, en Prusse, se compose : io D'une épreuve écrite sur la médecine légale, l'hygiène et la psychiatrie; 2° d'une é
dites, l'étudiant, dit M. Schultze, doit apprendre la chirurgie, la médecine , les accouchements, l'anatomie pathologique, l'op
ntale, le méde- cin praticien aura à traiter des milliers de cas de médecine interne, de chirurgie, d'obstétrique. Dans ces
fois par semaine (psy- chiatrie clinique avec ses applications à la médecine légale) ; six cours de maladies nerveuses et él
nous le répétons, à une bonne organisation de l'enseignement de la médecine men- tale. Si des mesures n'étaient prises en v
scientifique et préparer la décadence d'études qui ont jeté sur la médecine française, au cours du xixo siècle, un si vif écl
ES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 233 trie, de la neuropathologie, de la médecine légale des aliénés, etc. 5° Organisation du sta
ades avec les collaborateurs suivants : 1° un assistant, docteur en médecine , ancien interne des asiles, nommé sur la présen
e des bromures chez les épileptiques âgés ; par Cu. FÉRé. (Revue de médecine , janvier 1900.) . L'intolérance des bromures a
I. Impaludisme et épilepsie ; par MARANDON DE n10\TYEL. (Revue de médecine , décembre 1899.) L'impaludisme a longtemps pass
. II. Ptosis intermittent hystérique; par J. AB.1DIG. , (Revue de médecine , mars 1900.) Observation de deux malades à anté
nel, excès de boisson. oe ! <)' morte de méningite. ' Revue de médecine , 1888, p. 462 et S52. Archives, 2 série, t. XI.
ns la retentissante communication qu'il fit en 1861 à l'Académie de médecine ' et dans ses leçons cliniques 2 porta à la « c
ngestion cérébrale idiopathique - 4° 1 Trousseau. C. R. Acacl. de médecine , 15 janvier 1861. De la conges- tion cérébrale
1884. * Pierre Marie. La congestion cérébrale devant l'Académie de médecine en 1861. (Presse médicale, 3 février 1900.) U
rois formes peu- vent être employées séparément ou conjointement en médecine . L'auteur rappelle ici les travaux de l'école d
aliénés aptes au régime familial. D'' A. Marie. XVI. Archives de médecine expérimentale et d' anatomie pathologique, fond
ie. (f3.) .) THÉRAPEUTIQUE. Le traitement par le repos au lit, en médecine mentale; Par le D' Alexandre PARIS, Médecin
es de la sensibilité chez les hémiplégiques; par Ciiatin. (Bévue de médecine , octobre 1900). Les troubles trophiques doivent
mènes de la vie est destinée à faire une profonde impression sur la médecine et la thérapeutique ; et je suis aussi profondé
H. XLVIII. La crise nasale tabétique ; par H. Jullian. (Revue de médecine , juillet 1900). Syndrome déjà décrit dans une o
ez les nouveau-nés hérédo- syphilitiques ; par DE PETERS. (Revue de médecine , août 1900.) Observation de plusieurs cas de pa
clérose en plaques fami- liale ; par CCSTAN et GUILL.11N. (Revue de médecine , octobre 1900.) Deux observations dont la premi
espèce. P. Keraval. XXXIV. Le coup de foudre ; par FERÉ. (Revue de médecine , ' juillet 1900.) , L'attraction sexuelle sub
. II. XXXV. Sadisme aux courses de taureaux ; par FÉRÉ. (Revue de médecine , 1900.) Observation d'une hystérique à hérédité
ont admises à 'concourir au même titre que celles des Facultés de Médecine . Les thèses devront être adressées avant le 31 dé
aume, ancien chef de clinique des maladies mentales à la Faculté de Médecine , fera, à l'issue du cours, des démonstrations c
7 décembre 1891. Journal de nzécl. de Bordeaux 180j et Académie de médecine , séance du 20 mai 1893.) , Archives, 2« série,
plus récente de mon élève M. Delmas 1, couronnée par la Faculté de médecine de Bordeaux. · Il y a là une accumulation de fa
r essai sur ce point, a présenté au récent Congrès international de médecine (section de psychiatrie) et à celui de l'Associ
ray dit, dans la session du '18 novembre 1890, dans l'Académie de Médecine de New-York : « Que dans les prétendus cas de gué
eurologie, 1898 et Progrès médical, 1893 ; Congres international de médecine de 1900, section de neurologie). 470 THÉRAPEU
sur- veillance assidue de voler le vin de ses compagnes. Cepen- ' Médecine moderne, IS juillet 1900. Moniteur thérapeutique,
dans l'importante manifestation scientifique qu'a été le Congrès de médecine , réuni à l'occasion de l'Exposition universelle
n président M. Joffroy qui vient d'être élu membre de l'Académie de médecine . M. Joffroy remercie la Société de la nouvelle
, 1900. ,17,chiv I*ii- I'sychial-ie. KEHAVAL. - La pratique de la médecine mentale. - Conférences faites avec l'autorisati
ion du conseil de l'Université, à l'Ecole pratique de la Faculté de médecine de Lille. In-18 cartonné de 487 pages. Prix : 7
Librairie Vtgot frères. (P.). Épilepsie, traitement, assistance el médecine légale. - In-18 de 290 pages, avec 7 ligures. P
: 3 fr. 50. - Paris, 1901. Libraine 1'iot frères. KR.%FFT-ELIÇG. Médecine légale des aliénés. Traduit sur la der- nière é
p;2rlmonaire. In-8" de 7 pages. Paris, 1901. Atctnves orientâtes de médecine et de chirurgie. Nous appelons vivement ? <
l ? parNorman, 423. hystérique, par Guillain, 511. Archives de médecine expérimen- tale, 355. Arriérés. Ecoles auxili
le active avec autopsie, par Katz, 302. Congrès IXTERX Tt0\ 1L de Médecine : Section de neurologie, 61, 17b. Congrès des
62 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie
culté de médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Anne). F.
ur de clinique des mendies du système nerveux à à la Faculté de médecine de P.iris. COLLABOITATRUIIS PRINCIPIUX \1H.
la Société analomique, 1851, p. 158. Luys..1r- chives générales de médecine , 1861. L 3 Oliver. Soles on Ihree cases of' cer
'irritation périphérique ' Leven et Ollivier. Archives générales de médecine , 1862-63, p. 709. 2 ,JofII'OY. Archives de Neur
dernier au cours professé par M. le Dr J. Grancher à la Faculté de Médecine de Paris, le sujet en question intéressa d'une
R.CIIIDIE,4; MORT par ménin- GITE au 16e jour; par Emory LANPHEAR. ( Médecine , Détroit', jânv. 1896.) Il s'agit d'une femme
diagnosis and electro-therapeutics simplified), par Hugh PaTnICr.. ( Médecine , Détroit, novembre 1896.) L'électro-diagnostic
, de longue haleine, qui a dû exiger du temps et de la patience. La médecine légale s'est enrichie, par l'étude de M. George
is on peut espérer qu'il se réalisera. X1P Congrès international DE médecine . Moscou, 7-14 (19-26) août 1897. Section des
a suggestion dans leurs rapports avec les mala- dies mentales et la médecine légale. Rapports prévus : professeur Bernheim (
ancy) : « L'hypnotisme et la suggestion dans leurs rapports avec la médecine légale et les maladies mentales. Communications
t juste idée de l'hérédité. Puissante dans toutes les parties de la médecine , l'hérédité est encore plus puissante en neu- r
t quelques traites classiques. Ainsi vous lisez dans le Traité de médecine , t. VI, article Encévhalopalhie infantile, p. 201
ive sont très mal connues encore aujourd'hui. » Dans le Manuel de médecine , t. III, vous trouvez, article Paralysie labio-
ainsi qu'en concluait dans une récente dis- cussion à l'Académie de médecine , à pratiquer l'avortement. Auparavant il est ce
ême de la gaine. Par contre, les noyaux interannulaires ' Arche. de médecine expérimentale, juillet 1801. 200 PATHOLOGIE NER
urs purement administratifs, non pourvus d'un diplôme de docteur en médecine et les médecins adjoints. Depuis des années je
es plus grandes opérations chirur- gicales et de soigner les cas de médecine les plus compliqués ? Pourquoi le jeune aliénis
re entre les mains d'un directeur qui ne peut être qu'un docteur en médecine , c'est-à-dire un administrateur préparé par ses
le directeur adminis- tratif d'être muni d'un diplôme de docteur en médecine ; sup- pression des médecins adjoints; tout le r
en chef, mais ces directeurs administratifs seront des docteurs en médecine entre les mains desquels sera centralisée toute
la seule limitation imposée au choix sera le diplôme de docteur en médecine . Ainsi le projet de loi prévoit pour le médecin
n-directeur omni- potent serait toujours pris parmi les docteurs en médecine ayant subi avec succès les deux concours d'inte
r l'exécution rapide des vues des médecins traitants, un docteur en médecine , même choisi en dehors de la spécialité, étant
ette façon et où, à tous égards. ils sont assimilés aux internes en médecine et aux médecins. Je trouve cela très juste. A m
sera jamais un aliéniste. Aujour- d'hui les diverses branches de la médecine ont pris un déve- loppement tel que pour acquér
onsultations de chirurgie et les chirurgiens les consulta- tions de médecine ; chacun reste dans sa sphère. Cette division du
quand il dit qu'il faut à l'alié- niste de solides connaissances en médecine générale, mais ces connaissances sont tout auss
ES PUBLICS D'ALIÉNÉS. 221 1 les posséder en ne s'occupant jamais de médecine , de même le médecin d'aliénés les aura en se co
'uoMS a(feetions caused by the poison of gout) ; par David INGLIs. ( Médecine Détroit, février 1896.) Les nombreux poisons, t
ndard, préfet de la Haute- Garonne ; Labéda, doyen de la Faculté de médecine ; Marty, secré- taire général de la préfecture;
remier la parole et a retracé, en termes éloquents, le rôle joué en médecine mentale par les deux aliénistes célèbres, Pinel
rance, qui compte parmi ses illustrations les deux fondateurs de la médecine mentale de notre. siècle. « Nous sommes ici d
s ». Telle est bien la tâche que Pinel et Esquirol ont accomplie en médecine mentale. « S'ils n'ont pas résolu définitivemen
rd'hui et ne dépareraient certes pas le plus moderne des traités de médecine mentale. « Qu'on relise, pour s'en convaincre,
ières paroles de M. Ritti, auquel M. Labéda, doyen de la Faculté de médecine , a succédé, en prononçant le discours suivant :
ai reçu à la der- nière heure l'invitation d'associer la Faculté de médecine de Tou- louse aux hommages adressés à Pinel.
er la sommaire développement. « Le 27 octobre 1826, la Faculté de médecine de Paris allait res.ter. muette devant la tombe
e siècle, de cette voix du bon et savant Cruveilhier, la Faculté de médecine de Toulouse récem- ment restaurée, désire, elle
2 août (soir). Présidence DE M. Pitres. A 2 heures, à la Faculté de médecine , dans le grand amphi- théâtre, la seconde séanc
seconde séance a été ouverte par M. Pitres, doyen de la Faculté de médecine de Bordeaux et président du congrès de Nancy en
ur général de l'Assistance publique; Labéda, doyen de la Faculté de médecine de Toulouse; Faire[, médecin de la Salpêtrière.
t de la base de l'encéphale. : 11\i.llosL, professeur à la Faculté de médecine de Toulouse, et Cavalié, prosecteur à la Facult
érie infantile, observée à la clinique des enfants de la Faculté de Médecine de Nancy pendant l'année scolaire 1892-93 ». Celt
es de cliniques, situés dans les villes où il existe une Faculté de médecine , le professeur de clinique deviendrait directeu
istants choisis par le profeseur de clinique, parmi les docteurs en médecine ayant été internes dans les asiles publics d'al
ront nommés, par suite de concours régionaux, entre les docteurs en médecine âgés moins 1 Nos lecteurs savent que ce sont là
trente ans et les étudiants français ayant terminé leurs études de médecine générale. Après un stage minimum de un an dans un
in adjoint. Dans les asiles trop éloignés du siège d'une Faculté de médecine , l'interne pourrait être remplacé par un deuxiè
étudiants n'ayant plus que leur thèse à passer ou des doc- leurs en médecine . La durée de l'internat serait de deux années.
ation d'un travail de M. le professeur n1 : 11RET, de la Faculté de médecine de Montpellier, qui a parlé de l'étiologie de l
sance. M. Guibert a déjà voulu lire ce même rapport à la Société de médecine légale qui ne l'y a pas autorisé parce qu'elle
me prodiguait à ' Voir les Annales ) ? ? co-;Mye/;o ? le Journal de médecine mentale, la Revue de lleérapeul. 77éclico-chii-
se majorité des cas, cela ne sera pas si aisé. Dans un ser- vice de médecine ou de chirurgie, on peut dire : a j'ai trop de
ques qui fournissent le plus de travailleurs. Le traitement de la médecine mentale est à l'état embryonnaire. Nous ne savo
le, 1896. - Grancher. Hystérie chez les jeunes enfants. (Journal de médecine et de chirurgie pratique, février 1888. (Bullet
ours). Hystérie chez les jeunes enfants. (Bulletin de l'Académie de médecine , 1°' décembre 1891.) .) Ollivier. Cours cliniqu
3 leçons. Greffier. De l'hystérie précoce. (Archives géné- rales de médecine , octobre 1882.) 2 Thèses : Paris et Guiraud. Th
s la suite, et c'est un des avantages que présente l'exercice de la médecine à la campagne (je parle ici de la Vendée où le
? Un cas, à peu près analogue, rapporté par Grand à la Société de médecine , a fait l'objet d'une discussion. Pour Grand, s
brillantes études au lycée Bonaparte ; il s'incrivit la Faculté de médecine de Paris et devint peu après externe des hôpita
NÉCROLOGIE. 363 3 charme de l'inconnu lointain et s'engagea dans la médecine navale à laquelle il fut attaché de 1862 à 1867
he trop lourde, CAMUSES se décida à se consacrer exclusivement à la médecine mentale, il possédait les connaissances les plu
onsidérable d'observations et de recherches en clinique mentale, en médecine légale, en anthropologie. La plupart ont paru d
dent du Congrès 364 NÉCROLOGIE. de 1891, lauréat de l'Académie de médecine en 1891 (prix Civrieux) pour un travail sur la
tout au moins appelait quelques réserves. Ainsi l'exercice de la médecine à la campagne, au milieu des inconvénients sans
rique comme le voulaient Chaumier, Ollivier, Magitot (Aca- démie de médecine , séance du 28 juin 1892); si l'on devait consid
KFRAVAL. YXIlLTRAITE51ENTCFiIRURGICAL DE l'épilepsie ; par Giirw. ( Médecine Détroit, juin 189ï.) L'auteur laisse de côté
vons le regret d'apprendre la mort de M. Paul C.r,uQauu, interne en médecine à l'asile de Villejuif, décédé le 17 septembre.
ne excellente réputation ; je savais qu'à l'Ecole prépara- toire de médecine de Limoges où, comme moi, il avait fait ses pre-
és puisqu'une centaine seulement ont été signalés dans le-Traité de médecine de Charcot de 1894. Enfin l'apparition d'un acc
hiatrie de Moscou, la pre- mière partie du Congrès international de médecine de Moscou. 510 SOCIÉTÉS SAVANTES. La lésion a
ation faite à cet asile, lors du dernier Congrès inter- national de médecine , par le Dr E. Shuttleworth, et publiée dans The
) La varia. 545 1 conception biologique de l'homme apporte à la médecine , et en parliculier à la psychiatrie une riche m
Bermieim. L'Hypnotisme el la suggestion dans leurs rapports avec la médecine légale. Brochure in-8° de 103 pages. Paris, 1897.
63 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
»,ts , 1/1 ¡ \ljl i P Par le D' LEROY, Professeur à la Faculté de médecine de Lille. . \ l - - On sait que Duchenne (de
sie rétro-antérograde, probablement d'origine hystérique. (Revue de médecine , 10 février 1892, p. 81.) 3 Une observation trè
on des souvenirs malgré l'amnésie hystérique. '' Charcot.- Revue de médecine , 1892, p. 94. l'amnésie hystérique. 41 dans l
la pathologie et deviennent justiciables de la physiologie ou de la médecine . Nous l'avons vu d'après les deux lumineuses com-
duire la psychiatrie comme matière obligatoire, dans les examens de médecine . Actuellement, quelques pays voisins ont résolu f
p voudra bien faire adopter cette réforme dans l'enseignement de la médecine . Adopté. (Allg. Zeitschr. f. Psy- chiat., XLVII
ablissements pénitentiaires un psychiatre rompu à la pratique de la médecine mentale, qui établisse une indivi- dualisation
actuel des choses, opportun d'enlever au rapporteur, en matière de médecine légale, le droit de s'occuper de la question de
OCIÉTÉS SAVANTES. sitifs du projet qui n'ont pas de rapport avec la médecine , elle émet les voeux suivants : 1° Il n'y a p
ONS ou par la PONCTION lombaire ; par QUINCKE. (Congrès allemand de médecine interne, 1891.) Chez un garçon de douze ans, at
- Tome I. Paris, in-8°, 1892. Aux bureaux du Progrès Médical. La médecine vit de l'expérience. Mais l'expérience ne fait pa
- sion de la deuxième question du programme (le secret médical en médecine mentale). - B. A 2 heures du soir, troisième séan
is. La qualité de membre du congrès est acquise à tout doc- teur en médecine de France ou des pays de langue française qu ve
l'attention des médecins voués à l'étude de la neurologie et de la médecine psychologique. Elle n'a pas encore épuisé l'att
delà de 2,000 livres sterling. (The Lancet, 7 mai 1892). Faculté DE médecine DE Paris. - M. Gilbert Ballet, agrégé près la F
E médecine DE Paris. - M. Gilbert Ballet, agrégé près la Faculté de médecine de Paris a été chargé d'un cours de cli- nique
La science médicale perd en lui, dit le Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique, le fondateur de l'anatomie m
ineux qui se trouve si bien étudié dans tous les traités récents de médecine interne et de neuropathologie, nous nous borner
CRITE; Par 111AI. GicneaT BALLET, professeur agrégé à la Faculté de médecine , médecin de l'hôpital Saint-Antoine, et EMILE B
errier4, de M. Ange Dilvall, dans les- 1 Discussion à l'Académie de médecine . ! Bernard. De l'aphasie et de ses diverses forme
ucoup plus grande que n'en a jamais eu aucune décou- verte faite en médecine à n'importe quelle époque. Non seulement ils on
ous sommes redevables des méthodes perfectionnées employées dans la médecine curative ou préventive, et dont nous avons tiré
teurs de la découverte. Rares sont les faits, dans l'histoire de la médecine , des progrès 240. THÉRAPEUTIQUE. ' - des scie
r. » (Trans. Internat. Med. Cong., 1881.) Le principe qui domine la médecine moderne, a dit Virchow, c'est la localisation.
aussi un souvenir très précis, d'une séance de la Société royale de médecine . On y présenta un cerveau qui excita beaucoup d
e, ont cédé la place à celle des différenciations fonctionnelles en médecine et en physiologie. Ces notions sont fondées sur
ous rendre compte des contradictions apparentes des résultats de la médecine clinique et des faits expé- rimentaux obtenus s
arque en psy- chiatrie. Et pourtant, de tous les départements de la médecine , S6 THÉRAPEUTIQUE. DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES
nt, la nouvelle physiologie cérébrale n'a pas été sans effet sur la médecine psychia- trique. Les spécialistes ont abandon
Je suis profondément certain que dans aucune autre branche de la médecine , il n'y a moisson plus grande d'honneurs à glaner
SION (Blois). - 1 er.6 août 18\)2. Le troisième Congrès français de médecine mentale s'est ou- vert le '1 ? août à 3 heures
gues de ce grand honneur et rappelé les progrès considérables de la médecine mentale. Ont été enfin élus aussi par acclamati
idence DE M. TIr. Roussel. Deuxième QUESTION : Du secret médical en médecine mentale. M. L. Thivet (de Blois), rapporteur. E
édical en médecine mentale. M. L. Thivet (de Blois), rapporteur. En médecine mentale comme en médecine générale, ou le secre
M. L. Thivet (de Blois), rapporteur. En médecine mentale comme en médecine générale, ou le secret médical est absolu et gé
as qu'il soit effacé du Code. En ce qui concerne son application en médecine mentale, je voudrais seulement demander s'il a
és, ainsi que dans nos com- munications au Congrès international de médecine mentale de 1889, à l'Association française pour
e l'enfant Henri Maz..., qu'il a montré au Congrès international de médecine mentale de 1889. Il rappelle qu'à l'entrée dans
LIE; par le Dr W.-W. KEEN, professeur de chirurgie, à l'Académie de médecine Jefferson, à Philadelphie. (American journal of
r le Dr J.-C. Mac Clintock, professeur de chirurgie à l'Académie de médecine de Kansas, faisant, avec les deux cas de Lannel
sseur Charcot, vient d'être nommé officier d'Académie. Faculté DE médecine DE PARIS, - Clinique de pathologie mentale et d
mala- dies de l'encéphale, pendant le semestre d'été. Faculté DE médecine DE TOULOUSE. M. le Dr RhMOND, agrégé, est charg
ée scolaire 1892-93, d'un cours des maladies mentales. Faculté DE médecine DE Berne. il. le Dr W. VON SPEYR, docent de psy
t de psychiatrie, est nommé professeur extraordinaire. Faculté DE médecine DE BERLIN. M. le Dr SIEMERLING, privât docent d
ent de psychiatrie, est nommé professeur extraordinaire. Faculté DE MÉDECINE de Halle. M. le Dr WOLLENBERG est nommé privat
t nommé privat docent de psychiatrie et de neurologie. Faculté DE médecine DE \VURZ(iOUEG. - M. le Dr Sommer est nommé pri
IOTS ET ÉPILEPTIQUES. Sur la proposition de M. Régis, la Société de médecine et de chirurgie de Bordeaux a adopté, à l'unani
ssé au préfet de la Gironde. Il est ainsi conçu : « La Société de médecine et de chirurgie de Bordeaux, sur la pro- positi
e jour des progrès. Nos félicitations à M. Régis et à la Société de médecine de Bordeaux. Prix (3AILLARGER. Par décret en da
en date du 11 août 1892, le secré- taire perpétuel de l'Académie de médecine est autorisé à accepter, au nom de cet établiss
ion déterminée par un coup d'insola- tion. Exercice illégal DE la médecine ; LE magnétisme. La Cour d'appel de Lyon vient
vient de décider que la loi de ventôse, relative à l'exercice de la médecine , s'applique à tous ceux qui attirent à eux des
caments, ce qui lui permettait de prétendre qu'il n'exerçait pas la médecine . L'une de ses clientes, la femme N..., est devenu
u la précaution de se cou- vrir de la collaboration d'un docteur en médecine pour légitimer ses pratiques « magnétiques ».
personne non diplômée, une infraction à la loi sur l'exercice de la médecine . C'est, d'ailleurs, la troisième fois que P...
quelques équivalents cliniques de l'épilepsie partielle. (Revue de Médecine , p. 609.) l'hystérie ET LES maladies organiques
ris, 1830.) 4. Piorry. Mémoires sur la migraine (1831) et traité de médecine pratique, t. VIII, p. 75. . 5. Tyrrel. Cyclop
Féré. - Contribution à l'étude de la migraine ophtalmique. (Rev. de médecine , 1881.) 25. Abadie. Du vertige oculaire. (Progr
s de migraine dpthalmique à accès répétés suivis de mort. (Revue de médecine , 1883.) - 33. Parinaud. - Migraine ophtalmique
l'école de la Salpêtrière. Si la psychologie doit pénétrer dans la médecine , ce n'est pas pour y apporter la confusion. M.
fait éclore non seulement l'hystérie mais encore, comme - REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 477 c'est l'ordinaire, des phénomènes n
iste aux traitements les plus variés et les mieux dirigés. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE I. L'hypnotisme ET LE droit; par le D1'
ux devoir vient d'être rempli par M. A. Bonjean ». ' 478 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. M. Bonjean, avocat, considère comme un
minels internés à cet asile. Rapportés aux diverses formes REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 479 d'aliénation mentale auxquelles ils
niques de la séquestration car le persécuteur est tou- 480 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. jours dangereux, soit qu'il commette un
tions délirantes nettement accusées, l'autre dans laquelle REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 481 on observe plus particulièrement le
ses manifestations de la folie Archives, t. XXIV. 31 482 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. morale. Dans cette forme de délire rent
accusées. (Annales médico-psyciaologiqzies, 1891.) E. B. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 483 VI. Cas IÉDICO-LÉGL; par le D' ÂNDR
conservent donc des rudiments de libre arbitre. ' " 484 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 10° Beaucoup d'aliénés ont des idées co
il a été contraint par une force morbide à laquelle il n'a REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 485 pu résister. Préciser le cas échéan
J'en ai en 1876 présenté un fait tout à fait semblable (Société de médecine de Berlin, 18 octobre), dont Westplial a publié
ngrès de ce genre, lequel s'est réuni au mois d'août, iL l'Ecole de médecine . L'expé- rience acquise n'a pas été perdue et l
forant, très digne du prix Portal que lui a décerné l'Acadé- mie de médecine , et qui sera consultée avec fruit par les observa
. Maison nationale DE CUARENTON.- Un concours pour l'internat en médecine aura lieu le 5 décembre prochain. Asile SAINT-Y
ain. Asile SAINT-YON (Seine-Inférieure), - Une place d'interne en médecine est vacante à l'asile d'aliénés de Saint-Yon, prè
.- M. le D' DAHNARDT, privat-docent de neurologie à - la faculté de médecine de Kiel. M. le Dr PARET (Louis), médecin adjoin
64 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ette voie, et leurs travaux méritent d'être cités à la gloire de la médecine française ; mais ils ont eu surtout en vue les
re de symptôme habi- 1 Il. Royer-Collard. - Rapport à l'Académie de médecine sur un mémoire de M. le D' Bail/m'gel', intitul
'vé, chez les malades atteints de goitre exoplzthalmique. (Revue de médecine , 1883, p. 254.) l'. Marie. Contribution iL l'ét
Deux observations d'angine de poitrine dans l'Itttstcrie. (Revue de médecine , 1882. p. : <3S.) 28 PATHOLOGIE GÉNÉRALE.
igures d'Alerandre le Grand et de Xénon le Stoïcien éclairés par la médecine . (Mémoire lu il l'Académie des beaux-arts, le 2
causes de l'ataxie locomotrice. Memoito couronné pat' l'Académie de médecine (pn\ Curieux, ils63.) 80 PATHOLOGIE NERVEUSE.
cet ordre dans un mémoire ' 1 présenté l'an dernier à l'Académie de médecine ; l'observation de M. Legrand du Saulle et celle
ires, MM. Eunkard, Camby, Charmeteau. Concours pour l'internat en médecine . - Les épreuves ont t commencé dans les premier
ent Asile DE BnoN. - Le 6 décembre, s'est terminé à la Faculté de médecine de Lyon le concours pour la nomination de trois
- Un concours pour la nomination à deux places d'élèves internes en médecine dans l'asile d'aliénés de Marseille s'ouvrira l
e I ? février 1881 : 'à deux heures de l'après- midi. Les élèves en médecine qui désirent' concourir doivent être pourvus de
uvrira le 21 novembre 1884, à trois heures du soir, à la Faculté de médecine de Nancy, pour la nomination de' trois internes
s à l'asile de Maréville. ' Sont admis à concourir les étudiants en médecine français, ayant au moins douze inscriptions de
es dans l'écorce des hémisphères du cerveau. Revue men- suelle de médecine et de chirurgie, novembre 1878 et février 1879.
ur (Charcot et Pitres, « Mémoires sur les localisations », Revue de Médecine , 1877-78-79-83). D'autre part, récemment (Revue
evue de Médecine, 1877-78-79-83). D'autre part, récemment (Revue de Médecine , 1882, p. 848), M. Lépine a rapporté des faits
mière fois par M. le professeur Lépine dans la Revue mensuelle de Médecine et de Chirurgie (1877, p.909). M. Lépine rap- p
ecueillie dans le service de M. Charcot et publiée dans la Revue de Médecine de 1882. A ce groupe de faits nous pouvons ajou
Observation rapportée par M. le professeur Lépine dans la Revue de médecine , 1881. p. 69R. DES LOCALISATIONS CEREBRALES. 15
A... (Pierre), âgé de soixante-sept ans, entré à l'infirmerie de médecine , Hospice des Incurables, salle Saint-Jean-Baptist
tion. G. D. IX. Paraplégie hystérique ; par M. Moizard. (Journal de médecine et de chirurgie pratiques, t. LUI, 1882.) Il
OELLE cervicale par UNE ÉPINGLE A CHEVEUX; par M. ViRY. (Journal de médecine et de chirurgie pratiques, t. LUI, 1882.) Une
a été comblée. I. Lorsqu'il y a un peu plus d'un an, l'Académie de médecine , préoccupée du problème qui venait d'être soule
eroux, édit. 1884). Le Si-Yuen-Lu est une sorte de compendium de la médecine légale et de la jurisprudence médicale de la Ch
l), âgé de soixante-six ans, corroyeur, est entré à l'infirmerie de médecine , le 26 novembre 188 : 2. Antécédents héréditair
P... (Louis), âgé de soixante-quinze ans, entre à l'inlirmeric de médecine le 28 janvier 1883. Il y a quatre mois, cet hom
différents articles d'aliénation mentale des deux dictionnaires de médecine , ne fournissent aucun renseignement à cet égard.
A notre époque, et on peut dire que c'est là sa caractéristique en médecine mentale, une autre cause prépondérante a été mise
ands de vernis, est nettement établi. Delpech (Mémoire, Académie de médecine , 1856), Hugenin (thèse 1876) ont fait ressortir
i le fait a été vérifié, mais M. Jules Bergeron (1865) (Académie de médecine ) a bien décrit les troubles intellectuels chez
d'autres que par nous, soit sur des opinions reconnues vraies en médecine , ne sont pas des considérations de pure contempla
e deux crises et donner lieu à une double vue. Dans les Archives de médecine de 1856 (vous voyez que c'est déjà vieux) il tr
hypnotiques hysté- riques considérées comme sujets d'expérience en médecine men- tale ; les communications de M. Legrand du
té, et sur lequel le rap- porteur de ce projet devant l'Académie de médecine , notre col- lègue M. le Dr Blanche, s'est surto
nqueront pas de maintenir et de relever encore le rang élevé que la médecine aliéniste française n'a jamais cessé d'occuper
lier il n'a pas été parlé de la question soulevée à l'Académie de médecine au sujet de la surveillance des aliénés traités à
M. WESTPHAL. La délégation scientifique, chargée des intérêts de la médecine en Prusse, a été invitée par M. le ministre à r
l sont exagérées ; ni les pièces présentées par lui à la Société de médecine , ni ses publications, ne prouvent ce qu'il avan
s points de comparaison. Les préparations produites à la Société de médecine avaient pour but d'élucider un étal anatomo-pat
cins, a élaboré un projet de loi qu'elle a demandé à l'Académie de médecine de mettre à son ordre du jour. L'Académie, à so
er la loi. Tel a été également l'avis du Congrès inter- national de médecine mentale, dont les membres se sont ralliés à la
'être, parce qu'au moment de la promulgation de la loi actuelle, la médecine mentale était, pour ainsi dire, « une branche mor
médecine mentale était, pour ainsi dire, « une branche morte de la médecine générale ». 11 n'en est pas de même aujourd'hui;
s progrès ont été réalisés dans la diffusion de cette branche de la médecine . M. Billod part de là pour démontrer que l'étud
bientôt dotés d'une institution aussi nécessaire aux progrès de la médecine mentale qu'à la dignité et à l'indépendance du
arfaitement légitime et réalisable main- tenant que les Facultés de médecine sont pourvues d'un enseigne- ment officiel de l
AIICUIVES, t. VII. 26 402 VARIA. médecins-adjoints. Six élèves en médecine sont en outre annuelle- ment admis à faire un s
été examinée avec soin avant les discours prononcés à l'Académie de médecine , nous reproduisons ici le passage d'un rapport
ique des maladies mentales, nommé au concours dans une Fu- culté de médecine , auquel cas, Usera dispensé de toute autre épreuv
des vacances qui se produi- sent ; 2° que les chefs de clinique de médecine et de chirurgie, bien qu'ayant subi des épreuve
suivante : Pourront être admis ci concourir : tous les docteurs en médecine français, reçus depuis deux ans; tous les médec
égal au dixième du maximum. 2° Consultation écrite sur un cas de médecine mentale (10 minutes d'examen; le jury détermine
pour les mé- decins des hôpitaux ou les professeurs des Facultés de médecine de toutes les grandes villes. Cette suprématie
me façon pour les asiles situés au chef-lieu des autres Facultés de médecine . Ces arguments n'ont pas convaincu les membres
ur le terre-plein situé devant le pan coupé de la nouvelle Ecole de médecine . 1 ? >srCTlON d'une statue au Dr GUISL11Y, U
sous le double rapport scientifique et pratique. (Essai d'élever la médecine au niveau des sciences physiques en déterminant
Le rédacteur-gérant, Bourneville. TABLE DES MATIÈRES Académie de médecine , 381. Acoustique (noyau externe de l'), par M
65 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rofesseur de clinique z des maladies mentales . a là Faculté de médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie
culté de médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Ste-Aillie). F
des^médicales^et' la9 ville ne possédant pas' d'autre ? facultés de médecine ); et s'est contenté de'décrire'l'exposition'de''
ière et empêcha une fois, en lui touchant les lèvres, l'effet d'une médecine , jusqu'à ce que son exorciste appelé eût détrui
motifs pour elle de la croire enceinte, d'autant plus, qu'après une médecine , son ventre parut diminué. Une soeur infirmière
ésions artérielles.f i-«.r --, Archives, t. XXVIII. 4 OU REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. -Comme conclusion : 'On ne peut pas enc
s en question n'étaient point normaux, et que bonne partie REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 51 de ces criminelles présentaient très
u) .)j)t ! 'j.' z -, ..Discussion intéressante*à propos'd'un cas de médecine légale sur lequel l'auteur a eut faire un [rapp
cette folie le faisait ressembler à une bête ! Les progrès de* la' médecine alié- niste ont avancé'aujourd'hui la question
. Il est faux de dire : un b 1 , i - "e 4b ? e ",k [ : v REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 53 i" ' il» . f (( ? » . ? Il , 1 1. 1
'* .. ' 1 Voir Archives de Neurologie. Terminologie. 84 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. Observation II. Meurtre. Obtusion menta
ponsabilité constituent l'un des problèmes les plus difficiles delà médecine légale des aliénés. Il n'est pas rare de voir c
de l'autre ceux dont les médecins en sont adversaires. revue, DE médecine légale. 55 Hâtons-nous d'ajouter qu'en dépit de
-legal Journal, X, n" 2.) ', ? 1.. ? s. T * "À. 'Marie. 56 REVUE DE médecine LÉGALE. -, ' t t.. ri -t L . XIII. L'affaire
™- * .4,. * ? i L'autre de Clark Ir BELL, Recherche "dîr'san'g en - médecine légale. Cette 'dernière très "documentée 'avéc"
'Ti; -ç 11f1 E 41.. M. Rieger. t Lu psychiatrie , et l'étude de ,la médecine . f L'ora- tp r E' La, 1.. - et - l'étiide on a
rès du ministre, dans le but de faire introduire les matières de la médecine mentale, au nombre des épreuves, d'examen Adopt
la troisième partie du Traité ! renferme des considérations sur la médecine légale des aliénés et une étude extrêmement com-
Rapporteur : M. Gilbert Ballet, professeur agrégé de la Faculté de médecine de Paris; 2° Pathologie nerveuse : Des névrites p
ques.Rapporteur : M. P. Marie, professeur agrégé de la Fa- culté de médecine de Paris; 3° Législation ET administration : De
énés DE DURY-LÈS-A111ENS, Demande d'interne. Uue place d'interne en médecine va être vacante très prochainement dans cet asi
hef de service comme références.- Il y a à l'asile deux internes en médecine et un en pharmacie. Asile départemental DE IO.N
épartemental DE IO.NTREUIL-SOus-LAoN (Aisne). Un poste d'interne en médecine est vacant dans cet hospice. Traite- ment : 400
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. GLATZ (P.). Réflexions sur l'empirisme en médecine à propos d'hy- drothérapie. Brochure in-8° de 3
c. Biol., 1887.) 1 Alexander. Loc. cil., p. 75 et 76. 9 Traité de Médecine , t. II, p. 601. BARBE BUVÉE. d[l l'arsenic d'
1894, n°s 1724, 1725.) Amusante polémique, un télépathe raille la médecine de s'être d'abord moqué de l'écriture médianimi
se, l'auteur passe en revue les différents cas qui se présentent en médecine légale et donne pour chacun d'eux un plan à sui
Société médico-psychologique, Magnan, repré- sentant l'Académie de Médecine , Mottet et Bouchereau ont pris la parole pour r
écouvertes et les améliorations dues à ces deux illustrations de la médecine mentale. La Fan- fare des Enfants de Bicêtre pr
deux, enfin, médecins de la Salpêtrière et membres de l'Académie de médecine , ils ont laissé dans la science des décou- vert
rendre un dernier hommage à la mémoire de ces deux maîtres de la médecine mentale, dont les bustes sont aujourd'hui posés s
s termes : Mesdames, Messieurs, Je viens, au nom de l'Académie de médecine , rendre hommage à la mémoire de deux de ses mem
et fut élu le 3 juin 1823, membre adjoint résident de l'Académie de médecine , il n'avait pas encore trente ans, mais il étai
t. Le 20 janvier 1835, lors de la réorganisation de l'Académie de médecine , il devint membre titulaire dans la section de pa
t de retentissement. Le 15 juin 1847, il était élu, à l'Académie de médecine , à cette période difficile où les portes ne s'o
on remarquable mémoire sur les hallucinations, auquel l'Académie de médecine accorda le prix Civrieux, si ce n'est qu'il a s
M. Baillarger a fait de nombreuses communications à l'Aca- démie de médecine , toujours bien accueillies, car elles portaient
ogie, la pathologie et la clinique mentales, la thérapeutique et la médecine légale des alié- nés, sans oublier son sujet d'
sité de Genève ; Gilbert Ballet, professeur agrégé de la Faculté de médecine de Paris, et P. Marie, également professeur agr
ant, est promu à la classe exceptionnelle (4°r juillet). Faculté de médecine de paris. Clinicat : Nos collaborateurs, MM. le
des fonctions et des organes chez les premiers-nés; des Rapports de médecine légale; Folie simulée et aliénés dits criminels
du cours annexe de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Nancy. « Préoccupé, avant tout, a dit le Dr He
juin 1894. Conditions. Sont autorisés à concourir, les étudiants en médecine de nationalité fran- çaise, âgés de moins de tr
s D'ARMENTIÈRES (Nord). Demande d'interne. z Une place d'interne en médecine est vacante à l'asile d'Armen- tières, située à
iénés de DURY-LÈS-AMIENS. Demande d'interne. Une place d'interne en médecine va être vacante très prochainement dans cet asi
chef de service comme références. Il y a à l'asile deux internes en médecine et un en pharmacie. Un aliéné sur la voie du ch
COMME L'ORBICULAIRE DES LÈVRES; Par M. LE FILLIATRE, 1 Interne en médecine des asiles de la Seine ; ex-préparateur à la Facu
e en médecine des asiles de la Seine ; ex-préparateur à la Faculté de médecine . Le tremblement des membres et du corps dans le
es près de ses premiers maîtres l'entraînaient, en . effet, vers la médecine générale. C'est alors qu'il étudie la goutte,'
rrain sur lequel la jonction s'opérera n'est autre que celui' de la médecine générale elle-même. Sans doule, il est beau d'avo
buveurs est une question neuve en France. En 1889, le Congrès de médecine mentale de Paris s'en est occupé pour la première
personnel : Service médical : Un médecin-directeur et un interne en médecine . Service administratif : Un receveur-économe, u
dois entrer dans quelques détails; les personnes qui s'occupent de médecine mentale au point de vue pratique savent bien de
ativement considérable de vic- times, a été exposée à l'Académie de médecine par M. le professeur Brouardel. Il est inutile
M. Camescasse, et qui a été communiqué au Congrès international de médecine mentale de 1889, nous avons montré les photogra
ongressistes, M. le Dr FaLRET, M. Bousquet, directeur de l'Ecole de médecine de Clermont-Ferrand,a bu encore une fois aux co
e ; Lécuellé, maire de Clermont ; Bousquet, directeur de l'Ecole de médecine ; Pellet, doyen de la Faculté des sciences; Frèz
: 1 fr. 50. Pour nos abonnés, 1 fr. Joffkoy (A.). De la méthode en médecine mentale. Brochure in-8° de 23 pages. Priv : 1 f
GÉNÉRALE; Par les D" KLIPPEL, chef de laboratoire de la Faculté de médecine ; et SERVEAUX, aide de laboratoire, licencié ès
professeur Hugo Munsterberg, docteur en philo- sophie et docteur en médecine , professeur de psychologie expérimentale, élève
on des malades dans les asiles d'aliénés, les thèmes empruntés à la médecine légale, ce que l'on sait du mode d'action des n
e (1871). Rapports de la psychiatrie avec les autres branches de la médecine , sociétés de patronage pour les aliénés mis en
tions d'administration, de clinique, d'anatomie, de psychologie, de médecine légale ont été continuellement agitées par nous e
un concours pour la nomination aux places d'interne titu- laire en médecine qui seront vacantes dans lesdits établissements
és A remplir. Pourront prendre part à ce concours, les étudiants en médecine pourvus de huit inscriptions au moins, prises d
un certificat constatant qu'il est pourvu de huit inscriptions on médecine ; 5° un certificat de bonne vie et moeurs délivré
ra pas accueillie. Les épreuves du concours aux places d'interne eu médecine sont réglées' connue il suit : Epreuve d'admi
ve, alors qu'ont pris fin les 1 Déjerine. De la Polyurie nerveuse. ( Médecine mod., 1893, p. 650. ÉTUDE DE LA POLYURIE HYSTÉR
ue d'un nombre assez restreint de 1 Note présentée' a l'Académie de Médecine par M. le D' François Franck (séance du 10 octo
du goitre exophtalmique, par A. Joffroy, professeur à la Faculté de médecine . (Aux bureaux du Progrès médicale.) M. le pro
ui marche lentement vers la démence. J. Noir. IX. L'Hypnotisme en médecine légale; par Abram Il. DALLEY. (dledieo-legal Jo
v. XI, n° 3.) L'auteur appelle l'attention du Congrès américain de médecine légale (août 1893) sur ces cas aujourd'hui asse
des asiles d'aliénés. Asiles de la SEINE. Concours de l'internat en médecine . Ce concours commence le le' décembre. Le jury
ènes d' chez une hystérique', par Kocls, 111. Hypnotisme, 1' en médecine lé- gale, par Dalley, 518. Hypothermie chez l
ue à )amédico-iégate, par Siemerlin, 53 ; la - et l'éturle rle la médecine , par Riegei,, 60. Psychiques, arrêt des process
66 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Pans. V. MAGNAN Membre de l'Académie d
aculté de médecine de Pans. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Ste- : lune).
r de clinique des maladies 1 du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris. COLLABORATEUR1- PRII\C1PAUX l11\1
Bruxelles). (Journal de neurolog., 1895, n° 5.) Dans cette leçon de médecine opératoire, l'auteur estime que, seules les lés
onal. Dans toutes les régions l'un des professeurs de la Faculté de médecine faisait partie du jury. C'est aux Facultés prov
ensuelle de psycho- logie, psychopathologie humaine et comparée, de médecine légale, etc., dirigée par le Dr P. Penta et réd
rofessionnel des gardiens des asiles d'aliénés devant la Société de médecine mentale de Belgique. Bro- chure in-8°, de 16 pa
rticulières de la substance grise ' Bouchard. Archives générales de médecine , 1866. 2 Gombault et Philippe. - 1 l'ch ives de
nérales de médecine, 1866. 2 Gombault et Philippe. - 1 l'ch ives de médecine expérimentale, 1894. 3 Déjerine et Soitas. llul
nt, colorées à l'acide osmique, à l'éosine et au 1 Sottas. Revue de médecine , 1893. * Kageotte. Revue neurologique, 1895.
de la Suisse Romande, mai 18y2. 4. Bouchard. Archives générales de médecine , 1866. 5. Brüutiâam. Jah1'bÜch, sur Psychiatrie
e système nerveux de l'homme. 20. Gombaull et Philippe. Archives de médecine expérimentale, 1891. 21. Gombaull et Philippe.
16. Singer. Situngs6. den Wien. Akad., 1881. 47. Sollas. Presse de médecine , 1893. IfS. Souques. Soc. de Biologie, mai 1895
ALCOOLIQUE DES BOISSONS USUELLES. 113 114 PHARMACOLOGIE. REVUE DE MÉDECINE LEGALE. 115 absolue ou simplement en modérer l'
est toujours peu élevée et le plus souvent négligeable. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 1. Expertise 5rl : DICO-LG.1LG sur un c
côté de lui; c'est au point qu'il devait s'en aller si 116 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. on ne baissait pas le ton. Intelligent,
ibot, fout, du reste, de la psychologie positive. Roberto, REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 117 disent-ils, est un héréditaire vésa
le jeune M... Le meurtrier, arrêté et mis en prison, 118 ô REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. fut atteint d'un accès de folie aigué.
... et il ne voulait pas lui en remettre le prix. Les deux REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. W jeunes gens sortirent et passèrent la
un délire bizarre et incohérent. Tantôt sa physionomie 120 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. exprime la haine, ses traits sont contr
es de la dégénérescence. En plus, l'ensemble des symptômes REVUE DE MÉDECINE LEGALE. 121 observés chez lui indique d'une faç
i est un journal d'anthropologie crimiuelle, de psy- chiatrie et de médecine légale. 122 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE Dans le
crimiuelle, de psy- chiatrie et de médecine légale. 122 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE Dans le cours de 1893. on a pu observer
evient de plus en plus languissante. La croyance aux mira- REVUE DE MÉDECINE LEGALE. 123 cles, elle, persiste davantage,mais
s de Londres, contient 640 malades soit ],81 hommes et 124 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 159 femmes. L'auteur a été frappé du gr
esponsable doita\oir une instruc- tion solide au point de vue de la médecine mentale, avoir été pendant plusieurs années ass
l'examen de Kreis- physicus porte entre autres sur des questions de médecine mentale et que les candidats aient fait un stag
re agréés par l'Etat. L'Etat a le devoir de donner aux étudiants en médecine , dans de meilleures conditions qu'actuellement,
rquée auprès de tout praticien. Ch. Mirallié. VARIA. Congrès DE médecine mentale ET NERVEUSE. (7e Session. Nancy, 1896.)
nt aux Membres du Congrès une réduction 1 Les membres du Congrès de Médecine mentale et nerveuse, qui voudraient prolonger l
cia- lisation étroite en demandant une éducation plus complète en médecine générale et en favorisant les études neurologique
ce qui louche à la neurologie serait dans une union intime avec la médecine générale et pro- gresserait selon la loi qu'Her
en nous efforçant d'aller chercher dans le domaine géné- ral de la médecine tout ce qui pourrait servir à nos travaux spé-
ET DES PAYS DE LANGUE FRANÇAISE. SESSION DE NANCY. Le Congrès de Médecine mentale et de Neurologie s'est ouvert le 111 ao
es, M. le docteur Pitres, le jeune et savant doyen de la Faculté de médecine de Bordeaux. Je n'ai, garde, non plus, d'oublie
tière de l'Académie de Strasbourg et aux professeurs d'une école de médecine qui a repris avec énergie et qui porte avec dig
'appartient du moins d'affirmer que nous entourons notre Faculté de médecine , d'affection et d'estime, parce qu'elle est resté
es, a prononcé l'allocution d'usage et insisté sur l'alliance de la Médecine mentale et de la Neurologie, pour répondre à ce
ne juste notoriété dans la science des maladies men- tales et de la médecine légale des aliénés. Le Congrès de médecine ment
dies men- tales et de la médecine légale des aliénés. Le Congrès de médecine mentale est alors devenu le Congrès des médecin
sodes morbides qui, par leur nature, appartiennent en propre à la' médecine mentale, et qu'on n'a jamais ou presque jamais l'
evaient quelques années plus lard péné- trer triomphalement dans la médecine générale, transformer la chirurgie par l'applic
recherches dont une bonne partie a été communi- quée aux Congrès de médecine mentale de 1890 et 1891, ouvriront la voie. Le
ute la pathologie nerveuse, les seconds ont préparé l'accès dans la médecine mentale de la doctrine de l'infection, doctrine
e l'infection, doctrine dont ils avaient puisé les éléments dans la médecine générale, laquelle les avait empruntés aux trav
sibles, ouvert, enfin dans les limites convenables aux étudiants en médecine , qui pourraient y venir puiser cet ensei- gneme
remarquables dus à la spé- cialisation dans la chirurgie générale ( Médecine et Chirurgie), il estime qu'il en sera de même
rapportons les, 1 Bl'issaud, - Epilepsie ,jacksonienne,in Traité de médecine , t. VI, p. 85. 270 asiles d'aliénés. divers a
des leçons cliniques sur les maladies men- tales à des étudiants en médecine et autres; si oui, qui les fait et dans quelle
médicale et générale de l'hôpital. Donner la liste des ouvrages de médecine acquis pendant l'année fiscale et des abonnemen
ns ont publié des articles et des observations dans les journaux de médecine mentale et deux ou trois dirigent même ces jour
E; par M. GILLES DE la TOURETTE, professeur agrégé de la Faculté de médecine , médecin des hôpitaux. (Nouv. iconogr. de la Sa
tion semblait avoir guéri sa paralysie. » ' Thèses DE la faculté DE médecine DE LYON (Année scolaire 1895-96), RELATIVES A L
orfio-cocdinomania. Brochure in-8° de 8 pages. Extrait du Traité de médecine , volume V , par MM. Charcot, Bouchard, Brissaud
, ancien interne des asiles de la Seine, lauréat de la Faculté de médecine . (Nouv. iconographie de la Salpêtrière, z, n° 3.)
ous transcrirons une partie de la communication lue à la Société de médecine de Paris en juin 1890. Les psychicones ou image
g et très conscien- cieux. / J. Noir. VARIA. Les peintres DE la médecine (Ecoles flamande et hollandaise). LES opération
Loi interdisant LE mariage aux épileptiques ET aux IMBECILES. La Médecine Moderne (n° du 26 août 1896) rapporte d'après le
hospice des épilep- tiques non aliénés, inauguré lors du Congrès de médecine mentale, à Blois, en 1892. Le dépôt de mendicit
n,âgé de trente ans, très robuste et d'une bonne santé. exerçait la médecine à Florence et aux environs. Cinq on six fois pa
te, les tablettes de corps thyroïde. P. Keiiwal. 474' li REVUE DE MÉDECINE LEGALE. LXVII. DE la maladie L'AMOK des Malus ;
térique par contact somatique (Francfurter). P. KERAVAL. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE VI. Rapport IÉDICO-LÉG1L sur un militair
d'un désordre utérin banal, fit la connaissance d'une doctoresse en médecine beaucoup plus âgée qu'elle. Cette dernière fini
elle se fit donner d'im- portantes sommes d'argent. 476 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. L'auteur, consulté par la famille, esti
- nue, suivant l'auteur, un mot vide de sens précis, alors qu'une médecine légale les équivoques ne sauraient être admises.
e sujet; et pourtant, encore une fois, le cas est des plus REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 477 Î simples, comme on peut en juger p
tête des prisons des médecins, surtout des médecins 478 8 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. criminalistes, au lieu d'y placer des i
lieu d'y placer des ignorants, des hommes qui ne connaissent ni la médecine , ni la psychologie... Une prison est un hôpital
. Il en avait même fait l'objet d'une communication à l'Académie de médecine , en 1893, sous ce litre : Asymétrie acquise ent
vant être données en étrennes à des confrères ou à des étudiants en médecine , les collections suivantes publiées par la libr
nuel des médecins alié- llistes allemands, par Sérieux, t35. - de médecine mentale de France et des pays de langue françai
67 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie
culté de médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Anne). F.
termination de la toxicité du sérum sanguin et de l'urine [Revue de médecine 1900). i Charrin, Société de Biologie, 3 mars 1
s en vue de leur instruction professionnelle : notions générales de médecine , rap- ports avec les malades, conduite à tenir
PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GIESSEN. 23 tomie pathologique et médecine légale; 3° psychiatrie. Ajoutons des visites da
e le chapitre de l'épilepsie au point de vue du diagnostic et de la médecine légale. A propos des psychoses fonctionnelles,
er la psychopathologie des méthodes qui ont donné en biologie et en médecine d'heureux résultats, et ajouter aux données fou
Giessen est une des moins fréquentées d'Allemagne (149 étudiants en médecine ) ; elle est située dans un petit Etat, le Grand
s du sujet ont été exécutées par M. Guillot, étudiant de l'école de médecine de Dijon que nous remercions ici de son gracieu
n- trôle du miroir, dont j'ai déjà signalé les bons résultats. La médecine au musée du Prado ; par AI. Henry MEMK (de Paris)
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. cation faite au Congrès international de médecine de 1900, section de neurologie); 14° Idiotie my
a- nente au point de vue de la civilisation progressive. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 155 L'auteur entre ici dans quelques co
guérison de ces anomalies mineures. R. DE Musgrave-Clay. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. I. Le crime dans la paralysie générale
senti- ments affectifs est ordinairement optimiste. 156 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. Au contraire, dans l'alcoolisme chroniq
st soumise aux influences qui agissent défavorablement mu1 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE 151 l'état de la loi organique. Inversem
s idées délirantes revêtent souvent la forme sexuelle. 158 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. L'infanticide commis par des aliénées n
ains et mixtes, va jusqu'à deux et trois mois. En étudiant REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 159 les cas de Broadmoor, l'auteur a ra
observations de ces faits dans une com- munication à la Société de médecine légale. La première concernant un jeune homme é
e, sont loin d'être rares et ils ont une grande importance, tant en médecine pure qu'en médecine légale. Médicalement ils re
rares et ils ont une grande importance, tant en médecine pure qu'en médecine légale. Médicalement ils représentent les cas l
ladies du système nerveux; par F. LWYMOonD, membre de l'Académie do médecine , professeur de clinique des maladies nerveuses
cine, professeur de clinique des maladies nerveuses à la Faculté de médecine de Paris. Sixième série : année 1900-1901. Un v
s effort. G. Paul-Roncour. XtV. ? mHMM a : t po<nt t/e vue de la médecine judiciaire Discours prononcé par M. Maxwell, à
de son étude les troubles de la mémoire dans leurs rapports avec la médecine judi- ciaire. L'originalité d'un tel choix se
en psychiatrie, et qui bouleverserait tous les cadres actuels de la médecine mentale en reléguant au dernier plan les facteu
dans le muscle. Il y dans ce fait un moyen éventuel de contrôle en médecine légale en ce qui concerne la simulation de la neu
leurs travaux amènent à faire une incursion sur le do- maine de la médecine légale et de la psychologie criminelle. Ce n'es
ile public d'aliénés DE Clermont (OISE). Deux places d'in- terne en médecine sont actuellement vacantes ;t l'Asile des Aliénés
Nationalité française, 16 inscriptions valables pour le Doctorat en médecine , certificat de bonne vie et moeurs. Adresser le
les demandes à M. le Directeur de l'Asile de Clermont. Faculté DE médecine DE Paris. Chef de clinique des maladies zzervez
est porteur de quelques stig- AKOnvES, 2' série, t. XVI. ' 19 290 MÉDECINE LÉGALE. mates de dégénérescence physique : faux
amants et un jour, sans motif, il menace de jeter dans l'esca- 292 MÉDECINE LÉGALE. lier un de ses co-locataires qu'il soup
l de la Seine à 200 francs d'amende pour outrages et menaces. 294 médecine légale. En 1894, la police est obligée de s'occ
12 novembre 1894 il fait publier dans la Libre Parole, sous 4 296 médecine légale. la signature de Gaston Aléry un article
ent pris de boisson, presque toujours surexcité, il ne se passe 298 médecine légale. pas de semaines sans qu'il n'ait quelqu
5 juillet, il s'attaque au brigadier Peretti qui sort tranquil- 300 MÉDECINE LÉGALE. lement de son bureau : « Vous me suivez
nsignifiante, mais il se refuse à être interné dans un asile. 302 MÉDECINE LÉGALE. Aussi indulgent pour lui-même qu'il se
breuses tares que l'on rencontre dans leurs antécédents hérédi- 304 MÉDECINE LÉGALE. taires et personnels, les signes de dég
dionine, seront-ils des succédanés utilisables, mais leur emploi en médecine mentale et nerveuse, hors les faits de substitu
du muscle strié et ses excitants. (Mémoires de l'Académie Royale de Médecine de Belgique, tome XVIII, 1-r fasc. et brochure
utique. Sa technique. 111r° le Dr Mélanie lauréate de l'Académie de Médecine de Paris. Pendant mon séjour à Stockolm, grâce
naître sa méthode thérapeutique. Le Dr Otto \Vetterstrand exerce la médecine depuis 1873; quant au traitement hypnotique, il
sychothérapie en 1888 et depuis il s'est voué à cette branche de la médecine avec toute sa persévérance et son intelli- genc
devant un auditoire nombreux composé de médecins et d'étudiants en médecine , et des leçons cliniques sur la psychothérapie
ié en allemand un livre sur l'hypnotisme et son application dans la médecine pratique, qui a été traduit en russe, en anglai
iativement, suggestion éthylméthylique. Ongazzisation du service de médecine mentale dans les prisons. M. IASOIN (Louvain).
aine de mille ans ! 1 M. Masoin raconte la création du service de médecine mentale dans les prisons de Belgique, création
; il discute la question soulevée au Sénat belge et a l'Académie de médecine : l'utilité des inspections trimestrielles; il
criminels 1, conformément au voeu formulé par l'Académie royale de médecine ; ainsi encore le Ministère de la Justice devrait
risons parmi les docteurs qui auraient fait des études spéciales de médecine mentale; car l'idéal serait que chaque médecin
et ami, le Dr Bert, chef des travaux ana- tomiques a la Faculté de médecine de Lyon, chirurgien à l'infir- merie protestant
de faciliter l'eeuvre des journaux, en particulier des journaux de médecine . Le Congrès des aliénistes et neurologistes de
deux exem- plaires d'usage des travaux du Congres aux journaux de médecine qui, en insérant les avis du Comité et en faisant
in en chef de l'asile de Mareville. chargé de cours à la Faculté de médecine de \ancv. A l'exemple de quelques confrères, je
lllaercu- berg de l'année 1899 analysé in Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique, 1900, page 219. z Cette
. TitouiL- [.Or, a présidé cette cérémonie à laquelle l'Académie de médecine avait délégué les professeurs et Lnnouzr; la Fa
médecine avait délégué les professeurs et Lnnouzr; la Faculté de médecine de Montpellier, les professeurs Grarset. Carrieu.
parable, clinicien par dessus tout, il était vraiment le chef de la médecine française, et j oserai dire : de la médecine co
vraiment le chef de la médecine française, et j oserai dire : de la médecine contemporaine. Créateur et organisateur de l'Ec
e, autour de tant d'éminents représentants de la Politique et de la Médecine , autour de cette famille, si digne de son chef,
nique; sur l'autre, les armoiries de Lamalou et les attributs de la médecine thermale. Enfin, deux autres bas-reliefs nous m
dieuse pour la plupart de mes auditeurs, étrangers aux choses de la médecine . Mais puisque aussi, vous me couviez a rendre u
. - Concours pour la nomination aux places d'internes titulaires en médecine dans les asiles publies d'idio- nés du départem
1. PEUGNIEZ Professeur de clinique chirurgicale à 1'l-lcLile de médecine cl'\miens. ET T CL. PHILIPPE 2tief de labor
rentre à 1'llôtel-Dien en mai 1901. On l'apporte d'un ser- vice de médecine voisin où il est resté plus d'un mois. Nous app
étranger, un véritable abcès qui s'est ouvert dans le service de médecine où se trouvait le malade, puis s'est cicatrisé.
y a un médecin ici. Il écoute encore : Oui, j'ai les voitures de médecine ici. Il écrit dans l'espace, regarde, fait de g
verra l'ancien ouvrier horloger, il étranglera tous les internes en médecine , m'avoir fait supporter ce que j'ai supporté, d
liénistei et neurologistes en 1900. 1.'liistitiii, I*Aca iéiiiie de médecine , le Sénat, dans l'éloge funèbre de ce savant, n
n peut vrai- ment lui demander ; il collaborait dans le « Traité de médecine » aux ai tioles sur les Encéphalites de l'enfan
tion, par 'lloplcms, 73. Voir Epilepsie L'- au point de vue de la médecine pdlciaire, par Maxwell, 489. Analgésies. Les
tions SERSORIEI les. Voir Epi- lepsie - Voir Syphilis. Faculté de Médecine , de Paris, 288 Fatigue. Voir Ergographe . Fib
victimes, 94. Manuel de psychiatrie, par Moques de Fursac, 188. Médecine . La au musée du l'rado, par Meige, 88. Organisa
ré, 177. Pression sanguine. Voir Neurasthé- nies. Prisons. Voir Médecine mentale. PsEUDO-TABESSpondyiitique,part ! a-
68 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie
culté de médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). ' F
ur de clinique des maladies 'du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris. COLLABORATEURS PRINCIPAUX : MM. A
eurolique cutanée multiple; par le Dr de BUCK. (Bull, de la Soc. de médecine ment, de Belgique, 1904, 114.) S'appuyant sur
est notoire. Nous eu avons touché un mot dans noire Pratique.de la médecine mentale , page 260. Plus fréquente est l'imitat
é- sentations de malades, de pièces et microscopiques. L'École de médecine et la Faculté des sciences de Rennes 11ll'l- tr
es membres associés (dames, membres de la famille ou étudiants en médecine , présentés par un membre adhérent). Les asiles qu
chef hono- raire. - VACANCES MÉDICALES.- Avis. Place d'interne en médecine va- cante à l'Asile public d'aliénés de La Char
para- lysie générale conjugale, lue. il y a 14 ans. au congrès de médecine mentale de Rouen, notre distingué confrère, le
es en psychiatrie plus stéri- les que dans les autres parties de la médecine , nous pa- rait être la possibilité de reconnaît
. Par le D' E. COULONJOU. Ancien chef de Clinique à la Faculté de Médecine , Médecin-adjoint des Asiles publics. Les méde
écessaire d'avoir jamais vu un aliéné. Il faut se rappe- ler due la médecine mentale, encore à ses débuts, parais- sait si i
es conclusions de ce rapport présenté au Congrès inter- national de médecine de Madrid (H)03.) Les recherches de Flechsig, a
fonctions ; les internes sont trop peu nombreux et peu instruits en médecine mentale au dé- but de leurs fondions. Dans un
l-,\nnl', , Asile daliénés de la Seine. Concours de l internai en médecine . Ce concours vient de se terminer. Ont l'lé nommé
ns mieux exprimer noire idée qu'en empruntant une comparaison il la médecine du corps. Dans la pathologie générale des tissu
enais, tout à fait insuffisante. ' Un professeur de la Faculté de médecine de Lille me disait, il y a quelque temps : « .l
17 fé \l'i l'l' 1905,) Alexandre Cli..aa. FAITS DIVERS Faculté DE médecine : Conférences de médecine légale pS ! J- clicst
xandre Cli..aa. FAITS DIVERS Faculté DE médecine : Conférences de médecine légale pS ! J- clicstrique. 11. le IT l'aul dam
ier, médecin en chef de l'infirme- rie spéciale, chargé du cours de médecine légale psychiatrique, cenunencera ses conférenc
ssion sonl délivrées au secrétariat de la Faculté à les docteurs en médecine , les internes des hôpitaux cL les étudiants aya
1 étude des accidents névropathiques de l'indi- gestion. (Revue de médecine , 1902, p. 13.) 202 PHYSIOLOGIE. produits des
s de protection que lui assurent les lois, soit vis-u- 32G REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. vis de lui-même, soit vis-à-vis de la S
elle de Fribourg. Puis donc qu'il existe un plan relatif à REVUE DE MÉDECINE LÉGALE 327 la construction du nouvel asile dans
s un interne, recruté au concours parmi les étudiants de l'Ecole de médecine de Besançon, en même temps et au même concours
ations. .M. Dupré. Le mensonge des enfants est assez important en médecine légale, pour qu'on en fasse une étude approfondie
r sur cette importante question. B. VARIA Prix de l'Académie de médecine . Parmi les nombreux prix distribués, nous relev
écerné à les Dos P. E. Liu- NOIS, professeur agrégé à la Faculté de médecine de Paris, et Pierre 1toy, de Paris : Etudes bio
Les prix seuls donnent droit au titre de lauréat de l'Aca- démie de médecine , les encouragements, récompenses et mentions ho
urra être présenté la môme année à deux concours de l'Académie de médecine . ' LES ALIÉNÉS EN LIBERTÉ. E. 51. Cazaux, ins
s postes de chef de clinique des maladies mentales de la Faculté de médecine il Paris, seront con- sidérés comme exerçant le
mcnt de lame de couteau. M. Marie vient de publier à la Société de médecine le cas curieux d un malade qui avala des aiguil
MM. Gauthier et Ruminer, présentée par M.Lannclongué l'Académie de médecine (n° de mai, p.303),il s'est glissé une faute ty
sensibilité de la main et de l'avant-bras ; par GOUCHARD, (Revue de médecine , novembre t \JOJ-1 ! Jl) i, ) Très importante
éclairés, plus intelligentes. , « En effet, avec les progrès de la médecine et surtout de la chi- rurgie moderne, des conna
par guérison et 17 par amélioration. Il est de toute importance, en médecine mentale, rappelle M. Doutrehente, de pouvoir tr
rents ouvrages, dont plusieurs furent couronnés par l'Académie de médecine et par l'Institut : Des vertiges avec délire (1
s idées neuves ou des faits nouveaux sur différentes questions de médecine mentale, de médecine légale et d'anthro- pologi
es faits nouveaux sur différentes questions de médecine mentale, de médecine légale et d'anthro- pologie criminelle : Dégéné
de nom- breuses sociétés scientifiques : membre de la Société de médecine légale depuis 1887, il avait été président de l
tre. Le doc- teur Garnier fut chargé par la Faculté d'un cours de médecine légale psychiatrique. Depuis plusieurs années,
F1"ance,- M. le Professeur Brouardel, ancien Doyen de la Facultéde médecine , M. Ritti, secré- taire général de la Société 3
enues de la vie. Discours de M. Motet, président de la Société de Médecine légale de France. Messieurs, Au nom delà Soci
de M. le professeur Brouardel. Messieurs, Au nom de l'Institut de médecine légale et de psychia- trie, j'adresse au Dr Pau
it trouvé son organe. Aussi avait-il conquis depuis longtemps, en médecine légale psychiatrique, une autorité et une répu-
puis quelques années, grâce il un accord établi entre la Faculté de médecine et la Préfecture de Police, Paul Garnier avait
e le foyer de l'Infirmerie spéciale. Lorsque fut créé l'Institut de médecine légale, le maître, l'organisation, étaient prêt
sur les vertiges avec délire, qui fut couronné par l'Académie de médecine ; ses recherches sur la coexistence d'un double
r l'a- phasie et la folie ? Mais c'est surtout dans le champ delà médecine légale qu'il a abondamment moissonné. Tous. nou
s, nous les constatons dans tous les travaux PAUL GARNIER. 479 de médecine légale publiés par notre savant collègue. On no
s pervertis et invertis sexuels, qui fut couronné par l'Académie de médecine ; enfin, son remarquable rap- port sur les perve
chargé pour la section de Psychiatrie du Congrès inter- national de médecine de 1900, obtint le plus légitime suc- cès ; ses
pétait sans cesse à ses auditeurs de l'Infirmerie spé- ciale : « En médecine il faut toujours en revenir à la clini- que qui
s et des turpitudes sociales, réelles ou feintes, la pratique de la médecine y revêt une allure toute particulière qui n'exi
e School et à. l'Université d'Edimbourg, ayant pris son doctorat en médecine en 1854. Etant étudiant, il a été président de
en 1854. Etant étudiant, il a été président de la Société Royale de médecine . Il a été le pre- mier médecin de l'hôpital de
mier médecin de l'hôpital de PerLh ayant fait l'expérience de la médecine générale privée, ayant étudié dans les meilleurs
dans le Journal TVMZ<M- cet. 11 s'est consacré il l'étude de la médecine mentale par in- clination naturelle, et pendant
é : La cérémonie a eu lieu dans la bibliothèque du Collège royal de médecine d'Edimbourg. Le))' I)Ial'ait, présidait, de nom-
us haute valeur, vous avez travaillé vous même à l'avancement de la médecine . Et mal- gré votre blessure, reçue dans la camp
ers la Porte d'Ivoire, feront vivre votre nom dans l'avenir. « En médecine , vous avez fait de l'étude des anormaux votre p
aladies moniales et nerveuses et (laits d'autres départements de la médecine ,vos traductions disséminées dans beaucoup de jour
° de 20 pages. Dumas. Lettres i un jeune h mlmc qui veut étudier la médecine . In-8° de 62 pages. Librairie Henry Paulin, 21,
; - de Clermont, 175. de la Seine : concours de l'internat l en médecine , 176. - - Voir Personnel médical. - - d'I : -
dans les psychopathies anxieu- ses, par Cullerre, 81. Faculté de médecine . Confé- rence de médecine légale psychiatriqu
eu- ses, par Cullerre, 81. Faculté de médecine. Confé- rence de médecine légale psychiatrique, 256. Faisceau antéro-la
69 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
NEES ET SYPHILITIQUES PAR PAUL RICHER MEMBRE DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE DIRECTEUR H0 ! <" DU LABORATOIRE DE LA CLI
CLINIQUE GILLES DE la TOURETTE PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE PARIS MÉDECIN DES HÔPITAUX ALBERT LONDE
texte PARIS MASSON ET Ci'" ÉDITEURS LIBRAIRES DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE 120, Boulevard Saint-Germain 1899 NOUVELLE
se qu'une myopa- thie primitive progressive. (1) Drill, Manuel de médecine Debove et L. t. 1lI, p. îOG, 20 E. NOGUÈS ET J.
hérédité relative et les réactions électriques ne se (1 ) Traité de médecine , Myopathies progressives. MALADIE DE THOMSEN A
berculose avec cirrhose péri et inlra-lobulaire. LES PEINTRES DE LA MÉDECINE ÉCOLE FLAMANDE ET HOLLANDAISE LE MAL D'AMOUR
nous en ont laissé d'incomparables tableaux, - fout un chapitre de médecine en images. C'est ce dossier iconographique que
r son diagnostic. Ce n'est pas que JAN Steen ait été grand clerc en médecine . Né dans une brasserie de Leyde, vers 1626, ent
r le chapitre de la civilité n'est point d'humeur à badiner avec la médecine . Grave ou bénin, il prend le cas au sérieux, et
elle osait, la jeune alitée enverrait volontiers à tous les diables médecine et médecin. Au demeurant, celle scène intime n'
complètement édifié sur votre mal. Nous en aurons raison de par la médecine , et vous en guérirez merveilleusement bien. » S
us sur la maladie de notre maîtresse. Nous n'avons que faire de vos médecines , et je sais quelqu'un qui ferait déguerpir le mal
épugne Tout m'indiffère, tout me fait t mal... Ne m'ordonnez aucune médecine . C'est bien fini Hélas ! que me servirait de vi
: « Daer helpt geen medecyn, 1V ant bel is miune pn. » Ici, la médecine ne peut rien, Car c'est le mal d'amour. 68 HE
ujours aussi, il a déconcerté les médecins et s'est gaussé de leurs médecines . Le Mal d'amour n'est pas spécial à la Hollande
ONÉVROSES (1) PAR E. BRISSAUD Professeur agrégé à la Faculté de Médecine de Paris, Médecin de l'Hôpital Saint-Antoine.
St-Antoine ET G. DURANTE Chef du laboratoire à la Faculté de Médecine . Dans un travail antérieur l'un de nous (1) pub
rusquement porté en abduction, les troncs du plexus (1) Archives de médecine et de chirurgie, août 1898. 124 J. SABRAZÈS ET
(1) Iir.mrrt,, Bull. de la Soc. anal., janv. 1888, p. 37 ; Revue de médecine , 1893. (2) Leydks, Klinik der Ruckenmarkskrankh
t au Dr Paul de Molènes (2). (1) V. Henry Neige, Les peintres de la médecine (Ecoles flamande et hollandaise). Les opération
ée en pL1qllc, - C. Vitiligo. mnçanN ,4 ? r.1C Fditurs FACULTÉ DE MÉDECINE DE NANCY QUELQUES CAS DE SCLÉRODERMIE ET DE VIT
. 109 et suivantes. (2) Ilonot.e, Article Syphilis. Dictionnaire de médecine et de chirurgie prat., p. G.93. (3) TAIIASSÉ\VJ
men, L'hérédité syphilitique, page 401 (note). , LES PEINTRES DE LA MÉDECINE (ÉCOLE FLAMANDE ET HOLLANDAISE). LE MAL D'AMO
e son vivant et il a laissé une trace durable dans l'histoire de la médecine ... Il avait donc les aptitudes et les connaissa
it ces mots : ' Dner bael geen medesijn Want het is minne pijn. Médecine , tu n'es bonne à rien céans. . Ne vois-tu pas q
vélateur du mal d'aimer. On pourrait s'étonner que pour prendre une médecine , elle fit usage d'un verre aussi allongé, vérit
que Netscher, né à Ileidel- berg en 1639, fut destiné d'abord à la médecine , puis s'adonna à la pein- ture sous la directio
(1) Une partie de ce travail a été présentée à l'Académie royale de médecine de Bel- ,gigue, séance du 25 mars 1899. XII 1
ollection des Monographies cliniques sur les questions nouvelles en médecine , chirurgie et biologie. DE L'i11 POTQYROtDIG BÉ
lisme et les arrêts de croissance (Bulletin de l'Académie royale de médecine de Belgique, 1S9 ï, 4" sér., t. XI, no 9, 18ï).
une reprise de croissance, etc. (Bulletin de l'Aca- démie royale de médecine de Belgique, 1896, t.X, 4e sér., p. 504). (3) A
Végétations adénoides et myxoedème (Bulletin de l'Académie royale de médecine de Belgique, 1898). 266 E. HERTOGHE vue, pa
ins chez les animaux éthyroïdés. Bulletin de l'Aca- démie royale de médecine de Belgique, octobre 1891, p. 666-668 et 698-700.
die sont : l'observation publiée par Marinesco dans les Archives de médecine expérimentale (J88H) et celle que nous venons d
émités et dépendant d'altérations des nerfs périphériques. Revue de médecine , 1890, p. 44. (4) Nous croyons inutile de rappo
où l'on trouve de l'hyperalgésie. (A suivre.) LES PEINTRES DE LA MÉDECINE (ÉCOLES FLAMANDE ET HOLLANDAISE) LE. MAL D'AM
gnée par un visage plus avenant. C'est en peinture seulement que la médecine peut réaliser de ces rencontres. Un minois frai
ort beau garçon, point charlatan, ni préoccupé de rien, pas même de médecine » ; et, ajoute-t-elle, « il a de l'esprit, de l
divertit... 11 sait vivre; il n'est point charlatan... Il traite la médecine en galant homme. Enfin, il m'amuse... » Et la
teur très sévère et très richement vêtu, qui, lui, ne traite pas la médecine en bagatelle. Il sait la rendre grave jusqu'à l'a
cerveau, où sans doute, comme Sga- rarelle, il a condensé toute la médecine . Il va parler. Nous savons ce qu'il va dire : q
fond de la pièce. 348 HENRY MEIGE On le voit, les Apollons de la médecine ne manquaient pas auXVIP siè- cle. Un gracieux
de distinction, la pre- mière qualité était de ne jamais parler de médecine . Il suffit de regarder le docteur petit maître
idents. (1) Névroses et idées fixes, 11,-ch, IV, p. 5. FACULTÉ DE MÉDECINE DE NANCY CLINIQUE DE 111. LE PROFESSEUR .S7/7\W
YÉLOPATHIQUE PAR . G. ETIENNE Professeur agrégé à la Faculté de Médecine de l'Université de Nancy. On eut tendance, il y
lus soulever que difficilement, tout en con- (1) Behnheim, Revue de médecine , 1891. (2) J. Sterne, Thèse de Nancy, 1891. ,
tteint d'atrophie musculaire myélopat/ ! lqlle,l pr mémoire, Revue de médecine ,1894. G. ETiENNE, Id., 2° mémoire, Revue de méd
oire, Revue de médecine,1894. G. ETiENNE, Id., 2° mémoire, Revue de médecine , 1899. No1.;v. ICUSOGHAPHIE DE LA SAlPÊTRII : K
clinique, je renvoie aux figures reproduisant ces lésions, Revue de médecine , 1899, p. 557 et seq. ATROPHIES MUSCULAIRES PRO
8 mars 189'7 . RAYMOI : OE, Atrophie musculaire réflexe. Journal de médecine et de chirurgie prati- tiques, 1897, p. 809.
(1) Charcot, Leçons du mardi, t. 1, p. 243. (2) RAYMOND, Revue de médecine , 1890, p. 374. (3) Duplay et Cazin, Archives gé
médecine, 1890, p. 374. (3) Duplay et Cazin, Archives générales de médecine , 1891, p. 5. (4)=Dsuocur, Th. Paris, 1890. (5
7) Charcot, OLuvres complètes, t. 111, p. 23. (8) Raymond, Revue de médecine , 1890, p. 374-392. AMYOTROPHIE DOUBLE DU TYPE S
velle Iconographie de la Salpêtrière, 1890. (12) Haskovec, Revue de médecine , 1893. (13) - Un cas d'acromégalie, Vienne, 189
(17) LyxN Thomas, Brit. medic. Journal, 1895. (18) Marie, Revue de médecine , 1886. (19) - Nouvelle Iconographie de la Salpê
wrwucnr, Mùnchn. med. Wochenschr., 1895. (35) Verstroeten, Revue de médecine , 1889. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DE L
pondérante de lésions intra-spinales du tabes. LES PEINTRES DE LA MÉDECINE (ÉCOLES FLAMANDE ET HOLLANDAISE) LE MAL D'AMO
protégés par des paniers d'osier, accessoires indispensables de la médecine hollandaise. Le nombre de ces documents figurés
les,' qui s'adressent à eux. Saint-Damien lui-môme, le patron de la médecine , est souvent figuré un urinal à la main. ' Sa
éories. Il repousse en particulier la théorie dc Wernicke (Revue de médecine , juin 1899 et se;.). Fic;. 9. - Imitée de Déjer
. (3) TCIIIIi);OFF, OGdèmes vaso-moteurs sans albuminurie. Revue de médecine , août 1895. 464 HENRY MEIGE , mes disparurent
x '0'dëMM aigus et récidivants de la peau, 2e Congrès fran- çais de médecine interne, tenu à Bordeaux, 8-13 août 1895. (2) D
moindre pression, et de faire un léger effort. (1) Féré, Revue de médecine , 1894. (2) Bompaire, Torticolis mental, Th. de
e, Du torticolis mental. Th. de Paris, 1894. (2) Cn. FÉnÉ, Revue de médecine , 1894, p. 757. FACULTÉ DE MÉDECINE DE BORDEAUX
, 1894. (2) Cn. FÉnÉ, Revue de médecine, 1894, p. 757. FACULTÉ DE MÉDECINE DE BORDEAUX DOCUMENTS CLINIQUES AVEC PIIOTOSTÉR
R ET ACROMÉGALIE PAR R SABRAZÈS, Professeur agrégé à Faculté de médecine de Bordeaux. SOMMAIRE Homme, 66 ans, charreti
lles il se divertissait à peindre simultanément les ridicules de la médecine et ceux de la maladie. Ici, comme ailleurs, Jean
étude de la), par A. Souques et J. CASTAIGNE, 178. Peintres de la médecine . Le vieillard ma- lade de Jean Steen, par Henry
70 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Dans un récent et très intéressant mémoire, paru dans la Revue de médecine (1889-1890), Lemoine et Lemaire donnent comme s
ie et de copro- lalie. Guinon a repris la question dans la Revue de médecine de 1886 et a intitulé son mémoire : « Sur la ma
, d'Achard et ' Sur un cas de myélile aiguë diffuse... (Archives de médecine eayéri- mentale. Septembre 1889, p. 696.) ! Mye
ns la grande discussion sur le tétanos qui eut lieu à l'Académie de médecine en 1889, qu'il était possible d'inoculer le tét
anos, comme l'a dit M. Laborde dans la discussion à l'Aca- démie de médecine à laquelle j'ai fait allusion, est un syn- drom
er la section correspondante du prochain congrès international de médecine de 1890. Adopté. M. ZFntsn.(de Bergqnell). Cast
le Ur MonvAN (de l.annelis). (Extrait de la Gazette hebdomadaire de médecine et de chirurgie.) A l'occasion des études clini
sur l'avenir politique des socié- tés. Paul BLOCS. VU. Annales de médecine et de chirurgie (publiées par le cercle d'étude
concours est régional ; il y a autant de régions que de facultés de médecine de l'Etat. La circonscrip- tion de chaque régio
s candidats doivent être Français et docteurs d'une des facultés de médecine de l'Etat. Leur demande devra être adressée au
n inspecteur général des établissements de bienfaisance, docteur en médecine ; 3° d'un professeur désigné par la faculté de
docteur en médecine ; 3° d'un professeur désigné par la faculté de médecine de la région. Les directeurs médecins en chef a
mum des points sera de 30; - 2° Une question orale portant sur la médecine et la chirurgie ordinaires, pour laquelle il sera
ntrés en fonctions immé- diatement. Concours du bureau central DE médecine . Nous enregistrons avec le plus grand plaisir l
hite est nommé professeur de psychologie. Un Conseil supérieur DE Médecine légale. Au ministère de la Justice, on se propo
e criminelle à l'usage de la justice. 11 existe déjà une Société de médecine légale qui rend des services ; une Société médi
tions de la Société et 1,320 exemplaires de l'avis de l'Académie de médecine . Elle a décerné, en outre, un prix de 100 franc
ion sur le danger des séances publiques d'hypnotisme, l'Académie de médecine de Belgique avait, en 1888, déclaré qu'il y ava
cliniques, sans autres spectateurs que les médecins et étudiants en médecine ; mais l'en- trée des cliniques est interdite à
des expériences d'hypnotisme faites sur les malades d'un service de médecine de l'Hôtel-Dieu, devant un public non médical (
a BETTENCOURT, professeur de clinique psychiatrique à la faculté de médecine de Bhid; M. le Dr Via- GNUS Huss, ancien profes
GNUS Huss, ancien professeur de clinique interne à la faculté de médecine de Stockholm, bien connu par ses recherches sur l
tracés graphiques rapportés dans notre travail (Démange, Revue de' Médecine , 1884). Nous avons constaté en outre que dans l
fin, Démange étudie avec soin la- question en z, dans .la. Revue de Médecine .}], conclut que le tremblement dit sénile 200 C
1889, MM. Mossé et Banal ont entretenu les lecteurs de la Revue de Médecine de l'urologie spéciale à cette affection. Ils o
e traitement des mouvements anormaux- Legroux et Dupré (Académie de Médecine , 28 octobre 1887) ont vanté son action sur la c
s à la suite de l'empoisonnement par l'oxyde de carbone (Journal de Médecine de Bordeaux, 1883). PARALYSIES CAUSÉES PAR LA V
Aussi le courant galvanique, tel qu'on l'applique ordinairement en médecine , détermine dans les tissus certaines modificati
ommuniqué en commun avec M. Bourneville au Congrès international de médecine men- tale, entre la porencéphalie vraie et la p
tion morale particulière en s'inspi- rant de certaines règles de la médecine mentale pour la conduite disciplinaireetla réfo
bles de travail maraî- cher ou agricole; - Que l'enseignement de la médecine mentale soit facilité aux étudiants, en rendant
s diverses propositions, la première session du Congrès national de médecine mentale a été déclarée close. Son succès a été
concours est régional ; il y a autant de régions que de facultés de médecine de l'Etat. La circonscrip- tion de chaque régio
s candidats doivent être Français et docteurs d'une des facultés de médecine de l'Etat. Leur demande devra être adressée au
inspecteur général des établis- sements de bienfaisance, docteur en médecine . - 3° D'un profes- seur désigné par la faculté
cteur en médecine. - 3° D'un profes- seur désigné par la faculté de médecine de la région. Les directeurs médecins et les mé
- mum des points sera de 30. 2° Une question orale portant sur la médecine et la chirurgie ordinaires, pour laquelle il sera
e Berlin, vacante depuis la mort du professeur Westphal. Faculté DE MÉDECINE DE BOLOGNE.- M. le Dr S. ToNNiNi est nommé priv
II, et le dernier numéro, p. 130. 300 FAITS DIVERS. Académie DE MÉDECINE militaire DE SAINT-PÉTERSBOURG. - M. le Dr ANFI
ont été rapportés depuis une dizaine d'années dans les journaux de médecine ou dans des monographies. Restriction des prati
non, sur les formes cliniques de la myopathie progressive (Revue de Médecine 1885). Les premières manifestations hystériques
LFACTION; Par M. Il. THO LARD, Professeur d'anatomie à l'Ecole de médecine .1'aller. Dans chacun des segments de la moelle
nt loin d'être complète. Le budget de la bibliothèque de l'Ecole de médecine étant aussi maigre que le mien, j'ai dû me born
ieu d'une attaque de paralysie. ' Communication faite au Congrès de médecine mentale de Rouen (séance du 6 août 1890). FOL
l de physiologie expérimentale, 1830, t. X, p. 91.) . Archives de médecine , 182a. s Clinical and pathological Researches o
xante. ' P. K. LVI. Etats d'affaiblissement psychique congénital en médecine légale CRIMINELLE, par DE IiRAFFT-EBING.(Jahrb2
bri d'une nouvelle contravention, il s'as- socia avec un docteur en médecine et il continue aujourd'hui sa lucrative industr
quand même Vandevoir et Detrez, non pas pour exercice illégal de la médecine , mais pour escroquerie, la condamnation de ce c
ulté toute spéciale que possède son sujet (qui n'a jamais étudié la médecine ) de reconnaître les maladies, soit sur les pati
es régions de Lyon, Bordeaux, Nancy et Montpellier. Les docteurs en médecine satisfaisant aux conditions énumérées dans les
es leçons du ven- dredi reprendront ultérieurement. t. Faculté de médecine DE Naples. M. le Dr L. Blanchi, professeur extr
les. M. le Dr L. Blanchi, professeur extraordinaire à la Faculté de médecine de Païenne, est nommé, pour l'année scolaire 18
1890-1891, professeur extraordinaire de psy- chiatrie. Faculté DE médecine DE NAl'iCY. M. LANCLOIS est chargé du cours com
on DES séances publiques d'hypnotisme EN Russe.- lue département de médecine du ministère de l'intérieur a adressé dernièrem
si nous avons bonne mémoire, proposé pareille chose au Con- grès de médecine mentale de Paris en 1889. RÉSOLUTION prise par
net, 121 ; évolution politique, par Letourneau, 122 ; annales de médecine et de chirurgie, 123; les épilepsies et les épi
, 451; -, de l'internat de Charenton, 139; - du bureau central de médecine , 140. Congrès des aliénistes de la Basse- Sax
71 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNAN Mcmlire de l'Académie
ulté de médecine de Paris. V. MAGNAN Mcmlire de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle- : lnne).
r de clinique ' des maladies du système nerveux à la Facullé de médecine de P.trts. COLLtBORATEUItS FHCSCIFAUX JIM.
hez les hystériques ' Barbillon. Th. Paris, 1894. · ' * Traité de Médecine , t. V, p. 510. 3 De Saint-Germain, th. Paris, 1
plus pratiques, il prit ses inscriptions à l'école préparatoire de médecine de Poitiers et remporta le premier prix dans un
contingent des sujets tarés et morbides. C'est ce qu'il appelle la médecine sociale préventive. Cette thèse assez paradoxal
our les aliénés. Entretenu par les fonds consacrés aux choses de la médecine publique et de l'hygiène de la nation, il est s
Naussac. , Asiles d'aliénés DE la SEINE : Concours de l'internat en médecine . La composition écrite a eu lieu le 4°r décembr
vellec (Morbihan). Asile d'aliénés DLVItEU3. Une place d'interne en médecine est vacante à l'asile d'Evreux. Traitement : 1,
t due à Armain- gaud. En 1876, cet auteur a lu devant l'Académie de médecine de Paris, un mémoire intitulé : Sur une névrose
s sécréteurs ou glandulaires. Archives, t. XXIX. 8 114 REVUE DE MÉDECINE LEGALE. Les phénomènes de Raynaud' existent che
rvations de maladie de Raynaud hystérique. (A suivre.) REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. I. Responsabilité des épileptiques ; pa
re les auteurs. A. Marie. ' Expression d'IIutcliinson. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 1115 5 II. Crime ET SUGGESTION non hypn
dans lequel sa femme seule avait succombé. A. Marie. 116 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE V. L'Affaire RESINA SHERRARD. (British,
être moindre de six mois ni excéder deux années. ' A. M. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. ' 'Il î VIII. De la pluralité DES TYPES
uatit-né était considérée comme une démence légale, il 118 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. n'y aurait plus de récidiviste. Dès la
ant à les provoquer ; il montre les difficultés qui en résultent en médecine légale pour entraîner la conviction des juges e
oire publié in extenso'. M. 0. SNELL. Du congrès international de médecine de Rome. L'orateur exalte la maquette exposée à
PHIE MÉDICALE. M. le Dr Motet (Auguste-Alexandre) que l'Académie de Médecine , dans sa séance du 15 janvier dernier, a élu me
e du 15 janvier dernier, a élu membre de la section d'hygiène et de médecine légale, par 65 voix sur 68 votants, est né à La
l a fait ses deux premières années d'étude (1851-1852) à l'école de médecine d'Angers. Il vint à Paris, en octobre 1852, « plu
t pour l'externat, fut M. le D1 A. Motet, Membre de l'Académie de Médecine . 148 BIOGRAPHIE MÉDICALE. reçu et remplit ses
1866 surtout il a été mêlé à presque toutes les grandes affaires de médecine légale, en alié- nation mentale. Il nous a indi
nous relèverons les suivants : men- tion honorable de l'Académie de médecine (prix Lefèvre), 1863; vice-président depuis 187
t aux travaux de cette Société; secrétaire-général de la Société de médecine légale de France depuis 1887; - membre du comit
s 1887; - membre du comité de rédaction des Annales d'hygiène et de médecine légale. Ne pouvant citer tous les travaux et ra
de la responsabilité médicale. Communication faite à'la Société de médecine de Paris; Élude sur la statistique générale des
stique générale des aliénés de 1854 à 1866 (Annales d'hygiène et de médecine légale, 1867); Étude sur le rapport général sur
nnales médico-psycholo- giques, et dans les Annales d'hygiène et de médecine légale. Nous cite- rons les suivants : Rapport
gnages des en- faîzts devant la justice. Mémoire lu à l'Académie de médecine (Anzz. d'hygiène et de médecine légale). De que
justice. Mémoire lu à l'Académie de médecine (Anzz. d'hygiène et de médecine légale). De quelle façon l'ivresse peut être en
ale, 1890) ; -Rapport sur l'organisation en France de l'étude de la médecine légale, 1892. Comme on le voit, par ce résumé,
De la paralysie générale ci double forme (Congrès international de Médecine mentale, 1878), etc. BIBLIOGRAPHIE. IX. Eludé
des malades qu'il fallait soigner, n'y avait-il pas des docteurs en médecine qui assistaient les juges et le bourreau dans l
ce au mouvement exécuté par M. Keraval.' FAITS DIVERS. Congrès DE médecine mentale ET nerveuse. Le sixième Congrès annuel
M. le Dr Joffroy, professeur de pathologie mentale à la Faculté de Médecine de Paris. Le programme comprendra : 1° Question
ie mentale : les psychoses de la vieillesse ; rapporteur, M. Ritti. Médecine légale : les impulsions épileptiques au point d
ommunications à M. le D'' E. Régis, chargé de cours à la Faculté de Médecine ,' 54, rue Huguerie, à Bordeaux, secrétaire géné
anches hors texte. Bruxelles, 1891. Imprimerie Ilayez. CONGRÈS DE MÉDECINE MENTALE DE CLERMONT-FERRAND , Errata DU ? 92.
Y, imp. - 295 Vol. XXIX. Mars 1895. ? 97 ARCHIVES DE NEUROLOGIE MÉDECINE LÉGALE. UN CAS DE FOLIE SIMULÉE. RAPPORT MEDI
rqué chez Maumy de signes de déran- Arciiives, t. XXIX. 11 1 '1R2 MÉDECINE LÉGALE. gement intellectuel et que jamais, à le
garde un mutisme obstiné ou, après un temps de réflexion, fait 1(54 MÉDECINE LÉGALE. entendre des plaintes comme celles-ci :
ux manquent, et de Sigerson. Dans son article récent du Manuel de médecine , Boulay n'en signale pas d'autres. Or, dans le
D1' E. Régis, chargé du cours des maladies mentales à la Faculté de médecine de Bordeaux. (Ar- chives clin, de Bordeaux.)
eignement de la psychiatrie existe dans les différentes facultés de médecine du Royaume-Uni. En outre, l'Association médico-
après la nouvelle loi sur la collation des grades, tout étudiant en médecine sera tenu désormais de passer un examen sur les
e du corps et non une maladie de l'esprit. Aussi est-ce faire de la médecine incomplète que de séparer des signes somatiques
gnac-Bourg, le 10 janvier 1831. Il s'était fait recevoir docteur en médecine en 1858; mais ce n'est qu'après 1870 qu'il entr
Lo Sperimenlale, 1889). 1 II. Pommay. Epilepsie gastrique (Revue de Médecine , 1881). DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE. 263
ifeste que lorsque la série est réellement achevée. - Au Congrès de~ médecine mentale tenu en août 1893, à la Rochelle, la qu
tat' de veille et celles du sommeil. Or, chez les 1 Voir Congrès de médecine mentale à La Rochelle, 1893. Jules. Voisin et R
t. XLVIII, p. 652.) EICI1101,T. Festschrift. LASEGUE. Archives de médecine . Février 1852. SI ! GLAS. - La Paranoia. Archiv
- Du délire d'inanition dans les maladies. (Archives géné- rales de médecine , 1866 février, p. 169, et mars, p. 305.) DAGONE
meilleure revenait naturellement au grand Pinel, au fondateur de la médecine en France, au libérateur des aliénés. La justic
our exclusif de toute la vie. Au point de vue de la morale et de la médecine légale, ce sont des espèces de dégénérescences
ciper à ses études sur un cas particulier, les journaux spéciaux de médecine , 'de droit ou autres spécialités, il est pénibl
in les recherches récentes de Ségias dans les Archives générales de médecine (mai et juin 189). Ce der- nier auteur distingu
er que l'état saburral commence à dispa- ' Jules Voisin. Congrès de médecine mentale, La Roclielle, 1893. Archives, t. XXIX.
ysiologique, M. Charpentier, professeur de physique à la Faculté de médecine de Nancy, a fait porter ses expériences sur des
. Henry Bordier, pré- parateur de physique médicale à la faculté de médecine de Bor- deaux et l'Influence des bains statique
contre eux et à les protéger eux-mêmes, mais le développement de la médecine ne permettait pas de leur appliquer encore un v
r est une contribution importante, non seulement à l'histoire de la médecine , mais à l'histoire en général. Ph. C. XXII. D
s mois lui suffirent et on lui permit enfin de commencer l'étude de médecine vers laquelle le poussait son penchant naturel.
vers cette époque, il occupa la chaire de psychologie à l'école de médecine d'York. En 1857, à la mort de son père, il fut
estions religieuses l'attiraient surtout en dehors du domaine de la médecine . Il est difficile quant à présent d'apprécier l
Dr Tuke étaient rassasiées quand il entreprit le « Dictionnaire de Médecine psychologique » et, connaissant exacte- ment ce
mité s'est réuni le 1 mai dans la salle du Conseil de la Faculté de Médecine sous la présidence de M. Brouardel. Le tréso- r
72 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
h. Paris 1885. Loc. cit., p. il. ' Gendrin. Traité philosophique de médecine pratique, t. I, p. 432, 1838. 8 Peter. De l'a
dont une de l'auteur et deux de M. Magnan.) 4 Chauffard. Rev. de Médecine , t. 1, p. 393, 1881. 6 D'Heilly et Chantemesse.
a publiées dansles Annales médico-psychologiques et à la Société de médecine de Paris (4 février 188-». Dans les deux cas de
ticu- lières, ne peut guère servir à différencier les maladies en médecine générale, elle est absolument insuffisante en méd
l'hérédité comme dans celui présenté par J. Guérin à l'Académie de médecine , tandis que le Dl Stedman trouve là un cas s'ac
s tenu compte des observations présentées au nom de l'académie de médecine sur la possibilité matérielle d'exécuter la dispo
te de la vie et dans le discernement des choses ordinaires; mais en médecine et surtout en médecine mentale, elles ne supplé
discernement des choses ordinaires; mais en médecine et surtout en médecine mentale, elles ne suppléent ni l'observation des
e consulter leur conscience; elle leur dira que, quand il s'agit de médecine , ce n'est pas assez que d'avoir du bon sens et
re que, pour avoir seulement une teinture un peu convenable de la médecine , de longues études sont requises, des études qui
, je ne crains pas d'être démenti par les médecins ici présents, la médecine mentale est une science hérissée de difficultés
Ici, le bon sens et la raison sont des boussoles impuissantes. La médecine mentale seule a le privilège de diriger le médeci
ns logiques du principe qu'elle avouait, et, au lieu d'adjuger à la médecine mentale l'aliéné comme son sujet naturel, l'int
és de défendre l'aliéné contre l'erreur ou le mauvais vouloir de la médecine mentale ! Et ces hommes n'ont pour s'éclairer,
urs appréciations que les rapports et les documents émanés de cette médecine ! Les seuls éléments de l'opinion qu'ils se for
z une sauvegarde contre l'er- reur volontaire ou involontaire de la médecine légale ! Messieurs, permettez-moi de le dire sa
dire que ce démon ne respectera rien, pas plus la justice que la médecine , pas plus les membres du tribunal que les membres
de la morale. (Approbation.) Déjà, dans une séance de l'académie de médecine , on a émis l'opinion que le médecin serait amoi
qu'à l'imitation de nos commères de village ils se piqueraient de médecine et opposeraient leur propre diagnostic aux rappor
sulter de leur intervention ? Ils enregistreront les décisions delà médecine . in- compétents pour les contrôler, seront-ils
le et déprime beaucoup trop l'intervention seule compétente de la médecine mentale. (Très bien sur plusieurs bancs.) ' Il
es du diagnostic ? Quelle sera donc leur attitude en présence de la médecine ? Voici d'abord le procureur de la République o
alement en disciples de Galieu ou en antagonistes des maîtres de la médecine mentale. Ils ne sont et ne peuvent être que des
ribu- SÉNAT. d23 naux. Déjà le docteur Blanche, que l'académie de médecine avait chargé de lui faire un rapport détaillé à
enfermer : qui devra prononcer sur son sort ? La magistrature ou la médecine ? La magistrature, s'il est suspect de délit ou
decine ? La magistrature, s'il est suspect de délit ou de crime; la médecine , s'il est suspect de ma- ladie. Le partage des
d'un aliéné, c'est commettre la même erreur que de transférer à la médecine la poursuite et le jugement d'un crimi- nel. (T
. (Nou- \eiie approbation sur quelques bancs.) Et ce n'est pas la médecine seule qui proteste contre cet abus ; BIBLIOGRAP
s médical. Paris, 1888. En proposant ce sujet de prix la Société de médecine et de chi- rurgie de Bordeaux a eu une heureuse
Le somnambulisme provoqué; par Beaunis, professeur à la Faculté de médecine de Nancy. J.-B. Baillière,Paris, 1886. L'ouvrag
tion de la personnalité ; par le D Azam, professeur à la Faculté de médecine de Ror- deaux, avec une préface de M. le profes
e. 142 FiAITS DIVERS. Sur la nécessité pour tous les étudiants EN médecine de suivre des COURS THÉORIQUES et CLINIQUES DE
oyons, comme eux, qu'il est indispensable que tous les étudiants en médecine soient astreints à un stage de quelques mois au
E). De l'épilepsie jacksnczienne.111émoire couronné par )Société de médecine et de chirurgie de Bordeaux, revu et considérable
épongés et qui a paru dans les « Annales d'hygiène publique et de médecine légale (2e série, t. XXXI, p. 274-286, 1869). L
autopsie. Le 10 mars 1883 , M. Charpentier lisait à la Société de médecine de Paris un mémoire relatif à notre ques- tion,
upe de l'aqueduc de S\l\ius. Archives, t. XVI. 18 274 Il REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. Prc. 2. Coupe de la protubérance au niv
de soin et de compétence un des points les plus intéressants de la médecine légale des aliénés, l'auteur s'est pro- posé de
uture maladie. Ils sont méfiants et orgueilleux. Il est de règle en médecine mentale [que toutes les folies mentales coin SO
re. Le combat dure depuis longtemps, car IIippocrate, le père de la médecine , disait déjà, en parlant de l'aliénation men- t
Je dis donc que puisqu'il s'agit d'une question médicale, c'est la médecine qui devrait avoir la haute main. Je ne réclame pa
ours sera régional : il y aura autant de régions que de facultés de médecine de l'Etat. La circonscrip- tion de chaque régio
s candidats devront être Français et docteurs d'une des Facultés de médecine de l'Etat. Leur demande devra être adressée au
de l'admission de trois candidats dans la région de la Faculté de médecine de Paris et de deux candidats dans chacune des au
nts de bienfaisance '; 3° d'un professeur désigné par la Faculté de médecine de la région. Les directeurs-médecins et les mé
maximum des points sera de 30; 2° Une question orale portant sur la médecine et la chirurgie ordinaires pour laquelle il ser
cer- taines parties du concert aillent contre le but. Faculté DE médecine DE Paris. Concours pour le clinicat des maladie
bulbe et des corps striés dans l'épilepsie. (Archives générales de médecine , décembre 18G9.) 424 -if PATHOLOGIE NERVEUSE.
« M. Bethomme, dans un mémoire sur le tournis, lu à l'Académie de médecine en 1833, cite l'observation d'une demoiselle qui,
chronique. * Classification des maladies mentales. - La Société de médecine mentale belge ayant demandé à la Société médico
mmission de n'avoir pu répondre plus tôt à l'appel de la Société de médecine mentale belge '. Présentation du malade. M. L
ement à déterminer ; que l'on est en présence d'un malade et que la médecine sule peut déterminer le traitement qui convient
adies nerveuses 1888. (Paris.) ravreau : Du secret professionnel en médecine mentale. - Junin : De l'étiologie héréditaire d
». Cette mesure nous parait absolument inexplicable. Un docteur en médecine qui aura subi avec succès le concours pour une
vent on n'autorise à concourir pour l'internat que les étudiants en médecine . Quant à l'obligation de concourir une seconde
lé le professeur de clinique des maladies mentales de la Faculté de médecine de Paris. Personne ne peut donner une rai- son
cin des hôpitaux, n'est, pour cette raison, abrégé. Le docteur en médecine qui veut être agrégé et médecin des hôpitaux subi
r Ilchm, ;103. Localisations cérébrales, par Sie- merling, 439. Médecine psychologique (nécessité des cours de), par llo
73 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté* de médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie
ulté* de médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecindel'Asile clinique ; | (Ste-Anne). C
eur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris. MM. ADADIE(J.), ARNAUD, ARSIMOLES,
- jours la même, disent-elles. » Août. La petite malade rentre en médecine dans le service du Dr Brissaud où elle reste ju
s venir dire aux gens : « Le concours est ouvert à tous ceux que la médecine mentale intéresse (sic). » Est-ce que les conco
rapports de la paralysie géné- rale et de la syphilis. [Académie de médecine ; séance des 21 et 28 février, 14 et 28 mars, 1
on m'a montré quelques-uns de ces simulateurs. La psychologie de la médecine hindoue. M. VALENTINO. - Pour l'Hindou, tout se
religion : les maladies sont envoyées par les dieux ; les livres de médecine sont les livres sacrés ; la thérapeutique aussi
rs de Clinique psy- chiatrique. (Ouvrage couronné par la Faculté de médecine de Paris 1887 et par l'Académie de médecine 189
ronné par la Faculté de médecine de Paris 1887 et par l'Académie de médecine 1895.) Troisième édi- tion entièrement refondue
in, 1906 : 10 francs. Tous ceux qui s'intéressent aux progrès de la médecine mentale en France déplorent les préjugés régnan
ent propre à favoriser ce réveil et cette extension des études de médecine mentale. De plus il a le mérite de faire entrer
le mérite de faire entrer tléfinitiveTI1rSnt la psychiatrie dans la médecine ordinaire par la voie des grandes doctrines de
eux qui doivent les observer et les traiter. Pour les débutants en médecine mentale, les médecins des prisons, les médecins
1906. Art. 2. Les candidats devront être Français et docteurs en médecine d'une des facultés de l'Etat, avoir satisfait à l
s épreuves sont éliminatoires. 4° Une question orale portant sur la médecine et la chirurgie en général, pour laquelle il se
numération des villes où ce Congrès, né du Congrès international de médecine mentale de 1889,a siégé avec les noms des prési
i- tuation topographique à la périphérie ; par Grasset. (Revue de médecine , n° du 10 février 1903.) L'enseignement de M. l
es lacunes de désintégration cérébrale ; parl : ATOL.1. (llevucde Médecine , nu d'octobre 1904.) Cette affection, isolée pa
la courbature comme équivalent épilep- tique ; par Féré. (Revue de médecine , mai 1903.) La courbature, état pénible de lass
la myotonie. L. Wahl. Auréoles névropathiques ; par Féré. (Revue de médecine , il" d'avril 1905.) Chez de très rares sujets
à. l'étude de la polymyosite ; par PRÉOBAjENSKi Margoulés. (7cu. de médecine , numéro d'oc- et novembre 1904.) Celte affect
pilepsie cardiaque et phénomènes de rappel ; par ! tUE FI'. (Revue de médecine , numéros de février et mars 1903.) Travail impo
r certains symptômes de la maladie deParkinson; par Catola.(Rcu. de Médecine , ne de juin 1905.) Il s'agit de la sialorrhée
qui y figurent sont-ils fournis par des personnes étrangères à la médecine mentale ou même à la médecine. .M. Roubinovvitc
nis par des personnes étrangères à la médecine mentale ou même à la médecine . .M. Roubinovvitch. Les renseignements provienn
ccouû, dit M. Beuedikt, fut le créateur du congrès international de médecine de 1867 ; très littéraire, il con- naissait et
apprend ainsi, avec M. Benedikt, à connaître tous les maîtres de la médecine , en France, en Autriche, en Allemagne, en Russi
ministériel du '28 décembre 1903, 1\1. le laiLro I(;h.) docteur en médecine à LI'I1ze, est nommé médecin de l'asile pour ho
cou : yléL par deux autre- ! pu)))icatio)nsp6eia- les : la Revue de médecine /e'a/eyc/t/<7/) ? <eef ? <A'opo/o;fcrf-
que nous avons observé à la clinique obstétricale de la Faculté de médecine de Toulouse : notre malade était atteinte depui
aurait pu penser que ce début le ferait incliner plus lard vers la médecine militaire, ; il donna la préférence à la médeci
plus lard vers la médecine militaire, ; il donna la préférence à la médecine civile, avec le (1) Voir : Bourneville, Comptes
anévrismos de l'aorte, tumeur blanche du genou ; 2° Appen- dicite ( médecine et chirurgie). 4" Séance : I Diagnostic de l'an
blanche du genou. Questions restées dans l'urne : 1" Appendicites ( médecine et chirurgie) ; 2° symptômes, diagnostic et ter
de Wainte-I3euve, l. \', p. 93). VARIA Prix DE l'Académie DE médecine . L'Académiede médecine a tenu sa séance publiqu
', p. 93). VARIA Prix DE l'Académie DE médecine. L'Académiede médecine a tenu sa séance publique annuelle, le mardi 12
. Les prix seuls donnent droit au titre de lauréat de l'Académie de médecine ; les encouragements, récompenses et mentions h
ra pas être présenté la même année à deux concours de l'Académie de médecine . Hommage au 1)1' Magnan. Le D,MAGNAN. médecin
médecin de l'Asile Clinique (Sainte-Anne), membre de l'Académie de Médecine , consacré plus de quarante années à l'étude des
sourds-muets d'Asnière; le Dr BÀuMEI., professeur à la faculté de médecine de 111ontpellier; le D1' IZEAUVISAGE, professeur
de 111ontpellier; le D1' IZEAUVISAGE, professeur à la fa- culté de médecine de Lyon, adjoint au maire ; \Ille BESNARD, écon
ieu sous la présidence de M. le DrIluchard, membre de l'Académie de médecine . Suicides d'adolescents. - Un élève de l'Ecole
ésor- mais un groupe de questions capitales pour l'exercice de la médecine . - « L'appréciation des dommages éprouvés est d
ence qu'il y a à charger de l'enquête des personnes étrangères à la médecine . Il montrera la ncessité de commissionner des m
damentale de l'épi- lepsie. (1) Iintc. - Galette -hebdomadaire de médecine , 1599. (2) S'DtOtIMAYER. Vel'saml. Institut deu
tion de l'aponévrose palmaire ; par PARHON et Goi.dstein. (Revue de médecine , 1905, p. 620.) Un cas semblable a déjà été pub
ées de la méningite chez l'enfant; par Carrière et LHOTE. (Revue de médecine , juillet ! 90j.) Il y a dans la méningite tuber
II. L. Note sur les rêves épileptiques ; par Ch. Féré. (Revue de médecine , septembre 1905.) Certains épileptiques peuvent
tion à l'étude de la neurasthénie sexuelle; par Ch. Féré. {Revue de médecine , mars 1905.) Deux observations, l'une d'un suje
et la pathogénie de la maladie de Ba- sedow ; par SALMON. (Revue de médecine , mars 1905.) L'auteur émet l'hypothèse que la m
' A la suite de la démission de M. IROUARDEL comme professeur de médecine légale à la Faculté de médecine de Paris, l'Assoc
de M. IROUARDEL comme professeur de médecine légale à la Faculté de médecine de Paris, l'Associa- tion des Médecins Légistes
s experts de France et de l'étranger et tous ceux qui s'occupent de médecine légale. Cette souscription est destinée à offri
e cerveau sénile. Rapporteur : M. le 1)., A. Lt : ar, de Paris ; 3" Médecine légale. - La responsabilité des hystériques. Ra
mentaux de la sclé- rose latérale amyotrophique. Dans le traité de médecine mentale de G. Ballet, M. Dupré, après avoir rap
597. Article. Abcès du cerveau, ? . 126. (2) Klippel. - Traité de médecine , Brouardel. Gilbert, L. VIII, p. 839. 452 .
observations, a élé reproduite in extenso dans les Aii ? z.2les de médecine et de chirurgie infantiles, du D' Périer, el dans
\NO, secrétaires et bibliothécaire des Sociétés de Neurologie et de Médecine mentale. 1" Rapports, Ces rapports, au nombre d
Marabouts. Voir Aliénés. Médecins des asiles. Voir Con- cours. Médecine . La psychologie de la - hindoue, par Valentino,
rs dans la moelle humaine, par Pick, 122. Prix de l'Académie de médecine , 36. Prophètes. Les - juifs, par Binet- San
74 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Fiofes·eur de clinique des maladies mentales a la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie
culté de médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-anuc). F.
ur de clinique des maladies du système nerveux a l.i Faculté de médecine de P.iris. COLLABU1UTBUIIS miNCIPAUX Mil. A
dical, 1876. ' Landouzv. Thèse Paris, 1876 et Archives générales de médecine , 1877, t. 11. Coiiigt. Thèse Paris, 1878. "
vous font du mal... je ne suis pas malade... qui donc a inventé la médecine ? ... qui ? ... qui ? ... c'était un imbécile c
titut avait délégué MM. Bertrand, Guyon, Lannelonnue; l'Académie de médecine , son président, le professeur Jaccoud, son secr
aison de revendiquer pour la France, pour Paris, pour la Faculté de médecine , la gloire de Char- cet. les savants de cette e
r expose magistralement, au point de vue de la physiolo- gie, de la médecine légale et de la clinique, le syndrome de Brown-
lever les forces et combattre l'anémie il faudra se contenter de la médecine d'imagination qui peut parfois donner de très r
tion mentale et con- duite dans une maison de santé. » Faculté DE médecine DE TOULOUSE. Thèses neuro-pathologiques soutenu
Nice. Administration : Librairie Maloine, 21, place de l'Ecole-de- Médecine . Un an 6 francs. RussELL (R.). Contribution to
a seconde fois.à la présidence de la Société, pendant le Congrès de médecine mentale de 1900. Il n'aurait pas assumé celte l
rétaire général qui l'aidera à tenir haut et ferme le drapeau de la médecine mentale. SOCIÉTÉS SAVANTES. 1G9 Folie sympa
maux il existe certains sujets relevant plus particulièrement de la médecine , et certains autres relevant plus particulièrem
. 'broyer. VI. Thèses neuro-pathologiques soutenues à la Faculté de médecine de Lille pendant l'année scolaire 1897-1898.
q2ces. Rapporteur VARIA. Il -1 , Dr Dutil, villa Verdier, Nice. Médecine légale : Aliénés méconnus et condamnés. Rapport
1886. 3 Blanc. Arch. de toxicologie, 1889. ' Xeumann. Société de médecine de Berlin, janvier 1892. B Hergott. Gaz. hebdom
counoux. XXIV. Hérédité et circoncision ; par Eugène 'J'AI,130'1'. ( Médecine , Détroit, juin 1898.) L'auteur, se basant sur
Y. XXV. De la Spondylose rhizomyélique ; par P. Marie. (Revue de médecine , 1898.) M. Marie appelle ainsi une affection ch
primitive progressive dans l'enfance ; par IL1\SILaLTEn. (Revue de médecine , 1898.) Trois observations portant sur des cas
XXVII. Note sur la narcolepsie épileptique; par Ch. FEUE. (Revue de médecine , 189S.) C'est une réponse à un travail récent d
pathogénie des paralysies hystériques; parle Dr Guinaiid (Revue de médecine , 1898.) Deux hypothèses différentes ont été réc
uggestif actif ou dynamogénie psychique ; par Biïrniieim. (Revue de médecine , 1898.) La suggestion thérapeutique ne consiste
exige des connaissances approfondies de toutes les branches de la médecine , chirurgie, pathologie interne, neuropathologie,
expérimentales. Jamais peut-être il n'y avait eu sur un point de la médecine une telle unani- mité d'opinion au point de vue
es chutes et doit être souvent interdite. (Archives provinciales de médecine , mars 1899.) SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ 11L
alogue à l'état d'hypno- tisme provoqué. L'exercice illégal de la médecine en matière de magnéto-hypnotisme. M. Vidal pass
e le magnétiseur doit être considéré comme exerçant illégalement la médecine . VARIA. Prix DE l'académie DE médecine. Pri
e exerçant illégalement la médecine. VARIA. Prix DE l'académie DE médecine . Pria; Civrieux : 1.000 francs. Question : Des
re de Marseille, au Pharo, dans le grand amphithéâtre de l'Ecole de Médecine . M. Floret, préfet des Bouches-du- Rhône, M. Co
, procureur de la République, M. le DLivon, directeur de l'Ecole de Médecine , M. Drouineau, inspecteur général des Asiles, M
sdames, Messieurs, Le premier devoir du président du 10° Congrès de Médecine mentale et de neuropathologie est de remercier,
petit-fils de médecin vint habiter Parisien 1833 pour y étudier la médecine ; interne des hôpitaux en 1836,il sollicita et o
n d'honneur en 1852 ; secrétaire, puis prési- dent de la Société de médecine de Marseille, il fut encore placé à la tête du
tus domestiques transportées de lavie privée dans la pratique de la médecine , semblent avoir également servi à se bien conduir
dérations d'ordre supérieur des indications pratiques en matière de médecine légale des aliénés. 'Parmi les collaborateurs
brillants examens, obtenait son diplôme de docteur à la faculté de médecine de Paris et était en 1852 nommé médecin adjoint
sons, des postes, des douanes, et comme secrétaire de la Société de médecine de'Marseille. L'administration centrale, en le
te Comte enleva à l'École poly- technique pour lui faire étudier la médecine ; j'ai nommé le D'' Audiffrent. Vous parlerai
de l'Assistance publique, M. le Dr Livron, directeur de l'École de médecine , M. le Dr Kackenko, de Nijni-Novgorod, M. le D'
ent adresse ses remerciements au D'' LivON, directeur de l'École de médecine , qui a bien voulu avec tant de bonne grâce et d
de cordialité, nous ouvrir toutes grandes les portes de l'École de médecine . Au nom de tous les mem- bres du Congrès, je lu
ent ; car, les éléments de sa discussion se dispersent à travers la médecine mentale tout entière. Bien plus, ces-éléments n
istrative du Bureau de bienfaisance; Livon, directeur de l'École de médecine ; Paul Gourret, directeur de l'Ecole de pêche;
ous les asiles voisins d'une Faculté ou d'une École préparatoire de médecine . Il y aurait ainsi' moins de médecins incompéte
de la cellule. Peut-être cette conception ferait-elle descendre la médecine mentale où l'a placée la métaphysique, mais ell
llais, c'est celle de voir un jour Marseille dotée d'une faculté de médecine . L'administrateur chargé de solutionner l'hospi
préfecture, et M. le D1' Livon, l'aimable directeur de l'École de médecine . Une cordiale animation règne. Plusieurs toasts
santé, cher monsieur Anglade, et à celle de votre premier maître en médecine mentale, le docteur Régis de la Faculté de Bord
te la santé du De Gilbert Ballet, professeur agrégé à la Faculté de médecine et médecin des hôpi- taux de Paris, président d
Président du Conseil général, le maire, le directeur de l'École de médecine que vous auriez dû vous adresser, mon cher Prés
chaleureux remerciements à MM. les docteurs Motet, de l'Académie de médecine et Petrucci, directeur médecin qui nous ont si
pédagogie devrait être à la psychiatrie, ce que l'hygiène est à la médecine du corps ; c'est à elle qu'il appartient de préve
el. Aîin. médico- psych., 1890. Ballet. Art. Psychoses in Traité de médecine Charcol- l3ouclarcl. Séglas. Leçons cliniques s
)ogie, les rapports de cette science avec les autres branches de la médecine , et le rang qu'elle occupe parmi ces dernières.
- quent, elle ne cède pas en importance aux autres branches de la médecine pratique et mérite bien une place à part. Pour
r. Malgré les progrès de la psychiatrie et les relations entre la médecine légale et la magistrature, on constate encore tro
mais il serait à désirer que tous aient des notions suffisantes de médecine mentale pour pouvoir constater l'anormalité psy
d'autant mieux que les médecins les plus habitués aux choses de la médecine mentale éprouvent eux- mêmes quelque hésitation
st de vulgariser l'étude de l'aliénation mentale dans les Écoles de Médecine ; en outre, l'expertise devrait être absolument
le développement de la mor phinomanie. M. Paul FAREz. La Société de médecine légale s'est tout récem- ment occupée des mesur
baud). Assistance familiale (Hogben et Marie). Délire alcoolique et médecine légale (Sutherland). A. M. Rapports DES aliénis
echsig, 154. IrIG\E'r0-III't'\OT1S\(E. L'evercice illé- gal de la médecine eu matière de , par Vidal, 335. .Maladie de G
etti, 322. Thèses neuro-pathologiques soute- nues à la Faculté de médecine de Lille pendant l'année scolaire 1897-1898,
75 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
E M A S S O I E T C" Editeurs S LIBRAIRES DE E L'ACADÉMIE DE 1, : MÉDECINE E 120, Boulevard Saint-Germain, Paris Vi- . 1
phie de la Salpêtrière a consacré encore une alliance : celle de la Médecine et de l'Art. Son oeuvre médico-artistique, récapi
l'immuabilité de Linné, on l'accepte comme un stade évolutif. En médecine , comme dans toute autre branche des sciences biol
propager sous forme d'altérations secondaires ascen- (1) Traité de médecine et de thérapeutique de Brouardel et Gilbert, 1903
e Brouardel et Gilbert, 1903,t. IX, p. E08. () G. Durante, Revue de médecine , 1893 et Thèse de Paris, 1895. (3) Berliner kli
ons du mardi, 1881-1888, p 459. (4) SPIf.LMANN et PARISOT, Revue de médecine , 1888. SCLÉROSE MÉDULLAIRE 25 croissance et d
E BABINSKI (1) PAR G. SCHERB, Professeur-suppléant à l'Ecole de médecine d'Alger, Médecin des hôpitaux. On trouvera ci
aveur un pronostic bénin. (1) Elude sur les paraphasies. Revue de médecine , 1899, n° S, 10 mai. ROLE DES MUSCLES SPINAUX
) THiBOE'nGE, De l'ostéite déformante de Paget. Archives générales de médecine , 1890, 1er volume, p. 52-82. - Voir aussi Pozzi
eige de l'avoir jugée digne de figurer dans cette Revue d'art et de médecine , où l'observation clinique trouve dans le documen
AMBROISE PARÉ PAR LE PROFESSEUR DEBOVE, Doyen de la Faculté de Médecine . mbroiseParé est un célèbre chirurgien frança
preuve très suffisante, et cela publiquement à Paris aux écoles de médecine . » Et il a très bien cons- cience de l'utilité
x opérateur de crit appartenant iL la-bibliothèque de l'Académie de médecine . Tous ces documents étaient ignorés de hialgaig
'après les exemplaires conservés à la bibliothèque de la Faculté de Médecine de Paris. 94 DEBOVE la fistule, fut annobli p
n diplôme. Il n'y avait pas à cette époque d'exercice illégal de la médecine . Les rois avaient concédé des privilèges aux co
ème est manuscrit, il appartient à la bibliothèque de l'Académie de médecine . C'est à cette cir- constance que nous devons d
rimeurs de cette ville et de ce ressort d'imprimer aucuns livres en médecine ou chirurgie, sinon qu'ils aient été vus au pré
ce que l'usage d'icelui est réprouvé par Messieurs de la Faculté de Médecine , je me départirai d'en rien écrire en ce lieu »
J'ai trouvé bonne la censure de l'Ecole de "\YII[ 7 98 'DEBOVE Médecine de Paris, comme étant celle qui nourrit et élève
celle qui nourrit et élève les plus beaux esprits qui soient en la médecine , qui distribue la pure et vraie doctrine d'Hipp
rer l'attention que sur des points touchant de près ou de loin à la médecine et non à la «critique d'art.» En visitant la
ous rattacher à l'opinion émise par Brissaud et Souques ( Traité de médecine ), qui veulent expliquer une partie des phénomèn
d'ailleurs une assez courte durée. On peut, (1) TissisR, Annales de médecine , 18 janvier 1893, et Soxeo, Neurol. Centralbl.
r cuivre qui illustraient au xvie et au xvne siècle les ouvrages de médecine et de chirurgie. L'opération a lieu dans une ch
léroses combinées de la moelle. Thèse de Paris, 1904. (4) Traité de médecine et de thérapeutique de BROUARDEL et GILIIERT, t.
nt d'ordinaire rapportées, chez l'homme à la syphilis. FACULTÉ DE MÉDECINE DE MONTPELLIER SERVICE DE M. LE PROFESSEUR GRAS
ne seconde fois à l'hô- pital où elle est entrée dans un service de médecine le 30 décembre 1904. A notre premier examen nou
rbeltumoren. Iena, 1898, p. 136. 82. Mathieu ET VEIL. Arch. gén. de médecine , 1895, I, p. 656, II, p. 171. 83. CALMAI. Jahrb
. med. Worhens, 1899, n" 35. b) Congrès allemand de Chirurgie et de Médecine , 1900. 89. BoKtEn. Société de Neural., 4 mai 19
ints. M. Chauffard (So- ciété médicale, 15 juin 1894 et Académie de médecine , 3 mars 1903) cite un cas d'hérédité directe, l
ttement atteintes toutes deux. Dans la même séance de l'Académie de médecine , M. Berger résume l'observation de deux malades
étation. (2) LANNELONGUE, 8ull. méd. (23 février 1903). Académie de médecine , 8 mars 1903. Fournier, Académie de médecine (3
ier 1903). Académie de médecine, 8 mars 1903. Fournier, Académie de médecine (31 mars 1903). (3) WALTER, Archiv. fur. exper.
7. 8. Lyon, In thèse de Richard, 1887. 9. TIIIDIERGE, Archives de Médecine , janvier 1890. 10. Chrétien, Poitou médical, fé
édicale de Paris, 10 juin 1892. 12. Moizard ET BOURGES, Archives de médecine expérimentale, 1892, p. 479. 13-14. T111DIERGE,
28-29, LANNELON6UE, Bulletin médical, 23 février 1903 ; Académie de médecine , 3 mars 1903. 30-31. Berger, Académie de méde
3 ; Académie de médecine, 3 mars 1903. 30-31. Berger, Académie de médecine , 3 mars 1903. 32. Fournier, Académie da médecin
erger, Académie de médecine, 3 mars 1903. 32. Fournier, Académie da médecine , 31 mars 1903. 33-34. Ménétrier ET GAUCKLER. -
ie, avril 1904. 39. DUCASTEL ET SEMPER, ld. INGEDRANS, Société de médecine du Nord, 10 juin 1904. 40, 41, 42. VINCENT, Thè
NENCÉPHALIE (méningite FOETALE) par ÉTIENNE RABAUD Docteur en médecine et docteur ès sciences. SOMMAIRE Préliminaire
Béclard, Mémoire sur les foetus acéphales (Bulletin de la Faculté de médecine , 1817). (51 Ch. P. Ollivier, Essai sur l'anat
s, 1823). (6) E. Brssciiet, Article Anencéphalie du Dictionnaire de médecine , 1821. (7) Jules Guérin, Recherches sur les dif
mémoire : De l'anencéphalie el de la monnpie (Annales de la Soc. de médecine de Gand, 1837). (3) AnoLPII Hannover, Ilen menz
r un monstre humain célosomiez et anencé- ' phale. XIII' Congrès de médecine . Paris, 1900 (section d'histologie et d'embryolog
EME dans la Nouvelle Iconographie de la Salpêtriére. (3) Revue de médecine , 18S5. 428 NOICA Pour Mme Sacara (1), le méca
hies que je dois l'obligeance de M. Gerota, agrégé de la Faculté de médecine , n'indiquent qu'une très légère différence. Pou
opathie primitive progressive, par le piofesseur Marinesco, Traité de médecine BROUARDEL-GILBERT, t. X. (3) Séance de la Soc
dans la fameuse question « de l'hystérie » posée par l'Académie de médecine pour l'attribution du prix Civieux, deux ouvrag
véritable diathése de contractures, dont Souques, dans le Manuel de médecine retrace le tableau en nous décrivant « un état
PORAK Accoucheur en chef de la Maternité, Membre de l'Académie de médecine . G.DURANTE Ancien interne des hôpitaux, Che
Thomson. Edinbourgh Médical Journal, 1893. 10. LUGEOL. - Journal de médecine de Bordeaux, 1892. 11. BAILLY. - In Porak (d'ap
ne. 15. HECKEA. - Klinik der Geburtskunde, 1862. 16. E. LAFARouE. Médecine moderne, 1898. Il. MAUCLAIRE. - Traité de Chiru
hôpi- taux, 21 et 27 février 1904. 39. PONCET et LEMCHE. Acad. de médecine , 20 octobre 1903 et Revue de Chirurgie, 1903.
Paris, 1890. 70. DEPAUL. - Archiv. de tocologie, 1878, Académie de Médecine , 1851. 71. EIiRLICII. Vi1'chow's Archiv. Bd. 10
ures on Practice of medicine, t. 1, p. 509. (2) Niepce, Académie de Médecine , avril 1853. (3) Hammond, Traité des maladies d
e musculaire progressive spinale (Type Duchenne-Aran), in Traité de Médecine , 2° éd., t. IX. Nouvelle ICONOGRAPIIIE DE la SA
PHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'ORIGINE SYPHILITIQUE 595 de Médecine . Après avoir cité les auteurs que nous venons de
E (MÉNINGITE FOETALE) (suite) par ÉTIENNE RABAUD Docteur en médecine et docteur ès sciences. CHAPITRE III Répercus
près avoir étudié les humanités et la philosophie, il s'adonna à la médecine , et il y réussit si bien sous la discipline d'E
guérison... A l'instar d'Asclepios, il débute dans l'exercice de la médecine surnaturelle par une résurrection. Cette réussi
èse de Paris, 1903. (2) AuvxAY et GUILLAIN, Archives générales de Médecine , 1901. (3) Latour, Des exostoses infectieuses,
. (1) E. BorrET, Enchondrose rachitiforme, in Archives générales de Médecine , 25 octo- bre 1904. )UV ICONOGR. DE LA SALPÊT
4. , (3) Dizionario di patologia chirurgica, 1823. 636 SIMONINI médecine , sur lequel A. Pic ne compta pas moins de 194 exo
s et Roy rapportent un cas (12); Marro (13), à l'Académie royale de médecine de Turin, donne un cas concernant un jeune garçon
ASLIN,CO)ili'ibnlt07t à l'élude de la sclérose cérébrale. Archives de médecine expérimen- tale, 1891. WEBER ET Papadaki, De
des différents muscles en particulier» de M. HALLION, in Traité,de médecine Oharcot- Bouchard-Brissaud, t. VI, p. 835 et su
ningite FOETALE) (suite et fin) par ETIENNE RABAUD Docteur en médecine et docteur ès sciences. IV. LE SYSTÈME NERVEUX
ar DuysE, Hyperencéphalie et ptérodactylie. Bulletin de la Société de médecine de Gand, z .. PATHOGÉNIE DE LA PSEUDENCÉPUALI
tigmates dyslrophiques de l'Mt'édo-syphilis (Thèse de la Faculté de médecine de Paris, 1898). (4) Mes recherches étaient ter
congénitale (variété de pseudo-encéphalie). Thèse de la Faculté de médecine de Tou- louse, 1898. 692 RABAUD caractérisé
Dégénérescence du protoneurone centl'ipète (Thèse de la Faculté de médecine de Paris, 1896). 696 RABAUD beaucoup plus ava
sclérose. (1) E. Breschet, Article Anencéphalie du Dictionnaire de médecine , 1821. 698 RABAUD V. Pendant ce temps, se pro
congénitale (Variété de pseudo-encéphalie). Thèse de la Faculté de médecine de Toulouse (1898). John Barris. - Ein Fall v
BÉcLARD. Mémoire sur les foetus acéphales. Bulletin de la Faculté de médecine , 1817. B1 : LHOMME. - Observation d'ectrogéni
2, p. 910. ' G. BRESCHET. - Article Anencéphalie du Dictionnaire de médecine , 1821. E. BitISSAUD ET Bruandet. Un cas d'anenc
oire : de l'Anencéphalie et de la Monopie. Annales de la Société de médecine de Gand, 1837. CAnACACHE. Monstre humain anencé
itales (sensitivo-motrices, en particulier). Thèse de la Faculté de médecine de Bordeaux, 1902-03. EDMOND FOURNIER. - Stigma
gmates dystrophiques de l'hérédo-syphilis. Thèse de la Fa- culté de médecine de Paris, 1898. Et. GfiOFFnOY-SAIiIT-HILAInT :
tions nouvelles à l'appui de cette théorie. Ar- chives générales de médecine , 1827. Is. Geoffroy-Saint-Hilaire. Traité de té
sur un monstre humain célosomien et anencé- phale. XIIIe congrès de médecine , 1900, section d'histologie et d'embryologie. G
stic pendant la grossesse et l'accouchement. Thèse de la Faculté de médecine de Paris, 1883. Lebedeff Ueber die Entstehung d
. Dégénérescence du protoneurone centripète. Thèse de la Faculté de médecine de Paris, 1896. MATHIAs DUVAL. - Pathologie gén
ormation de la moelle épinière chez l'homme, Thèse de la Faculté de médecine de Paris, 1823. G. B. Pellizi. Note anatomiche
an DuTSE. llyperencéphalie et pérodactylie. Bulletin de la Société de médecine de Gand, 1894. N. VASCHIDE ET Cc. Vurpas, Ess
76 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté Je médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie
culté Je médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique | (Ste-Anne). C
esseur de clinique des maladies du système neneux la Faculté de médecine de Paris. JIDLADADIE(J ? ARNAUO, Al,5DIOLES,
odes : La première s'étend depuis les âges les plus reculés de la médecine jusqu'au milieu du siècle dernier; elle a trait
ement les renseignements qui la concernent dans tous les Manuels de médecine men- tale. Qu'il vous suffise de savoir que d
istincte qu'après la lecture faite par Baillarger à l'Académie de médecine , en 1854, d'un mémoire intitulé : « Noie sur un
stinctes, pour des genres (1) J. l'. Falret. In Leçon* ''Uniques de médecine moniale, 1854, p. 249. DE LA FOLIE MANIAQUE
trouve encore aujourd'hui reproduite dans la plupart des traités de médecine mentale. Malgré cela, la légitimité de la nouve
ville fils en 1872, Ritti en 1878, dans les deux dictionnaires de médecine , ensuite du mémoire que fit paraître à la même
Alavérité, Magnan avait déjà fait remarquer en 1890, au Congrès de médecine de Berlin, que les distinctions établies par le
us les malades. REVUE DE THERAPEUTIQUE I. La ponction lombaire en médecine mentale ; par le D DEUOUnmx. (l3ull, cle la ,oc
d ; discussion des 9 et 10 janvier 1906. (Bulletin de l'Académie de Médecine .) La glorieuse découverte du physicien de Wurtz
orieuse découverte du physicien de Wurtzbourg (189-il a permis à la médecine étala chirurgie de faire d'immenses progrès dan
pratiques peuvent créer un danger social : 3° Seuls les docteurs en médecine , les officiers de santé et les dentistes diplôm
mes ci-dessus désignés constitue un acte d'exer- cice illégal de la médecine . ' ' L. Wahl. VI). La crampe professionnelle et
ation du plexus' solaire; par MM. VALLAS et Cotte. (Soc. Nation, de médecine de Lyon, 20 mars 1906, Lyon médical, 15 avril 1
ma- ladie d'Erb Goldflam ? ; par LECLERC et S.1R'ON.1T. (Rev. de médecine , 29 novembre l'.IOâ.) Il s'agit d'une jeune fil
t Jules VOISIN. Rapport médico-légal sur l'exercice illégal de la médecine par une voyante. JI. Paul MAGNIN lit un rapport
l'asile de Clermont (Oise), ou- 1 vrage couronné par l'Académie de médecine . (F. A lcan, ¿dÜe¿t7".) Nous possédions déjà, d
PANSIER Ancien chef de clinique ophtalmologique de la Faculté de Médecine de Montpellier. Pour établir une revue d'ense
'iris avec perle de ses reliefs existe aussi (1) Jowhoy. Journal de médecine et de chirurgie, 10 juin 18S, .lor.rnov. Des si
it Dupuy-Dutemps,ce symptôme est d'une grande valeur, aussi bien en médecine légale que pour les contrats d'assurance. Dès
ecteur du 1" corps d'armée; de M. Combemale, doyen de la Faculté de Médecine et de M. Chocreaux, médecin en chef de l'asile
r les hommes qui s'occupent spécialement d'une branche donnée de la médecine . Mais il doit surtout ne pas exagérer cette spé
vail appelé à prendre place désormais dans tous les laboratoires de médecine men- tale. Il le remercie de l'allusion faite d
estibilité, comme élément psychologique intéressant à considérer en médecine légale : et encore une suggestibilité particuli
es,en psychiatrie.plus stériles que dans les autres « parties de la médecine ». La reconnaissance des psychoses combinées pr
is, tous font le vide autour de lui ; mais si, seul, un étudiant en médecine qu'il connaît un peu, lui marque quelque intérc
ble ; i Par le D' .1. CRESPI.N. Professeur suppléant à l'Ecole de Médecine d'Alger. flot,. Marie, espagnole, âgée de 7 ans
es psychoses périodiques. Rapporteur : r,rf. Antheaume, de Paris. Médecine légale : L'expertise médico-légale et la question
ité tant de fois exprimée, d'organiser sérieusement un service de médecine mentale ou plutôt d'attacher un médecin aliéniste
des accès et des vertiges épileptiques. J. Si roI ? REVUE DE MÉDECINE LEGALE 1. Réforme pénale au point de vue anthro
nnée. Art. 2. Les candidats devront êtres Français et docteurs en médecine d'une des facultés de 1 Etat, avoir satisfait à l
l'intérieur sur une liste de trois noms présentés par la faculté de médecine de Paris ; 3° Deux professeurs titulairesde f
médecine de Paris ; 3° Deux professeurs titulairesde facultés de médecine de l'Etat, t, ou, à défaut, désagrégés ou charg
épreuves sont éliminatoires. . 4° Une question orale portant sur la médecine et la chirurgie en général, pour laquelle il se
son auteur qui fut profes- seur de Clinique mentale à la Faculté de Médecine de Pa- ris, et ensuite à cause du très grand re
sujets de ces expériences ont été des médecins et des étudiants en médecine . I. Recherches sur les réactions. RÉACTIONS A
tion dans les asiles de l'Ecosse, au moment même où l'Académie de médecine entendait Villemin la démon- trer maladie infec
la question. Il s'accentue toutefois avec le treizième Congrès de médecine de Paris (août 1900) qui, sur la proposition de
- Dingn. précoce de la tuberculose par la séro- réac61on. Revue de médecine , sept. 1906. LA TUBERCULOSE DANS LES ASILES D
e ce mode très grave de contagion. Landouzy a montré (Académie de médecine , 30 mars 1906) que, dans l'industrie du blan- c
l des mesures à prendre dans les asiles. En France, le Congrès de médecine de Paris, en 1900, adopta un voeu formulé par l
.Les résultats de ces recherches sont communiqués à la Société de médecine du département du Nord et publiés dans diverses r
e-Emilie), née à Saint-Christophe du Jam- (1) Revue d'hygiène et de médecine infantile, 190d, no G. (2) Celle observation no
de nos publications personnelles : Bourneville. Art. dans Traité de médecine de Bronardel et Gilbert, t. IX, pape 5S (1001-1
eur dans la maladie de Friedreich ; par Launois et hOROT. (Revue de médecine , nov. 1905. Observation d'une jeune malade de 1
tion kystique dans la glan- de ; par ,\IDr\L, Hov et FROIN, (eue rl Médecine ^ avril, 190fi,) Dans le cas dont il s'agit, le
sthénique et du syn- drome labyrinthique, par M. HOYET. (Société de médecine de Lyon, 25 juin f906. in Lyon méd. 15 juillet
) Dans une nouvelle communication faite à la Société nationale de médecine de Lyon, M. Jean Lépine montre que les rhumati-
cure : primum vivere ! (v. p. 483). E. COULONJOU. XIV. Eléments de médecine mentale appliqués à l'étude du droit ; par le D
ec ses instincts souvent criminels. )1, Legrain étudie avec soin la médecine légale de l'alcoolisme, de l'absinthisme. Il s'
hiques du brome, par Vaschide. p. 266. Ponction lombaire. La en médecine mentale, par Derou- baix, p. 23. dans l'état de
ou, p. ¢8G. Rapport médico-légal sur l'exer- cice illégal de la médecine par une voyante, par Paul Ma- gmn, p. 49. méd
77 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ovembre à l'Académie des sciences et le lendemain à l'Académie de médecine , ces médecins attribuent à l'acétophénone des p
t ? Nous laissons à nos confrères le soin déjuger cette question. MÉDECINE LÉGALE DU DIAGNOSTIC MÉDtCO-LÉGAL DE LA PYROMAN
pour obéir à des perversions sensorielles ou à des conceptions 20 MÉDECINE LÉGALE. délirantes, mais de ceux qui y sont ent
ersistent à refuser communication de la procédure. On le voit, en médecine légale de la pyromanie, l'examen indirect n'est
tions psychiques antérieures, ni une adaptation àdesphéno- 24 ruz MÉDECINE LÉGALE. mènes extérieurs morbidement interprété
ux à huit. La ruse, l'habileté de dissimulation de ces malades 26 MÉDECINE LEGALE. en fournissent l'explication. Alors seu
revêtent est plutôt déterminée par des influences secondaires. 28 MÉDECINE LÉGALE. Ainsi les héréditaires ne viennent pas
que leur réputation de n'être pas aliénés. L'opinion publique 30 MÉDECINE LÉGALE. affirmait que cinq des six malades que
t normal par l'assouvissement de son instinct pathologique, il 32 MÉDECINE LÉGALE. déplore sa mauvaise action et s'efforce
n qu'elle avait eu soin d'assurer, et Archives, t. XIU- 3 3'(- le MÉDECINE LÉGALE. dont la municipalité demandait d'urgenc
i avons assigné plus haut ? J'ignore si la grossesse qui a une 36 MÉDECINE LÉGALE. influence si marquée sur la kleptomanie
de les peser et de les apprécier; car, il ne faut pas oublier qu'en médecine légale, il n'y a que des cas particuliers. Cett
là avait fait fête. Parti de son habitation depuis la veille, il 38 MÉDECINE LÉGALE. avait été à Semur, où il avait bu sans
allumés. Fille de paysans à esprit très borné, elle avait dans le 2 MÉDECINE LÉGALE. village la réputation de n'être pas mie
hauteur des flammes. Les crimes eurent lieu le 18 et le 19. 41 se MÉDECINE LÉGALE. Des caractères relatifs aux faits incri
ses maîtres, il les aimait; c'est malgré lui qu'il leur avait 46 MÉDECINE LÉGALE. occasionné du mal, il était naturel qu'
à porter secours, dont chacun témoignait; mais en dépit de toute t8 MÉDECINE LÉGALE. son habileté, il ne put cette fois trio
notre assertion relative à l'infériorité Archives, t. XIII. 4 50 MÉDECINE LÉGALE. intellectuelle des impulsifs au feu che
omitants des crimes ou immédiatement antérieurs : céphalalgie, 52 MÉDECINE LÉGALE. DE LA PYROMANIE. palpitations de coeur,
t plus précise. En 1852, paraissait, dans les Archives générales de médecine , un mémoire du professeur Lasègue, sur le délir
le ; Excusés : MM. de Nasse, et Westphal, malades. 1 Ch. Féré. La Médecine d'imagination. (Progrès médical.) Br. in-80, 18
oyez Kussmaul {Stoerïmgen der spreche) ; Charcot et Marie (Revue de médecine 1883); Notimagel (Maladies de l' encéphale, p. 46
de l'autre; elles représentent des notions de droit pénal et non de médecine . Y a-t-il, y avait-il ou non, inconscience, ou
ER . YJERGE DU CANTON DE BERNE - Par Paullus LENTULUS, docteur en médecine , citoyen et physicien ordinaire do l'illustre e
nnes, parmi les médecins ordinaires, Paullus Lentulus, docteur en médecine ; Daniel, lithotomiste épiscopal, et maître des ch
t ne l'a pas formée à la légère. En la composant de six docteurs en médecine , d'un magistrat, d'un jurisconsulte, d'un admin
dre ces paroles mémorables : « La folie est un mal du ressort de la médecine ». Le rôle du médecin est donc natu- rellement,
re, médicale. Cette dernière y sera représentée par un docteur en médecine aliéniste, nommé par le ministre, fonctionnaire d
x ans, chef de clinique des maladies mentales à la Faculté mixte de médecine et de pharmacie de Lyon, en rem- placement de M
mort. Il fit son éducation à l'Académie de Kentucky et il étudia la médecine à l'Université de Pens\lvanie, où il prit ses gra
avoir passé une saison à Carlsbad. Né en 1844, il fit ses études de médecine au Bellevue hospital où il occupa succes- sivem
ture dans l'anémie»; « de l'Utilité dup/tyc" ! 0f/ ? '<tp/te en médecine »; « du Coma dans la maladie de Bright chroniqu
és dans sa délicate mission. (Annales utédico-psych.) Académie de médecine . Prix décernés pour le concours de 1886. Prix A
rne le prix à M. le De G. Assaky, professeur agrégé à la Faculté de médecine de Lille, pour son mémoire : De la suture des n
ire, et .' A. Pitres. -Considérations siii, t.7gi,al)hie. {Revue de Médecine , Iggi, t. IV, p. 855, et Bernard, toc. cit., p.
ohemsson dans la séance hebdo- madaire de la Société finlandaise de médecine . De sa chambre il n'avait qu'un escalier à mont
mentionnés par Henoch doivent probablement, ' Loc. cit. 'Revue de Médecine , janvier 1886, p. 71. 1. 208 CLINIQUE NERVEUSE.
Voir la communication de Henoch sur la clior6o devant la Société de Médecine de Berlin, et la discussion qui s'en est suivi :
ans la littérature. M. Teissier (1884) com- munique à la Société de médecine de Lyon une seconde obser- vation. M. Charcot (
en pouvant être prolongé pendant six semaines, M. le ministre de la médecine a transmis les voeux de la Société2 au ministre
logique à plusieurs siècles de distance. P. KÉHAVAL. XVI. Traité de Médecine légale, de Jurisprudence et de Toxico- logie; p
Archives, t. XIII. 20 306 bibliographie. les livres français de médecine légale ne donnaient guère jus- qu'ici que les n
ançais suffisait déjà à expliquer le succès obtenu par le Traité de Médecine légale dont M. Legrand du Saulle a publié quelq
aulle, a été celle-ci : ouvrir une voie de communi- cation entre la médecine et le droit, opérer en quelque sorte la fusion
au groupement des nombreux sujets qui sont du domaine immense de la médecine légale. Cette méthode qui n'existe nulle part a
aulle. Elle comprend des recherches historiques sur l'origine de la médecine légale, des études sur la naissance, l'enfance,
ès érudit. Les applications de la chimie et de la micrographie à la médecine légale ne pouvaient rencontrer un historien plu
édicale, Ilarward Universitv. (Communiqué au New England Journal of Médecine and 6'M< ? )822.) Parmi les maladies nées
us, nous inclinerions assez volontiers à 1 Hégis. jMaMMc/praf/Me de médecine mentale. Pans, 1885. 1 Bail. Du délire ambitieu
délirante à marche chronique dont l'exemple nous soit fourni par la médecine mentale. Il ne constitue pas une loi évo- lutiv
mie des sciences en 1784, de Puységur, et passant par l'Académie de médecine en 1825 et 1837, le baron du Potet (miroir magi
ée 1887 : président : M. le Dr DUIARDIN- BEAUMET7, de l'Académie de médecine , médecin des hôpitaux : vice-présidents : MM. C
pour l'instruction des infirmiers des hospices d'aliénés, 303 ; Médecine légale (traité de ), ), par Legrand du Saulle,
Pied (phénomène du), par Axen- feld, 239. Prix de l'Académie de médecine , 172 ; de la Société médico- psychologique, 3
78 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
euil a appelé récemment l'attention (voir Bulletin de l'Académie de médecine , 27 sepembre 1887) sur une classe de malades pr
s du mercure. En octobre 1887, le Dr Magitot a lu à l'Académie de médecine un mémoire sur la glossodynie (Glossodynia exfo
pensée et le travail chimique, XII, 83. Cf. La physio- logie et la médecine . Leçon d'ouverture du cours de physiologie, Paris
XXX.) ' Influences des lésions corticales sur la vue. (Archives de médecine expérimentale, 1889.) , ' The centre for visi
ur les maladies mentales; par M. B\iLnnGEn, membre de l'Académie de médecine . Deux volumes de 700 pages. Masson, éditeur.
t il a publié des études d'esthétique rétrospective appliquées à la médecine : nous ne rap- pellerons pas le succès qui a ac
ite à celles qui ont paru en 1881 dans la Gazette hebdomadaire de médecine et chirurgie; puis à d'autres qui ont été publiée
olin, avec 75 points; - 4° M.'l'Invet, avec 62 points. Congrès DE médecine mentale DE LyoN.Lesmédecins aliénistes de Lyon
yant pour but l'organisation locale du prochain Congrès français de médecine mentale qui doit se tenir en 4891, dans cette v
rt de M. Lockroy sur les projets de loi relatifs à l'exercice de la médecine ; ce passage a traità la pratique de l'hypnotism
raità la pratique de l'hypnotisme par des personnes étrangères à la médecine : « Notre.collègue M. David considère l'hypnoti
considère l'hypnotisation comme un procédé d'exercice illégal de la médecine et dirige contre celui qui, sans être muni d'un
mende de 100 à 500 fr. « Le temps n'est pas loin où tout docteur en médecine qui osait parler de magnétisme animal était gou
mbien cette lacune est regrettable. (Bull, médical.) . Faculté de médecine DE Gènes. M. le D1' E. TkuRi est nommé privât d
D1' E. TkuRi est nommé privât docent de psychiatrie.. Faculté DE médecine DE STRASBOURG. M. le D1'. Cari FÜRSTNER, profes
DE STRASBOURG. M. le D1'. Cari FÜRSTNER, professeur à la faculté de médecine de Heildelberg, est nommé professeur ordinaire
r ordinaire de psychiatrie, en remplacement de M. Jolly. Faculté DE médecine DE LAUSANNE. M. le Dr Rabow est nommé professeu
d'être érigée en faculté à la suile du legs de Rumine. Faculté DE médecine DE GAND. M. J. v.aN 131ERN'LIET est chargé du c
EUET DE VALONNE (Joseph-Edouard), professeur honoraire à l'école de médecine de Besançon, médecin en chef de l'Asile départe
OLFACTION 2 Par M. P. TROLARD, Professeur d'anatomie à l'Ecole de médecine d'Alger 3. iI CENTRE CORTICAL DE L'OLFACTION.
de l'Acad. des sciences, 1860, I, 471. Cf. Ar- chives générales de médecine , XVII, 1861. 252 PHYSIOLOGIE. contraction. Qu
fut montré aux physiologistes réunis au Congrès inter- national de médecine à Londres en août 1881, et tous admirent qu'il
avec des symptômes de lésion cérébrale, et l'état du 1 Archives of médecine , février 1882. Fig. 21. 254 PATHOLOGIE PHYSIO
travaux de la Société et indique quel a été son rôle au Congrès de médecine mentale de Rouen. , M. Bouchereau, prenant le
tue un élément des plus précieux pour leur traitement. Faculté DE médecine DE PALERME. M. le D1' Guis. BRANCALEONE est nom
s. BRANCALEONE est nommé privat-docent de psychiatrie. Faculté DE médecine DE HEIDELBERG. M. le Dr KRAEPELIN, pro- fesseur
cine DE HEIDELBERG. M. le Dr KRAEPELIN, pro- fesseur àla Faculté de médecine de Dorpat, est nommé professeur ordinaire de ps
rdinaire de psychiatrie, en remplacement de M. Furstner. Faculté DE médecine DE BRESLAI1. M. le Dr WERN1CHE, profcs- FAITS D
dans le Journal de Smyrrze : a La direction de l'Ecole impériale de médecine de Constantinople a adressé au ministre de l'in
dépopulation. Dans la séance du 2G décembre 1890, de l'Académie de Médecine , M. Lancereaux a fait une communication sur ce
eu pour but d'organiser cette assistance. Exercice ILL1G1L de la médecine (Somnambules). L'affiche sui- vante avait, dans
halandé. Le magnétiseur, qui était inculpé d'exercice illégal de la médecine et de la pharmacie, reconnaît les faits; la som
ous donne ici le moyen dont se servent Messieurs les professeurs de Médecine , ainsi que certains artistes donnant des représen
osé des motifs de la création de la Société médlco-psjchologique, - Médecine légale : des circonstances atténuantes des alié
des vues ou des découvertes de l'ancien président de l'Académie de Médecine . Les modalités du délire des paralytiques, et,
larger suit un fil conducteur matértel. C'est ainsi seulement qu'en médecine , on peut espérer aborder un jour le mécanisme d
que des maladies nerveuses, et SOPHIE WOLTKE (d'Odessa), docteur en médecine . On sait que les attitudes passionnelles qui ca
curité aussi pro- fonde que le dit le savant doyen de la faculté de médecine de Bordeaux. 0 Le bégaiement', le bredouillom
signifie. Et c'est là la qualité essentielle d'une dénomination en médecine . PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE « THE CROONIAN LECT
dans cet état que l'animal fut montré au Congrès interna- tional de médecine , et alors une contracture bien marquée s'est ét
iénés. Il y a dans cette question un sujet connexe au droit et à la médecine , et que de prochaines discus- sions parlementai
ppréciations sur les opinions émises par les orateurs du congrès de médecine men- tale à ce propos prouvent une fois déplus
sage que l'atteinte portée à la liberléde l'individu. Au congrès de médecine mentale, c'estle point de vue médical qui a dom
nés ordinaires, ou leur créer des asiles spéciaux ? L'académie de médecine de Bruxelles vient, à ce sujet, de voter la néc
poussé dans une autre voie, il n'ajamais oubllié ses débuts dans la médecine men- tale et il croit en avoir donné la preuve
t déductif et non un fait d'in- duction, en proclame l'inutilité en médecine légale de l'aliéné cri- minel, d'autant plus qu
st en même temps un dégénéré, c'est-à-dire un être qui relève de la médecine et un régressif, c'est-à-dire un être qui relèv
ASSELIN, NOLLET, MONSAR- H4T, CROUSTEL et D1GUILLON. \ Faculté DE médecine DE Paris. M. le D1' Marie, agrégé de la Faculté
ement théoriques, ainsi que de nombreuses projections. Faculté DE médecine DE BUD.1-I'ESTH. -nI, ]e U,. S.\l.GO est nommé
QoEEV's Collège DE Cors. - le Dr Oscar Woons est nommé doc- teur de médecine psychologique. Société DE psychologie PHYSIOLOG
l'Académie française), président; G. Ballet, agrégé à la Faculté de médecine de Paris; Beaunis, professeur à la Faculté de m
a Faculté de médecine de Paris; Beaunis, professeur à la Faculté de médecine de Nancy; L. Marinier, maître de conférences à l'
pratique des Hautes Etudes; Ch. Richet, professeur à la Faculté de médecine de Paris, et le colonel A. de Rochas, administrat
COLOI30MA (état du nerf optique dans le), par Manz. Congrès de médecine mentale de Lyon, 155; - (les médecins rus- se
79 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
EDECIN DE l'iIOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE MEMRRE DE l'aCADÉMIE ROYALE DE MÉDECINE , PRÉSIDENT PERPÉTUEL DE LA SOCIÉTÉ ANATOMIQUE, ET
CHIRURGIENS ET DE LA SOCIÉTÉ ROYALE DE LONDRES, RUE DE X.'ÉCOX.E DE MÉDECINE , N. 13 BXS. A LONDRES, MÊME MAISON, 219, REGENT
MINISTÈRE de la marine 12 MM. AiiBERT, professeur à la Faculté de Médecine de Paris 1 Aupe, D. M. à Vassy (Haute-Marne) 1 Al
. M. à Marcigny (Saone-et-Loire) 1 Asdral, professeur à la Faculté de Médecine de Paris 1 * Ashburner, D. M. à Londres 1 Aizou
re à Beauvais 1 Cazexve (Alphée), D. M. à Paris 1 Celaren, docteur en médecine et chirurgie, membre d la commission médicale d
is 1 Chopin, . M. au Neubourg 1 chomel,)rofesseur à la Faculté de médecine de Paris 1 * Clark (h.), libraire à Edimbourg 4
Rey et Gravier, libraires à Paris 8 Ribes, professeur à la Faculté de médecine de Montpellier i * Richardson, libraire à Cornh
rington Dis- pensary i Roche, D. M., membre de l'académie royale de médecine à Paris 1 Rohrmann et Schweigerd, libraires à Vie
d et Semiond, libraires à Lisbonne 1 Roux, professeur à la Faculté de médecine de Paris 1 * Royal infirmary à Manchester 1 *
s 1 * Smage, chirurgien à Bury (Suffolk) 1 Studiatti, professeur de médecine à l'université deEse 1 * Swanwick, D. M. à Macc
ons, serait une sorte de muséum d?anatomie pathologique, un traité de médecine clinique, indispensable peut-être aux praticiens
sont la preuve manifeste de la tendance générale des esprits vers la médecine positive, la médecine rationnelle, celle qui a po
ste de la tendance générale des esprits vers la médecine positive, la médecine rationnelle, celle qui a pour fondement l'anatomi
t le mal local, elle n'atteint pas la cause productrice du cancer. En médecine , on obtient moins de succès encore, parce qu'on n
aires et les pieds-bots permanens n'avait point échappé au père de la médecine ; c'est dans des cas de cette espèce, c'est-à-dire
(*) Pendant l'impression de cet article, je lis dans un journal de médecine (Nouvelle Bibliothèque médic., déc. 1829, page )
e rappela un fait analogue consigné dans le Bulletin de la Faculté de médecine : la pièce, modelée en cire, fait partie de la co
iver de là dans le qua- (*) Bulletin, delà Société de la Faculté de médecine du 19 février 1807 , tome I, page 32. (**) M. D
Reynaud vient de publier dans le ae volume du Journal hebdomadaire de médecine un cas de ce genre. iiie livraison. ^ 3e. Liv
it du vif; en un mot, une hémorrhagie par rupture. Méfions-nous d'une médecine purement symptomatique. L'hémoptysie n'emporte do
ce en thérapeutique; son rôle est de constater la lésion, celui de la médecine clinique est de chercher et de trouver le remède.
ique est de chercher et de trouver le remède. Or jusqu'à ce moment la médecine clinique n'a pas prononcé relativement à la gangr
s perdre de vue. (Conférez l'article acéphalocyste du Dictionnaire de médecine et de chirurgie pratiques, où j'ai traité la plup
cilement l'usage, ce moyen dut être abandonné, et l'on s'en tint à la médecine expectante. L'état de M. Mansard demeura à peu
ins et l'estomac avaient moins de couleur. » (*) Journal général do médecine , 1808. Bien qu'on désirai, d'une part, plus de
semblaient (*) Observations et propositions sur quelques points de médecine et de chirurgie, i8»4« « être la matière précéd
ontradictoirement à ce qui est généralement admis en pathologie et en médecine légale, qu'une fracture avec déplacement considér
'il y avait deux vagins et deux cols utérins. Sous le rapport de la médecine légale, ce vice de conformation explique la possi
de double col utérin. (*) Bulletins de la Société de la Faculté de médecine , 1817, page 437. (**) Archives de médecine, i8a5.
a Société de la Faculté de médecine, 1817, page 437. (**) Archives de médecine , i8a5. 4e. Livraison. Pl. 6 MALADIES DE L'UTÉ
ns pour servir « Vhistoire de l'angine œdémateuse. ( Arcliiv. gén. de Médecine , tome VII, p. 174.) laces, le produit de la fl
s. Sous le rapport thérapeutique, je ne saurais trop recommander la médecine la plus perturbatrice possible. Appelé pour un ca
n séreuse revêtir la forme intermittente. (*) Voyez Dictionnaire de Médecine et de Chirurgie pratiques , Paris , 1829 , i5 vol
s sous le titre de squirrhes du placenta. (*) Voyez Dictionnaire de médecine et de chirurgie pratiques, Paris , 1829, tome III
des unités de mille. Et celui qui voudrait importer le calcul dans la médecine ne ressemblerait-il pas à ce savant (Condorcet) q
rance, la prudence ou la témérité sont inutiles au lit du malade ; la médecine elle-même est inutile, voyez les tables de mortal
e sont point des résultats généraux de thérapeutique, car il n'y a en médecine que des individus, et pour avoir des calculs appr
adressée par le ministre de l'intérieur à la Société de la Faculté de médecine . camomille et de camphre, de frictions sur 1 ab
iphlogistique, mais employée avec prudence et mesure, c'est-à-dire la médecine expectante secondée de quelques applications de s
iguer les toniques à la manière de M. Petit, les cas dans lesquels la médecine expectante ou la méthode antiphlogistique sont se
le mal, et dans les cas où il n'existe aucune indication positive, la médecine franchpmpnt ?Yppctante pst la seule rationnelle ;
, la médecine franchpmpnt ?Yppctante pst la seule rationnelle ; or la médecine expectante suffit pour amener à bon port une foul
nir une réaction sans désordre comme sans stupeur. Le but idéal de la médecine est de tendre à conserver la vie toutes les fois
avoueront tous qu'ils en sont réduits au tâtonnement méthodique, à la médecine du symptôme, et qu'ils ne savent en général se re
al alimentaire ; les uns et les autres furent envoyés à la Faculté de médecine à l'analyse chimique. En déroulant les intestins
ion s'est présentée me paraissent des cas anormaux. (1) Archives de médecine , t. 19, p. 332. — Année 1829. viie lvraison. 7e
oration des os avec végétations osseuses; (*) Voyez Dictionnaire de Médecine et de Chirurgie pratique , tome V, article Céphal
. Tonnelle, dans un Mémoire présenté récemment à l'Académie royale de médecine (***). Voici le résultat des observations que j'a
maladies des sinus veineux de la dure-mère. {Journal hebdomadaire de médecine , l. 5, 1829. ) viii livraison. elle-même : mai
ôpital des enfans malades, consignées dans le Journal hebdomadaire de médecine (avril i83o, page 5a), par M. Burnet, viennent à
, sans la théorie de l'apoplexie veineuse capillaire (Dictionnaire de médecine et de chir. pratiques , art. Apoplexie} , pouvoir
e dans une flexion exagérée. Je lis dans le Journal hebdomadaire de médecine (compte rendu de la clinique de M. Dupuytren, par
cupations de cabinet, circonstance qui ne serait point à dédaigner en médecine légale. Chez quelques sujets toutes les articulat
resque toujours possible de diagnostiquer l'existence du ramol- (*) Médecine pratique éclairée par tanatomie pathologique , et
is que tout dernièrement un Mémoire ait été lu à l'Académie royale de Médecine , dans lequel on revient à l'opinion de Hunter, qu
llissement pultacé, la (*) Voy. ce Mémoire, Journal hebdomadaire de Médecine , i83o, t. 7, p- $21 et 5o5. (**) D'après l'opin
ations cadavériques s'y développent avec une extrême facilité. (**) Médecine pratique éclairée par Vanatomie pathologique. Par
d, à accuser une maladie chronique du foie. Que faire ? le régime, la médecine du symptôme sont évidemment les seuls moyens indi
( ) Mémoire, sur les perforations de l'estomac , par Gérard. C*) Médecine légale par Lecieux, Renard, Laisné , Rieux. Paris
ieux, Renard, Laisné , Rieux. Paris, 1819, in-8 , p. 10 1. Arch. de Médecine , tome 11e, p. 388. Obs. publiée par M. Rullier. —
in des caillots, ne serait-il pas formé (*) Journal hebdomadaire de Médecine , 182g, t. m, dans le lieu même où on le rencon
ion déclarée, une fois que le pus est en circulation avec le sang, la médecine est généralement impuissante. Or, de même que nou
r pour arriver , par rapport aux cancers du foie, au double but de la médecine clinique : diagnostiquer et guérir. IV. Or, tou
odes de la maladie et des lésions qu'elle laisse après la mort, à une médecine symptomatique, et à un traitement purement hygién
des cotylédons. Cette donnée pourrait être d'une grande importance en médecine légale. L'utérus reste d'ailleurs long-temps plus
cholérique ; gastro-entérite. Mort. Tel est le cas d'un étudiant en médecine , âgé de vingt-neuf à trente ans. Le 6 avril, il
e Clareuil, etc., attachés à la même ambulance en qualité d'élèves en médecine . A son. entrée : lividité; froid ; faciès et vo
e du choléra ? voilà les questions qui méritent de nous occuper. En médecine , la nature d'une maladie est établie, autant que
aladie à l'absence de la bile ; mais nous avons (i) Dictionnaire de médecine et de chirurgie pratiques, article anatomie patho
u'à ce jour, je ne saurais qu'y applaudir. On ne peut trop étendre en médecine le champ de l'observation. Nous sommes donc dan
la maladie au cœur5 il est vrai, qui constituent ce qu'on appelle la médecine du symptôme, mais au-delà desquelles tout est vag
être mon adjoint, de MM. Mas, Féron, Maffran, de Clareuil, élèves en médecine . Il n'est pas jusqu'aux infirmiers qui ne rivalis
était pas flexueuse, i° l'autre interne (1) Journal hebdomadaire de Médecine , 1829, tom. 2% pag. 85. (2) Dictionnaire de Méd
ebdomadaire de Médecine, 1829, tom. 2% pag. 85. (2) Dictionnaire de Médecine et de Chirurgie pratiques, tom. 10e, art. Hypertr
u véru-montanum. Or, Home appelle lobe moyen, toute la (1) Dict. de médecine et de chirurgie pratiques, tome 10, article Hyper
encore mêlé de caillots de sang; quelques-uns (i) Dictionnaire de i Médecine et rie Chirurgie -pratiques, article Apopi.exif..
ernes et internes. Dans l'un et l'autre cas, l'art est réduit à une médecine purement symptomatique, qui consiste le plus souv
le mémoire de MM. Trousseau et Leblanc, sur la mélanose. (Archives de Médecine ). De ce qui précède, il suit que les deux pério
rés, la boite (i) Ce fœtus monstrueux a été adressé à la Faculté de médecine par M. Caboche-Roger, officier de santé à Pierref
nus veineux de la dure-mère. Paris, 1829. m_8°. (2) Dictionnaire de médecine et de chirurgie pratiques, t. xn, art. phlébite,
on des sinus de la dure-mère, pag. 668. (3) Journal hebdomadaire de médecine , avril i83o, pag. 52. XXe LIVRAISON. 2 Invasi
80 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
CLINIQUE GILLES DE LA TOURETTE PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE PARIS MÉDECIN DES HÔPITAUX ALBERT LONDE
anches PARIS MAS SON ET oe, Éditeurs LIBRAIRES DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE ' 120, Boulevard Saint-Germain 1896 NOUVELL
araissent devoir présenter en ce qui concerne les applications à la médecine et à la chirurgie une importance non moins gran
iétés des rayons X, il est. évident que c'est dans le domaine de la médecine et de la chirurgie que les applications les plus
es cendres du Vésuve nous conservent encore bien des surprises. La. médecine , d'ailleurs, à n'en juger que par l'arsenal chiru
ne faut pas négliger de rechercher les documents qui intéressent la Médecine , les artistes introduisant parfois dans leurs o
orsale zone pG (parésie du bras gauche, pa- (1) J. SoTTAs, Bévue de médecine , 1893. GOMME~SYPHILITIQUE DOUBLE DE LA MOELLE É
RE PAR GILLES DE LA TOURETTE, Professeur agrégé à la Faculté de médecine , Médecin des hôpitaux. Dans ses Leçons sur la
DE ROENTGEN PAR PIERRE DELBET Professeur agrégé à la Faculté de Médecine , Chirurgien des Hôpitaux. La possibilité de fai
icles publiés dans les périodiques français avaient proclamé que la médecine et la chirurgie n'en tireraient pas grand profit.
celles qui puissent faire faire directement de grands progrès à la médecine ou à la chirurgie, mais elle n'en est pas moins
Loyola. Ibid., 1891 p. 318. HENOY 1\I1 : IOE, Les Peintres de la Médecine . Le « Convive indigne ». Ibid., 1895, p. 192. L
RE PAR GILLES DE LA TOURETTE, Professeur agrégé à la Faculté de Médecine , Médecin des hôpitaux. (Suite et fin) CI).
at- tention des pathologistes. De fait, les plus récents traités de médecine n'en font même pas mention. Son existence est
e même facies et semble également gibbeux. - (2) Gazette hebd. de médecine et chirurgie, 1857. LES NAINS ET LES BOSSUS DAN
malades dont l'obser- vation figure dans mon mémoire de la Revue de médecine avec une suspen- (t) Ch. FÉHÉ et II. Lnmr, Deux
(2) Ch. Féhé, Du borax dans le traitement de l'épilepsie (Revue de médecine , 1895, p. 750). 198 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
prudent de mettre un terme à tous les racontars. Il pensa que « la médecine jouissait en cette affaire LA MALADIE DE LA FIL
de la Faculté de Paris. M. Morand, docteur régent de la Faculté de Médecine de Paris, profes- seur d'anatomie et d'accouche
s scientifiques. A 24 ans, il était docteur régent de la Faculté de médecine de Paris, et devint bientôt pensionnaire, puis
ladie comme une affection mystérieuse, échappant aux lumières de la médecine , l'encou- rageaient « à renoncer aux secours de
nait le dessus. Deux jours après, le 18 octobre 1753, la Faculté de Médecine de Paris confirmait par un jugement les déclara
nt : . « L'observation est en général ce qu'il y a de plus utile en médecine , parce que c'est ce qu'il y a de plus certain ;
posait d'y suivre les grandes vues du bien public, dont la faculté de médecine a én3 animée de tous les temps, en faisant obse
e son père, se recrutent dans toutes les bran- ches de la science : médecine , chirurgie, chimie, minéralogie, histoire (1) H
urs. Les au- teurs de l'article « Paralysie générale » du Traité de médecine le considè- rent bien comme une véritable incoo
(1) Aot)zr·opathia tabido1'llm. Thèse de Berlin, 1891. (2) Revue de médecine , 1878. (3) Archiv. sur Psychiatrie und Nervenk,
et Coronat, Arthropalhies d'origine nerveuse. Archives générales de médecine , 1893. (8) Chipault, Arthropatlzies nerveuses.
eux et les plus inté- ressants pour l'histoire iconographique de la médecine et de la chirurgie. (1) Henry MEIGE, Les Peintr
la médecine et de la chirurgie. (1) Henry MEIGE, Les Peintres de la médecine (Ecoles flamande et hollandaise). Les opération
ler d'une communication faite au dernier Congrès internatio- nal de médecine , à Rome, par un médecin de Graz, M. Buller, ce co
me époque le docteur Barrs (2) a présenté à une société anglaise de médecine un garçon de douze ans, qui, étant atteint de la
es), Sur la paralysie causée par l'arsenic. Gazette hebdomadaire de médecine et de chirurgie, 1857. (2) KnAus, Des paralysie
ancereaux, dans une très intéressante communication à l'Académie de médecine (21 juillet 1S96), « Sur les paralysies tonique
elques années, M. le Dr E. Vidal (1) a communiqué à l'Acadé- mie de Médecine , la relation d'une épidémie d'arsenicisme chroniq
(1) E. Vidal, ACl'odynir. in [intoxication arsenicale. Académie de médecine , 17 juil- lui 18S8, et Annales d'hygiène, t. XX
é il y a plus de vingt ans, par le Dr Gaillard (2), à la Société de médecine légale. Une jeune fille de vingt- deux ans, aff
POUCIJET, loc. cit. (2) Gaillard, Annales d'hygiène publique et de médecine légale, 1874, t. XLII, p. 406. PARALYSIES ARSEN
e rencontrent en nom- bre assez considérable dans les annales de la médecine . Qu'il me suffise de vous en donner comme preuv
t, loc. Cil., p. 483. (2) Thoinot, Paraplégie arsenicale. Manuel de médecine de Dcbove-Achard, t. IV, 1 p. 593. 344 NOUVEL
sent peut-être de l'origine hébraïque de Maccus. LES PEINTRES DE LA MÉDECINE . {ÉCOLES FLAMANDE ET HOLLANDAISE). L'OPÉRATIO
le, les barbiers s'engageaient par serment à « n'administrer aucune médecine , laxative, ou altérative, ou conforla- tive » (
r un lien entre ces deux expressions de physionomie. D'une scène de médecine populaire, entrevue par la 'porte de quelque mi
rsenicales, par le Professeur F. RAYMOND, 321. Les Peintres de la médecine . Peintures murales de Pompéi. Enée blessé, par
es de Pompéi. Enée blessé, par Henry MEME, 36. Les Peintres de la médecine . Les Opéra- tions sur l'épaule,par Henry 11TEIG
éra- tions sur l'épaule,par Henry 11TEIGE,31G. Les Peintres de la médecine . Opérations sur le dos, par Henry Meige, 381.
81 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
NÉES ET SYPHILITIQUES PAR PAUL RICHER MEMBRE DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE PROFESSEUR d'ANATOMIE A L'ÉCOLE DES BEAUX-ART
UX-ARTS GILLES DE la TOURETTE PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DE MÉDECINE MÉDECIN DES HÔPITAUX ALBERT LONDE DIRECTEUR
texte PARIS MASSON ET Cle, ÉDITEURS LIBRAIRES DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE E 120, Boulevard Saint-Germain (6e) 1904 NO
à-dire en 1888, puis, définitivement, dans son article du Manuel de médecine Debove- Achard, paru en 1894. En 1901, Schwen
ation dans le cordon de Goll. Suivant Dejerine et Thomas (Traité de médecine de Brouardel et Gilbert, t. IX, p. 821) « les fib
, de la théorie lymphatique de P. Marie et Guillain, 1 FACULTÉ DE MÉDECINE DE BORDEAUX. CLINIQUE DE M. LE PROFESSEUR A. PI
1819 ; CH. Féré, Note sur un nouveau cas de pied tabétique (Rev. de médecine , 1884, p. 477) ; CH. Féré et G. DE- MANTI(É, El
itus dorsal (C. R. de la Soc. de Bio- logie. 1891, p. 620. Revue de médecine , 1893, p. 602). (3) Cn. Féré. Note sur des ento
critiques d'art. M. Paul Richer, dans son beau livre sur l'At et la Médecine ne leur consacre pas d'étude spéciale (1). Auss
LAIRE PAR E. BRISSAUD, et H. GRENET, Professeur à la Faculté de Médecine Interne, médecin de l'Hôtel-Dieu. lauréat des H
on travail sur la Spondylose rhumatismale (in Archives générales de médecine , juillet 1901) est d'une part leur type clinique,
e par rapport au cervelet. (1) BRAULT et LOEPER, Archives gén. de médecine , 1900, p. 256. (2) Dupé et DsvAux, Nouvelle Ico
ue ont été entièrement faits par M. le Dr Taty, chef des travaux de médecine mentale à la Faculté, qui a bien voulu nous réd
Arch. f. Ps., 1893. Ramson-Bhain, 1895. Demi et PAVIOT, Revue de médecine , 1897. (4) Revue de Psychiatrie, février 1903 (
plication pathogéni- (1) Dictionnaire Deschambre ; Brissaud, Traité médecine Charcot-Bouchard ; Omci, Il Policlinico, 1895 ;
; BRAULT et Loeper, op. cit. ; DEVIC et Gnerumn, Arch. générales de médecine , 1900 ; 13URZf0, Ann. di Frenatria, 1900; Lanno
ti- cularités qui les différencient des affections du domaine de la médecine interne, et même de tout le reste de la médecin
s du domaine de la médecine interne, et même de tout le reste de la médecine . Si nous exceptons, en effet, les psychoses aig
de la même époque. Charcot et P. Richei' (1) P. Richer, L'art et la médecine , fig. 23. (2) Jean Heitz, Un possédé de Rubens,
de cercle très bien reproduite. , Dans son livre sur l'art et la médecine , P. Richer rapporte plusieurs au- tres document
et les Hermaphrodites antiques. L'Anthropologie, t. IV, 1895. (3) Médecine moderne, 14 octobre 1893. (4) Henry MEME, Sur l
, 14 octobre 1893. (4) Henry MEME, Sur le gigantisme, Arch. gén. de médecine , octobre 1902. xvii 10 166 l3fiISAUU ET OEIG"
(V. LAUNon; et Roy, Glycosurie et hypophyse, Archives générales de médecine , 5 mai 1903). Notre malade n'a aucun signe d'ac
M. P. Marie a rapporté dans l'article « Hémiplégie » du Traité de \ médecine un cas observé avec l'un de nous : il s'agissait
ues purs dans l'hémiplégie. Gombaut a rapporté dans les Archives de médecine expéri- mentale (1892) un cas de paralysie alte
GCILLAIN, Revue neurolo- gique, 1899, p. 835 ; J. Lépine, Revue de médecine , 1899, p. '480. (1) Soc. de Neurologie, in Th.
nées à la Salpêtrière. La collection d'oeuvres d'art intéressant la médecine recueillie par Charcot et Paul Richer, les bell
es ma- ladies du système nerveux. En 18892, Considérations sur la médecine vibratoire ; ses ap- plications, sa technique.
s erreurs sont commises, non seu- lement par ceux qui pratiquent la médecine générale. mais encore par des spécialistes dist
PÉDIQUES. - GUÉHJSON par A. CANGE, Chargé de cours à l'Ecole de médecine d'Alger. OBSERVATION. Le nommé Mouloud ben S'
bras. Faciès immobile. Parole traînante et larmoyante. (1) Revue de médecine , 1892, et Semaine médicale, 1892. (2) Hérédo-at
ocuments figurés sur les tics et les chorées, Soc.d'Ilistoire de la médecine , 9 décembre 1903; France médicale, 10 janvier 190
tribution à la pathologie des spasmes fonctionnels du cou, Revue de Médecine , septembre 1894 ; et FEINDGL, Des tics et de le
.- EXAMEN AN ATOMIQUE, PAR R. CESTAN, ET professeur agrégé de médecine à la Faculté de Toulouse P. LEJONNE, ancien
sclérose syphilitique du foie, « les bandes (1) Gimieht, Traité de médecine ; BIIOUAIIDEL et GILI3GI ! 'C,Cirr)tuse spleleliyu
èse de Paris, 1891. (4) II. Lajiy, Maladie de Thomsen, in Traité de Médecine de Brouardel et Gilbert, t. X, p. 623. 456 LA
e totale, qui rendaient difficile son maintien dans un ser- vice de médecine générale. * .. * Sans vouloir reprendre ici
re en premier. L'hérédité morbide ou pathologique est envisagée, en médecine humaine, par Morel et par Magnan, sous le nom d
t une valeur diagnostique, aussi bien en pathologie men- tale qu'en médecine légale. Ils se traduisent par une dysharmonie m
tales du cheval », et qu'elle complétera le remarquable chapitre de médecine vétérinaire de M. Cadéac sur la séméiologie du sy
Il en est de même pour l'animal, en parliculier pour le cheval. La médecine vétérinaire offre un champ très étendu et des doc
es et perfectionnées. Dans le même ordre d'idées, on peut citer, en médecine humaine, les observations de Palémon, d'Adamant
urations crâniennes, faciales et corporelles, n'est pas nouvelle en médecine vétérinaire, où la crâniométrie a été introduite
ces études sont-elles restées purement théoriques. Et tandis qu'en médecine humaine, la connaissance des stigmates physi- q
e (inspection, palpation et mensuration) perdent de leur valeur, en médecine vétérinaire, du fait de la difficulté que l'on ép
i- fication en platy, méso et leptorhiniens est également connue en médecine vétérinaire. La déviation du nez, l'asymétrie d
ques, il y a parfois absence de certaines dents ; ce fait, connu en médecine humaine, a été observé chez l'animal par Cornev
e d'autres troubles des fonctions motrices connus de longue date en médecine vétérinaire. Suivant l'expression de Séglas (2) :
sentent les degrés les plus inférieurs de la dégénéres- cence. La médecine vétérinaire offre peu de documents sur ce sujet ;
(4) mais ces recherches sont bien postérieures à celles faites, en médecine vété- rinaire,parReynal, Goubaux, Barrier,Farge
placés, et cela n'a rien de surprenant puisqu'on discute encore, en médecine légale humaine, la valeur séméiologique de tous
uit dans un des plus beaux tableaux modernes qui aient rapport à la médecine , un moment très délicat et presque naïf d'une s
d'autres tapis- series religieuses ayant quelques rapports avec la médecine . C'est à l'église de Lurcy-Lévy, dans l'Allier,
d'hydropiques dans les frontispices et les gravures des ouvrages de médecine et de chirurgie a partir du xve siècle. ; Une g
joyeux bouffon ont dû s'exer- cer plus d'une fois sur le dos de la médecine . ' Sur notre gravure, on voit Arlequin, assis s
lequinades en images. Communication à la Société. d'his toire de la médecine , France médicale, 25 avril 1903. ,500 ' HENRI M
à longtemps (1). (1) A propos d'Arlequin et de ses attaches avec la médecine , signalons une gravure du commencement du xix,
82 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Professeur de clinique des maladies mentales a la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie
ur de clinique des m.dlltlies du système nerveux à L Faèullé de médecine de Paris. C01.LA11C ! UTKUP> PRINCIPAUX
ant, résumée par eux-mêmes, l'histoire de deux frères, étudiants en médecine , sujets par tempérament à la rougeur émotive, a
s obsession. Observation 1. - J. X..., vingt-quatre ans, étudianten médecine . Père nerveux, émotif, à émotion se traduisant
tif, névrose du système nerveux ganglion- naire (Arch. générales de médecine , 1866). 2 Klippel et Dumas. Des paralysies uaso
ient, outre le directeur-médecin et l'adjoint, les deux internes en médecine , et, quand l'aliéné était un travailleur, l'éco
pendantes de sa volonté qui l'ont empêché de se spécialiser dans la médecine men- tale, vers laquelle il se sentait attiré d
ercie M. Briaud de sa communication. Questions au sujet d'un cas de médecine légale en matière d'aliénation mentale. M. 13
e des médecins ordinaires, pour l'examen des aliénés ou académie DE médecine 't43 des prétendus tels, examen qui devrait n'ê
s membres du conseil de publications. Marcel BRIGAND. ACADÉMIE DE MÉDECINE . Séance du 26 janvier 1897. UN stigmate perma
igne précis permettant de la reconnaître. MM. Mai- 1444 académie DE médecine ret et Vires se sont attachés à déterminer des
Dr E. Régis, chargé du cours des maladies mentales à la Faculté de médecine de Bordeaux, auteur d'un Manuel inscrit sous le
Garnier, directeur de l'Asile de Saint-Ylie, près Dôle académie DE médecine 14J (Jura), brochure inscrite sous le n° 1, et
Th. Taty, chefs de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Lyon, auteurs du mémoire portant le n° 2. Pr
- dentes et expérimentées un puissant agent de psychothérapie. En médecine légale, sans vouloir faire des hystériques des ir
res ainsi que nous en rapportons souvent des exemples. Faculté DE médecine DE Genève. Nominations. - M. le Dr Johanee Mart
rbales psycho-molrices. Communication au congrès interna- tional de médecine mentale de Paris, 1889, in Arch. de Neurologie
u délire, p. 30. Paris, 1887. * Mendel. Le délire hallucinatoire ( Médecine scientifique, n° 21). 170 PATHOLOGIE MENTALE.
mbre 1895.) Lorsque, en 1891, au dixième Congrès international de Médecine , Quincke parla d'une méthode propre à évacuer l
rincipaux remèdes et médicaments soporifiques ou calmants usités en médecine men- tale. G. D. XVI . LE BROMURE D'E11bI0LE
sécution peut devenir dans ces cas très ' Voir rierret. Congrès cie médecine mentale. Blois, 1893, et la thèse de M. Rogipr
zzi, s'appuyant sur les recherches de Golgi et sur les 312 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. siennes propres, a insisté sur un point
s prolongements véritables de leurs cellules d'orig-ine. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. I. DE LA RESPONSABILITÉ CRIMINELLE DANS
li. HIV. sperlment. di fren., vol. XXII, 1896, p. 466-487. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. là Il 3 la clarté dnns la logique, la s
ment d'un homme qui chercherait la force de propulsion 314 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. d'un navire non pas dans sa machine, ma
ins a quelquefois justifié cette critique : mais un témoi- REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 31b enrage maladroit ne condamne pas un
sentait. En résumé on supprimerait le conflit entre la loi et la médecine si l'on voulait, de part et d'autre, faire le sac
ituel, et en le régénérant physiquement et moralement. 316 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. L'opinion publique s'est émue de l'état
tes les personnes entendues. (médecins ou personnes étrangères à la médecine ) ont été unanimes à déclarer que la première me
re pour le législateur un épouvantail qui le paralyse. Au nom de la médecine , de l'hygiène, de la santé publique, on a déjà
, parmi les plus nécessaires. R. DE MuSGUAVE CLAY. III. Un cas DE médecine légale ; par 130N'ILLG li. Fox. (The Journal of
Les détails de l'observation sont intéressants. M. R. C. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 317 ï IV. L'hypnotisme EN justice; par
faute et la porte ouverte aux abus possibles. A. M. 318 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. VII. Responsabilité légale ET ivresse;
le D1' Rézy, chargé du cours de clinique infantile à la Faculté de médecine de Toulouse. Assistance des aliénés. Organisati
Parant, allées de Garonne, 17, Toulouse. Congrès international DE médecine légale La Société de Médecine légale de Belgiqu
pel à la collaboration des hommes qui ont à coeur les progrès de la médecine judiciaire et qui, par la grande autorité qu'il
n des viandes. Rapporteur : M. le Dr Van Grnrengeu, professeur de médecine légale et de bactériologie à l'Université de Gand
ité libre de Bruxelles et M. le Dr de Nobele, assistant du cours de médecine légale à l'Université de Gand. II. législation.
asie pulmonaire. Rapporteur : : \1. le Dr Dallemagne, professeur de médecine légale à l'Université libre de Bruxelles. 2rao
reuses. Rapporteur M. le Dr Gabriel Coprin. assistant du cours de : médecine légale à l'Université de Liège. IV. Médecine me
ssistant du cours de : médecine légale à l'Université de Liège. IV. Médecine mentale. ire question : De la responsabilité, n
osé : président d'hon- neur : Dr Vleminckx, membre de l'Académie de médecine de Belgique ; président : D1' Mot, membre de l'
médecine de Belgique ; président : D1' Mot, membre de l'Académie de médecine de Belgique ; premier vice-président : D'' llal
ysio- logie et la pathologie du système nerveux : Prix Montyon de médecine et de chirurgie, 7,500 francs. Un prix de 2,500
ion que ne viennent soutenir ni la physiologie expérimentale, ni la médecine clinique. Tout se résout par une question de de
r suite nécessaire que dans la nouvelle organisation des examens de médecine il y ait un examen spécial de psychiatrie auque
ces, les troubles de la vue conduisent le malade dans un service de médecine interne ou d'ophtalmologie. Lorsque, à la fin d
Morphinomanie et Morphinisme ; 7 ? zoeti2-s, symptômes, traitement médecine légale ; par \l. le D'' Paul Rodet, directeur de
nai. Secrétaire général : D'' CRocQ, fils, agrégé de la Faculté de médecine , chef de service à l'hôpital de niolenheelc. - Se
a psychiatrie EN Amérique ET LES relations DE la PSYCHIATRE AVEC LA MÉDECINE GÉNÉRALE ; par le Dr E. COWLES. Alors que la ch
psychiatrie, tout en étant une spécialité, est intimement unie à la médecine générale, car elle trouve son étiologie dans to
s femmes. ' Conférence donnée au premier Congrès scandinave pour la médecine interne, à Gothembourg, 1896. 464 REVUE DE PA
es. Leur fond est identique à celui des psychoses des adultes. Leur médecine légale est soumise aux règles ordinaires de cel
es enfants, soit des professeurs, soit des agrégés de la Faculté de médecine de Paris, morts sans fortune ou sans retraite r
rilatère. 1..0., lobe occipital. TABLE DES MATIÈRES Académie de médecine , 143. AFFECTION MYCOTIOUE. Nouvelle - du syst
s aliénistes et neural' pathologistes, 334. - interna-1 tional de médecine légale, 334. Consanguinité dans ses rapports av
Mayer. 209. Manie. Un cas de - récurrente, par Havelock, 23 i. Médecine légale. Un cas de - en matière d'aliénation, pa
83 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
e congestion de la muqueuse utérine (Mém. et Bull, de la Société de médecine de Bordeaux, 1869, vol. ï, p. 85). — Parlant de
llie à l'autopsie d'un vieillard de 71 ans. Transféré d'un service de médecine à la Clinique chirurgicale de l'Hôtel-Dieu, pour
praticiens qui suivent le cou-rant de la science. Travaillons, et la médecine française reprendra le rang qu'elle a perdu. A. M
la rate se rencontrent. — En lisant, soit les ouvrages spéciaux de la médecine des animaux, soit les recueils ou écrits périodiq
u écrits périodiques con-sacrés à l'avancement de cette branche de la médecine générale, nous avons été frappé de l'absence d'ex
térines, par le docteur Jusl Lucas Championnière, ancien interne en médecine et en chirurgie des hôpitaux de Paris, lauréat de
re amende hono-rable. Une note fut insérée dans le Journal général de médecine , et une autre fut annexée à quelques-uns des exem
ute le lecteur a été sur- 1 Depaul, Comptes rendus de l'Académie de médecine , 1859. 2 Stoltz (de Strasbourg), Gazette hebdom
ble qui survient quelquefois au col de la matrice, dans le Journal de médecine , chirurgie, par Roux, vol. XL, 1775. pris, comm
urs exemples ; c'est surtout le squirhe que l'on observe. (Recueil de médecine vétérinaire, août 1869). Une autre variété de t
yperémie simple du poumon. En 1866, il publiait dans les Ar-chives de médecine un mémoire duquel il ressort clairement que la co
rs et de membres adhérents. Seront membres fondateurs les docteurs en médecine , les phar-maciens, les médecins vétérinaires dipl
uscription est fixé à 15 fr. Seront membres adhérents les docteurs en médecine , pharmaciens, vétérinaires, étrangers au corps mé
hilis. VIIe Question — De la réorganisation de l'enseignement de la médecine et de la pharmacie en France. VIII0 Question. —
s. A 5 heures du matin, on fait passer la malade dans le service de médecine . De 5 heures du matin, à 10 heures 30 minutes du
nt la plupart des principes de l'électrothé' rapie. On distingue en médecine deux espèces de courants électriques : les couran
nt pleines d'animation et d'intérêt. Qu'on est loin de l'Aca-démie de médecine , qui depuis trop longtemps dort d'un sommeil que
de cuisse sans raccourcissement, par M. Beau, professeur à l'Ecole de médecine de Brest; un bandage pour la hernie ombilicale, p
caduc qui accompa-gne le séquestre, et des plus intéressantes pour la médecine opéra-toire. — MM. Trélat et A. Guérin en ont pré
ussir ; et, en effet, nous voyons dans les bulletins de l'Académie de médecine que M. Lefort a présenté un malade chez lequel la
ouvé; et une excellente thèse1, soulenue en 1870 devant la Faculté de médecine de Paris, avait apporté à l'actif de cette médica
nière palpable, voici un appareil que nous avons également employé en médecine , et qui est remarquable au point de vue scientifi
er aussi avec utilité contre les ulcérations de l'utérus. (Journal de médecine de Bruxelles, 1871.) Ces propriétés du permanga
le démontre une pièce mise récemment sous les yeux de l'Aca-démie de médecine par M. Gallard et dans laquelle l'inflammation et
e du phlegmon péri-utérin ne saurait être mise en doute. (Académie de médecine , février 1872). V. Ablation du col utérin avec
Dictionnaire de Nysten. 11 cite aussi un passage du Dictionnaire de médecine et de chirurgie pratiques, dans lequel M. Nélaton
ait une comparaison très-nette entre la mé-decine d'observation et la médecine expérimentale, cette dernière poursuivant « le mé
-dire les conditions qui les déterminent. » Et plus loin : « Les deux médecines se confondent, se complètent, et leur réunion con
médecines se confondent, se complètent, et leur réunion constitue la médecine scientifique. » Or la médecine expérimentale n'
lètent, et leur réunion constitue la médecine scientifique. » Or la médecine expérimentale n'est autre chose que de la phy-sio
propriétés de ces élé-ments. « Comme conclusion, nous dirons : Pas de médecine scienti-fique sans physiologie, pas de physiologi
pharmacie, 1820, t. VI, p. 47. s Ibid., 1824, p. 24. 4 Archives de médecine , 1826, t. XVIII, p. 500. 5 Annales de chimie el
nnée 1865, et qui valut à son auteur le prix Barbier, à l'Académie de médecine , il faudrait pour cela nous étendre longuement su
sitives ? 2° Comment il convient d'envisa-ger les maladies ; 3° De la médecine morale; 4°Exisle-l-il vraiment des maladies nerve
osté-rieures, par le docteur Louis Sentex *. — En 1869, l'Académie de médecine de Paris proposa, comme sujet du prix Capuron, la
publicité, mé-moire qui non-seulement fut couronné par l'Académie de médecine , mais encore par la Société de médecine de l'univ
ut couronné par l'Académie de médecine, mais encore par la Société de médecine de l'université de Liège. Ce travail divisé en si
pression utérine, par le docteur Tiiiery-Miiîg. (Gaz. hebdomadaire de médecine et de chirurgie, 1872, n° 39.) — L'expression uté
isée par M. Chan-treuil comme moyen de délivrance (Archiv. géne'r. de médecine , 1870) pourquoi ne serail-elle pas appliquée au f
alignité, mais réduite à des proportions beaucoup moindres. Dans la médecine moderne, la malignité s'applique : 1° aux ma-ladi
eux. Récemment, M. Fournie a fait une communication à l'Académie de médecine , relative à une série d'expériences entreprises p
faits admis par l'ancien professeur de thérapeutique à la Faculté de médecine et ré-sumés par M. Mégevand : 1° Sous l'influen
nous avions obtenus et que M. Marrotte a communiqués à l'Académie de médecine , et nous ne pouvons mieux faire que de citer main
que les choses se passent comme l'indique le rapport de l'Académie de médecine . Selon M. Nativelle, rien de plus simple que les
ussi, sans aucune objection, que d'après les auteurs du Compendium de médecine , la bile, loin de couler avec moins d'abondance d
84 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
iche) ; D1' Antonacopoulo ; Dr Akestoridès, membre de la Société de médecine , memhre du Co- mité national de Turquie pour le
u Co- mité national de Turquie pour le Congrès inter- national de médecine et de déontologie; D'' Ar- man, médecin du Mani
élégué de la République argentine au XIIIe Congrès international de médecine ; D1' Lucas Ayarragaray (de ires) MM. Albanel,
La Salpètrière ; D1' Castomiris, profes- seur atrrégé la Faculté de médecine d'Athènes, correspondant étranger de l'Académie
ulté de médecine d'Athènes, correspondant étranger de l'Académie de médecine de Paris ; D1' Cardenas ; Il Cicrglinski (de Va
a, délégué du Gouvernent espagnol au XIII0 Congrès international de médecine ; 1), Fraga, délégué du Chili au XIII" Congrès
; 1), Fraga, délégué du Chili au XIII" Congrès Internationnal de médecine ; M. de Frumerie, externe des hôpitaux de Paris
udapest); M. Guichard, ingé- nieur à Paris ; M. Gillet, étudiant en médecine , à Paris ; Prof0 Gonnelli-Cioni ; 1)'' Glorieux
raanboom, Privat-docent, it Amsterdam ; i,11" Gueller, étudiante en médecine il Paris ; 1)'' Guillaume, (de Paris) ; IY Il
orf, Allemagne); Dr Luigi (d'Italie); .M"110 Li- pinska, docteur en médecine ; M. Lelong, interne à Nanterre ; Dr Macnaugton
de la maison de Santé «le Strop » it Gand ; M. Mesnil, étudiant en médecine à Paris ; M. Mailloux, directeur de la Revue in
va ; Dr Péterseine de Cracovio (Autriche) ; M. Prime, étudiant en médecine à Paris; : .\fui 10 Pcrro, institutrice à Milan;
délégué du Gouvernement espagnol au .\111" Congrès international de médecine ; Dr Henri de Rothschild, professeur aux écoles
élégué du gouvernement espa- gnol au XIlI" Congrès international de médecine ; 1)" Rey, médecin de l'asile d'Aix ; : \[111"
e Paris; Dr Thooris, de Bruges ; : \111" Taranikoff, étudiante en médecine , de Paris; : \1111" le D1' Tarnowsky, de Saint-
g ; D'' Thiron, professeur de patho- logie générale à la Faculté de médecine de Jassy ; délégué du gouvernement romain au \I
délégué du gouvernement romain au \III° Congrès internationnal de médecine ; D'' P. Taxil; Dr Trêves, de Turin ; D'' Thuli
arie ; enfin le travail de Cestan et Juillain paru dans le Revue de médecine d'octobre 1900, relatant l'histoire pathologiqu
a été présentée à lA section de psychiatrie rln Congrès intern. de médecine de 1900. 4 Affection familiale. deux familles
iotie ïiyxmcléniate2se. Compte-rendu de 1890, p. 206. (Congrès de médecine mentale de Rouen) ; 7° Étal du squelette d'un m
3° Myxoedème infantile (Communication faite au Congrès intern. de médecine de 1900, section de Neurologie). Sommaire. Pè
uinité. Inégalité d'âge de deux ans (père plus âgé). - ' Revue de médecine , 18S8, p. 462 et 552. Bourneville, Bicélre. 6
émoire sur la Microcéphalie, communiqué au Congrès international de Médecine Fig. 16. Jan.... Mario... Ramba... Tabour. (G
-pathologique des idiots microcéphales. Au Congrès international de médecine mentale de 1889 (3) et au Congrès des aliéniste
ion faite à la section de psychiatrie du Congrès interna- tional de médecine (août 1900).. (2) Bourneville. Compte-rendu de
gique de l'idiotie à la section de psychi- atrie du Congres int. de médecine . Microcéphalie. 183 allons vous montrer huit
t insisté sur ce fait au sujet de l'otycéplia- lie (Voir Journal de médecine de Paris 21 mais 1901. (P. B.) . LE CRANE DANS
85 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Piolesscur de clinique des ma1nùles mentales à la (-'acuité de médecine 'ie Pm is V. MAGNAN Membre de l'Académie
cuité de médecine 'ie Pm is V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Allllc). F
eur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris. COI.LABORITHUI1S PRINCIPAUX us1 .
ne sa main » et elle écrit très rapidement : « Dirai docteur secret médecine et bonheur humanité, sur ma- « ladie contagieus
plus grands et plus gros qu'ils ne le sont en réalité. (Archives de médecine expéri- mentale et d'anat. patholog. 1895. 5.)
aniaques impéralives. Tentatives de suicide. Henri B... étudiant en médecine , marié, père d'une enfant bien portante, a une
; il prend de l'absinthe pour se don- ner du courage, abandonne la médecine , compose des vers et des chansons, fait de la m
ulaires et s'accroissent graduellement. Situés, le plus ' Traité de Médecine , de Brouardel et Gilbert, tome III, p. 840. Arc
pas moins fréquents chez ces malades. , ' Loc. cil. in Traité de Médecine , de Brouardel et Gilbert, p. 8ÍO, 2 P. Broca :
de « Schwachsinn » qui signifie simplement : faiblesse d'esprit. En médecine mentale, plus peut-être encore que dans les aut
a réception des congres- sistes au Palais d'Hiver par la Société de médecine de Pau, dont le président Brissaud est depuis l
tinaient, pour engendrer toutes les mani- festations vésaniques. La médecine elle-même contribua donc à accréditer la croyan
ile des aliénés de la Sarthe, membre correspondant de l'Académie de médecine depuis 1888, des Sociétés de Chirurgie, médico-
ient de mourir au Mans. M. le Dur Mordret avait été reçu docteur en médecine en 1847 7 [Thèse : des hémorragies des fosses n
ie). Paris, 1879, 64 p. ; un mémoire récom- pensé par l'Académie de Médecine : De la folie à double forme. Circulaire altern
alade, de nationalité étrangère. Y..., trente-trois ans, docteur en médecine , célibataire, est comme les deux autres, un hér
euses, qu'il ne pratiquait pas, sa clientèle étant exclusivement de Médecine 304 CLINIQUE MENTALE. ordinaire, il avait com
un fonctionnaire de trente-six ans (15 expériences); un étudiant en médecine de vingt-deux ans (9 expériences) ; ;- un étudi
s pathologiques de la rougeur émotive ; par IlAttTEMUKHG. (Revue de médecine . Août 1902.) Trois observations. Dans deux de c
psychique dans l'hémianesthésie hystérique ; par 13EwnEu. (Bévue de médecine . Août 1902.) Dans un article paru antérieuremen
e. Août 1902.) Dans un article paru antérieurement dans la Revue de médecine (mars 1901), l'auteur a essayé d'établir que l'
rologisch. Ccntmlbt., XXI, 1902.) Schnitzer dans ses questions de médecine neuropsychique (Voprossy Navno-psiehitseheslwi
ive de toux hystérique; par ADaDIE ET Grenier de CARDENAL (Bévue de médecine , Novembre 1902.) Observations de trois jeunes f
lonus multiplex. Etat psychi- que spécial; par l3rrTn.wu. (Bévue de médecine . Novembre 1902.) - M. H. XL. Hérédosyphylis c
se polinaire chez les aliénés ; par Fiai : et Francillon. (Bévue de médecine . Juin 1902.) La rétraction de l'aponévrose poli
causes. (Le Scalpel du 21 août 190.i.) . 366 VARIA. INSTITUT DE médecine légale ET DE psychiatrie. A la suite des épreuv
n fin d'année par les élèves ayant suivi les cours de l'Institut de médecine légale et de psychiatrie créé l'année dernière
énés D LESVELLEC (près Vannes).- Une place d'in- terne titulaire en médecine et deux places d'interne provisoire sont actuel
chissage et une indem- nité annuelle de 700 francs. Les Docteurs en médecine peuvent poser leur candidature à l'internat. Le
tembre 1904.) BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Annuaire de l'Internat en Médecine des asiles publics d'aliénés du département de
Médecin de l'Asile de Marévillp, Chargé de Cours à la Faculté de Médecine de Nancy'. Généralités. Le prédisposé à l'épile
e peuvent guère rendre de services dans la pratique ordinaire de la médecine . Le traitement par injections de sérum ne serai
GIE PATHOLOGIQUES. LXVIII. Doigts en valgus; par PAULY. (Bévue de médecine . Dé- . cembre 1902.) M. H. LXIX. Un cas de la
ou notions'. P. IiswvaL. VIII. De l'angoisse; par [,ONDE. (Revue de médecine . Août et octobre 1902.) Etude séméiologique f
. IX. L'image mentale morbide ; par VASCRIDE et Vorpas. (Revue de médecine . Novembre et décembre 1002.) Les auteurs font r
rie à forme de paralysie générale ; par Collet et Lepike. (Revue de médecine . Décembre 1902.) M. H. 412 REVUE DE PATHOLOGIE
01). Dans l'observation de M. Newmark qui concerne un étudiant en médecine de vingt-trois ans, la contracture est un peu plu
rnier accident aucune explication satisfai- sante. G. D. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 427 I LII. Un phénomène palpébral const
ssait à la fois le nerf facial et le nerf auditif. G. D. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. I. Sur l'appréciation des dénonciations
servations, montrant que. dans la pratique, les dénon- 428 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. ciations et témoignages des hystériques
après avoir rappelé les erreurs judiciaires, insiste sur- REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 429 9 tout sur la nécessité d'un examen
en divorce, en raison du scandale qu'ils suscitent et 430 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. de la honte qu'ils entraînent pour la f
e, il est à désirer qu'il possède quelque instruction en matière de médecine meutale et dans les sciences connexes. (Archiv
entale de Belgique, 1902. n° 106.) VI. Organisation d'un service de médecine mentale dans les pri- sons ; par le Dr E. 11ASO
rie et même un petit hôpital, pour le traitement de tous les cas de médecine ordinaire ou de chirurgie; 3° des ateliers de t
et, chaque jour, dans les congrès d'enseignement, d'assistance, de médecine , les voix les plus autorisées pressent l'Etat d
00fit Vol. XVIII. Décembre 1904. N" 108. ARCHIVES DE NEUROLOGIE MÉDECINE LÉGALE. Pyromanie et puberté. -Examen médico-lé
ibre de l'Eure, année 1901). Archives, 2' série, t. XVIII. 29 450 MÉDECINE LÉGALE. ' ' " éclater à l'occasion de la pubert
bsence complète d'équilibre, par de violentes impulsions ; « il 4S3 MÉDECINE LÉGALE. lui prenait, dit son père, des envies d
tre et il n'existe aucune incompatibilité entre l'obéissance du 434 MÉDECINE LÉGALE. patient à l'obsession et l'instinct de
ar lésion temporale droite; par M. MOL- lard. (Société nationale de médecine de Lyon, 27 avril 1903.) Il s'agit d'un malade
s et Ostéopathies tabétiques ; par M. DESTOT. (Société nationale de médecine de Lyon. 14 décembre 1903) D'après M. Destot on
our une maladie de Basedow; par M. JAUOULAY. (Société natianltle de médecine de Lyon, 6 avril 1903.) M. Jaboulay présente
s'est spécialement consacré à l'étude des délicats problèmes de la médecine légale ; il tombe victime, à la fois de son dév
Meige et Feindel, 497. Infirmiers, brutalités, 513. Institut de médecine légale et de psychiatrie, 366. Instituteurs.
arandon de Mon- tel, 420, Prisons. Organisation d'un service de médecine mentale dans les -, par Masoin, 430 Processi
86 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
de l'inflammation périostique. En 1839, paraît dans les Archives de médecine un extrait d'un mé-moire de Morven-Smilh avec qua
intenant très-sérieusement compromise. Déjà, en 1858, à l'Académie de médecine , elle fut très-discutée et ne fit que perdre du t
année, dans les hôpitaux, un certain nombre de cours cliniques sur la médecine ou sur la chirurgie, on n'en voit pas un seul sur
ments, même les plus récents, l'article Éclampsie du Dic-tionnaire de médecine et de chirurgie pratiques, ne nous ont donné, sur
e de Viris contenant un cil. (Observation communiquée à la Société de médecine de Strasbourg par M. Stœber.) Le 16 août 1864,
3 Le recueil anglais n'existant pas à la bibliothèque de l'Ecole de médecine , nous n'avons pu traduire ce travail. * Voy. Re
lutchin- 1 Voy. Revue photographique, page 109. 2 Dictionnaire de médecine et de chirurgie pratiques, 1869, t. VI, p. 794.
r le docteur Félix Roubaud, lauréat de l'Institut et de l'Académie de médecine , médecin directeur des eaux minérales de Pougues.
on dans son article Atrophe musculaire progressive du Dictionnaire de médecine et de chirurgie pratiques : « Il me semble, écrit
tteints de médullites furent primitivement dirigés vers un service de médecine comme atteints tantôt de fièvre typhoïde, tantôt
ur est aussi arrivé de passer de chirur-gie, où ils étaient admis, en médecine . 11 faut que les difficultés soient bien grandes,
é pratique, par de Belina, ancien professeur agrégé à la Faculté de médecine de Heidelberg. Brochure in-8" de 69 pages. Adr. D
able M. Littré *. Je fais allusion à un écrit intitulé un Fragment de médecine rétrospective et dans lequel on trouve l'histoire
ycock). Tout récemment le Dr B. Roddaert a communiqué à la Société de médecine deGand1 un cas de ce genre fort intéressant. La c
ent dans le courant des derniers mois... 1 Annales de la Société de médecine de Gand, 1869, p. 95. 2 A Treatise on the Natur
du foie, 1864, pages 415, 418, 425, 428. Jaccoud. — Dictionnaire de médecine et de chirurgie pratiques, 1865. Cornil. —Dicti
uvera un index bi-bliographique complet, soit dans le Dictionnaire de médecine et de chirurgie pratiques (Article : Dégénérescen
à la dégénérescence amyloïde, par M. Jaccoud, dans le Dictionnaire de médecine et de chirurgie pratiques, et par M. Cornil, dans
té des fièvres intermittentes, 1825. Billard. — Archives générales de médecine , 1825. Po-pkejn. — Historia epidem. malignœ Jev
s et des troubles graves de l'innervation. » (Frerichs). — A peine la médecine scientifique avait-elle renversé ces vestiges de
fer, et surtout aux eaux minérales contenant de l'iode ou du brome. MÉDECINE OPÉRATOIRE TUMEUR FIBRO-PLASTIQUE DE LA CUISSE
uvrier à Hambourg, entre le 24 mai 1870 dans la quatrième division de médecine de l'hôpital de Hambourg et meurt deux jours aprè
r l'engorgement et l'hypertrophie de la rate (Archives générales de médecine , 1858). Ferran. — De la circidation et de l'engor
rran. — De la circidation et de l'engorgement splénique (Recueil de médecine , de chirurgie et de pharmacie militaires, 1867).
tomie pathologique, 11e livraison. II ach mann.—Archives generales de médecine , 1832. Rosch. —Ibidem, 1832. Piorry. — Traité de
ue l'on pourra soupçonner l'existence de la phlegmasie (Compendium de médecine pratique). V. Étiologie. — Les causes de la spl
1849), Personne (Journ. de pharm. et de chim., 1857), et la Thèse de médecine de M. Grimault (1865). Ces diverses publications
laite à l'Hôlel-Dieu par M. BAix, professeur agrégé de la Faculté de médecine , etc. Messieurs, Si la clinique nous mettait
ne formule générale et toujours la même, à coup sûr la pratique de la médecine deviendrait à la fois bien plus facile, et bien m
herches sur la rupture spontanée de la rate. (Archives générales de médecine , t. III et IV, 1844.) Janssens. —Annales de la So
de médecine, t. III et IV, 1844.) Janssens. —Annales de la Société de médecine dAnvers, 1845. Goubaux.— Rupture de la rate chez
médecin sanitaire de France en Egypte, vint lire devant l'Académie de médecine de Paris un mémoire sur le traitement de celte te
ne humeur salutaire, et une heureuse confiance dans les secours de la médecine . Il fit cesser le délire, la terreur et la fureur
, et nous espérons que bientôt leurs travaux vien-dront apporter à la médecine générale un appoint important. Le précis d'histol
èves vétérinaires des notions devenues banales parmi les étudiants en médecine . 2° L'ouvrage du professeur de Stuttgart est re
87 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
é de l11édPl'llIe de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine hléJecm nle l'Aile clmiyue (Sie-Anne). F. R
ur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté (le médecine (le l'nris. COI.I.AIItHUTIUJUS t'IIiNCIPAUX
ant à une secti , Par E. BRISSAUD, 1 . Professeur à la Faculté de médecine de Paris, médecin de l'IIôlel.Dieu. - . Et E. F
'IIôlel.Dieu. - . Et E. FEINDEL, Licencié ès sciences, docteur en médecine . Dans un article paru il y a deux ans, M. Van G
' Lande. Traitement des ataxiques par la suspension. (Journal de Médecine de Bordeaux, n° 42, 1889.) TRAITEMENT DES MALAD
ère ; Par A. COCHEZ, Professeur de clinique médicale à l'École de Médecine d'Alger. L'hémorragie méningée spinale extra- d
. R. C. XIX. De l'anesthésie hystérique ; par BERllEIM. (Revue de Médecine , 1901.) Des observations recueillies par l'aute
ation des symptômes dans la chorée de Sydenham; par ODDO. (Revue de Médecine , janvier-février 1901.) L'anatomie pathologique
réiques. M. H. - XXI. Étiologie du vitiligo; par Gaucher. (Revue de médecine , décembre 1900.) Dans huit cas observés, il y
, XXII. Crises gastriques et syringomyélie; par PARELY. (Revue de médecine , décembre 1900.) Dans l'observation présentée,
zones sensitivo- motrices de l'hémisphère droit., R. C. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. I. Sur les délinquants aliénés; par del
re, nous ne pouvons être affirmatifs sur leur nature et 76 REVUE DE MÉDECINE LEGALE. leur degré. Les difficultés croissent e
qu'à un stade très avancée de la désorganisation mentale; REVUE DE MÉDECINE LEGALE. 77 7 c'est la volonté qui est d'abord a
de plaider l'irresponsabilité en alléguant la folie est 78 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. reconnu. Médicalement parlant, folie et
, était-ce par une cause morbide ou par l'excès même de sa REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 79 passion. Une. telle question qui se
y être jugés parce qu'ils restent étrangers à la connaissance de la médecine ; 2° ils devraient alors considérer comme un des
la connaissance du bien et du mal, quand, malgré cette 80 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE connaissance, il n'est simplement plus a
nc une science bien définie, dis- tincte de la psychiatrie et de la médecine légale, qui exige un enseignement spécial néces
al nécessitant la création d'une chaire à la faculté de droit et de médecine . SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE S
matorrachis. Compres-. sion de la moelle; par DOUCII.\UD. (Revue de médecine , novembre 1900.) Il s'agit d'un sujet qui pré
Section de psychiatrie. Comptes rendus du Congrès international dé médecine . Grand in-8° c1e580 pages, avec 18 figures. Roc
es revendications de priorité qui se manifestent journellement en médecine comme ailleurs, s'appuyant sur un fait, une phr
.) 18 et 19 no\embre 1900. 8. Manheimer. Peur obsédante de rougir. ( Médecine moderne, 17 jan- vier 1897.) 9. Tschi-aieff.
. Les formes cliniques d'éreulhophobie. (Congrès inter- national de médecine , section de psychiatrie, 1900). Du même : Les T
lsions- épileptiformes prolongées ; par MoTT. 11. HAMEL, VARIA. Médecine en 1800 ; par Samuel-L. 1111CIIELL. Cet article
OEÈS de Léon. Dlélriles cervicales, rapport présenté au Congrès de Médecine de Paris de 1900, in-8° de 40 pages. Prix : 1 fr.
. DUPAI : -¡ analyse un ouvrage de M. Nina-Hodrigues, professeur de médecine légale au Brésil et ayant pour titre : L'aliéné d
abandonnaient pas leurs comptes. Enseignement libre. Faculté de médecine . Conférences de médecine légale psychia- trique
comptes. Enseignement libre. Faculté de médecine. Conférences de médecine légale psychia- trique (2° trimestre scolaire).
arnier, médecin - en chef de l'infirmerie spéciale : conférences de médecine légale psychiatrique, de 1 h. 1/2 à 3 heures, l
sont délivrées au secrétariat de la Faculté à 111, les Docteurs en médecine , les internes des hôpitaux et les étudiants aya
iables, tics d'attitude), in-8» de 30 pages. (Extrait du Journal de Médecine et de Chirurgie ]Jm- tiques.) Pans 1901. - Mo
osalie E..., dix-huit ans, entrée le 11 janvier 1899, au service de médecine de l'hôpital de Mulhouse. Antécédents. De naiss
sur Psychiatrie, Band XXIII, 1892). 3 Dutil, Hystérie (Traité de médecine de Charcot, Bouchard et Bi issaud, t. VI, p. 13
hies sont dues à l'obligeance de M. Guillot, étudiant de l'Ecole de médecine , et l'épreuve radiographique à celle de notre e
e ultérieure de la corde vocale; par Lannois. (Société nationale de médecine de Lyon, séance du 10 décembre 1900.) M. Lannoi
rises, et rappellent l'observation de Landouzy et DEJEMKE [Revue de médecine , 1882.) L'atteinte simul- tanée de tant de régi
es de la maison. (Le Bonhomme Normand, 25 avril 1902.) - REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. XIII. Remarques sur les contrats et dom
rative des formes extrêmes, à l'importance à attribuer aux REVUE DE MÉDECINE LEGALE. 405 stigmates, à la relation qui parait
cours de l'instruction ou de la prison préventive, ont .0) REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. présenté des troubles psychiques, néces
r ne l'interrompit en aucune manière, et il fallut l'em- - REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 01 poigner et l'arracher de force, ce q
vint morne etsilencieuse. Mais au moment de l'enquête, 408 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. elle devint agitée et il fallut l'emmen
une intensité variables : quand leur apparition n'est pas REVUE DE MÉDECINE LEGALE 409 en rapport immédiat avec l'attaque,
t le malade se réveille en état de manie furieuse. ' 410 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. Les troubles mentaux peuvent se manifes
déjà traité la question trois ou quatre fois. La première REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 411 1 fois il n'avait qu'un partisan ;
réservatrices - et l'auteur ne conteste pas qu'elles 412 ) REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. le soient - c'est indirectement, et en
puis l'esprit passe à une conception encore un peu diffé- REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 413 rente de la justice, conception trè
maternel si puissant chez la femme ? C'est ce qu'examine ' REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 415 sommairement M. Audiffrcnt : L'amou
. Si l'enfant du buveur d'habitude est fortement exposé à .REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 417 être marqué d'une tare, il faut com
'ouverture du cours de clinique ophlal- ? i1ologique de la faculté de Médecine de Paris (Hôtel-Dieu). Brochure in-8° de 32 pag
nne des ordres judicieux, se fait apporter de l'éther, un traité de médecine dans lequel il lit l'empoisonnement par le gaz
sont généralement éloignés des centres, tandis que les écoles de médecine ou les laboratoires sont dans les grandes villes.
s les grandes villes. Il en ' résulte qu'actuellement l'étudiant en médecine est presque entiè- rement étranger à la folie;
les maladies mentales. Rapporteur : M. LABANNE (de Bordeaux); 3° Médecine légale : Les auto-accusateurs au point de vue méd
- mont. L'activité de Delannay ne s'arrêtait pas aux choses de la médecine . Il était conseiller communal et il rendit à ce t
re du comité des habitations ouvrières pour sa région. Faculté de médecine de NANCY. - Notre collaborateur, M. le Dr Paris
aitenent des maladies ne,- veuses, par KonlI1djy, 110. Faculté de médecine . Enseignement libre, 351. Fatigue. Recherches
Jeux par Tiénel, 424. IASIURU4TI0\ plbiodique, par Block, 91. Médecine en 1800, par S. MltrlIell, 254. Mémoire. La-
88 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
CLINIQUE GILLES DE la TOURETTE PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE PARIS MÉDECIN DES HÔPITAUX - - ALBERT LO
- ? PARIS MASSON ET Cie, ÉDITEURS LIBRAIRES DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE 120, Boulevard Saint-Germain 1897 NOUVELLE
t de vue : au point de vue de la physiologie, au point de vue de la médecine légale, et au point de vue de la clinique pure.
es deux moitiés latérales du corps humain. Note lue à l'Académie de médecine , nov. 1893). NoUV.IcO\'0(,RAI'HH : DELASAL['LrR
nt. - Les prêtres, tout en s'efforçant d'accaparer l'exercice de la médecine , se contentaient, pour toute prescription, d'in
saignée, bailler et administrer emplastres, ongnemen ts, et autres médecines convenables pour boces, apostumes et toutes plaie
ons hautement le droit de l'exercer. Nous n'administrerons au- cune médecine « laxative, altérative ni confortative ». Ceci es
joie des humoristes, mais sans grand profit pour les.progrès de la médecine et de la chirurgie (1). Or, tandis que les plus
artenant à aucune école, ignorants des plus élémentaires notions de médecine et d'anatomie, bornant leurs soins à des incisi
cette antithèse et l'ont mise souvent à profit dans leurs scènes de médecine et de chirurgie. L'opérateur et le patient ne s
passage, venue là pour can- caner un brin, ou pour chercher quelque médecine . C'est parfois la femme du client qui se penche
la seule occasion où l'on voit les femmes prêter leur concours à la médecine et à la chirurgie. Leur intervention dans les s
volume manuscrit contenant toutes sortes de « divins secrets tant de médecine qu'au- tres » recueillis par Anthoine Paris, es
ies et de compositions religieuses ou allégo- riques. Les scènes de médecine populaire l'ont aussi tenté, témoin son Médecin
hir la recherche, la combinaison, l'apprêté. Réduit à la scène de médecine villageoise qui occupe le premier plan, le tabl
mes et aux tubercules, ils relèvent moins de la chirurgie que de la médecine . Est-ce à dire que pour les autres tumeurs céré
essaire d'attirer quelques instants l'attention. LES PEINTRES DE LA MÉDECINE (ÉCOLES FLAMANDE ET HOLLANDAISE) LES PÉDICURE
lai, complètent l'ameublement de cette officine un peu louche. La médecine qu'on y fait est fort primitive. Nous assistons a
le musée de la ville d'Ypres, représente une parodie des scènes de médecine popu- laire où clients et opérateurs sont rempl
es du XVII° siècle ne pouvaient manquer d'ajouter la singerie de la médecine , le Singe-Barbier et le Singe-Pédicure. AnnAn
du mal perforant par l'élongation des nerfs plantaires (Académie de médecine , G avril 1891), publié in extenso dans la Médecin
aires (Académie de médecine, G avril 1891), publié in extenso dans la Médecine moderne, numéro du 7 avril 1897. (2) J.-111.
garçons de bains, de gens complètement igno- rants des choses de la médecine ; on y soumit à tort et à travers tous les atax
DANS LA RAGE HUMAINE PAR J. SABRAZÈS et C. CABANNES Agrégé de médecine Chef de clinique à la Faculté de Bordeaux. On
ibution à l'étude des localisations spinales. Archives générales de médecine , 1881, T, p. 653. 116 F. RAYMOND compris entr
avec R.uru : n). (2) Guwrnr. Crampe fonctionnelle du cou. Revue de médecine , 1892, t. XII, n° 4, p. 317. (3) Gauliez. Con
nt du moins, en les exagérant ce- (1) Lejioine et Lemaire. Revue de médecine , 1889-90. (2) Guinon. Art. cité du Dict. encycl
es, p.296.Paris, 189'E.Inluence dystrophique de l'hérédo- syphilis. Médecine moderne, 1890. La syphilis héréditaire tardive. P
d'ÉTIOLOGIE . PAR G. ÉTIENNE, Professeur agrégé à la Faculté de médecine de Nancy. Depuis quelque temps, l'attention a é
de cette étude ont fait l'objet d'une communication à la Société de médecine de Nancy, séance 10 juin 1896 (V. Revue médicale
es analogies avec des malformations réputées congénitales (Revue de médecine , 1896, p. 115). - Les proportions relatives des
en l'espèce, la ques- tion de pronostic se double d'une question de médecine légale. En présence d'un de vos semblables qui
pathologique de la paralysie spi- nale aiguë de l'enfance. Arch. de médecine expériment., janv. 1889, p. 57. RADIOGRAPHIE DE
suite d'une violente impression de chagrin. Bull. de la Faculté de médecine , 1816-i7, t. V, p. : ;24. (2) Laycock (Th.),
de la peau d'un homme naturelle- ment blanc. Bull. de la faculté de médecine , 1814, t. IV, p. 113. (10) GEORGES Poocnrr, Des
ré- (1) J.J. 1ZATI(3NOft, Un cas 'e[C)'ome'ya ! o-yt9'fM : <MMe. Médecine moderne, 6 novem- bre 1897. Cette observation a
3) Thèse d'agrégation de chirurgie, 1875. (4) Thèse d'agrégation de médecine , 1880. (5) Revue mensuelle de médecine et de ch
(4) Thèse d'agrégation de médecine, 1880. (5) Revue mensuelle de médecine et de chirurgie, 1878. (6) OEuvres complètes, T
graphie de la Salpêtrière, 1894, p. 299. (12) Archives générales de médecine . 1895. 384' PAUL LONDE enfin le travail de M.
médical. (5) V. Prautois et G. ETIENNE ont publié dans la Revue de médecine , 1894, p. 300, un cas (observé dans le service
exceptionnel. Le résultat de l'autopsie sera publié dans la Revue de médecine . (1) Union médicale, 1878. 388 PAUL LONDE V
it, aiguë au début, au cours d'un mal de Pott. (2) Thèse agrégation médecine , 11. 390 PAUL LONDE Nous joignons à cette sér
sur les « arthrites chroniques (8° congrès de la Soc. Italienne de médecine interne),résumé dans la Semaine médicale,t897;p.4
l'unité du rhumatisme chronique que nous avons soutenue (Manuel de médecine , Dsuove et Achard), M. Massalongo admet une for
la multiplicité habituelle des nerfs d'une jointure. (1) Traité de médecine , CIIAIICOT, BOUCIIARD et Brissaud. T. VI. Art. Hé
térale décrite par Trélat et Monod dans les Archives générales de médecine en 1869. Cependant il semble bien qu'il exist
a Face. Leçon faite le 8 décembre 1893 à la Salpêtrière. Journal de médecine et chirurgie pratiques, 25 janvier 1894. E. B
), à ces phénomènes tro- (1) G. Thibierge, Art. Lèpre, in Traité de Médecine , p. 354. (2) ZAIBACO. Les Lépreux ambulants de
ans l'Art, par HENRY MEIGE (5 photogravures), 358. Peintres de la médecine (Ecoles flamande et hollandaise). Les Pédicures
89 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
de Paris, 1876. 2 Geu (A). -De la distention des nerfs. (Journal de médecine militaire, St-Pélel'b., 1879, décemb.) . 1 40
cubital et produisit une 1 Johnson Symington. Archives générales de médecine . (Voir l'ar- ticle de M. Chauvel, loc. cit., 18
OGIQUE ET pathologique 1 Par le Dr A. MAIRE, agrégé à la Faculté de médecine de Montpellier. Nutrition générale et acide pho
moses sous-cutanées d'origine nerveuse; par 'ftl. SELLER. (Revue de médecine , 1884, no 8.) Les sujets observés par l'auteur
III. La Pathologie de l'Esprit; par Henry MAUDSLEY, professeur de médecine légale à University-collège; traduit par le Dr GF
e catalogue complet de nos connais- sances dans cette branche de la médecine ; il a donc éliminé les discussions relatives au
gaucher; par M. Michel CAT5,\nAS, professeur agrégé à l'Ecole de médecine d'Athènes. (Fr. 7nés., 1884, 1.) · Pour expliqu
ministres de l'intérieur, 'des cultes, de l'enseignement et' de la médecine ont, aprèsavoir'cousulté'le bureau royal de sta-
Des appareils ou machines électro-statiques cl de leur emploi en médecine ; par VILLAHD. (Thèse de Paris, 1SS.) De l'élect
ationale qui l'appela à l'une des premières chaires delà Faculté de médecine réorganisée et qui lui permit de donner à son e
inel, médecin en chef de la Salpêtrière, professeur à la faculté de médecine , membre de l'Académie des sciences et membre d'
bre de l'Académie des sciences et membre d'honneur de l'Académie de médecine , mort à la Salpêtrière, a l'âge de quatre-vingt
petit groupe de travailleurs sérieux s'assem- blait à la Faculté de médecine , dans une salle d'emprunt, et là, avec un grand
u bout de quelques mois, la clinique mentale était abordée, puis la médecine légale appliquée à la folie et aux névroses, et
l'Institut, du Collège de France, de l'Académie et delà Faculté de médecine , des médecins des hôpitaux de Paris et la plupa
ut à coup par le génie « de notre aïeul illustre. Le novateur de la médecine mentale « a donc des droits imprescriptibles à
ation dont s'enorgueillissent l'Académie des sciences, « l'Ecole de médecine et les hospices de Bicêtre et de la Salpê- « tr
des plus étendus : mathématiques, sciences physiques et naturelles, médecine ; il avait tout appris, tout approfondi ; il cul
de analytique et le procédé de la nomenclature dans l'étude de la médecine , il s'est appliqué à grouper, dans sa Nosographie
es ait recherchés. Nommé successivement professeur de la Faculté de médecine , membre de l'Institut, de l'Académie de médecin
r de la Faculté de médecine, membre de l'Institut, de l'Académie de médecine , il ne voulut jamais quitter son poste de médec
iies-du-Rhône. Concours pour l'admission de deux élèves internes en médecine . Le vendredi, 10 juillet 1885, à 9 heures du ma
rt un concours public pour la nomination de deux élèves internes en médecine , l'un à l'asile public d'aliénés de Marseille,
SEY est nommé chef de clinique des maladies nerveuses. Société DE médecine et chirurgie de Bordeaux. Prix de la Société. Q
(Voir p. 285.) 302 FAITS DIVERS. Exposition D'ANVERS.- Société DE médecine mentale de BELGIQUF. La Société de Médecine men
bli- geance de M. Tschetschoff, professeur agrégé delà faculté de médecine de Saint-Pétersbourg, à qui nous nous permettro
maladies de la moelle épinière, 1837, t. II. Anciliviis. 1. X. il MÉDECINE LÉGALE DES INCENDIES MULTIPLES A MOBILES FUTILE
nterprétées. Ainsi les données générales de la pathologie des 324 MÉDECINE LÉGALE. impulsions établissent à priori que les
de leur satisfaction intime après l'accomplissement du crime. 326 MÉDECINE LÉGALE. Ils raconteront seulement qu'ils avaien
t pas de même dans tous les cas des faux pyromanes, c'est-à ; 328 MÉDECINE LLGALL. dire des incendiaires à mobiles futiles
tifierait mon travail, car il importe, au plus haut degré, que la médecine légale de la folie ne verse dans aucune exa- gé
t être invoqué à leur faveur. Mais il est d'opinion commune qu'en médecine légale ces trois états n'entraînent pas de plei
ire que la vérité sur cette question comme sur beaucoup d'autres en médecine légale ne peut être dégagée que par l'examen le
rations qui précèdent sont erronées, les faits reste- ront. 330 MÉDECINE LÉGALE. Observation I. - Six incendies. Accusé
leur fabriquer leur huile, le chargeait de la leur apporter, et 332 MÉDECINE LÉGALE. d'en vendre aux autres. Dans ces tourné
d'avant, le voilà devenu bienfaisant tout comme un impulsif, 334 MÉDECINE LÉGALE. qui, son besoin morbide satisfait, épro
ration- nel de déclarer imbécile irresponsable un jeune homme 336 MÉDECINE LÉGALE. qui avait reçu une instruction primaire
e procurer les moyens de boire, il s'ac- Archives, t. X. : t2 338 MÉDECINE LÉGALE. quittait mal des commissions, détournan
.. lui avait délivré un certificat établissant l'existence, de- 340 MÉDECINE LÉGALE. puis son enfance, d'une incontinence no
nt. Ses ruses, ses calculs, et ses temporisations en sont les 342 MÉDECINE LÉGALE. preuves; et s'il a commis comme facteur
out au plus était-elle propre à quelques travaux grossiers de 344 MÉDECINE LÉGALE. manage'ou des champs; mais, en revanche
ts : ils sont l'oeuvre de gens de la campagne, d'héréditaires 346 MÉDECINE LÉGALE. DES INCENDIES MULTIPLES. vésaniques, fr
positions névropathiques de toute la famille. 1 G. Ballet. Revue de médecine , 1883, p. 254. 2 Marie. -- Thèse de Paris, 1883
ère et ami le Dr Ch. Féré a exposé ce que l'on peut entendre par la médecine d'imagination, et DE LA THÉRAPEUTIQUE SUGGESTIV
des névralgies, constituant en cela ce que M. Ch. Féré appelle la médecine d'imagination. Or, si tous ces troubles fonctionn
Magnan vient de l'exposer à l'Académie de SOO'HTÉS Suantes. 431 i médecine . Ce sont des anomalies génitales dans tous les te
nnées ont échappé à M. Rath. Aussi, Fiedler a, dans les Archives de médecine clinique allemande, communiqué plusieurs cas dans
ise contre l'abus des boissons alcooliques, membre de l'Académie de médecine , inspecteur général honoraire du service des al
de suicides, 1872; Divers articles dans le Nouveau Dictionnaire de médecine et de chirurgie pratique (.Jaccoud) ; Folie (Lé
90 (1889) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1888
Prieur (Canada) ; - Proust, professeur d'hygiène à la Faculté de médecine de Paris, accompagné de MM. le Dr Meynet, A.-J.
z ; Dr Tixier, directeur XXIV VISITEURS DU SERVICE. de l'Ecole de médecine d'Alger ; Et. Tinioux, attaché à l'ambassade de
ns est toujours le même. Dans le n° 51 du Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique (1888), M. le D'' G. CousoT
ue et la bibliographie à l'article correspondant du Dictionnaire de médecine de M.Jaccoudet du Dictionnaire des sciences méd
lème. On prendrait pour centre des villes possédant des facultés de médecine ou des Ecoles préparatoires, comme Nancy, Lyon,
pour les mé- decins des hôpitaux et les professeurs des facultés de médecine de toutes les grandes villes. Cette suprématie
chacune d'elles soit une faculté, soit une Ecole prépara- toire de médecine . » M. Donnet, après avoir rappelé que, suivant
r centre de chacune d'elles les villes qui possèdent une Faculté de médecine de l'Etat. Les candidats devront être docteur
lté de médecine de l'Etat. Les candidats devront être docteurs en médecine de l'une desdites Facultés de l'Etat et de nati
ux scientifiques de contribuer à la bonne renommée de la Faculté de médecine de ' i Paris. Ces raisons n'ont pas été accep
nts et on rendrait d'incontestables services à l'enseignement de la médecine mentale'. '. La Commission a ensuite abordé l'e
ute que « un professeur de la Faculté ou de l'Ecole préparatoire de médecine , suivant le cas, pourra être dé- signé aux lieu
des asiles de la région ; - 20 d'un inspecteur général, docteur en médecine ? 3° d'un professeur désigné par la Faculté de
docteur en médecine ? 3° d'un professeur désigné par la Faculté de médecine ; 4° d'un juge suppléant. Les médecins en chef
u externe ; 6) une question portant sur la pathologie mentale et la médecine légale des aliénés. La Commission a été unanime
m des points sera de trente; 2° Une question orale portant sur la médecine et la chirurgie ordi- naires, pour laquelle il
es asiles d'aliénés, situés dans le voisi- nage des six Facultés de médecine de France. La Commission s'est réunie le mercre
centre de chacune d'elles, les villes qui possèdent une Faculté de médecine de l'Etat. Les candidats devront être docteurs
des asiles de la région ; 2° d'un inspecteur général, docteur en médecine ; 3° d'un professeur désigné par la Faculté de mé
mum des points sera de trente. 2° Une question orale portant sur la médecine et la chirurgie ordinaires, pour laquelle il se
91 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
PARIS J.-B. BAILLIÈRE et FILS, LIBRAIRES DE L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DE MÉDECINE , rue Hautefeuille, .19. IiOntlrc* 9 Vcw-York
cipaux qu'il renferme dans plusieurs thèses soutenues à la Faculté de médecine de Paris (1), dans les articles Pied bot, Vertébr
bot, Vertébrale (déviations de la colonne), etc., du Dictionnaire de médecine et de chirurgie pratiques. Je me suis attaché dep
ent d'atteindre sûrement ce double but. Les spécifiques sont rares en médecine ; nous sommes trop heureux quand nous en avons à n
d'activer l'absorption du pus ; ceux que je propose sont employés en médecine pour obtenir la résorption des liquides de l'hydr
s et autres développées dans l'abdomen (Journal univ. hebdomadaire de médecine , Paris, 1830 , t. V\ p. 417). inventée pour la
ces derniers temps. M. le docteur Michel, professeur à la faculté de médecine de Strasbourg (1), revient, à l'exemple de M. Pay
ne cause pathologique. M. Morel-Lavallée a communiqué à l'Académie de médecine des exemples d'altérations encore plus profondes,
. Ce n'est pas tout : à Paris, un rapport de M. Gerdy à l'Académie de médecine (2) constate qu'un enfant traité par Pravaz est g
génitales du fémur. Lyon, 1847, in-4°. (2) Bulletin de VAcadémie de médecine . Paris, 1839, t. IV, p. 121. et surtout de l'ex
ici une preuve. En 1841, une demoiselle fut présentée à l'Académie de médecine par Pravaz, comme étant guérie d'une double luxat
qu'il est essentiel, on emploie avec avantage certains agents dont la médecine fait habituellement usage. L'électricité cutanée
ux mouvements partiels de sa moitié (1) Voyez Archives générales de médecine , numéros de juin et juillet 1856. antérieure, t
sur l'èliologie du pied bot. Paris, 1839, et Bulletin de VAcadémie de médecine , t. Ier, p. 196. hauteurs du membre ; ce plâtre
Mémoire sur le pied bot. Paris, 1838. (4) Bulletin de l'Académie de médecine . Paris, 1838, t. III, p. 231. mal. Le corps ne
rées : Michaux, sur les pieds lots, dans le Bulletin de l'Académie de médecine de Belgique, t. XV, n° 8, 1856. roies d'une lal
'Achille dans le traitement des pieds bots (Mémoires de l'Académie de médecine . Paris, 1838, t. VII, pag. 411 et suiv.) 46.
ne étendue du scaphoïde à la malléole interne; il devient très- (1) Médecine opératoire. Paris, 1839, t. Ier, p. 570, 2e édit.
lte des faits produits dans une discussion mémorable de l'Académie de médecine , en 1842, à l'occasion de la présentation de qu
(1) Velpeau, Discours sur la ténotomie ( Bulletin de l'Académie de médecine , t. VIII, p. 353.) ment; tantôt elle commence à
étrang., t. VII, p. 270, 1843. (4) Voyez Bulletin de l'Académie de médecine , t. VIII, p. 718. que quand ils ne se sont pas
de danger de ces plaies articulaires, quand elles sont (1) Velpeau, Médecine opératoire, 2e édit., t. I. sous-cutanées, on n
des os du Cabinet, n° 132. (3) Bulletin de l'Académie impériale de médecine , t. XVI, p. 378, 1851. lettes offrant cet état
aul. Ses idées sont consignées dans un mémoire déposé à l'Académie de médecine , et qu'il n'a pas encore publié. Je suis donc obl
crâne que dans le reste du squelette. (1) Bulletin de l'académie de médecine , 1856, t. XXI, p. 954. (2) De Bachit., c. 20, 2
rai même qu'il y a une certaine (1) Gaz. méd., 1834. (2) Dict. de médecine , article Rachitis, 2eédit., t. XXVII, 1843. (3)
r milieu. (1) hoc. cit., cap. 21, p. 267. (2) OEuvres diverses de médecine pratique, Castres, 1802, et Boyer, Maladies chiru
es. Fort bien ; mais, — cela est triste à dire, — il y a des modes en médecine , et la mode est souvent bien absurde, quoiqu'elle
6) J. L. Petit, Maladies des os, t. II, p. 564. (7) Dictionnaire de Médecine , lre édit., t. XVIII, p. 168. on a vu des rachi
627. (5) Maladies des os. Paris, 1741, t. II, p. 535 et 565. (6) Médecine pratique, trad. de Bosquillon. Paris, 1787, t. II
el on désigne cette conformation. Cette expression est empruntée à la médecine vétérinaire. La lordose se voit en effet chez les
u-dessous de la lésion. (1) Voy. p. 63. (2) Archives générales de médecine , janvier 1857, BOUVIER. 23 VIe cas. — Chez ce
e Montpellier, t. II, juillet 1826. ' (3) Bulletin de la Faculté de médecine , t. VI, p. 346. (4) Observation inédite. terval
nora, 1768, t. III. (3) Epist. XII. (4) Bulletin de la Faculté de médecine , t. V, p. 506. (5) hoc. cit. dans Ephém. de Mon
lle, malgré ses excès et ses erreurs, nul ne refusera d'avoir tiré la médecine du chaos, devait ici nous apporter ses lumières.
(4) Gazette des hôpitaux, 5 août 1854. (5) Bull- de la Faculté de médecine , t. III, p. 434. (6) Loc. cit. (7) Loc. cit.
scles sont bien peu tendus. Pour (1) Voy. Bulletin de l'Académie de médecine , t. IV, VI, VII, VIII; et Annales de la chirurgie
i peu fondée : on voit ces muscles, à certaines hau- (1) Journal de médecine de Lyon, novembre 1844. teurs, plus courts du c
euf ans. J'ai autrefois placé la pièce sous les yeux de l'Académie de médecine (1). Il faut savoir toutefois que les déviations
direction de ces troncs vasculaires. (1) Bulletin de l'Académie de médecine , t. VII, p. 551. (2) Opusc. pathol. Obs. n. (
de vingt-quatre ans, j'ai pu, dans une communication à l'Académie de médecine (1), faire voir l'allongement des ligaments inter
p. 559, 1771. (2) Loc. cit., p. 52. (3) Bulletin de l'Académie de médecine , t. VIII, p. 1064. (4) Ibid., p. 1155. tome d
drez, d'après cela , comment, il y a quelque vingt ans, l'Académie de médecine fut tenue en échec toute une année par la difficu
épendre d'une affection douloureuse, (1) Voyez dans les journaux de médecine de l'époque la Discussion de l'Académie de médeci
s les journaux de médecine de l'époque la Discussion de l'Académie de médecine , les Rapports de MM. Bricheteau et Gruveilhier, e
du merveilleux pour être de quelque valeur. Un écrivain étranger à la médecine , Carré de Montgeron, racontant avec enthousiasme
de plus amples renseignements, au tome X du Bulletin de l'Académie de médecine , où se trouvent un ilfe-moire de M. Malgaigne sur
ibbosité costale anguleuse. La taille (1) Mémoires de l'Académie de médecine . Paris, 1841, t. IX, p. 132 et 228. (2) Voy. pl
92 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
s hôpitaux de Paris. Un mode d'illustration, tout à fait nouveau en médecine , nous permet de joindre à cette Revue des planche
nre d'iconographie. Les avantages de la photographie appliquée à la médecine ont valu un plein succès à la clinique photograph
entés dans les planches, un compte rendu des séances de l'Académie de médecine et des Sociétés savantes, une revue des principau
M. Ferrus a montré une pièce « à peu près semblable à l'Académie de médecine . » J'ai tenu à transcrire ce chapitre si court,
use d'ajournement des communications et des lectures. L'Académie de médecine s'occupe, presque exclusivement à cette époque, d
tions que le médicament pourrait rendre d'excellents services dans la médecine des enfants. Voici le résumé de cet important t
onnes a particulièrement été étudiée par l'auteur. *t La Société de médecine de Paris a entendu la lecture d'un intéressant mé
taux; nous soumettrons, enfin à nos lecteurs, toutes les questions de médecine théorique ou pratique qui pourront les intéresser
la mortalité des nouveau-nés. On ne saurait trop louer l'Académie de médecine d'avoir obtenu cette importante réforme. Plusie
ue graisseuse, la paralysie pseudo-hyper- (1) Archives générales de médecine . — Paralysie pseudo-hyper-trophique; janvier 68 e
MENSUEL Les communications ont été rares ce mois-ci à l'Académie de médecine , et nous ne trouvons guère, en relisant les compt
térêt considérable qu'il y a pour la science de l'hygiène, et pour la médecine légale elle-même, à suivre la marche et les progr
tie de l'observation telle qu'elle a été publiée dans les Archives de Médecine , n° de mars 1868. La femme M... (Césarine), 38
re de M. L. Lefort, lu à l'une des dernières séances de l'Académie de médecine : Chirurgien de l'hôpital du Midi en 1866 et 18
ez pas à l'inouï qui vient de se passer à notre Académie impériale de médecine . L'Académie vient de nommer un nouveau membre a
ôt un demi-siècle que j'ai l'honneur de faire partie de l'Académie de médecine en qualité d'académicien libre, et que me trouvan
on ou hypergénèse de quelque partie du corps. J. Habrán, Interne en médecine . Nous pouvons^ à la suite de cette observation,
hisie. — M. Villemin, dans une des dernières séances de l'Académie de médecine , a exposé les résultats de nouvelles expériences
re la virulence de la phthisie. Depuis quelques jours l'Académie de Médecine est engagée dans quatre grandes discussions qui d
e cours de cette description. Ch. Robin, Professeur à la Faculté de médecine de Paris. Lèpre des Grecs. La lèpre de \z~pa
nar. BULLETIN Depuis quelques jours, les séances de l'Académie de Médecine , occupées par les importantes discussions sur l'i
gicales, par Fou-cher et Després, professeurs agrégés à la Faculté de médecine de Paris, chirurgiens des hôpitaux (i). Foucher
de nos hôpitaux, M. Chantreuil, publié dans les Archives générales de médecine (1), nous lésa fait connaître, et il paraît résul
friront une ressource précieuse pour les cas de chirurgie, et même de médecine , dans lesquels l'isolement est une condition de g
93 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie
culté de médecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). MM.
eur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris. MM. ABAD ! E(J.), ARNAUD, BABINSKI,
ell, avocat général près de la Cour d'appel de^Bordeaux, docteur en médecine . Thèse de Bordeaux, 1903. L'avocat général qui,
- nale et documentée harangue sur l'amnésie au point de vue de la médecine judiciaire n'avait pas que des compétences juridi
tudes médicales et des études de droit sur le domaine indivis de la médecine légale, où leurs enseignements se complètent l'
nnoncé dans notre numéro de novembre le concours de l'internat en médecine a commencé le 3 décembre. Nous en rendrons compte
ITES A remplir. - Pourront prendre part au concours les docteurs en médecine munis du diplôme délivré par les facultés de l'
élivré par les facultés de l'État et les étudiants ou étudiantes en médecine , sans dictinclion de nationalité, possé- dant s
ciaire; 3° Certificat de revaccina- tion ; 4° Diplôme de docteur en médecine ou certificat de seize ins- criptions prises da
t de seize ins- criptions prises dans une des facultés ou écoles de médecine de l'État. Ce dernier certificat devra indiquer
eures, sur un sujet de pathologie interne et de pathologie externe ( médecine et chirurgie). Il sera accordé trente points po
iate à tenir par le médecin en présence d'un cas clinique urgent de médecine , de chi- rurgie ou d'obstétrique. Seront seul
pages. Extrait du Bulletin de la Société Française d'histoire de la médecine . ROBINOVITCII. The Genesif of Epilepsy. In-8° d
PARIS Médecin de (le Maréville, Chargé de Cours il la Faculté de Médecine de Nancy. Avant-propos. Depuis Rhazès et Avicen
ystérie 1. Par le D' ALBERI' CHARPENTIER Lauréat de la Faculté de médecine de Paris. Dans notre premier article nous avons
permettant pas des déductions d'identité. Aussi les mêmes faits en médecine et en physiologie ont-ils été expliqués par des
oque. Par ce premier chapitre, Grasset se rattache au temps où la médecine , n'étant pas encore entrée dans le domaine vérita
otique. Nous en avons dit, naguère, quelques mots dans le Traité de médecine de Brouardel et Gilbert, d'après les auteurs ca
fois six docteurs, dans la séance de .NI. Marie, et six internes de médecine à Bicêtre. / Nous sommes arrivés aux résultats
r à l'analyse. R. M. C. FAITS DIVERS.* · Concours d'internat en médecine des Asiles' (3 décembre 1903). - Liste des cand
Médecin de l'tls.le de Marévillp, Chargé de Cours à la Faculté de Médecine de Nancy. - (SUITE 1) IV. Sommaire. Enseignem
d. Mais le sang traverse la main posée sur la tête et 1 Journal' de médecine de Bordeaux, 1889. ÉPILEPSIE : PATHOGÉNIE ET IN
u plusieurs fois l'occasion de vérifier l'existence du 244 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. signe de l'orbiculaire dans la paralysi
le liquide céphalo-rachidien; par M. JABOULAY (Société nationale de médecine de Lyon, 3 mars 1902). Il s'agit d'une malade
e exactement 0,037 milligrammes de bichlorhydrate. G. C. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. I. Le cas d'un dégénéré non reconnu tel
mars 1902, il fut jugé le 30 mai; le 24 juin il donne des REVUE DE MÉDECINE LEGALE. - 245 signes d'aliénation mentale et fu
ant aux adultes de cette catégorie, on ne peut évidem- 246 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. ment les atteindre que s'ils tombent un
ujours soutenue, avec de nombreux faits à l'appui.. (B). REVUE DE MÉDECINE LÉGALE., 247 ward Anthony SpiTZKA.. (The New-Yo
té faite en France à des aliénés internés.. ' .. ' i , 248 REVUE DE MÉDECINE LEGALE. V. Les résultats d'un examen médical in
és a été la cause de cette mort. - li. de MUSGPAVE-CLAY. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 24& VII. La folie chez les imbécile
ux ? Précisément, et elle serait utile aux autres de branches de la médecine et de la chi- rurgie. 6° Les dépenses qu'elle n
l'ont prouvé, ne dépasserait pas sen- siblement le prix d'un lit de médecine , et n'atteindrait pas le prix d'un lit de chiru
lon en se basant sur les comptes rendus du Congrès international de médecine mentale de Paris en 1889, où M. Soutzo parle de
es inaugurales soutenues en 1903 et en 1904, devant les facultés de médecine de France, sur un sujet de pathologie mentale o
avec symptômes d'immobilité ; par 11. L. 1)oR (Société nationale de médecine de Lyon, 10 mars 1902). M. L. Dor présente un m
due clairvoyance som- nambulique. BIBLIOGRAPHIE. X, Archives de médecine expérimentale et d'anatomie pathologique, publi
grès. Le Congrès comprend : 1° Des Membres adhérents (docteurs en médecine ) ; 2° Des Membres associés (dames, membres de la
Des Membres associés (dames, membres de la famille, ou étudiants en médecine , présentés par un membre adhérent. Les asiles q
uis), ancien chef de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine ^de Paris, inspecteur adjoint des asiles d'alié
té. Asile d'aliénés de L Charité (Nièvre). Une place d'interne en médecine est vacante à l'asile public d'aliénés de la Char
ction du facial chez le chien; par M. Anr.oix (Société nationale de médecine de Lyon, 12 mai 1903). Dans ses expériences sur
XIV. Corps étranger du cerveau; par M. Vallas (Société nationale de médecine de Lyon, 2 février 1902). M. Vallas publie une
tions auraient été déjà présentées, croit l'auteur, à la Société de médecine de Bordeaux par M. Tissié en 1806. Il les repre
l'enseignement théorique est.parfaitement donné dans les écoles de médecine ; mais l'enseignement clinique est in- suffisan
n 1904. Art. 2 Les candidats devront être Français et docteurs en médecine d'une des facultés de l'Etat, avoir satisfait à l
ministre, pré- sident ; Trois professeurs titulaires de facultés de médecine ou, à défaut, des agrégés ou chargés de cours d
es maladies men- tales, en exercice dans des facultés ou écoles' de médecine de l'Etal; 3° Trois directeurs médecins ou méde
s épreuves sont éliminatoires. 4° Une question orale portant sur la médecine et la chirurgie en général, pour laquelle il sera
pathologie mentale et des maladies de l'encéphale, à la Faculté de médecine de l'université de Paris. Ce dernier se trouvera
la terreur que les aliénés inspirent aux personnes étrangères à la médecine et d'entretenir l'espérance que le traitement à
on provoquée par la communi- cation de M. Dieulafoy à l'Académie de médecine , il ressort ce fait que les tumeurs ne peuvent
ux, notre collègue Masselon, vient Je publier dans la Collection de Médecine pratique, dirigée par M. Hutinel, une excellent
239. AP.1\-DI;CBE\NE. Voir Paralysie sa- lu mine. Archives de médecine expéninenlale et d'anntomo-palliolonic, 347.
- bulbaire, voir Pression intracranienne. Concours d'internat en médecine des asiles (3 décembre 1903), 191. lIèg- ! pm
94 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nt-ils, mais c'est la peur que j'en ai eue. » (Mém. de l'Acad. de médecine , t. XVIII, 1854, p. 120.) Je trouve cette opini
grand nombre d'observations isolées, éparses dans les journaux de médecine ou dans les Recueils des Sociétés savantes ; et
s est celle de Kaempfen, insérée dans les Mémoires de l'Académie de médecine , 1835. Il s'agit d'un officier, âgé de vingt-hu
ve le plus de documents à toutes les périodes de l'histoire de la médecine . Les ouvrages de Bouillaud, de Gama, de Lallema
5), les articles de Charcot et de Pitres dans la Revue mensuelle de médecine et de chirurgie (1877-1879), le mémoire de Dari
de ces accidents ne concorde nullement avec Annales d'hygiène et de médecine légale, 1° série, t. I, p. 2Íl-27 ! J 1851. 1.
. Tabès et Compte rendu de l'enseigne' ment dans les universités de médecine russes {Archives de Neurologie, 1888, p. ). 3
la classification. C'est le BIBLIOGRAPHIE. 189 meilleur moyen, en médecine mentale, de présenter, fidèlement les manières
e au point de vue anthropologique, etc. Concours de l'agrégation de médecine - Nous enregistrons avec le plus grand plaisir
sont spécialisés ainsi qu'il est d'usage depuis peu à la Faculté do médecine , le premier dans la chaire des maladies du Systèm
du somnambulisme dans leurs rap- ports avec la jurisprudence et la médecine légale. Volume in-12 de 7)8 pages. - Paris, 188
Interne des Hôpitaux, aide-préparateur d'histologie à la Faculté de médecine . L'histoire des lésions chroniques de l'encépha
puissent être, j'estime qu'on peut, et même qu'on doit y revenir. Médecine légale. Tout problème médico-légal est une ques
an- hydre, celui dont nous venons de parler, n'est pas employé en médecine ; il ne pourrait être utilisé que comme caustique
uniqué par M. Abraham à la Section de patho- logie de l'Académie de médecine d Irlande, et publié dans le volume de 1885 des
tte Académie. R. M. C. SOCIÉTÉS SAVANTES CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE MENTALE Tenu à Paris du 5 au 10 août 1889. Sé
t que sur ces sujets, le dernier mot devrait toujours rester à la médecine . M. LEUOINE (de Lille) rapporte le résultat de
me. Nous ne rendrons compte que des communications ayant trait à la médecine . M. LIARILLIER donne connaissance des éléments
'hypnotisme doit être soumise aux mêmes règles que l'exercice de la médecine ; 3a l'enseignement de l'hypnotisme et de ses ap
rie et des connaissances en la matière exigée de tout can- didat en médecine . MM. Bourdon (de Méru), G. Ballet et Bechtereff
e sur la nécessité d'une INSPECTION MÉ- DICALE dans LES PRISONS. La médecine et la justice ont de tels rapports ensemble, su
es du Congrès s'associent pour demander que l'enseigne- .ment de la médecine légale soit officiellement professée dans les f
rement dite, nous les laisserons de côté.) CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE LÉGALE Tenu à Paris du 19 au 21 août 1889. Pa
de Neurologie., t. XVII, p. 92 (P. K.). ' Nous avouons préférer la médecine des faits à la médecine des idées. Et c'est là
, p. 92 (P. K.). ' Nous avouons préférer la médecine des faits à la médecine des idées. Et c'est là l'honneur de l'Ecole de
de la personne hypnotisée ' Cette interprétation nous éloigne delà médecine positive (P.-K.). SOCIÉTÉS SAVANTES. 299 ne s
s ne répondent pas toujours, il 1 Communication faite au Congrès de médecine mentale, danssa séance du 9 août 1889. r 2 Vo
odez, promu à la lre classe P, à partir du 1e a01lt, ' Faculté de médecine DE Brunn. M. le Dr Pelmann est nommé professeur
Pelmann est nommé professeur ordinaire de psychiatrie. Faculté de médecine . de YIENNE.-l11. le Dr G. AUTON est nommé privâ
ient de com- mencer une publication intitulée « Studies in clinical Médecine » et dont le plan est calqué sur celui des « Le
Interne des Hôpitaux, aide-préparateur d'histoloêie à la Faculte de médecine . » La moelle cervicale a ses parties symétriq
uction fran- çaise, p. 732, 1888. Audry. Porencéphalics, revue de médecine , p. 462, 1888. Lemoino. Pathogénie de l'épileps
onc les centres de la mo- t Déjérine. Etude sur l'aphasie. (Rev. de médecine , 1885, p. 183.) « Ces troubles de la sensibilit
expé- riences de Fritsch et Hitzig, le rédacteur d'un journal' de médecine , V Impartiale medico, de Florence, avait' écrit
lieu de clore la discussion engagée à la demande de la Société de médecine mentale de Belgique et passe à l'ordre du jour.
9 novembre : M. le Dr COMBE;IALE. professeur agrégé à la Faculté de médecine de Lille, déclaré admissible au concours ouvert
, qui est attaché a la chaire de chirurgie opératoire. Faculté DE MÉDECINE DE BERLIN. M. le Dr KARL VON DEN STEINNE est no
ON DEN STEINNE est nommé privat-docent de psychiatrie. Faculté DE MÉDECINE DE Klausenbourg. - M. le Dr K. LECHNER . de Bud
inaire de psychiatrie et de psychologie médico-légale. Faculté DE MÉDECINE DE GR.\Z. - M. le Dr VoN VARGVE, privat- docent
INE DE GR.\Z. - M. le Dr VoN VARGVE, privat- docent à la Faculté de médecine de Vienne, est nommé professeur extraordinaire
thologie mentale ; et enfin sa dernière communication au Congrès de médecine mentale de 1889 sur l'Origine psycho-motrice du
s à 1'), par Krafl't- Ebing, 270. Agrégation (concours de 1' en médecine ! , 172 ; (Spécialisation de l'), 172. Albumi
43 ; - de la Basse-Saxe. 454; - des médecins aliénistes, 456; -de médecine mentale, 274. Coprolalie, par Leerain, ,éâldS,
5. Maladie de Dupuvtren et paralysie OEénerale, par Régis, 439. Médecine légale (congrès de), 293. Méningite (gourmeuse
95 (1862) Mécanisme de la physionomie humaine : ou analyse électro-physiologique de l'expression des passions
E (de Boulogne) Lauréat do l'Institut de France et de l'Académie de médecine de Paris (prix Itard), Lauréat du concours Napolé
on III sur l'électricité appliquée, Membre titulaire de la Société de médecine de Paris, Membre correspondant des Académies, Uni
Paris, Membre correspondant des Académies, Universités et Sociétés de médecine de Dresde, Florence, Gand, Genève, Kieff, Leipzig
ciences, ont été développés et publiés dans les Archives générales de médecine , en juillet et août 1850, et février et mars 1851
titut, développés et publiés en partie dans les Archives générales de médecine . L'un de ces mémoires traitait de l'atrophie musc
alisée. Mémoire présenté à l'Académie des sciences et à l'Académie de médecine , janvier 1850. Recherches électro-physiologique
les fonctions des muscles de la face. Mémoire adressé à l'Académie de médecine et à l'Académie des sciences, le 14 mars 1850. —
tympan. Mémoire présenté à l'Académie des sciences et à l'Académie de médecine (Arch. gén. de méd., décembre 1850). Du choix d
tro-physiologiques et pathologiques. Mémoire présenté à l'Académie de médecine en 1851. — Rapport de M. Soubeiran. Recherches
ur le tronc et le bras sur l'épaule. Mémoire présenté à l'Académie de médecine le 24 août 1852. Recherches électro-physiologiq
a main. Mémoire présenté à l'Académie des sciences et à l'Académie de médecine en février 1851 (Arch. gén. de méd., mars, avril
culaire. Mémoire adressé à l'Académie des sciences et à l'Académie de médecine le 20 décembre 1853. De l'action thérapeutique
tement par l'électrisation localisée. Mémoire adressé à l'Académie de médecine le 5 septembre 1854 (Gaz. hebdom., 1 855). Note
es qui meuvent le pied sur la jambe. Mémoire présenté à l'Académie de médecine et à l'Académie des sciences (Arch. gén. de méd.,
duction de premier ordre et de second ordre, adressée à l'Académie de médecine le 18 mars 1858. De la valeur de la faradisatio
vements. Mémoire adressé à l'Académie des sciences et à l'Académie de médecine (Arch. gén. de méd., décembre 1858 et janvier, fé
s lèvres, maladie non encore décrite. Mémoire adressé à l'Académie de médecine et à l'Académie des sciences (Arch. gén. de méd.,
u repos. En 1805, Moreau (do la Sarthc), professeur à la Faculté de médecine de Paris, et l'un des principaux collaborateurs d
nter, dans le cours de l'année 1850, aux Académies des sciences et de médecine de Paris, une série de mémoires intitulés : Fonct
51, le brillant rapport du professeur Bérard, membre de l'Académie de médecine (1). Il m'est permis d'affirmer que ce mode d'e
érimentales. (1) Séance du 18 mars 1851 (liullelin ik l'Académie de médecine , t. XVI, p. 609). 11 n'est venu certes à l'idée
e contact, en même temps qu'elle consacre le nom d'un savant à qui la médecine doit une découverte bien plus précieuse pour la t
96 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Paris. V. IYIAGNAN Membre de l'Académie
lté de médecine de Paris. V. IYIAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). F.
cur de clinique des maladies du système ner%eux à la Faculté de médecine de Paris. COLLABORATEURS PRINCIPAUX : MM. A
tourage remarque cette expression. Un autre malade, un étudiant en médecine , âgé de 21 ans, pré- sentait en même temps les
ux et je peux dire que je ne l'ai jamais pratiqué. Une étudiante en médecine me demanda une fois s'il ne m'arrive pas de me
-ad- joints qui tous ont fait la preuve de leurs connaissances en médecine mentale et qui tous ont fait, antérieurement au
ar des concours régionaux dans les centres de facultés ou écoles de médecine comme cela se pratiquait autrefois pourles méde
ouverions-nous ? Ou si nous confions la pharmacie aux in- ternes en médecine , sans expérience dans la préparation des pres-
és de Lesvellec (près Vannes). - Deux places d'interne titulaire en médecine et deux places d'interne provisoire sont actuel
ns les maladies men- tales. De la folie hépatique.(A ¡'cl1. gén. de médecine , août 1892). (6) JOFFROY. - (Soc. médicale des
ux d'origine hépatique. Hépalo-loxémie nerveuse. (A i-cil. gérr, de Médecine , 1896.) 100 CLINIQUE mentale. nous pouvons ci
ns à déterminer, auprès des facultés ou des écoles préparatoires de médecine . L'in- demnité annuelle sera, au minimum de 800
di 16 mai 1905. Présidence de M. Jules Voisin. La graphologie et la médecine . M. Pierre IiOUC.aI2D. Etant un chapitre de la
pister que les simulateurs trouvent des leçons dans les livres de médecine , dans les cours des examens médicaux et même aupr
montré dans un rapport envoyé au Ministère à la suite du Congrès de médecine mentale de Pau et que je tiens à votre disposit
sile public d'ai.'énés DE CLERMONT (Oise). Deux places d'interne en médecine sont actuellement vacantes à l'Asile des aliéné
tionalité française, 16 ins- criptions valables pour le doctorat en médecine , certificat de bonne ,ie et moeurs. Adresser le
et d'Illc-el-Vilaine ; l'errin de la Touche directeur de l'Ecole de médecine et de pharmacie ; Oberthur, premier adjoint au
bles résulteraient de la transformation en Faculté de l'Ecole de médecine actuelle : si l'on trace une ligne droite allan
ordeaux à Lille, on constate, dit l'ora- teur, que sept facultés de médecine sont situés l'Est de cette ligne, tandis qu'auc
ociété de neurologie ; Perrin de la Touche, directeur de l'Ecole de médecine et de pharmacie de Rennes. MM. Petrucci (d'Ange
e certains facteurs purement intellec- tuels (lecture des livres de médecine par les gens du monde, nosophobie des jeunes ét
médecine par les gens du monde, nosophobie des jeunes étudiants en médecine , syphilopho- bie, préoccupation hypochondriaque
ation avec M. Juquelier, dans laquelle on trouve l'application à la médecine légale de l'hypochonirie, des conclusions patho
ui semblait aussi d'origine traumatique et que, d'ailleurs, dans la médecine maritime, les brimeurs me- nacent souvent les m
euf ans avant le mémoire sur le même sujet présenté à l'Académie de médecine de Belgique par MM. Van Gehuchtcn et Nelis. M
accessoires et la clinique, dans l'enseignement de nos Facultés de médecine , dispa- raisse. M. 111NHEIIdER Gommés (Paris)
de Louis 1 leury, avec qui nous avons collaboré (1861 à 1864) à la Médecine contem- poraine, suite du journal 1'[Iyii,otlbé
: A9.DIDE ? yeiwofogie : Le cerveau sénile; rapporteur : M. 1ÍmI. - Médecine légale : La responsabilité des hystériques; rap
iété de Neurologie ; M. le D1' 'Ir.1ERS, trésorier de la Société de médecine mentale, Secrétaires des séances ; MM. les 1)"
O, secrétaires et bibliothé- caire des sociétés de neurologie et de médecine mentale. Comité local DE réception : Président
Henri DEFLnuRiAN (L'anencéphale et ses réactions vitales. Tlièse de médecine de Bordeauv, 1903). Nous citerons comme présent
alcoolique por- teur d'une cirrhose latente ; par Liriez. [Revue de médecine , juillet t'J04.) - Un sujet de 35 ans, alcool
II. Obssrvation de tremblement hystérique ; par Boucarut. [Revue de médecine , juillet 1 ! )0.) Un jeune soldai hystérique à
miques sur l'épilepsie ; par le Dr 51asoin. [Bulletin de la Soc. de médecine mentale de Belgique, décembre 1904.) Dans ce
s ce très important mémoire, qui a été récompensé par l'Académie de médecine de Uelgique, l'auteur a eu surtout pour but d'e
e ; par )1. Xavier 1"RANCOTTE.(IJIIIle- lin de l'Académie royale de Médecine de l3elgiryse.- Séance du 30 juillet 1904. La
XXIV.-Technique sphygmographique ; par VASCHIDE et LOFIY. [Revue de médecine , mars l'.104.) Etude très intéressante qui donn
plus éclairés, plus intelligents. En effet, avec les progrès de la médecine et sur- tout de la chirurgie moderne, des conna
eçons sont suffisantes, car il ne s'agit pas de leur appren- dre la médecine mentale, mais à être des auxiliaires des méde-
ntait la Société. )1. IIFRU.nov rend compte également du congrès de médecine interne auquel il a assisté comme délégué de la
eçon sur la paralysie générale ; par le Prof. Raymond. (Archives de médecine , n° J4 p. 80, 1905.) Dans la première partie de
De la récente discussion qui a eu lieu il ce sujet à l'Académie de médecine , il résulte que la grande cause de la j ! ara)\
X. Note sur le rôle pathogène de la simulation; par FlR1 {Revue de médecine , mars 1 ! I04.) La simulation de la folie et de
E départemental pi : la Haute-Vienne. Un poste d'é- lève interne en médecine est actuellement xacant a l'asile d'aliénés de
iénés de LESVELLEC (près N'aimes). Une place d'interne titulaire en médecine est actuellement vacante à l'Asile public d'ali
nchissage et une indemnité annuelle de ? 00 francs. Les docteurs en médecine peuvent poser leur camliclaW re ù l'inLer nat.
ifférentes formes des Icyto-rr : yélites tubel eu- leuses. Revue de médecine . IS86. : 1) OnDo cl - Note histologique sur les m
nos travaux sur cette maladie : Courneville. Art. dans Traité de médecine de Crouardel et Gilbert, t. IX, p. 5S ; -Idioti
velet et de la moelle ; par les D'" U.4LLAVARDIN et VAR.1L (Rec. de médecine , juin l'J03.j Une première observation est rela
lgie faciale rebelle; par le D USTWALT, (l3rulletinde l'Académie de médecine , 30 mai). ' M. I. IIvymond. Je dépose sur le bu
les géants obtinrent,la même année,le prix Ilerpin à l'Académie de médecine , le prix )Ion- thyon à l'Académie des sciences
97 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ques mêmes, un nouveau caractère de certitude. 1 Lu à l'Académie de médecine en 1875, ce mémoire, destiné 1 une autre public
ana- logues aux siens, elle lit avec avidité plusieurs traités de médecine mentale, scrute et commente particulièrement 1
S HÉMIPLÉGIQUES; Par le Dr A. PITRES, - Pmfesseur à la Faculté de médecine de Rordeaui. , Les troubles fonctionnels, qui s
un diamètre de sept millimètres et au-dessus, nous constatons que MÉDECINE LÉGALE. 4*7 dans deux cas elle allait jusqu'à 2
ait, n'étant actuelle- ment en état d'en tirer aucune conclusion. MÉDECINE LÉGALE EXTRAIT D'UN RAPPORT DE MM. LUN1ER, FOVI
A cette époque, il perd en trois mois, son père, une tante et 48 MÉDECINE LÉGALE. sa femme; ces deuils successifs l'impre
este toujours sombre, en proie aux mêmes préoccupations pénibles. MÉDECINE LÉGALE. 49 Entré à l'asile de Clermont le 26 ja
'écriant : « J'ai tué mou rédempteur »; on accourt et l'on 4 50 MÉDECINE LÉGALE. trouve, eu effet, le curé étendu sans v
d'intensité n'ont plus reparu depuis 1879, ainsi que le constate MÉDECINE LÉGALE. 51 le docteur Frièse, à la date du 6 dé
CÉRÉBRALES; Par Gilbert BALLET, Chef de clinique à la Faculté de médecine . BIBLIOGRAPHIE : 1. Anatomie du faisceau sens
les lésions des circon- volzctions cérébrales. (Revue mensuelle de médecine et de chirurgie, nos et 2, 9880).- Nothnagel, T
y, pour les aliénés, à Perth, en Ecosse. (Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique, année 1880, 2e fascicule,
l science, octobre 1879 et janvier 1880) (Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique, année 1880, 2° fascicule,
nce d'avec l'asile, hésiteraient moins à y placer leurs aliénés; la médecine y ferait plus de progrès; les cas de suicide se
des types DE folie ; par M. le D BILLOD. (Bulletin de la Société de médecine mentale de l3elgz jzce, année 1880, 21 fascicul
seur chargé du cours clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Bordeaux, vient de succom- ber à une longue
e (Tarn-et-Garonne), le 30 mars 1838. Reçu docteur de la Faculté de médecine de Paris eu l8li : i, il fut successivement dir
les. Medesinokaia Bibliotek(i 1881. ? 5 (journal russe) et Revue de médecine , 1882. IL. Mayer, Die Be ! C/tM ? t</e)te ?
r la méthode DE M. CHtRco,r; par Ch. Féré et Ach. Demars. (Revue de Médecine , 1881.) Les auteurs débutent par une étude de l
III. Tabès INCIPIENS ; par ERLENMEYER,. ( Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique, année 1880, 2e fas- cicule
sile royal de Zwiefalten (Wurtemberg). (Bulletin de la Société de médecine mentale de Belgique, année 1880, 4e fascicule,-
tschrifl sur .Ps ? /e ! /ta< ? '/e ; Bulletin de la So- ciété de médecine mentale de l3elga'que, année t880, 3e fascicule,
, les mouvements sont lents,, pénibles, sans vigueur (Compendium de médecine ). Elle est plus ou moins marquée, elle disparai
auf grundlage zahlreicher GeuGa- chlungeii, p. 115. 2 Journal de médecine et de chirurgie pratiques, lévrier 1882. ' ' DE
- ressants, dit-il lui-même. D'après les auteurs du Compendium de médecine , la sensibilité de la peau devient obtuse ou s'ef
momètres qu'il interroge le plus Worms. - Bulletin de l'Académie de médecine , 2e s(rie, t. IX. 5 Buzzard. The Gancet, t. 1,
al chez certains diabétiques, 1878. a Cotard. Archives générales de médecine , 1877. AitcuivEs, L. IV. 23 . 3j ! 1, REVUE C
cée deux mois à l'avance. Sont admis à concourir : les étudiants en médecine français et Archives, t. IV. 2G 402 FAITS DIV
ts, arrêtée par le préfet, sera transmise au doyen de la Faculté de médecine . Les épreuves du concours seront les suivantes
nt dans l'examen de deux malades, choisis l'un dans un ser- vice de médecine , l'autre dans un service de chirurgie (quinze mi-
e de cette épreuve. Les concours ont lieu au siège de la Faculté de médecine , comme pour les concours d'internat des hospice
pres à développer la faculté du langage chez les idiots. Faculté DE médecine ET DE pharmacie de LT01. - Au mois de no- vembr
chef de clinique des maladies mentales. Concours POUR l'internat EN médecine dans LES asiles PUBLICS d'aliénés DE la seine.
a seine. Un concours pour la nomination à deux emplois d'interne en médecine dans les asiles publics d'aliénés de la Seine (
s précis. Pourront prendre part à ce concours tous les étudiants en médecine , âgés de moins de trente ans et pourvus de douz
un certificat constatant qu'il est pourvu de douze inscriptions en médecine . Le concours porte sur l'anatomie et la physiol
ique est assez réduite. Le service médical comprend six internes en médecine (aucun en pharmacie), dont trois sont nommés au
de Nantes, et sont alors affectés aux sections de vieillards et de médecine proprement dite (infirmerie). Il existe un servic
98 (1934) Oeuvre scientifique
T, G.-A. WEILL MASSON ET Cie, ÉDITEURS LIBRAIRES DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE 120, BOULEVARD SAINT-GERMAIN, PARIS (VIe) 193
ENT, G.-A. WEILL MASSON ET C\ ÉDITEURS LIBRAIRES DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE 120, IIOULEYARD I\T-GERIfAIV PARIS 1934 ===
QUE LA VOLONTÉ EST INCAPABLE DE REPRODUIRE. DE LEUR IMPORTANCE EN MÉDECINE LÉGALL' ('). J. 13aBmsxi. Publié dans la Gaze
la volonté n'est pas en mesure de reproduire ; elle est capitale en médecine légale où de gros intérêts peuvent être en jeu,
logie. Je pourrais en prendre dans toutes les autres branches de la médecine . N'est-ce pas par des douleurs que s'annoncent
avertie. En fait, vous n'avez qu'à consulter les anciens Traités de Médecine , les Revues et les Leçons consacrées à l'étude
mplètes de la moelle cervicale. J'ai rapporté moi-même (Archives de médecine expérimentale, 1891, n° 2 : Paraplégie flasque pa
J. Babinski et J. Jar- kowski (Communication faite à l'Académie de médecine le 16 janvier 1912). c) Des réflexes cutanés do
t je me suis exprimé à ce sujet en 1900 au Congrès international de médecine , à l'occasion du rapport sur le « Diagnostic de
ki et Jarkowski, Revue neurologique, 3o mai Ygio (3 cas); Académie de médecine , Bulletin médical, 17 janvier 1912 ; Babinski,
abinski.] Conférence faite , le 31 mai 1922, à la Société royale de médecine de Londres, avec présentation de malades et pro
ice. Une mésaven- ture un peu analogue est arrivée à un étudiant en médecine désireux d'apprendre la sémiologie des maladies
es péroniers. Van Gehuchten, dans un travail présenté au Congrès de Médecine de Paris en août 1900, entre autres questions q
et A. Tournay.] Publié dans le rapport au congrès international de médecine , Londres, igi3. ' INTRODUCTION (') 'ETUDE des
de l'éminence thénar. (2) J. Babinski, Bulletin de l'Académie de Médecine , t. LXXVII, n° 7, p. 182, r3 février 1917. ÉLEC
YNDROME Cls'11131sLL EU \' Publié dans le Bulletin de l'Académie de Médecine , 23 avril lg25. J. Babinski fait projeter des f
ie flasque par compression de la moelle, par J. Babinski. Archives de médecine expé- rimentale, 18gi. III DE LA PARALYSIE
que de plus, étant donné qu'il ignore complètement les choses de la médecine , il serait sin- gulier que l'aphasie eût éveill
Boulogne). De l'ataxie locomotrice localisée (Archives générales de Médecine , z858). L'électrisation localisée. Paris, 1872.
B.W311VSKI et ,T..TaRICOWSKI. Communication faite il l'Académie de médecine le 1 6 janvier 1911. Etant donné que les tumeur
sation des lésions comprimant la moelle, etc. Comm. à l'Académie de Médecine le 16 janvier igi2, Bulletin médical, 17 janvier
signaler cette observation dans une communication 1. l'Académie de médecine (J. Babinski et J. Jarkowski. Sur la localisation
"U. 28 I DES NÉVRITES [J. Babinski.] Publié dans le Traité de médecine de Charcot-Bouchard, t. X, igoo (p. i ci zga. '
2° L'important mémoire de MM. Landouzy et Déjerine dans la Revue de médecine (février et avril 1885). 446 AFFECTIONS DES M
l'article « Hystérie », paru dans la deuxième édition du Traité de Médecine de Charcot-Bouchard-Brissaud, elles sont ignorées
ifs que la volonté est incapable de reproduire. De leur importance en médecine légale », par J. Bakinski (Gazette des Hôpitaux
'ai obtenu ainsi bien souvent, en particulier chez des étudiants en médecine , la disparition rapide et définitive de manifes-
t pas l'habitude des raisonnements rigoureux, mais confiant dans la médecine , je me contente de lui affirmer, sans chercher
a suggestion, c'est-à-dire de l'hypnotisme. Gazette hebdomadaire de médecine et de chirurgie, juillet 1801. Voici la conclusio
et M. le professeur Dieulafoy en a relaté récemment à l'Académie de médecine un cas remarquable. Mais, me diront sans doute
r le mot pithiatisme. IV DE L'HYPNOTISME EN THÉRAPEUTIQUE ET EN MÉDECINE LÉGALE . B : 1BINSICI. Publié dans la Semaine
aussi, à cette occa- sion, de reprendre la question fondamentale en médecine légale, des rap- ports de l'hypnotisme avec ce
volontiers en oeuvre. Abordons enfin le problème de l'hypnotisme en médecine légale. Des sujets qui, à l'état de veille, aur
l'hémi- anesthésie hystérique qui a été donnée dans les Traités de médecine anciens et à laquelle on attachait autrefois un
sommeil chlo- roformique et leur valeur en sémiologie, Académie de médecine , 19 octobre Ig15. (") .1. Babinski, Société de
sommeil chlo- roformique et leur valeur en sémiologie, Académie de médecine , 19 octobre igi5. (2) J. Babinski et J. Froment
vec surexcitabilité mécanique, galvanique cl faradique. Académie de médecine , i i janvier igi6. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉF
dans les paralysies et les contractures d'ordre réflexe. Annales de Médecine , octobre-novembre 1916. (3) J. Babinski, Hallio
ontractures d'ordre réflexe. Babinski, Froment et Heitz, Annales de médecine , octobre 19111. On trouvera dans cette élude une
sommeil chlo- roformique et leur valeur en sémiologie, Académie de Médecine , 19 octobre igi5. Contribution à l'étude des tr
de mort, reconnaissant pour cause une hémorragie méningée (Revue de Médecine , rSS3). 7. Sur un cas de pseudo-pellagre (Gazet
ance des lésions dans les cornes antérieures de la moelle (Revue de Médecine , 1884). - . 10. Note sur un cas de pneumonie tu
bacille dans les crachats (en collaboration avec Dejerine. Revue de Médecine , r 8S4). I I. Sur les lésions des tubes nerveux
aire systématique combinée (en collaboration avec Charrin. Revue de Médecine , 1886). 17. Sur la présence dans les muscles st
, 1889, ne, 49 et 5o). 24. Faisceaux neuro-musculaires (Archives de Médecine expérimentales, Ier mai 1889). 25. Arthropathie
). 29. Paraplégie flasque par compression de la moelle (Archives de Médecine expérirnen- tale et d'Anatomie pathologique, ,o
ale hystérique (Id., 16 décembre 1892). 39. Les névrites (Traité de médecine Charcot- Bouchard, chez Masson). 40. Contractur
tiques (Id.). 65. Tabes avec cécité (XIIIe Congrès international de Médecine , Paris, igoo. Section de Neurologie). 66. Scl
iculier du vertige auri- . culaire par la rachicentèse (Académie de Médecine , 28 décembre igo3. Annales des maladies de l'or
s que la volonté est incapable de reproduire. De leur importance en médecine légale (Leçon faite à la Pitié. Gazette des Hôpit
« La définition et la nature de l'Hystérie » (Archives générales de Médecine , mars 1907). 136. Sur la rachicentèse dans les
nière pour la ponction lombaire (Leçon faite à la Pitié. Journal de médecine el de chirurgie pratiques, 10 juin 1908). t5r.
tions de l'appareil cérébelleux et de leurs perturbations (Revue de médecine interne et de thérapeutique, mai 1909), . 162
s réflexes de défense (en collaboration avec Jarkowski. Académie de Médecine . Bulletin médical, 17 janvier 1910). 166. Hypot
14 avril 1910). 170. De la craniectomie décompressive (Académie de Médecine , Bulletin médical, 20 avril 1910). 171. Sur l
8 INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 175. De l'hypnotisme en thérapeutique et en médecine légale (Société médicale, 27 juillet 1910). 1
galvanique et faradique (en collaboration avec Froment. Académie de Médecine , 11 janvier 1916). 93o. Contractures et parap
d'ordre réflexe (en collaboration avec Froment et Heitz. Annales de Médecine , septembre, octobre 1916). a4a. Parésie réfle
actions électriques d'hypothermie locale (Bulletin de l'Académie de Médecine , 13 février 1917). 246. A propos d'un cas de cl
t réflexes (en collaboration avec Froment. Annales de la Faculté de Médecine de Montevideo, 1917). 253. De la claudication i
de défense. Conférence faite le 3r mai 1922 à la Société Royale de Médecine de Londres, avec présentation de malades et proje
ars 1925). ' , 283. Syndrome cérébelleux (Bulletin de l'Académie de Médecine , 23 avril 1925). " , 284. Eloge de J. M. Charco
que la volonté est incapable de reproduire ; de leur importance en médecine légale 3 Il. Quelques considérations sur l'inte
onnelle. Pithiatisme 486 IV. De l'hypnotisme en thérapeutique et en médecine légale 5o5 V. - Hystérie et pithiatisme 51l¡
99 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
ysé, comme dans l'attitude du pleurosthotonos. 1 Revue mensuelle de médecine et de chirurgie, 1880. DES SCOLIOSES DANS LES N
ent propose qu'il soit donné suite à un vote émis par le Congrès de médecine mentale, qui demandait la création d'un comité
t. Le Secrétaire général fait un résumé des travaux du Congrès de médecine mentale. '. De la mélancolie (suite de la discu
lications qu'il a faites depuis vingt-cinq ans dans les Archives de médecine et les Annales médico-psychologiques, pré- sent
enu à la troisième classe). Arrêté du 11 janvier 1890. Faculté DE MÉDECINE DE Paris. Nous enregistrons avec plaisir la nom
de clinique des maladies cutanées et syphilitiques à la Faculté de médecine de Paris. M. Cathelineau a publié l'an dernier
intéressant travail sur la nutrition dans l'hystérie. Faculté DE médecine DE Montpellier. - M. le Dr LAFON est nom- mé ch
chef de clinique des maladies mentales (emploi nouveau). Faculté DE médecine DE NANCY. - M. le Dr Langlois est chargé, pour
r les droguistes. - Dans une des dernières séances de la Société de médecine légale, M. Mollet a communiqué le fait suivant
en liberté magnétiseurs et magnétisée (Prog. méd.). Hypnotisme ET médecine légale. Le tribunal de Nuremberg, en Bavière, v
porté plainte. Les aliénés criminels en Belgique. - L'académie de médecine de Belgique vient de voter les conclusions sava
in. L'hospitalisation des épileptiques en BELGIQUE. L'académie de médecine de Bruxelles a voté à ce sujet les conclusions su
de) vient de juger un procès des plus curieux. Un jeune étudiant en médecine avait porté plainte contre un médecin de la vil
1 ; 1889, t. XVII, p. su'), nous avons communiqué à la section de médecine de l'Association française pour l'avancement des
HR aîné. M. SPERLING. De la situation occupée dans les choses de la médecine actuelle par l'hypnotisme, avec démonstrations.
ens, puisque le sttititse æamen (examen autorisant l'exercice de la médecine ) ne comprend aucune des matières de la psychiatri
e rémission a persisté. Depuis neuf ans, notre con- frère exerce la médecine , et, depuis sept ans, il est en possession des
sque. décédé, est compris dans la 2e classe du cadre . Faculté DE médecine DE GR.1Z. - M. le Dr F. Muller, privat- docent
auteur d'une thèse estimée sur la Chorée des vieillards. Faculté de médecine DE Paris. M. le Dr ILIPPEL, ancien in- terne de
luence auprès de l'administration supérieure que nos journaux '( de médecine , que nos Sociétés de médecine, que les neuropatho
ion supérieure que nos journaux '( de médecine, que nos Sociétés de médecine , que les neuropatho- logistes les plus éminents
s solidairement à 10,000 francs de dommages-intérêts. Académie DE médecine DE BELGIQUE. Prix. - L'Académie de médecine de
intérêts. Académie DE médecine DE BELGIQUE. Prix. - L'Académie de médecine de Belgique vient de partager le prix de 8,000 fr
L, professeur extraordinaire des maladies nerveuses à la Faculté de médecine de Vienne, mort d'urémie à l'âge de 57 ans. On
SCHOElOER, professeur extraordinaire de psychiatrie à la faculté de médecine de Berne. Georges Guinon. BULLETIN BIBLIOGRAP
crée, au lieu de lui avoir donné naissance. Tant il est vrai que la médecine ne s'appartient pas encore, et ne voit guère qu
XVII, p. GU3. $Sclérose médullaire systématique combinée. (Revue de Médecine , 1886, p. 962.) 384 ANATOMIE PATHOLOGIQUE.
ment qui permette de résoudre ces questions. (A suivre.) REVUE DE MÉDECINE LÉGALE I. La folie ET LE crime; par S.-W. 1VORT
r quelle sera la conduite probable d'un aliéné. R. M. C. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 393 II. L'IVRESSE DANS SES RAPPORTS AVE
t pas nécessaire d'avoir beaucoup feuilleté les recueils anglais de médecine légale ou de psychialrie pour savoir combien la
dmise, on doit cependant noter quelques différences de 394 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. détail dans l'application qui est faite
là procès. On entend l'officier ministériel et le médecin. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 398 Le Tribunal, considérant que l'offi
nule le contrat en question. P. KER ? V.1,1,. V. Un'cas récent de médecine légale : une question d'aliénation mentale, par
iminel aliéné ? Qu'est-ce qu'un aliéné criminel' ? : ' 396 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. - Voilà comment la pratique peut donner
idiots les alcooliques les épi- leptiques les criminels aliénés. La médecine mentale est, comme le reste de la médectne, la
civil prussien pour qualifier l'aliéné privé de toute sa raison. La médecine générale ayant l'habitude d'emprunter à la langue
Adam, précé- demment promu. (Arrêté du 16 avril 1890.) Faculté DE médecine DE PISE. - M. le Dr G. D'AuUNDO a été nommé pri
suivantes qui peuvent intéresser nos lec- teurs. - lino 1. Prix de médecine : De l'influence du tabac et de la nicotine sur
, demanda à passer de nouveaux examens devant le jury de l'Ecole de médecine et de pharmacie d'Amiens. Or, bien qu'il se soi
- des aliénés et les asiles d'aliénés. (Assistance, législation et médecine légale). Brochure in-8° de 564 pages. - Prix 8 fr
100 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
hives de Neurologie, vol. XXIII, n 67, p. 83. ' G. Guinon. Revue de médecine , 7° année, n° 6, p. 511 . 'A.Pitres, loc. cit.,
peut donner naissance chez un même individu à 1 G. Guinon. Revue de médecine , 7' année, Il'' G, f. 511;. 40 .PATHOLOGIE NERV
seulement à quelques mois (Obs. II). 1 G. Guinon. -> Revue de médecine , 7° année, n° G, p. ji8, dt9. L'HYSTÉRIE ET LES
evue hebdomadaire. LA FOI QUI GUÉRIT. I )' le but essentiel de la médecine étant la guérison des malades sans distinction
cation que celle d'une guérison opérée en dehors des moyens dont la médecine curative semble disposer d'ordinaire, répondent
est d'un ordre trop naturel pour justifier 1 Littré. Un fragment de médecine rétrospective. (La philosophie positive, 1866,
e successive et disséminée de la peau; l'urticaire gangreneuse. (La Médecine moderne, n° 9, 20 fé- vrier 1890.) 2 On trouv
ES aliénés ; par M. SAILLER. Dans une communication à la Société de médecine mentale de Belgique, MM. de Boeck et Slosse ont
sont incapables de se mouvoir les yeux fermés. (Raymond, Revue de Médecine , mai.) Or, cela est simplement dû à un trouble ps
caractéristique de la dégénérescence, nous n'au- rons plus alors en médecine mentale d'autre maladie que la dégé- nérescence
ts, qui a valu à leurs auteurs le prix Falret 1890, à l'académie de médecine , la folie est étudiée dans ses rapports avec le
e vue théorique que pratique. Paul BLOCQ. 111. Manuel pratique de médecine mentale; par le Dr E. Régis. 2e édition. Paris,
Des chapitres sur le Diagnostic pratique, sur le Traitement, sur la Médecine légale des aliénés offrent à l'étudiant et au p
procédés; la psychologie n'est que la physiologie spécialisée ; la médecine mentale n'est qu'une spé- cialisation de la méd
écialisée ; la médecine mentale n'est qu'une spé- cialisation de la médecine générale à laquelle elle doit emprunter ses pro
les. » -Rapporteurs MM. les docteurs Régis et Chevalier-Lavaure. 2° Médecine légale : « Des faux témoignages des aliénés devan
ligatoire d'un cours de clinique psychiatrique par les étudiants en médecine avant d'être admis au troisième examen riyorosu
raît pas avoir encore appelé l'attention des doyens des facultés de médecine ni du ministre de l'ins- truction publique. Il
au courant de l'organisation de l'enseignement dans les Facultés de médecine étrangères. B. FAITS DIVERS Asiles d'Aliénés.
s formes cliniques de la myopathie primitive progressive. (Revue de médecine , 1885, p. 793.) SUR UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITI
ie, 1881, p. 161.) 2 Rakhmaniiiolï. Névrite périphérique. (Revue de médecine , avril 1892. n° 4, p. 335.) . 202 PATHOLOGIE
ire inférieure. 1 Extrait d'une communication faite à la Société de médecine légale de France, séance du 11 juillet 1892.
des Annales médico-psyclzologiques et des principaux journaux de médecine français. XIX. Sur deux cas de rumination chez
d'années que M. Richer avait présenté ce tra- vail à l'Académie de médecine , qui lui avait décerné le prix Civrieux. Les pr
un concours pour la nomination aux places d'interne titu- laire en médecine qui seront vacantes dans lesdits établissements
ême façon que les autres hôpitaux de Paris. Prix DE l'Académie DE médecine . -Parmi les prix décernés, nous .relevons ceux
rivés consacrés aux aliénés. Les concours des prix de l'Académie de médecine sont clos tous les ans fin février. Les ouvrage
s relevons les suivantes : ' FAITS DIVERS. 313 là . Prix Monlyon ( médecine et chirurgie). Mention honorable à M. Pitres (d
qui prouvent la compétence scientifique et pratique du candidat en médecine mentale, et dans la pratique des asiles. 314 FA
résident sans droit de vote, de deux pro- fesseurs de la Faculté de médecine de Rome et de trois médecins (professori) chois
e effet mortel s'est produit invariablement ( ! ? ). , Faculté DE médecine D'IF : NA. M. le Dr ZICIIEN est nommé professeu
té Bergère. Hier soir, M. Follet, qui avait dîné avec un docteur en médecine , chargé de l'examiner d'une façon toute particu
rveux, t. III, p. 299-3G9. ' r-G. Marie et SOUZ : 1-LGITE. Revue de médecine , 1885, p. 421-430. 7. Rendu. Bulletin de la Soc
25. Souques. De l'hystérie mâle. (Extrait des Archives générales de médecine , n° d'août 1890.) 26. Ballet. - Sur un cas de m
n'hésita pas à créer, spécialement pour les prisons, un service de médecine mentale. L'auteur pense évidemment avec raison,
s méthodes positives et libérales de l'assistance en général, de la médecine et de la chirurgie courantes, l'assistance des
ari=, a été nommé interne des hôpitaux en 1835 et reçu doc- teur en médecine en 1862. Sa thèse avait pour titre : Des embolies
aculté en 1866 (Du rhumatisme viscéral), et membre de l'Académie de médecine en 1883. Après avoir fait, pendant deux ans (18
s maladies de l'encéphale, (lui venait d'être créée à la faculté de médecine de Paris. Le titre donné à cette chaire était a
homme qui a l'honneur de professer dans une chaire de la Faculté de Médecine de Paris. Ces vérités, nous les avons dites du vi
87; - La claustro- phobie (Annales médico-psychologiques, 1879); La médecine men- tale à travers les siècles, 1879 ; - Isché
La responsabilité partielle des aliénés (Bulletin de l'Académie de médecine , 1886, et Encéphale); Polie de la puberté ou hé
1° Il est contraire à l'intérêt bien entendu des malades et de la médecine mentale de laisser augmenter la population de nos
de M. le Dr Du- buisson, appelé à d'autres fonctions. Faculté de médecine de >110NTPELLIE(l. M. Bosc, chef de clinique
oncours. Voici les questions qui intéressent nos lecteurs : Prix de médecine . Rapporter au moins quatre observations inédite
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