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1 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
DIRECTION DE MM. V. MAC.NIXN Membre de l'Académie de médecine. Médecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). I-- ITllES Pr
ravail.L'idée première nous en a été four- nie par M. le Dr Charon, médecin en chef, directeur de l'asile, qui nous a égale
culaires dans la démence précoce. Tr. ref. pupillaires. Congrès des médecins alié- nistes et neurologistes, 1905. Dupouy. Hy
gré ses lacunes, la vieille classification des fugues suffisait aux médecins experts, civils ou militaires, qui, fort heureu
coce, ces observations proviennent du service de M. le Dl Sérieux, médecin en chef de la Maison de Santé de Ville-Evrard. C'
alade pris pour un alcoolique par lui-même, par sa femme et par ses médecins , alors qu'il rentre sans efforts dans le cadre
re classés à part par l'au- torité scolaire et soumis à l'examen du médecin au point de vue de la direction à donner à leur
ts épilep- tiques doit être médico-pédagogique, c'est à-dire que le médecin et le maître doivent le régler et le diriger de
is il y a beau- coup de cas qui seront qualifiés d'hystérie par tel médecin et de folie par tel autre : l'auteur pense que
le public d'aliénés de Pan (exercice 100·i) ; par le D' 0. CIR- MA, médecin directeur. (Garet, éditeur à Pau.) Existants au
21 autopsies ont été pratiquées par le 1),* Girma et le 1)1' Cornu, médecin adjoint. BIBLIOGRAPHIE. 87 aux infirmière et
telle ou telle maladie, suivantl'idée erronée qui existait.chez le médecin . Dans la 12° leçon, l'auteur expose un cas d'in
ans le décret -précité. té. Le jury du concours, pour l'emploi de médecin adjoint des asi- les publics d'aliénés est ains
Paris, chargé de cours à la faculté de médecine de \ancy ; Vallon, médecin en chef de l'asile clinique (Sainte Anne) ; Gir
édecin en chef de l'asile clinique (Sainte Anne) ; Girma, directeur médecin à l'asile public d'aliénés de Pau ; Pichenot, m
ma, directeur médecin à l'asile public d'aliénés de Pau ; Pichenot, médecin en chef de l'asile public d'aliénés de Montdeve
'aliénés de Montdevergues ('aucluse)..luge sup- pléant : Cbocreaux. médecin en chef à l'asile public d'aliénés de Bailleul
médecin-adjoint à l'asile de Saint-Ve- nant (Pas-de-Calais), nommé médecin en cliel à 1 asile de Le) Ille (Lot) et mainten
n cliel à 1 asile de Le) Ille (Lot) et maintenu dans les cadres des médecins des asiles publics d'aliénés. M. le ]jr Lépine,
urs de la faculté de mé- decine proposés par Monsieur le doyen ; un médecin en chef de l'asile de Bailleul ; un médecin en
Monsieur le doyen ; un médecin en chef de l'asile de Bailleul ; un médecin en chef de l'asile<l'trmentivres ; un juge s
chef de l'asile<l'trmentivres ; un juge suppléant pris parmi les médecins de ces deux établis- sements. - Les épreuves
nouvelle loi sur le régime des aliénés; l'AR le D' V. BOUIIDIN ' Médecin en chef de l'Asile du Mans (SarLhe). Pour leurs
. Nous nous permettrons de n'être aucunement de cet avis, et si les médecins aliénistes étaient les premiers à réclamer la r
au Sénat, invitait, on reproduisant les débats dans ce journal, les médecins des asiles à lui adreaser des lettres commentan
lus un simple certificat, mais un rapport dé- taillé, établi par un médecin qui ne pourra être celui de l'établissement ver
gt-quatre heures et de quinzaine délivrés comme actuellement par le médecin traitant. Toutes ces pièces seront communiquées
flue ? En ce cas, il faudrait avouer notre infériorité, nous autres médecins spécialis- tes, qui ne tombons pas toujours d'a
sont-ils des aliénés ? Si le législateur, acceptant l'opi- nion des médecins , opte pour l'affirmative, on ne voit plus bien
admettre qu'il s'en est produit quelques-unes. Mais à moins que le médecin certificateur et le médecin de l'établissement
duit quelques-unes. Mais à moins que le médecin certificateur et le médecin de l'établissement ne soient de connivence avec
REVISION DE LA LOI DU 30 JUIN 1838. cas où il se serait trompé, le médecin a dû être de bonne foi. Ce qui signifie qu'il a
'hui tellement conscience qu'ils se rangent toujours à l'opinion du médecin . C'est là le principal avantage de la loi de 18
on du médecin. C'est là le principal avantage de la loi de 1838; le médecin est laissé seul juge de la nécessité de l'inter
rères de Paris, le Dr Tou- louse, avait, en 1903, consulté tous les médecins d'asiles sur cette question si controversée : s
nt d'asiles spéciaux entraînera, je vois un autre inconvénient. Les médecins chargés de ces services, déjà spécialisés, se s
'ils aient fait un séjour plus ou moins prolongé à l'asile, où le médecin apprécierait leur état avant de les confier soit
pas inutile non plus qu'ils soient visités de temps à autre par un médecin , qu'ils restent enfin sou- mis à une certaine s
maisons de santé. Pour les asiles, la di- rection appartiendrait au médecin en chef responsable. Je me suis déjà expliqué s
quent rendu par le rapporteur aux efforts et au zèle éclairé des médecins d'asile ; mais il faut avoir le courage de l'av
utiles qui risquent d'accaparer la plus gran- de partie du temps du médecin , n'ont rien à proprement parler de médical. Aus
ime tout simplement les médecins-adjoints et les remplace par des médecins traitants. S'il n'y avait que change- . ment de
ible. Avec la nouvelle loi, les médecins-adjoints seront d'emblée médecins traitants et chargés d'un service dis- tinct. J
ans tous les menus faits de la vie or- dinaire non seulement par le médecin , mais par tous les collaborateurs de celui-ci,
elui-ci, internes en médecine, infir- miers, surveillants-chefs. Le médecin est renseigné par le rapport journalier des fai
impose, un changement de résidence,l'a- bandon d'une profession, le médecin pourra arriver à faire sortir de l'asile un mal
que la pratique de la médecine mentale exige le contact continu du médecin et du malade que je m'élève contre la dispositi
que je m'élève contre la disposition de l'art. 6 qui autorise les médecins traitants à résider hors des asiles et à faire de
stance donnée ? L'avantage des asi- les actuels est de permettre au médecin d'observer à la fois les curables et les chroni
, se systématise, apparaît dans toute sa pureté. C'est alors que le médecin est vraiment en présence d'un aliéné, d'un indi
LOI DU 30 JUIN 1838. 111 M. Lefort a fait justement observer que le médecin traitant, faisant de la médecine générale,ne se
t que trop certain, et l'on peut même dire que ce ne seront-pas les médecins d'asile qui feront de la clientèle au dehors, c
édecins d'asile qui feront de la clientèle au dehors, ce seront les médecins du dehors qui feront passagèrement de la médeci
les enfants assistés. Ce sera un ap- point auquel renoncera vite le médecin si sa situation vient à s'améliorer. Et vraimen
ura trop de disproportion, d'inégalité entre les divers postes. Le' médecin traitant d'un asile situé dana une grande ville
quelque petite commune loin du chef-lieu. D'ailleurs ce système de médecins traitants, libres d'exercer la médecine au deho
est 112 LÉGISLATION. le paragraphe qui organise en commission les médecins d'un asile, lorsqu'il y aura au moins 3 médecin
en commission les médecins d'un asile, lorsqu'il y aura au moins 3 médecins traitants. Encore une Commission ! le besoin ne
t, lors de la discussion de la loi à la Chambre, que, lorsque les médecins sont logés tous à l'asile, des difficultés sur-
s. C'est possible, en effet, mais alors pour- quoi supposer que les médecins seuls s'entendront nécessai- rement ? Veut-on p
pas à croire, mais, j'ose le dire, à souhaiter que l'entente entre médecins ne se fasse pas. Car j'estime que, si l'on dési
mentale réalise de plus rapides progrès, on doit laisser à chaque médecin la liberté de traiter ses malades comme bon lui
lui semble : le temps jugera les diverses méthodes. Or si l'un des médecins de l'asile demande à la Com- mission de surveil
surveillance d'organi : er l'alitement dans son service, les autres médecins , consultés en ce cas, je sup- pose, devront-ils
itres purement médicaux sans doute, car si l'on trouve que certains médecins peuvent faire de médiocres administrateurs, ce
delà loi ne devrait pas avoir d'effet rétroactif,- car lorsque les médecins actuellement en fonction ont été nommés, après
entendu, par décrets ministériels, qu'ils pour- raient être nommés médecins en chef ou médecins-direc- teurs dans tous les
cours de la discussion, que le directeur serait le plus ancien des médecins traitants dans chaque asile : à la bonne heure,
u maire, les symptômes et les faits observés journellement par le médecin signataire et constituant la preuve de la folie,
nir enfermé. Ce rapport ne pourra être admis s'il est l'oeuvre d'un médecin attaché à l'établissement. 3° Enfin, l'acte de
tificats de vingt- quatre : heures, et de quinzaine délivrés par le médecin de l'asile ou de la maison de santé, transforme
atives au rapport médical ; et d'abord pourquoi ce mot rapport ? Le médecin n'a pas coutume de délivrer des rapports aux pa
mi ces indications,on est surpris de voir que la dernière visite du médecin , dont la date devra être portée au cer- tificat
u secret professionnel ? Puis, quels sont les faits observés par le médecin lui-même et qui seront la preuve de la folie ?
és par le médecin lui-même et qui seront la preuve de la folie ? Le médecin constate bien des symptômes plus ou moins proba
enu l'erreur de celui de 1838. Ils déclarent l'un et l'autre que le médecin attaché à l'établissement ne peut délivrer le r
eut délivrer le rapport d'admission. Pourquoi cet ostracisme ? Le médecin d'un asile public est-il suspect d'avoir un inté-
si l'on tient à ce que le certificat primitif soit établi par un médecin du dehors, nous demandons que le médecin de l'a
rimitif soit établi par un médecin du dehors, nous demandons que le médecin de l'asile puisse être appelé en consultation e
ser sa signature à côté de celle du confrère. Mais voyez combien le médecin de- l'asile sera peu favorisé : 116 ? 1 législa
ormé, qu'il fasse une contre-enquête ; s'il n'accepte pas l'avis du médecin traitant, qu'il ordonne une contre-expertise, e
ment imprévu sur un cerveau malade, et nous avons le devoir, nous médecins , de le proclamer. Enfin, si le tribunal ne se r
17 parle des placements à l'étranger, l'art. 18 n'intéresse pas le médecin , mais multiplie fâcheusement les paperasseries.
les registres de la loi, qui font perdre un temps si précieux aux médecins , sans aucune utilité pour personne. Nous demand
e. Nous demandons la suppression du 3e paragraphe, astreignant le médecin à consigner les changements survenus dans l'éta
temporaire dans la situation mentale de l'aliéné n'intéresse que le médecin , et lorsqu'il y a guérison, le praticien réclam
de cet art. 23, calqué sur un semblable de la loi de 1838, donne au médecin trai- tant le pouvoir de s'opposer à la sortie
oire que nous faisons un usage courant de ce droit ; je connais des médecins qui ont parcouru toute leur carrière sans jamai
rt. 24 autorise le préfet à ordonner là sortie sur avis conforme du médecin traitant. Cette disposition a-t-elle trait aux
? Ce serait parfait mais il ne semble pas, d'après le texte, que le médecin ait l'initiative de la demande de sortie, ce qu
is en demeure, sous menace, de dire s'il garantit la gué- rison, le médecin s'y refusera absolument : on ne peut pas certif
quelque temps à l'asile ou à la maison de santé, et qu'on laisse au médecin traitant le soin de désigner, s'il désespère ul
les hôpitaux avant leur transfert à l'Asile, M. Cazeneuve, qui est médecin , a rappelé que parfois des malades atteints de
rer le fait. J'avoue ne pas voir le mal. Je suppose en effet que le médecin aliéniste, en même temps qu'il posait le diagno
chez lui. Placé en novembre 1900 dans une maison de santé dont le médecin traitant porte le diagnostic de « neurasthénie ps
ctif, se plaint de bruits de sifflement dans les oreilles,accuse le médecin traitant de la maison de santé dont il sort d'ê
issé chez le photographe : mais ii n'en était rien . On appela deux médecins en consultation : ils arrivèrent chez lui le le
iles, et celte ob- servation s'applique aussi bien à la méthode des médecins qu'à REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 145 celle d
téàlaquelle ils paraissent avoir droit. Les auteurs estiment que le médecin d'asile doit dans ses certificats signaler, s'i
roubles mentaux consécutivement constatés. M. VALLON. - Lorsqu'un médecin agit comme expert, il reçoit des magistrats des
s des documents recueillis par l'enquête. Il n'en est pas demême du médecin d'asile qui doit se montrer très prudent dans l
intervenu dans un cas analo- gue. M. Marcel Briand estime que le médecin d'asile doit, dans son certificat, faire connaî
erveuse, la mauvaise hygiène, les infec- tions ou intoxications. Le médecin dirige cette lutte par la sur- veillance du mar
du mariage (JI. Grasset conseille de provoquer une con- férence des médecins des deux familles avant toute union) et celle d
en état d'intégrité, et l'individu peut ou non peser les motifs. Le médecin n'a pas à s'occuper de l'âme, dit M. Grasset. (
érie, 1907, t. I. 11 162 ISii3LiOG1lrtPüli : : son de éàt3lé, Mie Médecin intervient'; Mais il faut queson tt'ai- luméiit
cs, quartiers d'hospice et maisons particulières, avec les noms des médecins en chef et médecins adjoints et le nombre des i
e et maisons particulières, avec les noms des médecins en chef et médecins adjoints et le nombre des internes. , Afin. Pas
aisé. Asile public de Prémontré. Médecin-directeur, Dr Pilleyre ; Médecin adjoint, Dt Girnbal ; 2 internes. Allier. Asile
e Ste-Catherine, près Moulins : Méde- cin-directeur, Dr Monestier ; Médecin adjoint, Dr Vernet ; 2 inter- nes. Colonie fami
ecin-chef, D''Planat; Méde- cins adjoints, Drs Auby, Pietri; Cossa, médecin en chef inspecteur; pas d'interne. Anni,cnc.
ile public : Médecin- chef, Dr X... ; Médecin-adjoint, Dr Daday ; 2 médecins suppléants : Dr. Blache, Delloi (Pierre) ; pas
faisant fonctions d'asile public. Limoux : Médecin-chef, Dr Rongé ; Médecin adjoint, Dr Giret ; pas d'interne. Aveyron. A
cine ; 2 internes en pharmacie. 2° Aix. Direc- teur..lI1. Guichet ; Médecins chefs, Des Maunier et Toy ; pas d'in- terne. 3
: Le bon-Sauveur, à Caen : Médecins-chefs : Drs Guillot, Gosselin ; Médecins adjoints : Dr Corchet, Lemonnier, officier de s
nterne. Cantal. Pas d'asile public. Quartier d'hospice à Aurillac Médecin chef, Dr Fesq ; Médecin adjoint, Dr Béniac ; pas
asile public. Quartier d'hospice à Aurillac Médecin chef, Dr Fesq ; Médecin adjoint, Dr Béniac ; pas d'interne. CnARENTE. A
ublic de Lafond près la Po- chelle : Médecin-directeur, Dr Mabille; Médecin adjoint, Dr Ducos; 1 interne. Cher. 1° Asile
eur, Dr Homery ; 1 interne. 2° Colonie familiale de Dun-sur-Auron : Médecins adjoints : Des Truelle, Ameline, Cap- gras ; pa
t fonctions d'asile public : La Cellette : Médecin-chef, Dr Bargy ; Médecin ad- joint, Dr Louradou ; pas d'interne. Corse
Corse. Pas d'asile. CÔTE-D'OR. - Asile public d'aliénés de Dijon : Médecin direc- teur, Dr Garnier ; Médecin adjoint, Dr C
Asile public d'aliénés de Dijon : Médecin direc- teur, Dr Garnier ; Médecin adjoint, Dr Castin ; 2 internes. Côtes-du-Nord.
. 1° Quartier d'hospice à Saint-Brieuc : Médecin-chef, Dr Guibert ; Médecin adjoint, Dr Tostivint ; pas d'interne. 2° Asile
isant fonctions d'asile public : Lehou : Médecin-chef, Dr Olivier ; Médecin adjoint, Dr Chatellet ; pas d'interne. 3 Asile
nt fonctions d'asile public : Bégard : Médecin-chef, Dr Le Cuziat ; Médecin adjoint, N... ; pas d'interne. Creuse. Pas d'
d'asile. Quartier d'hospice à Besançon : Mé- decin-chef, Dr Baudm ; Médecin adjoint, Dr Toulin ; Chirurgien, Dr Gounaud ; 1
ure. Asile public d'Evreux : Médecin-chef-directeur, D' Bessières ; Médecin faisant fonction de médecin adjoint, Dr Bro- qu
Médecin-chef-directeur, D' Bessières ; Médecin faisant fonction de médecin adjoint, Dr Bro- quère ; 2 internes. EURE-ET-
ic de Saint-Athanase, près Quimper : Médecin-directeur, Dr Meilhon; Médecin adjoint, Dr Lagriffe; lin- terne. Quartier.d'ho
° Asile public de Braqueville : Méde- cin directeur, Dr Dubuisson ; Médecins adjoints : Drs Bonne, Cou- lonjon ; 2 internes.
: Dr Rémond (professeur) ; 2 internes. Gers. Asile public d'Auch : Médecin directeur, Dr Chevalier- Lavaure ; 2 internes.
° Bordeaux : Directeur, M. Jos- serand ; Médecin-chef, Dr Anglade ; Médecin adjoint, Dr Jacquin ; 2 internes. 2° Cadillac :
r d'hospice à Montpellier : Médecin- chef, Dr Mairet (professeur) ; Médecin adjoint, Dr Ardin-Delteil : 3 internes. 2° Mais
c de Rennes : Directeur, M. Cu- velier ; Médecin-chef, Dr Sizaret ; Médecin adjoint, Dr Dide ; 3 in- ternes. INDRE. Pas d
ternes. Asile privé de 1\IeYZleux : Médecin-directeur, Dr Courjon ; Médecin adjoint, Dr Larrivé, pas d'interne. JURA. - A
Saint- Ylie : Directeur, M. Biery ; Méde- cin-chef ,Dr Santenoise ; Médecin adjoint : Dr X... ; 2 internes. Maison de santé
r-et-Cher. Asile public de Blois : Médecin-directeur, Dr Ramadier ; Médecin adjoint. Dr Marchand ; 1 interne. 166 asiles n'
ions d'asiles publies : 1° Pontorson : Médecin-chef, Dr François -, Médecin adjoint, Dr Bailleul ; pas d'interne ? 2° Picauml
sile public de Châlons-snr-Marne : lllédecin-direc- teur, Dr Guyot; Médecin adjoint, Dr Guiard ; 1 interne. ' MARNE (Haute-
1;. - Asile publie de Laroche-Gandon : Médecin-direc- teur, Drain ; Médecin adjoint, Dix... ; 1 interne. bI>3unTxE-Er-Al
teur, nI. Gruhier; Médecins-chefs, Drs Paris, Charnel, Lalanne ; Médecin adjoint, Dr Aubrv ; 5 internes. 2° Maison de sanl
eulez Asile public de Fains : l\IédeciJ1-directeur, Dr Gain- pain ; Médecin adjoint, Dr Tripoux ; 3 internes. lloxsrtcns. A
rtcns. Asile public de Lesvellec : Médecin-directeur, Dr Croustel ; Médecin adjoint, Dr Récue j 1 interne. lTràyR>a. Asi
yR>a. Asile public de la Charité : Médecin-directeur, Dr Levet ; Médecin adjoint, D'l'errade; 2 internes. NORD. - 1° Asi
c d'Armentières : Directeur, nI. Gaspa ; Médecin-chef, Dr Chardon ; Médecins adjoints, Dr l1avl¡Jrt et Pri- vat de Fortunié
1\I. ,S-imonnet ; 1\Iéqec ! ps-chefs, Drs Chocreapx et Maup¡¡.t4 : Médecins adjoints, Dr Halberchtadt ; 2 iqternes. 3° Asile
t fonctions d'asile public Lommelet : 1\Iédsçin-chef, Du Bouchaud ; Médecin adjoint, Dr Lecocq ; pas d'interne. OISE. Asile
: Directeur, nI. Mabitle ; Mé- decins-chefs, Drs Boiteux, Thivet ; Médecins adjoints, Drs Ro- ques de Fursac, 1\Iasselon ;
nes, Orne. Asile public d'AIencon : Médecin-directeur, Dr Baruk ; Médecin adjoint, Dr Levassort ; 1 interne. Pas-de-Calai
s. Asile public de Saint-Venant ; Médecin-dj- riccteur, Dr Cortyl ; Médecin adjoint, Dr Damay ; 1 interne. Puy-de-Dôme. Pas
publie : Sainte-Marie-de-1'Assomption : Alédpcin- chef, Dr Dubois ; Médecin adjoint, Dr Fouriaux (J.). ; 2 internes. PYRÉNÉ
asses-). Asile public de Saint-Luc : Médecin- directeur, Dr Girma ; Médecin adjoint, Dr Cornu ; 3 internes. PYRÉNÉES (Haute
n : Directeur, AI. Sabail ; Mé- decins-chefs, Drs Rousset, Viallon; Médecins adjoints, Drs Papillon Lépine, Dodero.; interne
ns d'asile public : Saint-Jean-de-Dieu : Médecin-chef, Dr Devay ; Médecins adjoints, Drs Carrier, lllartin ; pas d'interne.
internes. SA VOIE.- Asile public de Bassens : Directeur, 111. X...; Médecin en chef, Dr Dumaz ; Médecin adjoint, Dr X... ;
blic de Bassens : Directeur, 111. X...; Médecin en chef, Dr Dumaz ; Médecin adjoint, Dr X... ; 2 internes. SAVOIE (Haute-).
. -Pas d'asile. SEINE. 1° Asile clinique : Directeur, AI. Guillot ; Médecins en chefs, Drs Magnan, professeur A. Joffroy, Du
isson, Dagonet, Vallon ; 2° 71llei uif . Directeur, AI. Monteit ; 5 médecins en chef, AIAI. Briand, Toulouse, Marie, Col]ip,
4° Salpêtrière : Médecins-chefs, Drs Voisin, Charpen- tier, Deny ; Médecin adjoint, Dr Roubinowitch ; 43 internes pour tou
-Evrard (en Seine-et-Oise) ; Di- recteur, AI. Sigismont-Lacroix ; 4 médecins en chef 111111. Keraval, Legrain, Marandon de D
.; 1\Iéc ! ecin-sup. : N... ; 4 internes. 6° 12 maisons privées, 23 médecins en chef et 11 médecins adjoints; 6 internes (1
N... ; 4 internes. 6° 12 maisons privées, 23 médecins en chef et 11 médecins adjoints; 6 internes (1 ). -i - SEINE-INFÉRIE
- 1° Asile public de SainL-1'on : Médecin- directeur : Dr Giraud ; Médecins adjoints : Drs Pochon, Brunet ; 3 internes, 2°
terne. 4° Quartier d'hos- pice à Dieppe : Médecin-chef, Dr IIurpy ; Médecin adjoint, Dr Piquet; 1 interne. Seine-et-marne
asile. SEINE-ET-OISE. Maison-Blanche : Directeur, 1\1. Michel ; 2 médecins en chef : MM. Boudrie et Lw off ; 2 internes en m
en médecine, 2 en pharmacie. Vaucluse ; Directeur, 1\1. Pichon : 3 médecins en chef : Blin, Dupain et Vigoureux; 3 internes
- Asile public de Dury-lès-Amiens : Médecin-directeur, Dr Charon ; Médecin adjoint, Dr Tissot ; 2 internes. Tarn. Pas d'as
blic. asile privé public du Bon-Sauveur : Médecin-chef, Dr Pailhas; Médecin adjoint, Dr Guy; pas d'interne. , Tarn-et-Garon
es. VAR. Asile public de Pierrefeu : Médecin-chef, Dr Belletrud ; Médecin adjoint, Dr Mercier ; 2 internes en médecine ; 1
-de Vergues : Directeur, 1\1. Mougnet ; Médecin-chef, Dr Pichenot ; Médecins adjoints ; Drs Ro- diet, Dejean ; 4 internes.
c. Quartier d'hospice à Poitiers : Médecin-directeur, Dr Lagrange ; Médecin suppléant, 1\I. Berlaud ; 1 interne. Vienne (
e-). Asile public de Naugeat : 1\Iédecin-direc- teur, Dr Deswarte ; Médecin adjoint, Dr Pasturel ; 3 internes. VoscES.-Pas
YONNE. - Asile public d'Auxerre : Médecin-directeur, Dr Hua- mel ; Médecin adjoint, Dr Wahl ; 1 interne. ALGÉRIE. Pas d'as
ALGÉRIE. Pas d'asile. (1) Fondation Vallée, annexe de l31cêlrc ; médecin en chef, ]j' Bourneville. VARIA L'enseignem
ffectées il la surveillance des maisons d'aliénés et composées d'un médecin et d'un magistral, alin que les réclamations fu
dé aucun souvenir de son crime. (Liberté). DiX-SEPTIÈME congrès des médecins aliénistes et NEU- ROLOGISTES de france et DES
e FRAN- ÇAISE(;pnè'Ç).Lausallnc, août 1907.) Le XAMI0 congrès des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pa
'aliénés de Saint-Venant (Pa-3e-Ca- lais). MM. les Dr> TOULOUSE, médecin en chef à l'asile de Ville- juif ; Sérieux, méd
r> TOULOUSE, médecin en chef à l'asile de Ville- juif ; Sérieux, médecin en chef à Ville-);vrard, PACTET,médecin en chef
e de Ville- juif ; Sérieux, médecin en chef à Ville-);vrard, PACTET, médecin en chef à Villejuif, DAGONET, médecin en chef a
chef à Ville-);vrard, PACTET,médecin en chef à Villejuif, DAGONET, médecin en chef a l'Asile clinique (Sainte-Anne), promu
ne), promus à la classe exceptionnelle du cadre. 11. le Dr ANGLADE, médecin en chef de l'asile d'aliénés de Chàteau-l'i- (o
eptionnelle du cadre. Distinctions honorifiques. M. le Dr PICHENOT, médecin en chef de l'asile d'aliénés de Montdevergués (
decin en chef étant vacante à la maison nationale de Charenton, les médecins en chef d'asiles publics d'aliénés qui désirent p
a résidence effective dans 'l'établissement est obligatoire pour le médecin en chef. Il s'agit du remplacement de ]1,1. le
en chef. Il s'agit du remplacement de ]1,1. le Dr Antheaumë, nommé médecin hono- raire. Un SOLDAT Ex-AL1ÉNÉ acquitta. D'
ves, et aux défectuosités intellectuelles et morales, à l'usage des médecins praticiens, des étudiants en médecine, des juri
traitement des maladies mentales. Rapport présenté au Congrès des médecins aliénistes et neurologistes tenu à Rennes du 1e
tait abordée à différents points'de vue par les physiologistes, les médecins et les psychiatres. L'année même où Dumontpalli
le régime des aliénés (Suite et fin.) Par LE D' Y. DOURDI : \' Médecin en chef de l'Asile du Mans (Sarthe). Section II
préfet : je pré- férerais qu'il fût spécifié que ce serait l'un des médecins de l'asile, par rang d'ancienneté de services a
ng d'ancienneté de services autant que possible ; à leur défaut, un médecin de maison de santé ou d'un asile départemental
ne manquent pas dans certaines villes, et envoyés à l'asile où le médecin traitant ne pourra que demander leur ren- voi s
connu aliéné devrait être dirigé sur l'asile ordinaire ; ce sera au médecin traitant à demander l'évacuation sur le quartie
chef d'asiles départementaux voisins, si on ne veut pas que chaque médecin en chef soit inspecteur dans son département.
reconnue par la loi, d'où les divergences de vues à ce sujet entre médecins . Il est certain que si la diminution de respons
différend sera tranché par le méde- cin. Comme je l'ai déjà dit, le médecin ne fait qu'émettre un avis qui n'enchaîne pas l
à discussion ; ou le cas est douteux, et alors, l'opinion d'un des médecins , jugé plus compétent par ses collègues ou jouis
évaloir d'emblée, ou il y aura discussion. En telle occurrence, les médecins se met- tront bien d'accord sans doute, mais en
on de l'horreur de son forfait, mal- gré tout ce que pourra dire le médecin , cet aliéné sera-t-il condamné ? Oui, d'après l
ours après, lorsque les journaux ne parleront plus de l'affaire, le médecin de la maison d'arrêt aura beau jeu pour établir
0 prévoit la sortie de ces criminels aliénés, mais il faudra que le médecin certifie qu'il n'y aucun ris- que de rechute. C
ute. Comme on l'a dit à la Chambre, il est à supposer que jamais le médecin ne voudra encourir une telle responsabilité, et
asiles de sûreté n'en doi- vent jamais sortir, je demande qu'aucun médecin ne soit attaché à ces établissements : des gard
nuée plutôt que nulle, sera toujours en imminence de -rechute et le médecin ne pourra garantir sa-guérison absolue. En ce
justice qui doit faire entrer à l'asile ces malades, sur avis d'un médecin , c'est elle qui doit les^faire'sortir, encore s
eaucoup plus étroite que celle- là. Dès lors on ne voit pas bien le médecin d'asile laissant aller, sous sa responsabilité
Pour toutes ces raisons, je préférerais la faculté accor- dée au médecin traitant de demander la sortie au Préfet, dès q
peut faire retomber. Dès lors, n'est-ce pas pour ce dernier que le médecin doit se montrer prudent, d'au- tant plus que le
ant à l'accélération de la guérison, j'avoue ne pas comprendre ; un médecin , même dans la maison de santé la plus suspecte,
sur ses biens et sur sa personne, je voudrais que ce soit...... le médecin traitant. Il me semble que le médecin pourrait,
udrais que ce soit...... le médecin traitant. Il me semble que le médecin pourrait, de concert avec l'administrateur légal,
este-se produit actuellement, mais sans autorité suffisante chez le médecin , s'entendre avec cet administrateur pour donner
ment, mais moins sûrement celle du malade et de ses parents. Or, le médecin connaît la situation de santé de l'intéressé, i
Sur ce point, aucune discussion ; c'est précisément ce que tous les médecins ,tous les hommes de loi qui se sont occupés de l
'administrateur pourra vendre le mobilier de l'aliéné après avis du médecin traitant sur l'état du malade. Cet avis est tou
in il ne signifiera rien, car tel malade déclaré incurable par le médecin et dont le mobilier aura été vendu, peut fort b
e trouvera sans ressources. Qui nous ga- rantit aussi que l'avis du médecin , sollicité pour une ven- te de mobilier, ne ser
re les promenades en ville, les congés, etc., mal- gré l'opinion du médecin traitant. A la sortie, si celle-ci est obtenue,
localité, etc. Et notez bien que la loi de 1838 n'exige pas que le médecin soit nécessairement consulté en matière d'inter
l'obtenir, ne dispose d'aucun capital pour en- tamer l'instance, le médecin ne peut certifier la guérison parfaite; les tra
toires pour les départements, les traitements non seule- ment des médecins en chef des asiles publics, mais des asiles pri
s des quartiers d'hospices. Enfin, il rè- gle au grand avantage des médecins , la question des retraites. Sur ce point, nous
i de 38 sont maintenues et même augmentées contre les directeurs et médecins ; il reste donc établi qu'eux seuls sont respon
t que ccmplets. Il serait aussi à souhaiter que les traitements des médecins , stationnaires depuis 1875, soient revisés dans
d2S jeux divers, des livres, des journaux, un piano. Le directeur médecin , le médecin adjoint, le secrétaire et le secrét
ers, des livres, des journaux, un piano. Le directeur médecin, le médecin adjoint, le secrétaire et le secrétaire adjoint
s les asiles. Ces colonies familiales seront confiées aux soins des médecins appartenant au service des aliénés. Les départe
surveillance des aliénés. Cette partie du service est confiée à un médecin en chef préposé responsable. Toutefois le ministr
général du département, ordonner la disjonction des fonc- tions de médecin et de directeur de l'asile public, ainsi que de c
e médecin et de directeur de l'asile public, ainsi que de celles de médecin et de préposé responsable d'un quartier d'hospice
Dans les asiles où les services médicaux sont répartis entre trois médecins au moins, la réunion des médecins constitue le co
édicaux sont répartis entre trois médecins au moins, la réunion des médecins constitue le conseil des médecins de l'asile ;
médecins au moins, la réunion des médecins constitue le conseil des médecins de l'asile ; il y a un avis consultatif sur toute
i- PROPOSITION DE 'LOI SUR LES ALIÉNÉS. 25 ? cal particulier. Les médecins traitants résident ou non dans l'asile suivant
-supérieur de l'assistance publique. Les médecins-directeurs et les médecins traitants ne peuvent être attachés par un intér
ovisoire ne peut avoir une durée de plus de six mois. Art. 7. Les médecins directeurs et les médecins préposés res- ponsab
e durée de plus de six mois. Art. 7. Les médecins directeurs et les médecins préposés res- ponsables sont choisis parmi les
eurs et les médecins préposés res- ponsables sont choisis parmi les médecins traitants et nommés à la suite d'un concours pu
d'un concours public sur titres par le ministre de l'Intérieur. Les médecins traitants dans les asiles publics et les médecins
l'Intérieur. Les médecins traitants dans les asiles publics et les médecins des asiles privés faisant fonction d'asiles pub
de l'enseignement clinique des maladies mentales, qui sont de droit médecins traitants des asiles d'aliénés destinés à cet e
es nominations d'agents et infirmiers sont faites par le directeur- médecin dans les asiles et par le préposé responsable dan
personne qui retient ainsi un aliéné dans son domicile privé est médecin , elle ne peut dresser elle-même le rapport médica
ychothérapie, cette notion (le l'entraînement s'impose forcément au médecin . Ce n'est que par un entraînement progressif qu
he clini- que de toutes les maladies, il est donc nécessaire que le médecin exerce volontairement, d'une façon plus usuelle
es exercices d'écriture devront être effectués sous la direction du médecin . En elfet,ils ne donneront tout leur effet que
affirmé la complète responsabilité du criminel alors que, seul, le médecin légiste a le droit do se prononcer sur ce point
d'une bonne eau potable à une eau mauvaise. Nous prions tous les médecins directeurs, les direc- teurs administratifs et
ous les médecins directeurs, les direc- teurs administratifs et les médecins en chef de nous envoyer deux exemplaires de leu
e une épreuve orale relative à la conduite immédiate à tenir par le médecin en présence d'un cas clinique urgent de médecin
. .0111BRDIeILR, président : SURJIONT. INGELRAS; les 11« CHOCHEAUX, médecin en chef de l>ailleul, Chardom, mé- decin en
in-adjointde l'Asile d'Arinentièrcs, juge suppléant. FAITS DIVERS Médecin honoraire de CHARENTON. - M. le I)1' AN- THEAUM
re de CHARENTON. - M. le I)1' AN- THEAUME, démissionaire, est nommé médecin honoraire, en re- connaissance des services ren
t de législation : 1° Responsabilité des médecins-directeurs et des médecins en chef dans les cas d'évasion, suicide, ou d'a
r (Visites el correspondance. -1)ruitset obligations de contrôle du médecin ). Huit candidats appartiennent au cadre des Asi
ébephrénie ; le premier y est de 43 % la seconde de 49 %. M. Ley, médecin en chef de santé du Fort-JacoàUccle, (Bruxelles
états mixtes 111a111aC0-(ll)l'PSSIf. 1 cas : stupeur. ' M. Baruk, médecin directeur de l'asile d'Alençon, nous a égalemen
ent exclure la démence précoce. Son atti- tude bizarre vis-à-vis du médecin (il s'amusait il le ta- ter, fut le seul symptô
Les malades ne reconnaissent pas leurs parents leurs proches, leur médecin . La multiplicité, la fré z quence et la persist
sentait des palpitations en montant les escaliers. Elle consulte un médecin qui la traite pour l'anémie. Son état ne s'amél
nalement, elle consulte 1\1. le D" Charpentier. Le certificat de ce médecin constate qu'elle est atteinte de c· )lé- lancol
ent parce que j'étais faible pour bien juger; je dois aller chez lu médecin pour savoir si je 'vais être sauvé ou sije vais
de l'état mental d'une per- sonne, on s'inquiète autour d'elle, le médecin de la famille est consulté, souvent il demande
dé- cision qu'après un fait grave qui a donné de l'inquiétude. Le médecin délivre un certificat, et sur la présentation de
trois jours de l'entrée, le malade est de nou- veau examiné par un médecin inspecteur, commis à cet effet par le Préfet qu
tune et celle de ses proches (art. 10). Enfin quinze jours après.le médecin de l'établissement rédige et envoie un nouveau
a sortie. Telles sont les premières formalités, il y a donc trois médecins au moins qui examinent le malade, jugent son ét
é individuelle qu'il y ait complicité entre la famille et ces trois médecins . Si deux d'entre eux peu- vent être soupconnés,
s trois médecins. Si deux d'entre eux peu- vent être soupconnés, le médecin familial de complaisan- ce, le médecin de l'éta
- vent être soupconnés, le médecin familial de complaisan- ce, le médecin de l'établissement d'intérêt à avoir un nou- ve
lissement d'intérêt à avoir un nou- veau pensionnaire, le troisième médecin fonctionnaire de l'administration, sera en deho
ourner de son devoir ; nous laissons de côté l'intérêt supérieur du médecin de l'établisse- ment;de ne pas discréditer sa m
n des malades, qui doit leur être présenté (art. 12). De plus, le médecin doit .noter, au moins tous le mois, sur ce regi
l'aliéné (art. 12). - Dans le premier mois de chaque semestre, le médecin de l'établissement doit adiesser au Préfet un r
les tribu- naux envoient soit un représentant du Parquet, soit un médecin expeït'qui interrogent le malade, étudient son
voquer les mêmes examens et les mêmes sanctions. Malgré l'avis du médecin et quoique non guéri un ma- lade peut sortir su
« quand il s'agit d'un placement privé, et qui est signé » par un médecin , le rapport qui doit être rédigé dans les « vin
qui doit être rédigé dans les « vingt-quatre heures et signé par le médecin de l'établis- « sèment, le rapport de quinzaine
édecin de l'établis- « sèment, le rapport de quinzaine signé par le médecin do Il l'établissement et le rapport dressé dans
ssement et le rapport dressé dans les trois jours « et signé par le médecin du Préfet, tout ce dossier que nom « avons orga
is, la pièce essentielle, nous voulons pailer durappert fait par le médecin inspecteur dans les tiois jOU1S de l'entrée.On
rd sur ce point, le dernier mot dans la question doit revenir aux médecins puisqu'il s'agit ici de malades. Ce sont les mécl
mettre en liberté un malade réclamant malgré l'avis du Préfet et du médecin ? Les dispcsitions de la loi du 30 juin 183S qu
nnue de soigner davantage les aliénés en aug- mentant le nombre des médecins des asiles, et en enle- vant à ces nouveaux hôp
s au moins les fonctions de di- recteur, de directeur-médecin ou de médecin en chef d'un asile d'a- liénés ou des quartiers
mise au chef responsable de l'établissement, s'il est l'oeuvre d'un médecin attaché à l'établissement, ou si l'au- teur est
ÉGISLATION. ponsable, ou du propriétaire de l'établissement, ou des médecins qui y sont attachés, ou de la personne qui fait
voir lieu sur la présentation d'un rapport médical sommaire mais le médecin certificateur doit, dans le délai de deux jours,
maintenues autant que les exigences du traitement permettent. Si le médecin , avant la décision de l'au- torité judiciaire p
e du rapport prescrit à l'article 13 et de celle du cer- tificat du médecin de l'établissement, dit certificat de vingt-qua-
et aux procureurs de la Ré- publique un certificat circonstancié du médecin de l'établissement. Ce certificat confirmera ou
, les rapports médi- caux de vingt-quatre heures et de quinzaine du médecin de l'éta- blissement et le rapport du médecin c
es et de quinzaine du médecin de l'éta- blissement et le rapport du médecin commis par le préfet, s'il y a lieu, au préside
formation, une expertise qui sera faite contradictoirement par deux médecins , dont l'un sera désigné par l'aliéné ou son rep
èces légales concernant ce dernier ou d'une copie de ces pièces. Le médecin de l'établissement où l'aliéné est transféré fa
4° la décision du président ou du tribunal civil ou de la Cour. Le médecin est tenu de consigner sur ce registre les chang
a première année, et ultérieure- ment au moins chaque trimestre. Le médecin constate également sur ce registre la date de l
tu des articles précédents cesse d'y être retenue aus- sitôt que le médecin de l'établissement a déclaré, sur le registre s
un interdit, il est donné im- médiatement avis de la déclaration du médecin aux personnes aux- quelles ce mineur ou cet int
i qu'au procu-' reur de la République. ART. 22. Avant même que le médecin ait fait la déclaration prévue à l'article 21,
t et-ayant signé elle-même sa demande d'admission. Néanmoins, si le médecin traitant est d'avis que l'état mental du malade
t. Aile. 24. Le préfet peut toujours, après avoir pris l'avis du médecin traitant, ordonner la sortie des personnes placée
La réalisation de ces réformes ne sera possible que le jour ou les médecins jouiront d'une indépendance complète vits-nazis
qui peuvent mettre en cause les responsabilités du directeur, du médecin et de l'aliéné. La responsabilité médicale est ré
nce qui pourraient être condamnés. En aucun cas, il n'est permis au médecin de se soustraire par pusillanimité aux obligati
hasard ou par suite d'une interprétation défectueuse de la loi, le médecin n'en devrait pas moins continuer à s'y con- for
nistrative et ces fonctionnai- res feront partie du grand cadre des médecins aliénistes, c'esl-a- dire, qu'ils auront la mêm
ieurs- D'après le règlement existant, il en serait de même pour les médecins du Quartier d'aliénés. « Il faut admettre qu'un
pour les médecins du Quartier d'aliénés. « Il faut admettre qu'un médecin en chef ne fera pas toute sa Carrière à Nantes,
chef ne fera pas toute sa Carrière à Nantes, bien moins encore les médecins adjoints. Il y aura des changements fréquents,
ontant des retenues opérées sur les trai- tements des directeurs ou médecins de l'asile d'aliénés sera. titre de réciprocité
evra recevoir les retenues opérées ailleurs sur les tfaitements des médecins qui viendront en fonction à Saint-Jacques, mais
Si la situation restait la même il arriverait que les fonctions de médecin en chef est de mé- decin-adjoint ne seraient pa
leçons, fout à fait pratiques. B. VARIA Dix-septième Congrès des médecins aliénistes et NEUROf.O- GISTES de France et des
rançaise (Genè- ve-Lausanne, août 1907). ' , Le XVIIe congrès des médecins aliénislcs et neurologisles do 'France et des p
et 1.000 francs la troisième année. Ecrire au directeur de l'asile, médecin de l'établissement. Nota. - Gratification de fi
ES ET psychoses DES ÉCO- LIEns. - Jl. le Dr Jacques iiouBINOVITGII, médecin de la Sal- pêfrière ancien chef de clinique de
chologie appliquée à l'édu- cation. JI. le Dr Bérillon, professeur, médecin inspecteur des Asiles d'aliénés, commencera son
'il s'est auto-suggestionné qu'il l'est, à moins que ce ne soit son médecin lui-même qui le lui ait maladroite- ment suggér
rlequin de pièces fort disparates, une certaine faveur auprès des médecins qu'on se serait attendu à être un peu plus exig
à la physiologie cérébrale qui est mieux connue, et comment nous, médecins ,avons-nous pu oublier cette physiologie et cett
l'Econome ? Mais je prétends que certaines démarches s'imposent au médecin et que lui seul peut les mener à bien. .. Je
acilement sonder mes malades. Dans un asile dirigé par un Directeur médecin , de tels faits se seraient-ils produits ? J'ai
térêt majeur à les faire acheter par les personnes telles que les médecins , seuls capables de connaître le bien des aliéné
journalière l'utilité qu'il y a à mettre à la tête des asiles, des médecins aliénistes et en disant «que tout est médical d
lé dans une étude his- torique complète et documentée, l'opinion de médecins aliénistes les plus remarquables de France et d
r un chef et rien qu'un chef, de qui tout doit ressortir ; c'est le médecin qui dans cet établissement doit donner 392 PSYC
t médicales. » cc'A la même date, Ferrus disait ; « L'autorité du médecin doit être sans limite,sous le rapport du traite-
nce du 18 décembre 1839, qui autorisait la réunion des fonctions do médecins et de directeur, il ajoutait : « La réflexion e
'aliénés ne ressemble en rien à celle d'un hôpital ordi- naire ; un médecin d'aliénés, outro le traitement médical, doit s'
'ameublement, le régime alimentaire, et les vêtements, le Directeur médecin était nécessaire, indispensable. » « Le Dr More
rti- san convaincu de la réunion des fonctions de Directeur et de médecin en chef. » . « Dans un asile d'aliénés, disait
lret, j'ai beau chercher les fondions d'un Directeur et celles d'un médecin , je ne trouve que celles d'un médecin. ».-Le Dr
d'un Directeur et celles d'un médecin, je ne trouve que celles d'un médecin . ».-Le Dr Morel, ayant re- marqué les avantages
é d'action si nécessaire pour at- teindre le bien,en Allemagne, les médecins sont en même temps les Directeurs. ' « Le Dr
istrateurs, nous sommes devenus si je puis m'exprimer ainsi, plus médecins . » Et plus loin : « L'ordonnance du 18 décembre
s longtemps l'exemple : la réunion des fonctions do Directeur et de Médecin . Cette orga- nisation, la seule normale, quelle
u service intérieur, il y aura toujours des frois- sements entre le médecin et le directeur, préjudiciables aux intérêts du
médecin et le directeur, préjudiciables aux intérêts du service. Le médecin est l'âme de l'Asile ; c'est sur lui que'repose
occulte et extra-réglementaire. Les limites imposées à l'action du médecin ne peuvent être fixées ; l'administrateur doit
n médico- administrative est la seule possible, mais le Directeur médecin doit consacrer toute son existence, à la mission
qui lui est confiée, il Le Dr Mundy (Moravie, réclamait pour les médecins aliénistes la Direction des asiles. » « La Di
public suivant Griesinger, doit toujours être entre les mains d'un médecin en chef, d'un aliéniste, vrai médecin. ». Le Dr
urs être entre les mains d'un médecin en chef, d'un aliéniste, vrai médecin . ». Le Dr Dagonet parlant du Dr Renaudin dit :
r Renaudin dit : . « Nous croyons comme lui qu'il faut être d'abord médecin pour ad- ministrer convenablement un asile d'al
médical. Nous ne trai- terons pas ici la question de savoir, si un médecin peut administrer sans perdre ses qualités médic
la mesure de ses forces. Pour nous, nous croyons que le véri- table médecin reste médecin 'quand même, qu'il peut sans aucune
es forces. Pour nous, nous croyons que le véri- table médecin reste médecin 'quand même, qu'il peut sans aucune crainte pre
a été successivement LA REVISION DE LA LOI DU 30 JUIN 1838. ,3cJJ médecin en chef, puis Directeur médecin, se déclare par-
ON DE LA LOI DU 30 JUIN 1838. ,3cJJ médecin en chef, puis Directeur médecin , se déclare par- tisan convaincu de la réunion
vingt ans,les fonctions avaient été réunies sur une seule tête,le médecin en chef, dont l'autorité était indiscutée : « p
n admet sans conteste que dans une maison d'aliénés la situation de médecin en chef ne doit jamais être subordonnée et qu'i
lle porte trop souvent enfin une atteinte sérieuse, à la dignité du médecin par suite de l'empiètement iné- vitable sur ses
liénés de Pérouse, ne cachait pas sa répugnance profonde de voir un médecin en chef à côté d'un direc- 39u 1 - LÉGISLATION.
ourneville, en 1879, proposait de donner la direction des asiles au médecin en chef,en confiant le ser- vice administratif
ministratif à un agent comptable, placé hiérar- chiquement après le médecin en chef et en sous-ordre. » « Le Dr Bourneville
essité de la réunion des fonctions dans les asiles où s n'y a qu'un médecin en chef et leur séparation, quand il y aura plu
plus au-dessus de ce chiffre ! C'est parce qu'il y aurait plusieurs médecins qu'il faudrait un direc- teur non médecin ! A l
qu'il y aurait plusieurs médecins qu'il faudrait un direc- teur non médecin ! A l'étranger on ne s'est jamais préoc- cupé d
oc- cupé de semblable objection. S'il y a trop de malades pour un médecin , on augmente le nombre des médecins ; mais on n
S'il y a trop de malades pour un médecin, on augmente le nombre des médecins ; mais on ne change pas le système ; on ne modi
change pas le système ; on ne modifie pas la situation du directeur médecin . Ce qui se fait en Allema- gne et en Suisse, ne
ne partageons pas cette manière de voir, car si les direc- teurs médecins sont surchargés de travail, ils peuvent se déch
service médical, il est toujours possible de leur donner un ou deux médecins adjoints si cela est nécessaire. » « L'Inspecte
nvenait mieux pour les asiles grands ou petits d'avoir un directeur médecin , ou les deux avec des fonctions distinctes; il
t progressif ou faisait de fausses manoeuvres, découra- geait les médecins en chef qui n'avaient d'autre tort que celui de
médecins en chef qui n'avaient d'autre tort que celui de n'être que médecins . « Tout dans un asile, disait-il, peut entre Di
édecins. « Tout dans un asile, disait-il, peut entre Directeur et médecin devenir un casus belli. En droit, le directeur et
r et médecin devenir un casus belli. En droit, le directeur et le médecin sont hiérarchiquement égaux ; en fait le Direc-
rchiquement égaux ; en fait le Direc- teur a toujours le pas sur le médecin ». Quand le rapport de M. le Dr Doutrebente,don
atif des asiles publics d'aliénés doit être confié à un Directeur médecin , excepté dans certains grands établissements, c
» « M. Rey est un partisan formel de la réunion des fonctions de médecins et de celle de directeurs. Ayant été médecin en
on des fonctions de médecins et de celle de directeurs. Ayant été médecin en chef, il a pu, par expérience, se faire une
ctions, de celles du directeur et de celles du 39S LÉGISLATION. ' médecin , ayant eu maintes fois à constater les inconvé-
r M. Doutrebente dans son rapport en ce qui concerne les directeurs médecins . » « M. Giraud : « Messieurs, mon collègue le D
cet appel.Je suis partisan de la réunion des fonctions de directeur médecin en chef et de directeur, 'parce que à mon avis
directeur médecin en chef et de directeur, 'parce que à mon avis le médecin doit avoir la-haute Di- rection dans l'Asile et
de conflits avec le directeur de l'asile de Villejuif, où il est médecin en chef. Il se déclare partisan de la réunion des
de la réunion des fonctions de celles de directeur et de celles de médecin , parce qu'il estime que les unes et les autres
on aux conclusions de notre confrère Doutrebente, non pas com- me médecin aliéniste (mon opinion aurait peu de valeur, ap
mélioration de l'asile{1 ).Aussi,pour peu qu'il y ait conflit entre médecin et directeur,toute amélioration, tout progrès,
ioration, tout progrès, toute mesure d'ordre devient impossible. Le médecin demande des ré- formes, que le directeur ne peu
t celui-ci dit, que s'il ne fait rien de bien, la faute en est au médecin . Une situation de ce genre est des plus mauvai-
pari en Fiance un asile où pour plus de 1000 malades il n'y a qu'un médecin en chef et. 2 internes, non nom- més au concour
concours d'ailleurs, pour assurer le service médical. En viin, les médecins en chef qui s'y sont succédé, l'inspection géné-
ves ont-ils à diverses reprises demandé la création d'un poste de médecin adjoint . Toujours le directeur administratif ou
a malgré les demandes réitérées eL de l'iuspec'.ion générale et, du médecin en chef de l'asile. - 400 LÉGISLATION. N. con
f de l'asile. - 400 LÉGISLATION. N. conviction : que le Directeur médecin était réclamé à l'u- nanimité à l'exception bie
M. Charpentier, a bien fait quelques ré- serves en disant qu'un bon médecin aliéniste ne pouvait bien ne pas être un admini
d'ailleurs en matière administrative des choses pour apprendre à un médecin qui en a vu bien d'autres. » , D'une étude ap
? Mais alors, pour- quoi, dans notre beau pays de France, certains médecins aliénistes s'évertuent-ils sans cesse à nous do
dans la Direction du service médical.« Qu'on ne dise pas, disait un médecin militaire, qu'un médecin ne peut pas être un ad
ice médical.« Qu'on ne dise pas, disait un médecin militaire, qu'un médecin ne peut pas être un administrateur, un directeu
ion dans l'hôpital. C'est ce «qu'apprécient actuelle- ment tous les médecins militaires qui sont à même de faire le parallèl
de Psychia- trie, novembre 1905.) Le Dr Dubief veut un directeur médecin , n la tête de tout asile. Au cours des débats d
ellement,le ministère aura la latitude de nommer des directeurs non médecins . ' Enfin, pour terminer, une Commission composé
égis, Bégouin, Verger, Abadie, Lalanne, et Anglade,rapporteur, tous médecins dont on ne saurait nier la compétence;nommée ré
concernant le service médical : « Un asile doit être dirigé par un médecin aliéniste. C'est un principe peu contesta- ble
es réserves au sujet de la réunion des fonctions de directeur et de médecin Nous ne parta- geons pas son avis, ainsi que no
s les raisons qui militent en faveur de la réunion des fonctions de médecin et de directeur. C'est ce qui existe dans la pl
ART. 27. En cas de danger imminent, attesté par le certificat d'un médecin ou par la notoriété publique, les commissaires de
dans le premier mois de chaque semestre, un rap- port rédigé par le médecin de l'établissement sur chaque personne qui y es
éfet peut dans les formes tracées par l'article 26 et sur l'avis du médecin de l'établissement, décerner un ordre spé- cial
donne immédiatement avis aux familles. » ART. 34. Aussitôt que le médecin a déclaré, sur le registre tenu en exécution de
tenu, sous les mêmes peines, d'envoyer copie de la dé- claration du médecin au procureur de la République, lequel adres- 40
t d'épilepsie ou d'aliénation a été constaté par un cer- tificat du médecin de l'établissement pénitentiaire, sont, après a
at du médecin de l'établissement pénitentiaire, sont, après avis du médecin désigné par le préfet, retenus jusqu'à leur guéri
du ministre de l'Intérieur, rendue sur la proposition moti- vée du médecin traitant. ART. 40. Lorsque la sortie d'un des a
aliénés internés en vertu des articles 35, 36, 39 est demandée, le médecin traitant doit dé- clarer si l'intéressé est ou
sements, sous les peines portées au titre IV ci-après. ART. 42. Les médecins des établissements autres que ceux mentionnés a
nt obligatoires pour les départe nieii ts : 1,, Leq traitements des médecins directeurs, directeurs administratifs, secrétai
cins directeurs, directeurs administratifs, secrétaires généraux et médecins traitants des asiles départemen- taux ; 2 Les t
ecins traitants des asiles départemen- taux ; 2 Les traitements des médecins en chef préposés responsa- bles, des médecins e
2 Les traitements des médecins en chef préposés responsa- bles, des médecins et des préposés responsables des quartiers d'hos-
oposition de LOI sur les aliénés. 413 pice ; 3° Les traitements des médecins des asiles privés faisant fonction d'asiles pub
onsables des établissements publics ou privés d'aliénés, et par les médecins employés par ces établissements, sont punies d'
ins élevés, soit chez eu\, soit dans une colonie familiale. Tout - médecin qui délivre un certificat d'aliénation mentale
et son avis devrait être motivé dans le bulletin de collocation. Le médecin d'asile, à son tour, devrait se spécialiser dan
natomie et physiolo- gie). Administration : Delà responsabilité des médecins direc- teurs et des médecins en chef des asiles
ministration : Delà responsabilité des médecins direc- teurs et des médecins en chef des asiles publics d'aliénés dans les c
a base du crâne (signes, dia- gnostic). Le concours d'adjuvat des médecins des établissements d'alié- nés s'est terminé le
és. Mouvement d'uvril 1907. M. le 1)'' MA- 12ANDON DE \loN-rvL : L, médecin en chef de l'asile des aliénés 'le Ville-Evrard
rd, est admis à faire valoir ses droits à la retraite, et est nommé médecin en chef honoraire des asiles publics d'alié- né
n chef honoraire des asiles publics d'alié- nés. M. le Dr Bou ORlE. médecin en chef de l'asile d'aliénés de Maison-Blanche,
. médecin en chef de l'asile d'aliénés de Maison-Blanche, est nommé médecin en chef de l'asile (I'ali6-, nés de \'ille-1 ?
'asile (I'ali6-, nés de \'ille-1 ? rard. M. le Dr TRENEL, directeur médecin du l'asile de Moisselles (S.-et-U. ), nommé méd
ENEL, directeur médecin du l'asile de Moisselles (S.-et-U. ), nommé médecin en chef de l'asile de Maison-Blanche. M. le Dr
au poste de Leyme (Lot). Mouvement de mai 1907. M. le no CttocRL.w, médecin en chef l'asile d'aliénés de Ilailleul (Nord),
cRL.w, médecin en chef l'asile d'aliénés de Ilailleul (Nord), nommé médecin enchef à l'asile de Lommelet (Nord), poste créé
D'l'smwoL, médecin-adjoint l'asile d'aliénés de la Charité nommé médecin en chef à Bailleul. - M. PLANTIE, nommé directeur
crmont (Oise), en remplacement de M. Maille. M. le Dr MIGNOT, nommé médecin en chef de la Mai- son Nationale de Charcnton.
nale de Charcnton. en remplacement de M. le Dr ,\1'- THEAUME, nommé médecin en chef honoraire. M. le Do IlODIE1;. medecin-a
1908. Hôpital DE la PiTIÉ. Afa/atS nerveuses. M. le Dr DABINSKI, médecin de l'hôpital de la Pitié, reprendra ses conférenc
démontrer comme une véri- table expérience de laboratoire. Tous les médecins , tant en France qu-'à l'étranger, qui ont pris
J. ROLET. NECROLOGIE - FÉRÉ (1852-1907) Notre collègue Féré, médecin de Bicêtre, qui a suc- combé, avant l'heure, à
omiela plus personnelle, c'est l'ardeur passionnée avec laquelle ce médecin aliéniste, si at- taché à l'étude clinique de l
nd on l'avait quelque peu fréquenté. Biologiste estimé, doublé d'un médecin psychologue, il aura passé parmi nous un peu fi
uchard, tome 111, 1903. CORRESPONDANCE Depuis quelques années les médecins des asiles d'aliénés s'in- téressent de plus en
rain de pratiquer la respiration artificielle avant l'arri- vée des médecins . Si cet enseignement n'a peut-être pas encore d
pital 1 bibliographie. 511 peut-être, les infinnicrs sont pour le médecin de véritables collabo- rateurs. Dr Privât DE
in de véritables collabo- rateurs. Dr Privât DE Fortunié, - - 1 Médecin adjoint de l'Asile - - d'Armentières. BIBLIOG
t à souhaiter qu'une fois pour toutes, éducateurs spécialistes et médecins se décident pour l'adoption- d'une définition et
des maîtres spécialisés etautant que possible à des maîtresses. Un médecin spécialiste seraitattaché à chacune des écoles.
neraient sans porter atteinte au droit des parents de recourir au médecin de leur choix pour les traitements à suivre. 3° d
uteurs. Ces cours seraient faits dans les éco- les normales par des médecins spéciaux et par les directeurs des écoles spéci
ants du traitement entrepris. Traitement utile, affirme M. Belugou. Médecin de La Malou, il est compétent dans la question
diots qui sont encore dans son service et que, par conséquent, tout médecin peut exa- miner à loisir. Chez la plupart de ce
gue française (Genève- Lausanne, août 1907.) Le XVIIe Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de VARIA. Il 521
c., sera envoyé à la fin de juin aux adhérents déjà inscrits et aux médecins qui en feront la demande. Les membres adhérents
son arme par le canon comme une massue. r Il fut reconnu pour un médecin , lequel, il y a quelques semai- nes, interné pa
NE. - Un arrêté ministériel en date du 2S mars, a nommé au poste de médecin en chef à l'asile pu- blic d'aliénés de Ville-E
chef à l'asile pu- blic d'aliénés de Ville-Evrard M. le Dr BOUDRIE, médecin en chef de l'asile d'aliénés de Maison-Blanche.
s de Maison-Blanche. Par un arrêté du 16 avril 1907, le Dr Boudrie, médecin en chef de l'asile public d'aliénés de Ville-Ev
, quartier d'hospice et maisons particulières avec les noms des médecins en chef et médecins adjoints et le nombre des i
ce et maisons particulières avec les noms des médecins en chef et médecins adjoints et le nombre des in- ternes, p. 163.
ttp. Contusion mentale. Voir Encé- phalite. Congrès. XVII0 des médecins aliénistes et' neurologistes de France et des
ique. Le cas de Soleillant devant la - ; par l3égnaull, p. 262. Médecins . Voir Congrès. Médicaments. De la valeur sug-
2 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
ident du Syndicat de la Presse scientifique et par M. le D'J. Voisin, médecin de la Salpetrière, président de la Société d'hypn
tés. (') par M. le D' Béiullon professeur ù l'Ecole de psychologie, médecin inspecteur des asiles d'aliénés. {Suite) (2) II
s ! M. Dubois écrit : les malades doivent s'estimer heureux si leur médecin hypnotiseur n'est pas mort, lorsqu'ils auront bes
universités se soient refusées de l'enseigner, il y aura toujours des médecins qui le pratiqueront. Nous sommes déjà quelques-un
rarement être guéris par la psychothérapie et qui forceront bien les médecins à recourir à l'hypnotisme. il. Grasset a donc r
urir aux palliatifs qui ne peuvent agir sur la cause. Sans dureté, le médecin doit rendre le malade attentif à l'origine pureme
des considérations théoriques et psychologiques ; notre droit à nou?, médecins , est de guérir et toute notre science doit se sou
anton auprès d'aine dame de 66 ans atteinte d'un cancer du pylore. Le médecin l'a déclarée perdue; le pasteur lui a donné la de
de le répéter car dans le traitement des troubles gastriques trop de médecins ne voient plus que le régime et oublient de se de
raisonnement et if. Dubois ne réussira pas à convaincre la masse des médecins de l'inutilité de la méthode que nous préférons à
: a Docteur, je suis malade depuis huit mois. J'ai consulté plusieurs médecins qui m'ont dit que je suis neurasthénique ; les di
e v L'influence du moral sur le physique est bien plus grande que les médecins ne s'imaginent d'ordinaire. Ce ne sont pas seulem
ppé de cette atmosphère suggestive que lui créent les affirmations du médecin , produira un très bon résultat chez des nerveux.
d'une médication neuve. De là aussi les réussites si différentes des médecins dans la clientèle. Les uns ont su guérir mieux pa
lide. Le terme de charlatan est peut-être trop légèrement infligé aux médecins qui, à l'aide d'une thérapeutique innocente,exerc
re compte de la valeur et de l'aclion physiologique du médicament; le médecin serait donc bientôt « brûlé » avec son Tara-xacum
rès grands services et qu'elle est irréprochable entre les mains d'un médecin qui l'emploie avec tact et prudence. Elle peut
charlatans, M. Bardet a bien mis les choses au point, car, dit-il, le médecin ne pratique la suggestion médicamenteuse ou autre
e pareilles questions doivent être traitées, et c'est là le mérite du médecin , ce qui lui donne le caractère vraiment scientifi
e. Telle est la vérité indiscutable qui ne peut être appréciée par le médecin , tant que chez lui le clinicien ne se double pas
cultés, quai Claude Bernard, sous la présidence de M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés, professeur à l'E
tement, pédagogie spéciale, assistance: Rapporteurs: M. le D'Courjon, médecin en chef de l'asile de Meyzieux, M. Grandvilliers,
tablissement médico-pédagogique de Mey-zieux : M. le D' Jules Voisin, médecin en chef de la Salpetrière, Mlle Berlhet, professe
n honorifique M. le Dr Hallopeau, membre de l'Académie de médecine, médecin de l'hôpital Saint-Louis et professeur agrégé à l
professeur au Muséum : Madame E. Bérillon ; M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpetrière, président de la Société d'hy
Salpetrière, président de la Société d'hypnologie. M. le Dr Balzer, médecin de l'hôpital Saint-Louis ; M. Dabat, directeur au
membre correspondant de l'Académie de médecine ; M. le Dr Leblond, médecin de Saint-Lazare ; M. le Dr Bilhaut, président d
e ; M. le C Fort, ancien professeur d'anatomie ; M. le Dr Dezwarte, médecin de l'asile d'Evreux ; M. Laignier, doyen des amis
aignier ; M. le Dr Bellencontre, secrétaire général du Syndicat des médecins de la Seine ; M. Lassus, procureur de la Républ
lix Regnault, professeur à l'Ecole de psychologie; M. le Dr Sa voire, médecin du dispensaire anti-tuberculeux de Beaujon ; M. l
du dispensaire anti-tuberculeux de Beaujon ; M. le Dr Saint-Hilaire, médecin de l'Institut départ, des Sourds-muets ; Madame S
es de Laryngologie ; M. le D' Bernard (de Cannes) ; M. le D'Millêe, médecin oculiste de l'administration des postes; M. le Dr
rauk, chirurgien ; M. le Dr Monnet ; M. le D'Fège; M. le Dr Darier, médecin oculiste ; M. Carpin, président de la Société d
ociété d'Education populaire ; M. le D' Gorecki ; M. le Dr Tarrius, médecin de la maison de santé d'Epinay ; Madame Tarrius ;
le Dr Moutin ; M. de Coynart ; M. le D' Roulin ; M. le Dr Bosy, médecin major de première classe ; M. le Dr Hahn ; M.
l'Ecole de Psychologie ; M. le Dr G. Beaudoin ; M. le Dr Derecq, médecin à l'hôpital d'Ormesson ; M. le Dr Guillon ; M.
cin à l'hôpital d'Ormesson ; M. le Dr Guillon ; M. le Dr Sauvineau, médecin oculiste des maisons de la Légion d'honneur ; M.
l'Ecole dès Beaux-Arts ; M. Maillols, statuaire ; M. le Dr Lux, médecin principal ; M. le D' Raffegeau, du Vésinet ;
épinay; M. le D' Saint-Cène ; M. le X>' Ballliard; M.'Curot, médecin vétérinaire:; Madame Ourot ; M. Briand, médec
iard; M.'Curot, médecin vétérinaire:; Madame Ourot ; M. Briand, médecin vétérinaire ; M. Evbn, médecin vétérinaire ;
re:; Madame Ourot ; M. Briand, médecin vétérinaire ; M. Evbn, médecin vétérinaire ; M. le Dr Barthe de Sandfort ; M. Pe
. Evbn, médecin vétérinaire ; M. le Dr Barthe de Sandfort ; M. Petit, médecin vétérinaire ; M. Schrader, médecin vétérinaire ;
Dr Barthe de Sandfort ; M. Petit, médecin vétérinaire ; M. Schrader, médecin vétérinaire ; M. Bernaud, médecin vétérinaire ; M
médecin vétérinaire ; M. Schrader, médecin vétérinaire ; M. Bernaud, médecin vétérinaire ; M. le D' Morbl, médecin vétérinaire
decin vétérinaire ; M. Bernaud, médecin vétérinaire ; M. le D' Morbl, médecin vétérinaire ; M_ Lermat, médecin vétérinaire ; M.
édecin vétérinaire ; M. le D' Morbl, médecin vétérinaire ; M_ Lermat, médecin vétérinaire ; M. Lavaux, médecin vétérinaire ; M.
bl, médecin vétérinaire ; M_ Lermat, médecin vétérinaire ; M. Lavaux, médecin vétérinaire ; M. le Dr Hue ; M. Post, médecin v
érinaire ; M. Lavaux, médecin vétérinaire ; M. le Dr Hue ; M. Post, médecin vétérinaire ; M. Brocq-Roosseu, médecin vétérinai
e ; M. le Dr Hue ; M. Post, médecin vétérinaire ; M. Brocq-Roosseu, médecin vétérinaire ; etc., etc. Le menu était le suiva
Laisant, examinateur à l'Ecole polytechnique ; M. le D' Richardière, médecin de l'hôpital des Enfants malades; M. le D'Bordier
Grenoble: M. Echard, conseiller général de l'Yonne ; M. le Dr Hirtz, médecin de l'hôpital Necker ; M. le D' Landrielw, médecin
e ; M. le Dr Hirtz, médecin de l'hôpital Necker ; M. le D' Landrielw, médecin de l'hôpital Lariboisière ; M. Doumek, député de
M. Guiart, professeur agrégé à la Faculté de Paris ; M. le Dr Ritti, médecin en chef à l'asile de Charenton ; M. le Dr Dupaix,
e Dr Ritti, médecin en chef à l'asile de Charenton ; M. le Dr Dupaix, médecin en chef de l'asile de Vaucluse ; M. Adolphe Biuss
du service des aliénés à la préfecture de la Seine : M. le LV Marie, médecin en chef de l'asile de Villejuif ; M. Mol'Qlin, di
Berlin ; M. le professeur Thirox, deJassy; et par un grand, nombre de médecins de Paris et de la province. Le secrétaire tient
ingtaine d'années. De l'autre il est vice-président : le Syndicat des médecins des théâtres de Paris. J'ai entendu tout à l'he
on le fait souvent à tort.au caractèrede l'homme officiel. I! y a des médecins et des savants chez lesquels les honneurs et les
la Société de pathologie comparée qui réunit les efforts communs des médecins et des vétérinaires, vous avez réalisé une des id
ie comparée contribue au progrès de la science et lacollaboralion des médecins et des vétérinaires réalise la belle devise que n
athologie comparée. L'idée de grouper, pour le travail en commun, les médecins et les vétérinaires est des plus simples, Personn
e l'esprit du malade et l'imposition plus ou moins nette de l'idée du médecin au malade, n'est pas à, la base de la thérapeutiq
açant sur le terrain scientifique pur, nous devons donc avouer que le médecin a le droit et le devoir d'imposer sa volonté aux
urnaturelle ! Nous avons fait tout pour éclairer son opinion; que les médecins et que M. Dubois, au lieu de discréditer l'hypnot
ale, c'est parce que l'esprit psychologique fait défaut à beaucoup de médecins ou parce qu'on a voulu attacher à la production d
tatations que nous pouvons faire souvent. L'on ne peut en vouloir aux médecins s'ils ne sont pas préparés par leurs études à ana
et peuvent faire du mal) ne doit être employé que médicalement par un médecin expérimenté, etc.. » Mais dans son article de l
! Il est Bien entendu qu'il s'agit d'hypnotisme médical exercé par un médecin moral expérimenté. Toutes ces conditions sont des
suffirait à démontrer la vigueur des préjugés sur l'hypnotisme si le médecin ne pouvait pas s'en rendre compte -encore actuell
e -encore actuellement si souvent. L'hypnotisme médical exercé par un médecin , -est-il dangereux? Non! parce que l'expérience a
près avoir été hypnotisée par un homme qui voulait abuser d'elle. Des médecins m'ont affirmé que (les jeunes gens avaient souffe
dical. La différence est plus considérable qu'il ne le paraît, car le médecin ne fait que des « suggestions raisonnables » pour
ci se produit indépendamment de toute action suggestive de la part du médecin . Et l'on voit par contre plus souvent des malades
la propriété d'exagérer la suggestibilité quand on l'emploie comme un médecin pour guérir; elle rétablit l'équilibre en détruis
devant ces faits, les avantages pratiques de l'hypnotisme médical. Un médecin un peu habile hypnotisera en moyenne 40 malad
eur à la « psychothérapie » qui exige du temps, cela va de soi. Où le médecin de campagne le trouvera-t-il ce temps? Et celui d
rt d'accuser de charlatanisme non seulement les hypnotiseurs mais les médecins qui guérissent par des pilules indifférentes. Son
sible. Quant à nous, peu importe lé procédé psychothérapique ! Que le médecin de campagne prescrive un remède en affirmant qu'i
qu'un autre guérisse par l'hypnotisme, peu importe pourvu que chaque médecin sache que c'est l'esprit qui a été la force curat
ue c'est l'esprit qui a été la force curative. L'essentiel est que le médecin se rende compte de l'action subjective d'une foul
sur la cérébration, sur les centres psychomoteurs du malade. Que le médecin apprenne à parler à ses malades mieux qu'il ne le
ils peuvent se remettre à manger de tout. Voilà ce que beaucoup de médecins ignorent! Comment le sauraient-ils? Personne ne l
pie générale s'imposera à nos facultés de médecine car il faut que le médecin apprenne la nosologie de l'hypnotisme et de la ps
s nouvelles, on veut faire de lu prévoyance et de la prophylaxie. Les médecins des écoles de New-York viennent d'en faire la tri
ient fréquentes dans la population enfantine de certaines écoles, ces médecins avaient sélectionné un certain nombre d'enfants t
27 juin, ils se précipitèrent en foule sur les écoles criant que les médecins égorgeaient les enfants, renouvelant ainsi les af
de ces jeunes écoliers qui n'étaient pas moins de 6.000. Quant aux médecins , quelques-uns d'entre eux, qui s'aventurèrent dan
timorés qu'eux. Lors des vaccinations dans les mairies de Paris, les médecins ont déjà remarqué que lorsqu'ils avaient affaire
nce n'est que l'observation voulue et provoquée à l'heure propice. Le médecin doit avoir le culte passionné des sciences exacte
s et toujours incessamment renouvelées. Souhaitons de voir nos jeunes médecins de l'avenir rechercher et recevoir de plus en plu
es et fidèles disciples de Claude Bernard, grand physiologiste et médecin , de Bernard dont l'image symbolique se dresse au
yon. Un grand nombre de savants, de membres de l'enseignement et de médecins avaient répondu à l'appel du président. Nous pouv
e de Paris ; M. Petiton, ingénieur des mines ; M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière ; M. le Dr Frey, professeur à l
les; Mlle Besnard, économe du lycée de jeunes filles; M. le Dr Blanc, médecin des prisons de Lyon; M. le Dr Royet, chef de clin
et, professeur à l'Ecole normale de Nevers, de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière, de M. le Dr Gagnière, médecin-
ercices à suivre étant déterminés dans chaque cas particulier par des médecins , seuls compétents pour connaître les anomalies me
e ces méthodes sera confiée à des maîtres spécialisés, guidés par des médecins qui continueront à surveiller le traitement. »
directeur de la circonscription pénitentiaire, et de M. le Dr Blanc, médecin des prisons, auxquels les éloges les plus express
à Lille et qui avait été très bien organisé par M. le Dr Cho-creaux, médecin en chef de Bailleul. M. le professeur Grasset a p
les plus hautes sommités médicales, on fit même appel aux lumières de médecins étrangers. Après un examen approfondi, chacun de
l'amena à Paris et je me fis un devoir de l'accompagner chez les médecins les plus qualifiés pour obtenir la prompte guéris
augrenues qui furent accumulées contre l'emploi de ce traitement. Des médecins éminents, qui cependant n'avaient rien trouvé à n
Bérillon, Les études psychologiques n'intéressent pas seulement le médecin ; les hommes politiques peuvent en tirer de multi
(Applaudissements prolongés.) Discours de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière, président de la Société d'hypn
llier, d'Auguste Voisin, de Paul Magnin et d'un assez grand nombre de médecins français et étrangers, le Dr Bérillon réalisa la
n'étaient pas décomposés et ne sentaient pas mauvais. Simon n'est pas médecin et n'a pu, par conséquent, dire à quand remontait
Le Matin confirme ce récit (6 avril, page 3, col. 2). M. Hanseval, médecin légiste de Béthune, a, aujourd'hui, tenté de prél
eur Beauvisage, de Lyon, du Dr Orlitzky, de Moscou, de M. le Dr Lux médecin principal de l'armée. Des communications sont fai
e. Le président met aux voix les candidatures de M. le Dr Deswarte, médecin de l'asile d'Evreux, Lassus, procureur de la Répu
blique à Saint-Quentin, Dr Arrivé, licencié-ès-sciences, Dr de Biran, médecin de la maison de santé d'Arcueil, M. Bloud, profes
les sacrements des mourants à la fin de septembre. Les conseils du médecin ne sont pas suivis par ta famille. Le 3 octobre 1
avec la cuillère ; les yeux sont ouverts, tranquilles. Elle sourit au médecin et lui tend la main. Elle promet à la gardienne d
llante mais déclare que cela lui est encore impossible en présence du médecin ; elle promet de parler après demain avec le méde
e en présence du médecin ; elle promet de parler après demain avec le médecin . Mange et dort bien. Ne sait pas encore marcher.
1902 elle marche seule. La petite malade raconte, le 13 janvier, au médecin : « Je me suis sentie malade le 13 août 1900 ; je
Savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jul?s Voisin, médecin de la Salpêtrière. Les séances de la Société on
mardis de chaque mois, à 4 heures et demie. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
aux et le Ministère de l'Instruction publique. MM. Groult et Lépinay, médecins vétérinaires: Les tics chez les animaux. Empiri
te-t-elle point, d'ailleurs, parmi ses adeptes un grand nombre de ces médecins éminents dont la réputation, franchissant les siè
er le salut de l'équipage... « Si donc vous êtes malade, appelez un médecin qui exerce honnêtement son métier, qui a étudié,
sans aucun avantage. Ce nouveau diplôme, créant deux catégories de médecins , tend au rétablissement des officiers de santé, q
'est parce que le favoritisme sévit furieusement dans les concours de médecins . En 1895, le Dr Bérillon, dans une brochure intit
neur du Dr Bérillon (Suite). Discours de M. le docteur Huchard. médecin de l'hôpital Necker, membre de l'Académie de Méde
ession ne saurait rendre la puissance de pénétration avec laquelle ce médecin , éminemment psychologue, faisait passer ses convi
rs. Il a certainement contribué à affermir en moi cette opinion qu'un médecin ne peut remplir qu'une partie de sa mission socia
la bactériologie et il prévoyait qu'un jour viendrait où beaucoup de médecins regretteraient de les avoir dédaignées. Paul Be
urs de mes études, je fus frappé do la difficulté que rencontrent les médecins et les étudiants lorsqu'ils veulent acquérir des
de l'hypnotisme. Grâce à ces nstitutions, destinées à donner aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
stitut psycho-physiologique sont suivis par un nombre considérable de médecins et d'étudiants. Je ne saurais trop louer le zèle
uys, Albert Robin, membres de l'Académie de Médecine, Auguste Voisin, médecin de la Salpêtrière, le professeur Charles Richet e
précieuse approbation à l'idée de créer un terrain d'union entre les médecins et les vétérinaires. Ne sommes-nous pas les uns e
dont les encouragements ne m'ont jamais fait défaut. M. le Dr Balzer, médecin de l'hôpital Saint-Louis, M. le Dr Leblond, médec
M. le Dr Balzer, médecin de l'hôpital Saint-Louis, M. le Dr Leblond, médecin en chef de Saint-Lazare, et ancien président du S
médecin en chef de Saint-Lazare, et ancien président du Syndicat des médecins de la Seine. Au nom du Dr Leblond se rattachent d
mirable professeur d'ana-tomie, le salut de nombreuses générations de médecins . Ceux qui ont reçu de lui un enseignement, bien s
titut psycho-physiologique et à l'Ecole de psychologie. Alors que les médecins sont décorés par le ministère de l'Intérieur, c'e
cordée. Ce sont les services du professeur, plus encore que ceux du médecin , que M. le ministre a voulu reconnaître. Aucu
le Dr. Elliols" .. un distingué associé (fellow) du Collège Royal des Médecins de Londres. Nonobstant qu'il était éditeur du Zoi
es. Nonobstant qu'il était éditeur du Zoisl, organe qui attaquait les médecins orthodoxes, il firl élu par son Collège, en 1846,
a méthode ordinaire de Faria qui est adoptée aujourd'hui par tous les médecins qui pratiquent l'hypnotisme, et non pas la méthod
ui demandent leur sortie et à ordonner cette sortie en dehors même du médecin traitant, s'il y a lieu. C'est là une excellente
la liberté individuelle compte aussi pour quelque chose. Et M. Ritti, médecin de Charenton, l'auteur consciencieux de cette lis
qui peuvent nuire à eux-mêmes ou aux autres. Danger si réel, que le médecin d'asile demeure souvent hésitant et troublé, et s
d'essais sont accordées en marge de la loi, aux risques et périls du médecin qui les propose et du Préfet qui les signe. Si un
, entre l'internement et la pleine liberté du dehors. Tantôt c'est le médecin , tantôt c'est le malade qui hésite devant ce saut
garder éternellement interné ? Que l'autorité enferme, sur l'avis du médecin , tout aliéné qui présente une tendance au vol, à
t pour ne pas l'admettre ceux qui sont chargés d'appliquer la loi: Le médecin appelé par une famille pendant sa tournée de clie
il se fâche il peut mettre le feu, il tombe à chaque instant, etc. Le médecin conseille l'internement non seulement de bonne fo
pour affirmer le diagnostic ; celui-ci ne peut que s'en rapporter au médecin de l'établissement. Des soins, une hygiène mieux
Savantes, 3, rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpètrière. Les séances de la Société on
mardis de chaque mois, à 4 heures et demie. Elles sont publiques. Les médecins et les ¦étudiants sont invités à y assister. Ad
et le Ministère de l'Instruction publique. MM. Grollet et Lépinay, médecins vétérinaires : Les tics chez les animaux. D" Pa
omanie. Sous le terme général de mythomanie, le Dr Dupré, l'éminent médecin de l'infirmerie du dépôt, désigne la tendance pat
neurasthénie. Ce sujet, à la moindre émotion, en conversant avec son médecin , transpire de partout au point que la paroi latér
personnalités les plus intéressantes de notre époque. II fut d'abord médecin militaire, prit part aux campagnes carliste et cu
es jeunes gens? Le L»r Acland a posé la question à des centaines de médecins d'Etablissements d'Instruction et il est bien int
mblables à celles que, dans des circonstances analogues, ont fait des médecins français interrogés. Tous ont réclamé comme minim
yens curatifs et une force thérapeutique digne de l'attention de tout médecin instruit et exempt de préjugés. » Faria : Nous
comptes rendus des sociétés savantes, surtout de l'Aca- demie de Médecins de Paris, et les articles des journaux publiés en
Bertrand, Husson, Noizet, etc. Il est possible, aussi, que quelques médecins ne donnent pas autant d'importance aux travaux de
notisme, comme celle delà vie, appartient plus aux philosophes qu'aux médecins (1) ; et Faria était non seulement un philosophe
ar tempérament. Ce qui appartient, et devrait toujours appartenir aux médecins , c'est la pratique de l'hypnotisme. Mais, on de
plusieurs membres de la Société de l'Hypnotisme de Paris, ne sont pas médecins . si bien que Faria, Delsuze et quelques autre
logie et la psychologie ont fait de grands progrès depuis T860. Comme médecin praticien Braid a donné, naturellement, plus d'at
use du Sommeil lucide, ou Etude de la Nature de l'Homme; et Braid, le médecin , intitule le sien : Neurypno-logy or the rational
mie par son père ou, à son défaut, par son frère, était assisiée d'un médecin qui signait les ordonnances. Après avoir consta
c rien d'extraordinaire. Ce sont là des laits bien connus de tous les médecins qui s'occupent de système nerveux. La facilité
qui nous était posée était relative aux ordonnances délivrées par le médecin assistant la somnambule. Il s'agissait de savoir
philis ou d'une autre affection organique : Il ne sera pas permis aux médecins d'affirmer publiquement son diagnostic et d'expos
dire s'exposant ainsi à porter au malade le plus grave préjudice. Le médecin serait donc obligé de limiter le choix de ses mal
iction. En voici quelques échantillons : Un cocher, au service d'un médecin , lui envoie, à l'instigation de son maître, une m
ces de l'enfant devinrent telles que la mère se décida à consulter un médecin qui constata une ankylose de la hanche en positio
ns dix-neuf jours. La lettre est signée du père de la voyante et du médecin . Inutile d'ajouter que la malade a été ultérieu
t bien entendu pas hésité à préférer au régime lacté prescrit par son médecin (duquel je tiens le fait), le régime tonique et f
.., de qui je tiens le fait, d'intervenir pour obliger M"" X... et le médecin qui l'assistait à vouloir bien prescrire les médi
l'assistait à vouloir bien prescrire les médicaments ordonnés par le médecin du malade! Inutile d'ajouter que le procureur dut
l et d'éviter les désagréments que j'ai vus se produire avec certains médecins qui, ayant voulu hypnotiser sans savoir le faire,
Savantes, 8- rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière. Les séances de la Société on
mardis de chaque mois, à 4 heures et demie. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
et le Ministère de l'Instruction publique. MM- Grollet et Lépinay, médecins vétérinaires : Les tics chez les animaux. D" Pa
hamps de travail de nos grands spécialistes sont plus visités par les médecins étrangers que bon nombre de nos services officiel
fants dits » anormaux intellectuels », par M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrlôre et M. le Dr Roger Voisin*, anci
erversion et le vice n'est pas la partie la moins délicate du rôle du médecin appelé à examiner de tels enfants. L'enfant vicie
s comme malades, et ce n'est que lorsqu'il y a eu délin-quence que le médecin est consulté. Chaque fois qu'un enfant, à des i
caractère bizarre. Dans les deux cas, un examen de l'enfant par un médecin connaissant les maladies mentales s'impose. Aussi
e examiner ou inviter les parents à faire examiner leur enfant par un médecin spécialiste. Ils remettront à celui-ci une note d
gence, de tare intellectuelle, c'est la famille qui, instruite par le médecin de la véritable cause des accidents observés, doi
asthénie intense s'installe... On demande l'avis d'un oncle qui est médecin en province. Celui-ci, sans être enthousiaste, co
r du tout au tout. Le traitement moral, les paroles réconfortantes du médecin font beaucoup dans le sens de la guérison. BULL
Savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le D' Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Les séances de la Société on
mardis de chaque mois, â 4 heures et demie. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
ique sur le déve-• loppement de la mémoire. MM. Grollet et Lépinay, médecins vétérinaires : Les tics chez les animaux. D" Pa
L'enseignement de l'Ecole de psychologie est public. Il s'adresse aux médecins , aux étudiants, aux esprits désireux de connaître
yés.............. 67 Douteux............... 2 Nota. — Beaucoup de médecins demandent que les professeurs ne fassent pas de c
ats. Dès la première séance, vingt candidats, dont un grand nombre de médecins des hôpitaux, se sont retirés. Voulaient-ils témo
e, etc.), dont triomphe assez facilement la médication psychique. Les médecins de marine se privent de nombreux succès en néglig
des accidents neurasthéniques, est nommé, après sa thèse de doctorat, médecin militaire et destiné au service de l'armée indo-n
e malade, exténuée, présentait un état d'amaigrissement effrayant. Le médecin du transatlantique avait épuisé en vain tous ses
it, me dit-il, une véritable résurrection, etc. IV. — La femme d'un médecin de Batavia m'écrit le 15 août 1905, de Peventer (
ération gynécologique et présentait une fièvre de 40° qui rendait son médecin inquiet, car il ne trouvait aucune cause à cette
entiront, quand leur santé l'exigera et quand ils auront affaire à un médecin expérimenté. C'est dans la cure de la timidité et
6 h. 45. Les tics chez les animaux!1} par MM. Lépixay et Grollet, médecin s-vétérinaires. Littré définit le tic : mouveme
Savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le D'Jules Voisin, médecin de la Salpètrière. Les séances de la Société on
mardis de chaque mois, à 4 heures et demie. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
LES Enseignement Hospice de la Salpètrière. — M. le D' J. Voisin, médecin à la Salpètrière, commencera le jeudi 10 janvier,
ge de France: Albert Robix, prof, a la FacuUede médecine ; J. Voisin, médecin de I» Salpetriere, École de Pigrkelotle 19, rue
au point de vue sociologique et médico-légal, par m. le d' Bbrillon, médecin iospecteur des asile» d'aliénés (avec projections
redi lSjanvier.à 8 b. t/2, sous la présidence de M. le D'JulesVoisni, médecin de la Salpôtrière. — Nouvelles religions : le bëg
sychologique à travers les anomalies humaines, par M. le d' Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés (avec projections
ycho-physiologique de Paris, fondé en 1889, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement, pratique perman
ensaire 'pédagogique et neurologique. — Dispensaire antialcoolique. Médecins : Dr Bérillon, D' Paul Maonis, D'Paul Farez,D" R.
taires, instables, timides, indisciplinés, pervers et nerveux). Les médecins , les étudiants et les membres de l'enseignement s
ion publique. Autour de lui avaient pris place M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpètrière, et les professeurs de l'Ecole,
ichou, secrétaire de l'office de renseignements à la Sorbonne, D'Lux, médecin principal, M. Gallia, professeur, M. Xavier Priva
onio Mendicini (deNaples), le commandant Bellon et un grand nombre de médecins et de professeurs dont nous n'avons pu enregistre
ident, Messieurs, L'Ecole de psychologie est destinée à fournir aux médecins , aux étudiants des diverses facultés et à tous ce
un pathologiste, en un mot, dans l'état actuel de l'enseignement, un médecin , sous peine de commettre les plus graves erreurs.
les candidatures de MM. Dr Frantz Glé-nard, de Vichy ; Dr Antheaume, médecin en chef de la maison nationale de Charcnton ; pro
. La Psychologie de l'Entrainement par M. le Dr Fernand LaGRange, Médecin consultant à Vichy. On appelle état d'entraînem
Savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière. Les séances de la Société on
mardis de chaque mois, à 4 heures et demie. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
eurs importants travaux scientifiques. La morale professionnelle du médecin Dans une conférence faite à l'Ecole des hautes
eux qui se trouvent dans la nécessité de recourir aux bons offices du médecin . Elle contribuerait certainement à leur donner un
ne appréciation plus juste de ce qui constitue la véritable valeur du médecin . Voici comment le professeur Pinard s'est exprimé
France, il n'y a plus de hiérarchie médicale universitaire : tous les médecins possèdent le même titre. Comment, me direz-vous
le même titre. Comment, me direz-vous, il n'y a donc plus de grands médecins ? Je puis répondre de suite qu'il n'y en ajamáis e
œur. Constamment j'entends ceci : a Docteur, j'ai consulté un petit médecin de quartier » ou «j'ai consulté un petit médecin
ai consulté un petit médecin de quartier » ou «j'ai consulté un petit médecin de campagne ». Ceci me révolte ; une fois pour
pour toutes, il faut qu'on sache ce que doit être, ce qu'est un grand médecin . Est-ce la robe plus ou moins rouge, est-ce l'h
rodé, porté dans les cérémonies officielles, qui constituent le grand médecin ? Est-on sacré grand médecin par le nombre ou l'i
es officielles, qui constituent le grand médecin ? Est-on sacré grand médecin par le nombre ou l'importance des décorations qui
ble, un enseigneur, un vulgarisateur incomparable, il n'est pas grand médecin pour cela. Un académicien peut être un grand sava
en peut être un grand savant, mais pas du toul par cela même un grand médecin . J'ajoute que celui qu'on appelle un grand pathol
rand accoucheur, un grand oculiste, n'est nullement pour moi un grand médecin : c'est un grand spécialiste. Pour moi, celui q
n cœur au service de ceux qui ont recours à lui, celui-là est un vrai médecin et, j'ajoute, un grand médecin. On l'a dit avec r
nt recours à lui, celui-là est un vrai médecin et, j'ajoute, un grand médecin . On l'a dit avec raison : a L'amour de la médecin
L'amour de la médecine fait le savant, seul l'amour du malade fait le médecin ». Il ne suffit pas d'être un grand savant pour
decin ». Il ne suffit pas d'être un grand savant pour être un grand médecin , èt il n'est pas absolument indispensable d'être
as absolument indispensable d'être un grand savant pour être un grand médecin . Avec un diplôme légitimement conquis, tout méd
r être un grand médecin. Avec un diplôme légitimement conquis, tout médecin peut devenir un grand médecin. Tout dépend du dév
c un diplôme légitimement conquis, tout médecin peut devenir un grand médecin . Tout dépend du dévouement, du désintéressement,
ncours plus ou moins frelatés ne suffisent pas pour constituer le bon médecin , il est évident qu'ils ne sauraient non plus cons
rofesseur Pinard n'a voulu parler que de la morale professionnelle du médecin . Tout ce qu'il a dit s'applique cependant à la mo
croire que ces vues ne puissent intéresser que les naturalistes. Les médecins instruits en tireront également d'utiles enseigne
de la psychologie Hospice de la Salpètrjère. — M. le Df J. Voisin, médecin à la Salpè-trière, a commencé le jeudi 10 janvier
sychologique à travers les anomalies humaines, par M. le D' Berillox, médecin inspecteur des asiles d'aliénés (avec projections
taires, instables, timides, indisciplinés, pervers et nerveux). Les médecins , les étudiants et les membres de l'enseignement s
d'être citées textuellement : « Que faut-il pour former les jeunes médecins , disait-il? Suffit-il de leur transmettre fidèlem
de faire valoir l'intérêt scientifique qu'il y aurait à donner à tout médecin qui présenterait les aptitudes et le savoir néces
emment, médiocre en apparence jusqu'à trente ans, est devenu un grand médecin . Le professeur Charcot ne parvint à l'agrégation
onsidéré comme instrument à juger les qualités venues et à venir d'un médecin ». C'était l'avis de Paul Bert qui, avant de se
, et en désespère. Cependantun traitement moral a été institué par le médecin de la famille, pendant longtemps; mais il n'a don
la famille, pendant longtemps; mais il n'a donné aucun résultat. Son médecin l'a même menacé de l'interner dans un asile s'il
ils affirmé la parfaite responsabilité du criminel, alors que seul le médecin légiste a le droit de prononcer. Comme membre d
ier d'une façon'absolue que Soleillant soit fou, cela est la lâche du médecin légiste qui l'examinera. Mais il est permis de ra
le : comme toutes les malades de cette catégorie, elle a vu nombre de médecins , fait plusieurs saisons à Vichy et à Châtel-Guyon
Savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le D'Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Les séances de la Société on
mardis de chaque mois, à 4 heures et demie. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
ques et Nouvelles consultations médicales (1) par M. le Dr Huchard, médecin de l'Hôpital Xecker, membre de l'Académie de méde
ard vient de publier un volume destiné à initier les étudiants et les médecins praticiens à l'art de la consultation médicale. L
ndré-des-Arts. — Le D' Bérillon, professeur à l'Ecole de psychologie, médecin Inspecteur des asiles d'aliénés, commencera le ma
campagne qu'il a entreprise en faveur de l'enseignement libre. Aucun médecin n'est plus qualifié que lui pour exprimer les dol
de la médecine française, ont toutes été conçues et réalisées par des médecins indépendants de toute attache universitaire. Le
, les Séglas, les Deny, les Legrain,les Sérieux, et beaucoup d'autres médecins aliénisles, dont les travaux font autorité. Alors
iit. Moyennant la modique somme decinquante francs, un étudiant ou un médecin était instruit complètement par Pajot aux difficu
illantes, malgré les ovations répétées d'un millier d'étudiants et de médecins accourus à ses leçons pour le soutenir de leurs a
chez lesquels les manifestations de la timidité intéressent plutôt le médecin que le pédagogue, impuissant à les guérir. IV.
frappé du rôle qu'y joue habituellement la suggestion involontaire du médecin et l'autosuggestion du malade comme facteurs adju
ects très distincts : dans une première forme do suggestion, c'est lo médecin qui suggestionne, influence son malade et le pers
première forme de suggestion, celle que subit le malade de la part du médecin , je l'appellerai, si vous le permettez, exogène,
us l'action de la suggestion exogène, c'est-à-dire de celle émanée du médecin ou de l'entourage. Rarement elle puise dans les p
voire même d'autant plus forte que l'autosuggestion que possédait le médecin lui-même sur la valeur du remède prescrit est ell
que cette confiance se soit développée sous l'action prédominante du médecin ou que le malade se soit suffi à lui-même pour la
fiance. L'état de confiance qui surgit chez le malade remonté par son médecin , vient combattre les effets déprimants provoqués
lus ou moins imminente de misère pour peu qu'elle se prolonge. Que le médecin cherche en pareil cas et dans de semblables milie
cas type. Récemment, le Dr L. Alaux asígnale dans le Journal des Médecins (n° 3, 1907) l'influence exercée par les végétati
rité, de « potentiel » moral, ou de force persuasive • que possède le médecin , il est clair qu'il lui appartiendra d'en utilise
Savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpètrière. Les séances de la Société on
mardis de chaque mois, à 4 heures et demie. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
YCHOLOGIE APPLIQUÉE A L'ÉDUCATION. — M. le Dr BÉBILLON, professeur, médecin inspecteur des asiles d'aliénés, commencera son c
dis, samedis, de dix heures à midi, 49, lue Saint-André-des-Arts (les médecins , les étudiants et les membres de l'enseignement s
ence, de caractère, d'esprit novateur et de valeur professorale. Le médecin qui se résigne à perdre son temps à subir des con
on. Grâce à cet important organe, dont le service est fait à tous les médecins de France, le corps médical a pu en prendre de no
tations de beaucoup de phénomènes restés jusqu'alors inexpliqués. Les médecins ne se bornent pas à employer à chaque instant les
s professeurs les plus en vue. II y a peu d'hommes auxquels autant de médecins cminenls français ou étrangers, aient dédiés leur
urs de mes études, je fus frappé de la difficulté que rencontrent les médecins et les étudiants lorsqu'ils veulent acquérir des
pte que mon cours amenait à l'école, chaque année, un grand nombre de médecins et d'étudiants qui, sans lui. n'y eussent jamais
s libres de l'Ecole pratique donnaient une saUsfaction suffisante aux médecins atteints de cette vocation pour renseignement que
hologie, où j'ai été suivi par mon fidèle auditoire d'étudiants et de médecins . Je me hâte d'ajouter que le professeur ni les él
xemple d'une paralysie : en même temps qu'il fait agir le courant, le médecin t attire l'attention du malade sur le mouvement q
joue naturelle- ment un rôle important et autant que possible le médecin doit chercher des modèles qui se rapportent aux b
cices d'écriture devront toujours être effectués sous la direction du médecin . En effet, ils ne donneront tout leur effet que s
tuellement. Elle offre de plus, l'avantage d'être, entre les mains de médecins psychologues3 d'une vérification facile. Les résu
u et adopté. La correspondance comprend des lettres du D' Dezwarte, médecin en chef de l'école de Limoges, du Dr Bony, du D'M
auriac. M. le président met aux voix les candidatures de MM. Moret, médecin vétérinaire à Paris, Saint-Yves, professeur à Par
la culture biologique soit très nécessaire dans ce genre d'étude, le médecin psychologue n'est pas le seul capable de faire de
nnommées, mal appréciables, indéfinissables pour le malade et pour le médecin . » La théorie de M. A. Le- (t) De la sénilité,
ri (') l'a soutenu, à Lille, dans son rapport présenté au Congrès des médecins aliénistes et neurologistes, la sénilité est un é
Savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpètrière. Les séances de la Société on
mardis de chaque mois, ù 4 heures et demie. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
e du jour, sera traitée avec toute l'ampleur qu'elle comporte par les médecins les plus compétents, ainsi que par les directeurs
era présidée par le Dr Bérillon, professeur à l'Ecole de psychologie, médecin inspecteur des asiles d'aliénés de la Seine. Les
ire. Cela est d'autant moins admissible, qu'un grand nombre de jeunes médecins sont animes du vif désir d'aborder, à leurs risqu
aculté de Paris. Ils se seraient demandé d'abord pourquoi beaucoup de médecins éminents, ayant donné en d'autres circonstanc
es candidatures de MM les D" Esmonet (de Châtel-Guyon), et Montéuuis, médecin du Sanatorium de Sylvabella (Var), ainsi que de M
, médecin du Sanatorium de Sylvabella (Var), ainsi que de MM. Barthe, médecin vétérinaire en premier, et A. Vogel, homme de let
Saratow) : Applications thérapeutiques de l'hypnotisme. M. Lèpinay, médecin vétérinaire : Psychologie comparée : L'infanticid
elet de voyantes, par Jules Bois, p. 361. Morale professionnelle du médecin , p. 253. Mythomanie, p. 126. Neurasthénie gra
3 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
IRECTION DE MM. V. MGNtIN \ Membre de l'Académie de médecine. 1 Médecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). I 1> l'il (l
enfants arriérés dans les Colonies familiales. Par le Dr TRUELLE, médecin en chef, Directeur de la Colonie familiale de D
oigneusement choisies par lis. le Dr .1. 'oisin ; même le distingué médecin de la Salpêtrière axait pris la peine de venir
es le savent bien peuvent compter sur l'in- tervention immédiate du médecin . Pour les autres il n'y a pas eu d'incident dig
urri- 10 ASSISTANCE. cière a dû avoir recours à l'intervention du médecin , pour rappeler à ces enfants qu'elles doivent r
chez un paralytique général (1). PAR G. DItO\fARD et L. DALMAS médecin interne à l'Asile SI Picrre (Marseille) Les t
nt être internés ou comme pouvant vivre en liberté, suivant que les médecins chargés de les examiner agis- saient comme expe
al. Entreront-ils dans son service à la suite des conclusions des médecins experts ou après examen des médecins de l'admissi
à la suite des conclusions des médecins experts ou après examen des médecins de l'admission ? S'ils sont placés dans les ser
e l'admission ? S'ils sont placés dans les services ordinaires, les médecins pourront- ils demander leur transfert dans ce s
ar intervention de la Pré- fecture de Police pour les criminels, du médecin traitant pour les aliénés difficiles. M. Vall
M. DENY Nécrologie : LE PRÉSIDENT annonce la mort de M. Ch. Féré, médecin de Bicêtre. Palmarès : prix Belhomme : La démen
et la suggestion. La femme stérile, trop souvent abandonnée par les médecins , doit être considérée comme une ma- lade, et da
IE I. Séméiologie du système nerveux ; par le Dr Henri Duroun, et médecin des hôpitaux de Paris. Oct. Doin éditeur,Paris, 1
chapitres ; il est certain qu'à parcourir la table des matières le médecin non spécialisé ne voit pas d'une façon bien net
avait fait naître les plus vives appréhensions dans l'es- prit des médecins actuels des asiles et surtout des docteurs se p
docteurs se préparant au concours d'adjuvat ; elle édictait que ces médecins pourraient, demeurer extérieurement et se consa
l'exercice de la médecine en dehors des asiles par assimilation aux médecins des hôpitaux. Après avoir recueilli de nombreux
e au libre exercice de la mé- decine et de faire de la résidence du médecin dans l'asile le régi- me normal auquel il ne po
ticide et hystérie (Archives de Neurologie 1S95.) 110 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. l'élément patholog
taine et arbitraire toute attribution de responsabilité ? 't DE : MÉDECINS ALIÉ1TÊS & NEUMLGITE (Genève, 1VII session,
à neuf heures, à l'Université, devant une nombreuse assemblée de médecins venus de France, deBelgique et de la Suisse rom
ont, jusque lui, on avait chargé les pauvres déments. CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES, 111 Genève, dit M.
ur, absent de Genève pour un voyage scientifique en Ecosse. Comme médecin et comme professeur, je suis hcu reux,dit- il,
on que les pouvoirs publics accueillent et étu- dient les voeux des médecins aliénistes dans l'organisation des lois sur les
. Il rappelle les liens d'amitié qui unissaient de tous temps les médecins de Paris et de Genève et,qui aujour- d'hui enco
de Genève et,qui aujour- d'hui encore constituent pour beaucoup de médecins gé- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES' ET NËURÔLO
d'hui encore constituent pour beaucoup de médecins gé- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES' ET NËURÔLOGISTËS. 113 ncvois de dou
ore excitable. Archives, 3° série, 1907, t. II. 8 111 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOQISTES. Chez les lapins et
adame (Genève) fait une communication des plus intéressantes sur un médecin aliéniste genevois, Gaspard de la Rive, qui véc
genevois, Gaspard de la Rive, qui vécut de 1770 à 1834.Cet éminent médecin fut un des précurseurs de génie de nos aliénist
De retour à Genève en 1797, de la Ilive fut agréé au Collège des médecins et peu après chargé de la direction de la section
cs de s'occuper de ce projet. En 1S3 1 , il fit un nou- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. 115 veau mémoire s
a- tuitement pendant trente-deux ans, avec zèle, les fonctions de médecin du département des aliénés de l'hôpital de Genève
. Or les questions de responsabilitité morale ne regardent pas le médecin ; elles sont subordonnées à l'opinion qu'on peu
DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. pénal, en vertu duquel le médecin est invité à donner son avis, vise un point de
ports médico-légaux. Il est possible, d'ailleurs, que ce soient les médecins eux- mêmes qui aient les premiers introduit dan
raîne des conséquences fâcheuses ; on a pu dire, en effet.que si le médecin pensait tout homme privé du libre arbitre et al
des sains d'esprit responsables. Ce sont ces délinquants que les médecins ont pris la fâcheuse habitude de considérer com
atténuée, ce qui ne les empêche pas d'être, au point de CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 117 vue social, pl
cal, ne peut pas, parce que notion médicale, être négligée par le médecin expert, celui-ci, dès lors, ne sort pas de ses
ponsabilité atténuée, tient,en partie, au légitime désir qu'a le médecin expert de répondre à la question posée par les ju
valables pour le juge, dans ses ordonnances, aussi bien que pour le médecin . Il est désirable que médecins et juges,s'en te
ordonnances, aussi bien que pour le médecin. Il est désirable que médecins et juges,s'en tenant aux termes de l'article 64
article 64 du Code pénal, renoncent à les employer. En résumé, le médecin légiste aura rempli son mandat lorsque, chez un
rité, le rapporteur répond nettement : non, il n'appartient pas aux médecins , mais uniquement aux magistrats, de se prononce
sponsabilité d'un inculpé ; « les questions de res- 118 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. ponsabilité ne son
devant le Congrès l'opinion diamétralement opposée : à mon sens, le médecin est parfaite- ment qualifié et il est seul qual
rat ou au lé- gislateur ; aucune n'est question médicale ; donc, le médecin n'a rien à voir dans l'appréciation d'une respo
ité physiologique ou médicale en est un élément et que par suite le médecin , s'il ne peut pas résoudre à lui seul toute la
nt, celui même que vise le magistrat quand il pose ses questions au médecin expert : ce sujet est-il ou non responsable méd
esponsabilité sociale du sujet. Le magistrat ne peut la poser qu'au médecin . Le médecin a donc le droit et le devoir d'y ré
sociale du sujet. Le magistrat ne peut la poser qu'au médecin. Le médecin a donc le droit et le devoir d'y répondre. Gilb
te à confusion, on le supprime sans le rem- placer et qu'on dise au médecin ; donnez-nous seulement votre diagnostic ; voil
tre seul rôle ; nous nous débrouillerons ensuite. - Pas du tout. Le médecin doit non seulement dire CONGRÈS DES MÉDECINS AL
uite. - Pas du tout. Le médecin doit non seulement dire CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 119 au magistrat l
our eux de res- ponsabilité atténuée parce qu'il ne veut pas que le médecin prononce jamais ce mot de responsabilité. Je
Avec ce sens, la notion de responsabilité atténuée 120 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. s'impose à tous le
NGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. s'impose à tous les médecins ; car, c'est une loi générale de la physiopatho
... » ; ou celle d'Anatole France dans l'Histoire Comique « sur les médecins qui distinguent des moitiés de responsabilité,
e d'être vrai et cette appréciation difficile, c'est bien encorde médecin qui peut l'essayer dans les meilleures conditions
, cette responsabilité a naturellement des degrés... Ce degré, le médecin peut s'en rendre compte ». 3. Aux raisons précé
récédentes, qui me paraissent déjà bien justifier l'intervention du médecin dans les questions de res- ponsabilité, je dema
ment des divers criminels, voici un nouveau et grave rôle dévolu au médecin : lui seul peut désigner les ma- lades et les n
purement médicaux que ce verdict peut être rendu. Il appartient au médecin de bien in- sister sur cette idée. Une des conq
spitaliser des dé- traqués coupables..... Ce problème intéresse les médecins et les psychologues. Il doit laisser indifféren
ilà où on en arrive en voulant réduire le rôle et l'intervention du médecin dans ces questions de responsabilité, alors que
et indéfini de ce rôle et de cette intervention. 122 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. Trélat a cité cett
826 à propos de l'habi- tude qu'ont les magistrats d'interroger les médecins sur les sujets suspects de folie : « De bonne f
pour juger la responsabilité, une commission qui ne contienne aucun médecin . Non. La société reste juge de la responsabilit
ale d'un sujet ; mais elle ne peut l'apprécier qu'en demandant au médecin son avis sur la responsabilité médicale de ce suj
médecin son avis sur la responsabilité médicale de ce sujet. Si le médecin se refusait à l'éclairer sur ce point, elle ne po
ois, que la loi fût modifiée à ce point de vue et il appartient aux médecins , spé- cialement à ceux qui sont réunis dans ce
au lieu de solliciter le retour pur et sim- ple à l'article 64, les médecins demandent la consécration par la loi de l'usage
n par la loi de l'usage établi par les magistrats de demander aux médecins leur avis sur la responsabilité médicale des in
nous l'avons définie. Les rôles seraient ainsi bien précisés : aux médecins on deman- derait si l'inculpé est irresponsable
sponsabilité atténuée ; ceci serait un élément d'appré- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 123 ciation pour l
a question de culpabilité. . Le verdict de responsabilité par les médecins n'entraîne- rait pas le jugement- de culpabilit
-légale et la question de responsabilité : . Le XVIIe Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pa
embarrassante qu'en présence d'un convalescent pas 124 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. assez malade pour
rouver. M. GIRAUD (de Rouen), - J'estime, avec M. Ballet, que les médecins ne doivent pas dans un expertise, faire de la mét
la nécessité du placement. On nous fait un grief de ce que quelques médecins admettent plus facilement que d'autres l'existe
procède, ne fait mention expresse de la responsabilité CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNÎSTES ET NEUROLOGISTES. 125 pénale ; mais
plus de la raison que de la folie. Il incombe, en particulier, au médecin de montrer l'influen- ce que des antécédents ps
ois des mesures judiciaires inopportunes, dangereu- 126 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. ses peut être au p
cernement cérébral pour que la crainte de la répression CONGRÈS DUS MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 127 pénale entre a
lité sans le rem- placer par aucun autre. N'étant ni psychiatre, ni médecin légiste, je n'espère pas réussir à trouver ce t
LLON. - Le terme de responsabilité était le trait d'union entre les médecins et magistrats. Pourquoi le suppri- mer ? Il res
ts. Pourquoi le suppri- mer ? Il restera seulement entendu pour les médecins qu'en aucun cas il ne saurait impliquer une idé
d'ordre métaphysique ou juridique, non d'ordre médical ; 3° Que le médecin , seul compétent pour se prononcer sur la réalit
nt au texte de l'ar- ticle 6-1 du code pénal et ne demandent pas au médecin expert de résoudre les dites questions qui excè
nt nos lecteurs d'excuser les incorrections. (13.). . CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 129 hué ou par l'E
a condition telle qu'elle est maintenant, qui a permis à quel- ques médecins peu scrupuleux et cupides de se couvrir de hont
y considère comme une et même question. Tout conseil sait que les médecins en général ne sont pas disposés à jurer sur une
elé après avoir Archives, a. série 1907, t. il. 9 130 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES LT NEUROLOCISTES. étudié le cas : «
Le premier juge (chief judge) L. A. Emery. du Maine, a CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 131 accepté la pré
-légale contradictoire ; - Par le Dr Paul Archambault (de Tours), Médecin en chef de l'asile des aliénés. Aujourd'hui enc
Aujourd'hui encore, dans la jurisprudence française,* le pouvoir du médecin expert est effrayant : il tient au bout de sa p
dictoire, et tout particulièrement les au- topsies judiciaires ; un médecin choisi par la défense devrait assister aux opér
tre leur responsabilité à l'abri de tout soupçon. 132 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. Séance du 2 août.
LI.N,en 1899, rattache tous les cas de manie à la folie CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 133 périodique, po
mélancoliques. Certains de ces accès sont tellement 134 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. peu accentués que
rtés à la manie et à la mélancolie se mélangent intime- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. loi ment, démontra
égal, les difficultés abondent en cette matière et, 136 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. selon la juste rem
hoses étiquetées : alternes circulaires, à double forme CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 137 î etc., ne son
es périodes de rémission et de lucidité complète. 138 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. M. PAILHAS (d'Albi
quarante ans, quatre crises d'excitation, au cours des- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 139 quelles il com
épression plus ou moins étendus et diversement com- 140 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. binés. Les acciden
us avons pu suivre, dans trois cas de sclérose latérale CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 141 umyotrophique,
et a son expression la plus flagrante dans la neu- 142 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. rasthénie thyroïdi
pu amener le coma diabétique. Séance du 5 août. Le Congrès des médecins aliénistes, après avoir tenu ses assises à Genè
e rapport concernant l'hystérie : Définition' et nature CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 143 de l'hystérie
physiologiques ne donnent pas une meilleure expli- 144 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIlihISTES ET NEUROLOGISTES. cation. Une défin
re chez l'individu normal, en particulier les réactions CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 145 émotionnelles
J'y trouve, en Archives, 3° série, 1907, t. IL 10 140 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. effet,cette affirm
mpathiques de la médecine Française, je lui dirai qu'il CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 147 a tort, de ne
utifs, et toujours au moment du premier quartier ? 14 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. Le premier accès é
de l'anorexie avec vomissements hystériques, si incoercibles que le médecin traitant dut substituer à l'ali- mentation stom
En dehors de ce phénomène, la malade a été aveugle pen- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 149 dant 108 jours
BINSKI (de Paris). Il n'est pas nécessaire,avant de 150 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. définir l'hystérie
au premier groupe, Celui des phénomènes pithiatiques. CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 151 Les phénomènes
ions hystériques sont des réactions ayant la signi· 152 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. fication de réacti
), Cet état ainsi fixé amène, suivant le degré de l'ac- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 153 tivité cérébra
ou morales. . J.-J. Rousseau jugé par .) ! . Régis. Un congrès de médecins aliénistes ne pouvait se réunir à Genève sans p
plus d'éléments pour formuler son opinion sur lui. 154 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. Pour juger un cont
tes et on oublie de le juger sur sa personne. Dans les deux cas, le médecin , particulièrement le médecin psychologue, vient
sur sa personne. Dans les deux cas, le médecin, particulièrement le médecin psychologue, vient combler cette lacune. Pour l
hez Rousseau sur la fin de ses jours. Il est présumable CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 155 que si l'ictus
canttaridienne et délire toxi-alcooliquc tardif. 156 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGIS 1 ES, Trois cas d'hypo
. psychiques : Affaiblissement intellectuel plus ou 158 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. moins accentué, pa
ments qu'ils rejetaient habituellement avec dégoût. - CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 159 Effets des ray
e rapporté au litre de liquide céphalo-rachidien. 100 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. Conception du tabè
tent frustes avec le traitement spécifique. il n'en est CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. ICI pas de même da
Dé- jerine. Archives, 3' série, 1907, l. II. 11 102 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. Epilepsie expérime
très nette des membres supérieurs et inférieurs, aboli- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 163 tion des réfle
sont invités à adresser immédiatement, leur demande au directeur médecin en chef de l'établissement. Les internes reçoiven
ois, il en résulte qu'il a été l'objet d'au moins 45 certificats de médecins le considérant comme aliéné. Chaque internement
Parisien, 16 août.) Ce fait justifie une fois de plus l'opinion des médecins qui re- commandent le placement des aliénés dès
plus aucun danger pour la sécurité publi- que, le docteur Boiteux, médecin de ce dernier établissement, a signé son exeat.
RS Asiles D'ALIÉNÉS. - Mouvement d'août 1907. - ))'' lino- quère, médecin de l'Asile d'Evreux, est nommé médecin en chef
ût 1907. - ))'' lino- quère, médecin de l'Asile d'Evreux, est nommé médecin en chef de t'Asile d'aliénés de Montdevergne (V
mis sur sa demande à faire valoir ses droits à la retraite et nommé médecin en chef honoraire des asiles publics d'aliénés.
liénés de (. ! uatre-)lares (Seine- Inférieure) est nommé Directeur médecin de l'asile des aliénés de Saint- Yon (S-.Inféri
Les auras visuelles des épileptiques ; i Par A. IIODIET F. CANS médecin adjoint interne de l'Asile de Clermont. de l'As
ie et la physiologie normales. ASILES D'ALIENES Les retraites des médecins d'asiles. - Un acte officiel. Un.précédent à in
oute de se demander si ce précédent ne pourrait pas s'appliquer aux médecins des asiles. Nos retenues, au lieu d'être versée
fait pour les commissaires de police ne serait-il pas fait pour les médecins des asiles ? Ne sommes-nous pas, nous aussi, ag
ur nous adresser leur opinion sur l'organisation de la retraite des médecins directeurs et en chef des asi- les d'aliénés.
si- les d'aliénés. Asiles d'aliénés de la Seine : Recrutement des médecins . Le président du conseil, ministre de l'intérie
fet de la Seine est autorisé à recruter par un concours spécial les médecins des asiles d'aliénés de la Seine. Art. 2. Seron
és de la Seine. Art. 2. Seront admis à prendre part au concours les médecins en chef et les médecins adjoints des asiles pub
Seront admis à prendre part au concours les médecins en chef et les médecins adjoints des asiles publics, asiles privés fais
ce publique, à l'Asile de Céry, par le vote du voeu suivant : « Les médecins aliénistes français réunis au 17e Co ngrès des mé
de la province, en autorisant le Préfet de la Seine à recruter les médecins d'asiles dans des conditions différentes des pr
e par un concours spécial ; Considérant que la scission entre les médecins aliénistes qui sera la conséquence de cette mes
ible de léser gravement dans leurs intérêts moraux et matériels des médecins ayant des droits acquis par l'application du décr
ui se réfère au recrutement par voie de concours unique de tous les médecins d'asiles ; Appellent respectueusement la bienve
e l'Intérieur, sur les conséquences variées que peut avoir pour les médecins d'asiles l'arrêté du 31 juil- let 1907, et dema
ation rigoureuse du décret du 1er août 1906 relatif au concours des médecins d'asiles et à leur recrutement pour toute la Fr
énés DE la SEINE. 201 Arrêté relatif à un concours pour le poste de médecin en chef des asiles public d'aliénés de la Seine
ouvert toutes les fois qu'il y aura lieu de pourvoir à un poste de médecin en chef des asiles publics d'aliénés de la Sein
à mesure des vacances dans les asiles de la Seine aux di- recteurs médecins des colonies familiales actuellement en fonctions
és. Art. 4. Sont admis à prendre part au concours les directeurs- médecins des colonies familiales de la Seine ; les directe
des colonies familiales de la Seine ; les directeurs-méde- cins et médecins en chef et les médecins adjoints des asiles publi
de la Seine ; les directeurs-méde- cins et médecins en chef et les médecins adjoints des asiles publics, asiles privés fais
de trois noms présentée par la faculté de médecine de Paris ; deux médecins en chef des asiles publics d'aliénés de la Sein
ux médecins en chef des asiles publics d'aliénés de la Seine ; - un médecin en chef appartenant : soit à la maison national
rmerie du dépôt près de la préfecture de police ; - deux directeurs médecins ou mé- decins en chef des asiles publics des dé
nts autres que la Seine; - deux suppléants.dont l'un pris parmi les médecins en chef des asiles de la Seine, et l'autre parm
e parmi ceux des asiles des autres dé- partements. Les listes des médecins parmi lesquels sont tirés au sort les mem- bres
publiques, après avis du pré- fet, et ne doivent comprendre que des médecins comptant au moins cinq années de grade et n'aya
ctions sont pris dans les mêmes formes que les arrêtés relatifs aux médecins des asiles des autres départements. 204 asile
établissements belges d'aliénés, où l'on voit bafouer l'autorité du médecin et où l'on arrive peu à peu à ne plus savoir s'
es malades était organisé scientifiquement et d'après les ordres du médecin , ce qui n'avait jamais pu être obtenu auparavant.
Le service infirmier est, chez nous, entièrement dans les mains du médecin ; c'est lui qui nomme les infirmières, fixe leur
is que la bonne marche du service néces- site l'autorité absolue du médecin sur le personnel de l'asile. 2° vous n'avons pa
apides progrès. J'y ajouterai qu'il fut secondé par un propriétaire médecin , dont la bonté de coeur est au-dessus de tous é
dans les mêmes con- ditions. Direction médicale, pleine autorité du médecin par conséquent sur le personnel ; éducation sér
nel, habitation réelle du méde- cin dans son asile. B. CONGÉS DES MÉDECINS ALIÉNISTES & NDUROLOGISTES (Genève, XVIIe s
le de la déséquilihration constitutionnnelle du système CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 209 nerveux, indép
laire externe Archives, 3° série, 1sot, l. II. 14 210 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. et du moteur ocula
ol, plus complexe qu'on ne pense, doit toujours être confiée à un médecin , et ne doit pas coïncider avec une cure thermale
té soumis à l'action du chlorhydrate de morphine par la CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES, 213 voie sous-cuta
e : « ses yeux sont ouverts mais ils ne voient rien; disait déjà le médecin de lady MACBETH ». Quand le délire se ter- mine
difficultés qu'éprouvaient les familles, souvent l'insuffisance des médecins peu au courant de la clinique de l'enfance anor
de l'Asile de Clennont (Oise), pour 190G ; par M. le D' Boiteux, Médecin en chef. Population au 1er janvier 1906, 819 fe
sion des hommes de l'asile de Clermont-de-l'Oise, par le D 7'HIVET, médecin en chef. - Clermont, imprimerie Daix frères et
publiques, et du direc- teur de l'administration pénitentiaire, de médecins spécia- listes, de pédagogues ayant déjà élevé
ronage de l'enfance et de l'adolescence. Le docteur Rou- binovitch, médecin de la Salpêtrière. Le docteur Thulié, vi- ce-pr
i avait fait naître les plus vives appréhensions dans l'esprit îles médecins actuels des asiles et surtout des docteurs se p
exercice de la médecine en dehors des asiles par assi- milation aux médecin » des hôpitaux. Après avoir recueilli de nombreu
e au libre exer- cice de la médecine et de faire de la résidence du médecin dans l'asile le régime normal auquel il ne pour
es dangers auxquels expose cette profession spéciale, de placer les médecins dans de bonnes condi- tions matérielles ; de le
L. Wahl. Le nouveau projet de loi sur les aliénés et le principe du médecin défenseur des intérêts de son client ; par M. P
fois des aliénés criminels sont condamnés, comme Vacher, malgré les médecins experts. On se préoccupe trop dans ces sortes d
demande qu'avant l'inter- nement il y ait une consultation entre un médecin désigné par la famille et un médecin désigné pa
ait une consultation entre un médecin désigné par la famille et un médecin désigné par le malade. Après l'internement le m
ts d'office 56.28S ; Place- ments volontaires 15.261. Le nombre des médecins 236 ; - Le nombre des internes en médecine 145.
et 1.000 francs la troisième année. Ecrire au directeur de l'asile, médecin de l'établissement. Nota. Gratification de fin
ils, un magis- trait de la région, agissant avec la complicité d'un médecin . M. L..., après avoir surpris le mot du coffre-
n de « s'oublier»... Lamalade avait consulté auparavant beaucoup de médecins : elle les accuse presque tous « d'assiduité au
en même temps elle se bâte d'ex- pliquer l'attention de la part des médecins par sa belle constitution corporelle dont ces d
u. Enfin, tout à fait désespéré, le malade a résolu de consulter le médecin . Lorsqu'il a appris que les phénomènes de ce ge
hez le malade même. LEGISLATION La loi Dubief et la résidence des médecins d'asile ; par JEAN LÉPINE Agrégé à la Facul
s, et spécialement aux dispositions de l'article 6, ac- cordant aux médecins traitants le libre exercice de la mé- decine, e
de la médecine peuvent croire qu'il se réduit à la désignation d'un médecin aussi rigou- reusement spécialisé que possible.
c- tion me semble nécessaire, au point de vue de la situation des médecins , entre les asiles ruraux et ceux qui font partie
oint de vue de l'enseignement médical, il me paraît naturel que les médecins traitants con- tinuent à y résider. La clientèl
i- gue physique et la perte de temps qu'elle entraîne, procure au médecin plus d'ingéniosité pratique que de véritable ex
le que le plus souvent une telle clien- tèle ne rapporterait pas au médecin d'asile des avantages matériels suffisants pour
el. Si cette clientèle n'est pas en général recommandable pour le médecin d'asile, il me paraît juste néanmoins, pour des
'a fait la Chambre, la faculté expresse, étant entendu que pour les médecins d'asiles ruraux cette faculté vient simplement
Je dis la majeure partie, admettant volontiers que sur trois à cinq médecins que renferme leur cadre, l'un garde à l'asile m
que renferme leur cadre, l'un garde à l'asile même son domicile. Ce médecin résidant, qu'il sera toujours facile de désigne
nt. C'est surtout avec une direction purement administrative que ce médecin résidant aurait sa raison d'être ; avec un dire
c un directeur-médecin il ferait double emploi. - Tous les autres médecins de l'asile seront.au contraire, dans l'organisa
éloquemment démontré que,pour être bon alié- niste,il faut être bon médecin , j'ajoute qu'il faut d'autant plus être avant t
être bon médecin, j'ajoute qu'il faut d'autant plus être avant tout médecin que l'on a charge d'ensei- gner la psychiatrie.
e Rouen, qui a beaucoup soutenu à la Chambre 1' « internement » des médecins , a dit qu'il tom- bait sous le sens que, devenu
Heureusement la psychiatrie ne va plus autant à l'aveu- glette, le médecin n'y est plus le spectateur impuissant de la sou
pas sans effort, sans conseils et sans guides. Si l'on veut que les médecins de nos asiles le sachent, suffisamment pour le
que l'on s'étonne de trouver parmi les partisans de l'internat des médecins , puisqu'il est un exemple si éclatant des avant
chaires de psychiatrie y recruteront leurs titu- laires, parmi des médecins d'asile ayant conquis l'agré- gation. Et pour c
des médecins d'asile ayant conquis l'agré- gation. Et pour ceux des médecins du cadre que ne tentera pas l'enseignement, ce
as s'arrêter à l'argument par lequel on affecte de craindre que des médecins non logés n'apportent pas dans leur service une
Salpêtrière et de divers services de province ? Craint-on que ces médecins d'asile extériorisés ne se lais- sent absorber
r hésiterait. le cas échéant, à auppeler après de l'un des siens le médecin des asiles dont L la renommée lui inspirerait c
raissent plaider en faveur du libre exercice de la médecine par les médecins d'asile, acquièrent toute leur valeur dans le c
e cas des asiles de grande ville que j'ai surtout envisagé. Mais le médecin de l'asile rural, même s'il n'use pas du droit
fonctions. : Je me permets d'y insister en terminant : le devoir du médecin d'asile est d'être avant tout médecin. Il se fera
r en terminant : le devoir du médecin d'asile est d'être avant tout médecin . Il se ferait certainement une idée fâcheuse de
es-uns de nos confrères qui croient devoir être plus militaires que médecins , Leurs goûts personnels, et aussi le désir de s
cha- que fois qu'ils sont trop militaires, ils se diminuent comme médecins . Ce travers est commun à bien des situations ad-
énistes à se croire bons fonctionnaires parce qu'ils n'étaient plus médecins . Ce temps est loin heureusement, je suis trop j
fois de plus que les aliénés ont besoin, avant leur internement, de médecins suffisamment familiarisés avec les maladies men
- tion découlent l'une et l'autre des connaissances médicales des médecins d'asile et de l'esprit dont ils seront animés. Il
quait des intentions généreu- ses et un sens avisé du progrès. Le médecin dont elle était l'oeuvre ne se dissimulait cert
tre soignés et éduqués collectivement que sous la responsabilité du médecin et dont le plus grand nombre est et restera hor
d'un directeur ou maître d'une école de perfectionne- ment et d'un médecin , déterminera quels sont les enfants qui ne peuv
du département dans lequel est situé l'établissement et au moins un médecin . Art. 14.- Des décrets et arrêtés rendus après
T. Un alcoolique refuse de se laisser traiter. Sa femme supplie son médecin de lui donner un produit qui puisse le guérir à
n produit qui puisse le guérir à son insu. Après avoir refusé, le médecin se décide à donner à cette femme un produit que
e pouvoir être discuté à la séance de novembre. 1 ASSOCIATION DES MÉDECINS DES ÉTABLISSEMENTS PUBLICS D'ALIÉNÉS Le 3 aoû
PUBLICS D'ALIÉNÉS Le 3 août 1907, au cours du Congrès annuel des Médecins alié- nistes et neurologistes de langue françai
des Médecins alié- nistes et neurologistes de langue française, les médecins des établis- sements publics d'aliénés se sont
e but de fonder une association amicale. L'assemblée comprenait des médecins directeurs, des médecins en chef et adjoints d'
iation amicale. L'assemblée comprenait des médecins directeurs, des médecins en chef et adjoints d'asiles publics, des médec
directeurs, des médecins en chef et adjoints d'asiles publics, des médecins de quartiers d'hos- pice et des asiles pi ivés
et des asiles pi ivés faisant fonctions d'asiles publics,d'anciens médecins d'asiles. M. l'Inspecteur général, délégué du Min
casion du Congrès annuel, l'utilité de former une union amicale des médecins aliénistes avait été discutée et que, l'année sui
t plus aujourd'hui la même qu'en 1895. Récemment, les directeurs et médecins des maisons de santé privées ont créé une assoc
elle ne peut être ouverte, au moins pour les membres actifs, qu'aux médecins de tous grades des asiles publics et des établi
icles suivants des statuts de l'association. Article premier. Les médecins des établissements publics d'aliénés forment en
forment entre eux une association dite : Association ami- cale des Médecins des établissements publics d'aliénés. ART. 2. C
mbres actifs, après en avoir adressé la demande au comité, tous les médecins et anciens médecins en chef et adjoints des asi
en avoir adressé la demande au comité, tous les médecins et anciens médecins en chef et adjoints des asiles publics, des col
T. 11. L'assemblée générale annuelle concorde avec le Con- grès des médecins aliénistes et neurologistes de langue française.
ont versées à l'association de prévoyance et de secours mutuels des médecins aliénistes ART. 17. Toute discussion politique
directeur de l'asile Saint- Yon ; Vice-président , M. le Dr Vallon, médecin de l'Asile clinique (Sainte-Anne) ; Secrétaire-
clinique (Sainte-Anne) ; Secrétaire-trésorier, M. le Dr Antheaume, médecin honoraire de la Maison nationale de Charenton ;
de la Maison nationale de Charenton ; Membres, MM. les Drs Charon, médecin directeur de l'asile d'Amiens ; Rayneau, médeci
les Drs Charon, médecin directeur de l'asile d'Amiens ; Rayneau, médecin du quartiei d'hospice d'Orléans ; Mercier, médeci
miens ; Rayneau, médecin du quartiei d'hospice d'Orléans ; Mercier, médecin ad- 310 BIBLIOGRAPHIE. joint de l'asile de Pi
cin ad- 310 BIBLIOGRAPHIE. joint de l'asile de Pienefeu ; Vurpas, médecin adjoint, chef de clinique à la Faculté de Paris
on sera imprimé et adressé, avec une formule d'adhésion, à tous les médecins qui remplissent les conditions spécifiées à l'art
d'AJrique ; par le Dr R. JUDE 1907. Sous ce titre M. le Dr Jude, médecin aide-major aux hôpitaux de Tunisie publie à lal
e la sensibilité morale. J. BOLET. CORRESPONDANCE Retraites des médecins d'asile. Dijon, le 18 novembrel907. Jlon cher
es et vous donner mon sentiment sur la question des retraites des médecins d'Asile. Voici bientôt dix-huit ansque j'aifait,a
ne soit pas utile de les reproduire ici et j'ajoutais que tous les médecins d'asile de- vaient atteindre cette classe de 90
ites sera re- versé obligatoirement dans la caisse de l'Asile où le médecin est appelé à exercer ses fonctions. La liquidat
ques, c'est-à-dire depuis 1834, le ser- vice a été fait par un seul médecin , jusqu'en 1853 par le docteur Bouchet, décédé d
ètement terminés. Le personnel médical comprend donc aujourd'hui un médecin en chef, un médecin-adjoint et deux internes. L
il ne peut mettre en valeur son expérience pro- fessionnelle si le médecin en chef est actif et tient à remplir toutes ses
taires et légales ; il ne peut, en tout cas, prêter son concours au médecin en chef dans les devoirs que lui impose la loi,
guère profitable et ne diminue en rien les charges journalières du médecin en chef. Il ne semble avoir d'utilité que lorsq
cin en chef. Il ne semble avoir d'utilité que lorsqu'il remplace le médecin en chef pendant ses ab- sences ou pendant les v
proposent avec raison de relever l'importance de la fonction des médecins adjoints, qu'ils soient dénommés médecins traitan
rtance de la fonction des médecins adjoints, qu'ils soient dénommés médecins traitants ou qu'ils conservent le même titre. D
endrait le résultat en sectionnant le service sèlon le nom- bre des médecins adjoints ou traitants et en en confiant une part
aitants et en en confiant une part à chacun d'eux. Dans sa part, le médecin adjoint ou traitant sera soumis aux mêmes presc
mêmes devoirs, les mêmes droits et la même responsabilité que le médecin en chef dans la sienne. Celui-ci n'aurait en plus
- mentaire et légale, c'est-à-dire qu'il remplit les fonctions de médecin en chef dans le sectionnement qui lui a été confi
s et le service de la division des 316 CORRESPONDANCE. femmes. Le médecin en chef exercerait dans la division des fem- me
cerait dans la division des hommes et y remplirait les fonctions de médecin en chef. Au médecin en chef reviendrait en- cor
ion des hommes et y remplirait les fonctions de médecin en chef. Au médecin en chef reviendrait en- core l'étude et la solu
tionnaires du service médical. ,- . Tant que l'Asile n'aura qu'un médecin en chef et un médecin-ad- joint, chacun chargé
ent de l'un d'eux, le service soit confié tem- porairement à un des médecins suppléants des Hôpitaux, comme au temps où j'ét
du service quotidien de sa division. Quand l'asile possédera deux médecins adjoints, celui qui aura les Infirmeries fera l
quand il sera lui-même ab- sent ou empêché, il sera suppléé par les médecins divisionnaires. Les médecins adjoints ou traita
nt ou empêché, il sera suppléé par les médecins divisionnaires. Les médecins adjoints ou traitants comme les médecins en chef,
decins divisionnaires. Les médecins adjoints ou traitants comme les médecins en chef, doivent résider dans les établissement
r ce point, M. le Ministre de l'Intérieur, a préféré laisser un des médecins de la maison nationale de Charen- ton donner sa
Monsieur le Président, l'assurance de mon plus profond respect. Le médecin en chef. . Signé : Dr A. BIAUTE. La sanction
d'aliénés. Mouvements de septembre et d'octobre. M. le Dr GI1,IBAL, médecin adjoint à Prémontré (Aisne), nom- mé médecin ad
. M. le Dr GI1,IBAL, médecin adjoint à Prémontré (Aisne), nom- mé médecin adjoint à Lvreux (Eure.) M. le Dr Guyot, dir. m
e), nom- mé médecin adjoint à Lvreux (Eure.) M. le Dr Guyot, dir. médecin de l'asile d'aliénés de Chàlons-sur-Jlarne, admis
admis à faire valoir ses droits à la retraite, est nommé directeur médecin en chefhonorane des Asiles publics d'Aliénés. M
n en chefhonorane des Asiles publics d'Aliénés. M. le Dr CHARUEL, médecin en chef à l'asile de Jlaréville (Meurthe-et-Mosel
chef à l'asile de Jlaréville (Meurthe-et-Moselle) nom- mé directeur médecin de l'Asile d'aliénés de Chalons-sur- : \la1'lle.
l'Asile d'aliénés de Chalons-sur- : \la1'lle. - M. le Dr PASTUREL, médecin adjoint il Naugeal (Ille-Vienne), pro- mu à la
l (Ille-Vienne), pro- mu à la lre classe du cadre. M. le Dr VERNET, médecin adjoint à l'Asile de Moulins, promu à la classe
Gandon (Mayen- ne), promu à la 2c classe du cadre. M. le Dr Colin, médecin en chef de l'asile des aliénés de Villejuif (Se
uif (Seine); promu à la 1 ? ,'C classe du cadre, M. le Dr \'IALLON, médecin en chef de l'asile des aliénés de Dron (Rhône),
e, directeur de l'asile des aliénés de Naugeat (Haute-Vienne, nommé médecin en chef de l'asile des aliénés de Maréville (Me
le (Meurthe-et-Moselle). M. le Dr Papillon, médecin- adjoint, nommé médecin en chef à l'asile de Brion (Rhône), poste créé.
ion (Rhône), poste créé. - M. le 1) I)oDrRo, médecin-adjoint, nommé médecin en chef à l'asile de Cron (Rhône), poste créé.
'asile d'aliénés de Saint-Yon (Seine-Infé- rieure), nommé directeur médecin de l'asile d'aliénés de Nau- geai, (Haute-Vienn
et dange- reux de cet établissement ; M. le Dur GIR.1UD, directeur médecin de l'Asile d'aliénés de Saint-Yon (Seine-Inféri
hôpital. (La Liberté du 1er Novembre. ) CONCOURS POUR la place de médecin suppléant dk 131CITRE. Ce concours s'ouvrira le
pour Dun- kerque, à la recherche d'un docteur Mollenbecque, ancien médecin ' SUR UN CAS DE DÉLIRE A DEUX 329 9 de l'armé
MENTALE Un cas de délire d'interprétation ; Par le D' R. BENON. Médecin légiste de l'Université de Paris. MM. Sérieux e
vrage récent, Grasset refuser d'ad- mettre cette grande vérité. Les médecins de l'antiquité eurent aussi recours à la magie
n étaient des aliénés, dans le sens métaphysi- que de Platon. Des médecins furent aussi des pourvoyeurs de bûchers : Sa- v
E. A dater du 26 décembre dernier, le docteur Jacques Roubinovitch, médecin adjoint de la Salpêtrière passe en qualité de m
Roubinovitch, médecin adjoint de la Salpêtrière passe en qualité de médecin en chef à l'hospicede Bicèlre, en remplacement
août 1906, instituant un concours annuel pour le recrute- ment des médecins adjoints des asiles publics d'aliénés, et visant
s membres du jury du concours du 3 z février 1908, pour l'emploi de médecin adjoint des asiles publics d'aliénés, savoir :
édecin d l'asile public d'aliénés de Blois (Loir-et-Cher). Sérieux, médecin en chef à l'asile public d'alié- nés de Ville-E
Dury-lès-Amiens (Somme). Membres suppléant. "LIe docteur \'iallon, médecin en chef à l'asile public d'aliénés de Bron (Rhô
ux internes docteurs ayant subi avec succès le con- cours annuel de médecin adjoint des Asiles d'aliénés. Les inter- nes pe
énat en 1885 et faisait partie du groupe de l'union ré- publicaine. Médecin aliéniste réputé, le docteur Goujon dirigeait l
il n'y avait pas de douleurs. Immédiatement, on a fait appeler les médecins . Vers le soir, les vomissements cessèrent et le
s dans les membres ; l'intelligence restait tout à fait lucide. Les médecins ont fait con- naître aux proches du malade leur
inaux, bien que le deuxième jour, son état eût été si grave que les médecins craignirent pour sa vie. Ce signe clinique très
lite de l'hémisphère gauche, par - HOURNEVILLE el Maurice ROYER Médecin de la Fondation Vallée Interne du service (Hosp
li 22 CLINIQUE NERVEUSE. l'enfant aurait eu de la paraplégie; et le médecin aurait dé- claré à la mère que sa fille était a
ts et du tabac ; les alités suivent les régimes pres- crits par les médecins , et une pharmacie spéciale fonc- tionne dans l'
les tribunaux des délinquants aliénés. b) De l'utilité d'exiger des médecins des établissements péniten- tiaires des connais
t afin que ceux-ci puissent être bien et personnellement connus des médecins qui les soignent, il faudrait aussi que les fem-
it Anglade à la Commission bordelaise les services d'aliénés où les médecins ne font que passer à heure fixe sont invariable
t plus particulièrement l'intervention de la compétence clinique du médecin . Rejeter la sociétés savantes. 467 responsabi
uyre médico-psychologique, laquelle n'excède pas la compé- tence du médecin . Celui-ci peut et doit se prononcer non pas, co
té des sanctions, enlin cela lait 468 sociétés savantes. jouer au médecin un rôle inattendu, celui déjuge : la conclusion
jouer au médecin un rôle inattendu, celui déjuge : la conclusion du médecin arme la main du juge; elle lui dicte la sanction,
du juge; elle lui dicte la sanction, 1'ious souhaitons, citoyens et médecins , que la société soit débar- rassée de ses éléme
leur pensée ; à ce point de vue ils pourraient servir d'exemple aux médecins , car c'est surtout dans le langage médical que
cas échéant, d'en faire bénéficier l'individu punissable. Si les médecins commentateurs de l'article 64 n'ont pas com- pr
t hesoin d'être protégés contre leur prochain ; l'instituteur et le médecin psychologue sont tout désignés pour recommander
s annexes concernant l'intoxication al- coolique, par le Dr Déricq, médecin en chef-directeur. (Char- tres, imp. Garnier.)
que « péché caché est à moitié pardonné » et qu'en n'avouant pas au médecin l'ingérence de l'alcool, il l'ignorera. « La pr
cin ; llaut-Barrieux et section des femmes, mé- decin traitant : le médecin adjoint. « Grâce cette division, nous pouvons b
e médecin-adjoint s'occupe, de plus, du laboratoire, pendant que le médecin directeur surveille et dirige la partie administr
Les excellents résultats obtenus par le partage du service entre le médecin en chef el le médecin adjoint justifient, la mesu
ts obtenus par le partage du service entre le médecin en chef el le médecin adjoint justifient, la mesure que nous avons pr
e l'Assistance publique et que ce conseil a adoptés. Utilisation du médecin adjoint ; entente vraiment confraternelle entre
decin-adjoint des asiles publics. (Annales d'hygiène publique et de médecin ? légale, juin 1907.) 1° Sur 24*13 alcooliques
es. VARIA Décret portant règlement du concours pour l'emploi de médecin en chef des asiles publics d'aliénés de la Sein
ouvert toutes les fois qu'il y aura lieu de pourvoir à un poste de médecin en chef des asiles pu- ! )lies d'aliénés de la Se
)lies d'aliénés de la Seine, à l'exclusion des postes de directeur- médecin des colonies d'aliénés, dont les titulaires conti
admis à prendre part au. concours : 1° les di- recteurs-médecins et médecins en chef des colonies d'aliénés de la Seine et d
decine de Paris ayant été, par décisions antérieures, assimilés aux médecins adjoints reçus auxdits con- cours. Tous ces pra
e de trois noms présentée par la faculté de médecine de Paris. Deux médecins en chef des asiles publics d'aliénés de la Sein
Deux médecins en chef des asiles publics d'aliénés de la Seine. Un médecin en chef apparte- nant soit à la maison national
rès la préfecture de police. Deux directeurs-médecins ou z varia. médecins en chef des asiles publics des départements autre
nts autres que la Seine ; deux suppléants, dont l'un pris parmi les médecins en chef des asiles de la Seine, et l'autre parm
tre parmi ceux des asiles des autres départements. Les listes des médecins parmi lesquels sont tirés au sort les membres d
e publiques, après avis du préfet, et ne doivent comprendre que des médecins comp- tant au moins cinq années de grade et n'a
tions, sont pris dans les mêmes formes que les arrêtés relatifs aux médecins des asiles des autres départements. Art. 1S.-
éniste ;par le Dr (Méeus S Journ. de Neurologie, 1907, n° 14.) Le médecin d'asile, dit IL Méeus, a non seulement en mains
vement de septembre, et d'octobre, p. 318. - - ac- crutetnent des médecins , p. 199. de la Seine : concours p. 319. de Ro
\Ia- rixe, 1). 144 Assistance. Voir Enfants. Association. Voir Médecins . ATASIE-AI3.\.SIL choréifornle, par Lejonne e
la Seine, p. 398. Décret portant règlement du - pour l'emploi de médecin en chef des asiles publics d'alié- nés de la
. Glycosurie. Acétonurie. par Chaumier el 1). 1-12. Congrès des médecins aliénistes et neurologistes, p. 110. - in- Le
par A. Delille cl Mlle Giry, p. 303. Diplôme. A propos d'un de médecin aliéniste, par Méeus, p. 179. Distinctions 11
ment en ce qui concerne les pauvres), par Ilclcn Boyle, p. 453. Médecins . Les retraites des d'asiles. Un acte officiel.
4 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
AL DU MAGNÉTISME RÉDIGÉ Par une Société de Magnétiseurs et de Médecins SOUS LA DIRECTION DE M. DU POTET DE SENNEVOY.
r certain article de loi arraché aux législateurs par la jalousie des médecins , qui le font appliquer avec d’aulant plus de vigu
nl le suivent encore aujourd’hui. L’on s’étonne de l’indifférence des médecins modernes pour un mode de traitement dont il serai
abuserons pas de la prodigalité des citations, le témoignage seul des médecins les plus célèbres et des philosophes les plus dis
ui se soit appesanti sur l’utilité des frictions, fut Hippocrate. «Un médecin , dit-il, ne doit pas ignorer quel avantage il doi
multa extenuant, mediocris cracessit (4) ». Les commentaires de ce médecin , sur l'art de frictionner, sont encore plus expli
arne. Exigua vero in summâ cute ruborem ad tempus excitât (2) ». Le médecin grec entre ensuite dans de longues considérations
es ces modifications paraissaient si essentielles à observer, que les médecins de ce temps crurent devoir les re- (1) Galeni O
dormir les frénétiques, à force de les frotter. » l’rosper Alpin , médecin de Venise, qui voyagea longtemps eu Egypte, nous
on accident avaient totalement disparu. » D’après Du Halde (i), les médecins japonais et chinois recouraient fréquemment à dif
d'une grande confiance chez le malade et d’une forte volonté chez le médecin . Suivant Grégoire de Tours (i), il existait dan
contentait d’un léger frottement sur les parties malades. Ce célèbre médecin de la Grèce , après avoir fait ¡’énumération (1
aicte, il s’ensuit vraye et parfaicte fcura-lion (2). » Campanella, médecin de Naples, qui fut emprisonné par ordre de l’inqu
es frictions. Nous retrouvons dans les ouvrages de P. Corel, savant médecin de Montpellier (3), une recherche fort intéressan
à des frictions répétées que lui fit un de ses amis. Le Dr Thiriat, médecin des eaux de Plombières, rencontra souvent l’occas
té. J’élais persuadé que tous les doutes devaient cesser, et qu’aucun médecin , qu’aucun savant ne refuserait, étant convaincu,
Jeoffroy, Récauiier, dont le nom signifie légion, et quarante autres médecins , rendirent, pour un instant seulement, hommage à
me demander la guérison. Et, m’étonnant de me trouver un aussi grand médecin sans le savoir, j’acquis la certitude que l’ignor
hommes élait profonde, que la mienne ne l’était pas moins, et que les médecins même m’égalaient en ânerie. Comment donc arrive
e ces bourreaux du corps et de la pensée, jésuite, faux philosophe ou médecin ; voyons? Est-ce toi, qui, de ton palais inaborda
vous sera dévoilé. Vous ferez, en sachant vous y prendre, ce que les médecins 11e peuvent faire avec toutes leurs drogues et to
-patrie, on a défendu la pratique du magnétisme à quiconque n’est pas médecin ; or, comme les seuls hommes à qui cette pratique
formé seul. Nous avons fait connaître déjà le pari qu’il proposa aux médecins havanais, dans un journal du lieu, relativement a
isposé, est aussi favorable à la magnétisation curative. — Un autre médecin distingué, M. Royer-Collard, est aussi mort derni
au contraire, affirme (¡110 c’est au doigt annulaire que los anciens médecins attribuaient des vertus cordiales, et qu’ils s’en
santes (2), a donné naissance à Y insufflât ion. Le9 Tay-Bou-To-Ni, médecins de Tong-King (3), rassemblaient tous leurs malade
pide? Pierre Borel (4) expose qu’il existe dans l’Inde une secte de médecins qui guérissent toutes les maladies (1) Tyrrhccu
enfant de douze ans : « Le souffle d’un enfant de cet âge, reprend ce médecin philosophe, procède du cœur pur, et peut corriger
la médecine, deux Polonais; l’un, pharmacien, Soko-low-ki ; l’antre, médecin , Grabowski. « Le 5i juillet i85o, jugement du t
el qui ienvoya des fins de la poursuite le pharmacien, et condamna le médecin à 5 fr. d’amende, et tout fut dit à l'égard de ce
nambule! « Le seul crime de Mongruel serait d’avoir fait ce que les médecins déclarent possible, et d’avoir usé d’un agent p
que grandir et se fortifier. « Ce fut vers l’année 1772 que Mesmer, médecin h Vienne, membre de la Faculté de cette capitale,
mpuissante. Mesmer, encouragé d’abord par le baron de Stoërk, premier médecin de l’empereur, fut bien rebuté et invité à ne pas
pris son parti. M. Desion, l’un des directeurs de la Faculté, premier médecin du comte d’Artois, frappé des effets extraordinai
d’y observer très-superficiellement les procédés mis en usage par ce médecin . Ils refusèrent positivement de suivre les traite
ité de feuilles de papier portant la signature en blanc de Grabowski, médecin , et destinées à recevoir les consultations donnée
e toutes les conversations et on l’admet généralement, sauf parmi les médecins ... » Enfin les journaux contiennent mille récit
Voulant même effacer jusqu’au souvenir de sa présence parmi nous, des médecins chassaient de leur assemblée ceux qui d’entre eux
tisme, par la seule action de la nature. Pctetin, Cabanis et d’autres médecins , par leurs écrits, vinrent à mon secours, me prêt
même par ceux qui n’en avaient aucune notion. C’est dans ce but qu’un médecin de Venise, le comte Nani, vient de publier le vol
ante et logique. On y retrouve tout à la fois la finesse d’analyse du médecin et le jugement élevé de l’homme du monde. Nous re
y deviendrait une œuvre toute de philanthropie, avec le concours des médecins qui en auraient pu surveiller l'emploi. En outre,
ensuite été la consulter sur ses deux petites filles, abandonnées des médecins , la femme Desaillous, sur l’inspection seule des
s Isaac reconnaît avoir assisté la fille Roulot. Il prend le litre de médecin ; mais il en a le droit ; il est d’usage que les
roit ; il est d’usage que les officiers de sanlé prennent le tilre de médecin , chirurgien, accoucheur; le public ne sait pas ce
sait pas ce que c’est qu’un officier de santé, il croit que c’est un médecin de l’armée. le sieur maricot. Je reconnais que
étérées, recherches, prévisions, renseignements, etc., dirigée par un médecin . Rue Le-pelletier, 25. Consultations par correspo
iquait la reconnaissance du magnétisme. Il exprima la crainte que les médecins envoyassent des mémoires hostiles, et que les mag
rs états de service me donnaient déjà le droit de regarder en face un médecin , un académicien , et de dire à tous deux : Je sai
oi j’entendais des discours savants sans les comprendre ; comment les médecins , se succédant au lit du malade, avec chacun une
lles de baume qui devaient être renvoyées à Paris, des ordonnances de médecin , des lettres de M. Cornet, pharmacien à Paris, et
azoche. J’étais depuis longtemps malade, j’avais consulté beaucoup de médecins , aucun ne pouvait me donner de soulagement. Je vi
, je ne pouvais même plus couper mon pain ; j’avais consulté tous les médecins , rien n’y faisait. J’ai consulté la somnambule :
Combien vous ont coûté, pendant six ans de traitements inutiles, les médecins et les pharmaciens ? R. Oh ! plus du triple et
Elle merépoudit quelle ne pouvait s’en charger avant l’arrivée d’un médecin qu'elle attendait. Sur mes instances réitérées, e
renoust, de Nogent. J’étais gravement malade depuis cinq ans ; aucun médecin n’avait pu m’apporter de soulagement. Je me suis
e pourrait s’occuper de soigner les malades qu’après l’arrivée de son médecin . Ce retard dura deux mois. Dès que M. Anctin fut
ltation. M"“ Rose me palpa, me dit mon mal; elle m’a bien guérie. Les médecins n’avaient pu me donner aucun soulagement. — Je do
l5° m. rosel-sortais, de Nogent. Ma femme était au plus mal, et notre médecin avait déclaré qu’elle était perdue et pouvait tré
ose de fièvres opiniâtres qui avaient résisté à tous les efl'orts des médecins , et que sa femme a été guérie par elle d’un mal d
Val, commune de Nogent. Depuis sept ans j’étais toujours malade, les médecins m’avaient laissée pour morte. Mme Rose m’a guérie
Je rendais l’humeur par tout le corps, mon sang était décomposé, les médecins m’avaient abandonné; enfin j'étais mort, quoi! Mm
de tout Nogent et des alentours. (Bruyante hilarité.) 2i”M. morel , médecin à Nogent, interpellé s’il a employé la lucidité s
, elle était renommée comme somnambule des plus lucides ; j’ai vu des médecins , notamment M. Ossadon, et de grands personnages à
ait facilement. — Il est à ma connaissance que MM. Combault et Morel, médecins à Nogent, se sont servis de la lucidité somnambul
ir la somnambule de l’autorité de son titre légal; que le concours du médecin n'avait rien de sérieux, que M. Anctin se bornait
faveur du magnétisme, est celui du I)1 Rostan, c’est-à-dire d’un des médecins les plus distingués de la Faculté de Paris. Il ra
si l’objection était fondée, elle tomberait de tout son poids sur les médecins ; et il faudrait dire alors qu’au lieu de nous env
faudrait dire alors qu’au lieu de nous envoyer les maladies, puis les médecins qui sont censés les guérir, il eût été plus profi
ntre tout ce qui n’est pas conforme aux arrêts du docte aréopage. Les médecins les plus éminents sont bien loin do tenir un lang
raves, telles que la goutte , l’épilepsie , l’bydropbobie , etc. , le médecin , pour tout soulagement, nous nomme notre mal en g
les régies. Mais on sc demande alors si l’humanité est faite pour les médecins , ou si ce sont les médecins qui sont faits pour l
de alors si l’humanité est faite pour les médecins, ou si ce sont les médecins qui sont faits pour l'humanité. Si un moyen curat
ces guérisons si nombrouses et si merveilleuses des malades qu’aucun médecin n’avait pu même soulager, et qui ne peuvent s’exp
un malaise général, et souvent une douleur dans celle région ; et cc médecin m’a assuré qu’il produisait constamment le même e
dont l’état exige des moyens curatifs d’un autre genre. De ce qu’un médecin , régulier ou autre , prescrirait toujours, ou pr
ilité des innombrables drogues qui ornent les pharmacies. Beaucoup de médecins d’un grand mérite ont attribué toutes les maladie
angsues comme moyen souverain; la médecine Leroy, dont l’auleur était médecin , et qui a eu tant de vogue, était une selle à tou
manière à renfermer toute sa pharmacie dans une valise ; une foule de médecins ne sortent pas du vieil aphorisme saignare, purga
tribunal de l’opinion ; il serait exactement dans le même cas que les médecins de campagne, qui tiennent une pharmacie, et qui p
idérée comme usurpant un office attribué exclusivement par la loi aux médecins ; mais depuis la condamnation qu’elle a subie, el
a loi, quel reproche pouvons-nous encourir ? On nous objecte que le médecin n’était qu’un prête«nom qui écrivait sous la dict
forme les ordonnances et que la somnambule était de fait le véritable médecin ¡'qu’elle exerçait ainsi illégalement, et que M.
, M. Anctin a fait expliquer la somnambule; M. Sausse-reau dit que ce médecin s'est beaucoup enquis pendant sa consultation. M.
telle méthode, tel ou tel diagnostic, telle ou telle médication? ( n médecin n’a à rendre compte à personne des motifs qui l’o
ent, le système que nous combattons est contraire à l’indépendance du médecin . En limitant son libre arbitre, ou viole l’esprit
ufGl donc, pour être en règle, que la forme soit observée. l)ès qu’un médecin signe une ordonnance, on a obéi aux prescriptions
de la loi, et nul n’a droit de s’enquérir par les conseils de qui le médecin a pu être influencé. Celte solution qui est la se
araissent propres à compléter la démonstration sur l’inviolabilité du médecin en général, et des auxiliaires plus ou moins impo
ine. A plus forte raison le délit n’exisle-t-il pas quaud l'action du médecin est réelle comme dans l’espèce, quand il n’accept
t de vue de la morale et des convenances, on ne peut incriminer ni le médecin ni la somnambule. On nous oppose le langage de
ec une sorle de respect, et ne tenaient aucun compte des écritures du médecin auquel un des clients appliquait naïvement la dés
al, c’e.sl que la somnambule ne se mêle jamais de médecine sans qu’un médecin diplômé préside à la cousultation, avec le droit
ants, au lieu de profiler de la garantie officielle que leur donne le médecin , préfèrent l’autorité de la somnambule, ils ne po
ndre qu’à eux-mêmes des suites que leur choix pourra entraîner. Ni le médecin qui aura prononcé d’après sou libre arbitre, ni l
bre arbitre, ni la somnambule qui se sera subordonnée à l'autorité du médecin , ne pourront en subir aucune responsabilité, pas
s les cas nombreux où le malade croit devoir modifier l’ordonnance du médecin , soit d’après ses propres lumières, soit d’après
d’argenl. Il n’y a ni loi écrite ni règle de convenance qui oblige un médecin à faire un emploi déterminé de ses honoraires. Il
, s’abonner pour une somme fixe à ses clients, comme font beaucoup de médecins de Paris, recevoir un traitement fixe et annuel,
ecins de Paris, recevoir un traitement fixe et annuel, comme font les médecins des établissements publics et des maisons de sant
s. Dans une seule circonstance, il est vrai, M1"* liose a agi sans le médecin . Je dois donner à cet égard quelques explications
ion; que M“' Rose lui répondit qu’elle ne pouvait rien faire sans son médecin , dont il fallut bien attendre l’arrivée. Mm* Aube
de mourir. Puis qu’on nous apporte un relevé semblable de la part des Médecins : qnft ces messieurs nous donnent leurs listes ou
s faits sont tout; et il vous dit de sa voix puissante : Le véritable médecin , c'est cehii qui guérit, c’est la somnambule. E
e a condamnés. SI1110 Rose n’intervient le plus souvent que quand les médecins ont avoué l'impuissance de tous les moyens connus
urnée, elle les remet sur pied en peu de temps, et elle peut dire aux médecins : Les gens que vous lue* se porienl i merveille
depuis nombre d’années se consumaient dans les souffrances, sans que médecins et pharmaciens pussent les soulager le moins du m
athie pour cette somnam-bule persécutée pour avoir guéri ceux que les médecins ne pouvaient guérir, et le nom de Rose Patrix est
ices des humeurs. Bravo ! mais puisque c’est une tâche si facile, les médecins sont donc bien coupables de ne pas faire plus d’u
bals des vérités peu llaiieuses pour la médecine, à qui la faute? Les médecins les plus éclairés ont blâmé hautement ce funeste
le codex, «t qu’il ne la connaissait nullement. On recourut alors au médecin , qui avoua ingénuement ne pas la connaître davant
on tire sur ses propres troupes ; car il n’y a pas une ordonnance de médecin oii les quantités ne soient fixées exactement. On
t est perdu. Ce sont là des scrupules dignes du Malade imaginaire. Le médecin , diplômé ou non , indique la quantité qu’il juge
udrait-il pas mieux réserver cette pitié pour lant de malades que les médecins torturent en pure perte ?.....Quant au choix des
us de cinq ans, souffrait d’une maladie indéfinissable, sans qu'aucun médecin ait pu la soulager, a suivi les prescriptions de
Comme ceux qui s’adressent k Mm' Rose ne se sont pas bien trouvés de* médecins , ils demandent qu’on fasse autrement qu’eux pour
s plus propres à la combattre. Où est donc le danger, du moment où un médecin surveille tout ? sans préjudice du droit qu’a, bi
bien entendu, chaque consultant de soumettre la réponse à son propre médecin ou à toute autre personne en qui il a confiance.
la ne vous empêchera pas, quand vous serez malade, de consulter votre médecin , quand même vous serie* persuadé qu'il a autant d
ne loi ait tarifé les salaires des somnambules, non plus que ceux des médecins et pharmaciens. Tout au plus comprendrions-nous l
e que lui avaient coûté, pendant six ans de traitements inutiles, les médecins et les pharmaciens, et la balance était loin d’êt
rallèle avec sa prétendue cupidité le zèle et le désintéressement des médecins qui veillent au chevet des indigents, etc. Nous r
llent au chevet des indigents, etc. Nous rendons complète justice aux médecins qui, presque tous, se font un devoir de soigner g
pas toujours leur en tenir compte comme d’une vertu. Dernièrement un médecin , pour un voyage de quelques heures à Nogent, a pe
fait aux prescriptions légales en n’exerçant que sous l’autorité d’un médecin , mais elle a rendu d’immenses services, sans exci
mèdes secrets, à 3 jours de prison et 600 francs d’amende. A. B. Le médecin et le pharmacien ont interjeté appel. Propagand
émut de la propagande magnétique faite par Prudence ; et comme chaque médecin déblatérait en particulier contre Mesmer et ses p
ent abattu, et qui cependant se porte mieux que jamais. Messieurs les médecins s’unirent à des professeurs et autres savants non
ise? La séance eut lieu le -x!\ décembre iS5o, en présence de douze médecins , de sept professeurs, de plusieurs ministres et p
principes des anciens sur l’influence curative du magnétisme, fut le médecin écossais Maxwell; il s’attacha particulièrement à
avait besoin pour ramener l’équilibre des fonctions organiques. « Le médecin qui ne sait pas s’orienter dans le petit monde, a
ctue sans intermédiaire. (1) Aperçu sur le Magnétisme. Suivant le médecin allemand, les glaces avaient la propriété do réfl
r ces luttes de la nature contre des ferments délétères. Le talent du médecin consistait à en déterminer les causes pour en rép
directe de la volonté dans le développement du fluide magnétique. Les médecins hermétiques avaient insisté longtemps auparavant
ours, sur des sujets scientifiques. Il choisit à cet effet le DrLyon, médecin très-recherché à Bridgeport, pour être son magnét
out sur la thérapeutique, a pour conséquence immédiate d’appauvrir le médecin . Découvrir c’est simplifier. De plus en plus la m
cile et agréable; or, c’est la médecine facile et agréable qui tue le médecin . « La découverte du quinquina porta un coup ter
le médecin. « La découverte du quinquina porta un coup terrible aux médecins du 17* siècle; ils traitaient les fièvres pendant
couverte du sulfate de quinine a diminué de moitié les honoraires des médecins . « L’auscultation est une magnifique invention,
ion est une magnifique invention, mais Laennec a fait plus de mal aux médecins que Montaigne, Molière et Rousseau. « Remontez,
r le malade et pour l’assistance, le fruit des savantes réflexions du médecin ; il l’a trouvée dans son esprit, dans son intelli
ensée seule a tout fait. Aussi avec quel surcroit de considération le médecin sort-il de cette épreuve ! C’est une bataille bie
s sont appelés à fonctionner, et où l’intelligence semble passive, le médecin est assimilé á l’horloger qui vient remonter les
ombrables pertes que la vaccine, ce présent du ciel, a fait subir aux médecins ! « Cet excellent Matliias Mayor s’imaginait fa
Cet excellent Matliias Mayor s’imaginait faire un cadeau superbe aux médecins , avec ses bandages simplifiés et sa cravate, lit
47 » nous fûmes attaqués, ma somnambule, Mme Cheyroux et moi, par les médecins de notre ville et peut-être même des alentours ,
ions : Qui gagna dans ce procès P Ce fut le magnétisme. Messieurs les médecins nous ont donné une célébrité que nous n’ambitionn
nous sommes mis, dès le lendemain du jugement, sous le patronage d’un médecin . Les choses en étaient là, les malades se guéri
s malades se guérissaient à la vue de tout le monde et à la barbe des médecins , qui en ont abandonné plusieurs, lorsque survint
vous pouvez le penser, ce n’est pas à moi, ni à ma somnambule que les médecins en veulent ici, c’est au magnétisme; nous sommes
un instrument, comme le slhétoscope, le pies-simètre, etc. , dont le médecin peut très-licitement user, soit pour le diagnosti
es s’aggravant de jour en jour, l’enfant dépérissait à vue d’œil ; le médecin ne savait plus qu’en penser. C’est dans cet état
agnétiseur n'est-elle pas un sacerdoce aussi respectable que celle du médecin ? faut-il se priver des avantages qu’elle présente
itions quelques connaissances médicales; mais il sera difficile qu’un médecin , dont l’existence sera assujettie à l’obligation
mais un ensemble varié de savants illustres, d’artistes éminents, de médecins distingués, d’avocats célèbres, d’anciens ministr
tinctions décernées : 1° Urdaille d’argent. A M. le D- ELLIOTSON, médecin à Londres. 2’ Médaille de bronze. A M. CLAPIE
e mine féconde, a dépassé mes espérances, et j’ai eu le bonheur, moi, médecin , d’arracher à la mort des êtres qui devaient succ
insi le pharmacien ne peut pas administrer des remèdes s’il n’est pas médecin diplômé ; les docteurs-méde-cins n’ont pas le dro
, écrites ou verbales , suivent des traditions analogues à celles des médecins ordinaires ; guidés par un principe différent, il
Journal.) Lorsque le somnambule est sous la direction sérieuse d’un médecin qui ne signe les ordonnances qu’après s’être assu
mna- lions prononcées contre fies somnambules sc disant assislés de médecins paraissent s’élever contre cctlc théorie. II est
dans tous les jugements contraires à notre opinion, il est dit que le médecin n’a pas donné une surveillance sérieuse ou réguli
ès lors entière. (Voyez Gazette des Tribunaux, 23 mars 1843.) Si le médecin ne faisait que donner, en quelque sorte, un simpl
sciple éclairé de Mesmer , un ami de Deleuze, M. le Dr KorefF, ancien médecin du roi de Prusse. Il était connu surtout dans le
n n’est pas toujours facile : je veux parler de la contagion, que les médecins appellent fièvre imitative. 11 paraît que dans
rmi les nombreuses personnes de distinction, des ecclésiastiques, des médecins , des savants, des artistes, des littérateurs, en
mbre d’environ deux cents convives, parmi lesquels on distinguait des médecins , des artistes et quelques notabilités scientifiq
s de tout cela faut-il s’indigner outre mesure? Non, certes ; mais au médecin philosophe il est permis de tirer cette conséquen
ic, il ne lit point les journaux de médecine. Mais aujourd'hui chaque médecin un peu instruit sait que le magnétisme existe : c
-Rolrou, a présenté la défense de la somnambule, du magnéti-seuret du médecin . Il s’est attaché à prouver, comme il l’avait fai
ultations à des malades, le fait en présence et avec le concours d’un médecin , l’un el l’autre sont à l’abri de tout reproche a
poinl de vue légal ; qu’aucune méthode particulière n'est imposée au médecin qui a le droit d’employer lous les moyens qu’il j
ière hypothèse, il faudrait des fails précis, qui prouveraient que le médecin a abdiqué toute indépendance et a sacrifié son li
, il a besoin d’être prouvé. Quand on ne peut rien alléguer contre un médecin , sinon qu’il donne son concours à une somnambule,
uand la somnambule ne donne de consultations qu’avec le concours d’un médecin dont la présence doit être pour lui un gage de sé
, il ne peut s’ériger en censeur des ordonnances, ni rechercher si le médecin fait ou ne fait pas son devoir en adoptant les ré
crets qu’elle leur a prescrits dans son sommeil, le magnétiseur et le médecin qui sont étrangers à ces faits, et qui n’ont de r
uvent être atteints par 1 inculpation de vente de remèdes secrets. Le médecin , bréveté eu non, qui prescrit des remèdes secrets
umons, avait suivi avec assez de succès un traitement indiqué par son médecin habituel; elle ne souffrait plus que d’un rhume q
vent être enfouis. La loi du 19 ventôse an XI, qui n’accorde qu’aux médecins et officiers de santé munis d’un diplôme délivré
de qui rétablit l’équilibre et rend la vie. Les magnétiseurs et les médecins doivent être responsables de leurs faits; ils ne
n ne trouve une semblable observation que dans la pratique du célèbre médecin hollandais Boër-haave. Dans une des salles de fem
INSTITUTIONS. Société magnétique tic la Xouvcllc-Oi-léau». ' Un médecin français, grand admirateur de l’homéopathie, et l
ns l’Orléanais d’hier. Nous aimons à lire les écrits do cet honorable médecin , lorsqu’il combat les abus ou les fausses doctrin
t pas, le magnétisme serait bien plus simple qu’on ne l’imagine : les médecins homéopathes ont au moins un choix à faire dans le
simplement qu’il y a de mauvais magnétiseurs comme il y a de mauvais médecins , et c’est au public à faire justice des uns et de
in de les expliquer. Il nous est quelquefois arrivé de proposer à des médecins de les en rendre témoins, mais ils ont paru crain
pe.....Votre divergence d’avec lui vous place à côté d’une foule de médecins fort habiles, sans doute, à côté de corps savants
uis sept nuits, souffrant trop d’une sorte de panaris au pouce, où le médecin avait inutilement donné un coup de bistouri. Il n
al disparut. Mrac L,..., rue Claiborne : névralgie à la nuque. Deux médecins la traitaient en vain depuis six mois, et il suff
dres, pour lesquels elle a élé soignée depuis trois ans par plus d’un médecin et deux empiriques. Dès que je la vis, le i4 août
tité de fluide. Jésus disait à scs apôtres d’imposer les mains, et le médecin Luc, son disciple, raconte (chapitre YIII) que so
a vertu attribuée à un simple attouchement? C’est que saint Luc était médecin ! Son évangile oll're même cette particularité mé
de la femme malade : « Qu’elle avait dépensé « tout son bien avec les médecins , et qu’aucun n’avait « pu la guérir. » La guéri
doivent suffire pour prouver que l’office du magnétiseur et celui du médecin sont bien différents; un médecin verra cent malad
l’office du magnétiseur et celui du médecin sont bien différents; un médecin verra cent malades en un jour et leur donnera d’u
ties; nous n’ajouterons rien non plus au fait merveilleux cité par le médecin Luc, si explicite en matière de l’atténuation des
ns à cœur de désavouer, c’est que l’office du magnétiseur et celui de médecin sont différents, parce qu’un médecin (ajoutez all
ffice du magnétiseur et celui de médecin sont différents, parce qu’un médecin (ajoutez allopathe, s’il vous plaît) verra cent m
point une épigramme, car l’auteur, en les écrivant, ne pensait ni au médecin Taxil, ni au magnétiseur J. B.... Non, je n’ai pa
faire!.....Nous pensons bien différemment; mais M. Taxil n’est que médecin , et pas du tout magnétiseur ; il explique les fai
er la relation la plus exacte, la plus complète. M. Taxil n’est que médecin , et que voulez-vous qu’il soit encore? Qu’il soit
Un moyen thérapeutique qui ne peut être manié puissamment que par les médecins . Soyez donc vous-mêmes médecins, messieurs les ma
ut être manié puissamment que par les médecins. Soyez donc vous-mêmes médecins , messieurs les magnétiseurs , et vous comprendrez
eur, J’ai suivi avec intérêt la lutte scientifique établie entre un médecin homéopathe et un magnétiseur, tous deux de cette
s dans l'Orléanais d’hier matin une lettre d’un M. R..., qui n’est ni médecin ni magnétiseur, et qui traite le magnétisme de «
qu’il ignore. Mais ceux qui ont pu suivre la contestation entre le médecin et le magnétiseur ont fort bien compris que le ma
quelque sens qui doute. Il ne s’est agi que du mode d’application. Le médecin a cité un passage do M. du Potet, qu’il appelle a
ment à la prévision de la somnambule enceinte, nous regrettons que le médecin en ait parlé si tôt. Il ne l’a vue qu’une seule f
mme d’une trentaine d’années, mère déjà de six enfants, et fort bon médecin de sa famille depuis que M. Léaumont l’a somnambu
» M. Léaumont ne voulant faire l’expérience qu’avec l’assistance d’un médecin , obtint de M. le Dr Taxil de l’accompagner chez I
e accoucherait vers les dix ou onze heures delà même matinée. Ma's le médecin voulant plus de précision , quant au jour , elle
seur n’en fut prévenu que vers les huit heures. Pour faire avertir le médecin , et me rendre moi-même témoin de l’événement, il
ndre moi-même témoin de l’événement, il y eut quelque temps perdu. Le médecin arriva cependant assez tôt pour recevoir l’enfant
A quoi elle répondit : « On le peut à présent; c’est détaché. » Et le médecin fit [a délivrance le mieux du monde, en quelque
lement à huit mois, et c’est là le point de doctrine contesté dont le médecin a voulu parler. Les faits constatés sont donc :
ative que l’erreur du jour occasionnée sans doute par l’insistance du médecin , et qui est pour nous une nouvelle preuve qu’il
uvela les nuits suivantes. Le cultivateur fut saisi par la fièvre. Au médecin qui l’interrogea sur la cause de sa maladie, il r
était obsédé , et déclara que le père G... lui avaitjelé un sorl. Le médecin fit venir cet homme, et, en présence du maire de
qui s’occupât du magnétisme, quoique j’eusse plusieurs amis, non pas médecins , mais hommes de science, de littérature ou de con
ile. Les leçons de M. Bennett n’ont pointa! tiré de monde; mais les médecins en étaient charmés, parce qu’ils pouvaientcncored
s personnes, parmi lesquelles se trouvaient beaucoup de savants et de médecins , ainsi que toute la société intelligente de nos s
tifique, la victoire a été pour nous, d’après les suffrages mêmes des médecins sceptiques. Ce n’est pas que M. Bennett ne soit
. Quelques-uns de mes confrères ont été bouleversés en lisant qu’un médecin , professeur de l’Uni-versité, osât parler en fav
PARAPLÉGIE. —Voici la relation d’une cure admirable produite par un médecin d’Annecy (Savoie). Nous l’empruntons au Journal d
es de gens (dont ou ne peut, du reste, malgré l’ironique jalousie des médecins de nos pays, nier l’habileté dans des cas très-gr
enregistrée; car c’est chose rare pour nous, satisfaits que sont nos médecins du chloroforme ou do I’é-ther, malgré les suites
it en lui-même, nous le donnons tel que nous l’avons vu, et plusieurs médecins avec nous. (Journal de Genève.) VARIÉTÉS. r
cipal , sinon l’auteur de celle ébourifiante doctrine. Assurément, ce médecin n’esl ni assez savant physicien , ni physiologist
au moins avoir le droit d’enseigner à mon tour pour rien. Plusieurs médecins ont été à ces cours. Le n° ii explique une des
il peut guérir des maladies qui ont défié de tout temps le talent des médecins les plus capables, est à la portée de tous, perso
des spasmes ou à des convulsions violentes, et que les plus célèbres médecins considéraient comme incurable, la guérison a élé
s. J’ai reçu, il y a un jour ou deux, une lettre du Dr B.-H. Davis, médecin en renom à Providence, R. I., dont le passage sui
ma part. L’auteur de la lettre est un ecclésiastique, aussi bien que médecin praticien, et on ne pourrait raisonnablement le s
nt s’il leur était permis de payer le magnétiseur comme ils paient le médecin . Parmi les élèves de M Fiske, 0Il m'a parlé de
l paraissait en proie à l’agonie do la morl. Il y avait là quelques médecins ; mais comme ils conclurent que c’était un cas san
rce, ils n’essayèrent même pas de lui porter secours. Il arriva qu’un médecin , qui avait été disciple du célèbre Théophile Fisk
plusieurs certificats qui déclarent véritables le cas d’épilepsie. Le médecin , auteur de celte cure, est le Dr Frédéric W. Hart
nts dont on se servait. C’est incroyable; 011 le niera; mais que tout médecin , la main sur la conscience, réponde.,.. Aussi que
est un puissant remède, nous l’avons déjà déclaré en notre qualité de médecin homéopathe; mais il n’est pas la panacée universe
mis partout le bien à côlé du mal, le remède à côté de la maladie, le médecin à côlé du malade. Celui qui se porte bien est le
maladie, le médecin à côlé du malade. Celui qui se porte bien est le médecin naturel; il recèle en lui le remède. Nous dirions
s ici que le magnétisme devrait être exercé sous la surveillance «les médecins , si nous ne savions, et nous regrettons de le dir
médecins, si nous ne savions, et nous regrettons de le dire, que les médecins (sauf quelques exceptions remarquables autant que
ns ont échoué. Le professeur Ros-tan a écrit : « Ils étaient bien peu médecins , peu physiologistes et peu philosophes, ceux qui
tiques !... » et nous sommes bien forcés d’en dire autant de certains médecins que nous voyons sourire; mais en attendant que ce
ns sourire; mais en attendant que ces docteurs deviennent un peu plus médecins (ce qui arrivera, du moins nous l’espérons), nous
soit cractérisée, le magnétisme pourra se montrer insuffisant, et le médecin viendra trop tard, ou se trompera, comme il arriv
’il y a lieu de justifier nos plaintes de l’indifférence coupable des médecins pour un remède que l’expérience recommande comme
tres. Ce sont des riens, dit celui qui n’a pas pris la peine, quoique médecin , d’étudier la question avant de se prononcer. Au
lorez que le magnétisme ne soit pas exercé sous la surveillance des médecins . Nous aurions préféré que vous eussiez désiré que
ce des médecins. Nous aurions préféré que vous eussiez désiré que les médecins fussent eux-mêmes magnétiseurs. Quant à nous, nou
tre ici à tort, mais nous voudrions bien que les magnétiseurs fussent médecins , non docteurs, c’est-à-dire gradués, titrés, mais
resse; que messieurs les allopathesse justifient de n’être pas plus médecins ..... L’homéopathie les en accuse depuis longtem
e notre savant ami, M. le professeur L. Rostan : « Ils soijt bien peu médecins , peu physiologistes, peu philosophes, ceux qui ni
ce serait nous écarter de notre objet que de discuter avec le savant médecin qui nous fait l’honneur de lire nos petits essais
ratique. Lorsque le magnétisme était contesté, les plus avancés des médecins admettaient déjà qu’il était un remède utile dans
s’ils ne sont aggravants. Dernièrement les journaux annonçaient qu’un médecin de Paris, frappé de cette vaste lacune dans la th
xprime rien de précis.......Que vous fait à vous, vous n’êtes pas médecin ..... le mot de maladies nerveuses ?..... Et où
Vous trouvez occasion de décocher en passant un tout pelit Irait au médecin de Paris qui a Irouvé dans la cautérisation de l’
mière fois par notre maître, médicinales, c’est-à-dire celles que les médecins , les ministres de la sanlé, forment de toutes piè
QUELQUES MOTS SL R LE MAGNÉTISME. Y. Nous avons dit que les bons médecins admettent l’utilité du magnétisme contre les « ma
a du bon partout, et l’homme sage le prend où il peut le trouver. Les médecins systématiques repoussent tout ce qui n’est pas de
vrai que « le magnétisme « prend beaucoup de temps, » comme plusieurs médecins nous l’ont déjà dit, et nous ajoutons qu’il fatig
ure que le magnétisme 11e fait que soulager, de même qu’à cet autre médecin qui trouve que nous avons le cerveau fêlé, parce
ons de poitrine. Frère et sœur étaient malades à la fois; l’avis du médecin consultant prévalut, et le magnétisme fut ordonné
té reconnue que trop tard , puisqu’on n’avait pu l’enrayer : les deux médecins la trouvaient incurable, et on nous a même rappor
vaient incurable, et on nous a même rapporté ce pronostic attribué au médecin ordinaire : « Elle n’ira pas huit jours; ses poum
n’a fait qu’augmenter. Il y a maintenant plus de deux semaines, et le médecin ne visite plus sa cliente, parce qu’il la trouve
es que le choléra, si promptes, et contre lesquelles les plus habiles médecins n’ont encore rien trouvé, laissez les médecins po
elles les plus habiles médecins n’ont encore rien trouvé, laissez les médecins poursuivre leurs recherches, mais employez le mag
cle opium: « Mais ce qu’il y a de plus frappant, c’est l’abus que les médecins ont fait jusqu’à ce jour de l’opium dans toutes l
la lêie sous la loi des semblables. Nous serions si heureux, nous, médecin homéopathe, d’être éclairé par vous, M. J. B., en
sses, un rhumatisme. Que de vague dans cette dénomination ! Mais quel médecin allopalhe n’a pas de semblables guérisons à produ
. Encore un nouveau trait de ressemblance entre vous et messieurs les médecins de l’ancienne école. TAXIL, d. a. Nouvellc-Or
urtant dans ces cas encore il fait souvent merveille. Deux honorables médecins viennent d’en acquérir la preuve dans un cas de m
mari nous auraiI remplacé, mais on trouva plus commode de rappeler le médecin qui, celle fois, prescrivit les bains de sang, et
s que vous savez. Nous attendons le témoignage de vos deux honorables médecins en faveur de la magnétisation dont vous parlez.
Nous ne savons, comme vous l’avancez, si c’est par commodité que les médecins allopathes furent rappelés ; nous constatons seul
exclusive de magnétiseur, que vous distinguez absolument de celle du médecin ; votre illusion est grande! c’est tout comme si v
ar un seul homme de l’état. Il n’y a d’honorables, pour vous, que les médecins qui, s’étant donné la peine d’étudierle magnétism
tte séance mémorable. L’assistance était considérable, et beaucoup de médecins en faisaient partie. Le succès a entièrement ré
sur la vitalité. Cette propriété singulière a été reconnue par les médecins , quelques-uns ont cherché à en tirer parti pour
es procédés plus difficiles et plus dispendieux. Nous connaissons des médecins qui, comme saint Paul, après avoir été des perséc
a science. Je conçois vos agitations, mon ami, vous n’êtes pas de ces médecins qui croient n’avoir plus rien à apprendre, parce
ut son corps, souffrant de la lête, de l’estomac, ayant la fièvre. Le médecin qui m’avait précédé avait toujours été impuissant
isme. Ah ! ah! contez-moi cela au long, dis-je au père. « Ce fut un médecin , demeurant à la campagne, qui me proposa de magné
n écoulement abondant d’humeur et de sang en plus grande quantité. Le médecin nous fit bien augurer de cet événement; mais, inq
événement; mais, inquiété de ces désordres, je menai mon enfant à un médecin c!e la ville, qui me dit que cet écoulement élait
nstitution placés sous la direction du comité, sont le trésorier, les médecins , le secrétaire et le receveur. « 7° Le comité s
nt nécessaires pour former un îombre suffisant. « i3° Le nombre des médecins de cette institution ne sera pas limité. Tous les
nombre des médecins de cette institution ne sera pas limité. Tous les médecins ayant un di- plôme, etfaisanlparlicdcsgoiivernc
t un di- plôme, etfaisanlparlicdcsgoiiverncur?,pourront cire nommés médecins de l’hôpital par h- comité, cl en f celle qualité
emandé à être admis sont présentés au comité et sont examinés par les médecins qui en font partie. Les personnes qui cessent d’ê
raitements variés, et souvent très-énergiques, de nombreux et savants médecins , el telles enfin que le mesmérisme ne pouvait pas
4 avril, son père, qui l’avait d’abord fait soigner par les meilleurs médecins , dé-i clara que l’amélioration de l’état général
inutilement dans plusieurs hôpitaux, et en particulier par plusieurs médecins : on avait refusé de l’admettre à l’hôpital Saint
refusé de l’admettre à l’hôpital Saint-Barthélemy, d’après l’avis du médecin de service qui jugeait son état sans ressources.
souffrait d’horribles douleurs. Elle ava été traitée par de nombreux médecins de Londres i d’Irlande, sans en avoir éprouvé le
et dans ce dernier elle avait séjourné une fo pendant quatre mois. Un médecin lui avait dit qu’ell était affectée du tic doulou
lle s’endormit, et son sommeil était si profond qu’on supposa que son médecin lui avait donné une trop grande quantité de lauda
l’existence et aux bienfaisants effets du mesmérisme, et le corps des médecins anglais s’affranchit peu à peu dos malheureux sen
e étaient des fourbes et des fripons, indignes d’êtres associés à des médecins respectables. Nous espérons donc que le nombre de
ait en connaître les ressources médicamenteuses, —je veux dire par le médecin de la maison. Un jour, peut-être, universellement
y aurait crime do lèse-humanité à sc dire: Puisque nous ne sommes pas médecins , laissons à ces savants le soin de veiller à la s
gnétisation directe dans tous les cas où la lancette perturbatrice du médecin amène quel- quefois un soulagement trompeur: —
rconférence terrestre de leur berceau primitif? lin dépit de quelques médecins de celle ville, du prestige dont ils jouissent au
rconférence terrestre de leur berceau primitif? lin dépit de quelques médecins de celle ville, du prestige dont ils jouissent au
ple fut répétée la nuit el le-lendemain, par une parente, et quand le médecin revint il trouva une grande amélioration dont il
duite une fois, et que le malade, dans cet état, devient son plus sûr médecin : nous dirions même qu’il est infaillible si on é
qui, comme la femme dont parle saint Luc, avait tout dépensé avec les médecins cl un peu aussi avec les somnambules, mais sans a
r ainsi à des résultats qu’on n’obtient pas toujours d’une réunion de médecins . Les somnambules, d’ailleurs, enseigneront les
de véhicules de l’agent curatif. Ce procédé n’était pas étranger aux médecins hermétiques qui, comme le chevalier Digby et Sant
dans les lésions, malheureusement si fréquentes, où le diagnostic du médecin est presque toujours problématique. L’influence d
ation des yeux, les chancres, etc. D’après l’expérience de quelques médecins modernes, on aurait retiré d’excellents résultats
soutenir et animer l’ardeur des combattants? « Un jour, rapporte le médecin anglais Richard Mead (i), un joueur d’instruments
endurait ce pauvre corps, malgré tous les efforts de la médecine. Les médecins ne s’étonnaient que d’une chose, c’était de voir
saignées mensuelles qui faisaient la base du traitement suivi par les médecins , ont été pratiquées sans que la malade en fût ama
it à quarante-cinq ou cin- quante dans les vingt-quatre heures. Les médecins regardant le mal comme incurable, se bornent à l'
applications de cautères ou de vésicaloires. El pourtant, les habiles médecins qui suivirent celte interminable agonie sont reno
leur inspirait point de confiance. Combien il est regrettable que les médecins , qui jouissent à juste titre de la confiance du p
e cœur; qu’il ne faudra pas tarder à la saigner. Plusieurs fois les médecins avaient eu la pensée d’employer les cautères, mai
soir, elle a été examinée, dans l’état de sommeil magnélique, par les médecins , qui ont reconnu que l’amélioration de la santé g
ent deux dimanche prochain. La malade, endormie, a répété devant le médecin tout ce qu’elle n’a cessé de dire sur son état et
, il nous revient que des jeunes gens, parce qu’ils ont un diplôme de médecin , traitent le magnétisme d’absurdité!.....Nous ne
mauvaise foi ; nous dirons seulement qu’il y a de bons et de mauvais médecins ; que les bons médecins, connaissant l’insuffisanc
rons seulement qu’il y a de bons et de mauvais médecins; que les bons médecins , connaissant l’insuffisance de leur art conjectur
ion qui accompagne toujours le véritable mérite; mais que les mauvais médecins , au contraire, ne doutent jamais de rien, tranche
e absurdité. Voilà des signes certains pour ne pas confordre les bons médecins avec les mauvais : qu’on y prenne garde dans les
magnétisme fait le sujet d’un grand procès que le public, et non les médecins , doit juger. Mettons donc quelques nouvelles pi
t une erreur de la part du public; car, je suis fâché de le dire, les médecins en général ne savent encore rien du magnétisme, e
et les témoignages qui les appuient, et un jury d’hommes sensés, non médecins , est aussi capable de bien juger que tant de doc
aque individu exerce son bon sens el son jugement à décider, pour les médecins , la question de fait; et si la généralité trouve
x preuves, que ne rien en savoir n’est pas une recommandation pour un médecin , alors le magnétisme prendra le rang qui lui appa
pectables ; mais nous ne remonterons pas jusqu’à Mesmer pour dire les médecins qui ont dû au magnétisme leurs plus beaux succès
prit le magnétisme pour sujet de sa thèse inaugurale, et les savants médecins qui l’examinèrent ne lui refusèrent pas le bonnet
mment il en parle : a Broussais, la lumière de l’école, le seul des médecins qui, de notre temps, ait fait époque, voulut voir
t prolonger la vie : il indiqua le magnétisme. Vous l’entendez, vous, médecins , qui ne pouvez surmonter vos préjugés : celui qui
ement. Riais on ne nous écouterait pas: il y a calcul. Les premiers médecins ? qui repoussèrent le magnétisme prétextèrent auss
s. Cette motion, appuyée par plusieurs personnes respectables et deux médecins qui avaient retiré un grand avantage de l’emploi
rovince, dans les campagnes; vous vous êtes présenté comme un célèbre médecin spécialiste, guérissant toutes les maladies et tr
main d’un démon arrachant ses entrailles. Soumise aux soins de deux médecins , MM. Saint-Léger et Ameuble, elle ne tarda pas à
guérir, au point de vue du préjudice pécuniaire qu’elles causent aux médecins , par le docteur Amédée-Latour, 305. — Ré-flexions
5 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
l'hypnotisme dans l'enseignement philosophique officiel. A côté des médecins les plus distingués, un grand nombre d'universita
Lombroso. MEMBRES DU COMITÉ D'ORGANISATION : M. le Dr G. Ballet, médecin des hôpitaux, professeur agrégé & la Faculté
rru, professeur à l'École de médecine de Rochefort. M. le Dr Brian d, médecin en chef de l'Asile de Villejuif. M. le Dr Burot.
lineau, membre de la Société médico-psychologique. M. le Dr Dejérine, médecin de Bicêtre, professeur agrégé à la Faculté de méd
bois, membre du Conseil municipal de Paris. M. le Dr Dumontpallier, médecin de l'Hôtel-Dieu, secrétaire général de la Socié
-Dieu, secrétaire général de la Société de biologie. M. le Dr FèrÉ, médecin de Bicêtre, membre de la Société d; biologie. M.
r fontan, professeur à l'École de médecine de Toulon. M. le Dr Forel, médecin en chef de l'Asile d'aliénés de Zurich. M. le Dr
iégeois, professeur à la Faculté de droit de Nancy. M. le Dr Mabille. médecin en chef de l'Asile de Lafont. NU le Dr Paul Magni
membre de la Société de psychologie physiologique. m. le Dr Mesnet, médecin de l'Hôtel-Dieu, membre de l'Académie de méde-cin
l'Hôtel-Dieu, membre de l'Académie de méde-cine. M. le Dr ramadier, médecin de l'Asile de Vaucluse. M. le dr Aug. Voisin, m
Dr ramadier, médecin de l'Asile de Vaucluse. M. le dr Aug. Voisin, médecin de la Salpêtriére, membre de la Société médico-ps
e l'hystérie, d'une compétence telle qu'on la trouverait chez peu des médecins les plus instruits. Aussi, quand le doyen a ann
u, avait convié ses collègues de l'Hôtel-Dieu et un certain nombre de médecins à assister à une opération qu'il se proposait de
rmi lesquels nojs avons remarqué MM. Mesnet, Du-montpallier, Bucquoy, médecins de l'Hôtel-Dieu, les docteurs Sérillon, Car-rance
79 p. in-8°. plusieurs reprises,cet auteur a appelé l'attention des médecins allemands sur l'hypnotisme. Au début de ses étude
me soit traitée complètement. Partout on y reconnaît non seulement le médecin observateur, mais aussi le psychologue instruit.
tre par la suggestion par exemple la vésication, ce qu'ont montré les médecins de Nany. Or, il semble injuste que les élèves de
tuites ont lieu les mardis, jeudis, samedis, de 10 heures à midi. Les médecins et les étudiants en médecine peuvent y assister.
, la pédagogie et la psychiatrie sont annoncées, c'est-à-dire que les médecins , les magistrats, les avocats, les professeurs, le
nté encore longtemps de certaines données empiriques, si un groupe de médecins , qu'on est convenu de désigner sous le nom a Ecol
emples qui démontrent l'influence du traitement moral. Mais c'est aux médecins de Nancy que revient l'honneur d'avoir, dans l'em
ant d'utiles préceptes et qui pourrait encere servir de vade-mecum au médecin hypnotiseur, il dit textuellement : « Quelques
peu de chose à ajouter aux paroles de Braid, si un certain nombre de médecins n'avaient la prétention de vouloir appliquer l'hy
est laissée aux soins du malade ou de son entourage. Au contraire, le médecin devient opérateur. Il fait lui-même l'application
z heureuse pour rallier l'unanimité des suffrages. « Qui vit jamais médecin se servir de la recepte de son compaignon sans y
aris, 1883. les difficultés du procédé opératoire, de même aussi le médecin hypnotiseur ne pourra se dispenser d'apprendre à
presque exiger de lui l'application de la suggestion hypnotique ? Le médecin qui s'adonne à la pratique de l'hypnotisme doit s
ime, s'ils ajoutaient que ces accidents seront imputables surtout aux médecins qui auront appliqué I hypnotisme sans avoir l'exp
-on admettre qu'au début de leur pratique, il a pu arriver à tous ces médecins d'acquérir de l'expérience aux dépens de quelques
éprouverez beaucoup de satisfaction d'avoir été endormi. » Tous les médecins qui réveillent leurs malades dans ces conditions,
parce que toutes les médications ont été impuissantes. Si certains médecins ne trouvent dignes de leur attention que les cont
s cas qui présentent une certaine ténacité ? Il fut un temps où les médecins considéraient comme indigne d'eux d'appliquer un
e d'indication thérapeutique à cet égard. On croirait presque que les médecins les plus dévoués aient trouvé la tâche au-dessus
ral de temps en temps: mais n'est-ce pas là par excellence le rôle du médecin qui traite les affections mentales, et n'aura-t-i
les. De notre pratique personnelle et de celle d'un grand nombre de médecins avec lesquels nous sommes en complète conformité
utique vient élargir considérablement le rôle et le champ d'action du médecin ; elle a, en outre, l'immense avantage de ne crée
développement de la névrose. Mais aujourd'hui, entre les mains des médecins qui se bornent à appliquer la suggestion d'une fa
ourru, professeur à l'École de médecine de Rochefort. H. le Dr Bruno, médecin en chef de l'Asile de Villejuif. M. le Dr BUrot.
lineau, membre de la Société médico-psychologique. M. le Dr Déjérine, médecin de Bicêtre, professeur agrégé à la Faculté de méd
bois, membre du Conseil municipal de Paris. M. le Dr Dumomtpallier, médecin de l'Hôtel-Dieu, secrétaire général de la Socié
r Fontan. professeur à l'École de médecine de Toulon. M. le Dr Forel, médecin en chef de l'Asile d'aliénés de Zurich. M. le Dr
el, médecin en chef de l'Asile d'aliénés de Zurich. M. le Dr Garnie*, médecin en chef de la Préfecture de police. H. le Dr Gras
iégeois, professeur à la Faculté de droit de Nancy. M. le Dr Mabille, médecin en chef de l'Asile de Lafont. M. le Dr Paul Magni
membre de la Société de psychologie physiologique. M. le Dr Mesnet. médecin de l'Hôtel-Dieu, membre de l'Académie de médecine
l'Hôtel-Dieu, membre de l'Académie de médecine. M. le Dr Ramadier, médecin de l'Asile de Vaucluse. M. le Dr Semal, médecin e
M. le Dr Ramadier, médecin de l'Asile de Vaucluse. M. le Dr Semal, médecin en chef de l'Asile de Mons. M. le Dr Aug. Voisi
Dr Semal, médecin en chef de l'Asile de Mons. M. le Dr Aug. Voisin, médecin de la Salpêtrière, membre de la Société médico-ps
l'asile d'aliénés de Villejuif, sous la direction de M. Je Dr Briand, médecin en chef. — Après la visite générale des services,
ment une oeuvre collective, mais elle s'adresse tout spécialement aux médecins , aux psychologues, aux écrivains, à tous ceux que
tuites ont lieu les mardis, jeudis, samedis, de 10 heures à midi. Les médecins et les étudiants en médecine peuvent y assister.
e. — Conférences cliniques sur les maladies mentales. — Le Dr Séglas. médecin suppléant, commencera une série de conférences cl
celles de deux de nos collaborateurs. MM. les docteurs Dumontpallier, médecin de l'Hôtel-Dieu et du lycée Louis-le-Grand, et Co
clinique des maladies du système nerveux. Nécrologie. — M. Mesnet, médecin de l'Hôtel-Dieu, vient d'avoir la douleur de perd
perdre son fils. Le Dr Raoul Mesnet. âgé de 35 ans. était un jeune médecin plein d'avenir. Sa mort prématurée laisse de prof
ce champ d'investigation est encore presque absolument inexploré, les médecins aliénistes qui s'occupent de thérapeutique sugges
ecine, on est allé jusqu'à dire que ce serait un grand malheur si les médecins employaient plus généralement l'hypnotisme, comme
atives malheureuses, faites par ces procédés défectueux, que certains médecins en sont arrivés à prendre l'hypnotisme en horreur
la paix ! » Voilà bien la caractéristique de l'obsession. Plusieurs médecins ont été consultés, qui ont conseillé au malade de
BABINSKI, ancien chef de clinique de la Faculté. M. le Dr G. BALLET, médecin des hôpitaux, professeur agrège à la Faculté de m
ed, de la Société de Psychologie physiologique. M. le Dr BISCARRAT, médecin à Paris. M. le Dr BONY, médecin-major. M. BOR
N, lauréat de l'Association scientifique de France. M. le Dr BOURDON, médecin à Méru (Oise). M. le Dr BOURRU, professeur à l'
Dieu de Paris. M. BRAUT Jules. publiciste à Paris. M. le Dr BRIAND, médecin en chef de l'Asile de Villejuif. M. le Dr BUROT
ès-scienecs. M. CHATEAU, publiciste à Paris. M. le Dr CHRISTIAN, médecin de l'Asile de Chorenton. M..C0LAS Albert, de la
X, vétérinaire principal de l'armée, en retraite. M. le Dr DÉJÉRINE médecin de Bicêtre, professeur agrégé à la Faculté de m
e médecine. M. delcro Jules, publiciste à Paris. M. le Dr DEPOUX, médecin à Paris. M. doin octava, libraire éditeur à Par
e Paris. M. DUMONT-CARPENTIER, de Paris. M. le Dr DU MON TPALUER, médecin de l'Hôtel-Dieu, secrétaire général de la Socié
. M. le Dr DUPUY Eugène, de la Société de Biologie. M. le Dr GARNIER, médecin en chef de la Préfecture de police. M. le Dr CASC
ARNIER, médecin en chef de la Préfecture de police. M. le Dr CASCARD, médecin a Paris. M. le Dr GILLES de la Tourette, chef d
ET, professeur à la faculté de Montpellier. M. le Dr GRIMOUX Henri, médecin a Paris. H. le Dr GUÉNEU , conseiller général à
sophie. M. LANZENBERG, publiciste a Paris. M. le Dr LAURENT.Émile, médecin à Paris. M. le Dr LEVILLAIN, lauréat de 1a Facu
e Dr LEVILLAIN, lauréat de 1a Faculté de Paris. M. le Dr LIÉBEAULT, médecin a Nancy. M. LieGEOIS, professeur 4 la Faculté d
GEOIS, professeur 4 la Faculté de droit de Nancy. M. le Dr MABILLE, médecin en chef de l'Asile de Lafont. M. le Dr MAESTRAT
MABILLE, médecin en chef de l'Asile de Lafont. M. le Dr MAESTRATI, médecin a Paris. M. MÉRIC l'abbé Elle), docteur ès lett
ysiologique. M. MARTINET Camille, publiciste à Pans. M. le Dr MAGnAN, médecin de l'asile Ste Anne, M. le Dr MESNET, médecin d
ans. M. le Dr MAGnAN, médecin de l'asile Ste Anne, M. le Dr MESNET, médecin de l'Hôtel-Dieu, membre de l'Académie de médecine
M.PRESSAT Roger, avocat i la Cour d'appel. M. le Dr PAULIER Armand. médecin a Paris. M. le Dr PERRONET, médecin à Lyon. M
pel. M. le Dr PAULIER Armand. médecin a Paris. M. le Dr PERRONET, médecin à Lyon. M- PERSAC, conseiller a la Cour d'appel
M- PUPIN, secrétaire de la Faculté de médecine. M. le Dr RAmAdier, médecin de l'Asile de Vaucluse. M. ROCHÉ Georges, licen
ine. M. VIVIANI, avocat a la Cour d'appel. M. te Dr VOISIN Jules, médecin de la Salpctriére. M. le Dr VOISIN Aug. médecin
te Dr VOISIN Jules, médecin de la Salpctriére. M. le Dr VOISIN Aug. médecin ds la Salpctriére, membre de la Société mé-dico-
NGERS H. le Dr ASSIMIS. ds la Faculté d'Athènes. M. le Dr BANJENIFF médecin direetcurde l'asile de Riazanne (Russie). M. le
té d'Athènes ; délégué du gouvernement hellénique. H. le Dr BOUZON. médecin & Jackmcl (Haïti). M. le Dr CALDERON Juan,
e Dr BOUZON. médecin & Jackmcl (Haïti). M. le Dr CALDERON Juan, médecin à Puebla (Mexique). M. le Dr DAVID, Georges, de
SL.DELBŒUF, professeur a l'Université de Liège. M. le Dr DEVANT, médecin de la Société philanthropique de Moscou. M. te
d'Irlande. M. le Dr DESSOIR Mil, de Berlin. M. le Dr DROSDOWSKI, médecin russe. M le Dr DRZEWECKI Stéphane, de la Sociét
phane, de la Société technique de St-Pètersbourg. M. le Dr EEDEN Van, médecin à Amsterdam. M. le Dr ERICS0N Carl, médecin-major
e Dr ERICS0N Carl, médecin-major de l'armée Suédoise. M. le Dr FOREL, médecin en chef de l'Asile d'aliénés, professeur à l'Univ
le d'aliénés, professeur à l'Université de Zurich. M. le Dr FRAENKEL, médecin de l'Asile d'aliénés de Dessau. M. le Dr SIGM F
ENKEL, médecin de l'Asile d'aliénés de Dessau. M. le Dr SIGM Frend. médecin a Vienne. M. le Dr FRIDENSOLM Darid, médecin a
M. le Dr SIGM Frend. médecin a Vienne. M. le Dr FRIDENSOLM Darid, médecin a Moscou. M. FRIEDMANN Glulio, de Rome (Italie)
NN Glulio, de Rome (Italie). M. le Dr JOAQUIM, Corren di Figueredo, médecin à Vassouras (Brésil). M. CERNAERT, de Liège (Belg
Dr LADAME, privat-docent i l'Université de Genève. M. le Dr LEVINSON, médecin à St-Pétersbourg. M. le Dr LEDRESSEUR, professeur
e médecine mentale a la Faculté de Turin. M. le Dr MARÉCHAL Amédée, médecin a Bruxelles. M. dt MEDVECZKY, professeur à l'Un
ingston (Canada). M. le Dr PRENDERGAST, membre du College royal des médecins de Londres. M. le Dr Van RENTERGNEU, de la Soci
cteur de l'Asile cantonal de Marsens, Fribourg. M. le Dr ROBERTSON, médecin à Peterborough (Angleterre). M. le Dr RYBALKIN,
ROBERTSON, médecin à Peterborough (Angleterre). M. le Dr RYBALKIN, médecin de l'Hôpital Marie de St-Pétersbourg M. le Dr R
hias, de la Ladies sanitary association de Londres. M. le Dr SAUNGRE, médecin de l'Hôpital de Tavastehus (Finlande). M. le Dr S
, de la Société d; psychologie de Munich (Bavière). M. le Dr SEMAL, médecin en chef de l'Asile de Mons, membre de l'Acade m
re de l'Acade mie de médecine de Belgique. M. le Dr SAVINOFF Serge, médecin à Moscou. M. le Dr SPERLING, de la Société de méd
SIQUEIRA Ramos, du brésil. M. le Dr SOUZA RIETI. M. le Dr TOKARSKI, médecin de ta Clinique psychiatriquede Moscou. M. le Dr
le Dr TRIANTAPHYLUS de la Faculté d'Athènes. M. le Dr TUCKEY-LLOYD, médecin à Londres. M. le Dr VELANDER, médecin à Yonkopi
nes. M. le Dr TUCKEY-LLOYD, médecin à Londres. M. le Dr VELANDER, médecin à Yonkoping (Suéde,). M. EMILE YUNG professeur
M. WASON, correspondant du Sun, de New-York. M. le Dr ZABLUDOWSKI, médecin à Berlin. SÉANCE D'OUVERTURE Le jeudi 8 août
de différentes Facultés et Universités françaises et étrangères, des médecins des hôpitaux. 11 est inutile d'insister plus lo
rétaire général, le Congres. désireux de témoigner a M. le Dr Mesnet, médecin de l'Hôtel-Dieu. retenu par un deuil de famille,
la précisément au nom de la liberté. Notre client, en ciTet, a nous médecins , c'est le malade, c'est le sujet, c'est l'hypnoti
ométrie et la religion, la physique et la musique. Insinuer que les médecins veulent le monopole de l'hypnotisme pour opérer d
térêts que l'on n avoue pas, c'est les calomnier gratuitement. Si les médecins écoutaient leurs intérêts pécuniaires dans cette
essaire d'insister sur ce point. L'intérêt grossier et inavouable des médecins serait donc précisément de favariser ces séances
et règlements qui régissent l'art de guérir. Mais comme le diplôme de médecin ne sacre pas hypnotiseur, il devient absolument n
'anthropologie criminelle a réuni au grand amphithéâtre de l'Ecole de médecin un grand nombre de savants fran-çais et étrangers
r au Congres les vœux suivants : que les gouvernements facilitent aux médecins et aux anthropologisles l'entrée dans les prisons
e propose donc : 1° que les questionnaires ne soient envoyés qu'à des médecins ou à des psychologues compétents en la matière ;
e les compléter par de nouvelles, que pourraient nous communiquer les médecins accoucheurs; 3° Transmission héréditaire des ha
logiques, le Congrès d'anthropologie criminelle a émis le vœu que les médecins ainsi que les étudiants en médecine légale et les
eurs professeurs; mais il n'en sera probablement pis de même pour les médecins , M. Herbette estimant que les condamnes ne peuven
craindre que le condamné ne devint par trop un sujet d'étude pour le médecin et que, par suite, beaucoup de condamnés ne simul
ongrès de médecine mentale. il a été décidé qu'un Congrès rational de médecins aliénistes se tiendra à Rouen en 1890. MM. Delapo
ecins aliénistes se tiendra à Rouen en 1890. MM. Delaporte et Ciraud. médecins des asiles départementaux de la Seine-Inférieure,
ris. En résumé tout cela est de peu d'importance, mais que penser des médecins , tris rares, il est vrai, dont le nom se trouve m
NTELLECTUELLES ÉMOTIVES ET INSTINCTIVES par M. le Docteur Falret, Médecin de la Salpétrière, Président du Congrès de médeci
façon la plus formelle, et c'était un aphorisme accepté par tous les médecins spécialistes, depuis le commencement de ce siècle
à insister ici sur ces faits, aujourd'hui très nombreux, que tous les médecins spécialistes sont appelés à observer dans leur cl
illejuif au Congrès international d'hypnotisme. M. le docteur Briand, médecin en chef de cet asile, nous a présenté une malade
le-même. On trouve en ville beaucoup de personnes terrorisées par des médecins incompétents, sur les dangers de l'hypnotisme ; d
où l'imitation joue un rôle suggestif considérable, où l'autorité du médecin est plus grande, où les sujets plus dociles, moin
d'autres mécanismes ; elle a été de tout temps pratiquée par tous les médecins , consciemment ou inconsciemment. La purgation ave
endait. M. abel Barroux, directeur, et M. le docteur Marcel Briand, médecin en chef de l'Asile, n'avaient rien négligé pour l
e. Ce fait, si simple en apparence, montre avec quel tact le dévoué médecin en chef de l'Asile de Vaucluse sait remplir sa tâ
llents résultats obtenus par les efforts patients et bienveillants du médecin et du personnel. Banquet du Congrès. Après la
ue vous avez tous admirés dans les services. Saluons aussi les deux médecins en chef de l'Asile : mm. les docteurs Briand et V
e des asiles d'aliénés du département, à M. le Directeur et a MM. les Médecins en chef du grand et bel établissement que nous ve
du Congrès commençaient sous la direction de M. le Dr Auguste Voisin, médecin de la Salpétrière, vice-président du Congrès, la
vre même sur le terrain de son labeur quotidien, d'autres qualités du médecin se révèlent et le caractère de l'homme apparaît ;
M. le Dr Bérillon. secrétaire général du Congrès, porte un toast aux médecins de l'hospice de la Salpétrièrc, et à leurs zélés
u Congrès ont emporté de cette visite et de la cordiale réception des médecins de l'hospice, le souvenir le plus durable. VARI
ir le plus durable. VARIÉTÉS Étude médico-sociale sur le nez Un médecin humouriste (ne pas confondre avec humoriste) qui
s haut degré la terreur que lui inspirait l'examen de sa blessure. Le médecin ne crut pas pouvoir faire un examen sérieux sans
tait plongé dans un protond sommeil. A la demande de la Camille, le médecin résolut alors de pratiquer la chloroformisation s
comment débute généralement l'usage de la morphine d'après l'avis des médecins , ils examinent comment le malade continue a se se
; mais celte ressource n'en doit pas moins rester sous le contrôle du médecin . - Dans la seconde catégorie, nous rangerons le
ons pas sur la description du morphinisme, qui est connue de tous les médecins . » Comment les morphinomanes se procurent-ils l
» Le morphinomane est presque toujours porteur d'une ordonnance de médecin . C'est la première ordonnance qui lui a été déliv
omane a aussi le triple avantage : 1° D'échapper à la surveillance du médecin ; 2° De se procurer le toxique en quantités ill
ine en faisant eux-mêmes leurs ordonnances qu'ils signent du nom d'un médecin . Nous avons observé plusieurs cas de ce genre, pr
ns. Les fausses ordonnances seraient du reste moins fréquentes si les médecins avaient le soin de n'écrire leurs prescriptions t
ces deux substances toxiques à moins d'une prescription contraire du médecin . » NOUVELLES — La Société de medecine pratiqu
uites ont lieu les mardis, jeudis. samedis, de dix heures à midi. Les médecins et les étudiants en médecine peuvent y assister.
i ce détenu lui avait suggéré de planter un couteau dans le ventre du médecin ou, chose moins grave, d'assommer le directeur ou
devraient être isolés dans les prisons et mis sous la dépendance du médecin de la maison. » Ce voeu sera transmis par les s
diagnostic ne peut être mis en doute. Je sais, Messieurs, combien le médecin qui fait de l'hypno-tisme doit se défier de ses p
HÉRAPEUTIQUE PAR SUGGESTION HYPNOTIQUE Par M. Marcel. BRIAND(i) Médecin en chef de. l'Asida de Villejuif. Mon intention
citation. De plus, elle avait une hémiplégie du côté droit Le premier médecin qui l'avait visitée, se basant sur on liseré ging
x faire appel à un exemple caractéristique : Il y a quelques mois, un médecin m adressait une dame qui poussait toutes les nuit
r le docteur J.-A. FORT, (1) Ancien professeur d'anatomie. Si Ici médecins faisaient connaître les cas d'opérations pratiqué
ui surtout que l'hypnotisme est étudié d'une manière sérieuse par des médecins d'une valeur incontestable, il est probable qu'on
ut déterminer. Il y a quelques jours à peine, M. le docteur Mesnel, médecin des hôpitaux, communiquait une observation des pl
e qui a lieu en moins d'une minute. Les docteurs Triani cl Colombo, médecins italiens, présents a 1 opération, constatent que
exemple démontre que si la foi du sujet est nécessaire au succès, le médecin de son côté, doit témoigner d'une confiance absol
nstituer un suffisant. M. Rom (de Londres). — Depuis 50 ans je suis médecin homéopathe et je crois qu'il est de mon devoir de
s orateurs a déclaré que le malade doit avoir une foi aveugle dans le médecin , autrement il est peu suggestible. Permettez-mo
r sur les accidents de l'hypnotisme. 11 ne sont pas niables, et les médecins eux-mêmes n'en sont pas exempts. On connaît bien
les et dés états connexes. Rapport de M. le docteur Auguste VOISIN, médecin de la Salpetrière. J'ai dit, il y a quelques an
ntes et ses hallucinations. II y a de quoi désarmer l'incrédulité des médecins qui n'ont pas loi dans l'art de guérir. L'impos
des résultats obtenus par lui. Néanmoins, comme un certain nombre de médecins émettent fréquemment l'opinion qu - les aliénés h
coup plus de temps chez les aliènes et qu'elle demande de la part des médecins beaucoup plus de patience. Les applications de
ions suivantes : 1° La suggestion, employée rationnellement par des médecins expérimentés et compétents, constitue un agent th
se invétérée, de malpropreté, d'indocilité, de pusillanimité. 6° Le médecin sera seul juge de l'opportunité de l'application
une famille disposée à seconder avec intelligence tous les efforts du médecin aura beaucoup plus de chances de guérison qu'un e
uitet ont lieu les mardis, jeudis, samedis, de dix heures a midi. Les médecins et les étudiants en médecine peuvent y assister.
écrit et dit MM. Bernheim, Aug. Voisin, E. Bérillon et tant d'autres médecins français distingués est parfaitement d'accord ave
tout, elle était devenue très faible. Elle fut traitée par différents médecins , lit deux cures d'eaux minérales et revenait peu
iminelle dans le laboratoire ou t l'hôpital. Cela nous suffit, à nous médecins . S'il n'y pas eu encore, aux assises ou en poli
t possible (pour moi, je l'admet absolument), cela suffit pour que le médecin doive se préoccuper de la seconde question. 2°E
iment importants de la question qui intéressent pratiquement tous les médecins . CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Les fous et l'hy
. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Les fous et l'hypnotisme Tous les médecins aliénistes savent quelle est la tendance des fous
eurs. « Un jeune étudiant en médecine avait porté plainte contre un médecin de la ville parce que celui-ci l'avait hypnotisé
risn; on aurait dit des fous défilant devant le tribunal. — Enfin, un médecin , témoin également. vint déclarer devant les juges
a ajourné l'affaire, afin qu'elle fui soumise â l'examen de quelques médecins spécialistes. » Notre confrère te Docteur Guerm
ibunal d'Helsingborg a rendu son jugement, acquittant complètement le médecin accusé, les médecins experts ayant démontré et le
a rendu son jugement, acquittant complètement le médecin accusé, les médecins experts ayant démontré et les témoignages unanime
le, sans aucun rapport direct avec l'hypnotisme. un grand nombre de médecins des plus distingués de Suède parmi lesquels nous
service de Parrot. Elle avait depuis complètement oublié le nom de ce médecin , mais le souvenir s'en était réveillé en ètai de
t être nommé violence mécanique, et sa découverte est due a l'éminent médecin de la Salpétrière, M. Auguste Voisin. Comme son n
ce moyen de traitement. En outre, avant de formuler une opinion, son médecin de Madrid avait tenté l'hyno-tisation pendant un
des phénomènes. Le 19 Décembre en présence de M. le docteur Bonnet, médecin major au 6° de ligne, j'ai déterminé l'asphyxie d
; Haïtien 1 : Mexicain 1 ; Roumain 1 ; Turc 1 ; Vénézuélien 1. Les médecins étaient au nombre de 106; les professeurs et étud
minutes, de lui faire reprendre ses sens. Effrayés, ils appelèrent un médecin . Le médecin chercha a réveiller la sensibilité de
lui faire reprendre ses sens. Effrayés, ils appelèrent un médecin. Le médecin chercha a réveiller la sensibilité de la peau par
peau par divers moyens: rien n'y fit, le sommeil persista. Enfin, le médecin passa la main sur (a ligure de la jeune fille et
ngue nomenclature a cet égard, dans un livret populaire intitulé : le médecin des pauves, ou recueil de prières et oraisons pré
n ouvrage sur cette thérapeutique. Notre savant confrère, le Dr Féré, médecin de l'hospice de Bîcètre, avec le remarquable tale
nterdiction des séances publiques d'hypnotisme ? — « La plupart des médecins , pour ne pas dire tous. A mesure que les séances
des séances publiques d'hypnotisme, qui ne sont jamais faites par des médecins , car ces exhibitions théâtrales sont incompatible
y consent, à des expériences d'hypnotisme. Vouloir laisser aux seuls médecins le droit de pratiquer de* expériences pourrait nu
« Néanmoins, la prudence leur conseille de s'assurer du concourt d'un médecin Etant données les modifications physiologiques qu
s les modifications physiologiques qui surviennent chez l'hypnotisé,e médecin et le physiologiste ont seuls la compétence voulu
ntervention d'aucune suggestion hypnotique. M. le Dr Dumontpallier, médecin de l'Hôtel Dieu, également consulté par un rédact
ntes. C'est pourquoi M. le Dr Schrenck Notzing.de Munich, adresse aux médecins , qui appliquent l'hypnose comme moyen thérapeutiq
ble des matériaux recueillis et mis en ordre sera envoyé a tous les médecins qui auront la bonté de mettre à sa disposition le
t demander des circulaires imprimées au dr baron de Schrenck-Notzing, médecin a Munich (Bavière), Herzog Wilhelms) rasse, 39.
e Un de nos correspondants d'Angleterre, M. le docteur Lloyd Tuckey médecin aussi compétent que distingué, nous adresse la le
tuites ont lieu les mardis, jeudi», samedis de dix heures à midi. Les médecins et les étudiants en médecine peuvent y assister.
o entre un de nos confrères américains et M, le docteur J. Christian, médecin de 1a maison nationale de Charenton. Nous adresso
le public, une réelle prévention à l'égard de la valeur mé dicale des médecins militaires. Qui de nous n'a entendu formuler d'un
soldat récemment libéré du service, cette appréciation sur tel ou tel médecin major : « Je ne lui donnerais même pas mon chien
révention, car l'armée possède actuellement un grand nombre de jeunes médecins aussi instruits que disposés à faire leur devoir.
scrire à M. le directeur du service de santé de veiller à ce qu'aucun médecin militaire n'y ait recours, pour quelque motif que
r devoir aussi interdire formellement la pratique de l'hypnotisme aux médecins de la marine. Il est même allé plus loin, et il d
au point de vue curatif. Ce qui revient a dire que non-seulement les médecins de la marine n'auront plus le droit d'avoir une o
us grave qu'on le croirait au premier abord. Elles visent surtout les médecins en chef des hôpitaux militaires. Que les médecins
visent surtout les médecins en chef des hôpitaux militaires. Que les médecins régimentaires qui, en dehors de la chirurgie, ont
s des hôpitaux, cela pourrait à la rigueur se concevoir. Mais que des médecins dont les services reçoivent fréquemment des malad
tions, c'est à la lois illogique et injurieux pour lecaractère de ces médecins . D'autant plus, comme cela nous a été répondu a
l'affirmer hautement, de procédé plus inoffensif, entre les mains des médecins compétents, que la suggestion hypnotique. MM. Cha
allet, Voisin, Charles Richet, Briand, etc., pour ne parler que des médecins français qui ont expérimenté l'hypnotisme et la s
dication comportât des dangers spéciaux? Il est tort heureux pour les médecins éminents que nous-venons de citer, qu'ils n'aient
bon pour les civils ne l'est plus pour les militaires. Tandis que le médecin d'un hôpital civil a le droit de recourir à la su
core quelque symptôme de l'hystérie; dans les mêmes circonstances, le médecin d'hôpital militaire, lui, doit rester indifférent
i, au point de vue humanitaire, le ministre a le droit d'interdire au médecin d'appliquer au malade qui s'y soumet librement, l
e à le guérir. Il est facile de démontrer.sans grandes arguties qu'un médecin n'a pas plus le droit de laisser couler le sang d
s-nous l'ennui de voir infliger trente jours d'arrêts de rigueur à un médecin militaire dont le seul crime serait de savoir mie
E AMBULATOIRE CHEZ UN HYSTÉRIQUE par M. le Professeur; PROUST (1) Médecin de l'Hôtel-Dieu de Paris Emile X..., 33 ans; fi
cataleptique et somnambulique. De plus, elle était hypnotisable : son médecin avait pu l'endormir à plusieurs reprises. J'ass
des attaques ii la moindre émotion et que sa mère n'y serait pas. Les médecins consultés au point de vue médical, auraient affir
thologie à l'université de Vienne, ont attiré l'attention de tous les médecins autrichiens sur la question de l'application thér
ystème nerveux. M. Krafft-Ebing est bien connu dans le public comme médecin de plusieurs membres des familles souveraines de
ols commis à plusieurs reprises par la malade. Le 35 janvier 89 les médecins trouvent la malade triste, tranquille, la tète ap
e spéciale. Elle entend le bruit de la montre placée dans la poche du médecin , elle s'approche avec adresse, décroche la montre
e fente de son fauteuil. De même elle prend quatre autres montres des médecins internes et les cache dans un pot de fleurs. Ensu
hanson la lont s'émouvoir et la plongent en catalepsie. Lorsqu'un des médecins provoque des cliquetis métaliques avec des florin
disparaître dans sa poche. La même chose se passe, lorsque un autre médecin provoque un cliquetis avec des clefs. Comme il ne
sait pas rien de ses vols, et est surprise de voir autour d'elle des médecin sans qu'elle les ait une entrer. Le lendemain 3
ontpallier à l'Hotel-Dieu de Paris Jeudi dernier, M. Dumontpallier, médecin de l'Hôtel-Dieu, à fait devant un nombreux audito
lier, médecin de l'Hôtel-Dieu, à fait devant un nombreux auditoire de médecins et d'étudiants une leçon clinique sur les applica
professeur de clinique chirugicalc, MM. les docteurs Mesnet, Proust, médecins de l'Hôtel-Dieu, Clado, chef de clinique. Gidel
. Gidel, proviseur du Lycée Louis-le-Grand, etc., et même plusieurs médecins militaires. L'amphitéatre n'était pas assez grand
éciales. Il y a encore beaucoup, dans les campagnes, de ces prétendus médecins , de ces sorciers jeteurs de sorts. Qu'on n'épargn
ie et 355. en 1889. Asiles d'alénés. — M. le Dr Combemate est nommé médecin adjoint 'à l'asile des aliénés de Bailleul — le D
adjoint 'à l'asile des aliénés de Bailleul — le Dr Lapointe est nommé médecin de l'asile d'Auxerre; — M. le D Breston est nommé
est nommé directeur de l'asile du Mans; — M. le Dr Chambard est nommé médecin en chef de l'asile de Ordillac; — M. le Dr F.bre
é directeur de l'asile de Saint-Didier: — M. le Dr Bassiere est nommé médecin directeur de l'asile de Saint-Alban. — Le minis
Bohémians : G. Carré, édit. Paris 1889. Delbœuf. — Magnétiseurs et médecins : In-8°, 115 papes. Alcan, in-8°. Paris 1890. L'
LES CONTRACTURES HYSTÉRIQUES par M. le Docteur DUMONTPALLIER (1} Médecin à l'Hôtel-Dieu. Au n° 14 de la salle Notre-Dame
able. Leur application fatigue souvent la patience des malades et des médecins , et, dès lors, est d'un usage peu pratique. Par c
ez absolument rien de particulier dans ses allures. Une commission de médecins aliénistes ne trouverait che2 elle aucun indice d
gente, d'un caractère doux et affectueux, fut hypnotisée par un jeune médecin pour des crises d'hystérie. Chaque crise était ai
mée en accès de somnambulisme. Pendant un de ces accès elle fit à son médecin l'aveu de l'amour qu'elle ressentait pour lui ; e
E DES IDÉES DÉLIRANTES PAR AUTO-SUGGESTION Par le docteur LEGRAIN Médecin de la colonie de Vaucluse Les travaux, si remar
jures ne peuvent m'atteindre. De fait, en cette (1) Magnétiseurs et Médecins , in-8°, 115 pages. F.Alcan, Paris, 1890. occure
émoignent de la nécessité de mon argumentation. L'intérêt caché des médecins cl l'innocuité des séances des magnétiseurs ambul
de mon rap-port. « M. Delbœuf va plus loin. A l'entendre, ce sont les médecins qui « ont créé les dangers de l'hypnotisme, parce
de toutes les personnes qui s'occupent d'hypnotisme, entre autres des médecins ) : «... En fait d'hypnotisme des gens aujourd'h
ohl, aujourd'hui docteur en chimie a Neuchâtel, (1) Magnétiseurs et Médecin , p 76, lorsqu'il reproduit ma réplique, au 3°, 21
491.M. Delbœuf confesse ou- varement qu'il s'adressait bien ici aux médecins , en disant ; « j'ai attaqué d'une façon générale
s pour qui l'hypnotisme n'avait plus de secrets.» (3)Magnétiseur et Médecins p.70, la note (4)Le Magnétisme animal, au haut
and on est au courant de la question, que l'auteur de Magnétiseurs et Médecins s'est inspiré de la brochure publiée à Neuchâtel,
utôt théâtrale que scientifique.. (N. D. L. R.) (2) Magnétiseurs et Médecins , p. 100. (3) En dehors du canton de Neschâtel.
une grosse illusion.Tout le monde a déjà compris que Magnétiteurt et Médecins est le fruit d'un malheureux froissement d'amour-
ue j'ai fait entendre au Congrès contre les accusations adressées aux médecins par M. Delbœuf, accusations que le rapporteur de
cette phrase significative où l'auteur parle des malades, comme aucun médecin ne le ferait; « Tous les médecins de Liège et d'a
uteur parle des malades, comme aucun médecin ne le ferait; « Tous les médecins de Liège et d'autres villes qui m'ont ameneé leur
émie de médecine. Notre éminent collaborateur M. le docteur Mesnet. médecin de l'Hôtel-Dieu et membre de l'Académie de médeci
équestration d'enfants dans un but scientifique Le comte Zorouboff, médecin à Berlin, vient d'être poursuivi, mais acquitté,
qui vivaient enfermés dans un appartement, avaient été achetés par ce médecin à des parents dénués de toutes ressources. Zoroub
t été traités avec les plus grands égards, il a été acquitté. Mais le médecin a dû prendre à sa charge les frais d'éducation de
vaut peut-être mieux qu'elle n'ait pas pu être continuée. L'idée du médecin berlinois n'est certes pas nouvelle, mais son exp
s pour rachat de cotisation du vjmqutur, est offert par M. Decroix au médecin français ou étranger qui relatera plus grand nomb
mentales et témoigne des efforts faits pour avoir dam les asiles des médecins instruits. Ecole pratique ds hautes-études. — M
ÉRAPEUTIQUE AUTOGRAPHISME ET STIGMATES Par M. le Docteur MESNET Médecin de l'Hôtel-Dieu, membre de l'Académie de Médecine
ustice criminelle, sont devenus de sympatiques malades tributaires du médecin . Obs. i. — Cette malade est celle qui a servi à
présente depuis si longtemps. Obs. III. — En janvier 1883, un jeune médecin de mon voisinage m'amena dans mon cabinet une dam
Par le lecteur Edgar BÉRILLOX L'interdiction de l'hypnotisme aux médecins militaires donne un intérêt particulier à l'obser
'on est en droit de se demander pourquoi il aurait été interdit à des médecins militaires de rendre à ce malade le service que n
d'expériences d'hypnotisme faites, devant d'autres personnes que des médecins , dans les salle* de médecine de l'Hôtel-Dieu...,
x ont parlé. Je demande donc a M. le Préfet de la Seine, vu nom des médecins attachés aux traditions et au nom des malades, qu
absolument médical, absolument scientifique. En dehors de quelques médecins et de- quelques élèves en médecine, il y avait M.
uis point inquiet, car je m'en rapporte a l'honneur professionnel dis médecins des hôpitaux. On ne saurait confondre les spect
trale, nous avons repoussé cette interprétation étroite que les seuls médecins devraient pouvoir assister aux expériences de cet
avants contrôlent le vérité de cette opinion et que non seulement les médecins , mais encore les magistrats et tous ceux qui peuv
e l'innocuité de ces expériences, s'est adressé pour cela a plusieurs médecins . Les uns ont déclare qu'elles étaient dangereus
les étaient dangereuses, d'autres qu'elles étaient sans danger. Les médecins n'étant pas d'accord sur ce point, je me demande
t pas la question ! M. DESCHAMPS. — Ne demandez donc pas l'avis des médecins ! M. Albert PÉTROT. — Ne les consultez pas sur u
L'incident est clos. POLÉMIQUE L'interdiction de l'hypnotisme aux médecins militaires. Nous avons déjà exprimé une partie
é une partie de nos impressions au sujet de l'inter-diction faite aux médecins militaires de recourir á l'hypnotisme pour quel q
igence dans les précautions antiseptiques. Certainement, il y a des médecins qui ne peuvent faire de l'hypnotisme sans provoqu
oumis à la chloroformisation, en a-t-on pris texte pour interdire aux médecins militaires l'emploi du chloroforme? Aussi somme
légendaire, dont fourmillent nos régiments, parait-il. Pour tout bon médecin militaire la peur du carottier est le commencemen
otisme, à ses pompes et à ses œuvres. Il y a quelques jours, un des médecins les plus distingués du Val de tGrâce, M. le profe
bourrés de faits indiscustables et scientifiquement constatés par les médecins de Nancy. La condition seconde et les états ana
uable rapport lu à l'assemblée générale de l'Association générale des médecins de France a exprimé l'idée que, pour arriver au r
la justice. Il ne s'agit pas, dans notre pensée, de créer un ordre de médecins , fonctionnaires a demi, encore moins défaire revi
n état n'inspire aucune nquiétude. Interdiction de l'hypnotisme aux médecins de marine Voici a titre de document le texte de
comme ayant quelque valeur, c'est celui qui consiste à interdire aux médecins de la marine toute recherche faite dans un but sc
Expériences d'hypnotisme à l'Hôtel-Dieu de Paris Ce mois-ci, les médecins de l'Hôtel-Dieu de Paris ont convié M. Bernheim A
ns reconnu M.Alexandre Dumas, MM. les docteurs Dumontpellier, Mesnet, médecins A l'Hôtel-Dieu. M. le professeur Proust, M. le do
U SECOND DEGRÉ PROVOÛUÉE PAR SUGGESTION Par le docteur J. RYBALKI Médecin de l'hôpital Marie à Saint-Pétersbourg Pendant
sme. A notre retour à St Pétersbourg, dans la réunion d'octobre des médecins de l'hôpital, nous avons pu les exposer presque t
es exposer presque tous à nos collègues de l'hôpital et à beaucoup de médecins qui suivent notre clinique des maladies nerveuses
rre Janet est l'œuvre d'un philosophe, non d'un métaphysicien ou d'un médecin . Ce n'est pas à dire que les métaphysiciens et le
en ou d'un médecin. Ce n'est pas à dire que les métaphysiciens et les médecins n'y puissent rien apprendre: loin de là, les prem
point à eux qu'il s'adresse spécialement. L'auteur remercie fort les médecins qui ont mis à sa disposition leur science patholo
ont que faire avec l'hystérie a dù sembler une absurdité. Beaucoup de médecins , fidèles aux doctrines orthodoxes de Charcot, con
ns à signaler que le savant psychiatre Aug. Voisin, élève de Charcot, médecin de la Salpètriere, quoique admettant les trois ét
des résultats beaucoup plus favorables que M. Forel. La plupart des médecins français et étrangers ont reconnu ouvertement lor
à l'état de veille. Cet état de choses doit paraître un avantage au médecin qui se propose de guérir son malade par suggestio
e trouve augmentée non seulement vis à vis la suggestion salutaire du médecin mais vis à vis toute autre et surtout vis à vis 1
te, la malade ne sait pas vouloir ou sa volonté agit à rebours. Si le médecin parvient à dominer complètement la vie psychique
rd (4), directeur de l'asile de Prèfargier, en Suisse, M. Briand (5), médecin de l'asile de Villejuif M Répoud (5) de l'asile d
ions, la mélancolie passive, dans une manie puerpérale très aigûe. Le médecin de la Charité, M. Luys, dans son livre déjà cité
ex-garçon épicier, ouvrit à son tour un cabinet de consultations sans médecin pour le couvrir, et, dés les premiers jours de so
ations. Espérant éviter la contravention, ils cherchèrent de suite un médecin , et ils trouvèrent un docteur, du nom de Carlier.
choofs (de Nivelles). Des expériences auxquelles se sont livrés les médecins légistes, il résulte A l'évidence que Vandevoir s
états, comme sans valeur aucune. Mais, comme l'ont fait ressortir les médecins experts, ce en quoi il avait maladroitement éduqu
ignages de nombreux malades traités, et les expériences faites parles médecins légistes démontrèrent qu'il était dons les habitu
arlier. étaient à la hauteur de ses diagnostics. Depuis l'entrée d'un médecin dans l'association, elles étaient très correcte s
un médecin dans l'association, elles étaient très correcte s; mais le médecin se bornait à les écrire sous dictée et à les sign
Masoin a stigmatisé, au nom du Corps médical belge, la conduite d'un médecin qui déshonore son diplôme en s'associant A des es
e docteur Carlier, pour les infrections postérieures à l'entrée de ce médecin dans l'association. Nous ferons connaître plus. t
ications de l'hypnotisme. Ces leçons sont exclusivement destinées aux médecins et aux étudiants en médecine. Congres annuelle
191. Fous et l'hypnotisme (les) 188. Cabrielle Bompart (opinion des médecins sur l'état mental de) 227, 266. Genèse des idée
la menstruation, par Gascard, 100. Interdiction de l'hypnotisme aux médecins militaires (l') par Bérillon, 344. Interdiction
militaires (l') par Bérillon, 344. Interdiction de l'hypnotisme aux médecins de la marine, 349. Interdiction des séances pub
6 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
decine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Anne). F. RAYMOND
coloré par l'héma- toxyline. ' Nous remercions ici M. Flippe ! , médecin des hôpitaux, qui nous a guidé dans cet examen.
UES NORMAUX ET PATHOLOGIQUES 3 ; Par le D" SERGE SOUKIIANOFF, , Médecin de la clinique psychiatrique de Moscou. II La
sensibilité aurait été constatée encore à l'âge de sept ans par les médecins de l'Enfant-Jésus, où entrée pour la difficulté
gnés les actes du malade, et d'après un cer- tificat signé par deux médecins spécialistes en aliénation mentale. Notificatio
as obs- , curs et difficiles, elle subordonne l'examen fait par des médecins compétents à un jury composé de personnes étran
struction d'un hôpital, fait d'un courage inouï à une époque où les médecins eux-mêmes, qui traitèrent plus tard les pension
les uns sur les autres. Le personnel était plus que rare ; quant au médecin , le Dr Ortiz, toute autorité, tout contrôle lui
ême une ceinture de fer à laquelle étaient fixées des menottes. Les médecins , toujours impuis- sants et tenus à l'écart, mal
'avaient aucune influence ; et d'ailleurs, que pouvaient faire deux médecins pour 567 malades, même dans de meilleures condi
onome. La première chose à faire serait de donner plein pouvoir aux médecins et d'augmenter leur nombre, de prendre 50 infir
sensée beaucoup plus qu'un lieu de traitement pour des malades. Les médecins eux-mêmes favorisent trop cette façon d'agir en n
u nombreuses. Pour lui, chaque colonie devrait avoir à sa tête un médecin qui en habiterait le centre, elle ne comprendrait
rrait le per- mettre, ils subiraient le plus possible le contact du médecin et y trouveraient une existence aussi familiale
l ne croit pas y être tenu, car c'est comme publiciste et non comme médecin qu'il a fait son SOCIÉTÉS savantes. 67 enquêt
u d'en parler, parce que, malgré tout, il ne peut oublier qu'il est médecin . S'il n'a pas attendu la mort de M. Zola pour p
ertains membres des corps élus, qui insistent volontiers auprès des médecins pour obtenir la sortie d'individus dont ils ne
regrette aussi qu'il se présente parfois des cir- constances où le médecin , ayant la main forcée, finit, de guerre lasse,
elle-même, constituer une oeuvre d'art. Responsabilité pénale des médecins dans la répartition des aliénés travailleurs. L
t des choses importantes, ignorées du sujet et de la famille que le médecin découvrira et qu'il ne pourra divulguer parce q
'on déclare atteints de micronéisme, sinon d'incapacité, contre les médecins réfractaires à certaines idées et classés, avec
ux et précieux documents. Paul Cornet. VARIA. VIII0 Congrès DES médecins aliénistes ET NEUROLOGISTES. Nous rappelons à n
louse, le lundi 2 août 1897, sous la présidence de M. le Dl' Ritti, médecin de la Maison nationale de Charenton. Adresser, dè
faits qui sont très communs. On ignore danslepuhlic et beaucoup de médecins partagent cette ignorance qu'il est possible d'
1897. Société d'éditions scientifiques. l'ATAUT (V.). Congrès des médecins aliénisles et neurologistes de France. Huitième
est qu'apparente. J'avoue que je la croyais plus profonde, et entre médecins d'autorité clinique telle, que cela me peinait
C : 11RN. (The Journal of Mental- Science, janvier 1897.) L'auteur, médecin de la prison de Ilolloway, qui correspond à peu
XVIII, liv. I, 1896.) Conclusions : c'est à tort qu'on reproche aux médecins de con- sidérer les processifs comme des aliéné
on sexuelle et toute réforme préventive sera difficile tant que les médecins ne seront que des instruments dans les mains de
Cet essai dura plusieurs semaines le malade s'en trouvant bien, le médecin crut pouvoir remplacer complètement la morphine p
ublic et la défense firent subir à la femme de l'aliéné et aux deux médecins un interrogatoire et un contre-interrogatoire.
alades et les aliénés, sera donné, à des heures déterminées, parles médecins les plus anciens et les plus expérimentés de l'
es l'appui de toutes les bonnes volontés, en particulier celles des médecins et notamment desalié- nistes auxquels elle fait
es excès des parents, portent tous dans leur sein un poison dont le médecin est impuissant à arrêter les effets; c'est parm
e procureur de la République, assisté du juge d'instruction et d'un médecin . » Ces deux faits démontrent une fois de plus l
tet et Toulouse, médecins-adjoints de l'asile, faisant fonctions de médecins en chef. Thomas (A.). Le Cervelet. Étude anat
RT DU D'' DUBIEF A LA CHAMBRE; . Par le D' 11AISAVDON DE MONTYEL, Médecin en chef de Yille-Elrard. Il y a d'excellentes c
inistratifs, non pourvus d'un diplôme de docteur en médecine et les médecins adjoints. Depuis des années je clame que l'adju
conflits. Mais j'ai trop écrit déjà sur ce sujet pour y revenir. Le médecin adjoint qui, dans l'état actuel, dit le Dr Dubi
la plupart des cas réduit au rôle de chef interne, adversaire né du médecin en chef, recruté dans des concours où ce qui ma
à tenir rang entre l'économe et le receveur, serait remplacé par le médecin traitant qui aurait, de par le concours, le dro
rapporteur continue en ces termes : « Est-ce qu'on ne donne pas aux médecins des hôpitaux le droit, dès le lendemain de leur
es questions médicales, non pas pour intervenir dans le service des médecins traitants qui doivent rester, sous leur respons
e de la dualité des pouvoirs qui met face à face le directeur et le médecin en chef est détestable; c'est la cause constant
alades qu'on se bat. Chaque asile doit donc avoir pour directeur un médecin . Chaque division médicale doit avoir pour chef
ecteur un médecin. Chaque division médicale doit avoir pour chef un médecin traitant, » 1 Voir dans la Tribune médicale de
ni directeur-médecin en chef, ni direc- teur administratif avec des médecins en chef ses égaux, mais un médecin-directeur en
d'être muni d'un diplôme de docteur en médecine; sup- pression des médecins adjoints; tout le reste est identique. Il en ré
rvices et la dualité ; après comme avant il y aura des direc- teurs médecins en chef mais sans adjoints et des directeurs ad
n chef mais sans adjoints et des directeurs administratifs avec des médecins en chef, mais ces directeurs administratifs ser
e entre les mains desquels sera centralisée toute l'autorité et les médecins en chef ne seront plus que des subordonnés, de
les médecins en chef ne seront plus que des subordonnés, de simples médecins traitants, libres sans doute de saigner, purger
onflits sont très fréquents avec un directeur administratif qui est médecin ils sont cer- tains et à brève échéance. Le Dl'
ment moral de l'aliéné, si capital en l'espèce, sera impossible; un médecin dans ces conditions d'infériorité sera 208 ASIL
qu'il jugera la meilleure, et comme en somme c'est lui qui sera le médecin , qui seul traitera les aliénés, ceux-ci ne sero
n. Mais tous demande- ront à passer le plus tôt possible directeurs médecins en chef, puisque la réunion des services se tro
ser de nouveau le fardeau administratif. Qu'on en soit certain, les médecins traitants du D'' Tubief ne seront jamais que de
ieux qu'un tel système ». Car, je le répète, il n'y aura plus comme médecins traitants que des débutants et tous les aliénis
l'expérience est con- cluante : ,sans conteste le directeur tue le médecin . Je n'en connais que deux exceptions : Parchapp
art les deux que j'ai cites, tous nos grands aliénistes ont été des médecins en chef depuis Pinel et Esquirol, jusqu'à nos j
des médecins en chef depuis Pinel et Esquirol, jusqu'à nos jours ; médecins en chef étaient Georget, Foville père, Leuret e
qu'à l'étranger la grande majorité des asiles sont dirigés par des médecins . (B.) LE PERSONNEL DES ASILES PUBLICS D'ALIÉNÉS
r aux mains duquel il met toute l'autorité, et qui sera le chef des médecins traitants ? Son recrutement n'est pas prévu, do
lôme de docteur en médecine. Ainsi le projet de loi prévoit pour le médecin traitant, qu'il place en sous-ordre, deux conco
'élite. Quoi qu'il en soit, il n'est pas admissible qu'on oblige un médecin à passer par deux concours pour faire de lui le
passer par deux concours pour faire de lui le subordonné d'un autre médecin n'ayant peut-être jamais mis les pieds dans un
ntourer sa nomination de plus de garanties encore que celle de leur médecin traitant. Si le système proposé par le Dl' Dubi
les fonctions de directeur administratif seraient remplies par un médecin aux mains duquel serait toute l'autorité, il sera
médecine ayant subi avec succès les deux concours d'interne et de médecin en chef. De cette façon sa nomination serait régu
çon sa nomination serait régulière et il serait plus facile pour le médecin traitant d'être son subordonné et encore, ce qu
lus en sous-ordre. Aujourd'hui il est permis de rester toute sa vie médecin en chef occupé exclusivement de recherches scie
désormais, par toute la France, chaque asile aura pour directeur un médecin à qui sera confiée toute l'autorité et chaque d
à qui sera confiée toute l'autorité et chaque division pour chef un médecin traitant, les uns et les autres recrutés toutef
pour- suivre des travaux scientifiques serait contraint de rester médecin traitant et en sous-ordre ; aussi ces deux corps
ent, comme s'entre-dévoreront d'ailleurs le médecin-directeur et le médecin traitant du D'' Dubief, que mon savant ami en s
cherche partout la place du directeur et je rie trouve que celle du médecin ; seulement le remède qu'il propose n'est pas l
nuire au trai- tement des aliénés, réunion des services qui tue le médecin pour ne laisser subsister que le directeur, qui
tratif à l'élément médical. La Commission de la Chambre supprime le médecin en chef qu'elle transforme 'en médecin traitant
on de la Chambre supprime le médecin en chef qu'elle transforme 'en médecin traitant placé sous la coupe du directeur. Mais
er et à remplacer par un préposé responsable placé sous la coupe du médecin en chef, solution qui d'ailleurs n'est pas mien
un asile doit être médicale, or, je le lui demande, n'est-ce pas le médecin traitant qui est le plus à même, de l'imprimer.
a-t-il pas plus apte à cette besogne que- le directeur qui, quoique médecin , sera avant tout un adminis- trateur et même ig
maître des services généraux qu'il dirigerait à son idée comme les médecins seraient les maîtres des quartiers qu'éga- leme
directeur dans 'les 212 ASILES d'aliénés. services médicaux : un médecin veut renvoyer un gardien que le directeur tient
ef, parce que, s'il a le droit de s'immiscer dans les quartiers, le médecin n'a pas le droit, lui, de s'immiscer dans ces s
n n'a pas le droit, lui, de s'immiscer dans ces services-là. Que le médecin soit, de son côté, seul maître chez lui, qu'il
traitement des aliénés et aux travaux scientifiques, qui laisse au médecin en chef la latitude d'être quelqu'un et d'impri
e dans notre pays, un asile où il sera à la fois le directeur et le médecin . J'ajouterai cependant que je n'ai point caché
ans son esprit et dans l'esprit de la Commis- sion m'a-t-il dit, le médecin en chef ne serait pas le subordonné du médecin-
était le meilleur moyen d'as- surer l'exécution rapide des vues des médecins traitants, un docteur en médecine, même choisi
méde- cins-directeurs qui voudront non pas accepter les idées des médecins traitants mais imposer les leurs. Et puis sans vo
différends entre médecins-directeurs 2)4 4 asiles d'aliénés. et- médecins en chef, on ne trouverait bientôt plus personne
vis du Conseil supérieur d'ordonner la disjonction des fonctions de médecin en chef et de directeur, le nouveau projet de l
les grands asiles de France, et la création d'autant de postes de médecins en chef qu'il y aurait de 300 à 400 aliénés à tra
é, qui supporte les conséquences, et des luttes entre directeurs et médecins quand les services sont divisés, et de l'absorp
et médecins quand les services sont divisés, et de l'absorption du médecin par le directeur quand les services sont réunis
partie tout au moins du service médical pour la confier à un jeune médecin qu'on appellera médecin trai- tant ou médecin a
service médical pour la confier à un jeune médecin qu'on appellera médecin trai- tant ou médecin adjoint faisant fonction
la confier à un jeune médecin qu'on appellera médecin trai- tant ou médecin adjoint faisant fonction de médecin en chef, le
appellera médecin trai- tant ou médecin adjoint faisant fonction de médecin en chef, le nom importe peu. On voit à quelles
ment médical, comme aujourd'hui dans les hôpitaux militaires, et un médecin en chef maître absolu dans son service et de so
Le Sénat, avec raison, confiait exclusive- ment au directeur et au médecin en chef la nomination des préposés-gardiens et
le maintien de l'état de choses actuel. De même le directeur et le médecin en chef ne seront plus les maîtres absolus de l
citrants, les chefs d'atelier plus encore que ceux-là vis-à- vis du médecin et du directeur dont ils n'ont plus à redouter
e donc de reprendre le texte du Sénat qui laisse au directeur et au médecin en chef le libre choix de leur person- nel. On
la commission de surveillance auxquels il conviendrait d'ajouter le médecin puisque c'est surtout sous ses ordres qu'est pl
du ministre de l'Intérieur comme on a un corps de directeurs et de médecins ? Avec la nomination par le Préfet le fonctionn
selon les besoins du service comme il déplace les directeurs et les médecins . Il v aurait en outre des avan- tages à recrute
, à tous égards. ils sont assimilés aux internes en médecine et aux médecins . Je trouve cela très juste. A mon avis les écon
ns son rapport le Dl' Dubief demande que.le 220 ASILES d'aliénés. médecin traitant soit assimilé absolument aux médecins de
220 ASILES d'aliénés. médecin traitant soit assimilé absolument aux médecins des hôpitaux dans les centres d'enseignement et
s à l'établissement dans les asiles isolés en pleine campagne où le médecin n'a d'autres ressources que sa fonction. Ce sys
nts au delà de la mesure tolé- rable d'avoir le nombre suffisant de médecins pour ne voir plus aux mains d'un seul médecin 8
nombre suffisant de médecins pour ne voir plus aux mains d'un seul médecin 800 et 900 malades qui ne peuvent être, à ce co
tre part que pour être un bon aliéniste il faut être d'abord un bon médecin ; non seulement parce qu'il est incontestable qu
praticien adonné à la clientèle pour gagner sa vie, tout à la fois médecin , chirurgien, gynécologiste, accou- cheur, que s
ument indispensable de se spécialiser. Voilà pourquoi, à Paris, les médecins des hôpitaux refusent systématiquement les cons
21 1 les posséder en ne s'occupant jamais de médecine, de même le médecin d'aliénés les aura en se consacrant exclusivement
grandes villes, à faire vivre son homme. Du moins la pratique du médecin et du chirurgien profite à sa science, tandis que
pour que le service de l'asile soit chose secondaire aux yeux de ce médecin à la tête d'une belle clientèle et qu'il se bor
à bien soigner les aliénés qu'à la condition de vivre avec eux. Le médecin a vite fini de diagnostiquer le mal de son mala
ire dans l'exposé de motifs d'une assimilation complète .avec les médecins des hôpitaux; nous sommes donc fondés, par mesure
, mais que la division soit de droit dans les grands asiles avec un médecin en chef secondé par deux internes pour 300 alié
rétaires et des surveillants en chef; enfin que le directeur et les médecins soient les maîtres absolus de leur personnel se
établissements hospitaliers est fout à fait défectueuse. Le rôle du médecin y est secondaire alors qu'il devrait être prédomi
, gâtés depuis par des adjonctions successives, entre les mains des médecins . Nous n'avons pas été suffisamment soutenus dan
et ces grands asiles administrés par une commission composée des médecins , du pharmacien, de l'administrateur et de l'écono
et plus consi- dérable s'il n'y avait pas de concours : quantité de médecins n'hési- teraient pas à se présenter. Le concour
ucune expérience des asiles et des aliénés, ont causé préjudice aux médecins nommés à la suite de plusieurs concours, et ont
USE, 1897.) Le lundi 2 août a été ouvert à Toulouse, le Congrès des médecins aliénistes et neurologistes des pays de langue
ance publique, délégué par le Ministre de l'Intérieur, et Marveaux, médecin principal. M. le D'' Ritti a pris le premier la
nous permettent pas de. reproduire en entier le discours du savant médecin de Charenton. En voici le résumé : « Mesdames,
uel il s'était lié d'une étroite amitié, Pinel accepta d'être nommé médecin de l'hospice de Bicêtre; il entra en fonctions
ts de l'aliéné à la sympathie universelle et, aussi, les devoirs du médecin envers ce malheureux blessé de l'intelligence.
ude doit être inces- sante et inaltérable; que de fois cependant un médecin aliéniste est obligé de s'armer de sa bonté, co
x qui ont prêté au Congrès un appui moral ou matériel, le distingué médecin de l'Asile de Charenton, termine par cette éloq
vre de Pinel est le fondement assuré de la gloire persistante de ce médecin illustre : « Pourtant, il faut bien le dire,
édecin illustre : « Pourtant, il faut bien le dire, le savant, le médecin , n'attei- gnirent pas chez Pinel à la célébrité
lique; Labéda, doyen de la Faculté de médecine de Toulouse; Faire[, médecin de la Salpêtrière. Première QUESTION : - Para
la précédente et arrive jusqu'à nos jours, comprend les travaux des médecins d'enfants. Nous n'insisterons pas sur les err
n- naître qu'en présence d'accidents nerveux chez les enfants les médecins manquent le plus souvent de données suffisantes p
pratique sur lequel il convient je crois d'appeler l'attention des médecins , parce que lorsque ces accidents sont traités p
es ont évolué et l'hypnotisme, tel que l'envisagent aujourd'hui les médecins qui s'adonnent à la pratique de la psychothérap
avec le plus grand soin au réveil complet du sujet. Bien plus, les médecins adonnés à la pratique de la psy- chothérapie sa
ormais à l'abri de toute autre influence suggestive que de celle du médecin , agissant dans un but purement thérapeutique. D
C'est à peine si deux ou trois faits ont été publiés, et encore un médecin compétent aurait su guérir le sujet en une seule
Ce qui est plus exact, c'est qu'il y a chez un cer- tain nombre de médecins une véritable hypnophobie. Il est juste de reco
psychothérapie, telle qu'elle est pratiquée par un grand nombre de médecins en France et à l'étranger. Une autre objection
légitime, s'ils ajoutaient que ces accidents seront imputables aux médecins , qui auront appliqué l'hypnolisme sans avoir la
ale, qui leur font réaliser des hallucinations. Entre les mains des médecins , qui appliquent la suggestion hypnotique en se
en fournit la démonstration la plus frappante. Il appartiendra au médecin de montrer qu'il n'est pas étranger aux enseignem
it être confié, dans chaque asile public d'aliénés, à un directeur- médecin , assisté d'un ou plusieurs médecins adjoints, d'u
ublic d'aliénés, à un directeur- médecin, assisté d'un ou plusieurs médecins adjoints, d'un ou plu- sieurs internes et d'un
clinique deviendrait directeur-médecin, ayant à sa disposition deux médecins adjoints, dont l'un, le chef de clinique, serai
gations légales du service médical. En cas de besoin, le nombre des médecins adjoints pourrait être doublé par des assistant
médecine ayant été internes dans les asiles publics d'aliénés. Les médecins adjoints, nommés par un concours unique pour to
lacés par le ministre de l'Intérieur à la disposition du directeur- médecin (Constans). C'est parmi les médecins adjoints que
à la disposition du directeur- médecin (Constans). C'est parmi les médecins adjoints que seraient pris, par ordre de mérite
nomination, ou pour des services autres que ceux dévolus aux seuls médecins adjoints. Les internes seront nommés, par suite d
privilège exclusif de pouvoir concou- rir pour obtenir le titre de médecin adjoint. Dans les asiles trop éloignés du siège
culté de médecine, l'interne pourrait être remplacé par un deuxième médecin adjoint. Dans le plus bref délai, et en attenda
istre de l'Intérieur, comme pour les asiles départementaux, par des médecins nommés par lui et ayant la même origine, le mêm
Les certificats de vingt-quatre heures et de quinzaine faits par le médecin de l'établissement pourraient être faits par un
aits par le médecin de l'établissement pourraient être faits par un médecin de l'établisse- ment. Le règlement du service i
que médicale, un laboratoire et une salle d'autopsie permettant aux médecins et aux internes de se livrer à des recherches s
déclare qu'il est partisan du main- lien du statu quo. Si quelques médecins , a-t-il dit, peuvent être en même temps de bons
nistratives ; il est donc juste d'avoir deux catégories d'emploi, médecin directeur d'une part', médecin en chef de l'autre
te d'avoir deux catégories d'emploi, médecin directeur d'une part', médecin en chef de l'autre, répon- dant à cette diversi
Tous les orateurs, sans exception, ont réclamé la direction pour le médecin , et le désaccord n'a eu lieu que sur quelques poi
t la chose avait lieu, il conviendrait de donner aux professeurs un médecin adjoint spécialement chargé de les seconder dan
IÉTÉS SAVANTES. M. Giraud rappelle que dans la Seine-Inférieure les médecins adjoints assistent aux commissions de surveilla
les questions vitales qui se tranchent dans les commissions que les médecins adjoints peuvent le plus facilement acquérir le
e terrain, il a constaté que la séparation de l'au- torité entre le médecin et un fonctionnaire entraînait la division de l
médicaux, par suite de la difficulté de hiérarchiser entre eux les médecins traitants. En outre, il estime que les professe
- nistrative qui incombe à un directeur. Le mode d'avancement des médecins adjoints a été mis en jeu par M. Brunet qui a d
ints a été mis en jeu par M. Brunet qui a demandé que les places de médecin directeur ne soient attribuées qu'à la suite d'
qu'à la suite d'un concours. La même opinion a été soutenue par un médecin adjoint, M. ANGLADE (Toulouse). Ces proposition
x pour la bonne exécution du service, en augmen- tant le nombre des médecins qui devrait être calculé à raison de 1 pour 100
rait être calculé à raison de 1 pour 100 malades. Suppression des médecins adjoints, et création de « médecins SOCIÉTÉS SA
ur 100 malades. Suppression des médecins adjoints, et création de « médecins SOCIÉTÉS SAVANTES. 269 * 1 d'asiles » analo
médecins SOCIÉTÉS SAVANTES. 269 * 1 d'asiles » analogues aux Il médecins des hôpitaux ». Adjonction à chaque médecin d'a
les » analogues aux Il médecins des hôpitaux ». Adjonction à chaque médecin d'asiles d'un assistant, « médecin interne », pri
hôpitaux ». Adjonction à chaque médecin d'asiles d'un assistant, « médecin interne », pris s au choix parmi les internes d
ns deux ans de service dans' les asiles. Nomination à l'emploi de « médecin d'asiles » par un concours réservé aux « médeci
on à l'emploi de « médecin d'asiles » par un concours réservé aux « médecins internes ». Concours annuel d'internat auquel n
serait de deux années. Augmentation progressive du traitement des « médecins internes ». Les médecins d'asiles formeraient d
gmentation progressive du traitement des « médecins internes ». Les médecins d'asiles formeraient deux corps, l'un affecté au
et que l'open-cloor n'a rien à voir avec la question du nombre des médecins traitants. M. le Dr Dubois, président du Consei
a parlé de stastistiques étrangères rela- tives à la proportion des médecins d'asiles par malades aliénés. Ces arguments, il
s grands services de Villejuif et de Ville-Evrard à Paris, où les médecins adjoints ont été érigés en médecins traitants pou
de Ville-Evrard à Paris, où les médecins adjoints ont été érigés en médecins traitants pour le plus grand bénéfice des malad
Il y a quelque trente ou quarante ans florissait le baron Mundy, médecin philanthrope, riche seigneur en Moravie et grand
t dire que « nos asiles sont des fabriques d'incurables » ; que les médecins ne sont que des « fabricants de chroniques ». C
ne guérissent pas, la faute en est à l'apathie ou à l'ignorance des médecins encroûtés dans leurs pré- jugés, ou encore à la
ur leur entourage ou pour l'ordre public. J'ai toujours entendu les médecins déplorer cet état de choses, disant qu'en tarda
ant des asiles de 900 malades, nous a fort bien démontré que, si le médecin veut donner seulement deux minutes par semaine
a besogne fastidieuse et inutile de se répéter ? Exigeriez- vous du médecin d'un bureau de bienfaisance d'aller visiter chaqu
isait pouvoir suffire à un service de 900 pensionnaires aidé par un médecin adjoint et des internes, mérite les sarcasmes d
s. Le soin de 1000 aliénés étant une tâche trop lourde pour un seul médecin , il n'y aurait qu'à faire deux services de 500
n'y aurait qu'à faire deux services de 500 chacun et de nommer deux médecins . M. Marandon, qui a tous les héroïsmes, a prêché
indispensables à tout service d'aliénés ? Or, pour donner à chaque médecin ces organes indispensables, il ne peut être quest
ies ; 276 SOCIÉTÉS SAVANTES. mais là où nous nous contentons d'un médecin directeur, d'un adjoint et d'un ou deux interne
internes, ils ont un personnel plus nom- breux. A côté du directeur médecin en chef, ils ont deux, trois, quatre médecins,
x. A côté du directeur médecin en chef, ils ont deux, trois, quatre médecins , chargés chacun d'une partie déterminée du ser-
ette organisation la hiérarchie est scrupuleu- sement conservée, le médecin en chef directeur est seule respon- sable ; tou
sous son contrôle. Chaque matin après la visite, -chacun des autres médecins vient lui rendre compte de ce qu'il a fait, lui
n aura jamais assez. Entre deux maux il faut choisir le moindre. Le médecin d'un grand service ne peut pas connaître tous s
endre une autorité qu'ils ne doivent pas avoir ; c'est à eux que le médecin se voit dans la nécessité de s'adresser pour avoi
province où les services d'hommes et de femmes sont confiés au même médecin . M. B. Séance du 26 juillet 1897. - Présidence
. A. Voisin se montre étonné de la façon dont M. Toulouse parle des médecins aliénistes. I ! a assisté aux visites des Moreau
oisin qui n'a qu'un petit service. Il a voulu seulement dire que le médecin le mieux intentionné ne peut connaître huit cen
tous les aliénés de la même façon. Je lui citerai l'opinion d'un médecin en chef de Broadmoor qui prétend n'avoir donné se
ribuée à l'incompétence des administrations et non à la volonté des médecins . 1 Un malade atteint d'une pneumonie a besoin d
s observa- tions et faciliter ainsi la connaissance des malades aux médecins en chef. S'ils ne font pas leur service, ce son
nce absolue d'un chef. J'ajouterai à propos de rOpen-llo01' que les médecins anglais n'ont jamais voulu l'appliquer. Ils con
VANTES. 279 très grande liberté. Je regrette, pour ma part, que les médecins ordinaires ne connaissent pas mieux l'aliénatio
les asiles où je me suis trouvé, soit en qualité d'adjoint, soit de médecin en chef, j'ai toujours constaté que les médecin
préfet de police ne reconnaît pas les sorties provi- soires que les médecins autorisent sur leur entière responsabilité. M.
uprès des surveillants. Cette critique fait sourire. A moins que le médecin ne soit lui-même surveillant, reste toute la jo
la sécurité des malades, pour la sécurité de ceux qui les soignent, médecins ou infirmiers, reli- gieuses ou infirmières, qu
857 ET L'ORGANISATION MEDICO-ADMINISTRATIVE ; Par le D' TAGUET, Médecin en chef de l'asile de \'aucluse. Dans un précéd
al de la Seine, la Société médico-psychologique et le Congrès des médecins aliénistes. Il nous a paru que dans une discussio
e avantageuse obtenue à la faveur de recommandations puissàntes. Le médecin , lui, ne peut être chargé d'un service médical
De là une source de difficultés et les attaques contre lesquels les médecins sont souvent obligés de lutter. . « Les direc
e peuvent être, en effet, responsables de mesures prescrites par le médecin chef de service. « A quels titres veulent-ils a
l attaché à ces derniers services est sous la dépendance absolue du médecin en chef seul responsable puisque c'est lui qui
qui souvent ne prend conseil que d'eux seuls. Ils ne font alors aux médecins de communications qu'autant qu'ils y sont oblig
n'est pas assurément les directeurs d'asiles, c'est une phalange de médecins distingués qui s'ap- pellent : Pinel, Esquirol,
e de Boismont, Baillarger, Dela- siauve, Morel, Renaudin, etc... Le médecin a en effet son rôle bien marqué dans l'asile ou
nés à tourner dans un cercle avec un seul objectif à atteindre : le médecin . En ce qui me concerne, j'ai eu l'honneur et pe
urs eux-mêmes. Écoutez cet aveu de M. Guignard, le grand tombeur de médecins , au lendemain de sa mise à la retraite : « La d
us dire : C'est moi qui suis Guillot, le berger de ce troupeau, mes médecins , mes gardiens, mon cocher particulier, mon chev
pouvoirs publics, jusqu'au jour tout récent, où sous la poussée de médecins jeunes et ardents le règlement du 20 mars 1857
, avec le règlement du 20 mars 1857, pour donner au directeur et au médecin la part de responsabilité et d'attributions qui
s de service sont nommés par le directeur, sur l'avis conforme du médecin en chef. - Voyons comment se passent les choses,
, à la visite, le surveillant en chef présente le nouveau venu ; le médecin constate qu'il n'est ni manchot, ni boiteux, qu
spéciales ? Quels sont ses antécédents ? Autant de questions que le médecin peut se poser, mais qu'il ne peut résoudre, le
its relatifs à ce service que sur la demande ou l'avis préalable du médecin en chef». Mieux que tout autre, en effet, le mé
s préalable du médecin en chef». Mieux que tout autre, en effet, le médecin est placé pour apprécier, juger, raisonner le d
ur où le dissentiment sera porté devant le préfet; à moins que le médecin n'arrive à se désintéresser de tout; à tout prend
i la discipline des quartiers n'appartient-elle pas tout entière au médecin et quel besoin d'avoir le concours de directeur
dical sont nommés par le directeur sur l'avis et la présentation du médecin en chef. Article 1sus. - Les peines disciplinai
ce médical pour faits relatifs à ces services sont prononcés par le médecin en chef, le directeur veille à leur exécution.
l'autorisation de visiter est une chose exclusivement médicale, le médecin seul connaissant ses malades, le plus sage sera
nt croire que l'idée de malade évoque tout naturelle- ment celle de médecin ayant exclusivement la responsabilité des visit
ment fâcheux, le directeur ne manquera pas de s'abriter derrière le médecin et il aura, cette fois raison; ce qui prouve qu
met, aux familles qui les demandent, des bulletins rédigés par le médecin en chef, constatant l'état physique et moral des
isa; ils complètent,' ' commentent le bulletin sous la signature du médecin . Mais cela, monsieur le directeur, s'appelle, j
ur, elles sont décachetées par le directeur, et remises ouvertes au médecin qui est chargé de les faire parvenir aux intére
qui ne peuvent être remises sans de graves inconvénients, dont le médecin doit rester seul juge; mais je reconnais aussi,
qui n'est pas prévu est à nous. Les conflits entre directeurs et médecins , dont quelques- uns feraient la fortune d'un va
s je ne sais quel entraîne- ment qui les pousse à voir, dans chaque médecin , un ennemi), que du règlement qui suscite des s
jours ainsi tant que durera un règlement qui semble fait pour des médecins directeurs. A force de vouloir créer un concert
i beau chercher le directeur, disait Falret, je ne ' trouve. que le médecin . » C'est là la formule qui devra ins- pirer les
PARALYSIES GÉNÉRALES PROGRESSIVES ; Par le D''ALEX vxuRE PARIS, Médecin en chef de l'asile de 3laréville-Nancv. Dans sa
, on la pique, elle reste insensible. Elle n'entend, ni ne voit. Le médecin qui soigne l'enfant porte le diagnostic ménin-
mêmes difficultés. Ce sont, à coup sûr, les malades qui exigeut du médecin l'observation la plus attentive, la plus minuti
l essentiel. P. RELLAY. XII. UN cas DE poliomyélite aiguë chez un médecin ; par le D1' GLO- , RIEUX. (Journal de Neul'olo
ypnologie, 1897, n° 10.) Le sujet de cette observation est un jeune médecin , âgé de vingt- six ans, qui, à la suite de gran
été observés à l'étranger. On ne saurait trop conseiller à tous les médecins d'examiner soigneuse- ment tous les' jeunes dém
ves. La première partie de ces observations a été établie par des médecins de la marine, des colonies ou de l'armée de terre
e la marine, des colonies ou de l'armée de terre; mais ces nombreux médecins ont vu la même chose, de telle sorte que toutes
psychiques dans la guérison du - coma éclamptique. M. Lafforgue, médecin militaire. De l'analyse de deux faits de ce gen
u développement des congrès généraux (comme celui de la Société des médecins russes, fondée en mé- moire du Dr Pirogof). L
grès spéciaux des aliénistes russes. Pendant le sixième congrès des médecins russes à Kiew (en 1896), les membres de la sect
1, CAMUSET était déjà un maître. . · Successivement attaché comme médecin adjoint et médecin en chef aux asiles de Vauclu
déjà un maître. . · Successivement attaché comme médecin adjoint et médecin en chef aux asiles de Vaucluse, Saint-Alban, Ca
pporteur d'une des questions mises à l'ordre du jour du Congrès des médecins alié- nistes de 1892 sur le délire de négation,
réparable pour ses élèves, ses amis, la psychiâtrie et le corps des médecins aliénistes. Les obsèques du regretté D1' CAMUSE
Larrieu, ancien maire de Bon- neval, représentant l'Association des médecins d'Eure-et-Loir, le Dl' Hiblot, ami du défunt.
ion de l'asile ; par M. le D1' Larrieu, au nom de l'Association des médecins d'Eure-et-Loir; par M. le D1' R. Charon, médeci
l'Association des médecins d'Eure-et-Loir; par M. le D1' R. Charon, médecin adjoint des asiles publics d'aliénés, au nom de
st promu à la classe excep- tionnelle (ler juillet); AI. DUBUISION, médecin en chef à l'asile cli- nique, estnomméàla class
ays et des résultats obtenus. Nous verrons bientôt, sans doute, des médecins envoyés en mission pour étudier à l'étranger la c
n « haut mal », et qu'elle n'a pas besoin du secours inutile de son médecin . J'avais constaté un retrécissement con- centri
ine est un accident fréquent chez les enfants hystériques. Culerre, médecin en chef de l'asile de la Boche- sur-Yon, en a s
deux acteurs dans ces diverses scènes, elle et moi, la malade et le médecin et un médecin très sceptique sur cette matière,
ans ces diverses scènes, elle et moi, la malade et le médecin et un médecin très sceptique sur cette matière, qui ne voudra
rvation 7) que le premier accès de méningisme avait été pris par le médecin pour une méningite tuberculeuse, et que ce méde
été pris par le médecin pour une méningite tuberculeuse, et que ce médecin avait compté, à son actif, une guérison (résult
e l'hystérie de l'âge viril exige une observation très attentive du médecin , car elle peut, s'il n'y prend garde, le dérout
ic ne semble pas d'une certitude absolue, la pru- dence commande au médecin de faire les plus grandes réserves, sans cela o
QUES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE ; Par le D' Alex. A1'IIAnASSIO, Médecin adjoint à l'asile d'aliénés de Marcoutza (Bucares
us l'inspiration de notre éminent maître, M. le professeur Obregia, médecin en chef et directeur de l'hospice 6lar- coutza.
les obstacles qui se dressent sur notre route. Ne voit-on pas les médecins supporter chaque nuit les conséquences de cette i
analogues; 5° il a rapporté des témoignages écrits, émanant soit de médecins con- nus, soit des malades eux-mêmes, prouvant
nue ; 48° il estime qu'il est facile de démontrer que beaucoup de médecins éminents qui étaient autrefois opposés à la maniè
la prison ou à la mai- son de correction qui les guette. C'est aux médecins qu'il appar- tient de renseigner les parents et
eptibles de l'écouter et de le comprendre. Le nombre très grand des médecins allemands, dont quelques congressistes français
ne façon qu'il sera difficile de sur- passer en 1900 à Paris. Les médecins allemands étaient groupés et marchaient en batail
de désespoir. Il dut se cou- cher en arrivant et envoya quérir son médecin . 2° Etat obsédnnt avec anxiété systématisée, ou
ls sont à bout de forces ou trop tourmentés qu'ils vont s'ouvrir au médecin , puisant dans cette confession, comme les neu-
ribution à l'étude de quelques obsessions; par MM. VALLON et Marie, médecins des Asiles de la Seine. D'une façon générale le
ue l'on voit pour la première fois ou plutôt dont on est le premier médecin . Le traitement institué dans ce cas sera toujou
classique, rationnel du reste, mais pour lequel l'enthousiasme des médecins a plutôt besoin d'être refréné qu'ex- cité. -
nul doute, à la fin de son internat, le concours pour les places de médecin adjoint l'eût trouvé prêt à affronter la lutte
t à affronter la lutte et à triompher. Hélas ! de cette carrière de médecin aliéniste qu'il voulait parcourir, il n'a pu fr
ric, directeur-médecin de l'asile d'Alençon, est nommé directeur- médecin de l'asile de Bonneval, en remplacement de M. CAM
re de cet établissement (0 octobre) ; M. le Dr DERico, direcleur- médecin de l'asile de Bonneval, est élevé à la 2e classe
ACROMÉGALIQUE; PAR LES DOCTEURS SAVOEL GARNIER, ET SANTENOISE, Médecin en chef. Médecin adjoint de l'asile de Saint-Ylie
PAR LES DOCTEURS SAVOEL GARNIER, ET SANTENOISE, Médecin en chef. Médecin adjoint de l'asile de Saint-Ylie. M... C..., fe
e de nombreuses illusions sensorielles, prend le directeur .pour le médecin de son pays et croit reconnaître des personnes
Par le D' F. DEVAY, Ancien chef de clinique des maladies mentales, médecin à ILl m.lison de santé de Saint-Jean-de-Dieu (d
igestion, qui était lente et pénible. Le traitement prescrit par un médecin a consisté dans une saison à Brides (Savoie). N
ait été rapide, 20 kilos en trois mois. Le malade consulte alors un médecin de Genève qui lui prescrit des antiseptiques in
antiseptiques intestinaux, de la noix vomique et de la pepsine. Ce médecin remarque la tuméfaction du corps thyroïde, à laqu
de suicide auxquelles il peut encore résister. Il est soigné par un médecin dans sa famille, pendant deux mois, sans résult
ile d'être fixé; le goitre, ignoré du malade, a élé constaté par un médecin , il y a trois ans, mais'il devait exis- ter dep
ils municipaux, encouragés et aidés par les juriscon- sultes et les médecins , parles sociologistes et les moralistes. Les mo
sultat de la pré- sence d'un serpent à l'intérieur de son corps. Le médecin entra dans ses vues; il la plongea dans le somm
le décret du 4 février 1875 relatif au cadre des directeurs et des médecins des asiles publics; vu l'arrêté du 8 octobre 18
Sainte-Anne) remplira les fonctions médicales et administratives de médecin en chef. z ART. 2. - Il sera tenu à l'accompl
décem- bre 1839. ART. 3. - Une indemnité égale à celle allouée au médecin du quartier des aliénés de la Salpêtrière sera
de la Salpêtrière sera accordée au professeur de la clinique comme médecin en chef d'un service public d'aliénés. ' ART.
rofesseur, le chef de clinique remplira les obligations imposées au médecin en chef du service ;il recevra une indemnité an
de clinique adjomt rem- plira par intérim les fondions dévolues au médecin en chef. ART. 5. - Le .conseiller d'Etat, direc
des mala- dies mentales, remplissait nominalement les fonctions dé médecin en chef du service de la clinique. Mais il étai
linique. Mais il était, au point de vue administratif, assisté d'un médecin adjoint responsable; et, ce qui à notre avis n'
être toléré, ces fonctions de médecin- adjoint faisant fonction de médecin en chef, étaient dévolues au chef de clinique,
i se trouvait par là bénéficier de la situation et des avantages de médecin adjoint sans avoir eu à subir les épreuves du c
e clinique remplira les fonctions médi- cales et administratives de médecin en chef; et ce n'est qu'en cas d'absence ou d'e
- nique n'étant plus considéré comme remplissant les fonctions de médecin adjoint et encore moins de médecin en chef, devra
mme remplissant les fonctions de médecin adjoint et encore moins de médecin en chef, devra, à l'avenir, s'il veut suivre la
vement. En ce qui le concerne, il s'est demandé si la suppléance du médecin en chef qui incombe au chef de clinique aux fer
la proposition de Ai., Bourneville. asiles d'aliénés. 531 RÔLE DU médecin adjoint dans LES ASILES. La situation des médec
és. 531 RÔLE DU médecin adjoint dans LES ASILES. La situation des médecins adjoints dans les asiles a été, dans ces dernie
djoints se plaignent de ne pas être suffisamment utilisés par leurs médecins en chef. Suivant nous, les médecins adjoints de
suffisamment utilisés par leurs médecins en chef. Suivant nous, les médecins adjoints devraient être des auxi- liaires actif
pecteur du service de santé, qui est sous l'autorité immé- diate du médecin en chef, reçoit ses instructions, lui rend compte
iennent compliquer les affections cérébrales, afin d'en informer le médecin lors de sa visite. Il s'assure de l'exacte admini
res des cadavres qu'il fait ou fait faire en sa présence lorsque le médecin est absent ; il inspecte la tenue des cahiers d
s son très bel Eloge de CaK7,Ies fonctions qu'a remplies l'illustre médecin de Cha- renton, depuis le 16 juin '1827 jusqu'a
u 27 mars 1841. Il nous semble qu'en donnant une tâche analogue aux médecins adjoints ils auraient un champ suffisamment vas
des infirmiers. Cette surveil- lance doit moins s'effectuer par les médecins que par les surveillants en chef ou plutôt par
, des infirmiers et des infirmières. R. M. C. ' Calmeil fut nommé médecin en chef à cinquante ans, et depuis longtemps se
ns pécuniaires sortables, sans les surmener. P. K. PROPORTION des médecins ET DU PERSONNEL secondaire par rapport au NO1ll
lades; il y en a actuellement 360. Le corps médical se compose d'un médecin en chef, de quatre assistants résidents, de qua
faute de l'asile, mal construit et mal agencé, et ensuite celle des médecins négligents ou ignorants. La première de ces pro
rs, ou plus au besoin, aux asiles d'aliénés. 53S observations des médecins ; ceux qui, déjà confiés aux soins du nourricier
rvice des gardes et est à son tour contrôlé par le directeur et les médecins de la colonie. , ' Le médecin-directeur ou un
de placement des malades de Lierneux est composé exclusivement des médecins de la colonie ; ceux-ci ne peuvent naturellemen
ela avec juste raison : les malades et tout ce qui les concerne aux médecins . . (B.) -) 536 bibliographie. · nerie, de men
eureux enfant. » ' Ce fait montre combien est difficile le rôle des médecins des asiles et explique pourquoi, en maintes cir
édecin-adjoint de l'asile de la Roche-Gandon, est nommé direc- teur médecin de l'asile de Saint-Ylie en remplacement de M. le
nt-Ylie en remplacement de M. le Dr Rousse, maintenu sur sa demande médecin adjoint à l'asile de Bron; M. le Dr DEaICe, dir
lasse exceptionnelle (25 octobre); M. le Dr Toy, précédemment nommé médecin adjoint à l'asile de Bron, est nommé médecin ad
oy, précédemment nommé médecin adjoint à l'asile de Bron, est nommé médecin adjoint à l'asile de la Roche-Gandon en remplac
e la Roche-Gandon en remplacement de M. Sizaret; M. le Dr ALLEllAN, médecin adjoint à l'asile d'Auxerre, est élevé à la ire
erre, est élevé à la ire classe (4 novembre); - M. le Dr Monestier, médecin adjoint de l'asile de Lafond, est élevé à la 4e
ement du 20 mars' 1897, par Taquet, 289. RESPOXSAMtDTÉ pénale des médecins dans la répartition des aliénés, par P. Garni
7 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
otisme. Ses paroles auront un grand et légitime retentissement et les médecins restés fidèles aux enseignements des Charcot, des
idement. » Nous ignorons la nature exacte du médicament injecté. Le médecin dont il s'agit emploie chez presque tous ses mala
es), de M. Fringuet, inspecteur d'Académie de Paris, du Dr Landrieux. médecin des hôpitaux, du Df Triboulet, médecin des hôpita
mie de Paris, du Dr Landrieux. médecin des hôpitaux, du Df Triboulet, médecin des hôpitaux, du Dr Bernard (de Cannes), du Df Es
er, ancien membre du Conseil de l'Ordre des avocats, de M. le Dr Lux. médecin principal, de M. Guenon, vétérinaire-major, de M.
l'enfant. Comme l'a excellemment dit M. Saint-Philippe, le rôle du médecin « qui a en garde la nation en fleurs, c'est de fa
ureraient la propreté des petits, seraient occupées à la lingerie. Le médecin leur ferait des cours et, après quelques mois, on
épileptiformes ? etc. Tous renseignements utiles à faire connaître au médecin militaire ou à l'expert en cas d'examen médico-lé
bulence et de l'irrégularité dans l'application au travail. Seul un médecin compétent est qualifié pour porter le diagnostic
aru faire peu de cas de l'intervention médicale. Or l'intervention du médecin doit être prépondérante dans cesques-tions. Lorsq
e dans cesques-tions. Lorsque le diagnostic d'anormal a été porté, le médecin doit devenir le seul juge des doses d'instruction
enfants y a fait l'objet de nombreuses discussions. L'intervention du médecin dans le diagnostic et le traitement de l'anormal
s anormaux ne sauraient se concevoir sans la collaboration directe du médecin et le principe en a été admis sans conteste. Il f
r un compte suffisant de l'intervention médicale. A tel point que les médecins inspecteurs des écoles de la Ville de Paris se so
. — Lorsqu'il s'agit d'enfants considérés comme anormaux, la tâche du médecin comporte de nombreuses difficultés. II ne faut pa
vant de l'intervention chirurgicale, elle doit être surveillée par un médecin compétent. Lorsqu'une première craniectomie, fa
ministère de l'Intérieur, et la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière- Autour du président avaient
ontéuuis, directeur du sanatorium de Sylva-belle ; M. le Dr Fouineau, médecin adjoint du dépôt de la préfecture de police ; M.
secrétaire général de la Société de pathologie comparée ; M. Lepinay, médecin vétérinaire : M. Louis Favre, professeur ; M. Ble
l'hypno-tisme scientifique s'est continuée et les efforts des grands médecins psychologues ne seront pas perdus. M. le Dr Jul
ement) auront lieu au Lycée, sous la présidence de M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés, professeur à l'E
gogiques qui leur sont applicables : Rapporteurs : M. le Dr Bériilon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés ; M. le Dr Jules
lon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés ; M. le Dr Jules Voisin, médecin en chef de la Salpétrière ; M. le Dr Hurtrel, dir
et les flatteuses exhortations des courtisans. Enfin, il ordonne aux médecins d'examiner si ces estropiés étaient curables par
xaminer si ces estropiés étaient curables par des moyens humaine. Les médecins , après consultation, répondent que la force visue
to Wetterstrand, de Stockholm, appartenait à la brillante pléiade des médecins psychologues qui, s'inspirant des travaux du maît
es ; les professeurs Olshausen et Sachs, l'un théologien, l'autre médecin . La doctrine du pasteur Ebel, qui était marié, se
er du Praticien. Un grand nombre de membres de l'enseignement et de médecins avaient répondu à l'appel du président. En partic
. le Df David, de Paris ; M. Boissier, ingénieur, ; M. le Dr Gautrez, médecin de l'Hôtel-Dieu de Clermont-Ferrand : M. Gadot, i
hin, directrice de l'Ecole normale de Bar-Ie-Duc, émet le vœu que les médecins continuent à apporter leur concours à la cause de
e malade nerveux est très sensible à quelque prévenance de la part du médecin ; il a de fines antennes qui lui font d'emblée re
raisonnements, où il est incapable de suivre la dialectique serrée du médecin . Il se prête plus volontiers à entendre les parol
eantes qui le bercent ; il lui est agréable de sentir la main amie du médecin appuyée sur sa tête, pendant que celui-ci lui fai
sont pas fondées, et il est de mauvaise guerre de vouloir diviser les médecins psychothérapeutes en deux camps ennemis, d'un côt
médecins psychothérapeutes en deux camps ennemis, d'un côté celui des médecins hypnotiseurs et de l'autre celui des médecins rai
is, d'un côté celui des médecins hypnotiseurs et de l'autre celui des médecins raisonneurs. En effet, les hypnotiseurs emploie
r faire la part des trois modes pour le plus grand bien du malade. Le médecin vraiment rationnel est éclectique et sait tirer p
de tact, posséder un fonds illimité de patience et de persévérance ; médecin doublé d'un psychologue, il est apte à étudier et
i en présentaient les manifestations, et cela à un tel point, que les médecins crurent devoir adresser un appel aux pouvoirs pub
uissant de la suggestion dont l'influence est bien connue de tous les médecins neurologistes modernes. SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET
repris fut longue et difficultueuse. J'y fus grandement aidé par deux médecins espagnols auxquels j'adresse mes très vils remerc
à Paris, le Dr Hamon Barco de Palacios-Rubios (Salamanca),— l'autre, médecin de S. M. le Roi Alphonse XIII, le Dr José Grinda
élèbre une telle singularité ; on écarte tous les visiteurs, même les médecins ; ce dernier fait explique que l'enquête médicale
ablissement médico-pédagogique de Créteil (1) Parle Dr L. Dufestel, Médecin inspecteur des Ecoles. La question des Enfants
Clinique enfantile, dirigée avec tant d'autorité par M. le Dr Variot, médecin de l'hôpital des Enfants Malades. L'enfant se
lité mentale, son diagnostic et son traitement (1), par le Dr Blin, médecin des Asiles de la Seine (colonie de Vaucluse). P
rocédé l'emportent sur ses inconvénients. Au reste, bien manié par un médecin instruit, le sommeil provoqué n'expose guère à pl
vent la modalité. Il faudrait, pour arriver à un bon résultat, que le médecin puisse toujours connaître celle-ci. Ce serait, po
le rêve de malades localisant leur mal avec plus d'exactitude que le médecin . Un malade atteint de blennhorra-gie, traité par
une valeur scientifique véritablement créatrice. Il était praticien, médecin de district à Stockholm, lorsqu'il commença à s'o
ésenter la Société d'Hypriologie et de Psychologie au 17° Congrès des médecins aliénistes e ; neurologistes de France et des pay
les conditions d'observation dans lesquelles ont été placés certains médecins , que leurs tendances d'esprit particulières, leur
tivement à l'hystérie. Et puis, dans bien des cas, la personnalité du médecin , dont les idées, les procédés d'examen et de trai
inales qui varient et les faits qui restent indéfiniment vrais;... le médecin légiste doit se borner à la constatation médicale
ra de se solidariser avec aucune doctrine métaphysique ; appelé comme médecin , il restera médecin... » Vous devinez l'accueil
avec aucune doctrine métaphysique ; appelé comme médecin, il restera médecin ... » Vous devinez l'accueil chaleureux que reçu
d'ordre métaphysique ou juridique, non d'ordre médical ; 3° que le médecin seul compétent pour se prononcer sur la réalité e
iennent au texte de l'article 64 du Code pénal et ne demandent pas au médecin expert de résoudre lesdites questions qui excèden
elques rares étaient grotesques ou obscènes. Déjà pourtant certains médecins épris d'art notaient de ci de là quelques terres-
ts; qu'une suggestion survienne, faite par les parents, un voisin, un médecin même, ou bien que le malade s'autosuggestionne lu
cœur ; puis quelques heures plus tard il essaya en vain d'uriner. Un médecin consulté le fit transporter dans une maison de sa
d, le malade put uriner spontanément, en dehors de la présence du médecin , deux ou trois fois par jour et quelquefois la nu
obre à 4 heures et demie sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Les séances de la société on
ont lieu le troisième mardi de chaque mois. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
st pas une notion d'ordre médical ; elle excède donc la compétence du médecin légiste ; 2° Fût-elle de sa compétence, le méde
la compétence du médecin légiste ; 2° Fût-elle de sa compétence, le médecin légiste ne doit ni indiquer ta chose ni employer
question de compétence, cela pourrait entraîner très loin. « Je suis médecin , dites-vous, demandez-moi des renseignements médi
qu'elle a de général et s'élever peu à peu à la notion de la loi. Le médecin légiste, lui, reste en pleine réalité ; sans dout
, comme nous l'avons vu plus haut, vous répondre simplement : « Vous, médecin , vous refusez de répondre à cette question, pour
e ferais aussi de la métaphysique, moi, si j'y répondais. Vous restez médecin ? Je reste juriste. » Tout de même, il faut bie
que vous exigez des autres et, reprenant votre formule, vous dira : « Médecin , restez médecin ». Je ne nie point la valeur de
des autres et, reprenant votre formule, vous dira : « Médecin, restez médecin ». Je ne nie point la valeur de l'argument que
encore une fois, l'argument invoqué n'a rien à voir dans la bouche du médecin légiste, — tel, du moins, que vous l'avez défini
ées à divers degrés. Dans un grand nombre de cas soumis à l'examen du médecin expert, dans le plus grand nombre, pourrait-on di
e pratique et, pour ainsi dire, utilitaire. Est-il donc vrai que le médecin légiste ne deviendra faillible qu'en abordant la
choisi pour épigraphe cette phrase de Féré : « La compétence des médecins est tout entière dans le domaine des faits matéri
ntré que, dans les limites que vous venez de tracer, la déposition du médecin n'aurait plus aucune Utilité pour le magistrat.
accomplir cette œuvre médico-psycholo-gique qu'est une expertise, le médecin commis par la justice, en même temps qu'il est' u
aurais convaincu ». Et l'on sait avec quelle constance déplorable les médecins , trop souvent, persévèrent dans leurs partis pris
e doit lui être dit qui ne lui puisse être justifié. Dès le début, le médecin doit, par tous les moyens, s'attacher à mériter l
rtaine si le malade sait la vouloir. Une fois le malade convaincu, le médecin n'a plus qu'à le guider dans ce retour à la vie n
applicable à certaines consultations externes de la Salpêtrière où le médecin , placé seul, bien en vue, sur une estrade élevée,
nt à un tel degré qu'à certaine époque à Bagdad et en Andalousie, les médecins écrivaient en vers même les ordonnances. Actuel
urs particuliers, hommes et femmes, collaborant étroitement' avec des médecins . Le médecin joue un rôle important et, par endr
s, hommes et femmes, collaborant étroitement' avec des médecins. Le médecin joue un rôle important et, par endroits, prépondé
on et le fonctionnement de ces classes spéciales. A Bruxelles, quatre médecins sont attachés à ces classes : le Dr J. Demoor, pr
pecteur ; les docteurs Daniel, Decroly et Boulanger, avec le titre de médecins adjoints. A Anvers, le médecin de l'Ecole spéci
roly et Boulanger, avec le titre de médecins adjoints. A Anvers, le médecin de l'Ecole spéciale est le Dr Gunsbourg. A Gand,
aladies mentales à l'Université. Dans nombre de grandes villes, les médecins font en outre un cours spécial de pédologie dans
al des enfants anormaux. Je rappellerai en outre que le Dr Jacquin, médecin adjoint de l'Asile d'aliénés de Château-Picon, au
oles. Afin de mener à bien cette tâche difficile, une Commission de médecins spécialistes, divisés en sous-commissions, sous l
enfants, assimilables, dans une certaine mesure, à des malades. Un médecin spécialiste serait attaché à chacune de ces école
n, régulièrement et attentivement. Ce plan comporterait donc quatre médecins spéciaux, dont trois adjoints, et un médecin-insp
, centraliserait tout ce qui aurait trait à ce service médical. Les médecins et les représentants de l'autorité pédagogique él
'anormaux psychiques. 1° Consultation médico-pédagogique (1). — Les médecins spéciaux dont nous venons de parler seraient en o
rtin, sans porter aucune atteinte au droit des parents de recourir au médecin de leur choix pour les traitements à suivre. Po
ement médico-pédagogique fait aux élèves des Ecoles normales, par les médecins spéciaux pour la partie médicale et par les direc
es démonstrations y sont toujours faites devant un public nombreux de médecins et de membres de l'enseignement. (N. D. L. R.)
ont besoin de l'assistance, de la surveillance et de la direction du médecin . (N. D. L. R.) psychose se développe, sorte d
embre à4 heures et demie sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Les séances de la société on
ont lieu le troisième mardi de chaque mois. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
is à l'Institut psycho-physiologique, 49, rue St-André-des-Arts : les médecins , les étudiants et les membres de l'enseignement s
résidence de M. le D.r Brissaud, professeur à la Faculté de médecine, médecin de l'Hotel-Dieu. La leçon d'ouverture sera fait
L'enseignement de l'Ecole de psychologie est public. Il s'adresse aux médecins , aux étudiants et à tous les esprits désireux de
nd, présidait la cérémonie qui avait groupé les amis du maître et les médecins de la Salpêtrière. Dans d'éloquents discours, le
ours, les pédagogues les plus éminents, les psychophysiologistes, les médecins praticiens sont unanimes à affirmer non seulement
tance a été méconnue jusqu'à ce jour. Dans la pratique courante, le médecin appelé à donner ses soins à un enfant s'empresse
vité à la colère, d'indocilité en un mot. De cet état de choses, le médecin ne saurait être rendu responsable. Les conditions
yage à Paris. Elle se montre fort gentille et parle avec sympathie du médecin qui sait rendre les enfants bien sages. * A c
nt par la suggestion hypnotique peut être effectué dans le cabinet du médecin , mais il est des circonstances dans lesquelles il
amilial. Le pronostic de l'idiotie par M. le Docteur Jules VoiSix médecin de la Salpétrière Il règne, au sujet des enfant
ertain nombre de préjugés partagés à la fois par le public et par les médecins eux-mêmes. Sur cette matière, comme entant d'autr
que réserve d'intelligence capable de se manifester dans l'avenir. Le médecin ne doit pas hésiter à donner sur l'avenir des idi
maux. M. le Dr Paul Farez, délégué de la Société au 17' congrès des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pays
avec phlyetène. Le lendemain, la suggestion se réalise pleinement. Un médecin , que l'on n'a pas, mis au courant de l'expérience
mbre à 4 heures et demie sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpètrière. Les séances de la société on
ont lieu le troisième mardi de chaque mois. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
de France ; Albert Robin. prof, à la Faculté de médecine ; J. Voisin. médecin a la Salpêtrière. ?cole de psycologie (49. rue
présidence de M. le Dr Brissaod, professeur à la Faculté de Médecine médecin de l'Hôtel-Dieu. ORDRE DU JOUR : 1° Dr Paul F
artir du mercredi 22 janvier. Pychologie des animaux. M. LÉPINAY, médecin vétérinaire, professeur. Objet du cours : L'Obs
ycho-physiologique de Paris, fondé en 1889, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
pensaire pédagogique et neurologique. — Dispensaire antialcoolique. Médecins : D' Bérillon, Dr Paul Magnin, Dr Paul Farez, D
taires, instables, timides, indisciplinés, pervers et nerveux). Les médecins , les étudiants et les membres de l'enseignement s
ce de M. le professeur Brissaud, professeur à la Faculté de médecine, médecin de l'Hôtel-Dieu. L'ordre du jour est ainsi fixé
estion de l'hypnotisme chez les animaux. * M. le Dr Jules Voisin, médecin de.la Salpètrière, président perpétuel de la Soci
ants explique son succès considérable. Il intéresse non seulement les médecins , mais aussi les professeurs spéciaux qui se consa
médecine animale. Actuellement, grâce à la Société de pathologie, où médecins et vétérinaires trouvent un terrain d'union, favo
nue une simple succursale de la Faculté de médecine. Actuellement les médecins des hôpitaux les plus éminents hésitent à faire a
l n'y en a que tro*s n'appartenant pas à la Faculté, savoir : un seul médecin encore en exercice, le Dr Huchard; un seul médeci
, savoir : un seul médecin encore en exercice, le Dr Huchard; un seul médecin honoraire, le Dr Besnier; un seul chirurgien hono
estion dans le traitement des maladies ne fait plus de doute pour les médecins , les philosophes, les penseurs. Mais le pouvoir q
ration de l'anus artificiel, par le D' Joseph Viazemsky (de Saratof), Médecin en chef du dispensaire anti-alcoolique et préside
re que l'évolution de l'hygiène alimentaire s'est faite en dehors des médecins , qui se sont mis à la remorque des chimistes. L'h
clinique, vrai bréviaire de l'antiarthritisme, dans lequel malades et médecins apprendront à soigner leur santé... ce qui vaut m
vier à 4 heures et demie sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Les séances de la société on
ont lieu le troisième mardi de chaque mois. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
20 janvier, à 5 heures, sous la présidence de il. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpêlrière. — Les enseignements psychologi
ements psychologiques de la guerre Anglo-Boer, par M. le Dr Lingbeek, médecin en chef des ambulances néerlandais au Transvaal.
24 février, à 5 heures, sous la présidence de M. le Dr Padl-Boncour, médecin du service biologique à l'Ecole Théophile Roussel
me heure. (Sections Esquirol et Félix Voisin.) Le cours s'adresse aux médecins , aux étudiants et aux membres de l'enseignement.
résidence de M. le Dr Bris saud, professeur à la Faculté de Médecine, médecin à l'Hôtel-Dieu. A ses côtés avaient pris place,
de psychologie. La réunion, très nombreuse, était surtout composée de médecins français et étrangers, de professeurs de l'Univer
r les noms de MM. les Dri Lingbeek, de La Haye ; Dr Babaian-Babaieff, médecin des hôpitaux de Tiflis, Dr Alvaro Lapa, de Lisbon
de cette importante et florissante société de Pathologie comparée où, médecins et vétérinaires, puisons un mutuel et si profitab
de telles proportions qu'une consultation médicale fut provoquée, les médecins européens qui l'examinaient déclarèrent qu'une gu
abilité (i) \Sutte de la discussion générale) Par M. le Dr Lbgraik, médecin en chef de l'Asile de Ville-Evrard. Il ne peut
tice, avec ses traditions et ceux qui les représentent, magistrats ou médecins , et. d'autre part, certains médecins qui croient
les représentent, magistrats ou médecins, et. d'autre part, certains médecins qui croient venue l'heure de faire un pas en avan
dre métaphy-« sique ou juridique, non d'ordre médical ; * 3° Que le médecin , seul compétent pour se prononcer sur la réalité
tiennent au texte de l'art. 64 du Code pénal et ne demandent « pas au médecin expert de résoudre lesdites questions qui excèden
e semble plus devoir échapper aux lois de la physiologie. Beaucoup de médecins , dressés aux spéculations philosophiques positive
intéressaient aujourd'hui et faisaient penser. Comment vouloir que le médecin persiste aujourd'hui à marcher dans les sentiers
u domaine exclusif de la philoso- phie et de la jurisprudence. Le médecin , même praticien, n'en saurait faire fi. M. Fare
atière de responsabilité, qui a qualité pour se prononcer ? Est-ce le médecin , comme on le lui demande aujourd'hui ? Est-ce au
re le juge ? En d'autres termes, qui a qualité pour juger ? Est-ce le médecin (car personne ne s'y trompe : demander au médecin
r juger ? Est-ce le médecin (car personne ne s'y trompe : demander au médecin de conclure ferme dans le sens d'une responsabili
tement de la justice ou le juré ? M. Ballet dît : ce ne sera pas le médecin parce qu'il n'est qu'expert, il n'est qu'une faço
sponsabilité est d'ordre métaphysique. M. Farez répond : ce sera le médecin , parce qu'il est l'homme éclairé et que le magist
l est l'homme éclairé et que le magistrat compte sur ses lumières. Le médecin a accepté une mission ; il doit la remplir. S'il
médecin a accepté une mission ; il doit la remplir. S'il veut rester médecin , le juriste répondra : moi je reste juriste. Qui
si vous me permettez d'ajouter : il n'a pas plus de compétence que le médecin ou mieux : celui-ci n'en a pas plus que îe magist
ique : il faut un jugement. Je n'aperçois pas pourquoi incomberait au médecin plutôt qu'à un autre le soin de définir une respo
sabilité sous prétexte que tout le monde s'en reconnaît incapable. Le médecin apporte sa science spéciale qui est de connaître
te à disposer du sort de ses concitoyens. Je conçois iort bien que le médecin , conscient aujourd'hui de ce qu'on attend de lui
juge veut faire d'un archi-.tecte un juge, il en fait un arbitre. Le médecin n'est pas un arbitre. Le grand mal est que précis
gation de mêler une matière de fait avec une matière de thèse. Que le médecin pense in petto ce qu'il veut de la responsabilité
vous déniez au philosophe ? » — Par une grâce d'Etat ! — Laissons au médecin son expertise de médecine pure. Déclinons l'offre
e qu'est la normalité. On est ou l'on n'est point un dégénéré. Si moi médecin je reconnais l'existence d'une tare dégénérative
liquetis de mots sans définition possible dont il n'appartient pas au médecin de se servir, surtout dans une occurrence où la l
erait multiplicité et variété des sanctions. Enfin elle fait jouer au médecin un rôle inattendu, celui de juge. La conclusion d
t jouer au médecin un rôle inattendu, celui de juge. La conclusion du médecin arme la main du juge ; elle lui dicte la sanction
t rendue. J'estime pour ma part que si nous voulons rester vraiment médecins , esprits positifs et scientifiques, nous devons f
n définitive, que souhaitons-nous, les uns et les autres, citoyens et médecins ? Nous souhaitons que la société soit débarrassée
législation adéquate. Mais Paris ne s'est pas fait en un jour. Et le médecin n'a pas à prendre une attitude de quasi-complaisa
des mondes de la répression. Bien au contraire, et j'estime que le médecin a un rôle plus élevé, plus noble à jouer, celui d
ns cette idée par les prophètes, qui non seulement faisaient œuvre de médecins en soignant les malades, mais se considéraient au
rier à 4 heures et demie sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Les séances de ta société on
ont Heu le troisième mardi de chaque mois. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
ns le mouvement psychologique contemporain. Déjà un grand nombre de médecins aliénistes, au premier rang desquels il faut plac
s aliénistes, au premier rang desquels il faut placer M. le Dr Marie, médecin de l'asile de Villejuif, et le D' Vigouroux, méde
M. le Dr Marie, médecin de l'asile de Villejuif, et le D' Vigouroux, médecin de l'asile de Vaucluse, ont signalé des cas de tr
6, rue du Chemin de fer, à Sceaux. Cet exemple prouve combien les médecins et les savants soucieux de leur réputation scient
n rapport : o Je soussigné, Maurice Toulzac, docteur en médecine et médecin légiste de l'Université de Paris, demeurant à Ver
le émane de tous les citoyens, principalement du maitre d'école et du médecin psychologue. L'Education seule peut ennoblir et
ordre métaphysique ou juridique, non d'ordre médical ; « -3° que le médecin seul compétent pour se prononcer sur la réalité e
iennent au texte de l'article 64 du Code pénal et ne demandent pas au médecin expert de résoudre lesdites questions qui excèden
'origine juridique de la question. S'il est un sujet sur lequel les médecins légistes et les professeurs de médecine légale ne
seraient assez fondés à retourner l'argument, et à souhaiter que les médecins légistes fussent un peu plus familiarisés avec la
légale de la démence, il lui est loisible de recourir aux lumières de médecins experts. Il n'y est cependant pas tenu d'une faço
r leur pensée. A ce point de vue, ils pourraient servir d'exemple aux médecins , la prolixité sévissant surtout dans le langage m
le cas échéant, d'en faire bénéficier l'individu punissable. Si les médecins commentateurs de l'article 64 n'ont pas saisi l'i
la folie, prenait ses décisions sans recourir à la collaboration d'un médecin expert. Il basait évidemment sa conviction sur un
I la déduisait surtout des réponses qui lui étaient faites (3). Nos médecins experts, quoi qu'ils puissent dire, ne procèdent
Il n'est pas étonnant que de naïfs bacheliers, devenus magistrats ou médecins légistes, aient introduit dans leurs jugements ou
ffegeau {du Vésinet) Comme M. Legrain je comprends les scrupules du médecin expert, lorsqu'il est appelé par le juge à déterm
es devoirs auxquels on ne doit pas se soustraire, et, a mon avis, les médecins (I) Cf. Revue de l'Hypnotisme, octobre et novem
ois les forces humaines qu'ils avaient acceptée jusqu'à présent. Le médecin , en effet, est l'homme le plus qualifié dans notr
Prenons, par exemple, le côté anatomique.N'est-il pas évidentquesile médecin expert se trouve en présence d'un inculpé chez le
chez les personnes atteintes de maladies nerveuses ou mentales. Le médecin , je le répète, a seul les connaissances nécessair
ugé par un philosophe ou un magistrat, j'aimerais mieux l'être par un médecin , celui-ci étant souvent doublé du reste d'un bon
se à laquelle l'expert puisse répondre sans sortir de son rôle de médecin c'est de dire si l'individu soumis à son examen e
rs, à 4 heures et demie, sous la présidence de M. le DT Jules Voisin, médecin de la Salpètrière. Les séances de la société on
ont lieu le troisième mardi de chaque mois. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
de l'espérer, la sinistrose y trouvera le traitement curatif que les médecins n'avaient pu trouver jusqu'à ce jour. Qui de nous
peu après, comme le masque devait servir pour une autre opération, un médecin constata que, par suite d'une fausse manœuvre, la
cience connaît déjà des cas du même genre. Il y a quelques années, un médecin d'un grand hôpital américain fit l'expérience sui
même salle, il fit prendre une pondre anodine. Le remède absorbé, le médecin simula une erreur, et dit que la poudre était de
ses confrères suisses. Puis il a rappelé qu'il y a vingt-cinq ans le médecin qui ne prescrivait pas l'emploi de la camisole de
rer ce résultat comme le plus grand honneur de sa longue existence de médecin aliéniste. Aucune des définitions actuelles de
as à la réalité, Charcot faisait de l'hystérie de culture et c'est le médecin qui provoque l'apparition des stigmates en les su
s parents. Je suis timide, je me trouble sans raison. Toute visite au médecin provoque de fortes palpitations cardiaques qui ce
cin provoque de fortes palpitations cardiaques qui cessent dès que le médecin commence à m'examiner. Pareille émotion se produi
mort du roi Àssa. Celui-ci, atteint de la goutte, s'était adressé aux médecins ordinaires et non aux prophètes ; aussi, après av
, à 4 heures et demie, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpètrière. Les séances de la société ont
t lieu le troisième mardi de chaque mois. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. A
de la thérapeutique, sera traitée par M. le Dr Witry, de Trêves. Des médecins et des sociologues éminents prendront part à cett
zèle auquel on ne saurait trop s'associer, M. le D' Ritti, le savant médecin de la Maison nationale de Charenton, ne cesse d'a
publique pour ne se préoccuper que de la liberté individuelle. Les médecins eux-mêmes ont subi l'influence de ces préoccupati
qu'il va mourir, cela pour deux raisons principales : 1° parce qu'un médecin peut se tromper ; 2° parce que beaucoup de malade
ent la vérité aux malades, et c'est là que doit se montrer le tact du médecin . Pour ma part, je n'ai jamais eu à me repentir d'
gravité de sa situation, en lui laissant toujours de l'espoir que le médecin lui-même doit conserver, s'il veut être digne de
doit conserver, s'il veut être digne de sa tâche et de sa mission. Le médecin n'a pas à entretenir la crainte de la mort, mais
sur sa situation. Je ne l'admets pas, parce qu'on peut faire dire au médecin ce qu'il n'a pas dit et ce qu'il ne pense pas, et
assumer seul la responsabilité de son pronostic et de ses actes. Un médecin , libre-penseur ou religieux, doit respecter les o
st assez grave pour réclamer les secours de la religion, le devoir du médecin lui commande impérieusement de s'incliner en sile
ence, et cela ne peut faire que du bien ». Auprès de son malade, le médecin doit rester absolument neutre dans toutes les que
ins n'est pas en opposition avec le bon sens. Avoir confiance dans un médecin qui promet la guérison est chose toute naturelle
Et, à mon avis, un vaste champ d'études est ouvert dans ce domaine au médecin hypnologue. Crises hystériques survenant à. la
ve, et guéries par réduction de ce rêve, par M. le DT Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Mlle S., âgée de 19 ans, fut
ersonnel, il n'est plus un sujet purement passif sous la direction du médecin . (1) J. H. Charcot. Sur un appareil destiné à é
dix ans de professorat, il se retira de l'Enseignement pour s'établir médecin en 1894. Après l'étude théorique de l'hypnotism
ces dangers sont nuls si l'opéra- tion est confiée aux mains des médecins compétents et qu'ils ne se produisent que chez le
aborer différents facteurs thérapeutiques pour arriver à ses fins. Le médecin philosophe et psychologue saura fairo la part du
eprise dans un hôpital et conduite sous la surveillance permanente du médecin et de ses gardes-malades. Le sevrage obtenu, on a
puis celui que le malade n'aie recours à un autre stimulant. Aussi le médecin dans les premiers temps suivant le sevrage ne per
du demi-monde, dans les rangs des hommes d'affaires, des prêtres, des médecins surmenés. A cet effet, l'auteur appelle l'atten
ai, à 4 heures et demie, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpètrière. Les séances de la société on
ont lieu le troisième mardi de chaque mois. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
t il faut l'avouer, c'est là une notion incomprise encore de bien des médecins . Reste une définition purement clinique, celle
ion complète. On m'appelle le deuxième jour. La malade ne veut pas de médecins puisqu'elle va mourir ; elle me demande cependant
Guérison depuis deux ans. Un quatrième cas est celui d'un confrère, médecin directeur d'un asile d'aliénés, 40 ans, de père m
procédés. L'auteur y a ajouté des conseils pratiques s'adressant aux médecins aussi bien qu'aux malades. Le succès de toute thé
ique dépend en effet d'une loyale collaboration entre le malade et le médecin . P. Saintyves. Les Vierges Mères et les naissan
anté publique et l'équilibre nerveux sont menacés, c'est Je devoir du médecin de combattre contre. Le Visage spectral , La
8 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
. professeur à la Faculté de Bordeaux; BARETY (de Nice): DE BEAUVAIS, médecin de Mazas; BERNHEIM, prof,à la Faculté de Nancy :L
la Faculté de Nancy :L.BOUYER (dAngoulême):BREMARD(de Brest) BRIAND. médecin de l'Asile de Villejuif : CHARCOT, prof, à la Fac
Unit, de Louvain MANOUVRIER. prof, à l'Ecole d'Anthropologie: MESNET. médecin de l'Hôtel-Dieu : MABILLE, méd. en chef de l'Asil
ZING (de Munich, : SPERUNG (de Berlin): SEMAL (de Mons); Aug. VOISIN, médecin de la Salpêtrie,. etc.; O. WETTERSTKAND (de Stock
eut lieu ». I1 maintint son dire et expira peu de jours après. « Les médecins , ajoute l'honorable sénateur, ont affirmé que Pra
ce morale et physique, mais resté lucide jusqu'à sa mort, au dire des médecins , avait suggéré â ce cerveau un taux témoignage, e
conscience contre de regrettables erreurs? (1) C'est le Dr Briol , médecin militaire à Nancy, qui m'a communiqué l'article d
ai à la traiter. — Mariée avec un de mes anciens élèves, établi comme médecin dans la région, elle est née de parents bien port
L'anémie fait des progrés rapides. Tout espoir semble perdu aux deux médecins qui la soignent. Pendant les trois années qu'a
ssent plutôt un devoir moral qu'un besoin intérieur. Le traitement du médecin achevé, je n'ai plus eu de relations avec des pro
nt » d'avoir été « l'instrument, inconscient, d'un tour d'adressed'un médecin » — il lui fit recouvrer l'équilibre psychique sa
"avait eu, dix jours auparavant, une attaque durant laquelle un autre médecin l'avait soignée. Lorsque je la vis, elle était
nt intéressante, celle d'un individu qui, pendant trois ans, tint les médecins aliénistcs en suspens. Encore un document humain
coupables de quelque délit, on présente souvent les déséquilibrés au médecin , lequel se trouve fort embarrassé. S'il ne les co
érique se refuse à accepter l'insinuation et reste sourd a la voix du médecin , l'auto-suggcstion dominant la suggestion étrangè
des et petites crises d'hystérie. La castration comme pénalité Un médecin californien vient de ppoposer la castration comme
lues. Il y a cinq mille ans les livres chinois en parlaient et les médecins (1)Un vol. in-12. Société d'édition scientifiqu
leg.les de l'bypaoti»»-*. Ce» leçon» sont exclusivement destincet aux médecin » et aui étudiant' en médecine. Socarrt Huiuamd.
de de production de nouveaux crimes ou délits. II faut aussi que le médecin soit appelé à se rendre compte du rôle considérab
urs subordonnés de s'occuper d'hypnotisme. Quelle sera l'attitude des médecins , militaires délégués au congrès par ces ministres
sans de l'immobilité médicale. Actuellement un très grand nombre de médecins éminents, appartenant â toutes les nationalités,
Par le Docteur E. REGIS. Ancien chef de clinique de la Faculté, Médecin de la Maison de Santé de Castel d'Andort (Bordeau
is quelqu'un vous sollicite d'en prendre vous lui répondrez que votre médecin l'a défendu. S'il insiste trop, plutôt que d'en b
pportent au total des aliénations mentales un notable contingent. Les médecins ont constaté des analogies frappantes dans la mar
est un malade d'une nature particulière : et. cependant, le devoir du médecin , en présence des dispositions de la loi, est de l
La Diontologie est la science du devoir. Quel devoir ? — Le devoir du médecin envers ses malades, envers ses confrères, envers
t prêter â ses disciples le serment suivant : « Je jure par Apollon médecin ; par Esculape, par Hygie et Panacéé par tous les
qui obtenez vos grades sous le régime de la loi d'hier — mais des médecins qui lui demandent le titre honorifique de Docteur
re que le Décaloguc. D'autre part, le passage relatif aux rapports du médecin avec la Justice, a besoin d'être expliqué et ne p
avec la Justice, a besoin d'être expliqué et ne peut concerner que le médecin légiste. Le serment donnait à l'entrée de la ca
arrière un caractère solennel et religieux — on l'a supprimé pour les médecins ; on l'a conservé pour les avocats et les gardes-
her à chaque pas. Je me propose de vous dire cette année comment le médecin doit être; ce qu'il doit a ses malades, à ses con
uestions des honoraires et du secret professionnel. I- — Comment le médecin doit être. Certaines gens a qui vous demandez o
ogue, d'aller au but par des courbes et, pour vous faire entrevoir le médecin « comme ilfaut a auquel vous devrez ressembler pl
sembler plus tard, de faire défiler devant vos yeux quelques types de médecins « comme si n'en faut pas » A défaut d'un diagnost
e la médecine cl qui trouvent que t:e n'est pas la peine d'appeler un médecin qui ne prescrit pas de drogues. L'eau distillée e
les malades inintelligents; elles ont sauvé souvent le crédit dont le médecin a besoin, et elles n'ont jamais fait de mal à per
iculeuses, mais qui les exige aujourd'hui. C'est bien le moins, qu'un médecin soit inoffensif ! Le praticien ài cravate blanc
rd tous les soirs de neuf à onze ! En ville il est bon que le jeune médecin se mette d'une Société ou d'un Cercle ou il puiss
ns qu'il ne se sente de force à tenir les premiers rôles, la place du médecin dans la mêlée des partis n'est pas aux avants-gar
moins bruyants ne sont pas les moins utiles. A la campagne le jeune médecin doit éviter soigneusement d'épouser les querelles
eur qui. dit-on, peut arriver à tout le monde, mais par lequel un médecin ne doit jamais se laisser surprendre. Il peut, à
plus graves, et il doit toujours en être capable. J'ai vu un jour un médecin arriver pris de boisson auprès d'une mère de fami
s, n'est pas à imiter, mais — o muthos delos — ma fable prouve que le médecin garçon est obligé à la plus grande réserve: la sé
it au moins de petits trous dans le bandeau! Hoftmann conseille aux médecins de se marier lard et, pour taire un plus riche pa
nant à peu près au est situé Braine-l'Alleud. c'est-à-dire comment le médecin ne doit pas être, ni onctueux, ni rude. ni mo
ous attarderons pas à faire ressortir le degré d'incompétence dont ce médecin a fait preuve dans son exposé. Nous nous borneron
impossible. Nous soumettons le lait, constaté par un grand nombre de médecins compétents, aux méditations de M. le professeur M
ans quelque ironie, à la virtuosité et au succès avec lequel certains médecins français appliquent l'hypnotisme, a ajouté qu'il
us, à formuler un vœu plus modeste. Nous souhaitons seulement que les médecins , redevenus philosophes, utilisent plus souvent qu
e est l'influence du système scolaire actuel sur les adolescents. Les médecins en particulier ont accusé l'école d'influencer l'
r ta thérapeutique suggestive avec des chances sérieuses de succès le médecin doit d'abord s'assurer que les malades ne sont pa
EVUE CRITIQUE LES EPILEPSIES ET LES ÉPILEPTIQUES Par M. Ch. FÉRÉ, médecin de Bicétre. (Vol. in-2° de 636,.avec planches e
l'élude de l'alcoolisme, a ouvert la discussion. Il dit que plusieurs médecins ont été surpris en apprenant que des opérations c
taine dose de crédiviié et désireux de guérir, les prescriptions d'un médecin sont de véritables suggestions; un échange de pen
tous ces dangers possibles, le Dr Kerr ne peut comprendre comment des médecins ont été autorisés à hypnotiser des personnes des
les exhibitions. L'hypnotisme, dit-il, ne doit être exercé que par un médecin assisté d'un collègue, en présence d'une tierce p
ultats donnés par chaque séance Il vaudrait mieux, cependant, que les médecins abandonnassent entièrement cette pratique toujour
les résultats généraux sont préjudiciables aux plus chers intérêts du médecin et du patient. Le Dr G.-C. KINGSBURY (de Blakpo
Le Dr L. TUCKEY (de Londres}, cite les opinions de plusieurs savants médecins du continent favorables au traitement hypnotique
l proteste contre les tentatives faites pour interdire ces études aux médecins qui veulent s'en servir comme agent thérapeutique
critiquer les modes d'emploi de l'hypnotisme, le Dr Smith Invite les médecins a faire les expériences qu'il a faites et à rendr
d Yellowlees, Walter K. Sibley, William Douglas et un grand nombre de médecins ont pris part à la discussion et la séance s'est
sujets hypnotisés. 2° Que l'hypnotisme soit étudié par un comité de médecins qui détermineront la nature des phénomènes et leu
ils moururent; la mère et la servante s'en tirèrent à grand peine. Le médecin qui donna ses soins m'a déclaré avoir eu affaire
ont emporté de cette soirée le souvenir le plus agréable. Schylock médecin Un de nos lecteurs nous adresse la lettre suiva
venu dans la presse médicale suspecte les mobiles qui déterminent les médecins A prendre part aux congrès internationaux. Dans t
uestion ne man que jamais l'occasion de combattre l'hypnotisme et les médecins qui s'adonnent a son étude. Il est vrai qu'il a d
livre publié sous ce titre alléchant : La médecine moderne : Schylock médecin . Les documents vèridiques ne feront point défau
Carl Dunker, Berlin, 1890. Albert de Rochas. — Ce la condition des Médecins , Apothicaires, Chiryrguebes et Barbiers sous l'an
docteur Edgar bérillon. Depuis quelques années, un grand nombre de médecins s'efforcent d'élargir le champ des applications d
s indications formelles dans lesquelles les neuropathologistes et les médecins aliénistes sont pleinement autorisés à substituer
e d'indication thérapeutique à cet égard. On croirait presque que les médecins les plus dévoués aient trouvé la tâche au-dessus
ans-formée en mutisme. Amenée à Paris, elle fut soumise par plusieurs médecins à l'examen laryngoscopique. L'absence de tout
Ou cinquième mois, au moment de ses époques, une rechute survint. Les médecins du pays tentèrent en vain de l'endormir. Le mutis
station hystérique. Nous avons recueilli, en collaboration avec des médecins de Paris un assez grand nombre d'observations de
telligent. Sa translormation intellectuelle a frappé d étonnement les médecins qui nous assistent à notre clinique. Il importe
es bonnes 'élèves Le diagnostic d'épilepsie a été porté par plusieurs médecins , et la médication bromurèe a été instituée. L'e
la naissance, fut guérie en deux séances. M. le Dr Armand Paulier, médecin inspecteur des écoles, voulant contrôler nos asse
ur thérapeutique de la suggestion, il fallait s'attendre â ce que des médecins eussent l'idée d'appliquer a l'enfant une médicat
utres médications. De plus, appliquée d'une façon rationnelle par des médecins expérimentés, elle a l'avantage d'être complèteme
de Berlin et Lloyd- Tuckey, de Londres. De ces travaux de deux jeunes médecins , qui ont beaucoup contribue à introduire l'hypnot
r de nouvelles lumières à droit à une appréciation bienveillante Le médecin qui veut s'initier aux secrets de la médecine sug
professe des idées très austères, quant à sa tâche et à son devoir de médecin , et il fait bien, car l'exercice de la méthode
tive nous met souvent dans une position difficile entre nos collègues médecins qui ne savent pas encore vaincre leur méfiance et
nsciente ou inconsciente. Nous sommes d'avis qu'il est du devoir du médecin qui traite ses malades par la psycho-thérapie d'a
ts hypnotisés : 2°Il sera nommé au sein de l'assemblée un comité de médecins qui détermineront la nature des phénomènes et leu
opose de publier. Je partage à l'égard de la suggestion l'opinion des médecins français qui en préconisent l'emploi; cependant j
'une rareté exceptionnelle que d'assister à une crise d'hystérie. Les médecins qui suivent assidûment notre clinique, où un nomb
, peuvent en témoigner. Que les résultats obtenus varient selon les médecins qui appliquent le traitement psychique ; ce fait
que le diagnostic eut été préalablement déjà porté par plusieurs des médecins les plus compétents. 6e plus, dans une clinique o
à tous ceux qui sont venus les quérir, et qu'il ait par cela mis les médecins de tous les pays en état d'en tirer avantage et d
rangers pour les seconder dans leur touchante initiative. Beaucoup de médecins et de savants français, disciples de M. Liébeault
incontestable actualité, qui intéressent au plus haut degré tous les médecins , ce titre, un peu vieilli et démodé, de la folie
s° sion qui eut lieu à la section de Psychiatrie dans la réunion de médecins et naturalistes Allemands cassel, septembre 1883;
ur 1' hypnotisme et les maladies mentales. H a consulté une légion de médecins et de charlatans. s'est drogué de toute manière,
soin de temps et de beaucoup de patience pour arriver au but. mais le médecin accoutumé au traitement suggestif peut être sûr d
c'est-à-dire l'auto-suggestion trop négligée Jusqu'à ce jour par les médecins psychologues. Pendant que je parlais à foréille
ner. Il est évident que ces phénomènes ne se reproduiraient pas si le médecin hypnotisant pouvait prolonger ses séances et fini
i surtout pour les malades qui se sont servis de solutions. ' ç. Le médecin suggérant ne doit pas craindre la crise nerveuse
e de 24 à 60 heures : cette crise est nécessaire pour la guérison. Le médecin multipliera simplement les séances en diminuant r
es plus faciles à guérir, se trouveront surtout bien en consultant un médecin au courant de la méthode suggestive: j'ai guéri }
asile : jour, poussée par un besoin invincible, elle pénétra chez le médecin , et' pour avoir sa seringue, commit un vol avec
octeur Lamson en a fourni un saisissant exemple : depuis longtemps ce médecin , de nationalité anglaise, commettait des insanité
jeunesse. universitaire qui s'est rendue avec une toule d avocats, de médecins et de iMinnalisles pour assister aux expérience?
4 h«." - - ri.: 'oologie). , connaît*) ne mmcn xutau m lv-k. — Les médecin * aliérntes de Lyon viennent de M réunir en une G-
» une de *ei .-.-cr« « lljnâoatjj de la pcmio-i de M. le D Mai-Simon, médecin ta eOef du tcriic* le» homme» a laStsV^j Pron. Kn
mouvement (phénomènes ducumberlandisme, actes divers de la vie. Le médecin utilise la suggestion dans un but thérapeutique ;
guerre a agi avec vigeur et sagacité en interdisant ces pratiques aux médecins militaires, notre armée deviendrait hystérique. L
n nom qui •• ivra dansja reconnaissance des hommes; c'est le nom d'un médecin modeste et d'un homme de bien, j'ai nommé le Dr L
r le docteur G. BALLET Professeur agregé oàla Faculté de Médecine Médecin des Hôpitaux. L'histoire du sommeil morbide est
rsonnalité, Elle avait une tumeur au sein droit, et prenant à part le médecin de l'asile, elle lui dit : - J'ai à vous consulte
Ils guérissent assez rapidement quand le malade croit avoir trompé le médecin et obtenu du fait de son état une atténuation de
'éprouvent d'autres sentiments que la satisfaction d'avoir trompe les médecins : ils deviennent des maniaques raisonnants manifes
conde édition. - Churchill, 1800, inS»,4So pages» Dans ce livre, le médecin anglais donne une élude complète de l'état-actuel
ejette la doctrine de Paul Broca sur la localisation de la parole. Le médecin anglais pense plutôt que, quoique certaines par
Comme nous l'avons annoncé dans notre dernier numéro, un comité de médecins éirange-s s'est formé pour offrir au Dr Liebeault
s, est maintenant très bien établi a Boston. Le fils, nommé Pitt, est médecin et s'occupait depuis longtemps de l'hypnotisme. I
ever ces expériences aux profanes et de les confier exclusivement aux médecins . » Bien entendu, il ne fallait pas s'attendre à
ves au pied levé, sans s'être donné la peine de les étudier. Le bon médecin M. le DrK. Monin dans une chronique du Gil Blas
M. le DrK. Monin dans une chronique du Gil Blas, décrit ainsi le bon médecin : « Le bon médecin est celui qui, en face d'un
s une chronique du Gil Blas, décrit ainsi le bon médecin : « Le bon médecin est celui qui, en face d'un malade, subit une sor
e mémede tout esprit scientifique... On peut dire de l' ordonnance du médecin ce que disait du paysage je ne sais plus quel cri
neurique rayonnante, qui fait bientôt du malade le pouet, la chose au médecin . Dans ces conditions d'inhibition de la volonté,
et bien plus efficace . Voilà ce qu'il faut faire comprendre au jeune médecin , et il le comprendra sans doute, parce qu'il a ap
es. (Journal des Sciences médicales de Lille.) Le martyrologe des médecins aliénistes. Les médecins des asiles d'aliénés n
médicales de Lille.) Le martyrologe des médecins aliénistes. Les médecins des asiles d'aliénés ne sont pas toujours à la no
chappé belle. Huit jours après cet accident, M. le docteur Mordret, médecin en chef de l'asile d'aliénés du Mans, a été frapp
et à haute dose. NOUVELLES Cours. — mm. Joffroy et Jules Voisin. médecins de la Salpêtriêre, commmenceront des confé rences
s l'espèce la somnambule en question a agi auusi mal que le ferait un médecin qui a hésiterait pas à révéler à un malade impres
ujets et s'en servir plus tard dans un but immoral ou criminel. Les médecin au cambodge. — Un correspondant du Temps raconte
e de la passion de nos protégés pour le jeu. L'un des assassins était médecin . » OUVRAGES REÇUS A LA REVUE -- Dr Baillrger.
lles. Elle eût pu taire appel au concours d'un des hommes compétents, médecins des hôpitaux ou professeurs agrégés de la Faculté
l fut transporté a l'asüe de Bonneval, dont M. Camuset était alors le médecin . 11 était toujours paraplégique; son caractère ét
is, m'en rapporter ainsi ouvertement aux observations du Dr Bilhuber. médecin en exercice; du sieur J. Fichluer, fabricant à At
on caractère. Aussi, Pitres lui-même est-il forcé d'admettre que « le médecin appelé1 à donner son avis sur le degré de respons
ogues au point de vue médico-légal, para en 1886 : • Le Dr Brémaud, médecin delà marine, étant venu, dans le courant de l'ann
rdum, telle parait èlrc la devise de l'École de Nancy ». Les nombreux médecins étrangers qui sont venus étudier à Nancv la quest
hose possible. Je ne vois pas pourquoi on ne ferait pas croire à un médecin légiste que l'homme vivant qu'il a devant lui est
out, s'il s'agit d'une maladie organique, il est désirable qu'il soit médecin ou fe fasse assister d'un médecin. Mais, à ce s
anique, il est désirable qu'il soit médecin ou fe fasse assister d'un médecin . Mais, à ce sujet, je ne puis assez recommander
jet, je ne puis assez recommander .à tous ceux qui hypnotisent ou aux médecins qui, sans hypnotiser eux-mêmes, prescrivent l'hyp
e vivement tous ceux qui veulent faire usage de la jeune science, les médecins principalement, à lire et a étudier le nouveau li
rre a « agi avec vigueur et sagacité en interdisant ces pratiques aux médecins « militaires notre armée deviendrait hystérique,
me faites sur Gabrielle Bompard : « Nous avons appris, disent les médecins , par plusieurs dépositions;, que Gabrielle Bompar
la thérapeutique expérimentale et clinique, etc. 4° Rerutement des médecins , chirurgiens et accoucheurs des hôpitaux par des
ignée sans charge» budgétaire* nouvelles. II. — Dans le facultés de médecins : 1° Pour les professeurs, remplacer le traitemen
isr-tinctifs de l'aliénation et da la criminalité. — Le Dr Dubuisson. médecin en chef à l'asile Sainte-Anne, commencera ce cour
ées de MM. Liébeault et Bernheim ont été adoptées par la majorité des médecins qui s'occupent d'hypnotisme. A quoi peut bien t
et très délicate, elle a été presque toute sa vie entre les mains des médecins . Je l'ai trouvée extrêmement hypnotisable et lui
affaiblir l'intelligence. Cependant, je ne puis comprendre comment nn médecin sensé peut se laisser influencer contre l'emploi
r gagner de l'argent et amuser le public, doit être déplorable. Les médecins hypnotiseurs anglais regardent avec envie les règ
ait avoir : le grand public, qui juge sainement, lui, à l'inverse des médecins qui, eux, sont « remplis de préjugés (1). » Et là
vue de C Hypnotisme. 1888.) Dr Petetin, «t il t'était aperçu que le médecin lyonnais irait précédé d'un siècle tout ce qui s'
te ville le Journal dot Maladies régnantes, fut agrège au Collège des Médecins , président de la Société de Médecine et membre de
médecine : il s'appuyait sur ce que Lyon était habile par d'illustres médecins , qu'on y trouverait un corps de professeurs tout
oulbène, Féréol, nés en 1825, sont atteints par la limite d'âge commo médecins de* hôpitaux; mais MM. Charcot et Potain. qui ont
de l'année 1900. MM. Mesnet. Vidal. Laboulbène et Féréol deviennent médecins honoraires des bôpitaux. B j avait déjà seize méd
éol deviennent médecins honoraires des bôpitaux. B j avait déjà seize médecins honoraires, MM. Maruiie, Barthez, Boger. Malice,
ichet et Marc See. Chose singulière, alors que les meilleurs de nos médecins des hôpitaux sont immédiatement mis à la retraite
médiatement mis à la retraite dès que la limite d'âge est arrivée, un médecin de l'Hôtel-Dieu, M. Germain Sée, âgé de beaucoup
s guérisseurs do Braîne—le-Château. Sur les plalules très vives des médecins de l'arrondissement do Nivelles, le parquet se pe
. L'arrêt, fortement motivé, est très sévère pour les prévenus. Les médecins de l'arrondissement de Nivelles peuvent illuminer
erveuses. — Les Aliénés et les Asiles d'aliénés, par le Dr J. Falrbt, médecin de la Salpê-trière. 2 vol. in-8°. — Paris, J.-B.
celte clarté d'exposition qui sont les qualités dominantes du savant médecin de la Salpêtrière. Le second volume renferme su
iences concluantes, il faisait passer sa conviction dans l'esprit des médecins et des magistrats qui l'entouraient. Presque to
ndo en ce qui concerne l'accusée; elles ressortent du rapi>ort des médecins légistes. La première, c'est que l'accusée est dé
tion sor OB point de vue nouveau que devront envisager dorénavant les médecins legisles. mauvais instincts et les mauvaises su
ngrès de l'hypnotisme ». Assertion audacieuse/ — Parmi les nombreux médecins français et étrangers qui se pressaient au Congrè
voir se réaliser. M. Herbette considère comme suspect tout ce qui est médecin ou peut ressembler à un médecin, et ferme sournoi
nsidère comme suspect tout ce qui est médecin ou peut ressembler à un médecin , et ferme sournoisement et petit à petit les pris
é une défiance marquée envers moi, en qui il semblait voir un nouveau médecin expert requis par un juge d'instruction. Hypnotis
isé dans l'arrêt. De sorte que la grande victoire remportée par les médecins de Nivelles et • pour laquelle ils doivent illumi
d'affaires criminelles, les défenseurs s'appuyant sur les opinions de médecins , plus ou moins compétents, tendent à plaider l'ir
ir eu en main un hypnotisé pour le nier, — déclaré simulateur par des médecins ; et cela pourquoi? yu'on le dise! Au surplus, m
(oggestion. Ses démonstrations ont vivement intéressé l'auditoire de médecins et d'étudiants qui l'écoutaient. — Le Conseil s
et samedis suivants à ta même heure. NOUVELLES Congrès annuel des médecins aliénistes de France et des pays de tangua frança
nt concernant le Congrès doit être adressé au docteur Albert Carrier, médecin des hôpitaux, rue Laurencin, 13, ft Lyun. Asile
i recteur-médecin de l'asile de Pierrefeu. M. le Dr Rousset est nommé médecin adjoint de l'asile de Bron. M. le Dr Dupain est n
t nommé médecin adjoint de l'asile de Bron. M. le Dr Dupain est nommé médecin adjoint de l'asile de Bailleul. Hospice de la S
Dr G.). — A travers l'Exposition, Souvenir de 1889, Promenades d'un Médecin ; in-8°. 514 pages.— Société d'éditions scientifiq
me de l'homme et des animaux (en russe), discours fait au Congrès des médecins russes, 10 janvier 1891,19 pages. — Moscou, 1891.
ère bnuque dan» les contrariétés, avait, a mon insu, prévenu un autre médecin de venir à *on appel. — J. U. complete. L'enfan
dernier. Elle était alors dans le septième mois de sa grossesse. Sou médecin habituel avait déclaré qu'il craignait que l'acco
hystérie. — Progrès médical, 1889, 1890.. (2) Deutsch. Archiv. für. Médecin , Ed 27, p.3 (3) Jeter Stoffliche Veranderungen
t durables, contrairement à l'opinion souvent exprimée à tort par des médecins incompétents ou inspirés par un inconcevable part
ente, et qui passe si souvent inaperçue aux yeux d'un grand nombre de médecins non encore prévenus de son importance. 11 est n
Hospice de la Salpètrière (service de M. le Dr Auguste Voisin;. — Let médecins et les étudiants pourront suivre dans ce service,
l'Institut, les mardis, jeudis et samedis, de dix heures à midi. Les médecins et les élèves régulièrement inscrits à la cliniqu
u Docteur Liébeault. M. le Dr Lloyd-Tuckey, secrétaire du Comité de médecins étrangers qui s'était formé pour offrir au Dr Lié
ns le courant du mois de mai. On nous annonce qu'un certain nombre de médecins étrangers se proposent de se rendre à Nancy à cel
e Paris a discuté lundi dernier la question suivante : L'individu non médecin , qui se livre sur un tiers à des expériences hypn
seil. C'est également le tribunal qui statuerait, après rapport des médecins alie-uistes, sur les demandes de sortie qui pourr
els ne pourront être rendus & la liberté qu'avec un certificat du médecin affirmant non seulement qu'il y a goérison, mais
de la Gironde, consultée par le Conseil général de l'Association des médecins de France, relativement à la pratique de la médec
pprouve : 1' Qu'il soit créé un diplôme spécial conférant le titre de médecin expert ; 2* Est d'avis : Que. dans les cas qualif
lifiés crimti, l'expertise médico-légale soit conlléc à deux ou trois médecins expert* désignés d'un commun accord par la justic
e toute expertise médicale; 4* Qu'en attendant un nombre suffisant de médecins munis de diplôme visé ci-dessus, il soit établi t
cine et des tribunaux de première Instance de la région, une liste de médecins auxquels on pourra confier les expertises médico-
apeutique de (Hypnotisme, rapport présenté au quatrième Congrès des médecins russes, tenu à Moscou du 3 au 10 janvier 1891 (
tous les pays du monde. Et cependant, il faut le dire, la plupart des médecins , sans nier les faits, restent étrangers à ce mouv
masqué la vérité, que celle-ci a peine à se dégager de sa gangue. Le médecin qui se respecte craint de passer pour un vulgaire
elques jours notre clinique, en seront vite convaincus. Beaucoup de médecins reculent encore devant les pratiques dites hypnot
été suggestionnés par l'exemple, et sur lesquels aussi l'autorité du médecin est moins grande, on est loin d'arriver au même r
ose le plus souvent que delà médication symptoraatique ? Et les mêmes médecins qui admettent volontiers que l'iodure de potassiu
une douleur. Je lui demande pourquoi il a pleuré. II me raconte qu'un médecin qu'il avait consulté récemment lui avait dit que
guéri, li avait donc associé la suggestion involontaire faito par le médecin à celle que je loi avais faite; son imagination,
TOMATISME DES CENTRES GÉN1T0-SPINAUX (" Par H. le D' Pave1 SÉRIEUX, médecin des Asiles de l, Seine. Les arrêts de développe
intéressants exemples de l'automatisme des centres spinaux. Le savant médecin de Sainte-Anne a présenté à la Société médico-psy
ur les services dans lesquels elle est passée autrefois, reconnaît le médecin d'un de ces services qu'elle n'a pas vu depuis ce
à l'Institut, les mardi», jeudis et samedis, de 10 heures à midi. Les médecins et tes élèves régulièrement inscrits à la Cliniqu
, à 10 heures du matin (I). Hommage au Dr Liébeault. Le Comité de médecins étrangers qm s'en formé pour offrir au vénéré Dr
la date de cette touchante manifestation. Un assez grand nombre de médecins français et étrangers doivent so rendre à Nancy à
50 > MK'leLVGnnsoNÍSan Franciv.nl 10 » Dr D l* ii oxtp allier, médecin de l'Hôtel-Dieu de Paris....... 50 fr: Dr A.
bb de Combre- ment-le-Grand (Vaud-Suisse) 20 > Dr Aug. Voisin, médecin de la 50 ? D'Hubert NaiLSON.de Kingston (Ca
Folles prétentions de Féeoie critique matérialiste. — 3° Contre les médecins matérialistes et hypnotiseurs. — Miracle* dans l'
it lo monopole des miracles et qu'elle entendait le conserver. Si les médecins hypnotiseurs veulent bien se borner à appliquer l
as se manifester immédiatement après le retour à la connaissance. » Médecins et Compagnies d'assurances. Pour la première fo
oir à se prononcer sur la question du secret professionnel imposé aux médecins , & l'occasion d'un procès entre une Compagnie
pagnie d'assurances sur la vie et le bénéficiaire de l'assurance. Les médecins ont-ils le droit de refuser un certificat constat
cette question en certainement 1res délicate, car si, d'une part, le médecin peni «e retrancher derrière le secret professionn
ce, que la Compagnie exige, arant de payer la prime, un certificat du médecin ayant soigné l'assuré au cours de «a maladie. Ce
aquelle l'assuranee était consentie. M. X... se soumet à l'examen des médecins de la Compagnie, il est reconnu exempt de touto a
X... succombait. A la requête de la Compagnie, la veuve demande au médecin un eertiticat établissant la cause du décès. Pour
enu de fournir, a l'appui de la demanda en pavement, un certificat de médecin constatant le genre de mort qui avait donné ouver
e solennelle, le lundi 27 avril, sous la présidence de M. Bouchcreau, médecin en chef à l'Asile Sainte-Anne. Le prix Et. d'une
, dont les auteurs sont MM. Mabille, médecin-directeur, et Lallemant, médecin adjoint de l'Asile d'aliénés de Lafont, prés La R
asiles d'aliénés et secrétaire général de l'Association générale des médecins de France. La médecine légale au Missouri. —Il
éputés décidait, malgré l'avis si compétent de M. Brouardel, que tout médecin pourrait être requis comme expert, le Parlement d
ssances spéciales. Évidemment, ce n'est pas encore l'organisation des médecins légistes spécialisée, mais, du moins, c'est un pa
nnées avec tant de bienveillance et de désintéressement, un groupe de médecins étrangers eut l'idée de lui offrir, à l'occasion
n témoignage d'admiration et de reconnaissance. L'appel adressé aux médecins qui avaient suivi la clinique de M. Liébeault éta
l'esprit des organisateurs de cette manifestation internationale, les médecins étrangers devaient seuls être admis à collaborer
à M. Liébeault ayant été fixée au lundi 25 mai, un certain nombre de médecins français et étrangers se sont rendus à Nancy à ce
, ils se sont retrouvés dans un banquet présidé par M. Dumontpallier, médecin de l'Hôtel-Dieu de Paris. Au milieu du banquet,
à la Faculté de Nancy. — Dr David, de Sigeau (Aude). —- Dr Dejérine, médecin de Bicêtre. professeur abrégé a la Faculté de Par
Bicêtre. professeur abrégé a la Faculté de Paris. — Dr Dumontpallier, médecin de l'Hôtel-Dieu de Paris. — A. de la Narde, de Pa
. — M. Legall, de Paris. — Df Bespaut, de Paris. — LV Auguste Voisin, médecin de la Salpètrière, de Paris. Grande-Bretagne :
s d'admiration et de vive sympathie envers le docteur Lièbeault, — le médecin modeste qui, mû par le seul désir d'être utile, a
et la guérison de divers états morbides. Cabanis et beaucoup d'autres médecins avaient constaté les lapports du moral et du phys
hode. Lo professeur Bernheim a donc bien mérité la reconnaissance des médecins indépendants par caractère, et qui n'ont d'autre
es plus éclairés ???? l'étnàe de l'hypnotisme, a porté un toast aux médecins étrangers qui ont en l'idée de cette touchante ma
il a exprimé le vœu que bientôt un nouveau congrès réunisse tons les médecins qui s'intéressent à la science si féconde de l'hy
féconde de l'hypnotisme. Pais M. Roth, prenant la parole au nom des médecins anglais, a retracé les services rendus à la médec
et état particulier, elle fut souvent examinée et questionnée par des médecins et des magnétiseurs, surtout dans le courant de l
cceptait ce qu'on lui donnait, et que môme elle fut consultée par des médecins (par exemple : le Dr Zimmermann, à Bâle, qui, en
le, qui, en réalité, était le sieur Z.... docteur en philosophie, non médecin , et un dentiste de Fribourg-s/-B.), alors qu'Us n
nduite dans une chambre et mise sur un canapé. Nous avions alors (les médecins de l'établissement) un certain nombre de malades
phlegmon au pied, elle dit: « Cela provient du sang vicié ». 5° Le médecin adjoint entre alors dans la chambre en simulant u
e, raidit les bras, a l'air anxieux, confus et se plaint; regarde les médecins d'un air effaré et demande ce que l'on a fait ave
le prononce les diagnostics. Plus tard, elle manifeste également au médecin auxiliaire le désir d'être délivrée de son sommei
it pas pu dormir aujourd'hui. Le soir elle réitérait la même chose au médecin auxiliaire. Pendant la nuit du 18 an 19 la femm
désignés comme tels reposent sur une suggestion ignorée autant par le médecin que par le croyant. Le somnambule possède un puis
s et les rebouteurs; d'un autre côté, il arrive aussi que beaucoup de médecins , possédant un faux esprit d'appréciation malgré l
eu des symptômes d'embarras gastrique et pris, sur l'ordonnance d'un médecin , quatre grains d'émétique en quatre jours, les do
uvent sans autre stigmate classique d'hystérie, peuvent en imposer au médecin non familiarisé avec la suggestion et l'auto-sugg
ggestions criminelles post-hypnotiques par M. le D' Auguste Voisin, médecin de la Salpélrière j1 '. M. Auguste Voisin a con
a beaucoup d'égards, d'appeler l'attention des crimioologisies et des médecins légistes. Récemment commis, par le Parquet, à l
il. les Drt Van Renterghem et Van Eeden, est libéralement ouverte aux médecins qui désirent s'instruire sur la pratique de la su
l'Institut, les mardis, jeudis et samedis, de dix heures à midi. Les médecins et les élèves régulièrement inscrits à la cliniqu
Maladies mentales, traitées par sugges- tion, 109. Martyrologe des médecins aliénistes, 188. Médecin (le bon), 187. Médec
ar sugges- tion, 109. Martyrologe des médecins aliénistes, 188. Médecin (le bon), 187. Médecins et compagnies d'assurance
Martyrologe des médecins aliénistes, 188. Médecin (le bon), 187. Médecins et compagnies d'assurances, 347. Mélancolie che
dans le), par L. Achille, 25. Roncière affaire La), 234. Schylock médecin , 94. Séances publiques d'hypnotisme (interdicti
9 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
professeur i la Faculté de Bordeaux; BARETY (de Nice): DE BEAU VAIS, médecin do Mazas; BERNHEIM, prof. à la Faculté de Nancy :
Faculté de Nancy :L BOUYER (d'Angoulême) : BREMAUD de Brest) BRIAND, médecin de l'Asile de Villejalf : CHARCOT, prof, à la Fac
niv. de Louvain; MANOUVRIER, prof, i l'École d'Anthropologie: MESNET. médecin de l'hôtel-Dieu : MABILLE. méd. en chef de l'Asil
ZING (de Munich) ; SPERUNG (de Berlin); SEMAL (do Mous); Aug. VOISIN, médecin de la Salpétriere, eu.; STEMBO (de Vilna); 0. WET
l'hypnotisme doive préoccuper à plus d'un titre, ce sont surtout les médecins . N'ont-ils pas à vérifier la valeur du procédé th
édecine jusqu'à nos jours, la suggestion, c'est-à-dire l'influence du médecin sur son malade, a joué, et jouera toujours, un rô
urer, il suffit de voir les maladesqui, sur le conseil de leur propre médecin , viennent frapper à la porte des cliniques de psy
qui, ainsi que des observations, déjà nombreuses, recueillies par des médecins estimés, viennent en témoigner, obtiennent pour l
orphinomanie guérie par le traitement suggestif sont publiées par des médecins exerçant dans les pays les plus opposés. Enfin, l
ue cette méthode ne comptera point d'insuccès, même appliquée par les médecins les plus compétents et les mieux exerces? Personn
à pourquoi les résultats de la suggestion sont si variables selon les médecins qui l'appliquent. Il ne faut pas chercher ailleur
scussion d'école ayant pris fin. il n'y aura pins en présence que les médecins qui se désintéresseront des études sur l'hypnotis
quelque chose de semblable, ni par leurs parents ou amis, ni par leur médecin . Comme ils Toient dans la suggestion hypnotique u
que le p«ychc-thérapeute a l'occasion d'observer mieux que les autres médecins la multiplicité et la variété de ces psychoses.
essantes sur ce sujet. Jadis, en présence de cette terrible manie, le médecin demeurait impuissant, n'ayant pour arme que la ph
eu en main un hypnotisé pour le nier, — « déclaré simulateur par des médecins ; et cela pourquoi? Qu'on le dise! » J'avoue que
, depuis que M. Delbœuf se débat contre l'opinion presque unanime des médecins , des moralistes, des gouvernants qui considèrent
aient leur enfant à l'hôpital pour un mal - quelconque à la jambe. Le médecin , jugeant te» autres moyens inefficaces, coupe la
renvoie chez lui. Indignation de la famille, action en justice. « Le médecin est condamné à 10,000 francs de dommages-intérêts
re et dans la Revue de Belgique et dans un pamphlet : Magnétiseurs et Médecins , où il jette à pleines mains le ridicule et le di
S ET CONFÉRENCES L'hypnotisme et l'hystérie, par M. le Dr Babinski, médecin des hôpitaux. M. le docteur Babinski, invité pa
t n'a pas eu de peine à démontrer à son sympathique auditoire que les médecins légistes ne seraient pas embarrassés, le cas éché
e, le lundi 20 juillet, sous la présidence de M. te Dr Dumontpallier, médecin de l'Hôtel-Dieu. ordre du jour : 1° Présentat
l'Institut, les mardis, jeudis et samedis, de dix heures à midi. Les médecins et les élèves régulièrement inscrits à la cliniqu
a neuf heures. Un suggestionneur précoce. M. le Dr Dumontpallier, médecin à l'Hôtel-Dieu, nous adresse l'intéressante commu
es, chez un nègre du Congo. L'autopsie de cet individu, laite par des médecins de Londres, n'a montré aucune lésion nerveuse con
ls special qui est le premier symptôme de la maladie et qui, pour les médecins qui out exercé eu Afrique, eu est le signe révéla
de laquelle résulte la confirmation de recherches faites par un autre médecin anglais, recherches qui avaient déjà établi que l
, elle appela près d'elle notre collègue Swiderski, qui avait été son médecin et son ami. Celui-ci lui > conseilla de se ren
émie royale de Médecine de Belgique. Examen critique du rapport des médecins experts. Qu'est-ce que celle affaire? Un rien d
n'a pas jugé à propos d'imprimer un premier rapport dû à M. Schoofs, médecin à Nivelles, qui. lorsque la défense eut invoqué c
ir eu en main un hypnotisé pour le nier, — déclaré simulateur par des médecins , et cela pourquoi? Qu'on le dise! » Je laissais d
est point limité. Art. 3. — Sont membres fondateurs titulaires, les médecins , chirurgiens, accoucheurs, physiologistes, psycho
— Pourront être nommés membres honoraires, les savants qui, sans être médecins , chirurgiens, accoucheurs, physiologistes, psycho
poque où la pratique de l'hypnotisme n'était pas encore interdite aux médecins militaires. Dans le sommeil naturel, on peut qu
ujours à l'enfant la suggestion de ne pouvoir être endormi que par Le médecin . Cette suggestion est toujours suivie d'effet et
matoire et dans les fièvres intermittentes, reste ouverte. 17. — Le médecin doit, par conséquent, avoir recours à l'hypnotism
otisme, dans les cas où d'autres moyens peuvent être employés; chaque médecin a le droit de se servir des médications qui sont
juge plus rationnel et plus utile dans le cas donné. 20. — Mais un médecin qui refuse actuellement de se servir de l'hypnoti
ngers. 22. — L'aplication de l'hypnotisme est accessible à tous les médecins . 23. — 11 est indispensable cependant de connaî
otisme constituant une médication presque exclusivement psychique, le médecin doit posséder des notions de psychiatrie suffisan
n'est pas désirable, par conséquent, d'avoir une classe spéciale des médecins hypnotiseurs, qui rejettent, en principe, tout au
ssairement lieu à des erreurs de thérapeutique et fera considérer les médecins et la médecine à un faux point de vue. 27. — L'
uise sans porter préjudice aux études générales que doit faire tout médecin , et n'exige pas qu'on s'occupe exclusivement de l
tout pharmacien ou droguiste ne pourra fournir que sur ordonnance du médecin , la morphine, le chloral et la cocaïne : • 2* Q
éclamée par le client ne sera délivrée que sur nouvelle ordonnance du médecin ». Congrès de jurisprudence médicale. — La Soci
bœuf. spirite éditée sous le titre : Examen critique du rapport des médecins experts, et qui, arrivant dans une revue notable
etite industrie > ? Vraiment oui, on aurait dû respecter ce paysan médecin comme s'il n'existait pas en Belgique des lois su
ai « pas jugé à propos d'imprimer un premier rapport dû à M. Schoofs, médecin à Nivelles ». Mais pourquoi donc l'aurai s-je fai
gissait du refus que Vandevoir nous opposait, de « travailler » comme médecin pendant l'hypnose (?) à raison de l'influenra don
ns fait un rapport de complaisance, pour favoriser nos collègues, les médecins de Nivelles. Mais, ensuite, effrayé, sans duule,
sur la valeur médicale de la psychothérapie, Par M. le Dr DE JONG, médecin spéciali*t» pour les maladies mentales et nerveus
bstinent à la déclarer de nulle valeur et indigne de l'attention d'un médecin scientifique. Ce n'est pas qu'au cours de leurs i
ffrances du malade, et chaque moyen tendant à ce but, appliqué par un médecin de bonne foi, est justifié; négliger d'agir ain
tement médical, le malade est exposé au même danger : pour peu que le médecin ne soit pas à la hauteur de sa mission, il s'expo
ranches thérapeutiques, il sera donc d'une importance capitale que le médecin acquière ses connaissances par des éludes sérieus
vations générales sur les succès que j'ai obtenus. Eu ma qualité de médecin spécialiste pour les maladies mentales et nerveus
au traitement hypnotique et qui exigent grande patience de la part du médecin . En quelques cas, les malades, jusqu'ici réfrac
lusieurs cas par le savant professeur, le Dr Aug. Voisin, et d'autres médecins aliénistes. Il est évident que les résultats le
est évident que les résultats les plus faciles à reconnaître pour le médecin , sont ceux acquis par la thérapeutique suggestive
culpteur de 22 ans qui avait été traité longtemps par deux excellents médecins sans amélioration : je m'avisai de le traiter par
raitement des troubles des organes moteurs; il est trop connu. Chaque médecin hypnotiseur connaît assez bien les effets thérape
partie du public, l'hypnotisme est une puissance surnaturelle, et le médecin hypnotiseur un véritable thaumaturge. Messieurs
u'est-ce que la suggestion? Qu'est-ce que l'hypnotisme? Beaucoup de médecins , et des plus instruits, je ne parle pas du gros p
, des cauchemars nocturnes, quand elle pousse le sujet à consulter le médecin , à se médicamenter à outrance, quand elle devient
orrespondante aux pensées qui l'agitent habituellement. Le prêtre, le médecin , l'acteur, l'artiste, le soldat, portent souvent
le combattre par des faits aussi soigneusement observés que ceux des médecins français et permettant de tirer des conclu- sio
a suggestion à son insu ; le suggestionné peut l'être h son insu. Aux médecins légistes s'impose, en face des cas douteux, lé de
rt heureusement pour eux, à ajouter foi aux paroles encourageantes du médecin , ce qui est vrai, mais n'est pas nouveau. Définir
pnotique chez les aliénés et les obsédés, Par le Dr Auguste VOISIN, médecin de la Salpétrière. Messieurs, La thérapeutique
endaiit un moment son agitation. Le malade peut ainsi reconnaître son médecin et concentrer sa pensée sur l'idée du sommeil sug
elle suggestion pendant plusieurs jours encore, suivant la volonté du médecin . C. Donné en inhalations à dose excessivement f
le en faisant cesser la domination de l'obsession et en permettant au médecin d'exercer une action suggestive. Discussion.
ccasion de traiter, le diagnostic d'épilepsie avait été porté par des médecins des hôpitaux de Paris. J'ajouterai qu'en même tem
stions criminelles efficaces. Je n'ajouterai que quelques mots. Les médecins légistes, pour écarter la possibilité de la sugge
r les vrais coupables. M. Attg. Voisin. — Je croîs que le devoir du médecin est d'envisager la question des suggestions crimi
s toutes ses faces. La vérité Suit toujours par se savoir et c'est an médecin qu'il appartient, en pareil cas, d'éclairer le ma
e de non-lieu. M. Billet. — Je n'ai jamais dit ni voulu dire que le médecin legisle ne doit pas examiner minutieusement l'hyp
on des pratiques de l'hypnotisme, par toute autre personne que par un médecin , et surtout l'interdiction des séances publiques
fesseur de Liège, il est bien difficile de ne pas reconnaître que les médecins sont, en pareille matière, plus compétente que pe
cience, et reprendre pour leur compte les conclusions de certains des médecins et des professeurs que nous avons cités, sont una
vrait pouvoir être formellement déniée à toute personne autre que les médecins : on ne comprend pas, en effet, que le premier ve
est bien évident qu'il ne peut être permis à personne, en dehors des médecins , d'hypnotiser des sujets qui ne seraient pas en p
appe les pratiques de l'hypnotisme mise en œuvre par d'autres que des médecins . Nous proposons donc de remplacer, à l'article
le magnétiseur public, vint à Liège. Il exhiba devant une société de médecins , de professeurs, de magistrats, de journalistes u
la campagne en désespoir de cause. On m'avait averti des insuccès des médecins . Je ne devais donc pas suivre la même voie. Insta
nature de son niai. Dès lors, il avait consulté aans succès nombre de médecins de Bruxelles et de Liège, qui, à bout de remèdes,
trouver. Je répondis évasivement. Je n'avais pas envie, sans qu'un médecin m'y autorisât et fut présent, d'hypnotiser un hom
ingénieur des plus renommés, qui, depuis huit aos entre les mains des médecins pour un rhumatisme général avec complication, aya
Pourquoi? répondis-je ». La môme prédiction me fut faite par d'autres médecins . Elle ne s'est pas réalisée. Voilà plus de deux a
ai rencontré un certain nombre de cette catégorie, parmi des clients médecins — ont dans la tète des théories : « Monsieur, me
masseuse, repose uniqiiemcnt sur la suggestion. de la part de leur médecin habituel, qui explique ses insuccès en déclarant
, à lui écraser presque les chairs sans qu'il sentit rien. Ces deux médecins étaient donc suggestibles. et certes, de toutes l
onc suggestibles. et certes, de toutes les catégories de clients, les médecins doivent être les plus réfractaires à la suggestio
r : Prof. Dr Albbbt Eulenbosq in Berlin, 1s90. Le Dr H. van Corval, médecin principal d'état-major de l'arméee hadoisc, retir
de Nan??. En effet, nous rapportons, avec la très grande majorité des médecins qui pratiquent l'hypnotisme, tous les phénomènes
. L'élément suggestif figure dans toutes les médications; aussi, tout médecin est psycoothérapeute à son heure et à son insu. T
gestiblilité est loin d'être toujours assea développée. Il importe au médecin de rendre son sujet suffisamment snggestible dans
premrcr venu, aux pâtres, etc., elle doit rester dans les mains de médecins expérimentes et consciencieux. N'est pas piychoth
, avoir d'abord nn tact spécial, de U routine; il faut aussi être bon médecin , bon observateur, posséder dei connais, sances su
rès Juste de la matière qui ne manquera pas d'attirer l'attention des médecins allemands et de leur ouvrir les yeux sur les avan
qui ont résiste aux autres méthodes thérapeutiques. Il conclut que le médecin n'a pas seulement le droit, mais qu'il est obligé
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ites ont lieu les mardis, jeudis cl samedis, de 10 heures à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
bien quelque chose d'analogue dans l'histoire du roi David, à qui les médecins de l'époque conseillèrent de mettre dans sa couch
L'ALCOOLISME DEVANT L'EXPERTISE MÉDICO-LÉGALE Par M. le Dr SEMAL, médecin en chef de l'Asile de Mons (1). L'expertise méd
magistrature toute entière. Voilà donc où l'on voudrait conduire les médecins , par quels sophismes on entendrait les faire pass
ubles fonctionnels. Le 3 septembre, je fais constater par plusieurs médecins l'abolition complète du réflexe rotulien cher le
jours d'intervalle. La persévérance apportée par le malade et par le médecin ont donc été des facteurs très importants dans l'
u'à la quatrième, la cinquième ou même la sixième visite. Beaucoup de médecins qui croient à la suggestion et à l'hypnotisme, vo
omphes. J'ai constaté que rien ne soulève plus d'opposition parmi les médecins qu'une assertion trop générale, et si nous disons
vains qui partagent sa manière de voir se font illusion : nous sommes médecins d'abord et hypnotiseurs ensuite, et nous n'employ
n pendant le travail de l'accouchement. Par M. le Dr DUMONTPALLIER, médecin de l'Hôtel-Dieu. Une jeune fille de vingt-quatr
st amené pas son père, le 9 avril 1891, de ???-le-Duc, envoyé par son médecin , avec prière d'essayer 'a suggestion pour déracin
peser 47 livres 300 grammes. Plusieurs mois après, j'ai rencontré le médecin de l'enfant, qui m'a confirmé saguérison; l'enfan
POLÉMIQUE La Nutrition dans l'Hypnotisme Par MM. Auguste VOISIN, médecin de la Salpetrière, et HARANT. interne en pharmaci
Congrès de médecine mentale de Rouen. Dr Auguste Voisin, Harant, Médecin de la Salpetrière. Interne en pharmacie. RECUEI
luence de la suggestion aux l'évolution du syndrome, par M. Babinski, médecin des hôpitaux (1). L'observation que je vais rel
pnotique. Applications de l'Hypnotisme, par M. le Dr Daniel Brunet, médecin en chef de l'Asile d'aliénés d'Évreux (Eure). N
tier à la méthode thérapeutique nouvelle, provoqué chez bon nombre de médecins anglais. Afin de pourvoir à ce désir, le Dr Kings
ngers peuvent être prévenus en restreignant le droit d'hypnotiser aux médecins et autres personnes autorisées, et en n'opérant q
sez longtemps. Tout, en rendant hommage à la réception cordiale de ce médecin et de son chef de chirurgie et des facilités qu'o
evées, les problèmes les pins graves; elle intéresse non seulement le médecin , mais encore le magistrat, le juriste, le législa
soigneuses faites sur des malades et ayant guidé son jugement, aucun médecin n'a logiquement le droit de rejeter l'emploi de l
age de savants el de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 heures à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
réditaires dégénérés (délires et syndromes épisodiques]. Faculté de Médecins . — M. J. Ballet, agrégé, fait, les mardis, jeudis
ommé professeur de physiologie à l'Université de Vienne. Faculté db Médecins db Gênes. — M. E. Morselli, professeur extraordin
représentait. Du reste, cette femme, informée du sort de ses premiers médecins , avait exprime la crainte que le Dp Philippe ne c
que les élèves admis à suivre ses leçons. D'autres personnes que des médecins se sont occupées, avec la plus grande compétence,
esprit «, a donné lieu à de vives discussions. Cet article réserve au médecin seul le droit d'hypnotiser les mineurs et les ins
pole n'a pas de raison d'être. • Il ne suffit pas. disent-ils, d'être médecin pour connaître l'hypnotisme et, surtout, pour sav
les mineurs et les aliénés, en présence et sous b responsabilité d'un médecin ? » A cetto argumentation. M. Lejeune, ministre
a lout magnétiseur d'hypnotiser un entant ou un aliéné, pourvu qu'un médecin soit présent, est d'une extrême gravité. Je ne pu
nifeste la même confiance, en se contentant de la seule présence d'un médecin quelconque, lorsqu'un magnétiseur quelconque te l
ant ou sur un aliéné. Ceci n'est plus une question de confiance. Le médecin , sous le régime de notre loi relative à l'art de
t hypnotiser par le premier venu un enfant ou un aliéné, pourvu qu'un médecin fût présent. Quelque grande que puisse être ma
que puisse être ma confiance dans le corps médical, la présence d'un médecin quelconque ne m'offre aucune garantie, quand il s
e régime même à des mineures; mais, comme elles ne sont pas diplômées médecins , que font-elles? « Elles s'adjoignent un médeci
ont pas diplômées médecins, que font-elles? « Elles s'adjoignent un médecin , auquel elles donnent 20, 30, 40 francs, selon l'
pratiquer l'hypnotisme, dans les cas indiqués, par un magnétiseur non médecin , en présence d'un simple paravent diplômé, si cha
s réserves sur un point. Il existe, en Belgique, quelques hommes, non médecins , ayant des connaissances et des aptitudes univers
r, homme de science avant tout, qui aurait cherché, à la demande d'un médecin consciencieux, à modifier le caractère, les défau
ent une certaine influence sur le fœtus; de grands philosophes et des médecins célèbres l'ont énergiquement soutenu. Malgré cela
90, p. 957. (2j The Lancet, 18 octobre 1890, p. 853. ment, tons les médecins du voisinage étant absents, je persuadai la malad
ncérité de l'enfant, et il demandait instamment aux éducateurs et aux médecins de le seconder dans cette campagne. Depuis, noire
par cette répétition monotone que l'eu faut se laisse juger. Quand le médecin expert, après plusieurs visites, retrouve les mêm
ndividu ayant tué sa belle-mère et sa femme, fut soumis à l'examen de médecins légistes. Les journaux ont rapporté qu'au dire de
qui passe dans l'instruction? C'est là qu'est le danger surtout. Aux médecins de nous indiquer le remède, s'il existe, de nous
nt la pratique de l'hypnotisme, publique ou non, à tout autre que les médecins (eu prenant ce mot au sens large, médecins du cor
non, à tout autre que les médecins (eu prenant ce mot au sens large, médecins du corps et de l'âme, en faisant de cette pratiqu
iminels et en portant enfin des peines très graves contre ceux de ces médecins qui seraient convaincus d'avoir usé de cette facu
on, mais il n*y a pas un seul cas dans les annales judiciaires où les médecins légistes ou magistrats aient même atténué la culp
s le commande >. En France, ces maisons-là n'existent pas et les médecins envoient les morphinomanes chez les aliénés. Er
, notre privilège le plus chatouilleux : la liberté individuelle. Les médecins « séques-treurs • songent-ils à toute la gravité
ngue sans y toucher, la solution du problème serait trouvée. Tous les médecins sont d'avis, maintenant, que les succédanés de la
n du succès, mais ce qu'il y a de consolant et d'encourageant pour le médecin psychothérapeute, c'est que la majorité des perso
influence de la suggestion hypnotique, Par M. le Dr Auguste VOISIN, médecin de la Salpétrière. Messieurs, Je vous ai prom
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ites ont lieu les mardi*, jeudis et samedis, de 10 heures à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
om de loge Esculape, n> 2*10, et qui est exclusivement composée de médecins . Il y a quelque temps, une loge de pharmaciens a
e loge le Matérialisme scientifique. Elle renferme un grand nombre de médecins , parmi lesquels se trouvent des professeurs de l'
ogie interne de Mofineret, publié en 1864. Ce qui est sthénie pour le médecin français est asthénie pour le médecin amé- rica
864. Ce qui est sthénie pour le médecin français est asthénie pour le médecin amé- ricaiu. L'une et l'autre de ces dénominati
quinze minâtes, comme un éclair avec secousse. D'août en décembre, le médecin , qui pensait à une scia-tique, lui fit appliquer
que la suggestion matérialisée dans une pratique médicamenteuse? Les médecins tamiliarisésavecla thérapeutique psychique répond
st pas toujours chose facile. Elle exige de la science et du tact. Le médecin doit être doublé d'un psychologue. L'être humain
action de l'esprit sur le corps. Un éminent collègue a dit : « Restez médecins et ne soyez pas hypnotiseurs >. Je dis: ¦ Ne n
les maladies. Apprenez à manier la suggestion et vous serez meilleurs médecins ». SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE Séance du 14 décembre
ervation n'esi pas intéressante par le résultat obtenu, car pour lout médecin familiarisé avec le traitement suggestif, ce résu
eurasthénie de Béard, bien qu'il n'y ail qu'une lettre de changée. Le médecin américain avait d'ailleurs commencé par appeler f
résentent aucun inconvénient, il est bon de signaler leur utilité aux médecins . M. Goix. — J'avais songé à tirer parti du somm
fractai™ à l'administration de l'huile de foie de morne créosotée, le médecin traitant eut l'idée de recourir à la suggestion.
ago de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ite! ont lieu les mardi', jeudis et samedis, de 10 heures à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
Le sujet que je présente aux lecteurs de la Revue est la femme d'un médecin . Elle a aujourd'hui quarante-cinq ans ; elle est
lie hystérique et la suggestion hypnotique. Par M. le D* A. VOISIN, médecin de la Salpétriére. Messieurs, Notre honoré pr
Admettons que tout ceci soit vrai, quoique tant de sa van 15 et de médecins le nient. Les dangers sont bien ceux de l'hypno
et en possession certaine de la vérité. On n'en est pas là. Deux médecins ne sauraient causer d'hypnotisme sans... se prend
élucidée et nous refuserions de voter une loi, que certes de nombreux médecins — l'Académie en tête — déclarent excellente, néce
HISTORIQUE db ïtBDECINB MENTALE Il y a tantôt vingt-cinq ans, jeune médecin , exerçant au Locle (canton de Neucbâtel), je comp
phénomènes de la nature. Hippocrate, cependant, et tous les grands médecins de l'antiquité avec lui, rejetaient positivement
trinos du moyen âge. contre lesquelles avaient déjà protesté quelques médecins éclairés et humains, entre autres Jean Wier, méde
otesté quelques médecins éclairés et humains, entre autres Jean Wier, médecin du duc de Trêves, dont nous reparlerons plus loin
leur attirer leur bienveillance, ou tout au moins l'intervention des médecins . « An lieu de cela, il aurait eu à supporter le
onsidère ce traitement commo diabolique et il en interdit l'usage aux médecins militaires. Il est à peine croyable qu'on fasse p
régir les rapports réciproques des membres du corps médical. I. Les médecins honorent leur profession en s'honoraut eux-mêmes,
, les plus grands égards, soit en action, soit en paroles. — II. Tout médecin appelé près d'un malade traité par un confrère do
s'il est appelé de nouveau en consultation, ou ave: l'assentiment du médecin traitant. Dans le cas où le malade, après de fort
n traitant. Dans le cas où le malade, après de fortes remontrances du médecin appelé en second lieu, refuserait de recevoir les
in appelé en second lieu, refuserait de recevoir les soins du premier médecin , le nouvel appelé ne devra accepter qu'après s'êt
nouvel appelé ne devra accepter qu'après s'être assuré que le premier médecin est complètement désintéressé. — IV. Le médecin a
assuré que le premier médecin est complètement désintéressé. — IV. Le médecin appelé en consultation s'abstiendra auprès du mal
alade et de son entourage de toutes réflexions pouvant préjudicier au médecin traitant. Le consultant ne devra apporter de chan
nécessité. La consultation ayant lieu à part, c'est-à-dire entre les médecins seuls, toute parole dite en dehors pouvant jeter
sible. Le traitement indiqué par les consultants sera appliqué par le médecin ordinaire. C'est à lui qu'appartient l'exécution
ement et conformément aux convenances professionnelles. Toutefois, le médecin traitant a le droit d'appeler un consultant de so
ler un consultant de son choix en cas de désaccord. — Le cabinet du médecin est un terrain neutre où il donne ses conseils à
déontologie, en souhaitant qu'il soit observé religieusement par le* médecins de tous le* pays. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE INTERNA
nous. De semblables expériences furent faites avec Eusapia par les médecins Bartlt et Deflosa, qui m'écrivirent les faits sui
crétaire de l'Académie de Médecine, le IV Déjerine, le L> Garuier. médecin de la Préfecture de police. MM. A. Binet et Ch. F
d. p. a». (S) Ibidem, p. VA. (3) Ibidem, p. 5° M. le lu Df Brémaud, médecin de la marine, a hypnotise quatre-vingt-dU-sept ma
istinct. (2) Les compagnies de chemins de fer font examiner par des médecins si ceux de dattonièVie^ qU' Parlic du «rvice d'ex
oup moins, et j'attribuais cette amélioration autant à l'influence du médecin qu'aux médicaments prescrits, et forcément peu ef
il me mettait en présence d'un nouveau cas, pour démontrer aux autres médecins et justifier la sincérité de ma ferme conviction
agc de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiant* un enseignement pratique permane
uites ont Heu les mardi-, jeudis et samedis, de 10 heures à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
alité des types de criminels nés. » — Rapporteurs : Dr Van De venter, médecin en chef à Amsterdam (Hollande); D'Van Genuchten,
teurs : Dr Jelgersma, aliéniste à Meeremberg (Hollande; ; D' Cuylils, médecin en chef de l'asile d'Kvcre. • De l'homicide dan
sare Lombroso, professeur à l'Université de Turin ^Italie); Dr Morel, médecin en chef à l'hospice Guislain, aliéniste de l'admi
elles « L'obsession criminelle morbide. » — Rapporteur : Dr Magnan, médecin en chef à l'asile Sainte-Anne, à Paris. (1) Le
nedikt, professeur à l'Université de Vienne (Autriche) ; D' Voisin, médecin en chef de la Salpetrière, à Paris; D' Bérillon,
oir de l'instruction à leur charge. » — Rapporteur : D- Paul Garnier, médecin en chef do la Préfecture à Paris. « L'inversion
, avocat à Bruxelles: M. Goddyn, juge au Tribunal de Gand; Dr Ramlot, médecin adjoint des hôpitaux, a Bruxelles. Nous rappelo
mois d'intervalle. Nos confrères cubains n'ont donc rien à envier aux médecins de nos hôpitaux militaires. La-bas, comme ici, le
que envahit les salons et les cafés. Si, aujourd'hui, messieurs les médecins militaires, victimes de règlements antiscientifiq
e d'hypnotisation. A ce propos, j'ouvrirai uno parenthèse. Tous les médecins légistes qui, jusqu'à ce jour, se sont occupés de
de Lasèguc et Legrand du Saulle, et il ne se passe pas d'année où les médecins experts n'aient à Paris à en examiner plusieurs.
hérapeutique suggestive, — avec ou sans hypnose, — à laquelle aucun médecin do devrait être étranger et qui devrait être l'ob
t la période J'amnésio rétrograde, elle avait vu fréquemment chez son médecin , M. le Dr Janet, qui l'a envoyée à Paris, une pho
le, qu'ello peut reconnaître sa personnalité. Quant aux élève» et aux médecin * du servie que rien ne rattache à cette période a
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné a fournir eux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 heures a midi. Les médecins ci étudiants régulièrement inscrits sont admis à
itÉ de Zurich. — M. le professeur Forel, professeur de psychiatrie et médecin en ebef de l'Asile d'aliénés, consacre une partie
te la nuit. Tout cela est fort bien, et il nous semble même que nos médecins cl hygiénistes nous donnent, a l'occasion, des co
lement regrettable que des empiriques tracent parfois la voie que des médecins n'ont pas osé suivre avant eux. Le choc nerveux
aux chapitres qui nous intéressent plus particulièrement, nous autres médecins , et je laisserai un peu de côté la partie pbyloso
e Fleury, qui vient de mourir après avoir été pendant trente-deux ans médecin des hôpitaux de Bordeaux et qui occupait dignemen
isme comparé des hémisphères cérébraux, fat présenté à l'Académie, le médecin Broca en fit le plus grand éloge. Dans un trava
passée presque inaperçue. NOUVELLES Assemblée des naturalistes et médecins allemands en 1893. — La soixante-cinquième assemb
emands en 1893. — La soixante-cinquième assemblée des naturalistes et médecins allemands se tiendra a Nuremberg, du 12 au 16 sep
a Nuremberg, du 12 au 16 septembre prochain. Assemblée générale dos médecins suisses en 1893,— L'assemblée générale des médeci
blée générale dos médecins suisses en 1893,— L'assemblée générale des médecins suisses se tiendra à Genève le £8 mai prochain.
les au mois d'août prochain. Asiles d'aliénés. — M. le D' Ramadier, médecin adjoint desasiles de la Seine, vient d'être nommé
' Ramadier, médecin adjoint desasiles de la Seine, vient d'être nommé médecin en chef de l'asile de Rodez (Aveyron). Exercico
- , cation par l'oxyde de carbone (Annales d'Hygiène publique et de Médecins légale, n°3. mars.) Féré (Ch.). — Note sur l'
és, de boissons alcooliques qui suggèrent à tout le monde et même aux médecins que l'alcool est utile, fortifiant, nécessaire au
e maux de tête et de faiblesses dans les jambes avec convulsions. Son médecin l'ausculte et la percute, croit trouver quelques
je vous assure, je n'ai absolument pas toussé, je ne tousse pas. ¦ Le médecin s'en va, mais la nuit même la malade se meta tous
est atteint d'une pneumonie et souffre de violents maux de tète. Son médecin , auquel i\ en parle et qui connaissait sa famille
re délibération, la Chambre avait refusé à toute autre personne qu'au médecin le droit d'hypnotiser les enfants et les aliénés.
ons médicales provinciales, à condition qu'elles opérassent devant un médecin . A la seconde délibération, devant la Chambre, de
autorisation précitée au Gouvernement et de supprimer l'obligation du médecin répondant. La discussion continua ainsi : M.
er les enfants et les fous, mais il lui est interdit de consulter les médecins ! [Rires.) Cependant, en confiant au Gouvernement
er- reniion du Gouvernement. Faut-il, en outre, l'assistance d'un médecin aux opérations des hypnotiseurs? Je mo suis longu
ecommande au même titre; c'est ainsi que J'ai accepté l'assistance du médecin en même temps que la clause relative à l'autorisa
à l'autorisation délivrée par la Commission médicale. L'assistance du médecin no mo dérange pas parce quo je n'y attache aucune
avec accompagnement d'orchestre! U leur fallait r&ssisiance d'un médecin ; ils l'ont. J'ai adhéré à l'amendement do l'hon
corps médical... M. Grospils. — Ce n'est pas lo veau de beaucoup de médecins . M. La Jkl'ne, ministre de la Justice. — Que vo
vis de IL le sénateur Son part, sur la nécessité de l'assistance d'un médecin à l'opération. 11 y jouera on rôle effacé, en que
e, sauf les cas où il devrait accompagner ses clients- La présence du médecin ne servira qu'à couvrir la responsabilité de l'hy
acquitté par la Cour d'appel de Liège, parce qu'il éiait assisté d'un médecin . MM. Grosfils et Magis semblent perdre de vue q
allie volontiers à l'amendement (art. 2), qui supprime la présence du médecin à l'opération. Il suffit que l'hypnotiseur, s'il
du médecin à l'opération. Il suffit que l'hypnotiseur, s'il n'est pa* médecin , soit muni d'une autorisation du gouvernement. Ce
llance dont ses décisions dépendront. Vous renoncez à l'assistance du médecin : je n'y fais pas d'objection; mais il convient d
oriser à hypnotiser les enfants et les aliénés sans l'assistance d'un médecin ou autoriser à les hypnotiser avec l'assistance d
nce d'un médecin ou autoriser à les hypnotiser avec l'assistance d'un médecin : il y a, en théorie, une différence entre les de
de sauvegarder la santé des enfants et des aliénés. L'assistance du médecin n'étant plus exigée, il faudra, avant d'accorder
ssistance. J'ai contesté que l'obligation de se faire assister d'un médecin quelconque fût, en pratique, une garantie efficac
la candeur. Bien que l'abbé Morean soit souvent injuste vis-à-vis des médecins qui ont étudié l'hypnotisme, en dehors de toute p
la famille, pour la patrie, pour l'humanité. » Un des plus savants médecins a'iénistcs de la renaissance, Jean Wier, qui publ
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ites oat lieu les mardi9, jeudis et samedis, de 10 heures à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
notique de la dipsomanie (le), par Hubert Neilson, 14. Tribunaux le médecin devant les), 159. Valeur médicale de la psychot
10 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cine de Paris. V. IYIAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). F. RAYMOND
orphinisme familial par contagion , 1'.\Jl LE 1)' BI\I.\ : : \'11 Médecin eu clic ! à l'Asile de Ville-juif, I ? 'I' LE 1
almée, l'appétence morphinique avait subsisté, satisfaite, grâce au médecin , qui renouvelait, parait-il, les ordonnances au
, et tant en Belgiql1e qu'en France, de faciles complaisances : les médecins chez lesquels ils allaient, sous des prétextes
ès de la science psychiatrique, elle nous satisfait surtout, nous médecins , qu'on oppose constamment au ministère pu- blic
sonnes qui ont participé a la morphinisation de ces malades, sur le médecin qui, le premier; ayant traité légitimement N...
ue par la morphine est une méthode qui a ses indications et dont le médecin a le droit incontestable d'user sous le couvert
ls du patient. Or la mor- phine est une substance dangereuse, et le médecin n'est- il pas coupable s'il ne l'a pas employée
avec un nouveau besoin, n'est-il pas recevablc il poursuivre son médecin dans le cas où celui-ci ne s'en est pas tenu à
re yscrail-il admis s'il prouvait contre le 10 CLINIQUE NERVEUSE. médecin la faute professionnelle qui, seule, peut engager
upable doit bénéficier. Par contre, comment juger la conduite de ce médecin qui, importuné par les visites trop fréquentes
dicale de Sailll-P0lers)JOuI'g' : de memeje l'avais démontré aux médecins pendant le Congrès de Pirogotf. à Saint-1't ? t
midement autour de lui. C'était difficile de le faire tugartlcr Iv médecin en face : il devenait alors inquiet, oppressé par
et d'être irrité par tout cl par LuuL le monde : il s'approchait du médecin d'une manière indécise en se cachant vers le 11
t à fait, bien portant. De temps en temps, le malade s'adressait au médecin , fout en regardant décote ; on voyait que cela
je commence tranquillement à uriner. S'il me faut uriner chez le médecin pour obtenir l'urine, je tends la musculature, je
idée augmente muon embarras, ella miction devient impossible. Si le médecin s'éloi- gne, je commenceà uriner; il ne m'est a
je n'aurais jamais la force de le dire. Je voulais m'adresser à un médecin , mais je ne pouvais pas me décider ; du reste,
l'idée seule de me montrer avec une telle physionomie devant les médecins , les malades, surtout du sexe masculin, les cama-
e était tombée malade elle-même, et jenem'adressai pas aux autres médecins . Ainsi, trois ans se sont écoulés ; pendant ce te
demi que le malade puise marier conformément la permission de ses médecins . Avec la cessation de l'impotence sexuelle la pho
Par le D' Lucien LAGHIFFE, Ancien chef de clinique il la Faculté, médecin des Asiles publies d'aliénés. Le malaise croi
conseil supérieur de l'Assistance publique : com- bien d'aliénés un médecin d'asile doit-il soigner ? M. le D, Bourneville,
liquer. La formule dont nous demandons le changement est celle de médecin adjoint ; si, en effet, nous examinons ce que d
paraître raisonnable, parce que jusqu'en 1888 le recrutement des médecins d'asiles se faisait au choix. Non pas que ces c
et spéciales, analogues à celles que déterminent le recrutement des médecins des hôpitaux, médecins-ad- joints qui tous ont
ans, alors que, avec un recrutement sans concours, les plus anciens médecins chefs ou directeurs existant encore pour longte
rs travaux et à leur labeur administratif. Mais encore un coup, ces médecins en chef ou direc- teurs n'agissent de telle man
nt suivant : tel asile possédant 500 ma- lades a comme personnel un médecin en chef ou direc- teur et un médecin-adjoint, t
un médecin en chef ou direc- teur et un médecin-adjoint, total deux médecins pour 500 malades, soit 250 malades pour un méde
int, total deux médecins pour 500 malades, soit 250 malades pour un médecin . Nous qui sommes au courant, nous savons qu'il
savons qu'il n'en est rien, et nous disons que 500 malades pour un médecin en chef ou directeur et un médecin-adjoint font
chef ou directeur et un médecin-adjoint font 500 malades pour un médecin : et avec l'organisation actuelle on aura beau
ns-adjoints, le person- nel médical se résumera toujours en un seul médecin qui est le médecin en chef ou directeur. C'est
n- nel médical se résumera toujours en un seul médecin qui est le médecin en chef ou directeur. C'est peut-être là qu'il
lue de ce rouage qu'elle l'a supprimé en augmentant le nombre des médecins en chef. Faut-il, ou du moins faudrait-il, en a
rs 1857. En effet, l'article 9 de l'ordonnance de 1839 dit : « Le médecin en chef délivrera tous certificats relatifs il.
délivrés par le médecin-adjoint qu'en cas d'empêchement constaté du médecin en chef. » En théorie, l'ordonnance de 1839 a s
donnance de 1839. Aussi retrouvons-nous à l'article 58 (Section IX, médecin en chef) les dispositions de l'ar- ticle 9 de l
..................... « Pour la délivrance des certificats r il (le médecin en chef) ne peut être suppléé par le médecin-ad
re de faire consacrait un double emploi ; qu'au lieu d'obliger le médecin en chef ou directeur à visiter tous les jours tou
toute rudimentaire, il serait beaucoup plus logique de permettre au médecin en chef de diviser son service médical en deux
per- mettant de conserver les ancicns textes, d'appeler tous les médecins des asiles publics : « médecins des asiles » ou
ancicns textes, d'appeler tous les médecins des asiles publics : « médecins des asiles » ou «médecins en chef » et,sil'Qn v
ous les médecins des asiles publics : « médecins des asiles » ou « médecins en chef » et,sil'Qn veut néanmoins conserver un
scrait un stage régulier et uniforme de deux années, permettant aux médecins qui ne sont pas issus directement des asiles, p
juste et raisonnable. En résumé, tout ceci revient il dispenser le - médecin en chef ou directeur de voir personnellement to
r les malades qui se'trouvent dans le service dont l'aura chargé le médecin en chef ou directeur, sans qu'il soit nécessair
pagande que nous avons faite que : l°le concours pour les places de médecin en chef des quartiers d'hospice de Bicêtre et d
t de la Salpèt1'ière fut rétabli (I87U) ; 2° qu'il fut appliqué aux médecins suppléants créés sur notre proposition ; 3° que
tif pour 190) de l'Asile d'aliénés de Quimper ; par le )) ? En.noN. médecin directeur. Population au 31 décembre 1902 : G29
e médecin-adjoint. C'est là un nouvel exemple de collaboration du médecin directeur et du médecin adjoint qui vient heureus
st là un nouvel exemple de collaboration du médecin directeur et du médecin adjoint qui vient heureusement s'ajouter à ceux
s signalés. Voici quelques citations. « M. le Dr Meilhon, Directeur médecin de l'Asile de Quimper a bien voulu nous charger
04 de l'asile de Dur-lés-Anxiens (Somnte), par le D1' René Charron, médecin en chef-directeur. 11 nous plaît de signaler l'
importance consi- dérable en raison des difficultés à surmonter. Le médecin peut, par son influence morale, contribuer puis
ET. Dans le rapport médical de l'Asile de Chambéry pour 1904, les médecins de cet établissement ont recherché les rapports e
ontresigné par nous. En demandant la multiplication du nombre des médecins en chefs, nos collègues delà Seine commettent u
c un direc- teur laïque qui seul sera logé et bien rétribué, et des médecins qui 74 CORRESPONDANCE. seront non plus appoin
ante attention de l'administration supérieure sur les retraites des médecins des asiles, admise ici, refusées là, entourées
le parquet de Versailles. (Le Radical, du 14 mai.) XVe CONGRÈS DES médecins ALIÉNISTES ¡ET NEUROLOGISTES de France ET des p
des cotisations,à3l. IeDJ. Sizaret, secrétaire général du Congrès, médecin en chef de l'Asile d'aliénés de Rennes. Voir po
demandes de nomination doivent être adressées à M. le U Broquière, médecin directeur, et appuyées : lo d'un certificat con
uite au prochain numéro). ASILES D'ALIENES Fixation du nombre des médecins dans les asiles d'aliénés. ' Telle était la q
opositions avec l'indication du vote. Sur la fixation du nombre des médecins nous avions sou- mis à la Section la propositio
V" section demande au Conseil supérieur de déclarer qu'il y aura un médecin en chef et un interne par 300 malades. » « Quan
« Le nombre moyen des aliénés qui peuvent être confiés a un seul médecin traitant ne doit pas dépasser 400, et la conditio
curables par rapport à la population des incurables, du, nombre des médecins adjoints, des internes et de la disposition des
l tiendra également compte, dans cette appréciation, du fait que le médecin en chef serait directeur de l'établissement. Il d
Nous avons résumé aussi l'enquête au sujet des direc- teurs, des médecins en chef, des médecins adj oints et des internes
ussi l'enquête au sujet des direc- teurs, des médecins en chef, des médecins adj oints et des internes : En ce qui concerne
directeur des asiles soient réservés dans la plus large mesure aux médecins en chef de ces établissements. » Ce voeu a été
istration avec « invi- tation de l'examiner avec soin ». Pour les médecins adjoints, la question était plus déli= cate. No
éré les propositions ressortant de l'enquête : 1" Suppression des médecins adjoints et leur remplacement par des médecins
1" Suppression des médecins adjoints et leur remplacement par des médecins en chef, recrutés par le concours actuel de l'a
es médecins-adjoints avec des attributions ana- logues à celles des médecins en chef et pouvant par conséquent assister aux
la Commission de surveillance. 3" Constitution de services par les médecins sur la base sui- vante : les malades rentrants
les malades rentrants de l'année, les malades curables réservés aux médecins de direction et aux médecins en chef ; - les ma
née, les malades curables réservés aux médecins de direction et aux médecins en chef ; - les malades chroniques donnés aux m
ction et aux médecins en chef ; - les malades chroniques donnés aux médecins adjoints, faisant t'onctions de médecins chefs
ades chroniques donnés aux médecins adjoints, faisant t'onctions de médecins chefs de service. Voici le texte adopté par le
par le Conseil supérieur : Le conseil supérieur est d'avis qve les médecins adjoints doivent être maintenus et que les serv
ntrants l'a dennée, les malades i-t"])u. tc·s curables réservés aux médecins de direction et aux médecins en chef ; Les ma
es i-t"])u. tc·s curables réservés aux médecins de direction et aux médecins en chef ; Les malades chroniques donnés aux m
ction et aux médecins en chef ; Les malades chroniques donnés aux médecins adjoints, sous le contrôle éventuel des médecin
oniques donnés aux médecins adjoints, sous le contrôle éventuel des médecins en chef. Les certificats de sortie sont réservé
el des médecins en chef. Les certificats de sortie sont réservés au médecin en chef . Les médecins adjoints sont con- voque
f. Les certificats de sortie sont réservés au médecin en chef . Les médecins adjoints sont con- voques aux séances de la com
avons soumis au Conseil les deux voeux ci-après. A l'avenir, les médecins des quartiers d'hospices seront choisis parmi l
nir, les médecins des quartiers d'hospices seront choisis parmi les médecins adjoints nommés au concours. Ce premier voeu a
ront dans les asiles privés faisant fonctions d'asiles publics, les médecins se- i-ont recrutés parmi les médecins adjoints
nctions d'asiles publics, les médecins se- i-ont recrutés parmi les médecins adjoints nommés au concours avec les mêmes avan
decins adjoints nommés au concours avec les mêmes avantages que les médecins des asiles (traite- ment, retraite, logement, e
ront dans les asiles privés faisant fonctions d'asiles publics, les médecins soient recrutés parmi les médecins adjoints nommé
fonctions d'asiles publics, les médecins soient recrutés parmi les médecins adjoints nommés au concours avec les mêmes avan
decins adjoints nommés au concours avec les mêmes avantages que les médecins des asiles : tr<li- tement, retraite, logeme
nnel mé- dical et administratif des asiles d'aliénés'. NOMBRE DES MÉDECINS DANS LES ASILES D'ALIÉNÉS. 107 médecins adjoint
es d'aliénés'. NOMBRE DES MÉDECINS DANS LES ASILES D'ALIÉNÉS. 107 médecins adjoints des asiles d'aliénés actuellement fixés
ancs et complétés par les avan- tages en nature. Les rapports des médecins directeurs et des médecins en chef des asiles d
van- tages en nature. Les rapports des médecins directeurs et des médecins en chef des asiles d'aliénés ont été l'objet du
eils généraux l'im- pression des rapports annuels des directeurs et médecins en chef de tous les établissements consacrés au
qu'il y aurait à ce que les rapports administratifs et médicaux des médecins des asiles d'aliénés fussent imprimés en exemplai
bien donner connaissance de cette circulaire aux Directeurs et aux Médecins des asiles d'aliénés de votre dé- partement. Po
de 1857, en vue surtout de préciser les nouvelles attributions des médecins adjoints et d'organiser le concours de l'intern
ntenant dans leur fabrication du chlorure de sodium. Il faut que le médecin ait beaucoup de patience, que le malade et son
s cessé d'être bien portante, D'après l'historique et le rapport du médecin , la syphilis des parents était improba- ble. L'
cien- tifique. - M. Demonchy. La conscience du sommeil. J)1' Lux. Médecin major de 11'0 classe. La suggestion de l'uni- f
n-directeur, avec la collaboration de MM. les D1" Pochon et Brunet, médecins adjoints. Population de l'asile au ICI' janvier
nt usé el abusé. Comme adjuvants uliles au traitement psychique, le médecin doit se borner à l'emploi des douches, bains, m
aintenu au lit dans l'isolement le plus absolu, il ne verra que son médecin et les personnes de son service ; la rigueur de
onnet, qui trouvaient ce chiffre de malades exces- sif pour un seul médecin . Etonné de ce fait anormal, dont aucun asile fr
tnic secondait dans ma tâche, ce qui est radicalement inexact, le médecin suppléant, comme son nom l'indique, me rempla-
NÉS. 151 que le chiffre de 400 malades était bien suffisant pour un médecin traitant, et moi j'en ai plus du triple ! ! ! Q
l'asile de 13-,Lilleul où cependant,pour 1.400 ma- lades, il y a un médecin en chef et deux médecins-adjoints 1,'ati dernie
hoses dans le même genre sontpro- fondement décourageantes pour les médecins d'asiles qui ne de- mandent, certes, pas mieux
ne existence laborieusement remplie et des déboires sans nombre, le médecin d'asile étaiLsirrd'avoir,comme les autres fonct
n certaines années, quand on voit un asile où le personnel médical ( médecins cl personnel infirmier) est si réduit V congr
à l'Hôtel de Ville par la municipalité aux membresdu Congrès et aux médecins de Rennes. Mercredi 2 août. 9 heures du matin
es excursions recommandées, etc. S'adresser à M.' le Dr J. Sizaret, médecin en chef à l'Asile d'aliénés de Rennes. Vu : le
ains (Meuse), promu à la classe exceptionnelle. M. le ])1' HOUSSET, médecin en chef de l'asile d'aliénés de Gl'on (1thùne),
e 1905 No 11 '7 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CONÇUES FRANÇAIS , DES MÉDECINS ALIÉNÂTES ET NEUROI,OIISI'I1S Quinzième session
Rennes, mercredi 2 août 1905. Laquinzième session du Congrès des médecins alié- nistes ctneurologistes de France el des p
mbre d'une centaine environ, et auxquels s'étaient joints plusieurs médecins belges et suisses. Sur l'estrade se trouvaien
pharmacie ; Oberthur, premier adjoint au maire de Rennes ; Sizaret, médecin en chef de l'asile Saint-Méen, secrétaire génér
conseiller à Archives, 2- série, 1003, I. XX. 11 103 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. la Cour d'appel ;
caractères particuliers. Mais nous ne sommes plus au temps où les médecins , en recherchant chez les préten- dus sorciers l
'infligeaient les juges d'alors. Aujourd'hui, les magistrats et les médecins s'efforcent dans une même collaboration à la co
isons sérieuses ont fait ajourner celte question. 1G6 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. L'après-midi de ce
t non délirante des neurasthéni- ques, que tous les spécialistes et médecins praticiens sont ex- posés à rencontrer, et 1'li
doctrine psychique trouve son représentant dans Du- 168 CONGRÈS DES médecins ALIÉNISTES et neurologistes. bois (de Berne), p
rocédés diagnostiques et de nos techniques histolo- 170 congrès des médecins aliénistes ET neurologistes. giques, on peut ét
Les hypochondriaques homicides sont surtout des persécu- teurs des médecins qu'ils accusent de les avoir mal soignés ou d'ê
, soulèvent le difficile problème médico-légal qui consiste pour le médecin expert à déclarer s'il est dû une indemnité pou
excuserez un chirurgien de prendre la parole dans une assemblée de médecins alié- 170 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NE
ndre la parole dans une assemblée de médecins alié- 170 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. nistes. Si j'inter
s préoccupa- Aur,IIIVES, 2, série 1905, t. XX. 12 178 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. tiens étaient légi
rès des tentatives de suicide, sur des certificats délivrés par les médecins aliénistes. Ils ont également bien guéri à la s
depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours ont divisé les médecins sur l'origine centrale ou périphérique de l'hyp
ement des psychoses hypochondriaques et que le seul 182 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. facteur pathogéniq
ques, annonçant sa mort prochaine, commentant les dia- gnostics des médecins qn'elle a consultés, etc. LE TIC HYSTÉRIQUE. 18
me, il s'agit d'un véritable accident hystérique. 186 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NECROLOGISTES. En nous basant sur
oeil, laquelle dépend toujours de la syphilis, . ils CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. L'irrégularité pup
à humeur vagabonde, soient, lors de leur incorporation, signalés au médecin du corps.et s'ils sont reconnus atteints de mal
à l'hôpital du Val-de-Grace devrait être complété pour les jeunes médecins militaires par l'assistance à l'enseignement ps
s volontaires. M. Christian a pensé que l'on ne trouverait pas de médecins voulant donner un certificat relatif à l'état men
t médical, et de faire disparaître ce qui pourrait faire hésiter le médecin z Sur la proposition de M. Régis, on a exigé, p
de l'engagé volontaire, en dehors de l'apport d'un cer- tificat du médecin de la famille, l'examen psychique de l'en- gagé
médecin de la famille, l'examen psychique de l'en- gagé fait par le médecin militaire du bureau de recrutement. Enfin, M. C
cin militaire du bureau de recrutement. Enfin, M. Christian, ancien médecin de la maison natio- nale de Charenton, a fait r
naient de moins en moins nombreux et que ce n'était 190 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. pas là un hôpital
est cependant rare.L 'ensemble des statistiques des 192 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. plaies nerveuses n
tissu nerveux). - Archives, 2° série, t. XX. , 13 194 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. La théorie pathogé
tats. Nos mesures portent, jusqu'à présent, sur des 198 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES, déments précoces q
ce temps, et pendant les années 1903, 1904 (Hospice 200 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 1 de Bicêtre) ;
t l'apparition prochaine de troubles médullaires. 202 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. Influence de la fo
. DoUTREBENTE, L. MARCHAND ET M. OLIVI'FR, -Les cas 204 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. de paralysie génér
n'avait plus d'albumine, un hémiplégique syphilili- 506 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. que en avait des t
vue psychologique. (Thèse de Lyon, août 1888). 1 208 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. d'observer des mou
consistance d'une doctrine et d'une méthode thérapeutique. A Pomme, médecin français du milieu du XVIII0 siècle, semble rev
bausch) et du bain prolongé ; mais il convient sur- 212 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES ' tout de s'adresse
de sinapisé, le demi-bain, la douche écossaise, les 214 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. emmaillotements fr
le bain frais ou froid, conformément à la pratique adoptée par les médecins fran- çais Féréol, Rousseau, Letulle. On se sou
près avoirsignalé les desiderata de l'éducation hydrothé- rapie des médecins en général et des aliénistes,en particulier, le
geusement des applications hydrothérapiques froides 218 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. immersions de cour
eux, n'est pas exempte de dangers et rend nécessaire la présence du médecin . 8° Aux états hyperthermiques (délire aigu) on
am- nation à l'immersion prolongée et incessante défendue par les médecins qui combattent la camisole de force et la cellule
ts pauvres des écoles. (Rap. ni On, p. 8, 18.-2.) 222 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. tail seul ou avec
ent la statistique des bains et des douches et que, à l'exemple des médecins de l'étranger, ils usent lar- gement de ces moy
blissements balnéo-hydrothérapiques organisés et dirigés par des médecins spéciaux, tel le bel établissement thermal de V
seignemcnl de l'hyd1'othérapic est à peu près nul. Trop souvent les médecins prescrivent des douches sans se préoccuper comm
pas d'avoir des pré- tentions, de s'imaginer en savoir plus que les médecins .' Les médecins, de leur côté,on [le devoir d'ét
ré- tentions, de s'imaginer en savoir plus que les médecins.' Les médecins , de leur côté,on [le devoir d'étudier avec soin
e difficulté. En agissant ainsi, nous croyons rendre service et aux médecins qui trouveront dans nos gardes-malades des auxi
met un nouveau doucheur dans un hôpital, on devrait en prévenir les médecins qui, eux, ont le devoir de fournir à l'apprenti
que toutes ces matières faisaient partie du bagage scientifique du médecin , et il me semble qu'on va trop loin (1) Traité
les chefs de service n'ont pas sur ce point les mêmes idées que les médecins qui ont fait acheter les appareils en ques- tio
. Grasset (de Montpellier) ; Secrétaire général : M.leDr Chocreaux, médecin en chef del'asile de Bail- leul (Nord). - Quest
s. Note sur le traitement de la crise d'épilepsie. Dr J. SIZaRçT ( médecin en chef de l'Asile d'aliénés de Ren- nes). L'ex
être recherché dans un déséquilibre sensitif. On ne 230 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. constate objective
es. SIGNES OCULAIRES DANS L\ DÉMENCE PRÉCOCE. 231 232 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. mineux. Plusieurs
ar la psycho- thérapie ; par Mme le Dr LIPINSIca. 234 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES Midi. i. Déjeuner
piration peuvent être divisés en trois groupes : 1° 230 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. les muscles moteur
onnés, suivis d'exercices de respiration mettant en 238 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. jeu des coordinati
MM. Parton et Goldstein (de Bucarest). Observation 240 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. anatomo-clinique d
buco ajoute : Quand vous irez à la ville paisible, avertissez les médecins qu'ils se trompent du tout au tout et vous ferez
Lannois et Lévy, de A. Léri, qui ont établi la réa- 244 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. lité de celte form
s infirmiers des asiles qui sont sous la surveillance constante des médecins et n'ont qu'à suivre leurs prescriptions. Le no
ce et dans les asiles privés faisant fonction d'asiles publics, les médecins soient recrutes parmi les médecins-adjoints, no
nts, nommés au concours, avec les mûmes avantages en nature que les médecins des asiles (traitement, re- traites, logements)
lement de n'agréer, à l'avenir, dans la me- sure du possible, comme médecins des asiles privés faisant fonc- tion d'asiles p
le recrute- ment des médecins-adjoints des asiles, et que tous les médecins ou internes placés dans les établissements visé
CH, directeur de la Maison de santé de Glain. M. le Dr L. L'IloEST, médecin en chef de l'Asile Sainte-Agathe. Les travaux d
idéré comme moyen thérapeuti- que. Rapporteur : M. 10 DI' ï.UYLITS, médecin en chef de l'asile d'Evère. ' b) Neurologie :
uspices do M. Lesvier. directeur, et de JD ! . noi- [eux et Thivet, médecins en chef, etobtiennent le plus vif succès. Jeudi
grandes, mes pieds aussi ; vous pouvez vous en « assurer auprès du médecin qui m'a accouchée ; faites-le venir, « et il vo
Quoi qu'il en soit, il est des signes qui peuvent per- mettre au médecin d'établir le diagnostic de psychose infectieuse
siologique du bulbe chez ces monstres. Commun, faite au Congrès des médecins aliénistes. Bru- xelles, 1903. (4) « Il est d
Rôle physiologique du bulbe. Communication faite au Co rgrès des médecins aliéntstes, Brwelles, 1903. ( : 3) \\'UXD'l'. E
ico-pédagogique, le jeudi, il 0 h. 1 ? ' CONGRÈS FRANÇAIS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES Quinzième session t
ne a établi un projet de concours d'après lequel le recrutement des médecins des asiles de la Seine se ferait selon un modo sp
'il soit bon de faire dans les asiles, depuis l'in- terne jusqu'aux médecins , un ensemble ne pensant plus qu'a ce concours e
ion par asile, est-ce qu'il n'y a pas inté- rêt à approprier chaque médecin à cette spécialisation clinique ? - ? Il n'est
au ministère, en raison des avantages si spéciaux qu'il fait à ses médecins , des garanties particulières. Dr CuLLERRE. M. B
pter un poste de médecin-adjoint dans un asile de province; unjeune médecin de Lyon est venu disputer au dernier concours l
decins de conserver leurs droits et de les concilier avec ceux des médecins nommés par le nouveau concours. C'est une questio
s. C'est une question qui suivra son cours. La protestation que les médecins d'asiles de province font entendre est absolume
a France est excellent. Le concours spécial a l'air de dire que les médecins en chef de province ne sont pas à la hauteur de
e que les médecins en chef de province ne sont pas à la hauteur des médecins de la Seine. Les médecins de province pourraien
e province ne sont pas à la hauteur des médecins de la Seine. Les médecins de province pourraient aussi se syndiquer. Je vou
lierait les mains en ne se permettant pas d'appe- ler chez elle un médecin de province qui se serait distingué. Un autre a
Je suis de l'avis de M. Régis, mais je crois qu'il serait bon qu'un médecin d'asile fit de la clientèle avant d'entrer dans
le que ce projet arrive àexécution avant un an.llserait bon que les médecins de la Seine vinssent soutenir leur opinion. Dr
collègue, M. Doulrebente. 1)" DIDE. La question de l'absence des médecins de la Seine n'est pas un obstacle. Il y en avai
oix. DE la création d'un concours spécial POUR LE recrutement des médecins des asiles D'ALIENES DE la seine. Pour compléte
L POUR LES ASILES DE LA SEINE. 307 Projet dérèglement duconcours de médecins en chef suppléants des asiles publics d'aliénés
chef suppléants des asiles publics d'aliénés de la Seine. 10 Les médecins des asiles et autres établissements d'aliénés re-
ecture de la Seine forment un corps autonome. Ce corps comprend des médecins chefs de service et des médecins chcfs suppléan
ps autonome. Ce corps comprend des médecins chefs de service et des médecins chcfs suppléants (1). Ces derniers sont au nomb
(1). Ces derniers sont au nombre d'au moins un par asile. 2° Les médecins suppléants sont recrutés par un concours spé- c
es médecins suppléants sont recrutés par un concours spé- cial. Les médecins chefs de service sont pris parmi les médecins s
ncours spé- cial. Les médecins chefs de service sont pris parmi les médecins suppléants par rang d'ancienneté et de concours
ciii(3 dej)uis5aiis et rentrer dans une des catégories suivantes a. Médecin en chef des asiles; b. Médecin-adjointdesasiles
tration préfecto- rale. 'J°Le,jury du concours pour les places de médecins des asiles (1) Pendant bien des années,d'ailleu
édecin-adjoint (litre officiel) dans chaque asile pour suppléer les médecins malades ou en congé. (2) Pourquoi exclure le ch
se de sept membres savoir : Si ? memhres(l) tirés au sort parmi les médecins aliénistes chefs deservice des asiles du départ
ine, titulairesouhono- raires. Un membre (5) tiré au sort parmi les médecins aliénistes chefs de service des quartiers d'ali
e pl'ojet de création d'un concours ipécial pour le recrutement des médecins des asiles d'aliénés de la Seine, p. 485) était v
s'occupent de science, comme il existe aussi une Association des médecins aliénistes de France où l'on s'occupe de mutualit
du 9 mai 1902 lui avait fort justement enlevé : un corps spécial de médecins d'asiles. Et quand je dis que cet arrêté a supp
oncours d'adjuvat n'existait pas, la Seine garde encore beaucoup de médecins qui ne furent pas même des élèves de ses asiles
s,bien que les arrêtés ministériels n'aient jamais prétendu que les médecins reçus l'étaient seulement pour la région où ils
l. est arrivé que les asiles de la Seine ont tout fait pour que les médecins qui lui étaient destinés soient choisis non seu
ncieuses parce qu'elles sont de nature à jeter le discrédit sur les médecins d'asiles de province. Après Masselon, je rappel
asiles de la Seine ont estimé y avoir lieu de créer un concours de médecins suppléanlspourlesdilsasilcs : 1° dans l'in- tér
1( ne désire même pas, comme ce dernier, voir recruter l' les seuls médecins en cllef de la Seine par un concours où l'on v er
ndancieuses et aussi peu confra- ternelles. Dr Lucien Lagriffc. Médecin des asiles publics d'aliénés de France '(y comp
ile d'aliénés de Rennes pen- dant l'année 904, par le I)1' Sizaret, médecin en chef. Population au 1« janvier 1904, 995 (42
resque tous les cas. » Ces résultats sont faits pour encourager les médecins qui hésitent encore à user des congés d'essai.
fonctionné régulièrement sous la direction de 51. le docteur Dide, médecin adjoint. » Cette mention montre que, à Saint-51
ide, médecin adjoint. » Cette mention montre que, à Saint-51éen, le médecin en chef et le médecin adjoint s'entendent parfa
Cette mention montre que, à Saint-51éen, le médecin en chef et le médecin adjoint s'entendent parfaitement ; qu'ils font l'
. BOURNEVILLE. XIV. Paralysie générale et syphilis. parL. MARCHAND, médecin adjoint de l'Asile de mois. Pour éclairer ler
ion est la suivante : ` « Le Conseil supérieur est d'avis que les médecins adjoints dans les asiles d'aliénés doivent être
des rentrant de l'année, les malades réputés curables réservés aux médecins de direction et aux médecins en chef ; les malade
malades réputés curables réservés aux médecins de direction et aux médecins en chef ; les malades chroniques donnés aux méd
rection et aux médecins en chef ; les malades chroniques donnés aux médecins adjoints sous le contrôle éven- tuel des médeci
niques donnés aux médecins adjoints sous le contrôle éven- tuel des médecins en chef; les certificats de sortie sont réservés
l des médecins en chef; les certificats de sortie sont réservés aux médecins en chef; les médecins adjoints sont convoqués a
; les certificats de sortie sont réservés aux médecins en chef; les médecins adjoints sont convoqués aux séances de la Commi
supérieur de l'Assistance publi- que sur la Fixation du nombre des médecins dans les asiles publics d'aliénés, nous avons c
effet, pour 1250 malades traités ( ? ) en 1904, il n'y avait qu'un médecin en chef et 2 internes. Les en- trées de l'année
e de ce Conseil, invitant les Préfets à réclamer l'augmentation des médecins là où leur nombre est hors de proportion avec l
du progrès, comprendrait la nécessité de la création au moins d'un médecin adjoint.Malheureusement, il n'en est pas ainsi.
d'aliénés, le Conseil général de la Haute-Marne a créé un poste de médecin adjoint. Le personnel médical de cet asile dont
la population est de 764 (Isère, 1010) se trouve ainsi composé : 1 médecin directeur, 1 médecin adjoint, 2 internes. Bonne
764 (Isère, 1010) se trouve ainsi composé : 1 médecin directeur, 1 médecin adjoint, 2 internes. Bonne réforme. - D. Inso
honorifiques. Chevalier de la Légion d'hon- neur : M. le Dr Vallon, médecin en chef de l'asile clinique (Sainte-Anne). Offi
ifiée de 31. le 1), }larguin. PROJET d'un concours spécial pour les médecins des asiles d'aliénés DE la Seine. Dans une noie
on de ce projet (voir plus haut), nous avons fait remarquer que les médecins de Iticëtre et de la Salpetriere avaient été excl
t été exclus de la nouvelle Société. Nous devons dire que les trois médecins delà Maison nationale de Charenton unt été l'ob
chiatrie dont le rap- port avait été rédigé par -NI. le D, Cuylitz, médecin de l'asile d'E\ ere,lèz-Bruelles. - Tous les
ectrotitérapiqucs. Cette visite a eu lieu sous la conduite des deux médecins derélablisscll1enl. \I.\I.COLLARD eLl,valn.l.r.
: Jj.v Ponction I-UIIi.\IRE Deux rapports, l'un de 11. ni : Buck, médecin en chef de l'asiledc FroicImont-ll's-Tol1rnai,
rouva une let- tre dans laquelle il exprimait sa reconnaissance aux médecins grâce auxquels il avait été entretenu aux frais
nt les troubles pulmonaires aussi bien pour le ma- lade que pour le médecin . C'p"ll)()lIl' celle raison que 11. Clément dén
de hase à cet important travail qui intéressera non seulement les médecins , mais encore tous ceux à qui l'étude de l'homme n
candidats qui se présentent aux Concours ouverts pour les places de médecin adjoint des quartiers d'aliénés dans les hospic
e sept «membres, savoir : Trois membres ti- l'lis au sort parmi les médecins aliéniste : ; chefs de serv ice dos hô- pitaux
spices, en exercice ou honoraires; un membre tiré au sort parmi les médecins chefs de service des asiles publics d'aliénés d
énés du département de la Seine, en exercice ou honorai- res, et le médecin du Bureau d'admission de l'Asile clinique; et I
ssion de l'Asile clinique; et Irois membres tirés au sort parmi les médecins chefs de service des hôpitaux, en exercice ou h
ecins chefs de service des hôpitaux, en exercice ou honoraires. Les médecins chef de service des asiles publics d'aliénés de
service des asiles publics d'aliénés de la Seine, en exercice, elle médecin du Bureau d'admission de Saint-Anne ne peuvent êt
x aliéné axait tenté de tuersa femme. Il axait failli étrangler son médecin et enfin', il avait aftentea ses jours en se je
de Xaugoal. Les demandes de nomination doivent être adro-sérs au médecin directeur de l'asile et appuyées : 1" d'un cei'ti
. -luus aons le regret d'apprendre la mort du J)r Max SIMON, ancien médecin en chef de l'Asile de Brun, ancien inspecteur d
lettré et un brillant causeur. D'origine normande, défait fils d'un médecin estimé de Rouen, ami du père de Gustave Haubert
6. 472 REVUE critique. v ,f t ' J'ajoute que M.Alberto ENTRLcn, médecin de l'hôpital de Jlazorra (Cuba), m'écrivit qu'e
été, croyons-nous, le premier, en France. à appeler l'attention des médecins de notre pays, surl'idio- tie mongolienne, rare
ui possèdent seulement un microscope et une salle d'autopsie, où le médecin dispose d'un cahinet d'observation, où existe u
. M. Lentz reproche encore à l'initiative privée de maintenir les médecins dans un état de subordination indigne du rôle qu'
appelés à remplir dans un asile d'aliénés et il accuse en outre ces médecins d'être systématiquement hostiles au prin- cipe
rie, étude pathogénique et nosologique. (Rapport au 15° Congrès des médecins aliénistes et neurologistes. Ren- ne,aolt 1905.
e. il. le D1' (II : BERT ? E)'iT,directeur-[nedccinaiMon11ns, nommé médecin en chef Marseille,en remplacl'meI11. du Dr Hey,
).M.MoNESTiER,medecin- adjoinL v .iv ILoucllc,-tlu-lsltûncl, llrunm médecin en chef dans le même établissement (poste créé)
ons relatives à l'assistance des aliénés. Défense Iles intérêts des médecins des asiles de la Seine. Siège social ? ? 8, rue S
=- "août 1905.) ' ' Mariage des épileptiques. Dans certains cas, le médecin f ? t,consu ! t,6pai'd(L'pitGj)Hf[Uf'sausu.jcL
(talienesd'Auxerre en 1865 ; puis adjoint de ilorel à Saint- Yon ; médecin préposé responsable à l'onluc- son, directeur-m
e à l'onluc- son, directeur-médecin Dote (Jura), il Iains (\Iluse), médecin en chef à ilaréville; enfin, il Ch'l'moIlt (Ois
aite- ment des maladies mentales. Rapport présenté au Congrès des médecins aliénistes et neurologistes tenu' Rennes du le--
t, place d'interne vacante, p. 79. de France. Concours pour les médecins adjoints des - Fixation du nombre des mé- dec
istre de l'In- térieur à messieurs les Pré- . fets concernant les médecins adjoints, p. 333. Cirrhose latente. Voir Pocl
u. Confusion mentale. Voir Otite Sl £ PPU1'ée. Congrès. xv" des médecins aliénistes et neurologistes de France et de5
ternational de l'assistance des aliénés, p. 156. ove français des médecins alié- nistes et neurologistes, tenu à Rennes
- , p.lr Splelmeyer p. -1. 111nut.cE dcs épileptiques, p. 502. Médecins . Fixation du nombre des dans les asiles d'alié-
11 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
-Pétersbourg) ; A. FOREL (de Zurich); Eugène DUPUY ; DUMONTPALLIER, médecin de l'Hôtel-Dieu; Van EEDEN (d'Amsterdam); HACK TU
Faculté de Lyon ; LADAME (de Genève); LIÉBEAULT (de Nancy); LEGRAIN, médecin de l'Asile de Vaucluse; LIÉGEOIS, prof. à l'Univ.
ZING (de Munich); SPERLING (de Berlin); SEMAL (de Mons); Aug. VOlSIN, médecin de la Salpétrière, etc.; STEMBO (de Vilna); O. WE
m napolitain Eusapia Palladino, ni la réponse faite à Lombroso par un médecin allemand, M. Moll (juillet et août 1892), qui s'e
ent part, outre M. Ochorowicz et sa femme, 22 personnes suivantes : 8 médecins , MM. Bujwid, bactériologue, professeur à la facul
arusewicz; Heryng, laryngologue; Higier; Rzeczniowski ; Watraszewski, médecin en chef de l'hôpital Saint-Lazare à Varsovie; Wie
enu par le miroir rotatif. — Guérison. Par M. le D' Auguste Voisin, médecin à la Salpétrière. J'ai eu l'occasion, il y a pe
don de Monthyel, qui, à l'Asile de Marseille où il était précédemment médecin , avait trouve des rapports entre les tatouages et
ur une foule d'observations personnelles ou communiquées par d'autres médecins , démontre victorieusement que les Phobies ne sont
s historiques patientes, faire une œuvre qui plaira non seulement aux médecins , mais encore à tous ceux qui suivent d'un regard
iété médico-psychologique. Ritti, secrétaire général, Falret, Voisin, médecins de la Salpétrière, Poubelle, préfet de la Seine,
bvré, Vallon, Marandon de Monthyel, Doutre-bente, Seglas, Deny, etc., médecins des asiles d'aliénés, Bérillon, inspecteur des as
influence si marquée sur l'étude de l'aliénation mentale. M. Falret, médecin de la Salpétrière a remercié la Société médico-ps
re prononcés, et exprimé la sollicitude des pouvoirs publics pour les médecins qui vouent leur existence au traitement des alién
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné a fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
dant d'égales que leur fréquence et leur ténacité. Si l'attention des médecins n'a pas été plus tôt appelée sur ces perturbation
tation au lendemain. Cette irrésolution persiste dans le cabinet du médecin et c'est toujours avec beaucoup de réticences, d'
xiété à tout le monde. Mais ce sont de rares exceptions. Lorsque le médecin a reçu d'un malade la confidence d'une phobie, il
, M. le professeur Grasset montre que les phobies n'épargnent pas les médecins . Il en est qui, sous l'influence de préoccupation
leur profession, en sont réduits à abandonner leur clientèle. Tel ce médecin des (I). Les Phobies neurasthéniques envisagées
stingué confrère est complètement rétabli. Grasset parle aussi d'un médecin auquel la peur du microbe, soit intérieur, soit e
ce des plus malheureuse. M. le Dr Brochin nous a rapporté le cas d'un médecin qui, chaque fois qu'il s'approche d'un malade att
ent le rôle de l'auto-suggestion dans la production des. phobies. Les médecins savent à quoi s'en tenir à ce sujet. Combien d'en
llophobie. La liste de ceux qui, — magistrats, officiers, artistes, médecins , grands commerçants ou grands industriels, voyage
nopinément sous l'influence d'un travail excessif. Notre qualité de médecin de l'Association des Étudiants nous a fourni l'oc
ayant prouvé qu'il s'était conformé scrupuleusement à l'ordonnance du médecin . Depuis lors son existence devint un véritable su
s de leurs études, les prodromes de la neurasthénie. II appartient au médecin de leur conseiller de se mettre à l'abri de toute
e d'un abcès de la région sous-orbitaire, qui avait été ouvert par un médecin de Vintimille. Elle subit à Nice deux opération
u que l'accident lui arrivait. On l'avait alors conduit à plusieurs médecins qui avaient essayé les médicaments employés en pa
rès qu'il a imprimés à la médecine mentale. Depuis sa nomination de médecin de la section des idiotes à la Salpétrière en 182
des idiotes à la Salpétrière en 1821, jusqu'à sa démission en 1867 de médecin de la première section des aliénées ou section Ra
istence ; c'est, disait-il, « dans l'étude directe des aliénés que le médecin aliéniste doit rechercher les fondements de la sc
ses élèves ont gardé le vivant souvenir. Insistant sur ce que tout médecin peut être appelé à traiter des aliénés et à décid
t civil et criminel qui concernent les aliénés, il considérait que le médecin non spécialiste devait être à même de reconnaître
tte nécessité de l'enseignement des maladies mentales à donner à tout médecin , et il a prouvé que les craintes conçues par les
des visiteurs dans les services d'aliénés, étaient sans fondement, le médecin professeur pouvant toujours détourner les excitat
us haut point, à ses élèves et auditeurs, l'exemple du respect que le médecin et le personnel administratif doivent à l'aliéné,
ce en ce temps-là de la plupart des administrateurs et de beaucoup de médecins influents. C'est dans cet enseignement clinique
uer l'illustre professeur Charcot, aussi profond philosophe que grand médecin , et, en cette double qualité, grand contemplateur
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
. J'ai observé ce phénomène lors de l'avant-der-nière séance : un des médecins prit un crayon, le tourna par la gomme en bas et
ltat était nul ; mais, quand Eusapia posa sa main gauche sur celle du médecin qui écrivait, sans toucher du doigt le papier (el
tographie finie, tout revint à la position antérieure. Evidemment, le médecin qui contrôlait le pied gauche ne se doutait même
s. J'ai exécuté l'expérience de cette manière, le 2 décembre, chez un médecin connu, en présence de trois personnes. Il ne s'ag
elle l'expliquait par sa fatigue. Ensuite, quand on la délia, un des médecins se déchaussa pour la mieux contrôler, mais elle l
elle lui recommanda de remettre ses chaussures. Le 14 décembre trois médecins étaient avec moi à la table. J'étais assis de gau
gestion dont par le Ziemssen pour ses malades prives et pour ceux des médecins de Bavière seraient justifiés et fondés, si l'on
tale pour obtenir une hypnose non nuisible. C'est pourquoi tous les médecins qui veulent employer, d'une façon sérieuse, l'act
rporels de leur autosuggestion. II faut souvent toute l'habileté d'un médecin , complètement versé dans les phénomènes psychique
eu de salon. Il serait vraiment regrettable que ce premier essai du médecin assistant M. Ziemssen suffise pour détourner publ
médecin assistant M. Ziemssen suffise pour détourner publiquement les médecins de la Bavière de l'emploi de la thérapie suggesti
a thérapie suggestive sous sa nouvelle forme, tant dans l'intérét des médecins prévenus, que dans celui de beaucoup de patients,
expériences décourageantes avec la tuberculine, qui n'ont tressé aux médecins allemands aucune nouvelle couronne de laurier, on
nt négligé de l'autosuggestion, dont les résultats peuvent tromper le médecin , surtout chez les personnes neurasthéniques, hyst
hysiologiques de la musique sur des sujets en état d'hypnotisme. Un médecin américain, le Dr Alfred Warthin, démonstrateur de
es qui ont bien voulu se prêter à ces expériences. Quatre étaient des médecins , les autres des étudiants. Tous jouissaient d'une
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
atuites ont lieu les mardis., jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
une série de leçons sur la psychologie et l'hypnotisme. Congrès des Médecins aliénistes et neurologistes Français. — Le Congrè
s des Médecins aliénistes et neurologistes Français. — Le Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de langue française,
renouvelée pour un an, M. Denis s'étant assuré la collaboration d'un médecin . Souscription pour le monument Charcot. — Une l
circule en ce moment en Allemagne parmi les neuropathologistes et les médecins qui veulent s'associer à l'érection du monument p
stinence de morphine. L'auteur recommande, d'une façon pressante, aux médecins aliénistes, de se familiariser de la façon la plu
ions cérébrales démontrées par l'étude des phénomènes hypnotiques, le médecin praticien, en même temps que les méthodes phy-
t dans sa répétition trop fréquente, dans des cas mal appropriés. Les médecins seuls devraient, d'après la commission, pouvoir e
eur curative et l'importance médico-légale de la suggestion. Tous les médecins , entre autres les professeurs Bernheim, Azam, Bea
, de la volonté et des efforts humains. » , C'.est spécialement aux médecins que Bernheim soumet l'étude de la suggestion sur
on rôle pathogène et thérapeutique, nous ne sommes pas en réalité des médecins , mais seulement des vétérinaires ! * SOCIÉTÉS S
qui habite Werschetz, vomissait depuis quelque temps du sang, et les médecins ne savaient s'il s'agissait d'une hémorrhagie sto
ependant le mal du frère de M. Neukomm avec une telle précision qu'un médecin n'aurait pas mieux fait. « A ce moment Mlle Ell
fort désagréable. » Un rédacteur de l'Eclair a interwievé plusieurs médecins ; entre autres réponses, il a reçu la suivante du
Les malades sont endormis, sur leur demande, en présence de nombreux médecins et étudiants. Dès qu'ils dorment, on leur fait la
s employés aujourd'hui avec tant de profusion? Entre les mains d'un médecin expérimenté, l'hypnotisme ne fait pas courir le m
onvénients. L'hypnotisme ne saurait échapper à cette loi générale. Le médecin dispose déjà de trop peu de moyens de guérison po
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
den-Baden) C'est avec un vif regret que nous apprenons la mort d'un médecin des plus distingués de Baden-Baden, le Dr Von Cor
e toutes les religions ont recours à des procédés multiples, dont les médecins ont tout récemment expérimenté quelques-uns, mais
ge de. savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
sont exercés à la pratique de la psychothérapie. M. le Dr Bérillon, médecin , inspecteur-adjoint des asiles publics d'aliénés,
n empire, le mal reparait dans toute son intensité, les malades et le médecin perdent confiance dans le traitement suggestif, l
résidence même? Le principal pour ces malades est de trouver dans le médecin une personne sur laquelle ils puissent en toute c
yeux fermés, écoutant les suggestions de calme et de bien-être que le médecin leur répétera de temps en temps, suggestions qu'i
rumineront ensuite et qu'ils réaliseront petit à petit. Quoique le médecin ait la tâche plus facile chez les bons dormeurs,
velé de temps en temps, servira à rassurer le malade et à empêcher le médecin de faire fausse route en se méprenant sur le cara
'opposant à l'effacement des phénomènes...... Le rôle, le devoir du médecin exerçant la psycho-thérapie implique à gagner au
ions appropriées, lui faisant entendre, toutefois, qu'il trouvera son médecin toujours disposé à lui venir en aide si le besoin
e. Sœur Jeanne des Anges guérit ainsi subitement d'une maladie que le médecin du couvent, le sieur Fanion, considérait comme un
araissait désespéré. La malade avait reçu les derniers sacrements. Le médecin déclarait qu'elle n'avait plus de vie que pour un
un doute, nerveusement malade, et sur ce point sont d'accord tous les médecins qui ont pris part aux séances. Malheureusement, o
soit à cause de mes nouvelles fonctions de professeur, à Turin, et de médecin en chef de l'asile sus-indiqué. Je repris mes r
t été de courte durée, difficile à obtenir et demandant de la part du médecin une grande patience. L'effet utile du traitemen
comme instrument destiné à juger les qualités venues et à venir d'un médecin . Ce fut en 1862, son stage de médecin du bureau c
qualités venues et à venir d'un médecin. Ce fut en 1862, son stage de médecin du bureau central terminé, que Charcot arriva com
e les travaux étrangers qui lui paraissaient utiles à être connus des médecins , ses compatriotes. Mais il s'agissait alors de vu
célèbre des neuropathes de ce temps. Avec lui a disparu le plus grand médecin de ce siècle. NOUVELLES Enseignement de l'hyp
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
ersonne. Après avoir établi la différence qui sépare le praticien, le médecin d'hôpital du professeur, il résumait dans les lig
emment, médiocre en apparence jusqu'à trente ans, est devenu un grand médecin . Le professeur Charcot ne parvint à l'agrégation
comme instrument destiné à juger les qualités venues et à venir d'un médecin . » C'était l'avis de Paul Bert qui, avant de se
i inspire toujours les actes de nos administra teura. (I) Parmi les médecins dont les leçons ont fait le plus grand honneur &a
illantes, malgré les ovations répétées d'un millier d'étudiants et de médecins accourus à sa leçon d'inauguration pour le souten
tations de beaucoup de phénomènes restés jusqu'alors inexpliqués. Les médecins ne se bornent pas à employer à chaque instant les
professeurs les plus en renom. Il y a peu d'hommes auxquels autant de médecins éminents, français ou étrangers, aient dédié leur
libres de l'Ecole pratiquo donnaient une satisfaction suffisante aux médecins dévorés du prurigo doceiidi. Rien n'est plus inex
ire. Cela est d'autant moins admissible, qu'un grand nombre de jeunes médecins sont animés du vif désir d'aborder, à leurs risqu
nces du concours actuel. Il se demandera d'abord pourquoi beaucoup de médecins éminents, qui ont donné en d'autres circonstances
it plus de cent mille litres par jour. Le 5 avril, sous les yeux du médecin Dozous, incrédule notoire, et de plusieurs autres
i traitait cet homme depuis l'accident, et vérifiée par le Dr Verger, médecin des eaux de Barèges, professeur agrégé à la Facul
r Affenaer put le constater le lendemain, et par la suite, vingt-deux médecins , dont deux de Paris, visitèrent Pierre de Rudder.
s deux tiers externes de la-jambe droite. Treize jours après, le môme médecin constate que ces lésions ont disparu, une simple
ire qui le pénètre, il se relève, s'habille et marche sans appui. Les médecins , Mac-Geven et Thorens, tous deux de religion prot
e fîstuleux. Le 3 septembre de la même année, après le pèlerinage, ce médecin vérifie la disparition du gonflement et de l'ulcè
lte malade est conduite mourante à Lourdes ; grâce au consentement du médecin de la communauté, on permet l'immersion de la pis
, il ne trouve plus aucun symptôme de tuberculisation pulmonaire. Les médecins Pamarel, Peyrat et Boissarie ont vérifié cette cu
hime Dehant (Annales de Lourdes, janvier 1894) a été faite par le dit médecin Roger et M. Deploige, professeur à la Faculté de
is cette époque. Dans ces dernières années, sur les conseils de son médecin traitant, il avait essayé, à différentes reprises
le professeur Bernheim, de la Faculté de Nancy, et M. le Dr Babinski, médecin des hôpitaux, ont été promus chevalier de la Légi
Faculté de Montpeller; Gilbert Ballet, agrégé à la Faculté de Paris, médecin des hôpitaux, et Hubert, ancien interne des hôpit
cadémie à la promotion de Janvier, ce sont MM. les docteurs Hamadier, médecin en chef de l'asile d'aliénés de Hodez ; Paul Rich
f de laboratoire à la clinique des maladies nerveuses; Saint-Hilaire, médecin de l'Ecole Turgot. Parmi les représentants du c
ons avec plaisir : Officiers de l'Instruction publique : MM. Barbaud, médecin de la Société des gens de lettres ; Blondel, dire
n-inspecteur des écoles à Saint-Ouen ; Mme Gàches-Sarraute; Le Blond, médecin de Saint-Lazare.— Officiers d'Académie : MM. Caud
ficiers d'Académie : MM. Caudron, à Paris; Déléage, de Vichy; Dupain, médecin des asiles d'aliénés à Alençon; Froger, médecin d
ge, de Vichy; Dupain, médecin des asiles d'aliénés à Alençon; Froger, médecin de l'Assistance publique à Paris; Jean, professeu
ait plus et dépérissait à vue d'œil. Dix-huit mois avant sa mort, son médecin , à bout de ressources, recourut à l'hypnotisme et
, recourut à l'hypnotisme et chargea de la conduite des opérations un médecin expert en la partie. Les résultats en furent exce
d'affirmer, de temps à autre, le droit des praticiens, qu'ils soient médecins ou psychologues, à faire des expériences. Car, à
orité s'est donc émue, et elle a promulgué un arrêté portant : 1° Les médecins , c'est-à-dire les diplômés des Universités, régul
s opérateurs présents et futurs d'hypnotiser, fût-ce en présence d'un médecin , comme, au reste, Neukomm l'avait fait. Il aura d
, en Autriche-Hongrie, de loi mettant des entraves aux opérations des médecins , parce qu'il s'est peut-être trouvé parmi eux un
ns admirent la facilité avec laquelle guérissent leurs blessures, les médecins s'étonnent de voir combien vite ils succombent au
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
Hospice de la Salpétrière. — M. le Dr Déjerine, professeur agrégé, médecin de la Salpétrière, a commencé ses leçons clinique
grès de Médecine mentale et nervedse. — Le sixième Congrès annuel des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pays
fixe qu'on lui aura imposée ! Quand le crime sera commis, quel est le médecin légiste qui viendra éclairer la justice et faire
e, se laissait percer la langue avec une grosse aiguille à bas par un médecin sceptique, mon collègue, M. Ma-sius (1), et se pr
nge sous son nez. N'oublions pas non plus que c'est M. Bernheim, le médecin en chef de l'hôpital, qui lui donne « la commissi
sincère et décisive, tournent contre sa démonstration. Voyez-vous le médecin empoisonneur Castaing disant à un domestique, dev
alité avec son mari, et, dans sa nouvelle résidence, elle consulte un médecin qui lui conseille le sirop de Gibert. Dès ce mome
ux seuls connues et la guérison doit arriver promptement. * » * Médecins de l'ancienne Egypte. — La Gazette médicate de Li
lumière. Le jeune sujet du Dr Quintard a été examiné par plusieurs médecins d'Angers, qui ont vérifié tous les faits signalés
Faculté de médecine de Buca- rest : « La personne qui « honore » le médecin , fait observer notre savant confrère, prend souve
. Demosthène, — être chargé de germes par la personne qui le remet au médecin , parce que cette personne est en contact avec le
e, en raison des soins qu'elle lui donne. Bref, dans les deux cas, le médecin va devenir lui-même', et à son insu, un agent de
tel état d'excitation qu'on a pu craindre qu'il ne devint fou. Les médecins ont souvent reçu les plaintes des neurasténiques
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
ine du ministère de l'intérieur ayant à décider si un hypnotiseur non médecin peut prendre part à une cure par l'hypnose sous l
à une cure par l'hypnose sous la surveillance et sur l'invitation de médecins , a déclaré que les procédés de traitement par l'h
les procédés de traitement par l'hypnotisme étant connus de tous les médecins et ce traitement étant considéré comme un remède
considéré comme un remède violent, le conseil médical trouve que les médecins seuls peuvent être autorisés à l'appliquer à leur
our laquelle elle avait été soumise à la médication classique par les médecins qu'elle avait consultés. Les crises n'étaient p
r énumération serait longue, ils sont nombreux parmi les agrégés, les médecins des hôpitaux et parmi ceux qui n'occupent aucune
t aussi pour une grande part à sa clientèle. Il était le plus célèbre médecin de notre époque, on venait le consulter des cinq
mme Charcot, reposez-vous d'un travail en vous livrant à un autre. Un médecin qui ne serait que médecin ne serait jamais un esp
d'un travail en vous livrant à un autre. Un médecin qui ne serait que médecin ne serait jamais un esprit distingué. Ne restez c
re. Comme il s'agissait de médecine, n'était-il pas naturel que les médecins , plus animés d'esprit critique que les gens du mo
le livre de M. le Dr Boissarie, ancien interne des hôpitaux de Paris, médecin à Lourdes. (Lourdes, depuis 1858 jusqu'à nos jour
l'esprit du public qui fréquente à ces lieux d'élections. Trois cents médecins , dit-il page 225, attestent les guérisons de Lour
225, attestent les guérisons de Lourdes. D'après l'auteur, les seuls médecins qui les auraient condamnées, les auraient jugées
un confrère très instruit, le Dr Flurin, ancien interne des hôpitaux, médecin consultant à Caute-rets, qui me fit de grands élo
e pour rien dans ces guérisons. A Dax, je trouvai M. le Dr Larauza, médecin de l'établissement thermal, qui me répéta à peu p
i à Lourdes d'une ataxie locomotrice progressive, constatée par douze médecins , parmi lesquels, me dit l'abbé, étaient MM. Charc
j'y vois bien la composition du bureau de constatation, la venue des médecins de plus en plus nombreux, la présence, parmi ce
médecins de plus en plus nombreux, la présence, parmi ceux-ci, d'un médecin protestant, et la moyenne des guérisons de chaque
e année, mais je cherche inutilement un bureau de consultation où les médecins susdits pourraient contradictoirement établir leu
e, d'où il pourrait revenir faire constater sa guérison par les mêmes médecins qui auraient posé le diagnostic. M. Boissarie m
lade lui-même, son bureau de constatation ne présentera pas, pour les médecins , une garantie scientifique assez sérieuse. Quan
ête d'une clinique comme celle de Lourdes, je voudrais convaincre les médecins de la réalité des guérisons, et j'aurais, dans ce
j'aurais, dans cet album iconographique, réservé d'ailleurs aux seuls médecins , la meilleure des pièces de conviction. • Je n'
loi que, si o le législateur n'a pas voulu réserver exclusivement aux médecins les « expériences de magnétisme et d'hypnotisme
r ces expériences aux profanes, et de « les confier exclusivement aux médecins ; « Que le rejet par le Parlement de l'article 1
s que peuvent comporter les études, on n'a pas voulu les réserver aux médecins . Est-ce à dire qu'on a laissé la porte grande o
i un traitement, c'est que j'ai payé pour le suivre. Au surplus, le médecin qui vous soigne pour une gastralgie et vous indiq
lé le Magnétisme curatif, qui a la prétention d'être le formulaire du médecin magnétiseur sans diplôme, et l'on ne tarderait pa
ion de sécurité ou mieux de santé publique. Si la loi exige pour le médecin la justification de connaissances suffisantes, .c
veil du parti catholique tout entier. » Tentative de meurtre sur un médecin par un épîleptique. Le 19 janvier dernier, notr
pîleptique. Le 19 janvier dernier, notre confrère le Dr de Keraval, médecin de l'asile d'aliénés de Vaucluse, a été victime d
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
rotection de l'enfance à Bordeaux, le 22 juillet. — Congrès annuel de médecins aliénistes et neurologistes français, à Bordeaux,
ien être autre chose qu'un imposteur, contrairement à la décision des médecins chargés de vérifier l'existence de la monomanie a
de ses crimes. » Quand on connait la réserve timide et prudente des médecins à l'égard des vérités qui ne sont pas entrées dan
te affaire qui promettait un grand intérêt aux hommes de loi et aux médecins ? Par quelle influence occulte et intéressée les c
sister même aux impulsions de tuer qui surgissent dans son esprit. Ce médecin hors ligne a rapporté autrefois, dans une brochur
Avant de me consulter, il avait été soigné par quatre-vingt-quatorze médecins sans obtenir aucun soulagement; ses souffrances é
cksonienne traitée par la suggestion Par le docteur Auguste Voisin, médecin à la Salpetrière Epilepsie Jacksonienne datant
te-Winifred, dans le pays de Galles. (Par le docteur Thomas Oliver, Médecin du Royal Infirmery, Newcastle.) La publicité do
» Elle rentra à rhospice,toujours à pied, où elle fut examiné par un médecin qui la prononça une cure merveilleuse. Dans la so
été ordonnée au commencement de l'année 1894, et, sur les conseils du médecin de Holywell, va continuer à la porter pendant tou
ple de thérapeutique suggestive que je recommande aux méditations des médecins trop dédaigneux de cette méthode — le P. Casscts
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
s d'hypnotisme a l'Ecole pratique dr la faculté. — M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur-adjoint des asiles publics d'aliénés,
en octobre 1887, à la fin de ma séance dhypnotisation, il survint un médecin , le Dr X..., qui m'exprima le désir d'assister à
llait savoir les envelopper de paroles disertes et assurées. Tout bon médecin se doublait d'un beau parleur. La thèse constitua
thèses. Professions que tiennent pas mal d'internes et même quelques médecins . « La thèse en effet a un marché. « Pour troi
de la profession médicale de l'augmentation injustifiée du nombre des médecins . A l'assemblée générale des médecins de la Seine,
tation injustifiée du nombre des médecins. A l'assemblée générale des médecins de la Seine, il disait fort justement: « Je vou
'assistance, restreignent de plus en plus les champs dans lesquels le médecin faisait une récolte parfois bien maigre. « Or,
ratique médicale. Mais ce qui est certain, c'est que si le nombre des médecins double, le nombre des médecins malheureux aura tr
st certain, c'est que si le nombre des médecins double, le nombre des médecins malheureux aura triplé, » Or, en même temps que
èro-épileptique par M. le Dr BonjOur, de Lausanne, à la réunion des médecins suisses, à Lausanne. Il s'agit d'un homme dan
L'hypnotisme par lui-même est inoffensif, lorsqu'il est manié par un médecin expérimenté capable de prévenir chez les sujets n
ours le 29 avril, en présence d'un auditoire très nombreux. Parmi les médecins qui s'étaient joints aux étudiants, nous avons re
la fin du xviiie siècle et au commencement du sixe par les écrits des médecins psychologues français, le professeur a montré com
grandir, grâce aux encouragements du Conseil municipal et au zèle des médecins dévoués qui donnent gracieusement leur temps pour
s de la vie, il a fait entrevoir combien pourrait être utile, pour le médecin et pour les familles, la collaboration de gardes-
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
s d'hypnotisme a l'Ecole pratique de la faculté. — M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur-adjoint des asiles publics d'aliénés,
e. — Le Ministre a remis à notre collaborateur, M. le Dr de Bcauvais, médecin de Mazas, une médaille d'argent de 1re classe pou
ans à la Société des sauveteurs dont il est l'administrateur et le médecin en chef. Ecoles d'Ambulanciers et d'Ambulancièr
ogt. Né à Giessen le 5 juillet 1817, il était fils d'un naturaliste médecin , Philipp-Pried-Wilhem Vogt, qui a laissé des œuvr
atre enfants. Il y a quatre ans, elle fut obligée de faire appeler un médecin de son quartier pour soigner un de ses enfants. J
consécutives, elle n'a pas pu détacher son esprit de la pensée de ce médecin . Elle en était devenue complètement amoureuse, d'
e A... s'accuse d'une faute imaginaire qu'elle aurait commise avec ce médecin et passe ses nuits à se confesser à son mari : un
M. le Président prononce l'éloge funèbre de M. le D' Calmeil, ancien médecin en chef de l'asile de Charenton, et rappelle l'im
sœur de l'établissement qui fit un pansement sommaire, et puis par le médecin de la famille qui mit le bras en écharpe. Le bras
enleva l'écharpe, on s'aperçut que l'enfant ne pouvait le mouvoir. Le médecin , de nouveau appelé, constata à la partie supero-i
ion déjà conseillée, mais auparavant, ils voulurent avoir l'avis d'un médecin de Narbonne. La petite L... fut donc amenée che
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
sensibilité des), 151. Maternelles (impressions), 286. Meurtre sur un médecin par un épilep- tique (tentative de), 285. Médec
12 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
ais des Sociétés savantes sous la présidence de M. le D'Jules Voisin, médecin de la Salpétrière. avait attiré une affluence con
bonne, membre de l'Institut, Dr Pédébidou, sénateur, M. Jules Voisin, médecin de la Salpétrière. M. Firmin Verdier, secrétaire
nt indiquée. Elle refusa cependant de s'y soumettre déclarant que son médecin lui avait formellement défendu de se laisser hypn
ement que de se demander à quel parti pris inexplicable obéissait son médecin quand il lui inspirait une telle défiance de l'hy
azexsky, de Saratoff (Russie), président du cercle A.-A. Liébeault et médecin en chef du Dispensaire anti-alcoolique. La plup
e même de l'insuccès, qui peut être imputable soit au malade, soit au médecin traitant. L'analyse objective et détaillée des ca
as d'insuccès donnera un ensemble de faits utiles qui permettront aux médecins de mieux comprendre beaucoup de cas d'interprétat
l'ouïe n'est plus qu'entr'ouvert, le malade perçoit encore la voix du médecin . Pour ce qui subsiste de la fonction auditive,nou
'Association de l'Entente cordiale médicale ; de M le docteur Magnan, médecin en chef de l'asile clinique ; de M. le professeur
que ; de M. le professeur Lacassagae de Lyon ; de M. le Dr Triboulet, médecin des hôpitaux ; de M- le D' R. Pamart ; de M. le D
médecin des hôpitaux ; de M- le D' R. Pamart ; de M. le Df Deswarte. médecin de l'asile de Mareville : de M. le docteur Ritti,
f Deswarte. médecin de l'asile de Mareville : de M. le docteur Ritti, médecin de l'asile de Charenton ; de M. le D' Orliztky, d
ts ; de M. le D' Mercier ; de M. le Dr Ch. Bonnet; de M. le Dr Marie, médecin de l'asile de Villejuif ; de M. le D" Lus, médeci
de M. le Dr Marie, médecin de l'asile de Villejuif ; de M. le D" Lus, médecin principal de l'armée, etc. M. le Dr Voisin, pré
porain ; sa situation juridique et sociale. MM. Grollet et Lépixay, médecins vétérinaires : L'inversion sexuelle chez les anim
ale des aliénés, à Vienne ; M. le Dr Bérillon, M. Collin et M. Petit, médecin vétérinaire, au Congrès de l'Association français
Les candidatures de MM. le Dr Quackenbos, de New-York et A. Petit, médecin vétérinaire à Suresnes, sont adoptées à l'unanimi
od jouissait aux yeux de ses compatriotes de la plus grande autorité. Médecin principal a l'hôpital des Incurables du district
elui qui s'est voué à la science de l'homme, et le ministère sacré du médecin , en l'obligeant à tout voir, lui permet aussi de
té, de tout temps, l'objet d'une observation attentive de la part des médecins , en particulier la formation et le fonctionnement
es cas, on n'a pas observé d'anormalilé des parties génitales. . Un médecin , inverti sexuel lui-même, qui a raconté sa vie ho
oit des chefs-d'œuvre. Chez beaucoup d'invertis l'œil perspicace du médecin peut déjà diagnostiquer le caractère de leur sexu
logie de l'homosexualité ? Les philosophes, les psychologies et les médecins ont tâché d'éclaircir cette question étrange. Une
mour hétérosexuel était l'état anormal. Mais si vous songez que les médecins conseillent à beaucoup d'Anglo-Saxons riches de p
ime que des parents sont bien inspirés quand ils viennent demander au médecin compétent d'employer les méthodes les plus capabl
faut qu'il se résigne à l'intervention de plus en plus fréquente des médecins dans le traitement de ces mauvaises habitudes, in
ement) auront lieu au lycée, sous la présidence de M. le D' Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés, professeur à l'E
agogiques qui leur sont applicables ; Rapporteurs : docteur Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés de la Seine et M.
pied des escarres à la potasse. Pendant deux ans et demie, il trompe médecins et chirurgiens : on lui parle de troubles trophiq
. D'ailleurs, tout vice porte en soi sa punition et j'ai laissé aux médecins le soin de décrire les ravages physiques et menta
couramment, ainsi que le relatait tout récemment un travail de M. le médecin aide-major Jude. Ils s'expliquent là, à la fois
c'est surtout l'hygiène génitale qui doit naturellement préoccuper le médecin . Comme elle est, en partie, sous la dépendance du
e mes invertis, « une affaire de tempéramment ». Le premier devoir du médecin est, en conséquence, de lui prouver le contraire,
mier contact que dépend souvent le succès de la cure. Si l'emprise du médecin est suffisamment énergique, le malade sera, sinon
ion hypnotique que comme un moyen accessoire de faciliter la tâche du médecin et de relever momentanément et dans une certaine
us compliqués et demandent plus de précautions. Sur ces manœuvres, le médecin est tenu d'exercer un contrôle rigoureux au besoi
est en bonne voie d'amélioration. Ces rapports sexuels normaux, le médecin n'a pas à les provoquer. Chez l'homosexuel, il y
pas absolument certaine — et est-on jamais sûr qu'elle le soit ? — le médecin ne prend-il pas une grande responsabilité en auto
exualité basé sur la rééducation sensorielle par M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés Une analyse att
azkmsky, de SaratofT (Russie), président du Cercle A. A. Liébeault et médecin en chef du dispensaire antialcoolique C'est un
diatement une inspection sur toute l'étendue du réseau (j'étais alors médecin en chef du chemin de fer de Rïazem-Ouralsk) et je
te indépendance peut s'pccentuer et fournir des indications utiles au médecin . L'accroissement de la taille est subordonné à
ent sur lo dos des mains, faisaient le désespoir de la princesse ; un médecin de Paris parvint à enlever ces oiseaux malencontr
permet de scruter les replis les plus ignorés de l'âme humaine. Les médecins y voient une méthode nouvelle, qui permet de trai
grand nombre de maladies rebelles à la thérapeutique ordinaire. Le médecin psychologue, ambitionnant d'aller plus avant dans
ctuelles de la psychologie du sommeil peuvent, peut-être, fournir aux médecins quelques notions utiles a cet effet. L'étude du
lui mouiller la tête d'eau froide, il faut recourir au concours d'un médecin spécialiste et expérimenté. J'ai retenu votre a
ersonnelle qui rentre dans le cadre des considérations exposées. Un médecin de mes amis me pria de l'hypnotiser pour un motif
avent d'avance que cette sensation peut se présenter. Quelquefois les médecins en préviennent les malades avant de les chlorofor
fixée sur les faits et gestes de l'entourage et surtout sur ceux des médecins . Il est évident qu'au moment de s'endormir elle e
apport ou avec tout l'entourage, ou avec l'opérateur seul, ou avec le médecin qui lui donne le chloroforme ; donc à un moment d
t, il sera facile de l'enrayer par une simple suggestion, mais le médecin ehuchotte mystérieusement r « le pouls se ralenti
a commencé à bégayer et il a continué à bégayer, jusqu'à présent. Les médecins attribuent ce bégayement à une frayeur. Pour me
a psychologie morbide du temps de guerre par M. le Dr LAMOUREUX (1) médecin major au V" régiment de cuirassiers. Les troubl
s. Alors on a vraisemblablement affaire à des malades. Us relèvent du médecin de l'établissement qui doit les éloigner de l'éco
blessures. C'est à ce moment là surtout qu'il frappait à la porte des médecins dont beaucoup, lassés ou prévenus, le mettaient à
et que le redressement exige du temps. MM. André Petit et Grollet, médecins vétérinaires, exposent ensuite la question de l'e
Lourdes sont en augmentation constante. L'appel s'adresse surtout aux médecins allemands, qui ont le devoir professionnel et nut
a démonstration qu'à Lourdes 11 n'y ? pas de miracles réels. Les deux médecins signataires do l'appel, JIM. les docteurs Hermann
uord Aiguer, s'appuieut principalement sur l'ouvrage du Dr BoiSSarie. médecin en chef du Bureau des constatations do Lourdes, I
être cité parmi les miracles de Lourdes. Il serait désirable que les médecins suivent de près les cas de soi-disantes guérisons
ctobre 1908. Le secrétaire du comité français, M. le ?>• A. Marie, médecin en chef de l'asile de Villejnif, a fait preuve de
nif, a fait preuve de la plus grande activité et un certain nombre de médecins français vont se rendre a Vienne pour prendre par
tère de l'Intérieur a délégué au congrès et à la conférence plusieurs médecins , en particulier M. le 1> Jules Voisin, médecin
nférence plusieurs médecins, en particulier M. le 1> Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. II. le préfet de police a délé
a délégué, pour y représenter son administration, M. le Br Bérillon, médecin Inspecteur des asiles d'aliénés. TRAVAUX ORIGNA
oquer la mort ? Citons les «as suivants. En 1750, à Copenhague, des médecins , voulant éprouver les effets de l'imagination sur
e s'affaise et meurt dans les bras de sa bonne. Chose singulière, les médecins légistes commis pour pratiquer l'autopsie constat
La psychologie morbide du temps de guerre par IL le Dr Luiocrecx, médecin major nu 1" regiment de cuirassiers. (suite et
. Ecoutons parler Sarrazin. » L'observation est un instinct chez le médecin ; je cherche à me rendre compte de l'état psychol
age : Y appliquer un crapaud de sept ans. Remarquez bien que tous les médecins en possèdent un ; mais ils ne veulent pas le dire
4 heures et demie, sous la présidence de M. le docteur Jules Voisin, médecin de la Salpétrière. Les séances de la Société on
ont lieu le troisième mardi de chaque mois. Elles sont publiques. Les médecins , les étudiiiuts et les membres de l'enseignement
1906. 2 fr. 50. Le Docteur E. Laurent qui depuis plus de 15 ans est médecin inspecteur des écoles à Paris, a pu observer faci
l'autorité du maître est insuffisante,le prêtre ne peut plus rien,le médecin pourrait intervenir, mais la sélection des écolie
rapporteur du projet de loi sur le régime des aliénés. Jnles Voisin, médecin de la Salpétrière, professeur Grasset, de Montpel
la Salpétrière, professeur Grasset, de Montpellier, docteur A.Marie, médecin de Ylllejulf, docteur Vigoureux, médecin de Yaucl
ontpellier, docteur A.Marie, médecin de Ylllejulf, docteur Vigoureux, médecin de Yaucluse, M. Marc Réville, député, docteur Ren
. le Président met aux voix les candidatures de MM. Dr Auguste Marie, médecin en chef de l'asile de Villejuif; Dr Tarrius, dire
au Tribunal d'Epinal : Dr Abd el Aziz Nasmi, du Caire ; Dr Bajenoff. médecin en chef de l'Asile Préobra-jensky, à Moscou. Ce
nt dans les cas favorables. Il a initié personnellement beaucoup de médecins k l'emploi de l'hypnotisme. Il était persuadé que
malade n'avait présenté aucun stigmate hystérique. A cette époque son médecin constate pour la première fois uno hémianes-thési
la famille sera sauf. Son projet ainsi bien arrêté, elle écrit à son médecin pour lui en faire part de façon à ce qu'il ne soi
ns l'originalité pour eux et une longue expérience. Que d'ailleurs le médecin qui n'a jamais laissé mourir un patient jette don
4 heures et demie, sous la présidence de if. le docteur Jules Tolsln, médecin de la Snlpétrière. Lee séances de la Société on
ont lieu le troisième mardi de chaque mole. Elles sont publiques. Les médecins , les étudiants et les membres de l'enseignement s
désignés sous le nom de magnétisme animé, et il n'y avait alors aucun médecin de renom en Allemagne, qni ent osé faire de telle
(retardataires, instables, vicieux et nerveux). Les professeurs, les médecins et les étudiants sont admis aux consultations du
nis et de Cloquet,en appelant l'attention des physiologistes et des médecins sur cette importante question, les ont amenés h d
inciter à l'excuse du « Latah » en cas de crimes. "William Fleischer, médecin cantonal à Kvvala Lumpur, qni a beaucoup étudié l
chez une jeune fille de quinze ans pur M. le 1)' Joseph Wiazeuskv, médecin en chef dn dispensaire anti-alcoolique et préside
me se soit établie. Au cours des conversations que j'ai eues avec les médecins suédois j'ai cru comprendre que les autorités rec
r intensif, en présence de cette rechute,d'être hypnotisé par le même médecin qu'auparavant. Janet ne se contente pas de compar
driaque ou le neurasthénique d'être, à chaque instant, examiné par un médecin afin d'avoir la certitude qu'il ne souffre d'aucu
le doute et la crainte apparaissent de nouveau : il cherche encore le médecin pour entendre l'affirmation qu'il désire,'à savoi
ne peut voir quelque chose qui soit spécial k l'hypnotisme. Bien des médecins sont récompensés par la reconnaissance et la grat
rection » de Janet manifestent facilement un grand attachement k leur médecin , pour peu qu'il ait diminué leurs malaises, tout
, tout comme de l'aversion si son traitement est resté sans effet. Le médecin des hospices ou hôpitaux est toujours une sorte d
fluence sur un malade que si l'on a abusé de sa suggestibilité. Si le médecin impose aux malades des prescriptions qui leur son
La cécité congénitale pour les mots imprimés par M. le D* Yabiot, médecin en chef des enfants assistés. Il arrive que des
qui dans son enfance était atteint d'une affection de ce genre. Les médecins anglais ont les premiers décrit cette singulière
1 heures et demie, sous la présidence de M. le docteur Jules Voisin, médecin de la Salpétrière. Les séances de la Société on
ont lieu le troisième mardi de chaque mois. Elles sont pnbliqnes. Les médecins , les étudiants et les membres de l'enseignement s
psychothérapie des tics et les procédés adjuvants. 11° M. Boccbard. médecin dentiste : L'anesthésie hypnotique en art dentair
auté de ses traits et par le charme de son esprit, se plaignait a son médecin du peu de constance de ses amants. Elle ne pouvai
otisme, grace à Wetterstrand se répandit en Suède, un grand nombre de médecins suédois y eurent recours. La plupart virent leurs
ent contre l'hypnotisme; Or c'était une erreur de croire que tous les médecins devaient pratiquer cette thérapeutique qui ne réu
cette thérapeutique qui ne réussira pleinement qu'entre les mains des médecins qui s'y consacreront plus ou moins exclusivement.
ait, assurément, un grand malheur si nous avions des hypnotiseurs non médecins tout comme sont en ce moment les masseurs et les
commun qu'à un certain moment la séance comporte, anssi bien pour le médecin que pour le malade, une certaine anxiété. Et cela
d'une hypnose profonde ; le simple état passif, bien, employé par le médecin , peut guérir. En procédant ainsi, on a écarté de
prime radicalement, d'emblée, le tabac, l'alcool, le café. Il courtde médecin en médecin; à chacun il dit prérempto ire ment: »
alement, d'emblée, le tabac, l'alcool, le café. Il courtde médecin en médecin ; à chacun il dit prérempto ire ment: » J'ai eu la
s, demander à un syphiligraphe renommé le traitement intensif que les médecins américains n'ont pas su lui prescrire. H quitte
tion l'ébranlé mais ne le convainc pas. * Moi qui avais, en ce savant médecin , une confiance illimitée, comme me voilà déçu ! J
-1826). Les jeunes gens qui s'y offraient étaient même visités par un médecin dans le but de protéger leurs clients homosexuels
janvier, a 4 heures et demie, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpêtrlère. Les séances de la Société on
ont lien le troisième mardi de chaque mois. Elles sont publiques. Les médecins , les étudiante et les membres âe l'enseignement s
de France ; Albert Robin, prof. à la Faculté de Médecine : J. Voisin, médecin de la Salpétrière. ÉCOLE DE PSYCHOLOGIE 49,
ellin Brithelot. - - Dr Bérillon. 10 Janvier 1906. Dr Jules Voisin. médecin de la Sulpétrière. — Dr Paul M?gnin. 1er Février
pensaire pédagogique et neurologique. — Dispensaire antialcoolique. Médecins : Dr Bérillox, Dr Paul Magnin, Dr Paul Farez, Dr
de psychologie comparée. Chefs des travaux : MM. Lépisay et Grollet, médecins vétérinaires. V. Education physique. Chef des t
taires, instables, timides, indisciplinés, pervers et nerveux). Les médecins , les étudiants elles membres de l'enseignement so
rs comptés comme des mérites. Eu vérité, il n'est pas possible a un médecin de réunir plus de titres a la Légion d'honneur qu
, à la Muette (siège de Paris». — Interne dos hôpitaux en 1871. — Médecin adjoint du Dépôt, en 1876. — Médecin de Blcetre
erne dos hôpitaux en 1871. — Médecin adjoint du Dépôt, en 1876. — Médecin de Blcetre en 1879. — Médecin en chef du Dépôt,
édecin adjoint du Dépôt, en 1876. — Médecin de Blcetre en 1879. — Médecin en chef du Dépôt, 1884. — Médecin de la Salpétr
— Médecin de Blcetre en 1879. — Médecin en chef du Dépôt, 1884. — Médecin de la Salpétrlère, en 1884. — Médecin de l'Ecol
n en chef du Dépôt, 1884. — Médecin de la Salpétrlère, en 1884. — Médecin de l'Ecole de réforme de la Salpétrlère, en 1892.
resse scientifique ont décidé d'offrir un banquet an Dr Jules Voisin, médecin de In Salpétrière et médecin en chef dn Dépôt, a
d'offrir un banquet an Dr Jules Voisin, médecin de In Salpétrière et médecin en chef dn Dépôt, a l'occasion de sa nomination d
-Cliine. Autour de lui avaient pris place M. le docteur Jules Voisin, médecin de la Salpétrière et les professeurs de l'Ecole,
tion de l'odorat. Elle ne leur est révéléc[que par la constatation du médecin (1). Il n'en est pas de même des hyperosmies. E
rison parla suggestion hypnotique. par M. le Docteur Jules Voisin*, médecin de la Salpétrlère. L'incontinence nocturne des
tement s'appliqnant à la fois à l'esprit et au corps. Par exemple, un médecin qui voudrait traiter la mélancolie par la suggest
la malade est éloignée de sa famille et qu'elle sait que par ordre du médecin elle doit y rester pour une période de temps pres
arrivons maintenant au troisième facteur qui est la prescription des médecins . Quand un médecin conseille à un malade de change
t au troisième facteur qui est la prescription des médecins. Quand un médecin conseille à un malade de changer de climat pour s
a inspirer la confiance du patient dans la valeur et la science de ce médecin . Dire à un malade qu'il peut essayer la Côte-d'Az
selon la nature de la maladie et le caractère du malade. Le role des médecins qui envoient leurs malades aux stations balnéaire
février, a 1 heures et demie, sons la .présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpétrlère. Les séances de la Société on
ont lieu le troisième mardi de chaque mois. Elles sont publiques. Les médecins , les étudiante et les membres de l'enseignement s
(retardataires, instables, vicieux et nerveux). Les professeurs, les médecins et les étudiants sont admis aux consultations du
ogie devant la commission de l'Enseignement supérieur an Sénat. — Les médecins Inspirateurs de Molière-Dans ln séance du 2? lévr
Ou croyait généralement que Molière, dans la création de ses types de médecins , s'était laissé entraîner ù des créations toutes
né récemment lecture, a l'Académie Je médecine, d'une étude sur « les médecins Inspirateurs de Molière ». ? en est trois, parmi
n outre eu commerce d'amitié avec Jacques Robault, physicien plus que médecin : ce fut lui qui tint Molière si bien au courant
une odeur très différente de celle qu'on perçoit en Xorniandie. Un médecin qui a beaucoup voyagé, le Dr Matignon, de Chatcl-
les inconvénients et les dangers du tabac. 2° Le Dr A. Bertherand. médecin principal de l'armée avait dit : « Pour renoncer
mpuissantes, que nous faisons appel au dévouement et k la science des médecins , pour tenter de guérir ces malades par l'emploi,
d'admettre qu'il doit en être de même du tabac. Un grand nombre de médecins s'appuyant sur le succès remporté par ce moyen th
mment les fumeurs qui désirent s'affranchir de leur esclavage, et les médecins qui sont consultés par des nicotines désireux de
Donc, la nicotinomanie ne doit être traitée énergiquement que par des médecins (Bessim Orner Bey. — Le nicotlsme en Turquie, 189
oins profonde. Sa volonté est anéantie ; il est sous la domination du médecin . Faudra-t-il lui défendre impérieusement de fum
t ce livre, a non seulement fait œuvre de psychologue, mais encore de médecin psychologue, et que tous les praticiens aux prise
utilement accomplis par les malades dans l'intervalle des visites du médecin . Ces exercices sont toujours suivis d'une sedatio
nerveux sont d'un très grand inténêt et devraient ¦être de la part du médecin qui se consacre à la thérapeutique psychologique
'est toujours une rééducation de l'attention suggérée, dominée par le Médecin . Dans divers cas que j'ai eu a traiter, j'ai trou
e lui produisent ses ongles peu ou pas soignés et jamais coupés. Un médecin curieux de recherches psychiques découvrira quelq
ce, dès que l'onychophagie débute, il est du devoir des parents et du médecin de s'en occuper, car c'est la période d'une théra
16 mars, à i heures et demie, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Les séances de la Société on
ont lieu le troisième mardi de chaque mois. Elles sont publiques. Les médecins , les étudiants et les membres de l'enseignement s
figure vieillotte, mais lo squelette est resté celui d'un enfant. Les médecins déclarent qu'ils s'attendent à une mort prochaine
e scientifique avaient décidé d'offrir un banquet au Dr Jules Voisin, médecin de la Salpetrière et médecin en chef du Dépôt, a
d'offrir un banquet au Dr Jules Voisin, médecin de la Salpetrière et médecin en chef du Dépôt, a l'occasion de sa nomination d
ecteur de l'Assistance publique ; M. le Dr Achabd, professeur agrégé, médecin de l'hôpital Necker : M. Dabat, directeur au mini
non, chirurgien eu chef des asiles d'aliénés ; if. le Dr Triboçlet, médecin de l'hôpital Trousseau ; M. le Dr Klippel, médeci
. le Dr Triboçlet, médecin de l'hôpital Trousseau ; M. le Dr Klippel, médecin de l'hôpital Tenon ; M. le Dr Dupré, professeur a
ppel, médecin de l'hôpital Tenon ; M. le Dr Dupré, professeur agrégé, médecin des hôpitaux; M. le Dr Laignel-Lavastine. médecin
professeur agrégé, médecin des hôpitaux; M. le Dr Laignel-Lavastine. médecin des hôpitaux ; M. le Dr Deny, médecin de la Salpe
ux; M. le Dr Laignel-Lavastine. médecin des hôpitaux ; M. le Dr Deny, médecin de la Salpetrière ; M. le Dr Riche, médecin de Bi
hôpitaux ; M. le Dr Deny, médecin de la Salpetrière ; M. le Dr Riche, médecin de Bicêtre ; M. Enjolras. directeur de la Salpetr
Magnix ; M. le Dr Maurice de Fleury ; M. le Dr Marcellîn Cazeaux, médecin consultant aux Eaux-Bonnes ; M. le Dr Axtheacme
n Cazeaux, médecin consultant aux Eaux-Bonnes ; M. le Dr Axtheacme. médecin honoraire de la Maison nationale de Charenton, di
tionale de Charenton, directeur de l'Encéphale ; M. le Dr A. Marie, médecin en chef de l'asile de Villejuif, directeur dos Ar
urologie ; M. le Dr Bérillos", professeur à l'Ecole de psychologie, médecin inspecteur des asiles d'aliénés : Madame Bérill
pecteur des asiles d'aliénés : Madame Bérillos ; M. le Dr Vcrpas. médecin adjoint de la Salpêtrière. directeur de la mais
cteur de la maison de santé de Charonne ; M. le Dr de Cléraïibaclt. médecin de rimfirmerie spéciale du Dépôt; M. Jegou, juge
chirurgien en chef de la prison de Presnes : M. le Dr Vcillemonet, médecin adjoint du dépôt : M. le Dr Morel, vice-préside
r Taty. directeur de la Maison de Sauté de Charonne ; M. le Dr Bcvat, médecin de la Maison de Santé de la Glacière : M. le Dr M
ocat'à la Cour, professeur à l'Ecole de psychologie; M. le Dr Derecq, médecin de l'hôpital d'Ormesson, directeur des Thermes Ur
eh, délégué de la Société d'hygiène de 1'enfanec : M. le Dr Devacx, médecin de la maison de Santé de Neuilly; M. le Dr Hisc
Dubosc, interne de la Salpêtrière ; M, le Dr Bandelac de Partente, médecin de l'ambassade d'Espagne ; M. le Dr Botjcard ; M.
ie ; M. le Dr Féridoun-Bey, de Constantinople ; M. le Dr Bernard, médecin consultant à Plombières ; H. Edmond Bouchard, c
-président de la Société d'hypnologie et de psychologie ; M. Làvault, médecin vétérinaire ; M. le Dr Bailliart ; M. Moret, méde
ie ; M. Làvault, médecin vétérinaire ; M. le Dr Bailliart ; M. Moret, médecin vétérinaire ; M. Emile Combe, rédacteur des Débat
at à la Cour d'appel ; M. le Dr Macé de Lépinay ; M. le Dr Mercier, médecin principal en retraite ; Madame Mercier ,• M. Mond
er ,• M. Mondineu ; Madame Mondineu ; M. Moutet ; M. le Dr MuGNIER, médecin inspecteur des enfants du premier age ; Madame Mu
nspecteur des enfants du premier age ; Madame Mugnier ; , M. Petit, médecin vétérinaire à Suresnes ; M. le Dr L. Philippe ;
dico-pédagogique de Créteil; Madame Quinque. M. A. Ricard. M. ?aßß, médecin vétérinaire ; M. le Dr Barbier; Madame Barbier ;
; M. le Dr Becrnier, chirurgien des hôpitaux ; M. le Dr Chaslis, médecin de Bicétre ; M. le Dr Mocsr£, pharmacien en che
get, de Paris ; M. le Dr Catdfpe, de NeuUly ; M. le Dr de Torres, médecin consultant a Luchon ; Madame Eugène Escribe, de
t a Luchon ; Madame Eugène Escribe, de Paris ; M. le Dr Séglas, médecin de la Salpêtrière ; M. le Dr Raffegeau, directe
e Soubd ; M. le Dr Mac Kartney, de Montevideo ; M. le Dr Maillard médecin adjoint de Bicêtre ; M. le Dr Le Menant de Ches
sous-chef de bureau a la préfecture de la Seine ; M. le Dr Legendre, médecin des Lariboissière ; M. Dassonvelle, ancien prés
Gilbert Ballet. Il recevait également de son collègue le Dr Kitti, médecin en chef de la maison nationale de Charenton et se
ent, secrétaire général de la préfecture de police : M. le Dr Sêglas. médecin de Bicètre ; M. Muteau. député de la Côte-d'Or :
n de Bicètre ; M. Muteau. député de la Côte-d'Or : M. le Dr E. Hirtz, médecin de Necker : M. le Dr Cayla. de JSeuilly : M. le D
Paris ; M. le Dr Bahaddix Chakir, de Constantinople : M. le D«" Lux. médecin principal ; M.Boirac, recteur de l'Académie de Di
vement, et les remercie en notre nom à tous. Enfin au nom de tous les médecins vétérinaires présents a cette fête, j'apporte à M
t considérés, ils le doivent à la science élevée et désintéressée des médecins qui comme vous, accordent une large part à l'ense
prouveraient à lui voir accomplir cet acte de justice par un ministre médecin , mieux qualifié que tout autre, par conséquent, p
plus parfait idéal que la Société d'hygiène de l'enfance se fasse du médecin et nous souhaitons que ses enseignements forment
et il l'humanité. {Applaudissements). Discours de M. Wuillomenet Médecin ndjoint dn Dépôt Messesues, Permettez-moi de
d'être exprimées à notre maître et ami. c'est au titre de pins ancien médecin adjoint du Dépôt près la Préfecture de Police, qu
t, dans la plus haute acception du terme, l'image la plus parfaite du médecin , c'est-à-dire d'un homme qui a consacré sa vie h
». M. le docteur H. Laloy, a rapporté une ancienne observation d'un médecin japonais, le Dr Bnntaro Adachi, sur l'odeur des e
ême, cette frayeur provoque une véritable attaque d'hystérie, que son médecin fait cesser par suggestion. (1) Cf. In relation
e est, en principe, acceptée par la famille, malgré l'opposition d'un médecin très réputé. Toutefois, après plusieurs jours de
fois, après plusieurs jours de réflexion, sous la pression d*un vieux médecin ami de la famille, on renonce à l'opération^ De
médicamenteux qu'ils prescrivent ne donne aucun résultat. Un autre médecin , très avisé, propose le traitement suggestif, ann
lques phénomènes de l'olfaction chez les animaux uar M. L, Lriusaï, médecin vétérinaire, professeur k l'Ecole de Psychologie.
le période d'incubation ». Ces observateurs ont même ajouté que des médecins en profitaient pour battre en brèche la méthode,
i 16 mai h 4 heures et demie, sons la présidence de 31. Jules Voisin, médecin de la Salpetrière. Les séances de la Société on
ont lieu le troisième mardi de chaque mois. Elles sont publiques. Les médecins , les étudiants et les membres de l'enseignement s
rron : Le signe puplllalre : sa valeur psychologique. 4° M. Mo ret, médecin vétérinaire : La suggestion dans les méthodes de
dison Une des nombreuses questions sur lesquelles physiologistes ou médecins n'ont pas encore réussi a s'entendre est celle du
it une moyenne qu'on doit rarement dépasser ; par contre, beaucoup de médecins de la nouvelle école recommandent la grasse matin
de psychologie M. le D' BÉaiLLos.profeMeura l'Ecole de psychologie, médecin Inspecteur des Aille» d'aliénés, commencera un co
uet en l'honneur du Dr Jules Voisin Discours de M. le Dc A. Marie médecin en chef de l'asile de ViUejnif. secrétaire généra
nts. On a célébré l'homme de science, le psychologue, l'éducateur, le médecin légiste ; comme homme de cœur et philanthrope M.
rès de l'hypnotisme expérimental et thérapeutique, un grand nombre de médecins français et étrangers eurent l'idée de se grouper
e, le même souci du devoir, dont il fait preuve dans ses fonctions de médecin en chef de dépôt et de médecin aliéniste des hôpi
t il fait preuve dans ses fonctions de médecin en chef de dépôt et de médecin aliéniste des hôpitaux. En douze ans. il ne lui
énible, se trouve assurément dans la collaboration constante avec les médecins qui assurent les services de nos établissements h
trouvât à la tête du gouvernement, un grand homme d'Etat doublé d'un médecin . Et lorsque tes amis sont venus simplement lui ra
rel et l'artificiel. Ce dernier n'est pas un léger étonnement pour le médecin . Aucune fonction en effet ne nous apparaît comme
s théologiens crièrent à l'hérésie, les savants à la supercherie, les médecins rappelèrent les cures do Mesmer et concluèrent qu
u Zcitschrïft. peut être jugé suffisant k servir de renseignement aux médecins praticiens. Aussi, dit-il, ces observations clini
eur O. Vogt. je pense qu'il fnut continuer à mettre sous les yeux des médecins praticiens les résultats cliniques obtenus par la
té du Paraguay, étoffes tissées par des femmes de la Bolivie, etc. Le médecin du ?.'-tru- Mi'-néiik nous a prêté de* bijoux éth
les esprits, à ce sujet, est si manifeste qu'on ne conçoit plus qu'un médecin puisse aborder utilement l'étude de certains prob
'entité morbide était le seul élément digne de retenir l'attention du médecin . La question du traitement n'étant envisagée que
sme expérimental et thérapeutique, a groupé le pins grand n'ombre des médecins qni. en France et ft l'étranger, s'adonnent d'une
vroses n'était pas admise, mais la moindre incursion, de la part d'un médecin , dans le domaine de la psychologie semblait suspe
nairement consacrées au traitement moral. On se borne à y rappeler nu médecin qu'il est de son devoir d'écouter avec patience l
nfin un jour vint où un homme d'un esprit élevé, Dumontpallier, alors médecin de l'hôpital de la Pitié, appela l'attention de s
) (École do réforme de la Salpétrière) par le docteur Jules VOISIX, médecin de la Salpétrière. La question de la criminalit
nalité de l'enfance ; mon but est bien plus modeste. Mes fonctions de médecin directeur de l'Ecole de réforme de la Salpétrière
malade continuant iï se masturber et dépérissant de plus en plus, son médecin traitant me l'adressa. Je l'isolai de ses paren
on porte-plume. En fin de compte, ce malade m'a été adressé par son médecin à ma consultation clinique de la Faculté. C'est
des familles sont condamnés comme absolument inefficaces par tous les médecins qui ont eu à traiter des cas de ce genre, et Bèri
n d'un docteur. En dehors des essais d'hypnose classique que tous les médecins ont tentés aujourd'hui, bieu des faits isolés de
même sur l'action suggestive utile et réconfortante que peut avoir le médecin chez les malades chro_ niques. Observation V. —
s processions et surtout aux piscines, la dilatation pupillaire. Le médecin qui observe ces choses a-t-il le droit de dire qu
cteur Albert MolL de Berlin et le livre énoncé ci-dessus écrit par un médecin rompu ? la pratique, et initié ft la science de l
nrensbad, en Bohème, sous l'égide du docteur O. Vogt. alors directeur médecin du Sanatorium de ce nom. lorsqu'en visite che
uis nous sommes restés en relations d'amitié. Comme moi-même il était médecin praticien depuis plusieurs années déjà lorsqu'il
cu cette vie routinière de la pratique générale, dans laquelle on est médecin , chirurgien, accoucheur à son temps, toujours sur
montre et le sommeil vient. Aussi, appelé à guérir de l'in-sommie, le médecin ne prescrira pas un surplus d'exercice physique o
mmeil chez une personne plusieurs fois par une piqûre de morphine, le médecin réussit souvent à obtenir le même effet somnifère
traitée par la suggestion hypnotique, relatée par le malade qui était médecin et bien un courant delà sciencehynpnotique ; l'ét
parvient pas k vaincre le mal qui l'incommode et sollicite l'aide du médecin . Si ce dernier comdrend bien son rôle d'éducateur
e, usera des moyens que lui offre la psychothérapie et ce faisant, le médecin aura fait acte de libérateur en rendant au malade
saurait-il disposer avec fruit de sa volonté et de quelle manière le médecin pourrait le seconder sous ce rapport. II soumet à
ation de leur supposition offensante. Dans ce dernier cas. le rôle du médecin comportera d'éclairer l'entourage du malade ou bi
en d'éloigner celui-ci de sou milieu ordinaire. Dans d'autres cas, le médecin aura le devoir de relever le moral du malade dése
ion répétée de doctrines suffisamment connues. Elle délasse plutôt le médecin expert en même temps qu'elle donne l'occasion au
lle que nous enseigna Rosenbach et insiste sur le rôle d'éducateur du médecin psychologue, tout en accordant la part prépondéra
tte, p. 241. Magnétothérapie et suggestion, par Benedikt, p. 243. Médecins inspirateurs de Molière, p. 257. Miracle de Lou
13 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
lent que le premier congrès a réuni en 1889 un nombre considérable de médecins , de professeurs, de philosophes, de magistrats, d
D’ORGANISATION Bureau Président. M. le docteur Voisin (Jules), médecin de la Salpêtrière, président de la Société d’hypn
a Cour de Cassation. Secrétaire général. M. le docteur I5EHILL0N, médecin inspecteur des asiles d’aliénés de la Seine direc
MM. JüLLiOT, docteur en droit, le docteur Lemesle (Henry); Lépinay, médecin vétérinaire. le docteur Regnault (Félix), ancie
udes. Membres de la Commission d'organisation MM. le Dr Barinski. médecin de la Piljé. le Dr Bêrillon, médecin inspecteur
ganisation MM. le Dr Barinski. médecin de la Piljé. le Dr Bêrillon, médecin inspecteur des asiles d’aliénés de la Seine, dire
e Nancy. Boirac, recteur de l’Académie de Grenoble. le Dr Briand, médecin en chef de l’Asile de Villejuif. Caustier, prof
losophiques et sociales. Coutaud, docteur en droit. le Dr Cullerre, médecin de l’Asile de La Roche-sur-Yon. le Dr Charpentier
Cullerre, médecin de l’Asile de La Roche-sur-Yon. le Dr Charpentier, médecin de la Salpétrière. Dauriac (Lionel), prof, à la
(Lionel), prof, à la Faculté des Lettres de Montpellier, le l)r Deny, médecin de la Salpétrière. Dïvkande, procureur de la Ré
. Dïvkande, procureur de la République, à Dieppe. le Dr Déjerine, médecin de la Salpétrière, agrégé à la Faculté. le Dr F
Dr Grasset, professeur de la Faculté de Montpellier. le Dr Legrain, médecin do l’asile de Ville-Evrard. le Dr Lèpine, profe
(Paul), vice-président du Tribunal de la Seine, le Dr Voisin (Jules), médecin de la Salpétrière. QUESTIONS MISES A L’ORDRE DU
M. le ministre de la marine a délégué au môme titre M. le Dr Vincent, médecin principal de la marine. — L’Académie royale de
égué M. le professeur Thomas Tonesco, de Bucarest. — La Société des Médecins aliénistes et neurologistes de Moscou a délégué M
ospice de la Salpètrière, sous la direction de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpètrière. Cette visite sera suivie d’un
ie de médecine. 1° Discours de réception par M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpètrière, président du congrès. 2° Dis
mité. Orthopédie morale et hypnotisme Par M. le Dr Jules Voisin*, médecin de la Salpôtrièrc Une jeune fille de 18 ans, él
e, et au besoin en usant, comme d'une sorte de fétiche du souvenir du médecin , et de la guérison dont la certitude lui a été af
voir de la matière et proclamer le règne de l’esprit. Eddy combat les médecins parce quelle prétend qu’ils créent la maladie en
e parce que le sergent le lui a ordonné. Et celui-ci, s’approchant du médecin , lui dit tout bas à l’oreille : « I! ne se doute
ts tirés, etc., je ne m’y suis pas trompé et je vous l’ai amené. » Le médecin déclare que cet homme n’est pas malade et qu’il f
on les tient pour réelles. » Fort bien. C’est à ces conditions que le médecin ne se rendra pas antipathique à son malade. Mais
és savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpétrière. La prochaine séance de la So
nt lieu les troisièmes mardis de chaque mois à 4 heures et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique per
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d’aliénés, y complè
ospice de la Salpétrière, sous la direction de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière. Cette visite sera suivie d’un
M. le ministre de la marine a délégué au même litre M. le Dr Vincent, médecin principal de la marine. — La république du Mexi
résenter officiellement au congrès de niypnotisme. — La Société des Médecins aliénistes et neurologistes de Moscou a délégué M
ntroduction de l'hypnotisme en psychologie la même résistance que les médecins à son emploi thérapeutique, que les légistes en j
hérapeutique ou dans un sens de restriction de cet exercice aux seuls médecins ? Les partisans de la libre pratique de l'hypno
euvent empêcher le client qui s’y fie de recourir en temps utile « au médecin ..., ou elles agissent sur l'organisme humain et n
pas do modifications organiques chez le sujet, bien au contraire, les médecins qui pratiquent l’hypnotisme reconnaissent que la
tat s’accompagne chez le sujet de phénomènes réactionnels tels que le médecin seul peut être qualifié pour en apprécier l’impor
té publique, il n’appartient pas à l’auteur du rapport, qui n’est pas médecin , de conclure. Il consulte le Congrès sur le point
emarquable et humoristique article qu’a publié la Presse médicale, un médecin qui dirige avec une grande compétence le service
s toutes ses formes ail etc parfois systématiquement employée par les médecins pour combattre l'alcoolisme. Si mes souvenirs s
est d'un grand secours et c'est ce qu'ont bien compris bon nombre de médecins français et étrangers, familiers avec la pratique
elle a dormi sur une chaise pendant deux heures sans connaissance. Le médecin a prescrit trois sangsues derrière chaque oreille
iter que le traitement suggestif de l’alcoolisme se propage parmi les médecins , afin qu'un plus grand nombre de malades puisse e
neuf milliards cent millions de cellules nerveuses. (1) Gabelle du médecin , 1« mars 1900. Les cygnes infanticides. Noi
no et chante avec beaucoup de sentiment. Sa double nature trouble les médecins , les moralistes et les tailleurs, mais elle ne se
nage desavants cl de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d’aliénés, y complè
cessivement externe, interne, lauréat des hôpitaux, chef de clinique, médecin de la Pitié dès 1806, Dumontpallier fut en 1876,
regretté et d’exprimer notre reconnaissance à l'homme, au savant, au médecin qui voulait bien combler le grand vide qui s'étai
l commença ses études sous la direction de Benjamin Voisin, son père, médecin en chef de rHôtel-Dieu du Mans; puis il vint à Pa
où il fut externe etinterne. Reçu docteur en 1875, il devint en 1879 médecin de Bicêtre, pour aller, en 1884, remplacer Legran
rvice des enfants arriérés et celui des épileptiques. Il est eu outre médecin en chef du Dépôt et de la Conciergerie; il est au
1870, second interne en 1872, chef de clinique de !a Faculté en 1877, médecin des hôpi-teauxen 1878, agrégé on 1880. A l'hôpita
r de nos assises internationales, le I)' Bérillon, licencié en droit, médecin inspecteur des asiles d’Aliénés de la Seine, E.
départements envahis par le choléra. Parmi les psychologues et les médecins qui ont cultivé cl. développé l'hypnologie pendan
te clinique est une véritable Ecole de Psychothérapie, où de nombreux médecins et étudiants viennent se faire initier à la prati
pour lui des risques à courir », il tendit courageusement la main au médecin modeste dont il devint publiquement l’élève et l’
cès. Si j’étais privé de l’hypnotisme, je me rallierais aux rangs des médecins pessimistes qui affirment que l’alcoolisme chroni
re ses enfants et depuis elle n’a pas eu de rechute. M. D... est un médecin âgé de trente ans. Il y a plus de dix ans qu’il b
nt autorisé. Les débats ont été effectivement dirigés par le savant médecin de la Salpêtrière qui était, l’an dernier, présid
tien. cipal. M. le Dr Allais, avocat. Paris. M. le Dr Babixski, médecin de la Pitié, Paris. M. le Dr Baraduc, Paris.
le Dr BELLEMANiÈniv, à Bellevue (Seine-et-Oise). M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d’aliénés, directeu
rétaire général de la Société psychologique, Paris. M. leDf Briand, médecin en chef de l’asile de Villejuif. M. Caustier, p
s. M. le Dr Cazalas, à Bagnères-de-Bigorre. M. le Dr Charpentier, médecin de la Salpôtrierc. M. le Dr Charpentier (Albert
usicale à la Sorbonne, Paris. Mm* Delfau, d’Alger. M. le Dr Deny, médecin de la Salpêtrière, Paris. M. Decroix, vétérinai
gué de la Société contre l’abus du tabac, Paris. M. le Dr Dkjerine, médecin de la Salpêtrière. M. Desbeaux (Emile), homme d
publiciste, à Alger. M. Hideux, Raoul, à Paris. M. le Dr Huchard, médecin de Necker, membre de l'Académie de médecine de Pa
seille. M. Lavault, médecin-vétérinaire, Paris. M. le Dr Leorais, médecin de l'Asile de Ville-Evrard. M. le Dr Lemesle, d
t, ancien interne des hôpitaux, Nissan (Hérault). M. le Dr Vincent, médecin principal, délégué du ministère de la marine. M.
principal, délégué du ministère de la marine. M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpètrière, Paris. M. Voisin, interne de
ricchetti, de Pavie. M. le Dr Tamburini, professeur de psychiatrie, médecin en chef de l’asile de Reggio Emilia. Mexique.
de Bukarest, délégué du gouvernement. Russie. M. le Dr Bajenoff, médecin de l’asile de Voronèje. Mme le Dr Bieloussof, C
M. le Dr Hickmet, de Constantinople. M. le D' Mi hr an Kemhadjian, médecin de l'ambassade ottomane, à Paris. M. le Dr Panayo
M. le ministre de la marine a délégué au môme titre M. le Dr Vincent, médecin principal de la marine. — La république du Mexi
que a délégué M. le professeur Masoin, de Louvain. — La Société des médecins aliénistes et neurologistes de Moscou a délégué M
l à la Cour de Cassation, M. le DrToKAnsKY, délégué de la Société des médecins neurologistes et aliénistes de Moscou, M. le Dr V
l Magnin, vice-président de la Société d'hypno-logie, M. le Dr I)eny, médecin de la Salpètricre, M. le Dr Clark-Bell, délégué d
du bureau définitif. Sont élus : Président : M. le DrVoisiN(Jules), médecin de la Salpètricre, président de la Société d'hypn
al à la Cour de cassation. Secrétaire général : M. le Dr Bérii.lox, médecin inspecteur des asiles d’aliénés de la Seine, dire
, docteur en droit; le Dr Lemesle (Henry) licencié en droit ;Lépinay, médecin vétérinaire; le DrREGNAUi.T(Félix), ancien intern
ypnotisme à des études alors peu connues et presque méprisées par les médecins , les études de psychologie. Ils ont montré que po
les recherches convergentes d’un certain nombre de philosophes et de médecins , qui a été la raison principale de l’estime que l
la rue de Paris. « Assistance nombreuse parmi laquelle beaucoup de médecins étrangers dont M. Crocq, de Bruxelles ; M. Marine
estrade, M. le professeur Raymond, président d’honneur; M. J. Voisin, médecin de la Salpétriôre, président effectif; le docteur
dirai avec lui que les recherches convergentes d’un certain nombre de médecins et de philosophes ont été la raison principale de
ntpallier, qu'une mort prématurée a enlevé à la science. Depuis I8C6, médecin de la Pitié, il contribua, par ses admirables étu
és savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpétrière. Les prochaines séances de
nt lieu les troisièmes mardis de chaque mois à 4 heures et demie. Les médecins et les étudiants sont invites à y assister. Adr
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complè
. Van Eedenet moi, avec le docteur Arie de Jong de la Haye, les seuis médecins en Hollande professant ouvertement les doctrines
ptembre 1887 j’exposai, devant les membres du Ifr Congrès national de médecins eide naturalistes tenu à Amsterdam, les résultats
1889 à l’asile d’aliénés de Meerenberg auquel il était attaché comme médecin . Nommé directeur et médecin en chef du sanatorium
Meerenberg auquel il était attaché comme médecin. Nommé directeur et médecin en chef du sanatorium de Vclp, il a continué là s
suggestion à l’état de veille et à l’influence psychique ordinaire du médecin intelligent, il a vu céder les phénomènes morbide
, à donner un cours d'hypnotisme thérapeutique. La Haye compte deux médecins psychiatres et neurologues qui dans le traitement
édecine d’Amsterdam en qualité de privaat-docenl en psychiatrie, puis médecin spécialiste à la Haye, est sur la brèche depuis 1
autres médications suggestives (galvanisme, faradisation, etc.) Un médecin des plus consciencieux, le docteur D. Sligter de
ience dans cet intéressant volume. Depuis bientôt deux ans un jeune médecin , élève des professeurs Münsterberg, Ziehen et Win
esseur Winkler, réside à Harlem. Depuis deux ans qu’il s'y est établi médecin spécialiste en neurologie, il a, dans maintes occ
suggestion à l’état de veille. Je dois arrêter ici mes citations de médecins qui, en Hollande à cette heure, se servent avec p
ngue, d’Amsterdam, d’Utrecht et de Leyde, se trouvent un ou plusieurs médecins exerçant la psychothérapie; Que les deux unique
érapie commence à jouir d'une juste considération tant de la part des médecins que de celle du public. J’afiirme qu’elle a jeté
re: W. Ililger, Ch. Lloyd-Tuckcy, A. Moll et J. Milne-Bramwell. Les médecins belges et hollandais ralliés à l’école de Liébeau
vant puisque pour une grande part ils sont dirigés sur elle par leurs médecins . Or. comme j’ai eu l’honneur de vous l’exposer
médecins. Or. comme j’ai eu l’honneur de vous l’exposer tantôt, les médecins partisans de l’école de Nancy se font de plus en
écial ; j’ai voulu enfin, honorer l’homme de bien,le modeste et noble médecin de campagne, créateur de la méthode; notre vénéré
II. — Sommeil provoqué par les anesthésiques Il n'y a guère que les médecins ou les pharmaciens qui connaissent l’emploi des a
ite plutôt qu’à toute autre chose. Le véritable danger est pour les médecins . Je vous en ai déjà parlé, et j’y reviens, car je
vidu rendu capable de magnétiser par une éducation spéciale: c’est un médecin , un dentiste, un médicaslre, un échappé d’arrière
ncy, la question est beaucoup mieux connue, et il est assez facile au médecin expert de dépister l’hystérie chez les personnes
és savantes, 28, ruo Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpêlricre. Les prochaines séances de la
nt lieu les troisièmes mardis de chaque mois à 4 heures et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
érapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d’aliénés, y complè
os plus douloureuses condoléances. Or, ce ne sont pas seulement les médecins hypnotiseurs et psychologues qui sont en deuil ;
, comme on pouvait l’imaginer, exécuté dans la pensée de se moquer du médecin . Tels les ânes qui refusent d’avancer, se mette
’en être témoin n’a rien de commun avec le doute scientifique. Un médecin français ne serait pas fondé à nier l'existence d
user. Dans l'assistance on remarquait: MM. le docteur Jules Voisin, médecin de la Sal pétri ère, président du Congrès; le doc
decin de la Sal pétri ère, président du Congrès; le docteur Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d’aliénés, secrétai
e. Le domaine judiciaire vous appartiendra certainement un jour. Le médecin , disait-on, est le dernier sorcier. Vous avez dép
Ce rêve sera-t-il réalisé parl’hypnolisme et aura-t-on recours à des médecins comme vous qui par l’inlluence de l’hypnotisme, p
les l'idée que l’hypnotisme n’est pas œuvre de charlatans, et.que les médecins hypnotiseurs seront peut-être les vrais guérisseu
és savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpètrière. Les prochaines séances de la
nt lieu les troisièmes mardis de chaque mois à 4 heures et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
remarquer avec raison « que le remède ne vaut ici que ce que vaut le médecin . » Or le médecin hypnotiseur excelle à enlever le
aison « que le remède ne vaut ici que ce que vaut le médecin. » Or le médecin hypnotiseur excelle à enlever les conceptions dél
onnement, que c’était la première fois qu’elle était remarquée par un médecin s’occupant d’aliénation mentale. Je suis heureux
crise à grand fracas qui semble un instant menacer ses jours et qu'un médecin , appelé en toute hâte, a diagnostiquée : crise d’
ésident de la Société, M. Albert Colas, trésorier, M. le Dr Le-grain, médecin en chef de l’asile de Villejuif, M. le Dr Edouard
eux jeûneurs Succi et Merlatti ne devraient pns être observés par les médecins dans le seul but d'empêcher toute fraude. (I) I
pnotisme â la campagne Par M. le docteur Perceau (de Nérondes) Le médecin de campagne peut, comme le médecin des villes, êt
docteur Perceau (de Nérondes) Le médecin de campagne peut, comme le médecin des villes, être parfois appelé à pratiquer l’hyp
sur Charcot une page d’histoire qui perpétuera à jamais ce que fut le médecin , l'homme et le savant.» Nous reviendrons procha
que notre maître eut marqué son intention d’étudier des faits que les médecins n’auraient jamais dû négliger, ses amis et ses co
entifique. « Ces études ne sont pas seulement intéressantes pour le médecin , elles le sont pour le philosophe. Pour montrer c
, la statue miraculeuse ; parmi les serviteurs du temple, des prêtres médecins chargés de constater ou d'aider les guérisons...
és savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpétrière. Les prochaines séances de la
nt lieu les troisièmes mardis de chaque mois à 4 heures et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d’aliénés, y complè
Vendredi 1er Février, à huit heures et demie, M. le Dr Jules Voisin, médecin à la Salpétrière, fera une conférence sur : La ps
les salles de l’institut psycho-physiologique. Elle était composée de médecins , de magistrats, de professeurs de ¡’Université, d
ygiène publique au Ministère de l'intérieur, M. le Dr Auguste Voisin, médecin de la Salpétrière et M. Jules Soury, directeur à
, je dois vous parler de notre maître vénéré Dumontpallier, le savant médecin des hôpitaux, dont les travaux sur l'hypnotisme o
Coutaud, docteur en droit, et enfin M. le Dr Jules Voisin, l’émincnt médecin de la Salpé-trière. Il convient d’ajouter à ces
t, l’institut psycho-physiologique est organisé de façon à donner aux médecins et aux étudiants en tous ordres, un enseignement
O.s. cision, par le nombre de détails et par l’attestation de six médecins connus. Une demoiselle Coirin fut atteinte, en
niques ou multiples dépassant parfois le volume d’un œuf de poule. Le médecin peut s’y tromper parfois et amputer. Depuis la
nédite prise avec grand soin et à l’abri de toutes critiques. Mais le médecin qui me l’a donnée, voulant garder l’anonymat, j’e
gine hystérique qui simulent les maladies organiques au point que les médecins s’y trompent. Ceux-ci ordonnent des remèdes ou co
, peut, en effet, modifier l’afflux sanguin vers cette partie (■). Le médecin Tant-pis peut ainsi tuer ses malades. Les envoûte
n stertoreuse, puis refroidissement et collapsus. On le crut mort. Un médecin appelé en hâte, fit des injections sous-cutanées
de antérieure à l'opération a été rédigée, non d’après les notes d’un médecin , mais d’après les renseignements fournis par la f
és savantes. 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Les prochaines séances de
nt lieu les troisièmes mardis de chaque mois à 4 heures et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complè
imaux » par l’expression ondulatiojis nerveuses, on voit que le grand médecin anglais n’était pas très éloigné de la vérité.
. De même que l’éclair illumine et purifie l’atmosphère, la voix du médecin se grave dans le cerveau en transformant ses fonc
s que la nouvelle guérison des maladies par la suggestion, donnera au médecin un puissant moyen d’être utile à l’humanité. Ce
e celles qui ont été considérées comme indispensables à l’orateur. Le médecin hypnotiseur ne devra pas seulement être un clinic
t parle difficilement ; de plus, il a un léger degré de nystagmus. Un médecin qui connaît bien les maladies nerveuses a porté l
ppelée à résoudre. Le procureur général d’Angers et le Syndicat des médecins de Maine-et-Loire l'avaient saisie d’un pourvoi f
icale. L’avocat général estime, lui, que les magnétiseurs, nonreçus médecins , commettent un délit quand ils s’avisent de faire
nt, n’ont point les connaissances médicales qu’implique le diplôme de médecin . Le législateur, en exigeant pour l’exercice de
és savantes, 28, ruü Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpèlricre. Les prochaines séances de la
nt lieu les troisièmes mardis de chaque mois à 4 heures et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. A
inauguration des leçons, nous avons reconnu MM. les Dri Jules Voisin, médecin de la Salpétrière, Topinard, professeur d'anthrop
iste aux représentations du cirque où elle figure. Un monstre. Un médecin des environs de Buenos-Ayres vient de découvrir,
retenir. Une femme atteinte de névralgie faciale fut soumise par un médecin aux rayons de Rœntgen qui auraient déterminé, au
amen et la solution sont laissés à la conscience et à la capacité des médecins traitants;... » Le professeur Ramon y Cajal. do
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d’aliénés, y complè
★ ¥ # M»« C... est depuis de longues années soignée par l’un des médecins les plus recherchés du corps des hôpitaux. Elle v
ieux, fatigué, elle se trouve mal pendant tout le mois qui suit. Ce médecin , sans pratiquer délibérément l'hypnose, exerce pe
Mmc C... une recrudescence des symptômes morbides. C’est alors que ce médecin m’a fait l’honneur de m’adresser sa malade, en me
nta des choses qu’elle n’avait jamais osé, disait-elie, raconter h un médecin . Elle en éprouva un grand soulagement. Mais cela
agnétiques par sympathie ou par action à distance, préconisés p^r les médecins les plus éclairés de la fin du xvic siècle. Mai
agiat pur et simple de ce qu'enseignaient deux siècles auparavant les médecins et les philosophes qui viennent d’être cités. C
a chambre du malade no sera permise qu'aux personnes désignées par le médecin . Par ce fait, le malade se trouve placé dans un i
uggestion hypnotique, on obtient également que le malade abandonne au médecin le soin de faire les piqûres. Dans ces conditio
ssion, le malade devra être placé sous la surveillance constante d’un médecin ou d'un interne secondé par des gardes expériment
ces morales passagères, et surtout elle fortifie l'autorité morale du médecin . La troisième période est assez courte pour les m
ontradictions frappantes dans les résultats publiés jusqu’ici par les médecins hypnotiseurs. Il semble donc que l’hypnotisme est
tats du traitement hypnotique dépendent beaucoup plus des qualités du médecin que de la suggestibilité du malade. Si donc, le d
a suggestibilité du malade. Si donc, le diagnostic est juste et si le médecin est spécialement doué pour ce genre de traitement
te façon que l’hypnotisme peut gagner à être connu du grand nombre de médecins réfractaires à le conseiller ou l’employer parce
Il y a plus. Ce livre ne vient peint seulement guider et éclairer le médecin aux prises avec les difficultés de la pratique jo
ire une réserve expresse sur un point très particulier. Bon nombre de médecins , parlant de l’hypnotisme, ont recours à des clich
és savantes, 2S, rue Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpêlrièrc. Les prochaines séances de la
nt lieu les troisièmes mardis de chaque mois à 4 heures et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. Je Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d’aliénés, y complè
Ces douleurs vulvaires disparaissent d'ailleurs rapidement dès que le médecin consulté a su pratiquer un pansement convenable.
tique de la maladie. C'est elle qui a attiré l’attention des premiers médecins qui ont étudié l'affection, c'est elle que cherch
pu jamais reprendre la vie conjugale. Cette jeune femme avait vu neuf médecins consécutivement et avait renoncé à se soigner de
par les douleurs, mais par les contractures qu'ils provoquaient. Un médecin consulté avait déclaré que tous ces phénomènes ce
plutôt considérée comme une o affaire » plus ou moins pratique. Les médecins consultés sur de petits inconvénients conjugaux,
parce qu'il montre une fois de plus le rôle moral et philosophique du médecin dans la Société. Discussion. M. Félix Regnaul
mplement d’une impuissance d’origine psychique. M. Bérillon. — Tout médecin qui pratique la psychothérapie a eu à soigner des
és savantes, 2S, rue Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Les prochaines séances de la
nt lieu les troisièmes mardis de chaque mois à 4 heures et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
jeune homme et des yeux clairs les plus limpides du monde, l’éminent médecin de Sainte-Anne, professeur de Clinique des maladi
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d’aliénés, y complè
70. les neurasthéniques. Mais, pour maintenir l’influence dont le médecin a besoin, pour rassurer le malade, pour le dirige
là, comme ailleurs, on peut dire que ce n'est pas une maladie que le médecin a à traiter mais bien des malades. Tous les cas n
est de toute nécessité, le principal pour eux est de trouver dans le médecin une personne sur laquelle ils puissent en toute c
ux fermés, écoulant les suggestions de calme et de bien-ôtre que leur médecin leur répétera de temps en temps, suggestion qu'ii
e fausse équilibration des forces, etc., etc. Le rôle, le devoir du médecin exerçant la psychothérapie implique à gagner
a synthèse mentale dont on a parlé.... Je conclurai en disant qu’un médecin , un thérapeute, digne de ce nom, doit être éclect
vénérable plante à large ramure, que les Cairotes appellent un grand médecin ¡hakim-kebir), auprès duquel ils vont en pèlerina
res, même superficielles, chez les enfants nerveux. En pareil cas, le médecin doit prendre en sérieuse considération l’état nor
t par les cinq sens. Le second, c’est cette mystérieuse chose que les médecins appellent vis medicatrix naturæ. Tous les médecin
euse chose que les médecins appellent vis medicatrix naturæ. Tous les médecins reconnaîtront que l'effet des médicaments donnés
liqués dépend en grande partie do la confiance que le malade a en son médecin ou aux remèdes. Cette confiance n’est au fond rie
n’est au fond rien autre chose qu’une «suggestion », car tous les médecins emploient constamment la suggestion pour stimuler
és savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpélrière. Les prochaines séances de la
nt lieu les troisièmes mardis de chaque mois à 4 heures et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
e clinique en 1879 à l’hôpital de la Charité, il était nommé en 1832. médecin des hôpitaux, devenait agrégé de la Faculté de mé
14 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
mpte actuellement plus de cent cinquante membres et se compose de médecins , de magistrals, d'avocats, de professeurs de psyc
incrédules de l'importance du mouvement scientifique qui entraine les médecins vers les applications pratiques de l'hypnotisme e
seur honoraire de l'Université de Montpellier. Les désaccords entre médecins dans leurs prescriptions ou leurs défenses sont t
ds ne sont généralement pas des dissentiments d'origine médicale. Les médecins s'entendent sur le mal et sur ses conséquences, M
est donc d'ordre purement psychologique et non d'ordre médical. Deux médecins étant absolument d'accord sur les causes d'une ma
en entendu, selon qu'il consulte tel ou tel praticien. En résumé, les médecins , d'accord sur la maladie et sur ses conséquences,
iscussion M. Paul Magnin. —Sans doute; aussi, c'est à la fois comme médecin et comme homme que, par exemple, je n'hésite pas
ignorées de la conscience vigile, tantôt systématiquement cachées au médecin parle malade. Et ainsi apparaît une nouvelle form
u Palais des Sociétés Savantes sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Autour de ce maître eminent,
stitut départemental des sourds-muets de la Seine, M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés, M. le Dr Leblond
Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés, M. le Dr Leblond, médecin en chef de Saint-Lazare, M. le Dr Lux, médecin-ma
llier; Bourdon, de Méru ; Bernard (de Cannes) ; et un grand nombre de médecins de Paris parmi lesquels MM. les Dr* Le Menant des
oumis à la surveillance des autorités municipales et à des visites de médecins inspecteurs désignés par l'Administration. Avis d
Parquet. La sortie d'essai sera prononcée par le préfet sur avis du médecin traitant et du médecin-inspecteur. La propositi
are. Ils continuent à vivre, à végéter, traînant dans les cabinets de médecins leurs désolantes appréhensions. « Qu'on ne m'ac
Les Phénomènes de suggestion et d'autosuggestion, par le Dr Lefèvre, médecin militaire belge;— L'hypnotisme et la suggestion,
fet, qui bénéficie du secret médical? Le malade d'abord et ensuite le médecin . Mais il existe une autre personnalité dont on se
d'assez rudes atteintes, puisque la loi fait maintenant un devoir au médecin de déclarer un certain nombre de maladies. Mais
ecret médical : 1° Nature de la révélation que le malade fait à son médecin . 2° Que pense le malade du secret médical, et l
cret l'empécherait-il de se soigner? iJ° Quelle est la situation du médecin en présence du secret médical ? Que serait-elle s
oli? Quelle est la nature de la révélation que le malade fait à son médecin ? (1) D' Charles Valentino. Le secret profession
s tares, ses infirmités pour le plaisir de faire une confidence à son médecin . Il s'y résout parce qu'il ne peut pas agir autre
s probable au contraire que, le secret médical aboli, la clientèle du médecin se trouvât sensiblement réduite. Et d'ailleurs,
trouvât sensiblement réduite. Et d'ailleurs, le malade fait-il à un médecin une véritable confidence ? Dans la plupart des ca
ble confidence ? Dans la plupart des cas, il n'en est rien. Ce que le médecin sait, il l'a découvert lui-même. Je ne veux pas t
psychologies que de malades, mais on sait combien il est difficile au médecin de se renseigner sur l'état de son malade et même
faire parler un malade est une des qualités les plus nécessaires à un médecin . D'autre part, un grand nombre de malades, volont
grand nombre de malades, volontairement, trompent plus ou moins leur médecin . L'un n'hésitera pas à lui tendre des pièges pour
cachera l'origine de la maladie, que sais-je ?..... Voilà enfin le médecin qui connaît la maladie de son client. Ce que le m
dit, il l'a dit, contraint et forcé, et le reste — le principal — le médecin l'a découvert lui-même. Or, cette maladie, ou ell
le ou la société tout entière, et alors, quoi ? il faut encore que le médecin taise cette maladie qu'il a découverte, il faut q
médicale. Il est bien évident qu'il ne peut s'agir d'autoriser le médecin à dévoiler sans motif les infirmités cachées de s
; et c'est pourquoi certaines personnes craindront de dévoiler à leur médecin habituel, surtout si elles sont en relations suiv
s de santé qui n'ont pas assez de railleries pour la médecine et les. médecins et qui, au moindre bobo, appelleraient à leur aid
r aide toute la Faculté. Certes, il en est qui retardent la visite au médecin , les uns par nonchalance, d'autres par appréhensi
and il est terrassé par la maladie. Tout le monde ne s'adresse pas au médecin : les uns appellent le sorcier du village, d'autr
, qui pourrait s'opposera l'abolition du secret médical? Serait-ce le médecin ? Messieurs, j'imagine que vous avez dû souven
des exigences incompatibles ». Donc, actuellement, la situation du médecin en présence du secret médical peut souvent être d
nt être des plus pénibles. Je ne vois vraiment pas pour quel motif le médecin serait opposé à l'abolition de ce secret, sinon q
nsabilités morales qu'entraînerait sa liberté à ce point de vue. Le médecin , alors, n'aurait plus qu'à obéir aux suggestions
s en plus à se généraliser dans les familles, pourraient, sans que le médecin manquât au secret professionnel, éclairer ceux qu
que et social, ces carnets sont fort importants; mais ce n'est pas au médecin , c'est à la famille de les produire, si elle le j
cin, c'est à la famille de les produire, si elle le juge à propos. Le médecin , lui, ne doit rien dire ; il doit garder le secre
des parents, des amis, des commères, des concierges qui assaillent le médecin de questions indiscrètes au sujet du malade qu'il
visiter. M. Paul Magnin. — Affranchis du secret professionnel, les médecins donneraient des conseils d'après leurs préférence
e indispensable,elle serait pratiquée avec un bistouri courbe. « Ce médecin , qui ne craignait pas de déchaîner contre lui l'a
fait également en Bavière chez les nouveaux-nés par le ministère des médecins , en suivant le procédé classique. ? M. Natcho
Tirnovo, Vilayet d'Andrinople). D'après le D[ Radeff, de Varna, les médecins ne font l'opération chez les nouveau-nés que lors
es du clergé, de la petite noblesse et des marchands. Ce sont les médecins , les chirurgiens ou les sages-femmes qui font l'o
comme étant indispensable au développement futur de la parole. Les médecins l'exécutent également à l'aide de ciseaux, à la d
uce, pressant l'ongle de l'index. On la fait faire quelquefois par le médecin chargé de constater la naissance ; on prétend que
PONDANCE Hématuries d'origine hystéro-traumatique. M. R. Bernard, médecin militaire, présentait récemment à la Société Médi
communication, M. le professeur Bernheim a justement rappelé que les médecins qui pratiquent l'hypnotisme possèdent depuis long
psychique, son subconscient se développe en pleine liberté. Ainsi le médecin peut" surprendre certaines idées-fixes ignorées (
sollicitations suggestives, le malade somnoformisé peut révéler à son médecin des obsessions, des phobies, des impulsions ou de
à réclamer de l'hypnotisme la guéri-son de leurs misères; mais aucun médecin n'a pu les endormir à fond et ils s'en plaignent
discute ; il n'admet ni les explications ni les prescriptions de son médecin et il va de mal en pis. Une seule séance (l'hyper
fait une série de conférences devant un auditoire nombreux composé de médecins et d'étudiants en médecine, (1) Communication f
é sur le même sujet au Congrès de Psychologie à Munich. Beaucoup de médecins étrangers sont venus chez lui pour apprendre la m
e. Une reçoit que les malades qui ont été déjà soignés par les autres médecins thérapeutiques, ce qui rend son rôle particulière
portes et aux fenêtres, des bibliothèques — aux murs des portraits de médecins célèbres, etc. Les malados sont ainsi déjà sugg
qui importe surtout c'est l'intention bienveillante et persuasive du médecin . Le Dr Wetter strand va d'un malade à l'autre
), Routchinski (de 3t-Pétersbourg), Bouyer (de Paris) et de M. Curot, médecin vétérinaire â Paris. M. le Trésorier fait un co
ontent à peine à un an et celle-ci attire déjà une grande quantité de médecins . Les réunions, animées et prolongées, montrent cl
attention de la société russe, par des représentations publiques. Des médecins hypnotiseurs surgirent qui appliquèrent l'hypnoti
considérable ; mais l'auteur fait remarquer que ceux-ci consultent le médecin plus rarement que les alcooliques des autres caté
avec succès par la suggestion hypnotique, par M. le Dr Bérillon, médecin Inspecteur des asiles d'aliénés. * De toutes le
uis 12 ans il n'y a pas de récidive. Mlle H. — Ovarialgie grave. Le médecin traitant arrive chez moi avec la jeune fille, trè
ation n'était parvenue à lui procurer. Notre rôle, Messieurs à nous médecins , ne consiste pas toujours à guérir. Nous sommes b
tiser ce dernier. Après examen, je dis vouloir d'abord causer avec le médecin traitant et aviser ensuite. Le malade me quitte,
er de sa belle-fille. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Suicide chez un médecin Le Matin a publié l'événement suivant sous la r
éfet de la Somme se présentait l'autre jour chez le docteur Babinski, médecin à l'hôpital de la Pitié, demeurant 170 bis, boule
ère le Dr Babinski, est de ceux qui peuvent se produire chez tous les médecins qui s'occupent du traitement des maladies nerveus
d'idées de suicide, il peut réaliser son impulsion en allant chez le médecin , dans le cabinet du médecin, ou en sortant de che
réaliser son impulsion en allant chez le médecin, dans le cabinet du médecin , ou en sortant de chez le médecin. Ce qui est sur
chez le médecin, dans le cabinet du médecin, ou en sortant de chez le médecin . Ce qui est surprenant c'est que le fait ne soit
ient répondu à l'appel de la municipalité de Lamalou et parmi les médecins présents, nous devons citer : MM. les professeu
t Raymond, délégués de l'Académie de médecine; le professeur Gaucher, médecin à l'hôpital Saint-Louis; les professeurs Pitres e
ra pour jamais son enseignement clinique, et où savants, philosophes, médecins , accoururent de toutes les parties du monde autou
bilité humaine, arraché aux thaumaturges, et courageusement rendu aux médecins et aux philosophes. Après ce discours très goût
hilosophes. Après ce discours très goûté, le D' Boissier, doyen des médecins de Lamalou, et le professeur Raymond retracent la
e, la statue miraculeuse, parmi les serviteurs du temple, des prêtres médecins chargés de constater ou d'aider les guérisons. De
e, encore plus aigu quand la nature de l'affection est révélée par le médecin . M. Huchard conte, à cet égard, une anecdote cara
d, une anecdote caractéristique. Un angineux, étant allé consulter un médecin de Lyon, vit sur son ordonnance le diagnostic écr
a une quinzaine d'années, il eut un jour une crise douloureuse que le médecin traitant qualifia sur l'ordonnance des initiales
n accablement profond d'où il ne sortit que pour courir chez tous les médecins en nom de Paris, espérant trouver chez l'un d'eux
ais en une angine de poitrine fausse. Cette assurance formulée par le médecin est seule capable d'atténuer le sentiment de crai
appelle M. Huchant. En général, l'angineux qui sort du cabinet d'un médecin est calmé : on lui a prouvé de toutes façons que
ause morbide calmant le plus souvent les crises, la confiance dans le médecin fera le reste. Car elle est. la confiance dans le
nce dans le médecin fera le reste. Car elle est. la confiance dans le médecin , un adjuvant de premier ordre. C'est elle qui per
uérie que par une suggestion active, répétée, pressante de la part du médecin . Chez les angineux faux, la guérison se produit a
Pendant les mois et les années que dure la maladie, il appartient au médecin de demeurer â la hauteur de son rôle et, tout en
l ne sera pas inutile de vous présenter le Corps des Officiers et les Médecins Militaires, la charpente en quelque sorte de l'Ar
me général; — celui-ci n'a pas cru devoir utiliser son diplôme. Les médecins militaires, de leur côté, ne sont pas assez connu
assez connus du public, ni quelquefois, il faut bien en convenir, des médecins civils; leurs confrères. Et comment pourraient-il
rdait ! Il avait oublié ou bien il n'avait jamais su que les derniers médecins auxiliaires ancien style n'ont pas survécu à la g
adre normal du Corps de Santé militaire n'est accessible qu'à des médecins pourvus du titre universitaire de docteur en méde
, d'ailleurs ne fait rien à la chose, s'il reste bien entendu que les médecins de l'armée sont de véritables médecins. Mais ce
'il reste bien entendu que les médecins de l'armée sont de véritables médecins . Mais ce comble d'ignorance ou d'injustice, par
les plus ordinaires, et, pour ainsi dire, périodiquement, contre les médecins de la troupe, un un réquisitoire fulminant, dépla
dat : si elle a doublé, triplé le labeur et la capacité de travail du médecin militaire, elle a entraîné tout aussitôt une amél
bienveillante et approbatrice du haut commandement. Mais, ni les médecins , ni les psychologues militaires ne paraissent avo
s à l'époque où la pratique de l'hypnotisme n'était pas interdite aux médecins de l'armée et de la marine, nous pouvons évaluer
Dans le domaine de la pratique médicale, Messieurs; il n'est pas de médecin militaire qui n'ait eu à connaître de certains ét
u en est classique et mérite d'être reproduit: On vient raconter au médecin de service qu'un homme a perdu connaissance, a ro
irmerie, à l'hôpital. Les crises alors sont courtes, capricieuses; le médecin n'arrive jamais à temps pour les voir et, désireu
ndividu d'état psychique normal soit capable de tromper à ce point un médecin forcément prévenu. Si la tentation d'une pareille
sit guère, quand elle est refusée ou combattue par le sujet. Si les médecins ne l'Ignorent pas, peut-être oublient-ils un peu
z bien. Messieurs, que, respectueux des règlements, c'est convenu, le médecin militaire et l'officier vont, ensemble, d'une act
sez : ¦ Mais vous parlez trop ! Agissez donc ! » Quand nous sommes, médecin de régiment, en présence d'un cas, dépisté et dia
mpte ; sans discuter ni mettre en doute ce qui lui est affirmé par le médecin , et sans s'arrêter aux considérations d'aspect et
e conduite tenir ? La phobie étant d'ordre physiologique, c'est à son médecin que le sujet fait part de toutes ses craintes, de
savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpètrière. Communications inscrites :
é ont lieu les troisièmes mardis de chaque mois, à 4 h. et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
stion pourra déjà rendre un service réel, celui d'étayer l'opinion du médecin ; enfin, s'il s'agit de chorée hystérique, elle am
stifs, à part l'hypnose, ayant été employés antérieurement par le médecin traitant, or dans ce cas le sommeil provoqué eût
ues, à son entrée à l'hôpital seuls les avant-bras restaient pris. Le médecin traitant avait essayé toutes les médications sugg
dressement des fonctions que pour l'orthopédie morale. La valeur du médecin et du pédagogue en est singulièrement augmentée.
t trop le répéter, que son application soit encore aussi négligée des médecins , qu'elle ne soit pas entrée enfin dans la thérape
jouer un plus grand rôle, rôle dévolu à l'éducateur aussi bien qu'au médecin . Espérons qu'on finira par le comprendre. apr
savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière. Communications inscrites : D
é ont lieu les troisièmes mardis de chaque mois, à 4 h. et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
nnes de G Arizona, les Indiens, suivant leur coutume, ont sacrifié le médecin pour apaiser l'esprit du Mal auquel est due la ma
ment l'initiative qu'avait prise le Dr Mathieu en créant la Ligue des médecins et des familles pour l'amélioration de l'hygiène
ts rapports ont été faits par les D" Legendre et Méry sur le rôle des médecins scolaires. Ils ont démontré que les limites de la
s scolaires. Ils ont démontré que les limites de la compétence de ces médecins devraient être étendues. Seul le médecin a l'auto
tes de la compétence de ces médecins devraient être étendues. Seul le médecin a l'autorité nécessaire pour réaliser au complet
viennent de terminer leurs études scolaires. C'est dans le cabinet du médecin neurologistc qu'apparaît clairement le fait que l
érances qu'ils avaient fait naître à l'Ecole. Le jour où l'avis des médecins sera.plus écouté, le temps consacré aux études se
résultat fort appréciable : il a créé un terrain d'entente sur lequel médecins et pédagogues se sont trouvés d'accord. Le procha
ogique du bégaiement mental et de la timidité Par M. le Dr Bémllox, Médecin inspecteur des asiles d'aliénés. Dès 1895, dans
thérapeutique suggestive en ophtalmologie Par M. le D' A. Lepmxce, médecin oculiste à Bourges. Tout médecin possède de par
mologie Par M. le D' A. Lepmxce, médecin oculiste à Bourges. Tout médecin possède de par ses fonctions une faculté suggesti
n était un Essénien du nom de Hanan (de Bétbanie) (M. Baudouin. Jésus médecin et la médecine des Esséniens. — Ga%. méd.de Paris
es de la parole ('), par M. le Dr Chervin. — vol. de 500 pages. Les médecins sont quelquefois consultés pour donner leur avis
médecine mentale judiciaire et rendront les plus grands services aux médecins experts. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société
savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le D'Jules Voisin, médecin de la Salpétrière. Communications inscrites :
é ont lieu les troisièmes mardis de chaque mois, à 4 h. et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
'honneur en était le prétexte. La sympathie et l'estime qu'inspire ce médecin distingué et ce bon confrère avaient groupé dans
eur de la Réunion. Dans l'assistance on remarquait un grand nombre de médecins connus et parmi eux le Dr Landrieux, l'émi-nent m
nd nombre de médecins connus et parmi eux le Dr Landrieux, l'émi-nent médecin de Lariboisière, le Dr Bilhaut, chirurgien de l'h
le Dr Bilhaut, chirurgien de l'hôpital international, le D' Herbert, médecin de l'ambassade d'Angleterre, Eugène Dupuy. le col
équard, Besançon, directeur du Journal de médecine interne, Bérillon. médecin inspecteur des asiles d'aliénés, Philippeau, prés
nspecteur des asiles d'aliénés, Philippeau, président du Syndicat des médecins de la Seine, Collet, médecin de la légation de Be
, Philippeau, président du Syndicat des médecins de la Seine, Collet, médecin de la légation de Belgique, de Christmas, médecin
e la Seine, Collet, médecin de la légation de Belgique, de Christmas, médecin de la légation du Danemark, Fort, Peyré, Pioger,
une foi d'apôtre, il s'applique à convaincre ses juges que le rôle du médecin n'est pas seulement professionnel, mais qu'il est
moral et social. Il avait fait sienne la doctrine qui proclame que le médecin doit avec son malade dépenser son esprit et son c
si la plus difficile. Aussi sommes-nous convaincus que, pour être bon médecin , il faut être profond observateur. Il faut connaî
rassurer. Evitons d'encourir le reproche que faisait un client à son médecin : « Vous ne me guérissez pas, vous ne me soulagez
s positifs et durables sans un outillage complet et il voulut être te médecin physicien le mieux outillé de Paris et de l'Etran
avoir d'autant plus de joie à recueillir nos suffrages que lorsqu'un médecin , indépendant comme lui, reçoit la Légion d'honneu
qu'il y met de la mauvaise volonté. D'ailleurs, il n'y a pas d'autre médecin que Dowie dans Sion City où les pharmacies, comme
, PaulFarez, Watteau, Lemesle, Caustier, Lépinay. M. le Dr Legraln, médecin en chef de Vaucluse, a été nommé professeur titul
s mercredis, jusqu'au 26 mai. Salpétrière. — M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpètrière, reprendra son cours le jeudi,
t du cours : l'Education des enfants assistés. Ce cours s'adresse aux médecins et aux instituteurs d'enfants arriérés. Ouvrage
ar un des hommes les plus compétents en la matière, M. le Dr Legrain, médecin en chef de Ville-Evrard, dont les travaux sur
L'enseignement de l'École de psychologie est public. Il s'adresse aux médecins , aux étudiants, aux esprits désireux de connaître
térique guérie par la suggestion hypnotique, Par M. le Dr Voisin, ? Médecin de la Salpétrière,/ L'observation de celte mala
a malade a suivi de nombreux traitements, sans le moindre succès. Les médecins lui ont conseillé d'essayer la cure suggestive, c
ire; mais les paroxysmes d'angoisse durent peu. Sur le conseil de ses médecins elle vient une seconde fois se soumettre à la cur
de poursuivre personnellement, vu que je suis naturaliste et non pas médecin . Il s'agit d'une paysanne âgée de 30 ans. Elle
état posthypnotique de suggestionnabilité exagérée. J'ai prié deux médecins , MM. Wiazemsky et Heine de vérifier, toutes les f
enfance un tremblement généralisé. Sa mère avait une liaison avec son médecin , et tremblait très fort pendant qu'elle trompait
savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière. Communications inscrites :
é ont lieu les troisièmes mardis de chaque mois, à 4 h. et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
point de vue médical, philosophique et social par M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés (avec projections
ychologie et Véducation des enfants anormaux, par M. le 1> Voisin, médecin de la Salpêtrière. 2e La pédagogie du sourd-mue
bilité morale : Etude psychologique de la cruauté par le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés (avec projections
seur au lycée Louis-le-Grand. Salpétrière. — M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière, reprendra son cours le jeudi,
t du cours : l'Education des enfants anormaux. Ce cours s'adresse aux médecins et aux instituteurs d'enfants arriérés. Ecole p
le professeur Blanchard, avaient pris place : M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière, membre du Comité de patronage
é de l'Université, Lépinay, médecin-vétérinaire, et M. le Dr Legrain, médecin en chef de Ville-Evrard. Parmi les personnalité
mparée, MM. Teissier, Blech, docteurs en droit, et un grand nombre de médecins , de professeurs de l'Université, dont nous n'avon
LLON Messieurs, L'Ecole de psychologie est destinée à fournir aux médecins , aux étudiants des diverses facultés et à tous ce
sychiatrie. Dire qu'il sera professé par le Dr Legrain, le savant médecin en chef de l'asile de Ville-Evrard, dont les trav
nt collègue, ancien privat-docent de l'Université d'Amsterdam, ancien médecin en chef de l'asile d'aliénés de Delft, a déjà for
u regret souvent exprimé par notre maître, M. le Dr Magnan, le savant médecin de Sainte-Anne, que les alcoolique, ne trouvent n
le dimanche 24 janvier, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière, assisté de M. le Dr Legrain, m
Jules Voisin, médecin de la Salpétrière, assisté de M. le Dr Legrain, médecin de Ville-Evrard, directeur des Annales anti-a
: lestrypano-somes ont été décrits et ainsi dénommés, en 1845, par un médecin fort habile qui, pendant toute la seconde moitié
e Méthymne, âgé de 84 ans, s'alite ; son état s'aggrave et bientôt le médecin constate la mort. Conformément aux prescriptions
e qui arrivait à ses oreilles n'était pas de nature à le rassurer. Le médecin déclara qu'il était mort et, après s'être enquis
ifs, raideurs musculaires, trismus, rires, hoquets, etc. Les premiers médecins de Vienne sont appelés en consultation ; ils parl
chologie. Le temps n'est plus, où la philosophie spiri-tualiste et le médecin s'ignoraient réciproquement, où le premier trouva
49, rue Saint-André-des-Arts, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpétrière, assisté de MM. les D,f Legrain
es Voisin, médecin de la Salpétrière, assisté de MM. les D,f Legrain, médecin dc l'asile de Ville-Evrard et Félix Regnault, pro
savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Communications inscrites :
é ont lieu les troisièmes mardis de chaque mois, à 4 h. et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
heures par le trional. Ce sommeil de 96 heures a été observé sur un médecin russe (Journal russe de mèd. milit.. n° 1, 1903).
ilité morale : Etude psijchologiquc de la cruauté par le Dr Bêrillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés (avec projections
gts ans. Depuis une dizaine d'années, le maître vénéré auquel tant de médecins et de psychologues doivent l'inspiration de leurs
in nombre d'entre eux n'hésitèrent pas à accabler de leurs dédains un médecin dont les théories médicales et la thérapeutique é
out ce qui pourra contribuer à faire connaître le maître regretté aux médecins de la nouvelle génération ('). Nous pensons que
tée avec succès par la suggestion hypnotique par M. le Dr Bérillon, médecin Inspecteur des asiles d'aliénés. La malade que
her de boire, il vaut mieux qu'il le fasse, sans se cacher, et que le médecin en soit prévenu. Les alcooliques mêmes les plus i
savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpètrière. Communications inscrites : D
é ont lieu les troisièmes mardis de chaque mois, à 4 h. et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
ui à Nancy — il n'était pas professeur à la Faculté mais, exactement, médecin à Plombières — s'associaient à ses études. Il éta
posthypnotique de la paralysie post-chloroformique, observée par des médecins après certaines opérations chirurgicales. Les cau
études intéressant aussi bien le philosophe que le psychologue et le médecin . Le nombre des malades que Liébeault a guéri
à l'Université de Strasbourg. Quelques années après, installé comme médecin à Pont-Saint*Vincent, près de Xancy, il acquit bi
e officielle et finit par imposer ses doctrines. Un grand nombre de médecins éminents du monde entier sont venus à Nancy s'ins
parti d'un petit bourg lorrain, de la maison rustiqued'un simple médecin de campagne, unissant le dévouement humanitaire a
le Dr Bérillon, 49, rue Saint-Àndré-des-Arts, M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétriêre qui présidait la séance a prono
droite de notre malade : le pouce est tiraillé, peut-être luxé. Un médecin maintient la main en extension sur une planchette
ur à l'École de psychologie................. 100 Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière..... ....... 20 Dp Paul Magni
savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpètriëre. Communications inscrites : D
de la Faculté de Médecine Semestre d'Été 1904 M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, directeu
re utiles. De plus, tout exercice doit être surveillé et dosé parle médecin ; on ne peut abandonner un nerveux à sa propre in
ileau, Auteuil-Paris, je m'y tiens également à la disposition de tout médecin désirant sur la méthode de plus amples explicatio
aux voix les candidatures de M. le Dr Marnay, et de M- le Dr Legrain, médecin en chef de l'Asile de Ville-Evrard. MM. Marnay et
remèdes ; la violence de la maladie croissait de jour en jour, et les médecins avaient perdu tout espoir de sauver l'infirme.
contre un mur, fut atteinte d'une tumeur blanche au bras gauche. Les médecins , désespérant de la guérison, un lacet des soulier
savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpètrière. Communications inscrites : D
ciété ont lieu le troisième mardi de chaque mois à 4 h. et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adres
ie......... 10 Dr Le Menant des Chesnais id. ... ..... 5 Dr Bony, Médecin Major, id. ......... 5 Dr Raffbgbau, du Vésinct
à la faculté de médecine de Nancy. Président : M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière. Vice-Présidents : M. le Dr Van
un profond sommeil et devient un fidèle instrument entre les mains du médecin . En outre du traitement hypnotique, elle prend du
ou à des cures toujours coûteuses et difficiles, telles que nouveaux médecins , pèlerinages, voyages, etc.? Il est bien plus sim
ilna . 20 M. le Dr Wijnaendts Francken, M. La Haye. 5 M. le Dr Knory, médecin principal de la 15e division d'infanterie, Odessa
dans la croix. NOUVELLES Hôpital de la Pitié.— M. le D'Babinski, médecin de la Pitié, a repris, le samedi 3 mai, à dix heu
onsidérée comme une faculté, par Van Velsen, p. 89. Suicide chez un médecin , p. 96. Suicides (Epidémie de), p. 255. Supercher
15 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
hôpital Cathe- rine, vers la fin du mois de décembre 1886. Ici, les médecins qui avaient observé le malade, MM. Anoff et Clr
i-ankheiie ? &. Kassel, 1881, Bd. I, p. 206. - Forslchritte der médecin , Bd. 1. 1883. Il Ed. Hitzig. Un cas de surdité
MAL PERFORANT CHEZ UN PARALYTIQUE GÉNÉRAL; Par le D H. \1ABILLE, médecin en chef, directeur de l'asile de Lafond. Sommai
s problèmes les plus insolubles auquel se heurte journellement le médecin aliéniste. Si l'on connaît les causes (et combien
l'hystérie, est sans doute due à ce fait que la grande majorité des médecins allemands semble tenir peu décompte de l'hystér
Ces derniers renseignements sont dus à l'obligeance de M. Ch. Féré, médecin de Bicêtre, qui vit la malade à cette époque. 6
ur les déformations de l'enfant est généralement reléguée par les médecins au rang des contes de vieilles femmes et des supe
crédules. Pour arriver à une preuve certaine, il fau- drait que les médecins examinassent avec grand soin tous les faits sem
re à 111. Sollier, interne à Bicêtre , et la seconde à M. Legrain , médecin de la co- lonie de l'asile de Vaucluse. - Le so
e d'admission, du rapport prescrit à l'article 16, du certificat du médecin de l'établissement dit certificat de vingt-quat
l'établissement est situé, qui transmet sur-le-champ ces pièces au médecin inspecteur des aliénés ; 2° au procureur de la
102 SÉNAT. « Dans les cinq jours de la réception de ces pièces, le médecin inspecteur doit visiter la personne placée. Qui
procureur de la Répu- blique un nouveau certificat circonstancié du médecin de l'éta- blissement. La parole est à M. le rap
des hommes de science et d'expérience, qui, adoptant la donnée des médecins , réussirent à faire prévaloir cette donnée, ess
rnement d'un individu sur la simple présentation d'un certificat de médecin constatant son aliénation mentale, ou même, en
, il sera examiné par le procureur de la République accompagné d'un médecin de son choix, dans un délai qui ne pourra excéd
visiter la personne placée dans un asile privé par un ou plusieurs médecins ou par tout autre délégué de son choix ; SÉNAT.
eut-elle être jamais com- pétente pour trancher une question que le médecin seul connaît et peut résoudre ? Si elle ne veut
r dans chaque arron- dissement, ou même dans chaque département, un médecin alié- niste digne de la confiance du tribunal ?
t des malades. Le gouvernement a reconnu la nécessité de laisser au médecin traitant, sous sa responsabilité, le soin de dé
é à la commis- sion permanente dans l'article 20 sera rempli par le médecin inspecteur des aliénés. Telles sont, messieur
rimé dans la commission perma- nente. M. DELSOL. Il s'agit ici du médecin inspecteur. M. le Rapporteur. Lisez : le médeci
. Il s'agit ici du médecin inspecteur. M. le Rapporteur. Lisez : le médecin inspecteur. 110 SÉNAT. M. de Gavardie. Eh bie
' M. Testelin. C'est l'aliéné. (Rires.) M. de Gavardie. C'est le médecin ! 1 M. Combes. Il y a un amendement sur ce troi
pas parler aussi souvent. Si vous voulez écarter la présence de ce médecin , je vous céderai volontiers la parole. M. Combe
s voulons la maintenir. M. de Gavardie. Je m'y oppose ! Pourquoi ce médecin , et dans les cinq jours ? Remarquez que ce n'es
eut se produire dans l'état du malade et, par conséquent, à côté du médecin directeur de l'a- sile qui a la confiance du go
nt de vue du secret des familles ! Qu'est-ce que vient faire ici ce médecin ? : ' Il faut, je le répète encore, être complè
» C'était pourtant un aliéné. Qu'est-ce qu'aurait pu constater le médecin , qui serait arrivé là tout à coup ? Il aurait p
llement, en apparence, la libre pos- session de ses facultés que le médecin de l'asile, pour nous prou- ver qu'il était vér
la sorte ne coin- porte qu'une réponse. Ce fou est un malade et le médecin seul a compétence pour étudier et diagnostiquer
'est guère d'hommes, même parmi les bons esprits, qui ne se croient médecins à leur heure. Chacun dit son mot, à l'occasion,
ne dispense personne de convenir que le privilège incontestable du médecin , c'est de rechercher les symptômes de la maladi
ieurs, qu'on serait mal venu à -révoquer en doute la compétence des médecins quand il s'agit de la folie, d'une ma- Arciiive
ter des faits je me contente d'en appe- ler au souvenir de tous les médecins qui siègent dans cette As- semblée ; ils me ren
Or, je le dis hautement, je ne crains pas d'être démenti par les médecins ici présents, la médecine mentale est une science
st une science hérissée de difficultés et d'obstacles, même pour le médecin or- SÉNAT. lis j dinaire, pour celui qui ne s
mpuissantes. La médecine mentale seule a le privilège de diriger le médecin à travers les écueils dont elle est hérissée et
e à concé- der le dernier mot aux magistrats dans une affaire où le médecin seul est en état de faire entendre une parole a
, dans les cas d'internement, la conscience du juge aux lumières du médecin . Mais alors, messieurs, il reste, dans les moye
r la liberté individuelle qu'il suppose menacée entre les mains des médecins , le projet de loi imagine de faire prononcer l'
ité de l'aliénation mentale, que les rapports elles certificats des médecins qui l'attestent, c'est-à-dire qu'il donne pour
nt. C'est en s'appuyant uniquement, exclusivement sur le travail du médecin qu'ils vérifient l'exactitude de ce travail. En
'exactitude de ce travail. En un mot, pour recti- fier l'opinion du médecin , ils n'ont absolument que les affirma- mations
pinion du médecin, ils n'ont absolument que les affirma- mations du médecin . Et vous appelez cela une garantie pour la libe
les cas de placements, la signature et le consentement réfléchi du médecin inspecteur. Le médecin inspecteur possède deu
a signature et le consentement réfléchi du médecin inspecteur. Le médecin inspecteur possède deux avantages associés que vo
les sont à la fois erronés et impuissants. D'abord, messieurs, le médecin inspecteur qui, dans notre sys- tème, statue su
re. Ce placement pro- visoire n'a jamais lieu que sur le rapport du médecin qui soigne le malade ou d'un médecin qui connaî
ais lieu que sur le rapport du médecin qui soigne le malade ou d'un médecin qui connaît la maladie. A son arrivée dans l'ét
sement, le nouveau venu est soumis à l'examen et à l'observation du médecin de l'asile, qui est tenu aussi de rédiger un ra
ces deux premiers rapports, à ces deux premiers jugements, que le médecin inspecteur se prononce à son tour. Ainsi donc,
, d'une opinion commune. Allez-vous accuser de connivence les trois médecins qui y collaborent ? Le démon du soupçon possède
on possède-t-il à ce point les imaginations qu'il englobe ces trois médecins dans une même pensée de complicité possible ? A
raisonné. Pratiqué comme je viens de le dire, s'exerçant sur trois médecins qui n'ont rien de commun au point de vue des in
être capables de discerner et de prévenir le complot ourdi par les médecins . Ils devraient pouvoir déjouer leurs desseins,
juger l'état mental de l'aliéné que par les rapports écrits par les médecins dont vous suspectez la sincérité ; s'il y a eu
les juges qui n'ont sous les yeux que les documents fournis par les médecins . (Très bien ! sur plusieurs bancs.) Mais je v
1838, l'administration avait le droit, sur le certificat du premier médecin venu, d'ordinaire et souvent'le médecin de la f
ur le certificat du premier médecin venu, d'ordinaire et souvent'le médecin de la famille, qu'on pouvait à la rigueur soupç
icion ; pour un SÉNAT. 119 9 système qui réunit dans le mandat du médecin inspecteur la pro- tection des personnes aussi
ns une séance de l'académie de médecine, on a émis l'opinion que le médecin serait amoindri dans le cas où le juge serait i
médecine et opposeraient leur propre diagnostic aux rapports des médecins . Non, messieurs, je ne doute pas qu'ils n'accep
de la commission, les magistrats se rangeront toujours à l'avis du médecin . Mais, dans ce cas, et c'est le seul admissi- b
ns ce système, de l'aveu de tout le monde, c'est essentiellement le médecin aliéniste, le médecin inspecteur qui décidera d
eu de tout le monde, c'est essentiellement le médecin aliéniste, le médecin inspecteur qui décidera du sort des aliénés, ca
mission, SÉNAT. 1 U2 1 déclare expressément. C'est donc l'avis du médecin inspecteur qui est le document capital dans la
t le monde, partisans comme adversaires de l'amen- dement, c'est le médecin qui apprécie et qui décide. Le procureur de la
T. n'ajoute pas un atome à la valeur de la décision rendue par le médecin ; il n'est pas digne, parce qu'il rabaisse la maje
ions écrites du procureur, c'est-à-dire, en fait, le diagnostic des médecins ? Voilà donc les chambres du conseil transformé
ouvelles, en ne leur donnant qu'à contre- signer la prescription du médecin , ou bien vous dénaturez leur rôle public; vous
ites des personnages à double aspect, mi- partie juges et mi-partie médecins ; vous leur ôtez en autorité morale beaucoup pl
z nous comme aujourd'hui et il y avait presque du courage pour un médecin à oser en soutenir la réalité. C'est à l'âge de q
actuellement connus. P. S. IV. Le monde des rêves; par Max SIMON,. médecin en chef à l'asile de Bron.2° édition. 1 vol. in
l de faits anciens ou modernes, rapportés soit par des savants, des médecins , soit par des histo- riens, et souvent même seu
s moins instructives, remplies qu'elles sont de préceptes utiles au médecin dans ses rapports avec le malade. L'auteur cons
e par un aliéné, en marge de laquelle se trouvait une annotation du médecin de l'asile, indi- quant son appréciation sur l'
saisi, comportent ou non une communication aux directeurs ou aux médecins des asiles et se réserver le droit de se renseign
ce cas, d'adresser des instructions dans ce sens aux directeurs et médecins des asiles de votre département. Je vous prie d
lire et de voir la suite à donner. Il n'y a qu'avantage à ce que le médecin , s'il le juge convenable, donne son avis, quitt
dangereuse pour les autres comme pour lui-même, peut se trouver un médecin instruit, mais incom- pétent sur ces points spé
logie mentale. Il signale les avantages qui en résulteront pour le médecin lui-même , qui' trop souvent, souffre de son inco
our les aliénés ou réputés tels, dont la liberté peut dépendre d'un médecin , d'ailleurs fort instruit, mais nullement prépa
lité en matière d'aliénation, enfin pour le public lui- même que le médecin a mission de protéger, par une judicieuse inter
AL le UDUBUISSO1V, médecin-adjoint à l'asile Sainte-Anne, est nommé médecin en chef du même établissement en remplace- ment
mis sur sa demande à faire valoir ses droits à la retraite et nommé médecin en chef honoraire des asiles publics d'aliénés.
D'' MicuEL CATSR : 1S, Professeur agrégé de la Faculté d'Athènes ; Médecin de l'asile de Dromocaitis ; Membre de la Sociét
. - Le cinquième travail, document précieux , est dû au distingué médecin de Nauplie, M. Cotsonopoulos. Ce travail, qui p
com- pression brusque par rupture d'un scaphandre. » Ce distingué médecin a commis l'erreur de considérer le malade qui f
i persis- tent. A ce moment, il essaye d'uriner, sans y arriver. Un médecin de Corphou lui fait une application de la sonde
fut très affligé de constater une impuissance complète. Quelques médecins empiriques consultés par lui ont ordonné diverses
e aux membres supérieurs ni à la face. Pas d'autres symptômes. Un médecin a employé la sonde et un purgatif. L'état du mala
DE la GLIOMATOSE médullaire'; Communication faite au 2e Congrès des médecins russes à Moscou (Janvier 1887) Par WLADI311R
ue nous avons rencontrés en 1881 au dispensaire de la Société des médecins russes, mais qui n'ont pas été portés sur la li
bateaux, excepté les vapeurs des grandes compagnies, n'ont pas de médecins ; ensuite, la plupart des voyageurs sentent simu
mois de mai 1885, un jeune soldat pour subir un examen médical. Les médecins du régiment n'ont pu se prononcer d'une façon c
et dans la section de gâteux, et le lendemain même, il a demandé au médecin en chef de le placer ailleurs, en disant que l'
8 SOCIETES SAVANTES. moment de l'acte incriminé que doit décider le médecin . Les no- tions de responsabilité, d'irresponsab
té, de responsabilité miti- gée sont du ressort juridique. Quand le médecin a analysé le cas, c'est au juge de conclure. Ma
MESCHEDE. Sans doute, la décision appartient au magistrat, mais le médecin doit avoir soin de signaler que le cas d'aliéna-
qu'ils y voient alimente leur délire; ils ont soif de douleurs, de médecins , d'assistance ; dès qu'ils tendent à la chronic
iennement par les surveillants et surveillantes en chef et remis au médecin avant la visite, sur l'emploi du temps et la di
quelqu'un n'arrive dans un asile d'alié- nés sans être fou; seul le médecin aliéniste s'oppose à ce que qui n'est pas alién
sé à in- viter les légiférants dans l'intérêt de l'Etat à sortir le médecin de l'asile de la situation exceptionnelle qui l
de la presse et des romanciers. M. ARNDT. La séques- tration par le médecin n'existe pas. Celle qui provient de l'auto- rit
diction c'est appeler la lumière et décharger la responsabilité du médecin . Mais c'est toujours une dépense coûteuse pour la
ment a fait demander leur manière de voir à tous les directeurs et médecins des asiles d'aliénés publics. Il y a donc lieu de
malade, il faut exiger un rapport aussi détaillé que possible du médecin particulier qui, jusque-là, a dirigé le traitemen
n dans lequel les malades sont soignés par des gens qui ne sont pas médecins . Présidence de M. MENDEL. Première question.
n. Troisième question, relative a la nécessité du cer- tificat d'un médecin fonctionnaire pour recevoir un malade dans un a
on, il n'aurait pas été possible de se procurer un certificat de ce médecin , la réception aurait.lieu, pour le moment, sans c
- physikus pour l'admission est absolument inutile. Est-ce que le médecin qui a délivré le premier certificat, le docteur d
tants ne reconnaissent pas la maladie ? Et contre cette majorité de médecins le rapport du physikuq, qui généralement n'est
ommunications de tous ordres éma- nant de l'Allemagne, que c'est le médecin officiel de l'Etat attaché à un cercle territor
imer très heureux de voir écraser dans l'oeuf, par un certificat de médecin fonctionnaire, tous les bruits calom- nieux. Qu
re que le Kreisphysikus fût saisi de l'original des certificats des médecins de l'asile privé après récep- tion du malade; e
les admissions le plus possible. Il suffirait d'un certificat d'un médecin approuvé, certificat que nous pré- senterions a
tlieu dans un établissement appartenant à la police. Sinon c'est au médecin seul qu'appartient l'apprécia- tion de la néces
is il n'est pas toujours facile d'obtenir le concours immédiat d'un médecin fonctionnaire ou non. Laissez donc latitude au
la police entre en jeu. Sinon, en cas de réclamation, rapport d'un médecin compétent concluant à la séquestration. Il y a,
fusera l'admission. Voici où est 'le danger. Jadis, c'étaient des médecins ayant blanchi sous le harnais dans les asiles pub
decins ayant blanchi sous le harnais dans les asiles publics ou des médecins prenant un vif intérêt à l'aliénation mentale qui
uelles es- pèces de gens ? Quelles garanties offrent-ils ? Quel bon médecin ira s'exposer aux vexations qui sont attachées
disposition de sérieuses notes, en appelant à la rescousse d'autres médecins aliénistes ou légistes qui font au- torité. L
orable M. Combes roule tout entière sur cette idée dominante que le médecin doit rendre des décisions. (Approbation sur les
YV, y. 13b, 311, iS7; t. \'l, fi. lUl. SÉNAT. 307 Mais jamais un médecin ne donne de décisions ! Il donne des avis, et l
ouvernement. Je crois que je l'ai posée nettement, en disant que le médecin ne donne jamais qu'un avis. M. de GAVARDIE. C'e
nde la parole. M. le commissaire du Gouvernement. Ainsi, lorsque le médecin écrit sur une feuille de papier l'avis qu'il a
malade, on appelle cet.écrit une ordonnance, mais pas un ordre. Le médecin que vous allez charger du titre d'inspecteur des
ic s'émeut qu'il suffit, en vertu de la loi de 1838, de l'avis d'un médecin complaisant et des mauvais sentiments d'une fam
lus se reproduire. On dit aujour- d'hui qu'il suffit de l'avis d'un médecin complaisant pour qu'un aliéné ou un prétendu al
tte garantie il faut la chercher. Allez-vous la demander encore aux médecins ? Vous créez fonc- tionnaire un médecin-inspect
ence de la même accusation. Le soupçon qui s'est attaché au premier médecin qui a fait le certificat et au second médecin c
st attaché au premier médecin qui a fait le certificat et au second médecin celui de l'asile, qui certainement est moins su
ux préfets un ordre de séquestration, dans le cas où, après avis du médecin traitant et du médecin de l'asile dans lequel l
séquestration, dans le cas où, après avis du médecin traitant et du médecin de l'asile dans lequel l'aliéné avait été placé
plement à empêcher tout recours contre les décisions. Est-ce que le médecin peut pré- tendre à une infaillibilité de ce gen
dans l'exercice privé de sa profession. Il n'est pas besoin d'être médecin pour le savoir : il suffit d'avoir été malade.
e s'élève dans l'esprit des malades sur la valeur du conseil que le médecin adonné. On ne peut donc pas véritablement confi
peut donc pas véritablement confier au corps médical, confier à un médecin , quelles que soient les garanties qu'il ait don
avait déclaré que le tribunal statuerait d'après l'avis conforme du médecin inspecteur... (Ru- meurs à gauche.) Permettez,
est toute légale, qui est de déterminer si, étant donné un avis du médecin , cet avis doit être suivi. M. Combes disait tout
ue le tribunal pourrait s'éclairer par d'autres avis que l'avis des médecins , il comprendrait son rôle et sa compétence. Mai
la com- pétence scientifique et l'ayant seuls, il ait recours au\- médecins . Cela fait, vous n'avez plus rien à prescrire,
les autres, c'est une maladie comme les autres.» Il a fallu que les médecins arrachassent les aliénés, pour ainsi dire, à la
qui devrait avoir la haute main. Je ne réclame pas du tout pour les médecins le privilège de déclarer qu'un malade restera e
ement. 11 peut y avoir des abus. Est-ce que nous prétendons que les médecins échapperont à l'exa- men des magistrats ? Le mé
ndons que les médecins échapperont à l'exa- men des magistrats ? Le médecin qui donne un certificat pour les aliénés peut p
t pécher de deux-façons : il peut pécher par ignorance. Si c'est un médecins d'asile ou un inspecteur, vous le révoquerez, s
strat le poursuivra. Le dia- gnostic des maladies est le propre des médecins ; le diagnolic des crimes et des criminels est
our déclarer qu'ils sont guéris, car on ne veut pas même laisser au médecin le droit de déclarer qu'un aliéné est guéri et
illeur mode de concours à organiser pour l'admission aux emplois de médecins adjoints des asiles publics d'aliénés; Vu le ra
. Il est constitué un concours pour l'admissi- bilité aux emploisde médecins adjoints des asiles publics d'aliénés. ART. 2.
. A titre exceptionnel, et lorsqu'il y aurait urgence à nommer le médecin adjoint d'un asile dans une région où la liste de
périeur le recommanderait, ou encore par mesure disciplinaire, tout médecin adjoint nommé pour son début dans la région où
fonc- tions dans un asile situé hors de cette région. ART. 5. Les médecins adjoints pourront être nommés méde- cins en che
composé, dans chaque région : 10 de trois directeurs-médecins ou médecins en chef de la région ; 2° d'un inspecteur général
la Faculté de médecine de la région. Les directeurs-médecins et les médecins en chef appelés à faire partie du jury seront d
un juré suppléant pris également parmi les direc- teurs-médecins et médecins en chef. Art. 7. Les épreuves sont au nombre de
nisée à l'asile Sainte-Anne; lorsqu'il sera chargé des fonctions de médecin adjoint dans cet établissement, confor- mément
igné : Léon Bourgeois. 4 Nous avions demandé un inspecteur général, médecin , ce qui nous semble logique. Pourquoi ne pas le
AQILL D.1LII : NIsS. °- Nominations. M. le Dr Gaillau, directeur médecin de l'asile public de Fains (Meuse) est nommé aux
remplacement de M. le Der LOGL1UD, décédé. M. le 1)r B.yLr, ancien médecin en chef des asiles publics, est nommé médecin d
le 1)r B.yLr, ancien médecin en chef des asiles publics, est nommé médecin directeur à Fains, (Meuse) (arrêté du 30 juin).
de l'asile public du Mans (arrêté du 19 juillet). M. le Dr Guyot, médecin adjoint à l'asile public de Quatremares, est nomm
ecin adjoint à l'asile public de Quatremares, est nommé direc- teur médecin de l'asile public de Chatons (arrêté du 10 août).
llet : A la classe excel)- tîo ? îîîelle, M. le Dr muret, directeur médecin de l'asile public d'Auch ; à la 1 ? classe, M.
sse, M. Cullerre, directeur-médecin de la Roche-sur-Ion; - M. le Dr médecin en chef à Maré- ville ; M. le Dr Lemoine, médec
r-Ion; - M. le Dr médecin en chef à Maré- ville ; M. le Dr Lemoine, médecin adjoint à Bailleul ; - ci la 2o classe, M. Germ
djoint à Bailleul ; - ci la 2o classe, M. Germain CORTYL, directeur médecin à Alençon ; M. le 1l BOUBIL ? médecin en chef à
M. Germain CORTYL, directeur médecin à Alençon ; M. le 1l BOUBIL ? médecin en chef à llarseille (arrêté du 7 août). Asile
à ces fêtes, nous devons regretter qu' ils se fassent sans que les médecins soient consultés. Aussi n'est-il pas rare que cer
QUÉE'; - Parle Dr LEGRAIN, ancien interne des asiles de la Seine, Médecin de la Colonie de Vaucluse. On a beaucoup parlé
87. Archives, t. XVI. 21 322 PATHOLOGIE MENTALE. Que de fois le médecin de l'asile n'entend-il pas les doléances d'un m
le troisième, secouru par sa femme, a pu raconter l'his- toire au médecin . DE LA FOLIE COMMUNIQUÉE. 329 11 y a eu dans
t un homme intelligent, possesseur pour tout le monde, sauf pour le médecin , de toutes ses facul- tés. Son délire est un ty
subir 344 PATHOLOGIE MENTALE. une' influence contraire, celle du médecin , qui n'a gé- néralement pas beaucoup de peine à
fois, où il devient nécessaire de faire in- tervenir l'influence du médecin pour achever la gué- rison. Un traitement moral
. le D' Michel CATSARAS, Professeur agrégé de la Faculté d'Athènes; Médecin de l'asile de Dromocaitis; Membre de la Société
f,Li011 : 1'fOSC MÉDULLAIRE'; Communication faite au 2' Congrès des médecins russes à Moscou (Junior 1887) 1"IV \'L%DIMIR
t souvent échappent à l'observa- 410 PATHOLOGIE NERVEUSE. tion du médecin dans le cas où le malade le consulte pour d'aut
urnis par les parents, soit qu'ils les aient ou- bliés, soit que le médecin n'ait pas provoqué d'expli- cations précises su
e d'idiotie crétinoïde 1. Un autre de nos amis, M. le D'Guillaumin, médecin à Nogent-le-Roi, dans le môme dépar- lement, no
des aliénés sans les envoyer dans un asile, est agréable et pour le médecin et pour les parents, et souvent on peut les tra
s de l'asile.- Aussi l'auteur demande- t-il que la loi permette aux médecins de traiter des cas dans les maisons privées, sa
ulait, une dépendance de l'asile, et où ils seraient soignés par un médecin spécial, lequel ne serait chargé d'aucun autre
NTES. 453 médico-légale; tel l'article 20 du § 3 d'après lequel les médecins d'asile sont tenus de consigner sur un registre
eut soin de ne pas les avoir devant le monde et surtout devant les médecins ; mais il dépassa le but, prétendant, par exemp
concerne la surveillance. Quant à la question de science, tous les médecins pra- ticiens doivent être autorisés à faire un
ent charger les Kreisphysikus de la visite de ceux qui n'ont pas de médecin particulier résident. M. Schipfer donne leclu
pas plus ou moins prise; mais il faut une élude approfondie qu'un médecin seul peut faire pour s'en apercevoir, et c'est la
l n'auront aucune espèce de fondement autre que le dia- gnostic des médecins . Je ne dis pas : les magistrats jugeront in ver
s registres. Pour les placements volontaires, ils se font, quand le médecin demande la sortie, par le préfet. L'article 27
icle 27 dit que le préfet peut toujours, après avoir pris l'avis du médecin traitant ou de la commission permanente, ordonner
conseil n'a pas de compétence ; la compétence n'appartient qu'aux médecins ; il s'agit.d'une maladie et, en conséquence, la c
ement sont venus revendiquer ici exclusivement au profit du docteur médecin , de l'inspecteur médecin, le droit de statuer s
uer ici exclusivement au profit du docteur médecin, de l'inspecteur médecin , le droit de statuer sur le sort du malade. Il
rnement, elle estime qu'il est absolu- ment impossible de donner au médecin , qui est souverain en matière de diagnostic, le
que toujours une expertise médico-légale. On commet un ou plusieurs médecins qui sont chargés d'examiner le malade et de dir
ou de fureur. Est-ce à dire que la justice abdique devant l'avis du médecin ? Est-ce que ces médecins ont jamais eu la prét
re que la justice abdique devant l'avis du médecin ? Est-ce que ces médecins ont jamais eu la prétention de dire le dernier mo
ent parler, aucune. En effet, en vertu de cette loi, il suffit d'un médecin complai- sant et si honorable que soit le corps
rable que soit le corps médical, il peut se ren- contrer parfois un médecin complaisant il suffit d'un médecin complaisant
peut se ren- contrer parfois un médecin complaisant il suffit d'un médecin complaisant pour qu'un membre d'une famille las
ontenterait d'homologuer purement et simplement l'avis donné par le médecin ayant examiné le malade, et qu'en conséquence, la
Je le concède très volontiers. Mais, s'il arrive que le rapport du médecin soit contesté, quelquefois contredit par d'autr
é se présente, se défend, conteste les avis émis par les différents médecins , alors la garantie que. le prétendu aliéné trou
ns ce cas douteux, qui est-ce qui peut trancher la question ? Les médecins ne sont pas d'accord ; un médecin certifie que te
peut trancher la question ? Les médecins ne sont pas d'accord ; un médecin certifie que tel Ik 6 lui» sénat. individu do
it être enfermé dans un asile d'aliénés, et le lende- main un autte médecin déclare que l'aliénation n'est pas réelle. Qui
ecin déclare que l'aliénation n'est pas réelle. Qui départagera ces médecins qui sont en contradiction ? Evi- demment il fau
conseil comme devant toujours et nécessairement ratifier l'avis des médecins . Mais l'article 21 qui vous est proposé prévoit
e médico-légale. Elle pourra, par exemple, si les cer- tificats des médecins ne lui paraissent pas décisifs, faire appel aux
substituer une visite beaucoup plus effi- cace : c'est la visite du médecin inspecteur que vous avez créée. Eu conséquence,
utes d'exa- men. M. de Gavardie. Elle enregistrera la décision du médecin 1 M. Delsol. Si personne ne le conteste, et s'i
ivante : «Dans la quinzaine du placement provisoire de l'aliéné, le médecin inspec- teur statuera définitivement sur son ma
u fond, l'avis de l'honorable M. Testelin nous parlons d'un avis du médecin . Ce ne sera donc qu'un avis, mais un avis qui,
amendez-le. M. de Gavardie. Eh bien, je sous-amende. (Rires.) Le médecin n'émettra qu'un simple avis. M. LE Président.
Combes..« Dans la quinzaine du placement provisoire de l'aliéné, le médecin inspecteur émettra un avis sur le maintien dans
si conçue : » Dans les cinq jours de la réception de ces pièces, le médecin inspecteur doit visiter la personne placée. « J
procureur de la République un nouveau certificat circonstancié du médecin de l'établissement. » (Le 4° paragraphe est adopt
pports médicaux de vingt-quatre heures et de quinzaine et l'avis du médecin inspecteur au tribunal de l'arrondissement où l
'intervenant pas, on avait produit tout simplement un certificat de médecin ; les personnes avaient disparu et étaient resté
re du sillon olfactif. Nous attirons spécialement l'atten- tion des médecins sur les dernières conclusions : chez les micro-
idiotie, l'épilepsie, le crétinisme, l'imbécillité, etc., etc., les médecins qui s'en occupent le plus de nos jours. Très co
ut temps attiré l'attention des hygiénistes, des philosophes et des médecins et cite à ce propos les Cartha- ginois, les Rom
ténuées de la paralysie alcoolique. Concours pour H. nomination des médecins adjoints DES asiles d'aliénés. Dans le numéro
ur organisant le concours pour l'admissi- 1>ilité aux emplois de médecins adjoints des asiles publics d'aliénés. Nous avo
en médecine qui aura subi avec succès le concours pour une place de médecin adjoint, coiz- cours supérieur, n'ira pas conco
Quant à l'obligation de concourir une seconde fois pour la place de médecin adjoint, si au bout de six ans, on n'a pas été
'a pas été placé, c'est là une obligation que rien ne justifie. Les médecins et les chirurgiens du Bureau central des hôpita
s étions membre avait spécifié que cet inspecteur général serait un médecin . Il aurait mieux valu adopter sa propo- sition.
nisée à l'asile Sainte-Anne, lorsqu'il sera chargé des fonctions de médecin adjoint dans cet établissement, conformé- ment
tiront difi- cilement à prendre part au concours pour les places de médecins adjoints, avec la perspective de ne pas pouvoir
evenir dans les asiles de la Seine, sûrs d'avance que les places de médecins adjoints de ces asiles y seront données aux anc
n'est jamais venu à personne l'idée de confondre le concours des médecins des hôpitaux avec le concours d'agrégation. Un ag
d'agrégation. Un agrégé FAITS DIVERS. 489 n'est pas, de ce fait, médecin des hôpitaux, pas plus qu'un méde- cin des hôpi
ette raison, abrégé. Le docteur en médecine qui veut être agrégé et médecin des hôpitaux subit deux concours différents. Ce
Nous terminerons par une dernière réflexion : le recrutement des médecins adjoints des asiles par le concours est, notre av
ndre, qu'il soit bien entendu que, à l'avenir, toutes les places de médecins en chef et de directeurs médecins seront attrib
à l'avenir, toutes les places de médecins en chef et de directeurs médecins seront attribuées sans exception aux médecins a
chef et de directeurs médecins seront attribuées sans exception aux médecins adjoints qui auront été nommés au concours. S'i
TS DIVERS. Asile D'AUHKÉs. Nomination. M. le De DuBuissoN, ancien médecin adjoint des asiles publics en disponibilité, méde
uissoN, ancien médecin adjoint des asiles publics en disponibilité, médecin en chef à l'asile privé de Leyme (Lot), est>
lité, médecin en chef à l'asile privé de Leyme (Lot), est> nommé médecin adjoint à l'asile public de Quatre-mares (Seine
coups de son arme. Guipon fut alors conduit à son domicile où deux médecins vinrent panser ses blessures, qui n'ont aucun c
. En reproduisant ces débats, nous croyons être agréable à tous les médecins des asiles d'aliénés, de quelque nationalité qu
s établissements privés d'), par Lcehr, ` ? 9J; - (nécessité d'un médecin fonctionnaire pour l'admission des), 297; (conc
ntales, 448. Cocainisation, par Hoetcrmanii, 451. Concours (des médecins adjoints des asiles), 31 r,'tS7;-(du chnicat de
16 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
té de Bordeaux; K. ARTHUR (de Sydney); BARETY (de Nice); DE BEAUYA1S. médecin de Mazas; BERNHEIM.prof.àla Faculté de Nancy ;1.B
Faculté de Nancy ;1.BOUYER(d'Angoul*mcj;BRE.MAl'D (de Brest); BRIAND, médecin de l'Asile de Villejuif; CRUISE (de Dublin); CHAR
iv. de Louvain : MANOUVRIER, prof, à l'École d'Anthropologie: MESNET. médecin de l'Hôtel-Dieu MA BILLE, méd. en chef de l'Asile
ZING (de Munich); SPERLING (de Berlin); SEMAL (do Mons); Aug. VOISIN, médecin de la Salpêtrière, etc.; STEMBO (de Vilna); 0. WE
médicale de Genève, dans son discours d'ouverture du IVe Congrès des médecins suisses, le 28 mai 1892. Après avoir exposé l'évo
hothérapie a une valeur incomparable, trop longtemps méconnue par les médecins , et l'hypnotisme est assurément une des plus bell
ation que le professeur Pitres adresse à ses élèves: - Surtout restez médecins ; ne devenez pas hypnotiseurs ». Dr Edg. Bérillo
uver, il me faut faire d'abord une petite digression. C'est que les médecins spirites savent exécuter assez fréquemment le tru
e ne saurais dire combien j'ai vu de gens, dans ma courte carrière de médecin , qui venaient me consulter pour des laryngites ou
et achever ainsi dans la torpeur une existence misérable ? Non. Le médecin peut quelque chose pour eux, à condition, bien en
est possible dans bon nombre de cas. Voici comment devra procéder le médecin qui se propose de guérir un nicotinique : Après
aux traités spéciaux. Mais, que! que soit le procédé employé, si le médecin arrive à plonger son malade dans un sommeil hypno
eu profond, il peut être certain du succès ; la guérison est sûre. Le médecin est maître de la place : le fumeur cassera sa pip
ins profonde. Sa volonté est anéantie; le voilà sous la domination du médecin . 1° Faudra-t-il lut défendre impérieusement d
vent dériver d'un même centre de coordination. Un certain nombre de médecins se sont occupés do cette question des rapports de
loie rarement. La camnabine et le lanate de cannabine, que quelques médecins commencent à employer en France, sont loin de rép
ns de la suggestion au diagnostic et au pronostic; M. le D' A Voisin, médecin de la Salpétrière : Le Haschisch et la Suggesti
eur Bernheim est nommé asses-seur du doyen. Autriche. — Congrès des médecins et naturalistes hongrois. — Ce Congrès auralieu d
LLIER. En ouvrant la séance, le président souhaite la bienvenue aux médecins et aux savants français et étrangers qui ont répo
La Haye. Minouvrier, professeur à l'École d'Anthropologie. Babinski, médecin des hôpitaux, Scbrenk-Notzing, de Munich, Lloyd-T
ionnelle était d'avance connue ou supposée connue. Bref. M. Rainaldi, médecin italien, fort instruit et de parfaite bonne foi,
pnose ou à l'état de veille (1885). Au Congrès de l'Association des médecins italiens à Paris, en septembre 1887, Rainaldi pré
t de la face. Dès 1886, un an avant les expériences de Rainaldi, un médecin distingué de Livourne, Giacomo Lombroso, faisait
ernheim, M. le Dr Hamilton Osgood. de Boston, M le Dr Auguste Voisin, médecin de la Salpêtrière. M. Boirac. professeur de philo
s qu'il fait pour leur être utile du toutes les manières. Parmi les médecin * qui s'étaient groupés autour de leur ancien maît
agrégé à la Faculté. Ricard, professeur agrégé à la Faculté, Faisans, médecins des hôpitaux. Charles Leroux, médecin du dispensa
agrégé à la Faculté, Faisans, médecins des hôpitaux. Charles Leroux, médecin du dispensaire Furtado Heine, Belin, chef de clin
ensaire Furtado Heine, Belin, chef de clinique de te Faculté, Dubief, médecin des épidémies. Chevallereau, médecin des Quinze-V
clinique de te Faculté, Dubief, médecin des épidémies. Chevallereau, médecin des Quinze-Vingts, Bérillon, médecin inspecteur a
cin des épidémies. Chevallereau, médecin des Quinze-Vingts, Bérillon, médecin inspecteur adjoint des asiles d'aliénés. Hallez.
e et de Psychologie enregistrent des travaux et des communications de médecins des pays les plus lointains, d'hommes convaincus
Baierlacher et tant d'autres. Le Dr A. Baron von Schrenck-Notzing. médecin à Munich et secrétaire de la Société de Psycholog
'utilité réelle et incontestable de cette étude pour le pédagogue, le médecin pratique, le psychiatre et last not least pour le
plus large. Nonobstant, les difficultés innombrables qui s'offrent au médecin traitant des malades de cette catégorie, il ne sa
estif de névropathies et de psychopathies en général, je pense que le médecin doit continuer a rester l'ami et le soutien de se
servation de malades hystériques, de la part d'un expérimentateur non médecin , et le rôle prédominant de la suggestion inconsci
e le président du Congres d'Anthropologie criminelle, M. le Dr Semai, médecin en chef de l'Asile de Mons, s'est acquitté de ses
près, se trouvant au dehors, elle fut mise entre les mains d'un autre médecin aliéniste, qui songea aussi à combattre ses insom
si violentes douleurs dans tout le côté gauche qu'il lait chercher un médecin , qui ordonne un vésicatoire. Le vésicatoire posé,
u légitime de MM. Pitres et Ladame, qui veulent que « nous testions médecins , sans devenir hypnotiseurs », nous devons cependa
tais enceinte. « Me voyant très malade, mes parents font revenir le médecin . J'avais toujours des selles aussi difficiles et
met religieuse. » « Je me révoltai alors et ne voulus plus voir de médecin , préférant mourir. Cependant, force me fut d'y av
ond chagrin que j'en ressentis aggrava mon état. On consulta un autre médecin , qui ne fit pas plus que le premier et prétendit
ssort surtout de ce cas particulier, c'est qu'il ne suffit pas d'être médecin dans l'acception ordinaire du mot, c'est que, * s
ns au commencement (comme ne le veulent pas MM. Pitres et Ladame ) le médecin a le soin cependant de l'être quelque peu, s'il v
omptes, surtout avec les hystariques... Noua ajouterons que le vrai médecin a besoin d'être... éclectique, de prendre son bie
surtout à imposer sa confiance au malade. 11 doit avoir foi dans son médecin , surtout dans une affection désespérante par sa l
dans une affection désespérante par sa longueur et ses péripéties. Le médecin y parvient par des soins attentifs et empressés,
pour ainsi dire, la foi absolue de sa guéri son. Les exhortations du médecin rassérènent le malade et l'aident à traverser les
e qu'auront désormais à remplir, respectivement, la magistrature, les médecins légistes et le jury dans les affaires criminelles
t : La puissance du système nerveux. Un grand nombre de savants et de médecins assistaient à cette Conférence. Parmi eux. nous a
née par la patiente pour intéresser le publie en sa faveur, commit un médecin pour l'examiner; ce médecin n'éialt autre que M.
éresser le publie en sa faveur, commit un médecin pour l'examiner; ce médecin n'éialt autre que M. Brown-Séquard, qui, loin de
ote le Dr Wetterstrand, et jouissant d'une réputation bien méritée de médecin savant et expert, — n'a pas hésité à se servir de
dans les fonctions. L'étude do l'hypnotisme rappelle au souvenir du médecin l'élément psychique dans certaines maladies, ains
nt, parce que, je ne le sais que trop bien, beaucoup de savants et de médecins n'ont pas, sur ces questions, l'opinion assurée q
u'elle aurait été étudiée et perfectionnée sons préméditation par les médecins comme une chose naturelle et pleine de raison.
entait un caractère tellement baroque, inquiétant et anormal, que les médecins — avertis qu'on allait s'en servir comme méthode
e dire que le patient qui s'est accoutumé à répondre à la voix de son médecin sans s'éveiller se trouve par ce fait dans un éta
and ennemi de la psychothérapie. Il fait peur aux malades et rend les médecins méfiants. La crainte, la méfiance, les idées fa
usses créent plus d'entraves, causant plus de peine et de déboires au médecin exerçant la psychothérapie qu'à tout autre de ses
ollègues qui nous rendent la vie dure. Il arrive maintes fois que des médecins avertissent leurs malades et avec insistance : «
ne croyez pas pourtant, docteur, que j'en mourrai? — Non, répondit le médecin , vous n'avez pas à craindre la mort, mais il vous
autre malade, à peu près guéri par mes soins et qui osa le dire à un médecin , reçut cette apostrophe : « Il est impossible que
ces propos n'est pas du tout indifférente. Ils présentent pour les médecins exerçant la psychothérapie un désagrément et un d
rations sur le cadavre. Car ces propos, dictés avec l'autorité d'un médecin , sont des suggestions qui peuvent continuer à agi
peut donner lieu à inspirer l'une et à exciter l'autre. Nous autres médecins - notre but principal étant de guérir — nous n'av
ente. Ce n'est pas la frayeur du danger seulement ni l'opposition des médecins qui en sont causes. Mais cela vient de ce qu'elle
temps — est une affaire d'autorité, une question de prépondérance du médecin vis-à-vis de son malade. Et je suis convaincu q
entelle portée au libre arbitre. La manière de faire de beaucoup de médecins dans leur application de la psychothérapie est en
dance. Les suggestions sont des ordres. Le but de la plupart de ces médecins , l'exaltation de la suggestibilité. est sans dout
ctive résidant dans chacune de ces manières est la suggestion. Tout médecin sait que tontes ces suggestions perdent leur pouv
à-dire que ni l'électricité, ni la cause magnétique, ni la volonté du médecin ne sont en jeu, mais que c'est sa volonté A lui q
plus, dans ce dernier temps, pour traiter l'aphonie. Ht beaucoup de médecins , qui n'ont cure de la psychothérapie, se sont ain
jà cela devra pouvoir se faire dans tous les cas. Plus que tout autre médecin , celui qui traite ses malades par la psychothérap
qu'il faut alors de nouveau faire appel à la suggestion dirigeante du médecin pour prévenir la rechute complète. Mais encore, n
complète. Mais encore, ne sont-ils pas des malades et n'est-il pas le médecin ? Et connait-on une méthode thérapeutique dont le
es et durables. Les guérisons de ces mêmes maladies obtenues par le médecin ordinaire sont-elles donc à l'abri de rechutes, s
que l'idée peut servir invite à l'appliquer. La grande majorité des médecins applaudit probablement l'idée et la trouve belle,
culté de lire et d'écrire des membres dans l'ensemble d'un État. Le médecin qui veut conserver un organisme et qui ne tient p
aculté de résister. Et maintenant je voudrais poser la question aux médecins modernes s'ils ne pensent pas que la loi physiolo
e eu à lutter contre la prévention du public, contre l'opposition des médecins et quoique les malades qui viennent à moi comme à
l n'est abstenu pour m'épargner. Et néanmoins il se trouve encore des médecins qui continuent à prétendre que l'hystérie seule e
e l'insitance chez des malades i faire effort de volonté. Beaucoup de médecins commettent la faute d'irriter et de vexer leurs m
e du vitalisme n'a jamais discontinué i livre. Il y a toujours eu des médecins connaisseurs qui ont rejeté quelque chose de trop
s nerveusee, 1882) Liébeaolt a parié de : Vitalismus rudimium. Et les médecins dosimètres, les élèves de Burggraewe continuent à
lusieurs milliers de sujets. On savait, dans la région, que le savant médecin de Nancy avait le pouvoir d'endormir les gens en
age de sifunis et de professeurs autorises, est destiné à fournir aux médecins et aux éludants an enseignement pratique permanen
ites ont lieu les mardis. Jeudis et samedis, de 10 heures à midi. Les médecins et étudiants régulièrement Inscrits sont admis à
nt enriron cinquante membres et est composée presque exclusivement de médecins , de jurisconsultes et de profeseurs. a pour organ
un nommé Damble— mont. Malheureusement, il ne pouvait l'animer, et le médecin qui lui avait donné les premiers soins avait décl
EMENT PSYCH0THÉRAPIQUE DE LA MORPHINOMANIE (1) Par le Dr BÉRILLON Médecin inspecteur adjoint des Asiles publics d'aliénés.
est la conséquence inévitable, commence ajuste titre a préoccuper les médecins et les psychologues. Cette nouvelle forme d'int
s. Si l'on établissait la liste de tous les esprits d'élite, savants, médecins , littérateurs, artistes, qui sont devenus les tri
bstiné de malades do se soumettre à l'isolement, un certain nombre de médecins se sont décidés à recourir à l'emploi de la psych
sensibles à la suggestion dès qu'ils se sont déterminés à guérir. Le médecin , et c'est là un point sur lequel nous jugeons uti
valescence qu'elle avait commencé à recourir, sur les conseils de son médecin , à l'emploi de la morphine. Elle marchait le tron
u mois de septembre de la même année, étant en état de grossesse, son médecin lui exprime la crainte d'uue récidive de son poly
que celle de combattre la douleur. Au bout de quelques semaines, "le médecin qui la traitait lui apprit à se taire des piqûres
le président met aux voix les candidatures de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière; de M. le D' Herbert Adams; de
phénomènes normaux vers les phénomènes pathologiques, il faut que le médecin , aussi bien que le psychologue, sache distinguer
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
tes ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de dix heures à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
à produire ses résultats et, parfois même, impossible à appliquer, le médecin n'ayant aucun médicament à sa disposition. Vomi
n'ait jamais su ce qu'il lui était arrivé. Le mari, sa famille et les médecins anglais attribuent la guérison à l'influence d'un
se morale profonde, un drame peut-être, une lutte certainement. Les médecins de la famille n'acceptèrent d'abord pas le diagno
lleurs succès? 11 résulte en outre des données que nous offrent les médecins spécialistes que, pour obtenir un mémo résultat f
ire que les idées de Moebius n'ont pas reçu l'approbation unanime des médecins exerçant l'électrothérapie. Le Dr Delprat, quoi
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
tes ont lieu les mardi*, jeudis et samedis, de dix heures à midi. Les médecins cl étudiants régulièrement inscrits sont admis à
mieux éclairés, y re:ourir eux-même fréquemment. ¦ Mais beaucoup de médecins , fort disposés à taire usage de l'hypnose et de l
Le « kitsùne tsùki » ou possession par les renards. M. le Dr Baret, médecin de la marine, vient de publier. dans les Annales
Dans tous les cas, le tratiement doit étre évidemment suggestif. Le médecin , ou plutôt exorciste, doit être une personne de v
rait la communication publiée plus loin. Un de ses correspondants, un médecin , en visitant de vieux papiers de famille, avait
e Paris, a jugé à propos de faire le 9 de mars 1707, pour engager les médecins , conformément aux décrets des saints conciles, et
t ordonné, disons, déclarons et ordonnons et nous plaist que tous les médecins de notre royaume soient tenus le second jour qu'i
s ou leurs familles ne paraissent pas disposez à suivre cet avis, les médecins seront tenus d'en avertir le curé ou le vicaire d
igné desdits curés ou vicaires, portant qu'ils ont été avertis par le médecin d'aller voir lesdits malades. « Défendons aux m
vertis par le médecin d'aller voir lesdits malades. « Défendons aux médecins de les visiter le troisième jour s'il ne leur par
us en effet pour les préparer à recevoir les sacrements. Pourront les médecins qui auront averti les curez ou vicaires des paroi
alades les secours spirituels doni ils auront besoin, voulons que les médecins qui auront contrevenu à notre présente déclaratio
eront appelez pour voir Its malades dans les lieux où il n'y a pas de médecin »: n'entendons au surplus dispenser les médecins n
eux où il n'y a pas de médecin»: n'entendons au surplus dispenser les médecins ny chirurgiens ou apo-ticaires dans ledits lieux
urs contre-indications formelles. 11 n'en est pas moins vrai que tout médecin doit savoir y recourir à l'occasion et, par consé
es émotions, études physiologiques et cliniques, par le Dr Ch. Férré, médecin de Bicétre. Un volume grand in-8° de 620 pages. (
talement adaptée à. leur but. Ce livre s'adresse, non seulement aux médecins , mais à tous ceux qui s'intéressent aux questions
ns la bouche d'un chirurgien, on raconte ce qui suit du docteur A..., médecin en chef dans un de nos hôpitaux. Il était en trai
t encore dans les centres impressionnables du sujet, Heureusement, le médecin lui parle avec calme, lui dit très simplement : •
rs de l'hystérie. ce der-nier est le seul intermédiaire par lequel le médecin puisse entrer en communication avec son malade.
Un très haut fonctionnaire vint un jour chez moi, accompagné de son médecin ordinaire. Il me tint ce langage : « Monsieur, je
langage : « Monsieur, je viens vous trouver pour faire plaisir i mon médecin , que voilà. Je sais à l'avance que vous ne pouvez
à me mettre dans tous mes états et à me donner grand mal de tète. Mon médecin , que voilà, me dit que vous êtes plus habile et q
rte l'est produite; elle a dû s'aliter à l'hôte pendant dis jours. Un médecin liègeois rencontré A Herst l'a traitée sur un cat
les candidatures de M. le Dr Luys membre de l'Académie de Médecine, médecin de la Charité; de M. le Dr Mavroukakis, de M. le
— Guérison par la suggestion hypnotique. Par M. le Dr Aug. VOISIN, médecin de la Salpêtriere. La nommée Lég...,trente-quat
ou bien encore faire appel à son amour-propre, à sa vanité. C'est au médecin de trouver le défaut dans la cuirasse du malade,
étant si douloureuse, elle ne pourra pas se faire opérer, vu que son médecin qui l'a soigné jadis pour une affection du cœur l
t des alcooliques qui s'y trouvent mêlés. Tel n'est pas l'avis d'un médecin russe qui a observé de près les troubles d'Astrak
nnage de savants et de professeur autorisés est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
tes ont lieu les mardi', jeudis et samedis, de dix heures à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
ations, mort prochaine, si caractéristique ; faciès livide. Plusieurs médecins — et nous-même — ne trouvèrent, à l'auscultation,
t le 13 août 1883 que, à l'occasion de la première grande attaque, le médecin appelé fit la première injection de morphine. Dep
mettrez pas. — Vous ne désirerez plus de morphine ». Le lendemain, un médecin non prévenu, ayant voulu lui faire une injection,
la trace; je pensai que peut-être « j'avais eu une crise et que le médecin appelé m'avait fait une piqûre. Vous « ne pouvez
r ces expériences aux profanes et de les confier exclusive-« ment aux médecins ». Et il résulte de ce même passage du rapport qu
les autres tribunaux, qui pourront juger en sens con-traire. A Paris, médecins et magistrats s'éclairent volontiers réciproqueme
es, d'éviter de manger de la viande et de ne jamais avoir recours aux médecins et aux pharmaciens; « Attendu que la dispositio
traitement pratiqué, tout exercice de l'art de guérir sans diplôme de médecin ou d'officier de santé (arrêt de la Cour de Cassa
e loi que, si le législateur n'a pas voulu réserver exclusivement aux médecins les expériences de magnétisme et d'hypnotisme, c'
iences (hypnotisme) aux profanes, et de les confier exclusivement aux médecins » ; « Que le rejet par le Parlement de l'articl
s nous signalez seront résolus dans un sens tout à fait favorable aux médecins , et les cas d'exercice illégal qui pourraient éch
sage pratique : on ne l'exclut pas du cénacle, bien qu'elle fasse des médecins ! Et voyez l'intruse I Admise par privilège spéci
gie est un domaine sur lequel se rencontrent l'homme de lettres et le médecin . Les sciences explorent la nature, telle qu'ell
'est elle que la médecine doit étudier et explorer, c'est elle que le médecin a pour mission de sauvegarder. Créée pour un te
isme se protège et se défend, mais il peut succomber dans la lutte Le médecin lui vient en aide. Explorer la machine humaine, i
ns la matière. On nous dit les médecine du corps et non ceux de lame. Médecins du corps, nous le sommes, toujours occupés de nos
imiques, de nos drogues et de nos bistouris. Mais nous tommes aussi médecins de l'esprit : car si nous soignons la guenille hu
e la thérapeutique n'est pas dans la médication pharmaceutique! El le médecin n'est pas un simple vétérinaire! Imbus des idée
miques, douée encore, on l'admet, de propriétés biologiques, certains médecins ont voulu traiter le corps malade uniquement comm
ussi quelque chose dans notre vie physiologique et pathologique et le médecin guérisseur doit uliliser ce levier puissant. Car,
ique, j'ai vu un petit réduit plus que modeste, propre â peine, où un médecin contrôle et enregistre les miracles. J'avoue ne p
à Lourdes, est la négxtion même de ces lots! Que vient faire ici un médecin ? Constater l'impuissance de la médecine dans cer
divine ! La Vierge, pour les croyant», n'a que taire du contrôle d'un médecin . C'est ridicule! La foi suffit; le surnaturel ne
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
tes ont lieu les mardi-, jeudis et samedis, de dix heures a midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
atin, à 1 hôpital Lariboisière, salle Trousseau. Congrès annuel des médecins aliénistes de France et des pays de langue frança
sychologie expérimentale ne sera pas négligée. Un Comité composé do médecins et de psychologues a été formé. Déjà un certain n
fesseur Jastrow, secrétaire. Nouveau traitement de l'hystérie. Un médecin allemand, le Dr Wiederhold, vient d'être traduit
LA FOLIE COMMUNIQUÉE DE L'HOMME AUX ANIMAUX (1) Par M. Dr Cs. FÊRÉ. médecin de Bicêtre. L'intelligence des animaux ne se di
près muets à cet égard. La plupart des études sur ce sujet émanent de médecins qui ont le plus souvent appliqué à l'interprétati
particulières ; phénomènes moteurs suggérés, Par M. le Dr BÉRILON, médecin inspecteur adjoint des Asiles publics d'aliéné».
hargie observée chez une enfant de treize ans, Par le Dr RAFFEGEAU, médecin de l'Etablissement hydrothérapique du Vennet Mess
bien, mais l'amygdale droite resta hypertrophiée. Pendant l'été, le médecin de la famille eut à soigner plusieurs amygdalites
conséquence de la suggestion. C'est pourquoi on comprendra que, nous médecins , ayons, dans la pratique habituelle, recours à la
estion nécessaire étant donnée avant l'hypnose. Moi-même, ou un des médecins assistants, disais au malade : * Vous serez bient
é. Pour apaiser ou au moins diminuer ses douleurs intolérables, les médecins lui firent des piqûres de morphine. lesquelles bi
e laites de plus en plus souvent et a plus forte dose. Mais comme son médecin habituel se refusait à lai administrer une plus g
rer une plus grande dose de morphine, il s'adressa souvent à d'autres médecins . Il alla si loin dans cette voie qu'il arriva à l
M. Charcot établit tout d'abord une importante constatation : Les médecins nommés pour examiner d'un peu près ces miracles s
ui parviennent de tous celés, non seulement de son entourage, mais du médecin même qui le soigne et qui se reprocherait d'enlev
augmenter graduellement de.surfaee. Un cancer fut diagnostiqué par le médecin traitant, et déclaré incurable. Deux ans plus tar
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
te» ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de dix heures à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis a
cbologio, il est toujours le bienvenu. « Les espérances do certains médecins et pédagogues de pouvoir réagir sur la formation
, spécialement avec l'hypnotisme et la suggestion. Le pédagogue et le médecin doivent marcher en général en amis, la main dans
« Mais l'hypnotisme ne peut être, ne doit être pratiqué que par le médecin et très prudemment. Les entants, généralement réa
a thèse avait pour titre : Des Embolies pulmonaires. Il a été nommé médecin des bôpitaux le 12 août 1470, agrégé de la Facult
IDE ET LIBÉRICIDE. TRAITEMENT PSYCHOTHÉRAPIQUE. Par le Dr. BRÉMAUD, médecin principal de la A l'École de Médecine navale de
hargée, d'autant qu'ils sont confirmés par le certificat suivant d'un médecin de Nantes, le Dr M... : « Je, soussigné, docteu
mme rentra, me vil et, effrayée, appela sa mère, on fit chercher un médecin qui soigna l'enfant; quand je le vis sauvé, je
e, j'eus encore plu«iear* faiblesses; à mon retour à la caserne, le médecin me rit envoyer à l'hôpital où je restai trois jou
voir jusqu'à quel point cette enfant a menti; cela regarde surtout le médecin légiste et le magistrat. Tout ce que je sais, c'e
des enfants en justice. C'est bien le cas d'appliquer ce principe des médecins légistes: ouvrir les yeux et fermer les oreilles.
uis de l'état psychique de son auteur, et aussi après avoir su par le médecin si l'enfant n'a pas présenté ou ne présente pas d
par la faradisation du mamelon gauche. Par M. le Dr AUGUSTE VOISIN, médecin de la Salpétrière. On sait la difficulté et que
émité forme le prépuce. J'ai vu à Constantinople entre les mains d'un médecin polonais, au service de l'année turque, une piè
chemin, pour permettre à ces contrôleurs de la ligne .qu'on .appelle médecins , d'examiner votre langue pour s'assurer que vot
ions que lu donnes à ceux qui n'ont pu le suivre. « Sans parler des médecins qui, grâce à ta réputation détestable, trouvent u
age de savante et de professeurs autorises, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
tes ont lieu les mardis, Jeudis et samedis, de dix heures à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
s de l'Association contre l'agra-vation. proposée pour la patente des médecins . Celle commission se compose de MM. Cherallereau,
es Dr Kuhff V et Laborde. — M. le Dr Danet — Le Dr Dahet. de Paris, médecin de la famille Bona-piue, est mort le 12 avril, ap
t le 12 avril, après une courte maladie. Reçu en 1857, M. Danet était médecin du palais du Luxembourg en 1871. Grâce à son cour
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
tes ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de dix heures à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
de Cocconato et la domestique Caroline Bracco. Tout d'abord, trois médecins de Nice, MM. les Drs Fighiera, Moriez et Planai,
sifs ne soient pas l'objet d'une préoccupation constante de la pan de médecins qui ne sont qu'occasionnellement appelés a anat
un rapport circonstancié. Or, le rapport ayant été fournis a quelques médecins et en particulier à MM. Charcot, Auguste Voisin.
Nous avons appris qu'on avait été ému en haut lieu de l'avis que des médecins compétents avaient formulé, à la demande de ion d
nseur, sur l'état pathologique de l'accusé Valroff. « L'émotion des médecins experts, commis dans l'affaire Valroff près la co
ance sans avoir observé l'accusé. « A cela, nous répondrons que les médecins auxquels les experts ont prétendu infliger un bls
mblable affaire. « On ne saurait non plus prétendre interdire k des médecins , reconnus compétents, le droit de donner leur avi
re les rapports du temps, « A plus forte raison, il est permis à on médecin de se faire une opinion précise sur l'état mental
e. M. le Dr Marrotte, qui vient de mourir dans un âge avancé, était médecin honoraire des hôpitaux et membre de l'Académie de
sans valeur. Le fait seul que les malades se trouvent en présence de médecins ou d'étudiants qui les ont déjà endormis ou qu'il
lation. On en a vu tromper ainsi non seulement leur famille, mais les médecins et les tribunaux, qui se laissaient prendre à l'a
ments solides ; on ne pouvait lui faire avaler que des liquides el le médecin qui la soignait lui faisait des injections de mor
l actuel de nos connaissances que pour les timides et les novices. Le médecin , véritablement expérimenté dans ces matières, sau
mprend des lettres de M. le D' Bechterew, président de la Société des médecins neurologistes et aliénisies de l'Université de Ka
age de savants et do professeurs autorises, es: destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
tes ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de dix heures à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
nseil des ministres, a bien esquissé les divers mérites de Renaudot : médecin , il secoue le joug de l'école, et, tout en respec
ser à une corporation le soin d'enseigner la médecine et de faire des médecins , et s'il avait vécu quelques mois de plus, la Fac
icourt, an nom du Syndicat de la presse médicale, a rends à Renaudot. médecin , le tribut de reconnaissance qu'il mérite. Et enf
neur à M. le D' Gilles de la Tourelle. NÉCROLOGIE Delasiauve Un médecin aussi modeste qu'émanent, M. le Dr Delasiauve, mé
elasiauve Un médecin aussi modeste qu'émanent, M. le Dr Delasiauve, médecin honoraire de la Salpêtrière. vient de mourir à l'
onoraire de la Salpêtrière. vient de mourir à l'âge de 89 ans. Reçu médecin en 1813, il fit à l'Ecole pratique de la Faculté
s libre très brillant sur la thérapeutique. Peu après, il était nommé médecin de Bicétre et chargé du service des épileptiques
nouvelles. Il laissera à tous ceux qui l'ont connu l'impression d'un médecin de grande valeur et d'un esprit élevé. Molescho
3, 82, 90. Congrès de Science psychique àChicago, 31. Congrès des médecin * aliénistes de France. 254. Contagion hystériqu
17 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sexuel avec sa femme, « le canal étant comme bouché ». Plusieurs médecins ont tenté vainement de l'examiner et nous const
arle D' Prnest ClIAIt3.lRD, ancien interne des hôpitaux de Paris, ' médecin adjoint des asiles d'aliénés de la Seine. Nous
ait tout autrement chez une jolie femme, aussi importe-t-il que les médecins apprennent à connaître et à guérir cette petite
. le D' Michel CATSARAS, Professeur agrégé de la Faculté d'Athènes; Médecin de l'asile de Dromocaitis; Membre de la Société
1882, il sentit ses douleurs d'estomac revenir plus violentes ; son médecin lui dit qu'il avait une gastralgie. A partir de
de Chypre, sur les côtes de laquelle il péchait des éponges) et le médecin , dit-il, a constaté qu'il avait un léger mouvem
dit-il, a constaté qu'il avait un léger mouvement fébrile, 38°. Le médecin a appliqué le cathéter, il ordonne des frictions
arifiées à la région lombaire et des purgatifs. ' Le J 5 juin, ce médecin constate l'absence de fièvre et commande de con
cou et à l'épaule. A ce moment, le malade étant à Egine consulte un médecin qui lui applique deux vésicatoires à ces deux r
divers de l'intelligence. Cet état nerveux, décrit avec soin par un médecin anglais, Braid, fut étudié ensuite par divers m
c soin par un médecin anglais, Braid, fut étudié ensuite par divers médecins français, mais timidement; le monde scienti- fi
assification de Baillarger. M. B. LUI, CONGRÈS DE L'ASSOCIATION DES MÉDECINS ANGLAIS SECTION DE PSYCHOLOGIE. . \I. le Dr S
par le Dr Turnbull, et vigoureusement com- battu par la plupart des médecins aliénistes, tels que MM. llack- Tuke, Yellowlee
- heureux sont parfois exploités par leur gardien. La plupart des médecins réclament la formation de colonies annexées aux g
alicylique ont donné des résultats entre les mains delà plupart des médecins , dans ces cas de folie d'origine sexuelle. A
tenir dans ces édifices. Le Dr Francis Warner émet le désir que des médecins soient dési- gnées, pour examiner les enfants d
transporté ? Ce sont là deux questions qu'a le premier à décider le médecin traitant. C'est dire que celui-ci a besoin d'êt
. 4° Par suite, insuffisances de connaissances psychia- triques des médecins qui se trouvent rarement en relation avec ' 11
que fait-on ? On a besoin de l'intervention préalable de MM. les médecins fonctionnaires pour séquestrer, c'est-à-dire soig
de l'aliéné transféré a lieu sur le vu du certificat délivré par le médecin de l'établissement d'où provient ce malade et d
e et d'une copie des pièces légales concernant ce der- nier. a Le médecin de l'établissement où l'aliéné est transféré fait
aliéné trans- féré aura lieu sur le vu du certificat délivré par le médecin de l'établissement d'où provient ce malade et d
ade et d'une copie des pièces légales concernant ce dernier; que le médecin de l'établissement où l'aliéné est transféré fe
ertificat de quinzaine; 4° la décision de la chambre du conseil. Le médecin est tenu de consigner sur ce registre les chang
emière année, et ultérieurement au moins chaque tri- mestre. « Le médecin constate également sur ce registre la date de la
f du Gouvernement, qui admettait soit un seul rapport signé de deux médecins , soit deux rapports signés chacun d'un seul méd
signé de deux médecins, soit deux rapports signés chacun d'un seul médecin . Le Gouverne- ment, pour des motifs expliqués d
tu des articles précédents, cesse d'y être retenue aussitôt que les médecins de l'établissement ont déclaré, sur le registre
n interdit, il est donné immédiate- ment avis de la déclaration des médecins aux personnes auxquelles il doit être remis, ai
enons la discussion du projet de loi. c Art. 25. Avant même que les médecins aient déclaré la guérison, toute personne placé
les descendants, le conseil de famille décide. « Néanmoins, si le médecin de l'élablissement ou le médecin inspecteur des
famille décide. « Néanmoins, si le médecin de l'élablissement ou le médecin inspecteur des aliénés est d'avis que l'état me
T. « Art. 27. Le préfet peut toujours, après avoir pris l'avis du médecin traitant ou du médecin inspecteur des aliénés, or
et peut toujours, après avoir pris l'avis du médecin traitant ou du médecin inspecteur des aliénés, ordonner la sortie des
rt. 30. En cas de danger imminent, attesté par le certi- ficat d'un médecin ou par la notoriété publique, les commissaires
, dans le premier mois de chaque semestre, un rapport rédigé par le médecin de l'établissement sur l'état de chaque personn
les résultats du traitement. Le préfet, sur l'avis du SÉNAT. d39 médecin inspecteur et de l'administrateur, prononce sur c
fet peut, dans les formes tracées par l'article 29 et sur l'avis du médecin inspecteur, décerner un ordre spécial à l'effet
sont applicables aux personnes placées d'office. « Aussitôt que le médecin a déclaré, sur le registre tenu en exécution de
éférer au préfet, qui statue sans délai, après avoir pris l'avis du médecin inspecteur et de l'administrateur. » M. le Pr
rie par le vote de l'amen- dement qui concentre dans la personne du médecin inspecteur des aliénés cette partie du service.
, et dont l'état d'aliénation a été constaté par un certi- ficat du médecin de l'établissement pénitentiaire, sont, après avi
at du médecin de l'établissement pénitentiaire, sont, après avis du médecin inspecteur du département dans lequel l'établisse
porteur. Il s'agit dos épileptiques dont le directeur et surtout le médecin des prisons reconnaissent que le séjour dans la
'à leur guérison ou jusqu'à l'expiration de leur peine. L'avis du médecin inspecteur ne sera pris évidemment que pour con
des deux premiers chapitres, matière qu'a tout d'abord à traiter le médecin mis en présence d'un malade. Natu- rellement l'
uction louable. C'est à cette tendance que nous devons l'ouvrage du médecin de Bicêlre, et, nous ne nous en plaindrons pas,
ez leurs sujets ; sur la question de savoir si les hypnotiseurs non médecins commettent oui ou non le délit d'exercice illég
la matière une brochure des plus sublantielles. Il est vrai que ce médecin ne se montre pas tendre pour les magné- tiseurs
s veut bien nous apprendre que, non seulement il est inutile d'être médecin pour étudier convenablement l'hypnotisme, mais
Je suis d'autant plus à l'aise pour le proclamer que je ne suis pas médecin . Si, à cause de cela on me dit que je ne suis p
pprendre qu'il aura plus d'une fois l'occasion de nous citer nous a médecin nourri des enseignements de la Salpêtrière » parl
esetlesseiils muscles animes parce nerf. Mais M. Liégeois n'est pas médecin et « les préjugés» que nous avons sur la connais-
qu'on lui aura présenté. Cela nous paraît bien. insuffisant à nous médecins qui, dans une expertise, avons l'habitude de ne
-t-on ici, se fût écrié Beaumar- chais ? Mais M. Liégeois n'est pas médecin ; pour lui le sommeil ordinaire est une auto-su
us le professeur de droit, habitué à discuter sur des textes que le médecin raisonnant d'ha- bitude sur des faits, sur des
rt SUR l'orgvnisation d'un concours pour l'admission aux emplois de médecins adjoints des asiles d'aliénés, au nom de la Com
iénés, au nom de la Commission spéciale composée de MM. 13ouawEwLLS médecin de Bicêtre, député de la Seine, président, 1)0-
EwLLS médecin de Bicêtre, député de la Seine, président, 1)0-\Nt,T, médecin direc- teur de l'Asile de Vaucluse, et Giiuud,
, 1)0-\Nt,T, médecin direc- teur de l'Asile de Vaucluse, et Giiuud, médecin directeur de l'Asile S'-Yon. Monsieur le Mini
lleur mode de concours à organiser pour l'admission aux emplois des médecins adjoints des asiles publics d'aliénés. La commi
occuper de la question de principe, c'est-à-dire du recrutement des médecins adjoints par le concours, puisque ce mode de re
. De plus, M. Ilerold avait ultérieurement décidé que la place de médecin adjoint de l'Asile clinique (Sainte-Anne) serait
te-Anne) serait donnée à lasuite d'un Concours analogue à celui des médecins des quartiers d'aliénés de l31cêlre et de la Sa
n'avait pas voulu étendre ce mode de nomination au recrutement des médecins en chef de Sainle-Anne', Vancluse et Ville-Evra
n, ainsi que le rappelait M. Regnard, avait formuié ce voeu que les médecins adjoints et les médecins en chef des asiles fus
M. Regnard, avait formuié ce voeu que les médecins adjoints et les médecins en chef des asiles fussent nommés au concours 2.
l médical et administratif des asiles d'aliénés. VARIA. 163 les médecins désireux d'entrer dans les asiles tiennent à rest
une oligarchie médicale et aussi celle d'éloigner plutôt les jeunes médecins de la spécialité des maladies mentales. Mais ce
ales. Mais cette oligarchie médicale existe dès maintenant pour les médecins des hôpitaux de Paris, pour les mé- decins des
up d'internes des hôpitaux qui se font inscrire pour le Concours de médecins ou de chirurgiens se dirigeraient sur celui des
le nouveau projet de loi sur les aliénés, adopté par le Sénat, les médecins adjoints seront nommés sur une liste de présent
organiser au siège de ces facultés, un concours pour les places de médecins adjoints vacantes dans les asiles du ressort de
ultés. 11 écarte les écoles préparatoires. Enfin, il estime que les médecins adjoints d'une région pourront être nommés méde
estime que les médecins adjoints d'une région pourront être nommés médecins en chef ou médecins directeurs dans toutes les
cins adjoints d'une région pourront être nommés médecins en chef ou médecins directeurs dans toutes les autres régions. M.
t pas fondée. En pratique, les jeunes docteurs qui désirent devenir médecins d'asile ne se conten- tent pas de faire une dem
is. En second lieu, il soutient avec M. Donnet que l'avancement des médecins adjoints ne devrait pas être limité à la région
des chefs de service, car ce serait créer des inégalités parmi les médecins adjoints. » Ou serait même amené à retarder l'ava
service au début de leur carrière, on nuira au bon recrutement des médecins aliénistes, parce que ceux qui acceptent volontie
des postes de début. Ces asiles ne seront plus demandés que par des médecins ayant des intérêts dans le pays, et souvent n'a
teront à prendre part à des concours qui les exposent à aller comme médecins adjoints à l'autre extrémité de la France. L'in
voté les résolu- tions suivantes : Le concours pour les places de médecins adjoints des asiles d'alié- nés de France devra
à concourir dans toutes les régions, suivant leur convenance. Les médecins adjoints pourront être nommés médecins en chef ou
suivant leur convenance. Les médecins adjoints pourront être nommés médecins en chef ou médecins-directeurs dans toute la Fr
la tutelle des aliénés, elle aurait procédé pour la nomination des médecins de Sainte-Anne, Ville-Evrard et Vaucluse, comme
Sainte-Anne, Ville-Evrard et Vaucluse, comme elle l'a fait pour les médecins des quartiers de Bicêtre et de la Salpêtrière et
e la Salpêtrière et que les chefs de service de ces asiles seraient médecins des hôpitaux comme l'étaient ou le sont : \I11.
y avait lieu de demander un concours spécial pour la nomination des médecins aliénistes chefs de service dans les asiles les
autant que possible, à celles des concours pour le recrutement des médecins ordinaires des hôpitaux. A Paris, par exemple,'
hôpitaux. A Paris, par exemple,' les conditions pour les places des médecins , chefs de service de l'Asile clinique (Sainte-A
ent les mêmes que celles qui ont été établies pour les concours des médecins alié- nistes de Bicêtre et de la Salpêtrière, l
trière, lesquelles sont calquées sur les conditions du concours des médecins des hôpitaux. 11 va de soi que les médecins de
ditions du concours des médecins des hôpitaux. 11 va de soi que les médecins de Bicetre, de la Salpêtrière et de Sainte- Ann
concours, auront la faculté de choisir leurs ser- vices, comme les médecins des hôpitaux, et au sur et à mesure des vacance
Commission pense que, de cette façon, on exciteraitl'émutation des médecins adjoints et on rendrait d'inconleslables services
l'enseignement de la médecine mentale'. ' Le jury Ju concours des médecins aliénistes de Bicètre et de la Sal- pêtrière se
ns aliénistes de Bicètre et de la Sal- pêtrière se compose de trois médecins ordinaires des hôpitaux et de quatre médecins a
e se compose de trois médecins ordinaires des hôpitaux et de quatre médecins aliénistes tirés au sort. VARIA. d67 La Commi
peut présenter, pour le service, la vacance prolongée d'un poste de médecin adjoint dans les asiles où il n'y a qu'un médecin
gée d'un poste de médecin adjoint dans les asiles où il n'y a qu'un médecin de ce grade. Dès que le médeèin disponible sera
vacance, on procéderait à un concours pour deux places. Le premier médecin nommé occuperait la vacance et le second rester
e le jury désigné par M. le ministre de l'intérieur se composera de médecins en chef des asiles et d'un inspecteur général d
e, suivant le cas, pourra être dé- signé aux lieu et place d'un des médecins des asiles d'aliénés et que les juges seraient
article, ainsi qu'il suit ? « Le jury sera composé : Il de trois médecins en chef des asiles de la région; 2° d'un inspec
r désigné pur la Faculté de médecine ; 4° d'un juge suppléant. -Les médecins en chef et le juge suppléant seront tirés au so
ns en chef et le juge suppléant seront tirés au sort parmi tous les médecins en chef des asiles de la région. L'avis des ins
hé, vous voudrez bien organiser le concours pour le recrutement des médecins adjoints de lous les asiles de France et un con
isons ci-après. CONCLUSIONS. I. -Le concours pour les places de médecins adjoints dans les asiles d'aliénés de France, d
oncourir dans boutes les régions, suivant leur convenance. )).Les médecins adjoints pourront être nommés médecins en chef
nt leur convenance. )).Les médecins adjoints pourront être nommés médecins en chef ou médecins-directeurs dans toute la Fr
s seront équivalentes à celles des concours pour le recrutement des médecins ordinaires des hôpi- taux. Dans le cas où il y
u de la région toutes les fois que le nombre des places vacantes de médecins adjoints, ou des vacances à prévoir, sera de de
celui des places vacantes. V. - Le jury sera composé : 1° de trois médecins en chef des asiles de la région ; 2° ,d'un insp
us en chef et le juge suppléant seront tirés au sort parmi tous les médecins en chef de la région. VI. Les épreuves seront
OUR\El'1LLE. 170 O VARIA. Concours d'admissibilité aux emplois DE médecins "adjoints des asiles publics d'aliénés DE NANCY
érieur organisant le concours pour l'ad- missibilité aux emplois de médecin adjoint des asiles publics d'aliénés. Dans le n
t 1888 instituant un concours pour l'admissibilité aux emplois de médecins adjoints des Asiles publics d'aliénés, arrête :
riel susvisé du 18 juillet 1888 pour l'admissibilité aux emplois de médecins adjoints des Asiles publics d'aliénés. ART. 2.
et 1888, instituant un concours pour l'admissibilité aux emplois de médecins adjoints des Asiles publics d'aliénés, et notamme
avoir accompli comme internes en vue de l'obtention d'un emploi de médecin adjoint, alorsqu'aucune condition d'âge n'était e
s à prendre part au premier concours d'admissibilité aux emplois de médecins adjoints des Asiles pu- blics d'aliénés qui doi
1888, un premier concours en vue de l'admissibilité aux emplois de médecins adjoints des Asiles publics d'aliénés aura lieu
ecteur général des établissements de bienfai- sance; le D'' Cortyl, médecin en chef de l'asile de Bailleul; ® le De Martine
Cortyl, médecin en chef de l'asile de Bailleul; ® le De Martinencq, médecin en chef de l'asile de Clermont; - le Dr Viret,
Martinencq, médecin en chef de l'asile de Clermont; - le Dr Viret, médecin en chef de Fasile de Prémontré; le De Castiaux,
Dr Bail, délégué de la Faculté de médecine de Paris; le Dr Magnan, médecin de l'asile Sainte- Anne; Le Dr Faucher, directe
e professeur Hecht, M. le professeur Bernheim, M. le Dl Lan- glois, médecin en chef de l'asile public de Maréville (Meurthe-
e Dr Bayle, malade et parce que la liste des Directeurs-médecins et médecins en chef de la région était épuisée). jRë ? ode.
-médecin de l'asile public de Saint-Alban (Lozère), M. le D'' Pons, médecin en chef de l'asile public de Bordeaux, M. le Dr
chef de l'asile public de Bordeaux, M. le Dr Bouteille, directeur- médecin de l'asile public de Barqtleville (Haute-Garonne)
ur-médecin de l'asile d'Aix (Bouches-du-Rhône), M. le D1' Campagne, médecin en chef de l'asile public de Mont-de-Vergues (V
de l'asile public de Mont-de-Vergues (Vaucluse), M. le Dr Boubila, médecin en chef de l'asile public de MarseUie;JM'c supp
Drs Pierret, professeur de cli- nique des maladies mentales à Lyon, médecin en chef de l'asile de Bron; Danis, directeur-mé
es candidats qui ne travaillent pas. Après la mort du Dr Bertliier, médecin de Bicêtre, il y a eu une vingtaine de demandes
ile clinique (SaitiLe-Aiine), est nommé, par arrêté du 12 novembre, médecin adjoint et compris dans la 2° classe à partir d
Concours pour l'internat en médecine. Le jury est ainsi composé : médecins des asiles, MM. les D's Dagonet, médecin hono-
jury est ainsi composé : médecins des asiles, MM. les D's Dagonet, médecin hono- raire ; Aug. Voisin (Salpêtrière); Bouche
); Febvré (Ville-Evrard); - Espiau de La Maestro, honoraire; - 2° médecin des hôpitaux : M. le Dr Huchard, médecin à Bichat
a Maestro, honoraire; - 2° médecin des hôpitaux : M. le Dr Huchard, médecin à Bichat; S..., chirurgien des hôpitaux; M. le
vés est propre au plus haut point à déterminer un conflit entre les médecins fonctionnaires et les médecins non-fonctionnair
nt à déterminer un conflit entre les médecins fonctionnaires et les médecins non-fonctionnaires; considérant en outre que non
on seulement ce décret lèse les intérêts matériels du public et des médecins praticiens, mais encore et surtout qu'il met en
l'honorabilité et les capa- 9 cités de ces derniers. La Société des médecins de la ville de Berlin (Friedrich-Wilhelm-Stadt,
- cales à soutenir, résolument, les intérêts les plus légitimes des médecins praticiens contre ce décret. 11 sera de règle
Si le malade en question a déjà été traité ou observé par un autre médecin pendant l'affection actuelle, on y joindra, s'i
ation d'un cer- tificat détaillé et circonstancié de n'importe quel médecin diplômé, mais ce malade devra être examiné, dan
à l'immédiat élargissement. 1 Le A ? ei. ! p/;y.<t7t;M est le médecin d'arrondissement olliciel de l'em- pire; il en
nommé professeur de clinique des maladies mentales et nerveuses. Médecins aliénistes sénateurs. M. le Dr DoixLT, médecin-
tence de la syphilis dans le passé du malade a été reconnue par les médecins , grâce à une longue série d'observations consci
rter pendant son séjour à l'hôpital (à en juger parles remarques du médecin qui la soignait alors, il s'agissait proba- ble
x ans, elle eut des ulcères aux organes génitaux après le coït; les médecins y reconnurent la syphilis et la malade entra à
e la maladie, l'absence du réflexe rotu- lien fut constatée par les médecins . Etat actuel. Dans les jambes douleurs lancinan
près), on constata chez l'enfant des condylomes situés à l'anus. Le médecin à qui elle s'adressa, lui annonça, qu'elle et s
l'ulcère au sein que parurent des ulcères aux grandes lèvres. Les médecins la traitèrent de la syphilis (quoique la malade d
e dans les cas VI, VII et VIII, la syphilis a été constatée par des médecins spécialistes, que les cas Il et V ont été soign
E. LA SURDITÉ ET LA CÉCITÉ VERBALE; Par le D, Fhkdéric BATEMAN, Médecin de l'hôpital de Norwich (Anelctcrrr), membre corr
le D Michel CATSAReIS. Professeur agrégé de la Faculté d'Athènes : Médecin de l'asile de .Dromocaitis; Membre de la Sociét
ntracture se développer. Si ce phéno- mène est obtenu, alors que le médecin a évité d'éveiller chez le sujet par une parole
isés devant moi, ils se com- portaient tous comme nos sujets et les médecins des hôpitaux qui les traitaient ont confirmé ab
au mois d'octobre 1888, a montré à la séance du premier congrès des médecins italiens, une malade, Mlle Medici, de Napies, q
rience au commencement de décembre 1880, en présence de plusieurs médecins de Neuchàtel (Suisse). c Je contracturai les mu
Je pourrais encore invoquer le témoignage d'un certain nombre de médecins français et étrangers qui, après avoir suivi av
es ne peuvent évidemment s'appliquer à M. Ber- nheim qui est un des médecins ayant expérimenté sur le plus grand nombre de s
GIE5; Par F. RAYMOND, professeur agrégé à la Faculté de médecine, médecin de l'hôpital Saint-Antoine. La première partie
stes (extirpa- Revue de pathologie nerveuse. »'1 1 lions), et les médecins (myxoedème), le corps thyroïde a une grande imp
notisme et de la suggestion. Ce sont les savants, psychologiques ou médecins et les professionnels, profes- seurs de magnéti
combattre avec ses propres armes. 11 importe que non seulement les médecins , mais encore les magistrats connais- sent à fon
rcel Briand. SOCIÉTÉS SAVANTES. ~2(M) CONGRÈS DES NATURALISTES ET MÉDECINS ALLEMANDS , Session de Wimudex, 1887 ' Séance
leur âge personnel ne représente plus la première jeunesse, que le médecin vient de les visiter,.qu'elles sontàl'hôpital d
es matériaux de la clinique et en même temps d'apprendre aux jeunes médecins l'anatomie e normale et pathologique. (Allg. Ze
l réclame en conséquence sur celte malade, un certificat médical du médecin officiel (kreisphysikus) de l'Etat. Mais cette
que pourrait le faire l'auto- rité administrative, même assistée du médecin inspecteur des aliénés. (Très bien ! très bien
ous ces faits passent sous silence, ou ne sont pas reconnus par les médecins comme dus à l'intoxication alcoolique et comme
ique pour les dégénérés. L'auteur, en effet, est d'ac- cord avec le médecin de Sainte-Anne pour reconnaître aux dégé- nérés
ce titre : Le D'' Coste, étude d'un inconscient; aussi nos lecteurs médecins comprendront que nous leur épargnions le compte
la bibliographie jusqu'en 1878.) Le même. Travaux de la société des médecins russes de Moscou, 188 ? . - Sander. Archiv sur
lsky. Eczéma neuroyathique. Travaux du 2e congrès de la société des médecins russes, 1887, t. II p. 13.Rosenbach. Zur Diagnost
seLm, professeur-suppléant à l'école de médecine de Caen, est nommé médecin de l'asile d'alié- nés de Bon-Sauveur, à Caen,
evront être déposés le 31 décembre 1889, chez M. le D'' Ant. Ritti, médecin de la maison nationale de Charenton, secrétaire
neuf élèves ont obtenu les diplômes. Le jour de la distribution, le médecin en chef de l'asile a insisté sur la nécessité d
ngée dans cette confu- sion et cette obscurité où l'ont trouvée les médecins et les psychologues il y a seulement vingt ans.
de l'Institut physiologique de Florence, et un clinicien, Seppilli, médecin du fameux manicome d'imola, sont les auteurs de
inique, et cela grâce à la collaboration d'un physiologiste et d'un médecin , il faut reconnaître le même mérite à l'ouvrage
s renseignements que nous a gracieusement fournis M. le D1' Butzke, médecin en chef de l'hôpital de Préo- brajensky, à Mosc
les Juifs ayant eu la syphilis l'avouent en général franchement au médecin . AI. Charcot et ses élèves, dans la question de
par le désir que le patient éprouve de cacher sa maladie. Tous les médecins ont vu de ces cas dans lesquels des affections
ades. , , Ainsi l'opinion qui s'affermit de jour en jour chez les médecins que la principale cause du développe- ment du t
existé, mais qu'elle a passé inaperçue aux yeux du malade et des médecins ; mais comme nous n'avons aucune preuve positive
Du Michel CÀTSARAS, Professeur agrégé de la Faculté cl'.ltliènes : Médecin de l'asile de. Dromocaitis; Membre de la Sociét
as uriné et qu'il n'avait pas eu de selles, quand il fit appeler un médecin italien, qui para au plus pressé en le soudant
SENSIBILITÉS ; TROUBLES TABÉTIQUES ET DE NUTRITION, par H. Bonnet, médecin en chef de l'asile de Châlons-sur-lliarne. La n
GIE'; Par F. RAYMOND, professeur agrégé à la Faculté de médecine, médecin de l'hôpital Saint-Antoine. V. DES LÉSIONS PATH
e de l'extirpation de la glande thyroïde sur le syslème nerveux. Le Médecin , n° 47, 1887. Biachkoff. Deux cas d'anomalie de
abilité de la région psycho-motrice chez les chiens nouveau-nés. Le Médecin , n° 34, 1886. Des parties constituantes du pédo
nls faisceaux de la moelle épinière chez les animaux nouveau-nés Le Médecin , n° 22, 1887. Hémiatrophie faciale progressiv
vsky, Go an., fasc. I, 1 888. Un cas de paramyoclonus multiplex. Le Médecin , n° 3, 1887. - De la physiologie de la région
poff, 1886. Danilewsky. De l'asthme artificiel de la grenouille. Le Médecin . n° 48, 1860. Etudes comparées de l'hypnotism
n, u° 2'r, 1888. Dostoewsky. Du muscle dilatateur de la pupille. Le Médecin , ' n" 30, 1880. Fursteter. Un cas de guérison
ure de trois membres chez un enfant de 12 ans par la suggestion. Le Médecin , n° 2, 1887. Gowseeff. Un cas de chorée chron
ammatchikoff et Ossendowsky. De l'influence de l'usage du tabac. Le Médecin , n° 3, 1887. 0 Greydenberg. Un cas d'hystérie c
dlédeciti, n° 44, 9887. Un cas de paralysie spinale périodique. Le Médecin , no 48, 1887. Jakovenko. De la constitution d
f. De l'inégalité pupillaire chez les individus bien por- tants. Le Médecin , n° 7, 1387. ' Kompaneyskaia. De l'anatomie mic
aint-Pétersbourg, 1888. Mandelbaum. - Un cas de rbinosclérome. - Le Médecin , n° 38, 1886. ' Milovsoroff. Des altérations
avec entre-croisement ,. presque complet du faisceau pyramidal). Le Médecin , n°39, 1886. Pasternatsky. De l'inégalité pup
rnatsky. De l'inégalité pupillaire dans les maladies iulerl nés. Le Médecin , n° 40, 1886, Pcrkowsky. Un cas de régénération
n cas de régénération du nerf radial déchiré par une arme à feu. Le Médecin , n° 29, 1887. l'l;ctonoff. Un cas d'hémiplégie
ence secondaire de la commissure blanche antérieure du cerveau. -Le Médecin , n° 38, 1886. De la constitution des cordons po
5° an., fasc. I, 1887. Du phénomène de la mâchoire inférieure. Le Médecin , n° 13, 1886. Rorowitcb. Contribution à l'étu
1886. Serebrennikowa. Etude sur l'élongation du nerf optique. Le Médecin . n° 38, 1886. Sikorsky. Des expressions chez le
sur l'excitabilité galvanique normale des nerfs et des muscles. Le Médecin , nu 43, 1886. De l'influence du tabac sur les c
Tchoudnowsky. Un cas d'hydro-méningocele cérébral congé- nital. Le Médecin , n 44., 188G. Tekouteff. Du vernissage de la pe
e, Saint-Pétersbourg, 1888. Volkowitch. Un cas de rhinosclérome. Le Médecin , u° 47, 1886. Wedensky. Des rapports entre l'
le D'' Bricon, ainsi que nous aurons l'occasion de le démontrer, le médecin belge rappelle nos tra- vaux et déclare que c'e
hode de classement, il est loin d'accepter complètement l'oeuvre du médecin de Saint-Yon, car il se refuse à admettre la cr
l s'est servi. Marcel BillAND. SOCIÉTÉS SAVANTES. 489 CONGRÈS DES MÉDECINS ET DES CHIRURGIENS AMÉRICAINS. SESSION DE WASHI
s, cet asile provisoire fournit à-la surveillante aussi bien qu'aux médecins et aux pro- fesseurs, le prétexte de préluder p
Bassens (Savoie), maintenu dans la ire classe. M. le Dr Chambaiid, médecin adjoint à l'asile de Ville-Evrard, est nommé méde
Dr Chambaiid, médecin adjoint à l'asile de Ville-Evrard, est nommé médecin en chef à l'asile de Pierrefeu (compris dans la
Dijon (maintenu dans la 3° classe). M. le Dr Faucher, directeur- médecin de l'asile de Nangeat, est nommé directeur-médeci
directeur-médecin de l'asile de Saint-Venant, est nommé directeur médecin de l'asile de Nangeat (Haute-Vienne) (maintenu da
mpris dans la 30 classe. Par arrêté du 14 avril : M. le Dr KERAVAL, médecin adjoint des asiles de la Seine en disponibilité
, médecin adjoint des asiles de la Seine en disponibilité est nommé médecin adjoint à l'asile de Ville-Evrard (rétabli dans
claré admissible au concours du 26 décembre 1888 à Nancy, est nommé médecin adjoint à l'asile public de Châlons (2e classe)
se). Par arrêté du 24 avril : M. le Dr Germain Cortyl, directeur- médecin , à l'asile public d'Alençon, est nommé directeur-
tion est fixée à vingt-cinq francs. Sont membres adhérents : les médecins , les directeurs des asiles de France et de l'étra
rteur, M. Motet. Comité d'organisation. Président : M. FALRET (J.), médecin de la Salpêtrière, président de la Société médi
ciété médico-psycholo- gique. Secrétaire général : M. RITTI (Ant.), médecin de la Mai- son nationale de Charenton, secrétai
u Comité. MM. BLANCHE, mem- bre de l'Académie de médecine ; CoranD, médecin de la maison de santé de Vanves; Magnan, médeci
médecine ; CoranD, médecin de la maison de santé de Vanves; Magnan, médecin de l'asile Sainte-Anne ; Motet secrétaire génér
ecrétaire général de la Société de médecine légale ; Voisin (Aug.), médecin de la Salpêtrière, trésorier de la Société médico
ière, trésorier de la Société médico-psycho- logique ; Charpentier, médecin de Bicêtre, secrétaire de la Société médico-psy
tre, secrétaire de la Société médico-psychologique; Garnier (Paul), médecin de l'in- firmerie du Dépôt de la préfecture de
être adressées au secrétaire général, M. le doc- teur RITTI (Ant.), médecin de la Maison nationale de Charenton, à Saint-Ma
ison nationale de Charenton, à Saint-Maurice (Seine). Congrès des médecins aliénistes allemands. Ce congrès se tiendra cet
), par Greeneles, 113. Cocaïnisme, par Saury, 483. Concours des médecins adjoints des asiles, 161, 170, 334; - de la b
nternat en pharmacie des asiles, 174. Congrès des naturalistes et médecins allemands, 299; - des aliénistes de l'Allemag
énistes de l'Allemagne du sud-ouest, 12 1; - de l'association des médecins anglais, 122; international de médecine men-
ecins anglais, 122; international de médecine men- tale, 118; des médecins et chi- rurgiens américains, 489. Cordons pos
18 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
ent de la presse de l'Institut et des Sociétés savantes. Dr Damogtou. médecin iiu Caire. Paul Janson, avocat, ancien bâtonnie
de Médecine qui présidait, avaient pris place M. le Dr Jules Voisin, médecin de la SalpG-trière, M. le Dr Beau visage, profess
t ; 31. le Dr Laumonier ; MM. Grollet, if oret, Lepinay, Petit. Babb. médecins vétérinaires ; 31. le Dr de la Fouchardire ; 31.
ens curatifs, et une force thérapeutique digne de l'attention de tout médecin instruit et exempt de préjugés. » Liébeanlt, da
éritable posologie. La pratique de l'hypnotisme entre les mains des médecins compétents •comporte l'administration de doses va
ec ces exhibitions théâtrales l'action exclusivement thérapeutique du médecin compétent, prudent, qui pratique avec discernemen
quelque effet « fâcheux », cela se peut. Hais il se peut aussi qu'un médecin avisé, rompu à son emploi l'applique d'une manièr
tisme deux cas d'encéphalite mortelle ! Vraiment, Messieurs, à quel médecin impartial, compétent, doué de sens critique, fera
oici mon fait personnel. Le samedi 5 septembre 1908, je reçois d'un médecin de la Seine-Infé-rieure une lettre me disant en s
ter pleine jusqu'au lever. Les familles croient bien faire : c'est au médecin à leur expliquer, d'abord, l'illogisme de cette p
triomphe de cette incontinence dite essentielle d'urine, dont les médecins étrangers a la psychothérapie, déplorent la « tén
eux points de vue, d'abord, par le procédé employé par le malade : un médecin n'eut peut-être jamais songé à utiliser ce procéd
, désespéré et j'avais, bien entendu, consulté un grand nombre de médecins et suivi un non moins grand nombre de traitements
uge d'instruction a Epinal ; Dr Paul Magnin, vice-président : Dr Lux. médecin principal ; M. Boirac, recteur de l'Académie de D
Boirac, recteur de l'Académie de Dijon, vice-président ; Dr Mercier, médecin principal ; Dr Barbier, Dr Klippel : Dr Van Reute
ison ? Il n'appartient pas à un juriste d'en décider : laissons aux médecins le soin de discuter ces délicates questions. Ds n
es de sa théorie. N'oubliant pas qu'il a pour adversaires surtout des médecins , Liégeois niot une certaine coquetterie à dévelop
en médecine objecterait que la question ne pouvait pas se poser : les médecins seuls connaissant le mécanisme de l'hypnose et re
. Dans la même promotion, nous relevons le nom du dr Auguste Marie, médecin en ¦chef de l'asile de Villejulf, organisateur de
nta appartenant a ces diverses catégories, les a fait étudier par des médecins et des instituteurs compétents dans un asile temp
i. que le clinicien fait état, A tout instant de son intervention, le médecin doit rester le directeur de l'expérience qu'il a
ire suggestion à l'état de veille apparente. En effet, le prestige du médecin , l'autorité qu'il tire de son rôle directeur dans
pnotisation, dans lequel je soutenais que la suggestion, faite par le médecin , n'acquiert chez certains sujets une telle intens
ettait à une critique rigoureuse les observations dans lesquelles des médecins ont affirmé qu'ils avaient obtenu un résultat thé
s. De telles erreurs d'interprétation ne se produiraient pas si les médecins qui s'adonnent à la pratique de la psychothérapie
nstinct leur à fait deviner toute la portée. Mieux que la plupart des médecins , ils se rendent compte que l'hypnotisme peut seul
la doctrine de la suggestion, jetée naguère en pâture au snobisme des médecins et à la crédulité des psychologues d'école, const
s dépendra de la façon de formuler et sera subordonné aux qualités du médecin . Toutefois, de l'observation des malades, il se
les tentatives, alléguant leur apathie, leur manque d'énergie. Si le médecin exerce une grande influence sur le sujet, très bi
apie soit le spécifique des états neurasthéniques ? Non certes, et le médecin ne devra rien négliger, en lui adjoignant des con
ouvent le malade ne reste tributaire de la morphine que parce que les médecins ignorent tout ce qui se rapporte à cette question
aucun besoin de mauger. Cette réponse était faite à ses parents, aux médecins qui l'ont soignée chez elle : elle est faite à no
la moutarde, le poivre, etc. Les pesées faites par le Dp Poulalion. médecin adjoint et les photographies prises à l'entrée et
préférences alimentaires n'a cessé de s'atténuer, par contre celui du médecin continue à augmenter tous les jonrs. Les prescrip
s de justifier les appréhensions de ces sujets impressionnables. Le médecin , lorsqu'il s'adresse à des personnes hypersuggest
point de départ certain une opinion exprimée trop formellement par le médecin . Comme on l'a dit avec justesse, l'anorexie d
ulte nécessairement une tendance à l'obésité précoce pour laquelle le médecin est amené à donner un jour ou l'autre, son appréc
utre, son appréciation. Dans un cas que j'ai pu suivre longuement, le médecin de la famille énervé par les inquiétudes sans ces
souvenir d'un ami sûr et dévoué, d'un collègue bon et serviable, d'un médecin consciencieux et probe, qui a honoré sa professio
ris et l'Ecole de psychologie de Paris, ainsi qu'un certain nombre de médecins français -et étrangers, avaient tenu à prendre pa
llaboration qu'il a. dans de nombreuses circonstances, apportée à des médecins qui lui demandaient de les initier aux difficulté
es originales, ce livre mérite une place dans la bibliothèque de tout médecin et tout jurisconsulte ; il contribuera sans doute
ssivement, automatiquement à la domination du premier venu, fut-il nn médecin . Un tel être n'aurait rien de normal et sa dispos
même de figurer dans un manuel à l'usage des écoles primaires. Les médecins sont, paralt-il, gens plus faciles à satisfaire e
. L'incertitude des prévisions relatives au temps ; l'impuissance des médecins pour produire ou pour guérir certaiues maladies e
autres analogues, agrandissant ainsi le champ d'une pathologie où les médecins ont dissipé les erreurs. » Philosophie positive,
que d'infliger à l'obsédé une fatigue « nerveuse supplémentaire ; le médecin ne doit pas s'attarder k ces (1) H. Lemesle. Ob
re à 4 heures et demie, sons la présidence de AI. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpètrlère. Les séances ont lieu le troi
ont lieu le troisième mardi de chaque mois. Elles sont publiques. Les médecins , les étudiante et les membres de l'enseignement s
ue : 120 cas ont pour cause l'aliénation moutafe. Ce fait regarde les médecins des écoles, 10 °/n des enfants qni se suicident s
clusions qni concernent la direction des écoles, la collaboration des médecins et l'influence de la famille. D'après lui, « les
s documents officiels allant jusqu'à 1908. aux mêmes conclusions : le médecin et le pédagogue demandent, que l'éducation par la
par les transformations heureuses qui s'opèrent sous leurs yeux, les médecins qui s'occupent de pédagogie revendiquent aussi le
et ce sera pour notre science un grand bienfait. Car il n'est pas de médecin qui ne fasse de la psychiatrie, sans y songer, en
ges colères » et s'est attiré « la réprobation d'un certain nombre de médecins ». Bien que j'aie argumenté, sans colère aucune
se laisse lâchement infliger la loi du silence, c'est que, si quelque médecin osait dire la 'rérité, le capitalisme réduirait c
onnaissons, ceux que nous fréquentons journellement, demandent a leur médecin de les soigner avec sa science, son expérience, s
n chacun a son entière liberté de parole et de pensée. L'abandon du médecin pour des raisons philosophiques ou religieuses-es
e faire croire; il n'est pas exact que les capitalistes dispensent au médecin « le luxe ou la misère », « la vie on la mort »,
iques. Notre collègue consent, il est vrai, à admettre que quelques médecins ,, sans être des pleutres ou des vendus, expriment
obre 1909, on peut lire, sur ce sujet, les lignes suivantes : « Tel médecin Israélite on libre penseur sera mandé par les fam
raélite on libre penseur sera mandé par les familles catholiques, tel médecin catholique entrera dans les familles Israélites.
rien au monde, n'auraient accordé leur confiance à d'antres qu'à leur médecin juif. Le désir de la guérison rend insensible sur
ie d'abord, ou verra ensuite. C'est pourquoi, dans les clientèles des médecins connus, se croisent des publics si différents et
ns morales ou philosophiques. Mais, dans l'étude de l'organisme, le médecin a vu partout le déterminisme ? Parbleu ! Le déter
torité de savant. Chose étrange, — dans le même moment où il dénie au médecin légiste le droit de donner une opinion pratique s
ion, et la production d'ecchymoses multiples. Sur le conseil de son médecin , qui le savait très émotif, il se soumit ù un rep
cipe au moins, à individualiser l'éducation. C'est dans ce but que le médecin doit faire l'examen complet de l'enfant, surveill
enfants anormaux ou irréguliers, une des premières préoccupations du médecin doit être d'arriver à une classification permetta
ue l'on arrivera à Taire la lumière sur ces divers groupements. Les médecins doivent s'habituer à la collaboration avec le péd
Les études entreprises en commun par le pédagogue, le juriste et le médecin ont une importance pratique et sociale très grand
d'investigation et qu'on arrive à une meilleure coopération entre les médecins et les éducateurs. Quand on étudie la criminali
la philosophie à la médecine et la médecine à la philosophie, car le médecin philosophe est égal aux dieux. » Il existe une
ne tardèrent pas à tomber dans l'oubli. Il appartenait a un modeste médecin de Xaney. le Dr Liébeault. (6) de renouer la trad
nventeur de la suggestion. En réalité, l'influence psychologique du médecin a toujours existé sous le nom de traitement moral
e à démontrer jusqu'où l'abus des truismes peut être poussé, quand un médecin s'occupe de psychologie sans s'être préalablement
e idée tend à se faire acte » Il est possible qu'un certain nombre de médecins , absolument ignorants des questions philosophique
aine relève de la métaphysique et ne doit pas être solutionné par les médecins légistes devant les tribunaux. Gilbert Ballet sou
réprobation, non seulement des religieux, mais d'un certain nombre de médecins . « Je sais bien qu'il ne faut pas demander à no
rtent deux classes, deux mondes, deux civilisations, la situation des médecins est difficile et leur indépendance limitée : je s
réalité les moins libres. La clientèle riche ou aisée qui apporte aux médecins et aux avocats l'appoint nécessaire à leur existe
nt, naïvement qui vous aide. Cette clientèle ne tolérerait pas de ses médecins , je ne dis pas une profession de foi antireligieu
un chacun à son entière liberté de parole et de pensée. L'abandon du médecin pour des raisonsphilosopbiquesou religieuses est
province. En province, surtout dans les départements de l'Ouest, les médecins se divisent, sauf exceptions, en deux catégories
urs qui ont la clientèle pauvre. - Mais il est aussi ajoutai-je des médecins qui sont antidéterministes par conviction, et c'e
de nuire, qu'il faut détruire au besoin. Coupable ? Non pas ! « Ces médecins antidéterministes sont eux-mêmes les exemples les
urs des moines de Lourdes. » Il y a donc, selon moi. deux sortes de médecins autidéterministes : ceux qui le sont par intérêt
utorité de savant Chose étrange, — dans le même moment où il dénie au médecin légiste le droit de donner une opinion pratique s
d'appliquer à la psychologie la méthode des sciences naturelles et au médecin d'empiéter sur le domaine des anciens hypnotiseur
sychologie et de la sociologie à notre époque, est due à l'audace des médecins , des physiolo-gistesetdes naturalistes qui sont e
propre. — qui n'est pas celui de la physiologie . J'interdirais au médecin d'empiéter sur le domaine des anciens hypnotiseur
ttente, même une sorte de prosélytisme qui réalise de concert avec le médecin , une complicité active. On arrive à ces résultats
nté de ses clients. Ils n'ont pas tort ces Chinois qui ne paient leur médecin qu'autant que celui-ci les maintient en bonne san
René Pamart. enlevés tons deux a la fleur de l'âge. Le Dr Toul'/ac, médecin légiste à Versailles, était un assidu de nos séan
embre 4 heures et demie, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpetrière. Les séances ont lieu le troi
ont lieu le troisième mardi de chaque mois. Elles sont publiques. 1*3 médecins , les étudiants et les membres de l'enseignement s
de France ; Albert Robin, prof, à la Faculté de Médecine ; J. Voisin, médecin de la Salpêtrière. Ecolede Psychologie (49, rue
cellin Berthelot- — Dr Bérillon. 10 Janvier 1906. Dr Jule.- Voisin, médecin de la Salpétrière. — Dr Paul Magnin. 1er Février
ycho-physiologique de Paris, fondé en 1889, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
spensaire pédagogique et neurologique — Dispensaire antialcoolique- Médecins : Dr Bérillon, Dr Paul Magnin, Dr Paul Parez, Dr
de psychologie comparée. Chefs des travaux : MM. Lépinay et Géollet, médecins vétérinaires. V. Education physique. Chef des
taires, instables, timides. Indisciplinés, pervers et nerveux). Les médecins , les étudiants et les membres de l'enseignement s
(retardataires, instables, vicieux et nerveux). Les professeurs, les médecins et les étudiants sont admis aux consultations du
iE FORTUIT Un cas d'hypnotisme survenant chez un sujet, à l'insu du médecin , après une tentative qui avait paru suivie d'insu
s : * Du sommeil provoqué à l'insu du malade dans un cas, a I'insu du médecin dans l'Autre.* (Revue de l'Hypnotisme, 11e année.
mmes sont doués naturellement de ce pouvoir d'intimidation. Parmi les médecins dont l'influence intimidatrice s'c6t le plus souv
ent qu'il a sur l'hypnotisme des notions plus claires que beaucoup de médecins . Dans le langage courant le mot hypnotisme est sy
ettait à une critique rigoureuse les observations dans lesquelles des médecins ont affirmé qu'ils avaient obtenu un résultat thé
science que révèle une telle manière d agir. En règle générale, les médecins qui s'adonnent à la pratique de l'hypnotisme ont
e deveuu depuis lors invétéré. J'ai retrouvé la même cause chez des médecins , des littérateurs, des artistes, des gens du mond
ar ma seule volonté ; j'ai besoin d'être aidé. * Un de ses parents, médecin très versé dans les questions de psychothérapie,
uggestion hypnotique ne doit être pratiquée que sous la garantie d'un médecin compétent. M. Paul Fabez. — En effet, excellent
auce du mardi 16 novembre 1Ô09. — Présidence de M. le D Jules Voxsut, médecin de la Salpétrlère. La séance est ouverte à 1 h.
e psychiatrique à Kazan. des docteurs I. V. Viasemsky et S. A. Liass, médecins du Sanatorium urbain pour alcooliques, lesquels,
animaux, envisagé au point de vue psychologique par M. J. Mohet. médecin vétérinaire La bienveillante insistance de notr
crois — le « consentement organique — recherché par nos collègues les médecins des hommes, comme nécessaire à toute suggestion.
re à 4 heures et demie, sous la présidence de XI. le D[ Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Les séances ont lieu le troi
ont lieu le troisième mardi de chaque mois. Elles sont publiques. Les médecins , les étudiants et les membres de l'enseignement s
l. Les figurations des anomalies dans l'art, par M. le 1 )' Bérillon. médecin inspecteur des asiles d'aliénés. — Sous la présid
Ecole de psychologie. — Sous la présidence de 31. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Lundi 21 février, à cinq heu
irablement, sur son avers, la physionomie souriante et sympathique du médecin lyonnais. -Ktatis set: lviii. La Phosphatcbie. La
e-dix mémoires originaux et Inédits, rédigés à cette occasion par des médecins français et étrangers. Le professeur Teissier,
ond sommeil hypnotique. L'hypnotiseur avait opéré sans le vouloir. Le médecin de service chercha vainement pendant plusieurs-he
ouer dans la production des états hypnotiques. Il est probable que le médecin du théâtre était peu familiarisé avec l'hypnotism
nt. Les statisticiens des « Zcmstvo » en Russie sont très souvent des médecins et il serait curieux de connaître plus de détails
e intellectuelle et d'abstinence de tous aliments excitants, certains médecins les amènent d'une façon détournée, mais absolumen
nt approfondi. COURS ET CONFÉRENCES Le rôle de la médecine : Le médecin philosophe et psychologue par le professeur' De
gue par le professeur' Debove. Le professeur Debove dont tous les médecins connaissent à la fois la hante érudition, l'espri
ges suivants, qui concerne le rôle philosophique et psychologique des médecins . « Aujourd'hui, la médecine étant devenue une s
l'étude des facultés de l'âme qui sera désigné comme expert, c'est le médecin connaissant la physiologie des organes et les tro
at pathologique. « Si le psychologue doit connaître la médecine, le médecin ne peut ignorer la psychologie même quand il n'ét
médecine qu'en péripatétisant dans les jardins de l'Académie. « Le médecin arrive nécessairement à être moraliste et a. cons
eux le péché originel ne sera pas une théorie. * Yous trouverez les médecins bien prosaïques d'appeler instinct de la reproduc
ne vérité, exposent ou sacrifie leur vie pour la patrie. Pour nous, médecins , la douleur est toujours un mal, lorsque nous ne
ier à 4 heures et demie, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de lu Salpétriere. Les séances ont lieu le troi
ont lieu le troisième mnrdt de chaque mois. Elles sont publiques. Les médecins , les étudiants et les membres de l'enseignement s
ncien ministre. A ses côtés avaient pris place M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. président de la Société d'hypn
M. Tsé-Keun {de Pékin), M. le Dr Sava-Goin (de Jassy). M. le Dc Lux, médecin principal, M. Papiliano (de Bukarest), M Alde-mid
plus ardues sous un jour aimable prouve bien que, chez lui, le grand médecin était doublé d'un véritable psychologue et je com
our un séjour de peu de durée dans un asile confortable, et les mêmes médecins qui l'auront jugé irresponsable proposeront peut-
sujet de la responsabilité pénale. J'ai constaté avec plaisir que les médecins psychologues s'étaient empressés de prendre part
étudiés jusqu'à ce jour, c'est que l'attention des cliniciens et des médecins aliénistes n'a pas été assez dirigée sur la psych
a 4 heures et demie, sons la présidence de M. le 1>' Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Les séances ont lieu le troi
ont lieu le troisième mardi de chaque mois. Elles sont publiques. Les médecins , les étudiants et les membres de renseignement so
façon en présence du même malade. On pourrait mémo dire que, comme le médecin , il y a aussi le chirurgien tant pis et le chirur
u 'ailleurs- Le plus souvent, le pèlerinage est décidé, à l'insu du médecin , lorsque le traitement prescrit par celui-ci ne s
l'incorporation on les acceptera, mats à titre d'essai seulement : le médecin prévenu sur leur cas pourra faire régler leur sit
ris. Chaque année, M. le professeur Albert Bobin demande à quelques médecins d'exposer dans l'amphithéâtre de la clinique thér
es il s'adresse. A ce titre, l'action qne prétendent exercer certains médecins qui se bornent à tenir des conversations arec les
place dans la bonchc d'antres personnes aussi bien qualifiées que le médecin pour remonter le moral des personnes inquiètes on
e compte, Il n'est pas prouvé que, dans les discussions oratoires, le médecin ait beaucoup de chances d'avoir toujours le derni
pie. Elle offre en outre l'Inestimable avantage de ne pas éloigner le médecin de la véritable clinique. En terminant, le Dr Bér
de Paris, Comité de vigilance du Congrès des Praticiens, Syndicat des médecins de la Seine, Syndicat médical de Paris. Associati
A tous ces malades qui ont fléchi dans la lutte pour l'existence, le médecin doit persnader qu'il n'y a pas de vie possible sa
oir. • Ce rôle d'éducateur moral no va pas sans nn rôle social : le médecin s'efforcera donc de développer les notions de sol
onférence vous entretenir des ressources que la graphologie offre aux médecins qui ont l'intéressante mission de dépister et de
e une confusion assez difficile à dissiper. Dans ces circonstances le médecin devra compléter ses investigations en faisant int
différence essentielle que. tandis que l'hypnotisme provoqué par les médecins dans un but thérapeutique est un phénomène dirigé
ù il ne consentirait pas h se laisser contraindre ; et que lorsque le médecin est en rapport psychique avec son malade, il obti
l'a vu avec moi au moment où il commença le traitement De Dr "Warden, médecin de l'hôpital Anglais, Ta vu également avant et ap
nstante. Observation. — Le Dr S. (car nos malades sont toujours des médecins ) Age de 33 ans. prenait de la morphine d'une faço
traitement et la gnérison. Discussion. Dr Bébillos. — De tons les médecins qui se sont livrés à l'étude de la i11 -11 phinom
pauvre femme, rassemblant son courage, fait l'aveu de ses peines à un médecin , elle est renvoyée avec une formule de tonique po
chez la femme et qu'ils eu donnent communication. Par là seulement le médecin pourra étudier ces troubles et et les traiter d'u
ie naturelle la porte à exclure toute allusion à ce sujet, même si le médecin pense que les troubles ont leur origine dans quel
concernant les questions sexuelles. Il serait aussi désirable que les médecins étudiassent ces questions plus profondément, en s
a alors sans crainte ses troubles, ses difficultés et il obtiendra du médecin l'avis consciencieux et satisfaisant qu'il sollic
'il engageait ses clients à ne pas continuer les traitements de leurs médecins , et enfin qu'il a prescrit, à quelques-uns d'entr
il, a 4 heures et demie, sons la présidence do M. lo D' Jules Voisin, médecin de la Salpetrlère. Les séances ont lien le troi
ont lien le troisième mardi de chaque mois. Elles sont publiques. Les médecins . lés étudiants et les membres de l'enseignement s
mémoires extraordinaires, mon excellent ami le D' Charpentier, ancien médecin de Bicêtre et de la Salpélrlére. ne m'en voudra p
astreuses qui escortent les véritables psychoses et qui autorisent le médecin a considérer ces malades comme des fous ou des de
st écartée et de dissiper les ténèbres qui l'enveloppent. H impose au médecin une mission délicate, qu'il ne peut accomplir ave
es ; elles se traduisent par des manifestations très confuses que les médecins et les graphologues ne parviennent pas toujours à
oquer l'apparition des principaux symptômes de leur maladie ; mais le médecin parvient souvent à les faire disparaître en plaça
la malade des sons agréables à ses nerfs. Dans cet ordre d'idées les médecins consultés supposèrent que les nouvelles impressio
aisir de développer devant moi une thèse repoussée par la plupart des médecins . Il voulait, disait-il. me démontrer que la graph
dois logiquement vous indiquer les ressources qu'elle peut offrir aux médecins chargés de les combattre. Dans mon dernier livre
s-uns de ses mystères. Cette supposition m'autorise à croire que le médecin peut, en toute conscience, recourir à la grapholo
btenir ce résultat qui est l'œuvre d'une rééducation persévérante, le médecin doit être h la fois un clinicien un philosophe et
itions constitutionnelles sont plus difficiles à déraciner : quelques médecins n'hésitent pas û affirmer qu'il est inutile de le
avec une séduisante maîtrise le célèbre professeur Trousseau. Si le médecin est appelé à secourir un malade, encore jeune, il
u'elles paraissent, ne sont pas toujours dénuées de fondement. Que le médecin réussisse, soit par hasard, soit par méthode, à b
'analyse des plaintes du malade et de sa manière de les exprimer ; le médecin cherche a élucider par des questions précises et
e m'occupe depuis trois ans de ces mêmes recherches. A la réunion des médecins de la clinique académique de Bechtereff, en mars
* lu clinique gynécologique de l'hôpital de Fruukfurt à M. Munchencr, médecin . Wochensehriit 1909. n" 39. l'incapacité à la
éance dc mardi 15 février 1910 Présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. La séance est ouverte à 4 h. 4
al à 4 heures el demie, sous lu présidence de II. le D[ Jules Voisin, médecin de lu Salpotrlère. Les séances ont lieu le troi
ont lieu le troisième mardi do chaque mois. Elles sont publiques. Le* médecins , les étudiants et les membres de renseignement so
aient suffire et réaliser un effet thérapeutique. L'intervention d'un médecin spécialiste très rompu à la pratique de l'hypnoti
la solennité de cette consultation (puisqu'elle réunissait plusieurs médecins ), et l'insignifiance des plaintes du malade Ce de
de l'hystérique est très compliqué, cette méthode, si elle permet au médecin d'arriver à y voir clair, a l'inconvénient d'être
enfeld, Seif). L'un des avantages de cette méthode est d'obliger le médecin à parler an malade sur le thème de la vie sexuell
dans nne conversation franche avec leurs amis. Les entretiens avec le médecin éclairent alors les questions qui les torturent e
ns une littérature douteuse, le malade les puise dans l'expérience du médecin , et, aussitôt qu'un doute l'effleure, il trouve e
trouve en ce dernier un guide et un critique. En résumé, lorsque le médecin se trouve en présence d'un malade qui se plaint d
ses plaintes ne sont pas fondées ; le malade le sait lui-même. Que le médecin se garde de la phrase banale : « ce n'est rien, n
issent absurdes par leur contenu ou leur forme, sont persistantes, le médecin doit savoir qu'en réalité elles ne sont pas absur
tions précises, que l'âme du malade, qui aurait pu être accessible au médecin , désireux simplement d'en connaître le contenu, l
des procédés compliqués du laboratoire ; il suffit simplement que le médecin soit bon observateur et armé de patience, peut-êt
uent de bons résultats. Déjà ils sont appréciés à leur valeur par des médecins non psychiatres. Nous le voyons dans les travaux
d'hypnologie et de psychologie Présidence de M. le Dr Jules Voisin médecin de la Salpètrière Séance du mardi 15 mars 1910
é le Dr Gillard (de Suresne) et qui a été soigné par le Dr Ponlalion. médecin directeur adjoint, ainsi que par moi-même. Le Dr
é sa femme II raconte que, depuis plusieurs mois, il a vu beaucoup de médecins . Le traitement que l'un deux lui fit suivre contr
fait, dans le sens de son délire syphiliphobique. Les dénégations des médecins consultés depuis, l'analyse même du sang faite pa
ns des médecins consultés depuis, l'analyse même du sang faite par un médecin réputé ne changent en rien son idée fixe. Ces cra
nce, à Paris, sans donner signe de vie. Mais toujours il consulte des médecins qui tous essayent de lui faire entendre qu'il n'e
e aucune trace sur le corps. Plus que jamais convaincu, il traite les médecins d'incapables, fait peu de cas de leurs conseils e
tablissement. Lui qui voulait tant partir, pour aller consulter des médecins a l'hôpital St-Louis, consentit à rester encore u
s. Samedis, de dix heures à midi, 49, rue Saint-And ré-des-Arts. (Les médecins , les étudiants et les membres de l'enseignement s
s pensées ingénieuses, qni révèlent l'éducation de son esprit. « Ce médecin a toute la tenue d'un psychologue. En L'invitant
resque inconscient, il perd 6a résistance et se laisse dominer par le médecin , qui peut alors inspirer a l'esprit de son patien
e et l'automatisme. € Pour accomplir pareille tache, il faut que le médecin possède une volonté bien affermie, une grande pat
choisi comme matière de son discours lo sujet suivant : L'autorité du médecin reconquise par une réforme dans l'enseignement mé
les moyens qui lui semblent le plus efficaces pour étendre le rôle dn médecin et lui faire retrouver tout sou prestige ancien.
nterghem. Comme beaucoup d'antres il constate que dans l'éducation du médecin de nos jours, on vise pins à l'érudition qu'A l'e
ation de l'Ecole de psychologie. Le nombre croissant des étudiants et médecins qui en suivent les enseignements psychologiques i
D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHOLOGIE Présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière Séance du 15 murs 1910 La s
culaire dans la rééducation d'anormaux par M. le Dr Joies Voisin, médecin honoraire de la Salpêtrlère Je vous ai déjà ent
onographe, rendra des services si elle est appliquée au malade par un médecin expérimenté ; cependant elle ne vaudra jamais la
stances secondaires et sur lesquelles doit se régler immédiatement le médecin au cours delà suggestion sommique. PSYCHOLOGIE
lé, p. 134. Manifeste contre le concours de l'agrégation, p. 258. Médecin psychologue et philosophe, par Debove. p. 221.
19 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
et-Sanglé, p. 18. II. — JURISPRUDENCE MÉDICALE. — Condamnation d'un médecin qui a couvert de son diplôme un cas d'exercice il
e de leurs expériences. Ce fut le 13 novembre 1841 que James Braid, médecin do Manchester, eut pour la première fois l'occasi
a eu recours à toutes sortes de médicaments; il a consulté plusieurs médecins , neurologistes et uliénisles. Ni lo bromure, ni l
le ; son cas est si grave que chaque jour il y a consultation de deux médecins ; plusieurs personnes sont obligées de la veiller
-il que cette malheureuse soit à toute extrémité pour qu'un troisième médecin , — et un médecin de Paris — soit reconnu nécessai
heureuse soit à toute extrémité pour qu'un troisième médecin, — et un médecin de Paris — soit reconnu nécessaire ! » Je m'att
e « méningite pernicieuse»; volontiers même ils diraient que les deux médecins n'entendent rien à ce cas. Je m'informe alors a
'est pas grave, il guérira un jour ou l'autre. Ce que l'on demande au médecin , c'est l'atténuation ou même la disparition plus
nt, si je n'avais dû rentrer précipitamment à Paris. lin outre, les médecins consultants ou traitants doivent bien peser la po
. Il admire le stratagème de la mort simulée. Nos lecteurs qui sont médecins ne s'y seront pas trompés. II s'agit très simplem
és savantes, 28, ruo Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. La prochaine séanoo de la So
ctobre 1899, h 4 heures et demie. Les séances sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. A
age de savants c: de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement/page> page
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le Dr Bérilion, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complè
réuni on 1889 un nombre/page> page n="36"> considérable de médecins , de professeurs de philosophie, de magistrats, d'
. _ COMMISSION D'ORGANISATION Président. M. le Dr Voisin (Jules), médecin de la Salpêtrière, président de la Société d'hypn
néral à la Cour de cassation. Secrétaire général. M. le Df Bkmllon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés do la Seine, dire
docteur en droit; IcD' Lsmhsi-e (Henry), licencié en droit; Lépina?, médecin vétérinaire ; le Dr Regnault (Félix), ancien inte
udes. Membres de la Commission d'organisation MM. le Dr Babinski. médecin de la Pitié. le Dr Bérillon, médecin inspecteur
nisation MM. le Dr Babinski. médecin de la Pitié. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés de la Seine. di
té de Nancy. Boirac, recteur de l'Académie do Grenoble, le Dr Briand, médecin en chef de l'Asile de Villejuif. Caustibr, profes
ophiques et sociales. Coutaud, docteur en droit, le Dr Charpentier, médecin de la Salpêtrière. Dauriag (Lionel), prof, à la F
(Lionel), prof, à la Faculté des Lettres de Montpellier, le Dr Deny, médecin de la Salpêtriere. Dyvrande, procureur de la Répu
iere. Dyvrande, procureur de la République, à Dieppe, le Dr Déjerine, médecin de la Salpétrière, agrégé à la Faculté, le Dr Far
Je Dr Grasset, professeur à la Faculté de Montpellier, le Dr Legrain, médecin de l'asile de Ville-Evrard. le Dr Lépinë, profess
ice-président de la Société d'hypnologie. le Dr Marandon de Mostrysl, médecin de l'asile de Ville-Évrard. Melcot, avocat généra
(Paul), vice-président du Tribunal de la Seine, le Dr Voisin (Jules), médecin du la Salpèirière. COMITÉ DE PATR0NAGE Allemagn
, le Dr Morsblli, professeur à l'Université de Turin, lu Dr .ci....:, médecin de l'asile de Keggio-Emilia. RusSie. MM. le D
démie de Grenoble ; de M. le professeur Raymond; de M. le D'Babinski, médecin de la Pitié; de M. le professeur IJernheim fde Na
énéral de la Société d'assistance ; de M. le D' Marandon do Monthyel, médecin de Ville-Kvrard; de M. le Dr Deny, médecin de la
e D' Marandon do Monthyel, médecin de Ville-Kvrard; de M. le Dr Deny, médecin de la Salpétrière ; de M. le Dr Henry Lemeslc; de
M. le Président annonce la présence à la séance de M.le D'de Peters, médecin de l'hôpital des enfants de Saint-Pétersbourg et
; selon l'usage, en un banquet confraternel. M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétriere, présidait. Parmi les nombreu
Albert Robin, membre de l'Académie ee médecine : de M. le D'Babinski, médecin de la Pitié; Tarde, chef de la statistique au Min
stère de la justice; Paul Joire, de Lille; Bourdon, de Méru: Legrain, médecin de l'asile de Villcjuif; Christian, médecin de l'
ourdon, de Méru: Legrain, médecin de l'asile de Villcjuif; Christian, médecin de l'asile de Charcn-ton; Deny, médecin de la Sal
sile de Villcjuif; Christian, médecin de l'asile de Charcn-ton; Deny, médecin de la Salpétriere, etc. .M. le Secrétaire génér
rprète des sentiments de la presse médicale en souhaitant l'union des médecins sur le terrain scientifique. _ Des applications
à se promener dans toute sa maison. Ce malade a consulté plusieurs médecins depuis six mois. Je reKve dans ses traitements
ssez rebelle ; parfois même clic fait le desespoir des parents et des médecins . C'est en vain, en effet, que trop souvent on rec
ir été accepté par ces dernières, il n'aura pas pu être obtenu par le médecin . Le sommeil naturel est un état passif que nous
rer le poignet d'uno ficelle, ou mieux d'un brin de laine I I I (2) Médecin né ù Sienne en 1500, mort de la peste, ù Trente,
e tartre. L'huile de vers de terre était également employée par les médecins pour guérir les maux de gorge des enfants. Nos pa
dangereuses. On a toujours confiance en la vertu de la galette, et le médecin est appelé à la dernière extrémité, alors que sou
rants. Le Congrès de l'hypnotisme a donc été surtout une réunion de médecins qui sont venus exposer leurs procédés, leurs cure
ont été échangés entre cet orateur et M". Del bœuf, qui, n'étant pas médecin , ne pouvait évidemment laisser plaider le monopol
nt pas médecin, ne pouvait évidemment laisser plaider le monopole des médecins pour les pratiques d'hypnotisme. Malgré notre sym
que des dégénérés d'une autre espèce, il n'y avait qu'un pas ; et des médecins et des professeurs ont fait depuis peu quelque ag
ce Congrès que l'hypnotisme est entré décidément dans la pratique des médecins , et cela pour le plus grand profit des malades, q
aux dernières réserves de la matière médicale. Puisque maintenant les médecins sont largement entrés dans cette voie, ceux-ci so
Correspondant Médical,/page> page n="68"> défie de citer un médecin de province qui leur vienne à la cheville. » ¦T
à la cheville. » ¦Te veux répondre à ce défi par la biographie d'un médecin rural dont les découvertes ont été longtemps méco
mènes ou Braidisme (du nomj/page> page n="69"> de Braid, le médecin anglais) a pour cause la fixation d'un point bril
se confessa encore le 14 août, et supplia qu'on le fit communier. Les médecins s'y opposèrent. Le 17 août, il demanda un ecclési
istesse. Au moment de sa mort, comme Marguerite lui annonçait que les médecins désespéraient de le sauver. «Ah! ma sœur, s'écria
atoire et somnambulisme hypnotique. (') par M. ie Docteur Baeikski, Médecin de la Pitié. Cette dame que je vous présente et
mpétence pour traiter eux-mêmes les maladies et faire concurrence aux médecins ». Le jugement n'a pas dégagé suffisamment la q
s masseurs-magnétiseurs ne sont que les exécuteurs de l'ordonnance du médecin la loi cesse de leur être applicable, mais quand
traitement, tout exercice habituel de l'art de guérir sans diplôme de médecin ; que lo passage du rapport de M. Chevandier cité
e, seraient permises à toute personne, même non munie d'un diplôme de médecin , mais que rien n'autorise à admettre que le légis
récision les actes constituant ou ne constituant pas l'exercice de la médecins gt qu'on a préféré « laisser aux tribunaux plus d
ce pour traiter eux-mêmes les maladies et faire ainsi concurrence aux médecins ; Attendu que si leurs pratiques sont sans aucu
moins empêcher le client qui s'y fie de recourir cn temps utile à un médecin dans le cas ùo une médication prompte et énergiqu
e. Pour lui, il n'y a pas de fluide, il y a simplement suggestion. Le médecin suggère de faire tel acte : il persuade au malade
il (hypnose), le sujet est merveilleusement plastique sous la main du médecin ; alors intervient la nouvelle thérapeutique, la p
beau feu, d'un petit bourg lorrain, de la maison rustique d'un simple médecin de campagne. Par sa volonté il avait groupé toute
litions anti-scientifiques et toutes les injures ; l'effort du pauvre médecin de campagne, resté foute sa vie provincial, a ray
, le premier professeur de clinique médicale est Cor-visart. Ce grand médecin fait connaître en France et perfectionne la percu
maladie qui devenait un être imaginaire, admis exclusivement par les médecins « semiacéphales »qui faisaient encore de l'ontolo
il, l'ultime remède de bonnes femmes, et on ne se décide à appeler le médecin qu'après avoir constaté son inefficacité. (1) B
de l'urine d'homme. » Et le D* Bidault conclut que, même quand les médecins , les prêtres, et tous ceux qui ont quelque influe
ets relatifs ù la santé des enfants, a adressé à un certain nombre de médecins , un questionnaire sur le sommeil de l'enfant. ï.e
. Toutefois, l'enfant ne dort bien que seul dans son lit, et tous les médecins s'élèvent contre l'habitude de les coucher avec l
és savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpétrïêre. La prochaine séance de la So
Octobre 1899, à 4 heures et demie. Les séances sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
u'un d'eux est malade, estiment tout à fait inutile de faire venir le médecin . Les Christian Scientist's ont déjà eu plusieurs
asserons donc par la prière et l'élévation de l'esprit vers Dieu. Les médecins de cette école s'appellent a peu près guérisseurs
nt 4 New-York, duns l'hôpital Bellevue. Il disait aux malades : a Les médecins de la maison sont vos pires ennemis. Mais je suis
ans un état de somnambu-lisme profond. Si ce cas se présentait, les médecins qui connaissent bien l'hypnotisme sont suffisamme
ce devront pas hésiter à réclamer l'examen mental des témoins, par un médecin compétent, au point de vue spécial de la possibil
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiante un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
thérapie. Tous les jeudis, ù 10 heures et demie, M. le Dr Bcrillon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complè
t; Congrès de la Société italienne de Psychiatrie. — Le Congrès des médecins aliénistes italiens se tiendra à Naples du 10 au
aris). La semaine dernière a succombé M. le Dr Jules-Fénélon Simon, médecin honoraire des hôpitaux de Paris. Le célèbre prati
itons Axen-feld, Damaschino, Galezowski, Mechnikoff, Oppert parmi les médecins et les savants; Offenbach, Verdi parmi les artist
Max Nordau est une des ligures les plus originales de notre époque. Médecin estimé, aimable causeur, figure fine et sympathiq
hommes ou femmes, riches ou pauvres, exagèrent leurs souffrances. Le médecin de l'asthme doit discerner toujours entre l'autos
er les soins de propreté et se déshabituer de vivre cn plein air. Les médecins ne sont pas non plus tout à fait à l'abri de repr
ur le terrain de la suggestion, c'est l'influence personnelle. Chaque médecin , dans la pratique, sait jusqu'où il peut réussir
st impossible d'épuiser ici ce chapitre d'un si grand intérêt. Tout médecin qui a traité l'asthme dans plusieurs cas, sait qu
culier celui du changement de climat, ce qui prouve l'incertitude des médecins et nui équivaut à une condamnation à mort. Du res
, couvert de pustules, servait de fétiche aux anciens Péruviens. Le médecin , en simulant la divinité, peut devenir lui-même r
hystérique et suggestion. Conrcrenco faite par SI. le Dr Babjssk!, médecin de la Pitié. La choréc hystérique est une choré
siège de l'hystérie, d'où le nom de cette dernière. Pour de nombreux médecins et aussi pour la masse du peuple, l'hystérie a pa
nduite, j'ai toujours été fidèle à mon mari ! » C'est en 1618 qu'un médecin français, Carolus Piso, soutint que l'hystérie ap
s et qu'elle a son siège dans le cerveau. Violemment combattu par les médecins de son temps, il fut soutenu par Willis et Sydenh
és savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Les prochaines séances de la
nt lieu les troisièmes mardis de chaque mois à 4 heures et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
à été suivie : a Ce que tout le monde sait, c'est que Duchêne était médecin , médecin praticien, qu'il électrlsait des gens pa
vie : a Ce que tout le monde sait, c'est que Duchêne était médecin, médecin praticien, qu'il électrlsait des gens paralytique
as par de3 cures étonnantes que Duchéne s'est distingué parmi tousles médecins de son époque. C'est encore moins par la découver
le à la partie malade. D'autre part, on a quelques exemples que des médecins ou des chirurgiens , e'étant adonnés d'une manièr
nage desavants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complè
itaires de Port-Royal; 1 professeur de philosophie, 1 chirurgien, 1 médecin , 3 administrateurs, 2 employés de commerce, dont
des états profonds de l'hypnose, peut être aisément appliqué par tout médecin capable de faire un accouchement. Avec l'auteur
ne serait pas complet, aucun désagrément n'est à craindre ni pour le médecin , ni pour la malade. Ne lui ayant pas promis d'ava
collègue, j'estime que « le résultat à obtenir vaut la peine que les médecins s'en préoccupent. Ils ne doivent pas oublier quo
fanteras dans la douleur... Je répéterai donc, en terminant, que le médecin qui n'a pas à son service les moyens de la psycho
és savantes, 28, rue Serpente, sous ia présidence de M. Jules Voisin, médecin de ïa Salpélrière. Les prochaines séances de ta
nt lieu les troisièmes mardis de chaque mois â 4 heures et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
publier un récit prouvant que le fait peut être réel. Le Dr Mabboux, médecin à Contrexéville, alors qu'il était aide-major aux
oursuivit régulièrement. . Si extraordinaire que le cas ai; paru au médecin , bien que ce dernier reconnaisse qu'on n'a pas vu
> sonnellemcnt et depuis de longues années le DrMabboux comme un médecin distingué, instruit et judicieux, et qu'une erreu
nage desavants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le D' Bérillon, médecin inspecteur des iisiles publics d'aliénés, y compl
quinze ans et, ,au milieu d'une assistance attentive et railleuse de médecins et d'étudiants, il l'endormit par les procédés de
ai, mais nous avons le sujet entre les mains. Dans ces conditions, un médecin neurologiste expert, commis par le juge d'instruc
la découverte de la vérité, et nous n'hésitons pas à affirmer que lo médecin neurologiste pourra, dans un grand nombre de cas.
nages. On en a vu tromper ainsi, non seulement leur famille, mais les médecins et les tribunaux, qui se laissaient prendre à l'a
taïre à l'hypnotisme, cela tient fort souvent bien moins à elle qu'au médecin . M. Bérillon. — Il convient, en effet, de prépa
x premières phalanges digitales. M. D... avait consulté de nombreux médecins et avait suivi, il va sans dire, de nombreux trai
avoir perdu la force, le goût, le sens du rire, deux doctes et graves médecins , l'un en France, l'autre en Allemagne, dissertaie
Gocleniuslïudolphus.filsd'un philosophe du mémo nom, fut lui-même un médecin , un savant, un hygiéniste de valeur, qui a peut-ê
ie n'est pas indigne d'examen, il se nommait Laurent Joubert il était médecin ordinaire et conseiller du roi, premier docteur r
t à la science grecque. Dans le pays d'Ilippo-crate et de Galien, les médecins se tiennent au courant du mouvement thérapeutique
és savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Les prochaines séances de la
nt lieu les troisièmes mardis de chaque mois à 4 heures et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister'. Ad
époques variables. Cette malade, qui est actuellement au service d'un médecin , vient de voir se reproduire ces accidents. En te
s et Arts de 2'jrd3-i>'.x ; Lande, président de I'Aesooisiticn des médecins de la Gironde ; Davezsc, président de la Sociélé
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis ot samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et .étudiants régulièrement inscrits sont admis ù
thérapie. Tons les jeudis, à 10 heures et demie, M. Î3 Dr Bérllîon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complè
conscient sans doute, mais non moins bien averti que les plus habiles médecins hypnotiseurs. ' Au demeurant, cet art n'est ni
eur paraîtront douteux, à demander un examen médico-légal fait par un médecin compétent de l'état de suggestion-nabilité de cer
eune fille, sous forme do coxalgie droite avec luxation externe. Un médecin espagnol, le Dr Abdon Sanchez Herrero, professeur
lorsque les malades viennent duns une clinique ou duns le cabinet du médecin , peut-on être sûr qu'ils sont réellement ù jeun?
il opérait ù l'hôpital et n'oublions pas que là, la responsabilité du médecin est considérablement atténuée. Il n'en est pas de
ne privée dans son cabinet. M. Albert Chaiipentier. — Cependant, un médecin de Tîelfort ne craint aucunement de recourir à l'
Magnin. — Cela ressemble à ce qui est arrivé jadis, à la Pitié, à un médecin des hôpitaux qu'il est superflu de nommer. Il pré
asthéniques précis, on a attribué ces troubles à de l'hystérie, et le médecin consultant de Lariboîsièro a conseillé du bromure
s un accès de colère morbide, tira plusieurs coups de revolver sur le médecin en chef de l'établissement qui succomba. Condamné
puis duns une maison de santé. Un autre confrère italien, M. Baudi, médecin en chef do l'hôpital Santo-Spirilo, fut également
ute, comme le disent MM. Du-four et Habaud, parce que l'attention des médecins n'a pas été appelée du côté de l'appareil pulmona
és savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la SHlpéirière. Les prochaines séances de la
nt lieu les troisièmes mardis de chaque mois à 4 heures et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné â fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. h midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complè
agies guéries par la suggestion hypaoticrue par le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétriere. Je comptais vous présenter a
on dont ceux-ci peuvent être victimes, par la suggestion qu'exerce le médecin interrogateur. La critique et le classement des s
és savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Snlpctriore. La prochaine séance de la So
nt lieu les troisièmes mardis de chaque mois à 4 heures et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. a midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complè
aintenant la situation n'est plus tenable et, sur le conseil de notre médecin , j'ai pu amener la pauvre malade à Paris, afin de
proclame tout à fait bien portante, et elle refuse de recevoir aucun médecin . Si vous vous présentez comme docteur, vous lui d
traitement suggestif. Elle explique à sapa-rente « quejenesuis pas un médecin comme un autre..., que je ne prescris pas de médi
e cours de cette maladie, pour remédier à des troubles cardiaques, le médecin pourtant dut recourir à des injeetions hypodermiq
és savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpélrière. La prochaine séance de la So
nt lieu les troisièmes mardis de chaque mois à 4 heures et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
ons qui constituent les ? œuvres d'art ». La morphinomanie chez les médecins . M. Crothers, chargé par un comité d'études de
t que les résultats de ses observations sur la morphinomanie chez les médecins . Sur 3244 médecins exerçant dans l'est, le cent
e ses observations sur la morphinomanie chez les médecins. Sur 3244 médecins exerçant dans l'est, le centre et quelques provin
'alcool avec Intempérance. Dans une autre série d'observations. 170 médecins (soit 7 ·/„) usaient ouvertement d'opium et de mo
é trouvés morphinomanes. M. Crothcrs, conclut on ces termes : « Des médecins ne devraient jamais se faire d'Injection de morph
onfrère sérieux. * Il ne faudrait jamais prescrire de morphine à un médecin névropathe, tant quo l'on ne serait pas intimemen
s intimement convaincu do l'absolue nécessité du remède. Enfin, si le médecin se laisse aller à l'usage de la morphine, il doit
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le D' Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complè
e heure. Faculté de médecine (École pratique). — M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d aliénés commencer
La polyurie hystérique et la suggestion (') par M. le. Dr SnuQuES, médecin des hôpitaux. Cette polyurie, pour être rare, n
eu de méthylène comme moyen de suggestion, par M. ie Dr Jules Voisin, médecin de la Salpê:rière. Une jeune fille de 22 ans, h
gure de ceux qui le possèdent. C'est du moins ce qu'affirme un savant médecin de Vienne, le Dr Mœbius. D'après lui, le talent m
és savantes, 28, rus Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. La prochaine séance de la So
nt lieu les troisièmes mardis de chaque mois à 4 heures et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
D'ORGANISATION. Bureau Président. M. lo docteur Voisin (Jules), médecin de lr. Salpetrière, président de la Société d'hyp
la Cour de Cassation. Secrétaire général. M. le docteur Bëhillon, médecin Inspecteur des asiles d'aliénés de la Seine, dire
en droit. le docteur Lemesle (Henry); licencié en droit. I-épinay, médecin vétérinaire. le docteur Regnault (Fi-lixt, anci
nsidéré, par la population sage du pays, comme un illuminé dangereux. Médecin , il s'est voué à la pratique des experiences a"hy
iation, à laquelle Il tient, a été déjà réalisée en ce siècle par des médecins illustres; elle l'est par le chef actuel de l'éco
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
gratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis.de 10 h. ù midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis ù
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complo
DE LA FACULTÉ DE MÉDECINE Semestre d'été 1900. M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, commence
es-Arts (le jeudi à 10 h. 1/2). Hôpital de la Pitié. — M. Babinski, médecin à l'hôpital de la Pitié, reprendra ses conférence
médecin-directeur de la colonie familiale de Dun-sur-Auron, est nommé médecin en chef à l'asile de Villejuif. VAdministrateur
al du corpus humanum. Suggestion par lettre. Par M. Jules Voisin, médecin de la Salpêtrlère. Je vous ni entretenus, le mo
un malade par la suggestion à l'état do veille, c'est ce que tous les médecins font dans la pratique courante ; provoquer l'hypn
me, après midi, nous avons rempli cette mission, avec l'assistance du médecin du Bureau de bienfaisance,en présence du maire et
u dans la localité vers cette époque. D'après les renseignements du médecin , ce jeune homme n'aurait commencé qu'il y a trois
ns l'assurance de la guérison, tout en les entraînant au dehors. Au médecin , devant le maire et le greffier, nous exposâmes a
ne devaient être prises qu'en présence, ou d'après les indications du médecin traitant. Il n'y avait d'ailleurs aucune urgence
tre considéré comme exact. Le 5 mars, après lecture d'une lettre du médecin traitant, insérée dans un journal, nous adression
és savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. La prochaine séance de la So
ont lieu les troisièmes mardis de chaque mois à 4 heures etdemie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
M. le ministre de la marine a délégué au même titre M. le DT Vincent, médecin principal de la marine. — L'Académie royale de
ospice de la Salpétriere, sous la direction de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétriere. Cette visite sera suivie d'un
me provisoire : i° Discours de réception par M. le D' Jules Voisin, médecin de la Salpétriere, président du congrès. 2° Dis
Jules Voisin, présidentde la Société d'IIypnologie et de Psychologie, médecin de la Salpétriere, a commencé dans son service (s
r Marinesco, p. 214. Collège de France, p. 256. Condamnation d'un médecin qui a couvert de son diplôme un cas d'exercice il
sous l'influence du), par Bérillon, p. 308. Morphinomanie chez les médecins (La), par Crothers, p. 317. Naundorff (La réhab
20 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
isme, onychophagie. de W£- ongle, et -sa^:». manger. La plupart des médecins qui se sont occupes de la dégénérescence hérédita
e d'habitude d'onanisme. Tel est l'avis aussi de M. Jules Voisin, médecin de la Salpètrière. dont le service comprend la se
onvchophagie et des autres habitudes automatiquesde l'enfant, les médecins , il faut le reconhaltrcj ne s'eri soni pas préocc
ts, sulfate de quinine, macération de quassia amara, rte...) D autres médecins ont conseillé de porter constamment des gants ou
très rapide puisqu'â l'âge de 16 ans, il merare 1 m. 68. Plusieurs médecins ont élé consultés à son sujet ; l'ail d'eux a dit
giciens, sont à la fois astrologues, musiciens, poêles, législateurs, médecins , prêtres, Pour eux les corps célestes avaient une
it des mains des dieux : Pline en taisait aussi l'éloge : Andromaque. médecin de Néron, inventait la tliériaque. sorte d électu
ine et lui suggérera de guérir : en montrant au client ce que fait le médecin et pourquoi il le fait, nous enseignons à la mass
ntes et a venir!... La vulgarisation médicale n'est pas inutile aux médecins : elle remémore â nos confrères les notions exact
, les rapports entre les anciens et les modernes, que vieux et jeunes médecins ne sauraient plus se comprendre sans interprètes.
imret : « I_es gens du monde lisent trop de livres de médecine et les médecins pas assez! » Nos confrères nous reprochent, par
n dangereuse : « J ai peur écrit, je crois. Leibtutz . que les grands médecins fassent mourir autant île monde que les grands ca
agc de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
tes ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de dix heures à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
e reconnaître officiellement le traitement par l'hypnotisme : « Les médecins auront le droit il appliquer I hvpnose au traitem
haque cas d application de traitement par 1 hvpnose, en désignant les médecins en présence desquels le malade aura été hypnotisé
dogic auraient stilli pour le placer â un rang hors de pair parmi les médecins de ce siècle. Les leçons sur l'hypnotisme ont ren
Elle eut la peau du genou horriblement fendue. Ou fit venir l'un des médecins les plus connus de la localité, qui nettoya la pl
ma voisine de campagne. Là elle eut recours pendant quelque temps aux médecins île la localité qui ne purent améliorer son état.
des» a M. Von Winiwarter. pour ne |ias m'exposer, moi qui ne suis pas médecin , à donner des renseignements inexacts. Je pourr
é d'une dillicullé d'uriner qui le faisait horriblement souirrir. Les médecins traitants croyaient à l'existence de calculs. Ou
ades qui faisaient jadis et font encore niaiulciiaiil le désespoir du médecin . Au Imut d'un mois de traitement, les angoisses
tes avec succes par la suggestion Par M. le Docteur Auguste Voisin. médecin de la Salpètriere 1° Nêvràlgîe tri/aciale. — At
e de- savants et de- professeurs autorisés, est destiné a fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
tes ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de dix heures à midi. Les médecins et étudiants réguliè-remeut inscrits sont admis à
yres- Oin-dorcel. M. le IV Kruould. de Liège. M. le D' Jules V oisin. médecin de la Salpétrière. .M. le IV Bérillon. médecin in
. le D' Jules V oisin. médecin de la Salpétrière. .M. le IV Bérillon. médecin inspecteur adjoint des asiles d'aliénés, M. l'éch
d Empire, dans la période de création des chemins de fer. Le tour des médecins est peut-être arrivé. J'incline à l'admettre quan
J'incline à l'admettre quand je constate le nombre extraordinaire de médecins qui siègent dans les conseils électifs et le rôle
le professeur Bouchard avait ap|c|é à Besancon un grand nombre de médecins éminents étrangers et francais. Beaucoup de ses é
troubles de la personnalité ou île la mémoire. On peut dire que ce médecin a crée, par ses quelques publications, ce formida
gie encore si inculte, dont la connaissance serait si utile à tant de médecins , mais surtout aux allenistes; NÉCROLOGIE Char
artin Charcot avait été reçu docteur en 1853. En 1856, il était nommé médecin du bureau central des hôpitaux ; professeur agrég
sur les personnes que l'on veut guérir. Le sommeil, a écrit un ancien médecin est le meilleur des remèdes. Rien ne prévaudra ja
Il y a dans cette observation quelques points intéressants et pour le médecin ordinaire et pour l'hypnotiseur. Le traitement hy
u la voix par suite de l'emploi d'une méthode défectueuse. Souvent le médecin ne s en aperçoit pas. de sorte que le malade cont
ge de savants et de professeurs autorisés, est destiné :à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
tes ont lieu les mardis, jeudis-et samedis, de dix heures à midi. Les médecins et étudiants régulié-remeut inscrits sont admis à
Thulié. professeur à l'Ecole d'anthropologie et de M. le Dr Babinski, médecin îles hôpitaux de Paris. Esprits frappeurs. Qu
d'un repas succulent offert, avec une exquise cordialité, aux membres médecins du congres par la Société de médecine de- Besanco
de faire examiner M. X... au point de vue mental ; en admettant qu'un médecin ait été commis, certainement il n'aurait trouvé a
face : les idées obsédantes du malade sont de notoriété publique, le médecin commis connaît le malade, son rapport conclut à l
re un peu de gymmaslique Ses parents se décident à l'interner et le médecin de la famille qui a suivi le développement de la
une peine des plus graves. Mais si l'examen de son état mental par un médecin allénïstc avait été ordonné, on aurait certaineme
classe de criminels à pari, qui relèvent complètement et seulement du médecin : ce sont de véritables aliénés. A TRAVERS LES
rniers temps, une question qui, malgré la résistance de deux ou trois médecins légistes d'autrefois, a été déjà vidée en faveur
ecine de Paris, Devergie, qui approuva le rapport d'une commission de médecins de Marseille, fait en faveur d'une jeune fille en
ommettre des actes délictueux. J'étais donc d'accord avec les anciens médecins légistes. J'arrivai alors à cette conclusion, q
plication de l'hypnotsme par des personnes non pourvues du diplôme de médecin . Il est vraî-semblable que dans l'esprit de beauc
adémie deux exemplaires d'une brochure due à lu plume du Dr Brasseur. médecin de l'hôpital de Schaerbeeh. Elle est intitulée :
est-ce pas un plaisir divin pour un journaliste que de se gausser des médecins diplômés et de la médecine ? « Déjà, le journal
n ne supprimerait pas les jurys d'examen. Tout le monde pourrait être médecin sans subir d épreuves préalables. J'estime qu'i
ormal dans la façon dnnl il a rte rxercé. Voici comment : Lorsqu'un médecin étranger, diplômé, praticien distingué mémo, dema
amen du troisième doctorat est chargé d'apprécier les aptitudes de ce médecin et de dire s'il peut être autorisé à pratiquer la
. Il ne semble donc que. lorsqu'il s'agit d'autoriser un individu non médecin a exercer une branche médicale quelconque, ou pse
d'ailleurs que cet homme pratiquera l'hypnotisme sans l'assistance de médecins ? J'aî de sérieux motifs de ne pas le croire. M
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiauls un enseignement pratique permane
tes ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de dix heures à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis â
mentale, psychologie et éducation de l'idiot. par le Dr jvles Voisin, médecin de In Salpétrière. t vol. in-12 avec 17 gravures
t qu'ils deviennent utiles à eux-mêmes et à la société. Le savant médecin de la Salpétrière a écrit un livre essentiellemen
appelaient cette méthode un charlatanisme indigne de la profession de médecin et considéraient l'hypnose et la suggestion comme
res méthodes thérapeutiques, du moins quand elle est appliquée par un médecin compétent. Quant au danger de l'hypnose et de la
et quelques-uns ont même, des convulsions. J'ai été pendant 15 ans le médecin d'une famille où un hématophobe se révéla dès sa
r dans l'origine de cette affection le conduisirent à Rochefort où le médecin diagnostiqua l'épilepsie, bien que le sujet eût l
s de poitrine, elle eut une syncope à chaque saignée, même lorsque le médecin l'empêchait de voir son sang couler. Plus tard, c
milliers d'exemples où la vue du sang inspire les mêmes affres et le médecin qui exerce à ta campagne et qui est obligé, quand
d'un de ces cas qui. s'ils se sont déjà présentés à l'observation du médecin , n'ont peut-être pas eu souvent le même dénouemen
ouvent l'objet, sa guérisou, surtout par le fait de la médecine ou du médecin , ne doit pas être chose fréquente. Voilà pourquoi
Méru, très inquiets sur le compte de leur fille unique à laquelle son médecin avait dit qu'il n'y pouvait rien, me font venir p
larmes, des sanglots, de» gestes éperdus qu'ils poursuivent tou» les médecins de leurs doléances. et jamais on ne verrait la li
guration eut lieu le 25 mai dernier en présence d'une cinquantaine de médecins . Voici quelle est la disposition de l'établisse
cité, de la chimie, de la microseopie et de la photographie. Quelques médecins désireux de s'initiera la pratique de la psychoth
nce, je vous rappelle que notre clinique est libéralement ouverte aux médecins qui désirent voir notre installation et s'initier
es recherches. « Je voudrais pouvoir travailler de concert avec des médecins désireux de s'initiera la science de l'hypnotisme
cera son droit : « Je voudrais pouvoir travailler de concert avec des médecins , etc. ». Le Ministre ouvre une enquête, comme c
uer l'hypnotisme. a J'ai vu M. Denis à l'œuvre en présence de trois médecins de Verviers, et ses procédés ou démonstrations m'
nière très correcte quand il demande de « pouvoir travailler avec des médecins désireux de s'instruire à la science «le l'hypnot
ficier de son intervention spéciale s'exercant toujours sous l'œil du médecin , ou du moins sous la direction générale du médeci
ours sous l'œil du médecin, ou du moins sous la direction générale du médecin . « En conséquence, j'estime qu'il y a lieu, de
tion de pratiquer l'hypnotisme avec le concours et sons le couvert de médecins , pas autrement. Veuillez noter enfin que l'arrêté
peut donc pratiquer l'hypnotisme qu'en présence et sous l'égide d'un médecin ? M. Masoin. — Assurément. Je dirai même que la
erait la pratique de I hvpnotisme que sous la direction générale d'un médecin . Malheureusement, tel n'est pas le cas pour la pr
tipulé que le sieur X... devra opérer sous l'œil et la direction d'un médecin . Et alors, nous osons espérer qu'il aura conquis
'il aura conquis une sinécure : car il ne se trouvera pas beaucoup de médecins qui s'adresseront â une personne étrangère à tout
slaw Soubotisch. membre de la Société d'hypnologie vient d'être nommé médecin de l'asile d'aliénés de Belgrade (Serbie). Inst
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
tes ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de dix heures a midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
samedi à 'i heures : L'évolution de f esclavage. Banquet offert aux médecins de l'escadre russe. Vendredi dernier. 20 octobr
et offert sur l'initiation de I Association de la presse médicale aux médecins de la (lotte russe, venus à Paris avec 1 amiral A
présidée par M- le professeur Cornil, on remarquait «l'abord les cinq médecins de l'escadre russe : MM. les Dr' Brandt (Nicolas
cas, M. le Dr Leroy de Mérlcourt, M. le Dr' Bonnafy, M. le Dr Hyades. médecin en chef de l'escadre de la Méditerranée: M. le Dr
re de la Méditerranée: M. le Dr Kuff. président «le l'Association des médecins de la réserve et de la territoriale. MM. les Dr S
rgue, Gou-guenheim. Vahlde. Meyer. Leblond, Ollivier : et de nombreux médecins et chirurgiens des hôpitaux, M. Marcel Baudouin,
ononce le discours suivant : Messieurs, En fêtant aujourd'hui les médecins de la flootte raste et en leur souhaitant la bien
n» souvenir», je voi«. il y a trente el un au». Botkin. le «avant, le médecin célèbre, dont le fil» c»l juste en face de moi el
Beauraelz. directeur du service de tante de l'armée de terre; Hyades, médecin principal de la flotte; Laborde, prononcent tour
ur à tour drs discours très applaudi». M. Botkin, qui est à la fois médecin et enseigne de vaisseau de la Hotte russe, remerc
rches ethnographiques et de linguistique comparée. — Le congrès des médecins aliénistes a décidé, qu à l'avenir il associerait
s aliénistes a décidé, qu à l'avenir il associerait à ses travaux les médecins qui s'occupent de neurologie. Désormais le cong
Désormais le congrès prendra le nom plus compréhensif de Congrès des médecins aliénistes et neurologistcs de France et des pays
ons honorifiques. — MM. les docteurs Okhotine. Medvie-def et Arîstof ( médecins de la marine russe) sont chevaliers de la Légion
evila. La réunion était fort peu nombreuse, exclusivement composée de médecins , de philosophes, professeurs ou amateurs, et de p
rand nombre de ses membres. Les candidatures de M. le Dr Levillaîn, médecin de l'établisse nu-ut hvdrolhérapique de Nice et d
e réveil, mais il reparaît «piami le malade n'est plus en présence du médecin . La différence dans les résultats obtenus tient a
'aux os. Et c'est là ce qui m'attend, n Comme on le voit le tact du médecin chargé de raisonner cet esprit inquiet n'est pas
murmure imperceptible. Dans ces conditions, elle surprit beaucoup le médecin qui en alhrmant que. m elle ne pouvait pas parler
e des membres inférieurs. Les informations que j'ai prises auprès des médecins exerçant dans les régions minières dn Xor-thumber
en rencontre partout nu milieu du monde où nous vivons. — Il y a des médecins épilepliques, des prêtres épilepliques, des teneu
age de savants et de professeur» autorisés, est destiné h fournîr aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
tes ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de dix heures â midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
e son accident, on s'en aperçut seulement alors, et l'on fit venir un médecin qui tenta en vain d'extraire ce corps. Puis on en
ermina chez elle un violent accès hystérique pour lequel on appela un médecin de mon voisinage qui. l'accès calmé, conseilla de
cès calmé, conseilla de me l'amener, et vint avec elle. Je fus le 23e médecin consulté pour l'objet, cause de tant de maux depu
4. Mme Robert, sur mon invitation, alla présenter sa fille aux quatre médecins qui lui avaient montré le plus d'intérêt, ils pri
Il y avait longtemps que de pareilles choses étaient jugées! Les deux médecins de Maréville en rirent de bon cœur et lui assurèr
irait que quand cette petite ne grimacerait plus en parlant! Enfin un médecin qui avait constaté la cécité complète de l'œil dr
à une telle épreuve ! Manière d'agir plus qu'incroyable, aucun de ces médecins ne voulut jeter les yeux sur la perle de verre qu
angeté. on regarde comme impossibles. D'après leur état d'esprit, ces médecins ne purent guère agir ni parler autrement qu'ils l
ir, une des conclusions à tirer de cette présente observation que des médecins ont prise pour une jonglerie, c'est qu'on doit, a
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
tes ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de dix heures à midi. Les médecins et étudiants réguliè-rement inscrits sont admis :
et le classement, la marche et le traitement attirent l'attention des médecins depuis quelques années. Je n'envisage le svmptôme
iénés de la Seine. Depuis quelques années, divers travaux dus â des médecins militaires ont appelé l'attention sur la fréquenc
ce pratique que la connaissance de l'hystérie mâle peut avoir pour le médecin militaire. Presque simultanément, M. le Dr Dupon-
elle mérite, par conséquent, d'attirer au même titre l'attention des médecins militaires. En 1890, nous avons publié dans la
se plus délicate et bien faits pour mettre à l'épreuve la sagacité du médecin le plus compétent cl le plus exercé. Nous voulons
ne M. C... nous devons nous empresser de le reconnaître, la tache des médecins militaires, s'il n'avait eu à leur égard une défi
ssion quelconque. II croit cependant qu'il lui serait possible d'être médecin dans une campagne retirée, ayant remarqué qu'il n
rrillain et moi. Il n'a jamais osé faire part de ses émotions à aucun médecin militaire dans la crainte d'être signalé comme un
s des aliénés devant la Justice. Communication faite an Congrès des médecins aliéuislcs (La Rochelle). M. le Dr Cullerre. mé
n Congrès des médecins aliéuislcs (La Rochelle). M. le Dr Cullerre. médecin de l'asile de La Roche-sur-Yon. — Les problèmes r
devant la justice n'ont pas exercé beaucoup jusqu'ici la sagacité des médecins légistes, sans doute parer que les occasions
pour la société de confier certaines expertises médico-légales à des médecins qui. n'ayant pas de connaissances pratiques, expé
t il n'est pas besoin d'insister longuement pour démontrer combien le médecin expert, l'avocat et le magistrat ont intérêt â bi
cher et se réveiller sans avoir le souvenir de son accouchement. Tout médecin , tout magistrat, sur cette affirmation d'une pers
ble d'établir l'irresponsabilité du somnambule, il reste un devoir au médecin expert. c'est d'établir la responsabilitéde l
sponsabilitéde l'hypnotiseur, du fascinateur. et.dans cet ouvrage, le médecin trouvera encore les éléments nécessaires à cette
e dans chacune de ses conclusions. Le rôle que H. Mesnet accorde au médecin en ces graves questions de somnambulisme prouve u
and honneur à la médecine française. Cet ouvrage est de ceux que le médecin aura le devoir de lire et de méditer. Dr DUMONT
eliers, d'usines, de collèges et de pensions tout autant que pour les médecins de soupçonner partout cet ennemi menaçant, de le
lle se rallie à la proposition du Dr Crossmann tendant à seconder les médecins russes qui se proposent de demander à être traité
quelquefois au nombre ite plusieurs mille, chante des cantiques. Quel médecin hypnotiseur peut déployer une pareille mise en sc
st pas fictive. Maïs d'ordinaire des certificats délivrés par des médecins de province, autorisés par l'administration de Lo
rtificats d'infirmité délivrés, un peu à la légère peut-être, par des médecins qui ne croyaient pas du tout en agissant ainsi fa
des incrédules. La discussion devient possible. On cite l'opinion des médecins qui, parfois, sont des autorités dans l'art médic
regard si nécessaires. C'est ce qui explique la faiblesse de certains médecins débutant dans cet art, et comment d'autres n'y pa
orsqu'il se produit une contravention aux lois de la nature. Ainsi le médecin officiel des pèlerinages rejette du compté des mi
sont : I" Les hystériques. C'est le plus grand nombre, m'a avoué le médecin de Lourdes. Il s'agit de paraplégies, «le mutité,
Notre-Dame de Lourdes peut donc donner des succès thérapeutiques au médecin qui l'ordonne. Mais il ne faudrait pas croire q
teinte d'une paralvsie nerveuse. La malade avait dans l'esprit que le médecin serait impuissant à la guérir et qu'un miracle po
itôt ii se confesser. Lorsqu il eut accompli ce devoir religieux; les médecins déclarèrent à ses serviteurs qu'il n'y avait plus
'un jeune homme, grièvement blessé à la poitrine, était abandonné des médecins , qui le croyaient sur le point d'expirer. Ses cam
es thérapeutiques, son emploi devrait être confié exclusivement à des médecins expérimentés, et que jamais il ne faudrait hvpnot
u banquet offert sous son initalive par le corps médical français aux médecins de l'escadre russe. Celle brochure est désormais
réunis en Assembié.- générale le 12 janvier 1891. sont davis que les médecin » français doivent prendre une part active au Cong
suivantes : 1° Ce Congrès est la suite des ri-unions analogues et les médecins français doivent d'autans, moins déserter ces gra
criminels, dont I internement pourra être perpétuel. Il le sera sile médecin déclare que l'aliéné dont il s'agit est légitimem
eebuto— ce qui est la règle. il ne serait reluis eu liberté que si le médecin déclarait le contraire. La proposition de loi d
age de savants el de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un ensei-gnement pratique perman
es ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de dix heure» à midi. I.es médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
l'Ecole pratique de la Faculté de Médecine. M. le docteur Bérillon. médecin inspecteur adjoint des asiles publics d'aliénés,
la valeur thérapeulique de l'hypnose ne se sont pas confirmées. Aucun médecin , ayant en vue l'intérêt vrai tle ses clients, n'a
atique que dérivent les accidents. Voici comment fut dirigée par ce médecin la suggestion dite thérapeutique. M... est endo
reuses, Et voici plus loin, un précepte que je donne et auquel tout médecin devra s'astreindre pour sauvegarder sa conscience
tement d'au très suggestions que celles nécessaires a sa guérison. Le médecin n'a de droits que ceux qui lui sont conférés par
nt formel du malade, fut-elle dans l'intérêt de la science. Encore le médecin ne doit-il pas profiter de son autorité sur le ma
ccompagna d'un tic facial convulsif continu. Au bout de six mois un médecin du Brésil essaya l'hypnotisme cl parvint dès la s
cl chaudes, l'électricité statique, tous les bromures; je fus le l!V médecin consulté. Charcol l'avait été avant moi. Le 21 ju
instantanément, en lui disant simplement : « Dormez. » Son mari et le médecin brésilien lavaient endormie comme moi. Elle était
rhumes, ces bronchites, ces angines simples, ces diarrhées, que nous, médecins , avons contractées en soignant tels ou tels malad
ogie ¦ :¦ i! i ¦ .¦ bitons dès aujourd hni que l'accueil fait par le* médecins italiens • ton» leurs confrères, sans distinction
médical. Il insiste sur la réserve qui est toujours recommandée au médecin , même ris-i-vïs de son malade. Dans les cas d'a
Mai» avant de quitter Paris, le client s'en alla consulter un antre médecin ancien chef de clinique de Bouillaud, qui se crut
nage de savants et de professeurs autorises, est destiné a fournir au médecins et aux étudiants un enseignement pratique permana
tes ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de dix heures à midi. Les médecins el étudiants régulièrement inseriis sont admis à
l'Ecole pratique de In Faculté ds Médecine. M. le docteur Bérillon. médecin inspecteur adjoint des asiles publics d'aliénés,
éral de la Société de laryngologîe cl dolologic de Paris. a été nommé médecin auriste de l'Institut départemental des sourds-mu
l dressé par I administration de l'Assistance publique, le nombre des médecins , chirurgien- et accoucheurs îles hôpilaux de l'ar
ait de 202. Médecin- honoraires. 16; — chirurgiens honoraires, 9; — médecins en exercice. 88 : — chirurgiens en exercice, 44;
s en exercice. 88 : — chirurgiens en exercice, 44; — Bureau central : médecins . 18 ; chirurgiens. 14 Accoucheurs titulaires. 7 ;
insuccès désagréables et susceptibles de nuire à la considération du médecin , mais parce que, dans certaines familles, les acc
moralité du peuple ; et une série de conférences dans lesquelles les médecins aliénistes montreraient à la masse le trouble int
m'accompagner est de combattre une théorie qui a cours parmi certains médecins psychologues, c'est-à-dire que la fin d'un traite
on n célébré avec éclnt le jubilé scientifique du IV Mavrogeni pacha, médecin particulier du sultan. A cette occasion, le D' Pa
t de la prédisposition morbides et de la dégénérescence, pur Ch Fêrê, médecin de Bicetre. (1 vol. in-12 avec Sa gravures dans l
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné a fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
uites ont Heu les mardis, jeudis et samedis, de 10 heures à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis a
que les autres hommes ne sont exempts de ces pseudo-phobies. Ainsi un médecin de beaucoup d'esprit. Pierre d'Apono. éprouvait u
nàl qu'elle allait mourir enragée. C'est vainement que parents, mari, médecin , cherchèrent à lui démontrer qu'il ne pouvait y a
renouveler leur tentative. C'est « qu'ils ont peur de se confesser au médecin » cl cependant quelques-uns de ces hommes sont à
-phobiques les deux variétés suivantes que IL Mathieu (1) signale, Un médecin nerveux, arthritique, atteint de colite pseudo-me
ne œuvre primitive : • le monde physique. » Nous avons affaire à un médecin philosophe et c'est ici surtout qu'on (I) L'n v
sée qu'il pourrait devenir épilcptique, il a été consulter différents médecins qui lui ont affirmé qu'il n'avait rien, mais son
médicaux tous les symptômes, et l'a forcé d'aller consulter plusieurs médecins dont les certificats disent qu'il est atteint de
ronage de savants de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants, un enseignement pratique perman
ratuites ont lieu les mardi-, Jeudis et samedis, de 10 h. a midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis a
olonie sont parfaitement appropriés. La direction en est confiée à un médecin assisté de plusieurs confrères et qui aura la hau
l'accouchement, par Le Menant des Chesnais, 324. Banquet offert aux médecins de l'escadre russe, 156. Banquet de la Société
21 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
professeur à II Faculté de Bordeaux; BARETY (de Nice) ; DE BEAUVAIS, médecin de Mazas; BERNHEIM. prof, à la Faculté de Nancy;
enève ; LIÉBEAULT (de Nancy); LUYS, membre de l'Académie de médecine, médecin de la Charité; MESNET, médecin de l'Hôtel-Dieu ;
UYS, membre de l'Académie de médecine, médecin de la Charité; MESNET, médecin de l'Hôtel-Dieu ; MA BILLE, médecin en chef de l'
e, médecin de la Charité; MESNET, médecin de l'Hôtel-Dieu ; MA BILLE, médecin en chef de l'asile de Lafond ; Paul MAGNIN; J. OC
le de Lafond ; Paul MAGNIN; J. OCHOROWICZ; L. TETARD ; Aug. VOISIN, médecin de la Salpetrière, etc ; et MM. LIEGEOIS, profess
s lesquels peut être utilement envisagée la question. Psychologues, médecins , pédagogues, magistrats, avocats, penseurs, tous
on pour les troubles circulatoires et, dans ce cas, si l'on n'est pas médecin , n'essayer l'hypnotisation qu'après avoir pris l'
as médecin, n'essayer l'hypnotisation qu'après avoir pris l'avis d'un médecin , compétent; 3° Faire bien sentir au sujet qu'
impute assez fréquemment à l'hypnotisme. On ne s'improvise pas plus médecin hypnotiseur qu'on ne s'improvise oculiste. Nous
e-monnaie, mais dix sous de monnaie. Je ne les ai plus. — Pourquoi un médecin prendrait-il ses quelques sous à un pauvre garçon
estion est par cela même jugée. 5° L'examen médical du sujet par un médecin bien au courant de la question permettra, je croi
elé en consultation à ce moment et mis au courant de ces faits par le médecin de la famille, j'offris d'essayer d'endormir la m
t hypnotique, d'agir par suggestion sur ce cerveau déséquilibré. Le médecin et les parents ayant accepté cet essai, je fus pr
ès bref je répondis que j'étais appelé par ses parents, son mari, son médecin ; en pareille circonstance, je ne m'arrêtais pas
ée. Le lendemain, je me présentai à la malade en même temps que son médecin ordinaire, et fis connaître à Mme B..., qui ne s'
nné de ma présence. Après avoir été présenté dans les formes comme un médecin l'ayant soigné pendant sa maladie et ayant une ce
mportance considérable. Pendant cinq ans, de 1880 à 1885, le savant médecin de Nice a eu l'occasion de soigner une douzaine d
NDANCE ET CHRONIQUE Tentative de meurtre par un aliéné sur M. Deny, médecin de Bicêtre. On se souvient qu'au mois de novemb
'année dernière un certificat de sortie. La préfecture, sur l'avis du médecin délégué, !a refusa. Trois autres certificats eure
démontrer que la mesure prise n'était pas justifiée. — Un relevé de médecins , officiers de santé, sages-femmes, pharmaciens et
tabac met au concours, voici les termes de celles qui intéressent les médecins : N° 1. — Prix de 600 francs. — Un prix de 600
ICO-LÉGALES Par M. le D' MESNET MEMBRE DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE, MÉDECIN DE L'HOTEL-DIEU La communication que j'ai l'hon
t l'obligèrent un assez grand nombre de fois à recourir aux soins des médecins de la Salpetrière. A dix-huit ans. elle se gage
e que l'hystérique, que l'épileptique: c'est un malade chez lequel le médecin aura toujours à rechercher les troubles dynamique
n en chef de l'Asile de Lafond (Charente-Inférieure), et J. RAMADIER, médecin adjoint (i). Le malade qui fait le sujet de ce
rande hystérie durent chez V... pendant un temps fort long, comme les médecins qui l'ont observé ont pu le constater. Elles s'
tir du lit, pleure parce qu'il ne peut jouer avec ses petits amis. Le médecin ne peut le guérir, « Il y a six mois qu'il a mal
vésica-toires! », fait le geste de les arracher, s'indigne contre le médecin , M. Lacuire ; il a mal à la jambe droite, qui est
. Ce sont les docteurs Forbes Winslov. Peddie et Skoe, tous trois médecins aliénistes, qui ont pris en main cette grave ques
ois années. La gravité de la dipsomanie a paru tellement grande aux médecins de l'Angleterre et de l'Amérique, où cette maladi
ni plus d'un an, à moins d'ordres contraires » d'un magistrat ou d'un médecin inspecteur des asiles d'aliénés. » La question
'exercice de l'hypnotisme, pour n'en permettre l'usage discret qu'aux médecins dans le traitement des névropathies ? Tous les in
e savant et curieux est digne, au plus haut point, d'être signale aux médecins , aux philosophes et à tous les esprits cultivés q
tuel et de la sédentarité dans les écoles Par M. le Docteur Féréol, médecin à la Charité (i) En ce qui concerne le surmenag
ucation doivent suffire. Mais, quand des parents éplorés amèneront au médecin hypnotiseur un enfant atteint de la monomanie du
art de cette singulière erreur que rien n'autorisait. II n'est pas de médecin , en effet, qui ne sache que ces faits, très intér
de M. le docteur de Beauvais, a décerné les récompenses suivantes aux médecins et pharmaciens ci-dessous désignés : Médailles
es (de Saint-Denis). Au grade de chevalier. — M. le docteur Tapret, médecin des hôpitaux de Paris. M. le docteur Terrillon. c
ôpitaux ; M. le docteur Dechaux (de Mont-luçon); M. le docteur Gouël. médecin de l'asile de Villepinte ; M. le docteur Espiau d
e docteur Espiau de Lamaestre (de Ville-Evrard); M. le docteur Giben, médecin du bureau de bienfaisance du XIIe arrondissement
hevalier du Mérite agricole a été conférée à MM. les docteurs Dufour, médecin en chef de l'asile de Saint-Robert; Ribes, à Guch
eine à me faire pénétrer jusqu'à elle, car elle n'a pas voulu voir de médecin depuis longtemps ; ce sont des vomissements et so
lle se cache sous ses couvertures en déclarant qu'elle ne veut pas de médecin ; à tout instant elle vomit du mucus et elle mani
les leçons sur les Phréno-. pathies, a jusqu'à présent, en dehors des médecins aliénistes. sollicité à peine l'attention des psy
s aliénistes. sollicité à peine l'attention des psychologistes et des médecins . Et, cependant ! pour peu qu'on y réfléchisse, qu
appey Le Cerveau et le Surmenage scolaire Par M. le Docteur Luys, médecin de la Charité I Permettez-moi, messieurs, de
les magnétiseurs, les thaumaturges. Il ajoute spirituellement que les médecins qui prescrivent des pilules de mie de pain font d
ection d'hygiène du Collège médical de Vienne. Un certain nombre de médecins distingués ont déposé des conclusions qui se rapp
'instituteurs qui ont repondu à l'appel des organisateurs. Le Petit Médecin des familles, organe d'hygiène de l'enfance (24 r
irurgicale par hypnotisme et suggestion, par le Dr Pierre Santelli, médecin de la marine. Thèse de Montpellier, in-8, 1887 De
ISME(1) Par M. le Docteur J. LUYS membre de l'Académie de médecine, médecin de la charité (Suite et fin) Les personnes qu
nteuses et toxiques, vient tout d'un coup s'imposer à l'attention des médecins légistes. Voici la question nouvelle qui se pos
d à captiver l'attention des criminalistes, des psychologistes et des médecins . Je ne fais que vous en signaler la portée. Nou
e but louable de tous les efforts tentés dans cette direction par les médecins qui cherchent à enrichir l'an de guérir de procéd
quantité de métal ainsi dissous ? C'est d'après ce principe que des médecins ont ordonné, dans la dernière épidémie de choléra
quantité considérable d'huile essentielle de laurier-cerise. Tous les médecins connaissent bien l'engourdissement qui dure une p
faites avec la nitro-glycérine (i), « C'etait en 1877 ; j'étais alors médecin de la fonderie de Ruelle, où se fabriquent les ca
FÉRENCES DU MASSAGE Clinique de M. le Docteur DUJARDIN-BEAUMETZ médecin de l'hôpital cochin Dans cette leçon, je désire
présidentiel et la lecture de plusieurs rapports, M. le Dr Drysdale, médecin en chef du Metropolitan Free Hospital de Londres,
alade, et c'est cette conviction qui a poussé un très grand nombre de médecins de la Grande-Bretagne, et surtout des Etats-Unis
sitôt à se confesser. Lorsqu'il eut accompli ce devoir religieux, les médecins déclarèrent à ses serviteurs eu ii n'y avait plus
ésenté une grande activité. Hopital de la charité. — M. le Dr Luys. médecin de l'hôpital, a inauguré le jeudi 15 septembre, d
esseur Potain. Congrès international de Washington. — Près de 3,ooo médecins et chirurgiens venus de tous les pays du monde se
s malheureux de ce déplorable penchant. » Depuis Esquirol. tous les médecins ont insisté à l'envi sur l'in-curabiiité de l'ivr
l'abstinence complète que l'on n'est sûr d'obtenir, d'après certains médecins , que par la séquestration indéfiniment prolongée
; l'hypnotisme scientifique devient chaque jour, entre les mains des médecins , un précieux instrument dans le traitement de cer
enu. Etait-ce là un motif suffisant pour suspendre le traitement ? Le médecin italien crut devoir poursuivre son expérimentatio
Certes, ce sommeil artificiel peut être utile entre les mains d'un médecin expérimenté qui l'emploie comme moyen thérapeutiq
e, de chorée. de vésanies, etc., font le désespoir des familles et du médecin . Les auteurs de la communication partent de ce
guéries par la suggestion hypnotique, Par M. le Dr Auguste Voisin, médecin de la Salpétrière. Il n'est pas de vice plus dé
s, à tous les moyens conventifs et même coercitifs. Il n'est pas de médecin que cette résistance n'ait navré. Je me suis dema
réussite ait lieu et surtout pour qu'elle se fasse rapidement, que le médecin obtienne la concentration absolue de la pensée du
en face du problème le plus inextricable qu'on puisse imaginer. Si le médecin légiste suppose que l'accusé est un somnambule su
tisme, comme de tout ce qui existe, un bon ou un mauvais usage. Les médecins qui se servent de l'hypnotisme comme d'un moyen t
Le jour où la pratique de l'hypnotisme ne sera plus permise qu'aux médecins ou aux personnes qui offrent des garanties morale
e titres auxquels ils n'ont aucun droit et en particulier de celui de médecin . Il est temps de sévir contre cette industrie imm
mettre à des expériences d'hypnotisme a mystifié un certain nombre de médecins et de professeurs de Bordeaux. Ces faits sont reg
des horizons nouveaux. Ce qu'on doit surtout souhaiter, c'est que les médecins ne se désintéressent pas d'une question scientifi
stance des substances toxiques et médicamenteuses. Un grand nombre de médecins des hôpitaux, de professeurs de la Faculté et de
peut en attendre. J'ajouterai seulement qu'on ne s'improvise pas plus médecin hypnotiseur que médecin oculiste ou chirurgien ac
terai seulement qu'on ne s'improvise pas plus médecin hypnotiseur que médecin oculiste ou chirurgien accoucheur. Il faut un app
inhabiles ou malhonnêtes ; il faut donc la laisser exclusivement aux médecins . Toutes les fois que l'on aura un individu à hypn
nt échoué, et qu'il ne devrait être appliqué que sous la direction de médecins compétents et exercés. Plusieurs pédagogues émi
rente, nous avons le devoir de rappeler qu'on ne s'improvise pas plus médecin hypnotiseur qu'on ne saurait s'improviser, par ex
plus médecin hypnotiseur qu'on ne saurait s'improviser, par exemple, médecin oculiste. De même qu'il est admis que la pratiq
ons selon la résistance que l'on rencontre. La qualité dominante du médecin hypnotiseur doit être la prudence. A notre avis,
ez fréquemment à l'hypnotisme. Nous avons pu nous assurer que ceux, médecins ou autres, qui se plaignent de n'avoir eu à enreg
le sujet avait été frappé par l'opinion maintes fois exprimée par le médecin de la famille, que l'hypnotisme ne parviendrait p
sme ne parviendrait pas à le guérir. L'événement prouva pourtant n ce médecin qu'il s'était trompé. Il eut la bonne foi d'en co
, le concours de deux personnes sera nécessaire. 11 y aura d'abord le médecin qui mettra l'enfant dans les conditions voulues p
dique de faire appel au concours de la médecine. Le pédagogue et le médecin se compléteront l'un l'autre'dans la création d'u
té; mais l'historique ne doit pas remonter au delà de Braid. Braid, médecin de Manchester, découvrit, en 1840, le fait suivan
dans la première séance. Un insuccès de ce genre est pénible pour le médecin . A Nancy cependant, on réussit 92 fois sur 100, s
es préjugés de la clientèle, qui y voit une sorte de sorcellerie. L'n médecin qui avait obtenu d'excellents résultats en Anglet
es raisons, abandonner complètement son emploi. Hake Tuke, le célèbre médecin aliéniste anglais, de qui je tiens ce détail, qua
cheuses. Je ne crois pas que cela puisse arriver entre les mains d'un médecin consciencieux. S'il a été signalé de pareilles co
quence du pouls de douze pulsations. Chez le malade dont je parle, un médecin russe a obtenu la même modification. Si l'on su
Van Renterghem Le premier Congrès néerlandais de naturalistes et de médecins a eu lieu à Amsterdam le 3o septembre et le 1er o
l'œuvre de Braid a pu tomber dan» l'oubli et voilà encore pourquoi le médecin d'aujourd'hui préfère endormir ses mal ad.'i par
CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE L'hypnotisme officiel à Berlin. Un médecin distingué de Berlin, M. le docteur Moll, après av
ouvait manquer de s'engager sur ce sujet entièrement nouveau pour les médecins d'outre-Rhin. Mais il est écrit que nos confrèr
evient même uniquement à un Français, M. le docteur Liébeault, et aux médecins également français qui se sont faits ses disciple
e Berlin, à la suite de la communication de M. Moll. prouvent que les médecins allemands ne se tiennent pas, autant qu'on pourra
ez fréquemment que des reporters, assistant à des cours faits par des médecins sur l'hypnotisme, émaillent leurs comptes rendus
fé. Tout eût été pour le mieux si, dans la masse des étudiants et des médecins attirés par l'aurait scientifique de ces -phénomè
qu'il enseigne, a décidé de n'admettre les élèves en médecine et les médecins , aux démonstrations, que par-groupe ; d'une dizai
topsies medicóles proprement dites, c'est-à-dire faites pour fixer le médecin sur la nature de la maladie à laquelle a succombé
cun trouble cérébral, il n'y a pas de lésion cérébrale à chercher, le médecin n'a pas à examiner l'encéphale. S'il y a autopsie
R D'ASSISES Par M. le Dr A. LACASSAGNE professeur a la faculté de médecin » de lyon Le docteur Lamotte a été condamné, il
eur de médecine légale à la faculté de Montpellier; le docteur Cauvy, médecin des prisons de Nîmes; le docteur Marandon de Mont
Cauvy, médecin des prisons de Nîmes; le docteur Marandon de Montyel, médecin en chef de l'asile des aliénés de Marseille. C'es
s et a fait adopter cette façon de voir par le jury. Certainement, le médecin légal n'a pas la prétention d'être infaillible, m
faillible, mais dans une affaire de cet ordre, l'avis unanime de cinq médecins a bien cependant quelque importance. Il ne faudra
(Doin, éditeur.) nambulisme. Dans noire service d'hôpital, où le médecin à une plus grande autorité sur les malades, où l'
été une vraie révélation. je n'hésite pas à le dire, pour beaucoup de médecins qui ont bien voulu expérimenter à leur tour. L'
ré ses appels, se raidit de plus en plus, ¡1 demande en toute hâte un médecin . Il s'en présente un ; et le génie qui préside
pnotique. — Action des médicaments à distance. Par M. Jules VOISIN, médecin de 1a Salpêtrière M. Jules Voisin, frappé de l'
t assurer leur existence. M. Hardy. — Il y a actuellement entre les médecins des lycées une divergence complète d'opinions sur
tteint de pelade. Cette mesure a été généralement suivie par tous les médecins ; aussi la pelade est-elle devenue relativement ra
nt de pelade, cette maladie ayant été déclarée non contagieuse par le médecin de la famille. J'ai refusé ce certificat, pensant
cun champignon, aucun microorganisme produisant la pelade. Quelques médecins ont bien cru pouvoir accuser le trichophyton qu'o
les cheveux coupés ras, qu'à leur entrée leur tète lût visitée par le médecin de l'établissement, et que cet examen fût renouve
ycée d'Amiens ; nous en tenons la relation de M. le docteur Crémieux, médecin du lycée. A côté de ces épidémies auxquelles j'
ence n'est pas encore parvenue à en connaître l'essence elle-même. Un médecin vient d'être appelé et doit venir demain visiter
plus répugnantes, etc.. Elles mystifient tout leur entourage, mais le médecin est surtout celui dont elles aiment le mieux à su
is en lumière le caractère de ces malades. Grâce à leurs travaux, les médecins ont tous les moyens de déjouer les simulations, e
IRANTES ET DE MÉLANCOLIE AVEC CONSCIENCE Par M. le Dr Jules VOISIN, médecin de la Salpitrière. Mlle E. N..., âgée de 24 ans
l'électricité statique est alors entrepris sous l'habile direction du médecin de la famille. Ce traitement produit, au début, u
ts relates, sous les plus sérieuses garanties d'authenticité, par les médecins militaires, en sont la meilleure preuve. Dès 18
e de la femme, appliqué la désignation de Tarassis. En 18S6, un autre médecin de l'armée, Em. Du-ponchel, pensant qu'il y avait
dernier emprunte l'histoire suivante à un journal de Berlin. Quelques médecins homœopathes étant arrivés à la conviction que la
de l'eau distillée à la place d'une dilution quelconque et auquel son médecin homœo-pathe vint dire qu'il avait dû se tromper,
tout une médecine suggestive et que les granules que prescrivent les médecins homœopathes agissent surtout sur l'imagination de
et se font des rentes avec le nervosisme de leurs contemporains. Les médecins eux-mêmes ne sauraient qu'exceptionnellement être
istériel, en date du 7 janvier 1888. les fonctions de directeur et de médecin en chef de l'asile de Ville-Evrard seront dorénav
de rétablissement se composera ainsi qu'il suit: un directeur et deux médecins en chef. — Un des deux emplois de médecin adjoint
suit: un directeur et deux médecins en chef. — Un des deux emplois de médecin adjoint existants est supprimé. — Le docteur Paté
décédé. — MM. les docteurs Rey et Marandon de Monthyel sont nommés médecins en chef de l'asile de Ville-Evrard. — M. le docte
l'illusion, les paradis artificiels, etc., par le docteur Max Simon, médecin en chef de l'Asile de Brou. — 2e édition. In-12°
statistiques fournies par les magnétiseurs de profession, ou par les médecins . Dans l'étude physiologique de l'hypnotisme, ap
uré huit jours, ce qui lui était arrivé souvent dans mon service. Les médecins qui ont été appelés à le voir n'ont pas pensé que
lé de l'apoplectique de Londres, mais du dormeur de Londres. Quelques médecins anglais qui prétendent qu'on ne voit pas beaucoup
nombre, — et la preuve, c'est que moi, j'en vois assez souvent, — ces médecins , dis-je. ont surtout cherché si ce n'était pas un
, parce que je comprends les difficultés qui peuvent résulter pour le médecin d'une situation semblable. Il ne faut pas vous
. ÉPHÉMÉRIDES DE L'HYPNOTISME(1) 13 Novembre 1841. — James Braid, médecin de Manchester, a pour la première fois l'occasion
eot, dans de remarquantes leçons cliniques auxquelles se pressent les médecins et les personnalités les plus eminentes, expose l
o-thérapeutique n'a guère à se louer de son concours. Selon l'éminent médecin de la Salpêtrière, une faible fraction seulement
L'œuvre de James Braid trouva plutôt son continuateur dans un modeste médecin de campagne : le docteur A.-A. Liébeault. C'est
rnheim, concis, sobre, clair et convaincant, a su rallier beaucoup de médecins aux vues de l'école de Nancy. Dans ces derniers t
que suggestive fait son chemin dans tous les pays, maintenant que des médecins de l'Italie, de la Suisse, de la Russie, de l'Aut
eraheim et Liébeault, n'est-il pas triste de devoir constater que les médecins d'un seul pays de l'Europe continuent à faire une
On se rappelle, en effet, la réception malveillante faite à un jeune médecin allemand qui, — après avoir étudié l'hypnotisme à
. Deux professeurs de renom ont tancé d'importance et avec majesté ce médecin de malheur. L'histoire leur en tiendra compte. Le
ue, pour traiter un malade, il faut posséder l'art et la science d'un médecin ; or le premier paysan venu peut faire la suggest
s à l'avis du docteur Edgar Bérillon : « On ne s'improvise pas plus médecin hypnotiseur qu'on ne s'improvise oculiste. Nous a
à la persévérance et a la patience de la part du malade comme de son médecin . Il finit sa lecture en assurant le public que si
anière dont Loader reprit ses sens est loin de confirmer l'opinion du médecin . LE VOLÉ CROIT AVOIR ÉTÉ HYPNOTISÉ. Un report
R Observation recueillie dans le service de M. le Dr Marcel Briand. médecin en chef de l'Asile de Villejuif Par M. S. LWO
sister à une séance d'hypnotisme donnée par un sieur L.... soi-disant médecin , (nous avons en vain cherché ses nom et adresse d
ne auto-suggestion ; convaincus en quelque sorte que les manœuvres du médecin ont pour but leur guérison, ils finissent par gué
tion médicamenteuse, ayant servi aux expériences entreprises par deux médecins de Rochefort, sur l'action des médicaments à dist
orable membre a parlé hier sont décrits dans les ouvrages de certains médecins qui datent de soixante ans et qu'on en trouve les
l'artificielle suractivité de celui des premières. » « Je tiens d'un médecin de Wilna, écrit pour sa part Briquet, que dan
me nord, dans les pays chauds, la fréquence de l'hystérie est grande. Médecin en chef de l'hôpital militaire de Constantinople.
e et à la suprématie de l'imagination. Briquet, enfin, dit tenir d'un médecin de Florence qu'en Italie, les femmes sont assez f
nt, et c'est pour cette raison qu'ils offrent un si grand intérêt aux médecins qui s'occupent de l'étude des maladies nerveuses
ières. La conscience des juges n'était satisfaite que lorsque les médecins Avaient découvert la marque du diable, la région
le signe était diabolique. Les théologiens, les jurisconsultes et les médecins étaient donc d'accord pour condamner les sorciers
lève ou s'abaisse avec le niveau de la science de l'université. Les médecins ont protesté les premiers. L'admirable plaidoyer
ant l'observation sérieuse est entourée de difficultés. Cependant les médecins de Genève ont fait preuve de bon sens et de coura
ons qu'il faut attribuer pour beaucoup à cette vaillante attitude des médecins le fait que Michëe Chauderon fut la dernière sorc
brûlée â Genève. Dès qu'il fut manifeste qu'on ne trouverait plus de médecins dans cette ville pour condamner les sorcières, on
ension. Tenant compte de ces indications, il a semblé rationnel aux médecins consultants de diminuer d'abord le travail de l'e
ation. Voici une statistique curieuse qui est due à Mme Lucie Hall, médecin du Vassar College, qui semblerait donner tort aux
ande majorité de son sexe. » NÉCROLOGIE M. le Dr Belleti (C.-J.), médecin en chef de l'asile d'aliénés de Pontorson Manche]
rique, aux maladies des femmes et à la pathologie infantile. Tous les médecins peuvent en faire partie en adressant leur adhésio
artielle de la raison chez les aliénés, par le docteur Victor Parent, médecin de la maison de santé de Toulouse. — O.Doin, édit
ifférents, par trois orateurs autorisés, devant un public nombreux de médecins et de membres du corps enseignant. Enfin, la se
non hystériques et non léthargiques, sans résistance de leur part. Le médecin légiste qui, dans un cas d'accusation de viol en
de d'investigation clinique n'exige un apprentissage aussi long. Tout médecin d'hôpital qui. dans son service clinique, n'arriv
MENTALE PAR LA SUGGESTION HYPNOTIQUE Par M. le Dr Auguste VOISIN Médecin en chef de la salpêtrière J'ai continué, depuis
là des faits fort intéressants qui devraient être connus de tous les médecins . En admettant qu'il ne s'agisse que d'hystériqu
des séances publiques d'hypnotisme qui ne sont jamais faites par des médecins , car ces exhibitions théâtrales sont absolu-ment
ne qui y consent, à des expériences d'hypnotisme. Vouloir laisser aux médecins seuls le droit de pratiquer ces expériences pourr
mplement le conseil de s'assurer, dans certains cas, le concours d'un médecin expérimenté. Etant données les modifications ph
les modifications physiologiques qui surviennent chez l'hypnotisé, le médecin et le physiologiste ont seuls la compétence voulu
tion : l'enfant pour ses parents, pour ses maîtres, le malade pour le médecin , le criminel pour les juges, un animal pour le zo
oins approximative : ainsi, d'après les renseignements pris auprès de médecins très occupés, j'ai trouvé qu'on rencontre au plus
sur les membres inférieurs. En effet, la confiance du malade en ses médecins et son imagination surexcitée étaient si grandes,
urs plus tard, présenter son malade se mouvant normalement devant les médecins et les étudiants étonnés. » BIBLIOGRAPHIE La
cette étude présente autant d'intérêt pour le philosophe que pour le médecin . » Par ses connexions intimes avec la médecine
Dégénérescence et criminalité, essai physiologique par Ch. Fére, médecin de Bicêtre. Bibliothèque de philosophie contempor
de graves accidents. Enfin, récemment, nous recevions de M. Briant, médecin en chef de l'asile de Viilejuif, l'observation d'
e par M. Delbœuf lorsqu'il prétend que c'est aux magnétiseurs que les médecins doivent ce qu'ils savent en matière d'hypnotisme.
guidé MM. Charcot, Du-montpallier, Mesnet, Bernheim et tant d'autres médecins émi-nents dans leurs études cliniques sur l'hysté
t poursuivre des expériences de psychologie. Les philosophes et les médecins psychologues pourront à leur aise, sous leur resp
vénient, ni aucun danger. Mais elle ne doit être employée que par des médecins , et l'on ne saurait trop condamner ces exhibition
tolérerait, personne faisant de telles expériences, pas même des médecins régulièrement diplômés, et il n'y aurait sans dou
les laboratoires, dans les hôpitaux, dans le cabinet du savant et du médecin ; tout fait croire même que s'il opère cette retra
ur nature; si l'on en découvre, agir prudemment et, si l'on n'est pas médecin soi-même, prendre l'avis d'un homme compétent »
gnétisme, son appréciation saine et juste ont été surtout l'œuvre des médecins , quand les travaux les plus sérieux ou les découv
sérieux ou les découvertes les plus intéressantes se rattachent a des médecins tels que Braid. ou a des foyers de science médica
e que le point de vue moral est secondaire dans le débat et que nous, médecins , nous devons rester sur le terrain de l'hygiène.
l'hypnotisme, M. Charcot a une réputation universelle. La plupart des médecins le considèrent comme le prophète ae l'hypnotisme,
ancs (1). Cet ouvrage comprend quatre parties distinctes : 1° Les Médecins au moyen âge: Maîtres es arts. Mires. Physiciens,
de la Magic et de la Sorcellerie, Théologiens et Juges Démonologues, Médecins Démonologues, Possédés, Sorciers et Démonomanes,
date du 17 mai, les deux arrêtes qui suivent : M. Dagonet (Henri), médecin en chef de la division des homme» à l'asile publi
médecin-adjoint à l'asile public d'aliénés de Sainte-Anne, est nommê médecin en chef de la division des hommes dudit asile, en
22 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
professeur à II Faculté de Bordeaux; BARETY (de Nice) ; DE BEAUVAIS, médecin de Mazas; BERNHEIM. prof, à la Faculté de Nancy;
enève ; LIÉBEAULT (de Nancy); LUYS, membre de l'Académie de médecine, médecin de la Charité; MESNET, médecin de l'Hôtel-Dieu ;
UYS, membre de l'Académie de médecine, médecin de la Charité; MESNET, médecin de l'Hôtel-Dieu ; MA BILLE, médecin en chef de l'
e, médecin de la Charité; MESNET, médecin de l'Hôtel-Dieu ; MA BILLE, médecin en chef de l'asile de Lafond ; Paul MAGNIN; J. OC
le de Lafond ; Paul MAGNIN; J. OCHOROWICZ; L. TETARD ; Aug. VOISIN, médecin de la Salpetrière, etc ; et MM. LIEGEOIS, profess
s lesquels peut être utilement envisagée la question. Psychologues, médecins , pédagogues, magistrats, avocats, penseurs, tous
on pour les troubles circulatoires et, dans ce cas, si l'on n'est pas médecin , n'essayer l'hypnotisation qu'après avoir pris l'
as médecin, n'essayer l'hypnotisation qu'après avoir pris l'avis d'un médecin , compétent; 3° Faire bien sentir au sujet qu'
impute assez fréquemment à l'hypnotisme. On ne s'improvise pas plus médecin hypnotiseur qu'on ne s'improvise oculiste. Nous
e-monnaie, mais dix sous de monnaie. Je ne les ai plus. — Pourquoi un médecin prendrait-il ses quelques sous à un pauvre garçon
estion est par cela même jugée. 5° L'examen médical du sujet par un médecin bien au courant de la question permettra, je croi
elé en consultation à ce moment et mis au courant de ces faits par le médecin de la famille, j'offris d'essayer d'endormir la m
t hypnotique, d'agir par suggestion sur ce cerveau déséquilibré. Le médecin et les parents ayant accepté cet essai, je fus pr
ès bref je répondis que j'étais appelé par ses parents, son mari, son médecin ; en pareille circonstance, je ne m'arrêtais pas
ée. Le lendemain, je me présentai à la malade en même temps que son médecin ordinaire, et fis connaître à Mme B..., qui ne s'
nné de ma présence. Après avoir été présenté dans les formes comme un médecin l'ayant soigné pendant sa maladie et ayant une ce
mportance considérable. Pendant cinq ans, de 1880 à 1885, le savant médecin de Nice a eu l'occasion de soigner une douzaine d
NDANCE ET CHRONIQUE Tentative de meurtre par un aliéné sur M. Deny, médecin de Bicêtre. On se souvient qu'au mois de novemb
'année dernière un certificat de sortie. La préfecture, sur l'avis du médecin délégué, !a refusa. Trois autres certificats eure
démontrer que la mesure prise n'était pas justifiée. — Un relevé de médecins , officiers de santé, sages-femmes, pharmaciens et
tabac met au concours, voici les termes de celles qui intéressent les médecins : N° 1. — Prix de 600 francs. — Un prix de 600
ICO-LÉGALES Par M. le D' MESNET MEMBRE DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE, MÉDECIN DE L'HOTEL-DIEU La communication que j'ai l'hon
t l'obligèrent un assez grand nombre de fois à recourir aux soins des médecins de la Salpetrière. A dix-huit ans. elle se gage
e que l'hystérique, que l'épileptique: c'est un malade chez lequel le médecin aura toujours à rechercher les troubles dynamique
n en chef de l'Asile de Lafond (Charente-Inférieure), et J. RAMADIER, médecin adjoint (i). Le malade qui fait le sujet de ce
rande hystérie durent chez V... pendant un temps fort long, comme les médecins qui l'ont observé ont pu le constater. Elles s'
tir du lit, pleure parce qu'il ne peut jouer avec ses petits amis. Le médecin ne peut le guérir, « Il y a six mois qu'il a mal
vésica-toires! », fait le geste de les arracher, s'indigne contre le médecin , M. Lacuire ; il a mal à la jambe droite, qui est
. Ce sont les docteurs Forbes Winslov. Peddie et Skoe, tous trois médecins aliénistes, qui ont pris en main cette grave ques
ois années. La gravité de la dipsomanie a paru tellement grande aux médecins de l'Angleterre et de l'Amérique, où cette maladi
ni plus d'un an, à moins d'ordres contraires » d'un magistrat ou d'un médecin inspecteur des asiles d'aliénés. » La question
'exercice de l'hypnotisme, pour n'en permettre l'usage discret qu'aux médecins dans le traitement des névropathies ? Tous les in
e savant et curieux est digne, au plus haut point, d'être signale aux médecins , aux philosophes et à tous les esprits cultivés q
tuel et de la sédentarité dans les écoles Par M. le Docteur Féréol, médecin à la Charité (i) En ce qui concerne le surmenag
ucation doivent suffire. Mais, quand des parents éplorés amèneront au médecin hypnotiseur un enfant atteint de la monomanie du
art de cette singulière erreur que rien n'autorisait. II n'est pas de médecin , en effet, qui ne sache que ces faits, très intér
de M. le docteur de Beauvais, a décerné les récompenses suivantes aux médecins et pharmaciens ci-dessous désignés : Médailles
es (de Saint-Denis). Au grade de chevalier. — M. le docteur Tapret, médecin des hôpitaux de Paris. M. le docteur Terrillon. c
ôpitaux ; M. le docteur Dechaux (de Mont-luçon); M. le docteur Gouël. médecin de l'asile de Villepinte ; M. le docteur Espiau d
e docteur Espiau de Lamaestre (de Ville-Evrard); M. le docteur Giben, médecin du bureau de bienfaisance du XIIe arrondissement
hevalier du Mérite agricole a été conférée à MM. les docteurs Dufour, médecin en chef de l'asile de Saint-Robert; Ribes, à Guch
eine à me faire pénétrer jusqu'à elle, car elle n'a pas voulu voir de médecin depuis longtemps ; ce sont des vomissements et so
lle se cache sous ses couvertures en déclarant qu'elle ne veut pas de médecin ; à tout instant elle vomit du mucus et elle mani
les leçons sur les Phréno-. pathies, a jusqu'à présent, en dehors des médecins aliénistes. sollicité à peine l'attention des psy
s aliénistes. sollicité à peine l'attention des psychologistes et des médecins . Et, cependant ! pour peu qu'on y réfléchisse, qu
appey Le Cerveau et le Surmenage scolaire Par M. le Docteur Luys, médecin de la Charité I Permettez-moi, messieurs, de
les magnétiseurs, les thaumaturges. Il ajoute spirituellement que les médecins qui prescrivent des pilules de mie de pain font d
ection d'hygiène du Collège médical de Vienne. Un certain nombre de médecins distingués ont déposé des conclusions qui se rapp
'instituteurs qui ont repondu à l'appel des organisateurs. Le Petit Médecin des familles, organe d'hygiène de l'enfance (24 r
irurgicale par hypnotisme et suggestion, par le Dr Pierre Santelli, médecin de la marine. Thèse de Montpellier, in-8, 1887 De
ISME(1) Par M. le Docteur J. LUYS membre de l'Académie de médecine, médecin de la charité (Suite et fin) Les personnes qu
nteuses et toxiques, vient tout d'un coup s'imposer à l'attention des médecins légistes. Voici la question nouvelle qui se pos
d à captiver l'attention des criminalistes, des psychologistes et des médecins . Je ne fais que vous en signaler la portée. Nou
e but louable de tous les efforts tentés dans cette direction par les médecins qui cherchent à enrichir l'an de guérir de procéd
quantité de métal ainsi dissous ? C'est d'après ce principe que des médecins ont ordonné, dans la dernière épidémie de choléra
quantité considérable d'huile essentielle de laurier-cerise. Tous les médecins connaissent bien l'engourdissement qui dure une p
faites avec la nitro-glycérine (i), « C'etait en 1877 ; j'étais alors médecin de la fonderie de Ruelle, où se fabriquent les ca
FÉRENCES DU MASSAGE Clinique de M. le Docteur DUJARDIN-BEAUMETZ médecin de l'hôpital cochin Dans cette leçon, je désire
présidentiel et la lecture de plusieurs rapports, M. le Dr Drysdale, médecin en chef du Metropolitan Free Hospital de Londres,
alade, et c'est cette conviction qui a poussé un très grand nombre de médecins de la Grande-Bretagne, et surtout des Etats-Unis
sitôt à se confesser. Lorsqu'il eut accompli ce devoir religieux, les médecins déclarèrent à ses serviteurs eu ii n'y avait plus
ésenté une grande activité. Hopital de la charité. — M. le Dr Luys. médecin de l'hôpital, a inauguré le jeudi 15 septembre, d
esseur Potain. Congrès international de Washington. — Près de 3,ooo médecins et chirurgiens venus de tous les pays du monde se
s malheureux de ce déplorable penchant. » Depuis Esquirol. tous les médecins ont insisté à l'envi sur l'in-curabiiité de l'ivr
l'abstinence complète que l'on n'est sûr d'obtenir, d'après certains médecins , que par la séquestration indéfiniment prolongée
; l'hypnotisme scientifique devient chaque jour, entre les mains des médecins , un précieux instrument dans le traitement de cer
enu. Etait-ce là un motif suffisant pour suspendre le traitement ? Le médecin italien crut devoir poursuivre son expérimentatio
Certes, ce sommeil artificiel peut être utile entre les mains d'un médecin expérimenté qui l'emploie comme moyen thérapeutiq
e, de chorée. de vésanies, etc., font le désespoir des familles et du médecin . Les auteurs de la communication partent de ce
guéries par la suggestion hypnotique, Par M. le Dr Auguste Voisin, médecin de la Salpétrière. Il n'est pas de vice plus dé
s, à tous les moyens conventifs et même coercitifs. Il n'est pas de médecin que cette résistance n'ait navré. Je me suis dema
réussite ait lieu et surtout pour qu'elle se fasse rapidement, que le médecin obtienne la concentration absolue de la pensée du
en face du problème le plus inextricable qu'on puisse imaginer. Si le médecin légiste suppose que l'accusé est un somnambule su
tisme, comme de tout ce qui existe, un bon ou un mauvais usage. Les médecins qui se servent de l'hypnotisme comme d'un moyen t
Le jour où la pratique de l'hypnotisme ne sera plus permise qu'aux médecins ou aux personnes qui offrent des garanties morale
e titres auxquels ils n'ont aucun droit et en particulier de celui de médecin . Il est temps de sévir contre cette industrie imm
mettre à des expériences d'hypnotisme a mystifié un certain nombre de médecins et de professeurs de Bordeaux. Ces faits sont reg
des horizons nouveaux. Ce qu'on doit surtout souhaiter, c'est que les médecins ne se désintéressent pas d'une question scientifi
stance des substances toxiques et médicamenteuses. Un grand nombre de médecins des hôpitaux, de professeurs de la Faculté et de
peut en attendre. J'ajouterai seulement qu'on ne s'improvise pas plus médecin hypnotiseur que médecin oculiste ou chirurgien ac
terai seulement qu'on ne s'improvise pas plus médecin hypnotiseur que médecin oculiste ou chirurgien accoucheur. Il faut un app
inhabiles ou malhonnêtes ; il faut donc la laisser exclusivement aux médecins . Toutes les fois que l'on aura un individu à hypn
nt échoué, et qu'il ne devrait être appliqué que sous la direction de médecins compétents et exercés. Plusieurs pédagogues émi
rente, nous avons le devoir de rappeler qu'on ne s'improvise pas plus médecin hypnotiseur qu'on ne saurait s'improviser, par ex
plus médecin hypnotiseur qu'on ne saurait s'improviser, par exemple, médecin oculiste. De même qu'il est admis que la pratiq
ons selon la résistance que l'on rencontre. La qualité dominante du médecin hypnotiseur doit être la prudence. A notre avis,
ez fréquemment à l'hypnotisme. Nous avons pu nous assurer que ceux, médecins ou autres, qui se plaignent de n'avoir eu à enreg
le sujet avait été frappé par l'opinion maintes fois exprimée par le médecin de la famille, que l'hypnotisme ne parviendrait p
sme ne parviendrait pas à le guérir. L'événement prouva pourtant n ce médecin qu'il s'était trompé. Il eut la bonne foi d'en co
, le concours de deux personnes sera nécessaire. 11 y aura d'abord le médecin qui mettra l'enfant dans les conditions voulues p
dique de faire appel au concours de la médecine. Le pédagogue et le médecin se compléteront l'un l'autre'dans la création d'u
té; mais l'historique ne doit pas remonter au delà de Braid. Braid, médecin de Manchester, découvrit, en 1840, le fait suivan
dans la première séance. Un insuccès de ce genre est pénible pour le médecin . A Nancy cependant, on réussit 92 fois sur 100, s
es préjugés de la clientèle, qui y voit une sorte de sorcellerie. L'n médecin qui avait obtenu d'excellents résultats en Anglet
es raisons, abandonner complètement son emploi. Hake Tuke, le célèbre médecin aliéniste anglais, de qui je tiens ce détail, qua
cheuses. Je ne crois pas que cela puisse arriver entre les mains d'un médecin consciencieux. S'il a été signalé de pareilles co
quence du pouls de douze pulsations. Chez le malade dont je parle, un médecin russe a obtenu la même modification. Si l'on su
Van Renterghem Le premier Congrès néerlandais de naturalistes et de médecins a eu lieu à Amsterdam le 3o septembre et le 1er o
l'œuvre de Braid a pu tomber dan» l'oubli et voilà encore pourquoi le médecin d'aujourd'hui préfère endormir ses mal ad.'i par
CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE L'hypnotisme officiel à Berlin. Un médecin distingué de Berlin, M. le docteur Moll, après av
ouvait manquer de s'engager sur ce sujet entièrement nouveau pour les médecins d'outre-Rhin. Mais il est écrit que nos confrèr
evient même uniquement à un Français, M. le docteur Liébeault, et aux médecins également français qui se sont faits ses disciple
e Berlin, à la suite de la communication de M. Moll. prouvent que les médecins allemands ne se tiennent pas, autant qu'on pourra
ez fréquemment que des reporters, assistant à des cours faits par des médecins sur l'hypnotisme, émaillent leurs comptes rendus
fé. Tout eût été pour le mieux si, dans la masse des étudiants et des médecins attirés par l'aurait scientifique de ces -phénomè
qu'il enseigne, a décidé de n'admettre les élèves en médecine et les médecins , aux démonstrations, que par-groupe ; d'une dizai
topsies medicóles proprement dites, c'est-à-dire faites pour fixer le médecin sur la nature de la maladie à laquelle a succombé
cun trouble cérébral, il n'y a pas de lésion cérébrale à chercher, le médecin n'a pas à examiner l'encéphale. S'il y a autopsie
R D'ASSISES Par M. le Dr A. LACASSAGNE professeur a la faculté de médecin » de lyon Le docteur Lamotte a été condamné, il
eur de médecine légale à la faculté de Montpellier; le docteur Cauvy, médecin des prisons de Nîmes; le docteur Marandon de Mont
Cauvy, médecin des prisons de Nîmes; le docteur Marandon de Montyel, médecin en chef de l'asile des aliénés de Marseille. C'es
s et a fait adopter cette façon de voir par le jury. Certainement, le médecin légal n'a pas la prétention d'être infaillible, m
faillible, mais dans une affaire de cet ordre, l'avis unanime de cinq médecins a bien cependant quelque importance. Il ne faudra
(Doin, éditeur.) nambulisme. Dans noire service d'hôpital, où le médecin à une plus grande autorité sur les malades, où l'
été une vraie révélation. je n'hésite pas à le dire, pour beaucoup de médecins qui ont bien voulu expérimenter à leur tour. L'
ré ses appels, se raidit de plus en plus, ¡1 demande en toute hâte un médecin . Il s'en présente un ; et le génie qui préside
pnotique. — Action des médicaments à distance. Par M. Jules VOISIN, médecin de 1a Salpêtrière M. Jules Voisin, frappé de l'
t assurer leur existence. M. Hardy. — Il y a actuellement entre les médecins des lycées une divergence complète d'opinions sur
tteint de pelade. Cette mesure a été généralement suivie par tous les médecins ; aussi la pelade est-elle devenue relativement ra
nt de pelade, cette maladie ayant été déclarée non contagieuse par le médecin de la famille. J'ai refusé ce certificat, pensant
cun champignon, aucun microorganisme produisant la pelade. Quelques médecins ont bien cru pouvoir accuser le trichophyton qu'o
les cheveux coupés ras, qu'à leur entrée leur tète lût visitée par le médecin de l'établissement, et que cet examen fût renouve
ycée d'Amiens ; nous en tenons la relation de M. le docteur Crémieux, médecin du lycée. A côté de ces épidémies auxquelles j'
ence n'est pas encore parvenue à en connaître l'essence elle-même. Un médecin vient d'être appelé et doit venir demain visiter
plus répugnantes, etc.. Elles mystifient tout leur entourage, mais le médecin est surtout celui dont elles aiment le mieux à su
is en lumière le caractère de ces malades. Grâce à leurs travaux, les médecins ont tous les moyens de déjouer les simulations, e
IRANTES ET DE MÉLANCOLIE AVEC CONSCIENCE Par M. le Dr Jules VOISIN, médecin de la Salpitrière. Mlle E. N..., âgée de 24 ans
l'électricité statique est alors entrepris sous l'habile direction du médecin de la famille. Ce traitement produit, au début, u
ts relates, sous les plus sérieuses garanties d'authenticité, par les médecins militaires, en sont la meilleure preuve. Dès 18
e de la femme, appliqué la désignation de Tarassis. En 18S6, un autre médecin de l'armée, Em. Du-ponchel, pensant qu'il y avait
dernier emprunte l'histoire suivante à un journal de Berlin. Quelques médecins homœopathes étant arrivés à la conviction que la
de l'eau distillée à la place d'une dilution quelconque et auquel son médecin homœo-pathe vint dire qu'il avait dû se tromper,
tout une médecine suggestive et que les granules que prescrivent les médecins homœopathes agissent surtout sur l'imagination de
et se font des rentes avec le nervosisme de leurs contemporains. Les médecins eux-mêmes ne sauraient qu'exceptionnellement être
istériel, en date du 7 janvier 1888. les fonctions de directeur et de médecin en chef de l'asile de Ville-Evrard seront dorénav
de rétablissement se composera ainsi qu'il suit: un directeur et deux médecins en chef. — Un des deux emplois de médecin adjoint
suit: un directeur et deux médecins en chef. — Un des deux emplois de médecin adjoint existants est supprimé. — Le docteur Paté
décédé. — MM. les docteurs Rey et Marandon de Monthyel sont nommés médecins en chef de l'asile de Ville-Evrard. — M. le docte
l'illusion, les paradis artificiels, etc., par le docteur Max Simon, médecin en chef de l'Asile de Brou. — 2e édition. In-12°
statistiques fournies par les magnétiseurs de profession, ou par les médecins . Dans l'étude physiologique de l'hypnotisme, ap
uré huit jours, ce qui lui était arrivé souvent dans mon service. Les médecins qui ont été appelés à le voir n'ont pas pensé que
lé de l'apoplectique de Londres, mais du dormeur de Londres. Quelques médecins anglais qui prétendent qu'on ne voit pas beaucoup
nombre, — et la preuve, c'est que moi, j'en vois assez souvent, — ces médecins , dis-je. ont surtout cherché si ce n'était pas un
, parce que je comprends les difficultés qui peuvent résulter pour le médecin d'une situation semblable. Il ne faut pas vous
. ÉPHÉMÉRIDES DE L'HYPNOTISME(1) 13 Novembre 1841. — James Braid, médecin de Manchester, a pour la première fois l'occasion
eot, dans de remarquantes leçons cliniques auxquelles se pressent les médecins et les personnalités les plus eminentes, expose l
o-thérapeutique n'a guère à se louer de son concours. Selon l'éminent médecin de la Salpêtrière, une faible fraction seulement
L'œuvre de James Braid trouva plutôt son continuateur dans un modeste médecin de campagne : le docteur A.-A. Liébeault. C'est
rnheim, concis, sobre, clair et convaincant, a su rallier beaucoup de médecins aux vues de l'école de Nancy. Dans ces derniers t
que suggestive fait son chemin dans tous les pays, maintenant que des médecins de l'Italie, de la Suisse, de la Russie, de l'Aut
eraheim et Liébeault, n'est-il pas triste de devoir constater que les médecins d'un seul pays de l'Europe continuent à faire une
On se rappelle, en effet, la réception malveillante faite à un jeune médecin allemand qui, — après avoir étudié l'hypnotisme à
. Deux professeurs de renom ont tancé d'importance et avec majesté ce médecin de malheur. L'histoire leur en tiendra compte. Le
ue, pour traiter un malade, il faut posséder l'art et la science d'un médecin ; or le premier paysan venu peut faire la suggest
s à l'avis du docteur Edgar Bérillon : « On ne s'improvise pas plus médecin hypnotiseur qu'on ne s'improvise oculiste. Nous a
à la persévérance et a la patience de la part du malade comme de son médecin . Il finit sa lecture en assurant le public que si
anière dont Loader reprit ses sens est loin de confirmer l'opinion du médecin . LE VOLÉ CROIT AVOIR ÉTÉ HYPNOTISÉ. Un report
R Observation recueillie dans le service de M. le Dr Marcel Briand. médecin en chef de l'Asile de Villejuif Par M. S. LWO
sister à une séance d'hypnotisme donnée par un sieur L.... soi-disant médecin , (nous avons en vain cherché ses nom et adresse d
ne auto-suggestion ; convaincus en quelque sorte que les manœuvres du médecin ont pour but leur guérison, ils finissent par gué
tion médicamenteuse, ayant servi aux expériences entreprises par deux médecins de Rochefort, sur l'action des médicaments à dist
orable membre a parlé hier sont décrits dans les ouvrages de certains médecins qui datent de soixante ans et qu'on en trouve les
l'artificielle suractivité de celui des premières. » « Je tiens d'un médecin de Wilna, écrit pour sa part Briquet, que dan
me nord, dans les pays chauds, la fréquence de l'hystérie est grande. Médecin en chef de l'hôpital militaire de Constantinople.
e et à la suprématie de l'imagination. Briquet, enfin, dit tenir d'un médecin de Florence qu'en Italie, les femmes sont assez f
nt, et c'est pour cette raison qu'ils offrent un si grand intérêt aux médecins qui s'occupent de l'étude des maladies nerveuses
ières. La conscience des juges n'était satisfaite que lorsque les médecins Avaient découvert la marque du diable, la région
le signe était diabolique. Les théologiens, les jurisconsultes et les médecins étaient donc d'accord pour condamner les sorciers
lève ou s'abaisse avec le niveau de la science de l'université. Les médecins ont protesté les premiers. L'admirable plaidoyer
ant l'observation sérieuse est entourée de difficultés. Cependant les médecins de Genève ont fait preuve de bon sens et de coura
ons qu'il faut attribuer pour beaucoup à cette vaillante attitude des médecins le fait que Michëe Chauderon fut la dernière sorc
brûlée â Genève. Dès qu'il fut manifeste qu'on ne trouverait plus de médecins dans cette ville pour condamner les sorcières, on
ension. Tenant compte de ces indications, il a semblé rationnel aux médecins consultants de diminuer d'abord le travail de l'e
ation. Voici une statistique curieuse qui est due à Mme Lucie Hall, médecin du Vassar College, qui semblerait donner tort aux
ande majorité de son sexe. » NÉCROLOGIE M. le Dr Belleti (C.-J.), médecin en chef de l'asile d'aliénés de Pontorson Manche]
rique, aux maladies des femmes et à la pathologie infantile. Tous les médecins peuvent en faire partie en adressant leur adhésio
artielle de la raison chez les aliénés, par le docteur Victor Parent, médecin de la maison de santé de Toulouse. — O.Doin, édit
ifférents, par trois orateurs autorisés, devant un public nombreux de médecins et de membres du corps enseignant. Enfin, la se
non hystériques et non léthargiques, sans résistance de leur part. Le médecin légiste qui, dans un cas d'accusation de viol en
de d'investigation clinique n'exige un apprentissage aussi long. Tout médecin d'hôpital qui. dans son service clinique, n'arriv
MENTALE PAR LA SUGGESTION HYPNOTIQUE Par M. le Dr Auguste VOISIN Médecin en chef de la salpêtrière J'ai continué, depuis
là des faits fort intéressants qui devraient être connus de tous les médecins . En admettant qu'il ne s'agisse que d'hystériqu
des séances publiques d'hypnotisme qui ne sont jamais faites par des médecins , car ces exhibitions théâtrales sont absolu-ment
ne qui y consent, à des expériences d'hypnotisme. Vouloir laisser aux médecins seuls le droit de pratiquer ces expériences pourr
mplement le conseil de s'assurer, dans certains cas, le concours d'un médecin expérimenté. Etant données les modifications ph
les modifications physiologiques qui surviennent chez l'hypnotisé, le médecin et le physiologiste ont seuls la compétence voulu
tion : l'enfant pour ses parents, pour ses maîtres, le malade pour le médecin , le criminel pour les juges, un animal pour le zo
oins approximative : ainsi, d'après les renseignements pris auprès de médecins très occupés, j'ai trouvé qu'on rencontre au plus
sur les membres inférieurs. En effet, la confiance du malade en ses médecins et son imagination surexcitée étaient si grandes,
urs plus tard, présenter son malade se mouvant normalement devant les médecins et les étudiants étonnés. » BIBLIOGRAPHIE La
cette étude présente autant d'intérêt pour le philosophe que pour le médecin . » Par ses connexions intimes avec la médecine
Dégénérescence et criminalité, essai physiologique par Ch. Fére, médecin de Bicêtre. Bibliothèque de philosophie contempor
de graves accidents. Enfin, récemment, nous recevions de M. Briant, médecin en chef de l'asile de Viilejuif, l'observation d'
e par M. Delbœuf lorsqu'il prétend que c'est aux magnétiseurs que les médecins doivent ce qu'ils savent en matière d'hypnotisme.
guidé MM. Charcot, Du-montpallier, Mesnet, Bernheim et tant d'autres médecins émi-nents dans leurs études cliniques sur l'hysté
t poursuivre des expériences de psychologie. Les philosophes et les médecins psychologues pourront à leur aise, sous leur resp
vénient, ni aucun danger. Mais elle ne doit être employée que par des médecins , et l'on ne saurait trop condamner ces exhibition
tolérerait, personne faisant de telles expériences, pas même des médecins régulièrement diplômés, et il n'y aurait sans dou
les laboratoires, dans les hôpitaux, dans le cabinet du savant et du médecin ; tout fait croire même que s'il opère cette retra
ur nature; si l'on en découvre, agir prudemment et, si l'on n'est pas médecin soi-même, prendre l'avis d'un homme compétent »
gnétisme, son appréciation saine et juste ont été surtout l'œuvre des médecins , quand les travaux les plus sérieux ou les découv
sérieux ou les découvertes les plus intéressantes se rattachent a des médecins tels que Braid. ou a des foyers de science médica
e que le point de vue moral est secondaire dans le débat et que nous, médecins , nous devons rester sur le terrain de l'hygiène.
l'hypnotisme, M. Charcot a une réputation universelle. La plupart des médecins le considèrent comme le prophète ae l'hypnotisme,
ancs (1). Cet ouvrage comprend quatre parties distinctes : 1° Les Médecins au moyen âge: Maîtres es arts. Mires. Physiciens,
de la Magic et de la Sorcellerie, Théologiens et Juges Démonologues, Médecins Démonologues, Possédés, Sorciers et Démonomanes,
date du 17 mai, les deux arrêtes qui suivent : M. Dagonet (Henri), médecin en chef de la division des homme» à l'asile publi
médecin-adjoint à l'asile public d'aliénés de Sainte-Anne, est nommê médecin en chef de la division des hommes dudit asile, en
23 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
professeur à la Faculté de Bordeaux; BARETY (de Nice) : DE BEAUVAIS. médecin de Mazas, BERNHEIM. prof. à la Faculté de Nancy :
U; W. DEKHTEREFF (de Saint-Pétersbourg); DESCOURTIS : DU MONTPALLIER. médecin de l'Hôtel-Dieu : Eug. DUPUY : FÉRÉ. médecin de B
OURTIS : DU MONTPALLIER. médecin de l'Hôtel-Dieu : Eug. DUPUY : FÉRÉ. médecin de Bicêtre : A. FOREL (de Zurich): FRAENKEL (de D
ur à l'Ecole d'Anthropologie: LUYS. membre de l'Académie de médecine, médecin de la Charité; Max DESSOIR (de Berlin) ; MESNET.
de médecine, médecin de la Charité; Max DESSOIR (de Berlin) ; MESNET. médecin de l'Hôtel-Dieu ; MABILLE, médecin en chef de l'a
Max DESSOIR (de Berlin) ; MESNET. médecin de l'Hôtel-Dieu ; MABILLE, médecin en chef de l'asile de Lafond : Paul MAGNIN ; MANO
OUVRIER. prof, à l'Ecole d'Anthropologie: J. OCHOROWICZ; Aug. VOISIN, médecin de la Salpêtrière, etc.: et MM. LIEGEOIS, prof, à
en somnambulisme. M. Bernheim l'endort et me présente à lui comme un médecin qui a rapporté du Brésil un remède souverain cont
m'est impossible de partager son avis... Si M. Nuel avait dit que les médecins ne doivent pas s'ériger en moralistes, s'il s'éta
r le terrain scientifique, les ingénieurs sont mieux partagés que les médecins ? Et cependant, nous avons tous eu l'occasion de
eilli avec une sorte de curiosité attentive, tandis qu'on approche le médecin avec une confiance respectueuse, avec des égards
, si les gens du monde ne considéraient que la valeur scientifique du médecin ? N'est-il pas évident que cette allure, que ces
és s'adressent à la profession elle-même? Tout le monde sait que le médecin est le témoin des misères humaines : on sait qu'i
jours, chacun » doit chercher à être en bons termes, surtout avec son médecin . » On prête ce propos à Sainte-Beuve. Il importe
r refuge, auquel aboutissent le respect et l'estime de tous, c'est le médecin qui est ce quelqu'un; c'est lui qui personnifie c
licate ou difficile. On sent, on voit, on touche du doigt combien les médecins belges se sentent parfois dépositaires d'une port
es d'ailleurs, d'entendre dire ici, à propos de l'hypnotisme, que les médecins n'ont pas à connaître ce qui regarde la morale
it été plus circonspect, il se serait bien gardé de faire fonction de médecin . Il est inutile de supputer combien de faits an
ien des cas de propensions au sommeil, ou de sommeil prolongé, et les médecins eux-mêmes n'arrivent pas toujours à y porter remè
par M. Cavailhon : « Un magnétiseur produit sur M. H..., frère d'un médecin ..., une telle » tension des muscles, que ceux-c
hypnotisme ne sont donc pas imaginaires. Personne n'est à l'abri. Les médecins eux-mêmes n'en sont pas exempts. Nous n'avons p
e M. le professeur Masoin rappelle, fort à propos, la situation de ce médecin qui soignait une femme séparée de son mari. Cette
qui soignait une femme séparée de son mari. Cette femme faisait à son médecin des aveux d'amour, pendant des crises répétées de
état de veille... ; un jour, cette femme s'est trouvée enceinte et le médecin a dû quitter le pays... C'est évidemment un malhe
ermis de nous désintéresser d'une question de cette importance. Les médecins ont le droit et le devoir d'élever la voix en par
t des Fénelons, des saints » Vincent de Paul... » j'ajoute : « et des médecins ! » L'HYPNOTISME EN FACE DE L'EGLISE Par M. P
on avenues. (A suivre.) SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉTÉ IMPÉRIALE DES MÉDECINS DE VIENNE De l'hypnotisme. M. Meynert fait un
le lacune : l'indigence des statistiques. Et pourtant il n'est pas de médecin , parmi ceux, notamment, auxquels l'inspection des
« Attendu, en fait, que la femme Quentin, non munie d'un diplôme de médecin ou autres équivalents, tient a Rennes un cabinet
a médecine, à moins que le magnétiseur ne soit pourvu d'un diplôme de médecin ; » Attendu qu'il resson des déclarations mêmes
ions thérapeutiques de l'hypnotisme. Cet enseignement est réservé aux médecins et aux étudiants en médecine. Société de psycho
dans les autres états hypnotiques ? Si le délire lui-même donnait au médecin , à l'homme de l'art, le moyen de faire cesser le
t, ce que je ne puis faire, pourquoi les physiologistes, pourquoi les médecins , les médecins aliénistes notamment, ne le feraien
e puis faire, pourquoi les physiologistes, pourquoi les médecins, les médecins aliénistes notamment, ne le feraient- . ils pas :
rs caractères spécifiques et je me bornerai à faire remarquer que les médecins de la Salpêtrière semblent ne pas être allés plus
a position de l'organe malade et a prescrit du mercure. Un jour, un médecin lui a apporté le bonnet d'une personne malade que
, la perte de l'appétit, etc. La fermeté du père et l'intervention du médecin mettent bon ordre à cette comédie (i).— Deux sœur
pays où il lui a été concédé. L'exercice simultané des professions de médecin et de pharmacien est interdit. Congrès pour l'é
onsidérations générales sur les fausses rages, par le Dr E. Messet, médecin de l'Hôtel-Dieu. — Broch. in-8°, Maison, 1887.
n-8°, 1888. Traité pratique et clinique d'hydrothérapie, par Duval. médecin en chef de l'Institut hydrothérapique. — In-8° de
ncy, faciles àcontrôler. vérifiées sur des milliers de sujets par des médecins de tous les pays. ne courent plus le risque d'êtr
Au total, la moitié de Tannée était dévolue à la souffrance. Tous les médecins l'avaient traitée sans succès, et tous les remède
ée avec plus de précision dans une lettre que le docteur Fiiz Gibbon, médecin royal et agrégé au collège de médecine de Bordeau
Ma contenance doit exprimer ce que je sens, étonnementet crainte. Un médecin qui aurait (1) Traité du Somnambulisme et des d
n 1851. cette manière de voir dans l'affaire des époux Mongruel et de médecin Pyrabouski. associés pour l'exploitation d'un cab
du rapport. Ainsi, tous ces phénomène» constatés par lui et d'autres médecins sont sommairement jugés ci taxés de fantaisies ci
es privilégiés, à condition surtout que ces privilégiés ne soient pas médecins ; car vous n'avez pas été sans vous apercevoir que
al d'un puissant agent thérapeutique, et le maintiendra aux mains des médecins aussi longtemps qu'existera une loi sur l'art de
t le restreindre comme étant da domaine exclusif des savants, des médecins , des philosophes, de la même façon que 1 administ
le nom de Mesmer, je répondrai à ceux qui l'ignorent que Mesmer était médecin . Les actes criminels qui peuvent être perpétrés
dans l'in- ; tervalle des accès réels, o Nous ne pûmes, dit le savant médecin de Bu- • dapest, faire avouer à l'enfant ni la si
miracle au point de vue médical. 11 etisie en France une Société de médecins catholiques qui se sont mis sous l'invocation de
'Institut des sciences, arts et lettres du Milan, concours auquel les médecins italiens et étrangers peuvent prendre part et don
dans le but d'offrir un présent au docteur Charcot. ainsi qu'aux deux médecins italiens qui ont soigné l'empereur du Brésil à Tu
nsion considérable de l'estomac, avec éructations très fréquentes. Un médecin , consulté, ordonne une préparation de noix vomiqu
le croit. Ils sont réels et se produisent malgré les indications des médecins et l'idée des sujets, au moins pour la première f
ibre discussion. L'auteur s'étonne du désaccord qui règne entre les médecins sur l'explication du sommeil hypnotique et des mo
se des obstacles. Est-ce que le même désaccord n'existe pas entre les médecins quand il» veulent expliquer les causes et les con
ches nous donnent des résultats plus complets. L'auteur confond les médecin » consciencieux qui, aujourd'hui, dans tous nos hô
u un charlatan ; non, quand l'hypnotiseur est un homme de science, un médecin consciencieux. — L'auteur aiouie : L'hypnotisme e
nd le magnétiseur esi un misérable ; non, quand le magnétiseur est un médecin honnête. Les troubles physiques et moraux ne déco
de Nancy, ont jamais constaté dans leurs malades une passion pour le médecin qui les hypnotise ? Est-ce qu'on magnétise seulem
par tous les savants qui s'occupent d'hypnotisme, et, d'ailleurs, le médecin d'hôpital occupé à guérir un malade, un médecin s
e, et, d'ailleurs, le médecin d'hôpital occupé à guérir un malade, un médecin sérieux ne consentira jamais à produire ces phéno
naturelle que nous avons faite dans notre précédent article, entre le médecin expérimenté et ces imprudents, ces histrions qui
ont bien voulu reconnaître avec nous que l'hypnotisme exercé par des médecins , dans des conditions déterminées, ne présente pas
loi du devoir. Voici un autre malade, frappé lui aussi d'insomnie. Le médecin juge à propos, en obéissant à des considérations
ience médicale nous apprend que, dans le plus grand nombre de cas, le médecin hypnotiseur fait disparaître certaines affections
and il croît nécessaire de recourir a la suggestion, que fait donc le médecin : Est-il vrai que, dans ce cas du moins, il diminu
n a tous les points et dans toutes les profondeurs de notre corps. Le médecin hypnotise un =ujci : c'est, par exemple, un malad
t, par exemple, un malade affligé d'une contracture du bras droit; le médecin lui suggère qu'il a la puissance de remuer son br
trir. Nous retrouvons la cette perpétuelle et déplorable confusion du médecin honnête et du misérable, de l'hypnose et de l'usa
nous estimons qu'il n'est pas permis de traiter avec cette rigueur le médecin expérimenté, prudent, intègre, qui a recours, dan
s ils n'ont pas interdit la pratique de l'hypnotisme aux savants, aux médecins dans leurs cliniques et dans leurs leçons. C'es
certaines substances toxiques, fût interdit au public et réservé aux médecins . Tel est aussi le sens précis des décisions rendu
nguer avec soin l'hypnotisme thérapeutique, médical, pratiqué par les médecins , et l'hypnotisme de salon, de foire et de carrefo
femmes et l'étude de la médecine. A l'assemblée des naturalistes et médecins allemands tenue à Cologne da iS au 32 septembre d
rien découvrir de nouveau, alors qu'elle accueille un grand nombre de médecins qui, sans être regardes pour cela comme de mauvai
uffrance, ni votre \ic ni la vie de l'enfant à' naître de vous. Si un médecin digne de confiar.ee accepte !a responsabilité de
de moi. Ce qui mérite d'attirer sérieusement notre attention, à nous, médecins , c'est l'état morbide qui lui est particulier et
une scrupuleuse ponctualité dans les cas individuels observés par les médecins , les faits spéciaux abondent : imminence d'un dan
ar leJ Dr Orro G. VVetterstrànd, Stockholm, iS88.^/ Le travail du médecin de Stockholm peut être consideré comme une des me
ueur de cette série n'est pas conforme à l'opinion reçue. Beaucoup de médecins , qui pensent que seulement les affections hystéri
t confirme les résultats de MM. Bernheim et I.icbcault. ainsi que des médecin » qui, comme MM. Bé-rillon et Auguste Voisin, à Pa
la leucorrhée ci de la dyspepsie^ il donne même le conseil, à chaque médecin qui veut se vouer a la pratique suggestive, de co
ne de Lille Il paraîtra peut-être présomptueux à quelques-uns qu'un médecin allopathie vienne parler publiquement de 1'homœop
er que dans mon article doctrines et faits seront seuls en jeu. Les médecins ont cette bonne fortune que tout le monde s'intér
M. X... avuit une gastralgie pour laquelle il avait consulté tous les médecins , il éiait même allé a Paris et plusieurs fois aux
es homovopathc.s et leurs adcpits fitrm.m une petite église, dont les médecins sont les ministres et leurs clients ¡es ti deles.
Ccst Li toute la nosologie. 11 n'est pis nécessaire d'être profond médecin pour comprendre combien est étroite cette concept
que le mot séparé de la phrase dont il fait partie, car pour le vrai médecin l'ensemble des troubles organiques est un langage
Noire confrère L'Art médical, de Belgique, appelle l'aitention des médecins sur les causes qui non seulement propagent la mor
ulent pas pue-tir! Combien se remettent ù moitié entre les mains d'un médecin et prennent ensuite je ne sais quel malin plaisir
ent — inocule également l'amour et presque la volupté du mensonge. Un médecin soignait une malade depuis un mois. Elle n'allait
e arbitre. Il devient une chose entre les mains des directeurs et des médecins , qui prescrivent non seulement toute sortie, mais
la Salpêtru-re, en présence d'un nombreux auditoire d'étudiants et de médecins , ses leçons cliniques sur les maladies du système
8° de 266 pages avec figures. Lisbonne, 1888 (en portugais°. Semai, médecin de l'asile d'aliénés de Mons. — De l'utilité et d
é médico-psychologique te 39 octobre iS>S par M. le D' J. SÉGLAS médecin supf l£ ant de la sa lp ht biè k f Mme P.... né
nihilée. Cependant une fois, comme en lui disait d'empoisonner un des médecins , elle refusa d'obéir. Elle assure n'avoir jamais
ypnotisme peut rendre quelques services lorsqu'il est employé par des médecins instruits et expérimentés, il ne peut être que nu
les charlatans deviendraient moins nombreux recédant profani!) et le médecin en retirerait de grands avantages ; il pourrait n
ers ont, de- puis quelques années surtout, attiré l'attention des médecins et des chirurgiens. M. Charcot a interprété ces o
st juste de reconnaître qu'il n'en est pas même entre les mains des médecins expérimentés, qui trouvent dans l'hypnotisme e:
emblables exhibitions. L'hypnotisme ne doit être appliqué que par des médecins ; entre les mains des empiriques et des charlatans
st le seul qui soii directement en discussion, je suis d'avis que les médecins , et surtout les médecins d'une certaine catégorie
tement en discussion, je suis d'avis que les médecins, et surtout les médecins d'une certaine catégorie, ont une compétence inco
eptions, des faits incontestables le prouvent. Quel est, du reste, le médecin habitué à observer tous les jours la variabilité
rs des représentations théatrales que dans le cabinet du savant et du médecin . Le magnétiseur en représentation opère sur des i
graves accidents. » Enfin, récemment, nous recevions de M. Briant. médecin en chef de l'asile de Villcjuif, l'observation d'
M. Licbeault signale un fait du même genre dans sa Confession d'un médecin hypnotiseur. où cet observateur distingué expose
ne ressemait aucune fatigue. Il n'en est pas moins vrai que, pour le médecin , ce sont là des manifestations assez graves et qu
deviendra ainsi, dans qnftra ques cas, un précieux auxiliaire pour le médecin . l-e temps n'est pas éloigne, je pense, où l'on
nces humaines, appartiendra aux psychologues, aux physiologistes, aux médecins . L'époque des exhibitions théâtrales sera alors p
à divers ordres de connaissances humaines, elle n'appartient pas aux médecins seuls : les philosophes de l'école expérimentale
losophe et au phvsiologiste. une ressource thérapeutique précieuse au médecin . M. Nuel. —A mon avis, la discussion présente e
lus d'importance que le choix des médicaments. Peu lui importe que le médecin prescrive euprum ou arsenicum : ce qu'il désire,
squer les propriétés dynamiques, si bien qu'avant de les employer, le médecin devra les dégager. le- isoler, pour les rendre pl
suture, à l'hygiène, à la suggestion. Le public i-nore, ci bien des médecins ne savent pas assez que c'est -toujours la nature
and nombre des cas, la nature en faisant seule les ir.is. Le rule dsj médecin s'est borné, en l'attendant, ù modérer ou à faire
fols sur dix. l'autre est bénin et guérit toujours. Le pu-blïc et les médecins peu éclairés ne font pas ces distinctions. Les
ourquoi tant d'erreurs sont commises par les familles et même par les médecins . Il est donc peu scientifique d'accepter, comme
obtenue. Tout est dû à l'état d'esprit du malade et à l'empire que le médecin sait prendre sur lui. Jusqu'à ces dernières année
conscience de ce qu'elle faisait. Du rapport du docteur Auditfren, médecin aliéniste. qui a examiné l'inculpée, mais qui ne
t l'empêcher de s'attacher à ses pas et de contempler son visage. Des médecins furent invités à rompre le charme; ils ne purent
à un jeu aussi dangereux. Singulière expérience de suggestion. Un médecin de la Nouvelle-Orléans (Etats-Unis), voulant se r
ays, si fertile en excentricités de tout genre, il est possible qu un médecin se soit permis de tenter une pareille expérience.
sceptibles de résister à un examen sérieux, semble dire M. Proust aux médecins qui s'adonnent à l'étude de l'hypnotisme et vous
garçon s'est livré avec ardeur à la masturbation. Par aucun moyen les médecins n'ont pu le débarrasser de cela. On a enfin . ess
l'autre, par un travail physique trop pro-longé et trop violent. Les médecins n'y avaient rien pu faire. Cependant les résultat
1 Emile», 18 ans. Ce ieune homme déjà soigné depuis longtemps par des médecins , e: surveillé avec beaucoup d'attention, n'a prés
, suivant l'expression consacrée, de relever le moral du malade? Tout médecin qui s'est trouvé aux prises avec ces longues et i
nts à l'exercice d'une nouvelle méihodcde guérir •. L'imagination» le médecin psychologue (et on n'est point bon médecin sans ê
uérir •. L'imagination» le médecin psychologue (et on n'est point bon médecin sans être un peu psychologue), ne doit jamais oub
voyez quelle ténacité a cette hystérie encore considérée par bien des médecins comme une affection légère. Les attaques ont du
des erreurs préjudiciables au malade et encore plus préjudiciables au médecin . société de médecine légale Séance du ? déc
ptoirement M. Char-eot, qui doit toujours être déterminée par le seul médecin dans un but curatif. Personne évidemment ne for
tention des diplômes nécessaires, vient de retirer leur permis a deux médecins jugés coupables de ¦ couvrage >. Ce mot désign
dé à s'en occuper. Il a obtenu, ce faisant, l'approbation de tous les médecins dont la clientèle se trouvait diminuée par cette
la clientèle se trouvait diminuée par cette concurrence déloyale. Les médecins peu scrupuleux mettront dorénavant moins d'empres
lic y gagnera tout comme nous. De l'habitude de fumer l'opium. Le médecin anglais de la colonie de Hong-Kong, dans son dern
rsuites et il semble même plus sévère quand il y a association de médecins ou d'officiers de santé. On les condamne comme co
l leur suffît, pour échapper ? l'application de la loi, d'attacher un médecin a leur cabinet. C'est là une erreur. La jurisprud
lorsqu'ils donner.! des soins à un malade, même sous le couvert d'un médecin . Action diurétique du massage chez le chien.
Par let D* J- FONTAN, professeur îl l'École de Toujon et Cn. SÈGARD, médecin principal de la Marine / Nous avons inséré dans
moment, Lance a été soigné a l'hôpital, ou en ville par MM. Olivier, médecin en chef; Cunéo, médecin en chef; Rouvier, me-
gné a l'hôpital, ou en ville par MM. Olivier, médecin en chef; Cunéo, médecin en chef; Rouvier, me- decïn en chef; Geslin,
me- decïn en chef; Geslin, directeur du service de santé; Forné. médecin en chef; Bertrand et Galliot, médecins professeur
eur du service de santé; Forné. médecin en chef; Bertrand et Galliot, médecins professeurs, docteur GuiUabert, et par nous-mêmes
des masses musculaires des parties paralysées. M. le docteur Cunéo, médecin en chef, professeur de clinique médicale à l'écol
.commc nous, le diagnostic de sclérose en plaques truste. Aucun des médecins traitants n'a jamais, du reste, mis en doute Texi
de jour en jour et cette transformation frappe d'etonnement tous les médecins qui ont, depuis des années, regardé ce malheureux
x comme incurable. Lance, que notre éloignement du service de M. le médecin cn chef Cunéo ne nous permet pas de suivre à part
e jury, et, pour former cette commission, il est libre de choisir les médecins qu'il considère comme suffisamment compétents pou
dère comme suffisamment compétents pour remplir cette tâche. Tous les médecins peuvent être appelés à faire partie des jurys d'e
ns. Il existe en Russie deux diplômes de doctorat: i" le diplôme de médecin ou licencié en médecine, et 2» le diplôme de doct
iences médicales. Il y a donc deux degrés d'examens de doctorat. Tout médecin , pour avoir le droit d'exercer la profession médi
scientifique ; les candidats doivent être en possession du diplôme de médecin , puis faire des études plus approfondies, passer
its que ceux qu'il avait auparavant par le fait de son diplôme de médecin ou licencié en médecine ; mais le litre de docteu
ans 1 enseignement officiel de la médecine : professeurs, assistants, médecins des hôpitaux, chefs et aides de laboratoires, etc
et était surtout tourmentée de l'idée de ne plus pouvoir entendre. Le médecin qui lui donnait des soins avait en effet déclaré
RIE. Il les continuera les jeudis suivants à la même heure. MM. les médecins et étudiants en médecine seront admis à ce cours
n principe, les tribunaux ont le droit incontestable d'etaminer si le médecin a commis une faute etune imprudence, ou s'il s'es
tous ceux qui sont hantés du désir de soigner leurs semblables. Un médecin de Leeds vient d'intenter une action en dommages-
ine), qui avait rayé son nom du Media! Remisier (liste officielle des médecins ), en raison de la publication d'un livre plus où
i'en-cetnte de la Salpctricrc. 11» toni appel au concourt Je ioui le» médecin » qui taveat apprécier l'importance de» service» r
bres du comité. ButijLhr Mohi*. — Mercredi dernier, une centaine de médecin * cr de membre» de la oresse teicatiâque offraient
., Ctc.j NÉCROLOGIE M. l« Docnua Loaaa (de Lille). Le Dr Lober, médecin de» hôpitaux de Lille, qui vient de mourir à >
ambre et. effrayé par mon apparence cataleptique, envoyer chercher le médecin , car je ne me sentais pas en état de lui faire se
e médecine, est placée sous la direction de ce ministère et forme les médecins militaires. On projette de construire à Varsovi
quel est annexé un laboratoire supérieurement installé, oh les jeunes médecins de la ville peuvent venir faire des recherches et
une grande extension en Russie, on peut dire sans exagération que le» médecins qui *e sont occupés de cette science ont déjà fou
ant les maladies mentales et nerveuses. Les principaux sont : i" Le Médecin , journal hebdomadaire, dont chaque numéro est de
S LE DÉDOUBLEMENT CÉRÉBRAL DU PIANISTE Par M. le docteur J. LUYS, médecin de la Charité. La simple interprétation des phé
les applications thérapeutiques de l'hypnotisme. Un grand nombre de médecins et d'étudiants assistaient à cette leçon et ont a
tisme prouve qu'elle répond à un besoin. La présence, à ce cours, des médecins distingués que n'a pas effrayés la modestie de l'
tous tes jeudis, à dix heures; elles sont c\clusivemcnt destinées aux médecins et aux étudiants qui veulent s'initier à la prati
vouement et au zèle de M. le Dr Lagoguey, l'idée de l'assurance entre médecins en cas de maladie est définitivement et pratiquem
édicale ne pourra que s'accroître et nous engageons vivement tous les médecins soucieux de la dignité de la profession médicale
cinations. L'hypnotisme ne doit désormais être appliqué que par les médecins comme agent thérapeutique et sous leur responsabi
é. Pendant qu'on arrache sa dent, il crie, se débat, prend la main du médecin . Je continue mes suggestions pendant et après l'o
iemment suggéré qu'il simulait. Un sujet dessuggestionné ainsi par un médecin méfiant, vint me faire un aveu de simulation, en
fections mentales graves, rebelles à tout autre traitement. Trop de médecins ont malheureusement une regrettable tendance à cr
dant le mois d'avril. Nous engageons vivement à les suivre tous les médecins qui s'intéressent à la question de l'hypnotisme.
pathie pour notre pays; elles démontrent d'une façon évidente que les médecins étrangers qui se rendront à Paris, à l'occasion d
x qu'on laisser» ensuite de côté. A 35 ou 40 ans. le chirurgien ou le médecin quia atteint l.i plate-forme par une série d'épre
ociétés savantes. 28. rue Serpente. Pourront en faire partie tous les médecins , pharmaciens et vétérinaires qui auront envoyé le
dire, le nombre diminue tous les jours, en considérant seulement les médecins qui se sont sérieusement et scientifiquement occu
plus étonnantes. Mais, à celte époque, tout le monde, aussi bien les médecins que le grand public, était tenté de criera la sim
tit hypnotisme rend tout contrôle sérieux impossible ; elle laisse ie médecin désarmé en face de la simulation, il est dans l'i
mença a éprouver des sensations pénibles et désagréables. Un jour, le médecin qui traitait sa tante, l'ayant rencontrée seule d
ou quatorze fois pour uriner; l'urine était abondante et claire. Son médecin ayant demandé a analyser ses urines, trouva 4a gr
mes de sucre par litre. Cette constatation fut une surprise pour le médecin , qui prescrivît aussitôt le régime des diabétique
affection dont elle était atteinte: d'autant plus que c'était le même médecin qui soignait sa tante et qu'elle suivait le même
llait mourir. Des kirs, elle ne voulut plus entendre parler de ce médecin qui se disait impuissant a sauver ses malades et
ertaines personnes lui avaient donné un sort. Ils étaient trois, deux médecins et un pharmacien, coalisés pour la faire mourir.
accompagnés d'une anesthésie totale bien constatée à ce moment par le médecin qui la soignait. Cette manifestation dura prés
n grand nombre de réponses favorables à cette idée. Spontanément, les médecins les plus autorisés de France et de l'étranger, ai
ertain nombre de magistrats, nous ont envoyé leur adhésion. Plusieurs médecins des hôpitaux de Paris nous ay.. ¦ assuré leur con
OXYSMES ÉPILEPTIQUES ET DANS LA COLÈRE Par M. le docteur Ch. FÉRÉ MÉDECIN DE nioVTRK J'ai déjà eu occasion de signaler an
e biologie. 59. Société de médecine légale, 219 Société impériale des médecins de Vienne, 24. Société médicale des hôpitaux. 3
24 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
s indignes de gens sérieux. Nous n'aurions jamais pu supposer que des médecins pousseraient l'esprit d'illogisme au point de rep
regrettable qu'elles n'aient pas davantage sollicité la curiosité des médecins . Aussi nous commençons la série de nos monographi
première, nous rangerons les cas observés scientifiquement par divers médecins ; Dans la seconde, nous exposerons les cas que n
avec une énergie de plus en plus grande. Ce ne sont pas seulement les médecins des différentes spécialités qui s'intéressent à l
nnaît les résultats thérapeutiques et il s'adresse avec confiance aux médecins qui s'occupent de cette science. L'alcoolisme,
On se propose d'agrandir cette entreprise et d'y appeler de nouveaux médecins . Le traitement par l'hypnotisme est appliqué au
Le traitement par l'hypnotisme est appliqué aussi à l'/lmôufarice des médecins de l'Hôtel de Ville de Sainl-Pêtersbourg. J'ai
é de ce rapport cite les chiffres qui lui ont été communiqués par lft médecin directeur de l'infirmerie, le D' ZaousailofF. Du
s CheSKAJS. Une opinion courante encore aujourd'hui, même parmi les médecins , est que seuls sont hypnotisabtes les hystériques
rares. Là est la cause de nos succès et de nos insuccès. L'art du médecin qui pratique l'hypnotisme est donc, vis-à-vis de
. Deux de ses tantes, qui ont en moi la plus grande confiance comme médecin , et en particulier au point de vue hypnotique, l'
Impressions de campagne), les campagnes de la Loire et de l'Est comme médecin en chef d'ambulance. Jamais, dans cette période o
ont réunis, selon l'usage, en un banquet fraternel. M. le D' Huchard, médecin de Xecker, membre de l'Académie de Médecine, prés
r, membre correspondant de la Faculté de Médecine, M. le D' Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés, secrétaire génér
Bianchi, professeurs à l'École de Psychologie, M.Je D'Saint-KIlaïre, médecin de l'Institut départemental des sourds-muets,
(de Hambourg), Van Velsen (de Bruxelles), Bourdon (de Méru). Lcçrain, médecin on chef de Ville-Evrard, Joly (de Montcerf), Pott
aboratoire de psychologie physiologique à la Sorbonne, Dr Tri boulet, médecin des hôpitaux, Dr Godon, directeur de l'Ecole dent
odon, directeur de l'Ecole dentaire, D' Lcmcslc (de Loches), Dr Dcny, médecin de la Salpélrière, M. Guéson, vétérinaire princip
beaucoup de malades, mais qui fait vivre et surtout décorer quelques médecins . » Les honneurs que vous conférez ici n'ont rien
ère Molière, qui a dépensé tant d'ironie pour se moquer des mauvais médecins , était doué d'une mauvaise santé. Il était déjà
osa le Malade imagi-naire. Il y mettait en scène un timoré auquel les médecins ont inspiré des inquiétudes injustifiées au sujet
essés à exploiter sa manie. Ce type n'existe plus u notre époque. Les médecins décrits par Molière ont également fait place à de
olière ont également fait place à des esprits plus scientifiques. Les médecins d'aujourd'hui sont les premiers à reconnaître les
grands services qu'a rendus Molière à la société en ridiculisant les médecins de son temps qui, systématiquement, se montraient
eur à l'Ecole de Psychologie de Perle, h-- C. Boutieb, et M. Boutieb, médecins résidante. Cure do sommeil — Psychothérapie — M
de l'hys- térie : Les stigmates hystériques, par M. le D'Babinsei. médecin de la Pitié, p. 60. —Hallucination symbolique cit
s Adi. l'atavinus (**}. Cet auteur, qui s'honorait du double titre de médecin et de philosophe, fut vivement intéressé par le c
tre documenté sur le cas de cette femme à barbe si extraordinaire, le médecin de Bologne adressa un questionnaire très détaillé
symptômes morbides. Cet homme qui a consulté à tour de rôle tous les médecins du pays pendant de longues années, sans la moindr
s en prie, ne faites pas attention, et ne vous en allez pas. Tous les médecins l'ont abandonné; nul ne veut le soigner! » De s
ris, persuadée, selon les dires de tous, qu'il devait mourir. Même le médecin qui l'assistait à son retour avait dit : « Voyez-
s me furent confirmées par plusieurs personnes présentes. Plusieurs médecins s'étaient succédé, et tous s'étaient retirés. Et,
'avouer son impuissance et de se retirer. La mère, effrayée et sans médecin , était accourue chez moi. Je connaissais l'enfa
on de l'hystérie.—-Les stigmates hystérlques(')- par le D' Babinsei médecin de la PiUé. Généralement, on dit que l'hystérie
aoature même de son examen, par ses questions, par son insistance, le médecin suggestionne le sujet. C'est ce qui explique que,
e que le prêtre remplissait dans les sociétés théocratiques, c'est le médecin qui est appelé à le remplir dans notre société mo
r à l'Ecole de Psychologie de Paris, !>¦• ?. ??????, et M Bovtier, médecins résidants. Gare de sommeil — Psychothérapie — M
LLETIN". — Le Congrès des allénistes et neurologistcsde Paris. — Un médecin philosophe : Théophile de Bor-deu. — La psychothé
BULLETIN Le Congre) des allénistes et neurologistes de Pau. — Un médecin philosophe : Théophile de Bordeu. — La psychothér
consacrée à la lecture d'une remarquable étude de M. Brissaud sur un médecin béarnais, Théophile de Bordeu, né à Izcstc en 172
ue de Bordeu. Le Congrès, admirablement organisé par M. le ! Glrma, médecin en chef de l'Asile d'aliénés de Pau, a eu un succ
scientifiques de Bordeu. Nous rappellerons, après lui, que l'illustre médecin béarnais fut doué d'un esprit do divination scien
heureux augure pour l'avenir. Elles avanceront l'heure a laquelle les médecins , reprenant les traditions des grands précurseurs
me siècle, associeront de nouveau en leur personne le double titre de médecin et de philosophe. » Dans le cours de notre vo
plus amical. N'est-ce pas un heureux signe des temps que de voir des médecins expérimentés associer à l'emploi des forces théra
urut presque toute l'Europe, se prêtant complal-sammentà l'examen des médecins dont beaucoup furent frappés par l'anomalie vraim
arí*, âgée Io fû au. (Gatería d'art de Baie, !6i3) descriptions des médecins qui se sont intéressés à son cas, la suivre dans
in fournissent aussi des renseignements sur ses voyages. Le premier médecin qui l'observa fut Thomas Bartholinus. Il la vit à
nombreuses descriptions auxquelles a donné lieu de la part de divers médecins , résidant dans des villes différentes, du cas si
ent en médecine que l'observation du même sujet soit prise par divers médecins , étudiant son état pathologique à l'insu les uns
de, désireux de bâter sa guériton, s'était successivement adressé aux médecins les mieux qualifié* pour le conseiller. Chacun d'
néologisme. La vie nomade de Barbara L'rslerin, que les écrits des médecins de son temps nous ont permis de suivre pas à pas
qu'on ne le croit généralement aujourd'hui : la seconde c'est que les médecins d'alors ne se confinaient pas dans leurs localité
et les relations les plus courtoises s'établissaient ainsi entre les médecins de divers pays d'Europe. Une femme barbue et ve
est d'écrire une relation purement médicale; et la réserve imposée au médecin traitant me fait un devoir strict de négliger tou
ir livré tous ses secrets. Description du cas. Parmi les premiers médecins qui se sont occupés de mon extraordinaire cliente
age de savants et de proiesseurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
tuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de _ 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le D' Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complè
our me rendre dans la pièce voisine, elle demande à sa mère où est le médecin . Avant de sortir je pratique une injection de c
u apte, sinon à seconder, du moins à ne pas contrarier les efforts du médecin . Si M. B. s'était réveillée dans des conditions
e qui ont rencontré une grande sympathie auprès de la population. Les médecins qui s'occupent do l'hypnotisme peuvent même par l
rait des présents, la prospérité du jeune ménage était assurée. Les médecins , qui sont en contact constant avec les masses, do
e Groer {de St-Pétersbourg) et de M"* la Doctoresse Mélanic Lipinska, médecin des eaux de Luxeuil. Les communications annoncé
qu'il vient de recevoir. 0 Mérite agricole. — M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés, a été nommé chev
istance aux animaux; qu'il a fondée en collaboration avec M. Lépinay, médecin vétérinaire, professeur à l'Ecole de psychologie,
rée, créée dans le but d'associer les travaux des vétérinaires et des médecins , M. Bérillon s'est occupé de l'amélioration de di
euT à l'Ecole de Psychologie de Paris, D" c. Bol-tiir. et M. Bottier, médecins résidant». Cure de sommeû — PsYfbotbérapie — Mé
jour, subitement, elle se lève, s'habille et se rend à pied chez son médecin qui habite & trois kilomètres; elle lui montr
at, il a acquis une acuité et une irritabilité extrêmes. L'n jour, le médecin do la famille, venant de faire un pansement chez
évolué comme chez quiconque et sans qu'elle s'éveillât. De nombreux médecins des environs et de l'étranger sont venus la voir;
age de Bavants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. a midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le D' Bérillon, médecin inspecteur des publics d'aliénés, y complète son
re que l'on ait affaire à des somnambules pour que la photographie du médecin produise cet effet sur le malade. J'ai eu l'occ
rs intervient un nouvel élément, l'Imitation inconsciente. Tous les médecins savent que dans une salle d'hôpital, de femmes su
tude de psychologie individuelle. Cette étude nécessite de la part du médecin traitant non feulement des connaissances psycholo
lle a été faite récemment sous la présidence de M. le D'Jules Voisin, médecin de la Salpétrière, assisté de MM. les D"Legrain,
ules Voisin, médecin de la Salpétrière, assisté de MM. les D"Legrain, médecin de Ville-Evrard et Félix Regnault, professeur à l
Savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le D'Jules Voisin, médecin de la Salpètrière. Les séances de In Société on
t lieu les troisièmes mardis de chaque mois, à 4 heures et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
»»tur à l'Ecole de Psychologie de Parti, î— C. Bovtter, et Vf ?????, médecins résidante, Core de sommeil — Psychothérapie — M
terme aux doutes qui s'étalent élevés dans l'esprit de plusieurs médecins . Ce fut le 16 février 1815 que Marie-Madeleine Le
avait pas moins été considérée par la plupart des chirurgiens et des médecins des hôpitaux comme appartenant au sexe masculin.
an menton. Sa triste fin en fut la preuve. En 1853, lo Dr Chowne, médecin de l'hôpital de Charlng Cross, a Londres, présent
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
gratuites ont Heu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics.d'aliénés, y comptè
Savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le D'Jules Voisin, médecin de la Salpetrlèro. Les séances de la Société on
mardis de chaque mois, à 4 heures et demie. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
ssion, plus apparente que réelle, réside dans ce fait que beaucoup de médecins rangent dans lacatcgorie des aliénés des malades
seur à l'Ecolo do Psychologie de Paris, D™ C. Boutibb. et M. BoUTiEn, médecins résidants. Care de sommeil — Psychothérapie — M
Lorsqu'elle s'exhibait, elle se soumettait volontiers à l'examen des médecins . Elle en obtînt des certificats qui constataient
er la réalité de son sexe, elle se prêtait aux investigations des médecins . Les certificats qu'elle en obtint après avoir as
n peu étrange de ta part d'une malade qui m'avait fait demander comme médecin , et non comme psychothérapeute ; je me Uns sur me
prend peur : peut-être y a-t-il quelque chose de démis, de cassé. Le médecin le plus proche est à une ville distante d'une diz
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis û
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le D' Bérlllon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complè
chez tous les travailleurs de vie et de mœurs sévères. Qu'ils soient médecins , philosophes, romanciers ou tous autres écrivains
rés fils de dégénérés. Ce déséquilibre particulier n'est, pour nous médecins , que l'état de moindre résistance d'un système ne
s en affection ou dont elles ont l'habitude. C'est pour cela que le médecin d'un neurasthénique doit commencer par se rendre
a l'ami de son malade. Le neurasthénique s'entraîne par l'habitude du médecin qu'il a choisi ; il s'y adapte et, sous son influ
Savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le D' Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Les séances de la Société on
mardis de chaque mois, à 4 heures et demie. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
s la science et la finesse de raisonnement que doit posséder tout bon médecin ; mais, par contre, ils exigent un dévouement, un
é, jusqu'à ces derniers temps, le Correspondant médical, si connu des médecins . Le Bulletin professionnel des Infirmières et Gar
seur à l'Ecole de Psychologie de Paris, D« C. Boutier, et M. Boutibr, médecins résidants. Cure de sommeil — Psychothérapie — M
eçon d'ouverture sera faite par notre collègue, M. le i •'¦ Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés; elle aura pour t
L'enseignement de l'Ecole do Psychologie est public. Il s'adresse aux médecins , aux étudiants, aux esprits désireux de connaître
moins fournie que celle de sa sœur. Elle avait signés de noms de médecins fort honorables qui attestaient qu'elle appartena
nage de savants etde professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
gratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis.de 10 h. a midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le D' Bérillon, médecin inspecteur de3 asiles publics d'aliénés, y complè
, puisqu'il est indispensable de rechercher avant tout le sommeil, le médecin le provoquera, autant de fois qu'il sera nécessai
et de l'hystérie en instance. II sert à fortifier l'influence que le médecin cherche à prendre sur le moral de son paUent en s
essieurs, les nombreuses observations publiées sur la matière par les médecins civils ou militaires en situation de le faire. De
ion équitable des faits, la solution du problème, en tant qu'œuvre de médecin observateur et philosophe, désireux de respecter
Savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le D'Jules Voisin, médecin de la Salpètrlère. Les séances de la Société
mardis de chaque mois, à 4 heures et demie. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités a y assister. Adr
est public. La leçon d'ouverture sera faite par M. le D' Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés, sur : La psychol
— Le traitement psychologique de l'alcoolisme, par M. le D' Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés (avec projections
nique. Vendredi 3 février, sous la présidence de M. le D'J. Voisin, médecin de la Salpétrière. — L'hypnotisme, i'hysïérie et
hologie du courageet l'éducation du caractère, par M. le D' Bbjullon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés (avec projections
tion d'élèves.) Hospice db la Salpétriére. — M. le d* Jules Voisin, médecin de la Salpétrière, reprendra ses leçons cliniques
sseur à l'Ecole de Psychologie de Paris, D— c. Boctier, et M Boctter. médecins résidant*. Core de sommeil — Psychothérapie — M
t l'éducation du carac- tère I.' d'ouverture pur M. lu h' BëHilion. médecin ¦inspecteur des asiles d'aliénés, professeur à l'
p. 217. 2. La cure actuelle de l'alcoolisme par M. le D' Legoain, médecin en ohof de Ville-Evrard, p. 254. 3. Lasuggestlb
-ient pris place M. Giard, professeur à la Sorbonne, M. Jules Voisin, médecin de la s- ';>¦'¦! r.membres du comité de patron
chnique, D'Godon, directeur de l'Ecole dentaire, Dr Babaian Babayefï, médecin ues hôpitaux de Tiflis, D' Raffegcau, D' Accolas,
' de Achucarro. D'Ja-worski, D' Reinburg. etc.. et un grand nombre de médecins , de professeurs de l'Université, d'élèves de l'Ec
idées du maître, un grand nom- bre de chercheurs, physiologistes, médecins ou philosophes ont continué son œuvre. Parmi eu
, pour moi, le succès de l'Ecole de Psychologie. ment le philosophe médecin Beauchéne lorsqu'il disait: « Tous les hommes ont
Personne ne sait plus commander, personne se sait plus obéir. » Les médecins ont aussi poussé le cri d'alarme, et le professeu
ériles, aux caractères tristes, Inquiets et soupçonneux. » Mais les médecins psychologues, ceux qui, comme nous s'ingénient a
des phobies et s'abandonnent a un profond découragement. C'est à ces médecins qu'incombe le devoir non seulement de signaler le
, celte idée de l'hérédité inéluctable a été surtout propagée par les médecins aliénistes. Par contre, d'autres penseurs sont
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
gratuites ont Heu les mardis, jeudis et samedis.de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le D* Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complè
els les moyens habituels d'éducation se sont montrés insuffisants. Le médecin ne doit se substituer au pédagogue que dans les c
ation du La cure actuelle de l'alcoolisme par M. le D' Lboraix, médecin en chef de Ville-Evrard Il m'arrive de Russie d
Savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le D'Jules Voisin, médecin de la Salpétrière. Les séances de la Société on
( ¦ à l'Ecole de Psychologie de Pari», d" C. Bocnza. et vi. Boutiir. médecins résidants. Cnra de sommeil — Psychothérapie — M
ées dans la Revue. Sous la présidence de M. Jules Voisin, le savant médecin de la Salpétrlère, le D' Paul Magnln dans la quat
thermiques chez les tuberculeux. — D'après Kœhler et Bchr [Mtinchener médecin . Wochenschrift, 1904, n° 48), desimpies injection
age dc.savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
gratuites ont Heu les mardis, jeudis et Bamedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le D' Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complè
suggestion ou do l'imitation. Tour les jours, au lit du malade, le médecin fait et doit faire de la suggestion. Combien de f
t en thérapeutique comme un moyen d'augmenter l'action exercée par le médecin sur le malade, un procédé pour restreindre les se
e dernier, de façon à faire prédominer celles qui sont voulues par le médecin . Mêmes résultats sont obtenus par l'isolement qui
'amener chez lui le sommeil par des doses considérables d'opium? Le médecin doit être capable de juger quelle part il doit fa
se laisser hypnotiser, qu'il se prête docilement aux prescriptions du médecin et qu'il poursuive la cure pendant tout le temps
laboratoire de psychologie physiologique de la Sorbonne, et Huchard, médecin de l'hôpital Neeker, membre de l'Académie de méde
Savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le D'Jules Voisin, médecin de la Salpètrière. Les séances de la Société on
Salpetrière. mois, à 4 heures et demie. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
l'Ecole pratique de la Faculté de médecine. — M. le docteur Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, professe
autant d'apUtadee naturelles que tel de leora confrères suisses, les médecins francala savent ajouter quand il convient la prat
hiffres des D" Dupré et Duflos n'ont pas été admis par la plupart des médecins des asiles. Plusieurs d'entre eux, auxquels nous
mme à barbe complète sont d'ailleurs si rares dans les asiles que les médecins qui ont eu l'occasion d'en observer se sont empre
s signaler dans les recueils de médecine mentale. Le D' Mac Dowall, médecin de l'asiled'aliénés du Comté de Northumberland, a
uggestion, on ne l'a pas exclue. Le patient a déjà été informé par le médecin que l'hypnose peut le guérir. Il devient alors in
t causée par l'incapacité d'innerver volontairement le sphincter. Les médecins du patient étaient d'avis que ce symptôme était d
nage de savants etde professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
atuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les, médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complè
est évidemment pour les passagers une bonne fortune d'avoir a bord un médecin qui sache par l'hypnotisme inhiber le mal de mer;
la malade a pu échapper à ravortement, lequel apparaît a beaucoup de médecins comme absolument nécessaire. En outre, ce cas mon
le constitue le plus souvent le principal obstacle à la guérison. Les médecins ne se préoccupent pas assez souvent, dans le cour
e cèdent qu'avec regret, il en est d'autres qui ne pardonnent pas aux médecins d'avoir surpris leur secret. Certains esprits org
ades éprouvent à l'égard des gardes-malades très clairvoyantes et des médecins expérimentés. Quant les pratiques d'onanisme non
s mentales ou même mettent en danger la vie des malades, le devoir du médecin est nettement tracé. 11 doit prévenir la famille
Savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le D'Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Les séances de la Société on
mardis de chaque mois, à 4 heures et demie. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
des Européens M. L.-H. Laloy rapporte une ancienne observation d'un médecin japonais, le D' Buntaro-Adacht, sur l'odeur des E
s » ?... L'aliénation mentale en temps de guerre M. le Dr Jacoby, médecin en chef de l'asile provincial d'Orel (Russie), vi
ecine. — Psycholooie médicale : hypnotisme. — M. le docteur Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés, professeur à l'E
seur a l'Ecolo de Psychologie de Paris, D" C. Boutier, et M. Bodtier, médecins résidants. Gare de sommeil — Psychothérapie — M
sé à M. le Dr Ernest White. professeur au Royal Collège de Londres et médecin de l'asile de la Cité de Londres. Avec la plus gr
es, je n'en avais que trois accidentels, ils ne s'étaient adressés au médecin que parce qu'ils craignaient de devenir habituels
plus de succès venir à bout de l'alcoolisme actuel. Heureusement, les médecins possèdent un moyen très puissant d'agir à volonté
bavardage ou par des impressions extérieures. Dans ces conditions, le médecin arrive à grand'peine à produire le sommeil hypnot
équence des séances. Dans la plupart des cas, le malade vient chez le médecin le lendemain de la première séance et lui dit ave
miers, seulement, dans le ton même de leurs réponses aux questions du médecin , on sent bien qu'ils mettent en doute l'efficacit
, on sent bien qu'ils mettent en doute l'efficacité du traitement. Le médecin doit prendre à tàclic de détruire toute ombre de
e boire sous l'effet de la suggestion se plaignent à chaque visite du médecin de quelques SUPPLÉMENT A LA REVUE DE L'HYPNOT
age de savants et de professeurs autorisés, est destine à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
othérapie Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le D' Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complè
ont besoin d'être soumis à la surveillance particulièrement sévère du médecin . Si ce dernier ne réussit pas, à l'aide de la sug
cool que celui-ci devient une nécessité pour l'organisme. La tâche du médecin n'est donc pas seulement de supprimer l'usage de
pour consulter et qui, par conséquent, échappent à la surveillance du médecin , je liens à prévenir que ce contingent de malades
culose au début. L'hypnotisme a été essayé chez elle, mais non par un médecin ; on n'a jamais, dit-elle, pu l'endormir. Je le t
rouvait en présence de sa femme une véritable intimidation. Obs. 2, médecin , 35 ans, cause : longue attente et satisfaction i
l'application de ce traitement toujours Inoffcnsif entre les mains de médecins compétents. Seance da mardi I? Janvier 1905. —
Savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le D'Jules Voisin, médecin de la Salpetrière. Les séances de la Société on
mardis de chaque mois, à 4 heures et demie. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
decine. — Pstcholooie médicale: hypnotisme. — M. le docteur Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés, professeur à l'E
seur à l'Ecole de Psychologie de Paris, Dr C. Soutier, et m. Routier, médecins résidants. Cure de sommeil — Psychothérapie — M
re de l'Académie de médecine, et la présidence de M. le Dr J. Voisin, médecin de la Salpétrlcre. Les réunions de la Société d'H
pétrlcre. Les réunions de la Société d'Hypnologie présentent pour les médecins , les étudiants et les psychologues, un très grand
donner à cette tête un aspect absolument masculin. (Fig. 54). Qu'un médecin expert se trouve en présence d'une tête semblable
r exercice de sa volonté. La suggestion hypnotique nppliquco par le médecin avait neutralisé les effets de la suggestion hypn
de Marseille). Mlle Marie-Louise P.., 22 ans, m'est envoyée par son médecin , le docieur Roussy, comme un cas très curieux et
eux s'opposent à toute intervention chirurgicale. Le docteur Roussy, médecin de la famille, consulté, engage celle-ci à avoir
persuadée qu'elle était incurable : « Vous voulez encore consulter un médecin , avait-elle dit lorsqu'on voulut la conduire chez
chez moi, j'y consens pour vous faire plaisir, mais ce ne sera qu'un médecin de plus que nous verrons. » Aussi ne fit-elle auc
ion des réflexes pour dominer l'adversaire. MM. Lépinay e; Ghollet. médecins vétérinaires : L'hypnotisme chez les animaux. — I
25 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
int-Pétersbourg); A. FOREL (de Zuricli); Eugène DUPUY; DUMONTPALLIER. médecin de l'Hôtel-Dieu; Van EEDEN (d'Amsterdam); GRASSET
Faculté de Lyon ; LAD AME (de Genève); LIÉBEAULT (de Nancy); LEGRAIN. médecin de l'Asile de Vauelus*; LIÉGEOIS, prof, à l'Univ.
TZING (de Munich); SPERLING (de Berlin) SEMAL (de Mons); Aug. VOISIN, médecin de la Salpôtrièrc, etc.; STEMBO (de Vilna); P. VA
3° Du sommeil provoqué à l'insu du malade, dans un cas ; à l'insu du médecin , dans un autre, par M. le Dr Le Menant des Ches
cole pratique un cours de pathologie interne ; en 186G il était nomme médecin des hôpitaux. En 1875, il obtenait un prix à l'
1892, il faisait à l'hôpital de l'Hôtel-Dieu, où il était passe comme médecin , des conférences très suivies sur la gynécologie.
à cette époque, son nom serait resté à l'égal de celui de beaucoup de médecins aux travaux estimables, voilà tout. Il parla et s
soins aux jeunes lycéens de Louis-le-Grand, puisqu'il n'est plus que médecin honoraire de l'Hôtel-Dieu, tel est l'automne d'un
'inventeur de la metallothérapie, de consacrer les mérites du modeste médecin de campagne dont les patientes recherches ont dot
. Du sommeil provoqué à l'insu du malade, dans un cas ; à l'insu du médecin , dans un autre Par M. le docteur Le Menant des
e. Ce fait méritait de vous être signalé, car il montre combien les médecins doivent être prudents pour ne pas s'exposer à tro
, nous devons citer SI. le Dr Eid, du Caire, M. le Dr Auguste Voisin, médecin de la Salpétrière, M. Boirac, professeur au lycée
rmi lesquelles celles de M. le professeur Pitres, de M. Alfred Robin, médecin de la Pitié, de MM. lesDrs Baraduc, Paul Joire de
ur toute la médecine une influence salutaire. En développant chez les médecins l'esprit philosophique, elle augmente leur champ
xviie siècle. Le duc d'York ayant été atteint de la variole et les médecins anglais ne tirant pas assez promptement d'affaire
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
l'Institut psycho-physiologique, une série de conférences. Parmi les médecins qui ont suivi les conférences et ont été initiés
présentent ces empreintes. Mission médicale. — M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, vient d'
omplète et pres-qu'instantanée d'un mal déclaré incurable partous les médecins , n'en est pas moins certaine. Et cette impression
physique, comment s'expliquer que le prestige scientifique des grands médecins consultés par le professeur Dorobetz, et dans le
magie, qu'il avait été à même de voir à l'œuvre. Parlant des sorciers médecins de son temps, il en dit ceci : « Les uns invoquen
un hymne à Sainte Appoline, etc. * * * Le temps est passé où le médecin et le philosophe pouvaient écarter le gênant prob
'on veut éviter à l'avenir des erreurs regrettables, de confier à des médecins légistes, spécialement désignés à cet effet, le s
en pratiqué depuis plus de dix ans, d'une façon systématique, par les médecins de prison, dès l'arrivée des détenus. M. Bérill
i avait l'intention de la garder toujours avec elle, on appela un des médecins de la localité qui se déclara impuissant à la gué
si que le voulait sa grand'mère, elle me fut amenée sur le conseil du médecin . Elle avait des dehors rudes, peu aimables, un
use cependant; le bon public ne gâte guère de ses faveurs les pauvres médecins , qui. se recueillant à la fin de leur carrière, f
par la Société clinique des praticiens et par le Syndicat général des médecins de Paris et de la Seine. A la table d'honneur a
avait pris place M. le Dr Bianchi, ayant à sa droite M. le Dr Chéron, médecin de Saint-Lazare, à sa gauche M. le Dr Julien, chi
ue des praticiens, Cornet, secrétaire général du Syndicat général des médecins de Paris et de la Seine. Jouin, ancien président
iété clinique, Bilhaut, chirurgien de l'hôpital international, Tison, médecin de l'hôpital Saint-Joseph, Archambaud, Apostoli,
stoli, de Gaube (du Gers), pour ne citer que ceux-là, sont connus des médecins de l'univers entier. Tous ceux qui sont ici march
exprimé le vœu que Paris possédât bientôt un centre de réunion où les médecins de province et de l'étranger, désireux d'entrer e
isation duquel travaille depuis un an environ le Syndicat général des médecins de Paris, remplirait à merveille ce but, et sa cr
réponse qu'on puisse faire aux attaques souvent formulées contre les médecins . Pour faire connaître sa méthode, le Dr Bianchi
caïnomane. Le Dr Springthorpe rapporte un cas de cocainisme chez un médecin d'une grande intelligence qui s'était habitué à l
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
hèque est mise à la disposition des étudiants inscrits. Congrès des médecins aliénistes et neurologistes. — Dans la séance du
neurologistes. — Dans la séance du 3 août, les membres du Congrès des médecins aliénistes et neurologistes ont décidé qu'au Cong
ngrès de médecine a été inspiré par le désir de ne point empêcher les médecins français de prendre part au congrès de Moscou.
able appareil de vivisection psychologique. Grâce aux travaux des médecins et des physiologistes qui ont étudié l'hypnotisme
de vue des faux témoignages suggérés Par M. le Dr Edgar Bébillox . Médecin inspecteur adjoint des asiles publics d'aliénés,
mais la pratique de l'hypnotisme étant, en somme, réservée aux seuls médecins , il n'y avait pas lieu de s'émouvoir. Il n'en éta
ation peut inquiéter les moralistes, préoccuper les magistrats et les médecins . La création dans une ville importante d'un de ce
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
retourner sur les bancs de l'école, ou mieux de suivre les leçons des médecins spécialistes qui s'adonnent couramment à l'étude
psychothérapie. Nous n'avons pas non plus la prétention de guérir les médecins affligés du travers de disser. ter, dans le silen
ement à son article si peu documenté : « Dans l'action psychique du médecin sur le malade, nous n'avons pas parlé de la m
e à l'abri de telles insinuations. Quand l'imagination excessive d'un médecin l'entrainc à de tels écarts de plume, on peut adm
nt met aux voix les candidatures de M. le Dr Rousseau-Saint-Philippe, médecin des hôpitaux de Bordeaux, de M. le Dr Victor Levè
la sienne, il faut en chercher la cause dans ce fait, que le rôle du médecin expert a été mal compris, et qu'il a été rempli p
lumière par Lasègue quand il disait : « L'assimilation de l'expert médecin avec le juge est, en fait d'aliénation, une erreu
répond à la définition, mais l'homme échappe à son jugement. . . Le médecin appelé à connaître de l'aliénation suit la marche
donations entre-vifs et des testaments, parlant de l'intervention du médecin dans les cas d'aliénation mentale,-Troplong écriv
odilier », il montrait bien par là qu'il ne comprenait pas le rôle du médecin expert, et son erreur s'affirme lorsqu'il ajoute
pert, et son erreur s'affirme lorsqu'il ajoute : « Leur jugement (des médecins ) ne saurait toujours être le jugement du magistra
gements ne le sont pas moins : le magistrat est juge du fait, mais le médecin est juge du degré de sens-moral dont est capable
aliéné, voire un animal. En quoi diffère, selon Troplong, le but du médecin de celui du magistrat : le premier doit traiter u
t la plus difficile à « t apprécier et celle qui réclame davantage du médecin la sagacité que « donne seule une longue expérien
le même auteur ajoute : « Il n'est pas besoin de l'intermédiaire d'un médecin pour déclarer qu'un homme qui se prétend l'empere
athologie mentale ?com-ment pourrait-il formuler un diagnostic que le médecin parfois n'établit qu'avec peine? Or, nous le repé
ait échec aux progrès de l'expertise médicale et à son extension. Les médecins , a-t-on dit, voient des fous partout, et la sécur
anquent pas d'ajouter qu'il est facile de feindre la folie, et que le médecin sera la dupe des inculpés.— A cela nous répondron
e, mieux que personne, connaissant la folie et ses manifestations, le médecin pourra déjouer la simulation, et nous formerons d
ies les meilleures pour cet examen psycho-moral. — Le magistrat et le médecin légiste ont des rôles trop dissemblables et des a
es inculpés doit précéder toute procédure ; dans cette inspection, le médecin retiendra les cas qui lui sembleront devoir néces
ico-mentale. — Il est de toute évidence, enfin, qu'il faut exiger des médecins des prisons les garanties d'une compétence partic
potence des membres inférieurs restait la même, d'autant plus que son médecin ordinaire l'avait engagée à garder un repos absol
ral chez les neurasthéniques. Ils regardent comme indipensable que le médecin prenne autorité sur son malade et lui persuade qu
ortations ne suffisent plus. Les neurasthéniques ne courraient pas de médecin en médecin, s'ils étaient accessibles à l'in- :
e suffisent plus. Les neurasthéniques ne courraient pas de médecin en médecin , s'ils étaient accessibles à l'in- : .(1) Hauzi
sme. Flueurs blanches habituelles. Mme B... a vu un grand nombre de médecins qui lui ont tous dit qu'elle n'avait aucune malad
za à forme cardio-pulmonaire. Apres avoir consulté un grand nombre de médecins , elle a fini par se mettre entre les mains d'un e
à mon insu, soit avec mon assentiment, X... commence à courir les médecins spécialistes de la capitale qui examinent, l'un s
athique n'est évidemment pas une maladie grave par elle-même, mais le médecin ne doit pas ignorer cependant que les efforts de
t 21 décembre, à 4 heures et demie. Les séances sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
usage de la parole et de l'ouïe : il a l'apparence d'un idiot. » Le médecin appelé à délivrer un certificat de collocation dé
role ; la sensibilité générale semble abolie. » Ni la police, ni le médecin , ne pensèrent avoir affaire à un cas d'ivresse :
état de somnambulisme, Cette vérité semble parfois méconnue par des médecins eux-mêmes. J'en trouve la preuve dans le rappor
15 Mars 1897, à 4 heures et demie. Les séances sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
le, aussitôt abolie. Deux jours après, elle se fait examiner par le médecin de la localité qui constate un épanchement du san
oment où la malade quitte notre service. Ainsi voici un cas où le médecin traitant a si bien cru à des désordres matériels
j'avais examiné les culs-de-sac, et non senloment moi, mais aussi le médecin qui avait soigné l'enfant au début, au moment de
la cécité survenir ou persister une pareille infirmité. L'opinion du médecin traitant qui nous l'avait adressée aux Quinze-Vin
de à son frère de fuir le monde, bien qu'elle n'ignorât point que les médecins lui conseillaient de le fréquenter, pour se distr
us le titre : Thérapeutique psychique. * Dans l'action psychique du médecin sur le malade, nous n'avons pas parlé de la mise
e à l'abri de telles insinuations. Quand l'imagination excessive d'un médecin l'entraine à de tels écarts de plume, on peut adm
, 15 Mars 1897 à 4 heures et demie. Les séances sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
le devoir, l'abnégation et le dévouement professionnels, tous les « médecins sont égaux. Cependant, des notions dérivées d'un
, perdent leur raison d'être dans la pratique médicale. Le meilleur « médecin n'est pas celui qui a conquis, par la faveur ou p
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
r à la fin de cette élude. Je dirai peu de chose de Magnétiseurs et médecins 3, qui a paru en 1890. C'est surtout une œuvre dé
suffire. Et je dois à la vérité de déclarer que, dans Magnétiseurs et Médecins , Delbœuf, avec sa fougue habituelle, a parfois dé
iscussions scientifiques. Je préfère de beaucoup, à Magnétiseurs et Médecins , deux travaux publiés l'un en 1887, l'autre en 18
réelle dipsomanie. II n'a pas eu de rechute. — Il peut arriver qu'un médecin rencontre trois cas comme les précédents au début
jours plus de résultat que le.bromure de potassium administré par le médecin traitant. Le malade est soulagé mais retombe da
15 Mars 1897, à 4 heures et demie. Les séances sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
in, Lajoie, Le Cave! 1er, Pokrychkine, Pigeaud, et un grand nombre de médecins étrangers. Toutes les branches de la psychologie
l'objet de conférences faites par les hommes les plus compétents. Les médecins et les étudiants trouvent dans ces conférences su
essite la création de cliniques de psychothérapie dans lesquelles les médecins et les étudiants pourront s'initier à la pratique
qu'il faut savoir respecter. C'est alors un devoir de charité pour un médecin , qui a charge d'âmes, de rester le directeur de c
damnable que l'abus. Attentat d'un aliéné contre le Dr Charpentier, médecin de Bicêtre. Il y a quelques jours, à Bicctre, u
dans cet établissement. Lorsque son tour vint d'être interrogé par le médecin , il s'approcha et, s'adressant à celui-ci : — Vou
s sympathies à l'occasion de l'attentat dont il vient d'être l'objet. Médecin consciencieux, dévoué aux malades, le Dr Charpent
ons et les apparitions mira- L'Epilepsie, par le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière, médecin du Dépôt près la Préfe
- L'Epilepsie, par le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière, médecin du Dépôt près la Préfecture. (1 vol. in-8° de 420
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
n d'individu à individu. C'est notre propre volonté qui devient notre médecin , nous guérissant de beaucoup de maux pénibles, pr
hypnotique en fait aussi, corrigeant des défauts, des habitudes ; un médecin anglais a obtenu ainsi de belles guérisons d'alco
manie. A un moment donne, il voulut se guérir et, sur Je conseil d'un médecin des hôpitaux, tenta la guérison par la substituti
ues, des artistes et, il faut le reconnaître, un très grand nombre de médecins . H me semblerait excessif de déclarer que tous ce
s affirmations par un certificat d'aliénation mentale, délivré par un médecin . Or, rien ne démontre que la folie soit plus fréq
ement fonctionnel des hémisphères cérébraux est aussi bien connue des médecins psychotérapeutes. Etudié par le Dr Bérillon, il e
tout quand il passe la plume à des gens qui sont plus philosophes que médecins . Je viens d'y lire, signée de M. Boirac, professe
suivante : « Monsieur, « Je savais bien que Sganarelle avait été médecin : j'ignorais qu'il fût devenu juge. Est-ce bien j
ggestion à l'état de veille (imposition des mains) Par MM. Mongour, médecin des hôpitaux de Bordeaux, et Rexault, élève du Se
meura au lit pendant quinze jours, fut visitée plusieurs fois par son médecin ; il semblerait qu'elle ait présenté quelques acc
Avril 1897, à 4 heures et demie. Les séances sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
e, demandée à notre rédacteur en chef : « Le jour est proche où les médecins se reprocheront d'avoir si longtemps méconnu l'ut
raitement direct de l'âme, seule puis, sance digne de la lutte que le médecin doit soutenir. Toute la médecine résidant dans ce
médecine résidant dans ces deux termes : a la foi et la volonté », le médecin est donc par soi et en soi le véritable agent cur
eptible d'en gâter une autre. » Mais pour réaliser de tels effets, le médecin ne doit pas être doué d'un esprit vulgaire ; il d
; il doit résumer en lui le prêtre, le philosophe et l'éducateur. Les médecins jugèrent sans doute que ce qu'on exigeait d'eux é
rès vif éclat, elles recrutèrent peu d'adhérents fidèles. Bientôt les médecins , cessant d'être des philosophes, retombèrent dans
tenir à justifier l'opinion de Voltaire qui s'exprimait ainsi : « Les médecins sont des gens qui passent leur temps à mettre des
de guérisseur, bien exceptionnellement il est vrai, était tenu par un médecin . En réalité, la foi qui guérit, la faith healin
linique de psychothérapie à l'action scientifique et rationnelle d'un médecin exercé à la pratique de l'hypnotisme, le mécanism
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
LA FACULTÉ DE MÉDECINE Semestre d'été 1896-1897 M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur-adjoint des asiles publics d'aliénés,
e secret professionnel et la loi ; Les fonctions et les devoirs des médecins experts dans les expertises médico-légales M.
ins experts dans les expertises médico-légales M. le IV Babinski, médecin de l'hôpiial de la Pitié, a repris ses conférence
a suggestion indirecte. — Guérison (1). Par M. le professeur Spehl, médecin de i'hôpital Saint-Pierre, à Bruxelles. Le nomm
nerveuses. Je soumets cette observation à la méditation de certains médecins qui s'obstinent encore à considérer le traitement
t 17 Mai 1897, à 4 heures et demie. Les séances sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
suggestion à l'état de veille Par M. le Dr E, Marandos de Monthyel, Médecin en chef des asiles publics d'aliénés de la Seine.
i elle pouvait commettre une telle faute, comme j'étais, moi, le seul médecin à qui elle pouvait la confier. Le mariage étant f
i, quelque vilain et odieux qu'il soit, est souvent un devoir pour le médecin . Je dis à la jeune fille que c'était là l'unique
Dans une thèse de la Faculté de Paris, inspirée par M. Dumontpallier, médecin du lycée Louis-le-Grand, M. Boussi démontrait qu'
complète des images ? Nous répondrons par l'affirmative. M. Variot, médecin des hôpitaux de Paris, et M. Jullien, médecin de
firmative. M. Variot, médecin des hôpitaux de Paris, et M. Jullien, médecin de Saint-Lazare, ont, par leurs procédés, obtenu
mates d'infamie. Pour cela, elle aurait à faire appel au concours des médecins qui ont, comme MM. Variot et Jullien, poursuivi d
ance annuelle aura lieu en Juillet. Les séances sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
ions les plus satisfaisantes. Un comité, composé d'un grand nombre de médecins , fut chargé de juger l'œuvre d'Esdaile ; leur rap
mi les sciences et qu'il est largement employé par un grand nombre de médecins , on n'ignore plus les usages que la chirurgie en
en mars 1890, et, selon M. Pridgin Teale, qui avec une soixantaine de médecins assistait à l'opération : « Les expériences furen
Le traitement de l'accès d'épilepsie. Par M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpetriere. Peut-on empêcher un accès d'
et, les plus propices. Chaque nouveau succès exalte la confiance du médecin comme celle du malade ; l'usage s'en répand ; d'a
ance annuelle aura lieu en Juillet. Les séances sont publiques. Les médecins et les étudiants sontinvités à y assister. Adre
donc fallu se contenter des indications obligeamment fournies par les médecins . Cette dormeuse, Victorine Doirat, est âgée de
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
ant, des fatigues intellectuelles précoces. Que de fois, en effet, le médecin n'a-t-il pas dû exiger que l'enfant fût, pour un
olaires et les exigences des examens. M. le docteur Bondicelli, comme médecin et hygiéniste, s'associe à ce qui a été dit au su
de ce système d'instruction se font déjà sentir, d'après lui, et les médecins comme les philanthropes et tous ceux qui s'occupe
ses méthodes devant ses confrères ; il insistait sur ce fait que les médecins seuls doivent faire usage de l'hypnotisme, et il
ue dans les diverses classes de la société. Hommes : 650 p. 100 Médecins ....... 287 40,1 Fils de Médecin .... 1 0.15 P
société. Hommes : 650 p. 100 Médecins....... 287 40,1 Fils de Médecin .... 1 0.15 Pharmaciens...... 21 3,2 Étudiant
,3 Hommes politiques. . . 3 0.4 Femmes : 350 p. 100 Femmes de médecins . . 35 10 Religieuses....... 4 i,l Femmes de
ropos la Médecine moderne, la fréquence de la morphinomanie parmi les médecins est un fait connu ; et il faut admettre sans dout
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
associé aux narcotiques et aux anesthésiques. Huitième Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de langue française.
e la marine. — Par décret, en date du 15 avril 1897, M. le Dr Bourru, médecin en chef, a été promu au grade de directeur du Ser
. Aliéné professeur (un), 188. Attentat contre le Dr Charpentier, médecin de Bicêtre, 220. Anesthésie cutanée chez les Ma
Dr E. Bérillon, 138. Attentat d'un aliéné contre le Dr Charpentier, médecin de Bicétre, 220. Attitude dans le sommeil (l'),
254. Congrès de psychologie de Munich (le), P. V. 34. Congrès des médecins aliéniste et neurologistes, 63. Congrès de psyc
7. Epilepsie (le traitement de l'accès d'), par le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière, 327. Examen psycho-moral de
147. Sommeil provoqué à l'insu du malade, dans un cas ; à l'insu du médecin , dans un antre (du), par le Dr Le Menant des Ches
26 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ait comme un cercle de fer autour de la tète, qui était raide. Le médecin disait qu'elle avait le collier cérébral. Pas de
qu'on propose d'ouvrir les hospices d'aliénés à l'intervention' des médecins du dehors, mesure qui a pour but d'accroître la
e si « le juge, après plat- doyers et procès, peut certifier que le médecin , prévenu, a agi par grande négligence ou corrup
e soulèvent les aliénistes contre l'ou- verture de leurs asiles aux médecins du dehors, elles sont encore moins plausibles.
fièvre typhoïde, par, exemple, remette sa vie entre les mains d'un médecin , aux lumières duquel un homme sain d'esprit ne
l, en dehors du sentiment vrai de leur profession, et il engage les médecins à 'éclairer sur ce point l'opinion de leurs man
ne ; Bigot, médecin-direc- teur de l'asile de Vaucluse; Bouchereau, médecin de l'asile Sainte- Anne; Bourneville, membre de
u à l'adjonc- tion de délégués du corps électif à la commission des médecins chargés de prononcer sur les cas de séquestrati
droite. Le malheureux a été transporté à l'inlirmerie de l'asile. Médecins aliénistes. - Nous lisons dans la Wietzer Medizin
ns dans la Wietzer Medizinische Presse du 28 octobre, que M. Ehmer, médecin de l'asile de Feldhof, a reçu, pendant sa visit
de r : nrrocr.osms); Par le D' Il. RAYAI OND, agrégé de la Faculté, médecin de l'hospice des Incurables, et G. ARTAUD, inte
après la communication de 111. Cuffer, notre maître, M. E. Vidal, médecin de l'hôpital Saint-Louis, présentait à la Socié
asile, en s'élevant SOCIÉTÉS SAVANTES. 255 contre l'arbitraire du médecin , dont un simple certificat suffit pour faire in
s sorties à titre d'essai sont surtout appliquées en province où le médecin , plus au courant qu'à Paris des habitudes du mi
t assez fréquentes surtout dans les maisons de santé privées, où le médecin est en rapport plus direct avec les familles, e
mais c'est là fort heureusement un accident rare qui doit rendre le médecin circonspect, mais non pas le priver d'un excell
ses intérêts pécu- niaires ; ce sont encore des cas délicats que le médecin devra prévoir, mais qui ne constituera pas d'em
ue soit leur mode d'admission, tombaient dans la loi commune, et le médecin deve- nait le seul juge de l'opportunité de leu
à voir cette responsabilité partagée par une commission composée de médecins et de magistrats. En Angleterre, quand un malad
istrats. En Angleterre, quand un malade réclame sa sortie et que le médecin ne croit pas pouvoir la lui accorder, sa demand
ent devra-t-elle être com- posée ? Serait-elle formée uniquement de médecins ou mixte ? ' ! Ne vaut-il pas mieux, au contrai
elle, personne ne peut s'op- poser à la sortie d'un aliéné quand le médecin traitant a constaté la guérison par un certific
ès d'épilepsie larvée et commettre de nouveaux meurtres. Certains médecins , partageant l'opinion d'Aubanel, pensent que tout
tions ordinaires de la vie. Ces questions si embarrassantes pour le médecin le deviendront beaucoup plus pour la commission
inistration. Dans la plupart des cas, il y a entente entre les deux médecins qui s'éclairent mutuellement. En serait-il de m
rnement du malade; le procureur de la République, accom- pagné d'un médecin , devra le visiter et rédiger sur son état un ra
décider si un délirant chronique est inof- fensif ou dangereux ? Au médecin traitant qui souvent l'aura soigné pendant plus
soigné pendant plusieurs années, ou à une commission composée de médecins et de magistrats qui ne l'auront jamais vu ? A un
n jugement de première instance ? M. Labitte. Je ne crois pas; le médecin peut attendre la décision de la cour d'appel.
cat d'entrée aus- sitôt après la sortie de l'aliéné. D'ailleurs, le médecin pouvant empêcher l'interdiction d'un aliéné en
nt curable en quelques semaines. Comment alors admettre que ce même médecin puisse être poursuivi pour n'avoir pas mis à la
ans l'hypothèse où le magis- trat demanderait des renseignements au médecin . Est-ce bien SOCIÉTÉS SAVANTES. 259 ainsi que
s la commission qui a élaboré le projet de loi déposé au Sénat, les médecins ont lutté autant qu'ils l'ont pu pour qu'on tou
ns pas besoin, pensons-nous, ayant l'honneur de parler devant des médecins aliénistes, d'insister davantage sur la difficult
, ce qui peut avoir quel- quefois des inconvénients graves pour les médecins . On objecte que les signatures données dans ces
ait bien ce qu'il faisait, se trouvait dans un moment lucide; et le médecin qui, dans le but d'être utile au ma- lade, a au
d l'habitude d'accorder aux aliénés des sorties provisoires ; et le médecin qui aura autorisé ou conseillé la sortie se trouv
ns l'asile. En accordant des sorties pro visoires ou des congés, le médecin sera toujours dans l'inquiétude; car, en défini
ents tragiques, occasionnés par des aliénés en liberté, pour que le médecin aille de son plein gré, en faciliter ou en accr
assants et dans lesquels se trouve mise en jeu la responsabilité du médecin ? Celui- ci résiste le plus longtemps possible,
iles de la Seine, nous avons parfois re- cours à l'intervention des médecins inspecteurs de la préfecture de police qui nous
tte commission ? J'estime que pour la Seine, le chef de service, un médecin inspec- teur de la préfecture de police et un d
. Sur-. gissent des plaintes, des réclamations devant lesquelles le médecin est obligé de céder, quelquefois. Or, dans bien
nent, à l'arrivée des malades à Sainte-Anne que le certificat du médecin de la préfecture de police. Ces certificats sont
aits importants, dont il serait très nécessaire que fut instruit le médecin dans les asiles. Je me hâte d'ajouter que cette
urs inévitable, attendu qu'au moment de l'examen fait au dépôt, les médecins n'ont eux-mêmes à leur disposition qu'un dossie
n dangereux des aliénés qui sont loin d'être inoffensifs, expose le médecin à demander leur mise en liberté, alors que au c
és des faits plus ou moins graves à la charge du malade, et dont le médecin était absolument ignorant. En présence de ces r
usior s années un voeu invitant M. le Prétet de police à donner aux médecins les renseigne- ments dont parle M. (le la Niaeb
les asiles une note complémentaire, qui éclairerait complètement le médecin ou le directeur sur les anté- cédents du malade
mettre des excès; on peut lui extorquer des signatures; c'est au médecin à prendre ses précautions, en ne confiant son mal
nade faisant partie du traitement suivi par les malades, c'était au médecin seul d'en juger sur l'opportunité, et renvoya la
médecin seul d'en juger sur l'opportunité, et renvoya la demande au médecin traitant. 4" , , ' Voici maintenant un cas qui
limen- tation, est d'ailleurs copieuse et de bon aspect. - C'est le médecin en chef qui choisit et renvoie le personnel des
on les fait venir de la ville. Le personnel médical se compose d'un médecin en chef et d'un médecin-adjoint. Des étudiants;
à l'Etat. Le scrvice médical est fait par le directeur assisté d'un médecin qui habile la ville et vient une heure par jour
Quartier d'aliénés. -Par suite du décès du 1), Lepagc, la place de médecin du quartier des aliénés aux hos- pices d'Orléan
ÉBn IL de L'II'POGLOSSE Par le D, F. RAYMOND, agrégé de la Faculté, médecin de l'hospice des Incurables, et G. ARTAUD, inte
NT PROGRESSIF DU SINUS FALCIFORME SUPÉRIEUR; Par le D' N. POPOFF, médecin à l'hôpital de Saint-Nicolas, à PétersbourD 1.
tudes anciennes. Dans le domaine de la pathologie cérébrale, pas un médecin ne méconnaît l'influence des fonctions de la di
loppements critiques de la plus haute im- portance, les travaux des médecins qui sollicitaient l'honneur de faire partie de
t, Cotard et Garuier. M. RtrTt informe la Société qu'un groupe de médecins aliénistes belges, désireux d'élever une statue
ouvera en face d'une famille qui refu- sera de la renseigner ; que) médecin se chargera d'éclairer l'auto- rité et de viole
ner à leurs aliénés des soins obligatoires qu'elles demandentà leur médecin et non pas à l'Etal ? Si cette question de prin
d'accès près d'eux. MARCEL BRIAND. CONGRÈS ANNUEL DE LA SOCIÉTÉ DES MÉDECINS ALIÉNISTES ALLEMANDS 1. Session DE BERLiN. Sé
ogression quantitative graduelle. L'autorité el les exhortations du médecin vaincront les résistances de la pre- mière sema
nt été désastreux. Il ne saurait le conseiller qu'en la présence du médecin . - 1,"est pourquoi, réplique M. Binswanger, il
ns la loi actuelle, le rôle prépondérant appartient avec raison aux médecins . L'orateur proteste ensuite contre les attaques
réunir, pour les asiles, les fonctions de directeur avec celles de médecin (I. 8); la seconde énumère tous les magistrats et
aux malades et qu'elles font en outre échec à l'autorité morale du médecin . Il est donc à désirer que le nombre de ces vis
e la justice s'exerçât non plus après, mais avant le placement. Les médecins n'ont triomphé de cette préten- tion qu'à certa
re de présenter au directeur de l'asile un certificat signé de deux médecins ou un seul certificat revêtu de deux signatures
e procureur de la République, assisté d'un SOCIÉTÉS SAVANTES. 383 médecin de son choix, viendra interroger la personne plac
e lorsqu'un malade vient de lui-même solliciter son admission, le médecin ait le droit de le recevoir, sauf à faire ensuite
eux incon- vénients (surcroit de travail pour les procureurs et les médecins , surcroît de dépenses pour les conseils générau
énés dangereux, M. Blanche demande que ce soit la justice et non le médecin qui ptenne la responsabilité de leur sortie. Qu
eur des biens d'un aliéné puisse vendre son mobilier sans l'avis du médecin . En- fin, cet administrateur pourra être nommé
nce, les préfets; àParis, le préfet de police avec le concours d'un médecin , seraient investis de cette mission. Cette surv
dre les biens d'un aliéné placé dans un asile public sans l'avis du médecin traitant : dans des cas bien déterminés, pour a
pour objectif l'article qui « en basant sur le certificat d'un seul médecin l'ad- mission des aliénés dans les établissemen
aliénés dans les établissements publics ou privés, fai- sait de ce médecin , faillible lui-même, une sorte d'arbitre de la
r démontrer que l'étude de l'aliénation mentale s'impose à tous les médecins et conclut au rejet de la double signature pour
commission a été nommée, mais là, « où il fallait une ma- jorité de médecins , on choisit une majorité de magistrats et d'ad-
r la commission est une véritable oeuvre de suspicion à l'égard des médecins . Ces réserves faites, M. Luys examine le terrai
ssion. D'ailleurs, on comprend difficilement que la loi refuse à un médecin le droit de diriger sur un asile un aliéné dang
. Luys n'admet pas que ce soit « l'au- torité judiciaire aidée d'un médecin de son choix, qui décide d'emblée l'entrée des
mble prévoir qu'un cas, celui où la justice serait d'accord avec le médecin pour s'opposer à la sor- tie d'un aliéné présen
e sujet, M. Mesnet constate avec peine que la si- tuation faite aux médecins par la nouvelle loi est inférieure à celle que
eptionnels où le doute est permis, le magistrat pourra mieux que le médecin , tran- cher la question. L'intervention de la j
s en dehors du Parlement, l'orateur fait remarquer que onze étaient médecins , et parmi les membres pris dans le Parlement, t
partenaient également au corps médical. Si l'on ajoute que tous ces médecins avaient une autorité incontestable comme aliéni
ns élargir indéfiniment le cadre de la commission. Que le rôle du médecin doive être prépondérant, M. Lunier l'ac- corde
ans les asiles et provoquer la sortie d'un malade, contre l'avis du médecin . Dans le système des admissions provi- soires,
écision, et qu'on donne au procureur de la République, assisté d'un médecin , le droit de statuer d'urgence sur le maintien du
ux formulés à cet égard par le Conseil général, les nominations des médecins des asiles de la Seine, sauf ceux des quartiers
ogrès de la médecine mentale qu'à la dignité et à l'indépendance du médecin . Comme corollaire de cette réforme et pour augmen
t de signer des certificats fût réservé à une catégorie spéciale de médecins . En terminant, l'orateur demande qu'à l'a- veni
ssier des malades placés d'office soit communiqué par l'autorité au médecin traitant. Après le discours de M. Bail, M. Blan
rises par la justice ou soumises à son contrôle. C'est toutefois au médecin qu'il appartient d'indiquer et de pres- crire c
conserver l'initiative. En effet, les aliénés étant des malades, le médecin seul est compétent pour 392 SOCIÉTÉS SAVANTES.
l'asile, deux certificats distincts, ou un certificat signé de deux médecins , et la loi pres- crit que ces certificats soien
s cas, et nous pensons, en outre, qu'il serait indispensable que le médecin de l'asile eût toute autorité pour placer, pendan
les des aliénés, ainsi que cela existe aujourd'hui à Paris pour les médecins des quartiers d'hospices affectés aux alié- nés
es nerveuses ou mentales. Cette publication sera très appréciée des médecins qui s'occupent de ces questions, car les s trav
nt eux-mêmes ou dissimulent. C'est dans ces cas qu'il appartient au médecin de dé- masquer les habitudes antérieures, en se
Sachsenberg). IV. Hôpital Saint-Jean (Saint-Hans), près Roeskilde. Médecin en chef, professeur STEENBERG. Cet hôpital est
conseil municipal de Copenhague. Le service médical est confié à un médecin en chef. Un inspecteur est responsable du servi
us haut, le comptable, l'in- tendant, le pasteur et l'organiste. Le médecin en chef à sous ses ordres le personnel médical
ssement qu'il choisit à peu d'exceptions près. Les obligations du médecin en chef et celles de l'inspecteur sont naturell
ssible par des instructions approfondies; cependant l'on accorde au médecin en chef une certaine prépondérance. C'est ainsi
l'inspecteur pour «on personnel doivent être revêtues de l'avis du médecin en chef, avant d'être envoyées au conseil. C'es
ait décidé. L'inspecteur peut il est vrai agir de même à l'égard du médecin en chef, en ce qui concerne leper- sonnel des g
erne leper- sonnel des gardiens, mais avec cette restriction que le médecin en chef n'est pas obligé de souscrire àcette de
du conseil. De même que dans les autres établissements danois, le médecin en chef seul reçoit et congédie les malades, tand
, dans la portion parallèle aux deux grandes ailes, l'habitation du médecin en chef, le bureau de l'inspecteur, la salle de
médicale, est cependant relié au quartier des psychoses aiguës, au médecin en chef par un téléphone. Des lieux d'aisances
ne à la disposition des aliénés. Le personnel médical comprend un médecin en chef et trois AIICUIVES, t. VII. 26 402 VA
continuité est régi par le § 46 du règle- mont intérieur; c'est au médecin en chef qu'en appartient la dis- pensation et i
un pantalon bleus de toile. Les gardiens agréés et congédiés par le médecin en chef sont par rapport aux malades dans la pr
ls l'emportent ou la somme est remise à la famille, selon l'avis du médecin en chef. Il n'existe pas de société de secours
s DE la SEINE. Concours. La question du concours pour les places de médecin des Asiles a été souvent discutée par nous dans
s pu obtenir que le rétablis- sement du concours pour les places de médecins de Bicêtre et de la Salpêtrière. Pour montrer q
dans la loi sur les aliénés. Après avoir conclu au recrutement des médecins adjoints par le concours, nous avons résumé les
adjoints par le concours, nous avons résumé les débats relatifs aux médecins en chef dans les pages suivantes : Médecins c
s débats relatifs aux médecins en chef dans les pages suivantes : Médecins chefs de service. Comment doit-on procéder à la
cins chefs de service. Comment doit-on procéder à la nomination des médecins chefs de service ? Faut-il la laisser au minist
ditions du concours du premier degré sont suffisantes pour que les médecins adjoints qui auront satisfait à cette épreuve pui
rès un certain nombre d'années de pratique dans un asile, deve- nir médecins en chef des asiles publics de second ordre. Ce qu
avoir dans les grands asiles et notamment ceux de la Seine, que des médecins ayant donné des preuves d'une capacité remarqua
ux. La majorité n'a pas été de cet avis et elle a voté pour que les médecins chefs de service fussent nommés après un second
nimité la première condition : Nul ne pourra être nommé au grade de médecin en chef des asiles d'aliénés s'il n'a subi avec
cours du clinicat équivalent à celles du concours pour lesplaces de médecin des quartiers de Bicêtre et de la Salpêtrière.
aurait pour conséquence de supprimer le concours pour les places de médecins chefs de service parce que le nombre des chefs
obligés de subir de nou- veaux concours, s'ils veulent être nommés médecins ou chirur- giens des hôpitaux ; - 3° qu'il n'y
ire des maladies mentales, et celles du concours pour les places de médecin de Bicêtre et de la Salpêtrière, car, pour ces
tes à celles du concours des hôpitaux aux- quels sont assimilés les médecins des quartiers d'aliénés '. 1 Voici en quoi cons
les docteurs en médecine français, reçus depuis deux ans; tous les médecins adjoints des asiles et tous les chefs de cliniq
d'une Faculté de l'Etat. Ceux qui auront été nommés depuis deux ans médecins adjoints des asiles d'aliénés recevront avant le
r deux malades aliénés (après 10 mi- nutes d'examen pour chacun). MÉDECINS DE BICLITRE ET DE LA SALPÊTRIÈRE. 1° Epreuve éc
pour cha- cun d'eux; 30 minutes pour la dissertation), 30 points. MÉDECINS DES HÔPITAUX. 1.0 Epreuve clinique sur un malad
30 points. 406 VARIA. Un concours pour la nomination au grade de médecin en chef des asiles sera ouvert par les soins du
et ils pourront être employés à faire des intérims. Ceux qui seront médecins adjoints dans des asiles POU1'I'onl continuer à e
nrem- plir les fonctions jusqu'à leur placement. En admettant les médecins adjoints et les médecins chefs de ser- vice à f
s jusqu'à leur placement. En admettant les médecins adjoints et les médecins chefs de ser- vice à faire des remplacements, l
stration en mesure de pour- voir aux besoins des asiles lorsque les médecins chefs de service sont en congé ou empêchés par
t en congé ou empêchés par la maladie. Il s'est agi, jusqu'ici, des médecins chefs de service des asiles publics, mais, à cô
de service des asiles publics, mais, à côté d'eux, il y a : 1° les médecins des asiles pri- vés faisant fonctions d'asiles
ns des asiles pri- vés faisant fonctions d'asiles publics et 2° les médecins des quartiers d'hospices. Aujourd'hui, les prem
s membres du cinquième groupe ont été unamimes à demander que les médecins des deux catégories soient nommés par le même c
cins des deux catégories soient nommés par le même concours que les médecins adjoints des asiles publics. Médecins chefs de
ar le même concours que les médecins adjoints des asiles publics. Médecins chefs de service des asiles de la Seine. - La que
rt. Deux opinions se sont trouvées en présence : 1° recrutement des médecins des asiles de la Seine par un concours spécial;
par un concours spécial; 2° recrutement de ces mé- decins parmi les médecins chefs de service des asiles des dépar- tements
médicale et aussi celle d'éloigner plutôt que d'attirer les jeunes médecins vers la spécialité des maladies mentales. Ces cra
En effet, cette oligarchie médicale existe dès maintenant pour les médecins des hôpitaux de Paris, pour les mé- decins des
ens internes des hôpitaux qui se font inscrire pour les concours de médecin et de chirurgien des hôpitaux ou se feront insc
ttre son assimilation aussi complète que possible avec le corps des médecins des hôpitaux de Paris. Il convient aussi de r
la tutelle des aliénés, elle aurait procédé pour la nomination des médecins des asiles de Sainte-Anne, Ville-Evrard et Vauc
Sainte-Anne, Ville-Evrard et Vaucluse, comme elle l'a fait pour les médecins des quartiers de Bicêtre et de la Salpêtrière,
re, et que les chefs de service de ces asiles 408 VARIA. seraient médecins des hôpitaux, comme l'étaient ou le sont MM. Tr
s formulée par M. Foville con- siste à dire que ce système lèse les médecins adjoints et les mé- decins chefs de service des
n a été question, on diminue le nombre des malades confiés à chaque médecin . Par conséquent, il s'écoulera un court espace
ntre les concours de la Seine et ceux auxquels auront pris part les médecins des asiles de province pour être nommés médecin
ront pris part les médecins des asiles de province pour être nommés médecins adjoints ou médecins chefs de service. Enfin, p
decins des asiles de province pour être nommés médecins adjoints ou médecins chefs de service. Enfin, pour donner satisfacti
ment des malades. L'assimilation que l'on a voulu établir entre les médecins des asiles et le corps des officiers, celui des
oupe. En effet, pour être logique, il faudrait l'étendre à tous les médecins des hôpi- taux, à tous ceux qui occupent des fo
n ou des travaux scientifiques. A ce compte, on écarterait tous les médecins qui, peu fortunés, se sentent la force, le tale
situations plus favorisées. Adopter pour l'obtention des places de médecins chefs de 1 Voir sur ce point les rapports prése
ssible si l'on procédait d'un seul coup à la nomination de tous les médecins , mais il a été convenu que l'on ferait un conco
issement du concours entraîne la suppression de la no- mination des médecins par des préfets, conformément aux dispo- sition
usoire, car, depuis la promulgation de ce décret, la nomination des médecins a continué à se faire sur la présentation d'une
aires qui présentent les candidats au choix de l'autorité. Tous les médecins étant, à à l'avenir, nommés à la suite d'un con
Seine. Bourneville. FAITS DIVERS Asile DE BLOIS. M. le Dr Millet, médecin adjoint de l'asile de Prémontré (Aisne), est no
n de l'asile de la Bouzaréa (Algérie), est assimilé aux directeurs- médecins des asiles publics de la métropole pour prendre r
publics de la métropole pour prendre rang à la suite des directeurs médecins de quatrième classe, en fonctions au : ! 0 sept
. M. le Dr BELLAT, ancien interne des asiles de la Seine, est nommé médecin adjoint de l'asile de Prémontré (deuxième class
ces, toutes les précautions nécessaires contre l'incendie. Femmes médecins dans les asiles d'aliénés. The med. Record (de
e), nous apprend que 11 ? la doctoresse Sarah Stockton a été nommée médecin de la division des femmes de l'asile des aliéné
aient désireuses de souscrire peuvent s'adresser à M. le Dr Ingels, médecin de l'hospice Guislatn, à Gand. Une société neur
emme, mais l'avait rédigé de confiance au vu d'une attestation d'un médecin suisse ; 4° Qu'après être resté pendant plus de
de l'asile de Vau- cluse, 140. Congrès annuel de la Société des médecins aliénistes allemands, 359. Corde du tympan (d
27 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
aint-Pétersbourg) ; A. FOREL(de Zurich); Eugène DUPUY; DUMONTPALLIER, médecin de l'Hôtel-Dieu; Van EEDEN (d'Amsterdam); GRASSET
Faculté de Lyon; LADAM ? (de Genève); LIÉBEAULT (de Nancy); LEGRAIN, médecin de l'Asile de Vaucluse; LIÉGEOIS, prof, à l'Univ.
ZING (de Munich); SPERLING (do Berlin); SEMAL (de Mons); Aug. VOISIN, médecin de la Salpétrière, etc.; STEM?? (de Vilna) ; P. V
e, Par le Dr Edgar BÉRILLON, Directeur Je la Revue de l'Hypnotisme, Médecin inspecteur adjoint des asiles publics d'aliénés.
ur thérapeutique de la suggestion, il fallait s'attendre à ce que des médecins eussent l'idée d'appliquer à l'enfant une médicat
ujours à l'enfant la suggestion de ne pouvoir être endormi que par le médecin . Cette suggestion est toujours suivie d'effet, et
é par la fatigue, par le bercement ou par un discours monotone. Les médecins de la Salpêtrière n'opérant que sur de grandes
no se sont adressés qu'à une catégorie de sujets. C'est ainsi que des médecins de marine ont déclaré que les marins étaient les
ue des hommes les ont déclarés plus hypnotisables que les femmes. Les médecins qui n'ont appliqué l'hypnotisme qu'à des femmes o
uyée de considérations capables de frapper son esprit. II faut que le médecin plaide chaleureusement la gué-rison. Une certaine
uggestions, faisant leur œuvre sournoisement sans que personne, ni le médecin , ni l'homme de la loi, s'avise de rattacher à une
ne vient pas uniquement commander l'attention du Physiologiste et du Médecin ; l'électro-biologie se proclame désormais l'arbit
ivi de succès. Guérison de la catalepsie. Par le Dr Augusio Voisix, médecin do la Salpêtrière. Mlle J..., 16 ans, vient me
ès depuis cette époque par la suggestion hypnotique employée par deux médecins de sa localité. Les renseignements que j'ai obten
nd nombre de fois par la suggestion hypnotique pratiquée par les deux médecins de sa localité, mais sans le moindre succès. La
nces, dans lesquelles on a entendu plusieurs rapports d'experts et de médecins qui ont développé toutes les théories de l'hypnot
endaient établir entre la situation du magnétiseur Jouve et celle des médecins qui, on le sait, ne peuvent recevoir des libérali
ns les asiles privés. Sur les 2.703 individus reconnus aliénés par le médecin de l'infirmerie du dépôt, 24 seulement ont été en
Orthopédie et Massage, école unique en son genre et qui permettra aux médecins et aux étudiants désireux de s'initier aux pratiq
natomie élémentaire: 2° une épreuve orale sur les mêmes matières. Les médecins pourront les consulter lorsqu'ils auront besoin d
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
atuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de il) h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
municipal a accordé une subvention de 1.000 fr. à M. le D' Uéjerine, médecin de la Salpêtrière, pour le fonctionnement de son
nnées suivantes. Asiles d'aliénés de la Seine. — M. le Dr Toulouse, médecin adjoint à l'asile public d'aliénés de Saint-Yon (
ur les névroses traumatiques. Le Dr Cramer, d'Eberswalde, est nommé médecin en chef de la clinique psychiatrique de Göttingue
re collaborateur le Dr Max Nordau, intitulé : ta position sociale des médecins en France. L'Administrateur-Gérant : Émile BOUR
. Si je me suis laissé aller à cette digression, c'est parce que le médecin digne de ce nom, aura toujours à cœur de connaîtr
a toujours à cœur de connaître l'organisme humain tout entier; il est médecin de l'âme et du corps, il ne peut distraire le mor
suggestive, entouré de personnes qui secondent l'influence morale du médecin , en entretenant chez lui l'idée de la guérison, e
au point de vue thérapeutique, ses avantages, parce qu'elle permet au médecin d'obtenir plus rapidement et plus complètement l'
e, qui était abandonné autrefois chez nous aux charlatans, et que nos médecins pratiquent depuis si peu d'années, est en usage c
érique. Un dessin de G. Catlin rappelé par Max Bartels) représente un médecin indien de la tribu des Pieds-Noirs massant avec l
tendu sur le sol. Chez les Australiens de la province de Victoria, le médecin place le pied sur l'oreille du patient et appuie
t très générale. Quand un Siamois est malade, il appelle un mo-phi ou médecin qui le masse jusqu'à ce que le démon soit expulsé
jusqu'à ce que le démon soit expulsé ; les Cambodgiens sont parmi les médecins les plus réputés. Aux iles Alaska, le sorcier s
t l'incline et la relève alternativement pour expulser le démon. Le médecin , à Bornéo, masse son client durant de longues heu
de magistrats, d'avocats, d'ecclésiastiques, de bourgeois et de deux médecins , dont l'un deux était de la religion nouvelle, fu
de la religion nouvelle, fut chargée d'examiner Nicole. A la vue du médecin protestant, Nicole entra dans un accès de fureur
estation diabolique, ce qui laissait les protestants incrédules. Le médecin protestant voulant poursuivre ses observations, a
Une nouvelle indisposition de Nicole leur en fournit l'occasion. Deux médecins et un chirurgien furent commis par le siège prési
demeurée dans le même estat comme auparavant » (1). Les efforts des médecins demeurant sans résultats, on fit transporter Nico
a à devenir triste, découragée et à subir une dépression profonde. Un médecin neu-rologiste éminent appelé en consultation, con
is ses occupations dans sa famille. SOCIÉTÉS SAVANTES CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES (Sixième session, t
ya souffrait depuis des années d'une fièvre continue ; désespérée des médecins , elle était réduite par la phtisie à un tel état
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
ications de la sérothérapie au traitement des maladies. Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pays
ses, qui résistent à tous les traitements et ne cèdent que lorsque le médecin en a pénétré la cause. Indépendamment du fait que
t en le faisant avec bienveillance. SOCIÉTÉS SAVANTES CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÈNISTES ET NEUROLOGISTES (Sixième session, t
tromper, de le déshonorer, toutes les nuits, devant ses yeux, dit au médecin de la maison de santé où il avait été interné, ap
ontrés dangereux. Il ne saurait être apporté trop de prudence par les médecins traitants et par les médecins légistes appelés à
t être apporté trop de prudence par les médecins traitants et par les médecins légistes appelés à formuler une opinion sur un al
du mensonge. Dans beaucoup de cas, plusieurs mois sont nécessaires au médecin expert appelé à juger de l'état mental d'un indiv
qui est bien difficile) à obtenir des aveux ; 8° Nous croyons qu'un médecin expert devrait être adjoint aux juges, quand ces
maintien d'un aliéné dans un établissement spécial, ou sa sortie. Le médecin traitant pourrait être entendu, et, en cas de dis
et le vœu suivant, qui est adopté par le Congrès : « Le Congrès des médecins aliènistes et neurologistes, réuni à Bordeaux en
légués de l'Union des Syndicats médicaux de France et du Syndicat des Médecins de la Seine ont remis à M. le Ministre de la Just
es, d'éviter de manger de la viande et de ne jamais avoir recours aux médecins et aux pharmaciens ; Attendu que la disposition
traitement pratiqué, tout exercice de l'art de guérir sans diplôme de médecin ou d'officier de santé (arrêt de la Cour de Cassa
e loi que, si le législateur n'a pas voulu réserver exclusivement aux médecins les expériences de magnétisme et d'hypnotisme, c'
ever ces expériences aux profanes et de les confier exclusivement aux médecins » ; Que le rejet par le Parlement de l'article
philosophie à l'université de Christiania ; M. le D' Auguste Voisin, médecin de la Salpêtrière; M. Boirac, professeur de philo
elles celles de MM. Persac, conseiller la cour d'appel, Jules Voisin, médecin de la Salpétrière, Dyvrande, procureur de la répu
ccueil. M. Eugène Delattre, dans un langage élevé, boit à l'union des médecins et des jurisconsultes souvent associés dans l'étu
t dans certains cas et qui pourraient parfois induire à incriminer le médecin . « Ce qui démontre, au surplus, la complète inc
mais, les élèves intelligents seront séparés des autres, et c'est aux médecins que reviendra la charge de faire la séparation, e
eur rien enseigner qui exige une activité mentale un peu forte. Les médecins en Allemagne. Au commencement de novembre 1891,
mencement de novembre 1891, on comptait dans l'empire allemand 22,287 médecins praticiens, soit 660 de plus que l'année précéden
précédente. Dans les huit dernières années (1887-1894), le nombre des médecins s'est accru de 32 0/0. Pendant le même temps, l'a
n'a été que de 100/0, soit trois fois moindre que celui du nombre des médecins . L'instinct chez les jeunes faisans. M. S.-E.
ge de savants et de professeurs autorisés,. est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
pêche suivante émanant des aliénistes de Moscou : « Les soussignés, médecins aliénistes de Moscou, regrettant de ne pas être à
eil hypnotique. Par M. le D' Schmelt2, de Js'ice. Appelé par le médecin traitant, je jugeai l'opération urgente, et, comm
. En présence du Dr Mattéo, de Roquebillière, du D' Couder, de Paris, médecin du bataillon de chasseurs résidant en ce moment à
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
nt qu'une minute environ. Comme un jour sa mère le conduisait chez le médecin de la famille qui l'avait soigné étant enfant et
averser la rue. N'ayant trouvé personne, il revint de nouveau chez le médecin , mais cette fois il n'eut pas peur et la crise ne
ysique, intellectuelle ou émotive, comme la peur de se rendre chez le médecin de la famille, la préparation aux examens, l'abus
quoique fréquent et digne au plus haut point de la préoccupation des médecins et des pédagogues. Ainsi que le dit avec raison
evoir créer pour elle un néologisme tiré du grec, onychophagie. Les médecins qui se sont occupés de la dégénérescence hérédita
à la société, si, comme le voudrait M. Bérillon et avec lui tous les médecins éclairés, l'on appliquait plus souvent à la pédag
même origine, — l'excessive suggestibilité du sujet. Son cousin est médecin . Ayant aperçu une fois la petite, qui venait d'en
de Parkinson, et une grand' tante paternelle est idiote. Son cousin, médecin de l'endroit, la prend souvent, pour la distraire
à cracher du sang. En palpant gravement son hypochondre gauche, deux médecins concluent à une dilatation, une maladie de l'esto
let à Paris pour con- suiter un de nos confrères des hôpitaux. Le médecin consultant attribue l'impotence à l'abasie. L'ano
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
s deux émules. En effet, tandis que la volonté du moraliste ou du médecin s'applique avec effort et continuité à triompher
, aux Etats-Unis, dans les ateliers de couture à la mécanique, un médecin fut assez habile ou assez heureux pour découvrir
à fixer et du partage d'attributions à faire entre le moraliste et le médecin dans la « connaissance » des désordres psychiques
eurs fois par jour recevoir une dose de suggestion dans le cabinet du médecin est chose impossible. Il faut donc trouver un pro
e force faite. 4° Avant d'appliquer tout traitement gymnastique, le médecin doit s'assurer de l'intégrité fonctionnelle des é
u cinquième mois de sa grossesse, et qu'elle désirerait l'avoir comme médecin . Quatre mois après, on l'envoie chercher. La pati
st une maladie tellement fréquente, elle vient si souvent dérouter le médecin et l'induire en erreur, (i) Richard Hodges. — C
ur lui un billet qui le ramène dans sa famille. Là, il consulte son médecin habituel qui, aidé de celui de son administration
ns cette condition, accomplisse des fugues que la perspicacité du médecin aura à différencier des fugues hystériques au poi
abondage ambulatoire. Ces fugues auraient pu être attribuées par un médecin inattentif à de l'inpulsion épileptique. Mais s
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
ec tendance à la symétrie, et quelques-uns sont devenus suppurés. Les médecins ont diagnostiqué dès l'abord un sycosis. Depuis,
ntellectuel avant son voyage au Caucase, la symétrie des lésions. Les médecins qui ont au début négligé l'état du système nerveu
our rendre service aux malades semblables en attirant l'attention des médecins sur la nécessité de prendre en considération l'ét
qu'au point de vue médical et scientifique et exclusivement pour les médecins . Ajoutons à ce qui précède que l'observation pu
evêtues des allures du merveilleux seront expliquées et résolues. Les médecins et les savants s'étonneront d'avoir méconnu si lo
la Faculté de Médecine de Christiania ; à M. le docteur Edward Bull, médecin en chef, et à M. Alfred Hanson, chirurgien major,
ie. Homœopathie et sérothérapie. Le Dr Mavrogeni Pacha, l'éminent médecin du Sultan, dans la Gazette médicale d'Orient, réc
libus curantur. Les doses infinitésimales, si chères à la plupart des médecins qui s'adonnent à la pratique de l'homœopathie, so
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
ises j'avais visité M. Hanquet ; j'avais cru, comme beaucoup d'autres médecins , son mal incurable, et, en novembre 1866, je lui
après ce certificat, qui était identique à celui délivré par un autre médecin , le Conseil de recensement exempta définitivement
une histoire analogue d'une loupe à l'œil, récalcitrante à l'art des médecins , mais tombant après une invocation au bienheureux
e cette demoiselle.il est bon que le lecteur sache que je ne suis pas médecin ; que c'est en psychologue que j'ai étudié et pra
is vu hypnotiser et même qui ne me connaissent pas. Mes élèves et les médecins qui ont vu ces faits à ma clinique les obtiennent
t voulu se marier à l'âge de 24 ans, il consulta auparavant plusieurs médecins , qui, soit pour ne pas le désespérer, soit parce
r par les rues, je choisissais de préférence celles où il y avait des médecins ou des pharmaciens pour trouver du secours auprès
qui a fait attribuer ma maladie nerveuse à de la dyspepsie. D'autres médecins n'ont voulu y voir que du verligo stomacal et m'o
ut en étant terrifié, tout en choisissant les rues où il sait que des médecins pourront le secourir, il réussit à se préserver;
cette manière à atténuer sa crise et à la modérer! Il n'est pas de médecin ayant soigné des nerveux qui n'ait observé la pui
trouvons une anecdote qui nous apprend comment Schweninger devint le médecin du chancelier. Présenté et imposé en quelque so
ement par Bismarck, qui déclarait n'avoir aucune raison de changer de médecin . Mais il conquit son malade par un coup d'audace.
r à toutes les exigences hygiéniques et thérapeutiques de son nouveau médecin . ' BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE Cahier de feuil
?' J. Dèjerixe, professeur agrégé à la faculté de médecine de Paris, médecin de la Salpêtrière. — In-i° de 30 pages. Paris,
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, dé 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
rès de médecine mentale et nerveuse. — Le septième Congrès annuel des médecins aliénistes et neurologistcs de France et des pays
nant les inscriptions et toutes les communications à M. le Dr Vernet, médecin en chef à l'Asile de Maréville, secrétaire généra
9. Mars 1896. LA MÉDICATION HYPNOGOGIO.UE Par M. le D'Ferraxd, médecin de l'Hôtel-Dieu. La médication hypnogogique, c'
ces malades tombent, pour ainsi dire par hasard, entre les mains d'un médecin , il faut avouer que bien souvent le résultat n'en
ouvent le résultat n'en sera pas de beaucoup meilleur. Sans doute, le médecin prescrira à son client .tout ce qu'il croira
ltats qu'il en aura obtenu. Il y a encore en effet un grand nombre de médecins qui, dans ces cas de perturbation mentale, ne son
la guérison des maladies et il faut rendre honneur à maître Ferrier, médecin de Toulouse, qui soutint celte juste thèse pour l
eut faire sans l'aide des démons. Toutefois maître Ferrier, notre médecin à Toulouse, soutient que cela se peut faire sans
ournée du 3 mars, son état de santé s'aggrava, et, dans la soirée, le médecin constata sa mort. Conformément aux prescription
rch. méd. de Toulouse, I" janvier 1896. est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
courage et le mérite de plaider la cause des malheureux fous. Pigray, médecin de Henri IV, obtint du Parlement de Tours en 1539
M. le président met aux voix les candidatures de MM. le Dr Millée, médecin oculiste adjoint de la fondation Isaac Pereîre ;
nostic de tumeur maligne déjà inopérable. Malgré cela M. Anacleto, le médecin habituel de la malade, éloigne l'idée de cancer e
ecine Le D' Bérillon, à la dernière réunion du Syndicat général des médecins de la Seine, a entretenu ses collègues d'une prop
ne, et tendant à une réglementation plus libérale. Actuellement, tout médecin peut, sur sa demande, être autorisé, après avis d
nait au corps médical d'Odessa; l'orchestre lui-même était composé de médecins qui semblait n'avoir jamais manié d'autres instru
malades peureux ou névropijatjps. L'appareil que vient d'inventer un médecin suisse, le docteur Mereser, est plus discret. Son
gravée l'échelle. ? condition que ledit étui reste dans les mains du médecin , ce sera parfait. Dans tous les cas, on ne peut q
ution des maladies. . Action de la volonté sur la circulation Les médecins de Saint-Pétersbourg sont fort intéressés actuell
nage de savants etde professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
vestigation clinique et comme agent thérapeutique. Un grand nombre de médecins , parmi lesquels nous pouvons citer MM. les docteu
gnétiseur, s'y est laissé prendre. Je ? mets tous les juges, tous tes médecins , tous les experts du monde au a défi de prouver l
e bonté de son patron que notre jeune homme doit d'être aux mains des médecins et non aux mains de la justice. Grâce à cet événe
rait encore accompli un acte de raison et d'équité. ~ Et, quant aux médecins , ils doivent songer : d'une part, dans les cas de
le attribuée à la lumière des éclairs (1) Par M. le D' de Beauvais, Médecin do Mazas. La simulation, sous toutes ses formes
formes et variétés, est l'écucil des infirmeries, des prisons, et le médecin doit toujours'être sur ses gardes. Il faut, néanm
damment, à se plaindre, appela le surveillant et réclama la visite du médecin . Il se présente à notre cabinet, soutenu et con
n doute, je priai mon excellent confrère et mon ami, le Dr Trousseau, médecin de la Clinique des Quinze-Vingts, de venir examin
Donc la persévérance d'un habile simulateur ne doit pas troubler le médecin expert et lui faire modifier sa conviction sérieu
e vaillant secrétaire général pour accréditer l'hypnotisme auprès des médecins , et principalement pour démontrer l'efficacité do
ères à vérifier l'exactitude de nos conclusions. Un certain nombre de médecins et même de pédagogues, se mettant dans les condit
traitée avec succès par la suggestion. Par M. le D' Auguste Voisih, médecin de la Salpêtriérc. Aphasie et cécité verbale ap
ont obtenu en Angleterre un grand succès de curiosité. Beaucoup de médecins ne sont pas encore habitués à l'idée de considére
abilité soit démontrée. Or, trop souvent, dans des cas semblables, le médecin légiste n'a pas été consulté, et les magistrats c
nage de savants etde professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
in danger, tandis que dans une application de suggestion faite par un médecin habitué à la pratique, il n'y a jamais de danger
uchement dans l'état d'hypnotisme Par M. le Docteur Auguste Voisin, médecin de la Salpêlrière. La malade dont je vous ai co
à la barre affirment qu'ils ont joué la comédie. Malgré un rapport de médecin légiste, il est acquitté. Mais le ministère publi
itement par la suggestion. Leçon clinique par M. le Prof* Raymosd médecin de la Salpétrière. Voici une malade, jeune femm
os souffrances et douleurs physiques si nous avons foi en lui ». Le médecin du pays n'avait plus qu'à se reposer, les malades
nage de savants etde professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
de la Médecine moderne était déjà remplie par une foule nombreuse de médecins et d'étudiants en médecine. Le conférencier, M. l
ecins et d'étudiants en médecine. Le conférencier, M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur adjoint des asiles publics d'aliénés,
la pratique de la chirurgie. Absolument inoffensif entre les mains de médecins expérimentés, on peut reconnaître à l'hypnotisme
initif dans la science médicale, et ce sera un grand honneur pour les médecins français d'avoir pris la plus grande part dans l'
emesle. Notre collaborateur, M. H. Lemesle, que son double titre de médecin et d'avocat désigne tout particulièrement pour l'
ychologie de Munich, 314. Congrès de 1896 (les), 288. Congrès des médecins aliènistes et neurologistes. 55. 84, 96. Congrè
e de) 31. Médianiques de l'hypnose des états), par P. Joire. 109. Médecins en Allemagne (les), 94. Médication hypnotique d
28 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
r admettre les pommes de terre comme aliment ; plus de trente ans aux médecins pour reconnaître la circulation du sang qu’une se
e qu’une apparence de sommeil magnétique. J’avais entendu dire à un médecin anglais que le nikel métallique avait la propriét
exisle un nommé Goux, Plein d’une audace infernale, Qui d’apprenti médecin Est devenu magicien. A l'hospice de Sainl-Jacqu
rs coulent de ses yeux qui naguère étaient encore desséchés. Vous son médecin , son sauveur, vous êtes un Dieu pour lui; il sent
restèrent à peu près sans étude et sans application jusqu’à ce qu’un médecin du XVIIe siècle, Gibert, à force de patience et d
’a nulle conscience de.ee qui vient •le se passer ; elle sourit à son médecin , et s’informe, en voyant autour d’elle un grand n
ratiquée en présence de huit témoins, au nombre desquels étaient cinq médecins , ilont plusieurs assistaient pour la première foi
giène sont des ébauches; qui donc le fera ce livre? Un philosophe, un médecin , croyez-vous? Non, mais il viendra un homme qui,
fois voir les maladies d’autres personnes, et devenir également leurs médecins . Dans d’autres cas, leur sommeil a quelque chose
sieur Zanety souffrait depuis quatre ans; il avait consulté plusieurs médecins tant en France qu’en Italie, et il n’avait pu obt
quatre mois; mon estomac ne peut rien « supporter; j’ai consulté deux médecins , et leur « traitement m’a fait plus de mal que de
compte de chaque séance. VARIÉTÉS. Vœux du Congrès médical. — Un médecin magnétiste de nos abonnés apprécie en ces termes
s du titre légal, lors même « que les ordonnances sont signées par un médecin . « On voit par là que la commission était compo
s à cet art, rien déplus sage; 0 mais qu’il soit au moins permis à un médecin d’em-« ployer tous les moyens qui n’ont rien de c
es guérir. Que les somnambules ne « puissent être dirigés que par des médecins , rien de « plus prudent encore; mais qu’un médeci
rigés que par des médecins, rien de « plus prudent encore; mais qu’un médecin se rende » coupable d’un crime en s’en servant, r
e moyen de traitement médical, a été révoquée, du moins en faveur des médecins gradués. (Gazette médicale de Paris, 17 janvier
ncevoir quelque chose de plus grand, de plus élevé. La stérilité du médecin , du philosophe, du prêtre, vient des idées fausse
tre, vient des idées fausses qu’ils ont de Dieu et de la nature. Le médecin cherche la vie dans des cadavres en ilécompositio
orriger; aucun de vous n’en peut lire le texte primitif; et, comme le médecin qui, ne sachant plus rien de la véritable médecin
rigine que vous devez chercher comme nous l’avons cherchée. Comme les médecins , serez-vous sourds à notre appel j resterez-vous
chemin que vous parcourez sans la ramasser? Ne laissez pas surtout le médecin s’en rendre seul possesseur, car je ne vois pas l
nétisme, et tous étaient empreints d’une profonde conviction. Mais un médecin estimable de Besançon, M. Rousseau, soutenait ave
: Partez, Monsieur, sortez d'ici! — Cal/nes-vous, mon ami, disait'le médecin avec une Jèmte volonté qu’il en fût ainsi; mais s
s sa volonté était sans puissance, quoique exprimée énergiquement. Ce médecin ne savait pas vouloir. Je n’eusbesoin que de l'ai
onctionne, et la connaissance des choses ignorées arrive à la pensée. Médecins , il vous faut des drogues, vous ne pouvez guérir
s. Mayer, — Froiidhon. Nicolas, — Oudrt, avocat. Guyon, — Goux, médecin . i Guilmette, — MM. Petcy, élève en médecine. V
ent « fatigué de cette séance, qui a duré plus de trois « heures. Les médecins membres de l’Académie du « Puy (llaute-Loire) qui
e cette jeune fille à Mamers (Sarlhe), pour la faire examiner par des médecins . Dans son village on croit qu’elle a été ensorcel
omplètement la cause de ce phénomène. Elle a été présentée à tous les médecins et pharmaciens de Mamers, et à Ml Juffey, qui n’a
i-môme. On parle déjà de la présenter à l’examen des savants. Je suis médecin de la maison, j’ai déclaré que je la prenais sous
aucune drogue qui pourrait ou viendrait à lui être conseillée par les médecins qui l’ont visitée. On sait, à La Perrière, que
suis, avec la plus haute considération, Votre tout dévoué, Verger, médecin . Revue des journaux.—L'Univers religieux et la
nue peut-être, qu’on devait sans retard présenter à l’observation des médecins . Cette opinion , ce conseil furent peu goûtés; co
ami des lumières et versé dans les sciences physiques, voyant que les médecins deMamers, qu’on a prévenus, ne viennent point voi
sur la même « chaise fut renversé de même. » Une heure après, deux médecins , émus de l’acuité des reproches à eux adressés, f
ar les lettres que nous avons publiées page 80, que, si d’un côté des médecins faisaient avec mauvaise grâce l’examen de la jeun
t visitée dans la soirée même de son arrivé. Le refus d’examen des - médecins de Mamers, l'insouciance de ceux de Bellesme, qui
e l’enfant revînt avec moi chez sa lante, où seraient venus plusieurs médecins . Le père me promit, mais, pendant mon absence d’u
grands hommes,s géants de la presse, rois de L'intelligence, illushvs médecins , il ne s’agit point de magnétisme ici ; rien ne v
ances que votre somnambule a déclarées en « présence de ma fille. Les médecins que je consultais « disaient à mes enfants que j’
gé de gagner notre vie au moyen d’un modique appointement. Enfin un médecin qui, depuis deux ans, nous donnait ses soins de t
nnaissant personne instruit dans la science magnétique autre que rnon médecin , qui ne me répondait que par des paroles évasives
é. Elle s’éveilla sans conserver aucun souvenir, et demanda ce que le médecin ou d’autres avaient fait à son enfant, si on l’av
dernier, avec tous les symptômes morbides des années précédentes. Les médecins vinrent la voir, et au bout d’un mois de fréquent
era jamais de cette po-« sition ; l’art de la médecine, les soins des médecins « ne produiront sur elle aucun heureux changement
précieuse, qui pourrait les éclairer dans leur marche ; laissons les médecins au chevet des agoni&ants, aussi impuissants à
cteurs, un congrès monstre a eu lieu dernièrement ; six ou sept cents médecins , les représentants de vingt mille, se sont assemb
u’aucune parcelle d’or ne soit distraite des tributs prélevés par les médecins sur la race humaine, nous allions dire sur la sot
e de voir tant d’incertitude dans l’art de guérir? Y a-t-il un seul médecin au cœur honnête qui n’appello de tous ses vœux un
coup occupé de la médecine durant l’année qui vient de s’écouler. Des médecins se sont réunis en congrès, des commissions ont ét
tialité en faveur de l’homœopathie. Eh bien, je crois fermement qu’un médecin guérira plus tôt un malade avec des globules, si
ompé, tantôt c’est l’industriel qui trompe sciemment; tantôt c’est le médecin consciencieux qui, malgré toute sa probité, se la
ie intense el engorgement hydropique dans les deux jambes. Un premier médecin lui lit deux mois de visites et l’abandonna plus
l’abandonna plus malade qu’auparavanl; et après les consultations des médecins les plus haut nommés, elle en était réduite à l’a
a- nmïque, dans l’habitation d'un colon, où sc trouvaient plusieurs médecins et bon nombre de gentlemen de distinction. La pat
hirurgicale douloureuse. M. le docteur Arnold, assisté de deux autres médecins , lui a enlevé «ne tumeur, ou loupe d’un gros volu
mais elle n’avait pas le courage de s’y soumettre; c’est pourquoi les médecins l’avaient laissée dans la plus complète ignorance
ceil vitreux, le visage con-torsionné, pâle et cadavérique. Plusieurs médecins ont pu constater la catalepsie complète et l’abse
Paris, 18Û6 ; chez Laisné, pass. Véro-Dodat. Prix : 75 c. Voyez, médecins , quelle a été votre incurie! Lorsque Mesmer est v
uites d’un bain de vapeur ordonné par une somnambule. Voici ce que le médecin accusé nous écrit à ce sujet : «Le G avril,le s
du roi do Pri-vasme fit appelerau parquet et me demanda mon titre de médecin : je le l«i présentai, revôtu de toutes les forma
nt pour un nommé Cha-pus, qui avait été soumis au traitement de trois médecins de la localité. La somnambule magnétisée s’exprim
ne rien craindre, car la crainte prend quelquefois quand on parle du médecin , nous leur dirons un mot du dernier sys- tèmc m
ssais. Il est vrai que Broussais était un grand, un bon, un excellent médecin . 11 faut, pour être à l’abri de toute poursuite,
it des choses supérieures à celles que peuvent faire les plus habiles médecins . Je gagnai mes procès, et j’eus ensuite raison du
les magnétiseurs. Voici à ce sujet ce^que'nous transmet de Valence un médecin appelé en cette ville pour donner ses soins à que
es personnes qui ne peuvent croire aveuglément à l’infaillibilité des médecins , qu’on voulût, disons-nous, priver les familles e
e faire appel aux hommes de science en général, et en particulier aux médecins , afin qu’une fois convaincus ils puissent propose
qui donc appartient le droit de s’approprier le magnétisme, sinon aux médecins qui ont consacré leurs années aux études des orga
ve du «progrès du magnétisme, la marque certaine de son triomphe. Des médecins , des officiers (supérieurs, des hommes de lettres
contre toutes les facultés de médecine comme corps, et contre chaque médecin en particulier. C’est donc un jour glorieux que c
artisans du magnétisme à concourir à une bonne œuvre. Il savait qu’un médecin , vieux et infirme, ancien ami et correspondant de
muette dès ses premiers ans, à la suite d’une grave maladie. Tous les médecins de Moscou ont constaté cette guérison, et l’emper
de Moscou ont constaté cette guérison, et l’empereur a nommé de suite médecin de l’hospice des orphelins l’heureux magnétiseur.
vous donc aveugles?... Ail»! je vois.... Il y u, à chaque feuille, un médecin qui censure tout ce qui se «attache de près ou de
tre. Machination. — Nous sommes de nouveau menacés. C’est encore un médecin qui veut écraser le magnétisme. M. Am. L*" a mis
terrement d’un pauvre paysan, vu qu’il n'y avait pas de certificat de médecin que la loi exige. Le médecin est autorisé à exige
vu qu’il n'y avait pas de certificat de médecin que la loi exige. Le médecin est autorisé à exiger pour un certificat jusqu’à
un succès complet, par M. le docteur Loysel, assisté de quatre autres médecins , et en présence de plus de trente témoins fort ho
cteur Loysel, aidé deM. le docteur Gibon, et assisté, de trois autres médecins , a pratiqué, avec un remarquable talent et une ré
« Cependant M. le docteur Loysel a préparé ses instruments, et les médecins dont il est assisté se sont mis en mesure de seco
. Il remercie affectueusement M. lo docteur Loysel, M. Delente et les médecins qui l’entourent; puis il se retire, et se dirige
ôté intellectuel, était-ce un homme de génie, un savant distingué, un médecin habile, un observateur profond et sagace? Oui; su
idie, inspira récemment la pensée de conserver les traits de ce grand médecin , et ce modeste buste, de fragile matière, est ven
é vous demanderait bientôt compte de votre coupable indifférence. « Médecins ! dont la mission est sacrée, vous qui apportez u
ut faire fléchir l’autre. Un empirique. VARIÉTÉS. Le malade, le médecin et le magnétiseur. — Lorsque la douleur nous as
la vie aux prises avec la mort? Il n’est qu’un seul cas où l’état du médecin lui paraisse supportable : les affections nerveus
il s’en joue tant de semblables sans qu’on s’en fatigue. Ton premier médecin , qui n’a pu réussir, sera approuvé, recommandé; o
facile de les guérir de leurs maladies ; mais le temps approche où le médecin lui-même rendra compte de ses œuvres; il faudra q
plus ou moins d’habileté. Ah ! nous vous le disons, dépêchez-vous, médecins , revenez à la vérité que vous avez proscrite, per
mènes de la vision que le magnétisme produit chez certains sujets. Le médecin qui la soigne lui a mis dans main, à plusieurs re
, des billets cachetés dont elle lui a tou- jours lu le contenu. Ce médecin , désirant s’aider des conseils d’un confrère, est
osé de scènes magnétiques qui prouvent que l’auteur des Mémoires d'un Médecin n’est étranger ni ù la science de Mesmer, ni à ce
nquet mesmérien en termes qui sont loin d’être hostiles. Or, c’est ce médecin qui doit nous porter de si rudes coups dans le Co
44 Lion magnétisé. 346 Libre arbitre (du) 332 Matelot électrique. 259 Médecins dévoilés. 232 Mesmer ressuscité. 222, 288 Magie.
ui empêchent l’cfiicacité du magnét. 8 Tribunaux. 227,254 Tonnelier médecin . 25 Vision (poésie). 231 Voleur somnambule. 1
s notre conduite, lorsque nous attaquons la médecine classique et les médecins , le moindre désir de vengeance pour les outrages
Y a-t-il un but d’intérêt? Non! Tous nos efforts tendent à forcer les médecins à se servir d'un puissant moyen de guérir qui est
journal. L’incurabilité du cas de maladie a été attesté par un grand médecin ;¡g crois, Dieu me pardonne, que ce savant docteur
s. Les magnétiseurs, dès le principe, se sont trompés en appelant les médecins à leur secours, en les regardant comme seuls capa
s de la société pour ôtre confiant ; nous connaissons la moralité des médecins , et celle des Jésuites nous est suspecto. En vo
s utile; leurs œuvres de bien les feront chérir et respecter. Que les médecins , amis des hommes, fassent du magnétisme un instru
France du 13 juin mentionne l’opération de Cherbourg. M. le docteur médecin de Saint-Louis, dit, dans le Constitutionnel du 2
, fasse sa profession de foi, sous peine de passer pour ignorant. Les médecins vraiment philosophes confesseut que la découverte
a question qui nous occupe, il rapporte ainsi les paroles de ce grand médecin : « Si vous songez aux attrac-« tions, aux sympat
s la nature, sera éternelle comme elle. VARIÉTÉS. Le malade et le médecin . — Dans un mémoire sur lo magnétisme qui nous par
êtes-vous juges ici-bas? LE DOCTEUR. Je te l’ai dit, nous sommes médecins . LE MALADE. Craignez de Dieu la vengeance.
dinaires de somnambulisme lucide ont été fréquemment observés par des médecins qui ne croient point au magnétisme animal, on au
elui-ci passa rapidement la main gauche sur les lignes tracées par le médecin et écrivit à l’instant la réponse avec autant de
artout répandu et ils ne le voient pas. Aujourd’hui môme, un illustre médecin , M. Gerdy, qui prend son brevet de grand homme ,
ron améliora-t-il la santé de ce prince par des moyens rationnels; ce médecin fut disgracié et exilé pour t. iii. 15 août 1846.
hez soi (mensambulancc), étaient pareillement entrepris par un fameux médecin du temps, Torralba, dont parle Cervantes dans la
Histoire critique de ('Inquisition d'Espngne. Cardan, philosophe et médecin célèbre, né à Pavie en 1501, se flattait d’avoir,
nt de monstrueuses erreurs. Arrôtez-vous dans cette route, aveugles médecins ; arrachez vous-mêmes ces plantes nauséeuses; nett
accès de fièvre imitative. Mais la fascination était matérielle! Un médecin , affecté péniblement de la mort récente d’un ami,
up sans doute dans l’histoire de saint Alipe et dans la catalepsie du médecin ; et néanmoins, tandis que le néophyte cédait à l
étisme, à notre avis, peuvent quelque jour atteindre. « I.e célèbre médecin Silva, se trouvant à Bordeaux, fut consulté par l
e. On y avait réuni beaucoup de inonde à cause de la présence de deux médecins étrangers qu’on désirait convaincre, MM. les doct
les docteurs Fossati, président de la Société phrénologique, et Jéno, médecin particulier de S. A. R. le prince de Salernc. L
comme inspirée. La Presse continue la publication des Mémoires d'un médecin , feuilleton où les scènes magnétiques abondent et
-Grâce, devant les membres de l’Académie de médecine, par de célèbres médecins français et étrangers; et quelque absurde qu’elle
mme la première fois, à une distance plus grande encore. Aussitôt les médecins sont avertis par M. L. Durand que l’opération peu
partie des spectateurs s’approchèrent ensuite do la malade; plusieurs médecins introduisirent leurs doigts dans la plaie béante,
igneusement conservé et fortifié, ce qui a permis à [l’opérateur, aux médecins et aux nombreux assis-lants de s’entretenir tout
étiseur et le magnétisé. A.-R. Guinand. VARIÉTÉS. LA MORT ET LE MÉDECIN . ('.'.•si à la Mort seule que je suis redevable
nti soutien; A me prendre sitôt il y va trop du tien; Car je suis médecin . —Toi, médecin ! dit-elle. — Oui, dis-je, et de
A me prendre sitôt il y va trop du tien; Car je suis médecin. —Toi, médecin ! dit-elle. — Oui, dis-je, et de Paris,—Le pays
gne. — Le Conseil général de santé vient do décider qu’à l’avenir les médecins seuls ne pourront employer le magnétisme pour la
ec elles ma santé... Le sang me gêna... c’est n alors qu’un animal de médecin me lit des saignées réi-« térées. Il appauvrit en
dre la vérité si aisément? BiSLICGRAPHiE. Réponse an pamphlet Ifs Médecin * dévoilés, par L. Couturier. Brochure in- 8". P
t si ingrate! Le magnétisme, défendu énergiquement par l’auteur des Médecins dévoilés, ne pouvait trouver grâce aux yeux de M.
c’est ainsi que les prêtres ont pu altérer la religion du Christ, les médecins se moquer si longtemps du public. Ah! de grâce, é
igné de la capitale, cette aventure aurait pu devenir funeste pour le médecin . Le père, homme d’un sens assez étroit, commenç
ercia pourtant de mes soins, et me dit qu’il avait envoyé chercher le médecin qui connaissait le tempérament de sa fille. Je vi
ntérêt que celui de la science, à voir sa fille conjointement avec le médecin de son choix, ou tout au moins de me trouver avec
avec le médecin de son choix, ou tout au moins de me trouver avec ce médecin , pour lui expliquer ce qui s’était passé; il cons
à cette dernière proposition. Mais le hasard fit que je rencontrai un médecin avec lequel je ne pus m’entendre, et notre confér
entendre, et notre conférence ne fut pas longue. Sur le conseil de ce médecin , on plaça la malade, toujours en état de sommeil,
on est cause de l’effet attribué au ma- gnétisme. M. Bulmore, autre médecin , dit que toute personne douée de quelque force d’
ire et aussi dignes de l’attention des philosophes que de l'étude des médecins . Séance du 24 septembre. — M. Viancin fait l’an
alyse d’un ouvrage de M. Guyard, intitulé : la Médecine jugée par les médecins . C’est un éloquent plaidoyer en faveur des doctri
M. J. Lovy, chargé de faire l'analyse de la Réponse au pamphlet : les Médecins dévoilés, s’exprime ainsi : « Dans son dernier
le) n’en a-t-il fait qu’une bouchée. « Le factura de M. Dehaut, les Médecins dévoilés, était une œuvre pleine de verve, un man
d, constatons que M. Couturier est matérialiste, comme la plupart des médecins . Ses théories contre l’existence de l’âme affecte
ressantet à coup sûr instructif. Le Guetteur du 25 octobre fait aux médecins de Saint-Quentin un appel que nous reproduirons d
u magnétisme pour constater le fait annoncé. Le moment arrivé, un des médecins place le pot, attend ce ver long d’une coudée;
vous pourriez montrer, et qu’on vous donnerait pour examinateurs les médecins qui voulaient enterrer le magnétisme. Et vous ôte
euve vivante. En ce qui concerne l'insensibilité des magnétisés, le médecin de la Pitié n’est pas plus heureux. Il ne voit da
isme rencontre l'insensibilité, mais ne la produit pas. Ici encore ce médecin est en opposition avec les faits; car, outre que
thérapeutiques des plantes ou autres substances médicamenteuses. Les médecins ont fait consister toute leur science dans l’appl
s tout magnétiques. « Sans doute il est douloureux, pénible pour le médecin d’être témoin impuissant des magnifiques résultat
des lois pour punir l’homme qni manque à son mandat; qui plus que les médecins y manque? Ils disent qu’ils sont les ministres de
es supprimées et son ventre grossi, se crut enceinte ; elle appela un médecin ; celui-ci, jugeant qu’elle de- vait accoucher
t le bas-ventre de violentes douleurs. Elle vit et consulta plusieurs médecins , entre autres un d’une grande réputation pour le
ence et de l’humanité, nous nous adressons à MM. les administrateurs, médecins et chirurgiens de l’IIôtel-Dieu, pour réclamer de
. Pacquenot l’occasion d’un chaleureux plaidoyer en notre faveur. Les médecins d’Auxcrre croyaient avoir assomme le magnétisme ;
e morte à ses pieds. Éveillé, il ne sait rien, tout est oublié. Des médecins avaient été prévenus plusieurs fois des dérangeme
nous appelons des miracles 4 « Ainsi, quand nous allons demander au médecin la santé, contrairement à toutes les lois apparen
omnambules sont arrivés. Voici les jésuites qui, plus habiles que les médecins , s’emparent du magnétisme. Nous n’en sommes point
ménage au monde magnétique; c’est une étrenne qu’on va lui donner. Médecins de toutes les académies, savants, la gloire de l’
ingt-quatre ans, est attaché en qualité de somnambule au cabinet d’un médecin magnétiseur dont la presse a fréquemment signalé
ement vient de déclarer indignes de siéger dans son sein : « 1" Les médecins qui servent de manteau aux em piriquesqui exercen
ans son rapport : « S’il y avait, dans lo sixième arrondissement, des médecins magnétiseurs, ils défendraient avec bonne foi leu
ie ! » Il résulte de tout ceci que lu Société a entendu frapper les médecins exploiteurs de somnambules, mais nullement ceux q
lité de ses services ? Non ; elle a dit seulement : Nul, s’il n’est médecin , ne pourra ordonner des remèdes sans se rendre pa
qui de laboureurs. Gonelle, fameux bouffon, dit qu’il y avoît plus de médecins que d’autres sortes de gens, et gage contre le du
et son attirail, s’escriant : « Et vous aussi, mon-« seigneur, estes médecin . Voyez-ei mon rolle, com-« bien d’autres j’en ai
peu de gens qui ne pensent y savoir beaucoup, voire môme plus que les médecins (I). » Ce qui so passait de ce temps a lieu éga
inte légitime, sans que l’homme mort par l’imprudence ou l’incurie du médecin pût trouver un vengeur. Non, cent fois non, des
e de cause, juger de l'excellence de la médecine. Les intéressés, les médecins seuls furent appelés cl donnèrent leur avis. Il e
vie des êtres qui la constituent, mais non de leur imposer tel ou tel médecin , telle ou telle médecine. Aussi la loi de l’an XI
indre ceux qui ne croient point à la médecine à recevoir les soins du médecin . Elle a donc permis ce qu’elle ne pouvait défendr
’elle ne pouvait défendre, elle a laissé chacun libre de se passer de médecin et de faire do la médecine à sa fantaisie. Ce dro
a faveur qu’on leur a faite en les leur accordant. Presque tous les médecins conviennent entro eux que leur art est mensonger,
pas à les en guérir, mais à les soulager. Est-il une épidémie que les médecins soient capables d’arrêter à son début? Est-il une
es crises, des convulsions autour du baquet. Quant aux guérisons, les médecins disent qn’elles ne prouvent rien, parce que chaqu
mécréants un écolier timide, mais d’une foi vive; qui, enseignant aux médecins sa science, son art, comme jadis le néophyte chré
es malades. Deux d’entre eux sont venus témoigner que, abandonnés des médecins , ils avaient été radicalement guéris; ils rendaie
yeux sont légèrement affectés de strabisme. « M. Poulard n’est pas médecin ; mais depuis quelques années il s’est occupé beau
d’une personne fortement oppressée.) Z’avais consulté les plus grands médecins ; ze leur ai donné au moins 2,000 l’r. ; ils n’ont
us devriez aller consulter la somnambule, elle vousdira mieux que les médecins tout ce que vous avez, et elle en a guéri d’aussi
re de la médecine et donner des consultations sans être assistée d’un médecin , et il a condamné lesieur Poulard et Claudine Jac
morale, l'éducation et la législation. 30, 93, 121, 250 Malade et le médecin (le). 40 Mort et le médecin (la). 179 Médecine ju
égislation. 30, 93, 121, 250 Malade et le médecin (le). 40 Mort et le médecin (la). 179 Médecine jugée par les médecins (la). 2
médecin (le). 40 Mort et le médecin (la). 179 Médecine jugée par les médecins (la). 265 Monument mesmérien. 181 Magnétisme 6 Ly
29 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
AL DU MAGNÉTISME RÉDIGÉ Par une Société de Magnétiseurs et de Médecins SOUS LA DIRECTION DE M. le baron DU POTET.
âtre que nous rencontrons dans les corps savants, et surtout chez les médecins . 11 semble que ce soit une lutte à mort entre (le
point notre cause que nous défendons, mais les droits de tous. Si les médecins avaient moins d’orgueil, ils verraient que c'est
te relation, laquelle fut perfectionnée ensuite par le docteur Léger, médecin à Londres, qui construisit l’appareil dont suit l
in Mon cher maître, discorde est au camp d’Agramant ! Le corps des médecins patentés, tant de la. première que de la dernière
œopathes, et tout était dit. Mais, petit & petit, le nombre des médecins rangés sous la bannière nouvelle a grossi. Le nom
ns rangés sous la bannière nouvelle a grossi. Le nombre croissant des médecins homœopathes a-t-il déterminé le public à se faire
qui entraîne le public vers les nouveautés, a-t-elle décidé de jeunes médecins et quelques anciens à se jeter du côté où son cou
aire grave, — et affaire bien plus grave,— portait les honoraires aux médecins à globules. Jugez donc. Tantqu’on n’aeu à comba
ait pasdangereuse, la position financière restait assurée. Mais des médecins , des docteurs patentés, qui viennent déclarer que
devait être fort simple. S’il y avait des patentes diverses pour les médecins ¿1 fortes doses et pour les médecins à doses homœ
t des patentes diverses pour les médecins ¿1 fortes doses et pour les médecins à doses homœopathiques, comme il y a patente de m
grand Boerhaave: Il serait plus avantageux qu’il n'y eût jamais eu de médecins dans le monde.... Conservez-vous la tète fraîche,
a tète fraîche, les pieds chauds, le ventre libre, et moquez-vous des médecins ! » Et Broussais, et Bichatj et Aliberl donc ! on
eue, il n’y a pas longtemps avec le doc-deurS., excellent chirurgien, médecin très-instruit, de très-bonae foi, et n’ayant pas
ne à hautes doses pour le traitement des rhumatismes articulaires. Un médecin de province, après de* observations bien faites,
aines de même espèce, il ne faut donc pas s'étonner que l’interne médecin et l’interne pharmacien se soient entendus comme
avait vainement appelé du secours et s’était rongé les poignets. Les médecins 11e savent pas même dire quand nous sommes morts.
t qui intéressera, nous en sommes sûrs, nos lecteurs, car il est d’un médecin assez désintéressé et assez liai di pour avoir eu
usurpations de l’autocratie administrative dans les hôpitaux ; que le médecin qui, le premier, alors que tous gardaient le sile
, nuisibles ou meurtrières. « Nuisibles ou meurtrières!.... Pour un médecin qui a trente ans d'études, dont vingt de pratique
parlerai. ii D’ailleurs, peut-être prétend-on que je suis le seul médecin de mon avis ; oui, pour la nocuité de vos médecin
ces messieurs en témoignent. Voyez Bordeu : n’assurait-il pas que les médecins qui avaient de l'esprit en savaient assez pour le
éfinit la médecine, l’art divin... de gagner dt l’argent. Voyez les médecins quand ils se trouvent en co ¡¿ultation : c'est là
sonnes croient que nous allons trop loin dans nos attaques contre les médecins , tandis que nous, nous pensons y mettre de la man
magnétisme dans les maux qu’il pourrait guérir, et son rejet par les médecins est un crime de lèse-humanité. Voici encore comme
s pilote, mauvais pharmacien, mauvais cocher, mauvais avocat, mauvais médecin , sans risquer de devenir coupable par votre ignor
à fait relégués au bas de l’échelle morale, s’il est permis à un médecin , qui aie sentiment de son devoir et de sa mission
janvier T859. « Aille D..., maguétisée pendant trois années par un médecin de cette ville, lorsqu’elle est souimaahule, voit
infirmerie, où était déposé l’enfant blessé, âgé de dix-huit mois. Le médecin a déclaré que cette femme avait dû agir sous l’em
laré que cette femme avait dû agir sous l’empire d’un cauchemar. Le médecin déclare que l’enfant est dangereusement blessé. L
a prétendu avoir agi sous l’influence d’un songe. M. Tyrvvhit Smith, médecin , déclare que l’enfant est actuellement hors de da
n.—Je me suis sérieusement occupé de cette affaire; j’ai consulté des médecins éminents et d’autres personnes. Si l’enfant avait
, en expulsant de leurs associations, soi-disant confraternelles, les médecins qui pratiquent l’une ou l'autre de ces méthodes.
e. » C’est à moi-même que cette déclaration a été laite par plusieurs médecins disciples d’Halmemann. -M. Roux n'est pas du même
lir dans les colonnes de votre journal. « Si l'auteur n’était pas médecin , s’il ne s’adressait pas à des médecins, je me se
« Si l'auteur n’était pas médecin, s’il ne s’adressait pas à des médecins , je me serais bien gardé de faire la moindre obje
e magnétisme tout n’est pas jonglerie, et qu'il n’est pas indigne des médecins de s’en occuper un peu. « Que l'on rie aux dépe
cupent. C’est ce qui a arrêté et ce qui arrête encore aujourd’hui des médecins éminents, des professeurs distingués qui ont sur
es lèvres de son auditoire. « En faut-il davantage pour prouver aux médecins qu’ils peuvent sans crainte s’occuper de ces fait
cquérir à cet égard une certitude, il suffit de lire les ouvrages des médecins dont j’ai cité les noms auparavant. On demeurera
ans l’état de sommeil magnétique, opérations faites toutes devant des médecins étrangers à cet établissement. Le docteur Wart
nnant que tous les patients fussent des cataleptiques et que tous les médecins s’y fussent trompés. « Voyons maintenant la nou
e, a une conviction personnelle sur le magnétisme, nous devons, nous, médecins , tâcher d’acquérir également une conviction ,
ire et compliquée, recueillie par feu M. Jean-Josepli Borlée, docteur médecin de la Faculté de Paris, membre correspondant de l
uis longtemps à la famille de consulter sur cette maladie étrange des médecins instruits et expé rimentés; elle y consentit enfi
... A notre arrivée, elle reconnut une de ses tantes... Lorsque les médecins furent arrivés , je fis entrer la'malade qui étai
roide et inanimée. On la crut morte... Plus tard, interrogée par le médecin , toujours en état de somnambulisme , elle répondi
lut se rendre au désir de la somnambule. Les voilà donc en route , le médecin , la malade et ses frères, les voilà arrivés chez
) Il faut nutor quo le maire et lo préfet avaient été prévenus par le médecin . (3) Ne sont-ce pas lù des phénomènes magnétiqu
r, son impatience, ses gestes, ses gémissements, firent comprendre au médecin qu’elle désirait entendre de la musique. Le jeune
e m’a été raconté par un observateur digne de foi, le docteur Schulz, médecin à Hambourg, qui en a également fait part au conse
autre cas plus ancien a été observé et rapporté minutieusement par un médecin digne de foi, le docteur Knoll, dont la relation
raduite devant le tribunal de police correctionnelle de Lyon. MM. les médecins sont intervenus dans la cause comme partie civile
une amende de 30 fr., ii 500 fr. de dommages-intérôts envers MM. les médecins , et aux dépens du procès. C'est de ce jugement
rescrivant des remèdes propres à les guérir. Elle a ce mérite sur les médecins ordinaires qu’elle procède avec des données certa
nes qui souffrent et le mal qui la dévore ! » La-dessus on appelle le médecin , qui prescrit les remèdes exigés par la nature du
11 critique ensuite le chiflre des dommages et intérêts alloués aux médecins . M' llougier a plaidé pour les médecins et a
s et intérêts alloués aux médecins. M' llougier a plaidé pour les médecins et a demandé la confirmation du jugement frappé d
éjugé répandu par les adversaires da nt narticu. îfeveniMïl par les médecins , que beaucoup demagnéti stestrès-réoomroanda-bles
le baron, l’assurance de ma parfaite considération. « Dr A. Cbicca, Médecin homeeopalhe. » ÉTUDES. DU SOMMEIL ET DES SO
n il sera assassiné en plein sénat (Suét., in Aug., c. 91); Artorius, médecin de l’empereur Auguste, le forçant, pour ainsi dir
e somnambulisme le malade ne reconnaissait la plupart du temps que le médecin et n obéissait qu à lui. C’est ainsi que, jugeant
ceptibilité nerveuse excessive, il s’est établi entre le malade et le médecin une espèce de rapport magnétique qu’explique suff
ient étaicjt vie» limes des secousses qu’ils recevaient. tous, le médecin n’a pas imprimé à sa volonté le degré d’énergie n
des anglais fort instruits et fort intelligents , des officiers, des médecins , des ecclésiastiques, étant arrivés dans ce pays
oitié de la réalité. « On y cliarme les serpente et les oiseaux. Un médecin , éminent, qui était incrédule sur ce point, a ain
tisation l’a montré suffisamment) par un dépôt d’humeurs; n’étant pas médecin , je 11e saurais donner un nom à sa maladie. (i
r quelque bon et heureux résultat. «Ayant été abandonné de tous les médecins , il se confia à moi sans réserve. « Après une h
in, une maison de cure magnétique, avec l'aide et la coopération d'un médecin reconnu par l'Etat. 11 vous semble, sans doute, q
disciples de Mesmer que M. de Reichenbach,et ceux-ci, de môme que les médecins , les physiologues, les physiciens, ainsi que les
ion d’exercer la médecine : grâce aux progrès des idées libérales, un médecin peut, sans encourir les foudres de la Faculté, ap
en fassent mieux connaître la nature et les ressources, il convie les médecins à le faire entrer dans le cadre de la thérapeutiq
e comprendre la nécessité , dans les cas graves, de l’intervention du médecin . M. Gromier, n’admettant pas d’autre lucidité q
mbulisme qui fournit parfois de précieuses lumières et dont plusieurs médecins distingués ont su tirer un parti très-avantageux.
r qui tiaitait en dernier lieu ce pauvre enfant, — plusieurs autres médecins l’avaient précédé dans le traitement,—vient donc
ent, magnétisai, et,'«« bout de dix minutes,-ainsi que le constata le médecin présent,—l’enfant parlait! ! ! Plusieurs mois a
fait, ainsi que bien d’autres, est assez connu ici, même de plusieurs médecins , si vous croyez devoir en parler dans votre cours
s profanes, ont converti bien des personnes, et surtout la femme d'un médecin , laquelle, par parenthèse, a souvent remplacé et
t « à moi-même que cette déclaration a été faite par plusieurs -« médecins disciples de Hahnemann. M. Roux n’est pas du « mê
ux n’est pas du « même avis. » ,, M’y aurait-il pas malentendu? Les médecins homœopa-tlies qui ont parlé à M. Petit-d’Ormoy n’
usivement des médicaments homæopathiques et en fournissent même à des médecins et à d’autres pharmaciens désireux d'en faire l’e
consigné dans le Journal de la Société hahneman-nienne, tome 2 : « Le médecin peut préparer lui-même cer-i taines dilutions et
Revue gallicane (le médecine homœopathique, tome 1,. page 595. « Ce médecin raconte qu’une dame, atteinte de pneumonie, recon
allopalhique et homieopathique, à l'adresse des hommes de loi et des médecins ... L’auteur traite aussi des tables touillantes,
ances, des illusions de la lucidité. 5» Mémoire n* 7. ’L’auteur est médecin et partisan du magnétisme, mais il a une telle pe
llustres qui ont cru au magnétisme. «Pour le déterminer à braver, lui médecin (dit_M. Lélut), Yanalhème de l’Académie de médeci
nétisme renferme un remarquable article (page «3) du il la plume d’un médecin . Après avoir énuméré quelques-unes des causes qui
s passer comme une ombre. En de- hors de ce monsieur, beaucoup de médecins de la ville m'étaient contraires ; mais, dans ce
., puis des dames de la plus grande distinction et enfin dix on douze médecins . Il ne me restait qu’un étroit espace pour expéri
, substitut de M. le procureur impérial, M' Rougier, avocat, pour les médecins de Lyon, partie civile; M* Peironny pour la dame
dans cette circonstance comme dans les autres, « il n’a pas agi comme médecin , mais s’est borné à remplir « aveuglément le rôle
cine et qu’elle ne peut se mettre à l'abri derrière une signature de médecin donnée dans les circonstances qui vien-nent d'êtr
et qui ainsi méritent l’attention des philosophes autant que celle du médecin . Ou les a appelés du nom général de somnambulisme
tes. Nous étions frappés de stupéfaction. « 11 y avait avec nous un médecin fort incrédule, le docteur Cliomel, qui, voulant
— 2» Série. — 10 Mai 1859. 9 trième jour, au grand étonnement du médecin qui, dès le début, l’avait condamnée à garder au
ar la gouvernante de la jeune fdle et appliqués avec l’approbation du médecin . Dans la circonstance actuelle, le somnambulisme
ires de la médecine, cure magnétique entreprise d'après le conseil du médecin lui-même et suivie d’une guérison complète au bou
la maladie a cédé au bout de quelques heures, au grand étonnement du médecin qui, le matin, trouvait l’état de la malade assez
Cet étatduraitdepuiscinqjours. Lafamilleétaitdans la désolation ; les médecins , parmi lesquels un beau-frère du malade, étaient
ès de lui, sinon avec l’approbation, du moins avec le consentement du médecin , qui jugeait qu'on prenait là un soin bien inutil
enant cette cure, j’assumais certes une grande responsabilité, car le médecin ne voulait pas assister à la magnétisation, peut-
hacun donnait son avis : l’un votdait courir à Bockenheim chercher un médecin , un autre -disait qu’il fallait aller demander un
Cet état durait depuis quarante-deux heures, malgré les efforts d’un médecin éclairé , lorsqu’il me vint à la pensée de faire
is le soir, je me-sentis mal au foie et le mal devint intolérable. Le médecin jugeait une application de soixante sangsues indi
1 on prodigue les éloges les plus pompeux à M. Vriès (c’est le nom du médecin indien), on cite des malades abandonnés delà Facu
des merveilles ; de l’autre, on dispute à l’intrus son titre même de médecin , on-le traite d’âne et de charlatan, on nie ses c
femme ; dans le Lyonnais, où l’on en faisait surtout usage, tous les médecins s’en moquaient et le défendaient ; aujourd'hui, t
ploi du laudanum pour la guérison des taies de l’œil ; le premier médecin qui se servitdece remède, le tenait d’un pauvre s
Tantqu’on ne procédera pas par expérimentation, les déclamations des médecins contre les remèdes hétérodoxes seront sans effet,
e guérisse , avec ou sansidiplôme, peu importe. On peut donc dire aux médecins :> Vous prétendez avoir seuls droitià .la conf
ncore un grand bien si, administrée à des individus condamnés par les médecins , elle en sauve un sur deux, sur trois, sur dix, e
notabilités en tout genre, parmi lesquelles se trouvent bon nombre de médecins . Bientôt donc, nous l’espérons, commencera l’enqu
’engageait à rétablir dans l'état normal de santé les membres que les médecins condamnent à être amputés, il s’engageait égaleme
la vie ordinaire : qu'un malade conte ses douleurs à trois ou quatre médecins , c’est celui-là qui pourra dire lot capitu, toi s
s appellent les personnes encore présentes. On retire le cercueil, un médecin arrive et celui-ci constate que la pauvre femme e
c’est alors que l’on déplore l’aveuglement des savants et surtout des médecins . Il est certain aujourd’hui que si les chirurgien
ue cela, qu’il mériterait là reconnaissance des hommes et surtout des médecins ! A force de frapper, on nous ouvrira, — on nous
s de naissance, Par un coup de la Providence, (Le plus savant des médecins ), L'un d'entr'eux recouvra subitement la vue.
i vient de jouer un si grand rôle recélait, en effet, l’esprit du médecin décédé, ou simplement son fluide vital, toujours
xtrêmement utile. Le jury pourrait appeler à ses séances d’examen des médecins , des savants, et il se produirait devant eux des
nes affectés ou les lésions existantes. Aussitôt, par l’autopsie, les médecins s’assureraient de la vérité de ses indications.
bles et bizarres, que la narration, n’eût-elle aucun avantage pour le médecin , serait encore d’un intérêt bien grand pour le ph
rs. Mais je leur dirai pour les convaincre que je ne suis pas le seul médecin qui aie observé la maladie : MM. les docteurs Gui
onçoit tout l'étonnement de la malade de se trouver debout devant son médecin , appuyée sur des aides. Elle retournait précipita
dans celui d'alléger les souffrances de ma patiente ; c'est enfin en médecin que j’ai voulu agir. Et si je me suis appliqué à
gny. « En 1853, j'ai été guérie par M“e Berney. 11 n’y avait pas le médecin . Je suis convaincue qu’elle dormait réellement. »
illefranche. « M“* Berney a guéri mon enfant qui était abandonné du médecin . Je suis sûr quelle dormait réellement. Elle m’a
outier, rue de Bourbon. « Mm* Bemey a guéri ma femme abandonnée des médecins et à l’agonie. Elle m’a demandé une mèche de chev
Mesmer, a combattu l’inculpation d’escroquerie. 11 a rappelé que les médecins allopathes faisaient la guerre aux homœopathes en
s de lui emprunter, est celle du portier poitrinaire. Un des premiers médecins de Paris descend à la liàte de chez un client, et
bien d’autres dont le sens est que le hasard est souvent le meilleur médecin , le défenseur discute les trois faits sur lesquel
nances. Enfin, sur la question des dommages-intérêts réclamés par les médecins parties civiles, il se fonde sur le récent arrêt
our lequel la loi n’admet pas de complicité. Mc Rougier, au nom des médecins , parties civiles, se borne à prendre des conclusi
uxelloise était en proie à une névralgie universelle et à deuxîgrands médecins pleins de zèle qui avaient épuisé les dernières r
z au moins la voir ce soir. Je le promis, à la condition que les deux médecins , dont celui du roi, seraient présents. — Us y se
al et le remède. — Deinandez-lui si elle a été bien traitée, dit un médecin . — Non , répondit la patiente, on m’a fait pren
n’y en apoint, tout est détraqué, c’est fini! — Eh bien! dis-je au médecin qui a quelques notions du magnétisme, que feriez-
s’avoue impuissante. — C’est merveilleux, murmurèrent tout bas les médecins . — Oui, Messieurs , c’est merveilleux ; mais si
piderine. Ayant quitté la main que je tenais pour parler avec les médecins , ils me prièrent de lui adresser encore quelques
tranger. Pendant que je faisais remarquer cette étrange réponse aux médecins , elle ajouta : — Eux et moi c’est le même fluide;
l’est plus en somnambulisme. Le lendemain matin je trouvai les deux médecins devant le lit de la malade qui se déchirait les d
n effet, et nous nous retirâmes , moi persuadé de la guérison, et les médecins fort inquiets des suites que pourrait avoir ce si
hésiés par la puissance du bon germe. Rappelez-vous que quand les médecins disent : est nerveux , nous n’y pouvons rien , le
vient de le voir. « Une autre fois, consulté par un de nos premiers médecins , assez incrédule alors à l’endroit de la clairvoy
confondre, il montra sur l’hygiène une lucidité telle, que ce fut le médecin lui-même qui resta confondu. « A quoi attribuer
oppressions que je ressens tous les soirs ? « — A quoi ? et vous , médecin , vous le demandez à un ignorant comme moi, repar
tes d’une nature excessivement impressionnable, et que, quoique vieux médecin , vous souffrez des souffrances d'autrui, ce qui
rait que peu de chose encore si vous preniez les précautions que tout médecin prudent doit prendre, et auxquelles vous n’avez m
jeune garçon d’une dizaine d’années était condamné par les principaux médecins de la ville, et la mère de l'enfant, plongée dans
ourdement rongé par une cause accidentelle. Voilà, madame, ce que vos médecins n’ont pu voir et ce que je vois très-bien, moi.
r l’efficacité des moyens que je propose pour convaincre d’erreur les médecins éminents qui ont donné à l’Académie des sciences
par elle. Mettez à la place de cette commission des académiciens, des médecins , des savants, ou tous autres chercheurs, ils n’au
ée par la Cour impériale de Lyon, nous avons dit, par erreur, que les médecins qui s’étaient portés partie civile, et auxquels i
xi. La Cour a aussi consacré de nouveau le droit d’intervention des médecins comme partie civile. (Sulul public, 15 juin 185
e l'existence de l’âme par le magnétisme animal. » « La plupart des médecins et des physiologistes sont ma-« térialistes, parc
re que la force vitale. » « Quant au matérialisme de la plupart des médecins et des physiologistes , nous pouvons assez victor
vons promis, sur le soi-disant matérialisme des physiologistes et des médecins . n Non, nous en demandons bien pardon à l’auteu
s osé combattre ici un instant, il est de toute im -possibilité qu'un médecin , qu’un physiologiste, tombent dans le matérialism
t impossible , il est également impossible qu'un physiologiste, qu’un médecin , soient matérialistes. « Agréez , monsieur le b
tteint de la maladie appelée ramollissement du cerveau, et que quatre médecins avaient condamné. Cet homme, ayant reçu un coup d
“* Travis, qui était malade de consomption. Elle était abandonnée des médecins . 11 la magnétisa sous la direction des Esprits. E
ment mourraient en paix et d’une manière respectable. Au nombre des médecins , dans les environs de New-York, qui emploient la
nombreux malades qui vont lui demander la santé. Mais il y a d’autres médecins de ce genre, et le docteur Dorman et sa femme, M"
t d’une attention toute particulière. M™ D. est l’un des plus anciens médecins clairvoyants des Etats-Unis. Celui qui écrit ces
agement qu’elle avait demandé en vain à la Faculté. Il paraît que ses médecins s’étaient complètement trompés sur sa maladie. M“
it tous les jours de quoi remplir des volumes. Nous voudrions que les médecins comprissent enfin que leur art est insuffisant, e
eur art est insuffisant, et qu’il dépend d’eux de le perfectionner. Médecins de toutes les écoles, souvenez-vous-en ; renoncez
ce discours, et ne rien dissimuler de ce que je sçay, encore que les médecins n’approuveront peut-être ce fait, je ne veux me t
fortement oppressé, il ne peut respirer, inutile de rien essayer; le médecin appelé (Hubert était aux abois) arriva bientôt ap
blanche et mince comme une feuille de papier. De l’aveu des nombreux médecins venusdefort loin pourla voir, c'était là le cas d
n’y a pas sans doute de magnétiseur à Baguer-Morvan, mais il y a des médecins ... qui pourraient sauver cette jeune fille, s'ils
rd, mais ne tarda pas à constater à son tour ce phénomène étrange. Le médecin fut appelé, quoiqu’il ne crut pas le moins du mon
eue. Le chirurgien, qui l’avait déjà condamné, le montra un jour à un médecin qui suivait quelquefois sa visite et le désigna c
Le chirurgien, surpris d’un pareil changement, fit appeler un jour le médecin auquel il avait montré le moribond, et, lui faisa
de deux ans avant sa première publication sur le long péronier, deux médecins américains avaient exposé le même système. Il n
mes difficiles à tromper, des membres de l’Académie des sciences, des médecins éminents, ont voulu vérifier les faits allégués,
el arbre, dont aucun prévenu ne sait dire le nom botanique, auquel le médecin at- tribue des propriétés calmantes, et qui e
e ces ordonnances, et même guéris de maladies qui avaient résisté aux médecins de Car-bonne, Muret et Toulouse. Les prévenus p
faits l’exercice illégal de la médecine, commis de complicité avec un médecin , avait traduit les prévenus susnommés devant le t
t publiée par M. Manucs-Salhes, libraire ù Nîmes, avec le concours de médecins , d'avocats, de théologiens, desavants, de magnéti
es faits matériels, savent que la maladie n’est que frop réelle : les médecins déclarent môme n'y rien comprendre et avouent qu’
même se glorifiant, en quelque sorte, de leur ignorance. Le premier médecin , après avoir exposé l'état de l’enfant, dit ne pa
mes difficiles à tromper, des membres de l'Académie des sciences, des médecins éminents ont voulu vérifier les faits allégués, l
ore les expériences faites dans les hôpitaux de Paris, en présence de médecins éminents, des hommes les plus difficiles à trompe
n père en disant : Baiserai-je, papa?... Il était admis alors que les médecins devaient suivre en tous points les règles tracées
culté n’exige pas cette obéissance aveugle : il est de principe qu’un médecin diplômé peut soigner ses malades comme bon lui se
er par trop esprit fort. Le tribunal, dans l’embarras, fit venir deux médecins . C’ était la meilleure façon de ne pas trancher l
rer des désordres aussi profonds, aussi incurables. « Puisque les médecins ont déclaré qu’ils ne connaissaient rien à cette
om et quelque importance ; car, pour ce qui regardait les pauvres, le médecin alchimiste les recevait chez lui, les traitait et
t malade de la fièvre scarlatine; son état était devenu alarmant; les médecins n’espéraient plus rien. Cagliostro se chargea de
ns dans un de ses accidents; ils ont lu également les dépositions des médecins chargés de constater le fait qui servait de base
us donnons ci-après, d’une nature à peu près semblable. Cette fois le médecin avoue l’existence du magnétisme et se montre plus
Les voisins accoururent, et l’un d’eux, se détachant, alla quérir un médecin , qui, après avoir rassuré la mère plus morte que
ence. 11 existe une Société appelée Médico-Psychologù/ne, composée de médecins et de philosophes, qui compte dans son sein des s
ansférée à l'asile des aliénés, elle avait des accès à la volonté des médecins , toujours par le magnétisme. Pendant ses accès, F
re à être vérifiées sur l’heure. 11 suffirait, par exemple, disait ce médecin , de demander aux sujets qui s’attribuent le somme
uestion des phénomènes nerveux extraordinaires, et de l'avoir fait en médecin qui sait se mettre en garde contre toutes les exa
us sommes réunis iei, philosophes occupés des sciences abstraites, et médecins livrés à la recherche et à l'examen de ce qu’il y
es philosophes étaient loin de demeurer étrangers à cette étude ; les médecins doivent se joindre à eux. Le numéro des Annales
le société, qui s’intitule Médico-psu-chologiquc et qui se compose de médecins consciencieux, ne dédaigne pas de s’occuper des p
er une explication, ils eussent nié le fait, accusant le malade et le médecin d’ètre compères et de vouloir se jouer de leur cr
e presque à volonté le magnétisme, il est bien de voir une société de médecins s’en occuper sérieusement ; c’est pourquoi nous a
arvint à connaître la vertu d’une quantité de plantes. Comme il était médecin et rempli de charité, il traitait gratuitement to
lle avait un cancer à l’estomac, ainsi que l’avaient déclaré tous les médecins qui avaient visitée, et qui tous l’avaient jugée
ait depuis onze ans. Cette guérison fit grand bruit dans le pays. Les médecins dirent qu’il y avait dans le village un enfant de
e c’était un cas de gangrène sénile, cas tellement rare que sur mille médecins c’est à peine s’il y eu a un qui puisse le rencon
ne manière aussi précise et aussi minutieuse qu’aurait pu le faire un médecin assis auprès de lui. Tout à coup elle déclara que
ns lui, deviendront inévitablement les victimes de leur maladie. Un médecin bien connu, qui jouit d’une réputation méritée et
ables parmi ceux que fit éclore le concours. Il a traité son sujet en médecin et en philosophe. Il décrit avec beaucoup de saga
de magnétisme animal et de somnambulisme artificiel, elle a jeté les médecins dans un grand embarras et les a mis dans une faus
. Dans la crainte de se perdre dans l’opinion de ses confrères, aucun médecin sérieux n’ose plus, depuis ce vote, aborder l’étu
en ont fait un objet de spéculation industrielle. Les savants et les médecins particulièrement répudient une solidarité qui les
là toute une branche de thérapeutique qui mérite bien l’attention des médecins . Abordant l'examen des facultés transcendantes,
ue la pratique et la surveillance en soient exclusivement confiés aux médecins (p. 240). Ce serait peut-être s’exposer à sup
riter l’examen des hommes de science. Je comprends parfaitement qu’un médecin a besoin de courage et d’abnégation pour descendr
ire l’une des branches de l’art de guérir, réservée exclusivement aux médecins ? u Le seul but que je me propose, en publiant
ison d'une personne condamnée depuis longtemps par un grand nombre de médecins . «L. D.,âgée de vingt-trois ans, de tempérament
il y a M. le dbeteur Stamm. Pensant qu’il s'agissait d'une réunion !e médecins , j'en nommai plusieurs qu’elle me dit être présen
itaux si vous le jugez convenable. Je sais avec quelle répugnance les médecins touchent à tout ce qui, de près ou de loin, se ra
it être une branche des sciences médicales réservée exclusivement aux médecins . « Agréez, etc. « Léon Gros, D. M. » Nota. To
ette observation : mais nous devons dire que, quoique les efforts des médecins aient été couronnés de succès, le médecin-magnéti
se qu’il fait jour en plein midi pour être certain de la lumière. Les médecins ont grand tort, en ce moment, on doit savoir gré
plus extraordinaires dont il ait été question depuis longtemps. Un médecin ou un chirurgien des plus honorablement connus, M
ficielle, à propos du docteur noir, 237. Homéopathie. Procès entre médecins allopathes et homéopathes. Réflexions et commenta
prescriptions thérapeutiques. Discussion amicale à ce sujet entre un médecin et M. Petit d'Ormoy, 21. Magnétoscope (Du). Obj
ux prises avec la médecine officielle. Chicanes suscitées à M. Vriès, médecin indien, surnommé le docteur noir. Compte-rendu et
oi, 271, 426. — Observations sur le même sujet, par M. X., 63. — Deux médecins , appelés comme experts dans un procès où le magné
avant hydros cope, par M. Morin, 399. Hypnotisme. — Inconséquence des médecins et mots nouveaux pour l’usage des adeptes, par M.
s : Philippe Hedde, 27; — Salvat, 420. Négation du magnétisme par des médecins appelés comme experts dans un cas de médecine lég
gts et les Académies ; fable par M. Jobard. 289. Prise de bec entre médecins allopa thes et homéopathes, 12. Récits de faits
582, 590, 596, 636 ; — en Pologne, 292, 577. Tribunaux. Procès entre médecins , homéopathes et allopathes, pour injures de ceux-
30 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
Saint-Pétersbourg); A. FOREL (de Zurich); Eugène DUPUY; DUMONTPALUER, médecin do l'HÔtel-Diou; Van EEDEN (d'Amsterdam); P. PARE
OTZING (de Munich); SPERL1NG de Berlin; EEMAL (de Monsi; Aug. VOISIN, médecin de la Salpâtriere, otc; STEMBO (do Vilaa»; 0. WET
Saint-Pétersbourg); A. FORELfde Zurich); Eugene DUPUY; DUHONTPALLIER, médecin de l'Hotcl-Dieu; Van EEDEN (d'Amsterdam); P. FARE
TZING (de Munich); SPERLING de Berlin; SïïMAL (de Mons); Aug. VOISIN, médecin de la Solpétriôro, etc.; STEMBO (de Vilna); P. VA
rvices de là psychothérapie, mais aussi un nombre considérable de médecins et d'étudiants, avides de s'initier à une méthode
l'œuvre nouvelle a pu compter sur le concours des psychologues et des médecins les plus éminents. Parmi les encouragements les p
ot, l'Institut Psychophysiologique est organisé de façon à donner aux médecins et aux étudiants en tous ordres, un enseignement
de la psychothérapie et de la psychologie appliquée. , Le nombre des médecins et des étudiants qui se sont fait régulièrement i
uelques années, j'étais appelé, dans un établissement dont je suis le médecin , à voir un jeune domestique de 19 ans, qui se pla
rois pouvoir appeler consciencieuse et impartiale, je dirais donc aux médecins religieux, aux familles chrétiennes et aux direct
elles traitées avec succès par l'hypnose. Par M. le Dr E. Bérillon, Médecin inspecteur des asiles d'aliénés de la Seine. Ay
it son mètre : le doute reparaissait aussitôt. Il consulte tous les médecins de la contrée. Enfin M. Planlier, d'An-nonay, nou
Pendant quatre ans, la malade se refusa énergiquement à consulter un médecin , persuadée que rien ne pouvait remédier à sbo
édecine, Bianchi (de Parme), Marcelin, Cazeux, H. Lemesle, J. Voisin, médecin de la Salpêtrière, Zéligson (de Cleveland, Ohio),
Une jeune dame mariée depuis sept années, a été soignée par plusieurs médecins accoucheurs de Paris, pour des douleurs qu'elle é
eu marqué ; il semble, le premier jour, que l'idée d'aller trouver un médecin ait influencé dynamiquement sa manifestation. II
hérapique est d'exiger une énergie patiente et continue de la part du médecin . RECUEIL DE FAITS Astasie-abasie guérie par s
s maladies; et je n'hésite pas à dire que, dans les mains d'un habile médecin qui comprend à fond les différentes méthodes que
Novembre 1897, à 4 heures et demie. Les séances sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités ù y assister. Adr
e nombreux faits d'exercice illégal de la médecine. Le syndicat des médecins d'Angers se portait partie civile. Après des déba
Cheneau. du barreau d'Angers, qui se présentait pour le syndicat des médecins de Maine-et-Loire, a déclaré mal fondé dans ses c
le renvoyant des fins de la poursuite sans dépens. Le syndicat des médecins d'Angers a interjeté appel. NOUVELLES Ensei
age de savants et de professeurs autorisés, est destine à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
ieu pour un malade, quel qu'il soit, joue un rôle prépondérant, et le médecin ne saurait trop s'en préoccuper. L'air, la lumièr
ent aussi et ils sont l'objet d'une attention spéciale de la part des médecins et des familles. C'est qu'ils contribuent, comme
ble. Combien cette œuvre est difficile et peu comprise ! Aussi peu de médecins s'en préoccupent. L'hypnotisme, judicieusement
Vichy, les reconstituants, l'hydrothérapie, conseillés par plusieurs médecins , n'avaient produit aucune amélioration sensible.
alaisée ; elle met on jeu toute l'ingéniosité et toute la patience du médecin : mais elle procure quelquefois des succès remarq
ynamisme psychique des malades peut, en pareille matière, apporter au médecin les éléments d'un diagnostic autorisé ; 2° Les
eut rendre service au malade. C'est dans des cas de ce genre que le médecin psychologue aura /occasion de faire valoir celte
s complète et plus dange-« reuse que celle que pourraient obtenir les médecins et les pharma-« ciens.... ...« Attendu que, sui
t importante de l'application de l'auto-suggestion, il est même des « médecins , des savants pour lesquels les phénomènes hypnoti
Novembre 1897, à 4 heures et demie. Les séances sont publiques. Les médecins et les étudiants sontinvités à y assister. Adre
convives. Parmi les assistants, nous devons citer MM. Auguste Voisin, médecin de !a Salpètrière ; Boirac, professeur de philoso
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
pas eu de peine à démontrer que les moyens d'action utilisés par les médecins étant d'ordre purement persuasif, il n'y avait au
été parfaite, et que, dans toutes leurs réceptions particulières, les médecins Russes et les habitants de Moscou ont rivalisé d'
dées ont évolué et l'hypnotisme, tel que l'envisagent aujourd'hui les médecins qui s'adonnent à la pratique de la psychothérapie
procéder, avec le plus grand soin, au réveil du sujet. Bien plus, les médecins adonnés à la pratique de la psychothérapie savent
.. C'est à peine si deux ou trois faits ont été publiés, et encore un médecin compétent aurait su guérir le sujet en une seule
ion. Ce qui est plus exact, c'est qu'il y a chez un certain nombre de médecins une véritable hypno-phobie. Il est juste de recon
la psychothérapie, telle qu'elle est pratiquée par un grand nombre de médecins en France et à l'étranger. Une autre objection es
it légitime, s'ils ajoutaient que ces accidents seront imputables aux médecins qui auront appliqué l'hypnotisme sans avoir la co
ntale, qui leur font réaliser des hallucinations. Entre les mains des médecins qui appliquent la suggestion hypnotique en se con
que en fournit la démonstration la plus frappante. Il appartiendra au médecin de montrer qu'il n'est pas étranger aux enseignem
ggestion hypnotique, et. cependant, jusqu'à ces dernières années, les médecins hypnotiseurs ne pouvaient consulter aucun ouvrage
étapes parcourues par le Dr Luys avaient éié rapides et brillantes. Médecin des hôpitaux en 1862, il avait été chef de servic
). Depuis quatre ans, le Dr Luys avait dû prendre sa retraite comme médecin des hôpitaux. Atteint par la limite d'âge, mais s
Novembre 1897, à 4 heures et demie. Les séances sont publiques. Les médecins et les étudiants sontinvités à y assister. Adre
— J'extrais de îa biographie de Dupuytren par Is. Bourdon {Illustres médecins et naturalistes) ces lignes qui répondent à votre
nt Condorcet « de manger ses ongles, ce qui est indigeste, disent les médecins » ; c'est du moins ce qui nous est rapporté par E
'offre aucun danger, mémo dans le delirium tremens. b) L'exemple du médecin de la famille ou d'un ami. c) Gréer un milieu d
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
acte suggéré. Exemple — emprunté au Dr Bellanger— d'une femme que son médecin posséda dans ses accès de somnambulisme, qui devi
al de Bavière, sous les yeux de MM. de Laveleye, Delbceuf, le Dr X.., médecin de l'établissement. Le succès en fut complet. I!
e l'Académie de Médecine de Belgique. De l'aveu de presque tous les médecins présents au Congrès, les théories de l'Ecole de l
par la suggestion à l'état de veille. Par M. le Dr Auguste Voisin, médecin de la Salpétrière. MM0 M..., 23 ans, est entrée
l'on peut produire très nettement (1) Comptes-rendus du congrès des médecins aliénistes et nourologistcs de France et des pays
Décembre 1897 à 4 heures et demie. Les séances Boni publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h, à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
e, sans rechute depuis sept ans, dans quelques cas. Un des malades, médecin , avait usé de la morphine pendant deux ans, en y
L'ÉTAT PHYSIQUE DES ALIÉNÉS. - LE SOMMEIL. Par le Dr P. Keraval, médecin en chef de l'asile d'Armenlières. Examiner le f
ue je me suis réveillé on sursaut. » Uibot (3) rapporte le cas d'un médecin qui,durant un sommeil pénible, se vit faisant sa
lique, il y a des cxaccrbations persistantes qui font le désespoir du médecin . . 5° Enfin, la suggestion, si utile comme trai
déra cet avis comme une confession tacite d'impuissance de la part du médecin et s'en alla en consulter un autre. Celui-ci, s
7 Janvier 1898 à 4 heures et demie. Les séances sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
a science, inspire des pages éloquentes à Albert Eulemburg, l'émînent médecin à qui l'on doit la grande encyclopédie allemande
ront échoué. « 11 devra toujours être appliqué sous la direction d'un médecin compétent et exercé. » Les objections théorique
giques de l'hypnotisme. Il est dilïicile de discuter le droit qu'a le médecin , lorsqu'il est consulté sur un cas qui relève de
accordée à notre proposition par des pédagogues, des juristes et des médecins , d'un esprit élevé comme MM. Perroud, Félix Iléme
suggestion hypnotique à la pédagogie. Dès lors, un certain nombre de médecins et de pédagogues, en se mettant dans des conditio
édagogique, avait exprimé l'espoir de voir bientôt le pédagogue et le médecin s'associer dans la création d'une science dont le
ime, et de rechercher quelles seront les règles qui devront guider le médecin légiste pour se garer également de la simulation
otisme pourra-t-il être employé d'une façon criminelle, et comment le médecin légiste aura-t-il à intervenir ? L'individu hyp
plongé dans le sommeil hypnotique. Le juge d'instruction demandera au médecin de déterminer le degré de responsabilité du préve
L'ÉTAT PHYSIQUE DES ALIÉNÉS - LA SENSIBILITÉ Par le Dr P. Kéraval, médecin en chef de l'asile d'Armentières. Comment fonct
rigide, capable de conserver presque indéfiniment la situation que le médecin lui impose en le modelant entre ses mains. Les pe
t. Depuis plus de quatre mois, raconte-t-il, il est traité par deux médecins pour un empoisonnement du sang, avec tremblements
de médecine, de la Faculté de médecine et de l'Académie des sciences, médecin des hôpitaux et membre de l'Académie de médecine,
teur de la maison d'Ivry, il se montra, comme administrateur et comme médecin , le digne successeur d'Esquirol, deMoreau de Tour
ologic et de psychologie. J'ai suivi le D' Luys dans sa carrière de médecin des hôpitaux pendant de longues années, et c'étai
21 Mars 1898, à 4 heures et demie. Les séances sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
gratuites ont Heu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
ns les récompenses suivantes : Prix Herpin : M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière, pour son livre sur l'Epilepsie
dorment pas du tout. Ils réalisent, souvent par complaisance pour le médecin , une forme do sommeil que nous avons coutume, le
s de la Salpétrière. * ** M. de Rochas n'est ni psychologue, ni médecin . Je me défierais donc tout d'abord de sa dépositi
iébeault qui, dans une de ses dernières publications: Confession d'un médecin hypnotiseur, ne néglige aucun des conseils utiles
1 Mars 1898, à 4 heures et demie. Les séances sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
age de savants et de professeurs autorisés, est destine à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
Mesket (de Paris). Le D' Mesnet, membre de l'Académie de Médecine, médecin honoraire des hôpitaux, officier de la Légion d'h
et surtout de l'hémianesthésie gauche chez les hystériques. Devenu médecin des hôpitaux, Mesnet s'occupa avec une prédilecti
lles il est entré, insisté sur la réserve que doit toujours garder le médecin interrogé par la justice, « en l'absence de preuv
r mobile que sa curiosité scientifique, fut vivement critiquée par un médecin qui ne manquait ni de verve, ni d'esprit, et chez
vaient, comme le sauvage du Var, à leur guise sans gêner personne. Ce médecin était plus radical encore que le sauvage du Var,
ce qui s'y rattache de près ou de loin, est entièrement interdite aux médecins militaires. En Russie, cette pratique est permi
aux médecins militaires. En Russie, cette pratique est permise aux médecins , sans aucune exception, mais à la condition que d
ise aux médecins, sans aucune exception, mais à la condition que deux médecins assistent à toutes les expériences de l'hypnotise
e question est d'une double importance : ou elle calmera l'esprit des médecins , troublés dans leur pratique par la loi ci-dessus
es plus utiles à l'humanité souffrante, ou elle rendra la liberté aux médecins neuropathologues qui le méritent vraiment, au moi
ns neuropathologues qui le méritent vraiment, au moins autant que les médecins des autres spécialités. Si l'on me permet de do
e n'est plus soutenue couramment. Si elle l'est encore, c'est par des médecins qui n'ont aucune compétence en matière d'hypnotis
très souvent, donne des résultats brillants et permanents et dont un médecin spécialiste pour les maladies nerveuses ou mental
conforme à la mienne, à savoir que l'hypnotisme, entre les mains des médecins , est absolument inoffensif. Parmi ces neurologist
laboratoire du professeur Bins-wanger, communiquées à la Société des médecins aliénistes de Dresde et publiées ensuite dans le
ficile à changer ; de même l'éducatif quand le sujet est âgé. Mais le médecin a toute puissance sur le tempérament. Qu'un arthr
du corps thyroïde à un myxcedemateux, de lent il deviendra vif. Le médecin agira encore mieux par l'alimentation : il suppri
18 Avril 1898, à 4 heures et demie. Les séances sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
ds. La cause immédiate de cette folie d'un genre nouveau est un jeune médecin de l'endroit qui a inventé, paraît-il, un apparei
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis a
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complè
nés sont réfractaires au sommeil provoqué. C'est à M. Auguste Voisin, médecin de la Salpêtrière, que revient l'honneur d'avoir
s et ses hallucinations; il y a là de quoi désarmer l'incrédulité des médecins qui n'ont pas foi dans l'art de guérir (6). » (
rés comme incapables d'être hypnotisés, par cette seule raison que le médecin , trop vite lassé, a manqué de persévérance et de
n plus capable de se fixer et de se concentrer. Dans les deux cas, le médecin psychologue éveillera chez le malade des représen
lîellangcr rapporte le fait dune femme qui, après avoir fait à son « médecin , dans des crises répétées de somnambulisme, des a
e cette science occulte. Cette pauvre femme, qui s'était livrée à son médecin dans un état psychologique — l'un de ceux que je
mbaud ; do M. le D' Coatarmanach ; de M. Paul Landon ; de M. Lépinay, médecin vétérinaire à Paris; de M. le D' Peyré, ancien in
t 16 Mai 1898, à 4 heures et demie. Les séances sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
thérapie. Tous les jeudis, à 10 heures et demie, M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complè
LA FACULTÉ DE MÉDECINE Semestre d'été 1897-1898 M. le D' Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, directeu
ons Braid, de Manchester, et Puel, de Paris. Cabanis et bien d'autres médecins avaient constaté les liens qui unissent le moral
se décida, quitta Pont-Saint-Vincent et vint s'établir à Nancy comme médecin hypnotiseur. Il installa à la rue de Bellevue, n°
tre L'appréciation de cetle durée sera donc laissée à l'initiative du médecin ; et celui-ci devra agir différemment, suivant que
ent payer de deux mois de prison les agissements coupables d'un jeune médecin inexpérimenté ot maladroit. Récemment, en 1895,
connaissance. Le diagnostic d'épilepsie avait été porté par plusieurs médecins ; cependant, tous les signes pathogénomoniques de
z, a elle-même des crises terribles, dont elle ne veut parler à aucun médecin . Elle a encore plus besoin d'être soignée que son
que en fournit la démonstration la plus frappante. Il appartiendra au médecin de montrer qu'il n'est pas étranger aux enseignem
encore aujourd'hui de nombreux détracteurs, principalement parmi les médecins . En effet, disent quelques-uns, prétendre que l'o
à moins qu'elle ne persiste. Alors, lassé de cette lutte stérile, le médecin est bien obligé, un beau jour, de confesser piteu
on des mêmes drogues coutumières. Avouons qu'en effet bon nombre de médecins de la généra- (1) Voyez: Revue de l'Hypnotisme,
érapeutique psychique, il est étrange que, précisémeut, ce soient les médecins qui la rejettent. On se rappelle la lôsistunce ob
temps, ii Pans, au sein de la Société médico-psychologique, d'autres médecins s'appiiq-iaient à mettre à l'index son méraoraole
ie sur Le sommeil provoqué et tes étals analogues. Ne sont-cc pas dos médecins encore qui combattirent avec acharnement les vtcc
iiisait l'élccire-diagnostic et lVlectrothéinpie ? De tout temps, les médecins ont manifeste une méfiance systématique pour tout
i peu de partisans ci tant d'advorsuires irréductibles; en somme, les médecins sont rldélcs à leur rôle historique en refusant d
e jeune fille, incapable de marcher, est transportée a l'hôpital ; le médecin diagnostique nue paraplégie hystérique, puis, au
hes ne produisent aucune amélioration. Quelques jours après, le mérne médecin (encore, bien entendu, en-présence «le la malade)
ricité ne réussit pas, nous chercherons autre chose... » Eh bien ! ce médecin , en nllirmant devant la malade et le caractère te
ement qui a le malheur do n'être pas « bien en cour ». Déjà, pour les médecins de Molière, il importai' peu que lo malade mourût
e que contingentes. D'ailleurs, donnons, sur ce point, la parole à un médecin psychologue dont la compétence en ces matières ne
e heure assez avancée de la soirée? » — Mais, je ne sache pas que les médecins refusent, d'ordinaire, d'entreprendre, par exempl
as, ici, plus que partout ailleurs, le traitement vaut ce que vaut le médecin et, avant de condamner ce procédé, demandons-nous
e, variable avec les sujets et les circonstances; il faut donc que le médecin fasse preuve de prudence, d'initiative et de saga
ilibus curantur, nous dirons donc qu'une maladie psychique réclame un médecin psychique. Mais, en supposant que le traitement
nt découragé par la lenteur des effets curalifs, et, d'autre part, le médecin perd un temps précieux, outre que parfois il se l
des Landes, qui eut plus tard un fils et une fille à Port-Royal. Lo médecin peut prendre une autorité considérable sur le mal
cessaire qui s'établit entre le malade et lui. Dans toute société, le médecin a toujours un grand nombre de volontés sous la si
istraction que la lecture, ou la conversation avec ses enfants et ses médecins . Pour ces derniers : leurs discours édifiants et
ns pronostiqués, il entre dans le troisième, si terrible que tous les médecins n'y peuvent rien. On a recours à M. Petit, philos
n'y peuvent rien. On a recours à M. Petit, philosophe encore plus que médecin et qui joint à de grandes connaissances d'anatomi
i leur première science n'était pa^ de gérir! comme si le plus habile médecin n'était pas celui qui emploie le moins de remèdes
Juillet 1898, à 4 heures et demie. Les séances sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
s et cliniques neurologiques ou psychiatriques; les photographies des médecins spécialistes. 2° Les costumes, moyens de conten
s les différents amphithéâtres ou elle a été présentée à l'examen des médecins , on a pu la brûler au fer rouge, la piquer avec u
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné â fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 10 h. à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
thérapie. Tous les jeudis, â 10 heures et demie, M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complè
aul Landon, de M. le Dp Agapinos (de Constanti-nople), de M. Lépinay, médecin vétérinaire. Ces candidatures, mises aux voix,
uverne, le corps obéit. » Ce qu'il s'efforce de vulgariser auprès des médecins des différents pays, c'est la méthode inaugurée p
s avec un vif sentiment do regret la mort de M. le Dr Auguste Vqisln, médecin de la Salpètrière. Nous rappellerons dans notre p
age de savants et de professeurs autorisés, est destiné à fournir aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
ratuites ont lieu les mardis, jeudis et samedis, de 1Û h, à midi. Les médecins et étudiants régulièrement inscrits sont admis à
érapie, Tous les jeudis, à 10 heures et demie, II, le ])' Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complè
31 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
sychologique qui s'accomplit. Les idées aujourd'hui acceptées par les médecins et par les psychologues en matière d'hypnotisme,
eint d'une autre affection du système nerveux et hypnotisable, le médecin ne pourra pousser plus loin l'investigation psych
antes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpôtrière. Les auteurs sont invités à a
tants, toutes les douze ou quinze heures, se rendormant aussitôt. Les médecins attribuent ce sommeil léthargique à l'effet du ch
artenaient à toutes les classes de la société : savants, professeurs, médecins , prêtres, marchands, commis, ouvriers, paysans. J
eul et -unique mode de traitement appliqué aux ivrognes par plusieurs médecins et une grande quantité des malades que j'ai soign
annonce à la Société qu'un de ses membres, M. le Dr Déjerine, agrégé, médecin de la Salpétrière vient d'être nommé (I) Marcha
tre nommé (I) Marchant sur les lnices d'Auguste Voisin, de nombreux médecins ont obtenu de- succès en appliquant la thérapeuti
re à cinq fois. Néanmoins, dans ces crises, il n'osait consulter de médecin , de peur do sondages ou d'opérations, se sachant
e fallait jamais se laisser sonder qu'en cas d'extrême nécessité. Son médecin habituel lui répétait qu'il n'y avait pas moyen d
genou augmente de jour en jour et empêche notre homme de se lever. Un médecin fait d,cs pointes de feu, sans qu'il en résulte a
s pointes de feu, sans qu'il en résulte aucune amélioration. Un autre médecin , appelé ensuite, craint un commencement d'ankylos
tons que notre malade dort très mal la nuit ; il ne cesse de rêver de médecins et il craint qu'on ne lui fasse du mal. Cette j
e lui-même sa maladie et entretient sa contracture. Lorsque le second médecin lui parle d'ankylosc, fait intervenir le chlorofo
aumatisme. Dans ces circonstances, souvent un procès s'engage et le médecin est consulté. Il est très difficile de se prononc
lesquelles l'idée s'est emparée de son esprit, confier ce malade à un médecin intelligent, instruit et honnête qui, par la sugg
maison et qu'elle se décide à travailler. On se demande si c'est au médecin ou bien au moraliste que de tels sujets doivent ê
a souvent donné lieu à de graves erreurs de diagnostic de la part des médecins et des chirurgiens ; une fois même, (1) Présent
tre petit qui s'est ouvert tout seul. A quoi pense tout de suite le médecin en pareil cas ? Le panaris a été la porte d'entré
ncision et il en résulta des accidents très graves. Quelquefois, le médecin croit voir non pas un phlegmon, mais du rhumatism
s chirurgiens ont la fâcheuse habitude d'inciser; dans le second, les médecins pensent à la syringomyëlie. Depuis la leçon de Ch
n 1889, l'œdème hystérique est entré dans la pratique courante et les médecins instruits savent le diagnostiquer. Au point de
bris ce poils et de cheveux agglomérés dans la cavité gastrique. Un médecin australien, le docteur Saw, vient même de publier
a Ce cas semble correspondre à la catégorie de ceux que les anciens médecins désignaient sous le nom de pi'ca ou cia. Grisolle
pris un arrêté interdisant la vente de la cocaïne sans ordonnance du médecin . CHRONIQUE Eï CORRESPONDANCE Banquet de la So
membres de la Société se sont rendus au Banquet.M. IeDr Jules Voisin, médecin delà Selpètriôrc présidait. Parmi les nombreux co
cassation, M. leD'Lcblond, médecinde Saint-Lazare, M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés. M. le Dr Paul Ma
ur d'appel, MM. Séghers et Jules Bois, hommes de lettres, M. Lépinay, médecin vétérinaire, M. le Dr Moiroud, dentiste des hôpit
e, de M. Boirac, recteur de l'Académie de Grenoble, de M. le Dr Deny, médecin de la Salpétrière, de M. le professeur Bianchi,de
la bienvenue aux nouveaux membres de la Société. M. le Dr Lcblond, médecin de Saint-Lazare, exprime sa satisfaction de prend
nt subi le traitement hypnothéra-pique (1). Par le Dr Jules Voisin, Médecin de la Salpetrière. Un certain nombre de neurast
er les états d'anxiété, comme si le malade se trouvait en présence du médecin . Le procédé qui consiste à les évoquer dans les c
ment, rédaction d'une ordonnance. — C'est là le principal attribut du médecin , consacré par l'art. 32 de la loi du 21 germinal
loi que, si le législateur n'a pas voulu réserver exclusivement aux médecins les expériences du magnétisme et de l'hypnotisme,
ver ces expériences aux profanes, et de les confier exclusivement aux médecins . » Et les considérants du jugement précité ajou
traitement par la suggestion hypnotique, par le docteur Bérillon, Médecin inspecteur îles asiles publics d'aliénés. Les h
les maux de cœur augmentaient â tel point, qu'il fallut consulter les médecins d'Avila ; ces derniers furent impuissants : « E
cins d'Avila ; ces derniers furent impuissants : « Et parce que les médecins ne réussissaient point â me traiter, mon « père m
ois de très grandes douleurs au lieu dont je « viens de parler... Les médecins qui me virent durant les deux pre-« miers mois me
i me donnait de la peine n'était pas de me voir condamnée par « les médecins , c'étaient les douleurs que ce retirement de nerf
ire. Différents moyens avaient été employés en vain, par différents médecins , pour le guérir de cette petite infirmité (ergoti
I nous a paru intéressant de rapprocher des principes de technique du médecin anglaises moyens mis en œuvre par les religieux a
lsions. Les marabouts savent agir sur le sommeil, comme le savent les médecins , en pressant les globes oculaires, ou en souillan
globes oculaires, ou en souillant sur les yeux. i Enfin, comme les médecins , ils savent faire avorter les crises con-vulsives
Lavastine. RECUEIL DE FAITS L'Hystérie en Chine Le Dr Matignon, médecin de la légation de France en Chine, vient d'adress
Tout d'abord, dans un rapport 1res documenté, M. le Dr Paul Garnier, médecin en chef de l'Infirmerie spéciale à la préfecture
gée comme agent de redressement moral. Ensuite M. le Dr Jules Voisin, médecin de l'asile d'aliénés et de l'école de réforme de
que, y seront l'objet d'applications suivies. Enfin le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés de la Seine, a fa
t, Wertheim Salomonscn, secrétaire général, et M. le Dr Van Deventer, médecin en clief de l'asile d'aliénés de Meercnberg, méri
eptionnels. Je puis donc soutenir de nouveau, avec le petit nombre de médecins compétents qui se sont occupés de la question, qu
lle et leur annonce alors qu'elle les conduira le dimanche suivant au médecin des aliénés pour les faire soigner. A partir de c
ubliques ou privées d'hypnotisme. 2° Interdiction aux individus non médecins ou non munis d'une autorisation spéciale, d'hypno
tion de savoir si l'hypnotisme employé par des professionnels non médecins offre, au point de vue de l'hygiène publique et d
ajoute que c'est aux magnétiseurs et hypnotiseurs de théâtres que les médecins doivent ce qu'ils savent en matière d'hypnotisme.
la Société, à l'occasion de la mort de son gendre. M. leDf Delpeuch, médecin des hôpitaux. M. le Secrétaire général donne le
a Société. M. Brocard, avocat à la Cour d'Appel ; M. le D' Leblond, médecin de Saint-Lazare; M. teDr Salomon, de Savigné-l'Ev
orduriers. Ici, comme dans tout traitement analogue, tant vaudra le médecin , tant vaudront les résultats. CHRONIQUE ET CORR
és savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpetrière. Les prochaines séances de la
nt lieu les troisièmes mardis de chaque mois à 4 heures et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
les faire mouvoir ; elle était enfin déclarée incurable par plusieurs médecins de la Faculté de Paris qui l'avaient vue, et néan
enue une science positive dont nous lui sommes redevables et dont les médecins , parmi lesquels je m'honore de figurer, ainsi que
ante et qu'il .est regrettable pour la science et la société, que les médecins entrés dans cette voie soient encore une infime m
rait résulter d'un état de chose différent. Nous ajouterons que les médecins devraient aussi combattre un peu. plus le préjugé
'occupent de psychologie comparée, je voudrais voir mes confrères les médecins vétérinaires, s'intéresser à cette étude si alléc
nnaissances bien utiles et apporteraient à nos éminents collègues les médecins de l'homme, des aperçus qui, j'ensuis convaincu,
ancer, gastralgie, toutes les névralgies, ophtalmies, etc., etc. Un médecin en chef des hôpitaux de Constantinople, Ahmed Pac
. Le cautérisateur, bien que sans diplôme et même illettré, fait le médecin . Il donne des médicaments, panse, pratique des op
és savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Les prochaines séances de la
nt lieu les troisièmes mardis de chaque mois à 4 heures et demie. Les médecins et les étudiants sont invites à y assister. Adr
lui dit en le complimentant: « Je vous connaissais pour un excellent médecin , mais je ne vous croyais « pas homme à ressuscite
; à quoi Rhazès répliqua modestement : L'expérience vaut mieux que le médecin , mot profond, qu'un homme de vrai mérite et dédai
ture date a de loin, entrer, avec sa fille dans mon cabinet, un vieux médecin de ¦ village, ruiné de corps et intellectuellemen
ressante due à notre distingué collègue, le D'Ma-randon, de Monthyel, médecin en chef de l'asile de Ville-Evrard : * Depuis l
n entend parler,... il pense avoir la même maladie et la décrit à son médecin , avec grand luxe de détails. Ses craintes sont d'
ent la genèse de certains suicides. Pour combattre ces impulsions, le médecin doit soigneusement écarter l'objet qui suggestion
és savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpètrière. Les prochaines séances de la
nt lieu les troisièmes mardis de chaque mois à 4 heures et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
que ceux qu'il doit produire. gique le plus intime ; il faut que le médecin s'habitue à cette investigation comme aux autres
ubliée dans la collection des Actualités médicales, rendra service au médecin qui n'a jamais trop de signes pour aider à son di
1901. Définition de l'hystérie (') Par M. le docteur J. BàBINSEI, médecin do la Pitié Malgré le grand nombre des travaux
Malgré le grand nombre des travaux dont l'hystérie a été l'objet, les médecins ne semblent pas se faire tous une conception inde
rayer cette prétendue névrose spéciale des cadres nosologiques. Tout médecin qui a porté, ne serait-ce qu'une fois, le diagnos
dre ce but, il faut passer en revue les divers syndromes que tous les médecins s'accordentà appeler hystériques, les analyser et
car l'idée émise, loin d'être déraisonnable est éminemment sensée; le médecin en agissant ainsi, loin de chercher à suggestionn
e l'entourage vient contre-halancer ou annihiler la persuasion du médecin ; s'il est possible de placer le malade dans des c
e miracle portaient la date du 2 juin 1657, et étaient signés par les médecins dont les noms suivent : Martin Dalencé, Etienne G
uillard, Jean Hamon, Gui Isoré et Isaac Renaudot. A l'époque où ces médecins observèrent, l'hystérie était une maladie à peu p
, sur la matière, qu'un ouvrage non moins imprécis de Charles Lepois, médecin de Pont-à-Mousson, ouvrage datant de 1618. Le liv
émoniaque, une possession, qui ne regardait que les exorcistes. Les médecins dont j'ai cité les noms ne pouvaient d'ailleurs,
oins de médecine que de journalisme. Sur lui et sur son frère Eusèbe, médecin comme lui. Gui Patin, professeur de médecine au C
rique : « Ils ne valurent jamais rien, et même l'ainé des deux est le médecin ordinaire de Port-Royal de Paris ». D'une autre
héophraste Renaudot. Quant à Jean Hamon, solitaire de Port-Royal et médecin « ordinaire et domestique de cette abbaye, ideoqu
is dernières lettres sont probablement les initiales des trois mots : Médecin da roi. C'était là un titre purement honorifique
prête d'accoucher » (*)'. On envoya la malade à Paris consulter les médecins amis de la maison. Ils déclarèrent à leur tour av
es du larynx, qui ont été constatées dans l'aphonie hystérique. Les médecins a résolurent d'ouvrir le mal le lendemain » (*).
ait commencé une neuvaine en son honneur. Après la consultation des médecins , elle resta une demi-heure en prières devant la r
de se trouver tout à fait guérie » ('). En effet, le lendemain, les médecins « auroient trouvé icelle Baudrancl parfaitement g
; elle ne pouvait plus monter d'escaliers ni sauter de fossés. « Un médecin diagnostiqua une tumeur abdominale et conseilla d
ntrée à l'hôpital et probablement à la crainte d'une opération. Les médecins de Magdelaine-Claude Baudrand « s'écrièrent que c
foi. Traduisez, si vous le voulez, qu'il ait confiance absolue en son médecin , et vous admettrez que cette condition est encore
és savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpêlrière. La prochaine séance de la So
nt lieu les troisièmes mardis de chaque mois à k heures et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. • A
nces Vendredi 17 Janvier, à huit heures et demie, M. le Dr Bérlllon médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, fera une
Vendredi 24 Janvier, à huit heures etdemle, M. le Dr Jules Voisin, médecin à la Salpêtrière, fera une conférence* sur : La p
ules Soury, sous-directeur à l'Ecole des Hautes-Etudes; Jules Voisin, médecin delà Salpétriere. COURS DE 1902 L'inauguratio
x côtés de M. Albert Robin, avaient pris place M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière, membre du Comité de patronage,
e qui avait répondu à l'invitation de l'Ecole. Elle était composée de médecins , de magistrats, de professeurs de l'Université, d
, soit dans cette Ecole où il continua son enseignement lorsqu'il fut médecin honoraire d'hôpitaux, Dumontpallier ne cessa d'êt
rons la satisfaction d'entendre une conférence de M.le D'JulesVoisin, médecin de la Salpètrière, sur la Psychologie des enfants
e peut être citée que pour mémoire, car aujourd'hui l'observateur, le médecin véritablement instruit doit savoir se mettre à l'
Ce jeune homme s'offre loyalement à l'examen libre et désintéressé de médecins et de psychologues, experts en ces questions, hab
contraire, il avait admis des membres de la Société d'Hypnologie, des médecins , des psychologues, des journalistes, quelques gen
és savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpélrière. La prochaine séance de la So
nt lieu les troisièmes mardis de chaque mois à 4 heures et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. êtr
puissants moyens de suggestion, qui n'ont pas attendu, pour agir, les médecins hypnotiseurs. Ainsi tous pouvons-nous par nous-
nouveau c'est l'emploi méthodique de cette nouvelle médication par le médecin . Ce qu'il nous faut surtout remarquer c'est l'i
M. Krafft-Ebing a élevé la température (par exemple de 37° (1) Los médecins pourraient suggérer aux femmes enceintes des marq
s. A la fin du neuvième mois, le mari vint me voir. Un de ses amis, médecin , mais qu'il ne me nomme pas, après examen de sa f
t marcher et reste chez lui pendant trois mois, toujours impotent. Un médecin consulté ordonne le massage et l'électricité, san
oit le retirer tout les quatre ou cinq jours. Sur ces entrefaites, le médecin de l'assurance affirme l'hystérie et considère no
és savantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpètrière. La prochaine séance de la So
nt lieu les troisièmes mardis de chaque mois à 4 heures et demie. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Cou
e. Deux cents personnes au moins, parmi lesquelles un grand nombre de médecins des hôpitaux qui avaient tenu à apporter au maîtr
ent tenu à apporter au maître l'affirmation de leur sympathie, et des médecins de la ville, qui sont toujours assidus aux leçons
ns qui vont suivre. Par des exemples bien choisis, il a montré que le médecin pouvait beaucoup de bien ou beaucoup de mal dans
ollègue qui tient votre œuvre scientifique en légitime admiration, au médecin qui a eu l'occasion d'apprécier à tant de reprise
très savant et très distingué, de l'Université de Heidelberg: « qu'un médecin ne devenait réellement fort que lorsqu'il pou-. «
érience proprement dite, et cela pour plusieurs raisons : d'abord, le médecin ne dispose (1) L. Büchner. — A l'aurore du sièc
peu ; le point capital, à noire avis, est de les guérir. Or, tous les médecins savent que les symptômes de l'Hystérie sont souve
ceci est toujours une garantie très grande pour lui et aussi pour le médecin . ¦ ¦ • A l'appui de notre théorie sur l'inf
rait intéressant de reproduire ici ce que pense à ce sujet l'illustre médecin et philosophe allemand Louis Biiehner, auteur de
« suggestion. Personne n'est mieux pénétré de cette vérité que « les médecins , qui doivent peut-être la moitié de leurs succès
tié de leurs succès « à la seule suggestion. La seule présence du médecin auprès « du malade opère souvent des miracles. Ch
garder métaphoriquement comme le véritable pouls de l'hystérie, qu'un médecin doit tout aussi souvent tâter que l'autre. Les re
qu'au bout. Aussi, comme rien de ce qui est médical n'est vil pour le médecin , j'ajoute ceci : « Je veux m'assurer que vous ave
st précisément cet état de torpeur intellectuelle qui en a imposé aux médecins qui l'ont soigné jusqu'à présent. Ils se sont cru
d jusqu'au jour où le malade revient à lui. On cite le cas d'un jeune médecin qui, intoxiqué par son poêle pendant dix-huit moi
qui, le plus illettré comme le plus savant, peut guérir mieux que le médecin préparé par des études sérieuses à son art. VÉc
réparé par des études sérieuses à son art. VÉclair ajoute : o Les médecins ne peuvent pas toujours avoir le pouvoir de guéri
e nous nous apercevons que cette comparaison, peu avantageuse pour le médecin , est faite avec des aventuriers, d'une moralité a
ait-on pas diviser le travail entre deux ordres de praticiens : les « médecins qui continueront à traiter les affections qui exi
miné le DrLcdrain à demander la convocation du bureau du Syndicat des Médecins de la Sarthe. La pétition qui est l'objet de l'ar
s dans tous les pays civilisés. Mesmer, lui-même, que sa qualité de médecin aurait dû mettre à l'abri, a été l'objet d'une en
dit un ukase défendant l'emploi du magnétisme par d'autres que par le médecin . En 1887, le roi de Danemarck admet le magnétis
édicale seulement. La même année, le roi de Prusse n'autorise que les médecins à pratiquer le magnétisme. En 1855, l'Autriche
médecins à pratiquer le magnétisme. En 1855, l'Autriche réserve aux médecins seuls le droit de faire du magnétisme. Pendant
c'est qu'ils ont guéri un grand nombre de malades abandonnés par les médecins . Le Dr Ledrain raconte qu'au procès de la femme B
ns, qui tous affirmaient avoir été guéris d'affec- tions que leur médecin n'avait pu même soulager. 11 ne peut admettre que
sant sur l'hypnotisme, existe et donne d'excellents résultats; si les médecins l'abandonnent aux charlatans, c'est parce qu'ils
ain, il réserve quelquefois des déceptions capables de discréditer le médecin , mais il procure aussi des guérisons inespérées ;
ifiquement et avec conscience. Entre des mains autres que celles du médecin , il devient un instrument immoral et dangereux. O
chappent à la direction médicale. Il est grand temps de les rendre au médecin , si l'on désire voir disparaître les accidents qu
ropos. Sur la proposition qui en est faite, le bureau du Syndicat des Médecins de la Sarthe décide qu'il sera demandé à l'Union
vantes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. le DrJu!e9 Voisin, médecin de la Salpélrière. La prochaine séance de la So
rochaine séance de la Société aura lîcu le mardi 15 avril 1902. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Avi
l'école pratique de la faculté de médecine M. le docteur Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés, directeur de la
sme scientifique commença à être appliqué aux sciences médicales, les médecins trouvèrent que la folie était une maladie organiq
es phénomènes sont des ébauches de crises d'hystérie; il faut que les médecins en soient instruits, qu'ils ne soient point dérou
s de plus que l'hypnotisme ne devrait jamais être pratiqué que par un médecin et encore par un médecin compétent en la matière.
e ne devrait jamais être pratiqué que par un médecin et encore par un médecin compétent en la matière. D'ailleurs, comme l'hyst
e-pied offre une certaine difficulté d'ascension, comme le savent les médecins de campagne. Je suis la fillette prêt à la rece
antes, 28, rue Serpente, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière. La prochaine séance de la So
prochaine séance de la Société aura lieu le mardi 20 mai 1902. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Avi
8 à 21.369. NOUVELLES L'enseignement médical de la Pitié Quatre médecins de l'hôpital de la Pitié se sont réunis pour inst
hypnotisme d'après les travaux de Charcot et de Dumontpallier. — Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. LAd
de cette science orgueilleuse. Je vous disais que c'est surtout aux médecins et aux alié-nistes que nous devons les premières
ique guéri par la suggestion hypnotique par M. le Dr Jules Voisin*, médecin de la Salpêtricre. Je vous présente l'observati
de ses hypnotiseurs d'occasion. Or, si l'hypnotisme, manié par des médecins consciencieux et habiles, est un merveilleux agen
juin à quatre heures précises, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin à la Salpètrièrc, au palais des Sociétés Savantes
it le mal est un malade le plus souvent guérissable. En ma qualité de médecin l'expérience tentée aux États-Unis m'inléres-sait
J'ai employé cinq heures à visiter dans sa compagnie et dans celle du médecin en chef de rétablissement les diverses parties du
nt » est conduit à la visite médicale. Si le sujet est jeune et si le médecin considère que ses muscles ne sont pas suffisammen
u, il commence à l'envoyer pour une période plus ou moins longue — le médecin seul en est juge — au gymnase. La salle de gymn
en excès. En un mol, on en fait d'abord un homme résistant. Quand le médecin juge qu'il est en état de travailler, le'directeu
32 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
riac a prononcé l'éloge du professeur Gabriel Tarde et du Dr Brémaud, médecin en chef de l'escadre du Nord. Dans une étude éloq
amysia fut examinée non seulement par lui, mais aussi par de nombreux médecins . Ils furent d'accord pour admettre que le retour
xtase, symptôme bien connu aujourd'hui des alienistes, moins bien des médecins ordinaires, et nullement des prêtres et des gens
ace de Bernadette, se dressait debout une créature humaine. A nous, médecin aliéniste, incrédule au miracle, il nous faut l'e
. Je me propose d'étudier l'état mental des joueurs en laissant aux médecins le soin de les guérir, si c'est possible, et en e
enrichit en volant de pauvres fous? Et maintenant la parole est aux médecins qui pratiquent la psychothérapie et guérissent le
a Société se sont réunis en un banquet amical. M. le Dr Albert Robin, médecin de Beaujon, membre de l'Académie de médecine, pré
ne, présidait. A ses côtés avaient pris place, M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière, président, M. Melcot, avocat g
fesseur à l'Ecole de psychologie, vice-président, M. le Dr Triboulet, médecin des hôpitaux, M. le Dr Bérîllon, médecin-inspecte
cteur de l'établissement hydrothérapique du Vésinet, M. le DrPottier, médecin de la maison de santé Picpus. MM. les D" de Groer
cine, Dr Brousse, président du Conseil municipal de Paris, Landrieux, médecin de Lariboisière, Muteau, député, ancien président
acques Bertillon, directeur de la statistique municipale, Dr Kéraval, médecin de l'asile de Ville-Evrard, D' Leblond, médecin d
nicipale, Dr Kéraval, médecin de l'asile de Ville-Evrard, D' Leblond, médecin de Saint-Lazare, D" Félix Re-gnault, Chervin, Fou
n, un dispensaire où un grand nombre de femmes du monde apportent aux médecins le concours de la bienfaisance. Le dispensaire de
era sur l'opinion l'Influence la plus salutaire. Souhaitons que les médecins français renoncent bientôt à ce snobisme singulie
symptôme assez rare autrefois pour qu'il ne fût pas donné à tous les médecins de l'observer, mais qu'aujourd'hui on peut faire
de la statistique municipale de la Ville de Paris, M. le Dr Bouhageb, médecin de l'hôpital Sadiki, de Tunis, de M. Ducloux, vét
t d'autres, elles semblent encore ignorées par la grande majorité des médecins militaires. Souhaitons que des voix autorisées
Méru) toujours assidu à nos séances annuelles et de M. le D' Brémaud, médecin en chef de l'escadre du Nord, auquel on dut d'imp
r Liébeault, notre secrétaire général a évoqué, à l'égard de ce grand médecin , des sentiments sur lesquels je ne veux pas r
torique sont passées en revue les opinions des savants et surtout des médecins sur la question, l'auteur trouve dans quelques un
position d'esprit. Il est nécessaire de faire appel aux conseils d'un médecin , d'un neuro-logiste qui soit, autant que possible
tout lieu de penser que cette tentative, si elle a été confiée à des médecins expérimentés, sera couronnée de succès. Contraire
dans la même année. Comme elle était d'un tempérament fort chaud, les médecins l'assurèrent que, si elle ne se remariait pas, il
Leçons cliniques sur F hystérie et Vhyfnoliime, p. 0, tome I. Un médecin de Lourdes, le D' Dauzon, va nous documenter à ce
uarantaine d'années, malade depuis huit mois. Il m'est envoyé par son médecin comme neurasthénique et il présente, en effet, to
noter qu'il n'en est rien et que malgré les affirmations de plusieurs médecins qui l'ont examinée, elle persiste dans sa phobie
Savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le D'Jules Voisin, médecin de la Salpôtrièrc. Les séances de la Société on
mardis de chaque mois, à 4 heures et demie. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
Il peut être assuré qu'if rencontrera les encouragements de tous les médecins neurologistes et psychologues. Ils ont, en effet,
lzcr, Hallion, Crocq, Verhoogen (de Bruxelles), et un grand nombre de médecins français et belges. M. le professeur Lépinc, en
umanité. D'autres lui préparent un Idéal de paix et de justice. Vous, médecins , en accomplissant votre œuvre, M. le professeur
grand caractère de cordialité. A mentionner le banquet offert aux médecins français par M. le professeur Francotte, la récep
nt été portés parla Doctoresse Ioteyko; par le Dr Sollier, au nom des médecins français, par M. le Dr Bérillon, au nom de la Soc
tir à la plus belle, à la plus pacifique des victoires, à celle qu'un médecin remportera sur le fléau tuberculeux. Cela, vous l
Bien que je ne sois pas hypnotiseur de profession, mais simplement un médecin s'adonnant, dans ses moments de loisir, à l'hypno
font les parents pour lui faire perdre cette habitude sont vains. Un médecin conseille de lui enduire les doigts avec des drog
essentir sa mort prochaine. On imagine le désespoir de la famille. Le médecin traitant n'est pas d'avis d'appliquer l'hypnotism
uggession somnique doit-elle, comme les autres, rester le monopole du médecin psychologue, rompu à toutes les finesses de cet a
Savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière. Les séances de la Société on
mardis de chaque mois, à 4 heures et demie. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
que, auquel se rattache directement l'Ecole de psychologie, donne aux médecins et aux étudiants de tous ordres un enseignement p
per, sous le nom de Société de Pathologie comparée, un nombre égal de médecins et de médecins-vétérinaires. En effet, depuis qu'
ulture. Les séances de la Société de pathologie sont publiques. Les médecins , les vétérinaires et les étudiants sont invités à
is de la guérir avec des exorcismes et des prières. Une commission de médecins messins, chargée de l'examiner, la déclarèrent at
es-unes. A l'asile de Maréville, la malade était calme. C'est que les médecins ne s'intéressaient pas outre mesure à ses crises.
s. Leur verve sarcastique y eut trouvé un aliment précieux. Pour nous médecins , c'est avec un esprit moins ironiste qu'il convie
orte, très aimable et très gaie, elle aime beaucoup à parler avec les médecins et les personnes du sexe masculin. Ses goûts sont
dans une expertise concernant un ouvrier, qui a renouvelé, devant le médecin , la scène d'Argan et de Toinette. • Nous sommes
ntant MB Chartier, avoué de Mullot d'une part, et M. le D' Fournaise, médecin de la Compagnie d'assurances d'autre part. M. Mul
point de dérouter le juriste le plus expert comme de compromettre le médecin le plus expérimenté. C'est ce qui s'est présent
uvais simulateur et il n'a fallu rien moins que la grande sagacité du médecin expert pour en faire la démonstration. La fréqu
re pour réaliser l'œuvre de simulation que par l'ingéniosité dont les médecins doivent faire preuve pour arriver à la déjouer. I
on dans les accidents du travail démontre la nécessité qui incombe au médecin contemporain, non seulement de ne pas se désintér
ecine, mais même les examens, auxquels ils sont soumis de la part des médecins , les intruisent de ce qu'ils doivent répondre dan
Savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Les séances de la Société on
mardis de chaque mois, à 4 heures et demie. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
49, rue Saint-André-des-Arts. Salpètrière. — M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière, commencera le 14 décembre, un
l'Ecole de psychologie. Elle sera présidée par M. le D'Jules Voisin, médecin de la Salpétrlère, président du Comité de la sous
harria, professeur au Collège de France, Jules Bois, Dr Jules Voisin, médecin de la Salpètrière, baron de Baye, explorateur, Ma
L'enseignement de l'Ecole de Psychologie est public. Il s'adresse aux médecins , aux étudiants, aux esprits désireux de connaître
bles vaso-moteurs cutanés. L'auditoire, composé en grande partie de médecins , fut vivement Intéressé par ces savantes leçons.
r l'intervention de leur dévouement professionnel. C'est ainsi que le médecin vraiment digne de ce nom doit, sans que rien puis
d et M. Benjamin, membres de l'Académie de médecine, D' Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière, Dr Paul Magnln, Dassonvllle, d
onsidérable dans l'étude de la pathologie comparée. L'association des médecins et des vétérinaires, pour l'étude des maladies co
ses parents et grimaçait horriblement ». Les parents consultèrent un médecin . Mais comme l'enfant ne se calmait pas, ils l'ame
ation. Ces exercices devront avoir lieu sous la direction générale du médecin psychologue, lequel conseillera l'hypnotisme, à,
es observe dans leurs rapports journaliers avec nous. De même que les médecins hypnotiseurs ont parfaitement vu que l'être humai
s différences sont observées pour les différentes races humaines, tel médecin hypnotiseur qui obtiendra les succès les plus con
Savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le D'Jules Voisin, médecin de la Salpètrière. Les séances de la Société on
mardis de chaque mois, à 4 heures et demie. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
, membre de l'Académie de médecine, et la présidence du Dr J. Voisin, médecin de la Salpètrière. M. le Dr Paul Magnin fera la
cerveau organe de la pensée el de la volonté, par M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés (avec projections
ndredi 26 janvier, à 8 h. 1/2, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. — Le plaisir musical, par M. L
le de la gaieté dans l'éducation du caractère, par M. le D' Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés (avec projections
ommes heureux de relever celle qui a été accordée au Dp Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Il a été nommé lauréat du Prix
du buste, élevé par souscription, à la mémoire du D' Liébeault. Aux médecins français, désireux de rendre à un émlnent compatr
de l'Académie de médecine, et la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpôtrière. Aux côtés de M. le Dr Jules Vo
er, professeur agrégé au Lycée Condorcet, M. Louis Favre, M. Lépinay, médecin vétérinaire, etc. Parmi les personnalités qui a
e D' Bérim.ox professeur a l'Ecole de Psychologie f Messieurs, Le médecin éminent qui avait accepté la présidence d'honneur
une valeur supérieure. Pouvant se contenter d'être un des plus grands médecins de son temps, il s'honore aussi d'être un phi
es plus agréables à remplir, celui de remercier M. le D'Jules Voisin, médecin de la Salpétrière et président de la Société d'hy
ir, de son expérience et de sa bonté. Discours du D' Jules Voisin médecin de la Salpétrière, président de la Société d'hypn
rès large. En se plaçant au point de vue de l'expérimentateur, du médecin : La suggestion est l'acte par lequel on tend à
ort bien appliqués, car, à l'étranger tout au moins, huit sur dix des médecins qui les préconisent se trouvent être précisément
nt psychothérapique commence dès le premier contact du malade avec le médecin . C'est là une vérité banale à force d'avoir été r
de l'action purement intellectuelle, d'un individu sur un autre. Le médecin , dans ce cas, tire ses moyens uniquement de son p
t soucieux de la santé de ses malades. Tous les jours, à leur lit, le médecin fait et doit faire de la suggestion. Celui-là est
rder métaphoriquement comme le véritable pouls dans l'hystérie, qu'un médecin doit aussi bien tâter que l'autre. Les renseignem
autant d'aptitudes naturelles que tel de leurs confrères suisses, les médecins français savent ajouter, quand il convient, l'hyp
ançois de Sales, ce qui venoit, dans l'un et l'autre, au jugement des médecins , des grands efforts qu'ils avaient faits sur eux-
éir aux règles de la morale religieuse que cet homme qui. au dire des médecins du temps, avait réfréné ses colères au point de s
hode générale des sciences naturelles, communes aux naturalistes, aux médecins et aux aliénistes: observation, comparaison, géné
Savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpètrière. Les séances de la Société on
mardis de chaque mois, à 4 heures et demie. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
les conférences sont publics. Salpétrière. — M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpètrière, fait tous les jeudis, à 10 heu
à la Faculté de médecine de Nancy. Président : M. le Dr J. Voisin, médecin de la Salpétrlère, président de la Société d'hypn
uel de l'Académie des Sciences. Aux côtés de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière, président du Comité, avalent p
), M. le H- Germiquet (de Romont, Suisse), M. le Dr Babalan-Babaieff, médecin des hôpitaux de Tiflis, M. Roblnow (de Manchester
étaire général de la société de pathologie comparée. M. le Dr Cornet, médecin à la Préfecture de la Seine, M. le Dr Courtault,
ahn, Lorain, Touvenin, Laumonier, Evan, Poulallon, M. le Dr Pascalls, médecin de la Préfecture de la Seine, MM. les D»» Barthed
'Edimbourg), M. le Dr de Barros-Castro (de Colmbre), M. le Dr Baldet, médecin de la Préfecture de la Seine, M. le D- Félix Bern
" Brochard, Provotel, Depoully, Dlgnat, Granel, et un grand nombre de médecins , de professeurs de l'Université dont nous n'avons
recteur de la statistique du département de la Seine, M. le Dr Marie, médecin en chef de l'Asile de Villejuif, etc., etc. Soc
nonce alors l'allocution suivante : Allocution du D- Jules Voisin médecin de la Salpêtrière, président de la Société d'bypn
salut des psychothérapeutes anglais. (Applaudissements.) Le modeste médecin de Nancy dont la perspicacité a si grandement éla
hante. Le Dr Liébeault prenait sa retraite et, répondant à l'appel de médecins anglais et hollandais, ses élèves, un grand nombr
erprète de la respectueuse sympathie de tous les assistants pour « le médecin modeste qui, mu par le seul désir d'être utile, a
16 septembre 1823, Liébeault, Ambrolse, Auguste, docteur en médecine, médecin modeste et homme de bien, qui ouvrit une ère nouv
sa modestie. Ce sont ces qualités qui l'ont rendu si cher à tous les médecins , venus de tous les pays pour s'instruire auprès d
r s'instruire auprès de lui. Cette réunion de savants illustres, de médecins , et de psychologues, auxquels il faut ajouter les
Angleterre, il y a actuellement, dans presque toutes les villes, des médecins qui se sont spécialisés dans la pratique de l'hyp
me un immense service rendu à l'humanité. Il y a quelques jours, un médecin éminent de Dublin, sir Francis Cruise, dont la vi
e, il oublia l'hypnotisme. Une seule fois, au début de sa carrière de médecin de campagne, il faillit y revenir. Un vieux paysa
in nombre d'entre eux n'hésitèrent pas à accabler de leurs dédains un médecin dont les théories médicales et la thérapeutique é
Maréville, près do Nancy, qui lui seraient soumis par le Dr Sizaret, médecin en chef de cet établissement. Les expériences fur
xpériences de suggestion qui frappèrent très vivement les trente-deux médecins présents à la séance (*). Dès lors, l'incréduli
il ne se passa pas un jour où le maître ne reçut la visite de quelque médecin français ou étranger, venu à Nancy, pour être ini
nnées avec tant de bienveillance et de désintéressement, un groupe de médecins étrangers eut l'idée de lui offrir, à l'occasion
evue de VHypnotîsmele 1" octobre 1886 sous le titre : Confession d'un médecin hypnotiseur. Il m'avait fait le grand honneur de
sommeil, a La clinique du D' Liébeault, à Nancy. écrit un ancien médecin , est le meilleur des remèdes. Rien ne prévaudra j
u'il nous est impossible d'énumérer leurs travaux. Actuellement les médecins qui nient a priori l'importance de l'hypnotisme e
l qui se distingue de la thérapeutique vétérinaire, et que le rôle du médecin n'est nullement diminué ni son prestige amoindri,
que de l'hypnotisme. Grâce à ces institutions, destinées à donner aux médecins et aux étudiants un enseignement pratique permane
tifique de beaucoup de phénomènes restés jusqu'alors inexpliqués. Les médecins ne se bornent pas à employer à chaque instant les
r. Après avoir établi dans son discours la différence qui sépare le médecin praticien et le médecin d'hôpital de celui qui es
dans son discours la différence qui sépare le médecin praticien et le médecin d'hôpital de celui qui est appelé à jouer le rôle
s professeurs les plus en vue. Il y a peu d'hommes auxquels autant de médecins éminents, français ou étrangers, aient dédié leur
hanté le Démon de Socrate, Nous saluons ton humble gloire délicate, 0 médecin de l'Ame et des longues douleurs. * * * Not
l Farez, professeur à l'Ecole de psychologie, M. le Dp Saint-Hilaire, médecin de l'Institut départemental des Sourds-Muets, M""
Savantes, 8, rue Danton, sous ta présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Les séances de la Société on
mardis de chaque mois, à 4 heures et demie. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
volonté et à exercer ce qui lui en reste dans un sens favorable... Le médecin se fait éducateur sans rien emprunter aux pratiqu
au fond, une des raisons principales des échecs d'un grand nombre de médecins et de psychothérapeutes en matière d'hypnotisme e
ystériques. En psychothérapie et à un point de vue très général, le médecin devra décider, dans chaque cas particulier si le
à secourir. Sachez, je vous le répète, lui inspirer confiance. Que le médecin s'efface devant l'ami et la guérison sera déjà à
Rodez, résolut la question en remettant la malade entre les mains des médecins . Elle fut promptement rétablie. Dans cocas, com
auront intérêt, dans des cas semblables, à éviter le contrôle des médecins . Il leur semble préférable que les croyants aient
, pendant tout le temps que le malade restera en tête à tète avec son médecin ; la consultation sera plus aisée, l'entretien plu
'amena triomphalement au cabinet des consultations médicales. Mais le médecin de ce cabinet ne parut pas partager l'enthousiasm
plète. Mais il n'y a pas là une accoutumance particulière de malade à médecin ; n'importe qui peut en faire autant. Je réveille
Savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpôtrière. Les séances de la Société on
mardis de chaque mois, à 4 heures et demie. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
aire suivante au sujet de l'examen mental des inculpés : « Certains médecins légistes croient avoir rempli suffisamment la mis
costé parce que cela est plus sain. » Loys Guyon, en sa qualité de médecin , consacre un chapitre à fa situation qu'on doit t
s. (l) par M. le Df Bérillon professeur à l'Ecole de psychologie, médecin inspecteur des asiles d'aliénés. i. — Généralit
gens pourvus de titres nobiliaires. II n'y a pas longtemps encore, un médecin praticien se trouvait for! impressionné à l'idée
bon nombre de nos confrères. Il est incontestable que la majorité des médecins n'ont jamais lu un des livres de Liébeault, Duran
çon l'hypnotisme et les hypnotiseurs dans le « Correspondant pour les Médecins Suisses « ; et les autres confrères, ceux qui gué
uérissent par des remèdes suggestifs, n'étaient pas mieux traités. Le médecin bernois a fait paraître son livre sur les « psych
ne, des symptômes particuliers se sont fait jour dans la critique. Le médecin ainsi que l'étudiant entendent parler beaucoup de
la psychothérapie, c'est une question vraie et importante que chaque médecin doit connaître et, qu'à proprement parler, il a p
e Dr Rihgier lui a répondu d'une façon exacte en lui prouvant que les médecins hypnotiseurs font et enseignent justement ce qu'i
pie. Est-ce juste ? Nous en doutons profondément. Nous croyons que le médecin ne doit pas plus employer la philosophie que la r
t des armes intimes qui ne doivent se faire sentir que dans la vie du médecin et dans sa façon d'agir et d'être avec ses malade
yance en lui que par la force de ses raisonnements. La majorité des médecins est toute préparée à le croire et à ?e laisser co
de, dont on démontre la justesse est dû simplement à ta parofe. Les médecins hypnotiseurs auraient tout avantage à accepter ce
avantes, S, rue Danton, sous la présidence de il. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Les séances de la Société on
mardis de cuaque mois, à 4 heures et demie. Elles sont publiques. Les médecins et les étudiants sont invités à y assister. Adr
tés. (') par M. le Dr Bérillon professeur à l'Ecoie de psychologie, médecin inspecteur des asiles d'aliénés. (Snite) (2) II
comme ce n'est presque jamais la raison qui conduit le malade chez un médecin mais le sentiment ou la croyance à son autorité e
éé par sa réputation ou ses guérisons (donc des autosuggestions) tout médecin peut observer que les malades qu'il guérit (je pa
Plus on considère le mécanisme complexe qui pousse un malade chez son médecin et provoque la guérison, plus on doit être convai
r lui s'il ;;'était préparé par la confiance anticipée qu'il donne au médecin , confiance évoquée par la renommée ou le besoin i
ussion. Or, ce n'est jamais le cas dans ra discussion entre malade et médecin . Il peut paraître que la discussion a lieu, que l
jamais réellement le cas. Le malade est toujours obligé de croire son médecin , d'accepter son diagnostic et de se laisser entra
nnements qu'il est incapable de contrôler lui-même. C'est toujours le médecin qui jouera la mélodie et le malade en subira touj
qu'à leur maître. Car il est évident que la guérison doit dépendre du médecin et de sa méthode et non pas du malade et de son a
d'arriver au but ». Comparez les appréciations modestes de ces deux médecins et celle de Bernheim citée plus haut sur l'hypnot
que moyen ne réussissant que par hasard, par suggestion indirecte, le médecin possède de cette façon une arme qui dépend du mal
à là cause, est la suggestion hypnotique; cette suggestion dépend du médecin et peut agir sur le polygone pour arrêter l'irrit
tion. Voilà de nouveau un aveu d'impuissance qui passera inaperçu des médecins ignorant les bases et les limites de la thérapeut
ingénieux n'aboutirent à aucun résultat. J'étais alors l'interne du médecin traitant, M. le Professeur Bùck, directeur de l'E
nt deux jours, ne pouvait l'être plus longtemps. J'ajoute que les médecins et les chirurgiens qui examinèrent ma malede, et
33 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
AL DU MAGNETISME RÉDIGÉ Par une Société de Magnétiseurs et de Médecins SOCS LA DIRECTION OE M. le baron DU POTET.
ations auront lieu tous les jours, et seront données par M. J. Bégué, médecin , et non au moyen du somnambulisme, dont les lumiè
rtificat d’admission délivré par MM. les ecclésiastiques, par MM. les médecins , ou par des personnes établies, dont le caractère
lutte passionnée, M. le Dr Schiff, a transporté le débat à Paris. Ce médecin , qui a triomphé naguère devant l’iustitut par une
deux premières soirées furent très-suivies; le public, et même deux médecins de notre ville s’étonnèrent beaucoup de ses expér
et quelques autres phénomènes du même genre. « Après que plusieurs médecins , qui avaient assisté à ses exhibitions, eurent dé
ropre corps l’exactitude de leurs assertions, M. Regazzoni invita les médecins de Francfort à venir chez lui pour s’assurer des
r ce chapitre, il n’a jamais réussi, ni devant moi ni devant d’autres médecins . « Je pensais que des expériences décisives ne
soir, je me rendis donc chez lui avec M. Friedleben et M. Stein, deux médecins très-distingués, et j’apportai plusieurs instrume
moignage qu’on me demanderait, mais que j’engagerais aussi les autres médecins qui avaient écrit contre M. Regazzoni à révoque
zoni, et j’aperçus aussitôt ce qui avait échappé jusque-là aux autres médecins : c’était une machine à induction, dans laquelle
machine électrique. On veut me saisir; mais dans ce moment M. Stein, médecin militaire, s’avance, et le respect que l’on avait
l’insensibilité magnétique. Je la fis magnétiser en présence de deux médecins et d’un étudiant en médecine. Lorsque le bras éta
s, qui sont répétées très-souvent, surtout si M. Regazzoni attend des médecins , etc., etc. Quelquefois il les fait compter jus
jugement, il s’appuie du témoignage de MM. Fnedleben et Stein, «deux médecins très-distingués», dit-il. M. Friedleben n’est nul
articles publiés dans le Journal allemand de Francfort, par quelques médecins de cette ville, et ceux qu’ont fait insérer MM. F
, en vous annonçant que, loin de redouter l’examen et la critique des médecins pour mes expériences magnétiques, je veux au cont
ssez de côté les Es-culapes de mauvaise foi, mais appelez à vous tout médecin consciencieux et qui ne prétend pas en savoir plu
our mot par une dame somnambule ; la préface seule est du Dr P. M***, médecin magnétiseur. Les remèdes prescrits sont un peu bi
t émanent d’une personne endormie, on croirait que c’est l’œuvre d’un médecin . BRUYAS. Le Gérant : IIEBERT (de Garnay). C
e seul moyen qui me permette de compter sur le respect de la part des médecins . —Le malade dont je vous parle offrait un cas de
ne un enfant ; c’est un cas d’atrophie extrê. mement remarquable. Nos médecins de la Faculté en seront étourdis. Le père de ce m
isme sont de plusieurs classes ; nous ne parlons ici que de celle des médecins ; elle est la moins nombreuse, mais en revanche la
mon sujet qu’il me faut retourner sur mes pas. Je disais donc : les médecins ne veulent point user du ma-gnétisme comme remède
parlera, puis faire bon marché de la reconnaissance des malades. Un médecin magnétiste ne peut donc traiter qu’un petit nom
accorde le don de faire des miracles. Toute guérison prompte ruine le médecin . Cinq ou six malades, à moins qu’ils ne soient to
t les moyens de satisfaire aux nécessités de la vie. Ce qu’il faut au médecin ordinaire, c’est une nombreuse clientèle, de la s
n permanence dans ses tissus; aurait-il enfin toutes les maladies, le médecin n’a pas besoin de la santé pour exercer, je ne di
x aux hommes qui ne savent point se débarrasser des leurs propres. Le médecin n’a besoin que de petits carrés de papier et d’un
les maux que la nature refuse do guérir. Tous les hommes peuvent être médecins sans aller aux écoles de nos adversaires. Sachant
mme peut, nous osons l'affirmer, défier publiquement les plus habiles médecins et faire plus qu’eux tous, jusqu’au jour seulemen
’auront plus qu’à courber la tète et à suivre le chemin tracé par les médecins ; mais ce jour sera long à venir, peut-être même
certain point, les degrés de développement par où elles passeront. Le médecin , qui par une longue pratique a acquis un coup d’œ
e de la partie, et nous arrivâmes au nombre de trois chez M. Laurent, médecin , qui, sur notre demande, fit venir M"* Prudence,
tisfaits et s’inquiéteraient peu de l’indifférence des savants et des médecins ; je ne sais ce qui me pousse en dehors du cercle
à un devoir sacré. «Si vous guérissez cette malade, nous disait, un médecin distingué, le major Cléver, je croirai tout possi
etant le principe même de votre guérison. J’en excepte pourtant votre médecin qui, dans sa loyauté, vous fit un devoir de dire
oint, les remèdes vous furent prodigués. L’un de vos Esculapes, grand médecin s’il en fut, car il approche du monarque, n’avait
anitiques des Vosges, à Plombières. Le Dr Turk est non-seulement un médecin des plus distingués de France , mais encore un am
est, en un mot, la légalisation des principes de M. duPotet par des médecins qui sont à la fois des physiciens distingués. I
te confidence : les ennemis les plus-entêtés du magnétisme, parmi les médecins que je connais, sont tous des ignares fieffés en
des nerfs dans les différentes parties du corps. Après lui, quelques médecins , au rapport de Galien, considérèrent les nerfs co
une finesse proportionnée et sécrété par le cerveau. Cette opinion du médecin de Pergame fut adoptée par les Grecs qui vinrent
es Grecs qui vinrent après lui et par tout le moyen-âge. « Quelques médecins du seizième siècle, Argentarius Ca-brol et Charle
admit, avec son maître, l’âme à la place des esprits animaux. « Les médecins allemands Prochaska, Reil, Ritter, Auten-rieth et
nts, et demander aux physiciens les faits et les explications que les médecins nous refusent. «Au rapport de Cotugno, un élève
tive, et à celle-ci les phénomènes de l’électricité contraire. « Un médecin connu pour avoir répété quelques-unes des expérie
symptômes précurseurs, et s’il n’était pas habituellement facile à un médecin observateur de constater chez les épileptiques le
déjà employée au temps de Galien, et qui trompe souvent l’attente du médecin , au dire de Joseph Franck, après quelques heureux
ésion de sécrétion, cette lésion bien connue, rien n’arrêtera plus le médecin dans la détermination du traitement à prescrire,
uand la magnétisation n’a pas suffi. Croiriez-vous, lecteurs, qu’un médecin magnétiseur est venu s’établir à Plombières, et a
jouter, à notre tour, que si le public retire un peu sa confiance aux médecins , c’est moins à cause de leur insuccès que pour le
eux qui voient le contraire. La science n’est pas encore faite, et le médecin vraiment digne de ce nom ne doit rien juger qu’ap
gnétisme, l’homéopathie, l’hydrothérapie.....Il ne sied pas plus à un médecin de dire ; •. Le magnétisme est une bêtise; je l
la part de ce prêtre il y a un abus de pouvoir ; et de la part de ce médecin il y a un autre genre d’abus, et le public, qui j
ort, finit toujours par traiter les hommes selon leurs mérites. Les médecins regagneront la confiance publique, et la loi sera
t d’instinct médical, de vraie science, s’était réfugié chez quelques médecins de campagne, et que la science enseignante, si el
avait faire des savants en toutes choses, ignorait l’art de faire des médecins . Citons quelques faits à l’appui de notre opini
ort en marchant, ce qui ne l’empêche pas de dormir toute la nuit. Les médecins les plus renommés sont appelés pour faire cesser
r. Il sort de ces crises avec la fièvre et le délire. On consulte des médecins en grand nombre, on choisit les plus illustres, o
ience avait dit son dernier mot. Un ignorant, un magnétiseur donne au médecin une leçon de vraie médecine. Passons à d’autres
ette jeune fille a suivi tous les traitements. Toujours en quête d’un médecin sauveur, elle‘a trouvé des médicaments, et sa mal
chaque jour : La science médicale sera réformée. C’est une honte aux médecins d’abandonner aux mains des ignorants le soin de f
oie par dessous l’étendue tout entière d’une chambre. « Quel est le médecin instruit qui pourrait ajouter foi à de pareils co
attention. Vous y trouverez la relation d’un pari ridicule entre deux médecins , à propos duquel j’ai cru devoir les combattre to
n, le journal il Magnetofilo ne comptait parmi ses abonnés que quatre médecins ; aujourd’hui il n’en compte pas moins de vingt-h
omme de cette ville fut atteint de convulsions épileptiformes que les médecins ne purent guérir. Après avoir essayé de différent
leurs qui !,■>. piquaient comme des épingles. Toute l’habileté des médecins échoua dans les tentatives faites pour la soulage
a foule encombrait les théâtres et les concerts, un certain nombre de médecins , de savants, et les notabilités du monde mesmérie
tiale est signée L. Molard. — Un recueil de médecine domestique, le Médecin de la Maison, du 15 mars, reproduit presque en en
ne façon toute particulière. Le héros du livre deM. Paul Féval est un médecin magnétiste, et tous les phénomènes de la science
ONS. Société «lu .UcNiiiérlMinc de Purii«. PROFESSION DE FOI D’EN MÉDECIN MAGNÊTISTE (1). Aujourd’hui que le magnétisme a
it et les cures merveilleuses qu’il opère ; aujourd’hui que d’habiles médecins , des savants de premier ordre en font l’objet de
qui m’engagea à tenter l’em- ploi du magnétisme, m’assurant que ce médecin avait déjà guéri de la sorte plusieurs somnambule
es de Paris, dont la mère est dangereusement malade, au point que les médecins en désespèrent. Cette bonne religieuse avait eu
les gens de toute la vallée, qui voulaient me garder parmi eux comme médecin . Imitez-moi, dis-je aux bons curés en les quitt
is-je aux bons curés en les quittant, et vous serez bientôt les seuls médecins du corps et de l'âme! Alais revenons à mes prem
ouvant iirononcer quelques mots qu’avec les plus grands efforts. Le médecin appelé n’avait plus su qu’ordonner pour la tirer
en voulu, à peu près à la même époque, répondre pour elle. C’était un médecin qu’il fallait, on prit... un astronome. Au rest
lièrement heureux. Ainsi les milliers de pro- cès-verbaux signés de médecins mêmes, prétexte; les enquêtes légales des magistr
ade changer de mains et de traitement, et le nouveau mode du second médecin réussir là où celui du premier avait échoué. Mais
mbre de ses prescriptions ; et enfin c’est la nature seule, et non le médecin , qui a opéré la guérison, puisque c’était moi qui
le médecin, qui a opéré la guérison, puisque c’était moi qui étais le médecin . Car il est bon de le dire à M. Masson, puisqu’
s oreilles, ils réussissent tous les jours auprès des malades que les médecins comme lui abandonnent. Quant à l’emploi des her
des résurrections, et voüe clientèle ne s’en plaindra pas. ANDRAKD, médecin électro-magnétiste. FAITS ET EXPÉRIENCES. CLA
n pouvoir être avec fruit, à la fois, le législateur, le prêtre et le médecin ; de celui, enfin, qui dit que «le magnétisme, cet
riter l’examen des hommes de science. Je comprends parfaitement qu’un médecin a besoin de courage et d’abnégation pour descendr
aire l'une des branches de l’art de guérir, réservé exclusivement aux médecins . Le seul but que je me propose en publiant cett
ison d'une personne condamnée depuis longtemps par un grand nombre de médecins . L.... I)...., âgée de vingt-trois ans, de temp
; il y a M. le Dc Stainm. » Pensant qu’il s’agissait d’une réunion de médecins , j’en nommai plusieurs qu’elle me dit être présen
ée par les malades. Eprouvait-on quelque malaise ? Ce n’était plus le médecin mais la somnambule que l’on appelait. Le malade g
ue entièrement rempli par les débats d’une grande querelle entre deux médecins , l’un partisan déclaré, l’autre adversaire acharn
ires propres seulement à éterniser des querelles. Le plus sage de nos médecins est celui qui ne croit point à la médecine et aba
umaine; mais dans leur ignorance de la vie et de ses lois, nos grands médecins s’égarent de plus en plus dans une route qui n'a
magnétisme dans son germe. On alla jusqu’à frapper d’interdiction les médecins qui oseraient enfreindre les décrets du docte aré
moins formulés! Non, messieurs, l’idée n’en est pas même admissible. Médecin distingué, Mesmer connaissait trop parfaitement l
par la prédominence des symptômes spéciaux, d’où il arrive que chaque médecin donne à la même affection un nom différent selon
on de petite centaurée. Je me croyais complètement débarrassé, et mon médecin partageait ma confiance; mais la science d’Hippoc
ation j’en ai fait! Eu passant à Châtillon-sur-Seine, je vis un vieux médecin qui me demanda où j’allais. Je lui dis que c’étai
nduisait. Là-dessus, il haussa les épaules en disant : Voilà bien les médecins , qui ne savent ce qu’ils ordonnent! Et il me quit
rivé à Vichy, mon premier soin fut d’aller voir M. le docteur Prunel, médecin en chef des eaux ; lequel, après m’avoir longueme
voir payé la consultation, bien entendu, je nie rendis chez M. Petit, médecin en second de l’établissement. Celui-ci jouissait
tête, mais je me figurai que c’était un symptôme de guérison, et mon médecin , qui les partagea, cela va sans dire, me prescriv
lle que je lui donnais relativement à ma guérison, envoya chercher un médecin parent de sa femme afin qu’il me fit l’ouverture
u’il me fit l’ouverture de l’abcès en question. Après l’opération, ce médecin me déclara que je n’en avais maintenant tout au p
lt et me donna une lettre de recommandation pour M. Faye, son ami, et médecin en chef de l’établissement. Celui-ci m’examina
ttement, qu’elle se faisait fort de me guérir. Parmi les vingt-quatre médecins que j’avais consultés, je n’en avais pas trouvé u
considérais déjà comme guéri, lorsque par malheur arriva de Paris un médecin ami du magnétisme, qui eut l’idée de se mêler de
emplâtré de nouveau de toutes les manières et encore par le fait des médecins . J’ai su depuis cpte ce M. Fugère n’était qu’un
yes pour un malade. M. Dublanc, mon voisin, pharmacien , et ami de ce médecin distingué, le pria de venir me voir. M. Bérard,
se vantait de guérir tous les malades abandonnés par les plus grands médecins , en raison de quoi il avait fait répandre dans la
hume fort ancien qui l’avait fait condamner comme poitrinaire par les médecins . Ma femme fut débarrassée d’un ténia qui la fai
’un ténia qui la faisait souffrir depuis plusieurs années et dont les médecins n’avaient nullement deviné la présence, la traita
ux seuls efforts de la nature, ou qu’ils se faisaient traiter par les médecins ordinaires, les crises apparaissaient plusieurs f
z agréer, mon cher maître, l’assurance de mon dévouement. J. BÉGUÉ, médecin . Toulouse, 16 mai 1855. oiugui-îtii 9ss«.t.re
once d’un nouvel écrit en faveur de la cause magnétique, par un jeune médecin de Paris. En voici l’intitulé : « Application d
entendu, nous sommes loin de contester les talents de M. Segond comme médecin , voire même comme professeur ou comme sous-biblio
gnétiseurs à métamorphoser un butor en fin anatomiste et en judicieux médecin , elle se comprend quand 011 réfléchit que les nia
butor soit métamorphosé en quelque chose qui vaille pour le moins un médecin , si judicieux soit-il, puisque ce butor guérit de
cin, si judicieux soit-il, puisque ce butor guérit des malades que le médecin a abandonnése. Et les niais et les fourbes témoin
ant d’ordinaire que deux catégories de spectateurs, les parents et le médecin , doivent sans doute Être ces parents désolés et c
ents et le médecin, doivent sans doute Être ces parents désolés et ce médecin qui a reconnu l’impuissance de sa science et qui
t pas encore admis cet agent thérapeutique, il y a déjà bon nombre de médecins qui ont la conscience (M. Segond dirait la niaise
rait aussi bien dire que ce sont les parents qui sont les niais et le médecin le fourbe, eux pour vouloir sauver l’objet de leu
e, surdité qui fut attaquée sans succès pendant dix-huit mois par des médecins spéciaux. M“' W.,.., mère de cet enfant, en dés
c... » est trop général et qu’il conviendrait de ne pas l’étendre aux médecins ni à ceux des membres de la société, qui seraient
que j’ai si fortement manifesté dans mes écrits mon désir de voir les médecins s’occuper et s’emparer de la pratique ostensible
magnétique leurs moyens d’existence, serait donc en exclure tous les médecins , et se priver par là des appuis et des soutiens l
autant à l’égard de tous les membres de la société qui n’étant point médecins désireraient néanmoins se vouer comme magnétiseur
forceraient bientôt par leurs œuvres, et leurs exemples tous les bons médecins à les imiter. Ah! sans doute avant d’accorder à c
l y ait tant d’incrédules? Comment surtout y en a-t-il tant parmi les médecins ? Tout ce que M. Segond nous raconte, les médecins
t-il tant parmi les médecins? Tout ce que M. Segond nous raconte, les médecins le voient chaque jour. Les premiers phénomènes se
ir. Tous les autres sont des signes ou des effets de maladies que les médecins observent depuis trente siècles, qu’on voit signa
n voit signalés dans tous les livres de médecine. On concevrait qu’un médecin dise qu’il 11e peut pas toujours comprendre ou ex
eur réalité! On n’entendrait jamais, si M. Segond 11e s’abuse pas, un médecin dire que le magnétisme n’est qu’un ramassis ridic
éorie positive, allons donc! Ne vous semble-t-il pas lire la scène du Médecin malgré lui et le fameux : Nous avons changé tout
s plus éclairés, le magnétisme voit aujourd'hui marcher en tète des médecins célèbres de tous les pays et les sommités de l'in
pas sa présence, la magnétise à un signal convenu et donné par un des médecins , et en trois minutes elle était en état de somnam
s, le D“ Robert à la Société de chirurgie. « Le chloroforme, dit ce médecin distingué, quoique manié « par des mains habiles,
cine, il en est un sur lequel je crois devoir appeler l’attention des médecins magnétistes, et qui consiste à employer cet agent
epuis dix jours, ce qui lui fit penser qu’il (•lili: mm i. Les deux médecins qu’elle avait eus avant moi i> i i.i41MH ut s.
qui avait été proposé, celle dame voulut avoir l’avis d’un troisième médecin ; c’cst alors que je la vis, et qu’après avoir ap
ais qu’il peut, dans certains cas, servir à éclairer le diagnostic du médecin . Puissent nos confrères ac- cueillir avec empre
malade n’ayant pu continuer, eut de nouveau recours aux soins de son médecin , qui, par suite de cette magnétisation unique, pu
que semblables au premier aspect, quelle est celle que doit suivre le médecin digne de porter ce titre, l’homme qui a voué sa v
ier, car un siècle n’est rien dans la vie de l’humanité, on eût ri du médecin qui, avec une goutelette de liqueur transparente,
e le troisième ou tout au plus le quatrième, elle aura vécu ; mais le médecin a reconnu la nature du mal qui la menace, il admi
r l’espace ? 5° Cette puissance va-t-elle, chez celui qui n’est pas médecin , jusqu’à découvrir la structure intime de ses org
être appliqués ? 6° Le magnétisme animal est-il, entre les mains du médecin qui sait le diriger, un moyen thérapeutique propr
es. Dr T. IUDART. Nota.— Depuis la rédaction de cet article, deux médecins sont venus à Angers étaler en public le spectacle
é à la sueur de nos fronts et que nous leur abandonnions ? ou à vous, médecins et membres des académies qui, par ignorance, par
as là un propos bien digne, par son insouciance et sa cruauté, de ces médecins dont nous parlions tout à l’heure? Eh quoi ! vous
oi et théologien distingué, du savant évêque de Dromore, des célèbres médecins Faireclow et Astelius, qui ont suivi soigneusemen
ombattre cotte erreur ; que les facultés, les collèges, les corps des médecins ; même dans les petites villes, sont d’accord à ce
mpagnie qui entretienne une correspondance très-étendue avec tous les médecins de ce royaume, c’était à elle à apprendre le résu
. Mais la correspondance que celle compagnie en/relient avec tous (es médecins de l’empire, si elle était publiée aujourd’hui, n
e, si peu importante soit-elle, qui ne compte dans son sein plusieurs médecins magnétiste.s. Parmi les confrères de M. Segond, i
erie peut être fort gracieuse dans un salon, même dans la bouche d’un médecin qui veut ótre bouffon, mais, dans une discussion
ps médical en est-il moins honorable pour cela, et la profession de médecin doit-elle être avilie parce que parmi eux il s’en
ment de M. Rostan étant très-suivi, il est à supposer que beaucoup de médecins sont, par sa faute, imbus de démence et d’erreur
« J’ai lu avec intérêt l’article intitulé : Le Christianisme et les médecins , inséré clans le numéro de Y Ami de l’Evangile du
Y Ami de l’Evangile du 15 juillet. « Vous accusez la généralité des médecins de ne croire qu’à l’existence de la matière. Cett
es phénomènes de la vie. « Il est vrai que le plus grand nombre des médecins , à, l'exemple des Bichat, des Broussais, des Caba
r Pétetin à une époque où le magnétisme était encore ignoré. Mais les médecins matérialistes vous répondront que ce sont des cas
es; toute transposition deviendrait matériellement impossible. « Un médecin matérialiste nous disait un jour : Comment ne p
ré d’une manière évidente l’existence de l'âme, aussi dirons-nous aux médecins assez désireux de s’instruire et assez indépendan
vement, 011 aurait cru à quelque syncope, on aurait couru chercher le médecin qui n’aurait pas manqué d’employer les anti-spasm
depuis douze ans, 26. « Avait été torturée de mille façons par les médecins , et y avait dépensé tout .son bien sans que rien
porter des crises atroces plutôt que de se soumettre à la visite d’un médecin , qui n’aurait pas manqué d’employer les moyens us
n cher maître, l’assurance de mon dévouement sans bornes. J. BKGUÉ, médecin . Le Gérant : HÉBERT (de Garnay). INSTITUTIONS
nature du nez ci des lèvres : ulcère carcinomateux, suivant deux des médecins qui l’avaient traité sans succès pendant deux ou
proie à une consomption graduelle. Ses amis, ses parents et tous les médecins , avaient pronostiqué qu’il mourrait bientôt comme
qui en fait un devoir religieux. C’est en effet au prêtre et non au médecin qu’on doit assimiler celui qui bénit. — La médeci
r une étrange aberration que la plus parfaite sympathie n’unit pas le médecin et le mesmériseur, qui devraient, fraternellement
nement, l’autre appartient tout entière au sentiment. Du savant, du médecin , exigez l’étude, un diplôme. Il ordonne un traite
nt le vieil aphorisme : « Medicus curât, non sanat # (ce n’est pas le médecin qui guérit, il ne fait que traiter). Le mesméri
ions une influence remarquable; en voici un exemple frappant : « Un médecin français, habitant le Caire, fut appelé de nuit a
unal de Soissons ; et cela, dit-on, par suite de plaintes émanant des médecins de l’endroit. C’est une grave question pour les
ssujétie par des coussins. 11 y avait là huit membres du comité, deux médecins , un étranger, le secrétaire de l’Infirmerie et tr
es plus utiles découvertes dont se soit enrichie l’humanité. Quand le médecin , avec le secours de toute sa science laborieuseme
rts et aux succès de ceux qui marchent dans cette voie salutaire. Les médecins sont particulièrement compétents pour employer co
s, des doutes effrayants !... Eh bien ! cette autopsie vivante que le médecin vraiment pénétré de la sainteté et de la grave di
ux comprises, sur ces étranges manifestations du système nerveux, les médecins intelligents et éclairés comprendront enfin quel
à la constitution du malade (p. 22). » L’honorable docteur Boudin, médecin en chef de l’hôpital militaire du Roule, a adopté
Son article est du 1" septembre 1854, et relatif à une étude sur les médecins de l’école de Vienne, maîtres ou contemporains de
en trouva un bien honorable, « bien recommandable : ce fut le célèbre médecin de « Haën. Mais, par une anomalie inconcevable, e
discutons. Je possède même dans un manuscrit inédit du docteur Wurtz, médecin de Strasbourg, dans lequel se trouve une note ain
non magnétisées. Elle indique finalement un traitement, et malade et médecin se trouvent très-bien, deux jours après qu’elle
tait suivi de courtes réflexions, émanées du docteur Cérise. Comme ce médecin occupe une place éminente parmi ceux qui étudient
et luttant entre la vie et la mort. J’aurais voulu courir chercher le médecin , mais je ne sais quelle cause plus forte que ma v
approuvons pas pour cela, dit M. Bégué, les conseils indiqués par ces médecins naturels, mais il nous est démontré qu’on ne doit
devoir des honnêtes gens, cette tâche appartient particulièrement au médecin dans de certains cas donnés. C’est pourquoi je
mission qui incombe à tout honnête homme et dans l’espèce à tous les médecins . C’est pourquoi j’envisage comme un devoir de sat
é dans les faits rien autre chose qu’une maladie qu’il appartenait au médecin de chercher à guérir. Je me rendis donc près de
pira cette enfant me fit tout d’abord m’v attacher. En ma qualité rie médecin , je crus devoir faire acte d’autorité en défendan
frayeur en la rassurant par l’idée logique, tel devait être le but du médecin , et c’est à quoi je suis parvenu en très-peu de t
médecine une influence si grande, ne devrait pas être méprisé par les médecins zélés pour leur art et pour le bien-être de l’hum
e caractère ; cet homme faisait des merveilles, il faisait ce que des médecins pâlis sur les livres, instruits par la pratique,
trakes. Plusieurs courtisans le poursuivirent de leurs railleries. Un médecin , le docteur Lloyd, éci'ivit contre lui un pamphle
le toucheur, on lui dit net qu’il n’était qu’un charlatan. D’autres médecins prirent sa défense. Le docteur Stubbe publia une
ins, mais le plus grand nombre obtinrent une guérison complète. Les médecins dont nous avons cité les noms et plusieurs ecclés
contait que, tourmenté longtemps d’un mal de tête intolérable que les médecins d’Insprucket de Prague n’avaient pu guérir, il av
ls fussent, et aucun de ces procès-verbaux, auxquels concouraient des médecins , des hommes de science attirés par la curiosité,
berg, voulut en faire l’expérience. 11 choisit les malades, nomma les médecins qui devaient toucher le pouls et désigna les témo
toucher le pouls et désigna les témoins. A la demande successive des médecins et à la parole de l’exorciste , le pouls passa pa
e inconnu, mais qui sans doute se découvrirait. Le célèbre de Haen, médecin de Maric-Thérèse et professeur de médecine pratiq
succès ; il compte parmi ses sectateurs des hommes de science, des médecins distingués, des écrivains de talent, et l’applica
mmissaires chargés d’étudier le magnétisme animal sous le contrôle de médecins ei autres notables, et que de toutes les expérien
sion du congrès. Mais 011 ne pouvait se flatter qu’une assemblée de médecins adopterait une telle proposition, qui n’avait pou
le sera obligatoire pour les riches. A l’arrivée de chaque malade, le médecin de l’établissement constate son état ; il est ten
ifs dont l’emploi 11’amena aucun soulagement. On s’adressa ensuite au médecin de la localité, qui ordonna d’autres remèdes sans
avagés par la grêle, qu’un fermier soit atteint d’une maladie que les médecins ne peuvent guérir.....ce doit être le scélérat de
isme animal, comme a l'ait M. du Potet à l’Hôtel-Dieu en présence des médecins . Eu se conformant scrupuleusementàleurs prescript
e le n° 817 est ainsi conçue : « Mesmer (François-Antoine), célèbre médecin allemand, à qui l’on dôit la découverte du Magnét
progrès rapides et journaliers de la désorganisation interne. h Les médecins se sont retirés, et le prince n’est plus soumis à
ures d’esprits qui vous apparaissent dans ces hallucinations, que les médecins appellent des créations de cerveaux détraqués, il
ns les rues de ce bas monde, quand nous regardons par la fenêtre. Les médecins et les savants voient cela comme les autres, mais
le Dr Ordinaire, contre les doctrines matérialistes de la plupart des médecins , 385. Baguette (de la) divinatoire appliquée à
, à l'occasion d’une brochure de M. le Dr Emile Roy, dans laquelle ce médecin se plaint d’être tourmenté, à distance, par trois
34 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
decine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique | (Ste-Anne). COLLAOaA7EU
Qu'il vous suffise de savoir que dès la plus haute an- tiquité, les médecins ont noté non seulement la répéti- lion à des in
de mélancolie, en maintenant celles de psy- (1) Thomsen Congrès des médecins aliénisles, session de Bruxelles, 2° volume, p.
'une des phases morbides reste méconnue de l'entourage et même du médecin parce qu'elle est trop effacée, surtout li on l
rocura une amélioration passagère, sui- vie d'une rechute. Un autre médecin prescrivit une abstention absolue d'écrire pend
des connaissances en géométrie dans l'espace et en physique que les médecins ne possèdent que rarement : et que ces derniers
leur ignorance. A cela 31. Gariel répond qu'il est plus facile à un médecin d'acquérir des notions de physique et de géomét
des mouvements volontaires avec aide ou résistance données par le médecin . Les résultats sont satisfaisants, les traitement
en que votre arrêté de placement pourra être pris. VARIA. 59 Le médecin spécialiste à qui vous aurez confié cette mission
p- per les différentes parties de ce problème si compliqué. Nous, médecins aliénistes, qui observons de jour en jour la mi-
compléter par des recherches successives, pratiquées avec l'aide de médecins , d'ecclésiastiques d'autorités municipales, etc
ncipes scientifiques et res- tât sous la prudente surveillance d'un médecin . Ce ne seraitqu'a- près avoir obtenu, par cette
ons 61 FAITS DIVERS. à 1\1. le Dr 31assaut, secrétaire général, médecin directeur de la colonie d'aliénés de Lierneux.
.000 fr. à 3.500 fr. à dater du 1" avril 1906. M. le le Dr Gourdin, médecin en chef à l'asile d'aliénés du Mans (Sartlre) e
ns (Sartlre) est promu à la 2° classe du cadre. )1. le ])1' L)voff, médecin en chef de l'asile de Maison-Blanche, promu à l
à la Déclasse du cadre. Mouvement de juillet. - 31. le Dr Chardon, médecin en chef à Armentières (Nord), promu à ia lr0 cl
Armentières (Nord), promu à ia lr0 classe ; 31. le Dr. Chocraux, médecin en chef à Bailleul, promu à la 2° classe ; - li.
à Bailleul, promu à la 2° classe ; - li. leDr31au- paté, directeur médecin à la Charité (fièvre), nommé médecin en chef à
li. leDr31au- paté, directeur médecin à la Charité (fièvre), nommé médecin en chef à Bailleul (Nord), poste créé ; ;- M. l
mé médecin en chef à Bailleul (Nord), poste créé ; ;- M. leD'Levet. médecin en chef àAia (13.-du-llhûne), nommé directeur m
M. leD'Levet. médecin en chef àAia (13.-du-llhûne), nommé directeur médecin à la Charité (Nièvre) ; M. le Dr Lalanne, nommé
é directeur médecin à la Charité (Nièvre) ; M. le Dr Lalanne, nommé médecin en chef à Mare- ville (,leurtlie-eL-iloselle),
. le ])1' Toy, médecin- adjoint à Braqueville (Ille-Garonne), nommé médecin en chef à Aix (Gourhes-du-lUuine). Revue phil
ique ; anomalies des circonvolutions cérébrales ; Par Cl. bonne Médecin adjoint à l'asile de Braquevine. Les cas d'atro
symptômes oculaires de la Paralysie générale ; par ¡\, ¡WnmT Médecin adjoint (le l'asile de Monl<lc,"cl'gnc8, e
lysie générale. (Dupuy, éditeur, Montpellier 1906). CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 101 àplusieurs jou
ifestes, alors que la cachexie est déjà survenue. CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES SESSION DE LILLE ;
DE LILLE ; ler-7 août 1906 La séance d'ouverture du XVP Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pa
M. Combemale, doyen de la Faculté de Médecine et de M. Chocreaux, médecin en chef de l'asile public d'aliénés de Bailleul
te, dans laquelle il se félicite de l'honneur qui 102 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. lui échoit de prés
ider la première séance et du plaisir de souhaiter la bienvenue aux médecins aliénistes. M. DELASSALLE souhaite que ses conc
t aux congressistes une hospitalité digne d'eux. Il croit que les médecins aliénistes ont choisi un champ très favo- rable
chivés de Neurologie et il leur Rédacteur eli chef. CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 103 qui touche le
ent et étudient le système nerveux de l'homme. Trop longtemps les médecins , raisonnant comme le public, ont séparé les mal
ent pour mener à bien la difficile muvrecohmurie. 104 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. Aujourd'hui tout l
nt cessé, M. Grasset déclare ouverte la XVI' session du Congrès des médecins aliénistes et neurolo- gistes. Après quelques
ngrès, et la lecture du rapport de 1\1.le Dr Sizaret, CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 105 secrétaire gén
dice de phénomènes critiques ; 7° les altérations 106 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. cycliques des glob
sur un grand nombre de cellules. Cette façon de voir CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. 107 prend une impo
sances sur la physiologie pathologique de l'épi- ,108 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. lepsie sont égalem
es infectieuses variées accompagnées d'accidents men- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 109 taux. Il ne tr
ulose, alcoolisme, syphilis, puerpéralité, etc..) 110 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIKNtSTt ! : S ET NEUROLOGISTES. Mais les modi
lques maladies mentales. Dans ces derniers temps, des CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 111 améliorations
Vieillesse et sénilité ne sont pas synonymes. La 112 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. vieillesse est la
e ; la cou- nRCIIWES 2- série, 1900, t. XXII. 8 114 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. che grise augmente
tte dernière variété, rare, aurait une disposition en CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 115 J rapport avec
léger, très incomplet et très passager. Les symptômes CONGRÈS des médecins aliénistes ET NEUROLOGISTES. 117 de cette hémip
e plus en plus approfondie des causes déterminan- 118 congrès DES médecins aliénistes ET NEUROLOGISTES. tes n'élimine pas
ne intoxication ou toxi-infection sur un cerveau déjà CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 119 en imminence d
ue le rapporteur, s'il a mis les troubles psychi- 120 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. ques au dernier pl
e est diffuse, englobe tout le cerveau ; cette diffu- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 121 sion souffre p
orrectement ces troubles de la marche des séniles 122 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. où les désordres d
la conservation de la force du mouvement volontaire. CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 123 Quand on dit à
il était très intéressant de signaler, comme l'a 121 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. fait M. Grasset, l
somnambulisme, état crépuscu- laire, etc. Le diagnostic posé, le médecin légiste a deux points essen- tiels à envisager
est à l'asile et non à la prison ; c'est un malade qui relève des médecins . Cette notion de l'irresponsabilité de l'hystér
au détriment de l'ordre public, un véritable bill 120 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES, d'indemnité. Cette
ompagne pas d'obsession proprement dite, de lutte an- goissante. Le médecin réglera sa conduite d'après le carac- tère plus
ofondi du sujet (antécédents héréditaires et per- 128 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. sonnels, niveau me
d'appliquer les circonstan- ces atténuantes, il le fera sans que le médecin intervienne. L'appréciation de la maladie seule
mportance que la gra- vité de la maladie elle-même. CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. 129 En terminant,
r elle que des responsables et des irres- ponsables. La plupart des médecins légistes et des juriscon- sultes admettent qu'i
ux blocs : Archives, 2' série, 1906, t. XXII. 9 130 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. celui des normaux
porteur parle enfin de sujets partiellement responsa- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. 131 bles ; c'est u
e faire dans la psychogenèse des accidents le dé- 132 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. part de l'hystérie
es D ? Dumaz et Damaye, s'alimentait d'une façon très CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 133 défectueuse, r
trouvent appelés devant les tribunaux, soit comme 134 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. plaignants, soit c
s, il est indispensable de faire examiner leur état mental par un médecin spécialiste. De l'emploi d'un nouvel appareil,
sie où les attaques datent depuis très longtemps,sou- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 135 vent depuis l'
une sensation spéciale, aussitôt suivie d'un ré- 130 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. flexe de toux, ou
es de sensibilité de la muqueuse. Les efforts de toux CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 137 qui le suivent
n générale des réflexes dans le tabès. Le réflexe 138 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. patellaire, la plu
épiléptoïde, signe de Babinski, guérison.) Par M. le D' NOICA, Médecin adjoint de 111. le Professeur 1), Mal'ineseo, Che
LIGItII 1 I : , Ancien chef de clinique des ma- ladies menlales, médecin des asiles. Dans un récent article, le dur Si
spine, Flournoy, Martin, Ladame, Claparède, Long. 198 congrès DES médecins aliénistes et neurologistes. Comité Vaudois. Pr
animité la proposition de nommer un Comité permanent du Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pa
nfin, le même sujet, qui semble se mouvoir à peu près CONGRES DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 199 sans gène dans
our la séméiologie, au tabétique atteint de trou- 200 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. bles moteurs des m
taxique comme un exercice de sugges- tion, dontl'autorité morale du médecin et la bonne volonté du malade feront à peu près
, de le rassurer, de vaincre son appréhension, etc. CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROI.OGIS1CS. 201 Sans nier que
tabétique ne soit un névropathe sur lequel l'influence morale d'un médecin sérieux s'exerce heureusement, il nous semble c
ement réglé, dont il suffit de conseil- ler l'application, et qu'un médecin , un masseur, un gym- naste dirigeront ensuite s
avons cru devoirinsister en passant sur ce point. 202 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. Formes prodromique
générale et du traumatisme Celui-ci a-t-il été réel- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 203 lomenl la caus
court. Dans l'une ou l'autre de ces alternatives, 20 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. il appartient enco
prolongeant en avant dans le lobe frontal, et latéra- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 205 lement dans le
manque de liaison dans les idées, tout cela avec 200 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. une conservation a
. Il est impossible de rien affirmer sur le poids des CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. 207 calottes, car
ion supérieur, non encore soudé au reste de l'os. 208 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. Chez les mongolien
ate2tses et d'un groupe de mongoliennes, vues nues de CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 209 face, de profi
ériode fébrile observée a duré deux mois. Les princi- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. 211 paux symptômes
ise : : sur les qualités du sang des épileptiques 212 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. nous ontmontréquel
ique jusqu'à la fin de 1905. En voici les résultats : CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 213 M. Brissaud. L
Landry et qui succomba au quinzième jour. Le li- 214 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES quide céphalo-rachi
ire, provoquer soit du spasme soit de la paralysie. CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 215 Traitement de
sérieusement un service de médecine mentale ou plutôt d'attacher un médecin aliéniste à toute prison de quelque importance,
cin-adjoint, M. le Dr Vernet. ASILES D'ALIENES 1. Recrutement des médecins des asiles. Le recrutement des médecins des asi
LIENES 1. Recrutement des médecins des asiles. Le recrutement des médecins des asiles publics d'aliénés vient d'être réglé
ésidentiel du le, août 1906, dont voici la teneur : Art. 1er. Les médecins adjoints des asiles publics d'aliénés sont recr
exercice dans les mêmes facultés ; 4° Trois directeurs-médecins ou médecins en chef d'asiles pu- blics d'aliénés ou de la m
5° Enfin un juré suppléant pris parmi les directeurs-médecins ou médecins en chef des mêmes établissements. Tous les juré
sis dans des facultés diflérentes. Les directeurs-médecins et les médecins en chef devront eux- mêmes être pris dans des é
més suvantl'ordre de classement par mérite établi par le jury. Le médecin adjoint reçu au concours doit occuper sans retard
ui est offert, il est mis en disponibilité et il esl fail appel aux médecins adjoints reçusbaprùs lui ; lorsque la liste du
nomination. C'est à partir du jour de l'ins- tallation effective du médecin adjoint que commenceront à cou. rir ses service
re 15894 et 14 avril 1905, les cadres et traitements des directeurs médecins , médecins en chefs et médecinsadjoints des asil
t 14 avril 1905, les cadres et traitements des directeurs médecins, médecins en chefs et médecinsadjoints des asiles publics
publics d'aliénés sont établis ainsi qu'il suit : VARIA. 237 médecin directeur sur l'organisation intérieure de l'asil
de l'acte de nais- sance ; 2° un certificat médical délivré par un médecin délé- gué par le Préfet ou le Sous-Préfet et co
MENTALE La Folie Gémellaire; Par le D' E. IARAN1)ON DE MONTYEL Médecin en chef de \'ille-Evrard. Il faut entendre par
sur la folie gémellaire est M. Serge Sou- khanoff, privat-docent,et médecin assistant à la clinique psychiatrique de Moscou
clinons à penser qu'à cette époque éloignée, les collègues de ce médecin n'ont pas eu confiance dans un fait si bi- zarr
ar l'expé- rimentateur. Les sujets de ces expériences ont été des médecins et des étudiants en médecine. I. Recherches sur
La tuberculose dans les asiles d'aliénés ; Pnn 11f1f. Dr MARIE, Médecin en Chef Dr J. ROLET, Interne à l'.lsilc dc
NTERNE. Mais jusqu'à la fin du siècle dernier, les tentatives des médecins aliénistes pour attirer l'attention sur les sév
t à la suite de ce mouvement, dont ils étaient les auteurs, que les médecins des asiles eurent en France la satisfaction de
ction d'en ajouter une autre, due à l'obligeance du Dr Bourneville, médecin en chef à Bicêtre. Chargé par le Ministère de l
13 ? En septembre 1891 le Dr Boetel communiqua à la réu- nion des médecins allemands des statistiques d'où il résultait qu
ie de Gheel ; pour le gouvernement français : MM. Marie (doct. A.), médecin en chef à l'asile de Villejuif, secrétaire au C
érieur, Budapest ; pour le gouvernement du Luxembourg : i\1.BUFFET, Médecin Directeur delà Maison de Santé de Ettelbrûck ;
et surtout; 4° un traitement physi- que, l'influence suggestive du médecin traitant, la psycho- thérapie. Le professeur
ition des fonds très élevés. Madame Marie, la charmante compagne du médecin en chef de l'asile deVuillejuif, a traité d'une
ronage pour alié- nés pauvre», avec le concours de spécialistes, de médecins , decitoyens de toute classe capables de contrib
les. 2° Dans chaque pays, les amis des anormaux, philanthro- pes, médecins et éducateurs doivent se grouper et s'unir en C
ts : anormaux intellectuels. Un très important rapport du Dr Marie, médecin en chef de Villejuif traitait de la colonisatio
les. 2" Dans chaque pays, les amis des anormaux, philanthro- pes, médecins et éducateurs, doivent se grouper et s'unir en
s ré- formes à réaliser. MM. Valon, Charpentier, et bien d'autres médecins ont été blessés et nombre de gardiens ont trouvé
tout de compléter l'interrogatoire des malades, tâche réservée aux médecins , par l'observation continue pratiquée par le per-
316 bibliographie. quel' aux aliénés. La formule remplie par le médecin officiel de la commune est transmise à la direc
pas propre à bénéficier de l'assistance fami- liale. G. D. V. Des médecins adjoints dans les établissements d'aliénés, par
et les rapports de dépen- dance qui existent actuellement entre les médecins en chef et leurs aides et la recherche du meill
forces médicales. L'idée dominante de cette étude est que chaque médecin doit avoir un service individuel et une autorité
responsabilité nettement établies. L'auteur propose de nommer un médecin adjoint pour 300 malades et d'exiger pour cette
al. M. Meeus demande, en outre, avec M. Claus, que dorénavant les médecins d'asile soient obligés à la résidence et qu'il le
ce et qu'il leur soit interdit de faire de la clientèle. Enfin, les médecins en chef devront être, à l'avenir, exclusivement
liénés de la Roche sur- l'on pour 1\)03 ; par 11. le I)1' Cullerre, médecin directeur. Servand-Mahaud, imprimeur à La Roclt
tenter l'épreuve de la sortie pro- posée à titre provisoire par le médecin . D'autre pari, la convales- cence de certains a
l'auront nécessitée sera aussitôt donné au Préfet parle Directeur- Médecin . (l)Nous les accordons depuis 1878. Nous publie
liberté par arrêté préfectoral, sur la proposition du Directeur- Médecin . . 5° Pendant toute la durée des congés dont il
l'asile d'aliénés de Rennes, pour l'année 1905 ; par le Dr Sizaret, médecin en chef. Population de l'asile au 1er janvier 1
le d'aliénés de la Sarthe pour l'année 190.p, par le Dr V. Bourdin, médecin en chef. Impri- merie Douin, Le Mans. Existan
tirés trop souvent avant guérison et ordinairement contre l'avis du médecin . Beaucoup de familles ont même la tendance fâch
ait trop le répéter, car les maires, les fa- milles, voire même les médecins praticiens,ont une lâcheuse ten- dance à différ
aa0 varia. ces en donlillages-inLén'ls à l'administration et aux médecins (le l'établissement. L. Le tribunal n'a pas a
embre 1906. -.\1'- rêaéportantdisjonction des fondions de directeur médecin dans les asiles autonomes de Bassens (Savoie) e
irecteur de l'asile d'Armentières (Nord). M. le))' Dumaz, est nommé médecin en chef de l'asile de Bas z sens (1,;aNoie). -
de l'asile de Bas z sens (1,;aNoie). - NI. le Dr Chardon est nommé médecin en chef de l'asile d'Armentières (Nord). Nous n
uvons que regretter la disjonction des fonctions de directeur et de médecin . Distinctions honorifiques. - Médailles d'honne
demande un billet d'assurance, pour aller le lendemain consulter le médecin . Rentré chez lui le soir de l'accident, il cons
faiblissait, cependant il pouvait encore le lever. Il alla voir le médecin qui lui ordonna de se frictionner avec de l'alcoo
ui lui ordonna de se frictionner avec de l'alcool camphré ; mais ce médecin , souffrant, reste trois jours sans le voir, et
« n'apportait pas assez vite. Il ne parlait pas à ses enfants. Le médecin vint alors, lui parla, mais il ne lui répondit
é psy- chique très accusée, ne reconnaissait ni l'hôpital, ni les médecins , ni les soeurs, et on a pu voir au cours de l'ob-
vient maintenant de la figure de certai- nes personnes, de celle du médecin qui le soignait en ville, après laquelle il « c
ns les asiles d'aliénés [Suite) ; PAR MM. D' MARIE D' J. ROLLET Médecin en chef Interne à l'asile de `'illc,juif. REM
2° L'isolement et la prophylaxie. Une fois la sélection faite, le médecin doit s'imposer (1) GHISEY. et JOB, - Dingn. pré
mnes. Elle est passée, l'époque où la société, aussi bien que les médecins , considéraient l'évolution de la maladie comme
arient avec les pays, avec les asilos; mais l'initiative locale des médecins doit être prépon- dérante et soutenue par une r
appliquées. Il nous reste à examiner les efforts individuels des médecins dans leurs services, ainsi que les créations no
'Assistance aux aliénés. En France, il faut bien l'avouer, si les médecins n'ont pu faire que des tentatives isolées, les
nir, et c'est à l'insuffisance des crédits mis à la disposition des médecins qu'il faut attribuer leur impuissance à assurer
il en ren- dra de plus grands encore à mesure que l'influence du médecin sur les malades et sur les personnes appelées à
etc.) dont triomphe assez facilement la médica- tion psychique. Les médecins de marine se privent de nombreux succès en négl
endu administratif de l'asile de Dury-Les-dmiens, par le D Ciiaron, médecin directeur. IIe- donnet, imprimeur à Amiens. P
ervice médical de l'asile pour l'année 190.5; par M. le D' Chardon, médecin directeur. La population traitée va en augmenta
image de la divinité, il lira énormément sa langue et la coupa. Les médecins de l'hôpital, où il a été trans- porté, ne répo
que, M. Jamin, juge (l'instruction et son greffier, lI. Larrier. Un médecin légiste, lI. Guitton, procédai ! à l'autopsie d
sonnes furent ainsi frappées : un inspecteur des chemins de fer, un médecin militaire, un colonel d'artillerie, un cordonni
re. M. le Dr 1)ester- TE, médecin-adjoint à Evreux, nommé directeur médecin de \au- eat (Ilaute-Viennel, en remplacement de
n disponibilité.. M. le Dr GossA, médecin-adjoint promu au grade de médecin enclef et maintenu dans les fonctions de mé- de
athologique n'en est qu'une esquisse, dont le but est d'initier les médecins a ces méthodes de recherches et de les encourag
s sur le siège, ou de balancement en l'air,moyens préconisés par le médecin . - i'28 CLI 1\ 1 QI"I : ME1-o'I ALE A cette
tiront, quand leur santé l'exigera et quand ils auront affaire à un médecin expérimenté. C'est dans les casde timidité que
a évidemment l'expertise, c'e,L-à-dire l'examen de l'interné par un médecin commis à cet effet. Or il convient à ce propos
e du pos- sigle. faire porter de préférence leur désignation sur un médecin aliéniste, spécialisé dans l'étude des maladies
préciation motivée sur chacun des directeurs, directeurs-médecins, médecins en chef et adjoints. En ce qui concerne les médec
eurs-médecins, médecins en chef et adjoints. En ce qui concerne les médecins , chaque intéressé vous remettra,en outre, à cet
e 1838 et l'ordon- nance de 1839 me donnent pouvoir de révoquer les médecins de ces asiles et, à l'égard des directeurs, d'o
une instance en retrait d'autorisation; la récente révocation d'un médecin en chef d'asile privé atteste ma volonté de ne pa
ce sujet que chaque fois qu'il y aura lieu, pour vous, d'agréer un médecin d'asile privé, conformément à l'article 19 de l
je n'autoriserai les directeurs à exer- cer leur choix que sur les médecins ayant subi avec succès les épreuves du concours
s d'assu- rer le recrutement d'un personnel compétent et stable. Le médecin , surtout lorsqu'il cumule ses fonctions médical
ocialement utile et en même temps plus conforme à l'humanité. Les médecins en chef de nos asiles publics vous indiqueront
age ; pourquoi même n'y au- rait-il pas des mariages à l'essai ? Le médecin a, enfin, awnt l'o- bligation du secret médical
ALIh : Nh : S.-tllouveW eztL d'octobre. - 1\I.le Dr Delvvar- Tl : , médecin adjoint àLvreux,nomm direcleur médecin de l'asile
- 1\I.le Dr Delvvar- Tl : , médecin adjoint àLvreux,nomm direcleur médecin de l'asile de Naugeat (Hte-Vienne), en remplace
ement de M. le Dr Bro- quère, mis en disponibilité. M. le Dr Cossa, médecin adjoint, promu au grade de médecin en chef,et m
n disponibilité. M. le Dr Cossa, médecin adjoint, promu au grade de médecin en chef,et maintenu dans les fonctions de médec
promu au grade de médecin en chef,et maintenu dans les fonctions de médecin inspecteur du service des aliénés des Alpes-Marit
teur du service des aliénés des Alpes-Maritimes. M. le Dr Armeline, médecin adjoint à la colonie familiale de Dun- snr-Auro
Montdevergnes (Vaucluse). Mouvementde novembre.-1\I.le Dr Sizaret, médecin en chef de l'asile des aliénés de Rennes, est p
s, est promu à la classe exceptionnelle du cadre. ! l2.le Dr Cornu, médecin adjoint à l'asile de Pau,promu à la le classe d
59. Second belge de Neurologie et de Psychiatrie, p. 64. - des médecins aliénistes et neuro- logistes. Session de Lille
chez les ataxiques, par Lewèvre, p. 2 17. Massage. Voir Crampe. Médecins . Recrutement des des asiles, p. 233. Des - acl-
35 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
uvre sera traitée suivant les circonstances comme illicite. 3° Tout médecin qui entreprendra une cure magnétique devra en don
vra en donner préalablement avis dans la ville capitale du ressort au médecin de l'arrondissement de police ou de la ville, et
de l'arrondissement de police ou de la ville, et dans la campagne au médecin provincial ou du district. 4° On devra tenir su
s de la cure un journal fidèle, à la disposition des autorités et des médecins revêtus 'de charges publiques, à qui on communiqu
médicale soit en état de prononcer en connaissance de cause. 5° Les médecins municipaux ou de l’arrondissement de police, et l
5° Les médecins municipaux ou de l’arrondissement de police, et les médecins provinciaux et de district, sont tenus de communi
rt, et d’indiquer dans leurs rapports annuels généraux sanitaires les médecins qui s’occupent de cures magnétiques, comme aussi
criptions de somnambules ne sont permises que par l’intervention d’un médecin , et sans cette garantie elles seront punies comme
punies comme au n° 2. 7° Les visites d’une somnambule de la part de médecins pour leur propre instruction, et les expériences
rangers. Si tel n’est pas le cas, ces visites ne sont permises qu’aux médecins introduits par le médecin de la cure, ou demandés
e cas, ces visites ne sont permises qu’aux médecins introduits par le médecin de la cure, ou demandés en consultation. 8° Pro
s magnétiques dans la campagne sera confiée gratuitement, en outre du médecin provincial, aux médecins du district pour la vacc
mpagne sera confiée gratuitement, en outre du médecin provincial, aux médecins du district pour la vaccination. Pour l’exécuti
; février 1816. Pour copie conforme, Signé : Dr Alexandre Vamdom, médecin provincial. Réflexions. Cette circulaire est
rier! le mariage ne m’a jamais été conseillé; loin de là, plusieurs médecins se sont même opposés au moyen que vous ine propos
re de quelques délégations italiennes ne fut pas dispensée à tous les médecins , mais seulement à ceux qui ont donné essais de me
érisme; si pourtant on 1 analyse, on voit qu’elle autorise quelconque médecin à faire usage de cette méthode curative dans les
piqué ou échaudé? Et, finalement, n’est-ce pas du magnétisme quand le médecin , avec l’énergie de sa volonté, persuade le malade
il y a aussi parmi eux de vrais magnétiseurs, et particulièrement des médecins homœopathes qui ont très-bien compris les deux pr
e famille, car alors nous aurions à côté du mal le bien, du malade le médecin , comme l’a très-bien dit le président Jîar-thet (
ent tous les deux en journée, avaient fait soigner leur enfant par le médecin le plus distingué de la ville; malgré les efforts
sans diplôme, nous craindrions donc fort pour la clientèle de MM. les médecins patentés, car assurément bon nombre de leurs mala
ériences se font à l’Hôpital civil de Stockholm, sous la direction du médecin en chef. Nous aurons bientôt occasion d’en entret
chambellan, le comteBrahé, qu’il honorait de ses bonnes grâces, et le médecin Baumgarlen, qui, soit dit en passant, tranchait d
n de repos : un geste du roi l’avait retenu à sa place. A son tour le médecin parla du tort que les veilles font à la santé; ma
ur religieuse. Pourtant il sortit d’un pas ferme; le chambellan et le médecin le suivirent tenant chacun une bougie allumée.
iers de la galerie. Le comte et le concierge le suivaient de prés; le médecin Baumgarten était un peu en arrière, partagé entre
amp opposé comptait dans ses rangs la minorité du public, et tous les médecins et pharmaciens de l’enquête. » Voici maintenant
s que je suis atteint à la jambe d’un mal qui a résisté aux soins des médecins . J’ai vainement invoqué les secours de la science
nés la femme Cheyroux se trouvèrent fort exacts. » Alex. Filhastre, médecin . — Il y a six mois, quelques personnes m’engagère
dinier de M. Labastide dépose. — J’étais malade depuis huit mois. Les médecins me tiraient beaucoup de sang et ne me donnaient p
profit de quelques-uns? et une corporation quelconque, même celle des médecins , peut-elle, sous prétexte d’abus possible de la p
« Le Hurkaru rapporte que le gouvernement, sur la représentation des médecins visiteurs (1) de l'hôpital mesmérique, a retiré l
l avait presque mensuellement d’abondantes hémorroïdes auxquelles les médecins prétendaient que sa santé était attachée. Une soi
pensais que la crainte du magnétisme le retenait. Pendant ce temps un médecin fut appelé, qui s’empressa d’arrêter ces évacuati
e, cette toux sèche qui le faisaient traiter depuis longtemps par les médecins , comme poitrinaire; cet appétit désordonné, ces d
tement, et le jour fut alors fixé pour essayer. Dans l'intervalle son médecin et quelques amis qu’elle avait consultés, firent
u’elle avait consultés, firent tout leur possible pour l’effrayer; le médecin lui disait surtout que, dans son état, ce serait
s noires 6’emparérent de lui et avec elles le désespoir. Les nombreux médecins de sa ville (Lunéville) comme ceux de Paris lui c
lit; toutefois nn résultat si extraordinaire l’effraye, ou bien son. médecin la-C-il détourné, mais il me fait dire qu’il se t
les sciences commencèrent à s’étendre, par tomber entre les mains des médecins , astrologues, magiciens, sorciers, nécromanciens,
udrait être à part, ne pas occuper une des salles des hôpitaux, aucun médecin ne pourrait être admis que d’après votre autorisa
c'est une folie passagère, aiguë, au lieu d’être chronique. Un savant médecin d’aliénés, M. Moreau, de Tours, a étudié sur lui-
x produit le feu. — Et ne te moque pas » de tout ceci, ajoute-t-il, ô médecin , tu ne sais pas » quelle est la puissance de la v
esprits : le clergé est gagné à la cause du magnétisme, et nombre de médecins en sont venus à conseiller quelquefois la magnéti
s; — l'application de vingt sangsues derrière le cou par ordre de son médecin produit un résultat assez favorable; c v' pendant
cas de six mois et même un an avaient résisté à tous les remèdes des médecins . Les jours où il n’y a point d'accès, je recomman
la mode n'agissent souvent qu’en raison du degré de confiance que le médecin a en leur vertu ;n’en serait-il pas de même des m
a dans les blessés de février un magnétiseur, M. le docleur Jozwick, médecin polonais; il a été atteint d’une balle au bras dr
où des expériences non moins heureuses eurent lieu secrètement sur un médecin devant plusieurs de ses confrères, comme lui parf
esmeric kospital de novembre 1846, à mai 1847 : avec les rapports des médecins inspecteurs. Imprimé par ordre du gouvernement. »
né à rompre le silence. On lit dans ce journal, du 10 courant: k Un médecin magnétiseur, amateur fou du jardinage, a entrepri
te, il est des secrets que l’on ne doit point révéler, car souvent le médecin reçoit, comme le prêtre, des confidences sous le
ses se prolongent pendant plusieurs jours; de là l’erreur de quelques médecins qui présentent cette situation passagère comme un
ant M. le lieutenant général de police, douze magistrats et autant de médecins que l’on voudra. Comme il ne serait pas possibl
l ne le vit pas. Là s’arrête le degré de science et l’intelligence du médecin . Nous les verrons tous décamper ainsi; même ceu
cité, et non la tolérance, qu’il réclame et doit obtenir. Un savant médecin lyonnais, Petetin, a écrit, sous le titre d'Elect
aleur et nous sommes toujours surpris de l’entendre de la bouche d’un médecin , d’un pro- fesseur surtout, qui doit être instr
nstinct et par la douleur. 0 nature, que tu es belle et grande ! Le médecin qui nie ta puissance est un insensé : il rejette
moins long. Craignant d’en perdre tout à fait l’usage, ainsi que son médecin l’en avait menacé, il se soumit aux traitements o
rent jusqu’au nombre de quatorze dans la journée. Un de nos meilleurs médecins fit tout cc qu’il crut bon, et témoigna même se
impression sur les esprits jusque-là indifférents. Les Mémoires d’un médecin sont reproduits également, et sans doute sont en
de la chose, qui fait partout des progrès incessants. Cependant, nos médecins ne s y rangent guère, et jamais qu’avec un peu de
decine y avait perdu son latin, lorsque le docteur B...., son dernier médecin , conseilla le magnétisme, qu’il avait jugé utile
tisme, dont elle entendait tant parler, et, avec l’approbation de son médecin , elle me fit prier de l’aller voir (elle ne me co
re endormie; mais je lui dis que de même qu’elle n’imposait pas à son médecin l’obligation que ses remèdes agiraient d’une mani
s une chambre obscure. Le mal ne diminuant point, malgré les soins du médecin qui venait tous les jours, la mère du petit malad
rt d'heure, et magnétisai un peu d’eau pour lotions. Le lendemain, le médecin , à qui on n’osa rien dire de ce que j’avais fait,
elle souffrait considérablement sans pouvoir dormir. Son frère étant médecin , il est présumable que les moyens ordinaires avai
qu’inspirent les gens dont la tête n’est pas bien rassise. Puis, les médecins d’ici sont comme généralement ceux d’ailleurs ; i
ication de maux qui la faisaient cruellement souffrir et auxquels les médecins quon avait consultés ne pouvaient apporter aucun
que temps au traitement du docteur Saint-Ai-gnan, de Poissy (c est le médecin qui l’accoucha), mais elle 11 en éprouva autre ch
redoublement de souffrances. On l’engagea à aller prendre l'avis d’un médecin de 1 IIôtel-Dieu, à Paris; elle ne peut se rappel
cents personnes de Rouen, au nombre desquelles se trouvent plusieurs médecins , étaient venues exprès pour s’en convaincre, et q
agnétisme, on peut trancher sur le débat qui existe, à cet égard. Les médecins allemands ont pleinement raison d'y croire, malgr
n grande vogue, en pleine utilité dans l’harmonie. A cette époque les médecins seront trop riches pour s’alarmer comme à présent
vom Magnelismus, rapport présenté au nom d'une commission composée do médecins de la Société impériale de Vienne, par le docteur
par un philosophe notable d’Allemagne, M. Fischer, de Bàle, et par un médecin distingué, M. Enne moser, de Munich. Deux autres
e, et par un médecin distingué, M. Enne moser, de Munich. Deux autres médecins du même pays, MM. Gouge et Hummel, de Vienne, ont
ortants sur le même sujet: le premier, un rapport d'une commission de médecins chargée de constater une série de phénomènes ; le
ut, c’est ce que produisent les partisans modernes du magnétisme, les médecins , les vrais prêtres de ce sanctuaire. Ce n’est qu’
naturel de la noble impartialité avec laquelle une commission de neuf médecins , dirigés par le président de la société impériale
om Magnetisinus, rapport présenté au nom d'une commission composée de médecins de la Société impériale de Vienne, par'le docteur
x choses l’une, ou que toute une série d’observations faites par un médecin savant et honorable n’ëlait qu’une série d'illusi
de ces observations n’étaient que la répétition de celles d’un autre médecin honorable et savant, du baron Reichenbach, il fau
e confiance que celui de deux amis, tous deux savants éminents : l’un médecin , l’autre jurisconsulte, esprits sceptiques en mat
stème doit être patiemment et largement suivi comme l’a été celui des médecins de Vienne. Que M. du Potet, que les collaborateur
s sympathies dans les îles, mais il prouve une fois de plus, dans les médecins anglais, cette aptitude d’observation et d’appréc
écomptes trop nombreux, et on comprend la défiance du monde envers le médecin , défiance qui, de nos jours, va souvent jusqu’à l
violemment à la vie ! et souvent, bien souvent, au lieu de blâmer le médecin , il faut le plaindre.....Mais à son tour, l’hom
a-t-il jamais à répondre de la vie d’un malade! Les soins de tous les médecins eussent-ils échoué de même dans certains cas part
r montrer combien est grande l’influence de la doctrine qui dirige le médecin , et de la méthode qu’il suit, sur les résultats d
de ces doctrines si diverses quels sont les principes sur lesquels le médecin peut s’appuyer pour agir avec fermeté et à l’aide
ruinées par l'instabilité de leurs résultats dégoûtèrent beaucoup de médecins , observateurs consciencieux cl judicieux, et les
arrive lentement et échoue bien des fois dans ses travaux. De même le médecin qui n’agit qu’à l'aide de l’expérience comparativ
lables. Avant Hahnemann, l’observation avait certainement appris au médecin sans système que, le plus souvent, le symptôme es
er les causes, sans tenir compte des circonstances individuelles, les médecins font tous leurs efforts pour arrêter des évacuati
ation organique bien souvent où elle n’est pas. Le mal que font les médecins est donc bien grand, quand, imbus de systèmes par
e l’art, avec le mal qu’a causé au genre humain le nombre immense des médecins qui ont paru depuis eux, il deviendra évident qu’
ent qu’il aurait été infiniment meilleur qu’il n’eût jamais existé de médecins dans le monde. » Mais de ce que des théories fa
îner le produit de la coction. Et, pour venir en aide à la nature, le médecin doit soutenir cet ensemble de symptômes par des r
fasse du symptôme un phénomène constant, critique, et qui enseigne au médecin à administrer un médicament semblable par ses pro
l’opinion de Hahncmann, et ce principe est sans modification pour le médecin homœo-pathe. Malgré la base ruineuse de ce prin
itt'.; (Suite.) Passant ensuite à l’application thérapeutique, le médecin homœopathe fait prendre au malade une cuillerée d
jections et lui répondre par une véritable fin de non recevoir. Ces médecins disent que Hahnemann a découvert encore que l’act
atière médicale de la médecine des écoles? Ne pensait-il pas comme un médecin qui, dans son désenchantement s’écriait : quand j
ingt maladies pour lesquelles je ne connais pas un remède. Tous les médecins qui ont le génie de la nature, ne gémissent-ils p
la pharmacopée galénique, tant que la routine continuera à dicter aux médecins les formules compliquées d’un plus ou moins grand
tend rappeler le régne et la puissance. La très-grande majorité des médecins abusent des médicaments et des doses auxquelles i
ionnée aux nombreuses considérations qui guident la conscience du bon médecin , je fais usage de boissons acides, et je suis mie
s, presque toujours nasales, pertes de sang qui jugent la maladie. Le médecin qui est attentif et assez clairvoyant pour saisir
ou achever la crise qui jugerait la maladie : vous la voulez comme le médecin vitallste, cette crise, seulement vous croyez pou
à l’heure, et cela avec les plus grands maitres, que très-souvent le médecin troublait la nature, pervertissait sa marche et r
ité des siècles d’expérience est là pour m’appuyer. A la place de ces médecins , malheureusement trop confiants dans la médecine
rine de l’expec- tation qui no faiique de l’hygiène; assurément, ce médecin sauvera les malades que son confrère aurait tués.
a les malades que son confrère aurait tués. Si, au lieu d'hygiène, ce médecin avait fait de l'homœo-pathie, il aurait renvoyé à
rances et par la durée de leur mal, ils n’hésitent pas à renoncer aux médecins , puisque, malgré tous leurs soins, ils demeurent
rtant, la chose est plus simple qu’on ne croit le penser. Pourquoi, médecins allopathes, avez-vous si mal conduit cette maladi
rissent plus vite et mieux quand, abandonnant les remèdes, un nouveau médecin place le malade dans des conditions d'hygiène et
les il était auparavant. Mais, pour que le succès couronne le nouveau médecin , il faut qu’il y ait encore dans l’organisme asse
blement appliqué, peut seul triompher. Je me rappelle qu’un célèbre médecin homœopathe que j'estime beaucoup à cause de scs i
rocédé tout à fait à leur insu Singulières natures qui sont pour le médecin physiologiste une source féconde d'observations.
Quand je me mis à étudier l’homneopathie, car je regarde du devoir du médecin d’étudier et d’expérimenter tous les systèmes qui
ances dont j’ai parlé pour les malades qui changent de méthodes et de médecins , on comprendra facilement une action mixte et ass
nt pas la forme aiguë. On est de plus en plus étonné d’entendre des médecins tenir un pareil langage. Des gens du monde qui n’
anatomiques pourraient seuls avancer des paradoxes aussi faux. Les médecins n’ont jamais nié que la svpliilis et le principe
ode homœopathique. La loi des semblables, indi- quëe chaque jour au médecin , par les faits de sa pratique, était méconnue dan
amental, la dualité de l’organisme vivant était consacrée. Pour les médecins qui s’étaient rangés sous la bannière du vitalism
surprenantes, car j’ai obtenu guérison sur des malades abandonnés des médecins du pays et de ceux des hôpitaux de Paris; c’est u
une l’effet de l’irritation). Le tout m’a très-bien réussi malgré des médecins et des incrédules, qui s’étaient entendus pour me
1848. S qui ne convient qu’à l’exposé méthodique des principes; les médecins modernes tombent tous dans la même erreur, quand
uver des avantages supérieurs à ceux qu’ils retirent des conseils des médecins . Néanmoins le somnambulisme, considéré isolément,
uis, circonstances qui prouvent que là encore i{ y a du bon et que le médecin peut puiser dans l’eau d’excellents remèdes, si t
ssez maintenant, je crois, de doctrines, de systèmes, de remèdes ! Le médecin peut choisir, et le malade ne peut plus souffrir
gesse, tracées avec des larmes quelquefois bien amères. Aux yeux du médecin qui sait prendre pour maîtres la nature et la phi
son forcée enseigneront que tel doit être l’avenir de la médecine; le médecin , véritable disciple de la nature, se rappellera c
ue et rëactionnelle du fluide vital. La doctrine qui doit guider le médecin , doit donc toujours prendre en première ligne de
t créée pour mourir et par conséquent pour souffrir. A mes yeux, le médecin est un artiste qu’on peut assimiler au peintre, a
l en est de même en médecine, il y a un génie, un tact médical, et le médecin qui n’en sera pas doué flottera en esclave sous l
u’il en aura fait n’aura pas réussi entre ses mains. Vous voulez un médecin , choisissez celui qui guérit, et ce choix n’est p
aucoup de malades, une cause de mort. Combien donc la profession de médecin doit paraître sublime à celui qui l’a comprise !
e la médecine antique? Nous estimons M. Charpignon, c’est l’honnête médecin qui, placé entre une loi de la nature et des syst
t, elle devrait conserver l’espoir jusqu’au jugement dernier. Pour un médecin honnête, comme M. Charpignon, il y a vingt mille
gnétisme et le somnambulisme dépasseraient de bien loin la science du médecin ; toutes les connaissances de ce dernier seraient
qu’on sait on produit déjà des œuvres supérieures à tomes celles des médecins , malgré les innombrables moyens que le temps et d
que, sans qu’un mot soit sorti de votre bouche, est bien supérieur au médecin qui a besoin de vous interroger pour vous connaît
se de leur axiome, jl faudra rétablir la médecine des écoles; car les médecins ont fait plus de mal aux hommes que toutes les gu
u’il y a 1 a du verre casse', et que je ne puis avancer. » Après le médecin , M. le rédacteur en chef du Mémorial des Pyrénées
mille accusés de sorcellerie. » Quelques jurisconsultes et quelques médecins montraient dès lors une bien scandaleuse incrédul
êquede Châlons en personne et une foule de religieux accompagnés d’un médecin nommé Morel, connu par sa doctrine (dit le procès
ar l’évé-que de Châlons, les religieux exorcistes et le sieur Mo-rel, médecin , qui assure que toutes ces choses passent les ter
royes, comme a Auxerre, M. de Rovère s’est acquis l’animadversion des médecins en guérissantdes malades abandonnés pareux. Vainc
qu’il a toujours existé, qu’il existe encore une classe de soi-disant médecins qui n’a jamais cessé d’opérer des miracles : on l
il y a de mieux à tous égards sur cette matière. Indispensable à tout médecin , il sera éminemment utile aux magnétiseurs qui se
les plus vraies des théories et systèmes qui inspirent la plupart des médecins avec lesquels ils ont sans cesse à lutter. Les
ion de ceux dont l’cflicacité parait douteuse ou contestable. Pour le médecin empiri - méthodiste tout moyen qui guérit est rat
. (l’est dans ce but qu’en arrivant ici je me suis adressé soit à des médecins , soit à des magnétiseurs. Quant aux premiers, j’a
et ont été jusqu’à ce jour sans résultat, et c’est à la générosité du médecin dont il a été fait mention que je dois le seul ex
algré les soins de toutes sortes, ne laissa bientôt plus d’espoir aux médecins , qui déclarèrent leur impuissance en disant que
ère ressource à tenter. Cette proposition obtînt l’entier agrément du médecin ordinaire, M. Barrère , qui, confessant l’insuffi
s, attendris, exprimaient leur bonheur par d’abondantes larmes, et le médecin , charmé, criait au miracle. Mais, surpris, stupéf
e, souffrait cruellement. J’abandonnai le soin de la cicatrisation au médecin , dont je ne voulais pas, en annulant le rôle, élo
ans effet, agissent aussitôt après la magnétisation. 3° L’accord du médecin et du magnétiseur dans un traitement commun est g
e durera probablement jusqu’à ce que les magnétiseurs se soient faits médecins ; car je ne pense pas que les médecins se fassent
s magnétiseurs se soient faits médecins ; car je ne pense pas que les médecins se fassent jamais magnétiseurs. Telle est mon opi
l’expliquer ni la comprendre, à moins d’étre initié. Je fis venir le médecin Théo-tlote ; je lui racontai mes songes. 11 était
ticien rapporte encore ( Ib., p. 743), sur le témoignage de Descotte, médecin à Argenton, que deux jeunes filles hystériques, e
s regardé comme un insensé par 1 Académie des Sciences ? Combien de médecins qui, de nos jours, sont arrêtés par la crainte d’
ber tôt ou tard sur ceux qui nous le prodiguent avec profusion. « Les médecins me tuent, disait d’Alembert ( Lettre du P. Uervie
e somnambulisme que convulsions et attaques d’hystcrieü! Un célèbre médecin des hôpitaux avait annoncé, dans une séance précé
e Samson, âgée de soixante-huit ans ; et la demoiselle Samson, que ce médecin avait examinée pendant le traitement magnétique d
que si on paie les magnétiseurs et les somnambules comme 011 paie les médecins , il pleuvra tôt ou tard des somnambules et des ma
rd des somnambules et des magnétiseurs, comme il pleut maintenant des médecins ; que si, au contraire, le magnétisme est gratuit
; la pluie des somnambules dépassera sans doute bientôt la pluie des médecins . Dr Alfred PERRIER. (La suite au prochain num
fection chronique fort an- cienne et réputée incurable par tous les médecins . Dix-huit mois de soins assidus et désintéressés,
ct des remèdes chez des malades et chez tous les animaux. Quel est le médecin qui n’a pas remarqué les penchants irrésistibles
casion de signaler les insuccès de la médecine systématique. Tous nos médecins qui s’évertuent à rattacher nos maladies à la mêm
OLOGIE, MÉDECINE ET MÉTAPHYSIQUE DU MAGNÉTISME; parle D' Ciurpignon , médecin à Orléans. Un vol. in-8, de 490 pages. Paris, 184
à déplorer les hostilités de certains ouvrages sortis de la plume de médecins incompétents à traiter le magnétisme , par suite
I.ettre dédicatoirc îi M. lebaron du Potet de Scnncvoy. Ciiap. I. — Médecins . Chai*. 11. — Endormeurs. Chai*. III. —Magnét
aux, mais même les plantes, sont influencés par cet agent. M. Picard, médecin de Saint-Quentin, a communiqué au Journal du Magn
donc, cl on les croira, mais non avant. M. Levison recommandait aux médecins , dans la précédente réunion, d’étudier le mesméri
« M. J.-C. Burrows dit, sur le dernier sujet, que, trompé par un ami médecin , il a avancé à tort que ce qui concernait la mar
oir aucun souvenir de l’opération. Mais qu’est-ce que cela prouve? Le médecin n’était vraisemblablement pas resté quarante-huit
lade; et ce que la malade avait dit à la garde, celle-ci le répéta au médecin , qui le transmit à la commission, dont nous le t
lessures, c’est qu’il est malade. Il y a une maladie, bien connue des médecins , l’anesthésie, dans laquelle tout sentiment est
’usure du corps par le désespoir et l’abattement est bien connue. Les médecins ne sont pas hommes à déprécier l’influence du mor
uze seigneurs et grand nombre de gentilshommes dont quelques-uns sont médecins . « Cette discussion a commencé par un défi ; il
a. Il invite une commission de trois membres : l’un prêtre, l’autre médecin , le troisième bourgeois, à déterminer le sujet; e
à Notre-Dame de Paris, M. Poeti s’exprime ainsi : * La plupart des médecins se sont faits les ennemis du magnétisme, et surto
nisme des réactions salutaires. Ce n’est qu’un moyen de plus, pour le médecin , de triompher de certaines maladies particulière
de la force vitale, ou du fluide magnétique. C’est, comme on voit, un médecin vitaliste. 11 explique que le magnétisme pouvant
des qualre évacuations annoncées. « Le 20, j’amenai quelques jeunes médecins . La malade , magnétisée en leur présence, dormit
r elle pour la fin de scs maux. Cette dernière fois elle dit qu’aucun médecin n’aurait pu la guérir par une autre méthode; qu’e
oir : la plus profonde antipathie se déclara, et elle appela un autre médecin , qui la traita par force saignées. Elle tomba bie
le monde sait, par exemple, qu’il vaut mieux que le magnétiseur soit médecin : sa science et son expérience le rendent plus ap
les réactions naturelles. » Cette vue est neuve; il appartient aux médecins magnétistes d’en vérifier l’exactitude. Cet mot r
ier somnambule naturel qu’on avait renvoyé de sa pension , et que les médecins voulaient faire saigner à blanc, ou purger à mort
ertu de produire les phénomènes effrayants que vous placez, comme les médecins , sur le compte de l’hallucination. Cette puissanc
ure il sentait une petite démangeaison. A ce moment j’entendis un des médecins visiteurs lui demander : Boluit durd liai? Souffr
36 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
ME. MANUSCRITS DE MESMER,,, Mesmer n’était pas seulement un grand médecin ; ayant accumulé dans son cerveau presque toutes
té. » (Cours de Pathologie , 2“ édit., t. III, p. 178). Bien d’autres médecins d’un rang très-distingué admettent l’insensibilit
bilité que le magnétisme peut revendiquer. Je suis certain que si les médecins expérimentaient le magnétisme sur des milliers de
une, a été tellement malade d’une fièvre cérébrale, que MM. Larroque, médecin à Masseube; Maigné, médecin à Mirande, et Aubian,
d’une fièvre cérébrale, que MM. Larroque, médecin à Masseube; Maigné, médecin à Mirande, et Aubian, médecin dans notre commune,
. Larroque, médecin à Masseube; Maigné, médecin à Mirande, et Aubian, médecin dans notre commune, ont été appelés, lesquels, ét
, sous toutes les formes possibles, est le remède dont se servent les médecins . Plusieurs cas guéris par mon eau avaient été tra
rie en quatre séances. « Luxation du pied, en voie de guérison. Les médecins avaient incisé la jambe prétendant qu’il y avait
cette jeune personne appartient à une famille très-aisée : aussi les médecins ne négligeaient-ils pas de faire de nombreuses vi
premiers jours du traitement. « Comme vous devez bien le penser, le médecin cessa ses visites assidues; cependant, appelé dan
is même assurer que ce doit être ainsi. » « Nous avons ici quelques médecins qui avouent cependant que, dans certaines maladie
ndant. VARIÉTÉS. Progrès. — 11 nous revient de tous côtés que les médecins commencent enfin à comprendre qu’ils ne peuvent r
oi ces ca-cholteries , ces déguisements indignes de philosophes et de médecins ? Pour dissimuler un sot orgueil et une vanité blâ
cteur William une scène de magnétisme bien amusante. 11 paraît que ce médecin peut faire qu’un homme s’imagine on être un autre
ne couche laborieuse. Depuis deux mois elle suivait les conseils d’un médecin qui pensait que le mal de celte femme venait d’un
. Cette cure a été ma plus belle et ma plus glorieuse, attendu que le médecin , après avoir employé vingt sangsues, cataplasmes,
ssura qu’il serait guéri en le magnétisant encore quatre fois. « Le médecin vint le lendemain pour voir si les sangsues avaie
républiques de l’Amérique centrale, initiées à nos doctrines par des médecins instruits ici, nous ont été aussi d’un puissant s
couteau, puisque l'opération ci-dessus n'est qu'une piqûre. Mais tout médecin sait que le premier contact de l’injection excita
font partout crier au miracle; nous en devons le récit à un honorable médecin du département d’Eure-et-Loir, que gagne malgré l
de suite pour être œuvre de tromperie Illustrissimes savants, grands médecins , prenez bien soin de vos personnes. Pourquoi faut
chose, ne serait-ce que le moyen de guérir le choléra, car vous êtes médecin . Et si vous découvrez si bien la fourberie où ell
imistes de notre siècle, rapporte qu’il a vu un très-habile Polonais, médecin de Cracovie, qui conservait dans des fioles la ce
ntifiques, ou au soulagement de l’humanité souffrante, et ce sont des médecins homéopathes; mais c’est à peine s’ils se connaiss
on pour le retenir plus longtemps, je vais lui délivrer son exeat. Le médecin indigène des aliénés l’a trouvé beaucoup mieux.
es tirés ici sont pour les membres de la Société, et aussi des amis , médecins ou autres, auxquels nous avons le plaisir d’en fa
s qui, le plus souvent, nous étaient inconnues. C’est que, à part les médecins qui, comme dit M. Magendie « vivent de la clien-«
oire ensuite. « Je vous parlais dans ma dernière d’une famille de médecin , esprit-fort s’il en fut. J’ai été merveilleuseme
fait une magnétiseuse et deux somnambules dans les sœurs et nièces du médecin et de sa malade abandonnée. Le traitement magnéti
inie est toujours ici, où elle fait l’admiration des chimistes et des médecins homéopathes; quant aux allopathcs, constitués en
qui lui a dit que l’or avait été partagé entre les domestiques et le médecin , qui avait mis des bijoux de prix à couvert; mais
le dit qu’il en existait un quatrième bien plus important Cet honnête médecin répondit qu’il le gardait comme souvenir du génér
re la publication du feuilleton de M. Alexandre Dumas : Mémoires d un Médecin . Dans la première partie il y avait un grand nomb
n. « Une multitude de personnes, parmi lesquelles on cite plusieurs médecins de Nantes, curieux de voir par eux-mêmes un fait
avance garantir un plein succès à leurs tentatives. Et tandis que les médecins en sont à connaître et à comprendre l’affection d
uérir. On devient criminel à force de repousser une vérité utile. Les médecins veulent rester étrangers à la vraie médecine jusq
la science universelle. » ¡Sous sommes en lutte permanente avec les médecins allopathes, parce qu’ils nient l’existence du mag
e prince de la médecine, tout en convenant que le véritable talent du médecin consiste à seconder les efforts de la nature dans
s frictions particulières dans la cure des maladies anciennes. « Un médecin , dit-il, a besoin de savoir beaucoup de choses (
es des ténèbres épaisses qui les dérobent à nos yeux. J-a méthode des médecins hermétiques offre d’ailleurs des points d analogi
leur confiance. Nous nous garderons d’exhumer les élucubrations des médecins des xvie et xvne siècles sur la transplantation ,
ication des phénomènes étranges dont ils étaient témoins; tant que le médecin s’écartera des lois de l’observation, il s’égarer
rt curieuses sur la manière de transmettre la santé et la maladie. Le médecin faisait coucher certains animaux auprès de quelqu
couvra promptement la santé par le contact d'un chat. R. Flud (5) , médecin anglais, rapporte de nombreux exemples de maladie
ces faits , c’est de pouvoir fixer l’attention du physiologiste et du médecin sur ce genre de médication sacrifié trop légèreme
eune vierge pour retrouver la chaleur qui l’abandonnait. Le célèbre médecin Boerhave ne dédaignait pas toujours ce moyen. 11
eune et sain peut corriger les humeurs corrompues. » La plupart des médecins hermétiques partageaient cette idée. Bacon adme
e convenance ne nous permettent pas de les enregistrer ici. Le même médecin cite (i) plusieurs exemples d’hommes qui ont atte
ires de ces émanations. « Simon Thomas, dit-il (2), estoit un grand médecin de son temps; il me souvient que me rencontrant u
tons aux détails qu’il nous donne), une ancienne femme de charge d’un médecin célèbre, que l’on connaissait sous le nom de la R
M. Cousin ; un savant physiologiste comme M. Ma-gendie ; d’illustres médecins , comme MM. Bouil-laud, Gerdy, Velpeau, et toute l
je viens faire un appel à tous, mais particulièrement et surtout aux médecins . Je leur dirai : Vous usez vos forces à lutter co
ic, suppliant, avec instance tous les hommes capables, et surtout les médecins , juges en pareille matière, de peser et de vérifi
la traduction presque sommaire des entre- diarrhée s arrêta, et lo médecin , content do voir sa malade en si bon étal, jugea
dire doit suffire pour attirer l’attention du public, et surtout des médecins , sur l’action du magnétisme dans le traitement du
i-même, et sait en même temps assez combien la direction savante d’un médecin est utile et nécessaire pour s’adjoindre immédiat
avoir vainement prodigué jusqu’ici tous ses soins, M. Sorin, l’un des médecins de la commune duBignon , a consenti à ce quelle p
s borner à constater ces dispositions favorables d’un des plus grands médecins de l’Angleterre. Le Gérant : IIKItERT (île Garn
a déployée notre collègue en présence d’un public nombreux : savants, médecins , curieux. L’état d’Anne Chaigneau est constaté
t également atteinte. Pendant le cours de leur maladie , plusiéUirB médecins ont employé successivement tous les moyens les pl
alade était encore retombée en catalepsie ; les nombreuses personnes, médecins et autres, qui, dans l’intérêt de la science et d
s été témoins ne peuvent être que fort étonnés. MM, Priou et Spriq, médecins des malades, étaient présents à cette séance. M
es villes, et la propagande qu’ils font est constamment soutenue. Les médecins commencent à envoyer leurs incurables aux magnéti
on dans l’électricité du globe, est partagée par un certain nombre de médecins de tous les pays. En Russie, par exemple, des sav
e cas où une autre théorie qui est adoptée par un plusgrand nombre de médecins que celle dont nous venons de parler , savoir l’i
nt pouvoir trouver dans leur sein sans avoir besoin de le demander au médecin qui, même magnétiste, ne pourrait le donner dans
ité municipale de la direction de l’ambulance, au grand déplaisir des médecins de la localité. Etant à la fois homéopathe et mes
tant à la fois homéopathe et mesmérien, sans avoir encore le titre de médecin , c’était plus qu’il n’en fallait pour exciter l
it. Cet ouvrage formé de sept lettres adressées à un ami de l’auteur, médecin comme lui, a pour épigraphe ce mot de Montaigne :
onné que ce petit livre ait emporté de haute lutte les résistances du médecin à qui il est adressé, lequel, nous dit la préface
sieurs ont été suivies et rapportées par une commission officielle de médecins , démontrent d’une manière péremptoire que l’anés-
stitue l’état de santé. Proposition des plus rationnelles, et que les médecins feront bien d’examiner de près : eux qui ayant ét
inguer toujours un mal symptomatique d’un mal essentiel. Oui, que les médecins méditent sur la vérité qui leur est indiquée, et
mplètement, nous en convenons; mais c’est là aussi le type du parfait médecin , et si quelques praticiens parviennent à le réali
ours facilement. Or, dites-nous si la médecine, avec ses poisons, les médecins avec leurs doctrines divergentes, peuvent se flat
e péremptoire aux arguties par lesquelles bon nombre de savants et de médecins ont cherché à prouver l’inanité du mesmérisme et
ue, par la pratique du magnétisme, ils pourraient joindre le titre de médecin du corps à celui de médecins de l’âme, titre que
tisme, ils pourraient joindre le titre de médecin du corps à celui de médecins de l’âme, titre que personne mieux qu’eux n’est e
pinion publique depuis quatre ans ; c’est au point qu’aujourd’hui les médecins souffrent qu’on leur parle de cet animal de magné
souffrent qu’on leur parle de cet animal de magnétisme (j’entends les médecins de l’École de Paris, qui sont toujours, et partou
iste, car nous avons eu affaire, le plus souvent, aux malades que les médecins ne guérissaient point, ou qu’ils avaient abandonn
nt, ou qu’ils avaient abandonnés. Combien n’en savons-nous pas que le médecin visitait à une certaine heure, le magnétiseur et
heure, non seulement par ceux qui l’entouraient , mais encore par son médecin ; et c’est dans cette extrémité qu’on l’a jetée a
des intimes. Je pense que celui qui s’en étonne le moins n’est pas le médecin , à moins qu’il n'en attribue la cause à ses presc
se revirent, le Docteur dit à l’autre : « Yous êtes un bien meilleur médecin que moi » ; mot charmant dans la bouche d’un véri
Les formules de'ce somnambule excitent quelquefois le sourire d’un médecin que je ne nomme pas : il est de la Faculté de Par
ris; mais il faut bien peu connaître l’homme, ou être prodigieusement médecin pour concevoir qu’il passe ses nuits à feuilleter
ès facile à toutes les intelligences? A voir le plus grand nombre des médecins , il semble que le premier venu n’a qu’à se prése
’une somnambule sa parente; et notez bien que ce n’était pas faute de médecins , car elle en compte plusieurs dans sa famille : s
eurs dans sa famille : son frère , son oncle et un cousin, sont trois médecins les plus anti-magnétistes dont la Nouvelle-Orléan
e ne sera pas de longue durée.... Quelle magnifique occasion pour des médecins , si une semblable étude eût été de leur goût!...
s donc de faire comprendre au monde que lors même que les plus grands médecins ont déclaré que tout a été tenté, et qu’il n’y a
dus me rendre auprès de Mn,c C***, malade depuis cinq ans, et que des médecins voulaient faire voyager. On parlait d’hypertrophi
it ensuite à ce que lui avait fait éprouver le chloroforme, qu’un des médecins lui avait administré quelquefois. Elle est parfai
sons merveilleuses, quelquefois de malades réputés incurables par des médecins habiles, et qui ne sont pas moins rendus à la san
t. La mémoire de Mesmer sera non moins durable, car il a, plus que le médecin de Cos, des droits à notre souvenir. N’a-t-il pas
nneur D'un progrès si rapide ? ( Parlé:) la Somnambule. * C'est aux médecins ! » ( Chanté :) — Eh non, non, non, Vous n’ètes
pagea le magnétisme par des Cours, des livres, et la pratique. Devenu médecin de l’établissement hydro-thermal de Bagnolles (Or
’être, Monsieur, Votre très-humble et dévoué serviteur, SAVOYT, médecin , H, rue de PÉcoIe-de-Médecinc. M. Boméa, de V
éclara, je conduisis l’enfant au Parvis Noire-Dame. Consultation du médecin . — « Ce mal n’est rien. » Le lendemain le corps
le troisième jour une toux cruelle se déclara. J’appelai M. Moclain , médecin , qui jugea mon fils atteint du croup, et perdu. N
je fis connaître le traitement prescrit par M. Moclain. Réponse des médecins consultants. — « M. Moclain a employé toutes les
Je crois mon enfant sauvé, après avoir été condamné à Paris par six médecins . CIBLAT. P. S. Je dois faire connaître un nou
ement par M. Beaufils, el, depuis sa mort, par M. Dacheron, tous deux médecins à Paris, et ces deux messieurs m’ont assuré que t
; il s’est souvent fait cautériser profondément cette tumeur par les médecins du pays, dans l’espoir de la faire disparaître, c
voix, il fouillera dans l’inconnu pour y chercher ce que les sens du médecin n’ont pu découvrir. Il vous dira qu’il cherche; i
4°° Fahrenheit (4° et demi cent.), point de condensation de l’eau. Un médecin présent à l’expérience craignant que, par suite d
dans la lèvre supérieure, et d'un chatouillement dans les narines. Le médecin dont nous avons parlé remarqua, en plaisantant, q
elle n’a montré qu’une seule chose, c’est combien peu la plupart des médecins ont d’aptitude pour l’observation empirique, et c
ins cinq centimètres , enfin menacée de la carie, selon l’opinion des médecins . « Avant le traitement, cet enfant, qui avait é
ipales actions vasculaires et électro-motrices de la peau. Suivant ce médecin , le choléra est l’une des nombreuses et des plus
ort souvent, et qu’obtiennent des hommes simples après que de savants médecins ont vu leurs remèdes rester sans effet. Et qu’on
de l’aorte ventrale avait été diagnostiqué antérieurement par un des médecins qui lui avaient donné des soins. Le. météorisme e
emblait ainsi commander à la vie nous venait de l’Allemagne. Il était médecin et se nommait Mesmer. « Ce qu’il y eut de vrai,
e aux propriétés de l’aimant, Mesmer l’appelait le (]) /(apport des médecins choisis dans la Faculté de Paris. — Bailty , /app
uragement s’était emparé de lui, lorsque d’EsIon devint son disciple. Médecin du comte d’Artois, d’Eslon avait des relations él
eauté hardie servait alors d’aliment. « D’un autre côté, de Lasône, médecin du roi, avait fait connaître Mesmer à la cour (3)
e’Utoure; on lui propose pour prix de scs lumières communiquées à des médecins que le gouvernement choisira , vingt mille livres
rochure de Mirabeau, déjà citée, la Lettre de M. le diacre Lavater au médecin de la cour de Hanovre Zurich, 10 septembre 1785
produirons des merveilles, et la cause vous en restera inconnue. Aux médecins qui jettent un lustre si brillant sur les Académi
maladies des femmes, dans sa faculté el ses talents comme sage-femme, médecin ét somnambule, et dans ses connaissances et sa pr
ui semble être partout pris pour son frère Alexis, il s’est trouvé un médecin éclairé pour examiner les facultés de ce somnambu
ippocrate parle, en scs Aphorismes, de l'in-Uuencc avantageuse que le médecin peut retirer de la confiance qu'il inspire. Qui o
2), qu'une ferme confiance, qu’une foi ardente dans la médecine et le médecin , contribuent beaucoup à rétablir la santé, et que
d’accidents voyons-nous arriver à la suite d’impressions vives ; les médecins ne nieront pas que la peur puisse développer des
téle, je fus guérie parfaitement, et en état d’aller à la messe. Les médecins en furent si étonnés qu’ils ne savaient à quoi at
nthousiasme el la confiance étaient sans bornes ! André Du Laurens, médecin du roi Henry-le-Grand (i), et Thomas d’Acquin, no
De Mal/net. euIner. curatio. core bien des contradictions parmi les médecins . Nous voulons seulement fixer leur attention sur
le malade, à quelque distance qu’il se trouvât (1). liricins Mohy, médecin à Blois, publia en i6.)q un traité sur la poudre
ssance à cette méthode médicale. « Un homme de Bruxelles, rapporte ce médecin , s’étant fait faire un nez artificiel par l’opér
nt qu’elles étaient prescrites avët tltte ihtention charitable par le médecin , et accueillies par le malade avec une parfaite c
illante est souvent d’une grande utilité. (Ouor. cité, p. 6i4). Les médecins hermétiques employaient plusieurs médicaments sou
il ne faut pas confondre avec celle de Dygby et de ses devanciers. Le médecin écossais Maxwell (2) en avait composé une avec du
rend depuis deux ans d’immenses services à sa nombreuse famille. Son médecin habituel, riant de ses exploits et du-'magnétisme
croyant ; et je m’en trouve bien, et aussi. » Vr^. 1 1 Or ce savant médecin avait le privilège de toute la famille, et, bon a
18 août, se moque du docteur Ducros, et un peu du magnétisme, dont ce médecin est partisan , à propos de ses communications à l
sance, lorsque, consulté par de jeunes hommes, dont plusieurs étaient médecins , s’ils pouvaient s’ouvrir une carrière en pratiqu
es, qui se croyaient changées en vaches, et qui furent guéries par le médecin Mélanipus. Les Milésiennes avaient la manie de
la parole de Dieu ; par des visions et des prophéties. La plupart des médecins qui ont vu les paroxysmes, les ont assimilés au s
on administrait également à ces malades de l’ellébore, par ordre des médecins (2). Les laïques ne tardèrent pas à s’attribuer
trop invétérées , soit qu’il en reconnût l’incurabilité. Le fameux médecin Henry Stubbe, Boyle, les célèbres théologiensWilk
es occasionnées en partie par la nature, en partie par Satan (1). Les médecins ne guérissaient que les accidents qui se rattacha
aite, à aucun traitement, sans une autorisation particulière. DeHaën, médecin d’une grande réputation, s’attacha, dans un ouvra
vant les hommes les plus recommandables du pays, des théologiens, des médecins , etc., qui donnèrent à Gassner les certificats le
assez célèbres parmi les exorcistes qui appartiennent à la classe des médecins de l’imagination. Il existait, en 1771 , à Pari
e réputation, en 1819, par les cures innombrables qu’il obtenait; les médecins de son pays lui firent un procès pour avoir osé g
de huit ans, atteinte d’une paralysie qui avait résisté aux soins des médecins les plus célèbres. Michel fit une prière et lui c
imagination, ici tout soit un rêve. M. Esdaile a un double mérite : médecin éclairé et physiologiste profond, il a su faire r
sur un autre continent, non plus par des hommes obscurs, mais par un médecin distlngné, dont I3 science fécondanI les travau
gards du monde magnétique. A son gouvernement de le récompenser comme médecin , nous, nous l’admirons comme magnétiseur, laissan
la reconnaissance d’une population nombreuse , et les tracasseries de médecins jaloux appelant sur lui la rigueur des lois prote
e sommes plus au temps où la censure de leurs confrères empêchait les médecins consciencieux de se livrer à la pratique du mesmé
u meilleur praticien; là, le pronostic est tout-à-fait aventureux. Le médecin ami de l’humanité a donc dû chercher le moyen le
le temps sera venu, nous résumerons les opinions émises par ce jeune médecin . Revue des Journaux. — Le Journal des Débats et
ris, et toujours sans succès, elle me pria un jour de régler avec son médecin et le pharmacien. Son mal empirait journellement;
ecours à ma femme. Il me dit à différentes reprises qu’il n’était pas médecin , qu’il au- rait volontiers magnétisé le malade
35 centimètres, ce qui m’occasionna plusieurs maladies auxquelles les médecins ont donné le nom de fièvres gastriques, et dont j
son opinion sur des faits et sur les règles, que, disait-il, tout bon médecin ne doit jamais perdre de vue; sa dissertation fut
y, habitué au traitement de ces maux, et, pourcela, poursuivi par les médecins . 14° Atteintes légèros à de rares intervalles.
au pied gauche , qui n’avait pu l’être pendant plusieurs jours par le médecin . Ne pouvant m’appuyer sur ma jambe, le lendemain
lequel je l’avais défendu, ainsi que la cause mesmérienne, contre des médecins d’Auxerre, pour le protéger à Troyes contre un ap
re me fut adressé lors du deuxième procès que lui avaient intenté les médecins d’Auxerre (1). 11 plaida si bien, et fournit tant
e, jardinière, âgée de 18 ans, dans un état désespéré, abandonnée des médecins , il avait pu, par une magnétisation constante de
ue inconnue dans notre département; et, malgré le mauvais vouloir des médecins et antres intéressés, la vérité triomphera. F..
circonstances qui m’ont fait connaître cc digne homme. M. Thessier, médecin , voyant l’état de ma maladie, me dit que je ne p
Ne doivent-ils pas, vivants, servir à l’étude des chirurgiens et des médecins ? Leurs cadavres, aussi, ne sont point exempts de
dent que dan» certains moments. » {IugtnuHian pratique-) Koreff, ce médecin si expérimenté, s’exprime ainsi dana sa, Lettxe à
c’esl donc une erreur dont les suites sont très-graves, que de croire médecin tout somnambule qui s’annonce comme tel. L’expé
tent à des accidents sérieux. Je crois donc, avec Deleuze, avec les médecins magnétistes de l’Allemagne et bien d’autres, que
it, de la soif. Rien d’anormal dans les autres fonctions. Plusieurs médecins avaient considéré cette maladie comme scorbutique
les conceptions de leur esprit, complétèrent l’œuvre. Semblables aux médecins qui, de perfectionnements en perfectionnements, s
ion, la vue à distance, etc., car elle ne pourra les comprendre. Le médecin admettra bien la curabilité de certaines maladies
uis trois ans, une maladie de ventre. Comme elle était abandonnée des médecins , j’allai trouver l’abbé Joly, dont j’avais entend
Pennetot est venue me trouver parce que sa fille était abandonnée des médecins . Je lui ai dit, d’après bien des auteurs, que le
« Attendu qu’il résulte des débats que Joly n’a pas pris le titre de médecin ou d’oflicier de santé, et que les faits d’exerci
voyt, 577. — Du Dr Mathieu, 678. Progrès du magnétisme. Beaucoup de médecins pratiquent sournoisement le magnétisme sous forme
o, et Pathogénésie brésilienne, avec une introduction par le Dr Mure, médecin homéopathe. Excessive crédulité des disciples de
37 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
édecine de Pans. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Ste- : lune). F. RAYMOND
ion directe. Elle a donné les mêmes résultats favorables à tous les médecins qui l'ont em- ployée ; elle est d'un emploi sûr
érieur à ce qu'on obtenait avec les anciennes méthodes. De nombreux médecins , entre autres MM. Stembo, de Wilna, Bernheim, A
maniée par des mains plus expertes ? Ce qui n'empêche pas que tout médecin , quelle que soit d'ailleurs son expérience pers
re; on l'observe chez quelques militaires et il est fâcheux que les médecins de l'armée aient été privés du droit de leur ap
NT A DES OBSESSIONS ET A DES IDÉES FIXES. Par le D' LARROUSSINIE, médecin de Castel-d'Andorte, Membre correspondant de la
de l'établissement sans aucune autre formalité que la décision du médecin traitant. Il n'existe pas de cellules. Les agités
M. Roubinowitch pense que la Société pourrait intervenir auprès du médecin traitant pour avoir des renseignements statistiqu
ain nombre de brochures dirigées contre les asiles d'aliénés et les médecins aliénistes. Ces publications se sont multipliée
médicale des asiles d'aliénés, opinion adoptée par le congrès des médecins aliénistes allemands (Francfort-sur-Mein, 25 mai
rmes et à ceux qui s'y intéressent. Ce livre s'adresse à tous les médecins , à tous les éducateurs, pro- fesseurs et instit
t intéresser les questions d'assistance et d'enseignement. Tous les médecins , en particulier, devraient être familiarisés av
és et apprécier les mé- thodes qui leur sont appliquées. C'est au médecin qu'incombera le plus souvent le devoir et la re
enfants dans ces institutions, etc., et l'intervention éclairée du médecin deviendra capitale pour l'avenir intellectuel de
grammes, en potion. A. Paris. VARIA. CONCOURS POUR LES places DE médecins adjoints dans LES asiles publics d'aliénés. R
e 7; à Paris, Nancy et Bordeaux le 11. Le concours pour le poste de médecin adjoint des asiles (région du Nord) s'est termi
a marche, le grou- pement, l'aspect des symptômes ont trompé quatre médecins différents entre les mains desquels il est succ
ique général assez avancé. Le certificat d'internement émanait d'un médecin praticien des plus distingués et portait : « para
maladies nerveuses à la S,dpêlrièl'c. Parmi Pes questions que le médecin pose au malade pour établir son diagnostic, il
de folie aigué. Il fallut l'envoyer au manicome de Ferral'I', et le médecin directeur de cet établissement, le DrTam- broni
- broni, fut chargé par le tribunal d'étudier sou état mental. Le médecin expert devait tout particulièrement répondre aux
rtance pratique pour l'aliéniste. Il n'en est pas moins vrai que le médecin doit se faire une idée personnelle sur la quest
le étant une des affections mentales qui mettent le plus en contact médecins et magistrats, il y aurait intérêt à trouver po
alade peut être assez pénétrant pour tirer parti du dia- gnostic du médecin et cacher son délire chronique. (American journ
hylaxie de la tuberculose dans les asiles d'aliénés. Au congrès des médecins alié- nistes allemands de Weimar (1891), Botel
e traitement. P. Sérieux. SOCIÉTÉS SAVANTES. CONGRÈS ANNUEL DES MÉDECINS ALIÉNISTES ALLEMANDS TENU A HAMBOURG LES 13 ET
s établissements dirigés par des ecclé- siastiques. L'attention des médecins a depuis longtemps été attirée sur cette questi
plusieurs centaines d'aliénés et d'épileptiques, il n'existe pas de médecin résident et le traitement est en réalité dirigé p
t en réalité dirigé par des religieux propriétaires de l'asile. Les médecins attachés soi- disant à l'établissement n'y vien
lades, les aliénés n'étaient l'objet d'aucun traitement sérieux, le médecin ne venant même pas quotidiennement faire sa vis
a population est de 187 malades, le service médical est confié à un médecin prati- cien qui touche un traitement de 300 mar
ouche un traitement de 300 marks. Il serait nécessaire que tous les médecins aient des notions de psychiatrie; et pour cela
surveillance, il est encore indispensable d'augmenter le nombre des médecins si l'on veut traiter les malades. Au point de v
ées à ceux qui voudront ouvrir un asile privé. On devrait exiger du médecin responsable des garanties au point de vue de sa
fût-ce à un ecclésiastique, à une société de bienfaisance, etc. Le médecin responsable doita\oir une instruc- tion solide
années assistant dans un asile. Il ne peut être remplacé que par un médecin présentant les mêmes garanties et dont le gouve
lades incurables, mais encore dans les hospices d'incurables que le médecin doit être tenu à la résidence. Au-dessus de 100 m
e tenu à la résidence. Au-dessus de 100 ma- lades on doit exiger un médecin à demeure. Si le nombre des malades augmente, d
an, avec l'assistance du mé- decin d'arrondissement (Kreisphysicus, médecin fonctionnaire). Les aliénés traités dans des fa
euses pour les malades et pour les établissements eux-mêmes, si ces médecins avaient des notions plus étendues en psychiatri
voir rappelé les attaques récentes dont les asiles d'aliénés et les médecins aliénistes, ont été l'objet à la suite dus fait
d'aliénés offre en outre des dangers sérieux pour les malades, les médecins et le personnel de surveillance. Comme l'a très
t de leur famille, c'est anéantir le zèle et l'ardeur au travail du médecin , dont les efforts deviennent vains; c'est un mo
e ceux-ci. Au point de vue de l'utilité qu'il y aurait à exiger des médecins des notions de psychiatrie, on est généralement
gramme des matières des examens. Il serait utile aussi d'exiger des médecins qui veulent entrer au service de l'Etat comme K
ns suivantes qui sont adoptée-5 à l'unanimité : I. Le Congrès des médecins aliénistes allemands déclare de nouveau considé
d'épileptiques, d'idiots qui ne sont pas soumis à la direction d'un médecin respon- 1 Les critiques formulées par l'auteur
iers ou à des congrégations religieuses doivent être dirigés par un médecin responsable et être soumis à la surveillance des
cin responsable et être soumis à la surveillance des autorités. Les médecins ayant des connaissances théoriques et pratiques e
t comprendre une épreuve de psychiatrie. L'examinateur doit être un médecin aliéniste. III. L'encombrement excessif de nomb
e source d'inconvénients graves et de dangers pour les malades, les médecins etle personnel de surveillance. Il est urgent d
ce des aliénés », ayant à sa tête un aliéniste secondé par d'autres médecins aliénistes. MM. Grashey et LUDWIG sont désignés
t à l'asile de Friedrichsberg. A l'ouverture de la séance, M. Reye, médecin en chef, souhaite la bienvenue à l'assemblée et
égal. L'auteur insiste sur l'importance pratique qu'il y a pour les médecins aliénistes à échanger leurs vues sur la question
oubles pathologi- ques, et avant tout de conceptions délirantes. Le médecin doit montrer comment le malade est arrivé à cré
essionnelle de l'état-major médical, ce qui im- plique le choix des médecins uniquement d'après leurs capacités, en même tem
kel); Par le D' Roueres HIRSCHBEBG. I. En 1890 au 63° Congrès des médecins allemands à Brème, le D" Frenkel fit une courte
jambes. Exercices d'équilibre statique. Le malade est debout, le médecin se tient à côté de lui. Si le malade ne marche pl
omme on le voit les éléments de nos mouvements usuels. Néanmoins le médecin ne devra pas se tenir schématiquement à ces exe
antité de force musculaire sans réparer la perte par le repos. Le médecin devra donc exactement prescrire au malade pen-
exagérations leur sont très nuisibles. Les exercices en présence du médecin devront être faits éga- lement avec beaucoup de
ourtoisie l'honneur d'ouvrir officiellement le septième Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pa
, non plus, d'oublier que je parle au milieu de professeurs et., de médecins qui donnent leur travail et leur vie à la lutte,
tranchée. Nous ne pouvons que nous en féliciter dans l'intérêt des médecins qui étudient l'une ou l'autre des deux grandes
sort que par l'accord intime et confiant des administrateurs et des médecins . Aussi sommes-nous toujours heureux de voir les
ire, leurs conseil- lers les plus sûrs. Messieurs, le Congrès des médecins aliénistes etneuroglistes dont nous allons ouvr
des sciences psychiatriques et neurologiques. Créé en 1890, par les médecins aliénistes seuls, il devait tout d'abord n'y êt
nés. Le Congrès de médecine mentale est alors devenu le Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pa
e nature à frapper tous les esprits non prévenus, et la plupart des médecins aliénistes reconnaissent aujourd'hui que beaucoup
lèmes à l'esprit du pliilosophe, du législateur, du moraliste et du médecin . Dans l'occurrence présente, il convient, pourt
tion. Il emprunte sa principale valeur à l'autorité de la parole du médecin et aux manifestations d'une bienveillance affec
le, dont les efforts de dissimulation peuvent parvenir à tromper le médecin et l'amener à croire à la disparition de concep
de la maladie avant l'admission. - Les malades soumis aux soins des médecins d'asile le sont trop souvent longtemps après le
erreur de diagnostic; ce qu'il faut examiner c'est la compétence du médecin certificateur, et on peut exiger des études spéci
seule donnera la solution de la situation actuelle intolérable des médecins d'asiles écrasés par des contingents de 500 à 600
es voue à une incurabilité fatale, et par l'impossibilité où est le médecin de les connaître. Noyés parmi ces chroniques, l
chement, estime qu'il y aurait quelque chose à faire pour mettre le médecin en situation de respecter à la fois et la loi et
el le secret médical peut être engagé, peut, après avis motivé d'un médecin soumis d'une façon strictement confidentielle au
s aliénés qui ont été admis sans apporter avec eux ni certificat de médecin , ni demande d'un parent, ni pièce officielle qu
ité administrative pour l'internement, le D'' Rouby raconte que les médecins anglais trouvent des inconvénients sérieux à l'
des malades pour montrer tous les ennuis apportés aux parents, aux médecins et aux malades eux-mêmes, par l'application de
lus grandes que l'intervention médicale est plus rapide. Pour nous, médecins , c'est une vérité banale. Mais il n'en est pas de
rce que les familles ne sont pas renseignées, parce que beaucoup de médecins ignorent qu'ils peuvent envoyer directement les
légales accomplies. M. Garnier a fait au sujet des certificats des médecins , indispen- sables pour le placement, des remarq
rvice doivent être limités. Dans beau- coup d'asiles, le nombre des médecins , par rapport à la population des malades est be
s asiles de la Seine, par exemple à Villejuif, où il n'y a que deux médecins en chef et deux médecins adjoints pour 1,500 ma
exemple à Villejuif, où il n'y a que deux médecins en chef et deux médecins adjoints pour 1,500 malades et quelquefois davan-
l en est ainsi à Marévitte, où pour 1,700 aliénés il n'y a que deux médecins en chef. L'organisation des asiles doit être esse
nt désencombrement; 4° limitation du nombre des malades pour chaque médecin ; - 50 personnel secon- daire instruit professi
ur éviter des rechutes et par- tant des dépenses nouvelles. Nous, médecins , je le redis, nous sommes, je crois, unanimes s
quel le secret médical peut être engagé, peut, après avis motivé du médecin , soumis d'une façon strictement confidentielle
épreuves photographiques et moulage en plâtre. 111. le Dr Pichenot, médecin en chef de l'asile de Montdevergues (Vaucluse).
t que, comme la plupart des obsédés, ils la cachent à tous, sauf au médecin , à qui ils ouvrent leur âme ulcérée, lui parlan
t égard toutes sortes de combinaisons étranges qu'ils proposent aux médecins . Tel ce ma- lade demandant à l'un de nous « si
artir du le, juillet (10 juillet); - 1\1. le D1' KERAVAL, dilecteur médecin de l'asile d'A rmentières, est promu à la Ire c
sse du cadre à partir du 1cr juillet (20 juillet) ; M. le D'' ADAM, médecin en chef de l'asile de Clermont (Oise), est prom
intérêts, à ceux de l'Etat qui veille au bien-être des aliénés, des médecins et administrateurs, comme à ceux des contribuab
DES ALIÉNÉS DANS L'ÉTAT DE NEW-YORK. 273 doit être prescrit par les médecins , et reconnaissent, avec la com- mission, qu'il
es d'aliénés, qui serait dirigé par un professeur spécial et où les médecins pourraient se livrer à des recherches anatomiqu
laires. - La commission voudrait encore qu'on fît un classement des médecins , etc., de manière à établir partout des traitem
ransfert des fous indigents aux hôpitaux d'Etat, les honoraires des médecins , les salaires des employés, les réparations ord
er sur quelles bases se règlent le choix et les appoin- tements des médecins , ainsi que les promotions dans le service médic
es promotions dans le service médical. 11. Indiquer le nombre des médecins par rapport au nombre des malades, aussi bien e
ivement des méde- cins en chef et des internes. 12. Le nombre des médecins est-il suffisant, selon vous, pour assurer à to
fonctionnaires résidents. 14. Les appointements et suppléments des médecins suffisent- 276 asiles d'aliénés. ils, selon v
établir l'uniformisation des soldes ? 16. Dans quelle proportion le médecin en chef (directeur tou- jours), consacre-t-il r
ous en voyez, à une semblable divi- sion ? 18. Combien, parmi les médecins de l'hôpital, ont des grades universitaires (co
iversitaires (collège graduâtes) ? 19. Quelle est la proportion des médecins de l'hôpital ayant suivi avant de se spécialise
; si oui, qui les fait et dans quelle mesure ? Avez-vous, parmi vos médecins , des profes- seurs attachés à des écoles médica
blica- tions médicales et générales. 25. S'il y a un ou plusieurs médecins de l'hôpital qui aient fait quelques publicatio
ychologiques, en donner l'indication. 26. Dans quelle mesure, des médecins du dehors, spécialistes ou autres, ont-ils été
s à l'hôpital ? Serait-il à propos, selon vous, d'avoir un corps de médecins con- sultants ? 27. Décrire la marche suivie
érature de l'eau, la fourniture des serviettes, etc. ; y a-t- il un médecin chargé de la surveillance des bains et dans quell
cteurs pensent qu'il vaudrait mieux les uniformiser. 16 et 17. Le médecin en chef est toujours médecin-directeur. La moit
r les deux fonctions. 18. Instruction universitaire. Sur plus de GO médecins , 19 seu- lement ont fait des études classiques.
es hôpitaux généraux avant de se spécialiser. 20. Généralement le médecin en chef et ses adjoints instruisent t les jeune
alement le médecin en chef et ses adjoints instruisent t les jeunes médecins en faisant leurs visites. Ces derniers ont pour
, dont l'ins- tallation n'est pas parfaite partout. 23. Sur les 9 médecins en chef, 4 sont professeurs dans des col- lèges
viennent faire des leçons cliniques à l'hôpital. 1. 25. Quelques médecins ont publié des articles et des observations dan
trois dirigent même ces journaux. 26. On appelle quelquefois des médecins du dehors en consul- tation ; les familles des
ue partout, avec l'autorisation des familles, sous la direction des médecins du service. Le chiffre en est très variable : s
cs. ») L'examen utérin, quand il est indiqué, est confié à la femme médecin . - 31. Les médecins font partout un cours aux i
n, quand il est indiqué, est confié à la femme médecin. - 31. Les médecins font partout un cours aux infirmiers, dans lequ
emande même des chambres individuelles pour les cas très aigus. Les médecins font tout ce qu'ils peuvent pour suppléer aux d
cours pour l'instruction des infirmiers et infirmières. Ce sont les médecins qui en sont chargés à tour de rôle. Le cours du
peu après leur admission. On pourrait donner plus de latitude aux médecins pour modifier le régime extra des malades. 54.
e. Chaque ma- lade a sa serviette personnelle pour chaque bain. Les médecins ne président pas toujours à l'administration de
. Gilles DE LA TOUItETTE, professeur 'agrégé à la Faculté de Paris, médecin des hôpitaux. (Nouv. Iconog. de la Salpêtrière,
O- CIATION SYR(NGOMY1LIQUE ; par MM. V. HANOT, professeur agrégé, médecin de l'hôpital Saint-Antoine et Henry Meunier, inte
gomyélie avec anesthésie locale; par M. le profes- seur F. RAYMOND, médecin de la Salpêtrière. (Nouv. iconogr. de la Salpêt
LLES DE la TOURETTE, professeur agrégé de la Faculté de médecine, médecin des hôpitaux. (Nouv. iconogr. de la Salpêtrière,
st hyperplasié, C. VI. La pelade POST-ÉPILEPTIQUE; par M. CH. Féré, médecin de Bicêtre. (Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière,
me ET FI111- NISME chez un épileptique ; par M. P.-C.-J. VAN BRERo, médecin de l'asile des aliénés à Buitenzorg (Java). (No
sile se compose d'un direc- teur administratif, M. Denizet, de deux médecins en chef, M. le D'' Paris, notre distingué colla
s de traitement et le nombre des guérisons diminue. Le nombre des médecins est tout à fait insuffisant, il est impossible au
e des médecins est tout à fait insuffisant, il est impossible aux médecins même les plus dévoués de traiter 800 malades : c'
x médecins même les plus dévoués de traiter 800 malades : c'est 4 médecins qu'il faudrait. Ils auraient encore plus de 400 m
ent encore plus de 400 ma- lades, chiffre supérieur à celui que les médecins ont à soigner dans la plupart des autres pays.
mu en parlant de cet asile de Maré- ville, qui a tant intéressé les médecins aliénistes qui l'ont visité. Ce ne sont pas tan
piésidentde la commission administra- tive de l'asile, ainsi qu'aux médecins en chef de l'établissement. M. Demonet, préside
ur de l'asile de Maréville et à celle des docteurs Paris et Vernet, médecins eu chef de l'établissement. Je n'aurais jamais
t éclairée de notre directeur, à la science et au dévouement de nos médecins en chef. Certes, je n'oublierai pas le précieux
administration, par l'habileté professionnelle et la science de nos médecins , que nous poursui- vrons sans relâche des améli
vrons sans relâche des améliorations dans tous les services. Aux médecins de soulager et guérir ; à nous, ignorants des sci
de M. le préfet Stéhelin, de M. le directeur Denizet et de MM. les médecins en chef de l'a-ile, les docteurs Paris et Verne
de la dernière séance, il est procédé à l'élection de M. Soukanof, médecin de la clinique psychiatrique de Moscou, candida
de séméiologie des maladies [mentales à l'usage des méde- cins, des médecins légistes et des étudiants; par le professeur Enri
ratiquement la lutte scolaire contre l'alcoolisme. Le Dr Legrain, médecin en chef à l'asile de Ville-Evrard, prési- dait
S émotions morales SUR LE physique. Cette influence bien connue des médecins et qui explique la plupart des guérisons préten
s systèmes. La municipalité a l'administration de ses asiles : deux médecins directeurs généraux gouvernent l'un les quatre
'enquête le justifie abso- lument. Le directeur général et les deux médecins en chef sont signalés, en particulier, pour leu
lés, en particulier, pour leurs mérites considérables et les autres médecins sont généralement dignes d'éloges. La façon dont
du personnel médical pour les établissements de New-York, ceux des médecins des asiles de Kings étant un peu inférieurs.
s malades. - Accusation légère qui tient probable- ment à ce que le médecin en chef seul a le droit de prescrire ce genre d
t d'être aussi complet qu'il devrait l'être. Cependant, le Dr Dent, médecin en chef, a déclaré qu'il n'avait jamais eu la m
phine à la fois ; 0 gr. 60 d'hyos- cyamine ; 5 gr. 5 de chloral. Le médecin qui a prescrit ces doses dit que la malade avai
3 fous congédiés comme guéris l'année précédente. Ils comptent 36 médecins (soit 1 par 24 malades). Quelques-uns sont propri
oit 1 par 24 malades). Quelques-uns sont proprié- taires et ont des médecins adjoints ou des consultants. La plupart résiden
rte, à l'internement perpétuel. Lorsque, malgré tous les efforts du médecin , un cas devient décidément chronique, c'est sou
Allg. Zeitschr. f. Psychiatrie, t. LU, fasc. 1, p. 166-184.) \ Le médecin aliéniste a rarement l'occasion d'observé; des
d'un infirmier expérimenté. Cette méthode est très pénible pour le médecin et pour l'infirmier qui se trouvent forcés d'ex
cellule, où il éprouva tout à coup une crise de la maladie que les médecins appellent épilepsie, d'un mot grec, ou mal sacr
reproches. « On le porta à l'infirmerie, et on appela deux célèbres médecins qui se trouvaient alors à Bayeux. Leur art rest
épu- blique de Cambrai et le juge d'instruction, accompagnés d'un médecin légiste, se sont rendus aussitôt à la ferme désig
vons reçu la lettre suivante qui mérite d'attirer l'at- tention des médecins et des administrateurs. 3 octobre 1896. Monsi
Asiles d'aliénés. Nominations et promotions. M. le Dr PHCUAR- MAN, médecin adjoint de l'asile de Clermont, est promu à la
la frétasse du cadre à partir du 16 juillet; - M. le Dr Cnocaaes, médecin adjoint à l'asile de Bailleul, est élevé à la Ire
a Ire classe du cadre à partir du 1er septembre ; M. le Dr Charuel, médecin adjoint J'asile de Châlons-sur-Marne, est élevé
élevé à la 1'c classe à partir du ICI' septembre ; M. le D'' UAMEL, médecin adjoint à l'asile de Saint-Yon est élevé à la 1
? classe du cadre à partir du 1er septembre 1896 ; M. le D'' Beutz, médecin adjoint à l'asile de Dury, est élevé à la 1 ? c
ET A SYSTÉMATISATION DITE PRIMITIVE1 1 A. MARIE, cr Cu. VALLON, Médecin en chef de la colonie Médecin en chef de l'Asile
IMITIVE1 1 A. MARIE, cr Cu. VALLON, Médecin en chef de la colonie Médecin en chef de l'Asile de 1)un sur-Auron. 6 de Vill
magnifiques tableaux. » (Histoire d'un fou guéri deux fois par les médecins et une fois sans eux.) Un malade de Lélut enten
ne petite infirmerie pour deux et trois malades ; la signature d'un médecin , le Dr Desfray, figure pour la première fois au
une proposition de sortie et que, il l'avenir, il devait exiger des médecins un rapport trimestriel sur chaque malade. En
l'intérieur; il leur conseillait de consulter les lumières de leurs médecins , ces derniers ayant d'ailleurs à régler leurs v
vaient pas manqué de consulter les membres du conseil de santé. Les médecins avaient donné leur avis par écrit, etn'avaient
pas encore achetés 3° Une table de cuisine et un billot ; 4° Les médecins réclament, dans chaque chauffoir, une table en-
tes en plus comme suit : 6 bois de lits suivant l'indication de nos médecins . 4 grands baquets ferrés. 10 vestes de laine,
spice des aliénés et fixe leurs traitements ou salaires annuels : Médecins . MM. Desparanches et Desfray alternaient par se
vent habiter, s'est rendue dans le dit local accompagnée de MM. les médecins et du greffier-comptable du nouvel hospice ; el
'y en avait plus que 2'I. L'administration, de concert avec MM. les médecins , a im- médiatement fait placer lesdits individu
nstructions nécessaires pour la direction du service, et de MM. les médecins les indications à suivre pour le régime sanitai
cations à suivre pour le régime sanitaire et alimentaire. MM. les médecins sont entrés aussitôt en fonctions, en pro- céda
brusquement, alors que le réservoir est encore à moitié plein. Le médecin du bord constate à plusieurs reprises la réalité
par le procédé du cordon antisom- ? M[M6 ! <H</M6 (Fiorani). Ce médecin aurait obtenu déjà une gué- rison remarquable e
sur un cas peu commun DE maladie nerveuse; par le Dr L. AB13 MONDI, médecin chef de la marine royale italienne, (Spezia, 18
s bien compte de sa nature et il eu est même qui soutiennent à leur médecin , lequel se perd dans des recherches minutieuses
u quinze jours qu'elle passait habituellement à Pioinbiiio. 4° Un médecin ,âgé de trente ans, très robuste et d'une bonne
I. La chorée variable des dégénérés; par le 1)' BRIS5,1UD. Tous les médecins qui s'occupent plus spécialement de maladies ne
itre, l'intégrité de ses facultés mentales, le fit examiner par des médecins . Les experts n'eurent pas de peine à prouver qu
me sexe sont arrivés au point d'annihiler toute idée de famille, le médecin peut poser le diagnostic d'état mental interdis
ant toute liberté de disposer de sa fortune et même dans ces cas le médecin devrait porter les faits à la connaissance d'un
mulateur ET criminel. Expertise médico- légale; par le D' G. MOTTI, médecin du Manicôme d'Averso. (ft11101'[jl ! gni, 1895,
ntaux caractéristiques ; ce qui la complique un peu, c'est que deux médecins , appelés d'abord à émettre leur avis, avaient d
confrères, il ne veut pas les juger, seulement il rappelle que ces médecins ne sont pas aliénistes.Il dit aussi que si Vox es
rit de ceux qui nous gouvernent de placer à la tête des prisons des médecins , surtout des médecins 478 8 REVUE DE MÉDECINE L
ouvernent de placer à la tête des prisons des médecins, surtout des médecins 478 8 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. criminalistes
commence par la description d'un exhibitionniste : il H s'agit d'un médecin qui, le soir, s'approchait des dames ou de;. gr
ein des sociétés de psychia- trie et en dernier lieu au congrès des médecins aliénâtes du Sud-Ouest de l'Allemagne, à Karlsr
être conduit, couché dans son propre lit, est indispensable. 5° Un médecin ou un surveillant en chef doit résider dans le
6.) - Voilà deux faits encore qui montrent la nécessité, pour tous ( médecins , administrateurs, con- seillers de tout genre,
lie par le procédé de Wei.-ert, par VolrIeng, 481. Concours des médecins adjoints des asiles, 76. Congrès annuel des m
Concours des médecins adjoints des asiles, 76. Congrès annuel des médecins alié- llistes allemands, par Sérieux, t35. -
38 (1889) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1888
ET ARRIÉRÉS DE BICÊTRE PENDANT L'ANNÉE 1888 PAR BOURNEVILL E MÉDECIN DE 13[CÊTIIE COURBARIEN, RAOULT, SOLLIER INTE
- A. Harler ; Coffignon, publiciste ; Dr Coutinho ; - D'' Bétous, médecin consultant à Barèges ; Dr Biaute, médecin on ch
Coutinho ; - D'' Bétous, médecin consultant à Barèges ; Dr Biaute, médecin on chef du quartier d'aliénés de l'hospice de N
d ; D' Ladame (de Genève) ; Lavy, conseiller municipal ; D''Magnan, médecin de l'Asile clinique ;M. Marcelin(de Neuilly) ;
onnée d'apprendre que la direction de la section était confiée à un médecin ; elle ignore que les nombreux asiles consacrés
enfants idiots, en Angleterre, aux Etats-Unis, etc., sont dus à des médecins et dirigés par eux. Maladies épidémiques. - N
HÔPITAUX-HOSPICES DE PROVINCE. Nous avons toujours pensé que les médecins avaient non seulement le devoir de mettre toute
d'idiotie crétinoïde 1. Un autre de nos amis, M. le D'' Guillaumin, médecin à Nogent-le-Roi, dans le même dépar- tement, no
le Dl' Bricon, ainsi que nous aurons l'occasion de le démontrer, le médecin belge rappelle nos tra- vaux et déclare que c'e
heureu- sement, cette constatation est très difficile à faire, le médecin ne se trouvant que rarement là au moment des ac
es; là il eut de grandes crises pour la première fois, crises qu'un médecin aurait qualifiées d'épileptiqztcs. Revenu à Par
prise qu'après réflexion et après un examen médical sérieux. Si les médecins de ces établissements exami- naient avec soin c
époque, vers douze ans, il fut atteint de crises convulsives qu'un médecin aurait quali- fiées d'épileptiques. Jamais ses
tT SUR l'organisation d'un concours pour l'admission aux EMPLOIS DE MÉDECINS ADJOINTS DES ASILES D'ALIENES, au Hou de la Com
ENES, au Hou de la Commission spéciale composée de MM. BOURNEVILLE, médecin de Bicêtre, député de la Seine, président; Donn
NEVILLE, médecin de Bicêtre, député de la Seine, président; Donnet, médecin direc- teur de l'Asile de Vaucluse, et GIRAUD,
ent; Donnet, médecin direc- teur de l'Asile de Vaucluse, et GIRAUD, médecin directeur de l'Asile S'-Yon1. 'IIIiIIi\ Monsi
illeur mode de concours à organiser pour l'admission aux emplois de médecins adjoints des asiles publics d'aliénés. La commi
occuper de la question de principe, c'est-à-dire du recrutement des médecins adjoints par le concours, puisque ce mode de re
nts. De plus, M. Herold avait ultérieurement décidé que la place de médecin adjoint de l'Asile clinique (Sainte-Anne) serait
te-Anne) serait donnée à lasuite d'un Concours analogue à celui des médecins des quartiers d'aliénés de Bicêtre et de la Sal
n'avait pas voulu étendre ce mode de nomination au recrutement des médecins Afin de dégager notre responsabilité au sujet d
ministériel qui lise les conditions du concours pour les places de médecins adjoints dans les asiles, nous publions le rapp
n, ainsi que le rappelait M. Regnard, avait formulé ce voeu que les médecins adjoints et les médecins en chef des asiles fus
M. Regnard, avait formulé ce voeu que les médecins adjoints et les médecins en chef des asiles fussent nommés au concours 2.
art les hommes qui ont l'ambition de faire leur chemin à Paris, les médecins désireux d'entrer dans les asiles tiennent à rest
une oligarchie médicale et aussi celle d'éloigner plutôt les jeunes médecins de la spécialité des maladies mentales. Mais ce
ales. Mais cette oligarchie médicale existe dès maintenant pour les médecins des hôpitaux de Paris, pour les mé- decins des
up d'internes des hôpitaux qui se font inscrire pour le Concours de médecins ou de chirurgiens se dirigeraient sur celui des
le nouveau projet de loi sur les aliénés, adopté par le Sénat, les médecins adjoints seront nommés sur une liste de présent
organiser au siège de ces facultés, un concours pour les places de médecins adjoints vacantes dans les asiles du ressort de
aliénés, par l3ounxFwo.vs (1SS3). 82 APPENDICE. il estime que les médecins adjoints d'une région pourront être nommés méde
estime que les médecins adjoints d'une région pourront être nommés médecins en chef ou médecins directeurs dans toutes les
cins adjoints d'une région pourront être nommés médecins en chef ou médecins directeurs dans toutes les autres régions. M.
t pas fondée. En pratique, les jeunes docteurs qui désirent devenir médecins d'asile ne se conten- tent pas de faire une dem
is. En second lieu, il soutient avec M. Donnet que l'avancement des médecins adjoints ne devrait pas être limité à la région
des chefs de service, car ce serait créer des inégalités parmi les médecins adjoints. » On serait même amené à retarder l'ava
service au début de leur carrière, on nuira au bon recrutement des médecins aliénistes, parce que ceux qui acceptent volontie
des postes de début. Ces asiles ne seront plus demandés que par des médecins ayant des intérêts dans le pays, et souvent n'a
teront à prendre part à des concours qui les exposent à aller comme médecins adjoints à l'autre extrémité de la France. L'in
voté les résolu- tions suivantes : Le concours pour les places de médecins adjoints des asiles d'alié- APPENDICE. 83 nés
i concourir dans toutes les régions, suivant leur convenance. Les médecins adjoints pourront être nommés médecins en chef ou
suivant leur convenance. Les médecins adjoints pourront être nommés médecins en chef ou médecins-directeurs dans toute la Fr
la tutelle des aliénés, elle aurait procédé pour la nomination des médecins de Sainte-Anne, Ville-Evrard et Vaucluse, comme
Sainte-Anne, Ville-Evrard et Vaucluse, comme elle l'a fait pour les médecins des quartiers de Bicêtre et de la Salpêtrière et
e la Salpêtrière et que les chefs de service de ces asiles seraient médecins des hôpitaux comme l'étaient ou le sont : MM. T
autant que possible, à celles des concours pour le recrutement des médecins ordinaires des hôpitaux. A Paris, par exemple,
hôpitaux. A Paris, par exemple, les conditions pour les places des médecins , chefs de service de l'Asile clinique (Sainte-A
ent les mêmes que celles qui ont été établies pour les concours des médecins alié- njstes de Bicêtre et de la Salpêtrière, l
trière, lesquelles sont calquées sur les conditions du concours des médecins des hôpitaux. Il va de soi que les médecins de
ditions du concours des médecins des hôpitaux. Il va de soi que les médecins de Bicêtre, de la Salpêtrière et de Sainte- Ann
concours, auront la faculté de choisir leurs ser- vices, comme les médecins des hôpitaux, et au sur et à mesure des vacance
Commission pense que, de cette façon, on excileraitl'émulation des médecins adjoints et on rendrait d'incontestables services
peut présenter, pour le service, la vacance prolongée d'un poste de médecin adjoint dans les asiles où il n'y a qu'un médecin
gée d'un poste de médecin adjoint dans les asiles où il n'y a qu'un médecin de ce grade. Dès que le médecin disponible sera
t dans les asiles où il n'y a qu'un médecin de ce grade. Dès que le médecin disponible serait placé et qu'il se produirait
vacance, on procéderait à un concours pour deux places. Le premier médecin nommé occuperait la vacance et le second rester
e le jury désigné par M. le ministre de l'intérieur se composera de médecins en chef des asiles et d'un inspecteur général d
e, suivant le cas, pourra être dé- signé aux lieu et place d'un des médecins des asiles d'aliénés » et z que les juges serai
que les juges seraient au nombre de cinq. 4 Le jury du concours des médecins aliénistes de Bicêtre et de la Sal- pêtrière se
ns aliénistes de Bicêtre et de la Sal- pêtrière se compose de trois médecins ordinaires des hôpitaux et de quatre médecins a
e se compose de trois médecins ordinaires des hôpitaux et de quatre médecins aliénistes tirés au sort. · APPENDICE. 85 La
rticle, ainsi qu'il suit : . « Le jury sera composé : 1° de trois médecins en chef des asiles de la région ; - 20 d'un ins
ur désigné par la Faculté de médecine ; 4° d'un juge suppléant. Les médecins en chef et le juge suppléant seront tirés au so
ns en chef et le juge suppléant seront tirés au sort parmi tous les médecins en chef des asiles de la région. L'avis des ins
hé, vous voudrez bien organiser le concours pour le recrutement des médecins adjoints de tous les asiles de France et un con
isons ci-après. CONCLUSIONS. I. -Le concours pour les places de médecins adjoints dans les asiles d'aliénés de France, d
courir dans toutes les régions, suivant leur convenance. 11.- Les médecins adjoints pourront être nommés médecins en chef
leur convenance. 11.- Les médecins adjoints pourront être nommés médecins en chef ou médecins-directeurs dans toute la Fr
s seront équivalentes à celles des concours pour le recrutement des médecins ordinaires des hôpi- taux. Dans le cas où il y
u de la région toutes les fois que le nombre des places vacantes de médecins adjoints, ou des vacances à prévoir, sera de de
celui des places vacantes. V. - Le jury sera composé : Io de trois médecins en chef des asiles de la région ; 2° d'un inspe
désigné par la Faculté de méde- cine ; 4° d'un juge suppléant. Les médecins en chef et le juge APPENDICE. Si -1 suppléant
ge APPENDICE. Si -1 suppléant seront tirés au sort parmi tous les médecins en chef de la région. VI. Les épreuves seront
s aliénés sont conservés quinze jours et quelquefois davantage. Les médecins de l'hôpital se plaignent d'autant plus vivemen
39 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
hologie a été considérable. Une affluence nombreuse d'auditeurs : médecins , étudiants et psychologues dont l'esprit est ouve
ndition pour faire de la médecine expérimentale, c'est d'être d'abord médecin observateur; c'est de partir de l'observation pur
ar M. le Dr BilhaUT Chirurgien de l'Hôpital international. Quand le médecin a assumé la responsabilité d'un traitement, il do
es il aura recours n auront aucun effet dans la plupart des cas si le médecin ne sait donner à sa prescription toute l'autorité
iption ait été faite d'un air distrait et indifférent; il faut que le médecin semble attacher une valeur quelconque à ce qu'il
nque à ce qu'il ordonne. Le succès sera d'autant plus assuré que le médecin aura mis plus de poids, plus de résolution, en mê
mps plusd'aulo-rité à indiquer les formules nécessaires. Pour qu'un médecin soit absolument pénétré de la valeur de sa thérap
paralysie et d'anesthésie dans la main et l'avant-bras gauches. Le médecin traitant avait fait une exploration aussi complèt
. Est-ce donc par suite d'une tendresse toute particulière pour les médecins que les législateurs ont agi ainsi, ou tout simpl
e. Toux hystérique chez un jeune garçon (1). par M. le D. VARIOT, médecin de l'Hôpital des Enfants-Malades Voici un collé
e la Toussaint. Tout d'abord les profes- (1) Clinique du Dr Variot, Médecin de l'Hôpital des Enfants Malades. seurs ne s'
ison. [A suivre) CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Congrès annuel des médecins aliénistes et neurologistes Session de Grenoble
us tard. N Le Secrétaire général du Congrès est de M. le Dr Bonnet, médecin en chef de l'Asile de Saint-Robert (Isère). La
, et Bérillon, secrétaire général, pour la représenter au congrès des médecins aliénistes et neurologistes. Banquet de la Soci
éance annuelle du 17 juin a été très brillant. M. le Dr Jules Voisin, médecin à la Salpétrière, présidait. A ses côtés avaient
e Dr Albert Robin, membre de l'Académie de médecine, le Dr Landrieux, médecin de Lari-boisière, le Dr de Jong, d'Amsterdam, le
Méru, M. Boirac, recteur de l'académie de Grenoble, M. le Dr Leblond. médecin de St-Lazare.etc, etc. Au dessert. M. Jules Voisi
sa couronne. Galien pendant un rêve apprend de son père qu'il sera médecin ; et Galien s'adonne à l'étude de la médecine.
xcusent de ne pouvoir assister à la séance MM. le professeur Raymond, médecin de la Salpêtrière, membre de l'Académie de médeci
émie de médecine, le Dr Albert Robin, professeur agrégé à la Faculté, médecin de la Pitié, membre de l'Académie de médecine, le
decin de la Pitié, membre de l'Académie de médecine, le Dr Landrieux, médecin de Lariboisière, le Dr Arie de Jong (d'Amsterdam)
urs à l'Ecole de Psychologie, le Dr Bourdon (de Méru), le Dr Leblond, médecin de Saint-Lazare, etc. Les communications portée
néral, M. le Dr Bérillon, pour la représenter au prochain Congrès des médecins aliénistes et neurologistes, qui se tiendra à Gre
sychologie tend à prendre de plus en plus dans les préoccupations des médecins et en particulier des aliénistes. En publiant ce
tous les autres traitements. Ils le réclament malgré les conseils des médecins les plus autorisés et le succès leur donne le plu
ypnotisme comporte quelques difficultés. Elle nécessite de la part du médecin certaines aptitudes et un entraînement constant.
ics par la suggestion hypnotique sera donnée aux nombreux assistants, médecins et étudiants, qui se pressent aux consultations e
; 2° le zèle et le dévouement du secrétaire général, M. le Dr Bonnet, médecin en chef de l'asile de Saint-Robert ; 3° le grand
résident, M. le professeur (1) Discours de réception au Congrès des médecins aliénistes et neurologisles {1902). Régis, le
s et neurologisles {1902). Régis, les membres du XIIe Congrès des médecins aliénistes et neurologistes, qui ont choisi notre
parcouru, avec lui, l'asile de Saint-Robert, dont il est le distingué médecin en chef. Il a su, en artiste qu'il est, marier,
e de nos études et de la direction habituelle de notre esprit. Le médecin est habitué à considérer la genèse et l'évolution
ienne métaphysique. Aussi bien n'est-ce pas la première fois que le médecin devient, par la force des choses, physiologiste.
ecteur, vous avez bien voulu honorer de votre présence une réunion de médecins , dont un grand nombre, il est vrai, sont l'honneu
st-à-dire dans les deux dispositions d'esprit les plus nécessaires au médecin . Vous appartenez d'ailleurs à cette Ecole de
encore la nature des modifications subtiles que cet état subit. Un médecin vitaliste et psychologue : J.-B. van Helmont -
e Villers et Stornius de faire des leçons de chirurgie au Collège des Médecins de Louvain. « J'eus, dit-il, la présomption d'e
ent le père de la Médecine dans ses ouvrages : c'est du reste le seul médecin de l'antiquité qui ait trouvé grâce devant lui. I
nvention pleine d'imposture. Les Romains ont vécu cinq cents ans sans médecins . Chez les Grecs l'art de guérir est trompeur : le
il n'a qu'à s'occuper de son salut. » Il en conclut qu'il doit être médecin et depuis lors il voit et soigne des malades tout
le considèrent comme un Dieu qui a su guérir des malades que d'autres médecins n'avaient même pas pu soulager; mais ses amis ne
ou des opérations, soit parce que les traitements recommandés par les médecins sont restés inefficaces, on a recours dans certai
st indispensable que personne ne parle au porteur de verrues. Les médecins ont une tendance à se moquer de ces pratiques et
. Mme M. E. recourt à tous les remèdes usuels puis consulte plusieurs médecins , sans aucun résultat. Ses amies lui conseillent d
st pas encore connu. nombre de verrues au front et aux mains. Son médecin les lui traita par le couteau, les ciseaux, les c
ions n'amenaient aucun résultat le jeune homme cessa d'aller voir son médecin . Celui-ci, quatre semaines après, ayant rencontré
mes régions qu'auparavant. A la suite d'une consultation de plusieurs médecins , on décide de soumettre la jeune malade à un trai
iscine, elle s'était levée, avait marché et était venue au bureau des médecins , suivie d'une foule nombreuse qui constatait avec
és, était criblé de cicatrices. La malade a été traitée par plusieurs médecins et a subi six opérations de curretage ; depuis qu
(6 septembre 1823 LIÉBEAULT, Ambroise, Auguste, docteur en médecine, médecin modeste et homme de bien, qui ouvrit une ère nouv
aient au modeste rôle de « sujet ». Ce jour est encore lointain. Un médecin vitaliste et psychologue : J.-B. van Helmont (1
en vue sa personnalité. Aussi ne veut-il pas se donner le titre de médecin qui ne figure qu'une ou deux fois dans le cours d
re était pour lui de trop peu de valeur; il se considérait plus qu'un médecin et il voulait être considéré comme un être supéri
la médecine une idée extra-terrestre. Pour lui c'est Dieu qui crée le Médecin et non les Ecoles. Le médecin est l'intermédiaire
restre. Pour lui c'est Dieu qui crée le Médecin et non les Ecoles. Le médecin est l'intermédiaire entre Dieu et l'homme. Le méd
poison ayant pris corps dans la pathogénie des maladies à germes, les médecins conseilleront les antidotes, les médicaments qui
livre qui offre autant de plaisir au lecteur curieux que d'intérêt au médecin observateur et au psychologue. Marie-Anne de la V
atement la jeune femme de toute sa rouerie. Comme la malade devant un médecin , elle ne cache plus rien et elle avoue ses comédi
savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière. Communications inscrites :
otique, de l'aboulie des buveurs d'habitude (1) Par le Dr BÉRILLON, médecin inspecteur des asiles d'aliénés. Dans un certai
endunt. Je feins d'oublier que je suis venu auprès de cet enfant en médecin . Je lui raconte une histoire, à laquelle il s'int
ses, surtout chez des sujets jeunes et prédisposés. Si c'eût été un médecin qui eût décrit l'affection de Marie Alacoque, nou
la confirmation de noire manière de voir. En 1896, le docteur Séglas, médecin aliéniste des hôpitaux de Paris, fut chargé de fa
aire un rapport sur une des questions à traiter devant le congrès des médecins aliénistes ; il s'agissait des hallucinations de
iminel on a affaire, et d'appliquer la peine correspondante, comme le médecin fait son ordonnance après avoir reconnu le mal.
ce des personnes ayant reçu une instruction biologique, telle que des médecins , des pédagogues et cela au même titre que ceux qu
savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Communications inscrites : D
çons cliniques d'hypnotisme et depsychothérapie.— M, le Dr Béril-lon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés, commence une sér
rd qu'elle ne l'est à l'égard des autres hommes et en particulier des médecins , vont encore plus loin car certains déclarent qu'
diants en médecine n'ont pas la véritable vocation qui fait seule les médecins utiles, à plus forte raison, ils ne sont pas des
ilosophiques qui lui ont fait tant d'honneur dans le passé. Quand les médecins seront philosophes, ils comprendront la nécessité
dre du jour sont faites dans l'ordre suivant : 1° M. le Dr David, médecin de l'Hôtel-Dieu de Narbonne : Névralgie ancienne
u'un autre, il sait résister aux suggestions d'autrui. En présence du médecin c'est tout différent. L'autorité du médecin le dé
d'autrui. En présence du médecin c'est tout différent. L'autorité du médecin le désarme, l'hypnotise en un mot et réalise seco
erf radial, guérie par la suggestion hypnotique par M. le Dr David, médecin de l'Hôtel-Dieu de Narborme. Les heureux résult
sur le côté sain déterminaient une rougeur très grande. Le premier médecin appelé fut naturellement le médecin de la localit
rougeur très grande. Le premier médecin appelé fut naturellement le médecin de la localité. Celui-ci diagnostique une affecti
longs mois sans aucun résultat. On fit alors appel aux lumières d'un médecin de Narbonne, qui, après avoir soigneusement exami
Les citations précédentes auront suffi à convaincre non seulement les médecins aliénistes et ceux qui ont étudié les maladies ne
par Paray-le-Monial, aujourd'hui par Lourdes. Maintenant, tous les médecins peuvent au moyen de la suggestion faire marcher c
n guérissant des symptômes d'hystérie? N''est-ce pas là ce que, nous, médecins avons à traiter chaque jour? Les symptômes si bie
aits de guérison? Le flambeau brillant tenu par Charcot et d'autres médecins , a éclairé ce coin obscur de la science et a mont
e de deux religieuses, Monseigneur d'Arras cite la déposition de deux médecins et de deux chirurgiens qui avaient traité la mala
mplète de l'hystérie n'était pas faite; sauf la crise convulsive, les médecins eux-mêmes ignoraient les multiples formes que peu
t plus de même aujourd'hui; nous ne sommes plus au XVIe siècle et les médecins du XXe ne regardent plus comme miraculeux les gué
savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin delà Salpêtrière. Communications inscrites : Dr
un avocat incapable de plaider une mauvaise cause; et confie-le à ton médecin ; que celui-ci t'en frotte le point goutteux qui
çons cliniques d'hypnotisme et de psychothérapie.— M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés, a commencé une s
Ecole de psychologie s'adresse avant tout au public scientifique, aux médecins et aux étudiants de toutes les facultés. Il s'adr
a vibration dans la production de l'hypnotisme. par le Dr Bêrillon, Médecin Inspecteur des Asiles d'aliénés Boudet de Paris
ons que cet appareil est appelé à rendre les plus grands services aux médecins hypnotiseurs soit pour favoriser la production du
mbre 1902, p. 677. Cela n'a rien qui puisse nous étonner, car les médecins qui ont de nombreux malades à soigner, n'ont guèr
s phtisiques avancés de la classe pauvre. Seuls sont compétents les médecins qui s'occupent plus spécialement d'hypnotisme et
nerveux et mentaux. Ce qui m'a le plus frappé à cette période où les médecins ne songent pas encore à la tuberculose pulmonaire
nel Dauriac. — Je suis très frappé de la conscience avec laquelle les médecins de nos jours se préoccupent de l'opportunité d'éc
on état; mais je pense qu'il y faut des formes et des ménagements: le médecin de famille peut préparer le malade et son entoura
nt les symptômes hallucinatoires rentrent dans cet ordre d'idées. Les médecins sont nombreux qui pourraient apporter des faits s
savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Communications inscrites :
à 8 h. 1/2 L'hypnotisme et l'orthopédie morale par M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés (avec projections
la lutte contre la dégénérescence mentale par M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpètrière (avec projections). Vendredi
de France, membre de l'Académie des sciences morales ; Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. COURS DE 1903 L'inaugurati
patronage, M. le professeur Lionel Dauriac et M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière, ainsi que tous les professeurs
mesle et MM. Caustier, professeur agrégé de l'Université, et Lépinay, médecin vétérinaire. Une assistance extrêmement nombreu
. Bouteiller, commissaire de police de la ville de Paris, M. Thierry, médecin vétérinaire, directeur de l'Ecole d'agriculture d
M. Fayès, Alix, Grollet, médecins-vétérinaires, et un grand nombre de médecins , de magistrats, de professeurs de l'Université do
lle que celle-ci, composée presque exclusivement de biologistes et de médecins , que l'étude de la Psychologie sous ses diverses
) et une autre de M. le Dr Huchard, membre de l'Académie de Médecine, médecin de l'hôpital Necker. M. le Secrétaire général-a
avantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le Df .Iules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Communications inscrites :
6 h. 45. De la suggestion en pédagogie par M. le Dr Raffegeau, médecin de l'Etablissement hydrothérapique du Vésinet.
suggestionner, même à l'état de veille, et, comme un grand nombre de médecins , je ne néglige pas ce moyen de traitement, lorsqu
ns auquel son nervosisme avait fait interrompre ses études et que son médecin m'avait adressé au Vésinet. Lui aussi, comme be
cru également qu'il était bon d'insister sur le rôle important que le médecin pourrait remplir dans l'école, point qui jusqu'à
à présent a été beaucoup trop négligé par l'autorité supérieure. Le médecin inspecteur des écoles, à mon sens, devrait faire
aractère et des études, combien les professeurs seraient aidés par le médecin psychologue, si celui-ci était consulté pour
suggestion « à l'état de veille apparente ». En effet, le prestige du médecin , son autorité naturelle, la mise en scène, etc.,
'être demain à un haut degré ; et tel, réfractaire à l'influence d'un médecin subira au plus haut point la domination d'un autr
est que je n'en ai pas trouve de meilleur, et que les discours du médecin aidés par une mise en scène produisent en somme u
autres psychothérapeutes, nous restons quand même et par dessus tout médecins . Nous ne négligeons chez nos malades aucune des i
savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpôtrière. Communications inscrites :
de médecine ; Tarde, professeur au Collège de France ; Jules Voisin, médecin de la Salpétrière. Cours de 1903 Hypnotisme t
49, rue Saint-André-des-Arts. Salpétrière. — M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière, fait, tous les jeudis à 10 heu
L'hypnotisme fortuit et l'auto-hypnotisation. par le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés, professeur à l'E
mmes sont doués naturellement de ce pouvoir d'intimidation. Parmi les médecins dont l'influence intimidatrice s'est le plus souv
ent qu'il a sur l'hypnotisme des notions plus claires que beaucoup de médecins . Dans le langage courant le mot hypnotisme est sy
ettait à une critique rigoureuse les observations dans lesquelles des médecins ont affimé qu'ils avaient obtenu un résultat thér
'infirmité complet. « Je réunis au dispensaire un certain nombre de médecins et M. P. Janet, pour qui la démonstration était p
araître par simple influence morale ou mentale. » Ainsi, M. Gibert, médecin en chef d'un dispensaire, entouré d'un groupe imp
t, médecin en chef d'un dispensaire, entouré d'un groupe important de médecins , auxquels il recommande de conserver une attitude
cts : 1° l'hypnotisme expérimental provoqué intentionnellement par un médecin compétent; 2° l'hypno-tisme fortuit ou spontané q
ntal ne présente aucun de ces inconvénients, car entre les mains d'un médecin compétent et exercé, toute application de l'hypno
le fond de mon opinion. Il n'y a pas d'hypnotisme... Pour beaucoup de médecins , le sommeil hypnotique constitue un état anormal,
é par la fougue de la jeunesse, se moquera des recommandations de son médecin . J'ai connu deux garçons de 20 à 22 ans, l'un
odés. Bien sots seraient-ils de suivre à la lettre les ordonnances du médecin . Même insouciance, même indifférence conservée au
dans l'intérieur de son foyer familial, il s'attache également à son médecin . Le phtisique court de droite et de gauche, consu
et à travers. Le cardiaque demeure d'ordinaire un client fidèle. Son médecin , ils le garde. Que de fois n'a-t-il pas été soula
es et de politesse. Le cardiaque répugne à l'effort. S'en tenir à son médecin habituel le dis- -pense de gestes cl de phrases q
. Il avait encore tant à faire. « Vivrai-je six mois, demanda-t-il au médecin qui était près de lui ? a Le médecin ne répondit
rai-je six mois, demanda-t-il au médecin qui était près de lui ? a Le médecin ne répondit pas. « Six semaines seulement, implor
Même silence, « Six jours alors, rien que six jours »? Cette fois, le médecin n'eut plus à répondre. La tète de Balzac s'affais
artériel de vieille date. M. Huchard fut appelé en toute hâte par le médecin traitant. M. Worms. Le malade anhélant, plongé da
line. Le phtisique, lui. fait claquer la porte et envoie promener son médecin . Ce n'est pas lui qui nous informera de ses menus
aime à voyager, le cardiaque reste chez lui ; le phtisique change de médecins , le cardiaque est un client sérieux. La compara
nnent éveillée pendant tout le reste de la nuit (1). cibles, que le médecin se croie, en conscience, obligé de commettre un v
i que leurs suites, ont résisté à toutes les médications. De nombreux médecins , consultés à tour de rôle ou ensemble, ont déclar
savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Communications inscrites :
es citations précédentes auront suffit à convaincre non seulement les médecins aliénistes et ceux qui ont étudié les maladies ne
démonstrative il a pour lui. Je ne veux pas insister, et l'honorable médecin d'Alger ne manquera pas de regretter avec moi les
crois pas en outre qu'il donne une idée suffisante du témoignage des médecins quand il écrit : « Pour attester la vérité du mir
gnage de deux religieuses, Mgr d'Arras (?) cite la déposition de deux médecins et de deux chirurgiens qui avaient traité la mala
uppressions dans le texte ; elles ne peuvent donc convaincre ni « les médecins aliénistes, ni ceux qui ont étudié les maladies n
rd'hui, à étudier nos fonctions mentales au repos : le philosophe, le médecin , l'éducateur, doivent s'efforcer de saisir l'espr
savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Communications inscrites :
ond sommeil hypnotique. L'hypnotiseur avait opéré sans le vouloir. Le médecin de service chercha vainement pendant plusieurs he
ouer dans la production des états hypnotiques. Il est probable que le médecin du théâtre était peu familiarisé avec l'hypnotism
malgré les régimes variés auxquels l'ont successivement astreint ses médecins , il continue à mal digérer. — Ses éruptions et so
que tous les sphincters s'étaient relâchés. La première pensée des médecins qui furent appelés auprès de lui fut d'attribuer
année elles éclatèrent tous les quinze jours. A ce moment, un des médecins qui le soignait, praticien distingué et professeu
quelqu'un pour la vue de mon indignité. Pour nous et pour tous les médecins qui se sont occupés d'hystérie, ce texte veut dir
savantes, 8, rue Danton, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Ordre du Jour : 1° Compte
euxième), par Bérillon et Farez, p. 26, 64, 316. Congrès annuel des médecins aliénistes et neurologistes, p. 31. Congrès de
40 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
decine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). ' F. RAYMOND
re service, non seulement aux neurologistes, ni « encore à tous les médecins . y^y . REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG PATHO
évidemment pour les passagers une bonne fortune d'avoir il bord un médecin qui sache par t'hypno- notisme inhiber le mal d
urée de son sommeil. (.-1 suivre). VARIA (Quinzième congrès des médecins aliénistes et neurologistes de France et des PA
es de France et des PAYS de lingue française. Le t1' Cun·ri' IlI' médecins aliénistes et neurologistes de, FI\U1LC el ! le
7 août, sous la présidence de 31. le. Docteur A. Giraud, directeur médecin du l'asile d'aliénés du Sailll- Yun (Seine infé
lo-Gnngrès figureront parmi les membres adhérents. vaata. 79 Les médecins du toutes nationalités peuvent assister à ce Con-
ations, à 31. le D" J. 817.tll'l'l, accru liure général du Congrès, médecin en chef de l'asile public (le : , aliénés de Re
Asiles lo.\f.fENES. - Mouvement de décembre. - 31. le Dr Ma- rie, médecin en chef du Villejuif, nommé il la classe exceptio
à l'asile de 13ailleit (Nord) ; 31. le Dr 3[A[.FIL.ITRE, directeur médecin à Saint-Lizier 1.\l'iège), promu il la classe e
la classe exceptionnelle ; 31. le D'Chevalier- L\\' vure, directeur médecin il l'asile d'Auch promu à la Ir. classe du cadr
TS DIVERS. à la classe exceptionnelle ; 11. le Dr CHAPON, directeur médecin à Bury (Somme), promu à la 1" classe. Distinc
orifiques ; officiers de l'Instruction publique. )1. le D1- BiAUTE, médecin en chef de l'asile d'aliénés de NIii- tes ; : I
cin en chef de l'asile d'aliénés de NIii- tes ; : Il. le Dr DUPAIN, médecin en chef de l'asile d'aliénés de Vaucluse ; M, l
hef de l'asile d'aliénés de Vaucluse ; M, le Dr HAMADIER, directeur médecin de l'asile d'a- liénés de Rodez. Officier d'
de clinique de la Faculté, inspecteur adjoint des asiles d'aliénés, médecin sup- pléant de la maison nationale de Charenton
, médecin sup- pléant de la maison nationale de Charenton est nommé médecin titulaire de cet établissement, à dater dulwjan
is sur sa demande à faire valoir ses droits à la retraite, et nommé médecin en chef hono- raire. - VACANCES MÉDICALES.- A
er au moins 12 inscriptions de doctoral. Adresser les demandes au médecin en chef, directeur de l'asile. IIOSPICE de la S
rale conjugale d'origine syphilitique. Par les U" 5. (..\R\IL : It, Médecin en chef Dit'eeteur, et A. SANTBNOISE, Médecin a
U" 5. (..\R\IL : It, Médecin en chef Dit'eeteur, et A. SANTBNOISE, Médecin adjoint de l'asile d'aliénés de Dijon. Dans les
njoints ; dans le second, on n'avait pas constaté, selon le premier médecin trai- tant, soit chez l'homme, soit chez la fem
amais malade jusque-là (renseignements émanant d'un lroche parent médecin ), 111'l"l'nla, en août il à sou reloue d'une sais
à la Faculté de Médecine, Médecin-adjoint des Asiles publics. Les médecins d'asiles recevaient, il y a quelques jours, une
mière question, les avis ne seront pas unanimes. Tl se trouvera des médecins d'a- siles publics qui écriront : « Oui, le per
i défectueux qu'on veut bien le dire, puisqu'un certain nombre de médecins estiment que tout est pour le mieux dans le mei
méde- cin et un adjoint, par exemple, croient que cela l'ait deux médecins , nous savons bien, nous, que cela fait, pour les
s, nous savons bien, nous, que cela fait, pour les malades, un seul médecin ; nous le démontrerons plus loin une fois de pl
sés persistent il réclamer depuis longtemps un plus grand nombre de médecins , tout en attribuant un rôle actif aux adjoints
après l'enquête, en présence de contradictions es- sentielles : Tel médecin en chef, non directeur, n'ayant donc aucune bes
Si c'est : Oui ! la conclusion s'impose : (les malades il faut des médecins ; fournissez des médecins ! Or. nous nageons au
usion s'impose : (les malades il faut des médecins ; fournissez des médecins ! Or. nous nageons aujourcl'hui, et depuis 1838
m- lire dc50.00u environ ; ils ont pour leur donner des soins. 70 médecins ; cela fait que chaque médecin doit soigner, en
ont pour leur donner des soins. 70 médecins ; cela fait que chaque médecin doit soigner, en moyenne, lui seul : 50.000 : 7
A quand je dis : soigner, il ne faut pas oublier que la plupart des médecins d'Asiles doivent non seulement traiter leurs al
Qu'arrive-t-il alors ? Deux cas peuvent se présenter : ou bien le médecin , amoureux de son métier, aliénisle dans l'âme,
ccupera guère de lui que pour écrire ses bulle- tins de santé ; les médecins les plus actifs, en travaillant énormément, ne
s et de l'anatomie pathologique devenue indispensable ; et que le médecin qui s'offrira à traiter plus de 100 aliénés par
aliénés sont ran- gés dans les cours ou les salles de réunion ; le médecin défile sous leurs regards, demande par-ci par-l
ns doute, si cela ne dépendait que d'eux, ils donneraient autant de médecins que de mala- des ; mais, voilà ! ils sont élus,
personnel médical des asiles, réduit aux directeurs-médecins ou aux médecins en chef, est soit insuffisant, soit il peu près
de tout ce qu'il iallaitcrécr pour soi- gner les aliénés, sauf des médecins . Sans doute, il n'était pas venu à l'esprit du
du législateur due l'un put organiser des asiles de traitement sans médecins , et il n'en fixa ni le nombre, ni le mode de re
stcs furent improvisés; puis on s'habitua il réserver les places de médecins d'asiles il des hommes politiques, vaguement mé
les places de médecins d'asiles il des hommes politiques, vaguement médecins . Survint le règlement de 1857 ; pas plus que la
plus que la loi de 1538, il ne prévoit la mode de recrute- ment des médecins , il n'en fixe que le nombre : un méde- PERSONNE
nce mentale ait fait des pas de géants, bien que le recrutement des médecins ait été complètement modifié, par l'institution
ficiles, nous sommes toujours régis par un règlement dans lequel le médecin a un rôle tout-il-fait ef- face, le directeur a
s de ce monument ; on en connaît le ca- . raetère vexatoire pour le médecin en chef non directeur, auquel il ne laisse aucu
es services médical et administratif Ce néfaste règlement impose au médecin en chef une si- tuation intolérable et inaccept
édaction des observations, qui, ne l'oublions pas, sont l'a;uvrc du médecin en chef (art. Ci) ; il fait la contre-visite ;
°nevillc 3ui avait et obtenu le rétablissement du concours pour les médecins de et pour l'internai des asiles de la Seine.
cun rôle. Que dis-je ? Alors qu'en 1875, en 1880,- on était nommé médecin en chef au boutde 3 à 5 ans, aujourtl'hui il fa
urs très spécial et très ardu, des- tiné il leur donner le titre de médecins d'asiles ; ils sont L nommés; ils débarquent, p
re, sans alourdir les bud- gets d'asiles d'un centime, donnerait 45 médecin Lle plus. Mais, il y a plus, et nous prétendons
plaires. Toulouse). Mais, on Allemagne, on soigne les aliénés : les médecins foisonnent dans les cliniques, et c'est avec un
ons il héberger nos fous dans des gar- tleries,il1'aison de 715 par médecin , les Allemands n'ont jamais plus de 80 à 100 ma
de sor- ties des asiles, on aurait beau quintupler le nombre des médecins , cela sérail moins cher que de transformer en c
ablissements de cures, dcs hô- pitaux. dans lesquels exerceront des médecins . Ce sera le premier pas sérieux vers l'émancipa
fille de 14 ans, qui devine les pensées de son père et de plusieurs médecins . Nombreuses expériences ex- trêmement intéressa
s les mêmes conditions, n'en onL jamais. M.Arnaud. Le jour où les médecins elle personnel infirmier seront convaincus que
as. 1. Littérateur, 38 ans, cause : frigidité de la femme. (los. 2. Médecin , 35 ans, cause : longue attente et satisfaction
application de ce traitement toujours inotfcnsif entre les mains de médecins compé- tents. Archives, 2° série, 1005, t. X1
x à l'Ecole normale d'instituteurs d'Auxerre, par le ])1' \\-.tut., médecin adjoint de l'asile d'aliénés. M. Wahl commenc
'éducation d'un idiot date de 1 î ! ls. Il a élé lente pal' Ilal'd, médecin des sourds-muets, sur un sujet appelé « le Sauv
psychiatrique ;0° création d'un concours spécial pour les places de médecins des asiles cliniques; io réforme de l'organisat
, suisses et italiens se compose de directeurs-médecins en chef, de médecins chefs de service, de seconds médecins, de médec
recteurs-médecins en chef, de médecins chefs de service, de seconds médecins , de médecins assistants et enfin de médecins vo
cins en chef, de médecins chefs de service, de seconds médecins, de médecins assistants et enfin de médecins volontaires ; d
service, de seconds médecins, de médecins assistants et enfin de médecins volontaires ; dans tous les asiles d'aliénés des
és de murs, leurs quartiers cellulaires, leur nombre insuffisant de médecins , d'in- ' bibliographie. 173 lirmicrs et de ve
nombre des malades est trop considérable par rap- port à celui des médecins , el le traitement est collectif, au lieu d'indi
e donne qu'une idée bien imparfaite du livre de M. Sérieux. ' Les médecins aliénistes et toutes les personnes qu'intéressent
tl'i·Inu ltt lian ceux qui s'occupent d'éducation, et aussi parles médecins , qui y puiseront d'utiles indications pour les
aIlIlH'urll'il'I', il est sorti en disant qu'il allait chercher un médecin . Mais, dans la rtu·, il reuwm(ra ult ;amlien rl
Quand arrivait l'heure de l'alimentation et dès qu'il apercevait le médecin , il courait au plus vite chercher sa serviette,
uments d'épreuve sont donc perni- cieux à l'accusé. L'expérience du médecin reste en défaut en présence d'une amaurose mOll
l'assistance fa- miliale. A propos de ce dernier point, plusieurs médecins de la Société psychiatrique néerlandaise ont ém
ns de la Société psychiatrique néerlandaise ont émis le voeu que le médecin en chef de chaque asile devait être le seul jug
ne population totale de 1.40f1 malades, la proportion actuelle d'un médecin en cliel, de deux adjoints est, à menais, tout à
asile de Bailleul, les ma- lades ne sont pas soignés, .le compte le médecin en chef pour un, les deux adjoints qui sont ann
édecin en chef pour un, les deux adjoints qui sont annihilés par le médecin en chef, pour 1/2. Vous êtes donc, selon moi, u
lés par le médecin en chef, pour 1/2. Vous êtes donc, selon moi, un médecin et demi pour soigner l.'t00 malades ». 11 fau
édecins-adjoints, mais autant de services médicaux autonomes que de médecins , chacun des médecins étant, bien entendu, respo
s autant de services médicaux autonomes que de médecins, chacun des médecins étant, bien entendu, responsable, el les médeci
rvice de chroniques. Pour trancher la question de la proportion des médecins , il faudrait, à mon avis, commencer par créer p
es chroniques. Dans ces deux classes de services, la proportion des médecins ne devrait pas, sans doute, être la même. Pour
Pour les malades ayant moins de deux ans de séjour, je crois qu'un médecin ne peut pas véritablement suivre et soigner rée
me de plus en plus généralement à accorder jusqu'à une retraite aux médecins ac- tuels, malgré des versements réguliers fait
gré des versements réguliers faits pendant 30 ans. Dans l'Oise, les médecins de l'asile de Clermont versent à la Caisse nati
l'Allier, la préfecture refuse de faire sui\ re les versements des médecins quittant le département ; dans la Haute-Vienne, o
s priant d'agréer l'hommage de mon profond respect. D1' Deswarte, Médecin adjoint de l'Asile de la Roche-Gandon (Mayenne).
dgets de l'asile d'aliénés cVEvrcv.v (Eure), par le 1> Bessière, médecin directeur. Le 31 décembre 1903, il restait l'as
ces de médecine légale pS ! J- clicstrique. 11. le IT l'aul damier, médecin en chef de l'infirme- rie spéciale, chargé du c
t servir de 'promenoirs et de salle de gymnase. M. le Dr Boiteux, médecin en chef de la division des femmes, écrit dans s
ragement, à l'examen du certificat d'études. » , M. le Dr Thivet, médecin en chef de la division des hommes, expose ainsi
rès intéressante observation d'un homme de 33 ans, qui con- sullale médecin [lourdes érections durant 2 ou 3 heures tous les
.Mon cher Collègue, L'asile départemental du Doubs, dont je suis médecin en chef depuis 1887, n'est pas, à proprement pa
le médecin-adjoint, et de la Maternité (bâtiment séparé), avec son médecin et son médecin- adjoint, ses élèves sages-femme
es internes de l'hôpital Saint-Jacques. J'assiste au concours comme médecin en chef, el les 5 internes admis se re- layent
diffe- renls services de l'hôpital Saint- Jacques. , En somme : 1 médecin chef avec les infirmeries de vieillards, les ma
n surveillant gé- néral (logé et nourri, .wec 0') fr. ptr mlic). Le médecin chef touche 15U0 fr. par au (depuis 2 ans) et l
Ul' 1903. Dr DAUDIN. BIBLIOGRAPHIE ' 1 \-, Rapport du directeur médecin (lez' ('.ULI.ERE) de l'asile d'a- IiW os eleLcc
au .Scnxeccr rlc l'Oise, nuulre combien est dilll- cile le rôle du médecin d'asilecl pourquoi il hésite souvent quand il s
es et de pièces analomiques, le samedi il 9 h. 1/2 très précises. Médecins I,IINISTR1 : S. - Le miniaLi·rc actuel comprend t
s. Médecins I,IINISTR1 : S. - Le miniaLi·rc actuel comprend trois médecins . MM. Duhief,Caulhiel' (de-l'Aude) et Jlerluu.Un s
ision delà loi du 30 juin sur les aliénés. UNE DOCTORESSE NOMMÉE MÉDECIN EN CHEF D'UN ASILE D'ALIÉNÉS. La Ideuista b'ren
ier annonce (pie Mme la doctoresse .fessiu Ij. IIouTEa a éL3 nommée médecin en chef de l'asile de Bracebridge (Angleterre).
dical dans l'asile privé de Lincoln. Elle a eu lu préférence sur la médecins qui briguaient la place. Distinctions honorifiq
riguaient la place. Distinctions honorifiques. M. le 1 ? 13ABINSKl, médecin de la Pi lié, vient d'être nommé officier de la
a biographie et la relation de ses obsè- ques. M. le Dr Bécoulet, médecin directeur honoraire des asiles publics d'aliéné
terne à l'asile de l3ailleul, médecin- adjoint à l'asile d'Auxerre, médecin en chef a l'asile rleJlarùille, enfin médecin d
à l'asile d'Auxerre, médecin en chef a l'asile rleJlarùille, enfin médecin directeur de l'asile de Dôle. Il a contribué puis
e n'avait pas souffert de céphalée de toute cette jour- née. , Le médecin qui la voit le lendemain lui dit de ne pas se bai
lui-même; elle lui est généralement révélée par l'ocu- liste ou le médecin . Bref, il faut admettre que dans les conditions
reconnaissance de sa propre personnalité.) Pau leD' I'aul GARNIER Médecin en chef du Dépôt, chargé de cours, E·r t.c 1)°
é de quarante et un ans, étant mort lundi à l'asile des aliénés, le médecin constata sur le corps du malheureux des blessur
iendront des minéralogistes, des botanistes, des zoolo- gistes, des médecins , confinés dans leur sphère, incapa- bles de s'é
lus distingués, de son an- cien président, le docteur Paul Garnier, médecin de l'infirmerie cenlrale du Dépôt. Le Secréta
lose pulmonaire. Dans le travail communiqué par nous au Congrès des médecins aliénisles et neurologistes des pays de langue
on n'obtient en général que des renseignements insuffisants et le médecin est bien obligé de se tirer d'affaire avec l'exam
ncore facilement. En face de tous les ma- lades, je me suis posé en médecin , rien qu'en médecin, évitant minutieusement de
face de tous les ma- lades, je me suis posé en médecin, rien qu'en médecin , évitant minutieusement de les humilier, cherch
été négligé pour l'aire, naître la confiance des malades envers le médecin et pour établir entre eux et lui des liens de s
la direc- tion médicale clcl'lnslituL et m'a adjoint en qualité de médecins consultants deux savants confrères spécialistes
s n'avons guère que des soins généraux adonner, on conviendra qu'un médecin et deux internes peuvent parfaitement suffire à
du décès du docteur Paul Garnier qui, on le sait, avait été un des médecins désignés pour procéder à l'examen de l'état men
er il. la cérémonie qui s'était produite lors du serment des autres médecins , c'est-à-dire à la présence de tous les intéres
iiè- v re), promu à la '2< classe du cadre. - 51. le 1)1' GAcRs, médecin adjoint à la colonie familliale de Dun-sur-Auro
Dun-sur-Auron, promu à la 1'e classe du cadre. 51. le 1),lloi)iFr, médecin adjoint à 51on(de- vergnes(Vaucluse), promu à l
se), promu à la classe exceptionnelle du cadre. .NI. le 1), BONNET, médecin en chef à la colonie familliale d'Ainay- le-Clt
s.. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE 130wevtt.t.a. fixation du nombre des médecins dans les asiles publics d'aliénés. Rapport fait
sie généràTÎ, Par le \)' E. 1.\1t\. : \))(). : \ lIE I(). : \TYEL Médecin en chef de \'iIlL'-E\'1'nrd, ]\ous avons publié
enu très facile. Ces résultats mé- ritent d'attirer l'attention des médecins aliénistes. Les deux observations suivantes, em
er, se trouvent. le plus souvent dans l'impossibilité de fournir au médecin des renseignements précis sur la cause des acci
es malades et des personnes sai- nes d'esprit, parmi lesquelles des médecins , M. Cumke conclut, en ce qui concerne le réflex
e Bordeaux : Rapport médical pour l'année 1903. Personnel médical : Médecins : )1)I. AN- GHDE,mcdecm en chef; .I.\CQU ! N, m
ice général de Nantes pendant l'année 1903, par 1\1. le Dr f3teuTr, médecin en chef. « L'agrandissement de l'asile autorisé
en 1903 : 1213, dont 232 entrants (121 II. et 111 F.) pour un seul médecin . Sortis : par guérison, 113 (25 II. et 18 F.),
comme à Saint-Robert, plus de 1.000 malades sont confiés à un seul médecin ? Poser la question, c'est la résoudre. « 1243
ssibilité d'un traitement vraiment sérieux et rationnel, même si le médecin ne veut s'occuper que des cas relativement réce
ile d'aliénés de Blois,\>nv le ))1' Doutre- ~- rente, directeur, médecin en chef. Existants au 1 ? janvier 4-28 (201 II.
lle (Meurthe-et-Moselle); pour l'exercice 1903, par M. le Dr Paris, médecin en chef. ' « Le 31 décembre 1902,1e service des
sont aussi mal que possible dans de grands quartiers. « Tous les médecins aliénisles tendent de plus en plus à faire donn
l'asile publie d'aliénés de Maréville pour 1903, par le D' VERNET, médecin en chef. Au 1er janvier 1'JU3, ! I16 malades
la séquestration complète et la liberté du dehors. Tantôt c'est le médecin , tantôt c'est le malade lui-même qui hésite dev
lades (et nous en avons eu récemment deux exemples), que de fois le médecin d'Asile ne trouve-t-it pas à la visite quotidie
au premier son concours gratuit, et assisté le second en qualité de médecin adjoint pendant troisannées. Son sens clinique
la nature même de son ministère, le fonctionnaire s'effaçait : le médecin scrutait l'aliéné ou le simula- teur d'un coup
ssait chaque semaine un nombre toujours croissant d'étudiants et de médecins , qui se pressaient en foule et s'entassaient au
onté qu'il accordait aux déshérités du sort, que ses fonctions de médecin en chef et d'expert, faisaient quotidienne- men
able desleçons qui restèrent le guide le plus sur de sa carrière de Médecin légiste. Il s'en souvenait avec reconnaissance
- ilc la liberté qu'il réclame ou qu'on réclame pour lui. Garnier, médecin en chef de cet important service depuis 1880, a
eur. Pendant plus de vingt ans, le D'Paul Garnier a occupé, comme médecin en chef de l'Infirmerie spéciale du Dépôt de la
li pendant une vingtaine d'années la mission la plus délicate qu'un médecin puisse assumer. 11 a réalisé ce prodige de trav
ntourent; hier encore, vous l'écoutiez et entendiez la parole de ce médecin , qui avait dans son langage l'élégance d'un let
qui possédait à un si haut degré les qualités de l'aliéniste et du médecin légiste. Il survivra dans la mémoire de ses élè
nt près de vingt ans à la satisfaction générale. Ces fonctions de médecin en chef de l'Infirmerie spé- ciale de Dépôt de
ès ; ses conclusions furent unanimement approuvées par les nombreux médecins aliénistes français et étrangers, venus à Paris
lactiques dont la solution s'impose aux constantes méditations du médecin aliénistc. Paul Garnier n'a pas hésité à abor-
tend à stériliser l'avenir. Si la part de bien que peut réaliser le médecin est trop restreinte en- core pour que tout enth
nt à leurs propres yeux. C'est pourquoi à l'Infirmerie spéciale, le médecin doit pouvoir sortir de son rôle habituel, et se
n salut ému à la dépouille mortelle deM. le docteur Paul Garnier, médecin en chef de l'Infirmerie spéciale du Dépôt, et de
rice et secourable dont il avait assumé la lourde charge. Premier médecin adjoint de l'Infirmerie du Dépôt en 1883, après
de l'Infirmerie du Dépôt en 1883, après de laborieuses suppléances, médecin en chef de ce grand service depuis le 17 juille
urs, ils sont reconnus aliénés et dangc- reux, ils trouvent dans le médecin en chef et dans ses adjoints, secondés par des
é président de la Société Royale de médecine. Il a été le pre- mier médecin de l'hôpital de PerLh ayant fait l'expérience de
ent pas être traitées en dehors de celles-là. En 1862, il est nommé médecin en chef de Argyll Asylum, et c'est là que si !
et persistante ténacité, il a acquis un grand as- cendant parmi les médecins et comités des asiles d'Ecosse et des Boyards o
», était le résultat de sa grande expérience de commissioner et de médecin d'asile. Il a été rédacteur cons- ciencieux du
travaux dans les «Morison Lectures of lnsanity au Royal collège des médecins ; ses travaux comprenaient les instructions cli
et-(lise). » CORRESPONDANCE Personnel médical des asiles : Les médecins adjoints. - Cher Maître, ' - ' ? . Je -sous r
en voulu tenir compte de Ilion opi- nion dans votre rapport sur les médecins dans les asiles. ' J'ai su par M. Lande que le
s ? Je ne vois pas bien le profit de cette répartition. A de jeunes médecins actifs, il faut donner, selon moi, des malades
'observation et le traitement des chroniques n'exercent pas sur les médecins adjoints une séduction suffisante et je suis d'
rop insiste)'. (13.) ASSISTANCE ET PÉDAGOGIE. 480 Le service du médecin en chef pourrait être en outre une sorte d'admi
de sortie signé parles médecins-adjoints serait contresigné par le médecin en chef. - Ce système sera-t-il parfait ? je ne
e ab- solue accordée immédiatement après -le concours à de jeunes médecins dont quelques-uns s'imagineront qu'ils n'ont plus
r que vous ne soyez point pardonné et je fais de nou- veauappcl aux médecins en chef, médecins directeurs et médecins adjoin
z point pardonné et je fais de nou- veauappcl aux médecins en chef, médecins directeurs et médecins adjoints pour nous aider
is de nou- veauappcl aux médecins en chef, médecins directeurs et médecins adjoints pour nous aider à réaliser le plus de
de médecine d'Edimbourg. Le))' I)Ial'ait, présidait, de nom- breux médecins étaient venus de toutes les parties du pays. Le D
Les rapports officiels, des asiles étrangers nous informent que les médecins des asiles étrangers se chargent de » cet ensei
graves. Maison nationale de Charenton. Le concours pourleposte de médecin suppléant de la Maison Nationale de Charenton s'e
tômes d'aliénation mentale observés chez le coupable permirent aux médecins de conclure à son irresponsabilité, et le juge d'
r. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE BOURNEVILLE. - Fixation du nombre des médecins dans les asiles publics d'aliénés. Rapport fait
et Rose, 251 - -, par Marandon de Monlyel,309. Congrès. XV° - des médecins aliénistes et neurologistes de France et des
ISTINCTIONS IIONOltII·1QUES, p. 80, 335. Doctoresse. Une nommée médecin en chef d'un asile d'a- liénés, 335. Douleurs
n, par Schatzky, 323. Mécanisme. Voir Mouvements vos lontaires. Médecins ministres, 335. Fixa- tion du nombre des dans l
41 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ecine tle Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Agile clinique (Sle-Annc) F. RAYMOND P
OLOGIE MENTALE. NOTES SUR LES IDÉES DE NEGATION; Par M. TRÉNEL, Médecin adjoint des asiles. Les idées de négation,malgl
étrui- saient ; les briques.tombaient en masse. Toute la famille du médecin était écrasée par le chemin de fer. Des armées
plaint d'avoir la bouche pâteuse. Elle commence à remarquer que son médecin lui fait de grands yeux et que son mari et sa b
e, sur ses parents et en dernier lieu sur le monde extérieur. « Son médecin l'a blessée, elle va avoir le téta- NOTES SUR
ne se fait plus, les os se solidifient. Il faut qne le maire et un médecin viennent constater que le docteur X... l'a bles
plus à aucun écho : cela fait un bruit qui n'est pas un brait. Son médecin lui a donné une pution pour l'ossifier. (Comme
REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 57 notable, par le massage. Il s'agit d'un médecin de quarante-six ans, avec antécédents névropath
trés approfondie de ce procès qui intéressera certainement tous les médecins légistes et les ma- gistrats. Lwoff. XII. Rés
gie et à la géographie médicale de l'affection. A. M. CONGRÈS des MÉDECINS aliénistes ET neurologistes. - Nous rappe- lons
nira, le 1CI' août, à Angers. Secrétaire-général : D1' PETRUCCI, médecin , directeur de l'asile Sainte-Geneviève, par Anger
M. ARNAUD a observé comme M. Charpentier que les paralytiques, même médecins , n'avaient aucune conscience de leur bredouille-
ls et préfectoraux des mois de mai et juin 1898 : M. le 1)' VERNET, médecin en chef de l'asile de Maré- AVIS A. NOS ABONN
eurthe-et-lfoselle), a été élevé à la 2e classe; M. le D Le- grain, médecin en chef de l'asile de Ville-Evrard (Seine), a été
n a été nommé à litre provisoire et pour une période de trois mois, médecin adjoint de lliontdevergues (Vaucluse) ; - 1\1.
ontdevergues (Vaucluse) ; - 1\1. 'le D1' GIL13ERT-PET1T, directeur- médecin de l'asile d'Alençon, a été nommé médecin en chef
IL13ERT-PET1T, directeur- médecin de l'asile d'Alençon, a été nommé médecin en chef de l'asile du Mans, en remplacement «de
Mans, en remplacement «de M. le D'' JouRNiAf : ; M. le Dr JouRNiAc, médecin en chef de l'asile du Mans, a été nommé directe
nçon, en remplacement de M. le Dr UILBEItT-PETIT; M. le Dr Boiteux, médecin en chef de l'asile de Clermont, est élevé à la
l'asile de Clermont, est élevé à la 2e classe; M. le Dr 31AU\IEte, médecin en chef de l'asile de Marseille (Bouches-du-Rhô
du-Rhône), a été élevé à la classe exceptionnelle ; M. le Dr LEVET, médecin adjoint à l'asile de Fains, a été élevé à la l'
l'asile de Fains, a été élevé à la l'e classe; M. le Dr iLIUPA1'L, médecin adjoint à l'asile d'Armentières, a été élevé à
LÉSIONS SPINALES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE ; Par le D D. AINGLADE, Médecin adjoint de l'asile de Toulouse. (Travail du lab
l du laboratoire de l'asile.) I. Dans un mémoire' lu au Congrès des médecins alié- nistes et neurologistes, en août 1897, su
ns même dire que cette altération est constante en ne ' Congrès des médecins aliénistes el neurologistes, 8' session, août 189
TISÉ, NON LIÉ A DE LA DÉGÉNÉRESCENCE; Par le D' Alexandre PARIS Médecin en chef de l'asile d'aliénés de Maréville-Naney.
ice de la triple alliance. Séquestrée, elle @accusa naturellement médecins , anciens amis, etc., de favoriser les projets d
om, dernier vestige de la croyance à la possession diabolique. Le médecin , lui aussi, profite de cette étude, et pour les é
1829, est mort le 23 juin. Son grand-père, Félix Voisin, avait été médecin de Bicêtre, et avec Falref, avait créé la Maiso
Bouillaud ¡lIa Faculté de Médecine de Paris en 1862, il fut nommé médecin de Bicêtre en 1866 et passa iL la Salpêtrière l'a
° ? 7,1395, p. lô du Progrès médical. M. le D'' Auguste VOISIN ', Médecin de ].1 Stlpélrière. nécrologie. 147 Nous av
s avons le regret d'annoncer la mort du De Léon-François Guillemin, médecin en chef de la section des hommes à l'asile d'al
six ans, à la suite d'une longue et douloureuse maladie. C'était un médecin distingué qui, par son caractère, son dévouemen
mme interne dans les asiles en 1878, et était devenu successivement médecin adjoint et médecin en chef. Les Annales perdent
s asiles en 1878, et était devenu successivement médecin adjoint et médecin en chef. Les Annales perdent en Guillemin un co
ecin de l'asile d'aliénés d'Aix-en-Provence, et par le Dr Pichenot, médecin en chef de la section des femmes de l'asile de
e Paris. Forme fruste de maladie de Parkinson; par le Dr LafforLie, médecin aide- major à Touggourt (Constantine). Le délir
1 1 MM. Gilbert Ballet, professeur agrégé de la Faculté de Paris, médecin de l'hôpital Saint-Antoine; Bouchereau, médecin d
a Faculté de Paris, médecin de l'hôpital Saint-Antoine; Bouchereau, médecin de l'hô- pital Saiute-lune; Bourneville, médeci
toine; Bouchereau, médecin de l'hô- pital Saiute-lune; Bourneville, médecin de Bicêtre; A. Carrier, médecin honoraire des h
- pital Saiute-lune; Bourneville, médecin de Bicêtre; A. Carrier, médecin honoraire des hôpitaux de Lyon ; Chrystian, médec
re; A. Carrier, médecin honoraire des hôpitaux de Lyon ; Chrystian, médecin de la maison nationale de Charenton; Cullère, m
; Chrystian, médecin de la maison nationale de Charenton; Cullère, médecin directeur de l'asile de La Roche-sur-Yon (Vendé
) ; Jules Falret, médecin-hono- raire de la Salpétrière ; Ch. Féré, médecin de Bicêtre; Febvré, médecin à l'asile de Ville-
- raire de la Salpétrière ; Ch. Féré, médecin de Bicêtre; Febvré, médecin à l'asile de Ville-Evrard; Paul Garnier, médecin
e Bicêtre; Febvré, médecin à l'asile de Ville-Evrard; Paul Garnier, médecin en chef à l'Infirmerie spéciale du Dépôt de la
on (Seine-Inférieure); Jof- froy, professeur à la Faculté de Paris, médecin à l'asile Sainte- Anne ; Magnan, membre de l'Ac
à l'asile Sainte- Anne ; Magnan, membre de l'Académie de médecine, médecin à l'asile Sainte-Anne ; Mairet, professeur à la
asile Sainte-Anne ; Mairet, professeur à la Faculté de Montpellier, médecin en chef de l'asile de l'Hérault; Meuriot, préside
ico-psychologique; Motet, membre de l'Académie de médecine, Parant, médecin de la maison de Santé de Toulouse; Pierrot, pro
son de Santé de Toulouse; Pierrot, professeur à la Faculté de Lyon, médecin de l'asile de Brou; E. Régis, chargé de cours à
eaux; Ritti, secrétaire général de la Société médico-psychologique, médecin de la Maison nationale de Charenton; Seglas, mé
psychologique, médecin de la Maison nationale de Charenton; Seglas, médecin de Bir.être ; Taquet, médecin de l'asile de Vau
aison nationale de Charenton; Seglas, médecin de Bir.être ; Taquet, médecin de l'asile de Vaucluse; Vallon, médecin de l'asil
decin de Bir.être ; Taquet, médecin de l'asile de Vaucluse; Vallon, médecin de l'asile de Villejuif; Jules Voisin, médecin
de Vaucluse; Vallon, médecin de l'asile de Villejuif; Jules Voisin, médecin de la Salpétrière. Ce Comité s'est réuni, le 13
fecture de la Seine; 3° le directeur, le médecin-directeur et les médecins chefs de service de chacun des asiles ou quartier
. Ils s'informent de l'état moral des patronnés, font connaître aux médecins ou au président du Comité de direction les irré
lorsqu'ils en sont chargés par le Comité. ART. 16. Les fonctions de médecins de la Société consistent en des consultations q
out d'une quinzaine de jours la malade est incapable de marcher. Un médecin appelé alors suppose une spondylite et administ
BLEU DE MÉTHYLÈNE CHEZ LES ÉPILEPTIQUES; PAR R JULES VOISIN, Médecin de la Salpêtrière, El A. 11AOTÉ, Interne de
ser l'élimination des poisons '. SOCIÉTÉS SAVANTES. CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES Neuvième SESSION. (
s assauts; mais il se trouva un nombre imposant de psychologues, de médecins qui se refusèrent à admettre que le libre arbit
s soupçonnent un trouble de l'es- prit chez le délinquant, c'est au médecin qu'ils s'adressent, c'est il lui qu'ils demande
sent être ces légères atteintes, elles ne sont pas pour troubler le médecin qui, dans sa conscience, avec une indépendance
recherches; c'est elle qui éloignera les chances d'erreur. Quand le médecin qui sait com- ment se détermine un aliéné appar
ce solennelle, qu'esquisser à larges traits l'importance du rôle du médecin légiste dans ce qui touche à ses rapports avec
vie dans un milieu si différent du milieu où d'ordinaire se meut le médecin , que nécessairement bien peu sont à même d'acqu
établissent au commencement de chaque année judiciaire la liste des médecins experts. « M. le professeur Brouardel, doyen de
dat en médecine légale, fut institué. « L'Association générale des médecins de France donnait son adhésion à ce projet que
avons le souci d'assurer partout, en France, le concours éclairé du médecin à la bonne administration de la jus- tice. Il m
re du Congrès de Toulouse. Sous sa présidence, le Ville Congrès des Médecins aliénistes et neurologistes de France, a beauco
M. le président a donné lecture d'un télé- gramme de sympathie des médecins aliénistes et neurologistes de Moscou. Le Con
Professeur Clinique psychiatrique Université impériale. Moscou. « Médecins aliénistes et neurologistes français, réunis en C
nnaissent attestent qu'elle est parfaitement saine d'esprit et deux médecins confirment le fait par leurs certi- ficats. C'e
ctes violents (homicide, coups et blessures, etc.). Voilà donc le médecin expert en présence d'un individu inculpé de vio
t nos connais- sances actuelles. Dans ce cas, dit-il, l'embarras du médecin expert serait extrême. M. Charpentier, sur la
able. M. REGNARD combat d'une façon générale l'indulgence que les médecins ont pour les aliénés criminels qu'ils élèvent à l
où notre ami A. Regnard a for. mulé cette opinion. L'indulgence des médecins est toute naturelle. Par leur connaissance de l
s dont mon coeur est plein. Au nom des membres du IX° Congrès des médecins aliénistes et neurologistes, je vous remercie, me
sympathie, et le regret de ne pouvoir y participer, le Congrès des médecins aliénistes et neurologistes français, dans ses br
remercions - de vos efforts, et nous tenons à vous assurer que les médecins des asiles d'aliénés auxquels est confiée la di
ées (6 à 8 litres), ne fait de délire alcoo- lique. lI. CULLERRE, médecin directeur de l'asile de la Roche-sur-l'on, vien
ssé que 5 malades à l'asile ; et il en tire ces conclusions, que le médecin en clientèle pourrait dans maintes circonstance
que qui ne res- terait pas comme aujourd'hui le domaine exclusif du médecin d'asile et le praticien, sans être un spécialis
ic et instituer un traitement, il faut, ce qui n'existe pas, que le médecin en clientèle connaisse l'aliénation. Ai : Terri
t, en effet, aller visiter la maison centrale de Fontevrault où les médecins aliénistes et neurologistes auraient trouvé des
urs jusqu'au-dessus des malléoles. L'électrisation est faite par le médecin traitant pendant un mois, sans succès. M. Terri
s qu'elle est internée, elle a compris parmi ses persécu- teurs les médecins qui l'ont soignée, et le chirurgien opérateur ne
I. 17 7 258 SOCIÉTÉS SAVANTES. après avoir été sondé, accuse le médecin de lui avoir mis des vipères dans le ventre, et
es asiles, demandant la séparation des fonctions de directeur et de médecin en chef, l'autonomie des médecins adjoints, l'a
n des fonctions de directeur et de médecin en chef, l'autonomie des médecins adjoints, l'augmentation du nombre des médecins
ef, l'autonomie des médecins adjoints, l'augmentation du nombre des médecins en chef, des modifications dans la construc- ti
ne peut être qu'imparfaite lorsque les fonctions de directeur et de médecin 260 SOCIÉTÉS SAVANTES. sont séparées, parce
dissentiments, les luttes continuelles entre les directeurs et les médecins sont inévitables et trop con- nus pour que j'y
Pour les prévenir on demande l'augmentation des attributions des- médecins et la diminution de celles des directeurs, de man
nvénient à ce qu'on donne par exemple, toute la police médicale aux médecins qui en ont déjà la plus grande partie, mais enl
une assez grande autorité qui suffira pour les placer au-dessus des médecins , du moins en province, où les con- seils généra
des intérêts moraux des aliénés. - Les fonctions de directeur et de médecin me paraissent devoir être réunies partout où un
il est en grande partie réclamé avec beaucoup d'ins- tances par les médecins qui attaquent l'organisation actuelle, s'il vie
s possèdent pas, doivent se consacrer unique- ment aux fonctions de médecin en chef, qui aujourd'hui sont assez nombreuses.
x dont j'eusse été obligé de m'acquitter seul si je n'eusse été que médecin en chef. Si en province les directeurs médecins
i je n'eusse été que médecin en chef. Si en province les directeurs médecins ne font pas toujours beaucoup de travaux scient
decins fussent nommés par l'autorité préfectorale comme le sont les médecins et il est possible que ce voeu soit renouvelé e
eu soit renouvelé et adopté par la chambre actuelle. Les directeurs médecins , par suite de leur qualité de médecins, conserv
e actuelle. Les directeurs médecins, par suite de leur qualité de médecins , conserveront peut-être encore alors une certaine
le, sans qu'aucun recours soit possible. Admettre l'autonomie des médecins adjoints dans les asiles admi- nistrés par des
médecins adjoints dans les asiles admi- nistrés par des directeurs médecins c'est admettre la séparation des fonctions, car
s c'est admettre la séparation des fonctions, car il n'y a entre un médecin en chef et un médecin adjoint autonome, chef de
paration des fonctions, car il n'y a entre un médecin en chef et un médecin adjoint autonome, chef de service, d'autre diff
hef de service, d'autre différence que le nom et le traitement. Les médecins assistants qui secondent à l'étranger les direc
. Les médecins assistants qui secondent à l'étranger les directeurs médecins des asiles d'aliénés ne sont pas autonomes comm
me à cor et à cris la séparation des fonc- tions de directeur et de médecin en chef, mais on demande en même temps l'augmen
en chef, mais on demande en même temps l'augmentation du nombre des médecins qui ne de- vraient pas avoir à traiter plus de
pas avoir à traiter plus de 100, 200 ou 300 aliénés. Le nombre des médecins doit être moins subordonné à la moyenne quotidi
ne, pour justi- fier la séparation des fonctions de directeur et de médecin et la nomination de deux médecins en chef. La
n des fonctions de directeur et de médecin et la nomination de deux médecins en chef. La réunion des fonctions me semble imp
essé de les autoriser pendant les trente-huit ans que je suis resté médecin en chef préposé responsable, ou directeur médec
que je suis resté médecin en chef préposé responsable, ou directeur médecin . Les visites tous les jours et à toute heure de
suivant le nombre des admissions et adminis- trés par un directeur médecin aidé de deux internes qui devraient être docteu
int dans ces derniers. M. Marandon de Montyel lui a répondu que les médecins ne désignaient pas les aliénés destinés à être
rveillés par un surveillant qui reste à demeure dans le village; le médecin vient une fois par semaine (l'asile est à 7 kil
S. Asiles d'aliénés. Nominations et mutations : M. le D' MEUNIER, médecin en chef à l'asile d'aliénés de Marseille, est éle
e Marseille, est élevé à la classe exceptionnelle ; M. le Dr LEVET, médecin adjoint à l'asile de Fains, est élevé à la 1"C
de Fains, est élevé à la 1"C classe (14 juin) ; M. le D1' MAUPATà, médecin adjoint à l'asile d'Armentières, est élevé à la
de l'asile de la Charité, place créée (8 juillet) ; M. le Dr LEROY, médecin adjoint à l'asile d'Évreux, est élevé à la 1re cl
vreux, est élevé à la 1re classe (16 juillet) ; M. le Dr PÉCHARMOE, médecin adjoint à l'asile de Cler- mont, est élevé à la
ploi. - Il est très regrettable que celte place ait été enlevée aux médecins . Ce n'est point par des mesures de ce genre que
fants. (Le Soleil.) Asile public d'aliénés de Maréville (Rapport du médecin en chef de la division des hommes, à M. le Préf
NTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LEURS RAPPORTS Par le Dr Alexandre PARIS, Médecin en chef de l'asile de Jlaréwlle-ancv. Folie tub
e. La femme soumise à l'expérience était gardée à vue par plusieurs médecins , la région où devait apparaître la vésication é
d'une lapara- tomie. » G. DENY. SOCIÉTÉS SAVANTES. CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES ' 1 NEUVIÈME SESSIO
os cordiales sympathies. « Je déclare clos, le neuvième Congrès des médecins aliénistes et neurologistes. » Excursion aux
RAPHIE. cun sa besogne. L'étudiant d'alors n'était pas seulement un médecin instruit et laborieux, il possédait un talent d
à la justesse de l'observation médicale. Il était à craindre que ce médecin de haut rang fût considéré par ses pairs comme
par ses pairs comme un artiste ; l'artiste de grand talent comme un médecin . La récente élection de l'Académie de Médecine a
, à 4 heures à Angers, à l'issue de la séance du Congrès annuel des médecins aliénistes et neurologistes, sous la présidence
u vote pour la nomination de deux vice-présidents choisis parmi les médecins aliénistes de province. Sont nommés par acclama
professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de Lyon, médecin en chef de l'asile de Bron ; Cullerre, médecin-di
recteur du mani- come de Turin. Rapporteur français : M. J. Voisin, médecin de la Salpêtrière. Anatomie pathologique. Ana
, de Saint-Pétersbourg. Rapporteur pour la France : M. Bourneville, médecin de Bicêtre. Thérapeutique. - De l'alitement (re
és aux aliénés. Rapporteur pour l'Allemagne : M. Clémens Neisser, médecin de l'asile de Leubus. Rapporteur pour la Russie :
ur Morselli, de Gênes. Rapporteur pour la France : M. Paul Garnier, médecin en chef de l'infirmerie spéciale du Dépôt de la
nfirmerie spéciale du Dépôt de la Préfecture de police. Plusieurs médecins étrangers ont déjà écrit à M. le Président et à
ui l'accompagnent montrent l'un des côtés de la situation faite aux médecins des asiles. D'or- dinaire, les journaux politiq
n exacte est de 105 pour 10.000 officiers ou soldats. Ce sont les médecins et les chirurgiens qui sont le plus souvent exp
TALE. HÉPATISME ET PSYCHOSES ; Par le D' A. CULLERRE, Directeur médecin de l'Asile d'aliénés de La Roclie-sur-Yon. Depu
: elle devint sujette à des crises qualifiées de catalepsie par le médecin qui la soignait. A la moindre contra- riété ell
S DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE ; Par le D E. JIARANDON DE IONTYEL, *1 Médecin en chef des asiles publics d'aliénés de la Seine.
le jour même de l'entrée du malade. De plus, pendant l'opération le médecin dans la certi- tude absolue où il était de l'ex
dans un assoupissement auquel iL était impossible de l'arracher. Le médecin qui la vit conclut à un, empoisonnement par l'a
à l'asile, le malade se calme, mange et dort bien, puis confesse au médecin qu'il a simulé un trouble mental pour quitter l
ne façon si nette, si précise un trouble mental bien défini, que le médecin le maintint en observation. Bien lui en prit, c
quants et aliénés condamnés ou internés pour la troisième fois. Les médecins d'asiles et de prison sont chargés de l'exécuti
es : Dans 440 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. un procès criminel, les médecins connaissent-ils les conditions qu peuvent exoné
u'on emploie c'est en réalité une punition. Dans certains cas les médecins devraient donc déclarer qu'un criminel aliéné e
a protection de la société c'est de les renfermer. Le D'' BLANFono, médecin d'asile d'aliénés, fait remarquer que les alién
EVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 421 faits passés dans la pratique. Plusieurs médecins répondent ensuite en émettant des opinions dive
re influence contre le développement et la durée de la psychose. Le médecin ne doit prendre la responsabilité du traite- me
e nombreux documents dus à l'observation personnelle de l'au- teur, médecin super-intendant du Manicome de Sienne. M. B. VA
etc. (Ame1'ican Journal of insanily, janv. 1898.) E. B. Certains médecins des hôpitaux leur nombre diminue considèrent le
s hôpitaux leur nombre diminue considèrent les aliénistes comme des médecins d'un ordre inférieur. S'ils veulent réfléchir s
Service médical DES prisons; par le D'' HAMILTON Wey. Le rôle du médecin de prison est des plus complexes, des plus diff
nce des maladies nerveuses et mentales. Dans beaucoup de prisons le médecin est appelé seulement quand il y a une bronchite
xation à réduire et l'on ne parait pas se douter de l'importance du médecin dans la prison. Tout d'abord le médecin de pris
e douter de l'importance du médecin dans la prison. Tout d'abord le médecin de prison avant d'être nommé, devrait justifier
rvices spéciaux de maladies nerveuses et d'aliénation mentale. Le médecin de prison, une fois nommé, devrait consacrer tout
s parti- cularités mentales et tenu en observation régulière par le médecin : il est probable qu'en agissant de la sorte, n
placés ailleurs que dans une prison. Pour faciliter son action, le médecin devrait, de par la loi, être absolument indépen
le directeur de la prison. 428 Varia. En raison du rôle que le médecin doit remplir dans la prison, sa situation matér
n matérielle et morale devrait être relevée afin d'encou- rager les médecins de valeur à rechercher cette carrière. (American
candidats qui se présentent aux concours ouverts pour les places de médecin adjoint des quartiers d'aliénés dans les hospic
la part de l'Administration. Le jury du concours pour les places de médecin adjoint du ser- vice des aliénés dans des hospi
ose de sept membres, savoir : trois membres tirés au sort parmi les médecins aliénistes, chefs de service des hôpitaux et ho
pices en exercice ou honoraires; un membre tiré au sort parmi i les médecins chefs de service des asiles publics d'aliénés du
énés du dépar- tement de la Seine, en exercice ou honoraires, et le médecin du Bureau d'admission de l'Asile clinique; et t
ssion de l'Asile clinique; et trois membres tirés au sort parmi les médecins chefs de service des hôpitaux, en exercice ou h
ins chefs de service des hôpitaux, en exercice ou honoraires. Les médecins , chefs de service des asiles publics d'aliénés de
ervice des asiles publics d'aliénés de la Seine, en exercice, et le médecin du Bureau d'admission de l'Asile clinique ne pe
'aliénés de la Seine. Les épreuves du concours pour les places de médecin adjoint du service des aliénés dans les hospice
tement. (Le Temps du 16 mai.) Nécrologie. - Le D'' SISTEIiAY ancien médecin en chef d'asile d'aliénés, est décédé le 5 juil
steray, né à Lectoure (Gers), le 30 octobre 1827, ancien interne et médecin adjoint des asiles publics de Moulins, de Mar-
oulins, de Mar- seille, de Rodez et de Dijon, était en dernier lieu médecin en chef de l'asile d'aliénés de Bordeaux, lorsq
sante pour le public, pour les hommes de loi, ne l'est plus pour le médecin qui veuL connaître fonts et origo mali, le subs
psychiatre étudie l'évolution de chaque cas de la même façon que le médecin d'hô- pital suit les maladies ordinaires. Le
remé- dier à cet état de choses ? C'est à une commission mixte de médecins , de légistes et d'administrateurs qu'il revient d
sence de l'oxyde de carbone dans le sang, est donc indispensable au médecin expert. Celle de l\l1. Kunkel et Scbulz consist
iles d'aliénés. Nominations et mutations : M. le D DODERS est nommé médecin adjoint à l'asile de la Charité (fièvre) en rem-
le cadre de dis- ponibilité (15 septembre) ; M. le D1' S.1TENOISE, médecin adjoint à l'asile de Saint-Ylie est élevé à la
e [iodez est élevé à la première classe (10 oct.) ; M. le Dr BARUK, médecin adjoint de l'asile de Lesvellec, est élevé à la
est élevé à la 110 classe (8 oct.) ; ;- M. le Dr Papillon est nommé médecin adjoint à l'asile de Montdevergues (15 oct.); ;
e l'asile de Saint-Méens (26 oct.) ; - M. le Dr BE5SIÈRE, directeur médecin de l'asile de Saint-Alban, est nommé directeur
directeur médecin de l'asile de Saint-Alban, est nommé directeur médecin de l'asile d'Evreux (24 oct.) ; - M. le D1' 1\ICO
e l'asile d'Evreux (24 oct.) ; - M. le D1' 1\ICOLa : v, direc- teur médecin de l'asile d'Auch, est nommé médecin en chef de
e D1' 1\ICOLa : v, direc- teur médecin de l'asile d'Auch, est nommé médecin en chef de l'asile de Cadlllac (9 nov.) ; M. le
médecin en chef de l'asile de Cadlllac (9 nov.) ; M. le Dr DUPAIN, médecin adjoint de l'asile d'Alençon, est nommé médecin
; M. le Dr DUPAIN, médecin adjoint de l'asile d'Alençon, est nommé médecin en chef à l'asile de Saint- Mécns (9 nov.) ; M.
chef à l'asile de Saint- Mécns (9 nov.) ; M. le Dr COUPON est nommé médecin adjoint à l'asile d'Alençon (18 nov.) ; M. le D
méde- cin adjoint de l'asile Sainte-Gemmes (18 nov.). Concours DE médecin suppléant DE Bicêtre. - Ce concours ouvrira le
42 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
decine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Anne). F. RAYMOND
eur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecin * de Paris. COLLABOUATEUNS PRINCIPAUX Ml4.AB
ire et petit brightisme ; FIR A. VIGOUROUX, ' et T P. JUQUELIER médecin en chef. interne. à l'asile de Vaucluse. I. D
albuminurie, et dont l'état mental seul attire toute l'attention du médecin . Toute- fois parmi les troubles psychiques par
ental. Enfin si l'étiologie rénale peut échapper à l'attention du médecin dans les cas mêmes où le brightisme doit être mis
sion mentale ou le délire hallucinatoire que ce malade présente, le médecin con- clut volontiers à un délire toxique, et pa
délire n'a aucun caractère spécial. Or il est excep- tionnel que le médecin aliéniste assiste dans les asiles au début d'un
bientôt. Il est allé à Sainte-Anne tout seul, sur le conseil de son médecin . 11 nie énergiquement avoir eu des hallucinations
n (Grand-Duché de Hesse) ; [Suite 1) Par M. le D' Peul SÉRIEUX, Médecin en chef de la Maison de santé de Ville-Evrard.
t administra- tifs 2. Il est secondé réglementairement par quatre médecins dont trois médecins assistants et un stagiaire
. Il est secondé réglementairement par quatre médecins dont trois médecins assistants et un stagiaire (VotoKu'/tausa) ? ) qu
e personnel médical était composé, outre le professeur Sommer, d'un médecin en chef, Vu. le docteur Dannemann, ayant le tit
Dannemann, ayant le titre de professeur extraordi- naire, de trois médecins assistants et d'un médecin volontaire appartena
e professeur extraordi- naire, de trois médecins assistants et d'un médecin volontaire appartenant au corps de santé milita
corps de santé militaire. Tous sont logés à la Clinique. Le premier médecin assistant est chargé de la divi- sion des femme
adresser toutes les com- munications concernant chaque division au médecin qui en est chargé. La direction du service médi
de chaque division est donc tout entière entre les mains d'un seul médecin , responsable devant le professeur. C'est au méd
mains d'un seul médecin, responsable devant le professeur. C'est au médecin de chaque division que sont transmises les indi
sseur, les dossiers des entrants, la correspondance des aliénés. Ce médecin est chargé de tenir à jour les observations ave
jour les observations avec le concours du troisième assistant ou du médecin stagiaire. Ces deux derniers médecins habitent
s du troisième assistant ou du médecin stagiaire. Ces deux derniers médecins habitent dans la division même à laquelle ils s
tation des infirmiers, les permissions de sorties sont réservées au médecin de la division. Cette organisation du service m
un grand avan- tage : dans chaque division il existe en effet deux médecins connaissant à fond les malades et pouvant se re
r mutuelle- ment sans que le service en souffre. Le remplacement du médecin d'une division par son collègue de l'autre divi
re division n'est pas admis; on a établi ce principe qu'un des deux médecins de chaque divi- sion doit toujours être présent
cette façon le professeur absent peut toujours être remplacé par un médecin plus expérimenté que les jeunes assistants ou v
à 100 lits, c'est donc 20 à 25 malades qui sont attribués à chaque médecin , sans tenir compte du pro- fesseur. En raison d
ro- fesseur. En raison de la collaboration d'un certain nombre de médecins stagiaires supplémentaires, la proportion des méd
in nombre de médecins stagiaires supplémentaires, la proportion des médecins est encore plus élevée et assure ainsi aux mala
issions de sortie du per- sonnel : ces questions sont réservées aux médecins . Ils sont char- gés de surveiller infirmiers et
s les prescriptions alimentaires extraordinaires prescrites par les médecins . Le service du chauffage est assuré par un méca
la sécurité publique. Dans ce dernier cas, un avis est envoyé au « médecin de cercle » qui fait un rapport sur le cas et c
ns les cas où la sortie d'un malade est refusée à la famille par le médecin , le ministre de l'Intérieur intervient. De même
e, le directeur peut admettre un aliéné sous réserve de l'examen du médecin expert qui rédige un rapport concluant ou non a
esquels il n'y a pas de certificat d'internement, l'intervention du médecin expert pré- CLINIQUE psychiatrique DE l'univers
. Un rapport sur la maladie, rédigé d'après un questionnaire par le médecin du cercle. b. Un certificat du maire fournissan
bre total des malades est de 1497 (762 hommes, 733 femmes), avec 19 médecins (fer janvier 1898). La création de deux nouveau
unts à l'intéressante monographie de M. le professeur A. Dannemann, médecin en chef à la clinique, Die psychiatrische Htt7c
enfant arriéré ; PAR LES DOCTEURS S. GARNIER. et A. SANTENOISE, Médecin en chef directeur Médecin-adjoint de l'asile de
e coin le plus dissimulé des hospices ou des asiles, comme certains médecins qui ne con- naissent que superficiellement les
secret médical et la discrétion médicale; il s'agit d'autoriser le médecin non pas à dé- voiler sans motif les infirmités
en plus à se généraliser dans les familles pourraient, sans que le médecin manquât au secrer professionnel, éclairer ceux qu
et social, ces carnets sont fort importants : mais ce n'est pas au médecin , c'est à la famille de les produire si elle le
arents, des amis, des com- mères, des concierges, qui assaillent le médecin de questions indis- crètes au sujet du malade q
volontaires du sujet en vue d'exécuter l'acte prescrit. Lorsque le médecin peut obtenir du malade sa part de collaboration
exactitude des caractères pathologiques, qui peuvent permettre aux médecins de faire des diagnostics ré- trospectifs. Les
s galeries. Cette étude montre bien l'in- térêt tout spécial que le médecin peut prendre à l'examen des oeuvres d'art ; ell
Asiles d'aliénés . Nominations et promotions (mai). 11. CROusTEL, médecin adjoint à Quimper, nommé à l'asile de Les- vell
uimper, nommé à l'asile de Les- vellec (Morbihan). M. le Dr PocnoN, médecin adjoint à Lesvellec, nommé à Iloueii en remplac
c, nommé à Iloueii en remplacement du Dl liamel, nommé directeur- médecin à Auxerre. M. le Dr Simo,,q, 3e du concours d'adj
édecin à Auxerre. M. le Dr Simo,,q, 3e du concours d'adjuvat, nommé médecin adjoint à Dury (Somme) en remplacement du Dr Mu
é médecin adjoint à Dury (Somme) en remplacement du Dr Musin, nommé médecin adjoint à Chatons (Marne). M. le Dr Lagriffe, 4
ons (Marne). M. le Dr Lagriffe, 4° du concours d'adjuvat, est nommé médecin adjoint à Quimper. Ai. le D1' Mus;N, médecin ad
s d'adjuvat, est nommé médecin adjoint à Quimper. Ai. le D1' Mus;N, médecin adjoint à Duiy (Somme), BULLETIN BIBLIOGRAPHIQU
édecin adjoint à Duiy (Somme), BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. 95 nommé médecin , adjoint à Chàlons-sur-llarne. -1f. le Dr Roques
médecin, adjoint à Chàlons-sur-llarne. -1f. le Dr Roques de Fursac, médecin adjoint à Clermont (Oise), promu à la Isolasse
Clermont (Oise), promu à la Isolasse du cadre. -11. le Dr TiiiVET, médecin en chef à Clermont (Oise), promu à la 2° classe
2° classe du cadre. M. le Dr Aubry, 5° du concours d'adjuvat, nommé médecin adjoint à la Charité (Nièvre), en rem- placemen
harité (Nièvre), en rem- placement du D1' Bourdin. M. le Dl Ricoux, médecin adjoint à Fains (Meuse), promu à la 2° classe d
classe du cadre à partir du l01' juillet 1903. -111. le D1' Briche, médecin adjoint à Saint- Venant (Pas-de- Calais), promu
à la classe exceptionnelle du cadre. M. le Dr Bno- quère, directeur médecin à l'asile de la Roche-Gandon (Mayenne) promu à
Distinction honorifique. AI. le Dl CIIRVALIER-L1V : lUn, directeur- médecin à l'asile d'aliénés d'Auch (Gers), est nommé offi
us les faisons néanmoins figurer dans ce travail pour permettre aux médecins , désireux d'employer une méthode exacte, de com
lement de la rétine ; PAR LES DOCTEURS Il. KERAVAL T G. RAVIAUT Médecin en chef des Asiles Médecin adjoint de l'Asile d
LES DOCTEURS Il. KERAVAL T G. RAVIAUT Médecin en chef des Asiles Médecin adjoint de l'Asile de la Seine. d'Armentières.
tit-fils il fut obligé d'inter- rompre son travail, de s'aliter. Le médecin fut appelé parce que D... n'avait pas de sommei
T PETIT BRIGHTISME. 141 Quelques jours avant son entrée, un nouveau médecin consulté avait fait interrompre le régime lacté
t le reste, 25 p. 100, ne peut rien faire du tout. D'autre part, le médecin de la colonie de Bielefeld (Westphalie) dit que,
que Ferrus avait créé la ferme Sainte-Anne. C'est pourquoi tous les médecins aliénistes ont réclamé des colonies annexées au
l, 10 mai 1902). Les résultats peu satisfaisants que la plupart des médecins obtiennent dans le traitement de beaucoup d'aff
à consulter : c'est la tolérance du malade qui règle la conduite du médecin . Les médi- caments que l'auteur a particulièrem
de con- duite, il convient aussi bien pour l'éducateur que pour le médecin d'en rechercher soigneusement les causes qui so
thymus. R. LEROY. XXIII. De la morphinomanie. Auto-observation d'un médecin mor- phinomane ; par M. le professeur Debove (P
à ses auditeurs combien la morphinomanie fait de ravages parmi les médecins . Il fait entre le morphinomane et le morphine l
ation par les méthodes lente et brusque et lit l'observa- tion d'un médecin morphinomane issu de parents néviopallies, entr
e de l'appétit, l'insensibilité mo- rale, etc. Que serait devenu ce médecin , aujourd'hui un maître ? probablement une nouve
avec lui « l'épreuve du malade ». J'arrive en avance ; le savant médecin de la Pitié. entouré d'élèves, était au lit d'une
même persuader anx angineux vrais qu'ils ont une fausse angine. Le médecin doit leur remonter le moral par une suggestion
on aride entre toutes et trop insuffisamment connue de la masse des médecins . A ce propos, nous considérons comme un devoir
e lacune et sera par suite bien accueilli par tous : grâce à lui le médecin aura un manuel très clair, très documenté, où i
e de celui qui traitait ce sujet, magistrat très expert doublé d'un médecin très érudit. Une revue rapide de différentes form
n ne saurait trop féliciter M. Maxwell, et- comme juriste, et comme médecin , d'avoir montré personnellement combien cette a
3). FAITS DIVERS. Distinctions HONORIFIQUES. -M. le D1' A. Marie, médecin en chef de l'asile de Villejuif et M. MoRtN-Gou
iles DE la Seine. M. le Dr. VALLON, inspecteur-adjoint, a été nommé médecin inspecteur des asiles privés, en remplacement de
remplacement de Il. le Dr Laborde, décédé. Il a été remplacé, comme médecin ins- pecteur adjoint par M. D1' Duroun. M. le D
- pecteur adjoint par M. D1' Duroun. M. le D1' 1.vori- (Salomon), médecin en chef de la Colonie familiale d'Ainay-le-Châtea
E. Obsession et délire ' ; Par le D' E. MARANDON de 110 ? 1 YEL Médecin en chef de Ville-Evrard. Un point bien intéress
e, il fallut la conduire au pen- sionnat de l'asile dont j'étais le médecin . Je constatai chez elle tous les signes classiq
INIQUE NERVEUSE. Délire et petit brightisme ' ; S A. VIGOUROUX, médecin en chef. à l'asile de Vaucluse. e. ET 1'. J
avait pas de rechute. SOCIÉTÉS SAVANTES. lIII° C01VGR1 : S DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES DE FRANCE · ET DES
Ouverture du Congrès. SÉANCE DU le' AOUT Le XIIIII Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pa
E, avaient pris place aux côtés des présidents. Outre de nombreux médecins belges, un grand nombre de savants français, su
développement. Il a en outre applaudi à la bonne confraternité des médecins belges et français dont la collaboration marque
e d'habitations des aliénés sous la direction de M. le D'' PEETERs, médecin directeur, Bctcck- Arscmvrs, 2° série, t. XVI.
ck- Arscmvrs, 2° série, t. XVI. lj 22G SOCIÉTÉS SAVANTES. mans, médecin principal, CUISENAIRE, 111SOIN et MEEUs, méde-
es détails d'une section à la Colonie de Gheel; par le De F. Meeus, médecin à la Colonie de Gheel. Dans une colonie quelque
est divisée en quatre sections indépendantes avec, dans chacune, un médecin , deux gardes, et un baigneur qui demeure à l'ét
s qui sont mariés. Avec leurs carnets et le rap- port journalier du médecin , les gardes.se rendent chez le médecin- directe
donne au besoin des indications au garde et des ordres en retour au médecin . Généralement, c'est aussi le médecin qui corre
et des ordres en retour au médecin. Généralement, c'est aussi le médecin qui correspond avec les familles, il garde les
cas de maladie, avertit les proches. ' 1 Tous les trois mois, le médecin fait un rapport sur les fondions génitales des
ments à fournir, il remplit un borde- reau ad hoc, et le signe ; le médecin contrôle le bordereau et le magasinier l'exécut
vertit les nourriciers dont les aliénés doivent venir aux bains. Le médecin est présent durant toute la durée des bains, et
u poids est aussi insci dans le livret à visi- tes, de sorte que le médecin , par comparaison avec les poids antérieurs, est
u encore quand il se méconduit, ou qu'il devient trop turbulent, le médecin demande son admission à l'infirmerie, et rempli
A la mort d'un aliéné, le nourricier vient immédiatement avertir le médecin de la section. Celui-ci constate le décès, insc
village. Une autopsie semble-t-elle intéressante ou nécessaire, le médecin de la section avertit le médecin-directeur qui
ou deux gardes d'aller chercher le cadavre. En cas de guérison, le médecin SOCIÉTÉS SAVANTES. 229 de la section délivre
trois membres désignés par le Mi- nistre de la Justice, et de trois médecins de la Colonie, à savoir : le médecin-directeur
médecins de la Colonie, à savoir : le médecin-directeur et les deux médecins de section les plus âgés. Les deux autres médec
teur et les deux médecins de section les plus âgés. Les deux autres médecins de section et le médecin-anato- miste n'en font
e médecin-anato- miste n'en font point partie. Ce Comité délègue le médecin delà section où habite l'aspirant nourricier, à
un rapport questionnaire et envoie celui-ci au Comité permanent. Le médecin de la section est-il un de ces deux médecins le
au Comité permanent. Le médecin de la section est-il un de ces deux médecins les plus âgés de la Colonie, il peut alors conf
r et les viscères : c'est-à-dire l'action continue et réciproque du médecin , du garde, du nourricier et de l'aliéné dans le
ite de l'infirmerie. Le directeur de la Colonie, le Dr Peeters, ses médecins collabo- rateurs, MM. les D5 Boeckmans, Cuisena
e de la paralysie générale ; Rapport présenté par M. le Dr Klippel, médecin des hôpitaux de Paris. Conclusions : Les lésion
arents et plus tard, les impulsions que dé- termine la puberté. Des médecins , même des plus réputés, mais inexpérimentés en
arie souvent et ne peut guère être conduite et appliquée que par le médecin . Cette première période de mobilisation est sui
l cons- tata avec surprise qu'elles avaient reparu ; il consulta un médecin qui ordonna une pommade. Celle-ci ne lui ayant
nnelle. Professeur Dubois (Berne). La psychothérapie qu'exerce le médecin ayant du tact et de la bonté est vieille comme le
e le tact, la méthode, la précision et l'humanité que déploient les médecins militaires en présence d'un soldat hys- térique
ment préoccupé dans le choix des matières des besoins des lecteurs, médecins , neuropathologistes, magistrats, anthropolo- gi
iles d'aliénés. Mouvements de juin et litillet. AI le Dr Do- DF.RO, médecin adjoint à Saint-Mlie (Jura) promu à la classe exc
la classe excep- tionneite du cadre. 11f. le DTCu.ttoov, directeur médecin à l'asile d'Aimentières, promu à la 2° classe d
en disponibilité sur sa demande. i\1. le Dl> LALMMAND. directeur médecin à Quatre-Mares (Seine-Inférieure), porté à la c
ionnelle du cadre à dater du 1'='' septembre 1903. 11. le D' LWOFF, médecin en chef à Ainay-le-ChàLetu (Al- lier), promu à
3. M. le DT CHOCREAUX. médecin-adjoint à Alençon, nommé directeur médecin à la Charité (Nièvre) en remplacement de Dol. le
suffisant pour modifier son caractère. Je soussigné Rayneau James, médecin en chef de l'asile d'aliénés, membre correspond
gement et c'est alors qu'il est examiné par le docteur Doutrebente, médecin en chef de l'asile de Blois. Notre confrère l
avait été prononcée entre les deux époux au profit de la femme. Le médecin de Mazas frappé de ses excen- tricités demande
juge d'instruction, il est confié à l'examen du docteur Dubuisson, médecin de Sainte-Anne. L'ex- pert conclut que D... éta
d'y outrager un commissaire de police. Coût : un mois de prison. Le médecin de Versailles l'ayant considéré comme partielle
les motifs les plus futiles; tantôt il se dit malade et demande le médecin , tantôt il vent qu'on certifie qu'il jouit bien
té, D... étant un de ces êtres qui paraissent relever aussi bien du médecin que du criminaliste, un pilier d'asile ou de pr
tement en Angleterre ; Par FLETCHER BE.1CII, M. B., F. R. C. P. Médecin au aWestEnd Hospital, Loudon o, », hôpital pour l
hôpital pour les maladies nerveuses, l'épilepsie et la paralysie. Médecin à la Colonie d'épileptiques de Chalfont, Buchingh
de Hughiings Jackson sont maintenant généralement acceptées par les médecins anglais. Archives, 2" série, t. XVI. 20 306 T
saire pour assurer le fonctionnement du service. Une maison pour le médecin en chef est placée à une distance commode du bâ
1 Rappelons que Ferrus. probablement le premier, alors qu'il était médecin de l31cétre, a organise la colonie de la Ferme Sa
ravaux de salubrité. (l3.) SOCIÉTÉS SAVANTES. XIII" CONGRÈS DES MÉDECINS ET NEUROLOGISTES DE FHAXCE ET DES PAYS DE LANGU
es mentales et nerveuses. (Rapport présenté par M. le 1), TRI,.iEL, médecin de l'asile Saint-Yon.) GÉNÉRALITÉS SUR L'AGIT
rir quand les autres hypnotiques font défaut. Et même pour certains médecins , c'est l'hypnotique unique. Son action dépressi
que l'auteur présente et qui lui ont été fournis par M. Vigouroux. médecin de l'asile de Ville-Evrard. Ce point demanderai
ce chiffre n'est admissible que pour la proportion des malades par médecin . Tous les services d'une grande colonie doivent
e subdivisés entre les méde- cins par groupe de 3 à 400 malades par médecin (exemple Gheel) sans autre limitation. La dou
ulons pour preuve que l'auto- observation, déjà très ancienne, d'un médecin syphilitique chez qui une amyotrophie progressi
plus contestée actuelle- ment pour certaines maladies. Si quelques médecins refusent ou hésitent encore à se servir de l'hy
ns X, etc., y contribuent largement. Pour réus- sir, il faut que le médecin sache inspirer une confiance entière a son mala
une série de conférences devant un auditoire nombreux composé de médecins et d'étudiants en médecine, et des leçons cliniqu
é sur le même sujet au Congrès de Psychologie à Munich. Beaucoup de médecins étrangers sont venus chez lui pour appren- dre
tes et aux fenêtres, des bibliothè- ques, aux murs des portraits de médecins célèbres, etc. Les mala- des sont ainsi déjà su
i importe surtout, c'est l'intention bienveillante et persuasive du médecin . Le D1' Wetterstrand va d'un malade à l'au- tre
soit à la suite de sollicitations suggestives, le sujet confesse au médecin des obsessions, des pho- bies, des impulsions o
ui se plaignent de n'avoir jamais pu être endormis à fond par aucun médecin ; et, cependant, ils sont persuadés que seule po
le droit formel de provoquer une expertise devrait appartenir aux médecins de la prison comme aux directeurs, et même devrai
ne ; ainsi encore le Ministère de la Justice devrait recru- ter les médecins des prisons parmi les docteurs qui auraient fait
études spéciales de médecine mentale; car l'idéal serait que chaque médecin de prison fût suffisamment spécialisé en cette
M.DxoDir-EAU (de Paris). - Il sera difficile d'arriver à ce que les médecins de prison soient tous aliénistes. - M. Masoin
uet, un entendant- muet, un bègue, etc., la collaboration intime du médecin , du chirurgien parfois et du professeur spécial
dans un certain nombre de cas, le chirurgien est appelé à aider le médecin . Le malade de M. Larrivé, bien que profondément
es ; 4° les 1 Toutes les fois qu'un enfant a eu des convulsions, le médecin devrait prendre de temps en temps les mesures c
de dissiper les préjugés qui régnent dans l'esprit de beaucoup de médecins sur l'incurabilité de ces malades car, à quelque
appartiennent, ces enfants sont des malades et relèvent d'abord du médecin dont les pédagogues sont les auxiliaires, de mê
comme conséquence de déprécier considérablement la compétence des médecins dans la question du traitement du bégaiement et d
je l'intention de noter que quelques courtes remarques médicales. Médecins et aliénistes, nous avons visité à Méremberg, sou
irecteur, M. le docteur J. van Deveuter, un asile-modèle d'aliénés. Médecins , et quelque peu curieux de la grande peinture f
iale plus élevée, fille de pasteur, de marchand, de bourgeois ou de médecin , elle fait du soin des ma- lades une carrière,
s de la. Nouvelle Iconographie sur les « Pier- res de tête », « les Médecins Urologues» et « le mal d'amour», nous avons adm
e regard par sa très grande valeur picturale, mais qui intéresse le médecin , car la scène se passe dans une grande salle d'
usion courante que l'on fait des idées de ce dernier avec celles du médecin danois Lange. Tous deux, il est vrai, ont surto
ous-cutanées de strychnine. Vers le 18 octobre de la même année, le médecin du malade in- vita un neuropatliologue, et tous
testablement, cette méfiance du public est fondée sur l'opinion des médecins qui regardent la friction mercurielle com- me n
atonie (Catatonie et démence précoce ? ) ; P,t[ LE D \L. IlRIS, Médecin en chef de l'asile de Mareville. chargé de cours
e consistance dans son esprit, elle va consulter un grand nombre de médecins , de somnambules, dépense ainsi la plus grande p
aux infirmières, mais reste toujours absolument muette en face des médecins ou des reli- gieuses. Son attitude habituelle i
.ITnOLOGIQUE t P 111 LES DOCTEURS G. lt.1V1a1RT, et P. CAUDHOK. Médecin adjoint Interne de l'Asile d'Armentières. Dan
oins accusés, il tente, sans y pleinement réussir, de satisfaire le médecin ; dans les cas prononcés, cette invitation suff
attitude naturelle a l'égard de certaines personnes, notamment des médecins . Elle parle sans contrainte aux autres malades
ux autres malades et aux infirmières, mais dès qu'elle a affaire au médecin , elle devient muette, elle prend alors en outre
pule. Cet état de mutisme, de négation, de stéréotypie us-a-vis des médecins l'in- quiète : elle se plaint de ne pouvoir se
istratifs que médicaux, doivent être concentrés dans les mains d'un médecin . Convaincu en outre que les femmes possèdent à
rcot est resté la figure la plus puissante et la plus populaire des médecins du xixe siècle. Egalement supérieur dans toutes
our jamais son enseignement clinique, et où savants, philoso plies, médecins , accoururent de toutes les parties du monde au-
issait sous l'influence des progrès de la neuropa- thologie dont le médecin de la Salpêtrière était l'artisan le plus émiue
le, le Maître cachait une exquise bonté. Souvent, l'indifférence du médecin n'est qu'une affectation de parade, qui recouvre
alors un illustre savant étranger, la France a perdu son plus grand médecin , et ce n'est pas seulement la France qui pleure
ie national»... Et tandis que l'Histoire conservera le nom du grand médecin ,- parmi ceux qui ont le plus honoré la Science
sé le développement de la station. 11 parle ensuite des travaux des médecins de la station qui ne restaient pas inactifs. Il
- taine monumentale portant, à son fronton, l'image de l'illustre médecin de la Salpêtrière. File est bien belle ainsi, ent
s me couviez a rendre un juste hommage à la mémoire de l'illustre médecin qui contribua si largement à répandre et à accroî
connaissance la mémoire de celui qui fut le plus illustre parmi les médecins du siècle dernier, du savant dont les travaux s
atue miraculeuse; parmi les seiviteurs du temple : les prêtres, les médecins , les dames chargées de cons- tater ou d'aider l
l des logis. « Appor- tez un bulletin blanc au bureau et fournir un médecin pour les colonnes pour le personnel à droite et
un peu... Entrez dans la préfecture. » Il écoute : Oui, il y a un médecin ici. Il écoute encore : Oui, j'ai les voiture
les monologues sont fréquents. « Je vous l'avais bien dit, tous les médecins sont des idiots. I'..., G... ne sont que des im
comparait en justice pour instruction de son affaire. N'est-il pas médecin à Sainte-Eugénie ? » » C'est en pareille circon
e contention qu'avec une extrême réserve, et jamais sans l'ordre du médecin . Chez les malades à tendances homicides, chez q
iénés. 519 Si l'on excepte la surveillance générale, mais réelle du médecin directeur et du personnel médical, de la matron
iques, et les cas graves d'intoxica- tion alcoolique. Depuis que le médecin qui dirige ce pavillon a été nommé médecin de l
lcoolique. Depuis que le médecin qui dirige ce pavillon a été nommé médecin de la cour de justice, on y place aussi les incul
té par des malades qui se renouvellent incessamment. car les futurs médecins appren- nent ainsi précisément ce qu'ils auront
ion soit communiquée dans trois mois. F. Boisstm. XHP CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET \EUROLOGIST1 : 3 DE FRANCE ET DES
ion pourra déjà rendre un service réel, celui d'étayer l'opinion du médecin ; enfin s'il s'agit de chorée hysté- rique, elle
en fut encore récompensé par les témoignages d'estime des nombreux médecins de tous les pays qui venaient s'instruire sous
IÉNÉS. ' Nominations et Promotions. M. le Du ME ! - LHON, directeur médecin à l'asile d'aliénés de Quimper est promu à la 1
r Deliiu ? ? z Ire- mens. lloarumonawe. Auto - observation d'un médecin morphinomane, par llebove. 167. Voir Hystérie.
43 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
DU . MAGNÉTISME RÉDIGÉ Par une Société de Magnétiseurs et de Médecins SOUS LA DIRECTION DE M. le baron DU POTET.
ez à quel point celui qui magnétise doit moralement être différent du médecin ordinaire. Celui-ci ne s’inquiète point, il suit
uile sur le feu qui nous anime; et, dans son orgueil et sa vanité, le médecin ordinaire croit qu’il est véritablement médecin.
ueil et sa vanité, le médecin ordinaire croit qu’il est véritablement médecin . Oui, il aura vu parfois des êtres survivre à tan
e ne peut plus soutenir la raison. Le magnétiste, bien différent du médecin , doit écouter en lui ce qui s’y passe, recueillir
en soi, toutes choses enfin que les faux savants méprisent et que les médecins rejettent encore loin d'eux, car ils se sont fait
ivait avec bien de la peine à la porte de sa maison, il rencontra son médecin , qui est son ami, et qui, voyant sa physionomie a
souffrances. M. Gilquin lui rendit compte de ce qu’il éprouvait : le médecin l’aida à monter chez lui, le fit coucher, l’exami
in, très-confiante dans le magnétisme, avait en- gagé vivement le médecin à .appliquer sa main sur la partie malade et à ma
ersuadée , disait-elle , qu’il en éprouverait du soulagement. Mais le médecin avait répondu dédaigneusement : « Laissez-moi don
vous adresse et qui contiennent mon adhésion, Xadhésion sincère d'un médecin , à la cause dont vous êtes, depuis longtemps, l’i
ge le titre de bienfaiteur de l’humanité souffrante ? Les rapports du médecin avec son malade ne seraient-ils pas plus intimes?
Par le magnétisme, par cette puissance mystérieuse, étrange, l’âme du médecin aurait plus d’empire sur l’âme de celui que tourm
douce et bienfaisante influence, la sympathie, — ce premier talent du médecin , — s’établirait plus facilement, la confiance, qu
souverain du 8 octobre 1845, exclusivement entre les mains de MM. les médecins qui en sont par système les ennemis naturels (en
s voisins et la Toscane subissent l’influence du décret impérial. Les médecins systématiques, réunis en corps d’armée par le pro
puisse librement être étudié et expérimenté. Les travaux des savants médecins magnétiseurs Borgna, Coddé , Gatti, Peano, du pro
Il existait déjà dans la même ville la Société philomagnétique. Le médecin et la somnambule. A. une séance publique dounée
rin par le professeur Guidi, où se trouvait une nombreuse réunion, un médecin , le signor M..., s’approche de la somnambule Loui
, la désigne sans se tromper. — Comment se porte-t-elle? demanda le médecin . — Elle n’est pas malade, répondit la somnambul
einte... de six à sept mois. A cette assurance de la somnambule, le médecin bulbutia et resta confus. Or, on nous assure qu
lement enceinte, a été longtemps traitée comme hydropique par ce même médecin qui lui a administré des remèdes de cheval. (La
s de toutes les classes l’appliquent au traitement des maladies ; des médecins l’acceptent comme un des plus puissants moyens de
DEUXIÈME CAUSERIE Patience et persévérance. Voici pourquoi les médecins réussissent peu et parviennent difficilement à gu
ue l'on s’ôtait promis d’atteindre. Les homœopathes, au contraire des médecins allo-pathes, ont deviné quelque chose qui avait é
ns user de remèdes matériels. Procéder en médecine autrement que le médecin paraît déraisonnable, et pour arriver à guérir, i
le, et pour arriver à guérir, il n’y a pourtant aucune autre voie. Le médecin examine son malade, le palpe, frappe sur les cavi
e. Toutes ces investigations sont rationnelles, savantes môme, et les médecins français surtout excellent dans cette expertise.
le mal est trouvé, la cause échappe , le médicament est incertain, le médecin voit fuir la lumière qui s’était un instant montr
lus divers se sont présentés à son esprit. Que va-t-il choisir?... Le médecin honnête homme hésite longtemps ; l’industriel ord
que la médecine a fondé toutes ses espérances. Son erreur (celle du médecin ) vient de ce qu’il croit que tout en nous est ch
la nature leur a déjà fait subir un grand nombre de préparations. Le médecin a prétendu faire aussi bien que cet ar-chée, que
t d’architectes, c’est un grand corps sans âme. Mais pourquoi les médecins sc plaindraient-ils? ils ont ce qu’ils ont rôvé :
de Dieu. Patience et persévérance, magnétiseurs, vous forcerez les médecins à venir à vous et à vous rendre justice. Vous ama
ances d’être foudroyé par une nouvelle bémorrhagie cérébrale. « Les médecins les plus haut placés n’ont jamais eu l’idée, dans
s religieux d’un ordre différent, de même, assister aux cliniques des médecins , et voir défiler ceux-ci devant un malade, et il
lilarion Iluguct, docteur en médecine. (Brochure, 1857). Voici un médecin qui vient hautement confesser l’inanité et l’impu
t devenue de plus en plus rare ; qu’on la trouve chez certains grands médecins doués d’intuition, tels qu’Hippocrate, Ambroise P
diquent des remèdes et vous guérissent. Il remarque qu’à l’opposé des médecins qui, pour nous guérir, commencent par nous empois
mède administrée par madame F... » Le nososcope n’a point, comme le médecin , de remède applicable uniformément à toutes les
s avons cités, M. Huguet nous semblait avoir tout îi fait congédié le médecin ; niais dans son dernier chapitre, nous voyons qu
érir que la nature a donnée à certains êtres de son choix. Souvent le médecin se trompe sur l’origine de l’état morbide qu’il a
res le savent mieux que lui, pourquoi n’a-t-il pas recours à eux ? Le médecin se dédoublerait donc en deux personnes et ne cons
et il n’y a nul besoin d’en contrôler les prescriptions. Pourquoi un médecin , qui n’aurait d’autre emploi que de relever les l
prescriptions sont suffisamment claires, on ne fera pas intervenir un médecin pour les traduire en langage hippo-cratique; le f
ut plus fournir que des indications fort problématiques. En effet, le médecin , n’ayant aucun critérium pour discerner si le som
rmellement, il faut donc revenir à la première alternative ; ainsi le médecin ne sera plus qu’un grammairien, écrivant sous la
xées par la loi. Tel ne peut pas être le rôle assigné par l’auteur au médecin ; car si celui-ci conservait le droit de choisir
té la lucidité, et qu'il aura des sujets lucides à la disposition des médecins . Nous le félicitons d'avoir entrepris un tel étab
peut se justifier? Aux Etats-Unis, il existe aussi des diplômes de médecins , qui sont pour le public une recommandation impos
drait opter entre deux systèmes : ou n’en permettre l’exercice qu’aux médecins , ou l’accorder seulement à toute personne qui ju
ue livrer le magnétisme à la discrétion de son ennemi. La plupart des médecins méconnaissent le magnétisme, refusent même de l’e
équivalent à une interdiction. L’accaparement du magnétisme par les médecins n’est ni rationnel ni équitable. En effet, si la
i apporte son concours charitable, doit-il attendre, pour agir, qu’un médecin diplômé soit venu lui en donner la permission ? 1
iplômé soit venu lui en donner la permission ? 11 est évident que les médecins ne pourraient suffire à apprécier tous les cas. E
loi du magnétisme peut guérir promptement le malade , croit-on que le médecin se bornera à conseiller un pareil traitement qui
e sa position. On ne peut attendre de lui une pareille abnégation. Le médecin doit vivre de la maladie, comme le prêtre de l’au
ours que j’ai magnétisé la malade. Pendant ce temps, que faisait le médecin ? Il ordonnait de la tisane de fleurs de mauve et
es par les habiles de ce temps. Magnétistes, voulez-vous forcer les médecins à étudier le magnétisme, guérissez les malades ri
et faites-vous payer. Tant que vous ne guérirez que des pauvres, les médecins ne bougeront point, mais si vous guérissez les ri
pas mieux que les pauvres, mais ils seront toujours préférés par les médecins , et je n’ai pas besoin d’en indiquer la cause.
vons, mais l’idée de sa loi et de sa valeur réelle, et alors prêtres, médecins , vrais savants, faux savants, philosophes, académ
que de nouveaux miracles : le magnétisme vaudra de l’or; avec lui le médecin battra monnaie , le prêtre redonnera un lustre no
ur du col. « La malade avait usé, d'après les conseils de plusieurs médecins successivement appelés, d’injections, de tisanes,
nt donné des consultations nombreuses. Ils n’étaient assistés ni d’un médecin , ni d’un officier de santé. La cause ne pouvait
condamnation, ils ont demandé le concours d’un homme de l’art. Divers médecins ont successivement assisté aux consultations de l
ument de diagnostic. Il est vrai qu’elle indiquait des remèdes que le médecin adoptait ou repoussait, mais elle n’était, dans t
le fléau. Nous empruntons le second fait à la relation récente d’un médecin . Une mère était inquiète de la santé de son enfan
l’exemple des dénégations, ce sont les académiciens, les lettrés, les médecins renommés. Sans doute, et nous le savons trop bien
e. D'un autre côté, tout ce qui vivait des erreurs humaines, tous les médecins , se sont émus à notre venue; leur science éta
attaque. Elle tomba par terre; le lendemain elle tomba deux fois ; un médecin fut appelé du premier moment ; malgré les soins e
éclara qu'elle ne la magnétiserait qu’après une consultation de trois médecins : la consultation eut lieu immédiatement. Les deu
de trois médecins : la consultation eut lieu immédiatement. Les deux médecins , appelés par le nôtre, accusèrent une maladie hys
e dirent mot sur le traitement à suivre. Il en fut autrement de notre médecin , mais d’une façon bien hostile. Il déclara qu’il
r devant ces messieurs, n’abandonnez pas ma fille à présent que notre médecin s’est déclaré contre le magnétisme ; elle prit sa
une somnambule poursuivie pour exercice illégal de la médecine, et l« médecin qui l’avait assistée dans scs consultations et qu
endu son complice; « Attendu que s’il est possible d’admettre qu’un médecin , auquel s’adresse un malade puisse se servir du m
dé et de dangereux ; mais qu’il ne saurait en être de même lorsque le médecin , sans voir ni consulter le malade, sans s’assure
examen ; « Attendu que, dans l’espèce, ce n’est pas à Laporte ( le médecin ), que s’adressent les malades (suit l’indication
qui, du reste, a déjà été consacré par plusieurs arrêts, c’est que le médecin est à l’abri de toute poursuite quand il se sert
eu de s’étonner qu’une pareille question ait pu être controversée. Le médecin , muni d’un diplôme, a légalement le droit d'exer
doclœ facultatif, ilaladus dût-il crevare Et mori de su«malo. Le médecin a toute latitude, peut puiser dans tous les systè
première instance, qu’il y a lieu de décider tout autrement quand le médecin « sans voir ni consulter le malade, appose aux or
gnature aveugle et sans examen ; » alors, ce n’est plus en réalité le médecin qui se sert du somnambule, c’est le somnambule qu
médecin qui se sert du somnambule, c’est le somnambule qui se sert du médecin comme d’un prête-nom , d’un homme de paille. Le m
ui se sert du médecin comme d’un prête-nom , d’un homme de paille. Le médecin ne peut plus alléguer son droit illimité de forme
ur lequel s’assied le somnambule. Il importe peu, dans ce cas, que le médecin qui joue un tel rôle possède un diplôme, c’est-à-
plôme, c’est-à-dire un certificat authentique de capacité, puisque le médecin devenu machine et ne faisant aucun usage de son i
e constitue alors un odieux mensonge, une fraude coupable, puisque le médecin abrite sous son titre des ordonnances auxquelles
apprécier, pour chaque affaire, les circon- stances. Si c’est au médecin que les malades s’adressent, s’il examine les mal
n, il reste maître de l’ordonnance , il est évident qu’alors c’est le médecin qui agit, qu’il a conservé son indépendance et a
la loi elle-même que s’attaque M. Martin qui pense que la dignité du médecin est compromise par le concours des somnambules, e
pas suffisamment sauvegardé par la législation actuelle. Quant aux médecins qui consentent à se louer comme machines à signat
ur défense , pas même ceux qui leur paient leur salaire. Mais pour le médecin qui, convaincu de l’avantage qu’il peut y avoir à
t et se met en état de rendre plus de services à l’humanité. Bien des médecins fort honorables ont ainsi mérité la reconnaissanc
’ici que des somnambules agissant avec le concours réel ou simulé des médecins : pour les somnambules bien plus nombreux qui déd
ux qui dédaignent d’éluder la loi par une fraude et qui se passent de médecins , la question ne peut être douteuse en droit : ils
chercher leur salut là où ils auront l’espoir de le trouver. Que les médecins puissent en être blessés dans leurs intérêts pécu
tres. Il y a des courants réparateurs, il en est qui détruisent. Le médecin honnête et convaincu de son art agit moralement s
s incertains dans leur effet sur la maladie. Mais il a de plus que le médecin cet agent précieux , le magnétisme, qui rayonne s
r correspondance, des remèdes salutaires qui furent approuvés par les médecins . Elle guérit l’enfant d’une dame qui vint la cons
du soufre en poudre ; le remède fut administré selon la recette d’un médecin , et l'enfant fut guéri ! Je priai un médecin du
selon la recette d’un médecin, et l'enfant fut guéri ! Je priai un médecin du voisinage de venir assister à une de mes séanc
nt la somnambule qui aperçut de suite, à un kilomètre de distance, le médecin sortant de sa maison et se dirigeant vers la nôtr
t de répondre à aucune question. Probablement elle pressentait que ce médecin lui causerait de vifs désagréments, en parlant d’
. « Quant à. vous donner l’explication de ces choses, le plus jeune médecin du plus petit village vous la donnera mieux que n
particulier l’expérience du bâton dans l’œil, nous doutons qu'un seul médecin , soit de ville ou de campagne, accepte la préten
es mille et un systèmes médicaux à la mode ou tombés dans l’oubli, le médecin cherche toujours à diagnostiquer le mal, c’est-à-
un mal de tête. — Après quelques questions et de mûres réflexions, le médecin vous déclare gravement que vous êtes atteint d'un
ue? M. M***, à qui le magnétisme n’était point étranger, demanda au médecin qui le soignait, — ce n’était pas le chirurgien q
u docteur ; mais vous savez combien nous devons être réservés, et tel médecin convaincu de nos principes n’oserait pas les prof
’oserait pas les professer ouvertement. N’ayant pas l’autorisation du médecin et ne connaissant son nom que par le malade, notr
nt libres, et a pu reprendre ses travaux. D’après le conseil de son médecin , pour consolider la guérison, il a, pendant quelq
ie du grand tout, qu’il est enfant delà Divinité, qu’il peut être son médecin et son guide moral. Si Dieu avait permis que de
it de nouveau étranglée, et qui se trouvait dans un état alarmant. Un médecin appelé avait fait appliquer les sangsues, mettre
lence du magnétisme dans une foule d’affections, on se demande si les médecins consciencieux fermeront encore longtemps les yeux
ent des malades , aussitôt qu’il se trouvera un assez grand nombre de médecins consciencieux. Votre très-affectionné, H. C.
tet, s’y étaient donné rendez-vous. On remarquait parmi eux plusieurs médecins , des militaires de distinction , des artistes, de
ble par laquelle elle a rendu la vie à une jeune folle abandonnée des médecins et ramené la joie dans une famille consternée.
le cours de six années. « Ma maladie avait été jugée , par tous les médecins , être une névrose, tantôt du cœur et du poumon, t
Saint-Honoré, 11° 267, sous la direction de MM. Huguet père et fils, médecins , et Millet, membre de plusieurs sociétés magnétiq
Mes études magnétiques ne datent que de 1853. Mais ma profession de médecin m’avait attaché de bonne heure \ l’examen des cho
miné chez la malade une grande lucidité somnambulique , le dernier médecin traitant (et l’on en avait consulté beaucoup l) a
te le Nori/i China Herald du mois de mars 1854 ; le docteur Macgowan, médecin résidant en Chine depuis fort longtemps, certifie
sant remarquer que \I. le docteur X..... réunit, en sa qualité de médecin , des conditions de science et de scepticisme, com
nt les hallucinations. » (Du Dcmon de Sacrale, p. 260, par F. Lé lut, médecin surveillant de la division des aliénés de l'hospi
it dire au coup d'œil philosophique de l’un des doyens de nos anciens médecins militaires, le docteur P.évcillé-Parisc : « Dans
es magnétistes ne demeurent pas étrangers à cet arcane, qui, pour les médecins , offre une ressource très-précieuse. « Ou sait
u joug de la routine. Bien entendu que je m'adresse exclusivement aux médecins . Comme je ne fais que d«la médecine gratuite, j’a
e que le sourire sur les lèvres. Qu arrive-t-il de là, c’est que tout médecin qui s’en rapporte aux affirmations de l’école et
ivin, le plus puissant qui puisse venir en aide à son art. Combien de médecins , et même des plus savants, ont laissé mourir leur
vec la meilleure confiance du monde qu’il était mort et bien mort: un médecin l’avait déclaré. P1ÉRART. On lit dans les jou
on lui fit respirer des sels, mais il 11e donna pas signe de vie ; un médecin , qui se trouvait dans la foule rassemblée par ce
ersonnes tout aussi désireuses que moi de voir : M. Larrey, le savant médecin , M. Cheuavard, le comte Georges Mitszchek, gendre
e froid chez les somnambules artificiels, d’après les expériences des médecins Buchanan et Persiston, je me proposai d’en faire
regardé comme un des premiers écrivains de l'Angleterre ; ce sont des médecins , des ingénieurs , des magistrats, des ministres d
leur paraissent compétentes. Parfois aussi l’esprit de quelque grand médecin , comme Mesmer, Husson, Dupuytren, llahnemann, int
as le plus ordinaire, le contrôle ne pourrait être exercé que par les médecins qui sont les ennemis naturels du somnambulisme et
une troisième saignée dont elle fixa le volume. RI. du Potet et deux médecins appelés en consultation étaient consternés; la ma
it, et la malade recouvra la santé : elle avait vu plus juste que les médecins . Ceux qui repoussent le contrôle ont cité l’opi
égard ; et, le plus souvent, il ne sera pas obligé de s’adresser à un médecin , il lui suffira de s’enquérir auprès d’une perso
matière. Pourtant il y a des cas où le plus sage est de recourir à un médecin , c’est par exemple quand la substance prescrite e
s qui ne peuvent être appréciées que par un praticien. S’il y a des médecins ennemis systématiques du somnambulisme, il en est
de santé, dans la nécessité de suspendre ses consultations, M. Gréa, médecin , se présenta pour recourir à sa lucidité : on fut
même, et dans une circonstance où, bien loin d'être influencée par le médecin , elle avait lutté contre celui-ci qui avait trou
l’opération césarienne. Notre collègue, M. Louyet et plusieurs autres médecins éclairés l’examinèrent avec le plus grand soin et
s maladies, qui avaient été traitées sans succès par les plus habiles médecins , à l’aide de diverses méthodes, ont été guéries p
au progrès de l’histoire naturelle de l’homme, cita lliolan comme le médecin le plus instruit de son époque : il connaissait à
s, etquise trouvait en cemomentdans unétat désespéré au dire même des médecins qui la traitaient depuis six mois. Voici, en peu
soins du docteur F... Voici quel était le traitement pratiqué par ce médecin : Tisane, eau de laitue; purgatifs, eau de sedlit
rédiction ! heureux résultats de six mois de traitement de la part du médecin et de souffrances du côté de la victime de la sci
place, s’il vous plaît, pour enregistrer un gros fait. M. Briquet, médecin à la Charité, consigne comme cause d’hystérie la
aître, Le temps des persécutions magnétiques n’est point passé. Les médecins belges usent d'une façon impitoyable de la loi qu
e terre inhospitalière pour eux ; ils ne peuvent même exercer avec un médecin , car M. Brunet en avait un , et il ne donnait auc
urs après, sur les conclusions du rapporteur, un de nos plus célèbres médecins judiciaires, la faculté constata comme il suit la
ophe magnétique inattendue, le maître de la maison envoie chercher un médecin qui, après avoir, avec mille peines, débarrassé l
ées. Il est heureux pour cette pauvre clame qu’elle ait trouvé un médecin qui croyait au magnétisme et savait le pratiquer.
n appelle malencontreusement pour conjurer des crises magnétiques des médecins qui n’y entendent pas un mot et qui emploient les
du Journal de Genève : «On lit dans la Gazelle Saint-Galloise qu’un médecin bernois, nommé Held, a été traduit à Rome devant
tient jamais de séance publique ; elle est peu nombreuse, composée de médecins aliénistes et de philosophes ; elle s’occupe part
ence du magnétisme dans une foule d’affections , on se demande si les médecins consciencieux fermeront encore longtemps les yeux
nt des malades, aussitôt qu’il se recontrera un assez grand nombre de médecins consciencieux. » Le docteur aurait pu ajouter :
« Mon Dieu, que sommes-nous donc avec nos prétentieux systèmes ? Quel médecin ne m’eût écrasé en me voyant saigner jusqu’à défa
turelle doit être dégagée de nos idées et de nos systèmes (ceux des médecins ). » (Page 210.) Je m’arrête ; car il faudrait c
a longtemps encore !... » Je me suis élevé, il est vrai, contre les médecins et même un peu, et par voie de conséquence, contr
tit, trop mesquin, ils n’en ont pas le droit. Au surplus, si chaque médecin magnétiseur pouvait ou voulait sonder son for int
nul ne peut le nier. 11 ne peut en être ainsi des magnétiseurs non médecins , ils sont exempts et affranchis des préjugés de l
ter qu’un des avantages de leur position sur celle de leurs collègues médecins , ils guérissent ou soulagent sans réticence, — q
, se ren- contre ! ou jours, inévitablement, finalement, chez le médecin magnétiseur. Ce danger très-grave, selon nous, n'
octeur Frappart.) u A cela qu’ajouter ? C’est que si réellement les médecins ne font jamais mieux qu’un bon somnambule, s’ils
SERVENT-ILS DONC ? Je le laisse à deviner et me borne à dire que LES MÉDECINS QUI, DE BONNE FOI, TRAITENT LES PARTISANS DU MAGN
ines de vérité et de logique, je conclus , à mon tour, que si quelque médecin consciencieux et convaincu vient à nous , nous po
de tous ou pour en corroborer d’autres qui leur sont analogues. Le médecin qui fait part à l’Académie , à la faculté, d’un f
chit, bien plus ordinaires , bien plus communs que ceux cités par les médecins , puisque ces derniers ne peuvent être produits qu
son affirmation ou celle de i un de nous vaut au moins celle d’un médecin , quelque haut placé qu'il soit sur l’échelle soci
re appelé plusieurs fois en consultation par des confrères à titre de médecin magnétiseur, pour émettre mon avis et appliquer l
ait demander par la voie télégraphique à M. le baron du Potct un lion médecin magnétiseur. Celui-ci lit dire aussitôt par la mê
ernières paroles peu glorieuses, comme vous voyez, pour son honorable médecin , que j’espère remercier un jour pour avoir laissé
Broussais, ce passage, où il est ditque c’est en Italieque l’illustre médecin constata l’existence des émanations zooma-gnétiqu
suis convaincu par des expériences nombreuses, lorsque j’étais jeune médecin en Italie. » (Broussais, Cours de pathologie, etc
des douleurs qui la retenaient chez elle ; il lui fut ordonné par son médecin , consciencieux je le crois, il lui fut ordonné, d
le a fiui par quitter la chambre. Son mari m’a dit qu’elle a peur des médecins et qu’elle ne veut pas prendre de médecine. « D
nts et de douleurs si atroces que les employés envoyèrent chercher un médecin et crurent à la réalité de l’empoisonnement. Il s
e dont la guérison fut aussi rapide que l’avait été l’attaque. Le médecin déclara confidentiellement que, sans la révélatio
— Piérart, 449. Médecine (la) et le magnétisme. Débats divers entre médecins et ma-gnétistes, 513, 613. Méthode de magnétisa
une somnambule poursuivie pour exercice illégal de la médecine, et du médecin qui l'assistait dans ses consultations. M. Morin
par des esprits, 207, 464, 610, 623, 630. Esprits qui dictent à des médecins , 195 , 318, 376; — qui déplacent, enlèvent et tra
Magnétiseur (un) inexpérimenté, et méprise d'un journaliste. 526. Médecin (un) confondu par une somnambule, 28 Mémoires d
44 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cine de Paris. 1 V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (SIe-Ali lie). F. RAYMOND
icile à dépister : elle conduit rarement le malade à consulter un médecin ; et celui-ci le plus souvent ne la reconstitue qu
ment. Mais le soir les douleurs et la rétention réappa- rurent : un médecin appelé la sonda. Hier dans la journée, pendant
chard, t. VI, article Néphrite périphérique, p. 680, et Congrès des médecins aliénistes el neu- rologisles (à Clermont-Ferra
Céline fut atteinte de zona ophtalmique diagnostiqué d'abord par le médecin traitant, puis au bastion 29, où elle alla consul
indolent, suppure peu, n'attire pas l'attention des malades ou du médecin . Aussi son existence n'a-t-elle été reconnue que
se attitudes à l'égarddes objets et personnes qui l'entourent; tel médecin lui est odieux parce qu'il est grossier à son é
'extrémité céphalique. Celle gymnastique, surveillée d'abord par le médecin , doit être continuée d'une manière régulière et j
e : « Un homme étant atteint du désir de se suicider, comment, nous médecins , classerons-nous, dans un cas donné et après ex
onner de vagues paroles ou de banales consolations ? 11 faut que le médecin perde la notion inexacte qu'il doit soigner les
ies des personnes qui l'entouraient et assurait ne recon- naître le médecin et les infirmières que par la voix. Bien qu'il
Tii0àlYER. Le sommeil et le rêve méritent plus d'attention que les médecins ne leur en prêtent actuellement. Il est vrai qu
folie sénile proprement dite offrent un intérêt particulier pour le médecin : en effet, les penchants à l'avarice des malades
roportionnés constituent un symptôme com- plexe, au sujet duquel le médecin peut être appelé à formuler un avis. La questio
septembre 1897.) L'auteur établit d'abord le droit et le devoir du médecin d'asile de pratiquer sur les aliénés inconscien
érations gynécologiques chez les aliénées, il faudrait que tous les médecins des asiles qui ont eu à intervenir ou qui ont r
s. Contrairement à l'opinion de bl. Robe, nous estimons que si le médecin a le droit et le devoir d'examiner complètement
'admission à l'asile portât le diagnostic de paralysie générale, le médecin qui l'avait signé ne relevait aucun des symptôm
des les changements de température et les écarts de régime. Le même médecin publie dans le Br'it. 7He ? ]ourn., avril 1894,
e et pathologique ; D'6 Lacassagne et Tarde (année. 1897). 1. Les médecins experts et les erreurs judiciaires ; par A. Lacas
ns les expertises médico- légales, et les fautes que commettent des médecins mal préparés, précipités dans leurs jugements o
re, étant allée chercher son enfant en nourrice, le ramène mort. Le médecin appelé déclare que cet enfant a succombé à une
on vient de trouver le cadavre, est confiée à l'examen d'un premier médecin . Celui-ci déclare qu'elle vient d'accoucher. Elle
elui-ci déclare qu'elle vient d'accoucher. Elle proteste. Un second médecin affirme qu'elle est vierge. Le juge commet un t
ment condamnés sur la dénonciation de gamines perverses ! Tous les médecins susceptibles de remplir le rôle d'experts ne doiv
rveillance de celte administration, de décider que M. le D· Falret, médecin du ser- vice des aliénés de l'hospice de la Sal
des mouvements qui en ont été la conséquence parmi le personnel des médecins aliénistes de Bicêtre et de la Salpêtrière, l'a
'Assistance publique ouvrira le 5 mai un concours pour une place de médecin adjoint (ou mieux suppléant), du service des al
de Bicêtre à la Satpê- trière, la nomination de M. le Dr J. Se-las, médecin suppléant de la Salpêtrière comme médecin titul
on de M. le Dr J. Se-las, médecin suppléant de la Salpêtrière comme médecin titulaire de Bicêtre et le passage de M. le Dr
mme médecin titulaire de Bicêtre et le passage de M. le Dr Chaslin, médecin suppléant de Bicêtre, au même titre à la Salpêt
tre à la Salpêtrière. La place mise au concours est donc celle de médecin suppléant résidant à Bicêtre. Ce médecin est char
concours est donc celle de médecin suppléant résidant à Bicêtre. Ce médecin est chargé de parer aux accidents qui pourront
n, de soi- gner le personnel et de remplacer, en cas d'absence, les médecins de la division des aliénés. 174 varia. REVI
l'arrêté du 3 JUILLET 1880, relatif au CONCOURS pour LES places DE médecin adjoint DU SERVICE DES aliénés dans LES quartie
, portant organisation du concours pour la nomination aux places de médecin adjoint du service des aliénés dans les quartie
manière à limiter dans ce jury le nombre des membres pris parmi les médecins des asiles publics d'aliénés de la Se ? ne; - V
portant organisation du concours pour la nomina- tion aux places de médecin adjoint du service des aliénés dans les quartie
osé de sept membre*, savoir : trois membres tirés au sort parmi les médecins aliénistes chefs de service des hôpitaux et hos
spices, en exercice ou honoraires; un membre tiré au sort parmi les médecins chefs de service des asiles publics d'aliénés d
les publics d'aliénés de la Seine, en exercice ou honoraires, et le médecin du bureau d'admission de Sainte-Anne; trois membr
u d'admission de Sainte-Anne; trois membres tirés au sort parmi les médecins chefs de service des hôpitaux en exercice ou ho
ns chefs de service des hôpitaux en exercice ou honoraires. « Les médecins chefs de service des asiles publics d'aliénés de
publics d'aliénés de la FAITS DIVERS. 175 Seine en exercice et le médecin du bureau d'admission de l'Asile clinique de Sa
tirage au sort aura lieu dans la forme usitée pour les concours des médecins des hôpitaux, en présence de deux membres du Co
Asiles d'aliénés. Nominations et mutations .' M. le D1' Sizaret, médecin adjoint de l'asile de la Roche-Gandon est nommé d
-Ylie, en remplacement de M. le Dr ROUSSET, maintenu sur sa demande médecin adjoint à l'asile de Bron; - M. le Dr DERICQ, d
Roche-Gandon, en remplacement de M. leDr Sizaret; M. le DIALLAMAN, médecin adjoint à l'asile d'Auxerre est élevé àlalr0 cl
à l'asile d'Auxerre est élevé àlalr0 classe; -11. leD'MoNrs- TIER. médecin adjoint des asiles de Lafond, est élevé à la Ire
es asiles de Lafond, est élevé à la Ire classe ; M. le Dr FENAYROU, médecin adjoint de l'asile de Blois, est élevé à la 1 ?
n d'honneur; M. le D'' F. RAYMoND, professeur de clinique nerveuse, médecin de la Salpêtrière, a été nommé Officier; M1'0 B
prendre. Elle est composée, hors les membres de droit, de tous les médecins titulaires et adjoints des asiles de la Seine, du
me, féminisme, cryptorchidie) ; PARLES DOCTEURS Samuel GARNIER, Médecin en chef. ET T SANTENOISE, Médecin adjoint d
DOCTEURS Samuel GARNIER, Médecin en chef. ET T SANTENOISE, Médecin adjoint de l'asile de Saint- Ylic. J..., âgé de
'ALCOOLISME AU CONGRÈS DL L;ltUILLLI : S; Par JI, le Dr LEGRlIiN, Médecin 'en chef à l'asile de Yillc-Ewaul . «. La reche
dant six mois au moins, dans un asile de buveurs; puis l'exemple du médecin de la famille ou d'un ami, la création d'un mil
rs, tout le monde doit être abstinent, y compris le directeur et le médecin . Le travail doit être obligatoire et la discipl
t instruit, au point de vue social, le procès de l'alcool, comme le médecin l'a fait au point de vue individuel, il y a gros
le reproche de reproduire un grossier pré- jugé populaire que nous, médecins , nous avons plutôt le devoir de détruire. Cette
e service. On a remédié, en effet, par la création de deux nouveaux médecins chefs de service, à une situation qui était dev
s en cas d'absence par maladie ou par vacances d'un ou de plusieurs médecins , celte même situation à laquelle ou a compris q
uite. M. LE Roux pense qu'il ne doit pas être impossible à qualre médecins d'établir entre eux pendant les vacances un roule
quel 700 malades, et même plus, étaient laissés aux soins d'un seul médecin . Le service médical avant le dédoublement était
ecin. Le service médical avant le dédoublement était composé de 4 médecins , aujourd'hui il est composé également de 4 méde-
e 4 méde- cins. En cas d'absence de l'un d'eux, un des trois autres médecins sera chargé de son service et aura, par conséqu
ns un asile qui comporte une population de 400 malades, il y a un médecin en chef, 4 médecins-adjoints et 3 externes. En si
, les médecins-adjoints doivent être les auxiliaires quotidiens des médecins , remplir auprès d'eux le rôle de véritables che
le rapport médico-légal, dont il a été l'objet, soient transmis au médecin de l'asile par la préfecture de police. Le ma
fois au Conseil général, qui s'y était associé, sur la demande des médecins des asiles, à une époque où je n'étais chargé d'a
ILLE. Je ne demande pas la communication inté- grale du dossier aux médecins chefs de service. La partie relative à l'instru
à l'instruction peut ne pas être communiquée. Ce qui intéresse les médecins , ce qui leur est indispensable, c'est la partie a
où le malade a été arrêté ; c'est le rapport médical, dressé par le médecin de la Préfecture de police ; on ne peut pas ref
réfecture de police ; on ne peut pas refuser ces renseignements aux médecins puisqu'ils ont pour objet de les éclairer sur l
que ce même dossier de la préfecture de police, qui est transmis au médecin au moment du certificat de sortie, lui soit com
ls de médecine. M. Bailly ne pense pas que la situation créée aux médecins de nos asiles par l'application du règlement ac
ue l'administration de la préfec- ture de police fasse connaître au médecin , au moment de l'inter- nement des malades, le p
ande de communi- cation des dossiers des aliénés dits criminels aux médecins par l'administration, je crois utile de vous co
cet égard, et d'après un usage plutôt regrettable, les rapports des médecins aliénistes ne suivent pas le malade en cas de t
BIBLIOGRAPHIE. pour qu'il soit donné communication des dossiers aux médecins chefs de service lors de l'internement. M. Bo
mais aussi aux adultes aliénés dits criminels. C'est pour tous les médecins des asiles et des quartiers d'hos- pices de la
és l'obligation, de la part de l'administration, de transmettre aux médecins tous les documents dont nous venons de parler.
7) (suite) '. 3. Existence du libre arbitre ; par le D'' PAILIIA-9, médecin légiste. M. Pailhas c affirme que le libre arbi
opres jugements en face de pareils témoins. Sans être juristes, les médecins pourraient toujours, les éclairer en des cas pa
aux membres du conseil de guerre détenir compte de la déposition du médecin qui, étant spécialiste, parle en toute autorité
r.Lt. NÉCROLOGIE. Le Dt MESNET, membre de l'Académie de médecine, médecin honoraire des hôpitaux, etc., est mort le 13 ja
mur en 1825, Il fut successivement externe (1845), interne (184-1), médecin des hôpitaux (1859). On lui doit entre autres t
ement une perte de mémoire. Marcei BRIAND. VARIA. IX0 Congrès DES médecins aliénistes ET neurologistes. Le 9e Congrès annu
DES médecins aliénistes ET neurologistes. Le 9e Congrès annuel des médecins aliénistes et neurologistes français s'ouvrira
ubles psychiques post-opératoires. Rap- porteur : M. le Dr Rayueau, médecin en chef de l'asile d'Orléans. Pathologie nerveu
toires au point de vue médico-légal. Rapporteur : M. le ! )'' Vallon, médecin en chef de l'asile de Villejuif (Seine). 2° Lec
ns au secré- taire général du Congrès, M. le Dr Petrueci, directeur médecin en chef de l'asile d'aliénés de Sainte-Gemmes-s
TION A L'ÉTUDE DE LA DESCENDANCE DES INVERTIS; ` . Par Cet. FÉRÉ, médecin de Bicêtre. Les perversions sexuelles ont beauc
lle pour un individu du même sexe est considérée par la plupart des médecins comme un stig- mate de dégénérescence. Kraflt-E
us nor- maux aiment la femme. Ce ne sont guère ces sujets que les médecins ont eu en vue dans leurs descriptions, ils se son
rs de doute que l'entraînement à la chasteté doit rester l'idéal du médecin aussi bien que de l'éducateur. Et la raison fon
ariage qui devait améliorer et assurer sa situation. Il consulta un médecin qui lui conseilla de s'exercer au coït, et lui
es et des observations sur l'hydrocéphalie. En 1893, au Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de la Rochelle, nou
cinq ans, bien portant, normalement constitué, est intelligent. Le médecin prétend qu'il est faible de poitrine. Il n'a pas
n mari fut victime. Quant à la mère, elle perdit con- naissance, le médecin parla de congestion cérébrale, lui fit prendre
L'ALCOOLISME AU CONGRÈS DE BRUXELLES'; - I'ar \I. le Dr LEGRAIN, Médecin en chef à l'asile de `-ille-Evrard 2. Diverses
f à l'asile de `-ille-Evrard 2. Diverses formes de l'initiative. Le médecin . Abstraction faite de l'Etat qui n'est jamais,
nces ou peut le'devenir. C'est à bon droit que l'on s'étonne que le médecin ne soit pas systématiquement un ennemi irréconc
dans toutes les sociétés de tempérance, même les plus timides, les médecins se rencontrent en majorité ; que les instigateu
et même de répression contre l'alcoolisme sont Je plus souvent des médecins ; que le médecin est de tous les penseurs, celui
ssion contre l'alcoolisme sont Je plus souvent des médecins; que le médecin est de tous les penseurs, celui qui a le plus con
on des moyens dont il dispose. Suivant le Dr Romiée, de Liège, le médecin est, de tous, le mieux armé pour être le protag
appartient de détruire les préjugés qui régnent sur l'alcool. Les médecins ne sont pas assez ouvertement hostiles à ce poiso
la tient aussi aux déplo- rables habitudes de la vie d'étudiant. Le médecin qui s'alcoolise est d'un pernicieux exemple, ré
plus tôt possible. J'ajouterai que dans beaucoup de pays, nombre de médecins sont à la tête du mouvement abstinent. L'Anglet
ssociation médicale internationale vient même de se créer. Quelques médecins français s'y sont fait inscrire. A. Londres et
érescence, de ses manifestations et de son traitement, intéresse le médecin et comme citoyen etcomme médecin et à ce dernie
et de son traitement, intéresse le médecin et comme citoyen etcomme médecin et à ce dernier titre l'action du médecin peut-
t comme citoyen etcomme médecin et à ce dernier titre l'action du médecin peut-être des plus actives dans la voie de la pro
ôt que possible, d'indiquer le rôle prépondérant de l'éducation; le médecin devra aussi s'op- poser aux mariages d'épilepti
HOLOGIE NERVEUSE. 313 grande importance, et pour l'entreprendre, le médecin devraeagner d'abord la confiance absolue du mal
Braid, Wingfield, Bramwell, Heidenhain ont endormi leurs amis, des médecins , des savants, leurs élèves, leurs frères. Si la
les d'aliénés. III. LES DEVOIRS civiques ET les responsabilités DES médecins ENVERS l'état; par le D1' John PUNTON. Si les
ic. Les temps ne sont plus où le docteur n'était pas reniement le médecin , mais encore un conseiller autorisé et écoulé dan
coulé dans les diverses affaires de l'Etat. A l'heure actuelle, les médecins parais- sent se désintéresser des affaires publ
découvertes de la médecine moderne seront 'chèrement payées, si les médecins , absorbés par les préoccupations scientifiques,
, en général, doit porter intérêt aux affaires de son pays ; -e les médecins ne forment pas exception à cette règle, et cela d
l'administration générale des affaires pu- bliques, l'expérience du médecin devient nécessaire pour la solution de nombreux
x besoins des classes pauvres, aux faibles d'esprit, etc. Aussi les médecins doi- vent-ils cesser d'ignorer que les affaires
r HOSPITAL. L'article 12 de la loi du 30 juin 1838 dit que « ... le médecin sera tenu de consigner eur ce registre, au moin
pour le traitement des obsédés; 348 8 bibliographie. 5° chez les médecins : traitement méthodique du malade ; impor- tanc
e profonde des névropathes; il sera d'une utilité incontestable aux médecins qui y trouveront une foule de détails pratiques o
aliénés. Promotions et nominations : M. le D1' L.\- lanne est nommé médecin adjoint à l'asile de ilfaréville; M. le Dr DESW
decin adjoint à l'asile de ilfaréville; M. le Dr DESWARTE est nommé médecin adjoint à l'asile de Bassens (24 février). As
ATHOLOGIE MENTALE. LE DÉLIRE MÉLANCOLIQUE; PAR si CH. VALLON, Médecin en chef à l'Asile de Villejuif. ET T A. MARIE
ALLON, Médecin en chef à l'Asile de Villejuif. ET T A. MARIE, Médecin en chef a la Colonie de Dun. Dans les formes de
T CURATIF DES ESCIIARES DES ALIÉNÉS ; Par le D'ALEXANDRE PARIS, Médecin enchefdel'stledeMar6tHc-Nahcy. Voici un acciden
à la cure d'air et de repos. Contre les troubles de la motilité, le médecin a maintenant dans les mains une méthode puissan
ace lors- que le malade se trouve sous la surveillance constante du médecin expérimenté ; aussi est-il à supposer que, dans
e nous dire où se trouve ce pays enchan- teur ! ! ! M. ARNAUD. Un médecin avait annoncé que la paralysie géné- rale ne ta
Médical Record, un brillant élève et fut diplômé par le Collège des médecins et chirurgiens de New- York, à l'âge précoce de
coce de vingt et un ans, après avoir servi pen- dant deux ans comme médecin auxiliaire dans l'armée régulière. Après la gue
a été pro- fesseur de clinique nerveuse à la Faculté du Collège des médecins et chirurgiens. Durant le même temps, il s'adon
galement soumises à la castration. L'opération sera exécutée par le médecin de la prison ou de l'hôpital, sans rémunération
s. Dans cette voie barbare, où nous sommes étonné de rencontrer des médecins , où s'arrêterait- on ? ' B. 428 VARIA. Dram
urir de faim. » Ajoutons que le meurtrier Puy a été déclaré par les médecins légistes un fou inconscient et des plus dangere
Asiles d'aliénés. Nominations et promotions : M. le D'' ALLE- MAN, médecin adjoint à l'asile d'Auxerre, est nommé médecin ad
M. le D'' ALLE- MAN, médecin adjoint à l'asile d'Auxerre, est nommé médecin ad- joint à l'asile de Blois (19 mars); M. le D
médecin ad- joint à l'asile de Blois (19 mars); M. le Dr Fenayrou, médecin adjoint à l'asile de Blois, est nommé médecin a
); M. le Dr Fenayrou, médecin adjoint à l'asile de Blois, est nommé médecin adjoint à l'asile de Naugeat (19 mars); M. le D
ommé médecin adjoint à l'asile de Naugeat (19 mars); M. le Dr Pain, médecin adjoint à l'asile de Naugeat, est nommé médecin
rs); M. le Dr Pain, médecin adjoint à l'asile de Naugeat, est nommé médecin adjoint à l'asile de la Roche-Gandon (19 mars);
decin adjoint à l'asile de la Roche-Gandon (19 mars); M. le Dr Toy, médecin adjoint à l'asile de la Roche- Gandon, est nomm
le Dr Toy, médecin adjoint à l'asile de la Roche- Gandon, est nommé médecin adjoint à l'asile d'Auxerre (19 mars); - 11. le
édecin adjoint à l'asile d'Auxerre (19 mars); - 11. le Dl DAGONNET, médecin adjoint, est nommé sur place méde- cin en chef
(24 mars ;) M. le Dr Sérieux, médecin-adjoint, est nommé sur place médecin en chef à l'asile de Ville-Evrard (24 mars) ; M
ecin en chef à l'asile de Ville-Evrard (24 mars) ; M. le Dr PACTET, médecin ad- joint, est nommé sur place médecin en chef
(24 mars) ; M. le Dr PACTET, médecin ad- joint, est nommé sur place médecin en chef de l'asile de Villejuif (22 mars); M. l
ecin en chef de l'asile de Villejuif (22 mars); M. le D1' TOULOUSE, médecin adjoint, est nommé sur place médecin en chef de
(22 mars); M. le D1' TOULOUSE, médecin adjoint, est nommé sur place médecin en chef de l'asile de Villejuif (24 mars). Conc
chef de l'asile de Villejuif (24 mars). Concours pour une PLaCE DE médecin aliéniste des hôpitaux. Ce concours doit s'ouvr
prochain. Le jury se compose de MM. A. Voisin, Sellas, Charpentier, médecins aliénistes des hôpitaux, Siredey, Widai et Quey
ntier, médecins aliénistes des hôpitaux, Siredey, Widai et Queyrat, médecins des hôpitaux, et Marandon de Monthyei, médecin
, Widai et Queyrat, médecins des hôpitaux, et Marandon de Monthyei, médecin des asiles de la Seine. Les can- didats qui se
-8°de112pages. Paris, 1898. - Librairie Ollier-Henry. Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de France (huitième
erve. PATHOLOGIE MENTALE. LE DELIRE MELANCOLIQUE'; 11.4 l Z Médecin en chef à l'Asile de Villejuif. ET T A.MAHtE,
4 l Z Médecin en chef à l'Asile de Villejuif. ET T A.MAHtE, Médecin en eef à la Colonie de Dtiti. Les phénomènes im
gage CONS11)'[iÉ'r au point de vue DI : l'aphasie; par M. P. Marie, médecin de l'hospice de Bicetre. (Presse médicale, 29 d
. CC'1211'CIII., XVI, 1897.) Le sujet de cette observation est un médecin . C'est un homme de soixante-quatre ans, qui, se
;/6 sur la lucidité et la démence ; par le D J. Dusiaz, direc- teur médecin eu chef de l'asile public d'aliénés de Bassens (S
ltée avec fruit non seulement par les aliénistes, mais par tous les médecins et par les magis- trats. Dans la première par
ns de la première période de la paralysie générale. Pour guider les médecins étrangers à l'étude de l'aliénation mentale dan
t raisonnables, ne sont pas inspirés par des idées délirantes. Le médecin expert, appelé à se prononcer sur ces actes, doit
faire connaître exactement son opinion, quelle qu'elle soit. Les médecins des asiles d'aliénés sont souvent consultés sur l
ogique très serrée leurs accusations. M. Boudric, alors directeur médecin de l'asile de Bassens où elles avaient été plac
persécution à deux; mais son opinion fut combattue par deux autres médecins qui déclarèrent qu'elles ne présentaient qu'une
n est que la déclaration de responsabilité partielle de la part des médecins experts entraîne presque toujours l'acquittemen
u'il a sa fiche anthropométrique. Cette fiche serait établie par le médecin de la prison d'une manière très succincte aussi
de l'aliénation mentale, le juge d'ins- truction devrait charger un médecin aliéniste de faire un rapport sur lui. §02' B
iminels contrairement à l'avis des alié- nistes sur des rapports de médecins ordinaires, incompétents en aliénation mentale,
de leur guérison par une com- mission composée de magistrats et de médecins aliénistes. La construction de ces asiles, que
ion de ces asiles, que j'ai réclamée depuis longtemps avec d'autres médecins , aurait en outre pour avantage de débar- rasser
illeux a si vivement attiré les recherches BIBLIOGRAPHIE. 503 des médecins et des physiologistes qnisont arrivés à en différ
beaucoup plus grande que l'accès lui-même, et dirigea les études du médecin , car l'accumulation des décharges multiples, av
de blanchissage. (La Médecine moderne, 19 février.) VII. Du RÔLE DU médecin dans LES hôpitaux d'aliénés; par Wise D'ODENSBU
5.) L'auteur relève d'abord l'insuffisance actuelle du nombre des médecins d'asile qui ne devraient pas avoir plus de 100 ma
ne sont que des aiguës. Des sténo- graphes doivent être adjoints au médecin qui ne saurait perdreson temps aux écritures. M
e à l'adjonction de patholo- gistes de laboratoire indépendant, les médecins cliniciens voulant que le médecin traitant fass
de laboratoire indépendant, les médecins cliniciens voulant que le médecin traitant fasse lui-même les études nécroscopiques
un bon recrutement des auxi- liaires sur lesquels doit s'appuyer le médecin , assistants, internes, infirmiers et infirmière
gement* d'une section d'admission et d'observation où le nombre des médecins soit plus grand et où il soit procédé à un exam
omplet (analyses chimiques, examen du sang, etc., renseignements du médecin de la famille, etc.). Tous ces examens seront e
ent moral rendu possible par la réduction du nombre des malades par médecin , telle qu'il la préconise. A. Marie. 516 " as
que les services médicaux soient divisés de telle corle que chaque médecin en chef ne soit pas chargé de plus de 500 à 600
les cas, au médectn en chef de grade le plus ancien ; 4° Que les médecins adjoints soient ramenés à l'état de stagiaires,
nts soient ramenés à l'état de stagiaires, mis à la disposition des médecins en chef-directeurs des grands asiles seulement,
des caisses de i etraite, distribués dans les asiles à raison de un médecin assistant pour chaque service médical et admis se
nés. Colonisation familiale DES CHRONI- QuEs ; par M. A. ViGouRoux, médecin à la Colonie familiale de Dun-sLir-Auroti. (Pi,
qué en Allemagne aux alcooliques; ceux-ci ont méconnu l'autorité du médecin et des nourriciers; ils ont eu des démêlés avec
nommé directeur de l'asile de Clermont (4 mai) ; M. le Dr VER- NET, médecin en chef de l'asile de ilaréville,est élevé à la 2
ique des asiles et des aliénés que l'on assurera le recrutement des médecins des asiles et la bonne rép utation des asiles. Ce
es. Ce sont ta des habitudes un peu trop impériales. Concours DES médecins aliénistes DES hôpitaux. L'épreuve écrite a eu
ires, par Pauly et Bonne, 238. Manie errante, par Berkley, 337. Médecins . Devoirs civiques des , par Punton, 340. Méla
45 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
decine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Anne). F. RAYMOND
atriques des Universités allemandes ' ; Par le D' Peul SÉRIEUX, Médecin des asiles publics d'aliénés de la Seine, charg
tifiques régionaux, autant de pépinières pour l'éducation de futurs médecins aliénistes. De plus, toutes ces cliniques psych
des maladies du cerveau. Les préjugés du publie - et aussi ceux des médecins disparaissent. Grâce à cette décentralisation d
tif, 60 à 80. « C'est, en effet, dit Griesinger, à peine si un seul médecin peut suivre exactement et traiter acti- vement
trique afin de pouvoir fournir aux fa- milles et aux magistrats des médecins ayant quelques notions des maladies mentales.
stion, peut être utile à l'enseignement clinique. Pour cela, un des médecins de la clinique, prévenu par télégramme ou autre-
clinique psychiatrique : le public prend l'habitude de consulter le médecin compétent avant que la maladie soit confirmée ;
tants qui ont besoin de soins ultérieurs peuvent être suivis par le médecin ; enfin la fréquentation de la policlinique aur
n et de surveillance fut étudiée de nouveau en 1885, au Congrès des médecins aliénistes de Baden-Baden, par Gudden, en 1887,
t. Le personnel est ainsi tenu en éveil par les allées et venues du médecin . Rappelons une fois de plus qu'à la clinique de
a clinique de Wurzbourg, il y a dans le pavil- lon de traitement un médecin pour quatre malades. A Halle, le pavillon de tr
des cours (80 à 100 places), les labora- .toires, les cabinets des médecins , les bureaux, une salle d'attente, la salle de
e de connailre pour le diagnostic différentiel 2. » Logements des médecins et des surveillants. Dans la plupart des cliniq
illants. Dans la plupart des cliniques nouvelles, les logements des médecins assistants ont été placés à proximité des pavil
parfois dans ce pavillon même, de façon à nécessiter le passage du médecin par la salle de surveillance. Les logements du
la désolation et le malheur de leurs parents'et de leurs amis et le médecin à fort souvent à faire à eux. Sont-ils incurabl
sont dus à ces tergiversations. Une autre difficulté, c'est que le médecin lui-même n'a pas l'expérience d'un spécialiste
des sensations irrésistibles et se sent obligé à courir derrière le médecin , à tourner en cercle. Anxieux, il est souvent e
E. Deux nouveaux cas de folie gémellaire ; . ParteD'A.CULLERRE, Médecin directeur de l'asile d'aliénés de la Roche-sur-Yo
douleurs dans les membres et toutes les par- ties du corps. , Le médecin certificateur décrit ainsi son état mental : « Di
A la suite de cet épisode pathologique, Constant fut réformé et le médecin militaire aurait dit qu'il resterait aliéné. Re
uand il avait bu, ce qui lui arrivait souvent. « Au début, écrit le médecin certificateur, le malade était assez calme, se re
t faire, tout commander, faisant tout à contre- temps. D'après le médecin certificateur, « il est atteint d'une variété de
ui a lieu dans l'hémiplégie organique. Je n'ignore pas que certains médecins affirment avoir observé dans l'hémiplégie hys-
z les aliénés. M. LEGUA ! ') rend compte d'un travail de AI. Pilez, médecin assis- tant de Vienne, sur la- pression sanguin
ptant le voeu de M. Collin, craint qu'il ne soit dangereux, pour un médecin , de suivre M. Collin dans cette voie de confide
par le parquet pour violation du secret médical. L'intervention du médecin était cependant justifiée par une cause des' pl
e d'un vertige avait commis deux homicides. Sur le rapport de trois médecins de la ville, non spé- cialistes, le malade fut
s sentiments jouent un rôle con- sidérable dans l'hypnotisation; un médecin antipathique échouera; au contraire, un médecin
l'hypnotisation; un médecin antipathique échouera; au contraire, un médecin réussira s'il s'est, au préalable, concilié la
intervenir l'intérêt du sujet, ajouter un motif d'agir. Souvent un médecin hypnotiseur est sollicité d'atténuer, ou de dév
un élégant carnet de poche est destiné, comme l'écrit l'auteur, aux médecins et aux magistrats. Aux magistrats il servira de
aux magistrats. Aux magistrats il servira de moyen de contrôle; aux médecins il servira de guide. Guide précieux que tous le
admis à faire valoir ses droits il la retraite. - M. le Dr Anglade, médecin adjoint à Braqueville (Haute-Garonne), nommé di
CTET (Villejuil'), Sérieux (Ville- Evrard), 'foouooss (Villejuif), - médecins en chef, promus à la deuxième classe, du cadre.
du Mans promu à la première classe du cadre. M. le Dr Peciiar- MAN, médecin adjoint de la classe exceptionnelle à l'asile de
e la classe exceptionnelle à l'asile de Cler- mont (Oise),èst nommé médecin chef-à la Colonie familiale de Dun-sur-Auron (C
n remplacement de M. le Dr DUPaIn, nommé à Vaucluse. M. le Dr tory, médecin adjoint de première classe à l'asile d'Auxerre
Bonne, reçu au concours de 1900, pour la région de Lyon, est nommé médecin adjoint à Auxerre, en remplacement de AI. le Dr
reçu au concours de 1900, pour la région de Montpellier, est nommé médecin adjoint à l'asile public de Pierrefeu (Var), po
aladies de l'encéphale à la faculté de médecine de Paris, est nommé médecin adjoint à l'asile de Cierinont, (Oise), en remp
de Cierinont, (Oise), en remplacement de M. le Dr l'ECnanuw, nommé médecin en chef à Dun-sur-Auron. Enfant assassin. A Arm
sitoire ; ' Par E. LENOBLE, Ancien interne des Hôpitaux de Paris, médecin suppléant de 1 Hôpital ci% de Brest Le groupe f
me morte » et le sujet était dans l'impossibilité de la remuer. 'Le médecin qu'il appela ne lui fit pas autre chose que des
atriques des Universités allemandes ' ; Par le D' Paul SERIEUX, Médecin des asiles publics d'aliénés de la Seine, charg
'un ! 1), qui confère le droit d'exercer et fait de l'étudiant un « médecin praticien » (Pruklischer Arsl), peut être subi ap
réglementation des études médicales en Allema- gne est telle qu'un, médecin praticien. n'a point besoin du titre de docteur
r pratiquer,'et qu'un, docteur, qui m'a pas satisfait à l'examen de médecin praticien, ne peut exercer. " Les renseignement
. Une fois.reçu «(médecin-praticien » o.u.i.promu «, docteur »ile médecin qui désire se consacrer à l'étude des maladies me
. faire sa carrière dans l'euseignementsupérieur devra entrer comme médecin assistant dans un 'asile d'aliénés' ou comme Vo
mode ! de nomination offre en réalité de sérieuses. garanties aux' médecins de mérite qui ne voientrpasileur carrière. la'm
erci d6l'aléa-d*une épreuve de concours. 1 Une, fois assistant, let médecin , quh veut. orienter sa vie du côté de l'enseign
ssistant.tPlus tard il'peut être attaché. la clinique en qualité de médecin en second, -suppléant du professeur ; ;<être
tout le monde reconnaît que l'in- suffisance des connaissances des médecins praticiens en pathologie mentale a des inconvén
n examen clinique de psychiatrie. De cette façon, non seulement les médecins praticiens auront des notions précises sur les
r traitement, il convient en effet de faire d'abord l'éducation des médecins . Le professeur Binswanger (d'Iéna) est égalemen
n examen portant spé- eialement sur ces matières. Les Congrès des médecins aliénistes allemands de 1893 et de 1895 ont vot
Comptes rendus du Congrès de 1893.) Instruction psychiatrique des médecins fonctionnaires. On sait qu'il existe en Allemag
médicale est en outre représentée dans chaque département par un médecin départemental Nous n'envisagerons que celles de
es soins à donner aux aliénés, etc. (Weisgerber). Pour être nommé médecin fonctionnaire de l'Etat, Physicus, il faut être
re de l'Etat, Physicus, il faut être reçu, depuis plus de deux ans, médecin praticien, être docteur et avoir subi avec succ
'hygiène, la psychiatrie et l'organisation médicale. Le Congrès des médecins aliénistes allemands de 1895 a réclamé pour l'e
s médecins aliénistes allemands de 1895 a réclamé pour l'examen des médecins fonctionnaires une épreuve portant spécialement
ement sur la psychiatrie, épreuve qui devrait être passée devant un médecin aliéniste. Le D'' Zinn demande que les candi- d
in aliéniste. Le D'' Zinn demande que les candi- dats aux places de médecins fonctionnaires, de 17-eisphysicits, aient rempl
psychiatrie. Pour le praticien, il est bien - plus important d'être médecin , chirurgien, accoucheur, que psy- chiatre. D'ai
de chirurgie, d'obstétrique. Dans ces milliers de cas, le rôle du médecin est de soulager le malade, de le guérir, de préve
ien n'a guère qu'à faire un certificat. Or (en Allemagne), c'est un médecin fonction- naire qui est le plus souvent chargé
e plus souvent chargé de la rédaction de ces certifi- cats. Pour le médecin praticien, des connaissances pratiques en otolo
ation de la responsabilité des aliénés ne peut être la tâche que de médecins compétents, ayant subi un examen spécial (médec
a tâche que de médecins compétents, ayant subi un examen spécial ( médecins fonctionnaires). C'est donc pour cette dernière c
decins fonctionnaires). C'est donc pour cette dernière catégorie de médecins , conclut M. Schultze, qu'il faut exiger un examen
esseur'(ordinaire ou. extraordinaire) ; '2° les assistants ; 3° les médecins stagiaires. 'La clinique de Halle, par exemple,
seur de cli- nique psychiatrique (directeur-médecin en chef), deux' médecins en second, trois assistants; un médecin volonta
ur-médecin en chef), deux' médecins en second, trois assistants; un médecin volontaire. A la clinique de Berlin (188 malade
uatre assistants (dont un pour la section'de neuropathologie), cinq médecins volontaires et cinq médecins militaires. Les as
r la section'de neuropathologie), cinq médecins volontaires et cinq médecins militaires. Les assistants (assislenten)remplac
concours. Ils sont choisis par le chef de service' parmi les'jeunes médecins ayant terminé leurs études, subi leurs examens-
que de Wurzbourg, il y a. pour 60 malades, cinq assistants, soit un médecin pour 10 à 12 mala- des et, en admettant la prop
des et, en admettant la proportion de 50 p. 100 de cas aigus, un médecin pour cinq à six aliénés aigus. Dans les autres
ue de Munich). Les assistants sont enfin eux-mêmes secondés par des médecins stagiaires ( Les places de médecins volontaires
nfin eux-mêmes secondés par des médecins stagiaires ( Les places de médecins volontaires sont une institution presque exclus
Dans ce pays le ministère des cultes donne, pour un an. à de jeunes médecins désireux de faire leur instruction psychiatrique,
600 marks. De plus la plupart des provinces accordent à ces jeunes médecins , outre l'entretien gratuit, une indemnité de 60
indemnité de 600 marks. Dans quelques petits états allemands les médecins volontaires n'ont pas de traitement. Dans certain
traitement. Dans certains éta- blissements qui possèdent un second médecin volontaire ce dernier n'a droit qu'à l'entretie
r 000 francs. ' Grâce à l'excellente institution des assistants les médecins des cli- niques psychiatriques et des asiles on
allemandes, rendent des services considérables aux étudiants et aux médecins qui désirent se familiariser en peu de temps av
es grandes vacances. En 1894, le cycle des Feriencurse destinés aux médecins praticiens a commencé le 5 mars pour se termine
nternes dans le même service, et à toute collaboration effective du médecin et de l'iiitei ne. Eiiiiii par la limitation a
iiiii par la limitation a trois ans de la- durée des fonctions, les médecins doivent renoncer aux services de ceux de leurs
a police, .et volontaires sans autre formalité qu'un certificat de. médecin ; sous la responsabilité' du professeur de clini
démontrent suffisamment que les objections faites au début par des médecins aliénistes considérés, contre les asiles urbain
ience prend une importance de plus en plus considé- rable 1. ' Le médecin français qui visite les cliniques allemandes est
« Plus les connaissances psychiatriques seront répandues parmi les médecins , dit-il, plus se perdra l'06 ! tM)M de l'asile sp
nt de vue de l'éducation professionnelle des futurs aliénistes, des médecins experts (médecins fonction- naires) et des méde
cation professionnelle des futurs aliénistes, des médecins experts ( médecins fonction- naires) et des médecins praticiens, l
aliénistes, des médecins experts (médecins fonction- naires) et des médecins praticiens, le rôle des cliniques n'est pas moi
privat-docenten sont nombreux. Chaque clinique est une pépinière de médecins compé- tents et assure, entre autres, le recrut
e médecins compé- tents et assure, entre autres, le recrutement des médecins des asiles d'aliénés et des médecins-experts.
'étude des maladies mentales, de l'en- seignement professionnel des médecins praticiens et des experts, si elles réalisent d
e le public a de LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 231 - et aussi les médecins en voyant entrer les malades à la cli- nique ps
e allemand : .ï ? .219.901 habitants. Asiles publics : li2 avec 559 médecins (y compris les médecins assis- tants) et 55.877
01 habitants. Asiles publics : li2 avec 559 médecins (y compris les médecins assis- tants) et 55.877 malades (30.358 hommes
.358 hommes et 25.519 femmes). Établissements privés : 120 avec 182 médecins et 18.210 malades (11.483 hommes et 6.727 femme
ssements d'aliénés (publics ou privés). Le nombre proportionnel des médecins est de 1 pour 105 malades. Les asiles de buveur
ur pensionnaires payants, etc. 2° Personnel médical nombreux : un médecin (y compris chefs de clinique, internes, externe
de médecin-expert (dont on a pro- posé la création), aux emplois de médecin des établissements pénitentiaires, de médecin d
tion), aux emplois de médecin des établissements pénitentiaires, de médecin des établissements privés consacrés aux aliénés
s privés consacrés aux aliénés. Stage de quelques semaines pour les médecins de l'armée et de la marine, et, peut-être, pour
ans exception. 6° Création d'un concours spécial pour les places de médecin des asiles d'aliénés situés à proximité des vil
à proximité des villes universitaires sur les bases suivantes : un médecin chef de service nour 250 malades avec les colla
et n'éprouver aucun symptôme qui le pousse à rechercher l'avis d'un médecin jusqu'au moment où une hémorrhagie cérébrale me
l'appui, qui leur donne un intérêt tout particulier. Cependant, les médecins , et en particulier, les aliénistes, voudraient
e des individus qui commettent des crimes passionnels, prise par un médecin compétent, est donc d'une très grande utilité ;
our ce genre de criminels. Leur histoire biologique, établie par un médecin et jointe au dossier, rendrait le plus grand se
ur montre que les 'maladies men- tales qui longtemps furent pour le médecin praticien, et même pour l'expert, une terra i)2
IN BIBLIOGRAPHIQUE. Asile public d'aliénés de Maréville. Rapport du médecin en chef de la division des hommes à M. le Préfe
promu à la l« classe du cadre; .Il. le D Cll.%USSINA'iD, directeur médecin à Siiiit-Diziei- (Haute-Marne). nommé officier
1 1-) pour travaux sur l'alcoolisme (février 1901). M. le D' Bonne, médecin adjoint à mis en congé pour raison de santé; M.
n de santé; M. le Ur C,%S-1,AIN, con- cours de Paris, délégué comme médecin adjoint à Auxerre pour rem- placer M. le D' Bon
nt à Auxerre pour rem- placer M. le D' Bonne ; - M. le D, %IAIGNAL, médecin adjoint a Mont-- devergues (Vaucluse), mis en d
es (Vaucluse), mis en disponibilité sur sa demande; M. le D' Homes, médecin adjoint, concours de Lille, nommé à Montdevergues
, divise plus que jamais les cliniciens. A l'engouement'des anciens médecins qui voyaient partout la « pléthore, la fluxion
eur profonde, dont il ne devait plus se relever jusqu'à sa mort. Un médecin consulté à ce moment conseille son transport à
aladie se déclare. La recherche du goût du sel s'impose donc à tout médecin en présence d'un malade suspect de paralysie gé
sques travaux de Charcot ayant fait con- naître et admettre par les médecins un royaume presque inconnu, celui de l'esprit s
322 ) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. porte quelle circonstance, un médecin et un malade ne se trouvent en présence sans qu
sonnages, qui est celle du commandement et de la domination pour le médecin , de l'obéissance et de la dépendance pour le ma
nvénient pour l'énergie de leur volonté objective, et qui permet au médecin de maitiiser les symptômes morbides et de déliv
ctifs des maladies, et sur les rapports à cet égard du malade et du médecin , celui-ci pouvant deviner avec son esprit subje
nnel subalterne est laïc, à raison d'un agent par 10 malades. Les médecins sont nombreux et connus par leurs travaux aux C
Les expertises sont contradictoires et discutées par un conseil de médecins légal analogue aux Conseils supérieurs d'hygièn
ile public d'aliénés de Maréville, pour 1899 ; par les 1)"S VLRNUT, médecin de la division des hommes, et Paris, médecin de
; par les 1)"S VLRNUT, médecin de la division des hommes, et Paris, médecin de la division des femmes. Ces rapports contien
es asiles d'aliénés beaucoup moins de bâtiments et beaucoup plus de médecins , et, comme il le dit en terminant, moins de bri
ès quelques mots sur la mode en psychiatrie, cette remarque que les médecins qui s'occupent des asiles sont en face non seule-
ourd'hui, et indiqué les modifications des idées, non seulement des médecins , mais du public, Blumer arrive au vrai sujet de
du fluide universel, telle qu'elle est exposée dans les oeuvres des médecins et des philosophes de la fin du xvie et du comm
cela assure contre la négligence et garantit de l'avis immédiat au médecin en cas d'indisposition ; de plus, au cas de déc
imes dont le régime familial est aujourd'hui l'objet de la part des médecins aliénistes. Et dans le rapport sur la situation
A qui voulez-vous qu'ils s'attachent dans les asiles fermés ? Au médecin qui passe une ou deux fois par jour, qui leur tém
es ». Toutes ces considérations se recommandent à l'attention des médecins aliénistes et autres pour la désignation des alié
cin-adjoint à l'asile de Quatre-Mares et un an plus tard directeur- médecin de l'asile de Saint-Lizier (Ariege), d'où il pass
rallèlement à ces travaux d'ordre administratif, il s'appli- quait, médecin fortement documenté, au traitement des aliénés et
un laboratoire de photographie. A l'étage supérieur : logements des médecins (3 assistants, 2 sta- giaires), salle de garde,
vec un couteau. On ne sait ce qui se passa alors, mais peu après un médecin était appelé et trouvait le jeune homme agonisa
e repos au lit, en médecine mentale; Par le D' Alexandre PARIS, Médecin du service des femmes de l'asile d'aliénés de Mar
de contracture, puis de paralysie flasque. Croyant à une tumeur le médecin traitant fit, pratiquer la trépanation. On ne t
reille néga- tion est peut-être d'un moraliste, elle n'est pas d'un médecin . . La cardialgie, la tachycardie temporaire, la
ogique la for- mule suivante : « Tous les renseignements fournis au médecin par « un malade sain d'esprit en vue de lui fai
aites par ce dernier ; 2° elle ne comprend que les faits confiés au médecin en sa qualité de médecin ; 3° elle exclut les f
elle ne comprend que les faits confiés au médecin en sa qualité de médecin ; 3° elle exclut les faits que le médecin est l
médecin en sa qualité de médecin ; 3° elle exclut les faits que le médecin est légalement forcé de révéler pour obéir à la
tion des maladies infectieuses, le malade sachant par avance que le médecin est astreint à cette révélation. Il reste un po
es renseignements four- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 417 « nis au médecin par un aliéné peuvent être révélés dans le cas
la grande res- ponsabilité morale qui en pareil cas résulte pour le médecin d'un conseil affirmatif, il convient de ne pas
eiice, juillet 1899.) L'auteur se propose d'attirer l'attention des médecins d'asiles sur la tendance actuelle du Béribéri à
ait d'une coïncidence; il faudra donc désormais que l'attention des médecins d'asiles soit constamment éveillée sur l'appari
les muscles de l'ouvrier, il faut que celui-ci soit attiré vers le médecin par des troubles quelconques. Or, dans les névr
entait une action en domma- ges-intérêts à l'un de ses neveux et au médecin signataire du cer- tificat qui l'avaient fait i
la chambre qu'elle occupait chez son neveu. Sans plus d'examen, le médecin signa, séance tenante, un certificat déclarant
sile d'aliénés ? ... Heureusement pour la pauvre demoiselle que les médecins du Bon-Sauveur eurent des doutes et la mirent en
. Dr Singer. Nous avons à enregistrer la mort prématurée d'un jeune médecin adjoint des asiles d'aliénés, le Dr Désiré-Fran
(Asile de'Villejuif). M. le Di Toulouse, directeur du laboratoire, médecin en chef de l'asile de Villejuif, a com- mencé,
matières suivantes : Psychiatrie : MM. les Dr, A. Marie et Pactet, médecins en chef de l'asile de Villejuif. Anthropologie
ins en chef de l'asile de Villejuif. Anthropologie : M. le Dr Blin, médecin en chef de l'asile de Vaucluse. Histologie du s
e de Vaucluse. Histologie du système nerveux : 111. le De Marchand, médecin adjoint des asiles. Electro-diagnostic : .' M.
adjoint des asiles. Electro-diagnostic : .' M. le Dr A. Vigouroux, médecin en chef de l'asile de Vaucluse. Chimie physiolo
des plaies de mauvais aspect et fétides, considérées par les divers médecins qui l'ont soignée comme très probablement de na
ns que sa démence, déjà profonde, ait nécessité l'in- tervention du médecin et déterminé sa mise en réforme. Ce fait bien c
été confirmé dans les termes suivants par mon distingué collègue le médecin major X., que je remercie de ce complément si i
99 est présenté devant la commission de réforme directement par son médecin major pour affaiblissement progressif des facul
que le 3 janvier 1899, date de la réforme, que nous connûmes par le médecin major du régiment et par le capitaine commandan
ur les déposer ensuite religieusement sur ceux-ci. Les chefs et les médecins du corps ayant certifié au conseil qu'après obs
n an; Par le Ur J.-A. ESTEVES, Professeur agrégé de la faculté et médecin des hôpilauv de Bucnos-Aircs. L'idée de Fuller
ater du tremblement; bien des gens surpren- nent ainsi la pensée du médecin et peuvent se blesser du procédé. Notre atten
lisme propre à l'alcoolisme, et jusqu'ici peu connu, décrit par un médecin des environs de Rouen 1L. Maridort. Ce dernier,
ait un individu des bois- sons alcooliques, chose que chacun nie au médecin . Il nous semble cependant que le signe que nous
sles de l'Allc- magne du Sud, à 13ade-les-Baiiis, 27 mai 1900. Le médecin praticien des grandes villes sait, par expérience
t dû être tenus éloignés de l'école auxiliaire. En résumé : 1° le médecin a besoin de la collaboration des maîtres, de le
eur observation prolongée dans l'école; 2° la sur- veillance par le médecin des écoles auxiliaires et, dans les petites vil
est indispensable ; 3° l'organisation doit'en être élaborée par les médecins et les maîtres en commun ; 4° l'imbécillité mor
placés dans les asiles d'idiots ; 60 il n'y a que l'institution des médecins des écoles qui puisse nous garantir le diag- no
n mémoire du Dr Bouchereau une somme de 000 francs à la Société des médecins aliénistes de France. M. Jorrnos- fait l'élog
t pas bien où est la limite qui sépare le spi- rite de l'aliéné. Un médecin adonné depuis longtemps aux prati- ques du spir
s aux prati- ques du spiritisme se crut d'abord médium moteur, puis médecin 506 ' · SOCIÉTÉS SAVANTES. entendant. Longtem
s d'aliénés. Nominations et promotions : M. le D1' Petit (Gilbert), médecin en chef à l'asile public d'aliénés du Mans, est
rs de Lille, nommé à Viontdevergues; Du. le Dr Charon, directeur- médecin à Saiut-Alban (Lozère), nommé à l'asile de Sainte
atherine, nommé directeur-médecin à Saint-Alban; M. le Dol Boiteux, médecin en chef à l'asile de Clermont, promu à la l1'0
ont nommés : officier de l'Instruction publique, 11. le D1' Lrcnnw, médecin en chef de l'asile de Ville-Evrard; officiers d'A
recteur-médecin de l'asile de Breuty-la-Cou- ronne ; le Dr Chardon, médecin en chef de l'asile de Rennes, le 1), Guyor, dir
irecteur-médecin de l'asile de Chàlous-sur-\iarne ; le U'' Sérieux, médecin en chef de l'asile de Ville-Evrard ; le Dl SIZA
as de -, par Norman.'f9. àlipi%GE. Folie et -. par ulould, 427. Médecin expert. Vade inecum du - , par Lacassa;·ne. 190
46 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
DÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS»; Par M. le D' J. CHRISTIAN, Médecin de la Maison nationale de Charenton. . 1 ! b)
irigée par une ancienne mai- tresse de X... la marquise. Nous tous, médecins , surveillants, infir- miers, ne sommes que les
des accès de colère terrible, quand on lui parle de sa femme, ou du médecin qui l'a soigné dans l'asile ou il a été d'abord
nt violent et agressif, et à à suite de voies de fait graves sur le médecin , il fut transféré à Cha- renton(1883). - B...
qui en veulent à son honneur. La nuit, pour l'em- pêcher de dormir, médecin et surveillant font passer toutes sortes d'imag
ux névropathies que les autres races. C'est l'opinion de nombreux médecins , de 11111. Charcot, Bouchard, etc.. et cette op
et de divers accidents qui ont été caractérisés, paraît-il, par le médecin , sous le nom 78 CLINIQUE NERVEUSE. d'embarras
SIE PAR LA PRESSION DE CERTAINES REGIONS, Parle Dr E. WEILL, '0 Médecin des hôpitaux, agrégé à la Faculté de Ljon, Les
athétose double et les chorées chroniques de l'enfance; par AUDITS, médecin des hôpitaux de Lyon. 1 vol. in-81 de 400 pages,
BIBLIOGRAPHIE. III. Des folies diathésiqucs; par le De H. MABILLE, médecin en chef directeur, et le Dr E. LALLEMANT, médec
i a décernée l'Aca- démie de médecine. A. CULLEItIIE. VARIA LES MÉDECINS ADJOINTS. Si les médecins adjoints, du dernier
de médecine. A. CULLEItIIE. VARIA LES MÉDECINS ADJOINTS. Si les médecins adjoints, du dernier concours de l'adjuvat des
es tables administratives, de si triste mémoire, pour obliger son médecin adjoint à prendre ses repas en commun avec les so
n bizarre de comprendre son rôle et de faciliter le recrutement des médecins adjoints ! ! ! i 128 VARIA. Les asiles d'alié
asiles de la Seine par des directeurs qui ne sont pas en même temps médecins en chef. Il trouve que cette division des pouvoir
decins-chefs. Son désir serait de voir à la tête de chaque asile un médecin en chef ayant sous ses ordres immé- diats tout
contraire de l'application du système qui consisterait à charger un médecin en chef de la direction générale d'un asile. Dé
asiles ne sont que trop démonstratifs à ce sujet en prouvant qu'un médecin en chef fonctionnant comme directeur, est telle
1838, 1839 et 1841 avaient presque aussitôt attiré l'attention des médecins étrangers, et en 1842, le Dr Guggenbuhl, en Sui
une éducation bien compris, mais dans la bouche de M. Timofeëff, un médecin instruit, possédant une connaissance approfondi
composé : Président, Dr Droui- neau, inspecteur général; D''S Féré, médecin de Bicêtre; Brunet, médecin-directeur de l'asil
, professeur agrégea la Faculté de médecine ; suppléant, M. Schils, médecin de l'asile de Lesvellec. Pour la circonscriptio
t, Dr A. Re- varia. 133 gnard, inspecteur général ; MM. Lapointe, médecin de l'asile d'Auxerre; Dufour, médecin de l'asil
cteur général ; MM. Lapointe, médecin de l'asile d'Auxerre; Dufour, médecin de l'asile de Sainl-Robert; Faucher, médecin de
e d'Auxerre; Dufour, médecin de l'asile de Sainl-Robert; Faucher, médecin de l'asile de la Charité; Pierrot, professeur de
rité; Pierrot, professeur de clinique mentale; suppléant, Dr Fabre, médecin de l'asile de Saint-Dizier. Pour la circonscrip
ury était ainsi composé : Président, Dr Droui- neau ; Dre Pilleyre, médecin de l'asile de Prémontré; Martinencq, médecin de
neau ; Dre Pilleyre, médecin de l'asile de Prémontré; Martinencq, médecin de l'asile de Clermont; Taguet, médecin de l'asil
e de Prémontré; Martinencq, médecin de l'asile de Clermont; Taguet, médecin de l'asile d'Ar- mentières ; M. Castiaux, profe
tiaux, professeur à la Faculté de médecine, sup- pléant, M. Cortyl, médecin , directeur de l'asile de Saint-Venant. Pour la
é : Président, M. le D1' Napias, inspecteur général; Drs Reverchon, médecin de Saint- Luc ; Bessières, médecin de l'asile d
specteur général; Drs Reverchon, médecin de Saint- Luc ; Bessières, médecin de l'asile de Saint-Alban; Pons, médecin de l'a
de Saint- Luc ; Bessières, médecin de l'asile de Saint-Alban; Pons, médecin de l'asile de Bordeaux ; Picot, délégué de la F
; Picot, délégué de la Faculté de médecine; suppléant, Dr Larrieu, médecin de l'asile de Cadillac. Pour la circonscription
Voici la composition du jury : Président, Dr Napias; Drs Campagne, médecin de l'asile de lIlontdevergues j Dauby, médecin
ias; Drs Campagne, médecin de l'asile de lIlontdevergues j Dauby, médecin de l'asile d'Aix; Boubila, médecin de l'asile de
sile de lIlontdevergues j Dauby, médecin de l'asile d'Aix; Boubila, médecin de l'asile de llfarseille; Jaumes, professeur à
rseille; Jaumes, professeur à la Facullé; suppléant, D'' 111auuier, médecin de l'asile de Pierrefeu. Le concours s'est te
e, trop souvent, les]postes avantageux, au lieu d'être réservés aux médecins des asiles, sont donnés à des hommes qui n'ont
personnel médical et a pour conséquence de faire hésiter les jeunes médecins à se présenter au concours. Il est certain que la
Il est certain que la plupartdesasilespourraientétredirigéspar des médecins , comme ils le sont dans tous les autres pays, e
iation avec plaisir, car elle vient fournir un appui à la thèse des médecins qui ont toujours- protesté contre la pratique b
de M. l'inspecteur général Regnard, président, de M. le D Laburthe, médecin du Ministère de l'Intérieur, de MM. Christian, Ri
in du Ministère de l'Intérieur, de MM. Christian, Ritti et Damalix, médecins et chirurgien delaMaison de Charenton. 5 can- d
e. Le jury était ainsi composé : MM. les Dre Deny, Dreyfus-Brissac, médecins des hôpi- taux ; Picque, chirurgien des hôpitau
ées de service ! C'est en donnant des avantages de cette nature aux médecins qui s'acquittent sérieusement de leurs fonction
us demandons existe en Angleterre. Tentative d'assassinat contre un médecin . - Le Dr Gircourt, conseiller général de Neuvil
en quelque chose d'analogue dans l'histoire du roi David, à qui les médecins de l'époque conseillèrent de mettre dans sa cou
guérison radicale de la plupart des mala- dies abandonnées par les médecins . Bien entendu, nombreux furent bientôt les clie
cette lettre, M. Léonce Faucher, son frère, lui annon- çait que les médecins qu'il était venu consulter à Paris lui ayant dé
aits de cette dernière caté- gorie sont si peu communs que quelques médecins , M. Luys notamment, en ont, mais bien tort, nié
mble résulter de documents récemment recueillis et commentés par un médecin érudit. Quant aux persécutés du type Falret,
normal, il est pathologique. Dans' des circonstances pareilles, les médecins appelés à examiner l'état mental des accusés co
u- coup de ces individus est tout à fait nulle. D'autres fois, le médecin expert n'ose pas poser une conclu- sion aussi a
lligent à l'imbécile type, il existe une grada- tion insensible. Le médecin expert se trouve, par suite, dans certains- cas
Actuellement âgée de soixante-deux ans, en 18S4, elle consulta son médecin pour un prurit vulvaire, c'est ce qui mit sur la
S VERBALES PSYCHO-MOTRICES, DANS LA MÉLAN- COLIE ; Par J. SÉGLAS, médecin suppléant de la Salpétrière, . et PAUL LONGE, i
esse ; mais elle n'a jamais été maîtresse, toujours dcniestique. Un médecin lui a dit qu'elle était poitrinaire. Toute sa vie
it peut-être un peu moquée de son frère) a embarrassé à la fois les médecins experts et les magistrats. Il n'y avait chez l'
humes, souvent inaper- çues et très importantes à connaître pour le médecin légiste. Il arrive alors ce que l'on observe so
les premiers temps, elle dormit deux jours, à telle enseigne qu'un médecin la tint pour morte, son mari s'opposa aux prépa
es extérieures, notamment à l'entourage du malade, à l'exa- men des médecins , aux débats judiciaires et administratifs. Il fau
ison sur bien des points. C'est ce que m'a appris ma pratique comme médecin de la Société contre les accidents la Zurich. M
tante. (Archiv. f. Psychi(tt., XXIII, 2.) P. KERAVAL. SOCIÉTÉ DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES DE MOSCOU. Séance
avoir méconnu ou mal interprété les stigmates de l'hystérie que des médecins ont été conduits à créer un groupe d'affections
et d'obser- vation. Il intéresse les philosophes aussi bien que les médecins à plus d'un titre et il a de plus le mérite d'ê
vrier 1892. Monsieur le Préfet, Il arrive assez fréquemment que les médecins des asiles d'aliénés hésitent à provoquer la mi
e Ministre de <'7n<e')' : eM ? CONSTANS. CONGRÈS ANNUEL DES MÉDECINS ALIÉNISTES DE FRANCE ET DES PAYS DE LANGUE FRAN
ars 1892. Monsieur et très honoré Confrère, Le Congrès annuel des Médecins aliénistes de France et des pays de langue fran
n, composé du bureau du Congrès de Lyon auquel ont été adjoints les Médecins aliénistes de Blois, a l'honneur de vous demand
convenablement. Cette commission est composée de trois membres, un médecin , un homme de loi et un citoyen, nommés par le g
més par le gouvernement avec l'avis et le consentement du sénat. Le médecin président est nommé pour six ans, le magistrat
S. (American journal of insanity, octobre 1890.) \ ' Le devoir du médecin est de protéger la société contre l'invasion -
sur ce point particulier de la pathologie ne permettraient pas aux médecins des familles, en les mettant sur leurs gardes,
ortoir et s'est couché dans son lit. Lorsque, pendant la visite, le médecin du service s'est approché de Gontscharoff, celu
la malade y fut examinée par M. le Dr Briand qui, comme les autres médecins , conclut à la folie de la jeune fille. * Mm° Do
très travailleuse et n'avait aucunement l'esprit dérangé. , . Aux médecins , maintenant. Le Dr Briand, après quelque temps
un sommeil dont le professeur lui-même n'a pu encore le tirer. Les médecins , qui ont été appelés, n'ont pu avoir raison de
coup souffrir. Voilà un incident qui va renforcer les arguments des médecins qui demandent l'interdiction des séances publiq
iques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890, par Bourneville, médecin de Bicêtre, avec la collaboration de 11lllL Cam
ÉItIE; Par' D' Ernest MESNET, Membre de l'Acadéiiiie de médecine, Médecin honoraire de l'Hôtel-Dieu. En 1872, il y a ving
té, étaient considérés comme fan- taisies de malade, et illusion du médecin , j'avais dans mon service à l'hôpital Saint-Ant
de nou- veaux malades pour multiplier mes observations, quand un médecin du voisinage, qui suivait ma visite, fut frappé
ais d'une note fort détaillée, et fort bien faite du Dr Aubrun, son médecin ordinaire, les renseignements qui vont suivre :
nt sur le mouvement de son esprit en état de -somnambulisme. - Le médecin de ma jeune malade, pensant-qu'il pouvait exister
es-uns de ses accès, son SOMNAMBULISME SPONTANÉ ET HYSTÉRIE. 297' médecin eut la pensée d'essayer l'action hypnotique com
odiquement établies des crises artificiellement provoquées, dont le médecin aurait la direction, et dont il disposerait à s
onc à M. le Dl' Puel qui était à cette époque, à Paris un des rares médecins qui s'occu- paient de ces questions de venir vo
rès six jours d'essais infruc- tueux, il dut se retirer. Un autre médecin vint après lui sans être plus heureux; et la je
très spirituelle- 298 CLINIQUE MENTALE. ment leurs personnes. Son médecin lui-même,- qu'elle affectionnait tout particuli
'esprit de la malade; pro- fondément troublée par l'impuissance des médecins appelés près d'elle, découragée par l'aggravati
que les questions de droit et de devoir. Elle ne reconnaît qu'à son médecin le droit de disposer de sa vie; quant à elle, e
ns ses crises : quand SOMNAMBULISME SPONTANÉ ET HYSTÉRIE. 299 mon médecin voudra m'étrangler, laissez-le faire personne-n
ute leur durée. La situation devenue de plus en plus critique, le médecin crut devoir proposer à la famille l'entrée soit
senti, disait-elle, et peut-être sollicité cette mesure; contre son médecin qui n'avait pas de coeur, et dont elle ne voula
Il en fu ainsi jusqu'au 1er juillet. C'est à cette époque-que son médecin , de plus en plus inquiet, vint me voir, me parl
bites, se produire ainsi, par substitution. J'insistai donc près du médecin , je le gagnai à mon opinion, et la jeune fille
n entrée à l'hôpital, se révoltant contre ses parents, contre son médecin , et disant avec énergie : « »Non, je ne veux pa
ue vous combien les hystériques ont le caractère insupportable; des médecins doi- " vent étudier autre chose. Le mot état me
plupart des malades qui viennent ici ont déjà été examinées par des médecins suffi- samment instruits pour rechercher les st
n bas, une anesthésie complète dont elle n'avait pas dit un mot. Le médecin se moqua d'elle et lui dit : « Comment, mademoi
mon avis, elle aurait pu répondre avec plus d'assurance et dire au médecin : « Que voulez-vous ? Je constate ce que j'épro
bilité de tout le côté gauche ne m'a jamais gênée. Quant à vous, médecin , expliquez cela comme vous pourrez. » La même r
été dans un hôpital et que même elle n'avait été examinée par aucun médecin . Pour le moment, nous n'avons à insister que su
'on a été conduit à examiner ce symptôme avec quelque sévérité. Les médecins majors dans les régiments, très experts dans l'
vaincus que cette fameuse simulation n'existe que dans l'esprit des médecins incapables de comprendre un fait moral. Je me c
de, car vous devinez qu'il est devenu un malade, est examiné par le médecin . On lui pince le bras gauche, on lui demande s'
URIE POST-PAROXYSTIQUE ' CHEZ LES ÉPILEPTIQUES; Par Jules VOISIN, médecin de la Salpêtrière, et A. PÉRON, interne des hôp
ucoup plus d'im- portance dans l'épilepsie que partout ailleurs, le médecin n'assistant que rarement aux paroxysmes. III.
jour en jour plus fréquents et plus violents. 11 consulta plusieurs médecins , mais aucune des médications qui lui furent pre
e Dampierre, dans le département d'Eure-et-Loir, était allé voir un médecin dans une ville voisine, il était aussi allé con
PSYCHO-MOTRICES, DANS LA MÉLAN- COLIE (Suite) 1 ; Par J. SÉGLAS, médecin suppléant de la Salpêtrière, et PAUL LOKDE, int
ec hypéridrose d'origine arté- rielle. C'est l'émotivité (examen du médecin ) qui les engendre; elles se produisent toutesjl
justifierait pas la séquestration. J'admets très volontiers que le médecin soit accidentellement la dupe d'un simulateur; ma
t autrefois. C'est sur l'affirmation réitérée de sa guérison par le médecin traitant, M. Deny, qu'il a proposé la sortie.
ion à M. Sollier en établissant quels sont ceux en face desquels le médecin devra se montrer très réservé. On pourrait m'ob
oir nommer une commission qui établirait un questionnaire auquel le médecin devrait répondre par oui et par non avant que l
ais je vais plus loin et j'ajoute qu'avant de signer une sortie, le médecin doit avoir la certitude que le persécuté actuel
quitter l'Asile. Sinon, dans le cas où il commettrait un crime, le médecin pourra être rendu pécuniairement respon- sable
aite que tout malade guéri doit être rendu à la liberté sans que le médecin ait à se préoccuper de l'avenir. M. JOFFROY. Co
aliéné criminel ne pourrait sortir sans l'avis, non plus d'un seul médecin , mais d'une commission médicale parta- geant la
uestion. Que la mise en liberté soit sollicitée par un ou plusieurs médecins cela revient au même ! . Plusieurs MEMBRES. L
te de laquelle se seraient installées les attaques épileptoides; le médecin qui les soignait prononça en un cas le diagnost
s les centres sous-corticaux. Mais Munk, par la physiologie, et les médecins , par la clinique montrent que, lorsque les cent
es mal- heurs à déplorer qu'un suicide. Aussi chacun s'y intéresse. Médecins et fonctionnaires visitent à tout instant notre
and les circonstances s'y prêtent, d'utiliser la bonne volonté d'un médecin établi dans la région qui s'intéresse à cette a
agit point d'un système organisé ; il accuse son professeur , le- médecin de la pension, l'inspecteur des études, de lui en
ines après, transféré dans une autre prison, il était, par un autre médecin , déclaré épileptique, et atteint de débilité ment
. (Allg. Zeilsch. f. Pschiat., XLVIII, 4.) P. ICEa waL. SOCIÉTÉ DES MÉDECINS NEUROLOGISTES ET AL1ÉNISTES . DE MOSCOU. Séan
ur ouvrage sera certainement accueilli avec faveur par les nombreux médecins que les nombreuses monogra- phies ou les traité
lequel se présentent tout naturellement les symptômes à l'examen du médecin . Dans la première partie, ils étudient les sign
troubles de la sensibilité. Viennent ensuite ceux constatés par le médecin , ceux de la motilité et des réflexes qui tous con
s pair qui sait voir et trouver, le successeur direct de nos grands médecins , et dont le plus éminent est Laënnec. La clin
ons de la Faculté lyonnaise, Bourneville, Joffroy, Hanot, Gombault, médecins des hôpitaux ou agrégés : Debove, mon collègue
rs reconnaissant. c J'en passe, et des meilleurs, tels que Oulmont, médecin des hôpitaux, Richer, chef de laboratoire dans
ux, Richer, chef de laboratoire dans mon service, Brissaud, Ballet, médecins des hôpitaux et agrégés, Féré, médecin de Bicêt
ervice, Brissaud, Ballet, médecins des hôpitaux et agrégés, Féré, médecin de Bicêtre, Marie, médecin des hôpitaux et agrégé
médecins des hôpitaux et agrégés, Féré, médecin de Bicêtre, Marie, médecin des hôpitaux et agrégé, Babinski, médecin des h
édecin de Bicêtre, Marie, médecin des hôpitaux et agrégé, Babinski, médecin des hôpitaux, etc., car, malgré toute la joie q
s, Gonzalès se trouve actuellement à l'Hôtel-Dieu jusqu'à ce que le médecin traitant signe son exeat. Nous regrettons, avec
Truphème Paul, inculpé de vol qualifié. A la suite d'un rapport de médecin qui concluait à l'irres- ponsabilité, cet indiv
ical DES Asiles publics d'aliénés DE la Seine POUR l'année 1892. ( Médecins en chefs. Médecins adjoints. Internes.) po Infi
lics d'aliénés DE la Seine POUR l'année 1892. (Médecins en chefs. Médecins adjoints. Internes.) po Infirmerie spéciale du
nnion et Lefiliâtre. 4° Asile de Vaucluse. - Se ? -vice des femmes, médecin en chef, M. BOUDRIE. Int. : M. Laroussinie. Ser
cin en chef, M. BOUDRIE. Int. : M. Laroussinie. Service des hommes, médecin en chef M. KERAVAL. Int., M. Croustel. Service
tions'' et promotions. Disjonction des fonctions de directeur et de médecin en chef à l'asile public de Vaucluse. Suppressi
-adjoints. Création d'un emploi de directeur et de trois emplois de médecins en chef. (Arrêté du 24 février 1892.) Sont nomm
plois de médecins en chef. (Arrêté du 24 février 1892.) Sont nommés médecins en chef : le D1' BOUDRIE, qui remplissait les f
ur-médecin, maintenu à la 2° classe, et le Dr Keraval, précédemment médecin en chef à l'asile de Ville-Evrard, maintenu à l
médecin-adjoint à l'asile de Vaucluse, emploi supprimé, est nommé médecin en chef à l'asile de Ville-Evrard, en remplacemen
n le transporte à l'hôpital, où une véritable torture commence. Les médecins , diagnostiquant à vue de nez un cas d'hypnotism
n'expédie plus que des morts aux hôpitaux new-yorlcais» x Veuves DE médecins . Le Ministre des finances vient de com- munique
'étaient pas produites une seule fois. Nécrologie. M. le Dr CAYPAN, médecin de l'asile d'aliénés de Rodez. M. le Dr James R
ologues et alié- nistes de l'Allemagne du sud- ouest, 238 ; - des médecins alié- nistes de France et des pays de langue
aladies mentales, dans les maisons de correction, par Kuelm, 119. Médecins adjoints des asiles, 127; - concours des -, 132
47 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
tait paralysé des parties inférieures du corps. 11 avait consulté les médecins les plus célèbres ; tous les traitements suivis l
y a du bon et du mauvais. Nous avons appliqué ces deux méthodes comme médecin amateur, et nous donnons la préférence à la derni
de froid continuel et une douleur vive sous l'omoplate droite. Deux médecins consultés en cette grave circonstance crurent rec
car je ne fus pas admis près de lui; sa femme me dit que l’ordre des médecins était formel qu’ils avaient défendu de laisser pé
a supériorité sur la médecine, puisque j’ai guéri des malades que les médecins avaient abandonnés. AFFECTION GRAVE DE LUTÉRUS.
de garder constamment le lit. C'est à cette époque, en 1856, que les médecins ayant reconnu leur impuissance, une inspiration,
nt en pratique, et bien que l’état de ma femme me parût, ainsi qu’aux médecins , désespéré, je ne laissai pas d’avoir une certain
toute la partie gauche depuis cinq mois. Ce malade avait vu aussi des médecins pendant quelque temps, mais il n’en avait obtenu
e, le considérant cité plus haut en est la preuve. Que vont faire les médecins ? Quant au journal le Temps, nous sommes heureux
xtrait de Y Union du 27 avril 1861.) BIBLIOGRAPHIE. La Vérité aux médecins et aux gens du monde, sur le diagnostic et la thé
n rédacteur en chef du journal la Chronique Magnétique ; Henri André, médecin , à Nice; Vermeil, officier supérieur en retraite,
arce qu’il aura opéré tout à coup des œuvres supérieures à celles des médecins et des savants ; mais, disons-le tout de suite, c
y voyait des spiritualistes purs, des magnétistes rationalistes, des médecins en assez grand nombre, homœopathes et allo-pathes
sédant une science, un art méconnu, repoussé par les académies et les médecins . Quelle science plus essentielle, quel art plus u
nfiance en sa probité d’expérimentateur (1). Vous qui reprochez aux médecins négateurs du magnétisme « l’entêtempnt et la mauv
aie science dont nous voulons parler, de celle que les savants et les médecins ont abandonnée et ont laissé souiller ;iu lieu d’
progrès de ce mal. La jeune impératrice d’Autriche voyage avec ses médecins et ses douleurs. Son état de maladie durera, comm
10 Juillet! 861. (les l'orces, mais en revanche une grande peur des médecins , peut-être n’avait-il pas (oi t. Ceux-ci avaient
leur redemandent un fils, un époux, car on est en droit d’accuser le médecin quand les moyens sauveurs n’ont point été employé
mplir un progrès véritable. Le magnétisme est connu ; il n’y a pas un médecin qui ne sache parfaitement à quoi s’en tenir sur s
t fois : « Si le magnétisme existait la science l’aurait accepté, les médecins s'en serviraient ; ils ont tout intérêt à guérir,
Il fut un temps oit les bains de mer furent préconisés par tous les médecins ; puis, peu à peu on cessa de les regarder comm
s de mer, ils n’eussent pas agi ainsi, bien certainement ; mais aucun médecin , môme en reconnaissant leur efficacité, n’a cherc
ns de mer et à quoi étaient dues ces propriétés. Le docteur Pollet, médecin à Nice, dans une petite brochure publiée en 1858
d’une manière évidente ou insensible tant pour le malade que pour le médecin . Seulement, chaque fois qu'il y a guérison c'est
en touchant cette eau ; on en trouve des exemples dans la lettre d’un médecin étranger h M. Deleuze (I). Mais ils sont passés à
ante. Les malades, du reste, devront toujours prendre conseil do leur médecin , soit pour le mode d’emploi qu’il jugera convenab
empire de la volonté de l’homme, ce sont les malades et surtout leurs médecins qui doivent diriger le traitement. Le magnétism
et cela ne peut être que l’œuvre du temps et de la bonne volonté des médecins à suivre la voie la plus droite pour découvrir le
’elle serait inculquée dans l'esprit du peuple, alors il aurait )à un médecin d'un nouveau genre qui resterait impassible aux p
ds......... Que les ténèbres leurs soient légères. D. H. André, Médecin homtcopailie, magnctistc et électricien, Membre l
n ne songe nullement que tous les jours des consultations inutiles de médecins , sont payées chèrement; que c’est une habitude qu
ne espèce de liquide. Il ne souffrait cependant que de la gorge. Le médecin ayant voulu se servir d’une cuiller d’argent pour
rit une chose fort remarquable. Dans l’intervalle des deux visites du médecin , les symptômes de l’hydro-phobic disparurent comp
ication du magnétisme. Nous avons appelé sur ce sujet rullcntiiui des médecins ; mais notre voix n'a point été entendue et l'impu
inue ù se montrer. Baron du Potet. BIBLIOGRAPHIE. Ta vérité aux Médecins et aux Gens nu Monde sur le Diagnostic et la Thér
Voici ii quel propos : Nous exposerons en même temps la conduite des médecins qui, sur la demande de M. Cornet, lurent délégués
lobe de l’œil succédèrent avec une \ iolence telle, que plusieurs des médecins ne purent cacher l’impression pénible qu’ils ress
ce moment d'affliction, que le lecteur remar- que bien ceci, un des médecins qui entouraient la malade lui prit la main, aussi
ité physique bien constatée de voir, serra affectueusement la main du médecin et dit : «... Oli ! il pat bon, lui... — Qui donc
us en donnait la raison. Ce n’est point aux magnétises, mais bien aux médecins el aux gens du inonde qu’il le dédie; par là son
ces matériaux sont déjà anciens, et il peut sembler étonnant que les médecins surtout connaissent peu ou point ce qui intéresse
rrête, le journal devant donner d’ailleurs la lettre que le doyen des médecins français a écrite à M. le l)1 (’.omet, et dans la
se perd dans ces conjectures ; mais voici un fait que m’a raconté un médecin de mes amis qui leur donne de la vraisemblance :
à leur demeure habituelle. Dans une visite que le vo\ageur rendit au médecin d ml je liens ce récit, il lui dit assez brusqu
uvons dire que cette conduite est infâme, qu’il n’appartient point au médecin de sceller les choses utiles, de taire dans sa pr
te, et nos Esculapes ont accompli un grand progrès dans ce genre. Les médecins d il y a trente ans avaient un peu plus de bonne
é de la médecine magnétique sur la médecine officielle. Cependant les médecins n’eurent jamais plus patiente malade si j’en dois
de. NOUVELLES ET FAITS DIVERS. Varsovie, le 17 juillet 1801. UN MÉDECIN SOMNAMBULE. Si, chaque jour, nous voyons des so
UN MÉDECIN SOMNAMBULE. Si, chaque jour, nous voyons des somnambules médecins , c’est-à-dire des personnes plongées dans le somm
z souvent même, nous n’avons pas vu jusqu’à présent, que je sache, un médecin somnambule; surtout un médecin qui, dans cet état
s vu jusqu’à présent, que je sache, un médecin somnambule; surtout un médecin qui, dans cet état, marchant à pieds joints sur l
s, (1) Je l’ai déjà nommé dans un (le mes articles. mais mémo les médecins qui reconnaissent île bonne foi que leur diagnost
e, consentit à entreprendre le traitement, mais à la condition que le médecin de sa cliente serait présent à chaque séance. Cel
laça le plus à l’écart possible avec la malade, auprès de laquelle le médecin seul vint s’asseoir. Le comte, doué d’une grand
îtrisé par une force à laquelle il est bien difficile de résister, le médecin somnambule avoue qu’il s’était trompé quant à la
pareille circonstance, je crois qu’il ne doit pas en être ainsi d’un médecin dont l’instinct médical doit se développer alors
mettre (1 ) On ne doit point être surpris de cet aveu ; car si tout médecin consciencieux, bien éveillé, ne craint pas d'avou
genre ne se renouvellera probablement pas de sitôt ; mais si quelques médecins voulaient se laisser somnam-buliser, qui sait si
es progrès, quoique incontestables, laissent tant encore à désirer? Médecins de bonne foi et amants de votre art, lorsqu’un ca
USERIE MAGNÉTIQUE. Dans ma dernière causerie, j’ai plutôt parlé des médecins que des savants proprement dits. J’ai montré ces
ants tout aussi injustes envers nous et mentant à la vérité comme les médecins . Il y a trente aus, après Jussieu, Deleuze, homme
aient, et les Mabrus auraient des couronnes. Pour Être différents des médecins , nos académiciens n'en valent pas mieux; la vérit
ous occuperons de cet ouvrage que pour signaler le retour de quelques médecins distingués vers des idées plus saines et plus éle
» 11 y a loin de ces nobles paroles, à l’étroitesse de vues de ces médecins matérialistes qui nient l’existence dans l’homme
r contentement d’eux-mêmes seul égale. M. le D' Tripier est un vrai médecin ; il pense, comme nous, que la vie domine tousles
sous silence : pourtant ils provoquent deux observations. 1° Comme médecin amateur, écrit M. d’Arbaud, nous avons appliqué c
l suffisait d’un amateur pour remplir convenablement les fonctions du médecin . Vous retrancherez-vous sous le palladium de la l
es Ursulines de Loudun, et affirmés par des prêtres fanatiques et des médecins ignares de ce temps, qui les regardaient comme le
stement jeté le blâme sur le fanatisme des prêtres et l’ignorance des médecins de cette époque sont, pour vous, les aveugles, ta
t et sans précipitation. Bien à vous cordialement, D.-H. André, Médecin homœopathe, magnétiste et électricien. CHRONIQU
e qu’il y a de plus incertain : on a fait cette remarque, que plus un médecin est érudit et savant et plus il tue de malades; o
nsetsi les F acuités de médecine sont utiles. On voit d’abord que les médecins ont fait de grandes découvertes dans la connaissa
qui semble dépendre d’un hôte interne que nul n’a jamais révélé : les médecins connaissent la coquille, ce qui la construit leur
and de la vérité. Mais admirons les hommes de notre temps! Ils ont un médecin qui les empoisonne, ils se conforment à ses arrêt
se trouve à l'instant doué d’une science bien supétieure k celle des médecins : il donne des descriptions anatomiques d'une par
termes scientifiques dont les anatomistes, les physiologistes et les médecins se servent habituellement. Un passage de la thè
x ans; il reconnut les souflrances de ma mère et lui « dit, comme les médecins , qu’il ne la guérirait pas radicale-« ment, mais
’a-t-elle pas éprouvé, en deux mois, une amélioration telle, qu’aucun médecin , depuis vingt-cinq ans, n’avait pu lui en procure
ec trop de confiance, à moins de faire vérifier le «diagnostic par un médecin , el d’essayer ensuite le traite-« ment somnambuli
uefois sujets, ils étaient cent rois moins aptes à se tromper que les médecins , même les plus expérimentés. » Et le docte Test
Et le docte Teste a été plus loin, lui : il voulait suppri- mer les médecins et l’étude de la médecine, et ne s'en rapporter q
nt douteuse, l’utilité des études médicales et, par contre, celle des médecins n’est pas plus douteuse, car eux, plus que tout a
convenable pour la direction de cet état magnétique. D. H. André, Médecin homœop ithe, magnétiste et électricien, membre de
la Sublime-Porte quatre jours avant la mort du sultan, dans lequel le médecin traitant assurait que son auguste malade n’avait
ne prochaine et complète guérison. « La veille de la mort, d’autres médecins appelés en consultation ont constaté une ancienne
ont qu’un leurre, une plperie qui 11e sert de rien au malade; — les médecins le savent bien. Et ce sont les mômes hommes qui r
’application de faux systèmes, l’examen se fera dans son temps si les médecins s’opiniâtrent à marcher dans les mêmes sentiers,
uve incessamment. « L'Esprit pénètre l’àme de bien, comme un habile médecin infuse la santé dans le corps. » Hermès. De mêm
e piquait, on le brûlait sans qu’il parut (•) Jérôme Cardan, savant médecin do xvi* siècle, naquit i Pavie en 1501, et mourut
uvela les nuits suivantes. Le cultivateur fut saisi par la fièvre. Au médecin qui l’interrogea sur la cause de sa maladie, il
était obsédé, et déclara que le père G... lui avait jelé un sort. Le médecin fit venir cet homme, et, en présence du maire de
Cette observation purement médicale (1), adressée à l’incroyance des médecins , est extraite littéralement de mes notes homœopa-
paroxysmes plus aigus. Quelle différence existait donc entre les deux médecins ? Lui, plein de découragement... au fond de sa pen
huit années, infirmité contre laquelle avaient échoué les plus fameux médecins de France et d'Allemagne : Je m'étonne, avait fai
ous les raisonnements ; en attendant, « il est bon de prévenir que ce médecin s’annonce avec le M. Cousin de Courcliamps, aut
e animal. Ses premiers essais ne furent pas heureux. Critiqué par les médecins de Vienne jaloux de l’attention accordée à un sim
« charlatan et de jongleur (1), » il vit le baron de Stoërck, premier médecin de l’impératrice Marie-Thérèse, qui jusqu’alors l
e Magnétisme de Paris. En 185/i, dans une visite que je recevais du médecin major du 10' de cuirassiers, M. le docteur Camus,
, laient vivre dans une complète indépendance. Les tourments que les médecins font endurer aux malades sont à peu près les môme
trop bien soutenu, et tous vous Êtes destinés à subir le martyre. Les médecins croient être dans le vrai, ou plutôt ils pensent
dre à nager. La nature a des voies mystérieuses qu’ignore encore le médecin , elle parle par des symptômes, c’est à nous de co
rte bien, envie sa force et intérieurement lui fait un appel... Et le médecin , après avoir tâté le pouls et examiné la langue e
? il n’y a pas une science médicale seule : chose singulière! chaque médecin s’en est fait une qui n’est point celle de son co
adis ; la peau humaine est plus tatouée et la confiance a disparu. Le médecin n’impose plus, on en change sans scrupule, on s’e
e qui sache quelque chose. Mais nous, nous dirons ce que savent les médecins et peut-être ce qu’ils ne savent pas. Baron du
re, un homme aveugle depuis quinze ans. On voit, dans la maison de ce médecin , quantité de béquilles déposées par les infirmes
ainsi comme des instructions médianimiques supérieures. A titre de médecin , de médium et de magnétiste spiritua-liste, si j’
é et qui, ainsi que je l’ai déjà dit, est contenu dans la lettre cTun médecin étranger à M. Deleuse. u Avant de terminer la l
permis tl'eti examiner la valeur. Or, si les faits rapportés par ce médecin étranger sont concluants en faveur du la thèse (p
tive, du moins dans l’état actuel de la science (1). D. H. André, Médecin homœopathe, magnélisle et électricien, Membre de
age à une vérité; la nôjre eut contre elle tous les savants, tous les médecins , tous les prêtres, tous les écrivains et les jour
res (New Lighls)> laquelle considère comme un péché le recours aux médecins , Dieu seul pouvant venir en aide à une de scs cré
e septembre du I)r d'Ëslon, membre de la Faculté de médecine, premier médecin ordinaire de Mgr le comte d’Artois, frère du roi,
e du roi, lui rendit un peu d’espoir. Par les conseils de ce savant médecin , il exposa sa doctrine dans un Mémoire où il dema
dit spirituellement Mesmer, « qu’il est plus facile de rassembler les médecins de la Faculté de médecine de Paris pour un dîner
rne publiait un brochure contre Mesmer, ayant pour titre Réponse d’un Médecin de Paris ù un Médecin de province sur le prétendu
re contre Mesmer, ayant pour titre Réponse d’un Médecin de Paris ù un Médecin de province sur le prétendu magnétisme animal, da
à Mesmer. Cinq commissaires nommés par le gouvernement « dont deux médecins seulement et les trois autres gens instruits, » d
riété pour y traiter les malades et communiquer ses connaissances aux médecins . » XI. Mesmer avait trop l'expérience des com
ogement au Louvre et le cordon noir de Saint-Michel, avec le titre de médecin consultant pour Sa Majesté. » Mesmer devait, en r
plaisir l’objet de l’attention, même moqueuse, des philosophes et des médecins . Rien ne manqua à leur gloire : critiqués dans
s avec excès, a donné naissance à des effets analogues (2). Un savant médecin qui a voyagé en Orient, M. J. Moreau, vient, dans
eux et si bien constatés, de la production de cet état appelé par les médecins paraphrosynie magique, delirium magicum, il devie
es de M. Du Potet sur l'inanité de la médecine, sur l'obstination des médecins et des savants à repousser le magnétisme, etc., 3
cé par M. Andral fils, dans l'assemblée de l’association générale des médecins de Kranco, et fulminant contre la concurrence ill
e Fombeude, 309; — Emmanuel de Rougé, 570. Association générale des médecins de France. Discours contre les magnétiseurs et le
ce illégal de la médecine. Réquisitoire de Me Andral, fils du célèbre médecin , contre les magnétiseurs et somnambules pra- ti
lles lumières, en Angleterre, considère comme un péché le recours aux médecins , 618. Gravures représentant des faits magnétiqu
lligence extraordinaire. 70. Homœopathio (l') et le magnétisme. Les médecins homœopathes croient au magnétisme, mais s’abstien
le jury magnétique, 279, 317, 327. Médecine (la) exacte. Bévue des médecins du sultan Abd-ul-Medjid, 475. Médecin (un) pr
ine (la) exacte. Bévue des médecins du sultan Abd-ul-Medjid, 475. Médecin (un) pratiquant le magnétisme sans s’en douter, 1
des bergers, 330. Guide (le) médical des familles, par Henry André, médecin homœo-pathe, magnétiste et électricien. Annonce
rait en ce qui concerne les miracles de Jésus, 222. Vérité (la) aux médecins et aux gens du monde, sur le diagnostic et la thé
48 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
ue des opinions, peut agir sur les esprits! Voyons ce qu'en fera le médecin s'il s’en empare. Il faut une abnégation de soi-m
ns? 11 ajouterait au trouble. Je ne vous parlerai point non plus du médecin , qui chaque jour ordonne des drogues dont il n’a
a aberration des sens.» « Deuxième observation (I). «M. Garcin, médecin français à Draguignan, a constaté par des expérie
puissant agent médical, ne pourra désormais être pratiqué que par les médecins . « Art. 2. — Le somnambulisme artificiel, autre
dical qui émane du magnétisme, sera de même exclusivement réservé aux médecins , q|i pourront avoir sous leur direction un ou plu
s peines. « Art. A. — Tout somnambule qui ne sera pas dirigé par un médecin et donnera des consultations sera de même considé
bunaux, qui veulent qu'un somnambule soit nécessairement assisté d’un médecin . » — Nous nous sommesaffligésen lisant cet aper
une fille hystérique, inutile-« ment traitée jusque-là. » M. Duvnl, médecin de l’Hôtel-Dieu, dit alors » que « cette même jeu
La contradiction est on ne peut pas plus manifeste ; espérons que les médecins de Reims s’expliqueront sur cette étrange coïncid
aré la veille par un pharmacien incrédule, avec la collaboration d’un médecin plus incrédule encore. J’avais essayé préalableme
soins à sa portière, qui était paralysée, en présence de deux savants médecins . Le jour fut arrêté, et la malade appelée chez M.
tait prise de tout le côté droit. Je l’explorai sans mot dire. Un des médecins me demanda dans combien de jours la malade serait
sauter en criant au miracle, qu’elle était entièrement guérie. Les médecins et M. Dcleuze lui-même furent on ne peut plus éto
leurs qu’il éprouvait dans ce moment. Je lui donnai satisfaction. Les médecins eurent un doute sur des faits obtenus si promptem
rt, femme d’un pharmacien do la rue Saint-Honoré ; j’y trouvai quatre médecins . Après les compliments d’usageje m’assis auprès d
moi ; je le saluai affectueusement, et lui dis que moi aussi j’étais médecin , que j’étais venu exprès pour observer leur prati
que médicale à Constanlinople, que d’entendre des malades demander au médecin : a Dois-je me faire lire? Ne ferais-je pas bien
émirs. Demainjeserai guéri, et ce ne sera pas la première fois. — Le médecin éclate de rire, lui recommande de se tenir chaude
mment poussée, des individus froisses, des sièges renversés; un jeune médecin que personne n’avait remarqué dans uu coin de la
t pourtant la limite de ce que parfois la nature offre aux regards du médecin . Sans doute, j’ai dit : « Beau-« coup ont cessé d
l figure comme une vérité démontrée, ce qui est un notable progrès. Médecin somnambule. — On ne dira plus que les médecins re
t un notable progrès. Médecin somnambule. — On ne dira plus que les médecins rejettent le magnétisme; car en voici un qui se p
d'autres : le somnambulisme entrera dans la médecine aiusr. Quelques médecins ayant la faculté somnambulique en tireront parti
ce nouvel Esculape révèle son existence au public. «Somnambule reçu médecin par la Faculté de médecine « de Paris. Ce somnamb
e leurs actes, peuvent être punis; en un mot, si la responsabilité du médecin quien signe les ordonnances lesmetà l’abri des at
obablement con- damnée k 15 fr. d’amende. C’est sur la plainte d’un médecin de Vanves que des poursuites ont été dirigées con
ue des poursuites ont été dirigées contre elle. Allons, messieurs les médecins , du courage, dénoncez jusqu’au temps où l’opinion
e livre remarquable, le gouvernement a nommé une commission de quatre médecins et trois notables pour examiner la question du ma
ion de l'affaire Cuny. Nous ne comprenions pas qu’il se fut trouvé un médecin assez oublieux des préceptes chirurgicaux pour so
lisant ce livre avec attention, on découvre facilement le but que les médecins se proposent d’obtenir. Voici comment se résument
ir par une méthode nouvelle sera impitoyablement rayé de la liste des médecins de la faculté, s’il n’aime mieux faire amende hon
les hommes au régime des animaux, qui se portent bien et ▼¡vent sans médecins ; c’est le comble de la sottise, car il faut que l
rieuse. Ce qu’on vient de lire n’est que trop vrai dans son fond; les médecins ne se proposent rien moins que d’obtenir de la fa
rande, leur nullité plus manifeste. Ne vaudrait-il pas mieux pour les médecins rechercher dans le magnétisme les principes de mé
bsistant, cette dame ne pouvait ni marcher ni travailler. Un second médecin appelé lit une nouvelle saignée, puis ordonna bea
à Mmo Cadet-Gassicourt : son mari tenait sa main gauche, et un second médecin lui tenait la main droite; un troisième était der
t s’imaginer qu’il y a là innocence et ignorance. Ignorance? Non, les médecins sont instruits; quant à leur innocence, personne
n présence de plusieurs milliers de personnes et d’un grand nombre de médecins . J’ai eu à ma disposition des somnambules lucides
s qui comptent peu de partisans, que nous plai— ronsà la majorité des médecins et que nous mulliplierons nos abonnés; dès lors,
itôt fait. Les fondateurs de l'Union ont fort mal raisonné. Les vieux médecins antimagnétistes, ennemis des découvertes modernes
modernes, s’en vont; d’aillenr? ils ne s’abonnent guère ; les jeunes médecins sentent, savent que notre art est appelé à plus d
e le gouvernement, en même temps qu’il déplore que les quarante mille médecins de la Grande-Bretagne, qui devraient connaître le
t ainsi. Des pétitions se préparent, déjà nous en avons reçu une d'un médecin de province ; nous la publierons prochainement .
depuis votre départ de Lyon. » SOCIÉTÉS SAVANTES. ASSOCIATION DES MÉDECINS DE PA5IS. Séance annuelle. — Nous trouvons dans
se proposent de faire ne pourront la re* hausser. Ce qu’on demande au médecin , c’est son savoir; ce que le malade réclame de lu
its qui établissent notre doctrine et montrent à nu l'impuissance des médecins qui l’ignorent. Ce rapport ne fulmine pas seule
ystèmes qui régnent en médecine; chaque jour en apporte la preuve. Un médecin américain, le docteur Cutter, de Nashua, observa
tive, et que le traitement est presque toujours conforme aux idées du médecin , en d’autres termes qu’il y a communication de pe
devons exprimer ici notre étonuemeut de ce que les « quarante mille médecins de l’Angleterre aient oublié « leur devoir envers
dinaires, nous pensons que « nous en aurons assez dit pour sommer les médecins « d’examiner à fond cette matière. C’est un devoi
nce de cette fausse conclusion, soigneusement entretenue par tous les médecins , est que le moyen universel de guérir indiqué par
fut affecté d’une fièvre inflammatoire d’un mauvais caractère. Quatre médecins renommés furent appelés à donner leur avis commun
avait encore bien d’autres symptômes ; mais, n’écrivant pas pour des médecins , je me borne à l’énoncé des plus apparents ; non
in d’attribuer les accidents qui survinrent à des causes morales, les médecins consultés ne virent qu’une abondance de sang et c
lité magnétique. Sa tumeur portait 7 pieds de circonférence, et aucun médecin , depuis sept ans qu’il en était afTecté, n’avait
s; nous pensâmes que sa nubilité était cause de tout ce désordre. Son médecin , le docteur Masson, qui arriva sur ces entrefaite
fait désigner cette maladie,sous le nom de : mal de prédication. Des médecins témoins de ces paroxysmes les ont assimilés à l’e
de la Flengarnock iron Compagny, la gravité de la blessure obligea le médecin de recourir à l’amputation. Ce que voyant, M. le
TISME thèse Présentée à la Société du Mesmérisme, par h. DAI.UAS, médecin cl pharmacien. Le magnétisme est un fluide dont
u’aide du somnambulisme, il deviendra assez puissant pour obliger les médecins à l'étudier tout particulièrement; qu’il produira
comme nous le voyons, est immense, et ne paraît pas stérile pour le médecin attentif qui tournera l’activité de son esprit ve
dans les opérations chirurgicales; les autres seront désignés par les médecins proprement dits, suivant les cas qu’ils seront ap
d lucrative, honorable, presqu’un sacerdoce qui réduira le nombre des médecins , des pharmaciens et des médicaments; ce sera un g
nt de vue. Le philosophe devra y recourir comme le psychologiste ; le médecin , peut-être plus encore, y pourra puiser d'utiles
s secrètes. Albert, sur les formes spécifiques. Puis en masse les médecins firent peser les causes du mal dans notre organis
IEUR I.E BARON DU POTET DE SENNEVOY. Monsieur le baron, Plusieurs médecins de Paris, de Caen, de Saint-Lô et de Bayeux, m’ay
’intéresser au magnétisme sans y croire, mais il m'intrigue. « — Un médecin magnétiseur, car il y a des gens parmi nous qui c
qui ne laisse aucun échappatoires l’incrédulité. Mon vieil ami... Ce médecin , dit le docteur Lebrun en ouvrant une parenthèse,
t à celle qu’eùtproduite une brûlure. « — Mon cher Gault, reprit le médecin , j’aurais eu ma chair prise dans un cercle de fer
Il y avait une paille!... fit observer M. Gault. « — Moi, reprit le médecin , je n’ose plus assigner de limites à la force ner
mars 184 7, à l'aide du sommeil magnétique, en présence de plusieurs médecins et des élèves de l'école. Que dire du magnétism
udrait en venir à une opération. En cet état, elle fut montrée à un médecin de celle ville, M. le docteur 11'", qui approuva
ûre, une seule main ne tremble pas. Dieu ! qu'il faut de courage à un médecin ! Et le fer s’enfonce profondément dans les chair
deux lèvres par une suture. Celle partie de l’opération, disent les médecins , est la plus douloureuse, et, sauf quelques tress
lier d’ambre. Immédiatement les spasmes cessèrent dans ce membre. Son médecin , étonné, lui met un collier à l’autre bras : plus
inant M. Tronsseau, des médicaments et des maladies à déconcerter les médecins et la science! » Savez-vous pourquoi M. Trousse
des lois qui le régissent. Comme agent vital; il a été reconnu des médecins sous le nom de fluide nerveux ou vital. Comme a
sation par la matière a été jusqu'à présent la seule employée par les médecins ; c’est le mode de médication par l’application ou
pignon , d’Orléans (1), M. Barreau, de Paris, etM. le docteur Jeptud, médecin au Pont-de-la-Beaume. J’eus par là occasion d’adm
ienne à propos de la dernière séance de M. Lafontaine, et ce prétendu médecin s’est bien gardé de signer et de nous donner son
tonte l’attention des magnétiseurs, de l’étude et des méditations des médecins , parce qu’il peut donner l’explication de bien de
. J. Hands, « M. D. Hands, « M. F.-G. Johnston, « M. S)mes, | médecins , chirurgiens, « Révérend docteur Nixon , «
mèdes indiqués par elle seront soumis à l’appréciation ultérieure des médecins . Est-ce là, aux tenues d0 la loi, l’exercice illé
lus comme des nécromans ; mais trop souvent011 les prend pour de faux médecins ou pour des escrocs; on les traduit en police cor
prouve qu'ils ne partagent point les passions du corps médical. Les médecins , voyant leur domaine envahi, ont fait alliance of
26 Angine gnngréneuse. 193 Antipathies. 168,207 Association des médecins de Paris. 144 Art de magnétiser (1’). 882 A
10 Cécité. 4» Conjonctivite. 09 Céphalalgie. 02 Conversion de médecins . 253 Conférences magnétiques. 51, 70, 109, 140,
rie. Akt. VI. — La durée du stage est de : 1° Trois mois pour les médecins , auteurs en mesmérisme, ou bacheliers ès-sciences
cadre de sa réputation. Pas un chirurgien qui ne s’en parfume, pas un médecin qui ne le sente d’une lieue. L’éther ! Ecoutez do
bilité produite par le mesmérisme n’avait pas trouvé de rivalité; les médecins la niaient, mais c’était parti pris. L’éther surg
t l’on ne songea pas à l’inbalatiou. L’éther arrivant donc rendit les médecins philanthropes; tous les bistouris se levèrent com
concluez donc « que c’est l’éther qui a causé la mort? remarqua un « médecin présent. — Je ne dis pas cela, mais ma conci scie
généreux, Et de te fuir nul n’a l’envie. Interrogée par un jeune médecin sur la manière dont sa pensée se formule, ses ver
Là, malgré les efforts contraires, le magnétisme est devenu la seule médecin *1- de beaucoup de familles, soit directement, soi
eaucoup de familles, soit directement, soit par le somnambulisme. Les médecins , vaincus en plusieurs rencontres, commencent à ré
urs, occasionna il y a sept ans de violentes coliques. On en parla au médecin , qui la déclara incurable, disant qu’il fallait a
uit depuis huit jours, fut amenée chez M. Laforgue, après que MM. les médecins , qui n’avaient pu lui apporter aucun soulagement,
st trouvé au bout de cinq minutes dans un état naturel ; pourtant les médecins avaient dit à sa mère qu’il n’y avait rien a fair
dans les familles pieuses et jusque dans les hôpitaux, où, lorsque le médecin ordonne ce remède, l’aumônier le défend, et le zè
t le plus difficile à vaincre. En voici la raison. Ordinairement le médecin nie ; mais dans 1 ordre scientifique une négation
st réellement, que de démontrer que le vrai est vrai. » De là pour le médecin la nécessité de discuter, de raisonner sa croyanc
les autres hommes. On ne trouve bienveillants et sages que le vieux médecin et le vieux curé, parce qu’ils ont fait connaissa
ible à la cause du magnétisme. Il s’est trouvé parmi les témoins deux médecins dont les aveux , l’opinion franchement exprimée,
cteur Jacotot sur l’emploi du somnambulisme sous la surveillance d’un médecin ? R. — Je saisis avec empressement cette occasio
lusieurs consultations, et quelle est son opinion sur l’usage, par un médecin , des conseils de somnambule? R. — Je pense que
R. — Je pense que le somnambulisme ne doit pas être dédaigné par un médecin pour arriver à la connaissance de la véritable ma
ntiellement de ceux qui l'ont précédé, en ce que la responsabilité du médecin a été écartée. C’est un précédent fâcheux, d’aprè
médecin a été écartée. C’est un précédent fâcheux, d’après lequel nul médecin ne pourra consulter un somnambule sans exposer ce
t ceux ou celles qui donnent des consultations sous la direction d’un médecin , signant même les ordonnances, ne seront pas à l’
ue le commandant, une partie de son équipage et une dame (la femme du médecin en chef) étaient sur l’île au Sable, mourant de f
ici dans quelles circonstances : un enfant était gravement malade; le médecin prescrivit un traitement énergique. Les parents
lui-même répandu par la Providence sur toule la nature! « Ah ! les médecins sont bien coupables de ne pas chercher par l’étud
ur madame Lemoine, qu’elle tomba malade. Je iis appeler les meilleurs médecins de Paris, qui déclarèrent que c’était un rhumatis
u’à l’aide de deux béquilles, malgré les efforts et les soins que les médecins avaient apportés pour sa guérison , tout avait ét
oids des souffrances les plus aiguës, je con- sultai de nouveau les médecins , dont les efforts furent sans résultat: le mal al
des eaux à Bourbonnes-les-Bains, où elle a été traitée par M. Maguin, médecin habile, sans en avoir obtenu le moindre succès; s
t entendu dire vaguement ‘a sa grand’mère qu’elle avait un beau-frère médecin à Vienne ; il fit, sur Mesmer, une suite de reche
1808, où il a passé environ trois mois. « Il a habité Vienne comme médecin , où il était en relation avec les médecins du pay
« Il a habité Vienne comme médecin, où il était en relation avec les médecins du pays, avec qui sa doctrine le brouilla. 11 qui
ifférentes parties de l’Europe, et moi je fus appelé aux armées comme médecin . A mon retour, nous nous rencontrâmes à Paris, où
oire; Trois fils, dont un fut curé à Strasbourg; un autre (Antoine) médecin ; enfin Christophe, son aïeul; Que Victoire s’é
le de ses deux séances publiques, M. Lafontaine avait r'éuni quelques médecins et quelques journalistes, qui ont admiré les beau
ducation physiologique des magnétiseurs et la conquête magnétique des médecins . C’est assurément le meilleur plan qu’on puisse s
sprit se sont moqués de tout temps, nos démocrates songent à ôter aux médecins tous leurs privilèges; le projet de loi en est de
e que ce ne sera rien, et que ce n’est pas la peine de faire venir un médecin , toujours pressé, même quand il n’a pas de malade
e guérir et de sc préserver, voulant que l'homme en santé devienne le médecin de l’homme malade; que le mal cl le remède, le ma
e médecin de l’homme malade; que le mal cl le remède, le malade et le médecin soient toujours à côté l’un de l’autre, et non qu
stinctement pratiqué par tous les gens de bien, ignorants ou savants, médecins ou autres; ainsi le veut la nature, et on ne l’em
son enfant, et cela est absurde autant que féroce.... D’ailleurs, les médecins n'ont pas le temps de magnétiser; c’cst en couran
à autre chose, et ce n’est pas ainsi qu’on magnétise. Non, jamais les médecins ne magnétiseront; le souci de leur fortune, leur
ropos avec le docteur D"", qui a été si longtemps et e>t encore le médecin de la famille, le docteur I)“*, ne pouvant douter
abent.... Madame I)"" était fort souffrante il y a deux ans, et son médecin , le docteur D*", homme instruit et magnétiseur, d
ut à l’heure, et qui formulait avec tant de précision , que plusieurs médecins me dirent qu’il devait être médecin lui même. I
t de précision , que plusieurs médecins me dirent qu’il devait être médecin lui même. Il n’en était cependant rien; mais ce j
ue faire, magnétisez. » Et nous devons penser que dans une famille de médecin , et surtout d’un médecin qui n'est rien moins qu’
t nous devons penser que dans une famille de médecin, et surtout d’un médecin qui n'est rien moins qu’un ami du magnétisme, on
personne, sans avoir le diplôme qui constate les études, put se dire médecin , et cela est juste. Mais le magnétiseur prétend-i
erait averti. Ceux qui auraient foi au magnétisme s’adresseraient aux médecins maynétiseurs; ceux qui n’ont pas foi continueraie
maynétiseurs; ceux qui n’ont pas foi continueraient de s’adresser aux médecins ordinaires. (Tribune lyonnaise.) BIBLIOGRAPHI
mérite que le temps seul donne, et nul n’est mieux placé que ce jeune médecin pour l acquérir vite, puisqu’il peut multiplier à
ns les cas magnétiques que par la méthode ordinaire, trois des quatre médecins , membres de la commission, ont été d’avis qu’il n
une différence matérielle appréciable. « Tous lesdits commissaires, médecins , croient aussi que l’arrière-traitement des perso
I,e malade est atlciut d’une fièvre typhoïde. — Croyez-vous que le médecin somnambule, M. Victor Dumels, puisse quelque chos
se quelque chose pour lui? — Beaucoup plus que moi ; je ne suis pas médecin . — Croyez-vous qu’il ne soit pas trop tard de l
ère si alarmant, que M. Dèglos dut recourir à la science de plusieurs médecins , dont le traitement fut. sans succès. Bientôt la
il se rendit au mois de juin. Après l’avoir examiné attentivement, le médecin de service lui déclara qu’il y avait urgence de p
la tristesse du malade, encore sous l'impression de la déclaration du médecin de l’ho6pice, et tomba instantanément sous l’infl
ir en quelques heures malgré la constitution la plus robuste. « Les médecins appelés ont reconnu immédiatement qu’il avait suc
assiègent que trop souvent : à huit ans j’eus la fièvre cérébrale, un médecin fameux me mit à la diète la plus sévère et me con
vère et me condamna; un autre TOME V.—A'» 54.-25 SEPTEMBRE 18/|7. 0 médecin également célèbre me voyant mourir de faim me fit
insi de M. Olivier d’Angers, je suivis le conseil amical de l’honnète médecin de ma famille, et j’allai passer une année à la c
t, l'intensité de la maladie nécessitait immédiatement les secours du médecin ; il fut appelé, et hâte lui fut d’ordonuer force
cre de la nature et de l’elTetdc ses expériences, et spécialement les médecins et savants au service de la Compagnie ou non. Sa
u service de la Compagnie ou non. Sa Seigneurie nommera visiteurs des médecins de la Présidence, qui devront visiter l’hôpital d
que , lui assigneront nne place parmi les connaissances médicales. Le médecin . devenu pour lors magnétiseur à fortiori, avouera
à ce jour. On m’accuse d’avoir exercé l’art de guérir sans diplôme de médecin nidecliirurgienjquoiqucje ne fisse rien payer aux
ependant être seul condamné. Pourquoi empiète-t-il sur le domaine des médecins ? Que son cœur soit sourd à la plainte, que les ma
idée par la volonté, opère des merveilles. Nous concevons la haine du médecin à la vue d'œuvres qu’il ne peut comprendre ni imi
curables n’aurait-elle pour résultat que d’offrir un enseignement aux médecins touchant les bornes de leur art, et donner aux ho
nétique. « Dans quelques cas, le magnétisme a été conseillé par les médecins -, mais vous devinez qu’alors seulement 1 af- f
page 107). Le même journal nous apprend quelle se nomme Vignaud, elle médecin qui conseilla de la magnétiser, Bancé. Ce récit e
decine, soutint sa thèse inaugurale sur le magnétisme, et les savants médecins qui l'examinaient ne lui refusèrent pas le bonn
encore si peu explorée de la science, et beaucoup sont écrits par des médecins . Pourquoi ne les lit-on pas? Pourquoi les médecin
ont écrits par des médecins. Pourquoi ne les lit-on pas? Pourquoi les médecins ne cherchent-ils pas plus souvent dans le magnéti
gtemps : il fut accompagné de té-nesme l’espace de trois mois. Un des médecins les plus distingués de cette ville lui donna ses
it que le choléra exerce ses ravages dans le midi de la Russie. Trois médecins viennentd’étre envoyés par le gouvernement pour
vient-il parmi nous chasser les marchands du temple?... — L’un des médecins qui ont examiné avec nous la maladie de la petite
ns le feuilleton du môme jour se trouve un chapitre des Mémoires d'un médecin sur l’insensibilité à la douleur. Dans son numéro
. Des ministres du sanctuaire ne se sont-ils pas présentés chez des médecins magnétiseurs avec leurs sœurs malades, pour les f
, sa femme dans le cabinel du dentiste, du notaire, de » l’avocat, du médecin ? Or, non-seulement cela est possible, » mais cela
dit les eauses qui empêchent l'adoption franche du magnétisme parles médecins . Chaque jour en fournit des preuves. Leur haine c
près de moi ; de me donner la main comme je l’avais demandé. (MM. les médecins avaient insisté pour qu’elle ne rCstîkt pas.) R
t sont encore un objet de controverse entre les physiologistes et les médecins ; de sorte qu’il est excessivement difficile de t
si fertile en névroses. Nous ne sommes ni magnétiseur par étal, ni médecin diplômé, ni guérisseur marron, nous ne sommes qu’
si lu apercevais la vérilé, car elle le deviendrait falalc. El loi, médecin , lu devrais connailtc les ressorts secrets de lou
ion de sang dans les yeux, et je suspendis tout travail. Un troisième médecin consulté me conseilla de mettre un vésicatoire vo
quatre jours après. Mon état s’era-pirait ; ne sachant qu’y faire, le médecin me conseilla le repos, la patience et la résignat
ation des facultés instinctives. Auguste Marie. (1) Je connais un médecin devenu aveugle, et qui, dans la conversation, se
engage, à l’avenir, à ne donner vos consultations qu’en présence d'un médecin , dont la signature en assumera la responsabilité.
49 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
decine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-anuc). F. RAYMOND
NIQUE ; Par Crut. MIRALLIË, ancien interne des hôpitaux de Paris, médecin suppléant des hôpitaux de Nantes. S'il est une
; Par le D' Alex. ATIIANASSIO, Ancien chef de clinique mentale, Médecin adjoint à l'hospice d'Aliénés Marcoutza (nucarest
des larmes et crie à perdre baleine : c Non, je ne veux pas voir de médecins ! ... ce sont des charlatans... ils vous font du
e qui vous arrivera... je veux me tuer ! ... ne me fais pas voir au médecin , car tu sais, tant pis, je frapperai et tu verr
orique de la question, on voit, d'une part, les psychologues et les médecins tendre, avec plus ou moins de parti pris, à agg
gien qui les observe, comme dans les cas d'excitation, mais bien le médecin aliéniste, à l'asile. Ces états dépressifs s'ac
BLIOGRAPHIE. Tourette montre le rôle considérable que doit jouer le médecin presque dès la naissance pour ainsi dire d'une
e, il y a de temps à autre des crises éliminatoires éloignées et le médecin doit redou- bler de surveillance tant pour empê
: L'amoeboïsme nerveux. FAITS DIVERS. Concours pour une place DE médecin suppléant A 13lGI : r(C. Ce concours que nous a
IN BIBLIOGRAPHIQUE. Asile public d'aliénés de Maréville (Rapport du médecin en chef (le -il division des hommes à M. le pré
ES ALIÉNÉS ; - PAR LES DOCTEURS P. KERAVAL, et T R.-G. LAURENT, Médecin en chef de l'Asile 3'Armentieres Interne a l'Asil
; Par le D' ALEX. ATIIANASSIO, Ancien chef de clinique mentale, Médecin adjoint à l'hospice d'Aliénés Mareoutzi (Bucarest
te et un ordre dans ce qu'il faisait. Il a consulté alors plusieurs médecins : tous lui ont conseillé de s'abstenir des alco
ITÉ RÉGRESSIVE; PAR LES DOCTEUBS S. GARNIER*, et A. SANTENOISE, Médecin en chef, directeur de l'Asile Médecin adjoint de
. GARNIER*, et A. SANTENOISE, Médecin en chef, directeur de l'Asile Médecin adjoint de l'Asile de Saint-Ylie. de Saint-Ylie
rs s'affirment, sur les nôtres par une écra- sante supériorité. Les médecins étrangers qui, en fait d'assis- tance, n'ont pl
autorité judiciaire qui examine ou fait examiner le malade par deux médecins ... Les aliénés indigents non maltraités sont pl
gents non maltraités sont placés d'une manière analogue. Lorsque le médecin des pauvres a connaissance qu'un indigent résid
. Ce dernier examine le malade où il veut et le fait visiter par un médecin ; après telles enquêtes qui lui paraîtront conv
as étrange que la loi enlève toute responsabilité, même morale, aux médecins qui ne sont consultés ASILES D'ALIÉNÉS DE FRA
Enfin, voilà l'aliéné interné ; il s'écoulera un mois avant que le médecin ne soit appelé à constater officiellement son é
lication des moyens méca- niques sans nécessité « et dans ce cas le médecin doit motiver l'emploi de ces procédés sur un re
lit ». Décidément, on se fait en Angleterre, une étrange idée des médecins pour qu'il soit nécessaire de les contraindre, je
moyens de contrainte, dit l'article 105, appartient exclusiment au médecin en chef. Si dans un intérêt de sûreté, les infi
in en chef. » Le rapport journalier qui est remis, chaque matin, au médecin et au directeur, relate fidèlement le nombre et l
duels et, dans les asiles de la Seine, par une visite spéciale d'un médecin inspecteur de la préfecture de police. Si avec ce
ceux qui n'excèdent pas quarante-huit heures sont accor- dés par le médecin ; ceux qui ont une durée illimitée ne peuvent l'
être que par deux visiteurs, ou par un commissionner, sur l'avis du médecin . Un parent, un ami, peuvent toujours provoquer le
placée dans un asile d'aliénés cesse d'être retenue aussitôt que le médecin déclare que le malade est guéri, ou qu'il peut
, visiteurs ou commissionners, qui ont fait le place- ment. Ici, le médecin traitant n'est consulté qu'à titre d'expert, il
vie d'asile, il avait cherché le directeur et n'avait trouvé que le médecin , suivant l'expression si juste de Falret, et il
avoir quels sont les collaborateurs du superintendant ? Six ou huit médecins assistants suivant les asiles. Tout le passage qu
ue, trouvera-t-il une expression qui rende sa pensée en parlant des médecins assistants anglais ? La moyenne des services, d
du Board et sur le vu de deux certificats médicaux établis par deux médecins différents, qui ne jouent ici, tout comme en An
ment amélioré, le malade peut quitter l'asile sur le simple avis du médecin , lorsqu'il s'agit d'un malade placé dans un asi
? Non; mais il semble que ce sont plutôt les architectes que les médecins ou les malades. Est-ce à dire encore que notre lé
une Commission nommée par le Conseil général de la Seine, où chaque médecin est appelé à exposer net- tement etloyalement s
nt lorsque le traite- ment n'a pas été assez prolongé ou lorsque le médecin n'a pas été exact aux séances qu'il a fixées; 8
cas aurait une mau- vaise influence sur la confiance qu'inspire le médecin et sa méthode au malade. , E. Margouliès. V.
lecture d'un rapport des candidatures, à la suite duquel M. Legras, médecin de l'infirmerie spéciale de la préfecture de po
e sympathique a été, ajoute M. Febvré, abandonné par la plupart des médecins alié- nistes ; il évoque l'idée vague du retent
rochure in-80 de 16 pages.) Après avoir constaté avec regret que le médecin ne s'occupe que trop rarement de l'éducation de
affection, tous les deshérités de l'intelligence appartiennent aux médecins dont les instituteurs doivent seulement être le
ux sans leur inspirer l'amour de la société, dont leurs éducateurs, médecins et institu- teurs, sont les plus visibles repré
haux. Épilepsie larvée à forme gastrique. VARIA. Xe Congrès des médecins aliénistes et NEUROLOGISTES. Le dixième Congrès
médecins aliénistes et NEUROLOGISTES. Le dixième Congrès annuel des médecins aliénistes et neurolo- gistes français s'ouvrir
rdi 4 avril 1 899, sous la présidence de M. le 1)" Do u trebeii te, médecin en chef, directeur de l'asile de Biois. Le pr
ne lettre de son père réclamant son internement et un certificat de médecin justifiant l'utilité de la mesure réclamée. A
gistrat dans quel état elle avait trouvé, la veille, la défunte. Un médecin aussitôt mandé, ayant examiné le corps de la ma
irecteur de l'asile de Saint-Méens. près Rennes ; M. le D' DUP.11N, médecin adjoint à l'asile d'Alençon, médecin en chef à
rès Rennes ; M. le D' DUP.11N, médecin adjoint à l'asile d'Alençon, médecin en chef à l'asile de Saint-Méens; M. le Dr Fess
nçon, médecin en chef à l'asile de Saint-Méens; M. le Dr Fessières, médecin directeur de l'asile de Saiat-Alban, directeur
r Fessières, médecin directeur de l'asile de Saiat-Alban, directeur médecin de l'asile d'Évreux ; M. le De Nicolan, direc-
recteur médecin de l'asile d'Évreux ; M. le De Nicolan, direc- teur médecin de l'asile d'Auch, médecin en 'chef de l'asile de
d'Évreux ; M. le De Nicolan, direc- teur médecin de l'asile d'Auch, médecin en 'chef de l'asile de Cadillac; - AI. le Dr Co
'Auch, médecin en 'chef de l'asile de Cadillac; - AI. le Dr Coucou, médecin adjoint à l'asile Sainte- Gemmes, médecin adjoi
llac; - AI. le Dr Coucou, médecin adjoint à l'asile Sainte- Gemmes, médecin adjoint à l'asile d'Alençon; M. le Dr Papillon,
- Gemmes, médecin adjoint à l'asile d'Alençon; M. le Dr Papillon, médecin adjoint à l'asile de Montdevergues; M. le D" Maho
llon, médecin adjoint à l'asile de Montdevergues; M. le D" Mahon, médecin adjoint à l'asile Sainte-Cemmes; M. le Dl' BOURDI
ahon, médecin adjoint à l'asile Sainte-Cemmes; M. le Dl' BOURDIÇ, médecin adjoint à l'asile de la Charité ; M. le De BaRUIC
BOURDIÇ, médecin adjoint à l'asile de la Charité ; M. le De BaRUIC, médecin adjoint à l'asile de Condillac a été élevé à la
llac a été élevé à la première classe; ai. le Dr CHEV.1LIER-LAVlOx, médecin adjoint à l'asile d'Aix a été nommé médecin dir
e Dr CHEV.1LIER-LAVlOx, médecin adjoint à l'asile d'Aix a été nommé médecin directeur de l'asile d'Auch; ilf. le Dr Charon,
été nommé médecin directeur de l'asile d'Auch; ilf. le Dr Charon, médecin adjoint à l'asile de Bailleul a été nommé médecin
lf. le Dr Charon, médecin adjoint à l'asile de Bailleul a été nommé médecin directeur de l'asile de Saint-Alban ; M. le Dr
ommé médecin directeur de l'asile de Saint-Alban ; M. le Dr Bonnet, médecin en chef de l'asile de Saint-Robert; M. le Dr \I
et, médecin en chef de l'asile de Saint-Robert; M. le Dr \Io\GT1ER, médecin adjoint à l'asile de Lafond, est nommé médecin
M. le Dr \Io\GT1ER, médecin adjoint à l'asile de Lafond, est nommé médecin adjoint à l'asile de Montde- vergues ; ont été
ues ; ont été élevés : à la classe exceptionnelle : M. le Dr Paris, médecin en chef à l'asile de Maréviile ; à la 1 ? classe
en chef à l'asile de Maréviile ; à la 1 ? classe : M. le 1)' Bran, médecin en chef à l'asile de Bron ; à la 2e classe : mé-
cin directeur de l'asile de Pau ; à la 1 ? classe : M. le De Marie, médecin en chef, chargé de la direction de la colonie de
n de la colonie de Dun-sur- Auron ; 11. le Dr Malfilatre, directeur médecin de l'asile de Saint- Lizier ; AL le Dr Nicolau,
, directeur médecin de l'asile de Saint- Lizier ; AL le Dr Nicolau, médecin en chef de l'asile de Cadillac ; à la classe ex
le de Cadillac ; à la classe exceptionnelle : Ai. le De Dubourdieu, médecin adjoint à l'asile de Pau. Un assassin DE seiz
DE LA. PARALYSIE GÉNÉRALE ' ; ; Par le D E. MARANDON DE MONTYEL, Médecin en chef des asiles publics d'aliénés de la Seine.
à peine considérés comme malades. C'est dire que c'est sur- tout au médecin de famille qu'incombe le diagnostic, la thérapeu-
hérapeutique n'offre que bien peu de ressources ; mais le devoir du médecin est de s'attacher le plus tôt possible à la pro-
lèpre; par le D'' A. Asnaran. Dans le journal de l'Association des médecins américains du 20 février 1898, le D1' Ilansen,
é que la folie est honteuse, on la cache avec soin sans l'avouer au médecin : alors qu'à ce moment un spécialiste expérimen
ives il faut interner le malade dans un asile. Le plus souvent le médecin de la famille appelé à donner les premiers soin
e- ment à domicile lorsqu'elles sont traitées à leur début par un médecin expérimenté. D'une manière générale on peut dir
ialie. A l'appui de son dire, il cite les statistiques de plusieurs médecins israélites de Chicago. Le Dr Cahen, qui en l'espa
s moyens individuels. M. le professeur Debove recommande aux jeunes médecins auxquels il s'adresse dans son cours, de prêche
ve plus longtemps continuée. L'enfant doit être confié à un autre médecin qui pourra obtenir un meilleur résultat. En tou
,'de sorte qu'il n'y était resté qu'aliénés et infirmes. Le premier médecin nommé pour ces malades ftil Iloller, qui prit s
ais ils y sont mal installés, mal surveillés, mal clos. L'action du médecin n'y est pas permanente, le personnel y est rare,
, signalait que les gardiens y alimentaient à la sonde parce que le médecin habi- tait à quelques kilomètres delà. Malgré c
u personnel des infirmiers s'il est utile d'augmenter le nombre des médecins d'asiles Les conditions d'admission des aliénés
t été construits un bâtiment administratif, des cot- tages pour les médecins et les employés, des écuries, des étables, un g
uméro contient un extrait du Rapport annuel de l'administrateur, un médecin ; une description du labora- toire pathologique
n ; une description du labora- toire pathologique, communs tous les médecins (avec figure) ; la relation détaillée de six ca
res sont les mêmes qu'en 1895 ? - Je suis votre Christian Seller, Médecin en chef de l'Institution Keller. Nous sommes hu
sa mère avait laissé sur la cheminée. » . Plus qu'autrefois, les médecins , en présence d'accidents céré- braux chez les e
les cellules d'iso- lement ; 6° La situation des appartements des médecins à proximité des salles de surveillance continue
i remplit les fonctions de directeur-médecin en chef, il y a quatre médecins assistants; l'asile peut recevoir 100 malades,
CLINIQUE MENTALE. MYSTICISME ET FOLIE 1 ; ! Par le D' A. MARIE, Médecin en chef de la Colonie de Dun. Sous la dénominat
ulement chez lui, mais chez tous. Cette fois, grâce aux conseils du médecin de l'Asile l'isolement fut suivi à la sortie de
sychoses d'auto-intoxication. 285 des hôpitaux où elle a passé, des médecins qui l'ont traitée, ni même d'avoir été malade e
t dire que dans aucune autre psychose l'intervention personnelle du médecin n'est plus indiquée et plus efficace. On a vu p
. F. ;x, 1898.) Travail de patience exécuté par un professeur non médecin . L'esprit humain, dit l'auteur, associe souvent
ecs plaçaient l'hystérie dans l'utérus, d'où son nom. En 1018, un médecin français, Carolus Piso, rompant avec toutes les
rdée à MM. les D`S Marie (A.), directeur, et Vigouroux (Au- guste), médecin de la colonie familiale de Dun-sur-Auron (Cher),
-et-Moselle); une récompense de 500 francs à MM. les 1)" Vigouroux, médecin de la colonie de Dun-sur-Auron (Cher), et Colin
x, médecin de la colonie de Dun-sur-Auron (Cher), et Colin (Henri), médecin de l'asile d'aliénés criminels de Gaillon (Eure
Ont été élevés à la classe exceptionnelle : MM. le Dr CIIAN113ArtD, médecin en chef à l'asile de Clermont ; De TRENEL, méde
regarde dessous : « 11 y a quelqu'un là-dessous, c'est M. F... (un médecin qui la soignait en ville), je vais l'étouffer,
., qui sont là-dessous. » D. « Qui est M. F... ? » 11, « C'est un médecin qui habite rue de la Gaieté. » (Fait exact). Et
, et vers les 10 heures l'inspection des blessures fut faite par le médecin de la police. La blessure du dos mesurait trois
UES; Par le D' ALeX. ATOANASSIO, Ancien chef de clinique mentale, médecin adjoint à l'asile d'aliénés Marcoutza (Buc9resl
ubila, secrétaire général, sont assis au bureau. Un grand nombre de médecins et de notabilités de la ville sont venus souhai
es destinées à combattre, à vaincre la maladie. Vous, messieurs les médecins neurologistes vous étudiez et soignez les malad
re, sans défense utile, certains assauts de la maladie, l'union des médecins neurologistes et aliénistes, dans une étude com
olution favorable. Votre ardeur à chercher la vérité, Messieurs les médecins alié- nistes, est égale à celle de vos collabor
enance d'un toast porté, en un précédent congrès, à la maîtresse du médecin . Vous vous rappelez certainement combien fut gr
eux pour preuve que l'empressement que tous ici, admi- nistrateurs, médecins ou corps élus ont mis à accueillir les congrès
(Bouches-du-Rhône) le .4 novembre 1811, étant fils et petit-fils de médecin vint habiter Parisien 1833 pour y étudier la mé
rrus à la pratique des maladies mentales, Aubanel fut,en 1840 nommé médecin adjoint.du D1' Guiaud, qui seul jus- qu'alors a
aint-Pierre. Le Dr Guiaud ayant pris sa retraite, Aubanel fut nommé médecin en chef du nouvel asile en 1843 et même, par su
ical des Bouches-du-Rhône, une oeuvre de bienfaisance en faveur des médecins éprouvés par des revers de fortune ou la maladi
ollaborateurs-d'Aubanel,-nous trouvons le D1' Sauze, bien connu des médecins aliénistes de notre génération. Sauze (Jehain-V
de docteur à la faculté de médecine de Paris et était en 1852 nommé médecin adjoint à l'asile Saint-Pierre; il ne fut nommé
1852 nommé médecin adjoint à l'asile Saint-Pierre; il ne fut nommé médecin en chef que dix-sept ans plus tard, c'est-à-dire
oque où il s'était créé à Marseille une brillante situa- tion comme médecin des prisons, des postes, des douanes, et comme
lle. L'administration centrale, en le 'nommant un jour directeur- médecin de l'asile de Chàlons, lui donna l'occasion de se
l'asile Saint-Pierre. 372 SOCIÉTÉS SAVANTES. Pourvu du titre de médecin honoraire des asiles d'aliénés, Sauze, qui n'av
, dans un congrès médical, oublier que le maire de Marseille est un médecin , un confrère ; nous savons tous qu'il apporte d
fonctions municipales, avec les sentiments humanitaires, dont tout médecin est imprégné, une grande élévation d'esprit, un
veut bien nous rendre. Sur- la demande de M. DOURSOUT, directeur médecin de l'asile de Naugeat, Limoges est choisi pour-
énés de Saint-Pierre. A 10 heures du matin, MM. Boubila et.Maunier, médecins en chef de l'asile Saint-Pierre, secondés par M
ation aliénée : SOCIÉTÉS SAVANTES. 383 Service médical : .' 2 médecins en chef, à 8.000 francs,, logés, avantages en'.na
.000 francs,, logés, avantages en'.nature, chauffage, éclairage. Un médecin adjoint, 2.600 francs, logé, avantages en natur
d'une École préparatoire de médecine. Il y aurait ainsi' moins de médecins incompétents, en fait d'aliénation mentale. Per
confrère qui, avant moi, lui avait donné des soins et qui était son médecin depuis de longues années, était absolument affirm
ale d'un asile dépasse le chiffre de S ou 600 malades et qu'un même médecin en chef ait dans son service plus de 300 aliéné
en compte plus de 000 ! Nous avons pensé qu'il était du devoir des médecins de l'Asile de signaler cet état de choses à l'a
ier ce projet au point de vue budgé- taire ; il nous suffit, à nous médecins de l'Asile, de signaler par la voie du Congrès
mieux que personne, il était en mesure de mener à (in, puisque déjà médecin aliéniste, il a tenu à faire son droit. A vot
du De Gilbert Ballet, professeur agrégé à la Faculté de médecine et médecin des hôpi- taux de Paris, président du congrès d
es docteurs Motet, de l'Académie de médecine et Petrucci, directeur médecin qui nous ont si magistralement précédé dans le
es par 1111. lloonnrow et KOJEVNIKOW. Le Comité de la Société des Médecins Russes en mémoire de ilT.-1. Pirogo/J' ayant de
utique mentale à côté de la thérapeutique du corps. Les plus grands médecins , Pinel en tête, ne l'employaient-ils pas ? C'es
e devoir du philosophe est de ne pas abandonner exclusive- ment aux médecins l'étude des troubles de l'esprit » ; la péda- g
donne lieu l'étude du délire de persécution alcoolique : le rôle du médecin légiste sera d'établir les faits, de faire ressor
si elle était réalisée, produirait assurément des merveilles ; « Le médecin aliéniste sera nécessairement observateur, fin,
e eut été envoyé à la campagne et isolé de son milieu habituel, les médecins qui le traitaient déterminèrent la famille à le
. AMAUROSE. ACCÈS MÉLANCOLIQUE. ÉTAT SECOND; Il.% f Cn. VALLON, Médecin de l'Asile de ViHcjuH. Fl 1 .1. ROGUES DE PUI
ption de pustules à la face, il va se faire soigner à Bruxelles. Le médecin consulté institue le traitement antisyphilitiqu
ment très fatigué par ses excès. Rentré chez lui, il lit appeler un médecin qui le prit pour un simulateur; un second médec
il lit appeler un médecin qui le prit pour un simulateur; un second médecin fut du même avis que le pre- mier. La cécité pe
pas de lésions organiques de nature à expliquer la cécité, les deux médecins de Bruxelles qui ont examiné P... au moment de
'une ordonnance de non-lieu et qui, une fois à l'asile, laissent le médecin s'apercevoir de leur responsabilité ou avouent
leur sortie. Ce groupe comprend de nombreux sujets et beaucoup de médecins d'asiles pourraient en signaler des exemples. C
infraction et que la condamnation a frappé un aliéné méconnu '. Les médecins , les magistrats et le législateur doivent recherc
éveloppement de l'enseignement des maladies mentales permettant aux médecins de remplir auprès des tribunaux de première ins
transmises, des procé- dés qui se modernisent, et avec lesquels le médecin doit compter. Mais en supposant que la bonne fo
te à la disci- pline, dans ce cas l'homme est envoyé à la visite du médecin du corps. En résumé, les actes commis par des
pline, et de ceux-là seulement, le commandement se décharge sur les médecins . Telle est la façon dont les choses se passent
e enquête médicale, ses antécédents. Nous ne prétendons pas que les médecins de régiment pourront trancher au pied levé tout
de discipline serait soumis à un examen médico-légal de' la part du médecin du corps; 4° 11 est désirable que cette mesure,
évitée par une expertise. Il ne faut pas espérer faire de tous les médecins des aliénistes, mais il serait à désirer que to
quentes. Les magistrats appellent plus facilement à leur aide le médecin aliéniste que les magistrats de province. Au peti
cas sont sou- vent difficiles à éviter, cela d'autant mieux que les médecins les plus habitués aux choses de la médecine men
ecine; en outre, l'expertise devrait être absolument réservée à des médecins spéciaux, alors même que le médecin ordinaire a
re absolument réservée à des médecins spéciaux, alors même que le médecin ordinaire aurait fait un stage plus ou moins long
réformés, et d'autres, examinés et déclarés responsables par des médecins militaires, ont été plus tard reconnus aliénés. C
onseil de guerre, soit .SOCIÉTÉS SAVANTES. 485 pratiqué par les médecins du corps avec adjonction possible, sur leur dem
rs, pour rappeler les ten- tatives qu'il a faites, en qualité et de médecin et de conseiller général de Vaucluse pour l'hos
nom du Congrès. M. Manille émet le voeu suivant : « Le Congrès des médecins aliénistes et neurologistes, réuni à Marseille,
trait à l'examen mental des inculpés soient toujours confiées à des médecins aliénistes. Il adhère en outre aux dispositions
nt déjà séjournes dans les asiles et qu'ils ont été choisis par les médecins ; les malades agités sont renvoyés à Bourges. Pe
poussent des assassins imaginaires, et quand les veilleurs ou le médecin intervenaient, on le trouvait haletant, couvert d
le surveillant ou la surveillante qui interviennent en attendant le médecin . Si dans ces cas tout à fait rares, l'isolement
Ils ont été reçus à la gare par le Maire, M. le D Bertrand, par le médecin directeur le Dr Ph. Rey, par les DTS Chabrier e
delà deuxième édition italienne par les D''s A. Marie et M. HAMEL, médecins des Asiles publics de la région de Paris, avec
e Dr ROUSSET, mé- decin-adjoint à l'asile public de Bron, est nommé médecin en chef de la section des hommes en remplacemen
placement de M. le Dr Brun, admis à la retraite ; M. le De VIALLON, médecin adjoint à l'asile de Dijon, est nommé médecin-a
ur-médecin de l'asile de Saint-Lizier (Ariège) ; M. le Dr Nicoulau, médecin en chef de l'asile de Cadillac. A la classe exc
. Bibliographie,. 253, 417. BtcLTae. Concours pour une place de médecin suppléant à -, 92. Buveur. L'enterrement d'un-,
50 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
e progressera. Quel que soit le jugement contraire dos savants et des médecins , ils seront dédaignés, soyez-en certain, car il e
e point à le repousser comme il l’a fait pour l’agent contraire qu’un médecin mal inspiré a pu introduire dans la circulation.
moyen. Je n’ai moi-même que peu de fois dans ma vie pu précéder tout médecin . FIÈVRE ATAXIQl'E. Dans un cas où cette malad
le fut affectée d’une fièvre à peu près semblable. Je la vis avec son médecin , le docteur Desprcz ; comme il avait déclaré qu’i
moi, conservé le souvenir du succès de mes heureux efforts. Quant au médecin , il était ravi et proclamait partout que cette je
ATOIRE. La comtesse de R... avait été atteinte d’une fièvre que les médecins nommèrent ainsi. Depuis soixante jours au moins
atin deux selles. On la croyait sauvée, je l’espérais aussi; mais ses médecins (ils étaient cinq), n'ayant pas été prévenus de l
sations étaient supérieures à celles des plus grands artistes ! Des médecins avaient été consultés, mais leurs remèdes n’avaie
ique et le faire ainsi parier sur lui-méme, espérant qu’il serait son médecin et pourrait facilement se guérir. Quelques lége
z ce forcené : Qu’allais-je faire dans cette maudite galère ! Mais le médecin va bien au milieu des fous et des pestiférés. Un
ssements d’écoles de médecine ; ces réformes se devront faire par les médecins ; il est à présumer qu’ils ne s’écarteront guère
la plus précieuse de se guérir et de se préserver des maladies. Les médecins , qui spécialement voudront se vouer à cette nouve
’art de guérir, puisqu’il n’y a pas, chose digne de remarque, un seul médecin parmi eux, de discuter une question aussi élevée
a science sublime que vous répandez avec tant de zèle : c’est par les médecins que çes motifs vous ont été fournis. Peu d’entre
ré tous les efforts que l’on fit pour chasser le fluide. On appela un médecin le mercredi soir ; il trouva la jeune dame dans u
que fois, et cette application ne dérange en rien le traitement qu'un médecin judicieux aura indiqué ou suivi dans pareil cas.
me joignis, pour le traitement, à MM. Louyer-Villermay et Piron, ses médecins . Afin de combattre des vomissements verdâtres, ac
ouleur disparaît, j’éprouve un bien-être inexprimable (1).» Le même médecin rapporte encore les deux üaits suivants dans son
éclairé sur sa force et l’étendue des phénomènes qu’il produit. Le médecin à qui on pose ces questions : Comment se fait-il
r nature et leur mode d’action. Nous nous plaçons dans le cas de ce médecin , et, sans plus chercher, nous provoquons, comme l
plus grands changements, les perturbations les plus considérables. Le médecin le plus clairvoyant, la sagacité la plus exercée
de vingt-trois ans, après avoir passé par les traitements de quatre médecins , me fit demander ; voici comment je la trouvai :
dire ce qu’étaient ces petits morceaux de racine noire..... 0 docte médecin !!! « Vous me ferez avec cela une tisane, et vou
, et il a l’instinct des remèdes qui lui conviennent. « Cuarpignon, médecin . » Nous prenons, autant que possible, nos exemp
singularité de cette nouveauté révolta d’abord les physiciens et les médecins , les électriseurs et les gens qui manioient l’aim
ts comme celui-ci ouvrent un intéressant champ de recherches pour les médecins philanthropes et amis de la science. Je désire bi
hropes et amis de la science. Je désire bien sincèrement que quelques médecins instruits emploient leurs talents d’investigation
ucoup la valeur du magnétisme comme agent thérapeutique. Car tous les médecins savent parfaitement bien que, pour guérir tel org
jurait dû suffire pour attitfér sur les autres l'attention de tout médecin réellement humanitaire. Mais, hélas! il n’en a po
rébraux dont l’action seule est sensible^ Si tou« les efforts de ce médecin tendent à propager la philosophie phrénologique,
étisme (celle considération est certainement la cause que beaucoup de médecins , qui auraient envie peut-être d’expérimenter le m
ite, et M""' F..., que j’ai depuis perdue de vue, si elle a oublié le médecin , dpit garder au moins quelque bon souvenir du mag
le magnétisme? — Non. Il y a un art et une science seulement. Les médecins devraient posséder la science, et des hommes sain
utile aux malades, ils pourraient 6n disposer selon les intentions du médecin , et les in- dications que scs connaissances spé
ent n’ont pas non plus les mêmes dangers, mais ils deviennent pour le médecin plus difficiles à combattre, car contre eux la la
Ecoutez ce que dit le professeur Rostan : « Ils étaient bien peu médecins , peu physiologistes et peu philosophes, ceux qui
conviction ne repose que sur vos œuvres. Je veux que, si vous êtes médecin , ou si vous voulez le devenir, vous sachiez quell
urs venant de la médecine? Non, sans doute. Mais il faut forcer les médecins à étudier les ressources qu’offre le magnétisme;
la plus grande partie des affections nerveuses où, de l’aveu même du médecin , les remèdes sont impuissants et inefficaces. L
it ce nouveau moyen de guérir s’il était présenté ou conseillé par un médecin honorable. Il est temps, pour l’honneur de la méd
. Ici n’en est-ce pas une quand un infortuné meurt par impuissance du médecin qui a voulu rester impuissant, qui, lorsque la lu
de est confié, son étal ayant été préalablement constaté par l’un des médecins membres de la Société. A chaque séance, le memb
es; le président de cette dernière est M. Vannson. AVIS. Un jeune médecin qui réunirait à ses études médicales les connaiss
un instrument, il faut apprendre à vous en servir! En vous recevant médecin , on vous dit : Vous connaissez un peu de grec, de
logie vous est familière, la matière médicale aussi. Allez, vous êtes médecin . Et pourtant vous ne l’êtes pas encore; il vous f
son labeur, il reste médiocre. Il fait des tableaux comme beaucoup de médecins font de la médecine, sans art, sans science, sans
les laboureurs, les marchands et ceux qui supputent des chiffres. Le médecin , comme l’artiste, doit toujours travailler; ce n’
ès très-rapides. Cette importante question ayant fixé l'attention des médecins , des théologiens et des philosophes les plus cons
ille Samson, le premier exemple à la curiosité et à l’incrédulité des médecins . Je dois ajouter quo ces expériences eurent lieu
les expériences qui furent faites successivement depuis par plusieurs médecins ou magnétiseurs. Je ne pense pas qu'on eût, avant
rs 1845, à Alyth, en Ecosse, par le docteur Fenton, aidé de plusieurs médecins , sur un jeune homme âgé de dix-huit ans, qu’une t
était assis clans un état do tranquillité parfaite, mais quand les médecins firent la ligature des artères, il poussa un faib
quoique les assistants n entendent aucun bruit. » Mais quel est le médecin qui n’ait [tas observé ce phénomène singulier? Aj
au effrayant des effets produits par l’opium. Entre autres effets, ce médecin raconte ce qui suit : « Un ambassadeur anglais,
du partout le bruit de l’arrivée du magnétiseur, si bien qu’un ancien médecin de la jioste, qui lui-méme avait autrefois magnét
ois trous s’ouvrirent en cet endroit el la suppuration s'établit. Son médecin habituel lui ayant déclaré qu'il no pouvait le gu
mènes auront la durée qu’il plaira à Y esprit de déterminer, et vous, médecins , vous êtes condamnés à être les spectateurs de ta
par des remèdes, on l’a promis... C’est en présence de plus de trente médecins qu’il se livrera à ses opérations et que les fait
ar l’Académic, mais ils ont rempli leur mission avec un zèle dont les médecins de mon pays of-rent rarement l’exemple. Je ne d
Je ne dois point non plus oublier Son Excellence SI. Charles Mayer, médecin en chef d’Obougoff; il a favorisé mes essais, et
e numéio 25. » REVUE MENSUELLE. Nous recevons du «locleur Cruxen, médecin lioméopaihe espagnol, venu en France pour éluilic
de refuser de rendre la santé à des malheureux souvent abandonnés des médecins , ou bien de négliger ses affaires personnelles, i
pas, on doit être en garde, car ce somnambule n’est plus que comme un médecin . Il impose encore une sorte de respect, mais il n
me sers de cette définit ion , car, dans certaines affections, chaque médecin appelé donne un nom différent , selon qu’ils croi
Ainsi chez une malade que j’ai actuellement sous les yeux , tous les médecins appelés, et il y en eut beaucoup, car le mal est
rces de l’art contre une affection ophthulmiqucà laquelle de nombreux médecins consultés ont donné un nom différent, M.Rochefort
rt sur un malade que la société a confié à ses soins, .M. Anphronsky, médecin polonais, qui va de mieux en mieux. M. Henry ra
lade qui habile le midi de la France, indiqua les mômes remèdes qu’un médecin appelé extraordinairement île Toulouse. Ce qui do
tion d’une mèche de cheveux, la lucide était d’accord avec le nouveau médecin . Le traitement fui suivi, et au bout d’un mois, c
ue vous croyez presque infaillible pour la guérir! Non, non; un grand médecin a rendu en liant lieu le magnétisme ridicule. Tro
par la douleur, est venue frapper à votre porte et vous a saisie. Nul médecin ne put vous guérir. La fièvre vous dévorait, car
car ils ont servi à commettre des assassinats; chassez donc aussi les médecins en masse, parce qu’il s’est trouvé des Casting et
t opérée. Ce sont des cas exceptionnels qui, ayant été aperçus par le médecin , lui ont fait dire que le magnétisme irritait tou
EIR. — Après un long entretien roulant sur des sujets de médecine, un médecin arabe s'informa avec instance de ce que pouvait ê
rétation au questionneur et l’éloigne de celui ù qui il s’adresse. Le médecin alors contempla quelque temps en silence la masse
le. Ne sachant coin ment il se trouvait là, surpris de la présence du médecin , el sans doute étonné de son accoutrement, 11e co
’hommes. Par une de ces hardiesses communes à nos adversaires, 1111 médecin demanda la parole, l’obtint, et sa bouche, «n par
obtint un aveu précieux de tous les assistants. Le bureau, composé de médecins , et l'assemblée, oiï on remarquait un grand nombr
cc cas le père ou la mère, s’ils savent magnétiser, peuvent être les médecins de leurs enfants. Il est des cas qui paraissent
l’homme qui n’étudie point sc dégrade visiblement. DU CONCOURS DES MÉDECINS ORDINAIRES DANS LES TRAITEMENTS MAGNÉTIQUES. Qu
de l’état actuel des croyances. 11 est rare, en effet, de trouver un médecin parfaitement disposé pour le magnétisme, et le se
i une demi-croyance, que le magnétiseur soit seulement toléré par les médecins , et que les mauvaises passions entrent en lice. C
te des cas comme celui-ci, par exemple? Traitant sous les yeux d’un médecin un jeune enfant affecté d’une maladie nerveuse, m
ant affecté d’une maladie nerveuse, mon traitement était agréé par le médecin ; il croyait au magnétisme, mais il jugeait qu’on
Les parents de l’enlant finirent parôtre do mon avis. Mais que fit le médecin ? il s’en va faire préparer un purgatif où il e
magnétisme était employé mystérieusement, c’est-à-dire des cas où le médecin , continuant de venir au chevet du malade et parai
ent môme je faisais un choix dans cc qui était ordonné, et à linsu du médecin j’étais le régulateur de son traitement. Que de f
moyen dont il niait l'efficacité. Mais pourquoi continuer de voir le médecin ?... Pour des êtres indifférents la question est t
parfois pour être vaincue? Croyez-vous que dans cette circonstance le médecin était le plus malheureux? non, c’était le magnéti
a reconnu, par les facultés, avoir des propriétés thérapeutiques, les médecins ne céderont pas pour cela leurs malades aux magné
nt avant qu’il n’y ait entente cordiale entre les magnétiseurs et les médecins . Nous terminerons cette digression en disant co
u’ils finissent par mettre le doigt sur la vérité. Nous croyons qu’un médecin éclairé, el ils lesonl tous aujourd’hui, qui aura
ous enveloppe et nous presse en tous sens de son poids écrasant, quel médecin oserait se servir du magnétisme, sans que son ima
atans en médecine avaient beaucoup nui à la réputation des vérifables médecins ; qu’on ne doit point juger d’une chose par les ab
rcés d’admettre la spiritualité de l'âme humaine. «5° Quand MM. les médecins présents à la séance de la section lui eurent aff
Mais nous irons uu jour, sous les yeux de ces vertueux et véridiques médecins , répandre la doctrine magnétique et prouver au gr
ome-lin, de Saint-Quenliu. Habitant les Antilles depuis vingt ans, ce médecin , resté étranger au mouvement ascensionnel de la s
e, les bras, etc., du patient qui ne manifeste aucune sensibilité. Le médecin avoue sa surprise de la singularité de ce phénomè
les questions et les objections. L’audace des ennemis se ranima : un médecin , croyant voir chanceler le magnétisme, essaya il-
s tels que celui qui vient de déverser lanl d'injures et de sottises. Médecin , il doit avoir les connaissances de son art, et o
donne lecture du mémoire suivant adressé à la Société par M. Picard, médecin à Saint-Quenlin. Dans une lettre accompagnant son
re à d’autres magnétiseurs l’envie de les renouveler. « PiCAnu, • Médecin à Saint Quentin. ■ Saint-Qucntin, 26 août 18/|5
ention. La personne que je magnétisai dans celte disposition était un médecin célèbre, M. ltard. Je le mis bien vile dans un ét
es malades que je n’avais eu aucune intention de magnétiser. Que de médecins magnétisent ainsi leurs malades sans s’en douter!
tribuer, et, à la suite, un délire furieux qui nécessita l’appel d’un médecin et l’emploi d’une camisole. Ses forces étaient su
e, par M. le docteur Loysel, et fail le plus grand honneur à ce jeune médecin et à M. le docteur Gibon, qui l’a assisté, avec l
les faits tels qu’ils se sont passés; ils sont attestés par les deux médecins , la malade, et par toutes les personnes présentes
rtitude que l’insensibilité était profonde et absolue, il avertit les médecins qu'ils pouvaient, avec une entière sécurité, comm
un grand nombre de guérisons de maladies déclarées incurables par des médecins qui jouissent d’une grande réputation, telles que
mois; depuis lors elle a joui d’une bonne santé. Cependant plusieurs médecins avaient déclaré la maladie incurable. CANCER CA
chaque jour; la voix est presque éteinte. K lie a consulté plusieurs médecins et subi di\ers traitements sans pouvoir arrêter l
ans bigoterie, habitait, avant d’ôtre mariée, la maison de son oncle, médecin célèbre, membre de l’institut. Elle étaitalors sé
par mon idiot. « Je communiquai ce fail à l'un de nos plus célèbres médecins , (|ui, en sa qualité de membre de l’Acadéinie, es
s-mérique. Ayant reconnu qu'elle était lucide, je la présentai à deux médecins de mes amis, les docteurs Duncan, de Kells, et Al
contenir ses mouvements multipliés ? Le temps manque pour aviser. Les médecins ne peuvent rien dans ces cas ; vainement ils ont
ouvrier principal ne saura plus comment diriger les travaux. C’est le médecin qui modifie chaque jour son traitement; qui, sans
gard. 0 ignorance des hommes, quand cesseras-tu? Faut-il donc que les médecins restent dans l’obscurité, tandis que le flambeau
us oppose, jamais les conseils de la prudence ne vous eussent arrêté. Médecin , vous eussiez essayé vos poisons sans souci (le
ssance que cela n’agirait que faiblement sur l’opinion. Aux yeux d’un médecin , une guérison ne signifie rien ; il objecte qu’il
alarmes entourait le moribond; c’était à qui consulterait un nouveau médecin et demanderait mon expulsion. Le malade avait de
e, et par conséquent on s’occupait beaucoup de lui dans la ville. Les médecins qui précédemment lui avaient donné leurs soins ét
n plusieurs mes vêtements sentent le soufre et je liante Satan. Les médecins ricanent en entendant mon nom. Je suis magnétiseu
leurs malades. Comme il y a beaucoup de pharmaciens, de prêtres, do médecins , et que ces personnages sont essentiels dans la g
libres; mais il en est peu d’abord. Le prêtre retient les dévots, le médecin ceux qui soutirent et languissent, les savants ar
s, un point de côté presque continuels. Successivement traitée par un médecin de Paris et trois de Cambrai, elle avait eu des s
uvre femme de soixante-dix ans, paralytique du bras et abandonnée des médecins . M. P.... consent à tenter l’expérience, et au
t pour river les chaînes du pouvoir monstrueux que sc sont arrogé les médecins qu'ils se sont assemblés; c’est pour qu’aucun hom
535 Chances de succès — — Id Causes inconnues. 301 Concours du médecin et du magnétiseur. 442 Cautères. 439 Chercheu
51 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
decine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Ste-Aillie). F. RAYMOND
-même employée dans une : .communi- cation au dernier. Gongrèsi des médecins aliénistes ? et qui'a le mérite d'ètreacceptéer
ques observations de folie briglalique (Compte rendu du congrès des médecins , aliénistes de, la Rochelle, 1893). ,>i,r NO
dmis pour la première fois le 27 septembre 1893. 1 Èe certificat du médecin qui l'a'soigné au dehors est ainsi conçu : « at
s de l'ancienne province de Bourgogne.) Par le De Samuel GARNIER, Médecin en chef, Directeur de l'Asile de Dijon. V. L'In
ù l'accusé sera. déclaré responsable» ou «irresponsable : c'est au- médecin » seul,, se pro- nU(lCCr ? 9 t,3..f·· ? ^5.\fe w
r ? ,{^;, ,,(, ? , . . Procédure légale : Pour que le témoignage du médecin ait du poids, il faut que le médecin-expert soi
u compétent. Le meilleur .moyen serait d'avoir un certain nombre de médecins assermentés, assesseurs des juges et prononçant
die du cer- veau. C'est au jury.de décider d'après le témoignage du médecin . ., On poserait au jury, les deux questions : z
part ceux où on applique le no-reslraint, de l'autre ceux dont les médecins en sont adversaires. revue, DE médecine légale.
La question des assurances sur la vie et du secret professionnel du médecin ,% vis- à -vis des compagnies est. également^ abor
? * ' XV. 11-1LPRACTICE; par Clark BELI. De la responsabilité du médecin ou chirurgien traitant, relative- ment aux domm
° la valeur.de l'hydrothérapie scientifique sous la surveillance de médecins compétents est incontestable dans le trai- teme
ffusions et les douches amélioreront'certains gâteux; mais c'est au médecin seul qu'appartient la prescription et l'applica
aintenir si longtemps dans le bain des 'agités, la' surveillance du médecin est, en tout cas, de rigueur.' Ceux qu'on peut
s grands'mérites de' cet ouvrage, d'être pro- profondément sincère. Médecin érudit;' praticien consommé, M. H. Dagonet ne c
ion surchauffée, où il est passé pour ainsi dire en' habitude qu'un médecin se destinant à une spécialité commence par écri
été psychiatrique de Saint-Pétersbourg. VARIA. Congrès annuel DES médecins aliénistes ET neurologistes , de France ET DES
adresser leur adhésion et leur cotisation à M.' le D'' P. Hospital, médecin en chef de l'établissement d'aliénés de Sainte-
Joffroy, professeur à la Faculté de Paris ; Giraud, Briand, Cayès, médecins en chef; Deny, médecin de Bicêtre, suppléant. e
a Faculté de Paris ; Giraud, Briand, Cayès, médecins en chef; Deny, médecin de Bicêtre, suppléant. e 1 . , , i . 1 - Epre
e Lyon ; Pierret, profes- seur,' à la même Faculté, Gamin,' Bellut, médecins en chef; Brun, médecin en chef, suppléant. '"
seur,' à la même Faculté, Gamin,' Bellut, médecins en chef; Brun, médecin en chef, suppléant. '" Epreuve' écrite . 'La qu
s mentales, on n'a pas à se montrer si sévère. Au surplus, le jeune médecin admis au concours où il aura fait preuve d'inte
lités laborieuses, se mettra vite au courant,' sous la direction du médecin en chef, et sachant, dès lors qu'il doit aspire
devrait aussi être reculée à trente-cinq ans. FAITS DIVERS. LES Médecins DES asiles d'Aliénés devant LE Conseil D'LTAT. Le
administrative de l'hospice de Tours au sujet de la nomi- nation du médecin du quartier spécial d'aliénés annexé à l'hospice.
i aurait eu pour conséquence de permettre au préfet d'en nommer les médecins . La haute assemblée n'a pas admis cette thèse.
distinguer entre les asiles publics dont l'administration nomme le médecin et les hospices pourvus de quartiers spéciaux a
de la commission restent entiers, et il lui appartient de nommer le médecin . En consé- quence, le Conseil d'Etat a annulé l
le Conseil d'Etat a annulé l'arrêté préfectoral qui avait -nommé le médecin de l'asile d'aliénés de Tours. Il est à souhaiter
de l'ancienne province de Bourgogne.) Par le Dr SA111UEL GARNIER, Médecin en chef, Directeur de l'Asile de Dijon. VI. Cep
pédient était de discréditer autant que possible le Commissaire, le médecin , les exorcistes désignés par le Parlement ainsi
des magiciens qui venaient les tourmenter dans leurs chambres. Le médecin Rapin ayant été gravement malade, après les exo
-sur- Saône,-de quatre docteurs de Sorbonne et de Morel, ancien . médecin de la ville de Chalon « connu par sa doctrine et
cesseroit au gauche, elle l'a exécuté punctuellement en présence du médecin qui l'a reconnu et déposé, et de plusieurs eccl
'elle estoit en cet estât un' espingle luy estant enfoncée par le Médecin présent, dans le doigt, au lieu ou il s'attache e
loinct à ce que dessus le certificat à nous présenté du sieur Morel médecin présent à tout, qui asseure que toutes ces choses
nte enquête entreprise par le British médical journal auprès de 100 médecins militaires anglais. Il en ressortirait que l'us
nsidérable tandis que celle relevant de l'opium serait nulle. Les médecins ayant fourni ces renseignements, disent qu'ils
. C'est presque un plai- doyer en faveur de l'usage de l'opium, les médecins qui ont fourni les renseignements pourraient bi
on soulevée par M. Ballet est de celles qui préoccupent le plus les médecins aliénistes. Nous sommes una- nimes à reconnaîtr
s au travail; c'est trop juste ; mais de quel oeil seraient vus les médecins de ces établissements, à une époque où les alié
s irresponsables n'en sortiront qu'après guérison constatée, par le médecin traitant qui devra, en outre, déclarer qu'ils n
ceux qui sont susceptibles de s'amender et les incorrigibles. Les médecins devront abandonner à la prison tout déséquilibré
e qu'il il n'est susceptible d'aucune amélioration. M. Ballet. Le médecin sort de son rôle s'il se place au point SOCIÉTÉ
ner chaque cas particulier sans trop généraliser. M. CHASLIN. Les médecins ne devraient intervenir qu'après un jugement ay
ssante des soins donnés dans un hôpital quelconque va retrouver son médecin . Et d'ailleurs depuis qu'elle est sortie, elle
S.1GNG. (Storck et Masson, Paris, 1894.) « Ce livre s'adresse aux médecins et aux magistrats. Pour les uns ce sera un aide
réellement un vade mecum qui rendra de grands ser- vices à tous les médecins appelés à ne faire que rarement, comme c'est le
ment un chapitre non moins utile sur les droits et obli- gations du médecin devant la société et devant la justice. P. S. S
grand neuropa- 148 SOUSCRIPTION CUAUCOT. thologiste CHARCOT. Les médecins soussignés se sont réunis'pour former un Comité
iption, quelque modeste qu'elle soit. Ce serait un honneur pour les médecins français si, tous participaient, même par les sou
ine et de la profes- sion médicale, pour honorer la mémoire de deux médecins émi- nents, qui ont laissé dans l'hospice de la
ils ont toujours professé la plus grande vénération. - Tous deux, médecins de la Salpêtrière, ils ont eu l'insigne hon- ne
France et à l'étran- ger, pour propager leurs doctrines et devenir médecins et direc- teurs des asiles d'aliénés, publics e
ment de notre science spéciale, et enfin l'Association mutuelle des médecins aliénistes, qui a fait tant de bien aux veuves
e nos confrères aliénistes morts sans fortune ! Tous deux, enfin, médecins de la Salpêtrière et membres de l'Académie de m
ions les personnes qui se proposent de faire partie de ce Congrès : médecins , aliénistes, neurologistes, juristes, juris- co
irigés sous la présidence de M. le Dr Pierret, l'éminent aliéniste, médecin en chef de l'établis- sement départemental d'al
ont adressées. « Clermont-Ferrand, le 3 juin 1894. De HOSPITAL, Médecin en chef de l'établissement Sainte-Marie. Nous r
ur divers sujets : MM. Maurice de Fleury, de Paris; Charles Vallon, médecin en chef de l'asile de Villejuif; docteur llfend
eur Levillain, de Royat, et d'autres encore. Nous prions donc les médecins qui se proposent de se joindre à nous, de se dé
FAITS DIVERS. AS1LL : 5 d'aliénés. Promotions : M. le Dr Vallon, médecin en chef de l'asile de Villejuif, est promu à la
illejuif, est promu à la classe exceptionnelle; M. le Dr Dubuisson, médecin en chef à l'asile clinique (Sainte- Anne) est p
que (Sainte- Anne) est promu à la ire classe; - M. le Dr DuBuissoN, médecin en chef de l'asile de Braqueville, est promu à
t promu à la 2e classe (arrêté du 1er juillet); M. le Dr G. CORTYL, médecin de l'asile de Saint- Venant, est promu à la cla
Saint-Dizier, médecin-adjoint des Asiles de Dijon et de Vaucluse, médecin en chef de l'Asile de Afaréville; Langtoisn'a lai
M. l'inspecteur général Regnard, et dont faisait partie, outre les médecins et le chirurgien de Charenton, M. le Dr Labrurthe
ée un traitement de 600 francs. Adresser les demandes au directeur, médecin en chef. Asile d'aliénés de DURY-LÈS-AMIENS. De
TYPE CONTINU ET PROGRESSIF PAR CHOC MORAL; Par EDOUARD TOULOUSE, médecin de l'asile Saint-Yon. Les observations circonst
séquestration d'office, par diverses personnes, et notamment par un médecin , et qui sont transmis à l'asile. On apprit alor
mbien de temps elle est à l'asile, le nom de son quartier, ceux des médecins qu'elle voit tous les matins. Cependant elle se
lté une sensation nouvelle ? On a vu qu'elle ne sait pas le nom des médecins , ni celui de son quartier; si on lui donne un o
Beaux-Arts,, mais. on le doit simplement au.bon.goût,des.différents, médecins directeurs de l'asile, mes prédécesseurs, et à
lle est utilisée pour loger les bureaux de l'admi- nistration et le médecin directeur. , . - Le portail franchi, on arrive
f A, Asile (ancien cloître); B, Abbatiale (Bureaux et logement dut médecin direc- teur ; C, C', Quartiers d'agités des hom
de l'ancienne province de Bourgogne.) Par le D1' SAMUEL GARNIER, Médecin en chef, Directeur de l'Asile de Dijon 1. VII.
t. » « J'ay communiqué ceci aux plus célèbres et mieux em- ployés médecins de Dijon que V. R..connoit qui sont Mes- sieurs
on; autre procès-verbal du dict commissaire contenant le rapport du médecin Rapin, par luy nommé d'office de ce qu'il avoit
{Revue neurologique, 1891..) E. B. SOCIÉTÉS SAVANTES. CONGRES DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES . DES PAYS DE LANGU
é constitué ainsi qu'il suit : président, M. le professeur P1ERRET, médecin en chef de l'asile de Bron, désigné au Congrès
désigné au Congrès de la Rochelle ; vice-présidents, CHAIIPENTIER, médecin de Bicêtre, et Ritti, médecin de Charenton ; se
le ; vice-présidents, CHAIIPENTIER, médecin de Bicêtre, et Ritti, médecin de Charenton ; secrétaires des séances, MM. Klipp
DEVAY (de Lyon). Le secrétaire général était - NI. le D'' Hospital, médecin de l'asile Sainte-Marie, qui avait accepté la d
i les aliénistes, les neuropathologistes, les physiologistes et les médecins ., >é - . Après ce discours, qui a été accuei
n symptôme à l'aide du pot de tisane; celle-ci cherche à induire le médecin en erreur en comprimant avec le bras la cuvette
s anthropologistes, mais à coup sûr ils ne deviendraient jamais des médecins . La discussion du premier rapport, dû à M. Ball
Un certain nombre de doctrines opposées partagent actuellement les médecins sur la nature des névrites périphériques. Pour le
es juriscon- sultes les plus compétents se rallient aujourd'hui aux médecins qui demandent la création d'asiles spéciaux pou
en effet, n'est pas' punissable comme l'ivresse, car, aux yeux des médecins , l'ivrognerie est une maladie. Législation civi
esponsabilité, qui n'a rien de médical, ne doit pas être confiée au médecin . Si l'in- tervention de la magistrature doit êt
s un progrès. Vous avez réclamé, dites-vous, une enquête auprès des médecins pour savoir quelle était la proportion des mala
asiles et en particulier à l'Asile clinique où j'ai mon service. Le médecin prescrit l'abstinence aux alcooliques ; mais au b
el M. Deschamps retire le sien. Ce voeu est ainsi conçu : que les médecins aliénistes soient consultés pour la construction
at de choses actuel est pour lui déplorable et la responsabilité du médecin me semble gravement engagée dans les deux cas.
criminels sera toujours une source d'embarras considérables pour le médecin traitant. M. Motet. La prochaine loi remédiera
iénés : Mutations et nominations. A la suite du dernier concours de médecins adjoints, ont été nommés : MM. Vigoureux, à l'a
ÉTHARMAN, à l'asile de Lafond (arrêté du fer août). M. le DDEmcQ, médecin adjoint à l'asile de Prémontré, est nommé -dire
EmcQ, médecin adjoint à l'asile de Prémontré, est nommé -directeur, médecin à l'asile d'Alençon, en remplacement de .M. PAG
, en remplacement de .M. PAGES, décédé (Iûjuillet);M. le D'' LwpFF, médecin adjointà l'asile d'Aux erre,, est nommé médecin
t);M. le D'' LwpFF, médecin adjointà l'asile d'Aux erre,, est nommé médecin adjoint à Prémontré (1e'' août;; M. le Dr ALLAM
st nommé médecin adjoint à Prémontré (1e'' août;; M. le Dr ALLAMAN, médecin adjoint à l'asile de Bailleul, est nommé médeci
M. le Dr ALLAMAN, médecin adjoint à l'asile de Bailleul, est nommé médecin adjoint à l'asile d'Auxerre (3 août). , Le réda
que par ' Leçon faite à la Clinique, recueillie par le D Pécharman, médecin adjoint des asiles de la circonscription de Par
régime dans les asiles départementaux, c'est grâce aux efforts des médecins de ces établissements. Ici, à Bonneval, les mal
si, n'en donnerai-je que quelques-uns. Le Dr Hildenbrand, un ancien médecin directeur de l'asile, en- trait volontiers dans
alcoolisme chronique surtout. Il est certain également, et tous les médecins de l'asile l'ont noté, que l'intoxication alcooli
de l'ancienne province de Bourgogne.) Par le D'' SAMUEL GARNIER, Médecin en chef, Directeur de l'Asile de Dijon t. (Suit
d'un abcès à l'estomac et qu'elle était vierge; mais le rapport du médecin et du chirurgien commis par le Parle- ment décl
Chamillard, Blond, Guyard, Piqué, docteurs de Sorbonne, et Bachet, médecin . ; Pour faciliter la mission dont ils étaient c
de la commission dont faisait partie le P. Séguin. Et en effet, le médecin Bachet écrivait, le 15 juin 1662, au chancelier e
de masquer leurs agissements, il n'en est pas moins prouvé que les médecins qui eurent la charge de l'examen de cette affai
n question. Ce fait important n'avait pas échappé à la sagacité des médecins experts, et ils avaient fort bien vu une corrél
tous les réflexes rétiniens. P. K. SOCIÉTÉS SAVANTES. CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES DES PAYS DE LANGUE
ES RETRAITES DU CORPS MEDICAL ALIÉNISTE. M. le Dr Samuel Garnier, médecin en chef directeur de l'asile de Dijon. Je viens
it payer par l'Etat les traitements et les pensions de retraite des médecins . Les dispositions essentielles du futur article
ai l'honneur de déposer le pro- jet de résolution suivant : « Les médecins aliénistes et neurologistes réunis en congrès à
t à la charge de l'Etat les traitements et pensions de retraite des médecins en chef, médecins-directeurs et adjoints des as
andis que, à cet égard, il n'existe plus de doute dans l'esprit des médecins , en Angleterre, aux Etats-Unis, dans les Pays S
lemagne, etc., il n'en est pas de même en France, où la plupart des médecins connaissant peu les maladies nerveuses chroniqu
ication dans quelques névropatbies asthéniques qu'il appartient aux médecins de déterminer. La séance est levée et la cinqui
La séance est levée et la cinquième session du Congrès français des médecins aliénistes et neurologistes déclarée close. Les C
pour la visite à l'asile de la Cellette. Le soir (vendredi), les médecins de Royat avaient organisé une soirée en l'honne
hospices, et Goyet, ins- pecteur de l'Assistance publique; quelques médecins de Clermont et de Royat, etc., etc. Plusieurs d
t aux congressistes. M. le supérieur de la communauté, M. Fouriaux, médecin de l'asile, M. le docteur Giraud, congressiste,
ile, M. le docteur Giraud, congressiste, et M. le docteur Hospital, médecin en chef, ont ensuite pris la parole et porté des
vers 10 heures. Ils ont été reçus par M. le Dr Longy (d'Eygurande), médecin adjoint de l'asile, conseiller général du canto
sident de la commission de surveillance de l'asile, M. le Dr Bargy, médecin en chef, l'abbé Saulze, etc. Dans le cours de l
t pathologiques les 350 FAITS DIVERS. plus récentes. Etudiants et médecins ne sauraient faire de lecture plus instructive,
e ce nouveau traité a sa place marquée dans la bibliothèque de tout médecin et surlatahfedetoutneuropathotogiste. J.-B.CHAR
u'il rencontrait sur son chemin. Le journal médical Lancet tient du médecin qui l'a soigné à Lan- caster que le pauvre diab
Ministre del'intérieur à la date du 3G juin 1893 prescrit à MM. les médecins des districts du grand-duché de Bade de retirer
ÉSIE GÉNÉRALISÉE. - EXPÉRIENCE DE STRUM- PELL. " · Par J. SÉGLAS, médecin suppléant à la Salpêtrière ; et BONNUS, interne
tre à votre bienveillante attention. ' Communication au Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de Clermont-Ferrand
propositions sur proposi- tions ; elle s'informe d'abord auprès du médecin traitant si l'aliéné est ou non curable, puis,
mmédiat de la création de ces garde- meubles serait de dispenser le médecin de l'obligation d'émettre un avis précipité sur
es circonstances, à la Société d'économie politique, au Congrès des médecins alié- nistes de Lyon, dans la presse médicale,
er qu'il y a lieu de sauvegarder, le service des aliénés demande au médecin trai- tant un certificat de situation en vue de
rtificat de situation, pour vente de mobilier, est alors demandé au médecin traitant. Le médecin est prié dans cette demand
, pour vente de mobilier, est alors demandé au médecin traitant. Le médecin est prié dans cette demande, de faire connaître
comme incurable ou s'il existe encore un espoir de guérison. Si le médecin déclare qu'il y a incurabilité ou que la guérison
; 2° ces registres seront contrôlés et soumis à l'examen annuel des médecins de district chargés de la statistique; 3° ces r
rvention des spécialistes est indispensable. Inspections ad hoc des médecins de districts stylés à cet égard; 7° pour tous l
tes, chez ceux enfin qui refusent toute visite. C'est d'ailleurs le médecin qui doit en chaque cas autoriser ou supprimer l
t l'aliéné, correspondance qui naturellement passe par les mains du médecin et le guide soit pour la première autorisation,
l'entrée est à peu près libre constitue une excellente mesure dont médecins et public n'ont qu'à se louer; il peut arriver
udapest, a présenté une étude dans le même sens. M. Jakab Salgo est médecin chef à l'asile public deLipot-Metzo avec M. Bol
able n'existe malgré la nécessité absoluo reconnue par une foule de médecins aliénistes. La création d'un ou de plusieurs as
oraux, à rétine psychique atrophiée '. G. DEYAY. 1 Avec beaucoup de médecins , nous croyons inutile la création d'un asile sp
l'inspec- teur et en deux logements pour le second et le troisième médecin adjoint - l'édification d'une maison pour le di
table : francs- maçons, agents de police, jésuites, internationale, médecins , etc., etc. La jalousie, l'envie, la rancune, l
ent réticente et refuse de répondre, car elle est persuadée que les médecins ont intérêt à la retenir et à la persécuter. c N'
DÉSIGNÉS SOUS LE NOM DE PARANOÏA ; , \ Par le D' P. KERAVAL, Médecin en chef des asiles de la Seine. Les nombreux tr
obabilité en trouvant des motifs apparents à leurs allégations. Les médecins légistes s'efforcent en vain de démasquer chez
ui prouve le mieux le lien qui unit ces deux modalités morbides. Un médecin expérimenté qui constate' encore, lorsque le ca
à établir son c diagnostic à moins qu'il ne soit un débutant ou un médecin 504 -SOCIÉTÉS SAVANTES c praticien. » Eh bien
lus grave et la plus commune des maladies mentales. Il n'est pas de médecin qui ne puisse à un moment donné être appelé à i
Pour en vulgariser la notion, nul n'était mieux placé que le savant médecin de l'admission dont les recherches en France on
sistants en Grande-Bretagne correspond assez exactement à celle des médecins adjoints des asiles de France. Le British médic
tuation qui ressort d'une série de lettres intéressantes émanant de médecins signant sous des pseudonymes; de là une polémiq
pécuniaire de début est trop précaire et ne répond pas à celle d'un médecin spécialisé et auquel il est im- possible de fai
siles dans le sens de la répartition de services autonomes à chaque médecin sans dépasser le nombre de malades atteints dan
ans la forêt, sans murs, ni barrières, il n'y a que l'habitation du médecin et le bâtiment d'administration qui aient des m
e bois, deux parcelles ont été défrichées pour servir de jardin. Le médecin de la colonie a toute latitude pour agir à sa gui
Le médecin de la colonie a toute latitude pour agir à sa guise, le médecin en chef responsable lui abandonnant l'autorité.
luthez·., Kircheizzeit, n° 34, novembre 1893) ; 8° explication des médecins d'asiles à l'asile de Rethel, près Biele- feld
angel. Deutschland, n° 38, 1893); 18° qui de l'ecclésiastique ou du médecin ? Réplique du pasteur de Bodelschwingh à la pro-
e Bodelschwingh à la pro- position de M. Kroemer dans la Société de médecin du district de Dantzig (E : He<- Zeitu71g);
fait la majorité ne tendent à rien moins qu'à supprimer l'action du médecin en lui substituant celle des ecclésiastiques. V
es. Voici maintenant une appréciation critique des explications des médecins de Bielefeld. Ces confrères qui exercent leurs
l'organisme d'un asile est-il bien portant quand les fonctionnaires médecins sont obligés de désavouer les théories psychiat
e ce soit l'Eglise qui construise les asiles et que l'assistance du médecin ne soit requise que quand l'état physique de l'al
e son intervention. En ce qui concerne le personnel secondaire, les médecins deBiele- feld regrettent que les médecins des a
personnel secondaire, les médecins deBiele- feld regrettent que les médecins des asiles qui ont un personnel religieux n'aie
être pénétré des principes des sciences médicales, il doit obéir au médecin et non à deux maîtres1. Sur cette 1 C'est juste
s contradictions relevées dans les rapports médico-légaux de divers médecins spécialistes sur l'état mental des personnes exam
r, parce qu'il était impossible d'annuler le jugement porté par les médecins consultés en premier lieu. Mais la pétition rel
diagnostic de persécutés persécuteurs processifs. En l'espèce, les médecins légistes ne sont pas à la hauteur de leur tâche p
mentale remarquable. Qu'on oblige donc les candidats aux postes de médecins officiels de districts à étudier pendant trois
Exorcisation, une récente en Ba- vière, 75. Expert, vade-mecum du médecin - , par Lacassana, 117. Facial, sur le rôle d
52 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ecine de Paris. V. MAGNAN Mcmlire de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle- : lnne). F. RAYMOND
pression et pendant la marche. Elle consulta au bout de six mois un médecin qui fit le diagnos- tic de hernie et lui consei
/ sous forme de lettres écrites spontané- ment ou sous dictée à son médecin habituel, la lecture à haute voix, la malade re
promettre d'être bientôt guérie, que nous lui faisions écrire à son médecin qu'elle n'aurait plus de crises, nous lui comma
l'état de veille, la malade ne se souvient plus de sa voisine. Son médecin qui venait la voir à l'hôpital, sa soeur avaient
rève, saccadée; et avec ses plaintes contre le personnel, contre le médecin qui la détient injustement, elle laisse échappe
uillée ; d'ailleurs, dans Sainte-Anne, il n'y a ni infirmières, ni. médecins ; tout le monde est agent de cette préfecture de p
GNÉS SOUS LE- NOM DE PARANOÏA (suite) 1 5 Par le Dl P. KERAVAL, Médecin en chef des asiles de la Seine. La Verrucktheit
ue documentée, composée en partie avec les données fournies par les médecins étrangers, dont la pratique est déjà assez anci
ument à cette idée [exagérée ; il s'agite, lorsqu'on lui dit que le médecin n'a constaté aucun signe de celle-ci. Il s'y cr
à dire qu'elle se mariera bientôt, et se plaint amère- ment que les médecins avec ses parents sont cachés sous un toit. Di
n'est point aussi long que dans les cas de M. Neisser. Les anciens médecins ont beaucoup parlé de la complication d'une psy
lement, croyons-nous, M. le Dr Calmeil, notre vénéré maître, ancien médecin de lamai- son de Charenton, connu dans le monde
e en doubla le prix à ses yeux et mérite d'être racontée. Ce fut un médecin de la Cour, ami d'Esquirol qui, frappé de sa mo
avorisé d'une recommandation puissante (royale), obtint le poste de médecin en chef. Calmeil se résigna et continua sa vie
et continua sa vie de dévouement et d'étude. En 184-8, le nouveau médecin en chef, effrayé par les événements, abandonna so
à Charenton, car un règlement, nouvellement établi, interdisait aux médecins de l'établissement cette sorte de concurrence.
inistrative s'empressa de deman- der pour le Dr Calmeil le titre de médecin en chef. Placé à la tête des deux services, il
d'avril dernier prouverait le contraire, t Mon ami, le Dr Blyenis, médecin de l'école d'Alfort, me dit-il, m'avait chargé
r organiser leur assistance, il suffit d'utiliser les ser- vices du médecin officiel de l'endroit et de donner une subvention
e l'endroit et de donner une subvention aux familles stylées par le médecin et surveillées par lui. Les 70 ASILES D'ALIÉNÉS
matérielles et morales propres à traiter suivant les indications du médecin de l'endroit, avec intelligence et humanité l'a
l'endroit, avec intelligence et humanité l'aliéné, et si le rôle du médecin est efficace, on-laissera après cet essai, le mal
ville, mais il touche aux dernières maisons de celle-ci. Les trois médecins de la maison habitent Belgrade et viennent à l'
encore pas arrivé à la pratique.) Le directeur de l'asile est un médecin . Il veille à l'administration et au service méd
un médecin. Il veille à l'administration et au service médical. Le médecin adjoint n'a qu'à s'inquiéter des malades, mais
ce le directeur quand celui-ci est empêché de faire son service. Le médecin assistant est subordonné au direc- teur et au m
n service. Le médecin assistant est subordonné au direc- teur et au médecin adjoint. L'économe est sous les ordres du direc-
un homme plein de tact, d'une honorabilité toute patriarcale; aucun médecin n'a jamais eu d'ob- servation à lui faire. Son
signalent les aliénés au Ministère. Le Ministre désigne alors trois médecins qui après avoir examiné le malade, font parveni
ec la vie de l'aliéné dans sa famille ; le Ministère consulte trois médecins (mais heureusement ce sont les trois médecins de
istère consulte trois médecins (mais heureusement ce sont les trois médecins de l'asile); ils rédigent un rapport. Ce rappor
autre sujet il raisonne juste et se conduit rai- sonnablement. Les médecins spécialistes sont unanimes à diagnos- tiquer la
entendu aux débats, lève l'interdiction. Le Tribunal admet avec les médecins le diagnostic de la maladie, il admet que c'est
e veut pas dire que l'on doive interdire tout malade chez lequel le médecin établit l'existence de troubles mentaux partiel
actes qui ne sont pas positivement déraisonnables. Les témoins, les médecins eux-mêmes l'ont décrit comme un homme calme et
e sa fortune, ni pour sauvegarder sa personne. ' - Sans doute les médecins dans leur rapport l'ont présenté comme incapabl
, directeur de l'asile d'aliénés de Ville-Evrard ; M. le Dr Magnan, médecin en chef du service de l'admission de l'asile cl
rénel, interne des asiles d'aliénés de la Seine, vient d'être nommé médecin adjoint de l'asile de Lesvellec (Morbihan). A
aladie dont ils souffrent et à en supputer l'évolu- tion future. Un médecin des plus éminents, professeur à la Faculté de L
IGNÉS SOUS LE NOM DE PARANOÏA (suite) ' ; Par le D' P. KERAVAL, Médecin en chef des asiles de la Seine. La folio systém
avait pas uriné pendant trois jours. Après avoir consulté plusieurs médecins , il eut recours à un sorcier qui le guérit avec
un gardien de bétail fut condamné même malgré l'avis contraire d'un médecin aliéniste entendu comme expert. L'auteur conclu
'aggraver les désordres mentaux déjà existants. C'est aux mains des médecins que ces malheureux doivent être remis pour être
4.) Procès intenté par un commissaire inspecteur des aliénés à un médecin chez lequel une malade en traitement familial s'e
alade en traitement familial s'est sui- cidée par précipitation. Le médecin Dr Sherrard fut acquitté bien que n'ayant pas d
ns pouvant nuire au libre exercice de l'assistance familiale et les médecins devant rester seuls juges de l'opportunité de l
nt le. D1' Arcliambault quitta la maison de Charenton dont il était médecin en chef depuis 1848 pour prendre la direction de
le Dr Belhomme. M. Archambault lui offrit d'entrer chez lui comme médecin interne, il accepta. A dater du 1er avril 1855, «
Motet la direction de la maison de santé. Depuis 1870, M. Motet est médecin de la maison d'éducation correctionnelle où il
e arron- 150 BIOGRAPHIE MÉDICALE. dissement de la ville de Paris; médecin en chef (1870-1871) de l'ambulance militaire de
militaire de -Rettilly, 1870-1871. Pour l'Association générale des médecins de France : Rapport au nom du Conseil, sur la r
spiau de LAMAESTRE, ancien interne des hôpitaux de Paris, directeur médecin en chef honoraire des asiles d'aliénés de 152 n
e Lamaëstre vint s'éta- blir à Paris et fut pendant près de dix ans médecin de la Société mu- nicipale de prévoyance et de
1867 ; mé- decin en chef de l'Asile de Cadillac (Gironde) en 1867 ; médecin en chef de l'Asile de Bailleul (Nord) de 1867 à
ef de l'Asile de Bailleul (Nord) de 1867 à 1877, et enfin directeur médecin en chef de l'Asile de Ville-Evrard, de 1877 à jui
tôt à l'influence nocive. Sinon, elle peut devenir incurable. Les médecins et les infirmiers des asiles ne sont pas plus exp
pui de cette conclusion consolante une statistique de quinze cas de médecins aliénistes aliénés. P. S. X. Des aliénés crimin
un petit chien à poil ras et lui enfon- ' Avec un certain nombre de médecins , nous avons combattu avec succès dans les Congr
r ce qui se fait dans les pays de race saxonne, il y a encore des médecins qui, par ignorance sans doute de ce qui a été pub
contraint par les circonstances, il doit immédiatement prévenir le médecin et le garde de sa section. La mortalité à Ghe
cin-directeur voit deux fois par an tous les malades du dehors. Les médecins princi- paux avec leurs adjoints doivent visite
er, au moins deux fois par. mois, tous les malades de leur section. Médecins et gardes sont astreints à adresser un rapport
acéré et très aigu. Tout ce qu'il fallait, en un mot, pour tuer le médecin s'il eût péné- tré perpendiculairement à l'axe
ours à le rendre calme et docile. Vers le milieu du mois de mai, le médecin de Mazas, dont l'attention a été appelée sur Ma
NÉS S SOUS LE NOM DE PARANOÏA (suite) ' ; Par le Dl P. KERAVAL, Médecin en chef des asiles de la Seine. Nous en avons f
plation des malades pendant toute leur vie, à la condi- tion que le médecin qui les observe ne meure pas lui-même, tant pou
d'avis que la rareté de ces cas diminuera dès' que l'attention des médecins aliénistes y sera portée. La submersion diffère
nt combien les arguments développés, en toute indépendance, par les médecins , sont souvent mal compris par les magistrats qu
sur des certificats médi- caux. Quand elle est en désaccord avec le médecin traitant, elle délègue un médecin expert qui jo
and elle est en désaccord avec le médecin traitant, elle délègue un médecin expert qui joue le rôle d'arbitre et dont elle
lleur moyen de calmer l'animosité de certains magistrats contre les médecins , est de lais- ser les tribunaux se débrouiller
rofesseur A. Tar- dieu qu'il était inutile d'être aliéniste ou même médecin pour juger si un homme était aliéné ou non. Une
é par jugement du tribunal de Pontoise, malgré les certi- ficats du médecin concluant au maintien et sans que le tribunal a
t la sortie est ordonnée par le tribunal, contrairement à l'avis du médecin , et sans expertise mé- dicale. Le malade se ref
mpteur à horlogerie, toutes les fois (les cas en sont rares) que le médecin exige une surveillance continue d'un ou de plus
les retirer du quartier. M. Smith. Quelle doit être l'attitude des médecins dans la question de l'alcoolisme ? Dès le 65° c
congrès des naturalistes de Nuremberg, M. Struempell a reproché aux médecins leur indolence à cet égard. Il a raison, car ch
M. Smith possède SOCIÉTÉS SAVANTES. 229 près de 1,500 lettres de médecins , relatives à l'internement des alcooliques, il
n nette sur la maladie et son traitement. Il faut avant tout que le médecin rompe avec l'apologie physiologique de l'alcool
infini d'in- toxications alcooliques proviennent des ordonnances du médecin . Le vin du malade à l'hôpital administré comme
'abstinence doit être pratiquée par le chef même de l'asile, par le médecin ; il lui faut s'abstenir le premier de boire toute
es. Or, extrême est la fréquence de l'alcoolisme chronique chez les médecins . Sur les 1,500 observations qu'il a mentionnées
qu'il a mentionnées plus haut, M. Smith en a 436 qui concernent des médecins se qualifiant eux-mêmes d'alcooliques ou de mor
soustraire à ce penchant qui de jour en jour devient plus vif. Le médecin doit encore s'appliquer à l'obtenir pour des rais
faut pas se payer de mots, l'exemple seul agit. En conséquence, le médecin doit être un vivant exemple d'abstinence, il do
veuses. M. Sommer. La question des infirmiers et la surveillance du médecin . Il y a dieu de critiquer le personnel secondai
vera. C'est en le faisant surveiller d'une façon permanente par les médecins . Pour cela, quand on construit des asiles, il f
construit des asiles, il faut placer convenablement la demeure des médecins . On fera appel aux vieux médecins et on leur do
cer convenablement la demeure des médecins. On fera appel aux vieux médecins et on leur donnera une habitation dans les quar
r l'épuisement et l'anémie, par auto- intoxication et infection. Le médecin aliéniste doit donc être doublé d'un excellent
des asiles certaines régions territoriales. On a autorisé tous les médecins assermentés à faire les rapports nécessaires à
les rapports nécessaires à l'admission, et non plus seulement les médecins de districts, et l'on a transmis directement aux
des; des bains; une tisanerie; lieux d'aisances; habitation pour un médecin célibataire; chauf- fage central ; buanderie.
âtiment principal de l'asile et placés sous la direction du premier médecin de l'établissement, tandis que les cas moins gr
à la métairie, et confiés au pasteur de l'asile avec le concours du médecin . A l'asile de Colditz on a monté dans l'avant-c
ées à l'autorité du pasteur de l'établissement; on lui a adjoint un médecin pour l'enseignement médical et d'autres d'ins-
(asile clinique); Anglade (asile de Braqueville). M. le Dr KÉRAVAL, médecin en chef de l'asile de Vaucluse, qui, fort heu-
'Armentières en remplacement de M. le Dr TAGUET, nommé, à sa place, médecin en chef de l'asile de Vaucluse (division des ho
choisi pour succéder à notre regretté ami Bigot comme directeur- médecin de l'asile devaucitise. Il se montra dans ces nou
se montra dans ces nouvelles fonc- tions administrateur distingué, médecin dévoué à ses malades; aussi lorsqu'en 1888, il
IQUE. DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE ' ; Par le D' J. VOISIN, médecin de la Salpêtrière; et Raymond PETIT, interne de
11 v ' ' ' i r i = i " Par'lè Dr P. KERAVAL, " ' ? , , « a , 1 ', Médecin , . . en chef des asites de la Seine. «t' (un ,
mais été, observées en Allemagne, bien qu'un aussi grand nombre de, médecins se soient occupés de ce genre de malades; il y
ologiques toutes spéciales qu'il est une étude intéressante pour le médecin ; et la folie, la débilité mentale se rencontrent
s beaucoup plus dans la voie qu'ont déjà pressentie et indiquée les médecins , dont la large expérience a pu s'exercer dans l
es français, par le DrRené Semelaigne. G. STEINHEIL, éditeur. Des médecins aliénistes qui, nés à la fin du xvnr3 siècle ou a
de cette heureuse cir- -constance pour faire revivre i'hdmme'ët le médecin . ? ; Après Pinel, vient son élève et son succes
conclusions , tendant à faire soumettre Guyetat à l'examen de trois médecins > aliénistes. M. Correch, procureur,, déclar
éré à l'asile d'aliénés de Pau pour être soumis à l'examen de trois médecins . (Le Radical du 12 mars.) Nous ne manquerons pa
liénés. -^Mutations et nominations : M. leD''D)JBOURDIEU est' nommé médecin adjoint à l'asile de Pau. le Dr VER ? ET est no
t' nommé médecin adjoint à l'asile de Pau. le Dr VER ? ET est nommé médecin directeur de l'asile de Auch. FAITS. DIVERS. A
encore présent a la mémoire le souvenir d'une malade que plusieurs médecins , et nous-mêmes avions examinée ;, dans. ce, cas
par le Tribunal, après un examen sommaire, malgré l'avis motivé du médecin traitant, sans expertise médico-légale, avec de
libérer d'office des malades, sans s'être préoccupés de l'avis des médecins compétents. Il est urgent que le législateur dé
inisse plus exactement les devoirs réci- proques du magistrat et du médecin et rende impossibles, dans l'avenir, certaines
unications viendront d'elles-mêmes. M. TOULOUZE. Pour le public, le médecin n'est qu'un expert et *t le public ne comprend
mastisme et vous comprendrez quel rôle doit, à mon avis, remplir le médecin , quand on lui demande une sortie. - M. RITTI.
ande la sortie d'un de nos malades, nous ne sommes pas experts mais médecins traitants, ce qui nest pas la même chose. Or,
ignalé par M. Legrain, on n'a nullement tenu compte de l'opinion du médecin . Il manque la contre expertise à l'examen médic
as et que le magistrat tient ou ne tient pas compte de l'opinion du médecin et ne doit lui-même compte à personne de son ju
une préface par le Dr FINKELN- bourg. Cette brochure appuyée par un médecin a reçu la plus grande publicité. A priori, il e
s connaissent pas et qu'ils ignorent qu'il arrive assez souvent aux médecins de mettre en liberté des malades pour simple ca
CIÉTÉS SAVANTES. 401 . Feldmann n'est pas sain d'esprit; les autres médecins suisses qui - ont attesté cela, ne sont nulleme
de l'Allemagne ont fondé une nouvelle société. Appel a été fait aux médecins des asiles de la Poméranie, de l'ouest et de l'
rsonnel, c'est fort bien, mais cette surveillance incombe moins aux médecins (proposition de M. Sommer au con- grès de Carls
plus intéressantes, qui ne peut man- quer d'attirer l'attention des médecins qui se livrent spécialement 'à l'étude des mala
éritent, elles aussi, d'être mentionnées, Celles présentent pour le médecin praticien des indications utiles à connaître.
iques en Suisse, en Allemagne et en Autriche; par le Dr P. Sérieux, médecin des asiles de la Seine. Rapport de mission mé
le. L'appel à une participation plus effective du service actif des médecins adjoints inutilisés vient comme corollaire de l
quiroldel'asile de traite- mentpourles aliénés aigus curables où un médecin traitant nepour- rait être chargé de plus de 1S
urabilité de la folie est répandue dans le public et même parmi les médecins ; en conséquence, tous les établisse- ments des
aliénés sont-ils entassés par centaines dans des asiles où un seul médecin ne peut 412 asiles d'aliénés. les visiter cha
faire quand il s'agit d'une maladie céré- brale ? De même que le médecin de la famille, en cas de maladie infec- tieuse,
adresse un rapport au service sanitaire, rapport d'après lequel un médecin spécial vient s'enquérir du cas et indiquer les
e, en cas de maladie cérébrale, un rapport devrait être fait par le médecin ordinaire de la famille, et un médecin spéciali
ort devrait être fait par le médecin ordinaire de la famille, et un médecin spécialiste viendrait immédiatement examiner le m
i appartiennent à un asile d'aliénés, aussi bien au directeur qu'au médecin , de faire tous leurs efforts pour améliorer le
est nommé directeur de l'asile d'Auch. M. le Dr Boiteux est nommé médecin en chef de l'asile de Clermont (25 mars). M. le D
DIVERS. 415 Dépêchez-vous donc, je suis pressé. -Qu'avez-vous Un médecin , un médecin, je veux un médecin. Etes-vous blessé
Dépêchez-vous donc, je suis pressé. -Qu'avez-vous Un médecin, un médecin , je veux un médecin. Etes-vous blessé, souffran
c, je suis pressé. -Qu'avez-vous Un médecin, un médecin, je veux un médecin . Etes-vous blessé, souffrant ? Non, c'est pour
blessé, souffrant ? Non, c'est pour mon frère. Allez chercher un médecin de quartier, nous n'y pouvons rien. Mais si, tene
il, était atterré. Vous voyez que je dis la vérité et qu'il faut un médecin pour constater le décès. Le directeur de l'hôpi
n d'asile public pour le Lot et la Dordogne, offre une situation de médecin en chef. L'entrée en fonctions est pour le 1er
ARTIERS ' D'UN ASILE D'ALIÉNÉS ; Par le D' MARANDON DE MONTYEL, Médecin en chef de Ville-Evrard. La Seine va construire
population; choix de l'emplacement; murs de clôture; habitation des médecins , du directeur, etc.; logements du personnel sec
haitons que, dans chacun des trois autres asiles, il se trouve un médecin qui veuille bien se charger également de ce soin.
IQUE. DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE ' ; Par le D' J. VOISIN, médecin de la Salpêtrière; et RAYMOKD PETIT, x interne
erminante sera pour cela nécessaire. Il est évidemment difficile au médecin de prévenir et d'em- pêcher la prédisposition.
me reste à signaler le très intéressant travail du D1' P. Guyenot, médecin attaché à l'établissement thermal d'Aix-les-Bains
ion spéciales ce qui fait qu'elle n'est pas à la portée de tous les médecins . Il en est de même pour l'emploi thérapeutique
qui touche l'absence ou l'existence de l'hétérophorie,. tant qu'un médecin absolument familiarisé avec les méthodes les pl
on absolue par un traitement ophtalmologique : mais le malade et le médecin peuvent d'ordinaire espérer avec une certaine c
Les objections que font parfois, même en présence des malades, les médecins à l'emploi de la ténotomie progressive des musc
110 L'auteur estime qu'on aurait grand tort de laisser croire aux médecins , et, par leur intermédiaire, aux gens du monde qu
son premier ouvrage, ayant trait à ses visites. Il fut alors nommé médecin visitant à la maison de retraite d'York et au dis
'Inté- rieur, à partir du 24 janvier, d'après l'avis des directeurs médecins du pays; il correspondrait tout à fait à l'état
un double désavantage : f les rechutes sont plus fréquentes; 2° les médecins , sans autorité effective, perdent toute initiat
tive, perdent toute initiative, deviennent de véritables em- ployés médecins , accomplissant machinalement leur besogne comme
de l'Etranger. Aussi croyons-nous devoir faire un nouvel appel aux médecins 1,'i-tzitcais. Le Progrès médical sera très heu
oir de nouvelles souscriptions, afin d'arri\er à faire à l'illustre médecin de la Salpû- trière un monument digne du corps
Bowditch. Comme le montre la liste ci-dessus, la participation des médecins étrangers à la souscription Charcot est des plu
e d'examen à l'étude des malades en dehors des salles communes. Les médecins habitent près de la salle de sur- veillance ce
me s'il s'agissait d'un accouchement. En toute clinique, il faut un médecin par dix à douze malades. La clinique de Wurzbou
immédiatement utile. La salle de surveillance est acces- sihle aux médecins par quatre côtés; il y circule toujours un méde-
s de ce livre que MM. Meige et Battaille étudient en artistes et en médecins . Ils reproduisent et analysent plusieurs de ces
rrzal of insarzit, 18rJ4.) E. B. FAITS DIVERS. Attentat contre un médecin IILITII2T;. On écrit de Constan- tine que 11m°
IILITII2T;. On écrit de Constan- tine que 11m° Servelle, veuve d'un médecin militaire, poursuivait M. Charvot, médecin prin
1m° Servelle, veuve d'un médecin militaire, poursuivait M. Charvot, médecin principal, chef de l'hôpital militaire de Cons-
Alcoolisés, hôpital d ? par Rouby, 212. Alcoolisme, attitude des médecins dans la question de l' -, par Smith, 225. A
53 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
escence. ASILE D'ALIENES Le projet de concours spécial pour les médecins des asiles de la Seine. Summum Jus, summa Inj
njuria. Par le D' E. COULONJOU Ex-chef de clinique il la Faculté, médecin des asiles publies d'aliénés. Il est probable q
de dénommer cela un acte de justice. Or, dans notre corporation des médecins d'asiles, compo- sée plus que jamais d'éléments
de fond que l'on peut faire au projet de concours spécial pour les médecins des asiles de la Seine ; ces choses ont été dit
ncours d'internat ; 6° l'existence d'un concours spécial pour les médecins de Bicêtre et de la Salpêtrière (glissons sur Cha
? deux : 1° la séparation des fonctions du Directeur de celles du médecin , permettant à celui-ci de rester homme de scien
ose : et voilà pourquoi votre fille est CONCOURS SPÉCIAL POUR LES MÉDECINS DES ASILtt- 3 el muette ! Si, après cela, vous
ant que les aliénistes de la Seine, désireux d'être as- similés aux médecins des hôpitaux, n'aient point admis, dans leur so
pas. Et puis, ils en reçoivent beaucoup : 3.600 pour 5 asiles et 23 médecins , ce qui fait en moyenne 156 malades par médecin
our 5 asiles et 23 médecins, ce qui fait en moyenne 156 malades par médecin ! Ils en font sortir beau- coup : 1.500 par an,
! Ils en font sortir beau- coup : 1.500 par an, ce qui fait 65 par médecin ! Ne voilà-t-il pas bien ce « mouvement de popu
dérable. Ainsi je trouve, pour 1904 : CONCOURS SPÉCIAL POUR LES MÉDECINS DE LA SEINE. 37 analogue. En vérité, je vous le
ic). » Est-ce que les concours de l'A. P. sont ouverts à tous les médecins ? Et puis, il ne fallait pas nous montrer ce souc
a pas favoriser ceux qui ne lui ont en- CONCOURS SPÉCIAL POUR LES MÉDECINS DES ASILES. 39 core prêté aucun concours ou ceu
e, à l'occasion du ré- cent Congrès qui s'est tenu à Rennes par les médecins aliénistes et neurologistes, a appelé mon atten
tion sur un projet de con- cours spécial proposé récemment pour les médecins des asiles de la Seine, qui aurait pour résulta
s asiles de la Seine, qui aurait pour résultat la séparation de ces médecins du corps médical de ces asiles tel qu'il est co
uelle- ment. - Cette proposition ayant t j u4eiiieii t éiiiii les médecins des asiles, je crois devoir vous faire connaîtr
ure s'impose d'autant plus qu'après l'expérience du recrutement des médecins des asile» par les con- cours d'abord régionaux
la plus heureuse, le per- sonnel médical eny introduisant de jeunes médecins travailleurs, entraînés aux recherches de labor
éterminées, en un mot, d'un programme de vie précis, suggéré par le médecin , mais accepté et suivi aveuglément par le malad
ion curative psychique incontestable, mais avant de les utiliser le médecin ne devra jamais oublier qu'elles dif- fèrent pr
mena triomphalement au cabinet des consultations médicales. Mais le médecin de ce cabinet ne parut pas partager l'enthousias-
a maîtrise de soi. Intelligence elles les mainaau.v. : 11. Minette, médecin vétérinaire à Compiègne, rapporte des SOCIÉTÉ
st ajouté d'autres, ethniques ou familiales écrites par des savants médecins , pour compléter les livres saciés, mais ces der
explique la mort par un arrêt du destin ou, par l'impureté soit du médecin , soit du malade (ivrognerie ou vénération insuf
préjugés régnant encore chez nous - et dans le public et parmi les médecins - relativement aux questions psychiatriques ; a
ervices considérables à de nombreuses catégories de lec- teurs. Aux médecins praticiens il donne des descriptions claires de
erver et les traiter. Pour les débutants en médecine mentale, les médecins des prisons, les médecins des armées de terre et
ur les débutants en médecine mentale, les médecins des prisons, les médecins des armées de terre et de mer, les magistrats e
énentérie infantile. Jean ABADIE. VARIA Concours pour l'emploi de médecin adjoint DES asiles PUBLICS d'aliénés Le minis
les, en exercice dans les facultés de l'Etat ; 3°Trois directeurs- médecins ou médecins en chef d'asiles publics d'aliénés ou
rcice dans les facultés de l'Etat ; 3°Trois directeurs- médecins ou médecins en chef d'asiles publics d'aliénés ou de la mai
Charenton ; - 40 Enfin, un juré suppléant pris parmi les directeurs médecins ou médecins en chef des mê- mes établissements.
- 40 Enfin, un juré suppléant pris parmi les directeurs médecins ou médecins en chef des mê- mes établissements. Tous les
hoisis dans des facultés différentes. Les directeurs-médecins elles médecins en chef devront eux-mêmes être pris dans des ét
t à partir du jour de l'installation efl'ec- VARIA. 77' Live du médecin adjoint que commenceront à courir ses services.
asse pourront être accordés par le ministre savoir : aux directeurs médecins et médecins en chefs, après trois ans de stage,
t être accordés par le ministre savoir : aux directeurs médecins et médecins en chefs, après trois ans de stage,au minimum d
après trois ans de stage,au minimum dans la classe inférieure ; aux médecins adjoints après deux ans au minimum, dans la cla
obre 1894 et 14 août 1905, les cadres et traitements des directeurs médecins , médecins en chef et médecins adjoints des asil
et 14 août 1905, les cadres et traitements des directeurs médecins, médecins en chef et médecins adjoints des asiles l,ublic
cadres et traitements des directeurs médecins, médecins en chef et médecins adjoints des asiles l,ublics d'aliénés ont été ét
Védie, néà Rouen-ce qui n'est pas très éloigné du Havre - fils d'un médecin aliéniste (1), aliéniste lui-même, « auteur de
ment de M. Lesvier, nommé directeur hono- raire. M. le Dr Marchand, médecin adjoint à Blois, est nom- mé à la classe except
nom- mé à la classe exceptionnelle du cadre. M. le Dr \IONESTIER, médecin en chef à Aix (Rouches-du-Rhône), est nommé, en l
le Dr FENAYROU, médecin-adjoint à Jaugeât (Haute- Vienne, est nommé médecin un chef à Aix (Bouches-du-Rhône). M. Sigismond
; le 1>^ ""dit' fil ? candidat, a élé longtemps, croyons- nuus, médecin de l'asile Saint-Luc, il l'au.' 1. 80 bulleti
tion de notre excellent collaborateur, M. le DrMarandon de Montyel, médecin en chef de Ville-Evrard, au grade deche- valier
assistance publique ; - RaI" port il l'occasion du XIII'Congres des médecins aliénistes de France; - Visite de la section de
ique accueillit les paroles du maître avec enthousiasme. Tous les médecins se mirent à hypnotiser les malades ; néan- moin
jourd'hui que le traitement doit être appro- prié à l'individu, les médecins n'ignorent plus que le som- meil hypnotique ne
racontent, en Lithuanic, que le Dr Joseph Siemaxzko fut un célèbre médecin . Après avoir émis ces quelques idées générales,
DE FAITS Un cas de myotonie congénitale ; Par le lo Fi'. IEEl ? Médecin de la colonie de Ghl'I'I. Jas eu l'occasion d'e
'OTUN11 : CONGENITALE. 109 de ce malade qui était venu consulter le médecin , unique- ment pour avoir un certificat d'exempt
f- il) Des renseignements sur la famille m'ont été fournis par le médecin de la commune où demeure le malade. 110 RECUE
d'exemption du service mili- taire, il n'aurait jamais consulté un médecin . Système musculaire. Les muscles sont bien déve
QUE MENTALE Mal perforant et paralysie générale : Parle Dr MARIE, médecin en chef il el 1(- 1)\I.ollin PELLETIER, interne
. Roubinovvitch. Les renseignements proviennent d'inspec- teurs non médecins , mais cependant susceptibles de voir si les par
sans flatterie, sans réticence. Ce livre char- mera et instruira le médecin . Skoda et surtout' Oppolzer semblent avoir exer
ldhernyeb Léo Thun considéraient que Skoda éi a1L apte a former des médecins penseurs plutôt que des praticiens, c'est pourq
ymorphe dans .ses manifestations, mérite d'at- tner l'attention des médecins militaires au double point de vue, de la diffic
sion devra être éclairée par les connaissances psy- chiatriques des médecins militaires, connaissances qui au- ront leur max
Asiles d'aliénés. Mouvement de janvier 190G.- )1. le I)1' Leroy, médecin adjoint il Evruux, nommé médecin adjoint du l'a
janvier 190G.- )1. le I)1' Leroy, médecin adjoint il Evruux, nommé médecin adjoint du l'asile des aliénés de Ville- 1 ? -r
énés de Ville- 1 ? -rarcl(Seine-et-Uise, poste crue. M.le D1' Wahl, médecin adjoint à Auxerre, promu à la classe exceptionn
et à l'éducation des idiots et des imbéciles, particulièrement les médecins et les instituteurs, sont invitées à participer
evaliers de la Légion d'hon- neur. : \1. le Dr Marandon du Montyel, médecin en chef du l'asile d'aliénés de le nI' Hitti, m
n du Montyel, médecin en chef du l'asile d'aliénés de le nI' Hitti, médecin du quartier des dames de la'maison Nationale de
3 décembre 1905, : \1. Le ? ), doclctiren médecineà Anvers, est nommé médecin de l'asile pour femmes aliénées indigentes et p
903, 1\1. le laiLro I(;h.) docteur en médecine à LI'I1ze, est nommé médecin de l'asile pour hommes aliénés, pensionnaires é
vre la porte, elle sort latrie des couvertures et, ayant reconnu le médecin habituel, elle se cache immédiatement a nouveau
nnel secondaire des asiles d'aliénés ; Par le D' Lucien LAGRIFFE, Médecin des asiles publics d'aliénés. La nouvelle loi m
llants, les infirmiers et les gardiens devront être agréés par « le médecin en chef : celui-ci pourra demander leur révocatio
la bonne marche des services de l'établissement. Le directeur et le médecin ne pou- vant être partout au même instant doive
alade. Mais combien de fois la pers- picacité des directeurs et des médecins n'a-t-elle pas été et n'est-elle pas surprise,
ce choix nous paraît d'abord enlevé désormais aux directeurs et aux médecins respbri- sables,lesquels ne pourrontmême plus q
menage et intercaler des périodes de repos dans le traitement. Le médecin doit réunir certaines qualités nécessaires qui lu
i, huit jours avant la (la lu fournie par le calcul ut l'examen. Lu médecin nu devra passé- loigner du l'accouchée avant qu
(1). K. ÀUBRY. NÉCROLOGIE Dr VERNET Le l> Constant Vernet, médecin en chef du service des hom- mes de l'asile de M
sile de Maréville, le sympathique secrétaire général du Congrès des médecins aliénistes et. neurologistes tenu il Nancy un 1
llaréville, le Dr Stoehrl', secrétaire général de l'Association des médecins de Meurthe-et- Moselle, enfin le 11'' Paris a a
ecin-adjoint l'asile de Pau, médecin- directeur de l'asile d'Aucli, médecin en chef à l'asilu de )(¡U'I\- ville, mon collèg
spice du Saint -Jacques, consacré aux aliénés, dont son père était, médecin un chef. Après avoir été externe de Charcot, il
successivement médecin-directeur de l'asile de rél'ot'me ll"Iseurr, médecin en chef de l'asile du Mans (ISw; Illt(IPClt1-&l
e du Mans (ISw; Illt(IPClt1-<Ill'('CLelll'd l'asilo Ue Moulins ; médecin en chef du l'asile Saint-Pierre à Marseille où
'asile Saint-Pierre à Marseille où il vient du mourir. C'était un médecin habile ut très dévoué à sus malades, cher- chan
i"I'), nommé à la 1re classe du l'a(II'(" I. lu 1) : llembnrt,(oet, médecin en chef non installé à saint-llin, pst nommé mé
llembnrt,(oet, médecin en chef non installé à saint-llin, pst nommé médecin en chef à Marseille, en remplacement du D" ,Iol
Nauguat Hall te- Yiel1lw) en relliplacement du 1), Ferravrou, nommé médecin en chut à lia (BolIl'hrs-dll-Hhollei. )l. 1LY I
e), porté à la classe exceptionnelle du cadre. .\f. le Dr Vmouroux, médecin en chef à l'asile d'aliénés de Vauclusu, porté
1re classe du cadre. Mouvement de mars 1000. - NI. le 1)" Jolrniac médecin un chef l'asile du Saiii4 (.lui-a).. ust nommé
1)" Jolrniac médecin un chef l'asile du Saiii4 (.lui-a).. ust nommé médecin en chef à l'asile du llarscille, en remplacemen
Gilbert Petit, décédé (voir page 3fj). le 1) S\ : >;TE1\O ! SE. médecin adjoint Il il Dijoll ¡CÙte-ll'()l'l, e1 nommé m
;;TE1\O ! SE. médecin adjoint Il il Dijoll ¡CÙte-ll'()l'l, e1 nommé médecin eu chef à Saint-Ylie ¡.IUI'al t'1l1'em]Jlaoemen
ité, à Dijon, un l'emplacement de.\1. le Dr Saii[eiioi>(-, promu médecin un chef à Sainl- Ylit., - Il- Il' t : HAI\UEI.,
. M. le 1)1' .\1.1. U ! lN, médecin-adjoint à Marseille. ust nomnié médecin en chef du l'asile d'aliénés de Sainl-Roburl Il
lu D1' LEVET, médecin-adjoint à Bassons (Savoie), est nOI11 Il HO, médecin en chef à : \iv /Ilurwlu·-rlo-Illtfm) nn l'I'll1p
ât de Fortunié, médecin-adjoint : 1 BaillClI1 ( : \'01'\11. ('I nommé médecin adjoint ;'1 Al'I11Cnlii'I'I ? (Nord), poste ccé
1 Al'I11Cnlii'I'I ? (Nord), poste ccéé. .\1. h. ! Jr IJunoURDIF.UX. médecin un chef a Siiinl-Roburl (Isère), est nommé llil
dation Vallée (210) pour les filles. Depuis plus d'un siècle, les médecins se sont de plus en plus intéressés à ces malade
LE Folies traumatiques et accidents du travail ; Par le D' MARIE, médecin en chef des Asiles. Ayant réuni avec mes collab
nsidérable depuis la loi de 1898 sur les ac- cidents du travail. Le médecin est, en général, appelé clans les circonstances
L. 307 attribuée à ce traumatisme. Or cotte question exige que le médecin connaisse la pathogénie et le pronostic des tro
M. le ministre de l'Intérieur, M. le docteur Bou- hila a été nommé médecin en chef honoraire des asiles publics d'aliénés.
ur à la faculté de mé- decine de Bordeaux ; le Dr Giraud, directeur médecin à l'asile de Saint-Yon ; le \)1' Dubuisson, dir
cteur médecin à l'asile de Saint-Yon ; le \)1' Dubuisson, directeur médecin à l'asile de Rracqueville (Haute-Garonne) ; le
médecin à l'asile de Rracqueville (Haute-Garonne) ; le Dr Sizaret, médecin en chef à l'asile de Saint-Méen. - Membre suppl
à l'asile de Saint-Méen. - Membre suppléant : le Dr An- theaume, médecin de la Maison nationale de Charenton. Questions
publique. Asiles d'aliénés Mouvement d'avril. - M. le Dr Thivet, médecin en chef il r.lel'l1lOnt (Oise), nommé à la 1 rc
ment du Dr Caprin, nommé à l'asile de Dijon. - M. le 1)'' OHHARUEL, médecin en chef à l'asile de Maréville, promu à la 2e c
ntés. L'Académie accorde une mention honorable à M. le Dr Toulouse, médecin en chef de l'asile de Villejuif : Ensemble des
Prix Charles BOlllta1'd, 1.200 francs. Ce prix sera décer- né au médecin qui aura fait le meilleur ouvrage ou obtenu les
de l'Académie de médecine. Hommage au 1)1' Magnan. Le D,MAGNAN. médecin de l'Asile Clinique (Sainte-Anne), membre de l'
Paris. Les Secrétaires du Comité : Docteurs S. Lwoff et P. Sérieux, médecins des Asiles d'aliénés de la Seine, Neuilly-sur-
eyzieu ; COUI2JON (A.), externe des hôpitaux de Lyon ; le Dr DEVAY, médecin en chef de Saint-Jean-de-Dieu, Lyon ; ])'UPO-4'
édecin-directeur de la maison de santé de lleyzieu ; le Dr LEGRAIN, médecin en chef des asiles de la Seine, membre du Conse
e l'assistance publique ; Rapport à l'occasion du XIII" Congrès des médecins aliénistes de franco ; Visite de la section des
raitement des maladies nre·ztales.ItaltporL présenté au Congrès des médecins alié- llisles et, neurologistes tenu à Rennes d
Folies traumatiques et accidents du travail ; Par le D'A. MARIE, médecin en chef des Asiles (1). Deux cas observés dans
que la guérison sera certaine et durable Bien téméraire serait le médecin qui se montrerait affirmatif. Quelle que soit l
lle il sera possible d'en connaître le résultat définitif; 1 « Le médecin auquel on pose des questions d'une sem- blable
onse est impossible. » Cependant il faut répondre. Le rôle d'un bon médecin consistera à trouver pour réponse tout ce que s
angères à la médecine. Il montrera la ncessité de commissionner des médecins qualifiés et des psychiatres dans l'espèce. [V.
de vue médico-légal spécial. Enfin, un dernier point de vue que les médecins prati- ciens et les administrations hospitalièr
nce. Ceux-ci. dans les cas d'accidents ordinaires, sont payés aux médecins comme aux établissements d'assistance par les c
ngitiques ; on y rencontre certains signes qui ne trom- pent pas un médecin exercé, troubles digestifs, arythmie du pouls,
s lésions circonscrites qui peuvent s'atlénuer et même guérir et le médecin doit,dès ledébut,installer une hygiène rigoureuse
critique sur le tabes infantile juvénile; par ? ID1. Edgard Hirtz, médecin de l'hôpital Necker, et Henri LED1AIRE, interne
Saint- Ylie, est promu à la 2e classe du cadre ; M. le D.JOURNI.4C, médecin en chef cle l'a- sile des aliénés de Marseille,
le, est promu à la classe exceptionnelle du cadre ; M. le Dr Hamel, médecin il Auxerre, promu à la 2" classe du cadre. - En
ecine légale à la Faculté de médecine de Paris, l'Associa- tion des Médecins Légistes de l'Université de Paris, du 18 mai 19
cidé d'ouvrir une souscription à laquelle pourront prendre part les médecins légistes et les médecins experts de France et d
ption à laquelle pourront prendre part les médecins légistes et les médecins experts de France et de l'étranger et tous ceux
de Bicêtre en fournissent la démonstration. B. Seizième congrès DES médecins aliénistes ET neurologistes DE France ET DES pa
e de s'adresser au Secrétaire géné- ral, Dr C. CHOCl&#x152;AUX, médecin en chef de l'asile public d'alié- nées de Laill
de l'assistance publique Rapport il l'occasion du XIII' Congrès des médecins aliénistes de- France ; Visite de la section de
ui se compliqua de rhumatisme articulaire, puis d'iritis double. Le médecin oculiste qui l'a soigné alors affirme qu'il s'a
Con- seiller aux familles, comme le font malheureusement trop de médecins , d'attendre ? ans, puis 12 ou 13 ans avant de c
des résultats incontestables. (1) Nous sommes il la disposition des médecins , des éducateurs, tous les samedis à 9 1. 1/2 à
es ou des hôpitaux £ ordinaires. Les efforts de tous, y compris les médecins , doivent viser à établir la sympathie entre eux
, dans le premier mois de chaque semestre, vous devez recevoir du médecin de l'établissement, sur chaque personne ainsi pla
par un tiers, et si à cette de- mande est joint. « un certificat de médecin consLatant l'état men- tal de la personne à pla
e l'y tenir renfermée » ; à la vérité, 506 ASILES D'ALIÉNÉS. ce médecin ne peut être parent ou allié, au second degré inc
at médical qui a motivé celle-ci, en même temps qu'un certificat du médecin même de l'établissement ; d'autre part, que si
a pu être prononcée. Cette décision est indé- pendante de celle du médecin de l'établissement, prévue- à l'arti- cle 13, c
le préfet peut, de sa propre autorité, s'il juge la décision de ce médecin contraire au droit humain, ordonner la sortie i
t recueillies avec les déclarations antérieurement produites par le médecin ou le directeur médecin de l'établissement, et,
éclarations antérieurement produites par le médecin ou le directeur médecin de l'établissement, et, selon votre conscience,
hant une particulière importance aux informations présentées par le médecin de l'établissement, mais sans les tenir pour dé
e enquête ap- profondie sur les cas qui paraîtront douteux. Aucun médecin ne Se plaindra d'une telle enquête; elle n'est
ment la nécessité de réunir les fonctions de directeur et celles de médecin dans tous les asiles d'aliénés et exprime le vo
n existe à l'étranger. J. A$ : 1DIT. VARIA Seizième congrès DES médecins aliénistes DE France ET DES pays DE langue fran
ents, prière de s'adresser au Secrétaire général : U' G. CHOCREAux, médecin en chef de l'Asile public d'aliénés de Bail- le
rie : Les aliénés dissimulateurs. - Rapporteurs 11. le Dr De lloor, médecin en chef de l'hospice Guislain, à Gand et M. le
decin en chef de l'hospice Guislain, à Gand et M. le D'1)ucliateau, médecin de la Maison de santé pour femmes, à Cane. b)
'Ecole d'enseignement spécial de Bruxelles, et M, le 1)" Boulenger, médecin adjoint de l'Asile d'aliénés, au Fort .laco, il
. Envoyer les adhésions à )1. le 1)'' llassaut, secrétaire général, médecin directeur de la colonie d'aliénés de Lierneu. L
administratif de l'asile de Ditry- lès-A miens, par le D' Ciiaron, médecin en chef directeur. In-8" de ti3 pages. Librairi
BLE DES MATIERES. 515 Concours. Le projet de spé- cial pour les médecins des asi- les de la Seine, par Coulon- jou, 32
un idiot épileptique, par Ilamel, 22 ? Marabouts. Voir Aliénés. Médecins des asiles. Voir Con- cours. Médecine. La psy
54 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
la TOURETTE PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE PARIS MÉDECIN DES HÔPITAUX ALBERT LONDE DIRECTEUR DU SERVIC
pas encore assez répandue dans vos classiques et dans l'esprit des médecins : je l'énon- cerai ainsi : Une paralysie grave,
erreur de diagnostic est commise encore très fréquem- ment par des médecins qui ne se sont pas tenus au courant de l'évolutio
des névrites multiples. Elle a été commise, en particulier, par le médecin qui nous a adressé le malade que je vais vous p
éder, et l'amélioration est allée en augmentant de jour en jour. Le médecin qui l'avait soigné lui avait prescrit des purgati
éralisée, et cela se voit surtout dans les cas où l'intervention du médecin a été trop tardive ou mal dirigée. Non seulement
RME FRUSTE AVEC ATROPHIE MUSCULAIRE PAR Et E. NOGUÈS J. SIROL Médecin directeur Médecin adjoint de la Maison de Santé
ATROPHIE MUSCULAIRE PAR Et E. NOGUÈS J. SIROL Médecin directeur Médecin adjoint de la Maison de Santé pour les Maladies
e moment, que ses jambes avaient diminué de volume. Il consulta son médecin qui l'envoya à Lamalou. Il trouva dans cette stat
clinique ophtalmologique de M. le professeur Badal par M. Cabannes, médecin oculiste des hôpitaux : il a donné les résultats
al n'était pas de sa compétence. Sur cette mystérieuse épidémie les médecins restèrent très sobres de remarques. Mais des pe
est humaine, elle est bien- faisante. C'est surtout à l'égard des médecins que le peintre et le comédien nous apparaissent
e crois qu'il ne s'agit pas seulement d'une réminis- cence, car les médecins de Steen, tout comme ceux de Molière, ne sont pas
, pour les besoins de la comédie, il faut convenir qu'à l'égard des médecins , il n'avait pas à se mettre en grands frais d'in-
e but que Molière. Il ne tient pas à souligner les ridicules de ses médecins . Il lui suffit de les indi- quer ; il laisse au
p plus fine. Il s'en dégage une franche impression de vérité. Les médecins de Jan Steen ne sont pas tous nécessairement grot
abit que les Filerin, les Tomes, et les Des-- fonandrès, de l'Amour médecin . Pareillement, les jolies malades que ces plais
ir son docteur. Le voici près d'elle. C'est un vieux brave homme de médecin , blanchi par une rude pratique, n'aimant point
serais fort surpris s'il n'existait pas quelque part une manière de médecin qui me remplacerait avec avantage. . » Laissons
uvrir, fût-ce en présence d'une dame, c'est la pire des fautes : un médecin sans chapeau n'a plus aucun prestige. Il ne sal
vure Hansstaengl. MAL D'AMOUR Tableau de JAN STEEN, intitulé Un médecin rendant visite à nue malade au Musée royal de l
la jeune alitée enverrait volontiers à tous les diables médecine et médecin . Au demeurant, celle scène intime n'éclaire guè
nsemble en est séduisant. La figure de la malade est expressive. Le médecin a du décorum, et la femme qui présente le breuvag
afon de cristal. Auprès du lit, une chaise et un vase de nuit. - Le médecin ne doit-il pas tout voir ? Par terre, un réchaud
er ? Nullement. A peine s'est-elle rendu compte de l'arrivée de son médecin ,et ce dernier pourtant n'est pas de ceux qui pas-
son nom l'indique, servait à recueillir les urines du malade, dont le médecin exami- nait la limpidité, la couleur, etc. Les
vure Hansstacngl. MAL D'AMOUR Tableau de Jan Steen, intitulé Un médecin t7tant le pouls à une jeune fille au Musée roya
t à l'unisson. (, Serait-il vrai, Madame, que vous ayez mandé votre médecin ? En vé- rité, je vous croyais bien à l'abri de
rave. Jean Steen nous le fait entendre finement. Car, tandis que le médecin s'empresse auprès de sa jolie cliente, der- riè
urire. Les grands mots ne la déconcertent pas. « Allez, monsieur le médecin , débitez votre boniment, tatez le pouls, consulte
us rassure sur les dangers que court la malade, nous apprend que le médecin n'est pas doué d'une grande perspicacité, ce dont
souffre, et ce mal mystérieux qui la fait tant languir, mal dont le médecin cherche en vain la cause, et dont la camériste
uire Hansstaengl. MAL D'AMOUR Tableau de JAN Steen, intitule Un médecin tâtant le pouls d'une femme malade à l'ancienne
n n'est plus attristant que le regard éploré qu'elle dirige sur son médecin . « Ah ! Docteur..... C'en est fait de moi. Je m
Hollandaise est encore une victime du Mal d'amour. Et ce mal a ses médecins qui ne portent bonnets ni rabats, mais longs ruba
oujours a cédé au même remède ; toujours aussi, il a déconcerté les médecins et s'est gaussé de leurs médecines. Le Mal d'am
chants contrariés. Leur mal est à la fois physique et psychique. Le médecin ne saurait s'en désintéresser. Mais, avant d'
E. BRISSAUD Professeur agrégé à la Faculté de Médecine de Paris, Médecin de l'Hôpital Saint-Antoine. Messieurs, Beauco
prévue, celle des segments radiculaires, ou 1'J¡i : : o- mères. Aux médecins maintenant incombe une tâche analogue, il s'agit
AVEC AUTOPSIE par GILLES DE LA TOURETTE Professeur Agrégé, médecin de l'hôpital St-Antoine ET G. DURANTE Chef
releva, toute cette région était considéra- blement tuméfiée et un médecin consulté constata l'existence d'une luxation de
placement, mais plutôt une luxation extra ou sous-coracoïdienne. Le médecin l'a réduite assez facilement, sans anesthésie,
A PARALYSIE ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ \ PAR A. SOUQUES Médecin des hôpitaux. ET J. CASTAIGNE Interne des h
ravail sur la paralysie du grand dentelé, paru dans le Moniteur des médecins tchèques en 1896, M. J. IIN.\TEK, qui nous a obli
t tous de la même façon, d'une affection déclarée méningite par les médecins traitants, ayant une durée de 20 à 25 jours, se c
TRÈS LONG TERME 223 de trois semaines ; le diagnostic porté par le médecin fut celui de ménin- gite. Depuis lors, et à 5
, et de vomissements, qui avaient persisté une dizaine de jours; le médecin appelé avait diagnostiqué une méningite ; l'enfan
. On pourra objecter que le diagnostic dut rester hésitant pour le médecin qui n'a pas observé les symptômes nerveux qui o
). LE MAL D'AMOUR (Suite). PAR HENRY MEIGE. II « Un grand médecin de Montpellier, un des maîtres les plus éminents
née, a mérité de ses contemporains le gracieux et bizarre surnom de Médecin de l'Amour... « Il a aimé l'amour, il l'a cha
re : botaniste éminent, clinicien expérimenté, nosologiste célèbre, médecin répandu, professeur suivi, il a été universelle
iote, son ancêtre par alliance, qui fut, sans con- tredit, l'un des médecins les plus distingués du siècle précédent. Pour c
ître le Mal d'Amour, on ne saurait mieux faire que de s'adresser au Médecin de l'Amour lui-même. Demandons-lui donc de nous
licence. Elle avait pour titre : Dissertatio medica (1) Ghasset, Le Médecin de l'Amour au temps de Marivaux, Etude sur Dossie
ant, il se révèle exégète avisé, fin ob- servateur, et; avant tout, médecin . Précurseur des psychologues modernes dans sa c
i- cations, une pathogénie, un diagnostic, une thérapeutique. Les médecins , dit-il, définissent l'amour « cette maladie qui
ément à la réalité. Or, voici la maladie, telle que la dépeint le « médecin de l'amour » : « Une fébricule, tantôt continue
s. On rappelle encore, comme une antique légende, que de très vieux médecins ont au- trefois signalé une sorte d'affection e
s, il avait été franchi. Sous le terme générique de mélancolie, les médecins du XVII° siècle, désignaient toute une série de
it, la « mélancolie hypochondriaque », « le fléau et l'opprobre des médecins . » Mais il existait aussi une mélancolie d'amou
grandes maladies dérivent de l'amour qu'il est étonnant de voir les médecins passer outre à celte mala- die si sèchement (ta
donc que des chloroti- ques ? ..... (1) Constant de HEUECQUE, Le médecin h'rattt;ois Charitable, 1683. - Consulter à ce
cates du co- loris. C'est aussi le symptôme qui, le premier, met le médecin en éveil. C'est celui que les artistes se sont
tistes ont fort bien rendu l'impression générale qui en résulte. Un médecin de Montpellier, Baille, a judicieusement re- ma
de l'objet aimé, la fréquence du pouls ; c'est par ce signe que le médecin de Ptolémée découvrit son amour pour sa belle-m
d'Hérodote dans Caliope. » 236 HENRY MEIGE Aussi voyons-nous les médecins de Jan Steen interroger attentivement le pouls
tracé sphygmographique n'a fait que confirmer l'antique remarque du médecin de Ptolémée. On dit, pour employer la terminolo
permettent d'apprécier les troubles circulatoires. On voit que les médecins des malades d'amour ne négligeaient pas de recuei
avec la chlorose, aussi bien dans l'his- toire que dans l'art. Les médecins et les peintres sont d'accord sur ce point. S
ans insister davantage. Mais écoutez le traitement que conseille le médecin de l'amour : « On prescrira, dit-il, un régime
nts, etc... » ' LE MAL D'AMOUR 239 A ces prescriptions qu'aucun médecin ne désavouerait aujourd'hui pour combattre les
autre mode de traitement, infaillible, souverain : le mariage. Les médecins eux-mêmes n'en faisaient pas fi. La mélancolie
miquié. Et plus loin : « Je vous dis, et vous douze, que tous ces médecins n'y feront rian que de l'ian claire, que votre
) C. de Rrnscecr, cité par Le lIla¡ : uet, p. 132. (2) MOLII\nr, Le Médecin malgré lui, Acte II, Se. II. 240 HENRY MEIGE .
d'amour. Ainsi l'avait remarqué Varandal. Ainsi pense assurément le médecin delà dame ; mais il ne semhle guère ému de la v
moulin. MAL D'AMOUR Tableau de JnN STSCN, intitulé La Visite du Médecin . Musée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg. Mass
de et qui suffit à dissiper toute impression pénible. Un mal que le médecin se permet de rallier ainsi sous les yeux de sa cl
e et corsage vert bordé de cygne, mouchoir (1) N" 89G. La visite du médecin , B. II. 0,62. L. 0,ol, autrefois dans la galerie
doigts de la syncope. Mais ce ne sont encore que des vapeurs. Le médecin ici présent n'en semble nullement alarmé. Solide
- « J'entends, c'est ici que le mal la lient », - et de sa main le médecin montre son coeur; puis en badinant : « Par ma foi
éroger aux lois de la coquetterie. Mais il y a mieux à faire, et le médecin est prêt à appliquer un tout puissant remède.
me raison qu'il n'oublie pas défaire figurer le vase nocturne où le médecin doit inspecter, de visu et odoratu, la qualité de
Loewy. MAL D'AMOUR Tableau de JAN STEEN, intitulé La Visite du Médecin . Collection Nostitz, à Prague. .\IASSON et CI
D'AMOUR 249 La malade elle-même dissimule mal son sourire. Quant au médecin , nous l'avons vu, il ne se gêne guère pour plai
une fenêtre à vi- traux (PI. XXXIX). Mais ici la scène change. Le médecin a terminé son examen et rédige une ordonnance.
Si vraiment la dame est enceinte, il ne serait pas mauvais que son médecin fit un examen sommaire des urines. Peut-être somm
r de Sauvages, au XVIIIe siècle, a mérité le gracieux sur- nom de « médecin de l'amour », Jan Steen, un siècle auparavant, au
ces tableaux se confondent avec ceux que nous avons examinés. 3 Le médecin el sa jeune malade, vente Laperrière (t817), « ta
il se compose simplement de trois figures, la malade, la mère et le médecin ». 2° Médecin tdlarze le pouls à une jeune fill
simplement de trois figures, la malade, la mère et le médecin ». 2° Médecin tdlarze le pouls à une jeune fille, Collection du
e Hollande. Et,sans parler de la plaisante satire qui s'adresse aux médecins , nous avons vu que l'oeil du peintre avait su p
trouve un perroquet, diffère des ac- cessoires traditionnels. Le médecin , un grand diable, dégingandé, débraillé, à l'habi
un fichu hlanc, elle abandonne avec non- chalance son bras droit au médecin qui lui tâte le pouls. Cette attitude nous est
emble mettre en gaîté l'assistance. Le mal pour lequel on amande le médecin n'est pas précisément de sa compétence. Il a be
ristesse de la patiente, aucun sourire ne vient faire diversion. Le médecin prend son rôle au sérieux : il n'est même plus ri
l dont on pleure : sur ce mal il faut nous apitoyer. Aussi, plus de médecins pédants et grotesques, plus de soubrettes au sou-
e des convenances, réprouvant le sans-gène et le laisser-aller. Les médecins s'y montrent à l'unisson. Sont-ils plus pers- p
rdrecht (1649). Un de leurs neveux, David van Hoogstraaten, d'abord médecin à Dordrecht, philolo- gue érudit, devint profes
pieds, un chat est accroupi. Derrière la table, se tient debout le médecin , vêtu de noir, une toque noire sur la tête. Vu
c éloges (-1), émet des doutes sur la perspicacité du docteur. « Ce médecin là, dit-il, n'est pas si subtil que les médecin
té du docteur. « Ce médecin là, dit-il, n'est pas si subtil que les médecins de Jan Steen, et il y a chance qu'il ne devine pa
t il y a chance qu'il ne devine pas la ma die. » . Assurément, le médecin de Van Iloogslraten n'a pas la douce bonhomie n
scopique, telle que la pratiquaient les empiristes du temps. , Le médecin de van Hoogstraten est néanmoins très digne est t
l van Hoogstraten ne pouvait pas oublier qu'il comptait au moins un médecin dans sa famille. C'est encore un fameux urologu
chef-d'oeuvre. Nous y reviendrons avant peu. On a encore de lui un Médecin urologue, à Vienne, dont une réplique existe à
peut y pénétrer sans déranger la régularité du ménage. L'arrivée du médecin se fait aussi sans bruit; il est sûr de trouver
ns le silence, et non sans quelque émotion, la malade attend que le médecin se prononce. C'est une gracieuse petite bourgeo
n docteur parmi les moins âgés de la Faculté. A jeune malade, jeune médecin . Celui-ci est des plus novices; il n'en semble
es emblèmes pédantes- ques. , Voilà bien la tenue qui convient au médecin du mal d'amour. Et, s'il manque à ce jeune doct
BÉNIGNE CHRONIQUE 269 s'y résigner, ne demandant plus les soins du médecin que lorsque les dou- leurs du dos et des membre
mateux vit dans un hiver perpétuel. Il faut attirer l'attention des médecins sur ce point important, afin qu'ils (1) Voir à
t. Toute sa vie, cette malade a été. constipée et dyspepti- que. Le médecin qui l'aurait traitée, il y a trente ans, n'aurait
mésentérique (carreau) ces gros ventres d'enfants. Le jugement du médecin s'égare d'autant plus facilement que certaines
et généralisée de la chevelure doit mettre en éveil l'attention du médecin , d'autant plus qu'on ne manquera pas de lui objec
alades et j'ai pu me convaincre que les faits avancés par le savant médecin anglais sont réels. J'ai rencontré beaucoup d
ÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 287 patientes à ces douleurs incessantes. Le médecin , bien souvent impuis- sant à les combattre, enc
et l'existence de calculs biliaires doivent attirer l'attention du médecin sur la possibilité d'une hypothyroïdie chronique.
s et douleurs hépatiques - à leur cons- tipation invincible, et les médecins les encouragent dans cette manière de voir. Enc
moments de la journée, généralement vers 4 à 5 heures du soir. Les médecins attachent peu d'importance à ces dires du patient
nistration de doses trop fortes décou- rage le malade et effraie le médecin plus qu'il ne le laisse voir. D'où aban- don du
le contraire de tout ce qu'il a jamais entendu de la bouche de ses médecins . Le traitement habituel de l'anémie (l'hypothyr
ps dou- loureux, puis sensible. Vomissements, selles décolorées. Le médecin , avec raison, crut à des calculs biliaires. A
RICHOTILLOMANIE CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX PAR CH. FÉRÉ Médecin de Bicêtre. Les émotions morales et pathologiqu
gros rire qui se commu- niquait à tous les assistants, y compris le médecin . Metzu n'a pas osé traiter la Faculté de façon
de l'élégance qui plaisait tant à Metzu. Tout y est séduisant ; et médecin semblent rivaliser de jeunesse et de grâce. Un
ne font-ils qu'ajouter aux appas de la maladie. Mais que penser du médecin ? Cet élégant aux cheveux bouclés, la lèvre rie
ndit aux eaux de Vichy, vers 1676, Madame deNoailles lui adressa un médecin de Gannat, remplissant, paraît-il, toutes les con
gauche ap- puyée sur sa poitrine, elle abandonne son bras droit au médecin qui lui tâte le pouls. Sur ses genoux un livre
est sévère, tout cela uniquement pour consulter le pouls. Voilà un médecin avec qui il ne ferait pas bon de risquer une plai
cer- veau... ». Voilà le mal. C'est celui de l'héroïne de l'Amour médecin ; on ne niera pas que c'est le mal d'amour. C
de l'Amour médecin ; on ne niera pas que c'est le mal d'amour. Ce médecin de van Mieris est vraiment bien de son temps. On
du satin : Tout cela réuni fait presque... . Ce qu'on appelle un médecin . Tel est le tableau du musée de Vienne. On y vo
enant. Le 346 HENRY MEIGE contraire l'eût été'davantage, tant les médecins d'alors se montraientpro- digues du sang de leu
main droite une sorte de fichu blanc, abandonnant sa main gauche au médecin . Elle est vêtue de couleurs criardes : une robe j
, mince,raide, elle feint de détourner la tête pour ne pas voir son médecin ; mais ses yeux se portent vers lui, avec un regar
se. Car C'eSt tout à fait le portrait d'un certain seigneur Amonio, médecin italien établi à Chettes, dont elle fait le plu
noires qui lui font la plus agréable tète du monde. Voilà mon joli médecin ; il est habillé comme un prince et bon garçon a
ias pédantesque la rendait tellement insupportable que pour devenir médecin des gens de distinction, la pre- mière qualité
ort ce mal que l'amour a causé. Car il n'y a plus à se leurrer ; le médecin a bien vu : la pauvrette est enceinte. Le symboli
eu près de la même façon, quoique d'allure plus licen- cieuse. Le médecin , assis, regarde l'urinai avec un sourire moqueur
temps, tâtant le pouls d'une jeune femme assise; de l'autre main le médecin lient l'urinai dont il examine le contenu. Dans l
lore désoeuvrés d'art, - des chefs-d'oeuvre parfois. La visite du médecin n'était pas une éventualité demoindre importance.
-à-dire il y a 7 ans, elle pré- senta des troubles oculaires que le médecin , probablement avec raison, rattacha à la syphil
nterne. Le gon- flement survint dans la région contusionnée, et les médecins qui l'obser- vèrent alors, diagnostiquèrent une
parenté. Ce sont d'abord les nombreuses peinturée suggérées par les Médecins empiriques, docteurs ès urines, dont toute la s
lait pas plus pour inspirer un tableau à succès. A vrai dire, les médecins urologues ne se bornaient pas à diagnosti- quer
s Pays-Bas, avec un succès d'ailleurs très contestable, a laissé un Médecin de village, aujourd'hui au musée de Prague (1).
la Consultation indiscrète du musée de la Haye. L'éba- hissement du médecin , un vieux savant à barbe grise, l'air à la fois c
soupçonnée d'avoir eu maille à partir avec le mal d'amour. Tel, le Médecin attribué à DAVID TENIERS LE Vieux au musée des Of
ui portent chez l'Empirique la bouteille révélatrice. Exemples : le Médecin de Village du musée de Bruxelles, celui du Sé-
roduisent une visiteuse. Derrière le groupe principal, à droite, un médecin se tient debout et regarde l'urinal. Clignant d
n'y comprend goutte, mais elle a grand res- pect pour Messieurs les Médecins et c'est une fervente de leurs remèdes : une gr
téressante pein- ture. Réalisme dans la maladie et réalisme chez le médecin , l'un et l'au- tre sont de première marque. Q
e couteau, ni sur la poitrine ou les vêtements de la victime. Et le médecin fait défaut. . Un tapis d'orienfjeté sur un meu
en défaillance sur une chaise auprès d'une table. Près d'elle son médecin , qui lui tâte le pouls. Au fond de la chambre,
sonnes de distinction étaient au moins nécessaires, sans compter le médecin . Une d'elles, toute gracieuse et non moins élég
ne imposante cheminée à colonnes surmontée d'un grand tableau. Le médecin , lui, est relégué au second plan. L'inélégance de
une syncope. Ce qui est toujours un inci- dent désagréable pour un médecin . De là vient que celui-ci se tient pru- demment
riment un malaise anxieux qui commande la pitié. La bonne figure du médecin à barbiche grise, l'af- fectueuse sollicitude d
ine « que c'est rigolo » ; elle rit aux éclats pour avoir appelé un médecin « madame ». Elle s'ex- prime au sujet de son ap
t arrêtée au genou. Aucune chute, (1) Voy. C. R. du Il® Congrès des médecins aliénistes et neurologistes tenu à Angers le 4
par là les diagnostics qui sont venus successivement à l'esprit des médecins traitants : phlébite, affection car- diaque ou
E DYSTROPIIIQUE DU MEMBRE INFÉRIEUR GAUCHE PAR , A. VIGOUROUX Médecin de la colonie d'aliénés de Dun-sur-Auron. Nous
ire. (IN CAS DE TORTICOLIS MENTAL PAR E. NOGUÈS, ET J. SIROL, Médecin directeur Médecin adjoint de la maison de santé
TORTICOLIS MENTAL PAR E. NOGUÈS, ET J. SIROL, Médecin directeur Médecin adjoint de la maison de santé pour les maladies
ns dit, peut, sans effort, redresser et maintenir sa tête, celui du médecin ou d'une autre personne, d'après M. Feindel (1)
orrigible hypochondriaque d'Argan, « embéguiné d'apothicaires et de médecins », qui s'entête à persuader aux autres et à lui
hardiesse bien grande, une étrange rébellion d'un malade contre son médecin ! ? » On connaît la tonitruante apostrophe qui
tiquer l'extrême liberté d'allures et le sans-gêne outrecuidant des médecins de son époqne : deux travers opposés qui prê- t
55 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
uets continuent à s'accumuler. Elle se décide un jour à recevoir le médecin , etaprès une attente de quelques minutes pendan
ndant laquelle elle s'informe auprès du domestique, si le visage du médecin lui sera sympathique, et sur une réponse affirm
malgré elle, des blasphèmes ou des paroles injurieuses. Devant le médecin elle dit tout à coup : « Je me fous de Dieu, » «
ession qui pourrait donner prétexte à une idée obscène. Plusieurs médecins avaient conseillé l'éloignement de la famille e
ion où elle ne veut plus recevoir personne. On consulte beaucoup de médecins mais sans suivre leurs conseils. Dès qu'on aper
our la chasser au loin, qu'il ne se permettrait pas de l'adreser au médecin pour qui, ajoute-t-il, il a un profond respect.
e. Il y a du vrai et du faux dans ce qu'il raconte, mais c'est au médecin ,' ainsi que je vous le' disais l'autre jour, à sa
êtait à lire l'observation à M. Charcot, la malade amenée devant le médecin racontait ' tout le contraire.' J'ai trouvé' d'
. En rêve, elle parlait du chien enragé, de la Salpê- . trière, des médecins en tablier blanc, enfin de tout ce qu'elle para
la nécessité de séquestrer un tel individu, félicite vive- ment les médecins qui le soignaient, et proteste énergiquement co
e aux communes, ' M. Gauster en sait quelque chose, puisqu'il a été médecin en chef et qu'actuellement il est directeur-adm
de l'intelligence des asiles dont on confierait la direction à des médecins ; . 2. La Société de psychiatrie et de psycholog
lifié après enquête minutieuse de sa conduite et interrogatoire des médecins commis à cet effet par le tribunal. » Cela ne s
onflit entre lui et la police n'est jamais signalé à l'autorité. Le médecin se gardera bien, puisqu'il n'y est pas tenu par
le-même dans leur personne et dans leurs biens. Pourquoi alors le médecin et la famille se gardent-ils de signaler les al
), il cesse d'être un instrument de traitement. L'administration du médecin est la seule admissible sous certaines garantie
. i M. GAUSTER. Quand on aura fait tomber les préjugés, quand les médecins plus instruits auront éclairé le public, les étab
. Bacon de Veru- lam ne disait-il pas : « ce qui importe le plus au médecin c'est de spécifier les cas incurables qui ont g
proposition en principe, attendra l'achèvement de la publication du médecin commis par le tribunal, M. HINTERs- TOISSER.
rg, écrit sur ce thème un article que je vous engage à lire. Que le médecin ne traite pas devant les magistrats l'habileté
s où sont internés d'office les buveurs doivent être dirigés par un médecin et surveillés par l'Etat, de même que les asiles
uts soumis à l'agrément du gouvernement; ils seront conduits par un médecin accepté par les pouvoirs publics et seront ins-
La procédure de l'interdic- tion exigera le concours obligatoire de médecins spécialistes. Discussion : M. BAER. Appuie sur
s devons nous borner aux points du projet de loi qui intéressent le médecin et ne point nous occuper des autres dispositifs
« L'Etat fondera des asiles pour buveurs; ils seront dirigés par un médecin et surveillés par l'Etat. » Le canton de Sain
euses, présenteront, comme le constate un rapport médico-légal d'un médecin fonctionnaire, un affaiblisse- ment considérabl
ial. Seulement, il est indispensable qu'on le fasse examiner par un médecin spécialiste. La société adopte, à l'unanimité,
esure ne saurait être prise avant qu'on ait entendu un ou plusieurs médecins spécialistes; - 3° Les asiles pour buveurs sero
ns spécialistes; - 3° Les asiles pour buveurs seront dirigés par un médecin spécialiste. Ils seront soumis aux mêmes inspec
dical des plus précis ; pleins pouvoirs seront donnés à ce sujet au médecin de l'établissement. M. ZINN n'a rien à ajouter
us les instituts d'assistance publique doivent être dirigés par des médecins . Quant à la statistique com- parée de la tuberc
erminés, et que, par conséquent, sous l'influence commune des mêmes médecins , des mêmes administrateurs, des mêmes professeu
en entendue. On a émis l'idée qu'il valait mieux ne pas placer un médecin à la tête de ce genre d'asiles, parce que les f
ces intellec- tuelles et physiques des malades sans les forcer ? Le médecin doit SOCIÉTÉS SAVANTES. 113 donc, comme pour
apeutiques; par conséquent, le directeur doit forcément en .être un médecin , c'est tout au plus si dans les sections de l'hos
tonomes les recevant volontairement, dont la direction incombe à un médecin ; - 3° Les épileptiques affectés de vésanies chron
de même que les asiles d'aliénés, ils doivent être dirigés par des médecins et organisés comme ces derniers, car les épilep
re la charité chrétienne indépendante pour ceux des aliénés que les médecins abandonnent sans espoir ? » Eh bien ! nous n'ab
dispenser les soins, l'alimen- tation, la vêture, et l'occuper. Le médecin seul est en mesure de l'assister en parfaite co
démontré aujourd'hui qu'ils voudraient éliminer complète- ment les médecins des asiles en question. On les tolère, on les l
le), d'appliquer des moyens chirurgicaux; ces dames soignent, et le médecin devient pour elles un être su- perflu dans le t
tal de ces ma- lades. Le rapport fait par lui arriva au collège des médecins à fin de revision technique, et c'est moi qui f
villes. Quoi qu'il en soit, l'épilep- tique est un malade, c'est du médecin qu'il a besoin. M. ScHOEFER. La Saxe a le mérit
icales parce qu'ils prétendent que dans les asiles conduits par des médecins leurs coudées ne sont pas franches; on entrave,
science, être, de - même que les asiles d'aliénés, dirigés par des médecins ; ils seront orga- nisés comme ces derniers. ,
iles, superficiels, sont difficilement suggestibles), l'autorité du médecin , la netteté dans la formule impérative. Aussi fau
, le dé- cret ministériel des 19 et 23 septembre 1888, enlevant aux médecins ordinaires le droit de rédiger les certificats
des permis de circulation des cadavres. Ce droit a été rendu aux médecins en chef des lazarets militaires et aux directeurs
., XLVIII, 4.) P. KERAVAL. sociétés savantes. 127 t SOCIÉTÉ DES MÉDECINS NEUROLOGISTES ET ALIÉNISTES DE MOSCOU. Séance
vit de l'expérience. Mais l'expérience ne fait pas toujours un bon médecin . Pour que l'expérience produise un bon clinicie
s de l'humanité. A ces conditions, mais à ces conditions seules, le médecin qui persiste à travailler progresse, sinon, voi
nt cette lacune, rendra un incontestable service, non seulement aux médecins alié- nistes en particulier, mais encore à tous
départementales de la Préfecture de la Seine ; 3° le directeur, le médecin directeur et les médecins chefs de service de c
éfecture de la Seine ; 3° le directeur, le médecin directeur et les médecins chefs de service de chacun des asiles ou quarti
e de la Société qui a visité le patronné, ou par le directeur et le médecin en chef intéressé de l'asile. Il tient écriture
Ils s'informent de l'état moral des patronnés et font connaître aux médecins ou au président du comité de direction les irré
orsqu'ils en sont chargés par le comité. ART. 17. Les fonctions des médecins de la Société consistent en des consultations q
ne et de l'Assistance publiques. B. VARIA. 147 Congrès annuel DES médecins aliénistes DE France ET DES pays DE langue fran
ibles ne peut se calculer ni se définir par une équation, et ni les médecins ni d'autres n'arriveront à s'entendre quant à l
de politique pra- tique, et elle a largement occupé l'attention des médecins voués à l'étude de la neurologie et de la médec
r les éducationnistes, les 150 varia. réformateurs sociaux et les médecins réunis. C'est une question très importante et n
dire des enfants perdus dans un milieu indifférent. Il manquera au médecin lui-même un réel moyen d'action dans le traitem
directeur-médecin de l'asile public de Saint-Lizier (Ariège), nommé médecin en chef de l'asile public de Castillac (Gironde
(Gironde), est compris dans la 2e classe. Le Dr Belle, directeur- médecin , est nommé de l'asile public de Sainte-Catherine
n seulement la jeunesse médicale de son Université, mais encore des médecins aliénistes, mûris par l'âge et venant de tous les
ultation médicale le treize, elle n'aime pas non plus à recevoir le médecin le vendredi. Elle a pleine cons- cience de son
d sommeil. - Après cette scène étrange, le mari, sur le conseil des médecins , l'a emmenée à la campagne où, évitant toute vi
i s'est produite quelquefois à la suite des conseils donnés par les médecins , ne persiste pas, l'entourage, n'ayant aucune i
R LA TOXICITÉ URINAIRE CHEZ LES ÉPILEPTIQUES; Par M. Jues VOISIN, médecin de la Salpêtrière, et M. A. PERON, interne des
e migraineux est ce qui frappe le plus l'attention du malade et du. médecin .. Quant l'amblyopie,' elle peut se présenter so
111AI. GicneaT BALLET, professeur agrégé à la Faculté de médecine, médecin de l'hôpital Saint-Antoine, et EMILE BOIX, intern
s cardiaques commencèrent; sans doute, il y eut endopéricardite (le médecin parlait de cuir neuf). Depuis cette époque le m
sans provenir de lui; nous ne nous demanderons pas davantage si le médecin doit s'at- tacher à détruire cet ennemi ou à l'
es fonctions de mécanicien. Le groupe suivant est un de ceux que le médecin et le chirurgien se trouvèrent impuissants à so
bien que le premier venu. La température est normale. Six ou huit médecins ont vu le cas, tous ont vérifié cette haute tem
ression des troncs nerveux. P. K. SOCIÉTÉS SAVANTES CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES DE FRANCE ET DES PAYS DE LANGUE FRAN
é de M. le Dr Dufay, sénateur de Loir-et-Cher, et de M. Bouchereau, médecin en chef de l'Asile clinique. M. Sainserre, préf
résente le plus fréquemment et sous des formes les plus diverses au médecin aliéniste est celle du mariage des aliénés ou d
ions seront potées. C'est la même question sous une autre forme. Le médecin qui a eu à traiter les ascendants internés doit
té, ou celle d'une séquestration arbitraire. Pour Casimir Pinel, le médecin ne doit pas être le servile observateur d'une dis
in de ratifier le malade s'il revenait à la santé. . Récemment un médecin de maison de santé encourut une cor. 294 sociét
loi, sui- vant que le fait est connu de tous, de quelques-uns ou du médecin seul. ' M. V. Parant (de 'l'oulouse) pense qu
u médecin seul. ' M. V. Parant (de 'l'oulouse) pense que, pour le médecin aliéniste, par suite des mesures légales exigea
ésenté au Congrès, qu'il résume dans les conclusions suivantes : le médecin n'a pas de secret à observer vis-à-vis des person
es malades ? Cela peut avoir des inconvénients pour le malade et le médecin , car le malade divulgue, sans s'en rendre compte,
'aliénation par ses écrits et peut, une fois guéri, s'en prendre au médecin qui n'a pas exercé suffisamment la tutelle dont i
e serais plutôt désireux de les étendre. Je crois, en effet, que le médecin aliéniste devrait être autorisé à signaler aux
avoir connaissance dans l'exercice de sa profession, tout comme le médecin ordinaire à l'égard des cas de maladie conta- g
estinataires qu'elle autorise. M. P. GARNIER. Il est mauvais que le médecin se fasse lui-même appréciateur des conditions o
A propos des observations, on peut ainsi résumer les obligations du médecin . Scientifiquement, le fait doit être individualis
je cherche à provoquer une consultation, deux s'il le faut, avec le médecin ordinaire de la famille, dans l'esprit de qui cet
prénoms... pour respecter le secret médical. Ce ne sont jamais les médecins , mais des membres de famille en désaccord avec
rt. M. Bourneville. La question qui préoccupe à un haut degré les médecins aliénistes, les conseillers généraux et les admin
aux finances départementales et aux malades en ne secondant pas les médecins , unanimes sur ce point; 2° L'organisation de So
es ou ces fermes annexées aux asiles, placées sous la direction des médecins en chef, procurent aux malades des occupations
ce dernier pays, il emprunte certains renseignements au rapport du médecin inspecteur Fraser. Voici quelques-uns de ces pa
malades par ce court extrait du dernier rapport du docteur Magnan, médecin en chef du service de l'Admission : . « Les dém
des hôpitaux et hospices actuels, la désinvolture avec laquelle les médecins des établisse- ments existants se débarrassent
du mot. Mais cela, c'est l'avenir. » L'accusation portée contre les médecins des hôpitaux ne nous paraît pas justifiée. En e
nés; c'est le service des aliénés qui dirige la colonie; c'est à un médecin aliéniste qu'on veut la confier. Les dépenses s
à 1 fr. 71, sera, dit-on, de 1 fr. 66, en y comprenant les frais de médecin , de surveillance, de bureau et de transport. Ce
l'organisation tant de fois préconisée, souvent appliquée, par des médecins alié- nistes et qui consiste à annexer aux asil
te à annexer aux asiles des colonies agricoles sous la direction du médecin directeur des asiles. M. Dcscu4urs (de Paris).
rement des asiles par des sujets incurables. J'ai consulté tous les médecins des asiles de la Seine à ce sujet : tous ont ét
nalogues à celles de Dun, et donner ainsi satisfaction aux nombreux médecins qui désirent voir remplacés par des curables to
: « Mais ça n'est pas méchant du tout les aliénistes ! » M. RITTI, médecin de Charenton, a pris ensuite la parole, et doué,
asiles de la Seine. C'était une façon de forcer le Dr BOURNEVILLE, médecin de Bicêtre, membre de la Commission de surveill
UD (de Rouen). M. Samuel GARNIER lit une note sur les Retraites des médecins d'asile. Les conclusions de son mémoire sont vo
a pathologie et de la clinique mentale, a pour but d'encouiager les médecins directeurs des asiles à venir apporter aux futu
provoquait des attaques convulsives. Le prochain Congrès annuel des Médecins Aliénistes de France et des pays de langue fran
n certain nombre de dames. Citons MM. Bourne- ville et Charpentier, médecins en chef de l'hospice de Bicêtre, Dr Giraud, dir
. Adam, médecin- directeur de l'asile de Montdevergues, M. Mordret, médecin en chef de l'asile du Mans, M. S. Garnier, méde
saluer, au nom de la ville d'Orléans, les mem- bres du Congrès des médecins aliénistes de France et des pays de langue fran
L'idée fera son chemin, grâce aux efforts de tout le monde : des médecins , des administrateurs, de la presse, et ce progrès
rveux, poussant des cris comme s'il souffrait et ne dormant pas. Le médecin qui le soignait, fit remarquer à la mère que l'
de plus pour s'assurer de sa guérison, on la renvoya chez elle. Les médecins de l'hôpital sont entièrement d'avis qu'elle es
'il eut le teint violacé pen- dant un an, mais le Dr S. Slrker, son médecin , m'a dit que cette couleur particulière n'était
ts pour servir de guide dans les autres cas. Dans la clinique des médecins et chirurgiens de Saint-Louis, d'avril et mai 1
m- plète ; c'est là, soit dit en passant, une observation que les médecins devraient leur conseiller. Interrogés, ils répond
e une pensée chirurgicale « fin de siècle ». Nous la répudions. Les médecins , nous a-t-on enseigné, ont pour mission de guér
i ordonne la mort des idiots, cela n'est pas notre affaire; nous, médecins , nous céderons la place à M. de Paris. Mais, ce
céderons la place à M. de Paris. Mais, cette loi n'existe pas ; les médecins conformément aux principes qui leur ont été ens
professeur de clinique. L'auteur y publie deux lettres du savant médecin où il prouve combien il appréciait les lourdes re
oire au 358 bibliographie. point de vue médical, et de donner aux médecins les notions psy- chologiquesindispensables pour
lé à rendre les plus signalés services, tant aux philosophes qu'aux médecins . , Paul BLOC(j. bibliographie. 359 XI. Leço
t honneur à l'élève et au maitre. Paul BLOCQ. VARIA. LES Femmes médecins ET LES Asiles d'aliénés DE l'État. On annonce q
r ce qu'il fournit un renseignement intéressant. La situation DES médecins d'asiles A la NOUVELLE-ZÉLANDE. Il y a dix ans,
nde décida que les asiles de cette colonie seraient dirigés par des médecins direc- teurs qui auraient, avant leur nominatio
décision, et de protester à l'avenir contre la nomi- nation de tout médecin qui, désigné pour occuper la place de directeur
u préalable acquis les connaissances voulues pendant son stage de médecin dans quelque grand asile. En outre, comme il est
il est impossible qu'un directeur fasse la besogne, sans l'aide de médecins adjoints, je demande de mettre dans le rapport
nckland, près de 400 ; Christehurch, près de 400), soit pourvu d'un médecin adjoint t au moins, afin que les malades ne res
cin adjoint t au moins, afin que les malades ne restent jamais sans médecin , et afin de stimuler en même temps le zèle des
jamais sans médecin, et afin de stimuler en même temps le zèle des médecins , 362 FAITS DIVERS. Dans l'intérêt des malades
rmanentes. Vous imaginez-vous les commissaires anglais ordonnant au médecin directeur de Colney-Hatch de se rendre à l'asil
eur de Colney-Hatch de se rendre à l'asile de West-Riding ! ! ! Les médecins directeurs ont droit à la courtoisie et ne doiven
aire ? Les appointements seraient égaux aux revenus obtenus par les médecins qui occupent un bon rang dont le district, et l
ées seraient au moins de six semaines chaque année. Au sujet d'un médecin adjoint supplémentaire, le D'' Kirkbude dit : «
nts. » Le Dr Arlidge dit à propos du même sujet : « On demande un médecin adjoint pour 300 ou 350 maladies chroniques, mais
r le même fait; il l'avait été déjà en 1887 et 1890. Un singulier médecin . Le tribunal de Cassel vient de condam- ner M.
ion physique était un bon moyen de traitement contre l'hystérie. Ce médecin a sans doute voulu rivaliser avec certains chir
- ragé et de tout animal. Elle ne veut pas loucher la main de son médecin , parce qu'il pourrait lui communiquer la maladie
es malades qu'il a touchés, mais elle consent a donner la main au médecin aliéniste, parce que la folie, dit-elle, n'est pa
nce de son état, s'en attriste et, par moments, sur les conseils du médecin , fait de sérieux efforts pour lutter et s'affra
verra plus un président de cour d'assises dire aux jurés : « Si le médecin vous parle de la manie du vol de l'inculpé, aye
ien établies, par les solliciter à leur tour. - L'intervention du médecin est seule capable de mettre un frein à ces mani
de semble vouloir se montrer, ils s'empressent de venir auprès du médecin qui, au début surtout, leur doit son assistance
rche regardée, jusque-là, comme invincible. Le soir c'est encore le médecin qui doit intervenir pour assurer le repos de la
à des attaques de périodicité annuelle. {Bulletin de la Société des médecins de Jussyr 1887.) ' 3 Voir dans les Leçons sur
Fournier dans son livre sur la syphilis cérébrale; et en effet, les médecins de l'hôpital Tenon eurent certainement le soupç
vation la plus superficielle des hystériques a permis à tous les médecins de faire une remarque banale : c'est que, chez el
n'avaient plus de courage, plus de résolution, plus de volonté. Un médecin anglais, William Page, a exprimé ce caractère d
pas », mais cela signifie : « Je ne peux pas vouloir '. ' Ce que le médecin anglais exprime ainsi, les malades le disent à
tudier devant vous qu'un seul point précis, celui qui intéresse des médecins . J'ai tenu à séparer le phénomène de la suggest
à la suite de libations, il tombe subitement sans connaissance. Un médecin , appelé en toute hâte, pratique la saignée. Que
oyens qui témoignent d'une organisation pathologique incomplète, le médecin fera une oeuvre à la fois scientifique et utile
bre cérébral qui fait illusion, et même ne permet pas légalement au médecin de maintenir leur séquestra- tion. Il va sans d
résutte des considérations développées dans ce travail : 1° que le médecin aliéniste n'est pas, en tant que médecin, pourvu
ans ce travail : 1° que le médecin aliéniste n'est pas, en tant que médecin , pourvu d'une compétence spéciale pour se prono
nt du délinquant en l'unissant au souci de la sécurité publique, le médecin aliéniste pourra fréquemment fournir des indica
otal des membres du congrès a été a peu près de 300. La plupart des médecins neurologistes et psychologues anglais, beaucoup
art des médecins neurologistes et psychologues anglais, beaucoup de médecins et de professeurs 1 Le Congrès international de
'aliénés. - Nominations et mutations. - JI. le D1' Calés, directeur médecin de l'asile d'aliénés de Bordeaux, est promu à la
deaux, est promu à la classe exceptionnelle. - M. le D'' llfonnnEx, médecin en chef de l'asile du Mans, est promu à la clas
asse exceptionnelle (arrêté du 1 CI' septembre). - M. le D1' Germa, médecin adjoint à l'asile Saint- Yon, est nommé directe
1' Germa, médecin adjoint à l'asile Saint- Yon, est nommé directeur médecin à l'asile Saint-Luc en rem- placement de M. le
placement de M. le Dr Reverchon, retraité. - M. le Dr PICIIENAUD, médecin adjoint de l'asile d'Auxerre, est nommé médecin e
. le Dr PICIIENAUD, médecin adjoint de l'asile d'Auxerre, est nommé médecin en chef de l'asile de Montdevergues, en remplac
agne, retraité (arrêté du 16 septembre). M. le Dr GILBERT- hI9RTIN, médecin adjoint de l'asile d'Alençon, est nommé en la m
LOUSE, non acceptant (arrêté du 27 septembre). M. le Dr Tou- Lause, médecin adjoint à l'asile Saint-Yon est maintenu dans la
me classe (arrêté du 30 septembre). - M. le De ViGoUROUX, est nommé médecin adjoint à l'asile d'Evreux, en remplacement de
M. le Dr Marie, nommé à Odin-sur-Orou.-111. le Dr LEvoFF est nommé médecin adjoint à l'asile d'Auxerre en remplacement de
bre).-111. le Dr ANGUDE, interne à l'asile de Bordeaux, est nom- mé médecin adjoint à Bazas, en remplacement de M. le D'' pAR
- tance et de l'Hygiène publique : M. le Dr MARANDON DE hfOhTYEL, médecin en chef à l'asile d'aliénés de Ville-Evrard, est
rologie à - la faculté de médecine de Kiel. M. le Dr PARET (Louis), médecin adjoint de l'asile de Bassens. M. le Dr ONANOFF
Localisations cérébrales, par Fer- rier, 238. Magnétisme, 365. Médecins , femmes américaines, 361 ; - d'asiles à la Nouv
56 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
et des idées et permet de déchiffi^er l’énigme de l’eiistence, Les médecins ont horreur du magnétisme, parce que cette force,
n bond de l’hôpital à l’Académie pour traiter les hypnobates comme le médecin Noir qui s’est permis de guérir M. Sax d’unlipôme
os lecteurs de s’abstenir de toute tentative, sans la présence d’un médecin éclairé. Des phénomènes qu’ils ignorent, ites nec
r parenthèse, fut guérie en quinze ou seize jours (1), ainsi que deux médecins ont pu le constater, je fis quelques passes à mon
ui l’ont fait surnommer le thaumaturge, et les paysans l’appellent le médecin du bon Dieu. Lady Gordon, qui nous transmet ces r
narcher avec des béquilles, et son mari la conduisit à Tours, chez \g médecin du bon Dieu. Aussitôt qu’il eut prié de nouveau p
les attaquera alors qu'ils commenceront à se faire sentir. Tous les médecins vont rire de ma prophétie et croire que je suis u
a Providence a fait ainsi les choses pour le plus grand hien-ôtre des médecins , chirurgiens, apothicaires, handagistes, dentist
n du sommeil nerveux subit en ce moment un certain temps d’arrêt. Les médecins qui ont fait apparaître 8ur la scène scientifique
rme scien- liilque. C’est ce qu'a fait le docteur Michéa, un de nos médecins les plus distingués. Voici un résumé des expéi'ie
ela les nuits suivantes. Le cultiva-tnur fut saisi p;ir la fièvre. Au médecin qui l'intiirrogea sur la cause de sa maladie, il
était obsédé , et déclara que le père G... lui avait jeté uu aort. Le médecin lit venir cet liomme, et en présence du maire de
dc, d'excellents articles de notre correspondant et ami, H. J. Bégué, médecin , en réponse à l’ua de ses confrères, le docteur J
es ou des fatigues qu'ils avaient éprouvées à la guerre. Le célèbre médecin Astéllus, témoin de ses succès, trace le tableau
ient poi'ler à rejeter des faits extraordin^res (des théologiens, des médecins , des militaires, des grands seigneurs, etc.) Il f
ES SUR LE MAGNETISME. (Suilc). LA NATUBZ. Le premier mot que le médecin prononce lorsqu’il recM»-natl l’ioeiûcacité de se
re par-ci, la nature par-lÀ; ce mot est sans cessa dans la bouche des médecins qui en comprennent pari’aitemeat le sens sans pou
! Il est vrai que l’on vit souvent des m&lades abandonnés par les médecins revenir à la santé après que l’on eut cessé d’adm
nt éprouvé. Il en serait de même pour tous les cas de maladies, si le médecin avait un remède sûr à opposer au cas qui s’olTre
quement les mêmes symptômes, aussi les anciens avaient-ils appelé les médecins devins, car ils doivent sana cesse deviner, et un
appelé les médecins devins, car ils doivent sana cesse deviner, et un médecin doit avoir en lui quelque chose des facultés somn
la vie ; mais, au lieu d’agir mécaniquement ou chimiquement comme le médecin des écoles, les magnétistes donnent à l’agent int
ortes ou entrer dp plein-saut jusque dans le centre de la place. Le médecin cherche à deviner l’énigme de la vie, en voyant d
a nujt, tous les flambeaux s’éteigiient à son approche ; et toi-même, médecin , (juant! ^u p^is, tu ^ens que cette lun}ière te m
e dans le sommeil magnétique. (I M. Broca, l'un de nos plus habiles médecins , dans sa pratique à l’hôpital Necker, et assisté
vant l’Acadétnie des sciences les résultats de l'hypnotisme. Cl Les médecins donnent à cet état anormal de l’homme le nom de s
et quelques-uns de ses phénomènes, comme ayant été découverts par un médecin anglais, M. Braid, de Manchester, qui lui-même a
, qui lui-même a publié sur cette matière un ouvrage assez étendu. Un médecin de Bordeaux, M. Azam, après avoir pris connaissan
la séné de déboires et les persécutions auxquels ont été soiimis les médecins magn'étiseurs les plus re-commandables, on ne peu
la photographie, de l’astronomie et de tant d’autres mer\'eilles, des médecins , des savants honnêtes et consciencieux, en soient
moi toute certitude. « Ce qui me paraît hors de Joute, et déjà les médecins convertis à l’hypnotisme ont pu le constater , c'
t le miroitage d’un corps métallique brillant, comme l’ont indiqué le médecin anglais Braid, MM. Azam, Broca, Velpeau et quelqu
le médecin anglais Braid, MM. Azam, Broca, Velpeau et quelques autres médecins ou chirurgiens. 11 paraît aussi que les expérienc
a, sans nul doute, être étudiée à fond et sans passion par les jeunes médecins , devant lesquels eUe ouvre une vaste et féconde c
savez, fivoiisrliimisies, vous génlofiues, vous asirononios et vou"! médecin .«, el vous l'appelez attractinii, électriciti', m
e volonté, et tous les mouvements péristaltiqiies. Plusieurs célèbres médecins moururent sans avoir cru à la circulation du sang
des liens attachés autour du corps ! Un coup de lancette donné par le médecin apjielé pour conslater le décès, sépara le sac en
os grands salons où se trouvait une réunion nombreuse, s’exprimait un médecin qui venait de m’entendre parler du phénomène en q
résultats du magnétisme. Quant à moi, je l’ai produit devant quarante médecins incrédules, il y a quarante ans, à l'Hôtel-Dieu d
tés. IS fr. d'amrndc, (iO fr. de frais! Notre code est trop doux, nos médecins trop philanthropes? « Après cela il se mit sur
fiante. r C’est précisément par des raisons que les ma^étiseurs non médecins ^Qorent, et ignoreront toujours tant qu'ils ne co
les dérangements apportés par nn traitement antérieur ordonné par im médecin étranger au somnambulisme, les perturbations occa
s pilote, mauvais pharmacien, mauvais cocher, mauvais avoçat. mauvais médecin sans risquer de devenir coupable par v(>tre ig
s cocher me casser bras et jambes, mauvais avocat aie ruiner, mauvais médecin me tuer, (( En présence de ces démonstrations d
tout à fait relégués au bas de l'échelle morale, s’il est permis à un médecin qui a la seniiinent de son devoir et de sa missio
ence et à Dieu, et aussi parce qu’il s’agit de vie d'homme. Un seul médecin devrait-il ignorer les célèbres débats que soulev
adémie royale de médecine de Paris, la proposition faite par un jeune médecin , M. Foissac, de soumettre à UD nouvel examen le m
étisme animal, et le 28 février suivant une commission ad hoc de onze médecins fut nommée. Jamais commission plus nombreuse et c
voir partir, même du fond de la province, et surtout de la bouche de médecins et en pleine Académie et en 1856 des dénégations
pays sont replis de faits que des hommes de toutes coodition», et des médecins eucc-tnémes »'ont pas craint d’ÿ déposef^ lorsque
que des gouvernements connus pour avoir su s’entourer de l’élite des médecins , aient pu, en différents lieux, à différentes épo
des applications de la médecine rend en effet très-difficile, pour le médecin , l'exercice du magnétisme, qui exige des aptitude
3* La concentration de l’exercice du magnétisme, dans les mains du médecin , entraîne l'obligation de k part de la Fa* culté
est morte deux jours après. Baron do POTET, pfopriéUirt-giratkt. MÉDECINS NON DIPLÔMÉS. Dnns l’empire turc, dans ce pays
bliques? Là il n’est point censuré par les prêtres, poursuivi par les médecins ni puni par les lois. Il est vrai que dans ce pay
ait en outre aux tempes un mal intérieur qui avait éié traité par les médecins ; mais, suivant elle, les médicaments employés au
onvulsives ; ses parents s’empressèrent d’abord d’aller clierciier le médecin , qui, voyant la malade dans un si triste état et
our les parenls de la malade, lisse déterminèrent à aller chercher le médecin , qui, ayant reconnu le charbon, fendit immédiatem
ion, la malade était guérie, au grand étonhement de bien des gens, du médecin surtout. Une foule d'autres personnes me doiven
es médicales, ou magnétiques, etc. En... 1859, je fus appelé, comme médecin , chez M. A., maître de gymnastique, pour le soig
maladie produisait chez M. A. C’était une véritable contagion, et les médecins connaitraient vite les lois de la contagion, s'il
parlez point du ciel avec les prêtres, delà médecine divine avec les médecins ; ne faites enfin aucune œuvre qui puisse attirer
artout ses lois, les misères morales ; je vois vos philosophes et vos médecins , vos prêtres et vos instituteurs se démenant dans
nues.etsi la soupaj« de votre cerveau vent s’ouvrii',prlez le premier médecin venu devousfaire une saignée, ce seia le moyen dc
vent l'histoire du demi-monde que le siècle dernier a produit, et nus médecins , fatigués de la stérilité de leur art, se livrent
brise notre machine, ou nous jette dans des convulsions, sans que les médecins , qui semblent avoir un emplâtre sur la vue, ait s
uelques-uns me diront que c’est un désavantage dans la condition d’im médecin qui se rend malade pour ses clients, assurément
tés, de consolations et de tecours réparateurs. Mais, d’une part, aux médecins , et de l’autre h, ceux qui ont la haute mission d
sont Déaomoins aulre chose que des problèmes de biologie, et c’est du médecin qu'ils relèvent. Mais qui sait, la vie humaine es
invoque le Dieu, prescrit....... L’homme croit à la médecinc ou au médecin , on y tâche. L'enfant ne croit qu’à la Mère : i
« La vérité sort de la bouche dea enfanls. » Leur habituel effroi des médecins engage donc à attribuer le proverbe, non à la sag
nt l'organe du ministère public, soit en prenant la fausse qualité de médecin , soit au moyen de celte thérapeutique mystérieuse
a science à l'étude du principe mystérieux qui nous anime, savants et médecins reculent épouvantés. Pour nous, nous continuerons
uvnnt supporter les douleurs qu’elle endurait, elle alla consulter un médecin , qui lui ordonna un vésicatoire qui ne produisit
tiellement scientifique ; tâchons surtout d’obtenk les sympathies des médecins et des membres de l’Université, ces deux classes
xposer. Les divers traitements auxquels il avait été soumis par son médecin n’ayant pas apporté d'amélioration notable, il me
intestinal avec de grandes différences toutefois. Je n’étais pas son médecin , et quand je l'interrogeai, il retrouva des indic
i dont il s’agit ici. Si les consultants avaient élé seuls, sans un médecin ou un magnétiseur, dont les questions ont provoqu
ais encore sur la bonne foi de la somuarabiile, et peut-être aussi du médecin . Que de fois cct accident a dû avoir lieu surto
ation? Vous devez penser quel triste résultat sur le client pour le médecin qui est convaincu de la véracité du moyen qu'il e
emis : le prêtre d’abord, le philosophe ensuite, puis le savant et le médecin . Comme vous le voyez, ce sont des lettrés, des ma
. Vous vous écrieriez que vous fuites le contraire de ce que font les médecins ; que vous ne donnez point de remèdes ; que vous
iez condamnés. Ah ! je devine votre pensée, vous en appelleriez aux médecins eux-mômes, supposant sans doute qu’ils s’empresse
une malade âgée de cinquante-deux ans, alors traitée par deux autres médecins de la ville, et qui depuis trente-six ans avaient
qui dérouta tous les traitements, toutes les ordonnances des nombreux médecins qui la visitèrent. Une agitation presque perpétue
accident occasionné hors du somnambulisme. 2» Que le consultant fût médecin ou accompagné d’un médecin magnétiseur. Un autre
somnambulisme. 2» Que le consultant fût médecin ou accompagné d’un médecin magnétiseur. Un autre qu’un homme de cette profes
s d’obstacle. 7° Un point que je recommande aux magnétiseurs et aux médecins qui ont à leur disposition des somnambules, c'est
vation et de ma méthode.—En exaltant la nécessité de la présence d'un médecin à la consultation faite par lui et pour ses malad
l’OCCASION DE l’HYPNOTISMB ET DO MAGNETISME (1). Par le D' LIÉGEY, médecin à Rsmbcrvillers (Vosges). Le 27 décercbre derni
pliqués à Is médicino el à la chirurgie, puljliées p»r noe réunioQ de médecins aous la direollon du D' U. Va» 1Iols»ui. Caliier
nes environ s’y trouvaient réunies; on pouvait y compter dix ou douze médecins , plusieurs hommes de lettres, des artistes, d’anc
a philosophie qui y trouve une base pour des principes nouveaux ; des médecins qui voient dans le magnétisme un moyen puissant d
e mépris que doit attendre le novateur ; aussi avons-oouê v« quelques médecins , quoique convaincus de la vérité, la quitter pour
refusât-il aux prodiges de cette évidence, lui, disciple de Mesmer et médecin , il se proclamait désormais des nôtres. » J’ign
Les explicatioRs que donne la science sont sans aucune valeur, nos médecins ne connaissent point la vte ; le magnétisme peut
ques suffiraient pour ffûre cesser cet état comateux ; mais non I les médecins resteront passifs, Us seront les muets témoins d’
une heure assez avancée de la journée, crurent devoir faire venir un médecin , lequel ordonna tout ce qu’il pouvait y avoir à f
ant, qui n’a rien à opposer à la destruction des êtres ? Que dire des médecins qui, feignant d’ignorer que le magnétisme existe,
s Je secours de la médecine, guérir une foule de maladies où l’art du médecin s'est épuisé sans succès. Cette digression ne s
j’ai tenu comme un roc, et, partout, j'ai ea la masse pour moi et les médecins après. Veuillez agréer, monsieur le baron, etc.
m^nétisme, la vérité a ûni par se f;ûre jour, et l’Académie comme les médecins ont été débordés par les faits. Aujourd'hui il
au magnétisme ; on ne trouve plus de savant qui ne l'admette, plus de médecin qui n'ait à compter avec luL Bien plus, il a péné
us reproduisons, en lui laissant toutefois la responsabilité : n Le médecin du district de Pokroff, M. Sokovnine, nous a comm
ranimer ses forces. Elle avait sur le corps quelques pluies ; mais le médecin lui administra les secours nécessaires, et elle e
e nouveau, el se réveilla seulement quand on eut déblayé la neige. Le médecin , après avoir pris toutes les informations, a fait
l, 33 el 36, loi du lü ventóte an xi, Wü et 483 du Code pénal). Lci médecins peuvenl te porter individuellement parties elvile
prévention d'exercice illégal de la médecine. Un certain nombre de médecins se portèrent à l'audience partie civile, et le tr
mc l'ordonnance, puis, après îe payement, conduit le malade auprès du médecin qui, sans contrôle, sans questions, se borne à si
ablement, soutenir que cette consultation soit l’œuvre personnelle du médecin , el qu’il est évident qne celte précaution n’a en
par suite des difficultés à prouver le préjudice causé à chacun, les médecins se verraient contraints à garder le silence en pr
concurrence déloyale et qui ne peut que déconsidérer la profession de médecin ; « Que, sur ce point, tous les inicrvenaiits s
ptions médicales émanées d’elle étaient revêtues de la signature d'un médecin . Mais la Cour, rejetant la demande de jonction.
l. Plaidants ; M' Mabgeband pour l'appelante; M' Roiigieb, pour les médecins , partie civile. Baron do POTET, profriilaiTt-gi
e ans, 26. Qui avait beaucoup souffert entre les mains de plusieurs médecins et qui avait dépensé tout son bien sans en avoir
curalive; leur coopérateur pour celle des résultats spiiitualistes. Médecins l’un et l’autre, nous sommes tenus de côder le pa
ugera par le récit des fwts. Sous la direction successive de divers médecins , et notamment, pendant plusieurs mois, dans une m
. — Large (l'ace de vé«ca-toire au-dessous de l’hypocondre gauche. Le médecin traitant, M. Br..., avait dessein de couvrir d'un
space dc six semaines k deux mois. J’annonce aux parents, devant le médecin , que l'enfant sera guéri dans quinze jours. PRE
pèro et mère Breat sortir leur lils que jo reçus dei mains (oÿmej du médecin , jusqu au 18 inclus. — Magnétisation journalièf
je constate sa parfaile guérison. On le conduit alors chez son ancien médecin , M. Br... — Ce n’est qu’avec une peine très-grand
çant le magnétisme pour guérir les maladies, sans avoir le diplôme de médecin . Qui nous aurait dit, mescbers confrères, que c
ment sa conviction en faveur de notre science, il arrive ici chez les médecins précisément l’opposé de ce qui existe chez nous.
ur art médical est si impuissant. Un de ces messieurs, par exemple, médecin asse* renommé, ee trouvant un soir chez une de me
pour badiner, à fonctionner magnétiquement sans faire aucun cas, tout médecin célèbre qu’il est, du désordre qu'il allait produ
ma malade aurait pu être exposée. Le plus curieux, c’est qu'il est le médecin de la maison depuis bien des années, et qu’après
les inconcevables excitent communément les colères de nos collèges de médecins , el de nos instituts; mais tous ces grands prince
lles on en peut citer 300 de connues pour Ctre capables de bien voir, médecins , physiciens, chimistes, gens de lettres, artistes
i, et quelle iieure elle marque;.....voit dans une pièce voisine le médecin prendre pour le sien le manteau d’une autre per
quoi son jugement fait fausse route? A son tour, le D' Louis Tleubv, médecin de l'Eoi-pereur. Agrégé honoraire de la Faculté d
ris, rédacteur en chef dii journal le Progrèt dei leiencet médicales, médecin en chef de l'établissement hydrothérapique de Bei
s pourrons. Que nos clients oublient l’épigramme de Pétrarque : « Les médecins n’ignorent rien, excepté l’art de guérir. « Si l'
utres plus prochains, par gradations, etc...» Niiolat oü LocQUEs (*}, médecin spargyrique du roi. (Lks Rudiments de la Puu.osof
a (30*) une arthrite traumaiique chronique, déclarée incurable par un médecin ... Par un Rébi$, iüi peut-être approche de celu
éclinait de mal en pire, et désespérait sa femme et leurs parents. Le médecin avouait ne plus savoir quoi faire. J’avms demandé
homéopathie compte aujourd’hui dans l’Europe et l’Amérique : 3,80ft médecins , dont 189 ont des fonctions administratives. 54
ion de ses travaux de moisson pour se soumettre au long traitement du médecin ; il envoie chercher, à trois lieues, un rebouteux
; ce n’est pas un reproche que je lui adresse, mais je m’étonne qu’un médecin , aussi érudit que lui, se contente de doctrines q
quelques personnes honorables du pays, y compris deux des jaeilleurs médecins de la ville. Le résultat de ma seconde séance f
ire. Après sept minutes de magnétisation, pendant lesquelles les deux médecins présents se tiouvaient coustam- mont près de mo
ité tétanique. Le magnétisé était complètement insensible. Les deux médecins ainsi que quelques personnes présentes à la séanc
de l’obturation de la douleur et de l'abolition entière des sens. Un médecin ayant mis sa main dans celle du magnétisé, il la
contredanse. Le lendemain, il s’empresse d’aller conter la chose au médecin ; celui-ci déclare que la jeune personne est somn
la femme du cultivateur avait tout répété; rien à faire 1 mais votre médecin est un âne; mais vous ne savez donc pas que les s
un des éléments. Encore un mot : vous me comptez les hôpitaux, les médecins , les vétérinaires, les sociétés, les journaux qui
ecine qui se rapproche le plus de la nature est la meilleure; que les médecins en général prodiguent trop les médicaments à dose
a-LIS SUBUWOR, p. 38.) Tous ces faits soni extraits de l’ouvrage du médecin P. J. A. Lobesz. (Ewaiiuria tiie, Strasbourg et P
plus connu que sa vie. C’est Orpüée, le Guérisseur merveilleux, le Médecin divin. Tbrace d’origine, ayant reçu l’initiatloo
és à la clinique de.M, BoujLLiuD,et publiés par M. Pelletan-Donné, ce médecin a perdu 21 malades, c’est-i-dire. - 1 sur8 « M.
s’abstenir de tout agent médicinal. Alors, à quoi bon désormais les médecins et les pharmaciens? Bien à vous de cœur, cher c
aitement magnétique dans la crainte de froisser la susceptibilité des médecins (?), lesquels sont pour la plupart hostiles au me
nd, — de l’influence que j’ui cxcrcéc sur lui jadis. Quand donc les médecins l'enonceront-ils à leurs idées systématiques à le
a guérirait complètement. Malgré toutes les instances faites parles médecins , la jeune fille avait été d’un mutisme complet su
efois, sauf la déin»gnéiisation des malades avant l’opération), qu’un médecin quelconque, interrogé par un professeur sur le mo
ard. Que dit encore dans sa lettre à Deleiisc le docteur Koreil, ce médecin si expérimenté? U dit : u Dans certains cas où
des hérétiques par M. La-ÎoDtaine. Mais ce n’est pas tout, et ce même médecin , ceinême magnétiseur observateur ajoute, page SCO
ntaine à la lettre du docteur Koreff à Deleiise, et il y verra que ce médecin , malgré sa grande prudence, avoue que (lies somna
s extraordinaires, (I sont cent fois moins exposés d l’erreur que les médecins les Il plus habiles. » Nous le renverrons égale
aussi de tiëdes défenseurs : les Feri-us, les Rostan, et cent autres médecins qui, convaincus de la réa- lité des grandes cho
pez de magnétisme, moquez-vous de la censure de vos savants et de vos médecins , tous gens qui ne savent point se guérir de la pl
sur le système nerveux, ses fonctions et ses maladies, par T. Dunand, Médecin de la Faculté de Paris, ex-Médecin auxiliaire de
ette boite; non, parlez sans précaution du magnétisme devant quelques médecins , devant M. Pâul_ Amiral, par exemple, rbommc au
noble profession que les mMe~ cins exercent; ctque si, par hasard, un médecin indigne nous proté.gedeson nom, que celle p7'otec
eurs systèmes. La loi est muette encore sur les erreurs capitales des médecins , seul corps dont on n’ose point examiner les doct
ux, 243. — Maux passant du magnétisé au niagnétràeur, ou du malade au médecin , 171. Dangemk éviterdanstesexp^rienccs magnétiq
e, pour avoir magnétisé des malades sans être porteur d'un diplôme de médecin , 352. Récits de faits étranges, mystérieux ou m
de l'art médical et que l'exercice professionnel en soit réservé aux médecins , 137. Romans dont le sujet repose sur des faits
57 (1850) Journal du magnétisme [Tome IX]
AL DU MAGNÉTISME RÉDIGÉ Par une Société de Magnétiseurs et de Médecins SOUS LA DIRECTION DE M. DU POTET DE SENNEVOT.
du quinquina et de l'antimoine; elle chassa de son corps, en 165G, un médecin qui avait prpsr.pt l’émétique. lin 17/p, elle déc
! Ses adyprspirps les plus ardents se rencontrèrent dans le corps des médecins . Les dpeteurs Rayqal, Chapon, Goëts, etp., le tra
lades, aura-t-il moins de droits à notre reconnaissance, que certains médecins dont les services se vendent au poids de leur rép
agent intermédiaire dans ses rapports avec le corps ? La plupart des médecins ont admis sans difficulté le principe vilal de Ba
nt; il devient alors le vrai baume de la vie. • Guill. Gilbert (2), médecin de la reine Élisabeth; le père Kircher (3), ce sa
savant infatigable, qui embrassa toutes les connaissances; le célèbre médecin Pierre Borel (4), sont d’accord pour reconnaître
— D' Teste. Magnét. expliqué, part. 111. Varchéc était, suivant ce médecin , l'habitation de l’âme sensitive. « Cette âme u
lus il est apte à recevoir des impressions. » Enfin, la plupart des médecins du dix-septième siècle avaient la conviction qu’i
; et puisque le mode de traitement employé a eu tout le succès que le médecin en attendait ; il n’y a qu’à louer celui-ci de so
uer celui-ci de son heureuse inspiration. Mais on sait combien divers médecins envisagent diversement un cas donné de maladie; c
autres , par les mêmes moyens..... Je sais bien que la plupart des médecins dédaignent le magnétisme, sans doute parce qu’i
de faire passer le malade à l’état de somnambulisme artificiel, et le médecin , ou quiconque solliciterait ce nouvel état, recev
as surtout de cette nature, l’hystérie et 1rs névroses en général. Le médecin pourrait lui adjoindre les moyens ordinaires dont
es). « Je viens à Toulouse exercer le magnétisme, qui « est le vrai médecin de ceux que l’on dit incurables. « Comme vous ,
somnambulisme. Mais j’ai, entre autres choses, fait la conquête d’un médecin français; il est vrai que ce n’est pas un de ces
CHAPITRE III. De la Médecine magnétique. (Suile.) F.-A. Mesmer, médecin allemand, fit paraître, en 1766, une thèse (1) da
rement, par R. Mead (i), Ernest Stahl (2) et surtout par Maxwell (3), médecin écossais, dans les ouvrages duquel nous retrouvon
rticulier. MM. Moulin, Andral, Gendrin, Littré, et plusieurs autres médecins , ne peuvent se passer de ce fluide pour donner un
nnu l’cfijca-cité du magnétisme, elles n’en firent pas moins venir un médecin le lendemain matin. Celui-ci, trouvant le malade
(Démocratie paei/iqui.) " 'fcfécrologie. — M. le Dr Bal me, ancien médecin de l’armée d’Êgypte, est mort à Lyon, le pi janvi
in , puise dans les inspirations de l’âme sa force et sa vertu. Nos médecins remplissent] la plus belle mission dans le mond
;à'Pabre,;i bu- lu-* iup .*»lbvuon Si nous sommes bien informés, ce médecin en serait encore à commencer l’étude de la questi
un tâtonnement de la scieuce nouvelle , avait été employé par Maxwel, médecin écossais qui, un siècle avant Swedenborg, ayait p
cience de l’antiquité ; célèbre comme magicien , comme devin et comme médecin , exaltait lui-même, sa science surnaturelle et so
a calomnie s’acharnent contre nous. Ainsi, il y a quelques années, un médecin de notre ville (i) ' homme recomnandable sous tou
oisième jour, comme je me disposais à y retdutner, qüe j’appris qu’un médecin àvait été appelé, et qu’eh même témps deux plaint
la jeune fille pendant son sommeil magnétique. Une visite de trois médecins eut lieu par ordonnance du parquet, elle n’a amen
eleuze, dans son Instruction pratique, que chaqUe famille pbtsède 6on médecin . Que faire pour atteindre ce but, et quel moyen
des dernières séances de magnétisme données pat M1*1® Lafontaine, un médecin a jugé convenable de donner hautement des marques
ans les hôpitaux, et que je les explique à ma manière en présence des médecins les plus distingués. J’accepterai peut-être vos i
sté! » s’écrièrent plusieurs assistants; car l’étrange conduite de ce médecin et ses interruptions déplacées avaient excité des
e au quart de son programme, M. Hébert a cessé de paraître; M. Gouré, médecin homéojpatf»e, qui ? dans un opuscule que nous avo
disposition aussi extraordinaire, les parents consultèrent plusieurs médecins , qui ne purent rien indiquer pour faire cesser ce
dans la superstition. Une prévention d’usurpation de la qualité de médecin , d’exercice illégal de l’art de guérir, d’escroqu
; mais, comme il mourait de faim à ce métier, il s’avisa de se faire médecin ; médecin, non d’après les principes de la science
comme il mourait de faim à ce métier, il s’avisa de se faire médecin; médecin , non d’après les principes de la science médicale
la confiance, qu’il n’esl bruit dans l’arrondissement que du célèbre médecin qui guérit tous les maux, et que le vulgaire a su
des renseignements sur les faits. Riéder lui a dit qu’il n’était pas médecin , mais qu’il traitait les malades par l’hygiène ma
à Outreau. Ce témoin avait une petite fille malade, condamnée par les médecins ; il entend vanter la science merveilleuse de Rié
nfant, il retourne chez lui; ce dernier promet de revenir après qu’un médecin aura constaté cette mort. M. Mathor, chirurgien
de guérir l’enfant par l’hygiène et le magnétisme, parce que tous le médecins l’avaient abandonnée. M. le président fait obse
nce. « Mes parents me firent retourner une quatrième fois auprès du médecin . Quand j’arrivai en face de sa barrière, un indiv
contre la barrière ; puis il ajouta : « Celui qui voudra parler au « médecin , donnera 10 fr. » Je n’avais pas cette somme ; j’
assez, car je l’aime. « Je suis descendu dans une autre salle où le médecin est venu; il a fait des signes de croix et distri
je dis au domestique que j’avais payé 10 fr. pour parler en secret au médecin , et que je voulais avoir cet entretien. On me fi
J’ai eu confiance dans Riéder, dit le témoin, parce qu’il n’était pas médecin ; car c’est un médecin qui m’a réduit à l’état de
Riéder, dit le témoin, parce qu’il n’était pas médecin; car c’est un médecin qui m’a réduit à l’état de santé dans lequel je s
reuve de la mort de sa femme. Il dit qu’il n’a pas pris la qualité de médecin ni exercé la médecine; mais il a pratiqué le magn
ors de la première audience. On remarque dans le prétoire plusieurs médecins . A l’appel de la cause, le ministère public pro
ans le cas où on y traiterait une question de théologie. M. Cazin , médecin . Le prévenu s’était introduit comme magnétiseur c
vec le produit de ses leçons de langues; mais que le public l’a rendu médecin malgré lui. H aurait reçu de l’argent pour magnét
4 avril, Riéder présente lui-même sa défense. Il prétend qu’il a été médecin malgré lui. Des flots de malades incurables sont
s sont venus le consulter. Vainement il leur disait qu’il n’était pas médecin , mais qu’il traitait par le magnétisme et l’hygiè
t une grande impression sur les classes inférieures. C’est un jeune médecin nommé Jean Kock; dans son premier cahier, il avai
donné la traduction abrégée, le gouvernement a publié le rapport des médecins chargés de suivre l'expérimentation du Dr Esdaile
n sur des ouï-dire; c’est pourquoi les coups dirigés par les indignes médecins visiteurs de l’hôpital n'ont pu réussir. Triomp
qui ait pris la peine d’étudier le magnétisme; et, procédant en vrai médecin , il n’a pas craint d’en attester la vérité. Il se
n, à toutes les autres fonctions du système nerveux. Il comprit, que, médecin , c’était un devoir sacré pour lui de rechercher s
uvait faire davantage; car il ne lui appartient point de rendre les médecins assez humains pour répandre sur leurs malades les
lcutta auront la satisfaction de pouvoir, en tous temps, consulter le médecin magnétiseur. « Nous ne pouvons dire si le gouve
, après avoir tenu conseil, de vérifier cet étrange avertissement. Un médecin a été appelé, le corps transporté dans la chapell
yse l’ouvrage du Dr Char-pignon. L’auteur de l’article s’étonne qu’un médecin aussi instruit qne notre correspondant d’Orléans
ilosophes, mais de pauvres industriels , el qu’pn diplôme ne fait des médecins que de nom ; qu’il ne leur donne aucune des quali
tion. Voici l’ordre suivi : I" Médailles d'argent M. OUDINAIRE, médecin , habitant Màcon. M. CIIAltPlGNON', médecin, hab
d'argent M. OUDINAIRE, médecin, habitant Màcon. M. CIIAltPlGNON', médecin , habitant Orléans. M. PEKIUEU, médecin, habitan
t Màcon. M. CIIAltPlGNON', médecin, habitant Orléans. M. PEKIUEU, médecin , habitant Caea. 2“ UùWIcs de tiroize. M. JUPI
ruxelles, M. VALLETTE, négociant, habitant Poitiers. M. DUGNAGNI, médecin , habitant Milau. M. GRAVÉ , magnétiseur . habi
ous, et aucune de ses harmonies ne pénètre jusqu’à votre cœur, liiez, médecins , tandis que les malheureux soumis à vos soins ago
amné, et je n’ai d’autre moyen pour guérir que de me brûler. » « Le médecin appelé trouva les deux poignets tellement calciné
nts liquides, et même avec une grâride difficulté. Un grand nombre de médecins l’ont visitée et ne laissent pas d’espoir de sa g
tation dont jouit cet éminent prosélyte. Écrivain distingué, savant médecin , citoyen courageux, M. Ordinaire a, dppuis plus d
ine, épars dans la Mouche, son journal. Sa position exceptionnelle de médecin , magistrat, journaliste, explique l'incohérence d
a attiré particulièrement notre attention : c’est celui d’un honnête médecin d’Orléans, M. Charpignon. Élevé dans l’école de
r aussi la médaille d’argent. III. — M. FERMER. C’est encore d’un médecin , Messieurs, dont nous allons vous parler, M. le D
ous rencontrez une indépendance d’idées accompagnant la profession de médecin ne devez-vous pas favoriser celte heureuse tendan
s une sorte de léthargie qui appela bientôt sur elles l’attention des médecins , et, par suite, celle des populations environnant
ant malgré la suspension des fonctions préposées à son entretien, les médecins firent de nombreuses tentatives pour rappeler l’é
ace de l’ironie, l’ardente charité du magnétiseur fut incriminée. Les médecins vexés expliquèrent les guérisons en disant que l’
ME. Nous avons publié dernièrement le témoignage de deux honorables médecins dans un procès fait à une somnambule (1). Comme l
édecins dans un procès fait à une somnambule (1). Comme l’opinion des médecins , et surtout des médecins instruits, doit avoir un
it à une somnambule (1). Comme l’opinion des médecins, et surtout des médecins instruits, doit avoir une grande influence dans l
reprendre le traitement d’une maladie grave que conjointement avec un médecin ; qu’il faut constamment soumettre au jugement de
er entre ces deux routes. Yous exigez quelque chose d’impossible d’un médecin , lorsque vous voulez qu’il juge et modifie les ap
e question fort controversée par les hommes de l’art; mais comme tout médecin , chirurgien ou pharmacien s’y trouve partie inté
afin d’appliquer en grand le magnétisme, ce qui est fort difficile au médecin , chaque famille aura son magnétiseur, lequel, par
(2) Coup d’œil sur le Magnétisme. rait que d’après les conseils du médecin . Quand ce jour sera levé, l’homme fera, dans l’in
guérison d’une vingtaine d'affections ; certificats approuvés par des médecins , et légalisés par le maire. 11 m’a été très-diffi
roverbiale des malades guéris; 5° la mauvaise volonté et la haine des médecins , pharmaciens, scribes, prêtres, etc.; 4° la crain
prêtres, les pharmaciens qui ne vendaient plus depuis trois mois, les médecins et les envieux de toute espèce. Voyez mon embar
ant que toute la salle était en émoi, et que l’on courait chercher un médecin , j’ai proposé de magnétiser le malheureux qui gis
intenté à un magnétiseur de Digne, M. Goujou, et à sa somnambule. Un médecin de l’endroit ayant pris la responsabilité des pre
omnambules, pour exercice illégal de la médecine, et escroquerie. Des médecins qui assistaient ces somnambules dans leurs consid
té, continue d’é-treindre les hommes , la justice est trompée. Ah , médecins ! nous vous plaignons, si vous n’avez que de tell
ues ap* pointements fixes de 5o fr. par mois, et de l’aveu même de ce médecin dépourvu de ressources. « L’ordonnance était en
signature de Grabowski n’était pas une garantie bien sérieuse; car ce médecin , qui demeurait au faubourg Montmartre, restait qu
venus; le sieur et la dame Mon-gruel font défaut. Le sieur Grabowski, médecin , et le sieur Pokolo.'-ki sont seuls présents ; il
place au Luxembourg; il me sembla que cela lui faisait plaisir. Un médecin que je ne reconnais pas parmi ces messieurs, se m
— R. Ou le malade m’était présenté, ou bien il y avait un écrit d’un médecin attestant quelle était sa maladie; sans cela, je
e sieur Pokoloski de la plainte. (Droit.) Il est à remarquer que le médecin n’est condamné que pour avoir délivré des blancs-
les maladies, avec, et quelquefois, peut-être, sans l’assistance d’un médecin . Des perquisitions ont été faites chez elles , pa
avoir foi, et qu’elle ne fait d ailleurs que servir d’instrument à un médecin qui se servait de sa lucidité. Elle est fermement
nt pas le Journal du Magnétisme. La question déb^tue entre ces deux médecins est de savoir si le magnétisme s'opère par l'acte
s aura suivi sa marche naturelle; et alors somnambules, magnétiseurs, médecins et pharmaciens, voire même h s malades, se trouve
e, 4. IDJ1EZ, rue Vieillc-du-Temple, 64. ISSAAC (Jules), docteur- médecin , rue Saintonge, 42. JOLY (l’abbé), à Rouen.
une relique qu’il n’avait pas encore vue lui-même. Les savants, les médecins surtout, qui seraient plus compétents que les aut
’étudier le magnétisme animal que de s’en moquer. Il serait digne des médecins philosophes d’approfondir le caractère de cette p
utes questions de la psychologie, et il est vraiment étonnant que les médecins ne se soient pas empressés de les étudier et d’en
a métempsycose. Il arrivera, nous n’en doutons pas, un temps où les médecins et les savants déposeront leurs préjugés et leurs
se servir utile- ment des étonnantes facultés qu’ils possèdent; le médecin profitera de leur clairvoyance pour déterminer la
plus singuliers, constaté par lui dans l’exercice de sa profession de médecin . Le récit nous tentait; mais le sujet esl délicat
jugement rendu le 3i juillet, un clos accusés fut acquitté; que le médecin condamné n’a point appelé, et que M. et Mmc Mongr
nsulter Mme Montgruel sur la santé d’un enfant demeurant à Liège; les médecins du pays n’entendaient rien à sa maladie, l’un dis
riptions étaient écrites sous la dictée de la somnambule, soit par le médecin , soit par moi. D. Grabowski, le médecin derrièr
la somnambule, soit par le médecin, soit par moi. D. Grabowski, le médecin derrière lequel vous vous abritiez, est convenu q
nature ; c’est ainsi que les empiriques se mettent sous le manteau de médecins qui déshonorent leur profession ; que donniez vou
moins de cas semblables. D. Yous vous mettiez sous le manteau d’un médecin qui signait vos ordonnances, lesquelles ordonnanc
us trouvez placée au-dessus des mortels, vous n’avez pas besoin qu’un médecin contrôle vos ordonnances ? — R. Il les contrôlait
, dont elle avait jugé exactement la position et prédit la fin? et le médecin n’est-il pas allé plusieurs fois chez elle avec M
magnétisme. » Nous retrouvons cette doctrine dans les ouvrages des médecins alchimistes. Paracelse affirmait que le plus gran
effet, que cet esprit n’ait quelquefois dissipée sans le secours des médecins ..... La médecine universelle n’est autre chose
58 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
AL DU MAGNETISME RÉDIGÉ Par une Société de Magnétiseurs et de Médecins SOUS LA DIRECTION DE M. LE BARON DU POTET.
s caractères écrits, la traduction même des pensées? Y a-t-il un seul médecin qui ait eu à traiter des affections nerveuses qui
bre de ces soixante-six sociétaires, on ne compte pas moins de quinze médecins . Presque le quart ! 0 académiciens de Paris, que
trangères les plus distinguées n’ont pu l’obtenir en bien des années. Médecins loyaux et loyaux magnétiseurs, tous convaincus qu
ôme esprit de bonne foi, de loyauté et du désir de bien faire que les médecins piémontais. Et, à cet égard, lesFlourens, lesGe
E PRIVAS. ESCROQUERIE. — LA SORCIÈRE DE LA VOULTE. Il est peu clé médecins qui comptent autant de pratiques que Rose Astier,
la réputation de guérir les maladies contre lesquelles la science des médecins ne sait qu’écliouer ; aussi l’affluence est grand
qui avait perdu sa femme et qui soignait sa jeune fdle malade que les médecins avaient abandonnée, vint consulter la sibylle del
t parfois la scène d’accidents les plus capables d’effrayer d’habiles médecins , non familiarisés aux formes indéfinies de ce Pro
ent au codex et étiquetées si coquettement chez les apothicaires, les médecins sont, hélas! si souvent dans l’impossibilité de n
tent que ça vous guérira.... et dans une foule de cas, ces singuliers médecins ont obtenu des cures merveilleuses, ont guéri rad
leuses, ont guéri radicalement des maladies auxquelles tout l art des médecins n’avait pu apporter le moindre sou- lagement. C
la est. Acceptons donc les somnambules pour ce qu’ils sont pour les médecins de la nature, et n’allons pas les gâter en les co
leçon apprise; de bons somnambules on aurait ainsi fait de médiocres médecins , et il y en a bien asssz. Nous perdrions trop au
distance le sujet, et en opérant dans les conditions imposées par les médecins . Beaucoup d’ouvrages contiennent les relations
tif, il n’y aurait pas un grand danger. Peut-être croira-t-on que les médecins se contenteraient d’obtenir un changement dans la
duire la crise naturelle qui assure la guérison. Une visite pour un médecin , à moins qu’il ne s’agisse d’une séance initiale
ffire à trois ou quatre séances consciencieuses par jour. Quel est le médecin , s’il a un peu de clientèle, qui voudrait, à moin
e saurait le nier, avec l’organisation actuellb du corps médical, les médecins ne sauraient suffire aux traitements magnétiques
cins ne sauraient suffire aux traitements magnétiques (1). Mais les médecins peuvent-ils consacrer officiellement la doctrine
uffit de la volonté pour la mettre en jeu? Certes, il est parmi les médecins des hommes que leur intérêt personnel ne ferait p
men d’autant plus précieux qu’il a pu être fait régulièrement par des médecins qui n’ont pas quitté la malade pendant toute la d
ants que fait tous les jours le magnétisme feront ouvrir les yeux aux médecins , et qu’ils finiront, dans l’intérêt de l’humanité
s circonstanc.,, de, mal.d “ entén ' dent et vo.ent rWem,n( ce que le médecin et le, autant, ne vol,,,! ni nontend l vl *7. r0B
ées. Jérôme Cardan, auteur italien très-distingué, mathématicien et médecin du seizième siècle, a consigné dans l'histoire de
ir fait aucune. » Ces perceptions ultrà-fonctionnelles qui, pour le médecin Cardan, ne s’alfranclmsaient pus des idées supers
oyances réelles et supérieures, et non divagations hallucinées. Les médecins phrénologues et magnétistes ne s’en étonneront pa
uant que celui de 1 admission des esprits. Au printemps de 1854, le médecin en chef d’un des hôpitaux militaires de Paris vin
transcendantes, ou qu’il possédait des moyens de guérir inconnus aux médecins ? N’est-il donc pas important de rechercher ce qui
—11 y a quelques jours, dit l'ire impériale, M. le docteur Vignes, médecin en chef de l’hospice de Tarbes, a eu à constater
mon Dieu ! fait-elle, mon oncle est bien malade, et, par malheur, les médecins qui le soignent ne lui donnent pas ce qui convien
ut que vous me donniez la résolution et le talent de parler aux trois médecins , et la force de les convaincre. — Vous l’aurez. »
i, je me suis avisée d’assister à cette consultation et de parler aux médecins . C’était plus fort que moi, je n’y pouvais pas ré
ne femme de quatre-vingts et quelques années gisait sur son lit ; les médecins s’étaient retirés, car l’état de la malade n’offr
, et auquel on a ajouté l’huile de foie de morue. Dr Ch. CAVIOLE, Médecin en serond de l'hôpital de Cabors et du lycée impé
ons précieuses ; elle soulève son voile, elle montre, elle indique au médecin le chemin qu’il faut suivre, mais l’Esculape, ign
de que la nature conduit 1 Magnétiseurs, vous en savez plus que les médecins sur la véritable médecine ; continuez votre activ
leuze le savait : l’auriez-vous oublié ? Die, le 16 mars 18D6. Un Médecin df. campagne. A. C1IEVANDIER, Docteur. VARIÉTÉS
ruisant la cause. » Voilà de singulières affirmations de la part d’un médecin . Les magnétiseurs ont bien , il est vrai, la pr
nstructif, l’histoire d’une demoiselle qui, d’après le diagnostic des médecins , était bien et dûment atteinte de tumeur cancére
ent atteinte de tumeur cancéreuse intestinale. Mais il paraît que ces médecins , qu’on nous dit tn's-éelairés, n’étaient habiles
ttez-moi de vous demander si vousn’avez pas besoin de commentaire. Un médecin , qui a suivi des cours pendant quatre ou cinq ans
tte traduction, prononcée d’un ton soutenu, que se borne l’utilité du médecin . — Il ne me suffisait pas de savoir la significat
clans ce récit une lacune bien regrettable. On ne nous dit pas si les médecins ont fait l’autopsie de la personne en question. C
ion. C’était cependant le seul moyen de nous faire connaître qui, des médecins ou du voyant, s’était trompé dans le diagnostic.
ffirmer, c’est que le voyant n’a pas guéri la malade : soit, mais les médecins ne l’ont pas guérie non plus. Nous ne leur en fai
ozène depuis vingt-cinq à trente ans, avec perte de l’odorat, et les médecins n’avaient pu y apporter aucune amélioration. Le 3
t de marcher qu’à l’aide de béquilles. Après avoir été soigné par les médecins sans aucune amélioration , ils lui conseillèrent
cès, mais encore pour tous les malades qui meurent, soit parce que le médecin n’a pas connu la maladie ni ses causes, soit parc
prouve qu’il n’y arien de stable ni de déterminé dans la pratique du médecin , même le plus expérimenté et le plus consciencieu
employés à l’égard du malade qui en est l’objet, et souvent blâmer le médecin ordinaire ? L’un aurait pratiqué une large saigné
recourir à un moyen si violent? -le suis le plus petit d’entre les médecins , et ma voix est bien faible; néanmoins, j’espère
Je les en conjure au nom de Dieu et de l’espèce humaine. DARHIEAU, Médecin . POLÉMIQUE. DÉBÂCLE DE LA MÉDECINE. Depuis
anifestations, sociétés de secours mutuels, bureaux de bienfaisance , médecins cantonaux, traitements à forfait ou abonnements,
aître les causes des maladies, réduit de plus en plus le ministère du médecin . Il faudra donc regretter le temps où la négligen
ueux choléras, de plantureuses fièvres jaunes. Oh ! alors au moins le médecin ne manquait pas de besogne, le malade donnait, il
ns phénoménales, et il n’y aura pas de l’eau à boire pour ces pauvres médecins , qui en seront réduits... à faire, dans quelques
téresser à de si grandes infortunes ! Si seulement on réservait aux médecins l’exploitation exclusive des maladies qui persist
guérir sans brevet? Que de concurrents en- valussent le domaine du médecin et rognent sa pitance déjà si maigre ! De tous ce
urnellement d’opérer les cures les plus merveilleuses, à la barbe des médecins et à leur grand détriment ; et, pour ajouter au s
ule, c'est faire comme les chiens qui aboient contre la lune. Que les médecins examinent sérieusement le magnétisme , comme l’on
, il éprouva une crise, et pendant plusieurs heures, ses amis et le médecin le regardèrent comme mort. Néanmoins, il revint à
Say, avait été pendant longtemps affligée d’accès d’épilepsie, et les médecins n’avaient pu lui apporter aucun soulagement. Une
nal 11 Mesme-rista (Le Mesmériste), publié à Turin par une société de médecins et de magnétisles, et l’abondance des matières au
ites, luthériens ou anglicans, magistrats, généraux, administrateurs, médecins , littérateurs, industriels, négociants, hommes de
nos écrivains; lorsque nos physiologistes, nos psychologistes et nos médecins auront été amenés à la vérité du magnétisme par l
t la même découverte. M. Barthé nous écrit que, il y a six ans, trois médecins de Buflfalo, dont le docteur Flint, ont trouvé
ngs étaient le résultat d’un jeu de certaines articulations; d’autres médecins se sont empressés de répéter avec éloges l’explic
fis, hier soir, la lecture de ce mémoire en présence de la réunion de médecins et de chirurgiens distingués, qui se rassemblent
ous transmettre avec la constatation officielle et les signatures des médecins et chirurgiens qui doivent en être les témoins.
ger, M. Alexandre Lartigue, fut atteint d’une fluxion de poitrine; le médecin du navire, après lui avoir donné ses soins, décla
ans se laisser décourager ni par la gravité du mal, ni par l’arrêt du médecin , se mit à magnétiser avec énergie ; après un moi
re à tous les niais qui font ordinairement cortège aux savants et aux médecins . Aujourd’hui, voyez la différence des temps, ce f
ut. Malade ou en santé, l’homme peut encore, dans cet état. servir de médecin à son semblable, puisque, par un moyen de communi
ulement un agent qui guérit directement, mais encore il improvise des médecins ; c’est une médecine tout entière, la science de
humatisme depuis 35 ans, et qui, après avoir été traitée par tous les médecins possibles, avait été forcée de quitter l’hôpital,
n sujet : 11 est matériellement impossible, chacun le sait, que les médecins puissent se livrer avec fruit à la pratique du ma
e chercher à remettre l’emploi de la science magnétique aux mains des médecins , c’est vouloir l’anéantir ; c’est fausser, dénatu
me, et que ce serait aller contre ce louable but que de le livrer aux médecins . Si le magnétisme thérapeutique doit être intro
me vous paraissez accepter avec une certaine préférence l’opinion des médecins qui ont eu, non seulement le bon esprit, mais le
étique, et ii la plus grande jubilation de ses ennemis naturels : les médecins . Puis, dites-moi, d’où vous viennent, en notre
rait encore . — elione ([tii, peut-être , n« plaira pin fi uni« I-h médecin » quo nous comptons diin* nos rang*— Il faillirait
c’est à lui que doivent se rapporter les guérisons produites par les médecins spiritualistes. N’est-ce pas là peut-être même
Enfin, le 22, — il y avait dix-huit jours que j’étais éclopé, — un médecin , après avoir examiné la partie lésée, déclara que
tal de Milan. C’était assurément le meilleur démenti donné à ceux des médecins (de plus en plus rares dans ce pays, disons-le) q
res que je faisais. Heureusement nos tribunaux, plus éclairés que nos médecins , me donnèrent gain de cause et me laissèrent tout
alades, la plupart atteints d’affections déclarées incurables par les médecins . Le nombre de mes magnétisations, dont je tiens s
se tromper involontairement. Un malade consultait autrefois un seul médecin et suivait aveuglément ses prescriptions. L’insuc
diminué .la confiance du malade, et il consulte aujourd’hui plusieurs médecins dont il reçoit quelquefois autant d’avis différen
Macdonald, professeur d’histoire naturelle. Le docteur James Scott, médecin consultant, résident. Les directeurs et les mem
s en prions, pour la plus grande gloire du magnétisme , messieurs les médecins , allez, allez toujours, criez-nous plus d’injures
t devenir contagieux, ou tout au moins en arrivera-t-on à séparer des médecins routiniers et têtus, ennemis de tout progrès, ceu
s de l’Amérique du Nord (dit un grawj n journal), ont chassé tous les médecins , ayant trouvé infi-« niraent plus sage de leur su
es milliers de miracles ! » Sur ce, portez-vous bien, messieurs les médecins , si vous pouvez, et méditez un peu sur ces diable
ns dû, avec quelque raison, supposer que c’est un de ces très-savants médecins que les Mormons ont, dans un accès de mauvaise hu
étisme et je le propose comme moyen « utile dans les seules mains des médecins . Je crois, en « conséquence, nécessaire d’appeler
e chimère, afin que par elle on ne découvre pas les « balourdises des médecins et l’on ne guérisse pas sans « avoir le droit d’ê
fin qu’il faut don-« ner à entendre à tous nos fidèles séides que les médecins « sont infaillibles, et que, sans un diplôme de m
ides que les médecins « sont infaillibles, et que, sans un diplôme de médecin , « l’homme ne peut retirer aucun fruit des meill
e, une maladie grave des organes du bas-ventre. Traitée par plusieurs médecins , elle avait échappé à la mort, mais la maladie pa
ver, en proie à des douleurs sourdes et presque continues. D’autres médecins donnèrent en vain leurs soins à cette malade ; un
s les formes ; l’opération de la curette utérine fut pratiquée par un médecin qu’on fit venir de Paris ; mais, malgré tous ces
ir, le D' Leger vint à Orléans, et fut consulté pour cette dame. Ce médecin comprit de suite la mauvaise d irection donnée au
urs des artistes de valeur différente, que vous appeliez ces artistes médecins ou magnétistes. Dr CHARPIGNON. Orléans, juill
et refusait obstinément de se soumettre à l’examen indispensable des médecins . Aussi son état avait empiré à tel point qu’on s’
t s’enquérir que j’ai vu pour la première fois, il y a huit jours, un médecin homeeopathe, et que je suis parfaitement indiffér
u catharrales, en un mot, les maladies les plus graves dont plusieurs médecins avaient désespéré, disparaissaient comme par ench
iques, constatèrent ces faits si curieux et en furent émerveillés. Le médecin , convaincu dès lors qu’il avait prise sur le mal
nom, ni la rue où il avait demeuré. Il ne se trouvait pas là un se”1 médecin par l’intermédiaire duquel il pût exprimer l’idée
s éprouvées dans ce moment par le blessé étaient intolérables, et les médecins furent d’avis que l’accident était une fracture s
nt trois semaines, reçut chaque jour la visite et les soins des trois médecins ci-dessus nommés, ou tout au moins de l’un d’entr
de l’assassinat de Lyon en 1092. J’avais causé magnétisme avec deux médecins ; l’un ayant vu des faits et convaincu ; l’autre
’exactitude de celle qui m’était décrite. J’écris fort empressé à mon médecin , espérant le convaincre, ou tout au moins l’ébra
le ; fouillez dans ce domaine encore si peu connu et dédaigné par les médecins . Cherchez la force miraculeuse, cet agent merveil
le magnétisme fait éclore artificiellement chez les somnambules : les médecins , appelés à traiter ces cas singuliers, se trouve
n du foie. Jusque-là elle avait obstinément refusé les secours d’un médecin : l’excès de la douleur la détermina enfin à y re
nt, pendant une longue période, être conformes à la vérité, et que le médecin peut en tirer un parti très-avantageux dans l’int
satrice sous toutes les formes. Le croirait-on ? 11 y a à New-York un médecin français qui tient boutiques de philtres, de poud
n lit à la page 345 du t. 27 : « Quelques années avant Cagliostro, un médecin allemand, Mesmer, né à. Mersbourg, en Souabe, l'a
trine et l’emploi du magnétisme par une commission composée de quatre médecins et de cinq membres de l’Académie des sciences. Pa
embres de l’Académie des sciences. Parmi les premiers, on remarque un médecin estimable, Guillotin, d’abord jésuite et plus tar
sance avec le magné-time : il y avait quelques dames, un prêtre, deux médecins , dont l’un d’une incrédulité renforcée. n A hui
oide; la circulation du sang s’arrêta tout à coup ; on fit appeler le médecin , qui fit, je crois, tout ce qu’on doit faire en p
domicilié à Ncw-York. « Voilà donc le magnétisme par les mains d’un médecin , réduit en philtres, en poudres, en élixir d’amou
teurs Buchanan et Per-siston de Washington. Le premier ¡de ces deux médecins avait, si on se le rappelle, découvert, disait-il
u-dessous); toutes ces causes réunies firent considérer l’annonce des médecins américains comme une erreur, peut-être même, diso
mènes de chaleur, de froid et d’électricité, en présence de plusieurs médecins et physiciens qui en ont été frappés d’étonnement
à Strasbourg. Il n’y manque pas de zélés partisans, bien que certains médecins le combattent avec une fureur aveugle qui n’about
te desquels elle se trouva privée des sens de la vue et de l’ouïe. Un médecin lui prescrivit des bains et des calmants. Elle de
u’elle se guérirait elle-même et qu’elle n’avait aucunement besoin de médecin . Néanmoins ses parents n’ayant aucune confiance d
ans ses assertions et effrayés de son triste état, s’adressèrent à un médecin . C’était un adversaire implacable du magnétisme e
nc le parti de se conformer à' ses prescriptions sans en rien dire au médecin . « Elle ne pouvait parler qu’avec une très-gran
protestant qui fut émerveillé de ce qu’il voyait. On avait invité le médecin à s’y rendre, mais il refusa, et quand on lui fit
atifie certains malades ! iN’est-il pas déplorable de voir encore des médecins rire du somnambulisme qui sauve des malheureux qu
rappelèrent à la vie, l’une, son enfant, l’autre, sa femme , que les médecins avaient abandonnés comme morts. « Voici l’épiso
s, s’est fait une réputation qui n’a pas manqué d’exciter la bile des médecins ; ceux-ci, par plusieurs fois , l’ont envoyée au
ctions de ceux qui vont le visiter. Jamais il ne se trompe. Plusieurs médecins , inconnus de lui, des jeunes gens frivoles, afin
res maladroites d’une jardinière qui s’était faite sou oculiste. Le médecin consulté à Paris avait jugé nécessaire de faire d
jeune fille me dit - « Eh bien , lequel est le plus fort eu vous du médecin ou du magnétiseur?» Lecteur, je vous le laisse
de cette maudite fièvre typhoïde de la manière la plus violente ; le médecin qui m’a soigné a vu tout d’abord que j’étais mena
inspi- BIBLIOGRAPHIE. rer le philosophe, le savant, l’artiste, le médecin ; et il prophétise à l’humanité les plus brillant
lle émane. Aussi Jésus et ses apôtres ont-ils été les plus grands des médecins anciens et modernes. » Il y a là deux contradic
es. Si, comme ils le disent, Jésus et ses apôtres ont été de sublimes médecins , s'ils ont doté l'humanité de la médecine de l'av
scendants 3e Pierre, qui sont très-nombreux , M. Alexandre de Haldat, médecin distingué et littérateur, et M. Villiaumé, le cél
çant l'avenir. Il y a surtout une notice fort bien faite sur Quelques médecins sam médecine. Elle commence ainsi ; « Est-il poss
s faire. Adieu ! » Ce fait vient à l’appui de l’opinion de certains médecins qui ont écrit sur le suicide, qu’ils ont considér
nairement ses confrères. Elle Va pas besoin de se faire assister d’un médecin , ce qui fait une première économie. Elle supprime
est le prospectus d’un nouveau journal que publie M. le Dr Cornet. Ce médecin promet de traiter dans sa feuille tout ce qui a r
tement médical de plusieurs années, entrepris successivement par deux médecins . La Neuville-les-Masigny, le 25 décembre 1856.
appartiennent à toutes les classes de la société : il s’y trouve des médecins , des savants, des artistes , des hommes versés da
et soumis à un traitement approprié à leur état, sous la direction de médecins éclairés : qu’il soit tenu note exacte des résult
me Jeanne, tint une séance magnétique concernant M. P. D. Loetorbagh, médecin de vaisseau à bord de la frégate néerlandaise Pa-
clare entre autres choses ce qui suit, concernant lesdits vaisseau et médecin . « Je vois très-clairement le docteur ; dans ce
que chose d’important au Palembang par suite de mauvais temps. « Le médecin a beaucoup parlé à bord du magnétisme. « Je voi
me , et il conclut à ce que l’usage en soit réservé exclusivement aux médecins . Nous avons toujours combattu ce système illibéra
S. Morin, 210. Médecino (la) et lle magnétisme. Débats divers entre médecins et ma-gnétisles, 106, 210, 254, 363, 384. 386, 51
526, 627, Mormons îles) de l'Amérique du Nord ont chassé tous leurs médecins , pour se soigner eux-mêmes par les moyens les plu
tismo et le propose comme moyen utile, mais dans les seules mains des médecins , 386. Propagande. Fondation de nouveaux journau
Mesmerista (il). Revue mensuelle, fondée à Turin, par une société de médecins et de magnétistes, en remplacement d’il Magnetofi
59 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e médecine (le V. MAGNAN Membre de l'Académie ! de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Aunc). F. RAYMOND
odes de la paralysie générale; Par le D' E. MARANDON DE 110\TYEL, Médecin en chef des asiles publics d'aliénés de la Seine.
ogées avec réserve et délicatesse, s'empressent de tout raconter au médecin . Par elles, on arrive à connaître non seulement
établir un rapport plus étroit entre l'hôpital psychiatrique et les médecins de la localité ; de seconder les asiles par la
ompose d'un médecin-directeur (actuellement le IF Peeters), de deux médecins adjoints, de deux médecins assistants, d'un rec
(actuellement le IF Peeters), de deux médecins adjoints, de deux médecins assistants, d'un receveur, d'un secrétaire et d'u
ès lesquels'il est remis entre les mains d'un gardien choisi par le médecin directeur, suivant la nature du cas. Pour les p
tions sont également sous la asiles d'aliénés. 61 surveillance du médecin directeur, mais il n'est obligé par le rè- glem
que il les voit beaucoup plus souvent. L'inspection est confiée aux médecins adjoints et aux médecins assistants qui visiten
plus souvent. L'inspection est confiée aux médecins adjoints et aux médecins assistants qui visitent les malades incu- rable
ade reçoit aussi une fois par mois la visite d'un garde de section. Médecins et gardes rendent compte chaque jour au mé- dec
hec. Le succès dépend de la persévérance du malade et de celle du médecin . BIBLIOGRAPHIE. 1. Le problème de la mémoire,
fait de la suggestion, Socrate en usait auprès de ses disciples, le médecin l'a toujours employée quand il a essayé de remo
chez nous, où l'épilepsie n'est même pas une cause de divorce. Le médecin consulté doit l'empêcher, en tout cas ne jamais l
elle nous répondit : Je vou- lais venir il y a deux ans, mais notre médecin m'a dit : Attendez, cela peut encore s'améliore
de Basrens, promu à la classe exceptionnelle ; M. le D'' 'l'AGUET, médecin en chef à l'asile de Vaucluse, est nommé en la
a même qualité an Je asile(Maison-Blanche); - \I. le D' VIGOUI\OUX, médecin en chef à Dun-sur-Auron (Cher), est nommé en la
psie par la méthode 1 de Flechsig; PAR J. SÉGLAS, 6T l HERTZ, Médecin de l'hospice de 131cètre. Interne de» hôpitaux.
nt infiniment de patience et prennent beau- coup de temps et que le médecin a déjà, sans cela, souvent à travailler au-dess
es forces ; et nous trouvons cette objection absolument valable; un médecin ne peut entre- prendre d'employer comme remède,
fant passa ensuite huit jours au lit en proie à des troubles que le médecin de la fa- mille aurait qualifiés de méningite.
e la Commission du Prix Aubanel. Ce prix est décerné à M. Coulon, médecin adjoint de l'asile de Clermont (Oisé). Les cand
Billod. - Le secrétaire général prononce l'éloge de Billod, ancien médecin directeur de l'asile de Vaucluse. M. B. Séance
es de la puberté à l'asile des aliénés de Bordeaux, par le Dr Pons, médecin en chef. - Séance de l'après-midi, à 2 heures.
enigsberg (Allemagne). Sur la folie systématique. par le Dr Séglas, médecin de Bicêtre. La vraie cause de la paralysie géné
uge irresponsable, demande un examen et un certificat médical. Le médecin désigné^ répond, après examen, que D... est épile
ce que l'on n'a pas suivi ce conseil donné d'ailleurs par tous les médecins un peu au courant de l'his- toire de la folie.
les médecins un peu au courant de l'his- toire de la folie. Ici le médecin n'a pas hésité â faire son devoir. Il n'en a pa
r le pauvre aliéné à l'infirmerie du Dépôt. Examiné au Dépôt par un médecin aliéniste, Pierre Legrand fut remis en liberté
déments séniles, les aliénés criminels : Augmentation du nombre des médecins , des internes, des 11lfi ? miers ; . Réformes
tig, n'a fait que se conformer scrupu- leusement aux indications du médecin compétent. Avant d'examiner dans le détail l'or
toires pour le personnel médical (le professeur de clinique et cinq médecins ) et un certain nombre d'étudiants ; logements p
ie. Les pavillons latéraux ont, au premier étage, les logements des médecins et quelques chambres destinées à des malades n'
le repos des autres malades, de reléguer loin de la surveillance du médecin des sujets qui, par leur agitation, sont suscep
. Ce n'est pas tout. Un service de garde est organisé entre les six médecins (dont quelques-uns sont logés dans les pavillon
avillons des malades) et des étudiants stagiaires ; il y a ainsi un médecin de service d'une façon presque permanente. En p
hommes, les mesures nécessaires sont prises pour que, en dehors des médecins assistants qui sont dans la proportion de un po
te bien difficile, chaque accès d'agitation peut être traité par le médecin . Celui-ci, logé à proximité de la salle de survei
accès de ce genre, de même que, dans une clinique obstétricale, le médecin est appelé pour surveiller les accouchements. A
le de surveillance soit traversée aussi souvent que possible par le médecin : elle lui sert de passage. . Le personnel est
amment tenu en haleine par l'appa- rition fréquente et inopinée des médecins : voilà qui vaut mieux, à coup sûr, que toutes
closets à heure fixe. S'agit-il d'un sujet bruyant ? La présence du médecin , les soins que celui-ci peut donner dès le débu
orsqu'on y a recours, c'est plutôt comme à un grand lit dans lequel médecin et infirmiers ont le patient sous les yeux, penda
qui est aussi directeur de la clinique, trois assistants et deux médecins volontaires, logés à la clinique. Le nombre des l
que, qui remplit les fonctions de directeur-médecin en chef, il y a médecins assistants et 2 médecins volontaires pour un se
tions de directeur-médecin en chef, il y a médecins assistants et 2 médecins volontaires pour un service de 80 lits. Le nombre
le avec les cellules d'isolement;-7° Situation des appartements des médecins à proximité des salles de surveillance continue
O. Rinsmaner, est secondé 208 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. par trois médecins . Le professeur est partisan de l'enseignement o
a cause : , 4° Les magistrats devraient confier cette mission à des médecins dont les connaissances spéciales et l'expérienc
et l'expérience donneraient toute garantie de compétence ; 5° Les médecins des prisons devraient examiner tous les préve-
On eut des doutes sur l'intégrité de ses facultés mentales et trois médecins : le D1' Vocke, le profes- seur Messerer et le
s testaments par les aliénés certifiés tels, et sur les devoirs des médecins en pareil cas, par W.-B. MORTON, (The Journal o
11 eut plusieurs intervalles lucides, nette- ment constatés par le médecin , pendant l'un desquels il demanda à faire, et f
tuel, en présence d'un état de lucidité absolue constaté par quatre médecins , le rôle du médecin était facile, mais il s'en
n état de lucidité absolue constaté par quatre médecins, le rôle du médecin était facile, mais il s'en faut qu'il en soit t
ujet de la responsa- bilité des aliénés entre les magistrats et les médecins consistait en ce que les premiers admettaient q
la même localité et les place ainsi sous la direction immédiate du médecin . Un hôpital-asile permet à Gheel de recevoir to
oses de la puberté à l'asile des aliénés de Bordeaux dont il est le médecin en chef. Séance du vendredi suir. Cette séanc
qui pourrait la lui rappeler. Durant la seconde période, le rôle du médecin consiste à faire accomplir au malade, sous sa d
INE. En revanche, la méthode présente l'inconvénient d'obliger le médecin à des déplacements souvent incommodes pour suivre
rostitution et d'avoir vécu du produit de son inconduite. Plusieurs médecins , MM. Vallon, Séglas et Legras, furent chargés d
e, accuse A111° G... de s'être fait avorter avec le con- cours d'un médecin célèbre, qui est à la fois homme politique et m
di, M. Basly, juge d'ins- truction, confrontera dans son cabinet le médecin incriminé et un de ses confrères avec Mne. G...
BIBLIOGRAPHIQUE. 2-il 1 médecin-adjoint à Dun-sur-Auron, est nommé médecin en chef à Ainay-le-Chàteau. M. le Dr DIDE reç
palholoâistes et des Aliénistes de Mos- cou, l'autre au Congrès des médecins russes à Kiew. Le docteur Govséiew a été frappé
ùr à la section des maladies nerveuses et mentales au Con- grès des Médecins russes, en mai 1899. Les rapporteurs DE l'alite
malade ne reste au lit que la nuit et le matin jusqu'à la visite du médecin . Ce dernier établit, comme toute autre mesure t
s exacte- ment ; Si Le repos au lit jusqu'à la visite du matin du médecin . Ensuite, si ce dernier l'autorise, il est perm
u moins nombreux dans les- quels les malades sont autorisés, par le médecin , à se lever avant sa visite. Ce sont quelques c
du traitement par le repos au lit sera tout de même observé si le médecin établit bien chaque fois la durée du séjour an li
y séjournera dépend uniquement de son état de santé apprécié par le médecin ; les malades ne gar- dent que leur linge de cor
inactivité, au quiétisme, non seulement les malades, mais aussi les médecins . C'est qu'effectivement, très souvent, avec ce
NERVEUSE. Syndrome de Basedow post-typhoïdique ; Par F. BENOIT, Médecin major de 3'' classe. Répétiteur l'Ecole du Serv
blit des intermittences perçues par le malade et quelquefois par le médecin , qui n'étaient jamais bien tenaces ni bien inte
bains ; 5° On comptera 100, tout au plus 200 malades pour un seul médecin , même si les malades ne changent pas fréquemment.
les ou même enchaînés ; 7° Les gardes sont forcément subordonnés au médecin et dirigés par lui ; 8° Par l'alitement eu co
servation. Pour que cet examen soit aussi complet que possible, le médecin devra pouvoir disposer de tous les éléments d'app
les proportions limitées que comporte un asile où il n'y a que deux médecins . Il faut être très prudent dans le choix des ma
du mutisme est infiniment plus rare que ne le pensaient les anciens médecins . Elle sera facilement déjouée par une observati
rison, tous les mots ont un sens caché. Rien ne parait naturel; les médecins sont des figurants, le soleil la lune ne sont p
'aliénés. Promotions (septembre 1900) : M. le Dr. Dericq, directeur médecin de l'asile public d'aliénés de Bonneval (Eure-
l tirera un réel profit, s'il suit régulièrement les indications du médecin traitant. L'époque de l'application du traiteme
cas trois jours après l'ictus, malgré l'interdiction formelle du médecin traitant de ne pas toucher le malade et, au bout
atriques des Universités allemandes 2 ; Par le D' Paul SÉRIEUX, Médecin des asiles publics d'aliénés de la Seine, charg
cent. Personnel médical. Le professeur de clinique est directeur médecin en chef de l'établissement. Il est secondé au poi
ministratif par un économe (Inspector). Il a pour collaborateurs un médecin en second, deux assistants pour le service de p
iatrie, un assistant ponr le service de neuro- pathologie, et trois médecins volontaires. Les admissions des malades se font
construction des asiles... L'esprit inventif des architectes et des médecins a réussi sans doute à apporter plus ou moins de c
LINIQUES PSYCHIATRIQUES. 37U la loge du concierge, le logement d'un médecin , un local destiné à servir d'atelier et un autr
assistant. A l'étage supérieur, mansardes et logement du troisième médecin . B. Pavillons de traitement (Baracken). Ces pav
tte destination qu'ils ont été placés à proxi- mité du logement des médecins et de la salle des cours située dans le bâtimen
composé : le direc- teur-médecin en chef, professeur Hilzig ; deux médecins (0&<' ? 'a) ? <), deux assistants, un
zig ; deux médecins (0&<' ? 'a) ? <), deux assistants, un médecin volontaire. -Le professeur fait deux leçons par
les infirmiers nouvellement admis apprennent sous la direction des médecins , des surveillants et des autres infirmiers les
ore des oeufs différemment préparés avec salade, fruits, etc. Les médecins ont le menu des malades de première classe, mai
ue de l'alimentation revient ainsi en chiffres ronds à : Pour les médecins : 2,04 marks par jour ; î 16 marks par an 1. Po
60 femmes) ; Personnel médical : le Directeur professeur Hilzig, un médecin assistant ayant le titre d'06e ? \M'< et le
6e ? \M'< et le grade universitaire de Pd- vat doeent, un second médecin assistant chargé de la Policlinique, trois autr
assistant chargé de la Policlinique, trois autres assistants et un médecin stagiaire (17oloiiiii-tti,zt). Le « mouvement »
rofesseur de psychiatrie, le 0" Pelman, est en même temps directeur médecin en chef de l'asile. La population normale de l'
outre le professeur, d'un mé- decin chef de service (Oberart), d'un médecin assistant qui est Privat-docent et de trois ass
l médical. Le professeur de psychiatrie, 1)" Grashey, est directeur médecin en chef de l'asile (1894). Il est secondé par u
n chef de l'asile (1894). Il est secondé par un nombre suffisant de médecins , ayant chacun une tâche bien définie et constit
bien définie et constituant ainsi des collaborateurs effectifs. Le médecin en second est spécialement chargé d'une des deu
soir, chaque jour alternativement dans une des deux divisions; le médecin en second visite la division dont il est chargé.
res. De 10 heures à 12 heures, rapport dans le cabinet du directeur médecin en chef. Le soir, vers 4 ou 5 heures, contre-vi
professeur de psychiatrie est le Dr A. Bumm. Il est secondé par un médecin chef de service (06euart) et cinq médecins assi
mm. Il est secondé par un médecin chef de service (06euart) et cinq médecins assistants. (A suivre.) PSYCHOLOGIE. Sur les
s phénomènes dits hallucinations psychiques; Par le Dr J. SÉGLAS, Médecin de Bicètre. (Résumé analytique d'une communicat
que. Elles ont été faites sur des personnes saines, infir- miers ou médecins de la Clinique, jeunes hommes de vingt-quatre à
étails qu'il a trouvés ; 5° nous devons faciliter l'instruction des médecins qui veulent s'occuper de l'anatomie du cerveau
s questions : 1° à la collec- tion du matériel. J'ai trouvé que les médecins et les anatomo- pathologistes des grands hôpita
pathologistes des grands hôpitaux et des asiles aussi bien que les médecins privés sont assez disposés à mettre le matériel à
désirent et si on leur donne quelques coupes. De cette' façon le médecin qui a observé le malade peut s'instruire des chan
l'applique. Avec cette méthode il faut la pré- sence permanente du médecin et un personnel secondaire de choix. M. Tokarsk
peuvent être ramenées à quelques types principaux sur les- quels le médecin légiste est appelé, plus ou moins fréquemment,
série de condamnations que le per- verti sexuel comparaît devant le médecin . Lasègue avait exposé les caractères principaux
des administrateurs éclairés qui encou- rageaient l'initiative des médecins . Les hôpitaux étaient gérés par le Conseil géné
es hôpitaux n'ont aucune initiative, l'on ne veut pas consulter les médecins (puisqu'on sait tout) et on se propose de boyco
« J'ai voulu aussi essager de la musique et du chant. Il est peu de médecins d'aliénés qui n'aient eu recours à ces moyens de
157.) « ... La volonté des aliénés ne doit pas servir de règle au médecin chargé de les guérir; leurs répugnances méritent
nt, auraient bientôt peuplé vos ateliers. (Ibid., p. 182.) « ... Le médecin d'aliénés doit avoir pour but de se rendre maît
ttaché à l'Ecole pratique des Hantes.ltndes, et M. le D1' Toulouse, médecin en chef de l'asile de Villejuif, son' fondateur
; AI;DIN-DGLTL : II,, et T Il. IlOU'I);R>;, Chef de clinique, médecin adjoint Aide d'analomie, interne provisoire de
A propos de l'éducation des enfants arriérés; Par le Dl "'Ali L, Médecin adjoint (les aik'5l1 alil'né ? I Le XX.0 Cong
de la compétence d'infirmiers bien dressés, sous la direction d'un médecin et ne relève en rien de l'instituteur. Tout au
blissements spéciaux d'éducation, mais nous estimons que c'est à un médecin versé dans l'étude des maladies mentales que do
état mental de ces enfants est un état pathologique ; c'est donc au médecin et au médecin seul qu'en appartient la thé- rap
ces enfants est un état pathologique ; c'est donc au médecin et au médecin seul qu'en appartient la thé- rapeutique. Ce n'
maître de l'établissement faisant appel quand il le juge utile, au médecin . Tel qu'il est formulé, le voeu n° 4 est en con
que la direction de l'éducation soit con- fiée aux instituteurs. Le médecin , en effet, dans ces établis- sements, a tout po
on des arriérés un établissement autonome, sous la direction d'un médecin aliéniste, mais non régi par la loi sur les alién
la distinction qu'aurait désirée le D' 'VaIJ1. 11 n'y a-vait pas de médecin , ne l'oublions pas 1. D'ailleurs cette distinct
en France, il l'égard des questions d'enseignement, la plupart des médecins . A propos DE l'éducation DES enfants arriérés.
bien il nous paraît nécessaire, ou plutôt logique, de confier à des médecins seuls, avec la colla- boration pédagogique, la
incontestablement des malades et que, p1.r conséquent, c'est à des médecins qu'ils doivent être confiés. Les infirmières, l
s derniers. doit être plus étendu, mais là encore l'intervention du médecin est indispensable. BOUIt\ L1'ILLI : . PHYSIOL
ques des Universités allemandes ' ; Par le D' Pau. SliRII : U\, Médecin des asiles publics cl'alién5s de la Seine, char
gé, en 1832, en un service autonome que l'on confia à W. Ideler. Ce médecin fit des conférences cliniques sans cepen- dant
pour la section de psychiatrie, en outre du professeur, de trois médecins assistants dont l'un est professeur extraordinair
r assistant M. le D'' i\I. Privas- docent, qui est secondé par deux médecins militaires et deux médecins volontaires. Le p
vas- docent, qui est secondé par deux médecins militaires et deux médecins volontaires. Le professeur Jolly donne, chaque
Ut' IL Arndt, est directeur de la clinique ; il est assisté de deux médecins . 476 ENSEIGNEMENT. Université de Kiel (Prusse
mes, 157 femmes). Personnel médical : le professeur Ludwig Meyer; 1 médecin en second, le professeur Cramer ; cinq assistan
Personnel médical : le professeur de clinique, Dr Specht et sept médecins . Nombre des lits : 857. - Prix de revient du
e, en même temps directeur de la clinique, le Dl' Kraepelin, d'un médecin en second qui est Privat-docent, de deux assistan
ecin en second qui est Privat-docent, de deux assistants et de deux médecins stagiaires (Volontirür4te). Population (1° janv
0 ENSEIGNEMENT. Personnel médical : le professeur Tuczek, directeur médecin en chef de l'asile, un médecin en second, Priva
al : le professeur Tuczek, directeur médecin en chef de l'asile, un médecin en second, Privat-docent, deux assis- tants, de
asile, un médecin en second, Privat-docent, deux assis- tants, deux médecins volontaires. La clinique psychiatrique étant à
mmes). Le personnel médical se compose, outre le professeur, d'un médecin en second, d'un médecin assistant et d'un médecin
dical se compose, outre le professeur, d'un médecin en second, d'un médecin assistant et d'un médecin vo- lontaire. Unive
professeur, d'un médecin en second, d'un médecin assistant et d'un médecin vo- lontaire. Université de Breslau (Prusse,
s malades, 70 jours. Personnel médical ; le professeur Wernicke, un médecin en chel (Oberarzt) et deux médecins assistants.
cal ; le professeur Wernicke, un médecin en chel (Oberarzt) et deux médecins assistants. Population (1 ? janvier 1808) : 215
SECTION DE PSYCHIATRIE. 485 genre doit être soumis à l'examen d'un médecin . La préoccupation de l'expert devra être de vér
à écarter l'idée émise par M. Benedikt et acceptée par beaucoup de médecins , entre autres par M. Déjerine, suivant laquelle
s voisins, suivies de descentes de police, et bien que toujours les médecins aient déclaré que l'infortuné garde-frein était
psie du garde-frein; elle a pleinement confirmé les diagnostics des médecins ; plusieurs lésions du cerveau ont motivé l'éta
t promotions : M. le Dr Jacquin, premier du concours de Lyon, nommé médecin adjoint à St-Ylie FAITS DIVERS. a531 (Jura) p
t-Ylie FAITS DIVERS. a531 (Jura) poste créé; -11. le Dr 130URDIN, médecin adjoint à la Charité (Nièvre) promu à la classe
cteur de l'asile des aliénés de Rennes; M. le D'' Siziut, directeur médecin à Saint-Ylie (Jura), est promu à la 2° classe d
Ylie (Jura), est promu à la 2° classe du cadre; M. le D1' 130UDHlE, médecin en chef à l'asile de Vaucluse, nommé médecin en
e; M. le D1' 130UDHlE, médecin en chef à l'asile de Vaucluse, nommé médecin en chef à l'asile de Maison-Blanche (poste créé
sile de Maison-Blanche (poste créé) ; -111. le Dr DUPAIN, directeur médecin à Dun-sur-Auron (Cher), nommé .médecin en chef
pe, 55. Historique sur les du Ca- nada, par Burgess, 56. femmes médecins dans les -, par Lud- whig, 5G. Rapport sur l'-
hald, 60. - Sainte- Agathe, à Liège, par Lhoest, 65. Concours des médecins adjoints des - 75. - 77. - 190. 270. 351. 448
60 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
encore sur cette question délicate : Conduite à tenir de la part du médecin et de l'éducateur vis- à-vis d'un adolescent en
est) ; D1' Arnaud (le 13eanvoisin); M0 Byasson; Dénierons de llaan, médecin de l'Uni- versitc (1' U tredlt (Pays-Bas) ; 1)'
vanni Spingazzini; Jorge Vines; 1>'' Koenig'; D'' Luhrmann (F.), médecin à l'asile d'aliénés de Drcsden; Loue John; Lehe
seur lléuard (('.) ; Dr Régis (de Bordeaux) ; Refortmatski (N. N.), médecin directeur de l'hôpital des aliénés de Novosname
par le maitre qui a observé l'imperfection et avec l'approbation du médecin du Conseil des écoles. Cette répartition habile
ires. Voici sa Lettre et notre Réponse. A M. le Dr l3oanw : wu.i.r, médecin de la section des enfants arriérés de Bicêtre.
otre ancien collègue, Bourneville. 10 décembre 189G. III. Les médecins aliénistes des hôpitaux. En 1840, le Conseil gé
os- pices de Paris institua le concours pour le recrute- ment des médecins des services d'aliénés de Bicêtre et de la Salp
édecins des services d'aliénés de Bicêtre et de la Salpêtrière. Les médecins qui furent nommés au concours et qui tous ont c
reau (de Tours), Trélat, jouissaient de toutes les prérogatives des médecins des hôpitaux; ils pouvaient, entre autres, fair
par l'Empire, a été rétabli par la République. Comme beaucoup de médecins et d'administrateurs ignorent ou ont oublié les
du jour du Conseil de Surveillance d'une ques- tion concernant les médecins aliénistes qui ont été nommés avant le rétablis
ents de nature à préciser la situation et à permettre de donner aux médecins aliénistes, nommés au concours, les satisfactio
droit. I. -ARRÉTÉ établissant le concours pour la nomination des médecins titulaires des services d'aliénés des quar- tie
ogramme et les conditions du concours ouvrir pour la nomination des médecins attachés aux services des quartiers iioliiinati
quartiers iioliiinatioit (les iitta(5lié- aux cles quartiers XCII Médecins aliénistes DES HOPITAUX. d'aliénés clans les ho
il s'agit, suivant le mode d'assimilation complète ou partielle des médecins alié- nistes, qui seront nommés d'après les épr
nistes, qui seront nommés d'après les épreuves de ces concours, aux médecins nommés d'après les épreuves des concours du bur
é, tendant : 1° A ce que le système de l'assimilation partielle des médecins alié- nistes aux médecins du bureau central soi
e système de l'assimilation partielle des médecins alié- nistes aux médecins du bureau central soit adopté de préfé- rence,
ticle pbemieb. A l'avenir, en cas de vacances dans le personnel des médecins titulaires des services d'aliénés dépendant de
ssistance publique à Paris, il sera ouvert, pour le choix de chaque médecin à nommer, un concours dans les formes des conco
estion) ; 2° Épreuve clinique commune sur un malade. (Dix minutes MÉDECINS ALIÉNISTES DES HOPITAUX. XCIII d'examen et ving
mbre des points attribués il chaque épreuve est ainsi fixé : XCIV MÉDECINS ALIÉNISTES DES HOPITAUX. exercice dans les quar
879). L'année suivante, à l'occasion de l'élection d'un délégué des médecins des hôpitaux au Conseil de surveillance, nous a
rérogatives que l'arrêté pré- fectoral du 3 mars 1879 accordait aux médecins alié- nistes, nommés au concours. Peu après, M.
dont il s'agit puisse soulever le moindre doute. L'assimilation des Médecins des Services d'aliénés aux Médecins des Hôpitau
indre doute. L'assimilation des Médecins des Services d'aliénés aux Médecins des Hôpitaux est complète, sauf sur un point qu
le droit de siéger dans les Jurys institués pour la nomination des Médecins du Bureau central. Cette réserve faite, les Méd
nomination des Médecins du Bureau central. Cette réserve faite, les Médecins alié- nistes doivent jouir de tous les droits e
oivent jouir de tous les droits et de toutes les pré- rogatives des Médecins des Hôpitaux, puisqu'ils sont, du reste, astrei
nt sur la limite D'AGE. Leur droit de voter pour la présentation du Médecin chargé de représenter ses collègues des Hôpitau
ation générale de l'Assistance publique. Signé : Michel MOHING. MÉDECINS ALIÉNISTES DES HOPITAUX. XCV A M. le Docteur Bo
MÉDECINS ALIÉNISTES DES HOPITAUX. XCV A M. le Docteur Bourneville, Médecin de l'Hospice de Bicêtre. Paris, le 26 février
en vertu de l'article G de l'arrêté préfectoral du 3 mars 1879, les Médecins aliénistes nommés à la suite du Concours et ceu
ter, et surtout de voter pour la présentation du délégué de MM. les Médecins des hôpi- taux au Conseil de surveillance. «A
article. L'assimilation des Jléde- cins des services d'aliénés aux médecins des hôpitaux est complète sous la seule réserve
ir de tous les droits et de toutes les prérogatives attribués aux Médecins des Hôpitaux, de même qu'ils sont soumis aux mê
et en particulier au Règlement sur la li- mite d'âge. Le droit des Médecins aliénistes de siéger lorsqu'il y a lieu dans le
les Commissions administratives et de voter pour la présentation du Médecin chargé de repré- senter ses collègues au Consei
us d'attirer aujourd'hui votre attention sur la situation faite aux médecins des quartiers d'aliénés de XGVI Médecins aliéni
lpêtrière et de l31cètre; nommés au concours, vis-a- vis des autres médecins des hôpitaux. D'après l'arrêté préfectoral du 3
égard. Nous en extrayons le passage suivant : « L'assimilationdcs médecins des services d'aliénés aux médecins des hôpitau
suivant : « L'assimilationdcs médecins des services d'aliénés aux médecins des hôpitaux est complète sous la seule réserve
ne siégeront pas dans les jurys des concours pour la nomination des médecins clu Bureau central. Dès lors ils doivent jouir
ls doivent jouir de tous les droits et prérogatives attri- bués aux médecins des hôpitaux, de même qu'ils sont soumis aux mê
i, été appelés il voter le 27 décembre 1886 pour la présentation du médecin chargé de représen- ter le corps médical au Con
, il nous semble, nous être accordée de nouveau aujourd'hui que les médecins de la Salpêtrière et de Bicêtre sont recrutés p
icêtre sont recrutés par la voie du concours, tout comme les autres médecins des hôpitaux. Nous voue demanderons donc, Mon
lèves de nos services et notre demande n'outrepasse pas les limi- MÉDECINS aliénistes DES HOPITAUX. XCVII tes des prérogat
arpentier, Bourneville, Ch. Féré, CHASLIX. A M. le D1' J. Voisin, médecin de la Salpêtrière. Paris, le 6 juillet 1888.
llet 1888. Monsieur le Docteur, J'ai reçu la lettre que \1\f. les médecins du service des aliénés n'ont fait l'honneur de
s de l'Externat, de l'Internat et des prix de l'Internat. MM. les médecins du service des aliénés me rappellent, à celle o
nt de M. Herold, alors préfet de la Seine, que « l'assimilation des médecins des services d'aliénés aux médecins des hôpitau
Seine, que « l'assimilation des médecins des services d'aliénés aux médecins des hôpitaux est complète, sous la seule réserv
ne siégeront pas dans les jurys des concours pour la nomination des médecins du Bureau central, et que, dès lors, ils doiven
ouir de tous les droits et de toutes les prérogatives attribués aux médecins des hôpitaux. Cette interprétation de l'art.
iser et de refondre le règlement sur le service de santé. MM. les médecins des services d'aliénés peuvent être assurés que
ntention, l'un de liouoN>;vtt.t.e, l31cêtte, 18 ! )G. ? XCVIII Médecins aliénistes des hôpitaux. MM. les médecins alién
êtte, 18 ! )G. ? XCVIII Médecins aliénistes des hôpitaux. MM. les médecins aliénistes, chargé de représenter ses collègues
stration de s'occuper de cette réclamation, l'année suivante, les médecins aliénistes ont adressé à M. P¡';Y1\ON la lettre
ous adresser une réclamation au sujet de la non-participation des médecins aliénistes de la Salpêtrière et cle Bicêtre, no
réflexions. Voici comment s'exprimait la 5'crr-im.c médicale : .' MÉDECINS ALIÉNISTES DES HOPITAUX. XCIX « Au moment où vi
is, il nous parait utile d'attirer l'attention sur la situation des médecins alié- nistes de l'Assistancc publique. « Actu
édecins alié- nistes de l'Assistancc publique. « Actuellement ces médecins se divisent en deux catégo- ries, suivant que l
n- cours, sont assimilés, au point de vue de la limite d'âge, aux médecins des hôpitaux, c'est-à-dire qu'il sont mis à la re
vilège singulièrement paradoxal, dont jouissent les premiers de ces médecins vis-a-vis des seconds ne laisse pas que d'avoir
devrait se faire, il recule indéfini- ment l'entrée on fonction des médecins suppléants. Le recru- tement de ces mêmes médec
on fonction des médecins suppléants. Le recru- tement de ces mêmes médecins se trouve du même coup compromis, les candidats
re dont la porte ne s'ouvre plus. Il y a dix ans, en effet, que les médecins suppléants actuels ont été nommés, ot, depuis c
t à la Salpêtrière. Enfin, au mois de juin dernier, M. le D1' Féré, médecin de Bicêtre, a profité de la visite delà Commiss
s déjà plusieurs fois signalés du système actuel du recrutement des médecins sup- pléants dont la nomination se trouve indéf
e- tardée par suite du défaut de retraite pour une caté- gorie de médecins qui ont atteint la limite d'âge et dont la nomi
actuels. · « Le Président de la Commission, M. Barbier, pre- C MÉDECINS ALIÉNISTES DES HOPITAUX. mier président honorai
il M. Peyron de bien vouloir régler définitivement la situation des médecins ulié- nistes des hôpitaux, nommés au concours,
les visites à la colonie. Notre dévoué collaborateur, le D1' BLirr, médecin de la colonie de Vaucluse, a eu l'obligeance de
que l'apparition de ce signe doit éveiller l'inquiète attention du médecin . M. Bourneville. J'ai fait examiner et peser au
avant et pendant la médication thyroïdienne, par M. le D'' Bouvet, médecin dentiste de Bicêtrc, et qu'il a résumées ainsi
a perdu non seulement du sang liquide mais de gros caillots et son médecin aurait dit qu'elle avait rendu un " faux germe »
enfants, ou remontant à l'en- fance, sont souvent incomplètes. Les médecins qui les publient n'ont, en général, étudié qu'u
oucheurs, - pour les paraplégies ou les clipléies spasmodiques, les médecins des hôpi- taux consacrés aux maladies aiguës de
plégies, l'idiotie, la méningite, etc. voient les cas au début. Les médecins des services affectés aux enfants nerveux et id
t idiots, puis les méde- cins des services d'aliénés adultes ou les médecins des hospices les observent les uns. avant, les
ment hospitalier serait inscrite, avec le dia- gnostic et le nom du médecin . En s'adressant aux médecins - qui, eux, devrai
te, avec le dia- gnostic et le nom du médecin. En s'adressant aux médecins - qui, eux, devraient prendre ou faire pren- dr
61 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ecine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie - dctncdccme Médecin de l'Asile clinique (SIe-Anne). F. RAYMOND
st que, comme la plupart des obsédés, ils la cachent à tous sauf au médecin à qui ils s'ouvrent en con- fidence, lui parlan
outes sortes de combinaisons étranges, qu'ils viennent 'proposer au médecin . L'un voudrait se poudrer la figure avec une po
rvations nous a été communiquée par notre ami le D'' V. Dubourdieu, médecin adjoint des asiles d'aliénés, que nous remercio
ainsi de suite toute l'année aussi bign l'hiver que l'été. Tous les médecins à qui j'ai demandé la cause de cette variation
ON DITE PRIMITIVE » {Suite) 2 PAR lit Cil. VALLON, et A. MARIE, Médecin en chef de l'asile .Médecin en chef de la colonie
logismes (langue mystérieuse des esprits) émaillent son récit. Un médecin dont le délire remonte à plus de dix années, se
la bouche pleine d'écume, niais encore beaucoup de magistrats et de médecins qui demeurent convaincus qu'une personne est sa
ne de l'aliénation mentale et par suite onvre une voie nouvelle aux médecins qui s'occupent de ces maladies. l'eu après le p
llis, et, d'antre part, les conclusions de la propre exploration du médecin . Le certificat doit indiquer la forme de folie
le malade. En cas d'empêchement du « kreisphysicus », ou s'il est médecin de l'asile d'aliénés, il sera remplacé par le méd
, ou s'il est médecin de l'asile d'aliénés, il sera remplacé par le médecin de district (kreiswandarzt) ayant satisfait à l
le phi- sicat » ou, à son défaut par un autre physicus, ou un autre médecin de district ayant, satisfait à l'examen pour le
confirmer l'exactitude du certificat de collocation délivré par un médecin quelconque. § 4. En cas d'urgence la collocatio
lieu en vertu d'un certificat délivré conformément au § 1 par tout médecin auto- risé à pratiquer. Mais alors le malade do
collocation, par le « physicus » du district à moins qu'il ne soit médecin de l'asile où se trouve le malade. En cas d'emp
où se trouve le malade. En cas d'empêchement il est remplacé par le médecin de district ayant subi l'examen de physicus » o
bi l'examen de physicus » ou à son défaut par le « physicus » ou le médecin de district d'un district voisin. A la suite de
un conseil de tutelle ; 2° lorsque le certificat est délivré par le médecin directeur d'un asile public d'aliénés ou par un p
ificat de collocation. 11 doit également}' être joint un rapport du médecin directeur de l'asile d'où vient le malade, rens
Cette autorisation ne peut être accordée qu'aux asiles où habite un médecin . s 1G. Pour que l'admission de pensionnaires vo
t soumis aux mesures suivantes : 1° ils doivent être dirigés par un médecin qui par la fréquentation prolongée d'un asile p
ces psychiatriques nécessaires ; 2° ils doivent être dirigés par un médecin agréé par les autorités de police et par le prési
et par le président du tribunal. S'il vient à. être démontré que ce médecin n'a pas les connaissances nécessaires, l'autori
plus de 50 aliénés etplus de 100 épileptiques seront dirigés par un médecin au moins remplissant les conditions énoncées au
des aliénés dépasse 100 ou celui des épileptiques 200, un second médecin sera attaché et logera à l'asile. Ce second médec
200, un second médecin sera attaché et logera à l'asile. Ce second médecin aura également il fournir la preuve de ses conn
nécessaire qu'il remplisse toutes les con- ditions exigées pour le médecin directeur ; 5° quand le chiffre des aliénés dép
dépasse 300 ou celui des épileptiques 400, il peut être adjoint un médecin en plus par 100 aliénés ou par 200 épileptiques ;
toire de chaque malade sera tenue régulièrement au cou- rant par le médecin . De plus, dans tout asile, il devra être tenu :
modèle et la façon dont ces livres sont tenus. N. d..tr.) § 19. Le médecin directeur a seul le droit : 1° d'ordonner l'iso
du personnel sont réglés par le propriétaire avec l'approbation du médecin directeur. V. Surveillance. - 20. Les établisse
inspec- tion. Le « physicus » assiste à cette visite, ainsi que les médecins de l'établissement qui sont tenus de fournir le
ET LE RÈGLEMENT DU 20 MARS 1857 Par le D E. MARANDON de MONTYEL, Médecin en chef de Villes rarri. Quand Pinel eut brisé,
és par leurs parents et leurs amis que sur une permission écrite du médecin en chef, soumise au visa du directeur. Puis les
s cas exceptionnels de convenance ou de nécessité reconnus par le médecin en chef et le directeur, elles peuvent se faire d
durée peut être limitée à un temps déterminé dans la permission du médecin en chef et, en outre, elles doivent immédiateme
seuil de l'établissement ; la permission de sortie, délivrée par le médecin en chef et visée par le directeur, doit mention
Marseille ; il est certainement plus libéral, non seulement que les médecins du temps, mais en- core que la presque totalité
ue les médecins du temps, mais en- core que la presque totalité des médecins d'aujourd'hui. Néan- moins, il devient insuffis
te opinion. DES VISITES DES FAMILLES 87 Î coup de services, les médecins se montrent impitoyables pour ces malades et le
onvenance et de nécessité reconnues par 88 asiles d'aliénés. s le médecin en chef et le directeur, les visites pourraient a
ler forment encore une minorité assez importante, aussi beaucoup de médecins et bien plus encore de directeurs pensent-ils q
e le répète il n'en est pas par- tout ainsi et on trouve encore des médecins et des directeurs quis'y refusent absolument. E
ncore que ce règlement est une pomme de discorde entre directeur et médecin . Celui-ci seul autorise, en effet, la visite, m
e, de ne pas viser une purge parce qu'il trouvera trop Diafoirus le médecin dont les purgations répétées, fort cou- teuses,
même les plus fermés, avec ce qui se passait à l'asile où j'ai été médecin adjoint, et que j'ai rapporté plus haut et on a
es. Je demande donc que la lacune du règlement soit comblée et le médecin autorisé, sous sa responsabilité à permettre les
e si presque nulle part elles ne sont permises, la faute en est aux médecins qui n'usent pas de leur droit de les accorder s
visites et des promenades au dehors doit incomber exclusivement au médecin qui seul est à môme, de les accorder ou de les
s de mutisme la voix reste aphone. L'intervention maladroite d'un médecin qui veut faire l'extension brusque et le massage
L'alimentation même artificielle devient presque impossible. Divers médecins portent des diagnostics différents, redoutant u
pour l'alimentation; la famille ne fait qu'entraver les efforts du médecin . Des atlaques surviennent qui détruisent parfoi
contre les supercheries de la malade qui ne cherche qu'à tromper le médecin , et dont le caractère se fait de plus en plus d
oge spéciale à millièmes de secondes de Alunsterberg. Pour cela, le médecin s'assied devant l'horloge, le malade à la gauch
ela, le médecin s'assied devant l'horloge, le malade à la gauche du médecin afin qu'il ne voie pas l'aiguille qui marche. A
arche le mécanisme, mais cela ne fait pas marcher les aiguilles. Le médecin place son indicateur gauche sur la manette inst
ions reçues auparavant répondre par le nombre voisin.. Dès que le médecin a obtenu la réponse, il lâche la manette, ce qui
tion par intervalles, sort de l'asile guéri, selon le certificat du médecin traitant. Le jour même de sa sortie, il boit et
s'y refuse parce qu'il le considère comme responsable. Trois autres médecins civils sont alors chargés de cet examen ; ils d
irresponsable et demandent qu'il soit placé dans un asile. Le même médecin , qui l'a déjà soigné, ne le considérant pas com
tte raison. L'individu reste à l'asile environ six ou huit mois, le médecin protestant toujours contre sa présence dans son
paraît intéressant en ce sens que l'on peut se demander : 1° si un médecin aliéniste doit, ou peut, se charger d'une exper-
sa sortie aurait commis un crime; 2° quelle conduite doit tenir le médecin qui a dans son service un individu enfermé à la
es experts serait en outre de nature à montrer l'in- compétence des médecins ordinaires, pour l'examen des aliénés ou académ
pas complète. Il nous a bien lu les certificats et les rapports du médecin de l'asile, mais il ne nous fait pas con- naîtr
gmate dont la connaissance est de la plus grande importance pour le médecin légiste et pour le clinicien. Au premier il per
entés. Un prix de 1,000 francs est décerné à M. le Dr Paul Sérieux, médecin de l'Asile de Villejuif, auteur de plusieurs tr
Charles Boullard, 1,200 francs (bisannuel). Ce prix sera décerné au médecin qui aura fait le meilleur ouvrage et obtenu les
Jura), brochure inscrite sous le n° 1, et M. le Dr Alexandre Paris, médecin en chef de l'Asile d'aliénés de 6faréville, près
mémoires ont concouru. Le prix est décerné à Mule Dr Paul Sérieux, médecin de l'asile de Villejuif (Seine), auteur du mémo
nt à l'auteur du mémoire portant le n° 1, M. le Dr Albert Pégurier, médecin aide-major de 110 classe, au 142° régiment d'in
Charles Boullard, 1,200 francs (bisannuel). Ce prix sera décerné au médecin qui aura fait le meilleur ouvrage et obtenu les
. Asiles d'aliénés. Nominations et mutations. M. le Dr Bou- BILA, médecin en chef de l'asile de Marseille, est élevé à la c
e à partir du iCI' novembre (17 novembre 1896); M. le Dr BELLETRUD, médecin en chef de l'asile du Mans, est nommé directeur
eur-médecin de l'asile de Pierrefeu, est 158 ' FAITS DIVERS nommé médecin en chef de l'asile du Mans (28 novembre) ; M. le
evé à la 11'0 classe du cadre (12 décembre) ; - M. le Dr Guillemin, médecin en chef de l'asile de Monldevergues, est élevé
dre à partir du ler janvier 1897 (16 décembre); M. le D' BOUDRIE, médecin en chef de l'asile de Vaucluse (Seine), est élevé
CHOSES ET DANS LES RÊVES DES' SOURDS-MUETS; Par le D' M. SANJUA ? Médecin en chef de l'Hospice des aliénés de Notre-Dame-du
N DITE PRIMITIVE » (Suite2) ; l' ,\ Il Cn. VALLON, et A. MARIE, Médecin en chef de l'asile Médecin en chef de la colonie
; l' ,\ Il Cn. VALLON, et A. MARIE, Médecin en chef de l'asile Médecin en chef de la colonie de Villejuif. de Dun-sur-
amille. 180 . CLINIQUE MENTALE. Cette fois, grâce aux conseils du Médecin de l'Asile, l'iso- lement fut suivi à la sortie
e le malade, conscient des bénéfices du repos, donne à cet égard au médecin d'utiles renseignements. R. DE 1VIUSf,R.IVE CLA
is d'autres séries de faits semblables ont été observées par divers médecins et par l'auteur lui-même qui rapporte plusieurs
à aucune discrétion pro- fessionnelle parce que ce n'est pas comme médecin qu'il a publié son observation sur M. Zola, mai
, M. Toulouse s'abstient d'en parler ne pou- vant oublier qu'il est médecin . S'il n'a pas attendu la mort de Zola pour publ
l'économie et de se rendre compte de leur fonctionnement. C'est au médecin seul qu'il appar- tient de pratiquer cette inve
t avant tout par des symp- tômes psychiques. D'où il résulte que le médecin doit avoir des connaissances spéciales sur la v
propos de l'interdiction d'un processif, fait rcmar- . qner que le médecin aliéniste n'a d'autre tâche que de déclarer si
une surveillance déterminée. M. PIERSON rappelle qu'au congrès des médecins aliénistes allemands on a proposé de substituer
lsion. La volonté est, chez tous deux, également impuissante. 4° Un médecin compétent est seul capable de déterminer si ce
l - même contre son gré. 6° Les juges devront faire examiner par un médecin compétent : a) les sujets qui auront subi de no
ie des personnes connues de lui, il a grand'peine à reconnaître son médecin ; il ne retient aucun nom, ne sait retrouver ni
; on a beaucoup discuté sur ce point ; mais les études de plusieurs médecins italiens ont nettement établi la folie de Torqu
l'odorat semblent jusqu'à l'heure actuelle avoir peu préoccupé les médecins . Les ouvrages clas-' siques sont muets sur ce p
que les malades se plaignent et attirent de ce côté l'attention du médecin . Ces cas sont surtout ceux où il y a perversion
s sa forme habituelle. Le tabes peut être fruste, caché aux yeux du médecin , tandis que le délire qui en est la conséquence
ic ? Le fait n'est pas dou- teux, à la condition que l'attention du médecin soit appelée de ce côté et qu'il soit bien étab
urdité. M. i\Iaudsley constate d'abord qu'il n'est peut-être pas un médecin , ayant quelque pratique des maladies mentales,
mpétent et faire appel à ses lumières. Ce ne sont pas seulement les médecins , ce sont tous les gens de bon sens qui condamne
ité. Naturellement les jurisconsultes, de leur côté, accusent les médecins de voir des aliénés dans tous les criminels, mieu
similer le crime à la folie. Il faut reconnaître que l'altitude des médecins a quelquefois justifié cette critique : mais un t
dicaux en demeurent singulière- ment discrédités. Un autre tort des médecins en justice c'est d'aborder trop souvent la ques
exagération, diminuer encore, en heurtant les faits, l'autorité des médecins experts. Le milieu, les circons- tances, bien d
la question sur le terrain juridique, où nous ne pouvons le suivre. Médecin et aliéniste, M. Yellowlees, après quelques consi
Les commis- saires constatent que toutes les personnes entendues. ( médecins ou personnes étrangères à la médecine) ont été
s, maladie qui paraît avoir été assez obscure d'après le nombre des médecins qui défilèrent auprès d'elle ! De 18 à 35 ans b
fois. Les résultats de l'observation directe sont les suivants : le médecin est appelé pour une crise convulsive téta- niqu
grille de fer. Les cabinets aboutissent à un canal. La plupart des médecins parlent correctement la langue allemande. La para
myxoedème postopératoire. J. Noir. VARIA, Huitième congrès DES médecins aliénistes ET neurologistes Le huitième Congrès
médecins aliénistes ET neurologistes Le huitième Congrès annuel des Médecins Aliénistes et Neurolo- gistes français s'ouvrir
ulouse, le lundi 2 août 1897, sous la présidence de M. le Dr Ritti, médecin de la Maison nationale de Charenton. Le program
Diagnostic de la paralysie générale. Rapporteur : M. le Dr Arnaud, médecin de la maison de santé de Vanves. Pathologie n
dical dans les asiles d'aliénés. Rapporteur : M. le Dr Doutrebente, médecin directeur de l'asile de Blois. 2° Lectures, p
à l'Université de Liège. 2nvc question : Le rôle et les devoirs du médecin légiste dans les faits divers 335 expertises
: : M. le Dr Meunier, directeur-médecin de l'asile d'Aix, est nommé médecin en chef de 336 FAITS DIVERS l'asile de Marsei
336 FAITS DIVERS l'asile de Marseille (10 février) ; M. le Dr REy, médecin en chef de l'asile de Marseille, est nommé dire
. le D Cu.uu.lRD, directeur-médecin de l'asile de Bourges est nommé médecin en chef de l'asile de Clermont (Oise) (3 mars)
500 francs. Un prix de 2,500 francs est décerné à M. le Dr LEGRAIN, médecin à l'asile d'aliénés de Ville-Evrard, pour ses t
YCHIQUES NORMAUX ET PATHOLOGIQUES ; Par te'D' Serge SOUKUANOFF, Médecin de la clinique psychiatrique de Moscou. Nos con
s il demande un peu ironiquement, semble-t-il, au DI' Talbot si les médecins savent que les gens à qui on a enlevé les testi-
une affection diffuse comme la paralysie générale ; aussi nombre de médecins spécialistes qui avaient observé la malade avai
allucinations, sur l'in- fluence hypnotique exercée sur elle par un médecin . Est-ce pour cela un cas de paranoïa ? Non pas.
irmier, dans un asile, a un but à remplir : soigner les malades. Le médecin , lui, ne peut s'occuper à la fois des intérêts
es de voir. La suffisance des vieux infirmiers indispose les jeunes médecins . Il y a encore une autre considération qui vien
. Archives, 2e série, t. III. 26 402 sociétés savantes. 12. Les médecins et les agents du personnel de surveillance doiven
l'HOMA (Illenau). - Trois cas de tumeur cérébrale. - En général les médecins qui s'occupent de clinique interne ont, plus que
o et une chambre de veilleuse. Enfin dans la galerie, un cabinet de médecin , une chambre de surveil- lante et qnatre cabine
e à en adopter une qui est, du reste, acceptée par presque tous les médecins qui s'occupent de la crise des morphinomanes. A
ble. En somme ouvrage très utile et dont la propagation parmi les médecins et les gens du monde pourra certainement contribu
acité professionnelle du corps médical. Dans cet ordre d'idées, les médecins , choisis au concours, ne devraient pas, tout en
hloroforme dans la bouteille et le baby est mort le même soir. Le médecin qui a soigné l'enfant est entendu, il n'a pas sou
Asile d'aliénés. Promotions et mutations : M. le Dr DUBOUR- DIEU, médecin en chef de l'asile de Pau est élevé à la classe e
avec le même grade à l'asile de Ville-Evrard, et fera fonction de médecin en chef chargé spécialement du service des alcool
ment de M. le D'' Sérieux (23 mars); - ici. leur Brunet, directeur- médecin de l'asile d'Evreux, en retraite, est nommé direc
st élevé à la deuxième classe du cadre (30 mars) ; M. le Dr FEBVRÉ, médecin en chef de l'asile de Ville-Evrard est élevé à
SUR LA MORT DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX; . Par le D' F.-L. ARNAUD, Médecin de la maison de santé de Vanves. L'histoire de
xplication de ce fait clinique, qu'il n'est pas indifférent pour le médecin de connaître et de prévoir. II. Il me paraît ég
aralysie générale, la plupart deviendront exceptionnels lorsque les médecins seront bien persuadés qu'ils ne sont pas une co
és par leurs parents ou leurs amis que sur une permission écrite du médecin en chef, soumise au visa du Directeur. Puis les
s cas exceptionnels de convenance ou de nécessités reconnus par les médecins en chef et le Directeur, elles peuvent se faire
durée peut être limitée à un temps déterminé dans la permission du médecin en chef et, en outre, elles doivent immédiatement
u seuil de l'établissement. La permission de sortie délivrée par le médecin en chef et visée par le Directeur doit mentionner
nt à l'asile à des jours et à des heures déterminés, ils verront le médecin et leurs malades, sans être exposés à attendre,
omplets sur la neurasthénie en Finlande, l'auteur s'est adressé aux médecins pra- ticiens du pays dont quarante, habitant de
s femmes que chez les hommes porte aussi à y croire. La plupart des médecins en Finlande sont du même avis. Mais si l'alcool
ons qui vont suivre. Depuis quelques années, un certain nombre de médecins anglais et écossais prétendent, contrairement à
tion des aliénés en Angleterre et en Ecosse n'est qu'apparente; les médecins irlandais, au contraire, tiennent cet accroisse
'asile de Saint-Méens, est élevé à la 1 classe; - M. le Dr LEGRAIN, médecin de la maison de santé de Ville- Evrard, a permu
a maison de santé de Ville- Evrard, a permuté avec M. le Dr SRIEUX, médecin du service des alcooliques. l3anewv (P.). The
Congrès international de neurologie de Bruxelles, 427. VIII' des médecins aliénistes et neural' pathologistes, 334. - int
chiatrique de la pro- vince rhénane, par Sérieux, 248, 486. - des médecins aliénistes de Basse-Saxe et Westphalie, par S
62 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Académie des sciences et le lendemain à l'Académie de médecine, ces médecins attribuent à l'acétophénone des propriétés hypn
e baisser, et, si on pèse le chien, son poids diminuer. Or, si le médecin a le droit et le devoir de calmer l'insomnie ch
ils nient être les auteurs des forfaits dont ils sont accusés; au médecin chargé d'examiner leur état mental ils persis-
diaire. Or, ce sont ces phénomènes intellectuels et moraux que le médecin a mission de préciser. L'affai- blissement inte
arait de leur esprit qu'elle maîtrisait et se bornent à répondre au médecin : «Je ne sais pas, c'est une idée qui me passai
force suffisants pour permettre le diagnostic. Il appar- tiendra au médecin de les peser et de les apprécier; car, il ne fa
n 1878, il avait eu une fièvre typhoïde très grave avec délire : le médecin qui le soigna a déposé que déjà peu intelligent
parents; elle était au retour d'âge et c'est à la ménopause que le médecin "de la localité rattacha ses crimes. D'un autre
out temps atteinte d'hystérie; depuis dix-huit mois, au dire de son médecin ordinaire, son état s'était beaucoup aggravé. A
érale et cet état avait persisté une quinzaine de jours sans que le médecin en trouvât la cause; il avait été assez marqué po
atin à la visite de se présenter cinq ou six fois sur le passage du médecin , en cherchant à attirer son attention par des s
GÉNÉRESCENCES' MENTALES ' Historique' et critique; Par J. SÉGLAS, médecin -adjoint de l'hospice de Blcètre. Depuis plusie
eitsch. f. Psych., B. XXXIX, 1883. Congrès annuel de la Société des médecins aliénistes allemands. Session d'Eisenach, 1882.
'homme ; par A. Richter (arcs. f. Psych., XVI, 3). Au congrès des médecins aliénistes allemands du moisde sep- tembre 1884
e tour à tour éloquem- ment exprimées, il résulte que la théorie du médecin dn Saint- Yen, reprise et développée avec une s
ès de ceux qui ne sont pas initiés à nos habitudes de langage. Tout médecin familiarisé avec l'étude de la pathologie menta
it l'at- tirer 1. MARCEL Briand. CONGRÈS ANNUEL DE LA SOCIÉTÉ DES MÉDECINS ALIÉNISTES ALLEMANDS SESSION DE BADE Séance
Par ce double moyen, nous aurons les documents voulus auxquels les médecins consultés puiseront des arguments de la plus haut
. Du reste, en pareil cas, on ne se soumet guère aux injonctions du médecin . Celui-ci, néanmoins, s'efforcera d'éviter les
ue les virus bactériens. C'est alors à l'Etat d'intervenir avant le médecin et sous forme d'interdiction prophylactique.
avant le médecin et sous forme d'interdiction prophylactique. Le médecin ou le directeur des asiles devraient, avant de li
e sous ce rapport. Castrez les filles aliénées, comme le propose un médecin américain. Mieux vaut, n'est-ce pas, les interd
tatistique des fonctionnaires pleins de tact et d'intelligence, des médecins , des pasteurs. M. GERLACH, Depuis quinze ans,
ceque,bien souvent, unmaladerenvoyé avec la mention amélioré par le médecin est indiqué par le fonctionnaire comme guéri. V
ne dépasse pas, au point de vue de la durée, certaines limites. Le médecin peut, par suite, dormir tranquille en présence
son libre arbitre. » Étude de critique médico-légale. Le devoir du médecin , dans le cas de responsabilité douteuse, consis
t-il ou non, inconscience, ou non trouble psychopa- thologique ? Le médecin n'a à répondre que sur ce point. S'il veut intr
Pour remplir cette commission on choisit trois personnes, parmi les médecins ordinaires, Paullus Lentulus, docteur en médeci
bre, ses cris et ses gémissements étaient facilement entendus. Un médecin , qui venait tous les jours la visiter en même tem
cé sur- le-champ la nouvelle, à seule fin que l'on pût envoyer un médecin et un chirurgien qui, après avoir ouvert le corps
ger quatre ans unze mois et de sa mort, par Siméon de Provenchères, médecin du Roy. A Sens, chez Georges Niverd, etc.; MDCX
nsultes, les magistrats, les publicistes se sont occupés, comme les médecins ; enfin, une loi qui, à côté des méditations si
toujours été et qu'elle demeure un instrument de servilité pour les médecins , de ven- geance pour les gouvernements, de cupi
les : « La folie est un mal du ressort de la médecine ». Le rôle du médecin est donc natu- rellement, nécessairement, forcé
our tout placement volontaire un certificat de maladie signé par un médecin ; mais ce document pouvait être délivré par un o
ions de la loi anglaise qui exige l'attestation concordante de deux médecins . Il partage aujour- d'hui, et je suis heureux d
é. Elle n'était pas, du moins, une science répandue, même parmi les médecins voués à la pratique. De plus, les magistrats et
u nombre des inspec- teurs généraux des services administratifs, un médecin aliéniste éminent, entré dans cette inspection
individu parfaitement sain d'esprit, sur le simple certificat d'un médecin , et de l'y maintenir à perpétuité. Non, messieu
rès souvent les directeurs d'asiles n'étaient pas même toujours des médecins ou, s'ils étaient médecins, n'étaient souvent p
d'asiles n'étaient pas même toujours des médecins ou, s'ils étaient médecins , n'étaient souvent pas rompus aux difficultés d
onnelle de leur grade (8,000 fr.), MM. les Dro REMERCHON, directeur médecin en chef de l'asile Sainte- Catherine d'Yseure (
'asile Sainte- Catherine d'Yseure (Allier), et Bouteille, directeur médecin en chef de l'asile de Toulouse ; A la 4 Il cl
a 2° classe (6,000 fr.), M. le Dl* Marandon de Montyel, direc- teur médecin en chef de l'asile de Dijon. Ont été promus, po
oût 1886 : A la 3° classe de son grade (5,U00 fr.), M. le Dr Belle, médecin en chef de l'asile de Bailleul (Nord) ; A la
classe exceptionnelle de leur grade (4,000 fr.), MM. les D5 Guyot, médecin adjoint à l'asile de Quatre-Mares, et NOLLÉ, mé
es D5 Guyot, médecin adjoint à l'asile de Quatre-Mares, et NOLLÉ, médecin adjoint de l'asile de Dijon. Arrêté du 6 août 1
adjoint de l'asile de Dijon. Arrêté du 6 août 1886 : M. le Dr Anau, médecin adjoint de l'asile d'Auxerre (Yonne), est nommé
le Dr Anau, médecin adjoint de l'asile d'Auxerre (Yonne), est nommé médecin adjoint de l'asile de Blois (Loir-et-Cher), en
eptionnelle de son grade. Arrêté du 6 août 1886 : M. le Dr KÉRavaL, médecin adjoint de l'asile de Vaucluse, est nommé à la
86. 170 FAITS DIVERS. Arrêté du 44 août 1886 : Mr le Dr Picbenot, médecin adjoint à l'asile de Bassens (Savoie), est nomm
Picbenot, médecin adjoint à l'asile de Bassens (Savoie), est nommé médecin adjoint à l'asile d'Auxerre. At'rfe du 8 sept
'asile d'Auxerre. At'rfe du 8 septembre 1886 : M. le Dr Broquèrk, médecin roi adjoint de l'asile de Saint-Méen, près Renn
fr.). Arrêté du 10 septembre 1886 : M. le Dr Belletrud est nommé médecin adjoint de l'asile de Saint-Méen (Ile-et-Vilaiiie
li- nique des maladies mentales de la Faculté de Paris, est nommé médecin adjoint de l'asile Sainie-Arne, et placé dans la
chef de clinique adjoint de la Faculté de Paris, est nommé deuxième médecin adjoint de l'infirmerie spéciale du dépôt de la
mé directeur-médeciu en chef de l'asile Saint-Luc. M. le Dr Durs, médecin en chef de l'asile de Clermont (Oise), est nommé
placé dans la 2e classe de son grade (6,000 fr.). M. le Dr IVOLLET, médecin adjoint à l'asile de Dijon, est nommé médecin a
.). M. le Dr IVOLLET, médecin adjoint à l'asile de Dijon, est nommé médecin adjoint à l'asile de Saint- Venant (Pas-de-Cala
s-de-Calais), eu remplacement de M. le Dl VIDAL. z M. le Dl BFLLAT, médecin adjoint à l'asile de Prémontré, est nommé médec
M. le Dl BFLLAT, médecin adjoint à l'asile de Prémontré, est nommé médecin adjoint à l'asile de Dijon. (Arrêtés du 29 octobr
santé de Toulouse. NÉCROLOGIE. - Le Dr BARAZER DE LANNURIEN, ancien médecin FAITS DIVERS. 171 préposé responsable du quar
'août 1886. Nous apprenons la mort de M. le Dr ALLEMANDOU, ancien médecin adjoint de l'asile d'Armentières, et directeur mé
NDOU, ancien médecin adjoint de l'asile d'Armentières, et directeur médecin en chef de l'asile des aliénés de Saint-Alban (
urait moins de dépenses pour le département, moins dedérangement de médecins ; plus d'unité dans l'ensemble des services hosp
certains asiles d'aliénés sont dirigés par les soeurs ; M. Lacuire, médecin en chef de l'asile ; la supérieure Anais Lavill
inze portes et s'est évadé. Le De Lacuire dit qu'il était seulement médecin consultant, et que la direction était à la soeu
UE. 175 rares dans les asiles de ce genre. Les soeurs sont tout; le médecin est leur humble serviteur; il ne voit que ce qu
ecin-direc- teur de l'asile de la Roche-sur-Yon, vient d'être nommé médecin en chef de l'asile de Clermont. Nomination. L
nd vient de ratifier la nomination de M. le D Mortel, en qualité de médecin en chef de l'Hospice Guislaiu. (Annales de la S
annonce que M. le Dr G. A. BLUMER, qui a été pendant quelque temps, médecin assistant à cet asile, vient d'y être nommé super
En reproduisant ces débats, ? toits croyons être agréable à tous les médecins des asiles d'aliénés, dé- quelque nationalité q
86, no 12, et le résumé dans « Jahresberichet ùber Tortscltwitle du médecin Zon IIisseli7l. Jahrfiong, VVIII, Bel II, p. 4â
sent, a trouvé peu d'accès dans le bagage scienti- fique général du médecin . « Et cependant ce fait mérite qu'on y consacre
te son atten- tion. Et cela non seulement parce que, le sachant, le médecin devient capable d'interpréter, avec toute l'exa
te pour fournir du premier coup au jugement et à l'instruc- tion du médecin des jalons solides... » Nous nous bornons pour
M .IMcci'tM a ? enM<M a//eman. ' Witkoswki. - Congrès annuel des Médecins aliénistes allemands. Session de Bade, 18s5. (A
'il nous soit permis de remercier ici notre collègue le D, Kéraval, médecin de la colonie de Vaucluse, de l'empressement avec
lle sauvegardela liberté individuelle. Quant à la nécessité de deux médecins spécialistes, elle est rationnelle, nos juges ne
est rationnelle, nos juges ne s'entendant pas toujours a choisir de médecins réellement compé- tents. Qui ne se rappelle de
bien autrement. M. LE Rapporteur. Il y a une quinzaine d'années un médecin trop oublié dans son pays natal, mais devenu cé
qui ne sout'pas dans les asiles ? 1 ' Aujourd'hui, d'après le; : médecins aliénistes, qui sont quelque- 272 SENAT. fois
un peu aliènes... (Rires) vous comprenez ce que je veux dire : les médecins aliénistes voient des aliénés par- tout. Il y a
ut à l'heure, ce traitement par excellence, n'en déplaise à MM. les médecins aliénistes, ce n'est que dans les asiles privés
surveillance des aliénés. Cette partie du service est confiée à un médecin en chef préposé responsable. Toutefois le 282 s
de l'article 15 ci-après, ordonner la dis jonction des fonctions de médecin en chef et de directeur d'un asile public, ains
ecin en chef et de directeur d'un asile public, ainsi que celles de médecin en chef et de préposé responsable d'un quartier
t mis aux voix et adopté.) ' ' 1 " M. LE Président. « Art. 6. Les médecins directeurs, les direc- teurs, les médecins en c
Président. « Art. 6. Les médecins directeurs, les direc- teurs, les médecins en chef et adjoints des asiles publics, les méd
- teurs, les médecins en chef et adjoints des asiles publics, les médecins en chef préposés responsables, les préposés respo
s en chef préposés responsables, les préposés respon- sables et les médecins adjoints des quartiers d'hospices, les mé- deci
ants en chef, sont nommés par le ministre de l'intérieur. » « Les médecins adjoints sont nommes sur une liste de présen- t
iste de présen- tation dressée à la suite d'un concours public. Les médecins en chef sont nommés sur une liste de présentati
I. 19 290 SÉNAT. sont pris, pour les trois quarts, soit parmi les médecins secré- taires des commissions permanentes insti
ntes instituées en vertu de l'ar- ticle 11 ci-après, soit parmi les médecins adjoints. Dans les asiles publics, les secrétai
e, et non seule- ment les infirmiers d'asile, mais aussi les jeunes médecins qui entrent dans la pratique liront avec intérê
malade qui constitue pour les gens du monde, de même que pour les médecins , un spectacle vivement édifiant (qu'on nous passe
onsulté aussi facilement et aussi utilement par l'avocat que par le médecin . Cependant, pour que ce résultat fût obtenu, il
rminent cette première partie qui est écrite avec toute la verve du médecin distingué, dont la perte est aujourd'hui si sen
de la seconde partie. Elle établit successivement les rapports des médecins avec le droit civil, avec le droit administrati
ard : son livre est destiné aux gens du monde, mais il y a bien des médecins qui en feront leur profit. VARIA CONGRÈS DE
ient aux employés tandis que, selon eux, il incombe, en réalité, au médecin , etc... Vient ensuite la communication du Dr Li
liénés. En cas de besoin il va consulter plutôt les sorciers que le médecin , parce que c'est beaucoup plus facile et moins co
ent une nouvelle maison se cons- truit suivant les indications d'un médecin spécialiste. Il est vrai, cet établissement ne
oyé aux architectes et à l'administration française. 1 Tant que les médecins ne seront pas les maîtres et que les direc- teu
M. le D' Schils, médecin- adjoint de l'asile de Vaucluse, est nommé médecin en chef de l'a sile de Clermont (Oise) (3° clas
ont (Oise) (3° classe) (arrêté du 22 janvier 1887). M. le Dl Ponts, médecin en chef de l'asile public de Saint-Pierre à Mar
ées) (4r- classe) (arrêté du 25 janvier). M. le De Frièse est nommé médecin en chef de l'asile public de Cadillac (Gironde)
rrTYEr., directeur-médecin de l'asile d'aliénés de Dijon, est nommé médecin en chef à l'asile public de Saint-Pierre à Mars
er, médecin-adjoint à l'asile d'Aix (Bouches-du-Rhône), est nommé médecin eu chef de l'asile de Montdevergues (Vaucluse) (p
ne) (20 classe) (arrêté du 5 mars). Promotions. MM. les D'a DUFOUR, médecin en chef de l'asile de Saint-Robert (Isère), et
UR, médecin en chef de l'asile de Saint-Robert (Isère), et SIZARET, médecin en- chef de l'asile de Maréville (Meurthe-et-Mo
Bourges; MABILLE directeur-médecin à Lafond- Larochelle ; PIFRRET, médecin en chef de Bron, sont promus à la classe ? \111
En reproduisant ces débats, nous croyons être .agréable à tous les médecins des asiles d'aliénés, de quelque nationalité qu
personnels nous permettent de nous ranger plutôt à l'opinion des médecins qui considèrent ces accidents comme des accès i
tans. [Père, quatre-vingt-cinq ans, cordonnier, « n'aja- mais vu un médecin »; pas d'excès de boisson. Mère, quatre- vingt-c
pé sur le toit de l'atelier du tapissier et sauté sur le chemin des médecins qui longe l'hospice intérieu- rement. 9 janvi
ébénistes, dépendant de la tapisserie, puis de là sur le chemin des médecins . Il possédait seize francs provenant d'économie
été reconnu atteint d'épilepsie. Une lettre de il. le Dr Boularan, médecin du quartier spécial d'aliénés de la Maison cent
reprises de cette affection - révéla dans le Brain, qu'en 1822, un médecin américain, James Jackson, en avait donné une de
r, autant que possible dans ses moindres détails, la description du médecin amé- ricain. Sur une maladie particulière rés
mier. A ce propos, disons que M. Ma- gnan fait partie du groupe des médecins qui considèrent ces troubles psychiques comme c
et de position. Arrivé à Saint-Nazaire, il se fait examiner par un médecin qui le déclare homme. Il changea aussitôt son nom
L Briand. 428 SOCIÉTÉS SAVANTES. CONGRÈS ANNUEL DE LA SOCIÉTÉ DES MÉDECINS ALIÉNISTES ALLEMANDS SESSION D1. DGR1.1\ 4ïSl
s des pénitenciers, ceux-ci ne pouvant que bénéficier de voir des médecins transférer à cette annexe tout criminel soupçonné
mentale le traitement ne s'applique à des individualités. C'est au médecin àse prononcer en face des obser- vations et des
rtions presque gran- dioses, fonde à Bicêtre, sous l'impulsion d'un médecin distingué qui est lui-même député de la Seine,
s tard, si on savait ! Alors on loue un pavillon dans un jardin, le médecin est prêt, on se procure des gardiens, le malade
nt lieu, si l'état d'aliénation mentale n'est pas constaté par deux médecins désignés, l'un par la famille ou les personnes
qu'avis en ait été donné, aussitôt que possible, au pasteur ou à un médecin , lequel devient dès lors responsable de l'exécuti
adjoint à Aix (2e classe) (arrêté du 26 mars). M. le Dr GAR- NIER, médecin adjoint à Bailleul, est nommé directeur-médecin
président : M. le Dr DUIARDIN- BEAUMET7, de l'Académie de médecine, médecin des hôpitaux : vice-présidents : MM. CLAUDE (de
Dr PRILBERT; trésorier : Jules Rosxris. Concours POUR UNE place DE MÉDECIN aliéniste DES hôpitaux. z L'épreuve écrite a eu
D'après The Journal of insanity de janvier 1887, le Dr H. M. Hurd, médecin en chef de l'asile de l'état de Michigan à Pont
. En reproduisant ces débats, nous croyons être agréable à tous les médecins des asiles d'aliénés, de quelque nationalité qu
MATIERES. 471 Mandée- et aliénation mentale, par Schulle, 96. ' Médecin expert et exclusion du libre ai-bitre, parnleii
63 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
decine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique z F. RAYMOND Professeur
es. Elle trouva le malheureux en proie à d'horribles dou- leurs. Un médecin , mandé en toute hâte, constata que l'infortuné
es obsessions et leur passage au délire ' ; Par le D'J. SÉGLAS, Médecin de l'hospice de Bicêtre. S'il est une question
la Clinique Cliarcot (Salpêtrière). Il n'est plus aujourd'hui de médecin habitué à la pratique des maladies nerveuses qu
approfondie de la physiologie et de la pathologie, permirent aux médecins thérapeutes d'utiliser désormais de façon vrai-
plus ou moins com- plète des organes moteurs ; tous les efforts des médecins tendaient à la réparation de ces organes, et, s
la matière vivante. Mais ne nous écartons pas de notre sujet. Les médecins , avons-nous dit, n'ignoraient pas les effets po
exemple, lorsqu'ils recouvrent partiellement leurs mouvements ; les médecins ont souvent aidé ce travail de réparation en pr
éducation auxhémiplégiques et aux para- plégiques, si pour certains médecins le sens du mot de réédu- cation s'est étendu ju
utre méthode, a des limites d'action : en général, il est vrai, les médecins se sont plutôt tenus jusqu'ici en deçà de ces l
de la suggestion, c'est- à-dire de la substitution de la volonté du médecin à celle du malade, est la rééducation en cas de
culier, pour laquelle le succès ne dépend pas moins des qualités du médecin que des symptômes qu'il a à combattre. C'est po
estimons qne la rééducation ne peut être menée à bien que par un médecin et non par des auxiliaires, par un médecin ayant
menée à bien que par un médecin et non par des auxiliaires, par un médecin ayant l'habitude des maladies nerveuses et conn
e parce qu'en raison de la fréquence du tabes il intéresse tous les médecins et un groupe important de malades, et aussi par
juge par le peu de retentissement qu'elles avaient eu. C'est à un médecin suisse ! le Dr Frenkel. que revient le mérite d
bre, la statique et les mouvements du tronc sont anormaux, et qu'un médecin qui ne disposerait d'aucun moyen d'action sur l
si cepen- dant il y parvient enfin, après de nombreux essais, le médecin qui n'aurait pas fait davantage pour l'y aider,
e. Elle exige un certain nombre de qualités pratiques de la part du médecin comme du malade : c'est une lutte minutieuse qu
hez lui tous ses heureux effets qu'autant que lui-même aidera son médecin par ses efforts, son intelligence et son assi-
c'est le malade qui se traite et se guérit sous la direction de son médecin . Le contact journalier de l'un et l'autre est d
ue. Pendant les séances quotidiennes qu'il dirige en personne, le médecin donnera donc à son malade les indications les p
e toute initiative thérapeutique qui ne serait pas contrôlée par le médecin lui-même. Faut-il au contraire soutenir l'atten
tre obtenu, on insistera sur ce qui est déjà gagné et l'autorité du médecin empêchera le découragement et l'abandon de tout
ple est la fois consolant pour les malades et instructif pour les médecins , il ne faudrait pas le considérer comme don- na
uence de plus en plus grande de ces arrêts de la maladie. Plusieurs médecins ont même pu parler de guérison de tabes, rappro
' SOCIÉTÉS SAVANTES. théniques, des neurasthéniques. Il engage les médecins des hôpi- taux à s'organiser pour faire bénéfic
nel DAURIAC. Je suis très frappé de la conscience avec laquelle les médecins de nos jours se préoccupent de l'oppor- tunité
tat ; mais je pense qu'il y faut des formes et des ménagements ; le médecin de famille peut préparer le malade et l'entoura
ux et par suite victimes d'une injustice grave. Que l'on accuse les médecins de se montrer trop sensibles au malheur de ces
chargé de cours à la Faculté de médecine de Bordeaux; le Dr Magnan, médecin en chef de l'Asile clinique (Sainte-Anne); le D
, médecin en chef de l'Asile clinique (Sainte-Anne); le Drltousset, médecin en chef de l'asile public d'alié- nés de Bron (
leur chef de service ? 2° De la responsa- bilité des directeurs et médecins en chef des asiles publics et privés, dans le c
, paraissant faite d'un coup de couteau ou d'un coup de rasoir. Les médecins n'ont pu se pro- varia. 121 1 noncer sur la g
es. Elle trouva le malheureux en proie à d'horribles dou- leurs. Un médecin , mandé en toute hâte, constata que l'infortuné
es études à l'Université de Moscou où il obtint en 1888 le grade de médecin , se rendit ensuite à Paris, à Berlin et en Suis
ns dont sa maîtresse et lui étaient l'objet. Ce qui l'amena chez un médecin , ce furent les me- naces proférées contre lui p
te, était entrée dans le même service la veille. Le certificat du médecin delà Préfecture de police porte : Délire mélanc
ttention. Si on lui demande ce qu'elle est devenue, elle dit que le médecin lui a annoncé son transfert, mais elle a entend
finissent par la décider à rentrer de nouveau à Paris consulter un médecin . Il y a de cela sept semaines, quand, au moment d
éter son mari, qui lui fit consul- 166 PATHOLOGIE MENTALE. ter un médecin . Les soins de celui-ci l'améliorèrent et bientôt,
ard dans la maison un flacon de laudanum et en avale le contenu; le médecin appelé en toute hâte lui prodigue les soins et
urs; souvent alors elle demandait à son mari de la conduire chez un médecin afin de l'examiner et la rassurer de la maladie
, elle devient plus calme et moins anxieuse; le traitement moral du médecin influence énormément sur l'état de la malade; e
ersonne 'Cette malade. selon les renseignements du M. le D'Garnier, médecin en chef de l'Infirmerie du Dépôt, aurait subi e
de calme et sous l'action d'une simple bande de flanelle. Plusieurs médecins conseillent l'ablation. Un chirur- gien refuse
M. Briand estime que le chi- rurgien, appelé en consultation par le médecin traitant, n'a pas à provoquer l'avis des parent
pas à provoquer l'avis des parents qui sont légalement ignorés du médecin . Il ne s'inspirera, dans sa détermination, que de
I. L'article 1384 du Code civil et la responsabilité des directeurs médecins d'asiles d'aliénés ; par le Dr S. GARNIER. Il e
ur des motifs divers, cette opi- nion est repoussée par beaucoup de médecins . L'opinion de l'au- teur se résume en ceci : il
ent pas à la symptomatologie de la syringomyélie qui, pour tous les médecins , est considérée exclusivement comme une affecti
pour ne pas les relever. « Si l'éducateur, dit-il, ne doit être ni médecin , ni biologiste, ni psychologue, il doit cepen-
de en un mot, et au lieu de sévir, il pré- viendra la famille et le médecin . » Le Dr Bordier ne pouvait mieux dire en s'adr
ie, L'hypnotisme et l'or- tleopédic morale, par M. le D1' BÉrnu-oN, médecin inspecteur des asiles d'aliénés (avec projectio
lutte contre la dégénérescence mentale, par M. le De Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière (avec projections). Vendredi
rigine infectieuse. Observation I (communiquée par M. le Dr FEBYRË, médecin en chef de Ville-Evrard). G..., trente-six an
père alcoolique. Observation II (communiquée par M. le Dr FBBVfOE, médecin en chef de Ville-Evrard). H..., quarante-huit
pas été discuté. Observation III (communiquée par M. le Dr Boudrie, médecin en chef de l'asile de Maison-Blanche). Q... (
-OPÉRATOIRES. 227 Observation IV (communiquée par M. le Dr LECn.aN, médecin en chef de l'asile d'aliénés de Ville-Evrard).
epuis, trois ans, il ne buvait presque plus sur les conseils de son médecin .» Habitudes de boissons avouées par le malade^
rvation. V (d'après les notes communiquées par M. le D1' Yigouroux, médecin en chef de l'asile de Vaucluse. P... Marie, Vic
empérature 30°. Je fais venir en consultation mon ami le Dr Brault, médecin des hôpitaux qui confirme mon diagnostic, de pé
de côté à droite, avec de la dyspnée, de la toux, de la fièvre. Un médecin consulté ordonne un vésicatoire. Après trois se
28 août elle tombe malade avec des douleurs dans le bas ventre. Le médecin qui la soignait diagnostiqua « appendicite » et
Un procédé usuel, et recommandé actuellement encore par beaucoup de médecins , est l'application de tam- pons sur les points
sans erreur possible. C'est là un avantage qui a son importance. Le médecin n'a ainsi nullement besoin défaire lui-même cha
clure à l'inefficacité de l'électricité, ou même à sa nocivité. Le médecin sera même à ce moment parfois obligé d'user de
ment constituer l'histoire d'une période de sa vie, ainsi que nous, médecins , établissons l'histoire d'une maladie. Prendre se
adducteur de la jambe. Quand, les jambes étant à demi-fléchies, le médecin les écarte brusquement, les adduc- teurs de la
t termine en insistant sur le- rôle excellent que pourrait jouer le médecin , dans les écoles, aussi bien au point de vue ment
gestion « ci l'état de veille apparente ». En effet, le prestige du médecin , son autorité naturelle, la mise en scène, etc.
s autres hypnotiseurs, nous restons, quand même et par-dessus tout, médecins . Nous ne négligeons chez nos malades aucune des
il déteste; il est aisément rageur; il aime à voyager; il change de médecin . Le cardiaque est un pessimiste pour lui, un op
ues et les divergences médicales. 1l. DAURiAc. Les désaccords entre médecins dans leurs prescrip- tions ou leurs défenses ne
es dissen- 302 SOCIÉTÉS SAVANTES. timents d'origine médicale. Les médecins s'entendent sur le mal et sur ses conséquences.
GIE. Le Dr A.-M.-C. FEBVRÉ Le Dr Febvré (Alphonse-Marie-Camille), médecin en chef des asiles publics d'aliénés de la Sein
Febvré NÉCROLOGIE. 309 l'ut nommé, moins d'une année après (1888) médecin en chef et chargé des divisions des femmes à l'
ppris la fin prématurée de l'aliéniste modeste et consciencieux, du médecin dévoué, du collègue ser- viable et sympathique
uction de deux pavillons d'iso- lement. Il est surprenant que ni le médecin de l'époque, ni la Commission de surveillance,
très épaisses, très lourdes. - Le service médical comprend : : 9 médecin directeur, 1 médecin adjoint, 1 interne ; le pe
s lourdes. - Le service médical comprend : : 9 médecin directeur, 1 médecin adjoint, 1 interne ; le personnel secondaire :
ercice 1901 de l'asile départemental de l'Allier; par le Dr Charon, médecin directeur. Le 1er janvier 1901, on comptait 557
rantes. Ce petit livre pourra avan- tageusement être utilisé par le médecin et par le client. Le pre- mier y trouvera des r
cin-adjoiut et conserve son rang pour être nommé, ultérieu- rement, médecin en chef. M. le Dr ALLA-MAN, médecin-adjoint à B
ement de l'année 1662, mon mal s'augmentoit de jour en jour 1 ». Le médecin lui ordonna du vin émétique. « 11 lui prit en
et que j'ai depuis assisté à toutes les observances'1 ». Les dévots médecins de Port-Royal crurent à un miracle. Nous pouvon
e avoit des intervalles où la dou- leur étoit plus modérée° ». « Le médecin l'avoit fait saigner, et il trouva le sang extr
que lorsque les moyens médicaux auront été utilisés sans succès, le médecin « devra céder la place au chirurgien », et cet
qu'après une tentative consciencieuse des méthodes médicales, le médecin s'efface sans hésiter devant le chirurgien. Une
ches, des frictions mercurielles, tout cela sans aucun bénéfice. Un médecin homéopathe lui a injecté sous la peau du chlorh
souvent curables que ne le pensent les gens du monde et nombre de médecins , et que quelque longue que soit la durée des symp
ison à la lèvre. Il eut peur d'avoir attrape la syphilis, courut de médecin en médecin en suppliant qu'on le lui dise fran-
èvre. Il eut peur d'avoir attrape la syphilis, courut de médecin en médecin en suppliant qu'on le lui dise fran- chement et
e M. Febvré ; ce collègue doit être considéré comme le prototype du médecin d'asile auquel rien de ce qui peut intéresser s
ambiante. Un rêve à répétitions. M. PROI rapporte l'histoire d'un médecin qui, à plusieurs époques de son existence, a fa
RIA. ' Assistance des enfants idiots. La très grande majorité des médecins ont oublié ou ne savent pas exactement quelles
FF, privat-docent à l'Université de Moscou, et Pierre GANNOUCHKINE, médecin de la Clinique psychiatrique. Les recherches ac
u dénombrement des aliénés, qui a été fait avec la participation de médecins aliénistes en 1893 dans le gouver- nement de Mo
ts suivantes et il en reste de l'angoisse jusqu'au jour suivant. Un médecin consulté trouve une dilatation d'estomac, piesc
aux, crises de coliques, diagnostiquées comme névropathiques par le médecin . Inutile d'ajouter que M. F... a depuis longtem
- giiie sexuelle. Comptes rendus du Vle Congrès de la Société des Médecins russes à Kiew. 1896. HISTOIRE ET CRITIQUE. Ph
, lui succéda dans ses charges. En 1665 il alla, sur le conseil des médecins , aux eaux de Bourbon « pour une colique d'estom
ger de mort3 ». L'hiver suivant, il alla consulter les plus habiles médecins de Rouen, pour ce mal qui ne lui « don- noit po
t-elle pas com- posée en majorité de prêtres et de dévots ? Et quel médecin n'entendit parler d'une poudre ou d'un élixir m
cé, dont j'ai éprouvé l'excellence en bien des ren- contres3 ». Les médecins lui ordonnèrent le repos. Sur ces entre- faites
ami Métayer, curé de Saint-Thomas. En 1G06 (soixante-deux ans), les médecins lui ayant interdit de travailler, il ne lit plu
mer cette plaie monstrueuse que l'on avoit peine à voir. » Enfin un médecin amateur et dévot des Champs des Landres, lui « do
de Marseille, promu à la iro classe du cadre. M. le D'' ViGNouRoux, médecin en chef à l'asile de Vauctuse, promu à la 2° cl
l'asile de Vauctuse, promu à la 2° classe du cadre. M. le Dr BLIN, médecin eu chef à l'asile de Vaucluse, promu à la 111 c
e nerveuse et mentale, mais encore en pathologie générale; tous les médecins sont inté- ressés à connaître les stigmates obs
de naître de travers, par la face ou les pieds, et qu'à ce titre le médecin praticien fera bien, en présence d'un accouchem
personnel, et l'ignorance des infractions commises où est laissé le médecin . Et il ne faut pas s'en étonner, car les motifs
de ces moyens coercitifs, mais ils ne doivent être employés par le médecin clu'avec une grande hésitation et seule- ment l
e contention qu'avec une extrême réserve, et jamais sans l'ordre du médecin . Chez les malades à tendances homicides, chez q
rt simple. Si l'on excepte la surveillance générale, mais réelle du médecin directeur et du personnel médical, de la matron
Jusqu'ici, aucun n'a eu de rechute. » Ces faits mon- trent que les médecins doivent être réservés et observer avec soin leu
peuvent se résumer de la manière sui- vante : « 1° La plupart des médecins maintiennent les alcooliques après la dispariti
ien est le plus souvent supérieure à un mois. « 3° La plupart des médecins maintiennent plus longtemps les alcooliques qui
iennent à l'asile après un premier internement. « 4° La plupart des médecins justifient ce maintien par des rai- sons médica
chambre et le trouvèrent étendu sur son lit, sans connaissance. Un médecin , après deux heures de soins énergiques, a pu le
SE. Note sur un cas de bestialité chez la femme ; Par Cn. FÉRÉ, Médecin de Bicêtre. On observe aussi bien chez la femme
érique » dans l'espoir d'une définition rappelle un peu celle qu'un médecin donna jadis de la vertu dormitive de l'opium.
e Giessen (Grand-Duché de Hesse). 2; Par M. LE D' Paul SÉRIEUX, Médecin en chef de la Maison de santé de Ville-Evrard.
lance continue avec les locaux destinés aux agités. Logements des médecins situés à proximité des salles de surveil- lance
médical et des infirmiers (un infirmier pour 2,5 à 3 malades; cinq médecins pour 80 à 100 malades). Installation de la cl
on seulement par de courtes visites, mais par suite du logement des médecins dans les pavil- lons de malades. Le nombre de
ion des prêtres, et, dans l'aile postérieure, deux chambres pour le médecin assistant chargé de la division des femmes. c
t ses leçons placé sur une tribune, sur laquelle prennent place les médecins assistants. Il y a un appareil à projection (de
, 520 ENSEIGNEMENT. et les deux chambres composant le logement du médecin assistant de la division des hommes. L'étage
salle de bains et les closets, et en relation téléphonique avec le médecin de la division. - Pavillons de TRANQUILLES. - L
ique), une chambre pour un malade convalescent, une chambre pour un médecin assistant ou stagiaire, qui est ainsi à même de
(Dans le pavillon de la division des femmes est logé le troi- sième médecin assistant; dans celui des hommes habite le médeci
é le troi- sième médecin assistant; dans celui des hommes habite le médecin stagiaire). - Pavillons DE surveillance conti
firmière, des water-closets et une salle d'examen clinique, où le médecin peut interroger individuellement chaque malade lo
nterroger individuellement chaque malade loin du bruit. L'examen du médecin est d'autant plus facilité que l'aliéné dissimu
técédents, ses idées délirantes, etc., lors- qu'il est seul avec le médecin que lorsqu'on l'interroge devant les autres mal
'interroge devant les autres malades et les infirmiers. En outre le médecin a sous la main tous les instruments qui peuvent
ique, dit M. Dannemann, facilitent considérablement les rapports du médecin et du malade; seules elles permettent au médeci
les rapports du médecin et du malade; seules elles permettent au médecin d'entrer plus intimement en contact avec le patie
stallés, non seulement chez les surveillants en chef, mais chez les médecins . Les réseaux télépho- niques sont les suivants
GIESSEN. 52U la cuisine,' la villa du professeur, les chambres des médecins de chaque division avec le poste central. 40
al est mis en communication avec la loge du concierge ; de plus les médecins chargés des divisions d'hommes et de femmes son
le psychiatrique (3° trimestre sco- laire). M. le D1' Paul Ganncca, médecin en chef de l'Infirmerie spé- ciale, est chargé
ions, les auteurs n'ont eu pour but que de rechercher comment nous, médecins , pouvons interpréter l'état mental des médium*.
pel et Vigouroux sont très intéressants, en attirant l'attention du médecin sur les cas fréquents où les paralytiques génér
rdres le personnel de nuit : cette dame n'aurait pour chefs que les médecins de l'asile, qui lui donneraient, quand il aurait
s les asiles d'aliénés, la surveillante en chef ne dépendant que du médecin , seul compétent pour lui donner des ins- tructi
( 77te Journal o/ Mental Science, juillet 1901.) L'auteur, qui est médecin de l'asile gouvernemental de Buitenzorg (Java)
ons plus étroites entre l'Asso- ciation médico-psychologique et les médecins qui se consacrent au traitement des aliénés dan
ail qui, bien que dépourvu de caractère scientifique, intéresse les médecins anglais qui s'occupent de psychiatrie sans être
x ces soins diligents pour les malades et un aide attentif pour les médecins . A. MARIE. X. De l'examen' anthropologique de
au cas spécial des aliénés. A. M. VARIA. Treizième congrès DES médecins aliénistes ET ,EUROLOGISTES DE france ET DES pa
es promu à la 1 ? classe du cadre. AI. ,1e D1' Chabon, directeur- médecin à l'Asile de Mouiins, nommé directeur-médecin à D
in à Aloulins. M. le Dr ANGLADE, directeur-médecin à Alençon, nommé médecin en chef à Bordeaux, en remplacement de M. le Dr
Alençou, M. le Dr IERAVnL, directeur-médecin à Armentières, nommé médecin en chef à l'Asile de Ville-Evrard (Seine), en rem
ne), en remplacement de M. le D1' FEBVRÉ, décédé. M. le De Chardon, médecin en chef à Rennes, nommé directeur-médecin à Arm
- AI. le Du' SIZARET, directeur-médecin à Saiut-Ylie (Jura), nommé médecin en chef à Rennes. Ai. le D1' HAMEL, directeur-m
64 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ecine ie l',u m. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Ste-Annc). F. RAYMOND
outer quelques-uns qui nous paraissent de nature à encou- rager les médecins praticiens à recourir à ce médicament, ' Biblio
tombe raide ; elle resta quarante-huit heures sans connaissance. Un médecin , pendant ce temps, tenta vainement de la ranimer.
physiologique de la valériane et des valërianates ; Par Cu. FÉRÉ, médecin de Bicêtre. Les médicaments sont souvent soumis
i n'étaient plus avec lui ; il ne s'étonnait pas de voir arriver un médecin qu'il ne connaissait point, un oculiste qui l'e
yndrome de la moelle cervicale. E. B. VARIA. Douzième congrès des médecins aliénistes et neurologistes Session de Limoges
nements dont ils auraient besoin. wrMi',1 CONCOURS POUR l'emploi DE médecin adjoint >&** ' DES ASILES PUBLICS D'ALIÉ
: ' Article premier. Un concours pour l'admission aux emplois de médecin adjoint des Asiles publics d'Aliénés s'ouvrira à
des Facultés ou Écoles de médecine de l'État ; 3° trois directeurs médecins ou médecins en chef d'asiles publics d'aliénés
s ou Écoles de médecine de l'État ; 3° trois directeurs médecins ou médecins en chef d'asiles publics d'aliénés ou de la mai
e Cbarenton ; 4° enfin, un juré suppléant pris parmi les directeurs médecins ou médecins en chef des mêmes établissements. T
; 4° enfin, un juré suppléant pris parmi les directeurs médecins ou médecins en chef des mêmes établissements. Tous les juré
elioi- sis dans des Facultés ou Écoles différentes. Les directeurs médecins , et les médecins en chef devront eux-mêmes être
des Facultés ou Écoles différentes. Les directeurs médecins, et les médecins en chef devront eux-mêmes être pris dans des éta-
par le jury. C'est à partir du jour de l'installation effective du médecin adjoint que commenceront à courir ses services.
tre accordés par le ministre, savoir : aux directeurs mé- decins et médecins en chef, après trois ans de stage, au minimum,
rès trois ans de stage, au minimum, dans la classe inférieure ; aux médecins adjoints, après deux ans, au minimum, dans la c
cret du 49 oc- tobre 1894, les cadres et traitements des directeurs médecins , mé- decins en chef et médecins adjoints des as
adres et traitements des directeurs médecins, mé- decins en chef et médecins adjoints des asiles publics d'aliénés ont été é
un ans, ouvrier à la fabrique de Langlée, commune de Châtelette. Le médecin , M. le docteur Vialette, appelé immédiatement,
ns la maison 76 VARIA. et firent prévenir M. le docteur Guiol. Le médecin légiste constata que Emma M..., était en proie
e de cet établisse- ment est confiée à M. le Dr Leroy, le distingué médecin de l'asile de Navarre (.P)'<wes6<'B ! t ?
té où sont'enfer- més les plus violents, un de ceux-ci sauta sur le médecin et avant que les gardiens aient pu l'empêcher,
que; PAR MM. E. 1,\OLLE, Ancien interne des hôpitaux de Pans, Médecin suppléant de l'Iopilal civil de Brest. E. AUI31
ectuelles légitimes et pour ainsi dire normales. Congrès annuel DLS médecins aliénistes Paris, le 3 juillet 1902. Le Prési
publics ou privés, à faire acte d'adhésion aux congrès annuels des médecins aliénistes. Je vous informe que le prochain con
résente la forme la plus classique, la plus clinique pour parler en médecin , celle dont les accidents nerveux se succèdent
DIRECTEURS. - De même que nos névrosés modernes changent souvent de médecins , cherchant partout remède à leurs maux imaginai
nt un confesseur aurait-il pu savoir ce que seul pouvait démêler un médecin ; son corps était malade, son âme ne l'était pa
ision pour les chrétiens tous les degrés de sa sainteté et pour les médecins toutes les étapes de sa maladie. SES CRUVRES
moins, même de ceux qui n'ayant pas la foi commencent à croire. Des médecins alors donnent, avec la plus entière bonne foi d
vent l'adulte, honteux de son mal, ne réclame pas les conseils d'un médecin et subit dans toute son intensité l'influence d
d'ordre social (mariage). Mais les observations personnelles des - médecins révèlent plus nettement que les documents officie
ets appartenant tous à un milieu assez élevé (étudiants,' artistes, médecins ). M. Vallon voudrait savoir si l'intensité de l
a Société médico. psychologique. Il adresse un hommage aux premiers médecins qui en firent partie, parmi lesquels plus d'un
Baillarâer qui, le premier, eut l'idée de fonder une association de médecins aliénistes. Avec le concours de Renaudin et d'A
fessionnels. Sous son patronage se fonda l'Association mutuelle des médecins aliénistes de France. Inutile de rappeler le so
UROLOGISTES Section DE Grenoble. Secrétaire général : Dr J. Bonnet, médecin en chef de l'asile de Saint-Robert (Isère). (Vo
premier Congrès international de médecine mentale (1878) . Nommé médecin de Bicêtre en 186î, puis de la Salpêtrière, en
i à quatorze ans et demi. Pour décider de la puberté d'un sujet, le médecin légiste n'aura qu'une ressource : faire un exam
rne de Saint- Lazare, préparateur adjoint à la faculté de médecine, médecin électricien, avec préface de M. le P1' GAMEL, m
is dans les observations, conseils et ordonnances des,plits habiles médecins , le tout recueilli par 11. Thomas l3rcrnet, Eco
iles médecins, le tout recueilli par 11. Thomas l3rcrnet, Ecossais, médecin ordinaire du roi de la Grande-Bretagne, traduit
nt à Armentières, promu à la Ire classe du cadre. M. le Dr ROUSSET, médecin en chef à l'asile de Riom, promu à la 2e classe
e de Riom, promu à la 2e classe du cadre. LE tueur DE femmes. Les médecins aliénistes de Lyon chargés de l'examen mental,
teurs Serge S0UKUA3 OFF, Privat-doccnt de la faculté de médecine, médecin de la clinique psychiatrique 1 de Moscou. Et
laintes à l'égard de ceux qui l'interrogent avec insistance et qui, médecins ou autres, lui mettent le diable dans la tête, de
nocrruos '1.11,1,0\, ALOMBEBT, 5lédecin-clcf u l'asilc,de liron. Médecin adjoinl à l'asile dc 13ron. Sous le nom de sein
en décrite dans ses mémoires, elle est fort intéressante pour des médecins et des philosophes. « Il faut ici du courage, écr
la tête. » ' (A suivre.) SOCIÉTÉS SAVANTES. XIIe CONGRÈS DES MÉDECINS NEUROLOGISTES ET ALIÉNISTES DE FRANCE ET DES PA
UE FRANÇAISE Tenu à Grenoble du 1 ? au 7 août 1902 Le Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pa
nt M. le Préfet; M. Boirac, recteur d'Aca- démie ; M. le Dr Bonnet, médecin en chef de l'asile Saint- Robert, secrétaire gé
'Ecole de Médecine. Dans l'assistance, de nom- breux professeurs et médecins étrangers, tels que MM. Jof- froy, Brissaud, Bo
Président, M. le professeur Régis, les membres du XIIO Congrès des médecins aliénistes et neurologistes, qui ont choisi not
couru, avec lui, l'asile de Saint- Robert, dont il est le distingué médecin en chef. Il a su, en artiste qu'il est, marier,
ture de nos études et delà direction habituelle de notre esprit. Le médecin est habitué à considérer la genèse et l'évoluti
sans du surnaturel, les manieurs de l'immatériel. Depuis le sorcier médecin qui, chez les primitifs, trépanait le crâne d'un
ienne métaphysique. Aussi bien n'est-ce pas la première fois que le médecin devient, par la force des choses, physiologiste
ur, Vons avez bien voulu honorer de votre présence une réunion de médecins , dont un grand nombre, il est vrai, sont l'honneu
-dire dans les deux dispositions d'esprit les plus néces- saires au médecin . Vous appartenez d'ailleurs à cette Ecole de psy-
le mode par lequel la guérison définitive couronnera les efforts du médecin . M. Meige (de Paris). Je n'ai jamais songé, com
onnus. Il arrive souvent que des enfants liqueurs, conduits chez le médecin , restent, tant qu'ils se sentent observés par l
s mêmes sujets dont les' tics sont inhibés par la seule présence du médecin voient souvent leurs grimaces s'exagérer d'une
il prenait un caractère tellement pénible qu'elle dut consulter un médecin et ne put se débarrasser que fort difficilement e
t en ce qui concerne la suspension de la coprolalie, en présence du médecin ; de la suspension du tic pen- dant le chant. M
ubles même somatiques pour lesquels se manifeste cette dernière. Le médecin de maladies nerveuses ne peut plus se dispenser
rmite, ne réussit pas à fixer d'une manière durable l'attention des médecins et des administrateurs, et l'internement des al
oulève l'étude du patronnage familial ; aussi espérons-nous que les médecins en géné- ral, les hommes de loi, les philanthro
DIVERS. Asiles d'aliénés. Nominations et le D'BEtr ? r, directeur médecin à Breuty (Charente) promu à la classe excep- ti
ge, blanchis- sage. Adresser les demandes au Dr Anglade, directeur, médecin en chef. Un sorcier maltrahé. Le nommé Bertra
and du Saulle, et alors que les deux malades sont en traitement, le médecin peut remarquer que l'un domine l'autre, que cel
dérés tour à tour comme sujets actifs ou sujets passifs, suivant le médecin qui les examine. Ceci admis, il n'en est pas mo
G... accuse une tendance mélan- colique, il se lamente, réclame le médecin pour le rassurer sur le sort de sa femme qu'il
Foie volumineux et gras. Rate normale. M. le docteur A. Vigouiioux, médecin en chef de l'asile de Vau- cluse, a bien voulu
oses pieuses et divines ; états hystériques si bien décrits que les médecins de l'époque, ignorants de cette affection, aura
e retirés de la rivière.' SOCIÉTÉS SAVANTES. 111° CONGRÈS DES MÉDECINS NEUROLOGISTES ET ALIÉNISTES DE FRANCE ET DES PA
st rendu à l'Asile de Saint-Robert. M.Gex, directeur, et M. Bonnet, médecin en chef, ont servi de guides aux visiteurs. L
tuation devient très délicate pour l'expert. 11 importe donc que le médecin sache que dans la mélancolie sans délire, alors
esure barbare, et pour les malades et pour les familles. A tous les médecins qui sont ici de faire comprend; à leurs préfets,
gardant en même temps, z en cas de rechute, notre responsabilité de médecin par une sortie d'essai d'un mois environ avant
ux nzzs. Plus on temporise, plus le mal s'aggrave, plus la tâche du médecin et du pédagogue est duré. Nous rappellerons à c
ellerons à ce propos ce que nous avons dit maintes fois Beaucoup de médecins , peu au courant des maladies nerveuses chroniqu
ioration ne venant point, les parents inquiets retournent auprès du médecin qui, de plus en plus embarrassé, fait espérer u
des préjugés fâcheux et à inspirer une confiance motivée à tous les médecins . Bacillus fluorescens pulridus et diarrhée vert
le, d'un haut intérêt théorique et pratique pour le psychologue, le médecin et le magistrat. Cette étude d'ensemble a été e
vent énigmatique pour le psychologue,, toujours intéressant pour le médecin . A l'inverse des auto-accusateurs mélancoliques
ue en cause. Ces auto-accusateurs délirants peuvent inté- resser le médecin légiste par leurs tentatives de suicide, et leurs
ces fâcheuses exceptions, elles suffisent à justifier, aux yeux du médecin et du magistrat, l'étude clinique et médico- lé
solu, et il me semble que ce doit être en pareil cas la conduite du médecin . Archives, 2' série, t. XIV. 23 3 5 li . SOCI
e Paris organise. « M. le Recteur a répondu et le docteur Bonnet, médecin en chef de l'asile de Saint-Robert, a bu à la s
supérieure qui double le charme de vivre et qui fait oublier aux médecins d'asiles le caractère souvent pénible de leurs fo
nu à reproduire textuellement. Il y a des cas où je voudrais que le médecin fut toujours con- sulte. Ils concernent une cat
urait dû mettre dans un asile. Je souhaiterais donc que juristes et médecins légistes s'enten- dissent pour insister sur la
êteté antérieure. Je suis persuadé que l'expérience personnelle des médecins légistes est conforme à la mienne : dans la cat
ur 1901, sur l'asile public de Saint-Robert, ' parle D1' J. Bonnet, médecin en chef. - Nous avons déjà utilisé quelques par
ice a fait examiner le malheureux et, sui- vant les conclusions des médecins , l'a fait interner, 7j 000 francs de titres ont
leurs rapports dans les délires ' vésaniques ; Par ALFx. AtIS S Médecin de l'Asile de Maréville Chargé de Cours il la F
xception- nelle du cadre à partir du 111" juin 490 ; -AI. PICHENQT, médecin en chef à Montdevergues, est promu à la classe
'administration contribuât à l'oeuvre de patronage sollicité par le médecin . 42G 6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. apparaît
e en cas douteux. L'étude plus géné- rale de la psychiatrie par les médecins ; la prophylaxie sociale de la folie à substitue
ital. M. Wizel estime non fondés les reproches faits par quelques médecins russes au traitement par le repos au lit, à savoi
tion des siens et de la vénération de tous, le Dl' Henri Dagonet, médecin honoraire de l'Asile clinique, professeur agrégé
r la soutenance Archives, 2' série, t. XIV. 29 Le Dr H. DAGONET Médecin honoraire de l'Asile clinique (Ste-Anne.) 450 N
sile'de Châlons-sur- Marne, qui a laissé un nom justement estimé de médecin remar- quableet d'administrateur hors ligne, IL
ait trouvé en lui un premier éducateur, affirme avec autorité qu'un médecin aliéniste ne saurait se confiner étroitement da
allemande le désignèrent, malgré son jeune âge. pour le poste de médecin en chef de l'asile d'aliénés de Stephansfeld, ren
l'amphithéâtre de la Faculté et au lit du ma- , lade, si utile aux médecins de l'armée, qui ont à juger il chaque instant l
existe depuis quelques années un asile d'aliénés militaires où les médecins de l'armée russe viennent se perfec- tionner da
ujet, le nom de Dagonet est cité à chaque ligne. Schiile, le savant médecin de l'asile d'Illenau, dans le Grand-Duché de Ba
s du D1' Jules Dagonet, son fils, 452 - - NÉCROLOGIE. aujourd'hui médecin en chef de l'Asile clinique, et du Dr Du- hamel
clinique, et du Dr Du- hamel ; et l'on peut voir dans la préface du médecin allemand la haute estime dans laquelle il tenai
Dagonet, après être resté dix-sept ans à Stéphansl'eld, était nommé médecin en chef de l'asile Sainte Anne à Paris, asile r
t au Dr Dagonet, de Stéphansfeld. Tous deux avaient la situation de médecin en chef de classe exceptionnelle. Un bureau cen
t les fonctions de Directeur. Enfin, un pharmacien en chef Les deux médecins en chef avaient chacun un interne en médecine e
, les deux médecins-internes devenaient méde- cins-répartiteurs, et médecins en chef en 1879. - H. DAGONE'r. ' " 453 En 18
de pathologie mentale furent organisées à l'Asile par les soins des médecins . Des raisons que nous n'avons pas à rappeler ic
agonet se confina dès lors, à Sainte-Anne dans son rôle exclusif de médecin d'asile ; se rappelant les traditions de son père
limite d'âge, il quittait définitivement ses fonctions pour devenir médecin honoraire. Son oeuvre fut considérable. Nous av
rasthénie, etc...). M. J.-A. Sicard conclut à l'importance, pour le médecin , de l'étude de la cavité sous-arachnoïdienne et
oliques; sorties, 87; décédés, 56. Le service médical comprend un médecin en chef, un médecin adjoint et un interne. A eu
87; décédés, 56. Le service médical comprend un médecin en chef, un médecin adjoint et un interne. A eux trois, ils ont à p
t neurologistes et par sa gestion, qu'on peut être à la fois un bon médecin et un bon administrateur. Pour compléter cett
on de son rapport. On ne peut que l'en féliciter. Cela démontre que médecin en chef et médecins-adjoints peuvent travailler u
médical de l'asile. La direction d'un asile doit être dévolue à un médecin ; et tout asile devrait posséder un médecin par
doit être dévolue à un médecin ; et tout asile devrait posséder un médecin par 100 malades. Ce médecin aura son logement d
cin ; et tout asile devrait posséder un médecin par 100 malades. Ce médecin aura son logement dans les locaux hospitaliers.
pour les enfants idiots et imbéciles; 3° D'augmenter le nombre des médecins dans les asiles, et d'organiser dans ceux-ci un
la matinée dramatique suivie de bal, organisée annuellement pas les médecins de l'asile de Villejuif et plus particulièremen
tale Par le D, ALEX. ATII1NAS10, Ancien chef de clinique mentale, médecin adjoint à l'hospice des aliénés de Bucarest. «
d'un corps étranger dans l'oreille, des microbes, du contact des médecins , d'une maladie du coeur, de la blennorragie, de
sont à bout de lutter ou trop tourmen- tés qu'ils vont s'ouvrir au médecin , puisant dans cette confes- sion, comme les neu
III. Etat mental. § 1. Les renseignements très brefs donnés par le médecin de son pays, signalent T... comme maniaque, jal
placer au triple point de vue du psychologue, de l'éducateur et du médecin : l'étude de l'enfant normal ou anormal apparti
t faible. 11 n'y a pas bien longtemps non plus d'ailleurs que les médecins se sont rendu compté de la valeur de la psycholog
chique, une intervention médiumnique méconnue des malades comme des médecins ; ils sont aussi revenus sans s'en douter à l'a
MM. Marie et Vigoureux signalent la fréquence de la folie chez les médecins ; ils rapportent deux intéressantes observations d
établir un dia- gnostic définitif. Le diagnostic et le pronostic du médecin en cette matière ont en général une tendance tr
itié et de la conversation ; et sa soeur nous apprend que plusieurs médecins avaient attribué ses maux de tête- sa chasteté.
féminin il y a une légère diminution. » Avec la grande majorité des médecins , M. Faucher recommande le placement précoce : «
. De la démence précoce chez les jeunes gens ; par le Dr Ali ? Euq, médecin à la colonie de Gheel. Sur 384 aliénés, dont 20
ment. Science d'octobre annonce la mort du De G. 1111crr.i ? ancien médecin en chef deSt.-Luke's IIos- pital. M. le D1' Je\
ises et du traitement dans la guérison de la folie. Après avoir été médecin du quartier d'aliénés de Poitiers (1851), il de
oir été médecin du quartier d'aliénés de Poitiers (1851), il devint médecin de l'asile de Blois (1853), puis médecin- adjoi
uccéda à Par- chappe comme inspecteur général. En 1872 il fut nommé médecin en chef de la maison de Charenton ; en 1873 méd
72 il fut nommé médecin en chef de la maison de Charenton ; en 1873 médecin en chef de l'Asile de Saint-Yon. Il fut mis à l
us-tard, à la suite d'événements malheureux, il accepta le poste de médecin de l'asile de Leymes (Lot). Il a publié un cer-
cin- adjoint des asiles publics d'alié- nés, 71. l. Congrès des médecins aliénistes et neurologistes. session de Limoges
11111. les prélet, a propos du - ci%-- Grenoble, 1,'I. XII- - des médecins neurologistes et alle- nâtes de Fiance, tmm à G
65 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
rs vêtements, le trajet douloureux de leur névral- gie, dispense le médecin de pousser plus loin son examen. Puis; il est a
rine et les pulvérisations de chlorure de méthyle prescrites par le médecin , confirment, rétrospectivement, le diagnostic d
hôpital Tenon, dans le même service, n'amena pas d'amélioration. Le médecin renvoya, au bout de ce délai, le malade dans l'
et qui a été reconnu plus tard com- plètement inutile par tous les médecins que j'ai consultés. M. X... se rappelle avoir s
le Dr AZICHEG CATSARAS, Professeur agrégé de la Faculté d'Athènes, Médecin de l'asile de Dromoeditis. V. -ANATOMIE Patholo
pagnée : nous nous plaisons à employer l'expres- sion de l'illustre médecin de la Salpêtrière. L'obser- DES ACCIDENTS PAR L
lobe frontal, pas plus que pour le lobe pariétal. Silvio Tonnini, médecin du manicome de Ferrare, avait, dès 1881, observ
t de la paralysie générale. Ce questionnaire sera envoyé à tous les médecins aliénistes, qui pourront ainsi fournir de pré-
entre l'asile et la colonie est indispensable, parce que le rôle du médecin est toujours et partout prépondérant quand il s
né lieu dans les conditions sus-spécifiés, à des abus. La visite du médecin l'après-midi à la colonie est la plus pratique
ésents. M. Zacher. Il est impossible en effet d'exiger que l'été le médecin se lève à 3 heures du matin pour visiter les tr
ion du ministre de l'intérieur, rendu sur la proposition motivée du médecin traitant, et après avis du comité supérieur. »
ie d'un des aliénés en vertu des articles 38 et 39 est demandée, le médecin traitant doit déclarer si l'interné est ou non
demande et la déclaration susdites accompagnées de l'avis motivé du médecin inspecteur, sont déférées de droit au tribunal,
ment public d'aliénés, si l'expert ou l'un des experts désignés est médecin de cet établissement. L'admis- sion de la perso
ents et pensions de retraite des médecins-direc- teurs, directeurs, médecins en chef et adjoints des asiles publics, des méd
s, directeurs, médecins en chef et adjoints des asiles publics, des médecins en chef préposés responsables et médecins adjoint
s des asiles publics, des médecins en chef préposés responsables et médecins adjoints des quartiers d'hospice, des médecins
osés responsables et médecins adjoints des quartiers d'hospice, des médecins en chefs et adjoints des établissements privés
des hôpitaux de Paris, avec une préface de M. le Dr Bour- neville. médecin de l'hospice de Bicêtre. - 1 vol. in-18, 215 p.
des suicides, à des incendies, etc. Cela tient à ce que beaucoup de médecins hésitent à donner des certificats, dans la crai
au, décédé (maintenu à la classe exceptionnelle); M. le Dr F111ÈSE, médecin en chef de l'asile public de Cadillac, est nomm
s la 4° classe.) (Arrêté du 17 décembre 1889). M. le Dr Cham- bard, médecin en chef, est nommé de l'asile public de Pierrefeu
90.) - M. le Dr ADAM, médecin-adjoint à l'asile de Blois, est nommé médecin en chef à l'asile de Pierrefeu (maintenu à la t
rhydrate de morphine, qui avaient été délurés, sans prescription de médecin , par un droguiste. Deux cas d'attaque DE somm
nutes, de lui faire reprendre ses sens. Effrayés, ils appelèrent un médecin . Le médecin chercha à réveiller la sen- sibilit
i faire reprendre ses sens. Effrayés, ils appelèrent un médecin. Le médecin chercha à réveiller la sen- sibilité de la peau
ieux. Un jeune étudiant en médecine avait porté plainte contre un médecin de la ville, parce que celui-ci l'avait hypnotisé
en ; on aurait dit des fous défilant devant le tribu- nal. Enfin un médecin , témoin également, vint déclarer devant les jug
de LINTELLI- 158 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE AGENCE. - Un groupe de médecins allemands vient de décider que l'étude du piano
douze ans, à cause de l'attention soutenue qu'elle exige. Selon ces médecins , l'étude de la musique « énervante au dernier p
on développement physi- que et intellectuel. ( ! ! ) - LES FEMMES médecins dans LES asiles d'aliénés EN AMÉRIQUE. - Un bil
liénés EN AMÉRIQUE. - Un bill autorisant les nominations des femmes médecins aux postes de médecins des asiles d'aliénés, vi
n bill autorisant les nominations des femmes médecins aux postes de médecins des asiles d'aliénés, vient d'être voté il y a
aux Archives de Neurologie. Nécrologie. - M. le Dr LAFFITTE, ancien médecin des asiles d'aliénés. M. le D1' BINET (Pierre-V
s. C'est ainsi que Mendel, en présentant naguère, à un congrès de médecins aliénistes allemands, des figures des différent
du cer- veau chez les aliénés. Après Colombo et Pizza', le savant médecin de Turin a publié sur ce sujet les travaux les
ice, à Bicêtre. Ce malade nous a été envoyé par M. le D'' \Ioizard, médecin de l'hôpital Tenon, qui l'avait reçu dans ses s
lonté et malgré ses réclamations. Les raisons qui doivent guider le médecin dans l'emploi de la séclusion sont les suivante
ans LE « Finska LARARIsS.ILLS6A1'ETS IiANDGLI1GAR (FINLANDE). Les médecins finlandais ont eu l'heureuse idée de publier dans
u'il est passé des mains de spéculateurs impudiques entre celles de médecins instruits. Qu'il y reste et que les mesures admi-
es lui assurent un refuge prophylactique à l'égard des masses. Au médecin seul appartient en pleine compétence la mission d
sont en effet légitimes, à la condition qu'ils soient assistés d'un médecin . Manié par des travailleurs de bon aloi, l'hypn
terprétations raisonnées et a inspiré une plus grande confiance aux médecins aussi bien qu'aux profanes en tant que nouveau
raisons mises en relief par M. Schultze, il est regrettable que le médecin soit appelé à donner publiquement son avis. M
firmera l'impérieuse obligation d'édicter des lois qui réservent au médecin seul l'usage d'un agent aussi actif; il ne suffit
amilles; rabaisse dans l'opinion publique, sans motif justifié, les médecins des asiles privés et leurs établissements; en d
s établissements n'impose pas la rési- dence ni la désignation d'un médecin approuvé par l'autorité, qu'au contraire il les
ire n'ait aucune tare judiciaire. Le rapport préalable du Physikus ( médecin du district), complété par un certificat d'un m
u Physikus (médecin du district), complété par un certificat d'un médecin compétent concluant à la nécessité de la séquestr
elle l'affaire Reisser Stockhausen, dans laquelle un Kreisphysikus ( médecin de district), deux psychiatres, éminents, et lu
lit une Observation de démence paralytique guérie. - Il s'agit d'un médecin ayant séjourné à l'asile pendant six ans et dem
ques portaient qu'il prétendait être candidat à plusieurs places de médecin de district occupées ou n'existant pas, répétai
écrit à son insu qui l'a fait enfermer; il ne comprend pas que les médecins de l'asile le regardent comme dépourvu de raison.
que incertitude dans l'écriture, une satisfaction morbide. Puis, le médecin de district l'ayant examiné, on leva son interd
par opposition à celui de l'hypno- tisme, avait à sa tête quelques médecins , parmi lesquels nous Iemarquons le nom d'un can
ntifiques des congressistes sont un peu au- dessus de la portée des médecins appartenant il la « Science officielle ». Nous
comme stagiaires dans les services hospitaliers. Du reste, MM. les médecins des hôpitaux y auront l'avantage d'avoir un élè
t été lus où pro- noncés par divers auteurs parmi lesquels quelques médecins . Celui de M. Guyonnetde Bérat, qui recommande l
on sénateur et Mm° Gou- jon de M. le nr Magnan. de M. le Dr Vallon, médecin en chef de la division des hommes. - Plusieurs
t fait connaître la teneur au roi, et celle du Dr Gudden, et de son médecin adjoint le Dr Muller. Les choses toutefois ne t
nt pas à rentrer dans l'ordre ; les membres de la commission et les médecins furent remis en liberté; le roi fut transféré a
nvoi des gardiens demandé par le roi et imprudemment accordé par le médecin , le suicide du souverain qui se précipita dans
rier 1890, sont promus à la classe exceptionnelle : M. le Dr Pions, médecin en chef à l'asile public de Bordeaux (à partir
du 1er mars 1890). A la Ire classe : M. le Dr Manille, directeur médecin à l'asile public de Lafond (Charente-Inférieure)
nte-Inférieure) (à partir du le'* janvier 1890); - M. le Dr PIERRE, médecin en chef à l'asile public de Bron (Rhône) (à par
(Rhône) (à partir du fer mars 1890) ; - M. le Dr FRiÈSE, directeur médecin à l'asile public de La Roche- gandon (Mayenne)
fer .mars 1890). - A la 2rae classe : M. le Dr DOURSOU'r, directeur médecin à l'asile public de Naugeat (Haute-Vienne) (à p
enne) (à partir du 1er janvier 1890) ; - M. le Dr SCHILS, directeur médecin à l'asile public de Bourges (à partir du 1er fé-
de morphine, ainsi d'ailleurs, que le mentionnait une ordonnance de médecin dont il était porteur. Le pharmacien examina av
ent à agir sur les malades et à refaire leur éducation morale. Deux médecins sont charges de la surveillance de l'établissem
sauva en Allemagne, où il fut reconnu sain d'esprit pair plusieurs médecins de Bonn. L'Enseignement DES maladies mentales e
le manque de surveillance. Une séquestration ; condamnation d'un médecin . On écrit de Caen : Il y a deux ans, une dame L
l'hospice de Saint-LÔ, où, en vertu d'un certificat délivré par un médecin , elle fut mise au cabanon. Dès la première visite
après, mais ruinée, elle assigna devant le tribunal de Saint-L8 le médecin qui avait dé- livré le certificat et son ouvrie
Caen vient de réformer ce jugement. Elle a décidé que sans doute le médecin avait été de bonne foi, en acceptant les déclar
l avait eu le tort grave de s'en rapporter à ces déclara- tions. Le médecin et Leblond sont condamnés solidairement à 10,00
e avait destiné au meilleur mémoire sur l'épilepsie, ex-aequo, à un médecin américain et à M. le D1' Christian, médecin de la
ilepsie, ex-aequo, à un médecin américain et à M. le D1' Christian, médecin de la maison nationale de Charenton. Nécrolog
mémoires sur divers sujets de pathologie nerveuse. M. le Dr DANis, médecin directeur de l'asile deSaint- Dizier (Marne). M
cteur de l'asile deSaint- Dizier (Marne). M. le D'' Brusque, ancien médecin de la marine, médecin-adjointde l'asile de V du
ur W¡';STPlI \L (de Berlin). Né à Berlin le 23 mars 1883, fils d'un médecin de cette ville, le Dr Westphal (né en ISOO, mor
e en 1861 à l'Univer- sité de Berlin, il occupa d'abord le poste de médecin dirige, m du LUI service de la variole (1868).
n évident que les lésions spinales procllcctoices ont empêché les médecins de reconnaître les lésions cérébro-spinales pro
urs la découverte de ce fait important. Il y a d'ailleurs parmi les médecins allemands, habituellement si scrupuleux dans le
ouveau deux espèces de fluxions de poitrine ( ? ) qu'il traita sans médecin et qui ne s'ac- compagnèrent que de peu de réac
ablement parce que, antérieurement à l'accomplissement du crime, un médecin Il avait diagnostiqué la folie sans indiquer d'
titue une sauvegarde pré- cleuse tant pour les malades que pour les médecins des asiles d'a- liénés. « L'excellence du pri
'un contrat de restitution de sa dot. Malgré les représentations du médecin , le magistrat passe outre. Mais le malade, l'al
points de vue. De là procès. On entend l'officier ministériel et le médecin . REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 398 Le Tribunal, c
'il ne comprend pas foncièrement.... s'en re- mettant au rapport du médecin spécialiste.... annule le contrat en question.
ison de l'aliénation mentale. 11 se propose d'étudier les cas où un médecin d'asile, jugeant qu'un malade estdevenu inoffensi
voir rendre ce malade à la liberté : dans ces cas naturellement, le médecin engage sa responsabilité, sinon au point de vue
éniten- tiaire; 9" tout 'I.I(¡lbem"J1t pénitentiaire sera pourvu de médecins connaissant la psychiatrie; uu lui annexera un
de l'ouest, du milieu et de l'est, établissements conduits par des médecins et munis d'un personnel d'infirmiers particulière
a fait, et que pour un rien il lui en feiait autant. A l'arrivée du médecin , il demande si l'enfant est mort, et sur la répon
tures et demande de ne plus admettre comme membres titulaires les médecins résidant habituellement en dehors du département
es fitulaires, est remise au Bureau, en vue d'accorder à M. Déricq, médecin à l'asile de Prémontré, le bénéfice des précéde
ntraîne un danger quelconque, on le reprend aussitôt à l'asile. Les médecins se rendent souvent chez les nourriciers ; en ou
nt de progrès positif dans le non-restraint. Elle assure les pas du médecin traitant et lui apprend à mieux connaître ses m
e les priver de leur liberté sans motifs, plus de confiance en leur médecin . En résumé : 10 Toutes les fois que le pays dan
prennent l'habitude d'une occupation régulière. La persévérance des médecins est le point capital. . M. SIOLI. J'ai sept cen
d'une gestion finan- cière importante, et c'est ainsi que, chez les médecins d'asile, on étouffe, sous le poids d'antres pré
isolement effec- tif des malades agiles, turbulents ou bruyants, le médecin est sou- vent amené à prescrire à tel ou tel ma
e pies les asiles et les aliénés; à l'inverse du prêteur romain, le médecin d'asile doit s'occuper des petites choses, et c
nommé privât docent de psychiatrie. Congrès DE l'association des médecins aliénistes américains. Ce Congrès aura lieu le
ntales et témoigne des efforls faits pour avoir dans les asiles des médecins instruits. Congrès DES médecins aliénistes fran
aits pour avoir dans les asiles des médecins instruits. Congrès DES médecins aliénistes français. Le premier congres annuel
rès DES médecins aliénistes français. Le premier congres annuel des médecins aliénistes français s'ouvrira, à Rouen, le lund
our rachat de cotisation du vainqueur, est offert par M. Decroix au médecin français ou étranger qui relatera le plus grand
Ciudad-Bolivar) nous écrit : « En ce faits DIVERS. 433 pays, nos médecins et notre curé souffrent beaucoup des nerfs ( ? ).
iblesse de livrer à deux de ses clientes, la femme et la fille d'un médecin établi dans cette même ville du Nord, une quant
600 francs environ. Les livraisons clandestines furent révélées au médecin , qui fit défense à D... de les continuer. Mais le
tint pas compte de la défense, et l'une de ses clientes mourut. Le médecin déposa une plainte : le sieur D... futcondamné à
pourraient être évités et les malades guérir si les parents et les médecins faisaient exactement leur devoir et ne craignaien
bus de la), par Campbell, 210. Séquestration, condamnation d'un médecin , 300. Simulation de la folie, par Tigges, 278
66 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
édecine de Pans. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Aune). F. RAYMOND
'étude DE la simulation DE la folie) ; Par le D' Samuel GAIINIER, Médecin en chef directeur de l'Asile de Dijon. La simul
la folie qu'il a constatée est bien réelle. Ces paroles du célèbre médecin légiste sont profondément sages et l'aliéniste,
certificat portant le timbre de l'hospice, dans lequel un prétendu médecin traitant le déclarait atteint d'hystérie et l'a
le diagnostic d'hystérie et en imitant la signature illisible d'un médecin traitant. Si ces diverses constatations étaient
e expertise faite sur Cing... et prescrite au vu d'un certificat du médecin de la prison, le signalant comme étant atteint
uel il s'était pourvu et qui en 'avait jugé ainsi, malgré l'avis du médecin traitant. Celui-ci, 'en effet, appréciait la si
féré, en fé- vrier 1892, dans un asilé d'aliénés, sur la demande du médecin de la prison qui le certifiait hystéro-épilepti
é simulé de toutes pièces. Il me raconta qu'il avait mis dedans les médecins , qu'il était assez fort pour cela et qu'il me d
ma respiration jusqu'à deve- nir bleuâtre. « On court chercher un médecin , on me pique les cuisses à l'éther et je repren
uets, des efforts violents; puis je tourne des yeux effroyables. Le médecin C... me fait donner du lait et fait mettre du c
P..., en lui dictant sa conduite, à faire surtout en la présence du médecin G..., qui à la visite le regardait faire ses ri
es par des voies détournées. Puis quelque temps après, je voyais le médecin furieux, ou bien me faisant des reproches, c'ét
ons complémentaires et lui fis remarquer tout d'abord que le second médecin de l'asile avait conclu à son sujet comme le pr
iqua aussitôt qu'il fut amené à simuler des crises devant ce second médecin , parce qu'il avait compté d'a- bord sur lui pou
S'enorgueillisant d'avoir réussi à tromper ainsi successivement les médecins et leur entourage, Cing... revint sur cette pré
fiait, comme je l'ai déjà dit, non seulement d'avoir dupé plusieurs médecins , mais d'être apte à tout travail, ce qui était
eau en décembre 1893, après le changement de résidence du premier médecin qui l'avait observé, se flattant ainsi d'avoir my
és et devint insuppor- table à l'établissement par son attitude. Un médecin nouveau vint à l'observer; il espéra cette fois
e qui, loin de finir par l'assassinat comme l'avait prédit un des médecins qui l'avait observe, se cantonna dans le vol et l
cales d'antan et sa cohabitation avec les aliénés, pour s'établir médecin à Saint-Etienne, puis à Alger où il avait arboré
la Seine ' ; Par le D' TAGUgT. , Le projet primitif comportait un médecin en chef, assisté d'un médecin adjoint. Dans son
, Le projet primitif comportait un médecin en chef, assisté d'un médecin adjoint. Dans son rapport de 189T, au conseil gén
ction comporte une moyenne de 300 lits; est-ce trop ? oui, pour les médecins qui demandent l'assimilation absolue des servic
t nécessaire d'isoler momenta- nément pour diverses causes, dont le médecin reste le seul juge. 30 asiles d'aliénés. Les
ent une certaine surveillance, ou pour une foule de raisons que les médecins n'arrivent jamais à connaître. Ce n'est pas ici
utres, présente une grande importance et intéresse non seulement le médecin , mais encore tous ceux qui ont às'occuper de l'ad
e employées pour obtenir le témoi- gnage des experts médicaux. Le médecin de la prison devrait disposer d'une autorité plus
s cas de transition, des cas intermédiaires en présence desquels le médecin légiste pourra se trouver embarrassé. (The alie
e qu'il vient de relater, semblent devoir engager et encourager les médecins à employer la thérapeutique suggestive età suppri
priées. A. Fenayrou. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 1. Assassinat d'un médecin par un individu déséquilibré ; par le D1' WEHRU
uite d'une simple discussion relativement à des honoraires, tue son médecin dans des circonstances particulières. Le rappor
nation de la responsabilité crimi- nelle, journellement proposé aux médecins par les tribunaux, ne devrait plus être formulé
nelle se réduit actuellement à une question de diagnostic; mais les médecins légistes sacrifient encore, d'une façon générale,
e marquée parmi les nombreux procédés auxiliaires dont dispose le médecin psychologue pour s'assurer l'obéissance du malade
ces faits sont regardés comme des impossibilités par la plupart des médecins ; mais il ajoute qu'ils ne sont pourtant pas plu
DE THÉRAPEUTIQUE. 69 Observation IL,- Jeune fille dont le père est médecin , dix- huit ans, excellente santé, terreur de la
va de quinze mois à deux ou même il quatre ans et chez lesquels le médecin se trouve en face d'une idiotie crétinique comp
une troisième caté- gorie, qui deviendra d'autant plus rare que le médecin sera plus habile à découvrir de bonne heure la
a permis d'établir que deux enfants morts subitement, sans qu'aucun médecin les ait examinés, étaient morts cependant de ma
tête et on l'em- mène... » Maigre les protestations réitérées des médecins , rien n'a pu jusqu'à présent faire abandonner c
décédé; - M. le BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. 95 D1' .MO : 'lEsm : R, médecin adjoint à l'asile public d'aliénés d'Aix, pro-
de Clermont, promu a la 1 rye classe du cadre ; - AI. le D' Tenade, médecin en chef de l'asile de Leymé (Lot) (admissible a
de Leymé (Lot) (admissible au concours de Bordeaux. 1896), nommé médecin adjoint à l'asile de Lafond (Charente-Inférieure)
Lafond (Charente-Inférieure), en rem- placement du D' MAHOX, nommé médecin en chef préposé respon- sable du quartier d'ali
herine-Izerne (Moulins, Allier). (Novembre.) - ici. le D' Pichenot, médecin en chef à Montdevergues (Vaucluse), promu à la
sland (Etals-Unis) où son père et son grand-père, qui étaient aussi médecins , l'avaient déjà observée dans certaines famille
uverte, menaçant de se précipiter dans la cour. Je présume qu'aucun médecin aliéniste n'appellera ces menaces des « tentati
la population qui aime ses hôpitaux de cercles. Il est vrai que les médecins de ces hôpitaux de cercles ne sont pas aliénist
n d'assistance propre- ment dite, on peut obtenir des documents des médecins direc- teurs de trente des hôpitaux territoriau
de quatre ans et le malade avait été sérieuse- ment traité par des médecins qu'on a tout lieu de supposer com- pétents. I
mbres de droit, en y faisant figurer, à côté des professeurs et des médecins des asiles et des quartiers d'hospice, des membre
ératoire : on fabrique ainsi des éthéromanes. Jadis, à la Pitié, un médecin des hôpitaux préconisait les-injeclions de morp
de se mouvoir ; aussi ne sauraient-elles dispenser les personnes, médecins ou magistrats, qui voudraient connaître la médeci
es étant curables et néces- sitant une action assidue de la part du médecin , chaque service ne devrait avoir plus de 100 ma
édecin, chaque service ne devrait avoir plus de 100 malades pour un médecin , sans préjudice des médecins adjoints ou intern
vrait avoir plus de 100 malades pour un médecin, sans préjudice des médecins adjoints ou internes. Le personnel rigoureusement
plexie, m'a été confirmée parle D''Faucher actuellement directeur- médecin de l'asile de La Charité. Pendant les deux années
les stigmates de dégénérescence aient été admis par l'ensemble des médecins , Bourneville mesure avec soin les épileptiques
, qui sont ordinairement plus apparents pour la famille que pour le médecin . Assez souvent les premiers symptômes sont pend
n de vacher. Il était, en outre, tambour des sapeurs- pompiers. Les médecins qui l'ont examiné au point de vue mental ont co
iles publics d'aliénés. Nominations et promotions : M. le Dr Levet, médecin adjoint à Montleverques (Vaucluse), est nommé e
est nommé en la même qualité à Bassens (Savoie); M. le U Dnaw.nrc, médecin adjoint àBailleul (Nord), est promu à la premiè
(Nord), est promu à la première classe du cadre; - Ni. le D'Tuivet, médecin adjoint à Quatre-Mares (Seine-Infé- rieure), es
vet, médecin adjoint à Quatre-Mares (Seine-Infé- rieure), est nommé médecin en chef à Clermont (Oise) en rem- placement du
queux des dendrites cortica : la. : Par le Dr Serge SOUKHANOFF ', Médecin de la Clinique psjcbialmiue de Moscou. Les prol
tation maniaque intense ; il menace de donner un coup de couteau au médecin qui vient le voir. Toujours inquiet, aux écoute
de tout ce qui lui tombe sous la main; c'est ainsi qu'il menace le médecin d'un couteau parce qu'il a simple- ment peur du
l menace le médecin d'un couteau parce qu'il a simple- ment peur du médecin ; mais quand il veut accomplir un acte d'expiat
t; prétend qu'elle ne peut digérer, que le sang l'étouffera, que le médecin lui a prédit qu'elle mourrait par le sang. La l
uisses, avec crises provoquées par les changements de position. Son médecin avait diagnostiqué méralgie paresthé- sique. Je
diphtérie grave ; pour com- battre certains troubles cardiaques, le médecin fait des injections hypodermiques de morphine.
camenteux. Paraplégie hystérique et suggestion curative suggérée au médecin par la malade elle-même. M. Maurice BLOC11. - U
e augmenté. La sépara- tion des fonctions de directeur de celles de médecin en chef, l'au- tonomie des médecins adjoints, q
ctions de directeur de celles de médecin en chef, l'au- tonomie des médecins adjoints, qui rompent l'unité des services, son
mps, les soins hygiéniques d'un certain nombre d'incu- rables ? Les médecins adjoints pour lesquels on ne cesse de récla- me
leur assurer une position convenable. M. Garnier a trouvé enfin un médecin adjoint et un interne de son choix qui garantis
essai de réforme sociale des plus intéressants, devant lequel aucun médecin ne peut rester indifférent. J.-B. Charcot. IX
ortie ne pourra s'effectuer que sur juge- ment rendu après avis des médecins . Dr A. Marie. N. B. Nous rappelons à nos lecteu
Médecin eu clief à l'.lsile elmiyae (Sainle-.W ne). , (1835-1900) Médecin de l'asile clinique depuis trente-trois ans, le
r-et-Cher), le 20 juin BOUCHEREAU. 359 1835. Son grand-père était médecin , il voyait beaucoup de malades, mais à vrai dir
Le le, janvier 1867, il est avec son collègue et ami Magnan . nommé médecin du Bureau d'admission,vers lequel convergent to
1891. Il était depuis ·188 secrétaire de l'Association mutuelle des médecins aliénistes de France et il remplissait cette tâ
. A la fin de 1879, il est appelé à remplacer Prosper Lucas comme médecin en chef de la section des femmes de l'asile Sai
co-psychologique ; M. Meuriot, au nom de l'Association mutuelle des médecins aliénistes ; M. Gley, au nom de la Société de B
éral de la Société de Biologie, agrégé de la Faculté, M. Dubuisson, médecin de l'Asile clinique, M. Meuriot, président de Y
Asile clinique, M. Meuriot, président de Y Association mutuelle des médecins aliénistes de France, et M. Gréhant, professeur
Quelques mois après, il était nommé, en même temps que M. Magnan, médecin répartiteur du bureau d'examen de l'asile Sainte-
'1879, où M. Bouchereau fut appelé à remplacer Prosper Lucas comme médecin en chef de la sec- tion des femmes de cet établ
e jalousie parmi ses collègues. Bouchereau fit toute sa carrière de médecin aliéniste dans cet asile Sainte-Anne ; il compt
un tiers de siècle il se montra, du premier jour jusqu'au dernier, médecin zélé et dévoué ; sa bonhomie, par- fois un peu
de la dernière heure, le Dr Ma- gnan, pour remplir les fonctions de médecin du Bureau d'admission. Depuis cette date, c'est
n'a plus quitté et où il vient de rendre le dernier soupir. Nommé médecin répartiteur au mois d'octobre 1870, il veut avo
est appelé par M. le préfet Herold à succéder au D'' Lucas comme médecin en chef de la division des femmes. C'est dans ce
hommage rendu à la bonté familière de l'homme de coeur autant qu'au médecin . A ces retours de Dun, le D1' Bouchereau nous q
jamais négligé de s'occuper des phénomènes morbides qu'étudient les médecins aliénistes, pour autant que ces phénomènes, dép
e 1874, le très regretté Bouche- reau, ancien interne des hôpitaux, médecin en chef de l'asile Sainte-Anne, était un de ces
gue. Discours de M. MEUMOT,pes ! eM de l'Association mutuelle des médecins aliénistes de France. - Messieurs, Je viens,
ance. - Messieurs, Je viens, au nom de l'Association mutuelle des médecins aliénistes de France, dire un dernier adieu à n
bre même à l'étranger, cons- titue une véritable pépinière pour les médecins aliénistes français. Pendant trente-trois ans a
ui t'ont aimé et de ceux que tu as aimés. Discours de M. DAGONET, médecin à l'Asile clinique. Messieurs, Cédant à la de
a carrière des asiles vers laquelle le portaient tous ses goûts. Le médecin aliéniste doit être bon avant tout. C'est dans
n- çait lui-même, le 29 mai dernier, à l'Association mutuelle des médecins aliénistes de France en rappelant la mort de M. l
s, nous conserverons pieusement la mémoire de l'ami excellent, du médecin dévoué, de l'homme de bien, du patriote, que fut
us adresse un éternel adieu. ( Discours prononcé pa2- l. BRlA ! ;D, médecin en chef de l'Asile de Ville juif, au nom des an
ssion de surveillance, au sujet du décès de M. LE Dr Bou- CHEVREAU, médecin en chef des asiles d'aliénés de la Seine. Messi
1867, lors de l'ouverture de l'asile Clinique (Sainte-Anne), nommé médecin de l'administration en même temps que son émine
, de ce service, de l'attachement que les malades marquaient à leur médecin . On m'a dit aussi, et la simplicité du cadre av
travaux. VARIA. Asiles d'aliénés. Concours pour des emplois de médecin adjoint des asiles publics d'aliénés. - Le prés
: Article premier. Unconcours pour l'admissibilité aux emplois de médecin adjoint des asiles publics d'aliénés aura lieu au
4. - A titre exceptionnel et lorsqu'il y aurait urgence à nommer le médecin adjoint d'un asile dans une région où la liste
faculté d'appeler à cet emploi un candidat d'une autre région. Tout médecin adjoint nommé pour son début dans la région où
s fonctions dans un asile situé hors de cette région. Art. 5. - Les médecins adjoints pourront être nommés méde- cins en che
cins adjoints pourront être nommés méde- cins en chef ou directeurs médecins dans toute la France. Art. 6. Le jury chargé de
ine de la région où se tiendra le concours ; 3° de trois directeurs médecins ou mé- decins en chef de la région. Les direc
teurs médecins ou mé- decins en chef de la région. Les directeurs médecins et les médecins en chef appelés à faire partie
u mé- decins en chef de la région. Les directeurs médecins et les médecins en chef appelés à faire partie du jury seront d
e au sort d'un juré suppléant pris également parmi les directeurs médecins et médecins en chef. Art. 7. Les épreuves sont
d'un juré suppléant pris également parmi les directeurs médecins et médecins en chef. Art. 7. Les épreuves sont au nombre de
se trouvera par ce fait dans les mêmes condi- tions pour être nommé médecin adjoint des asiles publics d'aliénés que les ca
ant. FAITS DIVERS. Asiles d'aliénés. Promotions : M. le D1' Blin, médecin en chef de la colonie annexée à l'asile public
use, est compris dans la 2° classe du cadre; M. le D1' Vigouroux, médecin adjoint à la colonie familiale de Dun-sur-Auron (
in adjoint à la colonie familiale de Dun-sur-Auron (Cher) est nommé médecin en chef dans le même établissement (poste créé).
nce que nous avons des aliénés, nous semblent trop complaisants aux médecins . Ils racontent tout ce qu'on veut, avec force d
Depuis quelque temps, à la suite d'accidents et sur le conseil du médecin , L... avait cessé de prendre l'absinthe, mais l'a
e la nuit, d'un accès de delirimn tremens, d'après le diagnostic du médecin qui fut appelé immédiatement. Plus récemment, d
e de delirium lremens. La mise en réforme fut même discutée par les médecins militaires. L... s'était marié, il y a à peu pr
ation mercurielle (unguent. hydrarg. ciner. simplex et duplex), les médecins d'Aix-la-Chapelle, ont en usage, ces derniers t
ès dorsalis atactica, etc. Vous ne ren- contrerez décidément pas un médecin , qui renvoyant un syphilitique, quasi guéri, lu
musculaire dans la mélancolie ; - PAR R CH. VALLON, ET waiil. Médecin de l'asile de Villejitit. Interne des asiles de l
). (Journ. of ne¡'vous and mental disease, 1899.) C'est le cas d'un médecin âgé de vingt-six ans qui-mourut deux ans et dem
tômes de petit mccl. Le bromure n'avait donné aucun résultat, et le médecin qui le soignait ayant remarqué que l'enfant respi
e/'eau. Le Président annonce la mort de M. le Docteur Bouchereau, médecin en chef à l'Asile clinique. Plusieurs discours
Société médico-psychologique; Meuriot, au nom de l'Association des médecins aliénistes ; Gley, au nom de la Société de biolog
om des anciens Internes de M. Bouchereau ; Jules Dagonet au nom des Médecins de l'asile clinique '. M. LE Secrétaire général
rsonnel des asiles, que les places de ce genre soient données à des médecins . 444 SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ DE NEUROPATHO
interprétations de certains faits. Dans beaucoup de ses lettres, un médecin psychologue reconnaîtra sans peine cette forme
ragiques, est mort dans la nuit d'une congestion cérébrale dont les médecins font remonter la cause à l'émotion ressentie.
que cette femme était folle, 111 ? Bonnefoy fut examinée par trois médecins de l'Isle, MM. Compagne, Tallet et Laffond. L
les soins donnés à la malade ne pouvaient la ranimer. On appela un médecin . Celui-ci ne put que constater le décès de Mme
oselle), promu à la 110 classe du cadre; Dr Dubuisson (Paul-Émile), médecin en chef à l'Asile clinique (hommes) passe en la
es femmes, en remplacement de Dr Bouchereau, décédé ; Le Dr Vallon, médecin en chef à Villejuif (Seine), passe en la même q
e (hommes), en remplacement de Dr Du- buisson ; - Le De Marié (A.), médecin en chef à Dun-sur-Auron (Cher), passe en la mêm
e qualité à Villejuif en remplacement du Dr Vallon ; Le De Thibaud, médecin adjoint à Quimper, passe en la même qualité à l
uatre-Mares (Seine-Inférieure), en remplacement de Dr Thivet, nommé médecin en chef à Cler- mont (Oise). Asile d'aliénés
en histologique ; par Il Le D P. KERAVAL, et Le D' G. RAVI,IRT, Médecin directeur de l'asile Préparateur, chargé des trav
t de ne pas voir résumée, en cette notice, l'oeuvre scientifique du médecin , je leur dirais que je me suis borné à décrire
Seine (Maison Blanche), à dater du 1er mai 1900 ; M. le Dr Dupain, médecin en chef à l'asile public d'aliénés de Saint-Mée
l'asile public d'aliénés de Saint-Méen (Ille-et-Vilaine), est nommé médecin en chef de la colonie familiale de Dun-sur-Auro
le de Dun-sur-Auron (Cher) en remplacement de M. le D1' Marie nommé médecin en chef à l'asile de Villejuif (Seine); - M. le
édecin en chef à l'asile de Villejuif (Seine); - M. le D1' Chardon, médecin adjoint à l'asile Saint- Venant (Pas-de-Calais)
médecin adjoint à l'asile Saint- Venant (Pas-de-Calais), est nommé médecin en chef à Saint- Méen en remplacement du 1), Du
emplacement du 1), Dupain nommé à Dun-sur-Auron ; - M. le ur LwoFF, médecin adjoint à Prémontré (Aisne) est nommé en la mêm
352. - 381, 384, 463. Assassin sourd-muet, 272. Assassinat d'un médecin par un déséquilibré, par \Vehlm, 51. Assistan
67 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
MENT HYSTÉRIQUE : GILBERT BALLET, Professeur agrégé à la Faculté, médecin des hôpitaux. et t PAUL TISSIER, Ancien I
éros du roman, Victorien, attend son tour dans l'antichambre d'un médecin aliéniste renommé, le docteur Soubyranne. «, A
s'y trouvait, arrivés avant lui, deux pin- goins, comme disent les médecins en parlant des clients, qui dans des poses ennu
sur cette variété de manies, pour faire inventer et décrire par le médecin aliéniste Souby- ranne le délire de l'ordre. «
FAITS SUR UN CAS DE TETANOS CHEZ UN ÉPILEPTIQUE Par CAl\1 USET, Médecin , directeur de l'asile d'aliénés de Boiiiie%al.
tôt l'un, tantôt l'autre. C'est le préfet, le maire de son pays, le médecin de l'asile, etc., tout personnage enfin qu'il s
asiles publics et dans les asiles privés, certificat préalable d'un médecin traitant. Quartier d'hos- pice annexé aux établ
terrain pour 40 aliénés judicieusement choisis. On y avait placé un médecin , un économe, une ménagère, cinq gardiens, un se
. VIII. Les Epilepsies et les Epileptiques, par le D1' Cil. Féré, médecin de Bicêtre, 1 vol., Alcan, 1890. S'il est bien
'anthropologie criminelle, et même dans un grand nombre de cas. aux médecins ayant des services d'aliénés, d'épilepliqurs, d
ues sur les maladies nerveuses et mentales; par le Dr Jules Falret, médecin de la Salpêtrière, 1 vol. in-8°. XI. Les aliéné
dose chez les épileptiques, où sont données des règles que bien des médecins feraient bien de consulter. On voit par là l'in
ns pas, sera chaleureusement accueillie, non seulement par tous les médecins désireux de bien connaître les curiosités de l'hi
s examens. A titre exceptionnel et s'il y avait urgence à-nommer le médecin adjoint d'un asile dans une région où la liste
supérieur le commanderait, ou encore par mesure disciplinaire, tout médecin adjoint nommé pour son début dans la région où il
ec ses même fonctions dans un asile situé hors de cette région. Les médecins adjoints peuvent être nommés médecins en chef o
tué hors de cette région. Les médecins adjoints peuvent être nommés médecins en chef ou directeurs médecins dans toute la Fr
édecins adjoints peuvent être nommés médecins en chef ou directeurs médecins dans toute la France. - . * Le jury chargé de
u concours sera composé dans chaque région : 1° de trois directeurs médecins ou médecins en chef de la région ; 2° d'un insp
era composé dans chaque région : 1° de trois directeurs médecins ou médecins en chef de la région ; 2° d'un inspecteur génér
eur désigné par la faculté de médecine de la région. Les directeurs médecins en chef appelés à faire partie du jury seront d
tre de ces fonctions dans un des asiles publics de la région. Les médecins de la Maison nationale de Charenton, les médecins
de la région. Les médecins de la Maison nationale de Charenton, les médecins en chef des quartiers d'aliénés des hospices de
e partie du jury, concurremment avec les directeurs-médecins et les médecins en chef des asiles publics de cette région. Il
age au sort d'un juré suppléant pris également parmi les directeurs médecins et méde- cins en chef ci-dessus désignés.' Le
les annexant à des asiles d'aliénés, et les faire conduire par des médecins . P. K. Relation DE la démonologie ET DE la sorc
des personnes et des idées et fait toucher du doigt des oeuvres de médecins éclairés '. P. KERAVAL. LES troubles PSYCHIQUES
-adjoint à l'asile public de Ville-Evrard, est nommé au 3e poste de médecin en chef créé dans l'établissement et compris da
dans la 3e classe. Par arrêté du 31 mai, le Dr BELLE, directeur- médecin de l'asile public de Sainte-Catherine (Allier), e
'asile public des aliénés de Ville-Evrard, qui se composait de deux médecins en chef et de deux médecins adjoints, comprendr
Ville-Evrard, qui se composait de deux médecins en chef et de deux médecins adjoints, comprendra dorénavant trois médecins
en chef et de deux médecins adjoints, comprendra dorénavant trois médecins en chef et un médecin adjoint. Notre collaborat
decins adjoints, comprendra dorénavant trois médecins en chef et un médecin adjoint. Notre collaborateur et ami, le Dr KERA
f et un médecin adjoint. Notre collaborateur et ami, le Dr KERAVAL, médecin adjoint, est nommé à l'emploi de troisième méde
, le Dr KERAVAL, médecin adjoint, est nommé à l'emploi de troisième médecin en chef créé dans cet établissement. Maison n
de MM. Drouineau, in-pecteur général : Christian, Ritli et Damalix. médecins et chi- rurgien de la maison nationale. Cinq ca
plaisir la nomination de notre collaborateur le Dr Babinski, nommé médecin des hôpitaux au dernier concours du Bureau cent
se propose, parait-il, d'instiluer sous ce nom une com- mission de médecins et de magistrats chargés de donner leur avis au
convulsions tremblement, etc. Leur nombre est grand en Amérique. Médecins marchands de whisky en AMÉRIQUE.Dans l'Etat d'Iow
is à un règlement sévère en ce qui concerne la vente du whisky, les médecins peuvent prescrire et vendre ce liquide sans auc
. Aussitôt après le vote de cette disposition légale, le nombre des médecins a rapidement augmenté; les demandes des diplôme
n qui pourrait avoir des conséquences fâcheuses pour la dignité des médecins sérieux. faits DIVERS. , 141 La consommation
ons qui se font dans les cliniques, sans autres spectateurs que les médecins et étudiants en médecine; mais l'en- trée des c
aliénés faits DIVERS. ' 143 pour les Pays-Bas ; M. le D TARTIVEL, médecin de l'établissement hydrothérapique de Bellevue;
in de l'établissement hydrothérapique de Bellevue; M. le Dr CLARET, médecin assistant à l'asile d'aliénés de Cléry. Assis
des juges comme autrefois les sorcières et les possédées. C'est au médecin à en mon- trer l'iniquité. Drames de la FOLIE
ce tragique événement. (Radical, 12 juin.) - Si les familles et les médecins provoquaient l'internement le plus vite possible,
description complète. Huntington est en effet, vous le savez, un médecin américain qui, en 1872, s'est attaché à décrire e
ns del'auteur et celles de son père et de son grand-père, également médecins , présentent cette particularité qu'à toute affe
attention, par la suggestion hypnotique ou fiduciaire (ascendant du médecin ). P. K. XLIII. DE la parésie bilatérale du NE
de créer des asiles spéciaux. M. ROUILLAIID, au nom de M. Lacroze, médecin du quartier d'a- liénés criminels de Gaillon, r
Il est décidé que le Congrès de 1891 aura lieu à LyoN. De plus, les médecins belges et suisses, de langue française, sont admi
Commission permanente, char- gée d'organiser, avec le concours des médecins aliénistes de Lyon, le prochain Congrès. M. C
de la Nièvre) envoie une proposition par lettre sur la retraite des médecins d'asile. Le Congrès émet les voeux suivants : 1
6° Qu'il y ait un concours unique, siégeant à Paris, pour tous les médecins adjoints des asiles de France; - '7° Que le trans
M. GUTTSTADT propose la motion suivante : Plaise à la Société des médecins aliénistes allemands de faire exa- miner par un
its se sont produits en ville ou ont été soumis à l'observation des médecins consultants (policlinique). Nous n'en avons pas
mande qu'une ré- compense de 600 francs soit accordée à M. Sérieux, médecin de Vaucluse pour son mémoire intitulé : De l'ét
e l'un d'entre eux à un bain prescrit à la visite du matin par le médecin . Sept gardiens accourus au secours furent reçus à
ner, ceux-ci se rendirent au réfectoire. Prévenus, le directeur, le médecin en chef et le médecin-adjoint allèrent dans le
vraient pas y entrer. Le mal ne serait pas grand si l'on donnait au médecin des agents suffisants pour les surveiller, et si
s aussi rares que chez les adultes. M. BRIAND ne comprend pas qu'un médecin chargé d'un service public récrimine contre des
ivent par les journaux et les visites de soi-disant protecteurs. Le médecin devrait être le maître absolu de la corresponda
uis nombre d'années, nous n'avons cessé d'appeler l'atten- tion des médecins et des administrateurs sur la nécessité, à tous
s examens. A titre exceptionnel et s'il y avait urgence à nommer le médecin adjoint d'un asile dans une région où la liste
supérieur le commanderait, ou encore par mesure disciplinaire, tout médecin adjoint nommé pour son début dans la région où il
s mômes fonc- tions dans un asile situé hors de cette région. Les médecins adjoints peuvent être nommés médecins en chef o
tué hors de cette région. Les médecins adjoints peuvent être nommés médecins en chef ou directeurs médecins dans toute la Fr
édecins adjoints peuvent être nommés médecins en chef ou directeurs médecins dans toute la France. Le jury chargé de juger l
u concours sera composé dans chaque région : 1° De trois directeurs médecins ou médecin s en chef de la région. -2° D'un ins
era composé dans chaque région : 1° De trois directeurs médecins ou médecin s en chef de la région. -2° D'un inspecteur gén
eur désigné par la faculté de médecine de la région. Les directeurs médecins et les médecins en chef appelés à faire partie
la faculté de médecine de la région. Les directeurs médecins et les médecins en chef appelés à faire partie du jury seront d
tre de ces fonctions dans un des asiles publics de la région. Les médecins de la Maison nationale de Charenton, les méde-
a voie du sort à la voie du jury, concurremment avec les directeurs médecins et les médecins en chef des asiles publics de c
la voie du jury, concurremment avec les directeurs médecins et les médecins en chef des asiles publics de cette région. I
age au sort d'un juré suppléant pris également parmi les directeurs médecins et médecins en chef ci-dessus désignés. FAITS
d'un juré suppléant pris également parmi les directeurs médecins et médecins en chef ci-dessus désignés. FAITS DIVERS. -29
e exceptionnelle à partir du 14 juillet 1890, MM. GIRAUD, directeur médecin de l'Asile public de Saint-Yon ; FABRE, directe
néral du Var a décidé la réunion les fonctions de Direc- teur et de Médecin en chef de cet asile. On sait que à peu près da
eu près dans tous les pays la direction des asiles est confiée à un médecin . Université DE BERLIN. Le professeur JOLLY (de
nt sur le riz. faits DIVERS. 301 La castration comme pénalité. Un médecin californien vient de proposer la castration com
esthésique. - On lit dans le Progrès Médical : Un certain nombre de médecins se sont rassem- blés chez MM. Carter frères et
ait excité l'intérêt. L'assemblée se composait d'une soixantaine de médecins environ. Le but était de montrer que l'on peut
BÀBINSKI, Ancien chef de clinique de la Faculté à la Salpêtrière, Médecin des hôpitaux. L'hystérie a été considérée penda
sidérée pendant longtemps, et c'est là encore l'opinion de certains médecins arrié- rés, comme un état morbide caractérisé e
fait actuellement de l'hystérie est tout autre : la généralité des médecins , tant en France qu'à l'étranger, se sont dégagé
distinction fondamen- tale entre les deux sujets et là encore tout médecin admettra volontiers que l'hystérie est en cause
, duraient environ quatre heures et disparaissaient peu à peu. - Un médecin déclara qu'une opération était nécessaire, et i
normale, comme nous l'ont appris deux observations faites sur des médecins , daltoniques à haut degré. Chez des tabé- tique
ASTASIE ET ABASIE. IDÉES DÉLIRANTES COMMUNIQUÉES; Par J. SÉGLA.S, médecin suppléant il la Salpêtrière; et P. SOLUER, inte
croyait parfois qu'elle allait encore à l'école; elle parlait d'un médecin qui était mort et qui était le sien autrefois.
R LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES Faites devant le Collège royal des médecins de Londres, Par DAVID FERRIER Médecin du King
evant le Collège royal des médecins de Londres, Par DAVID FERRIER Médecin du King's Collège Ilaspital et du National Ilospi
iant hautement l'honneur d'être nommé « Croo- nian » du collège des médecins , je dois avouerque j'ai accepté cette lourde tâ
-garçon épicier, ouvrit à son tour un cabinet de consultations sans médecin pour le couvrir, et, dès les premiers jours de
ions. Espérant éviter la contravention, ils cherchèrent de suite un médecin , et ils trouvèrent un docteur, du nom de Carlier,
Schoofs (de Nivelle). Des expériences auxquelles se sont livrés les médecins légistes, il résulte à l'évidence que Vandevoir
ats, comme sans valeur jucune. Mais, comme l'ont fait ressortir les médecins experts, ce en quoi il avait maladroitement édu
ages de nombreux malades traités, et les expériences faites par les médecins légistes démontrèrent qu'il était dans les habi
lier, étaient à la hauteur de ses diagnostics. Depuis l'entrée d'un médecin dans l'association, elles étaient très correctes
médecin dans l'association, elles étaient très correctes ; mais le médecin se bornait à les écrire sous dictée et à les sign
asoin a stigmatisé, au nom du Corps médical belge, la conduite d'un médecin qui déshonore son diplôme en s'associant à des
is le Dr Carlier pour les infractions postérieures à l'entrée de ce médecin dans l'association. Assistance DES enfants ar
ait observer que l'admission de ces malades dépend du certificat du médecin . M. le rapporteur explique que M. le directeur
ls il énumère les nombreux attentats commis par les aliénés sur les médecins et les divers agents des asiles. A cette trop l
tune, qu'il frapperait un jour ou l'autre, d'un coup de couteau, le médecin qui lui refuserait obstinément sa sortie. Il es
meurtrier du Dr Loyd, fut déclarée folle à la suite d'un examen de médecins , mais un jury de shérifs décida qu'elle était s
un fait acquis, c'esi que le cumul a pour résultat de sacrifier le médecin à l'administrateur. L'asile cesse d'être une ma
éné a été brûlé vif par le fait de la négligence d'un gardien. Le médecin reste placé sous les ordres d'un administrateur (
placé sous les ordres d'un administrateur ( ! ), il demande que le médecin rerte un homme d'études, au lieu d'être une sor
leur BRUN, médecin-adjoint à l'asile public de Bron (lhône), nommé médecin en chef du même établissement, en rem placement
dans la 3° classe (arrêté du 2 octobre 1890). -111. le Drl\lAuNIEH, médecin en chef à l'asile public de Mont-de- Vergues (Vau
l'asile public de Pierrefeu (Var), par permutation avec le Dr Adam, médecin en chef de ce dernier établissement (arrêté du
des malades mentales. Distinctions honorifiques. M. le D' LE Bègue, médecin de l'asile public d'aliénés de Bron vient d'êtr
aliénés ou des personnes malades d'esprit, ne sera accordée qu'à un médecin praticien dûment qualifié, ayant pris ses grades
n accès d'halluci- nation, avait tué ses trois jeunes enfants. Cinq médecins aliénistes avaient conclu à la complète irrespo
us nous verrions forcés de condamner à l'échafaud un homme que cinq médecins ont reconnu irresponsable. » La cour a prononcé
suivant une campagne aussi acharnée que peu justifiée contre les médecins et, en particulier, contre les neurologistes, pou
et les jurys à ne pas tenir compte des appréciations médicales. Les médecins qui ont l'honneur et la gloire d'avoir contribu
ris, 1890. - G. Alassbii, éditeur. BRUNET. - Rapport du directeur médecin en chef de l'asile public des aliénés d'Evreux
76 : retraite des méde- cins d ? par Faucher, 28 ; - concours des médecins adjoints des -, 297 ; concours pour la bourse
fibres de la - postérieure, par Darkschewitsch, 90. Concours des médecins adjoints des asiles, 130, 451; -, de l'internat
68 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
L DU MAGNÉTISME BÉDICfi Par une Société de Magnétiseurs et de Médecins SOÜS LA DIRECTION DE M. le baron DU POTET.
lumières pussent les guider. Cet homme de l'art fut le sieur Ivelin, médecin ordinaire de Sa Majesté, qui, depuis quelques jou
sser plus loin encore la circonspection et l’examen, ils prièrent les médecins do Rouen de se rendre comme eux an monastère afin
ande lumière soit faite sur les faits étranges qui s’y passaient. Les médecins de Rouen obtempérèrent à cette invitation, et, qu
à cette invitation, et, quel qu’ait été leur peu d’empressement comme médecins à admettre des faits de la nature de ceux qu’on d
plusieurs pièces originales relatives à la ténébreuse affaire : Les médecins de Rouen , priés par MM. les commissaires députés
, controverses, que nous citons ci-dessous. Jl y eut aussi M. Briant, médecin de Louyiers. par les signes suivants distingu
et que leur longueur nous fait un devoir de passer sous silence, les médecins ajoutent : 11 y a beaucoup d’autres choses qui
nt trouvé bon de ne les employer. Pour tous lesquels signes lesdits médecins ont jugé la vé- ri té de ces possessions, ne
é : L’Empériëre et Maignard. 2 septembre 1647. Après le rapport des médecins de Rouen, le parlement de cette ville n’hésita pl
des religieuses de Louviers, adressée à MM. L'Emperière et Maignard, médecins de Rouen, par l)u ltal, chirurgien, Rouen 1643; —
chirurgien, Rouen 1643; — 7° Rapport de MM. l'Emperière et Maignard, médecins de Rouen, sur les preuves de la véritable possess
Lepremier. loul en admettant unepartiedes affirmations du rapport des médecins de Rouen, fait ses réservessur plusieurs. Du Bal,
me et, do plus, sceptique sans avoir *u, avait attaqué le rapport des médecins . I.a pièce n° 8 est une réplique île sa critique
es de naissance, Par un coup de la Providence, Le plus savant des médecins , L'un d'entre eux recouvra subitement la vue.
cèrent à être frappés sur un bout de la table, à la barbe d’un de nos médecins . Son premier mouvement fut d’explorer le dessous
ent d'honorables citoyens de Boston. Parmi eux, se trouvait un de nos médecins les plus expérimentés. Nous nous assîmes autour d
forment pour les trois certificats un total de seize personnes.) Un médecin très-estimé, et homme fort grave, M. le docteur N
rdre, physiques et chimiques, il n’en est pas moins évident pour tout médecin vita-lisle qu’un grand nombre de désordres résult
nt expérimenté dans l’art si difficile du magné» tisme pratique... Le médecin , à son début dans le magnétisme ,- est trop soupç
qui a été con-' staté ces jours passés à l’hôpital de la Charité. Un médecin commençait à procéder à l’autopsie d’un cadavre,
urésie aiguë. J’ai entrepris le traitement de ce malade lorsque les médecins qui le visitaient depuis tongtemps eurent déclaré
s, touchant l’usage de la viande ; car, d’un « côté, mes parents, mes médecins et mes amis me le conseil-« lent absolument, comm
eux qui a été constaté ces jours passés à l’hôpital de la Charité. Un médecin commençait à procéder à l’autopsie d’un cadavre,
le, nousignorons une partie essentielle du rôle que nous y jouons. Le médecin examine la coquille, sans savoir comment elle se
n parle, depuis quelques jours, d’une démarche d’un certain nombre de médecins notables auprès du chef de l’Etat pour réclamer c
a été si funeste à cetle jeune fille. Mais l’ignorance volontaire des médecins , touchant notre art, les rend d’une impuissance c
dont le magnétisme sera-t-il dans toutes les familles? quand donc les médecins ouvriront-ils les yeux ? Nous marchons en avant,
ions médicales. Depuis quand des malades, qui se présentent chez leur médecin , lui raccommodent-ils ses pantalons en l’attendau
indiquer à la liste des décès, après le nom de chaque mort, lè nom du médecin qui l’avait soigné pendant sa maladie. Cet articl
toi. M. X... passa alors dans la chambre voisine, où se trouvait le médecin : — Que pensez-vous de l’état d’Albert ? — M.
n : — Que pensez-vous de l’état d’Albert ? — M. D..., répondit le médecin , ne s’en relèvera pas. Le soir même, M. D... re
Pinney, d’Ellington , devint malade et éprouva des spasmes. Plusieurs médecins de la faculté appelés auprès de lui employèrent e
e grâce, le malade éprouva des attaques plus violentes $ie jamais. Le médecin fut encore appelé T et ses prescriptions n’amenèr
t enfant, j’ai jugé que l’homme de Dieu est appelé, aussi bien que le médecin , à soulager l’humanité souffrante non seulement p
l ne pouvait pas se tenir debout sur les jambes sans béquille, et les médecins , voyant qu’il n’y avait rien à faire, l’ont renvo
. — Le cantonnier près de nous avait tellement mal à la jambe, que le médecin , après lui avoir lait payer beaucoup de médecine
bles; si elles voulaient enseigner-lè magnétisme aux pauvres, car les médecins sont de véritables fléaux pour ltes malheureux ,
mystères de la nature. Baron du Potet. Mens agilat molem ! «Les médecins et les physiologistes les plus habiles avouent av
hes et savants, professeurs à la Sorbonne, magistrats, avocats et médecins , toutes les hautes facultés de l’intelligence son
nir la cure, et ce moyen puissant a continué à être conseillé par les médecins de l’antiquité. Les siècles ont passé sur le mo
es Hippocrate, des Gallien, des Boerbave, et de toute la phalange des médecins , par cela même qu’elle se faisait par les forces
ence, c’est-à-dire par la science. Pour vous, les savants, et les médecins surtout, sont dans une erreur complète ; leur sci
ouvoir au-dessus des forces limitées de l’homme? Les moyens dont le médecin peut disposer étant appliqués avec les conditions
comme sciences, en peut-il être de même pour l’homme? c’est-à-dire le médecin et le magnétiseur peuvent-ils se réunir dans le m
, et dès qu'elle sera fixée, tous les obstacles disparaîtront, car le médecin croira parfaitement à l'efficacité du magnétisme
peu de certitude ; ce que je signale parfois, c’est l'indifférence du médecin en présence d'une vérité qui vient ajouter aux lu
tre caractère, et que je vous ai toujours distingué de cette foule de médecins dont l’opiniâtreté à repousser la vérité, atteste
en, après avoir consulté et m’être fait traiter par les plus célèbres médecins de l’Europe, et notamment en dernier lieu par le
1. Pour le bourgmestre, Signé : V. Mallet. Je, soussigné, docteur médecin en chef de l’hôpital civil de Carlsruhe, certifie
nts d'ane autre sorte. « Mon père étant gravement malade, appela un médecin ; mais son état ne fit qu’empirer jusqu'à ce que
appela un médecin ; mais son état ne fit qu’empirer jusqu'à ce que le médecin prononça que le cas était désespéré. La maladie c
lente ; elle employa les ressources de la médecine jusqu'à ce que son médecin déclara qu'aucun traitement ne pourrait plus lui
es esprits guérisseurs. Elle n'a pris aucun médicament depuis que son médecin l’a abandonnée. « Ces exemples que je viens de
seul de distinguer les erreurs de la vérité. Jusqu’à présent, le seul médecin de ces affreux désordres, c’est le malade lui-mêm
pas une nouveauté aussi étrange! Quoi, on pourrait ainsi se passer de médecin , et par de simples gestes faits devant un malade
ersbourg : cette bonne et vieille servante ou compagne de Mesmer ; ce médecin chassé du grand-duché de Bade, pour avoir exercé
dente. En terminant, il m'1 dit : Je me nomme Bock, je suis premier médecin du roi de Danemark et je viens d'adresser à mon s
loyale du docteur Bock offre un contraste frappant avec celle de nos médecins français. Eux aussi viennent de's’ adresser à l'E
e ses membres s'est élevé jusqu’à 150 ; parmi eux se sont trouvés des médecins , des littérateurs, des savants distingués, des ho
e Compiègne. Il trouva sa mort bien méritée, et s’indignait contre un médecin , Pierre d'A-pone, qui, étant sorcier lui-même, av
sser de l’infraction que je viens de commettre, à la demande des deux médecins les ¡plus célèbres en allopathie et en homœopathi
e lendemain que c’était la dernière. —C’est merveilleux, disaient les médecins .—Oui, messieurs, c’est merveilleux, et vous refus
it par la malade sur chacun de ses organes, au grand ébahissement des médecins . Comment en effet se reconnaître au milieu de ce
i leur renvoie ses ordres par les mêmes fils, est resté incompris des médecins jusqu’à la découverte d’Ampère? Ne voyant pas c
rer. J’ai employé le magnétisme au traitement des maladies, que les médecins avaient bravement déclarées incurables, et j’ai m
nes de la méiecine étaient toutes dans l’ignorance volontaire de leur médecin . J’ai guéri des douleurs, des maux de tête en
écond des illusions, comme chacun sait. « Le physicien , dit-il, le médecin , le simple curieux qui se livrent à des expérienc
le plus souvent un côté encore inaperçu et pour la solution duquel le médecin légiste ne peut faire appel qu’à sa conscience pe
n à un homme dont l’autorité ne saurait être méconnue, à M. Devergie, médecin de l’hôpital Saint-Louis, et auteur du Traité de
« A. Devergie. » Jusqu’à présent la justice a été trompée par les médecins au sujet du magnétisme. Tout en lui était charlat
œur plein de foi, il a voulu prouver aux savants, et spécialement aux médecins , que, si la plupart d entre eux sont matérialiste
ue nous faisons bon accueil à ce livre: quoique fervent catholique et médecin érudit, peut-être même parce qu’il est à la fois
noncez (note J, page 406) contre tout lucide qui, usurpant le rôle du médecin , prétend diagnostiquer les maladies, distinguer l
omme un ami de la révolte, doit la livrer bientôt à son Darius devenu médecin . Ici, on donne des doses titaniques et des remè
le siège du mal, et la cause de la maladie ; et le remède est pour le médecin la foudre réduite en doses médicales par une bros
n ne combat jamais la maladie de front ; mais en habile tactitien, le médecin doit opérer des attaques obliques et des diversio
cette invasion sanglante qui a fait répandre, au dire d’nn grand médecin , plus de sang par la Faculté que n’en avait versé
mes de ce traitement dogmatique, de ce brownisme retourné ; et que de médecins se sont égarés dans cette voie si dangereuse !
où la vie altérée laisse exhaler des fluides qui les tueraient. Les médecins pourraient ici puiser do nombreuses indications,
nous savons peu de chose des mystères de la vie ! Pour l’orgueilleux médecin , la nature est aveugle; c’est lui, c’est celui-ci
t lui-même présidé à notre formation et fait le code de la vie. Les médecins de nos jours ont beaucoup à faire encore avant «T
t le laisse languissant sur le sol. Ce sont là les gros accidents, le médecin peut encore en saisir l’origine, y parer par inst
nouveaux germes travaillent sourdement en nous-mêmes, ne laissant au médecin nul moyen de les voir, de prévenir leurs funestes
notre néant et mettre en évidence et dans tout son jour la science du médecin , en montrer les funestes résultats sur les généra
ères douleurs, vous serez témoins de nos souffrances, vous verrez les médecins à notre chevet ne nous quitter que lorsque notre
ils faisaient lorsqu’ils renvoyèrent de leur citéjusqu'au dernier des médecins ; deux siècles cette loi dura; il ne fallait point
ce que l’on fait, toute certitude manque, 011 agit à tâtons, quand le médecin dit oui, la nature dit non, cela tourne au drame
article remarquable du docteur Zambianchi, dans lequel cet honorable médecin rapporte un cas de guérison par le magnétisme, et
ont s’exerce sa mystérieuse influence, on doit comprendre combien les médecins doivent mettre de prudence à la provoquer (du moi
ir jusqu’au matin du 3, j’ai le droit et le devoir de recommander aux médecins une extrême circonspection, sans quoi ils seraien
e qu'introduire un nouveau mal. i Je ne cesserai donc d’inviter les médecins à cultiver cette branche d’étude, à acquérir la p
et la manière dédaigneuse dont il parle de ceux qui, sans être reçus médecins , exercent le magnétisme. En effet, M. Zambianchi
estera et de là souvent le succès ou l’insuccès de la consultation. Médecins , faites donc des livres sur les tempéraments, sur
lui ; ce qu'il indique est souvent efficace ; mais éveillé, serait-il médecin , toutes ses connaissances ne lui serviraient poin
nt de la pénible maladie du somnambulisme, qu’il a été traité par les médecins comme'cataleptique, termine ainsi: «C’en est asse
ine. Les lois actuelles, comme on sait, garantissent le privilège des médecins diplômés, et chaque fois qu’un individu non pourv
prescrites n’étaient pas des poisons; en conséquence, on consulta un médecin et un pharmacien qui déclarèrent que c’étaient de
ions occultes des maux ! L’ignorance des savants, ainsi que celle des médecins , vous paraîtrait trop manifeste ; mais je rabaiss
e qui est caché et obscur encore ; on aura alors des philosophes, des médecins et des prêtres instruits, mais aujourd’hui... que
ce : malade depuis longtemps, souffrante de la poitrine sans qu’aucun médecin eût pu en connaître la cause ni amener de soulage
es sur le spiritualisme ; et comme j’exerce moi-même la profession de médecin , et que je doutais de la réalité des cures sponta
e foie, tous symptômes constatés par moi, de concert avec deux autres médecins ; elle avait d'ailleurs trois ou quatre accès d’ép
uisai toutes les ressources de mon savoir, aidé des conseils d’autres médecins , sans pouvoir soulager la malade. Le premier févr
extrayons la relation suivante d’une lettre que nous écrit M. Bégué, médecin à Toulouse: « Je vous fais part d’un fait assez
à M. le baron du Pote t. Adieu. Votre tout dévoué ami, J. Bégué, médecin . APPARITIONS. Les journaux des Etats-Unis rap
es jours, madame Park fut atteinte tout à coup d’un mal subit que les médecins déclarèrent dès l’abord ne pas pouvoir conjurer.
t se prolongea sans changement appréciable, trois ou quatre jours. Le médecin déclara qu’il y avait congestion cérébrale, que l
ique présente à peu près les mêmes phénomènes. Les magnétistes et les médecins reconnaissent qu’il est très-dangereux de prolong
es toutes les vingt ou trente minutes. A neuf heures, un autre habile médecin s’adjoignit à nous. Nous employâmes l’huile et d’
au soir, elle avait perdu connaissance. En nous consultant, l’un des médecins fut d’avis de cesser toute tentative de rien intr
it impossible de raconter tous les incidents de ce quart d’heure. Les médecins avaient abandonné la partie; il restait sept pers
. . . •.,•11 i --¡us!» Ainsi s’est formée une génération entière de médecins ,, gii faisaient profession de croire à ce qu’ils
t constituant une unité ; et par conséquent il ne doit pas y avoir de médecin qui, ayant â traiter une maladie mentale, ne doiv
mêler quelques bribes de latin, comme Sganarelle quand il s’improvise médecin ; ou bien encore ua individu jouissant habituellem
e produire un effet quelconque. Eh bien, dans des cas très-connus des médecins où le sommeil est presque permanent, où rien ne p
couché. On fut obligé de me hisser dans mon lit. Je n'appelai pas de médecin , mais j’eus recours aux invisibles. Nous avions d
occupations ; pendant le même temps, le jeune homme fit venir un médecin , sa fièvre tint bon, et il lui fallut trois ou qu
malade et souffrant du mal gifîl avaitainsi,prii. Les remèdes qtie le médecin lui ordonnait, ainsi que ceux qu’il s’ordonnait l
orts pour faire cesser cet état, il était sans influence sur elle. Un médecin fut mandé, et dit que c’était une maladie hystéri
étisme, aa voix résonnait comme un cuivre. Puis, le docteur Double, médecin , bien nommé et renommé parmi les plus décidés des
A ce nom, les magnétiseurs tremblaient de tous leurs membres , car ce médecin sentait d’une lieue l’opium et l’acide prussique
un coup de théâtre , un trépignement de joie à l’Académie, lorsque ce médecin fit part de son invention. 3,000 fr., mais c’étai
s tous les journaux; je crois même, Dieu me pardonne, que beaucoup de médecins s’appuient sur lui pour nier la possibilité de la
osition et n’en attendaient rien de bon pour la renommée du corps des médecins et de l’Académie. Malheur à eux! ces amis de la v
ai. Plusieurs personnes présentes, parmi lesquelles se trouvaient des médecins membres de la commission et des incrédules en fai
nvité à rendre compte des expériences auxquelles il s'était livré. Ce médecin lit un récit fort intéressant et détaillé des fai
ute. » Pour extrait, A. S. Morin. CLINIQUE MAGNÉTIQUE. Si les médecins pratiquaient le magnétisme, ils sauraient bien de
p souvent un déplorable abus. Ainsi : Un enfant avait la fièvre; le médecin , averti, fit dire quai irait le voir le lendemain
avec du jus de citron, mêlé au café. — Mais, lui fit-on observer, le médecin doit venir demain matin. —Non, il ne viendra pas;
à pris, et c’est pour cela qu’il est un peu sourd. » Le lendemain, le médecin attendu envoya un de ses confrères, le monsieur q
ommanda les bouillons de poulet et les bains. On lui dit alors que le médecin venait d’ordonner la quinine (la science allait c
ionner une mauvaise fièvre. Mais la famille avait pleine confiance au médecin , et la quinine prévalut. Quelque temps après, cep
u médecin, et la quinine prévalut. Quelque temps après, cependant, le médecin , inquiet, demanda une consultation. On le laissa
escence sera longue. » Le pauvre enfant en eut pour six semaines. O médecins ! nous reconnaissons volontiers que vous faites c
pétons que toute personne intelligente et bien intentionnée peut être médecin (non docteur) ; on n’a pas besoin de savoir le la
adeptes des magistrats, desministres, desfelds-maréchaux et même des médecins célèbres. Il a guéri, il y a plusieurs années
Metternicli d’un rliumatisme aigu qui avait résisté aux plus savants médecins , c’est ce qui a commencé la fortune de docteur Fr
es, jusqu’au cinquième étage, prennent des consultations en dépit des médecins et s’écrient tous en chœur : Vive le magnétisme,
adémiciens, ne perdez point patience encore une fois, si, moi, obscur médecin , j’ose élever ma voix contre vous, étoiles resple
l’approche du terme fatal, il se trouva tellement mal qu’on appela un médecin . Celui-ci le saigna, lui posa des vésicatoires ,
s ces moyens n'amenèrent aucune amélioration. Le mal s’aggrava, et le médecin commençait à désespérer de son malade. Heureuseme
nsensible. Enfin il m’est arrivé de faire, en présence de plusieurs médecins , l’expérience de la sensibilité partielle. Le pat
as oublier qu’en pareille occurrence on ne saurait faire peser sur le médecin la responsabilité d’un accident dont l’impuissanc
bénévolement qu’on a étudié la médecine pour vous guérir. On se fait médecin en France comme on se fait avocat, pâtissier, cui
ification scientifique du magnétisme, à Boston, par une commission de médecins et de savants, 56. Visions fantastiques, 29, 31
69 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cela, on peut le dire, pour le.plus grand bien des malades et des médecins : des malades, qui au lieu d'être repoussés com
uvent, sont volontiers accueillis et soignés comme il convient; des médecins , qui ne sont plus exposés à commettre envers ce
l'article de mon aucien chef de clinique, M. P. Marie, aujourd'hui médecin des hô- pitaux et agrégé de la Faculté '. Il a
es (les névroses traumatiques), surtout la névrose hystérique. Le médecin peut contribuer souvent à répandre l'hys- térie
LLUCINATIONS VERBALES PSYCtIO-\IO'CftICI : S; Par le D' .1. SÉGLAS, médecin de la Salpêtrière. Je n'ai pas l'intention dans
- ningo-encéphalites, des ramollissements et des hémorrhagies. Le médecin du manicome d'Imola estime aujourd'hui que l'ép
lli a eu l'occasion d'observer, a modifié en ce sens les idées du médecin d'Imola : Femme de trente ans, épileptique depu
taire général, prononce l'éloge de A. Foville. M. 13. SOCIÉTÉ DES MÉDECINS NEUROLOGISTES ET ALIÉNISTES A MOSCOU. Séance
difformités crâniennes exige une judicieuse prudence de la part du médecin ; il ne faut pas perdre de vue que l'étendue de ce
nie, la douleur, le refus d'aliment, la crainte et l'inquiétude. Le médecin doit appli- quer l'hypnotisme dans les cas où t
iques n'a pas donné de résultat satisfaisant. Dans tous les cas, un médecin qui refuse actuellement de traiter son malade p
ment employées. L'application de l'hypnotisme est accessible à tout médecin , mais il est indispen- sable que celui-ci soit
ant un traitement exclusivement psychique, il est nécessaire que le médecin qui s'en occupe soit au courant des éléments de l
i, il est inadmissible de laisser créer une classe particu- Hère de médecins hypnotiseurs qui traitent tout par l'hypno- tis
n épisode très secondaire. Paul BLOCQ. VARIA CONGRÈS ANNUEL DES MÉDECINS ALiLNISTES DE FRANCE. Règlement. ART. 1er. Un c
S MÉDECINS ALiLNISTES DE FRANCE. Règlement. ART. 1er. Un congrès de médecins aliénistes se réunit chaque année dans une des
dans une des villes de France. Peuvent y adhérer non seulement les médecins français, mais aussi les mé- decins des pays de
or- ganisation du Congrès de l'année suivante en s'adjoignant les médecins aliénistes de la ville où il doit se réunir. Pr
clinique (Sainte-Anne), rue Cabanis ? à Paris. CONGRÈS annuel DES médecins aliénistes DE France ET DES pays DE langue fran
ument concernant le Congrès doit être adressé au Dr Albert Carrier, médecin des hôpitaux, rue Laurencin, 13, à Lyon. Cong
mande au Conseil général qu'une somme de 400 franc= soit allouée au médecin de l'asile d'a- Jiénés pour qu'il puisse se ren
n de l'asile d'a- Jiénés pour qu'il puisse se rendre au Congrès des médecins aliénis- tes, qui se tient cette année à Lyon.
? 1 , , ? FAITS DIVERS. d57 grès de ce genre et chaque année, le médecin en question va y assister; mais, jusqu'à présen
désirer que les Conseils généraux votent une indem- nité à l'un des médecins de leurs asiles pour se rendre à ce Con- grès.
dre à ce Con- grès. N'est-il pas, en effet, de leur intérêt que les médecins des asiles soient au courant de tous les progrè
du Système nerveux. Manuel pratique à l'usage des étudiants et des médecins . Tra- duit de l'allemand par Jeamer (M.). Préfa
criminels inconnus, d'ailleurs, est plus grand qu'on ne pense; les médecins et les confesseurs le savent bien. Il y a d'ail
riences de l'auteur ont été failes en présence d'un grand nombre de médecins de l'hospice de Ma- rïïnskaia ; le sujet était
ie, qu'il faut s'en abstenir. P. K. SOCIÉTÉS SAVANTES CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES DE LANGUE FRANÇAISE E Session de L
et ouvre ensuite les discussions scientifiques. M. le Dr Rousses, médecin adjoint de l'asile public d'aliénés de Bron, a
passe ensuite à l'examen de la seconde question. M. le Dr COUTAGNE, médecin expert près les tribunaux de Lyon, a été chargé
tendance extrême de ces idées à commander l'acte] délictueux; 2° le médecin étant tenu de répondre à la question de la resp
estré, doit être considérée comme un moyen de traitement réservé au médecin ; 6° Les aliénés persécuteurs dangereux ou indisci
er la demande courte, c'est là une question qui intéresse plutôt le médecin d'asile, qui pourra ordonner la sortie à sa gui
rtie à sa guise. M..Coutagne s'est surtout placé au point de vue du médecin légiste. M. Ballet fait observer qu'il y aurait
la presse parisienne. Ce projet, véritable réquisitoire contre les médecins chargés d'interpréter et d'appli- quer cette lo
lement sont consa- crés aux épileptiques (150). Ces asiles, dont le médecin est le D''Rolland, sont exclusivement consacrés
confessionnelle. L'établissement reçoit toutes les confessions. Un médecin est attaché à l'établissement et publie chaque
ablissement et publie chaque année un rapport. M. LERICHE, ancien médecin en chef de l'établissement départe- mental de S
un certificat SOCIÉTÉS SAVANTES. 253 médical, mais un rapport de médecin adressé au procureur de la République; ce rappo
s en arrivent comme les préfets, à ne s'en remettre qu'à l'avis des médecins compétents auquel se ramène toujours, en défini-
arents de sujets à vacciner qui ignorent l'origine du vaccin que le médecin veut ino- culer ; 2° par suite des difficultés
leur arrivée, par M. Tondu, directeur, MM. les D's Pierret et Brun, médecins en chef, et M. Rousset, médecin adjoint. Le lab
teur, MM. les D's Pierret et Brun, médecins en chef, et M. Rousset, médecin adjoint. Le laboratoire d'anatomie pathologique
à ses savants confrères qui l'as- sistent au bureau du Congrès, aux médecins étrangers qui ont pris place à ce banquet, à no
rd du Gladiateur, les congressistes ont été reçus par M. Tournaire, médecin de l'établissement. Après une allocution pronon
obe frontal droit. M. Rrrrr donne lecture d'un mémoire de M. Salgo, médecin en chef de l'asile d'aliénés de Budapest, sur l
s observations ont été recueillies par son correspondant qui est un médecin militaire très distingué. Il se défend d'avoir
es. L'auteur expose la théorie de l'engrenage, d'après laquelle les médecins italiens admettent que les différents centres, ou
'asile public de Saint-Venant (Pas- .de-Calais) ; M. le Dr Boubila, médecin en chef de l'asile public de Saint-Pierre, à Ma
promus à partir du 1er juillet, à la Ire classe : M. le D'' Vallon, médecin en chef de l'asile public de Villejuif ; - à la
l'asile public de Villejuif ; - à la 20 classe : M. le Dr DunUloN, médecin en chef de l'Asile clinique (Sainte-Anne); à la c
x fois d'une année. DISTINCTIONS HONORIFIQUES. Parmi les noms des médecins pro- mus dans l'ordre de la Légion d'honneur, n
FFROY, méde- cin de la Salpêtrière ; professeur Ch. RICHET; CUFFER, médecin de l'hôpital Tenon; RIGAL, médecin de l'hôpital
; professeur Ch. RICHET; CUFFER, médecin de l'hôpital Tenon; RIGAL, médecin de l'hôpital Necker; HUTLNEL, médecin de l'hosp
de l'hôpital Tenon; RIGAL, médecin de l'hôpital Necker; HUTLNEL, médecin de l'hospice des Enfants-Assistés. Faculté DE M
pnose dans les asiles d'aliénés, elc. Congrès DES naturalistes ET médecins allemands. - La réunion de cette année se tiend
e dommages-intérêts (Bull. méd.). LES pommes ET la dipsomanie. Un médecin américain ayant remarqué que les dipsomanes man
le réclamer depuis longtemps. C'est pour .fournir des arguments aux médecins qui pensent comme nous que nous reproduisons le
r Stone. (.lled. Record, 1890, p. 551.) Tentative d'assassinat d'un médecin par un malade. - On nous écrit de Villefranche
tentative d'assassinat a été commise hier sur le docteur Lassalle, médecin de l'hôpital, con- seiller général du Rhône. Un
IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS; Par M. le D'J. CHRISTIAN, Médecin de la Maison nationale de Charenton. On n'a pas
is il trouve qu'elle dure trop longtemps. Observation II. - R..., médecin militaire, né en 1844. Ses parents sont morts j
80) se dit la victime du général X..., une infâme canaille, » et du médecin principal Y... « le der- nier des misérables »
rait « gigolté» environ 15 minutes. Bave sangui- nolente légère. Le médecin arriva quand la raideur avait disparu et lui en
st, le sulfonal a été étudié par de SUR LE SULFONAL. 395 nombreux médecins . Le Dr Rabbas l'a expérimenté chez les alienés
ns, toutes les mesures de sécurité, malgré le concours de plusieurs médecins et d'un nombre respectable d'inspecteurs, de su
à s'occuper efficacement de la loi sénatoriale sur les aliénés. Le médecin lyonnais a attribué ' ce fâcheux résultat sur l
carrosse, utile seulement en cas d'accident, attribué jusqu'ici aux médecins adjoints est pour moi, sinon la principale, du
ssure, avec la législation en vigueur, ni sa nomination au grade de médecin en chef, ni son il traitement en aucun cas, ni
que le nombre des candidats pour l'adjuvat augmentera si lesjeunes médecins qui sont laborieux trouvent des garanties dans le
ation examine avec soin les candidatures ; mais, pour les places de médecin en chef, il ne devrait jamais y avoir d'irrégular
ient se faire par un roulement analogue à celui qui existe pour les médecins du Bureau Central, à Paris, et des médecins des
lui qui existe pour les médecins du Bureau Central, à Paris, et des médecins des hôpitaux. Quand il y a une place vacante, c
hôpitaux. Quand il y a une place vacante, c'est le plus ancien des médecins nommés et le premier de la promotion qui choisit
ième à 3,000 fr. au lieu de 2,000 et la première à 4,000 ; pour les médecins en chef, de 5 à 8,000 fr. quatre classes au lieu
8,000 fr. quatre classes au lieu de six et les traitements pour les médecins directeurs, DE LA RÉORGANISATION DU SERVICE MÉD
Sollier, vous faites de l'adjoint non une doublure inutile, mais un médecin traitant et responsable avec un service autonom
ation, il faudra les subdiviser; on y arrivera en détachant pour un médecin certains services spéciaux : pensionnat, épilep
ur acquérir une certaine somme de connaissances administratives. Le médecin adjoint apprendra l'administration ! L'aimable
es résultant de deux autorités égales et parallèles, à moins que le médecin n'ab- dique toute initiative, au grand détrimen
ière condition du traite- ment, obtenue à la seule condition que le médecin soit tout puis- sant ; impossibilité de modifie
par des régimes particuliers sans la libre disposition des crédits; médecins considérés par l'agent administrateur comme des
nt dans la situation où étaient encore, il n'y a pas longtemps, les médecins de l'armée vis-à-vis de l'intendance. Aujourd'h
l était indispensable de subordonner le directeur administratif aux médecins chefs de service, et afin de bien marquer cette
eur et de l'économe. La Présidence en aurait été dévolue à l'un des médecins , qui aurait été rééligible après un an. Après
seil d'administration auquel ils pourraient assister, ainsi que les médecins adjoints. Et finale- ment, la rédaction suivant
médical sur l'ad- ministration de l'asile s'exerce par un comité de médecins e-chefs de service, dont le président est renou
est-il autorisé encore à dire que la division des services fait du médecin un subal- terne impuissant qu'on n'est pas loin
t surtout cet appréciable avantage de permettre d'avoir de nombreux médecins en chef avec des services de trois cents malade
. Maître absolu chez lui, sans préoccupations adminis- tratives, le médecin des asiles, non seulement aurait le loisir de t
rincipe mais qu'en pratique, elle se heurtait à cet écueil, que les médecins adjoints attachés exclusivement à la Seine risque
ôle du service médical, conformément au projet Bourneville; 2° Un médecin en chef par trois cents malades au maximum, ave
ercice et recrutés eux aussi par concours public ; 3° Deux corps de médecins aliénistes : l'un spécial au départe- ment de l
s particularités, dont le détail est du reste bien exposé, tous les médecins qui ont eu à soigner des morphinomanes dans des
iénés A LEUR sortie DE l'asile ; par le Dr A.-W. HORSIIOLT, 11L-D., médecin assistant à l'asile d'aliénés de l'Etat, Stockt
ce mouvement en s'attirant les sympathies du clergé et celle de nos médecins mêmes de l'Etat tout entier. (Occidental medica
t être éminent, quand intellectuellement il est très inférieur à un médecin qui est comparativement obscur. L'état intellec
en liberté à l'administration préfectorale qui demanda son avis au médecin , à ce sujet. La question ne laissait pas que d'
e l'asile et de la prison et c'est pour ainsi dire au hasard que le médecin a dû de pou- voir faire le diagnostic exact.
rd que le médecin a dû de pou- voir faire le diagnostic exact. Le médecin aliéniste appelé à prononcer de véritables jugeme
nts obligatoires, l'autre les élé- ments qui ne seraient fournis au médecin que sur sa demande ou éléments facultatifs. Les
ts pourraient être, lorsque cela serait nécessaire, réclamés par le médecin . - 1° Le dossier judiciaire. 2° Le dossier ma
o- logiques du malade, dont la rédaction pourrait être confiée au médecin le mieux placé pour connaitre l'interne et sa fam
nous sommes fait l'écho des réclamations tout à fait justifiées des médecins des asiles auprès des différents Préfets de polic
riences de l'auteur ont été faites en présence d'un grand nombre de médecins de l'hospice deMa- rïïnskaïa; le sujet était un
re honoraire à notre éminent directeur, M. le professeur Charcot. Médecins morphinomanes. - Le Mercredi médical publie la no
pas la première fois que, depuis assez peu de temps, on parle de médecins morphinomanes. On se souvient du fameux procès Wl
t du fameux procès Wla- dimiroff-Dida. Mmo Dida était la veuve d'un médecin morphinomane qui avait jugé bon de faire partic
t les tribunaux un procès en adultère où les coupables étaient un médecin morphinomane et la femme d'un pharmacien, rendue
composé : Président, Dr Drouineau, ins- pecteur général ; Drs Féré, médecin de Bicêtre; Brunet, médecin- directeur de l'asi
l ( ? ), professeur à la Faculté de médecine; suppléant, M. Schils, médecin de l'asile de Levesellec. Pour la circonscripti
mposé : Président, Dr A. Regnard, inspecteur général; MM. Lapointe, médecin de l'asile d'Auxerre; Dufour, médecin de l'asil
ecteur général; MM. Lapointe, médecin de l'asile d'Auxerre; Dufour, médecin de l'asile de Saint-Robert; Faucher, médecin de
ile d'Auxerre; Dufour, médecin de l'asile de Saint-Robert; Faucher, médecin de l'asile de la Charité; Pierret, professeur d
é; Pierret, professeur de clinique mentale ; sup- pléant, Dr Fabre, médecin de l'asile de Saint-Dizier. Pour la circonscrip
Le jury est ainsi composé : Président, Dr Drouineau; Drs Pilleyre, médecin de l'asile de Prémontré ; Martineleq, méde- cin
e Prémontré ; Martineleq, méde- cin de l'asile de Clermont; Taguet, médecin de l'asile d'Armen- tières ; M. X..., professeu
M. X..., professeur à la Faculté de médecine; suppléant, M. Cortyl, médecin , directeur de l'asile de Saint-Venant. Pour la
sé : Président. M. le Dr Napias, inspecteur général; Drs Reverchon, médecin de Saint-Luc; Bes- sières, médecin de l'asile d
specteur général; Drs Reverchon, médecin de Saint-Luc; Bes- sières, médecin de l'asile de Saint-Alban; Pons, médecin de l'asi
de Saint-Luc; Bes- sières, médecin de l'asile de Saint-Alban; Pons, médecin de l'asile de Bordeaux; X..., délégué de la Fac
ux; X..., délégué de la Faculté de médecine; suppléant, Dr Larrieu, médecin de l'asile de Cadillac. Pour la circonscription
Voici la composition du jury : Président, D1' Napias; Drs Campagne, médecin de l'asile de Montdevergues; Dauby, médecin de
Napias; Drs Campagne, médecin de l'asile de Montdevergues; Dauby, médecin de l'asile d'Aix;Boubila, médecin de l'asile de M
l'asile de Montdevergues; Dauby, médecin de l'asile d'Aix;Boubila, médecin de l'asile de Marseille; mairet, professeur de
rofesseur de clinique mentale à la Faculté ; suppléant, Dr Maunier, médecin de l'asile de Pierrefeu. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQ
Circulation CÉRÉBRALE par de Boeck et Werhoogen, 397. CoNGnËs des médecins Russes, 4'G; des médecins aliénistes de TABLE
Boeck et Werhoogen, 397. CoNGnËs des médecins Russes, 4'G; des médecins aliénistes de TABLE DES MATIÈRES. 457 France,
70 (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]
AL DU MAGNETISME RÉDIGÉ Par une Société de Magnétiseurs et de Médecins SOUS LA DIRECTION DE NI le baron DU POTET L
nce avec les phénomènes de somnambulisme hystérique sur lesquels deux médecins célèbres des temps modernes ont attiré l’attentio
Vraiment, il semble que Paracelseet ses disciples, plus sorciers que médecins , aient appris leur doctrine d’Esculape, tenant po
ils furent témoins. Aussi nous ne remarquons chez cette nation aucun médecin d’une valeur réelle. « Pendant la guerre qui eu
es et les Troyens, Umbranon, grand-prêtre de Marrubium, était le seul médecin renommé. Ses secrets, joints ii des paroles magiq
ble à l’intolérance chrétienne. Vers la fin du quatrième siècle, le médecin Marcellus de, (1) Tcrlullicn, du Témoign. de l'
incipaux événements. Pendant cette décadence de l’esprit humain, deux médecins seulement se rendirent célèbres par leurs spécula
communauté pour opérer des cures miraculeuses sur des malades que les médecins ne pouvaient guérir. « Ce fut vers le milieu du
nés. J’ai guéri, comme par miracle, quelques moribonds abandonnés des médecins , et pour éviter la persécution je me suis vu obli
barbe, et de m’enfnir à la faveur de la nuit. » Cependant quelques médecins furent assez explicites vers les quinzième et sei
se pendant des accès de somnambulisme naturel. Félix Mater, célèbre médecin suisse, jouait souvent du luth pendant son sommei
la vertu de deviner a été attribuée aux mélancoliques. » Le célèbre médecin écossais Cullen (5), eut souvent occasion d’étudi
ez plusieurs des plus célèbres l’impuissance et le charlatanisme. Des médecins môme n’ont pas rougi de devenir les complices de
263 à 277 et p. 298 à 308 de ce Journal. (2) Il y a maintenant des médecins somnambules qui prétendent réunir à leurs connais
emploi des médicaments dont la prescription appartient légalement aux médecins patentés, les magnétiseurs ou les somnambules ser
ouche. J’oubliais de vous dire que, depuis mon retour de Bretiége, le médecin qui me soignait m avait soumise, en désespoir de
ssives ; la mâchoire est resserrée de nouveau pendant cinq jours. Mon médecin , que j’ai fait appeler à mon retour, recommence l
tait généralement convaincu que j’avais une maladie de poitrine ; mon médecin seul ne le pensait pas. Au mois d’août, je suis u
uccès quelques cuillerées d’une solution d’un sel de morphine que son médecin avait l’habitude de lui donner comme réussissant
’exploration par le spéculum et par le toucher ayant été faite par le médecin consulté, il nous déclara que la matrice était fo
ue donnait lieu au phénomène; mais jusqu’à ce jour les recherches des médecins ont été aussi infructueuses que toutes les autres
ille fut transportée, il y a peu de jours, au domicile du IV Beutner, médecin cantonnai du roi de Bavière, pour y prendre ses r
y prendre ses repas et y coucher pendant quelques jours, afin que ce médecin puisse se livrer entièrement à ses investigations
l’avons annoncé dans notre avant-propos. 11 est à souhaiter que les médecins donnent incessamment à ce phénomène une explicati
che, où sera assis au foyer de toute famille un magnétiseur instruit, médecin de la main et du cœur, qui trouvera dans son affe
déclarés incurables par la médecine officielle, et il désire que les médecins assistent autant que possible à ces traitements.
pas, je le demande à Votre Grandeur, y a-t-il le moindre doute que le médecin n’en puisse user comme il convient, puisqu’en sa
primé sur le magnétisme, et qui m’est arrivé depuis lors. Il est d’un médecin fort distingué de la ville d’Orléans, avec qui mo
même les révélations que l’ange gardien de Thérèse a faites à M. le médecin Billot, en lui parlant par les mouvements du geno
un fait que le magnétisme peut justement revendiquer. Il a dit qu’un médecin de Montpellier avait coutume de faire appliquer l
tion magné-lique peut exercer clans certains cas sur nos organes. Les médecins qui la repoussent prétendent qu’elle surexcite d’
tes les autres, ne sauraient être convenablement exercées que par des médecins , des chirurgiens ou des gens de science, instruit
eilleux effets, sont portées à le croire surnaturel; au contraire, le médecin qui a de l’instruction, un peu de logique et de p
nécessité ou la position en font un devoir. Et c’est ce qui arrive au médecin , qui, avant tout, doit guérir quand il en a la po
ré le decreto, autorisé la libre pratique du magnétisme animal à tout médecin offrant garantie de science et de moralité, qui j
arie Froment et M"1" Schmitz. Enfin une troisième lettre, venant d’un médecin fort instruit de Lodève , M. le Dr Laislo, qui n’
ur, le très-humble et très-ol>éissan t servileur. Baron DESPINE, Médecin , directeur de l'établissement royal des bains, et
son enfance des venues aux pieds et aux mains ; depuis six mois, son médecin lui brûle, tous les quinze jours, ces excroissanc
, Quand il se passe quelque fait nouveau concernant la médecine, le médecin de la localité s’empresse d’en faire part à l’Aca
i lorsque,, successivement, je me suis vu arriver diverses lettres de médecins , de malades, d’expérimentateurs instruits sur la
la force de cristallisation. Ce quelque chose a reçu de la part des médecins , des philosophes, des gens à raisonnement, enfin,
aisser faire, car il sera toujours le meilleur guide, le meilleur des médecins , quand l’animal se trouvera dans un état de souff
s par te magnétisme, lorsque celui qui l’exerce n’a pas de diplôme de médecin , constitue l'exercice illégal de la médecine, pun
il souffrait tellement qu’il en perdait l’appétit et le sommeil ; son médecin lui conseilla de se laisser faire l’amputation de
r étant intolérable, elle alla, sans en avertir personne, trouver son médecin , qui la saigna au bras. Cette opération lui procu
ans sa menstruation. Pendant une année on appela successivement trois médecins qui,"après avoir employé tous les emménagogues du
du Codex, n’arrivèrent à aucun résultat satisfaisant. Le troisième médecin , très-consciencieux, engagea le père à ne plus em
t peut-être pire que toutes les autres sciences, parce que malades et médecins veulent tout expliquer, souvent même sans un séri
Non, certainement, Monseigneur, vous ne le pensez pas. Et nous autres médecins , nous le pensons moins encore que tout autre, par
de l’homme souffrant, et enfin dans l’intérêt de la science. Peu de médecins , peu de magnétiseurs, je dirai même peu d’académi
SA MAJESTÉ NAPOLÉON III, EHPEREl II DES mJÇAIS. Sire, Darricau, médecin à Bordeaux, prend la liberté d’adresser à Votre M
tôse an XI, titre vi, art. 35 et 3(5, sont la propriété absolue dos médecins ; elles ne peuvent sc faire soigner ni être soigné
celles qui la consacrent, soient abrogées ou modifiées ; car, quoique médecin , je suis indigné de voir poursuivre des personnes
e plus qu’ils ne reçussent que des personnes munies de certificats de médecins , constatant le temps du traitement, la maladie et
le temps du traitement, la maladie et l’âge du malade et même que les médecins y fussent obligés. Ainsi, après un temps déterm
hure du 1> Guilmot, de Lille, relative au même sujet. D’après ce médecin . « On voit plus de femmes que d’hommes atteindr
t ces trois années, elle s’est soumise aux prescriptions de plusieurs médecins qui ont tour à tour essayé inutilement les applic
chose prend comme le feu, à ce point que les esprits forts, parmi les médecins , après avoir perdu haleine à nier et à ridiculise
fameux rapport fait à l’Académie de médecine en 1831, C’était un des médecins les plus consciencieux et les plus considérés ; i
ette histoire prend-elle un caractère tragique. « Le duc chargea un médecin et un jurisconsulte d’examiner cette affaire ; ce
r connaissance de tout ce (pii avait été tenté par deux ducs, par des médecins , par des juriscon- suites, cl par des centaines
. On 11e pouvait attendre moins de la tolérance et des lumières des médecins et des représentants belges. On n’oubliera pas
magistrats d’un ordre élevé, officiers généraux, députés, diplomates, médecins en renom, négociants, ecclésiastiques, artisans,
é, par trois salves d’applaudissements, le poëte, le magnétiste et le médecin . Nous n’affirmerions pas qu’il ne soit magicien !
l 421), reproduisant, d'après* l’Pnion médicale, une diatribe du même médecin , à l'adresse des magnétiseurs. chose, cherchent
he directement au magnétisme, et le magnétisme au fluide nerveux, les médecins sont obligés de l’admettre et de l’étudier. Us ne
n voit. C’est donc en mettant en pratique la pensée de cet illustre médecin qu’on évitera de tomber dans le vague des hypothè
i de la faire soigner chez elle. La malade reçut alors les soins d’un médecin du bureau de bienfaisance, pendant trois mois, au
r, disait-il, avant peu de jours, Malgré les raisons que donnait ce médecin , M" Aubert 11e put se décider à se séparer de nou
e fut tellement orageuse, qu’on fit de nouvelles tentatives auprès du médecin pour qu’il veuille bien venir voir la malade, mai
e qui précède, on voit que cette enfant présentait à l’observation du médecin plusieurs maladies assez facile» à constater :
rmi de la nuit, et tous les moyens conseillés par le I)r Jouënne, son médecin , avaient paru plutôt augmenter le mal que le dimi
r confrère, qu’au réveil de ma malade, elles lui proposèrent un autre médecin ; mais celle-ci refusa résolument, disant qu’elle
dents de cette nature. Quand ou pense à la difficulté qu’éprouve le médecin pour triompher des attaques d’hystérie, 011 doit
était corrompue et inspirait le plus profond dégoût à l’épouse de ce médecin . Dans celte extrémité, il se souvint du magnétism
la présidence de M. le marquis du Planty, ex-maire de Saint-Ouen, et médecin exerçant dans cette commune. La Patrie du 25 ma
en représentant; M. le général Cubières, ancien ministre; beaucoup de médecins , des avocats, des avoués, des hommes de lettres,
our ou l’on célébrait le 119” anniversaire de la naissance du célèbre médecin allemand. « 11 ne faut pas nier certains faits
n, il y a de mauvais ministres et des ministres infidèles. » Peu de médecins ont abordé la question magnétique avec alitant de
re, puis nous commenterons les uns et les autres. 1° Rotation. Un médecin bien connude Paris a adressé au Siècle une lettre
a fait. « Agréez, etc. « A. DE GASPAB1N. » 4° Frappements. Un médecin de La Châtre écrit au rédacteur de la Patrie une
l ne nous avait pas parlé. « h° Ai-je un piano chez moi, demande un médecin ? Oui. — Est-il placé dans le salon? î\on. —Dan
entière. « 6° Combien ai-je d’enfants? demande la femme d’un autre médecin . — La table frappe un coup sec et un deuxième trè
onseillée à un jeune homme malade, qui vient consulter à son tour. Un médecin homéopathe tient dans sa main une boîte qui renfe
ercherie; cependant, il demande à expérimenter devant témoins. : Un médecin et un pharmacien d’Aix, deux étrangers et moi, ac
nces publiques répétées plusieurs fois devant nombre de savants et de médecins , devraient pourtant avoir rendu incontestable pou
et peut-être, dans les cas cités, serait-il plus vrai de dire que les médecins ont été appelés, et qu’ils ont encore employé, en
en suis certain, des résultats bien plus surprenants encore. BEGUÉ, médecin . M. Begué et un de ses amis ont tenté de produi
angement est si grand, qu’avec un nombre proportionné de gardiens, le médecin sus-nommé dit qu’il pourrait gouverner cinq cents
ère dans la friction, enlève les longues douleurs de tête. Sigault, médecin électriseur, rencontre sur le Pont-Neuf un artist
ans le plus grand étonnement! (Rapport de 178Æ, page 3/i.) Voici un médecin qui guérit en ignorant, et il attribue à l’imagin
t moi quiprononce gravement : C’est un phénomène cataleptique! Pauvre médecin !.... Vous allez voir, lecteur, comme j’étais pauv
épilepsie est longue à partir..... Mais, tenez, vous qui faites mon médecin , voulez-vous que je vous dise pourquoi vous êtes
e des forces. Que de guérisons je vois obtenues par l'emprunt fait au médecin . A-t-on calomnié ces pauvres médicaments! mais au
on était impossible ; tout le monde était malheureux. Heureusement le médecin était de la foi mes-mérienne; j’opérai la dissoci
u’ici de toute idée vaguante... Aussi j’aurais un conseil à donner au médecin magnétiseur, je le formulerais ainsi : ne magnéti
avec tant d’art, un si grand nombre de personnes éclairées? Parmi les médecins , j’ai cité M. Roux comme ayant observé le fait; j
; Lyon par M. Pétetin; en vain s’écrie-t-on que les concitoyens de ce médecin n’ont pas cru à son récit, et dit-on fort spiritu
communes que les monstres, les déviations des règles. » Le premier médecin qui observa une irruption anormale du sang menstr
uelques considérations qui suivent la narration nous font voir que le médecin de Montaubau n’est pas seulement un observateur c
. « Afin d’empêcher les ongles de déchirer la paume de la main, les médecins ont ordonné d’entourer de coton le bout des doigt
elle ils voudraient entrer. Cette affaire préoccupe vivement tous les médecins . » — D’autre part on écrit de Prague à la Patri
té, dit-il, depuis la Saint-Pierre de 1852. « L’examen fait par six médecins n’a pas amené la constatation de la monomanie hom
queries commises par un prétendu magnétiseur, qui était aussi un faux médecin . « Depuis quelques mois, il n’était brait, dans
c accès épileptiformes non périodiques, pour laquelle elle a reçu des médecins éclairés de son voisinage les soins les plus affe
s mécaniques par les physiciens, à des actions physiologiques par les médecins , et à des influences psychologiques par les philo
t la responsabilité ne saurait remonter jusqu’à elles, pas plus qu’un médecin ne pourrait être recherché pour une ordonnance, b
fr., y soient bien reçus. On n'a jamais prétendu que le cabinet d’un médecin ou d’un dentiste, où l'on entre aussi en payant,
s la crainte de se perdre dans l’opinion de tous ses confrères, aucun médecin sérieux n’ose aborder l’étude des faits qui peuve
on clinique de M. Gendrin, ¡\ l’hôpital de la Pitié, dans laquelle ce médecin , traitant de l’hystérie, dit, en parlant de l’ext
on du magnétisme. Cette démonstration n’est pas le coup d'essai de ce médecin distingué ; il a publié ces années dernières une
upérieur à toute œuvre de savant. Nous pouvons défier les plus grands médecins , car nous sommes certain que toute leur habileté
, bien malade; je lui promis d’aller le voir. Quoique je lie sois pas médecin , je reconnus que l’enfant était attaqué d’une mal
use dépendait ce malaise, nous avons envoyé chercher immédiatement un médecin , qui, à son arrivée, a prescrit l’éther et les pr
acquitta à merveille, car, au grand étonnement des assistants, et du médecin surtout, lorsqu’il rompit le cachet, il fut recon
prenants qui mettent en déroute bien des systèmes ; elle apparaît aux médecins comme venant suppléer à l’insuffisance de leur sc
; moi-même je n’avais pas d’autre idée à ce sujet, le diagnostique du médecin me paraissait fondé. Quel fut pourtant mon étonne
il nous dit. Conservez vos doutes, mon brave homme, et si vous êtes médecin , sachez d'abord mieux employer vos drogues ; car,
lement ; les ongles se colorent. A la sixième séance assistaient un médecin , et un prêtre étudiant la vérité nouvelle. Le doc
chose qui vous aidera; car je connais mieux ce qu’il me faut que les médecins .... Je la vois, cette feuille de noyer du docteur
ien. Si je voulais l’écouter, il m’amènerait toute sa commune. Deux médecins avaient décidé, avant que la maladie ne gagnât l’
acassé le crâne sur des pavés qui s’y trouvent.... On a fait venir un médecin qui a pansé la blessure.... Il est mort une heure
nce du 16 novembre 1855. MAGNÉTISME. — EXERCICE DE LA PROFESSION DE MÉDECIN . — INFRACTION A LA LOI DU 19 VENTÔSE AN XI. Jm
oi d'aucun médicament constitue-t-elle l’exercice de ta profession de médecin , défendu, sans diplôme, par les articles 35 et 3
rapeutiques. « Les somnambules exercent réellement la profession de médecin ; car ils font ce que font ceux-ci, atteignent le
s. o L’unique différence entre les uns et les autres, c’est que Içs médecins ordinaires ou/ appris, et que les somnambules dev
cience, d'habileté à user de la pharmacie, à exercer la profession de médecin . « La société s’est ainsi trouvée préservée des
ayant pris leurs degrés à la façon de Sganarelle, et des somnambules médecins dont la capacité ne saurait être vérifiée et peut
« Mais la prohibition cesse avec le danger, par exemple, lorsqu'un médecin diplômé assiste le somnambule, vérifiant, signant
a thérapeutique. .! Serait-ce pour protéger la clientèle de MM. les médecins ? Ce but est au-dessous de la sollicitude du légis
ent) les (rois branches de cet art qu’il énumère : les professions de médecin , de chirurgien et d’accoucheur. « 11 ne parle p
uvre, à sa pensée? i Confondez-vous dans la désignation générale de médecins , tous ceux qui (suivant l’expression de M. le pro
us? et pourquoi donc alors le texte ne se borne-t-il pas à parler des médecins au lieu d’entrer dans une nomenclature, et d'ajou
ion spéciale les chirurgiens et les accoucheurs? « Qu’entend-on par médecins proprement dits? Le Dictionnaire de I"Académie no
pauvres munis de recommandations de leurs maires; trait commun à nos médecins les plus vénérés, mais inconnu aux jongleurs et a
et que, d’autre part, il est constant que, loin d'usurper le titre de médecin , son premier soin est d’annoncer à ses visiteurs
é l’art de guérir sans titre, sans prendre, néanmoins, ni le litre de médecin , ni celui d’officier de santé; « Qu’il a vu des
tient une lettre relative aux tables tournantes. L’auteur, qui se dit médecin , u’a pas cru devoir se nommer. Son nom se serait
é cette épidémie américaine à se propager chez nous, attendu que lui, médecin , vient de constater la folie chez trois individus
e a été l’objet de travaux remarquables dans notre pays, et que nos médecins ont poussé fort loin l’étude et la connaissance d
il y a bien longtemps, lors de nos expériences à la Salpé-trière. Un médecin ne voulait pas se rendre à l’évidence ; poussé à
faire ce que vous jùgerez convenable. Daignez agréer, etc. BÉGUÉ, médecin . Toulouse, ï décembre 1853. ÉTUDES ET THÉORIE
la guérison : elle fut radicale îi l’époque déterminée par mon habile médecin qui, pour me soustraire au retour du même mal, me
de Lyon, etc., permettent la libre pratique du ma- gnétisme à tout médecin offrant garantie de science et de moralité, 117.
71 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
decine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sie-Anne). F. RAYMOND
IQUE. DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE ' ; Par le D' J. VOISIN, médecin de la Salpètrière; et Raymond PETIT, interne de
dé de symptômes précurseurs éloignés ou immédiats. Eh bien c'est au médecin à soigner ces symptômes précurseurs. Pour nous
facilement autour de la face. Mais ce qui doit surtout occuper le médecin dans le traite- ment de l'épilepsie, c'est l'hy
eld, une colonie de ce genre est ins- tituée sous la direction d'un médecin , et donne de bons résul- tats. DE L'INTOXICAT
d'infériorité morale, les font rentrer dans ce der- nier groupe. Le médecin doit donc décrire au juge la personnalité du ma
faits qu'on lui reproche, il n'a, du reste, pas cessé de prendre le médecin expert pour un juge d'instruction. « Rien de to
de considérer des symptômes réels comme étant eux aussi simulés. Le médecin n'affirmera l'existence de manifestations épile
e du faisceau de l'aphasie. SOCIÉTÉS SAVANTES. CONGRÈS ANNUEL DES MÉDECINS ALIÉNISTES ALLEMANDS. ' SESSION DE DRESDE. Sé
éellement des malades et doivent-ils par suite être justiciables du médecin ? Il convient d'abord de faire remarquer que l'
besoin maladif, il faut les in- terner dans un asile dirigé par un médecin . Sommer fait observer qu'il n'envisage que les
syphi- litique antérieure, grâce aux renseignements fournis par le médecin traitant, par des camarades d'étude du malade,
toire est attaché le personnel médical de l'asile qui comprend cinq médecins et trois internes en médecine. La distri- butio
d'aliénés. Vendredi matin on l'a trouvée pendue dans sa cellule. Le médecin de l'hospice n'a pu que constater le décès. (Un
e, nommé Jean Maître, est mort dans des circonstances telles que le médecin chargé de l'autopsie a refusé la permis d'inhum
epuis quelque temps s'était montré plus agité que de coutume, et le médecin de service avait jugé nécessaire de lui adminis
, commissaire de police, qui ne tarda pas à arriver accompagné d'un médecin et d'un inspecteur. A ce moment, l'ouvrier tail
ommé médecin-directeur de l'asile de Marseille. M. le Dr Legrain, médecin en chef de Ville-Evrard, est promu à la deuxième
quelque temps des accès de colère et de nervosité dans lesquels les médecins diagnostiquaient des symptômes d'hystérie. Au c
Quant à Julia Martin, son état mental va être soumis à l'examen de médecins aliénistes. (Le Journal, 19 juin.) On aurait mi
ent est un des plus déli- cats problèmes qui puissent être posés au médecin légiste. Cer- tains infanticides sont commis da
es dénégations per- sistantes, avait voulu la faire examiner par un médecin , mais, INFANTICIDE ET HYSTÉRIE. 101 devant l'
pas accouché, dit- elle, et je suis désireuse d'être visitée par un médecin pour répondre aux calomnies dont j'ai été l'obj
ur répondre aux calomnies dont j'ai été l'objet. » Le même jour, le médecin , expert, chargé de l'examiner, constate les sig
nfirmé d'ailleurs par la noto- riété publique et le témoignage d'un médecin , dans quelles circons- tances cette blessure a
la retenir. Voici ce qu'a bien voulu nous apprendre à ce sujet, le médecin qui l'a soignée : les os ne lui parurent pas in
d'eux'. Il y a peut-être là une voie nouvelle à explorer pour les médecins experts en matière d'infanticide et nous tenions
ES ENFANTS IDIOTS ET ARRIÉRÉS ; PAR BOURNEVILLE, ET T J. BOYER, Médecin de Bicètre. Professeur à l'Institut médico- péd
urnir les principes généraux qui doivent guider les auxiliaires des médecins , instituteurs et surveillantes. Certains idiots
IQUE. DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE ' ; Par le D' J. VOISIN, médecin de la Salpètrière; et Raymond PETIT, interne de
donner à une décision prise par une commission mixte composée du médecin traitant, du procureur de la République et du Pré
ls a été prise en considération par le Sénat. Sur la réquisition du médecin de l'asile constatant qu'un aliéné est dangereu
e remettre, avant de le faire entrer dans un asile, à l'examen d'un médecin de l'administration. M. ARNAUD voudrait qu'on a
des aliénés criminels. Cette commission renforcerait l'autorité du médecin et lui permettrait de résister aux sollicitatio
ronage POUR LES aliénés SORTIS DES asiles. Il était naturel qu'un médecin que les traditions de famille - ^on trisaïeul a
es renseignements qui furent alors fournis par la malade et par son médecin : Pas d'antécédents héréditaires. Aucune maladi
tousser, à perdre ses forces. Elle alla alors sur le conseil de son médecin passer un mois à la campagne. Là, sa santé se rét
DE DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE CHEZ LE VIEILLARD; Par le Dr TRÉNEL, Médecin adjoint des Asiles de la région de Paris. Les d
sistance, composée non seulement des congressistes, mais encore des médecins de la ville et du département, et d'étudiants e
eurs battre à l'unisson du mien quand je citais les noms des grands médecins français qui ont illustré ce siècle et qui sont
s les services spéciaux, et, en arrivant au terme de ses études, le médecin a pu acquérir dans cette partie des sciences mé
e a été en quelque sorte distraite de la médecine, de sorte que les médecins ont délaissé la- médecine mentale comme chose é
'aliénation men- tale. Or, ne vous semble-t-il pas évident que tout médecin doit connaître les symptômes des maladies du ce
peut être contesté et cependant il n'est pas rare de rencontrer des médecins complètement étrangers à l'aliénation mentale e
ion mentale, sans avoir examiné un seul aliéné. Et, cependant, ce médecin sera appelé à voir des aliénés; du jour où il a é
Je suis, en effet, convaincu que si, comme je le réclame, chaque médecin recevait en aliénation mentale la même instructio
nombre des erreurs judiciaires dimi- nuerait, parce que souvent le médecin de la famille aurait observé les premiers sympt
un véritable aliéné et il doit être traité comme tel. La lâche du médecin en pareil cas n'en est pas moins très déli- 246
ation et prétendu ne se souvenir de rien. M. CIIALLAnT DE BELLEVaL, médecin en chef de l'hôpital militaire de Bordeaux, cit
onne dont le nom est synonyme de dévouement à la République et le médecin eu chef de l'asile, M. le D'' Pons. M. Campana, s
nt à votre ligue, permettez-moi de lever mon verre en l'honneur des médecins aliénistes et neurologistes, membres de ce cong
non seulement par les professeurs des Facultés, mais aussi par tout médecin des hôpitaux spécialiste. M. Joffroy porte un t
adoptés et ne concernent en aucune façon les administrateurs et le médecin en chef de l'asile dont tout le --monde a pu co
ondant. M. Trenel est élu à l'unanimité. M. B. CONGRÈS ANNUEL DES MÉDECINS ALIÉNISTES ALLEMANDS'. SESSION DE DRESDE. Séa
^paralysie générale, thèse actuellement admise par la plupart des médecins . La paralysie générale n'est pas pour cela une af
de loi tient compte de cette réclamation souvent reproduite par les médecins compétents : t L'ivrognerie, y est-il dit, est
é tenu compte dans la rédaction du Code civil projeté des voeux des médecins aliénistes. M. HITZIG. S ? le rapport de M. Tig
dit, ni interné, ces affirmations ne sauraient être admises par les médecins compétents; 3° il est inexact que Feldmann ait
le belge les détails suivants sur la plainte publique portée par un médecin contre le traitement des aliénés dans un asile
e coups la malheureuse folle. Le Dr Scholz produit le certificat du médecin qui craint que la victime ne se ressente toute
le pasteur de Bodelschwingh prit prti pour son personnel contre les médecins qui la plupart quittèrent alors l'éta- blisseme
t du procès de Mariaberg.'Une dépêche de Brème annonce que tous les médecins de l'asile d'alié- FAITS DIVERS. 271 nés ont
établissements consacrés à des malades doivent être dirigés par des médecins . Les a-iles, pour être bien dirigés ne doivent
mais il pense que les ecclésiastiques doivent être subordonnés aux médecins . Il faut maintenant constituer une commission c
e aux symptômes morbides géné- raux, si bien qu'en ce sens tous les médecins sont des neurologistes et en même temps des pra
ng travail. Le sujet est intéressant et parait préoccuper assez les médecins anglais pour que de nouvelles recherches soient
le voeu suivant, qui est adopté par le Congrès : » Le Congrès des médecins aliénistes et neurologistes réuni à Bor- deaux
sinage desquels existe presque toujours un asile d'aliénés, dont le médecin pourrait faire .les expertises hebdomadaires ou
états morbides à la fois embarrassants pour la justice et pour les médecins chargés d'en apprécier la responsabilité. Les
rsuivis sans effets d'amendement, de guerre lasse, les abandonne au médecin . Sous la désignation de dégénérés conservateurs
tinés irréduc- tibles, ils sauront s'assurer à temps le concours du médecin alié- niste, au bénéfice de ces mentalités défe
être médicale. Son application est faite avec tout avantage par le médecin lui- même. Mais ce dernier précepte ne saurait
ion chez les aliénés. Il est de la plus grande importance, pour les médecins et aussi pour les magistrats, de savoir que les a
és dange- reux. Il ne saurait être apporté trop de prudence par les médecins traitants et parles médecins légistes appelés à
être apporté trop de prudence par les médecins traitants et parles médecins légistes appelés à formuler une opinion sur un
mensonge. Dans beaucoup de cas, plusieurs mois sont nécessaires au médecin expert appelé à juger de l'état mental d'un ind
est bieu difficile) à obtenir des aveux. » , 8° Nous croyons qu'un médecin expert devrait être adjoint aux juges quand ces
maintien d'un aliéné dans un établissement spécial ou sa sortie. Le médecin traitant pourrait être entendu, et, en cas de d
a été nommé président .de cette session, M. LALLE ! 1ENT, l'un des médecins de l'asile de Marévilie, a été désigné comme se
llance; Guillemin et Sauteyron, membres de la commission ; Caillau, médecin en' chef de l'asile, et tous les délégués étran
. Berniquet, préfet de la Gironde, et a adressé des compliments aux médecins des asiles. 11 a bu à la santé du préfet, du di
Collège de France, qui a porté la santé des dames. M. Doutrebenle, médecin à Blois, a terminé la série en prononçant un to
gistes qui traitent de questions qui intéressent non seulement les médecins , mais les législateurs, les conseils généraux et
dans ces dernières années, -l'affection qui porte le nom des deux médecins français avait été fortement discutée en tant qu'
ans la plupart des établisse- ments hospitaliers de Paris. Un des médecins qui le traitaient en dernier lieu lui ayant app
'archevêque de Cagliari, l'évêque d'Hébron,. auxquels se joignit le médecin chargé de l'étude des guérisons, en dressèrent le
hanoine Petit, qui adressa aux pères de la Grotte ce télégramme : « Médecins réunis pour examen de Delanoy. Je l'ai vu quatre
é que cinq mois après. Il faut noter la déposition du D' Dubuisson, médecin en chef de Sainte-Anne qui, malgré tous les cer
iénés, de la psychiatrie ou de la neurologie. Un appel est fait aux médecins de tous les pays. Les souscriptions doivent êtr
e l'asile d'aliénés de Pulet. - Souvent les journaux reprochent aux médecins aliénistes de maintenir plus longtemps qu'ils n
aliénés, et quelquefois par une crainte exagérée des journaux, les médecins signent la sortie des malades améliorés, mais d
lus possible les placements, l'insuffisance des connaissances des médecins en ce qui concerne l'étude la folie et qui leur f
municipales et départementales et même, hélas ! de l'ignorance des médecins . La grande majo- rité de nos confrères ne sait
L'ASSISTANCE DES ALIÉNÉS EN ALLEMAGNE; , Par le D' PAUL SÉRIEUX, Médecin adjoint à l'asile de Villejuif, chargé de mission
angereux, et on les détient le plus souvent dans les pri- sons. Les médecins commencent cependant à étudier les formes diver
aliers. Au milieu du xvi° siècle, Jean de Wier (1515-1588), célèbre médecin hollandais, adresse une requête à l'Empereur po
s lycanthropes possèdent en réalité la forme d'un loup » - Si des médecins aussi distingués partageaient à ce point les pr
r d'autres mesures utiles, on est arrivé à guérir des aliénés. » Le médecin est tenu de visiter les malades deux fois par s
biller, à alimenter, à donner les soins de propreté aux malades. Le médecin reçoit une gratification de 5 thalers par guéri
tification de 5 thalers par guérison. Une fois celle-ci obtenue, le médecin délivre, sur la demande du sujet guéri ou des p
vec Langermann ('1768 ? 832) et Reil ('1759-1813). C'est à ces deux médecins que l'on doit l'inauguration du trai- tement ra
nés. d'exception; un chirurgien résidait dans l'établissement; le médecin y faisait une visite quotidienne; les bains, l'él
ple donné par Reil et Langermann fut suivi par un certain nombre de médecins , entre autres par IIeinroth et par IIorn. Ce de
e de médecins, entre autres par IIeinroth et par IIorn. Ce dernier, médecin du quartier d'aliénés de la Charité à Berlin, y
e jusqu'en 1818. « Cette cli- nique, dit J.-P. Falret, faite par ce médecin célèbre à une époque où l'attention générale ét
ladies mentales, Nasse fondait à Bonn en 1818, une Revue pour les médecins aliénistes (Z eitsch1'1ft (UI' psychische Ael';le
les épileptiques, les buveurs, etc., etc. En 1839, John Conolly, médecin anglais, donnant aux prin- cipes émis par Pinel
ASSISTANCE DES ALIÉNÉS EN ALLEMAGNE. 367 dit Griesinger, si un seul médecin peut suivre exactement et traiter activement d'
et de surveillance fut étudiée de nouveau, en 1885, au Congrès des médecins aliénistes de Baden-Baden par Gudden, en z1887,
individuel que permettent d'instituer non seulement le nombre des médecins , mais aussi l'utilisation intelligente de tout le
nt de plus en plus ses ravages, attire en tous pays l'attention 'du médecin et du législateur. Après avoir énuméré les caus
t de paralytiques est fourni pour les hommes par les officiers, les médecins , les ban- quiers, celui que fournit la femme es
européenne sur des peuples en- core non civilisés. D'après Meilhon, médecin de l'asile d'Aix, sur 498 entrées d'Arabes de 1
lisés augmentera les difficultés déjà considérables de la tâche des médecins aliénistes. En vertu de quelle loi main- tiendr
lcooliques quand leur incurabilité sera évidente. C'est imposer aux médecins une tâche très ardue et très ingrate. L'opinion
hez les dipsomanes, les épileptiques. 11 est à désirer que tous les médecins aliénistes éclai- rent l'opinion publique, et i
nnent en Angleterre. Celles-ci cons- tituent une sauvegarde pour le médecin , dont la responsabilité est ainsi à couvert.
conditions dans lesquelles se trouvera le malade à sa sortie; or le médecin ne les connaît pas toujours suffisamment. M.
danger des poisons narcotiques. L'auteur signale le danger que les médecins morphinomanes font courir à ceux qui les approc
courir à ceux qui les approchent. P. Sérieux. CONGRÈS ANNUEL DES MÉDECINS ALIÉNÂTES ALLEMANDS. SESSION DE DRESDE. Séanc
esseur Pelman, ouvre la séance et résume les travaux du Congrès des médecins aliénistes allemands' de. Dresde (septembre 189
ifs. Dans tous les cas, il sera possible et utile à l'aliéniste, au médecin légiste, de rechercher le substratum intellectu
piré des récents et importants travaux publiés sur ce sujet par les médecins autrichiens, travaux grâce auxquels l'ancienne
age donc à présent notre avis, qui est d'ailleurs celui de tous les médecins et de toutes les personnes sensées. Il n'y a qu
atteint de névrose latente, de névrose « larvée » connue disent les médecins , ou si l'un des siens en était atteint - une fe
mmé médecin- adjoint de l'asile de Uury (Somme) ; - M. le Dr Paris, médecin en chef de l'asille de Mareville, est nommé à l
édecin-adjoint de l'asile de Saint- Méens ; ;- Ai. le Dr C.11LL.1U, médecin en chef à Cadillac, est nommé à la ils classe d
SPÉCIAUX D'UN ASILE D'ALIÉNÉS; Par le D' E. MARANDON DE MONTYEL, Médecin en chef 'illc-Evrard. Dans un précédent mémoire
nconvénients. M. Bourne- ville croit que ce voisinage permettra aux médecins , aux sur- veillants et surveillantes de se cons
SCULAIRES ET COPROLALIE; PAR ft . ' BOURNEVILLE, et T J. BOYER, Médecin de la section des Professeur à l'Institut médico-
ils ne manquent pas de manifester une horreur bien connue pour les médecins , le directeur et tout ce qui, même de loin, leur
e à faire connaître les maladies qui ont l'alcool pour cause. Trois médecins ont traité cette question : le D'' LEGRAIN, méd
r cause. Trois médecins ont traité cette question : le D'' LEGRAIN, médecin en chef de l'asile de Ville-Evrard à Paris, le
irecteur de l'asile de Burghoelzli en Suisse, et le Dr LANCER EAUX, médecin à l'ilâtel- Dieu de Paris. . L'ivresse est un
psychiatriques pour l'éducation scientifique et professionnelle des médecins . (Dr F. Meschlde. Leçon d'ouverture faite ci la c
chiatrie dans le programme des examens d'Etat que doivent subir les médecins pour obtenir-le droit d'exercer. Il se déclare
rate peuvent être invoqués comme démontrant la néces- sité pour les médecins de posséder des notions de psychiatrie; ils se
ntré, hier, dans la cour de la maison qu'habite le docteur Chaulet, médecin municipal, à Agen et, armé d'un énorme couteau
on. Ils montrent aussi dans quelle situation difficile se trouve le médecin qui signe la sortie des malades aliénés. BULL
sure du cerveau ou névrose, par Thomsen 306. Congrès annuel des médecins alié- nistes allemands par Kéraval, 78; par S
. psychiatrique de la pro- vince rliénane, par Serieux, 417.- des médecins aliénistes de l'Alle- magne orientale, 476. S
72 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
marqué des membres inférieurs. Le lendemain, il ne put se lever. Le médecin qui l'examina à ce moment cons- tata l'impossib
au niveau des vertèbres dorsales. A ce moment il fut visité par un médecin du lieu qui déclara qu'il était atteint d'un co
une douleur dans le flanc gauche (qualifiée de péri-ovarite par le médecin ) et fut traitée par des applications de sangsues,
de clinique des maladies mentales à la faculté de médecine de Lyon, médecin en chef à l'asile départemental de Brou ; Dr Yv
de Lyon, médecin en chef à l'asile départemental de Brou ; Dr YvES, médecin de la faculté de Paris, médecin du ministère de
le départemental de Brou ; Dr YvES, médecin de la faculté de Paris, médecin du ministère de l'intérieur, avons l'honneur d'
ut-il donc ordonner à Mistral parce qu'il est aliéné, ce que tout médecin consciencieux interdirait à Mistral sain d'esprit
conscience publique qu'elles soient régulièrement proposées par le médecin chaque fois que le temps est beau, et qu'elles
e intermittente sur les dalles de l'église, malgré les conseils des médecins . Il nous a été impossible de remonter plus loin
plexie hystérique. Un exemplefera mieux comprendre notre pensée. Un médecin est t 11 p- ' Voy. Déjerine. L'hérédité dans le
u début de l'expérience. Elle est consécutive à la suggestion. Le médecin de la Salpêtrière profile de cette circonstance p
- cins, et vingt-quatre personnes étrangères à l'oeuvre, dont six médecins . Séance préparatoire. Présidence de M. SENGELMA
ce congrès l'attention des administrateurs, des instituteurs et des médecins de notre pays. P. KEXAVAL. SOCIÉTÉS SAVANTES. 1
out la pipe. A[.le directeur B.I ItTJJOLD (de Gladbach). Devoirs du médecin dans un établissement d'idiots. 1° L'idiotie co
e ou supprimée; - 8" dans les maladies intercurrentes intervient le médecin seul; il ne perdra pas de vue la faible vita- l
la faible vita- lité, le peu de résistance de ces individus ; 9° au médecin aussi SOCIÉTÉS SAVANTES. 121 le devoir spécia
r un traitement spé- .cial bien approprié (hygiénique ou autre), le médecin contribue dans une mesure fondamentale -à facil
ots. Discussion. - Quel sera le directeur de l'établissement ? Un médecin , un instituteur, un prêtre ? - Cette question est
t morbide; 2° ceux qui viennent d'eux-mêmes se faire traiter par un médecin ; 3 ceux qui, maîtres de leurs actes, sont capabl
voir comment on rémunérera l'administrateur provisoire, et aussi le médecin inspecteur. Il y a un article spécial qui crée
il a décidé d'abord que, dans chaque dépar- tement, il y aurait un médecin inspecteur, chargé de fonctions extrêmement nom
dispositions de la loi nouvelle au sujet de la mission confiée à ce médecin . M. le Rapporteur. Cet article est supprimé, c'
r. Cet article est supprimé, c'était l'article 12. Les fonctions du médecin inspecteur seront déterminées par un règlement
combe. Je ne fais pas de difficulté sur ce point; mais, en outre du médecin inspecteur, l'article 11 a prévu qu'un ouplu- s
chaque trimestre. « S'il le juge nécessaire, il se fait assister du médecin des alié- nés ou d'un autre médecin choisi par
essaire, il se fait assister du médecin des alié- nés ou d'un autre médecin choisi par lui et procède ou fait procé- der à
de retrancher de l'article 13 ce membre de phrase : « ou d'un autre médecin choisi par lui » ; si je comprends en effet que
ente toute garantie. C'est ainsi que vous désignez, dans ce but, le médecin chargé de la surveillance du service des aliénés.
ur au centre. Il faudrait dire : « par le juge de paix assisté d'un médecin . » M. Paris. Cela est dans l'article. M. LE R
is demande, d'abord, la suppression de ces mots : « ou d'un autre médecin choisi par lui ». 11 fait observer qu'il est suff
decin choisi par lui ». 11 fait observer qu'il est suffisant que le médecin inspecteur des aliénés assiste celui qui fait la
emière phrase dont M. Paris demande la supi-es31oii : « ou un autre médecin choisi par lui », a été mise dans l'article pou
oisi par lui », a été mise dans l'article pour prévoir le cas où le médecin de la commission permanente serait dans l'impos
mots : « ou à dé- faut... » Il faut, en effet, prévoir le cas où le médecin qui inspire, le plus de confiance ne pourrait s
ainsi modifiée : « S'il le juge nécessaire, il se fait assister du médecin inspec- teur des aliénés ou, en cas d'empêcheme
teur des aliénés ou, en cas d'empêchement de celui-ci, d'un autre médecin choisi par lui, procède ou fait procéder par le j
i pendant cinq ans au moins les tondions de directeur-médecin ou de médecin en chef d'un asile d aliénés, ou de secrétaire
taient à l'administration des aliénés. Après lui, il v eut d'autres médecins énvnents, Il ! . Parchappe, M. Constant, M. Lun
les docu- ments de l'administration, les rapports des préfets, des médecins et des inspecteurs départementaux et généraux ;
urs : on fut obligé de le mettre sous une étroite surveillance. Des médecins , mandés vers lui, apportèrent un soulagement pa
n gré mal gré, forcé de se coucher. On appela encore une fois les médecins qui ne purent, malgré leurs exhortations, arriver
mé directeur honoraire (arrêté du 9 novembre). Al. le Dr Du- four, médecin en chef de l'asile de Saint-Robert, est nommé d
r du 1 cr janvier 1888 (arrêté du 7 décembre). M. Je Dr 13ELL : 1T, médecin adjoint du même établissement est pro- mu à la
nts de bienfaisance (1880), secrétaire général de l'Association des médecins de France. M. Foville a été reçu interne en 185
e Dc1'uville, comme l'indique sa thèse. Faits DIVERS. l89 - Les médecins dans les drames de Shalispeare (18S;)); JJis¡Jcn-
. En reproduisant ces débats, nous croyons être agréable à tous les médecins des asiles d'aliénés, de quelque nationalité qu
eur avait été parfois très intense. Le malade ne consultait pas les médecins et se con- tentait de fermer la plaie à l'aide
sensations les plus insignifiantes et se plaint de quelque chose au médecin à chaque visite. - Point d'altérations dans les
des erreurs grossières ont été com- mises à cet égard, même par des médecins distingués. De plus, l'emploi d'un diagnostic d
dit de tous les membres, et l'attaque se complète. - Le fils d'un médecin , pris à table un jour devant son père, jette au
e un maître d'étude, puis se roidit et tombe. - Le neveu d'un autre médecin , étant à table et mangeant, en présence de son
me publiés par les auteurs; il nous faudrait citer presque tous les médecins qui se sont occupés de l'épilepsie; nous rappelle
liquait d'une voix criarde et en gesticulant vivement sa maladie au médecin , demandait à ne plus suivre de traitement « pou
e traitement « pour se chercher son droit dehors ». En par- lant au médecin , les mains, toujours en mouvement, sont placées
ts convulsifs antérieurs à l'entrée à l'asile, passant inaperçus du médecin : de même encore, des moments d'exci- tation, s
es symptômes neuro-moteurs de longue durée et si accentués que le médecin les considère comme des curiosités et des compl
lioration. Dans une dernière consulta- tion donnée par les premiers médecins de Vienne, tels que MM. Pierre Franck, Mal/'att
'une affection tout à fait spéciale nommée narcolepsie par quelques médecins qui depuis plusieurs années ont pu m'observer.
était depuis deux ans sujette à la catalepsie et fut traitée par un médecin très ha- bile de Vienne. Après plusieurs médica
veut fuir. Rachel l'appelle et lui dit de la faire conduire chez le médecin qui l'avait soignée. Celui-ci informe le mari de
pour en concevoir l'application pratique. Dès lors philanthropes et médecins purent, en se débar- rassant des errements du v
un travail facile et très simple 314 SÉNAT. qui sera fait par le médecin inspecteur et transmis à Paris. Comme cela se f
de l'article 15 ci-après, ordonner la disjonction des fonctions de médecin en chef et de directeur d'un asile public, ainsi
ecin en chef et de directeur d'un asile public, ainsi que celles de médecin en chef et de préposé responsable d'un quartier
rvé. M. LE Rapporteur. Le paragraphe réservé est celui-ci : « Les médecins en chef sont nommés sur une liste de présentation
nentes instituées en vertu de l'article 11 ci-après, soit parmi les médecins adjoints. » Le changement obligé est celui-ci ;
ecins adjoints. » Le changement obligé est celui-ci ; au lieu « des médecins secrétaires des commissions permanentes, il fau
et par la commission, et relatif au concours pour les fonctions de médecin inspecteur des aliénés. Cette satisfaction étai
le que vous devez aussi demander la sup- pression des mots « et des médecins adjoints », puisqu'il n'y en a plus ? Au banc
de la commission. Mais si. Bu. RIG.4L, membre de la commission. Les médecins adjoints existent toujours. M. LE Rapporteur.
oujours. Il n'y a donc ab- solument qu'à remplacer ces mots : « les médecins secrétaires des commissions permanentes », par
ins secrétaires des commissions permanentes », par ces mots : « les médecins ins- pecteurs d'aliénés D. M. le Président. V
messieurs, la nouvelle rédaction propo- sée parla commission. « Les médecins en chef nommés sur une liste de présentation dr
nscrits sur cette liste sont pris, pour les trois quarts, parmi les médecins inspecteurs institués en vertu de l'article 11
nspecteurs institués en vertu de l'article 11 ci-après ou parmi les médecins adjoints. » Je consulte le Sénat sur ce troisiè
ise au chef responsable de l'établissement ; s'il est l'oeuvre d'un médecin attaché à l'établissement à un titre quel- conq
u chef responsable, pu du propriétaire de l'établisse- ment, ou des médecins qui y sont attachés, ou de la personne qui fait
lieu sur la présen- tation d'un rapport médical sommaire ; mais le médecin certifi- cateur doit, dans le délai de deux jou
résident. Il n'avait été réservé qu'en raison de l'institu- tion du médecin inspecteur. Nous avons voté cette institution.
lance morale, affectueuse, dévouée de la famille, parles soins d'un médecin investi de la confiance de la famille. Voilà le
éjà, cette terrible con- tagion du suicide faisait des ravages. Les médecins , malgré tout leur dévouement et toute leur habi
intervalles lucides. 11. DE GAVARDIE... plus pratique que celle des médecins . Voilà ce que je voulais dire, mais vous ne m'e
Exclamations et rires sur les mêmes bancs.) Là où la science de vos médecins aliénistes est impuissante, la religion seule a
solant dans la famille, sous la protection des soins vigilants d'un médecin qui a sa confiance, tout est concilie, et l'intér
est pas sérieux... Voix nombreuses. Oh ! non. M. de Gavardie. Les médecins aliénistes qui vont dans les asiles publics voi
as hésité à aborder cette tâche, en cherchant à éclairer la voie du médecin légiste dans ces cas malaisés. C'est sur un nom
ianesthésie droite complète, ainsi que le prouvent les rapports des médecins et chirurgiens qui furent commis pour l'examine
caractérise la pré- sence des démons dans le corps humain. Un seul médecin mit en doute que ce fût une véritable sorcière,
ennent leur point d'appui. Il est triste de se dire que ce sont des médecins qui étaient les premiers à soutenir de leur aut
ans le Médical Record du 23 avril 1887, le Dr Frederick Peter- son, médecin d'Hudson River-State hospital, nous donne les ren
école possède un matelas ou un lit, à portée de la main. Plusieurs médecins de la ville de Bielefeld visitent l'institution
ET l'organisation des hôpitaux d'aliénés; par Sanger-Brown, ancien médecin assistant à l'asile de Bloomingdafe. (New-York.
ance de cette question donnera toujours de grandes difficultés à un médecin consciencieux, mais pour le plus grand bien du pl
1888.) - Par arrêté, en date du 13 janvier 1888, hl. le Dr UONNET, médecin en chef de l'asile public d'aliénés de Bor- dea
ar arrêté, en date du 13 janvier 1888, ont été nommés à l'emploi de médecins en chef de l'asile public d'aliénés de Ville-Evra
és par l'arrêté du 7 janvier 1888 : M. le Dr MARANDON DE MoN- TYEL, médecin en chef de l'asile public d'aliénés de Marseille.
Dl FEBVRE, médecin-adjoint de Ville-Evrard. M. le Dr REY est nommé médecin en chef de l'asile d'aliénés de Marseille.Les f
de l'asile d'aliénés de Marseille.Les fonctions de directeur et de médecin en chef de l'asile d'aliénés de Ville-Evrard so
de Ville-Evrard sont séparées. M. le D' Pâté est nommé directeur- médecin de l'asile de Ville-Evrard et placé dans la trois
s la troisième classe de son grade (5.000 fr.). M. le Dr C.IUUSE1', médecin en chef à l'asile public de Clermont (Oise), es
se exceptionnelle). (Arrêté du 27 janvier 9888.) - lI, le Dr BELLE, médecin en chef de l'asile public de Bailleul (Nord), e
oint à l'asile public de Saint-I'on (Seine-Infé- rieure), est nommé médecin en chef à l'asile public de Clermont (Oise), 3°
médecin de l'asile public de Saint-Luc (Basses-Pyrénées), est nommé médecin en chef de l'asile public de Bordeaux (main- te
dissement de l'asile d'aliénés de Sainte-Catherine. Recrutement des médecins adjoints des asiles par Lie concours. Le consei
d'un projet tendant à instituer le concours pour le recrutement des médecins adjoints des asiles d'aliénés. Le conseil a ado
ées. Ils étaient si nombreux et paraissaient si précis que tous les médecins qui ont vu le malade ont porté, sans réserves,
ait, dans l'espèce, d'un simulateur se jouant de la crédulité des médecins qui lui donnaient des soins, mais il suf- fira
t la discrétion voulue des malades qui s'efforcent de dissimuler au médecin les affections nerveuses et surtout les affecti
omplète peu à peu et le dépouillement des observations apprend au médecin qu'il y a dans la famille des hystériques, des
cas, l'origine apparente de l'hémiplégie échappe au malade et au médecin , et la maladie semble alors être née de toutes
en gare, il occasionne presque une rencontre. Huit jours après, le médecin le voit et soupçonne une affection organique du
suffit pas, pour la sauvegarde de la liberté indivi- duelle, qu'un médecin constate simplement que telle personne est atte
es périodes succes- sives de recrudescence et d'accalmie, et que le médecin rédacteur du certificat aura fait plusieurs vis
lement d'importance au point de vue de la justice des termes. Si le médecin ne présentait pas «un rapport détaillé conformé
qu'il pût prêter à l'équivoque ; il nous avait paru évident que le médecin ne pourrait pas tomber sous le coup de la loi pou
public, ne se conten- tant plus des remèdes moraux, fait appel aux médecins avec une conviction croissante que, de ce côté,
t à Saint-Yvon en remplacement du Dr Martinencq, précédemment promu médecin en chef et compris dans la deuxième classe. - M
, directeur de Sainte-Anne ; à la deuxième classe, M. le Dr BRIAND, médecin en chef à l'asile de Villejuif (arrêté du 29 ma
istes, conformément à une ordonnance du tribunal de Dôle. Ces trois médecins déclarèrent, dans leur rapport, que Aime X... n
. En reproduisant ces débats, nous croyons être agréable à tous les médecins des asiles d'aliénés, de quelque nationalité qu
tion des d'aliénés), par Sanger Brwvn, 330; - (recrutemettt les médecins adjoints des - par le concours), 331. Astasie
73 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
decine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). F. RAYMOND
ÊMATEUSE TRAITÉS PAR L'INGESTION THYROÏDIENNE; . Par BOURNEVILLE, médecin de Bicètre. (Section des enfants nerveux.) Le
ien chez lequel il était occupé. A cette occasion, le Dl Dubuisson, médecin de l'Asile Cli- nique, dans le service duquel s
(British médical journal, 24 nov. 1874.) L'auteur demande que des médecins auristes soient attachés aux institutions d'édu
ns les Indes hollandaises, LE LA-1-All; par P.-C. vaN BREVO, second médecin à l'asile d'aliénes de Buiteuzorg Java. (Allg.
ant vingt minutes environ : l'os déprimé ne fut pas relevé, mais le médecin , après avoir introduit le doigt dans la plaie,
qu'a observés l'auteur; toutefois, il règne à cet égard, parmi les médecins , de profondes divergences d'opinion. R. M. C.
ir et prendre un peu de la lourde responsabilité qui in- combera au médecin ; 3 M. Vallon trouve mauvaise l'expression ordi
ure dans le placement des aliénés diminuerait la responsabilité des médecins traitants. Un magistrat, ne pouvant qu'être incom
ine, devra toujours recourir aux lu- mières d'un expert qui sera le médecin . Celui-ci, obligé de for- muler une opinion, se
t bénéficié d'une ordonnance de non-lieu, et cela malgré l'avis des médecins . M. Charpentier ne croit pas que la protection
à l'éternelle question des respon- sabilités des magistrats et des médecins ; vous ne faites que déplacer cette responsabili
es que déplacer cette responsabilité en substituant le magistrat au médecin , mais vous ne résolvez pas le problème. M. 13
trasse, 18 ? Secré- taire général : D'' baron de Sclirenck-Notzing, médecin , Munich, Alax-Josephstrasse, 2 ? Organisation
on constatée dans son état l'avait même fait attacher au service du médecin de l'asile. Les renseignements fournis sur le com
misole de force et le déposèrent sur un lit. Ni le directeur, ni le médecin ne furent informés,' ce ne fut que le lendemain
diction formelle avec les dires du gardien Forestier. Le Dr Adam, médecin en chef de l'asile de Clermont, dit que la maison
Asiles d'aliénés. Nominations et promotions ; 11. le D1' Lallemant, médecin en chef à Mal'éville, est nommé directeur-médecin
est nommé directeur-médecin à l'asile de Dijon ; - AI, le Dr Brun, médecin en chef à l'asile de l3rou, bulletin bibliograp
re); M. le U' Vernet, directeur-médecin à l'asile d'Auch, est nommé médecin en chef à l'asile de Maréville (4. novembre) ;
rrl, professeur à l'Université de Iileti, avec la collaboration des médecins les plus éminents de la Russie. Les Archives pa
ÉRALES ; LEÇON recueillie par EDOUARD TOULOUSE, Chef de clinique, médecin de l'Asile Sainte-Anne. Sommaire : I. Nouveau c
usse perception. Par exemple un malade, qui, mis en présence de son médecin , reconnaît en - lui une autre personne, un pare
avec cet instrument, que, si on veut s'entendre, physiologistes et médecins se décident à n'employer que les bobines normal
roïdien. or L.-R. REGNIER. MÉDECINE SOCIALE. SUR LE rôle FUTUR DU MÉDECIN dans LE traitement scientifique DU crime ET des
nt échoué dans cette tâche; l'auteur pense que c'est maintenant aux médecins qu'il convient de s'adresser. Mais l'expérience
esser. Mais l'expérience nous apprend de quelle faible influence le médecin dispose en matière législative ; il faut donc s
orce et son autorité de sa conformité avec la loi naturelle. » Le médecin a su découvrir les moyens de modifier les lois na
, mais la chose est malaisée. C'est surtout au criminel-né que le médecin peut avoir affaire, et son étude serait excessi
eterre, 164 avaient assisté à des exécutions capitales. Jamais un médecin ne pourra logiquement admettre la suppres- sion
e son travail,' et il exprime une fois de plus l'espoir de voir les médecins prendre dans l'élude des questions de criminolo
si fréquemment chez ces malades et sans qu'elles mettent eu rien le médecin sur la voie de l'affection. En effet, sur cen
médical des asiles publics d'aliénés laissait â désirer. Nombre de médecins en chef dès asiles se trouvent à la tête de ser
decins-adjoints, en effet, sont inutilisés, alors que cependant les médecins en chef ne peuvent suffire à la-besogne'. Reste
et de bonnes volontés, bref la même organisation défectueuse. Si le médecin chef de service est débordé par le nombre exces
sif de ses malades et la multi- plicité de ses occupations, - si le médecin adjoint est un rouage inutile, qui se meut dans
en 1839, sont trop chargés : une augmentation dans le personnel des médecins pro- duirait un meilleur classement des malades
rtion des guérisons. » , Plus tard, en 1862, Marcé déclare que le médecin de nos asiles d'alié- nés n'a pas même le temps
e doit donc, toutes proportions gar- dées, être calqué sur celui du médecin . Il lui faut interroger les aliénés nouvellemen
e pour ce dernier, profitable aux malades, elle constitue pour le médecin une précieuse collaboration. Mais pour que cett
isant pour les études spéciales de psychiatrie, constituer pour les médecins ces collaborateurs actifs que nous réclamions p
al prolongé. Il a de plus pour résultat l'absence de liens entre le médecin et l'interne. Ce dernier ne peut, la chose est
matériellement impossible, connaître le service ; d'autre part le médecin , n'osant compter sur un interne plus ou moins n
time de beaucoup préférable l'arrivée fréquente et inat- tendue des médecins et assistants. (Uber Selibalilen fùr Psychiatrisc
ains d'entre eux rendent alors de réels services et sont, pour le médecin , des collaborateurs indispensables dont on voudra
ontradiction formelle avec le Règlement ministériel. Il faut que le médecin se prive du concours d'un aide compétent et dév
r l'étude des maladies mentales. Pourquoi ce licenciement de jeunes médecins expérimentés ? On ne saurait le justifier. Que
« Il convient de ne nommer, autant que possible, aux emplois de « médecins des asiles publics d'aliénés que des élèves y aya
sont nommés par le préfet, sur la pré- sentation du directeur et du médecin en chef; ils doivent être âgés de vingt-un ans
internes dans le même service et à toute collaboration effective du médecin et de son interne. Enfin, par la limitation à t
limitation à trois années de la durée des fonctions, il oblige les médecins à se séparer de ceux de leurs élèves qui s'adon
'asile de Bâle, le premier assistant est chargé, sous l'autorité du médecin en chef-directeur, de la moitié de la division
sur les services considérables que peuvent rendre aux malades et au médecin , des aides aussi compétents et aussi stables.
ion est placé un assistant qui est ainsi chargé, sous l'autorité du médecin en chef, du traitement d'un groupe de 120 à 170
parents. Sa lettre est ensuite soumise à la signature du directeur médecin en chef. Le copie-lettres sert à en obtenir une
titulaires, plus un volontaire ; ce qui donne la propor- tion d'un médecin pour cent malades. A l'asile de Dalldorf (Berli
qui ne compte que 125 malades, possède deux assistants (c'est le médecin adjoint qui est chargé de la division des femmes)
: les assistants peuvent attendre, à l'asile même, qu'une place de médecin adjoint (ou médecin en. second), devienne vacan
uvent attendre, à l'asile même, qu'une place de médecin adjoint (ou médecin en. second), devienne vacante. La plupart reste
sont considérés comme faisant définitivement partie du [cadre des médecins des asiles, qu'après quatre années d'exercice.
nts est en général supérieur à celui de nos internes. A Munich, ces médecins reçoivent, outre la nourriture, le logement, et
peine à le maintenir. » Ces faits montrent combien la situation des médecins des asiles est difficile quand il s'agit de sig
et maîtriser la malheureuse qui venait d'attenter à ses jours. Un médecin , mandé auprès du blessé, a constaté que la plaie
ociété plus de sécurité. CONCOURS D'.\D311S1111LITl. aux emplois de médecin adjoint DES asiles PUBLICS d'aliénés, INSTITUÉS
. 14 avril 18994, un concours pour l'admissibilité aux emplois de médecin adjoint des asiles publics d'aliénés aura lieu à
r à nos lecteurs que nos amis et collaborateurs VI. le Dr BRIAND, médecin en chef de l'asile de Villejuif, et M. le Dr A. M
mourir à Vienne, à l'âge de soixante-huit ans (mars 1895). II était médecin en chef de l'asile de Vienne depuis 1871 et dir
NERVEUX CENTRAL DANS LA POLYNÉVRITE; Par le D' SERGE SOUKIIANOFF, Médecin de la Clinique psychiatrique de Moscou. Peu de
intéresse pas ; il est à tout indifférent et seulement en voyant le médecin , il commence, comme un DU SYSTÈME NERVEUX CENTR
senter des inconvénients; il nécessite l'interven- tion continue du médecin ; peut provoquer des abcès si les liquides inje
; à cette date, le malade entre dans le coma, et l'avis unanime des médecins réunis est que, à moins d'une prompte intervent
nt DE l'épilepsie; par \VULFrr. (Communication faite au Congrès des médecins aliénistes de Basse-Saxe et de West- phalie, 1
e mode de traitement exige une surveillance constante de la part du médecin . L'auteur conseille en outre un régime diététiq
Au point de vue du régime il faut rappeler que, d'après Cheyne, un médecin épileptique a pu rester quatorze ans sans avoir d
ut être accordée « par le préfet, sur la demande du directeur et du médecin en « chef ». Cette disposition très sage a été
rée des fonctions des internes, on permettra à ceux de ces jeunes médecins qui s'intéressent à l'étude des maladies nerveuse
es d'être investis de nouveau. pour deux années, sur la demande des médecins dans le service desquels ils seraient désireux
après quoi, ayant parfait leurs études, ils pour- '' raient passer médecins adjoints, au lieu qu'actuellement, l'in- « tern
s tranquilles. 1l. le professeur Rieger demande (loc. cit.) que ces médecins aient leur logement dans les pavillons de traitem
nétrer dans leur logement. Cette arrivée fréquente et inattendue du médecin vaut mieux que toutes les « visites « et « cont
onctions spéciales et parmi lesquelles pour- ront être recrutés des médecins compétents. Elles fourniront aux ohefs de servi
ale ; les asiles spéciaux d'idiots doivent donc être dirigés par un médecin . Certains auteurs ne considèrent pas comme indi
rès DE médecine mentale ET NERVEUSE. Le septième Congrès annuel des médecins aliénistes et neuro- logistes de France et des
nant les inscriptions et toutes communica- tions à M. le Dr Vernet, médecin en chef à l'asile de Marévilie, secrétaire géné
aliénistes anglais. M. Ireland s'est fait, dans le journal dont le médecin qui vient de disparaître était le rédacteur en
nvier) ; M. le Dr Marie, médecin-adjoint à Dun-sur-Auron, est nommé médecin en chef chargé des fonctions de médecin-directe
cation. B... reste absolument inactive, elle accuse constamment les médecins et les religieuses de lui avoir dérobé sa fortu
is à un degré infiniment faible. Le malade ne voyait pas la main du médecin . On distinguait sur cet oeil une opa- cité blan
es symptômes qui doivent plus spécialement diriger l'attention du médecin vers la syphilis; ces symptômes d'après lui sont
atteint de spermatorrhée, et, ce qui est plus étrange, c'est qu'un médecin consulté par lui partagea son erreur, lui incis
dans le trouble nouveau, pour lequel le malade a consulté nombre de médecins de la région où il se trouvait, l'élé- ment psy
un état important, puisque la simple idée qu'il allait trouver des médecins qui le guérissaient a déter- miné une améliorat
ières lésions sont très variables et ne respectent pas la face. Les médecins de l'Orégon ont fait le diagnostic d'érysipèle et
sgrave CLAY. V. DISCOURS présidentiel prononcé au COLLÈGE royal DES médecins DE DUBLIN, LE 12 juin 1894, A L'OUVERTURE DE la
que unanimement reconnu comme le meilleur et n'a contre lui que les médecins qui en ignorent les avantages, ou ceux qui font
pavillons de malades du bâtiment de la direc- tion, des villas des médecins , de la chapelle, de la cuisine, n'a pas d'impor
des efforts utiles ont été faits dans ce sens à Berlin, et que des médecins aussi compétents et aussi autorisés que les - 7
, il est devenu asile provincial et dirigé par un comité composé du médecin , de l'instituteur et de l'aumônier, sous le contr
era prochainement t transformé en asile provincial et dirigé par un médecin . (Krayatsch. Ja' ! 1 ? f. Psychiatrie, f. 1 et
une rapide analyse suffisent pour faire ressortir l'utilité pour le médecin de connaître exacte- ment ces troubles nerveux,
raitement, elle l'est encore au point de vue mé- dico-légal, car le médecin peut être appelé comme expert à se prononcer de
us semble ne rien laisser à désirer. Sa lectuie s'impose à tous les médecins soucieux de connaître et d'apprécier la nature,
un ictus qui augmenta ses contractures. J- Nom. VIII. Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pa
i sont, sous le rapport intellectuel, au-dessous de la moyenne. Les médecins tout en se servant du mot générique idiots, dis
ent dits - les plus malades ; - les imbéciles : - les arriérés. Les médecins reconnaissent aussi des variétés dans chacune d
lle à partir du 1 ? février 1896 (19 février) ; M. le D'' PICHENOT, médecin en chef de l'asile de Montdevergues, est élevé à
pnotisme ET la LOI; par M. CLARK BELL. L'attention des juges et des médecins légistes a été spécialement attirée au cours de
acdonald, en Amérique. A ce propos, l'auteur a adressé à différents médecins légistes et psychologues une sorte de questionn
e Bernheim et de Liébault. REVUE DE MÉDECINE LEGALE. 337 Quelques médecins légistes cependant se sont refusés à admettre q
de ces examens aux juges pour qu'ils soient confiés uniquement aux médecins seuls compétents. C'est la mesure que requiert
sieurs des observations de mé- ralgie paresthésique sont dues à des médecins ayant rapporté leur propre observation. Il y
nde avant tout la surveillance perma- nente de ce personnel par les médecins ; aussi dans les nouveaux asiles faut-il aménage
; aussi dans les nouveaux asiles faut-il aménager les logements des médecins de façon à per- mettre cette surveillance. C'es
tique aussi les vues de Sommer qui vou- drait faire remplir par des médecins des fonctions analogues à celles de surveillant
service d'hôpital avant de. se consacrer aux asiles d'aliénés. Les médecins de l'asile sont les mieux préparées pour faire
ussi bien à l'attention du magistrat et du philosophe qu'à celle du médecin . Symptôme de la dégénérescence mentale, le féti
Garnier sont impor- tants à connaître pour le magistrat et pour le médecin qui peu- vent se trouver amenés, eu présence de
le est généra- lement représentée au prétoire. mais c'est auprès du médecin de l'asile qu'elle serait bien plus utile, alor
psie et deux laboratoires, l'un pour le Directeur, l'autre pour les médecins . Ces laboratoires sont admirablement installés.
ns génital au point de vue dela criminalité (Rapp. : Dr P. Garnier, médecin de la préfecture ,de police à Paris.) 5. L'inve
r à Padoue, en 1859, fit la même année la campagne du Piémont comme médecin mili- taire, visita ensuite les Facultés de Par
t les visites à la colonie. Notre dévoué collaborateur, le Dr BLIN, médecin de la colonie de Vaucluse, a eu l'obligeance de
ville pour suivre un traitement changent complètement de milieu, de médecin , etc. Comme traitement il faut en première lign
qu'en restreignant la consommation excessive de l'alcool. Aussi le médecin aliéniste doit-il s'intéresser au mouve- ment d
r la cure des buveurs, qui est mieux pré- paré à cette tâche que le médecin aliéniste qui est journellement en contact avec
buveurs, doivent faire l'objet d'une étude spé- ciale. Le devoir du médecin aliéniste est de poursuivre la réalisation de c
et deux ans. Ce dernier a même fondé une ligue anti-alcoolique. Un médecin a réussi à se guérir lui-même, après un long sé
Asiles d'aliénés. - Nominations et promotions : M. le Dr FE- nxnov, médecin adjoint à l'asile public de Lesveilec, est nommé
à l'asile public d'aliénés de Blois; M. le Dr Maumier, directeur - médecin de l'asile de Pierrefeu, est nommé directeur-mé
by, admis à faire valoir ses droits à la retraite; M. le Dr PACTET, médecin adjoint de l'asile de Villejuif, est promu à la
onnelle du cadre à'partir du 1er avril 1896; - M. le Dr JOUR- N1AC, médecin adjoint de l'asile de Châlons-sur-Marne, est nomm
232 Compression cérébrale, par Mac- pherson, 263. Concours des médecins adjoints des asiles d'aliénés, 255. Confusion
en, par Talford Smith, z, parBouineville, 1. Crime. Rôle futur du médecin dans le traitement du -, par Austin Flint, 11
52, 2H, 291. - psy- chiatrique de Berlin, par Sérieux, 103. - des médecins aliénistes de Basse Saxe et de Westphalie, pa
74 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
s ont singulièrement changé; il est rare de trouver aujourd'hui des médecins qui considèrent encore l'hystérie comme une mal
s observations de M. Voisin fort intéressantes. M. B. SOCIÉTÉ DES MÉDECINS NEUROLOGISTES ET ALIÉNISTES DE MOSCOU. Séance
matière médicale. En 1843, il fut nommé au concours (à l'unanimité) médecin résident adjoint de l'hospice de Bicêlre et fut
le. C'est au concours et avec des épreuves analogues à celles des médecins du Bureau central que M. Delasiauve fut nommé méd
ôpitaux et hospices, en 1810, afin de pourvoir aux quatre places de médecins résidents adjoints de Bicêtre et de la Salpêtri
l. Deux ans ét demi après, l'un d'eux, Archambault, ayant été nommé médecin en chef à l'asile de Maréville, la place vacant
ncours, il protesta lorsque Marcé fut nommé directement au poste de médecin créé à la ferme Sainte-Anne, dépendant de Bicêt
l'abrogation de la limite d'âge que leur imposait leur qualité de médecins des hôpitaux. Il refusa d'abord de les suivre, pu
la retraite de l'autre. » Dr DELASIAUVE. 68 NÉCROLOGIE. Comme médecin de Bicêtre et de la Salpêtrière, jusqu'à sa ret
n relief l'importance, au point de vue social, de la médecine et du médecin . Par ses travaux en psychiatrie, M. Delasiauve
iation que nous avons entendu formuler par Axenfeld : c De tous les médecins con- temporains, disait-il, celui qui écrit le
Bicêtre, 1854; Rapport à l'assistance publique au nom du Comité des médecins des hôpitaux, 1846; De la monomanie au point de
M. D31a- siauve. Voici le discours prononcé par M. le Dr FALRET, médecin de la Salpètrière : Au nom des médecins des a
noncé par M. le Dr FALRET, médecin de la Salpètrière : Au nom des médecins des asiles d'aliénés de la Seine, je viens aujo
ciale, l'un des derniers survivants de cette nombreuse phalange de médecins spécialistes, élèves de nos grands maîtres, Pinel
ert, et après de brillantes épreuves, M. le Dr Delasiauve fut nommé médecin adjoint à l'hospice de Bicêtre. A partir de c
atal. Pendant huit ans, il y mena la vie si rude et si méritante de médecin de campagne. Mais les soins à donner à ses mala
nce; il vint se fixer à Paris. Bientôt il était nommé, au concours, médecin de Bicêtre. Dès lors, sa carrière se trouva déf
on sociale. Quelques mots suffisent à faire connaître le savant, le médecin et l'homme au coeur généreux que nous avons aim
e au coeur généreux que nous avons aimé. 16 G NÉCROLOGIE. D'abord médecin de campagne, à Ivry-la-Bataille, pendant une do
is l'appelait. En 1844, après un bril- lant concours, il étaitnommé médecin de Bicêtre. Apartirdecette époque, il marquait
nombreux et si justes hommages qui viennent d'être rendus au grand médecin spécialiste, au savant, au penseur et à l'écriv
la Isolasse du cadre (7.000 fr.); 13 juin 1893. - M. le Dr ADAM, médecin en chef de l'asile de Montdevergues (Vaucluse), e
médecin en chef de l'asile de Montdevergues (Vaucluse), est nommé médecin en chef de l'asile de Clermont (Oise), en remplac
ecteur-médecin de l'asile de Saint- Dizier (Haute-Marne), est nommé médecin en chef de l'asile de Montdevergues (Vaucluse);
eur-médecin de l'asile de Lesvellec (Morbihan); - M. le Dr Carnier, médecin en chef de l'asile de Dijon (Côte-d'Or) ; M. le
A la 2° classe du cadre (G.00.0 fr.), M. le Dr BESSIÈRE, directeur- médecin de l'asile de Saint-Alban (Lozère); M. leDIKERAVA
lades ; sinon, à la vie d'asile, on substitue la vie de caserne; le médecin directeur ne peut plus bien connaître ses malad
serait aussi plus aisée, le traitement médical plus effi- cace. Un médecin directeur peut, sans trop de peine, connaître à
d'ailleurs les occupations professionnelles ou administratives d'un médecin directeur; un homme actif et intelligent vient
n de savoir en déléguer une partie à ses subor- donnés : il y a des médecins d'asile qui écrivent chaque jour vingt ou trent
is, ajoute l'auteur, si l'on demande à un homme d'être à la fois un médecin instruit, un organisateur heu- reusement doué,
si convenablement rému- néré. Chaque asile doit avoir, en outre, un médecin chargé du service anatomo-pathologique, et il n
in chargé du service anatomo-pathologique, et il ne faut pas que ce médecin soit un débutant, faisant là ses premières arme
00, voudrait que le service médical de cet hôpital fût confié à des médecins des hôpitaux de Londres, choisis parmi les plus
seulement, ce ne serait pas un asile, le directeur ne serait pas un médecin , et les malades recevraient simplement, une foi
une fois par jour comme dans les hôpitaux ordinaires, la visite du médecin , mais les médecins qui seraient chargés de soig
comme dans les hôpitaux ordinaires, la visite du médecin, mais les médecins qui seraient chargés de soigner ces aliénés ne
folie doit donner de si beaux résultats, comment se fait-il que les médecins , même versés dans l'étude des maladies mentales
aurait POUR L'ÉTUDE PE l'aliénation mentale A ouvrir LES asiles aux médecins déjà diplômés; par Francis H. W ALMSLEY. (The J
uteur émet le voeu que tous les asiles d'aliénés soient ouverts aux médecins qui voudraient y étudier l'aliénation, et même
élevée ; 3° chaque malade, sans exception, rece- vrait les soins du médecin , et il y aurait au moins un médecin pour deux c
ption, rece- vrait les soins du médecin, et il y aurait au moins un médecin pour deux cents malades; 4° il y aurait une mai
t à leur rendre service si l'occasion s'en présente. Je ne suis pas médecin , je suis jardinier, et certainement je vais avo
ble aux gardes de la conduire à son banc. Ou dépêcha près d'elle un médecin , il revint disant que la malade ne pourrait com
E) Par le D' RAYMOND, Professeur agrégé à la Faculté de Médecine, médecin de l'hôpital Lariboisière, Je viens d'observer
e constante d'une infirmière. L'affection datait de la naissance.Le médecin , qui avait. soigné l'enfant, attribuait cette d
Puis observations personnelles témoi- gnant-des difficultés que le médecin .éprouve à caractériser les troubles de la,parol
FALRET donne lecture des adieux adressés au vieux maître au nom des médecins de la Salpêtrière. La séance est ensuite levée
atrie allemande nous apprend combien, au début, il se trouva peu de médecins qui voulussent se mettre à la tête des asiles e
i traitaient et hospitalisaient 19,530 malades, et occu- paient 261 médecins . En 1890, nous comptons 236 asiles traitant 56,
. En 1890, nous comptons 236 asiles traitant 56,234 aliénés, et 542 médecins . Il n'y a guère de province qui n'ait à coeur d
jeune hystérique qui en imposa pendant près de six mois à plusieurs médecins . La simulation avait eu pour point de départ le
taines peuplades de se teindre le visage. Les inter- rogatoires des médecins dans le sens de la chromhyd rose firent le BIBL
l'anglais par l'auteur. Paris, 0. Doin, 1893. « J'estime que les médecins et étudiants liront avec profit dans ce petit l
tiques, amène parfois la guérison. Dans la maladie de Bcasedo2v, le médecin américain recommande nu traitement absolument p
ays da Galles. B. INFLUENCE DE la POLITIQUE SUR la nomination DES médecins ALIÉNlsn : 3 . aux Etats-Unis. ' t , Dans les
ement distin- gués. En voici quelques passages : . « Le D'' Dewey médecin directeur de l'asile de Kankakée est desti- tué
. Je parle de ce que je sais personnellement, quand je dis que ce médecin est un des hommes les plus estimables, à qui on n
égard à ce qu'il a fait d'admi- rable. Son successeur peut être un médecin de mérite, capable de bien remplir ses fonctiio
mettre en question; mais l'injustice criante commise à l'égard d'un médecin distingué pour des motifs purement politiques,
notre distingué collaborateur et ami le Dr Gilles de la Tourette, médecin des hôpitaux, qui vient d'être fait chevalier de
mille pour son éducatiou. L'année suivante (1856), il était nommé médecin du Bureau central. Quatre ans plus tord (1860),
eu était devenue insuffisante. Parmi les auditeurs, le nombre des médecins étrangers, notamment d'Allemagne, n'avait jamai
inuer. Voilà comment de 1871 à 1879, époque où nous avons été nommé médecin de Biettre, nous avons rempli officieusement da
, qui avait guidé le Maître dans l'étude de faits délaissés par les médecins , consi- dérés sous un jour très défavorable et
ais, en espagnol, en italien, en magyar et en russe. Nul, parmi les médecins contem- porains, n'a eu au même degré cet honne
et il restera dans la série des âges l'un des plus grands parmi les médecins . » J.-M. CHARCOT. 197 i Nous avons essayé, bi
tiques qui ne peu- vent s'empêcher de remarquer que les plus grands médecins meurent. L'art a puissamment aidé sa carrière,
ations choisies, fruit de ses lectures quotidiennes des oeuvres des médecins , des littérateurs et des phi- losophes de tous
et de thérapeutique... A défaut des pompes officielles que ce grand médecin ne voulait point, la France ou ce qui est diffé
ychiatrique de Saint-Péte1's- bourg ; ,- Membre de la Société des médecins Russes de IIloscou,. J.-M. CHARCOT. 207 -1 Me
Deny, Falret, Charles Féré, Gilles de la Tourette, Luys, J. Voisin, médecins des Hôpitaux; M. Duflos, directeur des services
d'être d'un prix élevé. R. M. C. SOCIETÉS SAVANTES CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES DES PAYS DE LANGUE FRANÇAISE. IVe
lation du bureau et l'élection des secrétaires, M. le Dr CHRISTIAN, médecin en chef de la Maison Nationale de Charenton, pr
é ensuite nommés : Secrétaire général : M. le Dr Mabille, directeur médecin en chef de l'asile de Lafond; - secrétaires des
n chef de l'asile de Lafond; - secrétaires des séances : MM. Colin, médecin de l'asile de Lafond, et Pactet, chef de cliniq
nt reçu une flétrissure et un châtiment immérités. Mieux connue des médecins et mieux appréciée des magistrats, elle pourra
on est adoptée. Le Congrès se sépare après avoir voté la fusion des médecins aliénistes et neurologistes des pays de langue
ersonnel de l'asile. Nul ne peut s'intéresser au malade plus que le médecin qui a donné des soins et qi a provoqué la sorti
M. Giraud a, de nouveau, mis la question au point. Les réponses des médecins aliénistes français consultés sur l'utilité de la
e la même année sur la création des Sociétés de patronage. Tous les médecins des asiles auraient dû recevoir notre rapport au
nférences qui rendront service aux malades, aux asiles, et même aux médecins . M. GIRAUD fait observer que ces conférences se
oute séquestration arbitraire est impossible et que le prestige des médecins en bénéficie. Le gouverneur de la province visi
nadmissible. Il ne faudrait pas aller loin pour voir l'influence du médecin devenir nulle en présence de celle des religieux.
enir nulle en présence de celle des religieux. Or, dans un asile le médecin doit être tout; l'administration même doit être
s une surveillance continue et complète; - 3° Il n'y a pas assez de médecins ; ils n'habitent généralement pas à l'asile et fon
l'asile et font de la clientèle. Ainsi à Mons et à Tournai un seul médecin réside dans l'établissement, le directeur, et e
re toutes pratiquées; c'est impossible à raison du petit nombre des médecins ; 12° Il y a trop à faire pour les criminels qui s
êtent pas, soit parce que les ad- ministrateurs et même beaucoup de médecins n'en saisissent pas le mécanisme et l'adaptatio
à ces colonies d'aliénés de Bel- gique : 1° Il n'y a pas assez de médecins , pas assez de surveillants pour suivre tous les
urveillance des nourriciers et des malades reste entre les mains du médecin ; - 5° Ce n'est pas un moyen économique sérieux
la lecture des publications médicales et ses conversations avec les médecins » qui ont poussé l'auteur à l'ecrire, il ne sem
ait depuis quelques mois des crises très violentes d'hystérie. Deux médecins spécialistes ayant examiné la malade voulurent
lendemain matin elle se plai- gnit d'être souffrante et demanda un médecin et, comme on lui proposait d'appeler le médecin
rante et demanda un médecin et, comme on lui proposait d'appeler le médecin de Montgeron : Non, dit-elle, je ne veux pas un
'appeler le médecin de Montgeron : Non, dit-elle, je ne veux pas un médecin de campagne. N'avez-vous pas, ici, un jeune doc
e. Des auto-intoxicalions dans le.1 maladies mentales. (Congrès des médecins aliénistes des pays de langue française. (Sessi
Par M. le D' F. RAYMOND Professeur agrégé à la Faculté de Médecine, Médecin de l'hôpital Lariboisière. 11 n'existe encore q
bstacle à l'amé- lioration de leur situation mentale. Le service du médecin est très mal organisé, il n'y a point de cahier
de choses fut (20 janvier 1843), la nomination dunr Dagron comme médecin préposé responsable du quartier d'aliénés de Font
ent les travaux des malades. Le personnel médical se compose d'un médecin qui remplit en même temps les fonctions de dire
sont simplement meublées. Le personnel médical se compose de trois médecins résidents : on les choisit de préférence mariés
ychiatrie (Archiv. f. Psychiat., XXV.)2 2 P. Keraval. SOCIÉTÉ DES MÉDECINS NEUROLOGISTES ET ALIéNISTES DE MOSCOU. Séance
les points de la France, les docteurs arrivèrent "et l'un 'd'éL,xi médecin à Lorient; qui avait eu, paraît-il,' un-cas analo
sa mort. ' Inutile de' dire que, depuis cette époque, aussi bien le médecin du' pays" que', ceux appelés en consultation,"o
ations et mutations. Par arrêté du 24 juillet : M. le Dr l\10RDRET, médecin en chef de l'asile du Mans, à été admis à la re
r FABRE, mé- decin en chef de l'asile de Montdevergues, a été nommé médecin en chef de l'asile du, Mans en remplacement de
savait s'il devait voir en nous des agents de l'instruction ou des médecins ; aussi hésitait-il entre une réti- cence pruden
ite, il le harcelle de la même manière et le supplie de demander au médecin son certificat de départ si impatiemment attendu.
lles en général, que l'on trouve abon- damment dans les travaux des médecins légistes. Rappelons, en passant, l'atroce féroc
urnal of Mental Science, juillet 1891.) Etude biographique sur deux médecins distingués, dont le pre- seul s'est directement
es reconnues d'aliénation mentale. R. M. C. LX. LA PROTECTION DES MÉDECINS PAR LA LOI ANGLAISE SUR L'ALIÉNATION mentale; p
à l'audience de la Cour d'assises qu'après l'étude des rapports des médecins experts commis pour examiner Valrof et sur le v
gie, p. 65.) M. Falret lit le discours dont il a été chargé par les médecins des asiles et hospices de la Seine. (Voir le mê
eté. Il rappelle ensuite, que la force ne peut être employée par le médecin que dans les cas où un dan- ger immédiat pour l
ue à cette observation est des plus nettes. Ajou- tons que certains médecins y ont vu la simulation. M. MOELI. Des lésions d
hysiologie ( ? ). -Grâce à cette école, tout porte à croire que les médecins neurologiques verront d'ici peu augmenter leur
UTÉS AUTO -ACCUSATEURS ET PERSÉCUTÉS POSSÉDÉS1 Par MM. J. SÉGLAS, médecin de la Salpêtrière et G. BROUARDEL, interne des
peut opposer le mélancolique à 1 Communication faite au Congrès des médecins aliénistes. (Session de la Roclielle, août 1893
te. Croyant à une fracture, vite on le conduit chez le rebouteur ou médecin du village, comme on l'ap- pelle dans le pays.
outeur ou médecin du village, comme on l'ap- pelle dans le pays. Le médecin improvisé fait quelques manoeuvres, déclare qu'
igastrique et la région dorsale, avec anorexie, vomissements. Son médecin crut probablement à une affection organique grave
quelles grosses erreurs les hystériques peuvent faire commettre aux médecins peu versés en neuropathologie : voilà une malade
ans une courte séance d'hypnotisme, mon excellent ami le D' Guibert médecin oculiste, qu'elle était allée consulter dans ce
e voir les erreurs que l'hystérie fait souvent com- mettre même aux médecins qui se prétendent versés dans les études de la
ssaire. L'opé- ration fut faite il y a deux ans par le D1' Guibert, médecin oculiste à la Roche-sur-Yon. L'opération réussi
le traitement delà névrose hystérique et je m'é- tonne que certains médecins se font encore un scrupule d'em- ployer cette m
te ce que l'on peut dire si l'on guérit ? N'est-ce pas le devoir du médecin de travailler de toutes ses forces, par tous les
res rendent leur ablation nécessaire. A un autre point de vue, le médecin n'a pas le droit de pratiquer ni les parents d'
TRÈS honoré confrère, J'ai l'honneur de vous informer que tous les Médecins Neurolo- gistes et Aliénistes de Moscou, réunis
EVNIKOFF, Professeur de l'Université; Président de la Société des Médecins Neurologistes et aliénistes de Moscou. CONCOURS
bien légitimes et ne sont pas isolées, puisqu'au Congrès récent des médecins aliénistes, on avait demandé qu'aucune nomi- na
des médecins aliénistes, on avait demandé qu'aucune nomi- nation de médecin en chef ou de directeur ne pût se faire à l'aveni
sache à quoi s'en tenir exacte- ment sur le mode de nomination des médecins des asiles. Est-ce la nomination directe, c'est
rs a eu lieu en 1890 et la bourse a été obtenue par M. le Dr Marie, médecin de la colonie de Dun-sur- Auron. M. le Roux a
vélocipède dans 1' mentale, par TU. Ewart, 393; la protection des médecins par, la loi , anglaise sur Il mer- tale,' par
lman, 165 ; influence de la politique- dans ,. la nomination des, médecins aux Etats-Unis,' 174. Amnésique, de la folie
Bullen; 58. '; Politique; influence; de la dans la nomination des médecins alié- Pnistes aux.États-Unis,. 174 : ' " Pru1
=en état de collapsus, par libero, 239 ? ? 1 '...j ? Société dés médecins neurologistes "'et'aliénistes de Moscou, 60, 34
75 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
ront, sans doute, peu favorables à la doctrine delà contagion, et les médecins anticontagionnistes n'ontpas man-qué de les faire
adie de toutes pièces ; toujours est-il qu'aux yeux de la plupart des médecins , l'encombrement peut, pour son propre compte, agg
n désigne sous le nom d'acclimatement et sur laquelle l'attention des médecins est éveillée depuis la publication du Traité de l
ntenses de l'abdomen, sont autant de symptômes qui peuvent engager le médecin à insister sur les émissions sanguines générales,
t ensuite en proscrire tout à fait l'emploi. Dès lors, la plupart des médecins , même ceux qui ne pou-vaient compter parmi les pa
ituerait essentiellement une indication empi- rique. En général, ce médecin commence le traitement par un éméto-cathartique.
litz ou 80 grammes d'huile de ricin. D'après son exemple, beaucoup de médecins d'hôpitaux, MM. Piédagnel, Prus, Louis (Notice de
tégorie d'affections est peu connue en France, et c'est pourtant à un médecin français, à M. Louis, qu'on en doit la première m
ances qui favorisent l'apparition de l'œdème laryngé. » Beaucoup de médecins étrangers accordent aujourd'hui une très sérieuse
prolongée ou répétée ait affaibli le malade. VI. Typhus fever des médecins anglais. Bibliographie. — W, Stokes, Clinical l
nérales de médecine, 8e série, t. VI, 1839, pp. 120, 265, et Guide du médecin praticien, t. V, p. 5G5). — À.-P. Stewart, Some c
yphus fever et de la fièvre typhoïde compte parmi ses pro-moteurs des médecins du plus grand mérite, et elle semble chaque jour
l'une ou pour l'autre des opinions contraires qui divisent ainsi les médecins les plus éclairés. Mais nous croyons faire remarq
re pré-sentée de ces symptômes a dû être empruntée surtout à ceux des médecins anglais qui se sont efforcés de le distinguer net
été dans ces derniers temps souvent observée, et bien étudiée par les médecins irlandais (Stokes). Vhépatisationpulmonaire granu
souvent aussi sous forme d'épidémies meurtrières. g. La plupart des médecins de la Grande-Bretagne s'accor-dent à reconnaître
gan). Les purgatifs sont rarement usités dans le typhus fever par les médecins irlandais, au moins comme méthode géné raie de tr
les faits se sont singulièrement multipliés de toutes parts. Aussi un médecin attaché à l'un des hôpitaux de Saint-Pétersbourg,
utes parts. La maladie mérite d'autant plus de fixer l'atten-tion des médecins , que, dans sa forme bilieuse, c'est une affection
s au mois d'août 1864, les autres au mois de novembre. — M. Yworling, médecin du gouvernement à Perm, assure qu'il a vu 40 cas
. — Quels sont les noms, en français et en allemand, par lesquels les médecins des hôpitaux et les professeurs de médecine, à Sa
, s'est montrée contagieuse, comme le typhus en général. » Quelques médecins , chirurgiens, infirmiers et gardes-ma-lades ont é
pi-taux; on ne compte jusqu'à présent que deux cas de mort, parmi les médecins atteints et quelques cas parmi les infirmiers et
cées sur les bords du golfe de Finlande, et qui produisent ce que les médecins nom-ment gentils morborum epidemicus. « La fièv
On n'a pas encore trouvé un traitement qui convînt à cha-que cas; le médecin portant son attention sur la fièvre et sur l'état
phie. — Littré. (Rêpert. général, t. XXIV, 1841, art. Peste). — » Les médecins qui se sont occupés de l'histoire de la peste ont
tails, vivait sous Trajan qui régna de 98 à 117 ans après J.-C, » les médecins Denys, Dioscoride et Posidonius lui sont antérieu
la peste avec symptômes inflammatoires. E. Peste bubonica (quelques médecins italiens). — Beulen-pest (quelques [auteurs allem
eu près naturelle, si ce n'est à la région précordiale, où la main du médecin perçoit un sentiment de vive chaleur (Forestus).
des convulsions. i. Dans certains cas, l'intoxication se révèle au médecin , uniquement d'abord par l'altération profonde des
action fébrile? Y. M. Gosse, loc. cit., p. 80, et Valleix, Guide du médecin praticien, t. V, p. 541), a décrit une forme de l
ns se montrent rarement; les cas foudroyants dominent. Cependant, les médecins bien informés apprennent que, depuis quelque temp
observée dans certaines pro-vinces de l'Indoustan, et décrite par les médecins anglais sous le nom de Paliptague, se rapproche d
ient, ce nous semble, trouver ici leur application (1696-1732). Les médecins des siècles passés se sont souvent appliqués à
la fièvre jaune, ont particulièrement éveillé la discussion parmi les médecins . » (E. Littré, article cité). — Sauvages, Sosolog
ibraltar pour observer Vépidémie de 1828, et par M. le docteur Barry, médecin des armées anglaises, Paris, I8:i0. — Louis, Rech
affaires jusqu'aux derniers moments de leur existence. y. Plusieurs médecins distingués parmi lesquels il faut surtout citer l
r tous les autres points de leur histoire. o. Si les recherches des médecins modernes, si les travaux de Chervin, en particuli
, et qui a appelé, dans ces derniers temps seulement, l'attention des médecins américains; il est volumineux, presque toujours r
tableau symptomatologique du relapsing fever (fièvre à rechute), des médecins anglais, pour faire ressortir les analogies et mo
on est redevable, pour une bonne partie, à la généreuse initiative de médecins français (voyez l'article consacré à la Bibliogra
mittentes bilieuses des pays chauds. THÉRAPEUTIQUE. De l'aveu des médecins qui ont sur ce point le plus d'ex-périence, il n'
l'on but de l'urine d'enfant, etc. Les Notes ou Mémoires émanant de médecins ou d'étu-diants en médecine ont nécessairement un
moyen d'obtenir ce résultat a déjà été employé par un grand nombre de médecins . Il s'agit de pratiquer des injections exlraveine
t, chaque jour, confon-dues l'une avec l'autre par un grand nombre de médecins et phy-siologistes. Grâce à cette confusion, ils
e jour, sans tourmenter assez le malade pour qu'il allât consulter un médecin . Il y a deux ans, il commença à vomir chaque mati
dans la science. Depuis que M. Cruveilhier a attiré l'at-tention des médecins sur cette maladie à peu près inconnue avant lui,
hypothétique qu'ils ont donnée à cette propriété, qui a jeté certains médecins dans un système d'expectation qu'on a stigmatisé
euse influence qu'ont eue sur les progrès de l'art les travaux de ces médecins voués, pour ainsi dire, au culte de l'observation
tions nosographiques. Elle a été entreprise de nos jours par quelques médecins des Écoles de Berlin et de Leipzig. Les faits qui
connue de tout temps ; il ne faut pas croire, par conséquent, que les médecins qui sç sont déclarés partisans de l'expeclation s
Les expectateurs, dit-il, ont toujours fait le pelit nombre parmi les médecins , principalement chez les peuples naturellement vi
férable à Vexpectante, et celle-ci à ïagissante; et à quels signes le médecin reconnaît qu'il doit agir ou rester dans l'inacti
. — Stahl avait cependant eu soin d'établir quels sont les devoirs du médecin expectant, et de montrer que loin de l'autoriser
maladies et souvent applicable aux maladies qui s'en rapprochent. Le médecin sait ici qu'il ne doit rien brusquer : dès que,
va-tion ne paraît pas l'avoir démenti jusqu'à ce jour. La plupart des médecins modernes sont en effet d'accord sur ce point, qu'
delà médecine active. Cependant, les succès annoncés par une secte de médecins dont la prétendue thérapeutique n'est autre chose
lheureusement le nombre en est grand. Les imprudentes tentatives d'un médecin impatient qui s'obstinerait à les combattre par d
squelles les recherches, dont il s'agit, ont été entreprises. Mais le médecin ne peut guère, à moins de bonnes raisons, s'abste
crate, Boerhaave et Van Swiéten. Une opinion qui pousse beaucoup de médecins à diriger contre les affections aiguës une thérap
oque peu éloignée de celle où nous vivons, dit. M. Chomel1, des trois médecins placés à la tête de l'hôpital des Enfants malades
ientifique, ou s'il faut, au contraire, à l'exemple de la plupart des médecins qui nous ont précédés, les prendre en sérieuse co
tes dont l'inanité est loin de nous être parfaitement démontrée. Le médecin expectateur peut être appelé à devenir témoin de
s phénomènes critiques, et qui avaient si vivement frappé les anciens médecins livrés à la pratique de l'expectation. Quelle ser
rieusement les secours de l'art ; ici, l'expectation est interdite au médecin ; mais il n'en est pas de même dans plusieurs aff
nsi que, dans la pneumonie, maladie réputée pour très grave, quelques médecins , réfléchissant aux heureux ré-sultats d'un grand
des différentes, et voyant que les statistiques avancées par certains médecins , dont la thérapeutique n'est pas autre chose que
r répudiés, dans le traitement de ces affections. De même, certains médecins ont pensé qu'il serait utile d'es-sayer la méthod
289 et s. 4. Médecine clinique, 3e éd., p. 458 et s. S'il est des médecins toujours disposés à agir, il en est d'autres qui
dans les traités les plus récents, et le passage suivant du Guide du médecin praticien, de Yal-leix, a été invoqué par les sec
vaincre de l'importance extrême de son traitement. Il est bien peu de médecins qui croient pouvoir se passer d'une médication tr
tre la médecine expectante. Ce que M. Grisolle ma pas tenté, d'autres médecins l'ont fait. Quelques efforts qu'ils déploient p
ont fait. Quelques efforts qu'ils déploient pour s'en défendre, les médecins voués à la doctrine homœopalhique, lorsqu'ils res
dans les statistiques faites par M. Dieth sur une grande échelle. Ce médecin , qui avait déjà publié quelques-uns des résultats
d'une grande importance : Ayant appris que M. le docteur Legendre, médecin de l'hô-pital Sainte-Eugénie, se livrait à des ét
che chez les enfants, j'ai été deman-der quelques renseignements à ce médecin sur les faits qu'il avait observés. Voici la note
ontrer moins rare lorsqu'elle aura suf-fisamment fixé l'attention des médecins et que, d'un autre 1. Il n'est point fait menti
ts essayés jusque-là. En se plaçant à ce point de vue, il n'est aucun médecin qui, en confrontant les faits de M. Wunderlich et
révocablement condamnés à mourir... Si jamais le zèle incon-sidéré du médecin augmente les maux dun malade, c'est bien dans le
oit, est un résultat précieux, digne à tous égards, de l'attention du médecin et du contrôle d'observations mul-tipliées. A plu
e: car les propriétés de cet agent paraissent avoir été inconnues aux médecins de l'antiquité, et bien que la limaille d'argent
offmann l'administrait contre \pi-tuite et la mélancolie, et quelques médecins cités par lui en faisaient usage chez les épilept
icament : cette pratique fut adoptée par Boerhaave, l'un des derniers médecins du XVIIe siècle qui aient fait usage du cristal d
n ont vanté l'usage. Sur le continent d'Europe, ce sont surtout les médecins ge-nevois qui ont contribué à remettre en honneur
ste, au point de vue cli-nique, des caractères qui puissent guider le médecin dans l'administration de cet agent thérapeutique.
és filantes chaque matin. B. Ulcère simple de r estomac. — Certains médecins anglais ont vanté les préparations d'argent, et s
ent. Il a été préconisé par MM. Trousseau, Périer et plusieurs autres médecins : on l'ad-ministre surtout en lavements, et c'est
ard, Dettel et Russ en 1849 et 1850, et par Hei-denheim, en 1855 ; ce médecin en faisait prendre un hui-tième de grain (6 milli
ections des voies respiratoires. A. Phthisie pulmonaire. — Quelques médecins américains recommandent l'azotate d'argent dans l
VII. Hydropisies. Nous avons vu plus haut que Boerhaave et d'autres médecins du dix-septième siècle faisaient l'usage du nitra
ées dans la fièvre typhoïde................ 41 VI. Typhus fever des médecins anglais............................ 50 Le typhu
76 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
decine 'ie Pm is V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Allllc). F. RAYMOND
té délirante; i. 1 . PAR - 1 PAUL SOLLIER, Français BOISSIER, Médecin du Sanatorium de Bou- Médecin adjoint du Sanatori
ade.Un beau matin, ses parents ne parvinrent point à l'éveiller. Le médecin constata qu'elle était dans un état cataleptique
ays de langue FRANÇAISE Pau'lm'-7 août 1904). - Le XIV8 Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pa
laques apparaissent au niveau des bras puis sur la joue gauche. Les médecins consultés portent le diagnostic d'eczéma circin
e de syringomyélie à forme de maladie de Mor- van. D'autre part, un médecin fort distingué, M. Zambaco a défendu celte idée
si l'étude de la maladie a-t-elle été reprise simultanément par les médecins des divers états européens justement désireux d
crétion sudorale, l'hypersécré- tion sébacée à laquelle les anciens médecins savaient déjà reconnaître la plus grande import
omen avec le pneu- mocoque. Pour la lèpre, en particulier, certains médecins , parmi lesquels Babes, Marinesco ont trouvé des
nité délirante 1 ; r PAR R PAUL SOLLIEK, FI(ARÇÇOIS BOISSIER, Médecin du Sanatorium de Bon- Médecin adjoint du Sanatori
celle-ci a passé en Suisse l'été de 1902, sous la surveillance d'un médecin qui n'a noté aucun phénomène délirant et s'est
ellerie. M. DEHONCHY. - Les malades qui guérissent parce que leur médecin leur a prédit ou ordonné, ceux aussi qui guérisse
endre contre les aliénés criminels. Rapporteur : M. le Dr KERA VAL, médecin en chef des Asiles de la Seine. - Discussion. -
evi chez les aliénés. PAR V M, Cil. FÉRÉ, et MIlo A. MOUROUX, , Médecin de Bicêtre.- Interne des Hôpitaux de Paris. On
te d'être décrite à part. SOCIÉTÉS SAVANTES. VIVE CONGRES DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES DE FRANCE ET DES PA
l"-7 août 1904). Séance du 1er août (matin). Le XIV° Congrès des médecins aliénistes et neurologistes s'est ouvert, le lu
e la Seine, et des représentants des autorités locales. De nombreux médecins se trouvaient, réunis, attirés par l'intérêt de
et. On voit, par cet exemple, combien l'alliance intime entre les médecins aliénistes et les Conseils généraux peut être féc
sseur BRISSAUD prend la parole. Il parle de M. Théophile de Bordeu, médecin béarnais né à Izeste. Dans un style où la puret
e leur niveau mental, déjà faible congénitalement. était inconnu du médecin qui les traite, ce déficit passe inaperçu, et a
èse. Séance du jeudi 4 août. Le jeudi 4 août 1904, le Congrès des médecins aliénistes et neu- rologistes a tenu séance à L
ient bien difficiles à réunir ; et c'est en simples curieux que ces médecins aliénistes et neuro- logistes virent, le soir v
à prendre à l'égard des aliénés criminels. Par le Dr P. KERAVAL, Médecin en chef de l'asile de Ville-Evrard. Ce rapport
. Séquestré de piano par elle, il devrait être maintenu tant que le médecin n'aurait' pas délivré à fin de sa sortie un cer
question se réduit donc à l'examen de chaque cas particulier par le médecin traitant. Placez si vous voulez les aliénés cri
raval a eu l'excellente idée de demander au docteur Raoul Leroy, le médecin en chef de Gaillon, un mémoire sur l'état pré-
ttendant, dans les cas urgents, on pourrait, sur rapport spécial du médecin , envoyer à Gaillon quelques types particulièrem
llentes mesures. On pourrait, au besoin, mettre les familles et les médecins dans l'obligation de déclarer à l'autorité, avec
S. tent, à notre avis, aucune intervention de la magistrature. Le médecin traitant n'a, s'il le juge convenable, quand ils
, Gaillon se trouve à notre disposition. il est loisible à certains médecins d'expérimenter cet établisse- ment pour quelque
conformément aux conclusions d'un rapport adminis- tratifs. Restez médecins . A Armentières, nous n'avons jamais eu besoin n
t les pension- naires, lorsqu'ils sont mis en liberté après avis du médecin , res- tent néanmoins soumis à la surveillance d
ent ordonnés par l'autorité judiciaire, après avis consul- tatif du médecin . M. LE Président met aux voix le voeu suivant :
de psy- chologie individuelle. Cette étude nécessite de la part du médecin traitant non seulement des connaissances psycho
a été faite il y a quelques mois sous la présidence de M. Voisin, médecin à la Salpêtrière, assisté de MM. les Docteurs Leg
n, médecin à la Salpêtrière, assisté de MM. les Docteurs Legrain, médecin de Ville-Evrard, et Félix Regnaud, professeur à l
devons ajouter que la méthode hypno- pédagogique, utilisée par des médecins compétents, est d'une innocuité absolue et ne c
nsations de corps étrangers (pierres ou bêles), dans leur tête. Les médecins d'autrefois n'étaient pas éloi- gnés de croire
tués des Asiles. Le Dr Marie (de Villejuif, Seine). Les efforts des médecins aliénistes depuis un siècle ont arraché progres
dans les Asiles pour savoir à quoi s'en tenir sur le sort fait aux Médecins aliénistes de ces établisse- ments en ce qui co
tisie pulmonaire subaiguë. En terminant ses travaux, le Congrès des médecins neu- rologistes et aliénistes qui s'est tenu à
n marteau, puis s'en était dessaisi. Mais le forcené se jeta sur le médecin avec une violence inouïe et lui martela le visage
ulaire alterne. Paris, 1883, 225 p.,· etc., etc. 11 laisse un fils, médecin au Mans, ancien interne des hôpitaux de Paris. (G
nés. - Mouvements de mai, juin et juillet 1904. - M. le Dr Boiteux, médecin en chef à l'asile de Clermont (Oise), promu à l
), promu à la classe exceptionnelle du cadre, - 11. le Dr RAVIAriT, médecin adjoint à Armentières (Nord), promu à la classe
rmentières (Nord), promu à la classe exceptionnelle. M. le De DIDE, médecin adjoint à Rennes, promu à la classe exceptionne
nnelle du cadre. M. le Dr z88 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. MASSELON, médecin adjoint à Pau, nommé médecin adjoint à Cler- mo
88 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. MASSELON, médecin adjoint à Pau, nommé médecin adjoint à Cler- mont (Oise), en remplacement de
Coupon, mis en dispo- nibilité sur sa demande. - M. le Dr Truelle, médecin adjoint à Dun-sur-Auron (Cher), promu à la clas
Cher), promu à la classe exceptionnelle du cadre. M. le Dr AuELInE, médecin adjoint à Dun-sur-Auron (Cher), promu à la 1 re
r-Auron (Cher), promu à la 1 re classe du cadre. M. le Dr LcIIIrFE, médecin ad- joint à Quimper, nommé à Pau. M. le Dr Bect
LcIIIrFE, médecin ad- joint à Quimper, nommé à Pau. M. le Dr Becte, médecin ad- joint à Bailleul, promu à la classe excepti
illeul, promu à la classe exceptionnelle du cadre. M. le Dr Trénel, médecin adjoint, nommé médecin en chef de la Colonie fa
se exceptionnelle du cadre. M. le Dr Trénel, médecin adjoint, nommé médecin en chef de la Colonie familiale d'Ainay-le-Chât
la Colonie familiale d'Ainay-le-Château (Allier). M. le D LwoFe, médecin en chef à Ainay-Ie-Château, nommé directeur médec
M. le D LwoFe, médecin en chef à Ainay-Ie-Château, nommé directeur médecin de l'asile d'aliénés de Moisselles (Seine-et-Oi
. Obsessions et vie sexuelle; P\n LE D' E. MARANDON DE MONTYEL, Médecin en chef de Ville-Evrard. M. Freud, dans deux mé
M. Har- temberg, qui accepte pourtant la névrose d'angoisse de ce médecin et juge sa thèse parfaitement légitime, a ajouté
u'il avait un rétrécissement et qu'il ne parviendrait pas à uriner. Médecin , il apprécia toute l'absurdité d'une telle obsess
pressive. Dans le cas sus-cité le malade parle volontiers avec le médecin de son humeur, de ses associations obsédantes de
le taux de l'acide phosphorique fut accru d'une façon marquée. Le médecin de ma maison, le Dr David Young, conduisit cette
ion du personnel de l'enseignement spécial ; 4° Quel est le rôle du médecin ? A) Dans les écoles pour arriérés pédago- giqu
bibliothèque. Adresser les demandes à M. le Dr Charuel, directeur, médecin en chef. Un meurtrier DE seize ANS alcoolique.
lis, 111 ? Pasquier, s'est pendue dans son grenier. Le Dr Pauthier, médecin légiste, a fait les constatations d'usage. La m
Partie : Traitement DE L'EPILEPSIE. PAR . LE Dr ALEXANDRE PARIS Médecin de l'Asile de Marévillp, Chargé de Cours à la F
êt même de la société à laquelle il fait courir des dangers que les médecins aliénistes ont trop souvent l'occasionde consta
eut pas être renouvelé indéfiniment et qui est peu pratique pour le médecin dont la clientèle est un peu étendue. J'estim
à l'étude des fonctions de la couche optique. Par LE D' BENAKY Médecin de l'hôpital Saint-Charalambe, à Smyrne. De réc
couche optique. La deuxième observation est due à Yimoucopoulo=, médecin de la Section des aliénés à l'hôpital Saint-Cha
eurolog. Centralbl. XXII, 1903.) Au T3° Congrès des Naturalistes et Médecins allemands, Ver- worn a soutenu que le corps de
. L'anatomie pathologique de l'idiotie; par Alzheimer. (Congrès des médecins aliénistes Bavarois, 24 mai 1904, Ansbach), (Ps
é eten même temps de sa cheilophobie J. G. D. XIX. oc Congrès des médecins aliénistes et neurologistes du S -0. de l'Allem
613, vol. 83, p. 1110.) Après un bref exposé des cas délicats où le médecin peut être appelé à formuler un avis au sujet d'
concerne le divorce, la question a été jugée différem- ment par les médecins , les juristes et les juges qui ont précédé l'au
d brillamment et ne présente que peu ou pas de signes physiques. Le médecin affirme que c'est un paralytique. Le juge doit
e sont répartis en trois circonscriptions desservies chacune par un médecin alié- niste. Lorsque la conduite d'un détenu do
suspecter son état mental, le directeur de la prison en avertit le médecin aliéniste de la circonscription, lequel, après
uteur est susceptible de plusieurs améliorations ; il estime que le médecin ordinaire de la prison est placé dans de meille
on centrale se décide à ne plus introduire dans les prisons que des médecins possédant des connaissances spéciales en psychia-
rtunité de soumettre un détenu à une expertise ; il voudrait que le médecin et le directeur de la prison soient investis tous
érale de la folie, de par l'indication et sous la responsabilité du médecin traitant. Les pouvoirs publics et le maire devr
es propriétés voisines. La population est de t150 malades avec cinq médecins et 19 gar- diens, soit un gardien eu moyenne po
aux anormaux intellectuels et moraux, il y a bien longtemps que les médecins s'en sont occupés, ont réclamé pour eux des soi
uveur, à Lille, ainsi que la peine que l'on a eue, malgré l'avis du médecin de cet établissement le déclarant sain d'esprit,
) . VARIA. 443 Ce fait montre la nécessité absolue de la part des médecins de ne pas délivrer de certificats quand ils n'o
ne pauvre femme. Toutes les maladies se sont abattues sur elle. Les médecins la déclarent incurable. Or, conformément au dog
septembre 1904. M. le Dr LÉ- pinte, ICI' du concours de 1904, nommé médecin adjoint, à Pau; M. le D1' Auury, médecin adjoin
du concours de 1904, nommé médecin adjoint, à Pau; M. le D1' Auury, médecin adjoint, à Cliilons-sur-Marne, nommé médecin ad
au; M. le D1' Auury, médecin adjoint, à Cliilons-sur-Marne, nommé médecin adjoint à Maréville (Meurthe-et-Moselle), poste c
-et-Moselle), poste créé; M. le D1' Hoy, 2° du concours 1904, nommé médecin adjoint, à Chialons- sur-Marne ; M. le D1' méde
ours 1904, nommé médecin adjoint, à Chialons- sur-Marne ; M. le D1' médecin adjoint à l'asile d'Auxerre (Yonne), promu à la
uxerre (Yonne), promu à la ire classe du cadre ; M. le D'" Pocuorr, médecin FAITS DIVERS. 447 adjoint à l'asile d'aliénés
ieure) promu à la classe exceptionnelle du cadre ; M. le Dr Brunet, médecin ad- joint à l'asile d'aliénés Saint-Yon (Seine-
teur-médecin à l'asile d'aliénés de la Charité (Nièvre) a été nommé médecin en chef à l'asile d'aliénés de Bail- leul (Nord
té du 19 septembre ! 904. La tradition naguère, était de nommer des médecins directeurs, chose naturelle puisqu'il s'agit d'
habitude, ce qui ne contribuera pas à faciliter le recrutement des médecins . Nécrologie. Nous avons le regret d'annoncer la
nel de l'asile et un grand concours d'amis. - Le 1)1' l'iclieuot, médecin en chef de l'établissement, a prononcé un disco
. L'état mental des incendiaires est, en effet, tout spécial. Les médecins légistes savent que, dans l'immense majorité de
ÉS. Aliénés criminels et asiles spéciaux. Par LE D' V. BOURDIN, médecin en chef de l'asile d'aliénés du Mans (Sar6e). L
). L'accident arrivé à notre collègue, le Dr Vallon, le distingué médecin de l'Asile clinique, ramène l'attention sur la qu
qu'il est Dieu, exige sa sortie, promettant sa divine protection au médecin si sa mise en liberté peut attirer des ennuis à
vent le devenir à un moment donné. Il est hors de conteste que le médecin d'asile, après un certain temps de séjour d'un
e propre, suffira dans la plupart des cas à fixer définitivement le médecin . Ce ne sera pas parce que certains aliénés auro
te, avec le concours du ALIÉNÉS CRIMINELS ET ASILES SPÉCIAUX. 457 médecin , avant que tel aliéné soit classé dans les danger
magistrats n'auraient point la compétence nécessaire, et que si un médecin civil éprouve déjà de l'hésitation pour délivre
n plus, son intervention ne se produirait qu'à la demande même du médecin traitant. C'est lorsque celui-ci jugerait que le
tendances qu'il a manifes- tées à l'asile, ce n'est qu'alors que le médecin solliciterait de la justice le transfert à l'as
l'asile spécial. Mais il est indispensable que la responsabilité du médecin soit dégagée dans une mesure de ce genre; et l'
esure de ce genre; et l'autorité administrative, loin de couvrir le médecin , s'appuierait nécessairement sur le certificat
ciaire, au contraire, a toute qualité pour trancher la question; le médecin n'in- tervient que comme conseil, comme partie
fficile de blâmer l'administration qui refuserait, malgré l'avis du médecin , d'accorder la sortie. Pour le par- ricide, don
son village, et qu'il fût visité d'office, de temps à autre, par un médecin * de la localité. % Si l'on ne fait pas de tra
art des familles, à des attaques de journaux, poursuites contre les médecins , etc., et surtout à de nouveaux crimes en cas d
ls, mais réellement vicieux et intraitables, jugés dangereux par le médecin d'asile- hôpital et susceptibles de devenir cri
LXI. Trophoedème hystérique; par MM. LANNOis et Lançon (Journal des médecins praticiens de Lyon, 31 décembre 1903). Deux obs
ant par- tout que E... venait d'être étouffé dans son lit. Quand le médecin en chef arriva quelques minutes après, E... éta
n du bruit propagé dans tout l'hospice par le pre- mier gardien, le médecin en chef ordonna le transport de E... à l'amphit
ur Ollive, professeur de clinique médicale de l'Ecole de Nantes. Le médecin légiste ne constata extérieurement aucune marqu
puis à Villejuif, nous avons eu à déplorer les attentats contre les médecins aliénistes : Celui de M. le Dr Devay, à Lyon, t
le ; il tombe victime, à la fois de son dévouement professionnel de médecin d'asile et de son apostolat médico-légal. Le ma
eût été ordonnée, laquelle fut confiée à M. le docteur Jour- niac, médecin à l'asile de Saint-Ylie, l'hypnotiseur en questio
11. le Dl' Pain, médecin-adjoint à Laval (Mayenne), nommé directeur médecin du même établissement. - JI. le D' NOL1, BULLET
tionnelle du cadre à partir du le, octobre 1904. M. le Dr COLIN, médecin en chef des asiles d'aliénés de la Seine, promu à
nés de la Seine, promu à la 2° classe du cadre. - M. le De VIALLON, médecin en chef à l'asile d'aliénés- de Brou (Rhône), p
en remplacement de M. le Dr Lépine nommé à Bron. - M. le Dr Vernet, médecin en chef à l'asile de Maréville, promu à la clas
. le Dr LwoFr., médecin-direc- teur de l'asile de Moisselles, nommé médecin en chef de l'asile de Maison-Blanche (Seine), e
e D1' Taguet admis à faire valoir ses droits à la retraite et nommé médecin en chef honoraire. M. le Dr TRE.,iEL, médecin e
la retraite et nommé médecin en chef honoraire. M. le Dr TRE.,iEL, médecin en chef à Ainay-le- Château, nommé directeur-mé
ommé directeur-médecin à l'asile de Moisselles. -111. le D' Bonnet, médecin en chef à l'asile Saint-Robert, nommé méde- cin
joint à la colonie familiale à Dun-sur-Auron. - 11. le' 1 D Dupain, médecin en chef de l'asile de Vaucluse, promu à la pre-
le ' de Bron : condamnation d'un infirmier.- d'aliénés : noms des médecins en chef, des méde- cins adjoints et nombre des.
'étage radiculaire, par Brissaud et Brecy, 63. Congrès. XIV°. des médecins aliénistes et neurologistes de France et des
77 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nt la douleur dans ces cas précédents. Il y a quelques années, un médecin américain fai- sait connaître un procédé d'anes
ment instructifs, en particulier ceux que j'ai recueillis chez un médecin indigène, le Dr l\Iohamed-ben-Larbey (d'Alger).
tique, ils nous ont devancés d'une incalculable période. Tous les médecins qui ont observé les populations indigènes du no
ions judicieuses qu'il nous semble bon de rappeler. « Plu- sieurs médecins , dit-il, ont déjà noté que les épilep- tiques n
GÉNÉRALE CONFIRMÉE. LÉSIONS DE DÉNUTRITION ; Par Henry BONNET, Médecin en chef de l'agile d',tliénés de Châlons-sur-Marn
la sensibilité tactile. D'après William Hamilton ce serait à deux médecins italiens du XVIe siècle, César Scaliger et Cces
chez les hystériques, sont loin de constituer, comme beaucoup de médecins semblent le croire, un caractère essentiel. Cet
e teinte érysipélateuse.De l'iodure de potassium fut ordonné, et le médecin revint l'après-midi ; il trouva le malade debou
eudo-tabès alcooliques ou diphthériti- ques. Ils peuvent tromper le médecin s'il n'y prend garde et l'a- mener à un pronost
de façon à ce qu'ils soientcontinuellement sous la surveillance des médecins . Les aliénés indigents auront droit à une prote
commissaire de police de chaque village l'obligation d'informer le médecin de la etreons- 121 fez SOCIÉTÉS SAVANTES. cri
chaque 'cas nouveau d'aliénation mentale chez un ha- bitant. Si le médecin trouve que le traitement du malade ne pourra se
mises en vigueur : a) pour la po- pulation rurale, l'information au médecin de la circonscription de chaque cas d'aliénatio
ent estobligatoire ou, au moins, est obligatoire la surveillance du médecin sur la régularité du placement du malade; c) si
lance du médecin sur la régularité du placement du malade; c) si le médecin considère tel ou tel traitement du malade comme
forme l'administra- tion, qui, après avoir vérifié la conclusion du médecin , émet une décision correspondante; et d) les co
éliminaire désignée aussitôt que la maladie sera cons- tatée par le médecin . XIII. M. Greidenberg a lu son rapport sur la n
nés dans les provinces réside le plus souvent dans la per- sonne du médecin principal de l'hôpital. Ce médecin n'est pas sp
us souvent dans la per- sonne du médecin principal de l'hôpital. Ce médecin n'est pas spécialiste dans la plupart des cas ;
xe d'aliénés, il est souvent hostile à des propositions émanant des médecins spécialistes attachés au~service d'aliénés, pro
rendre toute la portée. Ces .collisions entre les aliénistes et les médecins admi- nistrateurs sont, cela va sans dire, très
s des aliénistes qui ne veulent pas se soumettre au despotisme d'un médecin ordinaire. Il faut donc donner une autonomie ad
, économique et administratif, de placer la tête de ces maisons des médecins spécialement pré- parés, d'établir les rapports
maison est assujettie à tous les règlements, à toute les visites de médecins , de magistrats, de fonctionnaires de l'ordre admi
illance se manifeste par la nécessité de certificats périodiques de médecins , certificats qui, d'après la commission, devrai
ils ou à l'une de ses filles aliénés, après même s'être entouré des médecins les plus propres à l'éclairer sur le traitement
que la loi de 1838, loi excellente, vous allez le voir, d'après les médecins eux-mêmes ; la législation anglaise, elle, fait
t financière des asiles publics d'aliénés, des médecins-directeurs, médecins en chef et adjoints, et autres fonc- tionnaires
, et autres fonc- tionnaires et employés de ces établissements; des médecins pré- posés responsables, des préposés responsab
es médecins pré- posés responsables, des préposés responsables, des médecins adjoints des quartiers d'hospice; des médecins
és responsables, des médecins adjoints des quartiers d'hospice; des médecins en chef et adjoints des asiles privés faisant f
e trou- ver guérison à sa maladie, recourut aux consultations des médecins . Une vieille femme que les paysans du pays con-
paysans du pays con- sultent pour tous les maux, bien plus que les médecins , lui ordonna de lui faire prendre deux bains pa
s aliénés sont conservés quinze jours et quelquefois davantage. Les médecins de l'hôpital se plaignent d'autant plus vivemen
- FAITS DIVERS Asiles D'ALIÉNÉS.- Nominations : M. le Dr LEMOINE, médecin ad- joint à l'asile public d'Armentières, est n
t PETIT, ancien interne des asiles publics de la Seine, est nommé médecin adjoint (2e classe) à Armentières, en remplacemen
remplacement de M. Lemoine (arrêté du 28 mai). M. le Dr P. KÉRAVAL, médecin en chef de la colonie d'enfants arriérés de l'a
gical Association. C'était un espiit philosophique et laborieux, un médecin savant et pratique à la fois. Il a rendu en neu
MEMBRE SUPÉRIEUR, D'ORIGINE HYSTÉRO-TRAUMA- TIQUE ; Par H. RENDU, médecin agrégé de l'hôpital Necker. La réalité des para
ions actuelles sur les paralysies psychotraumatiques, nom- bre de médecins hésiteraient encore aujourd'hui à se prononcer
LA. PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ L'HOMME; Par le Dr Jules CHRISTIAN, Médecin dc In Afaison nationale de Charenton. Dans l'ar
niaque qui en marque le début. Seulement, qu'arrivait-il quand le médecin rencontrait un cas de ce genre ? Le patient éta
i Charenton fournit un contingent notable de professions libérales ( médecins , avocats, professeurs, artistes, ingénieurs, fo
ait été arrêté par les Prussiens et sur le point d'être fusillé. Un médecin avait couru le même danger pendant la Commune,
coupable. » Voici les renseignements fournis sur ma demande par le médecin traitant : « Elle est née de père et de mère bi
L DE FAITS NOTE SUR UN CAS D'ATAVISME; Par le D'ALEXANDRE PARIS Médecin adjoint de l'asile de Châlons-sur-31arne. G...
rs en l'absence même de la constatation directe des attaques par le médecin , ce qui est le cas le plus habituel. Au point
ire, c'est de le faire décider par une commission mixte composée de médecins , d'administrateurs, de juges, conformément à l'
Seillère, à ce moment, y est exposé avec détails. Ce qui frappe les médecins consultants, c'est l'indifférence du malade sur
luait aussi à la nécessité de l'internement. Plus tard, M. Garnier, médecin en chef de l'infirmerie spéciale du dépôt de la
ait d'urgence un rap- 280 sociétés savantes. port. Entre tous les médecins qui ont visité M. le baron Seillère, il n'y a p
'est livré à des appréciations aussi erro- nées qu'injustes sur des médecins . Peut-être partage-t-il l'opinion de ses collèg
joute-t-il d'avoir rencontré dans l'infor- tune qui l'a frappé, des médecins aussi bienveillants, aussi dévoués dont les soi
er, que c'est bien à tort que l'on a parlé de divergences entre les médecins appelés à voir M. Seillère. De même que j'ai pa
, où il eût été placé pour quelques jours sous la surveillance d'un médecin prêt à intervenir en cas d'alerte ; mais je n'a
s pensionnaires. Ce sont ces faits qui faisaient hésiter M. Falret, médecin traitant, auquel la famille avait confié le ma-
e tentative de suicide, de le surveiller dans un local spécial. Son médecin fournit un certificat d'après lequel, lorsqu'il
e bon lui semble à condition que le traite- ment soit dirigé par un médecin spécialiste ; dans le cas conlraire, l'interven
t de toute nécessité que celle-ci soit mise d'après l'ordonnance du médecin lui-même et que la cause de cette mesure coerci
asse sous un double con- trôle actif : celui du parquet et celui de médecins . Cette dernière proposition mise aux voix a obt
torité. Tenez, messieurs, on a invoqué tout à l'heure l'opinion des médecins et spécialement des médecins aliénistes. Eh bien,
a invoqué tout à l'heure l'opinion des médecins et spécialement des médecins aliénistes. Eh bien, voulez-vous que je mette s
e l'Ecole; nous avons remarqué dans l'assistance MM. le Dr Chaslin, médecin de Bicêtre; Imard, inspecteur général de l'Assi
ue nous .accomplissons en inaugurant, après la statue de l'illustre médecin , cette plaque de marbre, qui vous rappellera qu
ablissements en 1846 et 4848. - Cette même année 1848, il fut nommé médecin résident à l'hôpital de Pensyl- vanie où il att
ches et d'idées sur l'homicide et la folie, et en 1858 il fut nommé médecin consultant de l'asile de l'Etat pour les alié-
ont autant de personnes chez qui le diable a élu domicile. Tous les médecins qui essaient de guérir ces infirmités comme si el
RS Asiles d'aliénés. - Nominations : M. le Dr DetvzET, directeur- médecin de l'asile du Mans, est nommé en la même qualité
nt de M. LEBLOND, retraité (arrêté du 5 juillet). - M. le Dr Girma, médecin adjoint à l'asile Saint-Luc, est nommé en la mê
111. le Dr LwuA1N, ancien interne des asiles de la Seine, est nommé médecin adjoint à l'asile de Vaucluse, en rein- placeme
on s'est à peine servi de narcotiques, auxquels, d'après cer- tains médecins , on doit avoir recours, si on n'use pas de moyens
pendant plus d'un an à notre observation, mais nous savons par les médecins (MM. Bringuier et Mossé) qu'elle va consulter d
DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE; Communication faite au '2° Congrès des Médecins russes A Moscou (lanvier 1887) Par V.aDmn ItO
lades souffraient de la même maladie le tabes dorsualis, alors, les médecins de ladite époque auraient considéré avec grand
les. Ainsi le 19 février 1882, nous avons présenté à la Société des Médecins russes, un malade atteint d'atrophie musculaire
e cette altération était due à la gliomatose (syringomyélie). Les médecins commençaient à s'habituer à la pos- sibilité de
r alors, ont été observés par nous au Dispensaire de la Société des Médecins russes en 1879; il y eut naturellement bien d'a
troubles locomoteurs avec atrophie muscu- laire, ne vint forcer le médecin d'étudier d'une manière plus attentive l'état d
intenant profiter de mes observations, pour attirer l'attention des médecins , sur les troubles de la sensibilité mentionnés
pect de ce nouveau volume suffit à montrer que le zèle du distingué médecin de Bicêtre et de ses collaborateurs, loin de s'
ement à des agents en permanence n'ayant pas d'autre fonction, à un médecin fonctionnaire de l'Etat et d'une compétence épr
er aux deux membres essentiels de celte commission, c'est-à-dire au médecin chargé de veiller sur l'état mental de l'aliéné
ment : créer deux agents, l'un chargé de la partie médicale : le médecin inspecteur; l'autre, chargé de la portion adminis
la portion adminis- trative. La portion médicale est confiée] à un médecin qui sera nommé par le ministre de l'intérieur s
ible, messieuTs de ne pas faire une part à l'expérience de certains médecins qui ne veulent pas s'exposer à un examen. Voilà
s, par conséquent, au point de vue du savoir sont données. C'est ce médecin qui jouera le plus grand rôle. C'est lui qui, d
branler les bases du statut personnel; j'estime SÉNAT. 435 que le médecin , en matière semblable, ne peut être qu'un expert
lément, pour le juge, pour la chambre du conseil, sera l'avis de ce médecin inspecteur. Son institution sera la meilleure d
s garanties données à la liberté personnelle. Mais, en dehors de ce médecin inspecteur, nous devons aussi veiller aux intér
avait proposé d'instituer, il n'y aurait plus que deux agents : le médecin pour la partie médicale, et un administrateur p
aria. 443 Dans l'affaire à laquelle j'ai fait allusion on accuse le médecin di- recteur,-dans d'autres c'était les médecins
llusion on accuse le médecin di- recteur,-dans d'autres c'était les médecins en chef- de se montrer trop faciles dans le cho
en son honneur. Mais, malheureuse- ment, on néglige de dire que les médecins directeurs ne trouvent pas dans les conseils gé
r dans les asiles de bons infirmiers et de bonnes infirmières. .Les médecins des asiles ne dédaignent pas d'instruire eux-même
Comment doit-on soigner les aliénés ? par le Dl Gran- ger, premier médecin adjoint de l'asile de Buffalo'; l'autre : L'urt
une plus grande habileté d'observation, afin de bien renseigner le médecin , de l'ai- der à mieux connaître dans tous ses r
et à suivre scrupuleusement les conseils de vos chefs de service, médecins ouadmiuislraleurs. Le conseil général et l'admini
rer la raison. - C'est dans ce concours de moyens appropriés que le médecin trouve en vous un adjuvant puissant, sans leque
t que votre intervention devient précieuse et c'est pourquoi, nous, médecins et administrateurs, nous avons voulu substituer
nce que nous y attachons. Aussi ne saurions-nous trop remercier les médecins et les in- ternes de cet asile dont le concours
classe exceptionnelle (arrêté du 1er août). M. FABRE, directeur- médecin de l'asile public de Saint-Alban (Lozère), et M.
de l'asile public de Saint-Alban (Lozère), et M. le Dr \1on- DRET, médecin en chef de l'asile public du Mans (Sarthe), sont
a première classe (arrêlé du 1er juillet 1887). - M. le Dr Brusque, médecin adjoint à l'asile public de Vaucluse, est promu
la classe exceptionnelle à partir du 1er mai. - M. le Dr RAIADIER, médecin adjoint à l'asile public de Lafond (Cha- rente-
), est promu à la Ire classe (1er août 4887).- M. le Dr Dunuissorr, médecin adjoint à l'asile de Sainte-Anne estpromu à la
11. le Dr Vernet, interne à l'asile public de Alaréville, est nommé médecin adjoint à l'asile public de Pau, en remplacemen
pris dans la 2mo classe (23 août). - M. le Dr B.R&NDOi4, nommé médecin adjoint à l'asile public de Braqueville (Haute-Ga
78 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ui jusqu'à ce jour avait échappé, croyons-nous, à l'observation des médecins français. Ce trouble fonctionnel, que nous dési
éciale parfaitement perçue par le malade, et qui se traduit pour le médecin par une augmentation considérable de la consist
uise. Le symptôme capital, celui qui seul amène le malade près du médecin , c'est la raideur spasmodique de certains muscl
Archives de Neurologie, no 12, p. 273. DU VERTIGE DE MHNIHRE. 25 médecin ausculte l'oreille du sujet pendant les pressions
ieurs mois, et où j'ai pu en rendre bien souvent témoins les autres médecins de cet hôpital. Ils ont pu constater comme moi
ère, en criant : «X... Va-t'-en ! » Elle prononce alors le nom d'un médecin de l'hôpital qu'elle n'aime pas, et son regard
après l'attaque. Mais c'est toujours à cette phase qu'elle voit'le médecin . Dans un accès furieux elle tombe sur le lit, p
Pétersbourg en l'année 1872. M. Drzewiecki, depuis plusieurs années médecin dans ce pays, y a observé une forme de l'hystér
sont rassemblés dans un endroit, par exemple à l'église. » D'autres médecins de province m'ont assuré que la même c7ai'coucl
ement des convulsions en dehors de l'état de crise. C'est ce que le médecin américain a pu également constater chez sa mala
pour être complet, un essai de séméiotique basé sur l'oll'action du médecin et la valeur curative ou toxique des odeurs par
pline dans les quartiers et créent des difficultés perpétuelles aux médecins . Pour répondre à l'objection qu'on nous faisait
ues ou déments dans les quartiers ordinaires, sur le simple avis du médecin traitant, quand ils cesseraient d'être dangereux.
es faire délirer, elles ont des hallu- cinations terrifiantes et le médecin traitant, pensant déjà à la folie puerpérale, f
nouvelles accouchées et les opérées que l'al- cool prescrit par le médecin , ou administré intempestivement par la garde-ma
rorgement des ganglions cervicaux profonds, et il parait que les médecins du pays, en enlevant ces glandes, peuvent guérir
né en juin 1883. Dauce. XV= CONGRÈS DES MEMBRES DE LA SOCIÉTÉ DES MÉDECINS ALIÉNISTES DE LA BASSE-SAXE ET DE WESTPHALIE.
l à l'une des séances générales de la Réunion des natura- listes et médecins à Wiesbaden (f873) ', une brochure de liasse2 et
nell se ral- lie entièrement aux idées exprimées par M. Petermann ; médecins 1 Aperçus scientifiques et médicaux diriges con
en Suède, en France, en Angleterre. Tel était du moins l'accord des médecins sur ce point au congrès international de Bruxel
u directeur, qu'il y procède lui-même ou par l'intermédiaire de ses médecins adjoints. De même il incombe au directeur de fa
gations imposées par la présente loi. ART. 7. Les directeurs, les médecins en chef et adjoints, les secrétaires en chef, l
es en chef, les receveurs et les économes des asiles pu- blics, les médecins en chef et adjoints des quartiers d'hospices af
des fonctions de directeur ou de préposé responsable avec celles de médecin (et la réunion des fonctions de receveur avec cel
recteurs, des directeurs-médecins, des préposés respon- sables, des médecins en chef et adjoints, des secrétaires, des re- c
t; ce dernier magistrat pourra toujours se faire accompagner par un médecin de son choix. Le maire de la commune pourra cha
trait du jugement de l'interdiction. 2- Un rapport signé de deux médecins ou deux rapports distincts au procureur de la R
e quinze jours avant la remise au directeur, s'il est l'oeuvre d'un médecin attaché à l'é- tablissement, ou si son tuteur e
ns les paragraphes 1 et 2 du précédent article, et un certificat du médecin de l'établis- sement, dit certificat de 84- heu
n de la chambre du conseil, il sera adressé au préfet un rapport du médecin de l'établissement qui con- firmera ou rectifie
sion de la chambre du conseil ; 5° le rapport de fin de mois que le médecin de l'établissement devra adresser à l'autorité, c
nt devra adresser à l'autorité, con- formément à l'article 16. Le médecin sera tenu de consigner sur ce registre les change
reste de l'année, et ultérieurement au moins cha- que trimestre. Le médecin constatera également sur ce registre la date de
des articles précédents, cessera d'y être retenue aussitôt que les médecins de l'établissement auront déclaré surle registre
un interdit, il sera donné immédiatement avis de la déclaration des médecins aux personnes auxquelles il devra être remis et a
is et au procureur de la République. ART. 19. -Avant même que les médecins aient déclaré la guérison, toute personne placé
, le conseil de famille prononcera. I 3 \ VARIA. Néanmoins, si le médecin de l'établissement est d'avis que l'état mental
t. Art. 21. Le préfet pourra toujours, après avoir pris l'avis du médecin traitant, ordonner la sortie immédiate des person
Anar. 24. En cas de danger imminent, attesté par le certificat d'un médecin ou par la notoriété publique, les Commissaires de
, dans le premier mois de chaque semestre, un rapport rédigé par le médecin de l'établissement sur l'état de chaque personn
7 sont applicables aux personnes placées d'office. Aussitôt que les médecins auront dé- claré sur le registre tenu en exécut
e décision du ministre de l'intérieur, rendue sur la proposition du médecin traitant. Section IV. Dépenses du service des a
ements et pensions de retraite des directeurs, directeurs-médecins, médecins en chef et adjoints, secrétaires en chef, recev
crétaires en chef, receveurs et économes des asiles spéciaux et des médecins en chef et adjoints des quartiers d'hospice aff
ents, sous les peines portées au titre 111 ci-après. ART. 42. Les médecins des établissements peuvent, à titre d'essai, au
rieure à neuf ans. Avec la même autorisation, précédée de l'avis du médecin traitant, il pourra vendre le mobilier de l'ali
sables des éta- blissements publics ou privés d'aliénés, et par les médecins employés dans ces établissements serontpunios d
loi, qui seront choisis pour remplir les fonctions de directeur, de médecin ou de régisseur provisoire dans un asile privé
l'école de leur dévouement et de leur zèle, M. le Dol Bourneville, médecin de l'hospice de Bicêtre, a parlé de l'instructi
ement des maladies mentales. Nominations. M. le Dr Briand est nommé médecin du service des bains à l'asile Sainte-Anne. L
e des renseignements relatifs i ce malade m'ont été fournis par son médecin M. le Dur Girou. PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOC
de l'appareil de transmission et d'accommodation de l'oreille, le médecin récolte les dires du malade et note les modific
77 Le son qui s'écoule par le tube otoscopique vers l'oreille du médecin , a traversé le rocher, la caisse et la membrane
oncordance complète entre ce que sent le sujet et ce qu'ausculte le médecin . Dans certains cas, celui-ci sent le son s'étei
née. Les hallucinations continuent. J. veut partir absolument : son médecin le lui a bien défendu, mais il est mort. Elle a
pour savoir où elle dirigera ses pas. Elle veut consulter tous les médecins sur sa maladie, et commence par aller chez un den
s son pays. Elle ne renonce pas il son projet de consulter tous les médecins ; elle va dans les environs consulter le De C..
s environs consulter le De C... Elle hésite, car c'est l'ami de son médecin ordinaire ; mais elle commencera par lui en fai
ns l'Union médicale du 4 février 4882, n" 10); par M. J. Christian, médecin de la maison nationale de Charenton. Cette no
rge de l'Etat. Reste maintenant à régler la sortie définitive : Les médecins qui, comme le croit bien a tort un certain publ
mais je ne partage pas sa manière de voir, quand il veut laisser au médecin seul la lourde responsabilité de la sorlie d'un a
eut commettre de nouveaux crimes. Sans diminuer les prérogatives du médecin , je voudrais décharger en partie sa responsabil
ur qui déciderait chaque année sur les demandes des intéressés : le médecin traitant serait l'inter- médiaire naturel entre
ssion qui présenterait le plus de garanties serait la suivante : le médecin de l'asile, un des inspecteurs généraux, un mag
M. Blanche. M. Motet fait trop petite la part de responsabilité du médecin qui, seul, est compétent pour dire si un individu
simples, grossiers et à la portée du public, les trois membres non médecins de la commission l'emporteront sur les deux méd
is membres non médecins de la commission l'emporteront sur les deux médecins et rendront à la Société des aliénés d'autant p
rmer qu'un 54 f e sociétés savantes. homme est aliéné ou non ? Le médecin . Eh bien ! alors, pour- quoi soumettre son juge
Je ne me plaindrai jamais de l'adjonction d'un trop grand nombre de médecins , mais il faut tenir compte de l'opinion publiqu
la société. Rien n'empêche la commission de charger un ou plusieurs médecins spécialistes de faire des expertises dont elle
tes de faire des expertises dont elle pourra tenir compte ; mais le médecin en chef de l'asile, d'où dépendra le malade, se
itue un pouvoir occulte. M. Blanche. Ne pensez-vous pas que pour le médecin en chef, ayant le malheur de traiter dans son s
formulées les réclamations. Sera-t-il facile de faire voyager le médecin en chef dont l'avis sera nécessaire ? C'est déjà
te ? ... Un aliéné homicide est guéri et réclame sa sortie, mais le médecin en chef ne peut prendre sur lui de répondre, de
éplacement ; l'inspecteur général qui en fera partie de droit comme médecin d'asile, se déplacera seul; on trouvera toujour
a quelque temps, Martin a fait une demande de mise en liberté. Le médecin traitant, consulté par le préfet, affirme que l'i
et surveillantes est confié à des frères et à des soeurs. Il y a un médecin en chef, le Dr Qoiuemant, et un médecin-adjoint
de la chaire des maladies mentales à la Faculté de Paris, est nommé médecin adjoint de l'asile Sainte-Anne, en remplacement
t de M. Régis mis en disponabilité. - NI. le v I(LL1 : 1' est nommé médecin adjoint de l'asile de Prémontré (Aisne), en rem
'asile de Prémontré (Aisne), en remplacement de M. Bouiula, nom- mé médecin eu chef de l'asile de Marseille. Nécrologie. Mo
ogie. Mort, à l'apode soixante-dix-neuf ans, du Dr Francis Ker Fox, médecin et propriétaire du 13rislin;Lou IIouse Asylum.
et, 20 janvier 1883). On annonce la mort de M. le Dr Louis Mongeri, médecin aliéniste, décédé à Constantinople à l'âge de s
r une étude, détaillée, des syip,ôm,es ? d es,,antécédoiits, que,le médecin jera5qonduitAa les reconnaître, et prévenu, exe
iscours prononcé par M. Motet... n 'De la conduite ci tenir pour le médecin , quand il est consulté par un ' · sujet qui se
on. Si l'on' répond par un de ces mensonges, dont le devoir pour le médecin estsouventde charger sa conscience,' on peut se
ien vite à l'idée- de sa mort prochaine et que, par conséquent, son médecin n'a aucune raison pour lui cacher une partie de
rance qui aide à la sup- porter; il est, au contraire, du devoir du médecin d'appeler au chevet' de l'homme souffrant la tr
est, le mot le dit, un songe de l'esprit. » De même, le devoir du médecin interrogé par un fils d'aliéné est de le rassur
r; mais comme l'obligation de dire la vérité n'incombe pas moins au médecin qu'aux autres hommes, il importe que dans l'int
elle qui se présentent par des signes faciles à reconnaître pour un médecin expérimenté. Et je ne crains pas, après avoir p
upons,e1au,,iiIs- d'un aliéné, quand, il e><itsudyéler,pré,dü, médecin des chances qu'il 1,1 I» 1 1 , 1 II II , 1 / »l
ère,ïdevoir de) ALI31od; : àlSpiÂ,aviS",quoillu'il,çniçc>îtte an médecin , celui-ci doiti toujours dire.la véi,itq,93,igé
intellectuels. M. FoUI1,NET. Surtout quand il s'agit de mariage, le médecin doit toujours se rappeler que la responsabilité
rement, M. Ball rapporte un cas d'anémie cérébrale : il s'agit d'un médecin de campagne atteint autrefois de syphilis, qui,
es accidentelles. llvacsr. Briand. CONGRÈS ANNUEL DE LA SOCIÉTÉ DES MÉDECINS ALTI.\1STES ALLEMANDS. SESSION de I·R.lvCfoRT
propose d'adresser non seulement aux cosociélaires, mais encore aux médecins des établissements privés de neuro- psychiatrie
re enfance. La description nosographique de l'idiotie appartient au médecin , et particulièrement au psychiatre. n) Modifica
s de statistique générale qui se remplissent tout les dix ans ; les médecins seraient ensuite chargés de calculer les éléments
ropathes, ou d'accorder aux aliénés une grande liberté a engagé les médecins dans une mauvaise voie, en ce sens que, beaucoup
avec ou sans la conciliation de Hoffmann (colonne dans laquelle le médecin puisse inscrire son diagnostic) ? L'assemblée a
usée par la statistique alle- mande, provient de l'insuffisance des médecins de prisons en ma- tière de psychiatrie. 11 insi
nsolites, (lélie- tueux et criminels ; par le Dr LEGRA\D du Saulle, médecin de la Salpêtrière. (Librairie J.-B. Baillière,
iquée par son inventeur, échoue le plus souvent entre les mains des médecins . Or, une méthode de traitement ne peut être consi
, que lorsqu'elle peut être exposée assez clairement, pour que tout médecin instruit puisse, en l'appli- quant, obtenir les
t promus delà deuxième à la première classe : SI. le Dr Bouchereau, médecin en chef de la section des femmes à l'asile Sain
de la section des femmes à l'asile Sainte-Anne ; SI. le Dr Magnan, médecin en chef du bureau d'admission à l'asile Sainte-
lettre de MM. les organisateurs du Con- grès, un certain nombre de médecins étrangers. Inspection des asiles d'aliénés. Par
ture de police. -- Par suite du décès de SI. Lasègue, sont nommés : médecin en chef, SI. Legrand du Saulle; médecins adjoin
SI. Lasègue, sont nommés : médecin en chef, SI. Legrand du Saulle; médecins adjoints, MM. P. Garnier et Ch. Féré. NÉCROLO
soixante-sept ans. Professeur de clinique médicale à la Faculté et médecin en chef del'infirmerie des aliénés de la préfec
-York le 3 janvier 1883. Né en 1839, il était membre du collège des médecins et des chirur- giens de New-York depuis 1866. I
orée post-paralytique, 119. Congrès des membres de la Société des médecins aliénistes de la Basse-Saxe et de la Westphalie
istes de l'Allemagne du sud-ouest, 257; Congrès de la Société des médecins aliénistes allemands, 389. Contractions muscu
79 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
trêmement infidèles ; ils ne guérissent pas, consultent beaucoup de médecins successivement, de telle sorte qu'il est très d
tait surtout la crainte d'un cancer qui amenait ces malades chez le médecin et assombrissait leur exis- tence. Comme on le
violents maux de tête. Peu il peu, elle fut prise d'insomnies. Les médecins lui conseillèrent de changer de pays et elle al
Douze semaines après l'opération malheureuse relatée plus haut, un médecin auriste de Chicago enleva la racine brisée, ave
estimait devoir lui apporter quelque soulagement, il accablait les médecins qui le soignaient de renseignements sur son éta
On juge par là les nombreusesdiscussions qu'eurent à soutenir les médecins qui le soignaient. Toutefois et de son propre ave
e un remède à son infirmité et qu'en outre, elle voyait au moins un médecin par jour, quand elle n'allait pas consulter les
rtie de chez moi, oubliait ses promesses et se mettait, en quête de médecins ou plus habiles ou plus com- plaisants. Un mé
, en quête de médecins ou plus habiles ou plus com- plaisants. Un médecin distingué, dont je n'incrimine nullement la condu
u physique suffit à déterminer l'apparition des accidents. C'est au médecin à ne pas se laisser tromper par les affirmation
ES LOCALISATIONS CÉUÉB1ULES 2, Faites devant le collège royal des médecins du Londres, Par 0-, VlD FLIIRIER, Médecin du
t le collège royal des médecins du Londres, Par 0-, VlD FLIIRIER, Médecin du King's collège Hospital et du National hospita
quelle le groupement des symptômes était tel que parmi les nombreux médecins qui l'ont examinée, il n'y a eu qu'une voix pou
rendent compte des contradictions apparentes qui existent entre le médecin qui exa- mine le malade en prison et celui qui
nés, ce qui peut causer une confusion dans laquelle tombent tant de médecins , en donnant le nom de paralysie générale à des
et répandirent son nom dans tout le monde savant. Rares ont été les médecins qui eurent, comme l'il- lustre aliémsle de la S
us retrouverons dans la partie syn- thétique de l'oeuvre du célèbre médecin de la Salpêtrière. Ces six mémoires mettent bie
uteur. In-folio, Paris, 1890. Pion, Nourrit et Ci-, éditeurs. Les médecins qui suivent les cours de M. Charcot à la Salpêtri
roit-on, pa"r exemple, qu'un semblable travail ne soit pas utile au médecin , et le livre de M. Richer ne sera-t-il lu et util
la saillie dans laquelle il va plonger son bistouri, mais aussi aux médecins . c Je ne saurais trop, Messieurs, disait avec s
nces d'ordre moral ne s'y opposeront pas. « En réalité, nous autres médecins , nous devrions connaître le nu aussi bien et mê
de vue pratique de conséquences majeures. Mais que diriez-vous d'un médecin ou d'un chirurgien, qui prendrait, ainsi que ce
lés de façon à risquer d'être privés de la surveillance efficace du médecin . R. M. C. » NÉCESSITÉ DE L'HOSPITALISATION DES
médecin honoraire. Arrèté-du 8 novembre 1890. M. le Dr lII,IUNIb.H, médecin en chef de l'asile public de Pierrefeu (Var), e
, est compris dans la 2e classe (11 décembre). M. le Dr iNIAU.4[ER, médecin en chef à l'asile public de Pierrefeu (Var) est
dans la classe exceptionnelle (19 décemhre).-11. le D' Chambard, médecin en chef de l'asile publie de Cadillac (Gironde),
de ses séances la liquidation de la pension de M. le Dr Max- Simon, médecin en chef du service des hommes à l'asile de Bron
sur les maladies mentales. Concours d'admissibilité aux emplois DE médecins adjoints DES asiles publics d'aliénés (Région d
er ces expériences aux profanes et de les confier exclusivement aux médecins . » Le Bulletin médical se demande, non sans que
que ironie, si l'o- pinion de M. Lockroy ralliera les suffrages des médecins membres de la commission. Espérons que non ! si
ti, dont nous parlions dans notre dernier numero,lt. le Dr Mordret, médecin en chef de l'asil6 d'aliénés du Mans, a été fra
'assises; il n'a rien trouvé de mieux, pour cela que de frapper son médecin de deux coups de tranchet. Ce nouveau fait prou
coups de tranchet. Ce nouveau fait prouve une fois de plus que les médecins aliénistes courent journellement de grands péri
nce, nous n'avons rien de 1M FAITS DIVERS. semblable, et tous les médecins qui ont eu des morphinomanes dans leur clientèl
h-Edouard), professeur honoraire à l'école de médecine de Besançon, médecin en chef de l'Asile départemental du Doubs, memb
res et arts de Besançon, prési- dent honoraire de l'Association des médecins du Doubs, est décédé le 10 septembre, à l'âge d
GRAPHIQUE DE CERTAINES NÉVRITES TOXIQUES' ; Par M. E. BRISSAUD. Médecin de l'hôpital Saint-Antoine, agrégé de la Faculté.
s ecchymotiques; aujourd'hui ce sont trois carrés de vitiligo. Un médecin avait conseillé deposertroispetitsvésicatoires
N LECTURES SUR LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES ' Par DAVID FERRIER Médecin du King's Collège Hospital et de l'Hôpital Nation
subitement avec les autres symptômes de maladie ' Portschritte der Médecin , vol. I, n" 6, 15 mars, 1883 (Brain, avril 1888
me atténuée. M. MESSE (d'lllken). Tout le personnel secondaire et 3 médecins ont eu l'influenza. Ont été de préférence attei
ibut de notre admiration et de notre gratitude. « Oui, au nom des médecins de cet hospice, que vous avez si intelligemment
classé le premier des candidats déclarés admissibles aux emplois de médecins adjoints, à la suite du concours ouvert à Paris
n-adjoint à l'asile public de Sainte- Gemmes (Mame-et-Loire), nommé médecin en chef à l'asile public deCadillac(Gironde), e
l'asile public de Bassens (Savoie) ; à la 2e classe, M. le Dr REY, médecin en chef 308 FAITS DIVERS. de l'asile public d
e l'asile public de Saint-Pierre, à 111arsellle : M. le Dr MAMMENQ, médecin en chef de l'asile public d'aliénés de Clermont (
l'asile clinique (Sainte-Anne) ; à la 1 '° classe, M. je Dr Briand, médecin en chef de l'asile de Villejuif; à la 2° classe
Vaucluse ; à partir du le, février 1891, à la 2° M. le D1' FEBVRË, médecin en chef de l'asile de Ville-Evrard. (Arrêté du
réments pour les malades, de réclamations justifiées de la part des médecins . Le département a déjà fait des sacrifices pour
e cette façon, les malades seraient sous le contrôle particulier du médecin , et jouiraient de tous les avan- tages que peuv
meurtre dn Dr LLOYD, par un aliéné évadé, a amené la commisaion des médecins aliénistes de l'Etat à prendre les nouvelles me
liques renfer- mant des essences (absinthe, vermouths, etc.). Les médecins ivrognes aux Etats-Unis. Un bill vient d'être i
eurs d'éther en IRLtNDE, - Après avis conforme du Collège royal des médecins de l'Irlande, le gouvernement, pour restreindre
ns se trouvant souffrant, ses parents, au lieu d'avoir recours à un médecin , se sont adressés à une somnambule, qui leur a
essante à ce point de vue. Une jeune, riche, jolie femme, épouse un médecin sur la moralité duquel, d'ailleurs, on n'a absolu
phinomane. Rien d'étonnant à cela. On sait depuis longlemps que les médecins , qui connaissent pour- tant à fond les terrible
vient d'être publié dans tous les journaux; il a trait encore à un médecin et à sa maîtresse, femme d'un pharmacien. Nous fa
à un clou, au-dessus de la fontaine, dans la cour de la maison. Un médecin appelé sur-le-champ n'a pu que constater le déc
interne d'Esquirol à l'Asile de Cha- renton. vers 1830, était nommé médecin en chef de l'Hospice de la Salpêtrière à la sui
'appelerai, si vous voulez bien, le syndrome de Weber. Weber est un médecin allemand résidant en Angleterre et auquel nous
peu de décoloration de la papille. » Vous voyez d'ici l'embarras du médecin chargé d'annoncer à la famille un diagnostic et
les lésions organiques ; vous voyez quelle serait la situation d'un médecin qui, sur la foi d'un diagnostic anatomique, eût
s repa- rurent dès son arrivée à Paris et elle fut renvoyée par son médecin à la campagne. C'était au mois de mai 1890. A c
ain des douleurs dans les reins, etc. Elle a depuis consulté divers médecins et subi des traitements variés : électrisation, p
ECTURES » SUR LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES « Par DAVID FERRIER, Médecin du King's Collège Uospital et de l'Hôpital Nation
ur tel effet et nous associons aussi avec ' VI Congress für inl1ere Médecin , Neurolog. Centralblatl 1887, vol. VI, p. 213.
des conclusions également acceptables par les physiologistes et les médecins . Car la vraie conception des fonctions et des r
médicament énergique qui doit même être manié avec prudence par le médecin . Les accidents signalés à la suite de l'adminis
ifférents, pour ne pas dire opposés, celui du magistrat et celui du médecin : du médecin qui ne voit dans l'aliéné qu'un ma
ur ne pas dire opposés, celui du magistrat et celui du médecin : du médecin qui ne voit dans l'aliéné qu'un malade à soigne
-t-on croire que des erreurs médicales seront évitées parce que des médecins , dont la compétence en pathologie mentale ne sa
e. Mais en ce qui concerne cette garantie pendant le traitement, le médecin pourra-t-il, sans autorisation de la magis- tra
cal des aliénés et à la division des fonctions de direc- teur et de médecin en chef, abordant ainsi un autre point de dis-
cle finement écrit, après avoir constaté l'incompétence relative de médecins attachés, dès le début de leur carrière, à des
s, nous montre l'antinomie morale qui existe entre les fonctions du médecin et celles du directeur, le devoir de l'un le po
onnaire, il n'est que trop vrai que « le directeur arrive à tuer le médecin >, et du reste, avec la diversité et la mult
tions médico- administratives avec un directeur administratif et un médecin théoriquement égaux et indépendants chacun dans
eurs attributions créant, pour ainsi dire, entre le directeur et le médecin une antipathie constitutionnelle, ne détermine
série de conflits où le directeur a presque toujours le pas sur le médecin et, quelque puisse être du reste le côté victor
rvices qui le constituent, est l'hôpital, M. Chambard donne-t-il au médecin , non la direction générale de l'établissement,
oints, les internes lui seraient directement subordonnés. A côté du médecin en chef, mais à un degré hiérarchique sensi- bl
du corps médical aliéniste. En ce qui concerne l'incompétence des médecins à diriger les asiles conformément aux règlement
igueur aujourd'hui, elle lui parait singulièrement exagérée, car le médecin , dit-il, avant d'être nommé médecin-directeur,
quelque chose de changé si des doléances émanées d'un directeur- médecin étaient formulées d'un côté par un directeur, de
cin étaient formulées d'un côté par un directeur, de l'autre par un médecin en chef ? Et même lorsque, par hasard, le budget
arrive que chez le directeur-médecin, le directeur l'emporte sur le médecin , cela tient non à l'homme, c'est à dire au syst
ce, s'il ne veut pas être déplacé. La formule « le directeur tue le médecin parait froisser M. Garnier qui s'elforce d'y ré
e fonctions iiiédico-adiiiitiisti'a- tives, le directeur eût tué le médecin , mais en avançant le contraire, M. Garnier ne f
ertain c'est que ces maîtres de la pathologie mentale n'étaient que médecins en chef; la critique serait peut-être mieux fon
e parera pas du titre de directeur, si la haute direction morale du médecin ne finira pas par devenir purement nominale et
ion de plus haut, il commence par se préoccuper du choix des futurs médecins d'asiles, c'est-à-dire des internes et des méde
hoix des futurs médecins d'asiles, c'est-à-dire des internes et des médecins adjoints. L'organisation du service médical des
e médical des asiles devrait être consti- tuée par un seul corps de médecins adjoints, recrutés a la suite d'un concours pub
les diverses facultés par le même procédé et aussi par un corps de médecins en chef choisis parmi ces médecins ad- joints d
procédé et aussi par un corps de médecins en chef choisis parmi ces médecins ad- joints d'apies un concours sur titres scien
e l'opinion de M. Cham- bard, car non seulement le directeur tue le médecin en tant qu'homme de science, en lui enlevant sa
on des services, telle qu'elle fonctionne, est inacceptable pour le médecin . Et d'abord, constatons avec quelle négligence
ent êtie recrutés par des concours régionaux puis, comme pour les médecins adjoints, un concours entre ces secrétaires désig
ssi, un corps unique pour toute la France. Enfin, de même que les médecins en chef seraient choisis parmi les adjoints d'a
faire des aliénés criminels guéris ? On sait quel est l'embarras du médecin lorsqu'il s'agit d'eu rendre un à la liberté, q
lie ne peut être faite que par un rapport médico-légal émanant d'un médecin aliéniste, ce qui, du reste, n'empêchera pas le
es conditions dans lesquelles le crime a été commis. Du reste, le médecin doit rester sur le terrain scientifique, pré- p
rt et non l'imposer. Si la folie est bien caractérisée, la tâche du médecin et du magis- trat est facile. Mais dans les cas
liéné n'entrave pas l'action légitime de la justice, il faut que le médecin expert, ne perdant jamais de vue la réalité, se
ité. Ainsi, dans le cas de faiblesse d'esprit, l'on comprend que le médecin expert conclue à une res- ponsabilité limitée,
des formes les plus variées. Il arrive aux mêmes conclusions que le médecin allemand : l'accélération de la digestion chez le
dire un être qui relève de la justice. C'est donc exclusivement aux médecins et aux magistrats à statuer sur le sort de l'al
être rendue à peu près impossible. MARTEL BRIaND. IVe CONGRÈS DES MÉDECINS RUSSES Réunis .1 Moscou le 15 janvier 1891. S
un comité central avec lequel correspondront les directeurs et les médecins de tous les asiles, placés sous la surveillance
médical, qui sera envoyé aux ad- ministrateurs, aux directeurs, aux médecins des asiles. » Les inspecteurs généraux des étab
ndamnation aux travaux forcés, mériterait d'attirer l'attention des médecins , des magistrats et des psycho- logues. Le conda
a discute lundi dernier la question ci-dessous : a L'indi- vidu non médecin , qui se livre sur un tiers à des expériences hy
le), par Manz. Congrès de médecine mentale de Lyon, 155; - (les médecins rus- ses, 460. Contagion psychique, par Wcrne
80 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ne de Paris. ' V. MAGNAN Membre de l'Académie e de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Anne). F. RAYMOND
-motrices dans la paralysie générale; A. MARIE, n J.-B. BIJVAT, Médecin en chef il VllleJulr. Inlerne des Asiles. , ,
arfois aussi ces hal- lucinations psycho-motrices ne se révèlent au médecin que dans les périodes de rémission du paralytiq
de la paralysie générale'; Par le D' E. 11.1Ra\UO\ DE \fONT1'EL, Médecin en chef des asiles publics d'aliénés de la Seine.
echerches originales, pour- suivies depuis tant d'années, le savant médecin de Francfort- sur-le-Mein a résumé tout ce qu'i
n, après une condamnation pour un délit sans grande importance : le médecin de la prison avait porté le diagnostic de syphi
e dans les 2 ou 3 derniers jours. La malade avait désiré tester, le médecin imagina l'emploi de cartes à jouer sur lesquell
es malades. A chaque visite des malades, par les ordonnateurs, le médecin principal, le directeur de la section, elles les
èles appa- rurent en haut près du pli du coude, un chirurgien et un médecin fort instruits crurent à un phlegmon grave et p
s une vingtaine d'an- nées un asile contenant 40 enfants idiots; un médecin visite les malades une fois par semaine. L'hôpi
émoire ; 4° de fonder un capital, destiné à subventionner de jeunes médecins qui désirent faire des voyages à l'étranger dan
eur, ses oeuvres antérieures et ses méthodes habituelles. Et si les médecins y trouvent un précieux guide, les spécialistes eu
d'un franc pour frais. Adresser les réponses à M. le Dl' Doursout, médecin directeur de l'Asile de Naugeat, près Limoges.
Sainte-Catlierine à Moulins (Allier); M. le Dol' NOLÉ, directeur- médecin à Sainte-Catherine,' nommé diJecteur-médecin à Sa
herine,' nommé diJecteur-médecin à Saint- Alban; M. le D1' Boiteux, médecin en chef à l'asile de Clermont, promu il la prem
; Lucien PICQUÉ, : T FEBVRE, Chirurgien en chef des amles publics Médecin en chef de l'asile public d'aliénés d'aliénés d
t réglementer cette délicate question des droits et des devoirs des médecins dans ' le traitement des malades atteints d'aff
que, prié à deux reprises différentes de donner une description du médecin qu'il voit tous les jours, il le dépeint chaque
la nature humaine ; et réciproquement ; 8° Il est important pour le médecin de prendre contact avec la manière de sentir du
es sont si étendues dans les expériences les plus simples (tous les médecins constatent ce fait, en théra- peutique courante
cette femme conversait soi-disant, à tout propos, avec son ancien médecin dans sa pensée; musicienne, elle percevait du res
s. Le 15, après avoir causé longuement avec lui de sa situation, le médecin le prie d'écrire son autobiographie, il le fait
aractères. Un de ses disciples a publié un certificat signé de sept médecins qui décla- rent l'avoir connu de 1850 à 1857 et
rie, juin 1899.) Le bureau de statistique de Zurich secondé par des médecins compétents a procédé le 1 ? décembre 1898 au re
eur exécution, je vous invite à rappeler aux directeurs-médecins et médecins en chef des asiles, qu'ils devront, dans leurs
n avait établie autour d'elle, elle se précipita par la fenêtre. Un médecin , aussitôt appelé, déclara que la mort avait été
tion, sans hallucinations, offrant des garanties de sécurité. Les médecins qui, par ignorance des maladies mentales, consen-
a conférence tous ceux qui s'inté- ressent aux idiots : magistrats, médecins , prêtres ,'et professeurs. Comité de la neuvièm
it, par... un inconnu dans lequel nous avons reconnu le sympathique médecin en chef de l'établissement, M. le D1' Marcel Br
l'établissement, M. le D1' Marcel Briand... Où diable l'esprit des médecins va-t-il se nicher pour dénicher d'aussi vieillr
médecin-adjoint à l'asile de Fains (Meuse) ; 111. le De b : GRAIN, médecin en chef à Ville-Evrard, promu à la classe excep
(Pas-de-Calais), promu il la li classe du cadre ; M. le Du VERNET, médecin en chef de Maréville, promu à la 1'° classe du
oolique. (Le Progrès de l'Lzcre, 7 mai.) > . Folie subite d'un médecin . - Coups de couteau. Huit victimes. (Londres, 7
nfin; être arrêté et enfermé. Les huit victimes (encore vivantes du médecin ont été transportées à l'hôpital. (Le Journal d
lgie intense, des vomissements, de lacousti- pation, si bien que le médecin qui est appelé auprès d'elle émet, de prime abo
e, n'est généralement que mal ou pas perçue par le sujet, et que le médecin ne l'observe presque jamais au début. Il faut d
STES DE FRANCE ET DES PAYS DE LANGUE FRANÇAISE Le XIe Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pa
s, M. le Préfet de la Haute-Vienne, notre ami Edgard Monteil, les médecins de la Ville, et un grand nombre de person- nali
es : Messieurs, Aux termes du règlement de votre Association, les médecins aliénistes et neurologistes se réunissent chaqu
même coup celui de Limoges comme lieu de réunion du XIe congrès des médecins aliénistes et neurologistes. Mes chers collèg
e puis m'empêcher de penser qu'en dehors des services' rendus comme médecins à vos semblables, vous avez comme marque distin
du conseil, l'agréable mission de le représenter au XIe congrès des médecins aliénistes et je ne saurais vous cacher que je
n faisceau de documents scientifiques et administratifs où tous les médecins aliénistes, quelle que soit leur propre érudition
ole de médecine; M. le professeur Bouchard ; M. le D1' Bourneville, médecin de Bicêtre; M. le professeur Brissaud; M. le pr
es; M. le professeur Raymond. Vice-présidents : Dl. le D'' Boubila, médecin de l'asile de Marseille ; M. le De Lannois, pro
ec un peu de cette camaraderie, dont l'esprit n'abandonne jamais le médecin au cours de sa vie professionnelle, que vos col-
esprit particulier, la grâce inhérente à leur sexe. Messieurs les médecins de Limoges, le corps médical du Limou- sin vous
fait remarquer qu'il serait bon d'émettre un voeu analogue pour les médecins en chef qui devraient toujours fournir les dire
ses anomalies comme stigmates de dégénérescence ; par le De Lucns, médecin militaire des colo- nies. Les malformations q
e d'auto-accusation (étude médico-légale); par le Dr Pierre OUDARD, médecin de la Marine. Le délire d'auto-accusation, cons
ralysie générale simple, démente ou sans délire ; par le Dr Dorrou, médecin de la Marine. , Il existe réellement une paraly
oire médicale de J.-Jacques Rousseau ; par le Dr Georges l Sibiril, médecin de la Marine. L'auteur admettant les conclusion
mme Normand, avril). - En présence de tels faits, il y a encore des médecins qui réclament la liberté pour les aliénés et pr
ertaine quantité d'alcool, voici une déclaration adressée parles 69 médecins du Finistère à leurs com- patriotes : Nous sous
nt-Robert (Isère), promu à la 4 ? classe du cadre; M. le D' DODERO, médecin adjoint à Saiut-1'lie, promu à la 11'0 classe d
nt été nommés chevalier de la Légion d'honneur : M. le D'' Garnier, médecin en chef, directeur de l'asile d'aliénés de Dijo
ue beaucoup de défauts de caractère des enfants ne reçoivent pas du médecin une attention suffisante, qu'ils sont assez sou
mot à l'occasion de ce Congrès. Nous avons toujours encouragé les médecins qui faisaient de telles publications qui ont un
oges, M. Chénieux, directeur de l'école de médecine, la plupart des médecins de la ville, parmi les- quels nous avons été he
l'organisation défectueuse de l'enseignement clinique, beaucoup de médecins n'ont qu'une con- naissance imparfaite des mala
s signes de l'idiotie ont été reconnus, à deux ans, même avant. Les médecins embar- rassés consolent les parents en leur dis
uées, sans lieu d'élection, pour les maladies les plus diverses. Un médecin des hôpitaux de Constantinople les emploie syst
que cas doit inspirer des modifications particulières, le doigté du médecin le guidera pour le choix du médicament à adjoin
excellents. Les bonnes colo- nies sont celles qui, dirigées par des médecins , imposent le régime thérapeutique et diététique
ait été arrêté. On dit que son évasion a été favorisée par un jeune médecin polonais, M. Alazurkewitsch, qui tout récemment
cin polonais, M. Alazurkewitsch, qui tout récemment avait été nommé médecin assistant de l'asile Saint-Nicotaï. (La Nouvell
ons. M. le D'' Colin, médecin-adjoint des asiles, en disponibilité, médecin du quartier spécial de Caillou, est nommé médec
en disponibilité, médecin du quartier spécial de Caillou, est nommé médecin en chef des asiles de la Seine et chargé, en ce
s. Il est compris dans la 3° classe du cadre. AI. le 1)' 1 ? aDreR, médecin de lr° classe à Rodez, est promu àla classe exc
L'influence de l'alcool et du tabac sur le travail; Par CH. FÉRÉ, médecin de Bicêtre. Lorsqu'on considère avec quelque at
de la peau chez les aliénés ; Par le D' E. MARANDON DE MOXTYEL, Médecin en chef de Ville-Evrard. Les réactions de la pe
ption ni la pigmentation consécutive observée une fois par les deux médecins de Bicêtre. Il est assez difficile, écrivent MM
5 p. 100. Mais il n'en résulte pas moins tant des recherches de ce médecin que des nôtres que si la dermographie est un pe
vraiment trop surchargé et les ivrognes ont depuis cette époque un médecin spécial. Voici le tableau que fournissent nos 3
débilité mentale notre proportion est à peu de chose près celle du médecin de Bicêtre, mais alors qu'il donne pour les dém
ait M. Saegart, fut attribuée à l'hospitalisation des idiots, et ce médecin , assisté par un maître et deux maîtresses, réus
que peu intéressée à cette question, lorsque, en 184 ? le Dr Scott, médecin principal de l'Institution pour l'éducation des
plissait Seguin à Bicétre. Ces articles attirèrent l'attention d'un médecin philanthrope, le Dr Andrew Reed, qui, avec l'as
ndance aux rechutes. Pour réaliser le premier de ses desiderata, le médecin dispose de nombreux et utiles moyens thérapeuti
HYSLOP. (The Journal of Mental Science, jan- vier 1900.) Tous les médecins d'asile connaissent certaines modifications de
r incombent, ne sont que trop rarement de véritables auxiliaires du médecin ; c'est ainsi qu'ils se formalisent des injures o
s plaintes de M. Taguet au sujet. du peu d'autorité qu'exercent les médecins sur le personnel des services généraux, et l'op
fférentes qu'occupent ces deux méde- cins, l'un étant exclusivement médecin en chef- et l'autre directeur- médecin. Il esti
ns, l'un étant exclusivement médecin en chef- et l'autre directeur- médecin . Il estime que le diplôme rendra le personnel des
ra le personnel des services généraux plus subordonné à l'égard des médecins et plus conscient de ses devoirs à l'égard des
ions ne pourraient, au reste, avoir lieu qu'avec l'assentiment du médecin . , M. Drouineau demande que l'on précise ce qu'
sur les soins à,donner aux aliénés pourrait être fait par l'un des médecins des deux asiles et, à l'occasion, M. Giraud prê
, en Angleterre, aux Etats- Unis en particulier. Dans ces pays, les médecins des asiles font des cours à leur personnel. Les
in, avec assistance de tous les élèves, par séries, aux visites des médecins qui devraient leur donner des conseils pra- tiq
re. Les chefs d'atelier, s'ils étaient de véritables auxiliaires du médecin , ce que nous essayons de réaliser, contribuerai
sister pendant quelques mois à la 430 ASILES d'aliénés. visite du médecin qui leur donnera des conseils en vue de leur rô
des plaintes très vives de la part des parents, des familles et des médecins . Dans ces derniers temps ces réclamations sont
mposé, par voie de tirage au sort, de sept membres, savoir : Quatre médecins en chef désignés parmi les médecins titulaires
sept membres, savoir : Quatre médecins en chef désignés parmi les médecins titulaires ou honoraires des asiles publics d'ali
de l'infirmerie spéciale du Dépôt près la Préfecture de police; un médecin en chef des quartiers d'hospice de Bicêtre et de
en chef des quartiers d'hospice de Bicêtre et de la Salpêtrière; un médecin des hôpitaux; un chirurgien des asiles de la Se
d'après les communications de MM. SoLI et DANNEMANN, au Congrès des médecins aliénistes de Francfort, 1900. Les grands ava
uestion étant pour ainsi dire inconnue en France. M. le Dr Sioli, médecin en chef de l'asile d'aliénés urbain de Francfor
ensemble de ce quartier-constitue un service spécial, dirigé par un médecin n'ayant pas d'autre section. D'autres plans s
Internes et Anciens Internes des Asiles de la Seine, est, pour le médecin aliéniste, un véritable vade-mecum où il trouvera
e, de nombreuses indications relatives à l'Association mutuelle des médecins ahénistes de France, à l'enseignement de la psych
es de France, à l'enseignement de la psychia- trie, aux concours de médecin adjoint des asiles d'aliénés, aux prix de l'Aca
groupement que cette publication annuelle se recommande à tous les médecins aliénistes. VARIA. LES mendiants ET .les vaga
ier, chef du service des aliénés à la pré- fecture ; la plupart des médecins en chefs des asiles de la Seine, M. Magnan, mem
llon, de l'Asile clinique; MM. Briand, Marie, Pactet et Tou- louse, médecins en chef à Villejuif. - M. Dupain, de Vaucluse;
es points spéciaux de nature à intéresser plus particulièrement les médecins . Les figures 14, i : i, et 16 représentent les
influence de l'alcool et du tabac sur le travail ' ; Par Cii. FÉRÉ, médecin de Bicêtre. II. En ce qui concerne le tabac à f
a maladie actuelle semble remonter déjà à quelque temps, puisque le médecin qui a rédigé son certificat d'admission signale
e mutisme hystérique dans l'histoire ' ; . Par le D' RAOUL LEROY, Médecin adjoint de l'asile des aliénés tl'EHenx. L'hist
us en avons un exemple frappant dans l'observation suivante qu'un médecin de mes amis avait apprise de son frère. Un pays
curieux de transcrire l'explication que donne de cette guérison le médecin du xvne siècle. - Ne peut-on pas attribuer le r
trouve dans Bartholin une histoire à peu près analogue. L'illustre médecin danois rapporte qu'un citoyen de Copen- hague a
nombre de saignées du bras, du pied, par l'émétique et parplusieurs médecins , mais l'effet de tous ces remèdes fut suivi d'u
lie », ni qui puisse se borner à dire : « Ce malade est fou ". Tout médecin doit, en remontant dans les antécédents, assign
res médicales ordi- naires. Il y a pour cela une classe spéciale de médecins , dits doc- teurs priants, qui vendent au malade
e 1899, p. 257 à 273.) - Les auteurs ont procédé en adressant aux médecins de tous les asiles d'aliénés des Etats-Unis et
les gardiens chargés de l'éducation de l'enfant et secondement les médecins de famille ; 9° La condition présente réclame u
9° La condition présente réclame une instruction plus soigneuse du médecin en tout ce qui concerne les maladies mentales e
M. Febvré, le prix Sémelaigne est partagé entre MM. Samuel Garnier, médecin directeur de l'asile de Dijon, et Lalanne, mé-
teuse dans lesquels, pour des raisons d'analogie clinique, certains médecins ont institué, avec succès, la médication thyroi
éraux : l'un d'eux se croyait transformé en sa femme et écrivait au médecin pour réclamer la sortie de son mari; l'autre cr
nt à Armentières, est nommé à l'asile de Dury; -, M. le Dr Raviart, médecin adjoint à Dury, est nommé à l'asile d'Ar- menti
ury, est nommé à l'asile d'Ar- mentières (Nord); M. le Dr THIBAI1T, médecin adjoint à Quâtre-, Mares (Seine-Inférieure), es
, est promu à la classe exceptionnelle du' cadre; M. le Dr DousooT, médecin directeur de l'asile 'de Naugeat,' est admis à
gnement de la médecine légale psychiatrique. M. le Dr Paul GARNIER, médecin en chef de l'Infirmerie spéciale des aliénés :
omme cause et complications de la , par Conford, 138. subite d'un médecin . 176. d'un régicide, 207. Guene du Trans- vaa
81 (1895) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1894
ARRIERES DE BIGÈTRE PENDANT L'ANNÉE 1894 PAR B O U RN EVILL E MÉDECIN DE BICÈTRE Avec la collaboration de M. LE D'
s pubères pendant et après leurs règles, car nous estimons que tout médecin digne do ce nom doit veiller à l'hygiène sexuel
par trumeau. Nous rappellerons une fois de plus que la plupart des médecins qui se sont occupés de la construction des asil
ations auprès des personnes en ser- vice ; je me suis adressé à des médecins , à des internes. J'ai trouvé auprès d'eux sinon
a capite ad calcem. o La loi veut aussi que, tous les six mois, le médecin fasse ce qu'on appelle un certificat semestriel
au. Vous savez tous, Messieurs, de quelle importance il est pour un médecin de savoir comment un malade urine. M. Alpy. Lis
é qu'il sagissait là d'observations inconvenantes et défendues au médecin , ceci soit dit, non pour les médecins, mais pour
inconvenantes et défendues au médecin, ceci soit dit, non pour les médecins , mais pour les profanes qui ignorent que ce mod
ire à des êtres humains, et qui plus est a des malades. Et comme un médecin doit toujours être très prudent, et se prémunir
ue les observations faites avec pru- dence et circonspection par un médecin complètent très heureusement celles que les enf
4 Question DE M. Deville. d'après les mesures anthropométriques. Ce médecin se rend compte de la situation sanitaire généra
'il en existait, afin d'y remédier. Je crois que c'est le devoir du médecin , et si j'en ai un instant profité pour en tirer
de faire ; et nous savons que pour examiner les malades tous les médecins ont grandement raison de les faire mettre à nu.
M. Bourneville aune objection qu'il prévoit : n Comment, dit-il, un médecin pourrait-il examiner un malade s'il lui est déf
envoyés à la campagne ou aux bains de mer durant les vacances, les médecins de nos écoles font certains examens du corps, i
ui n'est pas. Je réponds à M. Georges Villain et je redis que les médecins de nos écoles visitent les enfants chaque fois
Bicêtre, 1894. 2 18 , QUESTION DE M. Deville. Eh ! Messieurs les médecins , quand vous avez entre les mains un malade atte
uration, un danger réel (1). Ce n'est pas leur rôle, c'est celui du médecin et exclusivement du médecin. Il y a là une obse
Ce n'est pas leur rôle, c'est celui du médecin et exclusivement du médecin . Il y a là une observation dont vous retiendrez
méde- cins préconisent son système, et il nous cite l'opinion des médecins qui partagent son avis. Ces médecins se bornent à
et il nous cite l'opinion des médecins qui partagent son avis. Ces médecins se bornent à une seule individualité et cette u
nous discutions toujours sur un malentendu. Nous admettons avec les médecins que lorsqu'un individu est malade il leur appar
entier (i). M. Levraud. C'est trop tard. (Bruit.) M. Deville. Les médecins peuvent préconiser la médecine préventive. Nous
frir des garanties, moindres, à cause de leur âge, que celles des médecins . Mais quand il s'agit des infirmiers et des infir
été faites afin de per- mettre au personnel de bien renseigner les médecins sur les troubles qu'ils pourraient observer che
amner la pratique de M. Bourneville, M. Deville vous disait que des médecins , consultés sur la valeur de la pratique d'un co
rneville pour suivre l'évolution de la puberté, il ne faut pas être médecin pour savoir que c'est dans l'idiotie une époque
our savoir que c'est dans l'idiotie une époque critique et que tout médecin soucieux de ses devoirs doit se tenir au courant
zet. Alors donnez des explications claires; tout le monde n'est pas médecin . M. le Directeur de l'Assistance publique. Ce q
. Ce que j'ai dit n'a pas, j'en suis certain, été compris des seuls médecins ; (1) Pauvre M. Alpy qui ignore que les livres
les livres de Trousseau et Hardy sont clas- siques et que tous les médecins les lisent. Il y a bien d'autres auteurs que je
isent. Il y a bien d'autres auteurs que je pourrais citer, mais les médecins auxquels je m'adresse ici trouveraient qu'en le
ls faits se seraient passés, on ne se contenterait pas de blâmer le médecin , on le prierait de ne plus revenir. Ici, l'homm
istance publi- que conffhe sujets d'expérience de toutes sortes aux médecins , « Invite l'administration de l'Assistance publ
ocuments qui précèdent, une nouvelle obser- vation qui montrera aux médecins , les seuls juges compétents que nous reconnaiss
de d'observation positive qui est suivie et conseillée par tous les médecins qui sont chargés de l'enseignement clinique.
l'onanisme. te laves, je te dirai comment tu te portes a écrit un médecin hygiéniste. La passion politique a poussé nos a
ls et elles (1) Il ne s'agit pas du l'ère Eternel, mais du D' Dieu, médecin principal de l'armée. Rech. sur le sperme des v
lecteurs, d'être entré dans un exposé aussi minutieux et que vous, médecins , vous trouverez peut-être inutile. Tous les jou
vons la conviction de n'avoir point dépassé les limites permises au médecin dans l'observation des malades, nous allons rep
des enfants qu'ils ne connaissent que très imparfaitement. C'est le médecin , ou à défaut le surveillant, qui doit fournir c
s convulsives des enfants. Cela est d'autant plus nécessaire que le médecin , pré- sent sculemement durant quelques heures d
on mari. Cette perte de connaissance aurait duré une demi-heure. Un médecin prus- sien, qui se trouvait là, aurait dit que
ance de l'enfant ne se ferait plus, que le travail était arrêté. Un médecin français, appelé à son secours, aurait porté le
redouté d'abcès, mais on a signalé la possibilité de l'asphyxie. Le médecin , en examinant la gorge, aurait trouvé qu'il y a
e que sur un terrain déjà préparé. Toutefois, il serait bon que les médecins , qui consentent à faire partie des délégations
s. En pré- sence des inconvénients qu'il y avait, selon nombre de médecins , à placer un asile de femmes aliénées à côté d'un
rveillance a fait prévaloir en partie à l'asile de Ville- juif, les médecins en chef, ont chacun leur pavillon d'habitation.
e. 135 hystériques est cle nature à donner une lourde besogne aux médecins et à l'administration de l'asile. Nous ne penso
u délire. Dans l'état actuel, à défaut de cet article spécial, le médecin peut agir par la persuasion, ajourner le plus p
82 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
decine de Paris. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). MM. : F. RA
iles d'aliénés. - Mouvement de novembre 1903. -- M. le De Marchand, médecin adjoint à Blois, nommé à la 11,1 classe du cadre.
Blois, nommé à la 11,1 classe du cadre. M. le or DERicQ, directeur médecin à l'asile de Bonneval, promu à la classe except
neval, promu à la classe exceptionnelle du cadre. M. le De Sizuiet, médecin en chef à l'asile de Rennes, promu à la 1 ? cla
ile de Rennes, promu à la 1 ? classe du cadre. M. le Dr DUBOlJRDlNj médecin adjoint à l'asile de Pau nommé di- recteur méde
e Dr DUBOlJRDlNj médecin adjoint à l'asile de Pau nommé di- recteur médecin à l'asile de Leovellec (Morbihan), en remplacemen
remplacement de 114. le Ur Schils, démissionnaire. M. le Dr TIRADE, médecin adjoint à l'asile de la Charité (Nièvre), promu
ur, sans chaussures ; tout son habit est en désordre. A l'entrée du médecin , il tâche encore plus de se cacher. Aux questio
en colère, le malade commence à rire aux éclats en se détournant du médecin et con- tinue à résister. Souvent on parvient à
s'asseoir à table ; il mange avec appétit. Un jour, à l'approche du médecin qui lui demanda quelque chose pendant qu'il din
la cuiller à la main attendit qu'on le laissât en repos, lorsque le médecin s'éloigna, il se remit à man- ger avec le même
urage, ne sait pas qu'elle se trouve dans un hôpital; la chambre du médecin elle prend pour un con- fessionnal, nomme le mé
la chambre du médecin elle prend pour un con- fessionnal, nomme le médecin « père Jean ». Dans la sphère volontaire où nou
matiques dont j'ai observé un grand nombre de cas, en ma qualité de médecin attaché au service d'un chemin de fer russe. En
de plus en plus en danger. Ce livre mérite d'être lu par tous les médecins , car il donne des indications précises qui leur
ires. « J'ai remarqué à maintes reprisesdit l'auteur, combien les médecins peu familiarisés avec les théories du droit et le
ien différentes entre elles. » Rien n'est plus exact et beaucoup de médecins pensent à tort que leur seul rôle possible auprès
ivile soit d'un très grand intérêt ' i pour le psychologue, pour le médecin , pour le juge. ' Cette distinction juridique ca
une épreuve orale relative à la conduite immédiate à tenir par le médecin en présence d'un cas clinique urgent de médecine,
lampe fixée au plafond. Le poids du corps avait rompu la corde. Un médecin fut appelé en toute hâte, mais il ne put que co
'à l'âge de seize ans», a décidé le tribunal. D'après l'opinion des médecins , il appert que la précocité criminelle de cette
ologie du corps thyroïde.) - P \R le D' ALEX.-\ : -IDRE PARIS Médecin de (le Maréville, Chargé de Cours il la Faculté
ctions relatives à cette maladie ont été bien nombreuses ; tous les médecins qui se sont intéres- sés à cette affection ont
vaient beaucoup épuisée et nécessité l'intervention continuelle des médecins . Son mari est mort il y a deux ans et demi à la
Voici maintenant. les renseignements qu'a bien voulu me fournir le médecin de la famille sur la maladie du mari : « Je sui
paralysie générale conjugale, car les renseignements fournis pur le médecin traitant sont suffisants pour per- mettre de co
gnification en pareille matière. Parmi les symptômes relevés par le médecin traitant chez le .mari, nous trouvons le signe
n hypnotise sont généralement des malades qui ont confiance dans le médecin ; cette confiance leur fait accepter d'avance l
complètement. Tout à l'heure je n'avais qu'un bras de paralysé. Ce médecin a eu le pouvoir de me paralyser tout entière).
uche... vous pouvez la remuer. (Réflexion du moi du centre 0 : Ce médecin m'a paralysée entiè- rement, et il m'enlève une
vos membres, vous serez guérie. (Réflexion du moi, du centre 0 : Ce médecin m'a paralysé des organes qui ne l'étaient pas a
débutant dans la jeunesse et se répétant pendant toute la vie. Le médecin de l'Hôtel-Dieu a vu des crises de mélancolie int
ons. , Indépendamment du diagnostic avec la mélancolie simple, le médecin ne doit pas confondre la mélancolie périodique av
idique en Allemagne ; par le Dr H. KORNFELD, de Gleiwitz (Silésie). Médecin légiste (.llédico- légal Journal, V. xxi, i'l°
e que ne le font non seulement les tribu- naux mais encore certains médecins . M. Vallon. Dans un cas pareil, si la question
la question de la prédispo- sition héréditaire n'est pas posée, le médecin expert doit toujours en faire ressortir le rôle
indiqué par M. Briand, c'est parce qu'ils sont des juges et non des médecins . M. Ballet. La question soulevée par la malade
crient au secours et une fois arrivées chez elles, font appeler le médecin , sans arriver à se faire tranquilliser ; puis v
IBLIOGRAPHIE. 179 180 " BIBLIOGRAPHIE. troubles apparents pour le médecin et même le malade, révélée seulement par la dég
une rumeur de protestation : « Je ne suis pas un sauvage ! » Les médecins commis à son examen ont conclu que Lair est res
e Scientifique. Nous apprenons que notre confrère, le D1' TOULOUSÉ, médecin en chef de l'asile de Villejuif, directeur à l'
tiques généraux;- PAHLFS DOCTEURS - P. KERAVAL F.r A. DANJEAN Médecin en chef. Interne. A l'Asile de Ville-Evra,,d. \
physiologie du corps thyroïde.) PAR R le Dr Alexandre PARIS . Médecin de l'tls.le de Marévillp, Chargé de Cours à la
qui passe en cour d'assises pour avoir assassiné sa maîtresse. Six médecins experts, dont deux aliénistes, concluent, à l'u
pendant, le lendemain, traduit devant le conseil de guerre, où deux médecins , un médecin militaire et un médecin civil, le d
endemain, traduit devant le conseil de guerre, où deux médecins, un médecin militaire et un médecin civil, le déclarent pro
le conseil de guerre, où deux médecins, un médecin militaire et un médecin civil, le déclarent propre au service. Alors ce
obligé de supporter tout cela à cause de l'incapacité spéciale des médecins en question. P. K1OEAVAL. VI. Une paille dans l
e d'un juge de paix qui ne l'a pas vue, et sur le certificat de son médecin ordinaire, et un second certificat d'un médecin
e certificat de son médecin ordinaire, et un second certificat d'un médecin du voisinage. Con- formément à la loi, elle dem
fort probablement des idées de suicide, et que l'auteur écrivit au médecin traitant pour lui conseiller de surveiller la m
e avec de nouveaux certificats ; mais la malade refusa de revoir le médecin . Le 9 décembre, quatorze jours après sa sortie
, jeune et inexpéri- menté, a annulé le rapport de deux experts, du médecin traitant, qui suivait la malade depuis plusieur
t, qui suivait la malade depuis plusieurs mois, et d'un quatrième médecin qui avait signé le certificat d'admission. II n'e
inement, et l'innovation ne donnera tous ses effets qu'autant qu'un médecin spécialisé dans l'élude des nzentules, aura la
nt-ils se faire soigner à l'hôpital ? A ces deux questions tous les médecins qui font de la consultation de maladies mentale
ie mentale ? On peut répond- e que l'avantage serait énorme pour le médecin , et non pas moins grand pour le public. Les étu
ué près d'une grande .ville, il aurait un personnel nombreux et des médecins en assez - grand nombre pour s'occuper activeme
, Dysantigraphie. M. Raymond communique sous ce vocable le cas d'un médecin qui peut écrire spontanément et sous la dictée
oumanie. Salutations distinguées. Le 3 janvier 1904. Dr Zosirr, Médecin en chef de l'hospice du Monastère Neamtzu. (R
9, rue Saint-André-des-Arts, sous la présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière, assisté de les Drs Legrain.
es Voisin, médecin de la Salpêtrière, assisté de les Drs Legrain. médecin de l'asile de Ville-Evrard et Félix Regnault, pro
écembre 1904 pour ceux à décerner en 1905, chez M. leD' Ant. Ritti, médecin de la Maison nationale de Charenton, secré- tai
atteinte d'une affection qui, jusqu'à présent, fait le désespoir du médecin , dont le triste rôle se borne à assister presqu
e. Trop souvent, hélas ! dans de telles circonstances notre rôle de médecin ne se réduit qu'à cela. , J'aurai donc, en ce
'aperçut alors d'une petite induration au niveau du sein gauche. Un médecin consulté, conseilla une opération à laquelle la
soir on constate presque chaque jour de l'oedème malléolaire. Les médecins consultés, diagnostiquent une tuberculose ^ pul
Février 1904. M. le Dr BOURDIN, directeur-médecin à Moulins, nommé médecin en chef à l'asile du Mans; M. PETIT (Gilbert) m
s ému de la mort subite de sa grand'mere. Examiné à cette époque le médecin fit le diagnostic de maladie de Thomsen et le f
but, je propose que - la Société nomme une commission, composée de médecins et de vétérinaires, laquelle étudiera sur des a
MM. VOI- SI, iil.lG\II\, 13RILLON, FAI\EZ, DE Bourgade, DElIOXCHY, médecins et MM. Lépinay, GHOLLET, LAYRAULT, vétérinaires
E LANGUE FRANÇAISE. (Pau leur-7 7 Août 1904.) Le XIVe Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pa
vait alors en état de stupeur à la suite d'un accès. A l'arrivée du médecin , peu après le meurtre, ses idées étaient encore
s, inspecteur adjoint des asiles d'aliénés de la Seine, a été nommé médecin suppléant de la maison nationale de Charenton, à
r au moins douze inscriptions de doctorat. Adresser les demandes au médecin en chef, directeur de l'asile. BULLETIN BIBLIOG
ontinuer à tenir une très grande place dans les préoc- cupations du médecin aliéniste. Les symptômes oculaires sont d'une r
- ment facile, aussi bien au lit du malade que dans le cabinet du médecin . Leur importance dans le diagnostic de la paral
de la Nomenclature ils maladies que va publier le Collège Royal des Médecins de Londres que l'auteur a pensé qu'il y avait l
e métabolisme. » Il cite ensuite comme représentant l'opinion de ce médecin et une grande partie des recherches con- duites
es psychologues. Joseph BoYER. VARIA. Règlement du Concours DES Médecins ADJOINTS des Asiles. Le président du Conseil, m
: ' Article premier. Un concours pour l'admission anx emplois de médecins adjoints des asiles publics d'aliénés s'ouvrira à
des facultés ou écoles' de médecine de l'Etal; 3° Trois directeurs médecins ou médecins en chef d'asiles publics d'aliénés
s ou écoles' de médecine de l'Etal; 3° Trois directeurs médecins ou médecins en chef d'asiles publics d'aliénés ou de la mai
de Charenton; 4° Enfin, un juré suppléant pris parmi les directeurs médecins ou médecins en chef des mêmes établissements.
4° Enfin, un juré suppléant pris parmi les directeurs médecins ou médecins en chef des mêmes établissements. Tous les juge
ont choisis dans des facultés ou écoles différentes. Les directeurs médecins et les méde- cins en chef devront eux-mêmes êtr
par le jury. C'est à partir du jour de l'installation effective du médecin adjoint que commenceront à courir ses services.
e peuvent être accordés par le ministre, savoir : aux directeurs- médecins et médecins en chef, après trois ans de stage, au
être accordés par le ministre, savoir : aux directeurs- médecins et médecins en chef, après trois ans de stage, au mini- var
du quartier d'hospice de Bicêtre avait envoyé des délégations. Le médecin chef du service de la ll'° section où l'infirmier
responsabilité et dans le danger, établit entre nous, infirmiers et médecins , un lien de sympathie et de solidarité qui nous
, mes collègues, j'en suis sûr, ne me démenli- tiront pas, seul, le médecin peut le sentir pleinement, lui, le colla- borat
Villejuif. La liste serait longue à dresser des victimes,depuisles médecins jusqu'aux infirmiers et jusqu'aux malades eux-mêm
pas insister, mais cela vous montre combien nous avons raison, nous médecins , de recommander, d'ordonner qu'un infirmier ne
Dr Sluoa, médecin-adjoint des asiles publics d'aliénés, a été nommé médecin assistant au service de l'admission de l'Asile
logie. Nous avons le regret d'apprendre la mort de M. le Dr Vallée, médecin de l'Asile d'aliénés de Québec. Hospice DE Btc&
ades, le samedi à 9 heures et demie très précises. XIVe CONGRÈS DES MÉDECINS ALtÉNISTE3 ET NEUROLOi : ISTES DE FR1\CB ET DES
E La\GUI's ER : 1NÇAISR (Pau leur-7 août 1901). Le XII" Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pa
Le malade dont je publie ici l'observation intéresse à la fois le médecin et le- psychologue; le médecin, parce qu'il s'a
l'observation intéresse à la fois le médecin et le- psychologue; le médecin , parce qu'il s'agit d'un sujet normal et même d
souvenirs, parce qu'il est encouragé et soutenu par la présence du médecin , parce que l'interrogatoire dirige son atten- t
1903. Juillet. - Devient agressif, menaçant surtout à l'égard du médecin . Demande d'un ton impératif les clefs de la maiso
relations avec elle. A la visite il est toujours dangereux pour le médecin dans lequel il voit son ennemi, et il est prêt
s revendications. 190t Janvier. Même état, il insulte, il traite le médecin de canaille, de maquereau, de crapule, etc; il
e actuelle date de trois ans. Elle a débuté par des ver- tiges ; le médecin de l'endroit le. soignait pour une maladie de la
t d'écrire à sa femme, il répond par des insultes et prétend que le médecin entretient des relations avec elle, que c'est u
toucher à n'importe quelle partie du corps. , Il en veut surtout au médecin ; lorsque ce dernier l'appelle pour lui causer i
'est pas malade et que ses organes sont en nieilleurétatque ceux du médecin . ' mais Dépression générale, reste la majeure p
e s'excite lorsqu'on lui parle, et demande sa sortie en traitant le médecin et le personnel infirmier de malhonnête, de can
peu indistinct, la sensibilité générale normale. Elle reconnaît les médecins ; répond aux questions posées et fait un récit
; se croit à la rue de C... (où elle habite), ne reconnaît pas les médecins . Même tremblement et embarras de la parole. Com
pièce de deux francs. Apercevant un stethoscope dans la poche d'un médecin , elle le regarde attentive- ment et le prend po
rend pour une bête à deux ou trois pattes, qui rampe sur l'habit du médecin . Tout d'un coup elle se détourne vivement et cl
lètement désorientée sur le temps et le lieu ; ne reconnaît pas les médecins , leur donne des noms de ses anciennes connaissa
trouve à Bel-Air, mais elle ne se souvient pas encore des noms des médecins . Ignore qui l'a conduit à l'asile et prie qu'on
tée, se rappelle comment et avec qui elle est venue à l'asile, quel médecin l'a reçue. Le tremblement a considérablement di
térie est un des éléments constitutifs delà folie. « Le devoir du médecin est de vaincre la terreur que les aliénés inspi
x ; aussi leur prescrit-on l'isolement. Tou- tefois, comme certains médecins voient dans l'isolement une sorte de panacée po
sultat de l'union de deux individus sains ou malades serait pour le médecin un avantage de premier ordre. De là recherche d
ctiozs.-1'Iouvement de mars 1901 et d'avril 1904. M. le Dr Maunier, médecin en chef à Aix (Bouches-du- faits DIVERS. IJ R
ecteur de l'asile d'aliénés d'Aix (Bouches-du-Rhône). M. le or BEY, médecin en chef à Aix (Bouches-du-Rhône, nommé à Marsei
es, le samedi à 9 heures et demie très précises. XIV0 COI\'GHÈS DES Médecins ALIÉNISTES et NEUROLO.ISTES DE France et DES pa
ys DE langue française (Pau lei'-7 août 1904-). Le XIVG Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de France et des. p
oup; le meurtrier a été arrêté. (lit- transigeant du 4 mai 1904.) Médecin et INST.TUTRICE.- Une IDYLLE chez les aliénés. Su
édecine des asiles (3 décembre 1903), 191. lIèg- ! pment du - des médecins adjoints des asiles. 426. Confusion mentale.
e. Deux cas de polynévritique, par Crocq, 11J. Congrès. XIV* (les médecins alié- nistes et neurologie tes de Fiance et d
des directeurs, 191 MUSON nationale DE Charenton. Nomination d'un médecin ad- joint. 352. ) ! AL VERTEBRAL. Sous-occipi
rement la de l'adolescence, par Bruce, 3sî. - aiguë. Voir Sang. Médecin . et institutrice, 527. Médiummte. Voir Délire.
83 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
insuffisants, soit qu'ils n'aient même pas eu qualité- n'étant pas médecins pour conclure, ont donné des faits, mais n'ont
que nous apprenait en 1883, M. 0. Brien ', qui, quoique n'étant pas médecin , a bien vu et bien observé les faits qu'il rapp
mplètement déçu. MI', de... fut alors envoyée en Suisse auprès d'un médecin qui s'était spécialement adonné au traitement d
maladie. D'autre part, nous a\ons reçu la même réponse de nombreux médecins de diverses nationalités que nous avons consultés
lu les nouvelles observations publiées récemment par plu- sieurs médecins étrangers, qui prétendent avoir obtenu du curar
ier. Le 26 janvier 18G'a, M. Benedikt communique à la Société des médecins viennois le résultat de ses recherches sur l'empl
IE MENTALE 71 1 le niveau social et intellectuel sera élevé, et aux médecins dont la tâche sera singulièrement facilitée.
et distribuée par les soins et aux frais de l'Association ; 4° les médecins d'asile qui entre- raient dans cette combinaiso
s faits. M. Willzs (qui n'e.-t pas aliéniste, mais qui est l'un des médecins les plus instruits et les plus occupés de Londr
voici le ré- sumé : Il s'agit d'un homme qui fut examiné par cinq médecins , au nombre desquels se trouvait M. Wiiks lui-mê
desquels se trouvait M. Wiiks lui-même ; à la vérité aucun des cinq médecins n'était aliéniste. n'v eut qu'une voix pour dé-
tait en automne). Lorsque M. \Villa fut appelé en consultation, les médecins trai- tants lui apprirent que le malade était p
74 4 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. cher à raisonner avec lui. » Deux médecins l'avaient déclaré mé- lancolique depuis quelque
aient déclaré mé- lancolique depuis quelque temps ; les deux autres médecins qui le soignaient actuellement et M. Willis lui
e 1882. elle a eu une attaque, qui a été considérée, dit-on, par le médecin , comme simplement hystérique ; c'est à partir d
tombe sous sa main et ne le lui indique. Elle ne sait ni le nom du médecin , ni le nom de la surveillante, ni si elle est à
ment différant d'un asile d'aliénés. On épargne ainsi le nombre des médecins et des professeurs. Certes, il incombe à l'Etat
direction médicale et administrative de l'institution appartient au médecin . Il est non moins utile de créer un service ext
itales, souvent observées chez les aliénés, sans ce- pendant que le médecin leur accorde une valeur séméiologique quelconqu
terne par laquelle elle convie les psychiatres, et ' notamment, les médecins d'asiles, à prendre part à l'enquête sta- hstiq
détails. Elle se résume en une multitude de comparutions de divers médecins , en une nouvelle instruction relative à l'attit
L'affluence allemande est prouvée parla présence actuelle de trois médecins de cette nationalité. Très préservée au nord et
e dernière 2,003 Allemands sont venus s'y mettre en traitement. Six médecins allemands y sont maintenant suffisamment occupé
affections pulmonaires. Parmi les maladies du système nerveux, les médecins de la résion citent les perturbations asthéniqu
à l'hôpital de Lo- bau (Saxe) pour une bronchite; à ce moment, les médecins ne se sont aperçus d'aucune perturbation nerveu
fonctionnaire. Un ensei- gnement se dégage de ce fait, c'est que le médecin légiste doit se montrer très réservé. Il faut e
'épileptiques non aliénés. La besogne n'est jamais complète pour le médecin , tant qu'il ne s'est pas inquiété du programme
opium. Après avoir gémi sur les vices d'éducation psychiatrique des médecins praticiens' qui ne reconnaissent pas assez vite
nt les cas qui sans t26 SOCIÉTÉS SAVANTES. exception s'offrent au médecin de la maison; celui-ci les traite et n'appelle
i qu'il en soit des tem- porisations et des explications banales du médecin traitant (neu- rasthénie ! anémie ! ), quand fi
s. Sans l'o- pium, termine M. Engeiken, je répudierais mon titre de médecin aliéniste. A l'appui, quatorze observations tir
tats même à peu près aussi éclatants. Et cependant la plupart des médecins ont expérimenté très largement l'activité du médi
a malade eût pris tout ce qui lui avait été conseillé, soit par des médecins , soit par des empiriques... « Cet état de chose
a section clinique dudit asile, toutes les obligations imposées aux médecins en chef des asiles publics. M. le De Abel Barro
M. le Dr Brivnd, médecin-adjoint à l'asile Sainte-Anne, est nommé médecin en chef de l'asile-hospice d'aliénés de Villejuif
écrits est due à M. O'Brien, un bon observateur, mais qui n'est pas médecin . Le jumping américain est devenu le la/ah de la
er du doigt tous ces phénomènes à des propriétaires du Maine, à des médecins de l'en- droit qui, après avoir convenu de la r
e de tous ces renseignements, nous avons écrit à M. le Dr Campagne, médecin en chef de l'asile de Montdevergnes, qui a eu l
stion serait facile à résoudre. Cette théorie est due à Zuelzer. Ce médecin a pu- blié en 18761 un travail dans lequel il c
able. Dans les autres cas, on arrive, par les efforts patients des* médecins et des gardiens, à faire prendre aux mala- des
, nécro- 270 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. maucienue, devineresse, médecin . Peu à peu ils lui inspirèrent une grande confi
ille, il arrive le jour de la noce, accompagné de son frère qui est médecin , il entre dans le salon où tous les invités son
nnantes, morales, lucides de la folie; en tous cas, ils obsèdent le médecin par leurs craintes multiples, mobiles et variées
ivisions, de la manière la plus satisfaisante. Chez les femmes, les médecins en chef se sont, en général, féli- cités de la
elui d'abord d'avoir un personnel plus intelligent, plus soumis aux médecins et, par conséquent, plus ca- pable de donner de
cisation des services hospitaliers. C'est pour cette raison que les médecins de cet asile tiennent essentiellement à ce que
tractée à l'hôpi- tal lui-même. C'est pourquoi nous voulons, nous médecins , que nos services soient tenus convenablement;
rhée existait sans autres symptômes depuis deux à trois jours. Un médecin lui fit appliquer des sangsues, mettre de la glac
toute la journée; la nuit fut assez calme et le lendemain matin un médecin constata la para- lysie dit côté gauche. Il ne
où il aurait eu encore une fois des convulsions, attribuées par le médecin à une congestion cérébrale. On ne sait combien
TEMPÉRATURE DANS LE COURS DES MALADIES MENTALES ; Par N. POPOFF, médecin de l'asile Saint-Nicolas, a Saint-Pétersbourg.
apports, avec cette dernière opinion. Antoinette W..., femme d'un médecin , âgée de quarante-neuf ans, entra à l'hôpital d
'esprit de vin aromatique. ' Grâce aux conseils du Dr Tschetschott, médecin en chef de l'asile, ainsi qu'à la collaboration
à la Société qu'un de ses membres, M. G. Ballet, vient d'être nommé médecin du bureau central. Elections. Après élections,
sous tous les rapports, réclament l'assistance et l'at- tention du médecin . M. B. 398 SOCIÉTÉS SAVANTES. Séance du 26 ja
vient d'être élu sénateur et que M. Briand a été récem- ment nommé médecin en chef à l'asile de Villejuif. Il remercie aus
om de l'exemple, et, rejetant dédaigneusementtous les arguments des médecins experts, elle fit comprendre que l'accusé, quel
s-nous les sentiments de tristesse que la mort d'Inisdea inspire au médecin qui a vécu de si longues années au milieu des a
ce de cinq gardiennes (soeurs catholiques). C'est là qu'habitent le médecin en chef de tout le domaine, ainsi qu'un secréta
lement sous ses ordres l'inspecteur général (administrateur et non médecin ) de tous les établissements belges. Cet inspecteu
établissements belges. Cet inspecteur général est le chef direct du médecin en chef. Il existe aussi une commis- sion de su
e Turnlioul, du commis- saire de l'arrondissement de Turnhout, d'un médecin nommé par le gouvernement, du bourgmestre, du p
sement et au rembour- sement des pensions; c'est à ce comité que le médecin en chef propose les meilleurs nourriciers, mais
é que le médecin en chef propose les meilleurs nourriciers, mais le médecin en chef seul choisit les malades à confier aux
= l 3,612 mètres; la circonfé- rence est de 6,300 mètres. Quatre médecins , y compris le médecin chef, visitent et traitent
irconfé- rence est de 6,300 mètres. Quatre médecins, y compris le médecin chef, visitent et traitent les patients; il exi
xécution des ordonnances et prescriptions médicales, de signaler au médecin en chef toute irrégularité parvenue à leur conn
e, de collaborer à la réintégration des evadé. Tout le per- sonne), médecins ou surveillants, habile a Gheel même. Le mé- de
4,500 francs et doit visiter deux fois par au tous les malades. Les médecins de sections, subordonnés au médecin en chef, do
s par au tous les malades. Les médecins de sections, subordonnés au médecin en chef, doivent visiter une fois par mois au m
ments fermés d'aliénés belges qui les signalent et les adressent au médecin en chef. Cette colonie n'est faite que pour des
nt de la tendance au suicide. Après examen et quand il y a lieu, le médecin en chef exclut de la colonie ceux qui cons- tit
e sur lequel sont exactement consignés les prescriptions, le nom du médecin visiteur, le jour et la date de sa visite ; on
os- pice. 1 SOCIÉTÉS SAVANTES. CHIFFRES EMPRUNTÉS AU RAPPORT DU MÉDECIN EN CHEF, LE D'' PEËTEKS. SOCIÉTÉS SAVANTES. 413
pensables pour le traitement de semblables malades. 11 n'est pas de médecin qui n'ait vu des malades apportés du sein des f
s auxquelspareil traitement convient (choix prudent et judicieux du médecin ). Ilten, avec les villages qui l'entourent, est
ade ; des feuillets blancs sont destinés à la visite quotidienne du médecin ; des tableaux tout tracés attendent l'inscription
tant que ra- meau de l'arbre. Du premier coup, elle se composa des médecins des asiles d'aliénés de Berlin (Blankenburg, Bo
ces adjuvantes un mou- vement de progrès. 2" Les membres seront des médecins , ils se conformeront aux statuts, seront élus p
urra également, dans les mêmes conditions, admettre des membres non médecins . 3° Organisation. Le bureau se composera d'un p
notion d'intervalle lucide est loin d'être claire. La pratique des médecins et même des aliénistes est, en ce qui concerne l'
fois dernière ; l'autre relatif à un cas dans lequel beau- coup de médecins avaient, devant la justice, émis un avis diamé-
sont exposés les malades dans les intervalles lucides, de par les médecins eux-mêmes qui leur refusent les bénéfices de la p
evront être déposés, le 31 décembre 1885, chez M. le Dr Ant. Ritti, médecin de la Maison nationale de Charenton, secrétaire
ophique.) Nominations ET promotions. M. le Dr DuBuissoN est nommé médecin adjoint de l'asile Sainte-Anne, en remplacement d
M. le Dr BRIGAND (2e classe, 2,500 fr.). M. le Dr Brusque est nommé médecin adjoint de l'asile de Vaucluse (Seine), en rempla
rendus pendant la dernière épidémie cho- lérique : M. le Dr BENOIT, médecin de l'asile d'aliénés de Privas (Ardèche) ; M. l
decin de l'asile d'aliénés de Privas (Ardèche) ; M. le Dr Campagne, médecin en chef de l'asile d'alié- nés de Montdevergues
is. 446 FAITS DIVERS. Médailles d'or de 2° classe : M. le D Rouc, médecin de l'asile d'aliénés de Limoux; le Dl ABRAM, mé
M. le D Rouc, médecin de l'asile d'aliénés de Limoux; le Dl ABRAM, médecin adjoint à l'asile d'a- liénés de Marseille; le
Dl ABRAM, médecin adjoint à l'asile d'a- liénés de Marseille; le Dr médecin adjoint à l'asile d'a- liénés d'Aix; le Dr Mote
e du 11, arrondissement de Paris. Médailles d'or : M. le Dr FEi3vR, médecin adjoint de l'asile de Montdevergues (Vaucluse);
ontdevergues. Médailles d'argent de Ire classe : AI. le Dr CAILLAU, médecin adjoint de l'asile de Toulouse ; M-11 Salé (en
t sur notre regretté collègue la note suivante : « Successivement médecin des aliénés de Bicêtre et de l'asile Sainte-Ann
h.) Le 3 mars dernier, est décédé le Dr Hurel (Pierre-Alexandre), médecin à Gaillon et de la maison centrale de cette ville
ce et de la Société mé- dico-psychologique de Paris. Nommé en 1869, médecin de la maison centrale de Gaillon, et frappé du
lgique, notre distingué confrère le Dr Ingels, vient d'adresser aux médecins aliénistes une lettre dont nous extrayons les p
sant toutes vos com- munications au secrétaire, le Dr B.-C. Ingels, médecin de l'hos- pice Guislain, à Gand. » Archives,
abandonnés en Angleterre. Tentative d'assassinat D'UN aliéné sur UN médecin . Le 23 no- vembre dernier, le Dr Altirray Linds
é sur UN médecin. Le 23 no- vembre dernier, le Dr Altirray Lindsay, médecin en chef de l'asile d'aliénés du comté de Derbys
rs sous la direction de M. Barroux, directeur, de 11. le Dr Briand, médecin en chef et des internes. Les surveillants et le
84 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
abri de tout soupçon, on peut encore invoquer la syphilis ! ! Les médecins allemands ont étudié encore un très grand nombr
ce que nous venons de dire n'est pas une exagération, c'est que le médecin appelé à soigner Ail... lui appliquait 24 sangs
LA TOXICITÉ URINAIRE CHEZ LES ÉPILEPTIQUES; Par M. Jules VOISIN, médecin de la Salpêtrière, et M. A. PERON, interne des
ndice certain de l'imminence de leur accès. Ils viennent trouver le médecin et lui réclamer une purgation. Cet état gastriq
connaissance de ces faits est aussi très utile, car elle permet au médecin de prendre des précautions en vue d'un trouble
qui puissent me laisser indifférent. Elle intéresse d'ailleurs tout médecin , ' Sous ce titre · The faith-healing, La foi qu
e paralysies « dépendant on idea D. Je sais bien qu'aujourd'hui des médecins préposés à la constatation des miracles, et don
ulement émanées de son entourage direct, mais souvent encore de son médecin . Celui- ci ne veut pas enlever à son malade un
ose » ; je constate, et rien de plus. Mais, me répondra-t-on, les médecins qui aujourd'hui, comme autrefois dans l'Asclépi
e permet d'être, sur la question de fait, entièrement de l'avis des médecins des sanctuaires : certaines tumeurs ou certains
emblable tempérament, elle avait une sorte de foi fétichiste en son médecin ordinaire. - · 86 THÉRAPEUTIQUE PSYCHOLOGIQUE.
s reste immo- bile : on essaya inutilement les secours en usage. Le médecin , arrivé quelques instants après, plongea aussit
fessionnelles sur la constitution psychique chez le travailleur, le médecin , le jurisconsulte, le pro- t C'est la légitimat
ch., XLVIIl, 6.) P. KERAVAL. SOCIÉTÉS SAVANTES. 129 SOCIÉTÉ DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES DE MOSCOU ; Séanc
ur la psychiatrie pour qu'il ne mérite d'être signalé. Ecrit par un médecin érudit, ayant une grande habitude des aliénés,
s émotions, études physiologiques et cliniques; par le Dr Ch. Féré, médecin de BieCLre. (Paris, 1892. F. Alcan, édit.). L
s suggestive, et qui sera consulté avec fruit non seulement par les médecins , mais encore par tous- ceux qui s'intéressent a
i pédagogues et magistrats. J. Séglas. VARIA Congrès annuel des MÉDECINS aliénistes ET DES pays DE langue française Se
ngue française Session de la Rochelle (1893). Le congrès annuel des Médecins aliénistes de France et des pays de langue fran
d'adresser leur adhésion et leur cotisation à M. le Dr H. Mabille, médecin en chef directeur de l'asile de Lafond (La Roch
ons du service administratif donnent un repos relatif à l'esprit du médecin en apportant à son régime intellec- tuel une va
ue de la spécialité que la réunion des fonctions de directeur et de médecin . M. Lapointe, partisan aussi de là réunion des
clame le traitement des maladies ordinaires : pour ces dernières le médecin a rempli toute sa tâche lorsqu'il a posé un dia
nce et ne peut exister que si la double autorité de directeur et de médecin réside dans la même personne, union sans laquel
Le mouvement de la population étant, par suite, assez restreint, un médecin direc- teur actif et intelligent peut mener de
et 2° deux éta- ges. Au rez-de-chaussée, on trouve les bureaux des médecins et des employés d'administration, et, de chaque
derie, des pavillons des malades-femmes.. Au second, employés. Les médecins habitent les diverses divisions respectives. = -
s,, salles de jour, dortoirs, etc.; on y a ménagé l'habitation d'un médecin .. - . Tout- près de ce pavillon, est celui de 1
s de pre- mière classe muni, lui aussi, de toutes ses sections;, un médecin l'habite' aussi. Rez-de-chaussée et un étage. U
ionnaires de deuxième classe; même distribu- tion..lIabilation d'un médecin , 1 >. Chacun de.ces pavillons sera entouré d
ssée, à. des ateliers, pour le premier étage à deux appartements de médecins . Tout près sont les locaux agricoles et.les écu
rs à cet objet à un curateur. 10 L'établissement est dirigé par le' médecin en chef qui prend le titre de directeur. Propos
i doit encore être augmenté se compose, à l'heure actuelle, de huit médecins : un médecin direc- teur ; un vice-directeur, p
être augmenté se compose, à l'heure actuelle, de huit médecins : un médecin direc- teur ; un vice-directeur, professeur de
la main les deux quartiers d'ob- servation, hommes et femmes, trois médecins en chef sont chargés des autres services ; enfi
u'elle met en évidence la collaboration des pouvoirs publics et des médecins compétents, tels que : Loehr, Kurella, Wildermu
Asiles d'Aliénés. - Nominations et promotions . - M. le Dr Pages, médecin de l'asile d'Alençon, est promu à la 2° classe du
été militaire, il a été examiné à plusieurs reprises par différents médecins . C'est donc une chose récente ou relativement r
evant le con- seil de révision, aucune remarque ne fut faite par le médecin ma- jor en ce qui concerne sa santé ou sa confo
entrant de son congé de convalescence, il fut encore examiné par le médecin du régiment qui ne remarqua rien d'anormal dans
nt pas eu l'occasion de cons- tater par eux-mêmes ce symptôme. Le médecin est obligé de le rechercher, de le dépister, en
SUCCION CHEZ UN PARALYTIQUE GENERAL'; Par le Dr Cu. VALLON, z ' Médecin de l'asile d'aliénés de Villejuif.. Le nommé B.
alcooliques. Elle prit alors froid, eut de l'oedème des jambes. Un médecin qui l'examina prétendit qu'elle était atteinte
es de dépression et d'excitation. Quelques jours après l'entrée, le médecin , au cours d'un examen, remarque fortuitement un
ce fait, de diriger les exercices; un cinquième cas porte sur un médecin devenu par moments inhabile à signer. )I. Fuers
tent. les enfants et les adultes affectés d'idiotie, il faut que le médecin s'occupe journellement et exclusivement de ces
édico-pédago- gique près d'un asile quelconque, tout en laissant au médecin qui en sera chargé la plus complète liberté. L'
stration de l'asile effectuera les prescriptions de toute nature du médecin , suivant l'exemple de Dalldorf, Bicêtre, la Sal
eloppé au point de vue d'une activité utilisable. C'est pourquoi le médecin d'un asile public d'idiots devra avoir une situ
pileptiques sont des malades dont l'hygiène doit être réglée par le médecin . Les exercices, leur mode, leur adaptation à te
ersement, l'entraînement des divers sujets, tout cela appartient au médecin . Ces asiles seront donc dirigés par des médecin
cela appartient au médecin. Ces asiles seront donc dirigés par des médecins qui formeront et surveilleront les institu- teu
orité complète; il doit être le directeur et non le conseil, non le médecin en chef. C'est pour cela que l'administra- tion
it l'instruction et l'éducation représentées, sous la conduite « du médecin , par un institut médico-pédagogique bien et compl
par un psychiatre est de rigueur, il conviendrait également que le médecin ordinaire de la prison fût un aliéniste. On arr
organique du cerveau. La responsabilité ne regarde pas davantage le médecin ; se maintenant dans son rôle, il doit simplemen
à plusieurs reprises rappelé à l'attention des chirurgiens par des médecins otologisles, comme étant souvent employé par eu
ression idiote avait disparu en grande partie, et les parents et le médecin furent frappés de l'amélioration produite chez
asses-Alpes); Martin (Hautes-Alpes); Dr Lemoine (Vaucluse); D" Rey, médecin en chef de l'Asile d'aliénés de Marseille, etc.,
cements d'offices. Nécessité d'un certificat médical émanant d'un médecin fonctionnaire, de demandes de placements officieu
séquestré ou même avant la séquestration, pourvu qu'un rapport d'un médecin fonctionnaire constate l'affaiblissement intell
e pathologique de la moelle. Prix Civrieux (900 fr.). M. de Vallon, médecin de l'asile de Ville,juif; mention honorable à A
médecin de l'asile de Ville,juif; mention honorable à AI. A. Paris, médecin de l'asile de Mareville. La question posée étai
inhibiloires du système nerveux. LES CONCOURS POUR LES places DE médecins aliénistes EN ITALIE. Nous citons dans les Anna
Bicêtre et ceux des médecins- adjoints des asiles. A la place de médecins (medico primario) est attribué le traite- ment
ir.) La durée des fonctions est de dix ans ; au bout de ce temps le médecin peut être nommé de cinq en cinq ans, avec l'ap-
ils doivent faire la preuve qu'ils ont passé deux ans en qualité de médecin dans un des asiles publics ou privés du royaume.
de deux pro- fesseurs de la Faculté de médecine de Rome et de trois médecins (professori) choisi parmi les aliénistes. La fo
dical des hôpitaux de Home,'du 19 juillet 1892. Quant aux postes de médecins assistants, il y en a deux de va- cants. Le tra
traitement est de 960 fr. avec la nourriture les jours de garde. Le médecin assistant est nommé pour trois ans, et il peut
blic ou privé. La composition du jury est la même que pour celui de médecins . Dénonciations calomnieuses ET faux témoignages
poque où celle-ci venait de perdre son mari. Il se présentait comme médecin , s'en- fermait.sous ce prétexte avec elle dans
DES affections MEII- tales ET nerveuses. 11. le D'' PACHOUD, ancien médecin directeur de l'asile cantonal de Cery (Lausanne
on mort de faim a été, dit-on, de quarante et un jours. Suicides de médecins aux États-Unis. Le Boston médical and surgical
Le Boston médical and surgical Journal nous apprend que ce sont les médecins qui se suicident le plus en Amérique depuis dix
dans les douze premiers jours de janvier il n'y a pas moins de sept médecins qui se sont donné la mort. UN FOU assassin. M
sé, le présent et l'avenir; mais ayant, disaient ses prospectus, un médecin et une- sage-femme attachés à son établissement
lades placent les spécialistes dans une situation embarrassante. Le médecin aliéniste peut seul, en effet, porter un jugeme
.) Etude intéressante, faite par un homme compétent (l'auteur est médecin de la prison de Portsmouth) et dans laquelle les
nt de 2,400 lits et sont soignés non plus comme jadis par les 3 à 5 médecins de Siegburg mais par 21 à 23 aliénistes. M. P
il n'y a plus maintenant de différences entre un psy- chiatre et un médecin ordinaire. Tous deux cultivent par les mêmes mé
s à entretenir entre les nourriciers et les gens des environs et le médecin de l'établissement. Il est notamment SOCIÉTÉS S
nt les aliénés (nourriciers et habitants) se laissent guider par le médecin et comprennent les indications qu'on leur donne
complé- ment naturel de l'assistance publique à la condition que le médecin aliéniste surveille assidûment nourriciers et p
a thèse avait pour titre : Des embolies pulmonaires. Il a été nommé médecin des hôpitaux le 12 août 1870, agrégé de la Facu
'avantages et qu'il peut être dangereux de laisser croire, même aux médecins , que sa pratique peut être courante et facile.
historiques et passe en revue les divers travaux des savants et des médecins sur cette ques- tion. L'auteur traite successiv
ecins-adjoints devrait avoir une situa- tion officielle reconnue de médecin responsable, sous la direction du surintendant
seraient naturellement pas obligatoires pour les directeurs et les médecins , mais ils leur serviraient de guides et de modè
tre L'1NDENDIE dans LES hôpitaux d'aliénés; par le Dr L.-H. PmNCH., médecin résident, place Bellevue, à Batavia, 3. - chica
'assurances Putrol, de Chicago, contre l'incendie, et fut plus tard médecin assistant à l'hôpital de Kankakee, 111., où il or
ent interne des Asiles et chef de clinique des maladies mentales et médecin du bureau de bienfaisance du XIV° arrondissemen
lendemain, au lever, se trouvant tout courbaturé, on fit appeler le médecin qui lui pratiqua une saignée. Au sujet de sa
ture), n'ont pas donné de résultat satisfaisant; aussi, beaucoup de médecins sont arrivés à cette conclusion à laquelle se r
é successivement par plusieurs prisons, où il a été examiné par des médecins différents. R. M.-C. LXVIII. UN CASDE TUMEUR CÉ
ie de conséquences fâcheuses quand elle avait été pratiquée par des médecins dans un but thérapeutique. R. DE Musgrave-Clay.
rs de la valeur du prix, est néanmoins votée à MM. Bounet et Marie, médecins adjoints des asiles et co-auteurs du mémoire. Le
é- cutions. Marcel BRIAND. SOCIÉTÉS SAVANTES. 1Î1 1 SOCIÉTÉ DES MÉDECINS NEUROLOGISTES ET ALIÉNISTES DE MOSCOU. Séance
le-ci, 111u Bracco. On sait combien la lutte a été chaude entre les médecins experts de Nlce et de Paris, d'une part, et d'a
ecins experts de Nlce et de Paris, d'une part, et d'autre part, les médecins ayant donué à la défense leurs consultations :
S.-ilItlGCfi20)tS.- 26 avril 1893. M. le D1' DuBuis- son, directeur médecin de l'asile de Dury (Somme) est nommé en la même
s à la retraite. 24 mai 4893. - M. le D'' ! \IARTI : '<II' : NQ, médecin en chef de l'asile public d'alinés de Clermont
e l'asile public d'alinés de Clermont (Oise), est nommé direc- teur médecin de l'asile de Dury en remplacement de M. le Dr Du
re, il est créé, en plus du cadre réglementaire un nouvel emploi de médecin adjoint du service des aliénés du dépar- tement
262. Confusion mentale primitive, par Chaslin, 377. Congrès des médecins aliénistes et des pays de langue française, 149
ciété psychiatrique de l'.lllemaque du Sud-Ouest, 1 2, 273; - des médecins aliénistes et neurologistes de Moscou, 129, 1
85 (1893) La photographie médicale : application aux sciences médicales et physiologiques
ltés; nous en donnerons la description détaillée afin de permettre au médecin qui voudrait organiser un service photographique
Charcot répond donc à un besoin réel et il n'est pas douteux que les médecins prendront de plus en plus l'habitude de recourir
'il survient. Dans bien des cas l'observation sera suffisante pour le médecin , mais dans d'autres il y aurait avantage à la voi
s commode que de prendre un cliché; en un mot, toutes les fois que le médecin le jugera nécessaire, il faudra faire la photogra
caractéristiques. Il en est de même des idiots et des dégénérés. Le médecin trouvera donc de grands avantages à se servir de
nce pour l'avancement des sciences médicales en général. En effet, le médecin , par sa profession même, doit être observateur, e
s affections déterminées. Ces types restent gravés dans la mémoire du médecin et nous en connaissons qui, à la seule inspection
ement confirmé par l'examen ultérieur. Les études que doit faire le médecin ne se bornent pas seulement aux observations qu'i
il le connaîtra, il lui sera possible désormais dè le combattre. Le médecin sera donc amené au cours de l'autopsie à photogra
onserver sans allé-rations. Une fois tous ces documents amassés, le médecin sera conduit tout naturellement à les vulgariser,
les divers appareils qui y sont employés par nous personnellement. Le médecin trouvera toutes les indications nécessaires pour
sportables qui peuvent avoir leur utilité pour un étudiant ou pour un médecin sujet à se déplacer, nous avons combiné un meuble
nt au point et on le saisit sans difficulté. Nous croyons que si le médecin veut faire construire un appareil spécial pour la
es un peu petites, et, par suite, plus difficiles à étudier pour le médecin ; le format du stéréoscope est en effet de 8,5 su
onduite à tenir dans chaque cas particulier et de mettre en un mot le médecin à même de résoudre tous les problèmes qui se prés
nnaître également bien le nu normal. Or on doit bien l'avouer, si les médecins ne négligent en rien l'étude de l'Ana-tomie ils d
'anatomie morphologique et la pathologie des relations intimes que le médecin et le chirurgien doivent connaître sous peine de
pent à notre œil. Ces études de grand intérêt non seulement pour le médecin mais encore pour l'artiste, ont été faites magist
e face, de dos, d( trois quarts, de profil, debout ou assis. C'est au médecin qu'il appartiendra d'indiquer les positions dans
ce de ces attitudes absolument typiques est d'un haut intérêt pour le médecin et il est utile d'en garder la reproduction fidèl
evons ouvrir une parenthèse pour signaler l'utilité qu'il y a pour le médecin à recueillir, si possible, les photographies anté
fait caractéristique. Si ces ressemblances ne sauraient échapper à un médecin exercé, il n'en est pas moins évident qu'il sera
égorie. Du reste, ces types restent gravés dans la mémoire et pour le médecin exercé ils le mettront très souvent sur la bonne
ic au vol, et c'est alors que, signalant ce malade intéressant à deux médecins de valeur qui le connaissaient et l'avaient même
dant des anomalies caractéristiques qui avaient d'ailleurs frappé les médecins qui l'avaient soigné, n'avait pas été reconnu com
oulues. Ce travail, bien entendu, devra se faire sous la direction du médecin , qui devra n'accepter que les épreuves portant le
es passionnelles. Voyons comment la Photographie peut être utile au médecin pour saisir les phases multiples de ces diverses
loyons. Comme il s'agit d'obtenir des documents utilisables pour le médecin , notre appareil est disposé pour opérer au besoin
ied-bot, bec-de-lièvre, strabisme, etc., présentera également pour le médecin un vaste champ d'études. PHOTOGRAPHIES DE L'INT
INS ORGANES. On sait que, grâce à l'emploi d'appareils spéciaux, le médecin peut maintenant examiner avec facilité l'intérieu
ux pouvant amener une grande gêne, pénible parfois pour le malade, le médecin devra donc d'un coup d'œil, pour ainsi dire, rele
jets atteints de crampes variées voient leur écriture se modifier. Un médecin expérimenté, d'après l'examen de quelques lignes
PRÈS DÉCÈS. Lorsque la maladie a une terminaison fatale, le rôle du médecin n'est pas terminé : l'autopsie du sujet est quelq
es. L'examen des divers organes, s'il est reconnu nécessaire par Je médecin , sera fait par les mêmes procédés, et, d'une mani
rage, Pl. XIF et XV.) Mais là ne se borneront pas les études que le médecin sera appelé à faire. On sait le rôle important qu
ble, une photographie antérieure du sujet. Le 6 décembre i8yi. Le Médecin , Charcot. effet, des condensations qui seront
ERVICE PHOTOGRAPHIQUE. En dessous, nous inscrivons le diagnostic du médecin , puis les divers renseignements qui pourront être
ns. C'est cette épreuve qui constituera le document que consultera le médecin . Suivant les cas, on pourra se contenter de quelq
ttant d'obtenir des épreuves inaltérables en grand nombre. Lorsque le médecin a une publication à faire, il est intéressant pou
édicales en général, ne présentera pas ici un champ moins vaste et le médecin commis par la justice comme expert dans une affai
pométrie paraît sortir du domaine médical, n'est-ce pas parce que les médecins ne s'adonnent pas suffisamment à l'étude du nu mo
et aux études physiologiques et pathologiques. Quoi qu'il en soit, le médecin devra pouvoir relever les divers signes susceptib
nalyse comparative. Grâce au service si complet de M. Bertillon, le médecin , du moins à Paris et dans quelques grandes villes
ues d'une manière parfaite. Mais un crime est-il commis, le rôle du médecin expert commence et prend une importance capitale
cipalement dans les grands centres par l'autorité judiciaire, mais le médecin , dans certains cas et particulièrement en ce qui
pect des plaies et des blessures devra être conservé également par le médecin , qu'il y ait guérison ou décès, car, dans le prem
tié pour les auteurs de ces assassinats. Au cours de l'autopsie, le médecin devra noter également l'aspect des organes attein
'il soit, de jeter un doute sur les résultats de l'enquête confiée au médecin . On a vu des procès retentissants dans lesquels l
aves erreurs peuvent être commises dans l'espèce, et l'intérêt que le médecin soucieux de son art peut et doit avoir à apporter
86 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
D'UNE PRÉTENDUE MONOMANIE RELIGIEUSE; Par JI. D E L.1 S l A U V E , médecin honoraire des hôpitaux. Nous avons établi, en a
ement hydrothérapique et sa douche lui avait été donnée, non par le médecin , mais par un doucheur qui, non prévenu, avait d
l'influence d'une irritation cutanée ; il se plaignit un jour à son médecin d'une douleur, peu intense d'ailleurs, mais persi
En présence de ce conflit, ce qu'il y a de mieux à faire pour le médecin , c'est d'observer le malade; et nous serions trop
II. Côtes fracturées dans les asiles anglais; par Lauder LINS1Y, médecin de l'institut royal de Murray, pour les aliénés
S maladies mentales aiguës ET curables; par le Dr Wiltie 13URDIANN, médecin en chef du « Wilts country lunatic asylum, Devi
rait plus de progrès; les cas de suicide seraient plus rares; les médecins spécialistes s'attacheraient davantage à l'étude
que ses victimes habituelles sont des gens instruits et surtout des médecins . Cette maladie, qui consiste dans l'usage conti
réci- dives sur quatre-vingt-deux cas, dont trente-deux chez des médecins . Comme étiologie, il faut signaler d'abord l'ex
morphine, tomba dans un collapsus dont on ne put la tirer. Un jeune médecin suc- comba de même, malgré la précaution prise
euvent amener un soulage- ment durable, et c'est vers ce but que le médecin doit diriger tous ses efforts. La cessation gra
is la prophylaxie la plus importante est placée entre les mains des médecins et des pharmaciens, elle doit consister en ceci
rmaciens, elle doit consister en ceci : 1° jamais, en aucun cas, le médecin ne remettra au ma- lade ou à son entourage ni s
à injecter. En faisant une pareille concession à ses clients, un médecin les condamne à mort; 2° les pharmaciens ne délivr
° les pharmaciens ne délivre- ront les solutions de morphine qu'aux médecins . En face des commandes incessantes de seringues
'(de Tours) lit une note sur un mémoire du docteur Roberto-Adriani. médecin directeur du Manicôme de Pérouse. Ce médecin it
cteur Roberto-Adriani. médecin directeur du Manicôme de Pérouse. Ce médecin italien, se basant sur ce fait qu'en appliquant
s plus complets, en procédant avec la plus prudente réserve, que le médecin don- nera la solution d'un problème grave intér
ectué par la direction centrale sous les auspices et indications du médecin , faisant ou non reprendre le malade par ses paren
tion des congés à accorder aux criminels aliénés pour les cas où le médecin aurait obtenu une transforma- tiou intégrale de
e compose de juristes expéri- SOCIÉTÉS SAVANTES. 125 mentes et de médecins aliénistes pratiques qui veuillent bien assu- r
empire d'une entité psychique morbide passant inaperçue aux yeux du médecin de l'établissement; d'autre part les médecins d
inaperçue aux yeux du médecin de l'établissement; d'autre part les médecins des prisons et établisse- ments pénitenciers, r
tées par Spoiiliolz, Millier et Zinn, 11. Loelit- invite les jeunes médecins à poursuivre leurs recherches en commun sur ce
ne saurait évidemment prodiguer aucune in- dulgence. La prudence du médecin légiste doit êlre d'autant plus grande que tout
on complète et définitive du type pathologique peut seule servir le médecin ; or il est encore à l'étude. M. Kir réplique qu
du malade incombe à chaque cas particulier. En général, profanes et médecins tendent à surtaxer ce qui reste d'intelligence
daptation ménagère proprement dite. 7° La colonie n'a pas besoin de médecin ; le personnel dirigeant se résume en un agricu
cin ; le personnel dirigeant se résume en un agriculteur; les mêmes médecins fonctionnent à la colonie et à l'asile. 8° La
, en des vases appropriés. )1. Sciiule regrette de ne pas voir de médecin en permanence à la colonie ; il lui paraît au m
vingt ans n'a jamais eu à consta- ter de cas urgent nécessitant un médecin résidant. M. Freusberg. Combien y a-t-il de tra
souvent très peu intenses et très propres a tromper l'attention du médecin qui doit mettre en oeuvre les mé- dications spé
trice peut passer inaperçue non seulement du malade, mais encore du médecin : M. Fournier décrit cinq procédés pour découvr
ntérieurement dans cet asile. NÉCROLOGIE. - Le Dl Firmin LAGAMELLE. médecin en chef de l'a- sile d'aliénés et professeur ch
: i, il fut successivement directeur de la maison de santé d'Ivry, médecin adjoint de l'asile d'aliénés de Dijon (1865), méd
santé d'Ivry, médecin adjoint de l'asile d'aliénés de Dijon (1865), médecin ad- joint de l'asile de Bordeaux (1866), médeci
s de Dijon (1865), médecin ad- joint de l'asile de Bordeaux (1866), médecin en chef à Niort, à Flou- luls, à llarseille, à
.JV6u;s, 8 avril )882.) Moins heureux que le Dl Gray, le Dl ADAMS, médecin à l'asile de Kalamazo (\Iicbiâan), frappé d'un
a cause de toutes leurs souffrances. Ils finissent par accuser le médecin et arrivent au délire de persécution DU DÉLIRE
se figure qu'il porte malheur aux personnes qui l'approchent, au médecin qui le soigne, aux domestiques qui le servent;
E DES MALADIES SEXUELLES CHEZ LES ALIÉNÉES; Par le Dr S. DANILLO, médecin (le la Clinique de Samt-Pétershourg. L'influenc
S SUR LA FOLIE AVEC CONSCIENCE; Par le D E. MARAXDON DE )IONTYEL, Médecin en chef de l'asile public d'aliénés de )1,tiseill
de montrer le mot conscience dans ses diverses accep- tions. Le médecin ou le psychologue désireux d'étudier dans tous
physique et intellectuel pour lequel ils vont souvent consulter les médecins . II y a un second groupe de paralytiques chez l
ue restreinte, acquiert une certaine valeur si on tient compte que, médecin en chef d'un grand service de près de cinq cent
prodromes de la maladie dont le nom ataxie locomotrice induit le médecin parfois en erreur, car bien souvent la maladie es
VIS RELATIFS A L'ALIÉNATION, A L'USAGE DES GENS DU MONDE; par KocH, médecin directeur de l'asile royal de Zwiefalten (Wurte
is et l'oeuvre n'est pas' terminée. C'est une lecture utile pour le médecin praticien bien plus que pour les gens du monde,
e qu'une souscription sera ouverte parmi les membres et parmi les médecins d'asile pour élever à Toulouse un buste du De Mar
r de membres pour qu'une majorité soit toujours cer- taliie : trois médecins n'offriraient pas de garanties d'incorruptibi-
s de cette importance ne devraient pas toujours être communiqués au médecin chargé du malade ? C'est pour éviter que de par
e décider s'il y a lieu d'envoyer un aliéné dans un asile. C'est au médecin à statuer, que l'aliéné soit criminel ou non. D
pourvoir d'aliénés ce nouvel asile soit exclusivement composée de médecins . Il peut arriver que pendant un accès délirant co
ur sortie n'est pas entourée de garanties suffisantes, car tous les médecins n'ont pas la sévérité d'Au- banel et d'Esquirol
ents administratifs particuliers. Je ne par- tage pas l'opinion des médecins qui désirent donner une extension plus grande à
rans- formation du quartier de sûreté dans une autre division; le médecin restant libre sous ce rapport d'agir comme il le
: il vient simplement rappeler qu'en 1863, alors qu'il était jeune médecin , il avait adressé au Sénat une pétition pour de
n sur ce sujet est aujourd'hui encore peu soignée, car, à Canton un médecin qui voit à la policlinique chaque année six mil
celb de l'Europe, au moins dans ses linéaments généraux ; c'est aux médecins anglais qu'il faut en aUribuer l'importation. L
que l'on admet. De tels résultats doivent être attribués, selon les médecins anglais, à la prédominance de psy- choses par a
t-un malades cons- truit d'après un plan européen et dirigé par des médecins japonais; on y perçoit ici le charme, la simpli
e valoir ses droits à la retraite. - hi. le Dr E. Cortyl, directeur médecin de Quatremares, rempla- cera AI. Rousselin à l'
Cortyl, médecin-adjoint à l'asile de Saint-Yon, est nommé directeur médecin à l'asile de Saint-Venant. M. Bestière est nomm
directeur médecin à l'asile de Saint-Venant. M. Bestière est nommé médecin adjoint de l'asile d'Evreux, en remplacement de
vreux, en remplacement de M. Lisle, décédé. M. Martinencq est nommé médecin adjoint à l'asile de Saint-Yon, en remplace- me
ce- ment de M. Seliils, nommé à Ville-Evrard. M. Febvré est nommé médecin adjoint de l'asile de Mont-de-Vergues (Vaucluse),
aint-Yon. M. A. Guyot, interne de l'asile de Mare- ville, est nommé médecin adjoint de l'asile de Quatremares, en remplacem
mparu le 8 août devant la 9e chambre. M. le Dl Mo- reau (de Tours), médecin de la Salpêtrière, atteste que la prévenue, att
terre, mais qui se relève en pleine possession de ses facultés, le médecin est actuellement conduit à placer, sinon dans l
; souvent,' il apparaît à de longs intervalles, pendant lesquels le médecin n'est point consulté. Dans les formes les plus
v. de,M, é,,d., 1884). ,J C'est le vertige réflexe. 1, ('fez d Le médecin qui observe le vertige de lflénière ? t qui ne
LE. ne se marie plus, que personne ne nait plus. Il n'y a plus de médecins , il n'y a plus de préfets, il n'y a plus de notai
fut pris d'un tremble- ment intense avec claquements des dents. Le médecin appelé ne constata, dit-on, aucun mouvement féb
t continuellement; elle est damnée, il est vrai, mais ce sont les médecins qui en sont cause. Observation xi Mmo H..., âgé
st d'autant plus impor- tante à vulgariser, quelles magistrats, les médecins légistes qui ont eu à s'occuper d'attentats aux
l'excitent. Tendances mélancoliques. Idées de suicide. - M. X..., médecin , âgé de trente-trois ans, en proie à une profon
ne situation aussi pro- fondément triste, en dehors du malade et du médecin , à qui il fait ses confidences ? Et cependant q
seur Troltsch rappelle à ce propos la phrase digne de remarque d'un médecin américain, le docteur Clarke : « C'est un fait
'oreille, dans le cours ou à la suite dés fièvres éruptives, que le médecin qui négligerait ce soin ne peut être considéré
e manque ni d'ingéniosité, ni de justesse, il fait remarquer que le médecin qui soigne une maladie d'estomac se garde bien
ention. Cu. F. Des maladies mentales et nerveuses; par Ai. 13u,lod, médecin en chef, directeur honoraire des asiles de la S
' Asile d'aliénés DE Ville-Evrard. M. le Dr Espiau de la Maëstre, médecin directeur de l'asile de Ville-Evrard, a été victi
le prompt rétablissement de M. le Dr Espiau de la Maëstre, un des médecins les plus dévoués de nos asiles d'aliénés. Congr
urs se font sous la direction de MM. Houchereau, Dago- net, Magnan, médecins en chef, et Quesneville, pharmacien en chef de
87 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
a mère avait pâli, que son père était malade, et il demandait à son médecin de guérir ses parents. C'est à ce moment que je
on près de ce malade par M. le Dr Limpritis, un des plus distingués médecins d'Athènes; et voici ce que nous avons constaté.
e spéciale de ces névroses. L'épreuve du champ visuel peut aider le médecin dans le choix du courant. P. K. II. COURTE co
u des commissionners in Lunacy, composé de onze membres (dont trois médecins et trois avocats, rece- vant chacun par an 30,0
malade. Les aliénés indigents traités à domicile sont vus par les médecins des pauvres une fois par trimestre; ces aliénés s
enir : 1° la mention de faits prouvant la folie et constatée par le médecin lui-même, 2° la mention de faits pareils, mais
n lui-même, 2° la mention de faits pareils, mais communiqués par le médecin . Il faut deux certificats médicaux pour le plac
arité évacue donc à Dalldorf les malades réputés incurables par les médecins de cet t hôpital; on les y expédie par voitures
le suc, a été lu par son auteur au Congrès annuel de la Société des médecins aliénistes allemands, à Leip- zig, en septembre
de quarante-six ans, qui nous a été adréssépar M. le Dr E. Collin, médecin inspecteur de Saint-Honoré-les- Bains, est fils
E L'ATTAQUE PAR LA PRESSION DES TENDONS ; Par le Dr Jules VOISIN, médecin de Bicêtre. Le malade, dont nous allons dire l'
. \ Après de nombreuses épreuves pour dépister la simulation, les médecins de l'asile restent convaincus que sa personnalité
mate indélébile. V... garde quelques idées délirantes. Il fuit les médecins , par crainte qu'on l'hypnotise. 2 janvier 188 ?
éningite TUBERCULEUSE. - Mort, autopsie; par le Dr DESCROI- ZILLES, médecin de l'hôpital des Enfants. Cette observation de
endante, rappelant la paralysie ascendante aiguë ; pal'l\l. BARTII, médecin des hôpi- taux. (Fr. méd. 1884, 1.) ; Un homm
ités; 5° le traitement n'est pas confié aux spécialistes, et 6° les médecins ne sont pas indépendants. Or, M. Kowalewsky pen
ôlé psychiatrique y est impossible, à raison, et dd petit nombre dé médecins , et de la grande étendue de ter- tain â parcour
l'on multi- pliait, pour 16 contrôle et l'assistanée, le nombre des médecins en sous ordre, dans ces conditions, mais dans c
il produira, à l'appui de ; ( cette demande un certificat motive du médecin du malade; on appellera concurremment deux spéc
BLIOGRAPHIE. attribuer à l'influence manifeste du démon. Jean Wier, médecin instruit et philanthrope, s'est appliqué à défe
auront gré de les avoir recueillis. Allocution de M. le D' DAGONET, médecin de l'asile Suintc-Aliiae, président de la Socié
rer les travaux, à exposer les titres scientifiques de cet illustre médecin , cette lâche est réser- vée au secrétaire génér
e, et elle compte ici de brillants représen- tants. Si, du côté des médecins , licitoiiiie n'a failli à sa Lâche. 280 VARIA.
justice, fussent complets, je voudrais qu'auprès de la statue du médecin illustre, quelque part, sur les murs de cet asile
t comme la fête de la bienfaisance. D'autres ont loué la science du médecin : il est au rang des plus illustres. Mais sa gl
Corvisart et des Cabanis. « Ce fut elle qui le nomma successivement médecin de Bicêtre et de la Salpêtrière. Il put accompl
ine ce bronze monumental élevé à la mé- moire du Dr Philippe Pinel, médecin en chef de la Salpêtrière, professeur à la facu
, le 2n oc- tobre 1826. « Pinel ne fut pas seulement cet illustre médecin , dont les titres scientifiques vous seront rapp
ère, un grand citoyen. Appelé vers la fin de 1792, aux fonctions de médecin de Bicêtre il fut aussi affligé qu'indigné du s
n et appelaient en quelque sorte de semblables cruautés, le nouveau médecin de Bicêtre s'arrêta à la généreuse pensée d'une
vouloir déchaîner toutes ces bêtes féroces ? )'«Non, répondit « le médecin de Bicêtre, j'ai la conviction que ces malheureux
le héros de celte fête. « Par une maussade matinée de printemps, un médecin et un artiste, réunis pour un portrait dans un
une des places de Paris.,) « Qu'à « cela ne tienne, lui répondit le médecin , je vous commande la statue de Philippe Pinel b
chose comme un avant-projet. Il avait com- pris, à la façon dont le médecin avait formulé sa commande, qu'il ne s'agissait
fut loin d'être trahie, puisque nous sommes ici aujourd'hui. « Le médecin dont il s'agit était membre delà Société médico-
u Collège de France, de l'Académie et delà Faculté de médecine, des médecins des hôpitaux de Paris et la plupart des médecin
é de médecine, des médecins des hôpitaux de Paris et la plupart des médecins des services d'aliénés du département de la Sei
ement de la Seine. « Un jour, à la séance du 23 décembre 1877, le médecin , que nous avons laissé dans l'atelier d'un stat
al de la Seine de la sérieuse allocation qu'il nous a accordée. Les médecins des services d'aliénés du département sont très
reuse inspiration, on a complété ce monument élevé à la gloire d'un médecin par deux figures allégoriques : la Science el l
relles n'indiquant pas une vocation bien arrêtée, son père, modeste médecin de campagne, l'autorisa à faire ses éludes médi
ntreprise. Sur les instances de Cabanis, Pmt'1 accepta d'être nommé médecin de Bicêtre, : le savant m0- VARIA. 289 deste
des droits de l'aliéné à la sympathie universelle et des devoirs du médecin envers ce blessé de l'intelligence. « A côté
ent ; il devint bientôt classique et son auteur prit rang parmi les médecins les plus renommés de l'Europe. Par le nombre et
de l'Académie de médecine, il ne voulut jamais quitter son poste de médecin des aliénées de la Salpê- trière. Pendant plus
estera attaché, il a tout particulièrement droit à la gratitude des médecins . N'est-ce pas lui qui nous a ouvert la voie ? N
nés environ sont soignés dans le asiles publics et privés par 48-50 médecins . Canton DE GENÈVE. Les Yerzets. Asile de l'État
DE GENÈVE. Les Yerzets. Asile de l'État (130 malades), directeur et médecin en chef, professeur Dr OLIVET. Canton de VAUD.
VAUD. - I Bois deCéry. Asile de l'État (350 malades), directeur et médecin en chef, Dr CIIaLLAND ; médecin en second, Dr K
l'État (350 malades), directeur et médecin en chef, Dr CIIaLLAND ; médecin en second, Dr Kayser; médecin assistant, Dr Han
ur et médecin en chef, Dr CIIaLLAND ; médecin en second, Dr Kayser; médecin assistant, Dr Hansen. ` ? ° La Métairie. Asile
lits), D''H;ST. 30 Etay. Asile pour les idiots (40 malades), pas de médecin dans la maison ; visité par le Dr Zimmer à Au-
e¡'. Asile privé recevant les malades de l'État, (130-140 malades). Médecin en chef et directeur, Dr BUIiHIIAIIDT; médecin
, (130-140 malades). Médecin en chef et directeur, Dr BUIiHIIAIIDT; médecin en 2e, Dr Godet. 2° Asile Bellcvue près le Henv
3° l3ellcvzce près de Landeron. Asile pour idiots (10 lits), pas de médecin spécial. Canton du Valais. Pas d'asile d'aliéné
e division de l'hôpital reçoit 30 à 40 imbéciles et crétins, pas de médecin spé- cialement attaché à cette division. Cant
BERNE. - fla La 4Yctldau. Asile de l'État. (330 lits.) Di- recteur médecin en chef, Dr prof. ScrIEnnEn; médecin en second,
'État. (330 lits.) Di- recteur médecin en chef, Dr prof. ScrIEnnEn; médecin en second, Dr de Speyr; médecin assistant (chan
édecin en chef, Dr prof. ScrIEnnEn; médecin en second, Dr de Speyr; médecin assistant (change chaque année). On pro- jette
énés et alcooliques. Asile privé, appar- tient à 11-0 veuve Straub. Médecin de l'Asile, Dr GLASER. - 4° Weissenheim. Asile
re enfants susceptibles encore de développement ! . Directeur non médecin , M. R. Glur , médecin, Dr E. KtimG. Canton de S
les encore de développement ! . Directeur non médecin, M. R. Glur , médecin , Dr E. KtimG. Canton de SOLEURE. - Rosseg. Asil
. - Kcenicgsfelden. Asile de l'Etat (380-400 malades). Directeur et médecin en chef, Dr SCH,1UFELHUEL ; médecin en second,
(380-400 malades). Directeur et médecin en chef, Dr SCH,1UFELHUEL ; médecin en second, or Weibel; médecin assistant (il cha
t médecin en chef, Dr SCH,1UFELHUEL ; médecin en second, or Weibel; médecin assistant (il change chaque année).. ' Canton
is). Médecin-directeur, prof. \'VILLE, (clinique psychiâ- trique) ; médecin adjoint, X... (change souvent). -'2° L'Espérance
ville Brunneg asiles privés. Médecin-directeur, Dr R. BINS\VANGEIi; médecin en second, Dr X... ? 4° Allnau. Asile privé (6
ile de l'Etat (2àO-300 lits). Directeur-médecin en chef, Dr WELLER; médecin en second, Dr von Monakow. . Canton D'A1'PR\Z
. lVczhenhCttlSe72. Asile privé (10 lits), appartenant à Mmo Galle. Médecin , Dr CUSTER. Canton DE SCII1FFOUSE. - Une divisi
ste deux petits asiles pour des malades incurables tranquilles. Les médecins font en même temps le service de l'hôpital cant
Solznenhalde dépend aussi de l'asile avec 2 à4 lits). Directeur et médecin en chef,.Dr FETSCHERIN; médecin en second, Dr L
asile avec 2 à4 lits). Directeur et médecin en chef,.Dr FETSCHERIN; médecin en second, Dr Lisibach; médecin assistant (chan
et médecin en chef,.Dr FETSCHERIN; médecin en second, Dr Lisibach; médecin assistant (change chaque année). ' Canton DE ZU
sychiatrique). Directeur-mé- decin en chef, professeur Dr.A. FOREL; médecin en second, D Lauffer; médecin assistant en prem
ecin en chef, professeur Dr.A. FOREL; médecin en second, D Lauffer; médecin assistant en premier, X... ? médecin assistant
médecin en second, D Lauffer; médecin assistant en premier, X... ? médecin assistant en second, X... ? Ces deux places cha
mheim. Dr von ORELLI; 4° Asile privé pour idiots {18- 20 lits, sans médecin spécial) dirigé par MUe Keller. (Dans ce canton
Canton de UNTERWALD-LE-BAS. Stau ? Asile pour 40 incurables, sans médecin spécial. ' LES cantons DE TESSIN, GLARIS, SCHWY
NS. - Realta. Asile pour 30 incurables. Direc- teur, M. Lietha (non médecin ); médecin, Dr Puol, à Thusis. 1 Le canton des G
ta. Asile pour 30 incurables. Direc- teur, M. Lietha (non médecin); médecin , Dr Puol, à Thusis. 1 Le canton des Grisons va
le directeur, ce qui porte- à quatre les habitations de familles de médecins . On a affermé neuf hectares en sus. L'an dernie
en pavillon du directeur une habitation de famille pour le second médecin ; au rez-de-chaussée ont été arrangés les bureaux
RNEAU. NoMtNATioNs. Asile de Villejuif. M. le Dr Vallon est nommé médecin en chef. Hospice de la Salpétriére. M. le Dr BA
es compétentes s'intéressant aux questions traitées, telles que les médecins en général, les magistrats, les criminalistes, et
resser, plus pour amples renseignement ? , à M. le Dr B.-C. 1NGELS, médecin de o ? e6-GM ! Sa ! H, à Gand. Meeting contre l
évrier der- BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. 303 nier. Quoique plusieurs médecins , d'une véracité indubitable, témoignassent de s
urs et les sorcières. Le tout compris en six livres; par Jean Hier, médecin du duc de Clèves, suivi : de deux dialogues tou
SSES SCLEROSES SYSTÉMATIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE Par N. POPOFF, médecin il l'asile Saint-Nicolas il Saint-Pétersbourg.
. Le docteur Adam a déclaré qu'il était depuis vingt-trois ans le médecin de la famille, et qu'il n'avait jamais constaté c
l inonda la maison en ouvrant un robinet d'eau au sixième étage. Un médecin qui l'a examiné alors a déclaré qu'il tournait
tombé tout raide par terre et est resté ainsi pendant une heure; le médecin qui a été appelé a dit que ce n'était pas des c
en connus et établis par nombre d'expériences, et il n'est guère de médecins s'occupant de l'étude des affections nerveuses
paraissent avoir été bien exagérés. L'hypnotisme peut pour certains médecins être incriminé et rejeté comme moyen expériment
rveau, qu'il a remis au Dr G. II. Savage. Voici ce qu'a constaté ce médecin distingué : de chaque côté de la moelle allongé
us le coup de cette influence héréditaire. Enfin', pour beaucoup de médecins , aujourd'hui il existe une folie héréditaire in
rs et leurs allures les aliénés'ordi- naires s'efforcent devant les médecins de bavarder, de gesticuler, de déraisonner à l'
ale; 3° sonde oeso- phagienne toujours. En présence d'un malade, le médecin a à décider : 4° s'il doit demeurer le spectate
tismes résultant de là lutte terrible engagée entre l'aliéné et le médecin au sujet de l'alimentation forcée ou du vomisseme
forcée ou du vomissement à dessein d'aliments ingérés de force : le médecin renonce alors à l'alimentation artificielle. A
pas parer au plus pressé par le seul moyen à notre disposition ? Au médecin , il appartient d'apprécier la nature des faits
: ce sont bien là, comme le faisait remarquer à ce propos le savant médecin de Sainte-Anne, des faits qui prouvent le dédou
88 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nt électrique. Il avait sur le bras plusieurs plaques rouges que le médecin a qualifié, dit le malade, de vaso-motrices. -
oujours DE ¡,'ATROPHIE MUSCULAIRE. Ô eu les mêmes caractères; les médecins ont distingué chez lui, dit-il, cinq variétés d
, tantôt contracturé. Sept jours après le début de sa paralysie, le médecin lui a appliqué sur la tempe gauche et sur la ré
ophie a été en s'accentuant rapide- ment ; elle a été suivie par le médecin au moyen de mensura- tions. Le malade remarqua
s haut point la famille; mais elles sont souvent insolubles pour le médecin . Seulement comme elles sont communes à toutes l
CUTANÉES la ' PAR AUTO-SUGGESTION; Par le Dry. MABILLE, directeur médecin en chef de l'asile de Lafond, La Rochelle, et l
in en chef de l'asile de Lafond, La Rochelle, et le Dr J. RAMAD1KR, médecin adjoint. A la date du 29 août 1885, l'un de nou
NERVEUSE. V. Myélite chronique diffuse ; par le Dr Raymond, agrégé, médecin de l'hospice des Incurables. (Gaz. met. de Pari
al. G. D. VI. Contribution A l'étude DE l'aphasie; parM. 13ALZI,-R, médecin des hôpitaux. (Gaz. '7 ! ëd. de Paris, <884.
'origine corticale du facial inférieur ; par le Dr Raymond, agrégé, médecin de l'hospice des Incurables. (Gaz. méd. de Pari
avec MOUVEMENTS anormaux du bras ET DE la jambe; par le Dr RAYMOND, médecin de l'hospice des Incurables. (Gaz. méd. de Pari
S ET ENCÉPHALIQUES DES AFFECTIONS catarrhales ; par le 1)' Raymond, médecin de l'hospice des Incurables. (Gaz. méd. de Pari
os. Il se proposait d'appliquer le trépan, qui fut repoussé par un médecin consul- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. () 1 tan
le et proposa le trépan, mais deux chirurgiens s'y refu- sèrent. Le médecin ordinaire avait constaté un décollement du cuir
c un épileptique permanent. Aucun renseignement ni du malade, ni du médecin qui le soignait depuis fort longtemps, ne pouva
lfy. Zeitschr. f. Psych., XLI, 3). Le suicide est le cauchemar du médecin d'asile. Statistique à cet égard de l'asile de
. Zeitschr. f. Psych., XL[, 3). L'affection fut importée par un des médecins de l'établissement. L'auteur suit lacontagion p
nal of Mental Science, janvier 1385.) L'auteur a fait, auprès des médecins directeurs des asiles d'An- gleterre, une enquê
UE DE PATHOLOGIE MENTALE. a été étonné de constater qu'un nombre de médecins beaucoup plus considérable qu'il ne l'avait sup
ntale et aux principes mé- dicaux les plus élevés. 11 conclut qu'un médecin doit avoir en mains le service administratif. P
ment considérable de la courbe. 10 a, 10 6 est la courbe d'un jeune médecin ; b, s'abaisse con- sidérablement. 11 a et Il
posaient moins de résistance aux influences conges- tionnelles ; le médecin légiste, Krafft-Ebing. par exemple, trouve que
A Codes pour LES infirmiers d'asiles d'aliénés; par SHULTTEWORTH, médecin en chef de l'asile royal Albert, Lancastre. On
nés seraient disposés à employer leur petit savoirindépendamment du médecin . Archives, t. XII. 9 130 VARIA Je puis seul
tout récemment, ils ont rendu des services de premier ordre à un médecin qui fut jeté hors de son cabriolet en passant dev
leur, en leur permettant de réclamer intelligemment les soins des médecins , et d'exécuter habilement leurs instructions, néc
pêtrière; M. Derny, mé- decin adjoint à l'hospice de Bicêtre, passe médecin titulaire dans le même établissement. Asile d
sement. Asile d'aliénés DE C.1DILLAC. M. le DT CMUSET, directeur- médecin de l'asile de Saint-Alban (Lozère) vient d'être n
ur- médecin de l'asile de Saint-Alban (Lozère) vient d'être nommé médecin en chef de l'asile de Cadillac (Gironde). 132 F
e l'ouverture du concours. - Art. 4. Le jury est composé de MM. les médecins et chiruigiens de la Maison nationale auxquels
ale auxquels seront adjoints deux membres nommés par nous palmi les médecins inspecteurs généraux des services admi- nistrat
es médecins inspecteurs généraux des services admi- nistratifs, les médecins de l'administration centrale ou des éta- blisse
de la valeur de 1,200 francs, a été décerné à M. le Dr Paul Balcon, médecin à Paris. La question posée était : « De l'idiot
es de volonté ; elle cherchait à se faire asseoir sur les genoux du médecin rési- dent et s'y aidait elle-même. Durant son
est sorti et est allé à la mairie pour demander des secours. Là, le médecin de la mairie l'a vu, et, comme le malade lui di
lui disait qu'il avait son appareil depuis quarante-cinq jours, le médecin a jugé à propos de lui enlever l'appareil. C'es
e était aplatie, mais cet aplatissement n'a pas été constaté par un médecin ni par les assistants; c'est lui- même qui, en
-traumatique, l'envoya à l'Hôtel-Dieu dans le service des. Merklen, médecin du Bureau, central, qui con- firma le diagnosti
ons articulaires sont aujourd'hui considérées par la généralité des médecins , conformément à l'opinion que MM. Charcot et Vu
l'hypothèse d'hystérie, et qui aurait paru suffisante à beaucoup de médecins pour la rejeter. Mais admettons qu'un esprit pl
de cela quelques années, sou- tenir une pareille argumentation. Le médecin qui se serait décidé à rompre avec les traditio
DEMI-HEURE PAR LA SUGGESTION HYPNOTIQUE ; Par le,Dr Auguste VOISIN, médecin de la Salpêtrière. L'observation qui suit, bien
remèdes proposés pour l'epilepsie soit considérable, la plupart des médecins accordent la préférence aux bromures, dont l'em
posé toutes les tentatives faites en France et à l'étranger par les médecins d'asile pour régler auto- matiquement la distri
F¡"l\OENKEL et IDRLER, car les '1 Voy. Congrès des naturalistes et médecins de Magdebourg, 1884. (Archives de Neurologie.)
elle fournit, en bien des cas, un résultat qui contente patients et médecins . Un insuccès vous laisse toujours le champ libr
de vous envoyer la traduction. Malheureusement, si la plupart des médecins aliénistes se plai- gnent de ne pas avoir le- p
nneur pour le Conseil général, pour le préfet de la Seine, pour les médecins et le directeur de cet asile, pour la Commissio
xceptionnelle de son grade (8,000 fr.), M. le Dr Faucher, directeur médecin en chef de l'asile de iVAUGEAT(Haute-Vienne); A
la 1ro classe de son grade (i,000 fr.), M. le Dr Homéry, directeur, médecin en chef de Saint-Athanase (Finistère); A la 3e cl
a 3e classe de son grade (5,000 fr ), M. le Dr LONGEAUD, directeur, médecin en chef de la ville de Rodez (Aveyron); Ont été
ur prendre rang à partir du ("février 1886 : MM. les Dro GUILLE11N, médecin adjoint de l'asile de Dôle (Jura); Paris, médec
es Dro GUILLE11N, médecin adjoint de l'asile de Dôle (Jura); Paris, médecin adjoint de l'asile de Châlons-sur-Marne et BELL
; Paris, médecin adjoint de l'asile de Châlons-sur-Marne et BELLAT, médecin adjoint de l'asile de Prémontré (Aisne). Arrêté
rémontré (Aisne). Arrêté du 15 mai 1886. M. le Dr FABRE, directeur, médecin en chef de l'asile de Saint-Lizier (Ariège), es
e l'asile de Saiut-llban (Lozère), M. le De Lorr- GEAUD, directeur, médecin en chef de l'asile de Rodez est nommé directeur
directeur, médecin en chef de l'asile de Rodez est nommé directeur, médecin en chef de l'asile de Saint-Lizier. M. le Dr CA
cteur, médecin en chef de l'asile de Saint-Lizier. M. le Dr CAMPAN, médecin en chef de l'asile de Cadillac (Gironde), est n
ecin en chef de l'asile de Cadillac (Gironde), est nommé directeur, médecin en chef de l'asile de Rodez (Aveyron). Arrêté d
odez (Aveyron). Arrêté du 20 mai 1886. m. le Dr CAMUSET, directeur, médecin en chef de l'asile de Saint-Alban (Lozère), est
teur, médecin en chef de l'asile de Saint-Alban (Lozère), est nommé médecin en chef de l'asile de Cadillac (Gironde), et pr
rade (6,000 fr.) Arrêté du 25 mai 1880. M. le Dr TncuET, directeur, médecin en chef de l'asile des Lesvellec, près Vannes (
our prendre rang à partir du 1er février IS81s : MM. les D" SCUlLS, médecin ajoint de l'asile de Ville-Evrard; IIIAUNlER, m
es D" SCUlLS, médecin ajoint de l'asile de Ville-Evrard; IIIAUNlER, médecin adjoint de l'asile d'Aix : GARNIER, médecin adj
ille-Evrard; IIIAUNlER, médecin adjoint de l'asile d'Aix : GARNIER, médecin adjoint de l'asile de Bailleul : Dam, médecin ajo
sile d'Aix : GARNIER, médecin adjoint de l'asile de Bailleul : Dam, médecin ajoint de l'asile d'armeutière·; Brun, médecin
e de Bailleul : Dam, médecin ajoint de l'asile d'armeutière·; Brun, médecin adjoint de l'asile de Bron; MARTINENQ, médecin
d'armeutière·; Brun, médecin adjoint de l'asile de Bron; MARTINENQ, médecin ajoint de l'asile de Saint-Yon et FEBVUE, mé- d
l'asile de Mont-de-Vergues. Arrêté du 1r juiz 4 886. M. le Dr ADAM, médecin ajoint d'Ar- mentières (Nord), est nommé adjoin
Bron, professeur agrépéà la Faculté de Médecine de Lille, est nommé médecin adjoint al'asile d'Armeutières et placé dans la
t placé dans la 2e classe de son grade (2,500 fr.) M. le Dr DUFOUR, médecin en chef de l'asile de Saint-Robert, vient d'êtr
DE Bicêtre ET la SALPÊTRIÈRE. - Le concours pour la nomination d'un médecin adjoint des hospices de la Salpêtrière et de Bi
e de l'hys- térie chez l'homme a une importance pratique pour les médecins militaires. Grâce aux accès bizarres et au cour
de la maladie, au préjudice du patient, à des malentendus entre les médecins mêmes, et à de faux reproches du public, qui po
ou, on a observé des accès de sténocardie et des con- vulsions. Les médecins de service ont pu noter trois accès de convulsi
la jambe gauche, à Faîne, dans le dos. Ensuite, en présence d'un médecin militaire, R... perdit l'usage des jambes et de l
ne peux-tupas parler ? J'ai été au lazaret, j'ai eu un accès et le médecin m'a effrayé. » Il n'existe pas d'autres troubles
ris de plusieurs attaques d'hystéro- épilepsie, à ce que suppose le médecin de service. Le 21 décembre, je trouve notre mal
t pas fait mention de la glande thy- roïde : deux des malades de ce médecin , à ce qu'il nous écrit, examinés à nouveau réce
ent à l'ordre du jour. ' MARCEL BRIAND. CONGRÈS DES NATURALISTES ET MÉDECINS ALLEMANDS SESSION DE STRASBOURG 4885 ' Séan
voir voulu vulgariser dans notre pays ce livre indispensable à tout médecin s'occupant de la pathologie du système nerveux;
urtout à cause du genre de vie du roi qui ne fut contrôlé par aucun médecin : aussi la volonté et une sûre apprécia- tion d
'une déposition nécessaire. Ensuite, il aura encore à présenter les médecins . Alors seulement, lesimé- decins réunis font le
peine installé a l'asile-château depuis 48 heures, il a exécuté son médecin , qui était forcé, par son savoir et son devoir pr
spécialement . varia. 419 J un intérêt médical. Non seulement un médecin très connu a dû partager la mort de son roi ali
te crise maniaque formidable. Ayant essayé de s'en- tendre avec son médecin pour exécuter son plan, suicide ou fuite, et ay
re sera respectée et son nom, non seulement à titre de savant et de médecin , mais encore à titre de victime du devoir profe
in 824 (il finissait donc sa soixante-et-unième année), et fut reçu médecin à Halle en 1848. Après avoir publié quelques tr
r janvier prochain. Il s'ensuit la création d'une nouvelle place de médecin aliéniste qui sera mise au concours soit à la f
89 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
URS RAPPORTS AVEC [/ALIÉNATION MENTALE; Par le D' J. CHRISTIAN, Médecin de la Maison nationale de Charenton. Quand on n
te d'établir scientifiquement cette corrélation, car, pour tous les médecins elle n'est pas évidente; et, quand nous l'invoq
e se pose également, et dans les circonstances les plus variées, au médecin légiste, soit qu'il ait à apprécier le préjudic
1879 que Luciani et Tamburini, aidés de Seppilli et de Maragliano, médecins du manicome de Reggio, publièrent leurs premièr
be) relativement à la théo- rie des localisations cérébrales ' . Ce médecin partit de cette vue, profonde selon nous (que l
. 53 de la maladie, ne permet guère de renseigner exacte- ment le médecin sur les fonctions de la sensibilité ni d'instit
sprit, de tous points arbitraire; elle paraît chère à beaucoup de médecins qui se sont occupés des diverses formes de LES
du siège des affec- tions cérébrales. Voici le tableau où le savant médecin du manicome d'lmola présenté les résultats des
urtant pas de recherches d'ensemble sur ce sujet. A l'autopsie, les médecins s'appliquent d'ordinaire à constater les lésion
nnels du lobe et du bulbe olfactif avec ces régions. Au congrès des médecins italiens de Pavie, de 1887, Frigerio a rapporté
le Dr MICIIEL CATSARAS, Professeur agrégé de la Faculté d'Athénes; Médecin de l'asile de Uromocaitis; Membre de la Société
t amplement à elle seule pour faire rejeter cette théorie, ces deux médecins de Douchy n'ont pas man- qué de répondre que le
ca- pillaires veineux; le sang noir, en un mot, comme le veut le médecin italien, serait-il en toute circonstance l'agen
quant à ses effets particuliers, je les laisse à la spéculation des médecins . » ' Cette hypothèse de l'influence funeste des
es, là il eut de grandes crises pour la première fois, crises qu'un médecin aurait qualifiées d'épileptiques. Revenu à Pari
prise qu'après réflexion et après un examen médical sérieux. Si les médecins de ces établissements exami- naient avec soin c
époque, vers douze ans, il fut atteint de crises convulsives qu'un médecin aurait quali- fiées d'épileptiques. Jamais ses
ement et que son application s'est étendue. En effet, de nombreux médecins en France et à l'étranger ont pratiqué la suspens
ses, on a employé ce mode de traitement, et dans nombre de cas, les médecins ont obtenu des résultats satisfaisants. Sur ce
ige de fer les pièces axillaires. L'appareil étant bien disposé, le médecin commande à un aide de tirer sur la corde qui pa
peu. Lorsque le nombre des minutes fixé à l'avance s'est écoulé, le médecin commande de lâcher peu à peu la corde, de façon
ppui, les branches du trépied qu'ils pourraient renverser. Tous les médecins ne se sont pas servis du même appareil. D'après
ne, Un cas assez curieux a été noté dans les salles de ce dernier médecin : c'est celui d'un tabétique atteint de troubles
t, et nombre de malades le réclament. Il est donc nécessaire que le médecin sache quand il faut l'appliquer, et se rende co
e, que l'application de ce traitement soit tou- jours confiée à un médecin , ou à un aide expérimenté. M. Charcot, dans sa
mentionnés, qui pour la plupart, ne se seraient pas produits si un médecin eût été présent. Un cas a été relaté dans the L
étranglée dans ces mêmes conditions. Même cas est celui d'un jeune médecin de New-York 2, le Du Vincent, qui se suspendait
chez un tabétique présentant des signes de para- lysie générale. Le médecin , après avoir pratiqué les premières séances, la
us le répétons, la suspension doit être surveillée avec soin par le médecin . et celui-ci doit se rendre compte des contre-ind
IOLOGIE PATHOLOGIQUE. ..d'attaques d'apoplexie, le premier soin des médecins devrait être de comprimer la carotide primitive
t utiles et sans dangers qu'autant qu'ils seront appli- qués par un médecin prudent, intelligent et consciencieux. P. B. VI
Ces dernières, au nombre dehuit, construites par M. le D''Evrat, médecin directeur et fondateur de l'asile de Saint-Robert
ts. 1 Asile de Saint-Robert, le 31 jamier J889. - Dr E. DUFOUR. Médecin -directeur, Ancien membre du Coiucil général de
s douches thérapeutiques aux malades récalcitrants. La tribune du médecin doucheur est munie d'une poignée fixée sur une
installés, jouissant du 110-¡'estmint le plus complet, compte deux médecins résidents, une sage-femme et cinquante servi- t
doit dire d'ailleurs que ce résultat est dû surtout aux efforts des médecins , qui ont eu à lutter contre l'indiffé- rence ab
armi d'autres travaux la communication de M. Schwarz au Congrès des médecins de Budapesth, qui a trait ainsi que le faisait
RAPPORTS AVEC L'ALIÉNATION MENTALE » ; PAR LE 1)' J. CIIRTSTIA\ Médecin de la Maison nationale de Cliaretitoti. V. Pr
la guérison sera certaine et durable ? ' ? Bien téméraire serait le médecin qui se montrerait trop afiirmatif ! Quelle que
'est guère que pour des questions de responsabilité civile que le médecin légiste est consulté dans la période qui ~~suit
ptique), au somnambu- lisme naturel, etc. Le plus fréquemment, le médecin est appelé dans les circonstances suivantes : o
a part de cha- grins, de fatigues, de préoccupations, d'excès. Au médecin il appartient de démêler la part exacte qui rev
. le Dr MICHEL CATSARAS, Professeur agrégé de la Faculté d'Athènes, Médecin de l'asile de 1)romocaitis. IV. ETIOLOGIE. Da
temps de travail continu, qui a été constaté du reste par tous les médecins des ouvriers tubistes et des plongeurs. L'organ
AVEC ACCIDENTS CAT ALEpTlFOnOES' · Par le D' AI.8XAXDI\C PARIS Médecin ? doiot de l'asile d'aliénés de Chàlous-sur-Slarn
ses malades étaient du sexe féminin. Quatre ans plus tard, un autre médecin anglais, Ord 1, publia deux nouveaux cas de cet
ent le crétinisme. Au quarante-neuvième Congrès des naturalistes et médecins allemands Schmid 4 montra un petit garçon chez
question provoqua une polémique animée autant entre chirurgiens que médecins en général. On appela l'attention sur la possib
. fa</to/oy., 1886. 5 Rogowitch. - Travaux du second Congrès des médecins russes, t. II, p. 22. 260 REVUE CRITIQUE. d
de la mucine. ' Prof. V. Paschoutin, Travaux du second Congrès des médecins russes, t. Il, p. 2L 1. ' Munk. Neurolog. Cei
res français du Congrès la proposition suivante : 1° un Congrès des médecins aliénistes français aura lieu chaque aimée ; 2°
internationale compose un questionnaire qui sera envoyé à tous les médecins des asiles publics ou privés. (Cette pruposi- t
iver à ce résultat, il faut n'en- voyer les questionnaires qu'à des médecins ou à des psychologues absolument compétents. De
'un rôle aussi prépondérant à la suggestion. A force d'y croire, le médecin pourrait bien finir par en être victime lui-mêm
jours été mis à contribution quoique souvent inconsciemment par les médecins . Suivant M. Bernheim, l'hydrothérapie, la métal
s les prisons, de les isoler et de les mettre sous la dépendance du médecin . AI. AuG. Voisin lit son rapport sur les indica
ET dégénérés et conclut ainsi : 1° la suggestion employée par les médecins constitue un agent thérapeutique utile en pédiatr
son application est exclusivement, comme son indication, dévolue au médecin . M. Fort lit une observation d'ABLATION DE LOUP
érer comme aliénés, quoique leur folie soit tranquille et que « les médecins n'aient pas cru devoir les envoyer à l'asile, par
.. n'ait été signalée ni par la supérieure de l'hôpital, ni par les médecins , ni par la municipalité de R.... Je n'ai pas à re
ssi ont-ils une certaine tendance à tenir en suspicion les avis des médecins , et lorsque ceux-ci réclament tantôt une étuve
n de l'asile public de Marseille; M. le Dr Maran- DON de l\IONTYEL, médecin en chef de l'asile public de Ville-Evrard. A la
ion qui suivit il y a quelque temps à la Société império-royale des médecins de Vienne, une communication de M. Prey sur l'h
l il affirme avoir trouvé des certificats d'aliénés établis par des médecins sur de vagues on-dit. Il s'élève avec raison co
de New-York. Cette commis- sion se compose de trois membres dont un médecin (23,000 francs plus les frais de déplacement) e
judiciaire et médicale; contrôler et enregistrer tout certificat de médecins ; tenir la statistique des asiles publics ou pri
int-Pétersbourg, directeur de l'asile d'aliénés de Saint-Nicolas et médecin enchef à la clinique des maladies mentales. 0.
ologiste et au point de vue clinique une non moindre valeur pour le médecin . M. le professeur Charcot a appelé l'attention,
- Charcot est particulièrement instructive, car elle pré- vient le médecin , qui se basant sur la bénignité habi- tuelle ou
iewicz. - Histogenèse de la sclérose. 59° congrès natu- raliste des médecins allemands, septembre 1886. Féré. - Anatomie méd
tions de la vision que dans le reste de ce lobe. , S'il suffit au médecin et au chirurgien de connaître 362 PHYSIOLOGIE.
t, Ilimobcrfloeche des lizindes, 1885. (Congrès des naturalistes et médecins allemands de Strasbourg, 1885). - Exner et Jos.
, Kahler et Pick, Wernicke, Binswanger, Bernhardt, il est peu. de médecins et de physiologistes qui n'aient recueilli des
eau, à peine en citerait-on quelques-uns qui, comme Silvio Venturi% médecin de Padoue, croient à la nature ataxique de ces
cembre 1884. La seconde attaque eut lieu quinze jours plus lard. Le médecin de marine aurait alors déclaré qu'il était atte
dans un mémoire dont celui-ci n'est que la traduction, les idées du médecin de Cha- Archives, t. XVIII. 28 434 REVUE DE P
). Sans doute, les malades qui guérissent sont perdus de vue par le médecin , mais il n'en est pas moins vrai que la majorit
iénés de Burhoezli. Bien des rechutes sont d'ailleurs imputables au médecin qui croit devoir prescrire pour cause d'affecti
sych., Ils, 5-6.) P. KERA VAL. CONGRÈS ANNUEL DE LA SOCIÉTÉ DES MÉDECINS ALI : N1STES ALLEMANDS. SESSION DE BONN Séanc
ions, et l'acte délictueux n'a rien à faire avec les obsessions; le médecin établit l'existence d'une affection mentale san
lui dont on l'accuse, ne dépendent pas de son affection. Le rôle du médecin est de faire ressortir ces particularités et les
étés médicales de Dusseldorf, Cologne, Coblentz, Aachen, Trier, les médecins de Westphalie, la chambre médi- cale de Berlin
rict de Berlin, se sont élevéscontrel'intervention obligatoire d'un médecin fonctionnaire pour l'admission des alié- nés da
- Il s'agit d'observations relatives à des blessés examinés par des médecins légistes, afin d'établir à qui il faut imputer l'
deaux (il,, classe). - Arrêté du 5 sep- tembre : M. le Dol' Schils, médecin en chef à l'asile public de Clermont (Oise), no
tenu dans la 3° classe. Arrêté du la septembre : M. le D1' LIZARET, médecin en chef à l'asile public de llaréville (Meurthe
teur-médecin de l'asile public 468 FAITS DIVERS. d'Alençon, nommé médecin en chef à l'asile public de Marévillet maintenu
t à l'asile public de la Roche-Gandon (moyenne), précédemment nommé médecin en chef à l'asile de Maréville, par arrêté du 2
les portes des prisons à quelques étudiants en droit, mais non aux médecins , parce qu'une prison n'est pas un hôpital et qu
aient simuler des malaises pour se rendre intéressants aux yeux des médecins qui viendraient les examiner. La seule chose qu
endant la durée de leur peine. Quant à la question de la remi,e aux médecins des corps des suppliciés, cela ne regarde pas l'd
à sous presse lorsque nous avons appris la mort de M. Jules COTARD, médecin de la maison de santé de M. J. FALRET, à Vanves
ts tant parmi ses amis que parmi ceux qui n'ont connu en lui que le médecin ou l'homme de science. - M. le f)' Rota, ancien
gne), 151 ; - du sud- ouest, 443 ; - de la Basse-Saxe. 454; - des médecins aliénistes, 456; -de médecine mentale, 274. C
90 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
E PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DE MÉDECINE LA CLINIQUE DE PARIS MÉDECIN DES HÔPITAUX . ALBERT LONDE DIRECTEUR DU SERV
FOURNIER et GILLES DE LA TOURETTE Professeur des maladies cutanées Médecin des Hôpitaux et syphilitiques . Nous désirons
s recommandés, le plus connu des cliniciens, est l'algésimètre d'un médecin d'Upsala, du Dr Djoerustroem, en usage depuis 1
A SE. ÉTUDE CLINIQUE ET IIISTOLOGIQUE PAR . THOMAS D. SAVILL Médecin en chef de Paddington Infirmary (Londres). Étud
stic et de traitement, lesquels intéressent à peu près également le médecin et le chirurgien. Aussi ai-je pris le parti de vo
et spéciale, et qui doit, à première vue, éveiller dans l'esprit du médecin le soupçon d'une affection delà queue de cheval
en déterminé. Avec un peu d'attention, il sera toujours facile à un médecin tant soit peu instruit, d'éviter une erreur de
et j'espère vous convaincre qu'il ne saurait être question pour un médecin instruit de confondre la maladie dont elle est
nces intolérables, s'est complètement rétabli. Voilà des faits dont médecins et chirurgiens devront tenir compte à l'avenir.
'une lésion intra-rachidienne telle qu'une tumeur. C'est alors au médecin d'éclairer le chirurgien sur cette question de
AR GILLES DE LA TOURETTE Professeur agrégé à la Faculté de Paris, médecin des hôpitaux. L'affection que nous allons décri
s qu'il avait causées ». , Au commencement de ce siècle ce sont les médecins et les chirurgiens anglais qui reprennent cette
in devient doulou- reux, sensible, et augmente un peu de volume. Un médecin timide et sans expérience ne fait qu'aggraver l
n une véritable douleur. C'est alors que l'assurance, de la part du médecin , de l'intégrité complète de l'orga- ne, rendra
are et cependant elle est fort -peu connue. Cela tient à ce que les médecins n'ont que rarement l'oc- casion de l'observer,
culaire physiologique, dont la connaissance n'importe pas moins aux médecins qu'aux artistes. v Forme DU muscle SUR LE viv
e capital sur lequel je ne saurais trop appeler votre attention. Un médecin , mandé auprès de lui, le premier jour, a dû le
-dire la trépanation rachidienne. Il n'y a pas très longtemps, deux médecins anglais, Schawet Busch (2), ont publié un cas d
es, enfin je compte encore un garçon boucher, deux infirmiers et un médecin , un de nos confrères fort distingué et aussi fort
côté droit elle côté gauchedn corps. (1) Travaux du 2° congrès des médecins russes. N Fin. 47 DU RAPPORT DE L'ECZÉMA CUBO
t, sont-elles toujours des docu- ments du plus haut intérêt pour le médecin qui y retrouve l'exacte repré- sentation de la
d'art un aperçu suffisant. Les sujets qui' peuvent intéresser le médecin sont très variés. Les uns relèvent de la médeci
as, la manière dont l'artiste a rendu l'expression du malade et des médecins qui le soignent prèle à l'analyse. Les accessoire
recht (1649). \Un de leurs neveux, David van Iloogstraaten, d'abord médecin à Dor- drecht, philologue érudit, devint profes
croupi. Derrière la malade et derrière la table, se tient debout le médecin , vêtu de noir, une toque noire sur la tête. La
e pâleur, ai tout son corps un tel alanguissement ? C'est ce que le médecin , d'un air soucieux, cherche à pénétrer au travers
Dou, etc., chacun à sa manière, les ont traitées magistralement. Le médecin urologue jouissait alors d'un crédit considérab
aladie avec autorité et instituait d'em- blée son traitement ? Le médecin de Van Uoogstraaten est, à n'en pas douter, un ur
comme Van IIoogstraaten, à représenter seulement la ma- lade et son médecin , sans personnages secondaires. Mais parmi les p
dissimulent guère le diagnostic. J. Steen place dans ses Visites du médecin de La Haye ou de Munich un amour symbolique sur
u jeune homme qui sourit d'un air entendu. Schalken, derrière son Médecin empirique de la Galerie d'Aremberg, à Bruxelles
p significatif rensei- gne amplement sur la cause de la maladie. Le médecin lui-même a grand peine à garder son sérieux, et
n du sang des règles, doctrine qui fut admise sans conteste par les médecins du Moyen Age, de la Renais- Vii{ 13 r 198 N
le tableau avec éloges (1), émet des doutes sur la perspicacité du médecin . « Ce médecin là, dit-il, n'est pas si -subtil qu
ec éloges (1), émet des doutes sur la perspicacité du médecin. « Ce médecin là, dit-il, n'est pas si -subtil que les médeci
é du médecin. « Ce médecin là, dit-il, n'est pas si -subtil que les médecins de Jan Steen, et il y a chance qu'il ne devine pa
r,elle l'es t. peut-être, elle aussi, mais pas de la même façon. Le médecin parti, vienne le remède absent, elle décrochera
l se mettra à chanter. Tel l'est pas le cas de la triste cliente du médecin de S. van Iloogstraa- ten. Ses lèvres décolorée
de nouveaux faits. LA PELADE POST-ÉPILEPTIQUE, par CH. FÉRÉ, Médecin dé Bicétre. Les troubles trophiques du système
répartir les modalités si variées qu'affecte le corps humain. Le médecin et l'artiste ne peuvent s'en désintéresser. MAL
ANTILISME ET FÉMINISME CHEZ UN ÉPILEPTIQUE. P. C. J. Van BRERO. Médecin de l'asile des aliénés à Buitenzorg (Java). D..
es personnages nouveaux introduits pour la circonstance. Malades et médecins ne manquent pas dans la peinture fla- mande ou
rir, comme aussi l'on devine les réflexions que son état inspire au médecin appelé à le secourir. Dans toutes ces peintures
indifférents, et en particulier celles où, soit le patient, soit le médecin , prêtaient à la satire. D'ailleurs, le Malade ima
de la composition, selon que l'artiste reproduit des malades et des médecins , ou selon qu'il fait figurer dans une scène que
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Les nombreuses peintures intitulées Le Médecin , la Malade, la Consulta- tion, l'Opération, etc
tableau du même maître, La Mé- nagerie, où ne figurent ni malade ni médecin , mérite cependant d'être si- gnalé, grâce à la
sification. L'intérêt peut porter uniquement sur l'homme de l'art : médecin , chi- rurgien, dentiste, apothicaire, etc., san
ns de foire. Le plus souvent le groupe principal est composé par le médecin et son malade, l'opérateur et son opéré. L'un e
du tableau de (1 ) La Jeune femme malade, ii- 31g, et la Visite du Médecin , n 3f. * ) LES OPÉRATIONS SUR LA TÊTE 231 Gér
planches extraites du Livre de chirurgie d'Andrea a Cruce, célèbre médecin italien qui vécut à Venise vers 1560. Ces planche
ui se tient debout auprès de lui, c'est très vraisembla- blement le médecin dédaigneux de toucher à la plaie, et qui se conte
porale et mastoï- dienne. C'étaient d'abord les saignées dont les médecins ne se montraient pas ménagers. Paul d'Egine,
ais si elle vient d'autre partie, peu profite : et partant le docte médecin y pourvoira ». Ambroise Paré a également consei
porté la scène dans le milieu médical de leur temps et choisi leurs médecins parmi ces chirurgiens « abuseurs, courreurs et
in, chacune d'elles renfermant plus d'un détail intéressant pour le médecin , mérite d'être décrite et analysée méthodiquement
s extravagantes semblent l'expression d'un état mental qui, pour le médecin , n'est pas moins intéressant à étudier que les
e si fréquentes répliques. Ici, l'humoriste avait beau jeu, car les médecins de son temps prêtaient à bien des critiques. Le
es, devait frapper Molière, écrasant sous le ridicule aussi bien le médecin ignorant et dénué de scrupules que le malade ima-
ant dans l'inté- rieur duquel on aperçoit un grand pot. Un second médecin est assis à droite, de profil, vêtu d'une longue
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTR1ÈRE core davantage. La gravité du médecin qui discute sur le corps du délit est non moins
à boniment comme on en voit sur tant de scènes de charlatans et de médecins de village. Telle est cette oeuvre peu connue d
Danube, seraient des accidents extrêmement communs, tandis que les médecins des bords de la Seine ne les observe- raient pr
le jargon des charlatans guérisseurs comme a fait Potière dans 1%' Médecin malgré lui. Le latin dans un boniment fait bon
e qu'eut la maladie des pierres de tête, et l'adresse avec laquelle médecins de ville et médecins de campagne, docteurs en c
es pierres de tête, et l'adresse avec laquelle médecins de ville et médecins de campagne, docteurs en chambre et charlatans
x « pierres de tête », la crédulité des badauds et la fourberie des médecins de carrefours. Frans Hals le jeune. Peintre h
ro- priétaire a le moyen de s'offrir un serviteur peu ordinaire. Ce médecin -là a une réputation bien établie, une clientèle
ableau d'A. Brouwer représentant une Opération sur l'épaule (3). Le Médecin de village qui est à Munich opère sur le bras (
ent des personnages qui ne peuvent manquer d'attirer l'attention du médecin . Ne dirait-on pas que la plupart de leurs paysa
tour. Parmi ceux qui ont reproduit des scènes intéressantes pour le médecin , il faut citer : - Cornelis DUSAERT (1660-J70
rai que le Musée des Offices possède un tableau de lui, intitulé le Médecin , et représentant un empirique examinant des uri
ristique des scènes médicales dans les intérieurs villageois. Son Médecin de village du musée cle Bruxelles, qui représente
t quelques individus malades ou estropiés qui peuvent intéresser le médecin , une peinture de Teniers le Jeune, les OEuvres
eproduits Fig. S9 et Fig. 60. L'une d'elles (Fig. 59) représente un médecin barbu, à longs cheveux, et Fit.. 39. Une opérat
ables chefs-d'oeuvre. Son esprit gouailleur ne pouvait négliger les médecins . Ils lui ont sou- vent inspiré des compositions
de impuissant il deviner la vraie cause de la maladie. Tels sont Le Médecin de la Pinacothèque de Munich (1), La Visite du
Tels sont Le Médecin de la Pinacothèque de Munich (1), La Visite du médecin et la Jeune femme malade du musée de La Haye (2
et de cornues, avec le traditionnel crocodile pendu au plafond. Le médecin est un homme âgé, à la figure sévère, coiffé d'
bien éclairé par la fenêtre, se compose de cinq per- sonnages : le médecin , son client, une vieille femme qui aide à l'opéra
de à l'opéra- tion, et deux jeunes gens qui s'en amusent fort. Le médecin est un homme âgé : il n'a presque plus de cheveux
aveugle des malades, ou s'iln'cst pas l'emblème de l'ignorance des médecins arracheurs de pierres.... CONCLUSIONS. L'étud
s de ce genre du succès dont a dû jouir cette jonglerie opératoire. Médecins de ville ou de village, opérateurs au petit pied
olie et commettent, sous l'influence d'un état morbide que l'art du médecin doit découvrir et mettre en relief, des délits mi
ESSIVE 355 mais le forcent cependant à consulter plusieurs fois son médecin . Ces douleurs deviennent de plus en plus vives,
non reconnu : et cette espèce de lésion est mauvaise parce que les médecins ne savent le lieu de la veine et que s'ils le sav
on âge ai-je été assez habile : et j'ai eu de sincères et ha- biles médecins en ma société, à la première et seconde visite, l
91 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
ECROISEMENT SENSITIF DU BULBE Par MM. DEBOVE, agrégé de la Faculté, médecin des hôpitaux, et Go\IBAULT, préparateur du cour
¡H[I' r, .... . Il n Par r le, D. 1L, DEROVE, agrégé de la Faculté, médecin de Bicêtre et le Dr. M. BOUDET DE PARIS, ancien
LIRES DE NATURE DIFFÉRENTE CHEZ LE MÊME ALIÉNÉ Par le Dur MAGNAN, médecin de l'asile Sainte-Anne. ' I. Les faits clinique
l'hérédité. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'IDIOTIE Par BOI1RNEVILLE, médecin de Bicêtre. Les travaux publiés sur l'idiotie e
IOLOGIE DE l'écorce cérébrale ; par OTTO BINSWANGER. (Réunion des médecins et naturalistes à Baden-Baden, 1879.) . L'auteu
inaire. VIII. NOTE SUR TROIS asiles D'AUSTRALIE; par M. URQUHART, médecin en chef de l'Asile de Murray, Perth. Cette note
du gouvernement colonial et visité de temps en temps par les trois médecins de Sidney. La dépense annuelle d'un malade à Gl
S rapports avec la SYPHILIS ; observations par 111..TULIUS MICIiLE, médecin en chef de l'a- sile de Grove Hall, à Londres.
adies infectieuses : bâtiment cen- tral (contenant l'appartement du médecin , les bains, le gym- nase...) avec deux ailes, l
e la paralysie, l'aptitude de l'enfant à suivre les instructions du médecin , le degré d'atrophie des muscles. 156 BIBLIOGRA
it purement littéraire, d'éveiller une curiosité malsaine, ouvre au médecin un tout autre horizon. En physiologie, en patho
ophthalmologiste; puis, quelques lignes plus loin il faut redevenir médecin , et ainsi de suite. Cependant on saisitsanspein
s corporations. Ils reçoivent des malades à différents prix, et les médecins hollandais s'en plaignent avec raison. Les asil
t prendre un arrêté qui rétablissait le concours pour les places de médecin des quartiers d'aliénés de Bicêtre et de la Sal
dicales et pharmaceutiques dans les asiles, et à créer une place de médecin suppléant résidant dans chacun des quartiers d'
pléant résidant dans chacun des quartiers d'hospice et une place de médecin suppléant à Ste-Anne. Déférant à cette invitati
u Conseil ; c'était l'institution du concours pour les fonctions de médecin dans les cinq asiles de la Seine. M. Hérold cru
Seine, vu l'article 6 de la loi du t0 janvier 1849, portant que les médecins , chirurgiens et pharmaciens des hôpitaux et hos
Voir le programme dans : Progr. rnéd., p. 281. 174 FAITS DIVERS. médecins titulaires aliénistes dépendant de l'administrati
xés par l'arrêté préfectoral du 3 mars 1879, pour la nomination des médecins aliénistes dans les hospices de Bicêtre et de l
ns l'établisse- ment, lorsqu'elle n'aura été acceptée par aucun des médecins chefs de service. ART. 6. - Les médecins-adjoin
Les médecins-adjoints du service des aliénés auront, vis-à-vis des médecins chefs de service, la même situation que celle qui
ins chefs de service, la même situation que celle qui est faite aux médecins du bureau central, par rapport aux médecins des h
celle qui est faite aux médecins du bureau central, par rapport aux médecins des hôpitaux. Anr. 7. - A l'avenir, les médecin
l, par rapport aux médecins des hôpitaux. Anr. 7. - A l'avenir, les médecins chefs de service des quartiers d'aliénés de Bic
bli par l'arrêté préfectoral du 3 mars 1879, pour la nomination des médecins chefs de service dans les quartiers d'aliénés d
SUR TITRES POUR l'emploi D'INSPECTEUR général RÉSERVÉ aux DOCTEURS MÉDECINS dans LES SERVICES DU ministère DE L'INTÉ- RIEUR
es candidats à un emploi d'inspecteur général, à titre de directeur médecin , des services administratifs du ministère de l'
'est d'ailleurs de la même façon qu'il avait nommé précédemment les médecins en chef de Charenton. Nous ne voulons pas appré
plus grands éloges. NOMINATIONS. - M. le Directeur Broc, directeur médecin de l'asile d'Evreux, est nommé directeur médeci
ur Broc, directeur médecin de l'asile d'Evreux, est nommé directeur médecin de l'asile de Quatremares, en remplacement de M
ommé inspecteur général. - M. le directeur Daniel Brunet, directeur médecin de l'asile de Breuty (Charente), est nommé dire
ecteur médecin de l'asile de Breuty (Charente), est nommé directeur médecin de l'asile d'Evreux, en remplacement de M. Broc
e d'Evreux, en remplacement de M. Broc. - M. le directeur Cullerre, médecin en chef de la section des hommes de l'asile de
la section des hommes de l'asile de Marseille, est nommé directeur médecin de l'asilede Breuty. M. le directeur Doursout,
ut, ancien interne des asiles de Limoges et de Quimper, est nommé médecin adjoint de ce dernier établissement (poste créé).
de donner sa démis- sion. M. le docteur Dagonet, le plus ancien des médecins de l'asile, a été chargé provisoirement de le r
HOGÉNIE DES TREMBLEMENTS Par le Dr M. DEBOVE, agrégé de la Faculté, médecin de Bicêtre, Et' le D M. BOUDET DE PARIS, ancien
é. De là l'intérêt si grand que présente la physiologie pour tout médecin qui, non content d'appliquer les re- 192 PATHOL
rale, même légère, telle que celle efoduite¡par, l'exp10; ration du médecin , pour exagérer r lJe 1 tremblemynt : 1 Nous avo
LA 'DÉMENCE ÉPILEPTIQUE .Cc'bJfOCj ? y10 Jc5 `u. Par BOURNEV1LLE, médecin de,Bicêti,e, et IL D'oLIEIt, interne des hôpita
urs chose facile et, qu'en tout cas, elle doit exiger de la part du médecin une très grande habitude. C'est là certainement
reproche à priori d'invraisem- blance, adressé par la majorité des médecins à cette connexion entre l'action du médicament
la'fabrication des aimants' artificiels, qu'il fixa l'attention dés médecins . 'Les guérisons, publiées no- tainment par l'ab
comment elle devint) ensuite. l'objet de l'attention de tous les médecins . Pour ne citer que les plus illustres, Louis publ
Ch. FcRi : . SUR la paralysie saturnine ; par le Dr ALFRED Kast, médecin assistant à la station électrothérapique de Hei-
m,I(B,t1Grgs, 11 pMq, ,de traitement')') antisyphilitique ? P les' médecins lui affirmant que.la syphilis n'avait-, rien à fa
nt ? " il; s'était seulement' légèrement^ foulé le genouc droit Un - médecin 'iit'Ie''diagnostic'de'sciatique d'origine palu
es épileptiques. On sait qu'aujourd'hui encore, tandis que certains médecins ne considèrent les épileptiques comme irres- po
, M. Spitzka insiste, en terminant, sur ce point important, pour le médecin , légiste,, que les diverses illusions des sens,
des asiles, une cause incessante d'indiscipline et de trouble; les médecins ne se soucient point de s'exposer à une accusat
nt assez souvent, comme les juges, à prendre parti entre l'avis des médecins et leur propre opinion déjà mani- festée -par u
les a inspirées. H. DE B. FAITS DIVERS Création DE deux places DE médecins suppléants (Bicêtre et la Sal- pêtriére). Confo
ine, vu l'article 6 de la loi du 10 jan- vier 1849, portant que les médecins , chirurgiens et pharmaciens des hôpitaux et hos
istre de l'intérieur, instituant le Concours pour la nomination des médecins titulaires aliénistes dépendant de l'Administrati
s par l'arrêté préfec- toral du 3 mars 1879, pour la nomination des médecins aliénistes dans les hospices de Bicêtre et de l
es dans les hospices de Bicêtre et de la Salpêtrière. ART. 4.-Les médecins adjoints, suivant l'ordre d'ancienneté, pourront,
Les médecins-adjoints du service des aliénés auront, vis-à- vis des médecins chefs de service, la même situation que celle qui
ins chefs de service, la même situation que celle qui est faite aux médecins du bureau central, par rapport aux médecins des h
celle qui est faite aux médecins du bureau central, par rapport aux médecins des hô- pitaux. ART. 7. A l'avenir, les médec
par rapport aux médecins des hô- pitaux. ART. 7. A l'avenir, les médecins chefs de service des quartiers d'aliénés de Bic
bli par l'arrêté préfectoral du 3 mars 1879, pour la nomination des médecins chefs de service, dans les quartiers d'aliénés
re et de la Salpêtrière se compose de sept membres, savoir : quatre médecins tirés au sort parmi les médecins aliénistes des
e de sept membres, savoir : quatre médecins tirés au sort parmi les médecins aliénistes des hôpitaux et hospices, en exercic
aliénistes des hôpitaux et hospices, en exercice ou honoraires, les médecins chefs de service des asiles publics d'aliénés d
énés du département de la Seine, en exercice ou hono- raires, et le médecin du bureau d'admission de Sainte-Anne, après cin
eau d'admission de Sainte-Anne, après cinq ans d'exercice, et trois médecins tirés au sort parmi les mé- decins des hôpitaux
deux malades, 30 points. Asile DE BLOis. M. le docteur Doutrebente, médecin adjoint de l'asile Sainte-Anne, est nommé médec
teur Doutrebente, médecin adjoint de l'asile Sainte-Anne, est nommé médecin directeur de l'asile de Blois, en remplacement
Bouteille, directeur médecin'.de' l'asile d'Armentières, est nommé médecin en chef de la section' des hommes de.l'asile de
J' in ua l , '1 ' l'T Asile de Saint-Lizier;1 lII : ' le' D; Fabre, médecin en chef de la section des honlmes 'de l'asile d
chef de la section des honlmes 'de l'asile de Marseille, est nommé médecin di-' recteur de l'asile deSaint-Liziei· (Ariège
O ' \ ? '' \1\\ ' Asile d Arïientières. AI. le Dr Dubiau, directeur médecin ,, de l'asile de la Roche-sur-Ypn, est nommé dir
cteur médecin,, de l'asile de la Roche-sur-Ypn, est nommé directeur médecin de l'asile n, , " ... ' ' I -auiHi'li.o <>
erre, directeur mé- decin de l'asile de Breuty, est nommé directeur médecin de l'asile de la RocÉ ? S'ULI ? Yon.' 1 1 , U
.' 1 1 , U, , , 'TI" 1, J ? , 1 Asile de BREUTY. - M. le Dr Péon, médecin en chef de l'asile de Cadillac, est nommé médec
- M. le Dr Péon, médecin en chef de l'asile de Cadillac, est nommé médecin directeur de l'asile de Breuty. ' , Asile DE Ca
Dr Campan, directeur-médecin de l'asile de Saint-Lizier, est nommé médecin en chef de l'asile de Cadillac (Gironde). : ' -
DS-MUETS. - Un sourd-muet, M. Maurice Koechlin, fils d'un honorable médecin de Mulhouse, âgé de 16 ans, a subi ces jours de
e 1,000 fr. pour l'érection d'une Statue àPhilippe Pinel, lecélèbre médecin aliéniste, mort en 1826. Cette subvention s'ajo
ou une heure, qu'aurais-je appris de plus ? D. Comment ! vous êtes médecin et vous vous permettez de dire qu'une personne
rave le certificat qui vous était demandé. Il n'est pas permis à un médecin d'en délivrer aussi légèrement. R. Si nous avio
mort, le 8 juin dernier, à l'âge de 65 ans. Il était, depuis 1831, médecin de l'asile de Saint-Nicolas (Meurthe-et- Mosell
t mort à Pontorson, le z10 juillet, à l'âge de 41 ans; il avait été médecin en chef de l'asile de Dinan, poste que l'état d
r sur Bogdanow, soit à l'hôpital ci-dessus dénommé, soit auprès des médecins qui avaient observé ce malade, sont singulièrem
, son abattement est extrême ; pas de renseignements, pas d'avis du médecin traitant. Etat à l'entrée. -La malade est plong
lus fausse idée de son objet et de sa méthode, aussi bien parmi les médecins que dans le vulgaire, et des hommes qui, en méd
ologie ; par M. P. DESPINE. M. Despine a toujours pensé que « les médecins aliénistes ne faisaient pas une part assez larg
s, présider la réunion. Prenant ensuite là parole, M. Dela- siauve, médecin honoraire de la division des aliénées, après s'êt
Grâce à l'impulsion énergique de notre éminent collègue M. Billod, médecin directeur de Vaucluse, une colonie an- varia. 5
succursale du Bon-Sauveur à Pont- l'Abbé (Manche), installée par le médecin en chef, un de nos premiers et excellents inter
brochure d'un de nos distingués collègues d'Italie, M. H. Morselli, médecin en chef du manicôme de Macerata. Elle était int
pices DE Bicêtre ET DE la Salpêtrière. Concours pour deux places de médecins adjoints. Le Jury de ce concours était ainsi co
(Arrêté du 22 novembre 1880.) Asile D'ALENÇON. - M. le Dr Parret, médecin en chef de l'asile de Bailleul, est nommé direc
remplacement de M. Reverchon. Asile DE BAILLEUL. - M. le Dr Pons, médecin de l'asile privé de Nice, est nommé médecin en
LLEUL. - M. le Dr Pons, médecin de l'asile privé de Nice, est nommé médecin en chef de l'asile de Bailleul, en rempla- ceme
médecine de Lyon et médecin-adjoint de l'asile de Bron, est nommé médecin en chef de la section des femmes dans le même F
1 asile, en remplacement de M. le Dr Taguet, qui passe directeur- médecin de l'asile de Dijon. Asile de Châlons. M. le Dr
t. Asile de la CnARrrÉ-sun-LotRE. M. le Dl Hildebrand, directeur- médecin de l'asile de la Charité-sur-Loire, est promu à l
lacement de M. Bonnet. Asile de Mont DE Vergues. M. le Dr Campagne, médecin en chef de l'asile de Mont de Vergues (Vaucluse
Arrêté du 13 novembre 1880.) Asile DE SAINT-VENANT. M. le DT Danis, médecin de l'asile de Saint-Alban, est nommé directeur-
M. le Dr Henri Védie, médecin- adjoint de l'asile de Pau, est nommé médecin de l'asile de Saint- Pons, à Nice. Nécrologie
2,DE,jDOULEU13S FULGURANTES; Par 1. STRAUS, 1 agrège de la Faculté, médecin ,de l'li8pitaltTenoni £ fi, )09>6b 2yttlF`IDrlt
ation lors des mouvements. Ces douleurs furent considérées par, les médecins qu'il consulta, comme étant. de nature rhuma- t
rtains autres à nier effrontément des accidents de cette nature, le médecin devrait, selon M. W..., constater ou avoir cons
t un des plus grands cliniciens de son époque,, et par les éminents médecins qui le soignaient. La tumeur était probalement
à améliorer très sensi- blement des bégaiements très accentués. Le médecin devra donc étudier avec soin le. mécanisme de l
e; par le Dr BAUMLER, de Fri- bourg. (Congrès des Név7-ologistes et Médecins aliénistes du sud-ouest de l'Allemagne tenu à B
BUTIONS A la CLINIQUE DES maladies mentales; par le Dr ARNOLD PICK, médecin à l'asile public d'aliénés de Prague. (Archiv.
st and Neurologist, jan- vier 1880). L'Association américaine des médecins aliénistes directeurs d'asiles, a été fondée en
n asile ne doit être entreprise sans que les plans, présentés à des médecins directeurs d'asiles ou à d'autres hommes expéri
icaces de ces troubles, d'après Carter, et ils font le désespoir du médecin et du patient. Les gens atteints d'asthé- REVUE
sente au praticien qui le conseille et au malade qui l'absorbe. Le médecin est responsable des habitudes qu'il donne à ses
firme n'avoir aucun souvenir des faits, qui lui sont reprochés,, le médecin , légiste doit penser à la possibilité, d'un acc
r M. P. Descosse. Thèse de Paris, 1880, imp. Parent. M. Descosse, médecin militaire, a réuni dans sa thèse inau- gurale u
4 ans. 11 appartenait à la famille médicale par son père', l'un des médecins les plus distiiibûésd'Orléans; ët pau son oncle
ands efforts pour introduire l'emploi du système métrique parmi les médecins non seulement des Etats-Unis, mais de l'Anglete
hoses actuel. D'autre part, nous demanderions plus spécialement aux médecins de nous éclairer sur les systèmes de médication
f ...fI,f Il /fi FACULTE DE médecine DE Ville. M. Dudiau, directeur médecin de l'asile d'Armentières, est chargé du cours'd
ement les règlements d'ordre intérieur sans z lesquels la vie "des* médecins et des''infirmiers se trouverait mees- ¡ sanlin
les et les superstitions . sont bien connus des bibliophiles et des médecins , vient de mourir, t à Paris, à l'<îge,de 85
de l'asilefdes aliénés de Bourses et président de l'Association des médecins du Cher. M..le Dr Lhomme avait seulement G6 ans
concouru, plus que' personne en Angleterre, à assurer le sort des médecins d'asiles et il, faire admettre, le principe d'une
92 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cine de Paris. Y. MAGNAN 1 Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique · (Ste-Anne). F. RAYMOND
S DES vaisseaux; Par M. le docteur F. RAYMOND, professeur agrégé, Médecin de la Salpêtrière. Le rôle considérable que la
usé a-t-il ou n'a-t-il pas commis le CTime ? Les juges, assistés de médecins légistes, ajouteraient : L'accusé élâit`i·espon
eut aussi, agir avec pleine volonté. , .Dans le troisième cas, le médecin , est embarrassé. Il ne doit se déterminer pour
a pu résister ? Le jury doit dans ce cas décider sur le rapport des médecins . * " ' Pour' ce qui'c611cer'iie l'alcoolisme 'o
cas où l'accusé sera déclaré responsable ou irresponsable; c'est au médecin seul à se pro- 1 noncer. , / ,,ly,( 1 1 /' ),I.
1 /' ),I.-[ ' ' j- ' , Procédure légale : Pour que le témoignage du médecin ait du poids, il faut que le médecin-expert soi
nu compétent. Le meilleur moyen serait d'avoir un certain nombre de médecins assermentés, assesseurs légaux, des juges et pr
die du cer- veau. C'est au jury de décider d'après'le témoignage du médecin . On poserait au'jury les deux questions : ' . .
'les considérations'' qu'il développe sur le rôle et l'attitude des médecins experts en ma-'1 l tière i d'aliénatioii mental
le juge instruc- teur pour déterminer sa responsabilité. Devant le médecin légiste, cet individu a affirmé ne pas se souve
problème sur lequel doit se' porter l'attention non seulement des médecins aliénistes et neurologistes, mais de tous les pra
soit très grand, il faut cependant, surtout en ce qui concerne les médecins , considérer comme la partie sans contredit la p
d'admission. Il faut exiger à l'entrée du malade le certificat d'un médecin asser- menté qui conclue à la nécessité de l'ad
us les asiles. En France, ce n'est que très difficilement que les médecins directeurs obtiennent des conseils généraux et de
rection médicale réglementant l'assistance spirituelle parce que le médecin est seul capable de surveiller méthodiquement d
omaine de la théra- peutique, les hypnotiques sont venus en aide au médecin aliéniste et la chirurgie, dans nombre de cas,
311 décembre 1895, francs de port, au secrétaire; le DrJul. Morel ? médecin . en chef de l'hospice Guislain, à Gand.y7nqufl -»
u '10P. -Sb tfoiicotidnq ui 3TJJwrzyq utoq ,av9k Congrès annuel DES médecins ) aliénistes(et;-neurologistes Ttjsat DE FRANCE
.resser-letlr'àdll,sion et leur cotisation à M. le Dr. P.-Hospital, médecin en chef del'éta-. bassement d'aliénés de, Sàint
rondissement de Vervieis (Belgique). Attentat d'un aliéné contre un médecin . M. le professeur et doyen Mairet, de Montpelli
ontre un médecin. M. le professeur et doyen Mairet, de Montpellier, médecin en chef de l'asile des aliénés, faisait sa visi
rC·1 Par M. le docteur F. RAYMOND, professeur agrégé, c/im >.2 Médecin de la Salpêtrière. ' i i r ' ' t* : '-j ? i ..f
Secrétaires : MM. le D'' Bourueville, ancien interne de M. Charcot, médecin de l'hospice de Bicêtreysecrétaire du Comité; le
clinique de M. Charcot; le D'' Feré, ancien interne de M. Charcot, médecin de l'hospice de Bicêtre; Gasne, ancien interne
Charcot; le Dr Gilles de la Tourette, ancien interne de M. Charcot, médecin des hôpitaux; le D'' Gombault, ancien interne d
édecin des hôpitaux; le D'' Gombault, ancien interne de M. Charcot, médecin des hôpitaux; Guyon, ancien interne de M. Charc
interne de M. Charcot ; le D'' Hanot, ancien interne de M. Charcot, médecin de l'hôpital Saint-Antoine; le Dr Huet, ancien
interne de M. Charcot; le Dr Oulmont, ancien interne de M. Charcot, médecin des hôpitaux ; le Dr Parinaud, chef du service
de médecine de Paris; le D'' Raymond, ancien interne de M. Charcot, médecin de la Salpâ- trière ; le Dr Richer, ancien inte
M. le Dr ANGLTDE, médecin- adjoint de l'asile de Bassens, est nommé médecin adjoint à l'asile de Braqueville, en remplaceme
rrément ; il n'est pas habitué à ces mots grossiers, il supplie les médecins de prendre des mesures pour qu'il ne les entend
t ? t ? \j'ttr"n y-n I'arleD.CA111USET,nI ? =L(Ij Hnothbtto- , , Médecin directeur de, l'asile de Bonneval..4-T j r. .i.
itable. Il suit inutilement plusieurs traitements prescrits par des médecins . Puis il finit par s'imaginer c qu'on lui a jeté
rofitable à l'ensei- gnement,,etoù} lestétudiants et les jeunes ? , médecins ; pourraient étendre les notions, .d'ordinaire p
Bailleul, est promu à la 11*0 classe, du 1 janvier. Le Dr BRIAND, médecin en chef à Villejuif, est promu à la classe except
est promu à la classe exceptionnelle, du 1er janvier Le Dr BOUDRIE, médecin en chef à Vaucluse, est promu à la 1 ? classe,
s : (Légion' d'honneur.) Sont nommés chevaliers : M. le Dr Garnier, médecin en chef de l'infirmerie du Dépôt; M. le Dr C11R
nier, médecin en chef de l'infirmerie du Dépôt; M. le Dr C11RISTIAN médecin en' chef de la maison dé Cha- renton. Nous ne p
longtemps, rendent d'innoubliables services. V Congrès français des médecins Aliénistes. Nous rappelons à nos lecteurs que l
istes. Nous rappelons à nos lecteurs que le 5e Congrès français des médecins aliénistes et neurologistes, se tiendra à Clerm
tribués en temps utile aux adhérents. S'adresser au Dr P. Hospital, médecin en chef de l'asile d'aliénés de Sainte- Marie-l
igne par ce vocable l'ensemble des procédés à l'aide des- quels les médecins de tous les temps se sont efforcés de décou- vr
'aire repousser presque la totalité des documents accumulés par les médecins et les anatomo-pathologistes anté- rieurement à
nnée par les métaphysiciens comme un postula- tum indiscutable. Les médecins subirent le joug .de la philo- sophie scolastiq
qu'il. faut aussi, c'est une indication de ce que' les parents;'les médecins ourles instituteurs ont essayé pour `=âirièT ?
a,des, conséquences fâcheuses j pour t les' enfantsrjidiots.j Des médecins et surtout des chirurgiens conseillent aux parent
w, f· ·n· ? 1l, yN ! ir i· IUi i ry %y 1 : im,.l ·ri· n; , . et des médecins s y trompent. Rappelons enfin que la preten- et
aux persécutés ordinaires. Ils sont tellement lucides, que certains médecins leur contestent la qualité, d'aliénés. On en vo
tenir et s'entraîneraient à l'exemple des' candidats aux places de médecins des hôpitaux.- - ^"«"OiUxiA flBCr9Jt9rl-Is7ïf r-
e 1) e On, la doit û 1 initiative privée d'un groupe^ de ^nombreux, médecins ^ parisiens, tous égale- ment dévoués auximêmési
e.et, mieux encore,' dans les classes d'un Institut, sous l'zeil du médecin et la direction de maîtres expérimentés. ! ( ;'
là Seine,,eu,ajoutant au Jury,, - l'un - des 9 rédeciis ou les^deux médecins de\ la Maison nalioiiale,de Chat,entoii. 011 aura
d'une façon ryth- mique c : . P... · obtient cette, réponse : « les médecins le savent bien.w. J;1 i - ? 1' ' , 1. 25 juil
xcessive de troubles sensoriels et sensitifs amène un 1 Congrès des médecins aliénisles. Blois et La Rochelle. (Arlh. de 1'c
rovince de Bourgogne ) , Par le Dr Samuel GARNIER, ,, rr ,y , t . Médecin en chef, Directeur de l'Asile de Dijon, . , AVA
res de l'Église, BARBE BUVÉE. 353 de docteurs de Sorbonne et d'un médecin , serait vouloir oublier, de parti pris,, le rôl
les faits imputables en majeure partie à une maladie dont plus d'un médecin contemporain des événe- ments avait déjà presqu
en- semble d'y procéder sans prendre conseil- et sans appeler ni médecins ni parents. ' ? ' ^i ' Jf ' .« Dès le. premier
ses principales : vers lesquelles doivent tendre les recherches des médecins : 11'alcoolism e,- l'épilepsie; l'hystérie.- njij
l'accès a disparu. ? * - ' Si En présence dé' pareilles malades, le médecin légiste ne doit pas nêsiter'a proclamer devant1
-- JarA ? ? lrpirfl^ di -, ! iiJ @ « , ltl. r` 1,1, ï - m ? z Comme médecin du\ 7'fM ! pO)'(M'</ détention' hospitah (infi
fil 'Cf31· ! fi1.d71·' 1,1 '-(p ? - - 3"'L'auteur,rapporte qu'étant médecin militaire de l'armée anglaise au siège de Dehly
'après : lequel; à,la date)du 18 juillet' 1892, -les' directeurs-'1 médecins d'asiles' de, traitement etd'hospitaIisationd'aHé
asiles d'aliénés curables ou non, qui ne sont pas conduits par des médecins ou dont les* médecins" ! ne sont'>'pas respons
bles ou non, qui ne sont pas conduits par des médecins ou dont les* médecins " ! ne sont'>'pas responsables, les établisse
indigents dans des établis- sements conduits et administrés par des médecins ; c'est là qu'ils doivent être gardés, traités,
ticulières ou religieuses soient conduits et''administrés'par''des' médecins ; il* faut.' qu'ils soient surveillés' par des f
partout en Allemagne appréciés et-appuyésjpar les directeurs et les médecins à la condition qu'ils se.soumettent) aux'prescrip
ervices spi- rituels quand ils collaborent àil'activité éclairée du médecin . Il est inexact,que l'on empêche les malades de
s. - j ? . ' IV ? = 1- L'Etat a pour devoir d'enseigner a' tous les médecins la psychiatrie théorique et pratique.' Il faut
decine mentale ; 2° l'ad- ministration centrale doit s'adjoindre un médecin aliéniste expéri- menté. C'est à lui qu'elle de
ale des aliénés, la surveillance supérieure de celte assistance. Ce médecin doublera le représentant supérieur de l'administr
erait nécessaire, dans l'intérêt du bien public, aussi bien que des médecins , que l'on exigeât d'eux, après le dernier exame
clinique des maladies mentales, durant au moins un mois. Les jeunes médecins auraient de la sorte au moins quelques notions
s certificats que, nous voyons font malheureusement peu honneur aux médecins . Il ? t,7 LW .j CIEI jfff''f 311 ir. n : > i
BUT CHEZ UN SYPHILITIQUE ; Par le D' L. CHABBERT (de Toulouse), Médecin consultant à Bagnères-de-Bigorre. Il est deux q
cation. > 'De 1891 à fin'1892 ? la malade suit les conseils d'un médecin ucu- liste ! Durant'cette période, aucun phénom
La commission .ainsi constituée, son lui adjoignit le sieur Rapin, médecin ordinaire du gouverneur, praticien éclairé et i
Baptiste. ? ï ? o -* , * ? ? q-,t Tr ,r1'1r n· Z In" t Il,- Mais le médecin ayant procédé à ;1 examen de ces caractères aff
it- o,· ? %t v t. w ? . f ? · ? nn ? -18 ·ri)cn, Al. Legoux et-le médecin qui' n avait reconnu en ces reli- r . - r tn'f-
rismes et de solécismes; non volo, non vuit respondire ad te. Le médecin . pensant, la prendre par le bras : .pour lui tast
'une énergumène, non, plus que plu- sieurs discours qu'elle tint au médecin , qui ne marquoient 430 histoire' ET critique.
c'ê'à'él*lëàvoit-10 des cheveux qui furent en effet recogneu par le médecin ,6 d'autant qu'elle7n'et "que novice,* ce' qui d
nes'' marqués dé vraÿes possessions" que' ces agittations "dont les" médecins sont'les' jugés', au contraire avoient remarqué
que nous avons cy devant ditte elle parut pasle et défaicte, et le médecin de la commission s'aprochant pour lui taster le
oint demandée, c'estoit la soeur Joly de l'Annonciation laquelle le médecin voyant venir, dit à l'un d'entre eux, prenez bi
es de l'église contre un ennemi aussi imaginaire qu'invi- siblé. Le médecin Rapin, de son côté, concluait à leur sujet *t e
se rendit au couvent avec les membres de la commission;' excepté le médecin , et rencon- trèrent là, le vicaire général, l'o
ns, en augmentant1. Des efforts sérieux ont lieu dans ce sens.' Les médecins , chargés de ces services et leurs auxiliaires,
ialement au point de vue éducateur ? *» t C'est afin de' mettre'les* médecins , les* seuls vraiment compé- tents, pour'diriger
nde et rapide transformation, mais' qu'elle.-^ -*0 doivent faire au médecin . et à, l'instituteur, un .long crédit irq cette
; la difficulté de simuler, à moins d'être comédien, la sagacité du médecin expert, la sincérité des réponses du malade son
taines parties- du cerveau, 1874; Leçonstfaites au Collège Royaldes médecins de Londres, sur la phy- - siolog te, pathologiq
uF 11,3(1 c . jr,. Un asile d'aliénés en Orient; par M." Golowine," médecin en chef 9" ;sen de l'asile d'aliénés de Vârna.
ent de la Bulgarie, cet hôpital a été placé sous la direction, des, médecins russes qui ont été .graduel- lement remplacés p
des, médecins russes qui ont été .graduel- lement remplacés par des médecins bulgares. 91l ? v' ; . ;. D'abord onii-eçut exc
rs turques ? ? sb ""d- ? f> ? i * ? -' " C'est' en vain que" les médecins ont'attiré l'attention des autorités sur l'inap
les, hôpitaux pourvus de plusieurs sections,, on nom- ! niera un des médecins en- chef, directeur, dei sorte que l'on n'aura
jadis, les ordres de Sophia. Chaque service comportait jusqu'ici un médecin en chef et un chef de clinique ; on y ajoute ma
'assistance médicale j des aliénés et des 'idiots réclamée par les « médecins , allemands comme la seule en rapport avec la na
VERS ? Asiles d'Aliénés. Nominations* 'promotions : M. le Dr REY, médecin eu chef de l'asile Saint-Pierre, à Marseille, est
'asile de Maréville, est promu à la 1 ? classe ? M : le'D'' FEi3vRù, médecin p emchef de'i'asile de Ville-Evi.rd;estpromu-à'
1éde 1cin,,adjoi, 'It-à Il asi1e départemental, du;Mans,'est, nommé médecin en chef à l'asile du Mans'en, remplacement' de &l
Mans'en, remplacement' de <* M. FADaE, décédé; M. le Dr Sérieux, médecin adjoint à Villejuif ? est promu à la classe exc
ollaboration 'de Dauriac, Ferrier et Noir, 67. Congrès annuel des médecins aliénis- tes et neurologistes de France, 77,
93 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Par E. BRISSAUD, 1 . Professeur à la Faculté de médecine de Paris, médecin de l'IIôlel.Dieu. - . Et E. FEINDEL, Licencié
on les prône et qu'on les recommande sérieusement à l'attention des médecins par- ticulièrement voués aux études neuropathol
spension resta longtemps complètemeut igno- rée et, à part quelques médecins du district d'Odessa, le monde médical ne soupç
ux ans, cas rebelle et de diagnostic difficile pour lequel dix-huit médecins furent successive ent con- sultés et toute la t
En somme, dans les cas de moyenne intensité comme celui- ci, si le médecin est suffisamment assidu et'persévérant, s'il a su
miers symptômes de l'empoi- sonnement on mettra, avant l'arrivée du médecin , l'homme dans un bain chaud, on lui fera respir
ispositions particulières à quelques individus. Mais outre cela, le médecin légiste doit prévoir l'acte instantané qui peut
vertis, etc. M. H. IV. L'aliénation mentale pour le juge et pour le médecin . Réfle- xions sur une condamnation récente; par
début par de légers signes physiques, suffisants cependant pour le médecin ; or il importe de faire vite pour le plus gran
importance. Il faut faire examiner l'état mental de l'accusé par un médecin , et, de préférence, par un aliéniste. SIMON.
ont fait une étude spéciale de cette branche de la science; 5° les médecins de prison examineraient tous les prisonniers im
terme défectuosité est plus général. Où donc commence la folie ? Médecins et magistrats ont, sur ce point des tendances d
t tantôt c'est l'opinion du tribu- nal qui prévaut, tantôt celle du médecin . C'est eu égard aux cir- constances qu'on prono
être davantage qu'une réunion de convicts ; gardiens, directeur et médecins de prison pourraient faire oeuvre commune, et s
jet à son emprisonnement... Il arrive au con- traire souvent que le médecin ne voit les convicts que s'ils sont envoyés à l
ration pendant l'emprisonnement, est en faillite. Donc le devoir du médecin devrait être de tenir les observations à jour. Il
un an. Que fait la guerre avec cela ? Page 43, M. le Dr Claye Shaw, médecin en chef de l'asile de Banstead en parlant des a
mmé en la même qualité à l'asile de Maréville ; M. le Dr Piea- RET, médecin en chef de l'asile de Bron (Rhône), admis à faire
n (Rhône), admis à faire valoir ses droits à la retraite, est nommé médecin en chef hono- raire des asiles publics d'aliéné
Vallon, médecin- adjoint à l'asile d'aliénée de Bron (Rhône), nommé médecin en chef dans le même établissement en remplacem
cement de M. Bonnier, appelé à d'autres fonctions; M. le Dr DUPAIN, médecin en che; à l'asile d'aliénés de Vaucluse (Seine-
l'homme de l'art médical et non par l'empirique. Surveillé par le médecin et réglé suivant le syndrome à traiter, l'ex- t
et radiculaires sont déjà établies. Enfin il y a à Paris un ancien médecin militaire âgé de quatre-vingt-six ans qui a eu
utre encore sans aucun traitement spécifique s'est arrêté; enfin un médecin tabétique suivi depuis 1881 et sans aucun traitem
ipale de ce patronage est d'être en rapport étroit avec l'asile. Un médecin spécial doit être attaché à cette surveillance.
ation. La mémoire de reproduction a été également étudiée par des médecins et des psychologues. Les altérations de cette mém
S. Asiles d'aliénés. Nominations et promotions 1\1. le Dr BONNET, médecin en chef à l'asile de Saint-Robert (Isère), promu
mu à la 2e classe du cadre; - M. le De Chevalier Lavaure, directeur médecin de l'asile d'aliénés d'Auch, promu à la 2° clas
2° classe du cadre ; - M. le Dr Marchand (Concours de Paris), nommé médecin adjoint à l'asile des aliénés de Bailleul (Nord
leul (Nord), en remplacement de M. le Dr MAU- PATÉ, nommé directeur médecin a l'asile de Naugeat (Haute-Vienne); M. le Dr M
a l'asile de Naugeat (Haute-Vienne); M. le Dr MALDLATRE, directeur médecin à Saint-Lizier (Ariège), promu à la I™ classe d
tre occupées par les hommes les plus compé- tents, c'est-à-dire des médecins remplissant les fonctions de méde- - cins en ch
es originaux. Tous les manuscrits devront être en Anglais. Tous les médecins du monde entier peuvent prendre part au concour
la peau chez les aliénés l ; Par le Il E. nlaltawov DE MOXTYEL. Médecin en clicf (le ViIlc-E\l'aId Nous arrivons à l'ex
vaille au potager -f- Le contre-maître m'a dit d'aller trouver un médecin pour me guérir + Je suis à F ? mon cousin -(- \Io
ur me guérir + Je suis à F ? mon cousin -(- \Ion père me dit que le médecin va #venir -f- Soubresaut ? Je suis bien, mainte
nt -E- Je viens de marcher beaucoup ? Je suis couché + J'attends le médecin qui vient me voir-)- Ma tête travaille seule +
dopter une république ? Mais tout d'abord c'est un axiome parmi les médecins d'asile qu'un diagnostic rapide et un prompt tr
tact avec les fous est seulement dû à leurs fonctions : gardiens ou médecins . Quelques-uns deviennent fous, mais on leur tro
racles pour les ignorants, ces guérisons ne peuvent l'être pour des médecins ins- truites. , Acceptons même la thèse des S
ce importante dans ce volume, et méritent d'attirer l'attention des médecins . A chaque page de l'ouvrage, on sent que l'aute
et la plupart des cha- pitres, sinon tous, offrent pour nous autres médecins un véritable- intérêt. Je signalerai, par exemp
Asiles D'ALIÉ1É. - Mouvement de janvier 1902. M. le Dr Nicou- LAN, médecin en chef à Cadillac, promu à la Ire classe du cadr
nt à l'asile de Château-Pioon (Bordeaux- Gironde ; M. le Dr Magnan, médecin en chef à l'asile clinique Sainte-Anne, nommé o
TALE. Sur la théorie de l'obsession ' ; Par le D' F.-L. ARNAUD, Médecin dii'cclcur adjoint de la maison de santé de Vames
, mais cette auto-observation a été écrite pour moi, qui étais le médecin qu'il avait choisi, pour me permettre de pénétrer
moi le meilleur espoir et m'engage à remettre sous le secret, à mon médecin , une vue d'ensemble sur ma maladie. Par quoi a
erait d'autant plus difficile, que M. de N... était lui-même devenu médecin . Il pré- tendait de nouveau qu'il rougissait à
de longtemps et j'étais convaincu qu'il s'était adressé à uu autre médecin . Enfin, il se représenta de nouveau et plus que
dans la famille mater- nelle, est celui d'un grand-oncle maternel, médecin , mort de morphinomanie et de cocaïnisme. , Pa
.paupière tend à déterminer une dilatation de la pupille. Quand le médecin maintient la paupière ouverte malgré . elle, la
nteur de l'incubation et de l'ancienneté qu'a le délire, lorsque le médecin est appelé à inter- venir. En outre, ces maladi
nt au tabès et à la paralysie générale. Aujourd'hui, la plupart des médecins , éclairés par les diverses statistiques qui ont
phénomènes sont des ébauches de crises d'hystérie; il faut que les médecins en soient instruits, qu'ils ne soient point dér
de plus que l'hypnotisme ne devrait jamais être pratiqué que par un médecin compétent en la matière. M. LÉPIINAX. Chez un
i ed anatomo-palhologiei SItU' idiozia ; pel dottor C.-B. Pellizzi, médecin de l'asile d'aliénés de Turin. Toiino, fratelli
outissant aux idioties. Nous le signalons à l'attention de tous les médecins aliénistes et neurologistes. ' D'' FnEEMAN, X
e psychia- trique (2° trimestre scolaire). 11, le D1' Paul Garnier, médecin - en chef de l'infirmerie spéciale : conférence
feu. Les aliénés Arabes s'y trouvent dans un isolement com- plet, médecins , administrateurs, infirmiers ne comprenant pas
ées et accès de lièvre hystérique; , ' Par le D' M. MUTTERER, 1 Médecin à l'hôpital de Mulhouse (Alsace). Observation.
sang ; 'elle n'y fit d'abord guère attention, puis elle consulta un médecin , qui lui fit une saignée ; les écoule- ments ce
'une façon régulière (la dernière fois il y a quelques jours). Le médecin en question (SI. le Dr Meyer, de Mulhouse, qui a
ù peu de temps aupara- vant des mensurations faites en l'absence du médecin avaient accusé une hyperthermie considérable, C
chez un aliéné; PAR LES DOCTEURS S. GARNIER, ET A. SANTENOISE, Médecin en chef, Directeur Médecin adjoint de l'Asile d
DOCTEURS S. GARNIER, ET A. SANTENOISE, Médecin en chef, Directeur Médecin adjoint de l'Asile de Dijon. Le nommé V..., F
ns) ; PAR Il · Le D P. KERAVAL ht T Le Dr G. RAVIART Directeur, Médecin en chef de l'Asile Médecin adjoint de l'Asile d
KERAVAL ht T Le Dr G. RAVIART Directeur, Médecin en chef de l'Asile Médecin adjoint de l'Asile d'Arnientiércs . d'Armcntier
plus tard, elle est assise sur une chaise sans appui, accueille le médecin comme d'habitude, et lui raconte son accident :
obstinément convaincu qu'il est en prison à Kamyschine, il prend le médecin pour une autre personne : il semble qu'on l'ait
n Hongrie. (Psych. Wochenschr. 1 ? décembre 1900.) Au congrès des médecins aliénistes hongrois, tenu à Budapest le 28 octo
faisantes qui nécessite des mesures de surveillance étroite, met le médecin dans l'impos- sibilité de faire bénéficier les
rêtée par lacompression manuelle, en attendant l'arrivée des autres médecins de l'asile : il y avait aussi des coupures grav
statistique de son sujet, et le premier tableau qu'il donne (il est médecin adjoint de l'asile des aliénés criminels de Bro
MÉDECINE LÉGALE. 411 1 fois il n'avait qu'un partisan ; beaucoup de médecins aliénistes se sont déjà ralliés à son opinion,
laquelle elle-même en a écrit l'analyse pour prouver à ses propres médecins qu'elle ne se trompait pas, mais qu'on la tromp
s médico-psychologiyues, oct. 1901). L'auteur s'étant trouvé, comme médecin légiste, mêlé à deux procès concernant des test
l'asile de Moulins, promu à la 1° classe du cadre; - le D'' Marif, médecin en chef à l'asile de Villejuif (Seine), promu à l
l'asile d'aliénés de Bonneval (Eure-et-Loir) ; - JI. le Dr Lalanne, médecin adjoint à l'asile d'aliénés de Maréville (\feur
d'aliénés de Maréville (\feurthe-et-\Ioselle); - M. le D1' LE- nos, médecin adjoint à l'asile d'aliénés d'Evreux ; -lllct9 VR
ortes d'objets inanimés et se mettait à genoux pour les adorer. Les médecins , l'ayant déclaré fou, l'ont confié à la surveil
méthodes de traitement qui lui avaient toujours réussi. 11 a été le médecin d'un très grand nombre de sociétés de secours m
. Il y a une opinion courante et bon nombre de psychologues et de médecins l'ont soutenue que l'élaboration entière de l'act
gale; . PAR LES DOCTEURS P. IiRRAV.1L, ET G. RAV1ART, Directeur médecin de l'asile d'Armentières. Médecin adjoint de l'as
RRAV.1L, ET G. RAV1ART, Directeur médecin de l'asile d'Armentières. Médecin adjoint de l'asile d'Annenliercs. L'Etiologie d
re, diminution considérable de l'acuité visuelle qui font songer au médecin traitant, à une affection médullaire, il institue
s -nouveaux, et à des achats de terrains adjacents. Le directeur- médecin a les mains libres, n'étant responsable que vis-à
s sont traités par le repos au lit. Le personnel se compose de deux médecins , de deux surveil- lants, de serviteurs des deux
ance scientifique, au point de vue psychiatrique, de la plupart des médecins qui sont appelés à délivrer ces certificats, il
tificat médical de collocation d'un aliéné soit soumis au visa d'un médecin légiste appartenant à la magistrature, lequel s
llé ou justifié serait renvoyé pour supplément d'examen. .L'avis du médecin légiste serait prépondérant. - Le Dl Claus esti
ait prépondérant. - Le Dl Claus estime en outre qu'il appartient au médecin sçul de - désigner l'asile qui doit recevoir le
cine est presque entiè- rement étranger à la folie; et cependant un médecin de pratique asiles d'aliénés. ' '807 générale
prompt traitement effectif d'un cas de folie dépendent de l'avis du médecin ordinaire de la famille. Il serait donc importa
ssaire du cours d'études. S'il y avait des laboratoires, les jeunes médecins emploieraient les loisirs forcés que leur laiss
une fois libre. Ces renseignements peuvent être très utiles pour le médecin de l'asile qui, souvent, les ignore. Ne devront p
s les malades considérés comme dangereux par le chef de service, Le médecin devra transmettre à ces autorités un rapport et
its aux agents du personnel dans un certain nombre d'asiles par les médecins en second ou les assistants. Les salaires de dé
en moyenne après douze ou treize ans de services. La proportion des médecins (y compris les assistants) est de 4 pour 1 Dire
ans 56 établissements le nombre des Directeurs est de 56, celui des médecins chefs de 75, celui des assis- tants de 113 ; pl
Voici quelques chiffres concernant le traitement des Directeurs- médecins en chef. Les traitements de début varient de 3 60
des ma/¡¡- dies chroniques du système nerveux chez les enfants. Les médecins praticiens y trouveront des renseignements très
es renseignements im- portants. Paul SÉIIIEUX. CONGRÈS ANNUEL DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISrES Session de Grenoble
au plus tard. Le secrétaire général du Congrès est M. le Dr Bonnet, médecin en chef de l'asile de Saint-Iiobert (Isère). LE
l'âge de quarante-huit ans, le 25 avril der- nier, du Dr Delannay, médecin en chef de l'asile d'aliénés de Froid- mont. L'
ngereux en Prusse, 507. Aliénistes. Situation et traitement des médecins allemands, par Happe, 510. Amnésie. Accès pér
94 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
ni MAGNÉTISME RftDHifi Par une Société de Magnétiseurs el do Médecins SOUS LA DIRECTION DE M. le baron DU POTE T.
s ! que celles qu’il possédait ne se trouvent pas dans le Codex ; les médecins les ignorent, et ce sont eux pourtant qui les déc
z le couteau du chirurgien, celui-ci au moins sait ce qu'il fait : le médecin mécanicien jamais ne peut le savoir; s’il réussit
du 25 décembre, la lettre qui suit, écrite par M. le I)r Roux, un des médecins les plus estimés du Midi : « Monsieur le rédact
États-Unis d’un livre écrit en triple collaboration, par un juge, un médecin et un sénateur. C’est, de l’aveu de tous, un des
gieuses de Kentrop furent assiégées de l'esprit malin (3). J. Wier, médecin de Bàle, rapporte (4) que toutes les religieuses
née par les malades. Eprouvait-on quelque malaise, ce n’était plus le médecin niais la somnambule qu’on faisait appeler. Le mal
Edmonds, juge à la cour suprême de l’État de New-York, et M. Dexter, médecin , après une préface en commun, exposent, chacun sé
concentration extrême de la pensée. On trouve dans les ouvrages des médecins hermétiques quelques aperçus sur l’illuminisme.
e des esprits et dans les enfers. » Si l’on en croit le rapport des médecins de Londres, l’ex-t '.se de Swedenborg succéda à u
luide magnétique. L’apoplexie nerveuse, admise par un grand nombre de médecins distingués, appuierait suffisamment cette hypothè
e mener à bien mon projet; M. Hébert a tous les titres voulus. Jeune, médecin , et parfaitement instruit du magnétisme, c'est lu
ent. J’ai eu occasion d’entendre quelquefois de véritables airs ; des médecins en ont même noté dans leurs ouvrages. L’articul
chio-céphalique, el dans le troisième par l'artère sous-clavière. Des médecins prétendent qu'on le rencontre aussi dans les vein
es du magnétisme; il ne se doutait pas, en écrivant ces lignes, qu’un médecin magnétiseur s’en emparerait un jour, et qu’elles
olyhémie, dans l’hydrhémie, affections inconnues aux magnétiseurs non médecins , et dont les modifications magnétiques sont consé
y ajoutant encore ceux qui n’avaient aucune chance de dormir. » Ce médecin m’engagea un jour d'expérimenter son procédé avec
d’après la remarque de Sylvius : n Depuis longtemps, dit ce célèbre médecin , j’ai observé que les enfants sucent avec le. lai
les jeunes étourdis perdirent la tète; les uns voulaient chercher un médecin , les autres un magnétiseur. « Un assez long tem
besoin d’être prouvée, qu’il faut être circonspect dans le choix d’un médecin ou d’un confesseur. A ce point de vue, M"* Anna M
aturalistes, des ingénieurs, des jurisconsultes, des théologiens, des médecins , des militaires, en un mot, des hommes qui ont cu
du savant Court de Gébelin, adressé aux incrédules, et notamment aux médecins : 31“, Si l’imagination, si la nature sont de s
en outre, en les couvrant de sa responsabilité, les magnétiseurs non médecins qui lui paraissent dignes de son appui. Il sera
Le rédacteur s’exprime ainsi : « Nous recevons de M. le Dr Andraud, médecin électro-galvaniste, aux Batignolles, une communic
rait dire que la tératologie est la micrographie physiologique. Los médecins ne peuvent nier la communication sympathique des
s douleurs, que nous ranimons un flambeau prêt à s'éteindre. Là où le médecin , après s’être consumé en efforts superflus, après
. conservateur (2) : Air : Le prince d,'Orange panant par Namur. le médecin . « Je dis sans sophisme, « — Docteur et chré
114, Prince's Street. Nommer Gregory, c’est dire qu’il s’agit d’un médecin instruit, d’un chimiste habile, d’un savant enfin
lousies et les mépris de l’incrédulité, j’ai fini par forcer tous les médecins à m’accorder leur estime et le public à croire ce
dans l’enlèvement il en est le moteur indispensable. Joseph BÉGÜÉ, médecin . Toulouse, 20 mai 1854. 2" SPIRITUALISME. L
le était incapable de se transporter d’une chambre dans l’autre. Huit médecins , parmi lesquels les plus célèbres autorités d’All
,—ramenant ma femme bien portante dans sa patrie. « Chez tous ceux, médecins et autres, qui avaient vu la malade dans son anci
nnaissance et cette étude appro- fondie ne doivent pas procéder des médecins ni des savants, mais bien des profanes et des mal
Sed-litz à quarante-huit grammes, qui lui avait été conseillée par un médecin . Il résulte de l’exposé de3 symptômes susmentio
iodées un moyen très-eflicace pour attaquer cette maladie, et que le médecin qui ferait alors de la médecine allopatho-magnéti
dans plusieurs pays, pratiquent cette opération. » Et plus loin, ce médecin , comme pour justifier la manière de voir des magn
ntalement démontrées. Loin de moi de vouloir contester l’opinion d’un médecin si distingué ; seulement je désire qu’il daigne m
érir, à ce que la question du magnétisme animal soit élucidée par les médecins ? « Selon nous, dans l’état actuel des esprits,
locuteur sérieux, et sont indignes (l’un savant. « Pourquoi donc le médecin se refuserait-il d1 étudier les méditations d’un
ndu un éminent service à la cause magnétique ; car, en rapprocher les médecins , c’est préparer son triomphe. HÉBERT (de Garnay
, et tous s’acquittaient de ce devoir avec entente et ponctualité. Un médecin , chargé Tome Xill. — N" !»*• — « juiult 183». 1
rticiper activement. Elle espérait qu’en donnant des instructions aux médecins des hôpitaux ils feraient eux-mêmes les tentative
ient désignés et dont l'état aurait été préalablement constaté par un médecin magnétiste, chargé en outre de surveiller le trai
e. Les malades devant se rendre chez le magnétiseur, et de là chez le médecin , qui demeuraient souvent loin l’un de l’autre, ne
malades viennent se faire magnétiser sous la direction d’un comité de médecins . L’élan une fois donné, l’idée gagna vite du te
ement rentra dans le néant, probablement parce qu’il n’y avait pas de médecin à la tête : une clinique ne peut être bien dirigé
es, etc. Après avoir été longtemps aux prises avec la médecine el les médecins , qui ne lui avaient procuré aucun soulagement, el
Mais vint un jour où son remède favori ne fut plus infaillible. Deux médecins avaient été successivement appelés, et l’état de
M. H...., mon locataire, était très-dangereusement malade, et que les médecins , qui n’avaient pu déterminer la nature de sa mala
implicité de son mécanisme, à cette heure où, délaissé, abandonné des médecins impuissants, il se voyait mourir? Et comment ne p
ades n’avaient plus rien à espérer de la science et de l’habileté des médecins . Elles les avaient donc amenés au cimetière. Les
e de l’impunité qui règne à cet égard, nous ne pouvons qu’engager les médecins à suivre l’exemple qui a ôté donné par l’associat
és suffiraient pour établir une officine des mieux achalandées. Les médecins qui la conseillaient, personnages illustres et oc
n’a jamais présenté de modification sensible. Le traitement que les médecins administrèrent dès le début de la maladie, avait
. En dernier ressort, et si la malade y eût voulu consentir, l’un des médecins , afin d'obtenir une guérison prompte et radicale,
r. Le traitement antiphlogistique fut vigoureusement appliqué par les médecins qui me remplacèrent. Leurs prescriptions énergiqu
les sueurs eurent disparu, le mieux alla toujours en augmentant. Les médecins , qui n’avaient point discontinué leurs visites, 1
l'art ne peut imiter. Agréez, mon cher maître, etc. Joseph BÉGUÉ, médecin . Toulouse, le 8 juillet 1854. FAITS ET EXPÉRI
n'étaient connues que du consultant, de la malade elle-même et de son médecin présent à la consultation ; 011 était donc parfai
les apprendre par les moyens ordinaires. Le marideM'“'W..., qui est médecin , la consulta sur des cas difficiles où les pratic
adie grave. Elle déclara qu’il s’agissait d’un mal intérieur, que les médecins 11e soupçonnaient pas, et qu’il n’y avait aucun e
quelque temps après; on ouvrit son corps, et, au grand étonnement des médecins , on reconnut la vérité du diagnostic. 2° Vue du
it tout «'1 fait rétabli. Très-surpris, je lui demandai quel était le médecin qui avait opéré un pareil prodige. « C’est vous
mixte, c’est-à-dire physiologique et psychologique. Entrevue par les médecins qui s’occupent des maladies nerveuses, cette caus
uleurs et des tiraillements qui la faisaient beaucoup souffrir. Les médecins , appelés plusieurs fois en consultation, ayant to
e de cette maladie depuis trois ans; elle avait eu recours à tous les médecins des environs, sans succès; ses cûses devenaient d
s expériences, en présence de M. le curé du bourg, de M. le Dr Marie, médecin à Berlaimont, de M. Massot, pharmacien, et de bea
faite et n’a plus eu un seul accès. Ces faits eurent pour témoins les médecins et les notables de Berlaimont. Hksm dubois, d.
w. p. Ex-sous-inspecteur des enfants trouvés des hospices do Paris, médecin de la Faculté de Paris et chirurgien dentiste à V
eur ; mais surtout cette autre assertion contenue dans la lettre d’un médecin étranger à 11. Deleuze, savoir : que lorsque deux
s que le corps humain renferme, afin que, sous les yeux mômes de tout médecin , la nature sollicitée, aidée, montre son empire e
re ce que l’on vit autrefois à Rome, où, à la suite de désastres, les médecins furent bannis l'empire, et cette proscription dur
est en vain que la nature ici a fourni de précieuses indications : le médecin a peur, il craint de passer pour un magnétiseur,
ance qui manquait aux organes et rétabli les règles supprimées. Les médecins aujourd’hui sont trop faibles pour parler de sorc
ar les pensées et les volontés d'autrui. Pour tous ces maux, prêtres, médecins ou philosophes y perdent leur latin. Nous mettron
ait notre poète. Dans la ville qu’habitait Cipriano vivait alors un médecin appelé Ségélius. Trente ans auparavant il jouissa
lement aristocratique. Ségélius n’avait point abandonné son étal de médecin , bien qu’il ne s’en occupât qu’avec répugnance et
nd, après cela, que Ségélius dût avoir un grand nombre d’ennemis. Les médecins et les apothicaires étaient naturellement les plu
Bientôt elle rêva que, tombée malade, elle entendait son père et deux médecins chercher ensemble les moyens de la guérir, qu’ell
ire dans leur estomac, je vais en citer quelques-uns : Haudacadi, Médecin . Alentana, Dame. Chlann, Verre. Schmado, Lu
spécial et disposé de telle façon, qu?, chaque semaine, le comité des médecins pût embrasser d’un coup-d’œil les effets survenus
ons très-importantes, dont le sujet n’a pas môme conscience, et si un médecin 11’est pas là poulies constater de jour en jour,
rien. Dieu a confondu les os de tous, la mort n’a rien respecté : le médecin git à côté de ses malades, le prêtre a suivi ses
ut former cet établissement. (. La première chose est de trouver un médecin connu et considéré dans la pratique de son art, q
convaincu de la puissance de l’agent et de la sienne propre... « Ce médecin sera chef du traitement... c est lui de choisir s
ieurs malades. 11 serait à désirer que ces adjoints fussent de jeunes médecins qui, déjà convaincus de la réalité du magnétisme,
irer..... Il pourrait se faire aider par d’autres personnes que des médecins .... , « Je suis persuadé qu’on trouverait facil
ée. « Il faudrait qu’avant d’admettre des malades au traitement, le médecin constatât leur état par écrit, pour pouvoir le co
et remarquables. «Chacun des aides-magnétiseurs rendrait compte au médecin de ce qu’il aurait observé, et celui-ci tiendrait
nner un malade s'il y avait une crise qui exigeât sa présence. « Le médecin tiendrait compte des résultats obtenus, en ayant
ses. « S'il existait une fois un traitement régiüier, dirigé par un médecin , plusieurs autres médecins qui, persuadés de la r
fois un traitement régiüier, dirigé par un médecin, plusieurs autres médecins qui, persuadés de la réalité du magnétisme, ont c
die appelée danse de Saint-Guy ; il avait été traité par les premiers médecins de la ville, qui déclaraient avoir employé toutes
avait été placée à l’infirmerie royale et y avait été traitée par les médecins les plus éminents, qui lui avaient en vain appliq
AKDOUGALL, vice-président. Docteur ESDAII.E, idem. Docteur SCOTT, médecin consultant. Nous applaudissons de tout cœur au
t été très-communes parmi les Indiens. Il me disait qu’il avait vu un médecin construire trois loges en fixant des piquets en t
es sont éloignées de deux verges (environ dix mètres). Dans l’une, le médecin place ses moccasins, dans l'autre ses brodequins,
trois à la fois. Ces voix sont inintelligibles pour tout autre que le médecin qui prétend les traduire. « M. Du Bay affirme q
u Bay m’a aussi rapporté plusieurs exemples de la clairvoyance de ces médecins . 11 y a quelques années, étant arrivé à un poste
du Lac Supérieur. Après qu’il eut attendu plusieurs jours en vain, un médecin offrit de lui faire connaître l’époque de son arr
l’endroit désigné, et il n’y vit personne. Il retourna alors vers le médecin et commença à se moquer de lui. Celui-ci répondit
iron dix ans, et dont le mal avait résisté à la science des meilleurs médecins d'Angleterre. Il arriva que les muscles de mes br
vrage avec de nouveaux développements. Nous voyons avec plaisir les médecins sortir de l'incrédulité dédaigneuse et systématiq
uxquels tout homme d* bonne foi ne peut manquer d’applaudir : « Les médecins , dit-il, repoussent le magnétisme parce qu’il est
s une circonstance célèbre, où tout s’est passé sous les yeux de deux médecins incrédules qui avaient réglé eux-mêmes avec un so
la nature des maladies. Un somnambule, dit-il, pourrait être, pour un médecin instruit et habile, un sixième sens dont la puiss
r lui destine, il est certain que beau-coun de malades abandonnés des médecins ont dû leur salut à la lucidité des somnambules
re de gaz où il était employé. Sa maladie fut jugée incurable par les médecins , et l’on attendait d’heure en heure son dernier s
mentation complexe. 1° Établir le diagnostic avec l’assistance d’un médecin et d’un chirurgien, afin qu’une triple attestatio
portés par le Spiritual telegraph : Dictée d'un po'éme inédit. Un médecin de Washington avait réuni chez lui, un soir, deux
es principes, la pratique et les avantages de la nouvelle science, ce médecin passe brièvement en revue l’histoire ancienne du
rne, à la tête de laquelle brillent des savants du premier ordre, des médecins assis au point culminant de la science, des savan
es ; aussi doutons-nous qu’une pareille instruction puisse mettre les médecins de la Nouvelle-Orléans en état de magnétiser leur
Paris, 1854, Germer-Bailüère. C’est encore un homme de science, un médecin qui, sans s’inquiéter des oracles de la Faculté,
t paralysé du bras droit, fut guéri en deux magnétisations devant les médecins et les élèves. Chili. — Marc Rowly, de Leeds (A
95 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cine de P.l1 ¡s. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Agile clinique (Ste-Anne). F. RAYMOND
ROLOGIE CLINIQUE MENTALE. L'IDEE FIXE; Par le 1), P. KEHAVAL, Médecin directeur de l'asile d'Armentières (Nord). Hist
ne nous attachons pas suffi- samment à bien observer, à observer en médecins ce qui, normalement se passe dans le fonctionne
lles et techniques, ou contrôler les assertions de l'indi- vidu. Le médecin à qui l'on présente un mémoire d'algèbre et de
nt de la chose, et c'est dans le développement de ce comment que le médecin s'aperçoit que le plaignant se trompe. Ainsi so
et a tout raconté à sa femme. Celle-ci l'a déclaré fou. Ensuite, le médecin est venu et a essayé de le calmer. De ce qui s'
er des événements arrivés en songe.) Les paroles bienveillantes des médecins , ainsi que leurs obser- vations, l'ont mis en é
métier de-potier, il demande l'assistance comme invalide. Plusieurs médecins l'ont examiné et déclaré non fondé dans ses dem
PATHOLOGIE MENTALE. MYSTICISME ET FOLIE ' ; Par le D'A. MARIE, Médecin en chef de la Colonie de Dun. CONSIDÉRATIONS HI
s compensatrices dans l'angine de poitrine; par le D1' J. I'wvmsur, médecin en chef de l'Hôtel-Dieu de Varsovie. (Gazela Ly
d contre une maladie en se créant d'au- tres portes, il faut que le médecin aide un peu la nature. L'auteur est de cet avis
nt de la production de nouvelles lésions le malade garde le lit; le médecin doit être en éveil, quand l'oppression et la do
icqué, chirurgien de la Pitié et des asiles de la Seine, et FEBvRÉ, médecin de l'asile de Ville-Evrard. Depuis quelques ann
ts stationnaires, 3 morts opératoires. La statistique du Dr Ilobbs, médecin de l'asile de London (Ontario), porte sur 80 ca
soit 35 p. 100, 4 morts, soit 5 p. 100 du total. - Le Dr Russell, médecin directeur de l'asile d'aliénés d'Hamilton, s'es
ue; mais il est facile de se con- vaincre que, pour beaucoup de ces médecins , la question mal posée laissait supposer qu'il
bservation qui a trait à ce sujet. Le Dr Piéchaud, au congrès des médecins aliénistes de 1896, a relaté deux observations
né le chiffre de 93 p. 100. En présence de telles statistiques, les médecins ou chirurgiens des Asiles peuvent-ils se désint
Ils ont été reçus à la gare par le Maire, M. le Dr Bertrand, par le médecin directeur, le Dr Ph. Rey, par les Dy Chabrier, pr
officielle . Dans toutes les divisions des aliénées des asiles, les médecins doi- vent se préoccuper de plus en plus des aff
elé les travaux du 74 BIBLIOGRAPHIE. Dr Bourneville et des autres médecins français et anglais (Ireland, Teleford-Smith, e
e l'hospice de la Salpêtrière, et demandait à voir immédiatement le médecin consultant, afin que celui-ci le mit dans un ca
ré de l'alcool, les méde- cins de la marine résidant à Brest et les médecins du département du Finistère viennent d'adresser
nt à cette idée p ? ,évctle7zte, et s'agile quand on lui dit que le médecin n'a constaté aucun signe de celle-ci. Il s'y cr
l'Empereur et qu'une fois la chose dite, il l'a soutenue devant les médecins . Dans la suite, chaque fois qu'on lui parle de
pas, mais elle s'indigne contre la science qui n'avance pas et les médecins qui ne peuvent la guérir. A côté de cela, c'est
e se mariera bientôt, et se plaint amèrement que ses parents et les médecins soient cachés sous le toit. 4" Idée fixe dans l
que je suis complètement à la merci de toutes les dro- gues que les médecins me font absorber dans ma nourriture. Cela est t
les. Il en fait la description dans des schémas qu'il distribue aux médecins de l'établissement pour leur expliquer ses souf
and'peur : elle a souf- fert beaucoup du reste et a fait appeler le médecin par peur d'un avorte- ment. Cependant l'accouch
céphalalgie violente, courbature, anorexie, diarrhée, épistaxis. Le médecin appelé parla de lièvre muqueuse ; mais il déliv
l'étude de l'épilepsie et de son traitement; par Casimir W¡SLOCK1, médecin des consultations à l'hôpital Saint-Hoch, de Va
toute mesure était dépassée, le conseiller rapporteur et surtout le médecin expert furent vilipendés avec une désinvolture
en séquestration arbitraire, devant le tribunal de Saint- Malo, un médecin des environs de cette ville qui avait donné le
ces malades furent visités et examinés dans leurs domiciles par des médecins alié- nistes ; les résultats de l'examen et de
ce annuelle (Lundi 10 juillet 1899). Présidence de M. Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière. Traitement psychothérapique
été accepté par cette dernière, il n'aura pas pu être obtenu par le médecin . La suggestion pendant le sommeil naturel est d
traitement simple dont l'appli- cation est à la portée de tous les médecins . - Ce traitement est basé essentiellement sur l
n n'a pas pu extraire la balle logée dans le crâne ; cependant, les médecins espèrent la sauver. Les deux époux étaient sour
es d'aliénés. Nominations et promotions : JI. le Dl' S.\NTE- noise, médecin adjoint à l'asile public de Saint-Ylie près Dôle,
médecin adjoint à l'asile public de Saint-Ylie près Dôle, est nommé médecin adjoint de l'asile de Dijon en remplacement de
M. le Dr ViALLON; - Par divers arrêtés M. le D'' DoDERO a été nommé médecin adjoint à l'asile Saint-Ylie (Jura) ; M. le D1'
adjoint à l'asile Saint-Ylie (Jura) ; M. le D1' Keraval, directeur médecin à Armentières a été promu à la classe exception
es a été promu à la classe exceptionnelle du cadre; Il. le De FAN), médecin adjoint à la Roche-Gandon (Mayenne) est élevé à
département inté- ressé avait pris une délibération portant que le médecin n'entre- rait en jouissance de cette pension qu
es rapports, semble moins connue de nos confrères français que' des médecins étrangers. (B.). REVUE d'aNATOMIE ET DE PHYSIOL
e corlico-moteur et régulariser les fonctions du périphérique. Le médecin doit fortifier les mucles abducteurs et extenseur
REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 233 de Little. Ce massage est fait par le médecin d'abord à l'articulation du cou de pied, ensuit
e. Le massage est suivi des mouvements de chaque articulation. Le médecin veille sur tout. Le D'' Kratenberg fait faire la
il faut regarder comme une conquête scientifique la pénétration des médecins dans le Parlement ? Je ne vois pas pourquoi la
ciales à faire de la politique. De plus il faudrait établir que les médecins actuellement ou députés ou sénateurs sont vraimen
eutique thyroïdienne. - Villechauvaix (Jean). Cenu«attès, malade et médecin . - Vivier (Henry). Sur l'infantilisme. - Volper
es critiques de talent, depuis Vict. Cousin jusqu'à M. Havet, et un médecin , relatèrent les divers symptômes qu'il présenta
uin 1899. Elle a pour but de réunir, en assemblées périodiques, les médecins qui s'occupent des maladies du système nerveux.
a été l'objet en 1898 à la Société de Chirurgie et au Congrès des médecins aliénistes d'Angers, l'accord est loin d'être fai
es troubles psychiques post-opératoires. (Discussion au Congrès des médecins aliénisles. Angers 1898. Compte rendu in La Pre
. Les troubles psychiques posl-opéraloires. (Rapport au Congrès des médecins aliénistes et neurologistes. Angers, 1898.) - Pro
.) Troubles psychiques post-opératoires. (Discussion au Congrès des médecins aliénistes. Angers, 1898.) 260 CLINIQUE MENTA
re il était bien résolu à lutter contre lui, et à lui résister. Les médecins lui apparaissaient comme des anges ; il était a
PSEUDO-IIEIt\IAPH110DIS\IE EXTERNE; i Par ml. FAUCHER et BOURDIN, Médecins l'Asile de la Chanté (Nièvre). M... Gertrude, c
é le soin que l'on prend, en particulier à la Charité, de prier les médecins 298 RECUEIL DE FAITS. signataires du certific
ble peu probable cependant que l'accouchement ait été fait par un médecin . Toutefois, il faut tenir compte de la possibilit
a folie, et c'est ce que fait observer Raffegeau, qui conseille aux médecins aliénistes et légistes de considérer les sujets
malade a changé bien REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 317 souvent de médecins . « Nous lui suggérons, dit M. Goldstein, que ce
ue qui possède tous les éléments pour étudier cette question, étant médecin dans un service de plus de 1.200 femmes, penche
ne à l'étranger est considé- rable surtout parce que la plupart des médecins allemands parlent les langues étrangères, le fr
re morte d'une affection cérébrale, encépha- lite ( ? ) suivant les médecins qui l'ont soignée; elle a succombé quelques jou
ts (Renseignements fournis par la grand'mère pater- nelle et par le médecin de la famille). - Père, négociant en vins, exce
par sa grand'- mère paternelle avec laquelle il habite, soit par le médecin qui nous l'avait amené. L'enfant n'a plus eu d'
ments protoplas- miques correspondants (Congrès des naturalistes et médecins alle- mandes, Francfort, 1896). Les nodules ble
médicale et du massage dans le traitement de cette maladie chez un médecin de quarante-six ans en même temps goutteux. Sou
de l'asile de Pau; il n'y resta que deux ans et fut nommé, en 1869, médecin en chef de l'asile de Fains (Meuse). Se sentant
tune de la terminer. Nos col- lègues qui ont assisté au Congrès des médecins aliénistes et neu- rologistes, tenu à Marseille
ISSEMENT CÉRÉBRAL ET TROUBLES PSYCHIQUES ; 'Par Je D' R.OiARON, Médecin des Asiles publics d'aliénés, directeur de l'Asil
e cérébrale » par la famille. Les renseignements recueillis près du médecin traitant éclairent très complètement ces accide
es sont obnubilées et que la vue est très faible. Un mois après, le médecin constate une cécité double complète (atrophie des
aut, permettant au moins de penser à un foyer de ramollissement, le médecin pourrait donc être autorisé à pronostiquer la c
rai- tement individuel est devenu, par suite de l'insuffisance de médecins responsables, absolument impossible. Une poussée
notice historique) ; p A H P. SÉl21GUY, ET F, F,\ ! \XA ! 11EH, Médecin des Asiles d'aliénés de la Seine. Interne des Asi
ience, est-elle très répandue dans le public et même chez nombre de médecins . Chose plus singulière encore, cette conviction
t son traitement. Longtemps en effet, l'attention de la plupart des médecins d'asile fut moins retenue par les procédés thér
doivent êlre éloignés de toute occupation active... » Plus loin le médecin de la Salpêtricre déclare qu'il n'a cessé « de
lière et sous une surveillance constante '. » Sous l'influence ,des médecins aliénistes de la première moitié du siècle (Fer
lioiiite. De l'internement des aliénés dans les asiles. Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de langue française.
lusive à l'opinion publique, aux autorités administratives et aux médecins eux-mêmes. Or si le pessimisme que professent q
x médecins eux-mêmes. Or si le pessimisme que professent quelques médecins à l'égard des résultats du traitement des psych
nous, d'après notre propre pratique comme d'après celle de nombreux médecins aliénistes étran- gers, que le repos au lit doi
quelques formes d'hystérie. » Paris, 1883.) Avant Weir Mitchell, un médecin américain, Samuel Jackson, avait recommandé le
leterre, la méthode ne paraît pas encore très répandue et nombre de médecins la critiquent. Hâck Tuke ne lui consacre que qu
s intérims à l'asile de Villejuif. En 1896, au Congrès français des médecins aliénistes et neurologistes. un confrère russe,
es formes aiguës el subaigucs de l'alcuolisme. [Dixième Congrès des médecins alié- nisles einelll'ologisies de France, lenu
HO-MOTRICES CHEZ UN PARALYTIQUE GÉNÉRAL; Par le il Raoul LEROY, Médecin adjoint de l'Asile des aliénés d'Eerew. Si on é
tenses, périodiques etde vomissements alimentaires puis muqueux. Le médecin , en raison des habitudes éthyliques de son client
énés d'Evreux avec le certificat suivant rédigé par M. le Dr Colin, médecin du service des aliénés de- la maison cen- trale
la force nécessaire pour travailler lui a manqué (confirmé par son médecin ); il n'y a pas eu de paralysie flasque du tout.
ire à la suggestion, cela tient fort souvent bien moins à lui qu'au médecin . M. Bérillon. Il convient aussi de préparer tou
était le directeur depuis le 20 août 1889. Issu d'une famille de médecins et longtemps médecin lui-même à Villefranche-de
depuis le 20 août 1889. Issu d'une famille de médecins et longtemps médecin lui-même à Villefranche-de-Lauragais, son pays
r inexplicable il avait tout brisé dans sa chambre. Le lendemain un médecin était venu, et sur le certificat que ce dernier
ERS. Asiles d'aliénés. Nominations, promotions, etc. : M. DODERO, médecin adjoint, nommé à Saint-Ylie (Jura), concours de L
çon promu à la classe exceptionnelle du cadre ? M. le or THIBAUD, médecin adjoint à Quimper, est promu à la première classe
ury, sauf modifications, est ainsi composé : MM. Febvré et Legrain, médecins en chef de Ville-Evrard. MM. Charpentier et J.
in, médecins en chef de Ville-Evrard. MM. Charpentier et J. Voisin, médecins en chef de la Salpêtrière. M. Chaslin, de Bicêt
in, de Bicêtre. M. B. Auger, chi- rurgien de Beaujon. M. Thiroloix, médecin des hôpitaux. Asile clinique. Clinique. des mal
96 (1934) Oeuvre scientifique
mes subjectifs, comme leur dénomination l'indique, sont ceux que le médecin n'est pas en mesure de constater au moyen de ses
genre que le malade commence d'habitude par attirer l'attention du médecin qui devra ordinairement en tenir compte au poin
es phénomènes subjectifs. Les phénomènes objectifs sont ceux que le médecin peut lui-même percevoir, dont il doit constater
rigoureusement précis et de résoudre soit comme experts, soit comme médecins militaires certains problèmes qui sont d'une gran
des crises manifestement hystériques ; elle m'a été adressée par un médecin qui, ayant constaté chez elle, peu de temps apr
et en observation, qui peut par des réponses mensongères induire le médecin en erreur; mais, à l'aide d'épreuves pratiquées
remarquer que le réflexe de la rotule, qui est le seul que certains médecins recherchent, n'est pas le seul dont la perturbati
que; ce sont là des phénomènes objectifs inconnus de la plupart des médecins et qui, pourtant, ont une grande signification
sisté à des crises d'épilepsie et qui serait intéressé à induire le médecin en erreur. Or, il existe deux signes, qui sans
les symptômes subjectifs dans la hiérarchie symptomatologique. Le médecin a besoin de l'intervention, de la collaboration d
Le rôle du patient est donc très important. En prévenant à temps le médecin de troubles dont seul il peut avoir notion, il
c lesquelles il s'est entretenu de sa maladie, et notamment par ses médecins , l'ont troublé au point de l'avoir rendu inapte
its, émotif, doutant de lui-môme, convaincu de la science infuse du médecin qu'il consulte. Il est très porté à penser que
tient sans doute à ce que la plupart de mes collègues et des jeunes médecins prennent les mêmes précaution que moi ou ne rec
» ... Il ressort de ce qui précède que c'est à l'interrogatoire du médecin , quand il est pratiqué sans les précautions vou
ent hospitalisées pendant des mois, des années. La sugges- tion des médecins et des élèves qui faisaient cercle autour de ces
sidérée comme déterminant une perte de conscience. Aujourd'hui, les médecins sont avertis, s'observent ; aussi ces crises so
s, le remet dans son lit; inquiet, il fait venir immédiate- ment le médecin . Celui-ci, bien qu'ayant constaté la conservation
ses d'un père jouant, pour ainsi dire, le rôle de mandataire de son médecin . 2" Observation (extraite d'une conférence que
infirmité incurable, d'après tout ce qui lui avait été dit par les médecins INTERROGATOIRE EN CLINIQUE ET SYMPTÔMES SUBJECT
sur lesquels nous avons insisté et, en particulier, depuis que les médecins savent mieux qu'autrefois éviter dans leurs exa
e à air gastrique sous pression plus ou moins forte. Sans doute, le médecin est souvent tout à fait étranger au développement
fs peuvent être dues au sujet en observation. Toutefois, le rôle du médecin dans son enquête est loin d'être passif car, su
lassique d'affection organique du système nerveux avait conduit les médecins chargés de l'examen à émettre l'avis qu'il s'a-
sulté par des personnes jouissant d'une santé parfaite, et que leur médecin traitait comme tabétiques, pour avoir cru, à tort
'on n'y prête pas une attention suffi- sante, si, comme beaucoup de médecins le font, on se contente d'une exploration rapid
nce pratique ; qu'il est encore imparfaitement connu de beaucoup de médecins et que sa méconnaissance explique, comme on le
ui a lieu dans l'hémiplégie organique. Je n'ignore pas que certains médecins affirment avoir observé dans l'hémiplégie hysté-
t absolument différents et qu'un diagnostic erroné peut conduire le médecin à des prescriptions très préjudiciables au mala
spose que des signes différentiels classiques; il est arrivé à tout médecin d'observer des cas de ce genre. Les caractères
arente; il sera considéré sans plus ample examen par la plupart des médecins comme atteint d'hémiplégie organique. Pareil dia-
festent dans des cas graves se terminant rapidement par la mort. Le médecin n'est donc que rarement en mesure de les observ
Il n'en est pas de même pour l'hémiplégie hystérique ; beaucoup de médecins pensent que, si l'exagération des réflexes du côt
er à comprendre le mécanisme de la paralysie hystérique. Certains médecins admettent que l'agent qui produit les phénomènes
ation vive et même intéressante ; elle plaisantait, rappelait à son médecin qu'il l'avait toujours guérie des divers malais
de l'électrothérapie avait été discutée devant elle, elle fit à son médecin , quelques jours après la consultation, cette rema
outefois, en se fondant uniquement sur ce qui vient d'être dit, des médecins encore peu expérimentés en clinique neurologiqu
notre opinion a déjà été confirmée par les observations de nombreux médecins ^), que l'abolition du réflexe à la lumière, qua
é systématiquement chez tout individu qui se présente à l'examen du médecin , Sa constatation a une importance pratique très
ne hémiplégie faciale droite occupant les deux branches du nerf. Un médecin électrise le malade et observe ce fait, qui frapp
nué. Ce problème serait habituellement soluble si la généralité des médecins en connaissait l'im- portance, contrairement à
aît toutefois avoir été considéré comme de nature spécifique par le médecin qui traita le malade, car il le soumit à une cure
convolution de Broca. Trois mois après, je revois le malade avec le médecin traitant, mon collègue le Dr Le Noir. J'apprend
xamen est fait par le regretté Dr Parinaud. Nous estimons alors, le médecin traitant et moi, qu'une intervention chirurgica
pillaire et la diminution de l'acuité visuelle. Cette fois tous les médecins consultés sont d'accord avec moi pour conseille
cas sous une forme fruste et ne s'impose pas alors à l'attention du médecin . J'ai observé déjà autrefois des faits de cet o
ervation II, il n'était pas venu à l'esprit du père, ni à celui des médecins qui l'avaient soigné, qu'il pût avoir une affec
re le malade à l'épreuve du lipiodol par voie cervicale que lorsque médecin et patient sont en principe disposés à une inte
Charpentier et moi, et qui ont été confirmés par un grand nombre de médecins , établis- sant que le signe d'Argyll est pathog
lgré le grand nombre des travaux dont l'hystérie a été l'objet, les médecins ne semblent pas se faire tous une conception iden
er cette pré- tendue névrose spéciale des cadres nosologiques. Tout médecin qui a porté, ne serait-ce qu'une fois, le diagn
e ce but, il faut passer en revue les divers syndromes que tous les médecins s'accordent à appeler hystériques, les analyser e
r l'idée émise, loin d'être déraisonnable est éminemment sensée; le médecin en agissant ainsi, loin de chercher à suggestionn
e l'entourage vient contre-balancer ou annihiler la persua- sion du médecin ; s'il est possible de placer le malade dans des
e Charcot-Bouchard-Brissaud, elles sont ignorées générale- ment des médecins qui ne se sont pas spécialisés dans l'étude des m
rd à lui en exprimer toute ma reconnais- sance. Anciennement, les médecins avaient cru remarquer qu'il existait un groupe
à l'étude de cette névrose, l'embarras des auteurs à cet égard. Un médecin émi- nent Lasègue, frappé par l'imperfection de
er pour la deuxième de ces deux propositions. Aussi, la plupart des médecins qui ont écrit sur l'hystérie n'ont pas contesté
hésite plus; le trouble est considéré comme hystérique. Beaucoup de médecins ne sont même pas si exigeants ; quand un symptôme
l'hystérie peut tout faire ». Du reste, cette idée, que beaucoup de médecins énoncent volontiers leur parait conforme à leur
uit de l'autosuggestion, ou plutôt de la suggestion inconsciente du médecin , ainsi, du reste, que cela a déjà été soutenu par
sie sensitivo-sensorielle dont il a été question plus haut, que les médecins sont unanimes à considérer comme hystériques, i
r « la maladie du doute », ou pour « la neurasthé- nie » ; mais, un médecin versé dans l'étude de ces affections ne s'y lais-
son est obtenue grâce à une émotion, à la confiance inspirée par le médecin , à la croyance dans quel- que puissance mystéri
, n'est pas en opposition avec le bon sens, Avoir confiance dans un médecin qui pro- 117n JlYST1nIE-p[THJ.tT[SJ[E met la
t rebelles à la persuasion, qui s'éternisent malgré les efforts des médecins , ou qui disparaissent un beau jour sous l'influen
été discutée plusieurs fois ; néanmoins, il y a encore beaucoup de médecins qui considèrent comme un fait incontestable la
e soulèvement épidermique, ni même la moindre rougeur. J'invite les médecins qui sont d'un avis contraire au mien à venir ap
ociation hystéro- organique mal interprétés qui ont trompé certains médecins , dont les observations ont été acceptées sans c
tion l'anurie hystéri- que, admise sans conteste par la plupart des médecins ; c'est un phéno- mène simulé par cette variété
ffirme qu'il est victime d'une illusion, qu'il doit être son propre médecin et guérir par un effort de volonté ; j'ai obten
ours volontiers à l'hypnotisme qui m'a donné, comme à bien d'autres médecins , des résultats remarquables dont je vais vous p
orte d'exer- cices d'assouplissement cérébral, lui montrent que son médecin est capable de paralyser ses autres membres et
ciemment ou subconsciemment, le raisonnement suivant : « Puisque le médecin a une pareille action sur moi, que les paralysi
ce moyen des difficultés qui permettent de comprendre que tous les médecins ne l'emploient pas avec le même succès. Si main
e constituent qu'une faible partie d'une oeuvre imposante. Tous les médecins reconnaissent actuellement que le domaine de l'hy
r la pensée à l'époque où l'on était privé des notions que tous les médecins utilisent maintenant pour reconnaître la nature d
mémoire ainsi que celle de ses confrères. Il n'est peut-être pas un médecin qui ne se rappelle avoir commis ou avoir vu com
s si personne ne le nie, d'une manière générale, il y a beaucoup de médecins qui, dans des cas parti- culiers, se laissent p
hystériques, se sont simplement joués de leur entourage et de leur médecin . Parfois une surveillance permet de reconnaitre
en obser- vation au lieu de se contenter, comme le font beaucoup de médecins , des indications, aisément faussées par l'intér
ntivement les gens suggestionables et en expérimentant sur eux. Les médecins qui voudront se faire à cet égard une opinion p
e au moins celle d'entre elles qui est la plus intéressante pour le médecin , l'idée que les accidents en question peuvent, so
hargie, la catalepsie et le somnambulisme. Les élèves ou les jeunes médecins qui lisent, dans les ouvrages de l'époque, la des
es les conditions sociales ; les descriptions qu'en ont données les médecins de la génération précé- dant la nôtre s'appliqu
sintéresser de leur étude. Cela me parait d'autant plus juste qu'un médecin en contact avec un sujet suggestionnable exerce
qui, si elle n'est pas bonne, sera mauvaise ; que la présence de ce médecin sera nuisible ou utile et qu'elle ne pourra guè
E TRADITIONNELLE 503 dans la genèse des phénomènes pithiatiques, le médecin , tout en obser- vant ses malades, doit s'observ
nt céder rapide- ment à une psychothérapie habilement pratiquée, le médecin qui, dans un cas de ce genre, aura vu échouer s
s avis différaient jadis sur l'importance de l'hypnotisme, tous les médecins s'accordaient à déclarer qu'on disposait là d'une
sujets instruits, habiles, ayant des raisons majeures d'induire le médecin en erreur, par- viendraient à simuler de pareil
cher à se former sur ce point l'opinion la plus probable. Celle des médecins qui se sont occupés d'hypnotisme doit varier su
ions organiques, vivant dans les mômes salles, venaient demander au médecin de chercher à les hypnotiser pour les guérir, ce
lle est maintenant ma manière de procéder et je ne suis pas le seul médecin à agir ainsi. Non seulement l'hypnotisme est, en
nt pas accessibles à la psychothérapie pendant l'état de veille. Le médecin ne prendra de l'ascendant sur eux qu'après avoi
'action inconsciente que, par ses questions et par son attitude, le médecin peut avoir sur la genèse de ces désordres. Je m
l'était jadis. Pourquoi donc ce changement ? C'est qu'autrefois le médecin « culti- vait » inconsciemment l'hystérie ou du
rophes frappant à la fois un grand nombre de personnes. Plusieurs médecins , ayant assisté à de grands accidents de chemin de
bles visuels, décrits comme stigmates de l'hystérie, je dirai qu'un médecin interrogeant ses malades, en évitant de les sug
ouvait assister à des spectacles analogues. C'est ce que savent les médecins de ma génération et ce qui échappe peut- être à
hystériques si nombreux, si démonstratifs, si typiques, c'est nous, médecins , qui, par nos méthodes imprudentes d'examen, en f
le - L milieu familial, soit par le milieu hospitalier, soit par le médecin lui-même, et que l'on en préserve ceux qui sera
le ces stigmates sont infini- ment plus rares qu'autrefois, car les médecins , plus avertis, les créent moins souvent. Mais i
rs et pour une très grande part de la manière dont se comportera le médecin régimentaire qui pourra être appelé à les examine
qui pourra être appelé à les examiner au dépôt ou sur le front. Si ce médecin bien convaincu de cette vérité que les manifest
édition du Guide-Barème des Invalidités. Elles intéressent tous les médecins mili- taires et, à ce titre, nous croyons utile
corder la réforme temporaire et une gratification aux (1) L'avis du médecin spécialiste doit être formulé il l'insu de l'inté
l'on avait affaire à un sujet qui avait été considéré par quelques médecins comme un exagérateur ou même comme un simulateu
ues indications générales qui pourront servir de fil conducteur aux médecins non spécialisés. Chez un malade, blessé à la pa
susceptible d'être efficace. L'entraînement méthodique réglé par le médecin , comme il a été ins- titué à Tours par Clovis V
). » , (') Dans un article récent nous avons cherché à prémunir les médecins chargés du soin des blessés nerveux contre la t
la Société de Neurologie, séance du : juillet rgoo. Les avis des médecins sont encore partagés au point de vue de l'action
rcostales très violentes, qui furent considérées par elle et par le médecin qu'elle consulta alors (elle habitait dans les
alors chez elle en province. D'après les nouvelles que nous donne le médecin de la famille au commencement de décembre, nous
s ; elles sont exagérées par la marche, les mouvements du tronc. Un médecin , consulté à cette époque, attribua à une affectio
firait pour cela que leur bonne fortune les mît en contact avec des médecins avertis. Il est donc important que l'atten- tio
x séances de radiographie. J'ai appris qu'examinée plus tard par un médecin étranger, elle ne présentait plus aucune trace
légers, vont en s'accentuant progressivement. La malade consulte un médecin qui pratique sur elle trente injections quotidien
t incliné sur le côté opposé à la sciatique, sur le côté gauche. Le médecin habituel conseilla le repos au lit, prescrivit de
bientôt les points d'élection sur le trajet du nerf sciatique. Le médecin traitant applique des pointes de feu et ordonne e
almait les douleurs sur le moment, mais le temps d'aller de chez le médecin à son domicile, dit la malade, elle était reprise
97 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
LIÉE PAR PAUL RICHER GILLES DE la TOURETTE CHEF DU LABORATOIRE DE MÉDECIN DES HÔPITAUX LA CLINIQUE ANCIEN CHEF DE CLINIQU
ebout pendant longtemps et de continuer le service militaire. Les médecins du régiment qui le virent le lendemain et jours s
rqués dès le début, ce qui est rare, le malade consulte rarement le médecin avant la deuxième période, c'est-à-dire à l'é-
i est-ce bien parce que cette première période est méconnue par les médecins consultés, et qui sont en général peu au couran
te période où les malades ne songent pas à attirer l'atten- tion du médecin sur les lésions qui se font alors et ne rétrocéde
LA\DUUZ1-11P.IERLNE. U Un peu plus tard, au conseil de révision, le médecin lui fait remarquer que ses omoplates sont saill
plus longue que les autres, sur- venue entre deux et trois ans, des médecins anglais et un médecin de l'hôpital français de
res, sur- venue entre deux et trois ans, des médecins anglais et un médecin de l'hôpital français de Londres auraient porté
s parents, ayant quitté Londres pour habiter Paris, y consultent un médecin distingué des hôpitaux qui, en présence des att
pousse des cris de fureur dès qu'on l'approche et sa mère exige des médecins qu'ils le soignent à distance. A noter encore à
lade, dans cette succession d'accidents qui avaient fait songer des médecins experts tour à tour à la méningite, au mal comiti
e épileptoïde de la grande attaque d'hystérie avait seule frappé le médecin traitant qui avait cru à une épilepsie vraie ou s
es tristes circonstances, les parents cherchèrent secours près d'un médecin , mais ce fut sans résultat. Alors, dans leur prof
ssés au prê- tre catholique de Feuchtwangen qui les avait envoyé au médecin du can- ton. Celui-ci avait porté le diagnostic
a sur un banc, frappant autour de lui des mains et des pieds. Si le médecin lui signi- fiait très énergiquement de rester t
e 26 février 1892 (il y a 4 mois environ) sur un éclat de verre. Le médecin qui le pansa lui mit la main en flexion, en lui
la syringomyé- lie. Le panaris analgésique, décrit en 1883 par un médecin breton, nommé Morvan, est une lésion qui se mon
ement et on conçoit les craintes de leur entourage et l'embarras du médecin quand il vient se joindre aux douleurs de tête de
et fut pris d'une si grande faiblesse qu'il dut garder le lit. Un médecin appelé à ce moment constata ce qui suit : L'enfan
i oblige à pratiquer le cathétérisme. En sorte que le diagnostic du médecin qui penchait au début vers la ménin- gite à cau
ment liés à l'exactitude du diagnostic qui n'intéresse pas moins le médecin que l'avenir des enfants. A. 13ARD01., Inte
t com- plètement anesthésique à la piqûre, ainsi que le constate un médecin , se creuse à ce niveau, non sans déterminer que
pénible, puis il fut obligé de s'aliter. Il resta au lit 3 mois. Le médecin fit le diagnostic de luxation, dit-il, sans essay
on pres- que absolue. Il se met au lit, et le lendemain, appelle un médecin qui retire de la vessie par la sonde 2 litres d
rien ne pouvait retenir dans ses pérégrinations interminables, les médecins n'y prenaient point garde. Quel intérêt pouvait
es, on les voit venir de tous les coins du monde pour consulter les médecins en renom. Un des leurs a-t- il été guéri ? Tous
ant, les accidents secondaires ont été constatés et soignés par son médecin . Depuis lors la malade a présenté une série d'a
s et dans la bouche : la syphilis a été reconnue par le Dr Duplouy, médecin des hôpitaux de Roche- fort, qui ordonna des pi
u 2 ou 3 ans après les plaques iiiuqtieti- ses, diagnostiqué par un médecin qui ordonna du sirop de Gibert. Guérison défini
s elle ne pouvait dormir la nuit. ' Elle consulte il ce moment un médecin qui lui fit prendre des pilules (elle ne sait d
a soignée jusqu'à sa mort avec le dévouement de tous les jours d'un médecin ordinaire, car cet homme au masque dur était avan
n pleine lumière les travaux de Brodie. Je tiens cette opinion d'un médecin anglais, grand parmi les illustres et qui, comm
e si touffue, si complètement remplie. Nommé agrégé à la Faculté et médecin des hôpitaux, il prit, en 1862, pour ne plus le
maines. Avant lui, cette place n'était guère recherchée. Les jeunes médecins des hôpi- taux, au nombre desquels il était alo
on avis. Tel qui la veille dans la capitale ou la province était un médecin ignoré se révéla au public étonné comme un guér
a duré 2 ou 3 mois et n'a pas sup- puré. Il a consulté à Londres un médecin qui lui a dit que c'était un chancre syphilitiq
l l'anus. 11 a pris pendant près de 3 mois les mé- dicaments que le médecin de Londres lui avait ordonnés ; puis il ne s'est
ume d'une pièce de 1 franc recouverts de croûtes. Sans consulter de médecin , convaincu que cette éruption était une conséqu
HIE DE LA SALPÊTRIÈRE. lui administra le traitement spécifique. Son médecin l'avait soigné uniquement à l'antipyrine et au
ie de plaques mu- queuses la bouche et au pharynx. Malgré l'avis du médecin qui l'a vu il la fin de l'évolution du chancre
du matin, il s'affaisse lourdement sans perte de connaissance. Son médecin ap- pelé sur le champ, constate une paraplégie
ALPÊTRIÈRE 285 veaux pays il a dirigé sa marche vagabonde ? A quels médecins il a été répéter son histoire misérable, cherch
ut qu'une bien courte accalmie, car il s'aperçut bientôt que si les médecins amélioraient son état, le climat de l'Angleterr
eux quelques-uns valent certes la peine d'être notés. « Dès que le médecin arrive près du malade, il doit de suite faire ras
qui se tient debout auprès de lui, c'est très vraisemblablement le médecin dédaigneux de toucher il la plaie, et qui se co
la Salpêtrière T. VI. PI. XXXIX. L'opérateur, sur les conseils du médecin qui éclaire et « réchauffe » la plaie, trépane il
xplication dans les littératures fran- çaise et allemande. Mais des médecins hongrois ont ci té des faits remarqua- bles ce
ls ont donné communication de leurs travaux à la Société Royale des médecins hongrois de Budapest et à l'académie des Sciences
uin. La malade chantonne de temps en temps et embrasse les mains du médecin . Des lâches bleu-pourpre apparaissent aux cuisses
l'empêcha pas d'ailleurs d'aller successivement consulter tous les médecins de Hambourg. Mais après avoir essayé des multip
longue liste de ses malheurs. Il consulta de nouveau à ce sujet les médecins de Hambourg. Les bains de mer lui furent consei
lors vers de nouvelles cliniques, et recommencera à vagabonder d'un médecin à l'autre. Peut-être reviendra-t-elle nous rede
'est à partir de cette époque qu'elle commença à consulter tous les médecins de Kick. On lui conseilla d'aller en traitement
, est la seule médecine pour votre mal, et M. Char- cot est le seul médecin qui le connaîtra. » Malheureusement, elle fut lon
nibles qu'elle éprouve. - Elle en sait plus, dit-elle, que bien des médecins ; et elle connaît les bons remèdes. Une longu
mes, l'impulsion qui les entraîne à voyager (besoin de consulter un médecin nouveau, de tenter un autre remède). Les pre- m
insisté déjà sur les fastidieuses doléances dont ils accablent les médecins , sur les interminables descriptions qu'ils font d
. LE JUIF-ERRANT A LA SALPÊTRIÈRE 351 lueurs d'espérance quand un médecin a su gagner leur confiance. Leur état s'amélior
frappé de la fa- cilité avec laquelle ces malades s'abandonnent au médecin qui les conseille et du soin qu'ils mettent à e
renante, com- prit vite tout le parti qu'il pourrait tirer du jeune médecin , intelligent, tenace, passionné pour les idées
dées neuves el belles. Il sut l'attirer il la cour et le fil nommer médecin ordinaire du roi Louis XIII, malgré ses attache
pier, demeurait avant tout charitable et humain. Il restait surtout médecin , et hygiéniste très prudent, ne voulant pas que l
souvent leur famille à l'Hô- tel-Dieu, trouveront icy l'adresse de médecins , chirurgiens et apothicaires, qui sans doute ne
auvres gens qu'on leur adressera ». Cet appel à la générosité des médecins et des apothicaires ne fut pas sans réponse, et
ns la grande salle du Bureau d'adresse, siégeaient une quinzaine de médecins , « divi- sés en plusieurs tables ». Les malades
Les malades se présentaient devant eux; si le cas était simple, un médecin suffisait; si le cas était difficile, plusieurs
e malade était trop impotent pour se rendre rue de la Calandre, des médecins choisis il cet effet, allaient le visiter à domi-
eux. « La Présence des Absens, ou facile moyen de rendre présent au médecin l'état d'un malade absent ; dressé par les doct
les et allé- RENAUDOT MÉDECIN 363 rentes, un corps professoral de médecins , chirurgiens et apothicaires, de conférenciers
temps celui-ci soutenu par Richelieu et par sa haute situa- tion de médecin ordinaire du roi, parvint à résister à toutes les
decine ; la Faculté s'empara même de ses dépouilles et installa des médecins de son choix dans le bureau d'adresse pour dirige
l'emplacement du bureau d'adresse perpétuera à jamais la mémoire du médecin Théophraste Renaudot, le plus grand philanthrope
au diagnostic), par Gilles de la Tourette et IIudelo, 1. Renaudot médecin , par Georges Guinon, 359. Rubens, sur une esqui
ie syphilitique coïncidant avec une éruption cutanée, 1. Renaudot médecin , XLVII et XLVIII. Rubens, une esquisse retrouvé
98 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
ec énergie; et c'est surtout à ce point de vue qu'il faut admirer ces médecins voués par principe au culte de l'observation pure
e de Los. Mie nous apparaît dirigeant toutes ces critiques contre les médecins cnidiens, qui n'avaient pas su, comme elle, résis
omptée parmi les gloires de notre pays, je dirais qu'elle a appris au médecin h penser cmatomiquement. Lorsque des circonstan
pas seulement l'organe mort, tel qu'il se montre à l'autopsie, que le médecin doit connaître ; mais que c'est l'organe vivant,
ides di-vers, qui peuvent déjà devenir un sujet de méditation pour le médecin . Mais l'expérimentation peut s'appliquer plus dir
prononcé par mon ami le docteur Brown Séquard, devant le collège des médecins d'Irlande, le 3 fé-vrier 1865. — On the importanc
ons de développement de ces maladies sont le plus souvent ignorées du médecin lui-même ! N'oublions pas ce-pendant de relever l
était aux aperçus poétiques, aux concep-tions transcendantales, et un médecin pouvait se permettre, dans un traité de la fièvre
ant prussien, nous opposerons les belles paroles d'un des plus grands médecins de l'Angleterre : « La raison, dit Graves, la rai
nue, qui, a recu-le nom de Ramollissement du cerveau, par L. lloslan, médecin de la Salpé-trière. (1820.) professeur Cruveilh
e des maladies des vieil-lards, dû à la plume de M. le docteur Geist, médecin de l'hos-pice du Saint-Esprit, à Nuremberg. Le se
raissent les vomisse-ments noirs, et la mort survient inopinément. Un médecin américain, Caldwe, auquel on doit un bon traité d
commencement à la fin, et qui seul suffit pour faire recon-naître au médecin la présence de la fièvre (2). » La question, de-p
x de Gavarret (1839), de Bouillaud, de Monneret et de quelques autres médecins français, ceux surtout de Roger (1844), ont fait
t l'avoir enfin compris tant en France qu'en Angleterre, et plusieurs médecins de ces deux pays ont déjà suivi nos confrères d'o
ressemblances avec la goutte. — Doctrine de l'identité : si-lence des médecins de l'antiquité à cet égard. — Nécessité d'entrepr
blir entre elles une distinction radicale. . On sait que les grands médecins de l'antiquité s'étaient prononcés en faveur de l
es plus diverses, les plus étrangères à la diathèse goutteuse ; et le médecin qui a négligé de s'exercer d'une façon toute spéc
e, et peu soucieux d'analyser minutieusement les faits cliniques, les médecins des siècles passés ont eu toujours une prédilecti
le n'est pas. Mais nous ne saurions cependant nous ranger du côté des médecins qui, subissant aujourd'hui l'entraînement d'une r
n moi-même avec M. le docteur Clin. Le malade dont il s'agit était un médecin , et pouvait par conséquent, donner des rensei-gne
e nous offre un second exemple de cette prédispo-sition fâcheuse. Les médecins anglais avaient depuis long-temps remarqué que le
et strumeux; elle doit toujours inspirer d'assez vives inquiétudes au médecin . J'ai constaté que de tels sujets succombent, en
ologie des modernes, disait Boerhaave, serait assurément, de tous les médecins , le plus digne d'éloges (1). Mais la physiologie
goutte en Angleterre. — On comprend tout l'attrait que peut offrir au médecin philosophe l'histoire d'une affection prête à s'é
luxe de renseignements qui ne laisse rien à désirer. Les tra-vaux des médecins , les œuvres des historiens et les satires des poe
lexandre de ïralles, d'Aétius, de Paul d'Egine et de plusieurs autres médecins . Au moyen âge, les Arabes, continuant les traditi
aditions les plus universellement acceptées. Ajoutons enfin que les médecins grecs et romains, qui ont décrit si nettement les
ous les auteurs modernes, comprend toujours la notion d'hérédité. Les médecins qui recueillent des observa-tions dans les hôpita
n-contrer les premiers travaux qui se rapportent à notre sujet. Les médecins de l'antiquité, comme nous vous l'avons déjà fait
es, il se formait des végétations osseuses. Vers la même époque, un médecin irlandais, Colles, remar-quait que cette inflamma
où le prétendu rhumatisme traî-nait en longueur, ont conduit quelques médecins , parmi les-quels nous citerons Babington, Boyer e
-tif. Au siècle passé, Van Swieten, Baynard (1) et plusieurs autres médecins ont fait dépendre le rhumatisme d'une acrimonie p
ous reste à étudier le mode de production de cee déviations. Quelques médecins les attribuent à une action pro-videntielle (Beau
éanmoins, l'étude de cette maladie pré-sente un grand intérêt pour le médecin ; en effet, il s'agit d'une affection presque touj
divers exemples. Il cite, entre autres, le cas du docteur Percival, médecin fort distingué, qui mourut en 1839, à l'âge de qu
te, et qu'on trouve à peine indiquée dans les auteurs. La plupart des médecins la confondent avec la goutte, sans aucune restric
thologie historique. — Prépondérance de la goutte dans les écrits des médecins de l'antiquité. — Le rhumatisme noueux existait c
, que le rhumatisme articulaire avait fort peu attiré l'attention des médecins de l'antiquité, dont les descriptions se rapporte
. Chaucot. OEuv. compl. t. vu. Malad. des Vieillards. 18 Quelques médecins vont môme jusqu'à proscrire tous les moyens de so
e l'inertie des hommes instruits ouvre la carrière aux empiriques. Le médecin s'éloigne du goutteux ; les charlatans s'emparent
our la plupart leur efficacité à la présence du colchique. Le rôle du médecin est donc d'étudier attentivement les pro-priétés
point là une contre-indication ab-solue, mais c'est une donnée que le médecin doit toujours avoir présente à l'esprit, afin de
es d'une dissolution du sang, comme souvent avantageux, d'après les médecins anglais, qui recom-mandent l'Inde, l'Egypte, Malt
ief, par quelques exemples frappants, les secours que peut trouver le médecin dans l'emploi méthodi-que du thermomètre au tripl
nditions semblables que se produit l'accident redoutable si connu des médecins de l'ar-mée anglaise, dans l'Inde, sous le nom de
st descendue même jusqu'au taux normal ou au-dessous, la situation du médecin est plus diffi-cile car tantôt c'est encore la te
s profondes, qui paraissent de nature inflammatoire. La plupart des médecins modernes font rentrer les cas dont nous venons de
douleurs siégeant dans les muscles de l'épaule, et pour lesquelles un médecin aurait ordonné de déplacer le lit, trop voisin d'
ites jointures. Si cependant il faut, |t. l'exemple de la plupart des médecins modernes (MM. Rayer, Cruveilhier, Piorry), consid
qui ont été obtenus, dans des circonstances analogues, par plusieurs médecins étrangers. Dans son remar-quable travail sur les
mis de contrôler les faits avancés dans ces dernières années, par les médecins étrangers, et de les compléter, sur certains poin
s. De tout temps, l'idée dégoutte a été associée, dans l'esprit des médecins , à celle de maladie rénale, ce qui tient à l'exis
s d'une période de dix ans, à l'hô-pital Saint-Georges, à Londres, ce médecin n'a jamais ren-contré que des reins durs et granu
ecueil des leçons faites par le docteur Todd, en 1843, au Collège des médecins de Londres, il en est une fort remarquable où l'o
ieu partout ailleurs ; c'est là, du moins, une opinion à laquelle les médecins anglais pa-raissent aujourd'hui se rattacher tous
us de trente-cinq ans qu'il est resté attaché aux hôpitaux à titre de médecin en chef. La goutte est également très rare dans c
f. La goutte est également très rare dans cette ville d'après le même médecin , qui ne l'aurait observée que deux fois pendant t
vulgaire,par cela seul qu'à unmoment donné, il a fixé l'attention des médecins ? D'ailleurs, avant de con-clure, il serait tout à
donne à notre observation, rapprochée de celles qu'ont rapportées les médecins anglais, une signification particulière et qu'il
57, sect. n, p. 301), se rencontre plusieurs fois dans les écrits des médecins de l'antiquité grecque ou latine. Mais il n'était
ablir, entre les deux affections, une séparation tranchée. « Certains médecins », dit; à la vérité, Cœlius Aurelianus (Morb. chr
a doctrine de l'identité, que professent encore aujourd'hui plusieurs médecins éminents à l'égard du rhumatisme et de la goutte,
hacées de l'oreille externe avaient été remarquées déjà par plusieurs médecins , avant M. Garrod, en particulier par Ideler (Hufe
u rein goutteux (gouty kidney) par le docteur ïodd et quelques autres médecins anglais. Sur 152 cas de né-phrite parenchymateuse
lieu partout ailleurs ; c'est là du moins une opinion à laquelle les médecins anglais paraissent aujourd'hui se ratta-cher tous
cueil des leçons faites par le docteur Todd, en 1813, au col-lège des médecins de Londres, nous pourrions en citer une, fort rem
s reins. Paris, 1839, t. 1, p. 243). — Personne, peut-être, parmi les médecins français, ne s'est exprimé d'une manière plus for
les articulations métatarso-phalangiennes des gros orteils. Plusieurs médecins crurent à l'existence d'une méningite rhumatismal
ont été complétées, à certains égards, par les travaux de plu-sieurs médecins qui, à l'examen des lésions faites à l'œil nu, on
Contrairement à l'opinion vulgaire, partagée du reste par quelques médecins , le tremblement sénile n'est pas commun. Une visi
un peintre fidèle, mais sur bien d'au-tres, assez nombreux pour qu'un médecin anglais, le Dr J. C. Bucknill ait pu en faire un
du métier (1). Si nous passons maintenant en revue les opinions des médecins , nous constatons qu'un certain nombre d'entre eux
ressemblances avec la goutte. — Doctrine de l'identité : silence des médecins de l'antiquité à cet égard. —Nécessité d'entrepre
hologie historique. — Pré-pondérance de la goutte dans les écrits des médecins de l'antiquité. — Le rhumatisme noueux existait c
99 (1852) Journal du magnétisme [Tome XI]
AL DU MAGNÉTISME RÉDIGÉ Par une Société de Magnétiseurs et de Médecins SOUS LA DIRECTION DE M. DU POTET DE SENNEVOY.
d’autres secrets à découvrir sur notre existence. Elle apprendra aux médecins , dans le cas où ils n’en sauraient rien, que la s
édecine ignore la puissance curative de l'agent mesmérien ? INon. Les médecins savent pertinemment les précieuses ressources qu’
s, afin d’en tirer avantage pour sa guérison, en les reproduisant aux médecins qu’il serait dans le cas de consulter, surtout à
son existence entre les deux individus. La demoiselle était seule le médecin guérisseur; elle l’emportait complètement sur l
l’exécution, M. Sioet tomba dans des convulsions si violentes, que le médecin déclara qu’il ne répondait pas de sa vie si on le
arrivée à Taris, où il avait prédit que scs amis lui procureraient un médecin , et qu’une fois qu’il l'aurait adoplé, ce serait
tendu, avec la confiance qu’inspire une société de magnétiseurs et de médecins , dirigée parvous, ces réflexions, si nous n’avion
ictions lui ont mérité une récompense glorieuse; et nous, dites-vous, médecin français, grand admirateur de l'ho- mèopalhie,
es le champion qui ose se mesurer avec lui. Pourquoi ne pas dire : Un médecin français, vieux praticien homéopathe, et croyant
en litige, il faut être autre chose que magnétiseur, ¡autre chose que médecin allopatho ; il faut, après avoir été l’un et l’au
e. Notre adversaire à la Nouvelle-Orléans n’était non-seulement pas médecin , mais il était répulsif à l’homéopathie. En sa qu
et, mettant de côté tout esprit d’école, tout préjugé, car vous êtes médecin , et les médecins en ont comme tous les autres hom
côté tout esprit d’école, tout préjugé, car vous êtes médecin, et les médecins en ont comme tous les autres hommes, vous nous di
nd comme le monde; toutes les vertus des médicaments sont en lui, les médecins ne doivent être que ses auxiliaires, ses servants
Il dit : « Mon cher Monsieur Hébert, « Pendant que Messieurs les médecins dédaignent de s’occuper du magnétisme, le clergé,
Cuba fut contraint de quitter le pays à la suite de démêlés avec les médecins de la Havane. Espagnol de naissance, il est reven
souvenir de cette guérison. Ces personnes sont connues du Dr Durand, médecin magnétistc, qui a habité la Havane. Quand les é
re magnétique, dictée mot pour mot par un somnambule spirilualisle et médecin , lequel se trouvait à la Nouvelle-Orléans en i85o
ix mois, ont eu tort le i/j octobre. Quant au « témoignage des deux médecins (2) , » ils ne l’ont pas publié. Celui des deux q
ain , l’imposition des mains peudant un quarl-d’heure, selon l’un des médecins , et de dix minutes suivant l’autre, ramena défini
ui ont été mis en question jusqu’à ce jour par la grande majorité des médecins . « C’est à M. Rulter, de Black Rock, Brighton,
« L’homme qui doit porter le coup le plus cruel aux Jésuites est un médecin allemand nommé Mesmer. A force d’études, qui ont
100 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
ble dans sa marche progressive. Je me range entièrement à l'avis du médecin distingué de la Salpêtrière. Oui, dans l'immens
ravail postérieur {Archives de Neurologie, septembre 1882), le même médecin décrit, sous le nom de délire des négations, un
en Amérique, mais en Asie, en Malaisie. Le narrateur n'est plus un médecin , c'est un curieux, M. O'Brien, qui, néanmoins,
core mort. « Le mot tigre provoquait les mêmes phénomènes chez un médecin malais, qui était un des rares individus que j'ai
être reçu dans le même établissement, sur le simple certificat d'un médecin , visé par le maire ou le commissaire de police,
ychique ou cérébrale au moins latente, se traduisant, aux yeux d'un médecin exercé, par un caractère mal pondéré, bizarre,
mplacent l'élec- trode. Tenant d'une main le pôle correspondant, le médecin place, par exemple, sur le front du patient, la
de 1.800 francs est accordée à l'auteur du mémoire n° 2, M. Saury, médecin de la maison de santé du château de Suresnes ;
a- lades de l'établissement. Le personnel médical se compose d'un médecin en chef, directeur, et de deux médecins-adjoints.
side dans l'établis- sement ; il vit en bonne intelligence avec les médecins . Il n'existe pas de professeur spécial. La cuis
és. Quelques malades s'occupent. Le service médical est fait par le médecin de l'hôpital qui, chaque jour, vient passer une
ques : elle se réunit au moins une fois par mois en s'adjoignant le médecin en chef, qui, d'ailleurs, n'a aucune voix délibér
e tous, et l'on projette, après avoir écarté l'évêque, de donner au médecin en chef le droit de vote. Clraqueasileestdcst
14,907 fr.). VARIA. 115 Le service médical est entre les mains du médecin en chef; dans l'intervalle des séances de la co
nt pas toutes leurs latrines. Le service médical est fait par trois médecins : un médecin en chef, un médecin adjoint, un ét
leurs latrines. Le service médical est fait par trois médecins : un médecin en chef, un médecin adjoint, un étudiant. Le pr
ervice médical est fait par trois médecins : un médecin en chef, un médecin adjoint, un étudiant. Le premier habite avec l'
e l'enseignement des maladies mentales et ner- veii%es; par BILLOD, médecin en chef, directeur honoraire des asiles d'alién
nous apprenons la mort, à t'âge de quatre-vingts ans, de l'un des médecins aliénistes les plus distingués de notre époque, M
és de notre époque, M. le faits divers. 127 Dr Moreau (de Tours), médecin de la Salpêtrière. Nous espérons que l'administ
de l'agri- culture. Nominations. M. le Dl Riu vient d'être nommé médecin du quartier des aliénés de. l'hospice d'Orléans
mité, mais jusqu'à présent elle a résisté à tous les moyens que les médecins lui ont proposé pour la guérir de cette mauvais
ir de cette mauvaise habitude. Récompense honorifique. Le Dr Fabre, médecin de l'asile public d'aliénés de Saint-Lizier, vi
es convulsés après quelques accès. Enfin, si le hasard mettait le médecin en présence d'une malade atteinte d'un nombre c
t de folies que de malades, et il en est résulté que la plupart des médecins se sont détournés de ces études et en ont aband
dans l'ap- plication de cette méthode, il faut que l'initiative du médecin soit aussi large que son ingéniosité doit être
mais il est indispensable au bon fonctionnement du système; et le médecin d'asile privé, qui ne se sent pas décidé à accept
? ? S ? deniandercz-vous de violer.le secret professionnel.' Aucun, médecin n v consentira ïamais ! Si.ce n est pas le méde
sionnel.' Aucun, médecin n v consentira ïamais ! Si.ce n est pas le médecin ., sera-ce. le.pero) le, chef, de famille ? Mais
no. pas revoie); / Lui tlrlllauderez-vous de ,1'aire contrôler le, médecin de solycl,4uiv SOCIETES SAVANTES. 223 ! r)f ? h
VANTES. 223 ! r)f ? h ? rt.Tf ? f-"f ? T ? fmj ? f'['n) ? =' par le médecin de 1 administration ? Le père ne'portera pas. le
n ? Le père ne'portera pas. le punir'ezvous ? ? Ce'n'es d6ncni')e 1 médecin , m i.J,1 ? qui'de- punirez-vous ? - Ce zi est'd
1 médecin, m i.J,1 ? qui'de- punirez-vous ? - Ce zi est'donc ni le médecin , ni le pore, qui dé- noncera 1e crime de soigne
. ? f , -I, -r ? ? i.,n ? .,i) |l,M ? l". i,» v inspecteurs sera un médecin charge, a intervalles 'plus ou moins éloignes;
.Illlt ? 1 ' ' -j 21Jlt f10 acq 1 ? it CONGRÈS DES NATURALISTES ET MÉDECINS ALLEMANDS ? ? 1 , 1 1 i a - "*r* ? " )f, ' ! '
entiment de l'irresponsabi- lité de cette femme. En conséquence, le médecin légiste demande et obtient de scruter l'état me
malades. -Tout en faisant la part de l'habi- luté plus- grande des médecins dans l'art du diagnostic, et de leur jugement,
asUe de SachscnuerDl. II. Hôpital CoM)'t<6<')' de Slochliolm. Médecin en chef : pro- fesseur Oehrstroem. Cet asile d'
dans les constructions médianes, à deux étages, les habitations du médecin en chef et du médecin-adjoint, les diverses salle
ures conve- nablement aménagées. Le personnel médical comprend un médecin en chef et un mé- decin-adjoint. Les médicament
rés d'un mur ou d'une palissade de planches. Service médical : un médecin en chef, un médecin adjoint, un élève en médeci
une palissade de planches. Service médical : un médecin en chef, un médecin adjoint, un élève en médecine. Pas de pharmacie
ire d'une ouverture étroite et élevée. L'établissement possède un médecin en chef et un médecin- adjoint. Ce dernier habi
. 61 dont une portion est affermée. Il n'y a pas de bétail, mais le médecin en chef et l'intendant ont chacun à leur servic
servés à l'administration, au temple et à l'habitation du second médecin , etc. A droite, on a placé le quartier des femmes
villons : celui du milieu, le plus petit, constitue l'habitation du médecin en chef; les deux latéraux sont destinés chacun
de baignoires en métal émaillé, dont on n'est guère satisfait. Un médecin en chef, un médecin-adjoint, un interne qui résid
lation de quatre grandes chaudières et de deux foyers à rôtir. Le médecin en chef et le médecin-adjoint habitent avec l'int
la folie ci double forme, circulaire, alterne ; par le Dr 1\fonnnT, médecin en chef de l'asile d'aliénés de la Sarthe. Ce t
re et de la Salpêtrière se compose de huit membres, savoir : Quatre médecins tirés au sort parmi les médecins aliénistes des
e de huit membres, savoir : Quatre médecins tirés au sort parmi les médecins aliénistes des hôpitaux et hospices, en exercic
aliénistes des hôpitaux et hospices, en exercice ou honoraires, les médecins chefs de service des asiles publics d'aliénés d
liénés du département do la Seine, en exercice ou honoraires, et le médecin du bureau d'admission de Sainte-Anne, après cin
eau d'admission de Sainte-Anne, après cinq ans d'exercice, et trois médecins tirés au sort parmi les médecins des hôpitaux e
près cinq ans d'exercice, et trois médecins tirés au sort parmi les médecins des hôpitaux en exercice ou honoraires. Les épr
i- vant, que nous devons à l'obligeance de notre ami E. Brissaud, médecin des hôpitaux. Observation V. (Communiquée par M
dant trois jours, accom- pagnés de fièvre et d'un peu de délire; le médecin aurait dit que « ça sentait la fièvre typhoïde
térie, ainsi que leurs proches parents consanguins. On sait que les médecins sont souvent consultés, par des person- nes int
ion conjugale peut leur être soit nuisible, soit avantageuse. Les médecins se divisent à cet égard en deux camps : pour les
te qu'elle vient de faire en la personne de M. Mo- rian (de Tours), médecin en chef de la Salpêtrière, et donne lec- ture d
lins; pas de corpuscules sanguins. Pendant deux ans, M. Kast et les médecins traitants observèrent plusieurs accès, de gravi
enberg, édit.) Sous le titre de Traité de Psychiatrie à l'usage des médecins et des étudiants, M. Arndt, professeur et direc
urs se feront sous la direction de MM. Bouchereau, DAGONET, Magnan, médecin en chef, et QUESNEVILLF, pharmacien en chef de
M. le Dl Charpentier, médecin-adjoint de la Salpêtrière, est nommé médecin en chef à Bicêtre. Le concours pour la place de
rrêté du 41 1 août 1884 ? Ifutvtion : M. le Dr Lapointe, directeur- médecin de l'asile de Moulins, est nommé directeur-médeci
les D" HÉcouLET, directeur-médecin de l'asile de Dôle, et MAX SmoN, médecin en chef de l'asile de Bron (section des hommes)
émie royale de médecine de liel- gique a décerné à M. le Dr TAGUET, médecin en chef de l'asile des aliénés de Bordeaux, une
Gazette des hôpi- taux annonce la mort du D' 'Alfred Sauze, ancien médecin de l'asile des aliénés de Marseille, à l'âge de
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