nombre de fois. St Petite école complémentaire, - JIIIIC Bonnet,
mère
de deux de nos pensionnaires, nous a offert en
ent), excès alcooliques; aliéné. Grand'lante paternelle imbécile.
Mère
migraineuse. Arrière grand' mère maternelle, peti
ent CHIRURGICAL. 25 Grand-père paternel caractère un peu emporté.
Mère
convulsions de l'enfance; très nerveuse, migrai
I : 11RE. - Père, plagiocéphalie, aucun antécédent dans sa famille.
Mère
rhumatisante, névralgies intercostales, migrain
ielle migraineuse. -Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 4 ans (
mère
plus âgée). Impressions pénibles de la mère dur
alité d'âge de 4 ans (mère plus âgée). Impressions pénibles de la
mère
durant sa grossesse causées - Fia.7.ODS.IV. T
ement DES circonvolutions. · SOMMAIRE. Rien du côté paternel ( ? ).
Mère
migraineuse. Enfant naturel. Chute de la premiè
e paternel alcoolique. Grand'mère et tante paternelles violentes.
Mère
, migraines, diminuées par le mariage. Grand- pè
épileptique à la suite d'émotions durant la Commune; accès rares.
Mère
, rien de particulier, sauf qu'elle a uriné au lit
Sommaire. Po'e et grand père paternel, quelques excès de boisson. -
Mère
, convulsions de l'enfance, nerveuse. Fip.i2.-OB
rnel, excès de boisson, aliénés Oncle paternel mort de convulsions.
Mère
sujette à des névralgies faciales. Grand-père m
es. Arrière-grand-père maternel, suicidé. f11'1'ière-r<.7zcl'-
mère
maternelle, excès de boisson. Deuxième arrière-
-otc ! epafe ? '- nel tuberculeux. Cousin enam, aeK<e- ? t< ?
Mère
, céphalalgies, intelligence bornée. Grand-père
ère, caractère violent. Grand'mère mater- nelle, morte d'apoplexie.
Mère
, caractère emporté. - Pas de consanguinité. Iné
eux. - Gra.nd'- tante et cousins paternels, morts de convulsions. -
Mère
: céphalalgies, mélancolie. Arrière-grand-père
son. Tante paternelle migraineuse. Tante paternelle tuberculeuse.
Mère
sujette il. des migraines qui cessent durant les
I3S. IV. - Idiotie méningitique. Sommaire. Rien du côté paternel. -
Mère
d'une intelli- gence peu développée. Grand'mère
, très ' nerveuse. Grand-père maternel, excès de boisson. Grand .
mère
maternelle, hystérique. Arrière-grand-père matern
gie gauche). - Cousine paternelle au te degré, morte épileptique.
Mère
, grande et forte, nez aquilin, convulsions légère
graines, mort subite. Arrière-grand' tante paternelle en enfance.
Mère
, nerveuse ; cauchemars. Grand'mère maternelle,
Demi- oncle paternel, mort phtisique. il/ère nerueuse. - Grand'-
mère
maternelle, asthmatique. -Pas de consanguinité. -
mpiète un. peu en avant, sur la suture fronto-parictale. La dure-
mère
' n'adhère pas avec le crâne, même au niveau de l
méningite traumatique ( ? ), Tante paternelle, morte phthisique.
Mère
, vive et coléreuse. Cousin idiot, ne parlant pas.
aire. Père, coléreux, renseignements insuffisants sur sa famille. -
Mère
, fortes convulsions à 18 mois ; chorée de 7 ans
chagrins occasionnés par les violences et l'ivrognerie de son mari.
Mère
, morte d'une affection cardiaque.-Renseignement
ois, peur occasionnée par son père; qui a renversé une glace sur sa
mère
et sur lui; le lendemain, convulsions qui aurai
on. - Oncle paternel, mort phtisique. - Tante paternelle, imbécile.
Mère
, très coléreuse. -GT'zl7lfl- père maternel, exc
ès de bois- sons. Grand-père paternel, excès de boissons. Grand'-
mère
paternelle, excès de boisso2zs.-Tazle paternelle,
e, excès de boisso2zs.-Tazle paternelle, pro- bablement hystérique.
Mère
, sujette il des céphalalgies, nerveuse. Grand'm
; onanisme; alternatives d'excitation et de to)-pett ? ? G7-tnd-
mère
paternelle, caractère très emporté. - Grand-oncle
g endormi. Renseignements insuffisants sur la famille paternelle.
Mère
rien de particulier. Arrière-grand-père maternel
mort à 102 ans. -Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge d'un an (
mère
plus âgée). Début de la parole vers un an, limi
ée. Sommaire. - Enfant assisté : père mort de bronchite en 1879 ;
mère
morte de p)vtlcisie en 1879; - absence complète d
genres. Renseignements insuffisants sur la famille paternelle. -
Mère
, rien de particulier. - Grand-père et mère mate
famille paternelle. - Mère, rien de particulier. - Grand-père et
mère
maternels, morts de cancer de l'estomac. 5 oncles
er- nel, alcoolique. Deux grands oncles paternels, alcooli- ques.
Mère
et grand'mère maternelle, migraineuses. - Pas d
ralytique. Renseignements insuffisants sur la famille paternelle. -
Mère
rhumatisante. - Grand-père maternel, excès de b
olence ; pas de migraines. [Père, mort d'accident ; aucune maladie.
Mère
, morte à 78 ans, elle était paralysée depuis qu
on ne trouve aucun membre ayant présenté des accidents nerveux.]
Mère
, domestique, morte il 53 ans d'une maladie du foi
, pas de migraines. - [Père, buveur, brutal, n'est jamais malade.
Mère
, nature calme, bien portante. Aucun renseignement
pas d'asphyxie, pas de cordon autour du cou. - Elevé au sein par sa
mère
jusqu'à deux ans. On a aucun renseigne- ment su
t les commissions. Il n'a eu ni accidents, ni maladie de peau. - Sa
mère
attribuait son état à une peur qu'il aurait eu
. Tante paternelle, migraineuse. Tan te paternelle, tuberculeuse.
Mère
sujette à des migraines qui cessent durant les gr
écédé le 8 janvier 1893. Antécédents (Renseignements fournis par sa
mère
le 26 juillet 1892). Père, 37 ans, arbustier, s
rculose pulmonaire, orfèvre, buvait un peu, très nerveux, coléreux.
Mère
, 52 ans, bien portante, mi- graines fréquentes,
ytiques, de difformes, pas de suicidés, pas de prostituées, etc.]
Mère
, 37 ans, pas de convulsions, de fièvre typhoïde,
« tout tourne autour d'elle ». Pas de vomissements. [Famille de la
mère
: Père, 15 ans, briquetier, sobre, caractère ca
ille de la mère : Père, 15 ans, briquetier, sobre, caractère calme.
Mère
, 58 ans, sujette aux névralgies, nerveuse, mais
s, de chûtes, de tentatives d'avortement; émotions continuelles, la
mère
alors n'étant pas mariée et étant mal reçue dan
d'ouate pen- dant un mois et demi. Nourri au sein par sa grand'-
mère
qui avait un enfant du même âge; sevré à 15 mois.
et le tremblement est tel qu'il ne peut écrire. Pas d'onanisme. La
mère
attribue son état à son séjour à Forges : « Ava
and- oncle paternel, alcoolique et aliéné, etc. Du enté maternel,
mère
, migraineuse, grand'mère maternelle, nerveuse ;
eux tantes paternelles migraineuses et une autre sourde-muette. -
Mère
, très nerveuse; putaisie. - Grand'mère maternelle
de. ' AUTOPSIE. - Congestion intense des os du crâne, de la dure-
mère
de et la pie-o.è1e.-Lésiozs de m.èningo-encéphali
1887. Antécédents (Renseignements fournis par son père et par sa
mère
le 16 février 1887. Père, 37 ans, sobre, employé
e, gastralgie. [Père tué, en 186'2, par un bran- card de voiture. -
Mère
, morte du choléra à 49 ans, avait été atteinte
d'épileptiques, ni d'autres sourds- muets dans la famille, etc.].
Mère
, 29 ans, modiste. Pas de convulsions de l'enfance
it eu une punaisie. [Père, mort à 55 ans, de bronchite chronique. -
Mère
, morte d'une pleurésie iL 42 ans. Elle était pe
jours convulsions internes. Elevé au sein pendant 10 jours, par sa
mère
qui, prise de péritonite, a dû cesser l'allaite
ions quatre ou cinq fois par an, durant ordinairement une heure. Sa
mère
prétend que, Ù 5 ans, il avait à peu près l'int
nt antérieur, il n'aurs it eu que du bromure de potassium auquel sa
mère
attribue l'affaiblissement des facultés intelle
nelle, hémiplégique. Oncle paternel, mort d'un cancer de l'estomac.
Mère
, nerveuse, accès de colère; fièvres intermitten
de M. BOURNEVILLE), le 20 mars 1886. Renseignements fournis par sa
mère
. Père, 60 ans. bien portant; pas d'excès alcool
t à 57 ans, d'une affection pul- monaire ; pas d'accidents nerveux.
Mère
morte à 83 ans ; elle avait eu, à 60 ans, une a
3 ans ; elle avait eu, à 60 ans, une attaque d'hémiplégie. Grand'
mère
maternelle, morte centenaire. Tante paternelle
a pas de trace d'ac- cidents nerveux dans le reste de la famille.
Mère
, 45 ans, nerveuse, facile à irriter, colères viol
[Père d'un caractère calme, mort à 53 ans, d'hémorragie cérébrale.
Mère
morte à 66 ans, d'une paralysie probable- INJEC
rares et moins intenses. L'enfant les sentait venir; il appelait sa
mère
: pas de cri, perte de connaissance, bouche tou
[Père, non nerveux, jamais malade, mort à 5 ans d'u- ne pneumonie.
Mère
, pas d'accidents nerveux, morte à 74 ans. Rense
à 74 ans. Renseignements insuffisants sur le reste de la famille.
Mère
, 42 ans, ménagère. On ne sait si elle a eu des co
calme, mais entêté; pas de fièvre typhoïde. En 1888, la mort de sa
mère
jointe aux excès alcooliques, a provoqué un acc
est toujours folle. [Père, mort d'une fluxion de poitrine à 52 ans.
Mère
, morte d'une maladie du foie à 67 ans. Pas d'au
ment du cerveau, convulsions du côté maternel. Ajou- tons que la
mère
a eu des fièvres intermittentes (1), qu'elle a
oulu l'arrêter ; il ne veut pas manger les mets qu'on lui donne, sa
mère
lui répétant sans cesse, qu'il ne doit se nourr
INGO-EIJCPIiALITE. 157 II. Signalons deux émotions très vives de la
mère
durant la grossesse dont les effets consécutifs
1cZ'71xère, grand 'Oncle et grand'tante paternels morts phtisiques.
Mère
, caractère emporté. Grand'mère maternelle nerve
1891. ' ANTÉCÉDENTS. - (Renseignements fournis par le père et la
mère
de l'enfant, le 26 juin 1891). Père, 3(i ans, jou
matisme, pas d'alcoolisme. Homme intelligent et de caractère calme.
Mère
, morte à 43 ans de tuberculose pulmonaire ; pas
, ni choréique, ni idiot, ni aliéné, ni dif- forme, ni suicidé. ]
Mère
, 33 ans, ménagère, n'a jamais eu aucune maladie q
vin, mais pas d'al- cool, très doux de caractère, un peu paresseux.
Mère
, 56 ans, jamais aucune maladie, très nerveuse,
ié tout de suite. Il était bel enfant et fort. Elevé au sein par sa
mère
. Huit heu- res après sa naissance, il fut pris
présent. Il paraît donc s'agir d'une maladie accidentelle. Or, la
mère
n'a rien ressenti de particulier pendant la gros-
iplégie gauche; excès alcooliques. - Grand-père pater- nel suicidé.
Mère
nerveuse. - Un frère mort de convul- sions. -Pa
Bicêtre (service de M. BOU11NEVILLE). Renseignements fournis par sa
mère
(24 mai 1882). - Père, serrurier, soldat pendan
ien métier par ses camarades. Il faisait quelques excès de boisson.
Mère
, morte à 78 ans; elle n'était pas d'un tempéram
nts, l'un est atteint d'impaludisme, l'au- tre est bien portant.]
Mère
, 43 ans, couturière,.mariée à 16 ans, assez intel
mauvaises nouvelles. [Père, mort d'une fluxion de poitrine ; sobre.
Mère
, morte à 82 ans, de vieillesse. On n'a pas de r
s de consanguinité. Il y a 16 ans de différence entre le père et la
mère
du malade. Sept enfants : 1° Fille, 24 ans, cha
de boisson et suicide de grand-père paternel), les névralgies de la
mère
, la mort par convulsions d'un frère du malade,
jà des attaques paralytiques. Signalons une impression vive de sa
mère
au 8ne mois de la grossesse, et l'accouchement
e des eaux aurait percé deux heures après l'émotion éprouvée par la
mère
. Hydrocéphalie ET épilepsie. 189 localisées
atisant, un peu alcoolique. Grand- père paternel, excès de boisson.
Mère
, rhumatisante, nerveuse. - 7'rois tantes matern
Bourneville). Antécédents (Renseignements fournis par le père et la
mère
de l'enfant). - Père, 46 ans, tonnelier, assez
rt on ne sait de quoi à 45 ans, cul- tivateur, excès alcooliques. -
Mère
, morte à 52 ans, hydropi- que ( ? ), ni alcooli
s grands-parents maternels. Un frère et une soeur bien portants.]
Mère
, 43 ans, autrefois domestique, grande, forte, bru
ou trois syncopes ; assez coléreuse, mariée à23 ans. [Famille de la
mère
: Père, mort il )'2 ans des suites d'un traumat
un château, il cul- tivait la terre, était sobre, et bien portant.-
Mère
, morte à 65 ans après deux mois d'unc maladie r
e et a de nombreux enfants bien por- tants. Trois demi-soetLJ's (de
mère
) mortes jeunes de «convulsions». - Dans le rest
alade. Rien de particulier à la conception. Durant la grossesse, la
mère
accuse de fréquents accès de colère con- tre so
presqu'aussi bien qu'aujourd'hui. Repris alors par ses parents, sa
mère
nous dit qu'elle ne constata jamais de convulsi
it commença à se tourner et comme, il ne pouvait plus marcher, sa
mère
, à 9 ans, le conduisit à l'Asile Clinique. L'été
jambes étaient secoués par une sorte de tremblement convulsif. Sa
mère
ne sait à quoi attribuer sa maladie. Ses fontanel
des hémisphères cérébraux existait avant l'ouverture de la dure-
mère
, sans que l'on ait donné d'issue au liquide. La d
dure- mère, sans que l'on ait donné d'issue au liquide. La dure-
mère
, adhérente au crâne, présente aussi de nombreuses
sin paternel, alcoolique et aliéné. Une tante paternelle, imbécile.
Mère
, migraineuse. Grand'mère maternelle, gastralgiq
drocéphalie chronique. antécédents (Renseignements fournis par la
mère
, le 5 novembre 1892). - Père, 39 ans, boulanger
on métier, ne pouvant à la suite de douleurs se servir d'une jambe.
Mère
, morte à 77 ans de pneumonie ; depuis longtemps
ritique, psychique, etc., dans le reste de la famille du père.] f
Mère
, 36 ans, cuisinière, puis concierge, est migraine
e quelconque se soit manifesté durant la grossesse. Actuellement la
mère
est forte, vigoureuse, nie tout accident nerveu
cident à 80 ans, était très sobre et s'était toujours bien porté. -
Mère
, 78 ans, est gastralgi- que depuis 7 ans, et ét
Aucun autre accident pathologique dans le reste de la famille de la
mère
.] Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 3 an
ier mois de la grossesse, frayeur produite par un cul- de-jatte, la
mère
se figura que son enfant n'aurait ni bras ni ja
mais émotions fré- quentes dues aux cris poussés par les opérés, la
mère
étant cuisinière de la clinique de M. cle 1'ucl
fois que l'enfant avait eu des convulsions sans autres détails. La
mère
n'en a jamais constaté elle-même. En môme temps
ecin diagnostiqua l'hydrocéphalie. Retiré à 20 mois de nourrice, la
mère
, outre son hydrocéphalie, remarqua à ce moment
n ce qui concerne l'enfant lui-même, nous trouvons la frayeur de la
mère
au premier mois de la grossesse ; - des émotion
mplétée Sommaire. -Père, alcoolique, brutal, migraineux. - Grand'
mère
paternelle, rhumatisante. - Mère, migraineuse et
ique, brutal, migraineux. - Grand' mère paternelle, rhumatisante. -
Mère
, migraineuse et nerveuse. Grand'mère maternelle
rtére-gra ? idmé)'ematernette. cancer du sein; autre arrière-grand'
mère
maternelle, tuberculeuse. Cou- sine, rachitique
de M. Bourneville). Antécédents. ( Renseignements fournis par sa
mère
le 11 août 9890).-Père, 28 ans, cocher, n'aurai
de la famille, aucune autre tare neuro-arthritique ou psychique.]
Mère
, 27 ans, servante chez un marchand de vin, est su
veuse, irascible, mais n'a jamais eu d'at- taques. - [Famille de la
mère
. - Père, u7 ans, cultivateur, bien portant et s
rois morts jeunes, on ne sait de quoi ; un oncle est bien portant
Mère
, 56 ans, d'une bonne santé, conserve cepen- dan
nne santé. Grand'- Hydrocéphalie : DESCRIPTION DE la malade. '215
mère
maternelle, morte de tuberculose pulmonaire chro-
chitique, scoliotique. Rien déplus à signaler dans la famille de la
mère
.] . - , t Pas de consanguinité. Différence d'âg
mère.] . - , t Pas de consanguinité. Différence d'âge d'un an. La
mère
est veuve d'un premier mari dont elle a eu trois
ivrognerie du père et son caractère vio- lent ; les migraines de la
mère
; - le cancer du-set) ! d'une arrière-grand'mcr
nel, excès de boisson. Oncle palernel, convulsions de. l'enfance.
Mère
, convulsions de l'enfance, migraines, gastralgie,
M. Bourneville,).. f112t('ClCl8121S (Renseignements fournis par sa
mère
le 29 avril 1887). Père, 26 ans, journalier, de
s alcooliques, il est bon ouvrier et économe. Il cohabitait avec la
mère
un an avant le mariage. [Famine du père. - Pè
de quoi. Aucun autre ren- seignement sur le reste de la famille.]
Mère
, 21 ans, blanchisseuse, grande, blonde, à physion
me somatique d'ordre nerveux méritant d'être noté. [Famille de la
mère
. - Père, 59 ans, corroyeur, alcoolique, buvait
s jusqu'à l'âge de 50 ans environ. Il était calme dans son ivresse.
Mère
, 57 i ans, est bien portante, sauf quelques dou
hémiplégie gauche. - Aucun autre renseignement sur la famille de la
mère
.] Pas de consanguinité. Inégalité d'âge : 5 ans
de départ de la conception. - Au cinquième mois de la grossesse, la
mère
régularisa sa situation en se mariant. Au sixiè
'alcoolisme du côté du père, les migraines et les convulsions de la
mère
, les convulsions de deux oncles maternels, dont
jambe, faisait d'assez fré- quents excès de boisson (vin blanc). -
Mère
, morte à 74 ans. d'une bronchite catarrhale, ét
cédent morbide et psychique dans le reste d3 la famille du père].
Mère
, lingèrc, morte tuberculeuse à 45 ans, aurait eu
Jamais elle n'aurait eu d'autres accidents morbides. [Famille de la
mère
. - Père, 68 ans, cocher, sobre,- un peu bègue.
[Famille de la mère. - Père, 68 ans, cocher, sobre,- un peu bègue.
Mère
, 70 ans, lingère, sobre, non nerveuse, n'aurait
Aucun autre antécédent morbide ou psychique dans la famille de la
mère
.] . - Pas de consanguinité; père savoyard, mère
la famille de la mère.] . - Pas de consanguinité; père savoyard,
mère
normande. Inégalité d'âge : 8 ans. 4 enfants
rébraux et la tuberculose tant du côté du père que de celui de la
mère
suffisent à fournir à Revill... un bilan hérédita
paternel, buveur. - Grand-oncte paternel, ivrogne, mort subitement.
Mère
, convulsions à 4 a71s. Grand- père maternel, en
t décédé le 29 mai 1888. Antécédents (Renseignements fournis par la
mère
de l'enfant, le 28 mars 1888). Père, 44 ans, ma
nfants. [Famille du père. Père, maçon, 77 ans, bien portant, sobre.
Mère
, 75 ans, bien portante. pas nerveuse. Le grand-
nne santé. Pas d'autres renseignements sur la famille du père.] ,
Mère
, 35 ans, journaliers, tète plutôt petite, physion
en portée et n'aurait jamais eu d'accidents nerveux. [Famille de la
mère
. - Père, enfant naturel, tailleur de pierres, 6
paraît jamais ivre, est calme et ne présente aucun trouble nerveux.
Mère
, enfant naturelle, morte à 67 ans, on ne sait d
plus grosse que celle des autres enfants, ridée, semblable, dit la
mère
, «aune pomme pourrie. » La sage-femme aurait di
urait jamais eu de convulsions. A 8 mois, la nourrice le remit à sa
mère
. L'enfant fut désormais nourri au verre avec du
4 Hydrocéphalie; nystagmus. fumeux ; aucune maladie infectieuse. Sa
mère
attribue l'hy- drocéphalie à la varioloïde qu'e
incipales dimen- sioiis : . Hydrocéphalie; cerveau. 253 père et
mère
de la mère de l'enfant, les convulsions 1 d'un
imen- sioiis : . Hydrocéphalie; cerveau. 253 père et mère de la
mère
de l'enfant, les convulsions 1 d'un frère aîné
s la pathogénie de l'hydrocéphalie à la varioloïde que contracta la
mère
vers le troisième mois de sa grossesse. L'enfan
e convulsions. - Une tante et un oncle paternels, morts phtisiques.
Mère
, surmenée et mal nourrie dans sa jeunesse. Gran
vice de M. BOURNEVILLE). Antécédents (Renseignements fournis par la
mère
de l'en- fant le 23 mars 1888). Père, 51 ans, l
ravelle. [Famille du père. Père, mort à 83 ans, on ne sait de quoi.
Mère
, morte à 90 ans, après peu de jours de maladies
rt cela, rien de particulier à signaler dans la famille du père].
Mère
, 27 ans, s'est mariée malgré la grande différence
eu de nombreuses hémoptysies et faisait de rares excès de boisson.
Mère
, 55 ans, bien portante, se plaint parfois de ma
part ces renseignements, rien de particulier dans la famille de la
mère
]. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 24 ans
bercu- lose se manifestent tant du côté du père que du côté de la
mère
. Une particularité à noter est l'inégalité d'âg
'inégalité d'âge des parents. Le père avait 24 ans de plus que la
mère
. Nous enregistrons ce fait qui a été donné comm
oyé à Sainte- Anne, puis à Ville-Evrard. Guéri au bout de 3 mois.
Mère
, 35 ans, marchande iL la halle, bien portante. Un
- dre le sein. A 18 mois, elle ne parlait pas du tout. D'après la
mère
, elle avait la tête déjà aussi volumineuse qu'a
ives. - Elle a toujours été affectueuse pour sa nourrice et pour sa
mère
. Elle a toujours été gâteuse. Hydrocéphalie : d
) colérique, eczémateux. - Rien de parti- culier du côté paternel. -
Mère
, impressionable, névralgie. Rien du côté matern
maternelle, rhumatisante et migraineuse. - Oncle paternet bègue.
Mère
, fièvres intermittentes à 11 ans. - Grand- père
e de M. Bourneville). Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
, 1.r juillet 1891.) Père, ébéniste, .14 ans, es
portant, sobre, travaille encore et n'a jamais eu de maladie grave.
Mère
, 72 ans, en bonne santé, était sujette dans sa
re, ni indice neuropathique dans le reste de la famille du père.]
Mère
, 43 ans, couturière, a été pendant 18 mois attein
ement il toutes les questions que nous lui posons. [Famille de la
mère
. Père, 73 ans, était bien portant quand il y a qu
légie qui ne dura qu'un mois (thrombose cérébrale.) Pas de démence.
Mère
, morte il 56 ans, cl'ér5sipcle. Depuis l'âge de
tous les deux alcooliques. Un frère est bègue. - Un demi-frère (de
mère
) est mort jeune alcoolique ; une demi-soeur a u
ception. Grossesse normale sauf peut-être un peu de surmenage, la
mère
étant parfois obligée de passer la nuit à travail
a tête et resté une heure sans connaissance; cet accident auquel la
mère
attache beaucoup d'impor- tanoe. n'a toujours p
halalgies légères.-Grand-père pater- nel, légers excès alcooliques.
Mère
, bien portante. Grand'mère maternelle, morte su
écédé le 8 août 1885. Antécédents. - (Renseignements fournis par la
mère
, le 17 novembre 1885.) -Père, 34 ans, bijoutier
ait garçon de café et paraif avoir fait quelques excès alcooliques.
Mère
, 58 ans, forte, non nerveuse. Aucun antécédent
ychique intéressant connu dans le reste de la famille du père.] .
Mère
, 27 ans, bonne santé, intelligente sans antécéden
nne santé, intelligente sans antécédents ouspecte. - [Famille de la
mère
. Père, 50 ans, sobre et bien Antécédents person
Père, 50 ans, sobre et bien Antécédents personnels. 291 portant.
Mère
, morte subitement à 39 ans, d'une rupture d'ané-
e pater2elle, et grand-père maternel, pas de renseignements. Grand'
mère
paternelle, morte âgée, on ne sait de quoi. Un
eu, dit-on, de convulsions. Aucun autre détail sur la famille de la
mère
.] Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 7 an
n maternel durant 2 mois, puis au biberon avec du lait de vache, la
mère
n'ayant pas suffi- samment de lait. -Première d
ncle paternels, eczémateux. Cousine germaine, crises de colère. -
Mère
un peu nerveuse, céphalalgies. Deux faus- ses c
dé le 29 décembre 1884. Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
, le 19 décembre 188 ! 1.) Père, 33 ans, fumiste
e, enfant naturel, 61 ans, scieur de long, sobre et hien portant. -
Mère
, morte avec une der- matose qualifiée d'eczéma
vulsions. Aucun autre renseignement sur la famille du père.] ]
Mère
, 27 ans, brune, grande, physionomie agréable, par
ulsives. Étant jeune elle était sujette à la gourme. [Famille de la
mère
. Père, mort en 1871, devenu brusquement aliéné.
ré huit jours. Il faisait des excès de boisson assez fré- quemment.
Mère
, 60 ans, brocanteuse, ordinairement bien portan
dents mentaux. Aucune autre tare pathologique dans la famille de la
mère
]. Consanguinité. Le mari et la femme sont des c
s cousins, issus de germain. De ce mariage sont nés 4 enfants et la
mère
est enceinte de 5 mois. 1° fausse couche à 5 mo
t, se roidissait et tournait les yeux. 11 ne riait jamais. Quand sa
mère
le reprit à 18 mois, il était très maigre, ne mar
- scaphocéphalie. Au point de vue mental, l'enfant n'a, nous dit la
mère
, jamais pu apprendre à parler, ni à marcher, il
ternel, mort tuberculeux. Tante paternelle, monople- gie brachiale.
Mère
, bien portante. Tante maternelle, morte tubercu
ce de M. BOURNEVILLE). Antécédents (Renseignements fournis par sa
mère
le 23 février 1880). Père, mécanicien-ajusteur,
monaire, après deux ans de maladie. Il avait cohabité 9 ans avec la
mère
avant de l'épouser. Violent, colé- reux, il se
·.PHALI1;. [Famille du père : Père, mort du choléra, était sobre.
Mère
, morte on ne sait de quelle affection, à l'époque
arlhriti- que, psycliopathique ou autre dans la famille du père.]
Mère
, 40 ans, femme do ménage, auparavant ouvrière en
ne bonne santé, n'a jamais eu de troubles nerveux. [Famille de la
mère
: Père, sobre, calme, mort écrasé par une voitu
lle de la mère : Père, sobre, calme, mort écrasé par une voiture. -
Mère
, 70 ans, bien portante. Un frère mort du cholér
ortantes. Pas d'antécédents nerveux ou autres dans la famille de la
mère
.] Pas de consanguinité (père du Mans, mère de l
le, brisait tout, touchait à tout, battait ses petits camarades. Sa
mère
prétend que, de 2 ans et demi à 4 ans, l'enfant
semblait demander pardon. Il était caressant, aimait à embrasser sa
mère
. Fort glouton, il se ser- vait à table assez pr
décédé le G juin 1885. Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
, 18 octobre 1883). - Père, 51 ans, forgeron, gr
à 75 ans de l'émotion de voir les Prussiens envahir les Ardennes.
Mère
, migraineuse, morte des suites d'une chute accide
hique dans la famille du père.] 308' Hydrocéphalie symptomatique.
Mère
, 41 ans, couturière, physionomie régulière, intel
mie régulière, intelligente ! n'a jamais été malade. [Famille de la
mère
. - Père, ajus- teur, enfant naturel, mort à 70
t naturel, mort à 70 ans d'une maladie aiguë, sobre, jamais malade.
Mère
, 70 ans, bien portante et intel- ligente. Pas d
cident pathologique, ni psychique dans le reste de la famille de la
mère
.] Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 10 a
portante ; 10" garçon, né à 7 mois 1/2 à la suite d'une chute de la
mère
, mort à 7 jours. - Aucun de ces enfants n'a eu
tuméfaction passagère à l'anus et un abcès froid ( ? ) au cou. La
mère
pendant ce temps continuait à l'allaiter. L'enfan
et à la diarrhée. L'onanismo n'a jamais été constaté. En résumé, la
mère
attribue son état à la vaccination qui, d'après
le, hydrocéphalie symptomati- que. Grand-père paternel, alcoolique.
Mère
, con- vulsions à deux ans. -Premiers symptômes
ines, mort subite. 11'rière-g1'alzd'talzic paternelle en enfance.
Mère
, lzeruetvse ; cauchemars. - Grand'mère maternelle
la petite Valentine Esco..., objet de toute la sollicitude de sa
mère
et de sa soeur, marchait dès l'âge de 14 mois.
de convulsions. - Têtes volumineuses dans la famille du père ( ? ).
Mère
, convulsions à 18 mois, fièvre typhoïde avec dé
vice de M. Bourneville). Antécédcnts (Renseignements fournis par sa
mère
le 25 juin 1892 je Père, enfant naturel, 33 ans
rogne, mort à l'hôpital Saint-Louis d'une affection de la langue.
Mère
, nerveuse, coléreuse, sans crises d'aucune sorte,
ces enfants, l'on ne constata d'accidents nerveux; une demi- (de
mère
), morte à 3 ans 1/2 d'accidents méningitiques a
eignement sur les grands parents, ni sur le reste de la famille.]
Mère
, 33 ans, fleuriste, a eu à diverses reprises jusq
fant, tout le monde avait la tête fort grosse ( ? ). [Famille de la
mère
. -Père, 60 ans, bien portant, mais violent, méc
iolent, méchant, alcoolique, absinthique, battait souvent sa femme.
Mère
, morte à 62 ans, de bron- chite chronique ( ? )
athologique, ni psy- chique connu dans le reste de la famille de la
mère
]. Pas de consanguinité. (l'ère des Vosges, mère
de la famille de la mère]. Pas de consanguinité. (l'ère des Vosges,
mère
de l'aris). Égalité d'âge. - Ils n'ont eu qu'un
tante, vive ; la tète était petite, au point que les bonnets que la
mère
avait préparés dans la layette étaient trop gra
e époque, elle se mit à augmenter et il un an, elle était, selon la
mère
, presque'aussi grosse qu'aujourd'hui. Jamais l'
r. Très émotive, elle a peur de tout et un rien la fait pleurer. La
mère
n'a remarqué ni kleptomanie, ni pyromanie, ni c
mais sa voix n'a rien de mélodieux, malgré les affirmations de sa
mère
. Très indépendante, elle se croit tout permis, ne
bsinthique, rhumatisant. - Grand-père paternel, alcoolique. - Grand)
mère
paternelle, alcoolique, débauchée. Oncle patern
Oncle paternel tuberculeux. Deux tantes paternelles tuberculeuses.
Mère
: crises nerveuses, paralysie postclipl2tcr·iti
aternelle aliénée. Cousin, hydrocé- phalie probable. Demi-frère (de
mère
) tuberculeux. Soeur paraplégique. Frère hydrocé
ice de M. BOURNEVILLE). Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
). Père, 53 ans, homme de peine, eczémateux, att
ans, était très alcoolique, mais était vigoureux et bien portant.
Mère
, morte iL 60 ans, buvait aussi beaucoup, elle men
neuropathique et psychique dans le reste de la famille du père.]
Mère
, 53 ans, couturière, femme très nerveuse, mariée
rès intelligente et jouir d'une bonne mémoire. La physionomie de la
mère
, qui paraît intelligente du reste, 1'cssem}¡le
blonde et a le front haut et bombé. (Fig. 62 et 65) [Famille de la
mère
. Pè7'e, mort à 67 ans d'un « asthme » ( ? ), ét
il n'a présenté aucun accident satur- nin, ni nerveux, était sobre.
Mère
, morte d'un cancer uté- rin. Grand-père materne
les parents de notre malade n'ont pas de relations. Toutefois la
mère
nous allirme qu'un des enfants de cette demi-soeu
un autre antécédent pathologique ou psychique dans la famille de la
mère
.] Six enfants : 1° un fils, né d'un amant avec
de la mère.] Six enfants : 1° un fils, né d'un amant avec lequel la
mère
a vécu quelque temps avant son mariage, bien qu
fant est assez volumineuse et offre un type analogue il celle de sa
mère
et de son frère (notre ma- lade). Le front est
'a pas de tics, ni de manies. Fig. 62. Pe... ù l'ùge de 10 nus ; sa
mère
et sa dernière suuur, âgée de 11 mois. Observat
cêtre, et je veux m'y laisser vivre sans rien faire. » Il traite sa
mère
et sa soeur avec une indifférence presque hosti
ante et comme sous l'empire d'une colère sourde, mal dissimulée. Sa
mère
étant sortie, nous lui reprochons son manque d'
ifeste et les intéressantes reproductions des photographies de sa
mère
et de sa soeur sont les meilleurs et les plus i
ne première photographie, nous voyons Peti... à l'âge de 10 ans, sa
mère
et sa soeur, âgée cle Il mois, présentant le mê
large et le crâne très développé. La figure suivante représente la
mère
et la même soeur, âgée de 4 ans et chez laquell
s, l'hydrocéphalie paraît nettement déterminée par la variole de la
mère
au 5' ou 6" mois de la grossesse. Si certains n
tion de M. BOURNEVILLE. Antécédents. (Renseignements fournis par la
mère
de l'enfant.) J - Père, âgé de 43 ans, contre-m
ent, bien portant. Aucune tare n'a été constatée dans sa famille. -
Mère
, 37 ans, en bonne santé; elle n'est pas nerveus
tète n'était pas trop volumineuse; elle fut nourrie au sein par sa
mère
. A trois semaines, on remarqua une saillie anor
7707'e. L'enfant est dans un état station- Fig. 67. Esco... avec sa
mère
, vue de face, à l'tige de 7 mois. 360 Hydrocé
s d'intelligence. Poids : 8 lui. 400. ' Fig. 08. - Esco... (avec sa
mère
), vue de profil, 11 l',ige de î mois. Observati
de transpiration, paraît avoir légèrement diminué. 9 octobre. La
mère
note de légers progrès chez l'enfant qui demand
âge de 2j mois. 366 Hydrocéphalie chronique. 57 millimètres. La
mère
a remarqué que la calotte de Vigo irritait légè
t très gaie, toutefois, il est dilficile do fixer son attention. Sa
mère
l'attribue la timidité qu'elle a en notre prése
x soins minutieux que nous avons pu faire mettre en pratique par sa
mère
et sa soeur avec intelligence et avec beaucoup
rand-père paternel, excès de boisson. Tante paternelle, suicidée. -
Mère
, convulsions de l'en- fance, suivies de strabis
une tante, soeur de celle-ci, qui se suicida par chagrin d'amour.
Mère
, fille d'un alcoolique, mort à la .suite d'un acc
t mal portante. Antécédents personnels. - Lors de la conception, la
mère
commençait à se livrer à ses excès alcooliques.
- I. Les antécédents héréditaires relèvent de l'alcoolisme : père,
mère
, grands-parents sont ivrognes. C'est le cas de
, excès de boisson, aliéné. Oncle pater- nel mort de convulsions. -
Mère
sujette à des névralgies faciales. - Grand-père
aciales. - Arrière-grand-père maternel, suicidé. - Arrière-grand'
mère
maternelle, excès de boisson. - Deuxième arrière-
té, mais pas de troubles mentaux. Il est d'ailleurs bien portant. -
Mère
, 53 ans, intelligente, émotive, très-bien porta
ou physiologique; pas de criminels, de suicidés, de débauchées.]
Mère
, 21 ans, mariée à 17 ans, petite mais bien portan
che. Il était nerveux, emporté et sujet à des ivresses fréquentes. -
Mère
, 39 ans, intelligente, rien de particulier. - G
était une belle enfant, très forte. Elevée cinq mois au sein par sa
mère
,puis au biberon (lait de vache) ; sevrée vers una
aître son père ; pleurait lorsqu'il partait, essayait de quitter sa
mère
comme pour venir au-devant de lui lors- qu'il r
pargnés. II. Durant la grossesse, nous avons noté une chute de la
mère
sur le ventre au cinquième mois et une émotion
ice de M. Bourneville). Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
.) Père, /il ans, gratteur de chaudière dans une
t mort d'une « attaque de paralysie » après deux mois de maladie. -
Mère
, 71 ans, bien portante, n'a jamais présenté les
ourds-muets, diffor- mes, suicidés, criminels, prostituées, etc.]
Mère
, 37 ans, blanchisseuse, n'a eu ni convulsions, ni
ée. -- [ Père, laboureur, sobre, mort à 50 ans d'une pleu- résie. -
Mère
bien portante. Grand-père paternel mort âgé, ma
rait pas eu lieu pen- dant l'ivresse. - Grossesse : au 2""= mois la
mère
a reçu un tuyau de poêle sur la tête, ce qui dé
sance; au 6mo mois, frayeur de courte durée et sans conséquence, la
mère
ayant entendu crier au feu dans sa maison. - ,4
doute siège d'une déformation. L'enfant put pren- dre le sein de sa
mère
le 51 jour. Il fut sevré à 22 mois. - A4 4 mois
p. 29). 1891. Jaiiviei,. - T3riiip-,tnisme et rhinite intenses. Sa
mère
,, qui vient visiter fréquemment son enfant prét
I. Rien de bien particulier durant la grossesse; les frayeurs de la
mère
, femme bornée et peu émotive, n'ont occasionné
C. SOMMAIRE. Père, quelques excès de boisson, mort phtisi- que. -
Mère
, migraineuse. - Grand-père maternel, quel- ques
le 29 septembre 1882. Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
, le 11 octobre 1882). - Père, employé de commer
femme. - [Père, perruquier, sobre et sans antécédents ner- veux. -
Mère
, bien portante, n'a jamais rien présenté de par
de criminels, de pa- ralytiques ou de difformes dans la famille].
Mère
, 32 ans, domestique depuis son veuvage. Elle est
peau.- [Père, excès modérés de cidre, mort d'une maladie de foie. -
Mère
, bien portante, à part quelques migraines. - Pa
hement naturel. Pas d'asphyxie à la naissance. Elevé au sein par sa
mère
jus- qu'à 7 mois. Marche et parole à 20 mois. I
5. La connaissance revient après chaque accès; l'enfant parle de sa
mère
et dit qu'il pense qu'elle ne viendra pas le vo
sson du père. Du côté maternel, nous trouvons des migraines chez la
mère
et l'aliénation mentale chez un oncle maternel.
éflexions. 53 le diagnostic : 1° les renseignements donnés par sa
mère
étaient précis sur l'existence, à l'origine, d'ac
ébrale. - Arrière-grand-père paternel, nombreux excès de boisson. -
Mère
, rien de particulier. - Grand-père maternel vio
LLE), le 13 août 1890. Antécédents (Renseignements fournis par sa
mère
le 29 décembre 1890). - Père, 45 ans, maçon, so
psie. (Père, mort à 73 ans, d'accident; pas d'excès de boisson. -
Mère
, sobre, morte à 70 ans d'apoplexie cérébrale sans
anté. Pas de suicidés, d'aliénés, d'épileptiques, d'idiots, etc.]
Mère
, 42 ans, blanchisseuse, est obèse, à face vultueu
etc. [Père violent, buveur, s'est noyé involontairement, à 66 ans. -
Mère
, morte à 73 ans, non nerveuse, sobre. - Pas de
d'aliénés, de suicidés, etc.] Pas de consanguinité. ( Le père et la
mère
sont de Paris.) Différence d'âge : 3 ans. Dou
aladies, ni intoxications, ni trausmatismes d'aucune sorte, mais la
mère
a « eu un regard sur un jeune homme de 21 ans q
9 kilog., ( ? ) et n'avait pas de cyanose. - Élevée au sein par sa
mère
, elle a été bien portante jusqu'à 4 mois. A cet
rtant que peu impressionnée par les objets présentés à ses yeux. Sa
mère
, avons-nous vu, la tient pour complètement aveu
ue sur les collatéraux. II. Notons, en passant, le « regard » de la
mère
« sur un jeune homme qui était comme ça, » c'es
iolent. - Alcoolisme ? Enfant naturel, ne connaît pas sa famille. -
Mère
, migraines, crises nerveuses, accès de colère,
e de M. Bourneville). Antécédents. - (Renseignements fournis par sa
mère
le 8 mars 1892). Père, 38 ans, charron, enfant
8 mars 1892). Père, 38 ans, charron, enfant naturel, placé par sa
mère
à l'âge de deux jours aux Enfants-Assistés et env
te à son égard. Il ne connaît absolument personne de sa famille.]
Mère
, 3G ans, vit séparée de son mari sous prétexte qu
léreux, il aurait «abusé de la vie)) et avait abandonné sa femme. -
Mère
aliénée, morte il 45 ans de la rupture d'un ané
vive émotion. Plus tard, à des époques qu'elle ne peut préciser, la
mère
eut peur deux fois au sujet d'accidents survenu
mais pas de véritables syncopes, ni de crises d'aucune sorte. La
mère
n'entrevoyait pas avec plaisir la naissance d'un
i asphyxie; l'enfant était petit et grêle. ? Elevé au sein par sa
mère
, il fut sevré à 15 mois. Première dent à un an; d
nstant fixement, faisait quelques efforts bruyants d'expiration. La
mère
lui frau- pait alors dans les mains et tout éta
çants et continus qui ameutaient les voisins contre ses parents. La
mère
avoue que, sur leur conseil. elle donna des claqu
ait toujours été d'une mobilité incomparable. « Jamais, nous dit sa
mère
, il ne pouvait tenir en place ». - Nul accident
vorace, il gâtait parfois la nuit et urinait fréquemment au lit. Sa
mère
s'aperçut que ses selles contenaient parfois des
nanisme. Parfois affectueux, il menaçait à de certains mo- ments sa
mère
et battait sa petite soeur. Il n'aimait que les j
eint d'une maladie ner- veuse qu'elle attribuait à la dentition, la
mère
se décida à le faire admettre à l'hôpital des E
une cousine paternelles aliénées.- Tante paternelle tuberculeuse. -
Mère
, fièvres intermittentes. Pas de consanguinité.
cédé le 14 avril 1892. L'enfant est amené le 24 février 1891 par sa
mère
. Il est propre et sa tenue ne donne lieu à aucu
allé en qualité d'employé des ponts et chaussées, qu'il connut la
mère
de l'enfant, fille de paysans dont il eut quatre
en France, devint employé de la Ville et épousa il y a six mois la
mère
de ses enfants. Il y a deux mois, il fut repris
aire sans paralysie, et aurait fait un séjour de six mois au lit.
Mère
, originaire cle Ieaux; elle est d'une famillle où
tren. Il est mort un âge avancé on ne sait de quoi. - La ! ]'ëlJ1cl"
mère
r¡alerllelle, est morte très vieille sans jamai
e sans jamais avoir donné de signe de démence ou d'alié- nation.]
Mère
, 38 ans, nia jamais eu de convulsions ou de malad
autre chose à noter. - [Père, sobre, 82 ans, n'a jamais été malade.
Mère
, 60 ans, bien portante, n'a jamais eu d'affecti
mais non paralysée. - Grand-père maternel mort tout jeune. - Grand'
mère
maternelle, morte en couches. Rieii comme malad
ans, sont d'une bonne santé. - Dans le reste de la famille de la
mère
, aucune tare nerveuse.] Pas de consanguinité. - I
, intelligente et pas nerveuse ; - 4° garçon, 4 ans, venu avec sa
mère
, très bel enfant, très intelligent, parlant bien;
les deux fesses, deux taches noires qu'on attribue à la chute de la
mère
. Ces taches persistèrent longtemps et ne dispar
l'as de renseignements sur l'apparition des dents. - A 3 ans, la
mère
le promenant dans une voiture, le laissa tomber e
nt dans une voiture, le laissa tomber et depuis lors il dépérit. Sa
mère
attribue l'état actuel de son enfant à sa chute
eurait beaucoup étant tout enfant. Il n'a pas eu de convulsions. La
mère
affirme qu'il n'a jamais été malade, qu'il n'a
uence nous parait avoir été nulle. Rappelons encore une chute de la
mère
durant sa grossesse. III. Thil... n'a jamais
r.r.i;j, le 4 mai 1899. Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
, le 13 mai 1892). Père, 'il ans, garçon de bure
nglée. Il était habituellement bien portant, mais aimait à boire. -
Mère
, 69 ans, en bonne santé jusqu'à la ménopause; à
ues, de pieds-bots, de suicidés, de criminels ou de prostituées.]
Mère
, 38 ans, ménagère, a eu des convulsions au moment
s sobre, il était cependant « très prompt, coléreux et violent. » -
Mère
, 66 ans; elle a eu, vers 47 ou 48 ans, des doul
nte régnait dans le ménage. - Au cinquième mois de la grossesse, la
mère
tomba de voiture : « on m'a ramenée chez moi, p
en excellent état et paraissait vigoureux et bren constitué. - La
mère
le nourrit elle-même au sein pendant trois ans.
se mit à transpirer beaucoup de la tête; et à la suite, nous dit sa
mère
, il aurait été bien mieux. Il reconnait ses par
ien précis sur les habitudes et les penchants de l'enfant, car la
mère
semble, de médiocre intelligence. Elle est très t
ère et. le grand-père paternel de l'enfant et des convulsions de la
mère
durant son enfance, convulsions qui ont produit
ie complète pour conséquence, à la violente émotion éprouvée par la
mère
au cinquième mois de sa grossesse. 111. 11 es
de phthisie. - Autre oncle- paternel, convulsions de l'en- fanez
Mère
, excès de boisson, morte phlhisique. - ^Grand-p
ais très- affectueux pour ses enfants. Pas de maladies nerveuses.
Mère
, non nerveuse, morte « de chagrin» » 58 ans égale
lle ni idiots, ni épileptiques, ni bègues, ni sourds-muets, etc.]
Mère
, morte phtisique, iL 3G ans, en 1891. On ignore s
t à la bois- son comme son mari. [Père, mort phtisique, à 50 ans.
Mère
, de 7 ans plus âgée, serait morte également phti-
alade. Noire malade. Vers le quatrième mois de la gros- sesse, la
mère
éprouva une violente émotion à la vue d'un couv
tron, « il s'adonnait à la boisson, comme son père et peut- être sa
mère
. » Il a commencé à tousser il y a 3 ou 4 ans; o
aca inférieure, au niveau du lobule orbitaire, un lambeau de pie-
mère
resté adhérent ne s'arrache qu'en laissant à la s
ation, incomplète à quelques égards, c'est l'alcoolisme des père et
mère
du malade et du malade lui-même. II. Mentionn
berettlose. Ici la prédisposition venait à la fois du père et de la
mère
et même des ascendants. III. L'insuffisance des
che de pouvoir établir un lien entre l'émotion vive éprouvée par la
mère
durant sa grossesse et l'épilep- sie dont nous
ningite traumatique ( ? ). - Tante paternelle morte phthisique. -
Mère
, vive et coléreuse. - Cousin idiot ne parlant pas
ents héréditaires. 117 i Antécédents (Renseignements fournis par sa
mère
, le 26 juin 1891). Père, 48 ans, ébéniste, n'a
reur, « très ner- veux » il faisait parfois des excès de boisson. -
Mère
, morte à 70 ans ( ? ). - Grands-parents paterne
ntes d'affections nerveuses, de suicidés, ni de débauchées, etc.]
Mère
, 45 ans, mariée à 24 ans, domestique avant son ma
mort à 41 ans, d'une chute de voiture, laboureur, était très sobre.
Mère
, morte à 66 ans, d'une « maladie de ven- tre ».
soeurs, un circulaire du cordon autour du cou. Elevé au sein par sa
mère
, il fut sevré à 18 mois. Premières dents à 10 m
oisième semaine, l'enfant commença à décliner, il maigrissait et sa
mère
s'aperçut qu'il tenait toute la journée les yeu
rvint. Dans la même année, il commença à reconnaître son père, sa
mère
, ses frères et soeurs et souriait « tout comme un
juin 189 0(1). Il sortit de l'hôpital à la fin de février 1891. Sa
mère
prétend ne pas avoir constaté de progrès bien m
z, ne perd plus ses matières. ,. 120 Description du malade. et sa
mère
pense que la teigne tondante dont il est atteint
t assurément beau- coup plus occupé cle lui que ne pouvait faire sa
mère
chez elle. Eh bien, malgré celà, d'après la not
ré celà, d'après la note même de M. Lannelonguc et aussi d'après la
mère
de l'enfant, la situation était à peu près à la
re paternel mort d'héii-Lo ? - ? ,hagie cérébrale. - Arrière-grand'
mère
paternelle morte d'un cancer uté- rin. - Grand-
culeux. - Grand' tante et cousins paternels morts de convulsions. -
Mère
: céphalalgies, mélancolie. - A1Tièl'e -g¡'and-
ville) : Antécédents. - (Renseignements fournis par le père et la
mère
de l'enfant le 9 nouembre 1892.) - Père, 69 ans,
e caractère. 11 a, lorsqu'il est très ému, une sorte de bégaiement.
Mère
, 63 ans, rhumatisante, très nerveuse, aurait eu
ets, de suicidés, ni de prostituées dans la famille.]50 ^ : ,"1-, .
Mère
, 39 ans, couturière, n'a jamais été malade et n'a
de la migraine, s'exacerbent au moment des règles. Au physique, la
mère
est une femme forte, robuste, brune, n'ayant pa
ore dans un chantier de bois, est sobre et jouit d'une bonne santé.
Mère
, morte à 74 ans, à la suite d'un long séjour au
: il n'avait auparavant dénoté aucun trouble psychique. Grand' '
mère
maternelle, morte à 88 ans. - Oncles ou tantes pa
ternelle morte en bas âge, à la suite d'un mauvais allaitement : sa
mère
, malgré le trouble causé par le suicide de son
s, ni épileptiques, etc.] - Pas de consanguinité (père, parisien,
mère
, bourguignonne). - Egalité d'âge. . Trois enfan
n médecin ; 'le notre malade. Notre maillde.- Lors la conception la
mère
venait de sevrer sa fille et était très fatigué
I. Les tares nerveuses de la famille tant du côté du porc que de la
mère
sont suffisam- ment nettes pour expliquer la pr
continuel- lement de la bile. Il n'y eut pas de diagnostic posé. -
Mère
, GG ans, actuellement bien portante, a eu trois
ds-muets, ni difformes, ni suicidés ni criminels ou prostituées].
Mère
, 40 ans. ni migraines, ni convulsions, ni dartres
ien de particulier à la conceptiott.-Sur le conseil de voisines, la
mère
prit tous les deux jours pen- dant les trois pr
end ne s'être jamais aperçu que l'enfant ait eu des convulsions. La
mère
a constaté deux fois seule- ment des convulsion
ménin- gite suppurée. Il est juste de dire toutefois que la pie-
mère
, qui était déjà le siège d'une méningite ancienne
paternel, suicidé. Tante paternelle, morte d'attaques d'éclampsie.
Mère
, soignée comme hysté- rique à la Salpêtrière, p
égalité d'âge de 6 ans. Syncopes et attitudes particulières de la
mère
pendant la grossesse. Accouchement à 7 mois. -
rès sa femme, il faisait de nombreux excès de boisson. D'après sa
mère
, il ne s'enivrait jamais.) Pas de migraines. Cara
is violent, mort à 65 ans, de la rupture d'un anévrisme de l'aorte.
Mère
, 72 ans, couturière. Cataracte double; pas d'al
t mentionné ci-dessus, pas d'autres suicidés, pas de débauchées.]
Mère
, 26 ans, brodeuse. On ignore si elle a eu des con
s et fait des vers. - [ [ Père, mort phthisique ; caractère doux.
Mère
, 55 ans, ne peut plus exercer son métier de blan-
rochement sexuel. Le mari perdit patience et s'informa auprès de sa
mère
. Sur l'avis de celle-ci, il insista et obtint u
tive ouverte d'avortement, mais pen- dant toute cette grossesse, la
mère
affecta une position bizarre, les membres infér
frirait, et que l'enfant viendrait tout de même. » Au contraire, la
mère
et une tante de la jeune femme lui répétaient q
oir d'enfants. - Accouchement à 7 mois, sans grandes douleurs, La
mère
se préoccupait à peine de son état. Enfant toute
it pas d'ongles. - Elevée d'a- bord au chalumeau avec le lait de la
mère
, elle fut nourrie ensuite au biberon avec du la
ours après sa naissance, l'enfant eut de petites contorsions que la
mère
prit pour du rire, et que la grand'mère croit ê
r laquelle elle se montre très affectueuse, mais connaît à peine sa
mère
, qui, d'ailleurs, ne s'occupe pas d'elle. Eta
convulsions, la méningite, l'éclnm2sie, etc. L'état nerveux de la
mère
ne laisse aucun doute. Elle avoue être très impre
atteinte d'hystérie et soignée à la Salpê- trière. Au sujet cle sa
mère
, il n'y a pas de doute : elle a des crises nerv
enfants, j'en suis sûre » (2). III. La singulière attitude de la
mère
durant sa (1) Il l'aurait contractée en Anglete
erveux, quelques excès de boisson. - Tante paternelle hystérique. -
Mère
nerveuse ; névralgies faciales; excès de boisso
on peut signer l'exeat. Antécédents. (Renseignements fournis par la
mère
le 5 décembre 1890. complétés par le père le 16
ier au point de vue nerveux. Aucun des enfants n'était névropathe. -
Mère
, morte à 53 ans de la fièvre typhoïde. Elle se
e tares héréditaires, pas de malformations, pas d'aliénés, etc.].
Mère
, 37 ans, s'occupe de son ménage ; c'e-t une femme
que cette maladie. - Les grands-parents sont morts fort vieux. -
Mère
, très nerveuse, pourtant elle n'a jamais eu d'att
ises nerveuses. Pas de consanguinité; mais notons que le père et la
mère
du père étaient cousins germains, de même que l
du commencement à la fin; chute en bas d'un escalier, à laquelle la
mère
attribue l'accouchement prématuré. Elle signale
, son père rentre ivre, une nuit où l'enfant était couché avec sa
mère
. Celle-ci avait fermé sa porte; le père la défonç
mit à crier : « au secours. », parce que son père voulait battre sa
mère
; les agents montèrent et tout se calma. \Iarch..
iotie méningitique; Par BOURNEVILLE et DAURIAC.. Sommaire. Grand'
mère
paternelle morte épileptique (en état de mal pr
mère paternelle morte épileptique (en état de mal probablement). -
Mère
émotive mais sans cri- ses nerveuses. Une tante
re émotive mais sans cri- ses nerveuses. Une tante paternelle de la
mère
épilepti- que. Une soeur de la mère nerveuse, d
ses. Une tante paternelle de la mère épilepti- que. Une soeur de la
mère
nerveuse, de caractère bizarre. i -Un frère de
soeur de la mère nerveuse, de caractère bizarre. i -Un frère de la
mère
mort de congestion céxébrale. Un autre frère de
frère de la mère mort de congestion céxébrale. Un autre frère de la
mère
a un fils paralysé et qui paraît être hydrocéph
fils paralysé et qui paraît être hydrocéphale. Un autre frère de la
mère
enfermé à Bicêtre pour un accès de délire. Pas
eville). Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par la
mère
le 22 mai.) Père, 65 ans, employé de commerce, ni
s de migraines. Marié 2 fois. La première femme, qui n'est pas la
mère
de notre malade, est morte de la poitrine, il y a
e, mort d'une fièvre muqueuse et de scarlatine à l'âge de 57 ans. -
Mère
morte des suites d'accès d'épilepsie après la c
aladie de langueur. Les trois autres étaient forts et vigoureux.]
Mère
, 46 ans, couturière. Pas de convulsions; fièvre m
e nerveuse. émotive, mais sans crises nerveuses. - [Famille de la
mère
. Père, boulanger, mort à 78 ans, sobre, gai, un
mère. Père, boulanger, mort à 78 ans, sobre, gai, un peu violent. -
Mère
, morte à 46 ans, hydropique, asthmati- que, pro
lement atteinte d'une affection cardiaque. Grands- pères et grand ?
mères
paternels et maternels,' morts de vieil- lesse.
ien de particulier. G1'()S,eSse : durant les deux premiers mois, la
mère
a eu ses règles, mais peu abondantes; elle ne s
ur : il pâlissait un peu et se remettait tout de suite. La nuit, sa
mère
aurait observé « que, par moments, il retenait
en colère. Il ne bave pas, mâchonne son pouce. Pas d'onanisme. La'
mère
'attribue son Bourneville, Bicêtre, 1892. 14
nel c'est chez une tante que nous trouvons encore l'épilepsie. La
mère
elle-même est nerveuse et de caractère bizarre.
; PAR BOURNEVILLE et DAURIAC. SomfAmE. - Père, caractère emporté.
Mère
, caractère vif, morte en couches. Grand'mère ma
graines. - [Père, mort à 81 ans, sans avoir jamais été malade. - Sa
mère
a atteint 74 ans dans les mêmes conditions. Nou
muets, de bègues, de pieds bots, de prostituées ou de criminels ]
Mère
, femme de chambre, caractère un peu vif, sobre, n
ons, ni fièvre typhoïde. [Père, mort à 50 ans, on ne sa' de quoi. -
Mère
, morte en couches : 1 36 ans. Le reste de la fa
d'a'1Or- mai. -D m- le c tvtr, du sixiè ne unis do la grossesse, la
mère
fit une chute <UI' fei,e-4. Pas (le peur, pa
orne dam- mon paraissent normaux. Même vascularisation de la pie-
mère
sur cet hémisphère que sur l'autre. Les deux hé
rnelle, migraineuse, emportée. Grand'tante mater- nelle, aliénée. -
Mère
. d'une intelligence médiocre, très nerveuse, fi
ice de M. BOURNEVILLE). Antécédents. (Renseignements fournis par la
mère
le 10 janvier 1892). - Père, entrepreneur de dé
n père ainsi que toute sa famille est inconnu. 224 Antécédents.
Mère
, 65 ans, sujette aux migraines et à des crises de
la famille du père, à la con- naissance de lanière de l'enfant.]
Mère
, giletière, 52 ans, vivait avec le père sans jama
eu sympathique parait médiocrement intel- ligente. - [Famille de la
mère
. Père, cultivateur, mort à 62 ans du choléra, b
coup de vin, était coléreux et brutal, n'avait jamais été malade. -
Mère
, morte subitement à 62 ans, était aliénée ; ell
renseignement sur les antécédents pathologiques de la famille de la
mère
.] Pas de cons nguinité. Inégalité d'âge : 5 ans
ille de la mère.] Pas de cons nguinité. Inégalité d'âge : 5 ans, la
mère
était la plus âgée. Quatre enfants : 1° fauss
s la brutalité du père, l'hostilité de sa famille à l'é- gard de la
mère
, la misère du ménage, la rendaient absolu- ment
2 ans, il y eut une nouvelle recrudescence des convul- sions et la
mère
prétend que l'enfant avait alors de véritables
raines, mort subite. - Arrière-grand'tante paternelle en enfance. -
Mère
, nerveuse; cauchemars. - Grand'mère maternelle,
e(service de M. BOURNEVILLE). Antécédents fournis par le père et la
mère
. (Juin 1890). Père, 30 ans, employé au restaura
gues, ni sourds-muets, ni paralysés, ni suicidés, ni débauchées].
Mère
, 27 ans, n'a eu ni convulsions dans l'enfance, ni
somnam- bulisme ; toutefois, elle ne semble pas être hystérique. - [
Mère
, morte à 5 ? ans, avait ordinairement une bonne
de la famille]. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 3 ans. (La
mère
moins âgée que son mari.) Deux enfants : Io n
se fut bonne. Il faut dire pourtant, que, vers le deuxième mois, la
mère
eut envie de boire et but pendant deux semanies
ude. » Elle fut élevée, jusqu'à l'âge de deux mois, au sein, par sa
mère
, qui dut ensuite cesser l'allaitement à cause d
alades, une petite fille voisine du lit de Marie B. aurait dit à la
mère
de celle-ci que sa fille avait des convulsions.
trois doigts Ù la main droite, est de plus un alcoolique outré ; la
mère
est nerveuse et somnam- bule. Cette hérédité es
On ne saurait guère attacher de l'importance aux coups reçus par la
mère
pendant sa grossesse. D'ail- leurs, l'enfant vi
dents cérébraux, alcoolique. - Grand-père paternel, calcu- leux. -
Mère
, rhumatisante, migraineuse. - Grand'mère matern
ce de lui. Bourneville). Antécédents (Renseignements fournis par la
mère
, le 28 mars 1887). - Père, 51 ans, sculpteur su
ation de la pierre que l'on exécutait sur lui pour la seconde fois.
Mère
, non nerveuse, morte à vingt-quatre ans d'une aff
ère, aucune affection psychique, ner- veuse, arthritique, etc.] .
Mère
, cinquante ans, ménagère, femme forte, paraissant
'habitude bien portant, ést mort à soixante-dix ans de pneumonie. -
Mère
, morte à cinquante-neuf ans avec de l'ictère, a
nelle est morte « asthmatique » . Dans le reste de la famille de la
mère
, rien d'intéressant, à part cela, à signaler.
cela, à signaler. Pas de consanguinité (père originaire d'Italie,
mère
fran- comtoise). L'inégalité d'âge des deux épo
on, le mari se livrait à des excès alcooliques très fréquents et la
mère
est t persuadée que l'enfant a été conçu pendan
g. 15. 2 ci 2 Antécédents personnels. sessse fut accidentée. La
mère
s'exposait fréqemment au froid, passant la nuit
ons aujourd'hui et qui ont très peu varié. Ces troubles, d'après sa
mère
, con- 1.,Og. Is. Antécédents personnels. 5H5
en bois et colorées sur les images correspondantes. Il reconnaît sa
mère
, mais n'est pas très affectueux. 1891. Juin.
les genoux, puisrcoom- mence et cela parfois pendant des heures. Sa
mère
explique ce tic singulier par ce-fait que plusi
tiques abondent, tant dans la famille du père que dans celle de la
mère
. L'alcoolisme du père, la conception probable p
plaisir dû au mouvement se complique du résultat de l'imitation. Sa
mère
, en effet, nous a raconté que son fils est deve
plectiques; hémiplégique. - Demi- oncle paternel, mort phtisique. -
Mère
nerveuse. - Grand' mère maternelle, asthmatique
- Demi- oncle paternel, mort phtisique. - Mère nerveuse. - Grand'
mère
maternelle, asthmatique. - Pas de consanguinité.
; il avait dû. faire des excès de tout genre pendant sa jeu- nesse.
Mère
, 76 ans, bien portante, non nerveuse, opérée avec
s après son mariage avec une femme phtisique, (il faut noter que sa
mère
était morte de la poitrine) laissant une fille
mes d'aucune espèce, pas de suicidés, de débauchés, de criminels.
Mère
, 40 ans, forte, bien portante ; pas de convulsion
ans crises. [Père, 60 ans, n'a jamais eu aucune maladie nerveuse. -
Mère
, 56 ans, asthmatique, non nerveuse, intelligent
piète un peu en avant, sur la suture fronto-pariétale. - La dure-
mère
n'adhère pas avec le crâne même au niveau de la
Deuxcousts tMMS de germains, - : *4 ? '. ? ; .1 , 1 1 a idiots. -
Mère
, sujette à des douleurs névralgiques, 'rès nerv
'À : 7. \ 306 Sutures du crâne dans L'IDIOTIE. v X\ "'......
mère
maternelle, hystérique. Arrière-grand-père matern
oaLaIBE. - Père et grand père paternel quelques excès de boisson. -
Mère
, convulsions de l'enfance, nerveuse. - Grand-on
Grand-oncle pater- nel tuberculeux. - Cousin germain, aveugle-né. -
Mère
, céphalalgies, intelligence bornée. - Grand-pèr
gies, intelligence bornée. - Grand-père maternel, et arrière-grand'
mère
maternelle, morts d'une pleurésie. - Oncle mate
morte pthisique. Ti. 3à. Sutures du crâne dans l'idiotie. 3j5 5
Mère
, vive et coléreuse. - Cousin idiot, ne parlant pa
rand-père paternel, excès de boisson. Tante paternelle, suicidée. -
Mère
, convulsions de l'en- fi212ce, suivies de strab
crâne dans L'IDIOTIE du côté paternel. - Tante paternelle, aliénée.
Mère
rien de particulier. Grand père maternel, quelq
mère paternelle, morte épileptique (eu état de mal probablement). -
Mère
, émotive, mais sans crises nerveuses. - Une tan
, émotive, mais sans crises nerveuses. - Une tante paternelle de la
mère
, épilep- tique. t/nesoeurde la mère nerveuse, d
s. - Une tante paternelle de la mère, épilep- tique. t/nesoeurde la
mère
nerveuse, de caractère bizarre. - Un frère de l
/nesoeurde la mère nerveuse, de caractère bizarre. - Un frère de la
mère
mort de congestion cérébrale. Un autre frère de
frère de la mère mort de congestion cérébrale. Un autre frère de la
mère
a eu un fils paralysé et qui paraît être hydroc
ls paralysé et qui paraît être hydrocéphale. - Un autre frère de la
mère
enfermé à Bicêtre pour un accès de délire. - Pa
OTIE microcéphalique. SOMMAIRE. - Antécédents paternels négatifs. -
Mère
, lie1- veuse. - Grand-père paternel, excès de b
xcès de boisson. - Grand' tante maternelle, migraineuse. - Soeur de
mère
, morte de convulsions. - Enfant naturel : arrêt
mOl'te hémiplégique. - Arrière-grand-père paternel, mort paralysé.
Mère
, lniqrclinense. -Grïit2d- père maternel, mort p
para- lysé. -Oncle maternel, mort - Pts (le co ? lsa7l- guinité ;
mère
plus âgée que le père de 14 mois. - Soeur, mort
énériens. - Grand-père paternel, peu intelligent, ivro- gne. Grand'
mère
et tantes paternelles, débauchées. Deux oncles
: céphalées durant e)t/'a)tce.Grand-pfh'e paternel, apoplectique. -
Mère
, sujette à des douleurs de tête; pertes de conn
paternel mort d'un coup de sang. Oncle parternet mort phtisique. -
Mère
morte d'une péritonite un an après une couche.
lutions. S011\fAIRE. - Père, quelques excès de boisson, eczéma. -
Mère
migraineuse. - Pas de consanguinité. Inégalité
. IDIOTIE. ' nin( ? j, - G1'and'pèrepaternet,plombier, alcoolique. -
Mère
plus âgée de 4 ans que le père. Grand'père mate
que, mort du pylo1'e. -A rrière granclpère pater- nel, alcoolique.-
Mère
et grand'mère maternelle migrai- neuses. Pas de
que, aliéné. - Cousine germaine paternelle, muette et imbécile. -
Mère
, hystérique. Grand'père maternel, alcoolique, m
E), le 10 novembre 1883. Antécédents (Renseignements fournis par sa
mère
le. 19 jan- vier 1883). - Père, imprimeur, mort
cès de boissons hebdomadaires. [Père mort asthmatique à 88 ans. -
Mère
morte d'un « chancre rongeant » à la figure. - Un
tiques, de difformes, de suicidés, de criminels dans la famille].
Mère
, 27-ans, fleuriste, sujette à des attaques de ner
e dévelop- pée. [Père alcoolique, mort u'une attaque d'apoplexie.
Mère
atteinte do varices. Grands parent*, frères, soeu
dit quelques mots, com- prend assez bien ce qu'on lui ordonne : sa
mère
lui faisait faire quelques commissions. -Il a p
de vue nerveux. Un frère et une soeur morts de tuberculose ( ? ). -
Mère
d'une intelligence peu développée. - Grand'mère
être (service de M. Bourre- ville). Renseignements fournis par sa
mère
le -16 mai 1891. -Père; âgé de 36 ans, garçon d
dans l'Orne, bien portant; ni alcoolisme, ni accidents nerveux.-
Mère
, morte à 55 ans ; peut-être a-t-elle succombé à u
ortants. - Il n'y a rien à signaler dans le reste de la famille.]
Mère
, 31 ans, fait des ménages, n'a eu ni convulsions,
70 ans, d'une affection stoma- cale ; non alcoolique, ni nerveux. -
Mère
, 71 ans, travaille encore à la terre ; a fréque
lligent ; -3° une fille, 5 ans, bien portante et intelli- gente. La
mère
qui donne les renseignements est enceinte. [En
xie, ni cordon autour du cou. - Elevé au sein jusqu'à 4 mois par sa
mère
. A cette époque l'enfant est sevré et envoyé à
ecom- mence à gâter. Il mange gloutonnement, ne mastique pas ; sa
mère
prétend « qu'il mangerait toute la journée. » Les
tion qu'à la nourriture; tout le reste lui est indifférent, même sa
mère
; il suit toute personne qui lui présente quelqu
vancé que les enfants de son âge, qu'il le connaissait ainsi que sa
mère
, qu'il souriait, disait papa et maman, et que,
après escroquèrie. - Arrière-grand'mère paternelle morte paralysée.
Mère
, paraplégie traumatique. - Double consanguinité
dettes.- [Son père, également notaire, est mort du choléra en z Sa
mère
est morte d'une pneumonie à 81 ans.- Grand'père
affections nerveuses dansla famille.] 26 ri Idiotie méningitique.
Mère
, 53 ans, paraplégique depuis 6 ans à la suite d'u
rveuse, très intelligente.- [père mort d'une affection cardiaque. -
Mère
morte à G6 ans d'une hydropisie consécutive à u
portants ainsi que leurs enfants]. Consanguinité : le père et la
mère
de notre malade sont cousins germains issus de
réditaire; Par DOURNEVILLE et DARDEL. Sommaire. Enfant naturelle.
Mère
syphilis; Renseigne- ments insuffisants sur lui
re syphilis; Renseigne- ments insuffisants sur lui et sa famille. -
Mère
probable- ment syphilitique (traitement spécifi
M. BOURNEVILLE,), le 27 juin 1893. Renseignements fournis par la
mère
de l'enfant (10 juillet 1893). Père né au Brési
vint en France pour y faire ses études, y fit la connaissance de la
mère
de notre malade et l'emmena au Brésil ses étude
nt que nous avons dans le service.- [Son père est mort à 71 ans; sa
mère
, à 63 ans, en démence. - Une soeur, mariée, qui
l. - Pas d'éruptions cutanées a la naissance. Élevée au sein par sa
mère
.- Rougeole à 4 ans. Coqueluche à 5 ans. A l'âge
des ulcérations (onyxis -probablement de nature spécifique) que la
mère
appelle des engelures. Del... a fréquenté l'é
ttait ses camarades il tel point qu'on fut obligé de la rendre à sa
mère
. Elle lisait déjà avec difficulté, comme une my
ua une 7'étinite syphilitique et prescrivit un traitement que -la
mère
ne fit pas suivre longtemps à son enfant. Deux an
paternel, alcoolique, paraplégique. - Oncle paternel, alcoolique.
Mère
, morte de tuberculose pulmonaire. - Grand' tante
ravelle à 66 ans. Grand'mère, décédéc à 60 ans ; rien de spécial. -
Mère
, morte à 32 ans, d'une tumeur abdo- minale ; pa
igent; aurait eu des hallucinations. - Une soeur, bien portante.]
Mère
, fleuriste ; pas de convulsions ni plus tard de c
cutanée, morte à 31 ans de tuberculose pulmonaire. [Famille de la
mère
. Père, mort à 60 ans, mère, à 50 ans, on ne sait
e tuberculose pulmonaire. [Famille de la mère. Père, mort à 60 ans,
mère
, à 50 ans, on ne sait de quoi. - Un oncle ne pr
la famille, pas d'idiots, d'aliénés, etc.]. Pas de consanguinité. -
Mère
plus âgée de 4 ans. 5 enfants : f garçon, 17 an
, naturel. - Pas d'asphyxie à la naissance. Élevée au sein par sa
mère
, et sevrée à 22 mois. - Dentition normale, marche
s, rien de par- ticulier. - Deux oncles paternels, bec-de-lièvre. -
Mère
, excès de boisson, divorcée. - Pas de consangui
ns à la suite d'un refroidissement ; habituellement bien portant. -
Mère
morte de vieillesse à 74 ans; elle avait une ex
mille, aucune affection nerveuse, psychique, arthriti- que, etc.]
Mère
, 42 ans, divorcée en 1888, et depuis son divorce
t sur sa famille. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 6 ans (
mère
moins âgée). Trois enfants : 4 un garçon venu
ns au début, telles que maux de tête fréquents. A 7 ou 8 mois, la
mère
aurait fait une chute dans l'escalier ; mais il n
on plus en état de somnolence. A la suite de cet accouchement, la
mère
aurait eu une « péritonite » qui se serait décl
te poche creusée dans la substance cérébrale que recouvre la pie-
mère
; à l'ouverture de cette cavité il s'écoule envir
ons. - I. Les renseignements sur les deux familles du père et de la
mère
sont très incomplets. Nous avons essayé, mais e
re chez deux oncles pater- nels de l'enfant et l'alcoolisme chez sa
mère
. II. L'asphyxie qui existait à la naissance, qu
ance, quoique légère, a pu, jointe à l'alcoolisme chronique de la
mère
, contribuer à préparer les lésions qui se sont
AinE. Père, fièvres intermittentes, épileptique avec accès rares. -
Mère
, rien de particulier, sauf qu'elle a uriné au l
« chaud et froid », il était ingénieur des ponts et chaussées. - Sa
mère
, âgée de 68 ans, est bien portante. - Aucun ren
famille, pas d'idiots, d'aliénés, pas de suicidés, de débauchés].
Mère
, 34 ans, femme de ménage ; pas de convulsions de
mps de constater des troubles paralytiques ; il était alcoolique. -
Mère
, 68 ans, bien portante, sans trou- bles intelle
nosée ; pas de circulaire du cordon. Elle fut élevée au sein par sa
mère
et sevrée à Il mois sans difficulté. - Première-
père de l'enfant ; -l'in- continence d'urine jusqu'à 16 ans chez sa
mère
; - des excès de boisson et une congestion céré
os obser- vations la différence d'âge qu'il y a entre les pèro et
mère
do nos malades. Ici elle était assez grande, 10
t. - AlTière , grand-père paternel et tante paternelle cancéreux. -
Mère
migraineuse. - Grand-père maternel, excès de bo
94 à l'âge de 16 ans. 1 Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
). Père, employé de commerce au moment où il a q
e père de cet homme était bien portant au moment de l'abandon de la
mère
de l'enfant ; il n'était pas alcoolique, n'avai
tence d'aucune maladie nerveuse ni d'aucune difformité physique].
Mère
, 51 ans, cuisinière, n'a pas eu de convulsions da
uisinière, fait un usage très modéré de l'alcool. - [Famille, de la
mère
. - Sa mère est morte à 76 ans, asthmatique. Son
fait un usage très modéré de l'alcool. - [Famille, de la mère. - Sa
mère
est morte à 76 ans, asthmatique. Son père, nerv
ucun idiot, -aucun épileptique, aucune malformation congénitale; la
mère
de l'enfant a 3 soeurs vivantes et parfaitement
n'était pas la première dans la famille maternelle : la soeur de la
mère
de l'enfant a donné naissance à deux gar- cosum
l'enfant et une Antécédents personnels. 79 cousine germaine de la
mère
ont eu chacune une grossesse double). Notre m
est effectuée dans de bonnes conditions physiologiques, bien que la
mère
-se soit un peu serré le ventre que distendaien
que la fille, ne pesait que 2 kilogrammes. Nourri au sein par sa
mère
durant un mois, il a été ensuite élevé au biberon
un accident qui a beaucoup entravé son développement au dire de la
mère
. Il est tombé dans le feu et a eu le cuir cheve
é et bien parlé que vers 3 ans. C'est vers 5 ans seulement que sa
mère
a remarqué la bizarrerie de son esprit et la faib
dans lesquelles il menaçait de sauter par la fenêtre ou de tuer sa
mère
; il se levait fréquemment la nuit pour rêver et
expres- sion. Pendant les 15 derniers jours de son séjour chez sa
mère
, sans qu'on eut remarqué de changement dans ces h
rouvèrent dans cet état et l'arrêtèrent. - Réclamé et repris par sa
mère
, il montra une agitation telle qu'il devint dan
que et le développement intellectuel. C'est à cet accident que la
mère
attribue l'état mental de son fils et qui peut
uard; Par BOURXEVILLE et SOLLIER. SoMMAinE. Rien du côté du père.
Mère
, nerveuse. Grand-père maternel, alcoolique. - G
7'éiqtte. - Frère, convulsions de l'enfance. Emotion violente de la
mère
au sixième mois de la grossesse. - Premier vert
92, où il est décédé le 8 mai 1894. Renseignements fournis par la
mère
. - Père, 50 ans, doreur sur métaux (1), fort, d
, très sobre ce- (1) Nous notons toujours la profession des père et
mère
de nos malades afin de pouvoir, un jour, vérifi
épileptiques, ni aliénés, ni paralytiques, sourds-muets, etc.] -1
Mère
, 'il ans, sans profession ; pas de convulsions ni
s de boissons, mais buvait habituellement « comme tout le monde n.-
Mère
, morte à G5 ans d'hémiplé- gie droite avec apha
tin pendant qu'on le débarbouillait il se serra fortement contre sa
mère
. Il fut vu par un médecin qui lui donna dubro-
t de paralysie générale. - Grand'mère pater- nelle morte aliénée.
Mère
, très nerveuse, syphilitique. G)'a ? id')ne ? 'em
- Arrière-grand-père maternel, excès de boisson. - At·rière-grand'
mère
maternelle morte d'un cancer de l'estomac. - De
Vallée, le 21 mai 1892. Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
le 13 juin 189 ? 2). - Père, enfant naturel, 47
s et tantes. On ne croit pas qu'il y ait eu parmi eux d'aliénés].
Mère
, 39 anus, de meubles, très intelligente, bien p
ofessionnels; sobre, caractère assez emporté, est en bonne santé. -
Mère
, morte à 52 ans du diabète, n'a jamais eu d'acc
es déclamait. Jamais elle n'a- vait eu de convulsions (1). (1) La
mère
du malade, réglée à il ans et demi, s'était marié
élevée à la campagne au biberon (lait de vache) jusqu'à 21 mois. Sa
mère
l'a visitée au troisième mois et s'est aperçue
enue vite à elle (2 à 3 minutes). A la suite de ces convulsions, sa
mère
l'a fait venir pendant 3 ou 4 jours durant lesq
puis, au bout d'un mois, tous les jours jusqu'à son retour chez sa
mère
(21 mois). Elle avait it ce temps, 2 ou 3 accès
tard, étant devenue souf- frante et la garda n'en voulant plus, sa
mère
est allée la cher- cher et l'a conduite à l'hôp
fectifs sont nuls ; elle ne parait éprouver aucun plaisir à voir sa
mère
. - Jamais elle n'a semblé rien HI4. DESCRIPTION
clefs, un petit grelot, et alors elle rit ? 1'as de clastomanie. La
mère
répète qu'elle grinçait des dents « pendant des
nous font défaut surle grand père paternel et sur sa famille. La
mère
, très nerveuse, sans accidents convulsifs, a co
nt été enlevés par des affections cérébT8.- les, une arrière-grand'
mère
par un cancer , une tante . par la phtisie. I
tante . par la phtisie. II. A l'époque de la conception, père et
mère
, (il L'autopsie a été 'hite le jour de notre dé
par des coups, des chagrins, des colères. Dès le troisième mois, la
mère
s'est aperçue que son enfant était anormal et s
. - Grand'père paternel, excès de boisson. - Oncle paternel, idiot.
Mère
, migraineuse. - Grand'mère ma- ternelle, migrai
e, le 20 avril 1894. Antécédents.' - (Renseignements fournis par sa
mère
, le BOURNEVILLE, Bicêtre, 1895.. , 8 114 Anté
l devait contribuer à l'entretien et à l'éducation de l'enfant ; la
mère
ne l'a jamais revu. Il n'aurait pas eu de convu
as eu de convulsions dans l'enfance. Il était « très sain », dit la
mère
, n'a jamais eu de maladies de peau, ni de signe
renforcé; l'ivresse le rendait, parait-il, violent et dangereux. Sa
mère
est bien portante, sobre. Elle n'ajamais eu d'a
, ni de paralysie. - Grands-parents, tant du côté du père que de la
mère
, pas de renseignements. - Elle ne connaît qu'un
obre, marié, sans enfant. - Une soeur, intelligente, bien portante,
mère
de trois enfants, qui n'ont point présenté d'ac
- Ni aliénés, ni suicidés, ni sourds-muets de naissance, etc.] .
Mère
, âgée de 38 ans, couturière, n'a jamais eu de con
ni arthritiques, est mort à 57 ans, d'une pleuro-pneumo- nie. - Sa
mère
est très nerveuse, coléreuse et emportée ; elle
nmoins, si les rapports n'é- taient pas rares pendant l'ivresse, la
mère
ne croit pas que l'enfant ait été conçu dans ce
enfant ait été conçu dans ces conditions. Durant sa gros- sesse, la
mère
eut à subir de nombreuses contrariétés du fait
ectomie. prédominance d'un côté ou de l'autre. « Le forceps, dit la
mère
, avait produit deux plaies qui ont laissé deux
her vers quatre ans, mais il était très faible ; c'est alors que sa
mère
s'aperçut que le côté gauche était moins fort q
mots : papa, maman, qu'il prononçait mal avant l'opération, dit la
mère
, et sans application bien nette à la personne d
nué de fréquence. Comme cela n'avait pas réussi tout à fait, dit la
mère
, j'ai demandé une nouvelle opération. Cette deu
ia la suite de cette opération : « c'est venu insensiblement dit la
mère
. La parole n'a pas subi de modifications. Pourt
l'idiotie chez un oncle pater- net de l'enfant, la migraine chez sa
mère
et sa grand'- mère maternelle. II. Durant la
le pater- net de l'enfant, la migraine chez sa mère et sa grand'-
mère
maternelle. II. Durant la grossesse, chagrins,
eux de naissance. - Grand'tante et grand-oncle paternels aliénés. -
Mère
, grand-père et grand' mère, morts tuberculeux.-
ins il aurait été sobre et n'aurait pas eu de maladies nerveuses. -
Mère
, 73 ans, bien portante pas d'accidents né- vrop
thologiques ni psychiques inté- ressants sur la famille du père.]
Mère
, morte ia 29 ans en 1871 d'une affection chroniqu
était sobre et avait reçu une certaine éducation. - [Famille de la
mère
. Père, cuisinier, serait mort « de la poitrine
re mais fort joueur. Il n'au- rait jamais eu de maladie nerveuse. -
Mère
, à laquelle ressem- blait beaucoup, dit-on, sa
d'accidents comitiaux. - Rien de plus à noter dans la famille de la
mère
]. Pas de consanguinité. (Le père est de Paris e
ille de la mère]. Pas de consanguinité. (Le père est de Paris et la
mère
de l'Oise.) - Inégalité d'Age de deux ans. De
ants : 1° Notre malade ; - 2° Un garçon, né en 1870. Ayant perdu sa
mère
durant le siège, il fut un peu négligé, sa cons
ien portant et n'a pas eu de convulsions (2). Notre malade . - La
mère
eut une grossesse assez bonne, troublée seuleme
s aveugle (il ne le devint qu'en 1870). Il fut élevé au sein par sa
mère
et ne fut sevré qu'à 15 mois environ. Le début
en-dessous le sommier et s'en fut en riant la porter à sa grand'-
mère
. Il se rendait si bien compte de la sottise qu'il
s escaliers en dehors des marches en s'accrochant à la rampe ; la
mère
d'un autre enfant, placé dans le service, nous a
de racontars parvenus aux oreilles de la belle-mère de l'enfant, sa
mère
étant morte depuis longtemps ; aussi ne doit-on
l mort de convulsions. - Deux oncles paternels, excès de boisson.
Mère
, rien de particulier. - Une soeur et un frère mor
de convulsions Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 4 ans (
mère
plus âgée.) J Première dent à 6 mois ; dentit
ice de M. BOURNEVILLE). Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
). Père né avec deux autres jumeaux ; pas de con
ns, vigoureux, caractère doux, aucun excès, aucune tare nerveuse. -
Mère
morte à 75 ans d'affection pulmonaire ai- guë;
ème enfant jumeau était un garçon mort à deux ans de convulsions.
Mère
, 46 ans, journalière, d'apparence chétive, parais
aite; pas de convulsions, pas de migraines, etc. - [F'atnille de la
mère
.- Père, 69 ans, journalier, toujours bien porta
mille, ni aliénés, ni paralysés, etc.] - Pas de consanguinité. - La
mère
a 4 ans de plus que son mari. Six enfants : '
it état de santé, sans la moindre asphyxie. - Nourri au sein par sa
mère
jusqu'à 20 mois. - Première dent à 6 mois; dent
ents. L'enfant paraissait comme mort. Cet état a duré 24 heures. Sa
mère
l'a levé le lendemain ; elle dit qu'il n'était
rises céphal- algiques, revenant 2 ou 3 fois par mois, obligeant sa
mère
de le coucher, et accompagnées de congestion de
et des accès de colère. L'en- semble de ces symptômes détermine la
mère
iL récla- mer le placement de son enfant et le
une malade externe Gonich ? âgée de 1 an 1/2, habitant Ivry, que sa
mère
amenait tous les deux jours. Les injections sou
1895. TROIS cas D'IDIOTIE myxoedémateuse. 185 toute sa famille. -
Mère
, rien de particulier. - Grand- père maternel, e
pieds bots. Pas de consanguinité. Egalité d'âge entre le père et la
mère
. Grossesse : émotion vive au quatrième mois. A
10 août 1894 à la Fondation Vallée. Renseignements fournis par la
mère
de l'enfant (le 6 sep- tembre 1894). La malad
donnance du général X... à Nancy quand il a fait connaissance de la
mère
de la malade, domes- tique dans une maison que
la naissance de l'enfant. - Aucun rensei- gnement sur sa famille.
Mère
, 36 ans, autrefois domestique, maintenant concier
a journée, il est mort d'une attaque d'apo- plexie en une heure. Sa
mère
est morte « asthmatique » ; elle n'était ni ner
as de consanguinité : le père est du départe- ment de la Seine;- la
mère
est de Saint-Avold près Metz où il y a des goit
autour du cou, l'en- fant a crié de suite. - Elevée au sein par sa
mère
durant un mois puis placée chez une soigneuse d
férence de forme du nez de la malade de celle du nez de ses père et
mère
que nous avons mentionné, détail qui a pu paraî-
and-oncle et grand' tante paternels atteints de débilité mentale. -
Mère
, rien de particulier ; modification de la coule
er 1893. ANTÉcéDENTS. - (Renseignements fournis par le père et la
mère
le 23 avril 1893.) Père bien portant, quarante-hu
ligents qui ont servi chez leurs frères et soeur, pas d'enfants].
Mère
, quarante-huit ans, bien portante, pas d'accident
dance et repoussaient vite et de plus en plus bruns. [Famille de la
mère
. - Père, mort écrasé par un mur, sobre, très in
crasé par un mur, sobre, très intelligent; pas d'accidents nerveux.
Mère
, soixante- douze ans, bien portante, pas d'acci
s quoique mariée ; l'autre soeur célibataire. Dans la famille de la
mère
, ils sont tous nerveux, mais ni paralyti- ques,
s- sesse, forte émotion au cinquième mois : on vint annoncer à la
mère
que son mari était écrasé, elle a tremblé dix min
elle enfant, pas d'asphyxie, a crié de suite. Élevée au sein par sa
mère
, sevrée iL treize mois, première dent à six moi
, pas d'abcès. Le père attribue la maladie à la forte émotion de la
mère
durant la grossesse : « Ça lui vient de naissan
us paraît devoir être ratta- chée à la vive émotion éprouvée par la
mère
au cin- quième mois de la grossesse. Jamais, en
tuberculose pulmonaire. - Grand-père paternel, excès de boisson. -
Mère
, rien de particulier. Grand'mère maternelle, mo
le 10 février 1819, est entré à Bicètre le 30 septembre 1890. Sa
mère
décrit ainsi ses accès comitiaux : « Il est pris
ement intellectuel : céphalalgies.- Oncle paternel suicidé ace ans.
Mère
rhumatisante, névralgique, migraineuse. - Grand
vralgique, migraineuse. - Grand-père materne ! r/t'nnaHsant. Grand'
mère
maternelle rhuma- tisante et migraineuse. - Arr
e méningite. - Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 19 an* (
mère
plus âgée.) Peur à la fin de la grossesse. - Pr
vi d'aliénation mentale. Grand' oncle paternel paralysé du bras.-
Mère
, faiblesse des jambes durant l'enfance ; réglée
les, dou- loureuses, pouvant avoir de graves conséquences pour la
mère
si elle redevient enceinte; ils sont dangereux
sque sans arrêts et surtout la nuit des cris aigus, empêchant père,
mère
, frères et soeurs de reposer. Et cependant.le l
ant.le lendemain-il faut que le père retourne à son travail, que la
mère
vaque aux soins du ménage. Ce n'est pas tout. L
sur leurs frères et soeurs. Voici, à l'appui, ce que nous disait la
mère
d'un petit idiot : « Nous avons deux jumeaux âg
essaire- ment assister après avoir refusé do protéger et d'aider la
mère
, qu'on se décide tardivement à interner, à un â
ble de le tenir en repos ; il ne cessait de l'agiter. Au dire de la
mère
, ces mouvements con- vulsifs étaient par moment
ne aura procursive. Observation XI. - Fille âgée de dix-sept ans. -
Mère
et tante maternelle épileptiques. - Vertiges et
Louise-Laurence), née à Paris, âgée de dix-sept ans. Ayant perdu sa
mère
à l'âge d'un an et demi, a été élevée par les s
la chorée trouvent chez cette enfant une cause dans l'hérédité. Sa
mère
était épileptique, et, au rapport d'une de ses
muscles de la face et des membres. Une de ses tantes, du côté de sa
mère
, a eu aussi des attaques d'épilepsie. Quant aux
vice de M. BOURNEVILLE). Antécédents (Renseignements fournis par sa
mère
et son grand- père paternel . (6 mai 1881.) - P
ans, homme de peine ; pas d'excès de boisson, pas de migraine. -
Mère
, morte à l'âge de soixante-dix-neuf ans, en douze
de difformes, pas de suicides, pas de criminels dans la famille.]
Mère
, cinquante-six ans, brune, de taille moyenne, bie
cordonnier, « n'aja- mais vu un médecin»; pas d'excès de boisson. -
Mère
, quatre- vingt-cinq ans, femme de ménage, bien
ménage, bien portante 2. Deux ' C'est l'aîné, il n'est que frère de
mère
; né avant le mariage. * Elle est morte en juin
fièvres éruptives, pas d'accidents strumeux. a A mon idée », dit la
mère
, « l'enfant aurait eu une peur avec la nourrice
cité avec quelques-uns de ses camara- des, il vole les bijoux de sa
mère
et de sa soeur et les vend. - Déjà, du reste, p
hôtel, puis le troisième il a envoyé un camarade s'infor- mer si sa
mère
demeurait toujours au même endroit : une voisin
Bicêtre (service de M. BOURNEVILLE). Renseignements fournis par sa
mère
(16 novembre 1885). Père, quarante-neuf ans et
était un peu « ours » et faisait quelques excès de boisson (vin). -
Mère
, maîtresse d'hôtel meublé, morte paralysée à l'âg
épi- leptiques, ni d'autres paralytiques, etc., dans la famille.]
Mère
, quarante-quatre ans, châtaine, bien portante, d'
nte-neuf ans d'une attaque d'apo- plexie en quarante-huit heures. -
Mère
, soixante-cinq ans, sobre, bien portante. - Gra
autour du cou, sans cyanose ; cri immédiat. - Elevé au sein par sa
mère
, il a été sevré à treize mois (alors que sa mèr
evé au sein par sa mère, il a été sevré à treize mois (alors que sa
mère
était enceinte de quatre mois et demi) : « Il a
ze ans, un jour de mi-carême, étant descendu dans la rue, malgré sa
mère
, il s'est associé aux jeux d'autres enfants ; l
ccès ; une seconde fois, l'année suivante, avec un cou- teau que sa
mère
lui arracha des mains ; elle se blessa l'index
e des vertiges, ont débuté en août 1883. Revenant du marché avec sa
mère
, il s'est mis tout à coup, sans rien dire, à co
ensuite il courir. - A la maison, il cou- rait dans la chambre ; sa
mère
le saisissait violemment, le couchait sur un ca
ls. ;l2' DE l'épilepsie PROCURSIVE. Durant l'interrogatoire de sa
mère
, comme il attendait des vant le cabinet, assis
SIVE. DE l'épilepsie PROCURSIVE. 59 Consanguinité : le père et le
mère
du malade étaient cousins germains et portaient
un mort mort-né ; 2° Notre malade. Né à terme, élevé au sein par sa
mère
. Pen- dant la première et la deuxième année, il
agération. Observation XX. - Epilepsie. - Père, hémiplégie droite
Mère
nerveuse ; - grand-père maternel, mort ci quatre-
. (Service de M. 13ouRVSVII.L>·;.) Renseignements fournis par sa
mère
(1) décembre 1885). - Père, fabricant de chapea
éphalalgies. [Père, fabricant de chapeaux, mort à trente et un ans.
Mère
, DE l'épilepsie PROCURSIVE. 71 Il morte à soi
de difformes, de criminels, de suicides, etc., dans la famille.]
Mère
, soixante-quatorze ans et demi, coloriste; elle e
is été malade. - [Père, mort à quatre-vingt-un ans d'une pneumonie.
Mère
, morte à quatre-vingts ans des suites d'une hém
te répréhcnsible. - D'un caractère très emporté, il aurait battu sa
mère
si l'on ne s'y était opposé. - Il a été mis en
Pas d'accès ni de vertiges eu 1887. 74 DE l'épilepsie PROCURSIVE.
Mère
, quarante ans, sans profession, n'a eu ni migrain
- nier, alcoolique, a succombé à une affection génito-urinaire. -
Mère
morte d'accidents pulmonaires sans aveir jamais e
de convulsions : il était très intelligent : 2° Notre malade. - Sa
mère
fit deux chutes pendant sa grossesse : la premi
on premier accès convulsif : tout d'un coup il quitta la main de sa
mère
, fut précipité en avant comme s'il courait et t
it à ' Selon une note prise par M. Delasiauve le 10 août 1812, a sa
mère
affirme qu'il était hydrocéphale dans sa jeunes
r ma demande par le médecin traitant : " Elle est née de père et de
mère
bien portants, non parents. Du côté paternel au
ême vieillesse. Une soeur ainée, bien portante et intelligente ; sa
mère
est morte quelque temps après sa naissance, à l
lique. Grand-père et oncle paternels alcooliques et phtisiques. -
Mère
, névralgies. - Grand-père maternel, apoplectique.
2 et y est dé- cédé le G juin 1883. Renseignements fournis par sa
mère
(27 février 1882). Père, trente-six ans, tourne
à trente-huit ans, tourneur en cuivre, quelques excès de boisson. -
Mère
, soixante ans, n'a jamais été malade, pas d'acc
1871 (fédéré), il buvait aussi et au- rait eu des hémoptysies ? ]
Mère
, trente ans, travaillait aux champs avant le mari
uf ans, d'une attaque d'apoplexie foudroyante en dix-neuf heures. -
Mère
, soixante-quatorze ans, bien portante, n'est pa
que sa figure grimaçait, qu'il était pâle, qu'il allait tomber; sa
mère
l'a pris sur elle, tout le corps était roide ég
l'observation suivante : Observation XXIV.- Père, múrt phthisique.
Mère
migrai- neuse de l'âge de six ans à la ménopaus
mai 1877 (service de M. Bourneville). Renseignements fournis par la
mère
. - Père naturel, plom- bier zingueur, pas d'acc
rnins, sobre, mort de phthisie l'âge de quarante-deux ans. [Père et
mère
, soeurs et frères bien portants. - Pas d'épilep
s. - Pas d'épileptiques, pas de suicides, etc., dans la famille.]
Mère
, soixante-deux ans, marchande des quatre saisons;
onie, mais est actuellement bien portante. [Père, pas de détails. -
Mère
, migraineuse, morte du choléra. - Une soew' et
. DE (.lil'If,CP.1G PROCUI251VG. 97 Renseignements fournis par sa
mère
(8 novembre z1884). -- Père, tailleur, assez gr
tes d'un refroidissement ( ? ) en trois jours ; tisserand, sobre. -
Mère
, morte à soixante-douze ans, d'une attaque d'ap
ots, de difformes, de suicidés, ni de criminels dans la famille.]
Mère
, quarante-quatre ans, couturière, brune, de taill
ère, mort en 1871, de la varioloïde, menuisier. Excès de boisson. -
Mère
, bien portante, soixante-six ans, sobre. - Gran
t. - Elevé au sein par une cousine. - A deux ans et demi lorsque sa
mère
l'a repris, il avait toutes ses dents. De bonne
alors le catéchisme pour sa première communion, ce qui fait que sa
mère
attribue cette diminution des accès à une « per
i, il est allé en Prusse (en pleine campagne, dans la famille de sa
mère
). Il y est resté deux mois; il a eu peur, il au
84. On a noté en outre depuis un an des accès de colère contre sa
mère
qu'il prenait par les cheveux, contre son petit f
u'il cassait. Un jour, une dame voyant qu'il se révoltait contre sa
mère
, l'a souffleté ; alors, de rage, il a pris un c
, et cherche parfois àl'embrasser; dit : « Je voudrais bien voir ma
mère
. » Caractère très doux, très obéissant. Il sait
spondant à la période ménin- gotique terminale. Observation XXVI.
Mère
, nerveuse. - Grand'mère maternelle, attaques de
Conception par viol. - Grande différence d'âge entre les père et
mère
. - Premières convulsions ci six mois. - De quinze
e prétendus rats et des souris. Observation XXIX. - Père douteux. -
Mère
débauchée. - Début des accès à quatre ans. - Ch
thisique. - Un oncle paternel phthisique. - Un autre épileptique. -
Mère
migraineuse. Grand'mère maternelle hystérique.
in. Il cherche souvent aussi à se déshabiller. Etant encore chez sa
mère
,. Louq... accomplissait des actes automatiques
Au bout de quelques minutes, il revint à lui. Observation XXXIV.
Mère
, nerveuse, inconduite, migraineuse, morte p/t&l
tion XXXV. - Père diabétique. - Grand'mère paternelle phthisique. -
Mère
hystérique. - Deux cousins germains de la mère
elle phthisique. - Mère hystérique. - Deux cousins germains de la
mère
du côté paternel, épileptiques. - Vertiges ci dix
ça lui piquait dans la tête et dans le nez. Il accourait vers sa
mère
chez laquelle il ne s'est jamais blessé. Dans son
ait dans la chambre, dans l'avenue (à Saint-Mandé), voulait tuer sa
mère
parce qu'elle ne voulait pas lui laisser faire
ortance en médecine légale est bien moindre. Observation XXXVI. -
Mère
, morte d'un cancer du sein. - Début de l'épilep
des du service de Bicêtre : Observation XXXIX. - Père alcoolique. -
Mère
phthisique. - Soeurs et pères malformés et conv
urine quelquefois sous lui; enfin il se rendort. Observation XLI. -
Mère
hystérique, intelligence peu développée.- Grand
es accidents, il a donné un violent coup de main sur l'épaule de sa
mère
. - Jamais il n'a frappé son père; il lui disait
lecteur le soin de juger en dernier ressort. Observation XLII. -
Mère
morte maniaque. - Signes légers de dégénérescen
. I, p. 2L DE l'épilepsie PROCURSIVE. 119 Son père vit encore, sa
mère
est morte maniaque à l'âge de quarante ans. Frè
nalier, mort à l'âge de soixante et onze ans, on ne sait de quoi. -
Mère
morte de vieillesse ( ? ) à l'âge de soixante-d
nés, pas d'épileptiques, pas de suicides, etc., dans la famille.]
Mère
, soixante ans, assez grande, brune, fait son ména
enfant naturel, mort alcoolique, à l'âge de soixante ans environ. -
Mère
morte à trente-cinq ans de bronchite. - Pas d'a
forme. L'enfant était bien conformé, il a été nourri au sein par sa
mère
jusqu'à deux ans ; il a commencé à parler de bo
s diflicile d'obtenir des renseignements bien précis, le père et la
mère
étant d'une intelligence au-dessous de la moyenne
mère étant d'une intelligence au-dessous de la moyenne. De plus la
mère
parle mal le français. 124 DE l'épilepsie PROCU
) et y est décédé le l" avril 1885. Renseignements fournis par sa
mère
(28 mars 1882). - Père, quarante-sept ans, trav
artres, etc. [Père, maçon, bien portant, nombreux excès de boisson.
Mère
, bien portante, ainsi qu'un frère, une saur (de
enfants). Pas d'aliénés, d'épileptiques, etc., dans la famille.]
Mère
, quarante et un ans, journalière aux champs, peu
chemin de fer, mort au bout d'un an ; nombreux excès de boisson. -
Mère
, pas de détails; elle est morte de la poitrine,
coolique du père. - Grossesse : au sixième mois, émotion vive de la
mère
causée par la vue d'at- taques d'hystérie d'une
algré cela, il n'y aurait pas eu de cyanose. - Elevé au sein par sa
mère
jusqu'à seize mois. A six mois il aurait été so
s dans l'enfance. - Frère probablement épileptique. - Emotion de la
mère
, trois semaines avant l'accouchement, et trembl
nes. [Père, maître d'école en Hollande, pas de détails, - ni sur la
mère
. - Deux frères : l'un est maître d'école, bien
e choréiques, ni de difformes; pas de suicidés, ni de criminels.]
Mère
, soixante ans, journalière, faisait des ménages;
n'est pas nerveuse, aucun excès. [Père, mort on ne sait de quoi. -
Mère
, morte en couches à vingt-sept ans, pas de déta
diots, d'épileptiques, etc.] Pas de consanguinité (père hollandais,
mère
lorraine). 8 enfants : 1° un mort-né;- 2° un, m
e 2 ). Notre malade. - Grossesse bonne; pourtant, à huit mois, la
mère
a été émotionnée parla mort de son second enfant.
BLE AVEC IMBÉCILLITÉ. 163 s'il était asphyxié. Elevé au sein par sa
mère
, sevré à vingt-huit mois. Le tremblement aurait
remier jour, il a tremblé et il a emporté le trem- blement de notre
mère
. » Il n'a jamais marché à la maison, c Aus- sit
l'émotion et au tremblement survenus à la fin de la grossesse. « Ma
mère
a senti un choc en elle, et a senti l'enfant re
on rappelle celle d'un enfant « rai trente-six ans... et demi... ma
mère
... demeure... rue... de Meaux ..... la Villette
ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. 171 Renseignements fournis par sa
mère
(24 avril 1882) - Père, char- retier, mort en 1
, garde champêtre, est mort très âgé; on croit qu'il était sobre. -
Mère
, ménagère, morte de vieillesse. - Deux frères :
e boissons, mort à la suite d'une chute avec frac- ture de côtes. -
Mère
, morte à soixante-huit ans, « après avoir traîn
eu d'interposition; « Bien que j'aie eu beaucoup de misères, dit la
mère
de l'enfant, je n'ai eu que mon mari. » - Gross
e du cordon autour du cou et était cyanose.) - Elevé au sein par sa
mère
jusqu'à dix-hui mois. A trois ou quatre mois, pre
l voie une personne une fois pour se la rappeler, il affectionne sa
mère
, ses frères; il est caressant. Avant l'entrée à l
tous les jours dans la cour où il marche à l'aide d'un chariot. Sa
mère
a pu le prendre en congé pendant huit jours, ce
pe musculaire mis en jeu. Lem.... avance assez bien son chariot. Sa
mère
le fait sortir tous les deux mois depuis qu'il
oolique. Autre oncle paternel alcoolique. Cousin germain nerveux.
Mère
: migraines, vitiligo.- Grand rnère maternelle hé
ée à la consultation le 11 août 1887. Renseignements fournis par sa
mère
. - Père, 43 ans, était bien portant jusqu'en 18
autres idiots, pas de déformations congénitales dans sa famille].
Mère
, 43 ans, - elle a deux mois de plus que son mari,
mort du choléra, vers 185t, carrier dans les monta- gnes, sobre. -
Mère
, morte hémiplégique. Un frère en bonne santé po
IMBÉCILLITÉ : ANTÉCÉDENTS PERSONNELS. 209 Pas de consanguinité (la
mère
est de la Savoie (Latable, près de Chambéry). -
ion, qui a eulieu un mois après le mariage, au mois d'août 1870, la
mère
était déjà contrariée de voir son mari boire. C
. Ces émotions ont été surtout vives à la fin de la grossesse. La
mère
attribue les difformités que sa fille présente au
t de suite et n'avait aucun signe d'asphyxie. Elevée au sein par sa
mère
, elle a été sevrée à quatorze mois. Elle a marc
ait vingt-deux mois de moins qu'elle, et la jetait par terre. Si sa
mère
la réprimandait, elle se vengeait BOUftNEVILLE,
NTÉCÉDENTS PERSONNELS. sur sa soeur ou sur les objets. Une fois, sa
mère
étant allée voir, à l'hôpital, son mari, qui av
.. a toujours été volontaire, désobéissante, aimant à contrarier sa
mère
; elle crie très fort, même dans la rue, atti- r
un chapeau, et en même temps des souliers non cirés. Il faut que sa
mère
la nettoie comme un enfant, si elle veut qu'ell
voir la notion du temps. C'est ainsi que, il y a quelques jours, sa
mère
l'ayant envoyée chercher un seau d'eau vers 4 h
en envoient IMBÉCILLITÉ : SYMPTÔMES. 211 d'autres la chercher. La
mère
ne pouvant l'utiliser pour le ménage, ni pourle
nt qu'elle veut.Très menteuse et très gourmande; elle mange avec sa
mère
, comme cette dernière, puis s'il reste quolque
he-t-on les disputes entre elle et les gamins. Il suffirait, dit sa
mère
,. que quelqu'un lui offre le mariage, pour qu'e
qu'un lui offre le mariage, pour qu'elle se laisse emmener. Si sa
mère
la gronde, elle se rebiffe, crie, lui dit qu'elle
e rebiffe, crie, lui dit qu'elle l'embête, et l'injurie. Lorsque sa
mère
lui donne « une giffte » elle lui en rend trois
se d'entrer dans do nouveaux déve- loppements. Dans l'opinion de la
mère
de la malade, elles reconnaîtraient pour cause
dées de persécution, menaces. accusations d'incorporation contre sa
mère
. Plaintes au procureur de la République et au p
1884. 238 antécédents héréditaires. Renseignements fournis par sa
mère
(21 juin 1884). - Père, 49 ans, cordonnier, bie
tiques, ni suicidés, ni criminels, etc., etc., dans la fa- mille.
Mère
, 42 ans, travaille à la chaussure ; brune, assez
GO ans d'une fluxion de poitrine, sobre, pas d'accidents nerveux. -
Mère
, G8 ans, bien portante, pas nerveuse, mais empo
er- nel, pas de détails. Avait été seulement l'amant de la grand1
mère
maternelle, laquelle est morte de vieillesse à 84
bureau. Il avait alors 16 ans (juillet 1883). Depuis 15 ans 1/2 sa
mère
avait remarqué des taches de sperme sur ses dra
maison. On ne pouvait rien lui dire, et il envoyait prome- ner sa
mère
pour le plus léger motif. Il continuait cepen-
t aussi quelquefois le soir en rentrant de son travail. Une fois sa
mère
le surprit la tête dans ses mains et riant comm
de quinze jours, il fut repris de ses rires nocturnes. Bien que la
mère
de l'enfant eut conseillé à son mari, en menant
ue du commissaire de police. Son père fut de nouveau prévenu, et sa
mère
vint le chercher. Mais il ne voulait pas reveni
ant que c'était pour le mettre à Sainte-Anne. Il sauta au cou de sa
mère
et voulut l'étrangler, et il resta coucher deho
s, disant « qu'il ne voulait pas coucher sous le même toit que sa
mère
. » On le voyait se lever tout à coup, en gesticul
8 heures, il revint chez son oncle, mais refusa de partir avec sa
mère
. Il voulait qu'on arrêtât les gens qui l'électris
saient. Tout à coup, pendant le déjeuner, il se mit à injurier sa
mère
, l'appelant idiote, disant qu'elle était « une ex
Moi je ne couche pas ici, répondit- il, donne-moi deux francs. » Sa
mère
faisant des obser- vations et voulant le reteni
ant que pour sa sécurité il ne voulait pas coucher chez ses père et
mère
. Le lendemain, son père alla le chercher chez s
rs avant de partir à Argentan qu'il s'est montré grossier envers sa
mère
. De là une dis- pute avec son père qui lui a do
oration avant son entrée à Sainte-Anne, ci Etant à Argentan, dit sa
mère
, il nous blâmait un jour, et dit à ses parents,
n père était un juif, et que moi j'étais une grosse vache. » - Sa
mère
le visita plusieurs fois à Sainte-Anne. Le premie
un enfant, et qu'il déchirait tout. Notre malade aimait assez sa
mère
jusqu'à 12 ans ; il n'a jamais aimé son père, q
; il n'a jamais aimé son père, qui le corrigeait quelquefois. Sa
mère
assure ne l'avoir jamais frappé, tandis que son p
la place. Il s'é- tait vivement préoccupé de cette suspicion et sa
mère
se demande si elle n'aurait pas été cause de la
e sur les rapports sexuels qu'il pré- tendait avoir la nuit avec sa
mère
. 11 juin. Le malade donne quelques renseignemen
parents, Antoine Gaug.... mon père et Célina B.Iz... son épouse, ma
mère
, demeurant tous deux rue.... n° 26, chez le com
i à me plaindre d'actions indécentes réellement revécu- tées par ma
mère
de complicité avec mon père, la nuit pen- dant
sur moi, je cherchai il me lever, j'étais attaché dans mon lit, ma
mère
venait d'exercer sur moi l'incorporation. Elle
des doutes même en traitement des mêmes indécences exercées par ma
mère
pendant mon sommeil. Nous retour- nâmes à la co
but que d'avancer la fin de mes jours, étant poitrinaire, et que ma
mère
se livrait à ces actions que pour affaiblir son
tres enfants que chez lui, la nuit (jusqu'à cinq fois par nuit), sa
mère
se mettait sur lui. Ça allait par gradations, I
valles de huit ou quinze jours. Il n'éprouvait aucun plaisir, et sa
mère
s'incorporait à lui pour calmer ses nerfs à cll
er ses nerfs à clle. Son père était probable- ment d'accord avec sa
mère
. De temps en temps il paraît triste, se tient à
t d'un fait que j'avais ignoré jusqu'ici et que je sus alors que ma
mère
, de complicité avec mon père, exerçait l'incor-
e par l'intermédiaire du commissaire de police. Vers le 8 mai, ma
mère
vint me chercher pour me ramener à Paris. Je lu
phine nous mit tous en excitation. Ma grand'mère, sur l'ordre de ma
mère
, voulut me faire faire des gestes, dans le but
nthèse. Cette dernière proposition leur fut soufflée d'abord par ma
mère
(ce sont ses propres paroles). Elle s'électrisa
do mouvements. J'affirme, comme . idées DE persécution. ' 249 ma
mère
le dit elle même et tout haut, qu'elle ne faisait
les chercher. » Mon oncle me dit : « Tu as tort de faire peur à ta
mère
, » locution qui venait de lui être soufflée dan
e, » locution qui venait de lui être soufflée dans l'oreille par ma
mère
. J'affirme que ces troubles se sont produits pa
, à mon parrain Isidore B...., à ma grand'mère Ch. B...., et à ma
mère
elle même. C'étaient des changements de couleur.
hangements de couleur. Ils de- venaient noirs, rouges et blancs. Ma
mère
déclara elle-même au commissaire que c'était el
, fais le. » Ma grand'mère me reprit alors par le bras (ordre de ma
mère
). Morphine, en me disant : « montre-le comme ça
dre de ma mère). Morphine, en me disant : « montre-le comme ça à ta
mère
.» Je ne voulus le faire et alors je devins roug
ça à ta mère.» Je ne voulus le faire et alors je devins rouge ; ma
mère
me dit de le faire, et mon oncle se levant de t
ci-dessus. La famille s'ef- fraya, d'elle-même, se mit à dire à ma
mère
: « Tu n'es qu'une méchante. Tu ne peux pas dir
pprouvai. Je voulus encore qu'on allàt cher- cher les gendarmes. Ma
mère
ne voulut point, la famille s'y opposa, et leur
rrivée du commissaire. Toute cette pantomime fut commandée par ma
mère
, aidée par la morphine. Les gendarmes étaient a
ndarmes étaient aussi électrisés et m'enfermèrent sur l'ordre de ma
mère
dans la tour. Au bout 250 IDÉES DE persécution.
es nommés Antoine G...., fermier, et Célina B...., son épouse, ma
mère
demeurant rue 5... ? n° 26, en arrivant à Paris (
cêtre), j'avais à me plaindre d'attentats à la pudeur commis par ma
mère
, de complicité avec mon père, depuis l'âge de 1
nt aussi en quelle aversion il avait pris ses parents et surtout sa
mère
, qu'il accusait d'être son incube. 24 juillet
la vue ni de l'ouïe. Il ne sent plus l'odeur de la morphine dont sa
mère
se servait pour l'incorporation. Pas d'hallucin
s que lui leur avait fait gagner plus de : 3,0011 fr. Le 16 août sa
mère
étant venue le voir, il arrive, se laisse embra
endant, et consent maintenant plus facilement à voir son père et sa
mère
ot les reçoit bien. Il embrasse sa mère, ce qu'
ement à voir son père et sa mère ot les reçoit bien. Il embrasse sa
mère
, ce qu'il ne voulait pas faire auparavant. Son
nue à travailler à l'école et à l'atelier. Dimanche dernier 25, sa
mère
est venue le voir. Elle lui avait promis de lui
asquette tout de suite, » et levait le bras comme pour atteindre sa
mère
. L'infirmier s'étant approché, il lui dit : « J
ire ce que je veux ; vous seriez 200 que je vous tuerais tous. » Sa
mère
partit, et il retourna seul au gymnase. Au bout
pense qu'il n'y a plus d'onanisme, et G... affirme ne plus voir sa
mère
la nuit. Les notes de l'école de cette époque c
- ment soigneux et même minutieux de sa personne. 12 novembre. Sa
mère
est venue le voir dimanche der- nier. Il ne lui
laissé ramener sans difficulté, disant qu'il voulait aller voir sa
mère
, qu'il s'ennuyait à Bicêtre. Il se promène seul
ombrit davan- tage (septembre 1883). Après une amélioration éphé-
mère
, la situation s'aggrava. Il se livra à des excen-
des injures à l'adresse de ses parents, chercha à étran- gler sa
mère
, la menaça de coups de couteau, l'accu- cusa d'
hez ses parents, afin d'échapper à des rapports imaginaires avec sa
mère
. Nous devons relever aussi les périodes d'excit
mpossible de se lever pour échapper aux pré- tendus rapports que sa
mère
avait avec lui. Semblable au mari d'une sorcièr
stence. « Je lègue également à ma nièce Zélie, femme Iiéyliztctt,
mère
du petit unie même rente viagère de deux mille
orte d'apoplexie. Petit cousin et petite cousine paternels aliénés.
Mère
migrai- neuse. - Influence des grossesses et de
n choréique Pas de consanguinité. -Inégalité d'âge du père et de la
mère
(15 ans ? Gëmettarttë. - Frère : convulsions in
Bicêtre (service de M. BOURNEVILLE), Renseignements fournis par sa
mère
(24 août 1885). Père, 55 ans, homme de peine, s
[Père, cultivateur, mort à 87 ans d'affection cardia- que, sobre. -
Mère
, morte à 80 ans. Grands parents, sobres, pas de
de difformes, de suicides, de criminels, etc., dans la famille.]
Mère
, 40 ans, couturière, bien portante, migraines dep
, 66 ans, sourd, a une cataracte; pas d'accidents nerveux, sobre.
Mère
morte à 43 ans, phtisique sans doute ; elle avait
sillons, qui ont sub- sisté pendant deux ans. Elevé au sein par sa
mère
jusqu'à l'âge d'un an : il tétait beaucoup, mai
vache ; son ventre était gros, les digestions se faisaient mal. Sa
mère
le conduisit à la consultation de l'hôpital Tro
de l'hôpital Trousseau, où il fut soigné. Il fut sevré à un an (sa
mère
se trouvant de nouveau enceinte), et envoyé à l
n s'est faite lentement, les dents poussaient toutes noires, dit la
mère
. L'enfant a commencé à marcher à 2 ans et demi,
moins bien qu'à trois ans et demi, mais il marchait facilement. Sa
mère
essaya en vain de lui apprendre ses lettres. A
du couteau. De neuf ans et demi, à douze ans, il est resté chez sa
mère
. Il était affectueux avec ses parents, prévenan
iblesse et de son état mala- dif. Il a toujours eu, nous a dit sa
mère
, cette maigreur et ce visage exprimant la souff
mpréhensible. T. It. 36, 8. A deux heures un quart, il reconnait sa
mère
qui vient le voir. A trois heu- res et demie, i
. Signalons en passant l'inégalité d'âge de 15 ans du père et de la
mère
du malade, inégalité invoquée par quelques aute
des parents eux-mêmes ? Peut-être. En effet, durant sa grossesse la
mère
de l'enfant éprouva deux émotions très vives, a
aternelle ori- ginale; idées de persécution durant ses grossesses.-
Mère
migraineuse. Grand'mère maternelle hystérique.-
vice de M. BOURNEVILLE. Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
). Père 39 ans, ciseleur sur bronze, toujours bi
fumeur. [Père corroyeur, mort accidentellement, excès de boissons.
Mère
aliénée, internée à l'asile de Vaucluse. Le cer
a conception n'a pas eu lieu dansl'i-rCsse. Pendant la grossesse la
mère
a eu des ennuis dus à la maladie de sa fille ai
it gros, bien constitué, sans asphyxie. Il fut élevé au sein par sa
mère
pendant deux mois ,puis comme il dépérissait, p
fois par jour. Les pieds et les mains se retournaient, nous dit la
mère
. Elles n'étaient suivies ni de stertor ni de stup
cédents personnels offrent de nombreux accidents névropathiques. La
mère
a eu des synco- pes durant la grossesse et pend
r BOUIEVtLLH et MORAUX Sommaire. - Grand oncle paternel alcoolique -
Mère
migrai- neuse, débauchée, alcoolique. Grand'mèr
ou vénériennes. [Père, maçon, mort d'une bronchite à 67 ans, sobre.
Mère
sobre, morte d'une attaque apoplectiforme ; 4 a
ues, ni suicidés, ni criminels, etc, danslafamille paternelle]. '
Mère
, 32 ans, fleuriste, grande, forte, mariée à 23 an
à 40 ans d'une- fièvre typhoïde compliquée d'accidents cérébraux. «
Mère
, alcoolique assez bien portante. Grand- père ma
s tous deux. Grossesse : pas de traumatisme ni de frayeurs, mais la
mère
aurait commencé à boire pendant cette première -
d'asphyxie à la naissance L'enfant a été élevé au biberon par sa
mère
. Il n'aurait jamais eu de convulsions et son -
is il est surtout très accusé dans la famille maternelle et chez la
mère
de l'enfant. II. Les troubles mentaux et physiq
, hydrocéphalie sjjniptoma- tique. Grand père paterne ! alcoolique.
Mère
, convul- sions à 2 ans. Prentiers symptômes à 1
ai 1888. Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par la
mère
de l'enfant). - Père, 38 ans, surveillant à Mazas
moyenne.-[Son père est mort accidentellement, il était sobre. Sa
mère
est morte de misère) ? ) à l'hospice de Mirecourt
hospice de Mirecourt. Pas d'antécédents nerveux dans la famille].
Mère
, 37 ans, brocheuse, a eu des convulsions à 2 ans,
e est d'un caractère assez doux. [Père mort à 75 ans de vieillesse.
Mère
morte à 35 ans des suites d'une fausse couche.
de consanguinité. Inéga- lité d'âge d'un an. 42 Antécédents. La
mère
de l'enfant s'est mariée deux fois. D'un premier
ance : c'était un gros et bel enfant. Il a été élevé au sein par sa
mère
et s'est développé d'une façon nor- male. Sa sa
ne lésion, à part un très léger degré d'épaississement de la pie-
mère
dans la région latérale et postérieure et au nive
), le 17 février 1890. ' Antécédents (Renseignements fournis par la
mère
de l'enfant). Père, facteur, mort à 39 ans de t
cassait tout, battait sa femme. [Père, 75 ans, bien portant, sobre.
Mère
, 72 ans, bien portante. Pas d'accidents nerveux
t impossible de se renseigner; son intelligence est conser- vée.]
Mère
, 40 ans, crémière, de physionomie régulière, touj
t et4 du second. [Père, mort avec toute son intelligence, à 94 ans.
Mère
, 94 ans, en bonne santé. Grand-père paternel ex
5 soeurs bien portantes]. Pas de consanguinité. (Père de Montargis,
mère
du canton de Berne). Inégalité d'âge de 2 ans.
lsions de l'enfance; aujourd'huibien portante et intelligente. La
mère
de l'enfant a eu, de son côté, d'un premier lit 2
pas eu lieu durant l'ivresse. Au troisième mois de la grossesse, la
mère
a eu deux émotions successives : l'une causée p
oâphalique de la tête (Fig. 5) . L'enfant ftit élevé au sein par sa
mère
jusqu'à 6 mois puis on lui donna du lait de vac
e moment et son développement paraissait se faire normal lement. Sa
mère
ne le revit qu'au 16sve mois et ne le reprit av
a naissance et ce n'est que vers la 2me année qu'on le constata. Sa
mère
le garda un an chez elle puis le plaça en Suiss
s mouvements du tronc et de la tête. Il chantonnait quelquefois; sa
mère
prétend qu'il a retenu plusieurs airs que son f
se roulait à terre. Il reconnaît un peu son frère et peu ou pas sa
mère
. Il n'a jamais eu de maladie infectieuse d'aucu
e-mère est absolument normale. 6 ! Réflexions. I. Le père et la
mère
se sont mariés chacun deux fois. Les enfants du
e se sont mariés chacun deux fois. Les enfants du premier lit de la
mère
n'ayant pas eu de convulsions, tandis que ceux
e ses frères. II. L'impression maternelle vive et prolongée de la
mère
durant la grossesse mérite d'être relevée. III.
iffi- cile de savoir à quoi la rapporter. Il n'existe pas chez la
mère
de déformation du bassin et l'accouchement s'es
LLE), est décédé le 17 juin 1886. ' Renseignements fournis par sa
mère
(16 décembre 1885). Père, 37 ans, mécanicien, i
bre, mort en 1880, d'une bronchite, faisait des excès de boisson. -
Mère
, morte on ne sait de quoi. Deux frères bien por
mes, pas d'aliénés, de suicidés, de cri- minels dans la famille.]
Mère
, 26 ans, blanchisseuse, sobre.-intelligente, bien
idents nerveux. [Père, 63 ans, blanchisseur, bien portant, sobre.
Mère
, 50 ans, en bonne santé, blanchisseuse, pas d'acc
grossesse, qui coïncida avec les der- niers jours de la Commune, la
mère
eut de vives émotions dues à ce que dans son qu
où débuta l'épi- lepsie : « il venait tout d'un coup à moi, dit sa
mère
, comme si quelqu'un lui faisait peur. » Cri, pe
la pointe des pieds. Il aurait marché à peu près seul à 20 mois; sa
mère
prétend que c'est ici que ses pieds se sont déf
onger et de retourner ses bras. Accès de cris, sans cyanose, dit sa
mère
: c'était un cri presque continuel. Parfois acc
âmer; il devenait bleu. » Il était affectueux, «très amitieux ». Sa
mère
prétend qu'il a toujours eu un certain degré de
n'est pas sorti pendant les IS derniers mois qu'il a passés chez sa
mère
. Il marchait alors plus mal et ses pieds s'étai
Réflexions : impressions maternelles. '85 père et un peu de leur
mère
, mais parfois entièrement de l'un ou de l'autre
diotie a peut-être son origine dans les émo- tions éprouvées par la
mère
durant le premier mois de sa grossesse. Malheur
Observation I. SoMtfAinE. Père rhumatisant et migraineux. Grand'
mère
paternelle migraineuse. Deux oncles paternels bu-
1889. A2técécleazts héréditaires (Renseignements fournis par sa
mère
, 30 janvier 1880). Père, 56 ans, employé de comme
nt tous les 15 jours. [Père : mort d'une hernie étranglée à 78 ans;
mère
, morte d'une tumeur fibreuse abdominale à 83 an
buveur, a disparu depuis 30 ans sans qu'on ait pu le retrouver].
Mère
: 56 ans, intelligente, un peu nerveuse, mais san
salem avec le duc de Bordeaux dont il était le valet de chambre).
Mère
morte à la suite de couches, n'aurait pas été ner
tre malade, 3° une fille 23 ans, mariée avec le frère de père de sa
mère
, migraineuse et rhumatisante, n'a pas d'enfant
holérine. Antécédents personnels. Au 5 ? mois de sa grossesse, la
mère
aurait eu une très grande frayeur et, l'enfant «
ne attaque, sur la voie publique. C'est à ce mo- ment (1876) que sa
mère
a su réellement que c'était de l'épi- lepsie, I
e d'une crise sur la voie publique. Depuis 4 mois, il reste chez sa
mère
à ne rien faire. On ne sait rien de bien précis
rvation II. Sommaire. Renseignements insuffisants sur sa famille.
Mère
morte phlhisique. Pas de consanguinité. Inéga-
r sa famille dans laquelle il n'y aurait jamais eu de nerveux). '
Mère
: aucun accident nerveux, sobre, morte de phthisi
de 10 ans plus jeune que son mari. [Pas de détails sur le père; la
mère
serait morte à 72 ans d'un catar- rhe avec affe
notre malade. ' Antécédents personnels. - Pendant sa grossesse, la
mère
aurait eu une grande frayeur à la suite d'un ac
ignements nuls du côté paternel, insuffi- sants du côté maternel. -
Mère
morle aliénée. Accès de colère. Quelques excès
fournis par le malade qui est un enfant naturel et n'a connu que sa
mère
). -Mère : morte en 1871, à l'âge de 62 ans, à S
par le malade qui est un enfant naturel et n'a connu que sa mère). -
Mère
: morte en 1871, à l'âge de 62 ans, à Sainte-An
(Partout, dit-il, où des renseignements nous sont transmis, père et
mère
jouissaient d'une bonne santé, étaient forts et
dents duquel on ne note que : 1° une impres- sion très vive chez la
mère
peu avant la conception, mais se prolongeant pe
ar la vue d'une folle qui avait des attaques mal définies et que la
mère
de notre malade a soignée. Elle nous a dit elle
Pour Mari.. : père suicidé ; grand-père paternel mort fou. Pour
mère
nerveuse (attaques); grand- père maternel alcoo
d'intoxication mercurielle (miroitier) ; oncle paternel mort fou ;
mère
et grand'mère maternelles nerveuses. Convulsion
- ternels alcooliques, ainsi que deux grands oncles pater- nels ;
mère
et grand'mère maternelle migraineuses. Pour Che
uses. Pour Cher.. : père, oncle paternel et frère alcooli- ques ;
mère
, pertes de connaissance mal caractérisées. Pour
(3) et p. 31. (4) Cari. Vogt, p. 2fi, Microcéphalie. H9 devenue
mère
, bien qu'il soit unique dans les cas connus, pe
vril 1889. Antécédents (Renseignements fournis par son père et sa
mère
).- Père quarante-huit ans, homme de peine, aupara
bien portant, sans accidents nerveux ; mort en tombant d'un arbre.
Mère
, soixante-treize ans, aucune manifestation nerv
paternel, mort on ne sait de quoi. Grand- IICROCÉPH ? L'E. 1.21'
mère
paternelle, morte vers quatre-vingts ans, ni déme
ptiques, de difformes, de suicidés, de criminels dans la famille]
Mère
, quarante-six ans, cultivatrice, assez grande, de
ladies de peau. [Père, laboureur, sobre, non nerveux de même que la
Mère
, âgée de soixante-dix ans. Grands parents pater
efois nous devons dire que deux mois environ avant la conception la
mère
a été vivement ill1- ' pressionnée par la vue t
nds mouvements des membres, etc. Nous no- tons ce fait parce due la
mère
nous dit être restée longtemps sous cette impre
esse a été bonne, mais l'idée de cette folle, hantait l'esprit delà
mère
; elle en rêvait la nuit : une fois même elle s'
celui des autres enfants ; il était« aigre ». Elevé au sein par sa
mère
qui, pendant les premiers mois de l'allaitement
pris, il était encore chétif, et était allaité par une voisine, sa
mère
n'ayant plus de lait. Après les convulsions, Cl
qu'on avait peine à les arrêter. 11 ne distingue ni son père ni sa;
mère
et partant, ne leur a jamais témoigné d'affection
ût est assez déve- loppé : il refuse certains aliments et, quand sa
mère
faisait cuire un aliment qui lui plaisait, il v
xcès de boissons; très rarement gris; mort d'une chute dans l'eau.-
Mère
, morte à soixante-seize ans « d'un asthme» ; pa
de diffor- mes, de paralytiques, d'aliénés, d'épileptiques, etc.]
Mère
, quarante-sept ans, femme de ménage assez intelli
tre-vingt-deux ans, on'ne sait de quoi, iln'é- tait pas en enfance.
Mère
, morte à soixante- quatorze ans de cause inconn
e mais « il était peut-être entre deux vins ». -Grossesse bonne, la
mère
dit avoir d'habitude peur des ivrognes et des c
ile, sans chloroforme. Elevé au sein jusqu'à trois mois, par : sa
mère
; à partir de cette époque, nourri avec du lait de
, nourri avec du lait de chèvre, du gruau, des soupes, parce que sa
mère
était redevenue en- ceinte. Il a marché vers on
ar jour à une époque où il avait la rougeole. Il n'a pas eu, dit la
mère
, d'autres accidents convulsifs. Croûtes dans le
et enfant n'a jamais été mis à l'école, parce qu'il gâtait, mais sa
mère
lui apprenait les prières, les 1 et 1res (il pa
son frère, il ne jurait pas ne disait pas de paroles grossières (la
mère
assure qu'elle et son mari étaient très réservé
10 octobre. Jan. est excité. Il injurie tout le monde, parce que sa
mère
« ne veut pas le faire sortir ». Il ira chez elle
oquette. Je veux être coupable. » Sur la promesse de faire venir sa
mère
et de le faire sortir, il répond : « Puisque vo
t je l'étranglerai. » Puis : « La vieille coquine (il parlait de sa
mère
) je la tuerai, je lui volerai son argent. Vieil
rascible, menace de frapper les infir- miers ou ses camarades. Sa
mère
, que nous voyons le 25 mars, nous raconte que son
z, vous voyez mon chapeau, il est fait avec des plumes de lapin. Ma
mère
a été soldat. » Il possède à un certain degré l
8j, à l'âge de neuf ans. Antécédents (Renseignements fournis par la
mère
en juin 1885). Enfant naturel. Père environ tre
t naturel. Père environ trente ans, domesti- que chez l'oncle de la
mère
. « Il n'a pas la tête grosse, mais elle est rég
. Aucun détail sur sa famille; il est lui-même enfant naturel. « Sa
mère
n'avait pas beaucoup d'esprit ; elle était laid
forme. Il avait des frères et des soeurs que je ne connais pas. »
Mère
, vingt-sept ans, domestique, brune, physionomie
é deux fois après la mort de sa femme et elle ne l'a jamais revu.
Mère
, morte un an après la naissance de la personne qu
and'mère paternelle était très mé- chante, et avait rendu sa propre
mère
très malheureuse. Grattd-po'e maternel mort d'u
aurait eu des convulsions. Notre malade. A la conception, père et
mère
bien portants. La mère pensait épouser son aman
ns. Notre malade. A la conception, père et mère bien portants. La
mère
pensait épouser son amant et a eu des rapports av
et ignorant la grossesse, mit le domestique à la porte. C'est sa
mère
, à lui, qui empêcha le mariage parce qu'elle étai
vé au biberon par sa -raiicl'taiite maternelle (lait de chèvre). Sa
mère
ne l'a revu qu'au commencement de l'année 1884,
mi. La tante chez laquelle il était à la campagne, avait écrit à la
mère
qu'elle ne pouvait le garder plus longtemps par
ressé par la faim et parce qu'on ne pouvait l'envoyer à l'école. Sa
mère
a été très surprise de le voir dans l'état où i
ou ses premières dents qu'à treize mois. A son arrivée il Paris, sa
mère
l'a mis (1) On peut attribuer ces habitudes au
au lit, il ne voulait pas aller aux cabinets, mais dans la rue. Sa
mère
l'a gardé huit jours. Il était déjà amélioré et
euses. [Père, mort fou à Charentôn, à la suite de perles d'argent.-
Mère
, morte d'une fluxion de poitrine. Grands parent
énés, pas de paralytiques, d'épileptiques, etc., dans la famille.
Mère
, trente-deux ans, brune, trails réguliers, intell
'une maladie de foie; on ne sait s'il faisait des excès de boisson.
Mère
, grand-père maternel, nul détail. Grand'mère ma
enfants. Pas de consanguinité. Différence d'âge entre le père et la
mère
, quatorze ans. Un seul enfant et deux fausses c
. .irrre grand-père et deux grands- oncles paternels alcooliques. -
Mère
, grand'mère, grand'- tante et tante maternelles
ée. Tante aliénée.- Inégalité d'âge de sept ans entre le père et la
mère
. A l'entrée, Mazi... était complètement gâteux;
ongénitale, simple. Sommaire. Idiotie compilé le, idiopathique. -
Mère
chétive lors de la conception. Chagrins pendant
t y est décédé le 5 octo- bre 1883. Renseignements fournis par sa
mère
. Père trente-trois ans, plumassier, grand, fort
sur lesquelles on n'a pas de détails. - [Père, bien portant, sobre.
Mère
, morte à vingt trois ans on ne sait de quoi.- G
, de difformes, de suicidés, de criminels etc., dans la famille.]
Mère
, 25 ans, plumassière, bien portante, intelligente
'Mariée à dix-huit ans et demi. [Père, bien portant, solide, sobre.
Mère
, bien portante, pas nerveuse, sobre. Grand-père
«l'hercule» » mort usé par la boisson à soixante-trois ans. Grand'
mère
paternelle, morte très âgée d'usure » ; 13 enfa
se couche à deux mois. Notre malade. Au moment de la conception, la
mère
était chétive quoique assez bien portante. Elle
o- roforme. Pas d'asphyxie à la naissance. - Elevé au sein par sa
mère
jusqu'à trois mois, puis au biberon. Jamais il n'
; il riait niaisement; cependant il était jaloux, pleurait quand sa
mère
caressait un autre enfant. Il n'a jamais parlé
ents qui nous ont été donnés, tant sur antécédents du père et de la
mère
que sur la grossesse, de trouver une cause plau
ILIE UNILATÉHALE. Sommaire. Père, suicidé. Grand'mère, hystérique.
Mère
, névralgie faciale. Grand'mère, hémiplégie. - S
le) le 8 février 1881. .Antécédents. (Renseignements fournis par la
mère
de l'en- fant). - Père, plombier, calme, sobre,
-huit ans à la suite de mauvaises affaires. [Père, mort du choléra.
Mère
, sujette jusqu'à la ménopause à des attaques de
ainsi que ses eufauts. Pas d'autres névropathes dans la famille.]
Mère
, cinquante-quatre ans, blanchisseuse depuis la mo
tre-vingt-quatre ans, sobre, encore très intelligent, bien portant.
Mère
, morte hémiplégique. Treize frères et soeurs :
e, était laid, un peu courtaud et d'intelligence un peu moyenne. La
mère
est morte en janvier lStip; elle avait joui aup
foins, Son père est mort à 72 ans d'une maladie de la vessie, Sa
mère
, âgée de 71 ans, est sujette à des rhumatismes et
onne pas de renseignements. Fig. S. IDIOTIE myxoedémateuse. 211
Mère
, 40 ans, d'une taille ordinaire, assez bien faite
délicate, elle eut la scar- latine et la coqueluche. Peu après, la
mère
remarqua « un élargissement de la figure et des
aient pas, été notées au début de la maladie, et qui, au dire de la
mère
, augmente- raient de volume. Il en existait aus
. Ses habitudes sont soignées. « Elle dort comme une toupie, dit sa
mère
. Les extrémités sont toujours froides comme la
douce et plus belle que dans les obser- vations Ilot III, ce que la
mère
attribue à des frictions à l'huile d'olive. Les
e de 4 à 5 ans. Elle lit de petits mots mais ne sait pas écrire. Sa
mère
prétend que l'in- telligence se développe. Sens
urs années déjà il l'asile départemental de Mâcon. - Son père et sa
mère
sont morts, et il n'est visité pas aucun parent,
ux oncles paternels alcooliques. Cousin déséquilibré et assassin.
Mère
, d'une intelligence restreinte, strabique, bègue,
e le 24 septembre 1891. Antécédents. (Renseignements fournis par la
mère
le 17 octobre 1891). - G... est un enfant natur
e de la prison, à Orléans. Il sortait de prison quand il a connu la
mère
de l'enfant, qui habitait avec ses parents l'ap
marier, mais les parents rompirent les engagements, du côté de la
mère
, parce que l'amant allait trop souvent en prison;
rt dans tous les coins de la ville » ; mort d'un refroidissement. -
Mère
, grande et belle femme, méchante, s'encolèrant
maria et, depuis, sa conduite aurait été régulière. Grand- père et
mère
paternels, grand-père maternel, pas de rensei-
e sa famille on ne connait pas d'autres cas de maladies mentales.
Mère
, d'une intelligence médiocre, strabique de nais-
un jour qu'elle l'obstinait ». Il est mort d'une maladie de coeur.
Mère
, G2 ans, strabique et bègue, 4 Imbécillité inte
bé- cile, domestique; « elle rapporte tous les ans un enfant à sa
mère
. » Deux oncles paternels, sobres, morts de la poi
Inégalité d'âge de 2 ans. Notre malade. - Les détails donnés par la
mère
rendent très probable la conception durant l'iv
ne tendance invincible au sommeil et l'ennui d'être enceinte : « Ma
mère
, bonasse, ne s'en est aperçue qu'au quatrième m
; l'enfant pesnt 3 k. 750. - Allaité pendant six semaines par sa
mère
qui se plaça alors comme nourrice et le confia à
grand'mère maternelle qui l'éleva au biberon (lait de vache). Sa
mère
l'a repris avec elle, à 18 mois, quand elle s'est
i lui arrivait souvent, la menaça de la tuer. Elle se sauva chez sa
mère
, laissant son enfant avec son beau-père. Le len
llicilcmcnt. Vers 5 ou (j ans, il a commencé il voler. Il volait sa
mère
, les marchands du voisinage, prenait de l'argen
sonnette, le concierge l'attrapa et le corrigea manuellement. Sa
mère
avait sans cesse des ennuis avec les voisins. Dès
le garda quelque temps, mais fut aussi obligé de le remettre il sa
mère
à cause de ses méfaits continuels. En juillet
rpris au moment où il s'apprêtait à recommencer. C'est alors que sa
mère
se demanda s'il n'était pas malade et le condui
année (1897). G... a été envoyé par M. Deny on congé d'essai. Sa
mère
l'a placé chez un cordonnier. Il y estresté trois
ainsi qu'à Bicêtre, de suspendre son travail par intermittence, sa
mère
a été obligée de le ramener à l'hospice. § IL
ques ; -un cousin, déséquilibré, assassin (1). Du côté maternel, la
mère
violente, af- (t) M. le D' Gircourt auquel nous
embarrassés et G... en fournit la preuve. Il n'a plus de père ; sa
mère
est domestique. Malgré cela, M. Deny a essayé d
use. - Marche de la température. Sommaire. Père mort tuberculeux.
Mère
un peu ner- veuse, morte tuberculeuse. - Grand-
ille), le 2G avril 1880. Antécédents (Renseignements fournis par la
mère
de l'en- fant). - Père, 37 ans, sculpteur sur b
s 2 ans. [Père, chapelier, sobre, bien portant, surdité acquise. - [
Mère
en bonne santé. - 7 ou 8 frères et soeurs bien
oeurs bien portants. - Aucun antécédent nerveux dans la famille.]
Mère
, 27 ans, émailleuse sur verre avant son mariage,
homme de peine, sobre, est atteint d'hémiplégie gauche incomplète. -
Mère
, lingère, habile, est devenue folle en 1848, a
Quatre frères et soeurs : l'une avant la première admission de la
mère
à la Salpétrière : les 4 autres, dont la mère de
mière admission de la mère à la Salpétrière : les 4 autres, dont la
mère
de notre malade, après le début de la folie, so
accouchement à terme, naturel. Pel.... a été élevé au sein par sa
mère
jusqu'à l'àge de 2 ans. Pied bot paralytique con-
gesticule pas, n'a pas d'ona- nisme, est affectueux et reconnait sa
mère
. On ne sait à quoi attribuer l'idiotie. État
td.s ; 12 kilogr. 600 : Taille : 0'"88. 16 octobre. - Le père et la
mère
du malade viennent de succomber à la suite de t
I. Notons au point de vue de l'hygiène sociale, la conception de la
mère
du malade et de trois oncles ou tantes par sa g
éjugé si dangereux. Si les renseignements sont exacts, les enfants (
mère
, oncles et tantes de l'enfant), conçus pendant
tantes de l'enfant), conçus pendant l'aliéna- tion mentale de leur
mère
seraient bien portants. ANTÉCÉDENTS HÉRÉDITAIRE
ommaire. - Père d'une intelligence bornée, bègue, non alcoolique. -
Mère
peu intelligente condamnée pour vol. Grand-père
6 ans, consécutivement à une chute de voiture. - Nul détail sur sa
mère
, morte à 77 ans. - 10 frères et suceurs. morts
de quoi. Pas d'antécédents héréditaires nerveux dans la famille.]
Mère
, 46 ans, journalière, peu intelligente, bien port
. [Son père, laboureur, ivrogne, est mort paralysé à 70 ans. - Sa
mère
, intelligente et sobre, est morte à 77 ans, paral
e, accouchement naturel, à terme. Duv... a été élevé au sein par sa
mère
. Il a parlé à 20 mois, a marché et a été propre
us savons peut se résumer ainsi : père peu intelligent, bègue ; -
mère
bornée, voleuse; - grand père paternel, grand p
ès de boisson. - Grand'mère paternelle, paralysée du côté gauche. -
Mère
un peu nerveuse. Cousin, danse de St-G2ep dans
e) le 9 octobre 1880. Antécédents. - (Renseignements fournis par la
mère
de l'enfant). - Père, 49 ans, ferblantier; tail
e détail sur lui. - Sa 36 Antécédents héréditaires et personnels.
mère
, paralysée du côté gauche, est morte d'une pneumo
oïde car il en serait mort « 80 dans le pays il ce moment lit ». Sa
mère
vit encore, est rhumatisante, pas nerveuse. Un
ouchement it terme et naturel. I-Ierg... a été élevé au sein par sa
mère
jusqu'à 2 ans ; il a été propre depuis l'lige d
ropre depuis l'lige de 3 mois, parce que « dès qu'il se remuait, sa
mère
le mettait sur le vase ». Il a marché à 18 mois
t la nuit à l'onanisme. Il aurait contracté cette habitude chez une
mère
nourricière qui « lui prenait la verge et lui par
et 9 mois débute l'épilepsie sans cause connue, si ce n'est, dit la
mère
, qu'il se « vidait le cerveau » par ses attouch
oyé ensuite en convalescence h La Ltoclle-Guyon ; il rentra chez sa
mère
après 5 mois, en avril 188U. A ce moment, il av
s : 38 Diarrhée ; accès répétés. Intelligence : reconnaît bien sa
mère
, est affectueux; il arrive Ii classer les carré
de bois- son. -Re7-iseigite ? îie71ts insuffisants sur sa famille.
Mère
, rien de particulier. Grand-père maternel, acci
6 mars 1897. Antécédents (Renseignements fournis par le père et la
mère
de l'enfant). (Janvier 1892). - Péiie, 32 ans,
ui; il n'y a absolument aucun détail sur le reste de la famille.]
MÈRE
, 32 ans, couturière, intelligente, habituellement
'il est un très ancien ouvrier. Très sobre, pas de syphilis, etc. -
Mère
, 60 ans, n'a jamais été malade, n'a jamais eu d
us âgé). Pas de consan- guinité. - Un seul enfant, notre malade. La
mère
est enceinte actuellement. - Pas de fausses cou
et rentra chez, lui très excité, ce qui causa une vive frayeur à la
mère
. A part ce fait, rien de particulier : pas de c
ait encore de fréquents excès de boisson ; une vive frayeur de la
mère
au quatrième mois de la gros- sesse ; - la disp
paternelle, convulsions de l'enfance, hystérique, déséquilibrée.
Mère
, migraineuse; - Grand-père maternel, nombreux exc
Vallée le 28 mars 1895. Antécédents (Renseignements fournis par sa
mère
). - Père, 37 ans, typographe, a une tête énorme
rès coureur, P.'Vcès de bois- son; sa femme s'est séparée de lui. -
Mère
, strabisme intermittent. - Deux sccLLrs et deux
main est sourd-muet et intelligent. Pas d'au- tres sourds-muets.]
Mère
, 24 ans, sujette aux migraines, depuis l'âge de 8
usieurs années de maladie ; pas d'attaques de delirium tremens. -
Mère
, morte à 25 ans, après trois ans de maladie ; tub
dans un effort (I). Notre malade. - Au moment de la conception, la
mère
était malade, très fatiguée et très affectée pa
dans d'assez mauvaises conditions. - Au 5° mois de la grossesse la
mère
fit une chute dans un escalier ; elle en fut qu
rès chétive. - L'accouchement se fit rapidement par le sommet et la
mère
perdit très peu de liquide amniotique. - On gar
eubles ou contre le sol, quand on la contrariait. Dès de 8 mois, la
mère
s'est aperçue de la faiblesse intellectuelle de
l'enfance,1 a été atteinte d'hystérie et serait déséquilibrée. Sa
mère
est migraineuse. Le grand-père maternel est mor
se et sans caractères particuliers; elle sera limitée par la pie-
mère
de la surface externe du cerveau et par l'épend
JACOMET. w SOMMAIRE. Père, enfant naturel, rien de particulier. -
Mère
, rien à signaler. - Grand-père paternel : excès d
ce de M. BOURNEVILLI;.) Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
). - Père, 59 ans, menuisier, est un enfant natu
ts sur sa famille manquent. Son père est mort de cause inconnue. Sa
mère
est morte à 87 ans de vieillesse. 88 Antécédent
on ne sait de quoi, l'autre, à 22 ans, de tuberculose pulmonaire.
Mère
, 37 ans, n'a jamais été malade, sobre, ni convuls
al, était alcoolique. Ses excès portaient sur le vin et l'alcool. -
Mère
, encore vivante, s'est séparée de son mari à ca
nt enflés et le gonflement dura 15 jours. - Nourri au sein par sa
mère
, sevré à 11 mois. Première dent à 7 mois. - Début
e de huit. « La deuxième Description DU malade. ' 89 fois, dit la
mère
, je crus qu'il allait y passer. » Rigidité géné-
paternel idiot et épilep- tique. - Deux oncles, excès de boisson. -
Mère
, aucun accident nerveux. Consanguinité (cousi
e le 11 septembre 1896. Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
et com- plétés par son père). - Père, 58 ans, g
s. - II ne buvait pas. Antécédents héréditaires ET PERSONNELS. 97
Mère
, morte très âgée, on ne sait de quoi. - Grands pa
s font des excès de boisson (vin et eau-de-vie de cerises) (1). '
Mère
24 ans, ménagère, pas de convulsions, non nerveus
Père 70 ans, très rhumatisant, sobre. Pas de maladie nerveuse. -
Mère
, 65 ans, bien portante, sans manifestations nerve
eux du mari. - Elle n'a pas de détails sur les oncles du côté de sa
mère
, si ce n'est qu'un oncle maternel et deux tante
ntes sont morts jeunes. On ne sait s'ils ont eu des convulsions. La
mère
de l'enfant est fille unique.] Consanguinité
mère de l'enfant est fille unique.] Consanguinité : le père et la
mère
sont cousins germains. « Ma mère et mon beau-pè
.] Consanguinité : le père et la mère sont cousins germains. « Ma
mère
et mon beau-père sont frère et soeur ». - Inéga-
lade. - Rien à signaler à la conception. - Pendant la grossesse, la
mère
eut des ennuis de famille : ses parents avaient
euse et ner- veuse. Grand-père maternel mort tuberculeux. Grand'-
mère
maternelle cardiaque. Cousine naine et rachi- t
édée le 30 juin 1894. Antécédents. - (Renseignements fournis par la
mère
de l'enfant le 25 décembre 1893). - Père, peint
santé habi- tuelle, il est cependant sujet à des accès de goutte ?
Mère
, 56 ans, jouit d'une bonne santé générale, elle
ère paternel serait mort à 72 ans, durant la guerre.- Une grand'-
mère
maternelle vit et est bien portante à 83 ans. - P
mem- bres de cette famille ont plutôt en général la tête petite.
MÈRE
, 32 ans, couturière, est une femme brune au visag
qu'une légère blépharite ciliaire dans son enfance. Famille de la
mère
. Père, mort à 45 ans de tuberculose pulmonaire
é 5 mois. Il était sanguin, puissant, calme et nullement nerveux. -
Mère
, morte à 47 ans, probablement d'une lésion orga
la campagne, il était fort et de bonne santé ordi- naire. - Grand'
mère
maternelle, morte à 71 ans, coléreuse, méchante
vomissement. Depuis l'on n'en observa que trois ou quatre, mais la
mère
pense que beaucoup passent inaperçues, les mouv
quelques progrès, grâce à l'éducation qu'essayait de lui donner la
mère
. La mort du père mit un terme aux soins materne
aternels et les progrès cessèrent. L'enfant est affectueuse pour sa
mère
. Elle mord et grince parfois des dents, mais est
Ordinairement triste, l'enfant a des moments de gaîté, reconnaît sa
mère
et ses soeurs, est caressante. Tics : Elle bala
es dents. La surveillante prétend qu'elle reconnaît la voix de sa
mère
. Intelligence, parole nulles. - Accès de suffocat
. SOMMAIRE, - Père migraineux; rien de plus du côté pater- nel. -
Mère
, rien de particulier. - Grand-père maternel : n
ice de M. BOURNEVILLE). Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
et sa grand'mère -maternelle). - PÈRE, âgé de 3
présente absolument aucun accident morbide, digne d'at- tention.]
Mère
, 26 ans, polisseuse, est une femme de physionomie
est affecté de catarrhe pulmonaire et de névralgies faciales. - Sa
mère
, 58 ans, grande et forte, souffre de rhumatisme
laires chro- niques depuis 4 ans. Dans le reste de la famille de la
mère
, on relève quelques parents arthritiques ; un g
ance, vite dissipée, Nonrri au biberon avec du lait de vache par sa
mère
pendant le pre- mier mois et par une nourrice p
t demi. Elles étaient légères, dit la Antécédents PERSONNELS. 125
mère
: c'étaient des convulsions internes. Elles n'aur
. Son regard autrefois normal, louche très souvent depuis un an. La
mère
juge que son enfant « se contrefait de plus en
ort le 20 février 1896. Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
le 10 août 1893). Père, u3 ans, bijoutier, n'a
de mauvaises affaires. Il buvait beaucoup et était très violent. La
mère
, âgée de 72 ans, est toujours souffrante et gar
de l'enfant ont eu une mauvaise conduite avant leui' mariage.] '
Mère
, 41 ans, ménagère, d'un caractère calme : pas de
e son inconduite et de ses mauvais traite- luenls. - [Famille de la
mère
. Son père, décédé iL U7 ans d'une maladie du co
s d'une maladie du coeur, était violent, mais ne buvait pas. z Sa
mère
, vigoureuse, est morte en couches 11. 33 ans. G
sonnels. 2tel, très-violent. Pas de renseignements sur les grands
mères
. - Frère mort il 12 ans, tuberculeux ; second frè
orme, en deux heures. Pas d'asphyxie à la naissance. Allaité par sa
mère
jusqu'à 8 mois, puis sevré, et nourri au lait d
semaines. Dcbic... a un caractère colère ; assez affectueux pour sa
mère
, il l'est peu pour son père et ses frères qu'il
ant le début de l'épilepsie h l'âge de 13 ans (novembre 1892). La
mère
attribue la maladie convulsive aux mauvais traite
s avec son père qui lui fit boire de tout. Quand il revint chez s'a
mère
, en juin 1893, parce que son père le frappait,
Le premier accès eut Description DU malade. 139 lieu la nuit. La
mère
fut réveillée par un rondement. Elle trouva l'e
eur et emporté; cou- sine germaine aliénée; cousin germain idiot;
mère
migraineuse; grand-père et arrière-grand- père
fant a été conçu dans l'ivresse alcoolique et alors que les père et
mère
étaient dans des condi- tions morales détestabl
re, quelques excès de boissons, rien dans le reste de sa famille. -
Mère
, rien de particulier. - Pas de consanguinité. -
a jamais présenté d'accidents nerveux ni de migraines, ainsi que sa
mère
, qui est morte en couches. - Il en serait de mô
Trois enfants l'eurent également, dont notre malade. - [Ses père et
mère
vivent encore ; ils n'auraient eu ni migraines,
ans lorsque la fièvre typhoïde sévit dans sa famille, emportant sa
mère
, un de ses frères et une de ses soeurs. Chez lu
ns la famille, frappant non seulement l'enfant, mais son père, sa
mère
, un de ses frères et une de ses soeurs et occa-
ologique. Sommaire. Père eczémateux, nombreux excès de boisson. -
Mère
migraineuse. - Pas de consanguinité. - Inéga- l
vice le 22 juillet 1884. Antécédents (Renseignements fournis par sa
mère
). - Père, 35 ans, coupeur-tailleur, grand, fort
- Son père, paveur, sobre, a succombé à une maladie du coeur. - Sa
mère
, d'un caractère calme, es en bonne santé. - Nul
n à mentionner dans le reste de la famille qui est peu nombreuse.
Mère
, 33 ans, couturière, en bonne santé, physionomie
and les règles réapparais- saient après le sevrage. Famille de la
mère
. - Père, sobre, en bonne santé (1). - Mère mort
sevrage. Famille de la mère. - Père, sobre, en bonne santé (1). -
Mère
morte de l'influenza. Nul détail sur les grands-p
seignements, intelli- gente, pas de convulsions. Notre malade. La
mère
de l'enfant est convaincue que la conception (2
t, non asphyxié, pas de cordon autour du cou. Nourri au sein par sa
mère
jusqu'à 2 mois, puis élevé à la campagne, au bi
evé à la campagne, au biberon, avec du lait de vache. Repris par sa
mère
à 1 t mois. Il ne marchait pas : « c'est ici qu
tion scrofuleuse. - l'as de traumatismes. Ni vers, ni onanisme. (La
mère
attri- bue la maladie à l'alcoolisme du père).
et promet de ne pas récidiver. Il craint surtout qu'on signale à sa
mère
ses écarts de conduite. Il a une notion assez e
siste plus aux scènes entre son mari, toujours ivrogne, et elle, sa
mère
l'a placé à l'Asile clinique d'où il nous arriv
e, durant l'ivresse alcoolique. C'est à cette circonstance que la
mère
attribue l'idiotie observée chez notre malade.
de congestion cérébrale. - Autre grand'tante paternelle démente. -
Mère
, convulsions de l'enfance, fièvre cérébrale ci
paternelle morte de congestion cérébrale à soixante-quatorze ans.-
Mère
morte à soixante-dix ans en trois jours, on ne sa
ils. - Point d'aliénés ni d'épileptiques, etc., dans la famille].
Mère
, blanchisseuse, sobre, morte à quarante-six ans e
. - [Père mort de bronchite chronique; nombreux excès de boisson. -
Mère
, soeur du grand-père paternel de notre malade,
ni de syncopes, ni d'attaques, mais dans les premiers mois, 'z' sa
mère
aurait eu « un regard» : « un mendiant de lavoir
hez ses parents, à deux ans et demi, il était Lieu portant, mais sa
mère
remarqua qu'il avait le côté droit moins ijrosc
ant. » En raison de son infirmité et aussi à cause de la mort de sa
mère
, 13... fut placé quelques semaines après son re
ous devons rappeler que, dans les premiers mois de la grossesse, la
mère
a été vivement frappée par la vue d'un mendiant
éalité, au retour de l'en- fant de nourrice, à deux ans et demi; sa
mère
, en effet, a remarqué alors, que le côté droit
de la dure-mère ; Par BOURNEVILLE et METTETAL. Sommaire. Père et
mère
sans particularités. - Grand'père maternel mort
Vallée le 13 juin 1895. Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
). - Père, 31 ans, employé de chemin de fer, n'a
céphaliques. - [Père, 68 ans, se porte bien, ne boit ni ne fume. -
Mère
, pas de renseignements. Aucun détail sur les gr
s et de sourds-muets; ni suicides, ni criminels, ni prostituées].
Mère
, 27 ans, sans profession, n'a pas eu de convulsio
son et de tabac ; nerveux, emporté, mais n'aurait pas d'attaques. -
Mère
, 63 ans, sobre, très vive de caractère. - Grand
ance. Aussitôt avant, l'enfant aurait poussé un « cri de bête. » La
mère
dit que les convulsions étaient limitées au bra
gineuse. On pratique une incision d'avant en arrière sur la dure-
mère
, et à la base on note ça et là de petits paquets
réditaires. II. Si l'influence de l'émotion vive ressentie par la
mère
dans le dernier mois de la grossesse est sujette
e, morte à soixante-dix-huit ans, paralysée. - Autre arrière-grand'
mère
maternelle, morte d'un cancer au sein. Cousine,
morte d'un cancer au sein. Cousine, à un degré éloigné, arriérée.
Mère
, crises nerveuses de dix-neuf à vingt-six ans. Gr
me jour (bandage). - Jamais de convulsions. - Élevée au sein par sa
mère
jusqu'à quinze mois. - Cri aigre. - Crasses du
a- lysie, l'autre d'un cancer du sein. - Petite-cousine arriérée.
Mère
, crises hystériques de 19 il 26 ans. - Grand-père
allée le 10 avril 1896. Antécédents (Renseignements fournis par la
mère
et la qrand'mère maternelle en 1893). Père, 28
rique d'encres; il est grand, fort et n'a aucun accident nerveux, -
Mère
, 55 ans, tenait les bains avec son mari, est as
iénés, ni apoplectiques, épileptiques, pieds-bots, bègues, etc.].
Mère
, 28 ans, pas de convulsions dans l'enfance, grand
nique, où il est mort d'une fluxion de poitrine 3 semaines après. -
Mère
, blanchis. seuse, grande, brune, bien portante,
ord la langue. (Ce n'est pas du tout le genre de mes crises, dit la
mère
). - Pas de suicide, d'aliénés, d'autres elioi-é
A la conception qui a eu lieu dès les premiers jours du mariage, la
mère
était bien portante et contente d'être enceinte
. On ne sait pas combien la cyanose a duré. Élevée au sein par sa
mère
jusqu'au 7 décembre. Elle a eu la jaunisse au b
; il est le siège de crasses jau- nâtres. Au dire de la grand'-
mère
, qui a eu neuf enfants, elles n'auraient pas ét
rieures sont commes bouffies, et elles l'ont toujours été, dit la
mère
. - Les iris sont gris après avoir été bleus à l
2, 5, 7, 8, 9, 12 décem- bre 1893. Après ces injections, d'après la
mère
et la grand- (1) L'état de Gon... en 189G a été
: provisoire du service. IDIOTIE avec cachexie pachydermique. 69
mère
, la situation serait la môme, mais les cheveux to
e est contente. Elle commence à se tenir mais mal sur les jambes la
mère
essaie de la faire sauter sans y parvenir. Les
.Père., crises convulsives. - Grand-père pater- nel buveur.- Grand'
mère
paternelle, aliénée et paraly- tique. - Mère em
nel buveur.- Grand' mère paternelle, aliénée et paraly- tique. -
Mère
emportée. Grand' mère maternelle, délire très v
mère paternelle, aliénée et paraly- tique. - Mère emportée. Grand'
mère
maternelle, délire très violent durant une fièv
élire très violent durant une fièvre typhoïde. ? A1'1'ière-graml'
mère
maternelle, paralytique. - Cousin, bec de lièvre.
édé le 11 janvier 1890. Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
le 5 juin 9889J. - PÈRE, 33 ans, l'allineur, au
porte assez bien et ne se plaint que de douleurs dans une jambe. -
Mère
, très nerveuse, a été à deux reprises différent
autres sont mariées et de parfaite santé ; une de ces dernières est
mère
de deux enfants bien portants. - Aucun autre an
écédent névropathique ou psychopathique dans la famille du père.]
Mère
, 30 ans, femme de ménage, brune à physionomie r
rt à 35 ans, sa fille ne peut donner aucun renseignement sur lui. -
Mère
, bien portante, a eu, peu après la naissance de
rbide ou trouble de développement dans le reste de la famille de la
mère
.] Pas de consanguinité. - Différence d'âge de 3
le de la mère.] Pas de consanguinité. - Différence d'âge de 3 mois (
mère
plus jeune.) Trois enfants : 1° Garçon, mort à
ez fréquents, émotion assez vive, sans accidents une seule fois, la
mère
croyant avoir perdu son petit garçon au marché ;
qu'à 17 mois. La santé générale de l'enfant fut assez éprouvée ; la
mère
a constaté les premières crises conndsives à l'
il a eu à diverses reprises des attaques de bronchite. A 3 ans, sa
mère
remarqua qu'il était pris de peurs brusques, qu
nées toutes les mala- dies aiguës ou infectieuses remarquées par sa
mère
. La première dent apparut à 7 mois ( ? ). La de
t demi et n'a commencé à parler qu'à 4 ans. Dès l'âge de 4 mois, la
mère
s'aperçut de l'arriération de son enfant. Il ne
des dents et grimaçait. Mais bien qu'il ne parlât pas à 3 ans, sa
mère
ne le considéra comme idiot que, lorsqu'après sa
re traiter sa hernie, l'enfant y fut examiné et l'on conseilla à la
mère
de le placer il Bicêtre. État actuel. (10 juin
técédents héréditaires de Le]) ... sont insignifiants du côté de la
mère
, mais sont graves du côté paternel : grand père
rvice, le 20 juin 1879. Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
.) Antécédents héréditaires. 83 Père, 47 ans,
e période qu'est né le malade. Pas de syphilis. - [Père, inconnu,
Mère
, faisait des excès de boisson, morte à 72 ans. Un
ait des excès de boisson, morte à 72 ans. Une soeur, bien portante,
mère
d'enfants sains. - Pas de maladies nerveuses da
sains. - Pas de maladies nerveuses dans le reste de la famille].
Mère
, 50 ans, fruitière, intelligente, sobre, peu nerv
à la suite d'un coup reçu dans la poitrine, au cours d'une joute. -
Mère
, 74 ans, en bonne santé. Un frère a deux filles
re a « l'intelligence lourde et bégaie un peu ». Un autre frère (de
mère
seulement), nerveux, fait des excès de boisson.
is gagne sa vie]. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 3 ans (
mère
plus âgée). Six enfants d'un premier lit : 1°
de trois mois » ; il était cyanose et on dut saigner le cordon. Sa
mère
l'a nourri jusqu'à 15 mois ; c'est vers 13 mois
ta été conçu, commet-, tait de fréquents excès de boisson, comme sa
mère
la grand'mère paternelle de l'enfant. Il en éta
E. - Père, bronchite ' chronique, rhumatisant, caractère emporté. -
Mère
, convulsions de l'enfance, phénomènes d'hystéri
éningitiques fréquentes. Antécédents (Renseignements fournis par sa
mère
en juillet 1895). - PÈRE, 38 ans, représentant
), était d'une forte constitution et d'une bonne santé ordinaire. -
Mère
, 60 ans, est « asthmatique ». Frère, emphysémat
er- veuse. - Pas d'autres renseignements sur la famille du père].
Mère
, 27 ans, a eu des convulsions fréquentes en bas â
érique et est sujette à des palpitations fréquentes. [Famille de la
mère
. - Père, mort à 25 ans, pas de rensei- gnements
mille de la mère. - Père, mort à 25 ans, pas de rensei- gnements. -
Mère
, morte à 62 ans d'une affection cardiaque, asse
s bien portante. - Aucun autre rensei- gnement sur la famille de la
mère
]. Quatre enfants : 1" Notre malade ; 2" lille,
t. Enfant très beau ( ? ) à la naissance. Allaitement au sein. La
mère
en nourrissant l'enfant, à 3 mois, aurait été tém
est parfois agité la nuit et soulève la tête sur son oreiller. La
mère
s'est décidée à le placer parce qu'elle a remarqu
nte et deux oncles sourds et muets. Tante paternelle, prostituée. -
Mère
, chorée à 13 ans, rhumatisante, migraineuse, ca
portant, très nerveux, ne fume ni ne boit, pas de rhuma- tisme. -
Mère
, 65 ans, très nerveuse, en bonne santé, ni rhum
diffurmes, ni suici- dés, ni criminels, ni autres sourds-muets].
Mère
, 33 ans, sans profession, a eu une choree à (le
tère vif et emporté, Ni migraines, ni traumatismes cépha- liques. -
Mère
, 60 ans, bien portante, caractère violent; Anté
entente. - Grossesse normale : ni traumatisme, ni émotions, etc. La
mère
était contente de se voir enceinte. Pendant la
te de se voir enceinte. Pendant la grossesse, les migraines dont la
mère
souffrait, ont disparu complètement, comme d'ai
à lire et à écrire. Elle connaissait ses quatre règles et aidait la
mère
au ménage. A 11 ans, se trouvant dans une cour,
e, écrire et coudre, ressemble physiquement plus à son père qu'à sa
mère
et psychique- ment plus à sa mère qu'à son père
siquement plus à son père qu'à sa mère et psychique- ment plus à sa
mère
qu'à son père. Tendance invincible au sommeil :
si on l'avait laissé faire, elle aurait dormi jour et nuit, dit sa
mère
. Son sommeil était calme, sans secousses, ni cr
-vis des autres enfants, les battait, les pinçait, les griffait. Sa
mère
consta- tait qu'elle devenait moins obéissante
ux, analogues à ceux 'qui se produisaient lors .des migraines de la
mère
. Ces acci- l''i;l. 1f1. - \Ini 180. 118 DESCR
orps calleux n'offre rien de particulier. Quand on enlève la pie-
mère
, on la trouve notablement épaissie sur les deux h
phères. Hémisphère droit. Face interne. - En détachant la pie-
mère
, on entraine à peu près toute la substance grise
fait bien des fois, la disparition complète des migrai- nes de la
mère
pendant la grossesse et rabattement. C'est là u
mêmes des résultats obtenus. Observation I. Sommaire. - Père et
mère
, rien de particulier . - Un cas de gémellarité
allée. Antécédents héréditaires. - (Renseignements fournis par sa
mère
, oct. 1895). - Père, 26 ans, homme de peine ; tai
eur, bien portant, sobre, pas de goitre, pas d'accidents nerveux.
Mère
, 50 ans, ménagère, pas de migraines, caractère as
formes, d'épi- leptiques, de goitreux, ni de myxoedémateux, etc.]
MÈRE
, 24 ans, travaillait autrefois à la terre ; depui
amais d'attaques, de migraines, ni de rhumatismes. - [Famille de la
mère
. BOURNEVILLE, Bicêtre, 1896. 10 146 IDIOTIE m
use. Père, 53 ans, bien portant, sobre, aucun accident nerveux. -
Mère
, 53 ans, bonne santé, caractère calme ; pas de
s : mon père et le père de mon mari étaient frères. » Grand-père et
mère
maternels, aucun détail. - Deux oncles paternel
nguinité ; cousins germains. - Inégalité d'âge de deux ans. Père et
mère
du même pays. - Une seule enfant : la malade.
n'était pas cireux ; elle pesait 3 kilogr. - Elevée au sein par sa
mère
pendant deux mois, puis mise en nourrice dans s
loin, encore, d'être complète. Bor.. n'a jamais marché seule. Sa
mère
dit qu'elle marche très lentement et lourdement
ien son grand-père, sa grand'mère et ses autres parents du pays. La
mère
ne saurait dire si son enfant la reconnaît, car
use; pas de prolapsus rectal. On n'a pas remarqué d'hémorroïdes. La
mère
dit que l'enfant paraissait souffrir en urinant
es croûtes ont persisté jusqu'à ce jour. A 2 mois et demi, quand sa
mère
l'a quittée, elle ressem- blait aux autres enfa
rrhée, etc. . « Il n'y a pas de goitreux dans le pays, affirme la
mère
, c'est un ..pays de plaine ; la rivière est à 6
e marais ; les fièvres intermittentes n'y sont pas endé- miques. La
mère
ne sait à quoi attribuer la maladie. État de l'
- venablement. L'enfant est toujours heureuse de voir ses père et
mère
et se montre très gentille avec eux. On dirait qu
du côté du père, - Rensei- gnements insuffisants sur sa famille. -
Mère
, nerveuse, migraineuse. - Grand'père, arrière g
lée le 17 juillet 1895. Antécédents (Renseignements fournis par sa'
mère
les 23 juillet et 31 décembre 1895). - PÈRE, 32
amille, sur laquelle les renseignements sont un peu insuffisants.
Mère
, 26 ans, couturière, nez aquilin, cheveux châtain
lsbourg où, assure-t-elle, il n'y a pas de goitreux. [Famille de la
mère
. - Père, Antécédents héréditaires ET personnels
femme et est allé en Amérique oit il est mort on ne sait de quoi. -
Mère
, 52 ans, sobre, nul accident nerveux. Grand-pèr
ne maladie, sauf deux bronchites légères jusqu'à deux ans. Quand sa
mère
l'a reprise (2 ans), elle n'était pas propre, n
t, elle avait une petite hernie ombilicale. « La fontanelle, dit la
mère
, n'était pas fermée et ne l'est pas encore ». K
ots, parait intelligente mais n'a encore que quatre dents. (2) La
mère
, revue le 31 décembre 1S9;), dit que les cheveux
l'exis- tence ou l'absence des excès de boisson chez les père et
mère
et chez les ascendants de nos malades. Toujours,
fectuée alors que l'un des conjoints était en état d'ivresse, si la
mère
a fait abus des boissons alcooliques ou des li-
Grand-oncle paternel, excès de boisson, suicidé. - Cousin bègue. -
Mère
, rien de particulier. - Oncle maternel bègue. -
lis, etc. ; caractère très doux. [Famille du père. » Son père et sa
mère
sont morts à un âge 208 Alcoolisme DE l'enfance
ès calme, ne boit pas; ni convulsions, ni migraines. [Famille de la
mère
. Père; 58 ans, se porte bien, sobre. - La mère,
ines. [Famille de la mère. Père; 58 ans, se porte bien, sobre. - La
mère
, morte à 54 ans, d'une maladie de coeur, était
té au moment de la conception. Dans le début de sa gros- se,'se, la
mère
a eu des idées noires parce qu'elle était mécon-
fant avait assez bel aspect, n'offrait au- cun signe d'asphyxie. La
mère
l'a d'abord nourri au sein, puis au biberon (la
mois qui ont précédé son entrée, il était à Paris chez ses père et
mère
. Là aussi ou était obligé de l'attacher, sans c
OMMAIRE. - Renseignements insuffisants sur la famille paternelle. -
Mère
migraineuse. - Pas de consanguinité. Inégalité
J avril 1803. Antécédents (Renseignements fournis par le père et la
mère
, en mai 1893.) Père, quarante ans, bien portant
, ni apoplectiques, ni paralytiques, ni difformes dans sa famille
Mère
, trente-cinq ans, bien portante, grande, forte, l
reize il quatorze ans. Réglée il douze ans et demi. [Faillite de la
mère
.- Père, bien portant, cultivateur, sobre. - Mèr
i. [Faillite de la mère.- Père, bien portant, cultivateur, sobre. -
Mère
, douleurs dans les jambes, pas de migraines. Au
se assez bonne, ni chute, ni coups; émotion au septième mois : la
mère
a eu une discussion avec une femme qui l'avait in
l enfant; a un mois, il pesait (J kilogrammes. Elevé au sein par sa
mère
, sevré iL quatorze mois, marche à treize mois,
devient violent et emporté, n'en fait qu'à sa tète, se moque de sa
mère
, la menace. Depuis le mois de janvier 1893, acc
nous a-t-il dit, quand j'avais soif, je prenais au comptoir cle ma
mère
un bon verre de vin blanc, et quand il me falla
rnel, mort d'apoplexie. - Un autre mort d'un cancer de l'estomac.
Mère
, très nerveuse, peurs durant l'enfance, céphalalg
qui faisait de nom- breux excès de boisson, est mort à 70 ans. - Sa
mère
est morte à 70 aus un an après avoir eu une hém
détail sur ses grands-parents paternels et maternels (1). - (t) Sa
mère
avait 48 ans et son père 45 quand il est né, ce q
ans le reste de la famille : ni aliénés, ni difformes, etc, etc.]
Mère
, 1G ans, blanchisseuse, sobre, très-nerveuse, suj
ccouchement. Elle n'a jamais eu de crises nerveuses. [Famille de la
mère
. Son père est mort de tuberculose à 57 ans ; il
lose à 57 ans ; il faisait tous les mois des excès de bois- son. Sa
mère
, morte à 82 ans, avait toujours joui d'une bonne
bonne santé. Dans le courant du cinquième mois de la grossesse, la
mère
a eu, sans cause connue, une forte perte qui a
llu percer la poche. (Note de 1890). (4) « J'ai toujours eu, dit la
mère
, de très beaux enfants, très gros. Il était aus
x se collaient à la naissance. . Antécédents personnels. 229 La
mère
le conduisit aux Enfants-Malades où on lui dit qu
é comme atteint de mal de Pott ( ? ). Il y resta cinq mois, puis sa
mère
le reprit parce qu'il était redevenu très maigr
enfants ont eu leurs dents, ont marché et parte de bonne heure. La
mère
atlirme qu'on lui a toujours dit que son enfant
arrive plus que quand il pleure. 11 est tout le temps resté avec sa
mère
; on n'en voulait pas à l'école. Chez lui, il pas
ert bien de la fourchette et de la cuiller, mais pas du couteau. Sa
mère
prétend que l'enfant aurait eu des secousses da
é que le droit, et on ne peut pas appliquer la jambe sur le lit. Sa
mère
prétend que, il la maison, quand on le couchait
ontanément : « C'est selon comme il a posé ses pieds », nous dit sa
mère
. Tous ces phénomènes de contracture, d'exagérat
tuelles, ainsi que cela ressort des ren- seignements fournis par la
mère
et de l'examen direct, sont très affaiblies et
11 usait ses souliers seulement des bouts et en dedans. (Note de la
mère
en 1 ? 1(i). (2) Il n'y a pas d'exemples de cet
emples de cette malformation dans les familles de son père et de sa
mère
. Imbécillité ET paraplégie spasmodique. 233
, oncle apoplec- tique, autre oncle cancéreux ; du côté maternel,
mère
très nerveuse, peurs dans l'enfance, hémi- plég
r toutes les choses usuelles se sont étendues : ((Autrefois, dit sa
mère
, sa conversation était décousue, maintenant qua
férieur droit qui serait, le plus atteint. C'est ce que confirme sa
mère
et notre propre examen. La station debout, sa
le antérieure et de la suture métopique. Adhérences de la dure- 1
mère
au crâne. Vascularisation intense du petit inte
morte de paralysie. Cousine germaine, convulsions dans l'enfance.
Mère
, rhumatisme articulaire aigu à 18 ans; fièvre t
Antécédents héréditaires (Renseignements fournis par le père et la
mère
). Père, 37 ans, polisseur, d'une bonne constitu-
enseignements fournis, il s'agit probablement d'ataxie locomotrice.
Mère
en bonne santé. Grand-père paternel mort à 65 a
névro ou psychopathique, ni choréiques, ni rhumatisants, etc.].
MÈRE
, 33 ans, sobre; rougeole à 2 ans; bronchites fré-
syphilis. [Père, 55 ans, cultivateur, en bonne sauté, ainsi que sa
mère
. Grand-père paternel mort par accident (fractur
técédent morbide dans Antécédents..5 le reste de la famille de la
mère
et, entre autres, aucun cas de chorée]. . Con
? février, elle s'était levée la nuit pour venir coucher avec sa
mère
, disant qu'elle avait peur. Elle ne se plaignait
it davantage. Elle la met alors seule dans une classe il part. La
mère
va la chercher it la sortie et remarque que tout
rton plusieurs fois; le soir elle ne pouvait plus rester assise. Sa
mère
fut obligée de la faire manger. 6 Chorée vulgai
gressive, convulsions) et du côté mater- nel des névralgies chez la
mère
. Au point de vue de l'arthritisme l'enfant n'a
u point de vue de l'arthritisme l'enfant n'a rien présenté, mais sa
mère
a eu, à 18 ans, une attaque de rhumatisme artic
it. Pas d'hérédité similaire; pas d'affection cardiaque. 1 II. La
mère
, nerveuse, a eu des préoccupations de nature tr
re, - Antécédents héréditaires. Grand'mère pater- nelle cancéreuse.
Mère
migraineuse. Frère scrofuleux. Autre frère mort
odée le 30 mars 1897. Antécédents. - (Renseignements fournis par sa
mère
le 16 juillet 1892). Père, 32 ans, jadis cultiv
bre, bien portant, d'un carac- tère analogue à celui de son fils. -
Mère
, morte vers 60 ans, peut-être d'un cancer abdom
i diathésique bien constaté dans le reste de la famille du père.]
Mère
, 30 ans environ, toujours bien portante, originai
est mariée il ,23 ans. - Migraines assez fréquentes. [Famille de la
mère
: Aucune tare ne saurait y être signalée.] Troi
ien de particulier lors de la conception. - Durant la grossesse, la
mère
fut pendant trois mois sujette a des vomissemen
st des plus rudimentaires, elle ne reconnaît même pas la voix de sa
mère
. Comme antécédents morbides, signalons une roug
uide encé- phalique. La dure-mère ne parait pas malade. - La pie-
mère
du côté droit est plissée comme une poche vide. E
el, tremblement sénile. - Ai,iière-graird-pè7,e paternel, bigare.
Mère
, rien de particulier. Grand-père paternel, hémipl
de M. BOURNEVILLE). Antécédents.- (Renseignements fournis par la
mère
te 16 juillet 1886.) - Père, 42 ans, ancien gar
llement atteint de tremblement sénile de la tète et des membres. Sa
mère
, morte à GG ans, on ne sait de quoi, était ordi
i aliénés, ni suicides, etc., etc., dans le reste de la famille.]
Mère
, 'il ans, autrefois cuisinière, maintenant concie
c hémiplégie gauche. Très sobre; sans autre anté- cédent nerveux. -
Mère
, morte jeune, on ne sait de quoi. - Aucun rense
d'albuminurie, ni d'alcoolisme ; pourtant à par- tir de 6 mois, la
mère
eut à se plaindre de tracasseries de la part de
xie; il était robuste et vigoureux Pendant deux mois allaité par la
mère
, puis nourri au biberon, toujours avec le lait
teigne ( ? ) dans cet intervalle de temps. - En résumé : d'après la
mère
, la situation, loin de s'améliorer, ne fait que
de la scissure inter-liémispliéridue. - Les vaisseaux de la pie-
mère
sont fortement congestionnés, mais il n'y a pas d
lique. - Ren- seignements insuffisants sur lui et sur sa famille. -
Mère
nerveuse. - Grand-père maternel, excès de boiss
ce le 22 octobre 1884. Antécédents. - (Renseignemenls fomnispa1' sa
mère
le (24 no- vembre 1884.) Le malade est un enfan
37 ans environ, commis voyageur en étoffes, alcoolique invétéré. La
mère
de l'enfant l'a connu pendant un an à Cha- till
. Elle ne peut donner d'autres détails sur lui ni sur sa famille.
Mère
, 32 ans, domestique, brune, grande, physionomie r
, vigneron, a fait beaucoup d'excès de boisson, mort asthmatique. -
Mère
, bien portante. - Grand- père paternel ; mort a
é comme aliéné. - Un autre oncle était un peu «bêta» et bossu. - La
mère
dit qu'il n'y a pas eu d'autres tares dans sa f
ni de tuberculeux.] Pas de consanguinité (le père. est de Dijon, la
mère
de Mussy-sur-Seine, près Bar-sur-Soine). Inégal
sonnels : méningite. Notre malade. - Lors de la conception, père et
mère
en bonne santé. La conception n'aurait pas eu l
, bien portant, sans asphyxie. Elevé au sein pendant un mois par sa
mère
qui. il ce moment, se marie avec un homme qui a
s ni d'engelures. A la maison, comme il marchait sur les genoux, sa
mère
lui avait fait fabriquer des genouillères. Plus
nel convulsions de l'enfance. - Oncle paternel, - excès de boisson.
Mère
, obèse, céphalalgies. Grand' mère maternelle rh
e paternel, - excès de boisson. Mère, obèse, céphalalgies. Grand'
mère
maternelle rhumatisante et cardiaque, - Arrière
- Arrière grand-père maternel, excès de boisson. - Arrière grand'
mère
maternelle morte subitement. Grand-oncle mater-
trée dans le service le G avril 1898. Renseignements fournis par sa
mère
(8 avril 1898). PtnE,41 ans, cultivateur, sobre
rt à 51 ans « brûlé par l'alcool », aurait dit le médecin traitant.
Mère
, obèse, porteuse d'une grosse hernie ombi- lica
épileptiques, ni bègues, ni pieds bots, ni d'autres sourds-muets.
Mère
, 37 ans, ménagère. Pleurésie à 13 ans; à partir d
ILLE, Bicêtre, 1898. 5 66 Manie DE l'adolescence. - Famille de la
mère
. Père, cultivateur, mort à l'àge de 60 ans d'ar
t d'un amaigrissement progressif; n'a jamais fait d'excès d'alcool.
Mère
, a eu, à 35 ans, une forte attaque de rhumatism
tiques, etc. Pas de consanguinité. - Différence d'âge des père et
mère
: 4 ans. Trois enfants : Il garçon de 16 ans, n
l bon, jamais de cauchemars, etc. : Le 10 décembre, elle va avec sa
mère
et sa petite filleule en- tendre le sermon d'un
Ah ! maman, j'ai peur que Jeanne ne soit morte ! » Rassurée par sa
mère
, elle continue il écou- ter le sermon, mais ren
x premiers tiers, les troubles du langage parlé ; elle écrit à sa
mère
correctement d'abord, sans faute grave de style o
qu'elle n'ira plus à la messe, malgré le plaisir que cela fait à sa
mère
; que c'est fini , qu'elle ne veut plus être pi
est très con- tente des friandises et des objets de toilette que sa
mère
lui a envoyés : « Je ne veux pas manger tout à
est cha- grinée. Elle s'est souvenue avoir dit des sottises à la
mère
d'une malade et s'en est excusée. Au sur et à m
rarement : « On pourrait dire jamais, » suivant l'expression de sa
mère
. Depuis sa sortie elle est plus disposée it se
nomie est meilleure ; le regard n'est plus voilé : « il est, dit la
mère
, absolument naturel. » - Les règles sont revenu
rhumatisme, l'emphysème. Notons encore les céphal- algies chez la
mère
, des excès de boisson occasionnels chez l'un de
ysionomie ouverte, modeste. Elle est très raison- nable, affirme sa
mère
, gaie, laborieuse, docile. Ses règles, qui pend
SOMMAIRE. - Père, soixante et un ans, asthmatique, très nerveux. -
Mère
, quarante-cinq ans, rien à signaler. - Tante pa
que, le 16 juillet 1896. Antécédents (Renseignements fournis par sa
mère
). - Père, soixante et un ans, asthmatique, très
nerveux, ni de bègues, ni de ticqueux dans la famille paternelle.
Mère
, quarante-cinq ans, bien portante, n'aurait pas e
avait le sang en révolution », ce qui était dit il des ennuis ; la
mère
était bien portante. - Grossesse bonne, mère tr
dit il des ennuis ; la mère était bien portante. - Grossesse bonne,
mère
très impres- sionnable. - Accouchement naturel,
nt n'était pas « très fort », pas d'asphyxie. Nourri au sein par la
mère
. Rien de particulier jusqu'à l'âge de quatre an
nui : il est rentré sans difficulté. Aurait été témoin, nous dit sa
mère
, d'un ac- cident de tramway (un petit enfant re
passage à l'Ins- titut médico-pédagogique. Enfin, en avril 1898, la
mère
nous dit qu'elle a été très surprise des heureu
i ; nous disons guéri, car, nous avons eu l'occasion de revoir sa
mère
en avril 1898, c'est à-dire un an après sa sortie
de Pint..., c'est qu'il est enfant naturel de père inconnu, que sa
mère
, lingère. était âgée de 25 ans quand elle aban-
sse, abcès froids au cou. Grand'mère paternelle emphysémateuse. z
Mère
: très nerveuse, migraineuse, convulsions clans l
12. uns. IV. - Débilité mentale et épilepsie. SOMMAIRE, - Père et
mère
rien de particulier. Grand- Cas guéris. 105 p
e pater- nelle paralysée. - Tante, maternelle morte tuberculeuse.
Mère
migraineuse, très nerveuse. - Grand'père mater-
cancéreuse. - Soeur morte de convulsions. État syphilitique de la
mère
pendant la grossesse. Con- vulsions; pyromanie.
le. SOMMAIRE. Pé)'es ! /p/utque, alcoolique. Cousin imbécile. , -
Mère
nerveuse. Grand'mère materxelle alcoolique. Gro
ie. Sommaire. l'ère alcoolique. Grand'mère paternelle alcoolique.
Mère
très nerveuse. - Consanguinité. - Inégalité (le
Idiotie myxoedémateuse. * Sommaire. Grand-père maternel alcoolique.
Mère
, rien de particulier. - Cousin germain, convuls
- Myopathie progressive. Sommaire. Grand-père paternel alcoolique.
Mère
morte 'tuberculeuse. Grands-parents maternels t
n- gite ; un autre a été interné à Bicêlre à l'âge de 7 ans. (2)-
Mère
très nerveuse, convulsions dans l'enfance, migrai
tre le 4 novembre 1889. Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
en novembre 1889.) l'I : : HE, 40 ans, employé
: : HE, 40 ans, employé à la Banque, est « simple d'esprit » dit la
mère
, et n'a pu entrer dans cette administration que
ssant. Pas d'autres renseignements sur le restant de la famille.]
Mère
, 35 ans, s'occupe des soins du ménage. Intelligen
e névralgies. [Père. 77 ans, très ner- veux, n'a jamais été malade.
Mère
, 70 ans, bien portante, pas nerveuse, aurait eu
lade. Notre malade. - A la conception, père bien portant, mais la
mère
était convalescente depuis un mois à peine d'une
ement facile. - Pas d'asphyxie à la naissance. Élevé au sein par sa
mère
jusqu'à deux mois, par une nourrice sur place j
à l'école a l'Age de trois ans, il n'y a rien fait; it cinq ans sa
mère
lui a appris les lettres, mais n'a jamais pu le
ment médico-pédagogique, malgré le dévoue- ment et l'habileté de sa
mère
qui s'en est occupée avec le plus grand dévouem
cite. . SOMMAIRE, - Père, famille du père, rien de particulier. .
Mère
bien portante. - Famille de la mère tuberculeuse
du père, rien de particulier. . Mère bien portante. - Famille de la
mère
tuberculeuse : . père, mère, frère et deux soeu
. Mère bien portante. - Famille de la mère tuberculeuse : . père,
mère
, frère et deux soeu1'S tuberculeux. ' . Premièr
re le 18 septembre 1890. Antécédents (Renseignements fournis par la
mère
de l'en- fant). PÈlIE, 53 ans, homme de peine a
d'autres renseignements non plus que sur les grands parents que la
mère
n'a pas connus. - Deux soeurs dont l'une morte
rs rhumatismales, ni d'affec- tions cutanées, etc. - [Famille de la
mère
. - Père mort il h9 ans de tuberculose pulmonair
il h9 ans de tuberculose pulmonaire ; pas d'excès de boissons. -
Mère
morte à 42 ans, également tubet·cttleuse. - Grand
... - Accouchement" terme; facile, pas d'accidents ni du côté de la
mère
, ni du côté de l'enfant, pas d'asphyxie. Elevé
mère, ni du côté de l'enfant, pas d'asphyxie. Elevé au sein par sa
mère
jusqu'à l'âge de 18 mois ; il semblait ne diffé
uë jusqu'à Lige de li mois. A cette époque, pendant son sommeil, sa
mère
s'aperçoit qu'il présente du clignotement des p
ble que ses parents l'ont cru mort. Deux jours après, au dire do la
mère
, l'enfant avait encore de la fièvre. Depuis l
e de très bonne heure. C'est seulement depuis l'âge de 4 ans que la
mère
a observé que l'intelligence de son enfant étai
alcoolique ; otite entraînant des maux de tête continuels. - Grand'
mère
paternelle, caractère di ffi- cile. Un oncle et
i ffi- cile. Un oncle et une tante paternels morts très jeunes. -
Mère
: fièvres intermittentes ( ? ) ; migraines; crise
icêtre le 8 mai 1894. Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
en 189G.) - Père, 51 ans, déménageur, bien port
jeunes. Pas d'autres renseignements sur le reste de la famille.]
Mère
, 'il ans, porteuse de pain. Pas de convulsions ni
omie fran- che, assez intelligente. [Sa famille. - Père, inconnu.
Mère
, morte à 54 ans ; Hydrocéphalie. 153 blanchis
anguinité. - Inégalité d'âge de 13 ans (père plus âgé). A 18 ans la
mère
avait un amant dont elle eut un enfant mort à n
fausse couche. Notre malade. - État satisfaisant du père et de la
mère
au moment de la conception. Celle-ci n'ayant pa
e : l'enfant répète constamment : « non, pas de chance », ce que sa
mère
parait lui avoir appris ; il ne répond pas aux
163 paternelle, excepté les excès alcooliques du père. Quant à la
mère
, elle est nerveuse, a eu des attaques d'hystéri
éfaut, nous n'a- vons à mentionner que les excès de boisson de sa
mère
, grand'mère maternelle de l'enfant, et la conges-
le. Signalons en passant l'inégalité d'âge de 13 ans de ses père et
mère
, circonstance que nous relevons toujours dans n
ernel pied-bot. Plusieurs cas de gémella1'ité dans la famille de la
mère
. Soeur, morte de convulsions. - Frère, mort a B
paternel, mort également paralysé; un troisième mort tuberculeux.
Mère
, 44 ans, a toujours eu des maux d'estomac et d'in
actuellement à Charenton (Léon B...) ; il aurait voulu frap- per sa
mère
pour voir son sang couler ; un autre cousin, frèr
e phthisique à 25 ans. - La tante ma- ternelle, soeur jumelle de la
mère
a eu six enfants ; quatre sont morts de convuls
ans n'a pas eu de convul- sions, intelligent, délicat. -D'après la
mère
de l'enfant, les jumeaux viendraient du côté pa
la mère de l'enfant, les jumeaux viendraient du côté paternel de la
mère
où il y au- rait eu plusieurs cas cle uemellal'
omissements ; elle a un côté pus faible que l'autre ; élevée par sa
mère
; 8° garçon, 12 ans, a eu quelques petites conv
alade. - A la conception les parents étaient bien portants, sauf la
mère
qui souffrait de constipation. Gros- sesse : da
n'a jamais cessé de pleurer nuit el jour. C'était le premier que la
mère
nourrissait, con- trariée d'avoir vu les autres
entués » ; tandis qu'autrefois il se tourmentait quand il voyait sa
mère
ennuyée, il montre vis-a-vis d'elle une réelle
y et son nouveau patron le remercie le jour même. Il rentre chez sa
mère
plus excité que jamais, se sert même d'expressi
fectifs dimi- nuent, et l'enfant devient irritable même envers sa
mère
. En juin 1 89 i, Edouard assiste aux obsèques de
rand'mère paternelle morte « un peu paralysée riz. - Gémellarité.
Mère
, enfant du siège, nerveuse, - Tante maternelle mi
évrier 1896. Antécédents. (Renseignements fournis par le père et la
mère
en 1896 et 'complétés en mars 1897.) . Père,
boisson, parfois pituite, n'a pas l'aspect d'un alcoolique. -[Père¡
mère
en bonne santé, sobres. Grand'pèa·e paternel mo
père paternel mort à 67 ans, on ignore de quelle maladie.. Grand'
mère
maternelle morte un peu paralysée, sans démence ;
n- naît aucune espèce de tare, ni aliénés, ni épileptiques, etc.]
Mère
, 25 ans, née en janvier 1871, sans profession, au
rieux, un peu nerveuse. - [Père sujet à Aes cépha- lalgies, sobre ?
Mère
en bonne santé. - Grand-père et mère p-aternels
à Aes cépha- lalgies, sobre ? Mère en bonne santé. - Grand-père et
mère
p-aternels pas de renseignements. Elle n'a conn
ans les deux mois qui ont précédé son entrée. (h En mars 1897, la
mère
, que nous avons revue, nous apprend qu'il continu
sentiments affectifs. Elle ressem- ble davantage à son père qu'a sa
mère
; elle ne reconnaît pas ses parents. Les paren
Les pères de fi(i7 enfants faisaient des excès de boissons. Les
mères
de .')9 enfants faisaient des excès de boissons
res de .')9 enfants faisaient des excès de boissons. Les pères et
mères
de 21 enfants faisaient des excès de boissons.
ren- seignements sur l'alcoolisme des ascendants. Les pères et
mères
de 775 enfants étaient sobres. 1.77.'3 En out
MM. BOURNBVILLfi et BONNAIRE. Observation I. Père peu intelligent.
Mère
et bis- aïeule alcooliques. - Soeur morte de co
ier 1879 (service deM. Bouiineville). Renseignements fournis par sa
mère
(24 janvier 1881). Père, 41 ans, boulanger; de
on du coeur à 32 ans; maçon; alcoolique ; a bu « tant qu'il a pu. »
Mère
, morte de fièvre typhoïde. Pas de manifestation
ièvre typhoïde. Pas de manifestations nerveuses dans la famille.]
Mère
, 41 ans, couturière, est assez intelligente ; pré
ossesses; alcoolique; s'est mariée à 25 ans. [Père mort à 70 ans;
mère
, morte à 72 ans d'une tumeur au bras, un an après
; 13° fille, âgée de 5 mois; bien portante; élevée au sein, par sa
mère
. Notre malade. Pendant la grossesse, la mère a
élevée au sein, par sa mère. Notre malade. Pendant la grossesse, la
mère
a été sujette à des émotions multiples occasion
t se fit à terme et fut normal. L'enfant fut élevé au sein par sa
mère
jusqu'à 10 mois. Avant 5 mois, il était bien po
ions, 8 jours. C'est à la chute sur le poêle et à la brûlure que la
mère
attribue l'état de l'enfant. Traitement par le
extraor- dinaire en hauteur. La dure-mère est adhérente; la pie-
mère
offre une vascularisation fine, prononcée surtout
ice de M. BOURNEVILLE). 10 IDIOTIE. Renseignements fournis par sa
mère
. - Père, 35 ans, de bonne santé habituelle, ass
eur. Un de ses frères a eu deux jumeaux bien constitués et valides.
Mère
morte à 56 ans, asthmatique, atteinte de cyphos
d'autres cas d'affections mentales ou nerveuses dans la famille.]
Mère
, 29 ans, anémique, très nerveuse, prompte à la co
également pendant plus de 15 ans une éruption dartreuse aux jambes.
Mère
, morte subitement à 66 ans; était très nerveuse
oins l'en- fant pousse des cris, la nuit,et ces cris, au dire de la
mère
, se reproduisent sous forme d'accès durant 15 à
epsie, abcès de la marge de l'anus.- Père : convulsions il 6 ans. -
Mère
: condui- sions dans l'enfance, migraines. - Gr
E), le 21 janvier 1881. Antécédents. (Renseignements fournis par la
mère
de l'enfant.) Père, 38 ans, marin, puis comptab
ou 7 ans. [ Son père est mort subitement ( ? ); il était sobre. Sa
mère
, mariée à quinze ans, mère à 16 « de caractère
ort subitement ( ? ); il était sobre. Sa mère, mariée à quinze ans,
mère
à 16 « de caractère volage, » s'est séparée de
oeur ; pas d'antécédents héréditaires nerveux dans la famille. li
Mère
. 34 ans, couturière, a eu des convulsions jusqu'à
es, des crises convulsives dans lesquelles il se mord la langue. Sa
mère
est bien portante, un peu ner- veuse. Un frère
la rosée.» Pas de résultat immédiat à la suite de ce traitement. Sa
mère
le reprit avec elle à l'âge de trois ans, et, d
ngt minutes qui les précédaient, il disait sans cesse ; « Ma petite
mère
, je suis étourdi, ma pe- tite mère j'ai mal au
disait sans cesse ; « Ma petite mère, je suis étourdi, ma pe- tite
mère
j'ai mal au coeur » et, à chaque fois, sa figure
la crise débuta par une sorte d'hallur cination : « Oh ! ma petite
mère
, toutes ces couronnes ! » Ce fut le 12 juin 188
ropre depuis deux mois, bien que parfois encore il urine au lit. La
mère
ne signale pas d'onanisme, Etat actuel. - Le cr
l cherchait à donner des soufflets, à mordre; il re- connaissait sa
mère
, mais ne lui faisait aucune caresse. Il mangeai
e le gauche. Hémisphère droit. Lorsqu'on essaie d'enlever la pie-
mère
qui n'est guère plus épaisse que d'habitude, mais
e (2). Observation 1. -Père, oncle paternel et frère alcooliques.
Mère
: pertes de connaissance mal caractérisées. Gra
ooliques. Mère : pertes de connaissance mal caractérisées. Grand'
mère
maternelle : carcinome. - Autre frère : aliéné.
in blanc). Aucun renseignement sur les grands parents paternels.]
Mère
: elle travaillait avec son mari; elle était mala
t de vieillesse à 98 ans et demi. Deux soeurs, l'une bien portante,
mère
de 7 enfants en bonne santé; l'autre morte en c
, dans un état d'hébétude profonde. Ce serait à ce moment-là que la
mère
de notre malade serait devenue enceinte de lui.
OBSERVATION. - Père et grand père paternel nerveux et migraineux.-
Mère
: convulsions et torticolis spasmo- dique dans
telsque dans l'un d'eux il alailli,un jour, tuer un de ses frères.
Mère
, 79 ans, asthmatique, a conservé toute son inte
mentale ou nerveuse dans la famille.] Renseignements fournis par sa
mère
. - Mère, 40 ans, institutrice ; bien portante,
ou nerveuse dans la famille.] Renseignements fournis par sa mère. -
Mère
, 40 ans, institutrice ; bien portante, assez im
à 67 ans,d'une fluxion depoitrine; ni excès, ni troubles nerveux.
Mère
, morte à 49 ans, à la ménopause, d'une affection
mme idiote », état qu'on attribuait aux peurs qu'avait éprouvées la
mère
, lors des événements de 1848. Pas d'autres acci
ents ner- veux dans la famille.] , Consanguinité. - Le père et la
mère
sont cousins ger- mains, issus du frère et de l
assez bonne. Toutefois, entre le troisième et le quatrième mois, la
mère
a éprouvé une vive contrariété à l'occasion d'u
névrose, le sommeil est resté mauvais. « Hier encore, nous dit la
mère
, il a eu une crise dans la soirée; il voulait ouv
nt, il reconnaît son père à sa bague et l'embrasse ; il sourit à sa
mère
. Les membres inférieurs sont fléchis et toute t
ce moment, les marionnettes le mettent en rage; il crie, regarde sa
mère
d'un air furieux et fait mine de cracher sur el
ir furieux et fait mine de cracher sur elle. Puis, il s'amuse de sa
mère
« qui lui fait coucou » en se cachant. Hallucin
e plus de 60 ans ; il était grand et fort; nul autre renseignement.
Mère
, morte à 68 ans, on ne sait de quoi; elle était
par sa belle-soeur (1). Père, cultivateur, mort on ne sait de quoi.
Mère
, morte quand notre malade était en bas âge. Deu
or- tement fixée aux sutures de la voûte d'une part, et à la pie-
mère
de' l'autre. Le liquide céphalo-rachidien est ass
ELASIAUVE dans celui de M. CHARCOT. Renseignements fournis par sa
mère
(22 novembre 1866). Père ordinairement bien por
nd il est mort, à l'âge de 65 ans, on ne sait de quelle ma- ladie. [
Mère
morte après 60 ans, on ne sait de quoi. Deux de
plaide contre l'empereur, etc. (En 1874 il était encore vivant)].
Mère
, asthmatique, a eu des hémoptysies, n'est pas ner
s ner- veuse. Son père est mort du choléra en 1832, à 48 ans ; sa
mère
est morte à 89 ans, elle était tombée 3 fois en p
13 mois après le mariage, le père avait alors 25 ans et demi, et la
mère
24. La mère avait eu une bonne grossesse, cepen
s le mariage, le père avait alors 25 ans et demi, et la mère 24. La
mère
avait eu une bonne grossesse, cependant, elle a
lle tremblait ; beau- coup de convulsions dès les premiers mois. La
mère
l'a éle- vée au sein pendant cinq mois seulemen
vient méchante. Pendant les derniers temps de son séjour chez sa
mère
, elle avait du délire consécutivement aux «cris
a Grande rue de Reuilly; elle parle de sa DÉMENCE ÉPILEPTIQUE. 89
mère
, dit qu'elle faisait des chaises. Elle prend son
ore difficilement ; parfois pourtant, elle parle spontanément de sa
mère
. Elle reconnaît ses parents, leur dit seulement
0 décembre 1877. Antécédents héréditaires. Rien du côté du père. La
mère
est très nerveuse, colérique; un de ses cousins
otre malade. La grossesse en a été acci- dentée par des peurs de la
mère
. Elevé au sein jusqu'à 26 mois, il a été attein
(service de M. Bourneville), le 1G novembre 1880. Père rhumatisant;
mère
très nerveuse; consanguinité. (L'enfant est iss
ait des excès de boisson; accidents névropathiques dans sa famille.
Mère
, bien portante. Pas de consanguinité. Cinq enfa
entué, sujet à se trouver mal par suite d'émotions, de coups, etc.-
Mère
,40 ans,très nerveuse ; à l'occasion de sa quatr
émo- tions. La conception date de mai 1871. Au cinquième mois, la
mère
fit une chute dans laquelle elle eut plus à souff
VILLE). Père, 34 ans, charretier, de santé débile (un frère de la
mère
était faible d'esprit). - Mère, 27 ans, couturièr
ier, de santé débile (un frère de la mère était faible d'esprit). -
Mère
, 27 ans, couturière, très impressionnable; elle
i 1876 (service de M. Bourneville). . Renseignements fournis par sa
mère
(22 janvier 1881). Père, mort d'anémie pernicie
sa maladie, à des vertiges et des palpitations cardiaques. [Père et
mère
, sains. Un frère est mort soldat en Afrique, où
de persécution et affaiblissement des facultés intellectuelles.]
Mère
, 36 ans, couturière, intelligente, sans accidents
Grossesse bonne ; toutefois,versla sixième ou huitième semaine, la
mère
eut une peur vive occasion- née par la vue d'un
Antécédents héréditaires, - Pète sujet à la migraine, accès rares;
mère
, rien. (L'aïeul paternel a été aliéné pendant t
aliéné pendant trois ans; il a guéri. Le grand-père et la grand'
mère
maternels ont commis des excès de boisson(. Pas
malade. Pendant la grossesse, au troisième mois, frayeur vive de la
mère
, causée par un accès de délire im- pulsif chez
lquefois en heurtant sa tête sur le mur. Il semble re- connaître sa
mère
. Il se plaît à briser les objets qu'il peut sai
, à Bicêtre (service de Bourneville). Renseignements fournis par sa
mère
. (7 Janvier 1881).- Père, 4(j ans, garçon d'hôt
ère, 4(j ans, garçon d'hôtel, ne présente pas de troubles nerveux. [
Mère
, morte phtisique; pas d'accidents névro- pathiq
morte phtisique; pas d'accidents névro- pathiques dans la famille.]
Mère
, 45 ans, domestique, bien constituée, sujette à
morbides et nerveuses. [Père, mort d'une affection de la poitrine.
Mère
, morte asthmatique. Un frère a eu des convulsio
ier, âgée de 15 ans, est un peu imbécile. Consanguinité : père et
mère
cousins germains. Quatre enfants : Il garçon, 2
Notre malade. Grossesse assez bonne, quoique vers le 4° mois, la
mère
ait éprouvé quelques chagrins occasion- nés par
né. Accouche- ment normal, à terme. Buv... futélevé au sein, par sa
mère
, jusqu'à 22 ou 23 mois. Il commença à marcher à
ici à la suite de la rou- geole. Observation XI. Père alcoolique.
Mère
nerveuse. - Accidents névropathiques multiples
M. Bourneville.) Il est âgé de 5 ans. Renseignements fournis par sa
mère
. (9 janvier 1880 ? - Père, 37 ans, garçon march
'alcool. Pendant la grossesse, vers le 6e ou 7" mois, il a battu la
mère
de notre malade et l'a frappée de plusieurs cou
ouvelles depuis. [Père et trois frères morts de fièvre typhoïde.]
Mère
, 25 ans, couturière, de taille petite, paraît int
Elle est colérique et sujette aux maux de tête. Mariée à 18 ans. - [
Mère
, ner- veuse, a eu la fièvre intermittente; une
ternel est mort aliéné et son fils, cou- sin issu de gcrmains de la
mère
de notre malade, est mort j'ou, à l'asile do Va
ossesse a été acci- dentée par suite des mauvais traitements que la
mère
rece- vait do son mari. L'accouchement se fit l
ma- lade, à cause de son mauvais état général, fut repris par sa
mère
et élevé au biberon. Jamais il n'a su marcher; ce
e ses accès pousse des cris plaintifs, se réfugie sur le sein de sa
mère
, lui passe les bras autour du cou. La fin de la
iscères, viennent à l'appui de cette hypothèse. Observation XIII.
Mère
très nerveuse, alcoolique.- Premières convulsio
e fièvre typhoïde : il s'est marié à 22 ans. [Père mort phthisique;
mère
, morte asth- matique ; 10 frères dont 8 surviva
ont 8 survivants en bonne santé; une soeur est morte phthisique.]
Mère
, 34 ans, très nerveuse, sujette à des accès de co
aissance de notre malade, elle a eu des troubles menstruels. [Père,
mère
, et deux frères en bonne santé; nulle trace d'a
5° doux fausses cou- ches. Notre malade. Pendant la grossesse, la
mère
fit des excès de boisson : dans le cours d'une
reste plus qu'à rapporter trois observations. Observation XIV. -
Mère
très nerveuse, faible d'esprit. - Premières con
ille). Il est âgé de 6 ans et demi. Renseignements fournis par sa
mère
(25 novembre 1879). Père, 35 ans, maçon, intell
- tuelle. Nul antécédent morbide. [Père, mort on ne sait de quoi.
Mère
, morte de cholérine, il y a5 ans. Pas d'affection
as d'affections nerveuses dans la famille.] . hydrocéphalie 145
Mère
, 33 ans, d'une intelligencerestreinte, très nerve
eurs fois de se trouver mal. [Père, bien portant, homme de peine. -
Mère
, morte d'une « hydropisie au ventre »; était tr
continuer jusqu'à 18 mois. A 2 ans. Chamb... fut repris par sa
mère
, qui le garda 18 mois près d'elle avant de le
ILLE). Il est âgé de 7 ans et demi. Renseignements fournis par sa
mère
(7 février 1881). Père, 33 ans, horloger, de pe
de fois par an. Pas de manifestations nerveuses dans la famille.
Mère
, 31 ans, opticienne, intelligente, colérique. Ell
mercure ». [Père, aveugle à 27 -ans est mort d'une bronchite aiguë.
Mère
, ainsi que l'un des quatre frères, morts de pht
venue l'éruption de psoriasis, dont il a été question plus haut. La
mère
pense que l'en- Fig. 17. 150 ÉPIDÉMIE DE ROUG
à terme, naturellement; l'expulsion du foetus eut lieu alors que la
mère
était debout; le cordon s'est cassé à quelque d
« il avait comme la jaunisse o . Lev... a été élevé au sein par sa
mère
. jusqu'à six mois ; il a marché à vingt mois ; n'
s (index et médius). Il se montrait parfois violent vis-à-vis de sa
mère
et de sa soeur, qu'il a mordue. - Un jour, il s
sait en- tendre comme une sorte de « ronron " et dansait quand sa
mère
chantait. sans s'arrêter, tant que durait le chan
z régulières, mais les sillons peu profonds. La pie- PURPURA. 155
mère
, très fine, s'enlève difficilement surtout vers l
a plèvre, du péricarde et du péritoine. Observation XVII. - Père et
mère
en bonne santé. , Consanguinité. Peurs de la mè
n XVII. - Père et mère en bonne santé. , Consanguinité. Peurs de la
mère
pendant la gros- : ;esse. - Convulsions. Idiotie
x. [Père rhumatisant; pas de maladies nerveuses dans la famille.]
Mère
, 44 ans, couturière, intelligente, sujette à la j
. On attribue l'état intellectuel du petit malade aux peurs de la
mère
pendant la grossesse et aux convulsions. Sur ce
cutés avec beaucoup d'attention. Il se lave mieux et (1) Toutes les
mères
devraient apprendre le plus tôt possible à leur
il était gâteux, PETI'rE école complémentaire. xv et bien que sa
mère
prétendît qu'il parlait, il avait été impos- si
née. Son intelligence était tout à fait réfractaire à l'étude et sa
mère
déclare qu'on n'avait jamais pu lui rien appren
x soins. ex Enseignement du dessin. de propreté. C'est ce que les
mères
de familles, les institutrices, les maîtresses
s sa famille, pour sa soeur qu'il frappe et pince, et aussi pour sa
mère
. On ne peut le laisser seul dans la crainte du
us pouviez hâter cette admission et rendre ce grand service à cette
mère
si éprouvée. Veuillez agréer, Monsieur et cher
ans le service le 28 avril 1888. Fils d'un père alcoolique et d'une
mère
névropathe et al- coolique, il présente un reta
re nerveux ; rien à signaler du côté des grands-parents paternels ;
mère
nerveuse ; mais jamais de crises ni d'atta- que
rée dans le service. Quel- ques convulsions vers l'âge de 6 ans. La
mère
ne peut préci- ser à quel moment on s'est aperç
- voyé à la campagne et perdu de vue pendant quelque temps par la
mère
, celle-ci constata seulement à son retour qu'il
; nanisme et infantilisme prononcés. Sommaire. Père et sa famille,
mère
, rien ci signaler. Grand-père maternel mort pro
écédents héréditaires et personnels. (Renseignements fournis par sa
mère
). Père : 33 ans. Pas de profession insa- lubre.
, sur les oncles et tantes. Deux soeurs mariées, et bien portantes,
mères
chacune de deux enfants normaux. Un frère norma
rtantes, mères chacune de deux enfants normaux. Un frère normal.]
Mère
, 30 ans, ni alcoolisme, ni syphilis, aucune in-
oxication, aucune maladie grave, de caractère calme. [Famille de la
mère
. - Père mort à 43 ans d'une hématé- inèse(1),ét
inèse(1),était malade depuis 3 ans ; très nerveux; migraineux. -
Mère
morte 3 semaines après la naissance de sa fille.
phyxie ; l'enfant était gros et bien portant. Nourri au sein par sa
mère
pendant deux mois et ensuite au biberon. - Puis
t ou quinze jours. Aucune maladie infectieuse ni scrnfn- leuse. I,a
mère
ne sait à quoi attribuer l'affection. Etat actu
re mort du choléra, à Lyon en 1804, habituelle- ment bien portant.-
Mère
morte à 78 ans, après huit jours de maladie. Au
nnable. Ni sy- philis, ni alcoolisme, ni caféisme. - [Famille de la
mère
. Père, Il 1 ans. bien portant, sobre. Mère, 6-'
féisme. - [Famille de la mère. Père, Il 1 ans. bien portant, sobre.
Mère
, 6-'r ans, toujours très ner- veuse et très vio
ns, u'a jamais pu obtenir son certificat d'étude, travaille avec sa
mère
; 2° fille morte à 15 jours d'une entérite ; 3°
pas d'asphyxie, pas de circulaire du cordon. Allaité au sein par la
mère
jusqu'à 17 mois. - 1 re dent tar- dive.à j ? )
r sauf un oncle paternel alcoolique mort dun cancer de l'estomac. -
Mère
, Tien. - Grand-père maternel mort aliéné; grand
et 1892. Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par la
mère
de l' enfant). - Père, 3Ô ans,scieur de bois à la
s grands-parents paternels et maternels n'ont pas été connus par la
mère
de l'enfant. Elle sait seulement qu'ils étaient
rale, intellectuelle ou physique. Nanisme avec infantilisme. 55
Mère
, 28 ans, mécanicienne. Pas de convulsions, pas de
un peu emporté. In- telligence vive, bien portante.- [Famille de la
mère
. - Père mort à 55 ans, l'asile de Ville-Evrard
e temps avant sa mort. Il était sobre et n'avait jamais été malade.
Mère
morte à 4t1 ans, d'une affection pul- monaire a
d'âge entre les parents : 7 ans, en faveur du père. 5 enfants, la
mère
est en ce moment prête d'accoucher. 1° un garço
axis fréquentes, plus fréquentes que dans les autres grossesses. La
mère
a, en effet, souvent présenté des épistaxis ass
De quelques formes de nanisme. de la grossesse. A cette époque, la
mère
a éprouvé une frayeur très intense : une explos
feu, et au même moment, son mari revint avec deux doigts sciés. La
mère
n'eut pas de syncope, mais elle eut une métrorr
e du cordon. L'enfant, gros, était bien portant. Allaitement par la
mère
au biberon avec du lait de vache jusqu'à deux a
ois. Antécédents morbides. - Convulsions à l'âge de cinq mois. La
mère
, pendant une absence, confie l'enfant à une cousi
les crises convulsives, ni athétose, ni contracture, ni chorée. La
mère
ajoute que, depuis que ses accès sont devenus r
Plusieurs grands-oncles et tantes paternels morts de tuberculose. -
Mère
, caféisme ; caractère très vio- lent ; colères
er 1893. Antécédents héréditaires (Renseignements fournis par lui
mère
, le 3 mai 1893). - PÈRE, 60 ans, journalier ; alc
atif. Rhumatisant. Famille du père. Père mort à 72 ans, alcoolique.
Mère
, très nerveuse, morte après hémiplégie. Frères
sont nerveux. Une de ses soeurs est morte folle à la Salpêtrière.
Mère
, 45 ans, blanchisseuse. Elle s'est intoxiquée par
ndent malade pendant huit jours. Elle mesure lm 59. Famille de la
mère
. Père mort à 53 ans de tuberculose pulmo- naire
Famille de la mère. Père mort à 53 ans de tuberculose pulmo- naire.
Mère
morte à 40 ans d'un cancer de l'utérus ; coléreus
esse même, car alors « il est impuissant ». Durant la grossesse, la
mère
su- bit des mauvais traitements de la part du m
rt à 43 ans de méningite tuberculeuse. Tante ma- ternelle, aliénée.
Mère
nerveuse. Grand-père maternel mort d'excès de b
antécédents : père alcoolique ; un grand-père paternel alcoolique ;
mère
nerveuse probablement atteinte de tuberculose p
as d'accidents nerveux. Renseignements insuffisants sur sa famille.
Mère
hys(crirlue' ? - Dans les fa- milles du père et
famille. Mère hys(crirlue' ? - Dans les fa- milles du père et de la
mère
, on ne signale aucun obèse, ni au- wn nain. - P
s calme. Il était grand et non obèse. Famille du père. Ses -père et
mère
sont morts alors qu'il n'avait que 14 ans envir
lforma- tion congénitale, aucune tare morale ni intellectuelle. *
Mère
, 57 ans, ouvrière dans une manufacture de laine.
oint moyen. Elle est bien conservée pour son âge. « Famille de la
mère
. Père sobre, mort à 65 ans, d'une affec- tion p
ère. Père sobre, mort à 65 ans, d'une affec- tion pulmonaire aiguë.
Mère
morte à 75 ans d'une maladie du foie. - Grands-
dent à 7 ou 8 mois, dentition complète à une époque nor- male : la
mère
affirme seulement que la dentition de lait n'a
ns. - Début de la parole à l'époque normale. Marche à 16 mois. La
mère
ne sait à quelle époque les fontanelles se sont f
ue. Antécédents personnels. Conception probable dans l'ivres- se.
Mère
de petite taille. Grossesse et accouchements no
in 1903. Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par la
mère
le 21 Janvier 1891).- Père, marchand ambulant, mo
aille, mort à 75 ans. Asthmatique depuis l'adolescence, alcoolique.
Mère
, morte à un Age peu avancé d'une tumeur de l'ab
ysique, morale ou intellec- tutelle .1 Nanisme avec obésité. 89
Mère
, 51. ans, marchande des 4 saisons, femme de petit
ptô- me qui permette de faire penser àla syphilis. [Famille de la
mère
. Père alcoolique, mort à 59 ans. Mère enfant as
àla syphilis. [Famille de la mère. Père alcoolique, mort à 59 ans.
Mère
enfant assistée, morte à 3fi ans du choléra en
nte, pas de convulsions. Ces deux filles sont plus grandes que leur
mère
-et ont une taille normale ; ' - 3° Un garcon,
me, ni intoxications. Les mouvements du tus furent ressentis par la
mère
comme ceux de ses autres enfants, à la même épo
revenaient généralement tous les deux jours par série de trois. La
mère
s'est alors décidée à placer l'enfant à l'asile
le des chiens (cynophobie) bien qu'elle n'ait jamais été mordue. La
mère
ajoute que, lorsque l'enfant voyait le disque r
tures et le feu. Elle est douce, non coléreuse, affectueuse avec sa
mère
et ses soeurs. Pas de maladies infectieuses,
ires, etc., normales. L'enfant ressemble plutôt au son père qu'à sa
mère
, qui attribue la maladie de son enfant à l'état
e, a un petit-fils idiot. - Un frère a eu trois fois des jumeaux.
Mère
: 'il ans, apparition des règles à 10 ans, cauche
eption rien iL signaler. - Grossesse : on croyait à cette époque la
mère
poitrinaire. - Accouchement facile, à terme. -A
hronique, céphalalgies. Grand-père paternel mort paralysé. Grand'
mère
paternelle morte sourde et démente. Mère morte
rnel mort paralysé. Grand' mère paternelle morte sourde et démente.
Mère
morte tuberculeuse. Grand-père maternel mort pr
isson. - Une tante et une de ses filles, convulsions; strabiques.
Mère
, convulsions répétées de 2 ans 1/2 à 4 ans, cépha
st entrée le 21 mars 1902. Renseignements fournis par le père et la
mère
le 20 avril 1902. Antécédents héréditaires. -
ns à la suite d'une chute faite dans un escalier. Ethylisme léger. -
Mère
morte à 60 ans, d'une angine maligne, sobre. -
n ne trouve aucune autre tare morale, intellectuelle ou physique.
Mère
, 44 ans, cartonniere, coazLtclsio2s de 2 ans et d
aissance. Elle est de taille petite mais non obèse. Famille de la
mère
, - Père, mort il 44 ans de tuberculose pulmonai
e la mère, - Père, mort il 44 ans de tuberculose pulmonaire, sobre.
Mère
morte d'un cancer de l'esto- mac ; à partir de
de syncopes. Aucune intoxication, aucune tentative d'avortement. La
mère
n'a senti les mouve- ments de l'enfant qu'aux d
lle n'a pu rien y apprendre. Retirée de l'école au bout d'un an, sa
mère
lui faisait faire des carton- nages. Bien qu'el
ats, des araignées. Elle croyait qu'on l'assassinait et appelait sa
mère
. Elle a toujours été peureuse. - Elle n'est ni
ns. Impressionnabilité moyenne. Assez affectueuse surtout avec sa
mère
. (Pas de sévices). Fonctions digestives normales.
action du saturnisme, chez le père. Signalons le caféisme chez la
mère
. L'abus du café, qui tend à se répandre de plus e
tuelle ou physique à signaler. Aucun cas de nanisme ni d'obésité.
Mère
44 ans. Jamais de convulsions aucun accident arth
athique, mais elle est impressionnable et nerveuse. - Famille de la
mère
. Rien à noter. Pas de consanguinité. légalité d
e la mère. Rien à noter. Pas de consanguinité. légalité d'âge. La
mère
a été mariée deux fois ; de son premier mari, mor
e pas encore et ne sait dire que quelques mots incompréhensibles La
mère
ne se Nanisme avec obésité. l17 -1 serait ape
. Père : névropathe. Consanguinité des grands parents paternels :
Mère
, migraineuse, conduite très irrégulière. Grand'mè
édents héréditaires et personnels. (Renseignements four- nis par la
mère
de l'enfant le -16 janvier 1893.) PËfu ? 37 ans,
sur la syphilis. [Famille du père : Père sobre, de caractère doux.
Mère
violente, sobre. Le père et la mère étaient cou
Père sobre, de caractère doux. Mère violente, sobre. Le père et la
mère
étaient cousins germains. Aucun renseignement p
naturels. Aucune taré morale.] 124 DE QUELQUES formes DE nanisme.
Mère
, 35 ans, ménagère, ni alcoolisme, ni syphilis, my
chaque menstrue. Sa conduite serait fort suspecte. - [Famille de la
mère
. Père sobre, de caractère violent. - Mère, mort
pecte. - [Famille de la mère. Père sobre, de caractère violent. -
Mère
, morte à 43 ans, probablement d'un cancer utérin
morbides. Convulsions il l'âge de six semai- nes. L'enfant, dit la
mère
, se raidissait, sa figure se plissait, pâlissai
e l'enfant, qu'il nous a été impossible de compléter, les père et
mère
ayant disparu, ne nous a pas permis de détermi-
. - Nanisme ET rachitisme. SOMMAIRE. - Père, 20 ans plus âge que la
mère
, caractère Í1Ti- table, nombreux excès de boiss
aternel, excès d'can.de-vie. - Renseignel1u ! nts insuffisants (2).
Mère
sujette il des névralgies. - Grand-père 1/1jIJeme
; tuberculose PULMONAIRE. SOMMAIRE. - Père rien de particulier; -
Mère
, rien à noter, sattf quelques céphalalgies. - G
édée le 4 mars 109u. . Antécédents (Renseignements fournis par sa
mère
). PÈRE, 58 ans, forgeron, très-bien portant, né
taille. [Son père, mort il 72 ans de pneumonie, ne buvait pas. Sa
mère
est morte à 82 ans, de cause inconnue. - Aucun
s le reste de la famille. Aucun autre exemple de type mongolien.]
Mère
, 52 ans, ménagère; d'un bon aspect général; née a
le de type mongolien.] Pas de consanguinité, bien que le père et la
mère
soient tous deux du Creuset. Inégalité d'âge de
alité d'âge de 7 ans (père plus âgés Mariés : le père il 27 ans, la
mère
à. 20. Neuf enfants, pas de fausses couches. Au
concerne la con- cep/io ? ! . Pendant la grossesse, vif ennui de la
mère
de se l : i.'3 De quelques formes de nanisme.
ns les 7 livres. Elle a crié de suite.- Allaitement au sein, par la
mère
; elle a bien pris le sein.- Pas d'accès de cri
oeurs. Jamais de convulsions.- C'est vers l'âge de 18 mois que la
mère
a constaté que son enfant était en retard, « parc
lle est caressante pour tout le monde.- Elle pleure facilement.- La
mère
ne peut préciser l'époque à laquelle son attent
acer pour l'améliorer.- L'enfant ne ressemble ni à son père ni à sa
mère
.- Comme maladies infectieuses, elle a eu : une
grand chose ». L'enfant n'a subi' aucun traumatisme ni sévice.- La
mère
attribue l'état de son enfant à ses ennuis dura
. Tout d'abord, la malade est née de parents déjà un peu âgés (la
mère
avait 42 ans, le père 49), et ayant entre eux u
a succombé la malade. Notons d'autre part le très-vif ennui de la
mère
de se trouver enceinte. III. L'évolution de l'e
i-ine, les premiers mouvements f m taux n'ayant été perçus par la
mère
que vers 6 mois. La parole surtout a progressé
ssures, et, principalement à l'entrée de celles- ci, on voit la pie
mère
se souder intimement à la couche nerveuse sous-
paternel mort tuberculeux. - G ? aibd'la21te paternelle aliénée. -
Mère
morte tuberculeuse. - Grand'mère maternelle mor
yphoïde à 16 ans; rien de parti- culiez. - Cousin germain, bègue. -
Mère
: céphalalgies. Pas de consanguinité. Inégalité
ère : céphalalgies. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 2 ans (
mère
plus âgée). Conception, grossesse, accoucheme
permettant de soupçonner la syphilis. Ne boit pas d'alcool, dit la
mère
. Fume 0 fr. 50 de tabac par semaine. Pas de tra
ctère un peu vif. Pas de migraines. [Sa famille. - Père, 67 ans, et
Mère
, 57 ans ; bien portants et sobres. - Pas de ren
para- lysie, ni démence; ne voyait presque plus; sobre. - Grand'
mère
maternelle, morte à 64 ans, de fluxion de poitrin
e, rien autre à signaler qu'un cousin germain, de 14 ans, bègue.]
Mère
, 3G ans, domestique. Pas de convulsions, ni fièvr
36 ans, noyé accidentellement ; 200 Sclérose atrophique. sobre. -
Mère
, morte usée à 63 ans, on prétendait que c'était
rien il. noter.] Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 2 ans (
mère
plus âgée). - Un seul enfant. Température a l
oniques localisées à droite ; quant à la rigidité du coté droit, la
mère
ne peut préciser. L'accès dure 2 ou 3 minutes.
qui, d'ailleurs, en temps ordinaire, est peu employée. D'après la
mère
, la paralysie, qui a débuté après le pre- mier
e sur l'alcoolisme . 224 i Action DE l'alcoolisme suit l'idiotie.
mères
de tous ces enfants sous le rapport des excès a
ilepsie. En outre la conception durant l'ivresse du père ou de la
mère
a été relevée chez 275 malades et la conception
ts : 35, 8 <);0 des pères font des excès de boisson. 3 0/0 des
mères
1, 5 0/0 des pères et mères. oit 40, 4 0/0 de
font des excès de boisson. 3 0/0 des mères 1, 5 0/0 des pères et
mères
. oit 40, 4 0/0 des parents faisant des excès de
e particulier. - Petite cou- sine, hémiplégie gauche congénitale. -
Mère
, rien. Grand-père paternel, mort de tuberculose
ère, potier, mort à soixante-sept ans de pneumonie, était sobre. Sa
mère
, morte à soixante-dix-sept ans de vieillesse, n
ni paralysés, le grand-père à quatre-vingt-dix-sept ans, la grand
mère
à soixante-dix. Grand-parents maternels, morts, l
as d'accès. Dans le reste de la famille, rien autre à signa- ler.
Mère
, morte à quarante-cinq ans, il y a un an, de « ch
é gauche » sui- vant sa fille; on ne croit pas qu'il fut buveur. Sa
mère
, âgée de soixante-treize ans, est bien portante
r d'anormal. Pas d'autre épileptique. Pas de consanguinité. Père et
mère
, tous deux des Côtes-du-- Nord, mais de commune
mie; ses premiers cris ont été naturels. Allaitement au sein par la
mère
; sevrage à deux ans. Première dent à huit mois.
y est plus allé et est resté seul à la chambre depuis la mort de sa
mère
(il y a un an) « parce qu'il est trop vieux » ;
ptitude particulière. Il ressemble à son père physiquement, et à sa
mère
psychiquement. Pas de renseignements sur les tr
psychiquement. Pas de renseignements sur les traitements suivis; sa
mère
le conduisait au dispensaire Furtado-Heine et lui
ousin, sourd et muet. Renseignements insuffisants sur sa famille.
Mère
: rien. - Arrière grand'mère, paralytique. - Une
e 1903. . Antécédents héréditaires (Renseignements fournis par sa
mère
). - Père, 41 ans, homme de peine. \ été mineur pe
on père est mort d'une seconde attaque de paralysie, à 84 ans. - Sa
mère
, Ii : , ans, est sujets il des ciuuipcs desiû-
ni eux, nileurs ellfants. - Un cousin-ge1'lnain est sourd-muet].
MÈRE
, 38 ans, ménagère. Pas de convulsions. Pas de m
. - Notre malade - Conception, rien de particulier. Le père et 1.
mère
s'entendent bien. Ils ne boivent ni l'un, ni l'au
- L'enfant est beau, assez gros, non asphyxié. Il est nourri par la
mère
, qui est en même temp- nourrice à Paris, jusqu'
père de l'enfant, le U mars 18'16, sur sa propre famille, pa ? - la
mère
le 18 mars 1896 pour le reste des antécédents).
l serait sobre, nerveux comme son fils et toujours bien portant. Sa
mère
est morte à la suite d'une laparotomie nécessit
ptique. Sa maladie est attribuée à une violente émotion causée à la
mère
pendant sa grossesee. Son épilepsie est bien ca
cun autre détail intérressant à relever dans la famille du Père].
MÈRE
, 25 ans, sans profession, d'un aspect très doux,
voir jamais eu d'accidents nerveux d'aucun'' sorte [Famille de la
mère
. Le père est mort, il y a un an, ;\ 56 ans de t
aire, il aurait eu il une date anté- rieure une pleurésie aiguë. La
mère
âgée de 63 ans, est Antécédents personnels. 313
sesse se passa sans autre accident, qu'un ennui très sérieux de la
mère
de se voir enceinte à cause de a famille. L'accou
6 mois il aurait reçu une alimentation plus complexe à laquelle la
mère
attribue le gros ventre de l'enfaut. - Première
ui a frappé l'enfant a eu lieu à 6 mois, il était en nourrice et la
mère
n'a pu obtenir aucun renseignement à ce sujet.
sance. Cet. état durait quelques secondes, puis le bébé s'enlort La
mère
n'a jamais constaté d'écume de la bouche. Depui
des petits anges. Le père ne veut pas que son fils dise : dada; la
mère
n'entend pas que son enfant demande un coco, ch
, un tel triomphe ! après tant d'efforts ! et l'instant d'après, sa
mère
lui refuse le sein ou un gâteau; Edouard répète
Pinthières. Père, grand, fort, physionomie régulière, intelligent.
Mère
, assez grande, bien portante.-Deux frères en bo
est née. Elle vit chez ses parents, qui la soignent assez bien. Sa
mère
s'est toujours efforcée de développer son intel
ille paternelle, non plus dans la famille maternelle. Le père et la
mère
sont bien portants. La mère paraît exempte de t
ns la famille maternelle. Le père et la mère sont bien portants. La
mère
paraît exempte de toute tare névropathique, mai
d'un nouveau malade, nommé Bourg... CACHEXIE PACHYDERMIQUE. I La
mère
prétend que, pendant qu'elle était enceinte, son
ne sort plus depuis plusieurs années. Chute du rectum fréquente. La
mère
est habituée à réduire le rectum en prolapsus.
rrhée. Il est à propos de noter qu'elle a été longtemps gâteuse. Sa
mère
avoue qu'elle n'est arrivée à la rendre propre
un peu d'expression à sa physionomie. Elle ne répond guère qu'à sa
mère
et par monosyllabes : oui, non. Parfois elle pr
monosyllabes : oui, non. Parfois elle prononce quelques mots que sa
mère
traduit. La mémoire est relativement plus dével
ve, et ce degré, elle l'eût atteint sans les soins affectueux de sa
mère
qui trouve en elle, il faut bien le dire, une s
iasis de la jambe gauche ; il mourut épuisé à soixante-huit ans. La
mère
est une femme énergique, bien portante; elle a
t bien por- tant : à cet égard il ne doit subsister aucun doute, la
mère
dont nous tenons ce renseignement, étant, par p
faction ; il n'existe aucune mémoire : peut-être reconnait- elle sa
mère
qui la soigne. En dehors de cela, elle reste apa-
entement. Elle entend, car elle se retourne parfois à la voix de sa
mère
; et elle voit les objets qu'on place sur la ta
servations, l'absence ou la présence de parenté entre le père et la
mère
des malades a tou- jours été exactement notée.
sle... Epilepsie. Parents : cousins issus de germains. Père colère.
Mère
nerveuse. Début de la maladie à 40 ans. 3° Cail
Epilelsie et idiotie. Parents : cousins germains. Père arthritique.
Mère
migraineuse, nerveuse et impression- nable, fat
ue. Mère migraineuse, nerveuse et impression- nable, fatigues de la
mère
durant la grossesse. L'enfant est venu au monde
existe des anté- cédents marqués, non seulement chez le père et la
mère
, mais aussi le plus souvent chez les grands -pa
Epilepsie. Parents : cousins issus de germains. Père apoplectique.
Mère
très nerveuse et colère. Grand-père maternel ap
: cousins issus de germains. Pore alcoolique, migraineux et colère.
Mère
migraineuse. Tante maternelle hystérique. Début
18 ans. 5" Breha... Méningite. Parents : cousins germains. Grand'
mère
paternelle hémiplégique. Petite-cousine (cousine
e paternelle hémiplégique. Petite-cousine (cousine ger- maine de sa
mère
), folie puerpérale. Début congénital. G Denoy..
pater- nel apoplectique. Cousine germaine paternelle épileptique.
Mère
migraineuse, impressionnable et nerveuse. Grand'm
cès de delirium tremcns. Petit-cousin du père mort idiot à Bicêtre.
Mère
migraineuse. Grand - père maternel aliéné. Bisa
Grand'mère DE LA CONSANGUINITÉ. 23 paternelle morte d'apoplexie.
Mère
migraineuse. Grand-père maternel alcoolique et
. 10" Parina... Epilepsie. Parents : cousins issus de ger- mains.
Mère
arthritique. Grand -père maternel alcoolique. G
lle rhumatisante. Tante maternelle ner-' veuse. Emotion forte de la
mère
au début de la grossesse.. Début de la maladie
maternelle morte subitement. Oncle paternel para- lytique, général.
Mère
très nerveuse, migraines et fièvre ty- phoïde.
e migraineux et impressionnable. Grand-père paternel rhu- matisant.
Mère
nerveuse et migraineuse; attaques d'hystérie. G
alcoolisme ; accidents syncopaux. Grand- père paternel alcoolique.
Mère
, accidonts cérébraux à 3 ou 4 ans, impressionna
utalités du mari; rapports sexuols dans l'ivresse et syncopes de la
mère
durant la grossesse. Début de la maladie à 8 mo
Gordi... Epilcpsie. Parents : cousins germains. Père, convulsions.
Mère
, attaques d'hystérie. Grand'mère mater- nelle a
cousins germains. Père sa- turnin. Tante paternelle morte aliénée.
Mère
migraineuse et accidents hystériformes. Cousin
s issus de germains. Père, enfant naturel. Oncle paternel imbécile.
Mère
, attaques d'hystérie. Grand'mère maternelle trè
tantes morts de convulsions. Ennuis et troubles intellectuels de la
mère
durant la grossesse. Début de la maladie à 4 mo
idiotie. Parents : cousins germains. Père alcoolique et excentrique
Mère
, migraines, fièvre ty- phoïde, attaques d'hysté
s 24 ÉTIOLOGIE DE L'ÉPILEPSIE, DE L'IDIOTIE, ETC. nerveuses de la
mère
au septième mois de la grossesse. Début de la m
quelques excès alcooliques. Cousin paternel mort de convul- sions.
Mère
migraineuse et nerveuse. Asphyxie de l'enfant à
olique. Cousine germaine paralysée; une autre, attaques d'hystérie.
Mère
, intelligence faible. Grand-père ma- ternel apo
coolique et absinthique, suicidé. Grand'père pa- ternel alcoolique.
Mère
attaques d'hystérie et migraines. Début de la m
maladie à 7 mois. 21° Buvel... Idiotie. Parents : cousins germains.
Mère
mi- graineuse. Grand'mère maternelle asthmatiqu
ne séquestrée dans un asile, une autre imbécile. Un cousin suicidé.
Mère
, attaques d'hystérie. Oncle maternel im- bécile
raineux. Grand'mère paternelle nerveuse. Oncle paternel, méningite.
Mère
, attaques d'hys- térie. Grand'mère maternelle n
'hys- térie. Grand'mère maternelle nerveuse. Crise nerveuse de la
mère
au 7e mois de la grossesse. Début congénital de l
de suicide. Oncle paternel, convulsions. Cou- sin paternel suicidé.
Mère
très nerveuse. Grand-père paternel arriéré, idé
. Cousin germain imbécile. Grand oncle aliéné. Crise nerveuse de la
mère
au troisième mois de la grossesse, suivie d'une
ts : cousins issus de germains. Père très alcoolique et migraineux.
Mère
nerveuse, accidents DE LA CONSANGUINITÉ. 25 ..
Père, convulsions dans l'enfance. Grand-père /paternel alcoolique.
Mère
nerveuse. Début de la maladie à 14 ans. 27° Dol
nous le fournit. Dans les observations de Paring... et Bail... ) la
mère
est signalée comme très ner- veuse, sans qu'il
ite, la migraine, le suicide, le saturnisme, l'apoplexie; chez la
mère
, l'impressionnabilité, le nervosisme, les attaq
e : Lefèv..., âgé de 24 ans, épilepsie idiopalhiq1te.- Sa grand'-
mère
maternelle était alcoolique ; un cousin germain m
ée : De Bus..., 24 ans, épilepsie idiopathique. Père, diabétique;
mère
, hystérique ; deux cousins germains paternels épi
du Bromure de nickel. SOMMAIRE. Grand'mère paternelle alcoolique.
Mère
nerveuse. Grand'père maternel mort d'une affect
e dans notre service le 18 août 1883. Renseignements fournis par sa
mère
(22 août 1883). Père, 49 ans, tourneur en bois,
. Père, anglais, cocher de maison, écrasé par sa voiture ; sobre.
Mère
, morte à 73 ans, il y a 6 mois, on ne sait de quo
es, ni suicidés, ni cri- minels dans la famille qui est anglaise.
Mère
, 46 ans, plumassière, bien portante, petite, brun
érébrale, à 73 ans; tourneur en cuivre ; n'avait pas eu le choléra.
Mère
morte à 34 ans, pro- bablement de phthisie, apr
etc.] Pas de consanguinité. (Père né à Bordeaux de parents anglais;
mère
, de Paris.) Inégalité d'âge de 3 ans. (La mère
de parents anglais; mère, de Paris.) Inégalité d'âge de 3 ans. (La
mère
du malade ne vit plus avec son mari depuis huit
edi. Il s'était couché comme d'habitude. A deux heures du matin, sa
mère
fut réveillée par le bruit que faisait son enfa
par la fenêtre. Dans la journée, pendant une absence qu'a faite sa
mère
pour aller chercher un aide, il a attaché une cor
, plus faibles. Vers le milieu du mois de juin, état qualifié parla
mère
de « méningite. » Il ne sentait plus rien, ne s
ne savait plus écrire. Les per- sonnes de la maison habitée par la
mère
l'ont obligée à le mettre à l'Asile clinique (S
alcooliques de sa grand'mère pa- ternelle ; 2° les névralgies de sa
mère
; 3° l'affec- tion cérébrale à laquelle a succo
aternel alcoolique. - Cousine pater- nelle idiote et épileptique. -
Mère
nerveuse, névralgies, céphal- algies. - Grand'm
e, nombreux excès de bois- son, surtout d'absinthe et d'eau-de-vie.
Mère
, d'habitude bien portante a seulement des doule
d'autres épileptiques, ni de paralytiques, etc., dans la famille.]
Mère
, trente-cinq ans, assez grande, brune intelligent
teur, n'a jamais eu d'accidents nerveux et jouît d'une bonne santé.
Mère
, a eu il y a trois ans une paralysie faciale un
qu'ici bien portant. Un grand- père serait devenu fou au dire de la
mère
de l'enfant. Pas d'au- tres aliénés, pas d'épil
compagnée de maux de reins très douloureux. Durant tout ce temps la
mère
habitait la même maison que sa cousine idiote e
une heure après la délivrance. L'enfant a été élevé au sein par sa
mère
jusqu'à neuf mois seulement, elle a été obligée a
chez un oncle dans le Jura, il y resta deux mois : il avait, dit sa
mère
, mis toute la ville en révolution par ses excen
lui. Il 64 IMBÉCILLITÉ LÉGÈRE. n'a guère d'afléctioirque pour sa
mère
; il déteste son père qui bien des fois l'a corr
aient quand il était contrarié et surtout quand on le battait. Sa
mère
pense qu'à la maison il ne se masturbait pas. On
2o juillet. Refuse de travailler au dortoir, sous prétexte que sa
mère
le lui a défendu. 26 ? Injures grossières contr
s et à la partie inférieure des fesses. 6 juillet. Nous voyons la
mère
du malade ; elle nous raconte INSTABILITE MENTA
oire l'aurait fait renvoyer par sa tante. Cette dernière a dit à sa
mère
, qu'il pas- sait son temps fréquemment dans le
qu'il était toujours seul. De Alontreuil, il est revenu à Paris; sa
mère
a tenté de le gar- der près d'elle, essayant en
de même pour des emplois de courtier, d'homme de peine. D'après sa
mère
, on ne peut lui conGeraucun paquet, il l'oublie
garçons. Néammoins, cette excitation a bien diminué. » Pourtant sa
mère
nous dit qu'il embrasse toujours violemment les
mère nous dit qu'il embrasse toujours violemment les enfants. Sa
mère
se décida à l'envoyer à l'Orphelinat de Saint-Fia
fait des aveux, et il a été renvoyé le 26 juin. Depuis ce temps sa
mère
le loge dans une petite chambre de la rue Geoll
à des « actes malpropres mais il aime toujours à les embrasser. Sa
mère
craint qu'il ne se rende cou- pable de quelque
taux, et ne peut rien trouver. Son linge est toujours taché, dit sa
mère
; si on lui en fait la remarque, il répond qu'il
en premier lieu l'impression pénible et persistante éprouvée par sa
mère
durant la grossesse et occasionnée par la vue d'u
ère sortie. 11 nous dira qu'il ne sortira pas tel jour parce que sa
mère
doit aller à Paris, mais qu'elle le prendra tel
. (2) Commission de surveillance des asiles (30 Ir.). TlIoo' Digoy,
mère
d'un dé nos malades. 1 volume. (3) Don fait p
soins Lxxxn Enseignement nu dessin. de propreté. C'est ce que les
mères
de familles, les institutrices, les maîtresses
avons fait ve- nir dans notre service, une fois par semaine, des
mères
de famille avec leurs enfants auxquels des leço
avec leurs enfants auxquels des leçons étaient faites pour que les
mères
elles-mêmes apprennent comment elles doivent pr
ue semaine, prendre une leçon il la petite école de DI ? Bonnet. Sa
mère
, intelligente, très attentive; aux leçons, s'oc
ci-après : Père migraineux ; grand père paternel excès de boisson;
mère
, d'un caractère emporté, morte de tuberculose p
gé de 1'2 ans, se met en colère pour des motifs futiles, injurie sa
mère
, il la maison et dans la rue, ameute les passan
semblement de plus de 200 personnes. Des agents ont été appelés. La
mère
a été forcée de le conduire chez le commissaire
nt et comme il n'a constaté- aucune trace de coups, il a renvoyé la
mère
. , D'ailleurs la présence de plaies, de bosses,
ès de boisson. Arrière grand' mère pater- nelle morte il 'J5 ans.
Mère
lymphatique, morte d'une attaque d'apoplexie. Gra
s de boissons, mort à 50 ans de cirrhose du foie avec hydropisie. -
Mère
, sobre, pas d'acci- dents nerveux, bien portant
ostituées, ni criminels, ni mongoliens, ni d'autres tuberculeux.]
Mère
, pas de convulsions, un peu nerveuse, aurait eu d
aissance, eut des convulsions et mourut en 7 heures. [Famille DE la
mère
: Père, excès de boissons, mort vers 40 ans de
e que ceux cités.] Pas de consanguinité. (Père de Nogent-sur-Scine,
mère
de Paris). - Inégalité d'âge de 3 ans, père plu
u lieu durant l'ivresse. Grossesse, rien à noter si ce n'est que la
mère
G Idiotie .mongolienne. était contrariée d'êt
enfant, pas d'asphyxie. Elevée au sein, qu'elle a bien pris, par sa
mère
jusqu'à 18 mois. Jamais d'accès de cris, ni de
sent prendre insertion sur le feuillet le plus interne de la pie-
mère
voisine, de façon à réaliser une véritable symphy
frère bien portant. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge d'un an (
mère
plus âgée.) - Grossesse, idées noires ? Accou
sion de la langue à la naissance. Allaitement de 15 jours par la
mère
, puis par une nourrice alcoolique. - Ménin- git
ents vénériens. [Père, mort d'un coup d'apoplexie, à 65 ans, sobre.
Mère
, morte en couches, d'une hémorrhagie. Grand-pèr
ère, bien portant sans enfant. Deux demi-soeurs, en bonne santé.]
Mère
, 48 ans, aurait eu de l'asthme avant le mariage;
sesses avec beaucoup de peine : elle « n'était pas faite pour être
mère
de famille ; » n'a jamais éprouvé de bonheur dans
mme, travailleuse, « coeur d'or», [Père, mort poitrinaire à 39 ans.
Mère
, morte à G3 ans» d'une paralysie cérébrale, d'u
DIOTIE mongolienne. Pas de consanguinité ; inégalité d'âge d'un an,
mère
plus âgée. Dans les deux familles aucun cas sem
sein très difficile : prolru- sion de la langue. Allaitée par sa
mère
pendant 15 jours, puis confiée à une nourrice q
atteint de paraplégie. Renseignements insuffisants sur la famille.
Mère
, 46 ans, bien portante. Grand'mère maternelle m
de la famille, l'as de consanguinité. Père deux ans de plus que la
mère
. - Conception probablement pendant l'ivresse du
(service de M. BouarrE- ville). , , Renseignements fournis par la
mère
. Antécédents héréditaires. PÈRE mort à 46 ans d
ns, on ne sait de quoi : les renseignements sont insuffisants. Sa
mère
est morte à 85 ans, " usée", elle n'était ni déme
u'il y ait eu dans la famille d'aliénés, ou d'épileptiques, etc..
MÈRE
, 46 ans, pas de convulsions, pas de chorée, a tou
é accidentellement dans une chute de montagne à l'âge de 60 ans. Sa
mère
est morte vers 50 ans, d'un cancer du pylore. L
s, hospitalisé à Bicêlre. Une saur. 50 ans, en bonne santé, mariée,
mère
de trois enfants qui n'ont jamais eu de convuls
ons. Pas de consanguinité ; le père avait deux ans de plus que la
mère
. Douze enfants : 1° fille de 21 ans, pas de con
urait eu de convul- sions. Antécédents personnels. Conception. La
mère
était en par- faite santé; par contre, le père
r- faite santé; par contre, le père s'adonnait à la boisson et la
mère
(. croit que la conception a eu lieu pendant l'iv
près le même, pendant un an, Une fois cependant, l'enfant dit à sa
mère
: "je sens que je vais me trouver mal". Une aut
raisonnant juste, appréciant le bien et le mal, « il avait, dit sa
mère
, tout son moral, mais pas toute son intelligenc
i, une agitation inaccoutumée, demandant du papier pour écrire à sa
mère
, échangeant quelques paroles avec l'infirmier d
, il allait à la grille de la cour de récréation, pour y guetter sa
mère
, qui, disait-il, allait venir lui souhaiter sa fê
tal de 2.846. Le tableau suivant résumé la situation des pères et
mères
de tous ces enfants sous le .rapport des excès
(idées de suicide). - Grand' oncle paternel, affection men- tale.
Mère
, symptômes nerveux au cours d'une' fièvre typho
e' fièvre typhoïde. Gra-nd-pére maternel : syndactylie.- Grande '
mère
maternelle, migraines constantes. Conception et
dents héréditaires. [Renseignements fournis le 17 avril 1901 par sa
mère
). Père, ? 8 ans, rabatteur en fer, tra- vaille
ère, mort à 91 ans, éthylisme (eau de vie). Aucun accident nerveux.
Mère
, 75 ans, a eu un tic qui consistait en un relèv
intellectuelle et physique, aucun autre cas de dégé- nérescence.
Mère
, 28 ans, ménagère, sobre. Pas de convulsions ; fi
ni de migraines. Caractère doux, excellent ménage. Famille de la
mère
. Père, 70 ans, bien portant, pas d'é- thylisme,
genu-valgum, syndactylie : 3 orteils médians des deux pieds collés.
Mère
, 48 ans, bien portante. Migraineuse, elle est o
-, n'ont pas eu de convulsions. Dans le reste de la famille de la
mère
, pas d'autres tares physiques morales et intellec
malade. Enfant unique. - Conception, grossesse, rien à signaler. La
mère
supporte très bien la gestation même pendant le
crie de 10 h. du soir jusqu'au lendemain 7 h. sans discontinuer. La
mère
essaie de lui donner le sein, il ne le prend pa
evenait rouge, puis quelques minutes après il redevenait normal. La
mère
a remarqué qu'à la fin de la crise, l'enfant av
e lui. Sentiments affectifs : nuls. Ne reconnaît pas son père. Sa
mère
dit que son enfant la reconnaissait. Il parait êt
épaisse. Dure-mère épaisse. Adhérences de la dure-mère à la pie-
mère
au niveau des lobes pariétaux et des faces intern
auche. Rb b Cerveau. Hémisphère gauche. 1° Face interne : La pie-
mère
est un peu vascularisée dans la région pariétale.
ne hémoptysie), en deux heures. [Père, mort vers quatre-vingts ans.
Mère
, pas de renseignements. Deux soeurs seulement,
n portantes ainsi que leurs enfants (un garçon et trois filles).]
Mère
, morte en 1877, à quarante-quatre ans, d'une ma
taille moyenne, forte, brune et d'un caractère très doux. [Père et
mère
, aucun ren- seignement. Un frère, mort il soixa
cun autre détail.] . Pas de consanguinité (père du Pas-de-Calais,
mère
de la Manche). Inégalité d'âge d'environ deux a
gnements que nous possédons sont très vagues. Il a été élevé par sa
mère
, a marché à dix- huit mois, a été propre de bon
el. - Père, rien à noter. - Renseigne- ments nuls sur sa famille. -
Mère
eczémateuse, pas d'accidents nerveux. - Grand-p
naturel. Antécédents héréditaires. - Renseignements fournis par la
mère
le a mai 1890. - Père : quarante-cinq ans, typo
aillait régulièrement, bon ouvrier. Pas de violence vis-à-vis de la
mère
. Caractère calme. Il a abarrdonné la mère de se
violence vis-à-vis de la mère. Caractère calme. Il a abarrdonné la
mère
de ses enfants il y a deux ans, et serait mort,
la séparation. Il n'a eu aucune discussion avec elle et, depuis, la
mère
ne l'a pas-revu. Indifférent vis-à-vis de ses enf
nées. Aucun indice de syphilis. Nul renseignement sur sa famille.
Mère
, trente-trois ans, brocheuse. Santé toujours bonn
E la sikre. Père, sobre, mort d'une paralysie au cer- veau ( ? ). -
Mère
, alcoolique, elle buvait de tout et s'enivrait pl
le avec aphasie.Gr.-për maternel, pas de renseignements.- Grand'-
mère
maternelle, sobre, morte d'une tumeur de l'estoma
e lait au verre. A quatre mois, il se développait bien. Revu par sa
mère
à huit mois, il était tout à fait normal, époque
convulsions. Il en a eu 5 en trois jours, l'une d'elles, vue par la
mère
, aurait duré deux heures. Les mem- bres étaient
ure était de côté. Il ne pou- vait plus se tenir sur les jambes. La
mère
l'a repris et l'a placé à côté de son domicile.
. . Il ne comprend rien. Parait complètement sourd, au dire de la
mère
. Il a marché à deux ans et demi. n'a jamais dit q
et encore il le dit très indistinctement et sans s'adres- ser à sa
mère
. Il grimace beaucoup depuis ses premières convul-
té, se ferait du mal si on ne le surveillait. Il ne reconnait passa
mère
. Il repousse les autres enfants, même sa soeur.
ué de rumination ? - Aucun signe de connaissance et d'affection. La
mère
, à qui il ressemble, dit-elle, attribue l'idiotie
rs cousins. II. Lem..., d'après les renseignements fournis par sa
mère
''et que nous avons tout lieu de croire exacts,
ls autrefois. se sout déve- loppés, l'enfant est affectueux pour sa
mère
et les personnes qui l'entourent. En résumé, au
Pas d'onanisme, aucune mani- festation génitale. VII. Bien que la
mère
n'ait pas remarqué la rumination , elle a été c
hémiplégie. Grand-oncle paternel mort d'une attaque d'apoplexie.
Mère
: céphalalgies, sourde, caféisme, morte d'apoplex
ion du cerveau. Pas de consanguinité. Inégalité d'cige de onze ans (
mère
plus âgée). Conception, rien de particulier.
ccidents nerveux. Il aurait été « débauché » à dix- sept ans par la
mère
de la malade, Mme veuve Lee..., alors âgée de p
père, âgé de quatre-vingt-deux ans, sobre, est en bonne santé. Sa
mère
est morte à soixante-dix-huit ans, dix-huit mois
nerveuses ou mentales. [Ilien à noter dans le reste de famille.]
Mère
, quarante-huit ans, ménagère, tempérament nerveux
rt à soixante-dix- huit ans, à sa troisième attaque d'apoplexie. Sa
mère
est décédée à quarante-cinq ans d'un cancer de
s, etc.] Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de plus de onze ans (
mère
plus âgée). Trois enfants : l°un garçon mort
habituée au vase à partir de trois mois. V... aurait eu, selon sa
mère
, des convulsions à seize mois. Ces prétendues c
ivement augmenté et varié dans leurs carac- tères. Voici comment la
mère
de l'enfant les décrit. V... frappait des pieds
Dans ces derniers temps, V... était devenue très méchante envers sa
mère
, qu'elle frappait. Mais aussitôt, s'apercevant
ar le bruit que par l'inconvenance des expressions, envoyèrent à la
mère
une délégation chargée d'exposer les griefs com
la tuberculose, enfin l'inégalité d'âge con- sidérable des père et
mère
, celle-ci ayant près de douze ans 'de plus que
ette prononçait des mots orduriers. Sur la réponse né- gative de la
mère
, il aurait dit : « Eh bien ! elle en dira ». No
paternelle goitreuse. Oncle et grand'oncle paternels, bègues. ?
Mère
: convulsions de l'enfance avec strabisme, céphal
nements fournis par le pète le 11 novembre 1901,et complétés par la
mère
le. 26.. BOURNEVILLE,; Bicêtre., 1902. 11 16-
re, rhumatisant, Age de 5U ans, ne boit pas, aucune autre, maladie.
Mère
, 59 ans, asthma- tique, est porteuse depuis 35
avec les règles. Sobre, caractère nerveux, emporté. Famille de la
mère
: Père, vivant, sobre, serait sujet à des migra
, sobre, serait sujet à des migraines et à des battements de coeur.
Mère
, n'était pas migraineuse, elle parait être mort
it disparu depuis environ 15 ans. « Cet oncle était le frère de ma.
mère
et avait épousé la sceur de mon père, ils ont e
ficulté, rien à la suite. Pas de sévices exercés par la famille. La
mère
se plaint de ce qu'un maître l'a frappé à la tê
il fixait . tapait des lèvres, cela durait cinq minutes environ. Sa
mère
appelle ces accidents des grimaces. Les jours s
do l;anus chez une soeur, etc. II. Signalons le caféisme chez la
mère
pendant la grossesse. C'est là une cause de ner
la grossesse (excitation, tremblement, énervement, etc.). III. La
mère
est sujette h des migraines. Elles dis- paraiss
Le père de Mme V..., sa grand'mère paternelle, son arrière-grand'
mère
paternelle, sa trisaïeule paternelle, son frère
menton. Elle prétend qiil en est de même de son père et même de sa
mère
. Seul de ses parents son grand- père paternel,
toujours une congestion très forte de la face. « Parfois, dit sa
mère
, il est comme noir ». - Dans la nuit du 22 au 23
une cou- leur lie de vin, alors que le matin, au réveil, d'après la
mère
du malade, ils avaient une couleur vermillon.
ne germaine paternelle idiote. Cousin, germain mort tuberculeux.-
Mère
, rien de particulier. - Tante maternelle, crises
ises de nerfs. Pas de consanguinité. Inégalité d.'âgc de 3 ans . (
mère
moins âgée). - La malade : Irc dent à si.v mois
ce de syphilis. Caractère plutôt égal et doux. Sa famille : Père et
mère
, rien à signaler. Demi-soeur paternelle, migrai
ne paraissent avoir présenté aucune tare ni physique ni mentale.
Mère
, 44 ans, institutrice; pas de convulsions de l'en
ts au moment de la concep- tion était bon. Pendant la grossesse, la
mère
aurait été, le premier mois, obsédée par le sou
vues au Musée-Grévin. Les mouvements actifs du foetus perçus par la
mère
vers le quatrième mois et demi étaient très vio
elle avait de la peine à travailler et que la mémoire diminuait. Sa
mère
, une nuit, la vit porter la main à ses organes
ucher, sa fille lui aurait répon- du : oui. Depuis cette époque, sa
mère
n'aurait jamais eu l'occasion de la surprendre
creux et cernés. Au déjeuner, elle refuse de manger, Visitée par sa
mère
l'après-midi elle parait éprouver un cer- tain
inue. R.. est allée le 28 se promener il Robinson avec son père, sa
mère
et son frère. Le soir elle a raconté sa promena
moins travaillé intellectuelle- ment. Son caractère naturel, dit sa
mère
, a repris le dessus. Elle est redevenue aussi g
idiote, ni gâteuse, ni épileptique; elle n'a pas d'enfant (1). Sa
mère
parait indemne, mais sa soeur, tante maternelle
nalons en passant, sans y insister dans ce cas, une obsession de la
mère
pendant la grossesse. III. A l'entrée et pendan
e. Père, caractère vif, sobre. Grand-père pater- nel, alcoolique.
Mère
, rien de particulier : - Grand-père maternel, mor
ervice le 30 juin 1895. Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
en 1895J. Père, 31 ans, cocher; marié à 25 ans,
x, alcoolique (absinthe), tombait alors dans des attaques de nerfs.
Mère
, morte à 53 ans de la rupture d'un anwry-smc de
erculose pulmo- il souffrait aussi d'une maladie de coeur, sobre. -
Mère
; faible de santé; pleurésie il y a 3 ans; depui
développés. Ler... est sensible aux caresses, mais très gâté par sa
mère
, il est excessivement colère ; si on ne fait pa
e, parle, est propre, plus ou moins tôt suivnnt que les parents, la
mère
surtout, sont intel- ligents (ce qui existait d
et dont nous avons pu faire l'autopsie (1). SostrtAlns. - Père et
mère
bien portants, non alcooliques; non syphilitiqu
du père a été hémiplégique. - Une cousine éloignée paternelle de la
mère
, épileptique. Sur dix grossesses, trois fausses
il semble que sa maladie ait débuté à ce moment. Pour le second, la
mère
fait une chute de voiture huit jours avant l'ac
tre pour 1886, p. 3), etc. 23n Affection familiale. nel et par la
mère
). Père, 43 ans, fait le commerce de volailles,
maladie de coeur, était sobre, n'avait pas eu de maladie de peau. -
Mère
, âgée de 71 à 72 ans, bien por- tante, sans acc
te d'une vive frayeur. Rien à noter dans le reste de la famille.]
Mère
, 38 ans, très calme, n'ajamais eu d'accidents ner
de maladies vénériennes, sobre, a été soldat, s'est marié à 2J ans.
Mère
, morte en 18U3, à 56 ans, d'une affection du co
Pas de grands-oncles paternels. Deux grand'tantes (pas de la même
mère
), l'une morte à 78 ans, l'autre à 75 ou 76 ans.
é de suite. Non pesé, mais était tout petit. Elevé au sein par sa
mère
jusqu'à 9 mois, époque où elle est devenue en
ché. Vers 18 mois aurait eu des convulsions, en l'absence de sa
mère
qui ne peut en dire ni les caractères ni la d
au- rait jamais dit autant de mots que René. Reconnais- sait sa
mère
, attendu qu'il ne voulait manger qu'avec elle
Reconnaissait ses parents quittant tout le monde pour caresser sa
mère
et surtout son père. Mâche assez bien. Bon
des grimaces qu'il accompa- gne d'un petit cri. Reconnaissait sa
mère
même de la voix, sans la voir. Mâche assez
e, mort subitement d'une hernie étranglée à 84 ans, était sobre. Sa
mère
est morte à 35 ans, à la suite de couches. Aucu
Aucune trace d'acci- dents nerveux clans le reste de la famille.
Mère
, 54 ans, ménagère, santé délicate ; très faible,
te jusqu'à la ménopause (32 ans). - Père mort d'apoplexie à 52 ans.
Mère
morte d'une fluxion de poitrine à 66 ans. Grand
evenus quotidiens ; le maximum a été de 20 en un jour. D'après la
mère
, l'enfant ne prévient jamais; il pousse par- fo
hystériques. -Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 9 ans. -
Mère
et 9oe/lr, convulsions de l'enfance. Plusieurs
de M. Bourneville) le 21 août 1885. Renseignements fournis par sa
mère
et sa tante, le 23 sep- tembre 1883. -Père, 40
s. Colères violentes. - Père, boulanger, bien por- tant, 72 ans. - [
Mère
morte subitement en apprenant àl'im- proviste l
la tête dérangée pendant quelque temps, après une perte d'argent. -
Mère
morte à 74 ans, après avoir été, durant 6 mois,
s d'as- phyxie, nide circulaires du cordon. Nourri au sein par sa
mère
. Premières convulsions à 4 mois, générales, ave
de M. BOURNEVILLE le 11 août 1887. Renseignements fournis par la
mère
(24 septembre 1887). - Père mort à 38 ans de tu
mort à 75 ans, on ne sait de quoi ; il s'adonnait à la boisson. -
Mère
morte à 65 ans, probablement de congestion pulmo-
iénés, ni d'épileptiques, ni de suicidés, etc., dans la famille.]
Mère
, 42 ans, couturière, bien portante, n'a jamais eu
peau. - [Père, 73 ans, a eu dernièrement une attaque de paralysie.
Mère
bien portante. Pas d'aliénés, ni de ner- veux,
de lui, mais, ses accès augmentant, on dut le renvoyer. Suivant sa
mère
, l'intelligence n'aurait pas di- minué. 11 disa
du nombre des accès. OBSERVATION XIX Epilepsie idiopathique. -
Mère
migraineuse. - Grand'mère 1 maternelle morte d'
eluche, était bien conformé. « Dès les premiers temps de la vie, la
mère
de la petite ma- lade a remarqué que la langue
est née à Paris le 16 décembre 1875. Renseignements fournis par sa
mère
. (Juin 1887.) - Père de 52 ans, menuisier ébéni
s de difformes, ni de suicidés, ni de criminels dans la famille.]
Mère
, 51 ans, passementière, assez grande, sobre, inte
[Père, couvreur, sobre, mort d'une attaque d'apoplexie à 65 ans. -
Mère
, femme de ménage, fréquents excès de boisson, d
on ne sait de quoi. Deux tantes maternelles mortes ; l'une était la
mère
du père de la malade. - 3 frères, deux sont mor
Pas d'autres aliénés, etc., dans la famille.] Consanguinité : La
mère
du père et celle de la mère de la malade étaien
dans la famille.] Consanguinité : La mère du père et celle de la
mère
de la malade étaient les deux soeurs et toutes
convulsions. Il est dans notre service et c'est en interrogeant sa
mère
sur sa famille que nous avons eu l'occasion d'e
use et occupant tout le travers de la tête. - Elevée au sein par sa
mère
jusqu'à 10 mois; puis avec de la soupe, du lait
à prononcer quel- ques mots vers un an : « Tous mes enfants, dit la
mère
, ont marché de bonne heure, sauf le quatrième,
semaines après, elle a rendu beaucoup de sang infect par le nez. Sa
mère
l'a conduite à la consultation de l'hôpital Trous
sont bouffies, gonflées; « elles enflent à chaque instant », dit la
mère
. La lèvre supérieure est aplatie. Dans la chute,
sus-claviculaires, des tumeurs pseudo-liponateuses qui, d'après la
mère
, seraient parfois encore plus prononcées. « Je
. Les pieds sont plats et légèrement bouffis. « Par moments, dit la
mère
, ils sont très gonflés, sur- tout au niveau des
niveau du dos, il y a une desquamation furfuracée, qui, suivant la
mère
, est constante et souvent beau- coup plus prono
érieures) ont poussé iL huit mois. La première dentition, assure la
mère
, était complète à un an. Mâchoire supérieure :
ssez chatouilleuse et très sensible au froid. La vue est bonne ; sa
mère
dit qu'elle distingue plu- sieurs couleurs. L'o
terre frites (elle préfère celles de la rue à celles que prépare sa
mère
). Elle ne mange presque pas de viande ; elle n'ai
plus saillantes. La voix est aigre, rauquo ; la parole, d'après la
mère
de l'enfant, serait assez développée. Il y aurait
, faute de ressources, la IDIOTIE 1111b0EDGl11 : ITb : LTSC. 65
mère
ne puisse faire régulièrement les injections anti
la fois, parle assez bien et fait de petites phrases, au dire de sa
mère
. La voix est toujours aigre, rauque, un peu nas
68 CLINIQUE. IDIOTIE myxoedémateuse. 69 te1'lwlle morte aliénée.
Mère
nerveuse. Grand'mère maternelle morte de phtisi
ré autrefois par Ricord d'un calcul de la vessie, bien portant. -
Mère
, morte d'un cancer de l'utérus. - Grand-père pate
insi que leurs enfants. - l'as d'aliénés, etc., dans la famille.]
Mère
, 32 ans, lymphatique, nerveuse, ni migraines, ni
nté, quoique anémique. [Père, grand, bien constitué, lym- phatique.
Mère
, morte phtisique, ainsi que ses huit frères. -
aternelle, migraineuse. - Deux cousins issus de germains, idiots. -
Mère
sujette à des douleurs névralgi- ques, très ner
service à Bicêtre le 6 décembre 1887. Renseignements fournis par sa
mère
(16 décembre z Père, 32 ans, garçon de café dep
ant ivre ; il faisait de nombreux excès alcooliques et vénériens.
Mère
très nerveuse, sobre, morte à 55 ans, probablemen
myxoedémateux, ni goitreux, ni difformes, etc., dans la famille.
Mère
, 24 ans, couturière, bien portante, brune, physio
de boisson, mort en 1870, à 43 ans, d'une variole hémorrhagique. -
Mère
, 50 ans, bro- canteuse, sobre, a eu de fréquent
5 trois jours; il avait fait beaucoup d'excès de boisson . Grand'
mère
maternelle, 70 ans, sobre, bien portante.-Pas de
pétrie pour lui donner une forme naturelle. - Elevé au sein par sa
mère
, jusqu'à huit mois; ensuite au biberon (lait de
sa mère, jusqu'à huit mois; ensuite au biberon (lait de vache). Sa
mère
prétend que, depuis le premier mois, l'enfant a
mis en garde chez une parente, à la cam- pagne, à 25 mois. Quand sa
mère
l'a repris, à trois ans, elle a constaté des pe
ffec- tueux avec ses parents : nous le faisons venir auprès de sa
mère
; en la voyant, il pleure d'une manière stridente,
culose pulmonaire à laquelle il a succombé, le 14 mai 1888, et la
mère
était un peu affaiblie et fatiguée. Ils vivaient
Accouchement à terme, sans chloroforme, naturel, en cinq heures. La
mère
de l'en- fant raconte qu'elle a rendu peu de sa
olume double de la main et du pied sains. - Elevée au sein par sa
mère
, Suzanne a tété assez mal la pre- IDIOTIE MYXOE
mière semaine, puis elle a bien pris le sein. Au bout d'un mois, sa
mère
est devenue malade (périmétrite) et a dû rentrer
pesait plus que 3.900 gr. Signalons que, pendant près d'un mois, la
mère
a pris tous les jours du sirop de morphine auqu
au com- mencement du mois de mai, époque où la peau a blanchi. La
mère
pense que cette modification est due au calomel q
peu violacés et froids. (A la naissance, les ongles étaient, dit la
mère
, cachés par la chair du bout des doigts.) Les c
'enfant tette bien, ne vomit pas, est sujette à la constipation. Sa
mère
a fait déjà la remarque que sa fille ressemble à
e nous avons dit sur l'absence probable de la glande thyroïde. - La
mère
déclare que l'enfant a la tète très lourde et q
u corps enflée. « Ses yeux n'ont pas grande signification, dit sa
mère
; elle ne sourit pas. » La semaine dernière, sans
ont terminées par la mort. AUTOPSIE. - L'enfant étant morte chez sa
mère
, en ville, il ne nous a pas été possible de fai
ère-grand-père paternel apoplectique. - Oncle paternel migraineux ;
mère
nerveuse. - Grand- père paternel mort de tuberc
Arrière grand-père maternel aliéné. - Oncle maternel migraineux. -
Mère
nerveuse, un peu micro- céphalique. - Grand-pèr
e 29 avril 1889 (24 mars 1889) (1). Renseignements fournis par sa
mère
. - Père, 44 ans, ser- gent de ville, est depuis
caractérisées depuis son mariage jusque dans ces derniers temps. -
Mère
, très nerveuse, bien portante, pas d'excès de b
s d'autres paralytiques, pas d'en- fants semblables à la malade].
Mère
, 33 ans, nerveuse, migraineuse, brune, intelligen
lles mal ourlées. - [Père, sobre, mort à 27 ans de tuber- culose. -
Mère
irritable, paralysée du côté gauche depuis quat
r de la face. - Grand- père maternel mort aliéné à 72 ans. - Grand'
mère
maternelle morte à 84 ans. - Un oncle et une ta
ssociation française étaient incomplets. Nous avons pu retrouver la
mère
et avoir d'elle, nous-même, des ren- seignement
uelque temps déjà, il s'était mis à la boisson et, je pense, dit la
mère
, que la petite a « été faite quand il avait bu. »
de développement exagéré du système pileux. - Elevée au sein par sa
mère
jusqu'à cinq mois, puis au bi- beron avec du la
ir de ces convulsions, l'enfant « n'a plus poussé du tout », dit la
mère
. Elle grossissait mais ne grandissait pas et so
oit seule, soit avec sa soeur, qu'elle aimait beaucoup ainsi que sa
mère
. Elle reconnaissait tous ses parents. Son carac
e père a le nez aquilin et les cheveux très bruns et très fins ; la
mère
a le nez allongé et un peu relevé à la pointe, le
IDIOTIE MYXOEDÉMATEUSE. 101 Les impressions vives, éprouvées par la
mère
durant la grossesse et susceptibles de troubler
ons et encore dans l'une d'elles il n'existait pas chez les père et
mère
, mais chez les 2 grand'- mères. La tuberculos
il n'existait pas chez les père et mère, mais chez les 2 grand'-
mères
. La tuberculose pulmonaire paraît jouer un rôle
jouer un rôle im- portant. Nous l'avons rencontrée chez le père, la
mère
, une soeur et une tante du malade de 1'OBSERVAT
chez le père de deux autres (OBs. VI et VII ci-dessus) ; - chez la
mère
d'un quatrième (O>3s. V du 1 CI' mém.); chez
Pruvo..., 1877-1885. Idiotie complète, excès de boisson du père,
mère
nerveuse, quatre frères et soeurs mortes de convu
- Pauguu... (Charles), 1880-1883; grand-père maternel alcoolique ;
mère
nerveuse; frères morts de convulsions; LÉSIONS
lgies de la face. - Deux grands oncles paternels, excès de boisson.
Mère
, nerveuse, irritable. - Grand-père paternel, ex
, rentier, sobre, mort vers soixante-dix ans, on ne sait de quoi. -
Mère
, morte vers soixante-cinq ans, domeslique dans
détails. - Pas d'aliénés, d'épileptiques, de suicidés, etc., etc.]
Mère
, quarante-huit ans, couturière, petite, brune, n'
ux excès de boisson, mais surtout après la naissance de sa fille. -
Mère
, morte de phthisje galopante à cinquante-sept a
e. A la naissance, bel enfant, pas d'asphyxie. Elevé au sein par sa
mère
, sevré à treize mois. D'un à cinq mois, accès d
rs un an ; il a « zozoté » toujours un peu et encore maintenant. Sa
mère
nous dit qu'elle faisait de même, étant jeune.
oir de la section, et pendant qu'il était en conversa- tion avec sa
mère
, il désigna du doigt le garçon S..., en disant de
lui à des actes de violence qu'on eut quelque peine à empêcher. La
mère
et ses deux autres enfants âgés de treize et di
sur les gens de service et en les frappant à coups de parapluie. La
mère
expulsée du quartier est revenue aussitôt après
plus de deux à trois minutes. Il travaille chez un cordonnier et sa
mère
assure qu'on est content de lui. Il a suspendu
. Les autres n'auraient pas duré davantage. Il est tranquille et sa
mère
est contente de lui. Hier il s'est senti fatigu
onduire le soir à six] heures. Il n'est pas rentré pour dîner et sa
mère
étant allée chez son camarade pour savoir ce qu
rivé, apprit qu'ils étaient partis ensemble. Le 10, il écrivit à sa
mère
qu'il l'avait quittée pour ne pas lui être à sa
t pardon. HYST;RO-EPILEPsm. 161 1888. Janvier. - En quittant sa
mère
, le 9, il est allé à Arpajon, sous prétexte de
t brouillée. Elle a senti qu'elle tombait en arrière et a appelé sa
mère
qui l'a trouvée renversée sur sa chaise, les ye
emblait pas reconnaitre. Puis elle est revenue à elle, a reconnu sa
mère
, l'a embrassée et s'est mise à pleurer. Aussitô
e ce qui s'était 170 UNE FAMILLE D'HYSTÉRIQUES. passé, disantà sa
mère
qu'il avait dû lui faire mal, et qu'il l'avait
mop- tysie), en deux heures. [Père mort vers quatre-vingts ans. -
Mère
, pas de renseignements. Deux soeurs seulement, bi
n portantes ainsi que leurs enfants (un garçon et trois filles).]
Mère
, morte en 1877, à quarante-quatre ans, d'une mala
aille moyenne, forte, brune et d'un carac- tère très doux. [Père et
mère
, aucun renseignement. Un frère, mort à soixante
- Aucun autre détail.] Pas de consanguinité (père du Pas-de-Calais,
mère
de la .Manche). Inégalité d'âge d'environ deux
gnements que nous possédons sont très vagues. Il a été élevé par sa
mère
, a marché à dix-huit mois, a été propre de bonn
ts anormaux de la région cervicale. Les parents étaient . sains; la
mère
, âgée de vingt-huit ans, avait eu une autre enfan
é de la ressemblance de ce cas avec celui du crétin de Highgate. La
mère
me dit que l'enfant était inhabile à se servir
jà été vu à la consultation externe par le Dr Baxter. Le père et la
mère
étaient bien portants; sobres, ils menaient une v
ucun autre phéno- mène anormal chez cet enfant. Mais, plus tard, sa
mère
s'aperçut qu'il voulait toujours s'asseoir où q
e position plusieurs heures de suite. La croissance s'arrêta, et la
mère
prétend qu'il n'a pas grandi depuis deux ans et
coolisme, colère, tuberculeux. - Tante paternelle . tuberculeuse. -
Mère
migraineuse et tuberculeuse ; oncle [maternel a
tait sobre, bien conformé et est mort d'une fluxion de poitrine; sa
mère
, de taille ordinaire est morte à soixante-quinz
nte, de taille assez élevée, était sujette aux migraines. [Père ? -
Mère
serait encore vivante et habite- rait Lille; de
malade, Gr... (Ernest), est né à Strasbourg le 13 avril 1858 où sa
mère
était allée faire ses couches, bien qu'habitant P
... (Eugène), né le 20 août 1861, placé à plusieurs reprises par sa
mère
à l'infirmerie des idiots de Bicêtre, est entré
t y est décédé le 18 novembre 1885. Renseignements fournis par sa
mère
(22 octobre 4 879).- Père, architecte, présenta
[Père, mort vers soixante-treize ans, d'une attaque d'apoplexie. -
Mère
, morte jeune du choléra. Un frère bien portant,
tiques, pas d'autres difformes ni d'alcooliques dans la famille.]
Mère
, quarante-cinq ans, couturière, bien portante, n'
ort à quatre- vingts ans, d'une chute; il n'était pas en enfance. -
Mère
, morte d'une bronchite à soixante-douze ans ; i
dans la famille.] Pas de consanguinité. Le père est né à Paris, la
mère
est de Courancelle (Meuse). Trois enfants : 1
dent nerveux '. Notre malade. Durant la grossesse, à trois mois, la
mère
fut renversée par une voiture ; cet accidenlsan
urait fait une chute dans un escalier et depuis lors, au dire de la
mère
, il aurait complètement changé. Deux ans après ce
is à Bicêtre, où il fit un séjour d'un mois (juillet-août 1865). La
mère
ne voulut pas le laisser davantage, parce que,
mble y avoir eu un temps, d'après les renseignements fournis par la
mère
, où la physionomie de l'enfant reflétait assez
t, l'étatde l'intelligence ; notons encore que Then... reconnaît sa
mère
, sa soeur et les diverses personnes du service
it seul une malformation du bras gauche, et, sauf une cousine de la
mère
au troisième degré, on n'aurait jamais connu de
cienne et il demeurait confiné au lit sur les recommandations de sa
mère
, sous prétexte qu'il était très sensible au fro
est d'une consti- tution robuste et sa taille est de 9 m. 70. - La
mère
est morte à l'âge de 40 ans, dix-huit mois aprè
du côté des autres parents; les ascendants du côté du père et de la
mère
sont morts à un âge avancé. W..., né à terme, e
par jour et qui durèrent six mois. C'est sur ces entrefaites que la
mère
remarqua la bouffissure de la peau qui, depuis,
ent. Voyant qu'aucun phénomène intellectuel ne se dé- veloppait, la
mère
prit le parti de faire admettre son enfanta la
vait lire un chapitre de la Bible ou une histoire aussi bien que sa
mère
; elle savait écrire et apprenait l'arithmétiqu
pen- dant qu'elle essayait de parler. Elle ne pouvait embrasser sa
mère
ou ne pouvait gonfler ses joues et la nourritur
au moment de sa naissance. Le père cependant mourut douze ans et la
mère
seize ans plus tard de pllthisie, maladie qui a
lamort de la soeur de la malade à dix-sept ans et de la soeur de sa
mère
à vingt-sept ans. Le père était né dans le Hamp
sa mère à vingt-sept ans. Le père était né dans le Hampsphire etla
mère
dans le Berkshire et il n'y avait aucune consan
couleurde pâte blanche. Pendant qu'elle était enceinte d'elle, sa
mère
fut effrayée par un taureau. A sept ans, celte fi
plégie droite en 1886. - Grand-père paternel mort paraplégique. -
Mère
plus âgée de dix ans que son mari. -Ni goitreux n
décédé le 4°l août 1882. Renseignements fournis par son père et sa
mère
(4 1 octobre 1886). - Père, soixante-sept ans,
au-dessus de la moyenne; pas de maladies nerveuses, ni de goitre. -
Mère
, morte à quatre-vingt-sept ans, on ne sait de q
trois enfants dont on n'a pas eu de nouvelles depuis la mort de la
mère
en 1877. -Pas de maladies nerveuses, pas d'a- l
s, pas de goitreux, de cré- tins, de criminels, dans la famille.]
Mère
, soixante-dix-huit ans, domestique, puis raccommo
re; était né à Vannes et n'a jamais présenté d'accidents nerveux. -
Mère
, ménagère, sobre, morte à quatre-vingt-huit ans
lade se rapproche beaucoup plus de celle du père que de celle de la
mère
. CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 67 Pas de consanguin
crit M. Ball. 5° Le malade, Victor Chré... Lors de la conception la
mère
avait quarante et un ans et le père trente et u
n'offrait pas le moindre signe d'as- phyxies. Elevé au sein par sa
mère
, il venait bien, était frais, rose, n'avait rie
, disait « papa et maman ». Alors qu'il avait près de onze mois, sa
mère
eut des abcès aux seins et dut le sevrer. Penda
mal soigné, et même fait jeûner. Quand, au bout de vingt jours, sa
mère
le reprit, il avait considérablement maigri et
xie pachydermique. Observation XII. Coloration cachectique chez, la
mère
et une soeur,. - Idiotie complète; surdi-mutité
. Tous ses parents jouissaient d'une excel- lente santé. Seules, la
mère
et une soeur offraient une teinte cachectique p
s, qui appartiennent égale- menv'it des enfants. , Observation.
Mère
névropathe, idées noires. Grand- z° père parapl
cêtre (service de M. Boume- ville.) Renseignements fournis par sa
mère
(12 mai). Père : 32 ans, mécanicien, bien porta
énés, pas d'épileptiques, etc., dans le resfe de la famille]. . '
Mère
: trente ans, domestique, ménagère; blonde, r'1Ïn
âge de vingt deux ans, et il put reprendre son métier de chauffeur.
Mère
: soixante ans, n'a jamais eu de maladies et n'
nté d'accidents nerveux. - Sept frères et soeurs au inoins (de deux
mères
), cinq sont vivants et bien portants, ainsi que
ouche de cinq mois et demi. Notre malade. Conception pendant que la
mère
était chagrine et fatiguée par suite de la mort
enfant qui avait eu lieu trois jours avant ? Grossesse pénible ; la
mère
, très faible, se condamnait au repos dans la cr
, mais ne présentait pas de signes d'asphyxie. Elevé au sein par sa
mère
jusqu'à onze mois. A cette époque, il eut une b
e cachait sous les couvertures, même lorsqu'il était couché avec sa
mère
; sa respiration était haletante : « il respira
l'oeil gauche « parce qu'il avait trop regardé le tableau», dit la
mère
.Le lendemain l'oeil n'avait plus rien, mais le
tion. Hier soir, on a donné un lavement sans résultat. 20 mai. La
mère
du malade est venue le voir; elle dit qu'il l'a
égu- lier, 75. (Pour la température, voy. Planche V.) 22 juin. La
mère
assure qu'aujourd'hui encore son fils l'a recon
Centralblatt., ii° 8, Avril 1886). - Arthur Gloeckner, 2 ans 1/2. -
Mère
morte de tuberculose pulmo- naire ; une soeur c
déc. 18S6). -G. M..., âgé de 7 ans, né d'un père pthisiqueet d'une
mère
saine, présente en ce moment de la paralysie de
e : des tantes, des oncles, des frères, ont eu des convulsions ; sa
mère
est névropathe et mélancolique; un grand-père a
e. Observation. Père mort tuberculeux. Oncle paternel paralysé. -
Mère
cancéreuse. Grand-père maternel, excès de boiss
de rhumatisme ni de dermatoses. [Père, 70 ans, sobre, bien portant;
mère
morte on ne sait de quoi, 130 IMBÉCILLITÉ ; ANT
s, en bonne santé, non nerveuse. Un oncle paralysé de naissance.]
Mère
, 40 ans, couturière, grande, n'a pas eu de convul
Il n'était pas nerveux, jamais de maux de tête ni de rhumatismes.-
Mère
, 76 ans, bien portante, non nerveuse. Quatre fr
, l'enfant s'est toujours bien porté ; mais, le père étant mort, la
mère
malade, il a souffert de la misère. Sa mère, pa
e père étant mort, la mère malade, il a souffert de la misère. Sa
mère
, paraît-il, no le laissait pas s'asseoir. Pendant
rait mal et vomissait. Quelques jours avant son départ de chez sa
mère
, il est tombé tout d'un coup par terre, et quan
as; n'était pas sujet aux diarrhées. On assure qu'il était doux; sa
mère
, au contraire, disait qu'il était vicieux et \o
e main et partant insuffisants. HÉMIPLÉGIE DROITE INCOMPLÈTE. 131
mère
, qui, comme nous l'avons vu, est entrée à la Piti
cueilli les renseignements suivants : Après la mort de son mari, la
mère
de l'enfant était dans une situation misérable,
nfants : la petite fille, retournée aujourd'hui dans- le pays de sa
mère
qui paraissait l'affectionner assez, et notre m
enfant pour le faire placer à Sainte- Anne. Il paraît qu'un jour sa
mère
le laissa enfermé seul toute la journée. Elle n
G. - Soir : 38°, 4. 24 avril. Nuit très agitée, l'enfant appelle sa
mère
. T. R. 38°. - Soir : 380,6. 25 avril. T. 1%.
c la dure-mère de la base. Poids de l'encéphale, 1,280 gr. - La pie
mère
présente à la base une vascularisation fine trè
e pas y avoir eu de névropathes ni de tuberculeux. Rappelons que la
mère
est morte d'un cancer de l'utérus. Les antécé
alors qu'il a été l'objet de mauvais traitements de la.part de sa
mère
qui, dit-on, le laissait enfermé, le battait, lui
aucun préambule. Sommaire. - Grand'mère maternelle rhumatisante .
Mère
, fièvre typhoïde à 19 ans, avec délire.- Soeur,
. BOUnNt : .VILLt : ). Renseignements fournis par le père et par la
mère
. - Père, 29 ans, cuisinier dans un hôtel partic
es ou de syphilis. [Père, 62 ans, cultivateur, bien portant, sobre.
Mère
, 64 ans, ménagère, est atteinte d'un rhumatisme
difformes, ni idiots, ni suicidés, ni condamnés dans la famille.]
Mère
, 29 ans, couturière, bien portante, blonde, physi
un peu avant l'apparition de l'affaiblisse- ment paralytique. La
mère
a repris son enfant en janvier 1886. A cette ép
ère. Il était resté affectueux et reconnaissait bien son père et sa
mère
. Depuis janvier, les accès venaient à peu près
ospice, son père a remarqué qu'il avait la fièvre. Le lendemain, sa
mère
l'a trouvé calme et moins énervé que de coutume
ès le départ de l'enfant pour l'Alsace, lorsqu'il fut repris par sa
mère
, il ne parlait plus, était incapable d'attentio
is, n'ont pas rétrocédé, bien que l'enfant ait été soustrait par sa
mère
à l'influence de l'alcool, peu après l'appariti
one, migraines consécutives. Grand- père paternel et arrière-grand'
mère
maternelle, alcoo- liques.- Oncle paternel mort
e maternelle, alcoo- liques.- Oncle paternel mort de convulsions.
Mère
: aliénée. - Grand-père maternel : excès de boi
E) et y est décédé le 29 mars 1885. Renseignements fournis par sa
mère
(8 décembre 1884). - Père, 29 ans, homme de pei
fréquents excès de boissons ; il n'offre pas d'accidents nerveux. -
Mère
morte du charbon. Grand-père paternel mort on n
ques, de difformes, de suicidés ou de criminels dans la famille].
Mère
, 28 ans, de petite taille, blonde-châtain, a une
mais elle est un peu coléreuse. A l'âge de 18 ans, elle a quitté sa
mère
pour vivre pendant trois semaines avec un amant
7 ans d'un asthme; il faisait,dit-on, quelques excès de boissons. -
Mère
morte, à l'âge de 63 ans, d'une maladie du coeu
nfant n'était pas asphyxié, paraissait normal. Elevé au sein par sa
mère
, il a été sevré à 18 mois. C'est vers l'âge d
il a été sevré à 18 mois. C'est vers l'âge de 8 à 9 mois, que la
mère
de l'enfant a constaté les premiers signes de l
ais encore latéral. (1) Contrairement au renseignement donné par la
mère
. TICS, ACCÈS DE COLÈRE, ETC. ib9 Assis, il ba
u'explique l'état nerveux du père, et l'aliénation antérieure de la
mère
. II. Une autre cause peut encore être invoquée,
er que c'est durant la vie intra- utérine, s'il est exact, comme la
mère
l'a affirmé, que l'on n'a jamais observé de con
ce d'intelligence. C'est seulement vers l'âge de 8 ou 9 mois que sa
mère
aurait songé à la possibilité d'un arrêt de dév
, fort incomplets ont été fournis par une personne chez laquelle la
mère
de l'enfant était femme de ménage. Elle y est r
très intelli- gente.-Le père était intelligent, sobre et rangé ; la
mère
aurait dit souvent qu'il n'y avait pas d'idiots
e était survenue à la suite d'une maladie, à deux ans. Lorsque la
mère
est entrée au service de M. J..., notre malade
ni parler ; il poussait des cris inarticulés; ne connaissait pas sa
mère
; passait ses journées couché ou assis sur une
en est légère- ment augmentée. L'encéphale pèse 1.145 gr. La pie-
mère
présente des taches laiteuses des deux côtés de l
- que toute la trame de l'écorce grise s'est enlevée avec la pie-
mère
, ou est tombée. Le réseau fibrillaire de la névro
LLE) le 19 septembre 1882. Renseignements fournis par ses père et
mère
. Père, 31 ans, professeur de piano, petit, d'ap
e en tableaux, sobre, mort d'une affection de poitrine vers 40 ans.
Mère
, 60 ans, rhumatisante et sujette à des crises n
aralytiques, de ner- veux, etc., dans le reste de la famille]. J.
Mère
, 28 ans, couturière; taille un peu au-dessous de
ines ni d'attaques. [Père, tailleur, sobre, mort d'une pleurésie. -
Mère
, 55 ans, sujette à des migraines, avec vomissem
nte, sans convulsions. Notre malade. A la conception, le père et la
mère
étaient bien portants, n'avaient pas de chagrin
as de chagrins, vivaient en bonne intelligence. Grossesse bonne; la
mère
a eu des envies de boire du vin. mais toujours
e. Les ro- chers sont inégalement avancés en ossification. -Dure-
mère
adhérente à la voûte crânienne, au niveau des sut
a- ternelles de l'enfant était épileptique; que l'une des grand'-
mères
maternelles était migraineuse. Au point de vue
7 mars' 1886, est décédé le 20 mars. Renseignements fournis par sa
mère
. Père, 37 ans, charpentier, d'une constitution
[Père, bien portant, cultivateur, sobre, pas d'accidents nerveux. -
Mère
, sobre, morte à 61 ans,en 8 jours,d'une affecti
s-bots, malformation des membres, sourds-muets) dans la famille.]
Mère
, 30 ans, bien portante, n'a pas eu de convulsions
l fit, à partir de l'âge de 45 ans, de nombreux excès de boissons -
Mère
, s'est suicidée par le vitriol. Grand-père pate
vaient en parfait accord (ni chagrins, ni ennuis). - Grossesse : la
mère
est venue de Besançon, son pays, où elle était
les ascendants directs ou collatéraux, la bonne santé des père et
mère
. Nous ne trouvons chez les ascendants ni épi- l
hors des convulsions de l'enfance pour quelques-uns d'entre eux. La
mère
elle-même n'est ni migraineuse, ni à proprement
'émotion ressentie,vers le troi- sième mois de la grossesse, par la
mère
à la vue d'un ma- lade atteint d'un tic particu
en croix, disait être Jésus-Christ et voulait bénir son père et sa
mère
. Au début, les accès étaient annoncés par un ét
es excès de boisson. Oncle paternel, atteint de crises nerveuses. -
Mère
, sujette à des faiblesses jusqu'à vingt ans. --
- nelle, apoplectique. -Inégalité d'âge (6 ans) entre les père et
mère
. - Emotion vive au huitième mois de la grossesse.
spice de Bicêtre, le 7 décembre 1885. Renseignements fournis par sa
mère
(23 déc.) - Père : grand, fort, bien portant, n
d'une fluxion de poitrine. [Père, maçon, mort on ne sait de quoi. -
Mère
, tricoteuse, décédée à 70 ans. à la suite de vo
s, de dif- formes, de suicidés, de criminels, de débauchés, etc.]
Mère
, 41 ans, c'est-à-dire âgée de six ans de moins qu
ales ou cutanées. [Père, chauffeur, sobre, mort de fatigue ( ? ). -
Mère
en bonne santé. - Grands parents paternels, pas
as d'a- liénés, etc.] Pas de consanguinité. (Père, de la Manche ;
mère
, du Loi- ret.) 1° Une fausse-couche; 2° notre
ter l'enfant, qui bientôt s'est mis à crier. Elevé au sein par sa
mère
; sevré à 14 mois. Première dent à 12 mois ; les
ns : « Bien qu'il fût en retard pour les dents et la parole, dit sa
mère
, il était intelligent. » Premières convulsions
doux qui ne se serait pas modifié. « Il est un peu nargueur, dit sa
mère
, mais toujours il reçoit des coups et jamais il
sifiées. Pas d'asymétrie de la base du crâne. Dure- 246 AUTOPSIE.
mère
modérément congestionnée. La pie-mère, d'une faço
rs de la visite de ses parents qu'il dit ne pas aimer, surtout sa
mère
. Il lui arrive aussi fréquemment d'uriner au lit
e leur famille et leur présentons successive- ment les mots : père,
mère
, frère. Enfin viennent les animaux domestiques
res, ni les chiffres, ne savait tenir un porte-plume. Au dire de sa
mère
, elle ne pouvait l'envoyer il l'école, parce qu
ique. - Grand : père maternel alcoolique, emporté. - Arrière-grand'
mère
maternelle sujette r1 des étourdissements. - Ar
SoMMA]HE. Père mort tuberculeux. Grand-père paternel alcoolique. -
Mère
morte tuberculeuse, caractère violent. - Grand-
s, migraines, névralgies. Grand'mère maternelle morte tuberculeuse,
mère
migrai- neuse, nerveuse, morte de fièvre typhoï
s nerveux, mort de tuberculose. - Tante paternelle très nerveuse. -
Mère
, convulsions, évanouissements', perte intermitt
ticulier dans les antécédents : dif- férence d'âge du père et de la
mère
treize ans. - Convul- sions Ù quatorze mois pen
d-père paternel mort d'apoplexie. - Oncle paternel épileptique. -
Mère
, perles de connaissance. - Grand-père maternel
. - Grand-père paternel goitreux. - Cousin paternel hémiplégique. -
Mère
, con- vulsions dans l'enfance, alienee, - Grand
mater- nel, très colère, alcoolique, hoTup ? te aauche. - Grand-
mère
maternelle nerveuse. - , Etat asphyxique à la n
mort de tuberculose pulmonaire. Cousin, mort de méningite ( ? ). -
Mère
, nerveuse. - Grand-père maternel, excès alcooli
e) le 29 novembre 1897. Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
.) - PÈRE, 43 ans, tailleur d'habits, bien porta
Boitait, à la suite d'un traumatisme. Ni alcoolisme, ni syphilis.
Mère
, 78 ans, bien portante, pas nerveuse, mais caract
bien portant. - Pas de tantes, ni du côté du père ni du côté de la
mère
. Deux frères, sobres et en bonne santé, ont cha
de mé- 911nfJiLC. - Rien à signaler dans le reste de la famille.]
Mère
, 38 ans, très nerveuse, parle avec volubilité, s'
», à peu près tous lesjeudis. Fumait beaucoup, caractère violent. -
Mère
, morte à 53 ans, après un an de maladie ( ? ).
i « très exaltés pour la politique ». - Sept frères et soeurs. La
mère
de notre enfant est l'aînée ; - 2° garçon mort à
pour de la chlorose. Pas de consanguinité. (Père de la Charente,
mère
de la Bretagne). - Différence d'âge de 5 ans.
ère. Pas de convulsions, mais peu de temps après la naissance, la
mère
s'aperçut, que le bras droit était paralysé. Gour
différentes fosses de la base du crâne sont symétriques. La. 'dure-
mère
ne présente d'épaississement en aucun point. Le
l'alcoolisme, - Pas de renseignements sur la famille paternelle. -
Mère
, ner- veuse, morte à trente-deux ans d'une affe
rveuse. - l'as d'autres renseignements sur la famille paternelle.
Mère
, « névropathe des plus accentuées», sans cependan
L'hérédité de l'enfant est chargée : le père est un alcoolique, la
mère
une névropathe, la grand'mère maternelle a des
t à l'état de ner- vosité dans laquelle se trouvaient le père et la
mère
, au moment cle la conception et cle cette derni
rien de particulier, renseignements insuffisants sur sa famille. -
Mère
, rien noter. Grand- père maternel excentrique,
lligent, cultivateur. Aucun renseignement sur la famille du père. -
Mère
, cinquante-deux ans, bien portante, pas de migr
Pas de consanguinité ; inégalité d'âge de dix ans ; le père et la
mère
sont du même pays. Deux enfants : 1° une fille
né. - Grandes-tantes et cousines paternelles mortes de tuberculose.
Mère
, douleurs névralgiques, stig- mates de dégénére
fs après une peur. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge d'un an (
mère
plus âgée). - Conception, grossesse, accouche
al. - Signé : Magnan. Antécédents. - {Renseignements fournis par sa
mère
en septembre 1882 et février 1883). Son père, â
ans, est sobre. Il souffre de varices des membres inférieurs. Sa
mère
, âgée de 66 ans, blanchisseuse, sobre, n'a jamais
n'y aurait aucune tare nerveuse dans le reste de la famille (1).
Mère
, 36 ans (en 1882), couturière, sobre, a été réglé
interné à Bicêtre, puis transféré en 1860 à (1) Nous avons revu la
mère
de notre malade en 1897. Elle nous a dit qu'un
nnels ? . 117 7 l'asile d'Armentières, où il est mort en 1867. - Sa
mère
est morte à 71 ans, d'une affection cardiaque.
e à 71 ans, d'une affection cardiaque. « Une cousine, du côté de ma
mère
, a eu la chorée et a été soignée pendant six mo
e de la famille'. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 13 mois (
mère
plus âgée). Cinq enfants : le premier est not
conception (2). -Gros- sesse, aucun traumatisme, aucune émotion, la
mère
a tra- vaillé jusqu'à la fin. - Accouchement à
aire du cordon. L'enfant était bien conformé. Nourri au sein par sa
mère
, sevré à 11 mois. Les deux premières dents ont
nservé ce même carac- tère. Lorsque Bé.. commença il se lever, sa
mère
remarqua qu'il ne pouvait plus marcher, ni se s
rait il peu près régulièrement à 4 heures chez lui ; il aidait sa
mère
aux soins du ménage, mangeait proprement, sans
as de sang sur son oreiller. . Antécédents personnels. 119 s ¡ La
mère
nous a souvent répété que Bé... était tout-à-fait
2, on nota chez lui quelques absences : « Il nous regardait, dit la
mère
, les yeux fixes, hébété, comme s'il ne voyait n
ssir. Il n'eut jamais cliez lui de nouvelles crises convulsives. Sa
mère
dit que, après sa dernière arrestation, il rest
ec son père dans une fonderie de cuivre ; mais il est ramené par sa
mère
qui affirme qu'il aurait eu des accès (1) et qu
t l'employer nulle part à cause de son tremblement. -. D'après la
mère
, l'accès arrive tout d'un coup, sans cri, et au
Bé... était tout-à-fait n01'- mal, suivant les dires réitérés de sa
mère
. C'est l'état de mal convulsif, grave et prolon
e. Toutefois, en ce qui concerne la parole, nous devons dire que la
mère
du malade et lui-même. nous ont déclaré spontan
93. 142 Hystérie mâle DE l'enfance. Renseignements fournis par sa
mère
(26 décembre 1888). - Notre malade est le sixiè
accou- chement, naissance, rien d'anormal - Élevé au sein par sa
mère
jusqu'à 14 mois. - Les deux premières dents ont p
cement de juillet 1888, un jour, la directrice a envoyé chercher sa
mère
pour des crises qui se produisaient depuis une
endemain, étant gardé à la maison, il a été pris d'une crise que sa
mère
décrit ainsi : tout d'un coup il s'est assis, d
. En raison de l'amélioration très notable qui s'est produite, sa
mère
vient demander un congé cl'essai d'un mois promet
'un mois promet- tant de l'envoyer -Il l'école. 30 )t0uemb)'e. Sa
mère
réclame sa sortie, son maître d'école et elle é
sauter le verrou de sûreté, a pénétré dans le logement et quand sa
mère
est rentrée, il s'est précipité sur elle, essayan
frappcr avec le bout d'un sabre qu'il avait disposé en poignard. Sa
mère
s'est échappée. Les agents l'ont arrêté et cond
notre certificat constatant qu'il avait été traité à Bicêtre. Sa
mère
raconte que l'été dernier, Lucien lui avait jeté
ans la rue, a été violemment contusionné, est revenu en hurlant. Sa
mère
l'a fait coucher. A peine au lit, a éclaté une
un certain degré de turbulence, « il était très diable » a dit sa
mère
, Lucien semblait un enfant normal, jusqu'à ans
père paternel,, coléreux, atteint de bronchite, chronique. - Grand'
mère
paternelle, migraineuse. - Cousin, strabique à
, migraineuse. - Cousin, strabique à la suite de convulsions. ? .
Mère
, rachitique dans l'enfance, rhumatisante, nerveus
ée le 22 novembre 1897. Antéeidants. (Renseignements fournis par sa
mère
en nov. '1897). - PÈRE, 30 ans, ébéniste, grand
tteint de bronchite chronique et sujet à ne violentes colères. Sa
mère
, 65 ans, est en bonne santé ; elle aurait eu des
liénés ni épileptiques, etc., etc., dans le reste de la famille.]
Mère
, 28 ans, ménagère, ni convulsions, ni indices de
e et n'offre aucun accident à signaler. - Il en est de même de sa
mère
qui présente seulement des céphalalgies. Grand-
licale ne fait pas relief, la palpation et la percussion ne (1) La
mère
est partie en Angleterre et nous n'avons 1) -s eu
que, cancéreux. Cousin mort de convulsions. - Autre cousin idiot.
Mère
, enfant naturelle, céphalalgies. - Demi-tante mat
Garnier) Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par sa
mère
). - Père, 42 ans, peintre en voitures, n'a pas eu
II faisait aussi des excès de boisson. Il est mort il 80 ans. - Sa
mère
, 79 ans, sobre, sans accidents nerveux, est ecz
e mon enfant. » - Rien à mentionner dans le reste de la famille.]
Mère
, 35 ans, blanchisseuse, enfant naturelle, sobre,
lis ; mariée il 21 ans. - [Père, aucun détail, ni sur sa famille. -
Mère
, 75 ans, se porte bien ; aucune maladie nerveus
ersonnels. li85 z culier. - Un neveu est mort de la poitrine. - «Ma
mère
a eu avant moi et d'un autre amant une fille, m
it « pas bien gros mais paraissait vivace ». - Elevé au sein par sa
mère
jusqu'à 3 mois : « Il venait tant bien que mal,
sur les cuisses et les genoux à devenir raides : « La nuit, dit sa
mère
, j'étais obligée de me lever pour lui allonger
de nourrice avec ses mains ; il a continué jusqu'à l'admission. Sa
mère
lui attachait les bras. Préhension et masticati
e, étaient eczémateux; quelques-uns sont morts de tuberculose. La
mère
étant enfant naturelle, nous n'avons aucun rens
nd'mère paternelle, alcooliques. - Tante pater- nelle prostituée. -
Mère
, convulsions fréquentes dans l'enfance, hystéri
fait de fré- quents excès alcooliques (vin blanc et absinthe). - Sa
mère
est morte d'une maladie dans le ventre. ( ? ) :
mille, on n'a pas connu d'aliénés, mais les alcooliques abondent.
Mère
, 38. ans, fleuriste et plumassière, aurait eu dan
b, des paralysies saturnines,m ais pas d'attaques d'éclampsie. Sa
mère
est morte de la poitrine à l'âge de 48 ans, elle
rands parents paternels ni sur le; grand-père maternel. La grand'
mère
maternelle serait morte « asthmatique. » - Un ond
onvulsions, serait mort de méningite 4" Garçon morts à mois 1/2. La
mère
en dehors de son inter- nement vit avec un ami
père était très porté aux rap- ports, surtout quand il avait bu. La
mère
ne peut préciser si l'enfant a été conçue penda
A la naissance, l'enfant ne pré- sentait rien de particulier. - La
mère
l'a élevée au sein pen- dant 14 mois. - Premièr
jamais eu depuis. Mise à l'école, elle apprenait bien, plus tard sa
mère
l'a envoyée en apprentissage comme gile- tière,
availlait convenablement, était docile. - Après l'internement de sa
mère
, elle a été placée dans un patro- nage rue de V
oeur. Là, d'après celle-ci, « elle se serait beaucoup ennuyée de sa
mère
» et elle présenta quelques troubles cérébraux,
ésente au niveau de chaque commissure une petite cicatrice, dont la
mère
n'a pu nous dire la cause Ces cicatrices rappel
vril. L'enfant continue bien allcr. Hier, elle a eu la visite de sa
mère
et l'a accueillie avec la plus vive joie. Elle
toutce qu'elle fait, parfois elle est triste lorsqu'elle songe à sa
mère
et il ,outil qui sont loin d'elle. 22 avril. -
nuit a été bonne. L'cnfant est triste, pleure, dit s'ennuyer de sa
mère
, mais elle est redevenue raisonna- ble et fait
c- cupation c'est d'affermir sa guérison afin de pouvoir aider sa
mère
quand elle sera sortie de l'asile. - On a toujour
0 avril. La guérison parait définitive et Gass... est ren- due à sa
mère
. Elle a continué ses douches, la gymnastique, l
assage et de ménage jusqu'à ce jour. 13 juin. - G.. vient avec sa
mère
. Sa santé ne laisse rien à désirer à tous les é
égards. Elle travaille à la couture et gagne 50 cent, par jour. La
mère
qui vit depuis 10 ans avec un homme âgé aujourd
e. Sa mémoire s'affaiblit. Albertinc dit que de temps en temps sa
mère
divague. DÉLIRE MYSTIQUE, EXCITATION MANIAQUE.
et des rires alternatifs, sans raison sérieuse. L'internement de sa
mère
nécessite son placement dans un orphelinat reli
linat religieux où sous l'influence de l'ennui d'être séparée de sa
mère
et des pratiques religieuses, éclata un délire
e ; Par KOUKNEVILLE et J. NOIR. Sommaire. Rien du côté du père. -
Mère
migraineuse. - Grand-père maternel mort subitem
1899. - Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par la
mère
). Père, 51 ans, forgeron, robuste, toujours bien
bonne santé. Aucun autre rensei- gnement sur la famille du père.
Mère
, 39 ans, ménagère, très bien portante, réglée à 1
rait mort subitement à 67 ans d'un ane- vrysme de l'aorte ( ? ).-Sa
mère
a 69 ans, ne présente comme antécédent morbide
aternelle est morte le lendemain d'une couche de deux jumeaux. - La
mère
de notre malade a quatre frères, tous bien port
n'ont jamais eu de convul- sions. - Elle a encore 3 soeurs mariées,
mères
de famille, jouissant d'une excellente santé ai
à noter lors de la conception. Pendant la grossesse au 7° mois, la
mère
est atteinte légèrement de la variole et son se
st prise de convulsions et sa tête se met à grossir, jusqu'alors la
mère
n'avait rien remar- qué de particulier dans le
l, aucune mani- festation. Les sentiments affectifs à l'égard de sa
mère
auraient été assez développés. Dum... grince so
chant. Elle est réglée et régulièrement depuis l'âge de 9 ans. La
mère
donne les renseignement suivants sur ses pre- m
XIE TUBERCULEUSE. les renseignements complémentaires fournis par la
mère
à ce sujet. Les règles n'ont point paru depuis
-père maternel. II. Trois points importants sont la variole de la
mère
au cours de la grossesse, le vif chagrin res- s
. - Cousin germain paternel, excès de boisson, aliéné à 26 ans. .
Mère
, migraineuse, très nerveuse. - Frère, convulsions
e année. Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par sa
mère
le .28 janvier 1880). - Père, 45 ans, fort et bie
réquents excès de boisson attribués « aux mauvaises affaires». - Sa
mère
, est morte très âgée de maladie inconnue. Deux
'a- liénés, d'épileptiques, de difformes, etc., dans la famille.]
Mère
, 36 ans, raccommodeusc, parait intelligente, s'av
un éboulement, était bien portant, sobre, mais assez nerveux. - Sa
mère
, morte à la suite d'une couche, est restée alit
accident. - 21(-coiii.lie)netit à terme et facile. - Allaité par sa
mère
. - Marche a un an, parole vers 16 mois, propreté
ns cachés dans les escaliers. Ni vers, ni onanisme, ni tics. - La
mère
ne sait à quelle cause la maladie. État actuel.
otassium, a la dose progressive de 1 il 6 grammes. " décembre, - Sa
mère
, malgré nos conseils, le reprend afin qu'il pui
supporte; pas les observations, môme légères. Parfois, il menace sa
mère
; dit qu'il va tout casser; cherche querelle a s
cinq minutes. Il n'en a pas parlé, dans la crainte d'effrayer sa
mère
et sa femme. Il nous annonce qu'un cousin germa
son enfant. Son père ne travaille que d'une façon intermittente. Sa
mère
garde un enfant. Son frère (22 ans) bien portan
i. et sa femme étendue par terre et l'enfant entre les jambes de la
mère
. 1898. Il s'occupe il travailler quelques heure
cilement en colère. La nuit il se lève tout endormi sur son lit. Sa
mère
est obligée de le recoucher. Jamais il ne s'est
ependant de temps en temps. 1899. Mars. Elle nous est amenée par sa
mère
, elle est âgée de 6 ans, brune, physionomie int
jamais eu de convulsions. Elle n'est pas nerveuse. 17 août. - La
mère
amène la fillette parce qu'elle a des terreurs
la nuit, fait des « sauts de carpe » dans son lit. Elle appelle sa
mère
et lui dit : « tiens-ntoi, je vais tomber. y 19
mais n'apprend pas très bien « car elle est trop joueuse », dit sa
mère
. 7° Renée, morte à un an de cholérine ; pas de
epsie. la famille maternelle, la nervosité et les migraines de la
mère
. Un frère du malade est arriéré. II. lIun.... s
auses réunies, la multiplicité des enfants, l'impossibilité pour la
mère
d'un gain quelconque, aboutissent à la misère,
orité, acquière en un an droit de domicile. Témoin des douleurs des
mères
de familles et des fatigues qu'elles se donnaie
e 1880 (scrvice de M. Bourneville). Renseignements fournis par sa
mère
(22 novembre 1880).-Père, 35 ans, palefrenier,
e peu rhumatisant. [Père, cultivateur, bien portant, ainsi que la
mère
et deux frères ; l'un de ceux-ci a 2 enfants sain
es, pas d'idiots, ni de suicides, ni de criminels dans la famille].
Mère
, 24 ans, femme de ménage, auparavant domestique,
erfs ni de svncones. \Père. marchand de vins, sobre, bien portant ;
mère
. morte du choléra, en 18G;) ; une soeur bien po
r bien portante a épousérü' frère du père de notre malade et est la
mère
des quatre/en^ fants dont il est parlé plus hau
é- cutive à la coqueluche. Notre malade. Pendant la grossesse, sa
mère
s'est heauc y-' fatiguée ; elle servait chez so
ait pas de circulaire autour du cou ; il a été élevé au sein par sa
mère
pendant 2 ans ; il aurait eu des bronchites pen
est pro- pre pour la défécation, sauf quand il est malade ; chez sa
mère
il avait un pantalon, ici à l'arrivée on lui au
aisait quelques commissions ; il est affectueux pour son père et sa
mère
. Depuis six mois, l'intelligence n'aurait pas bai
BOURNEVILLE), sorti le 21 mars 1882. Renseignements fournis par sa
mère
(17 mars 4882). - Père ; 65 ans, forgeron, a qu
t pas qu'il ait eu de maladies vénériennes. [Père mort à 76 ans ; -
mère
morte à 40 ans ; « de chagrins cau- sés par des
ques, de difformes, de suicides ou de criminels dans la famille.]
Mère
, 58 ans, domestique, cuisinière, brune, bien port
maladies. [Père mort à 87 ans d'une ma- ladie de l'estomac,sobre ;
mère
morte à 88 ans de vieillesse; grands parents ma
s. Accouche- ment à terme normal. L'enfant fut élevé au sein par sa
mère
jusqu'à 20 mois; propre à un an, il a marché à
elui-ci se plaignait que Joseph remuait, lui donnait des coups ; la
mère
du malade le fit alors coucher auprès d'elle et
étourdissements).- Grand'mère paternelle alccoolique, morte folle.
Mère
et soeur nerveuses. - Frére idiot. Amélioration
s 1880 (service de M. Bourneville). Renseignements fournis par sa
mère
(15 mars 1880.) Père, sous- brigadier à la Préf
ureau. [Père, cordonnier, mort à 60 ans d'un catharre pulmonaire. -
Mère
, alcoolique, morte folle à la Salpêtrière à 60
lytiques, pas d'épilep- tiques, ni de criminels dans la famille.]
Mère
, couturière, 44 ans, mariée à 20 ans ; d'une inte
ssements verdâtres ; la mort ne survint qu'au bout do 4 semaines. -
Mère
, morte à 40 ans, assassinée par un indi- vidu,
ca- blée de coups). - Grand-père maternel mort à 87 ans. - Grand'
mère
maternelle bien portante, 67 ans : - 4 soeurs, l'
lèvres étaient bleues ; Comm... tombait à terre sans se blesser. La
mère
de l'enfant ne sait à quoi attribuer ses étourd
ril, réintégré le 21 novembre 1882. Renseignements fournis par sa
mère
(31 mai 1881). - Père, 40 ans, ouvrier portemon
et ne voulait pas tra- vailler. [Père, marchandeur à la ferraille,
mère
, blanchisseuse, tous deux bien portants et sobr
as de difformes, ni de suicides ou de criminels dans la famille.]
Mère
, 29 ans, cannière, est sujette depuis la maladie
s. - [Père, émailleur, mort à 50 ans, d'une maladie de poitrine; sa
mère
est morte à 78 ans; - mère; bro- deuse morte à
à 50 ans, d'une maladie de poitrine; sa mère est morte à 78 ans; -
mère
; bro- deuse morte à 50 ans d'un asthme, peu ner
sthme, peu nerveuse, son père est mort de paralysie, en un jour; sa
mère
est morte jeune; une tante maternelle est deven
- L'accouchement à terme fut naturel. L'enfant élevé au sein par sa
mère
a été sevré à 10 mois parce qu'il avait un eczé
assez souvent. Son père est venu le voir 3 ou 4 fois; au dire de la
mère
, il lui donnerait de mauvais conseils, entre au
V. Epilepsie idiopathique. Onanisme. - Début à 9 ans. Père et « .
mère
morts phthisiques. - Légère amélioration. Lepel
ffaiblisse- ment des facultés intellectuelles. - Père alcoolique. -
Mère
migraineuse. - Crises nerveuses chez un cousin
. G5 66 traitement HYDIOT11LRAPIQU : . d'un accès. - Automatisme.
Mère
nerveuse, migraineuse. - Cousin germain idiot.
s sans paralysie, ni démence, il ne faisait pas d'excès de boisson.
Mère
morte à 81 ans, on ne sait de quelle maladie, t
de difformes, pas de criminels, ni de suicides dans la famille.]
Mère
, couturière, de taille moyenne, morte le 10 févri
de peau, ni maladies vénériennes. [Père : pas de renseignements. -
Mère
morte à 71 ans, on ne sait de quoi; n'était pas
morts de convulsions, l'un à deux ans, l'autre à trois mois. [La
mère
du malade était veuve, et avait de son premier ma
aussi l'ignorer ; il aurait reçu quelques soufllets de son père; sa
mère
le battait souvent (coups de poings, giffles);
cès à 12 ans. Affaiblissement léger des facultés intellectuelles. -
Mère
hysté- rique et choréique. - Insuccès. Delam.
ntellectuelles - - Instabilité. - Violences. - Guérison. - Rechute.
Mère
migraineuse. Même état. Lév..., Jacob, 17 ans,
Convulsions à 48 mois. - Hémiplégie droite ? Accès d'épilepsie.-
Mère
nerveuse. - Viol (1869). - Grossesse accidentée (
le 1G G février 1882. Antécédents (Renseignements fournis par la
mère
, 28 février IF82). Père, 30 ans, journalier che
as d'attaques. Marié à vingt-trois ans. [Père, soixante-quatre ans,
Mère
, soixante- et-un ans, tous deux sont bien porta
ques, ni dif- formes, ni suicides, ni criminels dans la famille.]
Mère
, 30 ans, blanchisseuse, bien portante, brune, phy
la gorge. Pas de convulsions, pas de dartres, etc. [Père, 54 ans ; -
Mère
, 56 ans, fileurs de soie, bien portants, sobres
dû le fouetter vigoureusement pour le ranimer. Elevé au sein par sa
mère
il a été propre à onze mois, a marché à treize
ble des bras que des jambes ; il ne reconnaît personne, pas même sa
mère
: quelquefois il cherche à être caressé; d'autr
on, il restait tout le temps assis et attaché sur un fauteuil. Sa
mère
essayait de le faire marcher en le tenant sous le
plètement dépouillés de substance grise par l'ablation de la pie-
mère
. Hémisphère gauche. - Il est le siège des mêmes
elle hémiplégique. - Oncle paternel aliéné, un autre épileptique. -
Mère
, enfant trouëe, ? zg'rameusc.Soeur morte de con
e M. Bourneville) le 6 décembre 1880. Renseignements fournis par sa
mère
(15 février 1881). - Père menuisier, mort en 18
sme. [Père, menuisier, mort on ne sait de quoi, à 72 ans : sobre. -
Mère
morte à 68 ans ; était paralysée d'un côté du c
nt cette époque et avait eu cinq enfants, tous morts en bas âge].
Mère
, 59 ans, blanchisseuse, intelligente, bien portan
s fortes depuis qu'elle n'est plus réglée. Pas de dartres. [Père et
mère
inconnus; est enfant de l'hospice]. Pas de co
e aux -cris poussés par un épileptique qui habitait la maison; la
mère
du malade crut à un accident, mais elle ne vit pa
facilement, sans chloroforme. L'enfant a été élevé au sein par sa
mère
jusqu'à un an. Il a été propre de bonne heure ;
r et était, dit-on, fort habile. Jusqu'à son entrée à Bicêtre, sa
mère
n'avait remarqué aucune des grosseurs que G....
les infirmiers n'avaient signalé rien d'anormal. Dans la soirée, sa
mère
en venant le voir s'est aperçue qu'il paraissai
ffrant : il pleurait, contrairement à son habitude et il a dit à sa
mère
: « tu auras bien du chagrin. » T. R. à 5 heure
plusieurs points intéressants. Observation. - Père alcoolique. -
Mère
cancéreuse. Frère peu intelligent. Cauchemars
uls détails sur les grands parents ni sur la famille paternelle].
Mère
morte le 24 janvier 1880 d'un cancer du sein, qui
ttaques de nerfs ; pas d'excès de boisson. [Père, pas de détails. -
Mère
morte il y a 6 ans, on ne sait de quoi, âgée de
Blois ; n'a pas d'enfants]. Pas de consanguinité (père d'Alsace,
mère
des environs de Blois). 3 enfants : 1° Fille
pour avoir « la tête dure pour apprendre n; 3° no- tre malade. - La
mère
s'est remariée quand notre malade avait à peine
écutive. - Grand-Père paternel alcoolique. Oncle paternel aliéné. -
Mère
migrai- 136 EPILEPSIE. neuse. Pre))nères conv
rvice de M. BOURNI;VILLE. Renseignements fournis par son père et sa
mère
(25 avril 1882.) - Père, 39 ans. serrurier, ne
d'affections nerveuses. [Père, tué dans une carrière, alcoolique; -
mère
, blanchisseuse, morte de la poitrine à 33 ans;
urvivants, ils sont bien portants, mais très impression- nables].
Mère
, 36 ans, mariée à 18 ans, blanchisseuse; très ner
ulsions. - [Père, 76 ans, maçon, fait quelques excès alcooliques.
Mère
, blanchisseuse, morte à 58 ans, en 8 jours, d'une
E INFANTILE. 137 vers l'âge de 2 ans et demi, l'enfant prévenait sa
mère
de l'arrivée d'un accès ; alors on le soutenait
les facultés intellectuelles ont notablement baissé. Le père et la
mère
prétendent que, depuis un an, la mé- moire aura
ice de M. Bourneville). Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
, 10 novembre 1881.) - Père, 59 ans, terrassier,
Ni dermatoses, ni traces de maladies vénériennes ; fumeur. [Père et
mère
morts on ne sait de quoi ; une soeur, morte de
mure d'éthyle. Thèse de Paris, 1882. 142 [cauchemars ; epilepsie.
Mère
, 46 ans, blanchisseuse, présente un enchondrome
été malade. [Père, mineur, mort à la Pitié il y a plus de 30 ans ;
mère
, morte « d'être usée ; » a eu un frère enlevé p
les autres sont sains. Notre malade. Au moment de la conception, la
mère
ne croit pas que son mari fut ivre ; grossesse
au passage ; » pas de cordon autour du cou. Elevé au sein par sa
mère
, l'enfant fut sevré de bonne heure, « parce que
A 8 ans, il fut pris de peurs durant le sommeil ; il appe- lait sa
mère
: « Prends-moi, j'ai peur; » il se rassurait dès
DÉMENCE INFANTILE. 143 Jamais d'aura, sauf une fois où il vint à sa
mère
, disant : « maman, prends-moi, je vais tomber.
ts, l'alcoolisme, l'épilepsie, des troubles nerveux divers; chez la
mère
une variole con- fluente qui a provoqué l'accou
placeront jamais ceux des frères, ou soeurs, du père et surtoutdela
mère
,- d'autres fois il n'y a plus de parents ou ils
sférer dans le département du Nord un enfant naturel reconnu par sa
mère
. Or, celle-ci est née en Alsace; c'est là qu'el
ent du côté paternel. Le père est bien 'conformé et intelligent. La
mère
, assez nerveuse, est sujette à des accès de l3o
ernelle imbécile. - Cousin germain paternel, mort de convulsions.
Mère
: faible d'esprit, sujette ci des alourdissements
n mort-né. Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par la
mère
, 13 juillet 4881.) Père : ouvrier journalier, t
elations avec sa femme, qui avait été attirée dans la maison par la
mère
du jeune homme, laquelle l'a mise en relation ave
tiques, de suicidés, de criminels, de difformes dans la famille.]
Mère
: quarante-sept ans, taille petite; journalière,
violent, cependant il battait souvent sa femme quand il était ivre.
Mère
, serait morte enflée après avoir été longtemps
Bourneville). Antécédents personnels (Renseignements fournis par la
mère
, 4 3 juillet 188 t). - Grossesse bonne, pas d'a
Rien de particulier à la naissance. L'enfant, élevé au sein par sa
mère
jusqu'à vingt et un mois, a marché à dix-sept m
NCVILLE.) Antécédents personnels. (Renseignements fournis par la
mère
, juillet 4881). Grossesse bonne; cependant la m
s fournis par la mère, juillet 4881). Grossesse bonne; cependant la
mère
aurait en des émotions fréquentes, par suite de
au mari auquel elle reprochait de nourrir des bâtards. Cependant la
mère
assure que cet enfant, comme les autres, est bi
ien de particulier à la naissance de l'enfant. Elevé au sein par sa
mère
jusqu'à dix-huit mois, il a marché à vingt mois
a- milles ». L'observation II est un exemple de ce fait, aussi la
mère
de nos malades porte-t-elle les traces de cette t
lcoolique ( ? ) - 4lène débauchée, enfant naturelle ( ? ), Grand' -
mère
paternelle irritable, débauchée ( ? ), voleuse, U
. Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis parla grand'-
mère
maternelle, le père et la mère). - trente-sept an
Renseignements fournis parla grand'- mère maternelle, le père et la
mère
). - trente-sept ans, assez DES FAMILLES D'IDIOT
jamais eu de maladies ner- veuses, n'a fait d'excès d'aucune sorte.
Mère
, ménagère, n'a jamais été nerveuse, est morte d
ileptiques, ni aliénés, ni difformes, ni suicidés, ni criminels.]
Mère
, trente-sept ans, blanchisseuse, intelligente, es
s d'attaques de nerfs; elle n'a jamais fait d'excès de boisson. (Sa
mère
raconte que sa fille, à partir de quatorze ans,
t livrée aux hommes et à la débauche, tandis que la fille accuse sa
mère
de l'avoir prosti- tuée à l'âge de quatorze ans
e l'homme qui l'a possédée par suite de ce marché qui a valu à sa
mère
deux ans de prison. Celle-ci ne nie pas les deux
is la mort du mari (déc. 1881), elle fréquen- terait, au dire de sa
mère
, de malhonnêtes gens (hommes et femmes), ce qui
ois avant la -naissance de sa fille qui est une enfant naturelle. -
Mère
, bien portante, sans accidents nerveux, change
nge souvent de profession. Elle assure n'avoir eu qu'une enfant (la
mère
de nos malades), et n'avoir pas connu d'autre h
stituée elle-même, comme nous l'avons vu plus haut. Elle dit que sa
mère
, outre les deux ans de prison que ce fait lui v
incomplets. Antécédents personnels. (Renseignements fournis par la
mère
de l'enfant, 27 février 1882.) - Le père de Des
nt dans la chambre. Il était méchant, voulait tuer les serins de sa
mère
, son frère Horni.. ; il faisait des niches aux
on pour ses frères, ni pour sa grand'mère; mais il aime beaucoup sa
mère
et est très heureux de la voir; il refuse de vo
e, parce que « cette grande bique ne cherche qu'à faire du mal à sa
mère
o. Il n'aurait plus, parait-il, d'habitudes d'o
URNEVILLE.)' Antécédents personnels. (Renseignements fournis par sa
mère
, 12 janvier f 8$I ). - Pendant la grossesse 1,
urnis par sa mère, 12 janvier f 8$I ). - Pendant la grossesse 1, la
mère
a eu des contra- riétés nombreuses par suite de
re a eu des contra- riétés nombreuses par suite de disputes avec sa
mère
à cause de son mariage, qui ne s'est fait que d
élevé au sein; cinq semaines plus tard, il était « en étisie ». Sa
mère
l'a repris alors et l'a élevé au biberon. Dep
ait presque tout ce qu'il prenait (lait de chèvre, de vache...); sa
mère
a fini par lui faire conserver ses aliments en lu
toujours son doigt. Il est assez affectueux, en particulier pour sa
mère
, qu'il ne veut jamais quitter et avec laquelle il
Antécédents personnels. (Renseignements fournis par le père et la
mère
, 9 juin 4881 '.) Grossesse bonne.-Accouchement à
toujours uriné de temps en temps au lit. Quand il fut repris par sa
mère
à l'âge de deux ans et demi, il n'avait pas eu
opre, menteur et gourmand, ce qui confirme les renseignements de sa
mère
. Il s'habille convena- blement ; onanisme persi
un signe de plus de la tare héréditaire. Ainsi donc du côté de la
mère
, l'hérédité s'accumule depuis deux générations.
nd-père paternel; quelques excès de boisson; oncle paternel aliéné;
mère
migraineuse. - Grand-père maternel asthmatique ;
convulsif. Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par la
mère
, 20 octobre 1879.) - Père : ébéniste, quarante-
s été malade; aucun accident ',nerveux ; quelques excès de boisson.
Mère
: morte de la rupture d'une anévrysme ; pas d'a
dont l'une encore vivante, n'ont jamais eu d'accidents nerveux.]
Mère
: quarante-deux ans; brodeuse, intelligente, maig
à soixante ans, sans'avoir présenté d'autres accidents ner- veux. -
Mère
: soixante-dix-sept ans, bien portante, pas d'aff
tions nerveuses. - Une cousine paternelle au troisième degré de la
mère
de notre malade a eu uu garçon idiot, mort à huit
la mort. 40 DES FAMILLES D'IDIOTS. Consanguinité : le père et la
mère
du malade sont cousins au cinquième ou sixième
re du malade sont cousins au cinquième ou sixième degré. Leurs deux
mères
portaient le même nom. Onze enfants : 1° une
2 juin 1874. Antécédents personnels. (Renseignements fournis par la
mère
, 3 décembre 4879.) Rien de particulier lors de
erme, facile. A la naissance, pas d'asphyxie. -Elevé au sein par sa
mère
jus- qu'à quinze mois. Rougeole à deux ans et d
mais n'est pas méchant; il est assez caressant, embrasse souvent sa
mère
de lui-même. Il n'est pas gourmand, ni salace ;
ItNEVILLE.) Antécédents personnels. (Renseignements [fournis par sa
mère
, 20 octobre 1879). Lors de la conception, rien
s accès : 46 DES FAMILLES D'IDIOTS. côté du père et du côté de la
mère
. L'influence de l'alcoolisme sur la dégénéresce
visme est, en fait, admis par les aliénistes. D'un autre côté, la
mère
, dont le père était asthmatique, et qui compte
ant. Il a été pris, il y a huit jours, de mouvements choréiquos. Sa
mère
avait remarqué que, depuis trois ou quatre sema
he est plus assurée, il ne se cogne ni ne tombe plus. Au dire de sa
mère
, L... a grandi de 4 centimètres. - Traitement :
, mouvements des membres réguliers, marche naturelle : cependant sa
mère
dit qu'il lui arrive quelquefois de se pencher
e commence il être régulière (lit. 6). 30 avril. L... est guéri. Sa
mère
, interrogée sur le médicament qui, selon elle,
il. [Père mort, à 70 ans, d'une enflure des jambes, il était sobre.
Mère
morte à 72 ans de fatigues et d'usure. - Grands
mes, ni sourds-muets, ni suicidés, ni criminels dans la famille.]
Mère
, 49 ans, autrefois journalière aux champs et main
e tardif, à 30 ans. [Père mort de la poitrine iL li-2 ans ; sobre. -
Mère
, morte de fatigue à 75 ans,ellen'était ni paral
aliénés, etc.]. Pas de consanguinité. (Le père est de Vierzon et la
mère
des environs de Tours.) Le père du malade a été
colère ; pas de convulsions ; pas d'enfants. Sa troisième femme, la
mère
du malade, lui a donné trois enfants : 1° Notre
a naissance, bel enfant, fort, pas d'asphyxie. Elevé au sein par sa
mère
jusqu'à dix-huit mois, il a eu sa première dent
il Choisy-le-Roi, mais on était obligé d'aller à sa rencontre et sa
mère
devait coucher avec lui pour le rassurer ; à l'
is qu'il est dans cet état, il mange peu et passe son temps avec sa
mère
ou les voisines, évitant de se trouver seul. So
ujours très émotif; ses peurs persistent. Il ne veut pas quitter sa
mère
un seul instant. Il ne voit plus de boule, mais
vu l'enfant à notre consultation ; nous conseillons de nouveau à sa
mère
de le placer à Bicêtre. Elle s'est décidée à le
sensoriel. Avril. Même traitement et hydrothérapie. 2 mari. - La
mère
de l'enfant complète les renseignements qu'elle
igraineux ; une de ses tantes paternelles est morte d'apoplexie. Sa
mère
n'a qu'une intelligence au-dessous de la moyenn
de surveillance des asiles (30 fr.) ; ; Mon.. Mousseron et Deneew,
mères
de deux de nos malades (3 fr 50). xx Promenades
us avons pu faire l'autopsie de l'un d'eux (1). SOMMAIRE. Père et
mère
bien portants, non alcooliques ; non syphilitiq
le du père a été hémiplégique. Une cousme éloignée paternelle de la
mère
, épileptique. Sur dix grossesses, trois fausses
l semble que sa maladie ait debuté it ce moment. Pour le second, la
mère
fait une chute de ^voilure huit jours avant l'a
e maladie de coeur, était sobre, n'avait pas eu de maladie de peau.
Mère
, âgée de 71 à 72 ans, bien portante, sans accid
e d'une vive frayeur. Rien à noter dans le reste de la famille. ]
Mère
, 38 ans, très calme, n'a jamais eu d'accidents ne
maladies vénériennes, sobre, a été soldat, s'est marié il 29 ans. -
Mère
, morte en 1893, à 56 ans, d'une affection du co
Pas de grands-oncles paternels. Deux grand'lantes (pas de la même
mère
), l'une morte à 7S ans, l'autre à 75 ou 76 ans
é de suite. Non pesé, mais étail tout petit. Élevé au sein par sa
mère
jusqu'à 9 mois, époque où elle est devenue en
ché. Vers 18 mois aurait eu des convulsions, en l'absence de sa
mère
qui ne peut en dire la durée. Elles ne se serai
au- rait jamais dit autant de mots que René. Recon- naissait sa
mère
, attendu qu'il ne voulait manger qu'avec elle
econnaissait ses parents, quittant tout le monde pour caresser sa
mère
et surtout son père. Mâche assez bien. Bon
des grimaces qu'il accompagne d'un petit cri. Reconnaissait sa
mère
mê- me de la voix, sans la voir. Mâche assez
t. Il n'y a à signaler en plus que quelques adhérences de la pie-
mère
, au niveau des circonvolutions pariétales et fron
éningite. - Tante paternelle morte de convulsions. Malformations.
Mère
,.très impressionnable, peureuse. Grand-père mater
00. Antécédents. PÈRE, conçu à la Martinique, est né à Angers, sa
mère
, parisienne,- étant de passage dans cette ville.
lent. Il a eu, a la Martinique, la fièvre jaune et la dysenterie.
Mère
: 66 ans, corsetière, également enfant de vieilla
reux, pas de myxoedémateux, pas de criminels, ni de prostituées.]
Mère
, 37 ans, couturière, bien portante jusqu'au maria
vie beaucoup de chagrin et beaucoup de peine à élever sa famille.
Mère
: 58 ans, sobre, modiste, nerveuse, maladie d'est
père est né à Angers d'un père de Verdun et d'une mère de Paris Sa
mère
est née à Paris d'un père de Seine-et-Oise et d
e Paris Sa mère est née à Paris d'un père de Seine-et-Oise et d'une
mère
parisienne). Inégalité d'âge de trois ans (père
en portants, ils étaient vierges tous deux. Grossesse pénible, la
mère
a vomi très souvent « presque tout le temps »,
devenu tout raide, il n'y a pas eu de convul- sions cloniques. La
mère
fait remarquer que toute jeune son enfant avait
pigastre : cela ressortait comme le doigt ». Un bandagiste dit à la
mère
que son enfant avait une éventration et lui lit
la succion difficile, l'état lipomateux : « c'était, nous a dit la
mère
, un paquet de chair; » puis l'absence d'éveil d
ingite. - Un frère a eu des convulsions, un cousin a un pied bot.
Mère
, morte de tuberculose pulmonaire, alcoolique. - U
1899. Antécédents héréditaires. -. Renseignements fournis par sa
mère
. - Père, 45 ans, maçon, n'a jamais eu de convulsi
e . Père, mort il 78 ans, jamais malade, buvait peu, ne fumait pas.
Mère
, âgée de 77 ans, a toujours été bien portante.
fort longtemps. Les grands parents du côté du père et du coté de la
mère
sont tous morts vieux. Trois tantes : l'une, âg
Il n'y a pas eu de suicides, ni de prostituées, ni de criminels.
Mère
, morte à 38 ans de tuberculose pulmonaire. Elle
elle était très nerveuse et d'un caractère emporté. Famille de la
mère
. - Père inconnu. Aucun rensei- gnements sur la
Famille de la mère. - Père inconnu. Aucun rensei- gnements sur la
mère
qui est morte. - Un cousin a été pendu en Angle
aler. Pas de consanguinité. Le père avait sept ans de plus que la
mère
. Neuf enfants : 1° fille, 18 ans, scrofuleuse,
eut dire s'il était ou non en état d'asphyxie. -'Allaitement par la
mère
, au sein, sevré à 2 ans, les premières dents on
rnelle, violentes migraines. - Cousin et cousine, débilité mentale.
Mère
, convulsions, crises de nerfs, fièvre typhoïde
e 1896. Enfant, naturel. Antécédents (Renseignements fournis par la
mère
). - Père, 37 ans, maroquinier, bien portant, n'
urs litres de vin dans sa journée. - Il a vécu maritalement avec la
mère
pendant six ans. Ils se sont séparés parce que
femmes. Son père est mort de pneumonie, aupa- ravant bien portant.
Mère
, sobre, en bonne santé, aurait eu autrefois de
utre tare nerveuse ou de malformation à signaler dans la famille.
Mère
, 31 ans, couturière, sobre. Règles abondantes dès
date de 1897. Pas de mi- graines. Son père est mort de diabète, sa
mère
vivante, très nerveuse, a présenté des périodes
maternelle morte à 76 ans de pleurésie, pas d'accidents nerveux; la
mère
de cette dernière est morte aliénée. La grand'm
malade. Rien de particulier à la conception (1), si ce n'est que la
mère
venait de subir l'opération du curettage pour m
était très chétif, ne pesait que 1.800 gr. ; nourri au sein par sa
mère
, il a été sevré il 18 mois. Première dent à 8 m
bilité men- tale, cousin ce loufoque» ayant eu un enfant arriéré;
mère
convulsions de l'enfance, puis crises de nerfs,
à 8 ans. Sommaire. - Père, rien de particulier. - Arrière grand'
mère
paternelle paralysée. Grand-oncle paternel mort
re grand-oncle paternel, alcoolique. Cousin arriéré pour la parole.
Mère
et sa famille, rien de particulier. Pas de co
i le 22 novembre- 1900. Antécédents. (Renseignements fournis par la
mère
. Père : 30 ans, sergent dans l'infanterie de ma
ût 1895. Son père était parisien; on n'a aucun détail sur lui; sa
mère
était de Gand où elle est morte de vieillesse. z
particularité à signaler, dans le reste de la famille paternelle.
Mère
, 2G ans, cartonnière. Elle n'a jamais eu de convu
toujours été bien réglée depuis. Son père est en bonne santé. Sa
mère
est atteinte de métrite. Aucun renseignement su
mais de fausse couche. Notre malade. Au moment de la conception, la
mère
70 Idiotie profonde. supportait des privation
t très joueur ; il dépensait tout ce qu'il gagnait. - Le père et la
mère
, néanmoins, s'entendaient bien à ce moment. Pen
néanmoins, s'entendaient bien à ce moment. Pendant la grossesse, la
mère
a vomi presque tout le temps et très abondammen
antité des eaux et le moment de leur écoulement sont inconnus de la
mère
. A la naissance l'enfant ne présentait pas de s
est d'ailleurs mis à grossir rapidement, et pendant le séjour de la
mère
a St-Louis (2 semaines) il aug- mentait de 60 g
) il aug- mentait de 60 grammes par jour. - Klové au sein, par la
mère
, il l'a bien pris de suite et n'a pas ou d'accès
urs, l'enfant, avant l'entrée, n'a jamais dit que papa et maman. Sa
mère
déclare spontanément que « tous les progrès qu'
cours desquels il cassait les verres, les assiettes. Il mordait sa
mère
. Il se livre il l'onanisme depuis l'âge de H mo
ce. Il n'a Description DU malade. 71 eu ni otite ni ophtalmie. La
mère
ne sait s'il a eu des vers. Il n'a jamais eu d'
nations. Il est beaucoup plus affectueux pour son père, que pour sa
mère
, que dans ses mouvements de colère, il frappe e
manifeste qu'il comprend C3 qu'on lui dit. Il ressemble plutôt à la
mère
qu'au père. L'enfant a été mis dans une crèche
, « faisait sur les bancs et se salissait jusqu'à la ceinture. » La
mère
attribue la maladie de son fils, il ce que, vers
sant pour les personnes qui le soignent et parait beaucoup aimer sa
mère
. En classe, l'enfant prête peu d'attention il c
é d'un mois, à titre d'essai. Novembre. - Malgré les conseils, la
mère
veut reprendre son enfant. Il sort le 22 novemb
icêtre en novembre 1900, malgré les conseils que nous donnons il la
mère
de l'y main- tenir encore quelque temps. En r
rts de tuberculose. - Tante paternelle, convulsions de l'enfance.
Mère
, traumatisme céphalique vers sept ans, avec évano
à se coucher, très rhumatisant, aucun excès, caractère calme. - Sa
mère
, quarante-huit ans, n'au- rait jamais eu d'acci
aurait eu des convulsions jusqu'à deux ans; il est intelligent.]
Mère
, vingt-quatre ans, ouvrière en brosserie avant le
excès ont augmenté quand il est venu de la campagne à la ville. Sa
mère
, d'un caractère calme, est en bonne santé. On n
Les parties non transparentes paraissent être formées par la pie-
mère
et une couche de tissu cellulaire; elles ont une
'enfant. En revanche, les cas de tuberculose sont très nombreux. La
mère
est une névro- pathe à un degré très prononcé,
halique de l'enfance, car ses père, sauf quelques excès de boisson,
mère
, frères et soeurs seraient en excellente santé.
us une série de formes : 10 L'alcoolisme chronique du père ou de la
mère
, ou des deux ; 2° L'alcoo- lisme à l'état d'ivr
eption; 3° Durant la vie foetale, par suite de l'alcoolisme de la
mère
, des coups reçus ou des émotions éprouvées par
avons résumé, dans le tableau suivant, la situa- tion des pères et
mères
de tous ces enfants sous le rapport de l'alcool
es rendus de Bicêtre (1880-1900). Chaque fois que nous voyons les
mères
de nos malades, mariées à des alcooliques, nous
ontaux sont en quelque sorte soudées par des adhérences. La dure-
mère
de la fosse temporale est également tapissée par
paternel grand buveur. - Tante paternelle convulsions de l'enfance.
Mère
, rien à noter. - Cousin germain, convulsions, -
édents héréditaires et personnels. (Renseignements four- nis par la
mère
, le 27 août 1898). PÈRE, 41 ans, né à Ugine (Sa
ue, mort à 62 ans d'un chaud et froid, a toujours été bien portant.
Mère
, morte à 52 ans «de son retour d'àge. » Elle s'
de crétins, pas de suicidés, pas de prostituées, ni de criminels.
Mère
, 43 ans, née à Ugine (Savoie), mariée à 32 ans,
e. Elle a eu pendant longtemps des pertes blanches. Famille de la
mère
. - Père, mort à fi5 ans d'une maladie cachectis
mort à fi5 ans d'une maladie cachectisante, cancer ou tuberculose.
Mère
, morte à 70 ans, de vieillesse, n'a jamais eu a
édents personnels. 157 Pas de Consanguinité, - Inégalité d'âge : la
mère
a 2 ans 1/2 de plus que le père. Deux Enfants
re malade. Conception : pas de misère, bonne entente, sympathie. La
mère
croit que le père, au moment du coït, avait bu
puisse le prendre, elle tétait une seconde puis lâchait prise. » La
mère
était obligée de tirer le lait elle-même et l'e
une tante et une cousine du côté mater- nel. Bien que le père et la
mère
soient nés en Savoie, il n'y a ni goitreux, ni
V. - IIOTIE ; MICROCÈPHALIE. Sommaire. .Absence de renseignements.
Mère
migrai- neuse, scotomes. - Oncle maternel, conv
IDIOTIE. MICROCÉPHALIE. SOMMAIRE. - Antécédents paternels négatifs.
Mère
nerveuse^ Grand-père paternel excès de boisson.
el excès de boisson. Grande tante mater nelle migraineuse. Soeur de
mère
morte de convulsions. Enfant naturel : arrêt de
Arrière-grand-père et deux grands- oncles paternels, alcooliques. -
Mère
, grand'mère, grand- tante et tantes maternelles
- Idiotie prononcée. SOMVAIRE. -A7îtécëde7-tts paternels négatifs.
Mère
ner- veuse. Grand-père paternel excès de boisso
cès de boisson. Grande- tante maternelle migraineuse. - Soeur de la
mère
morte de convulsions : - Enfant naturel : arrêt
con- vulsions de l'enfance. Géaneltarité. Consanguinité : Père et
mère
cousins germains. Inégalité d'âge de 8 ans. (1)
agie céré- brale. Grand oncle maternel nombreux excès de boisson.
Mère
, peu intelligente. Grand'mère maternelle morte à
l'estomac. Arrière-grand-père et deux oncles paternels alcooliques.
Mère
et grand'mère maternelle migraineuses. Grand' t
, strabisme. Autre cousine paternelle morte d'un cancer utérin. -
Mère
, un peu nerveuse, parfois douleurs de tête. Con
rculose pulmonaire. - Renseignements insuffisants sur sa famille. -
Mère
ner- veuse. Grand'mère maternelle morte à 42 an
ice de M. BOURNEVILLE). Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
, 53 août 1 881 .) - Père, cinquante-trois ans,
oldat; il buvait beaucoup d'eau-de-vie; il avait quitté sa femme. -
Mère
morte à soixante-six ans, en 1852, d'un catarrh
ire. Pas d'aliénés, pas d'épi- leptiques, etc., dans la famille.]
Mère
, trente-trois ans, ménagère, assez intelligente,
trois jours; il faisait des excès de boisson (bière et eau-de-vie).
Mère
, ménagère, morte à soixante-sept ans, d'une aff
ndait des urines pleines de graviers jaunes; il était très gros. La
mère
pense, sans qu'on le lui ait dit, que cet enfant
Notre nzulade. - Grossesse bonne jusqu'à sept mois et demi, où la
mère
a eu des chagrins à la suite de la mort de sa fil
.. aurait été comme fou pendant un mois; il ne reconnaissait que sa
mère
, ne parlait pas ou répétait : « Oh ! est-ce bêt
être, il aurait eu trois fois des séries; il se plaint souvent à sa
mère
de douleurs de l'oeil gauche, de ne plus y voir d
paternel alcoolique et cancéreux. Grand-père maternel alcoolique. -
Mère
migraineuse. - Deux Meurs mortes de méningite.
l 1880 (service de M. Bourneville). Renseignements fournis par sa
mère
(28 avril 18S1). -Père, qua- rante-deux ans, hi
deux ans, d'un cancerdu pylore, faisait quelque excès de boisson. -
Mère
, morte en 1831, écrasée par une voiture; n'a ja
6/. i,il'ieuu. merl. Presse, UO G, 1867.) DANS L EPILEPSIE. 31 t
Mère
, trente-cinq ans, journalière, femme de ménage, a
mois, santé excel- lente. Ils ont tous été élevés au sein par leur
mère
; aucun n'a eu de convulsions. Notre malade. -
ulsions. Notre malade. - Grossesse moins bonne que les autres. La
mère
venait à peine de sevrer quand elle est devenue e
onne. Accouchement à terme, naturel. L'enfant, élevé au sein par sa
mère
jusqu'à un an (pas de convulsions), a marché à
ois et même depuis une quinzaine de jours; il a reconnu ses père et
mère
, mais ne leur a pas parlé (avril 1881). Etat
grès très sérieux en lecture seulement. 27 octobre. - Emmené par sa
mère
en congé. 4 novembre. Ramené par sa mère, il a
7 octobre. - Emmené par sa mère en congé. 4 novembre. Ramené par sa
mère
, il a eu plusieurs accès chez lui (2 le 1er, 5
a eu plusieurs accès chez lui (2 le 1er, 5 le 2, 4 le 3, 4 le 4) sa
mère
prétend « que, quand la lèvre supérieure devien
ars 1882 (service de M. Bourneville). Renseignements fournis par sa
mère
(13 3 avril -I 88 ? ).-Pére, mort en l812, à l'
é destitué et enfermé dans un asile. Le Dr Campagne aurait dit à la
mère
du malade que, sur les livres de l'asile, il y
lade que, sur les livres de l'asile, il y avait beaucoup de Cr... -
Mère
, morte toute jeune des suites de 40 DU CURARE
comme incendiaires et enfermés plusieurs fois dans des asiles '.]
Mère
, trente ans, châtaine, de physionomie agréable, m
e au couvent où mon mari m'a prise parce que j'étais orpheline ». -
Mère
, morte en cou- ches « quand je suis venue au mo
fermé à l'asile de Montdevergnes, on avait essayé de faire vivre la
mère
du ma- lade en dehors de son mari ; mais un jou
ans lesquels il devenait tout bleu se roulait à terre, injuriait sa
mère
, la bat- tait, ces crises duraient une heure au
asile Saint-Jean-de-Dieu (août 1881) et peu après on l'a rendu à sa
mère
(novembre 1881), qui l'a gardé jusqu'à son plac
a peur d'une grosse araignée toujours placée devant ses yeux. Sa
mère
décrit ainsi les accès : Pas d'aura, cris, hurlem
é ; d'autres fois, il a commis des actes de violence, il a battu sa
mère
, sa soeur; une fois il a essayé de donner à cel
; parait haineux. Il avait pris en grippe une femme de ménage de sa
mère
, la battait, disait que, s'il avait vingt ans,
egarde d'un air effaré, ne semble reconnaître personne, pas même sa
mère
; à toute question il répond : mé, mê. Par mo-
erait arrivé une quarantaine de fois. Il dit enfin qu'étant chez sa
mère
il aurait eu, pendant trois mois, des rapports
très violent. 48 DU CURARE DANS l'épilepsie. 49 alcoolique; sa
mère
, pendant la grossesse, a éprouvé de nom- breuse
mbre 1883, à quatre heures du soir. Renseignements fournis par sa
mère
(28 août 1882). - Père, cin- quante-deux ans, m
le canal du Loiret; menuisier, il faisait des excès de- boisson. -
Mère
, morte vers vingt-huit ans, on ne sait de quoi ;
ques, de difformes, de suicides, de criminels dans la famille.] J
Mère
, quarante-sept ans, intelligente, teinturière, re
ique. = Deux soeurs et deux frères. - Convulsions dans l'enfance. -
Mère
absinthique pendant la grossesse. Premières c
e symptoma- tique et imbécillité. Hypospadias. - Père alcoolique. -
Mère
hystérique. Tante et oncle maternels, cancéreux
XV. - Instabilité mentale; épilepsie idiopathique. Père alcoolique.
Mère
: crises nerveuses en 4 883. - Grand-père mater
vation XXVI. - Epilepsie symptomatique. - Père mort phthi- sique. -
Mère
migraineuse et colérique. - Premières convulsions
rt eut lieu le 25 octobre. Observation XXXtV. Idiotie; épilepsie. -
Mère
: idées de suicide pendant deux mois. - Grand-p
LE). Renseignements fournis par sa femme (6 juin 1881). - Père et
mère
, pas de détails. Le malade a eu plusieurs frère
le) et y est mort le 30 avril 1884. Renseignements fournis par sa
mère
(2 1 novembre 1882). Père, 37 ans, maçon, grand
fait de nombreux excès de boisson : « lui, c'était des alcools. » -
Mère
, morte il y a deux mois; a été atteinte d'une h
as de difformes, ni de suicides ou de criminels dans la famille.]
Mère
, 37 ans, blonde, rousse, petite, fatiguée (elle e
ême affection. Il était tisseur, sobre, et n'était pas nerveux. -
Mère
, 70 ans, bien portante, n'a pas eu de maladies ne
dut le quitter vers le troisième mois de sa grossesse, alla chez sa
mère
et ne re- vint avec lui que trois à quatre mois
hyxié; il était fort et bien constitué. Il fut élevé au sein par sa
mère
jusqu'à quinze mois. Au bout de deux mois « ma
u crâne est peut-être un peu plus profonde que la gauche. La pie-
mère
de la base est partout très vascularisée ; il exi
, durant la grossesse, les chagrins et les émotions éprouvés par la
mère
. L'enfant n'a jamais ressemblé aux autres enfan
vation. - Père : onanisme, tentative de suicide ; mort d'apoplexie.
Mère
migraineuse. - Grand-père maternel apoplectique
4 novembre 1882, à l'âge de 1G ans. Renseignements fournis par sa
mère
. Père mort on 1878, à l'âge de 78 ans, d'une at
ubergiste, est mort on ne sait de quoi; on ignore s'il buvait. - Sa
mère
est morte à G3 ans; la cause de la mort est inc
tiques, de difformes, de suicidés, de criminels dans la famille.]
Mère
, 55 ans et demi, lingère. Taille moyenne; visage
à sa 3" attaque de para- lysie, en quatre heures; il étaitsobre. Sa
mère
est morte d'une frayeur qui « arrêta le sang( ?
aliénés, ni épileptiques, etc.] Pas de consanguinité (père breton,
mère
marseillaise). 3 enfants : 1° Fille morte à 14
ers 7 anset demi, une nuit, à 4 heures du matin, il jette uncri; sa
mère
accourt, le trouve immobile dans son lit, les y
rivait déjà étant enfant, lorsqu'il faisait des commissions pour sa
mère
). Avec l'argent volé à son patron, et celui qu'
effrayer; répandant de l'huile sur les esca- liers, etc., etc.), sa
mère
le plaça à l'Asile clinique (Sainte- Anne) le 1
, ainsi qu'on vient de le voir, ne fut pas sensiblement modifié, sa
mère
, cédant à ses instan- ces, demanda à le reprend
se masturbant avec un de ses camarades. Peu après (20 avril 82) sa
mère
le fit admettre à l'Ecole d'horticulture de Vil
nt où il n'était pas gardé 11 vue, et se rendit directement chez sa
mère
. Agréez, etc. Signé.' L. Guillaume. Sa mère f
directement chez sa mère. Agréez, etc. Signé.' L. Guillaume. Sa
mère
fut bientôt obligée de le reconduire à Sainte-
Vaucluse. Peu après il s'en échappe de nouveau et va droit chez sa
mère
; il raconte qu'en y arrivant, comme il voulait
et il tomba. Il ne se rappelle pas ce qui suivit cette chute. Sa
mère
le reconduit à Vaucluse au bout de 12 jours. Ses
au ma- lade de l'envoyer en congé, durant quelques jours, chez sa
mère
, si sa conduite ne laisse rien à désirer. 7 mar
aisse rien à désirer. 7 mars. Il est allé en congé de 5 jours et sa
mère
assure qu'il a été très raisonnable. 13 mars.
r, mais chez un émailleur photographe qui en est très content. Sa
mère
, qui le ramène, dit également avoir été très sa-
tandis que chez le photographe il reçoit 2 francs. Ce jour-là, sa
mère
promettant de le surveiller, nous renouvelons l
bilité mentale avec perversité des instincts ; peut être rendu à sa
mère
qui le réclame ; s'est amélioré sous tous les rap
services d'aliénés de Bicêtre. 19 avril. Nous voyons S... avec sa
mère
. Sa conduite est régulière ; mais, comme son tr
travail le retient tard, afin d'éviter les mauvaises rencontres, sa
mère
lui cherche une autre place. N'ayant pas de rép
sortie. 30 avril. S... quitte la photographie sur le désir de sa
mère
, et entre chez un fabricant de couleurs qui est,
arçon ne doit plus retourner à l'Asile, et qu'il a été placé par sa
mère
chez un patron qui se trouve satisfait de sa co
que l'enfant était en congé, mais qu'il lui serait conduit par sa
mère
là où il le désirerait, afin de lui éviter tout d
- Le congé de S... est renouvelé. 28 ? nai. S... est allé avec sa
mère
chez M. le Dr Blachez qui s'est étonné des diff
portées à la sortie. Malgré les conseils que nous avons donnés à sa
mère
, celle-ci a encore changé Marius de place ; il
. (Marius-Eugène), âgé de 16 ans, natif de Paris, domicilié chez sa
mère
, rue du Vieux-Chemin, 20, à Ivry (Seine); Vu le
ire 'de police de la circons- cription d'Ivry au jeune S... et à sa
mère
. Le Préfet de Police, - Signé : Camescasse.
e maison. 1884. 15 janvier. Nous revoyons le malade à Bicêtre. Sa
mère
, qui l'accompagne, assure qu'il a toujours travai
est très content de lui. Tous les samedis, il apporte sa paye à sa
mère
. Il va régulièrement à l'école du soir de la ru
ole du soir de la rue Beaudricourt. Les dimanches, il reste avec sa
mère
. Il n'a de fréquentation qu'avec un de ses cama
qu'il ne se masturbe pas et qu'il n'a pas de rapports sexuels. Sa
mère
, interrogée également à part, répète qu'elle en
la maison ; il l'a placé à la cuisine, mais on a dit de suite à la
mère
que son fils était trop faible, qu'il ne pouvai
bre 1880 (service de M. Bourneville). Renseignements fournis par sa
mère
(15 nov. 1880). Père, peintre en bâtiments, n'a
lui, croyant qu'on vou- 166 ANTÉCÉDENTS PERSONNELS. lait le tuer.
Mère
, morte probablement d'une congestion dérébrale,
de notre malade, sinon le suicide d'une soeur de son grand-père].
Mère
, 48 ans (en 1880), coloriste, bien portante, n'a
lligence ordinaire. [Père, alcoolique, mort du choléra en 1849. -
Mère
, non nerveuse, morte à 51 ans d'une fluxion de po
sans cesse et avait des idées absurdes. Pendant la grossesse. la
mère
eut des chagrins causés par plusieurs accès de
sen- tait rien d'anormal à la naissance, fut élevé au sein par sa
mère
pendant deux mois, puis par une nourrice jusqu'à
prentissage comme régleur, il n'y est resté que 2 mois, nous dit sa
mère
; comme il s'ennuyait elle le fit travailler av
tions. Trois fois il aurait été arrêté comme vagabond et rendu à sa
mère
. Suivant la version de notre malade, au sortir
sont peu précis. Les dénonciations qu'il avait faites, ainsi que sa
mère
, et qui avaientété suivies de condamnations, lu
uivaient sa soeur et la menaçaient. C'est pour ces rai- sons que sa
mère
changea de domicile. Durant quelques mois, B...
, qui, du reste, coïncident avec les ren- seignements donnés par sa
mère
, la maladie nerveuse qui l'a fait entrer dans c
sans accidents immédiats. Huit jours après, il se promenait avec sa
mère
, quand tout à coup il eut une sensation de froi
à une sorte de cons- triction. Il eut à peine le temps de dire à sa
mère
qu'il se trouvait indisposé ; puis, subitement,
orti de prison, du 16 mars au 20 octobre 1883, il travaille avec sa
mère
. A ce moment, il la quitte pour vagabonder avec
absence, il est venu plusieurs fois au voisinage du domicile de sa
mère
, l'a fait appeler pour lui demander quelques se
le 15 janvier 1884. c Nous sommes intervenus, sur la demande de la
mère
d'après l'avis de l'avocat ; mais ni le certifi
2St; il avait essayé de se suicider; il est mort apoplectique. Sa
mère
a été sujette à des migraines et à des étourdis-
, à l'époque de la naissance de Sim..., son père avait 66 ans et sa
mère
39, soit une différence de vingt-sept ans. Ce n
es grand'tantes s'est suicidée; une tante a été paralysée; enfin sa
mère
a été atteinte des convulsions durant son enfan
folle, Brig... a été conçu alors que son père était aliéné et sa
mère
, en le portant, a été sans cesse exposée à des
. 177 Nous avons tenu à vérifier tous ses dires et le récit de sa
mère
. Nous avons demandé des renseignements dans les
troisième fois qu'on l'arrêtait pour vagabondage. Il fut rendu à sa
mère
. 10 juillet 1877. Trouvé la nuit couché dans un
. Voici quelques détails sur plusieurs des enfants (1) Toutes les
mères
devraient apprendre le plus tôt possible à leurs
nfin on habitue les fillettes aux soins de propreté. C'est ce que les
mères
de familles, les institutrices, les maîtresses de
enfant de sept ans dans le service depuis quatre ans,, ramené par sa
mère
après un congé de quelques jours : elle peut à pe
ur rentrer définitivement dans la société ; plusieurs sont mariées et
mères
de famille. » L'écoJe de Saint-Yon est classée
nnues.......... 53 340 NOMS. des _ Observations. du père. de la
mère
. grossesses. décédés. vivants. Bel.............
ants. Bel............. Tourneur » 4 ,, Notre malade, idiot. Père et
Mère
sur cuivre. excès de boisson. Belthoi........
N. m., idiot. Beff............. Peintre » 2 » 1 g. nerveux. Père et
Mère
décorateur. N. m., idiot, épileptique. excès de
e en bâtiments. N. m., née à 8 mois, idio- boisson; syphilis. te.
Mère
syphilis. Redl............. Peintre » 5 f. mort
sson. N- m., idiote. NOMS. des ~~" Observations. du père. de la
mère
. grossesses. décédés. vivants. Bru.............
ère. 11 3 enfants morts de convul- 1 Garçon et une Fille très Père et
Mère
sions. nerveux. alcooliques. 3 fausses couche
cêtre, 1904. NOMS. ~~~~~~"~"~~~des _ Observations. du père. de la
mère
. grossesses. décédés. vivants. Lésa............
entale. Dufra........... Fondeur » 1 « N. m., arriération intellec-
Mère
syphilitique en caraotères. tuelle, perversion
. N. m., Epilepsie. NOMS, des ————— i observations du père. de la
mère
. grossesses. décédés. vivants. I Noe...........
, épileptique. » NOMS. ~~""""" des - Observations. du père. de la
mère
. grossesses décédés. vivants. Men............ P
olique. Morill........... Polisseur « 1 « JV. m., imbécile. Père et
mère
sur métaux. alcooliques. Bellcm.......... Pei
ts. JV. m., épileptique. NOMS. des " Observations. du père. de la
mère
. grossesses. décédés. vivants. Sta.............
aill............ Peintre » 2 i fausse couche à 3 mois. at. m., idiot.
Mère
syphilis. en bâtiments. Duv............ Moule
e de compte, l'aicoo-lisme. En effet, sur 143 familles, 79 pères et 4
mères
faisaient des excès de boisson (58 0/0). Notons e
n se trouve doublée par ce fait qu'elle est exercée par le père et la
mère
; — 2° que 4 mères et 4 pères étaient atteints de
e par ce fait qu'elle est exercée par le père et la mère ; — 2° que 4
mères
et 4 pères étaient atteints de syphilis. — Ces st
signifie : notre malade. NOMS. des " Observations. du père. de la
mère
. grossesses. décédés. vivants. Sud.............
sur l'alcoolisme. Garçons Filles. Totaux, Les pères de... Les
mères
de... Les pères et mè-res de............ Pour
aient sobres. Le tableau ci-dessus résume la situation des pères et
mères
de tous ces enfants sous le rapport des excès alc
épilepsie. En outre la conception durant l'ivresse du père ou de la
mère
a été relevée chez 292 malades et la conception p
uivants : 35, 6 0/0 des pères font des excès de boisson. 3, 0/0 des
mères
— 1, 6 0/0 des pères et mères — Soit 40, 2 0/
font des excès de boisson. 3, 0/0 des mères — 1, 6 0/0 des pères et
mères
— Soit 40, 2 0/0 des parents faisant des excès
de boisson ainsi que son -père [grand'père -paternel de l'enfant). —
Mère
, rien de particulier. — Grossesse accidentée par
é le 11 janvier 1905. Antécédents. — (Renseignements fournis par sa
mère
en 1895). — Père, 40 ans, mécanicien, excès alcoo
re buvait beaucoup (vin) et serait mort d'une affection du foie. — Sa
mère
a succombé aux suites de l'influenza. — Un frère,
lle. — Son père est mort de la rupture d'un anô-vrisme do l'aorte, sa
mère
on ne sait de quoi. Il on est de mê-me pour ses r
mnio-tique. — Pas d'asphyxie à la naissance. — iiilevé au sein par sa
mère
jusqu'à 7 mois, puis au lait do vache, à cause d'
son pore, tore, battre sa petite sœur. Il se jeta dans les bras de sa
mère
en pleurant. Un mois après, la nuit, il fut pris
accentue, 13... ne peut plus Vous savez, mon camarade X.., c'est ma
mère
et il rit aux éclats, fier de ce qu'il vient de d
ue son grand'père paternel était buveur. — Rien à noter du côté de la
mère
et de sa famille. II. Pendant la grossesse, fra
e la mère et de sa famille. II. Pendant la grossesse, frayeur de la
mère
. — L'évolution aurait été normale jusqu'à 9 ans 1
complète avec aphasie. Rensei-gnements insuffisants sur sa famille. —
Mère
: quelques excès de boisson (?). — Cousin germain
1 août 1899. Antécédents. (Renseignements fournis par le père et la
mère
en juillet et en octobre 1899.) — Père : 55 ans ;
rt paralysie complète des 2 côtés à début brusque, avec aphasie. — Sa
mère
a 83 ans, elle est sobre, n'a jamais été malade.
de sourds-muets, pas de criminels, etc., etc., pas de tuberculeux.]
Mère
, 44 ans, ménagère, est de la Hesse. Pas de convul
e ne dure pas; point de migraines. — [Père mort on ne sait de quoi. —
Mère
morte à 63 ans, de la rupture d'un anévrysme (?).
perdu un garçon de la coquelu-che. Dans le reste de la famille de la
mère
, on ne connaît aucune tare : pas d'aliénés, pas d
etc.] Pas de consanguinité ; le père est de 11 ans plus âgé que la
mère
de notre malade. Onze enfants : 1° garçon, mort
peurs, d'envies, pas d'intoxication par l'alcool ou l'opium, etc. La
mère
prenait 5 verres de café par jour. Pas d'idées no
du cordon. — A la naissance pas d'asphyxie. — Nourrie ait sem par la
mère
. Sevrée à 21 mois. Première dent à 14 mois. Impos
avec personne, restait assise « à penser je ne sais à quoi, » dit la
mère
. Elle courait après les animaux et prenait plaisi
ne de l'œil gauche qu'elle présentait depuis sa naissance, d'après la
mère
. Mal-gré cela, elle voyait aussi bien que les aut
rire. Les sentiments affectifs sont assez développés. Au dire de la
mère
, l'enfant ressemble à son père au point de vue du
ère, l'enfant ressemble à son père au point de vue du caractère, à sa
mère
au point vue physique. Telle était la malade jusq
e facilement en poussant des cris, elle se lève, saute de son lit. La
mère
va consulter à ce moment à la Polyclini-que Roths
e gauche et la paralysie du membre inférieur droit persistent. » La
mère
et la tante de la malade sont également d'avis qu
et paralysie du grand'pèrc paternel. Peut-être, léger élhylisme de la
mère
; — convulsions de l'enfance chez une tante mater
lle n'aurait pas eu lieu en état d'ébriété. — Durant la grossesse, la
mère
prenait une quantité exagérée de café. — Le str
12 ans; carac-tère très emporté. — Deux tantes paternelles myopes. —
Mère
migraines. — Grand'rnère maternelle, morte d'une
e 30 mars. Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par sa
mère
.) Père, 45 ans, marchand ambulant; né à Varsovie;
pas. N'était pas tubercu-leux. [Sonpé?'e est mort de vieillesse. — Sa
mère
est bien por-tante. — Sur ses grands-parents, pas
. — Dans le reste de la famille on ne connaît rien de particulier.]
Mère
, 42 ans, née en Russie, est à Paris depuis l'âge
migraineux de ces accidents. Son pè?*e a 73 ans, bien portant. — Sa
mère
est morte à 70 ans d'une tumeur dans le ventre. —
fantile; — 3e a 2 enfants bien portants; — 4° n'a pas d'enfants, La
mère
du malade est la deuxième des enfants. — Dans le
Notre malade. — Conception : misère, discussions entre le père et la
mère
. Grossesse, beaucoup de misère à cause du mari, l
le père et la mère. Grossesse, beaucoup de misère à cause du mari, la
mère
n'avait pas toujours de quoi manger; elle a eu de
compagné de stridor. — Allaitement mixte, on partie par le lait de la
mère
, en partie parle lait de vache, sevré à 11 mois.
le à 15 mois. Vers l'âge de 2 ans, c'était un très bel enfant, dit la
mère
. De l'âge de 7 mois à l'âge de 15 mois, l'enfan
it probablement de nysta'jmus, et non de convulsions, comme le dit la
mère
. Ces accès reve-naient 2 à 3 fois parjounles glob
fuleux, pas de traumatisme céphalique. L'enfant ressemble plutôt à sa
mère
physiquement. A l'âge de six ans, il commence à
LA part la myopie chez cinq tantes paternelles; — la migraine chez la
mère
, nous n'avons à mentionner aucune autre tare hé
, nous n'avons que des renseigne-ments insuilisants. (Père, polonais,
mère
, russe.) II. Misère, ennuis, frayeurs durant la
cès d'alcool; mort subitement. — Rien clans le reste de la famille.
Mère
: Convulsions vers l'âge de 6 ans attribuées aux
entré le 11 septembre 1901 à Bicètre. Renseignements fournis par sa
mère
(24 nov. 1901). — Antécédents héréditaires. — Pèr
n cuivre, et aurait par périodes abusé des boissons alcooliques. — Sa
mère
est morte à 50 ans d'une maladie de cœur. On ne p
aternels, les grands oncles et tantes sont également peu connus de la
mère
qui n'a pu donner à leur sujet aucun détail intér
lle sont absolument négatifs. Ni aliénés, ni épi-leptiques, etc...]
Mère
, 42 ans, sans profession, a eu, à 6 ans, des conv
d'alcoolisme, pas de traumas, caractère plutôt calme. [Père inconnu. —
Mère
, 62 ans, en bonne santé. — Grands parents paterne
en bonne santé. — Grands parents paternels incon-nus. — Grand père et
mère
maternels, rien de particulier. Deux sœurs n'ont
nerveux. La ?eme a eu un enfant mort à un mois de convulsions. — La
mère
n'ayant connu aucun de ses ascendants n'est pas e
une chute. Antécédents personnels. — A la conception, le père et la
mère
en parfaite santé. G7'ossesse régulière. Du côté
absorption journalière du café noir très fort (2 tasses par jour). La
mère
ne peut préciser l'époque à laquelle l'enfant a r
rri-ture fut celle de son entourage. — Première dent à 7 mois mais la
mère
ne peut fixer même d'une façon approximative, à q
toute connaissance de cause il cherche à se détruire, un jour, dit la
mère
, il mangeai kilogr. de pommes de terre crues et n
père, le mal vertébral de Pott chez une sœur, des convulsions chez la
mère
, une ménin-gite. — Dans les antécédents personnel
vait mis sa petite fille, Cécile, âgée de 6 mois, dans sa voiture. La
mère
alla laver dans sa cour pen-dant que le pore trav
iles, la petite était morte axphyxiée. On doit donc recommander aux
mères
de famille et aux infirmières de veiller avec le
st arriéré. — Cousin paternel, issu de germains, pied-bol congénital.
Mère
: rien de particulier. Consanguinité des deux c
9 mars 1901. Antécédents. (Renseignements fournis par le père et la
mère
le 20 décembre 1900). — Père, 38 ans, cocher de f
ans accidentellement (fracture de cuisse), atoujours été sobre. — Sa
mère
, migraineuse, est morte à 75 ans de vieillesse. —
s do sénilité, ni démente, ni paralytique. — Une ta?ite du côté de sa
mère
, était èpileptique, a eu un garçon mort d'un chau
s d'idiots, pas de bègues, pas de strabiques. Un cousin du côté de la
mère
a un pied bot congénital. Pas d'autres mal-format
, pas de prostituées, pas de criminels dans le reste de la famille.
Mère
, 31 ans, ménagère, n'a eu ni convulsions, ni chor
est proprement habillée. Elle paraît intelli-gente. [Famille de la
mère
. Son père, âgé de 70 ans, a quel-ques douleurs rh
re. Son père, âgé de 70 ans, a quel-ques douleurs rhumatismales. — Sa
mère
, 67 ans, est en bonne santé. — Les grands-paren
égalité d'âge de 7 ans (père plus âgé). — Consanguinité : Les père et
mère
do l'enfant sont doublement consanguins : Ie leur
doublement consanguins : Ie leurs pères sont cousins germains : 2e la
mère
du père et le grand-père maternel de la mère étai
cousins germains : 2e la mère du père et le grand-père maternel de la
mère
étaient cousins germains. Deux enfants : 1° l'a
ne entente, pas de maladies, pas d'ennuis. — Pendant la gros-sesse la
mère
n'a pas eu d'émotions, n'a pas fait de chute, n'a
irculaire, enfant «belle comme un ange». — Allaitement au sein par la
mère
, sevrée à un an. Pas do renseignements précis sur
fant parle difficilement et très indistinctement. Par moments, dit la
mère
, elle tient des propos très sensés, d'au-tres foi
ofuleux. — Pas d'autres traumatisme. L'enfant a toujours vécu avec sa
mère
. D'après les parents la cause de la maladie serai
ot congé-nital, épilcpsie, alcoolisme ; ?" ennui, idées tristes do la
mère
pendant la grossesse. Si nous ajoutons à cela la
epuis 25 ans, est une véri-table consultation médico-pédagogique. Les
mères
de famille sont mises au courant, dans la mesure
la consultation ou sur rendez-vous spécial, la leçon est refaite à la
mère
et à l'enfant. Cette démonstration du traitement
e réussit dans la mesure de l'intelligence et du zèle apportés par la
mère
. Mais le traitement médico-pédagogique exige un t
nfin on habitue les fillettes aux soins de propreté. C'est ce que les
mères
de familles, les institutrices, les maîtresses
s. Elles sont pour ces dernières ce quelles appellent « leurs petites
mères
». Nous trouvons ce moyen excellent pour les ha
avait môme obtenu le certificat d'études.— Elle a été reprise par sa
mère
qui est couturière ; mais notre ancienne malade t
métier. Elle est adroite et a beaucoup de goût pour la couture. — La
mère
qui nous écrit est satisfaite de la conduite de s
erite est venue nous rendre de fréquentes visites l'été dernier et sa
mère
nous a dit que son travail allait bien, mais qu'e
ptible et quelquefois « répondeuse ». A part ces quelques travers, la
mère
était assez satisfaite. De... (Marie-Blanche),
, avec idées noires, très affectée de l'hérédité qui pesait sur elle (
mère
internée à Bourg et frère épileptique, mort à Vil
lité physique et mentale. — (Née à l'asile de la Maison Blanche où sa
mère
était internée). Elle avait fait de notables prog
'occupe des différents soins du ménage. Elle vient ainsi en aide à sa
mère
qui travaille aux halles. Nous avons revu le père
dans cette place à cause de son instabilité et de ses niaiseries. Sa
mère
, devenue folle, sur ces entrefaites, a été inte
rée à elle-même a vagabondé de tous côtés. — Nous avons appris par la
mère
d'une de nos malades, Mme Sattelé qui habite égal
r l'alcoolisme. Garçons Filles. Totaux, Les pères de... | Les
mères
de... Les pères et mè-¦cs de............ Pour
nt sobres. En outre la conception durant l'ivresse du père ou de la
mère
a été relevée chez 292 malades et la conception p
suivants : 35,6 0/0 des pères font des excès de boisson. 3, 0/0 des
mères
— 1,6 0/0 des pères et mères — Soit 40,2 0/0
font des excès de boisson. 3, 0/0 des mères — 1,6 0/0 des pères et
mères
— Soit 40,2 0/0 des parents faisant des excès d
. Pour....... 19 nous n'avons pas de renseignements. Les pères et
mères
de. 19 étaient sobres. Total.......J Nous avo
iculièrement. Le tableau ci-dessus résume la situation des pères et
mères
de tous ces enfants sous le rapport des excès alc
. 354 NOMS Bir. Ññßà Gor Pet PROFESSION DU PÈRE DE LA
MÈRE
Peintre en bâtiments Imprimeur Graveur Ve
Père, excès de boisson (absinthe) . — Grands-pa-rents morts vieux. —
Mère
, rien de particulier, ni dans sa famille. — Pas d
-lade, cultivateur, on ne sait s'il a fait des excès de boisson. — Sa
mère
vit encore, elle est bien portante ; n'est pas mi
lformations, pas de suicidés, pas de prostituées, pas de criminels.
Mère
, âgée de 26 ans ; giletière ; n'a pas eu de convu
—(Père: bien portant, fait quel-ques excès de boisson (absinthe). —•
Mère
: bonne sauté ; pas de migraines ; est sobre. — L
e (?). Elle n'aurait jamais eu de convulsions ; 3° notre malade. — La
mère
n'a jamais fait de fausses-couches. La malade.
nfant aurait eu de la paraplégie , et le médecin aurait dé-claré à la
mère
que sa fille était atteinte de paralysie infantil
pas de pyromanie. Les sentiments affectifs paraissent limités à sa
mère
; elle ne connaît qu'elle et voudrait être consta
ion de l'enfant. Elle ne reconnaissait à ca moment que son père et sa
mère
. Elle fut alors examinée au point de vue mental
. — Grand-mère paternelle morte à 59 ans d'une fluxion de poitrine. —
Mère
: un peu ner-veuse, bien portante. Grand-père mate
ère maternel mort d'une hypertrophie du cœur.— Consanguinité: père et
mère
cousins-germains. Inégalité d'âge: père plus âgé
vice le 13 juillet 1887. Antécédents (Renseignements fournis par sa
mère
le 12 août). Père, Agé de 31 ans, ouvrier distill
'un poumon ; à la suite d'une maladie, il en aurait rendu un ''. — Sa
mère
vient de mourir (1er juin 87), à 59 ans, d'une fl
cs; pas de suicidés, pas de criminels, pas de débauchés (cependant la
mère
du père de l'enfant « n'aurait pas toujours eu un
commencement de son mariage » mais son inconduite aurait peu duré.]
Mère
, âgée de 23 ans, ménagère, auparavant demoiselle
eur à 62 ans, était sobre et n'avait pas eu d'accidents nerveux. — Sa
mère
est bien portante et n'a pas non plus d'accidents
u père de l'enfant; boulanger, mort elle ne sait do quoi. Sa grand-
mère
maternelle, m-';-: li vieillesse à 88 ans,était t
convulsions causées par les vers.— Deux sœur .s : l'une jumelle de la
mère
de l'enfant, est bien portante, n'a pas d'enfants
plus que dans la famille dû père). ] Consanguinité : le père et la
mère
sont cousins-germains (le grand-père paternel du
paternel du père de l'enfant étant aussi le grand-père maternel de la
mère
de l'enfant; autrement dit, le grand-père paterne
e étant le plus âgé. — Deux cas de gèmellnr.ilè dans la famille de la
mère
: la mère elle-même a une sœur jumelle ; et la sœ
plus âgé. — Deux cas de gèmellnr.ilè dans la famille de la mère : la
mère
elle-même a une sœur jumelle ; et la sœur de sa m
de la mère : la mère elle-même a une sœur jumelle ; et la sœur de sa
mère
a eu deux jumeaux. Pas de gémellarité dans la fam
s du mariage, le père et la more étaient tous deux bien portants ; la
mère
avait ses règles Lors du ma-riage. —. La grossess
eu bleu, mais elle ne l'aurait pas frictionné. La tète, au dire de la
mère
, était toute petite, et avait la même forme qu'el
it la même forme qu'elle a aujourd'hui. 11 fut élevé au sein par sa
mère
jusqu'à 10 mois ; il prenait bien le soin, et m
« .Te n aipaspu voir ses fontanelles comme à un autre enfant, dit la
mère
, il m'a toujours semblé que c'était fermé? » Il n
ncé. Il est, d'ailleurs, sujet à la colère dés qu'on le contrarie. Sa
mère
voyait bien qu'il n'avait pas toute son intellige
un peu de ses mains. Mais il n'a jamais reconnu personne, pas môme sa
mère
. Il a toujours beaucoup bavé. Il a fréquem-ment u
, testicules égaux et du volume d'un petit haricot, anus normal. — La
mère
trouve que l'enfant a fait des pro-grès : ses mou
de l'hérédité, nous ne trouvons à noter que la consanguinité (père et
mère
cousins germains), l'alcoolisme très probable,
est le troisième enfant. Antécédents (Renseignements fournis par la
mère
, 25 juin 1890) —C'est le second frère de Tabour..
parle franchement que depuis 6 mois; actuellement il va à l'asile; sa
mère
ne peut préciser à quel âge ses fontanelles se so
ions, sa tète est bien conformée : «je le crois bien por-tant» dit la
mère
, et il a la connaissance que les autres n'avaient
est produit dans la famille. Le malade. — Lors de la conception, la
mère
était bien portante. Le père, employé distillateu
fut bonne : ni coups, ni chutes, ni émotions; pas d'alcoolisme de la
mère
, ni d'usage de morphine ou d'opiacés; pas d'red
, pas de circulaires autour du cou; l'enfant a crié de suite; mais la
mère
a remarqué que «sa tête était comme celle du frèr
tête était comme celle du frère aîné». Il fut élevé au sein par sa
mère
jusqu'à 0 mois, époque où elle dut le sevrer parc
n complète à 22 mois. En ce qui concerne la fontanelle antérieure, la
mère
dit ne l'avoir jamais senti battre. Durant la pre
amais été propre, ni marché, ni parlé. Il ne reconnaît pas du tout sa
mère
. Il sait cependant reconnaître lorsqu'on apporte
i concernant un microcé-phale (avec absence du corps calleux) dont la
mère
a eu trois enfants microcéphales. Enfin nous avon
tation du jeudi à Bicêtre, deux sœurs microcéphales, amenées par leur
mère
laquelle, tout en paraissant d'intelligence norma
s (1) Commission de surveillance des asiles (30 fr.). M"" Jukowski,
mère
d'un de nos malades, a fait don de 37 petits vo
in on habitue les fillettes aux soins de propreté. C'est ce que les
mères
de familles, les institutrices, les maîtresses
ou avec stridor ou respiration retentissante. Allaitement. Sein,
mère
ou nourrice, prise du sein, biberon (lait de va
lières. Ressemblance de l'enfant; tient-il plus du père que de la
mère
au point de vue physique et au point de vue psych
erculose. Renseignements insuffisants sur le reste de la famille. -
Mère
sujette ci des céphalalgies. Un frère et une so
oup, mais n'était que rarement ivre. [Père : pas de renseignements.
Mère
: soixante-quatorze ans, rhumatisante. Grands p
Une saur et sa fille bien portantes. Un frère mort de tuberculose.]
Mère
: fièvre typhoïde à douze ans, pas de troubles in
lisme, vive et emportée. [Père : sobre, mort il cinquante-neuf ans.
Mère
: morte à quarante-cinq ans, de cause inconnue. G
morte en venant au monde, à terme ; la mort a été attribuée par la
mère
à une chute ; 3° garçon mort à vingt-deux ans d
on du sommet. Pas d'asphyxie, pas de cordon. Nourrie au sein par sa
mère
jusqu'à dix-sept mois. Prise du sein normale, p
ite des premières convulsions, à sept mois, l'enfant, au dire de sa
mère
, aurait conservé un mouvement spasmodique de l'
l'enfant demandait un sou pour monter sur les chevaux de bois. Sa
mère
refuse, l'enfant persiste dans sa demande et tout
a vainement de la ranimer. Elle se réveilla spontanément, appela sa
mère
et demanda à manger. Elle fut menée à la Salpêt
ions : durée cinq minutes. Pas de folie pré-ou post-épileptique. Sa
mère
n'aurait pas constaté de vertiges et cependant
sui- cide, aurait essayé de se jeter par la fenêtre, au dire de sa
mère
.- Digestion et respiration normales. Sujette il
emiers mois de son séjour, nous lui accordons, sur la demande de sa
mère
, un congé de deux mois. Tableau B. - Tableau du
poids et de la taille. 12 U), THERAPEUTIQUE. 27 novembre. - Sa
mère
nous apprend que Rachel travaille dans une impr
chel. Le signataire ne serait autre qu'un prétendu. 5 février. - Sa
mère
vient nous demander si R... peut se marier. Le
muets, son père à partir de quatre ans, à la suite d'une chute, sa
mère
, de naissance, ce qu'on a attribué à une peur d
chute, sa mère, de naissance, ce qu'on a attribué à une peur de sa
mère
pendant la grossesse. Rachel continue à travaille
e à travailler dans une imprimerie où l'on est satisfait d'elle. Sa
mère
n'a remarqué aucun vertige, ce qui est probable
décembre 1890. - Renseignements à peu près nuls sur sa famille. -
Mère
, migraineuse. - Grand' mère maternelle sujette à
ments à peu près nuls sur sa famille. - Mère, migraineuse. - Grand'
mère
maternelle sujette à des ne- vralgies. - Bien d
vril 1901. Antécédents HÉRÉDITAIRES. {Renseignements fournis par sa
mère
). - Père, quarante-cinq ans, rhumatisant ; tour
, mais on pense quil ii*y a jamais eu de cas de maladie nerveuse.
Mère
, trente-huit ans, migraines fréquentes des l'âge
à soixante-un ans, d'un refroidissement, sobre, pas de migraines. -
Mère
, soixante dix-sept ans, bien portante, pas de m
- Grossesse dans des condi- tions à peu près parfaites, sauf que la
mère
était continuellement préoccupée par la santé d
par une envie de partir, d'aller chez une voisine, dans la rue. Sa
mère
le lui défendant, elle tombait. Pas de cri, chu
uisseau, criait, refusait d'obéir aux ordres, essayait de battre sa
mère
, serrait et desserrait son corset sans motifs, ca
éserteur on ne sait pourquoi, à été condamné à la prison (belge). -
Mère
, ouvrière dans une manufacture de tabac, convulsi
T. Il. 3î°,5, 37°,7 et 37°,2. 1902. Janvier. Envoyé en congé. Sa
mère
nous a écrit depuis qu'il n'avait eu ni accès,
e paternels suicidés. Tante paternelle nerveuse, morte phtisique.
Mère
, convulsions de l'enfance, morte phtisique. Grand
ingres, très nerveux, surtout l'ainé, qui a eu des con- mulsions.
Mère
morte phtisique à trente-quatre ans; convulsions
el, rhumatissant, alcoolique, épileptique, mort interné en démence.
Mère
,rhumatissante, affection cardiaque, goitre exoph-
-dix ans. - Arrière grand'mère pater- nelle, aucun renseignement.
Mère
morte à l'âge de quarante-sept ans; rhumatisme ch
te de la famille maternelle. Pas de consanguinité (père savoyard,
mère
luxembourgeoise). - Inégalité d'âge de six ans
nte, mais paresseuse et incapable de bonne volonté. A la mort de sa
mère
(1893) ses défauts et ses vices, mensonges, vols,
avait des rapports avec elle depuis plus de trois ans. « Lorsque ma
mère
allait livrer son travail, papa se nettoyait deva
A ce sujet, il nous revient à la mémoire le cas d'un garçon que sa
mère
, sous le coup d'un sentiment maternel au moins ex
and'père paternel alcoolique, épileptique, dément, mort interné ; -
mère
atteinte de troubles car- diaques et de goitre
ns soigné la soeur Dina M... dans le service de M. Delasiauve, Leur
mère
, alcoolique, est morte de tubercu- lose. Alice
le morte de fièvre cérébrale. Oncle paternel mort de la poitrine.
Mère
, rien de particulier. - Grand'mère maternelle,
juin 1887. Antécédents (Renseignements fournis par son père et sa
mère
les 17 et 20 juin 1887). Père, 37 ans, voyageur d
t en lainages ; sobre ; aurait eu un rhumatisme articulaire aigu. -
Mère
, morte à 36 ans de la poitrine (en 3 ou 4 ans),
pas d'épileptiques, pas de paralytiques, pas d'idiots, etc., etc.]
Mère
, 31 ans, s'occupe de son ménage ; pas de convulsi
fection du coeur à 58 ans, négociant en oeufs, beurre, etc., sobre.
Mère
, bien por- tante, mais se plaint de douleurs de
liénés, pas de suicidés, etc.] Pas de consanguinité [Père d'Amiens;
mère
née en Belgique, de parents français, originair
emaines en retard ; elle n'avait pas d'ongles, cependant, assure la
mère
, « mes règles n'étaient pas revenues. » (Une co
a eu deux jumeaux mort nés.) Notre malade. A la conception, père et
mère
bien portants ; ils n'avaient pas encore d'ennu
e bien portants ; ils n'avaient pas encore d'ennuis d'affaires ; la
mère
avait sevré deux mois auparavant son premier né
trayait pour lui donner le lait; le 2e jour cependant avait tété sa
mère
convenablement. 92 IDIOTIE symptomatique DE scl
es premiers jours des convulsions qu'on a cherché des nourrices, la
mère
étant faible. A partir du 18° jour jusqu'à 3 mo
est content. - Il reconnaît très bien sa bonne, reconnait un peu sa
mère
et son père et c'est tout. Il parait aimer la «
rands-parents des deux côtés, morts vieux sans accidents nerveux.
Mère
, morte hémiplégique et aphasique. Renseignements
e' maternelle morte d'un cancer du .foie. Pas de consanguinité. -
Mère
, plus âgée de dix-huit mois Conception, grosses
le du père. Son père est mort à 52 ans de bronchite chronique. - Sa
mère
est morte à 58 ans d'un cancer de l'esto- marc.
trouve rien à noter, et en particulier aucun cas de tuberculose.
MÈRE
morte à 53 ans, d'une hémiplégie droite, ayant dé
é les premiers signes de déran- gement cérébral avant la mort de sa
mère
. Celle-ci avait un caractère très doux, elle ne
très doux, elle ne se plaignait jamais de la tête. Famille de la
mère
. Son père et sa mère sont morts vieux ( ? ). On
e plaignait jamais de la tête. Famille de la mère. Son père et sa
mère
sont morts vieux ( ? ). On n'a pas de renseigne
ose. Pas de consangllinité. - Différence d'âge, de dix-huit mois (
mère
plus âgée). 114 Folie DE l'adolescence. Le pè
ni sur l'état de l'enfant à la naissance. Nourrie au sein, par sa
mère
. L'enfant a parlé de bonne heure, on ne peut pr
on. C'est avec la plus complète indifférence que l'enfant quitta sa
mère
et ses soeurs. A leur arrivée à Besançon, au gr
grand'mère paternelle a égale- ment succombé à la même maladie. Sa
mère
est décodée après avoir présenté une hémiplégie
sa famille, rien de particulier, sauf f un oncle paternel suicidé.
Mère
, migraineuse, attaques de nerfs. Arrière grand-
ort de convulsions. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 2 ans (
mère
plus âgée). - Conception rien d'anormal. - Gr
rvice le 18 février 1901. Renseignements fournis par son père et sa
mère
le 23 février 1901. Antécédents héréditaires. P
ie en 48 heures. [Son père, 67 ans,- sobre, est en bonne santé.- Sa
mère
est morte à 35 ans de fièvre typhoïde.- Un oncl
charbon, s'est pendu. Rien à noter dans le reste de la famille.]
Mère
, 47 ans, très nerveuse, pas de convulsions de l'e
ts, etc. [Père, maçon, sobre, tué en tombant d'un écha- faudage. Sa
mère
, enfant assistée, qu'on a connu par hasard et p
maternelle.- Grand- père maternel mort subitement d'apoplexie.- Sa
mère
a eu onze grossesses, dont neuf à terme ; un en
alogue à l'enfant.] Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 2 ans (
mère
plus âgée). Deux enfants : 1° une fille, 23 a
nception. Grossesse : contrariétés assez vives dues à la mort de sa
mère
, à une maladie de sa soeur, à des démêlés de fa
; 1500 grammes : « « Elle était toute petite. » Allaitement par sa
mère
; prenait 130U\E'ILL, Bicêtre, 1901. 10 138 I
r, de déchirer les livres qu'on lui donne. « Elle fait cela, dit la
mère
, sans méchanceté, comme par indifférence ». Sen
mémoire serait assez bonne. - Pas de res- semblance bien nette. La
mère
attribue l'état de son en- fant aux ennuis qu'e
s, nous essay- i- ons toujours de faire faire la comparaison par la
mère
. C... était chétive ,il la naissance, ce qui es
ande. [Les paupières sont comme bridées, suivant l'expression de la
mère
de l'un de nos enfants. Elles présentent parfoi
, excès de boisson. - Renseignements insuffisants sur la famille.
Mère
, rien de particulier. Grand-père . maternel, ex
allée. . Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par la
mère
). - Père, 39 ans, employé de commerce. N'a jamais
Contrairement à son fils, il était sobre et de caractère doux. - Sa
mère
était sobre, douce, pas nerveuse; ce sont les s
ions. - Deux autres soeurs, célibataires, n'ont rien de notable. La
mère
de l'enfant qui fournit les détails, dit n'avoir
s'il y a eu des aliénés, des épileptiques, des idiots, etc., etc.]
Mère
, 30 ans, institutrice depuis de '21 ans, a eu, à
ortait bien la boisson et avait bien conservé toute sa raison ». Sa
mère
, vivante, est âgée de 61 ans, de caractère doux
as ivre : « quand il avait bu il était comme une masse inerte u. La
mère
ne présentait rien de spécial. Il n'y avait dans
espira largement». C'était une très belle enfant. Allaitement. La
mère
essaya de nourrir son enfant au sein, mais comm
t ainsi nourrie pendant tout le premier mois. Au bout d'un mois, la
mère
ayant du lait, laissa le biberon de côté, et do
ette époque que les jambes se sont croisées, tous les efforts de la
mère
n'arrivaient pas à obtenir une position réguliè
osition régulière, malgré l'attention cons- tante qu'y apportait la
mère
: «je les décroisais d'une façon, elle les croi
. Toutefois elle semblait préférer être assise sur les genoux de sa
mère
que sur ceux de sa grand'mère. Elle aimait les
troubles vaso-moteurs, ni change- ments brusques de coloration ; sa
mère
affirme que la fonta- nelle, qui avant les conv
qu'on observa chez Jeanne Bouch.. A mesure qu'elle grandissait, sa
mère
constatait plus nettement sa paraplégie et le d
côté maternel, nous ne relevons pas de tares, en ce qui concerne la
mère
, mais nous avons à signaler l'alcoolisme du gra
rd une paralysie flasque, peut-être progressive si l'on en croit la
mère
, rendant la station verticale, et a plus forte
Sarthe, où il n'a aucun parent. Que dire aussi des enfants dont les
mères
parisiennes vont, par précau- tion, accoucher à
former que. d'après les renseignements que vous avez recueillis, la
mère
de la jeune C ? remariée avec un sieur B ? gagn
e de Montauban. Or il est né à Isigny (Calvados), où il a encore sa
mère
. Ne serait-il pas plus humain de le transférer
ns de deux ans. Mais nous n'avons pas pro- fité de cette faveur, la
mère
de l'enfant ayant préféré tempo- riser^). Quant
e paternel , excès de boisson. Cousin germain, mort de convulsions.
Mère
, migraineuse. Sceur hystérique, convulsions de
Bicêtre (service de M. Bourneville). Renseignements fournis par sa
mère
(27 février 1885). Père, cin- quante ans, solde
ante-huit ans ; excès .de boisson, marchand de grains, assez fort. [
Mère
, soixante-quinze ans, bien portante, n'est pas
fformes, de suicidés, de criminels, etc., etc., dans la famille.]
Mère
, cinquante et un ans, assez grande et forte, phys
une maladie de coeur; pas d'excès de boisson. Marchand de bestiaux.
Mère
, morte à soixante-huit ans on ne sait de quoi ;
, etc., dans la famille.] Pas de consanguinité (père de Sierck et
mère
des environs de Francfort; tous deux Juifs).
idait les autres marchands et rentrait le soir chez ses parents. La
mère
assure que son père ne le battait pas. Jusqu'au
l pouvait me prendre une pièce de vingt ou de quarante sous, dit sa
mère
, il achetait des gourman- dises. » Il ne volait
ois de novembre qu'il était à Sainte-Anne depuis le 10 novembre, sa
mère
ne sait rien de ses attaques. L'affaiblissement
ttes de contrebande et a été condamné à un mois de prison ; mais sa
mère
ne sait au juste à quelle époque. Contrairement
menteur et il aimait à faire des niches. Un jour il vint dire à sa
mère
qu'il avait vu son père entrer aux Folies dramati
t délit d'adultère un jour. C'était faux cette fois, et une fois sa
mère
partie, il se réjouissait d'avoir fait une niche.
ttaques de nerfs à l'âge de quatorze ans, à la suite d'une peur. Sa
mère
ayant du délire pendant une variole voulut se j
de rentrer. Il n'a pas eu d'attaques pendant son congé et a aidé sa
mère
dans son commerce. 4 mai. Le malade tombe en at
ques chez le père et le grand-père du malade; des migraines chez la
mère
; des accidents nerveux divers chez les frères e
nel, excès de tout genre. Deux cousins germains morts de méningite.
Mère
très impressionnable. Grand-père maternel, excè
riques, d'épileptiques, de paraly- tiques, etc., dans la famille.
Mère
, quarante ans, s'occupe de son ménage. Pas de con
ivresse, « c'est comme un tonneau D. Calme, sans accidents nerveux.
Mère
morte il y a longtemps, d'une affec- tion abdom
l. A la naissance, pas d'asphyxie; bel enfant. Elevé au sein par sa
mère
; sevré à quatorze mois.-A marché à trois ans se
re et il reprit assez vite. « Le lait de chèvre l'a sauvé, » dit la
mère
. -Il l'a continué pendant deux ans, et on dut l
é le 25 janvier ]886. Antécédents. [Renseignements fournis par sa
mère
, le 10 Novembre 1591.) - Père, a9 ans, terrassi
traces 58 Antécédents. de maladies vénériennes; fumeur. [Père et
mère
morts on ne sait de quoi; une scieur morte de l
lle qui, après avoir été mordue par un chien, tomba du haut mal.]
Mère
, 47 ans, blanchisseuse, présente un enchond1'om,e
té malade. [Père, mineur, mort à la Pitié, il y a plus de 30 ans.
Mère
, morte «usée ». Un frère enlevé par le choléra en
s autres sont sains. Notre malade. Au moment de la conception, la
mère
ne croit pas que son mari fut ivre. Grossesse b
au passage ; » pas de cordon autour du cou. Elevé au sein par sa
mère
, l'enfant fut sevré de bonne heure, « parce que,
, A 8 ans, il fut pris de peurs durant le sommeil; il appelait sa
mère
: «prends moi, j'ai peur». Il se rassurait dès qu
ses frères et soeurs. Jamais d'aura, sauf une fois où il vint à sa
mère
, disant : « maman, prends moi, je vais tomber !
élire m3niaque, - Il voulait se sauver pour aller voir son père, sa
mère
, sa soeur Ernestinc. Empalement de la joue droi
x. » Ses discours portent presque toujours sur la mort. Il dit à sa
mère
qui vient le voir vêtue de noir : « Tu es donc
des .râles ronflants dans toute la poitrine, mais surtout en arri-
mère
; il y a de plus quelques râles plus lins, en par
du tissu, car leur substance est partie par endroits avec la pie-
mère
, et est en d'autres points tombée pendant le mont
soeur. II. Signalons, en passant, l'inégalité d'âge des père et
mère
(12 ans) à laquelle divers auteurs ont attaché
ements insuffi- sants du côté paternel. Tante paternelle aliénée.
Mère
, rien de particulier. Grand père maternel, quel-
CHEVILLE) et est décédé le 8 juin 1891. Renseignements fournisparla
mère
du malade, - Père, 28 ans, journalier, cultivat
e est mort, et que sa soeur est enfermée comme aliénée à Blois. ,
Mère
, 28 ans domestique ; elle n'aurait pas eu de conv
s. Aucune maladie sérieuse, si ce n'est à la suite de bles- sures. [
Mère
, 59 ans, cultivatrice; assez forte, a toujours tr
e vieillesse. Pas de consanguinité. Egalité d'Age du père et delà
mère
. Notre malade. Au moment de la conception, aucu
on, aucun état d'i- vresse.-Excellents rapports entre le père et la
mère
qui étaient domestiques dans la même ferme depu
ux heures. L'enfant, à La naissance, était fort, bien constitué. Sa
mère
l'a mis en nourrice au bout de dix-huit jours,
aucune manifestation lympha- tique. Il est caressant, reconnait sa
mère
, ses grands parents, les personnes de la maison
accès de colère, ni de clastomanie. Il n'a eu aucun traumatisme. Sa
mère
ne sait à quoi attribuer la maladie. Etat act
ues. - C021S21Ze paternelle fille publique, - Autre cousine idiote.
Mère
migraineuse, peu intelligente. Cousine maternel
du jeudi, le 14 juin 1888. Antécédents héréditaires fournis par sa
mère
(1h juin 1888). - Son père, marchand de chevaux
il était tou- jours ivre; on le ramassait souvent dans les rues.
Mère
, morte en couches du père de la malade. Grands-
pas de renseignements. Une soeur, morte de la poitrine à 20 ans. La
mère
de la malade n'a connu que deux cousins qui, eu
u débauchés, pas d' aliénés, pas d'épileptiques dans la famille].
Mère
52 ans, blanchisseuse, puis concierge ; elle para
tion sur le gros orteil ; il était sobre et n'était pas migraineux.
Mère
, 81 ans, asthmatique, n'a pas eu de maladies ne
- 3° Garçon mort de la variole; il faisait des excès de boisson; sa
mère
a été sou- vent le réclamer au poste; 4° Notre
Sa maîtresse disait qu'elle n'en avait jamais vu de pareille. Sa
mère
ne sait, si étant petite, elle était portée à la
lle n'aime personne, elle semble ne pas avoir d'affection pour sa
mère
. Elle a des accès de colère, et, si elle osait, e
re, et, si elle osait, elle battrait Impulsions, génitales. 1M sa
mère
. Elle ne mange pas très proprement et a un grand
qui s'en servait pour faire le ménage; celle-ci a dû la rendre à sa
mère
parce qu'elle cherchait à avoir des rapports av
e 16 ans. Placée comme blanchisseuse a côté de l'habitation de sa
mère
, elle a été renvoyée au bout de trois mois, parce
s avec le mari de la blanchisseuse. Elle est restée ensuite chez sa
mère
où elle ne faisait à peu près rien ; elle resta
elle restait immobile, ne pensant qu'aux hommes. Souvent, quand sa
mère
l'envoyait en com- mission, elle allait chez un
t chez un homme du voisinage avec lequel elle a eu des rapports. Sa
mère
n'a découvert ces relations que plus tard. Chaq
Asile clinique. Peu après elle fut tranférée à l'asile de Ville- Sa
mère
invoquant la perte de temps et les dépenses que
z le père et plusieurs membres de sa famille et de la famille de la
mère
, l'arrêt de dévelop- pement intellectuel et les
ère, l'arrêt de dévelop- pement intellectuel et les migraines de la
mère
; J'aliénation, l'idiotie et les convulsions che
oisson, violent. - Antécédents cancéreux probables dans sa famille.
Mère
, d'une intel- ligence médiocre. - Grand'mère, g
s de longues années, il avait une affection chronique de l'estomac.
Mère
, nerveuse, morte à 71 ans d'un cancer de l'esto
'accidents nerveux d'aucune sorte dans le reste de la famille.] .
Mère
, ! il ans, assez peu intelligente, émotive; aurai
ère probablement, à 28 ans. Pas de maladies nerveuses du côté de la
mère
.] Pas de consangui : nité. Egalité d'âge. 116
nt la grossesse, sauf le travail fatiguant à la machine fait par la
mère
jusqu'au dernier moment, et soucis pécuniaires.
SOMMAIRE. - Père ; excès de boisson. Grand-père paternel cancéreux.
Mère
nerveuse, tremblement de la tête. Frère, convul
ténesme. Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par la
mère
le 17 juillet 1883). Père, 55 ans, courrier à la
rié à 35 ans. [Père, gazier, sobre, mort d'un cancer de l'intestin.
Mère
morte du choléra. Trois soeurs sur lesquelles m
tiques, ni difformes, ni suicidés, ni criminels dans la famille].
Mère
, 52 ans, brodeuse. Elle a, depuis l'âge de 35 ans
un peu malgré elle. [Père, grainetier, sobre, mort d'une gastrite.
Mère
, morte d'une hernie étranglée. Un frère et une
1 la naissance, pas d'asphyxie. L'enfant a été élevé au sein par sa
mère
jusqu'à 14 mois. Il a marché à 10 mois. La dent
ses accidents comitiaux. D'après les renseignements fournis par la
mère
de G ? voici quels auraient été les principaux
lille de trois ans, apprirent d'elle en peu de temps à ruminer. La
mère
vit d'abord que les enfants gardaient dans les ba
n ne vit plus rien d'anormal pendant longtemps, jusqu'au jour où la
mère
les surprit au moment où, ne se croyant pas surve
ou les ravaler à volonté. On renvoya la gouvernante ruminante et la
mère
très énergique guérit les enfants bien vite par u
pris tous ces faits qu'à un moment où lui-même ruminait déjà aussi.
Mère
un peu nerveuse, soeur autrefois anémique; elle
deux superficiellement. Le troisième, âgé de vingt et un ans, a sa
mère
atteinte d'une affection chro- nique de l'estom
p. 41). xi. C... est âgé de vingt-trois ans; il fut allai té par sa
mère
, qui a toujours joui d'une excellente santé, ains
Observation XXV. Abraham Will rapporte le cas d'un idiot, né d'une
mère
idiote, qui s'accoutuma it ruminer après avoir pa
iotie : hérédité (grand'mère, grand' tante et cousine cclééa2ées).-
Mère
migraineuse. Grand'mère maternelle hys- tériq1l
ice de M. Bourneville.) Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
, 9 décembre 1880). Père, quarante ans, marié à
[ Père, mort il y a longtemps, on ne sait de quoi; ne buvait pas.-
Mère
, bien portante, pas de migraine, ni d'attaques de
a syphilis. - Pas de suicides, ni de criminels, ni de difformes.]
Mère
: trente-sept ans, couturière, bien portante, de
par accident, buvait beaucoup, n'a jamais eu de troubles nerveux. -
Mère
: cinquante-six ans, con- cierge, bien portante
la famille.] Pas de mérycoles ni du côté du père, ni du côté de la
mère
. - Pas de consanguinité. 46 DU MÉRYCISME. Deu
monde; la tête était très développée.- Il fut nourri au sein par sa
mère
jusqu'à qua- torze mois. A cette époque, il com
chesjusqu'au-dessus ducoude.P<n'o<e nulle. Gr... reconnaît sa
mère
; quand il l'aperçoit, il va au-devant d'elle, la
roi, bien portant. Pas de maladies ner- veuses, excès de boisson. -
Mère
, morte subitement à cinquante- neuf ans de la r
pt enfants tous bien portants, n'ayant jamais eu de convulsions.]
Mère
, quarante-deux ans, lingère, intelligente, assez
flammation d'inte5-h'.o : aucun excès, pas de maladies nerveuses. -
Mère
, bien portante, intelli- gente, pas de maladies
e cholériforme. Notre malade. Pendant la grossesse, à cinq mois, la
mère
a eu une peur si violente qu'elle s'est trouvée
n quart d'heure. Accouchement à terme, facile. Elevé au sein par sa
mère
jusqu'à ving-six mois. Rougeole à quatre mois;
et ne fait même aucun signe. Il reconnait maintenant son père et sa
mère
, ce qu'il ne faisait pas t'entrée. Il est cares
ice de M. l3omwnLLi;). Antécédents. - Renseignements fournis par sa
mère
(16 août 1880). Père : quarante-trois ans, peti
ires. [Père : pas d'excès alcooliques, ni d'affections nerveuses. -
Mère
: asthmatique, morte à soixante ans d'une fièvr
de convulsions. - Pas d'aliénés, d'épilep- tiques, de difformes].
Mère
, quarante ans, petite, très nerveuse ; pas d'atta
ue à cinquante-trois ans, après avoir eu le choléra; aucun excès. -
Mère
: morte à soixante-deux ans d'un cancer utérin.
veux dans la famille. - Pas de mérycoles du côté du père ni de la
mère
.] Pas de consanguinité. Six enfants : deux fill
mois et demi. Accouchement à terme, facile. Elevé au biberon par sa
mère
jusqu'à trois ans. Dès la naissance, on remarqu
eu, ici, de jumeaux ni dans la famille du père, ni dans celle de la
mère
. 62 DU MÉRYCISME. de pain de sucre : les boss
e de M. Bourneville). Antécédents. - (Renseignements fournis par sa
mère
. 13 juillet 1882). Père, trente-cinq ans, mécan
d'épileptiques, de difformes, de suicidés, de crimi- nels, etc.]
Mère
, vingt-neuf ans, couturière,' bien portante. Pas
t sans motifs ; jamais d'attaques de nerfs ni de syncopes. [Père et
mère
: ils n'ont présenté d'acci- dents nerveux d'au
ier lors de la conception. - Dès le second mois de la grossesse, la
mère
a eu sans cesse la préoccupation d'accoucher d'
pendant trois heures. Pas d'asphyxie. - Il été élevé au sein par sa
mère
jusqu'à dix-sept mois. Vers le troisième mois, on
LLE) le 9 octobre 1880. Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
). (2; octobre 1880). Père, cinquante-sept ans,
isson envi- ron deux fois par mois. [Père, mort à soixante-six ans,
mère
, morte à soixante-sept ans, on ne sait de quoi.
névro- pathes, de difformes, de suicides, etc., dans la famille.
Mère
, cinquante-six ans, de taille moyenne et d'une in
naissance de notre malade. [Père, mort d'une fluxion de poitrine;
mère
morte d'une hydropisie ; un frère a trois enfants
dif- ficulté, en cinq minutes. L'enfant fut élevé au biberon par sa
mère
, marcha à dix mois et demi, fut propre avant un
tentait de rentrer chez lui. Il s'enfuit, terrifié, en appelant sa
mère
à son secours. Un mois après, sans avoir rien pré
rémission de treize jours. D'après les renseignements fournis parla
mère
de 13...,voici quels auraient été les principau
deux dans le courant du mois d'août, toutes trois très légères. Sa
mère
est contente de lui : « C'est un bon garçon, di
ix pendant son sommeil. Son occupation actuelle consiste à aider sa
mère
dans les travaux duménage. La sensibilité est p
ésente aucun trouble de la sensibilité générale et spéciale. ' Sa
mère
est toujours satisfaite de sa conduite. Il travai
il n'est pas 100 DE L'HYSTÉRO-ÉriLEPSIE. rare, en effet, que les
mères
de nos malades, ouvrières, femmes d'ouvriers, d
ans «de paralysie, un peu de partout, mais surtout de la langue».-
Mère
, quatre-vingt-deux ans, bien portante, pas d'at
ternelle, morte paralysée.- Pas d'aliénés, etc., dans la famille.
Mère
, trente-sept ans, fait son ménage, intelligente,
contrariétés. [Père, soixante-quatre ans, fruitier, en bonne santé.
Mère
, morte de la poitrine à vingt-huit ans. Un frèr
ption, durant la grosesse, ni à la naissance. Nourri au sein par sa
mère
jusqu'à dix- huit mois. A deux mois, premières
Il bave depuis dix-huit mois. Il reconnaît son père, mais moins sa
mère
; autrefois cares- sant, il est maintenant indif
7. - Le malade n'a eu dans la nuit qu'un seul accès ; il appelle sa
mère
et demande à boire. T. R. 40°; à une heure, T. R.
39°,6. Les accès ont disparu. 10. Le malade est éveillé et dit : «
Mère
, j'ai soif». La face est pâle; les joues sont p
de nous. Observation. Père et grand'mère paternels alcooli- ques.
Mère
nerveuse. Oncle maternel imbécile ; ? oncles et
Bicêtre (service de M. BOURNEVILLE). Renseignements fournis par sa
mère
(14 juin).- Père, 33 ans, lithographe, commetta
. [Père, mort d'une maladie de coeur, à 50 ans, non alcooli- que.
Mère
, 60 ans, intelligente, s'est mise à boire depuis
e de la famille]. Bourru. - 1883.. 8 114 IDIOTIE : ANTÉCÉDENTS.
Mère
, 22 ans, petite, faible, dit être bien portante;
neuse. A la naissance, pas d'asphyxie. Les yeux de l'enfant, dit la
mère
, n'étaient pas comme ceux des autres enfants; i
e stra- bisme. La tête augmentait peu à peu de volume, ce dont la
mère
s'apercevait parce que les bonnets de l'enfant de
e qu'une ophthalmieà quinze jours. Alli... futnourri au sein par sa
mère
jusqu'à six mois, puis élevé au bi- beron sur l
vé au bi- beron sur le conseil d'une sage-femme, qui déclara à la
mère
que l'enfant « devait avoir quelque chose dans la
rd'hui que dans les mois précé- dents ; il reconnaît son père et sa
mère
. Fonctions diges- tives bonnes ; selles réguliè
rompit. L'enfant était bien conformé dans le reste de son corps. La
mère
eut, quelques jours après, une métrite puerpéra
dé par pendai- son. Grand-père et bisaïeul paternels alcooliques.
Mère
nzigraineuse.- Cousin maternel arriéré. -Con- s
1882 (service de M. BOURNEVILLE). .Renseignements fournis par sa
mère
(22 mars 1882). Père, tapissier, buveur d'absin
r pendaison. Pas d'aliénés, d'épileptiques, de dif- formes, etc.]
Mère
, 35 ans, couturière, intelligente, nerveuse, mais
taques, sujette à des migraines. [Père alcoolique, mort phtisique .
Mère
en bonne santé. Une scieur morte phtisique, lai
rme, naturel; pas d'asphyxie à la nais- sance. Elevé au sein par sa
mère
jusqu'à 14 mois ; à 3 mois, eczéma qui a reparu
mait; il était peureux. Il s'est toujours montré affectueux pour sa
mère
. Pas d'ona- nisme ni de vers. Rougeole et coque
examen direct permet de vé- rifier les renseignements donnés par la
mère
de l'enfant. De plus, on note la symétrie de la
uberculose. Renseignements insuffisants sur le reste de la famille.
Mère
sujette à des céphalalgies . Un frère et une so
oup, mais n'était que rarement ivre. [Père : pas de renseignements.
Mère
: soixante-quatorze ans, rhumatisante. Grands p
ne soeur et sa fille bien portantes. Un frère mort de tuberculose.]
Mère
: fièvre typhoïde à douze ans, pas de troubles in
morte en venant au monde, à terme ; la mort a été attribuée par la
mère
à une chute ; 3° garçon mort à vingt-deux ans d
on du sommet. Pas d'asphyxie, pas de cordon. Nourrie au sein par sa
mère
jusqu'à dix-sept mois. Prise du sein normale, p
ite des premières convulsions, à sept mois, l'enfant, au dire de sa
mère
, 'aurait conservé un mouvement spasmodique de l
l'enfant demandait un sou pour monter sur les chevaux de bois. Sa
mère
refuse, l'enfant persiste dans sa demande et tout
a vainement de la ranimer. Elle se réveilla spontanément, appela sa
mère
et demanda à manger. Elle fut menée à la Salpêt
ions : durée cinq minutes. Pas de folie pré-ou post-épileptique. Sa
mère
n'aurait pas constaté de vertiges et cependant
sui- cide, aurait essayé de se jeter par la fenêtre, au dire de sa
mère
.- Digestion et respiration normales. Sujette à
emiers mois de son séjour, nous lui accordons, sur la demande de sa
mère
, un congé de deux mois. Tableau B. Tableau du p
u du poids et de la taille. 10 THÉRAPEUTIQUE. H . 27 novembre. Sa
mère
nous apprend que Rachel travaille dans une impr
Rachel. Le signataire ne serait autre qu'un prétendu. o février. Sa
mère
vient nous demander si R... peut se marier. Le
muets, son père à partir de quatre ans, à la suite d'une chute, sa
mère
, de naissance, ce qu'on a attribué à une peur d
chute, sa mère, de naissance, ce qu'on a attribué à une peur de sa
mère
pendant la grossesse. Rachel continue à travaille
e à travailler dans une imprimerie où l'on est satisfait d'elle. Sa
mère
n'a remarque aucun vertige, ce qui est probable
vril 1901. Antécédents héréditaires. [Renseignements fournis par sa
mère
). Père, quarante-cinq ans, rhumatisant ; tourne
, mais on pense qu'il n'y a jamais eu de cas de maladie nerveuse.
Mère
, trente-huit ans, migraines fréquentes dès l'âge
t à soixante-un ans, d'un refroidissement, sobre, pas de migraines.
Mère
, soixante dix-sept ans, bien portante, pas de m
. Grossesse dans des condi- tions à peu près parfaites, sauf que la
mère
était continuellement préoccupée par la santé d
par une envie de partir, d'aller chez une voisine, dans la rue. Sa
mère
le lui défendant, elle tombait. Pas de cri, chu
uisseau, criait, refusait d'obéir aux ordres, essayait de battre sa
mère
, serrait et desserrait son corset sans motifs, ca
déserteur on ne sait pourquoi, à été condamné à la prison (belge).
Mère
, -ouvrière dans une manufacture de tabac, C071vil
,T. H. 37°,5, 37°,7 et 37ü,l. 1902. Janvier. Envoyé en congé. Sa
mère
nous a écrtt depuis qu'il n'avait eu ni accès,
est le troisième fait de ce genre commis par cetirres- ponsable. Sa
mère
a promis de le surveiller. (Le Progrès de l'liure
papilles que nous avons décrites au centre des tubes ; cette pie-
mère
est recouverte sur sa face interne, pédozzculuire
n est un nouvel exemple de papillome primitif épilhéloïde de pie-
mère
. 2° Effets produits par la tumeur. La tumeur a
e fille de deux ans bien portante; le septième est le sujet. 1 La
mère
n'a jamais été malade, n'a jamais fait de fausses
tier. Il n'y a pas de tousseurs dans la famille du père et de la
mère
. Aucune autre personne ne tremble dans la famille
de la mère. Aucune autre personne ne tremble dans la famille. La
mère
a remarqué que, dès /'t ! g'6 de quinze jours, l'
a toujours présenté le même symptôme. Elle avait été amenée par la
mère
, dans la crainte d'accidents mémngitiques analo
de dysenterie chronique à l'âge de quarante- deux ans et demi. La
mère
est bien portante : elle a eu une fièvre typhoïde
PATHOLOGIE NERVEUSE.' Ce nystagmus remonte à la naissance; mais la
mère
raconte qu'il se serait surtout exagéré à parti
s membres. Il marche facile- ment, n'a pas de Romberg. Cependant la
mère
signale qu'il a des mouvements incoordonnés, qu
tion 5 a été conçu à la suite d'une fièvre typhoïde et alors que sa
mère
se trouvait dans TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYS
ter à l'état isolé. Den... a de l'instabilité motrice au dire de sa
mère
. Il présente nettement du tremblement des doigt
eil et milieux oculaires normaux. Pas de tremblement de la tête. La
mère
raconte que le nystagmus aurait toujours existé
l n'existe pas de troubles de la sensibilité. D'après le dire de la
mère
, l'enfant aurait des mouvements désordonnés dan
ent consulter le 23 novembre 1901. Le père est mort tuberculeux. La
mère
, 3 soeurs et un frère sont bien portants. Le su
trente et un ans, bien por- tante, pas de nystagmus. Un frère de la
mère
, âgé de trente- trois ans, a du strabisme et du
rmale, l'accouche- ment a été facile. Il a été élevé au sein par la
mère
pendant cinq à six mois, puis au petit pot pend
on IX. C... Louis François, âgé de dix ans, cousin ger- main par la
mère
des deux enfants qui font le sujet des observa-
sonnes sont frappés de Nystagmus Essentiel congénital : le père, la
mère
, 1 fille, 4 garçons ; l'un d'emre eux a eu un f
portantes; le père est mort à l'étranger d'accidents paludéens ; sa
mère
est morte des suites d'une affection cardiaque
ut élevée dans les prin- cipes d'une ardente piété ; elle perdit sa
mère
lorsqu'elle était enfant. « Ma mère, écrit-el
rdente piété ; elle perdit sa mère lorsqu'elle était enfant. « Ma
mère
, écrit-elle, était très vertueuse ; elle avait un
'est que le terrain est préparé d'avance et qu'elle hérite de cette
mère
une constitution délicate et peu résistante au
entrée au couvent. A l'âge de douze ans, Thé- rèse n'ayant plus sa
mère
pour la surveiller, se mit à fré- quenter des j
mps continué chez les enfants atteints de syphilis héréditaire : la
mère
, en ellet, demande promptement conseil pour son
l'hospice des aliénés de Saint-Pons. (Le Temps, 10 février 1902.)
Mère
'alcoolique et meurtrière. Une journalière de Pon
nt à Sainte-Terre (Gironde), se prenait de querelle avec sa vieille
mère
, âgée de soixante-quinze ans. Soudain, Provost. f
Normand, du 3 au 9 janvier 1902.). A Saint-Etienne, on a arrêté une
mère
indigne, Julienne Martin, femme Fournier, demeu
demeurant au Marais, qui martyrisait son enfant âgé de dix ans. La
mère
est une alcoolique invétérée qui privait son en
e sous l'eau. L'enfant réussit heureusement à se sauver; quant à la
mère
elle a pris la fuite et on ne sait ce qu'elle e
des bizarreries et devint entêtée, irascible, se querellait avec sa
mère
, souvent était de mauvaise humeur, pleurait beauc
riait àchaque propos, tantôt se mettait à pleurer; elle grondait sa
mère
et la battait. La malade manifestait souvent le
La malade manifestait souvent le désir de s'évader de la maison. La
mère
remarquait que les facultés intellectuelles de sa
e psychiatrique de Moscou, le 10 mars 1892. Son père buvait peu, sa
mère
était aliénée. Lui-même buvait aussi peu. Jusqu
gé de deux ans et demi, enfant délicat, issu de père alcoolique, de
mère
névropathe. Le 9 février 1900, au cours d'une é
aient et parfois survenaient sans toux. Par instants il appelait sa
mère
en criant : « maman ». Fig. 9 à 12. DÉPRESS
ans une direction toujours la même, jouant à la poupée, appelant sa
mère
, parlant seule, et tantôt triste, concentrée, a
ts où une émotion un peu vive (celle résultant de la visite de sa
mère
) a paru stimuler favorablement son activité céréb
d'une assez bonne santé et n'ayant jamais rien présenté d'anormal ;
mère
morte à l'âge de quarante- neuf ans, d'affectio
etient un peu fatigué, en traînant la jambe gauche. Son père et sa-
mère
, affolés, se lamentent, craignant qu'il s'agiss
vropathie du milieu familial, en particulier celle du père et de la
mère
; à cette condition seulement, l'enfant peut êt
réactions les plus bizarres, l'autre un délire communiqué par la
mère
à son fils. Observation I. Folie simultanée che
la sauvegarde de nos parents : nous avons vécu sous l'aile de notre
mère
. Depuis que notre mère est morte, nous sommes t
rents : nous avons vécu sous l'aile de notre mère. Depuis que notre
mère
est morte, nous sommes toujours sorties ensembl
n mourant une famille complè- tement ruinée, n'eut été la dot de la
mère
qu'il n'avait pas pu entamer (1890). La mère
eut été la dot de la mère qu'il n'avait pas pu entamer (1890). La
mère
semble avoir eu plus de stabilité. Toutefois son
nt avait déjà fait lorsque leur père vivait encore. La mort de lenr
mère
(1895) en les abandonnant à elles-mêmes, les la
incourt et de la maison delarue Letort. A la mort de notre pauvre
mère
nous nous sommes réfugiées dans une affection m
nous méfiées ? Nous avons toujours vécu sous la sauvegarde de notre
mère
; nous n'avions ni parents, ni relations à Pari
la rue Caulaincourt ? D. « Nous l'ignorions, avant la mort de notre
mère
. Nous avions contre nous, le propriétaire, le c
soir à sept heures, à Arc-sur-Tille, à 12 kilomètres de Dijon : une
mère
de famille du nom de Régnier, dont le mai est e
La survie de l'idée fixe de culpabilité est presque toujours éphé-
mère
, et le délire d'auto-accusation d'origine toxique
gés. Le grand-père maternel, alcoolique, est mort aliéné. Sa fille,
mère
des deux malades, était épileptique depuis son
nts héréditaires, on releva un père syphilitique et alcoolique. une
mère
nerveuse arthritique, un grand-père maternel céré
patiente était une débile et que l'hérédo-syphilis provenait de la
mère
, qui, étant nourrice, avait eu un chancre du ma
rivière. L'aînée, une fillette de neuf ans, put s'enfuir. Alors la
mère
se noya à son tour. (Bonhomme Normand, du 12 au
issy (Savoie), avait depuis quel- ques jours l'idée fixe de tuer sa
mère
. Pour échapper à cette obses- ' sion, elle tent
ouchoir.' On FAITS DIVERS. , 399 la transporta à l'hôpital, où sa
mère
vint la chercher. Arrivée chez elle, elle se do
nous pouvons passer partout la tête haute. Depuis la mort de notre
mère
, nous avons vécu d'affection mu- tuelle et d'ha
qu'il a été institué. - Observation II. Folie communiquée par la
mère
à son fils. Psy- chose d'ancienne date chez la
muniquée par la mère à son fils. Psy- chose d'ancienne date chez la
mère
. Transmission au fils du délire maternel. Eclos
u- tion paranoïaque, comme en témoigne l'histoire de sa vie. « Ma
mère
, nous dit-elle, morte de la poitrine à vingt-deux
zar est venu en France pour les défendre; les Boers ce sont eux, la
mère
et le fils, qui luttent pour vivre encore, pour
ptomatologie que dans le fait de la transmission de ce délire de la
mère
à son fils qui fut amené en même temps qu'elle
fort aux questions qu'on lui pose. Il partage les convictions de sa
mère
et son délire est celui de NI-0 J..., stéréo- t
ondre, sur un ton monotone, quand nous lui exposons les idées de sa
mère
: « Très bien, c'est cela, très bien. » L'affai
des millous, etc., etc. Il est d'accord sur tous les points avec sa
mère
qu'il n'a jamais quittée. 11 était son seul con
n'a jamais quittée. 11 était son seul confident et le délire de la
mère
, inces- samment répété, s'est imprimé facilemen
jour, lisant un journal, il parlait de la guerre du Transvaal, sa
mère
s'écria : « Comment, tu lis le journal et tu ne v
es pas inspiré; tu ne comprends rien. » Et le fils de concéder à sa
mère
qu'elle avait raison. En nous racontant cette
er sans peine à son fils tout son délire : ici, l'élément actif, la
mère
, n'a rencontré aucune résis- tance et non seule
re aucun tableau ; aussi était-il découragé et se plaignait-il à sa
mère
que tout le monde lui en voulait : on refusait
tive de suicide qui nécessita son envoi a l'infirmerie spéciale. Sa
mère
y FOLIE COMMUNIQUÉE ET SIMULTANÉE lui. 17 fut
la force pour les emmener. ' En résumé : délire communiqué par la
mère
à son fils, avec cette particularité que celui
s fut la reproduction complète et absolument passive de celui de la
mère
, puis délire propre du fils, divergent, évoluan
é. Dans la deuxième observation, le délire est communiqué par une
mère
à son fils, être débile et subjugué; celui-ci est
rhumatisant, alcoolique, rp<7ep<M ? mort interné en démence.-
Mère
, rhumatisante, affection cardiaque, goitre exoph-
ix ans. - Arrière grand' mère pater- nielle, aucun renseignement.
Mère
moite à l'âge de quarante-sept ans; rhumatisme ch
te de la famille maternelle. Pas de consanguinité (père savoyard,
mère
luxembourgeoise). Inégalité d'âge de six ans (p
nte, mais paresseuse et incapable de bonne volonté. A la mort de sa
mère
(1893) ses défauts et ses vices, mensonges, vols,
avait des rapports avec elle depuis plus de trois ans. « Lorsque ma
mère
allait livrer son travail, papa se nettoyait deva
'Ctnd'pè1'e paternel alcoolique, épileptique, dément, mort interné;
mère
atteinte de troubles car- diaques et de goitre
' ce sujet, il nous revient à la mémoire le cas d'un garçon que sa
mère
, sous le coup d'un sentiment maternel au moins ex
ns soigné la soeur Dina M... dans le service de M. Delasiauve, Leur
mère
, alcoolique, est morte de tubercu- lose. Alice
Infiltration de cellules rondes et fusiformes, surtout sous la pie-
mère
et autour des vaisseaux de celle-ci; début de réa
Bientôt une dame très honorable, qui demeure dans la maison avec sa
mère
et sa soeur, s'approcha de ce siège derrière le
a prit en affection. Elle ne la quittait pas, la soignait comme une
mère
. Depuis quelques jours, la veuve Buffeteau épro
tact de la racine postérieure gauche, entre la pie-mère et la dure-
mère
, avec un courant faible, fait contracter les musc
gique, décembre 1901). Il s'agit d'un enfant de dix ans, issu d'une
mère
idiote violée dans un cabinet d'aisances par un
er un refuge en Allemagne : son père était ministre luthérien et sa
mère
la fille d'un ministre. Il naquit le 13 octobre
ous apprend que depuis plusieurs générations, dans la famille de sa
mère
comme dans celle de son père il y avait une pré
mmes. » Il rejeta complètement la foi religieuse qu'il tenait de sa
mère
. Pendant quelques années il eut une vénération po
(Le Bonhomme Nor- mand, 17 au 23 octobre 1902.) Alcoolisme. Une
mère
indigne. Les passants qui se trouvaient, hier, pl
ait à tue-tête. Des agents arrivèrent pour empêcher ce scandale. La
mère
fut conduite au commissariat de M. Lahat, où on
! FAITS DIVERS. 545 La garde de l'enfant va être retirée à cette
mère
indigne. Quant au cafetier qui a laissé s'accom
, 341." Alcoolisme de l'enfance, 79. Fureur alcoolique, 187, 188.
Mère
alcoo- lique et meurtrière, 188. Drames de 1'
nements qui suivent : Son père est mort d'un accident, alors que sa
mère
était enceinte d'elle depuis six semaines. Celle-
et que nous paraît pouvoir expliquer la vive émotion éprouvée par sa
mère
, mariée seulement depuis 6 semaines, à qui on ram
philitiques ; il jouit d'une bonne santé.— IL en serait de même de la
mère
de notre malade. Il n'y a pas de consanguinité. —
gnale aucune maladie nerveuse du côté des ascendants, grands-pères et
mères
paternels et maternels (1). Notre malade, élevé
sur la (l)\A l'époque de la conception, son père avait 29 ans et sa
mère
22 ans. Planche m. ATROPHIE CÉRÉBRALE : ÉPI
ont « mous comme une chiffe, » pour employer la comparaison de la
mère
d'une de nos malades. Peu à peu, dans beaucoup
uve, où elle est encore aujourd'hui. Renseignements fournis par 'sa
mère
(1866 et 1878). —Père, mort en 1870 d'une hypertr
érébrale ; pas d'alcoolisme , etc. [Père , pas de renseigne -ments. —
Mère
, morte à 75 ans, d'un érysipèle. Aucun parent de
ipèle. Aucun parent de ce côté n'aurait eu d'affections nerveuses.]
Mère
: bonne santé habituelle; pas d'accidents nerveux
nerveux, pas de rhumatismes. Migraines jusqu'à la ménopause. [Père et
mère
vivants et bien portants. —Une sœur a eu la danse
me; l'accouchement a été facile, mais, au 6° mois de la grossesse, sa
mère
aurait eu de vives contrariétés. — Voici dans que
e sa seconde (l) A l'époque dumariagele père avait 25 ans 1/2 et la
mère
17 ans 1/2. couche, une ulcération du vagin a
ervée 15 ou 20 jours après l'état de mal ; à cet égard nul doute : la
mère
assure que « l'en fant avait de la peine à té
[Père, mort d'une fièvre typhoïde à 42 ans ; il n'était pas nerveux.
Mère
, morte à 68 ans, on ne sait de quoi ; elle était
aques. — Aucun parent n'aurait offert d'affections nerveuses, etc.]
Mère
, morte à 36 ans, d'une pneumonie. Jamais de phéno
ge. [Père, mort d'une fluxion de poitrine ; il n'était pas nerveux. —
Mère
, vivante, bien portante, âgée de 78 ans. Une sœur
e fausse couche. Emma est née à terme, et a été élevée au sein par sa
mère
. Elle a marché vers un an ; elle paraissait bien
t vivant, on ignore tout ce qui le concerne ; il n'était pas marié.
Mère
, corsetière, partie pour Londres il y a sept ans;
aladies de peau; elle était saine. [Père, 69 ans, santé excellente. —
Mère
, 68 ans, bien portante, très-nerveuse, aurait eu
uleur à l'épigastre, puis à la tête; elle avait le temps d'appeler sa
mère
et de s'asseoir. Jamais elle ne se serait blessée
me.— Son père, adonné à la boisson, est mort hydropique en 1861. — Sa
mère
, sujette à des hémoptysies, est morte à la Salpèt
75, d'une « bronchite chronique. » — Consanguinité : Son père et sa
mère
étaient cousins issus de germains. — P.. a eu six
nt. Hier, dans la journée, elle poussait des oh I oh ! parlai t de sa
mère
, prétendait qu'elle était en dentelle, disait qu'
motif. — Pourquoi riez-vous? — Rien, dit-elle, en riant plus fort; ma
mère
est venue et vous souhaite le bonjour...... Ce
iétal droit. 22 octobre. — Hallucinations de la vue. P... voyait sa
mère
, lui souriait. — Elle se plaint de sa tète et de
st une enfant naturelle; jusqu'à trois mois, elle a été élevée par sa
mère
qui, alors, l'a abandonnée, ainsi que sa sœur jum
aucun renseignement sur cette période de son existence. A 6 ans, sa
mère
, qui s'était mariée, l'a reprise, ramenéo à Paris
s une heure. Vers 17 ans et demi, V... est revenue à Paris, chez sa
mère
. Quelque temps après, elle s'est mise à faire des
semble à Fontainebleau. A 19 ans, à la suite de discussions avec sa
mère
, jalouse d'elle (1), V... s'enfuit, courant comme
it pour le motif le plus futile. Six mois après, ayant rencontré sa
mère
par hasard, elle se sauva et eut de nouvelles att
ir des rapports avec elle sans y réussir et elle aurait tout dit à sa
mère
. Ses patrons ayant quitté Paris, elle demeura d
sé... Mais... puisque je vous ai dit que non... Je n'ai rien dit à ma
mère
... Vous savez que je n'y suis plus... J'ai été ob
obre 1875, à l'âge de 15 ans et demi. Renseignements fournis par sa
mère
. (2 novembre 1875). •— Père, âgé de 45 ans, domes
eu une paralysie. — Aucun autre accident nerveux dans la famille.]
Mère
, 41 ans, domestique, bien portante; étant jeune,
re, meulier, mort de la poitrine ; il faisait des excès de boisson. —
Mère
, bonne santé. — Rien chez les autres parents].
aison où servent ses parents,un monsieur C... qui était l'amant de sa
mère
. Celle-ci obligeait L... à embrasser ce monsieu
es yeux verts d'un chat qui la regardaient ; elle poussa des cris, sa
mère
vint et la trouva toute effrayée, saignant du nez
uite irrégulière amena des discussions très vives entre la malade, sa
mère
, son père et son frère. Elle finit par s'apercevo
e, sa mère, son père et son frère. Elle finit par s'apercevoir que sa
mère
était la maitresse de C..., auquel ceile-ci l'ava
. fait des signes de la tête; air de mépris : « De quoi?... Tu es une
mère
infâme ! Et mon père t'a pardonné!... Tu es une s
se couvre le visage avec les mains). « S'il était permis de battre sa
mère
, je te battrais... Si je voulais... Puis, je te d
est trop tard... Tu dis que je gâte le ménage... Je te renie pour ma
mère
... Ne m'envoie pas des rats!... Des crapauds ! De
ée, il méritait la prison... Et pour de l'argent!... Ce n'est pas une
mère
infâme? c'est de la canaille... J'ai fini aussi p
pportes tout ce que je dis.. . Tu es allé tout rapporter à ta vilaine
mère
... Retire-toi ou je te fourre une giffle... Repos
Le jour où est arrivée l'affaire, ce n'est pas toi qui l'as dit à ma
mère
?... Il y avait un an que j'y avais passé... 11 m'
n peu légères qui paraissent avoir eu lieu. Puis, elle revient sur sa
mère
, sur Emile, etc. Elle fait allusion à des tentati
nous font voir combien son enfance a été négligée. La conduite de la
mère
, les relations que le frère établit entre sa sœur
seigne, à demander au commissaire de police de lui confier sa nièce. [
Mère
, morte asthmatique à 68 ans. — Père mort aux In
orts, on ignore de quelle affection —A... a été élevée au sein par sa
mère
. Durant son enfance, elle a toujours été délicate
emars fréquents, se réveillait en sursaut, criait : il fallait que sa
mère
se levât pour la rassurer. Souvent,elle se trouva
onte à yeux ouverts et à bras croisés. » Jeanne Herviliers, dont la
mère
, poursuivie comme démonolâtre, avait été brûlée v
ses assiduités. Un jour, cet incube proposa à l'accusée de la rendre
mère
d'un petit démon ; mais elle ne crut pas devoir s
rdent pour lui rendre amour pour amour. » Quand elle eut 17 ans, sa
mère
, voulant la marier, la conduisit dans le monde. P
s rouges qui la poursuivent, des bêtes, rats, crapauds, araignées, sa
mère
morte, telles sont les conceptions délirantes les
père, je veux me retirer ces idées. Tu as toujours été bon. Ma pauvre
mère
, je te vois. Bonjour, je te vois dans le ciel...
c. Verre bleu. — Retour de l'hallucination ci-dessus : elle voit sa
mère
dans le ciel. Verre vert foncé. — Tristesse, so
fet! j'en pleurerais... C'est les cloches. Cela me rappelle ma pauvre
mère
. » (Elle pleure, la figure dans les mains.) Che
ues jours de distance. Toujours le verre bleu a éveillé l'image de sa
mère
dans le ciel, la piqûre au ventre l'idée de lap
l'empire d'une hallucination de même nature, il tentait d'emporter sa
mère
sur son dos, la prenant pour le portique du même
i a eu la chorée à l'âge de 12 ans et un cousin germain du côté de sa
mère
qui est mort fou à l'asile de Villejuif. Pour c
et, quand il était gris, il se mettait dans des colères terribles. Sa
mère
est bien portante. Du côté paternel il a quatre o
s, jouit d'une bonne santé, mais il est vif, coléreux et emporté. (La
mère
du père, morte à 84 ans, était aussi vive et nerv
ite depuis l'âge de 10 ans ; elle paraît avoir eu une coxalgie). Sa
mère
est morte à 35 ans, de suites de couches. Elle ét
le était un peu nerveuse et s'impatientait facilement. (Le père de la
mère
est mort jeune. La mère est morte à 71 ans, d'une
et s'impatientait facilement. (Le père de la mère est mort jeune. La
mère
est morte à 71 ans, d'une attaque d'apoplexie. Un
La mère est morte à 71 ans, d'une attaque d'apoplexie. Une sœur de la
mère
, âgée de 40 ans, est très nerveuse. Une autre sœu
à 13 ans et ont été régulières jusqu'en 1887. Depuis la mort de sa
mère
(elle avait alors 10 ans), elle a eu assez souven
inations. Il lui arrivait parfois de voir une main jaune (celle de sa
mère
sur son lit de mort) qui s'avançait vers elle, la
droite. La nuit elle avait souvent aussi des cauchemars, rêvait de sa
mère
, la croyait couchée avec elle dans son lit, etc.
je veux me retirer ces idées..., tu as toujours été bon ... Ma pauvre
mère
, je te vois. Bonjour ! Je te vois dans le ciel...
; ïe verre vert, la nuit et l'isolement ; le verre bleu, la vue de sa
mère
dans le ciel. A ce moment une reprise des mouveme
onc est mort?.....Comme c'est triste!..... Ça me rappelle ma pauvre
mère
. » Alors elle se cache la figure dans ses mains e
es points intéressants à signaler dans ses antécédents de famille. Sa
mère
, ses oncles et cousins maternels sont bien portan
n père, mais rien de plus. Pas de maladies nerveuses non plus chez la
mère
, qui est morte d'une affection hépatique, ni chez
ngeant de ton, ironiquement : « Pourquoi ? ce n'est pas votre belle-«
mère
!... » Entrant dans son délire, nous lui demandons
ue employé au chemin de fer du Nord et demeurait boulevard Ornano. Sa
mère
est morte tuberculeuse. Sa sœur a des enfants qui
jeune fille de 27 ans, a une hérédité névropathique assez chargée. Sa
mère
était, comme elle, atteinte de somnambulisme et d
, il avait passé son enfance à Lesmes, près de Chartres, battu par sa
mère
et vagabondant. Il aurait eu déjà à cette époque,
Il ne reconnaît plus les personnes qui l'entourent, sauf son père, sa
mère
et la religieuse qui lui donne des soins. Cependa
r. Elles se rapportaient sans doute à l'hystérie ou à l'épilepsie. Sa
mère
, morte également des suites d'une phthisie pulmon
enseignements fournis par ses parents. Elle sait que son père et sa
mère
sont morts, et de quelles maladies, par qui elle
ent de se promener dans les cours de l'établissement avec « sa petite
mère
» (c'est ainsi qu'elle appelle Marie H...), qu'el
erçait, s'il est mort et de quelle maladie. Il en est de même pour sa
mère
. Si elle connaît sa soeur, c'est que celle-ci est
n père, qui était très nerveux, est mort d'un ulcère de l'estomac. Sa
mère
est morte poitrinaire à Lariboisière. Elle a une
....... E _J_22 décembre (jour de la leçon). elle vivait en bonne
mère
de famille, simplement, paisiblement. La vie avai
uinzaine de jours, elle est enfin rentrée salle Cruveilher, n° 17. Sa
mère
, qui était très émotionnable, n'avait point de vé
ple tableau généalogique. Un individu, né d'un père goutteux et d'une
mère
aliénée, présente un beau jour, par suite d'une d
onie, Arriérée. mort. COTE MATERNEL I Grand-père. Diabétique.
Mère
. Hystérique. Fils. Diabétique. Voici enfi
elle Aliénation mentale. (Trois accès, le dernier suivi de mort.)
Mère
. Nerveuse. Fils. Epilepsie typique. Fille
pilepsie typique. Fille. Morte de diabète à 16 ans. TABLEAU V
MÈRE
Diabète. Fille. Bystér\e. TABLEAU VI X.
ille. Asthme, eczéma et paraplégie spasmodique. TABLEAU X1 père
mère
Alcoolique, suicidé. Arthritique. _I_,__;_ I
côté maternel côté paternel I Oncle. Tante. Diabète. Diabète.
Mère
. Père. Diabète, aliénation et suicide. Cancer d
bligeance de M. P. Blocq les deux tableaux suivants : TABLEAU XII
mère
(Famille israélite). Hy pochondr laque. H-i-!-i
TABLEAU xv . côté paternel côte maternel i I 1 I Frère. Père.
Mère
. Sœur. Aliénation. Tumeur stomacale. Diabète. A
pilepsie. TABLEAU XVIII GRAND'MÈRE Diabète. Mélancolie. I
Mère
. Diabète. Mélancolie. I Fils. 32 ans, mu pa
i a toujours eu une conduite fort irrégulière : c'est un impulsif. La
mère
de notre malade est morte d'une tuberculose pulmo
COTE MATERNEL Tante. Père. Aliénation mentale. Diabète, goutte.
Mère
. Tuberculose. Tan te. Hémiplégie. Cousin.
es.— Son père, très obèse et très alcoolique, est mort subitement. Sa
mère
, atteinte d'asthme avec emphysème depuis de longu
CÔTÉ PATERNEL CÔTÉ MATERNEL Grand-père. Alcoolique. Tante. Père.
Mère
. Somnambule. Obèse et alcoolique. Asthme et emp
on père est mort dans la démence sénile ; il avait des hématuries. Sa
mère
est morte âgée; elle était, paraît-il, coléreuse
XXIII fa mille israélite CÔTÉ PATERNEL COTÉ MATERNEL Oncle. Père.
Mère
. Oncle. Aliéné. Démence sénile. Colère. Goutteu
TABLEAU XXVI FAMILLE ISRAÉLITE CÔTÉ PATERNEL CÔTÉ MATERNEL I
Mère
uu père. Hystérique. I I I-1 Oncle. Père. Mèr
ÔTÉ MATERNEL I Mère uu père. Hystérique. I I I-1 Oncle. Père.
Mère
. Oncle maternel. Mort. Asthmatique. Morte en co
é Mort d'anthrax. Morte d'apoplexie. (coup de pistolet). I_I _L
Mère
. Nerveuse. Plusieurs parents apoplectiques. Pèr
rand'mère. Hypocondriaque. CÔTÉ PATERNEL Oncle. Diabétique.
Mère
. Diabétique. Père. MU0 X..., 18 ans. Névr
Tante. Manie puerpérale. Père. Diabète. Cataracte diabétique.
Mère
. Cousine germaine du père. M. B... Quelques s
OTÉ MATERNEL Grand-père. Diabétique. a vécu jusqu'à 72 ans. I
Mère
. Migraineuse et névropathe. Père. Rhumatism
ntestinale (prolapsus du rectum ?); il était atteint de cataracte. La
mère
est morte de suites de couches; elle était malade
. Début à l'âge de 13 ans, à la suite de l'annonce de la mort de sa
mère
. Accès caractéristiques très fréquents au début
Un frère mort d'une méningite à 4 ans. Une sœur nerveuse et faible.
Mère
et une sœur mortes phthisiques. Début à 7 ans.
érales en particulier. Observation VIII. Bouss... Louise, 16 ans.
Mère
épileptique, délirante, plaeée à Villejuif, sur c
dans les mêmes conditions. Observation X. Lév... Georges, 16 ans.
Mère
nerveuse. Convulsions dans l'enfance. A l'âge d
côté des auras auditives. Observation XVI. Rib... Aimée, 16 ans.
Mère
hystérique. Cousin atteint de somnambulisme hysté
édicodégal. Observation XIX. Legr... Marie, 21 ans. Père nerveux,
mère
migraineuse. La malade est une enfant du siège de
re migraineuse. La malade est une enfant du siège de Paris, née d'une
mère
qui avait eu beaucoup à souffrir à ce moment pend
avons adoptées. Observation XXI. Bien... Louise, 26 ans, lingère.
Mère
nerveuse, migraineuse. Grand'mère maternelle suje
bservation XXII. Bourg... Gustave, 33 ans, ancien marchand de vins.
Mère
épileptique. Père faible d'esprit, buveur, suicid
e à quinze heures. La malade n'a pas le souvenir de l'aura, mais la
mère
affirme qu'avant de perdre connaissance, sa fille
ien que la malade ne se souvienne pas de les avoir ressentis. Mais la
mère
est très affirmative sur la question de savoir si
nt. Observation XXV. H... Charles, 29 ans, employé de commerce.
Mère
nerveuse. Grand'mère maternelle nerveuse et émoti
du goût). Observation XXXVIII. Del... Anna, 38 ans. Père buveur;
mère
suicidée en se jetant par la fenêtre. Début tar
l'âge de 23 ans, à la suite de F émotion causée par le suicide de sa
mère
. Depuis, deux accès par mois, pendant la semaine
Dr... Emile, 33 ans, fabricant de fleurs. Père nerveux et violent.
Mère
très nerveuse, sujette à des accès d'étouffements
6 27 28 39 31 21 24 21 11 16 16 40 14 25 32 60 19 » » » » »
Mère
morte d'une peur. Grand'mère épileptique. » Mèr
19 » » » » » Mère morte d'une peur. Grand'mère épileptique. »
Mère
nerveuse. » Mère épileptique. Père suicidé. Mèr
Mère morte d'une peur. Grand'mère épileptique. » Mère nerveuse. »
Mère
épileptique. Père suicidé. Mère épileptique, alié
e épileptique. » Mère nerveuse. » Mère épileptique. Père suicidé.
Mère
épileptique, aliénée. Mère nerveuse. Père suicidé
veuse. » Mère épileptique. Père suicidé. Mère épileptique, aliénée.
Mère
nerveuse. Père suicidé. » » » Cousine épileptiq
tique. Père buveur. Cousin épileptique. » Père paralytique. *
Mère
suicidée. Père buveur. Famille nerveuse. » » »
. Méningite chez un frère. » Enfant trouvée. » Père alcoolique.
Mère
nerveuse. Grand-père alcoolique. » Père alcoo
nerfs. Père nerveux. Convulsions chez un frère. » Père alcoolique.
Mère
nerveuse. 2 cousines épileptiques. » i Père alc
i Père alcoolique. | Fils choréique. » » Convulsions chez la
mère
. » » Grand-mère épileptique. » Parents nerveu
ue. » Parents nerveux. Enfant trouvée. » » » Père névropathe, î
Mère
hystérique. Cousin hystérique. Père diabétique.
» 1 » 1 » 1 Peur ? S » 1 I ¦ » 1 Émotion. § Vue de sa
mère
. 1 Première communion. I Vue d'un accès épilep. 1
rçon russe, âgé d'une douzaine d'années, qui, présent au moment où sa
mère
, s'étant pris un doigt dans une porte, poussa un
timents, du nom de Kauff..., entré dans service le 15 juin 1886. Sa
mère
, âgée de 65 ans, aurait, par périodes de quatre à
epuis un an. Antécédents héréditaires. — Père violent, joueur; la
mère
aurait eu des attaques convulsives avec crises de
ste à un haut degré : père violent, oncle vraisemblablement ataxique,
mère
hystérique ; le malade lui-même atteint de convul
émence vers l'âge de 60 ans ; il a été enlevé par une pneumonie. Sa
mère
, d'une bonne santé habituelle, est morte accide
ice de M. le Prof. Raymond. Antécédents héréditaires. Le père et la
mère
, de V... sont morts entre 40 et GO ans d'une af
tre 40 et GO ans d'une affection pulmonaire ayant duré deux ans. La
mère
présentait des sortes de crises gastriques. Ell
r. Antécédents héréditaires. Père mort des suites d'un traumatisme.
Mère
: morte il y a un an de cardiopathie, ayant eu
ire tomber le fer qui les déchire, et, pour leurs fils blessés, les
mères
ne vont plus cueillir sur la montagne « la plante
sur ses antécédents et sur le début de son mal. Il Son père et sa
mère
sont morts à un âge avancé, de maladies inconnues
elle se confond avec les traînées cellulaires qui criblent la pie-
mère
dans le voisinage du vaisseau. / , La veine spi
les. Potain(l) aurait observé deux jumelles, nées avant terme d'une
mère
syphilitique, « qui vécurent trois jours et che
lis héréditaire. Le premier a trait à un enfant de 52 jours dont la
mère
présentait des accidents secondaires. Pas de de
ale (la 3e du mémoire) se rapporte à un enfant de 25 jours né d'une
mère
syphilitique. Pas de détails cliniques. Rien
nt de quelques jours (8 à 10) suspect de syphilis con- génitale, la
mère
étant syphilitique. Cadavre en état de putréfac
cause. La seconde a trait à une fillette de 5 ans et mois née d'une
mère
enta- chée de syphilis. Jusqu'à 3 ans, elle ne
horacique,est unie par de nombreuses et fortes adhérences à la pie-
mère
. Sur la face interne delà dure-mère, on trouve de
ue d'apoplexie qui l'avait rendu hémiplé- gique droit et aphasique.
Mère
bien portante. ' - Un frère mort il 25 ans d'un
tait pas douteuse. Le père avait en effet contracté la syphilis. La
mère
très probablement été infectée conceptionnellemen
iers mois de cette année nous étaient régulièrement amenés par leur
mère
chacune de nos consultations du mer- credi. Iss
Issus d'un père syphilitique (que vous avez vu également) et d'une
mère
saine, ou sur laquelle, du moins, nous n'avons ja
précier la nature de visu mais qui, d'après le récit qu'en l'ait la
mère
, sont très probable- ment d'ordre épileptique.
ent en être cherchées dans la syphilis du père qui avait infecté la
mère
. · Enfin M. A. Gombault (2), auquel la science
vice de M. le Dr A. Gombault. v . A. H. Père mort d'une pleurésie.-
Mère
( ? ); 3 frères morts en bas-âge de convulsions
e a éprouvé de la difficulté à marcher, puis, un matin au lever, sa
mère
a voulu la poser par terre, mais elle s'est affai
les mouvements sont plus étendus ; les bras restent insensibles. Sa
mère
dit qu'elle a eu II enfants ; six morts-nés ou
développé. " . ' Père bien portant, n'aurait jamais été malade ; sa
mère
a fait 4 fausses cou- ches dont la première ; l
des particularités très saillantes : fausses couches répétées de la
mère
, amélioration à la suite de l'administration bi
ère fois que nous vîmes Marius R... il ignorait complètement que sa
mère
eût fait des fausses couches. « Ce ne fut vérit
complémentaires sur sa famille, qui ne manquent pas d'intérêt. Sa
mère
aurait fait 5 fausses couches ainsi qu'il nous l'
, lit n° 28. " A. II. Père mort il 61 ans d'un cancer de l'estomac.
Mère
morte il 79 ans avec de l'ascite et un oedème g
cédents héréditaires. Père mort il 75 ans, de congestion cérébrale.
Mère
morte à 42 ans de la variole qu'elle contracta en
n. Celle-ci était alors âgée de 8 ans. Sur 12 enfants qu'a eus sa
mère
, 4 seulement sont vivants, deux garçons et deux
n'est pas souvent donné d'observer. OBs. V. Mme X..., 35 aus. Sa
mère
, que nous avons vue, est bien portante et la mit
parents sont morts tous les deux d'affection cardiaque ; de plus sa
mère
aurait eu une maladie de foie. De ses 4 frères
tion appartenant à Taylor. Elle est relative à une fillette, née de
mère
syphilitique, et qui à six semaines eut une ostéi
n bronze,au Louvre, représentant le dieu, Bès sur les épaules de sa
mère
. Charcot et Paul Richer observent à ce pro- (1)
6. ix 12 174 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE pos que la
mère
et l'enfant sont affligés de la môme difformité :
e l'enfant de Joigny qui a été trente-deux ans dans le ventre de sa
mère
, avec des remarques sur les phénomènes de cette e
ines pendant la nuit. Agée de seize ans, elle quitta son père et sa
mère
pour aller servir ; elle en- tra d'abord en qua
1). Du côté paternel nous n'avons rien de particulier à noter. La
mère
s'est remariée trois fois ; de son second mariage
on l'a écrit, que se sont montrés les troubles dystrophi- ques : la
mère
nous dit très explicitement que son enfant est né
ital de cette sclérodermie généralisée. Né à terme, nourri par sa
mère
, l'enfant marchait à 10 mois, parlait à son heu
rès les renseignements que nous avons pu recueillir du sujet, de la
mère
et du Barnum. 264 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S
tout à fait exceptionnel. « Deux jumelles, nées avant terme d'une
mère
syphilitique, vécurent trois jours, on ne put c
et disparaissant dans la partie inférieure de la moelle. De la pie-
mère
épaissie partent des prolongements fibreux envahi
ces mômes altérations dans les gros et petits vaisseaux de la pie-
mère
et j'insiste dès maintenant sur ce point, elles s
é la moelle : La première est celle d'un enfant de 52 jours dont la
mère
présentait des accidents secondaires. « Macro
La deuxième observation se rapporte à un enfant de ? jours né d'une
mère
syphilitique. ' « Rien macroscopiquement, si ce
, Enfin le troisième cas concerne un enfant de 8 à 10 jours dont la
mère
était syphilitique. Il est intéressant en ce se
niveau du renflement lombaire la moelle redevient unique. La dure-
mère
et la pie-mère présentent de longues lacunes hémo
insi dire forcée et les cellules rondes s'étendent jusqu'à la duré-
mère
. Si cette prolifération -existe tout autour de
les. , Observation 1, 27 octobre 1895 (Cochin). Foetus de 5 mois.
Mère
non-syphilitique, morte de granulie (autopsie). L
bservation II, 10 décembre 1895 (Cochin). Foetus de 8 mois environ.
Mère
spécifique secondaire. Pas trace de macération.
, 28 décembre 1895 (Cochin). Deux foetus jumeaux de 5 mois environ.
Mère
non syphilitique, morte d'asys- tolie. Nulle
teinte. Observation IV, 12 janvier 1896 (Cochin). Foetus à terme.
Mère
spécifique secondaire âgée de 2t ans, primipare.
aisseaux irréguliers. L'espace compris entre la dure-mère et la pie
mère
, où l'arachnoïde n'est plus reconnaissable, est
dante. Observation V, 18 janvier 1896 (Broca). Le foetus à terme.
Mère
spécifique secondaire, âgée de 42 ans. Foetus n
t. - Observation VI, 19 janvier 1896 (Cochin). Foetus à terme. La
mère
n'a pas été interrogée au point de vue d'une syph
est facile à l'aeil nu de reconnaître l'épaississement de la dure-
mère
et le tissu rougeâtre friable qui s'étend entre e
ation VII, 20 janvier 1896 (Broca). 1 Foetus à-terme, né vivant, de
mère
spécifique. L'enfant meurt deux jours après la
, 1 Observation VIII. 7 février 1896 (Broca). Foetus ai terme, de
mère
spécifique. Enfant mort-né, non macéré. Cerve
outes ses opéra- tions, dans la même attitude anxieuse et apitoyée;
mère
ou épouse de l'opéré, cliente ou commère à l'af
fin.) Observation IX, 21 février 1896 (Broca). Foetus à terme, de
mère
spécifique secondaire, chancre constaté encore il
contient. Observation X, 18 mars 1886 (Broca). Foetus de 6 mois.
Mère
spécifique secondaire. Non macéré, poids 300 gr
aissis. \ Observation XI, 19 mars 1896 (Maternité). Né à terme de
mère
spécifique. L'enfant présente des phénomènes co
oelle. Observation XII, 23 mars 1896 (Broca). Foetus de 5 mois de
mère
spécifique (papules, impossibilité de retrouver
glions. Observation XIII, 25 mars 1896 (Broca). Foetus à terme de
mère
spécifique depuis 2 ans. Accidents actuellement.
adural. Observation XIV, 2 avril 1896 (Broca). 'Foetus de 8 mois.
Mère
spécifique du début de la grossesse. Enfant né
normal. Observation XV, 6 avril 1896 (Broca). Foetus de 8 mois.
Mère
spécifique secondaire. Enfant né vivant, mort a
Observation XVI, 9 avril 1896 (Broca) : Foetus de 3 mois environ.
Mère
spécifique. Non macéré. Organes viscéraux d'app
à signaler. OBERVATION XVII, 29 avril 1896. Foetus de 5 mois 1/2.
Mère
âgée de 19 ans ; plaques muqueuses constatées le
lus haut est tout entière comprise dans l'espace qui sépare la pie-
mère
de la dure-mère, l'arachnoïde reste invisible, di
. - , Observation XVIII, 29 avril 1896 (Broca). Foetus de 6 mois.
Mère
spécifique : trois fausses couches antérieures.
LPÊTRIÈRE Observation XIX, 19 mai 1896 (Broca). Foetus de 8 mois.
Mère
spécifique depuis 3 ans. Macéré, pèse 2550 gramme
s. Observation XX, 15 juin 1896 (Broc : ¡). Foetus de 8 mois 1/2.
Mère
spécifique secondaire^Non macéré. Un circulaire
lement. Observation XXI, 18 juin 1896 (Broca). Foetu's de 7 mois.
Mère
spécifique secondaire. Macéré. Poids, 1500 gramme
reux. Observation XXII, juin 1896 (Cochin). Foetus de 7 mois 1/2.
Mère
non spécifique morte en asystolie. Opération cé
Observation XXIIi, 8 juillet 1896 (Salpêtrière). Foetus à terme,
mère
âgée de 36 ans, spécifique depuis 10 ans, père sp
ALPÊTRIÈRE Observation XXIV, 5 août 1896 (Broca). Foetus à terme.
Mère
spécifique depuis 5 ans. Accidents actuels. 3 enf
ux. - Observation XXV, 9 août 1896 (Broca). Foetus de 7 mois 1/2.
Mère
spécifique secondaire, chancre buccal au 2e mois
Observation XXVI, 22 août 1896 (Broca). e Foetus de 6 mois 1/2.
Mère
spécifique depuis le 1er mois de la grossesse.
Observation XXVII, 15 septembre 1896 (Broca). Foetus de 6 mois 1/2,
mère
spécifique secondaire. Macéré, poids 1120 gramm
bservation XXVIII, 28 septembre 1896 (Broca). Foetus de 7 mois 1/2.
Mère
spécifique secondaire. Mort-né, macéré. ' 1 LOC
Observation XXIX, 28 septembre 1896 (Broca). - Foetus de 5 mois.
Mère
spécifique depuis le 3° mois de la grossesse. Non
L'observation n° VI se rapporte à un foetus porteur de pieds-bots, la
mère
n'a pas été interrogée au point de vue de ses a
père, grand alcoolique est mort à 39 ans à la suite d'un ictus. La
mère
est hystérique (crises de nerfs, etc.). Antécéd
e. Antécédents de famille : Père, soixante-cinq ans, bien portant ;
mère
morte, il y a quatre DE LA PARALYSIE FACIALE. 5
édents héréditaires : Père arthritique, d'ailleurs bien por- tant ;
mère
névropathe; un oncle maternel est mort dans une
ient nous con- sulter le 10 août 1882. - Antécédents héréditaires :
Mère
bien portante ; père très nerveux ; un oncle pa
lle hémiplégique ; père souffre fréquemment de névralgies faciales;
mère
bien portante; une soeur de la malade a été att
famille : DE LA PARALYSIE FACIALE. 7 Père mortparalytiquegénéral;
mère
névropathe. - Antécédents personnels : M. X...
le 9 juillet 1881.. - Antécédents de famille : Père bien portant ;
mère
nerveuse, a souvent des crises convulsives s'ac
datant d'il y a liuitjours et survenue, d'après ce que nous dit la
mère
, à la suite d'un refroidissement; la jeune fill
e père de la malade est mort aliéné ; un frère est épileptique ; la
mère
est bien portante et n'a jamais eu aucune manif
le I février 1886.- Antécédents de famille : Père mort d'apoplexie;
mère
aliénée, s'est suicidée; une soeur hysté- rique
tic convulsif de la face. Pas d'antécédents nerveux du côté de la
mère
. Une soeur du malade est hystérique. Antécédents
es su- jets qui font l'objet de cette triple observation : Grand'
mère
maternelle morte à la suite d'une affection men-
ans, une tante du côté paternel morte à la suite d'une paraplégie.
Mère
rhumatisante, très nerveuse, sujette à des migr
s qu'il avait deux soeurs qui avaient des attaques d'hysté- rie; sa
mère
avait également des attaques d'hystérie et une
de renseignements très complets sur les parents, on croyait que la
mère
avait eu des attaques de nerfs dans sa jeunesse
ble de le tenir en repos ; il ne cessait de l'agiter. Au dire de la
mère
, ces mouvements con- vulsifs étaient par moment
une aura procursive. Observation XIV. Fille âgée de dix-sept ans.
Mère
et tante maternelle épileptiques. - Vertiges et
Louise-Laurence), née à Paris, âgée de dix-sept ans. Ayant perdu sa
mère
à l'âge d'un an et demi, a été élevée par les s
la chorée trouvent chez cette enfant une cause dans l'hérédité. Sa
mère
était épileptique, et, au rapport d'une de ses
muscles de la face et des membres. Une de ses tantes, du côté de sa
mère
, a eu aussi des attaques d'épilepsie. Quant aux
ne jeune fille de dix-neuf ans. Antécédents héréditaires nuls. - La
mère
, deux frères et deux soeurs bien portants. Père
si que ses deux grands-pères étaient morts d'apoplexie; sa grand'
mère
avait longtemps présenté des phénomènes de mélanc
d' mère avait longtemps présenté des phénomènes de mélancolie; sa
mère
était paralytique et son père mourut d'apoplexiep
conditions; si, par exemple, il l'est, même par son père et par sa
mère
, dans une maison spéciale au lieu de l'être dans
s do surveillance sénat. 139 dans le cas seulement où le père, la
mère
, le tuteur, le conjoint, le frère ou la soeur h
e fille appelée Marguerite. Son père se nommait Sevfrit Vueis et sa
mère
Barbara. Parvenue à peu près à l'âge de dix ans
connus. Son père est bien portant, mais la malade ne connait pas sa
mère
, et de ce côté, l'hérédité névropathique peut e
vait ; elle se fatiguait plus vite à cet exercice. Tout d'abord, sa
mère
n'y prit pas garde, et crut même que sa fille sai
ditaire dans sa famille. Son grand-père maternel était goutteux; sa
mère
a de temps en temps, aux époques catamé- niales
pu être renseigné (environ 200), j'ai trouvé 15 fois le père ou la
mère
aliénés; 6 fois le grand- père ou la grand'mère
'hérédité en retour : une nièce était folle; 2 malades avaient leur
mère
épileptique; chez 3 autres, le frère ou la soeu
enfin 14 fois j'ai noté l'hérédité congestive (père alcoolique 5;
mère
somnambule 2; père ou mère hémiplé- giques 6, e
'hérédité congestive (père alcoolique 5; mère somnambule 2; père ou
mère
hémiplé- giques 6, etc.). Si incomplets que s
ait un commerce important, s'était marié et avait trois enfants. La
mère
de ce ma- lade présente exactement les mêmes sy
dans l'artillerie. Quelques années après, il s'attache à une veuve,
mère
d'un enfant, et vit maritalement avec elle. Pen
'infanterie. Prédisposition héréditaire : l'un des parents (père ou
mère
? ) aliéné. En 1870, pendant la guerre, violent
gération. Observation XX. - Epilepsie. - Père, hémiplégie droite.
Mère
nerveuse ; grand-père maternel, mort à quatre-
re. (Service de M. BOUE,NE- VILLE.) Renseignements fournis par sa
mère
(9 décembre 1885). Père, fabricant de chapeaux,
éphalalgies. [Père, fabricant de chapeaux, mort à trente et un ans.
Mère
, morte à soixante-dix ans, sans qu'on puisse di
de difformes, de criminels, de suicides, etc., dans la famille.]
Mère
, soixante-quatorze ans et demi, coloriste; elle e
is été malade. - [Père, mort à quatre-vingt-un ans d'une pneumonie.
Mère
, morte à quatre-vingts ans des suites d'une hém
acte repréhensible. D'un caractère très emporté, il aurait battu sa
mère
si l'on ne s'y était opposé. - Il a été mis en
marche des accès : 1 A la fin de la période clonique, au dire de sa
mère
, il s'accrochait aux objets environnants. Celle
rdu par des attaques d'apoplexie son père à soixante-quatre ans, sa
mère
à cinquante-cinq ans; celle-ci serait restée qu
plexie. Il n'y a dans sa famille ni aliénés, ni dif- formes, etc.
Mère
, quarante ans, sans profession, n'a eu ni migrain
on- nier, alcoolique, a succombé à une affection génito-urinaire.
Mère
morte d'accidents pulmonaires sans avoir jamais e
r eu de convulsions; il était très intelligent; 2° Noire malade. Sa
mère
fit deux chutes pendant sa grossesse : la premi
on premier accès convulsif : tout d'un coup il quitta la main de sa
mère
, fut précipité en avant comme s'il courait et t
an- 1 Selon une note prise par 11. Delasiauve le 1G août 1872, « sa
mère
affirme qu'il était hydrocéphale dans sa jeunes
r ma demande par le médecin traitant : « Elle est née de père et de
mère
bien portants, non parents. Du côté paternel au
ême vieillesse. Une soeur aînée, bien portante et intelligente ; sa
mère
est morte quelque temps après sa naissance, à l
dans lequel il tombe après l'acte procursif. Observation XXIII. -
Mère
: névralgie, phthisie. - Oncle mate1'l1el phthi
ans, a eu une fluxion "de poitrine il y a cinq ou six ans. [Père et
mère
morts âgés (quatre-vingts ans).] Mère mariée
a cinq ou six ans. [Père et mère morts âgés (quatre-vingts ans).]
Mère
mariée à trente ans, morte à soixante-cinq ans,
inquante ans, elle l'a gardée jusqu'à soixante-quatre ans. [Père et
mère
morts vieux. Un cousin germain du côté paternel
'épilepsie.] 250 CLINIQUE NERVEUSE. Consanguinité : le père et le
mère
du malade étaient cousins germains et portaient
un mort mort-né ; 2° Notre malade. Né à terme, élevé au sein par sa
mère
. Pen- dant la première et la deuxième année, il
oolique. Grand-père et oncle paternels alcooliques et phtisiques.
Mère
, névralgies. Grand-père maternel, apoplectique. -
2 et y est dé- cédé le 6 juin 1883. Renseignements fournis par sa
mère
(27 février 1882). - - Père, trente-six ans, to
e à trente-huit ans, tourneur en cuivre, quelques excès de boisson.
Mère
, soixante ans, n'a jamais été malade, pas d'acc
1871 (fédéré), il buvait aussi et au- rait eu des hémoptysies ? ]
Mère
, trente ans, travaillait aux champs avant le mari
uf ans, d'une attaque d'apoplexie foudroyante en dix-neuf heures. -
Mère
, soixante-quatorze ans, bien portante, n'est pa
que sa figure grimaçait, qu'il était pâle, qu'il allait tomber; sa
mère
l'a pris sur elle, tout le corps était roide ég
scendants « mais toute la famille aimait « à chanter, nous écrit sa
mère
, et l'enfant n'a jamais entendu « que le père e
s écrit sa mère, et l'enfant n'a jamais entendu « que le père et la
mère
qui lui chantaient des chansons ». 270 REVUE DE
lle. « 20 juin.- Mohammed eut une seule fille légitime, ma grand'
mère
, dont je porte le nom. Par un hasard, sa progénit
ditaires que personnels, quelques renseignements intéressants. Sa
mère
était très nerveuse, elle est restée quatorze ans
z F... L'hérédité est à la fois diathésique (tubercu- leuse chez la
mère
, arthritique chez le père) et névr- pathique (n
re, arthritique chez le père) et névr- pathique (nervosisme chez la
mère
, asthme et apo- plexie cérébrale chez le père).
re pas d'hérédité névro- pathique apparente. Il a été nourri par la
mère
; il a toujours joui d'une bonne santé jusqu'à l
ons dans l'enfance. Frère probablement épileptique. - Emotion de la
mère
, trois semaines avant l'accouchement, et trembl
aines. [Père, maître d'école en Hollande, pas de détails, ni sur la
mère
. Deux DEUX CAS D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLI
e choréiques, ni de difformes; pas de suicidés, ni de criminels.]
Mère
, soixante ans, journalière, faisait des ménages;
s; n'est pas nerveuse, aucun excès. [Père, mort on ne sait de quoi.
Mère
, morte en couches à vingt-sept ans, pas de déta
ots, d'épileptiques, etc.] . Pas de consanguinité (père hollandais,
mère
lorraine). 8 enfants : 4° un mort-né ; 2° un, m
sie ? ). Notre malade. Grossesse bonne; pourtant, à huit mois, la
mère
a été émotionnée par la mort de son second enfant
ongs»; on ne saurait dire s'il était asphyxié. Elevé au sein par sa
mère
, sevré à vingt-huit mois. Le tremblement aurait
remier jour, il a tremblé et il a emporté le trem- blement de notre
mère
. » Il n'a jamais marché à la maison. Aus- sitôt
l'émotion et au tremblement survenus à la fin de la grossesse. « Ma
mère
a senti un choc en elle, et a senti l'enfant re
on rappelle celle d'un enfant « J'ai trente-six ans... etdemi... ma
mère
... demeure... rue... de Meaux ..... la Villette
ntré à l31cêtre le 16 octobre 1872. Renseignements fournis par sa
mère
(24 avril 1882) Père, char- retier, mort en 187
re, garde champêtre, est mort très âgé; on croit qu'il était sobre.
Mère
, ménagère, morte de vieillesse. Deux frères : l
Pas d'aliénés, d'épileptiques, etc., dans le reste de la famille.]
Mère
, quarante-sept ans, couturière, taille ordinaire,
boissons, mort à la suite d'une chute avec- frac- ture de côtes. -
Mère
,' morte à soixante-huit ans, « après avoir traî
eu d'interposition; « Bien que j'aie eu beaucoup de misères, dit la
mère
de l'enfant ? je n'ai eu que mon mari. » - Gros
l voie une personne une fois.pour se la rappeler, il affectionne sa
mère
, ses frères; il est caressant. Avant l'entrée à l
tous les jours dans la cour où il marche à l'aide d'un chariot. Sa
mère
a pu le prendre en congé pendant huit jours, ce
pe musculaire mis en jeu. Lem.... avance assez bien son chariot. Sa
mère
le fait sortir tous les deux mois depuis qu'il
a eu affaire à un cas de pseudo-méningite de nature hystérique. La
mère
de cette jeune fille était névropathe, mais ell
ntécédents. La grand'mère paternelle serait morte hémiplégique ; sa
mère
est morte de chagrin ( ? ) à l'âge de trente-si
ille l'entend frapper à la fenêtre, elle sort aussitôt et trouve sa
mère
étendue sur le dos, la bouche un peu tirée à ga
ditaires fournissent des renseignements très précieux. En effet, sa
mère
est une petite hystérique, sa tante maternelle
re place à un tremblement surtout du membre supérieur droit, que sa
mère
, dame fort intelligente, décrit de la façon sui
de jeter tout par terre ). Ce tremble- ment, si bien décrit par sa
mère
, a continué pendant à peu près deux mois et, au
sa face, il disait qu'il avait perdu son avenir; il trouvait que sa
mère
avait pâli, que son père était malade, et il de
mmet antérieur. La même forme persiste quand on a enlevé la dure-
mère
et la pie-mère. L'exactitude dans la fixation de
L'hérédité se trouve en jeu d'une façon remarquable dans un cas. La
mère
, la fille et la petite-fille onteu des ecchymoses
us trouvons que la grand'mère est morte d'un cancer à la bouche; la
mère
est très nerveuse, irritable, a une soeur somna
s avoir obtenu une réponse caracté- ristique, lorsque par hasard la
mère
me rappela que la fillette se nourrissait exclu
ans, issu d'un père rhumatisant (affection cardiaque ? ), et d'une
mère
atteinte d'une névralgie du nerf cubital droit; t
887, la Société met au concours la question suivante : le Livre des
mères
; manuel à l'usage des femmes désireuses de prés
oir résister à d'aussi- ri- dicules' obsessions. Observation III.
Mère
très émotive. Dèséquilibration men- tale. Pério
llin, médecin inspecteur de Saint-Honoré-les- Bains, est fils d'une
mère
très nerveuse, irritable, pleurant facilement e
ent du côté paternel. Le père est bien 'conformé et intelligent. La
mère
, assez nerveuse, est sujette à des accès de tri
aternelle imbécile. Cousin germain paternel, mort de convulsions.
Mère
: faible d'esprit, sujette à des élourdissements
un mort-né. Antécédents héréditaires (Renseignements fournis par la
mère
, 13 juillet -1881). Père : ouvrier journalier,
elations avec sa femme, qui avait été attirée dans la maison par la
mère
du jeune homme, laquelle l'a mise en relation ave
tiques, de suicidés, de criminels, de difformes dans la famille.]
Mère
: quarante-sept ans, taille petite; journalière,
Bourneville). Antécédents personnels (Renseignements fournis par la
mère
, 43 juillet 188 ! ). - Grossesse bonne, pas d'a
. Rien de particulier à a naissance. L'enfant, élevé au sein par sa
mère
jusqu'à vingt et un mois, a marché à dix-sept m
- VILLE.) 1 Antécédents personnels (Renseignements fournis par la
mère
, juillet 1881). - Grossesse bonne'; cependant l
ournis par la mère, juillet 1881). - Grossesse bonne'; cependant la
mère
aurait en des émotions fréquentes, par suite de
u mari auquel elle reprochait de nourrir [des bâtards. Cependant la
mère
assure que cet enfant, comme les, autres, est'b
de particulier ci la naissance de l'enfant. Elevé au* sein par'sa;
mère
jusqu'à dix-huit mois, il a marché, à vingt moi
a- milles ». L'observation II est un exemple de ce fait, aussi la
mère
de nos malades porte-t-elle les tr.aces de cette
Marié tardivement, il a eu néanmoins une, nombreuse famille. ' Sa
mère
, âgée de cinquante-cinq ans, est petite et assez
occasion des' mouvements volontaires, ressemblent tous trois à leur
mère
: la couleur du teint, les traits du visage, l'ex
visage, l'expression de la physionomie rappellent le portrait de la
mère
. Nous avons pu examiner tous les membres surviv
ons d'aucune sorte ni de symptômes méningitiques. c C'était, dit sa
mère
, un bel enfant; tout le monde m'en faisait comp
rle jamais à ses amis. A peine en a-t-il quelquefois entre- tenu sa
mère
et nous croyons être les premiers et les seuls co
appren- tissage de tailleur. Il ne sait que répondre. Sans doute sa
mère
lui aura appris à coudre quand il était petit.
ission...,i-i ' , ¡ . oJ 10° A. Y avait-il parenté du père et de la
mère
? ... A quel degré ? ... SOCIÉTÉS SAVANTES. 2(
grande inten- sité du processus au voisinage immédiat de la pie-
mère
et un développement exagéré du tissu conjonctif
e Saron l'est, ainsi qu'un jeune frère de huit ans. Du côté de la
mère
, les antécédents étaient autrement sérieux. Deu
aniaque avec perversion des instincts. Une cou- sine germaine de la
mère
du prévenu, d'une immoralité révol- tante, étai
accidents épileptiformes à la convalescence d'une angine grave. La
mère
elle-même de l'accusé, très nerveuse, est sujet
eu; bien plus, il a la réputation d'être faible d'esprit, et par sa
mère
il est héréditaire vésanique ! Eh bien ! tout
antécédents personnels et ceux de sa famille. Berger me dépeint sa
mère
comme une femme extrêmement nerveuse, qui, à la
é son linge, soit auprès de M. le docteur Adam, qui avait soigné sa
mère
. En présence de ces graves renseignements, je p
En 1871, il était marguillier; le curé de Binges, d'accord avec sa
mère
, avait écrit au docteur W... pour lui demander
été de tout temps le fléau du village. Héréditaire vésanique par sa
mère
et par son père qui appartenaient l'un et l'aut
ennes, d'onanisme et de lubricité. Elle fut enfin surprise par sa
mère
, un soir, qu'elle mettait le feu dans sa propre
ou imbéciles. IV. Famille HORN... ' ty Père alcoolique ( ? )
Mère
débauchée, enfant naturelle ( ? ), Grand' mère
ère alcoolique ( ? ) Mère débauchée, enfant naturelle ( ? ), Grand'
mère
paternelle irritable, débauchée ( ? ), voleuse, U
Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par la grand'-
mère
maternelle, le père et la mère). - Père : trente-
enseignements fournis par la grand'- mère maternelle, le père et la
mère
). - Père : trente-sept ans, assez 1 Voir tome X
ileptiques, ni aliénés, ni difformes, ni suicidés, ni criminels.]
Mère
, trente-sept ans, blanchisseuse, intelligente, es
s d'attaques de nerfs; elle n'a jamais fait d'excès de boisson. (Sa
mère
raconte que sa fille, à partir de quatorze ans,
livrée aux hommes et il la débauche, tandis que la fille accuse sa
mère
de l'avoir prosti- tuée à l'âge de quatorze ans
e l'homme qui l'a possédée par suite de ce marché qui a valu à sa
mère
deux ans de prison. Celle-ci ne nie pas les deux
s, depuis la mort du mari (déc. elle fréquen- terait, au dire de sa
mère
, de malhonnêtes gens (hommes et femmes), ce qui
mois avant la naissance de sa fille qui est une enfant naturelle. -
Mère
, bien portante, sans accidents nerveux, change
nge souvent de profession. Elle assure n'avoir eu qu'une enfant (la
mère
de nos malades), et n'avoir pas connu d'autre h
stituée elle-même, comme nous l'avons vu plus haut. Elle dit que sa
mère
, outre les deux ans de prison que ce fait lui v
incomplets. Antécédents personnels. (Renseignements fournis par la
mère
de l'enfant, 27 février 1882.) - Le père de Des
nt dans la chambre. Il était méchant, voulait tuer les serins de sa
mère
, son frère Horni...; il faisait des niches aux
il pour ses frères, ni pour sa.grand'mère; mais il aime beaucoup sa
mère
et est très heureux de la voir; il refuse de vo
e, parce que « cette grande bique ne cherche qu'à faire du mal à sa
mère
». 11 n'aurait plus, parait-il, d'habitudes d'o
NEVILLE.) Antécédents personnels. (Renseignements fournis par sa
mère
, 12 janvier 1881). Pendant la grossesse ', la m
s fournis par sa mère, 12 janvier 1881). Pendant la grossesse ', la
mère
a eu des contra- riétés nombreuses par suite de
re a eu des contra- riétés nombreuses par suite de disputes avec sa
mère
à cause de son mariage, qui ne s'est fait que d
élevé au sein; cinq semaines plus tard, il était « en'étisie ». Sa
mère
l'a repris alors et l'a élevé au biberon. ' D
ait presque tout ce qu'il prenait (lait de chèvre, de vache...); sa
mère
a fini par lui faire conserver ses aliments en lu
toujours son doigt. Il est assez affectueux, en particulier pour sa
mère
, qu'il ne veut jamais quitter et avec laquelle il
Antécédents personnels. (Renseignements fournis par le père et la
mère
, 9 juin -1851'.) Grossesse bonne.Aeco ! fC/tpmeH&
toujours uriné de temps en temps au lit. Quand il fut repris par sa
mère
à l'âge de deux ans et demi, il n'avait pas eu
ropre, menteur et gourmand, ce qui confirme les renseignements desa
mère
. Il s'habille convena- blement ; onanisme persi
un signe de plus de la tare héréditaire. Ainsi donc du côté de la
mère
, l'hérédité s'accumule depuis deux générations.
nd-père paternel; quelques excès de boisson; oncle paternel aliéné;
mère
migraineuse. Grand-père maternel asthmatique; c
convulsif. Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par la
mère
, 20 octobre 1879.) - Père : ébéniste, quarante-
été malade; aucun accident .nerveux ; quelques excès de boisson. -
Mère
: morte de la rupture d'une anévrysme ; pas d'a
ont l'une encore vivante, n'ont jamais eu d'accidents nerveux.] .
Mère
: quaranté-deux ans; brodeuse, intelligente, maig
e à soixante ans, sans avoir présenté d'autres accidents ner- veux.
Mère
: soixante-dix-sept ans, bien portante, pas d'aff
tions nerveuses. Une cousine paternelle au troisième degré de la
mère
de notre malade a eu un garçon idiot, mort à huit
la mort. DES FAMILLES D'IDIOTS. 369 Consanguinité : le père et la
mère
du malade sont cousins au cinquième ou sixième
re du malade sont cousins au cinquième ou sixième degré. Leurs deux
mères
portaient le même nom. Onze enfants : 1° une
2 juin 1874. Antécédents personnels. (Renseignements fournis par la
mère
, 3 décembre 4879.) Rien de particulier lors de
mais n'est pas méchant; il est assez caressant, embrasse souvent sa
mère
de lui-même. 11 n'est pas gourmand, ni salace;
URNEVILLE.I Antécédents personnels. (Renseignements [fournis par sa
mère
, 20 octobre 1879). Lors de la conception, rien
ccès : ; DES FAMILLES D'IDIOTS. 375 côté du père et du côté de la
mère
. L'influence de l'alcoolisme sur la dégénéresce
visme est, en fait, admis par les aliénistes. D'un autre côté, la
mère
, dont le père était asthmatique, et qui compte
n impossible. Mort après deux jours de coma. On obtient alors de la
mère
du malade les renseignements sui- vants : le ma
imitée à une époque antérieure. V... vient de Chartres où habite sa
mère
; il a été envoyé comme travailleur, chez un pro-
nfance. Il se rappelle les mauvais traitements qu'il recevait de sa
mère
, à Luyson, près Chartres, son arrestation pour
» et qui en demeura enceinte. Elle est accouchée à huit mois. Sa
mère
, qui l'assistait, n'a pas noué le cordon. L'enfan
assistait, n'a pas noué le cordon. L'enfant est mort. Le père et la
mère
de l'idiote l'ont enterré dans un trou. Tous tr
e. La fille, « qui est fort peu in- telligente », fut acquittée; la
mère
fut condamnée à six mois de prison, le père à q
887, la Société met au concours la question suivante : Le Livre des
mères
, manuel à l'usage des femmes désireuses de prés
tant aux environs de Tizi Ouzou (Algérie), a jeté des pierres à sa
mère
qui lui faisait attendre son déjeuner. Puis, pris
endant l'ivresse du père sont très exposés aux psychoses; plusieurs
mères
d'épileptiques nous ont révélé l'existence de c
cheuses particularités de son caractère à une question faite par sa
mère
dans un moment très 6 PATHOLOGIE GÉNÉRALE. in
été mélancolique pendant un an. Observation IV. H..., épileptique.
Mère
, tic de la bouche. Observation V. - Mm° V...
ère paralytique général. Observation VI. 1\ple B..., épileptique. -
Mère
gout- teuse. Soeur, a eu une attaque de chorée
n VIII. - \I ? X..., de T..., dix-neuf ans, hys- térique. - Père et
mère
migraineux. Observation IX. Mlle E. 8..., treiz
érique. - Père bizarre, délire passager. Grand-père paternel pendu.
Mère
hys- térique. Un frère est mort de convulsions.
XI. M"° D..., douze ans. Contracture hysté- rique. Père original. -
Mère
hystérique. - Frère imbécile. Observation XII.
Observation XII. M"0 P..., dix-huit ans. Paraplégie hys- térique.
Mère
rhumatisante, chorée. Observation XIII. - M"0 F
ique. - Grand'more maternelle persécutée, morte à la Salpêtrière.
Mère
hystérique (a deux frères mal équilibrés). - Père
- M. W..., neuf ans, hystérique. Grand-père maternel mélancolique.
Mère
névralgique. Père, crises nerveuses ( ? ) jusqu
éflexes patellaires ; guéri en quinze jours par l'hydrothérapie. Sa
mère
, à la suite d'une plaie légère à la fesse, a eu
plus reproduites. Grand'mère maternelle, tremblement des mains; sa
mère
a eu' une hémiplégie hystérique ; tante materne
II. - mye P... Paralysie agitante. Fille aliénée (atteinte avant sa
mère
). Observation XXIII. Dr X..., paralytique génér
à dix-huit ans ; hystérie et somnambulisme. - Père excen- trique.
Mère
mélancolique. Deux fils d'un oncle ma- ternel a
VI. - J... Tachycardie, tremblement des mains. - Père alcoolique. -
Mère
épileptique. - Oncle ma- ternel aliéné. Sa fill
M. D... Migraine ophthalmique; terreurs nocturnes dans l'enfance. -
Mère
hystérique. Les névralgies aussi appartiennent
ouloureux peuvent être héréditaires; Pié- dagnel en a vu un chez la
mère
et chez la fille, et Blache en a observé un che
ans l'intervalle des crises une parésie des muscles affectés. -- Sa
mère
a du même côté, de temps en temps, des contract
mon- trant quand il a lu longtemps. Grand-oncle paternel aliéné.
Mère
hystérique. On observe assez souvent les tortic
té un sujet eczémateux atteint de la crampe des écrivains, comme sa
mère
et sa soeur'. Cet auteur fait remarquer, avec j
On a noté la fréquence des convulsions chez les enfants nés d'une
mère
éclamptique 2. Trousseau' cite une famille inté
ès médical, 1883, p. 970. 32 PATHOLOGIE GÉNÉRALE. M. Gauliez', la
mère
de l'enfant avait eu des attaques éclamptiques.
' Observation XL. 11 ? A..., ataxique; début à trente- cinq ans.
Mère
épileptique. Observation XLI. Dr P..., trente-n
puis, tic des paupières. Observation XLIV. -- M. G..., ataxique. -
Mère
lypéma- niaque. Oncle maternel gâteux ( ? ).
frères - \ ataxiques. Observation XL VI. - fil. C..., ataxique. -
Mère
méhlll. colique, morte à la suite de refus d'al
paraly- tique général. Observation LU. M. G... de M..., ataxique.
Mère
et soeur hystériques. Observation LUI. - M. d
que est mort dément. Observation LVI. M. P..., cinquante-trois ans.
Mère
lypémaniaque s'est suicidée. Observation LVII
NÉRALE. Observation LX1. M. D... Paralysie spinale de l'adulte. -
Mère
, plusieurs accès de folie puerpérale. M. Grasse
il Un oncle paternel, botaniste dis- tingué, est mort aliéné. 1° La
mère
avait, étant enfant, des absences qui avaient d
- par Mahot" avait eu plusieurs fois des attaques éclamptiques ; la
mère
d'un malade observé par Ord'' avait été choréiq
e. Observation LXVI. - D..., vingt-neuf ans. Sclérose en plaques.
Mère
migraineuse. Oncle maternel aliéné. Deux soeurs
être vicieux ou criminel. Si on interroge séparément la père et la
mère
, on a plus de chance d'obtenir la vérité, parce
ux ou pyrami- daux ? En aucune façon; celle-ci procède de la pie-
mère
, comme on peut le constater nettement sur les f
côté, au niveau des points les plus malades, on voit que la pie-
mère
adhère complètement au tissu scléreux, et offre u
isson envi- ron deux fois par mois. [Père, mort à soixante-six ans,
mère
, morte à soixante-sept ans, on ne sait de quoi.
névro- pathes, de difformes, de suicides, etc., dans la famille.
Mère
, cinquante-six ans, de taille moyenne et d'une in
naissance de notre malade. [Père, mort d'une fluxion de poitrine ;
mère
morte d'une hydropisie ; un frère a trois enfants
dif- ficulté, en cinq minutes. L'enfant fut élevé au biberon par sa
mère
, marcha à dix mois et demi, fut propre avant un
tentait de rentrer chez lui. 11 s'enfuit, terrifié, en appelant sa
mère
à son secours. Un mois après, sans avoir rien pré
deux dans le courant du mois d'août, toutes trois très légères. Sa
mère
est contente de lui : « C'est un bon garçon, di
ix pendant son sommeil. Son occupation actuelle consiste à aider sa
mère
dans les travaux du ménage. La sensibilité est
présente aucun trouble de la sensibilité générale et spéciale. Sa
mère
est toujours satisfaite de sa conduite. Il travai
équents qu'on ne nous l'a dit; il n'est pas rare, en effet, que les
mères
de nos malades, ouvrières, femmes d'ouvriers, d
ice de M. BouoNEmr.r.r). Antécédents. Renseignements fournis par sa
mère
(16 août 1880). Père : quarante-trois ans, peti
taires. [Père : pas d'excès alcooliques, ni d'affections nerveuses.
Mère
: asthmatique, morte à soixante ans d'une fièvr
, de convulsions. Pas d'aliénés, d'épilep- tiques, de difformes].
Mère
, quarante ans, petite, très nerveuse ; pas d'atta
ique à cinquante-trois ans, après avoir eu le choléra; aucun excès.
Mère
: morte à soixante-deux ans d'un cancer utérin.
erveux dans la famille. Pas de mérycoles du côté du père ni de la
mère
.] Pas de consanguinité. 104 REVUE CRITIQUE. S
is et demi. - Accouchement à terme, facile. Elevé au bibeion par sa
mère
jusqu'à trois ans. Dès la naissance, on remarqu
eu, ici, de jumeaux ni dans la famille du père, ni dans celle de la
mère
. DU MÉRYCISME. 105 pas de dépressions latéral
. DU MÉRYCISME. 109 Antécédents. - (Renseignements fournis par sa
mère
. 13 juillet 1882). - Père, trente-cinq ans, méc
d'épileptiques, de difformes, de suicidés, de crimi- nels, etc.]
Mère
, vingt-neuf ans, couturière,' bien portante. Pas
nt sans motifs; jamais d'attaques de nerfs ni de syncopes. [Père et
mère
: n'ont présenté d'accidents nerveux d'aucune s
ulier lors de la conception. Dès le second mois de la grossesse, la
mère
a eu sans cesse la préoccupation d'accoucher d'
pendant trois heures. Pas d'asphyxie. Il a été élevé au sein par sa
mère
jusqu'à dix-sept mois. Vers le troisième mois, on
cédents héréditaires. - Père, mort tuberculeux à vingt- neuf ans.
Mère
, morte à quarante-deux ans d'un érysipèle de la f
velle et d'eczéma. Observation LXXIV. - Mn'e A..., cinquante ans. -
Mère
nerveuse sans crises. Elle a eu une chorée très
tte il y a un an. Observation LXXV. 111 ? V..., trente-trois ans.
Mère
graveleuse ; deux oncles maternels atteints d'a
Le père de Fauv..., âgé de cinquante-sept ans, est alcoolique; sa
mère
sujette à la migraine, laquelle ne s'accompagne n
n côté du corps. Il s'agit d'un jeune officier de vingt-quatre ans.
Mère
nerveuse. Étiologie bien vague ; à l'âge de dix
(lE cas) ou à peu près en même temps (2° cas) chez la fille et la
mère
. Il tend dans l'espèce à croire à la nature infec
la loi de 4838. Un fils, dit-il, avait demandé l'interdiction de sa
mère
placée chez moi pour un délire de persécution;
la nécessité de nommer un administrateur provisoire des biens de la
mère
, repoussait la demande en interdiction. Quelque
ssi par ses accointances, par sa parenté, par- sa filiation. Fille,
mère
ou soeur, l'ataxie est proche parente des vésan
de dix-huit ataxiques en trois générations : grand'mère ataxique,
mère
ataxique, sept fils sur douze ataxiques, voilà po
de avait été placé précédemment dans un asile de pro- vince d'où sa
mère
, au bout de quelque temps voulut le faire sortir
e malade fut réin- Légré dans l'asile d'où, quelque temps après, sa
mère
le fit sortir de nouveau pour le placer chez un
et restait absent pendant plusieurs jours. Il fut enfin rendu à sa
mère
qui le plaçait en 1879 au pensionnat de Ville-E
fils et surtout à la pression de quelques membres de la famille, sa
mère
voulut faire un nouvel essai. Elle me demanda u
son ne voûtait plus le garder. Il fut ramené à Ville-Evrard et sa
mère
dut renoncer pour tou- jours aux sorties provis
s ses efforts, de se repré- senter les traits de ses enfants, de sa
mère
et de ses soeurs qu'il venait de quitter. M. "`
médecine, le 26 novembre 188 : 2. Antécédents héréditaires. Père et
mère
morts vers soixante-quinze ans d'affections ind
e (Ranvier2), se rencontrent néanmoins assez souvent sur la dure-
mère
. (Voy. Bizzozero et Bozzolo, Ueber die Pl'1'mitiv
fille de trois ans, apprirent d'elle en peu de temps à ruminer. La
mère
vit d'abord que les enfants gardaient dans les ba
n ne vit plus rien d'anormal pendant longtemps, jusqu'au jour où la
mère
les surprit au moment où, ne se croyant pas surve
ou les ravaler à volonté. On renvoya la gouvernante ruminante et la
mère
très énergique guérit les enfants bien vite par u
is tous ces faits qu'à un moment où lui-même ruminait déjà aussi. -
Mère
un peu nerveuse, soeur autrefois anémique; elle
p. 11). M. C... est âgé de vingt-trois ans; il fut allai té par sa
mère
, qui a toujours joui d'une excellente santé, ains
anente du réflexe rotulien. Le réflexe existe chez les deux frères.
Mère
bien portante mais rebelle au réflexe en question
linique. OBSERVATION I SoMmaibe. — Antécédents. — Père aliéné ; —
mère
et sœur nerveuses. — Convulsions dans l'enfance ;
e d'où il aurait été transféré en province, au moment de la guerre.
Mère
, lingère, morte il y a quatre ans d'une affection
u quelques hémoptysies; — un autre garçon a été placé à la mort de la
mère
: on ne sait ce qu'il est devenu; — enfin une fil
faiblesses » (1879). Notre malade aurait été élevée au sein par sa
mère
, aurait marché de bonne heure; mais, à vingt-deux
t de violentes colères dans lesquelles elle se roulait par terre ; sa
mère
lui jetait de l'eau au visage : elle se remettait
s que je cassais. » Un jour, elle s'est enfuie, est retournée chez sa
mère
, disant que son patron avait voulu la battre. Cel
pas de la reprendre. De quatorze à quinze ans, W... demeura avec sa
mère
, travaillant à la lingerie. C'est alors qu'elle f
ijoutier, Louis, avec lequel elle eut des relations. Ayant perdu sa
mère
(quinze ans) W... retourna chez son patron, le ma
s céder à ses désirs, elle s'enfuit et se réfugia chez une amie de sa
mère
. Huit jours plus tard, elle quitta cette dame pou
uelques-uns des phénomènes de Y aura. OBSERVATION III Sommaire. —
Mère
hystérique. — Frère aveugle de naissance. — Cousi
e de M. Delasiauve) le 27 décembre 1878. — Rien du côté du père. — La
mère
a eu pendant longtemps des attaques d'hystérie. —
arité remarquables. OBSERVATION IV Sommaire. — Père alcoolique. —
Mère
nerveuse, alcoolique. — Pas de consanguinité. — F
. OBSERVATION V Sommaire. — Père et oncle paternel alcooliques. —
Mère
sujette aux migraines. — Cousin issu de germain i
autre a succombé à des accidents cérébraux dans sa vingtième année.
Mère
, cuisinière, 50 ans, très impressionnable; elle a
paupières fptosisj. Adeline est née à terme, a été allaitée par sa
mère
jusqu'à 14 mois, a marché et parlé à 15 ou 16 moi
xHalles centrales. Elle gagnait 3 francs chaque nuit. C'est là que sa
mère
la retrouva 48 jours après sa fuite. On l'avait f
a conduite n'aurait pas été aussi mauvaise qu'on peut le supposer. Sa
mère
pense qu'elle n'aurait eu de rapports sexuels que
Elle demeurait alors 26, rue Dupin. Elle a été relaxée et rendue à sa
mère
; — 2° Le 2 juin 1877, sur le boulevard Haussmann,
a journée. % juillet. — Adeline sort en permission. Arrivée chez sa
mère
, celle-ci étant souffrante demande à son gendre d
, et la déclaration de la fille se trouvait d'accord avec celle de la
mère
. La première avait été relâchée à cause de sa jeu
mère. La première avait été relâchée à cause de sa jeunesse ; mais la
mère
avait été condamnée au feu. Une dame respectable
e la Salpêtrière en permission, le 6 juillet, s'est sauvée de chez sa
mère
, a été arrêtée le 14 juillet, conduite à Sainte-A
les zones hystérogènes du côté gauche. OBSERVATION VI Sommaire. —
Mère
alcoolique atteinte de strabisme. — Pas de consan
les scènes pénibles qui ont traversé son existence, l'homme auquel sa
mère
l'a livrée, etc., etc. Les visions se montrent di
'avaient recouché, il se relevait. Il ne voulait pas être couvert. Sa
mère
était très contente quand il dormait une demi-heu
, est ivrogne : il boit le lendemain ce qu'il a gagné la veille. — Sa
mère
est morte en couches. — D... a eu 4 frères ou sœu
'une vieille hystérique. OBSERVATION XI Sommaire, — Antécédents :
mère
épileptique. — Début des attaques à dix-hnit ans,
èrement. Antécédents. — Son père serait mort d'un asthme (?) ; — sa
mère
aurait succombé à un cancer de l'estomac ; elle a
nce de la malade et auraient disparu au bout de six ans. Une sœur (de
mère
seulement), que nous avons vue et qui a confirmé
lle pleurait, disait qu'elle allait sur la tombe de son père et de sa
mère
; qu'elle était enterrée depuis dix ans. Ensuite,
rvice de M. Gharcot) le 24 mars 1873. Renseignements fournis par sa
mère
(29 mars 1879). — Père, commissionnaire en marcha
aurait de ce côté ni aliénés, ni épileptiques ou hystériques, etc.
Mère
, 49 ans, lingère, bien portante, mais impressionn
homme solide qui avait fait des excès de boisson dans sa jeunesse. —
Mère
, morte à 75 ans, d'une attaque d'apoplexie ; aupa
troisième est la malade. Pendant qu'elle était enceinte d'elle, sa
mère
n'a pas eu d'accidents. L'accouchement s'est fait
le côté gauche du ventre. De 15 à 18 ans, Suzanne a demeuré chez sa
mère
, travaillant à la couture ; elle est habile, acti
gasins de la Ville de Saint-Denis, elle a eu sa. première attaque. Sa
mère
en ignore la cause; elle ne croit pas qu'elle ait
Suzanne aime les compliments, mais n'a d'affection que pour elle. Sa
mère
lui est presque indifférente ; elle lui préfère s
religion ; pourtant, elle a une tendance aux idées religieuses. Sa
mère
, qui n'avait pas eu alors connaissance de sa mala
cercle ; il est aussi complet que possible et justifie le récit de sa
mère
(p. 210) ; ensuite, S... roule sur elle-même, pro
ixement, porte la main sur son cœur, se tortille sur place. « Oh ! ma
mère
!... Toutes ces femmes, ça se moque des pauvres !
es?—J'en ai un.—Qu'est-ce que tu faisais aux environs de Dieppe? — Ma
mère
avait voulu m'établir couturière. — Différentes q
reuses femmes, atteintes à des degrés divers d'hystérie. L'ignorance,
mère
de toutes les superstitions, leur faisait accepte
servation 1 (résumée). - Jeune homme de vingt et un ans, né - d'une
mère
aliénée; d'un caractère très mobile, très irritab
é, tous ses parents se distinguent par un caractère très violent. -
Mère
a été enfermée pendant quelque temps dans un as
survenaient des hématémèses et des névralgies faciales. -Père de la
mère
mort en vingt-quatre heures à la suite d'une atta
fance, à de violents accès de colère qui sont suivis, comme chez sa
mère
, d'hémorrhagies; il sent le besoin de vomir et
té DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 19 .gauche qui aurait duré deux ans.
Mère
très nerveuse, impres- sionnable ; elle est hém
re, les substi- tutions de mots qu'on remarque dans une lettre à sa
mère
étaient d'un aphasique. « Il semble que chez lu
l'on observe à un âge plus avancé; il est à noter seulement que la
mère
et le frère de ce jeune malade étaient tous deu
ns motif appréciable une tentative d'homicide sur la personne de sa
mère
qu'ilaimait beaucoup et pour laquelle il s'était
u ». Il témoigna d'ailleurs une grande joie lorsqu'il apprit que sa
mère
n'avait pas succombé à ses blessures. Il fut
sychose suraiguë chez une jeune fille de dix- neuf ans, issue d'une
mère
hystérique, mais n'ayant, jusqu'alors, présenté
ch., XVI, 1, 2, 3.) L'auteur a étudié des familles dont les père et
mère
ont été à un même établissement, par conséquent
de la quantité de liquide céphaloracbidien. Les artères de la pie-
mère
deviennent de plus en plus volumineuses, on aperç
à l'autopsie, on trouva une adhérence intime et terme de la dure-
mère
a l'arachnoïde, au niveau de la partie inférieure
lements anormaux de la région cervicale. Les parents étaient sains;
mère
, âgée de vingt-huit ans, avait eu une autre enfan
é de la ressemblance de ce cas avec celui du crétin de Highgate. La
mère
me dit que l'enfant était inhabile à se servir
jà été vu à la consultation externe par le Dr Baater. Le père et la
mère
étaient bien portants; sobres, ils menaient une v
cun, autre phéno- mène anormal chez cet enfant. Mais, plus tard, sa
mère
s'aperçut qu'il voulait toujours s'asseoir où q
e position plusieurs heures de suite. La croissance s'arrêta, et la
mère
prétend qu'il n'a pas grandi depuis deux ans et
Alcoolisme, colère, tuberculeux. - Tante paternelle tuberculeuse. -
Mère
migraineuse et tuberculeuse ; oncle maternel al
tait sobre, bien conformé et est mort d'une fluxion de poitrine; sa
mère
, de taille ordinaire est morte à soixante-quinz
i- naire. Pas de nerveux ni de difformes, etc., dans la famille.]
Mère
, née à Lille, morte en ! 877, a trente-neuf ans,
nte, de taille assez élevée, était sujette aux migraines. - [Père ?
Mère
serait encore vivante et habite-, rail Lille; d
re malade, Gr... Ernest, est né à Strasbourg le 13 avril 1858 où sa
mère
était allée faire ses couches, bien qu'habitant P
163 Antécédents héréditaires. - D'après ce que dit le malade, sa
mère
aurait eu des attaques de nerfs, mais il est impo
arents morts âgés. Père, mort à cinquante ans, d'une maladie aiguë.
Mère
, morte à quarante-six ans; pas nerveuse. Un frè
guë. Mère, morte à quarante-six ans; pas nerveuse. Un frère de la
mère
a du sable dans les urines. Frère et sceur bien p
héréditaires. Aucun des membres de sa famille qu'il connaît (père,
mère
, trois soeurs, tantes, oncles) ne présente ni n
ieurs. Quant aux antécédents, le malade affirme que ses parents, sa
mère
ainsi que son père étaient atteints de la syphili
étaient atteints de la syphilis. Le père est mort paralytique et la
mère
est morte par suite de l'impossibilité de déglu
' La cavité crânienne présente les adhérences totales de la dure-
mère
avec les os de voûte. La pie-mère est en état d'h
l souffrit de vertiges pendant les dernières années de sa vie. La
mère
vit encore et est bien portante; elle a soixante-
aient demeurés indemnes. Mais la tante paternelle, issue de père et
mère
consanguins, en est affectée et, après elle, se
du système nerveux. Il s'agit d'un état congénital héréditaire; la
mère
du sujet en question vient de procréer un enfan
ôle à l'état du père au moment de la con- ception, ou à celui de la
mère
pendant la grossesse, car c'est là que l'on tro
SOCIÉTÉS SAVANTES. 249 a une passion pour les tabliers blancs; sa
mère
adorait les rubans rouges. Morel enfin rapporte
et que les douleurs sourdes avaient été les mêmes qu'à présent, La
mère
du patient avait souffert de tiraillements conv
... (Eugène), né le 20 août 1861, placé à plusieurs reprises par sa
mère
à l'infirmerie des idiots de Bicêtre, est entré
t y est décédé le 18 novembre 1885. Renseignements fournis par sa
mère
(22 octobre 't879). Père, architecte, présentai
t. [Père, mort vers soixante-treize, ans d'une attaque d'apoplexie.
Mère
, morte jeune du choléra. Un frère bien portant,
tiques, pas d'autres difformes ni d'alcooliques dans la famille.]
Mère
, quarante-cinq ans, couturière, bien portante, n'
dans la famille.] Pas de consanguinité. Le père est né à Paris, la
mère
est de Courancelle (Meuse). Trois enfants : 4
nt nerveux J. Notre malade. - Durant la grossesse, à trois mois, la
mère
fut renversée par une voiture ; cet accident sa
conditions hygiéniques dé- plorables (logement humide, etc.), et la
mère
soupçonne qu'il il aurait eu à cette époque que
urait lait une chute dans un escalier et depuis lors, au dire de la
mère
, il aurait complètement changé. Deux ans après ce
is à Bicêtre, où il fit un séjour d'un mois (juillet-août 1863). La
mère
ne voulut pas le laisser davantage, parce que,
mble y avoir eu un temps, d'après les renseignements fournis par la
mère
, où la physionomie de l'enfant reflétait assez
, l'état de l'intelligence ; notons encore que Then... reconnait sa
mère
, sa soeur et les diverses personnes du service
it seul une malformation du bras gauche, et, sauf une cousine de la
mère
au troisième degré, on n'aurait jamais connu de
cienne et il demeurait confiné au lit sur les recommandations de sa
mère
, sous prétexte qu'il était très sensible au fro
est d'une consli- tution robuste et sa taille est de 1 m. 70. - La
mère
est morte à l'âge de 40 ans, dix-huit mois aprè
du côté des autres parents; les ascendants du côté du père et de la
mère
sont morts à un âge avancé. W..., né à terme, e
par jour et qui durèrent six mois. C'est sur ces entrefaites que la
mère
remarqua la bouffissure de la peau qui, depuis,
ent. Voyant qu'aucun phénomène intellectuel ne se dé- veloppait, la
mère
prit le parti de faire admettre son enfant à la
vait lire un chapitre de la bible ou une histoire aussi bien que sa
mère
; elle savait écrire et apprenait l'arithmétiqu
pen- dant qu'elle essayait de parler. Elle ne pouvait embrasser sa
mère
ou ne pouvait gonfler ses joues et la nourritur
au moment de sa naissance. Le père cependant mourut douze ans et la
mère
seize ans plus tard de phthisie, maladie qui a
lamort de la soeur de la malade à dix-sept ans et de la soeur de sa
mère
à vingt-sept ans. Le père était né dans le Hamp
couleur de pâte blanche. Pendant qu'elle étai t enceinte d'elle, sa
mère
fut effrayée par un laureau. A sept ans, celle fi
plégie droite en 1886. - Grand-père paternel mort paraplégique. -
Mère
plus âgée de dix ans que son mari. -Ni goitreux n
décedé le )2 août 1882. Renseignements fournis par son père et sa
mère
(11 octobre 1886). - Père, soixante-sept ans, a
e au-dessus de la moyenne; pas de maladies nerveuses, ni de goitre.
Mère
, morte à quatre-vingt-sept ans, on ne sait de q
trois enfants dont on n'a pas eu de nouvelles depuis la mort de la
mère
en 1877. -Pas de maladies nerveuses, pas d'a- l
, pas de goitreux, de cré- tins, 'de criminels, dans la famille.]
Mère
, soixante-dix-huit ans, domestique, puis raccommp
lade se rapproche heaucoup plus de celle du père que de celle de la
mère
. 340 CLINIQUE NERVEUSE. Pas de consanguinité.
n'offrait pas le moindre signe d'as- phyxies. Elevé au sein par sa
mère
, il venait bien, était frais, rose, n'avait rie
, disait « papa et maman ». Alors qu'il avait près de onze mois, sa
mère
eut des abcès aux seins et dut le sevrer. Penda
mal soigné, et même fait jeûner. Quand, au bout de vingt jours, sa
mère
le reprit, il avait considérablement maigri et
ie pachydermique. Observation XII. - Coloration cachectique chez la
mère
et une soeur. - Idiotie complète; surdi-mutité;
. Tous ses parents jouissaient d'une excel- lente santé. Seules, la
mère
et une soeur offraient une teinte cachectique p
ur, de temps en temps a des névralgies, quelquefois très tenaces.
Mère
. Très nerveuse, a eu de nombreuses attaques qui
disparues. A partir du 16 septembre, à la suite d'une visite de sa
mère
, 382 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. qui lui a
ire attention d'employer une très forte solution lorsque la dure-
mère
est exposée, puisque cette membrane est très sens
se piquer sur ce bord. La meilleure manière est d'ouvrir la dure-
mère
d'abord avec une incision au scalpel et ensuite a
la- tions de Pacchioni entrant dans la lumière du sinus. La dure-
mère
est très épaissie surtout vers le frontal, elle c
it surprise lorsqu'on lui disait qu'elle avait parlé en dormant. La
mère
de la malade nous avait appris que sa fille parla
ament nerveux, mais sans lare personnelle ou héréditaire, mariée et
mère
d'un enfant de sept ans, vint me consulter au suj
t mort de tuberculose pulmonaire ; il était, dit-il, très nerveux. Sa
mère
, qui vit encore, serait également nerveuse, mais
, deux Jeunes campagnardes robustes et faines, aujourd'hui mariées et
mères
de famille, bonnes somnambules, dont les noms rev
i. dans son sommeil, entend la sonnette et tire le cordon, ou bien la
mère
qui a pris la coutume de .se déranger dans son so
on persiste. Observation iii. Mme B..., âgée de trente-trois ans,
mère
de quatre enfants, a commencé, en 1884. l'usage d
fit le récit suivant : La famille Rocher se compose du père, de la
mère
et de quatre enfants : un garçon de dix-sept ans,
dans les jardins. En face de cette misère, le père dit un jour à la
mère
: « Nous n'avons pas de quoi manger, ton lait s'é
mbre 1891. est amenée dans mou cabinet à la fin d'octobre 1892, et sa
mère
me demande ce que je puis faire pour son enfant.
ait pas atteint de spasmes musculaires. Le côté gauche, au dite de la
mère
de la malade, n'a jamais été atteint de mouvement
u et très passagèrement l'état de la malade, et, depuis une année, la
mère
de l'enfant nous dit qu'il n'y a jamais eu d'amél
rée comme étant de nature rhumatismale, d'autant plus que les père el
mère
n'étaient point rhumatisants. Le père est mort ph
el mère n'étaient point rhumatisants. Le père est mort phtisique : la
mère
est anémique ; ta grand'-mère est très bien porta
tenu dans la chorée par la thérapeutique suggestive, je proposai à la
mère
de la malade le même traitement, en lui donnant l
s serez bien obéissante, vous serez respectueuse pour votre grand'-
mère
; vous apprendrez facilement vos leçons ; vous pou
ns éprouver de mouvements con-vulsifs. Le lendemain, j'appris de la
mère
que son enfant était restée deux grandes heures s
pathiques. Son père est mort à quarante-deux ans; il était buveur. Sa
mère
est morte a vingt-trois ans; elle était nerveuse.
ux, n'ont rien de bien précis chez la première. Chez la seconde, la
mère
est sujette à des attaques d'hystérie : et, il y
et, il y a un point très intéressant à noter dans l'histoire de celte
mère
, c'est le souvenir d'une scoliose qui survint tou
ndre qui est contusionné. Le lendemain de l'accident, au dire de la
mère
, le côté droit sur lequel. Berthe R... est tombée
roit sur lequel. Berthe R... est tombée, est très gonflé; de plus, la
mère
s'aperçoit que sa fille est toute penchée sur le
ifférentes variétés de scoliose. Mais, devant les dénégations de la
mère
assurant que sa fille n'avait jamais rien eu de s
amment d'une excellente santé, elle tend un peu à l'obésité. Elle est
mère
de quatre enfants. Depuis son dernier accouchemen
de celles de M. Bérillon. Il s'agit d'une femme de trente-sept ans,
mère
de cinq enfants, qui, après avoir été morphinoman
bonne santé, eut quelques convulsions, mais pas d'autres troubles. La
mère
lui donna le sein, environ cinq mois, en même tem
bililer ! Il faudrait méditer La lettre qu'écrivait de Jérusalem a sa
mère
ce grand esprit, ce coeur tendre que fut Flaubert
r de sa vie par une chatte et qui avait aussi peur de la pluie que sa
mère
d'adoption : jamais, s'il pouvait l'éviter, il ne
ou nerveuse. Elle n'était pas née à terme (huit mois) Une chute de sa
mère
fut la cause de sa naissance prématurée. Elle n'a
Tels sont les renseignements qui me furent fournis par le père et la
mère
, qui sont vigoureux, bien portants, et ne m'ont s
car le petit, par défaut d'attention, urinait aussi dans le Jour. La
mère
devait plusieurs fois, chaque nuit, se lever pour
l'enfant s'éveilla, alla les yeux ouverts au vase et urina, ce que sa
mère
vit arec le plus grand étonnement, car l'enfant n
ns, mais n'a jamais eu d'enfants. Son père est mort d'un accident, sa
mère
d'une maladie de cœur. Elle ne porte aucune autre
dées noires et elle craint de mourir d'une maladie du cœur comme sa
mère
. Sueurs pendant la nuit. Les réflexes teudineux s
té habituelle, mais, parait-il, d'un caractère emporté et violent. Sa
mère
est sujette à des attaques de nerfs, autrefois tr
ue et les talons. C'est ainsi que E... nous décrit les crises de sa
mère
, il n'en a pourtant vu que quelques-unes, car, à
l'infanterie de marine, est un névropathe héréditaire de « père et de
mère
. Je l'ai soigné, il y a plusieurs années, pour de
out te reste. Alors ma femme rentra, me vil et, effrayée, appela sa
mère
, on fit chercher un médecin qui soigna l'enfant;
ions il parla bientôt d'une façon plus calme de ses relations avec la
mère
de sa femme, et envisagea de sang-froid la possib
ustice. Observation I. E. C,.., âgée de dis ans, est amenée parsa
mère
a la consul talion de la clinique infantile de la
té, le 27 décembre 1891. Le père est, nous dit-on, bien portant. La
mère
est très maigre, anémiée, et a les épaules très é
naturellement attirée du côte de la coxalgie; aussi invitons-nous la
mère
à nous ramener bientôt la petite malade pour que
ur-la, elle ne boite pas et la contracture de ta hanche a disparu. La
mère
nous dit du reste que la claudication, qui dure d
pas pu découvrir non plus des stigmates d'hysterie. Le 23 mai, la
mère
nous ramène l'enfant, qui prétend avoir été victi
ndant l'acte. Nous l'examinons alors, sur la demande formelle de la
mère
, et nous constatons qu'il n'existe absolument auc
s demandé s'il n'y avait pas une canse analogue pour notre malade, la
mère
nous a affirmé que non. Dans une troisième caté
mbreux. Bourdin (1) cite une petite fille qui. sur les conseils de sa
mère
, disait qu'elle avait un caillou dans l'oreille e
l'an dernier, à la Clinique, la petite L... qui nous fut menée par sa
mère
pour des « crises de nerfs ». Les élèves ont enco
nerfs ». Les élèves ont encore présente a la mémoire la figure de la
mère
lorsque, sur mon insistance et en face de mes dou
quinze ans simulant des attaques d'hystérie qu'il avait vues chez sa
mère
. Mon collègue et ami. le D-' E. Noguès. a rapport
térêt n'a pas été le premier mobile de l'enfant: mais je pense que la
mère
, qui voyait une espérance de dommages-intérêts, n
avait une vulvite très intense et qui guérit cependant très vite : sa
mère
lui avait fortement frotté la vulve avec une bros
fort riche de l'avoir violée. L'enfant n'avait pas osé résister à sa
mère
(5). J'ai récemment observé le cas d'an petit g
onné parce qu'il parle dans un musée au milieu de figures de cire. Sa
mère
, marchande de journaux, lui frappe l'imagination
e le 20 décembre 1892. Antécédents héréditaires. — Père alcoolique.
Mère
bien portante. Trois frères et une sœur bien port
qu'il lui plaît, mais non sans avoir, au préalable, pris l'avis de la
mère
. Dans les villes, c'est généralement l'iman qui
u Ali, ou tout autre des noms indiqués par le père et acceptes par la
mère
), est ton nom. » On volt qu'il y a loin de cett
normal. Observation 1. — Jeanne U... possède encore son père et sa
mère
, l'un est âgé de quarante-neuf ans, l'autre de qu
Son pète est mort à trente-deux ans, de tuberculose pulmonaire, sa
mère
est morte à trente-quatre ans du croup, un frère
a salle 37. Ses parents sont vivants, son père est bien portant, sa
mère
a une tumeur dans le ventre, deux de ses frères e
.. Son père est mort a cinquante-deux ans de la fièvre typhoïde, sa
mère
est bien portante : deux frère et sœur sont morts
la salle 9. Son père est bien portant; il a cinquante-trois ans. Sa
mère
est morte à trente-deux ans de tuberculose pulmon
. Son père est mort A quarante-sept ans de tuberculose pulmonaire. Sa
mère
est bien portante. Elle a une sœur vivante qui a
do Molenbeck. Son père est mort d'ivrognerie à trente-cinq ans. Sa
mère
est bien portante. Une sœur est morte en bas âge.
. le professeur Rommelaere. Elle occupe le lit 8 de la salle 37. Sa
mère
est morte de cause inconnue. Son père est bien po
uccombé à l'âge de quarante-trois ans à la tuberculose pulmonaire, sa
mère
est bien portante ; quatre de ses frères et sœurs
mois, à la suite d'un rêve dans lequel elle avait vu son père tuer sa
mère
, elle a eu une attaque de nerfs ; les accès ont é
ère et ses cinq frères et sœurs ont toujours été dune bonne Santé. Sa
mère
est morte au mois de mars 1892 de démence paralyt
mplète ensuite. Ce point particulier de l'histoire pathologique de la
mère
est inléressaut à noter, car il va nous donner la
impressionnable et la voyant si affectée par la cruelle maladie de sa
mère
, l'a éloignée de Paris pour vivre à la campagne d
quelles elle a passé en voyant la déchéance physique et mentale de sa
mère
, elle cherchait à reconstituer dans son esprit la
s ne pouvez ne pas guérir, parce que ce n'est pas la maladie de voire
mère
que vous avet, qui était paralysée, tandis que vo
ancolique, ne pouvant pas même mettre les pieds dans la chambre de sa
mère
sans éclater en sanglots, incapable de se livrer
s affaire. C'est, en effet, frappée par la marche de la maladie de sa
mère
que la fille l'a imitée 4 sa façon. Elle s'est au
pu lui faire comprendre la différence entre sa maladie et celle de sa
mère
et lui persuader que la paralysie générale n'est
ûre de devoir être atteinte de ce qu'elle appelait la paralysie de sa
mère
. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnol
ixante-quatre ans. Son père est mort d'une congestion cérébrale et sa
mère
d'une pneumonie. Il n'a pas d'antécédents hérédit
lé par des rêves dans lesquels il croyait avoir des relations avec sa
mère
, sa sœur et d'autres femmes proches parentes. Les
éliorer, à plus forte raison peut-on obtenir des ré- (1) Toutes les
mères
devraient apprendre le plus tôt possible à leurs
par ses parents. Réintégré au mois de juillet parce qu'il a frappé sa
mère
et son frère. L'enfant lit et écrit de petites ph
nfin on habitue les fillettes aux soins de propreté. C'est ce que les
mères
de familles, les institutrices, les maîtresses de
e à l'asile de Villejuif, le 25 mars 1905. Aggravation. Rendue à sa
mère
qui la réclame, le 31 mars 1905. Amélioration.
sa mère qui la réclame, le 31 mars 1905. Amélioration. Rendue à sa
mère
qui la réclame, le 1er mai 1905. Amélioration not
ême état. Transférée à Villejuif, le 4 décembre 1905. Rendue à sa
mère
qui la réclame, le 10 décembre 1905. Très amélior
re qui la réclame, le 10 décembre 1905. Très améliorée. Rendue à sa
mère
qui la réclame, le 24 décembre 1905. Rob.., Le
pures de...- 9-'i9 207 -1I5G Taisaient des excès de boisson. Les
mères
de... 79 21 100 — Les pères et mè- ?-os de...
2529 742 3271 Le tableau ci-dessus résume la situation des pères et
mères
de tous ces enfants sous le rapport des excès alc
épilepsie. En outre la conception durant l'ivresse du père ou de la
mère
a été relevée chez 298 malades et la conception p
vants : 35, 3 0/0 des pères font des excès de boisson. 3, 2 O/O des
mères
— 1, 6 0/0 des pères et mères — Soit 40, 1 0/
nt des excès de boisson. 3, 2 O/O des mères — 1, 6 0/0 des pères et
mères
— Soit 40, 1 0/0 des parents faisant des excès
OFESSION. NOMBRE ENFANTS NOMS. des " Observations. du père. de la
mère
. grossesses. décédés. vivants. Bel.............
vants. Bel............. Tourneur » 1 » Notre malade, idiot. Père et
Mère
sur cuivre. excès de boisson. Belthoi........
N. m., idiot. Beff............. Peintre » 2 » 1 S- nerveux. Père et
Mère
décorateur. N. m., idiot, épileptique. excès de
e en bâtiments. N. m., née à 8 mois, idio- boisson; syphilis. te.
Mère
syphilis. RedI............. Peintre » 5 morte a
OMS. ——^—————. DES ~"_"~—————————————— OBSERVATIONS. DU PÈRE. DE LA
MÈRE
. GROSSESSES. DÉCÉDÉS. VIVANTS. ~ I Bru.......
ère. 11 3 enfants morts de convul- 1 Garçon et une Fille très Père et
Mère
sions. nerveux. alcooliques. 3 fausses couche
, Epilepsie, Idiotie. NOMS. ' des |i Observations. DU PÈRE. DE LA
MÈRE
. GROSSESSES. j DÉCÉDÉS. VIVANTS. Lésa..........
entale. Dufra........... Fondeur » 1 « N. m., arriération intellec-
Mère
syphilitique en caractères tuelle, perversion d
AT. m., Epilepsie. NOMS. : ~~ DES " " OBSERVATIONS DU PÈRE. DE LA
MÈRE
. GROSSESSES. DÉCÉDÉS. VIVANTS. Noe.............
idiot, épileptique. » NOMS. : des Qbseevations. . du père. de la
mère
. grossesses. décédés. vivants. Men............
oolique. Morill........... Polisseur » 1 « N. m., imbécile. Père et
mère
sur métaux. alcooliques. Bellem.......... Pei
m., épileptique. \ NOMS. des " " " ~ Observations. du père. de la
mère
. grossesses. déckdés. vivants. Sta.............
Baill............ Peintre » 2 1 fausse couche à 3 mois. N. m., idiot.
Mère
syphilis. en bâtiments. Duv............ Moule
NOMS. •——————-——DEg ——————————————— Observations. du père. de la
mère
. grossesses. décédés. vivants. Sud.............
e de compte, l'alcoo-lisme. En effet, sur 150 familles, 83 pères et 4
mères
faisaient des excès de boisson (58 0/0). Notons e
n se trouve doublée par ce fait qu'elle est exercée par le père et la
mère
; — 2° que 4 mères et 4 pères étaient atteints de
e par ce fait qu'elle est exercée par le père et la mère ; — 2° que 4
mères
et 4 pères étaient atteints de syphilis. — Ces st
Inconnus....... 17 2 9 61 Notons enfin que 26 pères et 2
mères
faisaient des excès de boisson (soit 60 °/0) ; qu
res et 2 mères faisaient des excès de boisson (soit 60 °/0) ; que une
mère
et un père étaient atteints de syphilis, et que u
e mère et un père étaient atteints de syphilis, et que un père et une
mère
étaient épileptiques Nota. — N. m., signifie :
arac-tère, migraines. Soldat ou réformé et pourquoi ? ... , ? Père,
mère
, grands-pères et grançl'mèrespa- nu. e eu \ j-e
niques, excentri- \ ques. Y a-t-il eu des enfants en correction ?
Mère
: mêmes renseignements. Consanguinité. — Inégal
. Consanguinité. — Inégalité d'âge. Pays d'origine du père et de la
mère
. (Goitre, fièvres paludéennes, etc.). — Age au mo
ente, absence et de l de sympathie, émotions, état maladif, etc. Y la
mère
' a-t-il des motifs de supposer une interposi-à l
si-à la concep- j tion ? Eu cas d'aliénation du père ou de la tion. [
mère
signaler si elle existait à la conception. Gros
ls ou avec stridor ou respiration retentissante. Allaitement. Sein,
mère
ou nourrice, prise du sein (état des mamelons), b
rice ; grossesse ; syphilis. Accidents nerveux, Son mari, ses père et
mère
buvaient-ils. Motifs du retrait de l'enfant. Al
impressionnabilité. Mauvaise entente de l'enfant avec son père et sa
mère
; discussions, violences, Elourdissements, céph
lières. Resse?nbZa?ice de l'enfant; tient-il plus du père que de la
mère
au point de vue physique et au point de vue psych
ntiers de la visite de ses parents qu'il dit ne pas aimer, surtout sa
mère
. Il lui arrive aussi fréquemment d'uriner au lit
a réserve et détour-nait aussitôt la conversation. Elle causait de sa
mère
en termes peu favorables et disait des choses inv
s vu ses larmes couler en songeant à la peine qu'elle avait fait à sa
mère
. La corde sensible était touchée, cette pensée l'
disposition pour la couture et toutes sortes d'ouvrages manuels. Sa
mère
pour encourager ses aptitudes la place dans la co
un peu négligente, mais il y à, malgré tout, un grand changement. Sa
mère
nous dit qu'elle est corrigée de bien des défauts
onnée. Son intelligence était tout à fait réfractaire à l'étude et sa
mère
déclare qu'on n'avait jamais pu lui rien apprendr
ictées, connaît l'addition, la soustrac-tion et la multiplication. La
mère
se montre très satisfaite des progrès classique
is- serand, entre à l'asile d'Armentières le 13 décembre 1901. Sa
mère
est morte de « fièvre cérébrale ». Lui même est a
ons, etc., vient à tomber à la suite d'une couche, de la mort de sa
mère
, d'embarras d'argent survenus au même moment, d
t pas à dire : « On s'est demandé si des lésions provoquées chez la
mère
peuvent se reproduire chez le rejeton ; tout en
précisément l'homologue du viscère volontairement détérioré chez la
mère
. » Nous ne voudrions pas nous montrer trop diff
nde de légumes, \i"'e Marie N..., âgée de trente ans. Ai°8 N... est
mère
d'une mignonne fillette de huit ans, la petite
re. Ter- 120 varia. rorisée, l'enfant suppliait : « Maman, petite
mère
chérie, ne me fais pas de mal, dis ! » On mit f
en furent ébranlées. Sa folie empira encore du jour où elle devint
mère
, et elle essaya à maintes reprises de tuer son
aubourg-Saint-Antoine. Le malheureux habitait cette adresse avec sa
mère
, employée dans une fabrique de sièges, rue Moreau
leur traitement. Observation '. Folie communiquée par la fille à sa
mère
. 1. - Agent actif. Dégénérescence mentale avec
épression par intervalles. Agent actif d'une folie communiquée à sa
mère
. 111m° G. Marie, âgée de 46 ans, couturière.
ON A L'ÉTUDE DES FOLIES PAR CONTAGION. 145 maladie indéterminée. Sa
mère
, prédisposée alcoolique a été internée en même
nstruction rudimentaire. Depuis l'année 1899, elle habite avec sa
mère
qui, ancienne cui- sinière, est venue auprès d'
influence des habitudes alcooliques apportées dans le ménage par la
mère
, et aussi des soucis que lui donne son fils conda
sur elle à coup de scion. » C'est à partir de cette époque, que la
mère
, qui jusqu'ici cherchait à la rassurer et à lui
dormir. Archives, 2° série, t. XV. 10 146 CLINIQUE MENTALE. Sa
mère
influencée la suit. Ses ennemis la suivent aussi
le 23 décembre 1900 dans le service de notre maître M. Magnan. La
mère
qui avait suivi sa fille dans son évolution délir
tre quelques idées de richesse : « On l'a fait enfermer ici avec sa
mère
, dit-elle, parce qu'elle doit faire un héritage
e d'un million d'une tante de Honneur. » Elle sait en effet, que sa
mère
a été internée, mais elle en a été complètement
xième visite qui eut lieu àla fin de janvier et pendant laquelle la
mère
a essayé de la raisonner. Les idées de persécut
persécutions sont moins fortes qu'au début. Elle se rappelle que sa
mère
pendant un certain temps la raisonnait à ce sujet
u'elle était toujours à l'asile. Elle a bien reçu des lettres de sa
mère
qui est à Dun, mais elle ne sait que croire. Ma
et actif d'une folie qu'elle com- munique après plusieurs mois à sa
mère
qui est une prédis- posée alcoolique chronique
Antécédents héréditaires. Son père est mort à quatre-vingt ans Sa
mère
est morte à quarante-neuf ans de tuberculose pulm
ns, mais tandis que celles de la fille s'incorporent au délire delà
mère
, la fille reste indifférente à celles de sa mère.
ent au délire delà mère, la fille reste indifférente à celles de sa
mère
. C'est ainsi qu'elle n'a jamais eu d'hallucinat
antes entre elles ait produit le même effet que la résistance de la
mère
au délire de la fille pendant les premiers mois
qu'au moment où la fille porte plainte au commissaire de police. La
mère
fait avec elle la même démarche qui la fait int
ait parfois en colère, mais il avait la force de se maintenir. La
mère
est morte à l'âge de vingt-huit ans à la suite d'
, est mort à un âge avancé à la suite d'une fluxion de poitrine. Sa
mère
vit, est bien portante, nerveuse. Une soeur est
Une tante maternelle vésanique morte dans un asile à Rennes; 'la
mère
morte paralysée. Son père, faible d'esprit, mort^
t aux idées noires et restait des semaines entières sans parler. Sa
mère
, morte à quatre-vingts ans à la suite d'une att
tre et par moments s'éva- nouit ; a la même maladie nerveuse que sa
mère
; un fils, faible d'esprit, est porté aux idées
ôpital. Autopsie. Sclérose des os du crâne, intégrité de la dure-
mère
. Pie-mère de l'hémisphère droit trouble et épaiss
dilzinshy Jo2trnal. P. Keraval. XIII. Deux cas de nystagmus chez la
mère
et la fille : par M. Jac- QUE.1U. (Société des
les de Lyon, 27 février 1901.) M. Jacqueau présente deux sujets, la
mère
et l'enfant atteints de nystagmus congénital de
lades que dans la rapidité et l'amplitude des oscillations. Chez la
mère
, les oscillations sont de 420 à 130 par minute, c
personnes désignées par l'article en question sont : le père et la
mère
pour leurs enfants mineurs demeurant avec eux ; l
pie-mère de la région postérieure de la moelle, alors que la pie-
mère
de la région antérieure est indemne. Les lésions
rvice de M. le Dr FeBvRE, le 30 juin 1899. Le père était normal; la
mère
est morte d'un cancer, s'enivrait. La malade a
nements fournis par la malade. Antécédents hérédi- taires : Père et
mère
d'origine normande. Père mort à soixante- trois
cachexie cancéreuse (cancer de l'estomac). Pas de troubles mentaux.
Mère
morte à soixante-treize ans, cardiaque, tombait
uand elle avait dix-neuf ans, la malade dut subvenir à la vie de sa
mère
et se surmena. Elle eut, en outre, à soigner sa
ès anémiée, et de plus encore affectée, dit-elle, par la mort de sa
mère
survenue quatre mois auparavant ; puis, par la
d'hémorragies nasales, et à qui elle avait dû cacher la mort de sa
mère
. La malade raconte que sous le chloroforme, ell
s héréditaires. Père, mort à soixante-dix ans, traumatisme crânien.
Mère
, morte de fièvre typhoïde, cinq ans après la na
ES. 231 la jeune fille est mort de paralysie générale; son père, sa
mère
et son frère se portent bien, mais sont plutôt
ntre une désaffection marquée dont elle ne se rend pas compte et sa
mère
a remarqué que pendant ce temps elle ne faisait
le s'agite continuellement, ne dort plus, elle ne veut plus voir sa
mère
, ni ses parents ni moi-même, pour qui elle ava
flammes de l'enfer et que c'est le diable qui lui fait détester sa
mère
et ses parents. Mon excellent ami le Dr Ballet
agique actionné par quelque affection toxi-infectieuse passée de la
mère
à l'enfant, ne pourrait pas expliquer certaines
foyer tuberculeux. Bien que ce foyer arrivât au contact de la dure-
mère
, cette méningite semble avoir constitué une barri
aux puériles pré- cautions prises pour y porter remède. L'idée fixe
mère
de toutes les phobies, de tous les subterfuges
a cru pouvoir compter sur le concours du public. Toute personne,
mère
de famille ou autre, en possession de documents
ent de ces faits si courants d'influence supposée de l'esprit de la
mère
sur'le corps de l'enfant à naître 1, est priée
ai pas seulement reçu cette grâce par l'intercession de notre chère
mère
, mais bien d'autres très secrètes et très consi
alors, me fit craindre qu'il ne tombât dangereusement malade. La
mère
supérieure lui venant dire adieu, le trouva sans
'abord, dit-elle, néan- moins jamais je n'aimai si tendrement cette
mère
que depuis ce tems là ; et il me sembloit que j
pelle des Ursulines. Son père, son oncle l'abbé de Flécelles, et sa
mère
l'engageaient à signer. Mais ni les larmes du p
préciable. Ces. III. 1-e L..., quarante-cinq ans. Antécédents. Sa
mère
a eu une névralgie faciale qui a provoqué la chut
eu des douleurs fulgurantes et' d'autres signes tabétiques, que sa
mère
a souffert également d'une névral- gie faciale
et à retourner dans son pays. Le 27 décembre de la même année, sa
mère
nous dit qu'elle n'a plus ressenti aucune douleur
- cédents héréditaires, nous notons une névralgie faciale chez sa
mère
, névralgie dont elle a souffert énormément, siége
a malade nous a affirmé qu'elle « avait ça de naissance » et que sa
mère
était affectée de tumeurs semblables. 1 1 mai.
htérie. La maladie empirait lentement; dans ces der- niers temps la
mère
de l'enfant a remarqué un affaiblissement visib
d'onguent gris (2,0). Cas II. Malade de vingt ans. Père alcoolique.
Mère
provenant d'une famille tuberculeuse, mais bien
des maladies nerveuses et mentales et l'alcoolisme du père et de la
mère
(68,78 p. 100), dans 6 cas il y avait une indic
t longtemps encore. Observation I. 1-0 L..., vingt-six ans, mariée,
mère
d'un enfant de quatre ans et demi se portant bi
ée, mère d'un enfant de quatre ans et demi se portant bien. Père et
mère
ner- veux : le père a eu des atteintes de neura
et mère ner- veux : le père a eu des atteintes de neurasthénie, la
mère
est très impressionnable ; mais aucun .cas de p
six ans. Père mort à soixante- cinq ans d'une congestion pulmonaire
Mère
morte à soixante- six ans de coma diabétique.
rir. Au début de décembre 1900, M. F... a la douleur de perdre sa
mère
et il en ressent un coup terrible. A partir de ce
ier lui montra « la nécessité indispensable qu'ont les pères et les
mères
de s'appli- quer avec tout le soin possible à p
us. Sa femme \laynlene Beuselin; née en 1606, était « fille d'une
mère
qui lui di'-oit qu'on ne jeûnoit plus en comparai
e Port-Royal, et le dévot Le Nain de Tillemont. Après la mort de sa
mère
, survenue le 10 novembre 1684 (cinquante ans),
mai 1701, et fut enterré dans l'église de Saint-Etienne du Mont. Sa
mère
lui cherchait « une épouse chrétienne3 ». Elle lu
ine Agnès le Mais- tre de Séricourt, jeune fille très pieuse que sa
mère
mit d'ailleurs dans l'alternative d'accepter le
e carie du tibia, mena la vie dévote et mourut quatre' ans avant sa
mère
; comptant encore parmi ses parents les reli- g
ectopique, etc., ou retour aux présentations anormale de la grand'-
mère
. B) Transformation des stigmates moraux en stig
alternance des présentations anor- males que dans les couches de sa
mère
. Observation 112. Femme normale. Mari dégénéré.
t un peu dans un domaine où l'on envisage surtout les deux facteurs
mère
et foetus, sont en tout conformes aux grandes l
banalité. Trop de sujets ont eu des obsessions, faibles et éphé-
mères
, trop de sujets ont de légères modifications morp
anorexie hystérique, chaque année à l'anniversaire de la mort de sa
mère
. L'hypnotisme fortuit. M. 131 : 111LLON. Dans
ité homogène, et la maladie, le plus souvent, était transmise de la
mère
au fils et plus rarement du père à la fille. Le
es les dépendances de la ferme. Quelques heures après, l'infortunée
mère
découvrit dans un grenier à four- rages son fil
ules, 7 ans, et Modestine, 3 ans. Le petit garçona pu se sauver. La
mère
et la fillette sont mortes. (Bonhomme Normand,
tante avaient eu plusieurs enfants qui étaient morts en bas âge. Sa
mère
était fille unique, elle est morte à trente-hui
avait onze ans lorsqu'en raison d'une affection pulmo- naire de sa
mère
, on l'envoya pour quelques semaines chez une co
sir des soins du ménage et avait le plus grand désir de devenir une
mère
de famille; elle comprenait la fonction comme u
ée dans la moralité sexuelle et a rempli ses devoirs de-femme et de
mère
; et on peut dire que sa moralité s'affirme dan
dans sa famille des tares nerveuses importantes, et son père et sa
mère
étaient tous deux de grands alcooliques. Les
Les enfants, au réveil, ont trouvé le corps de leur père et de leur
mère
dans un flot de sang. La mère ne donnait plus sig
ouvé le corps de leur père et de leur mère dans un flot de sang. La
mère
ne donnait plus signe de vie, mais le père resp
t pas de toutes ses facultés, ce qui ne l'a pas empêchée de devenir
mère
. Elle mit d'abord son enfant en nour- varia. 57
xte qu'il n'était pas bien soigné, elle le retira et le confia à sa
mère
. Mais la maman, au lieu de donnerle biberon à l
Lésion du- par Guil- main, 296. Nystaguus. Deux cas de chez la
mère
et la fille, par Jacqueau, 183. Obsessions. N
bis de notre salle Bouvier ; il exerce la profession de maçon. Sa
mère
, une « nerveuse », est morte phtisique. Son père
es. d'une maladie du foie (ictère et oedèmes). Etait alcoolique. La
mère
vit encore (elle a 5 ans) et se porte bien. Ils
na S. de Montenero (Campobasso), est le sujet de cette observation.
Mère
âgée de 32 ans, mariée à 18, a toujours joui d'
n. Celui-ci, dans les premiers mois, profita régulièrement, mais la
mère
s'aperçut d'une certaine rigi- dité des membres
r de phénomènes convulsifs. Quand l'enfant fut sorti des langes, la
mère
nota avec étonnement qu'il n'était pas capable
s'arrêtant à la partie la plus élevée de la tête de l'humérus. La
mère
affirme que l'enfant est né avec ces lésions qui
ate de soude et quelques cristaux très rares d'oxalate de chaux. La
mère
de l'enfant ne présente actuellement comme manife
homme a vécu jusqu'à ,1 81 ans ; il travaillait encore à 70 ans. Sa
mère
est morte à 60 ans asthma- tique. Ni dans les a
formé et doué d'une force musculaire moyenne. Nourri au sein par sa
mère
il a commencé à marcher à un âge tout à fait norm
un breuvage rougcatre savamment composé : médication interne. La
mère
de la jeune lille, ou quelque amie déjà mûre, s'e
anatomie imprévue, celle des segments radiculaires, ou 1'J¡i : : o-
mères
. Aux médecins maintenant incombe une tâche analog
on. Les métamères périphériques tég2ttetGaires, tout comme les myo-
mères
ou les angiomères, ont, dans de certaines circons
de la peau, comme s'il eût été, seul parmi tous les autres dermato-
mères
, imprégné d'encre sympathique. XII. - Maintenan
ation de la cli- nique infantile le 15 novembre 1898. ' ' Père et
mère
bien'portants. 10 enfants vivants. Il y a 18 mois
des enfants le 23 février 1899. Père âgé de 37 ans, tubercu- leux.
Mère
morte tuberculeuse à l'âge de 27 ans, 8 mois aprè
née à 7 mois. A été élevée au sein jusqu'au moment de la mort de la
mère
. N'a jamais été malade. Rougeole il y a trois a
appareils sont normaux. Observation III. Fillette de 6 ans. Père et
mère
bien portants. Grand-père maternel mort à 42 an
ssance. 200 P. HAUSHALTER ET L. SPILLMANN Entre 21/2 et 3 ans, la
mère
aperçut sur le dos du pied droit une petite tac
antile le 4e avril 1898. Père bien portant, légèrement dyspeptique.
Mère
nerveuse. 2 autres enfants bien por- tants. L'e
ouave pendant 7 ans en Afrique, alcoolique et absinthique invétéré.
Mère
45 ans, nerveuse, migraineuse, goitreuse. 2 fauss
jours été obèse, mais ne présentait aucune anomalie ni déformation.
Mère
morte en 1884 à t'age de 62 ans d'une maladie de
plus gros conscrit de France. Et'chose curieuse, elle est née d'une
mère
qui étant fortement 218 DARTIGUES ET BONNEAU
hilis des parents est de date plus ancienne, et le dernier né d'une
mère
ayant eu déjà plusieurs enfants syphilitiques p
d'assez bonne apparence en venant au monde. Nourris tous six par la
mère
, ils sont morts tous entre 18 et 20 mois, et to
circonstances toujours identiques. Les enfants venaient à terme, la
mère
les nourrissait; ils ne présen- taient jusqu'à
de ces enfants n'ait présenté des symptômes d'hérédo- syphilis. La
mère
déclare seulement qu'ils étaient bien portants, m
ensaire que les indications suivantes : L'enfant est nourrie par la
mère
qui la conduit toutes les trois semaines enviro
n ; elle profite très bien, ne présente aucun symptôme anormal : la
mère
en décembre a eu une poussée légère de dermite av
raitement relativement énergi- que, quoiqu'un peu irrégulier, de la
mère
! Je ne crois pas qu'il puisse y avoir le moind
uement développé les manifestations spéci- fiques présentées par la
mère
et son premier mari ? )Jxiste-t-il une hérédité
dmirable : il se compose simplement de trois figures, la malade, la
mère
et le médecin ». 2° Médecin tdlarze le pouls à
lus joli groupe de la Noce de campagne, à Vienne, est formé par une
mère
allaitant son enfant. Dans la Scène de famille
898). 266 E. HERTOGHE vue, par la thyroïdine, dans une famille ou
mère
et enfants étaient atteints de nyctalopie. La f
talopie. La fille aînée est une naine rachitique à ménorrhagies. La
mère
est manifestement hypothyroïdienne. Certaines for
énérateurs soit atteint d'hy- pothyroïdie. Supposons que ce soit la
mère
. L'influence paludéenne, pour citer un exemple
267 syphilis où les deux peuvent être atteints. Examinez surtout la
mère
. Ne vous contentez pas de lui palper le cou pou
roissance, j'ai interrogé et examiné de propos délibéré beaucoup de
mères
d'enfants nains, arriérés, rachitiques, tous hy
; de l'autre, questions relatives'à l'enfance, l'adolescence de la
mère
, l'apparition de la puberté, la santé générale
pour calculs biliaires. Elle a toujours eu des règles profuses. Sa
mère
est morte d'un calcul hépatique enclavé ; son gra
'impose- [-il paspourcclle enfant et n'élail-il pas indiqué pour la
mère
/au temps où, jeune fille encore, elle suivait la
Constipation invincible. Hernie ombilicale. - cou s'est dégagé. La
mère
me dit avoir perdu un enfant de 3 ans, d'un « g
ulaires et articulaires très intenses, attribuées au rhumatisme. Sa
mère
est morte d'albuminurie. Le traitement commence
irmé. Il existe, en effet, une relation étroite entre l'état de ces
mères
etcelui de leurs enfants. On pourrait tracer l'
oetus est, au cours de la grossesse, soustraite à l'organisme de la
mère
. Aussi voit-on redou- bler les phénomènes dystr
int d'en être fortement affai- blie. Son père est encore en vie; sa
mère
est morte d'albuminurie à l'âge de retour. Notr
jourd'hui sa santé est passable, mais il lui est resté, au dire de la
mère
, un certain degré d'hydrémie et de gonflement o
mélie de la main et de l'avant-bras gauches chez une femme issue de
mère
hypothyroïdienne (Observation III). mique. La t
t in utero reconnaît-il pour cause l'infériorité thyroïdienne de la
mère
? Nous n'oserions l'affirmer. De nouvelles recher
père, quatre de ses frères et soeurs sont morts de tuberculose. La
mère
était bien consti- tuée et a vécu jusque l',iâe
en trouva très bien. Les épistaxis disparurent presque aussitôt. La
mère
me consulta également pour son état de santé. Trè
st plaqué de psoriasis. (Fig. 26.) Le père est mort tuberculeux. La
mère
est obèse et je n'ai pu recueillir son histoire
vrier 1899, il ne mouilla son lit que sept fois. L'histoire de la
mère
de cet enfant est des plus intéressantes au point
t gros, sensible, et un gros ovaire se trouve dans le Douglas. Sa
mère
est morte de tuberculose. Trois de ses tantes du
les sont très peu développées. Il urine au lit toutes les nuits. La
mère
(44 ans) souffre beaucoup du dos, a eu plusieurs
Antécédents. Le père est mort à 57 ans, d'une maladie de coeur, la
mère
est morte à 30 ans de suite de couches. Une s
lit n° 9. Antécédents . - Son père est mort à 60 ans subitement, sa
mère
est morte à 70 ans de tuberculose pulmonaire pr
est mort à 65 ans des suites d'un accident de che- min de fer ; sa
mère
est morte subitement à 60 ans ; une soeur est mor
Boulogne, lit n° 14. , Antécédents. Le père est mort à 84 ans ; la
mère
est morte du choléra en 1849, à 32 ans. Elle
érité pathologique en est saisis- sante. Donnée bien simple : une
mère
tient sur ses genoux son enfant malade, mais qu
t G). Antécédents héréditaires. Père mort à 61 ans, cause inconnue;
mère
morte à 71 ans ; a eu 2 frères et 1 soeur. Le
die nerveuse ni d'atrophie muscu- laire. . Père mort il 80 ans.
Mère
morte à 45 ans. A encore une soeur de 58 ans bi
ré le 7 juillet 1888 (PI. LXI, fig. E). Antécédents héréditaires.
Mère
morte à 57 ans après une maladie qui aurait dur
eint de paralysie infantile, attaque d'apoplexie, étylisme avéré.
Mère
bien portante. Grand-père maternel mort d'hémor
Hérédité ET parenté. Les grands-parents ont atteint un âge avancé;
mère
morte à 57 ans, asthmatique; père mort d'accide
urait joui d'une bonne santé, serait mort en 1870 de la variole. Sa
mère
serait morte en 1882 d'une maladie qu'il ne peut
us savons seulement que le père est mort à 80 ans de vieillesse, la
mère
à 50 ans, de congestion cérébrale. Le malade n'
le. Le malade n'a qu'une soeur, fort nerveuse et émotive, mariée et
mère
d'une fillette en bonne santé. Dans les antécéd
e Yerstrce- ten (35) parait avoir été acromégalique, de même que la
mère
de la ma- lade de Schwoner (27). Enfin, le di
ervations. Dans la première, le père est triste et mélancolique, la
mère
meurt d'apoplexie ; sur dix en- fants, deux se
s oncles sont alcooliques. Dans la deuxième, le père est buveur, la
mère
, goitreuse. Gïtiiioîî,(11), en 1890, publie le
cutions ayant nécessité l'in- ternement chez un oncle paternel ; la
mère
eststrabique ; sur 9 enfants, on compte, outre
t neveu de buveurs. - Thomas (33) signale une acromégalique dont la
mère
mourut mélanco- lique dans un asile d'aliénés.
ale : la grand-mère mater- nelle était nerveuse et asthmatique ; la
mère
, faible et nerveuse, avait supporté beaucoup d'
rricht (34) meurt d'apoplexie. Un autre malade d'Haskovec (13) a sa
mère
et un oncle maternel mélan- coliques. Le père
ril 1896. Antécédents. - Son père est mort subitement il 55 ans, sa
mère
est âgée de 76 ans, elle a une bronchite chroni
no 3. Antécédents. Son père est mort à 63 ans accidentellement, sa
mère
est morte à 74 ans d'une affection pulmonaire a
édents. - Le père est mort à 72 ans, d'une fluxion de poitrine ; la
mère
est morte à 40 ans, un an après avoir accouché de
14. Antécédents. - Le père est mort à G5 ans, d'une pneumonie ; la
mère
est vi- vante, elle a 62 ans, et elle est bien
le même oedème dur et indolore, un peu moins blanc ici que chez la
mère
et les deux soeurs. La jambe gauche est indemne ;
. La jambe gauche est indemne ; mais rien ne dit, fait remarquer la
mère
, que celle-ci ne grossira pas à son tour, car c
CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE 459 Observations V et VI. Deux frères de la
mère
de nos malades, leurs oncles maternels par cons
à celle dont elles sont atteintes actuellement. Les souvenirs de la
mère
sont à cet égard très affirmatifs. Quant au p
grand-père maternel. Grand'mère maternelle (60 ans). Frère de la
mère
(m. à 25 ans). Mère (40 ans). Frère de la mère (m
. Grand'mère maternelle (60 ans). Frère de la mère (m. à 25 ans).
Mère
(40 ans). Frère de la mère (m. à 27 ans). Ar. (
60 ans). Frère de la mère (m. à 25 ans). Mère (40 ans). Frère de la
mère
(m. à 27 ans). Ar. (21 ans). Fe. (17 ans). Frèr
Sans parler des monstruosités, il est de notoriété courante que de
mère
en fille, de père en fils, les anomalies osseuses
ntécédents héréditaires n'a rien donné d'intéressant. Le père et la
mère
sont bien portants, une soeur plus jeune et sept
ne s'était adonné il la boisson qu'après la naissance du malade. La
mère
est morte ci 48 ans hydropique. Un frère a été
ion. Filippa Michèle, âgé de 48 ans, garde d'octroi. Son père et sa
mère
sont X : CII1 1 - BERTOLOTTI morts depuis l
d'une maladie de coeur après une quinzaine de jours d'alitement. Sa
mère
était elle aussi de taille assez élevée pour un
publié plusieurs cas d'enfants acromégales issus d'un père ou d'une
mère
elle aussi acromégale. Fraënzel a décrit une fe
parents sont bien portants : père aproximativement âgé de 60 ans ;
mère
, 50. Quatre frères, dont deux plus âgés que lui,t
hypothèse) ou une intoxication (2< hypothèse) dont a souffert sa
mère
, que ces deux causes ont touché di- rectement l
ts. Nie la syphilis. Son père est mort d'une maladie du cerveau, sa
mère
, dans la profonde vieillesse (artério-sclérose).
sont les cas où les masses néoformées, après avoir envahi la dure-
mère
, pénètrent le long des racines médullaires ou à t
gré, et qui avaient leurs parents consanguins, furent le père et la
mère
de nos trois malades. La grand'mère du côté mat
die pulmonaire. Il parait qu'il a été toujours bien por- tant. La
mère
, dont nous donnons ici la photographie (PI. XI),
sa chaumière en 9 : )OU., à l'îige de 50 ans. - - Son père et sa
mère
étaient morts âgés depuis peu de temps. Jamais
parfaitement par la photographie (PI. XI) où il paraît à côté de sa
mère
. Je dois dire qu'il est très dégagé et absolume
possibles, c'était une jolie enfant qui fut allaitée au sein de sa
mère
pendant 16 mois consécutifs. Elle a eu un dével
semaine. Après une huitaine, cet état fiévreux dis- parut, mais la
mère
s'aperçut que l'enfant présentait encore un certa
lle articulait bien les mois et à part sa démarche un peu lente, sa
mère
n'avait pas remarqué jus- qu'à cette époque auc
e époque aucune altération évidente. Ce fut à l'âge de 5 ans que la
mère
releva une position anormale dans les doigts de
e aurait débuté par les extrémités supérieures. L'attention de la
mère
fut ensuite attirée par les modifications survenu
arche au bas de la montagne. Selon les renseignements donnés par la
mère
, il paraît que les phénomènes d'atrophie muscul
peu près entre 10 et 12 ans. C'est à cette époque, en effet, que la
mère
remarqua chez Marguerite des altérations dans l
emeurait assez satisfaisant. Elle fut réglée l'âcye de 16 ans, la
mère
nous a bien précisé cette époque, car elle s'at
son temps assise dans un coin dans la position où l'avait placée sa
mère
, en se rongeant les ongles et en at- tendant qu
elles, un appel vibrant à peu près inarticulé sort de sa bouche. La
mère
, qui est toujours en éveil, accourt, empoigne l
tout de suite dans quelle déchéance psychique elle est tombée. La
mère
nous a répété plusieurs fois comment cette diminu
erdue, elle hait ses soeurs et je ne crois pas qu'elle affectionne sa
mère
, bien que la mère pour elle soit l'ange gardien
soeurs et je ne crois pas qu'elle affectionne sa mère, bien que la
mère
pour elle soit l'ange gardien de ses jours et de
cialement le ton- nerre exercent sur elle une terreur véritable. La
mère
, à ce propos, nous dit qu'alors que la montagne
ait devenue livide, les extrémités étaient toujours froides. ' La
mère
, qui avait suivi avec tout son regret maternel le
'âge, s'est empiré encore plus rapidement que chez Marguerite. La
mère
nous a dit que le timbre de la voix d'Aurélie aur
rtant paraît encore un peu conservée. Elle se met à pleu- rer si sa
mère
menace de l'abandonner. Si on lui propose de lais
; pour moi, c'est un langage à peu près inarticulé,cependant pour la
mère
ce murmure est encore compréhensible. Aurélie
inct animal. Elle a peur des bruits, du tonnerre, des reproches de sa
mère
, mais tout le reste pour elle est plongé dans l
che. Elle est capable de distinguer de cette façon l'approche de sa
mère
ou de ses frères. L'odorat au contraire parait
détaillé, mais si l'on en veut juger par les rensei- gnements de la
mère
, il est très probable que l'odorat et le goût son
très avide et affamée, elle mange avec indifférence tout ce que la
mère
lui apporte, sans faire de distinction. Elle n'es
98 et c'était la sixième de la nichée. Elle aussi fût allaitée par sa
mère
. Il paraît que Elisabeth aurait montré un dével
ueluche, mais elle n'eut jamais aucune manifestation convulsive. Sa
mère
commençait à croire qu'Elisabeth serait épargnée
rguerite et chez Aurélie ont déjà atteint une gravité extrême. La
mère
nous a dit qu'Elisabeth était une enfant très éve
th est en effet encore bien conservée ; elle est très attachée à sa
mère
, à ses frères et à sa soeur Aurélie. Sa mémoire e
réditaires. - Père mort de congestion cérébrale à l'âge de 79 ans ;
mère
morte à l'âge de 78 ans. Un frère est mort à 40 a
a masse néoplasique qui dans un endroit seulement adhère à la dure-
mère
. (La localisation de ces masses correspond au fai
ique molle dans la partie cervicale de la moelle entourant la dure-
mère
surtout du côté gauche. Les masses se réunissaien
un niveau correspondant des masses néoplasiques entourant la dure-
mère
(il s'agit le plus souvent de sarcomes ou de tume
Les anomalies digitales existaient dès la naissance de l'enfant : la
mère
est très affirmative sur ce point; elle remarqu
d'ailleurs rien présenté de particulier. Pendant la gros- vesse, la
mère
qui était blanchisseuse, fut très fatiguée. Le bé
sommet et cria tout de suite ; il pesait six livres. Nourri par la
mère
, il grandit normalement jusqu'à dix mois.A cet
ons qui durèrent qua- tre heures, et, trois jours après, raconte la
mère
, une méningite fébrile bientôt suivie d'une par
e, bien que la famille suit fertile en attributs dégénératifs. La
mère
n'a que un mètre dix : elle est bien conformée, t
ois mois paralysé des deux membres inférieurs; actuellement, dit la
mère
, il marche, apprend à lire, mais urine au lit.
s, ne présentent pas d'anomalies. Entre ses grossesses normales, la
mère
, au cours de fatigues exagérées, a fait deux avor
ables. De leurs enfants une petite fille est « très bizarre ». La
mère
qui a donné ces renseignements sur la famille de
couches. Notre garçon fut conçu au grand déplaisir des parents. La
mère
, triste, irritable, craintive, buvait beaucoup de
iblement que ceux des autres enfants. Vers la fin de la gestation, la
mère
était somnolente et eut des vomissements. L'acc
d'une véritable famille achon- droplasique, composée du père, de la
mère
et d'un enfant, nous croyons qu'il vaut la pein
l était de haute taille, bien bâti et n'avait jamais été malade. La
mère
est morte, il y a 29 ans, après une longue maladi
ossible de savoir si le sujet a eu d'autres frères ou soeurs, si sa
mère
a eu des fausses couches, car dès son enfance il
né à terme, d'un accouchement physiologique ; il fut allaité par sa
mère
. Dès sa naissance, ses parents s'aper- çurent q
it de quelle maladie. Il était bien bâti et de constitution forte. La
mère
est vivante, saine et de conformation normale.
terme, après un accouchement physiolo- gique, il fut allaité par sa
mère
. D'après ce qu'il en dit, dès sa naissance le p
elle est tout à fait pareille à ses parents. A l'accouchement la
mère
dut subir l'opération césarienne dans une mai-
die. Il était de constitution robuste et de taille assez élevée. La
mère
est vivante et saine, bien bâtie et âgée de 61 an
Né à terme, après un accouchement laborieux, il fut allaité par sa
mère
. Dès sa naissance il a toujours eu la tête très g
e père dit qu'elle reproduit un peu pins en petit le portrait de sa
mère
. Elle est très in- telligente, elle a fini ses
classes et sait lire et écrire très bien. Elle fut allaitée par sa
mère
et n'eut jamais aucune maladie. Il n'y a aucun
n peut tirer peu de chose ; rien à conclure à propos du père, de la
mère
, des frères et des soeurs, tous étaient bien bâ-
OPLASIE EST-ELLE HÉRÉDITAIRE 268 une affection syphilitique chez la
mère
? On pourra la soupçonner, mais nous ne pouvons
dans le deuxième cas où l'on peut soupçonner une sy- philis chez la
mère
, chez les autres nous ne pouvons songer à aucune
plasie une intoxication héréditaire qui dérive de l'organisme de la
mère
. L'achondroplasie enfin, selon quelques-uns, se
nous venons de le dire, on pourrait soupçonner la syphilis chez la
mère
, étant donné le fait de la mort de plusieurs en
en développée et qui, en somme, présente en petit le portrait de sa
mère
. Ici il n'y a pas de doute qu'il s'agisse d'une
amilles entières de myxoedématiques et de crétins, où le père et la
mère
peuvent transmettre à leurs enfants toutes les
tion ou une intoxi- cation congénitale ou héréditaire, venant de la
mère
ou d'ailleurs. On sait qu'en général les indivi
ution faible, qui facilement sont atteints par des maladies ; d'une
mère
néphrétique ou seulement anémique ou chlorotique
Porak et Durante montrent deux infections bien déterminées chez les
mères
de deux achondroplasiques. M. Durante rapporte
s mères de deux achondroplasiques. M. Durante rapporte un cas où la
mère
était une tuber- culeuse chronique avec des alt
ins ; dans d'autres cas on a constaté avec sûreté la syphilis chez la
mère
. Mais ce sont des exceptions rares dans les cas
use de l'achondroplasie une intoxication, une in- fectionvenantdela
mère
, nous croyons plus probable qu'elle agi seulement
ionner : son père est mort à 55 ans à la suite d'une pneumonie ; sa
mère
à l'âge de 58 ans de choléra ; ses aïeuls sont
s une grande étendue. On vit que la moelle (recouverte par la dure-
mère
) était plus mince au niveau de la VIIe vertèbre q
L'autopsie démontra l'existence d'une tumeur au dehors de la dure-
mère
. - Dans ce cas également les lésions de la moel
auche inférieure. La tumeur était adhérente à la dure- 358 FLATAU
mère
, dure à la palpation ; le tissu cérébral ambiant
côté, les deux ailes étant exactement superposables en pensée. La
mère
, primipare, âgée de 19 ans, est bien constituée.
à gauche. A noter encore que depuis le 3e mois de sa grossesse, la
mère
a présenté une pigmentation extrêmement prononc
0 ans environ, femme de service, mariée. Père mort de pneumo- nie ;
mère
morte paralytique à 86 ans. Deux soeurs mortes en
temps, de névralgies. La malade, née à terme, a été nourrie par sa
mère
. La dentition, la parole, la marche, se montrèr
uand la surexcitation d'une ivresse causa la vie à notre malade. La
mère
n'avait que trente ans et souffrait t de névral
d'père maternel buvait volontiers. Parmi les oncles et tantes de la
mère
, plusieurs sont morts de convulsions en bas-âge ;
vulsions ; les autres sont strabiques. Enceinte de notre malade, la
mère
était terrorisée par son mari ; elle fit une ch
LE CONGÉNITALE DU QUATRIÈME MÉTATARSIEN. ANOMALIE SEMBLABLE CHEZ LA
MÈRE
. La malade, Emilie Laug., est âgée de dix-huit
ue d'anomalie osseuse ou somatique quelconque. L'enfant est, dit la
mère
, venue au monde avec des mains tout à fait norm
n- née, elle fit une chute sur le poing : ce fut à ce moment que la
mère
remarqua la déformation à son début et elle put
eur (sarcome à cellules fusiformes) sur la face interne de la dure-
mère
au niveau de la VIIe vertèbre cervicale (VIsegmen
n moyenne de 1.625), et 3 restèrent extrêmement petits, sans que la
mère
fut aucunement malade ni à l'époque de la concept
e serait causé soit par une mauvaise conformation de l'utérus de la
mère
, soit surtout par une ma- ladie atteignant le j
e sa famille ; il était le cinquième et eut 12 frères Après lui, sa
mère
mit au monde trois autres enfants qui présentaien
corps : 23 kil. 500. 'i Antécédents héréditaires. - Le père et la
mère
de notre sujet étaient des individus de taille
ère n'était pas alcoolique et n'avait pas contracté la syphilis. La
mère
n'avait jamais fait de fausses couches et avait
onl été frappés par son extrême petitesse ; il a été nourri par sa
mère
et n'a jamais eu de maladie. Son développemen
s- sesse et un accouchement physiologiques ; il a été nourri par sa
mère
. A la naissance il était d'une petitesse extrêm
dents héréditaires. Les grands-parents paternels et maternels et la
mère
étaient de taille normale et jouissaient d'une ex
ières phalanges des doigts ; il se maria avec une femme normale; la
mère
de notre nain, qui ne fit pas de fausses coucli
qui est identique à celle que nous avons décrite chez son père; sa
mère
est, comme nous l'avons déjà dit, une femme de
notée plusieurs fois : raccourcissement du même métatarsien chez la
mère
et chez la fille, bien qu'à un pied différent (ob
). Aux pieds, il s'agissait tantôt du quatrième métatarsien (obs. 4
mère
et fille, Ilirtz) ; tantôt du qua- trième et du
a toujours élé paternelle : dans la première famille, en effet, la
mère
et le père de notre nain étaient de taille norm
famille, le père de notre sujet était nain aussi, cependant que sa
mère
était normale ; notre sujet enfin,qui a des enfan
idus mâles, et surtout être trans- mise par ceux-ci même lorsque la
mère
est normale. Nous ferons remarquer à ce propos
spécimen clinique à tout point de vue très intéressant; issu d'une
mère
normale et d'un père typiquement micro- somien,
êtera-t-il en permettant à cette petite de devenir normale comme sa
mère
? Nous ne pouvons naturellement répondre à ces
mille présentant des lésions nerveuses et de la polydactylie : La
mère
et deux oncle et tante maternels sont migraineux
ance, est devenu dyspep- tique, asthénique et impressionnable. La
mère
se plaint de migraines, de céphalée eu casque ; l
16 mois ; elle est impressionnable. Notre malade, portée par une
mère
fatiguée, sujette aux étourdissements prolongés
ie héréditaire est probable ; ainsi, il a observé une famille où la
mère
, la fille et le petit-fils n'avaient qu'un seul d
rvice de M. CHARCOT, le 15 décembre 1886. Antécédents héréditaires.
Mère
rhumatisante. Père mort d'une maladie d'estomac
taires . Père mort à cinquante-deux ans d'entérite, dit la malade.-
Mère
vitet se porte bien. Un frère est très nerveux,
te aiguë; à ce moment, l'enfant n'était âgée que de six mois, et sa
mère
la nourrissait; elle dut cesser l'allaitement.
mois, et sa mère la nourrissait; elle dut cesser l'allaitement. La
mère
est née d'une famille de rhumatisants et de gou
ait sur le ventre, pour éditer le décubitus dorsal doulou- reux. Sa
mère
a remarqué qu'alors même qu'elle dormait le moi
ns, a été soumis à l'examen de M. Charcot. le 13 avril 1877. - Sa
mère
est migraineuse : lui-même n'a jamais été malade.
est ordinairement bien portant, ainsi que les oncles paternels. La
mère
est rhumatisante, et a eu une attaque de rhumat
l, sauf un stra- hisme congénital, comme l'affirment sesparents. Sa
mère
est jeune et jouit d'une bonne santé; son père
t il est impossible à la malade de les étendre volontairement; sa
mère
dit que ses membres s'allongent pendant le sommei
ïde avec complications cérébrales, était sujet à des névralgies. - -
Mère
, actrice très im- pressionnable, se met facilem
ze mois, demeurant en province. Antécédents héréditaires. Père et
mère
bien portants. Une cousine germaine a été inter
observation sui- vante : Observation XXV. -Père, mort phthisique.
Mère
migrai- neuse de l'âge de six ans à la ménopaus
mai 1877 (service de M. BouRNEVILLE). Renseignements fournis par la
mère
. Père naturel, plom- bier zingueur, pas d'accid
ins, sobre, mort de phthisie à l'âge de quarante-deux ans. [Père et
mère
, soeurs et frères bien portants. Pas d'épilepti
nts. Pas d'épileptiques, pas de suicides, etc., dans la famille.]
Mère
, soixante-deux ans, marchande des quatre saisons
umonie, mais est actuellement bien portante. [Père, pas de détails.
Mère
, migraineuse, morte du choléra. Une saur et tro
est née d'un père alcoolique qui a quitté le domicile conjugal. Sa
mère
a présenté pendant sa jeunesse des accidents co
elle fut toujours nerveuse et, à la suite d'une peur, - nous dit la
mère
elle aurait présenté des phénomènes névropathique
heure actuelle. Les selles, étaient au début, d'après le dire de la
mère
, séparées par un intervalle de plusieurs jours
ta famille; ne pense plus à ta femme, c'est une coquine; pense à ta
mère
, etc. » Le malade les entend aussi bien de l'or
e comme sur la substance grise. Observa- tion II. Enfant issu d'une
mère
nerveuse. Il est, en pleine santé, pris de conv
Foula, dans un endroit réputé non fiévreux. Il a été nourri par sa
mère
: il ignore s'il est venu à terme. Il était le
ans. Son père est mort quatre ans plus tôt d'une maladie aiguë. Sa
mère
vit encore et donna le jour à quatorze enfants.
EJ et y est décédé le 12 mars 1886. Renseignements fournis par sa
mère
(8 novembre 1884). -- Père, tailleur, assez gra
tes d'un refroidissement ( ? ) en trois jours ; tisserand, sobre. -
Mère
, morte à soixante-douze ans, d'une attaque d'ap
ots, de difformes, de suicidés, ni de criminels dans la famille.]
Mère
, quarante-quatre ans, couturière, brune, de taill
ère, mort en 1871, de la varioloïde, menuisier. Excès de boisson. -
Mère
, bien portante, soixante-six ans, sobre. z Gran
ort. Elevé au sein par une cousine. - A deux ans et demi lorsque sa
mère
l'a repris, il avait toutes ses dents. De bonne,
alors le catéchisme pour sa première communion, ce qui fait que sa
mère
attribue cette diminution des accès à une « per
i, il est allé en Prusse (en pleine campagne, dans la famille de sa
mère
). Il y est resté deux mois; il a eu peur, il au
84. On a noté en outre depuis un an des accès de colère contre sa
mère
qu'il prenait par les cheveux, contre son petit f
u'il cassait. Un jour, une dame voyant qu'il se révoltait contre sa
mère
, l'a souffleté ; alors, de rage, il a pris un c
», et cherche parfois àl'embrasser; dit : do voudrais bien voir ma
mère
. » Caractère très doux, très obéissant. Il sait
nt à la période mél71ll- gilique terminale. ' Observation XXXVII.
Mère
, nerveuse. - Grand'mère maternelle, attaques de
Conception par viol. - Grande différence d'âge entre les père et
mère
. - Premières convulsions Ii six mois. - De quinze
res, de prétendus rats et des souris. Observation XL. Père douteux.
Mère
débauchée. - Début des accès a quatre ans. - Ch
t phthisique. Un oncle paternel phthisique. Un autre épileptique. -
Mère
migraineuse. Grand'mère maternelle hystérique.
Il cherche souvent également à se déshabiller. Etant encore chez sa
mère
, Louq... accomplissait des actes automatiques :
e. Au bout de quelques minutes, il revint à lui. Observation XLV.
Mère
, nerveuse, inconduite, migraineuse, morte phthi
ervation XLVI. - Père diabétique. Grand'mère paternelle phthisique.
Mère
hystérique. Deux cousins germains de la mère du
ternelle phthisique. Mère hystérique. Deux cousins germains de la
mère
du côté paternel, épileptiques. - Vertiges à dix-
ça lui piquait dans la tête et dans le nez. Il accourait vers sa
mère
chez laquelle il ne s'est jamais blessé. Dans son
ait dans la chambre, dans l'avenue (à Saint-Mandé), voulait tuer sa
mère
parce qu'elle ne voulait pas lui laisser faire
portance en médecine légale est bien moindre. Observation XLVII -
Mère
, morte d'un cancer au sein. Début de l'épilepsi
malades du service de Bicêtre : Observation L. - Père alcoolique. -
Mère
phthisique. - Soeurs et pères ¡¡¡¡¡lfomu;s et c
rine quelquefois sous lui; enfin il se rendort. Observation LI ! . -
Mère
hystérique, intelligence peu développée.- Grand
es accidents, il a donné un violent coup de main sur l'épaule de sa
mère
. Jamais il n'a frappé son père; il lui disait :
au lecteur le soin de juger eu dernier ressort. Observation LUI.
Mère
morte maniaque. Signes légers de dégénérescence
e fer, est un individu pâle, un peu chétif. Son père vit encore, sa
mère
est morte maniaque à l'âge de quarante ans. Frè
éditaires Pare, mort en 1856, de la fièvre jaune dans les colonies.
Mère
, morte d'un accès de fièvre pernicieuse, contra
sont là pour attester l'existence delà diathèse nerveuse chez la
mère
. DE LA PARALYSIE FACIALE. 359 Dans tous les f
epuis deux ans environ. Antécédents de famille : Père bien portant,
mère
très nerveuse. Un oncle maternel est épileptiqu
ère mort à cinquante-neuf ans à la suite d'une attaque d'apoplexie;
mère
très nerveuse, âgée aujour- d'hui de soixante-d
ère mort depuis dix ans à la suite d'une maladie nerveuse ( ? ). Su
mère
, qui souffrait habituellement de mi- graines et
du côté du père souffre habituellement de névralgies de la face. La
mère
est bien portante. C... a deux soeurs qui jouis
dix ans, à l'âge de soixante ans à la suite d'une maladie de coeur.
Mère
épileptique morte il y a neuf ans; un frère de
une maladie du cerveau ( ? ). La malade ne peut préciser davantage.
Mère
bien portante, trois frères en bonne santé; une s
ujet de la mort de son père permettent de conclure au suicide) ; sa
mère
est bien portante. Antécédents personnels : L
s suivants : Antécédents de famille : Son père est bien portant. Sa
mère
, nous dit-il, a eu, durant de longues années, d
vint nous consulter le 1 octobre 1887. Antécédents héréditaires :
Mère
morte phtisique, père ataxique. La malade a tro
asile d'aliénés. Père mort ataxique à l'âge de cinquante-huit ans,
mère
, très nerveuse, est morte à l'âge de soixante a
'on cachait dans la famille; grand' mère maternelle très nerveuse ;
mère
morte diabétique ; une tante maternelle migraineu
ernelle migraineuse et morte hémiplégique ; un cousin germain de la
mère
mort aliéné. Antécédents personnels : Rougeole,
arents consanguins {cousins germains); le père est bien portant, la
mère
est nerveuse, a eu souvent des crises hystériqu
de la face; une tante paternelle est atteinte de rhumatisme noueux.
Mère
nerveuse, souffre fréquemment de maux de tête e
un oncle paternel rhumatisant, un autre oncle paternel diabétique,
mère
rhumatisante, une tante maternelle migraineuse,
te, une tante maternelle migraineuse, une autre tante du côté de la
mère
atteinte d'eczéma chronique; la malade a une sc
édents héréditaires : Père mort à la suite d'une tumeur abdominale;
mère
, âgée de soixante ans, très nerveuse, a des atta-
rvés pendant la vie. Observation L1V. Tante paternelle scrofuleuse.
Mère
migrai- neuse. Grand-père maternel alcoolique.
décédé le 16 septembre z. Renseignements fournis par le père et la
mère
(7 septembre 1885). Père, cinquante-neuf ans, c
urnalier, mort à l'âge de soixante et onze ans, on ne sait de quoi.
Mère
morte de vieillesse ( ? ) à l'âge de soixante-d
nés, pas d'épileptiques, pas de suicides, etc., dans la famille.]
Mère
, soixante ans, assez grande, brune, fait son ména
enfant naturel, mort alcoolique, à l'âge de soixante ans environ.-
Mère
morte à trente-cinqans de bronchite. Pas d'alié
forme. L'enfant était bien conformé, il a été nourri au sein par sa
mère
jusqu'à deux ans ; il a commencé à parler de bo
s difficile d'obtenir des renseignements bien précis, le père et la
mère
étant d'une intelligence au-dessofls de la moyenn
mère étant d'une intelligence au-dessofls de la moyenne. De plus la
mère
parle mal le français. 382 CLINIQUE NERVEUSE.
t de vue des idées actuelles que, il y a nne vingtaine d'années, sa
mère
ayant voulu racheter son frère du service, elle
à cette occasion qu'elle aurait écrit, il y a quelques années à sa
mère
. Les règles, se sont montrées à douze ans et no
seignement positif. Le père est âgé de 78 ans et se porte bien ; la
mère
est morte à 53 ans d'une affection car- diaque
les cordes ne pouvaient réaliser une tension synergique même éphé-
mère
, et le thorax s'affaissant, l'effort demandé ne p
leur pays. 108 DEBOVE Les cigognes nourrissent leur père et leur
mère
dans leur vieillesse. Ces animaux sont humains
ssin. Nous citerons quel- ques types : . « Monstre semblable à sa
mère
dans la partie sus-ombilicale, chien dans la pa
- relle (2), les pieds de l'enfant. qui repose sur les genoux de sa
mère
, ne sont pas touchés ; il n'y a pas d'extension
aire et succomba à 41 ans, au cours d'une polynévrite éthylique. Sa
mère
, grande nerveuse, mourut à l'époque de la ménop
le tableau clinique. OSERVATION IV. K... Fritz est né en 1881. Sa
mère
est internée depuis bien des années. Nous l'avo
il 1901. Père mort à l'âge de 50 ans, on ne sait de quelle maladie,
mère
vivante, un frère en bonne santé. En 1887, to
Ste-Anne. un cas d'acromégalie 177 Antécédents héréditaires, - Sa
mère
est morte d'affection cardiaque avec hydropisie
t une fille, se portent très bien. La fille ressemble beaucoup à sa
mère
. La ménopause est survenue à l'âge de 50 ans en
Observation 1 (1). Le jeune D..., âgé de 10 ans, est amené par sa
mère
à l'hôpital de la Pitié le 26 octobre 1904. D
tion cardiaque à l'âge de 42 ans. Son père est bien portant. Sa
mère
, actuellement bien portante, ne présentant aucune
OBs. Vit C. Lorenzo, 15 ans, confiseur de son état. Père alcoolique.
Mère
hystérique. Rougeole à 5 ans. Après cela santé
de poitrine v. Il aurait même craché du sang à plusieurs reprises.
Mère
vivante et de santé excellente. Son grand-pèr
s de la moelle cervicale,on note une infiltration légère de la pie-
mère
à la face antérieure des segments cervicaux les p
de commerce, est entré à l'asile de Vaucluse, le 5 juin 1897. Sa
mère
est morte à 64 ans, trois jours après un ictus ap
es quelques rensei- ments suivants. . Son père est mort jeune, sa
mère
est bien portante. M... a un frère en bonne (1)
xamen histologique. Moelle cervicale. Ilématoxyline-éosine. La pie-
mère
, très épaissie et enflammée chroniquement, est pl
ort à 78 ans d'hé- morragie cérébrale, mais il est à retenir que sa
mère
est morte à la Salpêtrière après y avoir été ho
couturière et subvenir à ses besoins, à ceux de son enfant et de sa
mère
. La faiblesse et l'impotence faisant des progrè
adémie de médecine, 3 mars 1903) cite un cas d'hérédité directe, la
mère
et la fille se trouvant très nettement atteintes
mie de médecine, M. Berger résume l'observation de deux malades, la
mère
et le fils. Enfin les deux cas de M. Walter, da
réditaire de ces troubles. Ces malades sont au nombre de quatre, la
mère
et les trois enfants. L'étude des antécédents h
fournit quel- ques renseignements intéressants. Les parents de la
mère
sont morts, son père à )'age de 36 ans, de cause
a mère sont morts, son père à )'age de 36 ans, de cause ignorée, sa
mère
à 35 ans, emphysémateuse avec complications cardi
. Il se re- fuse énergiquement à tout examen. L'observation de la
mère
est plus intéressante, nous la donnons avec que
le bord postérieur de l'épine de l'omoplate, analogue à celle de la
mère
, mais bilatérale comme la lésion, et proportionne
ne est complètement ossifié, mais cette ossification, au dire de la
mère
, a été tardive et ne s'est produite qu'entre 7 et
toe » ; les fosses sus-épineuses sont normales. De même que chez la
mère
et la soeur, on constate chez l'enfant un tuber-
t6aud, Paru DYSOSTOSE CLÉIDO-CRANIENNE HÉRÉDITAIRE 307 suivant la
mère
, que depuis neuf ou dix mois ; on constate même e
x d'ossification secondaire de la clavicule. L'intelligence de la
mère
et des enfants est conservée et même assez vive
peut donner sur sa famille que des renseignements assez vagues. Sa
mère
est morte depuis longtemps. Elle ignore de quoi
composée du père et du fils, la deuxième famille (E) com- prend la
mère
et la fille. Avant eux toutefois on retrouve de
sité du malade ; il est impossible de la produire nettement chez la
mère
de nos sujets dont l'anomalie est unilatérale e
observation la soudure des fontanelles s'est faite à 10 ans chez la
mère
, à 9 ans chez l'aînée, à 7 ans chez le second e
ête et de la scoliose chez le père du cas 21 et du rachitisme'de la
mère
dans le cas DYSOSTOSE CLÉIDO-CRANIENNE HÉRÉDITA
crises convulsives du père, les fausses couches et les tibias de la
mère
, l'état du fond d'ocil de la fillette. Notons e
chez certains. 3° L'unilatéralité de la lésion claviculaire chez la
mère
, doit être signa- lée à cause de sa rareté, ain
claviculaire double, elle est plus marquée du côté atteint chez la
mère
, et manque chez le plus jeune enfanta clavicule
. Marie. Parmi les formes frustes doit aussi se placer le cas de la
mère
dont l'aplasie claviculaire unilatérale coïncide
attribue & son origine à une ac- tion mécanique exercée sur la
mère
dans le cours du troisième ou même du quatrième
. Chez les premiers, « l'encéphale a été détruit dans le sein de la
mère
par une maladie dont on trouve presque générale
, formant une masse proéminant dans l'espace compris entre la dure-
mère
et la pie mère (fig. 8). En dehors de la pie-mère
asse proéminant dans l'espace compris entre la dure- mère et la pie
mère
(fig. 8). En dehors de la pie-mère se trouvent le
ropager, non en dedans vers la moelle, mais en dehors vers la dure-
mère
. La multiplication vasculaire est rapide surtout
aisant remarquer que pour un état tout à fait comparable de la pie-
mère
, d'autres foetus possédaient une moelle à peine m
nce ? Le début de l'affection remonterait à l'année 1893 suivant la
mère
, mais suivant le malade à l'an 1897. , Il ent
alade tourne sur lui-même ou se lève brusquement d'une chaise. Sa
mère
lui aurait dit plusieurs fois qu'il marchait comm
'elle est une fille, qu'elle est poitrinaire. Elle se néglige et sa
mère
est obligée de la laver et de la peigner. Depuis
. Antécédents héréditaires. Le père du patient est bien portant. La
mère
est morte il y a deux ans, elle aurait souffert
que nous avons eu l'occasion de constater dans l'observation II. La
mère
fut très explicite à ce sujet; la tête de l'enfan
a région ovarienne droite. Le père est mort de cause inconnue, la
mère
souffre de « crises nerveu- ses » ; une soeur e
tre fillette est incapable de nous renseigner avec précision, et sa
mère
pas davantage. Or, dans ces conditions, avons-nou
histoire de l'enfant, très simple, nous est nettement racontée par la
mère
. La déformation actuelle, nous dit-elle, date d
le, il était, parait-il, très nerveux, sans attaques toutefois ; la
mère
est bien portante, elle est d'un caractère très i
e ne donnent que peu de renseignements. On apprend seulement par la
mère
que l'enfant est très turbulent, joueur à l'exc
s héréditaires, on note que le père est en excellente santé, que la
mère
, quoique bien portante, souffre souvent de migrai
res années, toussait fréquemment, il était pris de gros rhume, dit la
mère
, au moindre froid. A 3 ans il eut une pneumonie
ns le cou, toujours à l'occasion de tentatives de mouve- ment. La
mère
nous apprend en outre que la nuit la déformation
mporté, quoiqu'assez doux habituellement. Il paraît aimer beaucoup sa
mère
, il est très caressant, dit-elle, parfois même
Antécédents héréditaires. - Père bien portant, légèrement alcoolique,
mère
morte de tuberculose pulmonaire ; pas d'autre e
s héréditaires nous apprennent que le père est bien portant, que la
mère
est morte d'accident ; elle avait paraît-il, crac
itaires on note que le père est mort de tuberculose pul- monaire,la
mère
est en bonne santé, elle ne paraît pas nerveuse,
it se réaliser, l'épidémie était amorcée, elle était définie par la
mère
de la possédée d'Essert-Ro- man qui, appelée en
e, soit chez le père (Boeckh, Nau, Apert, Seves- tre), soit chez la
mère
(Porak, Lepage, etc., etc.). L'achondroplasie p
s la naissance. Cette mortalité est ordinairement fatale lorsque la
mère
est elle-même atteinte de cette dystrophie, parce
E rencontre. Les femmes achondroplases sont susceptibles de devenir
mères
, ce qui donne de l'importance à l'étude de leur
Fig. 4. f''oe<MS achondroplasique (Enfant, Darr., oct. 1899).
Mère
syphilitique ; Thorax rétréci à sa partie supérie
dysplasies périostales. « Femme, Ve parede 33 ans, bien conformée,
mère
de 4 enfants bien portants. L'enfant, qui mouru
ogiques, est appuyée par l'état pathologique relevé parfois chez la
mère
. La syphilis a été notée dans quelques observat
s que nous avons ^publiés antérieurement, nous avons trouvé chez la
mère
une fois une syphilis récente, l'autre fois une
sser également les autres viscères ». La misère physiologique de la
mère
entraîne aussi des modifications dans la croiss
e voit, l'hypothèse d'une lésion glandulaire spéciale, soit chez la
mère
(leérédo-inloxicat : 'on), soit chez le foetus (a
atique des tuberculeux.) Nous l'avons retrouvée dans un cas chez la
mère
d'un achondroplasique. D'autres infections, l'a
é- rins des lapins sous l'influence de l'inanition complète de leur
mère
(Congr. intern. de méd. de Moscou, 1897). Dzn
manie (Plenitza-Dolj). Son père vit, et il est de stature moyenne. Sa
mère
est morte, nous n'avons pu savoir de quoi. Eu t
hologiquement les organes de deux foetus achondroplasiques et de la
mère
de l'un deux. Chez cette dernière il exis- tait
i différentes entre elles comme celles d'une syphilis récente de la
mère
ou d'altérations graves et plus ou moins aiguës d
altérations graves et plus ou moins aiguës du foie et du rein de la
mère
peuvent-elles provoquer chez le foetus une même d
tinctes. Mais on peut encore supposer que ce sont les ovaires de la
mère
qui fonctionnent d'une façon exagérée pendant l
e la sécrétion interne des glandes sexuelles existe d'abord chez la
mère
et que plus tard elle débute d'une façon précoc
cas la possibilité d'une hyperfonction des glandes ovariennes de la
mère
pendant la gestation, laquelle aurait retenti s
ulant de son état (PI. LVIII). Il nous affirme que son père et sa
mère
étaient sains, et bien conformés : ils ne sont
urs de leur état. Le sujet a trois frères et deux soeurs mariées et
mères
de famille. Toute la famille est bien constitué
onstres, ni de maladies nerveuses ou mentales. La grossesse de la
mère
et l'accouchement ont été normaux comme pour les
es périodes, mais qu'à la suite des trau- matismes soufferts par la
mère
, il s'est formé des fractures intrautérines. Ce
entré dans le service le 19 janvier 1905. Il a perdu son père et sa
mère
l'année même de sa naissance et ne peut don- ne
précis sur ses antécédents héréditaires. Il sait seule- ment que sa
mère
est morte à 23 ans de fièvre puerpérale 17 jours
y avait 20 ans de différence entre l'âge de son père et celui de sa
mère
. Il n'a eu ni frère, ni soeur. Pas de renseigne
23 Il est né, aux environs de Beauvais, d'un père polonais et d'une
mère
fran- çaise. Ses parents étaient bien portants
ran- çaise. Ses parents étaient bien portants et bien conformés. Sa
mère
est morte des suites de couches au moment de sa
des exostoses pointues au niveau du cou-de-pied gauche ; sa grand'
mère
, chargée de l'élever, lui faisait porter des pant
obants sont les suivants. Dans l'un, rapporté par Heymann (14), une
mère
, présentant des exostoses multiples, donne le j
l'affection se reproduire d'une façon inté- grale du père ou de la
mère
à l'enfant, celui-ci pouvant hériter seulement
hernieux, il n'a pas eu la syphilis, il n'est pas alcoolique. Sa
mère
fut toujours bien portante ; son grand-père pater
6 ans ; les autres moururent à un âge intermédiaire. Un frère de la
mère
de notre malade a aussi présenté les mêmes phénom
3 ans. Dans ses antécédents nous trouvons : en ligne ascendante, sa
mère
qui mourut à 35 ans d'une maladie à long cours
tard, néanmoins, elle se remit, si bien qu'elle se maria, et devint
mère
de trois enfants robustes. Depuis que je la con
mars 1903,décédé le 29 avril 1903. Père alcoolique mort à 54 ans ;
mère
vivante, bien portante, a eu 5 enfants dont 2 s
ure du bulbe et de la protubé- rance,épaissie, adhérente à la dure-
mère
, est le siège d'une grosse infiltration formant
ept membres dont cinq sont atteints d'ophtalmoplégie, à savoir : la
mère
, trois de ses enfants et l'enfant d'un de ces d
ses enfants et l'enfant d'un de ces derniers (Pl. LXXVI). Ons I. La
mère
, Mme F..., âgée aujourd'hui de 50 ans, n'a eu auc
ques, quoiqu'il ait servi pendant plusieurs années en Afrique. La
mère
de la malade vit encore, elle a toujours joui d'u
t âgée de 21 ans, que nous n'avons pu voir, mais qui, au dire de sa
mère
et de sa soeur, est atteinte d'ophtalmoplégie ext
e depuis. Le ptosis existe des deux côtés, moins marqué que chez la
mère
puisque le bord inférieur des deux paupières supé
rizontal et rotatoire à oscil- lations moins fréquentes que chez la
mère
. A droite et à gauche les mou- vements d'élévat
ntent des taies ressemblant beaucoup aux lésions constatées chez la
mère
. Les deux pupilles sont égales et réagissent no
ise est un accident à localisation vulvaire sur l'origine duquel la
mère
fournit des expli- cations embarrassées : usage
rès irrégulière. En réalité, de quelques confidences échappées à la
mère
dans des conversations avec la surveillante du
dans ses antécédents héréditaires, directs ou collatéraux : père et
mère
, cinq frères et une soeur en bonne santé ; aucu
eurs possibilités. 1°) La méningite résultant d'une infection de la
mère
transmise au foetus à travers le placenta. Si n
capables de traverser le mince endothélium qui sépare le sang de la
mère
de celui du foetus. D'autre part, on ne retrouv
pas toujours la maladie infectieuse qui se- rait intervenue chez la
mère
; certains auteurs même notent expressément que
s ces divers cas, la maladie du foetus ne se pro- pageât point à la
mère
et il devient évident que si le germe provient de
is, il n'est pas douteux que l'infection est d'origine maternelle, la
mère
transmettant un germe qui a pu rester inoffensi
bre de cas, on retrouve la syphilis soit chez le père, soit chez la
mère
des pseudencéphales, soit à la fois chez l'un e
à lui spéciale, complètement indépendante de la constitution de la
mère
ou de tout autre ascendant. C'est ce phénomène qu
algies, bourdonnements dans les oreilles, étourdissements — née d'une
mère
atteinte d'une maladie con-vulsive. Cette femme e
estinée : « Ah! malheureux parents!... En voilà une femme que cette
mère
-là! Non, non, je ne veux pas y penser... Non, je
je te jure que ce n'est pas ma faute... En voilà une femme que cette
mère
-là..,-Non, non, je ne veux pas y penser... Non, n
se frotte les yeux, recouvre un instant connaissance, elle parle à sa
mère
. Mais bientôt survient la raideur, et une nouvell
ttitudes passionnelles paraît faire complètement défaut. Cependant la
mère
de la jeune malade nous raconte qu'à la suite de
« Tiens, il y a des œufs... ils viennent éclore là... Tiens voilà la
mère
qui vient... Ils ne sont pas si beaux que chez no
des membres inférieurs pendant quinze mois. Le père très nerveux, la
mère
très lympha-tique. Lorsque la douleur du genou
est améliorée sous tous les rapports. On lui permet alors de voir sa
mère
deux heures par jour. Les crises se sont éloign
s qu'elle était très douloureuse, exagérant à coup sûr en cela, et sa
mère
nous affirmant que de fois à autre, durant le som
ance marquée du richer. Hjstéro-épilepsie. 13 système nerveux. Déjà
mère
de trois enfants, elle avait fait une fausse couc
des ménages, un petit salon, des poupées. Comme je deman- dais à la
mère
si elle n'avait pas d'autres enfants, elle répond
s d'un précepteur, et tout d'abord de l'éloigner de son père et de sa
mère
, puis de le soumettre pendant trois ou quatre moi
ssy nous prévenons les deux religieuses placées au-près d'elle par sa
mère
, que l'état de crise se prolongeant pendant huit
ouverts, en plein jour. » Tel est le résumé du journal tenu par la
mère
de la malade jusqu'au moment où, suivant la presc
a toujours joui d'une bonne santé jusqu'à l'âge de dix-neuf ans. — Sa
mère
et sa grand'mère sont toutes deux mortes tubercul
ablisse et que les effusions re-commencent. Elle appelle son père, sa
mère
, essaye de pleurer ou pleure réel-lement, et vien
hallucinations. Ce sont des accès de manie : elle crie, pince, bat sa
mère
; sur elle, ce sont des tentatives de suicide; el
és, veut s'en aller, et est dans une sorte de délire, elle demande sa
mère
, se plaint, soupire; dès cet instant, la respirat
2e période) et survient un délire pendant lequel la malade appelle sa
mère
, etc. (3° pé-riode) . Enfin les accès se répéta
ssion étaient mar-qués par une grande sensibilité. Elle embrassait sa
mère
et la caressait ten-drement. Mais à ce calme succ
ssions elle montrait la plus grande in-sensibilité aux caresses de sa
mère
; quelques instants après elle feignait vouloir l'
, mais sans ordre ni justesse. L'ac-cès finit par une horreur pour sa
mère
, telle qu'elle ne voulait ni la voir ni l'entendr
ement assez juste et suivi; elle se mit à pleurer, se plaignant de sa
mère
, de sa cruauté pour elle, qu'elle lui refusait to
lui tout promettre, je parvins à apprendre que cette aversion pour sa
mère
, qu'elle aimait et ca- ressait si tendrement da
e, etc. )) Enfin les sentiments opposés que la malade témoigne à sa
mère
immédiatement après ses attaques, tantôt l'accabl
o-épilepsie, Th. Paris, 1863. Obs. I. ascendante ou collatérale; la
mère
cependant a longtemps souffert de l'esto-mac, et
e période. ONZIÈME OBSERVATION1. C... (Fanny), âgée de vingt ans.
Mère
très irritable, morte il y a cinq ans; père bien
amais eu d'attaques de nerfs auparavant, elle assista à la mort de sa
mère
, et immé-diatement ses règles, qui coulaient, s'a
larée à seize ans, sous l'influence d'une émotion vive, la mort de sa
mère
. Et c'est cette pensée qui, pendant le délire des
. (Henriette), âgée de vingt-six ans, lingère. Père mort poitrinaire,
mère
bien portante; sur huit frères et sœurs, trois so
une cousine issue de germaine de son père est épileptique et idiote;
mère
hystéro-épileptique morte il y a dix ans; deux fr
l'âge de sept ans, elle avait eu déjà une peur très vive en voyant sa
mère
assassinée. Sur l'observation prise à l'époque
e dans l'intelligence de la malade qui semble assistera la mort de sa
mère
, car elle s'écrie : «.Je vois des assassins; étan
n épouvantable : « Retirez cette fosse, disait-elle, retirez-la... ma
mère
... » puis ce fut tout. Quelques instants après, e
n'y a pas de prédisposition héréditaire à l'alié-nation, mais que la
mère
est morte d'une fièvre cérébrale et que la malade
. Elle est âgée de dix-sept ans, et est née à Saint-Ouen (Vosges). Sa
mère
, femme très nerveuse, la contrariait souvent, et
ère, femme très nerveuse, la contrariait souvent, et elle tient de sa
mère
, car elle est très im-pressionnable, colère, impa
est âgée de 16 ans. Eiîe est née à La Havane de père fran-çais et de
mère
espagnole. Le père et la mère sont morts depuis d
née à La Havane de père fran-çais et de mère espagnole. Le père et la
mère
sont morts depuis deux ans. Le père est mon à l'à
ièvre jaune ou d'un ictère grave. J'ignore la cause de ia mort Je l:i
mère
. La malade a été réglée à treize ans. Dès l'àge
urant avec toute l'expression d'une grande frayeur, hiterrogée par sa
mère
, elle répondit qu'elle avait vu le fou et qu'il l
des parents pauvres; elle vivait du travail de ses mains et aidait sa
mère
dans les soins du ménage. Eu un mot, suivant l'ex
les unit dans un frottement doux et lent. Elle va chanter, me dit sa
mère
; et en effet, elle commença un cantique, d'une vo
refouler les cou-vertures au pied du lit. Elle va se lever, me dit sa
mère
. En e/f'et, avec une force pleine de souplesse, e
es épreuves que je lui ai fait subir; son front était en sueur, et sa
mère
s'étonnait, comme d'une circonstance nouvelle, de
tait son visage. Je passai ainsi une heure auprès d'Alexandrine. La
mère
qui semblait se soucier peu du miracle, car elle
. fait des signes de la tête, air de mépris : « De quoi?... Tu es une
mère
infâme !... Et mon père t'a pardonné!... Tu es un
se couvre le visage avec les mains). « S'il était permis de battre sa
mère
, je te battrais... si je voulais... Puis, je te d
est trop tard... Tu dis que je gâte le ménage... Je te renie pour ma
mère
... Ne m'envoie pas des rats!... Des crapauds! Des
e, il méritait la prison... Et pour de l'ar-gent!... Ce n'est pas une
mère
infâme? c'est de la canaille... J'ai fini aussi p
Il n'existe dans sa famille aucun antécédent d'affection mentale; sa
mère
très nerveuse a eu longtemps des migraines d'une
s leur société; loin d'elles il pense à elles, leur fait des vers. Sa
mère
nousa raconté que, vers l'âge de dix ans, ses sen
délirante. Son père est mort à cinquante ans d'une pneumonie. Sa
mère
vit encore et, depuis plusieurs années, est sujet
it été extrêmement soignée. Elle n'avait jamais quitté sa famille. Sa
mère
ne peut supposer que jamais idée d'aucune espèce
le a simplement des convulsions. C'est une jeune fdle de 18 ans. Sa
mère
a eu la même maladie qu'elle. A dix ans, danse de
bottines. Père mort subitement à l'âge de quatre-vingt-deux ans. La
mère
est morte « de la poitrine » ; elle avait été suj
mort à soixante-deux ans, atteint d'une hémiplégie du cote gauche.
Mère
, quatre sœurs et deux frères bien portants. Dans
particuliers. 2. «Mon ami F..., dit Ch. Richet, était séparé de sa
mère
depuis longtemps; lorsqu'il fut endormi je lui pr
longtemps; lorsqu'il fut endormi je lui proposai de lui faire voir sa
mère
; il accepta aussitôt : « je la vois, je la vois,
ait de les mettre; en un mot, ce spectacle était si effrayant, que la
mère
de la malade fut prise d'un violent accès hystéri
ur l'objet de ses hallucinations, la malade me répond qu'elle voit sa
mère
morte depuis quelques années, dans l'état où elle
x ans, brocheuse. Le père, deux sœurs et un frère se portent bien; la
mère
a un caractère très vif et emporté; un second frè
hathique. Elle demeure depuis cette époque avec sa belle-sœur et sa
mère
. Lors de son arrivée à Paris, elle apprit que son
nd elle ne la trouve pas; elle a au contraire de la répulsion pour sa
mère
. On n'a pas encore trouvé moyen de la réveiller à
n impropre et consacrée par l'usage ; nous lui suggérons l'idée de sa
mère
, et nous voyons de cette suggestion se dérouler t
sychologique dont nous essaierons de donner une idée ^ Elle voit sa
mère
et décrit son ajustement : elle saisit un couteau
de exprime la ter-reur et la souffrance et elle se met à pleurer). Sa
mère
lui fait peur, elle la croit prête à se jeter sur
uille l'empoisonner. Elle voit ensuite son père qui se jette sur sa
mère
pour l'empêcher de se tuer et décrit également so
e, q;ii habitait un pays colonial, est ap-pelée en toute hâte avec sa
mère
à Paris, à cause de la maladie d'un de ses oncles
ct est fait par une personne quel-conque autre que la parente, par sa
mère
même, l'enfant est prise d'une convulsion qui lui
fut particulièrement témoin M. Lasègue, est celui-ci. Pendant que sa
mère
est seule près de son lit, et que les autres pers
es sont à côté dans une chambre, mademoiselle X... veut se lever : la
mère
la reçoit dans ses bras. Immédiatement accès conv
donc? Mais ce fut un bonheur enivrant, un délire que le cœur d'une
mère
peut seul comprendre, lorsque je vis mon enfant,
mes chants réveillèrent mon enfant, qui dormait sur les genoux de ma
mère
. Sa petite voix, que j'entendis pleu-rer, me rapp
s assiégeaient sous les traits de la cuisinière, sous les traits delà
mère
et du frère de cette malheureuse fille^. » Au c
épileptique elle-même et à moitié folle fut condamnée aux flammes. Sa
mère
dut se résigner au même sort. 2. Calmeil, loc.
me de chat noir et sous la figure d'Else Kamense, ou sous celle de sa
mère
, ou bien ceUe de son frère, tellement que toutes
« Durant la nuit, reposant sur son petit mais très-chaste grabat, la
mère
prieure aperçut un fantôme environné d'une telle
e exemple chez notre malade Gen... (Page 14). L'hallucination de la
mère
prieure se répéta presque toutes les nuits; puis
t libres que cloîtrées ont eu un amour fort déréglé pour l'accusé; la
mère
prieure en fut tellement troublée qu'elle ne parl
es, je n'en trouve point de plus étranges, que ce qui est arrivé à la
mère
prieure, et à la sœur Claire de SaziUi. La premiè
ot de faire amende honorable à Jésus-Christ, et Isaacarum à sa sainte
Mère
, pendant lesquelles la supérieure ayant eu de gra
et ses compagnons, puisqu'elle avait dit leur secret à la chienne de
mère
... Ces menaces durèrent une nuit entière, après l
méprisât point ses grâces, etc.. Elle rendit compte de tout ceci à la
mère
, toute-fois avec grand'pcine. 11 lui semblait qu'
nait de parler dans sa cellule, et lui dit donc son étonnement, et la
mère
l'assura qu'elle était toujours restée là, et lui
fort excité jusqu'à ce qu'elle l'eiit dit au père confesseur et à sa
mère
, car elle se sentit alors plus forte pour méprise
admirable qui lui dit : i Ma fille, n'aie point peur, je suis Marie,
mère
de miséricorde, j'ai prié mon fils de surseoir en
re-maîtresse, dont elle fut détrompée le lendemain entièrement par la
mère
, qui l'avisa de se donner garde, une autre fois,
, l'après-dinée d me conduisit à une petite grille où il fit venir la
mère
supérieure avec sœur Marie du Saint-Sacrement pos
Elle tombe ensuite en attaque, on est obligé de la rapporter chez sa
mère
. Le 15 juillet nouvelle attaque à la suite d'un
ntraient de temps à autre pendant tout le temps de leur durée. « La
mère
de la malade nous décrit plusieurs de ses attaque
et de l'accompagner tant en allant qu'en revenant; que ce jour lâ, sa
mère
et la dame Cornet furent encore plus de deux heur
é après elle. » « Lorsqu'elle fut ce jour là sur le tombeau, dit la
mère
, son bras et sa jambe gauches s'agitèrent avec
les apostats! Écoute, écoute, ô Jésus! lorsque j'avais quinze ans, ma
mère
mourut et j'apostasiai. 0 Jésus! j'apostasiai ! R
mère mourut et j'apostasiai. 0 Jésus! j'apostasiai ! Réunis-moi à ma
mère
, ô Jésus! réunis-moi à ma mère, car je suis fatig
Jésus! j'apostasiai ! Réunis-moi à ma mère, ô Jésus! réunis-moi à ma
mère
, car je suis fatiguée! 0 John Mitchel! ô John Mit
: « Ohî quand serai-je assise sur le rivage de l'autre monde avec ma
mère
! ma mère! ma chère mère! » Qui aurait pu refuser
quand serai-je assise sur le rivage de l'autre monde avec ma mère! ma
mère
! ma chère mère! » Qui aurait pu refuser une larme
assise sur le rivage de l'autre monde avec ma mère! ma mère! ma chère
mère
! » Qui aurait pu refuser une larme à ce désir pas
(1274). En nom de N.-S. commence la vie de bienheiireuse Douceline,
mère
des dames de Rohaut. Le premier cliapitre est de
coutumes (habitudes). Elle était de grande obéissance au père et à la
mère
, et volontiers faisait leurs mandements. Quand la
u père et à la mère, et volontiers faisait leurs mandements. Quand la
mère
fut morte, ils se transportèrent à Hyères, et dés
x était venue d'autre terre pour servir Dieu à l'exemple de la sainte
mère
, et être de son état; et elle affirmait par vérit
qu'elle avait mesuré de ses mains propres l'espace auquel la sainte
mère
se tenait au-dessus de terre en un ravissement, q
tim.) qu'elle portait elle lui planta méchamment, et onques la sainte
mère
ne s'en mut ni rien n'en sentit; et trouvait-on a
t â ses oraisons, et espéra fermement avoir la victoire que la sainte
mère
lui avait promise. Et advint qu'il gagna le royau
e sujette à plusieurs affections graves. A quinze ans, elle perdit sa
mère
, femme pieuse et distinguée par son intelhgence.
fille qui a taché ses manchettes avec de l'encre et qui voit venir sa
mère
. Ensuite, accoutumée cju'elle est à ce concours d
ervations avait débuté après qu'elle eût Uni de donner ses soins à sa
mère
morte d'un anthrax ; chez l'homme les symptômes s
d'influence que certaines impressions psychiques ressenties par la
mère
peuvent exercer sur le fœtus. > 4° Communicati
évropathique. Son père a souffert de diabètes melUtus; une sœur de sa
mère
a succombé à une maladie psychique. Deux de ses f
stent, n'ont rien d'étroit. De l'influence psychique exercée par la
mère
sur le fœtus, Par M. le Dr LIÉBEAULT (de Nancy)
(de Nancy). En 1886, j'ai déjà parlé de l'influence de l'esprit des
mères
sur leurs fœtus. Je me basais alors sur vingt-cin
r et important tribut à cette question de l'influence psychique de la
mère
sur le fœtus; il consiste en une seule observatio
fœtus ; mais de faire eux-mêmes, sur dt-s femmes endormies, et de la
mère
au fœtus, la suggestion de marques à paraître, ap
s nié. Car c'est danslexpé-rimenutioa par suggestion hypnotique de la
mère
au fœtus sur des dormeuses au plus haut degré, qu
attention spéciale : La nommée P.... âgée de onze ans, fille d'une
mère
excessivement nerveuse, souffrant d'une mélancoli
epuis longtemps, elle se rend coupable de vol. D'après le récit de la
mère
, c'est une voleuse d'un raffinement incroyable et
il est un des meilleurs élèves de sa classe, et chez ses parents sa
mère
l'appelle Tentant chéri de la maison. Dans un g
ouvements de tète; il ne peut presque se bouger. Selon le récit de la
mère
, les saignements, soit de la bouche, soit du nez,
soulager beaucoup, et parfois je n'avais pas le courage, en voyant la
mère
désolée, les larmes aux yeux, me priant de sauver
a priais de revenir dès qu'il se serait redressé. Dix jours après, la
mère
et l'enfant me visitèrent de nouveau, et je me ré
psychothérapie, et je peux dire que je suis reconnaissant à la pauvre
mère
de m'avoir inspiré par ses larmes. Le résultat
ement, il perd un peu de sang par la bouche ou le nez; mais, selon la
mère
, c'est à peine une goutte. Le garçon a l'air très
plus riche, de plus pénétrante dans ses moyens d'action: on y sent la
mère
avec toute son expérience et tout son cœur. Cette
présentent deux fois plus de suicides que les mêmes éléments dans la
mère
patrie. L'imitation, ou si l'on vent la contagi
douze ans, après avoir joui d'une bonne santé durant toute sa vie. Sa
mère
est âgée de soixante-douze ans et se porte bien.
niste de profession, n'ayant d'autres antécédents héréditaires qu'une
mère
un peu nerveuse et affligée de fréquents maux de
çaient de prouver qu'il n'existait aucune connexion nerveuse entre la
mère
et le fœtus; tous ces cas, collectionnés principa
e-robe; la blessure n'était nullement dangereuse, mais elle alarma la
mère
. A l'époque normale, elle accoucha d'une petite f
rieux : dans le cerveau, il existe également de ces taches noires. La
mère
de cette enfant racontait au professeur Billy (et
malade s'aperçut que l'orteil du pied droit manquait complètement. La
mère
me dit alors que, étant enceinte de quatre mois,
e. Quand il me fut possible quelques jours après de converser avec la
mère
sur ce sujet : elle me dit que, étant enceinte de
serrés; l'enfant ne pouvait être mort que depuis quelques heures. La
mère
exprima le désir bien naturel de le voir, mais je
, à l'exception de la tète qui était normale. Quelques mois après, la
mère
fat de nouveau enceinte et accoucha cette fois d'
connues. II est vrai qu'il n'y a pas de connexion nerveuse entre la
mère
et le fœtus, mais cette absence exclut-elle la po
ement connu que la projection soudaine d'une lumière dans l'œil de la
mère
aussi bien qu'un bruit inattendu produisent de vi
i une impression forte et momentanée, même dans un rêve, reçue par la
mère
et transmise par elle, est sufiisante pour produi
rt les résultats des impressions morales dérivés de l'entourage de la
mère
. Naturellement, toutes les femmes n'ont pas des e
normalement doué au point de voie intellectuel, et qui accompagne sa
mère
venue pour me consulter. Je lui demande de racont
hez lui, mais il ne sait pas si c'était au déjeuner ou au dîner. Sa
mère
lui dit : « Allons, tâche de te rappeler. Tu n'as
s les détails du crime de leurs parents, coupables d'avoir brûlé leur
mère
; seuls témoins oculaires, ces enfants furent la c
es judiciaires : l'une do sept personnes, l'autre de six, le père, la
mère
et les fils; pas un ne manquait. — On peut bien r
l il ne peut fournir de renseignements, est mort il y a vingt ans; sa
mère
est très impressionnable, dit-il, sans être malad
ui on de ceux qui le lui ont choisi. En effet, quand un père ou one
mère
afiùbleut sans motif raisonnable un des leurs de
Or, ils ne faisaient allusion à rien. Ils avaient été choisis par la
mère
parce qu'ils loi avaient paru très beaux, et surt
c la justice. Un jour môme il est allé jusqu'à frapper son père. La
mère
est un esprit plus borné encore. C'est une débile
ent, eux aussi, des gens très peu intelligents. Son père louchait; sa
mère
était capricieuse, bizarre, violente, boudeuse ;
cigarette. Contraste singulier : Laïtitia-Cymadocée a un frère ; sa
mère
ne l'a jamais appelé par son prénom; elle lui a d
parce qu'il fait le fanfaron et qu'il est poltron comme pas un. Sa
mère
est une imbécile et une détraquée. Si elle eût ét
emps qu'elle déploie une activité extraordinaire. • Jamais, me dit la
mère
, elle n'a été si active ni si laborieuse que depu
st en rapport qu'avec moi, et ne répond nullement aux questions de sa
mère
qui l'accompagne. Je fais alors une suggestion
ggestion se réalise eu partie. Dès le lendemain, la malade avoue à sa
mère
quelle a plus envie de manger que les jours précé
e (Hôtel-Dieu). • M»* F..., 22 ans. Pas d'antécédents héréditaires.
Mère
morte d'une piqûre de serpent il y a douze ans. P
vigoureux. Son père, bien portant, est cependant un migraineux; sa
mère
, sujette elle aussi aux migraines, est une nerveu
. Charlotte P..., âgée de neuf ans; grand-père maternel alcoolique;
mère
hystérique, atleinle de crises convulsives el de
s el de tremblements. — L'enfant est très impressionnable. Lorsque sa
mère
a des attaques, elle crio et tombe elle-même dans
ol luy venant fort gros, et aucuns ayant dit que sesloît du mal de la
mère
(c'est ainsi qu'on désignait et qu'on designo sou
vivre avec elle. Néanmoins, on voit qu'elle est bien intelligente. Sa
mère
me l'avait amenée à cause de palpitations fréquen
it poivre, elle luy donna encore deux chastaignes et le rapporta à sa
mère
. El incontinent le même Jour il loy vinst des tre
ur il loy vinst des tremblements et convulsions se plaignant à sadile
mère
de douleurs qu'elle senloit soubs les ongles qui
u découragement el au désespoir le plus complet, parce que surtout sa
mère
n'était pas venue selon sa promesse, et cela, je
de François Godet, en la touchant au col; et comme on demandait à la
mère
de la démoniaque, et en présence de celle-ci, si
nous a mis icy » ; etc. La pièce suivante, sans date, signée par la
mère
de la malade et annexée au procès, donne quelques
ressentit la possédée après avoir été touchée par le sorcier. « La
mère
de la poure affligée fait un sommaire récit de ce
, il la toucha sur le col, et ce mesme temps elle fust appelée par sa
mère
à laquelle elle respondit qu'elle n'avait que fai
la touchant à la jambe, sous prétexte de lui prendre mesure. C'est la
mère
de la jeune démoniaque qui raconte l'aventure.
roger le Qls de M"* M..., enfant d'environ huit ans, qui tToua que sa
mère
avait réellement volé le portefeuille. Ses affirm
et enfant, au dire de* voisins, n'avait aucun motif d'»n vouloir à sa
mère
que. d'ailleurs, il aimait beaucoup. Quand on lui
pelé à donner mes soins à une jeune fille, âgée Je 17 ans à peine. La
mère
m'apprend que la malade, habituellement constipée
belle; par conséquent, rien de grave, ce me semble. J'interroge la
mère
sur les antécédents et j'apprends que la malade e
u'est la suggestion hypnotique. Le mercredi seulement, 20 avril, la
mère
de la malade me fait prier de revenir: sa fille n
dépose qu'il y a quelques années ladite Durai estant venue visiter sa
mère
gisante au lict malade, après quelques discours s
sante avec des devises lamilllères sur le subjoct de la maladie de sa
mère
, et comme si elle l'eust voulu consoler, et en la
Elle ajoute encore qu'avant le temps que la sorcière vinst visiter sa
mère
, elle eust quelque estrif avec elle, et que le ma
é de ladite Cartière, comme encore à Longemalle, où il estoit avec sa
mère
. El ayant quitté sadile mère il revenoit en sa ma
ncore à Longemalle, où il estoit avec sa mère. El ayant quitté sadile
mère
il revenoit en sa maison; estant au Molard il fis
dit, et que c'estoit l'orfèvre qui luy avoit mandé la souppe. Si sa
mère
se mesle de guérir des démons? R. Que non. Comm
s démons? R. Que non. Comment elle fait pour les chasser? R. Que sa
mère
luy dist avoir signé ladite Mantilliotte, et qu'e
gné ladite Mantilliotte, et qu'elle fust mal avisée. Comment sadite
mère
le scavait? R. Que ça esté une femme du village q
x du corps de la Mantilliotte ? R. Qu'ouy. Si elle scait pas que sa
mère
a porté des herbes à ladite Mantilliotte ? R. Qu'
clartés de la foi. Plus d'une fois la malédiction d'un pire ou d'une
mère
ont eu pour effet le mal terrible de la possessio
ry (de), nécrologie. 250. Fœtus (influence psychique exercée par la
mère
sur le), 52. Fœtus (impressions maternelles sur
graphique international, 32, 96. Influence psychique exercée par la
mère
sur le fœtus, par Liébeault, 52. Influences des
nérien. Son père, cordonnier, a 60 ans et se porte bien, ainsi que sa
mère
, qui a le même âge; il a deux frères, forts et bi
bien portants : une sœur aussi bien portante, forte, âgée de 29 ans,
mère
de trois enfants vigoureux. Il ne connaît aucune
aimé des sœurs et des malades. Son père, alcoolisé, a abandonné sa
mère
en septembre dernier. Celle-ci serait bien portan
paralysie infantile, n'ayant pas eu d'autres troubles nerveux ; père,
mère
et une sœur bien portants. Assez intelligent, il
scent de pleurésie, sans antécédent nerveux, bien constitué ; père et
mère
bien portants, deux sœurs et un frère bien portan
on de se laisser mourir de faim. Les instances de sa famille, de sa
mère
, les exhortations du prêtre qui a dirigé son éduc
er aucun sentiment de répulsion. La première parole fut adressée à sa
mère
: elle réclama son alliance et la mît à son doigt
re à un salon du rez-de-chaussée où les enfants se tenaient avec leur
mère
. Il descendit l'escalier d'un pas mal assuré et f
mille dans laquelle on trouve, tant du côté du père que du côté de la
mère
, de nombreux cas de névropathie. Elle a trois s
e un quart d'heure après. Une fois le lit changé, la toilette de la
mère
et de l'enfant terminée, la malade est réveillée
se contracture, la jambe droite restant en extension ; il bégaie. Sa
mère
l'a placé depuis quelque temps â Luysan (il a sep
oire (la locomotive, sans doute). II se rend à Chartres, veut voir sa
mère
, la voit. Il est alors pris de crises nouvelles
ysan, décrit plus haut. Puis, sorti de cet état, il se plaint de sa
mère
. Il ira à Mâcon: il monte en voiture, se place a
était il y a 7 à 8 ans. Observation IV. — Mme X..., âgée de 45 ans,
mère
de plusieurs enfants, a perdu son mari il y a prè
ont des héréditaires, ou bien ils ont un père paralytique ou bien une
mère
névropathique. La nature spéciale de ma clientè
de sujets de cette catégorie. Ayant donné des soins aux pères et aux
mères
de ces jeunes enfants, je me suis trouvé déjà plu
imparfait, je m'explique; j'ai sous les yeux un jeune garçon gaucher (
mère
névropathe), ses parents par l'éducation, et ils
cherie : Dans une famille composée de cinq personnes, le pire et la
mère
ne sont pas gauchers. L'aîné des enfants élevé pa
ntait un objet, il le saisissait aussitôt de la main gauche. C'est la
mère
elle-même qui a nourri les deux derniers enfants.
'observation précédente serait resté gaucher comme le deuxième, si sa
mère
avait continué à le porter sur le bras gauche.
r finir, qu'il n'y a pas de gauchers dans la famille du père ou de la
mère
, ni chez les grands-parents, et que l'enfant qui
r même des usines. Il y a lieu aussi de désinfecter à fond les fosses
mères
qui ont servi jusqu'à ce jour, avant d'en pratiqu
s prières, les supplications de l'amitié, la tendresse des pères, des
mères
, des enfants, rien ne peut détourner ces malheure
affection cérébrale ou de vices graves. Son père est très modéré. Sa
mère
est abstinente et ne touche ni vin, ni liqueurs.
maines au lieu de treize à quinze jours. Mme H..., trente-cinq ans.
mère
de famille, vint me consulter le 3o septembre 188
milieu d'enfants de paysans, qu'elle aurait contracté, au dire de la
mère
, sa mauvaise habitude. A sept ans, elle arrive à
l'état normal. Rien du côté des grands appareils splanchniques. La
mère
nous dit qu'elle surprend l'enfant aussi bien dan
promesse d'exécuter tout ce que nous lui recommandons. 1er août. La
mère
nous dit qu'elle n'a pas surpris, pendant le jour
suivent. Nous l'endormons et nous répétons la même suggestion. La
mère
nous amène son enfant pour être hypnotisée et sug
otique. — Guérison. Mlle X... âgée de onze ans, m'est amenée par sa
mère
en décembre 1886 pour que je la traite d'un onani
'arrive a ce qu'elle ne mente plus et que son caractère soit doux. Sa
mère
me dit qu'elle se livre a l'ona- nisme depuis
, en outre, de rester seule dans une chambre, elle ne veut pas que sa
mère
la quitte. Les moyens que l'on emploie ordinair
ns que l'on emploie ordinairement ne réussissant pas, je propose à la
mère
d'essayer le traitement par l'hypnotisme et par l
er au même vice. Cependant, le 20 février, après quatre séances, sa
mère
m'annonce que sa fille ne s'est touchée que deux
Le traitement a été répété tous les quinze jours et. le 2 juin, la
mère
a pu me dire que l'onanisme a tout à fait cessé,
E GENÈVE (Suite et fin) Observation II Madame N…, âgée de 37 ans,
mère
de cinq enfants bien portants. Une sœur morte apr
s qui ont déjà été obtenus (i). Observation III Mme X.... 47 ans,
mère
de famille. Jamais il n'y a eu de cas d'ivrogneri
e de famille. Jamais il n'y a eu de cas d'ivrognerie dans sa famille.
Mère
morte d'une attaque d'apoplexie. Frères et sœurs
'ai eu l'occasion d'observer: Un enfant de dix ans m'est amené par sa
mère
, il est indiscipliné, colère, paresseux ; il refu
t laborieux. Il y a huit mois de cela: le résultat s'est maintenu, sa
mère
me dit que l'enfant est absolument changé. Autr
, hallucinations, peuvent être réalisés dans l'un et dans l'autre. La
mère
, qui berce son enfant pour l'endormir et qui ains
n les fasse pendant son sommeil provoqué ou même naturel. Beaucoup de
mères
parlent k leur enfant endormi. Elles savent que l
il y a 4 ans. » Du côté du père, rien de particulier i signaler. La
mère
, depuis son mariage, est adonnée aux liqueurs alc
ais elle était » drôle (sic). » Ce qu'il y a de certain, c'est que la
mère
s'enivre presque tous les jours, est alcoolique,
is, quand on était revenu, l'enfant était né pendant le sommeil de la
mère
. Or on l'avait fait disparaître et on lui avait s
gneur de La Palisse. La sage-femme a avoué plus tard avoir donné à la
mère
un breuvage narcotique. Dans ces derniers temps
tre aplati et en entendant vagir son enfant à côté d'elle. Comment la
mère
aurait-elle pu se douter d'une substitution d'enf
d'une douzaine d'années. Eugénie B. ... demeurant au village avec sa
mère
, se couche dans son lit. Presque aussitôt se font
bruits se reproduisent avec une intensité progressive. Toutefois la
mère
affirme qu'elle a essayé de se coucher près de so
tuberculeux à 39 ans; était très nerveux, très impressionnable. Sa
mère
vit. a 45 ans, est très bien portante, maïs est t
était un ivrogne. Pas de consanguinité. Pendant sa grossesse, la
mère
eut une vive contrariété, et pleurait tout le tem
e pleure et a l'idée de se jeter à l'eau afin de ne pas déshonorer sa
mère
: ou bien elle a plus d'énergie et ne pleure pas,
le. Elle est on ne peut plus malheureuse et elle voit qu'elle rend sa
mère
malheureuse par sa tristesse. Il faut en finir.
ans, Mlle X... Au point de vue héréditaire, nous remarquons que la
mère
, qui mourut à l'âge de 38 ans, de phtisie du lary
elle devint somnambule. Elle se souvient très bien que son père et sa
mère
racontaient souvent qu'ilsavaient dû la chercher,
ept enfants, et la famille est obligée de travailler pour vivre. La
mère
, femme d'une intelligence moyenne, un peu crédule
t l'ayant remarquée, lui fit la cour, obtint ses faveurs et la rendit
mère
. C'est alors que Mme X.... sa mère, désolée, s'en
r, obtint ses faveurs et la rendit mère. C'est alors que Mme X.... sa
mère
, désolée, s'en alla trouver son conseiller intime
, te curé, pour lui conter le cas de Jeanne. Le pasteur persuade à la
mère
que la fille a commis un péché mortel, qu'on ne p
se met au travail, rend des services dans son quartier, et écrit à sa
mère
pour se faire réclamer. — Son caractère, tout en
érées. Cet état persistant, M. Briand juge possible de la rendre à sa
mère
, qui vient la chercher le 10 janvier et la ramène
son père a été emporté par une maladie de foie, a l'âge de 57 ans; la
mère
est d'une bonne santé, mais elle a un caractère t
ui dépassaient le plus cette moyenne, présentaient presque toutes des
mères
qui avaient eu une éducation très soignée et même
estion en vertu de laquelle Mlle P... tira un coup de pistolet sur sa
mère
. C'est encore au même procédé que j'eus recours p
Je le vois encore, chez M. et Mme D..., en présence du père et de la
mère
de cette dernière ; on lui remit entre les bras u
Salpê-trière un garçon nommé Georges M..., âgé de 9 ans. amené par sa
mère
à cause des habitudes d'onanisme auxquelles il s'
grand'mère paternelle a des crises épileptiformes, que le père et la
mère
sont des personnes très nerveuses ; la mère a mêm
formes, que le père et la mère sont des personnes très nerveuses ; la
mère
a même eu une attaque d'hystérie franche à la sui
t ce qui s'est passé pendant le sommeil. Nous avons recommandé à la
mère
une surveillance active et nous l'avons priée de
répétons nos suggestions relatives à l'onanisme. Depuis ce jour, la
mère
nous amena l'enfant toutes les semaines. La surve
épuce. Nous avons vu l'enfant le 15 et le 19 du mois de mars, et la
mère
nous a affirmé qu'il a complètement abandonné ses
nérien. Son père, cordonnier, a 60 ans et se porte bien, ainsi que sa
mère
, qui a le même âge; il a deux frères, forts et bi
bien portants : une sœur aussi bien portante, forte, âgée de 29 ans,
mère
de trois enfants vigoureux. Il ne connaît aucune
aimé des sœurs et des malades. Son père, alcoolisé, a abandonné sa
mère
en septembre dernier. Celle-ci serait bien portan
paralysie infantile, n'ayant pas eu d'autres troubles nerveux ; père,
mère
et une sœur bien portants. Assez intelligent, il
scent de pleurésie, sans antécédent nerveux, bien constitué ; père et
mère
bien portants, deux sœurs et un frère bien portan
on de se laisser mourir de faim. Les instances de sa famille, de sa
mère
, les exhortations du prêtre qui a dirigé son éduc
er aucun sentiment de répulsion. La première parole fut adressée à sa
mère
: elle réclama son alliance et la mît à son doigt
re à un salon du rez-de-chaussée où les enfants se tenaient avec leur
mère
. Il descendit l'escalier d'un pas mal assuré et f
mille dans laquelle on trouve, tant du côté du père que du côté de la
mère
, de nombreux cas de névropathie. Elle a trois s
e un quart d'heure après. Une fois le lit changé, la toilette de la
mère
et de l'enfant terminée, la malade est réveillée
se contracture, la jambe droite restant en extension ; il bégaie. Sa
mère
l'a placé depuis quelque temps â Luysan (il a sep
oire (la locomotive, sans doute). II se rend à Chartres, veut voir sa
mère
, la voit. Il est alors pris de crises nouvelles
ysan, décrit plus haut. Puis, sorti de cet état, il se plaint de sa
mère
. Il ira à Mâcon: il monte en voiture, se place a
était il y a 7 à 8 ans. Observation IV. — Mme X..., âgée de 45 ans,
mère
de plusieurs enfants, a perdu son mari il y a prè
ont des héréditaires, ou bien ils ont un père paralytique ou bien une
mère
névropathique. La nature spéciale de ma clientè
de sujets de cette catégorie. Ayant donné des soins aux pères et aux
mères
de ces jeunes enfants, je me suis trouvé déjà plu
imparfait, je m'explique; j'ai sous les yeux un jeune garçon gaucher (
mère
névropathe), ses parents par l'éducation, et ils
cherie : Dans une famille composée de cinq personnes, le pire et la
mère
ne sont pas gauchers. L'aîné des enfants élevé pa
ntait un objet, il le saisissait aussitôt de la main gauche. C'est la
mère
elle-même qui a nourri les deux derniers enfants.
'observation précédente serait resté gaucher comme le deuxième, si sa
mère
avait continué à le porter sur le bras gauche.
r finir, qu'il n'y a pas de gauchers dans la famille du père ou de la
mère
, ni chez les grands-parents, et que l'enfant qui
r même des usines. Il y a lieu aussi de désinfecter à fond les fosses
mères
qui ont servi jusqu'à ce jour, avant d'en pratiqu
s prières, les supplications de l'amitié, la tendresse des pères, des
mères
, des enfants, rien ne peut détourner ces malheure
affection cérébrale ou de vices graves. Son père est très modéré. Sa
mère
est abstinente et ne touche ni vin, ni liqueurs.
maines au lieu de treize à quinze jours. Mme H..., trente-cinq ans.
mère
de famille, vint me consulter le 3o septembre 188
milieu d'enfants de paysans, qu'elle aurait contracté, au dire de la
mère
, sa mauvaise habitude. A sept ans, elle arrive à
l'état normal. Rien du côté des grands appareils splanchniques. La
mère
nous dit qu'elle surprend l'enfant aussi bien dan
promesse d'exécuter tout ce que nous lui recommandons. 1er août. La
mère
nous dit qu'elle n'a pas surpris, pendant le jour
suivent. Nous l'endormons et nous répétons la même suggestion. La
mère
nous amène son enfant pour être hypnotisée et sug
otique. — Guérison. Mlle X... âgée de onze ans, m'est amenée par sa
mère
en décembre 1886 pour que je la traite d'un onani
'arrive a ce qu'elle ne mente plus et que son caractère soit doux. Sa
mère
me dit qu'elle se livre a l'ona- nisme depuis
, en outre, de rester seule dans une chambre, elle ne veut pas que sa
mère
la quitte. Les moyens que l'on emploie ordinair
ns que l'on emploie ordinairement ne réussissant pas, je propose à la
mère
d'essayer le traitement par l'hypnotisme et par l
er au même vice. Cependant, le 20 février, après quatre séances, sa
mère
m'annonce que sa fille ne s'est touchée que deux
Le traitement a été répété tous les quinze jours et. le 2 juin, la
mère
a pu me dire que l'onanisme a tout à fait cessé,
E GENÈVE (Suite et fin) Observation II Madame N…, âgée de 37 ans,
mère
de cinq enfants bien portants. Une sœur morte apr
s qui ont déjà été obtenus (i). Observation III Mme X.... 47 ans,
mère
de famille. Jamais il n'y a eu de cas d'ivrogneri
e de famille. Jamais il n'y a eu de cas d'ivrognerie dans sa famille.
Mère
morte d'une attaque d'apoplexie. Frères et sœurs
'ai eu l'occasion d'observer: Un enfant de dix ans m'est amené par sa
mère
, il est indiscipliné, colère, paresseux ; il refu
t laborieux. Il y a huit mois de cela: le résultat s'est maintenu, sa
mère
me dit que l'enfant est absolument changé. Autr
, hallucinations, peuvent être réalisés dans l'un et dans l'autre. La
mère
, qui berce son enfant pour l'endormir et qui ains
n les fasse pendant son sommeil provoqué ou même naturel. Beaucoup de
mères
parlent k leur enfant endormi. Elles savent que l
il y a 4 ans. » Du côté du père, rien de particulier i signaler. La
mère
, depuis son mariage, est adonnée aux liqueurs alc
ais elle était » drôle (sic). » Ce qu'il y a de certain, c'est que la
mère
s'enivre presque tous les jours, est alcoolique,
is, quand on était revenu, l'enfant était né pendant le sommeil de la
mère
. Or on l'avait fait disparaître et on lui avait s
gneur de La Palisse. La sage-femme a avoué plus tard avoir donné à la
mère
un breuvage narcotique. Dans ces derniers temps
tre aplati et en entendant vagir son enfant à côté d'elle. Comment la
mère
aurait-elle pu se douter d'une substitution d'enf
d'une douzaine d'années. Eugénie B. ... demeurant au village avec sa
mère
, se couche dans son lit. Presque aussitôt se font
bruits se reproduisent avec une intensité progressive. Toutefois la
mère
affirme qu'elle a essayé de se coucher près de so
tuberculeux à 39 ans; était très nerveux, très impressionnable. Sa
mère
vit. a 45 ans, est très bien portante, maïs est t
était un ivrogne. Pas de consanguinité. Pendant sa grossesse, la
mère
eut une vive contrariété, et pleurait tout le tem
e pleure et a l'idée de se jeter à l'eau afin de ne pas déshonorer sa
mère
: ou bien elle a plus d'énergie et ne pleure pas,
le. Elle est on ne peut plus malheureuse et elle voit qu'elle rend sa
mère
malheureuse par sa tristesse. Il faut en finir.
ans, Mlle X... Au point de vue héréditaire, nous remarquons que la
mère
, qui mourut à l'âge de 38 ans, de phtisie du lary
elle devint somnambule. Elle se souvient très bien que son père et sa
mère
racontaient souvent qu'ilsavaient dû la chercher,
ept enfants, et la famille est obligée de travailler pour vivre. La
mère
, femme d'une intelligence moyenne, un peu crédule
t l'ayant remarquée, lui fit la cour, obtint ses faveurs et la rendit
mère
. C'est alors que Mme X.... sa mère, désolée, s'en
r, obtint ses faveurs et la rendit mère. C'est alors que Mme X.... sa
mère
, désolée, s'en alla trouver son conseiller intime
, te curé, pour lui conter le cas de Jeanne. Le pasteur persuade à la
mère
que la fille a commis un péché mortel, qu'on ne p
se met au travail, rend des services dans son quartier, et écrit à sa
mère
pour se faire réclamer. — Son caractère, tout en
érées. Cet état persistant, M. Briand juge possible de la rendre à sa
mère
, qui vient la chercher le 10 janvier et la ramène
son père a été emporté par une maladie de foie, a l'âge de 57 ans; la
mère
est d'une bonne santé, mais elle a un caractère t
ui dépassaient le plus cette moyenne, présentaient presque toutes des
mères
qui avaient eu une éducation très soignée et même
estion en vertu de laquelle Mlle P... tira un coup de pistolet sur sa
mère
. C'est encore au même procédé que j'eus recours p
Je le vois encore, chez M. et Mme D..., en présence du père et de la
mère
de cette dernière ; on lui remit entre les bras u
Salpê-trière un garçon nommé Georges M..., âgé de 9 ans. amené par sa
mère
à cause des habitudes d'onanisme auxquelles il s'
grand'mère paternelle a des crises épileptiformes, que le père et la
mère
sont des personnes très nerveuses ; la mère a mêm
formes, que le père et la mère sont des personnes très nerveuses ; la
mère
a même eu une attaque d'hystérie franche à la sui
t ce qui s'est passé pendant le sommeil. Nous avons recommandé à la
mère
une surveillance active et nous l'avons priée de
répétons nos suggestions relatives à l'onanisme. Depuis ce jour, la
mère
nous amena l'enfant toutes les semaines. La surve
épuce. Nous avons vu l'enfant le 15 et le 19 du mois de mars, et la
mère
nous a affirmé qu'il a complètement abandonné ses
nir sa famille, la préoccupation constante de la mauvaise santé de sa
mère
qu'elle aime tendrement, ainsi que de l'avenir de
ne plutôt que telle autre. Ainsi je n'ai jamais vu ni mon père, ni ma
mère
, tandis que j'ai vu plusieurs fois un frère et un
ne, qui la présenta à sa sœur, notre serenissime archiduchesse Marie,
mère
de la reine Marguerite d'Espagne. Depuis plusieur
e, de même que le petit garçon, qui se presse contre les genoux de la
mère
, qui est assise et qui ne présente aucune anomali
j'ai essayé d'occuper son esprit en lui demandant des nouvelles de sa
mère
qui habile Alexandrie. A mon grand étonnementje v
pelé, il y a bientôt un an et demi, auprès d'un garçon de six ans. Sa
mère
, que je rencontrai dans l'escalier, monta avec mo
nfant était couche à l'autre bout de la pièce. « Mon garçon, dit la
mère
, je t'amène le docteur. > — Elle n'avait pas f
sale cochon, fous-moi le camp d'ici! a » Je vous en prie, reprit la
mère
, ne faites pas attention!» Jugeant le cas digne
n'est pas responsable. » Mais l'enfant reprit, en s'adressant à sa
mère
: « Et toi, sale v....! sale p.. .! qu'est-ce que
« Alors il cracha vers moi sans m'atteindra. « Tu sais, lui cria sa
mère
, si tu continues, je vais te battre et te jeter h
qu'il avait été transporté à l'hôpital en désespoir de cause, d'où la
mère
l'avait repris, persuadée, selon les dires de tou
de perdre contenance, d'avouer son impuissance et de se retirer. La
mère
, effrayée et sans médecin, était accourue chez mo
, aimable, serviable. Sou caractère était change et à ce point que la
mère
y voyait l'état d'un enfant en délire et qui deva
les, j'avais capté son attention, et, au moment opportun, je dis à la
mère
: « Madame, votre enfant souffre, parce qu'une de
ire de six ans, en pleine période d'évolution : « C'est juste, dit la
mère
, voilà bien des fois que l'enfant montre sa bouch
enfant devint souple, soumis, il cessa de m'insultcr et d'insulter sa
mère
. J'ordonnai un traitement approprié; peu à peu, l
. Dès qu'on pénètre dans sa chambre, il cesse ses petites manies ; sa
mère
a eu beaucoup de peine à surprendre ses gestes et
e du dégénéré supérieur. Son père est mort de paralyBie générale ; sa
mère
, grande hystérique, a eu des accès de mélancolie
'heure actuelle. « Lesselles étaientau début, d'après le dire de la
mère
, séparées par un intervalle de plusieurs jours ;
ant amener l'issue fatale, se produisit à la On de l'année 1902. La
mère
de la malade me fit appeler pour une légère saill
au-dessous de l'extrémité supérieure du radius. Cette grosseur que la
mère
attribuait ù un traumatisme provenant des manoeuv
nt de son lit pour me rendre dans la pièce voisine, elle demande à sa
mère
où est le médecin. Avant de sortir je pratique
sque le retour à la vie normale fut complet, elle demanda son ngc. Sa
mère
lut répondit 22 ans, faisant abstraction des anné
llis sur eu cas. La malade appartient à une famille névropathique; la
mère
, nerveuse, irritable, a eu, dès sa plus tendre en
admirablement; sa guérison est complète. II. — -'.. âgée de 26 ans,
mère
de quatre enfants, d'un tempérament nerveux et co
eurs. La corneille était entrée dans un nid et avait tué un polit. La
mère
, en rentrant au logis, s'aperçut du crime. Elle s
u point de vue psychologique. Elle se comportait comme une excellente
mère
, ayant le plus grand soin do ses enfants et vaqua
de bourgmestre. Ses frères et sœurs sont également bien portants. Sa
mère
, morte depuis plusieurs années, était normale. On
était en relation jadis et les appelle par leur nom. Elle demande sa
mère
dont les trails sont restés dans sa mémoire aussi
les coups ne peuvent la décider a se mouvoir sans l'aide d'autrui. Sa
mère
a plus d'une fois placé ses aliments à une distan
tion), vous sortirez dans la rue comme autrefois avec L'aide de votre
mère
, vous cesserez d'avoir peur de marcher toute seul
ous rappellerez comment on marche, vousaban-donnerez la main de votre
mère
et vous marcherez seule comme tout le monde. Eo e
avec perte de connaissance. Il y n un an et demi la malade n perdu sa
mère
qu'elle chérissait; elle a beaucoup pleuré et épr
coup pleuré et éprouvé un très grand chagrin. Peu après la mort de sa
mère
, elle a une première attaque d'hystérie avec pert
oppés. Il y a donc là un phénomène d'hérédité digne d'être noté. La
mère
n'attribuait l'apparition de l'anomalie ni à une
vant quelqu'un. Devant des intimes, cela n'arrive pas. Son mari, sa
mère
ne s'en sont jamais aperçus. Son père seul, qui é
elle retourne à sa rêverie qui n'a jamais d'objets bien précis. Sa
mère
est une nerveuse, et sa sœur autrefois a eu des c
répliqua Schemouel, a fait bien des femmes sans enfants ; c'est à ta
mère
, maintenant parmi les femmes, à être sans fils. •
trouvait pas en rapport avec une impression maternelle. A ce sujet sa
mère
raconte que pendant sa grossesse elle a reçu la v
e ses nerfs toute la journée ; c'était une ménagère sérieuse, mariée,
mère
de plusieurs enfants, travaillant dur et ferme po
étend qu'elle danse et chante pour Dieu. Antécédents héréditaires :
mère
nerveuse, tante maternelle également nerveuse, ma
ieures. Que si rfen de cette hérédité ne transparaît chez les père et
mère
, on en recherchera la source chez les ascendants
eard possédait au plus haut point les aptitudes féminines. Excellente
mère
, elle aimait beaucoup à s'occuper des travaux du
lèvre présentait déjà une fine moustache, dont l'aspect fit gémir sa
mère
. Mais ces gémissements ne tardèrent pas à se tran
«avant phrénologiste nommé Franklin et la justice la fit rendre à sa
mère
qui, pendaotce temps l'avait recherchée de ville
, il leur dit : a Ces deux chiens sont nés du même père et de la même
mère
, mais comme j'ai donné à chacun d'eux une éducati
ous dira qu'il doit l'apparition de ses qualités à la direction d'une
mère
douée d'une autorité ferme et d'une élévation d'e
de grands cris. La petite fille de deux ans, qui dormait à côté de sa
mère
, éprouva une telle frayeur qu'elle fut atteinte d
ait à manger des insectes; deux de ses filles sont des abouliques. Sa
mère
a eu des crises probablement hystériques. Une de
e lait par jour ; et elle voudrait imposer ce régime à son père, à sa
mère
, à sa sœur... Sa mère, allume un feu de bois pour
lle voudrait imposer ce régime à son père, à sa mère, à sa sœur... Sa
mère
, allume un feu de bois pour faire sa cuisine. Not
ription analogue, indiquant en outre que la malade s'imaginait que sa
mère
était toujours vivante. Au moment de son admiss
anvier 1876 à l'asile du Comté de Xorthumberland. Elle était veuve et
mère
de trois enfants. On peut supposer que parmi les
de succès. Quand je rencontrai celte dame pour la première fois, sa
mère
l'accompagnait et souffrait également du mal de m
i ne peut dormir pendant la journée et le soir il devient nerveux. La
mère
se diisolc et abandonne bientôt l'idée d'essayer
ébé se tournent en haut laissant apparaître le blanc de la cornée. Sa
mère
, prise de frayeur, s'écrie : o Voyez, il tourne l
> Et, en effet, les paupières s'abaissent et l'enfant s'endort. La
mère
en fut très étonnée. 4. Et maintenant une appli
S.., âgée de 28 ans, d'un tempérament nerveux, très impressionnable,
mère
de quatre enfants, souffre, depuis l'âge de 8 ans
e. A l'âge de 18 ans, elle se marie, et, deux ans après, elle devient
mère
; elle a eu quatre enfants et deux fausses-couche
ion. Elle a eu son père, un frère et une sœur atteints de folie et sa
mère
, quoique saine d'esprit, avait aussi une barbe. S
il mais me dit que, au moment où elle s'endormait, le squelette de sa
mère
(elle avait, en effet, crié : maman! en s'endorma
is cette époque). III. L. X..., 21 ans, mariée depuis quatre ans et
mère
depuis trois ans; plaide en divorce; morphinomane
elle accepte parfaitement les suggestions. Elle est surveillée par sa
mère
et par une garde très intelligente qui a été infi
ui concerne la jeune femme dontnous donnons le portrait (Fig. 57). Sa
mère
était blanchisseuse et logeait dans sa maison plu
chat échaudé s'élança dans l'escalier jusqu'à la chambre où était la
mère
. Terrifiée à la vue de son animal favori si cruel
le et sur la joue représentait l'emplacement occupé par la main de la
mère
sur les régions analogues. Les parties du nœvus q
ore plus surprenante. Peu de temps avant sa naissance, son père et sa
mère
qui habitaient à cette époque l'Afrique occidenta
ade en voiture dans une forêt. Un lion les attaqua et tua le père. La
mère
ne dut son salut qu'à l'intervention de nègres qu
he la production à une influence psycho-physiologique transmise de la
mère
à l'enfant qu'elle porte dans son sein. Il est po
quelques jours de là, Marie-Louise se trouvait seule à la maison, sa
mère
étant occupée au jardin, elle eut très peur, se p
jardin, elle eut très peur, se précipita à la fenêtre pour appeler sa
mère
et lorsque celle-ci fut auprès d'elle clic ne put
u'elle est couchéo et ferme les yeux elle a peur, s'agite, crie et sa
mère
qui couche auprès d'elle a toutes les peine? du m
ans mon cabinet elle ne sait pas où elle se trouve, elle reconnaît sa
mère
qui l'accompagne, mais elle ne me reconnaît pas e
s avec réveil complet et régression de la personnalité, je décidai la
mère
à ramener sa fille éveillée. En entrant dans sa c
nt les trouver. Ainsi, cette jeune fille a une double hérédité ; sa
mère
était très nerveuse et son père alcoolique. Dès s
famille qui échappe à notre étude. — Rien à noter, paraît-il, chez la
mère
, en fait de phénomènes nerveux. Il n'en est pas d
ori. Unjeune garçon russe qui est venu récemment me consulter avec sa
mère
,entremêlait devant moi ses tics convulsifs avec d
fs avec des cris fort singuliers paraissant exprimer la douleur. La
mère
m'apprit que ces cris étaient l'imitation exacte
transmettre, néanmoins, telle qu'il me l'a donnée. Il prétend que sa
mère
, étant grosse, était au service d'un banquier qui
nt porté à penser que ce n'est pas dans cette impression reçue par sa
mère
pendant sa grossesse qu'il faut aller chercher la
61 ans. — Une cousine germaine du côté maternel (fille du frère de la
mère
) tombe dans des attaques de nerfs, désignées épil
mère) tombe dans des attaques de nerfs, désignées épileptiques. — La
mère
de notre malade est morte de la poitrine. Un de s
inon (2). articles auxquels je vous renvoie. 2e Malade (Entre une
mère
portant dans ses bras sa fille, enfant de 8 ans.
ronc. A la petite fille : Comment vous appelez-vous, mon enfant? La
mère
. — Elle ne peut plus parler depuis quelques jours
A lanière : Combien y a-t-il de temps qu'elle a ces mouvements? La
mère
. — Un mois environ, monsieur ; mais cela augmente
indemnes,non affectés de chorée? c'est bien peu vraisemblable. A la
mère
: Pourquoi portez-vous cette enfant? Elle ne peut
us cette enfant? Elle ne peut donc pas se tenir debout, marcher. La
mère
. —Non, monsieur. Au commencement, ses jambes étai
ar quelques interrogations l'histoire clinique de notre sujet. A la
mère
: Votre enfant a-t-elle souffert de rhumatisme ar
ticulaire avec gonflement, rougeur des articulations et fièvre ? La
mère
. — Oui, monsieur, il y a quatre mois ; cela a dur
l y a quatre mois ; cela a duré quelques semaines. M. Charcot, à la
mère
. — Àvez-vous souffert aussi, madame, de cette mêm
ère. — Àvez-vous souffert aussi, madame, de cette même maladie ? La
mère
. — Oui, monsieur, et mon mari également. Le mar
n mari également. Le mari. — Oui, cela est vrai, plusieurs fois; ma
mère
également a eu les doigts des mains enflés et déf
l'hérédité nerveuse n'est pas en cause. S'adressant à la fois à la
mère
et au père : Avez-vous connu des membres de votre
lermont. M. Charcot. — Voilà certes une révélation importante. A la
mère
. — Et vous, madame, qu'avez-vous à dire ? La mère
on importante. A la mère. — Et vous, madame, qu'avez-vous à dire ? La
mère
. — Rien dans ce genre. M. Charcot. — A quel âge
. Charcot. — A quel âge avez-vous eu votre rhumatisme articulaire? La
mère
. — J'ai eu deux attaques : la première à 19 ans,
19 ans, l'autre à 36 ans. M. Charcot. — Avez-vous eu la chorée ? La
mère
. — Non, monsieur, je n'en connais pas d'autre exe
que celle-ci; ont-ils été malades ? dites-moi ce qu'ils ont eu. La
mère
. — La petite est la 7e de 10 enfants ; 8 surviven
de la petite qui est ici : a-t-elle eu avant d'autres maladies ? La
mère
. — Oui, la rougeole à l'âge de 5 ans. Le rhumatis
enoux avec gonflements. M. Charcot. — Qu'est-il arrivé après ? La
mère
.— Vers la fin de septembre, elle est tombée d'une
— Quand la chose a-l-elle commencé? Il y a un mois, dites-vous ? La
mère
.— C'est difficile à dire exactement, mais déjà le
0, obs. XI, p. 118). Là vous apprendrez qu'Eudoxie H... est née d'une
mère
épileptique (?) et d'un père alcoolique, qu'elle
s On introduit une petite fille âgée de douze ans accompagnée de sa
mère
; elle est atteinte d'une paralysie faciale compl
sont chez cette jeune fille les antécédents de famille révélés par sa
mère
. Son père a été il y a trois ans renfermé comme
roux. » très irrégulière, est mort paralysé d'un côté du corps. —Sa
mère
est nerveuse, très impressionnable ;la grand'mère
de 57 ans est un ivrogne fieffé, batailleur, emporté, colère ; que sa
mère
boit aussi un peu et qu'il en est de même d'une d
hez l'homme l'hypnotisa-tion dans ce cas n'a pas été praticable. Sa
mère
est une mélancolique, une anxieuse ; elle tombe d
ues. La situation évidemment devient sérieuse et sur la demande de sa
mère
le malade est admis dans les salles de la Cliniqu
25 novembre. —Sommeil très agité lanuit ; il crie, délire, appelle sa
mère
. Toujours grincements de dents, mouvements divers
par la fenêtre. l'âge de 43 ans. de sa femme. Le père du malade La
mère
du malade Suicide Hémoptysies nerveuses (?) sup
e pendu danslacave de la maison. Déjà, quelques années auparavant, sa
mère
s'était également suicidée en se jetant par une f
La grand'mère du malade a en effet souffert d'attaques de nerfs et sa
mère
a été affectée d'hémop-tisie, qu'on a été conduit
bien précis. • L'enfant est orpheline ; elle a perdu son père et sa
mère
alors qu'elle était encore très petite. Cependant
COTÉ PATERNEL COTÉ MATERNEL Un frère du père est mort Père, 45 ans.
Mère
, 38 ans. tliéné à 1 âge de 30 ans. Rien de nerv
t intéressant. Père mort d'un cancer du larynx à l'âge de 56 ans ; la
mère
n'a jamais souffert de maladies nerveuses : répon
tronc en arrière. Sur la partie douloureuse des reins, d'ailleurs, la
mère
aurait remarqué la présence d'une tache bleuâtre,
nt de l'hospice de Valognes ; elle n'a jamais connu ni son père ni sa
mère
. Il est vrai que cette qualité d'être issue de «
thie toutefois ne fait pas défaut dans son arbre généalogique, car sa
mère
, morte de phtisie pulmonaire, était sujette à des
cours un petit garçon d'environ douze ans ; il est accompagné par sa
mère
qui le tient sur ses genoux et par un de ses oncl
ur. M. Charcot {A lamère). — Quand a-t-il commencé à s'agiter? La
mère
. — Monsieur, il y a trois ou quatre mois ; il y a
lysie véritablement choréique ne paraît pas avoir de gravité. (A la
mère
) : Cet enfant dort-il ? La mère. ¦—Très peu, mo
araît pas avoir de gravité. (A la mère) : Cet enfant dort-il ? La
mère
. ¦—Très peu, monsieur;—ses nuits sont fort agitée
rhumatismes articulaires ; a-t-il souffert dans les jointures ? La
mère
. —- Non, monsieur, il n'a jamais été malade aupar
ravant; il n'a jamais souffert dans les jointures. M. Cfiarcot (Ala
mère
). — Connaissez-vous bien votre famille et celle d
ert de quelque affection nerveuse, de la goutte, du rhumatisme ? La
mère
. — Ma mère, monsieur, a eu la chorée à l'âge de d
que affection nerveuse, de la goutte, du rhumatisme ? La mère. — Ma
mère
, monsieur, a eu la chorée à l'âge de douze ans; e
été toute sa vie triste, taciturne. M. Charcot. — C'est tout ? La
mère
. — Oui, monsieur, de mon côté. — Vous connaissez
ns diverses jointures sans être jamais obligé de garder le lit. Notre
mère
était rhumatisante: elle avait les doigts tout dé
técédents héréditaires : père, mort à 52 ans, d'une maladie du cœur ;
mère
morte « hydropique » ; deux sœurs bien portantes.
ncée ; père exalté, instituteur, s'occupant activement de politique ;
mère
emportée ; un frère suicidé ; syphilis à l'âge de
rge place.La grand'mère maternelle de notre malade a été aliénée ; sa
mère
a des hallucinations de l'ouïe et de la vue, elle
hez celui-ci : COTÉ PATERNEL COTÉ MATERNEL tante autre tante père
mère
tante Aliénée ; dipso- Dipsomane. Aucune maladi
son père n'est pas connue ; son père est mort « de la poitrine ». Sa
mère
n'a jamais été malade* mais il y a eu un oncle ma
urd'hui encore : Il n'y a pas d'antécédents héréditaires connus. Sa
mère
était une enfant trouvée. A l'âge de 23 ans, ét
temps. Un frère du père, Père, cousin de la mort en 1886, à65ans.
mère
, âgé de 77 ans, Il était sujet à des cultivateu
sements. Mort tant, mais ivrogne. en tombant du haut d'une voiture.
Mère
, 76 ans, nerveuse irritable, violentes colères, é
e sans connaissance pendant plusieurs minutes. Cousin germain de la
mère
, 50 ans marchand de vins, ivrogne, a été enfermé
elques points de couture, l'habille et l'emmaillotte, puis délivre la
mère
. Elle examine le placenta, le tourne, le retourne
branes et dit au père : « Vous pouvez jeter cela. » Puis elle lave la
mère
, l'essuie, lui passe du linge propre sous elle et
accouchement et le bien faire, lier et couper le cordon, délivrer la
mère
, lui donner, ainsi qu'à l'enfant, des soins minut
u'il est venu faire dans un endroit inconnu de lui. Il rentre chez sa
mère
sans pouvoir donner aucune explication de son abs
côté paternel ; sur leur compte il ne peut rien dire de précis. Sa
mère
n'était pas nerveuse ; elle est morte à 60 ans, h
pas nerveuse ; elle est morte à 60 ans, hydropique. Une sœur de sa
mère
a été internée à l'asile d'aliénés de Saint-Yon,
e : à ce moment là, il se réveillait poussant des cris affreux, et sa
mère
accourait pour le tranquilliser. J'appelle votre
min est coupé; il ne connaît pas du tout la famille de son père. Sa
mère
et sa tante sont mortes de maladie cardiaque. Cel
très nerveuse. Elle est morte pendant le siège. Après la mort de sa
mère
, l'enfant fut réduit à mendier dans les rues de P
les tares nerveuses ne font pas défaut dans la famille du malade. Sa
mère
, d'après le récit qu'il nous donne, était atteint
t du tout au tout la situation. La mort de ses parents, celle de sa
mère
en particulier qui fut inopinée et à laquelle il
ssu d'un père émotif qui a eu plusieurs crises nerveuses (?) et d'une
mère
également nerveuse mais sans crises. Lui, a été a
dans la famille. Mais il n'y a à cet égard rien de bien accentué. Sa
mère
est très nerveuse, sujette à des colères sans fre
u côté paternel, du grand musicien qui porte le même nom que lui ; sa
mère
le lui aurait affirmé, mais un mystère semble rég
cérébrale. Le grand-père de ce côté n'a pas été connu du malade. Sa
mère
exerçait, elle aussi, la profession d'artiste dra
te àl'âge de 57 ans, à l'hôpital Saint-Antoine. Un des frères de sa
mère
, comédien, avait la mauvaise habitude de boire be
eulement il était très nerveux, très émotif ; d'ailleurs élevé par sa
mère
, dans le théâtre, il avait été excessivement gâté
, Il y a chez lui quelques antécédents héréditaires à signaler : la
mère
serait morte d'une maladie de la moelle épinière
rte. Trois oncles vivants et en parfaite santé. Du côté maternel : Sa
mère
est morte subitement à 69 ans : elle n'était pas
sont fort incomplets. Il n'a pas connu son père, il ne sai rien de sa
mère
qui mourut pendant qu'il était encore en bas âge.
éné. Enfant unique, a perdu très jeune son père, a été élevé par sa
mère
qui n'avait aucune autorité sur lui. Peu intelli-
l n'est arrivé à rien, est devenu de plus en plus difficile pour sa
mère
, qu'il a prise en aversion, et à laquelle il ne
geait des testaments en leur faveur. En même temps, il faisait à sa
mère
des scènes violentes, la menaçait, allait même
é générale dominent. Tout le monde cherche à l'empoisonner, même sa
mère
, ou du DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉ
E GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS. 37 moins la « femme » qui se dit sa
mère
. Ses vêtements, son linge, sa literie, l'eau du
ans une maison de santé. Fils unique, ayant perdu de bonne heure sa"
mère
,' II..., qui est âgé d'environ quarante ans auj
Son père, très obèse et très alcoo- lique, est mort subitement. Sa
mère
, atteinte d'asthme avec em- physème depuis de l
n père est mort dans la démence sénile; il avait des hématuries. Sa
mère
est morte âgée; elle était, parait-il, coléreus
n russe, âgé d'une douzaine d'années, qui : présent au moment où sa
mère
, s'étant pris un doigt dans une porte, poussa u
técédents héréditaires. Père mort aliéné dans un asile de Lausanne.
Mère
morte à quarante-sept ans d'une tuberculose pull
recouvertes de gutta-percha, et changées de temps en temps par la
mère
du malade. ' ' , , ' On continua l'usage du dra
us. Un gamin de onze ans, Jules B..., était amené hier matin par sa
mère
au bureau de M. Girard, commis- saire de police
de. Il n'a jamais eu d'accidents syphilitiques. Côté maternel. La
mère
est morte d'une fluxion de poitrine à l'âge de
la Salpêtrière, le 22 décembre 1887. 1 Père buvait à l'occasion;
mère
un peu nerveuse. Développement tardif, niveau m
même. « Je ne suis pas digne de voir le jour ; je suis une mauvaise
mère
, dit-elle. Mes enfants ont des attentions pour
héréditaires. Son père est mort du choléra à soixante-seize ans. Sa
mère
qui a quatre-vingts ans est encore d'un bon con
ir ne lui semblait pas être ce qu'il aurait dû être. Antécédents.
Mère
aliénée. Cette mélancolique avait donc une voix
aires. Son père est mort à trente-cinq ans d'un refroidissement. Sa
mère
n'était pas nerveuse. Elle est morte à quatre-v
Il lui reste deux frères dont l'aîné est nerveux et ressemble à sa
mère
, avec laquelle il avait de la peine à s'en- ten
oulait pas me faire de mal, j'ai été très heureuse. Je crois que ma
mère
n'était pas ma mère. Mon nom n'est pas mon nom.
de mal, j'ai été très heureuse. Je crois que ma mère n'était pas ma
mère
. Mon nom n'est pas mon nom. Je suis comme un mo
être préparé par tout le monde. C'est peut-être joué contre moi. Ma
mère
n'est peut-être pas morte. J'y ai été franchement
pas moi- même, il fallait que je sois guidée. C'est la faute de ma
mère
. Alors elle ne m'aimait pas, elle n'était pas m
a faute de ma mère. Alors elle ne m'aimait pas, elle n'était pas ma
mère
, je ne sais plus. Mes parents ne sont plus mes
ais maintenant elle les laisse dire. Elle a entendu murmurer que sa
mère
l'avait eue avant son mariage, mais elle n'en s
ée, elle fut heureuse jus- qu'au jour où elle perdit son mari et la
mère
de celui-ci qui l'aimaient beaucoup tous deux.
e parlait.. · DES HALLUCINATIONS VERBALES PSYCHO-MOTRICES. 213 Sa
mère
était, dit-elle, possédée du démon, mais elle-mêm
lui obéisse. Antécédents héréditaires. Son père était maniaque. Sa
mère
avait une maladie de cour. Elle fut élevée chez
sonnes ainsi composée au point t de vue névropathique : le père, la
mère
et six enfants étaient aliénés ou idiots; les d
liénation sont, à l'heure actuelle, âgés de moins de douze ans : la
mère
et les quatre aînés des enfants sont internés à l
ier. Il est souvent absent de la maison, et le jeune Léon - dont la
mère
a déserté le foyer conjugal reste seul et en ab
un jouet. La discussion s'envenima. Georges menaça de raconter à sa
mère
ce qui s'était passé. La mère entendit le propos,
nima. Georges menaça de raconter à sa mère ce qui s'était passé. La
mère
entendit le propos, ques- tionna ses enfants et
Une autre fillette de neuf ans, Marie R..., avoua également à sa
mère
avoir visité fréquemment la maison de Léon. Ce de
é conseillé, a réussi, avec le concours intelligent et dévoué de sa
mère
, à se guérir de son redoutable penchant pour l'
e de caractère. Saviez-vous dans quelles circonstances M ? Dourches
mère
avait fait interner sa fille ? R. Je les ignora
- nelle. R. Cette fois, je ne crois pas avoir commis de délit. Ma
mère
m'a dit : « Ta soeur est guérie, on refuse de m
la journée. Enfin M. Robin, un de ceux qui, en 1890, ont assisté la
mère
dans la demande d'in- ternement, déclare qu'il
ation. Le Dr Vallon. Vers le mois de septembre 1891, M ? Dourches
mère
, prétendant que sa fille était guérie, sollicita
cution. En conséquence, la demande de mise en liberté formée par la
mère
de la malade fut repoussée. Le Dr Garnier. Aujo
pro- voquer chez elle une excitation dangereuse, aux visites de la
mère
et à celles de l'avocat (Hilarité.) , 111 Fon
puni que son cou- sin. Ce dernier a d'ailleurs été influencé par sa
mère
. , ! \le Fontaine de Rambouillet, dans sa défen
tre en place, puis se couche à 294 CLINIQUE MENTALE. , côté de sa
mère
, et passe une excellente nuit dans le sommeille
plus calme. - - 29. - Le lendemain matin, elle insiste près de sa
mère
pour savoir ce qui s'est passé la veille, on le
s quelque temps, elle se, réveilla à 1 heure du matin et dit à sa
mère
: . « Je sens que je m'en vais... » ce qui sign
demi-voix, mais avec la demi-conscience que c'était la nuit, que sa
mère
dormait près d'elle, qu'elle ne devait pas la r
ses incohérentes et déraisonnables parmi lesquelles la pensée de sa
mère
était l'idée dominante. Cette crise surajoutée
e parlait sans cesse. Dans ses crises, elle récri- minait contre sa
mère
qui avait consenti, disait-elle, et peut-être s
par sa perversion sexuelle, volé des chemises blanches et chez la
mère
duquel se retrouvait la singulière tendance à s
r, nous avons vu récemment deux malades à hérédité similaire : la
mère
de l'un d'eux ne pouvait pas toucher les mon- n
ant brusquement de con- duite, elle est entrée dans uu' couvent. La
mère
est 320 CLINIQUE MENTALE. bien portante. L...
ses, il se fait arrêter pour vaga- bondage ; toutes les fois que sa
mère
lui adresse quel- ques reproches, il est poussé
quelle on n'a jamais observé ni folie, ni épilepsie. Son père et sa
mère
sont morts assez jeunes et tous deux de fièvre ty
s à la poursuite de M..., il tue une femme et un jeune gar- çon, la
mère
et le fils, une autre femme accourue au secours d
qu'il devait tuer également quel- ques instants après, embrassât sa
mère
, et il le traîna vers le cadavre de cette derni
bration inconsciente, comme on désigne ce phéno- mène psychique. La
mère
de M... avait conseillé au- trefois à A... d'al
associée jusqu'à la fin. L'idée de faire embrasser le cadavre de la
mère
par l'en- fant se rattacherait aussi à quelque
xtravagances qu'elle qualifie maintenant de méchan- cetés envers sa
mère
. Elle ne voulait pas manger à table disant que
Elle avait des envies de pleurer en s'accusant de ne pas écouter sa
mère
. Les prières ne semblent qu'une conséquence des
vec les autres. Ses antécédents héréditaires sont les suivants : sa
mère
a soixante- cinq ans et se porte assez bien. So
e pas sortir. C'est pour la punir des misères qu'elle a faites à sa
mère
qu'on l'a enfermée ici. Elle trouve qu'elle a d
e d'avoir fait des bêtises, sachant que ça faisait de la peine à sa
mère
. Elle n'a jamais entendu de voix qui lui causai
son délire. 23 nov. 1891.- Aujourd'hui Julie Lamb... vit avec sa
mère
mais elle est toujours mélancolique. Elle ne ve
ante surtout au moment de ses époques et pourtant elle aime bien sa
mère
. Elle fuit surtout les hommes; elle n'aime pas
il faut insister au besoin, 390 RECUEIL DE FAITS. questionner sa
mère
pour savoir qu'elle se parle continuelle- ment
il existe un sarcome du volume d'une noix qui a perforé la dure-
mère
et les os, mais qui n'a pas pénétré dans la subst
et de l'ouïe : elle souffrait depuis longtemps de maux de tête. Sa
mère
a été dix ans dans un asile. Pas de syphilis. A s
ades étaient des pre- SOCIÉTÉS SAVANTES. 423 miers nés, mais leur
mère
, avant cette grossesse normale, avait fait une
depuis -quelques jours, ont fait ouvrir sa porte et ont trouvé leur
mère
morte. - L'ancienne bonne du curé de l'hôpita
ATHOLOGIE NERVEUSE. famille du malade. Le père était alcoolique, la
mère
est bien por- tante, un frère est mort tubercul
Antécédents héréditaires. Père, faible d'esprit, et de carac- tère.
Mère
, nerveuse sans attaques, intelligence faible, tre
te ses idées de culpabilité, elle croyait avoir causé la mort de sa
mère
et aussi que le schah de Perse l'aimait; elle e
Record. New-York, janvier 1887.) L'influence des impressions de la
mère
pendant la grossesse sur les déformations de l'
a première fois, par l'observa- tion d'un enfant (mort-né), dont la
mère
avait été gravement brûlée sur le corps et les
ps avant d'accoucher. L'enfant présentait aux mêmes points que la
mère
, des taches livides. Il chercha dès lors dans la
résence de difformités chez l'enfant à la suite d'impressions de la
mère
pendant la grossesse. 'Un fait du Dr Bailey dan
d'autres cas, ce sont des troubles intellectuels prolongés chez la
mère
qui'peu- vent agir sur la conformation de l'enf
t. Une observation per- sonnelle de l'auteur en est un exemple. Une
mère
donna nais- sance à un enfant ayant un pied-bot
il ne faut pas toutefois mettre sur le compte des impressions de la
mère
toutes les taches que présentent les enfants à
Deux objections se posent : la première, est que : fréquemment les
mères
ont des impressions auxquelles ne correspondent p
tes les déformations congénitales, l'influence intellectuelle de la
mère
, les impressions de celle-ci ne sont pas subite
un temps plus ou moins long. Comment les troubles de l'esprit de la
mère
agissent-ils sur le foetus ? L'auteur admet ave
connexion est REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 79 si intime entre la
mère
et le foetus, que ce que ressent l'un, est tran
st transmis à l'autre. Les troubles nerveux chez l'enfant dont la
mère
a reçu quelque impression vive ou prolongée penda
. Ce dernier conclut en montrant que les cel- lules nerveuses de la
mère
ont une action sur le foetus. Mais toutes les i
Busedoto. C'est un ouvrier en orfèvrerie d'argent dont les père et
mère
ont atteint l'âge de quatre-vingts ans. En 1872
, du dnecteurde l'établissement d'aliénés, pour qu'on rendit à sa
mère
qui le demandait, un jeune homme que son bon sens
s cas d'alcoolisme chez le père, on trouve Une prédominance chez la
mère
. Le nervosisme constitue une prédisposition des
et y ost décédé le ter avril 4885. Renseignements fournis par sa
mère
(28 mars 1882). Père, quarante-sept ans, travai
artres. etc. [Père, maçon, bien portant, nombreux excès de boisson.
Mère
, bien portante, ainsi qu'un frère, une soeur (d
enfants). Pas d'aliénés, d'épileptiques, etc., dans la famille.]
Mère
, quarante et un ans, journalière aux champs, peu
au chemin de fer, mort au bout d'un an ; nombreux excès de boisson.
Mère
, pas de détails ; elle est morte de la poitrine
alcoolique du père. Grossesse : au sixième mois, émotion vive de la
mère
causée par la vue d'at- laques d'hystérie d'une
malgré cela, il n'y aurait pas eu de cyanose. Elevé au sein par sa
mère
jusqu'à seize mois. A six mois il aurait été so
stic. Folie systématique hallucinatoire aiguë. Huit jours après, la
mère
de cette enfant, dans la famille de qui on ne c
e physique et psychopathique identique. Pas d'hérédité. M. ZiNN. La
mère
dont parle M. Mendel vient d'être admise à Eber
S. 303 qu'un exemple de folie gémellaire, dans lequel le père et la
mère
étaient aliénés. Les deux jumeaux avaient été é
ysique et psychopathique. Hérédité très chargée. Il y a dix ans, la
mère
a eu une mélancolie très grave, mais dont elle
sieurs individus atteints du même délire : un père et son fils, une
mère
et sa fille, deux soeurs, etc., se trouvent en
s épi- démies de convulsions. Observation 1. Délire communiqué.
Mère
débile. Fils débile. : 11m P... est entrée à Sain
dé, et se livre à des contorsions grotesques rappelant celles de sa
mère
dont il répète aussi les paroles. On le voit se
et enfant, les troubles étaient beaucoup moins profonds que chez la
mère
. Quelques jours de présence à l'asile ont suffi
i faire abandonner à peu près complètement ses idées délirantes. Sa
mère
a guéri également en quelques semaines. Nous
autres de nos observations. Observation II. Délire communiqué. -
Mère
délirante chronique. Fille débile. Les deux mal
s deux malades qui font le sujet de la présente observation sont la
mère
et la fille. Elles sont entrées le même jour à Sa
à Sainte- 336 PATHOLOGIE MENTALE. Anne, au bureau d'admission. La
mère
, M-e L... âgée de cin- quante-deux ans est atte
la fille Maria L... est une débile, qui a subi les influences de sa
mère
, et qui participe à son délire. Quelques mots
à des at- touchements réitérés de la part de son propre père. « Ma
mère
, DE LA FOLIE COMMUNIQUÉE. 337 dit-elle, m'ava
ui sont personnelles, et celles qui lui ont été communiquées par sa
mère
. Débile, elle a le droit de créer des idées dél
: « ça y est ». Voici maintenant les idées délirantes communes à la
mère
et à la fille. Plongées dans la même misère, to
s, tandis que la fille ne cherche aucune.explication de ce fait, la
mère
fait in- tervenir l'histoire des engains qui de
re. Si Maria a copié un certain nombre des idées délirantes de sa
mère
, elle est loin d'en reproduire la systématisation
ut de comprendre, elle croit aveuglément; elle sait et croit que sa
mère
est persécutée, et, partant de cette idée pré-
accepte tout ce qui est susceptible de rentrer dans le délire de sa
mère
. Un jour celle-ci lui dit, en parlant des fameux
ait, esquisse à l'adresse de l'agent de police un geste trivial. La
mère
et la fille sont alors arrêtées et dirigées sur
trecarrant sa situation ». Au même moment, coïncidence fâcheuse, sa
mère
part pour le Cantal, pour régler des affaires d
croit à l'intervention de personnes malveillantes qui ont pendu sa
mère
. De nombreuses interpréta- tions délirantes se
xprès pour nous; c'est qu'on voulait m'empêcher de constater que ma
mère
DE LA FOLIE COMMUNIQUÉE. 339 avait beaucoup c
beaucoup changé. Je suis sûre d'un fait, en tout cas, c'est que ma
mère
ne s'est pas pendue toute seule. J'ai trouvé étra
ma mère ne s'est pas pendue toute seule. J'ai trouvé étrange que ma
mère
fût enterrée avant notre arrivée; les scellés éta
he à lui voler et à exploiter au profit des autres une ferme que sa
mère
lui a laissée dans le Cantal. Depuis une année en
éotypées. Les deux autres points sont relatifs à la pendaison de la
mère
et à celle du père. Le récit de la cadette est
mbécile qui s'associe sans murmurer au suicide de son père et de sa
mère
, acceptant le fait comme une chose très simple,
342 PATHOLOGIE MENTALE. Observation IV. Délire à trois. Père et
mère
mélancoliques. Fille imbécile. J... (Marie), âg
en rapport avec la gravité des faits qu'elle relate. Son père et sa
mère
, simples journaliers, vivaient depuis long- tem
urnaliers, vivaient depuis long- temps dans un dénûment complet. La
mère
avait toujours été triste d'une façon exagérée.
r auprès d'elle, le long du mur. Le père ne tarde pas à expirer. La
mère
vivait encore ; plusieurs fois le réchaud s'éte
ille à boire le reste. Celle-ci refuse. Au bout de peu de temps, la
mère
agonise ; la fille, toujours couchée auprès de
de temps, la mère agonise ; la fille, toujours couchée auprès de sa
mère
, pleure, sans pourtant se rendre un compte exac
exact de sa situation. Elle voit l'écume sortir de la bouche de sa
mère
, elle l'essuie avec son mouchoir. Bientôt après
uche de sa mère, elle l'essuie avec son mouchoir. Bientôt après, la
mère
expire. La fille, anéantie par l'effet de l'oxy
de de carbone, reste étendue auprès du cadavre de son père et de sa
mère
pendant plusieurs jours, jusqu'à ce que les voi
olument typiques : « Je me suis gendarmée, je ne voulais pas que ma
mère
meure, mais elle le voulait absolument. Elle vo
r. Je pleurais, je n'ai pas crié. Si j'avais appelé les voisins, ma
mère
m'aurait dit des sottises; vous ne la connaisse
du courage ! Mon père a consenti à mou- rir pour faire plaisir à ma
mère
; ça lui faisait quelque chose de mourir; il ne
faisait quelque chose de mourir; il ne voulait pas. Je disais à ma
mère
: Au moins vis pour moi. » Elle répondait : - N
Piuthiires. Père, grand, fort, physionomie régulière, intelligenl.
Mère
, assez grande, bien portante. Deux frères en bo
439 octobre 1887. OEdème pie-mérien, coagulum récent dans la pie-
mère
à la base du bulbe et de la protubérance. Dégénér
délire aigu. Femme mariée, sans enfants, âgée de trente-six ans. Sa
mère
avait été atteinte de manie à la suite d'une fi
ndu, leur intelligence à tous n'est pas à la hauteur de celle de la
mère
. Une chienne, fille de la précédente, sans avoir
résente ni alcoolisme, ni diathèses, ni névropathies. Du côté de la
mère
, aucun antécédent névropathique direct; elle au
marché à 11 mois et une soeur de 4 mois, bien portante. Suivantsa
mère
, 13... ne présentait pas de cyanose au mo-. men
inées. Thén..., Eugène, 19 ans, placé à plusieurs reprises par sa
mère
à l'infirmerie des idiots de Bicêtre, est entré e
orts d'apoplexie. Pas de consanguinité; le père est né à Paris : la
mère
est de Courancelle (Meuse). Elle ne porte aucun
ne présente aucun accident nerveux. Notre malade est né à terme. La
mère
n'indique pas qu'aucun accident lui soit arrivé
conditions hygiéniques déplorables (loge- ment humide, etc.), et la
mère
soupçonne qu'il aurait eu quelques convulsions.
urait fait une chute dans un escalier et depuis lors, au dire de la
mère
, il aurait complètement changé. Deux ans après
dent, il pouvait encore marcher convenablement et accom pagnait sa
mère
dehors; aucune nouvelle attaque de con- vulsion
ois à Bicêtre où il fit un séjour d'un mois (juillet-août 1865). La
mère
ne voulut pas le laisser da- vantage, parce que
le y avoir eu un temps, d'après les renseignements fournis par la
mère
, où la physionomie de l'enfant reflétait assez ex
, l'état de l'in- telligence ; notons encore que Th .. reconnaît sa
mère
, sa , '"2t -) CACHEXIE PACHYDERMIQUE. soeur e
Il est âgé actuellement de 12 ans. Renseignements fournis par sa
mère
(2 avril 1880). -- Père, enfant naturel, 55 ans
rmittentes ; excès de boisson mensuels ; pas d'accidents nerveux.
Mère
, 45 ans, frangeusc, assez intelligente, est sujet
Elle est nerveuse, mais n'a pas eu d'attaques de nerfs. [Père et
mère
morts du choléra en 1849. - Soeur morte à G ans,
voduer la consanguinité, le père étant enfant trouvé de Paris et la
mère
étant née à Metz. 6 enfants et une fausse cou
rt-né, à 8 mois. Pendant qu'elle était enceinte de notre malade, sa
mère
a eu, au 5" mois, une frayeur assez vive, étant
- A 5 mois, fluxion de poitrine. D... était élevé au sein par sa
mère
; chaque fois qu'il tétait, il vomissait, et il
s employés pour lui faire prendre des aliments furent inutiles ; sa
mère
parvint toutefois à lui faire avaler du bouillo
PIL.EPSIE. Antécédents. (Renseignements fournis par le père et la
mère
. Décembre 1879.) Père, 46 ans, musicien ambulan
lligence moyenne. [Père mort d'une hernie étranglée; pas d'excès. -
Mère
morte d'une attaque d'apoplexie en 7 ou 8 heure
s épileptiques, ni de difformes, ni de suicides dans la famille.)
Mère
, 43 ans, fait des ménages depuis qu'elle n'a plus
Grossesse bonne, accouchement facile à terme; élevé au sein par sa
mère
jusqu'à 2 ans ; a marché à 19 mois et parlé d'a
a des jambes : c'est de là qu'il écrivit pour la première fois à sa
mère
qu'il avait des crises nerveuses. Pendant les m
. Variole bénigne à 16 ans. Le père a toujours été bien portant; la
mère
est morte à 72 ans, paralysée, mais sans avoir
RNEVILLE, alors dirigé par M. Falret). Antécédents. Le père et la
mère
, tous deux bien portants, n'ont jamais présenté
est morte épileptique. Interrogée sur la marche de sa grossesse, la
mère
raconte qu'elle n'a subi à cette époque aucun t
elligence est presque nulle, P... ne re- connaît ni son père, ni sa
mère
; aucune parole. Il fre- donne de temps en temp
les méninges. Après l'ouverture du crâne et l'incision deladure-
mère
, les membranes soulevées par le liquide céphalo-
gine, elle ne paraît pas, d'après les renseignements fournis par la
mère
, pouvoir être rapportée à une encépha- lite tra
t-elle d'une manière appréciable sur les dispositions actuelles de la
mère
à la vue du renard ou du milan qui menace sa prog
ns laquelle la jeune fille, une fois suggestionnée, a déchargé sur sa
mère
un pistolet dans le but évident de la tuer, mais
ton croire, demande-t-il, qu'une fille qui, sans émotion, tire sur sa
mère
un coup de pistolet, ne se doute pas que la scène
humains qui s'efforcent de le retenir. Car ici Mlle E... tire sur sa
mère
avec le même calme que sur une poupée de plâtre d
é-rides germaniques (T. IX et X, observ. 133), le goût prononcé de la
mère
pour les écrevisses se transmet à l'enfant au poi
e à l'anus dans sa jeunesse. Pas d'autres antécédents tuberculeux. La
mère
est atteinte de rhumatisme déformant avec ankylos
nts que j'ai obtenus sont les suivants : Bonne santé du père et de la
mère
. Un frère bien portant. Pas de maladies dans la p
r les deux médecins de sa localité, mais sans le moindre succès. La
mère
me dit quelle est facilement hypnotisable. En eff
sortie de chez moi. » - A la visite qu'elle me fit le lendemain, sa
mère
m'apprend avec joie que sa fille n'a plus eu de d
d'antécédents héréditaires, ni nerveux, ni tuberculeux. Le père et la
mère
sont bien portants ; il est le 3e sur 10 enfants,
ie, à redresser la mauvaise position de l'enfant dans le ventre do la
mère
. Indépendamment de l'action médicale directe,
, les actes les plus terribles. L'un, qui se croyait persécuté par sa
mère
, la tue dans la nuit même qui a suivi sa mise en
on ne saurait être dangereux. Autant dire qu'il est dangereux pour la
mère
d'endormir son enfant en le berçant ou le captiva
nglaises), il rencontre une nichée de tout petits faisandeaux dont la
mère
a sans doute péri. Il en ramasse un et essaye de
u service le 24 novembre. Bien constitué, lymphatico-nerveux, d'une
mère
morte tuberculeuse, il a fait 5 ans de service mi
Le malade avoue avoir toujours été nerveux et impressionnable : sa
mère
aussi était nerveuse et colère. Pour tâter la s
atteinte d'emphysème pulmonaire. Agée de 37 ans, journalière, mariée,
mère
de quatre enfants dont un seul est vivant, bien c
dans la terre. Ils se remirent assez rapidement, seulement les brebis
mères
n'eurent plus de lait. Un autre cas est encore
e crise a paru à cette période et l'a saisi dans la rue, auprès de sa
mère
. Il ignore comment elle est survenue ni ce qu'il
il a fait ; cependant il n'est pas tombé, il a continué à marcher, sa
mère
ne s'est aperçue de la chose que par les soupirs
nt un mois, chacune ne durant qu'une minute environ. Comme un jour sa
mère
le conduisait chez le médecin de la famille qui l
, n'a jamais uriné, n'a jamais gâté ses linges, n'a jamais bavé. Sa
mère
a constaté qu'il pleurait dans un accès nocturne,
ant, il sentit venir une attaque, il était assis auprès du cocher, sa
mère
était placée derrière lui, il lâcha les rênes ; à
e impulsive. Elle a des antécédents héréditaires assez chargés : sa
mère
rongeait ses ongles en cachette, on ne la voyait
e jamais elle se livre à l'onanisme; et elle court, dit sa belle-
mère
, après les jeunes gens ; malgré tout, elle semble
e est un nerveux, un peu buveur et fumeur endurci de la cigarette, sa
mère
est une hystérique et une femme de mauvaise réput
e. Son père est un alcoolique, un brightique et un syphilitique. Sa
mère
une anémique un peu nerveuse et un peu usée ou fa
e type astasique-abasique. Quelque temps après il fait remarquer à la
mère
qu'on donne trop à manger, à sa cousine ; immédia
mmence déjà à se lever. On la promène au jardin appuyée au bras de sa
mère
. Les forces ne reviennent que lentement. C'est da
latation de l'estomac. Là, vient se placer la remarque du cousin h la
mère
qui assistait à l'examen : « Vous, c'est do votre
l'attrister : le regard de toute personne, quelle qu'elle fût, père,
mère
, frères, sœurs, parents, étrangers, domestiques,
domestique, au lieu d'exécuter Tordre reçu, va dans la chambre de la
mère
du malade et fait aller plusieurs fois la sonnett
lève immédiatement, se réveille en crise, court dans la chambre de sa
mère
, en criant : « Les brigands ! où sont-ils ? » N'y
éveiller. Il se remet et me raconte qu'en entendant la sonnette de sa
mère
qu'elle n'emploie jamais, il l'a crue en détresse
ambiant. 1° J'ai vu, entre autres, le cas d'une cuisinière mariée,
mère
de amille, sans aucune tare héréditaire ni accide
Or, en mettant cette malade en état d'hypnotisme, on apprend que sa
mère
qui est morte lui apparaît pendant ses rêves, lui
on seulement à l'égard de la demanderesse, mais aussi à l'égard de la
mère
décédée, et qu'il suffisait, pour que cette diffa
ieurs années, aurait été, paraît-il, habituellement bien portant, est
mère
de cinq enfants : trois filles et deux garçons. U
effet, la valse n° 2 de Chopin (des trois valses brillantes), que la
mère
de la malade exécutait au piano. Le résultat fut
ditaires neu-ropathiques. Le père est mort d'alcoolisme chronique; la
mère
, après des accidents de manie hystérique, est mor
ère ; il y avait eu des périodes de rémission, dont une de 3 mois; sa
mère
lui avait promis, après beaucoup d'autres choses
t Berbères Dans la région de Drâ-el-Mizan, département d'Alger, les
mères
indigènes, afin d'obliger les enfants à s'endormi
on nom sert encore à calmer les petits braillards indigènes que leurs
mères
veulent endormir. Dans la région de Guelma, dép
épartement de Constantine,les êtres fantastiques suivants servent aux
mères
de familles Arabes pour j eter l'effroi et ramene
s se rapprochent sensiblement de ceux dont se servent nos excellentes
mères
. S'il pouvait en être ainsi pour tout ! Les mam
amarades, Si le sommeil le prend, Il dormira sur les genoux de sa
mère
. O lettré, instruis mon fils Pour qu'il devie
ue en quelques jours. M1" X..., âgée de 14 ans, m'est amenée par sa
mère
le 29 mai 1895, pour des attaques convulsives qui
gente. Son caractère est devenu très difficile et mémo colère, Sa
mère
no peut avoir aveoelle aucune oonvcr* salion sans
hypnotique la fait disparaître. Son caractère a beaucoup changé et sa
mère
peut discuter avec elle sans provoquer de colère.
alcoolique; sa vie ne nous donne rien d'important à signaler. La
mère
est morte de phthisic pulmonaire ; sa maladie a d
t en même temps la face rouge. Elle a été précoce pour tout, dit sa
mère
; à l'âge de onze ans, menstruation. Le surlendem
epuis trois jours, se trouvait dans un état de léthargie profonde. Sa
mère
me raconta que son fils, jeune homme très rangé e
nfrère, M. le docteur Depoitte, jugea, d'après l'interrogatoire de la
mère
, qu'il y avait en jeu une histoire d'abus, fait à
du malade. Je lui commandai alors d'ouvrir les yeux et de regarder sa
mère
. Après environ un quart d'heure, il ouvrit les ye
mère. Après environ un quart d'heure, il ouvrit les yeux, regarda sa
mère
et retomba en léthargie. Je recommençai la même m
me manœuvrent constatai que chaque fois que ses yeux rencontraient sa
mère
, il retombait dans son état primitif. Je fis sort
rlerait de quelque chose concernant ce qui s'était passé là-bas. Sa
mère
m'avait raconté que son fils était toujours accom
que, V... resta en correspondance continuelle avec B..., et, quand sa
mère
lui reprochait d'entretenir une amitié aussi prof
ts venaient de quitter l'Algérie, ne comprenant pas la présence de sa
mère
et ne sachant dans quelle maison il se trouvait.
e raconter ce qui s'était passé à Oran. L'histoire était telle que sa
mère
et moi nous l'avions supposée : l'influence de B.
raps chauds, que je ne voulais pas quitter, un pot d'eau glacée. Ma
mère
gémissait tout bas dc cette cruauté. J'en ai plus
avec aphasie. Rensei- 17187ne12tS 2t271f/'tSa12lS sLlt' sa famille.
Mère
: quelques excès de boisson ( ? ). - Cousin ger
1 août 1899. Antécédents. (Renseignements fournis par le père et la
mère
en juillet et en octobre 1899. ) Père : 55 ans
t paralysie complète des 2 côtés' début brusque, avec aphasie. - Sa
mère
a 83 ans, clic est sobre, n'a jamais été malade
sourds-muets, pas de criminels, etc., etc., pas de tuberculeux ]
MÈRE
, 44 ans. ménagère, est de la liesse. Pas de convu
ne dure pas; point de migraines. [Père mort on ne sait de quoi. -
Mère
morte à 63 ans, de la rupture d'un anévrysme ( ?
rdu un garçon de la coquelu- che. Dans le reste de la famille de la
mère
, on ne connaît aucune tare : pas d'aliénés, pas
] ] . Pas de consanguinité; le père est de 11 ans plus âgé que la
mère
de notre malade. Onze enfants : 1° garçon, mort
rs, d'envies, pas d'intoxication par l'alcool ou l'opium, etc. La
mère
prenait 5 verres de café par jour. Pas d'idées no
du cordon. - A la naissance pas d'asphyxie. Nourrie au sein par sa
mère
. Sevrée à 21 mois. Première dent à 14 mois. Imp
c personne, restait assise « a penser je ne sais à quoi, » dit la
mère
. Elle courait après les animaux et prenait plaisi
de l'oeil gauche qu'elle présentait depuis sa naissance, d'après la
mère
. Mal- gré cela, elle voyait aussi bien que les
re. Les sentiments affectifs sont assez développés. Au dire de la
mère
, l'enfant ressemble il son père au point de vue
, l'enfant ressemble il son père au point de vue du caractère, à sa
mère
au point vue physique. Telle était la malade ju
acilement en poussant rlrs cris, elle se lève. saute de son lit. La
mère
va consulter à ce moment il la Polyclini- que R
auche et la parait/sic du membre inférieur droit persistent. u La
mère
et la tante de la malade sont également d'avis qu
décrites. Ceruelel.- Surface congestionnée, recouverte d'une pic-
mère
, ayant l'aspect d'une fausse membrane vitreuse.
chronique de la base. MÉNINGITE CHRONIQUE ; CRANIECTOMIE. 13 la
mère
; convulsions de l'enfance chez une tante mater
lle n'aurait pas eu lieu en état d'ébriété. Durant la grossesse, la
mère
prenait une quantité exagérée de café. - Le str
ans; carac- tèr2 très emporté. - Deux tantes paternelles myopes.
Mère
migraines. G1'and'1Íure maternelle, morte d'une
30 mars. Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par sa
mère
.) Plue, Il.-) ans, marchand ambulant; ne à Varsov
. N'était pas tubercu- leux. [Son père est mort de vieillesse. - Sa
mère
est bien por- tante. Sur ses grands-parents, pa
. Dans le reste de la famille on ne connaît rien de particulier.]
Mère
, 42 ans, née en Russie, est à Paris depuis l'âge
re migraineux de ces accidents. Son père a 73 ans, bien portant. Sa
mère
est morte il 70 ans d'une tumeur dans le ventre
infantile;- 3 a 2 enfants bien portants; 4c n'a pas d'enfants. La
mère
du malade est la deuxième des enfants. - Dans l
Notre malade. Conception : misère, discussions entre le père et la
mère
. Grossesse, beaucoup de misère à cause du mari,
père et la mère. Grossesse, beaucoup de misère à cause du mari, la
mère
n'avait pas toujours de quoi manger; elle a eu
compagné de stridor. Allaitement mixte, en partie par le lait de la
mère
, en partie par le lait de vache, sevré à 11 moi
à 15 mois. Vers l'âge de 2 ans, c'était un très bel enfant, dit la
mère
. De rage de 7 mois à l'âge de 15 mois, l'enfant
t probablement de nystagmus, et non de convulsions, comme le dit la
mère
. Ces accès reve- naient 2 à 3 fois par jour; le
leux, pas de traumatisme céphalique. L'enfant ressemble plutôt à sa
mère
physiquement. A l'âge de six ans,il commence à
eurs, Observation. Mme z ? 51 ans, est fille de père buveur et de
mère
nerveuse. Une tante maternelle étaitaliénée et (u
t retiré à Paris; il est actuellement décédé, de cause inconnue. La
mère
était d'origine lorraine, gérait un petit commerc
if besoin de faire intervenir la propriété osteogenique de la dure-
mère
. (;'est, en effet, la couche la plus externe de l
Toutefois, tout fait présumer que l'homme qui a épousé plus tard la
mère
, est aussi le père réel ( ! ). Du côté du père
lld'tantes fut atteinte de folie périodique. Une tante, soeur de la
mère
du malade, traversa deux crises de mélancolie,
volution d'un pyo-salpir1.\. Une autre tante, également soeur de sa
mère
, traversa aussi deux- crises de mélancolie, l'u
té. Le père est un solide gaillard, mais aussi un buveur enragé. La
mère
est bien portante à tous les points de vue. Ils
re, il y a une hé- rédité nerveuse et surtout mentale du côté de la
mère
. 2° L'absence des principaux réflexes. Dans l'é
Il était syphilitique depuis l'âge de 28 ans idécédé à 42 ans). Sa
mère
était morte d'affection du coeur. Il avait 4 en
septembre 1905. Antécédents héréditaires. - Père mort de pleurésie.
Mère
goitreuse, morte quelques années après ? Fils u
ce n'en sont pas moins des déments précoces. Enfants martyrs d'une
mère
atteinte dit délire des persécutions . MM. Drom
nmoins un enfant malingre et qui paraît souffrir. Chose étrange, la
mère
se préoccupe beaucoup de leur état. Elle les em
e.[« Ils ont encore besoin des caresses et des sol- licitudes d'une
mère
, dit-elle, et, leur mère disparue, ils seront s
n des caresses et des sol- licitudes d'une mère, dit-elle, et, leur
mère
disparue, ils seront sans défense contre les mé
rver des en- fants victimes de parents persécutés, mais il a vu des
mères
mé- lanculiques ayant tué leurs enfants M. f3
du diverses manières, frappés sans raison, etc., par un père ou une
mère
aliénés, les cas sont assez nombreux. Qui de no
it pour le moindre motif, alors qu'autrefois elle se montrait bonne
mère
. Rajoute que beaucoup plus souvent qu'on ne pen
cultivateur l'radulles (Au(le),dans un accès d'alcoolisme, a tué sa
mère
à coups de huche. Dans un accès de folie alcool
ents héré- ditaires presque nuls : père asthmalique, mort à G7 ans.
Mère
morte de pneumonie il 45 ans ; trois soeurs en
lle on rc- lève de l'alcoolisme paternel et de la nervosité chez la
mère
. Otorrhée dans l'enfance. Conjonctivites, gangl
iers de la visite de ses parents qu'il dit ne pas aimer, surtout sa
mère
. Il lui arrive aussi fréquemment d'uriner au .l
éserve et détour- nait aussitôt la conversation. Elle causait de sa
mère
en termes peu favorables et disait des choses i
ses larmes couler en songeant à la peine qu'elle avait fait à sa
mère
. La corde sensible était touchée, cette pensée l'
tion III. Gu ? sans profession. Alcoolique, fils d'alcoolique et de
mère
apoplectique, devient épileptique à l'âge de ci
rechercher les femmes qui s'appro- chaient, sans même distinguer sa
mère
. L'érection, au paroxysme, s'accompagnait d'une
rapport avec sa profession. Père mort d'une affection médullaire ;
mère
démente ayant été internée ; quatre soeurs nerv
grand- père maternel était un épileptique mort aliéné; sa grand'-
mère
maternelle a souffert de violents maux de tête ;
- port au niveau intellectuel des montagnardes ; les frères de la
mère
étaient ; l'un alcoolique dipsomane ; le second i
trcisième s'est suicidé sans aucune raison. L'une des soeurs de la
mère
est frappée d'aliénation mentale ; la seconde seu
u père n'ont rien de particulier. A l'exception de notre malade, sa
mère
a eu trois avortements et, six enfants vivants, t
6 ' THÉRAPEUTIQUE PÉDAGOGIQUE. toutes sortes d'ouvrages manuels. Sa
mère
pour encourager ses aptitudes la place-dans la
n peu négligente, mais il y a, malgré tout, un grand changement. Sa
mère
nous, dit qu'elle est corrigée de bien des défa
née. Son intelligence était tout à fait réfractaire à l'étude et sa
mère
déclare qu'on n'avait jamais pu lui rien appren
es, connaît l'addition, la soustrac- tion et la. multiplication. La
mère
se montre très satisfaite TRAITEMENT TII : DI
avait toujours sur lui un fla- con empli de ce liquide etc'était sa
mère
, qui tous les matins.gl's- sait le poison dans
s supérieurs d'édu- cation, les universités populaires et aussi les
mères
qui sont les premières éducatrices de l'enfant
trois coups de son arme sur une jeune fille qui, en l'absence de la
mère
, gardait l'enfant. Les balles heureusement, n'a
ur le malade les renseignements sui- vants : Père mort épileptique.
Mère
morte à 74 ans d'une affec- tion indéterminée J
sorbant jusqu'à douze litres de vin par jour sans compter l'alcool.
Mère
morte à 64 ans, d'une tumeur. Un frère, idiot,
ont très incomplets. Le père est mort jeune, on ne sait de quoi. La
mère
est entièrement paralysée. Une soeur bien portant
mme essen- tiellement formée de tissu conjonctif, venu de la pie-
mère
en suivant les vaisseaux. Friedmann (1) décrit
o- lisme chronique, par Soukha- noff, 53. Enfants martyrs d'une
mère
atteinte' du - de persécutions, par Dromard et
ble dans un bureau des ponts et chaussées. Père bien portant ; la
mère
a des antécédents tuberculeux. Elle a perdu une f
tellement involontaires qu'il lui arrive de les prononcer devant sa
mère
qu'il affectionne beaucoup et qu'il fut un jour
ons l'exposé au moyen des documents particuliers que son père et sa
mère
nous four- nissent en son absence. S... a ins
utes les émotions agissent très vivement sur lui : il saule, dit sa
mère
, quand on l'appelle, et, bien que l'amélioratio
erver. Il est né au Havre, où habitent ses parents. Le père et la
mère
, que nous voyons à différentes reprises, sont b
ien portants : le père n'accuse aucun antécédent parti- culier ; la
mère
est une enfant naturelle et n'a pas connu son p
grossesse. L'enfant vint à terme, et, dans les années suivantes, la
mère
eut deux filles et un garçon, qui sont au- jour
ernelle, et ressentit une grande frayeur. A partir de ce moment, la
mère
remarqua que son enfant exécutait fréquemment d
dernière époque qu'il vient à la consultation de M. Charcot avec sa
mère
. Nous n'insisterons plus sur les con- torsions
isant une contorsion ; celle-ci est quelquefois assez atténuée ; la
mère
nous apprend alors que, vers l'époque où l'enfa
Salpêtrière. ' Son père est mort, dit-il, d'une fièvre typhoïde, sa
mère
est bien portante ainsi que ses deux frères. Ch
es grands parents maternels ne présentaient rien de particulier. La
mère
, grande, blonde, apa- thique, perdit en 1868 un
âge, pâle et anémique, qui reproduit très bien la physionomie de sa
mère
. Il est intelligent et répond très nettement à to
lle migrai- neuse ; le père, qui est magistrat, est migraineux ; la
mère
est un peu nerveuse et très impressionnable, el
elle survint une para- lysie diphtéritique du voile du palais. « La
mère
, nous écrit- on, croit se rappeler que, pendant
et un ans, dessinateur mécanicien, né le 13 avril 1863 à Paris. La
mère
est de Paris, le père de la Bourgogne. Grands p
lier, non alcoolique, très impressionnable, très vif de caractère ;
mère
non ner- veuse, asthmatique ; une soeur qui, de
ien du piano. Elle est grande et forte. Elle n'est pas réglée. Sa
mère
n'a jamais eu d'accidents nerveux. Son père a un
s élevée. Son éducation a été excellente. Elle n'a jamais quitté sa
mère
qui l'a entourée de la surveillance la plus ten
les mots grossiers qui lui sont familiers. Tout au contraire, la
mère
de la malade avait cherché à substituer à ces mot
es deux auteurs était ainsi com- posée : 5'il RECUEIL DE FAITS.
mère
bien portante aussi, impatiente et irritable. Sa
blement cette dernière. Chez un malade, on constatait sur la pie-
mère
de la fosse cérébelleuse un néoplasme de ce genre
it mort aussi d'un anévrysme ( ? ) ; l'autre accidentellement. Sa
mère
est morte à soixante-deux ans hydropique ( ? ), e
s. Obs. II. Néant. Obs. III. Etat mental tout particulier de la
mère
pendant sa grossesse. Obs. IV. Néant. Obs. V.
culier de la mère pendant sa grossesse. Obs. IV. Néant. Obs. V.
Mère
aliénée. Obs. VI. Grands-parents migraineux, mè
Néant. Obs. V. Mère aliénée. Obs. VI. Grands-parents migraineux,
mère
très nerveuse. Obs. VII. Chorée des grands-pa
es si involontairement, qu'il lui arrive de les prononcer devant sa
mère
qu'il affectionne beaucoup, et qu'il fut obligé
el alcoolique et cancéreux. G)'<M ! d'pc)'6 maternel alcoolique.
Mère
migraineuse. Deux soeurs mortes de méningite.
1sus(1 (service de At. BouwrwLLH.). Renseignements fournis par sa
mère
(28 avril 1881). P'c, qua- rante-deux ans, bien
de difformes, ni de sui- cides ou de criminels dans la famille.]
Mère
, trente-cinq ans, journalière, femme de ménage, a
avait été opéré quelques années auparavant d'une hernie étranglée.
Mère
, bien portante sobre, ni migraineuse, ni nerveu
mois, santé excel- lente. Ils ont tous été élevés au sein par leur
mère
; aucun n'a eu de convulsions. Notre malade. G
nvulsions. Notre malade. Grossesse moins bonne que les autres. La
mère
venait à peine de sevrer quand elle est devenue e
. Accouchement, à terme, naturel. 1.'etifiint, élevé au sein par qa
mère
jusqu'à un an (pas de convulsions), a marché à
ois et même depuis une quinzaine de jours; il a reconnu ses père et
mère
, mais ne leur a pas parlé (avi il 1881). Etal
rogrès très sérieux en lecture seulement. 27 octobre. Emmené par sa
mère
en congé. i iiovei2b ? -e. Ramené par sa mère,
ctobre. Emmené par sa mère en congé. i iiovei2b ? -e. Ramené par sa
mère
, il a eu plusieurs accès chez lui (2 le j,r, 5
eu plusieurs accès chez lui (2 le j,r, 5 le 2, 4 le 3, 4 le 4) ; sa
mère
prétend « que, quand la lèvre supérieure devien
destitué et enfermé dans un asile. Le 0'' Campagne aurait dit à la
mère
du malade que, sur les livres de l'asile, il y
comme incendiaires et enfermés plusieurs fois dans des asiles 1.]
Mère
, trente ans, châtaine, de physionomie agréable, m
cée au couvent où mon mari m'a prise parce que j'étais orpheline ».
Mère
, morte en cou- ches « quand je suis venue au mo
fermé à l'asile de Montdevergnes, on avait essayé de faire vivre la
mère
du ma- lade en dehors de son mari ; mais un jou
ans lesquels il devenait tout bleu se roulait à terre, injuriait sa
mère
, la bat- tait, ces crises duraient une heure au
asile Saint-Jean-de-Dieu (août 1881) et peu après on l'a rendu à sa
mère
(novembre 1881), qui l'a gardé jusqu'à son plac
a peur d'une grosse araignée toujours placée devant ses yeux. Sa
mère
décrit ainsi les accès : Pas d'uuru, cris, hurlem
dé; d'autres fois, il a commis des actes de violence, il a battu sa
mère
, sa soeur; une fois il a essayé de donner à cel
; parait haineux. Il avait pris en grippe une femme de ménage de sa
mère
, la battait, disait que, s'il avait vingt ans,
egarde d'un air effaré, ne semble reconnaître personne, pas même sa
mère
; à toute question il répond : tné, 771d. Par mo-
serait armé une quarantaine de fois. Il dit enfin qu'étant chez sa
mère
il aurait eu, pendant trois mois, des rapports
URARE DANS L'ÉPILEPSIE. 221 222 'recueil de faits. alcoolique; sa
mère
, pendant la grossesse, a éprouvé de nom- breuse
) L'observation concerne une fillette de douze ans dressée par sa
mère
et deux cabaretiers au rôle de somnambule, sorciè
80 SOCIÉTÉS savantes. bitudes; la fille disparue, tout change et la
mère
est incapable d'accomplir les mêmes actes pour
rigine rachi- dienne ne se comprend qu'avec déchirure de la dure-
mère
, comme complication d'hématorrachis, ou déchi-
mbre 1883, à quatre heures du soir. Renseignements fournis par sa
mère
(28 août 1882). Père, cin- quante-deux ans, men
, de criminels dans la famille. 1 DU CURARE DANS L ÉPILEPSIE. 321
Mère
, quarante-sept ans, intelligente, teinturière, re
e. Aupa- ravant, il était bien portant ; il buvait un peu. - Grand'
mère
maternelle, morte vers soixante ans, on ne sait
omatique. Deux soeiii-s et deux frères. Convulsions dans l'enfance.
Mère
absinthique pendant la grossesse. Premières c
sie symptoma- tique et imbécillité. Hypospadias. - Père alcoolique.
Mère
hystérique. Tante et oncle maternels, cancéreux
111. Instabilité mentale ; épilcpsic idiopathiquè. Père alcoolique.
Mère
: crises nerveuses en 4883. - Grand-père matern
ervation XXIV. Epilepsie symptomatique. - Père mort hletlei- sique.
Mère
migraineuse et colérique. Premières convulsions
ort eut lieu le 25 octobre. On : r.nwrov R111. Idiotie ; épilepsie.
Mère
: idées de suicide pendant deux mois. Grand-pèr
occasion de s'emporter jusqu'à perdre tout empire sur lui-même; la
mère
de la malade était très irritable, distraite, fan
a malade était très irritable, distraite, fantasque. La soeur de sa
mère
, devenue aliénée, est morte dans un asile de Va
rié. L7, lobule de l'insula. T A, TA, tissu aréolaire. - P Al, pie-
mère
épaissie, limitant le pseudo-kyste, PK. 2. - Co
s antécédents héréJilaírcs très graves. Sou jure élaît alcoolique, sa
mère
avait des crises conduisîtes d hystérie, sou gran
antécédents héréditaires tres chargés. Son père cal bien portant ; sa
mère
esl très impressionnable cl émotive. II n'a qu'un
u traitement. Son père est nerveux Cl doué d'un caractère emporté. Sa
mère
n'accuse aucun trouble nerveux. Un oncle maternel
lée ; une lanle maternelle a été internée dans un asile d'aliénés. Sa
mère
est hystérique, impressionnable à l'excès. Le gra
nsidérer comme une héréditaire ; son père est alcoolique, buveur ; sa
mère
a élé somnambule dans son enfance; elle se levait
d de vins, est un buveur profess sionnel ; il se ronge les ongles. La
mère
est bien portante ; c'est une femme très intellig
re esl marchand de vins, c est-à-dire buveur professionnellement : su
mère
esl nerveuse. La malade a élé en retard dans son
me «m se l'imagine, et la belle-mère car la jeune tille n'a plus sa
mère
, et sou père est remarié; la Iwlle-nière donc écr
dité de cette enfant et ses alité- cèdents personnels. Hérédité :
Mère
morte tuberculeuse— d'une légèreté île moeurs avé
: Mère morte tuberculeuse— d'une légèreté île moeurs avérée, Grand d'
mère
maternelle — crises nerveuses — porlée un lihrrti
de séjour chez ses maîtres, elle fui congédiée. Elle revint chez sa
mère
, pauvre femme, ma voisine de campagne. Là elle eu
ongcstive dan» 1 asile d'aliénés de Ville-Evrard. Il était alcoolique
Mère
1res iinpressionualde. Apres avoir appris la mort
iquèrent de troubles moraux et mentaux consistant en aversion pour la
mère
et la grand mère on idées de persécution fondées
parle avec une grande volubilité, se montre très raisonneuse avec sa
mère
, lui dit qu'elle se mêle de choses qu'elle ne sai
n chevalet où elle travailla tout le temps qui lu! avait été lixé. Sa
mère
, chargée par nous «le la surveiller et témoin ina
sont mauvais. Le père était buveur nu moment où il l'a engendrée. La
mère
est atteinte d'hystérie confirmée. Plusieurs pers
e s'occupe pas de son petit, qui sait s'accrocher à la fourrure de sa
mère
et ne reste jamais en route. M. Louis Robinson
d'expression, ses yeux deviennent brillants et pleins de fureur. « sa
mère
dit : voici mon fils fou », alors éclate une viol
te scène de colère: le jeune homme injurie son père, plus rarement sa
mère
: il menace, il veut frapper; il casse les meubles
re se reproduisent : pendant une de ses crises il regarde fixement sa
mère
et lui dit : « Toi aussi, tu y passeras ». Un aut
amorce pour allumer la poudre. Le bruit de l'explosion est énorme, sa
mère
me raconte qu'il a placé la machine sur une table
placée contre une maison qu'on réparc, tout à coup en présence de sa
mère
, il pousse des cris, escalade l'échelle, grimpe s
Ses parents viennent le voir, ses oncles cl cousins d'abord, puis sa
mère
; il est très affectueux, s'étonne qu'on l'ait int
ne les recommencera plus; se dit très malheureux d'être séparé de sa
mère
cl demande sa sortie. Son père vient le voir, ave
aniaque qu'il avait si souvent chez, lui et qui faisaient dire par sa
mère
: voilà la folie qui vient. Le malade, sachan
en faveur d'une jeune fille enceinte qui avait été déflorée et rendue
mère
, pendant le sommeil provoqué, contrairement à sa
sée : un grand-père très bien portant, une grand'mêrc diabétique, une
mère
et un père tres sains et deux enfants, le jeune A
e crâne très régulier, la face symétrique cl que l'accouchement de la
mère
ne se fut pas opéré avec les fers. Par mesure de
enir des environs de Paris, où elle habite et. le 20 octobre 1892. sa
mère
l'ayant amener chez moi. je commençai une premièr
ouvient de rien bien qu'au commencement de la séance elle entendit sa
mère
". Elle M trouve déjà mieux, plus calme. Elle s'
rt plus difficilement et le sommeil est moins profond ;elle entend sa
mère
toute la durer de la séance et au réveil, elle a
rer le revoir, à s'ennuyer de lui. (iliaque jour, en rentrant avec sa
mère
, son père la trouve mieux et constate un progrès
l'est d'autant plus que celte jeune femme est sur le point de devenir
mère
pour la première fois. Cette guérison est d'aut
t un sommeil profond, somnambuliquc. Cela au grand étonnement de sa
mère
, qui se trouvait là et qui prétendait que j'avais
ze ans ; son père est atteint d'artro-phie musculaire progressive, sa
mère
est bien portante, mais trèa emportée de caractèr
ioration a dure quatre heures environ selon les renseignements que sa
mère
m'a donnés. Le 5 septembre je l'ai endormi de nou
et sa parole n'était qu'un faible murmure. Lorsqu'elle vint avec sa
mère
, je leur conseillai le traitement hypnotique, con
e la procédure avait duré à peine dix minutes. La malade ainsi que sa
mère
étaient hors d'elles de surprise. Pour contrôle
es. A partir de ce jour, des causes plus ou moins indépendantes de sa
mère
et d'elle les empêchèrent de revenir pendant plus
ait son droit à Paris. Rappelé en Algérie par une grave maladie de sa
mère
, il fit la connaissance de Mme G... femme d'un in
s de l'Algérie, cependant, elle a toujours été une épouse fidèle, une
mère
irréprochable. Elle inspirait une telle confiance
très marquée; son père est lui-même neurasthénique hypocondriaque, sa
mère
est morte d'une paraplégie; il a une sceur qui pr
mique sérieux de la réponse, font éclater de rire les spectateurs, la
mère
éplorée cl la fille mourante; et. dès ce moment,
ion, est-ce chose dangereuse? Autant dire qu'il est dangereux pour la
mère
d'endormir son enfant en le lierçant, en le capti
en le captivant parla chanson du sommeil. Car c'est le procédé de la
mère
que j'emploie pour suggérer le sommeil. On dit
muse, et qui se figurent de bonne foi qu'il n'y a en France ni bonnes
mères
, ni honnêtes épouses. Les jugements précipités
ire d'une lare acquise • et ordinaire nient la femme attire son mari,
mère
mène sa filic (Il s agit du Sabbat) et quelquefoi
en 1817 â Port-Louis, dans l'île Maurice, d'un père anglais et d'une
mère
trnnçnise, le jeune savant vint à Paris en 1838 p
ut son corps obéissant automatiquement à tout mouvement imprimé. Sa
mère
et sa sœur sont présentes : je fais la suggestion
vais remonter, et vous allez remonter aussi rapidement que moi. » Sa
mère
et sa sœur sont restées en haut de l'escalier et
e souvient absolument de rien, est tout étonnée des exercices dont sa
mère
et sa sœur lui font le récit, elle ne sent plus s
ur n'a pas reparu. A propos do cette malade, jo dois ajouter que sa
mère
s'endort comme elle très rapidement et même avec
ue je fis: la dilatation se faisait lentement, mais tout allait bien,
mère
et enfant. Je rendors Madame G. et la préviens qu
orter notre attention. L'liypnolisée de ma première observation, sa
mère
, sa sœur, ainsi que Mme G... sont toutes les quat
calme, et d'une humeur douce et égale. Et cependant Mme M... et sa
mère
s'endorment aussi rapidement et aussi profondémen
a vie une grande décision, qui révèle une volonté très développée. Sa
mère
et sa sœur sont au contraire très confiantes et d
n, enragée. Quelquefois ces pseudo-phobies se sont transmises de la
mère
à l' enfant. On sait que la malheureuse mère de J
rt très jeune, alcoolique. Grand'mèrc paternelle, morte de paralysie,
mère
bien portante ; très nerveuse. Depuis son enfance
s, garçon épicier. Antécédents : père mort à 36 ans, d'une pneumonie;
mère
bien portante ; un frère âgé de 11 ans, est bien
aire, garçon boucher. Père alcoolique, mort d'un cancer de l'estomac.
Mère
hystérique. Un oncle du côté paternel est mort de
, ils sont vivants tous deux et relativement bien portants, sauf la
mère
qui commence à verser dans la démence sénile. Les
émence sénile. Les pa- rents de notre sujet sont morts, savoir : la
mère
, le 23 décembre 1893 par suite de fièvre typhoï
deux ans en deux ans. Pendant qu'elle le portait dans son sein, la
mère
du jeune Gustave n'a pas été malade, la grosses
nts, ni chez les collatéraux; même situation négative du côté de la
mère
. Sur les 8 enfants issus des époux F... (dont l
s appris qu'à ce moment le père n'avait aucun surmenage. Quant à la
mère
, elle ne pou- vait non plus avoir été épuisée p
turel. Père, rien à noter. Renseigne- meH<s nuls sur sa famille.
Mère
eczémateuse, pas d'accidents nerveux. Grand-pèr
t nalttrel. Antécédents héréditaires. Renseignements fournis par la
mère
le 3 mai 1890. PÈRE : quarante-cinq ans, typogr
aillait régulièrement, bon ouvrier. Pas de violence vis-à-vis de la
mère
. Caractère calme. Il a abandonné la mère de ses
e violence vis-à-vis de la mère. Caractère calme. Il a abandonné la
mère
de ses enfants il y a deux ans, et serait mort,
la séparation. Il n'a eu aucune discussion avec elle et, depuis, la
mère
ne l'a pas revu. Indifférent vis-à-vis de ses enf
tanées. Aucun indice de syphilis. W renseignement sur sa famille.
MÈRE
, trente-trois ans, brocheuse. Santé toujours bonn
nes, pas de signes de syphilis. Intelligence moyenne. Famille de la
mère
. Père, sobre, mort d'une paralysie au cer- veau
de la mère. Père, sobre, mort d'une paralysie au cer- veau (' ? ).
Mère
, alcoolique, elle buvait de tout et s'enivrait pl
le avec aphasie.Gr.-père maternel, pas de renseignements.-Grand'-
mère
maternelle, sobre, morte d'une tumeur de l'estoma
e lait au verre. A quatre mois, il se développait bien. Revu par sa
mère
à huit mois, il était tout à fait normal, époque
ure était de côté. Il ne pou- vait plus se tenir sur les jambes. La
mère
l'a repris et l'a placé à côté de son domicile.
re. Il ne comprend rien. Paraît complètement sourd, au dire de la
mère
. Il a marché à deux ans et demi. Il n'a jamais di
et encore il le dit très indistinctement et sans s'adres- ser à sa
mère
. Il grimace beaucoup depuis ses premières convul-
té, se ferait du mal si on ne le surveillait. Il ne reconnaît passa
mère
. Il repousse les autres enfants, même sa soeur.
ué de rumination` ? -Aucun signe de connaissance et d'affection. La
mère
, à qui il ressemble, dit-elle, attribue l'idiotie
rs cousins. II. Lem..., d'après les renseignements fournis par sa
mère
et que nous avons tout lieu de croire exacts, a
ls autrefois. se sont déve- loppés, l'enfant est affectueux pour sa
mère
et les personnes qui l'entourent. En résumé, au
Pas d'onanisme, aucune mani- festation génitale. VII. Bien que la
mère
n'ait pas remarqué la rumination, elle a été co
'origine russe : pas d'antécédents héréditaires : à treize mois, la
mère
remarque qu'elle ne peut se servir du bras droi
le on attribuaitl'in- firmité du malade à la rencontre faite par sa
mère
, enceinte de lui, d'un enfant raidi et paralysé
médical permet de ^se débarrasser des parents, des amis, des com-
mères
, des concierges, qui assaillent le médecin de que
vacille comme un bébé. Il n'y a aucun renseignement à tirer de la
mère
qui est dénuée déraison : elle n'est en aucune
ils en raison de son état d'imbécillité, il ne pouvait remplacer la
mère
de famille, qu'il n'avait pas assez d'énergie pou
elle s'en revient chez elle où elle est légèrement corrigée par sa
mère
qui la menace d'un châti- ment ultérieur et la
cela puisse sembler paradoxal, ce n'est pas le vice qui conduit la
mère
à tuer son enfant, mais plutôt une sollicitude
t com- ment les choses se passent en pareil cas : l'enfant crie, la
mère
affolée le tue ; le juge, le jury, en présence
ment la syphilis héréditaire : elle est cependant fort probable, sa
mère
ayant eu de nombreux avortements ou accouchemen
ATHOLOGIE NERVEUSE. Sa soeur est scrofuleuse, mais ni le père ni la
mère
, ni celle-ci ne présentent de troubles nerveux.
XI, 1902). Il s'agit de toute une famille composée du père, de la
mère
, d'un enfant'de deux ans, asphyxiés par un poël
t plus rapproché du poêle. Cependant l'enfant couchait auprès de sa
mère
, et, d'ordinaire, cet âge a plus de résistance au
intervention chirurgicale fut posée mais réolue négativement par la
mère
du malade. Il faut ajouter que le malade avait
s prostituez. Vous avez déjà été arrêtée pour prostitution... Votre
mère
a dit en parlant de vous : « Si ma fille m'est re
r concerne la santé de quelqu'un de l'en- tourage ; par exemple, la
mère
, possédant un caractère scru- pulo-inquiet et s
élancolique, avec un certain degré de stupeur. Il refuse de voir sa
mère
. Il répond très péniblement aux questions qu'on l
ans une discussion sur les tics. Sommaire. Père rhumatisant. Grand'
mère
paternelle, hémiplégie gauche. Arrière- grand-p
hémiplégie. Grand-oncle paternel mort d'une attaque d'apoplexie.
Mère
: céphalalgies, sourde, caféisme, morte d'apoplex
tion du cerveau. Pas de consanguinité. Inégalité d'age de onze ans (
mère
plus âgée). Conception, rien de particulier.
ccidents nerveux. Il aurait été « débauché » à dix- sept ans par la
mère
de la malade,111 ? veuve Lec..., alors âgée de
père, âgé de quatre-vingt-deux ans, sobre, est en bonne santé. Sa
mère
est morte IL soixante-dix-huit ans, dix-huit mois
s nerveuses ou mentales. [Rien à noter dans le reste de famille.]
Mère
, quarante-huit ans, ménagère, tempérament nerveux
rt à soixante-dix- huit ans, à sa troisième attaque d'apoplexie. Sa
mère
est décédée à quarante-cinq ans d'un cancer de
s, etc.] Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de plus de onze ans (
mère
plus âgée). Archives, 2e série, t. XVI. 14
habituée au vase à partir de trois mois. V... aurait eu, selon sa
mère
, des convulsions à seize mois. Ces prétendues c
ivement augmenté et varié dans leurs carac- tères. Voici comment la
mère
de l'enfant les décrit. V... frappait des pieds
Dans ces derniers temps V... était devenue très méchante envers sa
mère
, qu'elle frappait. Mais aussitôt, s'apercevant
ar le bruit que par l'inconvenance des expressions, envoyèrent à la
mère
une délégation chargée d'exposer les griefs com
la tuberculose, enfin l'inégalité d'âge con- sidérable des père et
mère
, celle-ci ayant près de douze ans de plus que c
ette prononçait des mots orduriers. Sur la réponse né- gative de la
mère
, il aurait dit : « Eh bien ! elle en dira » Nou
ouvé souvent, en dehors de leurs tares acquises, des émotions de la
mère
préparant déjà le terrain morbide. Aussi m'appa
et sa femme fut obligée de deman- der la séparation. Madame D...,
mère
, est âgée de 80 ans. Elle jouit d'une santé exc
es, a bien su faire ressortir que D... avait en partie hérité de sa
mère
sa faconde et sa verbosité 1. Deux tantes à D
Depuis l'entrée de D... dans le service, le caractère spécial de sa
mère
s'estrionué libre cours; ne cessant d'adresser au
teste de son innocence malgré l'évidence des faits. Tandis que sa
mère
écrit lettres sur lettres au juge d'Instruction p
e il écrit à M. Josse, juge d'instruction : « Au nom de votre bonne
mère
qui dirigea vos premiers pas, que « vous avez b
n, étant pris de boisson, il tombe à bras raccourcis sur sa vieille
mère
et celle-ci se réfugie chez la con- cierge aprè
ent et assassinent impunément et il déclare à maintes reprises à sa
mère
qu'il a une mission de haute surveillance à exe
conduire au dehors sans commettre des actes repréhensibles. Mais sa
mère
ne cessait de demander son élargissement, s'eng
quête, puis il quitte brusquement Saint-Cloud, où il habite avec sa
mère
, pour reprendre les voyages. De passage à Chart
e qui eut lieu pour D... Au mois de septembre il retournait chez sa
mère
. Pendant deux mois il est à peu près calme, mai
arte postale. En mars, il est conduit au poste pour avoir frappé sa
mère
. Cette pauvre femme n'a que le temps de se sauv
du la valeur de ses actes. Remis en liberté sur les instances de sa
mère
, il ne change guère son existence. Ne travailla
environs de Man- tes. Le commissaire de police se présente chez sa
mère
en son absence pour vérifier ses dires. Peut-êt
de me faire per- dre patience. Il se fait aider pour cela par sa
mère
que l'amour maternel rend aveugle, mais qui par
st montré insupportable comme partout ailleurs, s'entendant avec sa
mère
pour assaillir les pouvoirs publics de ses récl
ons etpar mesure d'économie aussi, on a consenti à le rendre à sa
mère
qui demandait son transfert dans un autre asile à
ontribué à tuer son père qui, rentré ivre, cher- chait dispute à sa
mère
. L'esprit DES autres. « En France, quand on s'e
aussi. l ? Ons. .M..., célibataire, âgée de vingt-huit ans, dont la
mère
et la grand'mère maternelle sont mortes aliénée
à cet égard et à d'autres titres : Il s'agit d'une femme ma- riée,
mère
de cinq enfants, aujourd'hui âgée de cinquante
ninges molles sont épaisses, adhérentes à la moelle et à la dure-
mère
. Leurs nodules inflammatoires sont semés un peu p
nfin, ce ne sont que des gémissements inarticulés : Ah, ali, ah, ma
mère
. » Le délires systématiques secondaires ne sont
orps, sur les murs apparaNsen' les por- traits de son père et de sa
mère
. Elle se répand en pleurs et en gémissements, d
fille avait la syphilis au moment de son allaitement, ainsi que sa
mère
et sa nounice. 526 sociétés savantes. ' . M.
rôle de l'hérédité morbide double du côté du père et du côté de la
mère
. On sait que, selon Clrarcot, les nerveux se re
ais voués à ce regretté élève, collaborateur et ami. Que sa vieille
mère
, écrasée par le chagrin, que ses distingués frè
et F..., ont repris la vie normale. Deux d'entre elles sont mariées,
mères
de famille, jouissent d'une excellente santé et n
quer justement M. Bernutz, qu'il est bien difficile d'admettre qu'une
mère
permette jamais de l'employer sur sa fille (1).
s chargée (grand'mère folle, grand-père alcoolique, père épileptique,
mère
hystérique, un oncle épileptique. une sœur hystér
en rapport avec son métier, était né de père nerveux irascible et de
mère
hystérique. Sa sœur était atteinte de grande hyst
isuel des deux côtés, diminution de la notion des couleurs, hérédité (
mère
nerveuse, frète épileptique). « Donc, cet homme
ubles des fonctions génitales. 11 y a aussi des aliénés du côté de la
mère
. D'autres membres de la famille se distinguent pa
aractères, expressions); 2° Un choc, une émotion, survenant chez la
mère
en gestation peuvent-ils déterminer un signe quel
une fille de 13 ans, remarquablement précoce et intelligente, dont la
mère
hystérique a fini par l'ataxie locomotrice, était
ure. Le malade devra boire cette tisane dans l'espace d'un jour. La
mère
du jeune homme auquel était destiné cette affreux
avais bien aussi qu'il avait cette mauvaise habitude. A ce moment, la
mère
medit « Vous avez deviné cela, docteur. » Croyant
es paroles, je répondis: « Certainement madame. » Malheureusement, la
mère
avait été plus impressionnée que l'enfant et à pa
uelle paraît innée. D'après son dire, son père est très nerveux et sa
mère
est morte d'un cancer utérin. Le frère et la mère
très nerveux et sa mère est morte d'un cancer utérin. Le frère et la
mère
de cette dernière étaient des aliénés. Les frères
nt leurs vices à ses yeux :le père s'enivre, vole et va en prison; la
mère
se prostitue dans le lit même de son mari. Et le
gne et voleur comme son père, et la fille se fait prostituée comme sa
mère
. Je n'ai que l'embarras du choix pour citer des
embarras du choix pour citer des exemples. C.... a dix-neuf ans. Sa
mère
est aveugle ; elle vivait collée avec un chauf-
é à lui-même, il passait presque toutes ses journées a vagabonder. Sa
mère
, son beau-père et ses frères ne s'occupaient de l
de lui que pour lui distribuer des gifles. A douze ans, il quitta sa
mère
et s'engagea au cirque Cocherie, où il faisait de
s Il est mort paralytique général à l'asile d'aliénés de Vaucluse. Sa
mère
est une femme faible de caractère, incapable d'at
nte en vices. Souvent, le dimanche, son père s'enfermant seul avec sa
mère
, la chassait, l'envoyant jouer. Intriguée, elle r
s circonstances, la jeune fille livrée à elle-même prend un amant. La
mère
, femme peu scrupuleuse, ne tarde pas à s'en aperc
miches chouettes ». Sarah a dix-huit ans. Son père est mort fou. Sa
mère
est une femme sans pudeur qui vit de la prostitut
e, se prostituant avec un cynisme plein de gaité. Elle habite avec sa
mère
et son frère qu'elle nourrit tous les deux. D'a
s, et ces cas sont plus fréquents, ce sont les mauvais exemples de la
mère
qui ont perdu la fille. Celle-ci a assisté aux fo
er le domicile maternel, devenu un enfer. Andréa a dix-sept ans. Sa
mère
s'est toujours livrée â un dévergondage notoire,
amant; elle n'avait que quinze ans. De plus en plus rudoyée par sa
mère
, àseize ans elle partit de chez elle, abandonna s
re ouvertement de prostitution. Actuellement elle est rentrée avec sa
mère
, qui a accepté la situation et en vit. C'est un
Paris. Ayant perdu son père de bonne heure, il était brutalisé par sa
mère
et son beau-pere, qui se grisaient, dit-il. presq
n'eut jamais sous les yeux que de bons exemples. Il fut élevé par si
mère
, excellente femme qui le gâtait. « La main ferme
ngagement, ne firent que grandir et me précipitèrent dans le crime Ma
mère
bonne et aimante, ne s'aperçut de rien, comme tou
x jours pour consolider la guérison. ler Juin Nouveau congé chez sa
mère
. La guérison se maintient. La menstruation a ét
uation a été régulière. Sortie définitive de la malade. 26 Juin. Sa
mère
m'apprend qu'il est question de projets de mariag
s et qu'elle est guérie. 29Juillet. La guérison s'est maintenue, sa
mère
ne donne sur sa façon d'être les détails les meil
Ferishta, son père, Geias u din Toghlak. était un esclave turc, et sa
mère
une femme Jat. De fantassin. Gheias était devenu
s cruautés. Le monarque avait un frère appelé Mashoud Khan, dont la
mère
était la tille d'un ancien sultan Ala u din. « C'
ureau, à la tente de Toghlak. qui épargna sa vie. et même autorisa sa
mère
, sa sœur et sa femme à vivre avec lui. Mais le su
sposer à la névropathie : son père est mort d'une maladie de cœur, sa
mère
des suites d'une couche. Rien de particulier à no
pour elle à l'état ordinaire l'objet d'une répugnance invincible), sa
mère
morte, etc. Les scènes de sa vie passée se déroul
poison fictif qu'elle verse dans un verre et qu'elle fait boire à sa
mère
. Elle vous obéit parce qu'elle sait que c'est une
ui agissez par elle et que votre intention n'est pas d'empoisonner sa
mère
. Voilà un homme auquel vous donnez un couteau de
premières années sont heureuses. Elle paraît épouse dévouée et bonne
mère
. Un jeune homme, élève pharmacien chez son mari,
ieu de Paris Emile X..., 33 ans; fils d'un père original et buveur;
mère
nerveuse, un frère cadet rentrant dans la catégor
e 1888, il a une altercation avec son beau-père (le second mari de sa
mère
). Il est vivement impressionné par cette altercat
qu'elle appartenait à une famille fort honorable, et je tenais, de sa
mère
elle-même, avec quij'avais causé longuement, qu'e
9. un colporteur était venu chez elle et avait vendu de la toile à sa
mère
: la jeune fille était présente, fin causant (vou
ne fille. Peu de jours après, en effet, il revient, croise en route b
mère
qu'il feint de ne pas voir et trouve la jeune fil
pas voir et trouve la jeune fille toute seule: « je vais chercher ma
mère
. » dit-elle. — « C'est inutile », répond le colpo
porteur a disparu, et. depuis, on ne l'a plus revu. Au retour de sa
mère
. Louise lui raconte tout. La bonne femme, émue à
qu'endira-t-on ». ne veut pas saisir la justice. D'ailleurs, b pauvre
mère
(que j'ai revue le 25 octobre et qui m'a confirmé
e sommeil, nous conçumes alors la pensée de faire naître, sans que la
mère
en eut conscience, cette enfant dont la conceptio
faire ensuite une leçon sur cet enfant, conçu et mis au monde par une
mère
inconsciente. C'est sur ce projet qui n'a été q
struelle, fin avril, d'être grosse, elle a imaginé, pour fournir à sa
mère
une explication relativement honorable, l'aventur
ésenté chez elle en mai. il est venu à la maison en l'absence de sa
mère
(celle-ci l'a. en effet, rencontré se dirigeant v
e, sachant qu'elle avait des attaques ii la moindre émotion et que sa
mère
n'y serait pas. Les médecins consultés au point d
Je vingt-huit ans, très impressionnable et d'un tempérament nerveux,
mère
de plusieurs enfants, est accouchée de nouveau au
re le fils ainé, l'assomme et l'enterre ; il creuse une fosse pour la
mère
et quatre ou cinq enfants, les y attire aussi, le
s, pour faire sentir l'influence d une tare nerveuse de famille. La
mère
était excessivement émotive, peureuse, craintive;
il aime à chanter à voix basse « Parfois. dit-il, je vois emporter ma
mère
, et j'entends chanter comme au jour de son enterr
i ne s'étonnera-t-on point que la première préoccupation de certaines
mères
de famille, lorsqu'elles ont le bonheur de posséd
rt à cinquante et un an d'une affection chronique de la poitrine : sa
mère
est morte à cinquante deux ans. ayant eu depuis s
, sous la réserve des troubles nerveux dont nous avons à parler. Sa
mère
a toujours été nerveuse, d'une extrême sensibilit
qu'il est enfant naturel, qu'il n'a jamais connu son père, et que sa
mère
est morte de la poitrine. 11 est d'une bonne sa
de la vie embryonnaire. Quand le père est beaucoup plus âgé que la
mère
, le produit de conception tendra vers le sexe mas
es : simplement jeunes ou âgées, elles auront plutôt des garçons. Les
mères
de bonne santé, d'un robuste aDpetit, auront plut
é, d'un robuste aDpetit, auront plutôt des filles ; au contraire, les
mères
épuisées par un accouchement encore récent, par l
il prend le sem maternel et le lait est sa première nourriture. Si la
mère
lui refuse le sein, on le trompe avec un lait ana
ailleurs par la crédivité naturelle à tous les êtres raisonnables. La
mère
lui présente un nouveau met auquel il n'a jamais
puis avec indifférence et bientôt avec plaisir. C'est bon, affirme la
mère
: sur cette affirmation, le petit européen trouve
qu'on présentera à l'enfant, il faudra une nouvelle suggestion de la
mère
pour le lui faire accepter. C'est ainsi que se dé
e la cuisine de famille, les petits plats succulents que préparait la
mère
, bonne ménagère, deviendra homme: il quitterra le
ieusement élevé à la science neurologique française. Voilà l'idée
mère
de notre oeuvre, qui donne à nos Congrès une pl
uvés les yeux bandés. La femme Faron a laissé deux lettres, pour sa
mère
et son mal i demandant pardon, disant qu'elle n
avec la plus parfaite placidité et écoutés tranquillement par la
mère
et trois autres enfants qui ne semblent pas se re
On croit aussi que ce jeune homme aurait eu des relations avec sa
mère
. Il sera poursuivi. (Bonhomme normand, 22 juin.)
u mauvais-état dosante de son parent, lui conseille d'aller voir sa
mère
, de pas- ser quelque temps auprès d'elle. Le ma
entend une femme qui vient de monter dire en patois : « Il a tué sa
mère
. » Plus loin, une voix chuchotée lui dit : « Tu
reprochent de ne rien faire, semblent ne pas désirer le garder, sa
mère
d'ailleurs ne l'aime pas. Il retourne à Paris.
Par le malade dans le sens suivant : on voulait l'amener à tuer sa
mère
et il l'explique ou du moins tente de l'expliquer
i heureusement a été déviée devait fatalement me conduire à tuer ma
mère
. « Je n'ai jamais pu aimer ma mère ; le sentime
fatalement me conduire à tuer ma mère. « Je n'ai jamais pu aimer ma
mère
; le sentiment qui relie l'enfant à la mère est
n'ai jamais pu aimer ma mère ; le sentiment qui relie l'enfant à la
mère
est absent de ma personnalité ; cette lacune s'
eux fois par semaine. Elle me parle une fois de ma famille, « de ma
mère
, de ma pauvre mère » ; ses questions me paraiss
e. Elle me parle une fois de ma famille, « de ma mère, de ma pauvre
mère
» ; ses questions me paraissent indiscrètes. «
imetière du village, elle laissa tomber ces paroles émues : « Si ma
mère
nous voyait. » « 3° Quand le « feu est pris »,
me conseille de revenir à la campagne et d'aller revoir « ma pauvre
mère
». (Dernier samedi de novembre 1899.) « bits.
montant l'escalier de l'Obser- vatoire. à la lin - me parler de ma
mère
, comment elle allait, en insistant sur ce point
ait sa mai. » .le suis convaincu que 181 ' CLINIQUE MENTALE. ma
mère
est morte et. que mon absence à Paris en est la c
Mme C ? à Toulouse. Entre autres choses, elle me parle de ma pauvre
mère
, me conseille de me retirera la campagne et d'y
« Là j'habite rue Cujas ? « Dans le courant des images, celle de ma
mère
reparaît asso- ciée à un sentiment de haine hor
fin de ne crime, je n'ai qu'un mot il..lire : « L'no leçon pour les
mères
qui n'aiment pas leurs enfants ». Et j'étais
e, il aurait pu tout aussi bien s'accuser d'avoir tué et éventré sa
mère
, mais il a conscience que ceci n'existe qu'en r
té ou de l'intelligence, et professant le mé- tier de jardinier. La
mère
a toujours été délicate, fut soignée e pour de
. Elle naquit après 10 mois de mariage, sans que la grossesse de la
mère
ait été si- gnalée par un fait particulier. Ent
loppée (amnios peut-être). Mais à pari ce détail, rien ne frappa la
mère
ou l'entourage. L'enfant venue à terme était no
ue à terme était normalement cons- tituée.Au bout de trois mois, la
mère
s'aperçut que la petite fille avait de la diffi
aces continuelles, marquées également da- vantage du côlé droit. La
mère
s'aperçut aussi que l'enfant était raide. Cette
ue s'accomplissait assez bien. La dentition, un peu tardive, dit la
mère
sans pouvoir préciser, ne présenta rien d'anorm
remière fois que la malade prend de telles crises nerveuses, que sa
mère
est hyste- rique et qu'elle avait plusieurs foi
ste- rique et qu'elle avait plusieurs fois assisté aux crises de sa
mère
. Diagnostic. Je crus qu'il-s'agissait très prob
x soins minutieux que nous avons pu faire mettre en pratique par sa
mère
et sa soeur, avec intelli- gence et avec beauco
lies chargée, transmise très souvent tant par le père que par la
mère
; il en résulte que les vésanies des deux jumeaux
n choc moral brusque et douloureux, comme la perte d'un être chéri,
mère
, père,ou encore d'une fortune qui les faisait v
chez frères et soeurs qui ne sont pas du même lit, bien plus entre
mère
ou père et enfants, et même entre époux et épou
ment, un malade, tout jeune encore, qui a contaminé son père, sa
mère
, sa soeur et ses deux frères. La seconde condit
quérir qu'au moment du développement du cerveau dans le sein de la
mère
. Si les deux jumeaux étaient venus au monde ave
erne deux frères jumeaux, eux aussi, héréditaires vésaniques par la
mère
, atteinte de mélancolie avec im- pulsions au su
inté- ressant, ils eurent simultanément la même vésanie que leur
mère
, les mêmes conceptions délirantes qu'elle, et les
GÉMELLAIRE. po pliquait au. produit de la fécondation entre père et
mère
unis par des liens plus ou moins étroits de par
LA FOLIE GÉMELLAIRE. 203 oreillons et une vanoloide très légère. La
mère
qui a fourni ces renseignements affirmait que t
t sur le visage,mais sur tout le corps, des cheveux aux orteils. La
mère
nous a certifié qu'il arrivait souvent, môme à
deux héroïnes du maestro. Toujours d'après les renseignements de la
mère
, elles étaient, au psychique comme au physique,
lles bavardaient du matin au soir. Quand elles eurent seize ans, la
mère
litcoup double et les maria très convenablement
leur vie : l'une, dont le mari habitait la ville, resta et garda la
mère
avec elle; l'autre suivit son mari dans un dépa
procurer en cachette, malgré l'étroite surveillance exercée par la
mère
: aussi celle-ci s'était empres- sée de les mar
oute, aux lourdes tares vésaniques, dont elles étaient frappées. La
mère
paraissait absolument normale, bien douée en to
avons quitté l'Asile de Toulouse, un an après, nous avons su par la
mère
que tout s'était bien passé et que les deux jum
'une mare lorsque, par suite d'une crise, elle tomba dans l'eau. Sa
mère
s'aperçut de l'accident dix minutes après et un
x, irritable, sujet à de fréquentes colères, vite passées du reste.
Mère
morte à 74 ans, non alcoolique, pas nerveuse. P
n'est, certes, pas commode pour certaines familles où le père et la
mère
sont retenus loin du logis pendant toute la jour-
maire : Père, rien de particulier.- Tante paternelle, zé- zaiement.
Mère
, céphalalgies. Grand-père maternel, quelques ex
toire de la famille et de la malade. (Renseignements fournis par la
mère
le 20 janvier 1899, el le 25 juin 1902). Anté
, mort à 73 ans de vieillesse, s'était toujours très bien porté. Sa
mère
est morte lorsqu'il avait 7, ans, après une cou
de zézaiement. Le reste de la famille est absolument in- connu.
Mère
: 32 ans, garde-barrière, s'est toujours bien por
ours bien portant, « boit un peu, mais ne s'enivre pas souvent ». -
Mère
: 56 ans, en bonne santé. Pas de renseignements
ent montrées 3 fois, au cours de la grossesse de telle sorte que la
mère
ne se croyait pas en- ceinte. Celle-ci ne peut
abon- dants. Au neuvième mois, trois semaines avant le terme, la
mère
, qui fermait une barrière a eu une peur atroce ;
rise régu- lière, puis nourrie au biberon avec du lait de vache, la
mère
élan ! devenue de nouveau enceinte. Le retour d
onnaire de l'âge de six mois à un an. « Elle n'a jamais été, dit la
mère
, comme les autres enfants ». Elle s'est dévelop
époque, l'enfant n'a aucune espèce de notion du danger, un jour la
mère
la trouve dans un ba- quet rempli d'eau ; un au
rès sujette aux rhumes. Caractère : l'enfant est caressante avec sa
mère
, ses frères et soeurs,elle aime à être caressée
E. II. Vers la fin de la grossesse, au début du neuvième mois, la
mère
éprouve une peur violente avec une forte commot
pement phy- sique. L'état anormal de l'enfant a été relevé par la
mère
dès les premiers temps de la vie. L'idiotie se
s. La seconde observation est celle d'un enfant de 9 ans né d'une
mère
variqueuse et ne présentant aucun antécédent path
qu'elles ne nuisent à personne), le ma- triarcat, avec le nom de la
mère
aux enfants, etc.; la castration peut être auto
, qui tue les valides) ; droit à l'avortement, en cas de viol de la
mère
. Dans un chapitre d'hygiène, l'auteur préconise
LEPTO\1YÉ¡ ITE à forme tabétique Hétérotopie de la moelle épi-
mère
, par Guido-Garbini, p. 147. Lésions cérébrale
d'uriner à chaque instant. Louis B... s'est trouvé dans ce cas. Sa
mère
pour empê- cher qu'il ne se souillât, le mettai
ileptique ( ? ). Ses crises comitiales étaient assez fréquentes. Sa
mère
, qui avait 75 ans à l'époque où les renseigneme
le père d'Ét..., on meurt de maladie de l'esto- mac et du foie. »
Mère
nerveuse, sans convulsions ; lymphatique. Son pèr
e fait de nombreux excès de boisson, antérieurs à son mariage, Sa
mère
, qui n'était pas nerveuse, est morte jeune d'une
oments et a « un petit sursaut de tête quand elle regarde, comme sa
mère
. » Onanisme. Elle ment assez facilement, mais n'a
Il aimait à boire et s'enivrait quand il en trouvait l'occasion; sa
mère
était obligée de cacher le vin et les liqueurs.
tons des accidents migraineux et do nature comitialc. Du côté de la
mère
elle-même, un caractère violent, une irritabili
autour du cou, poids, chétif ou bien portant. Allaitement. Sein,
mère
ou nourrice, biberon (lait de vache ou de chèvr
ières. Ressemblance cle l'enfant; tient-il plus du père que de la
mère
au point physique et au point de vue psychique.
érée : qui a eu un garçon arriéré et une fille idiote et paralysée.
Mère
, migraineuse ; dispa- rition des migraines Ûura
édé le 3 novembre 1890. Antécédents. (Renseignements fournis par sa
mère
le 2 février Ï890.) Père, mort à 52 ans d'une b
point de vue pathologique et psychique dans la famille du père.]
Mère
, 43 ans, couturière, à physionomie intelligente,
ès, qui n'apparaissaient jamais durant la grossesse. [Famille de la
mère
. Père, menuisier, mort à 75 ans d'un cancer du
veur de cidre et aurait fait dans sa jeunesse des excès de boisson.
Mère
, 82 ans, n'a jamais été malade et jouit actuell
res. A cet âge il ne marchait pas; il élait relativement propre; sa
mère
, qui prenait ses précautions, comme elle dit, s
- saut 3 ou 4 fois par nuit, en criant, et se" calmait dès que sa
mère
venait auprès de lui. Le sommeil serait devenu tr
use est peu chargée, surtout du côté maternel. ' IL Au dire de la
mère
de l'enfant, la conception, la grossesse et V a
rt rien de particulier et cependant, dès la naissance, la grand'-
mère
maternelle de l'enfant, qui avait une grande ex
légie gauche). Cousine paternelle au 4° degré, morte èpileptique.
Mère
, grande et forte, ne : aquilin, convulsions légèr
elle est dïcédée le 3 mars 1893. Jîenseig'nements fournis par sa
mère
(octobre. 1891). Père, mort, à54 ans, enoctobre
Père, instituteur, sobre, mort à 72 ans d'une attaque de paralysie.
Mère
, morte d'une pneumonie, à la suite d'un refroid
peut préciser davantage; il s'était mis à boire à la (in de sa vie.
Mère
, décédée à (ill ans, était devenue paralysée et
cédents personnels. 97 Notre malade. A la conception, le père et la
mère
étaient bien portants et vivaient en bonne harm
de l'épaississemcnt des creux sus- claviculaires et axillaircs. La
mère
prétend que les tumeurs du cou auraient été con
côté plus étroit que l'autre, et c'est à cette particularité que la
mère
attribue la gêne de la déglutition que présente
sur le milieu de la tèle, ils avaient toujours élé plus rares. Sa
mère
dit que l'alopécie fait des progrès depuis quelqu
« Il faut que je ferme ma bouche, car je serais laide. » Chez sa
mère
, elle mangeait un peu de viande, aimait relativem
auraient commencé à se dévier vers 13 ou 14 ans. Auparavant; dit la
mère
, il n'y aurait eu aucune déviation. État actu
ille. Elle a pourtant sa raison. Nous avons dis que le père et la
mère
avaient le nez aquilin, afin de faire saillir l
avec le nez camus de la malade. De même pour les cheveux : père et
mère
bruns, la malade, châtains roux. IV. Maintes
éoccupation de faire des portraits res- Fig. 61. — La reine Ahmasi.
mère
de la reine Hatshopsitou. semblants. S'ils ont
masi (Fig. 61), mère d'Hatshopsitou. ni celui de la reine Moutnofrit,
mère
de son mari, le roi Thoutmois II ne portent de ba
ltat, l'influence paternelle n'était pas suffisante, il arriva que la
mère
, durant les derniers mois de sa grossesse et
l fallut force supplications pour que, le matin du 11 février 1858 sa
mère
lui donnât l'autorisation d'aller avec ses compag
en présence d'une belle dame ; jamais à Lourdes non plus, puisque sa
mère
, depuis son arrivée, la retenait au logis. La vue
de l'Egypte, que s'organisa le culte de Cybèle, déesse de la terre et
mère
commune des hommes et des dieux. En effet, d'aprè
ée du 8 octobre 1902, elle a éprouvé des malaises qui ont inquiété sa
mère
: celle-ci, durant la nuit suivante, a pénétré da
ux grands ouverts dans l'obscurité, elle vit, sans la reconnaître, sa
mère
s'approcher et se pencher. Elle se figura qu'un g
ions subséquentes. Au matin, Mlle de C... raconta son aventure à sa
mère
, mais en apprenant la vérité, elle ne fut qu'inco
nstant « elle ne respirait plus » ('}. Dans un autre passage : « La
mère
comme tous les assistants vit le petit visage, si
tous les peuples règne la croyance que les émotions éprouvées par la
mère
ont la propriété d'influencer le fœtus inutero.
nfants porteraient les traces des impressions violentes subies par la
mère
au cours de sa grossesse, et cela non seulement s
L'impression reçue par les parents (c'est-à-dire non pas seulement la
mère
, mais aussi le père), pourrait-elle être assez pr
u monde naquit avec cette difformité, mais depuis son accouchement la
mère
est débarrassée de son hallucination visuelle. Av
rieux : dans le cerveau, il existe également de ces taches noires. La
mère
de cette (1) Par exemple, Geoffroy-Saint-Hilair
-robe ; la blessure n'était nullement dangereuse, mais elle alarma la
mère
. A l'époque normale, elle accoucha d'une petite f
ure épaisse. Il se trouva, quiaux premiers mois de la grossesse de la
mère
, eut lieu l'explosion d'une chaudière à vapeur, c
e à vapeur, ce qui causa la mort de son mari. Les voisins firent à la
mère
une description détaillée de la catastrophe et de
ncontra en Suisse un enfant très joli qui n'avait pas de poignets. La
mère
, pendant sa grossesse, avait reçu une secousse do
de l'impression qui a frappé la vue ou simplement l'imagination de la
mère
. Des faits semblables, comme la transmission des
l'enfant? Celte préoccupation fut-elle fréquente ou constante? S. La
mère
a-t-elle présenté, pendant sa grossesse, des phén
roches de ses parents. « C'est à la suite d'une admonestation de sa
mère
, qui l'avait grondée d'avoir fouillé dans une arm
ui.il eut deux garçons : Gauthier, qui ratifia en 1301 le legs que sa
mère
avait fait à l'abbaye de St-Antoine, et en 1311 u
tère; et Philippe. Philippe d'Aunoy ratifia également le legs de sa
mère
. Il épousa Agnès de Montmorency. Motmorney. Agnès
l en eut trois filles, dont Comtesse, qui, en 1190, consentit avec sa
mère
à une donation que son père lit à l'abbaye de Lon
nstance, qui donna à l'abbaye de la Roë, pour le repos de l'âme de sa
mère
et son frère Maurice, une rente sur le péage de L
cé, et Havoise, qui fonda en 1224 le prieuré de Ste-Catherine, et fut
mère
d'fsabeau de Laval. 0tÊCj Bouchard de Montmorency
rt mariés et ayant des enfants Venu au monde à terme, nourri par sa
mère
, l'enfant marchait à 10 mois, parlait à son heure
ment l'histoire. {Chap. XVII et chap. XVIII). Michas ayant reçu de sa
mère
deux idoles, l'une sculptée et l'autre coulée en
40 ans. Elle s'est mariée il y a une dizaine d'années et est devenue
mère
d'un petit garçon actuellement âgé de huit ans. C
qu'elles se décident à le laisser croître librement. (Fig. 104). Sa
mère
et sa sceur étaient également agrémentées d'un sy
bon aloi, réunissant en elle toutes les qualités de la femme et de la
mère
de famille. (à suivre). PHYSIO-PSYClfOLOGIE D
ement de l'âme du comte Landry, son père, de la comtesse Mathilde, sa
mère
, et de Guy, son frère, du consentement et en prés
cause des folies de sa jeunesse ¦ (3], fit plusieurs Indignités à sa
mère
, qui le déshérita, et confirma les donations fait
tte femme a une hérédité très nette ; son père était alcoolique et sa
mère
nerveuse ; elle a eu de grandes crises d'hystérie
ité du système pileux. Son père avait une barbe très fournie, mais sa
mère
ne présentait aucun signe de barbe. A l'âge de
de toutes les aptitudes féminines, elle s'est toujours montrée bonne
mère
de famille. Son exemple apporte un fait de plus à
mieux les choses. » Mme Pilou était amie intime de Mme de Castille,
mère
de M. de Chalais. Il lui arriva une fois une plai
Ventura, malgré l'aspect masculin de son visage est la meilleure des
mères
. Elle ne se contente pas de tendre à son enfant s
me. Il ne s'agit pas là du portrait d'une virago, mais de celui d'une
mère
remplie de tendresse pour son enfant, d'une épous
u tardif, la période de l'âge critique survient, en général, chez les
mères
de familles, peu de temps après le moment où leur
llaitent et les entourent de tous les soins que peuvent prodiguer des
mères
dévouées. Loin de vouloir se faire passer pou
pensées à la démonstration de ses qualités de femme d'intérieur et de
mère
de famille. Bien plus, les quolibets et les sar
certaines femmes. Comme ces personnes étaient généralement issues de
mères
dont les joues étaient glabres et de pères fortem
qu'en Biologie, comme en Droit, l'enfant hérite de son père et de sa
mère
en proportion de la richesse de l'un et de l'autr
garçons, Geoffroy, vivant en 1136, qui signa la donation faite par sa
mère
à l'abbaye de Vendôme et Jean I. Jean de Vendôm
e de la Trinité de Vendôme, Geoffroy, qui consentit au don que fit sa
mère
de la métairie de Villers à l'abbaye de Vendôme,
'outrager (*) ». Nicolas Choart de Buzanval fut élevé par sa dévote
mère
et par son oncle Augustin Potier, évêque de Beauv
seignements de ses maîtres, et à la mort de son père, il obtint de sa
mère
la liberté de suivre sa vocation qui l'entraînait
anceiin consent à la donation de la métairie de Villiers faite par sa
mère
, et en fait une lui-même, ainsi que son frère Bou
Craon, donne à cette même abbaye, « pour le repos de l'ùme de sa
mère
et de son frère », une rente sur le péage de Loir
agement de l'âme du comte Landry son père, de la comtesse Mathilde sa
mère
, et de Guy, son frère, du consentement et en prés
onditions, en juillet 1889, aux environs de St-Raphaèl, en France. Sa
mère
est bien portante, ainsi que ses frères ; son pèr
petite pièce obscure et mal aérée, qu'elle partage avec son père, sa
mère
et un frère; elle couche par terre sur une vieill
n. Ses parents la rencontrent dans un bois, errantjà l'aventure. Sa
mère
lui ayant demandé la raison de cette dernière fug
la gangrène hystériques. A la suite d'une légère discussion avec sa
mère
, Argenlina s'endort d'un sommeil qui dure trois j
le y reste huit jours. On a, sur ce point, le témoignage formel de sa
mère
et de ses patrons. Argentina, elle, nie avoir séj
t que le malade s'endort comme un enfant s'endort dans les bras de sa
mère
. Chacun peut comprendre cela, nous semble-t-il. L
.. (Jules-Xavier), célibataire, était né à B..., le 18 mai 1868. Sa
mère
. A... M... veuve Ducom..., vivait alors en concub
taient d'un âge avancé, puisque le père avait soixante-deux ans, la
mère
quarante-six. Cette dernière mourut à quarante-
, mais Ducom..., c'est-à-dire qu'il empruntait le nom du fils de sa
mère
, né d'un premier ma- riage. Il fut transféré à
rfaite. 4° Observation VIII. - Garçon de neuf ans; père criminel,
mère
douce et intelligente. Notion du bien et du mal t
ie s'améliore, la langue diminue de volume et l'enfant reconnaît sa
mère
. Mais dans l'étude des résultats du traitement,
L'opération du trépan avec relèvement de la table osseuse (la dure-
mère
n'était pas déchirée) fut pratiquée quelques heur
réique pendant trente ans, elle est morte octogénaire. Quant à la
mère
de notre malade, elle est morte à quatre-vingt-
péciales en raison de la paralysie générale de leur père ou de leur
mère
, ce n'est point à la folie, mais aux affections
nne d'âge au moment de leur mort soixante-seize ans et 39 grand'-
mères
donnant soixante-dix-sept ans, ce qui porte la mo
ne d'âge au moment de leur mort soixante-dix-sept ans, 40 grand'-
mères
donnant soixante-quatorze ans, ce qui porte la mo
Les grands-parents du sexe féminin se répartissent en 39 grand'-
mères
paternelles donnant soixante-dix-sept ans et 40 g
d'- mères paternelles donnant soixante-dix-sept ans et 40 grand'-
mères
maternelles donnant soixante-quatorze ans ce qui
équents. B. Natalité. Deuxième génération (oncles, tantes, pères,
mères
). Dans les 40 familles de paralytiques géné- ra
? a p. 100 vivants. Les 59 morts se composent de 31 pères et de 28
mères
. Les 21 vivants se composent de 9 pères et de 1
res et de 28 mères. Les 21 vivants se composent de 9 pères et de 12
mères
, soit 12,25 p. 100 pères vivants et 20,33 p. 10
res et de 12 mères, soit 12,25 p. 100 pères vivants et 20,33 p. 100
mères
vivantes. 11f. l3all et Régis trouvent dans les
nt dans les familles des paralytiques, 20,31 pères vivants et 48,95
mères
vivantes p. 100; et dans les familles norniales
et dans les familles norniales 31 p. 100 pères vivants et 54 p. 100
mères
vivantes. Troisième génération (frères et.soe
tion chirurgicale est décidée, l'auteur la pratique, incise la dure
mère
, et ouvre le sinus longitudinal; malgré ses pré-
e Gicquello, dix-huit ans, de Colpo (Morbihan), avait accompagné sa
mère
en justice de paix à Grandcamp. Au retour, les
s'arrêtèrent dans quelques cabarets et Anne prit des absinthes. La
mère
et la fille, ivres toutes deux, se querellèrent
la fille, ivres toutes deux, se querellèrent et la fille frappa sa
mère
, avec un couteau, à la gorge. La mort fut insta
ment de son crime. (Le Temps du 25 décembre 1899.) La folie d'une
mère
. Le quartier Necker a été mis en émoi hier soir
sept ans, et Fer- nande, âgée de cinq ans. Depuis quelque temps, la
mère
donnait des signes de dérangement cérébral; mai
retour de l'école, rentrèrent à la maison, où elles trouvèrent leur
mère
. Que se passa-t-il entre elles ? On ne le sait.
lles ? On ne le sait. Mais, vers six heures, des passants virent la
mère
tenir suspendue dans l'air, à la fenêtre de son
fut instantanée. Tandis que des passants relevaient le cadavre, la
mère
reparut à sa fenêtre avec sa seconde enfant. Ce
traitement qu'elle allait subir, criait désespérément. Bientôt, sa
mère
la lança dans l'espace et la pauvre petite vint s
alcoolisme; il se plaignait souvent de douleurs rhu- matismales. Sa
mère
est encore en vie, elle a soixante-dix ans et j
nts héréditaires. Grand-père paternel mort paraplé- gique ; père et
mère
assez nerveux, s'emportant facilement. Antécéde
gé aujour- d'hui de trente-six ans. Son père est mort goutteux ; sa
mère
est vivante et bien portante. Les frères et soe
nt d'un mois qui pré- sentait de légers symptômes de crétinisme. Sa
mère
avait déjà ac- couché d'un crétin. L'aspect abs
L'auteur a eu la bonne fortune d'observer la syringomyélie chez une
mère
et son fils. Le fils, conducteur de chemin de fer
membres inférieurs. Le père du malade est mort de tuber- culose. La
mère
est atteinte de la même maladie. Le malade, le pl
atrophie musculaire. Les réflexes patellaires sont exa- gérés. La
mère
du malade est âgée de cinquante-cinq ans. Il y a
alheureux, dans un accès de délire, a d'abord essayé d'étrangler sa
mère
, puis, s'apercevant- après quelques instants qu
dégoûtèrent à tout jamais de travailler. Depuis, il resta chez sa
mère
, passant le temps en longues rêve- ries dont il
sta que quelques jours à l'hôpital, et on le ramena ensuite chez sa
mère
. Vainement les voisins conseillaient à celle-ci
un état de surexcitation extraordinaire. « J'ai peur de lui, dit sa
mère
, aux voisines, tellement peur que je ne me couc
a mairie de Charenton, où se trouve un poste de police. J'ai tué ma
mère
, s'écria-l-il en entrant dans le poste. Arrêtez
obéir à une voix d'en haut, sacrifié dans la même nuit son père, sa
mère
et leur domestique, s'était servi d'une hache,
., femme L..., trente-huit ans, est admise le 27 mars 1890. Père et
mère
vivants, très âgés, non malades. Une nièce du pèr
ièce du père s'est pendue dans un accès de délire ; une soeur de la
mère
est atteinte d'aliénation mentale. Ils ont eu c
xante ans, sourd depuis l'âge de dix-neuf ans, est bien portant. La
mère
, âgée de cinquante-deux ans, n'offre à noter qu
, dans la nuit, il se plaint du mal de gorge et demande à boire. Sa
mère
lui offre de l'eau de Lourdes, mais aussitôt il
899. Son père, âgé de soixante-dix ans, est un ivrogne invétéré. Sa
mère
est morte à trente ans de fièvre puerpé- rale.
ue d'apoplexie, après deux ictus qui l'avaient laissé hémiplé- gié.
Mère
morte ci soixante-quinze ans de phtisie galopante
ommeil. M. MEIGE. - Il s'agit d'une femme de vingt-huit ans dont la
mère
souffre depuis vingt ans de goitre exophtalmiqu
la glycosurie. M. Paul FAREZ. Mmo B..., âgée de trente-quatre ans,
mère
de famille, israélite, habite une grande ville
s malgré l'opposition du gouvernement, élu conseiller général. Sa
mère
était une femme intelligente, douce, affable, d'u
e grande bonté. Bouchereau avait hérité des qualités du coeur de sa
mère
et de la droiture du caractère de son père. Elè
ue, buvait surtout du vin, prenait aussi la goutte tous les matins.
Mère
vivante, en bonne santé, non buveuse. Trois frère
époque ne buvait pas du tout, car elle était très surveillée par sa
mère
. Elle quitte sa famille à l'âge de vingt-deux ans
réapparaître avec elle. Observation II. Alcoolisme héréditaire :
mère
buveuse d'absinthe ; grand-père matel'wl alcool
ternel alcoolique. Père ébéniste, séparé de sa femme, non buveur. -
Mère
patronne de lavoir, buveuse de vin et [d'absint
mois. A dix-huit ans, le malade buvait déjà beaucoup. Il aidait sa
mère
dans les travaux du lavoir, « et, dit-il, c'est
être froide avec lui, de le tromper, d'être de conni- vence avec sa
mère
pour se moquer de lui. Depuis trois mois sur- t
il est triste, parle de se tuer « pour ne plus avoir d'ennuis ». Sa
mère
, qui le voit de plus en plus incohérent, et crain
ts héréditaires. - Père mort, d'hémorrhagie cérébrale, très buveur.
Mère
morte d'une maladie de poitrine ' ? Une soeur b
cherf, qui s'était rendu quelques heures après à Batenburg, chez sa
mère
, a été arrêté à son retour, au moment où il tra
ère plus âgés que lui, qui ne présentèrent jamais aucun trouble. Sa
mère
avait quarante-huit ans quand elle le mit au mo
nfirmerie du Dépôt. Sorti le 27 juin. . Antécédents héréditaires.
Mère
morte d'une maladie de coeur. Père, jardinier,
buveurs de vin. Père, marchand de vin, mort d'une maladie de foie.
Mère
morte d'une attaque de paralysie. Un frère et u
s des années : nous n'avons pas d'autres renseignements sur lui. La
mère
est assez bien portante, mais débile d'esprit et
ien, grandissait apathique et indifférent. Il est à la charge de sa
mère
depuis son bas-àge, car il n'a jamais pu apprendr
eurs fois on l'ait placé comme apprenti. Il n'était pas méchant, sa
mère
le gardait dans sa boutique de mercière où il s
les alcools, mais n'ayant pas d'argent, il ne pouvait en abuser. Sa
mère
le surprit plusieurs fois à voler dans sa caiss
thésie corticale. Observation VII. Hérédité très lourde : Père et
mère
alcooliques et épileptiques. - Alcoolisme aigu
lec- tuel, d'une susceptibilité irraisonnée, émotif et irritable. -
Mère
morte, avait des attaques très fréquemment, sur
ucinations multiples ; misan- thrope, ne causant jamais à personne.
Mère
morte d'un cancer, était d'humeur égale. - Un f
le, migrai- netcse. - Cousin strabique à la suite de convulsions.
Mère
, rachitique dans l'enfance, rhumatisante, nerveus
lée le 22 novembre 1897. Antécédents (Renseignements fournis par sa
mère
en novembre 1897). Père, trente ans, ébéniste,
atteint de bronchite chronique et sujet à de violentes colères. Sa
mère
, soixante- cinq ans, est en bonne santé;, elle
bre et n'offre aucun accident à signaler. - Il en est de même de sa
mère
qui présente seulemnt des céphalalgies. - Grand
s longs, bien implantés à la paupière supérieure, irrégulière- ' La
mère
est partie en Angleterre et nous n'avons pas eu l
ait autre. Désireux de pousser plus avant ses études, il supplia sa
mère
de le mettre en pension. Fière de son enfant et
gue et il ne se rétablit, que grâce à sa robuste constitution. « Ma
mère
travaillait toujours et le fruit de ses labeurs
lligence assez vive. Pas de consanguinité entre lui et sa femme. La
mère
du petit malade est une femme chétive, d'une mauv
assez accusé. Donc, rachitisme très marqué dans la fa- mille de la
mère
. A sa naissance, Jean ne pesait guère que 1.800 g
bite. Contrairement aux prévisions, l'enfant survécut malgré que sa
mère
n'eut guère de lait à lui donner et malgré même
n'est ni alcoolique, ni syphilitique, il n'a jamais été malade. La
mère
également a toujours joui d'une très bonne santé,
ance de Joseph se fil dans des conditions tout à fait normales ; la
mère
en était alors à son sixième accouchement et le t
ance, Joseph failli mourir d'une hémorragie du cordon ombilical et la
mère
nous raconte : « Joseph vint au monde à 2 heure
et demi sa vie resta en danger, il vomissait toujours le lait de la
mère
et tomba dans un état de faiblesse extrême.Enfi
mois, il se rétablit un peu et continua à se nourrir au sein de sa
mère
jusqu'à 18 mois. A cette époque il fut sevré,ma
t enfant n'était pas encore en état de se tenir sur ses jambes ; la
mère
était obligée de le traîner d'une chambre à l'aut
tes- tinaux caractérisés par des vomissements et de la diarrhée. La
mère
était au désespoir, ne sachant trouver un régim
Marie Raccanelli, née en 1901, actuellement âgée de 9 ans. Père et
mère
sont vivants et bien portants, pas d'autres enf
s ni la syphilis, ni la tuberculose, ni l'alcoolisme. Le père et la
mère
de l'enfant ne sont pas consanguins. ' Il par
it l'observation à la sage-femme. Marie fut nourrie au sein de la
mère
pendant les deux premiers mois, mais à la suite
1903 ; fils unique. Ses parents sont vivants et bien portants. La
mère
, qui a 37 ans, n'a jamais été malade ; aucune tar
t bien bâti ; il avait une tète très régu- lière et bien faite ; la
mère
ne pouvant se charger du petit, il fut mis en nou
res el collatéraux. Son père s'est suicidé par em- poisonnement. Sa
mère
est bien portante. Il a un frère et deux soeurs t
Métiers. Antécédents héréditaires. - Son père est bien portant, sa
mère
se plaint de temps en temps de maux de tête. Il
ans. Ascendance. - Lourde hérédité vésanique du côté maternel : la
mère
fut internée ;i l'asile de Clermont vers )'age
olisme conjugal ; c'est une démence maniaque ; un autre frère de la
mère
serait mort à onze ans de méningite ; deux autr
ropalhie. On a vu quel legs vé- sanique notre malade a hérité de sa
mère
. L'affection de J... doit vraisemblablement êtr
i, les idées plus anciennes delà maison familiale, du père et de la
mère
, les frères et soeurs, de son enfance et de sa po
e veux pas être homme, je voudrais être « femme. Si j'étais chez ma
mère
, je serais gentille (sic), je l'aiderais, car «
dif- férentes personnes de sa famille, car les embrassements de sa
mère
sont pour lui l'occasion de sensations pénibles
olent lui aussi. Le père a 51 ans ; il est calme et très doux. La
mère
a 52 ans ; elle est, dit-elle, « aussi nerveuse,
gnala par des anomalies. Un mois avant le terme de sa grossesse, la
mère
eut une alel te faisant craindre un accouchemen
Cette intervention s'accompagna d'un évanouissement prolongé de la
mère
, d'un double circulaire du cordon et de cyanose p
A quatorze ans et demi il se met pousser « comme une flèche» dit la
mère
, et en un mois et demi il grandit de 20 centimè
vivant et bien portant : sa taille est au-dessus de la moyenne. La
mère
est morte, il y a trois ans, d'affection inconnue
Masson & Cie. Editeurs D11C1H0\1 ? TZOLIQUE PA11T1ELLE 137 La
mère
était maladè'-Q1ffJ\'J11é(i("a 'grossesse qui dev
s héréditaires n'ont rien de par- ticulièrement intéressant. ' La
mère
est morte à 46 ans d'une hernie étranglée, la vei
1 vertébrale ayant les mêmes indexions chez cette femme que chez sa
mère
vivante. Ce sont là les seuls exemples de var
u- teurs (2) apportèrent deux nouveaux cas concernant cette fois la
mère
et la fille d'une famille autre que la précéden
ois la mère et la fille d'une famille autre que la précédente. La
mère
, âgée de 47 ans, présentait encore la persistance
ui concerne les deux clavicules, elles étaient représentées chez la
mère
par deux rudiments parasternaux dont la longueur
certains troubles fonctionnels étaient présents. C'est ainsi que la
mère
a remarqué de tout temps qu'elle ne peut rien p
ulsives du père, sur les fausses couches et l'état des tibias de la
mère
, ainsi que sur l'état du fond de J'oeil de la f
est petit mé- tayer et pécheur, naquit au même endroit en 1825. La
mère
mena, dans sa jeunesse, une vie dissolue, et, v
ine, qui était la seconde. Durant son mariage, la 268 FRODERSTROM
mère
, qui mourut en 1905 à l'âge de 76 ans, semble avo
comportée comme le font les enfants en général. Pour commencer, la
mère
, qui avait besoin d'elle pour le travail domest
ui avait exercé son action néfaste sur la première pas- sante. La
mère
fit coucher Caroline qui continua à se plaindre d
on des fonctions sexuelles, la réponse aurait pu être donnée par la
mère
; malheureusement, celle-ci, qui avait seule soig
pelait pins ce qu'elle avait dit les deux autres fois. Tant que la
mère
vécut, ce fut elle seule qui soigna Caroline, et
ar toute personne autre ; pen- dant qu'on lui soulevait la tète, la
mère
lui versait un verre de lait ou deux par jour ;
l est vrai, « à peine quelques gouttes » ; lorsque, à cet effet, la
mère
l'avait soulevée du lit, elle « s'appuyait un peu
dehors la plus grande partie de la journée, et ainsi Caroline et sa
mère
restaient presque toujours seules. Lorsque, e
t sa mère restaient presque toujours seules. Lorsque, en 1905, la
mère
mourut, et que le père annonça la nouvelle de s
la pièce de Caroline à la toilette de la morte ; mais la mort de la
mère
ne provoqua aucun autre changement dans son éta
e les membres de la famille étaient absents. « Depuis la mort de la
mère
, Caroline était moins laissée à elle et plus sé
n signe de tête alfirmatif ma supposition que depuis le décès de la
mère
, Caroline avait dû éprouver de plus grandes difli
maladie ou les affaires de la maison, ni concer- nant la mort de sa
mère
, ni concernant quoi que ce fût ; et pourtant, q
s avaient dit» qu'clleavait passé quelque temps à Oskarshamn, quêta
mère
et les frères étaient décédés, qu'elle n'avait
ne pourra être expliquée que par le fait que Caroline a eu dans sa
mère
une alliée discrète et dévouée qui l'a soignée
ui l'a soignée et nourrie à l'insu des autres ; après la mort de la
mère
, Caro- line a dû faire ses besoins et se nourri
sible qu'au réveil Caroline ne voulut pas se rappeler la mort de la
mère
, ni reconnaître ses frères, et qu'elle procéda
st remplacée par du tissu fibreux ( f), analogue à celui de la pie-
mère
. Ce tissu ne forme pas une masse compacte, il est
uré deux mois. Ce n'est pas un buveur, mais il est assez fumeur. La
mère
a mené trois gros- sesses à terme. Sa seconde g
téraux. Lors de la conception du sujet, son père avait 38 ans et sa
mère
28. Il est né à terme, et, en dehors de la mala
? ... je croyais alors qu'il était mon vrai père... Je voyais ma «
mère
se jeter par la fenêtre. Je parlais au soleil, il
che j'ai voulu me tuer, comme ma DU DÉLIRE CHEZ LES ENFANTS 351 «
mère
; mais Dieu me disait : Tu ne te tueras point, tue
lec où il présente jusqu'à sa mort des idées de persé- cution. - La
mère
, après avoir été toute sa vie une grande « nerveu
onjonctives, entre les extrémités latérales de la cavité et la pie-
mère
, dans les fissures et dans l'intérieur même du gl
dans les fissures et dans l'intérieur même du gliome, dans la pie-
mère
(au niveau de l'espace inter-radiculaire postérie
oquer la disposition si spéciale de la fissure et l'absence de pie-
mère
à la périphérie du cordon postérieur, sur le même
réditaires et collatéraux. - Père mort d'obstruction intes- tinale.
Mère
, accuse fréquemment, depuis plusieurs années, des
e foyers tuberculeux provenant de la surface extérieure de la dure-
mère
; ce fait explique pourquoi la moelle épinière es
isme articu- laire et mourut à 69 ans d'une affection cardiaque. La
mère
aurait souffert longtemps de maux de tête (migr
ts à un âge avancé, son père d'une maladie du coeur à 62 ans, et sa
mère
à 54 ans d'une pneumonie. Ils ne souffraient pas
essent une grande fatigue. 422 E. MONIZ Antécédents héréditaires.
Mère
hystérique. Père aveugle par kératite ( ? ). Il
424 E.' MONIZ . Antécédents héréditaires. Père alcoolique, mort.
Mère
bien portante. Il n'y a pas de tuberculose ni d
ôté droit. La malade n'a jamais souffert, mais l'accouchement de sa
mère
aurait été particulièrement difficile et l'on a
e l'un de nous le 16 février 1911. Ses parents ne vivent plus. Sa
mère
a été bacillaire. Ils ont eu 12 enfants dont ne
1. Son père ne vit plus, mais nous ignorons la cause de sa mort. Sa
mère
est bien portante. Nous igno- rons si le malade
eur anormale des membres inférieurs. Antécédents héréditaires. - La
mère
est morte à 25 ans, de tuberculose aiguë (alcoo
te-huit ans, à l'asile depuis six mois; hérédité puissante (père et
mère
morts à l'asile). Paralysie générale. Agitation
ndonner son service pour aller se reposer quelques semaines chez sa
mère
. Le 13 septembre, cinq jours par conséquent ava
ifs à l'accusé : paysan; pas de mobile; imbécillité très accentuée;
mère
faible d'esprit ; puberté ; ruse et mensonge; a
le de frapper avec le premier objet qui lui tombait sous la main sa
mère
ou son frère pour le motif le plus futile. Ou
on père, ancien gendarme, était mort au moment de son admission. Sa
mère
vivait ; elle avait avec elle un autre fils qui
lade est née après la première admission et le premier renvoi de sa
mère
, tous les autres étant venus au monde avant la
rée de son jeûne, repous- saient très bien ensuite. On demanda à la
mère
pourquoi on avait coupé les cheveux à la jeune
roplonguestation sur un seul côté, dans son lit, ou même lorsque sa
mère
la priait de setournerd'un autre côté, ou de se
lqu'un la lui ouvrait avec un instrument tranchant. Le père et la
mère
furent questionnés ainsi que les parents les pl
vu qu'elles ne fussent pas trop approchées de son nez. En outre, la
mère
racontait, ainsi que d'autres personnes qui éta
ce qui ne provenait d'aucune maladie, mais venait de naissance. La
mère
ayant été interrogée si pendant le temps de sa
que cependant elle ne fût pas aussi robuste que les enfants que la
mère
avait eus, avant et après elle, avec le même ma
s effroyables, s'opposant à ce qu'on l'emmenât hors de son pays. Sa
mère
seule, disait- elle, devait l'accompagner, parc
, appelée l'Ile, dans une chambre chauffée, spéciale à elle et à sa
mère
. ^Plusieurs infirmières qui ont habituel- lemen
apporter dans sa chambre soit des aliments, soit des bois- sons. La
mère
fut'installée pour prendre ses repas avec les a
vement en toutes ses actions et de relever ses moindres paroles. La
mère
cependant et sa fille (elles com- prenaient fac
outde deux jours, sous le prétexte de la reconduire à sa maison, la
mère
fut arrachée à la garde de sa fille. Elle fut a
avail. 1 ' Sur ces entrefaites, quand la fille se vit séparée de sa
mère
, 128 VARIA. elle devint d'une grande tristess
lupart des autres faisaient habituellement, et lui affirmait que sa
mère
allait bientôt revenir vers elle. Ces paroles la
tôt les cris et les convulsions recommençaient et elle réclamait sa
mère
avec plus d'ardeur. Le jour qui suivit sa sépar
mère avec plus d'ardeur. Le jour qui suivit sa séparation d'avec sa
mère
, pendant la nuit, une telle quantité d'humeur n
recouvrait ses forces habi- tuelles. Cependant, l'innocence de la
mère
ayant été reconnue, par l'ordre du premier des
t, lui avaient été adjointes, continuèrent leur surveillance sur la
mère
et la fille avec la plus grande. rigueur, pour
uite dans leur chambre. Enfin, deux semaines après la réunion de la
mère
à la fille, comme cette dernière restait contin
VARIA. 129 tion de retourner chez elles, ayant été reconnu que la
mère
ne pouvait, sans de grands dommages, abandonner
sont si accablés et se désolent tant, voilà pourquoi son père et sa
mère
demandent chaque jour à Dieu si bon, par les pl
ME NARRATION.... '- Il y avait déjà plus d'un an qu'Apollonie et sa
mère
avaient quitté Berne. Pendant toute cettepériod
à la maison de la jeune fille. Aussitôt qu'elle nous eut aperçu, la
mère
se précipita à notre VARIA. 133 rencontre. El
imé vers la colonne vertébrale, comme jadis. La jeune fille et sa
mère
nous racontèrent, que très peu de temps après not
- sabililité, plus d'intelligence qu'aux pères de famille, qu'aux
mères
de famille, qu'aux frères ou aux soeurs ? Mais vo
l'honneur des siens ? M. TBSTELIN. Comme ces fils qui brûlent leur
mère
sous prétexte qu'elle est aliénée, ainsi que le
ns d'une maladie de poi- trine ( ? ). était un buveur invétéré ; la
mère
vit encore elest, paraît- il, d'une bonne santé
is eu d'affec- tions nerveuses, son père est mort d'accident, et sa
mère
, ses oncles et tantes sont actuellement bien po
dispensé d'une surveillance spéciale : il faudrait que le père, la
mère
, l'ascendant, le descendant, le conjoint, en un
d'un de ces aliénés qui ne sont soi- gnés ni par le père, ni par la
mère
, ni par le conjoint, etc., du malade. Je crois
able avec la Bible et le livre de prières devant eux. Le père et la
mère
frap- paient du poing sur la table et criaient
faisait reconnaître dans l'intestin des masses, dures, noueuses. La
mère
de l'enfant dit que celle-ci était constipée, e
ulsions cessèrent, l'enfant demanda à jouer, et devint vif, gai. La
mère
avertit en outre le Dr Schramm que la nuit qui pr
ce de M. Bourneville). Aztécédents(Ilenseignenzeals fourltis par sa
mère
et son grand- père paternel. (G mai 4881.) - l'
pt ans, homme de peine ; pas d'excès de boisson, pas de migraine.
Mère
, morte à l'âge de soixante-dix-neuf ans, en douze
de difformes, pas de suicides, pas de criminels dans la famille.]
Mère
, cinquante six ans, brune, de taille moyenne, bie
, cordonnier, « n'aja- mais vu un médecin»; pas d'excès de boisson.
Mère
, quatre- vingt-cinq ans, femme de ménage, bien
ménage, bien portante . Deux ' C'est l'ainé, il n'est que frère de
mère
; né avant le mariage. ' Elle est morte en juin
fièvres éruptives, pas d'accidents strumeux. « A mon idée », dit la
mère
, « l'enfant aurait eu une peur avec la nourrice
cité avec quelques-uns de ses camara- des, il vole les bijoux de sa
mère
et de sa soeur et les vend. Déjà,- du reste, pe
hôtel, puis le troisième il a envoyé un camarade s'infor- mer si sa
mère
demeurait toujours au même endroit : une voisin
Bicètre (service de M. BOURNEVLLLE). Renseignements fournis par sa
mère
(16 novembre 1885). Père, quarante-neuf ans et
était un peu a ours » et faisait quelques excès de boisson (vin).
Mère
, maitresse d'hôtel meublé, morte paralysée à l'âg
épi- leptiques, ni d'autres paralytiques, etc., dans la famille.]
Mère
, quarante-quatre ans, châtaine, bien portante, d'
xante-neuf ans d'une attague d'apo- plexie en quarante-huit heures.
Mère
, soixante-cinq ans, sobre, bien portante. Grand
re autour du cou, sans cyanose ; cri immédiat. Elevé au sein par sa
mère
, il a été sevré à treize mois (alors que sa mèr
evé au sein par sa mère, il a été sevré à treize mois (alors que sa
mère
était enceinte de quatre mois et demi) : « il a
ze ans, un jour de mi-carême, étant descendu dans la rue, malgré sa
mère
, il s'est associé aux jeux d'autres enfants ; l
ccès ; une seconde fois, l'année suivante, avec un cou- teau que sa
mère
lui arracha des mains; elle se blessa l'index e
e des vertiges, ont débuté en août 1883. Revenant du marché avec sa
mère
, il s'est mis tout à coup, sans rien dire, à co
ns ensuite à courir. A la maison, il cou- rait dans la chambre ; sa
mère
le saisissait violemment, le couchait sur un ca
orts sexuels. 348 CLINIQUE NERVEUSE Durant l'interrogatoire de sa
mère
, comme il attendait des vant le cabinet, assis
ombre de trois, tous vivants, ne présentent rien de particulier. Sa
mère
, morte à un âge avancé, était sourde. Quant à l
de M. Charcot). Père, mort à la guerre, pas de maladies nerveuses.
Mère
, encore vivante, pas de maladies nerveuses. Frè
de trente ans, est issu de germains. Sa grand'mère maternelle et sa
mère
sont hystériques, son père, mal équilibré, se f
colique, faisait par- fois des excès de boissons et s'est pendu. Sa
mère
est d'une intelligence ordinaire, mais une tant
père, adonné à l'ivrognerie est mort d'une apoplexie cérébrale, sa
mère
est nerveuse mal équilibrée ; une de ses soeurs
compagnes. 11 quitte le couvent et rentre à la maison auprès de sa
mère
, s'occupe du ménage, fait la cuisine, coud et t
Juifs ; «Je suis un misérable, tuez-moi, j'ai tué mon père et ma
mère
. » Il croit qu'on veut l'empoisonner, refuse de m
e, qui n'a jamais eu d'autre maladie qu'une fluxion de poitrine. Sa
mère
est morte à cinquante-neuf ans : elle était hém
ait jamais été malade. C'était un homme sobre mais très violent. Sa
mère
est morte à quarante-deux ans ; elle était épilep
. Et... a eu treize frères ou soeurs dont cinq seulement de la même
mère
(son père s'est remarié et a eu huit enfants du
es d'aliénation mentale et mort dans une maison de santé à Lucerne.
Mère
bien portante, non nerveuse. M... a eu dix frèr
ents héréditaires. Père mort accidentellement; n'était pas nerveux.
Mère
morte d'apoplexie cérébrale suivie d'hémiplégie g
6 mars, salle Saint-Jean n° 2, à l'hôpital Necker. Il est né d'une
mère
épilep- tique; tel est du moins le diagnostic q
ébrale, il avait eu la danse de Saint-Guy pendant plusieurs années.
Mère
bien portante. Sept soeurs bien portantes. Quat
eod. loc.). « Je vis, le 6 juin 1883, une femme de vingt-sept ans,
mère
de deux enfants. Bonne santé jusqu'à ces deux d
é maternel, on ne retrouve absolument rien dans les antécédents. La
mère
, qui est morte d'une pleurésie à trente- sept a
ntré le 15 avril 1890, salle Prüs, n° 10. Antécédents héréditaires.
Mère
morte iclérique à soixante-deux ans. Père en bo
sait rien dire. Pas de renseignements sur les grands-parents. Sa
mère
, âgée de soixante ans, a eu toute sa vie de forte
arante-huit heures. Deux soeurs dont l'une est migraineuse comme la
mère
. 1. Contribution à l'élude des troubles trophiq
faisait les mêmes exercices que son fils et est mort d'accident. Sa
mère
était migraineuse et est morte d'un cancer utér
M. le professeur Charcot le 26 juin 1889. Antécédents héréditaires
Mère
épileptique, morte en état de mal, a l'âge de t
técédents héré- ditaires, un père bien portant, pas alcoolique, une
mère
ayant des crises convulsives sans perte de conn
ents névropathiques par le fait de son hérédité, car son père et sa
mère
étaient vivants et bien portants. 11 n'était pa
père est mort de la fièvre jaune à la Nouvelle-Orléans en 1858; sa
mère
est morte d'une paralysie qui commença par les
enne sont ceux se rapportant à l'affection actuelle. L'enfant et la
mère
rapportent l'origine de la.maladie à. une vio-
homme sobre, bien portant sauf quelques douleurs gastralgiques. Sa
mère
, âgée de quarante- sept ans, présente des troub
rahit en apparence l'état mental qu'elle présente. Ni le père ni la
mère
de notre malade ne présentent autre chose digne
arité de sa conduite passée. Dans la branche maternelle, la grand'-
mère
vit encore en bonne santé, le grand-père serait m
erait mort d'une attaque d'apoplexie. En somme, ni son père ni sa
mère
n'ont vu ni connu dans leur famille d'affection
et ont été contrôlés et confirmés par le récit de son père et de sa
mère
que nous avons longuement interrogés. Armandi
sultation avec son père a demandé à celui-ci si ce n'était point sa
mère
. Armandine S... a une taille moyenne (1 m. 54)"
aque quotidiennement aux soins de son ménage, en remplacement de sa
mère
qui est à Sainte- Anne, fait la plupart des cou
endredi 18 mai 1889, la malade sorliten permission, accompagnant sa
mère
, laquelle est atteinte de cécité et pour ce motif
Salpèlrière. Dans la rue, un gros chien se jela tout à coup sur sa
mère
en aboyant. La malade eut très peur, elle se mi
ntécédents héréditaires. Grand-père pas connu de la malade. Grand'-
mère
pas nerveuse, sanlé parfaite, morte à quatre-ving
- mère pas nerveuse, sanlé parfaite, morte à quatre-vingt-deux ans.
Mère
su- jette à des accès de névralgie faciale très
onnements d'oreilles, etc., après quoi elle perdit connaissance. Sa
mère
qui était présente nous a rapporté qu'elle s'étai
lle fait de faux points et parfois même se pique les doigts. » La
mère
de la malade nous affirme que ce tremblemement s'
harcot. Antécédents héréditaires. Père alcoolique et de race juive;
mère
hys- térique. Le malade a cinq frères, dont deu
de la Salpêtrière le mardi 25 juin 1889. Antécédents héréditaires.
Mère
très nerveuse, emportée, très colé- reuse. Une
fs. Père bien portant, pas nerveux, pas alcoolique. La malade et sa
mère
ne peuvent fournir aucun renseignement sur les
cou comme une boule qui l'étouffé. Dans ces moments-la, nous dit sa
mère
, « elle pleure volontiers et ça la soulage ».
s, vers la fin de décembre 1888, après une altercation vive avec sa
mère
au sujet de son bébé qu'elle ne vou- lut plus g
st bien portant; c'est un homme sobre qui n'a jamais été malade. Sa
mère
est aussi en bonne santé et ne présente rien à
rder le lit pendant plusieurs jours; il n'a pas de déformations. La
mère
dit être bien por- tante, elle a eu sept enfant
ler. Grand-père paternel mort d'apoplexie cérébrale. Son père et sa
mère
étaient cousins germains. Le père est mort accide
ermains. Le père est mort accidentellement; il était alcoolique. Sa
mère
est nerveuse, mais n'a pas d'attaques. Du côté de
ère mort de tuberculose pulmonaire à l'âge de quarante-cinq ans. Sa
mère
vit encore, elle est sujette ala migraine. Le g
Empis. Antécédents. - Le père de la malade était très irascible; sa
mère
est morte hémiplégique. Trois soeurs non nerveu
vec le Dr Charpentier (de Meaux). Antécédents héréditaires. Père et
mère
bien portants, non névropathes. Dans la famille
pathes. Dans la famille, plusieurs aliénés, suicidés, originaux. Sa
mère
avait cinq ou six frères. Ceux qui ont embrassé
lt;t SIMULATEURS ». 313 sept ans et une rougeole à quatorze ans. Sa
mère
et son frère sont, parait-il, nerveux, irascibl
éréditaires. Père mort, il y a cinq ans, de tuberculose pulmonaire.
Mère
morte de ( ? ). Une soeur hystérique (attaques co
gesticu- lations nécessitant plusieurs personnes pour le maintenir.
Mère
, vit encore; elle a cinquante ans. Elle aurait
elle ne se rappelait plus ce qui s'était passé. On la porta chez sa
mère
. Le lende- main matin, elle éprouva en se levan
Son père est mort à trente-quatre ans de tuberculose pulmonaire. Sa
mère
est bien portante. Il n'a ni frère ni soeur. Un
ne fracture du radius. Il y a un an et demi, il vient à Paris avec sa
mère
. A peine était-il arrivé qu'il est pris de céph
dre et D... reprenait sa vie habituelle. « Le 22 décembre, écrit sa
mère
au médecin, en rentrant de l'école, il se plaig
tte crise de nerfs, cette perte de connaissance dans les bras de sa
mère
semblent bien légitimer les doutes. Et pourtant
'autres membres de la famille paternelle font des excès de boisson.
Mère
débile avec idées de suicide. Le malade est apa
r 1891, envoyé par notre excellent collègue et ami M. Lautier. Sa
mère
qui le porte sur les bras nous donne les renseign
s troubles du langage. Ces divers accidents semblent, au dire de la
mère
, avoir été à peu près contemporains. Le membre in
u de convulsions ni de céphalalgie; il se plaint uniquement, dit sa
mère
, d'une sensation douloureuse qu'il localise du Lu
lais. En tout cas, il y a glossoplégie, puisque autrefois, raconte la
mère
, l'enfant pouvait mouvoir sa langue comme tous
s. Du côté des grands-parents, rien d'inléres- sant il signaler. Sa
mère
est morte à l'âge de soixante ans; elle était ali
enfants et placé ses biens en .rentes viagères. Il n'a pas connu sa
mère
; il a un frère qui est bien portant 'et une soe
vail de fréquentes attaques convulsives (hystérie ou épilepsie); sa
mère
est hystérique : depuis longtemps elle éprouve
s alcoolique et n'a jamais eu de maladies nerveuses ou mentales. Sa
mère
est asthmatique. Elle aurait eu, vers l'âge de
11 est très emporté et « ferait n'importe quoi », dit sa femme. Sa
mère
est bien portante. Cécile V... a eu quatre frèr
el'avant-bras. Laface elle-même aurait été tirée à droite ( ? ). La
mère
ne se rappelle plus ni le temps qu'a duré cette h
etc., puis se lève et se promène dans sa chambre. Der- nièrement sa
mère
l'a trouvée en chemise près de la fenêtre. Il y
u'elle attendait depuis treize jours. Vers quatre heures du malin, sa
mère
l'ayant entendue se lever s'est précipitée dans
Depuis quelques mois (avril 1890), la date n'a pu être précisée, la
mère
a remarqué que la main de sa fille devenait « vil
ditaires. Père mort il quarante-quatre ans phthisique et éthylique.
Mère
vivante mais toujours malade, migraineuse. , An
onchite chronique à quarante-six ans, un peu nerveux. Le père et la
mère
sont cousins germains. Ils' ont eu sept enfants :
encore pas suffisamment pour détruire les adhérences entre la pie-
mère
et les cordons postérieurs de la moelle. Sans ent
sac formé par la dure-mère, j'étais obligé de mettre à nu la dure-
mère
; quand nous coupions la corde et que la cavité s
dans la cavité du rachis, il se produit une aspiration de la dure-
mère
mise à nu et privée de son enveloppe osseuse. Che
ents héréditaires sont chargés. Son père était irritable, nerveux. Sa
mère
avait 49 ans lorsqu'elle le mit au monde. Il rest
éveillait et déclarait ne plus souffrir : son étonnement, celui de sa
mère
et de son mari, qui assistaient h la séance, étai
mon arrivée, le lendemain, Mme X... en présence de son mari et de sa
mère
, me déclarait qu'elle n'avait pas souffert, qu'el
et vous ne souffrirez plus. » — Nouvelle séance devant le mari et la
mère
de la malade, « Dormez, madame, dormez, vous alle
i avait été, croyait-elle, très favorable, je lui suggérai, devant sa
mère
, qu'elle pourait pendant le sommeil naturel, rêve
e une fausse couche. Je lui conseillai le repos au lit. Je dis à la
mère
de la malade qu'il n'y aurait pas de fausse couch
pecte, par les toniques de toutes sortes, le grand air, l'hygiène. Sa
mère
est morte tuberculeuse. Actuellement, cette jeune
cédents héréditaires. — Père vivant, quarante-cinq ans, bien portant.
Mère
morte à ; trente-un ans, suite de couches. Sa mèr
ans, bien portant. Mère morte à ; trente-un ans, suite de couches. Sa
mère
était nerveuse. Deux frères ou sœurs sont morts,
ritable malaise. L'enfant qui pleure au départ de sa bonne ou de sa
mère
et demeure inconsolable jusqu'à son retour n'est
petit sensitif, dont tout l'être souffre lorsque s'éloigne de lui sa
mère
, en qui et par qui il vit. Beaucoup de malades so
onnes interposées. Seront réputés personnes « interposées les père et
mère
, les enfants et descendants, ot l'époux de « la p
e diffère en rien de ce qui se produit dans le sommeil ordinaire. Une
mère
qui s'endort près du berceau de son enfant ne ces
gée de 30 ans, actuellement enceinte de 8 mois et demi, est née d'une
mère
nerveuse et impressionnable, après une grossesse
ns. Les deux enfants sonts surveillées avec le plus grand soin par la
mère
à cause de leur tendance à l'onanisme. A la suite
sme si complet, qu'il lui avait fait tirer un coup de pistolet sur sa
mère
. M. Delbceuf, qui avait d'abord conclu dans le mê
de 20 ans, venue pour se faire arracher quelques mauvaises dents. La
mère
avait assisté aux agissements de Lévy, sans s'en
eux. Son père alcoolique s'est suicidé sans qu'on ait su le motif. 8a
mère
est rhumatisante et nerveuse mais sans crises hys
opathiques quelconques. Il n'a ni frère, ni sœur ; son père et sa
mère
sont bien portants, âgés l'un de 50, l'autre de 4
t sa mère sont bien portants, âgés l'un de 50, l'autre de 40 ans ; sa
mère
, à ce qu'il raconte, est très nerveuse, elle prés
en outre crédule et confiante à l'excès. Notre malade ressemble à sa
mère
à la fois au point de vue mental et au point de v
ri. • M. B..., 25 ans, fortement musclé, me consulta en mars 1890. Sa
mère
est morte en 1.888 d*un cancer du sein ; il comme
stérique, bien qu'elle n'en offre pas les stigmates bien accusés ; de
mère
nerveuse qui, abandonnée par son mari, avec plusi
is tirer, sans sourciller, un coup de pistolet à bout portant, sur sa
mère
. Et alors, le professeur de Liège de s'écrier :
fera-t-on croire « qu'une jeune fille qui, sans émotion, tire sur sa
mère
un coup de pis-« tolet, ne se doute pas que la sc
ne. Pourquoi, d'ailleurs, s'y refuserait-elle ? « Ne voit-elle pas sa
mère
y tenir un rôle et les spectateurs suivre son « j
ublié ses devoir de piétéfiliale, « de respect, d'affection envers sa
mère
, qu'elle aura été instantane-« ment transformée e
d, je n'avais pas, de pfano, dit à Mlle E. P.. «Vous allez tuer votre
mère
! d Je l'avais, très facilement et très rapidemen
is réveillée, vous allez voir là, près de vous (en lui « désignant sa
mère
) une personne que vous ne connaissez pas, qui a «
avais ajouté, dans mon Mémoire de 1884 :« presque sans transition, sa
mère
lui reprochant d'avoir voulu la tuer, M"* E. P..
e, la plus satisfaisante, la réponse si sensée de la jeune fille à sa
mère
? Je sais bien que o'esl une des thèses favorite
r de ce qu'elle avait fait étant endormie, elle a pu croire, quand sa
mère
lui disait qu'elle avait failli être tuée par ell
tuerune béte « fauve qui veut dévorer son fils, tue celui-ci ; qu'une
mère
qui rêve « d'un incendie, jette par la fenêtre le
nir de ce qui est arrivé, jusqu'au point qu'il voulait tuer sa propro
mère
dans un de ces accès, et il le sait parce qu'on l
e malade refuse absolument de manger depuis six semaines parce que sa
mère
, morte récemment, lui apparaît en rêve et lui ord
tait le déshonneur. Elle devint folle, en même temps qu'elle devenait
mère
. Tant était grande, complète, absolue, dans son e
ement hypnotisée, et il l'avait fait, chose inouïe, en présence de la
mère
de sa victime qui, sur sa recommandation, lui tou
entles scolastiqucs: iterum allata cuusa,iltrum aflertur effeclus. La
mère
de notre malade, interrogée à cette époque sur l'
abiter dans un profane lieu, Comment penserez-vous que celte Sainte
Mère
. Etant un temple impur, fut le temple de Dieu?»
tion, ce qui eût empêche que celte pauvre femme — jusque lu épouse et
mère
irréprochable — fût livrée sans défense aux entre
ve; dans un accès de colère, elle blessa son fils avec un couteau. La
mère
est très nerveuse. Elle a présente longtemps de g
caractère. Elle emportée, violente. Duns ses colères clic injurie sa
mère
et se sert d'un vocabulaire grossier. Elle jure e
reytdus du Congrès des aliènistes, Toulouse, 1ô9S. « M0" X.., la
mère
de l'enfant que vous soignez, a elle-même des cri
seignements, ma tâche était simplifiée. Il fut facile d'obtenir de la
mère
l'aveu de ses crises don'- les manifestations cor
chez l'enfant. L'enfant, témoin des grandes crises d'hystérie de la
mère
, les reproduisait fidèlement. Elle était, si l'on
si l'on peut s'exprimer ainsi, le « miroir » neuropalhologiquc de sa
mère
. Il importait donc de soumettre la mère à un tr
r » neuropalhologiquc de sa mère. Il importait donc de soumettre la
mère
à un traitement psychique capable de reconstituer
auld l'avocat, subvenait de ses deniers aux besoins de Port-Royal. Sa
mère
, femme très dévote, ayant été vivement émue par u
ntoine Arnauld devait sa vocation à Ou Vergier, qui était l'ami de sa
mère
Tandis que Lescol lui enseignait on Sorbonne ta t
se dépouiller de son bien en faveur de Port-Royal. D'autre part, sa
mère
, étant sur le point de mourir, lui avait fait dir
icale, 1897, n° 61, p. 41.— Une femme de trente-sept ans, fille d'une
mère
hystérique, a perdu il y environ trois ans son en
d'un renouvellement et d'une ratification de ses vœux, tandis quo sa
mère
plaçait auprès d'elle une religieuse chargée de l
ns les emmener avec elle dans des voitures que fournit Madame Arnauld
mère
. Elle avait sur elles un tel ascendant qu'elle le
rire, qu'il fallut fonder à Paris une autre maison que Madame Arnauld
mère
paya de ses deniers. Chez Agnès, c'était « une
ans une seconde épitaphe, toutes celles qui demeurent ici (-), et les
mères
de plusieurs communautés sont aussi ses lilles. N
ère enfoncées etd'être tenue responsable devant l'accusation, * cette
mère
demeura inébranlable » (à suivre) (1) Supplém
3° Les racines postérieures : à à leur pénétration dans la dure-
mère
et l'arachnoïde, elles seraient comprimées, irrit
lades. L'observation porte sur quatrefemmes de la même famille : la
mère
, deux filles et une petite-fille qui étaient atte
rès de Kantes, a tiré hier des coups de revolver sur son père et sa
mère
. Fonteneau était atteint d'une espèce de folie
s de son revol- ver, puis il est retourné chez lui et a tiré sur sa
mère
, qui vaquait aux soins du ménage, cinq coups de
sie au bout de peu de mois, tous deux faibles d'esprit, issus d'une
mère
également débile, et d'un père bien constitué a
nce. Il a une soeur jumelle jusqu'ici indemne. Père mort phtisique,
mère
névropathe et calculeuse. 2° V..., trente et un
ille de phtisiques. Une soeur jumelle morte à cinq ans du croup. La
mère
a des enfants normaux d'un premier et d'un. tro
Dans l'autre, on voit deux jumeaux, fils d'un phtisique et d'une
mère
intelligente, êtres frappés, l'un de démence pré-
sessions et impulsions dont le frère jumeau est resté indemne. La
mère
était une déséquilibrée hystérique ; un frère est
X CAS DE FOLIE GÉMELLAIRE. 103 le père est mort d'une pyrexie et la
mère
d'une affection organique de l'estomac. La mè
une pyrexie et la mère d'une affection organique de l'estomac. La
mère
, d'apparence à peu près normale, se plaint cepend
iques. Son père, alcoolique, est mort des suites d'un accident : sa
mère
, vivante a dépassé quatre-vingts ans Une Heur d
inq ans de phtisie pulmonaire. Les 'autres seraient nor- maux. La
mère
des jumelles G... qui nous fournit ces renseignem
actes extravagants ou nuisibles ; idée fixe de tuer son père et sa
mère
contre qui elle manifeste une aversion profonde
rrasse de son tourment (idées obsé- dantes). Imprécations conlre sa
mère
, qui, en voulant la marier contre son goût, a é
ement à la violence. Tout le monde lui en-veut. Elle bat souvent sa
mère
et dit qu'elle veut la tuer. Elle a frappé plus
Le curé l'a ensorcelée; son oncle veut la faire marier de force. Sa
mère
ne l'aime pas et préfère son frère qui est au s
exposé : du côté du père nous trouvons l'alcoolisme, du côté de la
mère
l'hérédité névropathique, et de la combinaison
tteint d'une maladie de langueur. Il a eu une soeur aliénée. ' La
mère
est morte à soixante-six ans de variole hémorrhag
frontaux, des fosses temporales et de la face du cerveau. La pie-
mère
, louche et épaissie au moment de la décortication
onvulsions. Ses antécédents héréditaires ne sont point anormaux. Sa
mère
a eu cinq autres enfants dont quatre bien porta
s ressemblait absolu- ment à ce'qu'il avait éprouvé lui' même. La.'
mère
est bien por- tante. C'est à luge de trente-d
naître l'observation d'une famille chez laquelle cinq personnes, la
mère
et quatre 1 Nous sommes heureux de remercier no
la voûte palatine. L'enfant entendait, mais ne criait jamais. La
mère
s'était assurée qu'il voyait, chose digne de rema
ins sous son vrai jour, puisqu'il se sent surveillé; et le père, la
mère
de famille ne nous induiront- ils pas, dans leu
à ressentir les effets de l'alcool car elle vint tomber près de sa
mère
. Des voisins charitables portèrent l'enfant che
s de tuberculose. Tante paternelle, coi ? viilsio2s de l'enfance.
Mère
, traumatisme céphalique vers sept ans, avec évano
à se coucher, très rhumatisant, aucun excès, caractère calme. - Sa
mère
, quarante-huit ans, n'au- rait jamais eu d'acci
excès ont augmenté quand il est venu de la campagne à la ville. Sa
mère
, d'un caractère calme, est en bonne santé. On n
Les parties non transparentes paraissent être formées par la pie-
mère
et une couche de tissu cellulaire; elles ont une
'enfant. En revanche, les cas de tuberculose sont très nombreux. La
mère
est une névro- pallie à un degré très prononcé,
halique de l'enfance, car ses père, sauf quelques excès de boisson,
mère
, frères et soeurs seraient en excellente santé.
portants et sobres; ni dans la famille du père, ni dans celle de la
mère
, on n'a remarqué de ma- ladies nerveuses, telle
On enlève la calotte osseuse avec la scie, sans entamer la dure-
mère
. Ce qui frappe d'abord, c'est l'énorme congestion
et la réplétion des sinus de la dure-mère. A l'incision de la dure-
mère
, le cerveau fait aussitôt hernie à travers la sol
ort dix-neuf jours après inoculation du virus des rues sous la dure
mère
il a constaté une fois de plus que seules les lés
s-je, il y aurait peut-être quelque chose à faire. Où demeure votre
mère
' ? -11 m'indiqua le domicile qui était à une d
it. - Il se mit à rire. Je repris : fixez votre attention sur votre
mère
: imprimez dans votre esprit son image telle qu
les deux sexes, que la transmission vienne soit du père soit de la
mère
. ' . Chez 64. hommes et 22 femmes, -la maladie
atteint son maximum quand elle est reçue à la fois du père et de la
mère
; 4° L'influence maternelle a une activité très
reuse pour les fils que pour les filles ; la folie transmise parla
mère
est beaucoup plus dangereuse pour les filles que
limité à 20, et qu'ils ne soient pas trop éloignés de l'institution
mère
. Simon. 1 Voir à ce propos les Comptes rendus d
s, chercha querelle à son fils aîné, dix-neuf ans, et le frappa. La
mère
intervenant, l'alcoolique la roua de coups. Alo
u hameau de Gagne, chez M. Fontbastier; son père est au bagne et sa
mère
est dans une maison centrale. (L'In- dicalcur t
on attribue sa fatale détermination. Il monta dans la chambre de sa
mère
, ouvrit l'armoire à glace, y déroba un revolver e
pour une pièce de deux francs une pièce de dix centimes étamée. Sa
mère
l'accusa de supercherie. Désespéré, il monta à sa
pondait au genou de la scissure de Rolando ; à ce niveau/la dure-
mère
était un peu adhérente et l'écorce cérébrale avai
e jeune fille de dix-sept ans, précipitam- ment amenée auprès de sa
mère
en danger de mort, éprouve une telle émotion qu
ée droite qui dure six mois. Deux ans après, survient la mort de sa
mère
. En revenant du cimetière, cette jeune fille es
técédents cérébraux, vésaniques ou névropathiques du côté maternel.
Mère
morte à trente-neuf ans d'une maladie de matric
vile, il eut le courage de prendre une corde et de se pendre. La
mère
était sous l'influence des accidents secondaires
nt ce malheureux garçon atteint lui-même de syphilis. Plus tard, la
mère
eut des accidents tertiaires que je lomballis d
455 Je puis donc affirmer que Victor est syphilitique de père et de
mère
et que lui-même a eu dès le bas âge des acciden
t-cinq mois, naquit à terme, accouche- ment facile. -Son père et sa
mère
n'ont souffert d'aucune maladie, son père mouru
d'aucune maladie, son père mourut de la variole en l'année 1898. Sa
mère
est une femme jeune, bien développée, de tempér
dont la jambe et le membre supérieur droit restèrent paralysés. La
mère
ne se rappelle pas s'il' y eut déviation de la
em- ment. Vers les onze à douze mois sa dentition commença, et sa
mère
observa que les membres paralysés étaient devenus
bras gauche, mais on n'obtient pas qu'il regarde, ce qui lit que sa
mère
le crut aveugle. Pendant la demi-heure que nous
uvrait les yeux et tout était fini. Ces attaques sont celles que sa
mère
appelle « les petites attaques»; ce sont celles
fonctions était normal. Je lui prescrivis une potion au Bi'k que sa
mère
ne voulut pas lui donner. Elle revint me voir q
tant que tous les cas connus. En faisant l'intervention, puisque sa
mère
le désirait si vivement, mon objet n'était cert
vait fait dans ses expériences sur le rôle ostéogénique de la dure-
mère
: faire l'incision en suturant les bords au pério
APEUTIQUE CHIRURGICALE. Dans le mois de juin de l'année courante la
mère
revint me voir. Elle m'amenait son enfant en me
estèrent ballants, el ce ne fut seulement que six mois après que sa
mère
s'aperçut qu'ils étaient rigides, le bras adoss
ment qu'il déjeunait ; il mangeait avec appétit, assis à côté de sa
mère
. Son aspect était le même que j'ai déjà décrit :
uel, c'est que pendant le mois de décembre qu'il passa séparé de sa
mère
, il a oublié de dire « marna ». J'ai opéré de
ents affectifs. Elle montrait, par exemple, de la joie en voyant sa
mère
et nous a toujours reconnu jusqu'au moment de l
ette malade nous a toujours reconnus M. Vurpas et moi ainsi que sa'
mère
et l'infirmière qui la soignait. - 11. B. Séa
ropathique; la santé est bonne, aucun des ascendants ne tremble. La
mère
est saine, le père a commis des excès alcooliqu
chenapan de la pire espèce, nommé Robert N..., qui avait frappé sa
mère
d'un coup de cou- teau. Robert N..., dont le pè
équentait les pires vauriens du quartier. Il s'est précipité sur sa
mère
parce qu'elle lui reprochait sa mauvaise condui
Enfant empoisonneur. A Ars (Ain), un jeune enfant a empoi- sonné sa
mère
malade en trempant un paquet d'allumettes dans
ERVEUSE. joué ici un rôle quelconque. Le père est migraineux, et sa
mère
très nerveuse. A l'Age de dix ans, il aurait
feste démontrée par les migraines du père, par le nervosisme ^de la
mère
, et par ses céphalalgies fréquentes depuis son
eux ans, après quelques jours de maladie; homme doux, tran- quille.
Mère
morte à soixante-quatre ans, hémiplégique; ni mig
ouze ans, elle était à travailler dans une vigne en compagnie de sa
mère
; surprises parla pluie, elles gagnentun abri et
gauche. Vers huit ans, il aprésenté descrises desomnambu- lisme. Sa
mère
raconte que souvent pendant la nuit il se promena
vations présentent des traits communs et des dissemblances- Chez la
mère
comme chez le fils, le tic coexiste avec l'hyst
e comme chez le fils, le tic coexiste avec l'hystérie; mais chez la
mère
, la grande névrose parait éteinte, tandis qu'el
qu'elle est en puissance chez le fils. Le traumatisme a été pour la
mère
un facteur prépondérant; il a donné naissance a
fil ? le tic remonte seulement à quelques mois, alors que pour la
mère
il dure depuis trente-trois ans. Dans l'un et l
l'autre cas, le tic s'accompagne de phénomènes psychiques. Pour la
mère
, ce sont des idées de suffisance, d'in- faillib
le fils, de l'obsession, des manies, des idées de doute. Enfin, la
mère
présente des troubles coprolaliques' 16 PATHOLO
ente-six, trente-huit ans,s'était adonnéaux boissons alcooliques.
Mère
âgée de soixante-dix ans, bonne santé habituelle,
ux, du côté du père, tous renseignements font défaut; du côté de la
mère
figurent deux oncles : l'un, mort paralysé à so
d'abord, Ma... ne relève pas de l'hérédité simi- laire, directe; sa
mère
, son père ne sont pas des tiqueux. Ce serait, e
la maladie. L'hérédité de transformation serait-elle en cause ? La
mère
a des douleurs rhumatismales, un oncle est mort
sept ans; apathique, hémiplégique depuis trois ans. Du côté de la
mère
, le bisaïeul paternel est mort jeune, d'une att
é de quatre-vingt-huit ans, bonne santé, a eu une fille, la grand'-
mère
maternelle de l'enfant, âgée de cinquante-sept an
culose pulmonaire à vingt-deux ans, ne laissant pas d'enfants. La
mère
est une personne de taille moyenne, bien conformé
ues dans les circonstances suivantes : En 1887, se trouvant avec sa
mère
à une procession organisée à l'occasion d'une m
l'âge de cin- quante-huit ans à la suite d'un grave traumatisme. Sa
mère
mou- rut à cinquante-six ans d'une maladie-aigu
En 1720, deux chirurgiens proposèrent l'amputation du sein, mais la
mère
de la demoiselle Coirin refusa de consentir à l
ate l'intéressante observation, frappée de ce fait que son père, sa
mère
et l'un de ses frères étaient morts après l'accom
iste principalement dans l'accroisse- ment et le gonflement de l'os
mère
, jusqu'à adhésion complète avec l'os substitué
aux reins, la malheureuse fillette pleurait et criait, implorant sa
mère
. Maman, ma petite maman, je n'ai rien fait de m
rèrent des mains de la folle, la malheureuse enfant au moment où sa
mère
cherchait à l'étrangler. L'enfant dont l'état e
s grave, a été conduite à l'hospice des Enfants-Malades. Quant à la
mère
, elle a été conduite à l'infirmerie du Dépôt, par
s lui. Il se levait nu en poussant des cris et accourait près de sa
mère
en proie à une terreur folle. Cette sorte d'émo
alade a eu des attaques d'hystérie pendant deux ans. Côté maternel.
Mère
bien portante, deux cousins germains tiqueux et
premier sommeil, le faisaient sortir du lit, se précipiter vers sa
mère
en poussant des cris et avec des gestes d'effroi.
us ses membres, brusquement il sautait à terre et cou- rait vers sa
mère
, se cramponnait à ses vêtements en poussant des
en le lendemain tous les détails de la crise. Il se souvient que sa
mère
cherchait à le calmer, lui parlait pour le distra
qu'on a pu le constater sur l'OBSERVATION III qui le concerne. La
mère
du père était atteinte de la même affection. La m
e concerne. La mère du père était atteinte de la même affection. La
mère
de Léonie a eu six enfants et une fausse couche
vice de M. BoURNEVILLE). Antécédents {Renseignements fournis par sa
mère
, le 28 mars 1887). Père, cinquante et un ans, s
pération de la pierre qu'on exécutait sur lui pour la seconde fois.
Mère
, non nerveuse, morte à vingt-quatre ans, d'une
e, aucune autre affection psychique, nerveuse, arthritique, etc.]
Mère
, cinquante ans, ménagère, femme forte, paraissant
'ha- tude bien portant, est mort à soixante-dix ans de pneumonie.
Mère
morte à cinquante-neuf ans avec de l'ictère, aura
de convulsions ». Cette maladie aurait duré deux jours. La grand'-
mère
maternelle morte assez âgée à la suite d'une frac
ernelle est morte « asthmatique z Dans le reste de la famille de la
mère
, rien d'intéressant, à part cela, à signaler. F
0 RECUEIL de faits. Pas de consanguinité (père originaire d'Italie,
mère
franc- comtoise). L'inégalité d'âge des deux ép
n, le mari se livrait à des excès alcooliques très fréquents, et la
mère
est persuadée que l'enfant a été conçu durant l
t a été conçu durant l'ivresse. - La grossesse fut acciden- tée. La
mère
s'exposait fréquemment au froid, passant les nuit
ons aujourd.hui et qui ont très peu varie. Ces troubles, d'après sa
mère
, consistent en un besoin fréquent de mouvements
CS. 239 et colorées sur les images correspondantes. 11 reconnaît sa
mère
, mais n'est pas très affectueux. 1891. Juin.
e les genoux, puis recommence et cela parfois durant des heures. Sa
mère
explique ce tic singulier par ce fait que plusi
ritiques abondent tant dans la famille du père que dans celle de la
mère
. L'alcoolisme du père, la conception probable p
aisir dû au mouvement se com- plique du résultat de l'imitation. Sa
mère
, en effet, nous a raconté que son fils est deve
tiou mais sont uniquement dues à une effusion de sang sous la dure-
mère
. Ce n'est que postérieurement que des adhérences
observation d'une femme atteinte du délire des négations et dont la
mère
, ainsi qu'a pu le constater Morel, présentait d
système théologique dans lequel elle joue tout à la fois le rôle de
mère
et de fille du Créateur. M. ARNAUD déclare ne pas
'opération, il sera nécessaire de remédier à l'obstacle de la dure-
mère
aussi bien qu'à celui de l'os. ,Aucun succès cepe
vit aucune amélioration, mais OU . THÉRAPEUTIQUE CHIRURGICALE. la
mère
, elle,' la vit. » Rien de plus naturel n'a été ac
été accompli dans des cas aussi désespérés après une opération, la
mère
qui aime, la mère ou le père qui espèrent, tous
des cas aussi désespérés après une opération, la mère qui aime, la
mère
ou le père qui espèrent, tous les parents, en un
mplètement ossifiées et les fontanelles oblitérées. On a délivré la
mère
avec le forceps. Les éminences osseuses du crân
ant à Bicêtre. Le père est né à Marseille de parents lorrains et la
mère
est de Meurthe-et-Moselle. Le père du père de l
ne de ses soeurs était bizarre, maltraitait sans motif ses enfants.
Mère
encore vivante, soixante-quatre ans, a eu des a
'empêcher de s'effondrer davantage. Pour faire la pho- tographie la
mère
a dû le soutenir. La mastication, et les autres
ant à Bicêtre. Le père est né à Marseille de parents lorrains et la
mère
est de Meurthe-et-Moselle. Le père du père de l
vait trois frères qui sont morts également à un âge assez avancé.
Mère
décédée à soixante-quatorze ans d'une fluxion de
d'ailleurs une hérédité névropathique manifeste (père alcoolique et
mère
hysté- rique) : elle-même présentait une certai
ct maternel, toujours si développé chez les oiseaux. Epouse volage et
mère
dénaturée ; telle était la réputation de la femel
luence 'personnelle de la femelle du coucou, qui impose son ceuf à la
mère
qu'elle a choisie, laquelle ne peut plus se soust
u passereau qui fait disparaître ses propres enfants. C'est le coucou
mère
qui, au moment de l'éclosion de son œuf, brise d'
ptifs. On voit que si l'influence du coucou a fait du passereau une
mère
adoptive, elle ne l'a pas poussée du moins jusqu'
ne dormait pas et était toujours agitée la nuit. Elle est fille d'une
mère
arthritique au suprême degré et graveleuse, et d'
rait à tous les sports, comme bicyclette, foot-ball, etc., perdait sa
mère
emportée par un cancer de la poitrine. La peur le
ur le capitaine, quêter pour l'éducation des enfants que leur père et
mère
ont abandonnés. Nous implorons votre générosité p
ents héréditaires : Père rhumatisant, mort d'une affection cardiaque;
mère
morte tuberculeuse ; grand'mèrc paternelle avait
ner le malade. Un individu poursuivi, en 1886, pour coups donnés à sa
mère
, est reconnu irresponsable ; il bénéficie d'une o
ns ses antécédents héréditaire des tares névropathiques sérieuses. Sa
mère
était très impressionnable. Un de ses frères est
Le sieur A., loueur de chevaux. Père faible d'esprit, mort phtisique.
Mère
folle pendant plusieurs années, morte dans un asi
ononcé contre lui. Observation V (de M. Crothers, résumée.) Pére et
mère
névropathes. II commettait dès sa jeunesse des
r Henry, âgé de 23 ans. Père presque habituellement ivre et brutal,
mère
irritable et violente. Avec un compagnon il pas
», pour laquelle il se purge tous les deux jours. Il avait perdu sa
mère
, à 3 ans. Son père, qui l'avait instruit et éduqu
oyant tuer une bête fauve qui veut le dévorer, tue son fils, « qu'une
mère
qui rêve d'un incendie jette par la fenêtre le be
sujet à des accès de dêlirium tremens et mort fou de bonne heure. La
mère
, très nerveuse, ne pouvait qu'avoir, dans un tel
y avait pas à hésiter sur le traitement à conseiller. Je propose à la
mère
: 1° de combattre par la suggestion l'onanisme et
t en utilisant le sommeil hypnotique pour produire l'anesthésie. La
mère
, fort intelligente, souscrit très volontiers à ce
mettre le sujet à l'abri du sommeil provoqué. Trois mois après, la
mère
, toujours enchantée des résultats obtenus, part a
rès délicat. Comme antécédents héréditaires, Eugénie B... avait une
mère
âgée de 43 ans, atteinte d'épilepsie ; quant à so
binet une jeune dame, marchant péniblement, soutenue d'un côté par sa
mère
et de l'autre s'appuyant sur une canne solide, le
urs fait aucune difficulté pour s'y soumettre ; et, en présence de sa
mère
, j'ai immédiatement procédé à la suggestion verba
ême du miracle qui venait de s'opérer, cela au grand étonnement de sa
mère
qui ne pouvait en croire ses yeux. Cette guéris
pe que peu de ces questions, ils seraient dus au vif désir de devenir
mère
. En a-t-on jamais constaté dans les conditions in
e a été orpheline toute jeune et ne sait rien ni de son père ni de sa
mère
; elle n'a de renseignements que sur la tante mat
ilités, il y a donc de l'hérédité névropathique dans la famille de la
mère
. Son développement a été normal, plutôt même préc
, le perdre s'il n'avait pas la patience d'attendre que d'être rendue
mère
par lui du vivant de son mari malade, car plutôt
sse déterminée, à l'inverse des autres, par la crainte de devenir
mère
du vivant de son mari malade. Je me relevai en
es a hérité de la maladie du père ; mariée à un homme honnête et bon,
mère
de deux charmants enfants, commerçante aisée, ell
nt qu'elle trouve souverainement indécent de se laisser mettre par sa
mère
un cataplasme sur le ventre ! On comprend mainten
s d'un amoureux qui l'avait demandée en mariage, car nous savions, sa
mère
et moi, que jamais elle n'aurait la force d'entre
ligion et du prêtre, en dépit d'une éducation très religieuse par une
mère
fort pieuse. Jamais elle ne mettait les pieds à l
son malheur et me charger d'une mission délicate : celle de mettre sa
mère
au courant de la situation afin qu'elle fit le ma
à l'état de veille ? de retarder de quelques jours la confidence à la
mère
. Où était le mal ? cela ne valait-il pas mille fo
sur le profit que le jeune homme avait su tirer du tête-à-tête que sa
mère
avait eu la naïveté de lui ménager avec sa fiancé
t été dommage, dans ces conditions, de désillusionner inutilement une
mère
sur la vertu de sa fille, de fournir un prétexte
remise à six mois. Je crus, dans l'intérêt de la jeune fille et de sa
mère
, devoir tenter l'aventure. Certainement l'exame
rs quedansle premier cas j'irais tout de suite faire auprès de sa
mère
la démarche qu'elle me demandait, et que dans le
Ces deux observations prouvent péremptoirement que la crainte d'être
mère
, au même titre que le vif désir de l'être, est su
el, Il y a du moins un sentiment de prévoyance qui en tient lieu : la
mère
en effet, en prévision de sa mort, accumule des p
s petits du passereau, afin que toute la nourriture apportée par leur
mère
soit uniquement pour son petit coucou et profite
en a été faite plusieurs fois) allaite de jeunes rats privés de leur
mère
; une autre chatte accourt aux miaulements de ses
tes crises d'asthme, est mort de complications cardiaques en 1895. Sa
mère
, devenue obèse à la ménopause, se plaint souvent
ation formelle du traitement par la suggestion à l'état d'hypnose. La
mère
, prévenue, souscrit d'avance à l'emploi de la thé
ents héréditaires sont d'ailleurs des plus favorables. Son père et sa
mère
, bien portants, ne sont pas peureux ; un frère ai
eure est-il ? » Il criait assez fort pour réveiller tout le monde. Sa
mère
se levait, le rassurait, lui affirmant qu'il n'y
res assez défavorables. Son père est doué d'un caractère emporté ; sa
mère
est très impressionnable ; sa sœur, âgée de quato
re s'emportait. Il avait également une peur extrême du tonnerre. Sa
mère
l'ayant conduit dans des fêtes des environs de Pa
e telles terreurs, qu'il se cachait la tête dans les genoux de sa
mère
et poussait des cris terribles. Ses peurs multipl
alades qui dormaient paisiblement, il s'endormit sur les genoux de sa
mère
. On lui suggéra de revenir sans aucune crainte et
er un cheval et ne manifesta aucune frayeur ; à ce sujet, il dit à sa
mère
: * Tu vois, cela ne me fait plus peur : il faudr
ent, signifie « celle qui enfante », nous imposant ainsi l'idée d'une
mère
avec tous les attributs de la sexualité nécessair
ut-il craindre pour lui ces fameux « transports au cerveau » dont les
mères
ne parlent qu'avec terreur ? Et pourquoi non ? Il
; je vais la résumer en la complétant. Antécédents héréditaires. —
Mère
nerveuse, ayant des tendances à s'évanouir. Cet é
tour et fait valoir ses titres de maternité. En présence de ces deux
mères
, qui rivalisent actuellement à son égard de tendr
il avait recours à un procédé infaillible pour découvrir la véritable
mère
. Aujourd'hui son jugement ne trancherait pas le d
lement d'accord pour se partager l'enfant anormal. Il aura ainsi deux
mères
et son sort n'en sera pas plus digne d'envie. Tir
do. L'index gauche, introduit, sentit la balle au travers de la pie
mère
, contre la faux du cerveau et le projectile fut e
re de venir, pourquoi tu es venu ici ? qui est ton père et qui est ta
mère
? » Tantôt le Polong se tait, refusant d'indiquer
ôt le Polong se tait, refusant d'indiquer le nom de son père et de sa
mère
, tantôt il avoue : « Laissez-moi dit-il, mon père
tantôt il avoue : « Laissez-moi dit-il, mon père s'appelle un tel, ma
mère
une telle. Je suis venu ici parce que un tel est
le. Je suis venu ici parce que un tel est venu trouver mon père ou ma
mère
pour lui demander aide. Il leur a donné tant parc
s souvent il ment parce qu'il veut cacher le nom de son père ou de sa
mère
. Quand on sait qui a envoyé le Polong, et pour
qui fait une chute d'une certaine hauteur : « Malheureux, lui crie la
mère
, tu t'es cassé le bras ! Regarde, tu ne dois pas
embre. L'enfant, persuadé qu'il ne peut remuer les doigts, puisque sa
mère
le lui dit, se voit dans l'impossibilité de leur
xemple, a pu développer l'hystérie, et que la suggestion faite par la
mère
est venue ensuite produire l'accident paralytique
. Le terrain était dès lors tout préparé pour que la suggestion de la
mère
eût son plein effet. Sans cette phrase malheureus
on a pris naissance sur un terrain névropathique. Le père buvait ; la
mère
était assez nerveuse. La malade fut une enfant cr
ait le fils du diable. Les habitants se réunirent, l'arrachèrent ù sa
mère
, et, après avoir lentement torturé le pauvre être
re de fois déterminé, l'enfant porteur de l'infirmité, son père et sa
mère
se tenant de chaque coté. Cela fait, on rapproche
épouse du fils de ces gens qu'elle hait d'une façon si exclusive, la
mère
de leurs petits-enfants. Soudain, du fait de ce
ille de la reine présente le même aspect ; elle ne se distingue de sa
mère
que parce que les deux bras sont fléchis, tandis
ectueuse, docile et gaie, fut atteinte d'une rougeole assez grave. La
mère
, justement inquiète, . s'ingénia à satisfaire des
e et en perdait connaissance. Pour éviter le retour de ces crises, la
mère
, vivant dans une inquiétude perpétuelle, ne cessa
enfant ne dormait que si elle avait la tête appuyée sur le bras de sa
mère
, à laquelle elle ne permettait pas de faire le mo
aux et des mets sucrés qui provoquaient des indigestions. Enfin, la
mère
comprenant que la santé de l'enfant ne pourrait l
que fut des plus simples. 11 dura quinze jours. Après avoir invité la
mère
à passer dans une pièce voisine et 4 ne. pas s'ém
ents amis. La transformation désirée s'est opérée très rapidement. La
mère
, ayant reçu la suggestion de se montrer désormais
94 ans et est sûr d'atteindre la centième année. I ! me disait que sa
mère
n'avait atteint que 76 ans, mais sa grand'mère ét
fécales et qu'elle ne pourra réprimer cette envie. Je questionne la
mère
; elle m'apprend que, à sa naissance, la malade p
tre atténuée ou guérie par le traitement hypnotique ? Je déclare à la
mère
qu'il m'est impossible de répondre quoi que ce so
phincter de l'anus ; sinon, elle sera inefficace. * Le lendemain la
mère
me présente sa fille ; elle est de taille moyenne
sance, puis au bout de quelques jours, et nous n'avons pas vu que les
mères
aient à aucun moment détruit un ou plusieurs des
rs eu manipulation intempestive et qui pouvait très bien inquiéter la
mère
, moins à cause de l'attouchement que parce que le
chez les quadrupèdes. Là c'est un petit serin mal conformé et que la
mère
ou le père jettent obstinément en dehors du nid,
continuait ses faits et gestes. En présence de notre détermination la
mère
prit son petit par la queue, lui fit décrire une
, mais d'une impulsion involontaire aveugle, fatale, produite chez la
mère
par l'idée des dangers immédiats ou futurs que pe
te, sans penser à la douleur qu'elle allait causer à son père et à sa
mère
, elle leur adresse le télégramme qu'on a lu plus
érie. C'est ainsi que le cas le plus remarquable est celui de llanna,
mère
du prophète Samuel, laquelle nous fournit un bel
enfant a des convulsions, on lui frotte le visage avec la robe de sa
mère
, et d'ordinaire leB convulsions disparaissent. Ce
rêté, ai procédé à l'examen de C... en mon cabinet, en présence de sa
mère
, et après avoir pris connaissance de toutes les p
eur. « Au village, encore aujourd'hui comme autrefois à l'école, sa
mère
prétend qu'on 1 agace, qu'on l'énervé beaucou
le code. Il a trait à un certain Œlius Prîscus qui avait assassiné sa
mère
. (1) Infantessunt qui fart non possuni, c'est-à
que jusqu'à son avènement au trône, il avait, sur les conseils de sa
mère
, la sultane Kiosun, simulé l'imbécillité. C'est à
é de trente-deux ans. Son père est mort d'une apoplexie cérébrale, sa
mère
est nerveuse. Dans son enfance, jusqu'à l'âge de
s certainement d'origine névropathique. Le prophète Samuel, dont la
mère
était hystérique, donna le jour à deux fils qui f
de la partie clinique de l'ouvrage mentionne le beau rôle dévolu à la
mère
de famille comme éducatrice des enfants et celui
ue confère un sage maniement de la suggestion à la femme mariée, à la
mère
intelligente. Alors que les remontrances et conse
s à l'état de veille ne suffisent pas à corriger certains défauts, la
mère
épiera le sommeil commençant de son enfant pour l
méningite. Deuxième cas : Ancienne institutrice, 49 ans, de père et
mère
aliénés. Même attaque brusque de thanatophobie. L
recteur d'un asile d'aliénés, 40 ans, de père mort de tuberculose, de
mère
mélancolique. Un enfant est mort de tuberculose.
Les antécédents héréditaires ne présentent rien de particulier ; la
mère
est bien portante et ne semble pas nerveuse ; le
laboration entre le malade et le médecin. P. Saintyves. Les Vierges
Mères
et les naissances miraculeuses. — Essai de mythol
le plus grand honneur à notre confrère et ami. L'imagination de la
mère
peut-elle agir sur le fœtus ? La Chronique Médi
e (Le pronostic de l'), par Jules Voisin, p. 177. Imagination de la
mère
(L') peut-elle agir sur le fœtus, p. 377. Inter
nerveuse, par Raymond, p. 52. Vespasien thaumaturge, p. 32. Vierges
mères
(Les) et les naissances miraculeuses, par Saint
t; le premier déjeuner seulement n'est pas suivi des vomissements. Sa
mère
s'adresse à moi pour faire cesser ces vomissement
dance des vomissements. Le sommeil est souvent agité, elle appelle sa
mère
pendant son sommeil et demande à boire. Dès le
ant résisté à tous les traitements suivis jusqu'ici. Son père et sa
mère
sont bien portants. Sa grand'mère paternelle es
pendant ce sommeil, qu'elle reviendra me trouver le lendemain avec sa
mère
, que jusqu'à son retour elle n'aura ni attaques d
eil je ne lui dis rien de ce que j'avais fait et j'ai recommandé à sa
mère
de ne pas lui en souiller mot. Le lendemain cette
btenu de la même façon en 15 secondes. J'ajoutai sur la demande de sa
mère
des suggestions concernant le caractère et la dif
, mais nous n'obtenons pas d'autres renseignements sur sa santé. La
mère
, qui vit encore, a 37 ans, elle a eu trois enfant
econd est mort de maladie inconnue, le troisième est bien portant. La
mère
est sujette à des crises nerveuses pendant ses gr
sa famille au point de vue héréditaire ; elle a encore son père et sa
mère
, a un frère et une sœur qui n'ont rien présenté d
es choses les plus étonnantes. Elle a retrouvé une montre d'or que sa
mère
avait perdue ; elle a révélé un vol, annoncé que
évrier 1894. Ses antécédents héréditaires sont excellents : Père et
mère
vivants et bien portants; grands-parents morts de
it entre le cheval et la voiture. Quelques mètres plus loin, c'est la
mère
qui tombe à son tour ; mais ne songeant qu'à « so
répondit aussitôt qu'elle avait rêvé toute la nuit : d'abord, que sa
mère
la battait; ensuite, que, revenant chez elle, ell
qu'elle venait de nous dire et affirmait qu'elle n'avait rêvé ni à sa
mère
, ni à son mari. Pendant plusieurs jours de suit
u à déterminer une autre jeune fille, moins endormie, à aller tuer sa
mère
, et elle s'y dirigea, en pleurant, il est vrai. E
fit tirer, sans sourciller, un coup de pistolet à bout portant sur sa
mère
. Lajeune criminelle paraissait aussi complètement
ont eux-mêmes. (Notez cette remarque). Et presque sans transition, sa
mère
lui reprochant ce qu'elle vient de faire, et lui
ion, et qu'une fille s'amuse, pour tromper la galerie, à tirer sur sa
mère
avec un pistolet qu'elle ne sait pas n'être pas c
: A qui fera-t-on croire qu'une fille qui, sans émotion, tire sur sa
mère
un coup de pistolet, ne se doute pas que la scène
le? N'est-ce pas M. Liégeois qui monte la pièce ? ne voit-elle pas sa
mère
y tenir un rôle et les spectateurs suivre son jeu
ins trompeur qu'un songe réel. Le dormeur qui rêverait qu'il tue sa
mère
, la verrait terrifiée et suppliante, implorant la
taine par le fait même que M. Liégeois le lui remet pour tirer sur sa
mère
? N'a-t-elle pas compris, à l'attitude des spectat
: Mais si cependant le pistolet avait été chargé, Mlle E... tuait sa
mère
! — Oui, en supposant que la mère et les spectateu
avait été chargé, Mlle E... tuait sa mère! — Oui, en supposant que la
mère
et les spectateurs eussent cru qu'il ne l'était p
git d'une eau capillaire destinée à faire repousser les cheveux de la
mère
du roi de Chata, deuxième roi de la première dyna
rat- tachent à des habitudes populaires. Dans beaucoup de pays, les
mères
éveillent l'idée du sommeil dans l'esprit de leur
liqués. Mais le père ne tarda pas à remarquer que la présence de la
mère
était une condition expresse de réussite des expé
calculait pas, mais devinait, ou, pour mieux dire, pratiquait sur sa
mère
« la lecture des pensées ». Que Mme X... marque
ession de femme enceinte et une anomalie chez l'enfant. Dans l'un, la
mère
avait été très impressionnée par la lecture d'un
ats-Unis). En octobre 1893, un garçon de 11 ans me fut amené par sa
mère
qui espérait que, par la suggestion, on ferait ce
non seulement le privait de tout sommeil régulier, mais obligeait la
mère
à lui faire des lotions sur le corps plusieurs fo
a nécessité de se lever fréquemment la nuit avait beaucoup fatigué la
mère
. La cause de cet état était un eczéma apparu po
oment où il fut traité par la suggestion. En m'amenant l'enfant, la
mère
espérait que la suggestion ferait cesser la déman
démangeaison cessera, l'enfant dormira toute la nuit sans appeler sa
mère
une seule fois. La peau du corps entier deviendra
t laissés de côté, et l'enfant mis complètement entre mes mains. La
mère
m'avait dit que son fils était incapable d'épeler
er un mot, il en verrait distinctement chaque lettre. Peu après, sa
mère
me ditque son fils avait fait des progrès si rema
eignements héréditaires recueillis sur cette malade apprennent que sa
mère
a été atteinte d'attaques de nerfs, que son père
quelques observations qui m'ont été fournies par la malade ou par sa
mère
qui l'a accompagnée pendant son voyage. La pati
. Son père était mort quinze ans auparavant d'une fièvre typhoïde; la
mère
est vivante et en bonne santé. Elle a cinq frères
es se rapportant à sa « cure merveilleuse » à Holywel, j'écrivis à la
mère
demandant qu'elle me ramenât sa fille à ma consul
ation pour être examinée. Elle revint le 7 février et voici ce que la
mère
me raconta : En novembre 1894, sa fille était au
-Winifred où on la déshabilla. Elle revêtit un costume de bain, et sa
mère
, aidée d'une autre femme, la porta dans l'eau. Pe
vint à l'hospice à pied (une distance de 800 mètres), soutenue par sa
mère
et une autre personne. Le jour suivant, aidée d
nue par sa mère et une autre personne. Le jour suivant, aidée de sa
mère
, elle marcha jusqu'à la source. Pendant qu'elle é
source. Pendant qu'elle était dans l'eau, elle aurait dit, d'aprèsla
mère
: « Mère ! j'éprouve une curieuse sensation ; je
Pendant qu'elle était dans l'eau, elle aurait dit, d'aprèsla mère : «
Mère
! j'éprouve une curieuse sensation ; je sens une
use sensation ; je sens une chaleur brûlante dans le dos. n A quoi la
mère
aurait répondu : « Oh, Anna! prie, tu vas être gu
picotements et d'une sensation de chaleur dans l'épine dorsale, et la
mère
en l'examinant dit: « Oh, Anna ! tes os sont rent
dans la ville, et passa les trois jours suivants en promenade avec sa
mère
. Une semaine après, la malade quitta l'hospice.
vivement sa conduite et voulurent la forcer à se réconcilier avec sa
mère
. En revenant, elle rêvait aux reproches qu'on ven
pagnés de vomissements, et dont elle souffrait depuis trois ans. Sa
mère
était d'un tempérament quelque peu nerveux ; à pa
grand'mêre maternelle a été enfermée dans une maison de santé, et sa
mère
obéit parfois à des impulsions bizarres; il lui a
écédent héréditaire; cependant, depuis que D... est à Charentou, sa
mère
a été frappée d'hémiplégie. On voit qu'en gén
qu'elle a disparu elle-même, et survivre en quelque sorte à leur
mère
: jouant alors le rôle de corps étrangers, elle
effroyable dans les Pyrénées. Adhérences très étendues de la dure-
mère
au crâne, principalement dans la région fronto-pa
aternel alcoolique. - Cousine pater- nelle idiote et épileptique. -
Mère
nerveuse, névralgies, céphal- algies. - Grand'm
Bicêtre (service de M. BOURNEVILLE). Renseignements fournis par sa
mère
. -Père, trente-six ans, garde républicain, gran
e, nombreux excès de bois- son, surtout d'absinthe et d'eau-de-vie.
Mère
, d'habitude bien portante a seulement des doule
d'aulres épileptiques, ni de paralytiques, etc., dans la famille. J
Mère
, trente-cinq ans, assez grande, brune intelligent
ur, n'a jamais eu d'accidents nerveux et jouit d'une bonne santé. -
Mère
, a eu il y a trois ans une paralysie faciale un
qu'ici bien portant. Un grand- père serait devenu fou au dire de la
mère
de l'enfant. Pas d'au- tres aliénés, pas d'épil
compagnée de maux de reins très douloureux. Durant tout ce temps la
mère
habitait la même maison que sa cousine idiote e
une heure après la délivrance. L'enfant a été élevé au sein par sa
mère
jusqu'à neuf mois seulement, elle a été obligée a
chez un oncle dans le Jura, il y resta deux mois : il avait, dit sa
mère
, mis toute la ville en révolution par ses excen
ndant qu'on se moquait de lui. Il n'a guère d'affection que pour sa
mère
; il déteste son père qui bien des fois l'a corr
quand on le battait. IMBÉCILLITÉ ET INSTABILITÉ MENTALE. 1 13 Sa
mère
pense qu'à la maison il ne se masturbait pas. On
25 juillet. Refuse de travailler au dortoir, sous prétexte que sa
mère
le lui a défendu. 26. -- Injures grossières con
s et a la partie inférieure des fesses. C juillet. Nous voyons la
mère
du'malade ; elle nous raconte 122 RECUEIL DE FA
oire l'aurait fait renvoyer par sa tante. Cette dernière a dit à sa
mère
, qu'il pas- sait son temps fréquemment dans le
qu'il était toujours seul. De Montreuil, il est revenu à Paris; sa
mère
a tenté de le gar- der près d'elle, essayant en
de même pour des emplois de courtier, d'homme de peine. D'après sa
mère
, on ne peut lui confieraucun paquet, il l'oubli
garçons. Néammoins, cette excitation a bien diminué. » Pourtant sa
mère
nous dit qu'il embrasse toujours violemment les
mère nous dit qu'il embrasse toujours violemment les enfants. Sa
mère
se décida à l'envoyer à l'Orphelinat de Saint-Fia
fait des aveux, et il a été renvoyé le 26 juin. Depuis ce temps sa
mère
le loge dans une petite chambre de la rue Geoff
des « actes malpropres », mais il aime toujours à les embrasser. Sa
mère
craint qu'il ne se rende cou- pable de quelque
taux, et ne peut rien trouver. Son linge est toujours taché, dit sa
mère
; si on lui en fait la remarque, il répond qu'il
en premier lieu l'impression pénible et persistante éprouvée par sa
mère
durant la grossesse et occasionnée par la vue d'u
A ntécédcnts héré- ditaires : père, quatre-vingt ans, bien portant.
Mère
morte à cin- quante-cinq ans d'une affection du
Stephen, quarante-neuf ans. - Antè-' cédenls héréditaires : Père et
mère
vifs, emportés. Antécédents personnels nuls, pa
'à la mort. B... était affecté d'une prédisposition héréditaire; sa
mère
et sa soeur étaient aliénées. Fréquemment persi
préciations doivent différer suivant les cas. z Un homme, dont la
mère
a été aliénée, arrive jus- qu'à l'âge de 30 ans
e malade ne connaît pas d'antécé- dents nerveux dans sa famille. Sa
mère
est bien portante. Son. père est mort d'une pne
tants, ainsi que deux tantes paternelles; pas de cousins ner- veux.
Mère
bien portante, goitreuse; un oncle maternel en
ébuté l'affection actuelle. Début (Renseignements pris auprès de la
mère
de la malade). - Ce furent tout d'abord des mod
tout d'abord des modifications de son caractère qui frappèrent t sa
mère
et son entourage. A la suite de discussions futil
Pruvo..., 1877-1885. Idiotie complète, excès de boisson du père ,
mère
nerveuse, quatre frères et soeurs mortes de convu
- Paugno... (Charles), 1880-1883; grand'père maternel alcoolique ;
mère
nerveuse; frères morts de convulsions; .7342 AN
lgies de la face. Deux grands oncles paternels, excès de boisson. -
Mère
, nerveuse, irritable. Grand-père paternel, excè
. BOUR : 'OEVILLE), le 21 avril 1885. Renseignements fournis par sa
mère
. - Père, cinquante-trois ans, bandagiste, assez
, rentier, sobre, mort vers soixante-dix ans, on ne sait de quoi. -
Mère
, morte vers soixante-cinq ans, domestique dans
de détails. Pas d'aliénés, d'épileptiques, de suicidés, etc., etc.]
Mère
, quarante-huit ans, couturière, petite, brune, n'
ux excès de boisson, mais surtout après la naissance de sa fille. -
Mère
, morte de phthisie galopante à ciuquante-sept a
e. A la naissance, bel enfant, pas d'asphyxie. Elevé au sein par sa
mère
, sevré à treize mois. D'un à cinq mois, accès d
vers un au; il a zozoté. » toujours un peu et encore maintenant. Sa
mère
nous dit qu'elle faisait de même, étant jeune.
oir de la section, et pendant qu'il était en conversa- tion avec sa
mère
, il désigna du doigt le garçou S..., en disant de
lui à des actes de violence qu'on eut quelque peine à empêcher. La
mère
et ses deux autres enfants âgés de sept il huit
sur les gens de service et en les frappant à coups de parapluie. La
mère
expulsée du quartier est revenue aussitôt après
plus de deux à trois minutes. Il travaille chez un cordonnier et sa
mère
assure qu'on est content t de lui. Il a suspend
. Les autres n'auraient pas duré davantage. Il est tranquille et sa
mère
est contente de lui. Hier il s'est senti fatigu
conduire le soir à six heures. Il n'est pas rentré pour diner et sa
mère
étant allée chez son camarade pour savoir ce qu
rivé, apprit qu'ils étaient partis ensemble. Le 10, il écrivit à sa
mère
qu'il l'avait quittée pour ne pas lui être à sa
renseignements sur les parents du côté maternel de la malade; sa
mère
était épileptique. Notre malade était fille uniqu
ileptique. Notre malade était fille unique du premier mariage de sa
mère
. Dans son enfance, la malade était une fillette
, la malade était une fillette robuste et bien portante, quoique sa
mère
raconta que jusqu'à à l'âge de quatorze ans, sa
t sur les antécédents héréditaires de la malade (père alcoolique,
mère
débauchée), l'auteur pense que le fibrome de la d
Kuies, 445. Ether (buveurs d'), Irlande, 174. Fibrome de la dure
mère
et épilepsie, par Lacroix, 437. Folie (guéris
lles sont mariées, et l'une a trois enfants. 2Q Côté maternel. La
mère
, âgée de 60 ans, est excessivement petite, maig
s petites tailles sont fréquentes et particulièrement le père et la
mère
étaient très petits. De cette union sont nés ci
ance, et ne fut pas, non plus, épargné par la malaria. Ainsi que sa
mère
, il se plaint d'être très nerveux et très émoti
e qu'uue phobie. « A cet égard, dit-il, je suis absolument comme ma
mère
. » Antécédents personnels, - José est venu au m
les jours qui s'en suivent. Voilà son histoire pathologique. La
mère
s'est aperçue que, à la naissance, il était déjà
t apparus déjà hypertrophiés à la naissance. Rappelons ici que sa
mère
s'est aperçue qu'à la naissance il était déjà a
s petites tailles sont fréquentes, et, en particulier le père et la
mère
étaient très petits. Or, il faut avouer que GIG
ui a aussi frappé son frère et encore la petitesse du père et de la
mère
, qui, en définitif, consti- titue, elle aussi,
nt symétrique et qu'elle n'augmenta jamais de volume avec l'âge. La
mère
exclut absolument un trau- matisme quelconque.
sari), journalier, célibataire. Son père est mort d'une pneumonie. Sa
mère
vit encore et se porte bien ; elle n'a jamais e
ouchement régu- lier. Huit jours après la naissance de l'enfant, sa
mère
s'aperçut qu'il avait un (1) HOIJLOT, La syndac
parlent de leurs enfants comme s'ils étaient tout petits. La grand-
mère
est âgée de 20 ans, le père a le même âge, le fil
u collet de la malade un papier portant son nom et son adresse ; la
mère
égare ce pa- pier, et c'esten descendant l'esca
contre cet infirmier, sans avoir jamais vérifié le témoignage de sa
mère
. La malade est ensuite envoyée à Sainte-Anne, pui
té, son père est décédé depuis plus de 30 ans ; après la mort de sa
mère
, la malade a, pendant plusieurs années, habité se
autre accuse un infirmier de l'avoir maltraitée, et le récit de la
mère
, démente et fabulante, entraîne la con- viction
étit et n'ayant jamais eu aucune indisposition. Après la mort de sa
mère
, sur-' venue en '1797, son tuteur la montra com
nd. rhizomélique). Anamnèse. - Le malade a un père alcoolique et sa
mère
est morte de la tuberculose à 28 ans ; il a des
zomélique). Anamnèse. - Le père du malade a le dos un peu voûté, la
mère
souffre de LA SPONDYLOSE rhizomélique 133 rhu
tion. (PI. XIX) S. Koz., marié, pas d'enfants, employé à la Douane.
Mère
morte de cancer. Pas d'abus d'alcool. Rougeole
roite, sur les circonvolutions de la région motrice gauche. La pie-
mère
est adhérente au cortex et présente des épaississ
jam- bes.Il est regrettableque la figure de l'enfant porté avec sa
mère
sur un âne soit peu distincte, il eût été intér
dès cette époque la repré- sentation d'une syphilis héréditaire. La
mère
est couverte d'emplâtres, a un bras amaigri et
de Sylvius (4). Bourneville et Noir (5). Fillette de 9 ans, dont la
mère
avait eu la va- riole au 7e mois de sa grossess
ien de particulier, sauf des rhuma- tismes chez le grand-père. La
mère
, hystérique, a des attaques de nerfs. Son père es
ique, a des attaques de nerfs. Son père est mort de la poitrine, sa
mère
d'un cancer à la joue. Le malade est venu à ter
un cancer à la joue. Le malade est venu à terme. La grossesse de sa
mère
avait été bonne. Dans l'enfance pas de convulsi
toujours sombre, la tète baissée, il était aussi très jaloux de sa
mère
, ne voulait pas qu'elle rie, lui disant qu'elle é
ois même il s'était presque trouvé mal). Lui qui aimait beaucoup sa
mère
, il paraissait l'avoir prise en aversion. Le so
cauchemars avoués. Pas d'idées d'auto-accusation. Idée vague que sa
mère
voulait se débarrasser de lui sans qu'il sache po
te. INTERMITTENCE ET DEMENCE PRÉCOCE 217 27 août. Il a dit que sa
mère
venait ici ayant des rendez-vous avec M. J... (
impulsions violentes; il a fait une tentative d'homicide contre sa
mère
. Onanisme. Ins- tabilité mentale. » Il est tr
our : 1 Vaucluse el. la vie postérieure de G. sont four- nis par la
mère
. 218 CHASLIN ET SÉGLAS vorablement. Il sort s
puis absorbe une partie du contenu. Il refuse le lait (sa femme et sa
mère
di- sent qu'il ne l'aime pas) en disant qu'on l
e : « Deux Genève je pense a m enfants « étant près ou éloignem «
mère
= 5 pied « leurs coiffures et leur toilette «
hère petite femme, « Comment va-tu, je commence à m'ennuyer de toi.
Mère
est venue hier et j'étais un peu content d'avoi
faut songer c'est le baptême ou son prénom. ' « Bien des choses tua
mère
et à mon beau frère pour moi. « J'espère qu'ils
de la salle rend compte que G., à '2 Il. z pendant la visite de sa
mère
, s'est levé subitement de sa chaise, le regard fi
se passe autour de lui. Accueille avec indifférence son père et sa
mère
, leur parle à voix basse de choses banales et i
s doigts n'importe ce que l'on sert; mais paraît préférer ce que sa
mère
lui apporte. Lorsque celle-ci laisse des provis
n'est que sur les instances de notre surveillante qui connaissait sa
mère
que nous consentons à le garder quelques jours.
vivant, très solide, de taille nor- male. Du côté maternel. Sa
mère
, 42 ans, est une femme vigoureuse. Elle mesure 1
ur, très grande : 1 m. 73, mariée et de bonne santé. Son père et sa
mère
vivants, sont bien portants et de taille ordinair
e union sont nés 4 enfants. Deux mois et demi après son mariage, la
mère
de notre malade fit une fausse couche. Elle l
mpossible de trouver des traces de syphilis chez le père ou chez la
mère
. Quant aux trois avortements, ils ne paraissent
un être particulier et anormal. Ce fut d'autant plus facile que sa
mère
avait un terme de comparaison dans le frère jum
son frère très chétif, mais aussi tous les nouveau-nés auxquels sa
mère
le comparait. t. Il a grandi très vite, resta
n'que faisant preuve d'une voracité étonnant tout l'entourage. Sa
mère
le croyait rachitique : à 2o mois seulement il co
is de mars 1901. Bien portant à sa naissance, il fut allaité par sa
mère
pendant 3 semaines ; au bout de ce temps, la mè
ut allaité par sa mère pendant 3 semaines ; au bout de ce temps, la
mère
étant malade, l'enfant fut confié aux soins d'une
ilio, âgé de 27 ans, cordonnier. Il a son père et trois soeurs ; sa
mère
et un frère sont morts de maladies qu'il n'est pa
Vers 1881, la malade, à la suite d'une émotion vive, la mort de sa
mère
, contracte brusquement une aphonie qui fut cons
que progresser. Aniécédents irÉRÉDiTAiRES. Père asthmatique ( ? ),
mère
morte d'une tumeur l' utérine. Aucune notion de
la même année. Antécédents héréditaires. Père mort d'un anthrax.
Mère
vit et bien por- tante. Deux frères et une soeu
grands-parents qu'elle a bien connus. Son père était gendarme et sa
mère
était plus grande que lui : tous deux étaient ori
ce défaut de taille fut attribué à la vive impression causée sur sa
mère
, pendant sa grossesse, par des saltimbanques qu
ors rechercher les infections et intoxications qu'a pu présenter la
mère
pendant la grossesse. La soudure complète diaph
ropos D'UNE nouvelle observation d'achondroplasie 381 de même de sa
mère
. Ni l'un ni l'autre ne semblent avoir présenté de
: une fille normalement conformée elle aussi, qui se retira avec sa
mère
dans un couvent de l'étranger il est impossible d
ails précis sur les antécédents du malade. Son père ne vit plus. Sa
mère
est bien portante. Les parents n'ont pas été cons
s être alcoolique, n'a pas toujours été d'une sobriété parfaite. Sa
mère
est morte en 1907 de tuberculose pulmonaire. Il a
yroïdienne., Observation IV GOU1LLOUD, résumée). Femme de 37 ans,
mère
de 3 enfants. A eu il y a quatre ans une très for
V (CLAUDE et GOUGEROT, résumée). Homme de 49 ans ; père alcoolique,
mère
hystérique ; ni blennorrhée, ni sy- philis ; ma
écédents héréditaires et personnels. Il n'a connu ni son père ni sa
mère
qui est morte lorsqu'il n'avait que 14 mois. Il
rtenant à la tribu Yao ; observé le 19 avril 1911. Son père et sa
mère
, ses frères aînés et puînés sont tous normaux ; o
La stature de cette femme est de 137 centimètres ; elle dit que sa
mère
était aussi petite qu'elle-même ; son père étai
une fistule de l'hélice droite, anomalie que l'on retrouve chez la
mère
, notre micromèle. Elle est vigoureuse. Elle se da
oint. Puis la voix chantée. La voix chantée, depuis la voix de la
mère
endormant son enfant jusqu'à celle du chanteur ly
é, que soudainement elle arrête, immobilise, tient en suspens. Qu'une
mère
aperçoive son enfant broyé par une automobile, se
ffroi, qu'ils abandonneront leurs courses et se précipiteront vers la
mère
affligée. La tragédie grecque nous donne des exem
ient M. Bienvenu-Martin, président, le Dr Bérillon et Madame Bérillon
mère
, que son fils avait tenu à avoir auprès de lui.
hommes est celui dont l'éducation a été faite par un père et par une
mère
possédant eux-mêmes un caractère supérieur. Nou
leur pays et à l'humanité ? N'est-ce pas ton père, dis-moi ? Et la
mère
aussi, qu'il a le bonheur de voir ici, fière de l
je m'arrête, j'ai essayé de vous faire comprendre, par son père et sa
mère
l'homme que vous connaissez-tous. Et c'est là, la
verre à la mémoire du père de Bérillon, je lève mon verre à sa digne
mère
, je lève mon verre à ses sœurs, je lève mon verre
otique, qui provoque le sommeil par un procédé analogue à celui d'une
mère
endormant son enfant, et qui emploie ce sommeil c
e de nouveau, après avoir fait la cure de psychothérapie à lïerne. La
mère
de la malade qui n'avait pas manqué la première f
plus causer le « yiodish » (patois hébreu) avec leurs parents. Les
mères
des enfants se précipitèrent dans les écoles en c
entiments en levant mon verre à la santé de madame Bérillon, sa digne
mère
; à madame Bérillon, sa compagne dévouée; à ses t
être des nôtres, mais aucun de nous ne t'adressera plus la parole, ta
mère
ne t'embrassera plus, je lui défends de te dire b
que ces trois aînés ressemblent à leur père et notre jeune homme à sa
mère
. Sans être le moins du monde efféminé, cet enfa
guérison a été complète, et dernièrement je recevais une lettre de sa
mère
, me disant que son garçon était devenu le modèle
uis, le 23 janvier 1889. Le père, mineur, est d'une santé robuste. La
mère
est hystérique. (1) Je dois les renseignements
a malade dans l'asile de Mézig pour la soustraire à l'influence de la
mère
qui est une hystérique. Elle présenté à son ent
peu la jambe droite. La marche est un peu spastique. Elle écrit à sa
mère
qu'elle est guérie. Au commencement de janvier
une très vive gratitude. (Applaudissements prolongés.) Au nom de ma
mère
vénérée, dont le dévouement à ses enfants a toujo
d'une coxalgie devait partir à Berck. Le père de la voyante décide la
mère
de l'enfant à consulter sa fille. Conclusion : ci
nes de traitement les souffrances de l'enfant devinrent telles que la
mère
se décida à consulter un médecin qui constata une
kylose de la hanche en position très déviée. Notons en passant que la
mère
n'accuse pas M"' X..., de l'aggravation du mal de
o Je viens, me dit-il, à l'insu et contre le gré de mes parents ; ma
mère
, à qui j'ai exprimé mon très vif désir de me fair
rs, vous avez quelque migraine ou un malaise quelconque, Madame votre
mère
, avec les idées fausses mais bien arrêtées que vo
eprendrai votre cure. » N... expose, de nouveau, à son père et à sa
mère
sa détresse morale. II a eu un premier accessit,
aladies nerveuses de la Salpêtriôre. jours et était allée voir sa
mère
en ville. Cette visite a ramené tous ses accident
nts; ceux-ci, jusqu'à l'âge de cinq à six ans, sont à table avec leur
mère
. A partir de cet âge, de temps en temps ils prenn
res et de s'être fait tout seul. Seul! Avec l'aide de son père, de sa
mère
et de ses aïeux. Seul I Avec la multitude des inc
i la famille de Jésus, son père, le dévot charpentier de Nazareth, sa
mère
, la dévote Myriam, ses frères et sœurs, depuis ce
re ». A chaque instant l'enfant rendait des pierres en urinant, et la
mère
avait entendu plusieurs fois le bruit de cailloux
enfermant plusieurs pierres qui avaient été rendues en présence de la
mère
. Il s'agissait bien manifestement de sable de jar
sable de jardin, mais tous les efforts de M. Hardy pour convaincre la
mère
furent inutiles. Les expulsions de pierre se re
Juliette T... fut amenée, le 3 novembre, à l'hospice d'Ivry, par sa
mère
, tourmentée de voir sa fille expulser des vers pa
r le nez en se mouchant. Le fait était authentique ; lagrand'mère, la
mère
l'avaient constaté de leurs propres yeux. Un de n
trouvais en face d'une simulatrice, je renvoyai l'enfant en priant sa
mère
de me la ramener le 5 novembre. Entre temps, je
airc absolument saine. Il me reste à ajouter que, lorsque je mis la
mère
au courant de mes soupçons, elle me donna sur l'i
oisin s'était simplement pendu. Elle esttellement nerveuse, ajoute la
mère
, que jenc la crois pas. Il restait à obtenir l'
'était plus frappée que du bruit mesuré de ses pas, des soupirs de ma
mère
et du murmure du vent. o Dix heures sonnaient à
ions les portes se refermer sur lui. « Le talisman était brisé ; ma
mère
, ma sœur et moi, transformés en statues par la pr
omane, emportée, d'une sensibilité maladive, d'une intelligence vive.
Mère
atteinte de folie de persécution, père de goitre
ses deux filles, qui étaient venues nous voir après l'entrée de leur
mère
à l'hôpital, nous affirmaient qu'elle rendait l'e
images ? » Ils n'osent ni remuer ni parler. Quelle sécurité pour les
mères
et les gouvernantes ! N'était-ce pas jadis le rêv
moins bien que les autres ; ou bien elle exaspère l'amour-propre. Une
mère
de famille nous a avoué que sa fille faisait des
des masses molles... Le thorax est grêle, sans déformation... « La
mère
nous raconte que depuis environ l'âge de quatre a
heures environ après s'être endormi. Son sommeil est très calme et la
mère
a pris l'habitude de lui changer ses linges tous
s'éveille. Il urine d'ailleurs plusieurs autres fois dans la nuit. La
mère
a cependant remarqué que depuis que l'enfant pren
involontaires sont plus rares dans la 2e partie de la nuit... « La
mère
ne vient nullement nous consulter pour cette dern
ntes et finissent par disparaître. L'enfant devient plus gai... et la
mère
vient nous dire que le lendemain de l'interventio
raissait d'ailleurs chaque vendredi saint au médium, qu'il applait sa
mère
et qu'il possédait en la stigmatisant, vers trois
convient presque à regret que pendant ses transes elle croit voir sa
mère
et ses amis morts, auprès de qui elle cherche à s
Quant à l'épanchement sanglant entre les os du crâne et la dure-
mère
, le plus souvent d'origine traumatique, son diagn
r les secrets de l'alcôve et de noter d'intimes détails. Certes, la
mère
ne conseillera pas la lecture de ce mémoire à s
que, mi-saturnin. Grand- père paternel, excès de boilsOJ¿. - Grand'
mère
paletvu llo, eczéma- teuse. Grand-oncle paterne
6, cancéreux. Cousin mort de convulsions. Autre cou- sin idiot. '
Mère
, enfant naturelle, céphalalgies. Demi-ltt ? zteii
Garnier). Antécédents héréditaires (Renseignements fournis par sa
mère
). Père, quarante-deux ans, peintre en voitures,
ait aussi des excès de boisson. Il est mort à quatre-vingts ans. Sa
mère
, soixante-dix-neuf ans, sobre sans accidents ne
mentionner dans le reste de la famille. 1 SCLÉROSE TUBÉREUSE. 31
Mère
, trente-cinq ans, blanchisseuse, enfant naturelle
mariée à vingt et un ans. (l'ère, aucun détail, ni sur sa famille.
Mère
, soixante-quinze ans se porte bien; aucune mala
s n'ont rien de particulier. Un neveu est mort de la poitrine. « Ma
mère
a eu avant moi et d'un autre amant une fille, m
était « pas bien gros mais paraissait vivace ». Elevé au sein de sa
mère
jusqu'à trois mois : « Il venait tant bien que
sur les cuisses et les genoux à devenir raides : « La nuit, dit sa
mère
, j'étais obligée de me lever pour lui allonger
de nourrice avec ses mains; il a continué jus- qu'à l'admission. Sa
mère
lui attachait les bras. Préhension et masticati
r l'embryon, ou le nourrisson par suite des excès con- tinués de la
mère
pendant la grossesse et l'allaitement; f¡.0 le pr
pendant l'ivresse et lorsque les enfants nés plus tard survivent la
mère
ayant été en prison pendant une partie de sa gr
ors, elle ne pense plus qu'à lui; pour le faire vivre, elle vole sa
mère
à qui elle rend la vie insupportable; elle déla
le ne pense plus à son individu, qu'elle redevient gentille pour sa
mère
et qu'elle se trouve très contente de sa nouvel
. elle s'est mariée depuis; elle est maintenant une épouse et une
mère
de famille excellente. M. BÉRILLON. Ces cures d
ès perfectible. Et comme nous expri- faits DIVERS. 77 niions à sa
mère
le regret qu'on ne se soit pas occupé plus tôt de
es intermittentes et où il a fait de notables excès alcooliques. La
mère
bien équili- brée nie tout passé pathologique e
émission involontaire d'urine et de matières fécales. Au dire de la
mère
, l'enfant passa ensuite huit jours au lit en pr
(6 millimètres) la dure-mère ne présente rien d'anormal, la pie-
mère
est congestionnée, mais il n'existe pas de lésion
Grand'mère paternelle, alcooliques. Tante paternelle prostituée. -
Mère
, convulsions fréquentes dans l'enfance, hystériqu
ois à l'asile de Villejuif. Grand'père maternel, saturnin. - Grand'
mère
maternelle morte délirante à quarante-huit ans. -
et demi). Antécédents héréditaires. (Renseignements fournis par sa
mère
.) Père, âgé de quarante ans, exerce la professi
nt, fait de fréquents excès alcooliques (vin blanc et absinthe). Sa
mère
est morte d'une maladie dans le ventre ( ? ) :
mille, on n'a pas connu d'aliénés, mais les alcooliques abondent.
Mère
, trente-huit ans, fleuriste et plumassière, aurai
lomb, des paralysies «alumines, mais pas d'attaques d'éclampsie. Sa
mère
est morte de la poitrine à l'âge de quarante-hu
rait mort de méningite; - 4° Garçon mort-né à sept mois et demi. La
mère
en dehors de son internement vit avec un ami de
père était très porté aux rapports, sur- tout quand il avait bu. La
mère
ne peut préciser si l'enfant a été conçue penda
- A la naissance, l'enfant ne présentait rien de particulier. - La
mère
l'a élevée au sein pendant quatorze mois. Premi
jamais eu depuis. Mise à l'école, elle apprenait bien, plus tard sa
mère
l'a envoyée en apprentissage comme giletière, e
travaillait convenablement, était docile. Après l'internement de sa
mère
, elle a été placée dans un patronage rue de Vau
oeur. Là, d'après celle-ci, « elle se serait beaucoup ennuyée de sa
mère
» et elle présenta quelques troubles cérébraux,
ésente au niveau de chaque commissure une petite cicatrice, dont la
mère
n'a pu nous dire la cause. Ces cicatrices rappell
. - L'enfant continue à bien aller. Hier, elle a eu la visite de sa
mère
et l'a accueillie avec la plus vive joie. Elle es
out ce qu'elle fait, parfois elle est triste lorsqu'elle songe à sa
mère
et à sa soeur qui sont loin d'elle. · Hier au s
uit a été bonne. L'enfant est triste, pleure, dit s'en- nuyer de sa
mère
, mais elle est redevenue raisonnable et fait seul
préoccupation c'est d'affermir sa guérison afin de pouvoir aider sa
mère
quand elle sera sortie de l'asile. On a toujour
mai. 30. La guérison parait définitive et Gass... est rendue à sa
mère
. Elle a continué ses douches, la gymnastique, les
passage et de ménage jusqu'à ce jour. 13 juin. - G... vient avec sa
mère
. Sa santé ne laisse rien à- 122 RECUEIL DE FAIT
ards. Elle travaille à la couture et gagne 50 centimes par jour. La
mère
qui vit depuis dix ans avec un homme âgé aujour
use. Sa mémoire s'affaiblit. Albertine dit que de temps en temps sa
mère
divague. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PAT
ses arrière-grands-parents maternels : un frère et un cousin de sa
mère
ont été atteints de la même affection, et les aïe
ement et s'écria : « Arrêtez-moi, je suis une assassin. J'ai tué ma
mère
! » » Cette déclaration causa, on le pense bien
inspecteurs, elle renouvela sa déclaration et donna des détails. Sa
mère
l'ayant frappée, elle avait juré de se venger.
la compromettre et, rentrée chez elle, avait brûlé la cervelle à sa
mère
: « Allez, ajouta-t-elle, 23, passage Ménilmont
« Allez, ajouta-t-elle, 23, passage Ménilmontant, au domicile de ma
mère
, Mme Connans, et vous trouverez le corps étendu
stadens (Haute- Garonne), un alcoolique, a tué à coups de hache, sa
mère
âgée de soixante-quinze ans, et son fils âgé de
temps, il se croyait poursuivi par des fantômes et par une fille-
mère
du pays qu'il connaissait. Enfin, il s'est tué en
à manger. Comme le gamin arrivait dans cette pièce, il entendit sa
mère
ouvrir la fenêtre; puis un cri s'éleva, et ce f
se précipita dans la chambre et par la baie aperçut le corps de sa
mère
gisant sur le sol. Prévenu aussitôt, le concier
nce. Elle éprouva un tel ennui qu'elle manifesta fréquem- ment à sa
mère
le désir de revenir à Calais ou qu'elle cherchera
s, éruption de taches rosées, séro-diagnostic positif (21 octobre),
Mère
rhumatisante, sujette à des bouffées de chaleur
ons. Les altérations étaient évidemment congénitales, et quoique la
mère
de cet enfant pensât qu'il était bien portant à
intra-utérine, comme inflamma- tion intra-utérine, ou lésions de la
mère
pendant la grossesse. La scaphocéphalie ne prod
il l'autre des membranes, de la dure-mère au crâne, et de la pie-
mère
au cerveau, l'augmentation du liquide sous-arachn
l'étrange déclaration suivante : «- Je voulais aller embrasser ma
mère
, qui est au ciel. J'ai été téméraire. Dieu m'a pu
la garde-malade s'interposa et fit dévier l'arme, si bien que la
mère
et l'enfant ne furent que légèrement atteints à l
comparait sous l'in- culpation de vol. Dans la maison où habite sa
mère
, en concubi- nage avec un militaire, il a dérob
qui a nom Tamar, et qui déjà, à Barbezieux, où il habitait avec sa
mère
avant de venir ici, passait pour un petit voleu
itté, lui aussi, comme ayant agi sans discernement, le laisser à sa
mère
dans le coeur de laquelle, des sentiments, qui
rame^de la folie. Mme Mélanie Gayltout, âgée de trente et un ans et
mère
de deux enfants, demeurant à Rosny-sous-Bois, a
algré les pleurs des cinq petits enfants, qui imploraient pour leur
mère
en criant : « Maman ! maman ! » Gilles, fou fur
(Orne), étant ivre, avait pris un fusil pour tuer son père et sa
mère
. Ses oncles l'arrêtèrent. Le jeune assassin tira
que sa fille, en plaisantant, lui mit un instant les lunettes de sa
mère
. Lorsque le brigadier et ses amis ont pénétré c
be, et il me semble que je né peux pas aller passer la Noël chez ma
mère
. » Je cherche à le dissuader, mais il insiste d
ormation quelconque, au moins d'après le dire des parents. Mais, la
mère
, au 3- mois de la grossesse, eut peur, paraît-il,
pas lieu de rejeter toujours la notion de l'influence morale de la
mère
retentissant sur la conformation du foetus. » M
cé vers les 12 ans. Le père du malade est un homme bien portant, la
mère
est une femme anémique et très nerveuse (hystér
paume. Le père du malade est un vieillard fort et bien portant ; la
mère
est morte jeune de phtisie ; son frère et sa so
lit). La grand'mère ma- ternelle en a eu 4, tous bien portants. La
mère
, de taille peu élevée, est morte depuis 18 ans,
un myxoedémateux, si fruste soit-il. Mais, détail ;i noter, père et
mère
étaient cousins germains. Aussitôt né, le jeune
é de ses lésions. D'ailleurs la syphilis ne semble pas en cause. La
mère
est bien portante 112 HENRY MEIGE ET FEUX ALLAR
à 8 mois et demi, à la suite d'une violente émotion ressentie par sa
mère
. Celle-ci est de bonne santé, nullement nerveus
4 à la poli- clinique. C'est une nerveuse, présentant, ainsi que sa
mère
et ses soeurs, un léger nystagmus, du strabisme
ffection aiguë, il était sobre et habituellement bien por- tant. Sa
mère
a 67 ans, elleest bien portante, vigoureuse; elle
ale, les membres étaient balants et mous comme des-chiffons, dit la
mère
, la face était atteinte ; l'oeil ne se fermait
éro- tique ; le renversement de la paupière inférieure persiste. La
mère
, qui a assisté il l'exploration et à l'opératio
orts de la variole ; lus six autres sont bien portants. Ses père et
mère
sont morts très âgés ; aucun membre de la famil
himiques, il buvait autant d'nl- cool qu'il pouvait en dérober. i
Mère
âgée de 63 ans, encore bien portante, et pouvant
er sur les os de la voûte crânienne qu'un seul feuillet de la dure-
mère
, tandis que dans nos cas la membrane de la dure-m
, tête son pouce. L'autre gamin, plus âgé, accroché aux jupes de sa
mère
, montre du doigt le patient et s'amuse de ses gri
mort à t'age do 1.2 ans, emporté par une tuberculose chronique. La
mère
, qui vit encore, est une « grande nerveuse » ;
tes.- A partir de Page de sept ans, X..., d'après ce que raconte sa
mère
, s'est révélée comme une enfant extrêmement émo
En même temps elle devint d'une extrême jalousie ; elle accusait sa
mère
d'avoir des préférences pour un de ses frères.J
aux méningés sont devenus visibles sur une grande étendue. La dure-
mère
avait l'aspect, la consistance et le degré de ten
et indemnes de toute autre tare manifeste, mais dont l'un d'eux (la
mère
) était de souche syphi- litique. Cette observ
énétrer dans la cavité abdominale et de palper le foie. Il. Père et
mère
sains, bien portants ; pas de stigmates apparents
re et mère sains, bien portants ; pas de stigmates apparents sur la
mère
. La mère a eu trois grossesses : . Première g
sains, bien portants ; pas de stigmates apparents sur la mère. La
mère
a eu trois grossesses : . Première grossesse :
on (M. le professeur A. Fourrier) (inédite). - Père syphilitique et
mère
saine. - Trois grossesses. - Seconde grossesse do
on (M. le professeur A. Fournier) (inédite). - Père syphilitique et
mère
saine. Premier enfant hydrocéphale. - Second enfa
ltat de cette médication. Nul antécédent nerveux chez le"père et la
mère
, qui sont tous deux de cons- titution moyenne e
ubles cérébraux symptomatiques, et mort en 1878 (1). Marié en 1850.
Mère
restée saine. Quatre enfants. Les deux premiers
resta toujours enfantine de goûts et d'allures. Comme le disait sa
mère
, c'était encore « un bébé à vingt ans ». Vers tre
. Traitement mercuriel, puis ioduré. Pas de renseignements sur la
mère
. -- Enfant né vers la fin de 1871. Dès la naiss
rie malgré moi au cours de la troi- sième année de l'infection. »
Mère
devenue très vraisemblablement syphilitique au co
Observation (communiquée par M. le Dr Parisot [de Nancy]). - Père et
mère
syphilitiques. Enfant né le 4 juin 1896 et pr
professeur Spillmann). Père âge de trente-deux ans, syphilitique.
Mère
âgée de vingt-six ans, syphilitique; contaminée p
syphilitique ; a encore récemment présenté des accidents cutanés.
Mère
indemne ; a eu deux grossesses. Première grosse
4. LES MALFORMATIONS CRANIENNES CHEZ LES HÉRÉDO SYPHILITIQUES 257
Mère
indemne ; n'a jamais présenté qu'une petite lésio
a pas encore osé le sortir. Deuxième grossesse : dès le début, la
mère
a subi un traitement spécifique. Naissance d'un
a femme six mois environ avant le début delà première grossesse. La
mère
" a eu un chancre des parties génitales, de la r
ice du Dr Achard, à l'hôpital Tenon. Antécédents héréditaires. - Sa
mère
est morte de suites de couches. Son père de mal
TESTEDN et Dambressi, Gaz. méd. de Paris, 1839. lVilmart, brossier.
Mère
rhumatisante. Il a toujours habité une des rues
t à 21 ans par pneu- monie. Pas de tubercules dans les poumons.
Mère
morte bacillaire, à 44 ans, de même un frère, âgé
, vol. LXXIV, p. 159, 1878(1). Lisette K..., 22 ans. Père, soeur et
mère
morts de tuberculose. Début de la maladie à 4,
phalange des gros orteils d'origine congénitale. Père bien portant,
mère
morte de tuberculose ; 3 frères et soeurs, plus j
ant jusqu'à l'âge de 3 ans. Père âgé de 69 ans, bien portant. -
Mère
âgée de 51 ans, atteinte de carcinome gastrique.
tres articulations de la racine des membres. Antécédents. Père et
mère
bien portants, non rhumatisants. Duf... n'est t
forceps ni version. Pendant la vie foetale, au 4° mois, chute de la
mère
sur le ventre sans conséquen- ces appréciables;
ns sa famille, du côté de ses grands- parents, de son père et de sa
mère
. Pas de consanguinité. La mère, dont la voûte p
rands- parents, de son père et de sa mère. Pas de consanguinité. La
mère
, dont la voûte palatine est un peu creuse, a eu
) est un garçon né à terme, sans version ni forceps. Pendant que sa
mère
le portait elle fit au 4° mois une chute sur le
malfor- mation saute aux jeux de l'entourage. La grossesse de leur
mère
a été normale, sauf deux fois où elle fut trave
° mois dans celle de Ziehl). Dans un cas (Sabrazès et Cabannes), la
mère
fait au 4° mois une chute sans gravité sur le v
nt de malformation. Aucun incident n'a trou- blé la grossesse de sa
mère
et sa naissance s'est faite à terme sans le secou
rn., 1891, t. Il, 29 August., p. "'78. M. W ? 4 ans, amené par sa
mère
pour le faire opérer afin de libérer les bras q
Arch. génér. de ttécl., 1891, p. 627. Enfant de 19 mois. D'après la
mère
la maladie aurait débuté à 7 mois par une tuméf
nerveuses. Père vivant et en bonne santé ; mais il est alcoolique.
Mère
morte après 8 jours de maladie d'une congestion
'une congestion cérébrale. Pas de consanguinité entre le père et la
mère
; pas de différence d'âge appréciable; mais la mèr
re le père et la mère; pas de différence d'âge appréciable; mais la
mère
accoucha de la malade sur le tard, à l'âge de l
héréditaires duquel on n'a que des renseignements obscurs, et d'une
mère
nerveuse,emportée, mais sans état morbide caracté
pice. On la revit le 24 mai ; à la suite d'une dis- eussion avec sa
mère
, elle avait été reprise du côté gauche exclusivem
us les deux à deux re- prises différentes la fièvre rhumatismale.
Mère
âgée de 35 ans bien portante, n'a jamais eu de rh
âgée de 35 ans bien portante, n'a jamais eu de rhumatismes mais sa
mère
à elle en a eu; une de ses soeurs est morte de ca
e la colonne vertébrale se montra au commencement de la maladie. La
mère
affirme d'une façon certaine que l'ossification
enk., 1895, t. XXVII, p. 611. , Felicitas lui..., 15 ans. Père et
mère
bien portants. Accouchement naturel. A 8 ans, d
lom- baires et raideur de la muque. Trois semaines auparavant la
mère
s'était aperçue de l'existence de plusieurs tum
ça à peu près à la même époque. Antécédents héréditaires. - Père,
mère
, 3 frères et soeurs bien portants. Grand'mère p
ns entre à l'asile clinique (Sainte-Anne), le 30 octobre 1891. La
mère
était nerveuse et paraît avoir eu la crainte du t
rendre ses racines dans des dispositions maladives similaires de la
mère
, mais les signes de la dégéné- rescence sont no
est entré à l'asile clinique (Sainte-Anne), le 23 février 1891. Sa
mère
, névropathe, a eu des attaques convulsives jusqu'
lièvre; un deuxième oncle maternel est faible d'esprit et sourd; la
mère
est un peu ner- veuse. Surprise par les douleur
R..., âgée de vingt-six ans, dont le père, beaucoup plus âgé que la
mère
, est affecté d'un tic de la face, s'est montrée s
attaques convulsives. ' Antécédents personnels. La grossesse de la
mère
a été normale et l'accouchement s'est effectue
cancer de l'estomac était un homme sobre et nulle- ment nerveux. Sa
mère
vit encore; c'est une femme d'humeur changeante
e maternelle, une hérédité névropathique très nette. Un oncle de la
mère
est mort fou. Notre malade ne peut préciser la
n parlait jamais dans la famille. En outre, un cousin germain de sa
mère
, est également devenu fou, à la suite de con- t
ui peuvent se rencontrer autre part qu'au domicile habi- tuel de la
mère
, les enfants ont leur domicile de secours dans le
asiles de la Seine, tandis que leurs parents demeurent à Paris. La
mère
de l'une s'impose les plus grands sacrifices po
lle est née d'un père fort irritable, plus âgé de trente ans que la
mère
sur la santé de laquelle on n'a pas pu avoir de
bles qu'elles font naître des idées de suicide. Observation XX. -
Mère
dégénérée, syndromique. Mme D..., désé- quilibr
.., âgée de soixante ans, a toujours été méticuleuse et émotive. Sa
mère
déséquilibrée avec du doute et de l'arithmo- ma
e a eu des scrupules religieux que les con- seils inopportuns de la
mère
n'ont fait qu'exagérer; elle étaitcons- tamment
par l'hérédité similaire du même syndrome la folie du doute chez la
mère
et la fille; il est remarquable aussi par l'ang
aux sorciers ; son père et son oncle paternel sont alcooliques. La
mère
, déséquilibrée, a toujours eu des idées bizarres.
ans, atteinte de débilité mentale avec épilepsie. Père alcoolique,
mère
hystérique. Accès en série. Urines post-paroxys
'épilepsie. Hérédité convergente. Grand-père épileptique. - Père et
mère
éthyliques. 1 Urines d'accès. 29 mars. Eud...,
écédents héréditaires. Père nerveux, d'un caractère très vio- lent,
mère
morte tuberculeuse. Oncle maternel mort fou à cin
Salpêtrière 11 janvier 1886.) Grand-père et grand'mère maternels,
mère
et un oncle maternel migraineux; une tante pate
rte de connaissance, qui ne dure pas plus d'une ou deux minutes, la
mère
de la malade dit que cette dernière se raidit u
V ci-dessus, la. malade, qui héritait du tempérament nerveux de sa
mère
, et dont presque toute la famille était migrain
quarante-trois ans. Son père est mort à soixante-dix-neuf ans. Sa
mère
est encore vivante. Il a un frère sourd-muet, un
9 terminaison des empoisonnements psychiques. Enfin l'auteur énu-
mère
sous forme d'axiomes très nets les caractères gén
ecin ne peut pas se dispenser de donner à l'état-civil le nom de la
mère
, en cas d'accouchement d'une aliénée, même s'il
, en cas d'accouchement d'une aliénée, même s'il s'agit d'une fille
mère
. M. VALLON. - Un côté intéressant du secret pro
u'il se trouve obligé de déclarer la naissance, déclare les père et
mère
inconnus. Mardi 2 août (soir). Présidence de M.
t dévié seulement du type normal par la-petitesse de son volume. La
mère
me dit qu'à la naissance les fontanelles antéri
s, et que l'une des postérieures était également-presque fermée. La
mère
voulait spécialement apprendre si le cerveau de
it due à l'inspiration de l'affection maternelle; à la pensée d'une
mère
s'étendant dans la région de l'inconnu et des c
longue ; 2° parce qu'elle en rapporte l'idée à « l'affection d'une
mère
s'étendant dans la région de l'inconnu et des cho
ts. La grand'mère paternelle a des glandes scrofuleuses. au cou. La
mère
est âgée de trente-trois ans, le père trente-cinq
ar elle est toujours en mouvement et l'intelligence fait défaut. Sa
mère
croit qu'elle la reconnaît ainsi que son père e
ngt-cinq ans, tous deux bien portants et développés normalement. La
mère
remarqua que lorsque son fils avait quatre sema
t et ne dormant pas. Le médecin qui le soignait, fit remarquer à la
mère
que l'endroit tendre (fontanelle) situé au somm
ne sont plus si bien marqués. Dans une lettre reçue récemment la
mère
écrit : « L'enfant s'est beaucoup amélioré. Il
eille de l'opération'; ce fait ne m'avait pas été communiqué par la
mère
. On ne se servit pas de drains, la plaie se compo
le 10 janvier \ 891. Pendant le cinquième mois de la grossesse, la
mère
fut très vivement impressionnée par la vue d'un
laissai l'enfant dans son lit à la garde d'une infirmière et de sa
mère
. Il était légèrement pâle mais moins qu'on aura
t séparés, le danger me semblerait beaucoup moins grand, la dure-
mère
pourrait être facilement déchirée, surtout lorsqu
, ayant six enfans ; l'un d'eux, âgé de seize ans, est imbécile. La
mère
déclare quela tête de l'enfant se referma peu a
roule d'un côté ou de l'autre. L'enfant ne parait pas connaître sa
mère
ni avoir conscience de. cequi se passe autour d
'apparence d'un enfant d'un an, est née avant terme (huit mois). La
mère
dit que le travail fut rapide, naturel et facil
s mains et les pieds, elle n'avait jamais pu se tenir assise, et sa
mère
devait s'en occuper constamment et cela depuis sa
l'incision, et deux jours après l'enfant sortait de l'hôpital. La
mère
dit que, depuis qu'on a fait l'opération, l'enfan
gée de quarante-un ans, entre à Sainte-Anne le 16 décembre 1891. La
mère
très nerveuse avait sans motifs sé- rieux des a
urner les clefs dix, quinze fois et se rassure seulement lorsque sa
mère
consent à venir elle-même visiter la porte et tou
de cette dernière, s'est également noyée. Le père est un débile. La
mère
est aussi d'une faible intel- ligence. S... e
udre. Folie du doute. Arithmoman'e Onomatomanie. M. M..., dont la
mère
est nerveuse et très impressionnable et le père
tale. Mélancolie suicide du grand-père maternel ; agoraphobie de la
mère
; onomatomanie du père. Doute. Crainte du touche
un accès mélancolique ; sa tante maternelle est déséquilibrée ; sa
mère
, méticuleuse, bizarre, est agoraphobe, Son père
ndre heureux, de ne pas être capable de bien remplir ses devoirs de
mère
de famille, de ne pas être assez active, assez
structives au point de vue de l'hérédité; les ascendants, père et
mère
, transmettent à la malade non seulement leur dé
jà les premières atteintes de la folie du doute que lui transmet sa
mère
. La malade, d'ailleurs, 382 1- pathologie menta
ère nerveux, il avait des tics, il mourut d'une maladie de foie. La
mère
souffre de coxalgie depuis trente-six ans. De s
is ans est obèse, mais elle ne présente pas de troubles nerveux. La
mère
au contraire, est très emportée et, parait, un pe
sur l'état de famille de Cha..., je dois ajouter qu'une soeur de sa
mère
est très emportée et impressionnable, que deux
ois, sur laquelle on ne peut pas avoir de renseignements précis. Sa
mère
vit, et jouit d'une très bonne santé. Ses aïeux
père est mort à quatre-vingt- trois ans, d'un cancer à la face; sa
mère
à un âge très avancé et, parait-il, d'apoplexie
migraineux, et quelquefois atteint de scotôme scintillant, dont la
mère
a souffert d'amblyopie transitoire à forme hémi
aternelle morte à soixante-dix-neuf ans d'une attaque de paralysie;
mère
morte à soixante-six ans de la même maladie. Ce
iénés à séquestrations multiples. M. 1\hRANDON de Mon- TYEL. L'idée
mère
de la communication de M. Charpentier, que les
l'orateur, une chorée atypique héréditaire, car il a trouvé chez la
mère
du jeune homme, qui est de nationalité russe, u
me au repos, dépassait cent pul- sations par minute. Antécédents.
Mère
anémique, morte de pneumonie à cinquante- neuf
i, était très nerveux, très coléreux et s'adonnait à la boisson. Sa
mère
irascible, nerveuse à l'excès, était sujette à
cembre 1888. 26 # CLINIQUE MENTALE. Antécédents héréditaires. -
Mère
, morte d'un asthme. « Sa tête était la même cho
lle. A abandonné sa maîtresse après l'accou- chement de celle-ci. -
Mère
: asymétrie faciale. A dix-sept ans, variole av
abituellement agité. En décembre 1887, elle quitte pour un temps sa
mère
, l'amant de celle-ci ayant voulu abuser d'elle.
domestique, mais elle reste poursuivie par des « idées noires », sa
mère
la me- naçant toujours de la faire ramener par
t, est d'une taille et d'une force bien au-dessus de la normale. La
mère
est nerveuse, sujette à des névralgies et des m
taires : Consanguinité chez les ascendants di- rects (le père et la
mère
étaient cousins). Le père est mort d'une affect
re étaient cousins). Le père est mort d'une affection hépatique; la
mère
a une santé délicate; une soeur de la malade a
logie extérieure. On prend le cerveau frais recouvert de sa pie-
mère
, on le plonge dans une solution aqueuse et légère
vicale et la 2e racine dorsale), la tumeur s'est étendue à la dure-
mère
; plus haut, elle s'est prolongée le long de la m
l refuse le sein maternel lorsque quelque médicament employé par la
mère
à l'intérieur lui a communiqué une certaine ode
sujet n'est pas prédisposé uniquement parce qu'il a un père ou une
mère
aliénés. Ces cinq malades, qui ont résisté longue
fait une chute et, consécutivement, marche encore moins bien. Sa
mère
est atteinte de lupus; deux de ses tantes sont al
nt à une pneumonie caséeuse. A l'autopsie, on trouva dans la pie-
mère
un kyste du volume d'un oeuf de poule ; il occupa
'influence que certaines impres- sions psychiques ressenties par la
mère
peuvent exercer sur le foetus. . Exercice i
égal de la médecine. Elle avait, moyennant finances, conseillé à la
mère
d'un garde municipal, atteinte d'une bronchite,
e amendes de cinq francs chacune. Sur la plaidoirie de Me Puech, la
mère
du garde municipal, partie civile, a obtenu 100
u jalouse de ses frère et soeur; elle avait dit plusieurs fois à sa
mère
qu'elle irait se noyer, mais on ne croyait pas
ion, car en rentrant de l'école à quatre heures elle avait dit à sa
mère
qu'elle allait apprendre ses leçons, et depuis
mmé Charles Leroy, en com- plet état d'ivresse, s'enfermait chez sa
mère
, 7, rue de Paris à Clichy avec l'intention de s
toujours eu une conduite fort irrégulière : c'est un impul- sif. La
mère
de notre malade est morte du tuberculose pulmonai
ise ont été enlevés sur la route de Blois, pendant la fuite de leur
mère
; les fils de la duchesse de Berry ont dis- paru
il a plus de soixante-dix ans, et jouit d'une excellente santé. La
mère
est morte jeune, de phtisie pulmonaire. Un frèr
mourait de la poitrine. B... s'éprit d'une folle pas- sion pour la
mère
de ses élèves, passion mystique, exaltée, dont il
pposition irréconciliable. Il est mort depuis de longues années. La
mère
est morte à soixante- quatre ans, d'une maladie
out DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS.. 339 dit. Quand ma
mère
est morte, il y a quelques années, j'ai eu des
re du svn° siècle : il prétend en être le descendant direct. Par sa
mère
, il serait le petit-lils d'un Anglais qui s'est
I. - D..., industriel, dans un département de l'Est, né en 1844. Sa
mère
était une femme très intelligente, mais renommé
te entre eux des liens très étroits. Ne veut plus rien savoir de sa
mère
, ni de son père, ce sont des men- diants qui ve
lle des Habsbourg. Enfin il déclare qu'il est le fils naturel de sa
mère
et de l'empereur Maximilien du Mexique. Paral
dant, j'avais été frappé de voir qu'il recevait fort mal sa vieille
mère
, qu'il ne voulait pas la recon- naître. Je fini
de l'estomac, avait souffert long- temps de rhumatisme musculaire.
Mère
vivante, « nerveuse ? avait eu douze enfants do
e vertige, parfois de troubles visuels. A l'âge de dix-sept ans, la
mère
et puis la malade remarquèrent que le côté droi
ocu- lomoteurs. A l'autopsie, on a trouvé une tumeur de la dure-
mère
comprimant le ganglion de Gasser, les branches du
paternel , excès de boisson. z Cousin-germain, mort de convulsions,
Mère
, migraineuse. - Soeur hystérique, convulsions d
cêtre (service de M. BOUnNEVft.Lç). , Renseignements fournis par sa
mère
(27 février 1885). Père, cin- quante ans, solde
ante-huit ans ; excès .de boisson, marchand de grains, assez fort. [
Mère
, soixante-quinze ans, bien portante, n'est pas
ormes, de suicidés, de criminels, etc., etc., dans la famille]. ·
Mère
, cinquante-et-un ans, assez grande et forte, phys
, etc., dans la famille]. Pas de consanguinité (père de Sierck et
mère
des environs de Francfort; tous deux Juifs).
idait les autres marchands et rentrait le soir chez ses parents. La
mère
assure que son père ne le battait pas. Jusqu'au
l pouvait me prendre une pièce de vingt ou de quarante sous, dit sa
mère
, il achetait des gourman- dises. » Il ne volait
ois de novembre qu'il était à Sainte-Anne depuis le 10 novembre, sa
mère
ne sait rien de ses attaques. L'affaiblissement
ttes de contrebande et a été condamné à un mois de prison ; mais sa
mère
ne sait au juste à quelle époque. Contrairement
meilleur et il aimait à faire des niches. Un jour il vint dire à sa
mère
qu'il avait vu son père entrer aux Folies dramati
t délit d'adultère un'jour. C'était faux cette fois, et une fois sa
mère
partie, il se réjouissait d'avoir fait une niche.
ttaques de nerfs à l'âge de quatorze ans, à la suite d'une peur. Sa
mère
ayant du délire pendant une variole voulut se j
de rentrer. Il n'a pas eu d'attaques pendant son congé et a aidé sa
mère
dans son commerce. 4 mai. - Le malade tombe en
ques chez le père et le grand-père du malade; des migraines chez la
mère
; des accidents nerveux , divers chez les frères
excès de tout genre. - Deux cousins germains morts de méningite. -
Mère
très impressionnable. Grand-père maternel, excè
t, ayant perdu sa femme deux ans aupa- ravant. Sobre; très fumeur. [
Mère
, couturière, morte quand il avait dix ans; il n
vresse, « c'est comme un tonneau J. Calme, sans accidents nerveux. [
Mère
morte il y a longtemps, d'une affec- .lion abdo
- A la naissance, pas d'asphyxie; bel enfant. Elevé au sein par sa
mère
; sevré à quatorze mois.-A marché à trois ans se
re et il reprit assez vite. « Le lait de chèvre l'a sauvé », dit la
mère
. -Il l'a continué pendant deux ans, et on dut l
es cas sont dus à une peur soudaine ou aune lésion produite chez la
mère
pendant la gros- VARIA. 447 sesse. Quelquefoi
l'influence héréditaire directe vient entièrement aussi bien de la
mère
que du père. Tout bien considéré, on peut con-
affection utérine. Son père a succombé à une broncho-pneumonie, sa
mère
est actuellement bien portante et n'est pas ner
; celte disposition est congénitale et existait chez le père et la'
mère
de la malade. , Les muscles du mollet et de la
ure. « En ce moment on portait un homme boiteux dès le sein de sa
mère
; lequel, chaque jour, on plaçait à la porte du t
ervice de M. le prof. Charcot. , Père, quarante-septans, bijoutier;
mère
, quarante-deux ans; tous deux sont bien portant
tère original, difficile à vivre. Un oncle (le plus jeune frère de la
mère
) actuellement âgé de trente ans, est peu intell
; une soeur est morte jeune, nous ne savons de quelle maladie. La
mère
est nerveuse, impressionnable; elle a eu, vers l'
e facilement. Son sommeil est habi- tuellement agité; au dire de sa
mère
elle remue continuellement, souvent elle parle
sente il la consultation de la Clinique, le 20 décembre 1887'. Sa
mère
qui l'accompagne nous donne les renseignements su
ection gastrique; un oncle est bien portant; père rhumatisant. La
mère
qui est bien portante a eu trois enfants : 1° not
uin, surtout équin, beaucoup plus prononcé à gauche qu'à droite. La
mère
de la malade affirme que celle déformation remont
la profession d'ouvrier tisseur dans une fabrique de draps à Sedan.
Mère
très emportée, coléreuse. Il semble qu'il n'y a
première et la seconde grossesse qui se suivirent de très près, la
mère
présenta une série de vomissements incoercibles r
la profession de maçon, était alcoolique. Il mesurait 1 ? G7. Sa
mère
, âgée de quarante-cinq ans, est actuellement bien
ntécédents nerveux héréditaires ni du côté du père ni du côté de la
mère
qui ont eu trois enfants : 1° un garçon mort, d'a
ticulier à noter du côté de la grossesse et de l'accouchement de la
mère
, qui furent normaux. Le première enfance d'Aub.
15 décembre 1887 i. Antécédents héréditaires. Père mort du choléra,
mère
morte d'un ané- vrysme à soixante-huit ans; pas
té, bien qu'il fût sujet aux maux de tête; il est mort à 67 ans; sa
mère
était nerveuse, elle est morte à CI ans. Pas de
, la tête était déjà volu- mineuse. V... a été élevé au sein par sa
mère
, il n'a jamais été malade et se serait développ
s de la Révolution, et c'était unc tradition dans sa famille que sa
mère
avait été violemment impressionnée, dans les prem
nté sans (roubles nerveux. Aucun antécédent morbide du côté de la
mère
. Grand-père et grand'- mère maternels encore vi
Aucun antécédent morbide du côté de la mère. Grand-père et grand'-
mère
maternels encore vivants et bien portants. Il a
int de singularités de caractère- un peu coléreux seulement. ) La
mère
est âgée de quarante-huit ans : elle jouit d'une
e carac- tère : sobre, ne se met jamais en colère. Un frère de la
mère
souffre de la migraine : les autres frères et soe
la mère souffre de la migraine : les autres frères et soeurs de la
mère
sont bien portants. Les cousins également, du côt
de la mère sont bien portants. Les cousins également, du côté de la
mère
, se portent bien. Un frère de son père a eu,
'à huit fois par jour. Aucun autre antécédent précis de ce côté. Sa
mère
a cinquante ans, n'a jamais été malade; elle ne
e but de la présente étude. OBS. I. M. C... quarante-cinq ans. Sa
mère
a quatre-vingt-deux ans, se porte admirablement
i ce n'est l'arthritisme dont paraît être entachée la famille de sa
mère
. 186 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
ues réflexions. Joseph C..., âgé de vingt-trois ans, est fils d'une
mère
névropathe, ayant eu plusieurs attaques d'hysté
nt-Jean, dans le service de M. le professeur Richet. Son père et sa
mère
sont morts, cette dernière a succombé à une affec
e professeur Charcot. Grand'mère maternelle rhumatisante. Père et
mère
bien portants. Un frère et une soeur sont en bo
E, ? 1 1 OBS. III. - Fusch, femme de trente-sept ans (pl. XLVII1).
Mère
morte de bronchite, pas de rhumatisme, pas d'af
elle consulta la traita alors pour de l'anémie. Elle partit chez sa
mère
pour se reposer; les forces reviennent, elle reco
ins forte qu'auparavant. Elle a vécu ainsi pendant sept ans avec sa
mère
, aux champs, et se livrant à des besognes très pé
ifications étaient telles que lorsque la malade est revenue chez sa
mère
pour se reposer, ni celle-ci, ni les voisins, n
l'assez curieuse notice qui suit : ' Maria B... est de Milan; sa
mère
mourut à vingt-trois ans à la suite d'une malad
ierge portée sur un nuage, pendant que l'enfant Jésus au bras de sa
mère
tourne la tête et sourit aux femmes syphilitiques
ANS L’EMBARRAS. — SOMNAMBULISME NATUREL. TRIBUNAUX ÉTRANGERS. Une
mère
qui a jeté son enfant par la fenêtre. Voici un
eté son enfant par la fenêtre. Voici un procès extraordinaire : une
mère
qui a jeté ses enfants par la fenêtre, sous la pr
ns toutes ses parties. >• En 1775, la jeune comtesse de Seguins,
mère
de trois fils, est nommée première sous-gouvernan
pression qui lui faisait porter le jugement spontané sur la substance
mère
. La potion de 100 grammes devait contenir une gou
qu’une jeune fille de dix-huit ans peut avoir été déflorée et rendue
mère
contrairement à sa volonté, dans l’état de sommei
son étonnement :« Tiens, pourquoi suis-je habillée? » dit-elle. Sa
mère
commit l’imprudence de lui donner quelques mots d
tout ce mouvement inusité, et les domestiques nous répondirent que la
mère
du jouitc homme était, depuis une heure , dans un
au moment où je me donnais tant de peine pour magnétiser le fils, la
mère
ressentait les mêmes effets de cet agent mystérie
anéanti. Quel est donc ce lien, qui unit ainsi l’âme du fils et de la
mère
?... Oh ! devant des faits et des mystères pareil
el nous devons la vie. „Ce qu’il y a de plus étonnant, c’est que la
mère
me raconta après, que lorsque son fils, encore en
des deux armées, qu’il avait été arraché avant le temps du sein de sa
mère
; et, en passant dans la forêt de Birnam, chaque
agnétique; c’est ce [ue reconnaît M. Gromier lui-méme à l’égard de la
mère
qui presse son enfant contre son sein, et, par de
vre votre cours, et espérant qu'après vous avoir entendu quelques
mères
de famille s'empresseront de s’initier à la conna
t d’en perdre un. La médecine avait dit son dernier mot, et la pauvre
mère
éta‘11 au comble du désespoir. (i Depuis dix-se
dur que la pierre. 11 Je suis appelé. — J’arrive et conseille à la
mère
de magnétiser son enfant de la manière que je lui
tisme agit fortement sur cette pauvre petite créature, j’encourage la
mère
qui, après s’être un peu reposée, recommence à ma
demi-heure en demi-heure, quelques cuillerées d’eau magnétisée par la
mère
, nous obtînmes les plus heureux résultats, et ce
it été complètement impuissante. « J’arrive cependant, et gronde la
mère
de n’avoir pas aussitôt employé l’agent curatif q
s, et allai m’asseoir à l’un des angles du salon, après avoir prié la
mère
de la jeune fille, sans qu’on eût pu m'entendre,
fer, mais qu’elle se trouvait dans ma maison môme, en bas, près de sa
mère
, en m’attendant pour nous rendre ensemble à l’arr
u mal. — Mais c’est impossible, vous ne pouvez abandonner ainsi une
mère
de famille ; il faut chercher, aviser, tenter tou
avait commencé, tombe à genoux, et, fondant en larmes, s éciie . « Ma
mère
est morte il y a six mois ! » Sa douleur était te
l’envoyer dans son pays pour qu’elle fût déposée sur le tombeau de sa
mère
, effectivement morte, comme nous l’apprîmes ensui
’années était condamné par les principaux médecins de la ville, et la
mère
de l'enfant, plongée dans le désespoir et ne sach
egarde comme inutile toute consultation. Pour- tant, cette pauvre
mère
insiste , et je me laisse toucher par ses larmes.
« Dès que la clairvoyance est suffisamment développée, j’appelle la
mère
du pauvre petit moribond (elle ne s'était pas enc
trois années, de cruelles inquiétudes m’obsédaient sur le sort de ma
mère
et de mes sœurs. Je partis donc pour Gross-Renzow
cheminée. A sa lueur douteuse et vacillante, je reconnus mon père, ma
mère
et mes quatre sœurs, assis autour de l’âtre et qu
ère; mon père m'arrêta par uu geste solennel. Je tendis les bras à ma
mère
; ma mère recula par un mouvement mélancolique. J
ère m'arrêta par uu geste solennel. Je tendis les bras à ma mère ; ma
mère
recula par un mouvement mélancolique. J'appelai d
iétudes et mes doutes. Eh quoi ! mon père, vous ne répondez pas? Ma
mère
, vous gardez le silence! Avez-vous oublié, mes sœ
t et me liront signe d'approcher. L’une d’elles s’agnouilla devant ma
mère
, et cacha sa tùie sur ses genoux, comme si el
e cela. Alors ce fut mon tour à cacher ma tète sur les genoux de ma
mère
. O terreur ! je sentis à travers les étoffes de s
uteuil où vous me voyez, quand un léger bruit m’éveilla. Mon père, ma
mère
et mes quatre sœurs se tenaient devant moi, c
e mon fauteuil. — Justice! dit mon père. — Pénitence ! murmura ma
mère
en penchant sur moi sa tête désolée. — Prière!
t que cette fille était douloureusement affectée de la position de sa
mère
, celle-ci lui dit qu'elle reviendrait la chercher
e était morte ou vivante. Lorsqu'elle revint à elle, elle racontai sa
mère
qu’elle était allée à Rochester, et qu’elle avait
chester, et qu’elle avait vu ses enfants : « C’est impossible, dit la
mère
; vous n’êtes pas sortie tout ce temps de votre l
ler. Elle alla donc à Mailing le même jour, et la trouva mourante. La
mère
de la malade lui raconta, entre autres choses, qu
ssance, mes songes me présagèrent les plus grands malheurs et pour la
mère
et pour le fils; l’avenir de l’un et de l’autre s
ux, se détachant, alla quérir un médecin, qui, après avoir rassuré la
mère
plus morte que vive, fit subir à l'enfant un trai
quitta qu’après l'avoir ramenée à son état normal et avoir fait ii la
mère
les recommandations les plus sérieuses sur les da
l’enfant se mit à crier si fort que laservaulefutobligée d’appeler la
mère
. Celle-ci n’entendit rien; de sorte que la servan
ant dans l’eau et ses langes pendant autour de ses jambes, quoique sa
mère
l’eût bien serré dans son maillot. Il fut retiré
les deux échevins et par M. Conrad Perça, curé de Saint-Jean. Pour la
mère
, elle resta en extase vingt heures de suite sans
es résultats, comme personne n’était présent, on ne peut savoir si sa
mère
l’emporta dans le puits de la même manière, ou si
pe vital, se croient de véritables machines. Aujourd’hui une vérité
mère
va nous ouvrir le sanctuaire sacré de la psycholo
t, nous ajouterons : comme des enfants à peine sortis du sein de leur
mère
, vous avez voulu vivre sans allaitement, en rejet
nt merveilleux, ce serait sur des enfants encore dans le sein de leur
mère
: six ou huit magnétisations d'une minute suffira
sultat. Dans ce cas, je mets les deux mains à plat sur le ventre delà
mère
sans la toucher, avec la volonté de. communiquer
rais de tout mon cœur. Excepté lapremière expérience, où le nom de ma
mère
a fait courir un froid dans tout un côté de mon c
ement une affaire grave ; il s’agissait de coups à un ascendant d’une
mère
sorcière et d’un fils ensorcelé. 11 y a deux es
tuné vous apprendra qu’une sorcière, se cachant sous les traits de sa
mère
, a jeté un sort sur ses chevaux, sur sa femme, et
fumigations, a échoué contre la puissance de l’ensorcellement, et sa
mère
, sorcière de la pire espèce, a continué à le frap
exaspéré par tant de malice et de maléfices, il s'est jeté sur cette
mère
si dénaturée, et l'a accablée de coups avec la co
sées sur scs antécédents, sur ses habitudes, niais ai} seul nom de sa
mère
, il s’emporte, il devient furieux, et couvre les
les sorcières de malédictions. «Oui, s'écrie-t-il avec conviction, ma
mère
est la plus détestable des sorcières ! Elle-même
rien ne peut ébranler sa foi robuste dans le pouvoir surnaturel de sa
mère
: le tisserand Joseph Zubler est une déplorable v
«ccès de convulsions ? Elle n’en sait rien. i.*' «Elle médit, et sa
mère
confirme son dire, quedansle temps elle tombait s
ve sinapisé. A cinq heures du soir, je la magnétise en présence de sa
mère
. A une question que je lui adresse en aile- m
es parents, car leur inquiétude influence la somnambule ; renvoyez ma
mère
. » — Quand la mère fut sortie, elle reprit en all
r inquiétude influence la somnambule ; renvoyez ma mère. » — Quand la
mère
fut sortie, elle reprit en allemand : « Ma maladi
à droite. Le coma et la céphalalgie persistent. Sur la demande de la
mère
, je magnétise la malade. Elle me dit que ses inte
du de somnambulisme naturel, 50; — contre un homme qui avait battu sa
mère
, parce qu'il la considérait comme sorcière, 599;
ns l'aisance d'un commerce prospère ; suivant le té- moignage de la
mère
adoptive, ce fut un enfant doux, in- telligent,
p- tion morphinique, de la déchéance morale eU de la mi- sère. La
mère
, la fille, puis un fils, sont successivement pr
in- rent des morphinomanes vrais, impulsifs à l'occasion, sauf la
mère
qui seule semble avoir gardé quelque di- gnité
dans la nécessité des besoins croissants, chacun, sauf encore la
mère
, avait concouru, pour sa pari, il la fourniture d
gner Paris, où il serait sans doute plus aisé de se satisfaire ; la
mère
accepta la proposition : dans son es- prit elle
situation commerciale et l'on partit : premier arrêt il Liège où la
mère
essaie de réaliser ses projets de guerison, mai
l'honnêteté de celle sortie. Seule encore, entre tous les siens, la
mère
resta in- demne sur ce point : l'abstinence de
toujours à leur vice collectif, sous l'instigation de N..., dont la
mère
ne sut pas résolument secouer le joug, ni arrêt
¡ ! c de î3 an" : son père 1',1. morL d'apoplexie il 4 : 1 ans : la
mère
était exactement à ce lemps enceinte de noire mal
veloppaient et devenaient ? radIlPl- 1t'lI1enl plus fort-, niais la
mère
chez laquelle le lib demeurait nu lc· wmiIcr,ti
rit, lui automne 1 ! '0, après avoir râlé son examen, il avoua à sa
mère
qu'il souffrait de la phobie d'au- lrui et ne s
tait d'un caractère emporté niaisbon, communicatif et, fai- ble. Ma
mère
jouissait d'une bonne jsan té jusqu'à un âge avan
es précédents, plus caractéristiques pour ce genre de maladie. La
mère
de la malade et les deux frères de son père sont
S.,âge de 31 ans ; marié il y a trois mois el demi ; son père el sa
mère
sont mnrls clclmis longtemps de causes in- conn
al lombo- sacré de masses caséeuses, l'épaississement de la dure-
mère
qui dans un des deux cas est dite présenter des t
inférieurs), il était très éthylique, très nerveux el rhumatisant.
Mère
morte à 58 ans, cardiaque. Deux frères morts à
SE. Le tissu épidural, au niveau de la face antérieure delà dure-
mère
est un tissu lardacé, dur, pas caséeux, adhérant
e. Il n'existe nulle part aucune trace de symphyse entre la dure-
mère
elles méninges molles. Les racines de la queue de
ines de la moelle dans le mal de Pott, il est possible que la dure -
mère
puisse participer à l'infection tuberculeuse et
ait pas produit un épaississement ultérieur réactionnel de la dure -
mère
sus CHOLEMIE ET MÉLANCOLIE. ' 97 ceptible d'a
la clinique : il avait alors 17 ans. La même inertie existe chez sa
mère
qui n'a jamais cessé d'être bien portante, D'aprè
epsie jacksonienne survenant chez une jeune fille de 15 ans dont la
mère
est atteinte depuis vingt-six ans de la même affe
a mère est atteinte depuis vingt-six ans de la même affec- tion. La
mère
a eu sa première attaque à l'âge de dix ans. C'es
nt dan= les cas d imbécillité. Trois imbéciles étaient tilles d'une
mère
imbécile ; une quatrième avait pour cousines ge
mme normand du 31 août, Catherine Nedellec, 34 ans, folle, a tué sa
mère
, septuagénaire, à coups de hache et de marteau.
ionnable, a souffert de névralgies de 20 à 40 ans, pas do syphilis.
Mère
, 57 ans, bien portante, caractère faible. 5 en-
tère, le mystère do l'Incarnation, mon mari est Jéhus- « Christ, ma
mère
est la le suis vieille, très vieille, doc- « le
nent la sphère morale. Sa fa- mille se confond avec la divinité, sa
mère
est la Vierge Marie, son mari est Jésus-Christ,
avec épaississement de la dure- REVUE DE pathologie nerveuse. 319
mère
. Le foie a l'aspect classique de la cirrhose de L
ès de boisson ainsi que son père [grand'père paternel de l'enfant).
Mère
, rien de particulier. Grossesse accidentée par
édé le 11 janvier 1905. Antécédents. [Renseignements fournis par sa
mère
en 1895). l'Ètir, 40 ans, mécanicien, excès alc
re buvait beaucoup (vin) et serait mort d'une affection du foie. Sa
mère
a succombe aux suites de l'inllucnza. Un frère,
famille. Son père est mort de la rupture d'un allé- de l'aorte, sa
mère
on ne sait de quoi. Il en est.de mê- me pour se
amnio- tique. Pas d'asphyxie à la naissance. Elevé au sein par sa
mère
jusqu'à 7 mois, puis'au lait de vache, a cause d'
père, icre, battre sa petite soeur. Il se jeta dans les bras de sa
mère
en pleurant. CONTRIBUTION A l'ÉTUDE DE LA DEMEN
vous être mon père, dites ? » Vous savez, mon camarade X ? c'est ma
mère
et il rit aux éclats, fier de ce qu'il vient de
lsion, Cholémie. (Résumée). L. Clémenline, 38 ans, journalière.
Mère
morte hydropique (ascite). Père mort cardiaque il
: 1 : ! ans. l'ère mélancolique, est mort dans un asile d'aliénés.
Mère
a eu des coliques hépatiques et néphréti- ques.
/to ? (l{ésumée). Louise IL. 3fi ans. Père mort de 11 re typhoïde ;
mère
morte à la suite de couches. Grand'mère materne
la mort de sa femme, mais il n'y a pas eu nécessité d'internement.
Mère
se portait bien, morte subitement. Un frère, d'
cution. Cholémie. (Résumée.) Louise S. Père mort à 33 ans : buveur.
Mère
paralysée, aJ]¡\1- 3G2 cl.IQw : mentale minul
. .. manche S..., u4 ans. Père mort d'une affection cardiaque ;
mère
morte aliénée dans un asile. Planche S..., a eu l
rie. Cholémie. Louis F..., 3 ? ans. Père mort à 44 ans d'apoplexie.
Mère
morte également d'apoplexie il 66 ans ; elle ét
oolisme. ni syphilis. Il était de caractère triste et vif, comme sa
mère
. En 1891, Louis F... a eu une grande émotion. S
tal s'aggravait tous les jours ; il croyait voir dans la chambre sa
mère
et des individus inconnus ; il se disait l'aute
a malade ne sait pas la mort de son père) ; il était un peu buveur.
Mère
morte il y a 18 mois : plusieurs mois avant sa
- Pas de renseignements exacts sur les antécédents héréditaires. Sa
mère
a eu de fortes coliques dans le bas-ventre pend
cnur inférieure. L'enfant n'avait pas été souvent au grand air : la
mère
, il l'état de grossesse, était par conséquent i
Iltiquc assez prononcée Quand il était assis sur les genoux de sa
mère
, avec son dos appuyé, ses yeux semblaient Sl' JL\
vra la vue il trois ans, après une violente attaque de rougeole. La
mère
a, depuis, accouché de deux jumelles, après une g
seaux : sanguins et lymphatiques du tissu épidural et de la dure-
mère
; en effet, les vaisseaux lymphatiques de la dure
la dure- mère ; en effet, les vaisseaux lymphatiques de la dure-
mère
et du tissu épidural sont, il est vrai, en relati
eines delà .pie; cette compression possible des veines de la pic-
mère
est un autre facteur de stase et d'oedème médulla
iste- rait dans l'oblitération des vaisseaux artériels de la pie-
mère
ou de la moelle par thrombose ou masses embolique
origine anémique : les vaisseaux sanguins des racines, de la pie-
mère
, delà moelle même, outre qu'ils ne présentent auc
n' dedans. Dans aucun ]Joint il n'y a de svinphyse entre la dure-
mère
, l'arachnoïde et la pie-mère : celle-ci esl épais
d'intensité vers le haut : au niveau des segments l)S-D7,la pie-
mère
est presque normale. 1 Remarques : En résumé, o
lablement sous la dépendance de l'infiltration intense de la pie-
mère
environnante ; il est au contraire difficile de d
toutefois lait quelques études (Ecole d'agriculture). Du côté de sa
mère
, la taille est héréditairement au-dessus de la
de sa mère, la taille est héréditairement au-dessus de la moyenne (
Mère
de 1 mètre,'97).Père suicidé. Le malade a eu un
ne de la Ville naquit à Bordeaux en 1680 : son père était avocat ; sa
mère
mourut peu de temps après sa naissance ; elle eût
eu par la mesme autorité de la glorieuse Vierge-Marie sa très saincte
mère
, et par la puissance qu'elle a reçue du Grand-Die
hargée : son grand-père s'est suicidé; son père avait des phobies; sa
mère
est nerveuse; son frère est somnambule. Elle même
es Voici un collégien âgé de 13 ans et demi, pale, anémique, que sa
mère
amena hier pour cette toux bizarre et incessante
e toux bizarre et incessante que vous entendez depuis son arrivée. La
mère
raconte que cette toux a débuté brusquement après
iagnostic : le père est vif, emporté, très probablement ôthylique; la
mère
a eu, pendant les sept années qui ont suivi la mo
rois ans. Il fit ses études à l'université de Louvain, vivant chez sa
mère
et à l'âge de 17 ans, en 1594, il finissait sa ph
us âgé et une soeur plus jeune qui sont tous deux bien portants. Leur
mère
est aussi tout à fait en bonne santé; leur pè
en que moi » ; — « Vous la connaissez » ? — C'est la cuisinière de ma
mère
; elle vient chaque nuit dans ma chambre; veux-tu
en réalité, difficile. Il s'agit d'une couturière âgée de 29 ans. Sa
mère
était nerveuse. Elle-même est aussi très nerveuse
Mlle de la Ville naquit à Bordeaux vers la fin de l'année 1680, d'une
mère
qui mourut jeune et d'un père auquel ses occupati
s Euménides, c'est-à-dire la triste condition, après le meurtre de sa
mère
, du parricide poursuivi par les Furies, repoussé
te est la conséquence et la suite immédiate de son crime. Il a tué sa
mère
par nécessité ; par nécessité aussi, il doit souf
sent, toi naguère si calme. » Et. en effet, Oreste est repris. « O ma
mère
, dit-il, je t'en conjure, ne lance point contre m
espire la flamme et le sang; elle dirige son vol vers moi, portant ma
mère
entre ses bras; elle va m'écraser sur ces roches
s'enfuirent effrayés et cherchent un asile, l'un sous le voile de sa
mère
, l'autre derrière une colonne, et le troisième so
lonne, et le troisième sous l'autel, comme un oiseau effarouché. Leur
mère
s'écrie : « Que fais-tu, malheureux père, tu veux
ce second fils, il court à une troisième victime. Mais la malheureuse
mère
le prérient, elle entraîne son enfant dans l'inté
nsi, quelques mois auparavant, j'ai déjà été appelé auprès de lui. La
mère
, très affolée, m'avait déjà reçu par ces mots : M
éalable, ou, tout au moins, d'enrayer la névropathie du père ou de la
mère
. Que de fois encore, dans notre pratique médica
ni même me soutenir qu'avec une grande peine, l'on « me mena à notre
Mère
; j'étais toute tremblante et brûlante. La Supé-«
savais « que faire et il m'ôtait le pouvoir de le découvrir à notre
Mère
. « On crut que j'étais possédée ou obsédée du D
musc Calliope, Orphée, le chantre de Thrace, « par l'art divin de sa
mère
suspendait « le cours rapide des fleuves, les v
voir et finit par guérir complètement; aujourd'hui elle est mariée et
mère
de plusieurs enfants. Le second exemple est le
raitement, Sous l'inspiration des Sceurs de l'hôpital, l'enfant et la
mère
firent une neuvainc à Notre-Dame de Fourvières, p
u théâtre à une représentation : elle est entourée de son père, de sa
mère
et de ses sœurs qui ne s'aperçoivent à aucun mome
au cœur de l'animalité. Tantôt il traduit « la lente chanson que les
mères
phoques chantent à leurs babies », tantôt il raco
la ne manqua point, et presque aussitôt je vis, en effet. les père et
mère
—je suppose que c'étaient eux — donner la becquée
ves : un enfant endormi, agité par un rêve, reconnaîtra la voix de sa
mère
, lui obéira et n'entendra pas tout autre bruit pl
ra et n'entendra pas tout autre bruit plus intense; de même, pour une
mère
que n'éveille pas un train de chemin de fer ou un
ous l'appellerons, me fut amené pendant les vacances dernières par sa
mère
qui, ne pouvant plus se faire obéir de lui, désir
l porte fréquemment à sa bouche, démontre qu'il est onychophage. La
mère
nous raconte que son fils s'arrête très longuemen
lieu de le punir. Après avoir examiné cet enfant, je proposai à sa
mère
de me l'amener trois fois par semaine, afin de lu
ilence, je m'attachai à lui montrer l'odieux de sa conduite envers sa
mère
qu'il rendait malheureuse et le bonheur qu'il épr
bien conduire à l'avenir. Le lendemain de cette première séance, la
mère
m'assurait que son fils avait été beaucoup plus r
le désordre dans sa classe. Fils d'un père bien portant mais d'une
mère
et d'une grand'mère névropathes, le jeune C. se r
. Mais les autres séances furent au contraire désirées par lui, et sa
mère
m'annonça bientôt qu'un grand changement s'opérai
ns, onychophage depuis l'enfance, fille d'un père alcoolique et d'une
mère
nerveuse et qui était sujette, il y a un an à pei
e eux les rapports de parenté les plus étroits, c'est-à-dire pères ou
mères
, fils ou filles, frères ou sœurs, oncles ou tante
rofesseur à l'Ecole de Psychologie. Mme P., âgée de 33 ans, mariée,
mère
d'un petit garçon, présente annuellement, depuis
rne dans sa couche, le froissemeut des draps suffit pour réveiller la
mère
. Notre malade déteste son mari ; tout ce qui vien
e une voisine perd sa petite fille; elle entend les deux malheureuses
mères
sangloter : leur désespoir l'affole. Elle ne tard
Il s'agit d'une vieille fille qui est atteinte depuis la mort de sa
mère
, survenue il y a sept ou huit ans, de paraplégie
résisté à tous les traitements. Le chagrin causé par la mort de sa
mère
poursuit cette malade nuit et jour. Il y a là une
semblait prochaine : malheureusement l'anniversaire de la mort de la
mère
est tombé cette année le jour même où la malade a
re ni même me soutenir qu'avec une grande peine, l'on me mena à notre
Mère
; j'étais toute tremblante et brûlante. La Supérie
Marie Alacoque même me soutenir qu'avec peine, l'on me mena à notre
Mère
; laquelle me trouvant comme tout hors de moi-même
clinique. Antécédents héréditaires. - Père mort de fièvre typhoïde,
mère
morte aveugle. Antécédents personnels. A t'ag
p. 20. Homme de 33 ans. Père mort d'une maladie de poitrine ( ? ).
Mère
, frères et soeurs bien portants. Il y a 5 ans.
Gill ? âgée de 16 ans, sans profession. Antécédents héréditaires :
Mère
très nerveuse, n'a pas de grande crise, mais ép
s qui ont disparu seulement depuis trois ans. Parmi ses parents, sa
mère
seulement était très nerveuse, elle souffrait é
se le 11 novembre 1898. Elle avait passé plusieurs nuits près de sa
mère
atteinte de pleurésie, la maladie élait assez g
e atteinte de pleurésie, la maladie élait assez grave et surtout la
mère
retrouvant son tempérament du jeune âge perdit
s de la maintenir, elle crie et se débat et « toujours veut voir sa
mère
morte ». La crise dura de 6 heures à minuit, el
lutôt éloignée de ses parents qu'elle était guérie. On la rend à sa
mère
au bout d'une semaine ; dès le lendemain elle a
uy qui dure du mardi au vendredi et les crises réappa- raissent. La
mère
quitte la malade, le 22 décembre tout s'arrête, i
it très ac- tive et pas du tout amaigrie, onconseillejiéanmoinsà la
mère
de lui donner Nouv. Iconographie DE la SALPÊTRI
lettre qu'elle m'écrit alors; son état empire de telle façon que sa
mère
fut appelée, elle arrive juste pour constater une
pas gagné un gramme. Le père finit par vainc e la résistance de la
mère
, il retourna près du premier médecin qui l'avai
ncles pa- ternels décédés, et sur deux tantes maternelles vivantes.
Mère
âgée de 55 ans, souffre de douleurs rhumatismal
26 septembre 1899. Le père est mort d'une affection gastrique : la
mère
, bien portante, a eu 8 enfants tous vivants act
ère, bien portante, a eu 8 enfants tous vivants actuellement. Ni la
mère
, ni les autres enfants ne présenteraient de tum
, le 6 mai 1885 pour une affection du gros orteil. Son père et sa
mère
sont morts plus que septuagénaires. Il a eu deux
un détail sur sou hérédité : elle sait seulement que son père et sa
mère
étaient rhumatisants. Dès l'âge de quatorze ans
uet, n° 19. Antécédents héréditaires. - N'a connu ni son père ni sa
mère
. (1) Nos radiographies sortent du laboratoire r
ditaires sont peu intéressants : son père est mort subi- tement, sa
mère
est nerveuse. Il a une fille en bonne santé. xu
ne, 34 ans, paveur. Pas d'antécédents héréditaires nerveux. Père et
mère
morts à 58 et 56 ans de maladie aiguë. 5 frères e
oration par le traitement mercuriel. Poth..., 27 ans, journalier.
Mère
aliénée. Père et deux frères bien portants. Pas d
es antécédents héréditaires de cette femme sont peu instructifs. Sa
mère
aurait souffert de varices aux membres inférieurs
restait au lit. Au bout de quinze jours on lui permit de jouer. La
mère
remarqua aussitôt qu'elle ne se servait pas de
traînait la jambe gauche, assez pour rendre la marche difficile. La
mère
dut la promener dans une petite voiture. Peu à pe
ans, tonnelier. Père rhumatisant, mort à 68 ans de rhu- matisme.
Mère
vivante, âgée de 78 ans, bien portante, a perdu u
mporté en 48 heures, il n'avait antérieurement jamais été malade.
Mère
, fille unique, sans tare nerveuse, issue d'un pèr
aques. 3° Enfin nous noterons en terminant la longue série, chez la
mère
et chez la fille, de grossesses gémellaires se
n retraite. Son père est mort de vieillesse à quatre-vingts ans, sa
mère
d'épuisement à quarante ans. Lui-même a eu à
eur. Ses parents sont morts, le père, le malade ne sait de quoi, la
mère
, d'hydro- pisie. Pas de maladie nerveuse dans l
Son père est mort à l'âge de quarante-neuf ans d'une pneumonie. Sa
mère
succomba à une affection pulmonaire encore vers
ést mort à l'âge de soixante-dix ans d'une affection pulmonaire. Sa
mère
est morte de vieillesse à quatre-vingt-deux ans.
Ses parents d'une bonne santé, sont morts vieux, le père à 73 ans, la
mère
à 83 ans ; elle était l'aînée de huit enfants t
: son père est mort à 46 ans, mais il ignore de quelle maladie ; sa
mère
serait morte à 70 ans subitement d'une attaque d'
e constitution faible, n'est atteinte d'aucune maladie nerveuse. La
mère
, bien portante dans sa jeunesse, fut plus lard
ts héréditaires du malade de Thomas (obs. V) sont les suivants : la
mère
hystérique à grandes crises devint folle et mou
antes d'hérédo-ataxie cérébelleuse concernant deux frères. 1 Leur
mère
avait une affection semblable, la marche était in
es symptômes s'étaient manifestés chez les fils d'une cousine de la
mère
et chez un de ses cousins. Le frère aîné du ma-
fracture du crâne. L'hémorrhagie siégeait entre la dure et la pie-
mère
à droite et remplissait en arrière les deux conca
dehors du sopor et du coma, sont le signe d'un hématome de la dure-
mère
. La lésion qui détermine l'hémiplégie peut égal
dus à ce que des parcelles d'os sont retirées attachées il la dure-
mère
. A un premier examen nous ne trouvions pas de tra
els (au nombre de 8) n'étaient pas d'une stature exagérée. Quant sa
mère
, elle estde taille moyenne ; sa santé est bonne
arence générale est celle d'un homme vigoureux et intelligent. Sa
mère
est bien portante, elle n'est pas nerveuse. Son
nfantiles qu'on nous présente, mais aussi leurs parents, surtout la
mère
. Cette étude est éminemment féconde et je veux
emment féconde et je veux en donner de suite un exemple. Voici la
mère
de l'enfant dont je viens de parler (voir PI. LIX
te étude ne serait pas complète si je n'y joignais l'esquisse de la
mère
. Elle a 35 ans à peine au moment où cette photo
philis. Du côté maternel, tuberculose pulmonaire chez une tante. La
mère
, jamais malade avant son mariage, n'a pu, depui
emi d'entérite aiguë. Depuis la naissance de ce dernier enfant,, la
mère
du malade se trouve très faible. Antécédents
Antécédents personnels. Rien ai signaler pendant la grossesse ; la
mère
. A16 ABADIE ET DENOYÉS effrayée par ses avort
bienséance et de réputation.J'aime être tout à fait à la mode.» La
mère
de la jeune fille arrive à la rescousse et Cohaus
s indique quel est le meilleur. Ce sont tous des enfants de la même
mère
, ils sont tous mauvais. J'ai d'ailleurs donné d
, le père prend du tabac, pourquoi le fils n'en prendrait-il pas La
mère
porte une tabatière, pour- quoi pas la fille ?
m à l'herbe de Nicot, qu'on appelle aussi souvent Herbe de la Reine
mère
en l'honneur de Catherine de Médicis, Cohause
vivent encore; ils souffrent parfois- de douleurs rhumatismales; la
mère
n'a jamais fait de fausse couche, ses accouchem
on père, mort à 60 ans, faisait de grands excès alcooliques, que sa
mère
morte à 75 ans à la Salpê- trière, d'accidents
ille décrit tous les anciens troubles nocturnes et matinaux dont la
mère
souffrait autrefois : elle a aussi une hémianes
s remarqué que la ressemblance symptomatique du côté gauche chez la
mère
et chez la fille coïncide avec une particularité
concavité cubitale d'une ressemblance frappante (PI. LXXIII, C, la
mère
et D, la fille). Nous avons revu cette malade à
s, agriculteur, constitution moyenne. Antécédents héréditaires : sa
mère
, atteinte d'une affection cardiaque, est morte
ut examinée pendant l'été 1895. Agée de 15 mois, elle tomba avec sa
mère
de la passerelle d'un steamer en abordant à un de
semaines plus tard elle fut prise d'une hémiplégie qualifiée par sa
mère
de soudaine. Cela commença un dimanche matin. D
, 43 a.ns. Antécédents héréditaires.- Père 60 ans ? en bonne santé,
mère
58 ans ? en bonne santé également, deux soeurs,
on-Auguste, peintre en bâtiments, 76 ans. Antécédents héréditaires.
Mère
morte paralytique à 95 ans(serait restée longte
de Vinci, et d'une paysanne du nom de Catarina, il ne connut pas sa
mère
avec laquelle son père rompit aussitôt sa naiss
sente rien de bien saillant dans ses antécédents hérédi- taires. Sa
mère
a toujours été en très bonne santé ; cette derniè
son père d'une affection de poitrine à l'âge de 51 ans, mais que sa
mère
est encore vivante et très bien portante. Elle n'
eu chétive. Elle n'a jamais eu de maladie et elle ne tousse pas. La
mère
de cet enfant et de celle qui fait le sujet de no
s a toujours été bien portant et que sa vue est très bonne ; que sa
mère
est nerveuse et se plaint d'une maladie de coeu
deux paupières se soit dès le début relevée avant l'autre, mais la
mère
ne sait pas nous dire quelle est celle qui a co
ascendants. On ne parle pas non plus de fausses cou- ches chez les
mères
. L'étude des antécédents collatéraux est aussi
ment thyroïdien. En interrogeant alors cette malade j'appris que sa
mère
et une de ses soeurs présentaient des troubles
s (il a succombé ultérieurement à des acci- dents cardiaques). La
mère
est vivante et bien portante, mais elle présente
s. II. La nommée D... (Annette), femme P..., âgée de 55 ans, est la
mère
de la précédente. Elle dit que son affection est
qué à gauche. C'est un oedème blanc, beaucoup moins dur que chez la
mère
et la soeur, un peu élastique, sans épaississemen
de 14 ans. Antécédents héréditaires. Le père, âgé de 62 ans, et la
mère
âgée de 56 ans, sont parfaitement bien portants
rs autres parents du côté paternel ont été atteints d'apoplexie. Sa
mère
, âgée de 56 ans, est très nerveuse, très irritabl
rt à 36 ans d'une fièvre typhoïde avec manifestations cérébrales.
Mère
. 76 ans, vit encore. n'a jamais eu de maladies ne
gent, parlait aussi très bien et apprenait également assez bien. La
mère
qui a été interrogée dit n'avoir rien observé d
d'anormal, qu'il était comme tous les enfants. A l'âge de 7 ans la
mère
a remarqué que l'enfant devenait maussade, capri-
pleurnicheur. En même temps sans cause comme, sans convulsions (la
mère
ne se rappelle même pas qu'il eût de la fièvre),
à 65 ans on ne sait plus de quoi. Pas de nerveux dans la famille.
Mère
âgée de 33 ans, nerveuse, coléreuse; pas d'attaqu
t une soeur se portent bien. Antécédents personnels. Pendant que sa
mère
était enceinte d'elle, à peu près vers le cinqu
ndant deux heures que la sage-femme a pu la rappeler il la v ie. La
mère
nous dit n'avoir rien observé d'anormal chez son
ce temps elle ne fut plus aussi vive qu'auparavant. A dix mois la
mère
s'aperçut qu'en l'espace de trois jours, l'enfant
nsistant eu tremblements, des lèvres et de la langue. Au dire de la
mère
, c'est vers la même époque qu'elle s'aperçut de l
e de six ans elle sentait ses'crises arriver et prévenait toujours sa
mère
. A ce moment .elle tombe malade de la coqueluch
marche spas- modique (« elle marchait comme un canard » nous dit sa
mère
) ; mais it l'école elle ne peut continuer que q
rra jamais écrire il cause des mouvements qu'elle a aux mains. La
mère
ne peut pas se rappeler exactement à quel moment
es ou personnels. Au dire de la dame qui s'occupe de cet enfant, la
mère
a eu beaucoup d'ennuis pendant sa grossesse, el
s l'affection a débuté par une attaque apoplectiforme au dire de la
mère
. L'attaque apoplectiforme sur- vient aussi dans
père arthritique et calculons âgé ac- tuellement de 70 ans et d'uue
mère
morte à 53 ans dans un état de démence con- séc
lth.... doit renoncer à tout travail ; il reste chez lui, aidant sa
mère
aux soins du ménage, A cette époque (il y a env
professeur Charcot, salle Prus. A. Il. Père hémiplégique il 50 ans.
Mère
morte de maladie aiguë. 5 frères et soeurs. Un
cle M. Déjerine (1) dans lequel cypho-scoliose fut remarquée par la
mère
dès l'âge de 4 ans. Il s'agissait d'un malade âgé
lets sur ses antécédents héréditaires. Nous savons seulement que sa
mère
a toujours été nerveuse et émotive. Elle-même n'a
la Sal- pêtrière. Antécédents héréditaires. Père très alcoolique.
Mère
hystérique, issue elle- même d'une mère présent
ires. Père très alcoolique. Mère hystérique, issue elle- même d'une
mère
présentant des attaques convulsives. La mère du m
issue elle- même d'une mère présentant des attaques convulsives. La
mère
du malade est de plus bossue; « ce serait de na
, la plupart se confondent. L'étiologie est la même (frayeurs de la
mère
pen- dant la grossesse, accouchements difficile
sur l'athétose DOUBLE. 261 d'affections nerveuses. L'hystérie de la
mère
a été observée par Richardière, Charcot et Huet
vantes : Mitchell, Bourneville et Pilliet, Kussmaul et Schaede, la
mère
de notre observation n° 2 est tombée dans une r
st tombée dans une rivière à son cinquième mois de la grossesse, la
mère
a eu des émotions. Age. C'est habituellement dè
errez la lumière et vous bénirez le Seigneur » . L'attitude de la
mère
forme un constraste frappant avec celle du fils.
le virtuose d'exécution que l'on connaît maintenant. La tête de la
mère
est d'un modèle fini; tout le nu de l'aveugle n
ands-parents morts âgés. Du côté maternel, D... ne con- naît que sa
mère
; elle est âgée de 46 ans, elle est souvent malad
rents lui sont inconnus; son père est mort de pneumonie ( ? ) et sa
mère
d'hémoptysie foudroyante. Il a eu vingt-cinq fr
mort à l'hôpital de la Charité, il y a 15 ans, d'excès alcoolique.
Mère
morte en couches de lui (lo père de l'enfant) 6
nels, pas de détails. Un seul oncle du côté paternel. Le père de la
mère
de l'enfant. Pas de tare nerveuse. Un frère est m
, pas d'épileptiques, d'idiots, pas de criminels, pas de débauchés.
Mère
3t ans, couturière autrefois, maintenant fait son
ccident nerveux. Mariée à 20 ans. Père mort d'une chute d'un arbre.
Mère
d'une attaque d'apoplexie avec paralysie droite
. v 20 298 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. Les père et
mère
paternels morts on ne sait de quoi. Grand-père ma
û avoir un regard sur le riche (impression maternelle nulle, car la
mère
répète qu'elle n'a jamais été impres- sionnée),
os, non pesé, pas d'asphyxie, a crié de suite. Elevé au sein par la
mère
, sevré Ù 2 ans. Première dent à 6 mois. Il étai
que, très peu de mots : oui, non, dada. Ce n'est qu'à un an que sa
mère
s'aperçut que son enfant n'était pas naturel.
isphères dans leur moitié antérieure. Légères adhérences de la pie-
mère
au niveau de la circonvolution des nerfs olfactif
ossible d'avoir des renseignements héréditaires ou personnels, car la
mère
est venue très rarement il l'hospice. État ac
lement alcoolique. Ces accès lui revien- nent encore fréquemment.
Mère
âgée de 49 ans, bien portante, nie toute tare ner
temps il des accès de terreurs nocturnes qui inquiètent beaucoup sa
mère
. Antécédents personnels. Rien il signaler dans
s. Rien il signaler dans la première enfance. Nourri au sein par sa
mère
, a marché vers un an, a parlé de bonne heure. Dév
il- lance de son enfant devenant alors de plus en plus pénible à sa
mère
, elle se décida à le transporter à l'hôpital de
ien portant, est mort de vieillesse àquatre- vingt-dix-sept ans. Sa
mère
est morte en couches à quarante-six ans. Il éta
enne le 3 décembre'. Antécédents héréditaires. - Père asthmatique ;
mère
migraineuse, dyspeptique et très nerveuse; une
t, l'état de la petite malade était notablement amélioré lorsque la
mère
vint nous la reprendre, le 3 décembre, pour la ra
n père s'est noyé involontairement à l'âge de quarante-cinq ans. Sa
mère
n'a jamais souffert de maladies nerveuses, elle e
t qu'ailleurs, on retrouve chez lui l'hérédité homologue dé Morel -
mère
hystérique, fille hystérique on note aussi, dan
s deux ans et demi lorsque T... s'avisa de réclamer à la dame G...,
mère
de la plaignante, une somme d'argent qu'il lui av
ère de la plaignante, une somme d'argent qu'il lui avait prêtée. La
mère
, qui estimait probablement que T... devait au moi
5W. 64 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. tout le monde, la
mère
et le fils y compris ; des témoignages irrécu-
d'attendre les attaques d'hys- térie pour posséder sa maîtresse. La
mère
et le fils auxquels il ré- clamait un argent dû
es. - Père mort à soixante-quinzeansavecde l'anasarque généralisée.
Mère
bien portante, n'a jamais eu aucune ma- ladie,
réditaires, on ne relève aucun accident névropathique, sauf chez sa
mère
qui a eu de l'incontinence nocturne d'urine jus
orrhagie cérébrale. Le grand-père n'a pas été connu du malade. Sa
mère
exerçait, elle aussi, la profession d'artiste dra
à l'âge de 57 ans, à l'hôpital Saint-Antoine. Un des frères de sa
mère
, comédien, buvait beaucoup d'absinthe; il est mor
dies du système nerveux. Antécédents héréditaires. -Père inconnu.
Mère
, trente-cinq ans, domestique, est nerveuse, viv
sulter le Dr Auvard, pour des troubles utérins (octobre 1888). La
mère
de la malade a des crises d'hystérie. A partir du
sa grand'mère avait des attaques de nerfs. 1 2° Côté maternel. - Là
mère
est emportée, coléreuse, elle n'a jamais eu d'a
er au point de vue nerveux, ni du côté de son père ni du côté de sa
mère
. Son père est bien portant; il n'est ni alcooliqu
ux. Il en est de même pour les collatéraux de la même branche. Sa
mère
et les parents du côté maternel ne présentent pas
Antécédents héréditaires. - Père cinquante-deux ans, rhumatisant.
Mère
quarante-huit ans, rhumatisante, aurait eu des at
is exercé de métier où il pût être soumis à aucune intoxication. Sa
mère
est morte à l'âge de cinquante-cinq ans, à la s
femme d'un certain âge qui, selon toute vraisemblance, doit être la
mère
du jeune convulsionnaire, assiste, les mains croi
lus âgé que la malade, c'est un vigoureux garçon de vingt ans. La
mère
atteinte de strabisme interne et le père sont bie
re des persécutions (oncle) dans la ligne paternelle.- En outre, la
mère
est strabique et, sur ses neuf enfants, on trouve
ue et elle nous raconte qu'à ce propos elle fut fort grondée par sa
mère
pour avoir couru nu-pieds sur des dalles de pie
oque que la malade commença à grandir d'une manière démesurée. Sa
mère
et elle sont très affirmatives sur cette question
ui sont inconnus. Elle sait seule- ment qu'il était israélite. Sa
mère
était atteinte d'une maladie de foie avec crampes
lle se soigna chez elle. De là elle part en Angleterre rejoindre sa
mère
et y reste- quatre ans en qualité d'institutric
ros et rudes, et elle a beaucoup de cheveux blancs pour son âge (sa
mère
était, paraît-il, toute grise à 35 ans). La voi
e malade qui nous les fournithabitantl'Amériqueà à cette époque. Sa
mère
est vive, se met facilement en colère; elle n'a j
une hydropisie probablement cardiaque, avec crachements de sang. Sa
mère
est morte d'une peur survenue pendant le sac de
s; une petite fille de cette soeur est morte quelque temps avant sa
mère
d'une méningite. Point d'oncles ni de tantes da
mparts en 1871 ; il était distillateur et manifestement alcoolique.
Mère
bien portante. Une soeur et un frère qui n'ont ja
ne fille tombant à la renverse, en état de crise et soutenue par sa
mère
. Les cheveux dénoués, la tête est rejetée en ar
1L1'TILIi : PE. Obs. III. L..., vingt-sept ans, enfant naturel; la
mère
avait [quatorze ans quand il est ne. Convulsion
aires de notre malade ne présentent rien d'inté- ressantà noter. Sa
mère
est morte cette année même, à l'âge de quatre-
vif et emporté, qui est mort diabétique à l'âge de soixante ans. Sa
mère
est encore vivante et est aussi diabétique. L
tte infirmité. Il y a relevé l'alcoolisme du père, l'hystérie de la
mère
, toutes les variétés de la neurasthénie et de l
a déséquilibration mentale, divers accidents névropathiques de la
mère
, et chez les collatéraux la dégénérescence, l'idi
garçon de onze ans. Son père est mort de tuberculose pulmonaire; sa
mère
est sourde, un peu rhumati- sante ; cinq frères
fance ; n'a jamais eu de convulsions, ni d'accidents cérébraux. Sa
mère
me l'amène parce qu'étant dans la misère, elle ne
il a pu être placé comme petit domestique. 28 juillet 1893. - Sa
mère
me le ramène parce que depuis dix jours il aété
rvation II. - 0. B..., fille de treize ans. Père vivant, nor- mal ;
mère
cinquante-six ans, profondément neurasthénique; s
omme précédemment suivie d'un heureux résultat. 27 juin 1895.- La
mère
m'annonce que sa fille est parfaitement guérie
1. H..., garçon de huit ans. Père mort de tu- berculose pulmonaire;
mère
dont le moral laisse à désirer, trois soeurs as
n a eu lieu en février qui n'a compté que trois nuits mouillées. La
mère
le considérant comme guéri, ne l'avait pas rame
l se réveillait la nuit pour faire dans son vase. 27 avril 1893. Sa
mère
m'annonce qu'il est guéri. En 1894, cet enfant
uand le besoin se fait sentir, il doit le satisfaire immédiatement.
Mère
normale. Huit enfants : une grande fille de sei
Observation VII. F. M..., sept ans, fille unique. Père tuber- leux,
mère
normale, intelligente, bien portante. Enfant ch
rêve mictionnel. Observation IX. - V. X..., fille de treize ans. La
mère
, qui me l'amène, n'habite le pays que depuis pe
t agit d'une façon rapide et vraisem- blablement définitive, car la
mère
n'eût pas manqué de me ramener la malade. Obs
a malade. Observation X. T. U..., fille de treize ans. Père normal;
mère
lymphatique; tante ayant pissé au lit jusqu'à q
N. 19 arrive plusieurs fois de suite, puis il y a un intervalle. La
mère
ne peut dire exactement ce qui se passe car l'e
écembre. Deux nuits mouillées seulement depuis le 16 no- vembre. La
mère
me fait observer que son sommeil est devenu très
apparente que le changement de boisson (vin blanc), cependant la
mère
s'est aperçue que son sommeil était agité de rêve
ation XL C..., garçon de dix ans. Père mort d'une tumeur de l'oeil.
Mère
normale. Soeur bien portante, frère ayant eu de
l sans rêves. Très altéré, buvant énormément, ce qui pré- occupe sa
mère
. Il pisse au lit depuis sa naissance. 28 octobr
dernière séance. Il se réveille trois fois par nuit pour uriner. Sa
mère
trouve que c'est bien souvent. Suggestion : con
par nuit ou même pas du tout. 25. Persistance de la guérison. Sa
mère
me le ramène parce qu'il lui arrive encore de s
B... fille de quatorze ans. Père d'une intelligence peu développée.
Mère
présentant des incorrections morales. Nombreux
D'URINE PAR SUGGESTION. 21 Avant elle était absolument propre et la
mère
ne sait à quelle cause attribuer réclusion de c
s; le teint s'est éclairci, les traits sont plus intelli- gents. Sa
mère
la considère comme guérie et ne la ramènera qu'en
être définitive. Observation XVIII. C. C..., garçon de six ans. La
mère
semble bien portante; aucun renseignement sur l
et tout fier de n'avoir pas pissé au lit il le fait remarquer à sa
mère
avec contentement. 1er avril. Cet enfant est gu
nfir- mité. Observation XIX. M. T..., garçon de onze ans. Père et
mère
26 THÉRAPEUTIQUE. d'apparence normale; huit e
ations. Observation XXI. Bée..., fille de douze ans. Père normal;
mère
nerveuse; ils ont plusieurs autres enfants dont l
érique à stigmates. Observation XXII. M. C.... fille de treize ans.
Mère
morte de tuberculose, père souffreteux, de mine
.. garçon de neuf ans. Père bien portant; intelligent, mais buveur;
mère
normale. Plusieurs enfants que je connais tous
. G..., douze ans fils unique. Père mort de tuberculose du rachis ;
mère
morte de paralysie à cinquante- quatre ans. '
. de la Salpêtrière. 1895, n° 5.) Homme de vingt ans, père inconnu,
mère
hystérique. Comme antécédents personnels : roug
gère, troubles de la parole. Mort par pneumonie. A l'autopsie, pie-
mère
opaque, ses vaisseaux sont rigides, pas d'adhéren
es besoins. Son père, hystérique, refuse de lui venir en aide et sa
mère
est à Ville-Evrard comme aliénée, d'où la néces
. Son père, vieil attbritiffue, est atteint d'un asthme rebelle, la
mère
assez bien portante est une ancienne migraineus
rès lisse sur sa face externe qui se détache facilement de la dure-
mère
. L'hématome s'est donc créé un large espace ent
cette hémorragie aux vaisseaux chroniquement atteints de la pie-
mère
. Les artères malades des centres nerveux étaient
a été de dix-neuf jours. Aspect hébété, j'enanlne reconnail pas sa
mère
, n'articule pas un son, ne peut se tenir sur so
mère migraineuse a eu des paralysies locales transitoires et que sa
mère
est également atteinte de migraine ophtalmique
nt. Le père est mort à soixante-cinq ans d'une maladie de coeur, la
mère
est morte à l'âge de cinquante-sept ans d'une a
aroxysmes convulsifs, puis une troisième fois le 5 juillet 1893, sa
mère
réclamant son internement. Transféré à Ville- E
ès différentes et note que les coqs ressemblaient identiquement aux
mères
, tandis que les poules ressemblaient aux pères.
r un rhumatisme ai ticulaire aigu. Son hérédité était peu chargée :
mère
morte en couche, père, âgé de soixante-dix ans,
écédents héréditaires, il n'y avait que de l'hystérie du côté de la
mère
; elle était enfant unique. Comme antécédents
la région frontale et quelque temps après, à ce niveau (suivant la
mère
), une petite grosseur qui s'est développée peu à
erait pas buveur et paraît .exempt de toute tare névropathique ; la
mère
n'a jamais eu d'accidents convulsifs et semble bi
famille du malade... Historique du malade. - Enfance. Etat de la
mère
pendant la grossesse, en ce qui concerne : ma-
lpêtrière, 1896, n° 1.) Observation. Femme, vingt-huit ans, père et
mère
tubercu- leux, probablement tuberculeuse elle-m
père du malade était alcoolique, mort à l'âge de quarante ans. La
mère
du malade était nerveuse, elle est morte à l'âge
., âgé de quarante-neuf ans. Magistrat. Son père est gout- teux. Sa
mère
était toujours très nerveuse. Il y a quatre ans e
est mort à l'âge de soixante-six ans d'une attaque apoplectique. La
mère
du malade est bien portante, mais très nerveuse.
ations suivantes. 1° Un musicien de quarante ans (père tuberculeux,
mère
névro- pathe), est pris à l'âge de vingt ans et
ette Leredde, possédé du Démon, qui le harcelait horri- blement. Sa
mère
, son frère et un de ses cousins le conduisirent
en outre un bras et une jambe frappés d'impotence fonctionnelle. La
mère
, divorcée, n'a pour toute res- source que des j
on compte plusieurs aliénés parmi ses ascendants et son père et sa
mère
sont cousins germains. Trois de ses frères sont m
), le 27 février 1872. ANTÉCÉDENTS. - Renseignements fournis par sa
mère
. - z Son père, mort à 54 ans d'une fluxion de p
senté d'accidents névropathiques, [Aucun détail sur son père; - sa
mère
, qui n'était pas nerveuse, est morte d'un cancer
du sein ; - ni aliénés, ni paralytiques, etc., dans sa famille.] Sa
mère
, âgée de 55 ans, bien portante, est un peu nerveu
'attaques. [Son père est mort, elle ne sait de quoi, à 78 ans; - sa
mère
a succombé à une affection de poi- trine ; nul
rnier a eu des convulsions ; > 6° notre malade. - Alors que sa
mère
était enceinte d'elle (4e ou Je mois), elle a..
alier. - L'accouchement a été facile. - Ma- rie a été élevée par sa
mère
. Elle a marché et parlé vers 15 mois et a été p
ôté du corps; ces accidents auraient ensuite tout-à-fait dis- paru.
Mère
, 42 ans, sujette à des douleurs céphaliques de-
alpétrière (service de M. CHARCOT). , Renseignements fournis par sa
mère
. - Père, excès de bois- son ; mort en 1870 à la
e des violences exercées sur lui par les Prussiens. [Son père et sa
mère
, morts dans un âge avancé, auraient fait des ex
e, morts dans un âge avancé, auraient fait des excès de boisson.] -
Mère
bien por- tante. [Père mort à 75 ans, coléreux
boisson.] - Mère bien por- tante. [Père mort à 75 ans, coléreux ; -
mère
morte à 70 ans d'une attaque d'apoplexie foudro
de colère; elle battait sa grand'mère. - Reprise à neuf ans par sa
mère
, elle n'avait, à cette époque, ni étourdissemen
espèce de crise semblable à un cauchemar : Une nuit elle appela sa
mère
qui la vit assise sur son lit, l'ef- froi peint
ns 48 . RECHERCHES THÉRAPEUTIQUES.. ni de troubles gastriques. La
mère
s'est décidée à la placer en raison de la répét
17 ans 1/2, est devenue épileptique à l'âge de 7 ans. Au dire de sa
mère
, Céleste sent venir ses accès : elle devient pâ
à cette époque, à Vendôme même chez une femme qu'elle appelle « sa
mère
nourrice. » A 7 ans, durant une absence de sa g
utes les deux ou trois semaines. A 13 ans, II... retourna chez sa
mère
nourrice. Au bout d'un an, comme les accès se r
lle. Antécédents. - Son père est bien portant ; il a abandonné sa
mère
quand il a su qu'elle était enceinte. Celle-ci se
ère le 27 juillet 1846. Elle avait alors 23 ans. Antécédents. -Sa
mère
, qui était cuisinière dans une maison bourgeois
utes et s'accompagnaient quelquefois de chute (t). Elle quitta sa
mère
nourrice à 14 ans pour aller, chez un marchand,
nt nerveux.Nul détail sur son père (grand père paternel d'E...). Sa
mère
est morte à 90 ans, n'ayant ni démence, ni para
frère, curé, a succombé en deux heures à un « coup de sang. » Sa
mère
, tisserande, n'a jamais offert d'accidents nerveu
Elle assure, toutefois, qu'il n'y a jamais eu dans la famille de sa
mère
ni épileptiques, ni paralytiques, etc. - Pas de
nerveux. Justine est la 3° de la famille. Elle a été élevée par sa
mère
, a marché à un an ; elle a parlé de bonne heure
lquefois à porter à l'asile des Enfants-Trouvés les enfants dont la
mère
était à l'hôpital Saint-André. Un jour qu'elle
PHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.' père était habituellement bien portant; sa
mère
est migraineuse. Il ne con- naît d'affection ne
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALI1'sTlil$IUI;. de quarante-six ans. La
mère
est actuellement bien portante, de même que sa
noter sur les grands parents. Le père de la malade est alcoolique, sa
mère
a été prise de crises vraisemblablement hystéri
1888. Antécédents héréditaires. Son père est mort hémiplégique, sa
mère
est actuellement bien portante. Elle ne connaît
te pas d'antécédents héréditaires intéressants : si l'on excepte la
mère
migraineuse, on ne découvre aucune tare arthrit
des antécédents nerveux bien caractérisés : un père alcoolique, une
mère
hystérique. Son affection a de même débuté sans
ignement sur-eux. Son père est mort à la. Suite, d'un accident ; sa
mère
a succombé à une phtisie pulmonaire. Une tante ma
êta bientôt; au bout de quelques jours, elle était cica- trisée. La
mère
'qui nous donne ces renseignements dit que les in
DES SUITES ÉLOIGNÉES DES TRAUMATISMES DE LA MOELLE. 31 9 juin. - La
mère
de la malade nous dit que, depuis un mois, il s'e
lace à l'allégorie satirique si chère à nos pères et qui, en somme,
mère
de la caricature d'aujourd'hui, n'était pas inf
e connaît que très peu de chose sur ses antécédents; son père et sa
mère
sont vivants, ainsi que plusieurs frères et soe
avait subi trente séances a été également présentée à la leçon. Sa
mère
qui l'accompagnait a qualifié « d'extraordinair
eu trois qui sont morts dans les deux ou trois premiers mois. - La
mère
a 44 ans; se porte bien, mais très impres- sion
portants. - Pas d'alcoo- lisme ni du côté du père, ni du côté de la
mère
. Pas d'accidents connus de la grossesse. A. V.
e 22 septembre 1887. Antécédents héréditaires. - Père rhumatisant ;
mère
morte d'une maladie de coeur. La malade n'a pas
e M. Féré). Antécédents héréditaires (renseignements fournis par la
mère
du ma- lade) : Père.- Mort en 188J, âgé de 52 a
er se suicida il 39 ans, après des pertes considérables d'argent.
Mère
. 54 ans, bonne santé habituelle, brune, ni migrai
me époque elle fit une fausse couche à lasuite d'une chute - Grand'
mère
maternelle, morte à 81 ans, de vieillesse; n'a
deur. 8 septembre. - Le délire persisle toujours, il prétend que sa
mère
des- cend de Bismarck, se croit prophète destin
, mort à GO ans. Pas d'alcoolisme. Pas d'aliénés dans la famille.
Mère
. Impressionnable, eut beaucoup de chagrins pendan
s auxquelles sa fortune ne pouvait pas parer et finit par ruiner sa
mère
, montrant en toutes circonstances une incapacité
s héréditaires. - Côté maternel : Rien qui mérite d'être relevé. Sa
mère
vit encore; elle est âgée de 87 ans, elle ne trem
ous ses divers aspects. Olss. V. Mile Al... ,jeunc Busse, 1 anis. -
Mère
très nerveuse. La maladc a antérieurement joui
r Charcot, en 1878; sortie, puis entrée de nouveau en 1879 et 1884.
Mère
épileptique. Coléreuse pendant son enfance; fiè
es phases toujours croissantes d'une mélancolie presque in- sensée,
mère
pourtant de tant de pages admirables où elle a la
cédents héréditaires nous connaissons peu de choses. Son père et sa
mère
,. toutefois, ainsi que cela était d'ailleurs fréq
s étonnante, c'est qu'il ne pouvait souffrir de voir son père et sa
mère
proche l'un de l'autre. Il souffrait les caress
s ne pouvons insister davantage, que firent exécuter son père et sa
mère
. Rien de particulier à noter durant le reste de
ascendants. Le malade est le troisième d'une famille nombreuse; la
mère
a eu quatre fausses couches; six enfants sont m
t de nombreux dépôts ostcophytiques aplatis auxquels adhère la dure
mère
. Les granulations de Pacchioni ne sont pas part
ansformée eu une laine osseuse mince avec revêtement normal de dure
mère
. En avant, la lame non modifiée de l'ctlimo'ide
ofesseur Charcot. t. Antécédents héréditaires. - Père alcoolique,
mère
hystérique; cinq frères dont deux sont névropat
se griser outre mesure; travaille régulière- - mentcomme maçon. -La
mère
est morteen '187'1 ? L l'âge de vingt-huit ans. E
té paternel. ÉTUDE DES TROUBLES'TROPHIQUES DANS L'HYSTÉRIE. 261 -
Mère
très nerveuse (hystérique), morte tuberculeuse ;
soixante-huit ans de la rupture d'un anévrysme, caractère paisible.
Mère
morte il soixante-douze ans d'une hémiplégie ga
au Sénégal, et aurait des attaques d'épilcpsic depuis la mort de la
mère
survenue il y a trois ans. Antécédents personne
t difficile de me prononcer en l'absence de pesées comparatives. La
mère
m'a appris que sa fille avait eu' y a quelques
t à gauche). Le malade se rappelle bien que c'est il cet âge que sa
mère
lui fit remarquer l'attitude vicieuse de ses ép
antécédents héréditaires. Le père est bien portant, très sobre ; la
mère
n'a pas fait de fausse couche ; elle a trois enfa
; il a parlé et marché vers 12 mois. Cependant dès cette époque sa
mère
s'est aperçue qu'il était atteint d'un torticol
ate antérieure ; en effet, in- terrogée de nouveau sur ce point, la
mère
nous rapporte qu'elle n'a remarqué elle-même ce
précis de la nature de cette fièvre intense; enfin le mardi soir, la
mère
s'aper- çoit que le bras gauche de son fils est
ant eu comme maladie qu'une rougeole peu grave à l'âge de 6 ans. Sa
mère
est une ancienne choréique qui a eu depuis des cr
s d'autre cas semblable parmi les ascendants ou les collatéraux. La
mère
de la malade, avait eu d'un premier mariage, de
lique, fait le métier de gaufreur et a une ex- cellente santé. La
mère
, cartonnière, ne présente pas de symptômes de mal
14 mois. Son intelligence a suivi un développement normal. Mais la
mère
s'est aperçue que dès son tout jeune âge, la marc
c'est d'ailleurs cette similitude d'aspect qui a fait craindre à la
mère
une similitude d'affection et l'a déterminée il
était rhumatisant et a succombé à une maladie du coeur a 72 ans. Sa
mère
vit encore et souffre de douleurs (rhumatismales
n'abusait pas de boissons alcooliques et ne souffrait jamais. De sa
mère
le ma- lade ne se souvient pas ; il ne sait pas
édents. - Père, débardeur, profondément et anciennement alcoolique.
Mère
, éthylique (tremblement, cauchemars, pituite, etc
L'enfant, fille unique, est née à huit mois. Pendant la grossesse, la
mère
a fait plusieurs chutes, sans conséquences grav
me et se développa ensuite sans anomalies ; elle fut nourrie par sa
mère
. Pas de convulsions : premières dents à 2 ans,
rappé les maîtresses de l'école, qui ont plusieurs fois fait venir sa
mère
, pour en causer avec elle. Elle n'a jamais pu d
ggravation, jusqu'au moment de l'entrée de l'enfant à l'hôpital. La
mère
n'a pas remarqué que la figure ou les mains de
au du crâne ou des membres, ni de la colonne vertébrale, quoique la
mère
dise qu'un léger degré de scoliose ait été noté i
eu rapide. Pas de troubles diges- tifs ; L'appétit, au dire de la
mère
, aurait légèrement diminué. Pas de modification
pour ses parents, qui la trouvent « bien améliorée ». C'est, dit sa
mère
, « le jour et la nuit » ; actuel- lement elle r
plus développée ; l'enfant se montre caressante et joyeuse avec sa
mère
, et aimable avec ses compagnes de salle : parmi c
n'a été observé dans l'état physi- que ou mental de la fillette. La
mère
demande à reprendre avec elle son enfant, qu'el
1lle. L'intoxication est invétérée et avouée chez le père ; chez la
mère
, elle est ancienne et ma- nifeste. Le résultat
s remarquèrent la petitesse et la déformation de la main droite. Sa
mère
incrimina une vive émotion, éprouvée pendant la
re malade dans un dessein sur lequel nous n'insisterons pas ici, sa
mère
, mandée en toute hâte, arrive près d'elle, lui
'une ingénue. Des bruits malveillants sont arrivés aux oreilles de la
mère
ou du tuteur. Questionnée, la pauvrette rougit,
li de sa robe de la main gauche, et près d'elle une femme d'âge, la
mère
elle-même ou une commère du voisinage qui, unebou
toute confuse, la robe il demi-dégrafée, se tient debout, devant sa
mère
courroucée, n'osant à peine lever les yeux sur
intérieur rustique, devant un tribunal impro- visé, un père et une
mère
amènent leur jeune fille un peu confuse, mais p
e sa faute si la cruche qu'elle tient entre ses mains est fêlée. La
mère
, en effet, est furieuse, elle appelle la justic
ès nerveux, s'est suicidé de désespoir après la mort de sa femme.
Mère
morte probablement de phlébite. Ni frère, ni so
à signaler. Le père est bien portant, n'a jamais eu la syphilis. La
mère
est morte à 38 ans de cancer de l'utérus. Ils o
s, cocher, entré le 8 mai 1899. Antécédents héréditaires. - Père et
mère
bien portants, 5 frères et soeur également bien
pied coupé accidentellement, indemne de syphilis et d'alcoolisme.
Mère
âgée de 23 ans (fille-mère), bien constituée, ind
ne particularité de mécanisme, sans aucun accident. Une tante de la
mère
aurait eu, sur 6 enfants, 3 enfants auormaux ; sa
de la station assise. Reprenons l'histoire du malade. Légère et la
mère
étaient tous les deux de grands alcooliques; il
originaires de Nan-Nan province de Kiang-Se, ville de Nan.Kung. La
mère
était primipare. Elle est morte trois ans après l
celer d'anormal ni de particulier au point de vue de l'hérédité. La
mère
a allaité les enfants pendant deux ans et demi.
ème assez prononcé vers la fin de ses jours. Il ne buvait pas. La
mère
mourut également d'érysipèle, très âgée, elle ava
néral dans les deux familles. On n'y si- gnale pas de jumeaux. La
mère
de notre malade semble avoir eu une grossesse nor
le a eu elle-même 5 enfants, tous normalement constitués comme leur
mère
. A l'âge de 53 ans, à la suite de métrorrhagies
itement. Il n'en est pas de même du côté maternel. Un oncle de sa
mère
, berger de son état, avait des troubles de la mar
? Ce grand'oncle était, comme le malade, eunuchoïde. Un frère de sa
mère
avait la même tare, il était employé aux travaux
camarades le plaisantaient souvent en public sur son infirmité. La
mère
du malade était blanchisseuse, elle était bien co
illeurs se reproduire dans tous les cas et la méningite de la dure-
mère
ne se poursuit, ni sur la capsule du ganglion, ni
s craintes d'em- poisonnement de la part de sa belle-soeur et de sa
mère
qu'il voulut même une fois frapper avec une hac
is, âgé de 27 ans, entré à l'hospice de Bicêtre le 10 mars 1893. La
mère
de ce malade a été internée pendant huit mois à l
de Médecine, mai 1901. 350 LAUlYOIS ET ROY taires tuberculeux (
mère
et deux frères morts de tuberculose pulmonaire),
malade nous apprend que son père est vivant et bien portant, que sa
mère
est morte de tuberculose en 1880, à l'âge de tren
vendu ce misérable corps, pour envoyer l'argent à mon père et à ma
mère
; aujourd'hui, ils sont morts; et cependant, je
héréditaires. - Grand-père paternel paralysé à 50 ans. Père 73 ans,
mère
5 ans, deux soeurs 30 et 35 ans, tous bien portan
es mains sur son dos ; une autre femme, probablement l'épouse ou la
mère
du malade, est assise au pied du lit, repliée s
es antécédents héréditaires ou personnels. On sait seulement que la
mère
, qui accoucha la Charité, ne présentait pas de sp
me, les signes histologiques d'une inflammation subaiguë de la pie-
mère
et des couches superficielles du cortex sont évid
dies nerveuses le 13 octobre 1898. Son père est mort à 87 ans et sa
mère
à 80. On ne peut obtenir beaucoup de renseignem
ardiaque ou pulmonaire ; il était petit (1 m. 54). Nous avons vu sa
mère
, ancienne balayeuse, âgée ac- tuellement de 53
été contrôlés à domicile auprès d'autres membres de la famille : la
mère
, le frère ainé. Ce cas est bien fait pour rendre
estant invisibles, égarent les bêtes (1) Ecoute-donc. (2) Vieille
mère
. (3) Vieux morceau de chiffon. xv 88 586 DU
» Pas d'antécédents alcooliques ou syphilitiques. Elle est mariée,
mère
d'une fille bien portante. Pas de fausse couche
e incriminée, mais dont l'hérédité vésanique était très chargée. La
mère
et la tante mater- nelle étaient aliénées. M.
M. le professeur Teissier. Antécédents héréditaires. Son père et sa
mère
sont bien por- tants. Six frères et soeurs en b
à l'ouverture de la boite crânienne, pas de lésion osseuse; la dure
mère
est un peu conges- tionnée. Elle est sectionnée
une paire de ciseaux. on parvient facilement aies séparer de la pie
mère
, à les énucléer. Ils apparaissent alors ratta-
ditaires. Son père est mort à quarante-cinq ans d'une pleurésie. Sa
mère
âgée de soixante-sept ans est bien portante. El
ères et deux soeurs en bonne santé. Une de ses soeurs est mariée et
mère
de 4 enfants bien portants. Il ne parait avoir
l'âge de seize ans pour un accès de mélancolie. Au contraire, la
mère
est une personne très bien portante et parfaiteme
égion lombaire. L'expert n'avait pas retourné le cadavre. Une fille
mère
, étant allée chercher son enfant en nourrice, l
Dans l'intestin se trouvaient des baies toxiques du taminier que la
mère
avait données à son enfant le long de la route.
nfant le long de la route. , Une jeune fille, suspectée d'être la
mère
d'un nouveau-né dont on vient de trouver le cad
es inconscients. Embarras de la parole, habitudes alcooliques. » La
mère
est morte après une paralysie de dix ans. Syphi
a été confié à nos soins en 1897. Antécédents héréditaires. Père et
mère
ayant toujours été bien portants, et morts entr
portants; 2° une fille bien portante ressemblant physiquement à sa
mère
et à son frère, le malade dont il s'agit; elle a
mé, il ne ressemblait en aucune façon à son frère jumeau, mais à sa
mère
et à sa soeur; 4° un dernier fils bien portant,
cependant donné deux enfants : 1° une fille, actuellement mariée et
mère
de famille; 2° un fils, mort quelques jours apr
basé sur l'observation d'une malade de trente-sept ans, issue d'une
mère
hystérique, qui a perdu son enfant il y a trois
x ans plus tard, a succombé aux convulsions à t'àge de six mois. La
mère
est morte d'accidents puerpéraux en accou- chan
ales. Pendant la période où ils ont eu leurs enfants, le père et la
mère
n'ont eu aucune maladie infectieuse reconnue, n
eux, puis disparaissent aussi subitement qu'ils étaient apparus. Sa
mère
est d'autant plus inquiète de ces accès qu'une
recherches qu'elle avait repoussées avec une sorte d'horreur, et sa
mère
avait renoncé à lui communiquer celles qui se pro
i communiquer celles qui se produisirent plus tard. On verra que sa
mère
était bien disposée à ne pas con- trarier ses s
t plus lui inspirer que du dégoût, qu'elle ne la reverrait plus. La
mère
, qui surveillait l'insomnie et l'absence d'alim
es plus, tard, on la retrouvait morte dans un puits abandonné. La
mère
ne connaissait à sa fille morte pas plus qu'à sa
inte de rhumatisme chronique depuis l'âge de quarante- huit ans; la
mère
est morte d'un cancer utérin, à cinquante-cinq
ailleurs se sentait humiliée de ne pas se marier, de ne pas devenir
mère
de famille, bien que la maternité lui inspirât un
qu'elle les a toujonrs et en toutes circonstances traités en bonne
mère
; mais eltj prétend qu'elle n'a jamais éprouvé l
fant elle a été moins affectée que par la mort de son père ou de sa
mère
; elle souffre autant de n'être pas une mère com
rt de son père ou de sa mère; elle souffre autant de n'être pas une
mère
comme les autres que de n'être pas une femme co
a conscience d'une anomalie sexuelle est très évidente chez cette
mère
; elle souffre de n'ôtre pas comme les autres f
e hérédité similaire. Mais ce qui n'est pas douteux c'est que cette
mère
invertie a donné naissance à une fille qui a su
écédée le 30 juin 189. Antécédents (renseignements fournis par la
mère
de l'enfant, le 15 décembre 1893). Père, peintr
ne santé habituelle, il est cependant sujet à des accès de goutte ?
Mère
, cinquante-six ans, jouit d'une bonne santé gén
membres de cette famille ont plutôt en général la tète petite. -
Mère
, trente-deux ans couturière, est une femme brune
inq mois. Il était sanguin, puissant, calme et nulle- ment nerveux.
Mère
, morte à quarante-sept ans, probablement d'une
à la campagne, il élait fort et de bonne santé ordinaire. Grand'-
mère
maternelle, morte à soixante-et onze ans, coléreu
mpoisonnement par des moules, dont son mari fut victime. Quant à la
mère
, elle perdit con- naissance, le médecin parla d
vomissement. Depuis l'on n'en observa que trois ou quatre, mais la
mère
pense que beaucoup passaient inaperçues, les mo
quelques progrès, grâce à l'éducation qu'essayait de lui donner sa
mère
. La mort du père mit un terme aux soins mater-
er- nels et les progrès cessèrent. L'enfant est affectueuse pour sa
mère
Elle mord et grince parfois des dents, mais est
Ordinairement triste, l'enfanta des moments de gaité, reconnaitsa
mère
etses soeurs, est caressaute. Tics : elle balance
CQUISE. 295 La surveillante prétend qu'elle reconnaît la voix de sa
mère
. Intel- ligeuce, paroles nulles. Accès de suffo
uche. III. Fille de sept ans, idiote, microcéphalie, dystocie de la
mère
, une attaque convulsive à quatre ans. Pas de si
cularité intéressante de l'observation consiste dans ce fait que la
mère
du malade fut elle aussi atteinte de spasmes du
n maintenant son accusation, elle dit qu'elle a aussi vu en rêve sa
mère
avoir des rapports avec ce même instituteur. Ma
rs de ses affaires. Il continue de plus d'écrire régulièrement à sa
mère
des lettres dans lesquelles il fait part de son
res écrites et lorsqu'on mit sous ses yeux les lettres écrites à sa
mère
, il en critiqua de suite les fautes d'ortho- gr
ue qu'elle a été atteinte de crises'à forme hystéro-épiteptique. Sa
mère
a été alié- née ; c'est le seul renseignement p
s. L'aine des enfants a déclaré au commissaire que pour défendre sa
mère
il avait jeté son sabot à la tète de son père qui
. Dans la tumeur principale et dans ses généralisations à la pie-
mère
(au niveau de la douzième dorsale, par exemple),
à la queue de cheval ou cette petite tumeur végétante sur la pic-
mère
, entre la huitième et la neuvième dorsale, on est
as de la posséder. » (Contagion de la possession diabolique de la
mère
au fils.) Chez une malade de Griesinger ' se fo
un cas rare. Nombreux sont les cas où, après incision de la dure-
mère
au niveau de la cicatrice superficielle, on ne tr
échaud ayant contenu du charbon de bois. Nul soin ne put ranimer la
mère
et les enfants. VARIA. SI9 Ce fait démontre u
lle âgée de trois ans. Quand son mari fut parti pour les champs, la
mère
saisi un Lefaucheux, le chargea de deux cartouc
) Suicide d'un enfant. la suite de reproches que lui adressait sa
mère
, le jeune Eugène Pierre, âgé de onze ans, demeura
e-AII)ert, était l'ob- jet d'une réprimande sévère de la part de sa
mère
. Aussitôt le galopin se rendit au quai Montebet
dée obsédante tend parfois à un acte épouvantable ; elle pousse une
mère
au meurtre de son enfant. La conscience reste d
de, il s'agit d'une femme originaire de l'île de Ré, née de père et
mère
alcooliques. Alcoolique elle-même, elle buvait
dée comme cela ! La jeune criminelle issue d'un père arabe et d'une
mère
espa- gnole, est le vice incarné; on devait mêm
« A Sa lllnjcstait Eugénie, Impératrice des Français, « ila chère
mère
, ci Chislehlll'st; « Ma chère mère, - a Je vi
rice des Français, « ila chère mère, ci Chislehlll'st; « Ma chère
mère
, - a Je viens vous apprendre l'heureuse nouvell
mon malheur, j'ai appris par la voix des journaux que ma très chère
mère
a constaté ma mort, et pour ne pas la compromet
e 12 octobre pour venir à Paris. Enfin, maintenant, ma très chère
mère
, je souffre le marlxre- de ne pas vous voir, car
de penser à vous, et qui vous aime. « J'ose espérer, ma très chère
mère
que vous accepterez celle lettre de bon accueil
gé : « Jules P..., 5, rue...., Paris. « Maintenant, ma très chère
mère
, si vous voulez venir à mon aide, ici de me dir
s savoir si ma lettre, adressée par moi à l'impératrice Eugénie, ma
mère
, est bien parvenue à destination. Je n'ai reçu
uérir et connaissait beau- coup de recettes contre les maladies. La
mère
, cinquante-huit ans, très émotive, grande faibl
smales. Il mourut d'hémorragie céré- brale à soixante et un ans. Sa
mère
était parfaitement équili- brée, et mourut de p
e se développer de plus en plus par extension progressive de l'idée
mère
; mais il ne perd rien de sa physionomie pre- mi
amille, il entendit le dialogue suivant entre l'aîné des B... et sa
mère
: « Qu'avez-vous fait de ses papiers » Ce à quo
B... et sa mère : « Qu'avez-vous fait de ses papiers » Ce à quoi la
mère
répondit qu'elle les croyait plus en sûreté che
plus en sûreté chez M. le Curé. Le frère aîné répondit alors : «
Mère
, vous avez fait son malheur. » « J'étais loin d
t à les posséder l'avaient fait disparaître, pour les obtenir de la
mère
. » Déjà les paroles aimables des uns, les salut
regardait de travers, mais ce qui le frappa le plus fut ce que sa
mère
lui raconta au sujet de la vie de sou grand-père.
font prendre, par exemple, certains malades de son quartier pour sa
mère
; lui-même doute de son sexe. Les idées de per
98. « A la personne appelée Keraval, « Quand je demeurais avec ma
mère
, à M..., j'ai entendu des voix, et, ensuite, ay
umatisante, son grand-père paternel est mort jeune par accident. Sa
mère
est très nerveuse, elle a eu des attaques de ne
et bien portante. Lui-même était bien conformé quand il est né. Sa
mère
avait eu une frayeur pendant sa grossesse, mais
TS. quelle, faute des renseignements précis fournis depuis par la
mère
, il a fallu discuter certaines hypothèses. Chen
iques a embarrassé un moment, mais les renseignements donnés par la
mère
ont appris qu'ils avaient existé pendant toute
aint-Pierre. Antécédents héréditaires. - Père mort à cinquante ans,
mère
à quarante-cinq ans. Trois frères et une soeur
incte. Georges L : ..., vingt-huit ans. bijoutier. Père alcoolique,
mère
morte de diabète. Le malade se disait toujours
le. Voici l'histoire du malade : T... est un dégénéré, fils d'une
mère
nerveuse dont la soeur est hystérique il présen
nte alors au commissaire sa triste odyssée. Sur les instances de la
mère
mandée au commissariat, T... est laissé libre,
naire spasmodique pendant le coït. M. Paul Fanez. Une femme mariée,
mère
de famille, âgée de 30 ans, laisse échapper inc
homme entendit un coup de feu dans la maison. Il y courut et vit sa
mère
couverte de sang qui tomba comme une masse. « E
de boisson, mais jamais il n'avait présenté de troubles mentaux. La
mère
, décédée par suite d'une affection cardiaque, a
uite de chagrins après avoir présenté quelques troubles mentaux. La
mère
et les six frères ou soeurs sont bien poi tants.
de son frère, sur le reçu d'une lettre anonyme injurieuse pour sa
mère
et sa soeur, tua son futur beau-frère. Quelque te
. - Deux cas de paralysies bizarres : . P... présente deux malades (
mère
et fils) qui furent atteints simultanément à la
es symptômes bulbaires, les phénomènes commencent à s'améliorer. La
mère
présenta à peu près les mêmes symptômes morbide
. L'autopsie révéla la présence d'un énorme cysticerque sous la pie
mère
médullaire, au niveau de la région dorsale de l
fant a été retrouvé dans le canal, exactement au même endroit où sa
mère
s'était suicidée il y a environ un an. On s'est
y a environ un an. On s'est souvenu alors que, depuis la mort de sa
mère
, Adolphe Loth 346 VARIA. avait déclaré plusie
346 VARIA. avait déclaré plusieurs fois qu'il irait « retrouver sa
mère
en mou- rant comme elle ». Il paraitrait même q
tait rendu au cimetière et avait prié un instant sur la tombe de sa
mère
. » - Un enfant de quatorze ans, le jeune Léon G
auver. A la suite d'une réprimande qui lui avait été faite par sa
mère
, le jeune Louis Auguié, âgé de douze ans, habitan
re, voulut étrangler sa femme. Son fils Jules, seize ans, voyant sa
mère
en danger, tua son père d'un coup de couteau. 1
n enfant imbécile, âgé de huit ans, fils d'un père ivrogne et d'une
mère
débauchée, a mis le feu, en août, à une meule d
liquide céphalo-rachidien recueilli par ponction à travers la dure-
mère
rachidienne préalablement cautérisée. Les tubes e
coolique invétéré, coléreux et batailleur, est mort tuberculeux. Sa
mère
, une brave femme, vit et se porte bien ; elle s
380 CLINIQUE MENTALE. Père alcoolique, mort; s'enivrait souvent.
Mère
morte; pas de renseignements. Deux frères et tr
resque en démence, alcoolique, boit du rhum tous les matins à jeun.
Mère
morte d'une affection cérébrale, encépha- lite
in un verre de rhum. Mais depuis le commencement de 1897, voyant sa
mère
souffrante et son père incapable de travailler,
éditaires. Père alcoolique fieffé, mort en prison; arrêté pour vol.
Mère
morte également, pas de renseignements sur la c
nerveuse. Pas d'autres renseignements sur la famille paternelle.
Mère
« névropathe des plus accentuées », sans cependan
e en présence d'une perte de mémoire, puisqne, d'après sa grand'-
mère
, en juillet 1897 Gabriel aurait pu subir avec suc
vons eu l'occasion de recevoir de ses nouvelles soit par sa grand'-
mère
paternelle avec laquelle il habite, soit par le m
hallucinations de l'ouïe et croyait qu'on allait le guillotiner. Sa
mère
, décédée encore jeune, avait des crises convuls
ve sur laquelle il monte et qu'il conduit. Son père, ses frères, sa
mère
, ses oncles, morts depuis longtemps, ressuscitent
était qu'une névrose traumatique. Les commémoratifs révèlent que sa
mère
pendant qu'elle était pleine de lui, avait eu u
comme cela ! » La jeune criminelle, issue d'un père arabe et d'une
mère
espagnole, est le vice incarné ; on devait même l
chappa à cette surveillance, sortit et se rendit chez l1-11 Boudon,
mère
, 9, rue Saint-Denis. Celle-ci était dans le bur
nter la relation d’une guérison d’ophthalmie chronique opérée par une
mère
sur son enfant, à l’aide du magnétisme. Le 10 j
années. J’allai voir cette enfant dans l’espoir de foire agréer à la
mère
mes conseils et l’application des moyens curatifs
ent tellement enflammées que les yeux paraissaient pleins de sang; la
mère
me déclara que cet état durait depuis plus de deu
nflammation, il fallut garder constamment le bandeau sur les yeux. La
mère
, bien affligée de celte rechute, l’amena à Paris
lui dit de patienter jusqu’à l’époque de la menstruation. La pauvre
mère
, très-affectée par les deux consultations, ne cro
is. Je l’ai vue le 8 de ce mois et en ai éprouvé unegrande joie; la
mère
est on ne peut plus heureuse et m’a manifesté tou
ar la curiosité des voisins surpris d’un aussi étonnant résultat. Une
mère
de famille ayant urt enfant de 5 ans affligé depu
pareille à celle de la petite Barrot, a été guéri en 15 jours par sa
mère
, à laquelle Mmc Barrot a enseigné les procédés qu
s fait part de mon projet à personne. Le lendemain de mon arrivée, ma
mère
se rendit chez la femme Cheyroux, qui était endor
la femme Cheyroux, qui était endormie en cet instant. Au moment où ma
mère
ouvrait la porte, la somnambule lui dit : Eh bien
étaient des plus violentes sur le premier sujet, M",c R. D..., jeune
mère
de 22 ans, qui depuis 2 années avait épuisé tou
ondément sur une chaise; saisissant celle occasion pour convaincre sa
mère
, je lui fisquelqucs passes sur le tronc. Au bout
aisants, la physiologie de la Mère de Somnambule, à l’imitation de la
Mère
d’actrice : digne parallèle ! — Le feuilleton d
ra le même ordre de placement comme dans la matinée ; excepté que les
mères
qui nourrissent des enfants occu» peront la pre
sique, dans les exercices gymnastiques, accompagnée de leurs pères et
mères
se rendront à la ville désignée pour la fête. A
lace destinée aux jeux publiques de la jeunesse du département. Les
mères
nourrices, avec leurs nourrissons, occuperont, co
ma lettre sur son cœur, parce qu’ayant soulagé les maux de madame sa
mère
, je lui en parlois avec un véritable intérét; mai
l était couché dans son berceau et sommeillait assez paisiblement. Sa
mère
était debout auprès de moi, me regardant opérer.
sur l’estomac de l’enfant, je plaçai ma main sur son épigastre, la
mère
éprouva la sensation «l’une pression exercée sur
centre épigastrique où des désordres graves paraissaient exister, la
mère
éprouve un tel effet, que nous la voyons fléchir,
quoique les yeux fussent toujours fermés, toutes les angoisses de sa
mère
. Il éprouve en outre des éructations, une sorte d
n outre des éructations, une sorte de hoquet, bientôt partagés par la
mère
qui n’en éprouvait nul symptôme auparavant. Je fi
tes; au moment où je magnétisais l’estomac du petit malade, sa pauvre
mère
le sentit et éprouva les mêmes effets que la veil
on ait coupé, lorsqu’il vint au monde, le cordon qui le retenait à la
mère
; une chaîne invisible à nos yeux existe encore, e
reuve de ce rapport intime au premier cri de l’enfant qui réveille la
mère
endormie, à ce sein qui se gonfle lorsque 1 enfan
qui se gonfle lorsque 1 enfant réclame son aliment; qu’importe que la
mère
soit éloignée de son rejeton, elle sent ses besoi
eilla le magnétisme, qu’il avait jugé utile dès le premier examen. La
mère
du petit malade essaya longtemps, m’a-t-on dit, m
l’asseoir : il avait passé sa vie ou couché, 011 dans les bras de sa
mère
ou de sa bonne. Il se servait très-mal de la main
aux rhumes, fièvres et une foule d’autres indispositions..... Sa
mère
n’ayant rien obtenu de la magnétisation, et le pè
onfiance nécessaire, j’ai cessé mes soins, en engageant le père et la
mère
à lui donner les leurs, puisqu’ils ont dans leurs
uant point, malgré les soins du médecin qui venait tous les jours, la
mère
du petit malade me pria de faire un essai. L’œil
distance, et l'enfant ne tarda pas à en être affecté, au point que sa
mère
dût le contenir. Je cessai après un quart d'heure
— Quelques jours après, une petite séance eut un égal succès sur la
mère
de ce petit malade, à l’occasion de douleurs lanc
ection que, jusque-là probablement, il n’avait encore montrée qu’à sa
mère
. Ceci est à la lettre, et, quelque invraisemblabl
amille. Cette femme, après avoir été prévenue, me fut amenée par sa
mère
. Voici dans |uel état elle se trouvait alors. Agé
xigeait, ce dont elle se montra très-reconnaissante. Le lendemain, sa
mère
vint seule m’annoncer que sa fille avait été forc
e.— Fait d’action magnétique réfléchie, ou influence réciproque d’une
mère
sur son enfant, 296. T. Théâtres.—Introductio
me fut amenée au mois de février 1847 ; elle était accompagnée de sa
mère
, sa sœur et son frère, qui me priaient de vouloir
le mélange avec partie égale d’alcool, et on a une teinture appelée
mère
, parce qu’elle va servir à faire colles qui peuve
gt-dix-neuf gouttes d’alcool 011 y ajoute une goutte de la teinture
mère
, et on a la première dilution ou atténuation. Pou
première dilution, c est-a-dire un centième de goutte de la teinture
mère
. La troisième, une goutte de la deuxième dans q
ent, les homœopathes font prendre une dilution voisine de la teinture
mère
, et, beaucoup, celle-ci même. Four expliquer cett
s plus fortes pour l’impressionner. D'accord, mais pour les teintures
mères
, il n’y faut pas penser, parce que ce sont des mé
puisque pour agir sur l'homme sain il vous faut revenir aux teintures
mères
et recourir à une explication de pure théorie pou
l’homme. Mesmer avait donc pour lui l’apparence au moins d'une vérité
mère
, d’un principe élémentaire. Mesmer indiqua des
titutions anti-humanitaires. On jugera alors si la nature a été bonne
mère
ou marâtre; car bien des philosophes ont soutenu
idées homicides relatives à mon père, d’idées obscènes relatives à ma
mère
, à mes sœurs; j’ai été accablé d’idées calomnieus
des exécrations si horribles et si fréquents contre Dieu et sa sainte
Mère
, qu’il était impossible de les ouïr sans frayeur,
pour nous. Vous avez été appelé en désespoir de cause; ce père, cette
mère
, désolés, vous supplient de ne rien épargner pour
ait sentir, l’enfant porte naturellement sa bouche vers le sèin de sa
mère
, et se livre à l’acte de nutrition d’un véritab
a mort de leurs parents par un sentiment étrange d’anxiété. «Feu ma
mère
, dit Gaffarel (Curios. inoui., p. 60 ), avait un
N° 3. Souques et GASNE (3). Homme, 23 ans, maçon. Père alcoolique,
mère
nerveuse. A 21 ans, vient à Paris après avoir tou
lcoolique, d'a- près les renseignements fournis par un voisin. La
mère
bien portante, habituellement, est âgée de 54 ans
gée de 15 ans est bien portante. Pendant la grossesse du malade, la
mère
n'a eu aucune affection pathologi- que, à part
de notre malade vieillie de nombreuses années ou le portrait de sa
mère
. Ces deux faces sont assez nettement délimitées
n de nous par MM. Peyrot et Le Lorier. Antécédents familiaux.- Sa
mère
, morte à 55 ans, était nerveuse. Un des frères
e à la main gauche l'énorme médius figuré ci-dessous ; longtemps la
mère
s'est refusée à laisser amputer le doigt, mais la
sains » ; on n'a gardé le souvenir d'aucun « géant ». Le père et la
mère
n'étaient pas consanguins; ils ont d'autres enfan
pendant la grossesse : un gros doigt tuméfié par un panaris, que la
mère
aurait vu avec effroi dans les derniers mois.
es, et fusionnée sur un espace de quelques centimètres avec la dure
mère
, nous la croyons en relation directe avec la lé
es formes aiguès, des méningites par simple infiltration de la pie-
mère
. L'épaississement des méninges, l'infiltration de
de maladies antérieures. Pas d'alcoolisme. Pas d'accidents nerveux.
Mère
morte à 62 ans d'une affection cardiaque qu'ell
es troubles de la sensibilité, nerveux aussi par ses antécédents ; sa
mère
avait de fortes migraines ; deux de ses frères
ère. La seconde, âgée de la ans, issue d'un père tabétique et d'une
mère
ayant accouché avant terme d'un foetus macéré,
maison d'aliénés de paralysie générale d'origine syphilitique ; la
mère
contaminée conju- galement est atteinte de tabe
, ni alopécie, ni adénopathie, ni céphalée. Nourri au sein par sa
mère
, jusqu'à l'âge de 18 mois, il eut, étant en nour-
s est depuis longtemps presque aveugle ; c'est un ancien soldat; la
mère
a suc- combé à des accès d'asthme. La descendan
nt tuber- culeux, était bien portant au moment de sa conception. Sa
mère
, morte depuis peu d'une cirrhose du foie, faisa
constituées. La grossesse s'est passée sans accident, cependant la
mère
aurait essayé de l'interrompre en absorbant de
, à surface brillante, sauf, bien entendu, dans la zone où la dure-
mère
était adhérente. La. consistance du cylindre ne
. XLI1). Dans sa famille, ni du côté de son père, ni de celui de sa
mère
il n'y eut de maladies mentales ni de maladies
é- senta une taille exceptionnelle. Tous sont de taille moyenne. Sa
mère
souf- fre d'une légère névrose qui ne date que
5 ans et il en reste généralement vainqueur. Il n'obéit jamais à sa
mère
et toujours il faut céder à sa volonté ; il Lâche
leure,- crie, se jette par terre et bouscule tout le monde, même sa
mère
, que d'ailleurs il aime fort. Il ne se souvient q
orsque le temps qu'elle devait accoucher fut arrivé, elle se trouva
mère
de deux enfants ju- meaux..... Celui sorti le p
tistes ont choisi le moment où l'accouchement est déjà terminé ; la
mère
repose dans son lit, entourée de femmes ou de ser
heur qu'il devait ressentir tout particulièrement, parla mort de sa
mère
: son caractère l'avait attaché d'une manière par
mère : son caractère l'avait attaché d'une manière particulière à sa
mère
SPASMES ET TREMBLEMENT CHEZ DES PSYCHASTHÉNIQUE
sophobie. Au milieu de tout cela, quelque temps après la mort de sa
mère
, le tremblement s'est développé, faut-il dire q
et une tante paternels émotifs, à caractère violent, très emportés.
Mère
bien portante, ne serait pas nerveuse, n'a pas
résence et, le soir, devant un miroir et sous la surveillance de la
mère
du jeune homme ; elles ont été faites dans les
édecin qui assiste à ses exercices journaliers, et chez lui par une
mère
dont l'état mental est ab- solument sain, puisq
RY MEIGE ET E. FEINDEL. Une jeune fille de 18 ans fut amenée par sa
mère
à la consultation de M. le professeur Brissaud,
e encore à faire comprendre qu'elle a compris. Elle raisonne dit sa
mère
, avec assez de justesse, appréciation sujette à c
e élancée, de figure normale. Ils ont tous marché un peu tard. Sa
mère
aurait été réglée tardivement, et se serait dével
sans embonpoint et très active. Une tante de la malade, soeur de sa
mère
, aurait été également petite, épaisse, lente à
rents. En somme, la jeune fille n'aurait de ressemblance qu'avec sa
mère
et sa tante, au temps de leur première jeunesse
turellement prescrit, mais la malade n'ayant pas été ramenée par sa
mère
à l'Hôtel-Dieu, nous ne savons quel en fut le r
n bien différente. Nous avons eu l'occasion d'interroger sa vieille
mère
, qui est encore vivante. Elle nous conte que so
ccentuée au niveau de la région cervicale. Les vaisseaux de la pie-
mère
sont souvent infiltrés et épaissis. En certains p
était un ivrogne et est mort jeune, probablement de tuberculose; sa
mère
jouissait d'une bonne santé et a vécu jusqu'à 9
irrégulières. Il y a trente ans, il s'évanouit en apprenant que sa
mère
était atteinte de la variole. Étant étudiant,
te, sa mémoire était bonne. Son père mourut de la tuberculose et sa
mère
après une attaque d'apoplexie. L'examen me lit
54 ans, employé, célibataire, dont le père mourut de marasme et la
mère
de pneumonie. De quatre frères et soeurs, trois v
les fonctions de jardinier, puis d'infirmier. Père bien portant,
mère
atteinte de coliques hépatiques ; quatre frères o
rouveraient un sujet d'utiles méditations sur leur prochain rôle de
mères
de famille. Interrogez, en effet, quelque lazza
dans le peuple, c'est encore de cette façon un peu brutale, que les
mères
assurent la lranquil- .lité de leurs enfants.
écameron négli- gent d'entretenir leurs seigneurs des soins que les
mères
ont à donner à leurs enfants, les peintres cont
son enfant : on ne peut pas imaginer une femme plus vierge, ni plus
mère
. L'enfant, qui dans le Temple, est en simple ma
e de vous l'annoncer et en même temps de le recommander à votre chère
mère
pour ses douleurs. > I.e 11" ?> est une d
ble d’écarté, et le presse de faire atteler parce qu’elle avait vu sa
mère
étendue à terre, dans son salon de Tarare, et liv
e de Lille, n° 17, et tous les mercredis, de deux à quatre heures, sa
mère
s’y rendait avec elle. Je choisis donc ce jour là
seraient encore là pour une heure. « Dans quel état trouvez-vous la
mère
? « — Elle est bien satisfaite... Mais elle a de
tée cachée, la jeune fille peut encore devenir par la suite une bonne
mère
de famille... Avec vos somnambules, qu’arriverait
art qui peut vous nuire, vous êtes coupables à nos yeux autant que la
mère
qui étoufTe son enfant. Je voudrais revenir sur
que m’adressait une religieuse d’un des monastères de Paris, dont la
mère
est dangereusement malade, au point que les médec
yant aujourd’hui que la médecine est impuissante à soulager sa tendre
mère
, elle écrit à une de ses soeurs pour avoir l’adre
la partie souffrante..... Au bout de quelques instants cette pauvre
mère
put me dire combien cela la soulageait.... et qu’
s passes transversales, cela réussit parfaitement; et voilà la pauvre
mère
qui ouvre les yeux petit à petit, et qui tout éto
se aux pères de famille à juger quelle dut être notre inquiétude à sa
mère
et à moi. Le 29 et le 30, nous épuisâmes pour le
le répondit que lui-même avait raconté qu’ayantperdu son père et sa
mère
, il avait été obligé de quitter la maison qu’ils
e eu un accès de convulsions? Elle n’en sait rien. Elle me dit, et sa
mère
confirme son dire, que, dans le temps, elle tomba
ve sinapisé. A cinq heures du soir, je la magnétise en présence de sa
mère
. A ma question, que je lui adresse en allemand, c
cs parents, car leur inquiétude influence le somnambule ; renvoyez ma
mère
. » Quand la mère fut sortie, elle reprit en all
r inquiétude influence le somnambule ; renvoyez ma mère. » Quand la
mère
fut sortie, elle reprit en allemand : « Ma mala
e à droite, le coma et la céphalalgie persistent. Sur la demande delà
mère
, je magnétise la malade. Elle me dit qu’elle ne v
Mm Perrin était accompagnée de deux autres dames, dont l’une était sa
mère
; qu’elles donnèrent successivement la main à la
son tour, rompre une lance contre l’épouvantail traditionnel de cette
mère
indulgente qui l’a comblé de tant de faveurs. Et
succès pendant dix-huit mois par des médecins spéciaux. M“' W.,..,
mère
de cet enfant, en désespoir de cause, s’adressa a
l’enfant eut au contraire un sommeil paisible, et lorsqu’au matin, la
mère
voulut lui donner à téter, il prit bien le sein,
terminé par le magnétisme que l’enfant avait puisé dans le lait de sa
mère
, dura vingt-quatre heures. Cette observation, c
comme moyen de diagnostic pour mettre en évidence, dans le sein de la
mère
, l’existence d’un fœtus moribond. Le fait suiva
us comme un corps étranger qui pouvait compromettre l’existence de la
mère
. Avant d’en venir au moyen extrême qui avait ét
état de chose, j’employai le magnétisme, autant dans l'intérêt de la
mère
que dans celui de l’enfant. Une : ain appliquée s
es mouvements du fœtus, au point de les rendre très-sensibles pour la
mère
et pour moi. Pendant dix minutes que ma main rest
firent sentir une douzaine de fois, et ramenèrent dans le cœur de la
mère
l'espérance qu’elle avait perdue. Le stéthoscop
’on examine leurs rapporta, et l’on verra qu’il y a, de la part de la
mère
ou de la nourrice, une action magnétique incessan
d et les caresses, — passes magnétiques qu’exécute naturellement la
mère
. Que l’enfant qui commence à parler se heurte,
ésente en pleurant son Iront ou sa main souffrante. — « Tiens, dit la
mère
, en prenant la main entre les siennes avec des
nstincts terriers primitifs. Mais si cet exemple d’instinct chez la
mère
est remarquable et concluant, il en est un autre
on. Impressionnable comme il l’est, et en contact si intime avec sa
mère
que, pendant l’allaitement l’enfant lui semble at
ant est immédiatement affecté de tout ce qui impressionne vivement la
mère
. Voilà ce que nous apprendrait l’étude, ce que no
ce que nous montre l’observation; voilà ce que l’instinct révèle aux
mères
qui sont réellement dignes de ce nom. — Voyez cet
révèle aux mères qui sont réellement dignes de ce nom. — Voyez cette
mère
accablée de chagrins, rongée de soucis d’autant p
’une tendre passion pour une amante, — avec des idées chastes par une
mère
, —ou avec un sincère abandon par une amie. En q
à Esaii son droit d’aînesse, se donne de peine, de complicité avec sa
mère
, pour escroquer la bénédiction pa- Le prince do
'eux ; et nous avons noté, comme un principe dicté par la nature à la
mère
, qu’il faut se mettre, par un effort de la volont
lique pas à l’instruction. L’instinct que nousavions signaléchez la
mère
pendant l’allaitement qui lui fait trouver la for
ux qui ont un enfant. 11 semble que les précautions physiques dont la
mère
entoure sa grossesse, le couple les prend au mora
n mot, vous sentez-vous pour eux à la fois l’amour d’un père et d’une
mère
, ou, ce qui est la même chose, vous sentez-vous p
père dit à un de scs serviteurs : Prenez cet enfant, et menez-le à sa
mère
. f 20. « Il le prit et le porta à sa mère ; et
enfant, et menez-le à sa mère. f 20. « Il le prit et le porta à sa
mère
; et elle, l’ayant tenu sur ses genoux jusqu'il m
int! et mettez mon bâton sur le visage de l'enfant. f ÎO. « Mais la
mère
do l’enfant dit à Eliséo : Je vous jure par le Se
s’agit d’une dame Flowerday, âgée de 30 ans, mariée, depuis neuf ans,
mère
*ie quatre cillants. Depuis la nais San ce du der
nerveux, ne se maintint qu’à l’aide des soins les plus dévoués de sa
mère
; encore sa constitution resta-t-elle entachée du
ns qui ne manquent pas d’entourer les malades finirent par décider la
mère
de mon jeune client à recourir à la pratique du
omplète; il recouvra l’intelligence, la mémoire et l’ouïe ; lui et sa
mère
nous ont adressé les plus vifs remercîments. »
doigts d’une jeune fille de dix-sept ans, près de son père eide sa
mère
) n’est-il pas très-surprenant? Il renferme une pr
es mains s’annonçant comme étant celles de nos frères, sœurs, pères ,
mères
et autres parents décédés , ont saisi nos mains,
émoire la majeure partie de cet entretien. Le matin, il fit part à sa
mère
de ce qui lui était arrivé , et il se figura que
formidable insurrection de l(>/i I le força de se réfugier avec sa
mère
en Angleterre ; puis il retourna en Irlande penda
ps « que la vie m’était à charge, mais surtout depuis la mort « de ta
mère
; il me restait ii remplir sur terre un devoir «
de soeurs plus âgées qu'elle, mariées longtemps avant elle et d'une
mère
au caractère sec avec qui elle ne sympathisait pa
ette fois, à certains détails, il reconnut formellement celle de sa
mère
à lui, morte depuis quelques années. Ce fut un no
sa conviction, et qui se plaisait à consulter aussi l'esprit de sa
mère
. Cette hallucination était calmante, modéra- tr
cialités médianimiques ». M. Schtein ne demandait qu'à consulter sa
mère
, Cam... aimait entendre celle-ci louer sa « hau
telligent mais nerveux, est mort depuis longtemps. La famille de sa
mère
compte plusieurs aliénés. Ses soeurs sont très
bservation de folie en partie double évoluant simultanément chez la
mère
et la fille. Il s'agit d'un délire polymorphe a
iques et de persécution, développé chez la fille puis adopté par la
mère
. Le cas est intéressant par l'absence des éléme
tuelle des deux sujets, la fille, organe actif, est inférieure à la
mère
, organe passif; outre qu'elle est plus chargée
remarqua- blement empreint de débilité, contrairement à celui de la
mère
dont la coordination et l'enchaînement ne laiss
ples et parce qu'elle travaille beaucoup. J'ai perdu mon père et ma
mère
de bonne heure; je me suis aperçu qu'ils étaien
'inhibition acquis par l'éducation. 11° La société doit protéger la
mère
depuis le moment de la fécondation jusqu'à celu
thie interne. associée à l'entéro-colite muco-membraneuse, chez une
mère
de famille de cinquante-trois ans ; chaque péri
la Liberté, à la suite d'une réprimande a tenté de se suicider. Sa
mère
s'étant aperçue de sa disparition, monta au gre
vations méritent d'être rapportées, car elles sont instructives; la
mère
n'en conseillera certes pas la lecture à sa fil
si inconscient de sa signification qu'il se déboutonna, aussitôt la
mère
mit fin au jeu et défendit de le recommencer. .
tutrice chez laquelle elle avait été placée en pension, et à qui sa
mère
bien à tort avait donné plein pouvoir sur elle,
de ses chefs, il lut dans les journaux, le dramatique suicide d'une
mère
qui s'était asphyxiée avec ses trois enfants. B
les deux autres, un héréditaire vésanique. Il'est fils unique d'une
mère
aliénée. Développement normal, toutefois incontin
essie. Il eut alors une nouvelle obsession, celle de la lolie de sa
mère
, car il appréciait à leur juste valeur, toutes le
Comme il me parut très tourmenté par l'obsession de la folie de sa
mère
, je commençai par lui mettre sous les yeux, l'o
ps, les yeux de quelqu'un de ses proches parents, par exemple de la
mère
ou des frères, tantôt il lui semblait qu'il voyai
bouche, que ce n'était pas du pain, mais, par exemple, l'oeil de sa
mère
ou de son frère ; et il se sentait tellement, p
le montrerai en prenant comme exemple le foetus dont le père ou la
mère
sont épileptiques. Cet enfant est évidemment me
un mot ; on ne pense au traitement du foetus par traitement de la
mère
que lorsqu'il y a crainte de sypllilis. L'enfan
orsqu'il y a crainte de sypllilis. L'enfant nait d'un père ou d'une
mère
épileptique, on ne se préoccupe généralement pa
écialement de la question « nourrice »; on le laisse nourrir par la
mère
si elle a du lait, on lui donne une nourrice si
t être exposée ou sujette elle-même à des troubles nerveux. Si la
mère
est épileptique, il est donc évidemment indiqué
enfant aux convulsions infan- tiles, à l'épilepsie précoce, mais la
mère
à une aggravation de l'épilepsie' dont elle est
plus variées en ne s'occupant pas du régime et du traitement de la
mère
ou de la nourrice, ou en prenant une nourrice a
e la malformation du membre est attribuée par le malade à ce que sa
mère
, étant enceinte, fut appelée auprès d'une femme
nd). Or, les filles vivent plus cons- tamment en contact avec leurs
mères
et peuvent ainsi plus aisé- ment mettre en acti
e ans, qui habitait avec ses parents à Falmenta, a tué son père, sa
mère
et sa soeur dans des circonstance terrifiantes.
nt réunis dans la cabane des Zanaii, qui sont pâtres, le père et la
mère
du fou, sa soeur, son beau-frère et un oncle. V
ière et commença à frapper au hasard autour de lui. Il atteignit sa
mère
à la poitrine, la mort fut mtanstanée. Le pèr
c couché dans une mare de sang auprès du corps de son père et de sa
mère
. On le crut mort, mais à peine était-il sur le
italisation des aliénés. Assistance DES IDIOTS. Assassinat par sa
mère
d'une idiote aveugle. Au hameau du Petit-Mont,
quarante ans. La Cille était idiote et ne pouvait travailler et la
mère
devenait aveugle. Bien souvent la pauvre femme
ote ne voulait pas mourir et voulait s'échapper de l'étreinte de sa
mère
; mais la malheureuse fut vaincue elles deux fem
a mort étouffé dans un linge. Cette 448 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
mère
infortunée a succombé elle-même ces jours dernier
obre. Grand'mère maternelle : s'est suicidée à soixante-deux ans.
Mère
: atteinte de coxalgie ; très nerveuse, très émot
. Emilienne naquit à terme lorsque son père avait vingt ans et sa
mère
dix-huit ; elle commença à marcher à treize mois,
es tares sur la jeune malade, -alors que son père est indemne et sa
mère
peu touchée. L'absence de toutes défectuosités
en de particulier. Petite cou- sine, hémiplégie gauche congénitale.
Mère
, rien. Grand-père paternel, mort de tuberculose
re, potier, mort il soixante-sept ans de pneumonie, était sobre. Sa
mère
, morte à soixante-dix-sept ans de vieillesse, n
ni paralysés, le grand-père à quatre-vingt-dix-sept ans, la grand
mère
à soixante-dix. Grand-pare7tls maternels, morts,
as d'accès. Dans le reste de la famille, rien autre à signa- ler.
MÈRE
, morte à quarante-cinq ans. il y,a un an, de « ch
gauche » suri- vant sa fille; on ne croit pas qu'il fut buveur. Sa
mère
, âgée de soixante-treize ans, est bien portante
r d'anormal. Pas d'autre épileptique. Pas de consanguinité. Père et
mère
, tous deux des Côtes-du- Nord, mais de communes
mie; ses premiers cris ont été naturels. Allaitement au sein par la
mère
; sevrage à deux ans. Première dent à huit mois.
y est plus allé et est resté seul à la chambre depuis la mort de sa
mère
(il y a un an) « parce qu'il est trop vieux »;
ptitude particulière. Il ressemble à son père physiquement, et à sa
mère
psychiquement. Pas de renseignements sur les tr
psychiquement. Pas de renseignements sur les traitements suivis; sa
mère
le conduisait au dispensaire Furtado-Heine et lui
rotectrice comme un 822 2 - VARIA. , petit enfant à la jupe de sa
mère
. Ceux qui avaient maintenu la place libre lèven
isible à l’enfant qu’elle portait; car je comprenais que la vie de la
mère
ou sa raison étaient en péril, comme elle l’avait
ilité, ce jeun« « homme dovint bègue en voyant son frère battre s:i «
mère
. Le hasard me fit reconnaitre en lui des dis-« po
les lie entre elles, sans qu’ils s’occupent de rechercher les vérités
mères
, il s’ensuit que l’étude vous conduit à un labyri
ans, nous donnait ses soins de temps à autre, prit pitié de la pauvre
mère
de famille. 11 insinua le mot de magnétisme, donn
, n’a point eu de rechute. C’était donc ce qu’il fallait faire que la
mère
pratiqua; mais qui oserait en agir ainsi sans la
il alors, à peine étais-je couché que j’ai rêvé que vous aviez lue ma
mère
, que son ombre sanglante m’était apparue pour dem
palhic cl le magnétisme. On délaisse la vieille médecine, celte bonne
mère
dont les mamelles se tarissent chaque jour davant
apporté une mèche des cheveux d’nne personne qui lui est chère, de sa
mère
. Il s’agissait pour la somnambule de connaître, p
oi; cette personne malade dont j'avais apporté les cheveux c’était ma
mère
, et je ne pense pas qu’on puisse attribuer cette
on sang dans mes jambes ; » le ‘22, elle s’écriait en courant vers sa
mère
: « Oh ! mon Dieu, je marche, « mais je ne sens pl
rche, « mais je ne sens plus rien de mon mal... je marche... « Voyez,
mère
, je marche; mes jambes sont désen- « fiées. » L
utes des effets qu’il s’efforce de faire comprendre par signes, et sa
mère
traduit qu’il a senti on bourdonnement extraordin
c la téle de son fils, PArchange saint Michel terrassant le démon, la
mère
redemandant son fils au lion de Florence. « Que
intrigues plus simples, à me perdre dans « l’esprit de votre auguste
mère
et de votre auguste « frère. « Celui, Madame, q
rait de la tienne? Y a-t-il au monde une loi qui m’enchaîne à toi? Ma
mère
a-t-elle signé un contrat sans me consulter?....
n’a formé, comme une blanche tunique, enveloppe tout son corps... Ma
mère
, ma bonne mère, reconnais ton enfant!... Qu’enten
me une blanche tunique, enveloppe tout son corps... Ma mère, ma bonne
mère
, reconnais ton enfant!... Qu’entends-je?... Tu n’
é... Mais ces lettres de feu, je ne puis les déchiffrer; aide-moi, ma
mère
, ma tendre mère. Oh! cruel destin, je souffrira
ttres de feu, je ne puis les déchiffrer; aide-moi, ma mère, ma tendre
mère
. Oh! cruel destin, je souffrirai vingt ans, tra
uivrai le chemin, et, remplie de remords, c’est dans un hôpital... Ma
mère
... c’est affreux!... ôte-moi ce tableau. Par lamb
’excite le rire d’hommes qui n’ont rien d'humain !... Au secours, nia
mère
!... Ah! je la cherehe en vain, ma vue s’est obscu
s le sommeil ? — Oui,je vois : c’est un être souffrant qu’une bonne
mère
en alarmes presse en ce moment sur son cœur. Il e
la nuit, un lion entre sous sa tente, prend l’enfant et l’emporte. La
mère
saisit un bâton, et s’élançant au-devant du lion
ses pattes et se met à rugir. « Tu ne « saurais m’effrayer, dit la
mère
, qui se campe bra-« vement devant lui. Je suis la
vrée aux gardes, qui la conduisirent en prison. « Cette femme était
mère
d’un jeune ecclésiastique d’un bon caractère, qui
tous les mouvements chez ses parents et les voisins pour délivrer sa
mère
. Quelqu’un, initié sans doute au secret du moine
bert, lui dit : « Allez demain à la prochaine assemblée, où votre «
mère
doit être examinée de nouveau; mettez-vous « à cô
e papier, et demandez que maî-« tre Robert interroge de nouveau votre
mère
sur la « foi. » • « Le tout fut fait ainsi ; et
e, pour que celui qui avait agi, par cet art secret, sur son père, sa
mère
et beaucoup d’autres fort innocents, qu’il avait
en conformés, d’un âge et d’un tempérament proportionnés; 2" Que la
mère
, par une nourriture saine, un travail ou un exerc
se dispose pour un enfantement naturel et sans accident; 3" Que la
mère
, en observant les animaux doués des organes sembl
iture le lait maternel au premier moment de sa naissance; 5” Que la
mère
n’ait d’autre occupation que le soin de nourrir
s, et enlin d’éloigner tout obstacle à son développement; 6° Que la
mère
, comme la première fonctionnaire de l’Etat, soit
struction du procès d llenriette, une servante demande son congé à la
mère
d’un enfant qu’elle gardait, pour ne point céder
e, ressent une violente envie de tuer sa fille. A la même époque, une
mère
de cinq enfants confie au docteur Georget que sa
ois elle s’y prépare, deux fois sa main s’y refuse; cette malheureuse
mère
n’échappe à la troisième tentation qu’en criant,
eu de santé... A 17 ans, je « me mariai... Je ne tardai pas à devenir
mère
... La « douleur de l’accouchement attira sur l’ut
le eût voulu me dire cela en particulier, j'en fis aussitôt part à ma
mère
, afin qu’elle m’aidât à expliquer ce fait. Ma m
ssitôt part à ma mère, afin qu’elle m’aidât à expliquer ce fait. Ma
mère
ne fut pas longtemps à comprendre le sens de ces
immédiatement de la place fatale. En effet, quelque temps après, sa
mère
s’opposant à ce qu’elle fût magnétisé!' davantage
es pour y rester. Dans un moment où, discutant assez vivement avec la
mère
, elle passa sur le point fatal, elle tomba évanou
ironnent, On lui fera observer qu’ils sont doués par la nature, notre
mère
commune, des mêmes sensations; qu’ils aiment auta
ils guérissaient en imposant les mains. Il faudrait aussi accuser la
mère
qui presse son enfant contre son sein pour calmer
il leur manquait l’amour et cette exaltation de tendresse des père et
mère
, expansion plus nécessaire que le vulgaire ne l’i
u d'accidents de rhuma- tisme, ni de syphilis. Ses parents (père et
mère
) sont bien portants; jamais, dit-il, il ne les
es couches, bonne santé habituelle d'un caractère un peu emporté.
Mère
un peu nerveuse, sans attaques. Grand'mère mater-
ments des muscles de l'oeil, mais la mydriase subsistait encore; la
mère
indiquait d'ailleurs que déjà auparavant, en de
développée ; rien de spécial chez les parents ; intelligence de la
mère
peu développée. Etat actuel (2 septembre 1884).
d'un équilibre intellectuel satisfaisant pendant toute sa vie. La
mère
est intelligente; son instruction est moyenne. El
jugal, pour vivre entouré des premières filles venues. La grand'-
mère
du grand-père maternel a été folle. Elle est mort
quatre ans. Lui-même se livrait fréquemment à la masturba- tion. Sa
mère
devait lui lier les mains quand elle ne pouvait
ou cinq ans, il était en érection pendant des heures entières. Sa
mère
, que cet état inquiétait, se relevait souvent, et
n et toujours en rougissant. « On voyait qu'il aimait cela » dit la
mère
. Celle-ci était effrayée de ces dispositions si
estés gravés dans sa mémoire. Les poupées étaient fabriquées par la
mère
et ne présentaient dans leur costume ni les att
, il ne se livrerait qu'à des ouvrages féminins. D'ailleurs chez sa
mère
, les occupations ordinaires delà femme étaient
toutefois qu'à l'âge de treize ans, il se mit un jour à regarder sa
mère
avec des yeux étranges, il se précipita sur ell
lcooliques. La jeune fille parait avoir été maltraitée par sabelle-
mère
. et même avoir soullert de la faim ; elle n'a été
lequel un gros épanchement de sang isolé dans le tissu de la pie-
mère
spinale, siégeait uniquement dans celte méninge ;
; le 5°, âgé de cinquante-huit ans, se porte bien. Côté maternel.
Mère
morte de consomption, à l'âge de cinquante-quat
nt travail. 23 septembre 1885, M. G..., âgé de quarante-neuf ans.
Mère
morte d'une attaque d'apoplexie; père rhumatisant
y avait une dépression au niveau du lobe occipital droit, la pie-
mère
adhérant sur une excavation contenant un liquide
professeur Charcot, à la Salpêtrière. Antécédents héréditaires :
mère
, cinquante-quatre ans, mariée à vingt, eut, en
é laomoclaro- 2lisine héréditaire ou hérédité homochronique, car sa
mère
aurait commencé à souffrir le plus de ses migra
nt. Il a été pris, il y a- huit jours, de mouvements choréiques. Sa
mère
avait remarqué que, depuis trois ou quatre sema
he est plus assurée, il ne se cogne ni ne tombe plus. Au dire de sa
mère
, L... a grandi de 4 centimètres. Traitement : L
mouvements des membres réguliers, marche na- turelle : cependant sa
mère
dit qu'il lui arrive quelquefois de se pencher
. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 253 30 avril. L... est guéri. Sa
mère
, interrogée sur le médicament qui, selon elle,
ns, mort le 19 novembre dernier. C'était le quatrième rejeton d'une
mère
syphilitique, infectée trois mois avant sa conc
n le compare à feu son père. Il n'est plus apte qu'à la garde d'une
mère
débile et hystérique ; on redoute des accidents
dain dans un accès de rage pendant lequel il se blessa et blessa sa
mère
gravement. Cette crise, pas plus que les autres
couverture du lit de la chambre meublée qu'elle habitait avec sa
mère
, elle l'avait portée au mont-de-piété, clic avait
unes filles à tempérament nerveux pré- dominant. Nous devons à sa
mère
, femme intelligente et que sa profession de sag
- lière, peu abondamment, elle était au moment de ses époques. Sa
mère
l'emmène faire une promenade à Saiut-Cloud, elle
t sourde. 0 Quand un accident, d'une certaine forme cessait, dit sa
mère
, un autre apparaissait. » Elle eut des visions
njures; par moments elle parlait d'une manière si singulière que sa
mère
seule pouvait la comprendre. A-t-elle eu alors
s une sorte d'aphasie ? cela est possible, les expli- cations de sa
mère
restent un peu confuses sur ce point : ce qui e
s avons voulu savoir quel était son état pendant « ses crises ». Sa
mère
nous les décrit fort exactement. Aussitôt que An-
utres fois, elle se redresse seule et se tient debout, immobile. Sa
mère
a remarqué que dans cette position, elle ouvre dé
ves, t. XI. 26 402 MÉDECINE LÉGALE. z' Sa maladie en empêchant sa
mère
de se livrer à sa profession, avait épuisé tout
n était arrivé à vivre en garni; un jour, pendant l'ab- sence de sa
mère
qui n'avait pas plus qu'elle mangé depuis la ve
nte ans d'une fluxion de poitrine. Pas d'alcoolisme ni de syphilis.
Mère
bien portante; un frère et une soeur en bonne s
e de l'agitation, de la fièvre et du délire. Quinze jours après, sa
mère
la retire de l'asile, où son état n'avait fait
ère a succombé à une affection pulmonaire à un âgé in- déterminé.
Mère
morte de chagrin de la perte de sa petite fille.
t d'une attaque d'apoplexie. Pas d'affection nerveuse du côté de la
mère
. Antécédents personnels. Le malade est père de
ventricule latéral droit. Père mort à soixante ans d'une pneumonie.
Mère
rhuma- tisante morte à quatre-vingts ans. Il a
stion, état trouble et adhérences en dedans et en dehors de la dur"-
mère
spinale, fluctuante en différents points, notam
sence d'antécédents héréditaires, est assurément un fait rare. La
mère
à la vérité est morte d'une affection cérébrale,
toire d'un aliéné criminel placé dans un asile pour avoir égorgé sa
mère
. Il s'évade et commet successivement sept meurt
s sont ébranlées. Souvent il pleure, en nous disant qu'il désire sa
mère
et qu'il ne sait pas où elle est. L'acte médico
qu'il s'est laissé aller à commettre des actes impulsifs envers sa
mère
et d'autres personnes. Après une année de séjou
R. SoMMA)nE. Père, soixante et un ans, asthmatique, très nerveux.
Mère
, quarante-cinq ans, rien ci signaler. Tante pater
OOLISME DE L'ENFANCE. 51 Antécédents {^enseignements fournis par la
mère
). Père, soixante et un ans, asthmatique, très n
'il avait le sang en révolution », ce qui était dû à des ennuis; la
mère
était bien portante. Grossesse bonne, mère très
tait dû à des ennuis; la mère était bien portante. Grossesse bonne,
mère
très impressionnable. Accouchement naturel, à t
nt n'était pas « très fort », pas d'asphyxie. Nourri au sein par la
mère
. Rien de particulier jusqu'à l'âge de quatre an
nnui; il est rentré sans difficulté. Aurait été témoin, nous dit sa
mère
, d'un accident de tramway (un petit enfant renv
n passage à l'Institut médico-pédagogique. Enfin, en avril 1898, la
mère
nous dit qu'elle a été très surprise des change
éri; nous disons 'guéri, car, nous avons eu l'occasion de revoir sa
mère
en avril 1898, c'est-à-dire un an après sa sort
viennent d'être arrêtés sous l'inculpation de séquestration de leur
mère
et belle-mère. La gendarmerie, mise en éveil par
épondre aux questions qui lui ont été posées. Breton prétend que sa
mère
ne jouit plus de la plénitude de ses facultés e
près, de Bruxelles, sous le titre : Une fillette étranglée par sa
mère
. « La femme Verstraeten qui, à Jette-Saint-l'ie
ment à la suite d'une paralysie générale, d'après ce que raconte la
mère
de la malade qui nous dit qu'il avait le délire
up de bétail, beaucoup d'argent, etc.; la parole élait altérée). La
mère
de la malade est bien portante, n'abuse pas des
semaine après la naissance et un autre plus petit a été tué par sa
mère
. Dix jours après le dernier accouchement elle a
souffrance. Elle se considère comme coupable, car étant née par sa
mère
pour devenir a Soleil » et pour monter au saint
es, car elle chante et rit sans parler. Elle s'accuse encore que sa
mère
l'a envoyée à l'école et qu'elle n'a rien appris.
e pendit à une corde. Dans la lutte qui doit avoir eu lieu entre la
mère
et l'enfant, ce dernier la mordit au grand doig
i fit des lectures saintes. Étant au monastère il lui sembla que sa
mère
voulait le vendre aux Juifs ou le tuer, fait qu'i
le qu'il observa entre les nondes du monastère ; alors il frappa sa
mère
avec une chaise à la tête et cela au milieu de
et la déclaration, car le monde l'accus d'avoir cassé la tête à sa
mère
. La mémoire est conservée. L'orientation dans l
élée fortuitement que par sa visite aussi inopinée que tardive à sa
mère
internée. Sans cette circonstance, nous eussion
nué à penser que cette dernière, puisqu'elle avait été jadis rendue
mère
, n'avait pu accoucher que d'un enfant idiot, ta
a pu avoir des antécédents de famille syphilitiques . En effet, la
mère
et une tante maternelle étaient aliénés et la mèr
s . En effet, la mère et une tante maternelle étaient aliénés et la
mère
, soignée dans le service de mon collègue, M. l3
ssent en 32 grand'mères paternelles donnant 72 ans, et 38 grand'-
mères
maternelles donnant 68 ans, ce qui porte leur moy
on suivante : 2S pères don- nant au moment de leur mort oxo ans, 17
mères
donnant 45 ans ; soit ensemble 50 ans. On y t
42,5 p. 100 vivants. Les 42 morts se composent de 25 pères et de 17
mères
. Les 37 vivants se composent de -14 pères et de
s et de 17 mères. Les 37 vivants se composent de -14 pères et de 23
mères
. Soit 37,83 p. 100 pères vivants et 62,16 p. 10
res et de 23 mères. Soit 37,83 p. 100 pères vivants et 62,16 p. 100
mères
vivantes. Dans les familles normales, nous trou
lles normales, nous trouvons : 31 p. 100 pères vivants et 54 p. 100
mères
vivantes. Troisième génération (frères et scas9
us ce dernier terme, l'auteur désigne les faits dans les- quels une
mère
névropalhique est obsédée par la crainte justifié
harente), est mort pour avoir bu le quart d'un litre de rhum que sa
mère
avait laissé sur la cheminée. » . Plus qu'aut
it en même temps à cinq autres membres de sa famille (le père et la
mère
, un frère et deux soeurs). Cette petite épidémi
ques à stigmates, guéri- rent les premières ainsi que le père et la
mère
, les deux frères se calmèrent à leur tour et to
de la famille; les soeurs allèrent à la ville avec le père et la
mère
, le fils cadet changea de pays; notre malade isol
les quatre sujets se répartissent ainsi : un père et son fils, une
mère
et sa fille; les premiers n'ayant, d'ailleurs,
né une vie assez dissipée, et a fini par se ruiner complètement. La
mère
de notre malade, qui était également très nerve
apparent ou entre- tenir des conversations avec ses voix. Or, la
mère
de cette malade était très nerveuse, elle avait f
DE Amicis. (iVouu. Iconogr. de la Salpétrière, n° 1, 1899.) Père et
mère
syphilitiques, ayant eu, avant l'infection, trois
trois enfants bien portants. Au cours des accidents spécifiques, la
mère
fait trois avortements après lesquels elle est
la Suisse romande, 1899, n° 1.) Observation d'un enfant, issu d'une
mère
syphilitique, qui, quatre mois après sa naissan
scient. M. Paul Fartez. Une dame âgée de trente-cinq ans, mariée,
mère
de famille et manifestement hystérique, se plaint
Saint-André-de-Cruzières, une fillette idiote perdit son père et sa
mère
, et resta seule au monde. Nos paysans sont peu
libéré du service, il a connu par hasard, dans les relations de sa
mère
, une jeune orphe- line qui, élevée par des pare
arante ans, fils d'un père nerveux, exalté, très original, et d'une
mère
hypochondriaque,a toujours été lui-même très ne
ce, il est mort à soixante-dix-neuf ans d'une maladie de vessie. Sa
mère
, après avoir joui toute sa vie d'une bonne sant
lus depuis longtemps. Il lui reste une soeur migraineuse, mariée et
mère
de quatre filles bien portantes. P... est lui
n étaient normaux. Parents indemnes de syphilis et d'alcoolisme. La
mère
a eu six autres enfants bien constitués égaleme
ant vivait assez solitairement ; son père, garçon de magasin, et sa
mère
, femme de ménage, partant chaque jour de bon ma
1)123 précoces du - dorsal, par de l3oclUerew, 65. Quelques ma-
mères
de voir relatives à l'étio- logie et au traitem
lles de la Tourelle, hôpital Cochin. A. H. Père mort à 74 ans ( ? )
mère
morte vers 32 ans de refroidis- sement ( ? ) 3
e. Grand-père, instituteur, mort à 76 ans d'une maladie inconnue.
Mère
morte a 86 ans. Grand'mère maternelle morte à 104
hospice d'Ivry. A. IL Père mort de bronchite à 29 ans, variqueux.
Mère
vit encore; âgée de 86 ans ; 6 frères ou soeurs
le professeur Charcot, à la Salpêtrière (Salle Prus. 10). Hérédité.
Mère
morte d'un cancer du soin à 63 ans, très nerveuse
ans ses antécédents héréditaires ; son père est mort d'accident, sa
mère
de fluxion de poitrine. A part une pleurésie en
et que la seconde est rompue avec esquilles qui compriment la dnre
mère
, qui esl aussi cause de la mort du patient : ce q
ari, J.-P. L. Elle eut de lui quatre enfants : deux filles, dont la
mère
de la malade, et une autre, morte il 4 aus « d'hu
e sa commu- 148 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE nauté. Sa
mère
, qui était restée aussi quelque temps dans un cou
sauf un « asthme » qui le gène quand il fait un travail pénible. La
Mère
de la malade âgée de 59 ans est bien portante, tr
âgée de 35 ans, esta Ivry aux Incurables. Sa maladie, au dire de la
mère
, est identique il celle de notre malade. Elle a
is sans résultai. Son état mental est très médiocre : c'est, dit sa
mère
, une « idiote raisonnable ». Elle fa- brique de
vêtements. Elle est restée pendant 3 jours « comme folle » chez sa
mère
, à la suite d'une scène violente avec son mari.
jamais les terminer. a Il n'a pas de raisonnement du tout » dit la
mère
. ANT]CÉDEN1S personnels. - (Renseignements four
1S personnels. - (Renseignements fournis par l'interrogatoire de la
mère
.) Étant en nourrice, Pauline L... fut gravement
avement malade ; elle était devenue très maigre et très chétive. La
mère
changea la nourrice, et l'enfant reprit rapi- d
très docile : mais se met vite en colère. Elle a peu de mémoire. Sa
mère
lui donnait souvent de l'argent pour aller fair
ques. Dans ses ascendants, les accidents nerveux sont fréquents. Sa
mère
a des attaques de nerfs frustes, et a perdu sub
Ses antécédents héréditaires n'offrent rien d'intéressant à noter. Sa
mère
est morte à 51 ans de tuberculose pulmonaire. S
de sa femme un homme aimant la bonne chère, mais non un ivrogne. Sa
mère
avait une mâchoire ( ? ) proé- minente, et bava
ée. Il y aurait eu aussi des scro- \ fuleux dans sa famille. ' La
mère
esl bien portante. Elle a perdu son père à Page d
et muette, le palais divisé, et « le cerveau pas très solide ». La
mère
affirme qu'elle était déformée comme notre mala
ns qui a une « maladie de coeur et la danse de St-Guy ». D'après la
mère
, elle a eu une « fièvre rhumatismale » et « elle
quelques légères convulsions qu'elle a eues à l'âge de 3 jours. La
mère
affirme qu'elle n'a jamais pu fermer les yeux c
uellement. A 10 ans, elle était grande, mais très maigre, assure la
mère
. Tous ces symptômes se sont progressive- ment a
sent avoir été atteintes de la même maladie. D'après le récit de la
mère
, l'affection aurait débuté de très bonne heure
usculaire générale est assez prononcée pour attirer l'attention de la
mère
. Dès sa 15° année, la malade ne pouvait plus ma
Napoléon). « Le monde, dit la malade, l'appelait un original ». Sa
mère
est morte d'affection cardiaque : elle n'avait pa
. Père syphilitique mort d'une affection pulmonaire indéterminée.
Mère
morte à 68 ans d'apoplexie cérébrale. Le malade
cédents héréditaires . Le père est mort, probablement éthylique. La
mère
, qui avait toujours été bien portante, succomba d
Antécédents personnels. - Née il 7 mois : élant enceinte d'elle, sa
mère
lit une chute dans laquelle elle se fractura pl
P..... Félix, 52 ans, paveur, né à Rodez; n'a connu ni son père ni sa
mère
. Variole à 8 ans. Aucune maladie nerveuse ; pas
a contusion de la hanche avaient disparu. Alors, en l'absence de sa
mère
, l'enfant enfreignit souvent la consigne et se le
han- che par idée fixe, de « sa manie de la hanche », comme dit sa
mère
, elle était à cette époque forte et bien portan
mencement de décembre, pen- dant neuf jours, elle fait réciter à sa
mère
et à ses soeurs, tous les soirs. un chapelet de
neuvaine est finie et la guérison n'est pas venue. Aussi, quand sa
mère
monte la voir, elle est prise de délire : « Maman
ière (17 avril 1894). ' A son arrivée, elle se trouve seule avec sa
mère
dans le cabinet de con- sultation. En entrant,
à ses jours, car le suicide est défendu par la religion.... ». La
mère
à accepté pour sa fille l'isolement que nous lui
ldoch. Le 15 janvier sa jambe droite se mit traîner; il disait à sa
mère
qu'il mar- chait comme un homme ivre. Il marcha
aitement bien aux questions posées. Il lit encore très bien, dit sa
mère
qui l'accompagne, et c'est la sa principale distr
e complètement ; pourtant il se fait toujours bien comprendre de sa
mère
. Son état intellectuel est le même quoique avec m
soigné pour l'anémie. 11 toussait même, mais « de la gorge » dit la
mère
. Il avait des quintes de toux qui provoquaient de
me est âgé de seize ans. Son père est mort de la fièvre typhoïde ; sa
mère
est très nerveuse. II est né avec une cataracte c
ent pas. I Miss Marian Roalfe Cox, de Londres, me dît tenir de sa
mère
qu'il est d'usage, dans les villages, que les mat
age-femme dès la naissance; elle se fait quelquefois plus tard et les
mères
l'exigent comme étant indispensable au développem
ai déjà présenté plusieurs cas. Fille d'un père éthylique et d'une
mère
nerveuse, cette femme épouse, à 26 ans, un veuf q
rois filles et trois garçons : Amaury V, vivant en 1200, mon avant sa
mère
sans postérité de ses deux femmes; Guy, dit le Ch
ise celles de Lucy, Turcy et Courcelles, pour le repos de l'âme de sa
mère
, fonda à Soissons le prieuré de Saint-Pierrc-à-Ch
banal à l'abbaye de St-Jean-des-Vigncs et mourut le même jour que sa
mère
; et Agnès, femme d'Herué de .Vfon/morenc»/. Her
une donation à cette église pour le repos des âmes de son père, de sa
mère
, d'un oncle maternel et de son frère Geoffroy. Il
t Baudouin de Haynaut II. Celui-ci, vivant en 1070. engagea avec sa
mère
, moyennant une grosse somme d'argent, à Théodwin,
a maison, il est paresseux, désobéissant, ne cherche pas à aider à sa
mère
, à qui il pourrait rendre des services et ne fait
uit. Par la suite, un gros progrès est obtenu. Au lieu d'appeler sa
mère
pour exonérer sa vessie, cette enfant fait, tout
lle tout à fait; elle est pleinement consciente quand elle appelle sa
mère
; et, une fois l'acte accompli, elle se rendort fa
comme tout le monde. La suggestion fut répétée chaque matin par la
mère
qui lui donnait à boire la solution prescrite, et
Gibert et dis à l'enfant de revenir au bout de quelque temps avec sa
mère
. Le 30 avril seulement, la mère amena le petit
ir au bout de quelque temps avec sa mère. Le 30 avril seulement, la
mère
amena le petit malade. Son état s'était beaucoup
borique continuées pendant quatre mois consécutifs lui firent, dit la
mère
, le pins grand bien ! L'oeil se rouvrit en effet
ouvrit en effet progressivement au mois d'août de la même année. La
mère
nous apprend également que depuis très longtemps,
s. En conséquence, je fis cesser tout traitement et conseillai à la
mère
de me ramener l'enfant dès que le ptosis serait c
e eux les rapports de parenté les plus étroits, c'est-à-dire pères ou
mères
, fils ou filles, frères ou sœurs, neveux ou nièce
élégo-niques. Par exemple, on a cru y voir l'influence exercée sur la
mère
par le sang du fœtus qui avait subi l'influence p
fluence (par l'intermédiaire du sperme) en infecte pour ainsi dire la
mère
; celle-ci devient une source de qualités marital
iniscence de l'impression visuelle. Les impressions visuelles de la
mère
. Ainsi une femme, au début de sa grossesse, ass
dents fit connaître que pendant les premiers mois de sa grossesse, la
mère
avait appris que son mari venait de mourir victim
e explosion de chaudière. Les voisines racontèrent cet événement à la
mère
et décrivirent l'aspect des per(1) Philosoph. Tra
d'une influence directe exercée sur le fœtus par l'imagination de la
mère
, grâce à une suggestion verbale. Toutefois, san
us alcooliques avait depuis son enfance un tremblement généralisé. Sa
mère
avait une liaison avec son médecin, et tremblait
pporte le cas d'un fils qui a hérité d'un geste caractéristique de sa
mère
, morte en le mettant au monde, en sorte qu'il ne
ficace. Nous avons vu que les états psychiques sont transmis par la
mère
aussi bien que par le père ; c'est-à-dire que nou
me). Il est indubitable que le même phénomène a lieu par rapport à la
mère
(par l'intermédiaire de l'œuf). Cependant on ne s
. Par exemple, la matière plastique est, sans relâche, fournie par la
mère
qui en détermine la quantité et la qualité. Pour
admis l'influence des phénomènes psychiques (surtout de la part de la
mère
) sur la formation du sexe ; on pourrait les retro
nception, tant que la formation du nouvel être dans l'organisme de la
mère
n'a pas trop progressé. Pour résoudre ces quest
guement étudier la malade, sans en être à tout instant empêché par sa
mère
: le cerbère redoutable avait, ce jour-là, rentré
de Ste-Honorine de Conflans pour le repos des âmes de son père, de sa
mère
, d'un oncle maternel et d'un frère ; et qu'Ide de
elle a présenté un accès d'excitation avec cris et violences. La
mère
sous l'influence des voisins était décidée à la f
1. Avez-vous abusé des boissons alcooliques ? a) Votre père ? Votre
mère
? Vos frères et sœurs? Leurs enfants ? c) V
et vos tantes maternels ? 2. Est-ce que votre père buvait, ou votre
mère
, ou tous les deux, avant que vous ayez été conçu?
u tous les deux, avant que vous ayez été conçu? 3. Est-ce que votre
mère
buvait pendant sa grossesse? 4. Est-ce que Ton
été malade, a deux tuberculeux dans ses proches, dont un frère. Sa
mère
est une grande arthritique qui est immobilisée pa
et quelle en est la signification ? Notre jeune fille a 18 ans. Sa
mère
a eu des attaques hystériques et est morte de bac
Rien à signaler dans ses antécédents héréditaires : son père et sa
mère
sont restés bien portants jusqu'à un âge très ava
ntéressant. Son grand-père est mort à 88 ans, son père à 87 ans, sa
mère
à 73 ans. Il était le troisième des cinq enfants
(Pl. XV, E) on peut voir l'enfant Jésus, assis sur les genoux de sa
mère
et guérissant par le' toucher un aveugle qui s'
ion sommaire des 5 premiers cas : une femme alors âgée de 46 ans, une
mère
et ses 3 petites filles. Depuis lors, un fils d
s cette même famille. J'ai pu, en outre, observer une famille où la
mère
et deux des fils (âgés de 20 ans et 7 ans) prés
ent digne de remarque. Son père est mort de vieillesse à 85 ans, sa
mère
d'hémiplégie à 56 ans. Il a eu quatre frères :
lement de la moelle entre les V* et Vl paires. Intégrité de la dure
mère
. MAL DE POT SARCOMATEUX 115 lui rachis y comp
cte en faveur de la théorie angioneurotique. ' Transmission par une
mère
indemne. Ceci est un point qui intéressera ceux
raux, le malade m'apprend que son père est mort asthmatique, que sa
mère
et ses quatre frères et soeurs sont vivants et
diatrie, 16 avril 1901. Myxoedème et infantilisme chez un enfant de
mère
myxoedémateuse. Id. AussET. Du traitement thyro
ou Hamza, est âgé de 16 ans environ. Son père est bien portant ; sa
mère
est morte, il y a une dizaine d'années. Il a un
usceptible de nous arrêter dans les anté- cédents héréditaires : sa
mère
est en bonne santé, son père est disparu ; un f
vembre 1905. Père, scieur de bois, serait souvent malade ( ? ).
Mère
morte à 37 ans après 8 jours de maladie. , Troi
mater- nels et des collatéraux en ligne ascendante. Le père et la
mère
de nos deux malades sont de race israélite et con
ève absolument aucun des1« petits signes de la dysthyroïdie ». La
mère
, àgée de 47 ans, a 15'8 centimètres de taille ; b
; d'apparence plutôt faible mais de constitution normale ; comme la
mère
elle souffre de dyspepsie et de fréquentes céphal
eut un allaitement très difficile ; elle fut nourrie au sein par sa
mère
d'abord, et ensuite par trois différentes nourric
e sorte qu'il lit son service militaire dans les grena- diers. La
mère
est vivante et jouit d'une excellente santé ; bie
sesse et un accouchement physiologiques. Il fut nourri au sein par sa
mère
et n'eut à souffrir d'aucune des maladies de la
i ;i écrire ; depuis la 8e année il travailla comme tapissier. La
mère
, femme de médiocre intelligence, ne sait pas nous
tre en bâtiments, de Galluzzo.. " ' Antécédents héréditaires . Sa
mère
mourut de cardiopathie à de 40 ans ; son père e
nt développés à l'âge de la puberté. Rien de remarquable quant à la
mère
, aux frères et aux soeurs du sujet. Antécédents
e chez deux frères et leur père ; Schwoner (4) parle d'un cas où la
mère
était acromégalique et les parents de haute sta
as de malformations anciennes analogues à celles qu'il présente. La
mère
, étant enceinte de lui, fit une chute assez grave
une tumeur de l'hémisphère droit, région motrice. Soudée à la dure-
mère
, elle en était sans doute partie,; exactement dél
e Guillaume Alexis qui a orné la « librairie » de Louise de Savoie,
mère
de François le'7, et que conserve aujourd'hui l
elle de la Bibliothèque nationale. C'est à des jumeaux que la jeune
mère
a donné naissance ; l'un d'eux est couché à ses
ts aux environs de 70 ans, après avoir joui d'une bonne santé. La
mère
du malade est âgée de 53 ans, elle se porte bien
aractère. Ses parents sont morts récemment ; le père d'accident, la
mère
d'une congestion pulmonaire. Notre malade a un
: elle a eu la fièvre typhoïde dans son enfance. Elle est mariée et
mère
de trois enfants normaux, et en bonne santé. Le
t ne paraissent pas,du moins à première vue, faibles d'esprit. La
mère
n'a pas éprouvé d'émotions violentes ni vu d'estr
our cependant, il s'empare d'une barre de fer et veut en frapper sa
mère
; il réclame son père, qu'il croit à Casablanca ;
sychiatrie. Le troisième est celui d'un enfant de neuf ans, fils de
mère
hystérique ayant eu trois fausses couches sur cin
ote seulement que son père est mort de tubercu- lose pulmonaire. Sa
mère
est bien portante. Il est le quatrième d'une fami
t soeurs sont normalement constitués. Il raconte que pendant que sa
mère
le portait, elle a été impressionnée par la vue d
e et familiale. C'est ainsi que l'observation de Gayet concerne une
mère
et son enfant atteints tous deux d'ectromélie l
e (qui nie cependant la syphilis), les quatre fausses couches de la
mère
; la couleur terreuse de la peau et les déforma-
d'aliénés, était un alcoolique. Il aurait actuellement 62 ans. Sa
mère
, morte de péritonite il y a 22 ans, aurait actuel
té de déforma- tions analogues à celle dont elle est atteinte. Sa
mère
aurait eu, dit-elle, pendant qu'elle la portait,
bes. Il mourut cette même année. Syphilisée également en 1894, la
mère
se soigna mal, et en 1900 présenta quelques sig
e : de plus le père est mort tabétique et paralytique général et la
mère
est tabétique. z Faut-il penser à une virulence
s nous retrouvons la même affection chez les parents. Le père et la
mère
sont devenus tabétiques en six ans. La fille syph
Pas de syphilis, pas d'éthylisme. Il a toujours été bien portant.
Mère
: âgée de 38 ans, très nerveuse aussi, très excit
, premier accès convulsif hystérique à la suite d'un reproche de la
mère
. Depuis lors, elle a toujours présenté des accès
le, toujours très occupés dans leur commerce. Le médecin appelle la
mère
, il ordonne de l'arséniate de fer l'intérieur, de
ants. Je .vois alors la malade pour la première fois, amenée par sa
mère
aux consultations à l'hôpital. A la vue des cic
lica- tions ; on me répond : « des brûlures de l'été passé ». Ni la
mère
ni la fille ne me parlent des complications qu'
son par une simple faradisation du cou. Je revois la malade avec sa
mère
, un mois après les premiers jours de janvier 19
m'assure que ses pieds ne sont pas propres. J'insiste davantage, la
mère
aussi. Elle ôte les bas et nous voyons un petit p
es bords à pic, bourgeonnant très légèrement en quelques points. La
mère
qui ignorait complètement la présence de cette ul
n à la jambe par crainte, disait-elle, de donner des inquiétudes à sa
mère
. « J'avais vu comment le docteur m'a soignée l'
car elle n'avait montré ses lésions ni au médecin du pays, ni à sa
mère
, ni à moi qui la soignais pour son aphonie..le
é son mal aux médecins avec qui elle était en rapport ainsi qu'à sa
mère
. Cette particularité, loin de prouver sa sincé-
s héréditaire peut frapper la moelle. Un enfant, dont le père et la
mère
sont atteints de syphilis cérébrale, présente une
a salle Fouquet, le 18 avril dernier. Son père est mort jeune, sa
mère
migraineuse est morte également ; un frère très
entré au service le 9 mars 1897. Son père était un rhumatisant ; sa
mère
une névropathe mentale : double hérédité classi
vait duré plusieurs jours, quand tout à coup, un matin, il dit à sa
mère
: Ah ! je me sens quelque chose d'extraor- dina
Quelque instance que j'y misse, je ne pus obtenir rien de plus. La
mère
me raconta qu'il jouait assez bien aux dames et a
prenait des livres qu'il paraissait lire aveè intelligence; mais sa
mère
avait remarqué qu'après quelques minutes, il lais
'aurions pas eu le plaisir de pré- senter aujourd'hui à cette jeune
mère
un bel enfant qui fait sa joie. Je puis ajout
tique, avec bassin de 6 1/4 centi- mètres au maximum, est née d'une
mère
cancéreuse et à moitié idiote et d'un père alco
nets d'hystérie et signes non moins nets de dégénérescence mentale.
Mère
très irri- table et très impressionnable. Toute
fatigue, jamais de convulsions, de diarrhée et de constipation. La
mère
dit que le caractère du bébé est difficile; ses
enfant bien portant s'amuse à la maison, lorsque tout d'un coup, la
mère
s'aperçoit que la tête du bébé est projetée en
nce difficilement et tout d'une pièce en opisthotonos. Effrayée, la
mère
essaie de ramener en avant la tête de son petit ;
je suis rappelé en toute hâte près de ce même enfant. Cette fois la
mère
ne craignait pas la méningite; mais elle redout
s d'hésitation, ce n'était certes pas le croup, comme le croyait la
mère
pas de fièvre, pas d'angine, pas de dyspnée ni
on frère. Guérison en trois jours. H... six ans. Hérédité nerveuse,
mère
neurasthénique; tante hystérique avec crises; p
n des parents sur l'enfant. CI : La lune de l'année, devant pour la
mère
, produire les mêmes effets que la lune correspo
accumulée que je note en passant, surtout du côté paternel (grand-
mère
paternelle, oncle paternel excessivement nerveux)
z un garçon de onze ans. Guérison par suggestion. X..., onze ans.
Mère
nerveuse, père congestif, n'avait jamais rien p
sque toutes ses connaissances acquises : il a perdu le souvenir. Sa
mère
n'a pas su me dire s'il aurait pu écrire, cal-
a-t-on faitsuivre à ce malade ? On lui avait appliqué, nous dit la
mère
, quelques sangsues. Pourquoi ? On avait, sans d
erculeuse. Oncle maternel phtisique, un frère mort d'une méningite.
Mère
hystérique. Père entaché de nervo- sisme. Le
pille, il huit ans, dix ans et quatorze amas. - Hérédité nerveuse.
Mère
ayant eu des crises de nerfs dans sa jeunesse.
té, à l'âge de deux ans et à cinq ans, des «crises de vers», dit sa
mère
. A l'âge de huit ans elle est prise un jour de
jours tous ces symptômes avaient disparu. Comme héridité père et
mère
alcooliques, mère nerveuse. Observation YS.. Ps
symptômes avaient disparu. Comme héridité père et mère alcooliques,
mère
nerveuse. Observation YS.. Pseudo-méningite che
is semaines sans laisser de traces. Hérédité très chargée : père,
mère
, tante, oncles tant du côté paternel et materne
duites dans la thèse de mon frère. Thèse de Toulouse, 1896). Sa'
mère
a eu de l'anesthésie hystéro-traumatique, sans pa
violente céphalalgie; ce sont des cris aigus, qui font peur, dit la
mère
. Elle ne peut plus voir le jour, ses yeux sont
uelle était la quantité de liquide absorbé ? 10 à 12 litres, dit la
mère
: 6 à 8 litres le jour et 4 litres la nuit. Afin
leuse était absorbée. Ce n'était pas la première fois, me disait la
mère
. qu'on le surprenait ainsi. Il n'avait qu'une i
dans le but de la faire analyser, « Il vient d'uriner, » me dit la
mère
. Je manifeste mon ennui. Oh ! que cela ne vous co
ar lui-même : Le malade S..., âgé de vingt-six ans, célibataire; sa
mère
était alcoolique. Il vint au monde sans interve
t naturel comme le diabétique précé- dent. Son père est inconnu. Sa
mère
est très nerveuse. La grand'- mère l'est encore
dent. Son père est inconnu. Sa mère est très nerveuse. La grand'-
mère
l'est encore davantage. Les tantes et les oncles
e peu de dégénérescence. 1893. Septembre, - Depuis quinze jours, la
mère
remarque que l'enfant boit beaucoup et urine be
dente; cepen- dant, le bébé buvait litres environ. Pour l'urine, la
mère
ne peut donner même un chiffre approximatif; es
erveuse de l'enfant- grand'mère maternelle hysté- rique avec crises
mère
et tantes maternelles très impression- nables,
eil consécutif. Hérédité maternelle et paternelle. Père alcoolique.
Mère
ner- veuse. Tante maternelle hystérique. . L'
ous ses détails, à sa soeur, le voyage que faisait en même temps sa
mère
, lui disant l'argent qu'elle avait emporté, les
était fait (deux rosiers ayant chacun une- rose épanouie). Quand la
mère
rentra, la soeur ne put s'empêcher de rire, en
a soeur ne put s'empêcher de rire, en voyant à la gare d'arrivée sa
mère
portant les deux rosiers à la main et en lui en
nous le verrons, doit être écartée. Estelle S..., treize ans, a une
mère
nerveuse, un père intelligent, mais ayant prése
trique ; elle présente les signes physiques de dégénérescence. Sa
mère
qui me donne les renseignements, semble avoir un
avait du tambour et du violon, sur ce point je n'ai pu réussir. Sa
mère
me racontait qu'elle ne pouvait supporter le br
'enfant et lui donnent cette tranquillité, ce repos passager que la
mère
recherche ; mais si le corps est tranquille pen
six ans, à la crainte obsédante de ne plus aimer son fils comme une
mère
doit aimer son enfant, et n'a jamais eu d'autre
uissent ces regrets una- nimes apporter quelque consolation à cette
mère
et à ce père si cruellement éprouvés par la per
rvation VIII Ba... R..., vingt ans (épilepsie). Enfant natu- relle.
Mère
alcoolique. Première attaque à l'âge de douze ans
édents héréditaires. Pas de renseignements précis sur le père et la
mère
. Une tante paternelle aurait été berloque (sic).
ante-cinq ans, prêtre, ne présente aucun antécédent héréditaire; sa
mère
a eu 12 enfants, 7 sont vivants, 5 sont morts e
entérite. Un ptosis complet de l'oeil droit attire l'attention ; la
mère
apprend que l'oeil était encore ouvert il y a q
nifestations défensives; les anamnestiques révèlent en outre que la
mère
du malade était régalée d'injures. L'écholalie
ait pardon... et recom- mençait. Un jour, il souffleta son père, sa
mère
, ses frères. Et, depuis, il ne cessa de souffle
et à marcher les yeux ouverts, poussant un cri de frayeur (il voit sa
mère
morte). A la tin de l'attaque, rires, pleurs, bâi
pheline ; elle a été recueillie à Il ans, à la suite de la mort de sa
mère
, survenue en conséquence de la phtisie pulmonaire
s plus haut.. Ch. f. ee qui revient à dire que l'hystérie chez la
mère
engendre souvent l'hystérie chez le fils. Une a
veux dans sa famille ; son père est encore vivant et bien portant, sa
mère
est morte d'une maladie de cœur ou de poitrine.
dernière époque. Cette lettre, datée du 1er novembre et adressée à sa
mère
, est très intéressanle à comparer à une autre l
ant elle n'a eu d'attaques convulsives. 11 n'en était pas ainsi de sa
mère
, morte au mois de mars 1884, à l'âge de 72 ans, d
ut entière se trouva réunie à l'occasion des vacances : le père et la
mère
vaquant à leurs occupations habituelles, les enfa
is une médiumité à l'aide de laquelle il pourrait évoquer l'âme de sa
mère
. C'est ainsi que Julie avait pu déjà assister à u
effrayé lui jeta un verre d'eau à la face : elle revint à elle, et sa
mère
, pressentant le danger, lui défendit de faire tou
cques présente une exagération de ses tics de la face, puis voyant sa
mère
pleurer, il s'écrie : « Je vais me tuer si tu ple
assassins qu'il veut frapper. C'estle 9 décembre que le père et la
mère
désolés, et, devant un traitement resté sans résu
se soient pas établies en permanence; malgré ce que nous a appris la
mère
, elle paraît avoir un caractère doux et tranquill
u lieu où leur maladie s'était déclarée ; Vabsence du père et de la
mère
devenus eux-mêmes très nerveux, et dont la présen
er dans la maison paternelle, en contact perpétuel avec le père et la
mère
, et entre eux dans des relations de tous les inst
ui, il faut séparer les enfants, les adultes, de leur père et de leur
mère
dont l'influence, l'expérience le démontre, est p
ien que la raison n'en soit pas toujours facile à donner, surtout aux
mères
qui ne veulent rien entendre et ne cèdent en géné
ût exiger qu'un père s'éloignât de son enfant au moment du danger. La
mère
en disait autant. Mais la conviction m'animait, j
tant. Mais la conviction m'animait, je fus peut-être éloquent, car la
mère
céda d'abord et le père la suivit en maugréant et
re desquelles le malade ne peut qu'imparfaitement nous renseigner. Sa
mère
est morte à 65 ans asthmatique. Le grand oncle de
seigner. Sa mère est morte à 65 ans asthmatique. Le grand oncle de la
mère
était épileptique et est mort des suites d'une ch
isemblablement pour le moins; grand oncle et cousines germaines de la
mère
épileptiques ; deux filles, dont l'une est hystér
mort à 60 ans, à la suite d'une paralysie survenue sans attaques. Sa
mère
, morte tuberculeuse, était nerveuse, mais n'avait
que son père qui est mort à l'âge de 48 ans, alcoolique avéré, et sa
mère
encore vivante, qui paraît n'avoir jamais souffer
on. Il est né et il a vécu jusqu'à l'âge de 14 ans à la campagne. Sa
mère
aurait eu, en 1872, quelques attaques d'hystérie.
on père, qui a exercé la profession de charretier, est alcoolique. Sa
mère
, morte tuberculeuse, a eu des attaques d'hystérie
a profession de maçon, est entré à la Salpêtrière le il mars 1883. Sa
mère
est morte à l'âge de 46 ans, à la suite « de rhum
bon que je vous dise quelques mots des antécédents de ce malade. Sa
mère
est morte à 59 ans d'une maladie du foie ; elle é
n communiquée par M. le professeur Lannelongue). Garçon de 11 ans; la
mère
a de nombreuses attaques d'hystérie. Le membre du
longue). Petite fille ce 13 ans. Père atteint de paralysie infantile;
mère
ayant eu des attaques hystériques, jusqu'à l'âge
attaque d'apoplexie, et est sujet à de fréquents étourdissements. Sa
mère
et sa sœur ne présentent pas de phénomènes nerveu
yngite tuberculeuse à l'âge de 57 ans; avait des crises épileptiques.
Mère
nerveuse, très emportée, morte de phtisie; a eu h
, service du professeur Charcot, issue d'une famille de musiciens. Sa
mère
est morte des suites d'une hémiplégie à l'âge de
nvulsions fréquentes ; le frère de son grand-père était hémiplégique.
Mère
bien portante. Cousine maternelle enfermée dans u
ille de 18 ans, hystérique, d'une santé habituellement excellente. Sa
mère
a de grandes attaques. Une sœur, âgée de 13 ans,
cussions et des scènes violentes qui eurent lieu entre son père et sa
mère
; c'est à ces chagrins domestiques qu'elle fait re
ique, âgée de 28 ans, entrée à l'hôpital de la Pitié le 27 mars 1885.
Mère
très nerveuse; père hypochondria-que. Il y a deux
it, avant l'opération, gaie, jouant avec sa poupée et causant avec sa
mère
et son père. Au moment de la section du tendon, e
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