r surprise, par heurts et par à-coups, maladies soustraites à toute loi évolutive et échappant à toute prévision. A côt

ES. 9< que de dissemblances dans le mode de réaction ! c'est une loi en pathologie, de ne pas mesurer seulement les

olie des dégénérés, où la forme pa- roxystique et rémittente est la loi . Est-il nécessaire d'insister sur l'utilité qu'

ations. Et cependant, on n'est point encore autorisé à formuler une loi , surtout une loi sociale, car, à côté des effets

ant, on n'est point encore autorisé à formuler une loi, surtout une loi sociale, car, à côté des effets funestes de mar

partie bien conservées. Ces résultats, qui n'atteignent en rien la loi de l'énergie spéci- fique des organes seusoriel

SÉNAT Séance du jeudi z5 novembre 1886. DISCUSSION DU PROJET DE LOI SUR LES ALIÉNÉS. M. le Président. L'ordre du jo

nt. L'ordre du jour appelle la première délibéra- tion du projet de loi portant révision de la loi du 30 juin 1838 sur

la première délibéra- tion du projet de loi portant révision de la loi du 30 juin 1838 sur les aliénés. Quelqu'un dema

i je cherchais à démontrer, en ce moment, l'importance du projet de loi soumis à ses déli- bérations. Il n'est, dans

einte, personne qui ne la méconnaisse, personne qui ne sache que la loi en préparation est destinée à régler la situati

onsabilité. Nous savions tous que nous avions à préparer une de ces lois redoutables qui engagent les intérêts éternels

intérêts éternels de l'humanité, de la société, de la famille, une loi qui touche aux questions les plus élevées de la

de l'assistance publique, autant qu'à la liberté individuelle ; une loi dont les hommes d'Etat, les jurisconsultes, les m

s, les publicistes se sont occupés, comme les médecins ; enfin, une loi qui, à côté des méditations silencieuses des ph

réoccupa- tions. En le posant, le gouvernement ne demandait pas une loi nouvelle sur les aliénés, il acceptait en princ

t pas une loi nouvelle sur les aliénés, il acceptait en principe la loi existante, la loi de 1838. Dans sa pensée, cett

elle sur les aliénés, il acceptait en principe la loi existante, la loi de 1838. Dans sa pensée, cette loi célèbre devait

en principe la loi existante, la loi de 1838. Dans sa pensée, cette loi célèbre devait être en grande partie conservée

et reconnus. La question ainsi posée, pouvions-nous l'accepter ? La loi de 1838 pouvait-elle réellement servir de base

en effet, que dans le cours de son existence demi-séculaire, cette loi a été l'objet d'appréciations diverses, quelque

s. Ce qui est certain, ce que personne ne conteste, c'est que cette loi fut préparée avec SÉNAT. 137 une conscience e

l'élève d'Esqui- rol et de Ferrus, les promoteurs principaux de la loi de 1838. C'est grâce à ces maîtres illustres qu

Accueillie avec une respectueuse admiration, considérée comme une loi libératrice sauvegardant avec vigilance les droit

les et les garanties non moins précieuses de la société ; comme une loi charitable et humanitaire où l'on voit pour la

ttre à la faveur, on peut dire hardi- ment avec la complicité de la loi de 1838 ? » Ces graves accusations ont eu un im

qui, en pénétrant dans les Parlements, a hâté le dépôt du projet de loi dont nous sommes saisis. Pour les uns, conserve

u projet de loi dont nous sommes saisis. Pour les uns, conserver la loi de 1838 est un devoir rigoureux ; ils sont conv

appréciations, je déclare, au nom de la commission unanime, que la loi de 1838 fut excellente en son temps, que son ap

e en son temps, que son apparition combla une grave lacune dans nos lois de bienfaisance et réalisa un immense progrès.

nfin, messieurs, je ci ois pouvoir dire sans témérité que parmi nos lois d'exception il n'en est aucune qui honore nos cod

rme à de déplorables con- troverses, et que, s'il en est besoin, la loi de 1838 sortira de nos débats absolument réhabi

ie réclame la légitime satisfaction. Quelque excellente que soit la loi de 1838, elle n'est plus en harmonie complète a

il semble avoir voulu préciser d'avance le caractère dominant de la loi nouvelle et indiquer les éléments principaux de

rincipaux de sa constitution. Il parait avoir voulu déclarer que la loi à intervenir devait être, comme ]aloi de 1838,

larer que la loi à intervenir devait être, comme ]aloi de 1838, une loi d'humanité, de bienfaisance, d'assistance publiqu

d'humanité, de bienfaisance, d'assistance publique ; en un mot, une loi essentiellement médicale. N'oublions jamais ce

, comme une faute, un vice, un crime, et qu'il a fallu arriver à la loi du 27 mars 4-i9o et à Pinel, qui les premiers o

utables d'autorité scientifique et de moralité. L'article 8 de la loi de 1838 exigeait bien pour tout placement volon

nement aurait voulu appli- quer sur ce point les dispositions de la loi anglaise qui exige l'attestation concordante de

difficile, quelquefois impos- sible, d'un nouveau confrère. Si la loi de 1838 offrait des lacunes et des imperfections

fois qu'ils sont admis dans un asile et qu'ils y sont maintenus. La loi de 1838 était non seulement insuffisante à ce p

erfectionnaient sans cesse leur législation sous ce rapport, que la loi anglaise était progressive, prévoyante, complèt

ssive, prévoyante, complète, la France demeurait station- naire. La loi de 1838 n'a pas fait un pas dans ce sens, et les

nternés. C'est là, messieurs, une des lacunes les plus graves de la loi de 4838, une de celles qui unt surexcité au plu

ssible contre les séquestrations arbitraires. Cette situation de la loi française ne pouvait se continuer; il était néc

à orga- niser la surveillance en France. Cette partie du projet de loi est importante et neuve. Elle est due à l'initi

commis- sion. Elle comble une lacune qui existe aussi bien dans la loi de 1838 que dans le projet de révision du Gouve

onner, sont incon- testablement l'un des rouages principa u x de la loi nouvelle. Elles sont dominées elles-mêmes par u

'ont aucun rapport avec les anciennes commissions instituées par la loi de 1848 pour les asiles publics, privés ou quar

soumet avec confiance à votre libre discussion. Même lacune dans la loi de 1838 au sujet des aliénés dits cri- minels,

isfac- tion, on ne peut oublier que ces aliénés sont frappés par la loi pénale, qu'ils doivent être confiés à l'adminis

appliquée avec modération. Voilà les points principaux du projet de loi sur lesquels j'ai cru SÉNAT. 145 nécessaire d

la législation est nécessairement lié à une dépense, car toutes les lois nouvelles, tout perfection- nement dans les anc

ude-et-des mêmes sacrifices ? 2 Enfin, nous avons introduit dans la loi des rouages nouveaux, relatifs à la surveillanc

ssants qu'ils puissent être, de ce vaste sujet de la révision de la loi sur les aliénés. Mais précisément parce que ce

de la commission ne m'a laissé que bien peu de chose à dire sur la loi du 30 juin 48838. Je me bornerai donc à signale

'oeuvre de sa révision. Assurément, je ne voudrais pas rabaisser la loi . dont a parlé M. le président de la commission

on en termes si justement admira- tifs, en disant qu'elle a,été une loi de circonstance. J'ai eu à coeur, moi aussi, de

appeler cependant et ceci est important pour nos débats - que cette loi a été faite sous l'empire de circonstances, sou

uisent les délibérations des deux Chambres de 1837 et 4 838, sur la loi qui nous occupe. J'ai publié moi-même un court

et cette der- nière nécessité était la plus pressante. i Avant la loi de 18.38, en effet, la charge des aliénés indigen

le que le Gouvernement fit un effort, qui amena l'insertion dans la loi de finances votée le 18 juillet 1836 d'un article

épenses des aliénés indigents admis pour une. année, il fallait une loi pour consacrer définitivement le principe etcons-

fut amené à présenter au Parlement, le 6 janvier 837, le projet de loi qui est devenu la loi du 28 juin 1838 . , ' , i

au Parlement, le 6 janvier 837, le projet de loi qui est devenu la loi du 28 juin 1838 . , ' , i J'ai rappelé ces préc

parce qu'ils' font bien comprendre les caractères essentiels de la loi que nous avons à. réviser. Ils marquent le trip

ure, auquel est dû l'amendement qui est devenu l'article 1 or de la loi , en vertu duquel chaque département est tenu d'

s en plus urgente et nécessaire ; et c'est ainsi qu'à mesure que la loi a été appli- quée, des lacunes ont apparu, et l

u'au delà du troisième degré, ce projet aurait laissé la nou- velle loi impuissante à prévenir les cas les plus habituels

été les reproches et les attaques dirigées contre cette parue de la loi depuis un certain nombre d'anuées, la majorité

nent magistrat qui prit devant laCuambre des pairs la défense de la loi dans les termes les plus remarquables,- reconna

reconnaissait sans hésiter l'insuffisance de l'article 4 ue cette loi , qui conne la surveillance des aliénés à un grand

r les enseignements d'une expérience qui manquait aux auteurs de la loi de 1838 ; telles sont, par exemple, les dispositi

de pareils faits exigeaient des dispositions particulières dans une loi nouvelle sur les aliénés. Je pourrais signaler.

aire d'empêcher de pareils faits de se produire en réglant, dans la loi , une pareille question. ' M. Paris. Comment e

'examine les principaux compléments apportés par la commission à la loi de 1838, je ne puis me dispenser de citer 1 50

ntale. Ici encore ce n'est pas à proprement parler une lacune de la loi , un com- plément rendu nécessaire par l'importa

peu près inconnus du législateur de 1838. A l'époque en effet où la loi a été faite, les expertises médico- légales don

t préférés sont les asiles d'aliénés; mais alors la violation de la loi est flagrante; car l'asile ne doit s'ou- vrir q

responsables de l'asile se refuser à ces admissions en invoquant la loi , même lorsque la demande ou l'ordre d'interne-

randir encore le cadre proposé par le Gouvernement pour la nouvelle loi . Mais la commission a eu la satisfaction de pou

dans ce cadre agrandi le plan et les dispositions géné- rales de la loi de 1838. Si le Sénat me permet de lui donner en-

i pourront donner une sorte de mesure des changements apportés à la loi soumise à la révision. Cette loi est composée d

re des changements apportés à la loi soumise à la révision. Cette loi est composée de 41 articles partagés en trois tit

bre des articles. Si l'on examine en particulier les articles de la loi , de 4838, on reconnaîtra que 24 sur il, c'est-à

u des modifications légères de rédaction. Dans tous, l'esprit de la loi a été maintenu et survivra à son abrogation.

celle de la commission. Dans le projet du Gouvernementcomme dans la loi de 1838, le titre I" est intitulé : « Des établ

38, le titre I" est intitulé : « Des établissements d'aliénés ». La loi , en effet, comme je l'ai dit, ne s'occupait pas

hâte de dire que c'est dans notre propre tradition et non dans les lois anglaises que nous avons puisé le principe et l

commission permanente départementale remonte à l'origine même de la loi de 4838. Cette idée a été mûrie et déve- loppée

discussions auxquelles, depuis 1867, les demandes de révision de la loi ont donné lieu. Je citerai un magistrat qui a p

e n'est pas le moment d'aborder l'examen détaillé de ce point de la loi . Lorsque ce moment viendra, le Sénat reconnaîtra,

e projet du Gouvernement va introduire dans le fonctionnement de la loi . Je pourrais en dire autant du comité supérieur

e la commission qui se rapporte à la partie financière du projet de loi . Assurément, jamais un moment n'a été moins pro

'est pourquoi, aussi, dans l'intitulé de la section du pro-. jet de loi qui se rapporte à la partie financière du service

dernier mot des compléments que la commission a ajouté au projet de loi ; dans la partie de ce projet qui a trait aux p

a trait aux pénalités, le Gouvernement s'en tenait au texte de . la loi de 1838, laquelle se bornait à punir les contrave

es contraventions à certaines dispositions qui lui sont propres. La loi n'avait rien ajouté aux pénalités existantes po

rutement du personnel infé- rieur des asiles ; 2° à assurer, par la loi , une répression pénale des faits délictueux ou

ibuent pas à la bonne, ou tout au moins à la facile préparation des lois . Le rapport dont j'ai été chargé sur la questio

monde et à M. le ministre lui-même. M. Paris. Elle a eu raison, la loi est déjà très chargée. M. le Rapporteur. Je dev

soumis à vos délibérations. Je crois qu'il y a lieu de modifier la loi de 1838, de l'améliorer, et moi aussi, je deman

Ministre. L'honorable M. Roussel vous disait tout à l'heure que la loi de 1838 était une oeuvre législative considérable

tuité. Non, messieurs, de tels abus n'étaient pas possibles avec la loi 1 56 SÉNAT. de 1838 strictement appliquée. Je

rai pas jusque-là ; je crois qu'il y a eu des abus. D'ailleurs, les lois les meilleures ne peuvent pas toujours les prév

oujours les prévenir ni les empêcher absolument. Je dis donc que la loi de 1838 contenait en effet certaines lacunes su

er, d'ac- cord avec la commission. Nous estimons que le projet de loi qui vous est présenté con- tient des améliorati

ble M. Roussel, vous ont signalé les dispositions principales de la loi nouvelle. Le point capital du projet c'est l'in-

s vous ont été déjà signalées et par M. Dupré et par M. Roussel. La loi de 1838 ne s'inquiétait pas des aliénés traités

sur les asiles privés n'était pas non plus suffisante. Le projet de loi apporte un remède sur ces deux points ; il fortif

à des dates précises et parfaitement déler- minées. Le projet de loi étend encore sur les biens de l'aliéné, sur son

ble M. Roussel vous le disait tout à l'heure, il n'existait dans la loi de 1838 aucune dis- SENAT. 157 position relat

tice et qui peuvent être une menace pour la société. Le projet de loi contient à cet égard diverses prescriptions exc

mais je crois, pour ma part, que la commission a introduit dans la loi des prescriptions qui ne pourront pas être exéc

ommission de surveillance qui fonctionnait déjà sous l'empire de la loi de 1838 et qui a pour objet l'administration de

matériellement imp ossible de remplir l'obligation assignée par la loi . Est-il bon de placer dans les lois des prescri

lir l'obligation assignée par la loi. Est-il bon de placer dans les lois des prescriptions qu'on sait ne pouvoir être ex

mais, je le répète et je le dis hautement, sur le fond du projet de loi je suis absolument d'accord avec la commis- sio

s' dispositions heureuses, il comble des lacunes regrettables de la loi de 1838 et il a pour objet de donner des garant

urires). C'est un beau défaut, messieurs ; mais elle a chargé cette loi de complications infinies, comme le disait tout

tre de l'intérieur, tout à l'heure, rendait pleinement hommage à la loi de 1 838 ; et cependant, par suite de cette ind

onc, à son défaut, tâcher d'entrer dans cette voie. Messieurs, la loi de 1838 a été élaborée avec un soin qu'on a jus

pelé. Etait-elle parfaite ? Je ne le prétends pas : il n'y a pas de loi parfaite; mais elle l'était autant qu'une loi h

pas : il n'y a pas de loi parfaite; mais elle l'était autant qu'une loi humaine peut l'être, et les abus dont on parlai

les abus qu'on a si- gnalés venaient tous non pas des lacunes de la loi de 4838 en 44 162 L). SÉNAT. général, mais

et aux garanties que l'on exige des directeurs d'asiles privés, la loi de 1838, avec ce complément, serait parfaite, a

, avec ce complément, serait parfaite, autant, je le répète, qu'une loi humaine peut l'être, Il n'y a que cela à faire. O

st admirablement composé en France j'affirme que vous auriez eu une loi absolument parfaite, grâce à cette amélio- rati

rois départements; eh bien, jamais, je l'affirme, je n'ai vu que la loi de 1838 présentât un seul inconvénient. Enfin,

ve à l'intervention de l'autorité judiciaire. Dans le système de la loi de 1938, l'autorité judiciaire n'intervenait qu

onnaires sa- lariés ! On a dit, avec raison, que jusqu'à présent la loi de 1838 ne coûtait rien à l'Etat. Si vous adopt

les lourdes charges vous imposerez au Trésor. Sous l'empire de la loi de 1838, tout se faisait sous une inspi- ration

ires à celui de la liberté individuelle de l'aliéné, et un homme de loi , dans une situation offrant à la défense des in

n permanente, indispensables l'un et l'autre à la protection que la loi nouvelle doit assurer à l'aliéné. M. le Ministr

stratif, soit au pouvoir judiciaire ; ils assurentl'exécution de la loi , mais seulement par leur vigilance sur le sort

né, qui les impose, dis-je, au procureur de la Ré- publique, que la loi nouvelle charge, d'autre part, d'une foule d'ob

est l'élément le plus essentiel, tous les efforts pour améliorer la loi de 1838 abou- tiraient à une déception , la sur

838 abou- tiraient à une déception , la surveillance établie par la loi sur les asiles resterait insuffisante; celle qu

tionnée nos lecteurs sur la discussion, au Sénat, DE la NOUVELLE LOI SUR LES aliénés. En reproduisant ces débats, ? to

ole de la Sal- pètrière « doit être tenue pour inexacte en tant que loi géné- rale », M. Witkowski déclare qu'il va « r

ue loi géné- rale », M. Witkowski déclare qu'il va « rechercher les lois qui commandent aux hyperthermies de l'épilepsie

sont erronées et que sur le troisième il ne fait que confirmer la loi que nous avons posée sur l'élévation considérable

lus, rien ne démontre que ces délirants persécutés échapperont à la loi de l'évolution classique. Le temps seul a pu le

Discussion : M. ZINN. C'est à tort que mon collègue incrimine la loi concernant la procédure dans la question de l'int

Il le pouvait d'après le § S95. M. Jastrowitz pense en outre que la loi actuelle lie les mains aux directeurs des établ

rdic- tion. Eh bien ! 1 AI. Jastrowitz commet une double erreur. La loi actuelle en effet ne touche en aucune façon au

ser les juges conscienceux, compétents, éclairés.... En réalité, la loi nou- velle a donné satisfaction à tous les voeu

itions actuelles. L'étude sans prévention, sans parti pris de cette loi , aboutira au même résultat. Voy. sur ce sujet :

êt pécuniaire, mais l'opinion publi- que était émue. Sans doute les lois ne sauraient être parfaites. Mais remettre à l'

P. KERAVAL. Archives, t. Xlit- 17 SENAT DISCUSSION DU PROJET DE LOI SUR LES ALIÉNÉS' . Séance du vendredi 27 novemb

re du jour appelle la suite de la Ire délibération sur le projet de loi portant révision de la loi du 30 juin 1838 sur

de la Ire délibération sur le projet de loi portant révision de la loi du 30 juin 1838 sur les aliénés. Nous sommes ar

gré les simplifications qui ont été apportées au texte du projet de loi soumis au Sénat, la loi est encore très chargée

qui ont été apportées au texte du projet de loi soumis au Sénat, la loi est encore très chargée. J'ai entendu également l

J'ai entendu également l'honorable M. Buffet dire que ce projet de loi présente une réglementation excessive. Je désir

' Voy. Arc/c. de Neurologie, p. 135. SÉNAT. 259 Il s'agit d'une loi qui n'a rien de politique; par conséquent, de q

ques-uns même, au premier aspect, peuvent sembler étrangers à la loi sur les aliénés. Je crois que le Sénat reconnaîtr

ition qui ne se lie directement et inti- mement à la révision de la loi de 1838 et que si la loi est ou parait être cha

tement et inti- mement à la révision de la loi de 1838 et que si la loi est ou parait être chargée, c'est parce que le

ions si diverses elle n'appelle le Sénat à poser des règles dans la loi que lorsqu'il a été reconnu qu'elles ne peuvent

l'examen de l'article 1er. Cet article est une addition faite à la loi de 1838 par le projet du Gouvernement. La loi d

e addition faite à la loi de 1838 par le projet du Gouvernement. La loi de 1818 n'avait donné aucune définition des établ

ux pour les recevoir et les soigner. Ce sont les termes mêmes de la loi . Il n'en a pas demandé davantage. C'était déjà

si l'on tient compte de la situation qui leur était faite alors. La loi n'a donc pas défini l'asile d'aliénés, qui est un

le Gouvernement, lorsqu'il a décidé de demander la révi- sion de la loi de 1838, s'est trouvé dans une situation qui lui

a 260 1 SENAT. paru commander de mettre plus de précision dans la loi nouvelle. 11 a cru devoir caractériser et défin

caractériser et définir l'asile d'aliénés, et placer en tête de la loi une disposition établissant que ces asiles « sont

nt internés; et, au moment même des discussions des Chambres sur la loi que nous révisons, on ne comptait encore que 8,

n'est pas éloigné de 100,000. Quoi qu'il en soit, à l'époque où la loi a été faite, on admettait encore généralement q

encombre- ment est dû. Je dois noter cependant que les termes de la loi SÉNAT. 261 de 1838 ont exercé à cet égard une

rectement un avan- tage au point de vue économique, en Hollande, la loi est déjà arrivée à séparer les établissements e

oir fixé, en 1881, celle du Gouvernement qui a préparé le projet de loi . Il le mérite d'autant plus, que nous-nous trou

ui ont dû décider le Gouvernement à placer en tête de son projet de loi la disposition dont j'ai donné lecture et à la-

exclusivement consacré au trai- tement de l'aliénation mentale, la loi nouvelle édicterait une prescription en vertu d

onséquence à la commission qu'il est nécessaire de décider, dans la loi , que le» placements actuels dans les asiles pub

seront maintenus et continueront à s'effectuer, confor- mément à la loi de 1838, jusqu'à ce que d'autres moyens aient é

régime nouveau auquel les aliénés sont soumis en Belgique depuis la loi de 1850, qui a été une imitation, sur beaucoup

de 1850, qui a été une imitation, sur beaucoup de points, de notre loi de 183q, Gheel a subi une grande transformation

rmais plus impérieusement lorsque les dispo- sitions de la nouvelle loi auront été adoptées. SÉNAT. 265 J'arrive au t

encore pris place dans notre droit administratif, fut créée par une loi spéciale ; nous n'admettons guère que cette obl

sera imposée à l'Etat. Cette question peut venir à l'occasion d'une loi générale. Je crois que ce principe gagne de jou

à l'occasion de l'article 4 ? que nous pouvons l'introduire dans la loi . Tout en donnant l'assenti- ment du Gouvernemen

meilleurs esprits le recon- naissent par une longue expérience. La loi de 1838 contenait purement et simplement la,dis

e je reprochais à celui de la commission. L'article 1°' ajoute à la loi de 4814... ;) ,. , '' Plusieurs voix. De 1838 1

' Plusieurs voix. De 1838 1 ' ' ' M. de GAVARDIE. Pardon ! c'est la loi sur la chasse qui me revient à l'esprit. L'arti

asse qui me revient à l'esprit. L'article 1e=,. de votre, projet de loi ajoutera da loi de 1838 cette disposition : ,«

ent à l'esprit. L'article 1e=,. de votre, projet de loi ajoutera da loi de 1838 cette disposition : ,« Ces établissemen

ain à l'oeuvre, aurez-vous les ressources nécessaires ? Eh bien, la loi de 1838 permettait, en définitive, de concilier

i vous pouvez arriver, si vous vous maintenez dans les termes de la loi de 1838, à soulager toutes les infortunes. Vous

p d'aliénés qui ne sont pas dans les asiles ; mais, même avec votre loi , vous ne les y ferez pas entrer, car cela occas

longée.) Messieurs, je vous supplie de rester dans les termes de la loi de 1838; elle vous donnait le moyen de soulager

mais nous pensons qu'il n'est pas bon d'inscrire des voeux dans une loi . La loi ne doit contenir que des prescriptions im

s pensons qu'il n'est pas bon d'inscrire des voeux dans une loi. La loi ne doit contenir que des prescriptions impé- ra

cuté ou non, réalisé ou uon, et dès lors sa place n'est pas dans la loi . (Très bien ! très bien ! ) Voilà ma première o

vue même des principes, si notre pays, surtout sous le régime de la loi nouvelle qui'doit rétablir le contrôle de l'Étal

norable collègue est un véritable voeu. Le Sénat 276 SÉNAT. a des lois à faire. Pour ces deux raisons, je no crois pas q

seils généraux intéressés, conformément aux articles 89 et 90 de la loi du 10 août 1871. 11 est statué par un décret rend

irai pas à la suppression, mais à la répression de la mendicité. La loi de 4838 trouva encore debout 24 de ces quartier

iles publics. Il a suffi, pour atteindre ce but, d'inscrire dans la loi , à titre définitif, les mesures que le Gouverne

e de l'intérieur ». Ce passage est une reproduction textuelle de la loi de 4838. Il importe de noter que la disposition

sposition qu'il contient a été virtuellement abrogée d'abord par la loi du 48 juillet 1866 et, en outre, parcelle du 10 a

semble assez longue pour qu'on puisse dire que sous l'empire de la loi nouvelle on ne les verra pas mettre à profit la

pu aboutir au résultat prévu. Vous avez voté récemment un projet de loi ; mais le projet ne réalise pas l'hypothèse de l

graphe, emprunté au projet du Gouvernement, doit ins- crire dans la loi nouvelle à titre définitif les mesures que le Gou

aragraphe, tel qu'il est rédigé dans le texte primitif du projet de loi : « Les asiles privés faisant fonction d'asiles

r les règlements d'administration faits en exécution de la présente loi , un décret du Président de la République peut s

e l'asile au lieu et place'du directeur suspendu, fait observer les lois et règlements et exécute les traités existants. L

des explications sur ce point. Le Gouvernement n'a pas besoin d'une loi nouvelle pour suspendre le directeur d'un asile

tallé à l'asile. L'administration exerce donc déjà, en vertu de la loi actuelle, le droit qu'on voudrait lui refuser.

t dans la disposi- tion dont il s'agit, existe déjà, en vertu de la loi de 183S. En effet, aux termes de cette loi, auc

ste déjà, en vertu de la loi de 183S. En effet, aux termes de cette loi , aucun établissement privé destiné au traitemen

ecteurs des asiles privés. C'est en vertu des articles 5 et 6 de la loi de 1838 que M. le préfet du Rhône a suspendu de

. 285 sur ce point, et la^faculté laissée au Gouvernement par cette loi n'a pas été contestée. D'autre part, l'honora

e part, le projet de la commission abroge d'une manière expresse la loi de 1838. Or, cette loi contenait deux articles au

commission abroge d'une manière expresse la loi de 1838. Or, cette loi contenait deux articles aux- quels M. le minist

les aliénés, à toutes les obligations prescrites par la pré- sente loi . » « Art. 6. Des règlements d'administration pu

avec les départe- ments) sont rendus libres par l'abrogation de la loi de 1838. M. le Ministre DE l'intérieur. 11 y a

onne- ment ». Mais il n'y aura pas de disposition dans le projet de loi visant la manière dont l'autorisation, une fois

l'article 5 du projet, comme ils le sont aujourd'hui à celles de la loi de 1838, dont la commission propose l'abroga- t

et aux conditions de bon fonctionnement qui sont imposées pour la loi de 1838. Dans l'article 7, il n'y a pas de disp

on expresse à cet égard, et on n'y a pas reproduit les termes de la loi de 1838 ;" mais dans l'article 9, qui est relat

oins sévère que la révocation. M. DFLSOL. Je ferai remarquer que la loi s'occupe successivement des asiles privés faisa

la dispense de la surveillance générale édictée par le projet 'de loi au cas où l'on se trouve en présence d'un conseil

rsuivre la discussion de cet article et des articles suivants de la loi . Elle ne connaissait, en entrant en séance, qu'

a une gravité extraordinaire. D'autre part, je ne vois pas dans la loi que nous propose la commission une sanc- tion q

impossible, monsieur le président, de continuer la discussion de la loi . Je demande la parole. M. le Président. La pa

emande au Sénat de renvoyer à lundi la suite de la discussion de la loi . 11 me parait impossible de la poursuivre dans

-question à M. le ministre. Nous avons proposé dans notre projet de loi ... Plusieurs sénateurs. On n'entend rien ! mont

commission, monsieur le président, de continuer la discussion de la loi actuellement. Elle demande le renvoi de la discus

administratif, et avec le droit criminel : puis elle discute les lois qui régissent la profession médicale et indique l

tion de nos lecteurs sur la discussion, au Sénat, de la nouvelle LOI sur les aliénés. En reproduisant ces débats, no

tre un malade, au sujet duquel je vous ai adressé conformément à la loi et aux règlements un certificat indiquant la né

e nous soit fourni par la médecine mentale. Il ne constitue pas une loi évo- lutive nouvelle. Vous vous rappelez encore

établissement. Question première. Les malades en conflit avec la Loi ont-ils jeté de la perturbation et quelle espèc

psychiatrie, car nous n'y comprenons souvent pas grand'chose. Leur loi sur les aliénés représenterait chez nous un pas e

f. Ps;ch., Xf.Ill, 3.) P. Keraval. SENAT DISCUSSION DU PROJET DE LOI SUR LES ALIÉNÉS'. Séance du mardi 30 novembre 1

e du jour appelle la suite de la z" déli- bération sur le projet de loi portant révision de la loi du 30 juin 4 838 sur

de la z" déli- bération sur le projet de loi portant révision de la loi du 30 juin 4 838 sur les aliénés. Je rappelle a

porteur. Messieurs, le 3° paragraphe de l'article 1 er du projet de loi a été renvoyé à la commission à la suite d'obser-

pour consé- quence de faire supporter par l'Etat des charges que la loi a imputées au compte des familles, des communes

est aujourd'hui et se partagera suivant les règles établies dans la loi de 1838. La commission a, dans ce but, rédigé u

à être réglées conformé- ment aux articles 45 et 46 de la présente loi . » Les articles 45 et 46 de la présente loi son

45 et 46 de la présente loi. » Les articles 45 et 46 de la présente loi sont les articles qui régissent présentement l'

à être réglées conformément aux arti- cles 45 et 46 de la présente loi . » Monsieur Georges Martin, main- tenez-vous vo

n de plus à ajouter à celles qu'elle a introduite elle-même dans la loi en faveur de l'aliéné mineur ou interdit. L'h

on a pensé, et le Gouvernement avec elle, que donner au texte de la loi l'extension réclamée par l'honorable M. Lacombe

réclamée par l'honorable M. Lacombe, c'est désarmer d'avance cette loi contre les abus révélés par l'expérience et aux

e cette loi contre les abus révélés par l'expérience et auxquels la loi nouvelle doit mettre un terme; ce serait rentre

ditions prévues par le para- graphe 2 de l'article 3 de la présente loi sans qu'il en ait fait la déclaration, dans un

é soulevée par un homme aussi compétent et aussi habitué à lire les lois que l'honorable AI. Roger-Marvaise, s'est attac

s le coup des dispositions pénales qui formaient le titre III de la loi . 11 est vrai que la com- mission n'a' pas cru q

nner prise à aucun doute, il était peut-être bon d'indiquer dans la loi elle-même ce qui adviendrait dans le cas où, la d

qui caractérisent le projet du Gouvernement, dans le titre II de la loi . La commission a pensé toutefois qu'il pouvait

cle 7 et l'article 8 sont des articles essentiels dans le projet de loi , j'allais presque dire qu'ils en sont les article

yeux du Sénat, je les puise dans le rapport même de M. Roussel, la loi de Norvège contient la disposition sui- SÉNAT.

n médecin, lequel devient dès lors responsable de l'exécution de la loi et doit adresser un rapport au département de l'i

fère, est-ce qu'on peut prendre pour point de départ d'un projet de loi quelconque un esprit de défiance contre la fami

otre organi- sation civile nous devons les refléter dans toutes les lois dont est saisi le Parlement. C'est pour cela qu

Gouvernement que revient l'honneur d'avoir voulu introduire dans la loi nouvelle le principe de la surveillance protect

is en avoir par le Gouvernement qui l'a introduit dans le projet de loi . (Très bien ! à gauche et sur divers bancs.) M.

à gauche.) Lorsque la pensée du Gouvernement s'est reportée sur la loi de 1838 et qu'il a assumé l'obligation de la ré

tion de nos lecteurs sur la discussion, au Sénat, de la nouvelle LOI sur LES aliénés. En reproduisant ces débats, no

Charpentier, 244. Aliénés (Assistance des en Russie), 312 : - ( loi sur les), 135, 58, 439 ; - Séqueslra- tion de

ions des fonctions dans l'écorce cérébrale, par de Gudden, 105. Loi sur les aliénés, )3 ? 2.'j8 I 439. TABLE DES

La paralysie faciale dite a frigore ne fait pas exception à cette loi de pathologie nerveuse; ni le refroidisse- ment

lécher sans acci- dents s'explique par l'humidité constante et les lois de Boutigny. L'action de la chaleur rayonnante

alpêtrière, une série de recherches sur les modi- fications que les lois psychophysiques subissent sous l'influence des

mentation appré- ciable, et c'est ainsi qu'il réussit à formuler la loi célèbre « la loi de Weber », d'après laquelle »

ciable, et c'est ainsi qu'il réussit à formuler la loi célèbre « la loi de Weber », d'après laquelle » l'accrois- semen

rçu, en tant qu'accrois- sement comme l'était le bruit simple. La loi de Weber est la base réelle qui a servi à Fechn

re applicable aux grandeurs psychiques, il a tàché de déduire de la loi précédente des for- mules mathématiques pour la

l son chromatique ou musical). On a découvert que la validité de la loi de Weber en général comportait des restrictions

e nous prendrons comme point de départ, lorsque nous étudierons les lois psychophysiques dans des conditions pathologiqu

s pathologiques. Nous chercherons non seule- ment la façon dont ces lois se comportent dans l'orga- nisme malade, mais a

'est pas non plus assez énergique pour empêcher la tête d'obéir aux lois de la pesanteur. Les seuls signes de la sensibi

que, on avance certainement un fait vrai, mais on n'établit pas une loi générale : il reste à dire pourquoi tel hypochond

laisse à dé- siler. Pierre Marie. SÉNAT DISCUSSION DU PROJET DE LOI SUR LES ALIÉNÉS' Suite de la séance du mardi 30

rsonnellement ses soins; dans ce cas, dis-je, il n'y a rien dans la loi : pas de nécessité de déclaration, pas de surveil

questration. Dans cette hypothèse prévue à l'article 8 du projet de loi , que le malade soit soigné par ses plus proches

re de recourir aux moyens de surveillance établis par la pré- sente loi , décider, etc. » J'admets, sans doute, le droit

vent se présenter à de rares intervalles que le législateur fait la loi , c'est pour la généralité des cas. Prenez garde

aura été rapportée ? Irez-vous jusqu'au point où vous allez dans la loi actuelle ? '1 Etablirez-vous, non plus seulemen

entif; que l'on a poursuivi sans relâche l'abrogation de toutes les lois qui disaient aussi : Nous voulons empêcher tel

iénation mentale. Vous aurez beau inscrire cette obligation dans la loi , je doute qu'elle soit observée; elle aura les

t les moeurs, on l'a proclamé souvent, sont plus puissantes que les lois . Je crois que vous vous heurterez à un sentimen

ières explications de M. le rapporteur, la sanc- tion prévue par la loi ne s'y applique pas, ou qui entralneraient des

le sentiment public vous empêcherait d'exiger l'ap- plication de la loi que vous auriez édictée. Je crois, messieurs, en

avec nécessité de le tenir enfermé », parce qu'il apportera dans la loi une précision qui doit empêcher tout arbitraire

s'agit d'une des modifications les plus considérables proposées àla loi de 1838 parla commission. Cette loi n'avait pré

lus considérables proposées àla loi de 1838 parla commission. Cette loi n'avait prévu, édicté aucune mesure de protecti

domicile par un étranger. Eh bien, il a été constaté depuis que la loi de 1838 est pratiquée, que des abus nombreux se

ement et la commission vous demandent de combler cette lacune de la loi de 1838. L'ho- norableAl. Roger-Marvaise et l'h

aité à domicile, même par un étranger, s'il n'est pas séquestré, la loi n'a pas à intervenir. L'Etat doit s'abstenir, e

partagez ce sentiment, il faut maintenir purement et simplement la loi de 1838, car l'honorable M. Roger- Marvaise ne

très bien ! sur divers bancs.) Voilà, messieurs, le principe de la loi . Voilà la. pensée qui a inspiré la disposition

cle 7, vous aurez rejeté une des meilleures réformes apportées à la loi de 1838. M. DE GAVARDIG. Elle est détestable !

.) M. LE MINISTRE. 11 y avait véritablement sur ce point, dans la loi de 1838, une lacune considérable, et, en vérité,

l'ai montré au Sénat, la partie la plus importante de ce projet de loi ; ainsi que je le disais au début de la discus-

ce que j'avance. On nous dit : Mais il s'agit de faits isolés ! Les lois ne sont pas faites pour des cas exceptionnels.

lois ne sont pas faites pour des cas exceptionnels. Messieurs, les lois sont faites pour réprimer les abus, quand ces a

puissant à se défendre. Ne l'oubliez pas, en effet, mes- sieurs, la loi que vous discutez en ce moment, a pour objet prin

'intervention de l'autorité judiciaire qui domine tout ce projet de loi . Que l'aliéné soit admis dans un asile public,

qui a qualité pour le priver de sa liberté. Voilà le principe de la loi . (Très bien ! très bien ! sur les mêmes bancs.)

e de la loi. (Très bien ! très bien ! sur les mêmes bancs.) Cette loi n'est pas une loi de police, c'est une loi d'assi

ès bien ! très bien ! sur les mêmes bancs.) Cette loi n'est pas une loi de police, c'est une loi d'assistance. Nous vou

les mêmes bancs.) Cette loi n'est pas une loi de police, c'est une loi d'assistance. Nous voulons protéger la personne

s, en effet, combattre le principe même de l'article 7 du projet de loi . Jamais je n'ai dit que l'Etat ne devait pas ex

jamais je n'ai dit qu'il fallait laisser subsister la lacune de la loi de 1838. Seulement ce que j'ai proposé au Sénat

ue possible l'arbitraire. Ainsi j'admets l'article 8 du projet de loi , c'est-à-dire cette obligation dans laquelle se

afin d'empêcher toute espèce d'arhitraire dans l'application de la loi . Je vais même beaucoup plus loin. A mon sens, c

que j'émets, je puis me tromper, il me semble que l'article 7 de la loi , par lequel on établit la surveillance de l'Eta

vec M. le ministre que c'est l'article capital et fondamental de la loi , parce qu'il est appelé à déterminer - et je cr

at dans le sanctuaire de la famille. Elle y est entrée déjà par les lois scolaires (Exclamations à gauche), et aujourd'h

ions à gauche), et aujourd'hui elle cherche à y pénétrer grâce à la loi sur les aliénés. Ah ! cette loi, si vous arrive

lle cherche à y pénétrer grâce à la loi sur les aliénés. Ah ! cette loi , si vous arrivez jusqu'au bout, pourrait être a

'aime pas ce mot-là, mais enfin il est à la mode ! - (Rires) que la loi de 1838, loi excellente, vous allez le voir, d'

mot-là, mais enfin il est à la mode ! - (Rires) que la loi de 1838, loi excellente, vous allez le voir, d'après les méd

l'ensemble; on prendra une idée plus exacte des dispositions de la loi , et, ensuite, nous pro- céderons par voie de di

propose de voter : le paragraphe 2 de l'aiticle. lime semble quela loi ne perdrait rien au fond et qu'elle gagnerait b

aux prescriptions du pa- ragraphe 5 de l'article 16 de la présente loi . « Le procureur de la République, après avoir t

re de recourir aux moyens de surveillance établis par la pré- sente loi , décider que le tuteur, conjoint ou parent qui fa

ndre une mesure, de s'adresser au tribunal qui seul, en vertu de la loi nouvelle, peut prononcer un internement, un pla-

fût insérée dans l'article de la commision, que cela complétait la loi d'une manière précise ; et il y a quelque chose

gie de ces établisse- ments, prévues par l'article 5 de la présente loi ; « 4° Les conditions d'organisation, de foncti

par les deux derniers paragraphes de l'article 1 cr de la présente loi ; des quartiers d'ob- servation annexés aux étab

t constitué le fonds commun prévu par l'ar- ticle 48 de la présente loi ; « 6° Les bases générales du concours des comm

leurs élèves, après les transformations rendues nécessaires par la loi du 30 juin 1838, l'assistance publique des aliéné

pourvoir d'hôpitaux de moyenne grandeur pour leur cure rapide. Nos lois et notre système d'asiles tend directement à la c

adies mentales dans leurs formes chroniques. Les obs- tacles que la loi dans sa bêtise bienveillante met à un prompt tr

n était pas moins celle des gens dont l'union a été consacrée parla loi .. Je n'exagère pas en disant que la moitié au m

nt à l'opinion du procureur général Barbier et du rapporteur sur la Loi française, Th. Roussel. P. K. XI. CONTRIBUTIONS

même jour, 24 mai, M. le Dr Laborde constatait, conformé- ment à la loi , l'état mental de M. le baron Seillère et adressa

cales, etc.). XVIII. M. BOTKIN a démontré dans son rapport « sur la loi des aliénés en Russie » les côtés faibles de la

ipalement sur les mots vagues «folie et « démence » par lesquels la loi désigne toutes les formes de l'alié- nation men

t de l'insuf- fisance du système d'examen médico-légal exigé par la loi . XX. La communication de M. Tscerscxoxx traite

russe sur les aliénés et adresse ensuite une critique sérieuse à la loi actuelle. Parmi les conclusions de l'auteur, no

Pologne; la deuxième de 1050 à 1840, année de la publication de la loi sur l'assistance des aliénés; la troisième péri

situation en Pologne est réglée comme pour toute la Russie par la « loi sur les aliénés ». Quant aux données statistiques

iques ne sont que des mouvements du protoplasma subordonnés à cette loi générale du mouvement dans la nature : un mouve

me en mouvement de masse et réciproquement. En se fondant sur cette loi il devient possible d'expliquer d'une façon schém

ication de toutes les propriétés des éléments nerveux à l'étude des lois de la mémoire. Les fonctions préparatoires de l

la faculté de savoir, d'apercevoir, etc., sont soumises aux simples lois physiologiques d'excitabilité et de conductibilit

ent de l'affection gastrique. P. B. SÉNAT DISCUSSION DU PROJET DE LOI SUR LES ALIÉNÉS Suite de la séance du mardi 30

e. Il aurait été peut-être plus opportunément placé à la fin delà loi ; mais la commission ne voulant pas s'écarter des

ens a reproduit à cette place, qui était celle de l'article 6 de la loi de 1838, cet article qui est formé des articles

bération, nous ferons bien de reporter cet article 9 à la fin de la loi . Je viens de dire la raison pour laquelle la co

ors, réserver tout l'article, si l'on doit le mettre à la fin de la loi ... M. DE Gwardie. C'est évident ! ' Voy. Arch

ondre lui-même à la question. Il nous a dit : C'est le résumé de la loi ; c'est la table des matières de la loi. M. LE

dit : C'est le résumé de la loi; c'est la table des matières de la loi . M. LE Rapporteur. Mais non ! 1 M. de GAVARDI

vez dit vous-même que cet article était la table des matières de la loi , et M. le ministre de l'intérieur, dont je surv

ge du rapport du docteur Blanche ? Voici ce que j'y trouve : « La loi du 30 juin 1838, inspirée par sentiments les plus

d'administration publique qui portent sur tous les détails de cette loi . Eh bien, je dis que cela n'est pas justifié, e

ur me dit que l'article 10 est la reproduction de l'article 6 de la loi de 1838 j eh bien, je trouve que cette loi est ma

ion de l'article 6 de la loi de 1838 j eh bien, je trouve que cette loi est mauvaise sous ce rapport-là ! Je n'aurais p

sous ce rapport-là ! Je n'aurais pas demandé la modification de la loi de 1838 pour ce simple détail; mais puisque en

(Réclamations à gauche.) Mais oui ! Un homme compétent a dit que la loi de 1838 ne méritait pas - les accusations dont

ù, lui, Etat, n'a pas le droit d'entrer. Je n'ai pas de texte de la loi de 183S sous les yeux. M. le rappor- teur préte

termes de l'article -10 sont les termes mêmes de l'article 6 de la loi de 1838; si réellement de la loi de 1838 a été

termes mêmes de l'article 6 de la loi de 1838; si réellement de la loi de 1838 a été rédigée ainsi, je dis que c'est d

Président. Vous oubliez que vous avez dit que ceux qui voteront la loi mériteraient d'être placés dans un asile d'aliéné

e; en 1877, des Recherches pathologiques ; en 1878, des Extraits de lois relatives à l'aliénation, et un Mémoire sur le

janv. 1887.) A. R. La garde des personnes prétendues aliénées. - La loi devrait préciser où et comment une personne qu'

it suivre leur cours à ces affaires, de sorte que les défauts de la loi puissent être vus sous leur véritable aspect, (

r notre malade et par suite on ne peut plus donner cela comme une loi . Les trois ordres de moyens d'hynotisation que

plexe, dont l'intelligence exige la connaissance préliminaire des lois qui régissent les deux fonctions élémentaires d

stés à la détermina- tion de la perceptibilité différentielle. La loi de Weber établit ceci, que la perceptibilité dif-

etc., la grandeur absolue de ces deux poids. Sous cette forme, la loi de Weber n'a pas été abso- DE LA PERCEPTIBILITÉ

de la vue; tous les observateurs sont d'accord sur ce point, que la loi en question n'est acceptable en tout cas, que d

détachant sur un fond blanc et également à peine perceptible. La loi formulée par Wolfssberg : « L'acuité visuelle d

agit encore là ' dans l'espèce d'une application particulière de la loi de l'hérédité dans les maladies du système nerv

ent du Be1'line/' Klin. Wochenschr. SENAT DISCUSSION DU PROJET DE LOI SUR LES ALIÉNÉS Séance du jeudi 2 décembre 1886

jour appelle la suite de la première délibération sur le projet de loi portant révision de la loi du 30 juin 1838 sur

a première délibération sur le projet de loi portant révision de la loi du 30 juin 1838 sur les aliénés. La parole est

moment à voter, nous amène à la 2° section du titre 1° du projet de loi . Cette section est intitulée «de la Surveillanc

u projet du Gouver- nement pour combler la plus grande lacune de la loi de 1838, la- cune que, suivant nous, le projet

iciles privés. Je ne reviendrai pas sur les reproches adressés à la loi de 1838 au point de vue de la surveillance qu'e

es intérêts des aliénés. Les défenseurs les plus autorisés de cette loi , ceux qui lui ont rendu justice avec le plus d'

s éloges qu'il lui adressait devant le Sénat et l'Empire, que cette loi n'avait pas été assez mé- fiante, n'avait pas a

par l'intérêt même qu'ils portaient à l'aliéné, a été de faire une loi d'exécution prompte et facile, dégagée le plus

lications de l'action judiciaire. « Nous ne vou- lons pas faire une loi judiciaire », disait expressément M. Vivien, le

oi judiciaire », disait expressément M. Vivien, le rapporteur de la loi . On voulait faire plutôt une loi administra- ti

ent M. Vivien, le rapporteur de la loi. On voulait faire plutôt une loi administra- tive et surtout une loi d'assistanc

oi. On voulait faire plutôt une loi administra- tive et surtout une loi d'assistance; mais on a voulu cependant, et on

l'expliquer, il suffit de rappeler les termes de l'article 4 de la loi , dans lequel se trou- vent réunis et résumés to

réunis et résumés tous les éléments de surveillance établis par la loi en faveur de la liberté individuelle et du contrô

ement l'espoir que la sur- veillance qu'il instituait ainsi dans la loi serait effective, constante, efficace : « La su

ment sa responsabilité, s'il négligeait d'user de l'autorité que la loi lui confie ». Eh bien ! pour être plus bref e

ient à apprécier le fonctionnement du système de surveillance de la loi de 1838, il s'exprime ainsi : « Le défaut cap

de la loi de 1838, il s'exprime ainsi : « Le défaut capital de la loi de 1838 est d'avoir établi un système de survei

acquise par l'administration sur l'application de l'article 4 de la loi de 1838. Ce que je viens de 434 Il SÉNAT. dir

établie en vue de la protection de la liberté individuelle. Mais la loi de 1838 avait en vue aussi la surveillance à ét

igneront un de leurs membres pour les remplir, etc. » , Ainsi, la loi semblait admettre, sans rien préciser à cet égard

ait indéterminée, vague et insuffisante la protection donnée par la loi à l'administration des biens des aliénés. On

it dès qu'il fut question de s'occuper de la mise en pratique de la loi , et l'ordonnance royale du 18 décembre 1839 dut

s occuper ici que d'une seule des attributions que leur a faites la loi : l'administration des biens des aliénés. Je po

dans les autres asiles, la protection était complètement nulle. La loi n'ayant rien prévu pour les asiles privés, l'admi

savoir que la double surveillance prévue mais non assurée, dans la loi de 1838, en vue de la protection de la liberté

s et aux soulèvements d'opinion auxquels donne lieu trop souvent la loi de 1838, ait cru qu'il suffirait presque pour c

qu'il suffirait presque pour cela de changer le caractère de cette loi , d'en faire une loi judiciaire, et de faire déc

sque pour cela de changer le caractère de cette loi, d'en faire une loi judiciaire, et de faire déclarer par le Parleme

eurs, je n'ai pas à examiner en ce moment cette partie du projet de loi , cette grande « innovation » faite par le Gouvern

erte, Isambert, 426 SÉNAT. Odilon Barrot, qui voulaient faire uue loi judiciaire, et les orateurs éminents qui ont fa

surveillance. Suivant elle, l'appareil judiciaire introduit dans la loi ne serait qu'une apparence trompeuse, une vaine

ontrôle nouveaux, plus sérieux, mieux étudiés que dans l'an- cienne loi , n'étaient pas établis par la loi nouvelle pour é

eux étudiés que dans l'an- cienne loi, n'étaient pas établis par la loi nouvelle pour éclairer la justice et être mis à

rganiser une surveillance s'étendant à tous les aliénés auxquels la loi nouvelle doit s'appli- quer. Pour être effect

de l'Etat et d'une compétence éprouvée, à un ou plusieurs hommes de loi dans une situation d'indépendance et d'honorabi

de la législation de 1838, qu'elle appa- rait à l'origine de cette loi et qu'écartée, pour ainsi dire, acciden- tellem

is, dans les études et les discussions auxquelles la revision de la loi de 1838 a donné lieu, une consistance et les ca

aractères pratiques qui doivent la faire entrer dans le cadre de la loi nouvelle. Le projet de loi primitif, élaboré pa

nt la faire entrer dans le cadre de la loi nouvelle. Le projet de loi primitif, élaboré par le conseil d'Elat et pré-

8 et qui est devenu, avec certaines modifications, le système de la loi de 1838. La suppression de l'action du préfet p

seront plus données. » Le projet, disait encore le rapporteur de la loi , tout en ordonnant que celte commission soit of

obtint qu'on s'en tînt aux mesures contenues dans l'article 4 de la loi dont j'ai lu tout à l'heure le texte. Mais ce r

ssance des arguments qu'ils puisaient dans la propre pratique de la loi de 1838. M. Vaney, substitut du procureur génér

pratique qui lui fit prendre place dans un projet de revision de la loi rédigé par une commission dont un éminent conseil

nés dans une tradition constante qui remonte à l'origine même de la loi sur les aliénés. La commission du Sénat n'a fai

fs à tous ceux qui ont examiné de près le fonctionnement actuel des lois anglaises sur les aliénés; cet élément, c'est l

cin chargé de veiller sur l'état mental de l'aliéné et à l'homme de loi chargé de l'administration provisoire de ses bi

el nous pro- posons de remplacer les articles 11 et 12 du projet de loi . Dans ce texte, la commission permanente a disp

sa vraie place dans la discussion des articles 11 et z du projet de loi , mais seulement dans la discussion de l'article

conscription, sous l'autorité du préfet, l'exécution de la présente loi et des règle- ments relatifs aux aliénés, assur

s antécédents de la question soulevée par l'article 11 du projet de loi . Cet article 11 place comme pre- mière assise d

é d'une commission déjà existante, qui subsiste dans ce pro- jet de loi , c'est-à-dire la commission administrative de sur

rative pour tous les aliénés qui ne sont pas interdits : l'homme de loi . Quelles étaient, en effet, messieurs, les lacu

Quelles étaient, en effet, messieurs, les lacunes de la très belle loi de 1838 ? Je ne parlerai pas du silence qui avait

le placement définitif. Les hommes compétents qui discutèrent celte loi , les deux éminents rapporteurs à la Chambre des

rantie. Mais, pour eux, le but principal était d'abord de faire une loi de guérison et ensuite une loi d'administration.

principal était d'abord de faire une loi de guérison et ensuite une loi d'administration. Ils étaient, avant tout, préo

itua- tion complète d'abandon. Pour tous ces cas particuliers, la loi de 1838 avait été insuffi- sante, la magistratu

ts, et c'est quelque chose, quand on veut~mettre en application une loi comme celle- là, que d'avoir de son côté l'opin

de son côté l'opinion publique. Il faut bien le dire, messieurs, la loi de 1838 avait trop compté sur l'efficacité du n

reur du roi qui remplissait sa mission. Il devait, aux termes de la loi de 1838, visiter au moins tous les six mois les

r satisfaction à l'opinion publique et combler l'insuffisance de la loi de 1838. C'est alors que la commission sénatori

de législation étrangère, travail qui avait passé dans le projet de loi déposé en 1872 par notre honorable et savant co

scription, sous l'autorité du préfet, surveillera l'exécution de la loi et des règlements relatifs aux aliénés, assu- r

ditions qui permettent à ces deux agents de combler la lacune de la loi de 1838. Ce qu'il faut avant tout dans une loi

bler la lacune de la loi de 1838. Ce qu'il faut avant tout dans une loi semblable, c'est assurer aux malheureux des pro

e le reconnais très volontiers. Néan- moins, les dispositions de la loi de 1838 étaient supérieures à tous les points d

les personnes s'exerçait de la manière suivante : Article 4 de la loi de 1838 : « Le préfet et les personnes spécia-

é touché par une de ces maladies ter- ribles. Eh bien, alors que la loi de 1838 versait quelques rayons de lumière, vou

voué rapporteur, si plein de son sujet, lorsqu'il veut justifier sa loi des abus que présentait la loi de 1838. Des abu

n sujet, lorsqu'il veut justifier sa loi des abus que présentait la loi de 1838. Des abus, nous dit-il, il en a vu part

st évident ! Mais mettez en comparaison l'inconvénient auquel votre loi ne remé- diera pas de laisser effectuer quelque

rd de vue. En ce qui regarde les personnes, il y avait donc dans la loi de 1838 une sur- veillance suffisante. Mais, en

a été lu par l'honorable 11. Roger-Marvaise et par moi, que cette loi de 1838 ne méritait pas les attaques dont elle av

à la faiblesse humaine, il reste cet aveu, dont je m'empare, que la loi de 1838 ne mérite pas les accusations dont elle

pas les accusations dont elle a été l'objet. Vous voulez faire des lois parfaites ? Vous n'en ferez jamais ! Les lois o

Vous voulez faire des lois parfaites ? Vous n'en ferez jamais ! Les lois ont toujours besoin; pour leur application, du

s. Faites donc choix de bons directeurs; toutes les lacunes de la loi de 1838 étaient là. Lorsqu'on parlera de la quest

ec- teurs vous n'aurez rien fait. Toutes les complications de votre loi 442 varia. quelque 'savantes qu'elles soient,

mplications multiples que vous introduisez inuti- lement dans votre loi , des secrets qui devraient rester dans le mystè

moins pour le moment à vous faire bénéficier des dispositions de la loi du 9 juin 1853 sur les pensions civiles. Mais i

tulaires dans les conditions prévues par les articles 13 à 16 de la loi de 1853; et, comme tout progresse avec le temps

é, 299; - (législation de l'assistance des), par Boutzké, 297 ; - loi sur les - au Sénat, 136, 307, 421; (la garde de

, dans le cercle étroit où l’ignorance le retient, il ne peut voir la loi unique par laquelle tout se meut dans l’univers.

jour une branche importante de la physique fut constituée. Par une loi divine de transformation et de progrès, loi évide

fut constituée. Par une loi divine de transformation et de progrès, loi évidente pour tous les hommes réfléchis et studie

ment des faits, mais des causes qui les déterminent, et bientôt cette loi de solidarité qüi rend toutes les parties de l’un

douleurs. Entrez donc dans ce merveilleux laboratoire, entrez-y aveu loi et sans crainte, pourvu que le serpent d’Esculape

médecin, croyez-vous? Non, mais il viendra un homme qui, étudiant les lois de la vie dans le magnétisme et le somnambulisme,

té, quelquefois impossibilité de se maintenir .debout (obéissance aux lois de la pesanteur), apparence d’ivresse, trouble de

u’à ce jour de cé nombre. En attendant que les savants découvrent les lois qui le régissent, jouissons-en , appliquons-le se

les vœux de la commission étaient « exaucés, nous aurions bientôt une loi qui nouspri- •« vernit du secours du somnambuli

vérités somnambuliques. Mais il faut espérer qui* « lors du projet de loi à la Chambre il y aura des « hommes qui sauront l

ar le désir de bien faire, vous étudiez les Ecritures, y cherchant la loi pour vous conduire et guider les autres hommes, m

cette tendance pédantesque aide en rien à l'intelligence de la belle loi des équivalents qu’elle veut traduire. On se disp

ordinairement, et peut-être ne l’eussions-nous pas découvert si deux lois il ne l’eût emporté sur le second. Présupposant

e sur leur valeur, et rattachez-les à ce que vous connaissez déjà des lois de la vie. L’amour de la vérité pourra un jour vo

tiendra la sanction universelle. Quel est le génie qui trouvera cette loi ? car elle existe; personne ne le peut dire encor

gendie conteste les faits ; c’est tout naturel, ne connaît il pas les lois de la vie, n’en a-t-il pas tracé les limites? La

omis de venir au secours de tant de gens vertueux et de présenter une loi pour qu’à l’avenir vous, moi, tous, nous passions

es, un ministre a pris de solennels engagements, ©t, assure-t-on, une loi qui réglera nos destinées sera prochainement prés

ues soi-disant médicales, et malheureusement je crains que toutes les lois sur la médecine ne puissent réussir à déraciner d

en face de pareils inconvénients il faut moins s’attacher à faire une loi ou un règlement qu’à donner aux études nouvelles

son métier de magicien. Habillé comme les écrivains ou les tommes de loi ,.il parlait fort simplement de toutes choses et m

s autres secretsqu’il ne faisait qu’indiquer dans la conversation. On loi apporta la pipe et le café, et, pendant qu’il par

n oercle autour de à’Algérien, qui fit asseoir un des enfants près de loi , lui prit la main et sembla le regarder attentive

e sujet, tombant presque aussitôt dans un coma, obéit tout entier aux lois de la gravitioa, et ensuite est sensible è l'attr

p plaisanté, puis on en est venu aux gros mots, en sommant, de par la loi , l’insertion d’articles injurieux, mais qui ne dé

jo lui dis, pour toute réponse, que sa défense était contraire à- la loi et que je la considérais comme non avenue. Les

tère et ù s’éloigner du département, « sous les peines prévues par la loi . * Le capitaine; commissaire de police, « Den

atiquer,, conséquemment dans quelque lieu que ce fût. • Projet de loi contre nature. — La fameuse loi sollicitée par le

lque lieu que ce fût. • Projet de loi contre nature. — La fameuse loi sollicitée par le Congrès médical de Paris contre

it: « J’es-« père, avant la fin de la session, déposer ce projet « dé loi , non pas avec l’espérance qu’il pourra, dans la «

’espérance qu’il pourra, dans la « présente session, être converti en loi , mais avec la « certitude qu’il deviendra, pour l

médecine, pages 101 et possim. soit adopté par les Chambres, cette loi pourra-t-elle être appliquée ? ¡¡Nous ne le penso

ueusement devant la puissance et la supériorité de la nature. Non, la loi qui sera rendue ne remplira pas le but que se son

ille, qui n’avait jamais ouï parler de Versailles, ni vu personne que loi de là cour. Elle regarda, et leur expliqua longue

r aux médecins, afin qu’une fois convaincus ils puissent proposer une loi réglant le magnétisme, de manière à ce que nul ne

n, bien loin de nous, dans l’avenir, je vois d’autres mœurs, d’autres lois , une autre justice; et toutes ces choses s’accomp

n'est plus.... Les corps savants, etc. Galilée a beau décrire Les lois du glube ici-bas, Les savanis se r’mu’nl pour d

a source nous dispense d’insérer la seconde, plus édifiante encore. Loi de santé portugaise. — Jvis à Messieurs du Congrè

it de la fièvre, pourquoi ne prendriez-vous pas au Portugal la petite loi de santé qui produit en ce moment de si merveille

rtout contre la perception d’une taxe très-onéreuse constituée par la loi de santé. Le premier tumulte a été occasionné par

pauvre paysan, vu qu’il n'y avait pas de certificat de médecin que la loi exige. Le médecin est autorisé à exiger pour un c

r qu’accidentellement, pour se idopnor entièrement à la recherche des lois du ma^nélismc^.dont la moindre fera plus de bien

on, de la respiration, le principe de la vie, la volonté humaine, les lois de la gravitation, l’électricité, le galvanisme s

la question est à l’étude, nous vous la signalons; soumettez-la à des lois fixes et irrévocables qui augmentent celles que n

dit jamais que mon âme dépendrait de la tienne? Y a-t-il au monde une loi qui m’enchaîne à toi? Ma mère a-t-elle signé un c

ainsi que tu abuses de ta force? La nature est donc barbare dans ses lois ; elle veut donc que le faible soit opprimé au pro

e mérite aucun reproche, il a suivi son code, appliqué ¥article de la loi . Il était juge sans responsabilité, et personne n

cères abdominaux. 42 Institution royale de Londres. 240 Jauuisse. 128 Loi de santé portugaise. 289 Le magnétisme décrit par

*98 Pensées de M. de Balzac. 25 Prévisions. 132, 15S Prnjel tic loi conlrc nature. 257 Prix somnamhulique. 224, 287

ar les yeux d’autrui? Oh ! race humaine, tu permets qu’on dévie des lois île la nature, et te soumets sans murmure à des c

strument de guérison , qu’ils l’étudient pour en faire comprendre les lois , rien de mieux; mais ne les rendez jamais déposit

herches dans le domaine de l'inconnu, afin qu’ils suivent aussi cette loi non moins impérieuse qui porte les hommes à toujo

u génie. Tel fut le prix, Mesmer, de les nobles travaux, Gloire à loi , qui portas la couronne d’épine ; Le Christ, ac

état inculte et sauvage; les autres que dans un état modifié par les lois et les mœurs, qu’on appelle civilisé. Ni l’une

entiel à l’cncliaînement universel des êtres, auquel il tient par des lois immuables qui le gouvernent lui-même. Son organis

me. Son organisation, comme sa conservation, étant un résultat de ces lois , ce n’est que dans le mécanisme de l'une et de l’

tc. Il reçoit de la société dans laquelle la nature 1 avait placé des lois particulières à son espèce. Sa première existen

ons qui le rendront ou vicieux ou vertueux; car ce ne seront plus les lois ou les instructions tardives qui pourront changer

l’enfant cette opinion que « nul, impunément, ne peut enfreindre les lois que la nature lui a imposées, et que rien ne pour

rtient, car aucun ne réclame; d'ailleurs, ils le feraient en vain, la loi nous autorise et leurs plaintes seraient vaines.

jusqu’à elle. La foi n’est donc qu’une vue voilée, la vision qu’une loi plus nelte, plus lucide; et cette faculté dont le

de guérir qui s’appuie suides faits incontestables, sur une puissante loi de nature, et vous détournez les yeux! Qui êtes-v

hommes. Il est positif ou d’habitude. Le premier est exprimé par les lois , l’autre est ce qu’on nomme les mœurs. Tous ccs

ctions ne sont dirigées que par les motifs. Le motif est soumis aux lois communes du mouvement. Il agit en raison composée

lonté générale, et les propositions qui expriment cet accord sont les lois . Comme il est incertain dans une société nombre

rté de tous les citoyens qui est manifestée et exercée en faisant des lois et en établissant des moyens pour leur exécution.

nne, transmise lorsqu’on la possède pur la volonté d'autrui ou par la loi . (La tuile prochainement.) THÉORIES. FASCIN

servir à l'instruction publique en France, par F.-A. Mesmer. § 3. — Lois . La société doit ordonner et régler tous les mo

oposées à tous les membres qui la composent pour leur sûreté sont les lois . Ces lois, qui émanent de la volonté de chaque

us les membres qui la composent pour leur sûreté sont les lois. Ces lois , qui émanent de la volonté de chaque membre, sont

sens; 3° Par les passions ; 4" Par les mauvaises habitudes. Les lois sont donc les décisions de la raison et de TOME I

ser aux passions et aux intérêts mal entendus des particuliers. Les lois qui ont pour objet la sûreté des sociétés entière

s membres individuels sont appelées la politique externe. Les mêmes lois qui règlent les intérêts, les actions et les habi

les habitudes de tous les membres qui composent une société sont les lois civiles ou la politique interne. L’application

té sont les lois civiles ou la politique interne. L’application des lois aux actions est la justice pratiquée par les trib

oit être juge de ses propres actions ; par conséquent il faut que les lois soient claires et précises, déterminées, suffisan

es membres qu’elle suppose les plus éclairés et les plus sages. Les lois seraient inutiles si elles n’étaient point exécut

es. La réunion do tous les moyens pour le maintien et l'exécution des lois est l’autorité. L’autorité consiste dans la for

dans la force et le pouvoir suprême de soumettre tous les membres aux lois . Comme elle n’.est que l'exercice ou la pratique

l'exercice ou la pratique de la législation, elle n’existe, comme les lois , que par la volonté réunie des citoyens. La loi

’existe, comme les lois, que par la volonté réunie des citoyens. La loi n’étant point opposée à la liberté, mais en étant

sur deux bases inséparables : 1" La suffisance et la perfection des lois ; 2' L’autorité. Dans tous les cas, la perfect

nfin que personne n’ait le pouvoir d’être injuste ou d’enfreindre les lois . Un"peuple est libre lorsqu’il a lo pouvoir de

s. Un"peuple est libre lorsqu’il a lo pouvoir de faire lui-même les lois et de déposer les moyens de leur exécution entre

our se confondre. Diderot, en face d’un renversement si étrange des lois naturelles, s’écrie avec plus d’esprit que de pro

hiques d’agents inexplorés. Cette innovation compromet gravement la loi fon-mentale de la thérapeutique halinemanienne :

re du magnétisme. Les nombreux ouvrages de cet écrivain prouvent à la lois son zèle et son devoir. Dévoré de cc feu divin qu

dans le seul but d’appeler l’attention de l’Athénée sur l’étude d’une loi importante du magnétisme dans ses applications ph

applications physiques au soulagement et à la guérison des maladies : loi qui jusqu’à présent a été méconnue ou oubliée par

gnétique animal soient disposés à croire qu’il est régi par les mômes lois que les autres fluides. La polarisation du flui

assant par l’axe du corps est le point d’équilibre ou équateur. Cette loi s’étend également à chaque partie du corps prise

nnulaire au pôle opposé; le doigt médium est l’équateur. 5° La même loi régit les organes intérieurs, et l’équilibre de l

et même que ce fluide était, dans les corps animés, soumis aux mômes lois de polarité que dans les corps inanimés. Il ya fo

es particuliers ne sont que des modifications. Nous reconnaîtrons les lois qui régissent ces modifications et la cause des d

santé; lo fluide y circule librement d’un pôle à l’autre, suivant les lois établies par la nature; si, par accident, de l’ea

membre, il établit au point de contact un pôle insolite contraire aux lois de la nature; de suite l’équilibre est rompu, la

t et passant aussi par l'axe vertical médium est l’équa-teur. Cette loi s’étend également à chaque partie du corps prise

tent des humeurs acides, d’autres des humeurs alcalines(1). Si cette, loi qui établit la polarité électrique, non-seulement

ue, dans le corps humain, qu’ils fussent soumis l’un et l’autre à des lois différentes. 11 faut espérer qu’à force d’étude

is néanmoins la mettre en doute. M’est-ce pas aussi en raison de la loi de polarité que la plupart des auteurs de magnéti

indiquer autre chose qu’une habitude prise dès longtemps sans aucune loi , l’homme primitif devant être aussi fort et aussi

droite semble avoir prévalu ; cela ne serait-il pas le résultat de la loi de polarité, et ne serait-ce pas à la nature de s

en reconnaître et d’en démontrer l’erreur ou la vérité. Il existe des lois qui régissent le fluide magnétique; ces lois sont

la vérité. Il existe des lois qui régissent le fluide magnétique; ces lois sont analogues ou semblables ¿celles qui régissen

es ¿celles qui régissent les autres fluides impondérables. Une de ces lois est la polarité; elle est appliquée au fluide mag

e un art de guérir, il faut encore l’intelligence do la nature et des lois de l’agent magnétique. Enfin la magnétisation n

onté; et si l’on agit à distance ou sans gestes, c’est on'vertu do la loi d’attraction et de répulsion des pôles, aidée de

n'vertu do la loi d’attraction et de répulsion des pôles, aidée de la loi de sympathie entre le magnétiseur et le magnétisé

confrères? A l’œuvre chaque jour ils peuplent mes Etals ; Mais de loi Rien ne vient chez moi !..... — Le moyen? rép

s amis, d’un conseil salutaire ; Pour n’obéir trop tôt à la commune loi , Gardez-vous, s’il se peut, du triste ministère

verre, le cours de ventre reprenait comme précédemment. J’ai tant de lois répété cette expérience, et toujours à l’insu de

fin l’enseignement rationneldesphénomènesqu’il produit, et surtout la loi qui préside à leur développement. C’est une tâc

ependant que le baron du Potet, ce grand et religieux observateur des lois de la nature, ait un privilège exclusif pour prod

étruit beaucoup de préventions. La propagande étant son but, la bonne loi son guide, l’expérience et la parole ses moyens,

de ses habitudes avec la régit de la société. , , C’est donc une loi également fondamentale de la société qui doit o

t immédiat de la société coniugale, le mariage doit être soumis a ses lois , et les époux contractent envers la société civil

positions nécessaires pour s’v conformer; et par une suite de la même loi , s’il se trouvait des enfants abandonnés, orpheli

riture, le calcul, la musique et le dessin ; 2" La connaissance des lois du pays où l'ouest né et de son gouvernement; 3

ainsi placé, obéissant uniquement à l’impression de la nature et aux lois de la végétation qui ont formé ses organes, trouv

té leur donneront, sans aucune instruction, les premières notions des lois , de la justice, de la liberté, de 1 égalité, de l

nce, à sentir à chaque instant celte règle de la nature fondée sur la loi éternelle de l’équilibre : « Ne faites pas aux

saires à son émission ; mais on ne vous avait pas dit qu’il avait des lois fixes, immuables, sans la connaissance desquelles

simplicité ; mais l’auteur en abuse bientôt en voulant ranger sous sa loi nombre de phénomènes nerveux qui ne sont point de

toute simple que la même matière qui s'organise sous l’influence des lois de la vie, cristallise sous celle des forces phys

tranquillement. « Ce serait, dit-il, mentir à la justice, fausser la loi existante que de l’appliquer aux faits de magnéti

ceci rien qui ressemble aux pratiques répréhensibles que condamne la loi ? La barbarie seule trouverait dans son code des

que condamne la loi ? La barbarie seule trouverait dans son code des lois pour nous punir; car nos actes sont tout chrétien

t-il pas temps que la nature outragée trouve des vengeurs, et que ses lois trop longtemps oubliées reprennent leur empire?

étuent des maux que nous avons le pouvoir de détruire. « Il est des lois pour punir l’homme qni manque à son mandat; qui p

se plaider devant un tribunal national, les juges montreraient que la loi n’est point établie pour protéger le mal et empêc

’eau de riz ; mais la perte continuait. Je magnétisai la malado trois lois . La perte s’arrèla. Celle femme était portière de

e médicaments, et ne pouvait être atteint par les ar(. 36 et 37 de la loi du 19 ventôse an XL Pendant que ce procès s'ins

e qui vient déranger ses combinaisons simples et régulières altère sa loi et produit des monstres: ainsi de même encore dan

Andriveau, témoin de ces curieuses expériences, les a rattachées aux lois astronomiques, ainsi qu'on va le voir par le mémo

e théorie de Newton; Kepler en a tracé les éléments dans les célèbres lois qui portent son nom. Quant à la cause du mouvemen

« Il y a dans la nature trois choses : la substance, la force et la loi . Eh bien ! la substance, elle varie à tout moment

de lieu et de concentration. Il n’v a qu’une chose immobile, c’est lu loi mathématique , et c'est cette immobilité de la lo

immobile, c’est lu loi mathématique , et c'est cette immobilité de la loi mathématique, cette impossibilité où elle est de

maintient l’ordre dans la nature. Ainsi Dieu a donné à la nature une loi immuable qui ramène tout à soi, et deux éléments

and Dieu fait un miracle, remarquez ce qui se passe. Touche-t-il à la loi mathématique? ce n’est pas possible. Dieu ne peut

s rayons d’un cercle ne soient pas égaux ; ils le sont en vertu d’une loi qui a son centre dans l’éternité divine. Aussi ja

i a son centre dans l’éternité divine. Aussi jamais Dieu ne change la loi mathématique. Sur quoi donc agit-il? En vertu de

ne change la loi mathématique. Sur quoi donc agit-il? En vertu de la loi de la pesanteur, mon bras, abandonné à lui-même,

Cependant, par la seule puissance de ma pensée, je l’élève contre la loi de la pesanteur en apparence. J’use d’une loi don

e, je l’élève contre la loi de la pesanteur en apparence. J’use d’une loi dont je suis le centre, et je contrebalance la lo

rence. J’use d’une loi dont je suis le centre, et je contrebalance la loi de la pesanteur qui m’appelait au centre de la

nous allons demander au médecin la santé, contrairement à toutes les lois apparentes de la nature, il pourrait nous répondr

nature, il pourrait nous répondre : «Est-ce «que je puis changer les lois de la nature? » 11 les change cependant. 11 vous

ui promet d’avoir égard à la pratique du magnétisme dans le projet de loi sur l’exercice de la médecine. Le Somnambule, j

ions sont fondées, sur quoi elles sc basent; en un mot, quelle est la loi qui les protège. Cette loi a-t-elle voulu asser

lles sc basent; en un mot, quelle est la loi qui les protège. Cette loi a-t-elle voulu asservir les hommes et créer dansl

ordonner des remèdes sans se rendre passible d’uno amende; mais celte loi n’est applicable que dans son esprit. En effet, i

passait de ce temps a lieu également au-. jourd’hui. Qu’a voulu la loi ? protéger la société contre l’ignorance coupable

ls ils sont conseillés. C’est enfin la cupidité et l'ignorance que la loi a voulu frapper. Les législateurs d'alors pensaie

ssion qui présentait alors beaucoup de désordre. Mais, pour rendre la loi , ils ne consultèrent point les populations; on ne

de leur imposer tel ou tel médecin, telle ou telle médecine. Aussi la loi de l’an XI, tout en créant un privilège, n’a-t-el

étaient ni justes ni humains, el que l'humanité avait son code et scs lois écrites par Dieu... Vous croyez que ce qui était

ules Lory, avocat. La grande vérité dont nous cherchons à fixer les lois se répand dans les niasses avec plus de vigueur q

l arrive, car la vérité est irrésistible : l'égner. est son but et sa loi . Rapide à son origine, le progrès du magnétisme

amende a terminé le procès «ntrepris par le ministère public C’est la loi et l’ap- plication qui en a déjà été faite à l’

de blâmer les juges ; mais il nous sera permis de dire qu’avec cette loi Jésus-Christ et les apôtres auraient élé condamné

marcher les paralytiques, ils exerçaient illégalement la médecine. La loi seule nous paraît mauvaise, et nous avons le droi

moyen du magnétisme ne doit pas être soumise aux prescriptions de la loi du 19 ventôse an XI. « Le tribunal, par son jug

punis. La condamnation qui frappe M. Poulard était inévitable : la loi est formelle, et jusqu’à ce qu’elle soit réformée

t pas de même des magnétiseurs, n’ordonnant point de médicaments ; la loi ne peut les atteindre. Le jugement du tribunal d’

omnambulisme arrivée au bal de l’Opéra. La Mouche du 10 propose une loi répressive des abus somnambuliques. Statistique

à toute autre cause, est un signe plus fréquemment constaté (trois lois plus d'après notre observation 37 % des cas) da

ervation à peu près absolue du réflexe àl'accommodation; quelque- lois la pupille réagissait à l'accommodation; mais len

es actions et réactions du neurocyme (onde nerveuse) obéissent à la loi fonda- mentale delà conservation de l'énergie ;

es : il en est de négatives et de positives : parmi cel- les-ci, la loi de l'exercice ou de l'entraînement est primordial

1907. Ne 2 ARCHIVES DE NEUROLOGIE LEGISLATION La revision de la loi du 30 juin 1838. Examen critique de la nouvelle

revision de la loi du 30 juin 1838. Examen critique de la nouvelle loi sur le régime des aliénés; l'AR le D' V. BOUIID

cins aliénistes français ont eu une surprise : la revision de la loi du 30 juin 1838, tant de fois annoncée, tant de f

ire de larges ci- tations, je supposerai connu le texte exact de la loi , que d'ailleurs les lecteurs trouveront plus lo

d'cpinion s'était dessiné en faveur d'une promp- te revision de la loi de 1838, et il semble que c'est le souci d'évit

ce projet date de 1902. Depuis 1862, il est question de refaire la loi de 1838, mais je crois inutile de passer en rev

nt dans le vif de la question. On connaît l'économie générale de la loi Dubief ; le rapporteur en a retracé, avec une é

cieux labeur. Les principaux griefs adressés par le rapporteur à la loi de 1838 sont les suivants : 10 Elle ne rè- gle

es pour sauvegarder les intérêts et les biens des LA RÉVISION DE LA LOI DU 30 JUIN 1S3S. 99 aliénés ; 3° Elle n'offre p

grand reproche, celui de tous les'jour- nalistes qui ont attaqué la loi de 1838,celui que l'opinion publique, égarée pa

liénistes étaient les premiers à réclamer la revision de l'ancienne loi , qui ne s'adaptait plus suffisamment aux exigen

la psychiatrie mo- derne, ils ont tous rendu justice à cette belle loi , que la pratique seule permet d'apprécier à sa

i pensé que cette invitation subsistait pour la, discussion de la loi Dubief en 1907, et c'est ce qui m'a décidé à entr

Archives. Plusieurs- des dispositions principales de la nouvelle loi ont été résumées dans la discussion générale : je

cuper ici que du grand principe qui a présidé à l'élaboration de la loi , du grand moyen trouvé pour éviter les séquestr

u'est-co [(Il() LÉGISLATION. qu'une séquestration arbitraire ? La loi ne le dit pas. J'i- magine cependant que c'est

nternement dans un asile d'un individu qui n'est pas aliéné. Or, la loi de 1838 con- tient une étrange lacune, qui subs

rnements ne sont en rien contraires à la lettre et à l'esprit de la loi de 1838. Cependant puisque l'on nous parle sans

séquestration et cela dès le premier jour de son entrée. Déplus, la loi de 1838 accordait à l'individu placé dans une m

se soit aggravée. Ce qui nous effraye précisément dans la nouvelle loi ,ce sont les obstacles apportés à l'internement.

comme une condam- nation, et n'est-ce pas une nouvelle peine que la loi ins- titue ? Il n'y a pas que les familles qui

s : il peut tou- jours provoquer la sortie immédiate (art. 16 de la loi de 38) et s'il ne le fait pas, c'est qu'il fait

ujours à l'opinion du médecin. C'est là le principal avantage de la loi de 1838; le médecin est laissé seul juge de la

l'autorité judiciaire n'était nullement désarmée : l'art. 29 de la loi de 1838 lui donnait la pos- sibilité de faire s

effet produit quelquefois. 11 est à craindre qu'avec la nouvelle loi , ces dissentiments entre magistrats et mé- deci

LA LOI DU 30 JUIN 1838. ion disparaîtront-ils sous le régime de la loi Dubief ? Ce se- rait trop présumer, et je pense

? Ce se- rait trop présumer, et je pense que l'auteur même de la loi ne se fait pas trop d'illusions sur ce point. En

deux délibéra- tions et absorbé 17 séances. - Le titre Ier de la loi Dubief consacre une dénomination nouvelle : les

mes : voyons donc ce qui se cache sous les articles de la nouvelle loi . Le titre 1er est divisé en 2 sections : la pr

obligatoires. » L'expé- rience est là pour démontrer que, dans une loi ,on ne sau-' rait être trop sévère dans le choix

que l'asile ne recevra que des aliénés, il faut savoir ce que la loi entend par aliéné. L'article Ier ne pourrait-il ê

ne serait peut-être pas inutile de l'inscrire expressément dans la loi . L'article 2 organise des asiles spéciaux pour

L'assistance à domicile ne semble donc, d'après les ter- mes de la loi , ne pouvoir s'appliquer qu'à des chroniques ino

mis à une certaine surveillance. A mon sens, tout ce qui, dans la loi nouvelle, est relatif au placement à domi- cile

e très net avait été proposé au Sénat lors de la discussion de la loi Roussel : « Est qualifiée maison de santé toute

mission de surveillance sont bien mal indiquées dans le texte de la loi ; il faut espérer qu'elles seront parfaitement

e serait de tout point regrettable, et certaines dispositions de la loi , dans les articles suivants, tendent à démontre

lance de l'asile de Qua- tremaies (Seine-Inférieure). - La nouvelle loi supprime tout simplement les médecins-adjoints

s l'état ac- tuel de nos asiles, est impossible. Avec la nouvelle loi , les médecins-adjoints seront d'emblée médecins

faire de la clientèle. Nous n'ambition- nons que la faculté, que la loi devrait nous accorder en termes exprès, de donn

ns ne se produiront pas ? Il a été dit, lors de la discussion de la loi à la Chambre, que, lorsque les médecins sont lo

ment apte pour l'administration. D'ailleurs, cette disposition delà loi ne devrait pas avoir d'effet rétroactif,- car l

ents faits dans les établisse- ments d'aliénés. Le titre II de la loi comprend 5 sections. La première a pour objet :

' Quoi qu'il en soit, voyons quelles formalités exige la nouvelle loi pour les placements volontaires. Elles sont plu

d'hui. Mais il semble cependant qu'il y a ici une confusion dans la loi . Il est question de placements volontaires ; si

tablissement dans un autre. L'art. 21 maintient les registres de la loi , qui font perdre un temps si précieux aux médec

x sorties des malades volontaires, reproduit les dispositions de la loi de 1838, mais sans plus de clarté. L'énumératio

bien qu'un paragraphe de cet art. 23, calqué sur un semblable de la loi de 1838, donne au médecin trai- tant le pouvoir

'autorité publique ou placements d'office. Les dispositions de la loi de 1838 en matière de place- ments d'office son

le malade fait des fugues. ' De 189G à 1903, il a été interné cinq lois à l'occasion de fugues particulièrement extrava

unications le côté médico-légal qu'elles peuvent présenter, car des lois nouvelles lui donnent une importance encore plus

il suffit qu'il ait une saine notion de ce que permet ou défend la loi civile... » (Oh ! combien de fous, archi-fous,

raient à un jury technique exclusivement médi- cal : Là Î1oÍ.ivelJè loi sur les aliènes devrait contenir un titre spé-

s délibérées et promulguées il Home : c'est la 'loi française, la loi commune à tous, qui accorde à tous protection, ma

1° livret militaire ou certificat attestant qu'il a satisfait à 1 a loi sur le recrutement ; 3° un extrait du casier judi

ourra concilier, d'abord les motifs actuels entre eux, puis avec la loi de l'être vivant » (p. 106),et sur d'autres poi

affectées les portions in ternes ou nasales des deux rétines et aux lois particulières de laquelle sont soumis les mouve

ganes primitifs doubles ou symétriques, expression temporaire de la loi du moindre effort, peuvent, ou perdre leur dual

de tout Artiozoaire. (A suivre.) LEGISLATION La revision de la loi du 30 juin 1838. Examen critique.dela nouvelle

a revision de la loi du 30 juin 1838. Examen critique.dela nouvelle loi sur le régime des aliénés (Suite et fin.) Par

l'une des plus intéressantes ; elle comblera une grave lacune de la loi de 1838. L'art. 35 prescrit, que les condamnés

connu, l'inculpé a été présumé aliéné ; il est nécessaire que la loi décide ce qui devra être, fait ! 1pan il y a pré-

u grand dam de l'inculpé. Un texte v précis devrait figurer dans la loi ,dans le genre de celui-ci : « Tpjites les fois

iter cette expertise. » On s'étonne encore de ne rencontrer dans la loi aucun article visant la responsabilité dite att

plaint que la responsabilité restreinte ne soit pas reconnue par la loi , d'où les divergences de vues à ce sujet entre

ra dire le médecin, cet aliéné sera-t-il condamné ? Oui, d'après la loi , mais pour la forme sans doute, car, quelques j

s de la métropole, dans quelqu'une de nos loin- taines colonies. La loi met la construction de ces asiles de sûreté au

VISION DE LA LOI DU 30 JUIN 1838. 225 Doit-on l'interner à vie ? La loi le voudra ainsi,car ce taré, ce prédisposé à re

s. Plusieurs d'entre nous ont obtenu, sous le régime actuel de la loi de 38,une règlementation administrative de cette

Une sortie d'essai est forcément de courte durée : un mois, dit la loi . Or je prétends, et l'expérience clinique le dé

absolument irresponsable. C'est la négation même du principe de la loi qui doit pro- téger la société au moins autant

s des aliénés a été longue- ment étudiée 'dans le nouveau projet de loi ; il y avait beaucoup à faire de ce côté, la lo

nouveau projet de loi ; il y avait beaucoup à faire de ce côté, la loi de 1838 était certaine- ment insuffisante et^se

ne compétence et d'une honorabilité éprouvées. Une bizarrerie de la loi est de décider que l'ad- ministrateur étranger

de ce curateur.A la vérité, cette création n'en est pas une, car la loi de 38 avait prévu la nomination par le tribunal

t été désigné à l'un des malades que j'ai eu à traiter. La nouvelle loi semble attacher une gran- de importance au cura

on sort et à accé- lérer sa guérison. Ce sont les termes même de la loi de 38 : adoucir son sort doit signifier simplem

ingérence, les familles garderont auprès d'elles leurs malades ; la loi les y autorise,sous prétexte de traitement à do

ne pas entrevoir les abus auxquels conduira cette disposition de la loi . Aujourd'hui, la nomination d'un administrateur

n ; c'est précisément ce que tous les médecins,tous les hommes de loi qui se sont occupés de la question réclamaient de

telle maison, habite dans telle localité, etc. Et notez bien que la loi de 1838 n'exige pas que le médecin soit nécessa

e. J'émets donc ici le voeu que l'in- terdiction disparaisse de nos lois . TITRE III. Dépenses et recettes du service des

s à nos représentants. TITRE IV. Pénalités. , Les pénalités de la loi de 38 sont maintenues et même augmentées contre

reste donc établi qu'eux seuls sont responsables. A noter que la loi de sursis peut être appliquée dans tous les cas

liques. Telle est, dans ses principales dispositions, la nouvelle loi sur le régime des aliénés, que l'on désigne fort

des aliénés, que l'on désigne fort juste- ment déjà sous le nom de loi Dubief. S'il s'était agi d'une loi définitiveme

uste- ment déjà sous le nom de loi Dubief. S'il s'était agi d'une loi définitivement promulguée, je ne me serais certes

ar le Sénat au texte actuel, et tant de projets de revision'de la loi de 38 ont déjà vu le jour, ont été ballottés de l

l'une à l'autre Chambre qu'il est bien permis de supposer que la loi Dubief reviendra une fois encore devant l'assembl

teur arrive d'emblée à la forme définitive. Telle qu'elle est, la loi de 1907 ne mérite pas que des critiques, bien l

. Elles peuvent pro- voquer telles variations dans les termes de la loi qui nous en rendront l'application singulièreme

, le Sénat en 1886 s'est montré tellement soucieux d'approfondir la loi dans ses moindres détails et d'en peser toutes

ladies nerveuses et mentales. J. S. LEGISLATION. Proposition de loi sur les aliénés. , Voici le texte de la proposi

ition de loi sur les aliénés. , Voici le texte de la proposition de loi adoptée par la Chambre des députés dans sa séan

récédents seront soumis à la surveillance instituée par la présente loi dans la mesure déterminée par un règlement d'ad

rtements pourront organiser l'assistance à domicile PROPOSITION DE, LOI SUR LES ALIENES 255 des aliénés sous les condit

des aliénés sous les conditions déplacement prévues parla présente loi . ART. 3. Les établissements publics comprennent

seils généraux intéressés, conformément aux articles 89 et 90 de la loi du 19 août 1871. Il est statué par un décret re

r les règlements d'administration faits en exécution de la présente loi , être suspendu par un décret du Président de la

d'essai. Celles-ci ne sont ni autorisées ni mômes prévues dans la loi de 1838, mais nous y avons recours toutes les l'o

odifications survenues dans leur état mental. Griesinger écrit : La loi de causalité exige que toute tristesse ait un m

cette distinction est basée sur ce quo « l'être sentant obéit à des lois d'association ou d'agrégation 324 À : PSYCHOLOG

. LEGISLATION. Les garanties de la liberté individuelle dans la loi de 1838 et dans la nouvelle loi adoptée par la

de la liberté individuelle dans la loi de 1838 et dans la nouvelle loi adoptée par la Chambre des Députés : PAn I. C

if'IJI1S, La Chambre des Députés vient de voter la proposition de loi de : 19. Dubief sur le régime des aliénés, destin

le régime des aliénés, destinée il remplacer les dispositions de la loi du 30 juin 1838, Depuis plus de trente ans, il

, liberté individuelle, qui serait insuffisamment proté- gée par la loi de 1838. Dans la discussion qui vient de se LES

nouveau texte. -" Voyons d'abord de quelle manière fonctionne la loi du 30 juin 1838 ; 1° dans le cas d'un interneme

tablissements de cette nature. » (1). I. - Mécanisme normal de la loi . On constate dans une famille un changement de

nt du Tribunal etc, sont à peu de chose près,'les mêmes quo dans la loi ancienne, les réclamations des malades et des t

ésence les deux systèmes, cherchons quelles nouvelles garanties, la loi votée par la Chambre, offre aux aliénés. Ce ne

« avons organisé et qui constitue les garanties nouvelles de la « loi doit être transmis ceux qui sont responsables de

s.Ce dossier dont il reven- diqur, l'organisation, existait avec la loi de 1838, il était transmis aux mêmes personnes.

Gouvernement (1) (2). En jéalité la modification essentielle de la loi ipnt dans l'intervention du pouvoir judiciaire

tif prononcé par le Tribunal que porte le prin- cipe de la nouvelle loi et que résident les garanties nou- velles qu'on

a voulu offrir aux malades. 'ID Mais ne retrouvons-nous pas dans la loi de 1838 la mê- me intervention du pouvoir judic

mant malgré l'avis du Préfet et du médecin ? Les dispcsitions de la loi du 30 juin 183S que nous avons rapportées plus

e le malade se plaigne. Il ne reste plus au bénéfice de la nouvelle loi que l'ex- pertise ccntradictoire et le droit po

. Ces progrès seuls se justifient par les amères critiques que la loi de 1838 a suscitéesde toutes parts.Elle a trouvé

islations ciéées en Europe sur la matière après sa promulgation. La loi du 30 juin 1838 a été étudiée par un Parlement

du XIXe siècle avaient une voix autorisée. C'est une des meilleures lois d'assistance qui aient été faites et elle a don

nées, une interpellation à la chambre des Députés. Proposition de loi sur les aliénés. (Suite.) Section Il, De la s

dans le délai d'un an, à partir de la pro- mulgation de la présente loi , règlera l'organisme et le fonctionne- ment,ain

ents, les inspecteurs généraux s'assurent de la bonne exécution des lois et règlements relatifs aux aliénés et de la bonne

privés, et sur toutes les mesures propres à assurer l'exécution des lois et règlements concernant le service des aliénés

de l'article 17 ci-après et aux autres dispositions de la présente loi concernant les placements faits sur demande des

pport médical circonstancié prescrit à l'article 13. PROPOSITION DE LOI SUR LES ALIÉNÉS* 337 Tou Français qui, à l'étra

ier domicile en France du malade. Les dispositions de la présente loi relatives à l'administration des biens sont app

ux termes soit de l'article 13, soit de l'article 26 de la présente loi . ART. 17. Dans les vingt-quatre heures qui suiv

e 13; 3° le certificat de vingt-quatre heures et le PROPOSITION. DE LOI SUR LES ALIÉNÉS. 339 certificat de quinzaine ;

le mi- neur qu'à ceux sous l'autorité desquels il est placé par la loi . (.a suivie.) REVUE DE MEDECINE LEGALE IV.

les traitements que lui dic- tent sa conscience et la science. La loi respecte, du reste, ce principe, mais 's'il était

onnu par hasard ou par suite d'une interprétation défectueuse de la loi , le médecin n'en devrait pas moins continuer à s'

aire à la période cavitaire; luxation de l'épaule. Révision DE la LOI sur les aliénés. - Notre collabu- rateur, M. le

ve dans les paralysies par émotion, dont les effets sont soumis aux lois de lo- calisation des émotions, que j'ai étudié

s : « C'est dans le sentiment que le Moi prend de la conformité aux lois de l'Étre que gît la conscience» » (p.107).La c

ts appétits dos coêtres, le Moi peut dégager la notion conforme aux lois de l'Etre... et en imposer @le respect aux coêt

apitres précé- dents. (A suivre.) -, LEGISLATION Revision de la loi du 30 juin 1838 sur les aliénés. Unité de direc

dié leurs besoins, surpris leurs inclinations avant d'appliquer les lois de la thérapeutique àleur gué- rison, c'est-à-d

a majo- rité de la Commission ministérielle pour la réforme de la loi sur les aliénés en 1885 (et non les siennes propr

tes ql i s'accomplissent dans un asile a un caractère médical et la loi établit une règle qui ne devrait souffrir que b

t être un -hôpital) aux méde- cins. ' BOURNEVILLE. Proposition de loi sur les aliénés. (Siiiie et fin.) Voir p. 2;II

l'hospice ou l'hôpital civil qui doit recevoir pro- PROPOSITION DE LOI SUR LES ALIENES. 403 visoirement les personnes

sont soumises aux dispositions des articles 17 et 18 de la présence loi . ART. 31. Le chef responsable de l'établissemen

cé est soumis aux dispositions des articles 17 et 18 de la présente loi . - ART. 33. Les ordres donnés en vertu des arti

peine do nullité, que s'il pense, à la majorité, que proposition de LOI sur lus aliénés. lux l'accusé ou l'un des accus

par les soins du minis- tre de l'Intérieur, en vertu de la présente loi . ART. 39. Pourront également être conduits et r

positions pres- crites par les articles 14, 27 et 36 de la présente loi . Section IV. Sorties définitives ; sorties prov

ainsi que celles prévues dans les articles 18 et 27 de la présente loi , peuvent être rendues sans le ministère d'avoué s

it volontaire, soit d'office, conformément aux près- proposition DE LOI SUR LES aliénés. 407 criptions de la présente l

proposition DE LOI SUR LES aliénés. 407 criptions de la présente loi . Les mesures prescrites par l'article 13 sont a

s 8 et 9 et titre X, livre 1, du Code civil, ainsi que celles de la loi du 27 février 1880, en tant qu'elles ne sont pa

ant qu'elles ne sont pas contraires aux dispositions de la présente loi . Ces administra- teurs ne sont pas assujettis à

n judiciaire, jus- .qu'au jugement de main-levée. proposition' de LOI SUR les aliénés. 411 PART. 53. Les pouvoirs de

fourni au curateur les états de,situation prescrits par la présente loi . 1 ART. 54. Tous actes faits par l'aliéné, même

re public. Toutes les décisions judiciaires prévues par la présente loi , à l'exception de celles rendues en vertu des a

commune du domicile de secours de l'aliéné, tel qu'il résulte de la loi du 15 juillet 1893 d'après un tarif arrêté par

ns et des préposés responsables des quartiers d'hos- proposition de LOI sur les aliénés. 413 pice ; 3° Les traitements

ppelé à un emploi rétribué par l'Etat, conformément à à la présente loi , les sommes versées par lui à la caisse des retra

ou par le tri- bunal, conformément aux prescriptions de la présente loi , ni lors- ^ que cette personne se trouve dans l

20, 21, 22, 23, 25, 28, 29, 31, 32, 33, 36, 41 et 43 de la présente loi et aux règlements rendus en vertu de l'article

66. Dans les établissements publics ou privés, visés à la présente loi , tout attentat à la pudeur consommé ou tenté sans

gie de ces établis- sements, prévues par l'article 6 de la présente loi ; '1° Les conditions d'organisation, de fonction

eillance des établisse- ments prévus par l'article 2 de la présente loi ; des quartiers ou locaux établis, conformément

tiers ou locaux établis, conformément à l'article 28 de la présente loi , pour le dépôt provisoire des aliénés non encor

lement toutes les mesures nécessaires à' l'exécution de la présente loi . ART. 69. Dans les cas prévus par l'article 3 e

s au Conseil d'Etat dans les formes légales. ART. 70. La présente loi est applicable à l'Algérie et aux colo- nies, d

es asiles ou établissements recevant des aliénés. , . - Art, 71. La loi du 30 juin* 1838 est abrogée ; toutefois celles

nnance du 18 décembre 1839 qui ne sont pas contraires à la présente loi ,restant en vigueur jus- qu'à la promulagtion de

s à l'article 68, qui seront rendus pour l'exécution de la présente loi . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1 . Modification

à l'influence de la lé- gislation ; mais il pense néanmoins que la loi ne serait pas impuis- sante à restreindre le no

hysique et mentale des enfants ; l'enseignement aux adolescents des lois psychologiques ; la réglementation par l'Etat d

la réglementation par l'Etat de la prostitution ; l'application de lois sévères sur la tempérance; l'enregistrement des

- cherches de pathologie mentale. R. DE li1·URGRAVE CLAY. XXI. La loi sur l'assistance des aliénés, son histoire et ses

tions permanentes, de- vraient veiller à la stricte observation des lois et des règle- ments. G. Deny. SOCIÉTÉS SAVANT

plusieurs sont déjà universellement considérées comme de véritables lois . L'anatomo-pathologiste y trouvera en nombre la

iter l'assimilation et l'application à des recherches pratiques des lois générales qu'il'en a tirées. Ch. Donne. XI. D

s de la sensibilité, conception qui soumet l'hys- térie aux grandes lois de la physiologie générale. Je ne crois pas avo

ces découvre qu'il faut « être prudent et modéré, respectueux des lois , doux, serviable », (p. 104), ce n'est pas au rai

thésie de l'esprit... qui ne peut prétendre à reconnaître en ses lois les lois d'autrui» (p. 152). est opposée ensuite

de l'esprit... qui ne peut prétendre à reconnaître en ses lois les lois d'autrui» (p. 152). est opposée ensuite à la co

rsévérer dans l'être (Guyau etc.). Bien plus, admettons que « les lois ou règles de conduite » (p. 151) formulées par

ntelligence étant.supposée infaillible, sans confrontation avec les lois formulées par d'autres intelligences ; qu'elles d

écoulent par conséquent en partie de l'étude du milieu social : ces lois pourront- elles jamais « se traduire en formule

é, ainsi que l'Auteur le dit implicitement ? Il récuse en effet les lois fondées sur la seule expérience sociale, et veut

tivement si elle leur était posée, z et qui se croient soumis à des lois d'origine supra-humaine,croient leur responsabi

es cen- trips de souvenir homologues, diversité en accord avec la loi de division du travail, et dont le résultat natur

er, dans notre pays, en faveur des anor- maux d'école. Le projet de loi . proposé par la commission plé- nière instituée

2° des consulta- tions-médico-pédagogiques, ayant lieu au moins une lois par mois. Ces consultations purement médico-péd

veux et en particulier de la moelle épinière. . J. ROLET. XV, Les lois psychophysiologiques du. développement des reli-

is et dans les famil- les Pascal et Racine; la 4° est un aperçu des lois psychophysiolo- girlues du développement des re

e. Les dissimulateurs ; par de Moor et Duclrateau, p. 344. Voir Loi . Voir Paralysie gé- nérale. Sur quelques aspect

nombre des aliénés par voie législative ; par No- lan, p. 436. La loi sur l'assis- tance des ; son histoire et ses

r Stcherbax, p. 88. Législation. Examen critique de la nouvelle loi sur le régime des aliénés ; par Bourdin, p. 97,

din, p. 97, 220. Les garanties de la liberté individuelle dans la loi de 1838 et dans la nouvelle loi adoptée par l

e la liberté individuelle dans la loi de 1838 et dans la nouvelle loi adoptée par la Chambre des députés ; par Azém

par la Chambre des députés ; par Azémar, p. 326. Revision de la loi du 30 juin 1838 sur les aliénés. Unité de direc

des asiles. Médecins-directeurs ; par Dubour(licu, p. 401. Voir Loi . Lèpre. Voir Troubles mentaux. Lésions. Sur l

oral. Voir Tumeur. Localisation. Voir Fonction cé- 1 rébi-cile. Loi . Voir Législation. Proposition de - sur les ali

Mail- lard, p. 429. Rééducation. Voir Hystérie. Religions. Les lois psychophy- siologiques du développement des ;

etc.. que M. Benda se réserve de développer ultérieurement. SÉNAT. loi M. Krontiial. De l'hétérotopie de substance gri

venlck7atn., XIX, 2.) P. KRRAVAL. SÉNAT DISCUSSION DU PROJET DE LOI SUR LES ALIÉNÉS Séance du samedi 4 décembre 188

jour appelle la suite de la première délibération sur le projet de loi portant revision de la loi du 30 juin 1838 sur

a première délibération sur le projet de loi portant revision de la loi du 30 juin 1838 sur les aliénés. Nous nous so

des parties les plus délicates et les plus importantes du projet de loi , celle qui règle les formalités des placements su

urs, c'est sur les queslions résolues dans ces deux articles que la loi de 1838 a été attaquée avec le plus de violence

persistance. Dans les longs débats auxquels la préparation de cette loi a donné lieu, c'est sur les questions qui vont êt

pensables pour le traitement des malades dans l'intérêt desquels la loi était proposée, mesures incompatibles, suivant

ns, réussirent à faire prévaloir cette donnée, essentielle dans une loi d'assistance, et à donner à leur oeuvre lé- gis

caractère qui a permis et permet encore aujourd'hui de dire que la loi de 1838 a été « une loi médicale ». Les bienfai

et permet encore aujourd'hui de dire que la loi de 1838 a été « une loi médicale ». Les bienfaits de la loi de 1838, à

que la loi de 1838 a été « une loi médicale ». Les bienfaits de la loi de 1838, à ce dernier point de vue, n'ont pas é

té compromis, comme on l'a prétendu, dans les dispositions de cette loi qui règlent les placements ? Si l'on examine ce

ui ont prédominé dans les discussions auxquelles cette partie de la loi a SÉNAT. 103 servi de thème, on est obligé de

règle, à savoir que, l'aliéné étant un malade, le premier but de la loi c'est d'aviser aux mesures nécessaires pour gué

et de la libei té individuelle a été soigneusement inscrit dans la loi , et l'article 29 en a assuré l'exercice à toute

dispositions prises dans les articles 8, 9, 11, 0 et suivants de la loi de 1838, qui correspondent aux articles du projet

ants de la loi de 1838, qui correspondent aux articles du projet de loi qui est soumis aujourd'hui au Sénat, ont-elles

sations souvent reproduites par les adversaires systématiques de la loi , et on peut sans peine se convaincre du peu de

ouverne- ment à sa suite, tout en rendant justice aux auteurs de la loi de 4838 ont été ramenés, par les plaintes et le

uelle ne peuvent être tranchées que par l'autorité judiciaire. La loi de 1838 avait fait une exception à ce principe de

qu'il y ait à remplir de formalités plus lon- gues que celles delà loi de 1838 dans un quartier d'observation où il re

s le voyez, messieurs, apporte des chan- gements considérables à la loi de 1838 ; il supprime toute inter- vention acti

ar les particuliers; il supprime l'obligation que l'article 9 ds la loi im- posait de faire visiter la personne placée

bles des établissements. On peut dire que tout le rôle actif que la loi attribuait au pouvoir administratif passe au po

res à prendre immédiatement ; au tribunal ensuite, que le projet de loi appelle à statuer en chambre du conseil sur les m

Ce transfert au pouvoir judiciaire des attributions confiées par la loi de 1838 au pouvoir administratif, ce caractère

838 au pouvoir administratif, ce caractère tout nouveau donné à une loi à laquelle ses auteurs avaient déclaré si expre

nsfert à l'autorité' judi- ciaire des attributions conférées par la loi à l'autorité adminis- trative dans les placemen

dans les conditions où la question se pré- sente dans le projet de loi , comment trouver dans chaque arron- dissement,

urce de la commission permanente, dont presque chaque article de la loi vous démontre davantage le prix, hésileriez-vou

je suis désolé d'avoir à poursuivre cette lutte acharnée contre une loi que je prétends être mauvaise au suprême degré

urquoi ne pas laisser la latitude qui était accordée par l'ancienne loi ? Vous placerez les aliénés dans un poste d'obs

dical en France est admira- blement composé, rapportez-vous-en à la loi de t83S, cette loi si sage. Un de nos honorable

admira- blement composé, rapportez-vous-en à la loi de t83S, cette loi si sage. Un de nos honorables collègues, que j'

iode parlementaire clas- sique au point de vue de la confection des lois . Depuis, on n'a rien fait que de mauvaises lois

e la confection des lois. Depuis, on n'a rien fait que de mauvaises lois ; enfin, mauvaises, c'est peut-être aller un peu

vaises, c'est peut-être aller un peu loin, mais on n'a fait que des lois qui, à un certain point de vue, sont inférieure

eures à celles de l'époque dont je parle. Ne touchez donc pas à ces lois sans une nécessité absolue. La loi de l 838 éta

arle. Ne touchez donc pas à ces lois sans une nécessité absolue. La loi de l 838 était admirablement conçue au point de

ossible. Restez donc, je vous en supplie, dans les conditions de la loi de 1838 et rejetez sans hésitation cet article to

que à elle-même au milieu des variations succes- sives du projet de loi , se formule de la manière suivante : A quelle a

pinion publique pousse depuis de longues années à la revision de la loi de 1838 sur les aliénés. Mais, où seront ces ga

lles ne suppléent ni l'observation des faits ni la connaissance des lois pathologiques. Je ne voudrais certainement pas

n publique et pour couvrir la liberté individuelle que le projet de loi préfère, dans les cas d'internement, la conscienc

le qu'il suppose menacée entre les mains des médecins, le projet de loi imagine de faire prononcer l'internement de l'a

a- gnostic, les convaincre d'erreur. Dans le système du projet de loi , ils ne le peuvent pas, quand même ils seraient,

lusieurs bancs.) Mais je vais plus loin ; quand même le projet de loi autoriserait les magistrats à sortir du cercle

s défiances et ces alarmes tenaient à ce que, dans le système de la loi de 1838, l'administration avait le droit, sur l

l leur apportât quelque chose de plus, il faudrait que le projet de loi eût institué une procédure distincte et indépen

indépendante de la procédure médicale; il faudrait que le projet de loi cherchât dans une instruction, faite à côté et

e celui qui le subit ? Rien de tout cela n'existe dans le projet de loi , fort heureusement, et je vous en félicite, mes

'ils ne sont libres d'en user qu'en apparence. C'est mettre dans la loi la fiction à la place de la réalité; c'est dégr

e prendrait au détriment de la vérité, dans le système du projet de loi . Même dans ce système, de l'aveu de tout le monde

la question. J'en tire cet argument contre le système du projet de loi en faveur de l'amendement, que toutes les forma

ment. En résumé, messieurs, le tort grave du système du projet de loi est de mêler les juridictions et de confondre les

us les fronts s'inclinent quand elle parle au nom du droit et de la loi , parce qu'elle a reçu de l'ordre social le mandat

r le genre de participation qui lui est dévolu d'après le projet de loi . Que dire, encore une fois, de ces magistrats d

che s'appliquait, il est vrai, dans toute son étendue, au projet de loi primitif. Elle avait paru si décisive et si conva

équisitions obligatoires des parquets ? N'est-il pas évident que la loi les voudra aussi sérieuses, aussi bien étudiées q

ur Blanche porte coup. N'oublions pas, messieurs, que la der- nière loi sur la magistrature les a réduits partout au mini

vont leur être soumis si vous adoptez les dispositions du projet de loi ? Pour le département de la Seine, M. le rappor

uelques bancs.) Ainsi, messieurs, plus on pénètre dans le projet de loi , plus les objections et les difficultés s'accum

, en sor- tant, de sa compétence, comme le lui demande le piojet de loi , elle se prêtait par faiblesse ou par ambition

'intégrité des racines dans certains cas, cette réparation suit les lois de la dégénérescence vallérienne. En somme, l'a

t la- quelle l'étiologie des maladies nerveuses est dominée par les lois de l'hérédité ou, plus généralement, par les lo

t dominée par les lois de l'hérédité ou, plus généralement, par les lois de la dégénéres- cence, reste donc entière. Pau

ce Paris, le 1" août 1887. « Monsieur le préfet, l'article 4 de la loi du 30 juin 1838, vous impose l'obligation de vi

tres des malades soient adressées aux personnes qui, en vertu de la loi , ont le droit de les recevoir et le devoir de l

it asile, et placé dans la 2° classe de son grade. Révision DE la LOI DE 1838 sur les aliénés. Les bureaux de la Cham

5 juin pour nom- mer la commission chargée d'examiner le projet de loi adopté par le Sénat, revisant la loi de 1838 su

hargée d'examiner le projet de loi adopté par le Sénat, revisant la loi de 1838 sur les aliénés. Ont été nom- més membr

yse anatomique, ne considérant donc que les cas, qui, d'après cette loi très rigoureuse, présentent tous ces caractères

mettre à la portée des juges en suivant le sens même des textes de loi . Ut. Obersteiner pai lage celte opinion. M. G

avance la motion imminente de cette der- « nière pour provoquer une loi propre à infliger des pénalités à « l'ivresse q

séquestration arbitraire provo- quée ou maintenue. Conclusions. Les lois actuelles n'empêchent ou ne peuvent empêcher qu

de l'asile de la situation exceptionnelle qui lui est faite par une loi spéciale que n'expliquent pas cent années d'exp

admissions et nui- sent au rôle curatif des asiles. C'est donc une loi de réception et non un réquisitoire contre nous

n un réquisitoire contre nous qui est nécessaire. AI. AIeschede. La loi de séquestration, c'est notre sauvegarde. Le; règ

d'une admission erronée. àl. Ocnrxc. Sans doute on peut d'après la loi actuelle amener à l'asile n'importe qui, mais,

111. Lan n'a pas eu la prétention de modifier du premier jet une loi centenaire. Il est convaincu que dans 50 ans on s

ervation qu'il leur faut; si assistés par les fonctionnaires et les lois du pays, ils peu- .296 SOCIÉTÉS SAVANTES. veu

eis) et de la magistrature debout, activité rendue possible par les lois de l'empire. Vf\I. );nI,, JASTROWITZ, ZENKER, S

empire. Vf\I. );nI,, JASTROWITZ, ZENKER, SAKDER, FALK examinent les lois et les modes de procédés selon les régions. A

bien établir son certificat après coup. On peut toujours tourner la loi . Et puis qui paiera ? Tous les malades ne le pe

sch., XL1V, 45.) ' P. ILIiA V.1L. SÉNAT DISCUSSION DU PROJET DE LOI SUR LES ALIÉNÉS Sicite de lct séccnee dZt sctnz

st le cas, dans le concours qu'il cloU donner à l'application de la loi sur les aliénés, ou lorsqu'il remplit sa foncti

libre de suivre ou de ne pas suivre. C'est bien là l'es- prit de la loi . M. nr G.1V.1RDIE. Ce sera toujours un avis que

rquoi le chargez-vous de ce soin ? En sui- vant la discussion de la loi qui est soumise à vos délibérations, on s'aperç

et même l'opposition ne trouvent pas grand'chose à reprendre à la loi de 1838. M. TESTEHN. C'est évident ! M. le co

évident ! M. le commissaire du Gouvernement. Ils pensent que cette loi de 1838 a sauvegardé et suffisamment protégé ju

c'est pour cela que le public s'émeut qu'il suffit, en vertu de la loi de 1838, de l'avis d'un médecin complaisant et

que les accusations qui ont été portées contre l'application de la loi de 1838 ne sont pas bien sérieuses. Cependant, ce

la question. Le premier, c'était de ne pas s'écarter beaucoup de la loi de 1838 et de traiter les placements volontaire

de la loi de 1838 et de traiter les placements volontaires comme la loi de 1838 traitait les place- ments d'office ; c'

cet avis doit être suivi. M. Combes disait tout à l'heure que si la loi indiquait que le tribunal pourrait s'éclairer p

ue des avis médicaux, et cela n'a pas besoin d'être inscrit dans la loi . Ce que vous devez prescrire dans la loi, c'esl

oin d'être inscrit dans la loi. Ce que vous devez prescrire dans la loi , c'eslque pour toutes les informations que le t

n amendement comparable à ce- lui-là devraient être partisans de la loi de 1838. Assurément, quant à moi, à part la gar

fortune des aliénés, je ne vois pas ce qu'il y avait à changer à la loi de 1838. SÉNAT. 311 11. or Gw.wnc. 'frès hien

'frès hien. M. 'l'li3TELIV..Ie déclare qu'à mes yeux, c'est une des lois les plus humaines, les plus politiques et les m

est que toutes les autres nations se sont empressés de copier notre loi . M. de Gavardie. A la bonne heure 1 (Sourires.)

sur toutes les conséquences de ce mot, puis des criminels; c'est la loi de 1838 qui les a arrachés à cette définition d

déclarer qu'un malade restera enfermé ou ne restera pas enfermé. La loi de 183S ne disait pas cela, notre amendement ne

t une bonne chose ? ... N. LE rapporteur. Non, ce n'est pas dans la loi ! 111. TETELIn.... Pour moi, je ne le peuse pas

berté dans un but d'intérêt public ? Mais cela s'est fait depuis la loi de 1838 jusqu'à présent, 1, et les accusations

jusqu'à présent, 1, et les accusations qu'on a portées contre cette loi , on ne les épar- gnera pas davantage à celle-ci

tale que ce fait se sénat. 313 ii, produit ? Avez-vous oublié les lois sur les épidémies et sur les quarantaines ? J'a

de l'Assistance publique et des institutions de prévoyance : Vu la loi du 30 juin 1838, l'ordon- nance du 't8 décembre

étaient toutes spasmodiques. Nous croyons pouvoir considérer cette loi comme complète- ment acquise : nous pourrions m

ées de myatrophies. Nous nous sommes appuyé pour for- muler cette loi négative sur un nombre considérable de faits qu

traiter en dehors de l'asile.- Aussi l'auteur demande- t-il que la loi permette aux médecins de traiter des cas dans l

lobe frontal. M. A. Scnntrrz. Communications sur quelques nouvelles lois relatives aux aliénés ou quelques nouveaux proj

ouvelles lois relatives aux aliénés ou quelques nouveaux projets de loi . Ils sont inspirés par les exigences de la libe

raient être confondus avec les premiers et enfermés par méprise. La loi espagnole du 19 mai z, extrêmement simple, fait

t; les fréquentes visites des asiles n'ont aucun objet. La nouvelle loi hollandaise du 27 avril 1884 est pire que celle

semaines pendant six mois, enfin tous les mois. La Suède possède sa loi du 2 no- vembre 1883, en vigueur depuis 1881. L

de recherches appliquée à d'au- tres faits viendra-t-elle donner la loi pathogénétique. M. Nasse rappelle à ce propos q

Pych., \LIV, r, : i.) P. KÉRAYAL. SÉNAT DISCUSSION DU PROJET DE LOI SUR LES ALIÉNÉS. Suite de la séance du samedi 4

qui ont déter- miné votre commission à introduire dans le projet de loi dont vous êtes saisis cette innovation, ou plut

malade. Nous rencontrons ici une situation qui existe déjà dans nos lois civiles. Vous connaissez tous la procédure en m

ou dont les familles ne veulent pas demander l'interdiction que la loi actuelle a pour but d'accorder. (Très bien ! su

éfléchi sur les pouvoirs publics et déterminé le dépôt du projet de loi sur lequel vous avez à statuer. Il faut véritable

l'opinion publique réclame des garanties autres que celles de la loi de 1838, qui n'en contient, à proprement parler,

contient, à proprement parler, aucune. En effet, en vertu de cette loi , il suffit d'un médecin complai- sant et si hon

t pour prévenir les abus qui avaient été commis sous l'empire de la loi de 1838. Et, messieurs. le Gouvernement actuel,

r une garantie nouvelle à celles qui pouvaient exister déjà dans la loi de 1838, demandait l'intervention de l'autorité j

dont l'internement est demandé et dont les rédacteurs du projet de loi ont voulu protéger la liberté indivi- duelle. V

l'intéressé devant la chambre du conseil. C'est ce que le projet de loi n'a pas prévu. Et cependant, il n'y avait pas d

ervenir devant cette juridiction toutes les personnes auxquelles la loi civile donne le droit de provoquer l'interdicti

oit par un tiers, soit par le procureur de la République, auquel la loi reconnaît le droit de la provoquer en certain c

ellement intéressés. En tout cas, il vaudrait mieux insérer dans la loi une disposition inutile que d'en omettre une es

mement grave. Voyez, mes- sieurs, l'inconvénient de toucher à celte loi de 1838, dont l'hono- rable M. Testelin faisait

tion de nos lecteurs sur la discussion, au Sénat, de la nouvelle LOI sur les aliénés. En reproduisant ces débats, no

dmission des), 297; (concert aux-de Bicêtre),319- (revision de la loi de 1838), 101, 306, 458; - (projet de loi sur l

e),319- (revision de la loi de 1838), 101, 306, 458; - (projet de loi sur les), par Schmitz, SJ2; (poids du cer- ve

ystème ner- veux central), par Hess, 140. Sénat (discussion de la loi sur les aliénés au), 101, 300, îS. Simulation

s furent traqués comme des bêtes fauves, et Théodose, en publiant les lois les plus sévères contre les sorciers, mit le comb

les conséquences funestes qui pouvaient résulter de l’exposition des lois de la nature. « Nous sommes, dit le Cosmopolite

hant au merveilleux, qu’il y a des événements qui semblent sortir des lois communes, ou qui du moins dépendent des rapports

cations, qui n’ont pas permis, jusqu’à ce jour, de l’astreindre à des lois exactes. Pour les uns, il résulte d’une saturatio

nul n'a le droit d’exercer la médecine, s’il n’y est autorisé. Or, la loi ne reconnaît ni l’existence du magnétisme ni la r

érir ses semblables par des moyens parfaitement inoffensifs et que la loi met au nombre des chimères ? Quant à l’emploi des

lus nécessaire de faire des passes en sens inverse, comme la première lois , parce qu’elle s’apercevait que cela fatiguait be

t plus rapidement, et chaque joui- cette opération est pratiquée deux lois , jusqu'au 25 mai. 2(5 mai. — Depuis cette époqu

ême sort que la première. i Son maître, qui l’avait déjà vu maintes lois dans cet état, lui proposa de tuer deux pigeons,

actes à l’âge de douze ans, sa présence au milieu des docteurs de la loi , ses bienfaits pour le genre humain et ses miracl

res, il s’est initié, par dix ans d’études auprès de M. du Potet, aux lois mystérieuses du magnétisme; né dans une chaumière

certains des recherches scientifiques sont exprimés sous la forme de lois . Nous re-coinmandoniv vivement à la méditation de

r d’un sérieux examen, une démonstration mathématique, fondée sur des lois physiques, comme cela doit être, puisqu’ils rentr

n sont plus, dans lequel un jeune avocat exprimait la crainte que les lois contre la sorcellerie ne fussent appliquées au ma

le a été l’objet. Les maléfices ont été punis en Grèce et à Rome. Les lois des diverses époques semblent copiées les unes su

l’exploitation, par les charlatans, des préjugés de la foule. « Nos lois criminelles ont abandonné le sacrilège et la supe

« On ne peut tirer un argument des principes contraires admis par des lois spéciales qui sont en dehors du Code civij et ont

e ministère public se trouve obligé, pour obtenir l’application de la loi pénale, de démontrer que magnétiseurs et somnambu

ination de l’esprit ou de la science n’est point évidemment ce que la loi pénale a voulu frapper. « Il faudrait donc démo

agnétisme animal, n’ait pas encore soumis cet agent thérapeutique aux lois réglementaires qui régissent l’exercice de la méd

les phénomènes dont il s’agit, n’y voit rien que de très-conforme aux lois de la nature, et, par conséquent, il sait que le

me semble «{ue le premier devoir de l’autorité est d'établir de sages lois qui, en en réglant l’exercice, préviennent, autan

apeutique, ses avantages ne sauraient être douteux. La simplicité des lois qu’il suit dans sa marche, et l’ordre régulier de

physique amusante... Et comme le temps approche où son essence et ses lois seront mieux reçues, si Votre Grandeur, après les

ntion, par des gens de science, en fera connaître de plus en plus les lois et la puissance; /i° Comme moyen thérapeutique,

l’on doit, par conséquent, suivre à son égard, dans chaque pays, les lois réglementaires de la police médicale ; 5° Comme

ureux royaume, grâce à l’âme généreuse de Votre Majesté, à l’ombre de lois libres et sages, tout dessein utile et bienfaisan

u lieu fut avertie; elle vint et signifia à M. de R... que, selon les lois du pays, il serait pendu, si dans quelques heures

de mille façons sans qu’elle s’éveillât. Tout son être obéissait aux lois de la pesanteur, comme un corps grave inanimé. Kl

nce, invite le jeune conscrit à remplir la formalité prescrite par la loi . Celui-ci s’exécute, plonge la main dans le sac,

s de développement de leur intelligence, et selon la connaissance des lois de la nature appartenant à leur époque. Eh bien !

constitue l'exercice illégal de la médecine, puni par l’art. 35 de la loi du. 19 ventôse an xi (i). Une information avait

embre 1852 (affaire Didier), que les peines de police édictées par la loi contre ceux qui font métier de deviner et de pron

guérir, quel que soit le mode de traitement; — Vu les art. 35 de la loi du 19 ventôse an XI, et /i(H> du Code pénal ;

tion, par le sieur Rovère, pour fausse application de l’art. 35 de la loi du 19 ventôse an XI, en ce que l’arrêt dénoncé a

ntes : « Le point de savoir, a dit ce magistrat, si l’art. 35 de la loi de ventôse est ou non applicable au traitement de

point à décider est celui de savoir si l’interprétation à donner à la loi est celle du jugement ou celle de l’arrêt. « Ce

tervenir sont donc concentrés dans l’examen et l’interprétation de la loi , notamment de l’art. 35. « La disposition de ce

encore, ce semble, de la combinaison des diverses dispositions de la loi de ventôse (art. 1, 3, 36)|, dans lesquels on voi

de ventôse (art. 1, 3, 36)|, dans lesquels on voit qu’aux yeux de la loi , exercice de la médecine et exercice de l’art de

ne connaissance de cause. » ARRÊT. La cour ; — Vu l’art. 35 de la loi du 1V> ventôse an XI, ainsi conçu : « Tout i

uxquels on est habitué et qui semblent, par cela même, avoir force de loi . Je dirai même, Monseigneur, que la médecine, sou

seigneur, la médecine est une espèce de sacerdoce qui a pour base les lois de la nature, et, par conséquent, dos lois sûres

erdoce qui a pour base les lois de la nature, et, par conséquent, dos lois sûres et positives. Car 110s agents médicamenteux

nimaux ; mais, pour notre malheur, nous ne connaissons pas toutes les lois , et souvent, quand nous voulons nous expliquer ce

on ordre, ce qui arrivera tôt ou tard. Car ce qui est vrai, selon les lois de la nature, doit être à jamais immuable comme e

part qu’aux foudres et aux tempêtes ; qui ne sont que le résultat des lois générales que Dieu a données au monde en le créan

que la divine Providence daigne faire en ma faveur une exception aux lois générales qu’elle a établies pour la nature, lors

es qu'on rapporte du magnétisme sont véritables, si elles suivent des lois constantes et régulières; si des malades sont vra

t obtenu la guérison qu’ils en attendaient. Ces personnes, d’après la loi du 19 ventôse an XI, titre vi, art. 35 et 3(5,

confrères et moi. Alors, puisque notre science n’est pas absolue, les lois qui nous régissent ne peuvent sagement nous donne

er tout pouvoir ou un pouvoir absolu sur les malades. Je crois à la loi divine, et je voudrais que les deux lois, divine

les malades. Je crois à la loi divine, et je voudrais que les deux lois , divine et humaine, fussent en harmonie. Votre Ma

; et l’homme de bien, c’est celui qui produit des bienfaits, c’est la loi philosophique, logique au point de vue du divin l

hilosophique, logique au point de vue du divin législateur. Car cette loi n’aura pas de fin, et votre règne, Sire, ne sera

sera bien accueillie et bien appréciée par Votre Majesté, pour que la loi du 19 ventôse an XI, titre vi, art. 35 et 36, e

e soigner par un homme de bien; alors notre autorité subsisterait, la loi divine serait confirmée par notre surveillance, e

loi divine serait confirmée par notre surveillance, et ainsi les deux lois , divine et humaine, ne seraient plus eu désaccord

étienne » , dont la forme serait « celle des sociétés célestes », ses lois étant révélées par l’inspiration immédiate de l’a

ces faits, cherche à les constater, à les reproduire, à étudier leurs lois , à deviner leur nature, si cela se peut. C’est qu

les faits ? Connaissez-vous donc , philosophes et savants, toutes les lois , tous les phénomènes, toutes les propriétés de la

ités qui tuent le fantastique en en faisant la conséquence fatale des lois inscrites au code de la nature? N’est-ce pas la s

songez que de cette pomme et de cette chute sortit la découverte des lois qui règlent la gravitation du monde. En réalité

rendre compte, mais dont on ne tardera pas, je pense, à découvrir la loi . Seulement, pour parvenir à l’expliquer, ce n’est

typique, c’est-à-dire, que ces évolutions linéaires répondaient à une loi primordiale, modifiée ici dans son développement

l faudra étudier la. question, pour découvrir la cause mouvante, la loi du phénomène; pour parvenir à établir enfin d'une

ns la juste valeur qu’en démontrant l’identité de la théorie et de la loi qu’elle explique. Or, c’est précisément à la rech

a loi qu’elle explique. Or, c’est précisément à la recherche de cette loi que nous appliquons nos théories en ce moment, et

elgique. En voici le texte : « Article unique. — L’article 18 de la loi du 12 mars 1818 est interprété de la manière suiv

SALUT A MESMER. Salut, Mesmer! liomme de paix, salut 1 Autour do loi le grand œuvre s'opère, Et l'horizon, que Ion v

ne justice égale à celle faite aux institutions humaines. Nie-t-on la loi , parce qu’il est des juges prévaricateurs? Nie-t-

vives de nos temps. Ces intelligences ainsi grandies, trouveront les lois encore inconnues, le lien qui unit les sciences e

utes les forces de l’intelligence. La clairvoyance, guidée p>r des lois positives et dégagée des hésitations qui la rende

et non-jluidistes, votre opinion ne changera rien à l'immuabilité des lois de Dieu. Les faits restent les mGmes après comme

a gravitation, cette vie des mondes? Le souille de Dieu sous forme de loi mathématique ! Le fluide, considéré comme force

visible ou non, est perçu par un crisiaque et agit suivant certaines lois inconnues jusqu’ici. Sans l’existence de ce flu

du Potet, sont les éléments de phénomènes qui paraissent obéir à des lois spéciales. O11 donne à l’eau la saveur et le go

roduira l'ivresse, etc. Ici, tout devient instrument de prodiges, les lois de la nature semblent renversées : un chapeau, un

ganisme, le tout pour atteindre à un but si vague et si en dehors des lois de la charité, qu’il porte à dédaigner, en quelqu

dessus la terre, et laisserait l’univers entier abandonné aux simples lois communes qui dirigent son existence , et aux phén

tisme; mais, jusqu’à ce jour; ils n’ont été que des accidents dont la loi n’est pas trouvée, et dont il n’a pas été possibl

u tonnerre, Humble, le front dans la poussière, Recevait la suprême loi . Par une orgueilleuse méprise, A l’image qu'i

confiaient à leurs afiidés qu’après de longues initiations et sur la loi du serment. Enfin, de l’avis de tous les écrivain

ande pureté d’intention et un recueillement tout religieux. Quant aux lois qui président aux divers modes d’action de cette

ssent par former des masses qui obéissent dans leurs oscillations aux lois éternelles de l’attraction. Ainsi donc, une loi s

urs oscillations aux lois éternelles de l’attraction. Ainsi donc, une loi suprême entretient le mouvement au sein de ce qui

épandue et imprimant le mouvement à toute la matière conformément aux lois d’une harmonie constante, il faut avoir préalable

son et la. justice s’y opposent. Puis, elle ne serait pas soumise aux lois d’une mécanique supérieure, cette admirable machi

riétés vitales et les propriétés physiques, également réglées par des lois , qu’elles sont constamment à l’égard les unes des

de ses propriétés actives, passe tout entier sous l’empire absolu des lois physiques, qui le désagrègent, le dissocient et l

En agissant ainsi, nous agirons sagement selon la nature et selon la loi ; mais défions-nous toujours des faux apôtres, ca

plus transcendant. Plus ces faits sont étonnants et s’écartent des lois connues et observées jusqu’ici, plus ils demanden

ieuses découvertes. Nous ne pouvons être coupables en obéissant à une loi de notre nature, en travaillant à nous perfection

débat. Le surnaturel, s’il existait, serait ce qui est contraire aux lois de la nature ; ce serait tout fait produit par un

fait produit par une intervention spéciale de Dieu en dérogeant à ces lois . Dans la question qui nous occupe, il n’y a rien

occupe, il n’y a rien de semblable. Tous les êtres sont soumis à des lois . Les êtres invisibles qui se manifestent à nous,

stence très-différentes des nôtres, n’en sont pas moins régis par les lois générales qui gouvernent l’univers ; tout acte de

i bien que chez l’homme, est la résultante d’un certain nombre de ces lois ; tout ce qu’ils font est aussi naturel que les a

s font est aussi naturel que les actes humains ; c’est en vertu d’^me loi qu’ils se manifestent à nous. 11 n’y a rien là de

les rapports intellectuels entre les mondes, il faut croire que cette loi , comme toutes les autres, est inspirée par une pr

nt surnaturels, et d’autres sortent au moins de l’ordre ordinaire des lois connues de la physique ; les pratiques et les moy

pelés par la divine Providence à protéger la religion et à donner des lois propres à diriger convenablement les mœurs et à v

a nature. Plus éclairés aujourd’hui que tout est ramené à d’immuables lois physiques, nous excuserons du moins nos pères d’a

cle ait fait table rase pour tous les faits inexplicables d’après les lois de la physique alors connue, parce que le princip

e la physique alors connue, parce que le principe de l’immobilité des lois de la nature a été établi dans les esprits. 11 se

né aux Esprits. A mesure que l’homme s’initiait à la connaissance des lois de la nature, il parvenait à expliquer, par le je

ure, il parvenait à expliquer, par le jeu constant et uniforme de ces lois , une foule de faits qui autrefois lui avaient par

us un fait est insolite, s’écarte de tout ce que nous connaissons des lois naturelles, plus notre critique doit être sévère,

x ; mais de ce qu’il est impossible de les expliquer par l’action des lois connues, ce n’est pas une raison pour forger une

me quand les faits sont en dehors de tout ce que nous connaissons des lois naturelles, nous 11e sommes pas pour cela autoris

ou de croire à des phénomènes qui paraissaient en opposition avec les lois de notre économie physique. On sent bien que le

s. Ces préventions sont-elles d’ailleurs légitimement fondées sur les lois invariables de la physiologie ? Est-il bien démon

sens et les sensations qui en dépendent. La vision s’exerce selon les lois que l’observation a découvertes et clairement dém

angé, dans notre économie, avec une si profonde sagesse. Mais si la loi de la nature est que la vision s’exerce par le mo

ant le vide, et croyant marcher sur un étroit cylindre, cherchant les lois de l’équilibre pour opérer sa dangereuse traversé

qu’aperçoit le télescope ou que met à nu le scalpel ; il y a d’autres lois naturelles que celles dont les académies ont arrê

es jours. lires et qui le fait obéir à notre volonté en vertu d’une loi aussi mystérieuse que celle qui met notre corps à

volontaire ou involontaire ne saurait expliquer, et qui révèlent une loi jusqu’ici inconnue, soulevant ainsi un coin du vo

e encore en grande partie l’organisation réelle de l’univers. a Une loi , ai-je dit ; et en effet il ne s’agit ni de divin

éir. Ceci n’est déjà pas trop infernal et ressemble bien plutôt à une loi naturelle; mais voici qui est encore mieux : au m

ettons en avant, n’ignorant pas qu’il prête aux objections, et qu’une loi nouvelle demande à s’appuyer sur des faits absolu

ésir de la voir aboutir à la confirmation d’une idée préconçue, d’une loi imaginée à l’avance, que l’opérateur est entraîné

est simple, elle est rationnelle, elle s’accorde entièrement avec les lois connues de la physique et de la physiologie; elle

des artères seules. Mais, pour peu que l'on réfléchisse un moment aux lois générales de la circulation vasculaire, il est év

à coup sûr. Si du moins on pouvait nous donner l’application de cette loi nouvelle à tous les usages, ce serait un vrai tri

r les projectiles des armes à feu ne peuvent être rapportées à aucune loi fixe? i ,Te termine cette lettre, car elle est

présente aucun des caractères de ce délit tel qu’il est déféré par la loi du 17 mai 1819, « M""’ Tissot et Barthélémy son

s plus merveilleux qu'offre le magnétisme n’ont rien de contraire aux lois de son organisation. C’est par sa volonté qu’il m

s à nous en préoccuper : nous ramenons tous les phénomènes à une même loi , celle qui régit les faits les plus vulgaires, et

rer. Au lieu que la rotation s’opère par la forte volonté d’une vraie loi magnétique, loi dont tout magnétiseur peut énumér

la rotation s’opère par la forte volonté d’une vraie loi magnétique, loi dont tout magnétiseur peut énumérer les effets.

tre bonne volonté, nous n’avons pu rattacher cette merveille à aucune loi magnétique, comme sont portés à le croire MM. Beg

ire MM. Begué et Xiffre. « Nous pourrions peut-être afiîrmer que la loi qui préside à cette étrange ascension est une loi

tre afiîrmer que la loi qui préside à cette étrange ascension est une loi toute physique, attendu qu’on opère et qu’on peut

pour le céder ensuite et le reprendre encore. Le monde obéit à cette loi fatale ; ce qui peut seul la surmonter, la domine

expériences, cherchent à coordonner les faits pour les ramener à une loi , et à surprendre les secrets de la nature. 11 a é

à une intervention miraculeuse de Dieu, à une dérogation spéciale aux lois de la nature. Si telle est l’opinion de l’auteur,

e explication toute physique. Pour le comprendre, il faut aborder les lois morales et les pénétrer. Baron DU POTET. VARI

archant à travers les siècles vers sou développement, et soumise à la loi constante du progrès. ¡Nous ne pouvons suivre M

des qui comptent pour beaucoup dans sa création. L'homme, d’après des lois qui nous sont inconnues, peut disposer de ce flui

MAGNÉTISME. — EXERCICE DE LA PROFESSION DE MÉDECIN. — INFRACTION A LA LOI DU 19 VENTÔSE AN XI. Jm pratique de l’art de gu

n de médecin , défendu, sans diplôme, par les articles 35 et 36 de la loi du 19 ventôse an XI? M. Chevalier reconnaît qu’

era grand et constaté, et plus vous tomberez sous l’application de la loi de ventôse, qui défend de l’exercer sans diplôme.

Erreur ! Ne confondons pas son genre de traitement avec celui que la loi proscrit, et distinguons les diverses sortes de m

t que s’est proposé le législateur... « Or, que dit l’art. 35 de la loi de ventôse? Il défend d’exercer sans diplôme... q

sortent pas plus malades de son cabinet qu’ils n’y sont entrés, et la loi de ventôse 11e soumet à la formalité du diplôme q

Si elle est réelle.... c’est un don, une faculté et non un art... la loi ne l’a pas prévue.... La réglementer serait ajout

onsidérant que ces faits constituent une infraction à l’art. 35 de la loi du 15) ventôse an XI, qui est punie d’une amende

’une manière évidente. Que l’on soit parvenu, à l’aide de certaines lois physiques, à imiter les faits magnétiques, rien d

de pénétrer quelques-uns des secrets de la nature, peut-être môme ses lois . Dans ce grand travail des esprits intelligents

omnambulisme au point de vue pénal, par M. Emile Jay, avocat, 95. — Loi sur l’exercice de la médecine en Belgique, commen

s, sans ctre traqués par la police, 011 plutôt par certain article de loi arraché aux législateurs par la jalousie des méde

illement je contemplais la nature soumettant tous les êtres à la même loi ! Témoignage irréfragable de l’existence d’une for

s de la mort, tous ceux qui croient que le inonde se gouverne par les lois inscrites dans leurs almanachs. Mais, je m’arrête

rien près de celles qu’elle fera. On peut donc espérer découvrir la loi du magnétisme , ses rapports avec les autres agen

ut prodigues de citations de ce genre. Nous lisons dans le Livre des ¡ lois (i) : « Élie s’étendit par trois fois sur l’enfan

devant le tribunal correctionnel, pour y être jugés conformément à la loi . « Dans celle ordonnance de renvoi figuraient,

ractère frauduleux les fait tomber directement sous la répression des lois pénales. « Nous le répétons, nous posons ces di

fois que les moyens employés constituaient un délit, aux termes de la loi pénale. Le tribunal de première instance a rempli

faits présentent les caractères du délit d’escroquerie défini par la loi . » M. l’avocat-général examine les trois questi

aibles. Il en est des esprits débiles comme des incapacités devant la loi , la justice doit protéger contre eux-mêmes leur l

n esprit rétrograde ; il est justement puni de fraudes que réprime la loi . « Nous requérons qu’il plaise à la Cour confir

et de divination, contraventions prévues par les art. 35 et 36 de la loi des 19 ventôse an XI, 479 et :'|8o du Code pénal,

lque cerveau intelligent. Tous les magnétologistes me manquèrent à la lois lorsqu’il fallut paraître , mais ils me promettai

au lieu d’aller consulter des somnambules; car le magnétisme est une loi de la nature qui ne peut se tromper, tandis que l

gré de scs caprices, de ses désirs ou de ses intérêts, elle dicte des lois , trace h celui-ci sa conduite, encourage el prome

s aujourd’hui devant la justice, sous l’inculpation d'infraction à la loi du 19 ventôse an XL Leurs magnétiseurs, qu’on n'a

ute, il y a là quelque chose de surhumain qui ébranle et renverse nos lois physiologiques; oui, sans doute, il surgit là un

e comme ù mon regard; mon admiration grandit, car je surpris quelques lois invariables de la circulation de l’agent nouveau.

vie, en gênant par sa présence le jeu des organes. Je constatai la loi de sa circulation à travers le» tissus qui formen

la devise de son drapeau. Inspire-moi, Nature, laisse-moi saisir ta loi , afin que ma vengeance soit la tienne, et que, di

s la situation et dans la condition de l’individu. Et comme c’est une loi de nature que chaque modification réelle et spont

aroles du sage athénien spiritualisé; c’est, lorsqu’en parlant de ses lois pour Athènes, il dit : « Ne voulant n( pas les 'p

is («ov») sur lesquelles, six ,e siècles avant, Solon avait écrit ses lois . Celles de Dra-g con avaient également été publié

après, à un poëte comi-^ que cité par Plutarque : « J’en atteste les lois de So-r Ion et de Dracon, avec lesquelles mainten

loin de lii : on vient appeler contre elle toutes les sévérités de la loi , on vous la présente sous les couleurs les plus o

semblables. Mais heureusement, et nous espérons vous le démontrer, la loi ne vous impose point un aussi pénible sacrifice,

rissent et perdent toute espèce d’importance, les arguties tirées des lois de monopole ne sont plus que des chicanes à peine

urel ou miracle serait une dérogation accidentelle faite par Dieu aux lois de la nature : cela ressort exclusivement du doma

e nous ne voulons avoir rien à démêler. La science ne s’occupe que de lois naturelles : de ce qu’un fait est eu dehors des l

s’occupe que de lois naturelles : de ce qu’un fait est eu dehors des lois que nous connaissons jusqu’ici, on ne peut conclu

ne peut conclure, ni qu’il est impossible, ni qu’il est contraire aux lois qui régissent l’univers ; il faut y voir au contr

s qui régissent l’univers ; il faut y voir au contraire l’effet d’uue loi encore inconnue, et dont l’avenir nous dévoilera

dut, pour les premiers observateurs, sembler inexplicable d’après les lois connues d’eux ; des observations plus nombreuses

ombreuses et les méditations des savants rattachèrent ces faits à une loi générale. Le somnambulisme, bien que fort étonnan

ées vulgaires est réputé péremptoirement impossible, attentatoire aux lois divines et humai- nés, el digne de l’exécration

l’a considérée comme usurpant un office attribué exclusivement par la loi aux médecins ; mais depuis la condamnation qu’ell

ce mode d’exploration. Ayant ainsi satisfait aux prescriptions de la loi , quel reproche pouvons-nous encourir ? On nous

est arrivé dans la circonstance de Veau sédative. En vertu de quelle loi pourrait-on l’empêcher de suivre cetta mareb* ? S

nt son libre arbitre, ou viole l’esprit aussi bien que le texte de la loi . On nous oppose une loi de forme ; il nous sufG

iole l’esprit aussi bien que le texte de la loi. On nous oppose une loi de forme ; il nous sufGl donc, pour être en règle

qu’un médecin signe une ordonnance, on a obéi aux prescriptions de la loi , et nul n’a droit de s’enquérir par les conseils

gnité ne sera jamais confondue avec la question d’argenl. Il n’y a ni loi écrite ni règle de convenance qui oblige un médec

ne le pensons pas. En effet, bien que, dans la rigueur du texte , la loi punisse tout exercice illégal de la médecine, mêm

constater le fait matériel, et d’appliquer les peines portées par la loi , sans examiner en rien la moralité des prévenus,

public. Vous ne pouvez admettre une application aussi judaïque de la loi ; vous ne pouvez, à l’exemple des pharisiens, vou

u social. Ah ! le public ne se passionne pas pour des infractions aux lois du monopole, pour des questions légales auxquelle

oilà encore un reproche des plus étranges ! Je ne sache pas qu’aucune loi ait tarifé les salaires des somnambules, non plus

Ce fait, du reste, échapperait à l’action du ministère public; aucune loi ne défend à un pharmacien de confier, hors de che

fice d’un commissionnaire officieux ; ce n’est pas là contrevenir au* lois sur le privilège des pharmaciens. Quant aux remis

es au procès : en ce qui regarde les remèdes secrets, l’art. 56 de la loi du 21 germinal an XI et la loi du 29 pluviôse an

e les remèdes secrets, l’art. 56 de la loi du 21 germinal an XI et la loi du 29 pluviôse an XIII ne punissent que l’annonce

de sanction pénale, et les juges ne peuvent suppléer au silence de la loi . — M* Morin termine ainsi : Je pense avoir just

u au moindre reproche à cet égard. Elle se soumettra de son mieux aux lois sur la police de la médecine. Mais elle ne peut p

actes les questions étrangères à votre domaine, et qui respectant les lois dont vous êtes les organes, eu fasse à la cause l

à démontrer la coïncidence des vérités de l’Écriture sainte avec les lois de la philosophie naturelle, expose que les pôles

s avaient la propriété do réfléchir le fluide magnétique, d'après les lois do la lumière (i), et l’on pouvait ainsi le multi

leux, à un moyen simple et universel que la nature a établi comme une loi nécessaire à son équilibre. » M. du Potet consi

de soumettre tout à son empire, à envahir, à s’imposer, à devenir la loi des esprits et même des faits. Mais mettre la for

des plus importantes révélations sur le monde des esprits, et sur les lois de ses rapports avec le monde naturel. « Cette ma

usieurs républiques, et celle de Sparte, entre autres, avait reçu les lois de Lycurgue 2^5 ans avant qu’Athènes eût confié l

révélateur apprend à Davis que, au lieu de promulguer verbalement ses lois à la multitude, Solon ordonna qu'elles fussent éc

nt une pareille dose de savoir. taire allégorique et mystique de la loi mosaïque; et enfin de la Kabbale, philosophie rel

Nous voulons garder le tabernacle qui renferme et protège la sublime loi du mesmérisme, et dévouer toutes nos énergies à l

cessité, de l’urgence qu’il y a de réglementer définitivement par une loi une matière de cette importance. » Les mêmes vœ

donne de simples conseils, comme tout le monde pourrait le faire; la loi ne défend pas cela; le somnambulisme est aujourd’

e d’exercice illégal de la médecine. le prévenu. Eh bien ! soit; la loi défend l’exercice illégal de la médecine; mais el

conversions au magnétisme que j’ai opérées par la lucidité cl lammne loi de M'"' Cheyroux, qui diraient cette casle. J o

a question d’exercice illégal de la médecine, n’a pas contrevenu à la loi de l’an XI ; rejette, etc., etc.... » Ainsi se

agistrature rectifiera sans doute cette interprétation vicieuse de la loi . COUR D’ASSISES DE SEINE-ET-OISE. Présidence

t; et nous n’oserions, devant l’incertitude des faits, y assigner une loi générale. Quelques praticiens ont prétendu que

érents, on glorifiera la mémoire de l’homme illustre qui découvrit la loi magnétique. Que les adeptes qui n’ont pu prendre

r de toutes les forces mortes, et qui ne peuvent rien en dehors de sa loi ? « Galilée,Colomb, Fui ton, génies immortels,

e, nul pouvoir humain ne pourra éteindre son flambeau. La justice, la loi lui feront défaut, car toute loi humaine est impu

teindre son flambeau. La justice, la loi lui feront défaut, car toute loi humaine est impuissante contre la nature ; la jus

1 Foin des drogues diaboliques, Sataniques, despotiques, Dont les lois allopathiqucs Dotent les humains ! Les doiyis s

ue ; et ces rapports nécessaires, rigoureusement établis, deviendront LOIS mathématiques. Dès lors, débarrassés des entrav

nt encore dans les langes des méthodes rudimentaires, déterminent les lois fondamentales des phénomènes qu’elles ont pour ob

nité systématique dans une formule synthétique suprême, où toutes les lois secondaires trouveront leurs formules particulièr

Le charme exercé sur l’auditoire par cette poésie naïve cl fine lin loi , que l’auteur dut en recommencer le récit, réclam

pas que le vrai progrès moral, social et humanitaire n’obéit pas aux lois artificielles et superficielles de la créature, m

ux lois artificielles et superficielles de la créature, mais bien aux lois naturelles et providentielles du Créateur? « Le

aits magnétiques, il est bon de jeter un coup d’œil sur les textes de loi qui peuvent être logiquement invoqués. g I. — i

gnétisme turatif ne peut être interdit en Belgique. L’art. 18 de la loi du îa mars 1818 , en vertu duquel on croit pouvoi

l'art de guérir pour laquelle ils ne sont point autorisés d’après la loi , ou même qui l’exercent d'une manière qui n’est p

ription comme les autres avant de pouvoir pratiquer. L’esprit de la loi a été d'empêchcr la délivrance de remèdes par des

e poursuivre les magnétiseurs. Je vous engage à voir le texte de la loi française ; il est probable qu’il est conçu dans

que le magnétisme n’étant pas une des branches de l’art de guérir, la loi n’est point applicable à celui qui l’exerce, et q

suites incessantes nous engagent à rechercher les dispositions de nos lois qui peuvent s’appliquer à la science de Mesmer, e

a jurisprudence paraît s’être éta~ blie avec quelque certitude. Une loi de ventôse an XI règle en France l’exercice de la

de santé, de se livrer à l’art de guérir. La sanction pénale de cette loi est une amende qui peut être portée à 1,000 fr. c

prendre aucun titre, sont passibles d’une amende do 5 francs. Cette loi est la seule dans laquelle le législateur a cru d

ules et leurs magnétiseurs constituent-elles une contravention à la loi de l’an XI ? 2° L’exercice direct du magnétisme

sans emploi ni indication de médicaments, est-il atteint par la même loi ? A la première question nous répondrons : Oui;

n diplôme des Facultés. Ils tombent dès lors sous l’application de la loi . De récents et nombreux jugements ont sur ce poin

e la médecine, il lui prête ses facultés et ne les lui impose pas. La loi n’a point eu la prétention de mettre des limites

e ne peut être déclarée acte médical et soumise à l'application de la loi de l’an XI. La médecine est une science officie

magnétiques, et des juges ont condamné en 18'j 1 : « Attendu que la loi interdit l’exercice de l’art de « guérir à toute

est constant qu’il a « contrevenu aux dispositions de l’art. 55 de la loi de a l’an XI.... Condamne. » (Voir la Gazelle des

), doivent être considérés comme un acte médical, une violation de la loi , une usurpation sur les privilèges de la médecine

aments, et ne pouvait être « atteint par les art. o(> et 57 tic la loi de 1 an XI. » Un arrêt de la Cour d’appel de Pa

appuyant sur cette disposition, ont poursuivi comme contrevenant à la loi les personnes qui tirent profit de la lucidité ma

directe n’est point un acte médical tombant sous l’application de la loi de l’an XI. Ces conquêtes ne seront-elles pas d

a le magnétisme en un dédaigneux oubli, el qu'il n’aura pas, dans des lois spéciales, donné des règles à une science qui int

étude et l’expérience, a toujours été la condition sine quâ non et la loi suprême dans la pratique du magnétisme. Sur ce te

pas, nous allons causer en rêve; attends, je vais me mettre à côté de loi , tu mc tiendras embrassée , et à ton réveil, quan

e ces nouveaux outrages? Ils justifient ce que nous avons dit tant de lois des faux savants : leur mauvaise foi est patente.

n ne peut évidemment le rendre complice du délit, s’il y en a. Aucune loi ne prohibe le magnétisme. En magnétisant, il fait

son pourvoi. Le premier est tiré de la violation de l’art. 7 de la loi du 20 avril 1810, en ce que la Cour n’aurait pas

à l’Asscmblée législative, dans lu but de nous délivrer de toutes les lois et ordonnances qui nous assujettissent à l’oppres

ans l’esprit des mortels, ne peuvent ni ne doivent être enfouis. La loi du 19 ventôse an XI, qui n’accorde qu’aux médecin

tout l’univers; en France, seulement, il est traqué par la maudite loi du >9 ventôse an XI. L’Assemblée nationale s

entôse an XI. L’Assemblée nationale s'empressera de rapporter cette loi , pour le bonheur de l’humanité. Combien de malade

e l’humanité. Combien de malades gémissent en ce moment, parce que la loi défend de guérir les maladies par le magnétisme,

L’humanité réclame, Messieurs les Représentants , l’abolition de la loi du 19 ventôse an XI, qui a moissonné un nombre in

ns vos âmes, dans vos esprits, la sagesse pour donner à la France des lois qui la délivrent de l’inquiétude où elle est, et

édecine est cncoretoule puissante, el elle pourrait bien inspirer une loi nouvelle qui nous gênât davantage que l’ancienne.

eur doctrine est essentiellement vitali-que ; qu’ils reconnaissent la loi des analogues, cette suprême harmonie qui régit l

n’a pu suffisamment observer les faits pour que ses théories fassent loi . A l’époque où il écrivait, on avait moins vu que

is vos raisons, ainsi que les siennes, sont bien futiles vis-à-vis la loi des analogues. Seriez-vous disposés à la nier, ce

vis-à-vis la loi des analogues. Seriez-vous disposés à la nier, celle loi , messieurs les magnétiseurs ?..... Le vitalisme

scs devanciers, puisqu’il en a le premier formulóla vraie, la suprême loi ! Or, il est bien convenu que le magnétisme rentre

hérapeutique; il était donc logique que notre maître le pliât sous la loi des analogues, et qu’il signalât les dangers de c

cale; qu’elle a pour principe physiologique le dynamisme vital , pour loi thérapeutique celle des analogues, les spécifique

ieurs les magnétiseurs , et vous comprendrez toute l’exaltation de la loi générale de l'analogie, de l’harmonie, et 1 indis

du magnétisme que comme moyen thérapeutique, el au point de vue de la loi des semblables, nous devions approuver la forme p

oppose sans cesse les faits dont la nature se sert pour exprimer ses lois . Les considéralions théologiques dans lesquelles

Washington , du 9 juin 18/19, nous pouvons dire qu'il ignore même les lois les plus vulgaires de l’électricité, et que la ph

ets en étal de veille oui un caractère merveilleux cl amusant il la lois 11 doit donner ce soir, ii Armory llall, une nouv

a plainte comme ne s’étant rendu coupable d’aucune offense contre les lois de l’Etat. Plusieurs personnes lrès-re-commcndabl

x, appréciable seulement par ses effets. Comme eux il est sujet à des lois qui sont pour nous autant, de mystères, mais dont

coucher avec les vieillards. On remarque encore cet effet de la même loi dans les jeunes arbres qui en avoisinent de vieux

nt en physiologiques et en psychologiques, doit reconnaître les mêmes lois que celles reconnues au magnétisme terrestre, au

é, qui est le premier de tous les biens; et il faut, pour obéir à une loi de Dieu, que tous ceux qui se portent bien fassen

peu médecins, peu physiologistes, peu philosophes, ceux qui nient la loi des semblables. » TAXIL, d. m. Nouvelle-Orléa

ture particulière, rentre essentiellement dans le vasle domaine de la loi des semblables. Nous continuons à vous suivre, dé

es bras à tous, et dont tous obstinément vous méconnaissez la suprême loi ..... Ah ! vous y voilà; vous ne voulez pas être

inutilement sa puissance thérapeutique qu’en courbant la lêie sous la loi des semblables. Nous serions si heureux, nous,

s esprits; au con-« traire, vous qui méprisez les choses sacrées, les lois «et cérémonies de la religion, retirez-vous d’ici

eillement, qui avait commencé à mettre en grec quelques versets de la loi divine, fut confondu, et perdit l’esprit en un mo

r d’énigmes de diverses façons. Cette pratique a été gardée comme une loi chez les Indiens, les Brahmanes, les Ethiopiens,

n, et ranger un bon nombre des phénomènes ci-dessus indiqués sous les lois exactes do la physique. (Prochainement le Chapi

nces que j'ai laites depuis quelques semaines, je n’ai pas échoué dix lois , cl je suis persuadé que trois personnes sur quat

aut, qu’il restera peu d’incrédules; celle nouvelle science fera de lois progrès et deviendra d’une application si facile

i vous écrit, c’est annoncer que je viens de payer mon tribut à celte loi de la nature qui veut que l’homme subisse à diver

er : Pauvre science ! pauvres savants ! le magnétisme, qui révèle les lois de la vie, est destiné à vous couvrir de confusio

spérons qu’un jour, groupés ensemble, ces faits aideront A trouver la loi divine qu’ils indiquent sûrement. Dans tous les c

ez-vous ; les magnétiseurs ne désirent que l'accomplissement de celle loi . Les somnambules devineresses, médicatrices, po

) Vous ne pouvez ouvrir un livre d’aucune religion sans trouver des lois contre les magiciens et les sorciers. Massacrer s

la prévention, requiert contre les deux prévenus l’application de la loi . Le tribunal, après délibération, a pensé que l

tir, par M. Jobard, 3. — De la difficulté d'expliquer et de fixer les lois du somnambulisme, par M. Jules Lovy, 151. — De l’

« Ce sont ces faits qui nous permettront plus tard de formuler des lois . > Ce sont ces idées générales qui amenaient

rd est possible. Que dis-je? Il s'impose, si l'on a quelque souci des lois du raisonnement. En effet, il ne s'agissait pas d

n cas d'exercice illégal nettement caractérisé et ils ont appliqué la loi , ce dont on ne saurait les blâmer. L'hypnotisme

dant la veille ou pendant le sommeil et ses analogues, et. d'après la loi de fluctuation de la force nerveuse établie par C

ur la folie chez les enfants Après avoir passé en revue les textes de loi qui arment la société contre les délits commis pa

réciation des actes commis par les enfants est un rôle très borné. La loi est formelle. L'âge du discernement établit nette

Gouvernement, à ce qu'il paraît, poursuit son intention de faire une loi — grosse de dangers et mortelle pour la science e

dn S mai). — en vue de réglementer la pratique de l'hypnotisme. Cette loi a été réclamée et inspirée par l'Académie de Méde

ambre le rapport de la Commission spéciale qui a examiné le projet de loi relatif à l'hypnotisme. Ce projet de îoiaété dé

it une remarque qui me semble importante au point de vue du projet de loi qui nous est soumis : s On pourrait s'étonner,

respecter ce paysan médecin comme s'il n'existait pas en Belgique des lois sur l'art de guérir, comme si la justice pouvait

d'expériences, le parquet a fait mettre celte femme en liberté. La loi devrait tenir compte des cas de ce genre et punir

le Congrès des aliénistes a discuté les modifications à apporter à la loi de 1838. A l'unanimité, Tordre du jour suivant a

: • Les membres du Congrès des aliénistes de Lyon, considérant que la loi de 1838, appliquée journellement depuis cinquante

comme nombre, et très contestables comme fait, émettent le vœu que la loi de 1838. susceptible de quelques perfectionnement

IONAL Nous lnvitons nos lecteurss compléter, par leurs Indications, loi lacunes et les omissions de l'Index bibliographiq

8 pages.) Ranse (F. M) et Léchopté (A.). — Commentaire de la nouvelle loi sur l'exercice de la médecine, (In-8, 116 pafts

à un enfant ou a une famille. C'est a peu près la différence que nos lois établissent entre l'instituteur public et l'insti

es aux autres, permettent d'en déduire une doctrine et d'en tirer des lois ; que tel système est préférable à tel autre parce

peine de se rendre inefficace, tout ce qui peut venir à rencontre des lois générales. On n'agit point sur une intelligence c

que ses doctrines intelligentes et libérales reconnaissent parmi les lois communes toutes les diversités de la nature, parc

ar les points étranglés ou coupés du nerf; ou, en d'autres termes, la loi de la propagation isolée de l'excitation nerveuse

où les deux cerveaux se touchent immédiatement. Ici régnent aussi les lois de la transmission isolée de l'excitation nerveus

l'hypnotisme « abdication de la volonté humaine et de la liberté dans loi mains d'autrui ». de telles abdications se rencon

mes à dire que cette considération suffirait à justifier le projet de loi . Mais les adversaires des idées qui ont amené l

Mais les adversaires des idées qui ont amené le dépôt du projet de loi , ont fait valoir un autre argument. D'après eux,

liques d'hypnotisme; passant en revue les exhibitions diverses que la loi a interdites, il se demande si on pourrait auiori

e M. Masoin : € la cause est entendue »; et afiirmer que le projet de loi , soumis à nos délibérations, répond a une véritab

ge faut-il protéger la jeunesse contre ces pratiques ? Le projet de loi indique comme limite l'âge de dix-huit ans. Votre

iale croit qu'il faut aller plus loin, et étendre la protection de la loi à la minorité toute entière : le majeur seul, l

il fait, quelque grave qu'il soit, échappe, dans l'état actuel de nos lois , à toute répression pénale. Il était indispensabl

le. Il était indispensable de lui appliquer toutes les rigueurs de la loi , et, pour qu'aucun acte de ce genre ne puisse res

Rapporteur, Le Président, A. Eeman. T. De Lantshberb. PROJETS DE LOI Projet de loi proposé par la Coamiflion. Arti

Président, A. Eeman. T. De Lantshberb. PROJETS DE LOI Projet de loi proposé par la Coamiflion. Article premier. (Co

public. (Comme ci-contre.) Art. 3. (Comme ci-contre.) Projet de loi prtsealé pu le Goareraeineil. Article prruibi.

* Il n'avait pas eu mal. Je lui tirai la moustache, les sourcils, je loi pétris sa joue paralysée et l'autre — impassibili

ui-ci ne produit pas ces mouvements, ils se refusent net à faire avec loi aucune expérience. Ainsi, tout démontre que les

eur plus haut développement et à leur perfectionnement ; c'est là une loi générale qui s'applique aux lecteurs des pensées

qui se manifeste par des mouvements nettement localisés, d'après les lois anatomo-physiologiques, dès qu'on excite mécaniqu

usculaires, aussi bien que les mouvements correspondants, d'après les lois physiologiques. Et si l'excitation mécanique qu

ite qu'il peut ajouter à tant d'autres litres à la reconnaissance que loi doit cette science qu'il a tant contribué à dével

e d'une manière habituelle. L'une gagne co que l'autre perd. C'est la loi . » On se demando où ! The Lancel a découvert ce

rd. C'est la loi. » On se demando où ! The Lancel a découvert cette loi , et à quoi se reconnaissent les personnes qui éli

gt;, mai 1891.) Jllien- (Alexis), professeur libre d'anatomie. — La loi de la position des centres nerveux. (Brochure de

Dr "Liebeault l'endormit une vingtaine de foi» et le déclara guéri, n loi dit qu'il pourrait boire à se» repas deux verre?

8 et 10. REVUE DE L'HYPNOTISME EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE LA LOI SUR LÎÏYPNOTISME EN BELGIQUE Nous n"avons pu su

ges et il nous est difficile de nous rendre compte de la valeur de la loi qui vient d'être votée. Si nous en croyons les co

stion, des réserves devraient être apportées à l'application de cette loi : c Les affaires médicales sont fort en honneur

u Code pénal sont applicables aux infractions prévues par la présente loi . Noos ne noos attacherons pas à montrer combien

Noos ne noos attacherons pas à montrer combien était nécessaire la loi qui vient d'être votée. A part Tune ou l'autre op

ment, tout cela ne pourra plus se faire impunément, quand la nouvelle loi aura été promulguée. Du moment où des expériences

mple curiosité des spectateurs, il y aura infraction punissable. La loi va même plus loin : un professeur de clinique ne

es théâtres, ni dans des lieux privés, voilà le sens bien clair de la loi . L'article 2 du projet de loi, comminant l'amen

rivés, voilà le sens bien clair de la loi. L'article 2 du projet de loi , comminant l'amende et l'emprisonnement contre «

e prévaloir et que l'honorable rapporteur a appuyé. J'estime que la loi , en accordant au corps médical le droit qui lui e

corps médical est digne de celle marque de confiance. On veut que la loi lui manifeste la même confiance, en se contentant

plus une question de confiance. Le médecin, sous le régime de notre loi relative à l'art de guérir, peot recourir, pour l

e l'a dit l'organe du gouvernement, il ne soit pas possible, dans une loi générale, de faire des exceptions pour telle ou t

généralement acceptée, ce serait affirmer arec vanité que toutes les lois qui gouvernent la nature sont découvertes et conn

derations juridiques Il serait injuste de ne pas reconnaître que la loi a cherché à entourer le témoignage de garanties c

t qu'elle punit le faux témoignage de pénalités très sévères. Mais la loi accorde au sens du mol faux témoignage une accept

es conséquences graves que peut avoir sa déclaration, aussi bien pour loi que pour celui qu'il accuse. Il persiste néanmoin

é; elle est plus élevée lorsque le faux témoin a reçu de l'argent. La loi semble n'avoir prévu que le faux témoignage consc

; il ne peut donc y avoir faux témoignât-* «ie la part de ceux que la loi n'admet pas comme témoins, savoir les enfants et

ns la nécessité de la défense de la société. Il n'appartient pas à la loi et aux juges qui l'appliquent d'examiner et de dé

sible à la société. Tel acte mauvais peut échapper aux rigueurs de la loi ; tel acte réputé crime peut être moralement bon.

e peut être moralement bon. Que le criminel soit ou non un malade, la loi ne vise qu'une chose : défendre La société et met

le fils, le petii-fils se suivaient à distance, comme poussés par une loi fatale. Dans le dernier procès, il y avait deux f

ce, » Jamais — je crois — on n'a rencontré meilleures preuves de la loi de l'hérédité. En France, dans une série de bou

ager l'étude do ces questions et en tirer parti pour l'humanité. La loi sur l'hypnotisme devant le Sénat belge. Le Séna

e rote de cet amendement entraîne le renvoi à la Chambre du projet de loi sur l'hypnotisme. Une Loge maçonnique médicale.

lait faite pour épargner toute secousse à leur système nerveux, si la loi fatale de l'hérédité n'avait imprimé à ce système

s et s'est développé, dit-il, a la suite d'injections d'éther qu'on loi fit pendant quinze jours. Avant les injections. U

er à ses idées délirantes et morbides par auto-suggestion. D'après la loi dynamique du système nerveux donnée par M. Bernhe

ent allusion à rien. Ils avaient été choisis par la mère parce qu'ils loi avaient paru très beaux, et surtout parce qu'aucu

Picard, éditeur, 82, rue Bonaparte, Paria, 1893.) Julien (Alexis). — Loi de la position des centres nerveux. (Brochure de

ences, janv. 1882. DISCUSSIONS ET POLÉMIQUE A propos du projet de loi sur l'hypnotisme voté par la Chambre des députés

ruxelles, et M. te D* P. VAX VELSEX. La Chambre a volé un projet de loi répressif de I"hypnotisme exercé en dehors de cer

ous voulons examiner aujourd'hui quel sera le résultat pratique de la loi , et s'il ne vaudrait pas mieux abandonner pour le

ntrer que les dispositions volées par la Chambre, si elles deviennent loi , seront inapplicables dans la majorité des espèce

'il suffit de consulter les discussions pour ne plus savoir ce que la loi signifie. C'est la confusion absolue, c'est le

posés sur le système à introduire, se mettre d'accord sur le texte de loi qu'il faut YOter. Nous n'hésitons pas à nous ra

Jeune. En général, il faut assez se défier de l'interprétation des lois par les travaux parlementaires. La discussion don

au débat public. Mais ici le rapporteur et le ministre qui dépose la loi se contredisent. En l'espèce ou jamais, il faut

pnotisée, il faut avoir hypnotisé un mineur ou un aliéné, pour que la loi puisse trouver son application. Il ne saurait y

ucun doute. Voyons d'ailleurs les motifs qui ont dicté le projet de loi . L'hypnotisme, dit-on, a des dangers : il peut

contradictoires; le juge n'y recourra pas, il prendra le texte de la loi et décidera avec infiniment de raison que puisque

texte de la loi et décidera avec infiniment de raison que puisque la loi parle d'hypnotiser et de personne hypnotisée, il

'existe l'infraction. Or, c'est de ceci que l'inapplicabilité de la loi découle nécessairement. Nous ne reviendrons par

e résultat, et avions-nous raison d'écrire que l'effet pratique de la loi serait nul à cause de l'actuel état de la science

possible ou sera parfois très dangereuse, l'infraction prévue par la loi sur l'hypnotisme pouvant, en certains cas, être r

uestion n'est pas mûre, et qu'il vaut mieux assurément n'avoir pns do loi que d'avoir une loi mauvaise inapplicable, que de

re, et qu'il vaut mieux assurément n'avoir pns do loi que d'avoir une loi mauvaise inapplicable, que des affaires comme cel

che que poussé par l'Académie de Médecine, qui a demandé le projet de loi . Soit ! Mais les Académies se trompent, même souv

contre Bernheim et Delbœuf en faveur do l'école officielle. Oui, la loi tranche un débat scientifique, et nos législateur

s législateurs ne sont pas compétents sur de pareils sujets. Que la loi prend parti dans une discussion entre savants off

us que l'état de la question ne le permettait; c'est pour cela que la loi , voulant trop atteindre, n'atteindra presque rien

erions la question trop peu élucidée et nous refuserions de voter une loi , que certes de nombreux médecins — l'Académie en

ront comprendre comment cela se passait d'ordinaire. Au mois de mai loi i. on faisait le procès d'une certaine Henriette,

avril 1891, M1'* L..., dix-sept ans, se plaignait de maux de dénis in loi érables. Je l'endormis profondément, et à son rév

démouiaque était signalé, les ministres allaient lui rendre visite et loi apportaient des consolations ainsi qu'à la famill

lieu même de dix, pour être acquitté. « Est-ce la peine de Taire une loi pénale si les jurés sont omnipotents pour l'annul

**... Le jury représente la société même, il se croit au-dessus de la loi , sous prétexte qu'il se confond avec le suffrage

us prétexte qu'il se confond avec le suffrage universel, source de la loi . Et, tandis que le premier principe de la vie pub

premier principe de la vie publique est que chacun soit esclave de la loi , — à commencer par ceux qui la font, — il y a pér

n peu au hasard, qui se croient autorisés à ne tenir aucun compte des lois prolectrices de la sécurité commune. > Quel

la sécurité commune. > Quel est l'homme de science ou l'homme de loi qui refuserait d'approuver d'aussi sages récrimin

M. Joly se montre assez peu partisan des courtes peines et même de la loi Béreoger, qui otlre pourtant de sérioux et incont

jeunes gens, de jeunes tilles, sauvés du crime par lé bénéfice de la loi B--renger. Tout récemment, le ministre de la Just

, définitive, de l'irrigation comparée de l'hémi-cerveau droit. C'est loi qui a montré que le surcroît de fonction, dévolu

rimordiales qui ne sont que les expressions actuelles et humaines des lois antagonistes de l'hérédité et de l'adaptation (ou

te fonctionnel de l'accouchement à terme (qui va se faire suivant les lois de la nature), analogue sans doute à d'autres fai

'un résultat aussi rapidement obtenu. DISCUSSIONS ET POLÉMIQUE La loi sur l'Hypnotisme à la Chambre des Députés de Belg

La loi sur l'Hypnotisme à la Chambre des Députés de Belgigue. La loi sur l'hypnotisme votée par la Chambre de? Représe

e, dont il admet, du reste, le principe, soit confié par le projet de loi aux Commissions médicales provinciales. L'honorab

'est pas en péril. Si nous en étions certain?, nous ne ferions pas la loi dont nous nous occupons. Mais où trouver la certi

ue disait, à l'instant l'honorable M. Grosfils, el il considère noire loi comme inutile et funeste. Il enseigne aussi que,

tre en hypnotisme dont je viens de rappeler l'opinion hostile à notre loi . Cet avis, le voici : I. me parait qu'il n'y a ri

d'abuser d'une femme mariée hypno-tisable, si elle aime son mari : On loi fait croire que l'on est le mari. De là l'air sou

ecin. MM. Grosfils et Magis semblent perdre de vue que le projet de loi ne met une restriction que pour les enfants et le

es précautions, les garanties nécessaires; mais ne venez pas, par une loi , entraver l'exercice de l'hypnotisme, quand il pe

ns la forme : c'est, au fond, la même surveillance. Dans le projet de loi , cette surveillance est tout organisée ; les comm

st tout organisée ; les commissions médicales en sont chargées par la loi elle-même. Les honorables membres proposent de la

Code peu.i. sont applicables aux infractions prévues par la présente loi . > VARIÉTÉS Les possédées et les démoniaqu

la force nerveuse (le), 159. Loge maçonnique médicale (une), 224. Loi sur l'hvpnotisme en Belgique (la), par Merveille,

24. Loi sur l'hvpnotisme en Belgique (la), par Merveille, 193, 362. Loi sur l'hypnotisme devant le Sénat belge, 224. Ma

c suggestions, par Kingsbury, 185. Prix Liébeault. 188. Projet de loi sur l'hypnotisme (à propos du), par V. Denys et V

l'hypnotisme constitue l'élément fondamental de la psychothérapie. Lois de suggestion appliquées au costume militaire p

ent à des hommes dont la principale mission est de faire exécuter les lois . Nous devons continuer à renoncer dans l'avenir

ser, il y a quelques jours, sur le bureau de la Chambre, un projet de loi concernant l'enseignement des anormaux. La Sociét

rs publics. II s'agit de soustraire ces malheureux à la tutelle de la loi de 1838. Actuellement, ceux qui reçoivent des soi

ON, vétérinaire principal de l'armée : La pédagogie hippique. — Les lois psycho-physiologiques du dressage. M . le D R W

enon, vétérinaire principal de l'armée : La pédagogie hippique. — Les lois psycho-physiologiques du dressage. M. le Dr Wit

isme et un des meilleurs continuateurs de Liébeault. Dr Bérillon. Lois de suggestion appliquées au costume militaire p

bien qu'aux colonies. Mais ils n'ont pu s'affranchir entièrement des lois de la couleur et ils ont relevé leur tenue khaki

ins cas, d'accompagnement. Les couleurs simples, base de toutes les lois de suggestion des couleurs, sont, elles aussi, au

par la façon de le détacher sur un fond : admirable observation d'une loi de contraste et d'effets complémentaires. C'est p

ons. Dans la composition des vêtements de guerre, l'observation des lois de couleurs est chose essentielle, et il est d'ai

d'ailleurs possible de citer des exemples de cas où l'on a suivi ces lois , d'intuition. C'est ainsi que les gendarmes, qui

utons de métal, sont maintenus. Les Allemands ont donc sacrifié aux lois de suggestion l'invisibilité totale qui eût été o

composition des costumes des troupes chargées de faire respecter les lois avec, comme par le passé, quelques indications de

pas à dédaigner. C'est si l'on veut l'observation pure et simple des lois de contraste. Dans toute création d'uniforme il y

s raisons les plus diverses ont depuis fait reléguer dans l'oubli les lois d'instinct qui présidèrent à leur création, et on

'adaptation naturelle du vêtement au but poursuivi. Or, puisque les lois de suggestion de la ligne, de la forme et de la c

l'éducation naturelle, l'observation de leurs principes, puisque ces lois sont soumises à des règles précises, simples, fac

e. La question d'habillement est une des pierres de l'édifice ; les lois de suggestion donnent le moyen de la perfectionne

e la perfectionner. Il ne faut cependant pas oublier que toutes ces lois ne vaudront jamais ce que les éducateurs, civils

la ville. Il nous semble qu'il y a là une méconnaissance complète des lois de la croissance de l'enfant. L'arriéré qui est a

a négation absolue des besoins de cet enfant. C'est méconnaître les lois physiologiques de son évolution, c'est en un mot

vous parler de cette religion que j'appelerai, plus spécialement : la loi de Mahomet. Le mot : foi, exprime mieux, en effet

. Reims, août 1907. gion musulmane au point de vue social est une loi et au point de vue moral est une philosophie. N

t de vue moral est une philosophie. Nous verrons donc ce que dit la loi de Mahomet à propos de la pédagogie. Le Coran c

me est la religion naturelle, c'est-à-dire qu'elle est l'ensemble des lois sociales inspirées au cœur et à la raison humaine

n quelque deux et trois mille ans avant Darwin. On cite toujours la loi promulguée par. Lycûrgue à ses compatriotes Spart

ciens que l'enfant qu'il voulait garder. Même chez eux la rigueur des lois finit par se relâcher : un de leurs rois, et non

s moins célèbres, Agésilas, était même boiteux et contrefait. Cette loi à laquelle obéirent tous les peuples anciens, ava

t cette crainte bien avant Malthus. La religion s'accordait avec la loi : elle prescrivait de détruire les monstres, les

x. 534 pages, in-12. O. Doin, Paris. 5 francs. Dr Binet-Sanglé. Les lois psycho-physiologiques du développement des religi

légiste ne doit ni indiquer ta chose ni employer le mot, parce que la loi n'en parle pas ; il doit s'en tenir au texte stri

que la loi n'en parle pas ; il doit s'en tenir au texte strict de la loi . Si, tout d'abord, on veut se montrer tellement

r que ce qu'elle a de général et s'élever peu à peu à la notion de la loi . Le médecin légiste, lui, reste en pleine réalité

Et puis, il suppose une certaine adéquation entre un manquement à la loi et un châtiment correspondant ; c'est un term

arler avec le commun ? Mais le mot responsabilité n'est pas dans la loi , objecte M. Ballet. S'agit-il d'une interdiction

de l'article 64. Alors, pour vous conformer à la lettre stricte de la loi , allez-vous répondre, catégo-, riquement et dans

mande : X... est-il ou n'est-il pas dément ? La voilà la lettre de la loi ! Vous ne trouverez pas d'experts (et c'est à leu

igez d'autrui, vous ajoutez de votre crû quelque chose au texte de la loi ; entre la lettre primitive de l'article 64 et l'

la responsabilité en invoquant cette raison qu'elle n'est pas dans la loi , puisque cette même loi, vous l'interprétez, vous

oquant cette raison qu'elle n'est pas dans la loi, puisque cette même loi , vous l'interprétez, vous la précisez, vous l'amp

, la notion de responsabilité n'est pas expressément inscrite dans la loi , mais elle est dans les mœurs ; et quand une chos

ement à celui de M. Grasset, qu'il a ainsi formulé :: « Que dans la loi française, soit expressément introduite la notion

s, qu'on le sache bien, ce qu'il apporte à la barre, ce n'est pas une loi scientifique, ce n'est pas une vérité universelle

rçant d'islamiser le progrès et de se rapprocher particulièrement des lois françaises. L'ancien système d'enseignement n'é

dhérents ; il en règle les conditions. Or si on ignore une partie des lois sociales de la religion, on se trouvera souvent d

trouvera souvent dans l'incertitude quand il s'agit de savoir si les lois empruntées aux autres nations se conforment à

nt pour les musulmans, parce que c'est à cette seule condition qu'une loi peut obtenir leur approbation unanime. Cette ince

ie chez les musulmans soit tout-à-fait en dehors de l'influence de la loi de Mahomet. C'est sous cette influence que l'éduc

onguement développées devant vous je me borne à signaler que selon la loi de Mahomet on doit s'efforcer, en matière de péda

dans leur vie sociale et dans la façon d'instruire leurs enfants à la loi de Mahomet. Par conséquent, ils ne savent pas en

tion personnelle, qui la met en garde contre des actes, punis par les lois ; elle a en un mot la conscience claire de ce qu'

ilibre » (1). (1) Demolins. L'éducation nouvelle, p. 182. Cette loi si simple et si importante avait été démontrée, b

ie de l'esprit, où l'âme est en harmonie avec ses occupations, si les lois de la vie et de la santé sont observées, si l'on

n ou auto-suggestion de faire le devoir renouvelle cent fois ou mille lois un effort de volonté. L'homme par l'auto-sugges

rtement législatif, auquel incombe le devoir d'imposer le respect des lois coraniques, fut mis, par ses collègues du conseil

enir. Il rédigea un Fétva, sentence tirée de la jurisprudence de la loi de Mahomet. Ce Fétva condamnait Abd-ul-Aziz à êtr

ions, son amour, ses amitiés. L'homme doit aimer la femme, c'est la loi de l'humanité. Toutefois le travail de l'intell

autres voleurs commettent des vols qui ne sont pas punissables par la loi . Ce sont des tromperies, des indélicatesses. La

dre. Tout au moins, la psychologie ne semble plus devoir échapper aux lois de la physiologie. Beaucoup de médecins, dressés

angereux. M. Ballet a ajouté : C'est irrégulier, ce n'est pas dans la loi . * * Envisageons maintenant le problème par s

s, les inculpés seront frappés de la même manière, d'une pénalité. La loi et le juge ne connaissent pas autre chose. Et, en

e ce motif pour me la faire repousser, il serait décisif. Tant que la loi ne connaîtra qu'une sanction unique pour les resp

prices ont été exilés. Il a suspendu la constitution, violétoutes les lois . Faisant preuve d'une activité vraiment surhuma

s considérée comme une législation que comme un dogme religieux. La loi de Mahomet, tel est le terme qui exprime le mieux

issez, dit-il, à vos autorités tant qu'elles se confor- ment à la loi , dès qu'elles sortent des limites de la loi, oppo

se confor- ment à la loi, dès qu'elles sortent des limites de la loi , opposez-vous et cessez d'obéir ». Tous les homme

Voilà ce que le Coran enseigne : Il y a encore deux principes de la loi de Mahomet qui sont inscrits dans la jurisprudenc

neté devait appartenir au peuple et l'autorité devait résider dans la loi . Lorsque Ebou Békir mourut, Orner lui succéda.

les Turcs ont adopté toutes les institutions occidentales. Toutes les lois françaises ont été traduites, presque mot à mot,

t d'islamiser le progrès et de se rapprocher particulièrement des lois françaises.. Aucun citoyen, instruit ou ignoran

e avec la plus grande faveur. Ceci n'a rien qui puisse surprendre, la loi coranique est essentiellement une loi d'évolution

rien qui puisse surprendre, la loi coranique est essentiellement une loi d'évolution. Mahomet conseille à ses disciples de

ns du juge. — L'excuse n'est admise qu'en cas de folie évidente. — La loi des XII tables protège la personne et les biens d

des délits ou des crimes, entraînant des châtiments déterminés parla loi , sont l'objet d'excuses. Ces excuses ne figurent

sont l'objet d'excuses. Ces excuses ne figurent pas dans le texte des lois , elles émanent de dispositions particulières, de

es examens, cela vaut une boule noire au candidat. • « C'est à la loi des XII Tables que commence la série des disposit

sitions légales relatives aux aliénés. Mais si loin que remonte cette loi , elle ne paraît avoir fait que sanctionner une co

à l'impubère (2). II est considéré comme « non doli ? ???? ». Dans la loi de injuriis, il est dit : « Hi pati injuriam soie

liéné vient à causer un dommage à quelqu'un on ne lui applique pas la loi Aquilia de damno. Les choses doivent se passer, d

r le fait de son aliénation mentale, l'inculpé échappait à toutes les lois pénales, à la loi Pompeia. de parricidiis, à la l

iénation mentale, l'inculpé échappait à toutes les lois pénales, à la loi Pompeia. de parricidiis, à la loi Comelia de sica

ait à toutes les lois pénales, à la loi Pompeia. de parricidiis, à la loi Comelia de sicariis, etc. Il est excusé par son m

; n'étint pas capables de répondre utilement à un interrogatoire, la loi romaine les tient pour non responsables. Les ju

agat. i L'incapacité est établie par la nature encore plus que par la loi : t Furiosum sive stipulâtur, sive promittat, nih

s excusables. Ils échapperont dès lors aux pénalités édictées par les lois . L'action judiciaire étant éteinte, ils ne seront

s demi-fous, il devrait y avoir également des demi-responsables. La loi ne connaît que des excusables ou des responsaô/es

beyd-Oullah (de Constantinople) traite : de la responsabilité dans la loi musulmane. Discussion, MM. Bérillon et Scié-ton

L'érythrophobie. La a slnistrose * Un des effets inattendus de la loi de 1898 sur les accidents du travail a été d'enri

mplement l'ouvrier demandeur : ... Attendu, dit le jugement, que la loi du 9 avril 1898 ne permet d'allouer d'indemnités

ciait du bois. Il lui reprocha d'enfreindre ses ordres. « Avant votre loi , lui répondit l'ouvrier, je dormais le jour et je

de haut, gagna toutes les classes de la sociétés. Dans un pays où la loi religieuse interdit l'usage des boissons alcooliq

im à la folie des dégénérés héréditaires. La responsabilité dans la loi musulmane par M. le Professeur Ubeyp Oullah (de

ne par M. le Professeur Ubeyp Oullah (de Constantinople) Dan . la loi de Mahomet, les droits et les devoirs sociaux de

e bon et le mauvais, l'utile et le nuisible. La folie est, d'après la loi musulmane, l'absence de la faculté de distinguer

térielle est inadmissible. Comme je l'ai dit à plusieurs reprises, la loi de Mahomet est plutôt une législation qu'une reli

'homme deviennent donc des obligations coraniques. Se conformer .à la loi est une obligation à l'égard de soi-même, tout co

nous laisser jouir, en toute liberté, des privilèges accordés par la loi . La base de l'obligation étant la raison, le fou

ses forces. » C'est en se basant sur ce verset qu'on a adopté dans la loi musulmane le principe suivant : « Si la raison et

enseignait en présence de beaucoup de pharisiens et de docteurs de la loi , venus de Galilée, de la Judée et de Jérusalem. O

maladie, de la faire aboutir en une complète blancheur du corps ? La loi sacrée se déclarait satisfaite parcela aussi. Mai

s au même préjugé. On conçoit qu'il peut devenir endémique, là où une loi religieuse implacable pèse sur cette affection de

urmenés. A cet effet, l'auteur appelle l'attention sur l'excellente loi promulguée dans l'Etat du Nébraska, dont il prédi

. » La fonction hypnique est, comme tout acte instinctif soumise à la loi fondamentale de l'activité animale, la « loi de l

instinctif soumise à la loi fondamentale de l'activité animale, la « loi de l'intérêt momentané ». Ce n'est pas la récepti

de même chez l'hystérique dont le désintérêt persiste et échappe à la loi de l'intérêt momentané. Ici, de par le terrain, l

a question de la), par Paul Farez, p. 97, 129. Responsabilité de la loi musulmane (La), par Ubeyd Oullah, p. 301. Respo

des séances de), p. 257. Suggestion appliquée au costume militaire ( Lois de), par Michel, p. 2, 34. Suggestion ambiant

ofesseur de physiologie à Kœnigsberg, ayant ppur but de constater les lois de transmission de l'agent nerveux le long des ne

cruellement souffrir de cette interdiction; mais, docile en tout aux lois de son pay9, le prince se soumit. Un autre que lu

rvenus, par leurs travaux et leur longue expérience, à déterminer les lois suivant lesquelles le fluide magnétique parvient

de quantité d’expériences pour détorminer et démontrer exactement les lois suivant lesquelles ce fluide agit. C’est lui cepe

vec nos fluides impondérables, pour ne pas se ranger un jour sous des lois qui nous rendront plus sensible son identité avec

, que mes idées, loin d’être erronées , reposent au contraire sur une loi de la nature. Permettez-moi donc, monsieur, en

es fort légères. Ndos he dévons pàè en ëtrë surpris; car, d’après les lois dé la A&luttè, il doit, comme I«b -antres flu

toujours régulière : elle n’innove jamais. Les animaux obéissent à sa loi et sont immuables dans leur destinée. L’homme, au

oute l’animalité. Vouloir l'empêcher d’innover, c’est aller contre la loi de Dieu, qui a voulu qu’il fût essentiellement ch

traindre, qu’en le mutilant ou en le décapitant. C’est contre cette loi divine que les hommes mêmes se révoltent. Un nova

et le porte à la recherche de ce qui est. C’est donc une impérieuse loi que celle de connaître. L’esclave devine qu’il es

nt s’arrête. Qu’ils voient donc un peu le» nations où l’on a fait une loi de l’immobilité ! Eat-il rien de pàus misérable ?

s aussi avant que tu pourras dans les intelligences ; tù obéiras à la loi ét Dieu. Mai» garde-toi des erreur»; c’est ainsi

que soit votre opinion sur ma doctrine, que voi^s ne vous fessiez une loi de garder le silence le plus absolu et sur les pr

ladie est une lutte de la vie entre le principe vital et la force des lois de combinaison qui régissent la matière inanimée.

ateurs des facultés et des phénomènes mçsmérjques, qui jugent avec la loi naturelle. Et qu^nd niqmfi Swedenborg aurait été

gnétistes spiritua-listes, aux yeux de qui les sujets lucides sont la loi et les prophètes. Ils verront que leur maître ne

, les morts reviennent et les enseignent. Qu’ils brisent au moins les lois du destin, en ne mourant pas comme de simples mor

e plusieurs pour celles des bons et même dos mauvais livres, et une lois quelques capitaux réalisés, ne pourrait on pas ve

occupons plus spécialement, comme je ne développerai pas non plus la loi que le jeune physicien a formulée dans ces termes

* sance vitale ; qu’il pense à la nécessité de mieux en connaître les lois et les influences , et il verra qu’une étude séri

end envers « Ieurfc fiai-enb el étrangers, qu’ils fVappeht quél-i que loi s. Eiitt'ëëüx, il sfe fil&tèërft â se pofrtër

sait pas s’il a reçu les 10 fr., mais il avoue avoir reçu plusieurs lois loir, cl 20 fr. ; il a demandé 100 fr. pour une c

t contre les trois prévenus à l’application des peines portées par la loi . La cause est continuée à mercredi prochain pou

s effets magnétiques comme des circonstances naturelles procédant des lois divines; tandis qu’un grand nombre de chrétiens,

ent imprimés comme sur des tablettes. à l’esprit de Davis; suivant la loi de communication entre la mémoire des esprits, co

d’Esdras (i), chap. XIV, Esdras dit au Seigneur : « Le livre de la Loi a élé consumé par les flammes; il ne se trouve pl

ouve plus personne qui soit instruit des (1) Esdras, doc leur de la Loi , à Jérusalem, pendant la domination étrangère, te

depuis le commencement, et tel qu’il était écrit dans le livre de la Loi ; afin que les hommes puissent marcher dans vos v

rendre une forme, devenir palpables et se rattacher étroitement à des lois naturelles, aux lois qui les ont produits. Nous s

enir palpables et se rattacher étroitement à des lois naturelles, aux lois qui les ont produits. Nous sommes persuadé que la

ou fait vivre; mais ce qui est du domaine moral se soustrait à cette loi . Dieu a voulu que les vérilés fussent immortelles

mes à personne. Pour la rendre à qui l’a perdue, Mesmer découvrit une loi divine, ignorée des savants. Aussi, Messieurs, ta

ns ; tandis qu’elle voulut, au contraire, en assurer la durée par une loi . « Au lieu de saisir le glaive pour moraliser e

our sur lequel il me semble voir écrits ces mots : PRINCIPE ÉTERNEL , LOI UNIVERSELLE , VÉRITÉ PREMIÈRE. (1) On va voir,

agnétisme, foi nouvelle. N'importe comment on l'appelle, C'est la loi d'amour de Jésus; S’aimer! rien de moins, rien

Comprenons bien sa voix I La nature est notre mère, Obéissons à sa loi ; Kl puisons dans sa lumière Notre amour et not

re mieux que nous ce qu’il y a de poétique , de mystérieux dans cette loi de la nature. « Voyez-la instinctivement exerce

ent des rayons: Jésus, enfant, ne confondit-il pas les docteurs de la loi ? Ne jugez donc point de nos travaux sur notre

êtes les défenseurs et les apôtres. « Merci, Messieurs, merci mille lois des marques de distinction et d’honneur dont vous

, quoi que fassent les méchants, ne faut-il pas toujours en venir aux lois que prescrit la nature ? Qui jamais triompha d’el

us qu’une révélation d’une doctrine morale, c'est la découverte d'une loi delà nature, et l’initiation de l'homme aux mystè

magnétisme , et particulièrement le somnambulisme , est en dehors des lois de la physiologie ; à quoi bon vouloir absolument

de la physiologie ; à quoi bon vouloir absolument les rattacher à ces lois . Avant d’être spiritualiste, j’étais fluidiste

Mais il sait aussi qu’il tient à Dieu par des liens éternels, par des lois immuables que les hommes ne peuvent modifier; fer

en raison de l’importance des découvertes. En réfléchissant à cette loi commune à toutes les grandes doctrines, à toutes

ours associé au vœu de Mesmer, car je suis persuadé que, tant que des lois réglementaires n’auront pas empêché l’exploitatio

ement concédés. PETITE CORRESPONDANCE. Aux Abonnes. — La nouvelle loi sur le timbre nous oblige à changer de mode de pu

e est l’importance relative du rôle de chacun? Celui qui poursuit une loi fugitive à travers l’inconnu prime-t-il sur l'obs

du courage â se déclarer l’apôtre d’une science ayant contre elle les lois et les croyances; M. Dugnani l’a eu, et nous pens

al de Senlis. C’est, comme toujours, en vertu des articles 35 de la loi du 19 ventôse an XI, et4o5 du Code pénal, que cet

n ignorance. Tout le monde n’est pas pharmacien, et ne connaît pas la loi sur la pharmacie; de même, moi, je ne connais pas

nnaît pas la loi sur la pharmacie; de même, moi, je ne connais pas la loi des juges. Prenez des renseignements sur moi, et

le affirme qu’elle n’a jamais eu l’intention de faire infraction à la loi . Son regard a évidemment l’intention d’agir sur s

dont le couplet suivant a été oublié : Supposons qu’tu désir’s chez loi Attirer une bell’ dame; Fais l’i des passes d’b

en dehors de la physiologie; à quoi bon vouloir les rattacher à scs lois ? » Non , le magnétisme ni le somnambulisme ne s

s phénomènes que notre ignorance actuelle n’a pu encore rattacher aux lois qui président aux fonctions de la vie humaine.

ssent, sont inhérents à la nature de l’homme; ils doiven t avoir leur loi physiologique; mais cette loi, pressentie par bea

ure de l’homme; ils doiven t avoir leur loi physiologique; mais cette loi , pressentie par beaucoup de magnétiseurs, démontr

urce dans le système nerveux. Cet agent, ce fluide agit d’après des lois purement physiques dans quelques circonstances, s

omènes purement physiques, l’agent magnétique humain est soumis à des lois analogues à celles des fluides impondérables, et

ois analogues à celles des fluides impondérables, et spécialement aux lois du magnétisme minéral, en ce qui concerne les eff

ar la Providence divine. Oui, la Providence de Dieu gouverne, par des lois fatales, les hommes et les peuples pris collectiv

« Il y a tant de faits à énumérer comme preuves de son existence ! lois de maints gouvernements impuissantes à en empêche

des art. 40,'i, 479, 480 et 481 du Code pénal, et les 35 et 3G do la loi du 19 ventôse an XI. cation par rapport aux fai

es phénomènes rendus publics. Mais, avec la menace d’un tel usage des lois , alors que l’interprétation se prête d’une façon

au somnambulisme, avec la possibilité de pareilles applications de la loi , quiconque, par ses actes, ses gestes , ses parol

ne s’oppose aux prétentions exorbitantes, ridicules aujourd’hui, des lois surannées dont on veut ressusciter l’application.

« Déjà plusieurs fois nous avons vu le magnétisme aux prises avec la loi , se déballant dans les étreintes de la police cor

ssemblée a déclaré, en outre, qu'elle était décidée à respecter toute loi existante , comme aussi â épuiser to^s les moyens

eux, à côté des escroqueries intentionnelles, sagement prévus par les lois sus-invoquées, il n’y aurait pas (malgré le refus

berté d’aceptatiou ou de rejet, doivent être assimilés aux cas que la loi a voulu poursuivre; « 4° Si des phénomènes prés

gnétisme à toute pénalité; « 8° Si l’application ainsi déviée de la loi , en ce dernier cas . n’est pas une atteinte porté

fier, à l’égard de cette science, de cette religion, l’application de lois antérieures à sa découverte, et qui ne furent évi

et encourager les délits, pour rendre illusoires les pénalilés de la loi et neutraliser ses effets. « Par conséquent, le

otre concours pour la dé- fensc sera légitime ; mais, le jour où la loi parlerait plus haut, force serait de s’y conforme

s el dans des conditions qui lui permissent d’échapper au texte de la loi , de façon à rester dans la légalité, selon la ju

ieux à faire dans la fausse position où nou9 place ce qu’on nomme une loi humaine et civilisatrice. Mon état maladif ne m’a

son semblable, il s’en sert également pour améliorer sa condition. La loi punit le crime ; elle est faite pour cela, et c’e

, tous les articles seront partiellement signés, ainsi que le veut la loi nouvelle. Le Gérant : HÉBERT (de Garnay). THE

orné à imaginer le fluide magnétique : il a cru pouvoir déterminer la loi de ses mouvements et toutes les conditions de sa

t des actes qui excitent l’admiration et semblent être contraires aux lois ordinaires de la nature; on est tenté de croire q

portance que dans les cas où nous connaîtrions entièrement toutes les lois qui gouvernent l’esprit et la matière; mais nous

encore cachés, dont la révélation modifierait beaucoup les prétendues lois que nous avons assignées aux phénomènes naturels.

ne peut pas faire; l’erreur peut encore dépendre d’une infraction aux lois de la logique dans le rapprochement comparatif de

nts du cœur, par exemple, à la respiration, etc.? Mais cela tient aux lois primordiales de l’organisation, qu’il nous est bi

e coordination qui, combinant nos sensalions et nos idées suivant des lois régulières, imprime au travail de la pensée une f

ns immatérielles ce rapport, cette communion des âmes tient à quelque loi bien simple, quoiqu’elle soit insaisissable pour

connaissait ni la cause du son, ni le mode de sa propagation , ni les lois suivant lesquelles vibrent les corps sonores, qu’

son étai! produit par les vibrations des corps, quand on ignorait les lois de ces vibrations, et qu’on ne se doutait pas que

ève spontané- ment et se transporte vers un autre corps , contre la loi de la pesanteur? Ne pourrait-on pas lui faire voi

el dire impérieusement : Cela ne se peut pas ; cela est contraire aux lois do la nature, etc. Soyons plus modestes, sachons

lques pas de plus , nous trouverons peut-être la cause ou du moins la loi de ces phénomènes que nous ne voulions pas croire

s combattu par d’incrédules railleries, une puissance qui lient à des lois si simples et si naturelles. Le somnambulisme n

ait lui contester jusqu’à sa raison d’être, et tout expliquer par les lois qui président aux actions et aux aberrations de l

eresses de tout genre comparaissant à la même barre. Les termes de la loi sont formels; elle prohibe la divination moyennan

ncore, qu’elle en avait les facultés, et j’ignorais qu’il y avait des lois qui défendissent l’exercice de ces facultés. D.

ns aptitude. Ici encore la justice sera sans puissance, el toutes les lois n’y pourront rien. D’ici à ce temps, il y aura

'un sur l'autre ou du Milieu sur chacun d'eux, et du même coup, les lois de l'éducation de l'être complet. Eh bien, ne

la Salp.,1906, n° 4.) Observation confirmant une fois de plus la loi de coïncidence anatomo-clinique entre l'acromég

mission de ces malades ? Il n'existe pas actuellement de texte de loi décidant que tel aliéné délinquant doive être int

ission chargée d'étudier les modifications, à apporter au projet de loi sur les aliénés, en ce qui concerne le placemen

s réserves faites sur l'opinion de ses membres sur l'ensemble de la loi , considérant que,dans l'intérêt des aliénés tra

mission sénatoriale chargée d'étudier le projet du Dr Dubief sur la loi des aliénés, le voeu que les modifications suivan

ntroduites dans le projet : « 1° Que dans l'article II du projet de loi il soit prévu des quar- tiers spéciaux destinés

raison montrée hospitalière. J. RoLeT. VARIA La révision DE la LOI DE 1838 au Sénat. La Commission du Sénat, charg

nat. La Commission du Sénat, chargée d'examiner la proposition de loi votée par la Chambre et relative aux modification

tée par la Chambre et relative aux modifications à ap- porter it la loi de 1838 sur le régime des aliénés, poursuit activ

isée ; à l'unanimité elle a résolu d'effacer de la pro- position de loi la disposition relative au libre exercice de la m

te, je l'ai su.lls m'ont privée d'aller l'embrasser une dernière *' lois . Puisque tu es Directeur et que tu n'es pas mécha

n personnelle, qui la met en garde contre des ac- tes punis par les lois ; elle a en un mot la conscience claire de ce q

en France des réformes et peut-être provoquer des amendements à la loi sur les aliénés, actuellement en discus- sionde

- dient les voeux des médecins aliénistes dans l'organisation des lois sur les aliénés. En terminant, M. Drouineau ren

a pris l'habitude, contrairement à la lettre et à l'esprit de la loi , d'introduire cette question dans les ordonnances

TES ET NEUROLOGISTES. s'impose à tous les médecins ; car, c'est une loi générale de la physiopathologie, applicable aux

rquer que le mot responsabilité n'est pro- noncé nulle part dans la loi et il conseille de s'en tenir au vieux texte de

il n'y en a pas d'autre. Mais il serait désirable, je crois, que la loi fût modifiée à ce point de vue et il appartient

sation serait peut-être moins lente que ne l'a été la réforme de la loi de 1838. Je voudrais donc qu'au lieu de sollici

ple à l'article 64, les médecins demandent la consécration par la loi de l'usage établi par les magistrats de demander

té médicale des inculpés, c'est-à-dire sur leur santé psychique. La loi pourrait dire nettement que,soùs le nom de resp

ez-vous pas, Messieurs, qu'en introduisant ces pré- cisions dans la loi , on la rendrait plus scientifique et plus hu- m

se, réuni à Genève le le' août 1907 émet le voeu : 1° Que dans la loi française soit expressément introduite la notio

sens de responsabilité médicale ou physiologi- que ; . 1 2 Que la loi permette que dans certaines circonstances, le j

inels, où la vie humaine est en danger, est en jeu,et seulement une loi peut prévenir son élimination de notre procédur

s à le déclarer publiquement de leurs sièges de jurés. Telle que la loi est à présent et tel que le rapport est présent

me temps d'entacher la réputation de toute leur profession. . Une loi abolissant la question de l'hypothèse comme fac-

comme fac- teur dans les cas criminels aurait bien pu être appelée loi pour diminuer la quantité de parjures par les t

e est au système lui-même et non à la profession de la médecine. La loi devrait être changée de telle manière qu'elle r

ène le propriétaire à se soumettre aux conditions indiquées dans la loi , sur les valeurs contestées. Le contrôleur conn

c la même question qui con- fronte actuellement les cours,et que la loi proposée par mon- sieur le juge Emery de la Cou

e nature à des intervalles plus ou moins réguliers, paraît être une loi qui régit tous les phénomènes de la physiologie

mélangent intime- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. loi ment, démontrant, dit G. Ballet : « la commune

et l'alternance peu- vent être considérées comme l'expression d'une loi biologique réglant au sein des organismes la di

opérations de l'esprit humain sont contenues et réprimées par les lois d'airain de l'ordre établi, dans les périodes qui

, ils obtinrent des chambres que les dispositions de l'art. 4 de la loi du 9 juin 1853 leur seraient appliquées tout co

service des pensions civiles, par application de l'article 29 de la loi du 16 avril 1895. L'article 29 delà loi des fin

ion de l'article 29 de la loi du 16 avril 1895. L'article 29 delà loi des finances du 16 avril 1895, est ainsi conçu

partir du le, janvier 1895, les dispositions de l'ar- ticle 4 de la loi du 9 juin 1853 seront appliquées aux commis- sa

valoir la totalité de leurs services, même antérieurs à la présente loi , qu'ils aientété rémunérés par les communes ou

ont trouvés redevables au Trésor au momentde lapro- mulgation de la loi du 16 avril 1893 (les départements n'ac- ceptai

d'un autre côté, comme le, produit des retenues prescrites parcette loi a été compris dans les prévisions de recettes d

ption, que la procédure à l'égard des réfractaires aux normes de la loi pénale et leur traitement, doivent de toute néc

n'a pas-, l'idée de la manière dont ces scènes se reproduisent, des lois qui gouvernent ces divers accidents, de cette d

car- bonique, azote, se dissolvent en quantité anormale, d'après la loi de Dalten ; survienne une décompression brusque

e, la mauvaise vo- lonté des bureaux de police où l'on considère la loi du 30 juin 1838 exclusivement comme une loi de

ce où l'on considère la loi du 30 juin 1838 exclusivement comme une loi de police, tandis qu'elle est en outre et surto

comme une loi de police, tandis qu'elle est en outre et surtout une loi de bienfaisance. Au lieu des portes largement o

es difficiles ou vicieux de l'Assistance Publique Application de la loi du '8 juin 1904. Avant 1880 les services d'assi

s services d'enfants moralement abandonnés et la promulgation de la loi du 24 juillet 1889 ont fait changer complètemen

d'éléments plus que douteux'. Ce contingent de- vint énorme avec la loi du 19 avril 1898. Elle autorisait les tri- buna

des moyens de correc- LEGISLATION. 2-l3 lion qu'a été édictée la loi du 28 juin 1904. Aux termes de l'arti- cle prem

rais qu'il sera confié à l'Administration pénitentiaire». Enfin, la loi indique que dans un délai de 3 ans (ail t. 3) cha

d'administration publique en ce qui concerne l'ap- plication de la loi du 28 juin 1904 sur l'éducation des pupil- les

u présent arrêté. Cette première tentative pour l'application de la loi de 1\J04 ar- rive tardivement, mais en matière

t l'u- nique. Il ne semble pas en effet que la promulgation de la loi ail réussi à amener la création de nouveaux éta

préoccupé du travail considérable que nécessite l'application de la loi du 28 juin 1904. D. P. LÉGISLATION. 245 Surve

au droit de con- trôle des Directeurs, nettement déterminé par des lois , ordonnan- ces et décrets, mais au contraire le

er la gestion des receveurs spéciaux des établissements publics, la loi a en vue d'offrir aux autorités compétentes un

'Assistance et de l'Mygië- ne publiques. )IIR1L\N. Révision de la loi de 1838 au Sénat. La Commission du Sénat, charg

nat. La Commission du Sénat, chargée d'examiner la proposition de loi votée par la Chambre et relative aux modification

votée par la Chambre et relative aux modifications àappor- ter à la loi de 1838 sur le régime des aliénés, poursuit activ

sée ; à l'unanimité, elle a résolu d'effa- cer de la proposition de loi la disposition relative au libre exer- cice de

a- bles, uniformes pour tous les asiles. 248 VARIA. La nouvelle loi relative aux aliénés; par 11. GRAN JUX. (Bull.

s maisons de santé particu- lières. L. Wahl. Le nouveau projet de loi sur les aliénés et le principe du médecin défen

ser. acte envoyé 1 l'infirmerie du Dépôt. Ce fait montre encore une lois la. nécessité d'une hospita- lisalion rapide. y

ogiques de dégéné- rescence chez le malade même. LEGISLATION La loi Dubief et la résidence des médecins d'asile ;

otée par la Chambre, les cri- tiques n'ont pas manqué à la nouvelle loi sur le régime des aliénés, et spécialement aux

venir que le premier devoir de l'Etat, légiférant sur les alié- LA LOI DUBIEF ET LA RÉSIDENCE DES MEDECINS D'ASILE. 279

xtériorisation, c'est pour leurs malades. L'exposé des motifs de la loi et les diverses interventions de M. Dubief au c

n d'être éclairée par l'usage de la médecine générale, avertie LA, LOI DUBIEF ET LA RÉSIDENCE DES MEDECINS D'ASILE. 281

mée que leur vaudront leurs travaux, mais aussi, si l'on s'en LA LOI DUBIEF ET LA RÉSIDENCE DES MEDECINS D'ASILE. 283

s. On raconte qu'il a existé autrefois dans nos asiles, et que LA LOI DUBIEF ET LA RÉSIDENCE DES MÉDECINS D'ASILE. 285

manière à peu près convenable le rapport détaillé que la nouvelle loi exige. Les aliénés ont en outre besoin, une foi

dans ma pensée s'applique surtout aux asiles degran- des villes, la loi nouvelle marquait des intentions généreu- ses e

tonnement.et un peu de regret aussi. 286 LÉGISLATION. Projet de loi . , Ayant pour objet la création de classes de p

cultes, et par M. CAILLAUx, ministre des finances. Messieurs, La loi du 28 mars 1882 déclare que l'instruction primair

rlement l'a rendu possible par l'insertion d'un article (1) dans la loi des finances du 17 avril 1906 (2), aussi l'ente

ses publiques destinées à donner aux enfants sourds-muets PROJET DE LOI . 287 Administrations de l'Intérieur et de l'Ins

ent de recevoir l'enseignement en commun. Les prescriptions de la loi de 1882 ne leur sont pas appliquées, ils ne suive

acultés, : on, et. aveugles l'instruction obligatoire prévue par la loi du 28 mars 1882. Les traitement ! ) et suppléme

sont à la charge de l'Etat dans les conditions déterminées par les lois des 19 juillet 1889 et 25 juillet 1893. 288 L

d'organiser des établissements spéciaux, si les prescriptions de la loi du 28 mars ,1882, instituant l'obligation de l'in

ns. Or, en ce qui concerne les frais de première installation, la loi de 1885 ne permettrait pas à l'Etat la participat

dépenses pour les établissements fondés par les départements, la loi n'ayant visé que les écoles primaires élémentaire

Parlement n'autorisait pas une dérogation aux prescrip- tions de la loi de 1885 et des tableaux annexes. Cette loi, en

prescrip- tions de la loi de 1885 et des tableaux annexes. Cette loi , en effet, n'a eu en vue que des écoles dans les-

ion d'ateliers, ni l'acquisition de jardins et de champs, PROJET DÉ LOI . , 299 d'outils, etc., elle a même interdit tou

es fonctionnaires de l'enseignement primaire ont été fixés par la loi , toute augmentation doit être autorisée par une l

té fixés par la loi, toute augmentation doit être autorisée par une loi . Nous ferons remarquer enfin que les lois en vi

oit être autorisée par une loi. Nous ferons remarquer enfin que les lois en vigueur ne visent évidemment que les enfants

nt insuffisante pour la plupart d'en- tre eux ; d'un autre côté, la loi seule peut indiquer par quel procédé, sous rése

arge liberté est dangereuse pour certains sujets, surtout PROJET DE LOI . 291 dans certaines régions en raison de leur é

'Etat assumeraient des charges qui dépassent les obligations que la loi scolaire déter- mine ; aussi ne s'agirait-il pa

otre examen permettrait de faire observer les pres- criptions de la loi de 1882 sur l'obligation de l'enseignement prim

pas en avant dans l'accomplissement de son devoir social. PROJET DE LOI Le Président de la République française, décrèt

I Le Président de la République française, décrète : Le projet de loi dont la teneur suit sera présenté à la Chambre

nexées qui, vers 13 ans, seront reconnus incapables d'ap- PROJET DE LOI . 293 prendre une profession au dehors pourront

t sera fixée dans les proportions déterminées par l'article 7 de la loi du 20 juin 1885. Les travaux devront être exécu

tes pour exercer les attributions leur appartenant en exécution des lois scolaires sont, sous réserve, de l'article 11 c

nspection exercée dans les conditions prévues par l'article 9 de la loi 30 octobre 1886 ; 2° A une inspection médicale

sera toujours invité à assister à l'examen de l'enfant. PROJET DE LOI . 295 Art. 13. Un comité de patronage sera const

, de- vant être compris dans la section 111 du Tableau annexe de la loi de 1853, notre rattachement pur et simple à la

vi- terait toutes les complications législatives et fiscales, si la loi nouvelle disait par exemple : « Les traitements

près les règles et les tarifs de la caisse des pensions ci- a îles ( loi de 1853). Cette mesure aura son effet dans le moi

mesure aura son effet dans le mois qui suivra la promulgation de la loi , mais ne sera applicable qu'à ceux qui auront a

service 314 CORRESPONDANCE. médical, conformément au texte de la loi sur le régime des aliénés qui vient de passer p

re, il n'a au- cune action dans l'exécution des prescriptions de la loi de 1838, il n'a aucune responsabilité. Son rôle

défini, a été très dis- cuté dans l'exposé des motifs du projet de loi Dubief, ancien minis- tre de l'Intérieur et par

e pu- blique à la suite du rapport de M. le docteur Bourneville. La loi change son titre et augmente ses attributions,

son concours au médecin en chef dans les devoirs que lui impose la loi , devoirs fort lourds quand la population est nom-

sences ou pendant les vacances de l'emploi, c'est peu. Le projet de loi et le conseil supérieur de l'Assistance publique

our lui faire comprendre qu'elle aurait dû s'adresser aux hommes de loi lors de la vente de sa maison. Dernièrement, el

parer attentivement les deux côtés. Les reflexes obéissent aux deux lois suivantes dues à Babinski : 1° loi des différence

Les reflexes obéissent aux deux lois suivantes dues à Babinski : 1° loi des différences indivi- duelles : un même réfle

st responsable. Le fatalisme le nie ; mais notre état social et nos lois sont basés sur le libre arbitre. Le dé- termini

aulo-mutilatrices). F. TrssoT. XVIII. Les praticiens et la nouvelle loi sur les aliénés ; par Gnnrr- . jux (Bulletin mé

r Gnnrr- . jux (Bulletin médical, n° du 18 mai 1907.) La nouvelle loi Dubief créerail,si elle était adoptée, une nouvel

ns de cet important travail : la périodicité est l'expression d'une loi étendue à la plupart des phénomènes cos- miques

ctes et à en subir personnellement des con- séquences fixées par la loi . Dans le droit romain, comme dans le nôtre, l'i

nt l'aliéné à l'infans ou à l'im- pubère « non doli capax». Dans la loi de injuriis, il est ditque : Hi pati inju1'iam

vient à causer un dommage à quelqu'un, on ne lui applique pas la loi aquilia de damne, Les choses doivent se passer, d

au hasard d'un événement quelconque. Le fou échappait à toutes les lois pénales, à la loi Pompera de parricidiis, à la

nement quelconque. Le fou échappait à toutes les lois pénales, à la loi Pompera de parricidiis, à la loi Cornelia de Si

it à toutes les lois pénales, à la loi Pompera de parricidiis, à la loi Cornelia de Sicarriis, etc. Il est excusé'parso

iénés de la Seine. Le Président de la République française, vu la loi du 30 juin 1 838, l'ordonnance du 18 décembre 1

roubles. Localisations, motrices corti- cales. Voir Sclérose. - Loi . La révision de la de 1838 au Sénat, p. 95. Les

acte officiel. Un précédent à invoquer, par De- warte, p. 199. La loi Dubief et la résidence des d'asiles, par .f.

verra, s'il le veut, un signal par la même voie, soit en rompant. les lois de la gravitation, comme- le fait le fluide galva

admettent les faits comme réels, les uns n’y voyent que l’action des lois ordinaires, et les expliquent soit par le jeu des

parties, des agrégations de molécules résultant ou gouvernés par des lois chimiques. Prenant l’électricité pour base de tou

t sans limite, il s’exerce sur les artistes et sur les poètes : c’est loi qui enfantes leurs chefs-d’œuvre. Comme Dieu, de

la voyons, dans ce qu’on appelle magnétisme humain, soustraite à ses lois primitives, soumise à l’action de la vie; elle es

je l’ai dit, la rotation de l’homme s’opère en vertu d’une véritable loi magnétique, ou plutôt par une forte émission d’él

ène. On voit qu'ici la fraude est impossible. « En rattachant à une loi naturelle les faits dont il s’agit, je veux, auta

bles, plutôt que d’humilier leur orgueil devant des prodiges doni les lois connues de la nature matérielle ne peuvent leur d

ntellectuel cessant, la vision disparaît, et il se l'explique par les lois naturelles. Mais si cet homme vit à une époque où

propagea bientôt épidémiquement cette affection, que favorisèrent les lois et l’Kglise, soit en maintenant les esprits sous

térieux. Mes faibles lumières m'empêchent de me rendre compte de la loi qui régit ce phénomène. J’espère que îles hommes

vu, bien examiné, nous avons compris que ce phénomène était dû à une loi magnétique : la volonté. La volonté, dis-je, que

ale publique et aux bonnes mœurs, prévu et réprimé par l’art. 8 de la loi du 17 mai 1819; « Attendu que, dans les diverse

vint un ou deux jours après, bien dis. Imolo, cl, comme la première lois , lorsque mon esprit ôtait préoccupé d'autre chose

la vie que nous menons ici-bas et à notre obéissance' à cette grande loi d'aimer Dieu et notre pro- «lutin. Nous uc devo

existence, l'homme n’est gouverné par miracle, mais seulement par des lois universelles qui ont toujours été et seront toujo

oujours, et qui n’admettent point de détours; que, conformément à ces lois , l'homme, à la mort, ne passe pas à un étal imméd

II — NO «8*. — 45 février 185». 1 que, s'il se conduisait .«clou sa loi , il aurait dos communications ;i\ec le monde invi

cette lésion organique. Tout nous porte donc à supposer, d’après les lois de la logique, que les maladies nerveuses qui ne

ntre nous et les âmes qui achèvent de se purifier de leurs fautes une loi de charité qui nous permet de leur appliquer le m

e lui et réservées pour ses desseins, c’est alors une dérogation à la loi commune, que l’humble chrétien ne recherche point

choses futures sérail une tentative insensée 'le révolt • contre les lois de la sagesse éternel! ■. n Illais si riionnne

pour avoir deviné et pronostiqué par l’un des moyens défendus par la loi . I.cs faits de devination et de pronosticalion on

e mo connaît... M. le Président. Et vous continuez, au mépris de la loi et des condamnations qui vous défendent de pronos

l'ai .l- Jes procédés que \ou- emplove;, el qui soûl réprimés par la loi . M Roger. Ce n’est pas un déshonneur d'être som

elez un don de la nature, el vous en userez ; jusque-là, respectez la loi . M"" Roger. Il vaut donc mieux \o!er que de 'iv

al l'Avant-Scène'. J’avoue, messieurs, que »i ma cliente a manquéà la loi , on peut le lui pardonner, car le ministère publi

la justice, que les vrais somnambules finiront par faire réformer la loi en leur faveur. La franchise des aveux est d’aill

érien devra Cire d’un puissant secours, dussions-nous en appeler à la loi similiu similil/iis ritninliir'.' \insi, d'après

ptire de ht sensibilité iiiiignéliipic. Hieii que surlVuionci: ''es lois |>iiysi>->l>''i«|!-*sai>léc**:lnii

plaira à Dieu de nous accorder, par une connaissance plus grande des lois de la nature. « Mais vous comprenez, N. T. C. F

ui a eu lieu , est parfaitement naturel sans doute, mais est dû à une loi nouvelle pour nous, et que plus tard 011 parviend

u’en faites-vous? Une matière brute sous forme humaine, obéissant aux lois générales du mouvement, ni plus ni moins que tout

bien aussi étudier d'une manière consciencieuse et avec bonne foi les lois physiologiques 6. et psychologiques du magnét

t, dans une lettre insérée au n* 174 du Journal du Magnétisme, que la loi qui préside à l’enlèvement des personnes est tout

impulsion des doigts qui l’enlèvent. Cela se comprend facilement : la loi de l’équilibre a détruit pour un instant celle de

nne volonté, opère son déménagement; la circulation, loin d'obéir aux lois de Harvey, devient l’esclave soumis du magnétiseu

ions ; mais, on ne saurait trop le répéter, plus un fait s’écarte des lois connues, plus il a besoin de constatation rigoure

d’expériences bien conduites, rechercher la nature de la force et la loi suivant laquelle les faits se produisent. L’affir

tement avec ce tison, se lève, jonglant toujours, et fait cinq ou six lois le tour du magasin, remet dans le poêle ce qui re

ants ; le tout étant, en apparence, en directe contradiction avec les lois reconnues de la nature, et dépassant totalement l

fois. Mais, je le répète, c’est un viol fait à la nature, c’est une loi rompue ou transgressée, et l’on ne doit imputer q

i elle y est portée par sa propre volonté, toujours d'accord avec tes lois établies par l’auteur de toutes choses (page 100)

sance imaginaire dans le but de réaliser un lucre illicite, et que la loi défendait cela. « Le marcou s’était soumis; mai

iques, il y a à rechercher si on peut l’attribuer à quelques-unes des lois qui régissent le monde physique, ou à l’action do

s magiques réside dans l’homme. Il dit pouvoir tout expliquer par les lois naturelles et les actions humaines, depuis le plu

et commençait presque toutes ses leçons). — Nous en étions restés aux lois de la réflexion.... Ah! bien! M. N***, passez au

.. Ah! bien! M. N***, passez au tableau. Voulez-vous nous exposer les lois de la réflexion? — Mais nous n’avons pas encore v

e qu’il ne s’en produit pas qui ne trouvent leur explication dans les lois physiques connues, et cite à l’appui de son opini

e organique. La constatation des faits, la connaissance de quelques lois ou de quelques fragments de lois, voilà tout le b

s faits, la connaissance de quelques lois ou de quelques fragments de lois , voilà tout le bagage de la physiologie, qui fera

e à planète. Que leur importe ! cela les empêche-t-il de connaître la loi du monde matériel? U leur suflit d’être sûrs tle

cience positive , e'est l'exactitude, déduite de l'obssrra-tion, îles lois résumies par l'hypothèse do l'attraction. acadé

es d’oscillation de vingt secondes en vingt secondes, il verra que la loi de ralentissement sera tout à fait modifiée, ou,

era tout à fait modifiée, ou, pour mieux dire, qu’il n’y aura plus de loi . Presque toujours, surtout lorsque l’opérateur (s

rie. Nous avons exposé des faits constatés par l’observation (1), des lois positives indépendantes de toute hypothèse. Nou

doivent, au bout d’un certain temps, se mettre en accord, d’après la loi mécanique des petits mouvements vibratoires, c’es

ysique n’a qualité pour contester les phénomènes électriques et leurs lois positives ? ralentit les pulsations, engourdit

rent (1) On a du voir jusqu’à présent que nous nous étions fait une loi d'éviter tout système et de nous astreindre au po

pes entre eux, que tous les anneaux de celte chaîne sont liés par des lois tout aussi naturelles que celles qui régissent le

morts. Nous croyons surtout que les faits qui résulteraient de ces lois naturelles n’auraient aucun caractère miraculeux.

ux explications ; que dans les études scientifiques, les faits et les lois des faits sont seules importantes; que les'explic

dont je fais très-bon marché, m’a semblé simplifier la conception des lois du phénomène. Je devrais m’arrêter ici, puisque

et voici à quel point de vue je me place pour la reconunandre. Les lois naturelles sont simples, et c’est notre ignorance

l’autre les séries de phénomènes, et à les comprendre sous une seule loi . Le magnétisme est une science qui a des princi

pes de la science in-« ductive, quand on ne demandera ii cet ordre de lois de la « nature que ce qu'il peut donner, — ont av

ce d’une ■philosophie vraie, basée sur la connaissance d’une nouvelle loi de la nature. « Le cercle dans lequel tournait,

nir, dans ce siècle d’incertitude et de trouble, qu’il n’y a point de lois morales, et que l’homme a pour seul guide sa rais

car ce serait chercher à amoindrir l'homme, ce serait agir contre la loi divine. «En ce jour, sur tous les climats du gl

timent, Uc lumière cl d'amour sympathique élément, Elle impose sa loi sans paraître sévèro ; Quiconque en cet état la

un défi superbe à l’histoire. L'Egypte avait mis le mystère dans ses lois et dans ses œuvres, le mystère a tué jusqu’au sou

magnétisme, dont Mesmer le premier révéla au monde l’existence et les lois , 11’est plus relégué parmi les chimères ; ses dét

a créature d’un merveilleux pouvoir, incompatible avec ces éternelles lois morales qu'il a gravées dans nos cœurs ! On parle

parut Un homme qui dès son enfance Recherchait de toute existence Les lois , la raison et le but; Des ruisseaux il suivait

exploits ; « Mais quo savez-vous do l'ôme, « De la vie et do ses lois ? « Hélas I rien.......... «........Votre doma

nts qui accueillirent chacun de ces noms prouvèrent au Jury que cette lois encore l’assemblée ratifiait ses choix. Le Jury

vez bien lu mes écrits, vous m’avez vu à la recherche constante de la loi physiologique en vertu de laquelle se produisent

précieux. J’ai énoncé, en effet, une supposition que je crois être la loi et le moyen par lesquels les somnambules voient à

ujours pensé, comme M. Jacques Salés, que l’enlèvement était dû à une loi magnétique dont la volonté est le principe. Beauc

mouvement qu’elle communique aux corps pondérables, contrairement aux lois naturelles. « Eu second lieu, cette force se ma

tout, enfin on est propre à gouverner les hommes et à leur l'aire des lois . Les merveilles de la nature n’en existent pas mo

is, nie en partie ces faits eux-mêmes, sans pourtant accuser ma bonne loi , et m’oppose, par l’organe de sa somnambule, cett

c’est fort exagéré. De ce qu’on peut expliquer certains faits par les lois physiologiques connues, et môme les produire autr

ne la trouve énoncée nulle part. Il est vraiment inconcevable qu’une loi si simple n’ait pas été proclamée partout, même à

ues. Si l'homme était une machine pure, le mesmérisme aurait eu ses lois dès le temps de Mesmer ; si la vie était une forc

nombre suffisant d’expériences pour pouvoir déterminer exactement les lois selon lesquelles agit cet esprit universel (1). »

ablissez des courants et vous les dégagerez. » En promulguant cette loi , je le répète, M. du Potet vient immédiatement ap

sensibles, vous n’avez pas une somnambulisation lucide assurée. Les lois physiques ont fait marcher les sciences, elles fe

her le mesmérisme. Il faut faire faisceau pour arriver au but, et les lois physiques doivent être le lien qui nous attache.

es électricités de non-contraires s’attirent. Ne serait-ce pas là une loi qu'on retrouverait dans les corps animés, mais mo

ce trafic qu’il ne dépend pas de nous d'empêcher : il n’y a point de loi dans notre pays pour punir cette sorte d’impostur

sion grande et sacrée à remplir sur la terre : c’est de découvrir les lois par lesquelles le tout-puissant gouverne sa créat

esquelles le tout-puissant gouverne sa création, et en faisant de ces lois son étendard d’action, de conquérir la nature pou

agé. La magie, «c'est l’art cle formuler son intelligence suivant les lois absolues de la création, afin d’en obtenir tes pl

... comme galimatias, ça sied bien à un maître sorcier. Suivant tes lois absolues de la création.... U paraît que la créat

t tes lois absolues de la création.... U paraît que la création a des lois absolues et d’autres qui ne le sont pas. C’est un

ortante, et qui nous mettra sans doute à même de faire bon marché des lois non absolues. Vous vous étiez peut-être figuré ju

n quelconque, vous ne pouviez l'aire autrement que d’agir suivant les lois de la création : erreur. Si l’auteur ne vous avai

s avait pas avertis, vous alliez peut-être formuler contrairement aux lois de la création, et vous auriez fait de mauvaise b

besogne, de la fausse magie. Grâce à lui, vous formulerez suivant les lois et vous arriverez ainsi à faire de la magie....

n, ont déjà ramené les phénomènes merveilleux dont nous parlons à des lois naturelles. C’est avec peine que j’ai vu cette

ar laquelle ces phénomènes s’expliquent et se rattachent à une grande loi de physiologie. Je dirai seulement, au sujet des

sible, parce que du moment où vous admettez l’électro-magnétisme, ses lois doivent se manifester, et certes il n’en est rien

non somnambulisés, la magie de M. du Potet, appartiennent à. la même loi naturelle de la fascination ou de l’absorption d’

maine qui identifie, fond en quelque sorte les individualités. Grande loi sur laquelle pivote tout le magnétisme, que nous

paraît due qu’à la distance. Ceci est hors d’analogie avec toutes les lois physiques que nous connaissons; car les effets pa

y sont rapportés, il nous semble impossible de les expliquer par les lois connues, et l’on est amené à admettre l'interve

llations magnétiques du globe, et les passions des infusoires, et les lois uerveuses des langues, et les détours capricieux

avait contraint de garder ses foyers. D’autres hommes, sans foi ni loi , vivant dans l’abondance et se croyant plus sages

traire au progrès des sciences, que de prétendre connaître toutes les lois de la nature, et de déclarer impossible tout ce q

de déclarer impossible tout ce qui est en dehors du petit nombre des lois que nous connaissons ou tout ce que nous ne pouvo

t des vœux pour la vulgarisation de procédés qui réalisent si bien la loi d’amour du christianisme. « Ce ne sont pas seul

-ci répondit : « Je v is voir. » 11 s’assit à terre comme la première lois , puis se leva et dit : n Dans cinq minutes, vous

ils sont medium plus développés et qu'ils se sont mieux conformés aux lois qui gouvernent les agents spirituels. 3" Al. Pl

les faits magnétiques, parce qu’ils sont, disent-ils, contraires aux lois de la nature; mais il est sensible qu’un lel anat

erait légitime qu’autant que nous connaîtrions entièrement toutes ces lois . Nous sommes bien éloignés d’un tel savoir. Nous

es ces lois. Nous sommes bien éloignés d’un tel savoir. Nous appelons lois de la nature quelques règles, quelques maximes qu

étisme consiste à s’emparer de cet agent magnifique, à en étudier les lois , à l’appliquer d’une manière intelligente et à l’

. Tout ce qui se passe chez eux a lieu en vertu du cours régulier des lois de la nature, dont l’ordre est immuable et dont l

buent les phénomènes qu’ils racontent et discutent, qu’à l’action des lois naturelles et nullement à l’intervention des espr

tres où l’étude suivie et raisonnée des faits a permis de formuler la loi suivant laquelle ils se produisent? Quant à ce

espiration^ la calorocité et autres fonctions, afin de reconnaître la loi qui préside au développement des principaux phéno

e Mesmer sortira bientôt de l’empirisme pour entrer dans la phase des lois . HÉBERT (de Garnay). P. S. Je ferai connaître

; faire mouvoir la matière par la seule pensée, changer, altérer les lois de la pesanteur sera le commencement de la scienc

paraisse, n’a pu Cire produit ni par le jeu régulier et normal des lois constantes de la nature, ni par l'exercice du lib

intelligents et bornés, et implique nécessairement une dérogation aux lois de la nature, une intervention spéciale de l’Ètre

ne saurait le définir à l’égard de Dieu et de l’ensemble réel de ses lois . Ici nous sommes et nous serons toujours dans une

peu plus cl'attention et de courage les feraient rentrer, il y a des lois connues, incontestables, des axiomes qui sont rev

i-sible en présence du savant. Quand nous affirmons l’existence d’une loi naturelle, nous ne faisons que formuler une règle

à modifier ou môme à abandonner ce que nous avions regardé comme des lois . Ainsi, pendant longtemps, 011 avait cru pouvoi

pes en déclarant ([ne la nature avait horreur du vide. C’était là une loi ..., mais une loi provisoire ; Et tant qu’elle éta

([ne la nature avait horreur du vide. C’était là une loi..., mais une loi provisoire ; Et tant qu’elle était acceptée, il a

ait fait fausse route, et que l’axiome qui avait passé jusque-là pour loi n’était pas une loi réelle, mais un tâtonnement p

e, et que l’axiome qui avait passé jusque-là pour loi n’était pas une loi réelle, mais un tâtonnement pour parvenir à décou

pas une loi réelle, mais un tâtonnement pour parvenir à découvrir la loi . De pareils exemples abondent à toutes les époque

dans notre sujet, SI. Foucault, attribuant un caractère immuable aux lois connues de lui, avait déclaré du ton le plus tran

ait est bien établi, 011 cherche à l’expliquer en formulant, soit une loi plus générale que celles sur lesquelles 011 s’éta

e que celles sur lesquelles 011 s’était appuyé précédemment, soit une loi nouvelle qui n’avait pas encore été soupçonnée. E

nt que ce fait, par cela seul qu’il est inexpliqué, est contraire aux lois de la nature; s’il est contraire aux lois que nou

expliqué, est contraire aux lois de la nature; s’il est contraire aux lois que nous connaissons, il est régi par les lois qu

s’il est contraire aux lois que nous connaissons, il est régi par les lois que nous ne connaissons pas, ou plutôt il est dû

e connaissons pas, ou plutôt il est dû à la résultante d’une foule de lois dont nous ne parviendrions jamais à connaître que

en communication avec nous, ces êtres sont, comme nous, soumis aux lois naturelles, et quand ils agissent, c'est en vertu

aurait tout à coup changé de système et aurait jugé que l’action des lois naturelles suffit pour le gouvernement du monde.

de faits importants qui paraissent bien avérés et qui s’écartent des lois connues ; tels sont principalement les coups frap

ons : Qu’est-ce que le monde des esprits, où est-il, quelles sont les lois qui le régissent?... Ce mystère ne tardera pas à

e leur apprend ce génie méprisable? Sans doute il va leur révéler les lois de son empire, encourager les vivants à persister

livres, au sein de l’école ou de FAcadémie, afin de lui appliquer la loi du talion. Mon âge et mes travaux m’ayant mêlé

étranger à toutes ces raerveil.es, qui parfois semblent renverser les lois de la nature et se rapprocher de la puissance du

les gendarmes l'attendent pour l'interroger. Allons, avoue que c'est loi qui as volé à ton patron le chocolat et le cognac

is. Ces candidatures sont adoptées à l'unanimité. Démonstration des lois psycho-physiologiques de la graphologie, Par M.

groupes musculaires qui devront non seulement être aptes à obéir aux lois physiologiques qui régissent la contraction muscu

s sensations correspondantes. Pierre Janet. — L'aboulie. Lange. – Une loi de la perception. Lehmann, — Recherches expérim

le crâne, et s'éteignent certainement sur la dure-mère. Toutes les lois connues de la physique le démontrent d'abondance.

la jurisprudence : La Cour d'appel de Lyon vient de décider que la loi de ventôse, relative à l'exercice de la médecine,

é une rémunération de trois francs: « Considérant, en droit, que In loi de ventôse a eu pour objet de protéger d'une mani

ce de l'art de guérir; qu'il résulte de l'esprit et du texte de cette loi qu'elle est absolue et indéterminée dans sa porté

alades, en leur faisant concevoir l'espérance d'une guérison ; que la loi ne subordonne d'ailleurs l'existence de la contra

onstitue, de la part d'une personne non diplômée, une infraction à la loi sur l'exercice de la médecine. REVUE BIBLIOGRAP

et, sans lui expliquer en aucune façon ce qu'on attendait de lui, je loi fis seulement signe de regarder. Au bout de dix m

me de la parole automatique que je suis arrivé â provoquer. Les trois lois que j'avais étudiées à propos de l'aboutie se ret

e n'est qu'il y a là un sujet d'étude à explorer. Recherches sur la loi parallèle de Fechner, par M. le Dr M. Mendelsso

er, par M. le Dr M. Mendelssohn, de Saint-Petersbourg- D'après la loi de Fechner considérée comme simple conséquence de

leur différence relative ne varie point pour cela. — L'étude de cette loi psychologique chez l'homme sain est entachée de t

artielle ou généralisée des différents sens, j'ai pu m assurer que la loi parallèle de Fechner n'est pas applicable aux mod

té sensorielle. 11 en probable que ce* dernières obéissent à d'autres lois qu'à on rapport si simple que la loi parallèle de

dernières obéissent à d'autres lois qu'à on rapport si simple que la loi parallèle de Fechner. Dans une série d'expérien

modifications de la sensibilité sensorielle, j'ai pu m assurer que la loi do Fechner. en ce qui concerne les différents sen

espondant plus ou moins aux limites dans lesquelles la validité de la loi de Weber est admise pour les mêmes sens. ***

s poser la question aux médecins modernes s'ils ne pensent pas que la loi physiologique bien connue : « Les fonctions de l'

bien distincts. L'hypnotisme ne saurait lui non plu» échapper à cette loi . VARIÉTÉS La Psycho-physiologie a la Comédie-

suggestion faite, elle dépose sur mon bureau les seringues et ce qui loi reste de morphine. Tous les malaises qu'elle ress

motion : spectacle qui ne peut manquer de produire eu lui, d'après la loi énoncée tout à 1 heure, une émotion réelle. Admet

ultipliée par 300, c'est-à-dire par 750. Que si l'on applique la même loi à celui qui est debout et parle au milieu de cett

rtain temps. Le temps même est ici un facteur nécessaire. C'est une loi de l'esprit, qu'on ne peut passer brusquement d'u

les, si elles guérissent, elles guérissent d'elles-mêmes, suivant des lois déterminées, el jusqu'ici on ne connait pas un se

....Mais, ce qui détermine le caractère de celle suggestion, ce qui loi donne la vraie tonalité calmante, c'est la façon

eligieuse t'imagina de lui mettre un cravon dans la main droite et de loi faire écrire, en dirigeant ses mouvement', la phr

ce que quelques-uns me reprochaient de n'avoir pas faite une première lois . Et, en effet, mon récit me fit regagner d'un cou

. Sans contredit, il n'y a rien dans ce traitement qui s'écarte des lois psychologiques normales. Mon rôle a été celui d'u

a faiblesse de la raison humaine, renversant et confondant toutes les lois sous lesquelles vil notre monde physique. Ces idé

sion du sens génital, M. Senator a posé la question suivante : « La loi défend-elle l'accouplement des femmes entre elles

plement des femmes entre elles ? » A quoi M. Lewin a répondu que la loi défend la sodomie et la pédérastie, mais point l'

mment à celui de l'application ultérieure et prochaine de la nouvelle loi sur l'exercice de la médecine, ce jugement et cer

cette pénalité dérisoire, nous devons faire remarquer que la nouvelle loi sur l'exercice illégal ne régit pas encore la mat

elle loi sur l'exercice illégal ne régit pas encore la matière. Cette loi , en effet, n'est applicable qu'un an après sa pro

Les juges, dans l'espèce, ont dû par conséquent appliquer l'ancienne loi de ventôse, contre laquelle le corps médical a pr

n avait un a ses débuts — jouissent de leur reste, c'est-à-dire de la loi de ventôse, cela importe peu. Ce qui importe dava

antage et ce qui ne manque pas d'imprévu, c'est que, avec la nouvelle loi , les tribunaux pourront parfaitement ne pas juger

et simplement les zouaves Jacobs de l'avenir! Celte conséquence de la loi que nous avons vivement sollicitée est si bizarre

ment repris par ses collègues après la mise en vigueur de la nouvelle loi : « Je ne fais pas de médecine, a-t-il dit en s

ecine, mais faisait simplement du magnétisme. « Or, a-t-il ajouté, la loi nouvelle sur l'exercice de la médecine permet exp

echopié, avocat à la Cour d'appel, a conclu à l'inapplicabilité de la loi nouvelle à l'emploi du magnétisme pour le traitem

e qu'il dit en faveur do celle du zouave guérisseur : « La nouvelle loi sur l'exercice de la médecine, dans son article 1

énat, s'exprimait ainsi : « On ne peut indiquer, dans un « article de loi . tous les détails, toutes les formes sous lesquel

econnu par l'unanimité des membres présents de la commission que la loi sur l'exercice de la médecine ne visait ni les ma

és au traitement des maladies. Ils retomberaient sous le coup de la loi le jour où, sous le couvert du massage, du magnét

r décembre 1893, c'est-à-dire après la mise en vigueur do la nouvelle loi , il condamnerait Jacob en cas de récidive. C'est

dans des cas semblables, de la lettre que de l'esprit de la nouvelle loi sur l'exercice de La médecine. Une des formes p

ois s'abriter tranquillement, chose assez bizarre, sous l'égide de la loi que nous avons en tant de peine a obtenir ! Quo

aux pharmaciens; « Attendu que la disposition de l'article 35 de la loi du 19 ventôse an XI est générale et absolue; que

e 35 de la loi du 19 ventôse an XI est générale et absolue; que celte loi ne subordonne pas l'existence de l'infraction qu'

i médicaments ni traitement, tombe indubitablement sous le coup de la loi pénale ; « Attendu que c'est interpréter d'une

erronée la pensée du législa-lateur que de prétendre que la nouvelle loi sur l'exercice de la médecine, promulguée le 30 n

u prévenu ; qu'en effet, il appert des travaux préparatoires de cette loi que, si le législateur n'a pas voulu réserver exc

lequel, après avoir fait la critique « de l'exiguïté des peines de la loi de l'an XI qui a eu pour effet d'encourager les c

« Que le rejet par le Parlement de l'article 12 du contre-projet de loi pré- sente par le Dr David, qui avait pour but

s comme guérisseurs: « Que, d'ailleurs, c'est volontairement que la loi nouvelle ne définit pas les faits qui constituent

ue des accouchements, parce qu'on ne peut indiquer dans un article de loi (rapport du Dr Cornil au Sénat) tous les détails,

novembre 1893, le principe établi étant absolument compatible avec la loi nouvelle, derrière laquelle Jacob voudrait dès au

« Qu'enfin le juge ne saurait, i l'heure présente, faire eut de la loi du 30 novembre 1892 et s'arrêter à la règle de dr

us douce qui soit appliquée, parce que le délai de l'article 34 de la loi ne permet pas de la considérer comme existante, l

u application de l'article 466 du Code pénal et de l'article 35 de la loi du 19 ventôse an Xï, le condamue a quinze francs

in Médical, justement ému de certaines interprétations de la nouvelle loi émises au cours des débats, s'est empressé d'alle

qui nous exposerait, dans certains cas, à être moins protégés par la loi nouvelle que nous ne l'étions par la loi ancienne

à être moins protégés par la loi nouvelle que nous ne l'étions par la loi ancienne. Voici ce que M. Cornil, rapporteur de

tions par la loi ancienne. Voici ce que M. Cornil, rapporteur de la loi au Sénat, et M. Brouardel, ont répondu : * Dans

dont nous saurons nous servir à l'occasion. « Tout d'abord, dans la loi , se trouve un mot que nous y avons placé avec int

r le magnétisme. * Mais ce n'est pas tout : « L'application de la loi nouvelle dans ses détails doit être fixée par un

médecins, et les cas d'exercice illégal qui pourraient échapper à la loi , appliquée directement, tomberont sous le coup de

ue visera le règlement d'administration publique prévu par cette mémo loi . « Dans ces conditions, il n'y a pas lieu de s'

, telle qu'elle se manifeste a nous; elles scrutent les causes et les lois des phénomènes auxquels nous assistons; elles int

, instrument merveilleux aussi, qui sert à calculer et à formuler les lois qui régissent les forces et la matière. Le droi

es lois qui régissent les forces et la matière. Le droit étudie les lois des sociétés, celles par lesquelles s'établit l'a

re et musculaire, ta station et la locomotion sont commandées par les lois de la physique; la circulation du sang obéit aux

rieur, pour mettre en rapport avec lui l'organisme humain. Mais les lois de la physique et de la chimie ne jouent qu'un rô

c'est ce travail de végétation et d'organisation qui s'opère par des lois et des procédés inconnus que les corps vivants se

à génération. Nous créons les phénomènes physico-chimiques dont les lois nous sont connues ; nous observons les phénomènes

tout? Sommes-nous de simples plantes qui végétons et évoluons par les lois de la vie? N'y a-l-il en nous, pour nous distingu

u globe tout entier, en fouiller les secrets, dérober à la nature ses lois et ses mystères, asservir ses forces, chaleur, lu

elle dépouille bien des mystères et des miracles en tes ramenant aux lois de la nature. Lumière projetée dans l'âme humaine

tre part, la sélection est moins contrariée chez eux par de mauvaises lois . La rareté de la folie chez les animaux rend co

éclairements très faibles. Cet appareil très simple est fondé sur la loi de déperdition lumineuse avec le temps, d'un corp

is de prendre de l'eau-de-vie. et te contenta d'un peu de vin dont je loi prescrivis moi-même l'usage. Malheureusement l'am

uivants : On peut, dit-il, définir le miracle thérapeutique, et les lois qui président à sa genèse et à son évolution comm

t des convulsions n'est due à aucune cause qui sorte du domaine de la loi naturelle. Ils se contentent de chercher à démont

s de porter un savant distingué à enlever à un collègue le mérite qui loi revient pour en faire cadeau à un étranger. N É

, empressé à copier on a dessiner toutes les notes ou documents qu'on loi connaît. Quelquefois triste, le plus souvent gai,

est contrarié. Celle céphalalgie, localisée au pourtour des orbites, loi donne la sensation d'aiguilles de feu qui travers

ui l'avait beaucoup froissé, on butte aux réprimandes de son père qui loi reprochait de ne pas avoir su profiter de ses étu

a même femme à Sainte-Marie du Pornic Dans une nouvelle dispute, elle loi déclare qu'elle ne veut plus vivre avec lui et so

déclare qu'elle ne veut plus vivre avec lui et sort de la chambre en loi disant : « Adieu, tu ne me reverras plus ». Elle

rophète, que son nom soit 4 tout jamais béni ! à ceux qui suivent les lois de l'Islam ou de la résignation à Dieu. C'est l

religieuse, si on le juge convenable de l'appuyer de l'autorité de la loi . Mais la circoncision, telle que nous la pratiq