ait fait de ce projet le rêve de sa vie. D'autres ont exprimé, depuis longues années, la même intention : pourtant l'âge avance

leur enveloppe compacte. Ex. Cavités centrales ou médullaires des os longs ; canaux aréo-Inires, sanguins et adipeux, des sub

A l'intérieur, les diflerens os, tant pour le canal médullaire des os longs que pour les canaux aréolaires delà substance spo

ayonnées dans les os larges, longitudinales et parallèles dans les os longs , variées de direction clans les extrémités articu

es, renfermés dans de petites gaines propres. Ils parcourent ainsi de longs trajets, dégageant à diverses hauteurs les ramifi

part de bien rares exceptions, la disposition commune aux gaines des longs muscles des membres. Il n'en est pas de même des

, en raison de sa longueur, l'adossement des feuillets trace comme un long canal pour l'entrée des vaisseaux. Pour les organ

s ne nous arrêterons pas sur ses caractères particuliers dans tout ce long trajet, les considérations auxquelles elle donner

rotégée par les anneaux osseux des vertèbres, ces derniers formant un long levier brisé plus solide, nonobstant sa mobilité,

externe. La seule communication extérieure de la caisse a lieu par un long canal ostéo-cartilagineux, la trompe d'Eustache,

es, et composé, dans les creux axillaires, d'un tissu aponcvrotique à longues mailles, dans lequel sont logés les veines superf

ux de passage au travers des parois osseuses et aponévrotiques, et de longs trajets dans les adossemens in ter-organiques. En

en avoir causé l'ulcération. C'est ainsi qu'ils parcourent souvent de longs trajets dans les espaces cclluleux in ter-organiq

e palpébrale. Dans ce point existent les bulbes pileux des cils, plus longs à la paupière supérieure qu'à l'inférieure. i° Me

fondément, derrière le tube laryngo-trachéal, se trouvent les muscles longs du cou. 4° Vaisseaux. De chaque côté du groupe so

contre. 3° Vaisseaux. Ce sont principalement les thoraciques externes longs et courts, auxquels se joignent des branches de t

seaux sont fournis en avant, en plan superficiel, par les thoraciques longs , dont la direction est verticale, et en plan prof

la grande veine dorsale de la verge, de nombreux lymphatiques, et de longs rameaux du nerf honteux interne. Dans sa structur

u-dessous du pubis, par les racines du pénis, dont la masse forme une longue saillie médiane rétrécie entre les branches des i

celui de la cuisse, et en avant avec le dartos. Ce fascia, composé de longues inailles, se charge d'une quantité assez considér

érinéale se subdivise en trois portions : la première ou proslalique, longue de douze à seize lignes, enveloppée par la glande

les conduits éjacula-teurs. Au-devant s'étend la portion membraneuse, longue environ d'un pouce, placée en arrière et sous l'a

troncs principaux, et, en bas, la naissance des vaisseaux thoraciques longs ; à la partie supérieure s'abouche la veine cépha

superficialis analogue à celui de la région inguinale, c'est-à-dire à longues mailles ellipsoïdes, remplies de graisse, et dont

cette région sont : les artères, les veines et les nerfs thoraciques longs qui descendent verticalement au milieu de l'aire

culation. La tête humérale, enveloppée par sa capsule qui renferme le long tendon du biceps, est protégée, en haut, par la v

cpii y sont contenus. Au-delà du sillon interne, plusen arrière, une longue saillie verticale, formée par les d eux portions

ntérieur; la seconde par le fléchisseur sublime ; la troisième par le long fléchisseur propre du pouce et le long fléchisseu

sublime ; la troisième par le long fléchisseur propre du pouce et le long fléchisseur des doigts; la quatrième, seulement à

dehors par le nerf du même nom et protégées en commun parle tendon du long supinateur. RÉGION ANTI-BRACHIALE POSTÉRIEURE.

ostérieur, sous-jacens à l'aponévrose d'enveloppe; en plan profond le long abducteur du pouce, son court et son long extense

veloppe; en plan profond le long abducteur du pouce, son court et son long extenseurs et l'extenseur propre de l'indicateur,

yenne par le relief des adducteurs, et aplatie en bas, où les muscles longs s'amincissent pour devenir tendineux. Parties c

scles de cette région. 4° Muscles. Ce sont : le jambier antérieur, le long extenseur propre du gros orteil , l'extenseur com

nerfs sont fournis par le sciatique po-plité externe, divisé en deux longues branches : en dehors, sous les péroniers, la bran

vrose d'enveloppe et la peau, induit à débrider de bonne heure par de longues incisions. De même qu'à la cuisse, il est souvent

se est au calcanéum. L'interne est limitée en avant par la saillie du long fléchisseur commun des orteils et par la portion

n aponévrose d'enveloppe. Le plan profond renferme trois muscles : le long fléchisseur propre du gros orteil, le jam- 1 Pl

le jam- 1 Planche 1, n" I73 et planche 12, hier postérieur et le long fléchisseur conimun des orteils contenus dans une

u jam-bier antérieur qui forme le point culminant, et à côté celui du long extenseur propre du gros orteil glissant sur le t

nerf tibial au-devant du ligament articulaire, derrière le tendon du long extenseur propre du gros orteil, et fournissent d

u jambier antérieur en avant, et des jambier postérieur, fléchisseurs long et propre des orteils en arrière ; en plan profon

érieur et en arrière par celle des péroniers latéraux, elle forme une longue surface sous-cutanée triangulaire, dont, indépend

e soient déchirés, d'où résulte une diastase qui ne guérit qu'avec un long temps. Les autres maladies, caries, nécroses, etc

e gouttières de glissement les tendons sous-malléo-laires des muscles long fléchisseur propre du gros orteil, long fléchisse

ous-malléo-laires des muscles long fléchisseur propre du gros orteil, long fléchisseur commun des orteils, et jamhier postér

ors, et dont les quatre tendons s'accolent au bord externe de ceux du long extenseur. En troisième plan, dans la portion mét

t (c) les vaisseaux pédieux, qui longent le bord externe du tendon du long fléchisseur propre du gros orteil, et fournissent

rs par l'abducteur du petit orteil. En second plan : les deux tendons longs fléchisseurs avec leurs auxiliaires, l'accessoire

ux tendons longs fléchisseurs avec leurs auxiliaires, l'accessoire du long fléchisseur commun et les lombricaux. En troisièm

r du gros orteil en longueur, et en travers le tendon sous-tarsien du long pérouier latéral en arrière, et en avant le trans

déclive en arrière et en dehors, à partir du second, qui est le plus long , i" Peau. Épaisse et rugueuse sur la face dorsale

S" Squelette. Il est constitué par les phalanges, les premières assez longues et les autres très courtes. Le pied, par sa sit

de tous les temps ont établi en précepte, dans les opérations un peu longues , de laisser le malade exhaler sa douleur par des

ir que des praticiens distingués en aient nié l'existence. Après ifne longue controverse sur la réalité de l'accident, ses con

, plus funeste que la lenteur. La rapidité opératoire, résultat d'une longue habitude, consiste moins dans la promptitude des

nce à ses mouvemens. Septième position \ Le bistouri basculant en long et en travers. Nous qualifions ainsi celle où l

re généralement avec la main gauche et de plusieurs manières. 10 En long , avec la main appliquée à plat; en travers, avec

brane et les tissus sous-jacens que couche par couche. Ce procédé est long et douloureux, mais il offre une précision et une

t l'espèce de section que l'on veut pratiquer. Si l'on veut couper en long , l'index sera placé sur la branche du médius, et,

puytren sont de ce genre. La perforation a pour objet de couper un os long dans la profondeur d'une plaie : tel est le cas d

la peau. Voici le procédé généralement usité. Muni du bistouri à lame longue etaffdée, recommandé par Boyer et Abcrnethy, le c

le travail morbide. Le manuel opératoire, que nous décrivons plus au long pour la phlébotomie, est à peu près le même clans

n opère. On évite, par ce procédé, une dissection méthodique toujours longue et douloureuse, souvent très difficile, et qui so

: tels sont les porte-nœuds deLevref, Desault, etc. Dans ce cas, cle longues pinces servent au besoin à ramener les fils, (c)

'abord qu'il n'en aurait si l'aiguille était déjà embarrassée dans un long trajet. Dans le cas néanmoins où il surviendrait

laires chez des sujets scro- VOL. VI. phuleux ou affaiblis par de longues maladies; 5° décomposer, dans la profondeur d'une

des cas, il reste une ulcération par perte de substance plus ou moins longue à guérir. Mais sous l'action de certains caustiqu

entimètres de longueur sur trois de largeur, fixés à l'extrémité d'un long porte-crayon, et qu'il appliquait par la base sur

es enfoncemens. M. Mayor, pour les mêmes cas, fait couler l'alcali en longs cylindres qui prennent d'eux-mêmes la forme coniq

euses racines adhérentes aux tissus fibreux et aux os, qui exigent de longues recherches et qu'il faut poursuivre au loin, ce q

t. Ordinairement, pour les membres, elles doivent être taillées assez longues pour en faire le tour, si la plaie a une directio

ces chirurgiens, la sensibilité et le mouvement, anéantis pendant un long temps par le fait de la compression, se rétabliss

travers de parties très vasculaires , et devant durer un temps assez long , le chirurgien aurait à craindre des hémor-rhagie

fs et des veines, de ne pouvoir être maintenu pendant un temps un peu long sans risquer la gangrène, condition qui en restre

pouce trop large par le médius, ou l'on se sert d'une pelote à manche longue et mince. Nous avons figuré ces divers modes de c

aindre des hémorrhagies formidables, pendant la durée d'une opération longue ou compliquée, et qui réclame tout le sang-froid

t tarir l'hémorrhagie, il suffit de faire exercer au malade plusieurs longues inspirations, sans forcer pour les expirations, s

sseau, ou du moins de former obstacle physique pendant un temps assez long pour permettre l'oblitération définitive par adhé

etites artères : toutefois, nous ne le citons que pour le mentionner. Long et minutieux par sa manœuvre, assez vague dans so

ge et le fait saisir de chaque côté. Il est clair que cette manœuvre, longue et difficile, suppose en outre un calibre de vais

de chanvre ciré, un fil de soie ou un fil métallique ; ce procédé est long , douloureux et infidèle. 2° Arrachement. Pratiqu

e par une bande. Au rapport de Bichat, ce procédé cause de vives et longues douleurs, et a exigé trois mois pour la guérison.

la lime ; pour emporter un angle saillant ou raccourcir une dent trop longue , se servir de préférence delà scie, qui est plus

premier genre, dont la branche de la puissance, ou la tige, est très longue par rapport à celle de la résistance, représentée

ant être tirée que directement. Toutefois, quand les racines sont peu longues , comme pour les incisives supérieures, Laforgue r

traction des dents complètes. Suivant que la racine est plus ou moins longue , pourvue ou non d'un fragment de la couronne, sai

t préférables, sur-tout dans le procédé de Jenner qui permet une très longue conservation du vaccin. Conservation indéfinie.

vaccin, jusqu'à déterminer l'excoriation de l'épiderme; procédé très long , fort douloureux, d'un effet peu sûr, et avec rai

eu à une légère suppuration qui se supprime après quelque temps. A la longue , un tissu cutané accidentel tapissant le court tr

ce qui rendrait la cicatrisation impossible dans certains cas et très longue dans d'autres, outre l'inconvénient d'une cicatri

si fréquemment après les brûlures, ou elles sont disséminées sur une longue surface, ou elles sont disposées par séries linéa

aindre à se cicatriser isolément. Ce procédé en deux temps est plus long , et n'ajoute pas beaucoup à la certitude de la gu

uval, les tendons péroniers latéraux; et sir A. Cooper , le tendon du long fléchisseur propre du gros orteil. Enfin, devança

yrand. Il lait, en regard de chaque doigt, une incision longitudinale longue d'un pouce, dissèque la peau en dessous pour la d

teur, est offerte à la peau par l'autre ventouse. Ce procédé est très long et réussit mal, rien ne contraignant l'annélide à

nce munie d'un fil de soie très fin. Ce procédé nous paraît à la fois long , douloureux et compliqué, et n'agit pas aussi eff

plat sur la face antérieure du bras, le chef qui pend au dedans plus long que l'autre, puis croiser les chefs en arrière, s

pince à disséquer et l'ouvre longitudinalement. Ce procédé est un peu long , mais utile dans certains cas. La piqûre faite, o

nter-osseux, à trois millimètres en dehors de la saillie du tendon du long extenseur propre. Diviser du premier coup la peau

les lignes d'intersection musculaire; avant d'inciser l'aponévrose en long , il commence par une section en travers, au milie

a jambe; appliqué sur la face postérieure du jambier postérieur et du long fléchisseur commun des orteils; enveloppé avec se

vasculaire s'offre côtoyé, en dedans, par les trois tendons des deux longs fléchisseurs et du jambier postérieur, et, en deh

tres en dehors de l'angle postérieur du tibia, une incision à la peau longue d'un décimètre, puis diviser l'aponévrose. La sur

e postérieure de l'os, isoler le muscle en dessous de l'aponévrose du long fléchisseur commun, et le faire écarter en arrièr

la sonde cannelée suivant une ligne verticale. Parvenu sur le muscle long fléchisseur propre du gros orteil, à son extrémit

ue au-dessous de l'écartement des jumeaux, l'incision peut être moins longue pour lier l'artère entre les muscles, où sa profo

. L'incision, au contraire, s'étendra davantage en haut, et sera plus longue , si l'artère doit être liée à sa partie supérieur

possible de la ligature est indéterminé , l'incision doit être assez longue pour atteindre le vaisseau en haut ou en bas. D

-tendineux sur le jumeau interne. Abaisser sur ce trajet une incision longue de huit centimètres qui s'arrête à un centimètre

échir fortement l'articulation du genou et, en écartant en dehors les longs muscles fléchisseurs clans le relâchement, aller

eux étant divisés du premier coup, séparer avec la sonde cannelée les longues fibres du grand fessier qui croisent très oblique

tendu dans l'abduction, pour faire saillir les tendons de ses muscles long abducteur et long extenseur, inciser la peau para

tion, pour faire saillir les tendons de ses muscles long abducteur et long extenseur, inciser la peau parallèlement au derni

mens. Déprimer la peau dans le sillon vertical qui longe le tendon du long supinateur et l'inciser, suivant cette direction,

vrose superficielle : on trouve alors à nu le sillon intermédiaire du long supinateur en dehors au radial antérieur et plus

nateur en dehors au radial antérieur et plus profondément aux tendons longs fléchisseurs en dedans. A six millimètres environ

ofondeur et à quatre millimètres en dedans et parallèlement au tendon long supinateur se présente le faisceau vasculaire, l'

court supinateur au fond du sillon musculaire borné en dehors par le long supinatcur et le premier radial externe et en ded

and palmaire, Recouverte plus particulièrement par le bord interne du long supinatcur, l'aponévrose d'enveloppe, le pannicul

e antibrachiale, décolle et fait écarter en dehors le bord interne du long supinatcur et parvient ainsi sur le faisceau vase

Marjolin déprime la peau, de bas en haut, le long du bord interne du long supinateur, dont il rend au besoin la saillie plu

reproche en outre à l'incision de M. Roux de tomber trop en dedans du long supinateur, ce qui en rend l'écarteinent plus dif

ui reproche, avec raison, de tomber trop en dehors du bord interne du long supinateur, dont il est évident que le décollemen

rtère cubitale est appliquée, avec ses deux veines satellites, sur le long fléchisseur profond : elle est recou-- 1 Voy. A

par sa situation au centre du mouvement d'extension du membre le plus long , l'artère poplitée est le siège le plus ordinair

, un centimètre et demi plus bas, l'origine des vaisseaux thoraciques longs ou inférieurs. Après eux vient la veine axillaire

ent. J'ai vu deux opérations de cette nature où ce ne fut qu'après de longues recherches, des désordres et des lacérations asse

ôté à l'autre, la droite, qui naît du tronc brachio-céphalique, moins longue de trois à quatre centimètres ; chacune d'elles ,

. Tronc commun de la carotide et de la sous-clavière du côté droit, long de cinq à six centimètres et recouvert par la pre

nde cannelée recourbée servant à guider un stylet porte-fil, manœuvre longue et complexe, péniblement exécutée par des instrui

éviter, présente les conditions les plus favorables. Cette altère est longue , bien isolée, et environnée , par les communicati

te opération dès qu'elle se trouva du domaine public : il serait trop long de les nommer. Deux cas, cependant, se distinguen

as laissé imposer par la diminution apparente de la tumeur pendant la longue durée de l'état anémique, et si, en définitive, l

éjà Paré parle de comprimer une artère avec un petit rouleau de linge long de six lignes sur trois de large (quatorze millim

au et les fixer sur les nœuds, constitue toute une série de manœuvres longues et difficiles, sans autre résultat réel que d'enf

des laits. L'objet de ce procédé, invoqué par Morand et développé au long par M. Maunoir, est d'annuler la force de rétract

de chanvre ciré sur un point de l'artère dénudé. Nous avons traité au long des procédés opératoires qui s'y rapportent pour

cy, Larrey ont rencontré des balles et des biscaïens encastrés depuis longues années dans l'épaisseur des parties molles. Nous

Procédé de Boyer (ponctions successives). Muni d'un bistouri à lame longue et affilée, qu'il tient de la main droite, à plat

t applicables au lipome, la ligature et l'extirpation. i° Ligature. Longue , douloureuse, et par cela même inusitée, ce n'est

ce funeste de récidive. On ne peut, sans entrer en plein et fort au long dans le domaine de la chirurgie et de l'anatomie

ssent facilement au milieu des tissus. Les épingles doivent être très longues , de manière à dépasser de quelques centimètres le

sous des épingles. Elle consiste à passer au travers de la tumeur une longue aiguille ou épingle (M. Gensoul) ou deux épingles

plus légers, afin de ne pas produire d'esquilles : si on divise un os long , il faut que les aides chargés de le maintenir ai

considérable que les leviers que représentent les branches sont plus longs . Les côtes, les phalanges et les métacarpiens son

rioste avec la pince et le bistouri. Quant aux simples fêlures des os longs , il n'y a point à s'en occuper; plus tard elles s

forme irrégulière et au volume considérable qu'il affecte dans les os longs . Dans son intérieur est renfermé l'os ancien, qui

de trajet aux fistules. Dans la série naturelle des phénomènes, après longues années le séquestre lui-même, en totalité ou par

d'une nécrose, extraire eux-mêmes d'énormes séquestres de tout un os long . C'est pour abréger ce travail de la nature que l

s du trépan, et peu à peu cette opération tombe en désuétude. Cette longue période d'oubli se prolonge j usque dans le moyen

ste un épanchement au-dessous des méninges, on divise la dure-mère en long ou crucialcment avec beaucoup de précaution. Lors

épanation avec la tréphine, l'opération devient plus simple mais plus longue et plus fatigante pour le chirurgien. On applique

u trépan s'est beaucoup restreint; l'extraction des séquestres des os longs est la seule indication qui en réclame encore que

ons et les résections. Les résections sont d'une exécution toujours longue ; on peut citer comme exceptionnelle une résection

iples et souvent lacérées, tels sont les élé-mens de ces suppurations longues , intarissables, qui durent un mois, trois mois, s

n; mais s'il est déjà épuisé par la durée ou par la nature du mal, la longue suppuration à laquelle il sera soumis l'épui-sera

e, le tétanos, l'inflammation, la carie, la nécrose, la gangrène, une longue suppuration, les abcès fistuleux, les fusées puru

t l'état des parties molles. Dans la continuité de la diaphyse des os longs , ou dans les os plats formés par une lame de dipl

enablement protégé les parties molles au moyen d'une petite compresse longue passée au-dessous clu métacarpien, on fait la rés

ès avoir préalablement passé dans l'espace inter-osseux une compresse longue pour protéger les parties molles. La section cle

cubitus au moyen de l'appareil de Scultet. La guérison est en général longue à obtenir, la suppuration se tarit difficilement,

ision longitudinale, autant qu'on le peut, on doit suivre la ligne du long supinateur, puis des radiaux, et ne couper en tra

er de chaque côté de l'extrémité inférieure de l'humérus une incision longue de huit centimètres (trois pouces) qui pénètre ju

ien, retirant son couteau, le remplace par une bande ou une compresse longue dont les deux chefs, confiés à un aide, permetten

tère, à base interne, qui fut relevé sur le dos du pied. Le tendon du long péronier fut écarté en dehors, et les fibres du m

e postérieure. Le péroné étant mis à nu par la division des fibres du long péronier, on commence par le dénuder exactement d

la résection du genou, qui est sans contredit plus douloureuse, plus longue et plus dangereuse que l'amputation dans la conti

mi-flexion, pratiquer au-dessous de la rotule, avec un couteau à lame longue et étroite, une incision transversale qui pénètre

à une suffocation imminente. Cet accident n'est pas ordinairement de longue durée, et disparaît lorsqu'on fait incliner la tê

vaisseaux de la branche de la mâchoire; néanmoins cette opération est longue et difficile : la grande quantité de vaisseaux qu

de l'épaisseur des parties intéressées. Du reste la cicatrisation est longue , difficile, et la difformité bien plus notable qu

sous prétexte que les os sont mal recouverts, que la cicatrice, très longue à obtenir, porte immédiatement sur les surfaces o

du tendon clu grand palmaire, au tiers supérieur elle marche entre le long supinateur, le rond pronateur et le grand palmair

chirurgicale, déformer avec les chairs profondes deux petits lambeaux longs d'un pouce et taillés avec le couteau glissé à pl

ant et en arrière, du centre à la circonférence, deux petits lambeaux longs de trois centimètres, dénude en 8 de chiffre et s

ciel, le biceps, qu'on puisse raisonnablement assimiler à ces muscles longs et grêles qui parcourent la cuisse dans toute son

d dorsal, et le retrait en sens contraire du coraco-brachial et de la longue portion du biceps tend sans cesse à empêcher le r

r de haut en bas et en biseau du centre à la circonférence un lambeau long de six centimètres, reporter le couteau à la base

externe et interne de six à huit centimètres (deux à trois pouces de long ), les écarte et scie l'os au sommet de leur réuni

suivant l'obliquité des bords du même muscle, un lambeau trapézoïdal long de six centimètres, le disséquer, le relever, cou

s apprennent qu il est plus expédient de laisser le moignon court que long , car sa longueur seroit difforme et serviroit dcm

in. Sur une incision circulaire des tégumens en abaisser deux autres, longues de quatre centimètres et pratiquées, l'une sur la

ement les tégumens sur la face interne clu tibia, élever une incision longue de quarante-deux millimètres, disséquer les deux

et tailler de haut en bas et en biseau d'avant en arrière un lambeau long de quatre pouces ; le relever, disséquer à la hau

ce postérieure de la jambe, tailler de haut en bas un lambeau externe long de huit centimètres, le relever; détacher du tibi

ement le postérieur par ponction. M. Roux fait d'abord une incision longue de deux pouces, du bord interne à la crête du tib

la possibilité de supporter sans inconvénient, avec des bottines, de longues marches et des fatigues assez pénibles. La cherté

up de chirurgiens que nous avons cités, et d'autres qu'il serait trop long d'énumérer, tant en France qu'à l'étranger 1 sont

t la résorption purulente : enfin, la cicatrisation est excessivement longue . Ces alternatives sont terribles, il est vrai; ma

érer le tissu cellulaire du creux proplité; la section des chairs est longue et minutieuse, la manœuvre du couteau inter-osseu

e Vermale: seulement la dissection des lambeaux rend l'opération plus longue et moins régulière. La Faye a proposé un coutea

appant de la peau vers le fémur et de bas en haut, un lambeau interne long de huit à onze centimètres (trois ou quatre pouce

former une plaie verticale. — (c) Deux lambeaux dont le palmaire plus long . Procédé de Rust. Ce procédé recommandé par Riche

ligamens latéraux, et ressortir en taillant un lambeau palmaire plus long , ne nous paraît pas différer sensiblement du proc

e et de l'index; elle doit diviser du premier coup la peau, le tendon long extenseur et une partie du premier muscle inter-o

ile après l'ablation d'un métacarpien isolé, exige des lambeaux assez longs lorsque deux métacarpiens contigus ont laissé un

it couteau droit tailler sur la face dorsaleun lambeau seini-lunaire, long d'un centimètre et demi, qui s'étend de l'une à l

latérales qu'il réunit par deux autres transversales, ce qui est plus long sans offrir de nouvel avantage. MM. Sanson et Bég

ar une section circulaire, on taille deux lambeaux lntéraux, manœuvre longue pour la dissection et d'un mauvais résultat. Enfi

ramène la peau en bas, et deux compresses pyramidales, appliquées en long , accolent les gaines synoviales pour prévenir la

nt le tranchant inférieur, détacher un lambeau de huit centimètres de long que l'on fait relever par un aide. Au second temp

ller un lambeau interne et inférieur de quatre à cincj centimètres de long . a0 Bras droit. Pour tailler un lambeau externe

s devoir revenir de ce jugement concernant la première phalange, plus longue à elle seule que les deux autres; et nous ne voyo

sseur inégale du pied d'un bord à l'autre. Si, la section opérée, les longs tendons fléchisseurs se trouvaient à nu sur le la

ille du lambeau, du bord externe le plus court vers l'interne le plus long , est aussi plus facile. Si le premier cunéiform

ule du cinquième métatarsien et l'apophyse de glissement du tendon du long péronier latéral sur le cuboïde, pour le côté ext

urnant en dehors le cuboïde jusqu'à l'apophyse de réflexion du tendon long péronier, et pour le pied droit en sens inverse.

pêche pas le malade sur lequel nous l'avons fait dessiner de faire de longues marches à l'aide de la bottine fabriquée par M. G

t leur face postérieure, aux dépens des muscles du mollet, un lambeau long d'un travers de main, mais dont au reste, avant d

a leurs vues dans un rapport de Ledran et Guérin fils. Il serait trop long de parcourir historiquement la série des débats q

s des muscles rotateurs. 4° Au dedans, le ligament inter-articulaire, long de deux centimètres et fixé directement au sommet

r y atteindre. 5° Au-dessous de la tête fémorale, le col chirurgical, long de quatre centimètres ( un pouce et demi) et incl

se saisie par la main gauche de l'opérateur placé en dehors : avec un long couteau droit pratiquer tune incision demi-circul

le chirurgien placé en dehors du membre : i° insinuer la pointe d'un long couteau droit à trois travers de doigt au-dessous

dans la rainure sous-ischiatique et tailler alors un lambeau interne long de onze centimètres ( quatre pouces ) : 20 le lam

e légèrement fléchie sur le bassin. Tout étant disposé : 10 armé d'un long couteau à deux tranchans à lame étroite et forte,

duction, et le chirurgien placé au côté externe du membre : armé d'un long couteau à un seul ou à deux tranchans, i° le prés

airs en arrière et en bas, si le lambeau postérieur était taillé plus long . Quant au procédé en lui-même: le chirurgien étan

res de section les plus considérables avec des lignes de réunion plus longues et à trois côtés, mais ces inconvéniens sont cont

e de l'aponévrose sacro-spinale. 6. Section du sacro-lombaire et du long dorsale. 7. Aponévrose des dentelés. 8.8. Bra

gaîne. RÉGION FÉMORALE POSTÉRIEURE. Côté gauche. M. Loge de la longue portion du biceps avec ses vaisseaux et ses nerfs

ar les vaisseaux scapulaires inférieurs 6, les vaisseaux tho-raciques longs 7, et par les branches inférieures du plexus qui

ligne diagonale. 17. 17. Vaisseaux de nutrition du couturier. 18. Long rameau nerveux propre à ce muscle. 19. Rameau n

. 13. Veine cubitale postérieure. Avant-bras D. Loge médiane du long fléchisseur superficiel. Derrière le feuillet s

rans- parence le nerf cubital. K. Partie supérieure de la loge du long supinateur et du premier radial avec leurs vaisse

ofonds. 14-. Angulaire de l'omoplate. 15. Scalène postérieur. 16. Long du cou. 17. 17. Aponévrose cervicale superficie

4. Extrémité inférieure de la loge du rond pronateur. 5. Loge du long fléchisseur superficiel. 6. Vaisseaux et nerf m

fléchisseur superficiel. 6. Vaisseaux et nerf médian. 7. Loge du long fléchisseur profond des doigts. 8. Vaisseaux ra

et nerf radial. 5. Vaisseaux cubitaux et nerf cubital. D. Loge du long fléchisseur profond des doigts. E. Loge du long

bital. D. Loge du long fléchisseur profond des doigts. E. Loge du long fléchisseur propre du pouce. F. Loge du carré p

hisseur propre du pouce. F. Loge du carré pronateur. G. Tendon du long supinateur. H. Tendons des deux radiaux. 6. L

ndon du long supinateur. H. Tendons des deux radiaux. 6. Loge des long abducteur et court extenseur du pouce. 7. Loge

6. Loge des long abducteur et court extenseur du pouce. 7. Loge du long extenseur du pouce. 8. Loge de l'extenseur prop

uatre tendons fléchisseurs superficiels et profonds. 6. Tendon du long fléchisseur du pouce. 7. Vaisseaux cubitaux.

du pouce. 7. Vaisseaux cubitaux. 8. Nerf médian. 9. Tendons des long abducteur et court extenseur du pouce. 10. Tend

10. Tendons du premier radial. 11. Tendons du second radial et du long extenseur du pouce. 12. Tendons des extenseur c

eaux et nerfs péroniers avec les branches qui en naissent. P. Loge du long fléchisseur propre du gros orteil, qui ouvre dans

iers. FIGURE 3. R. Loge du court fléchisseur commun. Le tendon du long fléchisseur propre est conservé. S. Loge de l'a

un ligament interosseux. 1. Loge du jambier antérieur. 2. Loge du long extenseur commun des orteils, et de l'extenseur

seur propre du gros orteil. 3. 4. Loge des péroniers latéraux. Le long et le court. 5. Loge du jumeau interne. 6. Lo

7. Loge du soléaire. 8. Loge du jambier postérieur. 9. Loge du long fléchisseur commun des orteils. 10. Loge du lon

ieur. 9. Loge du long fléchisseur commun des orteils. 10. Loge du long fléchisseur propre du gros orteil. 11, 11, 11.

en et petit cunéiformes. D. Cuboïde. 1. Loge du pédieux. 2. Tendon du long extenseur propre. 3. Les quatre tendons de l'exte

r commun. 4. Tendon du péronier antérieur. 5. Loge de l'accessoire du long fléchisseur. 6. Tendon du long fléchisseur commun

antérieur. 5. Loge de l'accessoire du long fléchisseur. 6. Tendon du long fléchisseur commun ; en dedans est celui du long

isseur. 6. Tendon du long fléchisseur commun ; en dedans est celui du long fléchisseur du gros orteil. 7. Tendon du long pér

en dedans est celui du long fléchisseur du gros orteil. 7. Tendon du long péronier latéral dans sa gaîne. 8. Gaîne du lon

teil. 7. Tendon du long péronier latéral dans sa gaîne. 8. Gaîne du long adducteur et du court fléchisseur du gros orteil.

, C, D, E. Section des cinq os métatarsiens. 1. Tendons extenseurs, long et court. 2. Tendon du long extenseur du gros ort

os métatarsiens. 1. Tendons extenseurs, long et court. 2. Tendon du long extenseur du gros orteil. 3. Loge du court fléchi

eur du gros orteil. 3. Loge du court fléchisseur commun. 4. Tendon du long fléchisseur commun. 5. Loge de l'adducteur et du

est fixée par une vis. Figure 22. Cautère nummulaire. La lige trop longue pour l'espace, est brisée en (a), et reçue dans l

intenue par une vis de pression. 4° La pelotte mobile (L), étroite et longue [fig. 3), est large de 10 lignes à sa base, et se

fait qu'il diffère du procédé ordinaire, où l'on ne fait qu'une seule longue incision. Figure I. (e) Procédé par incision de

olume, pour former, au-devant et de chaque côté de l'articulation, de longues branches anastomotiques d'un fort volume. 8. Bran

eux, on ne peut se dissimuler qu'à l'usage la manœuvre n'en soit trop longue et difficile à exercer, par la difficulté de cont

nt par l'aponévrose supérieure d'insertion du jambier antérieur et du long extenseur. 3. Mucle jambier antérieur, déprimé

Premier faisceau du muscle pédieux, écarté en dehors. 4. Tendon du long extenseur propre du gros orteil. 5. Artère pédi

-phène satellite de la veine. — 12. Tendon d'Achille. — 13. Tendon du long fléchisseur commun des orteils. L'un et l'autre s

peau. —2. Section de l'aponévrose antibrachiale. — 3. (E2) Tendon du long supinateur. — 4. (E2) Tendon du fléchisseur subli

tibrachiale.— 3. pl. 40. Muscle radial antérieur. — 4. pl. 40. Muscle long supi-nateur. — 5. pl. 40. Muscle fléchisseur subl

ique. — 9. Vaisseaux acro-mio-thoraciques. —10. Vaisseaux thoraciques longs . — 11. Nerf médian. — 12. Nerf inusculo-cutané. —

ine axillaire. — 9. Artère acromio-tboracique.— 10. Artère thoracique longue .— 11. Artère axillaire, portant trois ligatures :

èvement des séquestres des grands os précités; seulement, pour les os longs de grande dimension, après la section du séquestr

. C. Bord inférieur de la plaie formé par les attaches coupées du long supinateur et des radiaux. D. Fond de la plaie

miale. Enumération des parties molles. M, section du deltoïde. — Q, longue portion du triceps. — R, biceps et coraco-brachia

Section du corps du tibia. (c) . Tendons du jambier antérieur et du long extenseur bornant la lèvre antérieure de la pla

tenseur bornant la lèvre antérieure de la plaie. (d) . Tendons du long fléchisseur commun et du jambier postérieur qui

érieure du péroné. ^ r ). Muscle péronier antérieur. (g) . Muscle long fléchisseur propre du gros orteil. (h) . Veine

eau cutané rectangulaire rejeté sur la face dorsale. ( n ). Tendon du long extenseur propre. ( o ). Tendon du long fléchisse

ace dorsale. ( n ). Tendon du long extenseur propre. ( o ). Tendon du long fléchisseur propre. ( p ). Muscle inter-osseux. (

t, sans danger grave, la conservation d'un membre non difforme. Une longue incision verticale ayant été faite sur le trajet

l'aponévrose jambière (b), le bistouri a divisé longitudinalement le long péronier latéral (c), puis le court péronier (d).

n du court péronier latéral. (d) . Portion sous-tarsienne du tendon long péronier. (e) . Extrémité articulaire des deux

uadrangulaire rejeté sur la face dorsale du pied. (b) . Tendon du long fléchisseur propre du gros orteil. (c) . Muscle

ace postérieure. (b) . Section verticale de l'attache supérieure du long péronier, qui met à nu l'excavation que remplis

r commun, adducteur et abducteur des orteils extrêmes. E. Tendon du long fléchisseur commun. Les quatre cordons (e, e), en

annulaire, sur laquelle se rendent, en s'y confondant, les tendons du long extenseur commun (G), du long extenseur du gros o

dent, en s'y confondant, les tendons du long extenseur commun (G), du long extenseur du gros orteil (H), et une attache du j

attache aussi, un peu au-dessus, le jambier postérieur (K). Le tendon long fléchisseur du gros orteil (L) adhère à-la-fois a

tendon long fléchisseur du gros orteil (L) adhère à-la-fois au tendon long fléchisseur commun et à la face inférieure de l'a

à l'œil nu sur une lame qui aurait, du talon à la pointe, 22 pieds de long et 3 pieds de large. Figure 11. Pointe du bisto

couteau un court lambeau dorsal et un lambeau plantaire beaucoup plus long , le chirurgien, au moment où l'opération est repr

l'avant-bras au-dessous de l'articulation. Les muscles, coupés un peu longs , revêtent en partie la surface articulaire numéra

d'un bistouri droit boutonné, de ciseaux droits ou courbes, et d'une longue pince à disséquer, à dents très-sail-lantes. Voye

médiat, effectué à l'aide d'un spéculum en gouttière ter-miné par un long manche cjuadrangulaire c^u'un aide peut tenir sol

oduit le spéculum et les leviers latéraux, on saisit les fils avec de longues pinces à crochets, et on les coupe avec des cisea

a symphyse du [)ubis. Preimier temps, — Avivement. Instruments : de longs ciseaux droits et coudés; trois bistouris longs,

ent. Instruments : de longs ciseaux droits et coudés; trois bistouris longs , dont deux sont coudés sur le plat, l'un à droite

nce à dents de souris; un ténaculum à petite courbure et monté sur un long manche ; un petit bistouri dont la lame peut s'in

queuse du vagin et un peu la couche sous-jacente ; cette incision est longue de lo à 12 millimètres. Avec le cro-chet il en sa

bien scrupuleusement fait, on absterge avec des éponges fixées sur de longs manches, et si le sang continue à couler, on inje

M. Sims, après divers essais, s'est arrêté à l'emploi d'ai-guilles longues de 2 centimètres 1/2, tranchantes et légèrement r

orsion, qu'on exécute à l'aide de trois instruments : i*^ un support, longue tige terminée par une petite plaque ana-logue à c

instrument nommé ajusteur de la suture, espèce de bouton porté sur un long manche ; puis prenant ces flls de la main gauche,

que. C'est une lame de plomb, de i à 2 millimètres d'épaisseur^ assez longue pour pouvoir recouvrir toute la fistule et ayant

jourd'hui démontré que tous ces appareils augmentent la durée déjà si longue de l'opération, et cela sans utilité bien évident

iste plus. Il ne faut pas confondre avec cette perte de substance les longues fistules antéro-postérieures qui peuvent s'étendr

édente; on arrive ainsi à faire passer sans douleur la bougie la plus longue , et le traitement est alors terminé. Ce procédé,

deux premières. Chaque incision verticale aura 5 à 6 cen-timètres de long ; l'incision médiane s'arrêtera à i centimètre et

e. Le dilatateur employé par M, Sims a environ huit centi-mètres de long et de trois à quatre centimètres de diamètre à so

J. Cloquet donne aussi de bons résultats; il a i4à i 5 centimètres de long et 8 centimètres de large; il est aplati et légèr

très-long ce temps de l'accouchement, et le périnée qui supporte ces longs efforts sans pouvoir glisser sur la tête, se déch

s incisions latérales sont pratiquées de chaque côté, elles sont plus longues que celles de Dieffem-bach, convexes en dehors, e

limètres en dehors d'un des bords de la déchirure, une incision aussi longue que cette déchirure, et assez profonde pour perme

t la peau en bas. Ce quadrilatère doit avoir 4 centimètres environ de long , sur 18 millimètres de large. Il est de toute néc

u étendues, la cautérisation parait devoir être avantageuse ; mais la longue durée de ce traitement le rend difficilement appl

bal-lon est adapté un tube de caoutchouc, qui vient s'ouvrir dans un long tube de cuivre; à la base de ce tube de cuivre es

sort par le bout du tube, on l'allume, et on obtient ainsi une flamme longue d'un demi centimètre environ ; en portant le tube

pinceau de poil de blaireau bien imbibé de causti-que et porté sur un long manche, ou bien, comme le fait M. Nonat, une fine

s variés. Scanzoni se sert de petites seringues de verre dont le bec, long et étroit, est recourbé comme une sonde utérine;

il n'avait pas d'accidents. Vidal se servait de seringues de verre à longue canule, et il n'hésitait pas à injecter des solut

ns une autre séance s'il y a lieu; on laisse aussi un intervalle plus long entre chaque séance, de manière à laisser bien to

ns la cavité, ou au moins l'écartement des deux lèvres du col avec de longues pinces introduites, puis ouvertes dans ce col; on

tion plus vive de la mu-queuse utérine, il introduit un pessaire plus long , composé également d'un bulbe de cuivre |mince, p

tié inférieure est de cuivre et la supérieure de zinc ; ce pes-saire, long de 7 centimètres pénètre dans la cavité utérine e

-guier. Elles se composent d'une tige métalHque de i5 centi-mètres de long et d'un diamètre qui varie suivant le cas : ainsi

Celui du professeur Jobert se compose d'un tube d'ivoire porté sur un long manche et muni d'un embout qui a un manche séparé

pointe. Les tentes-éponges se placent à l'aide du spéculum et d'une longue pince; si cela est nécessaire on attire un peu la

dire cependant qu'il m'est arrivé bien souvent d'entr'ouvrir avec de longues pinces un utérus ainsi ddaté et d'y faire pénétre

le sang dans l'hématométrie, 200 grammes le plus souvent; il faut une longue durée de la maladie pour qu'on en trouve 5oo gram

é de pratiquer la ponction vaginale de l'utérus au moyen d'un trocart long et courbe. Il faut avoir la précaution de laiss

xion la paroi postérieure du col vaginal est deux ou trois fois aussi longue que la paroi antérieure. D'une statistique dressé

Sa construction diffère un peu de celle des deux précédents ; il est long de l\o centimètres, son corps est muni d'un manch

les combinées a été pratiquée par Mayor de Lausanne; il em-ployait de longues aiguilles mousses non trempées qu'il cour-bait su

ans le but d'éviter aussi la blessure du vagin, M. Courty emploie une longue pince à branches indépendantes, à mors coudés et

ion. S'il y a des doutes, on enlève les tissus suspects à l'aide d'un long bistouri étroit et pointu et on arrête l'hé-morrh

qu'à la périphérie. L'amputation par excision étant beaucoup moins longue et moins douloureuse que la précédente, nécessite

par exemple (Jobert); on a ainsi obtenu des succès. Mais outre que la longue durée de ce traitement détourne sou-vent d'y avoi

foule de circons-tances ; M. Huguier en a vu une de 20 centimètres de long sur Il centimètres cle large; la forme est généra

l on sentait battre des artères. L'amputation par l'écraseur est plus longue , plus douloureuse, et elle ne donne pas une secti

tes, quand on redoutait la perte de sang que la manœuvre, quelquefois longue , du placement des fils aurait occasionnée. Broi

ntroduit un spéculum à développement, et on saisit le polype avec une longue pince à griffes et à fermoir. Prenant alors le co

M. Simpson a inventé un polypotome en forme de crochet, monté sur un long manche. Après avoir légèrement abaissé le polype,

inte à l'aide d'une pince de Museux, on l'attire, et avec des ciseaux longs et pointus, on fait une inci-sion sur le corps du

lles servant de porte-nœud, et un serre-nœud. Les deux aiguilles sont longues de a5 centimè-tres, larges de 3 millimètres et de

s le trou inférieur de cette même aiguille. L'autre chef, un peu plus long , doit rester libre. Les aiguilles sont alors appl

agin dilaté par des élévateurs ; le corps du polype est saisi par une longue pince, et son pédicule par une pince plus petite;

ser une hgature le long de cette pince. Si le pédicule est large, une longue ai-guille, portant une ligature double, transperc

st peu vasculaire. On n'oubliera pas que, même avec un pédicule assez long , un polype fibreux est toujours revêtu d'une couc

e se montrât dans le vagin. La torsion est applicable aux polypes à long pédicule, sur-tout lorsque ce pédicule est inséré

u lieu de lui imprimer un mouvement de rotation, on porte sur lui une longue paire de ciseaux lé-gèrement courbes, avec laquel

ires sont la gouge de Harper, ou mieux une paire de ciseaux courbes à long manche et à extrémités mousses. Une règle importa

Quand le corps fibreux est peu volumineux et relié à l'uté-rus par un long pédicule, ces changements ne sont pas très-import

qu'à l'utérus, ou que si elle tient à ce dernier organe, c'est par un long pédicule. De la gastrotoinie contre les corps f

aru. Doit-on cldoroformiser la malade pendant une opération d'aussi longue durée ? On a objecté que le chloroforme déter-min

osition demi-assise sur le lit, le silence et l'immo-bilité. Comme la longue durée de la chloroformisation déter-mine une espè

usieurs petits serre-nœuds avec des fils de fer doublés; des aigudles longues dont l'une est chargée d'un cordonnet de soie cir

les sutu-res profondes; une douzaine de chevilles de 4 centimètres de long et des fils de fer fins de rechange ; des épingle

entimètres de long et des fils de fer fins de rechange ; des épingles longues pour la suture entortillée. Pour le pansement,

ent de manière à prévenir la fatigue, car l'opé-ration est souvent de longue durée ; il en est qui mettent la patiente dans la

a tympanite augmente. Cette complication réclame tantôt l'em-ploi des longues canules introduites dans le rectum, tantôt la pin

ou qu'elles sont pédiculées. Ces dernières, si le pédicule est assez long , peuvent être chassées hors de la vulve par la tê

r exactement les mêmes signes. On est plus fondé à croire le pédicule long lorsque la tumeur est habituellement assez élevée

lisse sur ce doigt la canule d'un trocart d'environ 27 centimètres de long , la pousse fortement contre la tumeur, introduit

re dans la canule du trocart un bistouri spécial à large dos, avec un long manche, et le fait pénétrer d'environ 4 centimè-t

. Atlee, qui pourtant est un partisan de l'ovariotomie, réunissant sa longue expérience à celle de son père, et rassem-blant e

t M. Boi-ta net, tout se bornerait à une ivresse iodique d'une plus longue durée. Effets des infections iodées, accidents

nction et l'injection iodée ne suffisent pas pour les guérir; mais sa longue durée et les accidents auxquels il peut donner li

uva le kyste revenu sur lui-même, vide, et ayant [jris la forme d'une longue bourse de soie, ce qui tenait à une adhé-rence qu

taient établies entre le kyste et la paroi abdominale, implanta trois longues flèches de pâte de Can-quoin. Les accidents cessè

nvient surtout pour les kystes uniloculaires ; il faut la faire assez longue pour que la main puisse entrer dans le kyste et l

ences. Wilson de Bristol proposa une incision deux et trois fois plus longue , qui permettrait de lier les vaisseaux un peu vol

n de plus, dit-on, pour avoir recours à l'exci-sion. En préférant une longue incision, et se tenant prêt à pratiquer l'ovariot

adhérences peu étendues, peu vasculaires, celles dont le pédicule est long et étroit, sont les plus favo-rables au succès de

e jeune, bien portante qui pourra, si elle guérit, jouir encore d'une longue existence. Les mauvaises chances, dit-il encore,

chaude et sèche. De plus, la malade sera entièrement enveloppée d'une longue chemise de flanelle, à moins qu'on n'aime mieux f

oi du chloroforme est rarement mieux indiqué que dans cette opération longue , labo-rieuse, douloureuse, et qui fait éprouver à

y pourvoit pas. Il est donc très-important défaire une incision assez longue pour permettre d'agir librement dans les divers t

eurs figatures dans son épaisseur et on le lie par segments; s'il est long , on ne place qu'une seule hgature circulaire. U

Les clamps conviennent très-bien lorsque l'on a un pédicule mince et long , qu'on peut facilement placer dans l'angle inféri

dix jours, parfois même plusieurs semaines. Quand elles mettent un si long temps à tomber, c'est qu'on leur a fait embrasser

i modérément le pédicule. 2° Ou bien traverser le pédicule avec une longue aiguille en argent ou en fer flexible, à laquelle

ce procédé ne peut être employé que pour les pédicules suffisam-ment longs pour arriver sans efforts au niveau de l'incision

é et on net-toie promptement la malade. Après l'avoir enveloppée d'un long peignoir de flanelle bien chauffé, on lui couvre

nts péristaltiques. On com-bat cette pneumatose par l'introduction de longues sondes par l'anus, par des lavements copieux et l

er les lèvres de la fistule. L'avivement est exécuté à l'aide d'une longue pince qui saisit et tend une lèvre de la fistule.

e. Figure m. Trois instruments pour l'avivement de la fistule : une longue pince à dents de souris; un petit crochet aigu mo

ne longue pince à dents de souris; un petit crochet aigu monté sur un long manche, le crochet ne doit pas être très-courbe p

het ne doit pas être très-courbe pour pouvoir se reti-rer facilement; longs ciseaux coudés. On emploie aussi quelquefois un c

lication du fulcrum. t'iGURK xin. Montre renlèvemejit des fils; une longue pince saisit les j^outs tordus d'une suture ; la

est une espèce de bouton percé d'un trou à son centre et porté sur un long manche flexible. Figure vi. Représente la fistu

est coupée en biseau de telle sorte qu'on peut mettre le bord le plus long en rapport avec la face du col, qui est la plus l

le bord le plus long en rapport avec la face du col, qui est la plus longue . Figure xvii. Spéculum de M. Cusco. Il a deux v

ne autre par-tie coudée à angle droit, en forme de gouttière et aussi longue que la paroi abdominale est épaisse ; cette parti

ne muqueuse, de forme rectangulaire, ayant environ 35 mil-limètres de long sur 20 millimètres de large. Ces lambeaux sont pr

de manière à saisir les parois du kyste, et à fermer l'ouverture ; un long tube en caoutchouc c donne issue au liquide. Fi

turatrice. 1 Symphyse du pubis. 2 Muscle pectine, divisé et relevé. 3 Long adducteur. 4 Court adducteur. 5 Grêle in-terne. ^

ueuse, à l'extrémité de cette pince, c, Seconde pince présentant deux longues fenêtres dans ses deux branches et une vis d à so

glisser avec lenteur jusque dans la fosse nasale. Cette manœuvre est longue et difficile, le bouton du sty-let tendant à s'en

uteur est d'environ vingt millimè-tres. Au-dessus, le canal lui-même, long de quinze millimètres, se dirige en haut, en deho

i de la canule à de-meure comme moyen usuel. L'instrument de Foubert, long de vingt-cinq millimètres, était conique et légèr

ue en 1783 il fut renouvelé par Pellier, qui s'en disait l'inventeur. Longue seulement de deux centimètres , évasée en bourrel

oie. Les instru-mens nécessaires sont : 10 la canule d'or ou d'argent longue de vingt à vingt-deux millimètres, et offrant, po

Dieu, la moyenne, sur un nombre immense de malades opérés pendant une longue suite d'années, donnerait trois guérisons sur qua

que soit le moyen dont on ait fait usage pour entre-tenir pendant un long temps l'orifice, soit une mèche, une tente ou une

oignées du parallélisme. Le lambeau étant disséqué plus large et plus long que la plaie de deux à trois millimètres, on le f

n bistouri convexe très fin, pratiquer une incision transversale plus longue d'un tiers que le grand diamètre du kyste, en évi

e de Scarpa, plus généralement préférée , est une tige fine d'acier , longue de trente-cinq à quarante millimètres , très légè

cristallin, entièrement enveloppé de la membrane, étant toujours plus longue et plus difficile. Mais, en outre, divers acciden

e couteau soit plutôt trop large que trop étroit, trop court que trop long . La blessure de l'angle interne de l'œil,la di-vi

mun dans les cas de section impar-faite , où elle a été taillée en un long biseau, il faut ou extraire le cristallin avec la

a dissection des lambeaux dans l'otoplastiquc. Conduit auriculaire. Long de vingt à vingt-cinq millimètres, ellipsoïde à g

par le conduit auriculaire. 2° Trompe d'Eustache. Conduit inflexe, long d'environ cin-quante-cinq millimètres, communiqua

u à une légère suppuration, qui se supprime après quelque temps. A la longue un tissu cutané accidentel tapissant le court tra

e. Narines antérieures. Orifices extérieurs du nez, ouverts en bas, longs de douze à quinze millimètres d'avant en arrière,

ure représente une sorte de gouttière légèrement inclinée en arrière, longue d'environ six centimètres, et supportant par son

pie commence l'époque du perfectionnement. Aranzi invente une pince à longue branche pour l'arrachement. Fallope, à son tour,

'acide sulfurique. Pour s'en servir, le chirurgien armé d'une épingle longue et forte, dont la tête doit offrir le volume d'un

que à la partie malade, on se sert d'un cautère droit, terminé par un long renflement olivaire, que l'on introduit au traver

polype par excision, se servent ou de ciseaux courbes sur le plat, à longues branches, ou du bistouri ordinaire boutonné, garn

boutonné à lame étroite. Si, au contraire, on agit par la bouche, les longs ciseaux courbes sont préférables. Procédé de M.

ure, deux autres fils dont l'un coloré, une sonde et un bout de sonde long de deux à huit centimètres, tels sont, avec le po

e du calibre de celles qui servent à sonder le canal nasal, mais plus longue de cinq à six centimè-tres (deux pouces) et moins

prévalu. Desault avait fait fabriquer à cet usage de forts ciseaux à longues branches et à lames courtes ejui portent mal à pr

sur les joues, d'une fronde et une bande de trois à quatre mètres de long à deux globes. i° Section avec les ciseaux. Le

i-lèvres latérales qui doivent s'y adapter. Si ce tubercule est assez long , il est bon de le faire traverser au milieu par u

ticale; mais comme alors l'un des lambeaux inférieurs est encore trop long , soit le lambeau men-tonnier si on veut former la

l'induration des par-ties molles de l'isthme du gosier, à la suite de longues flegmasies et de destructions syphilitiques. Un d

les noms de leurs auteurs. (/) Duphénix. Armé d'un bistouri à lame longue , étroite et très affilée, l'insinuer par l'orific

trécissement tendait à s'effectuer, il laissait à demeure, pendant un long temps, dans le trajet fistuleux, une canule inoxi

thode véritable-ment curative, mais c'est un moyen douloureux et trop long . T. VII. 4° Corps étrangers a demeure. Deux s

la cavité. Sabatier, moins bien inspiré, a fait usage d'une canule , longue de trois centimètres, qu'il insi-nuait dans le ky

le détail, mais avec des chances diverses. La cautérisation est trop longue , trop douloureuse, et peut inutilement donner lie

r un organe aussi épais que la langue, de faire fabriquer encore plus longs et plus solides. C'est par la nature de l'instrum

le pour le chirurgien, plus fatigante que douloureuse pour le malade, longue et laborieuse pour tous les deux. En raison de la

es tentatives n'ont eu qu'un médiocre succès. La cau-térisation, très longue , douloureuse, inégale et peu sûre dans son action

nce à pansemensen guise de porte-aiguille. Les aiguilles elles-mêmes, longues de douze à quinze millimètres sur deux millimètre

red'instrumens complè-tement inutiles. Hippocrate avait recours à une longue tige acérée qui a subi diverses transformations,

n fil de chanvre. Tous ces moyens, et tant d'autres qu'il serait trop long d'énumérer, remplissent également bien l'indicati

e, avec l'extrême sensibilité des tissus, peut déterminer, pendant un long temps, des accidens nerveux , des efforts de vomi

et Levret, n'ont pas cessé d'être en usage. Aujourd'hui, après une longue expérience acquise, les instru-mens propres à pra

lement du sang provenant des veinules, il s'arrête de lui-même par de longues inspirations. Si l'ablation est complète, on réun

nt l'avoir pratiquée avec succès. De-puis, quelques chirurgiens, à de longs intervalles, ont suivi leur exemple. Toutefois le

e par ces fils. Si la respiration artificielle doit être maintenue un long temps, on fait cicatriser la plaie au-dessus et a

aillée dans la plan-che 26 et son explication. T. vu. ŒSOPHAGE. Long canal musculeux , intermédiaire du pharynx à l'es

diverses substances, et sur-tout la grande sonde de gomme élastique, longue de sept à huit décimètres (environ 2 pieds et dem

érirent; les trois autres suc-combèrent, après un temps plus ou moins long , par le fait de la maladie. MM. Andrews, C. Bell

tomber dans l'es-tomac. Si néanmoins il reste en place un temps trop long , et que sa présence donne lieu à quelques acciden

arrêté dans le pharynx ou à l'entrée de l'œsophage, les doigts ou de longues pinces courbes peuvent suffire pour l'extraire. M

en nombre ronds, c'est-à-dire comme le résumé à vue de mémoire d'une longue pratique, plutôt que comme la somme de faits réel

définitive , de lier en niasses au-dessus, les vaisseaux thoraciques longs , dont on fait la section sous la ligature, à l'ex

e un certain nombre de faits d'un résultat dou-teux qu'il serait trop long d'énumérer, et plusieurs nouvelles guérisons opér

ue cette question soit jugée, l'évacuation graduelle et successive le long d'une mèche, après une ponction incomplète , ou c

dont la résorption serait promptement funeste. Employées pendant une longue suite de siècles, les injections, on ne sait pour

ainsi l'office de soupape. L'essentiel est que l'intestin soit assez long , de quelques pouces par exemple, pour que cet eff

essayée en France par M. Vel-peau. Le procédé consiste à enfoncer des longues aiguilles sur cinq à six points du ventre, en rép

s organes de la di-gestion qui existent depuis un temps plus ou moins long . Voilà ce qu'il y a de positif pour tout le monde

guille; mais il est plus expéditif de n'avoir qu'une aiguille avec un long fil, de manière à pratiquer à la suite l'une de l

e toutes les sutures, en laissant à chaque fois une anse de fil assez longue , que l'on coupe pour faire autant de fils séparés

se faire que par un tissu cellulo-fibreux dans un temps beaucoup plus long , mais surtout ne pouvant s'o-pérer directement av

our empêcher les bords de se redresser, on insinue la vi rôle la plus longue , d'abord d'un côté (fig 6), puis de l'autre, e en

étant affrontés , les parties superposées sont : i° à l'intérieur, la longue virole; en seconde couche, les deux bords renvers

ines sur la manière de traiter les hernies. Toutefois, il a fallu une longue suite d'obser-vations pour que l'on parvînt à s'é

n caoutchouc, fixé dans une pelote supportée elle-même par une plaque longue de 80 millim. (3 pouces) environ, large de /|5 à

munies de leur fil, des bandelettes ag-gltitinatives, des compresses longues et carrées, une bande très longue ou un bandage t

s ag-gltitinatives, des compresses longues et carrées, une bande très longue ou un bandage triangulaire. —Le malade sera placé

: i° de disséminer les gaz et les matières de l'intestin dans un plus long canal ; i" de permettre de voir si l'intestin est

re d'o-pérer. Pour agir ainsi, il suffirait de pratiquer une incision longue de 3 à 6 centimètres (i pouce ou a) an niveau del

u ; mais par-dessus tout, il est indispensable que son action soit de longue durée. L'histoire des perfectionneinens de cette

mo-bile, sont de nature à donner les meilleurs résultats et que leur long usage , surveillé par un chirurgien attentif, peu

enton-noir, et il se sert pour la suture d'une aiguille portée sur un long manche. Voici comment il pratique maintenant cett

igt, niais avec un gorgeret plat. Sur celui-ci il glisse une aiguille longue portée sur un man-che et terminée en 1er cle lanc

cite quelques ma-lades qui aient pu vivre ainsi un laps de temps très long , dix, quinze, vingt, ans et même beaucoup plus, t

enue par la ligature, Dupuytren va substituer une fente beaucoup plus longue des parois adossées des deux bouts de l'intestin,

e d'inégale longueur ; c'est celui de la branche mâle qui est le plus long ; il est terminé par une grande mortaise; l'un et

s accidens qu'elle entraîne à sa suite, et de rendre la douleur moins longue . Lorsque l'instrument est bien solidement attaché

rs sont terminés par deux plaques elliptiques ayant f\ centimètres de long sur i de large : l'une de ces plaques présente su

atrisation entière Cette partie de la tâche du chirurgien est la plus longue et la plus laborieuse. Huit à dix jours suffisent

n enfant nouveau-né du sexe masculin, sans anus, qui vécut ensuite de longues années (Id., t. IV, p. 45). C'est le premier cas

longues années (Id., t. IV, p. 45). C'est le premier cas de succès de longue durée. En 179^1, Desault fit celte opération pour

ur but d'aller chercher la partie gauche du colon clans son trajet le long cle la région lombaire, où il pensait qu'elle éta

os des îles, en arrière par la masse commune; au sacro-lombaire et au long dorsal, et en avant par une ligne perpendiculaire

bien indicpiée par celle cle la masse commune au sacro-lombaire et au long dorsal, qu'on trouve aisément chez les su-jets qu

fflation à distendre l'intestin. Après la distension, le toucher en long et en travers donne la facilité de mesurer l'éten

i sépare le colon lombaire gauche du rectum, ou l'S iliaque, est plus longue qu'on ne le croit commu-nément; cette remarque es

n-naissance, ont fini par succomber après un intervalle plus ou moins long , de quelques mois à un ou deux ans ; mais déjà de

, situé dans le fond de l'un des plis rayonnes del'o-rificede l'anus. Longue de quelques millimètres à 1 centimètre et demi, a

était remontée à neuf centimètres (trois pouces), mais il existait un long trajet de décollement entre la membrane muqueuse

uérit et se reproduit d'elle-même après des intervalles plus ou moins longs . Chacun sait que, suivant une ancienne opinion, c

le nom de sjringotome. — Léonidas en terminant cet instrument par un long stylet flexi-ble que l'on retirait par l'anus et

se en espérer la cicatrisation. Pour Yincision, Percy opérait avec un long bistouri, droit et a substitué le gorgeret en boi

é par Larrey qui en a fait un simple bis-touri droit, terminé par une longue tige flexible, reste dans la pra-tique , en ce qu

il n'est pas be-soin de faire observer que ce moyen thérapeutique est long , très douloureux et peu sûr, car il n'est pas ass

ainespour obte-nir la section des chairs; pendant ce laps de temps si long , les douleurs ne cessent point d'être très vive

venu des fongosités, d'en faire l'excision , ce qui revient, après de longues souffrances, à finir par où l'on aurait dû commen

t courbes sur le plat; un porte-mèche et plusieurs mèches épaisses et longues ; enfin, comme dans toutes les opérations où des h

is de la main droite il fait glisser dans la cannelure de la sonde un long bistouri droit à pointe fortequ'il offre d'abord

tenir la cicatrisation et que, en tout cas, ils donneraient lieu à de longues suppurations qui épuiseraient inutilement le mala

ar du mucus desséché, ou enfin des matières fécales durcies après une longue constipation. Enfin, à moins d'accident trau-mati

instrument se compose de deux canules engaînées l'une dans l'autre et longues d'environ 18 à 20 centimètres (6 à 7 pouces) pour

chemise. L'appareil étant introduit en entier dans le rectum, avec de longues pinces ou un porte-mèche, on charge de petites bo

ières fécales, après avoir laissé le liquide séjourner un temps assez long pour qu'elles puissent être délayées, au moins en

ensuite l'intérieur avec des fils de coton portés à l'extrémité d'un long stylet fourchu ou porte-mèche. L'auteur assure av

ns la vessie. i° Procède de M. Boyer. Façonner, avec delà charpie à longs q tampon volumineux, cylindrique et allongé, pas

la défécation. Le même phénomène se maintient un temps plus ou moins long , puis le, sang se supprime de lui-même. Jusque-l

nes qui, après avoir cruellement souffert des hémorrhoïdes pendant de longues années, à l'âge adulte et lorsque la nutrition ét

avec de fortes pinces plates, à larges mors, et les excisait avec de longs ciseaux , courbes sur le plat. Quand les tumeurs

s, l'opération, simplifiée dans sa manœuvre, avait été beaucoup moins longue et douloureuse qu'elle ne l'est à l'ordinaire; to

ion il restait au dehors un pli cutané circu-laire, mince et pendant, long de un à deux centimètres, et garni de tubercules

t chez certaines personnes guéries déjà depuis un temps plus ou moins long , récidives qu'on peut, au reste , annuler en re-c

ssection tous les tissus qui paraissent malades. Cette dissection est longue , difficile et nécessite la plus grande at-tention

uns veulent qu'on introduise au travers des parois de l'hydrocèle une longue aiguille à acupuncture que l'on laisse en place d

tique des bourses. Elle est à beaucoup près moins diffi-cile et moins longue à guérir que celle de la tunique vaginale ; aussi

st le plus applicable ; l'injection vineuse n'est point une opération longue , mais elle nécessite plus d'appareil , néanmoins

ont les résultats sont si affligeans. Le traitement consécutif, moins long après l'injection d'iode (l'in-flammation arrivan

même temps que très laborieuse pour le chirurgien. Les suites en sont longues à cause de l'abondante suppuration qui s'établit,

nière qu'on la prati-que , on conçoit du reste combien elle doit être longue , atroce-ment douloureuse, insuffisante et suscept

à nous en occuper que ces différentes mé-thodes ayanl été décrites au long à propos des varices et de la castration, il nous

d'un fil simple, il les traverse de part en part. Si les veines sont longues et volu-mineuses, il conseille de les traverser d

ais de la pratique, car non-seulement elles produisent fréquemment de longues suppurations , elles sont très douloureuses, mais

a loi de l'islamisme , on sait dans quel nombre immense , pendant une longue suite de générations, on a continué de faire des

ait glisser sur les parties peu après son application ; qu'elle était longue à se détacher, et qu'à mesure qu'elle coupait les

ux-mêmes du côté de leur surface interne, ce qui rendrait la guérison longue et difficile. Pour éviter cet inconvénient, Rima

n elle aussi quelquefois un lambeau épais, mais il est toujours moins long que les lam-beaux de l'incision supérieure, atten

il ; il faut ensuite assujettir ces parties avec une bande étroite et longue de i mètre 20 cent, qu'on enroule autour delà ver

meilleurs, il n'en est pas moins vrai que la manœuvre en est souvent longue , douloureuse pour le malade, et même pénible pour

se développent ordinairement chez les enfans qui ont le prépuce très long et dans la cavité du-quel séjourne l'urine. Lor

r. Les objets à préparer sont : un fort bistouri d roit à lame un peu longue ,une pince à disséquer, des fils cirés,une sonde d

pératoire de l'urètre (Pl. 5l et 52). L'urètre est un canal étroit, long et sinueux sur le plan ver-tical , étendu depuis

uant à sa longueur. Sur le vivant l'urètre est toujours un peu plus long que sur le cadavre, sa longueur peut varier alors

t, et demi et 19 cent.). Chez les vieillards il est aussi un peu plus long que chez les adultes, à cause du développement qu

homme vivant. La portion prostatique de l'urètre est beaucoup moins longue tpie la prostate elle-même dont la hase s'étend e

mension. Une remarque à faire, c'est que la paroi supérieure est plus longue que l'inférieure ; cela tient à ce que le bulbe e

st l'un des points les plus importans à étudier pour le cathétérisme. Long de 5 à 7 centimètres ( 2 pouces) le bulbe s'incur

avec la racine des corps caverneux. 4° Portion spongieuse. La plus longue de toutes les parties de l'urètre, elle fait suit

n , est au contraire un rétrécissement latéral ou une fente verticale longue de 8 mil-limètres, dont le méat, de même forme, e

teindre la poche urinaire, chez quelques vieillards dont la verge est longue , la prostate volumineuse, et qui sont très gras.

sans secousse et sans s'exposer à blesser l'urètre. Il doit être plus long que la sonde, et son extrémité extérieure sera te

ont plus douloureuses. Lorsque la sonde est fixée, si elle est trop longue on la coupe à la distance de 27 mili, (un pouce)

t, c'est-à-dire tous les huit ou dix jours, pour la nettoyer. Un plus long séjour dans la vessie pourrait être suivi de l'in

illards affaiblis par l'âge, chez les adultes épuisés par une maladie longue et qui sont obligés de se tenir constamment cou-c

du n° i, portant à son extrémité antérieure un petit cylindre en or, long de 10 à 12 millimètres. A l'extré-mité de ce cyli

s. A l'extré-mité de ce cylindre étaient disposées deux ailes mobiles longues de 3 millimètres. En poussant un mandrin contenu

rétrécissemens dès leur début. Elle se compose d'une canule en argent longue de 22 à'¿5 centimètres et graduée, dont la cavité

tation qui sont les seuls qu'il puisse exécuter, car n'étant pas plus long que la canule, il ne peut ni avancer ni reculer.

ce canal. M. Lallemand pense qu'en portant dans l'urètre un stylet long de 11 à iS centimètres terminé par une extrémité

on, afin de la dilater. M. Desruelles a proposé une canule métallique longue de 3 à 5 centimètres, qu'on laisse au centre du p

ôtel-Dieu, dans le service de Sanson, n'a pas pu péné-trer , après de longues et de violentes manœuvres, dans la ves-sie de plu

ur (21 à 22 cent. ), garnie à son extrémité d'une douille en platine, longue de 6 lignes ( i3 millim. ) fixée sur elle à vis,

son extrémité. Cette douille renfermait un cylindre de même mé-tal , long de 5 lignes ( 11 millim.) et de 2 millim. de diam

trémité était arrondie, était creusé en avant d'une cuvette profonde, longue de 2 lignes, et large de un quart de ligne, desti

e la douille, et il fallait souvent se livrer à des tâtonnemens assez longs , avant de pouvoir le faire pénétrer dans l'ouvert

e même métal, portant le caustique, de 16 millimètres (7 lignes) plus long que le tube, et bouchant exactement l'ouverture a

M. Lallemand est la sui-vante : un malade présente un rétrécissement long de i4 milli-mètres ( G lignes ), commençant, à G

e fait agir. Le mandrin en argent se termine par un bout de platine long de 9 à 1 1 millimètres(4 ou 5 lignes), creusé, da

présentent à leur extrémité profonde une pointe mousse très effilée, longue de 1 centimètres environ, destinée à pénétrer dan

terminée à son extrémité antérieure par un cylindre d'acier conique, long de 6 à 7 lignes, et qui offre à son pourtour huit

s l'urètre au moyen d'un man-drin formé de deux pièces : la première, longue de 7 à 8 pouces, est toujours munie à son extrémi

compose d'une canule d'argent et d'un mandrin d'acier. La canule est longue de 22 centimètres et graduée; son diamètre varie

/2. Son extrémité antérieure présente, sur un de ses côtés, une fente longue de 11 à i3 millimètres, et sur l'autre côté une p

nstamment, ils étaient obligés de s'en servir la nuit pendant un très long temps, sous peine de re-tomber clans un état semb

es coniques, dit Boyer lui-même, il faut une grande expérience et une longue habitude de sonder et être éclairé par les lumièr

ssi dangereuse que la taille, et en même temps plus difficile et plus longue à exécuter, il nous semblerait prudent et avantag

es espèces de fistules sont constituées par des trajets plus ou moins longs , ayant leur ouverture interne dans 1 urètre, et l

aire, il suffisait de faire, de chaque côté, une incision profonde et longue , qui relâcherait les lèvres de la suture pendant

, entre deux incisions parallèles, un lambeau de même largeur et plus long que le précédent, et le dis-séqua de dedans en de

emps de grosses sondes. Ce malade ayant, heureusement un prépuce très long , voici comment M. Ségalas utilisa cette disposit

is ils sont beaucoup plus fréquens chez l'homme dont l'urètre étroit, long et flexueux, présente comme une suite d'obstacles

eroy (fig. 54, 55). Cet instrument est constitué par une tige droite, longue de 20 à 25 centimètres terminée à l'une de ses ex

centimètres (1 pouce) sur le raphé, d'enfoncer au-devant de l'anus un long bistouri jusque dans la vessie, et de glisser dan

comment on la pratique. Procédé ordinaire. On se sert d'un trocart long de 19 à 22 cen-timètres, creusé d'une rainure pro

en quelque sorte, recommencer l'opération, a" Si la canule était trop longue , son extrémité allait frotter con-tre la paroi po

nule, et l'urine se répand dans les tissus; et si le trocart est trop long , il appuie contre la paroi postérieure de l'organ

r les découvertes aux auteurs qui les lui ont transmises. Pendant une longue suite de siècles, à travers la domination ro-main

mal compris, explique le silence des auteurs à cet égard pendant une longue suite de siècles. Cependant il est permis de croi

telligente et nette, après plusieurs siècles on la voit renaître à de longs intervalles, parfois comme un élan du génie chiru

méthode sinon efficace, du moins usuelle. Alex. Benedictus, après une longue énumération de re-cettes propres à dissoudre la p

ec tousses perfectionnemens : i° une grosse canule extérieure droite, longue de 27 à 31 centimètres (10 à 11 pouces), de 7 à 9

inée à empêcher le liquide de sortir, et d'un renflement quadrilatère long de 3 à 4 centimètres par où l'instrument doit êtr

tte première canule glisse la seconde ca-nule appelée litholabe, plus longue de 8 à 10 centimètres (3 à 4 pouces), divisée, à

). L'échelle est graduée du côté qui cor-respond à la branche la plus longue , ce qui sert à indiquer sa position dans la vessi

insignifians ou peu sûrs dans leur mécanisme. Ils sont difficiles et longs à manœuvrer, n'usent que très lentement le calcul

ait fixe et faisait corps avec la canule, la branche inférieure, plus longue de 5 à 6 centimètres que la précé-dente, était se

rémité est percée d'un orifice servant d'écrou dans le-quel passe une longue vis creuse destinée à pousser la branche mobile.

ent; dans ses mouvemens de ro-tation, il fait monter ou descendre une longue vis traversée dans toute sa longueur par l'extrém

et que d'ail-leurs la destruction de la pierre ne doit pas exiger un long trai-tement. 20 L'amélioration obtenue par un t

audra multiplier les séances en proportion, ce qui rendra l'opération longue et pénible à supporter, et pourra faire naître de

ur livrer passage, il faut, pour les extraire, exécuter des manœuvres longues , difficiles et douloureuses. Par opposition, si l

nstrumens pour re-chercher la pierre, et de se livrer à des manœuvres longues et pé-nibles pour apprécier le volume et la densi

e de l'aponévrose périnéale moyenne. Continuant toujours à marcher le long delà face interne de l'ar-cade pubienne, elle vie

ctitude presque mathématique, il serait superflu de s'étendre plus au long sur les avantages ou les inconvéuiens d'une métho

crit sous le nom de curette (Pl. 68, fig. 36) était une tige d'acier, longue de 3o centimètres environ , portant sur sa longue

illent suivant l'ancienne méthode; il prit un bis-« touri un peu plus long que ceux dont on se sert ordinairement, « avec le

ence qu'il n'est tranchant que « d'un côté, et que son manche est une longue tige d'acier. Au « moyen de ce dilatateur il intr

a multiplicité des pierres qui y étaient contenues avaient rendu plus longues les manœuvres de l'opération, causa au Frère Jacq

de la courbure; u° un lithotome semblable à un scalpel, dont la lame longue de 5 à 6 centimètres avait un tranchant convexe (

ètres cle sa pointe; faisait aux tégu-mens et au tissu cellulaire une longue incision clans le sens or-dinaire, et cherchait a

aise; il porte le nom de lithotome caché (Pl. 68, fig. 18 et 18 bis). Long de 26 centimètres ; il est formé de deux pièces p

èrement convexe sur l'un de ses bords et concave dans le sens opposé, longue de 1 2 centi-mètres; elle est creusée d'une canne

un appendice qui le traverse d'un bout àl'autre. 2°Lalameun peu moins longue que la tige, se trouve, lorsque l'instrument est

icule au moyen d'un coude aplati qu'elle forme en ce point. Un levier long de 1 o à 11 centimètres, courbé en S et aplati ve

urette et le bouton. — 6" Une seringue à injec-tion, garnie d'un tube long de 16 à 19 centimètres et terminé par une olive p

wkins ou de tout autre opérateur, ou le bistouri à la lame étroite et longue , qui constituent trois pro-cédés différens. C'est

es étant très nombreuses, le malade n'a pas la force de supporter les longues et laborieuses manœuvres de l'opération, et les d

ans le cas où l'on agirait chez une femme. Cette exploration, quelque longue et quelque difficile qu'elle soit, est indispensa

ysick est le plus facile; les deux autres sont plus sûrs, mais plus longs et compliqués. Au reste, bien qu'il soit très pro

a vessie. Nous avons vu que Dupuy-tren employait une canule d'argent, longue de 11 à 14 centim., et de 9 millim. de diamètre,

essie « et de l'urètre, on trouve qu'il a 8 à g centimètres. C'est le long « de cette ligne que doit être pratiquée la taill

annelée sur sa concavité, et portant dans son intérieur une lige plus longue que la sonde, de près de 7 centimètres, et large

un siphon qu'il appelle siphon aspirateur. La partie extérieure, plus longue que celle qui est dans la vessie, pénètre clans u

rrait aussi porter dans l'organe un bourdonnet volumineux, fixépar un long fil double, propre à re-cevoir entre ses deux che

me du bistouri dessus, et divise avec elle les tissus de la vessie en long ou en travers, dans l'étendue de 27 à 35 millim.

ara, qui retira une grosse pierre ayant pour noyau un morceau de bois long de 3 pouces 3 lignes (près de 9 centim.). Plusieu

s (près de 9 centim.). Plusieurs autres praticiens, qu'il serait trop long de nommer, ont également pratiqué avec succès cet

hériques, une même opération va donner pendant un temps plus ou moins long , plusieurs mois ou plusieurs an-nées, des résulta

e ressemble en rien à cel ni de l'homme ; légèrement concave en haut, long de 25 à 3o millimètres (11 à i4 lignes), pour une

erture trop petite, il vaut mieux, en définitive, avoir recours à une longue incision. L'incision est sur-tout indispensable d

s, produites par le froissement des petites lèvres qu'elle avait fort longues . L'excision peut être faite avec un bistouri ou d

M. Tal-rich, fait dans lequel la tumeur, qui avait 38 centimètres de long et 4g centimètres de circonférence, fut extirpée

c vers l'hypogastre, on enfoncedans la direction du vagin un bistouri long , à lame étroite, ou un trocart avec sa canule; le

périnée déchiré avec communication du rectum et du vagin ; un lambeau long de 9 à 10 centimètres et de 5 à 6 centimètres de

e à l'une de ses extrémités. Les aiguilles qu'on emploie doivent être longues , fortes, et leur pointe bien tranchante. La femme

èe , comme il l'avait déjà fait avec succès, M. Montain se sert d'une longue agrafe, portant à droite et à gauche des griffes

ant, en arrière ou sur les côtés. S'il arrivait que le vagin fût trop long pour que le doigt pût atteindre les parties qu'il

nnu toute l'uti-lité. Celui dont il se servit était un tube en étain, long de i 5 à i 8 centimètres (5 pouces et demi à 6 po

loin. Voulanit remédier à cet inconvénient, M. Guillon en imagina un, long die 13 à 14 centimètres (5 pouces), et formé de t

le traverse à l'endroit du pli avec un fil ciré, assez fort et assez long ; une sonde étant introduite dans la vessie par l'

plaça trois points de suture de la ma-nière suivante : une aiguille, longue de 5 à 6 centimètres, ter-minée en fer de lance,

s, le temps pendant lequel la ci-catrice a existé ne paraît pas assez long pour qu'on puisse se prononcer pour ou contre leu

néanmoins encore une perforation de la cloison. Il tailla un lambeau, long de 5 centimètres et large de 2 centimètres, à sa

ssaires ovales. Exactement construits comme les précé-dens, mais plus longs dans un sens que dans l'autre, on les pose de la

ière. D'autres enfin préfèrent la fixer au moyen d'une plaqueconcave, longue de 10 à 11 centimètres, s'a-daptant parfaitement

nc, Bérard, aîné, et une foule d'autres chirurgiens qu'il serait trop long de nommer, ont eu oc-casion d'en rencontrer. Dans

ntroduire dans l'in-testin une baguette flexible en baleine ou autre, longue de 24 à 27 centimètres et garnie à son extrémité

, suivant Aëtius, faisait introduire dans le rectum une grosse bougie longue de 11 centimètres, et faisait faire des injection

ar-tie du périnée, comme l'a pratiqué M. Lisfranc. Des tenettes ou de longues pinces incisives seront parfois indispensables po

s. Dans trois cas, M. Velpeau embrassa le sommet de la tumeur avec de longues pinces de Museux, puis il conduisit, au-dessus de

s sont nécessaires : i° Une pince porte-fil: c'est une canule droite, longue de i4 à 16 centimètres (5 à 6 pouces), portant, p

trémité externe, deux anneaux. Dans cette canule glisse une tige plus longue , terminée en dehors par un anneau, et bi-furquée

ors de la canule ou qu'on la retire dedans, i" Le porte-nœud, canule, longue de 18 centi-mètres, légèrement recourbée et garni

chefs de la ligature dans le trou du serre-nœud qu'on choisit as-sez long pour atteindre à la hauteur du point étranglé du

, et qu'on peut atteindre son pédicule, on en fait l'excision avec de longs ciseaux courbés sur le plat (pl. 71 , fig. 3), ou

urgien, tantôt avec l'ongle de l'indicateur, tantôt à petits coups de longs ciseaux, parvenait peu-à-peu à en dé-truire les a

les adhérences avec le tissu de l'organe. Plusieurs fois, pendant ces longues et pénibles manœuvres, M. Amussat fut obligé de f

l n'en est pas de même : la lèvre pos-térieure de l'utérus étant plus longue que l'antérieure, le cul-de-sac utéro-rectal du p

arties à l'aide du spéculum, et sub-stituait aux rubans d'Osiander de longues pinces de Museux, à crochets peu courbés, avec le

couteau à deux tranchans, courbé sur son plat, ou mieux avec de très longs et très forts ciseaux, également courbés sur leur

e temps nécessaire pour produire cet abaissement est quelquefois très long ; mais on ne doit pas regarder à y consacrer cinq,

en coupant sur la première, avec la main droite année d'un bistouri à long man- die. Le chirurgien cerne toute la portion

iaux. En réalité, les instrumens ordinaires , les pinces deMuseux, un long bistouri droit ou un peu courbé sur le plat , env

ues petites saignées du bras, répétées à des intervalles pinson moins longs , suffisent souvent pour conjurer l'inflam-mation

fer rouge. Chez les femmes qui guérissent, la cicatrisation est assez longue à se faire. Sanson dit qu'elle s'opèreen trois se

ux doigts de la main gauche, portés en avant, servirent de guide à un long couteau courbe, avec lequel on divisa, couche par

t étendu depuis quelques heures jusqu'à quatorze jours, terme le plus long auquel ait at-teint une seule d'entre elles. Mé

l'organe gestateur, en embrassant son col avec un anneau monté sur un long manche, qui servait à le glisser dans le vagin; p

r en coupant les ligamens larges et leurs at-taches au vagin, avec de longs ciseaux conduits parla main droite. Procédé de

soulevant l'utérus de la main gauche, introduisit de l'autre main de longs ciseaux fermés , avec lesquels il divisa d'abord

euses femmes dont la matrice est envahie par un cancer, une opération longue et dou-loureuse qui ne fait que hâter le terme de

iquide, puis qu'on introduisît à travers cette ouverture des pinces à longues branches pour attirer le sac au-dehors, lier son

Encjclop. des Se. méd., i836), et plusieurs autres, qu'il serait trop long de nommer , ont eu le même bonheur. Il est vrai q

injections, ou pour être nettoyée. Plusieurs ne peuvent garder aussi long temps un repos absolu , parce qu'il survient des

même à 6 centimètres , le manuel opératoire du morcellement est assez long et assez difficile pour causer presque toujours,

e foie, ainsi que le dit Guy de Chauliac : « la femme soit ouverte de long , à côté gauche, d'autant que cettepartie-là est p

thode de pratiquer l'opération césarienne, une incision trans-versale longue de 18 centimètres (6 pouces, 8 lignes), étendue s

col, etc., qui ne permettent à l'enfant de passer qu'après un travail long et pénible, et en occasionnant des fissures et de

t en avant sur la sclérotique par un tendon membraneux quadri-latère, long de 7 à 8 millimètres (4 à 5 lignes), à-peu-près d

droit interne est le plus court de tous, et le droit externe le plus long ; la différence est d'environ 4 millimètres (2 lig

celle des droits interne et inférieur. 2° Muscles obliques. Le plus long des muscles de l'œil, le grand oblique, fixé en a

r de l'orbite, au-dessus du droit interne, se termine en avant par un long tendon grêle qui passe et s'infléchit à angle de

pour la première fois sur un jeune garçon de dix ans. L'opération fut longue et laborieuse mais elle réussit. Jusque-là le seu

autre reprenant de lui-même sa rectitude après un temps plus ou moins long . C'est un motif puissant de ne point céder à l'im

aussitôt, au-dessous de la conjonctive, un thrombus qui serait assez long à se résoudre, à moins que l'on ne fasse immédiat

orte bande de tissu cellulaire. Cette bande, large de trois lignes et longue de six, est fixée au globe oculaire à 2 lignes en

'opération soit toujours suivie d'une énorme ec-chymose, parfois très longue à se résoudre. SECTION DE PLUSIEURS MUSCLES.

'angle interne, en rasant le bord palpébral, un petit lambeau cutané, long d'envi-ron huit millimètres, sur la paupière supé

ue en tout sens dans la bouche; puis, après des efforts plus ou moins longs , quelques syllabes sont articulées, et tout-à-cou

précédé ; si bien qu'à cha-que réapparition de la même doctrine, à de longs intervalles, elle a pu paraître nouvelle, comme l

cile chez les bègues où l'on avait pu croire que la langue était trop longue ; mais il ne paraît pas que cette étiologie ait s

tement et n'a pas eu d'au-tres suites. Pendant un temps plus ou moins long , de quelques semaines à deux mois , les malades o

p courts, et ceux qui cor-respondent à la convexité relativement trop longs . Jœrg (i 806) est le premier qui ait précisémen

e un peu différente et qui permet un trajet sous-cutané beaucoup plus long (Planche H, fig. i et 2 ). Rassemblant d'abord le

par exemple, la section du sterno-cléido-mastoïdien et des tendons du long fléchisseur superficiel au poignet. Quatrième t

s, outre le triceps sural, il peut être nécessaire de couper l'un des longs extenseurs ou les deux; dans le second, la sectio

nne-rait lieu à des suites funestes, et dans l'absence de réunion des longs tendons fléchisseurs. On connaît quelques faits d

nte extérieurement. Quand cette inégalité existe, le faisceau le plus long est tellement relâché qu'on a peine à reconnaître

e au chirurgien quelque doute, il commencera d'abord par prati-quer à longues distances une petite ponction exploratrice avec l

t vasculaires, en même temps que la sortie d'une goutte de liquide le long delà cannelure lui en indique la qualité. Si la c

e la racine. Les instrumens dont il se sert sont des sondes d'argent, longues de onze centimètres, épaisses seulement de deux m

le le fil, qu'il ne s'agit plus que de dégager. Toute cette manœuvre, longue à décrire, est opérée en un instant. Figures 21

ateur et le médius sur les deux branches principales de la thoracique longue . La plaie, de forme elliptique, s'é-tend diagonal

pas permettre, comme l'incision directe , l'issue lente du liquide le long d'une mèche conductrice. Figure 3. Procédé de M

strument est de donner lieu, par sa forme et son mode d'action, à une longue fente dans la cloison intestinale, au lieu de bor

des érignes confiées à des aides tandis qu'avec des ciseaux courbes à longues branches, tenus de la main droite, le chirurgien

peau du scro-tum. Le méat urinaire anormal, consistant dans une fente longue d'un centimètre et demi, est au fond de l'angle d

sie à colonnes formant des cavités dans l'une des-quelles est logé un long calcul plat, piriforme. Le calcul est encastré so

glissée par une piqûre faite sur le calcul. — G. Bistouri, étroit et long , qui incise, dans la cannelure de la soude, la pa

ant deux diamètres opposés, est amené du fond du vagin à la vulve. De longs ciseaux courbes sur le plat (c) pratiquent la sec

nue par la main gauche de l'opérateur, dont la main droite armée d'un long bis-touri utérin, concave sur le plat, (e) excise

laire par une série de petites incisions en étoile pratiquées avec un long bistouri droit boutonné. Figure 4- Incision de

Figure 5. Incision de dedans en dehors avec le bistouri concave, à long manche, introduit dans la cavité de l'utérus par

s'en sert pour gouverner le lambeau circulaire qu'il taille avec les longs ciseaux courbes (e) au-delà des limites de la mal

coupant sur la première ; avec la main droite, armée d'un bistouri à long manche (c), le chirurgien cerne toute la portion

hisseur. PLANCHE I. FIGURES 1 et 2. Pied équin avec rétraction du long extenseur propre du gros orteil. La ligure 2 repr

des fléchisseurs, principalement du gros orteil. Figure s. Section du long fléchisseur propre du gros orteil pour le cas de

URE 5. Section sus-tendineuse des tendons du jambier postérieur et du long fléchisseur des orteils. L'opération est faite su

e en croissant, convexe sur le tranchant, portée à l'extré-mité d'une longue tige arrondie qui remplit le trajet sous-cutané.

désir de grandir, de devenir une demoiselle et de porter des robes longues comme sa soeur plus jeune qu'elle. Son caractère

au reste du corps, si ses membres inférieurs ne deviennent pas plus longs que les membres supérieurs, s'il ne fait pas ses

éfinitivement éta- blië. D'ailleurs ce ne sont pas seulement les os longs qui restent en souf- france, puisque les diamèt

ne. Pierre-Marie a démontré que certains sujets atteints pendant de longues années de goitre simple pou- vaient, à un momen

atteignit l'age viril : la nature l'avait destiné vieillir dans une longue enfance ; il en avait la faiblesse, les goûts, le

embarras de la parole... Au bout d'un an, la malade présenta une très longue période de rémission qui dura à peu près jusque

les attitudes fatigantes qu'on leur imprime pendant un temps assez long , une dizaine de minutes, sans oscillations, san

ment à deux reprises, de telle sorte que, pendant une période assez longue , la malade a pu se croire complètement guérie.

RS TYPE ARAN-DUCHENNE, PAR NEVRITE INTERSTITIELLE HYPERTROPHIQUE. LONG . ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉ

9. L'atrophie et l'impotence des membres supérieurs persistent 48 . LONG mais ne paraissent pas progresser. La malade s'

membres inférieurs sont indemnes et la malade peut faire à pied de longues promenades. L'atrophie des membres supérieurs n

S TYPE ARAN-DUCHENNE, PAR NEVRITE INTERSTITIELLE HYPERTROPHIQUE. ( Long , de Genève.) ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DE

chial cutané interne. Hématoxyline-éosine. Oc. IlI, obj. 8. la, 0 LONG veuses en assez grand nombre dont le cylindre-a

4. - Nerf musculo-cutané. llématoxyline-éosine. Oc. III, obj. 8. 52 LONG compacts que sur des nerfs normaux, tantôt raré

res du nerf radial. Anthracène et hématoxyline. Oc. III, obj. 8. 54 LONG ces coupes avec un plus fort grossissement (fig

ïde, coupe transversale. Hématoxyline-éosine. Oc. III, obj. 6. 56 LONG la marche de la maladie après une douzaine d'an

mme des crampes localisées, tantôt comme des douleurs lancinantes à long trajet partant de la racine des membres ou même

RÉ Thomas, Nouv. Icono- graphie de la Salpêtrière, 1906, n° 6. 58 LONG La comparaison que nous avons pu faire avec des

atrophie musculaire, etc. Revue de méde- cine, 1890, p. 441. 1 60 LONG est intacte, du moins les fibres nerveuses y so

i existent entre ces cas et le sien par une évolution plus ou moins longue permettant aux lésions conjonctives hypertrophiqu

t, 1891, p. 569, et Archiv. sur Psychiatrie, vol. XXIX, p. 996. (2) Long , Les maladies nerveuses familiales [maladies d'év

(4) APERT, Maladies familiales et maladies congénitales, 1907. 62 LONG rieure, d'une affection acquise ou d'un acciden

nte, ils peuvent s'arrêter après une marche extensive plus ou moins longue , car il est à remarquer que la plupart de ces for

arinesco qui se rapporte à un cas authentique d'amyotrophie type 64 LONG Charcot-Marie montre des lésions multiples : di

es en 1903 par M. le professeur Fournier et M. le professeur Lanne- longue à l'Académie de médecine, la question de l'origin

t au niveau du tibia droit et caractérisées par une courbure des os longs ; , 2° Par un processus d'hypertrophie en masse

tradition que le culte de ce paradoxe a pu se perpétuer pendant de longues années. Cependant, les plus illustres protagoni

vivant. Et c'est Lannelon- gue, averti par une expérience datant de longues années, qui s'exprime (1) LANNELONGUE, Note sur

myéliti- que,pour d'autres (Oppenheim) à l'intégrité du seul muscle long extenseur du gros orteil. Dans notre cas nous

lpêtrière, 1905, n° 6.- V. planche LxllI et obs. III, p. 493. 156 LONG intéressante à l'Institut pathologique de Genèv

l'explication que l'on peut donner de ces faits, nous pensons .158 LONG qu'il n'est nul besoin d'invoquer un trouble tr

augio-neurotique aigu de Quincque vu la chronicité et la durée déjà longue du trouble chez cette malade. L'éléphantiasis peu

ture du hras est à peu près normal de volume et d'as- pect, sauf le long supinateur gauche qui est peut-être un peu volumi

pas d'atrophie apparente des muscles de la masse sacro- lombaire et long dorsal ; mais elle n'en est pas moins probable, c

er ; elle est rejetée en dehors. Cepen- dant les doigts ne sont pas longs , effilés, comme on les trouve habituel- lement

ontré qu'il y avait non seulement retard dans l'ossification des os longs , mais raréfaction du tissu osseux de ces os. Ce

l'intégrité du 'parenchyme de l'iris, qui n'a pas été altéré par la longue durée de la mydriase. Ces divers caractères impli

fume aussi dans une pipe spéciale d'environ 50 à 60 centimètres de long il fourneau perpendiculaire où la pastille brûl

us. Il en résulte, que nécessairement ce néoplasme cérébral eut une longue période latente. Je chercherai à l'expliquer pa

que cette obstruction ne fut pas complète et cela seul explique la longue durée de la maladie. Dans les symptômes observés

, inférieure, porte une sorte de bourgeon charnu de 1 centimètre de long sur 2 de large, muni de cinq tubercules. L'un d

normalement. Le nerf radial chemine entre le brachial antérieur et le long su - pinateur. Ce dernier muscle est également

. xx 19 rig. 1. a, Biceps brachial ; b, Brachial antérieur ; c, Long supinateur ; d, Nerf musculo- cutané ; e, Nerf

formation tendineuse venue d'un muscle externe, qui semble être le long supinateur, ces deux formations constituant ainsi

ite et très inti- , Fig. 2. - Avant-bras (plan superficiel). a, Long supinateur ; b, Court supinateur ; c, Deuxième ra

aisceau profond du rond pronateur ; e, Artère radiale ; ? Tendon du long supinateur ; g, Tendon du brachial antérieur ;

e radiale ; n, Expansion tendineuse de l, s'unissant au tendon f du long supinateur, et à o, l'aponévrose palmaire ; o,

l ; b, Artère radiale sectionnée ; c, Rond pronateur ; d, Tendon du long supinateur ; e, Doigts ; f, Nerf médian et ses di

rne du radius, et passe entre deux faisceaux tendineux appartenant au long Fig. 4. a, Nerf radial ; b, Tendon du biceps

, Court supinateur. Fig. 6. a, Radius ; b, Apophyse styloïde ; c, Long supinateur ; d, Aponévrose palmaire ; e, Doigts

s entre eux. Le plus externe (h, fig. 9) est visiblement un chef du long supinateur dédoublé ; à sa partie inférieure ce

'extrémité inférieure de l'os. Fig. 9. - Face postéro-externe. a, Longue portion du triceps ; h, Vaste externe ; c, Tendon

ue leur squelette. La masse représentée en h, est constituée par le long supinateur et les deux radiaux externes contigu

rculaire dans un point et vis-à-vis un corps mou pédiculé immobile, long tout au plus de 3 centimètres; à travers les té

rondi. A la place des extrémités inférieures existent deux moignons longs tout au plus de 18 centimètres, de la grosseur

st-à-dire la portion deltoï- dienne. A droite, l'os est un peu plus long qu'à gauche ; il se termine par une extrémité t

de tous les mouvements propres à cette articulation. Le bras est long de 7 a 8 centimètres, et il ne paraît pas y a avo

du court supinateur sont normales, les in- sertions inférieures du long supinateur et des radiaux se font à la peau de l'

blaient le rudiment des doigts. Dissection. L'humérus était aussi long que le gauche, mais plus grêle. Les deux os qui

ant-bras représenté seulement par un moignon de 10 cen- timètres de long . Au sommet du cône, on constate une petite dépres

ès petites. Le premier muscle, le plus su- perficiel, représente le long supinateur et s'insère inférieurement à la partie

e. 4 La 4°. masse est formée par un muscle bien conformé qui est le long fléchisseur propre du pouce, qui n'offre de spé

Rien d'anormal si ce n'est la gracilité de la masse mus- culaire du long supinateur. Les deux radiaux externes ont leurs

5e méta- carpien. A nconé, cubital postérieur normaux. Muscles longs du pouce normaux. Mais l'extenseur propre index

sertions inférieures sont peu différentes. Le biceps n'offre que sa longue portion ; son tendon effilé ne tarde pas à se j

a ainsi se fixer au niveau de la partie moyenne de la face externe du long cartilage qui représente le tibia (seul os do l

out est normal ; mais il n'y a pas de courte portion du biceps ; la longue portion se perd par son tendon sur le fascia la

eaux. rM. em&rMeWeurdro. - La radiale, très ténue, contourne le long supinateur au tiers inférieur de l'avant-bras et

me enfin, qui paraît être la continuation du tronc, descend tout le long de la partie postérieure de l'union du grand pect

forme de bourgeons, représentant cinq doigts. Le pouce est le plus long et le plus volumineux La mère, au se mois, vit

us, mais ne s'articulant pas avec lui, on trouve une masse osseuse, longue de 2 centimètres, terminée par une main peu dével

tique qui recouvre l'extrémité du radius, for- tement renflée. Le long supinateur et les ébauches de muscles radiaux s'a

oite chez une petite fille de 3 ans. La cuisse est à peu près aussi longue et aussi volumineuse que la gauche ; il n'y a p

existe de tare d'aucune sorte. L'ébauche de pied a 4 centimètres de long , et se termine par deux orteils, dont l'un, vol

par deux orteils, dont l'un, volumineux, interne, muni d'un ongle, long de 2 centimètres, représente probablement le gr

côté interne correspondant au gros orteil, une phalangette osseuse, longue de 6 millimètres, fait suite à une phalange de mê

phalange de même volume, légèrement renflée à ses deux extrémités, longue de 15 millimètres, et il un métatarsien de 15 m

ar des capsules aux-précédents ; le plus antérieur, cuboïde ( ? ) est long de 3 millimètres ; le postérieur, effilé par so

millimètres ; le postérieur, effilé par son extrémité antérieure, est long Z) 322 KLIPPEL ET BOUCIIET de 5 millimètres ;

côté externe, correspondant au petit orteil, se trouve une phalange longue de 7 millimètres, une phalangine de 10 millimètre

ètres. Le métatarsien n'existe pas. Muscle. Large de 5 millimètres, long de 15, il s'insère en avant à l'ex- trémité pos

rtionnellement un vo- lume plus considérable que les autres muscles longs de l'avant-bras : rond pronateur, court supinat

itié infé- rieure de l'avant-bras n'existent pas : carré pronateur, long abducteur du pouce, court extenseur du pouce.

tôt est fusionné avec les autres fléchisseurs. B. Région externe. Long supinateur. Est assez bien développé, quoique m

ex. Très grêle ; s'insère en entier sur la gouttière des radiaux. Long extenseur du pouce. Tendon grêle qui croise obliq

plus petite que cette interosseuse, se perd en suivant le tendon du long supinateur dans la peau de la partie antérieure

rus ; le cubitus n'apparaît distinct qu'à son extrémité supérieure, longue de 3 centimètres, large de 1, qui est luxée ell

carpien semble correspondre au premier, bien qu'il soit un peu plus long ; un seul sésamoïde.- L'extrémité supérieure de-c

s autres muscles de l'épaule sont normaux. Au bras, il n'y a pas de longue portion du biceps ; la courte portion est à pei

su interstitiel. Le brachial antérieur n'est pas différencié, ni le long supinateur non plus. Le triceps est fortement a

racter des connexions de suppléance. A la face dorsale, les muscles long supinateur, radiaux, long abducteur du pouce, l

uppléance. A la face dorsale, les muscles long supinateur, radiaux, long abducteur du pouce, long extenseur du pouce son

ale, les muscles long supinateur, radiaux, long abducteur du pouce, long extenseur du pouce sont normaux; les muscles cour

en deux larges tendons pour le 2° et le 3e, et envoie une expansion longue au faisceau interne ; l'interne donne deux tend

dans le premier gonflement, est remontée de droile à gauche tout le long du cul-de-sac du premier diverticule et après e

mes symptômes qu'on a constatés chez notre malade : c'est-à-dire la longue durée de l'affection, les signes simulant une s

rusques. Les troubles cérébraux se firent remarquer à la suite d'un long assaut, ayant exigé une grande dépense de forces

QUES Le siège de cette tumeur dans une zone silencieuse explique la longue absence de tout symptôme localisateur. Son éten

de s'articuler avec l'épiphyse supé- rieure du tibia, cet os, trop long pour un tibia trop court, va s'articuler sur la

t minime. Membre inférieur gauche. Le membre abdominal gauche, plus long que le droit, présente aussI1des)non13lies impo

toute son étendue. b) Par insertions et connexions irrégulières : long supinateur ; celui-ci a des origines numérales

entre les deux insertions différentes, el toutes deux anormales du long supinateur. c) Par excès de volume : radiaux ex

insi que les muscles figurés en i (fig. 9) représentent les muscles longs du pouce, mais leur insertion s'est faite plus

. 2), représentent les fléchisseurs profonds (commun des doigts, et long du pouce). 3° Muscles absents. - En apparence,

ule masse ; de même les fléchis- seurs commun profond des doigts et long fléchisseur du pouce. Les ex- tenseurs commun d

onnés, de même que les 1er et 2e radial externe, et que les muscles longs du pouce. Si l'on étudie le développement embry

ts. Partie profonde : Masse, fléchisseur commun profond des doigts, long fléchisseur du pouce, carré pronateur. Le méd

continue avec du tissu condensé de l'extrémité distale du radius : long supinateur. (3) 2° partie, passe près du 3" gro

upe qui se dirige vers ce doigt. 410 . KLIPPEL ET BOUCHET Masse : long abducteur du pouce, court extenseur du pouce, lon

BOUCHET Masse : long abducteur du pouce, court extenseur du pouce, long ex- tenseur du pouce, extenseur propre de l'ind

ÉRIQUE DES TISSUS 411 5 tendons du fléchisseur commun profond et du long fléchisseur du pouce, unis entre eux, ces tendo

Muscles : Sous-clavier. Fléchisseur commun profond est séparé du long fléchisseur du pouce. L'extenseur commun des do

rme. Les deux radiaux ne sont pas encore séparés l'un de l'autre. Long abducteur et court extenseur du pouce ne sont sép

, en même temps que les phalanges d'insertion ; que se séparent les long supinateur et radiaux, les différents extenseurs

e faisceaux que de doigts ; que se différencient chacun des muscles longs du pouce. Avant la fin de la cinquième semaine,

s ; ceux-ci ont une partie fibro-tendineuse com- mune ; les muscles longs postérieurs du pouce se terminent en bas par un

c fut-il aussi son chirurgien dans la cruelle maladie qui, après de longues souf- frances, l'emporta au début de l'année 18

ièrement sensibles dans la clinique et qui rendent les recher- ches longues et minutieuses, quelquefois dans les moments même

xostoses ostéogéniques.se montrent en' général à l'extrémité des os longs et de préférence sur celle des extrémi- tés don

nt l'un contre l'autre. Si l'on en excepte le radius gauche, les os longs des membres ne présentent pas de courbure. L'ax

éditaire qui nous occupe aujourd'hui a pour siège d'élection les os longs des membres. Là encore c'est au voisinage du ca

es sillons profonds et les papilles très prononcées. Les dents sont longues , la plupart gâtées, et très éloignées les unes

hoedème est également plus grande chez la femme que chez l'homme. Long (15) a eu récemment l'occasion d'étudier, au poin

é d'éruptions vésiculaires. Revue Neu- rologique, no 4, 1906. 15. LONG . - Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, n° 2,

mbre, ceux surtout dont l'observa- tion sera poursuivie pendant une longue durée. Car il s'agit d'affections tenaces, chan

est vrai, même pour les histoires cliniques. Or, celle qui suit est longue , très longue Dans sa longueur même réside, je c

e pour les histoires cliniques. Or, celle qui suit est longue, très longue Dans sa longueur même réside, je crois, son int

également bien ; le gauche est un peu myope et astigmate. Aussi, de longue date, Taurone a-t-il pris l'habitude d'utiliser s

et ce soulagement persiste pendant un certain temps, plus ou moins long suivant les jours. 2 janvier 1903. Pendant deux

per les nuages... 3° Je me rends de plus en plus compte combien les longues conversations que j'ai eues avec vous ont exerc

au début des exercices est souvent aisée, mais d'au- tres fois très longue à obtenir et exigeant toute une série de luttes e

isme général ? Et pour la nuit ? Veuillez bien m'excuser de ma trop longue lettre, j'ai dû employer plusieurs séances pour

s, et j'arrivais même à la maintenir pendant un temps souvent assez long au milieu ou à droite ; la lecture silencieuse

urs, les contractions se produisent au lit, et ce n'est qu'après de longues périodes d'agitation que j'arrive quelquefois à o

s en écri- vant la tête de travers, car il serait probablement trop long d'attendre que je puisse le faire en bonne posi

erait difficilet étant donnée l'absence de fatigue corporelle et le long temps que je passe couché ; lorsque je ne dors

l'oeil gau- che, qui a dû (prise inconsciemment depuis peut-être de longues années), être la cause occasionnelle de mon tor

e oscillante de la maladie et je la connais par une expérience déjà longue , hélas ! J'attends donc, avec confiance le relève

s pas encore grand'chose de bon. La prise de position au centre est longue , difficile, et rarement bien réussie, les immobil

et cessaient même complètement, quelquefois pendant un temps assez long . Ne voyant rien au- tre d'utile à faire, je pro

imple rémisskn temporaire ; ensuite, parce que parvenu, après la si longue et si pénible pé iode que vous connaissez, à une

de syringo- myelie avec cheiromégalie suivi d'au- topsie, 374. Long . Examen histologique des téguments et des tronc

roncs nerveux dans un cas de trophoedème congénital (t pt.), 155. Long . Atrophie musculaire progressive des membres su

it pas à l'extérieur par des signes physiques. Elle a quelquefois une longue durée, et peut persister jusqu'à la fin de la mal

pparence; nous y voyons même siège de la déformation , deux courbures longues , étendues, sans gibbosité : ce sont deux lésions

e courbure du rachis à convexité droite. Ce ne fut qu'après un examen long et minutieux que je pus constater par la forme de

urbent fortement en avant lorsqu'ils sont assis; on observe alors une longue courbure, mais pas de déformation des vertèbres.

isme ou à un mal de Pott. La courbure pourtant est, en général, moins longue , moins régulière. Les extré mités de l'arc sont

ence de paralysie et d'abcès par congestion. — Cet état peut durer de longues années. Il faudrait, pour arrêter la maladie osse

Cependant la malade guérit sans cette opération. La convalescence fut longue ; plusieurs mois s'écoulèrent sans amener un chan

stoire d'un malade dont l'abcès s'était ouvert; la suppuration fut de longue durée, mais finit par se tarir. Trois ans après,

s volumineux, qui s'est ouvert spontanément. Au bout d'un temps assez long , la suppuration s'est tarie; la guérison a eu lie

apiers, les diverticules, qui se forment dans l'abcès, le trajet plus long qu'il décrit, par conséquent l'étendue plus grand

correspondantes. Vous voyez sur ce buste une moitié de la face moins longue que celle du côté opposé, le sourcil droit moins

repris dernièrement ; mais ces atteintes diverses se font sentir à de longs intervalles. La forme d'accès est donc un des mei

iques dont il reste ordinairement des traces, lorsqu'elles ont eu une longue durée. o° Le déplacement de ta tête du fémur es

te fémorale. c. La portion intermédiaire ou libre est plus ou moins longue ; elle est assez courte dans la pièce de M. Bro

luxation et dans là* syndesmose. Dans le premier cas, elle est moins longue et plus serrée ; ses deux extrémités ne sont poin

igables recherches qu'il poursuit avec tant de bonheur, que le muscle long péronier latéral, congénère des extenseurs, tend

és précédemment; ce sont : le triceps sural (jumeaux et soléaire), le long péronier latéral, lejambier antérieur, le long ex

meaux et soléaire), le long péronier latéral, lejambier antérieur, le long extenseur des orteils, le jambier postérieur et l

ts mixtes ou composés : le triceps sural est extenseur-adducteur ; le long péronier latéral, extenseur-abducteur ; lejambier

extenseur-abducteur ; lejambier antérieur, fléchisseur-adducteur ; le long extenseur commun des orteils, fléchisseur-abducte

tension directe résulte de l'action simultanée du triceps sural et du long péronier latéral; la flexion directe, de l'action

al; la flexion directe, de l'action réunie du jambier antérieur et du long extenseur des orteils. Le jambier postérieur pr

, quand il existe, concourt au mouvement de flexion-abduction avec le long extenseur des orteils, dont il n'est qu'un append

ec le long extenseur des orteils, dont il n'est qu'un appendice. Le long extenseur du gros orteil et le long fléchisseur c

nt il n'est qu'un appendice. Le long extenseur du gros orteil et le long fléchisseur commun des orteils ne secondent ou ne

fléchisseur-adducteur, le second l'extenseur-adducteur du pied. Le long fléchisseur du gros orteil ne paraît concourir à

s du pied bot. Mais je ne puis me dispenser de signaler une action du long péronier latéral, toute spéciale, méconnue de la

cteur Duchenne. Cette action s'exerce sur le premier métatarsien ; le long péronier latéral abaisse avec force l'extrémité a

illie sous-métatarsienne du gros orteil. Nous verrons cette action du long péronier devenir la source de déformations partic

linatur (1). » « Si la cuisse est luxée en dedans, le membre est plus long que l'autre, et il devient valgus ; car le bout d

de l'affaiblissement musculaire, surtout de la diminution d'action du long péronier latéral. Je vous ai montré au commenceme

vis-à-vis la saillie sous-métatarsienne du gros orteil, parce que le long péronier agit avec moins de force que dans la con

t l'effet d'une paraplégie incomplète dépendant du mal vertébral ; le long péronier étant un des muscles les plus affaiblis,

contraction des fléchisseurs des orteils, s'efforçant de suppléer le long péronier affaibli ou paralysé. On l'observe rarem

moins de la conformation naturelle; elle vient de l'excès d'action du long péronier latéral. Elle a pour caractères : une au

action plus prononcée des adducteurs se trouvant associée à celle du long péronier. L'extension, un peu moins étendue, s'op

e court péronier latéral est particulièrement allongé et affaibli; le long péronier et l'extenseur des orteils participent a

e le sujet à des entorses, à des chutes, et l'empêche d'accomplir une longue marche. Enfin la peau, comprimée douloureusemeut

ajoutant au varus direct, que le talon ne porte plus sur le sol. A la longue , il se forme un autre talon au sommet de l'angle

l est dans une extension continue, par suite de la contracture de son long extenseur. Chez cette femme, la marche n'est pa

s qui renferment les tendons des jambiers antérieur et postérieur, du long fléchisseur des orteils, etc. Voici deux dessins

raction. C'est ainsi que les orteils peuvent être entraînés par leurs longs extenseurs distendus. Sur une des femmes que vous

tend plutôt alors à diminuer la torsion du pied en dedans. Enfin le long extenseur des orteils, quand le pied se porte en

uisent le varus. Ce sont spécialement le court péronier latéral et le long extenseur des orteils, puis le long péronier; enf

t le court péronier latéral et le long extenseur des orteils, puis le long péronier; enfin secondairement, l'extenseur du gr

o-astragalienne par la rétraction du triceps sural seul ou associé au long péronier, plus rarement à d'autres muscles. Cet

ed creux. Aussi le pied équin est-il habituellement un pied creux. Le long péronier paraît êlre l'agent principal de cette d

tuaùon? C'est par l'effet d'un consensus entre le triceps sural et le long péronier; c'est le résultat d'une égalité d'actio

ter le pied sur le côté externe de la saillie sous-métatarsienne ; le long péronier a pour fonction spéciale d'abaisser et d

cavité générale du talon à la pointe ; ce n'est plus le pied creux du long péronier, c'est le pied creux des fléchisseurs de

es. Si les fléchisseurs des orteils ne l'emportent pas assez sur le long péronier pour empêcher la sustentation sur les tê

vous parler, offrent la réunion de l'extension et de l'abduction. Le long péronier ne peut seul produire ces formes de pied

a un équin légèrement varus. Le triceps sural a plus d'action que le long péronier latéral ; le b:ird externe est abaissé;

a concavité habituelle, ce qui indique le peu d'influence qu'a eue le long péronier. Il y a une forte tension dans le long

fluence qu'a eue le long péronier. Il y a une forte tension dans le long extenseur commun, dans le court péronier et dans

sural, et à la rétraction concomitante des fléchisseurs du pied et du long péronier ou des longs fléchisseurs des orteils.

tion concomitante des fléchisseurs du pied et du long péronier ou des longs fléchisseurs des orteils. Pourquoi se produit-i

Les caractères extérieurs du talus pied creux médio-tarsien, ou du long péronier, sont ceux du talus commun, dans la régi

ne du pied est un peu relevé comme dans un léger varns, parce que les longs fléchisseurs des orteils sont en même temps adduc

chisseurs des orteils sont en même temps adducteurs. Le pied creux du long péronier présente une disposition contraire. Le

d creux, suivant que la courbure exagérée du pied est produite par le long péronier ou les longs fléchisseurs des orteils; m

la courbure exagérée du pied est produite par le long péronier ou les longs fléchisseurs des orteils; mais il en existe une t

t de griffes, le fléchisseur des orteils agit fortement, ainsi que le long péronier; il en résulte que le pied n'est ni rele

tion que pour la déviation des orteils en haut, dans le pied creux du long péronier ; il faudra les abaisser. Les déviatio

un pli assez profond qui ordinairement appartient au pied creux du long péro-nier latéral, mais que nous retrouvons ici,

x du long péro-nier latéral, mais que nous retrouvons ici, quoique le long fléchisseur des orteils soit également rétracté;

nroulé. Le pli plantaire est aussi prononcé que dans le pied creux du long péronier ; ce pied creux est probablement, en rai

nclinaison des deux bords du pied, de ceux qui dépendent à la fois du long péronier et des fléchisseurs des orteils. Si on c

'écartant plus ou moins de la sandale. Les deux montants portent de longues vis qui traversent des pièces à écrou fixées sur

le pied dans la flexion. Cette seconde partie du traitement est plus longue que la première, plus difficile, et c'est surtout

t des malades eux-mêmes. Beaucoup de mères ne peuvent se résigner aux longues souffrances de leurs enfants. Lord Byron enfant f

suivant le relief qu'ils présentent dans l'un ou l'autre point. Le long péronier peut être divisé seul dans les deux régi

tion du muscle. Les mêmes moyens rendront plus visible le tendon du long péronier, qui se trouve placé en arrière et au-de

ostérieur est bien plus difficile. Ce muscle, en effet, est accolé au long fléchisseur des orteils jusqu'au-dessous de la ma

arrière de la malléole, on divise presque à coup sûr en même temps le long fléchisseur commun ; on a aussi à redouter la ble

à la jambe qu'il faut faire la section. Il nous reste à parler des longs fléchisseurs des orteils. Quoique ces muscles aie

es premières phalanges, qu'on pratique ordinairement leur section. Le long fléchisseur du gros orteil a pu aussi être aiséme

ive de la campagne. Elle a un pied équin à gauche, avec pied creux du long fléchisseur des orteils; le pied est dans l'adduc

n balance, d'un côté, la durée du traitement quatre ou cinq fois plus longue , la somme de douleurs qu'il produit, les insomnie

il faut pratiquer une nouvelle section. III. Moyens médicaux. — Les longs détails qui précèdent, touchant les moyens mécani

es fâcheuses que lui réservait l'avenir. Nous allons terminer cette longue étude des pieds bots, en vous montrant d'abord un

ent, et ce tissu lui-même devient moins abondant à l'intérieur des os longs , dans les os courts et dans l'épaisseur des os la

; mais il offre une disposition particulière dans la diaphyse des os longs ; il se creuse de cellules et prend en partie l'as

trop peu nombreux pour faire loi. Le travail d'accroissement des os longs , qui se fait principalement aux extrémités de la

ngieux, incessamment produit dans l'état normal entre le corps des os longs et leurs extrémités épiphysaires, se développe in

urieuse à observer au microscope. Je ne veux point entrer ici dans de longs détails graphiques; je me bornerai à mettre sous

de l'os. Cette décomposition a lieu surtout dans la diaphyse des os longs , mais elle se passe également dans les os plats e

galement dans les os plats et les os courts. Sur la diaphyse des os longs , on voit se former des couches qui ne contiennent

Le travail de réparation se fait par couches successives. Dans les os longs , on voit ces couches s'incruster de matière calca

est moins marquée dans les os courts et les os plats que dans les os longs ; cependant elle y conserve ses caractères. Cet

trophie, qu'il faut rapporter l'élargissement, l'aplatissement des os longs , qui les fait ressembler à des lames de sabre, et

ur des uns et la gracilité naturelle des autres. L'intérieur des os longs participe à cette réossification ; il se passe qu

se manifeste par la lenteur de l'ossification de ses parois; de là la longue persistance des intervalles membraneux qui sépare

ération de même nature que celle des extrémités de la diaphyse des os longs . Dans son premier degré, le rachitisme thoraciq

e période, car il ne reste qu'une très-légère flexibilité dans les os longs . d. Rachitisme du bassin. — (1) Le rachitisme d

ourbure de l'humérus en dehors; du fléchisseur profond des doigts, du long fléchisseur du pouce, par rapport à la courbure d

sur ces planches de M. Stanski (4). Figurez-vous les diaphyses des os longs renflées, réduites à une coque presque membraneus

is ces appareils agissent moins efficacement sur la continuité des os longs , ainsi que dans les déviations rachitiques de l'é

rachis offre une grande convexité en arrière. Les clavicules, les os longs des membres sont peu déformés; ces os sont flexib

haut en bas avec les membres supérieurs dans l'attitude du scieur de long placé au-dessus d'une pièce de bois, vous donnere

c penche ordinairement un peu de côté ; le rachis décrit une courbure longue et peu profonde, dont la concavité est du côté ma

le supérieure, ne comprennent que trois ou quatre vertèbres; les plus longues peuvent s'étendre à huit ou dix corps vertébraux.

ieure et la postérieure ont une longueur inégale. La seconde est plus longue , et il semble qu'elle ait été forcée de se replie

es du bassin. Les individus gib-beux, non rachitiques, parcourent une longue période de leur existence sans que le bassin s'él

's Archiv., 1834, III. rent de la face qui a donné lieu à la figure longue , au nez et au menton du Pulcineilo. Mais je n'ai

e, et c'est alors uniquement son étroitesse qui la fait paraître plus longue . Cette tête d'une jeune fille gibbeuse vous perme

embres. — On attribue généralement aux individus gib-beux des membres longs et grêles ; leur longueur ne paraît excessive qu'

issement dépendant de la configuration nouvelle du rachis. Les plus longs , parmi ces muscles, une partie du long dorsal, du

ouvelle du rachis. Les plus longs, parmi ces muscles, une partie du long dorsal, du sacro-lombaire, passant presque toujou

corde. On voit même, dans les courbures extrêmes, le bord interne du long dorsal, du côté de la convexité, attiré du côté d

croissance disproportionnée à l'état des forces., après les maladies longues , pendant une menstruation difficile, dans les fle

peuvent être sans risque soumis à la même règle. Il faut à ceux-là de longues récréations , des jeux actifs en plein air, sinon

es, les uns en équilibre sur la corde tendue, les autres suspendus le long d'une ou de deux cordes verticales. Ce sont les

gne horizontale, verticale ou oblique; la progression horizontale, le long d'une perche ou d'une suite de perches, se fait e

demment changer la conformation du rachis, parce qu'il agit à de trop longs intervalles et pendant un espace de temps trop co

r, à ramper à plat ventre en s'aidant des mains et même des pieds, le long d'un banc, d'une planche à laquelle on peut adapt

arlant de la position horizontale. On le fait ordinairement étroit et long pour trouver la place des appareils et pour les m

e. Des pelotes de pression, des bandes de peau ou de cuir mince, de longs ressorts fixés aux bords du lit, telles sont les

s ressorts des plaques à soufflet deviennent insuffisants. Ce sont de longues barres d'acier trempé, un peu recourbées, et pouv

e verticalement dans des douilles plates fixées aux bords du lit. Les longues courroies des plaques à pelote simples, de la lar

, etc. Mais il faut mettre un terme à celte énumération déjà trop longue peut-être. Le lecteur se rendra aisément compte p

de l'oeil; E, oeil de dimensions normales (emmétrope); M, oeil trop long (myope); 11, oeil trop court (hypermétrope). Un f

e .sans qu'il soit néces- saire, comme pour l'ophtalmoscopie, d'une longue et difficultueuse pratique. , Cette prépondér

s descriptions de cet appareil et de la manière de s'en servir sont longues , difficiles à suivre, cl ne mènent à aucun résult

. L'observateur et, la bougie se déplacent alors horizontalement le long de l'arc périmétrique par exemple vers le côté

; Rétrécissement concentrique du champ visuel. Cette énumération, longue mais encore incomplète, nous montre la mul- t'p

s d'altérations graves; ils disparaissent en un temps plus ou moins long , souvent plusieurs années. L'amélioration des o

ge des lésions. Une lésion intéressant les voies optiques dans leur long trajet du chiasma à l'écorce occipitale, peut a

guérir défini- tivement. D'autre part, l'hémianopsie peut durer de longues années sans être accompagnée de complications m

globes dont la paralysie amène les mêmes troubles. C'est un procédé long . Et, d'ailleurs, la mémoire se refuse à enregis

ensa- tions semblables, après un travail assidu, une lecture un peu longue , etc. Cependant la inutilité des paupières est

logique du facial inlra-pétreux ou des filets sécrétoires dans leur long trajet, pourra donc amener une hypersécrétion l

ceux-ci, aux noyaux des nerfs bulbo- protubérantiels. - f, fibres longues se rendant par la capsule interne aux circonv

inne, partout citée (transmission aérienne, chez l'homme sain, plus longue que la transmission crànio-tympanique), n'a qu'un

centre d'équilibration volontaire : toutes les lésions portant sur ce long trajet pourront s'accompagner de vertige et de

ralysie faciale parmi leurs complications les plus fréquentes. Le long trajet du facial dans le canal de Fallope et le m

sera d'autant plus forte que le courant d'air passera sur une plus longue étendue du cylindre. L'expérience a montré à Zw

n intellectuelle. Dans d'autres circonstances, les prodromes sont à longue échéance. L'entourage note une somnolence établ

e convulsions violentes. La convalescence, si le malade survit, est longue , et marquée d'accidents nombreux, polynévrites, t

ticulation coupée, suspendue par des périodes d'arrêt plus ou moins longues , plus ou moins intermittentes. En dehors de ces

mal comprise ; ou si quelques mots sont entendus, une phrase un peu longue , un ordre un peu com- plexe seront saisis il la

n'exécute pas l'acte imposé ou bien aille promener celte brosse au long de son nez ou de son oreille, il y aura apraxie

e véritable grapliomanle, les déments eux-mêmes écrivent souvent de longues pages de griffonnages. On tiendra compte dans l

t celui de tous les faits se rapportant à une période plus ou moins longue de son existence précédant immédiatement cet évén

on, se lèvera, mais il est facile, au bout d'un temps plus ou moins long , quand cette agitation sera calmée, de le ramen

erne et médian de In couche optique (Dejerine, y. Monakow). D'après Long (') le ruban de Reil ne doit pas être considéré

he optique. Neurone thalamo-corlical. Le dernier chaînon de cette longue voie secondaire vient se confondre avec celui de

éories se trouvaient en présence : l'une unicisle (Knapp, Dejerine, Long ), admettant, pour la sensibilité et la motricit

que la conduction de la sensi- bilité soit croisée dans la moelle ( Long ). Cette idée, émise tout d'abord pour expliquer

rer les impressions plus ou moins intenses venues de la périphérie ( Long ). Il existe dans la moelle, pour les impressions

u commence- par l'ap- pliquer sur les apophyses épiphysaires des os longs , sur les malléoles internes et externes du cou-

s du poignet et du coude, etc On passe ensuite aux diaphyscs des os longs , aux os de la face et du crâne, etc.. jusqu'à c

se traduisant par de l'hémiplégie sans hémianeslllésin (Dejerine et Long , Marie et (;aillain); 3° les cas d'hémianesthésie

t être opposée aujourd'hui l'hémianesthé- sie thalamique (Dejerine, Long , Roussy). 5° Hémianesthésie thalamique. L'hén

t une paralysie du biceps, du deltoïde, du brachial antérieur et du long supinaleur, Il) Type inférieur pllile lhjerine-

ysmes douloureux, soit sous la peau de la région endolorie, soit le long du trajet des troncs nerveux qui s'y rendent, soi

dre excitation. Le tic douloureux de la face persiste un temps très long ; la compression que les malades exercent dans le

son abolition dénote souvent une lésion sérieuse et qui pourra être longue il guérir. Quant il l'abolition du rulletc rotu

maires à la face palmaire, les tendons des mus- cles radiaux et long supinateur des abducteurs et ex- tenseurs d

prononcée surtout aux membres supérieurs. Cette évolution est fort longue , atteint des années, dépasse infiniment celle de

presque toute paraplégie présente des périodes de rémission parfois longues , souvent marquées; il ne faut point les prendre

L'epicùue le surmonte. Une racine sacrée a est représentée dans son long trajet avec une lésion X, supposée placée en se

rs. Il a un rôle dans l'acte de l'écriture en conduisant la main le long de la ligne écrite ; aussi l'écriture est très gê

tié supérieure de la facette étroite et longitudinale qui s'étend le long du bord axillaire de l'omoplate entre ce bord e

apophyse coraeoïdc par un tendon commun avec le coraco-brachial. La longue portion s'insère sur l'omoplate au-dessus de la

e l'action supinatrice serait plutôt le fait de la courte que de la longue portion. Il est à remarquer que les deux foncti

groupe épitrochlécn et favorise ainsi leur action. Le tendon de la longue portion du biceps joue le rôle de ligament actif

nt-bras fléchi, la con- traction du biceps fait que le tendon de la longue portion du muscle se tend; ce tendon, véritable

'humérus. Au contraire, le coraco-hrachial, ainsi d'ailleurs que la longue portion du triceps, exercent sur l'humérus une

ne. Il est plus puissant que le biceps, mais ses fibres étant moins longues que celles de ce muscle ont vite donné leur max

rieur n'empêche pas la flexion simple du coude, car le biceps et le long supinateur, en se contractant syucrgiqllement,

6 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. l'avant-bras (biceps, brachial antérieur, long supinateur) sont paralyses, la flexion de l'ava

qui se réunissent en bas pour prendre insertion sur le cubitus. La longue portion s'insère sur la petite zone triangulaire

a un nerf spécial pour chaque portion du triceps. Les rameaux de la longue portion et du vaste interne, naissent du radial

surtout les vastes externe et interne qui ont ce rôle extenseur; la longue portion du triceps joue un rôle utile en maintena

la main contient un corps lourd, connue par exemple un marteau. La longue por- tion prenant insertion sur la ceinture tho

re thoracique rapproche le membre su- périeur du tronc. Pour que la longue portion ait son maximum d'action, il est nécess

t maintenue dans sa situation par le fléchis- seur superficie ! . Long fléchisseur propre du pouce. Insertions. - Le lon

r superficie ! . Long fléchisseur propre du pouce. Insertions. - Le long fléchisseur propre, du pouce s'insère en haut s

Innervation ? Nerf interosseux, branche du médian. Physiologie. Le long fléchisseur propre du pouce amène la flexion de

e phalange est- très limitée. Duchenne a insisté sur ce fait que le long fléchisseur propre, n'agit pas sur le premier m

ras. La région externe de l'avant-bras comprend quatre muscles : le long supinateur, le premier radial externe, le deuxi

radial externe, le deuxième radial externe, le court supinateur. Long supinateur. Insertions. Le long supinateur s'insè

ial externe, le court supinateur. Long supinateur. Insertions. Le long supinateur s'insère en haut sur le bord externe

yse styloïde du radius. Innervation. Nerf radial. Physiologie. Le long supinateur lléchit l'avant-bras sur le bras, et

est supinateur, puisqu'il amène l'avant-bras en demi-pronation. Le long supinateur est donc à la fois pronateur et supi-

ateur est donc à la fois pronateur et supi- nateur. La paralysie du long supinateur est facile à constater en priant le

rne s'insère en haut sur le bord externe de l'humérus au-dessous du long supinateur et sur la cloison interniusculaire ext

é. La couche profonde se compose égale- ment de quatre muscles : le long abducteur du pouce, le court extenseur du pouce

scles : le long abducteur du pouce, le court extenseur du pouce, le long extenseur du pouce, l'extenseur propre de l'index

le n'amène pas de troubles appréciables si le triceps est normal. Long abducteur du pouce. Insertions. Le long abduc-

s si le triceps est normal. Long abducteur du pouce. Insertions. Le long abduc- teur du pouce s'insère en haut sur la fa

du premier métacarpien. Innervation. Nerf radial. Physiologie. Le long abducteur du pouce, d'après Duchenne, porte le

cline en dehors. Ce muscle n'intervient jamais, comme d'ailleurs le long et le court exten- seur, dans les mouvements de

aîne la chute de ce doigt dans la paume de la main, la paralysie du long abducteur et du long extenseur exagère cette atti

oigt dans la paume de la main, la paralysie du long abducteur et du long extenseur exagère cette attitude qui rend impos

e attitude qui rend impossibles la plupart des usages de la main. Long extenseur du pouce. Insertions. Le long extenseur

part des usages de la main. Long extenseur du pouce. Insertions. Le long extenseur du pouce s'insère en haut sur la face

ha- lange du pouce. Innervation. - Nerf radial. Physiologie. Le long extenseur du pouce étend la seconde pha- lange

méta- carpien. Dans les cas de paralysie des muscles thénariens, le long exten- seur, par son action tonique, amène le p

terne du ligament annulaire, souvent sur une expansion du tendon du long abducteur. Il se termine en bas sur le côté exter

e le court abduc- teur se contracte toujours synergiquement avec le long abducteur pour produire avec lui l'abduction du

médiaire de l'expansion aponévrotique, qu'ils envoient au tendon du long extenseur, que ces muscles peuvent pro- duire c

and les muscles de l'éminence thénar sont paralysés, la tonicité du long extenseur du pouce attire en arrière le premier m

ndineuse qui termine le muscle se réunit il la partie inférieure ou longue portion du tendon de t'interosseux voisin et se f

tacarpien où ce muscle a pris ses insertions les plus étendues, une longue portion qui se termine sur le tendon de l'exten

troisième. Le tendon terminal des lombricaux se fusionne avec celte longue portion. Le premier interosseux dorsal s'insère

est formé il sa partie supé- rieure de deux portions distinctes. La longue portion ou portion ischiati- t[uc s'insère, sur

ace posté- rieure de l'ischion en se confondant à cc niveau avec la longue portion du biceps. En bas son tendon prend inse

ns fibreuses qui le séparent du jambier anté- rieur en dedans et du long péronier latéral en arrière. En bas existent qu

échisseur, abducteur, rotateur en dehors du pied. Région externe. Long péronier latéral. Insertions. Le long péronicr la

rs du pied. Région externe. Long péronier latéral. Insertions. Le long péronicr laté- ral s'insère en haut sur la part

un rameau direct du sciatique poplité externe. Physiologie. - Le long péronier latéral est extenseur du pied sur la j

Le mouvement d'extension du pied est peu éner- gique, toutefois le long péronicr estun auxiliaire utile au triceps sural.

ie énergiquement sur le sol, la marche ne serait pas possible si le long péronier latéral qui est abaisseur de l'avant-pie

de soutien de, la voûte plantaire est le rôle le plus important du long péronier latéral, l'impotence fonc- tionnelle.d

nt de la voûte plantaire et l'apparition d'un pied plat. Quand le long péronier latéral est paralysé, on constate le ren

n avant et en dedans de la malléole externe après une marche un peu longue , des durillons douloureux qui se développent il

he un peu longue, des durillons douloureux qui se développent il la longue sur le bord externe delà plante du pied, princi

au bout d'un certain temps, par suite de la prépondérance du muscle long péro- nier, le pied est entraîné en abduction e

étermine à la jambe fléchie un mouvement de rotation en dedans. , Long fléchisseur commun ou fléchisseur tibial des or

léchisseur commun ou fléchisseur tibial des orteils. Insertions. Le long fléchisseur commun des orteils s'in- sère en ha

phalange. , Innervation. Nerf tibial postérieur. Physiologie. Le long fléchisseur commun des orteils fléchit les troi

ion tel que leurs extrémi- tés regardent en dedans; l'accessoire du long fléchisseur en se contrac- tant simultanément a

soire du long fléchisseur en se contrac- tant simultanément avec le long fléchisseur s'oppose à ce mouvement de torsion.

ent avec le long fléchisseur s'oppose à ce mouvement de torsion. Le long fléchisseur n'a aucune action sur l'articulation

ues auteurs Pont considéré comme exten- seur du pied (Poirier). ' Long fléchisseur propre du gros orteil ou fléchisseur

du gros orteil ou fléchisseur péronier des orteils. Insertions. Le long fléchisseur propre e du gros orteil s'insère .e

une erreur. Innervation. Nerf tibial postérieur. Physiologie. Le long fléchisseur propre du gros orteil fléchit- avec

nt interosseux, sur les cloisons fibreuses qui le séparent des deux longs fléchisseurs. En bas, le tendon du jambier post

rso-phalangienne, sur le côté externe des tendons correspondants du long extenseur commun des orteils. Innervation. Nerf

té postérieure des 5'' et 4" métatarsiens, sur la gaine fibreuse du long péronier latéral; le faisceau transverse (abducte

a- lal'so-phalangi('I111<' et là se fusionnent avec le tendon du long extenseur du gros orteil, les autres restent su

ent sur le côté plantaire et viennent se ter- miner sur la gaine du long fléchisseur du gros orteil. Innervation. Nerf p

nsertions. Le court fléchisseur s'insère en arrière sur la gaine du long péronier latéral en avant du cuboïde, sur l'ext

tre tendons qui, après avoir été perforés par les quatre tendons du long fléchisseur, s'insèrent sur l'extrémité postérieu

langes des quatre derniers orteils sur les premières. Accessoire du long fléchisseur ou chair carrée de Sylvius. Inserti

fléchisseur ou chair carrée de Sylvius. Insertions. L'accessoire du long fléchisseur se compose en arrière de deux faisc

e interne pour son faisceau interne. Physiologie. L'accessoire du long fléchisseur fléchit les quatre der- niers ortei

teils sur le métatarse. Par son obliquité il corrige l'obliquité du long fléchisseur commun et s'oppose ainsi à la torsion

caux sont au nombre de quatre, ils sont situés entre les tendons du long fléchisseur et sur le même plan qu'eux. Ils pre

t antérieur de la tête fléchit la tête et l'incline latéralement. Long du cou. Insertions. On distingue dans ce muscle t

urcostaux franchir une côte, et s'insérer sur la côte suivanle. Ces longs surcostaux sont fré- quents dans la région comp

ES VERTÉBRALES OU MUSCLES SPINAUX lJr Masse commune, ilio-costal, long dorsal, transver- saire épineux. Insertions. Da

ion cervicale : le muscle ilio-costal ou scccro-lombaire, le muscle long dorsal et le muscle transversaire épineux. L'ilio

sal et le muscle transversaire épineux. L'ilio-costal en dehors, le long dorsal en dedans sont sur un plan superficiel, le

e, des faisceaux de renforcement qui l'empêchent de s'épuiser. Le long dorsal se détache des apophyses épineuses des ver

bérosité, faisceau costal. A la région lombaire les inser- tions du long dorsal se modifient : les faisceaux épineux font

qui vont d'une vertèbre il la vertèbre voisine existent des muscles longs qui, franchissant une vertèbre, viennent s'insére

scles qui se contractent. Les faisceaux costaux et transversales du long dorsal, obliques en haut et en dehors, portent la

L'épineux du dos est formé par les faisceaux internes ou épineux du long dorsal, il se termine en haut par une série de

ion simultanée des muscles deltoïde, biceps, brachial anté-' rieur, long supinateur, le plus souvent aussi des sus et sous

grand rond, deltoïde, biceps, brachial antérieur, coraco-brachial, long supinateur. TOPOGRAPHIE RADICULAIRE. ' ' 605

moine cervicale : le biceps, le deltoïde, le brachial antérieur, le long supinateur. Presque toujours l'examen clinique

YSIES RADICULAIRES.. 615 le fléchisseur indépendant de Duchenne, du long supinateur, le fléchis- seur semi-pronateur, vi

urt supinateur. ' La paralysie du biceps, du brachial antérieur, du long supinateur, les vrais fléchisseurs du coude, n'

emps qu'un fléchisseur de l'avant-bras sur le bras. La paralysie du long supinateur est facile à constater : la main repos

les par compression axillaire ne s'accompagnent pas de paralysie du long supinateur. Paralysie du nerf cubital. La paral

i par la paratysie du rond pronateur et du carré pronateur, seul le long supinateur conserve une certaine action pronatr

et les conséquences de la paralysie isolée du jambier antérieur, du long exten- seur commun des orteils, du long péronie

ée du jambier antérieur, du long exten- seur commun des orteils, du long péronier latéral et du court péronier latéral (

symptômes et les conséquences de la paralysie du triceps sural, du long fléchisseur commun des orteils, des inter- osse

paralysie récurrentielle et il faut laisser aux laryngologistes les longues discussions sur la vulnérabilité des abducteurs

uqueuse et finit d ailleurs par guérir après un temps plus ou moins long . Ruault recommande de la traiter par des doses

rs atteints d'atrophie dès le début, tels les muscles du bras et le long exten- seur, le grand pectoral et le grand dors

des petits muscles de la main et, plus tard, dans le triceps et le long supinateur; tel aussi le cas de Dejerine et Tho

thie est en général d'une grande lenteur, elle progresse pendant de longues années; la myopa- thie ne diffère pas à cet éga

membres supérieurs;. dans quelques cas le triceps, le biceps, le long supinateur le sont aussi. Mais presque toujours

sont assis, ils font pour se mettre debout une ascension analogue le long de leurs cuisses. Les mouvements sont quelque

ut constater l'atro- phie au tronc des masses sacro-lombaires et du long dorsal, aux membres supérieurs des muscles du g

périeurs des muscles du groupe d'Erb, biceps, brachial antérieur et long supinafeur. Le dettoide au contraire augmente sou

s muscles des mains restent aussi inal- térés pendant un temps très long , et l'aspect de l'extrémité épaisse et bien mus

e, très lentement progressive, insi- dieuse, entrecoupée parfois de longues périodes d'arrêt, surtout quand le début a ét

es autres par une amyotrophie généralisée. La durée est extrêmement longue , 50, 40 ans et plus, parce que l'affection n'obli

elé, grand et petit pectoraux, biceps, brachial antérieur, triceps, long supinateur, radiaux; rarement les muscles de l'

qui l'empêchait de marcher facilement, faisait quotidienne- ment de longues promenades à bicyclette. L'atrophie des mains n

es bras et, plus souvent, les épaules, soit un temps plus ou inoins long après les avant-bras, soit parfois avant eux. Aux

ire ceux qui répondent aux 5" et 6e paires cervicales, y compris le long supina- teur, muscle de l'avant-bras. L'atteint

es et sensitives peut être complet au bout d'un temps plus ou moins long . Il faut rapprocher des sections nerveuses cert

s du groupe Duchenne-Erb, del- toïde, biceps, brachial antérieur et long supinateur, parfois accessoi- rement les sus et

s ou généralisées, la paralysie amyotro- phique est le plus souvent longue et se prolonge pendant des semaines et des mois

l'existence d'hypertrophies nodulaires de périnévrite réparties le long des nerfs. L'atrophie affecte très souvent le t

t la paralysie des muscles innervés par le radial, à l'exception du long supinateur; l'atrophie rapide de ces muscles es

envahissante. La guérison est la règle, mais elle est parfois très longue à obtenir. On sait aujourd'hui que les prétendu

t à certains thomséniens d'exercer pen- dant un temps plus ou moins long la profeS7 sion d'athlète forain, la plupart pr

ssitôt pris, parfois sans s'en apercevoir. C'est souvent un travail long et pénible de boutonner un vêtement ou d'attach

douleurs fulgurantes; l'évolution est progressif très lente et très longue . '. La sclérose combinée sénile, décrite par Pi

même attitude pourra être maintenue un temps souvent beaucoup moins long par un sujet normal, un temps nul ou presque nul

ent être exécutés sur un sol bien plat, dans une salle suffisamment longue pour ne pas nécessiter un demi-tour trop fré- q

bserver : ainsi, après une amélioration très prononcée suivie d'une longue période d'état stationnaire, la maladie peut re

: temps se.manifestTit des troubles de l'équilibre, des douleurs le long .de la colonne vertébrale, et le malade tombe. Tou

soudain de la chute d'une paupière, ou constate qu'à la fin d'une longue conversa- tion sa voix se fatigue, se casse. Pa

eproduire indéfiniment, à condition qu'elles soient séparées par de longues rémissions. Dans les pyrexies, fièvre et convul

ques, de stertor suivi de sommeil. La torpeur consécutive est moins longue et moins accentuée que chez l'adulte. Il faudra s

ruse présentent quelquefois des crises épileptiformes qui sont plus longues que celles de l'épilepsie (encéplza- : apathie

L'énumération des variétés d'auras que l'on a pu rencontrer serait longue . Contentons- nous de signaler ici, dans l'ordre

e d'incontinence d'urine, de morsure de la langue, est suivie d'une longue période, de stertor. Mais quelques-uns de ces c

ans le gâtisme complet ;-la durée de la maladie est cependant assez longue , beaucoup de malades atteints vers 50 ou 55 ans

actions apparaissent sous forme de tressaillements dans les muscles longs , dans les muscles plats,, tressaillements insuffi

ements convulsifs qui se répétaient pendant une durée plus ou moins longue ,- en dehors de l'action accidentelle d'une crise

des gestes habituels d'une étendue plus grande et d'une durée plus longue que les « tics convulsifs », sans caractère de

fonctionnelle ; ce besoin peut prendre, au bout d'une plus ou moins longue attente, un caractère impérieux et angoissant. La

d'autant plus forts et plus prolongés que la suspension a été plus longue . La répétition d'un acte, le besoin prémoni- to

paraître très rapidement, même brusquement, après une plus ou moins longue disparition : l'éducation du tic était faite par

(effroi, sur- prise, colère) ou par irritation locale (cheveux trop longs , coiffure trop serrée). Tics de l'oreille : t

u début, quelques secondes seulement, puis un temps de plus en plus long , jusqu'à cinq ou six minutes. Ensuite les mêmes

ant les deux ou trois minutes suivantes, il fait des inspi- rations longues et profondes, avec élévation lente des bras dans

nté est presque toujours inhibitrice pendant un temps plus ou moins long et les malades peuvent vaincre leurs crampes; la

es, petits ou grands, qui affectent une disposition symétrique le long des trajets nerveux (des membres, le plus souve

qu'est fréquente l'incontinence ; en tout cas elle est rarement de longue durée, lorsque l'influence du système nerveux e

complète, brusque, absolue. Sa durée est variable, rare- ment très longue , de quelques jours il 2 ou 5 semaines, sauf excep

Une serin- nue stérilisée de 5 à 10 centimètres cubes, munie d'une longue aiguille de platine ou d'acier est enfoncée ver

quant au priapisme véritable, c'est-il-dire il la prolongation très longue d'une érection, il est plus rare. Bientôt l'éja

irradiations à la base du thorax, aux côtes, vers les omoplates, le long delà colonne dorsale. Parfois, il y a de l'angois

viennent irrégulièrement, séparés par des intervalles parfois fort longs de santé parfaite. Ils durent de 4 heures à 5 j

riment, et sa cure est bien avancée déjà. Néanmoins, cette cure est longue et lente, non exempte de rechutes; car souvent

ne marquée, leurs douleurs recom- mencent et se poursuivent tout au long du nycthefuere. GATISME par le D' MOUTIER L

développée dans toutes ses dimensions (fig. 3); c'est le « type en long » de la main de l'acromégale, celui qui, nous l

omégalique. Les pieds présentent des déformations analogues; les os longs de l'avant-bras- et de la jambe sont aussi hype

circulation, d'origine soit générale, soit locale (Bezançon et de - long ). La cyanose congénitale ou maladie bleue provo

me infantile, de beau- coup le plus commun, des incurvations des os longs , un chapelet costal, un thorax en carène ou cn

ard violacée et luisante. L'af1l'clion peut persister un temps très long sans modifications, elfe se termine quelquefois p

doigt rentrant », « en lorgnette » ou un doigt « repoussé». (Lanne- longue .) La dactylite syphilitique ou spina ventosa sy

équestres se forment et s'éliminent. ; après un temps plus ou moins long , les fistules finissent par se fermer. Il reste

cessives se produisent aux mêmes doigts ou aux doigts voisins. A la longue ils prennent un aspect flétri, rétracté, comme

pouce ne peut être porté en dehors par suite de la paralysie de son long abducteur. Si l'on fait fléchir l'avant-bras en

mouvement, on ne sent plus sur son bord externe la corde tendue du long supinateur. Sur le dos du poi- gnet apparaît pl

us souvent, compression (paralysies dücs ct fit/o°c ? ) ; encore le long supinatcurcst-il indemne dans quelques cas rare

de l'émergence ATTITUDES VICIEUSES. : 1057 7 du rameau nerveux du long supinateur. Dans les traumatismes graves seulem

le pouce et la main peuvent être portes en an- duction ; enfin le long supi- nateur est presque toujours respecté et

on observe . - parfois une paralysie radiale passagère, prenant le long supinateur, due . peut-être à une névrite. De

rieur; la pronation de la main est très limitée et due seulement au long supinateur. Des troubles sensitifs peuvent inté

muscles extenseurs du pied sur la jambe sont le triceps sural et le long péronier latéral. Le triceps sural étend surtout

il le porte aussi en adduction et en rotation interne, en varus. Le long péronier étend surtout il le porte aussi en adduc

e aussi en adduction et en rotation externe, en valgus. De plus, le long péronier latéral ATTITUDES VICIEUSES. )05 ! e

05 ! exagère la concavité de la voûte plantaire, cambre le pied; le long fléchisseur commun des orteils contribue aussi

st paralysé en même temps, il y a un talus pied creux valgus. Si le long péronier latéral est seul paralysé, il y a un pie

érieur agit seul, il y a talus pied-plat varus. Si le triceps et le long péronier sont paralysés simulta- nément, le pie

sural est seul contracture, il y a un pied-bot équin val'us : si le long péronier est seul contracture, il y a un pied-cre

u triceps sural seul (talus pied-creux direct), ou du triceps et du long péro- nier latéral (talus pied-creux varus),

-creux val- gus). Le pied-creux valgus est dû à la contracture du long péronier. C. PIEDS-PLATS Les pieds-plats sont

vec pieds-bots paralytiques : nous rappellerons que la paralysie du long péronier latéral détermine un pied-plat varus, qu

glissement de l'astragale sur le calcanéum) ; si à la paralysie du long péronier se joint celle du flé- chisseur commun

l serait dû soit à une arthrite (Gosselin), soit à une paralysie du long péronier (Duchenne), soit à une contracture des

res de la tétanie, le pied se porte en varus équin, il se creuse en long et se cambre, les orteils se fléchissent, surto

lon en bois. Un aura en outre une équerre triangulaire dont le plus long côté aura une trentaine de centimètres, et un c

en trouve dans le commerce un modèle commode de 80 centimètres de long , divisé en deux parties se raccordant à vis. Nous

ns cas. On peut encore avoir besoin de lames de plomb peu épaisses, longues de GO centimètres; nous reviendrons plus loin s

tout par leurs dimensions trans- versaies. Le premier type, type en long , se voit surtout chez t'acromega- tique jeune,

e, ainsi que le tronc. Les membres sont au contraire rctati- vement longs . Les os et les muscles, le bassin et les épaules

me et de sénilité prononcée. L'évolution vitale de ces arriérés est longue . L'arrêt de développement débute après le sevra

mpagnée de ganglions rarement suppures; 5° C'est une lésion d'assez longue durée : 5, 4, 5 semaines; Ou A la suite de cett

ctérisées par une exostose et hyperoslose dans la croissance des os longs : tibias, fémurs, cubitus. Ces hyperostoses peu

ier). Le malade a eu le plus souvent dans l'enfance des maux d'yeux longs et terribles pourtant sans douleurs ayant souve

insolubles sont injectés il des intervalles de temps plus ou moins longs , ce qui est un avantage pour les malades, mais

re mode d'explo- ration se révèlent soudain lorsque l'on promène au long des vertèbres une éponge chaude. Ce procédé s'u

peau du malade. 1° L'aiguille sera une aiguille en platine iridié, longue de 8 à 10 centimètres, fine; l'aiguille de Tuff

iridié sont préférables aux aiguilles en acier, car, même après un long usage, elles glissent bien dans la peau. L'ai-

ule mêlé de liquide céphalo-rachi- dien quand une aiguille à biseau longue se trouve à la fois dans une cavité arachnoïdie

être le premier symptôme d'un tabès ou d'une paralysie générale il longue échéance ; hypothèse admise d'ailleurs par Cett

oma dont le caractère le plus remarquable est sa durée parfois très longue : au début, les malades ne sont pas sans présen

6 semaines (Ilanot et Joffroy, Mocquin, Merle), tandis que les plus longues se prolongent pendant 4 ou G mois (Rilliet, Par

'inégalité pupillaire et de paralysie irienne. L'évolution est plus longue , plus irrégulière que celle d'une méningite; el

ymo-cboroïdicn se distingue du coma méningitique par sa durée, plus longue , l'absence de paralysies, de troubles vaso- mot

, délicats à manier et demandent des opérations minutieuses et très longues . Aussi Tuffier a-t-il préconisé un appareil bea

ontact avec le corps étranger au moyen d'une aiguille à acupuncture longue et mince sous le contrôle de la radioscopie et

l'ossification des cartilages de conjugaison, la déformation des os longs des membres qui sont épais, non fragiles et non f

a résistance de la cellule nerveuse jeune aux rayons de Hôntgen. Un long fraitoncntdc liéclère, entrepris après trépanatio

qu'à une certaine valeur, on l'y main- tient un temps plus ou moins long , puis on la ramène graduellement à zéro. Avan

élevée. Dans un premier circuit se trouve placé un conducteur assez long dont la résistance est fixe et assez grande, de

ter pour la confec- tion des électrodes des manipulations assez longues et assez com- pliquées qui doivent être souve

l; 55. Point d'Erb (muscles deltoïde, biceps, brachial antérieur et long supinateur) ; - 56. Nerf phrenique. EXPLORATION

s moteurs'du membre supérieur (face antérieure). 1. Triceps brachial ( longue por- lion); 2. Triceps (vaste interne); 5. Nerf

-culanc, 16. Biceps; 1 ï. Brachial antérieur. 18. Nerf médian ; 19. Long supinateur; 20. Rond pronateur; 21. Palmaires; 22

ateur; 21. Palmaires; 22. Fléchisseur super- ficiel des doigts; 23. Long fléchisseur du pouce; - 24. Nerf médian; 25. Cour

de (partie postérieure) ; 2. Nerf radial; 5. Brachial antérieur; 4. Long supinateur : 5. Muscle premier radial; - tL Mus

Extenseur commun des doigts; - 8. Extenseur propre de l'index : 9. Long abducteur du pouce; 10. Court extenseur du pouce;

e; IL Muscles iulerosseux dorsaux (I et II); -12. Triceps brachial ( longue portion); z 15. Tri- ceps brachial (vaste exter

eur;- 16. Extenseur du petit doigt; z 17. Extenseur de l'index; 18. Long extenseur du pouce; 19. Adducteur du petit doig

rieur (face postérieure). -1. \erf sciatique;- 2. Biceps fé- moral ( longue portion); 5. Biceps fémoral (courte portion); 4.

oplité externe (nerf péronier); 5. Jumeau externe; 6. Soléaire : 7. Long fléchisseur du gros orteil ; 8. Grand fessier ;

r; 2 Extenseur commun des'orteils ; - 3. Court péronier latéral; 4. Long extenseur du gros orteil; 5. Interosseux; 6. Ne

6. Nerf péronier (sciatique poplité externe); 7. Jumeau externe, 8. Long péronier latéral ; 9. Soléaire; 10. Long fléchiss

ne); 7. Jumeau externe, 8. Long péronier latéral ; 9. Soléaire; 10. Long fléchisseur du gros orteil; - 11. l'é- dieux ;

('). Dans certains cas, on laisse passer le courant un temps assez long dans l'intervalle des interruptions. Il convien

il. L'autre bobine est constituée par un gros lil, relativement peu long et dont l'enroulement forme beaucoup moins de t

autre en ce sens que l'onde induite à la fermeture a une durée plus longue et une tension moindre que l'onde induite à l'ouv

es des muscles, séparées par des intervalles de repos plus ou moins longs . Avec des courants à intermittences fréquentes, o

iveau du point d'élection l'électrode excitatrice, on la promène le long du nerf ou du muscle en la faisant glisser ou en

es; on interrompt ensuite son passage pendant un temps égal ou plus long , et on renou- velle les mêmes manoeuvres un nom

re le plus souvent, mais la durée de la paralysie est beaucoup plus longue que dans les cas avec simple diminution de l'ex

lle est complète, mais elle se produit après un temps beaucoup plus long que s'il n'a existé que de la simple hypo-exci-

init par disparaître, mais cette abolition ne s'observe qu'après de longs mois, souvent même après plusieurs années. Les

u membre supérieur sur le deltoïde, le vaste externe du triceps, le long supinateur, le 1er interosseux dorsal et l'adduct

inférieur sur les fessiers, le vaste interne, le vaste externe, le long péronier, les jumeaux, etc. 2. On voit parfoi

ent de la façon que nous avons dite plus haut. Celte période est de longue durée ; elle se prolonge au moins plusieurs moi

le territoire du nerf facial où l'on peut la voir persister d'assez longs mois ('). La deuxième correspond au temps penda

ttes; cette dernière partie de la période d'état de la DR est assez longue et se prolonge souvent de nombreux mois. Périod

le sens de la réaction de la dégénérescence. Mais, par suite de la longue durée du processus, du développement lent des l

s, on peut prévoir une guérison tardive, n'apparaissant qu'après de longs mois, souvent même une ou plusieurs années. La

indique des lésions moins graves, aboutissant après un temps assez long , plusieurs mois au moins, souvenl une année, pa

ue dans les poliomyélites, mais elle nécessite aussi un temps assez long , atteignant une année ou davantage ; parfois au

ent au delà de l'excitation pendant un temps variable souvent assez long . De plus, dans certaines conditions, les contra

courants forts, souvent pénibles à supporter, le minimum absolu est long à obtenir et le résultat cherché peut n'être qu

ns élevée; sa période de régime décroissant est aussi plus ou moins longue et les minima relatifs sont notablement différe

s en revue une par une ces diverses maladies. Afin d'éviter de trop longs développements et des répétitions nombreuses, n

en les séparant par des intervalles de repos au moins égaux ou plus longs . On emploiera soit la méthode d'excitation polair

uveau, le reprendre ensuite et ainsi de même pendant un temps assez long ; tant que l'on voit ou que l'on peut espérer des

rsiste néanmoins et peut se prolonger pendant un temps parfois très long . Le traitement par l'élec- trisation se trouve

s ;t augmenter, il faut cesser tout traitement électrique. Après un long intervalle de repos on peut essayer de reprendre

ou plus tard encore, ont une marche lente et une durée souvent très longue . C'est en commençant le traitement électrique de

ètre carré d'électrode. La durée de l'électrisation doit être assez longue , de 20 minutes à 1/2 heure; elle peut être prolon

ques séances; d'autres fois elle ne s'accuse qu'après un temps plus long , au bout de plusieurs semaines, et il n'est pas

e trajet du nerf. D'autres fois le malade est couché sur une chaise longue , non isolée du sol, et les petites étincelles o

il convient de faire étendre le malade sur un lit ou sur une chaise longue , de façon que l'électrode se trouve dans un plan

A. par centimètre carré; la durée de passage du courant était assez longue , une demi-heure ou davantage tant qu'il n avait

. par centimètre carré. La durée de l'électrisation doit être assez longue , 20 minutes au moins, et, lorsqu'il est possible,

ajoutera au bain statique l'eflluvation et la friction électrique le long de la colonne vertébrale en insistant sur la ré

ffit pour cela, au moyen d'une seringue il laquelle est adaptée une longue aiguille, d'injecter dans chaque orbite, par le

ns le liquide de Millier. Pour activer le durcissement qui est plus long dans le liquide de llüller, on peut, après une

il. du petit orteil. Innervation, physiologie, 555. Accessoire du long fléchisseur des or- tells. Innervation, physiol

physiologie, 550. - du pied, Innervation, physio- logie, 555. , Long du cou. Innervation, physiologie, 560. - extens

Masculisme, 1090. Masse commune des muscles spinaux. lliocosizil, long dorsal, transversale épi- neux. Innervation, ph

en treillis ou en fort en diable. C'est une sorte de dolman, assez long , se boutonnant par derrière. Il est lait de faç

courtes, pour arriver progres- sivement à des phrases plus ou moins longues dans lesquel- les le maitre lui même désigne le

r un pois dans uu tube de sureau, à faire avancer une bille sur une longue planche il rainure, bille que Ion pour- ra pren

s asiles par leur famille et admis de suite. C'est à la suite d'une longue campagne au Conseil général (1878-1883), que ce

rps. Testicules descendus du volume d'un hari- cot. Vergede4 cm. de long sur5cm. de circonférence. Taille. t.7. 189fi.

e. Sur la partiemoyenne du sternum, bande de poils rares mais assez longs . Traînée de poils de l'ombilic à l'appendice xi

rares sur la face externe des cuisses. Poils cha- tains Irisés, peu longs , occupant tout le pénil (14 cent. sur 5) commen

la grosseur d'un petit oeuf de poule. Cire, de la verge, 9 cent. ; long . 9 cent. Gland découvert et normal. Poils assez

u 6 jours. Sous les aisselles, bande de poils châtain brun, assez longs , de 6 cent. sur 2. Le tronc, les membres, sont gl

en, circulaire, offre trois franges, deux latérales épaisses, assez longues , et une inférieure qui part de l'extrémité infé

ras, sont glabres. Aisselles glabres. Couronne de poils noirs assez longs , à la racine de la verge, formant une bande d'u

verge, formant une bande d'un cent. qui l'enca- dre. Cir. 6 cent., long . 7 cent. Pas d'onanisme. Gland pointu, 9 Nanism

cisse- ment de la verge à la base du. gland. Quelques poils assez longs au périnée et autour de l'anus. 1904. 1 cr,iuin

itoris et le gland assez développés. Les petites lèvres ont 0,01 de long , sur 3 il 4 mil. de large. Hymen frangé, un peu

rieure, très léger duvet. Menton glabre. Joues, poils blonds, assez longs . Très léger duvet autour des seins ; à part cel

et sur la ligne médiane. Pénil : poils blonds, abondants, pas très longs , n'envahissant pas les aines, formant une bande

nts, pas très longs, n'envahissant pas les aines, formant une bande longue de 12 cm. sur 5 cm. de hauteur. Verge : long. 9

s, formant une bande longue de 12 cm. sur 5 cm. de hauteur. Verge : long . 9 cm. 1/2, cir- conférence. 8 cm. 1/2. Gland r

in duvet.Jambes, poils courts. Aisselles : poils blonds.fins, assez longs , formant une bande de G cm. sur 2 cent. 1/2.

um. sur 4 sur le pénil, gagnant presque les aines; ils sont frises. longs , recouvrent le bord ct tuutc la face externe des

des grandes lèvres, formant de cha- que côté un petit bouquet, plus long à gauche. Fin duvet à la partie inférieure du p

est bien développée. Sous les aisselles, il 11 aune bande de poils longs , noirs, bien fournis, de 5 cent. sur et demi à

ail- lants, (j à 7 mm. Le pénil est complètement couvert de poils longs , bouclés, très abondants, surtout au niveau de la

esses. Clitoris et gland moyens. Petites lèvres de 2 cent. Il- ? de long , sur 4 de large. Hymen frangé, orifice assez la

re asymétrie. Fentes palpé- braies largement ouvertes. Cils blonds, longs , implantés régu- lièrement. Blépharite Ipgèresu

uberté et organes génitaux. Etat glabre du corps et du pénil. Verge longue de 4 cm. Sa circonférence mesure 5 cm. Prépuce

pénil. Verge longue de 4 cm. Sa circonférence mesure 5 cm. Prépuce long . Les testicules ne sont pas descendus. On ne le

Pilosité nulle. Corps complètement glabre. Pénis mesurant 4 1/2 de long sur 5 cm. de circonférence. Bourses un peu pend

élioré. Evolution des organes génitaux 18VI, Corps glabre. Verge, long . : 0,04 ; circonf'. : 0,05. Epispadias LÉGER, - T

895. Aucune modification dans les organes génitaux. 1896. Verge : long . de 0,5 ; circonf. de 0,6. Testicules à l'annea

de la racine de la verge,on voit quelques poils rares de 2 cm. de long ; la verge a une longueur de cm.,une circonférence

sentes. Menton arrondi, assez volumineux. Oreilles grandes, surtout longues , un peu écartées et décol- lées du crâne. Ligne

de poils, couvrant peu de surface (6 cm. X 2 cm.). Verge, 9 cm. de long sur 8 cm. Gland découvert. Epispadias. Testi- c

assez abondants sur les cuisses et les jambes. Poils châtain foncé, longs , frisés, très abondants sur tout le pénil Mesur

nage de l'ombilic. - Verge bien développée. Circonf. 9 cent. 1/2, long . 8 cent. - Gland découvert. Méat un peu étroit en

rdit des glai- res. L'accouchement survint huit jours après. Il fut long (17 heures) et difficile ; la tète est restée q

, sauf un léger duvet sur les membres inférieurs. Verge de 5 cm. de long sur 5 de circonférence. Testicules de la grosse

sont de la grosseur d'un oeuf de merle. La verge mesure 5 cm. de long sur 5 cm. de circonférence. La taille de l'enfa

Organes génitaux et puberté : Etat glabre de tout le corps. Verge longue de 3 cm. 5, circonf. 4 centim. Testicules gros

sale des avant-bras. Sous les aisselles, bande de poils moyennement longs , de 6 cm. sur 2 1/2 cm., un peu plus fournis à

sses, sont glabres. Poils abondants, châtains, bouclés, moyennement longs , re- couvrant tout le pénil, envahissant les ai

ien sur les fesses ni sur les membres. Poils châtains, frisés assez longs , sur la partie inférieure du pénil (8 c. sur 3)

a partie inférieure du pénil (8 c. sur 3). Verge : 7 cent. sur 7 de long . Gland dé- couvrable, pointu; méat normal. - Te

'abdomen etles membres. Aisselles, léger duvet. Pénil, poils rares, long de 3 à 5 cm. Verge : longueur cinq centimètres

s côtés du ventre ni sur la région lombaire. Poils blond châtain, longs et assez abondants recouvrant tout le pénil (12

les cuisses ainsi que les jambes sont glabres. Quelques poils assez longs au pourtour de l'anus. Le malade travaille aux

urs alvéoles. Quelques molaires paraissent se carier. La langue est longue , large et étalée. La voûte et le voile du palai

épaisses. Le bassin est peu développé. Les membres supérieurs sont longs et grêles, les masses musculaires peu volumineu

ses sensations. Les me)nh)'GS inférieurs sont comme les supérieurs longs et grêles. Les articulations en sont normales.

ée. - Grandes lèvres : larges, charnues. Petites lèvres extrêmement longues , triangulai- res, font saillie entre les grande

ncé. La face est absolument sans expressiou. Cheveux châtain clair, longs et abondants. Crâne légèrement dolichocéphale.

de blépharite. Absence congénitale des globes oculaires. -Ne : : long , camus, lobule intact, large. Narines assez grand

ins développée que la partie droite, elle est plus épaisse et moins longue . La bouche est constamment entr'ouverle. Lèvre

génitaux et puberlé. Aisselles glabres. Pénil saillant, poils assez longs , frisés, assez fournis, couvrant un triangle d'

e faire supposer (Fig. 32). Il est garni de poils bruns moyennement longs sur une largeur de 11 cent, et une hauteur de 5

pés. Les petites lèrtes ont 15mm sur 3 ou La droite est un peu plus longue que la gauche. Traînée de poils descendant des

que la gauche. Traînée de poils descendant des grandes lèvres le long du périnée et de chaque côté de l'anus qui, lui,

ns les épaules est inclinée en avant. Les membres supérieurs sont longs , amaigris ; l'extré- mité inférieure du radius

ill. de largeur. Hymen intact, orifice circulaire. Poils abondants, longs , de chaque côté du périnée et autour de l'anus.

nvexité plus prononcée que normalement. Les membres inférieurs sont longs , grê- les, sans incurvation, avec une légère sa

3e olleils. Le 4e orteil gauche est un peu plus gros et un peu plus long que le droit. Nanisme et rachitisme. 143 du

éoles ont 2 cent. de diamètre ; mamelon lenticulaire. Poils assez longs (6 cent. sur 4) au niveau du pénil, bruns, assez

selles. - Poils rares occupant à gauche une bande de 5 cent. 1/2 de long . sur 1 c. 5 de largeur et à droite de 4 cent. d

cent. 1/2 de long. sur 1 c. 5 de largeur et à droite de 4 cent. de long . sur 1 c. 5 de large. , Pénil. - Poils abondant

us aug- mentons la dose de 25 centigr. par périodes plus ou moins longues , selon l'âge des malades, les diminuant si l'en-

nous excuser auprès de nos lecteurs d'avoir été peut-être un peu long , mais nous espérons qu'ils ne nous en voudront

par jour ; le maximum en 24 heures a été 4, et la rémission la plus longue qui se soit produite depuis le 1 ? janvier a ét

maux de tête pendant leur durée. Pas de seins. Quelques poils assez longs sur le pénil et les grandes lèvres. Pas d'autre

embres, glabres ; pas de seins ; sur le pénil, quelques poils assez longs ; de même sur les grandes lèvres, qui sont peu

ns, assez abondants; sur les grandes lèvres, poils assez abondants, longs , châtains. Nymphes petites, non pigmen- tées ;

nienne à la pression interne. Nous jugeons inutile d'entrer dans de longues explications concernant le mécanisme des déform

sur cette anomalie en faisant remarquer d'ailleurs que depuis de longues années M. Bourneville= l'avait notée dans toutes

s de caractères d'ossification . active. · . Il nous resterait un long chapitre à écrire sur les modifi- cations de la

ur le testicule droit, même disposition, mais le pédicule est moins long . Tète. - Cuir chevelu assez épais, un peu conge

crâne A gauche. 259 neuses. Fosse occipitale droite un peu moins longue . que la gauche. Pie-mère légèrement vascularis

idérablement réduit (PL. VIII, X et XI). La Planche VI montre une longue bande noire répondant à la scissure interhémisp

e crâne, voûte et base, est asymétrique. Sa moitié droite est moins longue et notablement plus étroite que la gauche, l'hé

trée. Etat de MAL ; mort. 303 glabres. - La verge mesure 3 Ofn de long , et 3 cent. de circon- férence. - Les testicule

POIDS DES organes. pendice vermiculaire, qui est absolument libre ( long . six cent. 1/2). L'estomac est légèrement dilat

r éveillé. Pas d'amaigrisse- ment. La peau est blanche, les cheveux longs , blonds et soyeux. Pas de cicatrices autres que

radius, ou les muscles radiaux qui vont de l'humérus au carpe ? Ces longs muscles qui franchis- 6 CESTAN ET HUET sent s

l'état de la motilité : l'on constate des traces de D. R... dans le long supinateur, dans le biceps et le bracliial anté-

deltoïde, le biceps, le coraco-braclial, le brachial antérieur, le long et le court supinateurs, sont plus maigres que ce

faiblement fléchie sur la première; ces mouvements produits par le long fléchisseur du pouce sont t d'ailleurs très res

s restreints et très faibles; l'abduction de son métacarpien par le long abducteur est possible aussi, mais elle n'est qu'

supination complète, une légère pronation peut être ébauchée par le long supinateur, mais la pronation ne peut être comp

s (notamment dans le deltoïde, le biceps, le brachial antérieur, le long et le court supinateur) l'excitabilité faradique

es trois parties du triceps, dans l'extenseur commun des doigts, le long et court extenseur du pouce, l'exten- seur de l

ts, et surtout en employant la méthode localisée bipolaire, dans le long abducteur du pouce, l'extenseur du petit doigt

, dans le long abducteur du pouce, l'extenseur du petit doigt et le long fléchisseur du pouce. Avec les courants galvaniqu

le torticolis dont il a été parlé déjà. Les réflexes tendineux du long supinateur et du biceps sont normaux ; la percu

emple attribue à la Vie racine cervicale le Biceps, le Deltoïde, le Long supinateur, le Bra- chial Antérieur; à la Vle c

raire attribue à la IVe racine cervicale le Deltoïde, le Biceps, le Long Supinateur ; à la Ve, le Deltoïde, le Biceps, le

Grand Dentelé, les Extenseurs des doigts, le Triceps ; et la VIP la longue portion du Triceps, les Extenseurs de la main,

à la VI0 et à la VII ? M. Déjerine fait innerver les Radiaux et le Long Abducteur par les VIe et VII" racines, l'extens

s doigts, des trois parties du triceps. Chez lui sont conservés les Long et Court Supinateurs, le Bi- ceps, le Deltoïde,

upinateurs, le Bi- ceps, le Deltoïde, les Radiaux, et en partie, le Long Abducteur du pouce ; quant au Grand Pectoral, s

raphie radiculaire des plus évidentes, car chez lui, l'intégrité du Long Supinateur et des Radiaux, contraste singulière

ours, accompagnée de douleurs assez vives au niveau de la nuque et le long du dos et de douleurs moins vives dans les memb

state aucune trace de réaction de dégénérescence. A l'avant-bras le long supinateur est assez amai- gri, mais il se cont

rachial (deltoïde, coraco-bra- chial, biceps, brachial antérieur et long supinateur) ; elle rétrocède aussi sur les radi

achial atteignent non seulement l'épaule mais aussi le biceps et le long supinateur, c'est-à-dire le bras et l'avant- br

as doivent être subdivisés, car notre malade a conservé intacts son long su- pinateur et ses radiaux, tandis que sont at

ARIÉTÉ PEU COMMUNE DE MYOPATHIE ATROPHIQUE PROGRESSIVE, PAn ED. LONG (de Genève). L'observation que nous rapporton

t donné sur son compte tous les renseignements désirés. xv - 3 34 LONG plus se tenir assise sur son lit et vers la fin

des petits travaux comme le crochet, et ce n'est qu'après un assez long travail qu'elle est arrêtée par la fatigue. Mus

pour relever les cuisses et mettre les jambes en demi-llexion. 36 LONG Les muscles de la région postérieure de la jamb

ion active est sans énergie. Le biceps brachial a presque disparu. Le long su- pinateur et le biceps sont bien mieux conse

; l'affaiblissement des jambes a été précédé pendant un temps assez long , par des douleurs assez vives. D'après Célédoni

phénomènes amyotrophiques, et paralytiques sont précédés pendant de longues années par des douleurs fulgurantes, et surtout

, à ma connaissance, aucun cas ou elles aient précédé d'un temps si long , les phénomènes paralytiques et amyotrophiques,

e. Il n'y a pas non plus de cas où la durée des douleurs ait été si longue . Mais l'un des traits vraiment remarquables de

la serait en tous cas un cas de transition unique. Le temps le plus long écoulé entre l'envahissement des membres inférieu

as bougé du tout (ce sont ses propres paroles) depuis un temps fort long . Ce cas paraît donc prouver que l'en- vahisseme

ommeil hystéri- que. Au début, même lorsque les accès étaient assez longs (si on abandon- nait la malade à elle-même) et

, d'autant plus fortes que le repos avant ces mouvementé était plus long . Les peauciers manifestent aussi une grande ten

e dispo- sent sous le sarcolemme en forme des chaînes plus ou moins longues (a, fig. 4 et 5), en s'enfonçant dans l'épaisse

cot et Paul Richer pour qu'il ne soit pas superflu d'entrer dans de longs commentaires sur les figurations nou- velles qu

fs; sous la forme de révulsifs, -applications de pointes de feu, le long de la portion inférieure du rachis, de médicament

antielles. Il nous a semblé que chez les vieillards morts après une longue période de gâtisme on trouvait plus fréquemment

ion de la veine du corps strié et la paroi du ventricule latéral le long de laquelle ils se disposent en une série linéair

rcher, s'asseoir, écrire, manger, etc. Après un temps plus ou moins long , toujours. ce traitement mécanique produira des e

recherche les mille survivances, les su- perstitions auxquelles une longue hérédité a conféré une réelle innéité, les mul-

organiques, ou des merveilleux réseaux résultant chez l'homme d'une longue évolution phyfogénique, le mécanisme est le même,

et souvent rejeté. Mais je ne puis refaire ici cette histoire déjà longue et ancienne, et je resterai dans le cadre que je

gare de l'Est, soit en refaisant le chemin parcouru,ce qui est déjà long , mais sûr, soit en coupant directement par l'hypo

le diable en- traînant un médecin. Le disciple d'Esculape porte une longue robe traî- nante, serrée à la taille par une ce

lle, à côté d'un apothicaire dans sa boutique, on voit un médecin à longue robe exa- miner l'urinai qu'il élève de la main

le) et représentant le même sujet (fig. 2). Largement drapé dans sa longue robe qu'il relève d'une main,un médecin d'aspect

profession. Saint Corne coiffé d'une calotte rouge est vêtu d'une longue robe violette en partie relevée sous le bras dr

un costume laïque Il est coiffé d'un chaperon bleu et revêtu d'une longue robe rouge tout unie avec simple collet et pare

anlant, appuyé sur son bâton, dans le cabinet du médecin. Celui-ci, longue robe et haut bonnet, assis près d'une table dev

édecin enveloppé d'une large robe, une petite calotte posée sur ses longs che- veux, est assis près d'une table devant un

ec soin le contenu. Près de lui un jeune apprenti tient un flacon à long col à côté d'un escabeau, il semble ranger dive

emme est bien portante ; pas d'enfants. Le malade dit avoir été de - longue date sujet aux migraines et aux névral- gies ;

ment filamenteux. La dimension de ces cellules est de 25 à 30 U. de long sur 15 à 20 de large. Le corps de ces cellules

de l'un des sillons les plus marqués est un petit filament conique, long de plus d'un demi-centimètre, de la consistance d

elle se continue avec une ligne cicatricielle ayant 1 centimètre de long . Entre ces deux fentes se trouve le bourgeon fr

est au contraire plus superficielle ; la pose respiratoire est plus longue et saccadée, et la phase expiratoire a lieu quelq

n corps rétréci. Il porte deux phalanges, la première presque aussi longue et volumineuse que lui, la seconde très réduite e

antées. Elles ont commencé à tomber à l'âge de 25 ans. Le cou est long , très amaigri ; le corps thyroïde existe, mais se

très maigre. même auparavant. La poitrine est bien développée, très longue . Les seins ne font aucune saillie, le mamelon e

avec une aréole à peine saillante. Les membres supérieurs sont très longs . La voie est un peu enrouée actuellement, peut-

allongés ; il existe aussi quelques amas nucléai- res, disposés en long , dans l'intérieur de la racine ; ces altérations

semaines et des mois, est suivi d'un autre d'une durée souvent plus longue encore et consistant en des alternatives d'exci

sons apparentes ne sont en réalité que des rémissions plus ou moins longues , (1) Séglas et Carlin, La Catatonie (Arch. de N

dinaire, P... se tient debout, immobile et raide, les bras pendant le long du corps, les poings fermés, la tête fléchie, l

prises, souvent sans résultat. Quelquefois au bout d'un temps assez long , P... semble se décider à se mettre en train, e

et stéréotypés. Quand P... ne se tient pas au pied de son lit ou le long d'un mur dans l'atti- tude décrite au début, il

coce, le développement de chacun de ses éléments constituants et sa longue durée. Il nous serait facile, si ce n'était dép

uvent, siégeant habi- tuellement au voisinage des extrémités des os longs , groupées de préfé- rence autour des cartilages

M. le professeur Duplay, où il resta pendant six mois. Pen- dant ce long séjour dans le service de clinique chirurgicale,

s molles.Nous en retrouvons aujourd'hui les vestiges sous formes de longues cicatrices blanchâ- tres siégeant à la face int

supérieur avec les deux tiers inférieurs du cubitus, remontant à de longues années, et qui avait été diagnostiquée non syph

er autant de pré- sents qu'il en pouvait rêver, lui fit subir une longue série d'outrages; un jour Açano, affolé par une

r errant : il s'enfuit, en route- pour Eddo. Un soir, fatigué d'une longue journée de marche, il aperçut sur le chemin une

l'avait sauvée, ils versèrent des larmes de bonheur ; ce furent de longues journées de fête, durant lesquelles Gompatchi e

e (Brissaud, 13a- binski), et dans l'hystérie. A cette liste déjà longue , on peut, d'après nos observations, ajouter la

xie : « la malade est plus ingambe quand elle a fwt une course un peu longue et elle entend par là une course de deux ou tro

mme retenue par des spasmes des lèvres. Certaines lettres sont plus longues , plus soutenues. Elle est modifiée, d'une façon

es sterno-masloïdien, grand pec-" toral, deltoïde, biceps, triceps, long supinateur, fléchisseurs, se contractent avec :

ncore. Avec le positif, ces mêmes contractions apparaissent dans le long supinateur à 2 1/2 MA. Aux membres inférieurs

tions ondulatoires par propagation, dans les muscles biceps, triceps, long su- pinateur, deltoïde. Il nous reste à signa

ir été trop souvent négligée dans cet ordre de phénomènes. V Ce long examen comparatif ne peut laisser de doutes sur l

ulève de grosses objections dont la principale est que, mal- gré la longue durée de la maladie, la partie la plus noble du n

tiques et il l'accu- sait d'amener au bout d'un temps plus ou moins long un redoublement des crises, d'augmenter le déli

la tête d'une légion d'artistes et créa une école, en peignant une longue série de fres- NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA ? w CR1

droite, se détache la figure traditionnelle du médecin - la tête à longs cheveux coiffée d'une toque, le visage soigneusem

s accidents ont débuté sous la forme de douleurs qui irradiaient le long du trajet du sciatique, douleurs beaucoup plus in

terolivaire occupent plus haut la région interne du ruban de Reil ; Long , dans sa thèse, a publié deux cas qui viennent' à

n des fibres descendantes ; les autres, comme Déjerine et son élève Long , supposent que la dégéné- rescence inférieure e

es nerveuses provenant du noyau grêle auquel aboutissent les fihres longues des racines postérieures des membres inférieurs.

a parole est saccadée, explosive, lente, les syllabes séparées par de longs intervalles. (1) Ce petit malade a été présen

ssent assez rapidement, en se divisant, puis, sur une étendue assez longue , elles conservent une grosseur à peu près égale

un peu recourbé ; certains appendices ont un pédoncule un peu plus long . Parfois on peut voir sur le trajet des dendrites

édoncule très fin, parfois recourbé, tantôt pl uscourt, tantôt plus long et ordinairement épaissi au bout. Cornes postér

aux; on parvient à suivre bien des dentrites sur une distance assez longue . Les dentrites plus grosses et celles de calibre

s appendices collatéraux, consis- tant en un pédoncule relativement long , parfois recourbé, avec un épais- sissement au

s con- tours comparativement plus réguliers, plus rectilignes, plus longs et très pauvres en appendices collatéraux; dans

omme adulte, ils sont : 1° plus gros ; 2° peut-être, en somme, plus longs , et 3° comme plus pauvres encore en appendices co

ueur inaccoutumée (1 m. 48) ; l'autre, plus petite, de moitié moins longue , sur la partie supérieure de laquelle il s'appuie

e les jonctions épiphysaires soient encore visibles sur tous les os longs . » Une semblable détermination de l'âge d'un sq

onservèrent ici leur pouvoir ostéoéne pendant un temps anormalement long » (3). Le fameux squelette du géant irlandais,

s l'ossification de ces cartilages : à la périphérie de certains os longs , après la macération, une petite zone laissa reco

chez laquelle l'affection avait débuté à 25 ans, la main était plus longue et moins grosse; la diaphyse des phalanges était

auche (voir planche LXVIII). « Le condyle interne est extrême- ment long , tandis que l'externe est très court. Cette défor

, note qu'il avait un pénis extrêmement petit, mesurant 3 pouces de long . De même, chez le Chinois, géant acromégalique

re soupçonner la présence de ces organes. La verge est très petite, longue de 6 centimètres avec une circonférence à sa ra

pouces 1/4 (0 m. 21), c'est-à-dire il peine un quart de pouce plus long que celui d'un adulte normal (Uuval), et la clavi

iques 1/10 de la hauteur totale, égale à 7, 9 pouces (0 m. 20), était longue de 11, 25 pouces (0 m. 285), c'est-à-dire près

rbe. Les poils du creux de l'aisselle et du pubis sont suffisamment longs et fournis. Tête. La partie crânienne de la têt

t bombée en avant et sur les côtés. - Les clavicules sont épaisses, longues et fortement courbées. Les côtes, larges et épa

aules sont horizontales ; scapulae alalae. Membres supérieurs. Plus longs qu'à l'état normal : l'allongement porte sur to

de celle du cubitus. Les deux mains sout très grandes, surtout très longues ; la forme en est cependant tout à fait proportio

algré leur grandeur, elles ne sont pas sans élégance. Les doigts sont longs , leurs articulations non épaissies, leurs ongle

inférieure du tibia droit. La jambe gauche, non difforme, est plus longue et plus grêle que la droite. Les deux pieds sem

quelques dents. Amyg- dales un peu volumineuses. La langue est plus longue , plus large et plus épaisse que normalement.

ment la nature tuberculeuse de ces lésions. Langue : 11 cm. 05 de long sur 8 de large. Cartilage thyroïde : longueur :

s du temporal sont très augmentées : le conduit auditif externe est long de 37 millimètres (au lieu de la longueur normale

e considérer comme un infan- tile. Otto Ammon (3), à la suite d'une longue enquête sur l'infantilisme et le féminisme, pou

au moment de la puberté, Ainsi, un eunuque cl'Alim- Pacha, qui a de longues jambes, était fait comme les autres quand il étai

er sur le dos des chevaux. Au pou[ d'un certain temps plus ou moins long , bêles et gens rentrent au domicile harassés et

portant l'Enfant Jésus sur son épaule droite el s'ap- puyant sur un long bâton. Au fond, un paysage boisé avec une ville c

rophique progressive (Une variété peu commune de) (1 pl.). par E. Long , 32. Myopathie familiale avec rétraction (2 pl.

et Cestan. Une myopathie fami- liale avec rétraction (2 pl.), 38. Long (E.). Une variété peu commune de myopathie atro

aphiques) "* (Pierre Jlwnte, V. Myopathie atrophique progressive ( Long ), VI. Myopathie avec rétractions familiales

es n'y auraient pas suffi, et je me suis contenté de toucher, dans la longue histoire de la grande hysté-rie, aux seuls épisod

ent Marc... *, trois ou quatre heures avant ses attaques, commence le long répertoire de ses chansons et ne cesse qu'au mome

us grande intensité. Ce qui n'était qu'une rapide vision, devient une longue scène dans laquelle la malade joue son rôle. Gl

le visage. Elle voyait aussi le cortège de l'enterrement du pape, une longue suite de cardinaux rouges, etc. Souvent, au mil

ille et Begnard, le récit de ces amours imaginaires qu'il serait trop long de consigner ici. Contrairement à Marc..., Ang.

s attaques. Son imagination bat la campagne. Elle s'est affublée d'un long voile noir et s'intitule la « fiancée de la mort

Elle se plaint d'être la plus malheureuse des femmes, et commence la longue suite de ses lamen-tations et de ses récriminatio

la Société de biologie le 43 juillet 1878 et sont consignées tout au long dans un mémoire qui a paru dans le numéro de sept

leurer â chaudes larmes. La respiration entrecoupée fait entendre une longue plainte saccadée. b) Immobilité tonique. .— Bie

contre l'immobilité tonique se prolonge pendan un temps relativement long , comme on peut le voir sur les tracés de la figur

es de la pé-riode épileptoïde, en ce que leur durée est beaucoup plus longue . La même attitude, Y arc de cercle, par exemple,

s attitudes spéciales ; il se prolonge pendant un temps plus ou moins long et doit être rangé dans la quatrième période. Nou

ttant. Ensuite, étendue sur le dos, les yeux fermés, elle récite de longues pièces de vers de différents auteurs, Musset, Lam

iste. Habituellement ce délire est plus calme et Gen... commence la longue histoire de ses aventures. La compression de l'ov

oisième période de l'attaque de Gl... Nous les avons décrites tout au long . La fin de la troisième période est toujours marq

ns ses attaques du 14 mars 1878, présente une qua-trième période plus longue que de coutume et dont voici quel-ques exemples :

Cependant si maman avait voulu, il aurait eu de l'amende. » Après un long instant de silence pendant lequel elle paraît en

emier interne qui m'a soignée à l'Hôtel-Dieu de Poitiers... (Suit une longue dissertation sur Poitiers.) » Elle ne prend pour

est saisie d'une grande frayeur causée par les rats noirs avec leurs longues queues. Puissurvientledéliremélancolique: « Mal

. « Ils pourront dire tout ce qu'ils voudront, je suis vierge tout du long ... Ote-moi donc les bêtes... Faut que je m'en ail

ue, pour les attitudes de la phase épileptoïde; — d) la durée souvent longue ; — e) l'absence de troubles respiratoires; — f)

pen-dant celle-ci. La période des attitudes passionnelles est la plus longue , elle dure en moyenne de cinq minutes à un quart

ite, pour former ce qu'on appelle des séries d'attaques, parfois fort longues . C'est l'état de mal hystéro-épileptique. Dans

es attaques sont séparées par un intervalle de lucidité plus ou moins long , comme il arrive toujours chez Gl..., qui, entre

s plus graves, au contraire, dans l'état de mal hystéro-épileptique à longue série, la température ne dé-passe guère le chiffr

igium ou la période d'état de la série; la durée en est plus ou moins longue . Puis la violence des accidents diminue peu à peu

bientôt entièrement, ou persistent au contraire pendant un temps fort long . Voici quelques observations dans lesquelles la

ûr que ce n'est pas vrai... si... c'est bien des fantômes... Oh! ... ( Long mouvement de surprise et d'effroi.) ces bêtes qui

le corps. 3° La troisième période se prolonge pendant un temps fort long . Les hallu-cinations et les attitudes passionnell

ère période très marquée. La malade se raidit en faisant entendre une longue plainte. La bouche est grande ouverte, les yeux f

des phrases entrecoupées. Elle voit alors de gros rats noirs avec de longues queues et des yeux rouges. Voici une série d'atta

ait de Bourges pour consulter à Paris et se faire traiter à Passy. La longue série d'accidents qui marquent sa maladie apparti

ttaques ainsi composées se reproduisaient par séries d'une durée fort longue . Enfin à la suite des attaques on a observé quelq

ut lieu dans le Midi —. Les attaques, qui se succédaient d'abord à de longs intervalles, reviennent aujourd'hui à peu près to

il gros comme de petits hannetons et de couleur fort vive, grimper le long d'un mur, courant en divers sens. Cette vision se

ans perte de connaissance, se répétant presque tous les jours; tantôt longues , intenses, nécessitant l'intervention de plusieur

vait, presque tous les jours, une attaque incomplète de plus ou moins longue durée, et, trois fois par mois en moyenne, des sé

es accès, qu'on pourroit appeler acci-dentels : ils étoient les moins longs . Je les ai fait cesser assez souvent en pressan

où je fus témoin d'un accès qui, au rapport des parents, fut le plus long et le plus violent de tous ceux qu'elle avait épr

accès nouveau; il devança l'heure de celui du 14, il fut aussi moins long , et fut encore marqué par quelques symptômes nouv

Je n'ai pas craint de rapporter entièrement cette observation un peu longue , parce que plusieurs accès y sont décrits avec dé

t jamais quoiqu'elle n'eût pour tout vêtement qu'une chemise de toile longue , dont même elle déchirait souvent les extré-mités

la tête en arrière pour respirer plus largement. L'inspiration était longue , sifflante et répétée. Par moments, elle s'écriai

pilepsie pure (chutes, morsures de la langue) ; à cet âge ont paru de longues attaques avec cris et grandes convulsions. La mal

orme grave de l'hystérie, ou grande hystérie. J'ai rapporté tout au long cette observation, car, en outre des attaques, il

mémoire que du moment où elle ouvre les yeux ; depuis un temps assez long déjà, elle a reconnu les personnes qui l'entouren

en définitive prolongée1. Les observations précédentes que de plus longues recherches pourraient aisément multiplier, suffis

ouvre point ordinairement la parole. Quelquefois cependant on voit de longues attaques, des attaques qui durent un ou plusieurs

l'épilepsie. » Sans contredit, s'il y a absence d'écume pendant de longs accès, on peut en induire l'absence d'épilepsie;

heures, la crise cesse brusquement; ou bien les rémissions sont plus longues , les redoublements moins violents, et la crise s'

s attitudes passionnelles sont très-faciles à recon-naître dans cette longue citation. M„ Briquet n'a oas manqué de les remarq

ut subir l'attaque d'hystérie, dans un passage que je cilerai tout au long : « J'ai insisté, dit-il, un peu longuement sur

sans inter-ruption, ne se succéder qu'à des intervalles plus ou moins longs , un quart d'heure, une demi-lieure, une heure...,

ste sur ce point avec beaucoup de raison. «... Jamais pendant cette longue période convulsive la tempéra-ture rectale ne s'e

spasme cesse subitement et l'attaque se termine par une inspira-tion longue , pour recommencer de nouveau au bout de quelques

dc plus accusé. sont séparés par des moments de calme plus ou moins longs , pendant les-quels la contracture générale persis

robuste, eut, dans le courini, de no-vembre 17i)4-, à La suite d'une longue syncope, après une sa'gaée au bras, im accès de v

e époque jusqu'au 15 avril, les accidents s'éloignèrent, furent moins longs , et ne revinrent que tous les cin(|, six ou huit

alors, ce que j'appellerai sa convalescence, était plus pénible, plus longue . Elle se portait bien, mangeait de bon appétit et

rapportant à la variété dont il s'agit ici. Voici un ré-sumé de cette longue observation : Louise Alonier, âgée de dix-sept

s tableaux, des étoiles de toutes les couleurs... Notre-Seigneur a de longs cheveux bouclés, une grande barbe rouge; il est b

son faire un sentiment assez viL Le cantique achevé, et il fut assez long , Alexandrine reprit son immobilité. La paujDière

se prolonge quelquefois. M. Bouimeville.a conservé la relation d'une longue attaque de ce geiu-e, qui n'a pas dui^é moins de

op jeune pour que je te confie des secrets. » (Écoute) Durant celte longue attaque de délire, la température a suivi les osc

tement anéantie. A différentes reprises, nous avons tra-versé avec de longues épingles toutes les parties du corps sans que le

uivants, les crises continuèrent et devinrent plus fréquentes et plus longues ; M... en avait quatre ou cinq par jour et leur du

n était à la campagne) auprès de la malade. La convalescence fut très longue , sans cependant qu'elle eût été traversée par auc

ques, elle se débat en proie à des convulsions très violentes et très longues . Le spasme a son point de départ dans l'utérus; l

ela pendant un quart d'heure, une heure, des jours entiers et même de longues années? L'idée fixe a sa source le plus souvent d

malades atteintes de grande hystérie, 6t sur celles dont j'ai tout au long rapporté précédemment l'histoire. Et il n'est pas

la recherche, Test moins pour l'exposition des faits acquis. Elle est longue et expose à des répétitions. D'ailleurs, nous n'a

une reli-gieuse, la sœur P., dont l'observation a été publiée tout au long dans le Progrès médical \ quatrième observation

précédé de l'inspiration sifflante habituelle. Chez les malades plus longues à endormir par ce moyen, la léthargie semble préc

le même, et que la catalepsie passe inaperçue. Chez une malade un peu longue à en-dormir par ce procédé, on remarque qu'à un c

chiques plus ou moins inconscients et que nous allons exposer tout au long . Nous avQns déjà vu qu'une attitude expressive

ropre fonds. Une première hallucination suggérée est l'occasion d'une longue scène qui, sans s'écarter, en quelque sorte, du t

malades qui précèdent et celles chez lesquelles nous avons étudié la longue série des phénomènes que j'ai décrits dans les ob

sède la propriété de conserver, souvent pendant un temps relativement long , les positions les plus étranges qu'on lui commun

état particulier de leur système nerveux (l'hypnotisme) et pendant de longues heures après. » {Recherches sur l'hypnotisme, Par

ie avec hyperexcitabilité accompagnée de tous ses caractères. Cette longue digression, sur les différents états nerveux qu'i

r dormi longtemps, et pouvait raconter, dans ses moindres détails, un long rêve qu'elle avait eu. J. Moreau, dans son livr

ommeil qui dure jusqu'au 22 juin à dix heures du matin. Pendant cette longue attaque de sommeil, Del... a uriné au lit. On l'a

à lui-même, il conserve cette position pendant un temps beaucoup plus long que ne le pourrait supporter une personne très ro

re cessait sous l'influence des frictions. Voici un résumé de cette longue observation : PuEL^ — Observation CL. — Catalep

ue, contre l'argument de M. Briquet, fait remarquer que la catalepsie longue , à accès illimités, ne s'observe que chez les hys

La troisième période ou période des attitudes passioniielles est fort longue . Deux hallucinations se reproduisent presque inva

hez notre malade Gen... dont les attaques sont pai^fois suivies d'une longue période délirante. Pendant le carême de 1737, u

s ou quatre heures, et elle les étonna beaucoup par un discours assez long , bien prononcé, bien lié, où elle taisait une his

tions qui parfois les terminaient. Voici quelques extraits de cette longue observation. Cystite cantharidienne. — Rétentio

erdinel, Paris 1875. J'arrête ici ces citations peut-être déjà trop longues ; mais il était important de mettre vivement en l

it. Je n'entreprendrai pas de donner ici un exposé complet de cette longue observation toute remplie de faits intéressants.

pression, si minime qu'elle fût, amenait, quoique après un temps plus long , les mêmes effets qu'un effort brusque et rapide,

Les convulsions étaient très violentes. Je ne relèverai, dans cette longue observation, que les faits qui nous intéressent p

usieurs crises de ce genre déjà, et dont la durée a été beaucoup plus longue . L'an dernier, l'une d'elle a duré un jour et une

lots. » A la date du 27 mai une de ces attaques est décrite tout au long . Véritable scène de somnambulisme. La malade ap

ment une personne à ses côtés;'elle s'en souvient même, et dit que le long usage du Mars a produit ce changement. » (1\ 04 e

nuit; il a vu des pigeons dans sa chambre, des oiseaux morts avec un long bec, des rats ; il y en avait au moins deux cents

s. Il se fit encore un changement plus terrible, qui me promettait de longs tourments, et qui ne me quitta, en effet, qu'à la

quelettes horribles, portant d'une main leurs têtes, et de l'autre de longs cierges, qui, à la lueur d'un feu rouge et trembl

naient se baisser au foyer noir et triste, en réchauffant leurs mains longues et livides, et en se tournant vers moi pour me di

ses manifestations, toute une série de phénomènes variés qui par leur longue durée et leur persis-tance dans l'intervalle des

ention d'en faire ici l'histoire complète et dé-taillée. Dans cette longue question de la Symptomatologie de la grande hysté

e l'on pourrait appeler modificateurs nerveux périphériques, est déjà longue . Après les applications mé-talliques de Burq et l

liste, que chaque jour de nouvelles recherches tendent à rendre plus longue . Je signalerai l'action sesthésiogène des sina-pi

d'autres de vingt mi-nutes. Mais il peut en exister d'une durée plus longue . On peut dire, d'une manière générale, que les os

lus ou moins tôt et que les oscillations sont également plus ou moins longues (les oscil-lations paraissent d'autant plus rapid

onger, sans rémission aucune, pendant des mois et des années. Mais sa longue durée ne change en rien son mode de terminaison.

avons peu parlé jusqu'ici, mais dont l'histoire est rapportée tout au long dans Ylconographie photographique de la Salpêtriè

réduite à un seul de ses éléments. Mais il ne faut pas oublier que la longue durée de ces accidents, leur localisation étroite

é générale des malades ne paraît pas souffrir. La grande attaque, les longues séries elles-mêmes ne laissent le plus souvent ap

se musculaire qui s'est faite. La durée de l'affection peut être fort longue , elle peut commencer avant l'époque de la menstru

uirol, au sujet de l'observation du nommé Joseph D..., qui, malgré la longue durée de la maladie et la fréquence des accès, av

ce, dit : « Il y a sans doute fort peu d'exemples d'une maladie aussi longue , d'accès aussi nombreux, et dans les-quels l'inte

iété des manifestations morbides. Leur histoire a été publiée tout au long par le D"" Bourneville dans diverses publications

e considérée comme guérie. Chez Etch..., comme chez Ler..., malgré la longue jlurée de l'af-fection, l'état intellectuel n'a p

e aux efforts de la nature. En face d'une affection d'une durée aussi longue , le médecin ne sau-rait demeurer inactif. Il peut

à frottement, est manifestement trop imparfaite. Puis, après d'assez longs tâtonnements, nous nous sommes arrêtés au modèle

ourner la manivelle à la main, devait être écartée. Avec elle, pas de longues séances possibles et surtout pas de traitement si

à d'une heure. On comprend ici l'utilité des moteurs méca-niques. Ces longues séances sont analogues aux applications prolongée

mettre à mort. Aux accidents convulsifs nous voyons s'adjoindre les longues périodes délirantes. En dehors de leurs convuls

gne furent presque tourmentées comme celles de Kintrop. Ayant été par long espace de temps tempêtées en diverses sortes par

ette possession le principal rôle. Ses antécé-dents qu'il serait trop long de rapporter ici, mais qu'elle a pris soin de con

volte, dit G. Légué, au récit des extravagances débitées pen-dant les longs mois que dura cette étrange procédure. Il faut li

à prouver, dans tout son livre, que l'affaire de Loudun ne fut qu'une longue comédie habilement exécutée. Pour nous, nous ne s

'à ce que l'émo-tion ordinaire les prenne. Alors sachant bien par une longue expérience Vordre et la suite de ces étranges acc

onnaissable, son regard furieux, sa langue pro-ï digieusement grosse, longue et pendante en bas hors la bouche, livide et sèch

usqu'à ce qu'on la cJiangeât, n'ayant, durant ce temps, qui fut assez long , aucune respiration par la bouche, mais seulement

s préoccupations habituelles. A Loudun, les diables aiment faire de longues dissertations sur les sacre-ments, sur la grâce,

e de ma-ladie ordinaire, considéré même qu'étant travaillée depuis un long temps et pres-que sans intervalle, il ne serait p

quelquefois plus souvent et dans lesquelles elle paraissait goûter à longs traits toutes les horreurs de la mort sans cepend

la prodigieusement, sa langue sortit de sa bouche de quatre pouces de long toute violette, elle parut souffrir les plus vive

essionnée à la vue de ce spectacle qu'elle éprouve pour son compte un long frisson nerveux. Un frère de la veuve Thévenet, c

sons; tantôt en se faisant serrer le cou jusqu'à tirer la langue bien longue ; en se faisant pendre à un clou à crochet, la cor

étés, soit à l'aide d'instruments piquants, d'épingles, de clous très longs , d'épées, avec lesquels on trans-fixait les chair

de bois de deux pouces d'épaisseur et d'environ six pieds et demi de long , posée à plate terre; on l'attache à la croix ave

cinq coups de marteau un clou de fer carré, de deux pouces et demi de long , au miheu de la paume de la main, entre les deux

marchepied rapproché avec des clous carrés de plus de trois pouces de long ; ce marchepied est soutenu par des consoles; il n

de poignard tranchante des deux côtés, qu'on emmanche dans un bâton, long de deux ou trois pieds, ce qui forme une petite l

rée de deux lignes et demie, près de trois lignes; la plaie est moins longue que celle d'une saignée, il ne sort pas de sang.

miration de l'audi-toire. Mais cette tranquihtô reladve ne fut pas de longue durée. Bientôt le prédi-cateur, poursuivant son d

e, elle crie, sanglote, puis tombe dans des convulsions plus ou moins longues et plus ou moins violentes; au sortir de cet état

état, elle éprouve une prostration phy-sique très marquée et d'assez longue durée. Pendant un service religieux en plein air

es irlandais : « Une jeune femme couchée à terre, étendue de tout son long , les yeux clos, les mains jointes et élevées, le

ne autre, il apparut « entouré d'un glorieux cortège, à la tête d'une longue uite de justes », et levant les mains vers la vis

nt immobiles, sont près de briser leurs orbites. Il passe encore à de longs intervalles, à travers les organes raidis, quelqu

à douze heures, sans interruption. Louise a eu des ravissements moins longs et d'un autre caractère, à quelques grandes fêtes

cette mem- brane limite une masse de substance granuleuse,-ovoïde, longue de 111 l., large de 77 li., dans laquelle se tr

e seraient pré- cédés quelquefois d'une autre période plus ou moins longue d'excitation dans le domaine des nerfs qui vont

ractérisée par des vésicules appendues Tune en face ; de l'autre le long d'une branche artérielle. Les vésicules sont tran

la couronne de 1 crochets. Il mesure environ un demi-millimètre de long . III. Fig. 2. Kystes de la protu- bérance.

mation présentée par notre malade ne paraît pas devoir prêter à une longue discussion. Il s'agit ici d'un genu recurva- tu

poplité porte à faux. On com- prend que plus le séjour au lit sera long , plus la déformation aura ten- dance à se manif

ur, c'est-à-dire une extension du fémur sur le bassin. , Enfin le long intervalle qui s'est écoulé chez notre sujet et c

appé ; puisque le genu recurvatum peut siéger sur le membre le plus long ou sur le membre le plus court. Si cette disposit

t à courir du- rant les sept années suivantes ? ? Il y aurait une longue et curieuse étude à faire sur toutes ces mé- th

sans aucune autre attention,atteindre jusqu'à un âge beaucoup plus long et plus heureux que nous ne pouvons maintenant

), 5988. 70 BEAUVOIS jeunes filles peut contribuer à soutenir une longue vie en écartant les in- commodités qui sont les

on des 80 BEAUVOIS métaux, la médecine universelle, il se perd en longs récits sur les aven- tures de Ed. Dickenson, du

il d'IIermippus agace le vieillard d'une main espiègle et lisse ses longs cheveux blanchis. xiv G Hermippus au milieu D

fait que décliner. Une des particularités les plus' curieuses de sa longue décadence est l'immobilisation à peu près complèt

est aussi debout, leur faisant face. Il 90 HEITZ s'appuie sur un long bâton, terminé par une crosse horizontale, en f

une attitude en arc de cercle, très caractéristique. Vê- tue d'une longue robe, elle se débat dans des convulsions que suff

'observation qui ne se retrou- vera plus dans ces contrées avant de longs siècles. (1) Gnnncor et P. Richer (loc. cit., p

hien à ses côtés. Plus bas, une femme s'avance péniblement sur deux longues béquilles, ses jambes trop faibles à demi fléch

lh.lUII, l'arns LES TAPISSERIES DE REIMS 99 Ce possédé, vêtu d'un long manteau, le front ceint d'une bande d'é- toffe

tête bêche sur un lit. L'un est entièrement nu, l'autre vêtu d'une longue houp- pelande. Près de là s'avance une femme

i une sébille et une béquille. A droite, viennent par le haut une longue théorie d'éclopés. (1) Signalée par Charcot et

des lésions scléreuses est moins aisée dans la forme xiv ' 8 106 LONG ET WIKI lente de la paralysie spinale syphiliti

avec un faible grossissement et comparées avec des coupes pro- 108 LONG ET WIKI venant d'une moelle normale durcie et p

t dorsal. Fig. 6. - Partie supérieure du 5» segment dorsal. 110 LONG ET WIKI raux, où les vaisseaux se montrent par

- Renflement lombaire. Fis. 15. - Moelle normale,même niveau. 112 LONG ET WIKI Il. - ETUDE histologique DES lésions.

l. Fig. 19. - Vaisseaux extramédullaires. Gaz segment dorsal. 114 LONG ET WIKI petits vaisseaux de la substance blanch

ltiples et ne prennent pas l'aspect de la myélite transverse. 116 LONG ET WIKI En effet quoiqu'elles soient presque to

ues du début sont variables, et cela pendant un temps souvent assez long , et on sait quels succès thérapeutiques on a pu

ît correspondre au premier métacarpien, bien qu'il soit un peu plus long ; il mesure 4 cm. 1/2. Son extrémité inférieure e

au bord interne de celui-ci. L'os de l'avant-bras gauche est moins long qu'à droite et ne mesure que 16 cent. 1/2. , Le

rus à la partie externe du poignet ; il paraît bien correspondre au long supinateur ; il se contracte surtout à l'occasion

oite. A l'avant-bras on reconnaît facilement à la partie externe le long supinateur, et on trouve à la partie interne un

au grand pal- maire. De ce côté un autre muscle de l'avant-bras, le long fléchisseur du pouce, doit aussi être bien déve

nts : la faiblesse de la main gauche est perma- nente. Pendant de longues années, elle a souffert de troubles gastriques (a

tique de lui ordonner de faire plusieurs fois par jours une page de longs bâtons obliques ; ainsi il s'habituera à se servi

tendance à porter la face en avant, tendance encore soulignée par le long bâton que tient l'un d'entre eux à la main. Un

otégés par une haute en- ceinle munie de tours, et qui a soutenu de longs sièges. La plus grande de ces cathédrales, la c

l'âge d'or du XIe siècle, nous avons descendu les échelons de cette longue décadence byzantine, interrompue çà et là par des

lui, le médecin aux cheveux bouclés, béret sur l'oreille, vêtu d'un long manteau, reconnaît, avant d'y porter le fer, le c

es. Le reste de la préparation est formé par des amas de cellules longues orientées en tourbillon; les globes plus fortem

sorbante et destructive. Ainsi s'explique l'absence, au cours d'une longue évolution clinique, de toute paralysie localisé

iques, et nous comptons, dans cette seconde partie, exposer tout au long , les différentes constatations qu'il nous a été d

plasique mettent trois éléments en relief : l'existence de cellules longues , fusiformes, avec un noyau unique et volumineux

s chutes moins graves, les blessures exceptionnelles, la durée très longue des périodes convulsives, tous caractères que nou

était un alcoolique qui devint épileptique à 27 ans et fit un assez long séjour il l'hospice du Perron dans le service d

la partie gauche du front nous relevons l'existence d'une cicatrice longue de 5 centimètres environ, qui s'étend à la partie

e par un toucher méthodique, elle eut la sensation de doigts froids longs et aplatis ; les ongles étaient également froids

à former une touffe assez épaisse (PI. XXXI). Les poils les plus longs mesurent vingt-huit centimètres. En hauteur, ce

la ligne des apophyses épineuses, ils deviennent plus drus et plus longs . L'extrême amaigrissement de la malade rendait

3. Fille idiote ayant au niveau du sacrum une touffe de poils assez longs , véritable petite queue rudimentaire, et présenta

e petite queue rudimentaire, et présentant en outre des poils assez longs et nombreux le long de la colonne vertébrale. (

t de la physiologie, 1881, p. 7. Hypertrichose représentée par de longs poils recouvrant chez un nouveau-né un spina bi

6 ans qui présentait implantés sur la peau de la région lombaire de longs poils lisses et noirs. taires caractérisées par

5. Fille idiote ayant au niveau du sacrum une touffe de poils assez longs , véritable petite queue rudimentaire. 20. G.

Fille âgée de 29 ans, hypertrichose avec poils de 0,15 centimètres de long , spina bifida (Dessin). 23. Jens Schou. Berli

le âgée de 13 ans. Hypertrichose lombaire représentée par des poils longs de trois centimètres en moyenne, spina bifida o

crée une zone de 15 centimètres de diamètre couverte de poils fins, longs de dix centimètres. Spina bifida latent (rachis

sans icthyose ; les ongles non cassants et non striés, les cheveux longs et dépourvus de cette séche- resse si fréquente

. Ces détails se retrouvent au niveau du bassin. La diaphyse des os longs est normale,mais leurs épiphyses très hypertro-

épiphyses très hypertro- phiées et même assez irrégulières; les os longs sont ainsi comme tassés sur eux-mêmes. Si la di

dent, Ihorax normal, hypertrophie considérable des épiphyses des os longs avec état normal de la diaphyse, caractérisent l'

urés, avec des localisations variées de ces lésions sur tous les os longs et courts, et un rachitisme spé- cial, éteint à

acts, avec des localisa- tions symétriques sur les épiphyses des os longs et qu'il dénomme rachitis micomelicra. Enfin, t

tisme évolue après la naissance ; il atteint indistinctement les os longs et les os courts, les membres et le thorax, les

oplasique qui a les bras trop courts, le rachitique a des bras trop longs pour sa taille. Ce sont là autant de signes qui p

eule la symétrie des lésions, leur localisation à l'épiphyse des os longs , la micromélie surtout rhizomélique, la macrocé-

Durante 286 CESTAN (Société anatomique, 1900).On sait que les os longs présentent deux systè- mes d'ossification car l

use tels que les pariétaux et le frontal sont épargnés ; que les os longs ont une épaisseur normale tandis que leur longueu

hitisme vrai évolue après la naissance et pendant une du- rée assez longue , souvent de plusieurs années ; il est très irrégu

per à cette réduction, mais surtout les segments occupés par les os longs , bras, avant-bras, cuisses et jambes; au contrair

'extrémité du gros orteil) 18 au lieu de 25. Là encore les segments longs du membre sont diminués de plus du tiers, tandi

caractérisée par une diminution considérable de la longueur des os longs des membres, les proportions du tronc et de tète,

e n'est pas du fait d'un manque de développement en longueur des os longs , c'est parce que ceux-ci s'incurvent, se ramollis

en grand habit noir à queue traînante, les cheveux, qu'ils portent longs en avant, relevés sur le vertex en toupet pointu,

ubliés. La diminution considérable de longueur des diaphyses des os longs , l'élargissement de leurs extrémi- tés, les dim

effet l'interprétation qu'il faut donner au raccourcissement des os longs , des-os à diaphyse et à épi- physes. L'ossifica

ire. On explique ainsi, et la localisation de la maladie sur les os longs seuls, et le raccourcissement sans amincis- (1)

ncline davantage sur l'ho- rizontale et paraît du reste un peu plus long que le gauche (26 cent. 1 ? au lieu 23, de l'ép

sur la phalange, nettement accusé, est à peine à une distance plus longue du pli précédent que sur les doigts sains de l'

omme si les tendons extenseurs étaient trop courts pour des os trop longs . Si l'on regarde la main malade par sa face dor

l'atropliie. La voûte palatine est très creuse. Les dents sont très longues , surtout à la mâchoire inférieure. Prognathisme

phalanges du médius, de l'annulaire et de l'au- riculaire sont plus longues que du côté sain. La disparition totale d'une p

rde depuis longtemps et rhumatisante. Elle a été alitée pendant une longue maladie (six mois) sans fièvre, que 1V... ne peut

ses, il tomba . MY0CLONIK DU TYPE BERGERON 319 étendu de tout son long , capable seulement de se traîner à plat ventre. O

peuvent être utilisées (2). On s'est servi dans cette série un peu longue d'excitations de l'odorat qui ont paru les plus

tion, entrecoupée de crises paroxystiques aiguës, de rémissions, de longues périodes d'accalmie xiv 25 358 DUPRÉ ET DEVAU

ique exer- cée sur le cerveau par les produits issus des kystes. La longue pé- riode.parfois indéfinie, de latence des sym

qui s'installa à Anvers vers 1599. Cornelius Gall avait fait un assez long séjour en Italie et gravé plusieurs tableaux de

disparition complète des seconds (nous voulons parler ici des voies longues et non des fibres courtes d'association). La

iculier, malgré l'absence de toutes les fibres motrices centrales à long trajet. VII. - L'absence de certaines parties p

du cou. Cette sensation s'est reproduite par périodes plus ou moins longues et notamment au moment de la pneumonie qu'elle eu

entuées dans les 4° et 51 doigts ; doigts en abduction; tendons des longs extenseurs très visibles sur la face dorsale; mou

alanges des trois derniers doigts, faisant équilibre à l'action des longs extenseurs, mais elle ne peut être la cause de

ies sont reproduites aux planches LIV et LV. Le cubitus droit est long de 22 centimètres, soit 3 centimètres de moins qu

ées, limitant les deux surfa- ces d'insertion des péroniers, et une longue bande interne, pour le ligament interosseux. Sa

Les travées osseuses se trou- vent figurées dans la diaphyse par de longues lignes noires parallèles ou très légèrement obl

sur les genoux d'un jeune homme coiffé d'un béret. Un vieillard à longue barbe, barrette sur la tôle, saisit le bras droit

sur les « Névroses trophi- ques et vaso-molrices » (1), consacre un long chapitre il sa description. A côté du véritable

le membre inférieur hypertrophié, les poils légèrement plus gros et longs . La sensibilité cutanée est intacte, les réflex

me pour les muscles. D'ailleurs le membre inférieur gauche est plus long que le droit. L'hypertrophie est plus accentuée s

les déforma- tions considérables des extrémités articulaires des os longs . Nulle part elles ne sont plus marquées qu'à la

e saillante des bords de leurs facettes articulaires. Mais les os longs du pied, métacarpiens et phalanges, présentent

s extrémités articulai- res, la présence anormale dans le tendon du long fléchisseur propre, d'un os sésamoïde, gros com

frappant dans l'examen des os de ce ma- lade, c'est du côté des os longs des membres, une sorte d'aplatissement des extr

es bien spécifiées du système osseux, à savoir les épiphyses des os longs et les corps verté- braux. Si l'on veut donne

upe (planche LXXII,A)on voit un grand barbare,de forte structure, à longue chevelure et à barbe puissante, le front peu élev

re et à barbe puissante, le front peu élevé, le nez droit et un peu long . Il a posé la main gauche sur la tète du patient,

, soutenu en arrière parle docteur. Il serre dans la main droite un long bâton dont un aide tient l'autre bout. Du pli d

rnant et en serrant) doit estre rond, de moyenne grosseur, et aussi long qu'il sera besoin pour supporter le bras, selon

main trop grosse parce qu'elle serait pesante, qu'il ait les doigts longs et grêles et que la peau soit blanche et fine, pa

sérieuse pour la conservation de sa main, s'il veut bien saigner de long tems. » On reconnaît là le même portrait du méd

t cependant plus vigoureux qu'on n'imagine un homme affaibli par de longues privations, et le sang s'échappe en un jet suff

I et Louis LEMAIRE. Un, cas de ladrerie cérébrale (4 fig.), 32. ' LONG E. et Wiki. Sur l'état atiophique de la moelle

arrière. De temps en temps, les plus valides sont entraînés dans de longues promenades de 12 kilomètres environ, aller et r

atre il cinq cents enfants qui ne pouvant suivre, et pour cause, de longues études, sont occupés, pres- que toute la journé

un de la Maison et leur travail compensera en partie, et pendant de longues années, les dépenses de leur entretien, en même

la salle de réunion primitive de la petite école mesure 8 mètres de long sur 4 m. 80 de large. Tandis que l'on peut mainte

ades sous vos yeux, que dans la salle de nos séances. J'ai été plus long que je ne l'aurais voulu, je vous prie donc de

sagittale, où elle se fusionne avec la zone gauche, qui a 15 mm. de long sur 10 mm. de large. Un léger épaissis- sement

tibles au pal- per. Cuir chevelu sain. Cheveux châtain clair, assez longs , fins, régulièrement implantés; tempes recouver

uvertes par les cheveux. 14 IDIOTIE symptomatique. foncé, assez longs , régulièrement implantés. Conjonctives. oculair

ossible de peser faute d'en reconnaitre exactement les limites, est long de 6 centimètres ,dur, caséeux. Il est relié en

est couvert. La vessie con- tient 15 gr. de liquide. - L'utérus est long de deux centimè- tres. Les ovaires ont une long

édents nerveux, a eu un seul enfant mort d'affections fébriles de longue durée et n'ayant jamais présenté de convulsions.

chose de dérangé dans le cerveau ; que cela était du au temps trop long que l'enfant avait mis à franchir la filière pe

châtain clairs; fentes palpébrales grandes, yeux en amandes ; cils longs et noirs. Pas d'exophtalmie, de paralysie ocula

ut les comparer à une grosse et une petite olives. Le prépuce est long et son ouverture étroite. En découvrant le gland,

sselles, pas sur le tronc et l'abdomen. Quelques poils noirs, assez longs , sur les parties latérales de la verge. - Le pé

assez longs, sur les parties latérales de la verge. - Le pénis est long de 5 centimètres. Le gland est difficilement dé

peu abondant et fin au niveau du sternum. Une tren- taine de poils longs , châtains foncés, au niveau du sommet des aisse

foncés, au niveau du sommet des aisselles. Une soixantaine de poils longs , frisés, châtains, au niveau de la racine de la

précis sur l'existence, à l'origine, d'acci- dents méningitiques de longue durée ; 2° lorsque le syndrôme relève de la scl

érieures égales et bien mobiles. Fente palpébrale assez large. Cils longs , châtain foncé. Conjonctive oculaire et palpé-

ceptible. Pénil peu saillant, recouvert d'une touffe de poils assez longs mais peu abondants, s'arrêtant au rebord de la

onnels : méningite. moteur. Les crises n'étaient pas toujours aussi longues , par- fois l'enfant devenait pâle, regardait un

nds. Paupières et fentes palpébrales moyennes et réguliè- res. Cils longs et bien implantés. Yeux grands, à motilité nor-

es nettement sail- lantes surtout vers la pointe externe. Paupières longues : fen- tes palpébrales larges, un peu obliqueme

et on haut. Sourcils abondants, mais assez clairsemés, noirs. Cils longs et noirs. Yeux mobiles dans tous les sons. Pas

u 'diminuée iL droite. Ne : lég l'emellt dévié à gauche, aquilin, long , à racine enfoncée au-dessous du front et d'une

s un peu moins colorés sur le pubis. Rien sous les aisselles. Verge longue de 4 centimètres. Circonférence, 3 centimètres.

froid au niveau de la pointe du deltoïde gauche (4 cen- timètres de long sur 3 de large) immédiatement au-dessus do l'in

t existe une élevure de coloration rougeâtre ayant un centimètre de long sur 7 milli- mètres' de large et entourée de qu

nica- tion se fait sous forme d'une fente assez large (15 mm.) et longue de 3 cent. Elle contourne la circonvolution de l'

en s'abaissant l'occlusion parfaite de l'oeil. Les cil" noirs, sont longs et abondants. Yeux bien mobiles; pas d'exopthal

d'anormal dans les diverses parties de l'oreille. Cott maigre et long . - Corps thyroïde normal. - La voix est rauque

supérieurs amaigris. Muscles sans puissance. Mains osseuses. Doigts longs et nerveux, non hippocra- tiques. - Rien de par

uleur, àla température. Puberté. Poils nombreux sur le pubis. Verge longue de 8 centimètres. Circonférence : 7 centimètres

partie inférieure gauche de la suture méto- pique ; le postérieur, long d'environ 5 centimètres, remonte obliquement en

ntimètre fait suite et se termine en arrière par une petite rainure longue d'un centimètre. Cheveux châ- tain foncé, peu a

nt léger de la fente palpébrale à la commissure externe. Cils assez longs à la paupière supé- rieure, détruits complèteme

os wormiens signalés plus haut, apparaissent nettement, mais moins longs , plus larges et à bords moins déchiquetés. La b

e et jouit d'une bonne santé. Mère, morte à 74 ans, à la suite d'un long séjour au lit, déterminé par une entorse, toujo

rbites sont creux, les paupières bridées sont garnies de cils assez longs . La cornée et la conjonctive n'offrent rien de pa

Les organes génitaux sont bien développés ; la verge a 2 centim. de long sur 2 cent. de circonférence ; phimosis irréduc

aque érythémateuse, disparaissante à la pression, de 7 à 8 cent. de long sur 3 de large. Pas de diar- rhée. - Traitement

ui parait normalement développée. La commu- nicante antérieure très longue semble tiraillée et tendue parle développement

ée répondant à une dépression linéaire osseuse de 10 centimètres de long dans le sens antéro postérieur : c'est la trace

base. Pas de lésions du coeur ni des poumons. Membres supérieurs longs et grêles, très peu musclés ; (1) Voici d'aille

n de longueur et de circonférence. - Gland découvert. Poils blonds, longs et épais sur le pubis et les bour- ses.- Testic

la lèvre supérieure. La région anale est recouverte de poils assez longs . Elle n'offre rien de particulier. Etat intel

deux côtés. Du côté droit, le pariétal présente une brèche osseuse longue de 3 centimètres, large de 2 centimètres 1/ ? .

gt; DESCRIPTION DU crâne. 159 à la sagittale. La plus antérieure, longue de 5 centimètres, est large de 2 centimètres 1/

es palpébrales horizontales et égales. Sourcils noirs, abondants et longs . Cils longs et bien implantés. Yeux mobiles, sa

es horizontales et égales. Sourcils noirs, abondants et longs. Cils longs et bien implantés. Yeux mobiles, sans exophthal

as se servir de la cuiller. Membres inférieurs. Le droit est plus long que le gauche. Il en est de même des deux membr

veau avec les os qui l'encadrent, et ayant environ un centimètre de long sur trois millimètres de large. Elle est dirigé

e de son placement, il en avait plusieurs fois par semaine. Le plus long inter- valle entre elles, durant cette année, a

aturelle. Pas de rétrécissement du champ visuel. Nez droit, assez long , étalé à la base; les narines ne sont pas défor

es Orbites assez grandes. Sourcils blonds, très-peu abondants. Cils longs et châtains. Paupières également mobi- les, sai

revenait vite à elle. - Accouchement il terme. Le passage fut fort long . On n'eut recours cependant ni au forceps, ni a

phlhalinos. Les sourcils sont noirs et assez fournis. Les cils sont longs , noirs et un peu relevés. Les yeux sont mobiles

ions normales. Puberté et organes génitaux. - Touffe de poils noirs longs et bouclés au pénil. - Verge : 7 centimètres de

que par trois doigts : le pouce, et deux autres doigts dont le plus long et le plus gros est aussi le plus rapproché du po

stesse. Les paupières sont normales, bien fendues. Yeux : les cils, longs , montré- guliers. les pu pi lies larges, dilaté

x envies. L'accouche- ment eut lieu prématurément, à 7 mois. Il fut long , difficile, Fig. 16. ANTÉCÉDENTS PERSONNELS.

'autres accidents convulsifs. Première dent iL cinq mois. Dentition longue iL se compléter. Début de la parole à onze mois

té à la base. - Bouche moyenne. Lèvres assez volumineuses. Oreilles longues et larges, écartées du crâne à la partie postér

uble cicatrice calleuse de a centimètres et demi à 4 centimètres de long . Il obéit toujours et semble n'être jamais anim

e h lambeaux. Dans les deux cas, il fait une brèche plus ou moins longue et large de 8 à 10 millimètres (1). Enfin, M. L

des incisives verticales sur les incisives trans- versales. Langue longue , étalée. Menton arrondi, assez large, sillon me

ez abondant entre les omoplates, Quelques poils châtain-foncé assez longs sous les aisselles. Glandes mammaires assez dév

énitaux et puberté. Pénil saillant, recouvert de poils rares, assez longs sur la partie médiane et inférieure. - Quelques

rticulations saines. Mains grandes, maigres, doigts effilés, ongles longs , un peu bombés. - Membres inférieurs égale- men

che droite la présence d'un os wormien d'un centi- mètre et demi de long sur un demi centimètre de large. Le sil- lon cr

os wormiens, signalés plus haut, apparaissent nettement, mais moins longs , plus larges, et à bords moins déchiquetés. La

longueur reste non ossifiée à la région frontale. Une autre partie, longue de 20 millimètres, complètement réparée, lui su

l- « tats, nous pouvons espérer que dans un temps plus ou moins « long , l'enfant sera tout à fait propre, marchera et pa

nt en jeu pour exécuter des mouvements après un repos plus ou moins long . Cette raideur entrave, au début, plus ou moins c

flux volontaire se montre extrêmement tonique, persistante et d'une longue durée ; les muscles sont (1) P. Marie, Dict. en

ire très lentement et ne recouvrent qu'après un temps plus ou moins long leur souplesse ordinaire. En plus de ces troubl

is précédents, il avait eu quelques douleurs pareilles, mais à plus longs intervalles. De plus, il ne pouvait rester debo

ce moment à son aide. A la face, on voit les contractions durer un long temps dans les muscles qui entrent en jeu. Ains

s la contractilité muscu- laire sont plus prononcés à la suite d'un long repos ; ils sont plus accusés le matin, au mome

1 1° Ou des chocs d'ouverture isolés et espacés à intervalles assez longs (de une à plusieurs secondes). A chaque ouvertu

, permettront de se faire une idée de la disparition lente et de la longue durée consécutive des contractions ainsi produite

chefs distincts : A. Excitations prolongées pendant un temps assez long (30, 40, 50 secondes). Effet produit : au début

venons d'établir. A. Excitations prolongées pendant UN temps assez long , 30, 40, 50 secondes. (Apparition du spasme myo

n n'a pas laissé le muscle se reposer pendant un temps suffisamment long (au moins quelques mi- nutes). Assez souvent, e

t d'ébauche, la phase de contraction tonique était beau- coup moins longue et le gonflement du muscle moins prononcé. (Si au

produit, on voit le muscle rester contracté pendant un temps assez long souvent 1/2 minute ou davantage et sa décontracti

épétant souvent, cette dernière perd, pour un temps de plus en plus long , le pouvoir de revenir à l'état qu'elle présentai

tion commune, leur nutrition pourront pour un temps de plus en plus long devenir à peu près les mômes qu'à l'état normal.

on disparaîtdans la majoritédescasetau boutd'un temps plus ou moins long la maladie redevient ce qu'elle était avant le tr

e chaque gouttière partent deux lanières en cuir; la première, plus longue , vient après avoir passé travers un anneau en fer

les moeurs. En se proposant de guérir des maladies qui demandent un long traitement on excite des émotions agréables et

ités à un seul côté du corps mettent ensuite un temps plus ou moins long à gagner l'autre côté. Deux beaux exemples de dév

ble, après viennent les flé- chisseurs et les extenseurs des doigts long et court, abducteurs du pouce, les muscles cubi

as telle que les malades ne peuvent quitter leur lit ou leur chaise longue ; et cela d'autant plus facilement qu'au trouble

mouvements involontaires et des spasmes, qui peuvent produire à la longue une laxité des ligaments telle, qu'il survient sp

grave malformation du rachis n'est pas souvent compatible avec une longue survie. On pourrait toutefois considérer comme

inter-fessier une dépression en forme de vulve de 4 centimètres de long , d'une profondeur de 1 centimètre 1/2 environ,

ues; mais l'excitation, suspendue alors, n'a pas été suffi- samment longue pour détendre complètement le muscle, qui se déco

i, en effet, les excitations ont été relativement courtes ; la plus longue , la première, n'a duré que 20 secondes ; lorsque

ils se font encore librement; c'est seulement après un repos assez long que le trouhle myotonique réparait. C'est, en s

de chaque ligne, répétées à quelques secondes d'intervalle, et plus longues aussi pour la plupart que les premiè- res excit

à propos des tracés précédents. Nous ferons seulement remarquer la longue durée de celle décontraction pour les premières

ulement. Comme les tracés de la figure 1-1 ceux-ci nous montrent la longue durée de la décontraction, se prolongeant suiva

B et C), ou après des excitations prolongées pendant un temps plus long (der- uiére excitation cle la ligne E). Nous n'

mmobilisés alors dans celte position pendant un temps plus ou moins long , variable suivant les condi- tions, mais toujou

laryngée tabétique inaugurant le tabes et devançant à plus ou moins longue échéance l'apparition des autres signes de la ma-

ssipée. Il reprend vite ses occupations pour un temps plus ou moins long . z L'intérêt des signes objectifs se concentre

s que M. Charcot a le premier décrits. D'ordinaire localisés aux os longs et aux articulations qui les terminent, ils peu

spinaux dorsaux participent à la lésion, il se produit une seule et longue courbure latérale lombo-dorsale. La courbure qu

arrière ; on renforcera l'action des muscles paralysés et aussi du long dorsal par l'électrisation et par une gymnastiq

rée. A la troisième li- gne, C, deux excitations, la première assez longue , la seconde plus courte, sont renouvelées à que

tremblement. Pour le second tracé, B, l'excitation a été également longue , et prolon- gée pendant 40 secondes. Comme pour

un repos de deux minutes, et prolongée pendant un temps un peu plus long , 34 secondes, on constate une ébauche du spasme m

dépression plus circonscrite apparaissant lentement et persistant un long temps. Lorsqu'on emploie des courants forts on

erture du courant une contraction tonique d'une durée plus ou moins longue et ne disparaissant que graduellement. La durée

e dans la chorée chronique. La durée de l'athétose double est assez longue , la malade de Blocq et Blin est morte à 57 ans,

qu'elle ne menace pas directement l'existence et permette une assez longue survie. Mais elle compromet l'existence sociale

s mais surviennent par accès plus ou moins répétés et plus ou moins longs ; les malades peuvent par un effort de leur volon

n effort de leur volonté les arrêter pendant un temps parfois assez long , mais l'effort qu'ils font pour dominer leurs t

mer, il faudrait pouvoir suivre le malade pen- ,dant un temps assez long . La pathogénie proposée par M. Charcot et dével

et les muscles spinaux dorsaux du même côté, elle donne lieu à une longue et unique courbure occupant à la fois le dos et

raissent, pourvu du moins que la cause n'ait pas duré un temps trop long . A côté de ces faits, il en est dont la pathogé

des talons. Le membre supérieur gauche est en extension complète long du tronc, l'épaule un peu abaissée, l'avant-bra

de modifier peut-être l'excitabilité des muscles par un courant de longue durée, nous no- tions l'intensité seulement à l

du pôle négatif produit une contraction ex- trêmement Ionique et de longue durée. Il est a remarquer que le courant était

entre l'excitation du tendon et la contraction du muscle était plus long 242 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.

ts se fait d'une façon particulière, la main plane pendant un assez long temps au-dessus de l'objet avant de le saisir. En

moins prononcé, celui-ci pouvant être le résultat d'un travail trop long , de l'existence de circulaires dans la région cer

es accès de migraine qui nous paralysaient ordinairement pendant de longues heures et nous sommes certains que beaucoup de dy

assistent le Dr Gabriel Buccola pendant les années 1882 et 1884 une longue série d'expériences thérapeutiques sur des cas

e la main droite à l'ex- trémité de la main gauche, aussi large que long . « La plus grande largeur des épaules est le qu

une figure de sept têtes et demie, et sont alors manifestement trop longs . D'autre part, l'égalité donnée entre la grande

nc, on constatera facilement que, comparé au nôtre, le cou est trop long , et cela surtout aux dépens du torse également ra

la nature. Le milieu du corps est bien placé, mais le cou est trop long , le torse trop court et surtout les jambes beauco

trop long, le torse trop court et surtout les jambes beaucoup trop longues rela- tivement aux cuisses. Les proportions les

able à supposer que les rapports déduits du canon de Ch. Blanc, cou long et torse court, puissent se rencontrer chez que

sulte que, comme dans le canon de Ch. Blanc, le cou est un peu plus long et aussi les membres inférieurs. Les membres su-

hommes qui ont le torse court et des hommes grands qui ont le torse long . Dans certaines familles, ces variétés de conform

périeurs ? dans les hautes tailles sont-ils proportionnellement plus longs ou plus courts ? Sur ce dernier point nous cons

érieurs, le tronc devenant plus court et le membre infé- rieur plus long dans les grandes tailles. Mais il y a divergence

mple, le fait plus court dans les grandes tailles, M. Topinard plus long , et M. Sappey tient le milieu avec deux séries

bre su- périeur est plus court et l'autre dans laquelle il est plus long . Peut-on déduire de la connaissance de la grand

uitième touchant le sol. La jambe est donc proportionnellement plus longue que dans le canon de sept têtes et demie. Nous

tre canon, pendant qu'il esl, sur la figure d'en- semble, bien plus long . Quant aux subdivisions du torse, elles diffère

omme ce dernier, un torse trop court et les membres inférieurs trop longs . Le membre supérieur, en outre, esl trop courtpui

femme a la tête un peu plus haute, le cou plus court, le tronc plus long , et les quatre membres plus courts. Le pied est

de la tête. Avant 10 ans, le pied est plus court, après il est plus long . Enfin les rapports simples de la taille à la h

dessin deJ. Cousin, les mem- bres supérieurs sont peut-être un peu longs , car l'extension du poignet qui existe sur les

mois d'août 1892, a soutenu les conclusions de ce tra- vail et une longue discussion s'en est suivie dont il est difficile

tal. ' ' ' Conclusions. Cette observation qui peut sembler un peu longue , nous a paru néan- moins comporter tous ces dév

'est pas constant; il disparait pendant le sommeil, et parfois à de longs intervalles pendant le jour ; en général il s'a

dée que nous voyons se traduire objectivement par une paralysie. Ce long intervalle entre le choc et les manifestations

'est pas toujours possible, et l'effet appa- raissait après un plus long espace de temps et était moins prononcé, on voy

considérablement injectés. Le sujet ayant un cou remar- quablement long on ne pouvait pas penser que le ganglion cervical

près quelque temps ; ce temps de station ferme devient bientôt plus long après les séances suivantes, si le cas est favora

s n'avouent ordinairement qu'ils sen- tent mieux qu'après une assez longue série des séances. Je n'ai pas besoin de justif

i nous empêche également d'en donner ici l'image. Il est vêtu d'une longue tunique dont il relève toute la partie antérieure

direction. Que mes internes, MM. Auscher, Chrétien, Flandre, Huet, Long , Macaigne, Mirallié, Poix, Richerollc, Sollier,

lement renflée, l'ENCÉPHALE, située dans la cavité crânienne et une longue tige cylin- drique, la moelle épinière, logée d

Appliquée au cerveau humain, elle constitue, en effet, une méthode longue , pénible, fastidieuse, exigeant un temps énorme

ystème de neurones que l'on étudie est un système composé de fibres longues , il peut arriver que la partie de ces fibres, v

très tran- chant, on pratique le long des apophyses épineuses, une longue incision allant de l'écaille de l'occipital jus

es coupes. Ce couteau est d'un modèle un peu spécial. Beaucoup plus long que dans les autres microtomes, il est muni à c

baume de Canada et recouvertes d'une lamelle. Ce procédé est un peu long et méticuleux. Nous nous servons d'habi- tude d

des lamelles minces, car les objectifs de Nachet ont un foyer plus long que ceux des autres construc- teurs. FiG. 8.

cessite. un puissant tirage, la lanterne doit être munie d'une très longue cheminée (fig. 9). La préparation que l'on veut

yer pour le dessin. Dans ce cas, l'agrandissement est obtenu par un long tube à tirage (T) sur lequel est fixé l'objectif,

bryons de vertébrés, elle présente pendant un temps plus ou moins long un orifice d'aspect ombiliqué, le neuro- pore

ter- minent au niveau du trou de même nom. Ils séparent, dans leur long trajet, la lame fondamentale encéphalique de la

ions plus inférieures. Les racines lombo-sacrées, qui effectuent un long trajet à l'intérieur de la colonne rachidienne,

s développé chez les oiseaux, se transforme chez les reptiles en un long et étroit canal, le canal de l'épiphyse qui se

s, qui devient la branche antérieure, et le segment postérieur plus long , qui devient la branche postérieure ou horizont

ensemble, la zone des colonnes de His. Dans leur trajet plus ou moins long , ils donnent quelques rares divisions collatéra

et 81 Ct), tantôt revêt la forme en massue ou en poire, et émet un long et mince prolongement. Ces cellules peuvent êtr

touré partout d'une couche protoplasmique continue, tandis que leur long prolongement les rapproche des neuroblastes. Le

ur la moitié externe, et y forme un cône qui se continue avec une longue fibre à bords pa- rallèles. Cette fibre n'est a

ndront les cellules antérieures de la moelle, un cylindre-axe assez long pour atteindre la lame musculaire des proto- ve

faisant à l'.l'1qtl du' cordon antériéu du cordon latéral, le long d'un sillon irré- gulier, le futur sillon col

aire médio-ventral qui continue la corne antérieure, se rattache la longue série des racines de l'hypoglosse; au groupe la

84 et 85). Après un trajet as- cendant ou descendant plus ou moins long , ces fibres centrales se terminent toutes par d

Fibres centralos de l'acoustiquo. Lo nerf de Wris- berg est une longue racine caudale du ta- cial. Noyaux do termi

embryon humain d'environ quatre semaines et mesurant 10 millim. de long . (D'après W. Bis.) Gc, ganglion ciliaire. - G

embryon humain, au troisième mois de la vie intra- utérine. Mais de longs mois se passent avant que les cellules n'arrivent

nstaté que les cellules épithéliales du canal central envoyaient de longs prolongements, qui, gagnant les scissures longitu

atteignent la périphérie de celle-ci après un trajet plus ou moins long , tandis que les prolongements des cellules épendy

ueiiuie épendymaire de . la moelle d'un embryon de mou- ton, long do 45 mm. (D'après Vignal.) HISTOGENESE DU

a région cervicale de la moelle d'un embryon humain de Ow,i5 1 , de long . (D'après G. Retzius.) -- Ca, cône épendymaire

troisième mois; chez l'embryon de la bre- bis, de 10 centimètres de long , elles apparaissent vers la dixième se- maine (

es araignées. Quelques cellules présentent à l'un de leurs pôles un long prolonge- ment unique, tandis que le pôle oppos

amuscules très courts semblables à un fin du- vet, et des rameaux longs , droits, lisses, ordinairement indivis, qui s

e trace de division (fig. 90, 92, 93). Tous ces rameaux courts ou longs se terminent par des extrémités libres et pointue

la né- vroglie de la moelle épinière d'un embryon de brebis, long de 0m,00. (D'après Vignal.) La forme de la cell

al. (D'après v. Lenhossek.) HISTOGENÈSE DU SYSTÈME NERVEUX. 159 longs , rectilignes et volumineux, se réunissent en pinc

ent à la surface corticale, et qui envoient dans la pro- fondeur de longs prolongements rarement ramifiés (fig. 94). B. -

FiG. 95. - Cellules nerveuses de la moelle d'un embryon de mouton long de 45 millim. (D'après W. Vignal.) a, cellule

. ric. 96. - Cellule nerveuse de la moelle d'un embryon de brebis long de 0m,10. (D'après W. Vignal.) 102 ANATOMIE D

rémité libre, non vi- bratile et à un prolongement cen- tral très long , qui constitue le nerf olfactif (fig. 98). Celu

se bifurque et où elle se ter- mine, après un trajet plus ou moins long , par des arborisations terminales, libres et ra

cellule de Deiters ou cellule du type 1 de Golgi, est plus ou moins long . Il donne naissance à des collatérales plus ou mo

s les cellules nerveuses donnent naissance à un cylindre- axe, soit long (cellule de Deiters), soit court (cellule de Golg

e n'est donc constitué que par une chaîne de neurones plus ou moins longs (fig. 113). La cellule du neurone peut siéger,

phérie (cellule olfactive). Le cylindre-axe peut être plus ou moins long ; une seule cellule nerveuse peut posséder plusi

forme de prolongements plus ou moins volu- mineux et déprimés. Ces longues cellules plates sont formées d'un proto- plasma

nu- lai2,es de Ranvier =' dont le nombre corres- pond à celui des longues cellules connec- tives .. A cet état de dével

e. FiG. 115. - Fibres nerveuses d'un embryon de brebis de Om,3d5 de long . (D'après Vignal.) F, portion d'un faisceau du

un faisceau du sciatique d'un embryon de vache de 25 millimètres de long . (D'après W. Vignal.) a, fibrilles noyées dans

Fig. 117. - fibres nerveuses (['un embryon de mouton de 0 ? 2S de long . (D'après Vignal.) a, fibres nerveuses. - b, ce

- Quatre tubes nerveux du sciatique d'un embryon d'une brebis, long de Om,34. (D'après Vignal.) a, fibre sans myé

rentes phases de leur formation, d'un embryon de mouton de ou,47 de long . (D'après Vignal.) " a, étranglement annulair

ux premiers, A et B, viennent d'un nerf d'un embryon de brebis, long de 0m,47 ; le troisième, C, d'un nerf d'un en

éline développée dans le protoplasma du segment intercalaire le long du cylindre-axe. - e, myéline développée dans

isseur. La substance grise centrale se présente sous l'aspect d'une longue colonne, qui s'étend du cône médullaire jusqu'a

ntre le court prolongement périphérique de la cellule olfactive et le long prolongement périphérique de la cellule ganglio

s : des prolongements courts ou dendri- tiques et des prolongements longs ou cylindre-axiles (fig. 126). Les cellules sym

t le nombre varie de 2 à 20, sont épais ou grêles, et plus ou moins longs . Ils naissent, tantôt de tout le pourtour, tant

t et en pointe (fig. 126). Les prolongements dendritiques, les plus longs et les plus épais, pré- sentent des contours ne

tôt se résolvent brusquement en un pinceau de branches termi- nales longues , grêles et moniliformes. Le prolongement long o

hes termi- nales longues, grêles et moniliformes. Le prolongement long ou cylindre-axile est unique; il naît en général

qui traversent ou recouvrent le ganglion s)'l11pa- Prolongemonts longs ou cylindre- axiles. Capsule endolhé- liale

trices sont plus épaisses que les fibres sensitives; que les fibres longues le sont plus que les libres courtes, et que les f

ie de segments de même longueur est interrompue par un segment très long ou par un segment très court. Lorsque, par la d

filaments enroulés en spirale et qui for- ment par leur ensemble un long cône creux (inalzcti), dont le sommet tron- qué

tes du tissu conjonc- tif ordinaire, mais à prolon- gements moins longs et moins nombreux que ceux des cel- mes au ti

divisé dichotomiquement ; ses deux divisions affec- tent souvent un long trajet sinueux, à direction longitudinale et port

variable, comme celle de la cavité crânienne elle-mème. Il est plus long et moins large chez les dolichocé- phales, plus

long et moins large chez les dolichocé- phales, plus large et moins long chez les brachycéphales. Dans la première enfan

e et sur la face inférieure. A la face interne, elles s'arrêtent le long d'une ligne courbe qui correspond au seuil ou lim

l'autre supérieur. Le sillon prérolandique inférieur (pri), le plus long et le plus important, parallèle au genou inféri

ons adjacentes. Ils sont loin de présenter un type uniforme; tantôt longs , tantôt courts, tantôt d'une seule venue, ils s

hant, longé par la « racine » olfactive externe (fig. 183), bord le long duquel s'arrête l'écorce cérébrale. La partie

marginal postérieur (mp) ou la rigole inférieure de Broca, le plus long des sillons marginaux, se dirige obliquement en b

a surface de l'insula, et existedéjà surdes embryons de 30 cent. de long . Il peut cependant 1 présenter quelques variété

térieure (Ip) ou pli postérieur de Broca, plus étroite, . mais plus longue que la circonvolution antérieure, se dirige obliq

e couche de substance grise est plus petite, moins constante, moins longue que l'externe; elle se dirige en dedans et en a

dégénérée est située le long du bord externe de la bandelette et le long du bord externe du nerf optique du même côté. (Vo

se présente sous la forme d'un cordon rougeàtre de 4 millimétrés de long , obliquement dirigé en bas et en avant; large à