eau lisse du Ouistiti se ressemblent par ce quadruple caractère, d'un
lobe
olfactif rudimentaire, d'un lobe postérieur recou
ent par ce quadruple caractère, d'un lobe olfactif rudimentaire, d'un
lobe
postérieur recouvrant complètement le cervelet, d
e cervelet demeure à découvert; il y a, en outre, le plus souvent, un
lobe
olfactif énorme, même dans VËléphant, et, à l'exc
résente de scissure comparable à une scissure de Sylvius enfermant un
lobe
central. Ainsi, il y a une forme du cerveau pro
lando signale, en premier lieu, la scissure de Sylvius, qui sépare le
lobe
antérieur du lobe postérieur. H décrit avec une g
premier lieu, la scissure de Sylvius, qui sépare le lobe antérieur du
lobe
postérieur. H décrit avec une grande exactitude l
-mêmes. tinuent avec d'autres qui se dirigent en arrière et vont au
lobe
occipital. L'un de ces processus descend au-desso
t parcourt jusqu'à son sommet toute la longueur de la face externe du
lobe
moyen. En outre, deux processus entéroïdes, vis
ont situées en dehors du nerf olfactif sur les parties orbitaires des
lobes
frontaux. Quelques sillons du lobe postérieur m
sur les parties orbitaires des lobes frontaux. Quelques sillons du
lobe
postérieur méritent une attention particulière. L
e sur cette face interne; il se dirige, en arrière, vers le sommet du
lobe
postérieur, et correspond à l'éperon qui se trouv
êtée de Rolando (Mm. cit., pl. II bb). La circonvolution interne du
lobe
antérieur, avec son anfractuosité secondaire. Cet
Cruveilhier décrit des circonvolutions dont les unes appartiennent au
lobe
frontal, les autres au lobe postérieur. C'est ain
nvolutions dont les unes appartiennent au lobe frontal, les autres au
lobe
postérieur. C'est ainsi qu'il signale, sur le lob
tal, les autres au lobe postérieur. C'est ainsi qu'il signale, sur le
lobe
antérieur, I** le sillon du nerf olfactif et ses
ires toujours fort irrégulières. Les circonvolutions inférieures du
lobe
postérieur sont : 4*' La circonvolution qui lon
portion réfléchie du ventricule latéral. 2° Les circonvolutions du
lobe
postérieur. Toutes ces circonvolutions partent de
Turici, 1838). Ce célèbre anatomiste distingue ou plutôt admet quatre
lobes
dans l'hémisphère, 1° un lobe antérieur, %° un lo
miste distingue ou plutôt admet quatre lobes dans l'hémisphère, 1° un
lobe
antérieur, %° un lobe supérieur, 3° un lobe infér
tôt admet quatre lobes dans l'hémisphère, 1° un lobe antérieur, %° un
lobe
supérieur, 3° un lobe inférieur, 4° un lobe posté
dans l'hémisphère, 1° un lobe antérieur, %° un lobe supérieur, 3° un
lobe
inférieur, 4° un lobe postérieur; mais il n'assig
un lobe antérieur, %° un lobe supérieur, 3° un lobe inférieur, 4° un
lobe
postérieur; mais il n'assigne point à ces lobes d
lobe inférieur, 4° un lobe postérieur; mais il n'assigne point à ces
lobes
des limites précises. En ce qui touche les circ
ons, il a fort exactement représenté celles de la partie orbitaire du
lobe
frontal (tab. III, fig. 1, et tab. IV, 1) et cell
itaire du lobe frontal (tab. III, fig. 1, et tab. IV, 1) et celles du
lobe
temporal. Les circonvolutions frontales sont asse
planche 5, fig. 1 ; mais les circonvolutions pariétales et celles du
lobe
postérieur sont trop imparfaitement distinguées.
issure de Sylvius y étaient mieux déterminées. Les circonvolutions du
lobe
antérieur sont très-exactement rendues; celles du
onvolutions du lobe antérieur sont très-exactement rendues; celles du
lobe
supérieur sont très-certainement bien copiées, ma
. Les circonvolutions postérieures sont bien indiquées. L'opercule du
lobe
antérieur a été enlevé pour montrer les circonvol
t va reparaître en bas, tout à côté du nerf optique, sous la forme du
lobe
de l'hippocampe (fig. 3, î, et fig. 5, i). Ce l
sous la forme du lobe de l'hippocampe (fig. 3, î, et fig. 5, i). Ce
lobe
n'est pas seulement en relation avec la circonvol
remarquera que M. Leuret est fort succinct sur tout ce qui touche le
lobe
antérieur. Quant au lobe postérieur, il n'en dit
est fort succinct sur tout ce qui touche le lobe antérieur. Quant au
lobe
postérieur, il n'en dit absolument rien, et ses f
e postérieure de scissure de Sylvius, et se termine dans le sommet du
lobe
temporal. c. Circonvolutions du troisième ordre
ignent, après un court trajet, tout près de l'extrémité antérieure du
lobe
temporal. Sur la face externe de l'hémisphère,
e qui s'étend de l'extrémité postérieure de l'hémisphère au sommet du
lobe
temporal. Il y a, entre ces régions et celles d
t le cerveau du Callitriche me servira de point de départ. § VII.
LOBES
ET plis DU CERVEAU DU callitriche. La forme du
deux grandes saillies auxquelles les anatomistes ont donné le nom de
lobes
temporaux. Entre cette face supérieure et la face
éunie à toute la portion de la face inférieure qui est au devant du
lobe
temporal, constitue ce que nous appellerons, pour
'hémisphère. La portion de la face inférieure qui est au-dessous du
lobe
temporal s'unissant à ia face médiane de l'hémisp
nnerons un nom qui exprime sa véritable nature, et nous l'appellerons
lobe
central. Le point où la scissure de Sylvius se
ylvius. Les bords qui limitent la scissure de Sylvius recouvrent le
lobe
central en se rapprochant comme deux lèvres. La l
deux étages par la scissure de Sylvius. L'étage supérieur comprend le
lobe
antérieur ou frontal et le lobe pariétal; nous in
ylvius. L'étage supérieur comprend le lobe antérieur ou frontal et le
lobe
pariétal; nous indiquerons tout à l'heure la limi
lobe pariétal; nous indiquerons tout à l'heure la limite de ces deux
lobes
. L'étage inférieur sera pour nous le lobe temporo
eure la limite de ces deux lobes. L'étage inférieur sera pour nous le
lobe
temporo-spkénoïdal. Ainsi nous distinguons, sur
Ainsi nous distinguons, sur la face externe de l'hémisphère, quatre
lobes
entourant le lobe central. M. Arnold a également
guons, sur la face externe de l'hémisphère, quatre lobes entourant le
lobe
central. M. Arnold a également distingué quatre l
bes entourant le lobe central. M. Arnold a également distingué quatre
lobes
dans le cerveau de l'Homme, mais il n'en a point
vons succinctement les plis cérébraux qui se dessinent sur les quatre
lobes
que nous avons admis. A ° Plis du lobe frontal.
se dessinent sur les quatre lobes que nous avons admis. A ° Plis du
lobe
frontal. Le lobe frontal est subdivisé en deux
s quatre lobes que nous avons admis. A ° Plis du lobe frontal. Le
lobe
frontal est subdivisé en deux régions : l'une inf
ît au-dessus du coude de la scissure de Sylvius et se termine dans le
lobe
frontal en s'infléchissant en avant. — Les plis d
n premier lieu, les deux plis longitudinaux qui limitent le sillon du
lobe
olfactif. Ces deux plis sont beaucoup moins prono
Sylvius. Le pli frontal supérieur se confond avec le pli antérieur du
lobe
pariétal, 2** Plis du lobe pariétal. Deux pli
ieur se confond avec le pli antérieur du lobe pariétal, 2** Plis du
lobe
pariétal. Deux plis très-remarquables appartien
be pariétal. Deux plis très-remarquables appartiennent en propre au
lobe
pariétal. Leur direction est ascendante. Le pre
cerveau des Cynocéphales. Un troisième pli appartient à la fois au
lobe
pariétal et au lobe temporo-sphénoïdal. Ce pli c
hales. Un troisième pli appartient à la fois au lobe pariétal et au
lobe
temporo-sphénoïdal. Ce pli c c naît au devant de
our se recourber autour du sommet de la scissure et descendre dans le
lobe
temporal. Nous appellerons ce pli pli courbe, et
ition doit être signalée d'une façon toute particulière. 3° Plis du
lobe
temporo-sphénoïdal. Ces plis, à peu près parall
la partie descendante du pli courbe se continuant jusqu'au sommet du
lobe
temporal. S** Le pli temporal inférieur. Ce pli
Ce pli, situé au-dessous du précédent ee, forme le bord inférieur du
lobe
temporal et réunit le sommet de ce lobe au sommet
e, forme le bord inférieur du lobe temporal et réunit le sommet de ce
lobe
au sommet du lobe occipital. Tels sont les plis
nférieur du lobe temporal et réunit le sommet de ce lobe au sommet du
lobe
occipital. Tels sont les plis du lobe temporo-s
ommet de ce lobe au sommet du lobe occipital. Tels sont les plis du
lobe
temporo-sphénoïdal. Ce lobe, comme on le voit, n'
u lobe occipital. Tels sont les plis du lobe temporo-sphénoïdal. Ce
lobe
, comme on le voit, n'a pas de plis qui lui appart
artiennent exclusivement. Ces plis sont, en effet, continus à ceux du
lobe
pariétal et du lobe occipital. 4" Plis du lobe
ment. Ces plis sont, en effet, continus à ceux du lobe pariétal et du
lobe
occipital. 4" Plis du lobe occipital. Le lobe
, continus à ceux du lobe pariétal et du lobe occipital. 4" Plis du
lobe
occipital. Le lobe occipital présente plusieurs
lobe pariétal et du lobe occipital. 4" Plis du lobe occipital. Le
lobe
occipital présente plusieurs plis dont la disposi
e pli inférieur, pli occipital inférieur f f, borde inférieurement le
lobe
occipital, et se jette en avant dans le pli tempo
s le verrons par la suite. Tels sont les plis de la face externe du
lobe
occipital dans le Callitriche; ces plis, comme on
ription ne présente aucune difficulté. L'étude du bord antérieur du
lobe
occipital présente plus d'intérêt. En effet, si
nous voyons que la lèvre postérieure, formée par le bord antérieur du
lobe
occipital, est mince, tranchante et appliquée sur
sur la lèvre antérieure comme un opercule. Cet opercule, opercule du
lobe
postérieur, cache au fond de la scissure un systè
opercule. Le supérieur passe du deuxième pli ascendant au sommet du
lobe
postérieur ; il forme, en dehors, un coude fort r
2). Le second pli passe de la portion descendante du pli courbe au
lobe
postérieur n. Si maintenant nous rappelons les
ait, parce qu'il se rattache, en général, à un grand développement du
lobe
postérieur , et sous ce point de vue il paraîtra
BB'B" s'étend de fextrémité postérieure de l'hémisphère au sommet du
lobe
temporal. Le fond de cette scissure refoule dan
ampes qui est comprise entre B et B', c'est-à-dire entre le sommet du
lobe
postérieur et le genou postérieur du corps calleu
le compris entre le genou postérieur du corps calleux et le sommet du
lobe
temporal, cette scissure est peu visible; il faut
L'une de ces deux régions est antérieure ; elle répond à la fois au
lobe
frontal et au lobe pariétal. L autre est postér
régions est antérieure ; elle répond à la fois au lobe frontal et au
lobe
pariétal. L autre est postérieure; elle répond
tal. L autre est postérieure; elle répond à la partie supérieure du
lobe
occipital. Nous lui donnerons le nom de lobule oc
postérieure de la circonvolution des hippocampes, répond à la fois au
lobe
temporal et à l'étage inférieur du lobe occipital
pocampes, répond à la fois au lobe temporal et à l'étage inférieur du
lobe
occipital. Nous distinguons ainsi, sur la face
Nous distinguons ainsi, sur la face interne de l'hémisphère, 1 " Le
lobe
fronto-pariétal, 2" Le lobule occipital interne
" Le lobe fronto-pariétal, 2" Le lobule occipital interne, 3° Le
lobe
occipito-temporal. Les plis cérébraux qui occup
ccipito-temporal. Les plis cérébraux qui occupent la surface de ces
lobes
sont, en général, très-sim pies et d'une descript
ont, en général, très-sim pies et d'une description facile. Plis du
lobe
fronto-pariétaL Le lobe fronto-pariétal est div
pies et d'une description facile. Plis du lobe fronto-pariétaL Le
lobe
fronto-pariétal est divisé en deux plis fort simp
urs interrompu dans le Callitriche. Nous le nommerons grand sillon du
lobe
fronto-pariétal. L'un des deux plis que ce sillon
le corps godronné àes anatomistes. Ce cordon se termine au sommet du
lobe
temporal. Ce pli borde ainsi, dans toute son éten
sa partie antérieure et sa partie supérieure appartiennent seules au
lobe
fronto-pariétal. La partie inférieure du pli, c'e
érieure du pli, c'est-à-dire le corps godronné, est une dépendance du
lobe
temporal. Les relations de la partie supérieure d
le long de son bord supérieur, à tous les plis de la face externe du
lobe
pariétal et au pli frontal supérieur. Plis du l
ne partie du bord supérieur de la scissure des hippocampes. Plis du
lobe
occipito-temporal. Des scissures linéaires, sou
cissures linéaires, souvent interrompues, divisent la face interne du
lobe
temporal en plusieurs plis parallèles. Nous dis
des hippocampes. En avant il s'élargit, et se renfle, au sommet du
lobe
temporal, en un lobule arrondi duquel naît un pet
ui suit au-dessous du pli temporal moyen interne toute la longueur du
lobe
occipito-temporal répond au pli temporal inférieu
Le lobule frontal est rose, et son étage supérieur est rouge. Le
lobe
pariétal est vert. Le lobe temporo-sphéroïdal e
, et son étage supérieur est rouge. Le lobe pariétal est vert. Le
lobe
temporo-sphéroïdal est jaune. Le lobe occipital
lobe pariétal est vert. Le lobe temporo-sphéroïdal est jaune. Le
lobe
occipital est violet. Les plis de passage sont
est, en général, un peu atténué et saillant à ses deux extrémités. Le
lobe
occipital externe est grand, triangulaire et plus
e occipital externe est grand, triangulaire et plus long que haut. Le
lobe
frontal est long, mais très-déprimé, et, ce qui e
ontales du crâne et l'élévation des voûtes orbitaires, les plis de ce
lobe
son très-simples et leurs incisures très-peu nomb
ce lobe son très-simples et leurs incisures très-peu nombreuses. Le
lobe
pariétal présente un développement moyen ; la sci
le sommet s'élève souvent jusqu'au bord supérieur de l'hémisphère. Le
lobe
temporo-sphénoïdal est très-saillant. Les plis
rticulier dans la Mo7ie ; souvent aussi les deux étages supérieurs du
lobe
occipital sont confondus par suite de l'absence d
et les deux plis supérieurs sont constamment cachés par l'opercule du
lobe
postérieur; mais il y a beaucoup de variations da
soit bien développé ; cette particularité et la longueur relative du
lobe
pariétal rapprochent singulièrement le cerveau du
celui des Macaques; mais, en revanche, la longueur caractéristique du
lobe
frontal dans le Patas établit une différence irré
cerveau des Cercopithèques : en effet, 1° Il est plus globuleux; le
lobe
frontal est plus élevé, plus arrondi, plus dévelo
stérieures du cerveau; il a refoulé en arrière les plis ascendants du
lobe
pariétal; ces plis, fort simples d'ailleurs, sont
ses faits sont la conséquence et l'indice d'un grand développement du
lobe
frontal ou du lobe pariétal. En revanche, le lo
onséquence et l'indice d'un grand développement du lobe frontal ou du
lobe
pariétal. En revanche, le lobe occipital est fo
développement du lobe frontal ou du lobe pariétal. En revanche, le
lobe
occipital est fort réduit; deux scissures profond
s sont caractéristiques et méritent d'être signalées ; d'ailleurs, ce
lobe
conserve à peu près la forme qu'il a dans les Cer
remier pli de passage et le second pli sont cachés sous l'opercule du
lobe
postérieur. Dans les Semnopithèques, le pli de pa
s conduire à des résultats assez remarquables. Dans les Guenons, le
lobe
postérieur semble anticiper sur la région fronto-
marginal et du sommet de la scissure ; en un mot, le développement du
lobe
postérieur semble lutter victorieusement contre l
postérieur semble lutter victorieusement contre le développement des
lobes
antérieurs de l'hémisphère. Dans les Semnopithè
hèques, au contraire, l'avantage passe, dans celte sorte de lutte, au
lobe
antérieur. Le lobe frontal pousse en arrière le l
e, l'avantage passe, dans celte sorte de lutte, au lobe antérieur. Le
lobe
frontal pousse en arrière le lobe pariétal, et ce
rte de lutte, au lobe antérieur. Le lobe frontal pousse en arrière le
lobe
pariétal, et celui-ci refoule, à son tour, le lob
usse en arrière le lobe pariétal, et celui-ci refoule, à son tour, le
lobe
occipital, dont l'opercule s'atrophie visiblement
ssé que dans VEnlelle (pl. IV, %.3); 5° La profondeur des plis du
lobe
postérieur, qui, malgré le jeune âge de l'animal,
is cérébraux postérieurs sont bien développés, tandis que les plis du
lobe
frontal sont à peine indiqués. En outre, le cerve
aux, qui sont les premiers indiqués; mais le développement général du
lobe
frontal, envisagé seulement par rapport à son vol
grand que dans l'enfance, et cependant c'est l'époque de la vie où le
lobe
frontal est le plus petit relativement aux autres
eloppement de leur intelligence. frappé de la petitesse relative du
lobe
frontal dans le fœtus, et de sa grandeur dans l'a
qui s'accroît le plus à mesure que le cerveau se développe, c'est le
lobe
frontal. On objecte, il est vrai, que, dans les
souvent le cervelet découvert, ce n'est point toujours parce que les
lobes
postérieurs sont relativement atrophiés, mais par
Entelle; on y remarquera, avec évidence, une prédominance relative du
lobe
frontal dans le Gibbon et du lobe occipital dans
dence, une prédominance relative du lobe frontal dans le Gibbon et du
lobe
occipital dans VEntelle : ainsi les faits sériaux
ux confirment les faits em-bryogéniques ; ils ne déshéritent point le
lobe
frontal de sa suprématie. Nous avons, en remont
du cerveau rappelle, à peu de chose près, le cerveau des Guenons. Le
lobe
frontal est plus large et moins allongé; le lobe
veau des Guenons. Le lobe frontal est plus large et moins allongé; le
lobe
pariétal est médiocre; le lobe temporal fait une
al est plus large et moins allongé; le lobe pariétal est médiocre; le
lobe
temporal fait une grande saillie; enfin le lobe o
étal est médiocre; le lobe temporal fait une grande saillie; enfin le
lobe
occipital est fort étendu. Toutes ces conditions
t du deuxième pli de passage, et enfin la simplicité des incisures du
lobe
postérieur, qui, la plupart du temps, est absolum
il est assez large relativement, surtout dans la région frontale. Le
lobe
frontal est court; le pariétal est très-long; l'o
es Guenons, cette disposition est une conséquence du développement du
lobe
occipital, qui refoule la branche descendante du
s les Macaques, au contraire, elle est un eifet de l'accroissement du
lobe
pariétal, qui se développe surtout en arrière, et
s pariétaux sont divisés par des incisures secondaires. Les plis du
lobe
temporo-sphénoïdal sont très-sembîabîes à ceux de
un grand coude, descend, se relève, et vient se terminer au sommet du
lobe
occipital. Les lobes et les plis de la face int
d, se relève, et vient se terminer au sommet du lobe occipital. Les
lobes
et les plis de la face interne présentent certain
tal interne est droit et assez haut, mais fort étroit; 3° les plis du
lobe
occipito-temporal, refoulés par l'abaissement de
le bien marquée ; 2° par l'extrême réduction des étages inférieurs du
lobe
frontal ; 3° par l'étendue du lobe pariétal; 4*»
réduction des étages inférieurs du lobe frontal ; 3° par l'étendue du
lobe
pariétal; 4*» par la longueur et le peu de sailli
étendue du lobe pariétal; 4*» par la longueur et le peu de saillie du
lobe
temporal; 5** par l'absence du pli supérieur de p
s, nous aurons à noter des différences remarquables. Ainsi : 1 " Le
lobe
occipital est très-grand, souvent chargé de plis,
istinguent aisément d'avec les autres Singes. Par la grandeur de leur
lobe
pariétal et la richesse des plis cérébraux, ils s
, par la grandeur singulière et le nombre d'incisures que présente le
lobe
occipital, par la disposition de la scissure des
Mandrills s'en éloignent davantage par un développement plus grand du
lobe
occipital et par une réduction poussée plus loin
re catégorie, en s'élevant des Cercopithèques aux Gibbons, on voit le
lobe
occipital se réduire de plus en plus, et la régio
s en plus, et la région fronto-pariétale s'agrandir au contraire , le
lobe
pariétal et le lobe frontal se développant à la f
ion fronto-pariétale s'agrandir au contraire , le lobe pariétal et le
lobe
frontal se développant à la fois. 2° Dans les M
le lobe frontal se développant à la fois. 2° Dans les Macaques , le
lobe
pariétal s'allonge; le lobe frontal et le lobe oc
nt à la fois. 2° Dans les Macaques , le lobe pariétal s'allonge; le
lobe
frontal et le lobe occipital ont une grandeur méd
Dans les Macaques , le lobe pariétal s'allonge; le lobe frontal et le
lobe
occipital ont une grandeur médiocre. 3'' Dans l
t une grandeur médiocre. 3'' Dans les Babouins et les Mandrills, le
lobe
occipital grandit et se couvre de plis ; le lobe
et les Mandrills, le lobe occipital grandit et se couvre de plis ; le
lobe
pariétal est long comme dans les Macaques , mais
de plis ; le lobe pariétal est long comme dans les Macaques , mais le
lobe
frontal, relativement beaucoup plus réduit dans s
us voyons prédominer tour à tour 1" la région fronto-pariétale; 2" le
lobe
pariétal; enfin la région pariéto-occipitale, le
ariétale; 2" le lobe pariétal; enfin la région pariéto-occipitale, le
lobe
occipital grandissant alors de plus en plus. Ce
férieur, qui est logé dans des fosses ethmoïdales fort étroites. Le
lobe
pariétal est assez grand, mais son développement
grand, mais son développement s'effectue exclusivement aux dépens du
lobe
occipital, qui est singulièrement réduit. Le lo
ent aux dépens du lobe occipital, qui est singulièrement réduit. Le
lobe
temporosphénoïdal est d'une grandeur médiocre ; i
assez long, mais peu épais relativement à sa longueur. Les plis du
lobe
frontal sont riches, mais peu distincts ; l'étage
divise, en sens divers, une profonde incisure (6' 6'). Les plis du
lobe
postérieur sont assez nombreux ; mais la surface
du pli supérieur de passage a. Ce pli forme un large pont entre le
lobe
pariétal et le lobe occipital. Le deuxième pli
passage a. Ce pli forme un large pont entre le lobe pariétal et le
lobe
occipital. Le deuxième pli de passage est très-
sont superficiels. Je voudrais ajouter à cette description celle du
lobe
central ou insula, qui présente quelques plis dan
aux de l'espèce humaine (fig. lY 1.1.1.1'); mais l'étage supérieur du
lobe
fronto-pariétal (pli de la zone externe 2.2.2..2.
s ce cerveau de ceux que nous avons étudiés jusqu'ici, la grandeur du
lobe
antérieur, la petitesse relative du lobe occipita
és jusqu'ici, la grandeur du lobe antérieur, la petitesse relative du
lobe
occipital, le développement du pli supérieur de p
e frontal il forme un angle dont la saillie égale à peu près celle du
lobe
temporal. On peut se faire une idée juste de cett
e saillie en prenant le moule intérieur d'un crâne de Chimpanzé. Le
lobe
pariétal est très-développé, beaucoup moins, cepe
s-développé, beaucoup moins, cependant, que dans les Cynocéphales. Le
lobe
temporal est long, peu saillant, peu épais et à p
près dans les mêmes proportions que celui de VOrang-Outang. Quant au
lobe
postérieur, il est grand, développé, plus haut qu
des plis, nous noterons les particularités suivantes : Les plis du
lobe
frontal sont très-grands, plus grands même et plu
ésente le cerveau de la plupart des Macaques. (Voy. 6.) Les plis du
lobe
temporal sont très-simples. Ces plis, aussi peu d
moins divisés que ceux des Cynocéphales. Nous avons déjà dit que le
lobe
occipital est très-grand. 11 présente plusieurs i
valent du lobule frontal, mais une grandeur bien plus considérable du
lobe
occipital du Chimpanzé; 2** Une dégradation rel
uins par le même caractère et par les proportions caractéristiques du
lobe
occipital. Si nous rapprochons, au contraire, l
ports et les rendront sensibles. A. Longueur totale de la pointe du
lobe
occipital à celle du lobe frontal..............
les. A. Longueur totale de la pointe du lobe occipital à celle du
lobe
frontal............................... Ainsi le
........ C. Hauteur du cerveau mesurée à partir de l'extrémité du
lobe
sphénoïdal........................... Orang. Go
orille est plus déprimé, plus plat; il est aussi moins volumineux. Le
lobe
frontal est moins haut; mais, par une sorte de co
es Gorilles. Nous remarquerons, néanmoins, une saillie plus grande du
lobe
sphénoïdal dans le Chimpanzé, un développement pl
lobe sphénoïdal dans le Chimpanzé, un développement plus apparent du
lobe
frontal en un mot, et, malgré la dépression génér
rès-supérieur au Gorille, et il est impossible de méconnaître dans le
lobe
frontal du Chimpanzé une grande prédominance rela
possession, je crois pouvoir assurer d'avance que dans le Gorille le
lobe
occipital est beaucoup plus large et plus grand q
anzé. Cette circonstance, bien apparente, d'une réduction relative du
lobe
frontal, correspondant à un plus grand développem
ative du lobe frontal, correspondant à un plus grand développement du
lobe
occipital, établirait entre le Gorille et le Chim
si le Chimpanzé n'avait, relativement à la masse de son encéphale, un
lobe
frontal très-développé. Ajoutons que, dans la jeu
la forme du cerveau de l'Homme. La hauteur singulière, la largeur du
lobe
frontal, dont l'extrémité antérieure, au lieu de
vient également. Ce sont les mêmes divisions principales, les mêmes
lobes
, les mêmes plis ; toutes les parties ne sont pas
en arrière de ce point. Il suit de là que la limite postérieure du
lobe
antérieur recule, et ce lobe s'agrandit ainsi en
suit de là que la limite postérieure du lobe antérieur recule, et ce
lobe
s'agrandit ainsi en refoulant le lobe pariétal, d
du lobe antérieur recule, et ce lobe s'agrandit ainsi en refoulant le
lobe
pariétal, dont la limite postérieure est, d'aille
rons tout à l'heure. Par la même raison, les limites antérieures du
lobe
occipital sont mal déterminées. Toutefois il est
veau de fœtus humain que nous avons figuré pl. XI, fig. 1, 2, 3. Le
lobe
temporo-sphénoïdal est d'une épaisseur médiocre,
us l'emportent de beaucoup sur celles qui sont au-dessous. Enfin le
lobe
central est grand et occupe le fond très-élargi d
al est grand et occupe le fond très-élargi de la vallée de Sylvius.
Lobes
de la face interne. — Les lobes de la face intern
rès-élargi de la vallée de Sylvius. Lobes de la face interne. — Les
lobes
de la face interne sont également très-remarquabl
de sillons peu profonds. Le lobule quadrilatère est très-grand. Le
lobe
occipito-sphénoïdal est, relativement, assez rédu
velet. Plis cérébraux. — Telles sont, en général, les relations des
lobes
entre eux; les plis qui les couvrent méritent d'ê
veau des blancs idiots par arrêt de développement cérébral. Plis du
lobe
pariétal dans l'Homme. Plis ascendants. — Les p
be pariétal dans l'Homme. Plis ascendants. — Les plis ascendants du
lobe
pariétal sont épais et assez flexueux; toutefois
sez grêle, et présente de nombreuses variétés (6. 6'. 6'.). Plis du
lobe
temporo-sphénoïdal. Le pli marginal inférieur d
rement flexueux. En revanche, l'étage moyen et l'étage inférieur du
lobe
, chargés de plis nombreux, ont un développement r
arités, qui sont constantes, doivent être notées avec soin. Plis du
lobe
occipital. Ce lobe est, ainsi que nous l'avons
tantes, doivent être notées avec soin. Plis du lobe occipital. Ce
lobe
est, ainsi que nous l'avons déjà dit, extrêmement
li ascendant. Ce lobule et le pli de passage qui le prolonge jusqu'au
lobe
occipital forment, de chaque côté de la grande sc
humain, nous prenons pour point de départ les deux plis ascendants du
lobe
pariétal, ces deux plis sembleront diviser la fac
pent la vallée de Sylvius ; Au-dessus de ces plis, l'étage moyen du
lobe
frontal et le pli courbe, qui n'atteignent point
ce externe de l'hémisphère, nous dirions ici quelques mots de ceux du
lobe
central, s'ils n'avaient déjà été décrits, par le
ord marginal supérieur. En nous résumant, dans le cerveau humain le
lobe
frontal est énorme, et développé surtout dans son
rontal est énorme, et développé surtout dans son étage supérieur ; le
lobe
occipital est, au contraire, extrêmement réduit.
périeur ; le lobe occipital est, au contraire, extrêmement réduit. Le
lobe
pariétal présente un lobule accessoire (lobule du
e pariétal présente un lobule accessoire (lobule du pli marginal). Le
lobe
temporo-sphénoïdal, bien que très-développé, l'es
e temporo-sphénoïdal, bien que très-développé, l'est, relativement au
lobe
frontal, beaucoup moins que dans les Singes. Enfi
au plus haut point significatif. En effet, r Dans le Chimpanzé, le
lobe
occipital est grand et son opercule bien dessiné;
érieur manque, et le deuxième est caché. 2° Dans y Orang-Outang, le
lobe
occipital est médiocre et son opercule incomplet.
grand et superficiel, et le deuxième est caché. 3° Dans VHomme, le
lobe
occipital est extrêmement réduit, son opercule nu
ifférentielles ne peuvent être aisément tirées de la considération du
lobe
antérieur, qui est développé d'une manière à peu
re interne change de direction, et, repoussée par le développement du
lobe
fronto-pariétal, s'incline fort en arriére. Le lo
relativement au cerveau des Singes, fort développé ; en sorte que le
lobe
occipital, qui, dans les Singes, domine à la face
e, est, dans l'Homme, développé, surtout à la face interne. Plis du
lobe
fronto-pariétal. — Le lobe fronto-pariétal est, c
oppé, surtout à la face interne. Plis du lobe fronto-pariétal. — Le
lobe
fronto-pariétal est, comme toujours, formé de deu
lleurs, qui le divisent en plis grêles et assez nombreux. En avant du
lobe
quadrilatère, ce pli donne à son bord supérieur q
ère, au sommet des deux plis ascendants de la face externe. Plis du
lobe
occipito-temporal. — Les plis du lobe occipito-sp
s de la face externe. Plis du lobe occipito-temporal. — Les plis du
lobe
occipito-sphénoïdal sont, relativement, assez réd
x, relativement très-court, et n'atteint point jusqu'à l'extrémité du
lobe
; il ne porte, pour ainsi dire, aucune incisure.
s-nombreux et très-profonds dans tous les points qui correspondent au
lobe
frontal, se dégradent de plus en plus à mesure qu
arrangement régulier des deux plis qui composent l'étage supérieur du
lobe
frontal. Ces plis, comparés de droite à gauche su
e. Ce cerveau était, au premier abord, remarquable par l'atrophie des
lobes
postérieurs. Mais quelle fut mon admiration lorsq
retrouvai ce groupe de plis réguliers occupant l'étage supérieur des
lobes
frontaux et reproduisant absolument, bien que sou
plus concaves, et on observe, au niveau de l'extrémité antérieure du
lobe
temporo-sphénoïdal, un étranglement très-marqué q
que l'opercule de la scissure de Sylvius ne recouvre point encore le
lobe
central; elle est encore bien apparente au moment
arge dans son ensemble, mais un peu atténué en avant. — La hauteur du
lobe
frontal est beaucoup plus considérable que celle
a hauteur du lobe frontal est beaucoup plus considérable que celle du
lobe
occipital; ce qui donne au cerveau des Áteles une
pparaît dans toute sa splendeur. aomie toute particulière. Quant au
lobe
temporal, il est assez allongé, mais peu saillant
e différence établit un contraste si frappant, qu'au premier abord le
lobe
antérieur paraît absolument lisse. Au reste, ces
e deuxième difficulté. Quelle est, en arrière, la véritable limite du
lobe
antérieur? Pour résoudre cette difficulté, il fau
u Lagotriche et du Saï. On voit alors que la scissure qui sépare le
lobe
frontal du premier pli ascendant est située très-
térieure du cerveau, au devant du coude de la scissure de Sylvius. Le
lobe
frontal est donc singulièrement réduit; ses trois
euxième pli, il se recourbe, et descend, comme à l'ordinaire, dans le
lobe
temporal. Désormais toutes les difficultés sont
ficultés sont, pour nous, résolues. Nous reconnaîtrons aisé ment le
lobe
postérieur; ce lobe est d'une grandeur médiocre.
nous, résolues. Nous reconnaîtrons aisé ment le lobe postérieur; ce
lobe
est d'une grandeur médiocre. Outre son incisure f
présent, nous ne l'avons signalée que dans l'espèce humaine. Quant au
lobe
temporal, ses plis ne présentent rien de particul
des hippocampes, qui est à peu près horizontale. Le lobule interne du
lobe
occipital, compris dans leur écartement, est tria
sentiellement du cerveau de tous les Pithèques A" par la réduction du
lobe
frontal; 2° par l'épaisseur énorme du premier pli
dis que, dans VAtèle et le Lagotriche, elle est mince et déliée. Le
lobe
temporal ne présente rien de remarquable, sauf pe
emarquable, sauf peut-être l'extrême simplicité de ses plis. Quant au
lobe
occipital, il est très-court; mais sa hauteur est
li courbe, forme un coude Irès-sensible et remonte jusqu'au sommet du
lobe
occipital. Ce pli est superficiel dans tonte son
bifurcation est fort élevée, ce qui est en rapport avec la hauteur du
lobe
occipital. La scissure longitudinale du lobe fron
pport avec la hauteur du lobe occipital. La scissure longitudinale du
lobe
fronto-pariétal est empennée de petits sillons qu
empennée de petits sillons qui viennent s'y perdre. Quant aux plis du
lobe
occipito-temporal, de même que ceux de la face ex
également une physionomie propre due surtout à la forme singulière du
lobe
occipital. Outre le cerveau du Saï capuciii, j'
arrondie; elle est légèrement anguleuse, disposition qui rappelle le
lobe
antérieur des Guenons et des Cynopithèques. Les
itement dessiné, mais dont la branche descendante est assez grêle. Le
lobe
temporal est grand et assez saillant, ce qui tien
marquée, dans le Sajou que dans le Saï, de la scissure de Sylvius. Le
lobe
occipital est développé et assez bien subdivisé e
dans tous les Singes. La masse du cerveau est assez globuleuse et le
lobe
temporal très-saillant. Le lobe occipital recouvr
du cerveau est assez globuleuse et le lobe temporal très-saillant. Le
lobe
occipital recouvre la totalité du cervelet. Ain
n volume avec le corps tout entier et des relations de ses différents
lobes
entre eux, le cerveau des Sagouins ne paraît pas
ingulière. Elle est plus relevée que dans aucun autre Singe; aussi le
lobe
fronto-pariétal est-il singulièrement réduit quan
e système des plis s'est singulièrement simplifié. Les scissures du
lobe
frontal sont presque complètement effacées. Il en
. Un sillon assez marqué sépare les plis ou plutôt la face interne du
lobe
temporal de sa face externe. Tels sont les plis
risé plus tard; toutefois il a une physionomie toute particulière. Le
lobe
frontal est très-long, mais assez étroit, surtout
elle, des signes de supériorité apparaissent, des incisures sèment le
lobe
antérieur, une scissure peu profonde indique la s
le lobe antérieur, une scissure peu profonde indique la séparation du
lobe
occipital, très-réduit, d'ailleurs, dès cette épo
que nous prenons pour type, le cerveau est surtout large en avant. Le
lobe
occipital, au contraire, est fort réduit; les pli
es plis, en se groupant d'une façon régulière, forment des régions ou
lobes
, qui sont des divisions naturelles de l'hémisphèr
ivisions naturelles de l'hémisphère cérébral. Nous distinguons cinq
lobes
sur la face externe de l'hémisphère des Primates,
nq lobes sur la face externe de l'hémisphère des Primates, tin de ces
lobes
est le lobe central; il répond à ce bouton termin
la face externe de l'hémisphère des Primates, tin de ces lobes est le
lobe
central; il répond à ce bouton terminal de l'axe
l'axe autour duquel s'enroulent les ventricules latéraux. Les autres
lobes
sont disposés autour du lobe central et plus élev
nt les ventricules latéraux. Les autres lobes sont disposés autour du
lobe
central et plus élevés que ce dernier lobe ; ils
es sont disposés autour du lobe central et plus élevés que ce dernier
lobe
; ils se développent en entourant ce groupe in-te
ils se développent en entourant ce groupe in-teruiédiaire : aussi le
lobe
central est-il caché dans le fond d'une grande va
tte vallée est la scissure de Sylvius. On distingue aisément 1** le
lobe
frontal, qui forme l'extrémité antérieure de l'hé
lobe frontal, qui forme l'extrémité antérieure de l'hémisphère. 2" Le
lobe
pariétal. Ces deux lobes sont situés au-dessus de
l'extrémité antérieure de l'hémisphère. 2" Le lobe pariétal. Ces deux
lobes
sont situés au-dessus de la scissure de Sylvius.
Ces deux lobes sont situés au-dessus de la scissure de Sylvius. 3" Le
lobe
temporo-sphénoïdal, situé au-dessous d'elle. 4° E
. 3" Le lobe temporo-sphénoïdal, situé au-dessous d'elle. 4° Enfin le
lobe
occipital, qui forme l'extrémité postérieure de l
issure à peu près droite, scissure perpendiculaire externe, sépare du
lobe
pariétal. Les plis cérébraux sont marqués sur l
u lobe pariétal. Les plis cérébraux sont marqués sur les différents
lobes
d'une façon très-simple. Nous divisons le lobe fr
és sur les différents lobes d'une façon très-simple. Nous divisons le
lobe
frontal en deux lobules : le lobule orbitaire, do
bule orbitaire, dont les sillons, à l'exception du sillon qui loge le
lobe
olfactif, sont très-irréguliers, et le lobule fro
s l'espèce humaine. Ce pli a une portion ascendante qui appartient au
lobe
pariétal et une branche ascendante qui appartient
lobe pariétal et une branche ascendante qui appartient, en partie, au
lobe
temporal. Les plis temporaux sont également au
en est pas toujours bien distinct; son extrémité postérieure passe au
lobe
occipital. Le lobe occipital est subdivisé à so
ien distinct; son extrémité postérieure passe au lobe occipital. Le
lobe
occipital est subdivisé à son tour, dans quelques
r seul est bien distinct. Ainsi, par une coïncidence singulière, le
lobe
frontal, les lobes pariétal, temporal et occipita
stinct. Ainsi, par une coïncidence singulière, le lobe frontal, les
lobes
pariétal, temporal et occipital comprennent chacu
vius. Outre ces plis, il faut encore en noter quatre qui passent du
lobe
occipital au lobe temporal et au lobe pariétal.
plis, il faut encore en noter quatre qui passent du lobe occipital au
lobe
temporal et au lobe pariétal. Je les nomme plis
en noter quatre qui passent du lobe occipital au lobe temporal et au
lobe
pariétal. Je les nomme plis de passage. Le pr
pli supérieur, unit le lobule du deuxième pli ascendant au sommet du
lobe
postérieur. Le deuxième pli unit le sommet du p
ème pli est intermédiaire au pli temporal moyen et à l'étage moyen du
lobe
occipital. Le quatrième pli, enfin, unit à l'ét
obe occipital. Le quatrième pli, enfin, unit à l'étage inférieur du
lobe
occipital le pli moyen du lobe temporal. De ces
li, enfin, unit à l'étage inférieur du lobe occipital le pli moyen du
lobe
temporal. De ces quatre plis, les deux derniers
ment, ils peuvent être tous les deux cachés sous le bord antérieur du
lobe
occipital, qui forme alors, au-dessus de la sciss
ette loi. Ainsi, dans les Sajous, ce pli est caché sous l'opercule du
lobe
postérieur, mais il est superficiel dans les Saïs
interne, mais avec une différence fondamentale. Ainsi, au lieu d'un
lobe
central, nous trouvons sur la face interne une gr
l'ensemble des couches corticales de l'hémisphère est comparé. Les
lobes
de la face interne de l'hémisphère se développent
ent autour de cette ouverture comme ceux de la face externe autour du
lobe
central. Deux scissures principales divisent ce
ntale, est étendue de l'extrémité postérieure du cerveau au sommet du
lobe
temporal et côtoie le bord inférieur de l'ouvertu
. Nous la nommerons scissure perpendiculaire interne. Nous appelons
lobe
fronto-pariétal toute cette partie de la face int
tuée au devant de la scissure perpendiculaire interne et au-dessus du
lobe
temporal. Cette partie de la face interne qui e
sure perpendiculaire recevra le nom de lobule occipital interne. Le
lobe
occipito-temporal est étendu de l'extrémité posté
es et par la grande ouverture cérébrale. Les plis de ces différents
lobes
sont très-simples. Le lobe fronto-pariétal comp
cérébrale. Les plis de ces différents lobes sont très-simples. Le
lobe
fronto-pariétal comprend deux plis concentriques
ers. Ce lobule semble représenter, sur la face interne du cerveau, le
lobe
pariétal de la face externe. Les plis du lobule
profondes. Leur disposition est indéfiniment variable. Les plis du
lobe
occipito-temporal sont mieux définis. Nous distin
Il borde la scissure des hippocampes et parcourt toute la longueur du
lobe
occipito-temporal. 3° Le pli temporal inférieur i
terne sont en très-petit nombre. Cinq plis, à savoir les deux plis du
lobe
fronto-pariétal et les trois plis temporaux et de
ner, en quelques mots, une idée générale de ces déplacements. 1" Le
lobe
frontal et le lobule du deuxième pli ascendant do
dominent exclusivement, et c'est le cas de l'espèce humaine. 2° Le
lobe
frontal et le pariétal se partagent la prééminenc
e voit dans l'Orang, les Gibbons et même les Semnopithèques. S"» Le
lobe
pariétal domine seul; exemple, les vrais Macaques
xemple, les vrais Macaques, l'Atèle, le Lagotriche et le Saï. 4" Le
lobe
pariétal et le lobe occipital sont simultanément
caques, l'Atèle, le Lagotriche et le Saï. 4" Le lobe pariétal et le
lobe
occipital sont simultanément développés ; exemple
emple, les Guenons, les Macaques à queue courte et le Papión. 5" Le
lobe
occipital l'emporte exclusivement; exemple, le Ma
de revenir un instant sur cette question de l'importance relative des
lobes
et des plis. On sent qu'il ne s'agit point ici de
nt avoir une valeur moindre, au moins comme caractéristiques. A. Du
lobe
frontal. C'est à ce lobe qu'à l'aide du criteri
, au moins comme caractéristiques. A. Du lobe frontal. C'est à ce
lobe
qu'à l'aide du criterium que nous avons choisi no
ntinent, nous trouvons consUmment un plus grand développement de ce
lobe
dans les Singes supérieurs de chaque groupe natur
lobe dans les Singes supérieurs de chaque groupe naturel. Ainsi le
lobe
frontal est plus étroit et surtout plus excavé à
dans les Gibbons, dans le s Gibbons que dans les Orangs, De même le
lobe
frontal est plus développé dans les Chimpanzés qu
t plus de richesse relative. Mais c'est dans l'Homme surtout que ce
lobe
atteint ses plus vastes proportions, ses plus ric
est à peine utile d'y insister. Le développement des plis, dans le
lobe
frontal, s'exprime d'une manière très-inégale.
ez bien accusés. Ainsi, des Guenons aux Orangs, le développement du
lobe
frontal s'accuse de plus en plus, et dans ce lobe
le développement du lobe frontal s'accuse de plus en plus, et dans ce
lobe
c'est l'étage supérieur qui s'accroît davantage.
mme. — Enfin, dans l'Homme, cette prééminence de l'étage supérieur du
lobe
frontal est de plus en plus accusée. Dans la Vénu
On observe, d'ailleurs, une marche parallèle dans le développement du
lobe
frontal (les Macaques. Macaques. — Les trois ét
ongue queue, sauf une réduction assez sensible dans les dimensions du
lobe
frontal. 11 y a quelques indices de division dans
Dans les Cynocéphales connus, les Babouins, les Mandrills, etc., ie
lobe
frontal est, relativement, plus court que dans le
sur le Gorille. Tels sont les résultats de nos observations sur le
lobe
frontal des Singes de l'ancien continent. Constam
sur le lobe frontal des Singes de l'ancien continent. Constamment le
lobe
frontal est plus développé dans les espèces supér
aperçue parmi les Singes américains. Malgré sa réduction générale, le
lobe
frontal est plus riche en plis dans les Atèles et
intérieure du crâne qui les contenait. Cette prédominance relative du
lobe
frontal est bien évidente également dans le Saïmi
primer que d'une manière très-éloignée les formes naturelles. b. Du
lobe
pariétal. Le lobe pariétal présente, dans son d
ière très-éloignée les formes naturelles. b. Du lobe pariétal. Le
lobe
pariétal présente, dans son développement général
soire. C. Du lohe temporo-sphénoïdal. L'épaisseur verticale de ce
lobe
mérite d'être attentivement considérée. On peut d
. On peut dire qu'elle est d'autant moindre, eu égard à la hauteur du
lobe
frontal, que l'animal est plus élevé dans son gro
ylvius avec celles qui sont situées au-dessous. Quanta la longueur du
lobe
temporo-sphénoïdal, elle est très-variable et d'u
orte qu'on pourrait, au premier abord, supposer que la longueur de ce
lobe
est, au contraire de son épaisseur, un signe d'él
d'élévation sériale. Mais les Gibbons échappent à cette règle, et le
lobe
temporo-sphénoïdal, dans ces Singes, est aussi co
accorder à ce caractère une certaine valeur. Parmi les plis que le
lobe
temporo-sphénoïdal présente, nous distinguerons,
développe comme les plis de la face interne de l'hémisphère. D. Du
lobe
occipital. C-e lobe atteint le maximum de son d
lis de la face interne de l'hémisphère. D. Du lobe occipital. C-e
lobe
atteint le maximum de son développement dans les
s Singes américains du premier groupe. Ainsi voyons-nous décroître le
lobe
occipital des Sajous et des Saïs aux Lagotriches
, comme chez eux aucune scissure ne détermine la limite antérieure du
lobe
occipital, il est difficile d'en donner une idée
s subir d'exceptions. On peut donc affirmer que le développement du
lobe
occipital exprime une infériorité typique. E. D
zés. Il est rudimentaire chez les Guenons et caché sous l'opercule du
lobe
occipital; superficiel dans les Semnopithèques, i
sez de détails pour qu'il soit superflu d'y revenir. La longueur du
lobe
fronto-pariétal, le développement et les plis du
ent, peu profonds. (t. Résumé. En nous résumant, V la grandeur du
lobe
frontal résultant surtout d'un développement exce
, celle de la branche ascendante du pli courbe ; l'amoindrissement du
lobe
occipital et du pli marginal sont, dans tous les
ne fois trouvés, il devient évident que les proportions relatives des
lobes
et des plis varient singulièrement suivant les ge
genres, les espèces et même les individus. Ainsi, dans les uns, le
lobe
frontal l'emporte; dans quelques autres, le lobe
si, dans les uns, le lobe frontal l'emporte; dans quelques autres, le
lobe
pariétal domine; dans d'autres enfin, c'est le lo
elques autres, le lobe pariétal domine; dans d'autres enfin, c'est le
lobe
occipital. Ces lobes, si j'ose ainsi m'exprimer
pariétal domine; dans d'autres enfin, c'est le lobe occipital. Ces
lobes
, si j'ose ainsi m'exprimer, se disputent la surfa
e de l'hémisphère cérébral. Si l'un d'eux s'agrandit, il refoule le
lobe
voisin; l'espace que l'un gagne, l'autre le perd.
e voisin; l'espace que l'un gagne, l'autre le perd. Ce qui se dit des
lobes
peut se dire également des plis cérébraux. Mais
l'un et dans l'autre), il conclut aussitôt à un égal développement du
lobe
occipital. Cette conclusion est-elle légitime?
es circonstances absolument différentes. A. Dans un premier cas, le
lobe
occipital sera très-grand, et à cause de sa grand
ra en arrière une saillie très-prononcée. B. Dans un second cas, le
lobe
occipital sera très-petit ; mais, refoulé en arri
, le lobe occipital sera très-petit ; mais, refoulé en arrière par un
lobe
pariétal ou par des plis de passage très-développ
arrière une saillie non moins grande. C. Dans un troisième cas, le
lobe
occipital et le lobe pariétal, simultanément déve
non moins grande. C. Dans un troisième cas, le lobe occipital et le
lobe
pariétal, simultanément développés, contribueront
rra signifier trois choses distinctes : r Un grand développement du
lobe
occipital coïncidant avec une grandeur médiocre d
eloppement du lobe occipital coïncidant avec une grandeur médiocre du
lobe
temporo-pariétal; 2° Un faible développement du
ur médiocre du lobe temporo-pariétal; 2° Un faible développement du
lobe
occipital compensé par un agrandissement proporti
ent du lobe occipital compensé par un agrandissement proportionnel du
lobe
temporo-pariétal ou des plis de passage ; 3'' U
poro-pariétal ou des plis de passage ; 3'' Un égal développement du
lobe
occipital et du lobe pariétal. C'est ainsi que
plis de passage ; 3'' Un égal développement du lobe occipital et du
lobe
pariétal. C'est ainsi que dans l'Homme, où le l
occipital et du lobe pariétal. C'est ainsi que dans l'Homme, où le
lobe
occipital est très-petit, la saillie postérieure
e saillie des bosses occipitales correspond un grand développement du
lobe
postérieur. Quel sectateur de Gall, promenant ses
vaste et libre cavité. C'est une voûte sous laquelle les plis et les
lobes
cérébraux s'avancent, se reculent, s'étalent, se
manière semblable? C'est là une question que l'examen des plis et des
lobes
cérébraux m'a suggérée. Ces plis, avons-nous di
lèle avec les résultats que donne une étude approfondie des plis, des
lobes
, des régions cérébrales. Sous ce point de vue,
est lisse; au lieu de circonvolutions, il existe seulement sur chaque
lobe
, (fig. i ) une dépression dirigée d'avant en arri
animal on voit des dépressions plus marquées que chez le castor ; les
lobes
ont peu de largeur en avant. Des trois lobes du c
que chez le castor ; les lobes ont peu de largeur en avant. Des trois
lobes
du cervelet, le lobe moyen ou ver supérieur, est
es lobes ont peu de largeur en avant. Des trois lobes du cervelet, le
lobe
moyen ou ver supérieur, est un peu plus volumineu
la forme du cerveau du castor. Les dépressions que l'on voit sur ses
lobes
(fig. ire)nesont pas symétriques. La fig. 2 repré
plus considérable que chez aucun autre animal. A la surface de chaque
lobe
, se voient des dépressions dont les postérieures
velet, comme chez tous les animaux, est divisé en trois parties. 1.
Lobe
médian ou ver supérieur. a. Lobe latéral, ici p
est divisé en trois parties. 1. Lobe médian ou ver supérieur. a.
Lobe
latéral, ici peu volumineux, plus grand chez le
grand chez le phoque, le marsouin le singe, et l'homme. 3. Petit
lobe
, éminence lobulaire, flocons. Lapin. Fig. ire F
lobulaire, flocons. Lapin. Fig. ire Face supérieure de l'encéphale.
Lobes
cérébraux plus allongés que chez le paca 2
lus allongés que chez le paca 2 ENCÉPHALE DES MAMMIFÈRES DONT LES
LOBES
CÉRÉBRAUX SONT DÉPOURVUS DE CIRCONVOLUTIONS.
FÈRES DONT LES LOBES CÉRÉBRAUX SONT DÉPOURVUS DE CIRCONVOLUTIONS.
lobe
d'hippocampe, dont les phrénologistes ont fait
représenté, mais qui n'existent pas toujours aussi marquées. Taupe.
Lobes
cérébraux pyriformes , se rapprochant de ceux du
se rapprochant de ceux du paca. Chauve-souris. Cervelet volumineux,
lobes
cérébraux intermédiaires entre ceux des oiseaux e
velet élargi latéralement, dépassés de beaucoup, en avant, par les
lobes
ethmoïdaux. Cervelet.— i. Lobe médian, le plus
ssés de beaucoup, en avant, par les lobes ethmoïdaux. Cervelet.— i.
Lobe
médian, le plus considérable de tous. i. Lobe l
daux. Cervelet.— i. Lobe médian, le plus considérable de tous. i.
Lobe
latéral, celui qui correspond à la partie la plus
sont les lobul es olfactifs. Ensuite vient le cerveau, divisé en deux
lobes
symétriques, par un sillon médian ; à droite et à
tions de chaque côté : il y en a quatre à la partie externe de chaque
lobe
cérébral, la quatrième est située trop latéraleme
te partie de cette circonvolution ; c'est celle • que l'on a nommée
lobe
d'hippocampe, et dont les phrénologistes ont fait
e. 1. Circonvolution interne. C'est celle qui se continue avec le
lobe
d'hippocampe. c. c. Corps calleux. c. o. Couc
, vu par sa face supérieure. En avant, une saillie ponctuée, c'est le
lobe
olfactif; puis le cerveau divisé en deux parties
rconvolutions formant toute la partie externe et supérieure de chaque
lobe
cérébral, et suivre l'analogie qui existe entre l
tion, cette espèce de circonvolution supplémentaire, et vous aurez un
lobe
cérébral qui semblera presque calqué sur celui du
isolées. Toutefois, je dois faire remarquer qu'il y a en arrière du
lobe
cérébral droit du chat, un point de jonction entr
t de jonction qui n'existe pas, mais qui est seulement indiqué sur le
lobe
gauche du même animal, et que l'on trouve très ma
le lobe gauche du même animal, et que l'on trouve très marqué sur le
lobe
correspondant du lion ( fig. ij. Ces deux faits d
mbreuses, que ces deux circonvolutions se confondent réellement. Le
lobe
cérébral de l'ours présente à sa surface extérieu
cher aussitôt et former par sa jonction avec le sillon qui sépare les
lobes
cérébraux, un enfoncement crucial très marqué. Ce
irconvolution orbitaire. 1. Portion de la circonvolution interne ou
lobe
d'hippocampe. S. Scissure de Sylvius, au fond d
supérieure. En avant un mamelon ponctué représentant une partie du
lobe
olfactif. Lobe cérébral présentant les mêmes ci
avant un mamelon ponctué représentant une partie du lobe olfactif.
Lobe
cérébral présentant les mêmes circonvolutions que
eures et antérieures, au point 4- placé sur la ligne S. En arrière du
lobe
cérébral, on voit les trois lobes du cervelet et
placé sur la ligne S. En arrière du lobe cérébral, on voit les trois
lobes
du cervelet et plus en arrière encore , une porti
encore , une portion de la moelle épinière. Fig. 2. Face externe du
lobe
droit de l'encéphale du même animal. C'est la r
erveau. Les quatre divisions de la circonvolution A, situées entre le
lobe
ethmoïdal e, et la circonvolution interne I, I vo
convolution précédente, et se portant en arrière et en 'bas, jusqu'au
lobe
d'hippocampe. Un sillon non interrompu la sépare
ut être reconnu par l'inspection de la tête sur l'animal vivant. e.
Lobe
ethmoïdal, fournissant les nerfs ethmoï- daux.
3, 4 5, 6, 7, 8 indiquent quelques-unes des principales divisions du
lobe
moyen du cervelet. Cheval. Fig. ire. Face inter
isions du lobe moyen du cervelet. Cheval. Fig. ire. Face interne du
lobe
droit du cheval. Les mêmes lettres indiquent les
s quadri jumeaux et une partie du cervelet. Fig. 2. Face interne du
lobe
droit du cheval. S. Scissure de Sylvius qui est
de la scissure de Sylvius. 0. Circonvolution sus-orbitaire. 1. h.
Lobe
d'hippocampe ou saillie inférieure de la circon
é. Les chiffres 1, -2,3 placés sur le cervelet, indiquent les trois
lobes
de cet organe, et les lettres italiques désignent
ns postérieures. si. si. Sillon antéro-postérieur qui sépare chaque
lobe
cérébral en deux moitiés; ce sillon se trouve ent
en avant + pour se continuer et rester simples jusqu'à la saillie du
lobe
ethmoïdal e, avec cette différence cependant qu'u
utres cerveaux en sont comme des exemplaires perfectionnés. Fig. 2.
Lobe
de l'encéphale du chevreuil. v. Ventricule du l
onnés. Fig. 2. Lobe de l'encéphale du chevreuil. v. Ventricule du
lobe
ethmoïdal, communiquant avec la partie antérieure
des sous-divisions et des ondulations nom* breuses. Cochon tonquin.
Lobe
droit du cerveau. S. Scissure de Sylvius ayant
nir aux circonvolutions voisines que par sa partie antérieure. Sur le
lobe
droit du cerveau du sanglier, on voit la circonvo
cochon domestique, le pécari présentent la même circonvolution. Le
lobe
gauche du cerveau du sanglier que j'ai fait repré
érieur de chaque sillon. Kangxjroo. Face supérieure de l'encéphale,
lobe
droit. S. Scissure de Sylvius. P. P. Circonvo
es l'une en avant, l'autre en arrière de la scissure de Sylvius. 1.
Lobe
moyen du cervelet. 2. Lobe latéral du même orga
arrière de la scissure de Sylvius. 1. Lobe moyen du cervelet. 2.
Lobe
latéral du même organe. Fig. 2. Encéphale du mê
DU MARSOUIN. Fig. i. Encéphale vu par sa (ace supérieure et dont le
lobe
cérébral droit (fig. 2) a été détaché par la sect
ducteur. f. Nerf facial. /. Nerf labyrinthique. o. Nerf optique. Le
lobe
médian ( i ) du cervelet est très petit en compar
. Le lobe médian ( i ) du cervelet est très petit en comparaison du
lobe
latéral^) qui a un développement énorme ; le lobe
t en comparaison du lobe latéral^) qui a un développement énorme ; le
lobe
externe (3, Fig,3j est très peu considérable et r
externe (3, Fig,3j est très peu considérable et retiré au-dessous du
lobe
latéral. Fig. 2. Face interne du lobe droit du
rable et retiré au-dessous du lobe latéral. Fig. 2. Face interne du
lobe
droit du cerveau. si, si. Sillon qui sépare la
rne de la circonvolution IV. I, I, I. Circonvolution interne. 1. b.
Lobe
d'hippocampe. Ici on voit que le cerveau est pl
a baleine sont les mêmes que celui du marsouin. PLANCHE TREIZIÈME
LOBE
CÉRÉBRAL DROIT DE L'ÉLÉPHANT DES INDES; FACE INTE
s ruminans et des so-lipèdes. PLANCHE QUATORZIÈME FACE EXTERNE DU
LOBE
DROIT DU CERVEAU DE L'ELEPHANT DES INDES. S. S.
it avec un prolongement de la circonvolution interne (fig. 5). Sur le
lobe
droit de la même figure se trouve indiquée en S.
convolutions supérieures, ou scissure de Rolando. i Petite portion du
lobe
moyen du cervelet. Fig. 3. Portion détachée du
tite portion du lobe moyen du cervelet. Fig. 3. Portion détachée du
lobe
cérébral gauche, en arrière de la scissure de Syl
sions ( celle qui est indiquée près des lettres P) n'est autre que le
lobe
d'hippocampe. Fig. 4- Côté gauche de l'encéphal
S', avec le prolongement de la circonvolution interne. (Fig. 5). 2.
Lobe
latéral du cervelet, dont le lobe moyen se voit e
convolution interne. (Fig. 5). 2. Lobe latéral du cervelet, dont le
lobe
moyen se voit en partie fig. i et fig. 5. 3. Tr
dont le lobe moyen se voit en partie fig. i et fig. 5. 3. Troisième
lobe
du cervelet ou flocons. Fig. 5. Le lobe cérébra
i et fig. 5. 3. Troisième lobe du cervelet ou flocons. Fig. 5. Le
lobe
cérébral gauche a été enlevé ; on voit en relief
cervelet qui est resté intact, et la couche optique appartenant au
lobe
gauche. AA. Partie interne de la troisième circ
a racine du nerf optique gauche au-dessous duquel (en I) se voient le
lobe
d'hippocampe, la troisième paire de nerfs ou nerf
commun des yeux et le pédoncule cérébral gauche. i, a, 3. Les trois
lobes
du cervelet. ENCÉPHALE DE L'HOMME. encéphale
, ot ayant vécu quelques jours. Fig. i. Face supérieure du cerveau.
Lobe
gauche. I. A., IL A., III. A. Première, seconde
, allant se porter directement en avant. La seconde circonvolution du
lobe
gauche paraît n'être pas unie à la circonvolution
tre se trouve au fond du sil!on\.'La circonvolution correspondante du
lobe
droit est tout-à-fait régulière. S S. Première
l'une des circonvolutions supérieures à la circonvolution interne.
Lobe
droit. Les mêmes lettres indiquent les mêmes part
' S' n'est pas exactement semblable à celle du côté opposé. Fi«. 2.
Lobe
droit du cerveau. S. S. Scissure de Sylvius , d
tions du singe et celles de l'homme adulte ou du vieillard. Fig. 3.
Lobe
droit du cerveau vu par sa face interne. 1,1,1.
ns supérieures, et descend derrière le corps calleux où elle forme le
lobe
d'hippocampe 1. h. La circonvolution interne est
Comparez cette figure à celles qui représentent la face interne du
lobe
cérébral du bœuf et du cheval (pl. IX), du mouton
t. (Elles correspondent aux trois étages que nous distinguons dans le
lobe
frontal.) S. R. Sillon de Rolando. SS.,S'S'.
es constituent pour nous les deux plis ascendants^ l'un appartient au
lobe
frontal, Vautre au lobe pariétal.) S". Prolonge
les deux plis ascendants^ l'un appartient au lobe frontal, Vautre au
lobe
pariétal.) S". Prolongement que la circonvoluti
Première et deuxième circonvolutions postérieures de Leuret. (Plis du
lobe
occipito-sphénoïdal se continuant jusqu'à Vextrém
(Plis du lobe occipito-sphénoïdal se continuant jusqu'à Vextrémité du
lobe
occipital par l'intermédiaire du troisième et du
astrique. S. P. Spinal, C. V. Cervelet. L. S. Lobes supérieurs. L. L.
Lobes
latéraux. T. Touffes. N. A, Nerfs auditifs. N. F.
le ou protubérance annulaire. b. m. Coupe médiane du bulbe. 1. o.
Lobes
optiques ou tubercules quadrijumeaux. a. v. Arb
. 3 p. Troisième paire. st. Stries dans la substance corticale du
lobe
postérieur. Fig. \. Charruas. fr. Extrémité f
". Prolongement de l'une des deux circonvolutions supérieures vers le
lobe
occipital. (Lobule du pli pariétal ascendant.)
rémités sphénoïdales. O. O. Circonvolutions de la face orbitaire du
lobe
frontal. P'., P". P". Circonvolutions postérieu
t. T. Touffe. V.B. La simplicité des circonvolutions inférieures du
lobe
occi-pito sphénoïdal, est très-remarquable sur ce
. Couche optique, c. m. Commissure molle, g. p. Glande pinéale. 1. o.
Lobes
optiques. a. q. Aqueduc de Sylvius. p. c. Péd
ule de Vieussens que recouvrent en partie certains prolongements du
lobe
médian du cervelet, qui sont désignés sous le nom
té frontale. E. OC. Extrémité occipitale. E. 0. Face orbitaire du
lobe
frontal. G. Cervelet très-développé. B. Bulbe
parallèle. d. Pli frontal ascendant. e9 e\ é\ Les trois étages du
lobe
frontal. f. Pli pariétal ascendant. f \ Lobul
e. ». Premier pli ou pli supérieur de passage unissant au sommet du
lobe
occipital le lobule du pli pariétal ascendant.
nt. y. Deuxième pli de passage, unissant le pli courbe au sommet du
lobe
occipital. k. Troisième pli de passage. 1. Qu
e et des primates). E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. L. 0.
Lobe
occipital. E. 0. Lobule orbitaire du lobe front
le de l'hémisphère. L. 0. Lobe occipital. E. 0. Lobule orbitaire du
lobe
frontal très-excavé. SC. P. Scissure perpendicula
lobe frontal très-excavé. SC. P. Scissure perpendiculaire séparant le
lobe
occipital d'avec le lobe pariétal. a. Scissure
SC. P. Scissure perpendiculaire séparant le lobe occipital d'avec le
lobe
pariétal. a. Scissure de Sylvius. b. Sillon d
. Renflement du corps strié interne que circonscrivent ies racines du
lobe
olfactif, et que nous désignons sous le nom de co
ines du lobe olfactif, et que nous désignons sous le nom de couche du
lobe
olfactif. m. Prolongement de la masse du corps
rolongement précédent vers l'anse du pédoncule jusque dans la base du
lobe
olfactif. k. Anse du pédoncule. /. Couche opt
le envoie dans cette portion de l'éventail qui s'épanouit dans le
lobe
sphénoïdal. p. Étage inférieur ou perforant du pé
ce. Prolongement du faisceau postérieur qui se porte vers la base du
lobe
olfactif. d. Cinquième paire. d\ Sa racine de
nou antérieur du corps calleux. o. Nerf et bandelette optique. p.
Lobe
sphénoïdaï. q. Pédoncule cérébelleux supérieur.
e du cervelet. L. A. Lobe antérieur de l'hémisphère cérébral. L. P.
Lobe
postérieur. STRUCTURE DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX
eure de l'hémisphère. a". Fibres de l'ourlet qui descendent dans le
lobe
sphénoïdal jusqu'à sa pointe. a'". Fibres infér
qui de l'arc supérieur de l'éventail pé-donculairese portent dans le
lobe
sphénoïdal, et forment une écorce blanche au corp
coté interne de l'étage inférieur du ventricule, à la face interne du
lobe
occipito-sphénoïdal ; cette branche est creusée e
e. i. Couches du nerf olfactif ou Insu la. j. Commissure entre le
lobe
sphénoïdal et le lobe olfactif, désignée par les
f olfactif ou Insu la. j. Commissure entre le lobe sphénoïdal et le
lobe
olfactif, désignée par les auteurs sous le nom de
. Commissure entre les plis internes inférieurs de l'hémisphère et le
lobe
olfactif, ou racine interne de ce lobe. /. Bulb
férieurs de l'hémisphère et le lobe olfactif, ou racine interne de ce
lobe
. /. Bulbe ou coiffe du lobe olfactif. m. Face
lobe olfactif, ou racine interne de ce lobe. /. Bulbe ou coiffe du
lobe
olfactif. m. Face inférieure du lobule orbitair
les plans superficiels de ses commissures propres. n. Extrémité du
lobe
unciforme du lobe sphénoïdal. o. Bandelette opt
ciels de ses commissures propres. n. Extrémité du lobe unciforme du
lobe
sphénoïdal. o. Bandelette optique. p. Corps s
tière qui logeait la racine du vermis latéral, y. Plis et feuilles du
lobe
latéral en relation avec les fibres du pont de
optique gauche. p. p. Commissure propre, étendue de la pointe du
lobe
occipital à celle du lobe sphénoïdal. q. Expansio
ommissure propre, étendue de la pointe du lobe occipital à celle du
lobe
sphénoïdal. q. Expansion des fibres de l'ourlet,
pe verticale du cerveau du Papion, pratiquée en travers au-devant des
lobes
sphénoïdaux pour montrer plus particulièrement le
onstituent le corps calleux. a. Protubérance. b. Chiasma. c. c.
Lobes
sphénoïdaux. d. Corps strié externe. e. Corps
let d'un enfant nouveau-né. a. a. a. a. b. Lobules qui composent le
lobe
antéro-supérieur de Reil ou corps du cervelet moy
ent le lobe antéro-supérieur de Reil ou corps du cervelet moyen. c.
Lobe
semilunaire ou postéro supérieur. d. Monticule
e. e. Amygdales. Fig. 2. Face postérieure du même cervelet. a.
Lobe
antéro-supérieur ou corps du cervelet moyen.
rvelet. a. Lobe antéro-supérieur ou corps du cervelet moyen. b.
Lobe
semi-lunaire. c. Lobe postéro-inférieur. d. L
-supérieur ou corps du cervelet moyen. b. Lobe semi-lunaire. c.
Lobe
postéro-inférieur. d. Lobes grêles. e. Lobes
et moyen. b. Lobe semi-lunaire. c. Lobe postéro-inférieur. d.
Lobes
grêles. e. Lobes digastriques. f. Amygdales.
be semi-lunaire. c. Lobe postéro-inférieur. d. Lobes grêles. e.
Lobes
digastriques. f. Amygdales. g. Vermis du cerv
érieure du même cervelet. a. Bord antérieur du cervelet moyen. b.
Lobe
semi-lunaire. c. Lobe po£téro-inférieur. d. L
. a. Bord antérieur du cervelet moyen. b. Lobe semi-lunaire. c.
Lobe
po£téro-inférieur. d. Lobes grêles. e. Lobe d
elet moyen. b. Lobe semi-lunaire. c. Lobe po£téro-inférieur. d.
Lobes
grêles. e. Lobe digastrique confondu avec le bo
be semi-lunaire. c. Lobe po£téro-inférieur. d. Lobes grêles. e.
Lobe
digastrique confondu avec le bord antérieur de
hancrure semi- lunaire. b. Bord antérieur du cervelet moyen. c.
Lobe
semi-lunaire commençant la série des lo- bules
Plans superficiels de la protubérance. b. Ses plans profonds. c.
Lobes
qui composent le corps du cervelet médian. d. A
es. d. Lame qui unit à la touffe la luette du vermis médian. e.
Lobes
latéraux des plexus choroïdes du qua- trième ve
dian, dans la portion qui correspond à l'échancrure semilunaire. a.
Lobe
antero-supérieur. b. Lobe postero-supérieur.
rrespond à l'échancrure semilunaire. a. Lobe antero-supérieur. b.
Lobe
postero-supérieur. c. Corps du cervelet latéral
demi, donné par M. le I)1 J. Lemaire: cerveau vu en arrière. C. C.
Lobes
latéraux du cervelet séparés par une dépression m
e. V. N. Quatrième ventricule, semblable à un large rictus. L. 0.
Lobes
optiques encore à découvert, et sur lesquels on n
époque où les hémisphères cérébraux ne recouvraient point encore les
lobes
optiques. B. Bulbe. C. Cervelet déjà couvert
bes optiques. B. Bulbe. C. Cervelet déjà couvert de plis. L. 0.
Lobes
optiques divisés en quatre tubercules. P. Pédon
econnaissent certains caractères définitifs de l'âge adulte. L. OL.
Lobe
olfactif gauche, très-grand. N.B. On peut remar
rveau déjà représenté fig. \, les hémisphères ne recouvrent point les
lobes
optiques. B. Bulbe. V. N. Quatrième ventricul
sure gauche du rictus. C. Cervelet encore absolument lisse. L. 0.
Lobes
optiques qui ne présentent encore aucune trace de
aucune trace de leur séparation future en quatre tubercules. L OL.
Lobe
olfactif gauche assez peu développé bien que plus
ette époque, mais toutefois n'offrant aucune trace de Trapèze. C.
Lobes
latéraux du cervelet déjà assez renflés, mais c
aux déjà nette- ment divisés en deux masses, l'une correspondant au
lobe
frontal, l'autre au lobe sphé-noïdaL Fig. 5. Pr
visés en deux masses, l'une correspondant au lobe frontal, l'autre au
lobe
sphé-noïdaL Fig. 5. Profil du même cerveau. B
sphé-noïdaL Fig. 5. Profil du même cerveau. B. Bulbe. C. Grand
lobe
latéral du cervelet. L. 0. Lobes optiques. C. P
même cerveau. B. Bulbe. C. Grand lobe latéral du cervelet. L. 0.
Lobes
optiques. C. P. Masse grise de l'infundibulum.
. L. 0. Lobes optiques. C. P. Masse grise de l'infundibulum. N. OL.
Lobe
olfactif. H. C. Hémisphère cérébral où se remar
sillon médian où ne se voit, encore aucune trace de vermis. L, 0.
Lobes
optiques nettement séparés en deux masses latér
pyramides et les olives sont fort apparentes. OL. Olives. P. CH.
Lobes
latéraux des plexus choroïdes du quatrième vent
P. C. Pédoncule cérébral. N. OP. Nerfs optiques très-grêles. L. OL.
Lobes
olfactifs qu'on voit manifestement n'être qu'un p
couvert de plis. L. A. Vermis latéral. P. V. Pont de Varole. L. 0.
Lobes
optiques déjà divisés en quatre tubercules. E.
bien qu'à peu près lisse, a déjà recouvert et dépassé en arrière les
lobes
optiques et le cervelet. D'ailleurs, les caractèr
éjà quelques traces de plis sur l'extrémité frontale. D'ailleurs, les
lobes
frontaux sont dépassés à droite et. à gauche par
leurs, les lobes frontaux sont dépassés à droite et. à gauche par les
lobes
sphénoïdaux, dont la prédominance est encore sens
é frontale de l'hémisphère. E. 0. Son extrémité occipitale. L. Sph.
Lobe
sphénoïdal. F. S. Fosse de Sylvius largement bé
frontale; mais il n'y a encore aucune trace de scissure parallèle. Le
lobe
temporo-sphénoïdal ne présente que des piquetures
. Nerf optique. CL. Cervelet latéral. C. A. Cervelet antérieur. L. C.
Lobe
central. SC. S. Scissure de Sylvius. N. OL. Lobe
let antérieur. L. C. Lobe central. SC. S. Scissure de Sylvius. N. OL.
Lobe
ou nerf olfactif. SC. T. Scissure transverse sépa
émité frontale de l'hémisphère. E. 0. Extrémité occipitale. L. SPH.
Lobe
sphénoïdal. SC. S. Scissure de Sylvius encore l
millaires. C. P.Tuber cinereum et base du corps pituitaire. L. SPH.
Lobe
sphénoïdal. N. OP. Nerfs optiques. Fig. 2. Pr
xtrémité frontale de l'hémisphère. E. 0. Extrémité occipitale. L. OL.
Lobe
olfactif. SC. S. Scissure de Sylvius encore béa
endant. P. C. Pli courbe qu'on voit communiquer avec le sommet du
lobe
occipital par l'intermédiaire d'un large pli de
Cervelet au-dessous duquel se voit le quatrième ventricule. L. OP.
Lobes
optiques vésiculeux et sous lesquels se voit un
hères du cerveau représenté Pl. XXIX, fig. 5. C. Cervelet. L. OP.
Lobes
optiques. G. M. Commissure molle formée de deux
du ventricule latéral a été mis à découvert. C. Cervelet. L. OP.
Lobes
optiques. C. M. Commissure molle au-dessus de l
C. Cervelet. V. Quatrième ventricule. P. V. Pont de Varole. L. OP.
Lobes
optiques. C. M. Demi-commissure molle réunie dè
ure de la scissure des hippocampes, comprenant dans sa bifurcation le
lobe
triangulaire. N. OL. Nerf ou lobe olfactif. Fig
, comprenant dans sa bifurcation le lobe triangulaire. N. OL. Nerf ou
lobe
olfactif. Fig. 9. Cette figure montre l'expansi
frontale de l'hémisphère. E. 0. Son extrémité occipitale. L. SPH.
Lobe
sphénoïdal. CC, CC, CC, CC, CC. Couches cortica
ieur du ventricule latéral; N. OP. Nerf optique. C. Cervelet. L. 0.
Lobe
olfactif. Fig. 4 5. Hémisphère d'un Kanguroo de
ntale. E. O. Extrémité occipitale. L. O. Lobe olfactif. L. SPH.
Lobe
sphénoïdal. SC. S. Scissure de Sylvius, encore
pariétal ascendant. P. C. Pli courbe communiquant avec le sommet du
lobe
occipital par un large pli de passage. 1° Étage i
rquer que la scissure parallèle n'est point nettement dessinée sur le
lobe
occipito-sphénoïdal. Fig. 2. Face supérieure du
de passage. P. C. Pli courbe avec le pli de passage qui l'unit au
lobe
occipital. C. O. Lobe occipital. 2. Étage moyen
'hémisphère. E. O. Son extrémité occipitale. L. SPH. Extrémité du
lobe
sphénoïdal. L. O. Lobe olfactif. SC. S. Scissur
P. P'. Pli de passage passant du sommet du pli courbe au sommet du
lobe
occipital. P. C.P.C. Pli courbe. P. M. I. Pli mar
veau. L. L. Masse du cervelet latéral. A. V. Arbre de vie. L. OP.
Lobes
optiques. H. Habense de la glande pinéale. C. 0
interne. L. Q. Lobule quadrilatère. L. T. Lobule triangulaire. L. 0.
Lobe
olfactif. Fig. 5. Face inférieure du même cerve
ole. E. M. Ëminences mamillaires. N. OP. Nerfs optiques. L. OL.
Lobes
olfactifs. C. L. Cervelet latéral. C M. Cerve
. C M. Cervelet moyen. V. M. Vermis moyen. T. Touffe. L. SPH.
Lobe
sphénoïdal. P. L. 0. Pli du lobule orbi taire.
phères. CD. Cervelet latéral droit. V. Vermis. L. 0., L. 0., L. 0.,
Lobes
occipitaux atrophiés et ne recouvrant qu'incomplè
assage. 2. Deuxième pli de passage [superficiel). M. Étage moyen du
lobe
frontal. F. F. Étage supérieur divisé en deux p
ous superficiels. S. S'. Scissure parallèle. P. 0. Étage inférieur du
lobe
frontal. E. M. Étage moyen du même lobe. F., F. É
èle. P. 0. Étage inférieur du lobe frontal. E. M. Étage moyen du même
lobe
. F., F. Étage supérieur. N. B. Parmi les faits
. N. OP. Chiasma des nerfs optiques. IN. Champ olfactif. N. OL.
Lobes
olfactifs. L. 0. Lobes orbitaires. L. C. Lobe
rfs optiques. IN. Champ olfactif. N. OL. Lobes olfactifs. L. 0.
Lobes
orbitaires. L. C. Lobe central à découvert au c
olfactif. N. OL. Lobes olfactifs. L. 0. Lobes orbitaires. L. C.
Lobe
central à découvert au centre d'une fosse de Sy
émisphère gauche. C. Cervelet. IV. V. Quatrième ventricule. L. 0.
Lobes
optiques. Ë. M. Éminences mamillaires. C. P. lnfu
PHALE DES COCHONS, DU h INOI EOO ET DE L'AI. ENCÉPHALE Hlr EH00CE
LOBE
CÉJÎIJBIUI DM L'ELEPHANT. lo/ja: cERtißiui /ja:
til, chez le chien par exemple, on trouvera à la face inférieure du
lobe
frontal un véritable lobe olfactif; ce lobe ser
mple, on trouvera à la face inférieure du lobe frontal un véritable
lobe
olfactif; ce lobe sera rudimentaire chez l'homme
à la face inférieure du lobe frontal un véritable lobe olfactif; ce
lobe
sera rudimentaire chez l'homme et chez les anim
tubercules bijumeaux, sont très déve- loppés, et portent le nom de
lobes
optiques. Ces lobes optiques des oiseaux sont d
x, sont très déve- loppés, et portent le nom de lobes optiques. Ces
lobes
optiques des oiseaux sont d'autant plus volumin
aire le cerveau, on introduit les doigts de la main gauche sous les
lobes
frontaux et. en soulevant légèrement le cerveau,
es du tronc encéphalique (llirnstamm) d'une part, et les différents
lobes
du manteau cérébral Différenciation des faisc
3 centimètres et le long du sillon marginal antérieur de l'insula, le
lobe
que l'on vient de soulever. On porte ensuite br
temps a pour but de sectionner le pied de la couronne rayonnante du
lobe
fronto-pariétal. Pour atteindre ce résultat, cont
utre côté. 3'' temps. On coupe le pied de la couronne rayonnante du
lobe
tem- poral. Pour cela on soulève l'extrémité li
m- poral. Pour cela on soulève l'extrémité libre de la pointe de ce
lobe
et on plonge horizontalement la pointe du scalp
par une section passant par la scissure de Rolando, il séparait le
lobe
frontal du lobe pariéto-temporo-occipital. La c
passant par la scissure de Rolando, il séparait le lobe frontal du
lobe
pariéto-temporo-occipital. La coupe de Meynert
rticalité. L'étude des faisceaux d'association et de projection des
lobes
frontaux et occipitaux-pédoncule antérieur de l
, incisMcf préoccipitale. - iSl, insertion du septum lucidum. - LO,
lobe
occipital. - LOr, lobule orbitaire. - LT, Lobe
eptum lucidum. - LO, lobe occipital. - LOr, lobule orbitaire. - LT,
Lobe
temporal. - oFi (Gr), gyrus rectus (partie orbi
de l'insula. - Ip, circonvolution postérieure de l'insula. - LF,
lobe
frontal. LT, lobe temporal. .VA, noyau amygdali
Ip, circonvolution postérieure de l'insula. - LF, lobe frontal. LT,
lobe
temporal. .VA, noyau amygdalien. P, pied du péd
re- MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. 23 nant le
lobe
occipital et une partie du lobe pariétal; un anté
UDE DES CENTRES NERVEUX. 23 nant le lobe occipital et une partie du
lobe
pariétal; un antérieur compre- nant la partie a
du lobe pariétal; un antérieur compre- nant la partie antérieure du
lobe
frontal; un moyen plus volumineux que les autre
isthme du cerveau. - LB, lame basilaire. - LL, lame latérale. Lol,
lobe
olfactif. pas prolongement antérieur de la fosse
peu en avant et se place vers la fin du deuxième mois au-dessous du
lobe
olfac- tif. Il subit en outre un mouvement de t
IN. inflexion de la nuque. z 13, isthme du corveau postérieur. - Loi,
lobe
ottactm. - m, moelle , épinière. -MoY4, membran
en avant DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 71 et sépare un petit
lobe
étroit, le lobe olfactif, du reste du manteau cér
LOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 71 et sépare un petit lobe étroit, le
lobe
olfactif, du reste du manteau céré- bral. (fig.
re. - LF, lame fondamentale, -lt, lame terminale embryonnaire. Loi,
lobe
olfactif. - Po, pédicule oculaire. - Qa, tubercul
e. - Is, isthme du cerveau postérieur. lr. lèvre rhomboïdale. Lola,
lobe
olfactif antérieur. M, moelle, Tm, tubercule mami
s pédicules oculaires. En bas, elle communique avec les cavités des
lobes
olfactifs; en avant, elle se continue avec les ve
e moyenne de la lame céré- belleuse, donne naissance au vermis ou
lobe
moyen du cervelet; son bord pos- térieur ou tra
première région donne nais- sance aux ailes du lobule central et au
lobe
cunéiforme ou quadrilatère ; la deuxième région
au lobe cunéiforme ou quadrilatère ; la deuxième région fournit les
lobes
semi-lullaires, qu'un sillon secondaire subdivi
lobes semi-lullaires, qu'un sillon secondaire subdivise bientôt en
lobe
, semi-lunaire supérieur et en lobe semi-lunaire
secondaire subdivise bientôt en lobe, semi-lunaire supérieur et en
lobe
semi-lunaire inférieur. La troisième région cor
t en lobe semi-lunaire inférieur. La troisième région correspond au
lobe
digastrique, lequel se subdivise il son tour en
obule grêle et en lobule cunéiforme. La quatrième région fournit le
lobe
tOJlsiUail'1 ! ou amygdalien ; la cinquième régio
eussens, le lobule central qui envoie de chaque côté et en avant du
lobe
cunéiforme supérieur une petite languette, l'aile
mmet (ruhnen) et en pente (declivum), et qui relie entre eux les deux
lobes
quadrilatères. A la deuxième région, correspond
spond le bourgeon terminal ou folium cacllminis, qui relie les deux
lobes
semi-lunaires supérieurs, ainsi que le tubercul
nsi que le tubercule postérieur (tuber valvuhe), qui relie les deux
lobes
semi- lunaires inférieurs. La troisième région
inférieurs. La troisième région fournit la pyramide, qui relie les
lobes
cunéiformes inférieurs; la quatrième région, la l
ule, en arrière la face inférieure de l'hémisphère cérébelleux, aux
lobes
amygdalien et cunéi- forme inférieur, en dehors
s l'aspect d'une lame médiane, la lame cérébelleuse, l'homologue du
lobe
moyen ou du vermis des oiseaux et des mammifère
u s'hypertrophie considérablement chez la torpille, où il forme les
lobes
électriques, et que chez les poissons, le noyau d
es encéphaliques, la vésicule des tubercules quadri- jumeaux ou des
lobes
optiques, est celle qui subit le moins de modific
res cérébraux atteignent son bord antérieur; au quatrième mois, les
lobes
temporaux recouvrent ses parois latérales et au c
temporaux recouvrent ses parois latérales et au cinquième mois, les
lobes
occipitaux recouvrent complètement les tubercules
nte les plus grandes variations. Elle forme en effet les volumineux
lobes
optiques des poissons et des oiseaux et les petit
cules quadrijumeaux anté- rieurs daus la série des vertébrés.
Lobes
optiques des oiseaux. Connexions des tuberc
cérébelleux. /, infundibulum. IP, inflexion de la protubérance. Lola,
lobe
' . olfactif antérieur, lt, lame terminale embr
C, hémisphères cérébraux. - LS, isthme du cerveau postérieur. - Lola,
lobe
olfactit antérieur. - Lolp, lobe olfactif posté
hme du cerveau postérieur. - Lola, lobe olfactit antérieur. - Lolp,
lobe
olfactif postérieur. - lt, lame terminale embryon
flexion de la protubérance. - Lola,lobo olfactif antérieur. - Lôlp,
lobe
olfactif postérieur. M, moelle. - ob, obex. - Po,
t dont le développement présente des particularités curieuses : son
lobe
postérieur n'est autre que le diverticule de l'
mérienne, en un appendice conjonctif du système nerveux central. Le
lobe
antérieur, véritable appa- reil glandulaire, se
cis vasculaire formé par la pie-mère, et donnent ainsi naissance au
lobe
antérieur de l'hypophyse. Ce dernier ne se so
ortion axiale, lame terminale embryonnaire. Ventricules latéraux et
lobes
olfactifs. Nous avons vu précédemment, que l'on
eint l'extrémité antérieure du manteau cérébral et en sépare un petit
lobe
étroit et allongé, le lobe olfactif, dont la ca
u manteau cérébral et en sépare un petit lobe étroit et allongé, le
lobe
olfactif, dont la cavité communique largement au
), se porte vers la paroi antérieure de l'infundibulum et limite le
lobe
olfactif en arrière. Vésicules hémisphériques,
En se développant, chaque vésicule hémisphérique forme en avant le
lobe
frontal, en haut le lobe pariétal, en bas le lobe
e vésicule hémisphérique forme en avant le lobe frontal, en haut le
lobe
pariétal, en bas le lobe temporal. Le lobe tem-
forme en avant le lobe frontal, en haut le lobe pariétal, en bas le
lobe
temporal. Le lobe tem- poral situé au début au-
lobe frontal, en haut le lobe pariétal, en bas le lobe temporal. Le
lobe
tem- poral situé au début au-dessus de l'axe tr
ne se développe que beaucoup plus tardivement, en même temps que le
lobe
postérieur ou occi- pital, et représente un div
Sillon antérieur. Sillon inférieur. Formation des dif- férents
lobes
du cer- veau. Ventricules ]att- l'aux et le
trou de Monro, et se portent en bas vers l'extrémité inférieure du
lobe
temporal qu'ils n'atteignent cependant pas. Le su
e Bogenfurche) (lig. 41, 42, saa); il commence à la face interne du
lobe
olfactif, qu'il incise profondément en for- man
l'incisura prima de His, et qu'il divise en une partie antérieure, le
lobe
olfactif antérieur, et une partie postérieure,
térieure, le lobe olfactif antérieur, et une partie postérieure, le
lobe
olfactif postérieur. Pro- fond à son origine, l
cérébraux. - HCn, hémisphères cérébelleux. - 1,'infundibulum. - LF,
lobe
. frontal. - LO, lobe occipital. - Lola, lobe olfa
isphères cérébelleux. - 1,'infundibulum. - LF, lobe. frontal. - LO,
lobe
occipital. - Lola, lobe olfactif antérieur. - Lol
1,'infundibulum. - LF, lobe. frontal. - LO, lobe occipital. - Lola,
lobe
olfactif antérieur. - Lolp, lobe olfactif postéri
ontal. - LO, lobe occipital. - Lola, lobe olfactif antérieur. - Lolp,
lobe
olfactif postérieur. z LP, lobe pariétal. - LT,
a, lobe olfactif antérieur. - Lolp, lobe olfactif postérieur. z LP,
lobe
pariétal. - LT, lobe temporal. It, lame terminale
rieur. - Lolp, lobe olfactif postérieur. z LP, lobe pariétal. - LT,
lobe
temporal. It, lame terminale embryonnaire. - paFS
res sont réunies en avant par la lame terminale an- térieure.
Lobe
olfactif anté- rieur. Ses rapports avec le
om de zone trapézoïde de His (Area tra- pezoïdes), et appartient au
lobe
olfactif postérieur (fig. 41, 42, 44). La lame
e les corps striés, et ferme le trou de Monro en avant (fig. 42).
Lobes
olfactifs. Les lobes olfactifs antérieur et posté
et ferme le trou de Monro en avant (fig. 42). Lobes olfactifs. Les
lobes
olfactifs antérieur et postérieur, sont creux a
cisara prima deviennent plus profonds, la séparation entre ces deux
lobes
devient plus distincte. Le lobe olfactif antéri
ds, la séparation entre ces deux lobes devient plus distincte. Le
lobe
olfactif antérieur se recourbe en arrière et form
Le lobe olfactif antérieur se recourbe en arrière et forme avec le
lobe
postérieur, un fer à cheval dont la convexité r
fosse sylvienne à la paroi interne de l'hé- misphère (fig. 47). Le
lobe
olfactif antérieur est limité en arrière par l'in
sillon arqué antérieur et qui persiste chez l'adulte. Le sommet du
lobe
olfactif antérieur regarde en arrière et reçoit
inte DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 109 se place au-dessous du
lobe
olfactif postérieur vers. la fin du deuxième mois
olfactif se redresse, puis se porte en avant pour se placer sous le
lobe
frontal, vers le troisième mois de la vie intra
ir- convolution olfactive exte1'- ne, qui se continuent avec le
lobe
limbique de Broca. La circonvolution olfactive
1'efozl1' olfactif en avant et le sépare du gyrus fornicatus. Le
lobe
olfactif postérieur (fig. 7, u9), compris entre l
ésignée Circonvolutions ol- factives. i j f 3 3 1 l
Lobe
olfactif posa térieur. Substance parfordoi
Cst, corps strié. Fch, plexus choroïdes. - fp, fissura prima. Lola,
lobe
olfactif antérieur. - Lolp, lobe olfactif posté
roïdes. - fp, fissura prima. Lola, lobe olfactif antérieur. - Lolp,
lobe
olfactif postérieur. - li, lame ter- minale emb
e Zuckerkandl. (Voy. structure de l'écorce cérébrale). La cavité du
lobe
olfactif postérieur s'ouvre largement au début da
u développement considérable que prend la base du corps strié. Le
lobe
olfactif représente donc en résumé, un appendice
de l'embouchure du pédi- cule oculaire à l'extrémité antérieure du
lobe
olfactif; on peut lui consi- dérer avec His, tr
gion infundibulaire. Le segment moyen, le plus large, correspond au
lobe
olfactif postérieur dont il rétrécit la cavité; l
s petit, se porte directement en avant, limite en haut la cavité du
lobe
olfactif antérieur, et correspond au sillon qui p
to-striée au DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 11f f voisinage du
lobe
temporal (fig. 50). Très petit au début, le somme
0). Très petit au début, le sommet suit bientôt le développement du
lobe
temporal qui l'entraînera en arrière, puis en b
s la fosse sylvienne, c'est-à-dire la région du futur, irsûla et le
lobe
olfactif posté- rieur (fig. 48); il entoure en
W. His.) Cst, corps strié. - Lola, lobo olfactif antérieur. - Lolp,
lobe
olfactif postérieur. - It, lame terminale embry
primitive du corps strié; il suit les change- ments de direction du
lobe
olfactif antérieur, se recourbe avec celui-ci en
et comble en partie soit le recessus op- tique, soit la cavité du
lobe
olfactif postérieur, et répond aux segments m
eure du cerveau, en arrière de l'incisura prima; elle sépare le
lobe
olfactif antérieur du lobe olfactif postérieur,
de l'incisura prima; elle sépare le lobe olfactif antérieur du
lobe
olfactif postérieur, et ce rapport persiste che
) La plus grande partie du segment interne s'unit in- timement au
lobe
olfactif pos- térieur, dont il est sépare toute
. (D'après \V. His.) Bol, bulbe olfactif. - Cst, corps strié. - LF,
lobe
frontal. - L0, lobe occipital.- LP, lobe pariot
Bol, bulbe olfactif. - Cst, corps strié. - LF, lobe frontal. - L0,
lobe
occipital.- LP, lobe pariota].TLo/ff, ! obc olfac
- Cst, corps strié. - LF, lobe frontal. - L0, lobe occipital.- LP,
lobe
pariota].TLo/ff, ! obc olfactif antérieur. Lolp
cipital.- LP, lobe pariota].TLo/ff, ! obc olfactif antérieur. Lolp,
lobe
olfactif postérieur. -jVl, nerf olfactif. - PO.
t en connexion intime, ainsi que nous l'avons vu plus haut, avec le
lobe
olfactif postérieur ou substance perforée antér
ution de l'hippocampe. - h, sillon de l'hippocampe. - l, insula. - L,
lobe
limbique. - LA(Th), lame alaire donnant naissan
- GP, globus pallidus. - I, insula. - Aï, scissure calcarine. - L,
lobe
limbique le, lame cornée. - 11., lame terminale e
e cérébral. Les fibres de la couronne rayonnante qui proviennent du
lobe
temporal n'entrent pas dans la constitution de la
ammonique ou arqué postérieur, s'étend de l'extrémité antérieure du
lobe
temporal jusqu'au trou de Monro ; à ce niveau i
B, circonvolution de l'hippocampe. - If, scissure cal- carine. -L,
lobe
limbique. - Lg, lobe lingual. - Lela, lobe olfac-
l'hippocampe. - If, scissure cal- carine. -L, lobe limbique. - Lg,
lobe
lingual. - Lela, lobe olfac- tif antérieur. - 0
cissure cal- carine. -L, lobe limbique. - Lg, lobe lingual. - Lela,
lobe
olfac- tif antérieur. - 0, lobe occipital. -- o
mbique. - Lg, lobe lingual. - Lela, lobe olfac- tif antérieur. - 0,
lobe
occipital. -- oi, sillon collatéral. - P, lobe
tif antérieur. - 0, lobe occipital. -- oi, sillon collatéral. - P,
lobe
pariétal. - Pu, pli marginal de Schmidt. po, sc
ccipitale. - sap, sillon arqué postérieur. SI, septum lucidum. - T,
lobe
temporal. Tp, trigone. - Typo, pilier antérieur d
nexion avec . la corne d'Ammon. Les piliers postérieurs limitent le
lobe
sphénuïdal en dedans; ils sont unis l'un à l'au
rconvolution de l'hippocampe. - Ltl circonvolution limbique. -- Lg,
lobe
lingual. - lt, lamo terminale embryonnaire. K, sc
classes des vertébrés ne possèdent ni corps calleux, ni trigone. 4.
Lobes
, développement du manteau cérébral, sillons et
Celle-ci s'étend, au début de la vie embryonnaire, de la pointe du
lobe
temporal jusqu'au- dessus du trou de Monro, et
are dans toute son étendue, la circonvolution godronnée foetale, du
lobe
limbique de Broca : au niveau du sinus du corps
ins profondément la face externe en formant la limite antérieure du
lobe
occi- pital. Au début de la vie embryonnaire, l
n calloso-mar- ginal, le gyrus forni- catus se continue avec un
lobe
quadrilatère, l'avant-coin ou jM'<M-- cune
tième mois,' affecte une direction antéro-postérieure et s'étend du
lobe
sphé- noïdal au lobe occipital; elle sépare, da
une direction antéro-postérieure et s'étend du lobe sphé- noïdal au
lobe
occipital; elle sépare, dans la région sphénoïdal
commissure antérieure. com, commissure molle. - Cu, cervelet. - F,
lobe
frontal. - /'s, fissura serotina. - Gp. glande
. glande pinéale. if, infundihu- lum. - K, scissure calcarine. - L,
lobe
limbique. - Lg, lobule lingual. - Lola, lobe ol
issure calcarine. - L, lobe limbique. - Lg, lobule lingual. - Lola,
lobe
olfactif antérieur. lt, lame terminale embryonnai
Lola, lobe olfactif antérieur. lt, lame terminale embryonnaire. 0,
lobe
occipital. ot, sillon collatéral. - P, lobe parié
minale embryonnaire. 0, lobe occipital. ot, sillon collatéral. - P,
lobe
pariétal. -Po, pro- tubérance. -po, scissure pa
m lucidum. - sM, sillon de Monro. STh, région sous-thalamique. - T,
lobe
temporal. - T'q, trigone. - T1L trou de Monro.
OMIE DES CENTRES NERVEUX. Région centrale de la face interne ou
lobe
limbique de Broca. Sa constitution. Ses con
terne, qui entoure le sillon ammo- nique foetal et qui constitue le
lobe
limbique de Broca, et une région péri- phérique
égion péri- phérique ou externe, qui représente la face interne des
lobes
frontal, parié- tal, occipital et temporal. L
et en avant, au niveau de la partie basale du cerveau antérieur. Le
lobe
limbique est formé en avant et en haut, par le gy
rconvolution de l'hippocampe) et la circon- volution du crochet. Le
lobe
limbique est en connexion intime avec le lobe o
volution du crochet. Le lobe limbique est en connexion intime avec le
lobe
olfactif antérieur. Le gyrus fornicatus reçoit
lution de l'hippocampe reçoit la « racine » olfactive externe. Le
lobe
limbique de Broca est limité en dedans, par le si
ippocampe dans la région occipito-temporale, et ce sillon sépare le
lobe
limbique de la circonvolution godronnée foetale ;
. - Cg, circonvolution godronnée. - cm, sillon calloso-marginal. - F,
lobe
frontal. - fp, fissura prima. - Fus, lobule fus
carine. - Li, première circonvolution limbique. - LI (i), isthme du
lobe
limbique. - Lg, lobe lingual. - Lala, lobe olfact
e circonvolution limbique. - LI (i), isthme du lobe limbique. - Lg,
lobe
lingual. - Lala, lobe olfactif antérieur. - Lolp,
que. - LI (i), isthme du lobe limbique. - Lg, lobe lingual. - Lala,
lobe
olfactif antérieur. - Lolp, lobe olfactif postéri
imbique. - Lg, lobe lingual. - Lala, lobe olfactif antérieur. - Lolp,
lobe
olfactif postérieur. - It, lame terminale embry
intra-utérine, le sillon sous-pariétal et qui sépare le praecuneus du
lobe
limbique; dans la région occipitale, par la bra
llatérale. La région périphérique, représente la partie interne des
lobes
de la face externe ou convexe de l'hémisphère.
interne des lobes de la face externe ou convexe de l'hémisphère. Le
lobe
frontal, ou la face interne de la première circ
u sillon calloso- marginal, le lobule ovalaire ou paracentral. Le
lobe
pariétal fournit le praecuneus, le lobe occipital
ovalaire ou paracentral. Le lobe pariétal fournit le praecuneus, le
lobe
occipital le cuneus et le lobule lingual; le lo
le praecuneus, le lobe occipital le cuneus et le lobule lingual; le
lobe
temporal fournit le lobule fusiforme et la partie
tie inférieure de la troisième circonvolution temporale. Tous ces
lobes
sont reliés au lobe limbique par des plis de pass
a troisième circonvolution temporale. Tous ces lobes sont reliés au
lobe
limbique par des plis de passage. Le lobe front
ces lobes sont reliés au lobe limbique par des plis de passage. Le
lobe
frontal est relié au lobe limbique, par un ou deu
lobe limbique par des plis de passage. Le lobe frontal est relié au
lobe
limbique, par un ou deux plis de passage situés
genou du corps calleux, les plis de passage fronto-lim- biques ; le
lobe
pariétal, par les plis de passage pariéto-limbiqu
ro-hippocampique de Broca. Circonvolution godronnée. - En dedans du
lobe
limbique de Broca, on trouve la circonvolution
lingual. Lobule fusiforme. Plis do passage qui réunissent le
lobe
limbique aux diffé- rents lobes de la face
lis do passage qui réunissent le lobe limbique aux diffé- rents
lobes
de la face interne. La circonvolution godro
te diagonale de Broca. pour se terminer à l'extrémité antérieure du
lobe
temporal, très près de l'origine de la bandelet
e, et cette obli- quité tient très probablement au développement du
lobe
occipital. Puis le segment antérieur se coude,
le segment antérieur se coude, grâce au développement que prend le
lobe
fronto-pariétal, qui lui forme vers le cinquièm
a profondeur de la scissure de Sylvius, grâce au déve- loppement du
lobe
frontal en avant, du lobe temporal en bas et de l
e de Sylvius, grâce au déve- loppement du lobe frontal en avant, du
lobe
temporal en bas et de l'oper- cule en haut. L
du com- mencement du cinquième mois. (D'après V. Mihalkovicz.) F,
lobe
frontale (p, fissura prima. - FS, fosse sylvienne
F, lobe frontale (p, fissura prima. - FS, fosse sylvienne. - Zot.
lobe
olfactif antéi-ictir. - 0, lobe occipital. - P, l
rima. - FS, fosse sylvienne. - Zot. lobe olfactif antéi-ictir. - 0,
lobe
occipital. - P, lobe pariétal.- paFS, prolongem
vienne. - Zot. lobe olfactif antéi-ictir. - 0, lobe occipital. - P,
lobe
pariétal.- paFS, prolongement antérieur de la f
occipitale. Sillon pré-occipital. Division de face externe en
lobes
. Sillons secondaires. Sillons et circon- vo
en lobes. Sillons secondaires. Sillons et circon- volutions du
lobe
frontal. iIlons et ci l'con- vfjtutiousdnio
rconvolutions courtes de l'insula, en rapport avec l'opercule et le
lobe
frontal. Les autres sillons de la face externe,
Au sixième mois, apparaît la scissure de Rolando (R), qui sépare le
lobe
frontal du lobe pariéto-temporo-occipital. Au sep
apparaît la scissure de Rolando (R), qui sépare le lobe frontal du
lobe
pariéto-temporo-occipital. Au septième mois, la s
le bord supérieur et la face externe de l'hémisphère, et sépare le
lobe
pariétal du lobe occipital; vers la même époque,
r et la face externe de l'hémisphère, et sépare le lobe pariétal du
lobe
occipital; vers la même époque, apparaît le sil
ipital ou occipital antérieur de Wernicke, qui délimite en avant le
lobe
occipital et le sépare du lobe temporal. La f
Wernicke, qui délimite en avant le lobe occipital et le sépare du
lobe
temporal. La face externe de l'hé- misphère e
. La face externe de l'hé- misphère est alors divisée en quatre
lobes
: les lobes frontal, pariétal, occipital et t
externe de l'hé- misphère est alors divisée en quatre lobes : les
lobes
frontal, pariétal, occipital et temporal (fig
et temporal (fig. 69). Des sillons secondaires subdi- visent ces
lobes
en lobules et en circonvolutions. Les sillons
développés à la fin du huitième et au neuvième mois. Dans le
lobe
frontal apparaît d'abord, vers la fin du sixi
on frontal supérieur, et à la face orbitaire le sillon olfactif. Le
lobe
frontal présente alors trois circonvolutions à
rise entre la scissure de Rolando et le sillon pré-rolandique. Le
lobe
pariétal est limité en avant par le sillon de Rol
encement du huitième mois. (D'après V. 111halkovic.) B, bulbe. - C,
lobe
central. - Cv. cervelet. - F, lobe frontal. - F
V. 111halkovic.) B, bulbe. - C, lobe central. - Cv. cervelet. - F,
lobe
frontal. - FI, pc circonvolution frontale. - F2
! casccn<iantc. 7, insnla. - ip, sillon inter-pariëtal. - Lola,
lobe
olfactif antérieur. - 0, lobe occipital. - Oi, ol
- ip, sillon inter-pariëtal. - Lola, lobe olfactif antérieur. - 0,
lobe
occipital. - Oi, olive in- frieure. - OpR, oper
ccipital. - Oi, olive in- frieure. - OpR, opercule rolandiqnc. - P,
lobe
pariétal. - Pi, 11 circonvolution pariétale. -
ylvius. - S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - T,
lobe
temporal. Ti, 1° circonvolution temporale. - y
térine et divise, avec le sillon interpariétal, la' face externe du
lobe
pariétal en trois circonvolutions : la première,
à la scissure ihter-hemisphérique; elle forme le bord supérieur du
lobe
pariétal et correspond à la face externe duprae
che postérieure de la scissure sylvienne, et se con tinue avec le
lobe
temporal en formant le gyrus marginal supé- r
ranche verticale de la scissure parallèle, et se continue avec le
lobe
occipital en formant le gyrus angulaire ou pli
le lobe occipital en formant le gyrus angulaire ou pli courbe. Le
lobe
temporal se fusionne avec le lobe occipital à l
rus angulaire ou pli courbe. Le lobe temporal se fusionne avec le
lobe
occipital à la face in- férieure. Il en est sép
illon temporal; vers le huitième, le troisième sillon temporal . Le
lobe
temporal est alors formé à la face externe, par
nt en avant pour former le pâle temporal. A la. face inférieure, le
lobe
temporal présente deux circonvolutions : la face
de la troisième circonvolution temporale et le lobule fusiforme. Le
lobe
occipital, mal délimité en avant par la scissure
tième ! i 1 1 j - 1 Circonvolutions et : i scissures du
lobe
tem- \ pl;al.. i i 1 1 FIG. 70. - Face su
in du commencement du huitième mois. (D'après V. Mihalkovicz.) C,
lobe
central. - F, lobe frontal. - 7 ? 1" circon- vo
du huitième mois. (D'après V. Mihalkovicz.) C, lobe central. - F,
lobe
frontal. - 7 ? 1" circon- volution frontale. -
rconvolution frontale ascendante. - ip,.sillon inter-pariétal. - 0,
lobe
occi- pital. - P, lobe .pariétal. - Pa, circonv
scendante. - ip,.sillon inter-pariétal. - 0, lobe occi- pital. - P,
lobe
.pariétal. - Pa, circonvolution parié- tale asc
ipital inférieur à direction antéro-postérieure. La face externe du
lobe
occipital est ainsi divisée en trois circonvolu
terne chez les mammifères supérieurs; l'autre, en connexion avec le
lobe
olfactif, correspond au lobe limbique de Broca;
upérieurs; l'autre, en connexion avec le lobe olfactif, correspond au
lobe
limbique de Broca; elle est toujours nettement
ns la couche la plus superficielle de l'écorce cérébrale, dans le
lobe
optique des oi- seaux, dans la substance gélati
cer- taines cellules cérébrales, comme les cellules mitrales du
lobe
olfactif et les cellules gan- glionnaires de la
s remplissent il peu près complètement. Ils sont formés par un seul
lobe
ou par deux ou trois lobes superposés, qui cons
complètement. Ils sont formés par un seul lobe ou par deux ou trois
lobes
superposés, qui constituent autant de corpuscul
ivants : MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 237 Quant au poids des différents
lobes
du cerveau, Meynert donne les chiffres suivants
onner raison à l'opinion des physiologistes, qui localisent dans le
lobe
frontal les fonctions psychiques supérieures. D
ins étendue que l'extrémité postérieure, et sépare complètement les
lobes
frontaux dans leur moitié antérieure. L'extrémi
lleux. - ip, sillon interpariétal. - L,, première circonvolution du
lobe
lombique. - mF" face interne de la pre- mière c
fférentes parties de la face externe ou convexe de l'hémisphère, en
lobes
frontal, pariétal, occipital et temporal (fig.
e de l'hémisphère est plane ou légèrement con- cave, elle répond au
lobe
frontal et repose sur la voûte orbitaire; ce rapp
ui a valu le nom de lobule ol'bitail'e, ou mieux de face orbitaine du
lobe
16 FiG. 149. - Face inférieure du cerveau. (D
, branche commune aux scissures calcarine et paricto-occipttale ? F,
lobe
frontal. Lg, lobule lingual. Ig, sillon lingual.
be frontal. Lg, lobule lingual. Ig, sillon lingual. L[i), isthme du
lobe
limbique. - LO, lobe occipital. - LOr, lobule orb
e lingual. Ig, sillon lingual. L[i), isthme du lobe limbique. - LO,
lobe
occipital. - LOr, lobule orbitaire. - LT, lobe te
u lobe limbique. - LO, lobe occipital. - LOr, lobule orbitaire. - LT,
lobe
temporal. z NI[, nerf optique. - 03, troisième
isphère, franchement concave, affecte la forme d'un rein, répond au
lobe
sphéno- occipital (GT, ! 0) et déborde en bas l
au lobe sphéno- occipital (GT, ! 0) et déborde en bas le niveau du
lobe
frontal ; elle s'en- fonce en avant dans la fos
là grande scissure inter-hémisphérique, et se continue au niveau du
lobe
occipital et sous un angle très ouvert, avec la f
face interne de l'hémisphère (fig. 1 i-1, 179). Le bord externe du
lobe
sphéno-occipital fait FiG. f50. - Lobes de la f
-1, 179). Le bord externe du lobe sphéno-occipital fait FiG. f50. -
Lobes
de la face externe de l'hémisphère droit. Les lèv
D'après la photo- , graphie d'un cerveau durci dans l'alcool.) F,
lobe
frontal. - I, insula. - 0, lobe occipital. - P, l
un cerveau durci dans l'alcool.) F, lobe frontal. - I, insula. - 0,
lobe
occipital. - P, lobe pariétal. - T, lobe tem- p
l'alcool.) F, lobe frontal. - I, insula. - 0, lobe occipital. - P,
lobe
pariétal. - T, lobe tem- poral. - F,, f'2, F3,
e frontal. - I, insula. - 0, lobe occipital. - P, lobe pariétal. - T,
lobe
tem- poral. - F,, f'2, F3, première, deuxième e
osités plus ou moins profondes, qui divisent chaque hémisphère en .
lobes
, lobules et circonvolutions. On distingue ces anf
ons. On distingue ces anfractuosités, en scissures qui limitent les
lobes
, en sillons qui séparent les circonvolutions clon
calcarine et pariéto- occipitale. - LI, première circonvolution du
lobe
limbique. - L2'H), deuxième circonvolution limb
plis anastomotiques. Anses ou plis d'in- llexion. posent les
lobes
, et en incisures qui entaillent les bords des cir
de sillons cor- ticaux, typiques ou lobulaires; ils subdivisent les
lobes
et sont plus ou "' moins profonds; ils sont con
de la vie foetale. Il se forme en effet des anastomoses, entre deux
lobes
ou circonvolutions voisines, anastomoses qui in
s scissures et les sillons à la façon d'un pont. Les anastomoses de
lobe
à lobe portent depuis Gratiolet le nom de, plis
ures et les sillons à la façon d'un pont. Les anastomoses de lobe à
lobe
portent depuis Gratiolet le nom de, plis de pas
s individuelles très nombreuses dans la délimitation des différents
lobes
cérébraux; grâce à ces plis, les limites des lo
n des différents lobes cérébraux; grâce à ces plis, les limites des
lobes
sont fictives et conventionnelles, au moins dan
l'étendue qui n'est pas délimitée par les scissures primitives. Les
lobes
temporaux et pariétaux, par exemple, s'anastomose
pariétaux, par exemple, s'anastomosent largement en arrière avec le
lobe
occipital, de telle sorte que la délimitation de
le lobe occipital, de telle sorte que la délimitation de ces trois
lobes
par la branche externe de la scissure pariéto-occ
onc de ce qui vient d'être dit sur les anastomoses des diffé- rents
lobes
entre eux, et sur leurs limites en partie artific
s, que de masses lobulées nettement circon- scrites. La division en
lobes
n'est en effet nullement fondée sur la confor-
ère ont été désignées par Broca sous le nom de circonvolution ou de
lobe
limbique. A la face inférieure, la ligne d'arrê
entrer l'étude du lobule orbitaire dans celle de la face externe du
lobe
frontal, dont elle ne peut être séparée. 1° A
princi- pales ou lobaires do la face externe de l'hémisphère.
Lobes
de la face externe de l'hémi- sphère. rissu
es trois scissures divisent la face externe de l'hémisphère en cinq
lobes
: le lobe , frontal (F) en avant, le lobe panié
scissures divisent la face externe de l'hémisphère en cinq lobes : le
lobe
, frontal (F) en avant, le lobe paniétal (P) en
de l'hémisphère en cinq lobes : le lobe , frontal (F) en avant, le
lobe
paniétal (P) en haut, le lobe temporal (T) en b
: le lobe , frontal (F) en avant, le lobe paniétal (P) en haut, le
lobe
temporal (T) en bas, le lobe occipital (0) en a
vant, le lobe paniétal (P) en haut, le lobe temporal (T) en bas, le
lobe
occipital (0) en arrière et dans le fond de la sc
(0) en arrière et dans le fond de la scissure de Sylvius, le petit
lobe
de l'insula de Reil (I). 1° Scissure de Sylvius
branche postérieure de la scissure de Sylvius présente au niveau du
lobe
pariétal une, deux, voire même trois inci- sure
61, 173). On trouve quelquefois une incisure semblable au niveau du
lobe
frontal, en avant de l'opercule rolandique (OpR
248 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Plis de passage qui relient le
lobe
tempo- ral au lobe pariétal an niveau de l'ex
TRES NERVEUX. Plis de passage qui relient le lobe tempo- ral au
lobe
pariétal an niveau de l'extré- mité postérieu
(S [a]), la plus importante et la plus constante, continue dans le
lobe
frontal la direction de la branche horizon- tal
èvre supérieure de la scissure de Sylvius et sert de couvercle à un
lobe
situé au fond de cette scissure, le lobe strié
et sert de couvercle à un lobe situé au fond de cette scissure, le
lobe
strié ou l'insula de Reil (I) (ig. 150, 173). L
issure, le lobe strié ou l'insula de Reil (I) (ig. 150, 173). Les
lobes
temporal et pariétal s'anastomosent au niveau de
t en avant, et celle obliquité est d'autant plus pro- noncée que le
lobe
frontal est plus développé. Elle commence en haut
extrémité supérieure est sépa- rée de l'extrémité antérieure du
lobe
frontal par une distance moyenne de 111 millimè
extrémité supérieure est séparée de l'extrémité posté- rieure du
lobe
occipital par une distance moyenne de 49 mill
lution frontale ascendante (Fa). La scissure de Rolando sépare le
lobe
frontal du lobe pariétal; elle est t Ftc. la3.
e ascendante (Fa). La scissure de Rolando sépare le lobe frontal du
lobe
pariétal; elle est t Ftc. la3. - Scissures de S
onvolutions centrales. La circonvolution an- térieure appartient au
lobe
frontal, elle est désignée sous le nom de circo
le antérieure (Fa) ; la- circonvolution posté- rieure appartient au
lobe
pariétal et porte le nom de circonvolution pari
la partie postérieure du bord supérieur de l'hémisphère, sépare le
lobe
pariétal du lobe occipital; elle appartient à la
ieure du bord supérieur de l'hémisphère, sépare le lobe pariétal du
lobe
occipital; elle appartient à la fois à la face in
, les plis de passage sont profonds et la scissure descend jusqu'au
lobe
tem- poral, séparant ainsi nettement, à la conv
poral, séparant ainsi nettement, à la convexité de l'hémisphère, le
lobe
occipital des lobes temporal et pariétal. - B
si nettement, à la convexité de l'hémisphère, le lobe occipital des
lobes
temporal et pariétal. - B. LOBES DE LA FACE EXT
pariétal. - B. LOBES DE LA FACE EXTERNE DE L'HÉMISPHÉRE (1%·.) 1-
lobe
frontal. - Situé en avant de la scissure de Rolan
t de la scissure de Rolando au-dessus de la scissure de Sylvius, le
lobe
frontal atteint en haut Scissure pal'Îlho- oc
le lobe frontal atteint en haut Scissure pal'Îlho- occipitale.
Lobe
frontal. FIe. i;i5. - Lohe frontal droit. Les b
m d'étage inférieur (Broca) ou de por- lion orbitaire (Schwalbe) du
lobe
frontal; la face externe du lobe frontal étant
por- lion orbitaire (Schwalbe) du lobe frontal; la face externe du
lobe
frontal étant désignée par ces auteurs sous les
obule frontal (Gratiolet), d'étage supérieur ou portion frontale du
lobe
frontal (Broca), de portion dorsale du lobe fro
ou portion frontale du lobe frontal (Broca), de portion dorsale du
lobe
frontal (Schwalbe). ... Trois sillons secondair
f,) et le deuxième sillon frontal (f2), divisent la face externe du
lobe
frontal en quatre circonvolutions : la cir- con
re en avant, et se recourbent en bas au niveau du bord antérieur du
lobe
frontal pour former la portion orbitaire de ce lo
bord antérieur du lobe frontal pour former la portion orbitaire de ce
lobe
. Un petit sillon horizontal et transversal, peu
ginal de Wernicke (fm, fig. 15â, ·15 7) sépare la portion frontale du
lobe
de sa portion orbitaire. Sillons prérolandiqu
iouprôrota.n'U- quc supbriour. Premier sillon frontal Luc. 15G.
Lobe
frontal droit. (D'après la photographie d'une piè
vant, du sillon prérolandique supérieur à l'extrémité antérieure du
lobe
frontal,et se trouve généralement interrompu da
il peu près triangulaire, forme la face inférieure ou orbitaire du
lobe
frontal (fig. 149, 179, 183); elle repose sur l
la scissure de Sylvius ; ils affectent des rapports intimes avec le
lobe
de {insula (I) qu'ils recouvrent. La face profond
(Pa). Les deux circonvolutions ascendantes ou centrales forment le
lobe
central d'Eckcr. Leur situation, leur direction
MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. ' 26S j un certain point, la création d'un
lobe
à part,' et autorisent la séparation de ces deu
la séparation de ces deux circonvolutions ascendantes d'avec leurs
lobes
respectifs. , La circonvolution frontale ascend
ion aux circon- volitions pariétales supérieure et inférieure. 2°
lobe
pariétal (P). Le lobe pariétal est situé au-dessu
tions pariétales supérieure et inférieure. 2° lobe pariétal (P). Le
lobe
pariétal est situé au-dessus de la scissure de
Rolando et la scissure perpendicu- laire externe. Les limites de ce
lobe
sont très nettes en avant et en bas, où Lobe pa
rne. Les limites de ce lobe sont très nettes en avant et en bas, où
Lobe
pariétal. FiG. 103. -Face externe et antérieure
la scissure de Sylvius et au niveau de la partie postérieure de ce
lobe
, où il s'anastomose largement avec le lobe tempor
partie postérieure de ce lobe, où il s'anastomose largement avec le
lobe
temporal et le lobe occi- pital. Néanmoins on l
e ce lobe, où il s'anastomose largement avec le lobe temporal et le
lobe
occi- pital. Néanmoins on lui assigne, comme li
llon temporal (t) situé il la face inférieure de l'hémisphère. Le
lobe
pariétal présente à considérer la circonvolution
courbure il . concavité inférieure, dépasse les limites fictives du
lobe
pariétal, et pénètre dans le lobe occipital où
, dépasse les limites fictives du lobe pariétal, et pénètre dans le
lobe
occipital où il se continue avec le sillon intero
ier qui interrompent la scissure interpariétale. Elle est reliée au
lobe
occipital par le deuxième pli, de passage parié
xième pli, de passage pariél o-occipilal ; elle est reliée enfin au
lobe
temporal par les deux plis de passage pariélo-l
édiaire de Jensen (fig. l(i0, 161, 162, 165, 166, 170, 171.) , 3°
lobe
occipital (0). Le lobe occipital, remarquablement
g. l(i0, 161, 162, 165, 166, 170, 171.) , 3° lobe occipital (0). Le
lobe
occipital, remarquablement petit Topographie va
gion. Point de repère pour déterminer la place du pli courbe.
Lobe
occipital. 2ïO 0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
courbe. Lobe occipital. 2ïO 0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le
lobe
occipital a la t'ormo d'une- pyra- mide. Se
t'ormo d'une- pyra- mide. Ses rapports. 11 so confond avec le
lobe
temporal. Il est bien délimité à la face inte
interne et plane, la troisième inférieure et légèrement concave. Ce
lobe
s'anastomose largement à sa face externe avec
oncave. Ce lobe s'anastomose largement à sa face externe avec les
lobes
temporal et pariétal, dont il n'est pour ains
onfond, sans li- gne de démarcation, avec la face inférieure du
lobe
temporal et constitue avec ce der- nier le lo
e inférieure du lobe temporal et constitue avec ce der- nier le
lobe
ou mieux . la région temporo-oc- cipitale. La
mieux . la région temporo-oc- cipitale. La délimita- tion de ce
lobe
n'est accentuée nettement qu'à la face intern
unéus ou avant- coin. En haut, la face externe est séparée du
lobe
pariétal, par l'en- coche qui représente la s
sure pelpendicu- laire externe (po); en bas elle est séparée du
lobe
temporal par une autre encoche, l'inci- sure
médiatement en avant de l'incisure pré-occi- . pitale, et sépare le
lobe
temporal du lobe occipital son extrémité supérieu
ant de l'incisure pré-occi- . pitale, et sépare le lobe temporal du
lobe
occipital son extrémité supérieure FIG. 1G7. Fa
t une direction antéro -postérieure, et établissent l'anastomose du
lobe
pariétal avec le lobe occipital. Si ces plis de
-postérieure, et établissent l'anastomose du lobe pariétal avec le
lobe
occipital. Si ces plis de passage sont profonds,
e de l'hémi- sphère, et sépare nette- ment le lohe occipital du
lobe
pariétal et du lobe temporal; de là le nom de
e, et sépare nette- ment le lohe occipital du lobe pariétal et du
lobe
temporal; de là le nom de fente simienne, don
é à la scissure perpendicu- laire externe. La face externe du
lobe
occipital présente à considérer outre l'iuci-
tal supérieur o,] d'Ecker), n'est autre que la continuation dans le
lobe
occipital du sillon, interpariétal (i p). Il co
lui un sillon étoile et se prolonge jusqu'au niveau de la pointe du
lobe
occipital (fig. 1164, 171). Il divise le lobe occ
iveau de la pointe du lobe occipital (fig. 1164, 171). Il divise le
lobe
occipital en Les plis occipito- pariétaux rel
se le lobe occipital en Les plis occipito- pariétaux relient le
lobe
pariétal an lobe occipital. Fente simienne.
tal en Les plis occipito- pariétaux relient le lobe pariétal an
lobe
occipital. Fente simienne. Sillons occipita
7, 168, 16y, 171) occupe l'extrémité tout à fait posté- rieure du
lobe
occipital, elle représente la circonvolution
lin- gual (Lg) à la face interne de l'hémisphère (fig. 176). 4°
Lobe
temporal (T). Situé dans l'étage moyen de la
be temporal (T). Situé dans l'étage moyen de la base du crâne, le
lobe
temporal occupe la partie inférieure de l'hémis
yramide triangulaire très allongée, dont la base se confond avec le
lobe
occipital et le lobe pariétal, et dont le sommet
très allongée, dont la base se confond avec le lobe occipital et le
lobe
pariétal, et dont le sommet cons- titue l'extré
e lobe pariétal, et dont le sommet cons- titue l'extrémité libre du
lobe
temporal, le pôle temporal de Broca. Celui-ci e
poral de Broca. Celui-ci est le point de réunion des trois faces du
lobe
temporal, qui sont : supérieure, externe et inf
e, se continue sans ligne de démarcation avec la face inférieure du
lobe
occipital, pour former la région temporo-occipi
ion de l'insula qu'elle recouvre en partie. La face externe de ce
lobe
présente à étudier trois sillons et trois cir-
t et profond, com- mence au niveau de l'extré- mité antérieure du
lobe
tem- poral, à un centimètre envi- ron du pôle
e Wernicke (oa) (fig. 16), et établit ainsi la limite antérieure du
lobe
occipital. D'autres fois encore, un pli de pass
proprement dites (lig. 149, 179, 180); il n'atteint pas en avant le
lobe
temporal, et se termine souvent en arrière, dan
or temporo-splcenoidal convolution (Turner). - Étage inférieur . du
lobe
temporo-sphenoidal (Gratiolet). - Gyrus temporali
masse lobulée, rectangulaire, étendue de l'extrémité antérieure du
lobe
temporal, à l'incisure pré-occipitale de Meyner
et partie descendante du pli courbe (Gratiolet). - Étage moyen dit
lobe
tcmpol'o-sphénoidal (6rLtiolet). - Gyrus tcmpom
er). La première circonvolution temporale (T,) s'étend du sommet du
lobe
temporal, à l'extrémité postérieure de la sciss
ofondément dans la scissure de Sylvius, forme la face supérieure du
lobe
temporal; elle ne devient donc apparente que lo
'un dédoublement de la circonvolution transverse antérieure. ' 5°
Lobe
de l'insula (I). Lobule du corps strié, Insula de
l'écorce, le lobule de l'insula est recouvert complètement par les
lobes
frontal, pariétal et temporal, aussi n'est-il p
scissure de Sylvius, largement étalée, forme la fosse sylvienne, le
lobe
de l'insula apparaît librement à la face externe
éve- loppement ultérieur de cette vésicule, qui fournit en avant le
lobe
frontal, en haut le lobe pariétal, en bas le lo
de cette vésicule, qui fournit en avant le lobe frontal, en haut le
lobe
pariétal, en bas le lobe temporal. Le lobe fronta
urnit en avant le lobe frontal, en haut le lobe pariétal, en bas le
lobe
temporal. Le lobe frontal et le lobe pariétal,
lobe frontal, en haut le lobe pariétal, en bas le lobe temporal. Le
lobe
frontal et le lobe pariétal, en se développant,
haut le lobe pariétal, en bas le lobe temporal. Le lobe frontal et le
lobe
pariétal, en se développant, recouvrent l'insul
recouvrent l'insula dans une plus grande étendue que ne le fait le
lobe
temporal et lui forment un véritable oprr- cule
forment un véritable oprr- cule. L'ensemble des circonvolutions des
lobes
frontal, temporal et parié- tal qui entourent c
lle que soit sa forme, la base est toujours nettement délimitée des
lobes
voisins, soit par un sillon circulaire, la rigole
-temporal, qui relie la pointe tem- porale à la partie orbitaire du
lobe
frontal. Il est longé par la racine olfac- tive
tlse ante- rior de Schnopfhagen) la plus étendue, qui appartient au
lobe
frontal; l'autre postérieure , plus étroite, la
rieure de l'insula (Ip) [gyrus insulæ posterior), qui appartient au
lobe
temporal. Ces deux circonvolutions sont séparée
'angle externe de l'espace perforé antérieur, traverse en rasant le
lobe
temporal, le seuil et la con- vexité de l'insul
épare toujours la région anté- rieure de l'insula qui appartient au
lobe
frontal, de la région postérieure, laquelle se
lobe frontal, de la région postérieure, laquelle se termine dans le
lobe
temporal près de la circonvolution du crochet (
où elle présente une petite surface lisse, cachée sous la pointe du
lobe
temporal et mesurant à peine un demi-cenlimètre
utions de la face interne et celles de la face inférieure. Chaque
lobe
de la face externe de l'hémisphère est représenté
nté à la face inféro-interne. En avant et en haut, nous trouvons le
lobe
fi'ontal (F) et le lobule paracentral (Parc), e
ns le lobe fi'ontal (F) et le lobule paracentral (Parc), en haut le
lobe
pariétal (P), en arrière le lobe oc- cipital (0
obule paracentral (Parc), en haut le lobe pariétal (P), en arrière le
lobe
oc- cipital (0), en bas le lobe temporal (T), l
le lobe pariétal (P), en arrière le lobe oc- cipital (0), en bas le
lobe
temporal (T), largement anastomosé en arrière a
n bas le lobe temporal (T), largement anastomosé en arrière avec le
lobe
occipital. Ces lobes sont tout unis à une circonv
al (T), largement anastomosé en arrière avec le lobe occipital. Ces
lobes
sont tout unis à une circonvolution falci- form
out unis à une circonvolution falci- forme, qui représente le grand
lobe
limbiqua de Broca, et qui entoure le seuil de l
remières scissures se réunissent à angle aigu et délimitent dans le
lobe
occipital un lobule triangulaire, le crrzaéus (C)
re, le crrzaéus (C). Les autres scis- sures servent il délimiler le
lobe
limbique (L). La scissure calloso-margi- Circon
{le l'insl1la. Les lohes de la face interne sont tons reliés au
lobe
illlhifIl1C. Scissures de la .aec interno d
e la scissure pariéto-occipitale (po) forme la limite antérieure du
lobe
occipital et sépare à la face interne de l'hémisp
re le cuneus (c), du précunéus (Prc) et de la partie postérieure du
lobe
limbique (L,). Cette scissure, très profonde et
ent au-dessous du bourrelet du corps calleux, la partie rétrécie du
lobe
limbique connue sous le nom d'isthme du lobe li
la partie rétrécie du lobe limbique connue sous le nom d'isthme du
lobe
limbique ou isthme antécalcarinien (L[ij) (fig. -
parallèles, étendus du sommet du cunéus à la partie postérieure du
lobe
]imbique (fig. 182, 183). Le pli supérieur, const
te scissure, horizontale et extrêmement profonde, appar- tient au
lobe
occipital, et s'unit à angle aigu à la scissure
e lingual.Elle nait le plus souvent très près de l'ex- trémité du
lobe
occipital, par un double éperon qui empiète que
double éperon qui empiète quel- quefois sur la face externe de ce
lobe
(fig. ] 74). L'éperon supé- rieur (K') peut fai
n avant, en- taille plus ou moins profondément la circonvolution du
lobe
limbique au niveau de l'isthme aratccalcarinien
lon du lobule lingual. - L(i), isthme anti-calcarinien ou isthme du
lobe
limbique. - o, scissure collatérale. po, scissu
lobule lin- gual. - lg, sillon du lobule lingual. - L(i), isthme du
lobe
limbique. - 111Ft, face interne de la première
ouvent trois petits plis verticaux, qui réunissent le cuneus (C) au
lobe
lingual (Lg) (fig. 181, ! 8`2). Profonds dans l'i
er). - Sulcus fronto-parietalis intemus (Pansch). - Grand sillon du
lobe
fronto-pariétal (Gratiolet). - Scissure sous-fron
rtie antérieure et convexe, la scissure calloso-marginale sépare le
lobe
limbique de Broca (L,) de la circonvolution front
s considérable d'incisures, qui s'irradient dans la face interne du
lobe
frontal. L'une d'elles se détache au niveau du ge
issures calcarine et pariéto-occipitale. - L,, circon- volutions du
lobe
limbique. - G.(H), deuxième circonvolution limbiq
lution de l'hippocampe. l, sillon intra-limbique. - L(i), isthme du
lobe
limbique. - Lg, lobule lin- gual. -lg, sillon d
qui réunit la circonvolution du corps calleux à la face interne du
lobe
frontal. La scissure calloso-marginale et la sc
courent à former la limite extérieure du segment fronto-pariétal du
lobe
limbique de Broca, qu'elles séparent du lobe fr
ent fronto-pariétal du lobe limbique de Broca, qu'elles séparent du
lobe
frontal et du lobe pariétal. Le segment (]il lo
du lobe limbique de Broca, qu'elles séparent du lobe frontal et du
lobe
pariétal. Le segment (]il lobe limbiaue est séd
elles séparent du lobe frontal et du lobe pariétal. Le segment (]il
lobe
limbiaue est sédaré du lobe occioital et du lobe
al et du lobe pariétal. Le segment (]il lobe limbiaue est sédaré du
lobe
occioital et du lobe temporal par la branche co
l. Le segment (]il lobe limbiaue est sédaré du lobe occioital et du
lobe
temporal par la branche commune aux scissures c
ité externe, et se termine au niveau de l'extrémité anté- rieure du
lobe
temporal, qu'elle n'atteint généralement pas et o
cette scissure, parallèle à la scissure cal- carine, appartient au
lobe
occipital et sépare le lobule lingual (Lg) du l
pli de passage, le pli le) ? j)o2,o-Iiiibiqite (- tl), qui relic le
lobe
limbique au lobule fusiforme (fig. 175, 178, 17
lla- téi,ale (ot), divisent la face interne de l'hémisphère en cinq
lobes
. Un lu Limites tilt lobo · limbique. 8ciI
- slnhèrc cu ciu loLes. ! 290 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. 1
Lobe
frontal. Circonvolution frontale interne. L
olution frontale interne. Lobule paraccu- tral. Praecuneus.
lobe
interne, le lobe limbique de Broca (L,) qui entou
e interne. Lobule paraccu- tral. Praecuneus. lobe interne, le
lobe
limbique de Broca (L,) qui entoure le seuil ou li
Broca (L,) qui entoure le seuil ou limen de l'hémisphère, et quatre
lobes
excentriques, les lobes frontal (F), pariétal (
e seuil ou limen de l'hémisphère, et quatre lobes excentriques, les
lobes
frontal (F), pariétal (P), occipital (0) et tem
poral (T), qui ne sont autres que la face interne ou inférieure des
lobes
respectifs de la face externe (fig. 151). B. LO
xterne (fig. 151). B. LOBES DE LA FACE INTERNE DE L'HÉMISPHÈRE 1"
Lobe
frontal. Le lobe frontal, situé en avant et au-de
. B. LOBES DE LA FACE INTERNE DE L'HÉMISPHÈRE 1" Lobe frontal. Le
lobe
frontal, situé en avant et au-dessus de la scis
frontale interne (Charcot). - Second pli ou pli de la zone externe du
lobe
fronts-pariétal (Gratiolet). - Gyrus frontalis
r la partie ascendante de la scissure calloso-maryinale (cm'). 2°
Lobe
pariétal. La première circonvolution pariétale de
noms de : Lobule quadrilatère (Foville). - Vormoiclcel (Burdach). -
Lobe
carré, lobus quadratus (Gratiolet, Huxley). - P
eur, (-pla, ;,pli) relient les deux circonvolutions du précunéus au
lobe
lim- bique. Le postérieur est toujours superfic
nale, dont elle continue la direction courbe antéro-postérieure. 3°
Lobe
occipital. Ce lobe est représenté à la face inter
tinue la direction courbe antéro-postérieure. 3° Lobe occipital. Ce
lobe
est représenté à la face interne de l'hé- niisp
le lobule l'lis pal'iéto-lim111- quo antérieur pos- térieur.
Lobe
occipital. fie. 178. - Face infèro-interne de 1
ipo). Le cuneus et le lobule lingual appartiennent exclusivement au
lobe
occipital, le lobule fusiforme appartient à la
ment au lobe occipital, le lobule fusiforme appartient à la fois au
lobe
occipital et au lobe temporal, il est le seul q
l, le lobule fusiforme appartient à la fois au lobe occipital et au
lobe
temporal, il est le seul qui mérite à juste tit
bule occipital (Gratiolet). -lnte1'l111l occipital lobule (Huxley).
Lobe
triangulaire (Broca). - Occipital lo- bule (Tur
à limiter le bord hémisphérique supérieur, son sommet est relié au
lobe
limbique (L,) par le pli cunéo-limbique (-cl),
, 182). Le lobule lingual présente un sillon constant, le sillon du
lobe
lingual (lg), à direction antéro-postérieure, et
ce pli (fig. 183), et le lobule lingual se trouve alors rattaché au
lobe
lim- bique par deux plis de passage rétro-limbi
sure calcarine. - l, sillon intra-limbique -L,, circon- volution du
lobe
limbique. - L(i), isthme du lobe limbique. - Lg,
-limbique -L,, circon- volution du lobe limbique. - L(i), isthme du
lobe
limbique. - Lg, lobule lingual.- l,g, sillon du
issures calcarine et parioto-occipitale.J, première circonvolution du
lobe
lim- bique ou gyrus fornicatus. - L(i), isthme
nvolution du lobe lim- bique ou gyrus fornicatus. - L(i), isthme du
lobe
limbique. - Lg, lobule lingual ? fy,sillon du l
Elle constitue la seule circonvolution qui appartienne à la fois au
lobe
temporal et au lobe occipital. Le lobule lingua
ule circonvolution qui appartienne à la fois au lobe temporal et au
lobe
occipital. Le lobule lingual (Lg), que quelques a
oir, un petit lobule bien délimité, qui appartient exclusivement au
lobe
occipital, tandis que la circonvolution de l'hi
dis que la circonvolution de l'hippocampe ne peut être distraite du
lobe
lim- bique de Broca. Le lobule fusiforme (Fus
9, 180, 182) ; en avant, il n'atteint pas l'extrémité antérieure du
lobe
temporal, dont il est séparé par une distance d
olution oc- cipito-tomporalc. 296 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Lobe
limbique de Broca. Le lobe limbiiiuc se com
296 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Lobe limbique de Broca. Le
lobe
limbiiiuc se compose de deux arcs. Les « ra
acines Il 01- factivcs complètent l'anneau en avant. Limites du
lobe
imbiquo. Parties constituan- tes du grand l
nt. Limites du lobe imbiquo. Parties constituan- tes du grand
lobe
limbique. existe, l'iarcisrrre pré-occipitale
ste, l'iarcisrrre pré-occipitale de Meyncrt, incisure qui délimite le
lobe
occipital d'avec le lobe temporal (fig. 175, 17
itale de Meyncrt, incisure qui délimite le lobe occipital d'avec le
lobe
temporal (fig. 175, 176, 180). 4° Grand lobe li
occipital d'avec le lobe temporal (fig. 175, 176, 180). 4° Grand
lobe
limbique de Broca. Rhinencephalon de Turner. z
halon de Turner. z - - Broca a décrit en 1878, sous le nom de grand
lobe
limbique, la grande circonvolution arquée, d'un
lleux et le pédoncule cérébral, et qui se continue en avant avec le
lobe
olfactif. Désigné par Gerdy (1838) sous le nom
s celui de circonvolution de l'ourlet et par Schwalbe sous celui de
lobe
falciforme, le grand lobe limbique de Broca (L) s
de l'ourlet et par Schwalbe sous celui de lobe falciforme, le grand
lobe
limbique de Broca (L) se compose de deux arcs,
deux arcs, l'un supérieur, l'autre inférieur, réunis en avant par le
lobe
olfactif. L'arc supérieur ou fronlopariétal (L,
volution de l' hippocampe (L,En avant, l'anneau est complété par le
lobe
olfactif dont les « racines » externe et intern
po), et scissure col- latérale (ot) (lit. 151, 181, 182), -le grand
lobe
limbique de Broca est limité en dedans par la r
et par le sillon de l'hippocampe (h). Ces deux sillons séparent le
lobe
limbique d'une petite circonvolution avortée, c
lle des circonvolutions cérébrales, et en particulier dans celle du
lobe
limbique de Broca. Elle constitue en effet, en de
lobe limbique de Broca. Elle constitue en effet, en dedans du grand
lobe
limbique de Broca, une petite circonvolution avor
itable bord d'arrêt de l'écot'ce cérébrale. Dans l'étude du grand
lobe
limbique de Broca nous comprenons donc : 1° La
rconvolution godronnée ou circonvolution inlra-limbique (Cg). 5° Le
lobe
olfactif (Lol). ' MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 297
t considérablement à ce niveau pour for- · mer ]'<'.s7/< ? du
lobe
limbique ou isthme an lécalcarinien (L[ij). Cet i
ère circonvolution limbique est remarquable, comme du reste tout le
lobe
limbique, par sa surface lisse et les rares incis
sage pariéto-timbique postérieur (7tplp) (fin. 182). L'isthme du
lobe
limbique (L [i]), connu sous les noms à' isthme d
ets. ! Î ! Sillon intra-lim- R bique. 1* 't ,MI Isthmo du
lobe
limbique. 298 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
-limbique ou occihito-Itipho- campique (-rl) de Broca, qui relie le
lobe
limbique au lobule lingual. 2° Deuxième circonv
campe (h) sépare les circonvolutions sous-calleuses et l'isthme du
lobe
limbique du fasciola cinerea (Fc) (fig. 171, 18
nvolution lim- bique. - l, sillon intra-limbiquc. - L(i), isthme du
lobe
limbique. - Lg, lobule lingual. - lr/, sillon d
oint de vue embryologique, comme en anatomie comparée, un véritable
lobe
cérébral, Fasciola cinerca. Induseum gri- s
Le .sillon primaire - <lc Ilis sdpare Ic lo- bule olfactif en
lobes
i, antérieur poste- j jL rieur. ! ,obco ! fac
cs, l'une antérieure, l'autre postérieure. La partie antérieure ou le
lobe
olfactif antérieur (Lola), comprend le bulbe (B
) et le carrefour olfactifs de Broca (CB). La partie postérieure ou
lobe
olfactif postérieur (Lolp), comprend l'espace qua
ère de Foville (Epa) et la bandelette diagonale de Broca (bd). Le
lobe
olfactif antérieur (Lola) est séparé du postérieu
spond au bord d'arrêt des circonvo- lutions de la face orbitaire du
lobe
frontal. Le lobe olfactif antérieur aussi bien
rrêt des circonvo- lutions de la face orbitaire du lobe frontal. Le
lobe
olfactif antérieur aussi bien que le postérieur
entre celle de l'écorce cérébrale et celle de la base du cerveau.
Lobe
olfactif antérieur (Lola). Le lobe olfactif antér
t celle de la base du cerveau. Lobe olfactif antérieur (Lola). Le
lobe
olfactif antérieur (Lola), libre dans la plus g
grande partie de son étendue, est situé sous la face orbi- taire du
lobe
frontal, dont il occupe le sillon olfactif (f;);
e, le pédoncule olfactif s'épaissit au niveau du bord postérieur du
lobe
frontal en une petite pyramide, le tubercule ou t
érieure de l'hémisphère, et se perd sur l'extré- mité antérieure du
lobe
temporal (fig. 183). D'après quelques auteurs, el
ar une lame de substance grise, en connexion avec l'écorce grise du
lobe
frontal et qui constitue la racine olfactive supé
exion avec la partie interne de l'espace pevfové antérieur (Spa).
Lobe
olfactif postérieur (Lolp). Espace perfore antéri
re antérieur de Vicq d'Azyr ou espace quadrilatère de Foville. Le
lobe
olfactif postérieur (Lolp) comprend Y espace perf
ace perforé antérieur (Epa) et se dirigent vers le bord adhérent du
lobe
sphénoïdal, en formant le plus souvent un faiscea
s de Lancisi se jettent nettement sur la première circonvolution du
lobe
limbique (L,); le bec du corps calleux se termi
EUX. Mol ! Pédoncules du sep- tum lucidum. Développement du
lobe
olfactif. Chez les mammi- fères n osmatiquos
oint de vue embryologique, comme en anatomie comparée, un véritable
lobe
cérébral développé au dépens de la vésicule des
obe cérébral développé au dépens de la vésicule des hémisphères. Ce
lobe
, dit lobe olfactif, est à la vésicule des hémi-
al développé au dépens de la vésicule des hémisphères. Ce lobe, dit
lobe
olfactif, est à la vésicule des hémi- sphères c
a tête du noyau caudé. Plus tard, la cavité s'oblitère ; la base du
lobe
devient le tubercule olfactif, son extrémité an
ne se continue avec la circonvolution de l'hippocampe en formant le
lobe
]J ? Jl'ifon)le, l'interne avec l'extrémité antér
quelques mam- mifères, en particulier chez le cheval, la cavité du
lobe
olfactif persiste, et forme un véritable ventri
courant pour la majorité des auteurs. Dans les deux notations, les
lobes
de l'hémisphère sont désignés par la lettre maj
la lettre majuscule de leur adjectif qualificatif latin : ainsi le
lobe
frontal porte la lettre F, le lobe pariétal la
if qualificatif latin : ainsi le lobe frontal porte la lettre F, le
lobe
pariétal la lettre P, etc. -Les circonvolutions p
même les lettres majuscules, les sillons les lettres minuscules des
lobes
auxquels ils appartien- nent, suivis de l'expos
ca par les lettres F et P, lettres déjà employées pour désigner les
lobes
frontal et pariétal. A la face inféro-interne le
a); le cunéus Oz (Ecker), 06 (Broca). Malgré ses beaux travaux sur le
lobe
limbique et sur l'importance de ce lobe dans la
ré ses beaux travaux sur le lobe limbique et sur l'importance de ce
lobe
dans la série des Vertébrés, Broca rat- tache c
ache cependant dans sa notation la circonvolution 'le 1'hippncmnpe au
lobe
tem- poral et la désigne par la lettre T.. Quan
nes ou orbilrtircs respectives (111 l ? o F,, o F ? o F3). Quant au
lobe
limbique, nous avons rejeté les notations admises
ale de l'opercule. ipop Incisure temporale de l'oper- cule itop
Lobe
de l'Insula I. Sillons : 4. Sillon marginal a
Ip 3. Bord ou pli falciforme de Broca (Seuil de l'insula).. Sf
Lobe
central (d'Ecker) C. Sillons : " 1. Scissure
3. Opercule rolandique .... OpR 4. Lobule paracentral...... Parc
Lobe
frontal F. Sillons : . 9. Sillon prérolandiqu
n pied pF, . " Son cap.......... 13(c) Sa portion orbitaire 0F3
Lobe
pariétal P. Sillons : - 4. Sillons post-rolan
rieurs Gsm Pli courbe......... Pc MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 311
Lobe
temporal T. Sillons : 1. Sillon parallèle il
sulaire ou circonvolution temporale transverse ou profonde.. Tp
Lobe
occipital O. Sillons : . z 4. Sillon occipita
Plis cunéo-linguaux.... ¡;clg 7. Lobule fusiforme ..... Fus Grand
lobe
limbique de Broca L. Sillons : i. Sillon call
on lim- bique ou circonvolution du corps calleux.. Li Isthme du
lobe
limbique ou isthme antécalcarinien .. L(i) Ca
nvolution géi1Ïculée.. Cgn Bandelette diagonale de Brocha bd 4.
Lobe
olfactif. a Lobule olfactif antérieur.. Lola
Même. Ana- tomie comparée des circonvolutions cérébrales. Le grand
lobe
limbique et la scissure limbique dans la Série
Bd XXVII, 1870. IlAMY. Contribution à l'étude du développement des
lobes
cérébraux. Revue d'Anthropologie, 1873.- HERVE. L
e atteint la racine olfactive externe qui la sépare de l'insula; le
lobe
olfactif postérieur que nous venons d'étu- dier
es hémisphères. La base du cerveau est formée : 1° Sur ses par le
lobe
olfactif postérieur de Ilis, à savoir l'espace
amètre vertical. Elle est essentiellement formée de deux parties ou
lobes
, l'un postérieur, l'autre antérieur (fig. 188).
parties ou lobes, l'un postérieur, l'autre antérieur (fig. 188). Le
lobe
postérieur, le plus petit, d'un gris jau- nâtre
petit, d'un gris jau- nâtre contient seul les éléments nerveux; le
lobe
antérieur de coloration rougeàtre et d'aspect g
tif. Les coupes verticales et horizontales établissent que ces deux
lobes
, Fin. 188. - Coupe sagittale inter-hémisphériqu
eure. - Gh, ganglion de l'habénula. - Gp, glande pinéale. - Ifa. Ifp,
lobe
antérieur et lobe postérieur du corps pituitair
de l'habénula. - Gp, glande pinéale. - Ifa. Ifp, lobe antérieur et
lobe
postérieur du corps pituitaire. - Le, lobe centra
. Ifp, lobe antérieur et lobe postérieur du corps pituitaire. - Le,
lobe
central du cervelet. - Lia, lobe antero- inféri
ostérieur du corps pituitaire. - Le, lobe central du cervelet. - Lia,
lobe
antero- inférieur du cervelet. Liq, lingula. -
et. - Lia, lobe antero- inférieur du cervelet. Liq, lingula. - Lim,
lobe
inférieur et moyen du cervelet. - Lip, lobe inf
let. Liq, lingula. - Lim, lobe inférieur et moyen du cervelet. - Lip,
lobe
inféro-postéricur du cervelet. - Lsm, lobe supé
oyen du cervelet. - Lip, lobe inféro-postéricur du cervelet. - Lsm,
lobe
supérieur et moyen du cervelet. lso, lame sus-
lobe supérieur et moyen du cervelet. lso, lame sus- optique. - Lsp,
lobe
supérieur et postérieur du cervelet. - 11, lame t
te un grand développe- ment chez les pois- sons. Structure du
lobe
postérieur. Le lobe antérieur présente une
ment chez les pois- sons. Structure du lobe postérieur. Le
lobe
antérieur présente une struc- ture glandulair
r. Le lobe antérieur présente une struc- ture glandulaire. Le
lobe
antérieur du corps pituitaire n'est qu'un div
use. Sur les coupes verticales et médianes, on voit de suite que le
lobe
postérieur entre seul en connexion avec l'infun-
e lobe postérieur entre seul en connexion avec l'infun- dibulum. Ce
lobe
dérive en effet du cerveau; il est une dépendance
qu'à l'état de vestige dans la tige pituitaire. La structure de ce
lobe
est rudimentaire : au milieu de faisceaux de fi
t peut-être des cellules nerveuses incomplètement développées. Le
lobe
antérieur, ou hypophyse proprement dite, revêt su
rme d'un rein qui embrasse par sa concavité la moitié antérieure du
lobe
postérieur. Les coupes verticales et antéro-posté
rieur. Les coupes verticales et antéro-postérieures montrent que ce
lobe
envoie sur la face antérieure de l'infundibulum u
'. des nerfs optiques. Plein et compacta à sa partie antérieure, le
lobe
anté- - rieur est à sa partie postérieure, mou,
- sentant le dernier vestige de la vésicule de. l'hypophyse. - Ce
lobe
est essentiellement constitué par de nombreux tub
on parallèle et longitudinale. Les cavités de la région spongieuse du
lobe
antérieur sont tapissées d'un épithélium aplati
antérieur sont tapissées d'un épithélium aplati à cils vibratiles. Ce
lobe
antérieur, de structure nettement glandulaire,
ntérieur, de structure nettement glandulaire, n'est intimement uni au
lobe
postérieur que chez les mammifères; chez les au
mus. Son développement est intéressant et explique sa structure. Le
lobe
antérieur est en effet, comme nous l'avons vu p
moyen, atteignent la base du cerveau, et sont connus sous le nom de
lobes
optiques. Les tubercules MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE.
eure. - Gh, ganglion de l'habénula. - Gp, glande pinéale, - Ifa, Ifp,
lobe
antérieur ' et lobe postérieur du corps pituita
e l'habénula. - Gp, glande pinéale, - Ifa, Ifp, lobe antérieur ' et
lobe
postérieur du corps pituitaire. - Le, lobe centra
Ifp, lobe antérieur ' et lobe postérieur du corps pituitaire. - Le,
lobe
central du cervelet. - Lia, lobe antéro- inféri
ostérieur du corps pituitaire. - Le, lobe central du cervelet. - Lia,
lobe
antéro- inférieur du cervelet. -Lig, lingula. L
et. - Lia, lobe antéro- inférieur du cervelet. -Lig, lingula. Lien,
lobe
inférieur et moyen du cervelet. - Lip, lobe ' i
let. -Lig, lingula. Lien, lobe inférieur et moyen du cervelet. - Lip,
lobe
' inférieur et postérieur du cervelet. Lsm, lob
u cervelet. - Lip, lobe ' inférieur et postérieur du cervelet. Lsm,
lobe
supérieur et moyen du cervelet. - lso, lame sus
lobe supérieur et moyen du cervelet. - lso, lame sus-optique. Lsp,
lobe
supérieur et postérieur du cervelet. It, lame ter
ingulum (Cing), c'est-à-dire parle long faisceau d'associa- tion du
lobe
limbique. D'après Beevor, il serait formé par les
es circonvolutions de toute la surface du cerveau, à l'exception du
lobe
olfactif et de l'extrémité antérieure du lobe tem
eau, à l'exception du lobe olfactif et de l'extrémité antérieure du
lobe
temporal, W régions desservies par le système d
e. - Fin, forceps major. - L,, première circonvolution limbique. Lip,
lobe
cérébel- leux inférieur et postérieur. - Lsa, l
n limbique. Lip, lobe cérébel- leux inférieur et postérieur. - Lsa,
lobe
cérébelleux antérieur et supérieur. - Lsm, lobe
et postérieur. - Lsa, lobe cérébelleux antérieur et supérieur. - Lsm,
lobe
cérébelleux supérieur et moyen. - Lsp, lobe cér
ur et supérieur. - Lsm, lobe cérébelleux supérieur et moyen. - Lsp,
lobe
cérébelleux supérieur et postérieur. - Ly, lyre
l), bourrelet du corps calleux (Splenium). Csg, couche sagittale du
lobe
temporo-àccipital. de, diverticule du cuneus. d,g
.. Fm, forceps major. ipo, incisure pré-occipitale de Meynert. LO,
lobe
occipital. - LT, lobe temporal, joo, scissure p
ipo, incisure pré-occipitale de Meynert. LO, lobe occipital. - LT,
lobe
temporal, joo, scissure pariéto-occipitale. PT, p
us ou moins mince. Les ventricules latéraux (VI) commencent dans le
lobe
frontal par une extrémité recourbée, la corne f
portent d'arrière en avant et de haut en bas, dans l'épaisseur des
lobes
temporaux, où ils se ter- minent à 15 ou 20 mil
ntricule latéral, plus large en avant (m'en arrière, appartient aux
lobes
frontal et pariétal; il décrit une légère courbe
veine du corps strié. Chez le foetus et chez certains mammifères à
lobe
olfactif très déve- loppé (cheval, chien, etc.,
rontale. Fm, forceps major. L" première circonvolution limbique. Lip,
lobe
cérébel- leux inférieur et postérieur. - Lsa, l
n limbique. Lip, lobe cérébel- leux inférieur et postérieur. - Lsa,
lobe
cérébelleux antérieur et supérieur. Lsm, lobe c
r et postérieur. - Lsa, lobe cérébelleux antérieur et supérieur. Lsm,
lobe
cérébelleux supérieur et moyen. Lsp, lobe céréb
érieur et supérieur. Lsm, lobe cérébelleux supérieur et moyen. Lsp,
lobe
cérébelleux supérieur et postérieur. - Ly, lyre
noyau caudé. coa, commissure antérieure. - Csg, couche sagittale du
lobe
temporo-occipital. de, diverticule du cunéus. - d
ion sépare la partie du noyau caudé entouré par la masse blanche du
lobe
frontal, de sa partie intra- ventriculaire. - L
e blanche du lobe frontal, de sa partie intra- ventriculaire. - LF,
lobe
frontal. LO, lobe occipital. - LT, lobe temporal.
frontal, de sa partie intra- ventriculaire. - LF, lobe frontal. LO,
lobe
occipital. - LT, lobe temporal. NA, noyau amygd
intra- ventriculaire. - LF, lobe frontal. LO, lobe occipital. - LT,
lobe
temporal. NA, noyau amygdalien. Na, noyau antér
sphérique ; cette corne fait en elfet défaut toutes les fois que le
lobe
occipital n'est pas développé. On la trouve che
ral. 360 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Ses limites. Sa voûte.
lobe
occipital est rudimentaire. Chez ces animaux, la
l), bourrelet du corps calleux (Spicnium). Csg, couche sagittale du
lobe
temporo-uccipital. - de, diverticule du cunéus. -
ipitale de Meynert. - Li, première circonvo- lution limbique. - LO,
lobe
occipital. - LT, lobe temporal. po, sillon pariét
Li, première circonvo- lution limbique. - LO, lobe occipital. - LT,
lobe
temporal. po, sillon pariéto-occipital. - PT, p
eure. - Gh, ganglion de l'habénula. Gp, glande pinéale. - Ifs, Ifp,
lobe
antérieur et lobe postérieur du corps pituitaire.
on de l'habénula. Gp, glande pinéale. - Ifs, Ifp, lobe antérieur et
lobe
postérieur du corps pituitaire. - Le, lobe centra
, Ifp, lobe antérieur et lobe postérieur du corps pituitaire. - Le,
lobe
central du cervelet. - Lia, lobe antéro-inférie
térieur du corps pituitaire. - Le, lobe central du cervelet. - Lia,
lobe
antéro-inférieur du cervelet. - Lig, lingula. - L
t. - Lia, lobe antéro-inférieur du cervelet. - Lig, lingula. - Lim,
lobe
inférieur et moyen du cervelet. - Lip, lobe inl
- Lig, lingula. - Lim, lobe inférieur et moyen du cervelet. - Lip,
lobe
inl'éro-postérieur du cervelet. - Lsm, lobe supér
yen du cervelet. - Lip, lobe inl'éro-postérieur du cervelet. - Lsm,
lobe
supérieur et moyen du cervelet. - Iso, lame sus
let. - Iso, lame sus-optique ou lame terminale embryonnaire. - Lsp,
lobe
supérieur et postérieur du cervelet. - ll, comm
major. - Gh, ganglion de l'habé- . ' nula. Gp, glande pinéale. lip,
lobe
cérébelleux inférieur et postérieur. - Lsm, lobe
glande pinéale. lip, lobe cérébelleux inférieur et postérieur. - Lsm,
lobe
- cérébelleux supérieur et moyen. Lsp, lobe cér
r et postérieur. - Lsm, lobe - cérébelleux supérieur et moyen. Lsp,
lobe
cérébelleux supérieur et postérieur. - Na, noyau
vre la face supérieure du corps calleux et les circon- volutions du
lobe
limbique. Le feuillet inférieur entoure la face s
trémité dirigée en avant et en dedans est logée dans l'épaisseur du
lobe
frontal; par sa face supérieure, il fait sailli
ral; par sa face inférieure, il repose sur la substance blanche des
lobes
frontal ou temporal, et appa- raît à la base du
appartiennent, au faisceau de Tiirck et à la couronne rayonnante du
lobe
temporal. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 371 nonce pi
e zone de substance blanche comprenant la .couronne rayon- nante du
lobe
temporal et le faisceau de.TÜl'ck.. (Voy..Coupe,s
ion sépare la partie du noyau caudé entouré par la masse blanche du
lobe
frontal, de sa partie intra- ventriculaire. LF,
sse blanche du lobe frontal, de sa partie intra- ventriculaire. LF,
lobe
frontal. LO, lobe occipital. LT, lobe temporal. J
e frontal, de sa partie intra- ventriculaire. LF, lobe frontal. LO,
lobe
occipital. LT, lobe temporal. JV<4, noyau am
tie intra- ventriculaire. LF, lobe frontal. LO, lobe occipital. LT,
lobe
temporal. JV<4, noyau amygdalien. Na, noyau
té opposé que par le septum lucidum, repose sur la masse blanche du
lobe
frontal et sur les radiations du genou du corps
ès importants. Elle repose en arrière sur la couronne rayonnante du
lobe
temporal et sur le faisceau de 7M ? 'cZ' qui oc
'avazzt-nzzcr,(fig. 281). Enfin au niveau de la face orbi- taire du
lobe
frontal le noyau lenticulaire (NL3) intimement un
timement uni au noyau caudé (NC), repose sur la masse blanche de ce
lobe
, constituée en dedans par les radiations du bec
s major.-Gh, ganglion de l'habé- nula. - Gp, glande pinéale. - Lip,
lobe
cérébelleux inférieur et postérieur. - Lsm, lobe
ande pinéale. - Lip, lobe cérébelleux inférieur et postérieur. - Lsm,
lobe
** cérébelleux supérieur et médian. - Lsp, lobe
postérieur. - Lsm, lobe ** cérébelleux supérieur et médian. - Lsp,
lobe
cérébelleux supérieur et postérieur. - Na, noyau
de l'anse pédonculaire et se ter- mine dans les circonvolutions du
lobe
temporal et dans celles de l'insula. Le pédoncu
eur est constitué par un gros faisceau de libres qui proviennent du
lobe
frontal, se dirige en arrière et en dedans, sépar
ue en bas et en dedans, qui proviennent de la partie postérieure du
lobe
frontal et du lobe pariétal et des fibres oblique
ans, qui proviennent de la partie postérieure du lobe frontal et du
lobe
pariétal et des fibres obliques en haut et en ava
iétal et des fibres obliques en haut et en avant qui proviennent du
lobe
temporal. Le pédoncule postérieur [radiations o
pédoncule postérieur [radiations optiques de Gratiolet) provient du
lobe
temporal et surtout du lobe occipital. Ses fibres
ions optiques de Gratiolet) provient du lobe temporal et surtout du
lobe
occipital. Ses fibres se dirigent d'arrière en
ous du noyau lenticulaire et correspond aux fibres de projection du
lobe
temporal, en particulier au faisceau de Tiirck. (
- convolution limbique (L,), se trouve le faisceau d'association du
lobe
limbique ou cingulum (Cing.), dont les fibres s
nt avec celles du corps calleux pour former le centre ovale (CO) du
lobe
frontal. L'espace blanc, situé en dehors de la
re- mière ébauche des circonvolutions de l'insula (1). La partie du
lobe
frontal et des circonvolutions frontale et pari
le se perd insensiblement dans la masse des fibres d'association du
lobe
frontal, tandis qu'en arrière, elle se prolonge d
tandis qu'en arrière, elle se prolonge dans la couche sagittale du
lobe
occipital qu'elle concourt à former. Sur cette co
oison (Vsl). Les libres du genou du corps calleux pénètrent dans le
lobe
frontal entre le cingulum (Cing) et la substanc
prennent une part il peu près égale à la constitution de l'écorce du
lobe
frontal. En arrière du sillon prérolandique inf
al. En arrière du sillon prérolandique inférieur (pri), l'écorce du
lobe
frontal se continue avec celle de Yopercule fro
térieure de la scissure de Sylvius (S[p]) le sépare complètement du
lobe
temporal; en avant il est incomplè- tement sépa
rcule frontal (OpF3)par 1'incisul'e frontale de l'opercule (if). Le
lobe
temporal est représenté sur cette coupe par les p
e par le pli de passage pariéto-limbique postérieur (-plp), puis le
lobe
limbique sectionné dans la région de l'isthme aul
e calcarinc. L" première circonvolution limbique. - Li (t), isthme du
lobe
limbique. - le, lame cornée. Lme, lame médullai
interne (Cirl) et se portent en arrière dans la couche sagittale du
lobe
occipital. La masse blanche du lobe occipito-le
ère dans la couche sagittale du lobe occipital. La masse blanche du
lobe
occipito-lemporal est formée par les fibres d'ass
qui tapisse la corne occi- pitale se trouve la couche sagittale du
lobe
occipital. Sur les coupes de cerveaux durcis pa
t constitué par le faisceau longitudinal inférieur (Fli). Dans le
lobe
frontal, on ne constate pas l'existence d'un syst
l'existence d'un système analogue à celui de la couche sagittale du
lobe
occipital; les fibres thalamiques du segment an
avec les fibres calleuses (Ce), et constituent- le centre ovale du
lobe
frontal. Coupe n° 55 (fig. 224), passant à 3 mi
e avec le pli pariéto-lim- bique postérieur (-1tplp) et J'isthme du
lobe
limbique (L,), le lobe occipital. Les bords * d
im- bique postérieur (-1tplp) et J'isthme du lobe limbique (L,), le
lobe
occipital. Les bords * de l'opercule, formé ici
rs par le /lIp1 ! /llIn (Tap), recouvert par la couche sagittale du
lobe
occipital. Au niveau de la corne frontale, on t
ptiques de Graliulct (RTh) qui se portent dans la couche sagittale du
lobe
occipital. Sa face interne est bordée d'une min
n'est plus relié à la troisième circonvolution frotf'ale (1 ? c). Le
lobe
frontal et l'in- sula ne présentent rien de par
éparé du précédent par incisure frontale de l'opercule (ifop). Le
lobe
temporal occupe sur cette coupe les deux tiers an
ar le sillon occipital antérieur de lb'eraiclce (oa) qui la sépare du
lobe
occipital. A la face externe le lobe occipita
aiclce (oa) qui la sépare du lobe occipital. A la face externe le
lobe
occipital est surtout constitué par la deuxième c
tre la surface de section du cunéus (C) et la partie postérieure du
lobe
limbique (L,), un nouveau lobe, le lobule lingual
néus (C) et la partie postérieure du lobe limbique (L,), un nouveau
lobe
, le lobule lingual (Lg); il forme la lèvre infé
, jusqu'au niveau de la pointe occipitale et sur la face externe du
lobe
occipital. Le lobe limbique est intéressé au ni
e la pointe occipitale et sur la face externe du lobe occipital. Le
lobe
limbique est intéressé au niveau de l'isthme anlé
to-limbir¡ue postérieur ("plp). La face anté- rieure ou profonde du
lobe
limbique (L, ), est recouverte par une lame de su
tion godronnée (Cg), continuation du tænia tecta. L'écorce grise du
lobe
limbique, en se continuant avec la circonvo- lu
rr. Dans lagrande majorité des cas, la face antérieure de l'isthme du
lobe
limbique est lisse, et son écorce se continue d
ace antérieure de l'isthme anté-calcarinien, entre la face interne du
lobe
lim- bique et la circonvolution, godronnée, deu
sous- calleuses existent ou non, l'écorce de la face antérieure du
lobe
limbique est toujours comprise entre deux lames
ct réticulé, étendue du sillon de l'hippocampe à la face externe du
lobe
limbique et constituant la substance réticulée
le est recouverte par le tapetum (Tap) et les couches sagittales du
lobe
occipital, dont la partie interne est formée pa
ehors de cette couche on trouve les courtes fibres d'association du
lobe
sphéno-occipital. Corps opto-striés. - Cette co
te coupe l'insertion du pli crenéo-lintbiltze (-cl) sur l'isthme du
lobe
limbique (L [i]), et l'entaille de ce lobe par la
ze (-cl) sur l'isthme du lobe limbique (L [i]), et l'entaille de ce
lobe
par la branche commune aux scissures calcarine
et PaJ'Í1Jto-occipitale (K + po). Ala face profonde de l'isthme du
lobe
limbique (L [il), les circonvolutions sous calleu
ipitale le long de la ligne droite qui correspond au diverlicule du
lobe
occipital (do). D'habitude, les parois ventricu-
faisceau postérieur (Cingfp]) se trouve sectionné dans l'isthme du
lobe
limbique (Len arrière et en dedans du faisceau,
du faisceau, inférieur du forceps du corps calleux (Fin'). Dans le
lobe
occipital on trouve, outre les fibres d'associati
il,ale. - 7 ? première circon- volution limbique. - L(i), isthme du
lobe
limbique. - le, lame cornée et fibres du taenia
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. convolutions, la couche sagittale du
lobe
occipital, formée en dehors par le faisceau lon
). Le faisceau longitudinal inférieur (Fli) prend son origine dans le
lobe
occi- pital ; il se divise au niveau de la régi
l, qui dégénère dans sa partie temporale, à la suite des lésions du
lobe
occipital, ainsi que nous l'avons constaté plusie
e de la couche sagittale est formée par les fibres de projection du
lobe
occipital, par les radiations thalamiques (RTh) q
lobule lingual (Lg) du pli Ctllléo-limbique (7tcl) et de l'isthme du
lobe
Fig. 227. Coupe horizontale de l'hémisphère dro
-dessous du septum lucidum, l'écorce de l'extré- mité antérieure du
lobe
limbique (L,) se trouve intéressée dans la scissu
o-occipitalc. - L, première circonvolution limbiquc ? ( ? isthme du
lobe
limbique. - le, lame cornée. - Lg, lobule lingual
à peu en arrière et se confondent avec la couche blanche sagittale du
lobe
occipital. La paroi externe du carrefour ventri
to- frontal.) En dehors du tapetum se trouve la couche sagittale du
lobe
occipital, constituée par les radiations optiqu
du genou du corps calleux. Elle intéresse l'extrémité antérieure du
lobe
limbique (L,), passe par les commissures antéri
oisième sillon frontal ou sillon en H (f ? ) de la face orbi taire du
lobe
frontal, nous sommes donc ici très rapprochés d
rontal, nous sommes donc ici très rapprochés de la face inférieure du
lobe
frontal. L'insula (I) est limité en avant par l
ie operculaire de la troisième circonvolution frontale. L'écorce du
lobe
tC111po/'O-occi- pital diffère de celle de la c
s la forme d'un faisceau blanc qui double l'extrémité antérieure du
lobe
limbique (L,), qu'il sépare de la partie profonde
leux (Ce). Le corps calleux (Ce) est situé dans la masse blanche du
lobe
frontal, il forme la limite antérieure de la corn
avec la corne occipitale (Voc) qui se prolonge dans l'épaisseur du
lobe
occipital et donne naissance à un diverticule é
ule latéral. Elle sectionne parallèlement l'extrémité antérieure du
lobe
limbique (L,) et intéresse le sillon triradié ou
mière circonvolution frontale (ml,). L'écorce de la face externe du
lobe
frontal est divisée en deux parties par un sill
postérieure de l'insula (Ip), bien délimitée, est recouverte par le
lobe
temporal. Les circonvolutions antérieures de l'in
la (Ip), l'autre, 11 la circonvolution antérieure (la). L'écorce du
lobe
sphéno-occipilal intéresse à la face externe les
TOMIE DES CENTRES NERVEUX. Substance blanche. - La masse blanche du
lobe
occipital est considéra- blement réduite. On y
, on rencontre encore, quoique très réduite, la couche sagittale du
lobe
occipital. La corne sphé- noïdale (Vsph) est ap
oncentriques, assez sem- blables à celles de la couche sagittale du
lobe
occipital. La couche profonde, blanche et très
s d'association de la circonvolution de l'hippocampe (H). Dans le
lobe
frontal, la corne frontale a disparu, mais on ret
sceau occipito-frontal (OF) qui se confond avec la masse blanche du
lobe
frontal. A sa partie interne, appa- rait le gen
tie tout il fait postérieure des fibres hori- zontales provenant du
lobe
temporal, en particulier des deuxième et troisièm
'a montré, à la suite de lésions limi- tées il la partie moyenne du
lobe
temporal. Coupe n° 70 (fig. 230), passant tu 2
l- lenT : (Ce) sont encore reconnaissables dans la masse blanche du
lobe
frontal. Entre les fibres du corps callrrtt.r e
ng [a]) qui ne se différencient pas du reste de la masse blanche du
lobe
frontal. La couche sagittale du lobe occipilo-t
u reste de la masse blanche du lobe frontal. La couche sagittale du
lobe
occipilo-temporal est encore nette au niveau de
séparée du pu/amen (NL.,) par les dernières fibres de projection du
lobe
occipito- temporal, sa face postérieure concour
de section ovalaire. Elle constitue le système commissural des deux
lobes
temporaux, et réunit l'extrémité antérieure du lo
sural des deux lobes temporaux, et réunit l'extrémité antérieure du
lobe
temporal droit il celle du lobe temporal gauche
et réunit l'extrémité antérieure du lobe temporal droit il celle du
lobe
temporal gauche. Le faisceau postérieur apparti
ons de l'entrée de la scissure de S ! Ilviiis; il réunit la pointe du
lobe
temporal à la partie orbitaire de la troisième
s duquel on trouve, comme précédemment, les fibres de projection du
lobe
splu;- noïdal et le faisceau longitudinal infér
(U); elle intéresse le point de jonclion du lobule orbitaire et du
lobe
temporo-sphénoïdal. Fie. 233. Coupe horizontale
dalien (NA). D'avant en arrière nous trouvons sur la face externe du
lobe
tellljJol'o- occipilal les trois circonvolution
et une languette antérieure qui représente le pli d'in- sertion du
lobe
lingual sur la circonvolution, de l'hippocampe (H
CERVEAU. lui-33 Écorce. - L'écorce du lobule orbitaire et celle du
lobe
slÎcrid+;ta ocah· ? %' complètement séparées l'
on triangulaire, appartenant au trigone olfactif (Toi). L'écorce du
lobe
terzpor°o-occipital comprend d'avant en arrière :
x lignes 46 des figures 235 et 236. Ces six coupes appartiennent au
lobe
frontal. La première (n° 30, lig. 237) passe en
tête du noyau caudé (NC) ainsi que l'extrémité antérieure libre du
lobe
temporal. Le lobe- frontal présente, sur toutes
g. 240, 2-ici, 242) intéressent l'extré- mité antérieure, libre, du
lobe
temporal, complètement séparée du lobe frontal,
- mité antérieure, libre, du lobe temporal, complètement séparée du
lobe
frontal, par l'origine de la scissure de Sylviu
ent il former sur cette sé- rie de coupes la face Ol'Ú¿- taire du
lobe
frontal. La moitié externe est consti- tuée p
corps calleux (coupe n° 30 (fig. 237), la face interne verticale du
lobe
frontal est formée à sa partie moyenne par la pre
ante. 438 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. divise la face interne du
lobe
frontal en deux parties inégales, qui comprennent
supérieure, que dans la partie inférieure de la face in- terne du
lobe
frontal. Ventricule latéral et noyaux gris de
se. La coupe n° 30 (fit. 237) passe par la partie antérieure du
lobe
frontal et n'intéresse pas le ventricule latéra
) et le faisceau uncinalus (Fu). Le cingulum (Cing) appartient au
lobe
limbique- (L,), et contourne le sinus du Fig. 2
triangle repose sur le corps calleux (Ce), le sommet correspond au
lobe
limbique (L,). La partie du cingulum qui correspo
Faisceau occipito-frontal (OF). Ce faisceau qui met en connexion le
lobe
1l'oil- tal avec le lobe occipital, esta la par
(OF). Ce faisceau qui met en connexion le lobe 1l'oil- tal avec le
lobe
occipital, esta la paroi externe du ventricule, c
-postérieure, faisant quelquefois saillie au-dessous de l'écorce du
lobe
limbique, qui dans ces cas est plus ou moins défi
eau de l'opercule il réunit la troisième circonvolution frontale au
lobe
pariétal et au lobe temporal. Sur une série de co
réunit la troisième circonvolution frontale au lobe pariétal et au
lobe
temporal. Sur une série de coupes vertico-transve
avec l'extrémité 444 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. antérieure du
lobe
temporal, en passant par le seuil de l'insula. Il
es faisceaux distincts, dans l'ensemble des fibres d'association du
lobe
frontal. Sauf pour les fibres en U du fond des si
ique (Opli) ou pli de passage 11-oîzlo-I)aî,l( ? Ial inférieur, et le
lobe
temporal, immédiatement en arrière du seuil de
leux, le cerveau ne présentera plus trois faces^ comme au niveau du
lobe
frontal, mais deux faces seulement. La face ext
ue en bas et en dehors dans sa partie inférieure, qui correspond au
lobe
sphénoïdal ; la partie moyenne est occupée par
r les gros ganglions de la base qui forment avec la face interne du
lobe
sphénoïdal, une excavation profonde correspondant
a face externe de cette série de coupes, nous trouvons au niveau du
lobe
frontal, les deux premières circonvolutions front
ariétale ascendante (Pa). L'opercule rolandique (OpR) est séparé du
lobe
temporal (T"T ? l'3) par la scissure de Sylvius (
rolandique (OpR) par le sillon marginal SII)JrJ- rieur (ms), et du
lobe
temporal par le sillon, marginal inférieur ou pos
par le sillon, marginal inférieur ou postérieur (mp). Au niveau du
lobe
temporal, nous trouvons les trois circonvolutions
a deuxième circonvolution tempo- rale ('1'2)' La face inférieure du
lobe
temporal est constituée par le lobule f'usi- fo
etc.) A la face interne de l'hémisphère nous trouvons, au niveau du
lobe
frontal, la face interne de la première circonv
du bec du corps calleux (Cc') l'extré- mité antérieure, effilée, du
lobe
limbique (L,) au niveau de sa jonction avec Fin
le est séparée par Yincisure temporale (it) (fig. 243). L'écorce du
lobe
frontal et celle du lobe temporal se trouvent ain
ure temporale (it) (fig. 243). L'écorce du lobe frontal et celle du
lobe
temporal se trouvent ainsi adossées sur cette c
ongitudi- nal supérieur Arc) et le faisceau uncinatus (Fu). Dans le
lobe
temporal on ne peut distinguer aucun faisceau.
e, au niveau du large coude qu'elle forme avant de pénétrer dans le
lobe
temporal. Elle est sectionnée parallèlement à ses
(fig. 244) passe immédiatement en arrière-de la partie orbitaire du
lobe
frontal; elle intéresse dans sa partie interne l'
sceau uncinatus. (Fu) qui s'épanouit dans l'extrémité antérieure du
lobe
temporal. Coupe n° 63 (fig. 245). La coupe pass
e noyau anzygdalien (NA), lequel occupe l'ex- trémité antérieure du
lobe
temporal et limite la corne sphénoïdale en avant.
xterzze (Ce), et dont les fibres inférieures s'épanouissent dans le
lobe
temporal en dehors du noyau arnygdalien (NA). C
du putamen (NL3), la commissure antérieure (coa) s'épanouit dans le
lobe
temporal en dehors du noyau amygdalien (NA). En h
ouche optique (Th). Ces fibres qui viennent en partie du segment du
lobe
temporal, situé en avant de la corne sphénoïdale,
t ? 1-il ! ! l. ! l)ar- tient en effet il l'extrémité antérieure du
lobe
temporal. Coupes nos 75, 78, 80. Coupe n° '/5
sule externe (Ce) se continue en bas, avec un faisceau provenant du
lobe
telllp°l'o-occipital qui concourt il former toute
udinal inférieur (Fli) qui constitue la couche sagittale externe du
lobe
<em.o-0f;c)'/a/. En arrière, les limites exter
ent aux radiations thalamiques de Graliolet (RTh) pour atteindre le
lobe
occipital. Les radiations du corps genouillé ex
rieure répond au segment inférieur ou hippocampique de l'isthme du
lobe
lim- bique (H(i)), limitée en haut par le sillo
hippocampe. H(i;, partie inférieure ou hippocampique de l'isthme du
lobe
limbique. - h, sillon de l'hippo- campe. - ip,
deux endroits, comme du reste toutes les coupes qui intéressent le
lobe
temporal; une première fois au niveau de son étag
hippocampe. H(i), partie inférieure ou hippocampique de l'isthme du
lobe
hmbisptc. ! /J, sillon inter-pariétal. /i*+/jo,
usiforme. If (i), partie inférieure ou hippocampique de l'isthme du
lobe
limbique. - h, sillon de l'hipJ1o- campe. - il)
au occipito-frontal (OF), grand faisceau d'association qui relie le
lobe
frontal au lobe occipital et dont nous avons étud
tal (OF), grand faisceau d'association qui relie le lobe frontal au
lobe
occipital et dont nous avons étudié, sur les coup
°S 95, 97,-99 (fig. 258 à 260), la couche des fibres de projection du
lobe
occipital, ou radiations optiques de Gratiolet
e fusiforme (Fus). Ce faisceau forme la couche sagittale externe du
lobe
occipital; il représente un long faisceau d'assoc
cipital; il représente un long faisceau d'association, qui relie le
lobe
occipital au lobe temporal et au lobe frontal par
ente un long faisceau d'association, qui relie le lobe occipital au
lobe
temporal et au lobe frontal par l'intermédiaire d
u d'association, qui relie le lobe occipital au lobe temporal et au
lobe
frontal par l'intermédiaire de la capsule exter
les radiations de Gratiolet (RTh), con- sécutivement aux lésions du
lobe
occipital. Quant aux autres longs faisceaux d'a
nt aux lignes 137 des figures 235 et 236. Ces coupes intéressent le
lobe
occipital en arrière du bourrelet du corps call
ps calleux (sec) pour se continuer avec les deux circonvolutions du
lobe
limbique (L, et H). Le lobe limbique comprend deu
tinuer avec les deux circonvolutions du lobe limbique (L, et H). Le
lobe
limbique comprend deux parties, une partie supé
r la scissure sous-pariétale (sp), une partie inférieure, l'isthme du
lobe
limbique (L (i)) qui se continue en avant avec
postérieure de la circonvolution de l'hippocampe (H). Au-dessus du
lobe
limbique et du précunéus, nous trouvons en cont
que qui représente le pied d'insertion du lobule lillgual (Lg) sur le
lobe
lim- bique dont il est séparé par la branche co
présente que peu de modifications, celles-ci portent surtout sur le
lobe
limbique qui ne présente maintenant qu'une seule
ue (,cl), représente le pied d'insertion profond du cunéus (C) sur le
lobe
limbique. Avec l'apparition de ce, pli, coïncid
ccipilale. - Li, première circonvolution limbique. - L (i), isthme du
lobe
limbique. - ot, sillon collatéral. Pi, circonvo
137 (fig. 266) un îlot cortical, complètement séparé de l'écorce du
lobe
occipital par la scissure pariéto- occipitale (
OMIE DES CENTRES NERVEUX.; qu'occupe le cunéus à la face interne du
lobe
occipital. Elles n'intéressent en effet que la
t par la 'suite. Ce lobule ap- partient en effet tout entier au
lobe
occipi- tal. Situé au-dessous du cuxréus (C),
um, (Tap), en dehors duquel nous trouvons les couches sagittales du
lobe
occipital a savoir : Fieu. - Coupe vertico-tran
riétal. K, scissure calcarine. - L,q, lobule lingual. lg, sillon du
lobe
lingual. O., 03, deuxième et troisième circon-
Situé d'abord au-dessus du cunéus dans la partie infé- rieure du
lobe
limbique (L,) (coupe n° 107), le forceps majo
s sous le nom de faisceau transvase du cunéus (FteS), appartient au
lobe
occipital et réunit le cunéus (C) à la convexité
ient au lobe occipital et réunit le cunéus (C) à la convexité de ce
lobe
. C. COUPES SAGITTALES MACROSCOPIQUES Cette sé
e en arrière par une extrémité libre, qui correspond il l'isthme du
lobe
limbique (i) et il l'angle obtus qui sépare la fa
dont la face supérieure se moule sur le cunéus (C) et sur l'isthme du
lobe
limbique (i). Elle est séparée du premier par l
particulier il noter, si ce n'est toutefois l'écorce de l'isthme du
lobe
limbique (i); celle-ci est recouverte par une l
ynert. - fil ! , sillon fronto-marginal de Wernicke. - (i), isthme du
lobe
limbique. - K, scissure calcarine. - K + po, br
e. - Le, lobule central du cervelet. s - Lg, lobule lingual. - Lia,
lobe
cérébelleux inférieur et antérieur. - Lill, lingu
, lobe cérébelleux inférieur et antérieur. - Lill, lingula. - L'on,
lobe
cérébelleux inférieur et médian. Lip, lobe cérébe
- Lill, lingula. - L'on, lobe cérébelleux inférieur et médian. Lip,
lobe
cérébelleux inférieur et postérieur. - Lsp, lob
ur et médian. Lip, lobe cérébelleux inférieur et postérieur. - Lsp,
lobe
cérébelleux supérieur et postérieur. - Ln, locus
u) et le declivum (VDc) du vermis; au niveau des hémi- sphères : le
lobe
postera-inférieur (Lip) ou lobe semi-lunaire infé
s; au niveau des hémi- sphères : le lobe postera-inférieur (Lip) ou
lobe
semi-lunaire inférieur, le lobe inféro-moyen (L
: le lobe postera-inférieur (Lip) ou lobe semi-lunaire inférieur, le
lobe
inféro-moyen (Lim) et le lobe inféro-anté rieur
p) ou lobe semi-lunaire inférieur, le lobe inféro-moyen (Lim) et le
lobe
inféro-anté rieur (Lia) surmonté du lobule de la.
. Par sa face supérieure il est en contact avec la masse blanche du
lobe
limbique, en particulier avec le cingulum (Cing).
rétroflexe de Meynert. A, sillon de l'hippocampe. - (i), isthme du
lobe
limbique. - K, scissure calcarine. - K + po, br
L,, première circonvolution limbique. - Lg, lobule lingual. - Lia,
lobe
cérébelleux inférieur et antérieur. ? m, lobe c
lobule lingual. - Lia, lobe cérébelleux inférieur et antérieur. ? m,
lobe
cérébelleux inférieur et médian. Lip, lobe céré
rieur et antérieur. ? m, lobe cérébelleux inférieur et médian. Lip,
lobe
cérébelleux inférieur et postérieur. Lmi, lame
lame médullaire interne de la couche optique. Ln, locus niger. Lsa,
lobe
cérébelleux antérieur et supérieur. -Lsm, lobe
n, locus niger. Lsa, lobe cérébelleux antérieur et supérieur. -Lsm,
lobe
cérébelleux supérieur et médian. - lisp, lobe cér
r et supérieur. -Lsm, lobe cérébelleux supérieur et médian. - lisp,
lobe
cérébelleux inférieur et postérieur. - Ly, lyre
se l'hémisphère cérébelleux; sur la face supérieure on distingue le
lobe
supào-antIJI'Í1 ! W' (Lsa), le lobe supéro-mogen
face supérieure on distingue le lobe supào-antIJI'Í1 ! W' (Lsa), le
lobe
supéro-mogen (Lsm), le lobe .ezcpéro-poslérieze
ue le lobe supào-antIJI'Í1 ! W' (Lsa), le lobe supéro-mogen (Lsm), le
lobe
.ezcpéro-poslériezez·(Lsp).La face inférieure p
La face inférieure présente le lubc i.ui ! ro-o.sléri.eur(Lilr), le
lobe
inféi'o-moyen (Lim) et le lobe inféro-anlérieur (
lubc i.ui ! ro-o.sléri.eur(Lilr), le lobe inféi'o-moyen (Lim) et le
lobe
inféro-anlérieur (Lia), ce dernier surmonté du
x îlots de substance grise situés en a et en , et la masse blanche du
lobe
frontal ne forme, avec celle des circonvolution
éto-occipitale (K + po), qui incise profondément la circonvolution du
lobe
limbique au niveau de son isthme (i). La scissu
du cunéus et du lobule lingual (Lg) se sont fusionnées. L'isthme du
lobe
limbique (i), se continue avec la circonvolutio
volution de l'hippocampe. h, sillon de l'hippocampe. (i), isthme du
lobe
limbique. Li. scissure calcarinc.- K+-yo, branche
oyau lenticulaire (NL,) avec le noyau amygdalien (NA), et l'écorce du
lobe
temporal et de la circonvolution du crochet (U)
oisième circonvolution frontale (oF3). Écorce. En commençant par le
lobe
frontal et, en allant d'avant en arrière, on re
gment postérieur de la capsule interne (Cip). Écorce. - L'écorce du
lobe
temporal se continue directement an-dessous du
t sectionnées parallèlement à leur axe, sauf celles de la pointe du
lobe
temporal. Coupe n° 33 (fig. 275), passant à 33
CENTRES NERVEUX. de la scia5tcr·c dc Sylvius (S). De l'extrémité du
lobe
frontal jusqu'à l'extrémité anté- rieure du lob
De l'extrémité du lobe frontal jusqu'à l'extrémité anté- rieure du
lobe
temporal, on rencontre en passant parle lobe occi
rémité anté- rieure du lobe temporal, on rencontre en passant parle
lobe
occipital les circonvolu- tions suivantes : la
emporal (t3). En avant du lobule fusiforme, l'extrémité antérieure du
lobe
temporal est formée par les trois circonvolutio
ond -Il l'opercule rolandique (OpR), dont le côté inférieur répond au
lobe
temporal et le bord antérieur à la troisième ci
sillon marginal postérieur (mp), qui sépare l'insula postérieur du
lobe
temporal. Dans le fond des sillons margi- 7//lI
circonvolutions antérieures de l'insula (la). La masse blanche du
lobe
frontal et des circonvolutions rolandiques ne pré
ion, qui ne semblent pas se grouper en faisceaux distincts. Dans le
lobe
lemp°l'O-pa1'iélO-occipital, la coupe intéresse l
eur (oa) la limite en avant. Au niveau de l'extrémité antérieure du
lobe
temporal, la coupe intéresse les trois circonvolu
lobe temporal, la coupe intéresse les trois circonvolu- tions de ce
lobe
(T,,T2,T3). La masse blanche ne présente rien d
association et de projection avec les fibres commissurales. Dans le
lobe
frontal, le deuxième sillon frontal (f.,) subdivi
, le deuxième sillon frontal (f.,) subdivise la masse blanche de ce
lobe
, et dans le lobe temporo-pariétal, le sillon para
lon frontal (f.,) subdivise la masse blanche de ce lobe, et dans le
lobe
temporo-pariétal, le sillon parallèle (t,), inter
et sous-thala- nzique. 6° La façon dont la couronne rayonnante du
lobe
temporal aborde la région sous-thalamique de la
es sont destinées à montrer les relations des couches sagittales du
lobe
occipilo-temporal, avec les capsules externe et
coupe F, enfin, qui appartient à la même série, n'intéresse que le
lobe
temporal; elle passe au-dessous du lobe fron- t
e série, n'intéresse que le lobe temporal; elle passe au-dessous du
lobe
fron- tal et montre les connexions du faisceau
en avant du corps calleux; elle sectionne l'extrémité antérieure du
lobe
limbique (L,) et la portion orbitaire de la tro
rme irrégulière ; elle est située plus près de la face orbitaire du
lobe
, frontal que de ses faces externe ou interne. R
rne de cette corne, avant de s'irradier dans les circonvolutions du
lobe
frontal (Voy. fig. 395). Entre ces fibres calleus
u gyrus reclus. Les fibres du cingulum sont séparées de l'écorce du
lobe
limbique (LJ par les fibres d'association propr
de la corne frontale du ventricule latéral (Vf). Elle intéresse le
lobe
limbique (L,), la face interne de la première cir
et comprend les trois circonvolutions frontales à la face externe du
lobe
frontal et la partie orbitaire des première (oF
roisième circonvolutions frontales (oF3) à la face inférieure de ce
lobe
. Sur cette coupe, l'écorce n'est pas continue c
ection, se groupent en fascicules et traversent la masse blanche du
lobe
frontal pour se rendre, soit dans le système de
oit dans la couronne rayonnante elle-même. Dans la masse blanche du
lobe
frontal, soit de la troisième, soit de la premièr
tif, elle intéresse le seuil de l'insula, l'extrémité antérieure du
lobe
temporal, le corps strié (NC, NL3) et le segmen
t appartiennent, ainsi que nous le verrons plus loin, au système du
lobe
olfactif dont ils représentent les radia- lions
ieure de l'insula. Le faisceau uncinatus (Fu) se pro- longe dans le
lobe
temporal et s'irradie en partie dans la première
die en partie dans la première circonvolution temporale (tel), Le
lobe
temporal ne présente rien de particulier il noter
très probablement les connexions entre deux points symétriques des
lobes
temporaux. Malgré l'opinion de Meynert long- te
lllire, la corne sphénoïdale est entourée des couches sagittales du
lobe
temporo-occipilal, constituées en dedans par la c
anse du noyau lenticulaire (Al) jusque dans la substance blanche du
lobe
temporal. Le reste du lobe tem- fJ01'al ne prés
(Al) jusque dans la substance blanche du lobe temporal. Le reste du
lobe
tem- fJ01'al ne présente rien de particulier à
. coupe n° V, fig. 283) et en arrière par la couronne rayonnante du
lobe
temporal. Dès que la coupe intéresse en effet l
parallèlement, fibres qui constituent la couronne rayon- liante du
lobe
temporal. Sur celle coupe les radiations thalam
(coa) et correspondent il l'ir- radiation de cette dernière dans le
lobe
temporal. En dedans du putamen (NL3) on trouve
-marginal. CR, couronne rayonnante.C/i<,cou- ronne rayonnante du
lobe
temporal. ds, diverticulc du subicultllll. Epp, e
nous ver- rons ces fibres qui constituent la couronne rayonnante du
lobe
temporal (CRt), passer au-dessus de la bandelet
gent important de fibres, qui constituent la couronne rayonnante du
lobe
temporal et le faisceau de 7'M ! 'c ? (FT) ou fai
ui se continuent avec la couche des radiations thalamiques (RTh) du
lobe
occipilo-temporal. Ces libres des radiations th
bres qui dégénèrent à la suite d'une lésion de la partie moyenne du
lobe
temporal; occupent le sixième externe environ du
t;/6tntt ? < du pied de la couronne rayonnante, appartiennent au
lobe
pariétal. Les fibres radiées inférieures ou fibre
eures ou fibres temporo-ihalamiques appar- tiennent au contraire au
lobe
temporal. Ces dernières fibres se détachent des r
confondent insensiblement en haut avec la couronne rayon- llanle du
lobe
pariétal, en bas avec celle du lobe temporal. Quo
ec la couronne rayon- llanle du lobe pariétal, en bas avec celle du
lobe
temporal. Quoique cette région soit surtout for
facile de le faire par exemple au niveau de la couronne rayonnante du
lobe
telll- poral et du lobe pariétal. Ces fibres pr
mple au niveau de la couronne rayonnante du lobe telll- poral et du
lobe
pariétal. Ces fibres proviennent en effet du lobe
elll- poral et du lobe pariétal. Ces fibres proviennent en effet du
lobe
occipito-te/IJ}io- ml, constituent les radiatio
es et parié- tales, le corps calleux et les fibres de projection du
lobe
occipilal. Le ventricule latéral (VI), sectionn
ar les fibres calleuses et représen- tent la couronne rayonnante du
lobe
pariétal. Elles sont traversées par un très grand
bres d'association de la région. Dans la première circonvolution du
lobe
limbique (L,) on trouve, au-dessus du corps cal
). Ces fibres renferment presque toutes les fibres de projection du
lobe
occipital, fibres qui passent dans le segment rét
association lemporo-occipilal. Il dégénère il la suite des lésions du
lobe
occipital, et contient donc des fibres dont les
l'écorce occipitale et dont les fibres se terminent dans l'écorce du
lobe
temporal. Ce faisceau a probablement des foncti
rois couches de fibres qui constituent les couches s'agit- tales du
lobe
occipital, on trouve les fibres d'association pro
s du lobe occipital, on trouve les fibres d'association propres de ce
lobe
Coiffant l'angle supérieur du faisceau longitud
a face interne du cunéus (C) aux circonvolutions de la convexité du
lobe
occipital et en particulier au pli courbe (Pc).
n, qui met en relation la région calcarinienne avec la convexité du
lobe
occipital. La moitié supérieure de ce système e
puis se recourbe en bas et en dehors, le long de la face externe du
lobe
occipital dans lequel il s'irradie. Quelques-unes
dehors par des fibres à direction verticale, qui relient la base du
lobe
occipital la convexité et consti- tuent le fais
Cette coupe est surtout destinée à l'étude des couches sagittales du
lobe
occipital. Sur la face interne de cette coupe
niveau de la première circonvolution temporale (1\) et au niveau du
lobe
limbique (L,). Le carrefour ventriculaire et la
la partie postérieure de ce diverticule. La substance blan- che du
lobe
lemporo-oecipilal ne présente, en dehors des couc
I'ojec- tion et commissurales est ici, en effet très grand. Dans le
lobe
limbique seulement, au niveau du corps calleux
,) au voi- sinage du tænia tecta (tec). Les couches sagittales du
lobe
occipital se voient sur celle préparation dans
us l'aspect d'un fin pointillé de libres. Les couches sagittales du
lobe
temporo-occipital comprennent, en allant de la ma
u système d'association, et qui dégénère il la suite des lésions du
lobe
occipital, se présente sous l'aspect d'une band
de Sachs). - /'p, libres de projection. Il, fibres tangentielles du
lobe
limbique. - i, sillon de l'insula. la, insnla ant
érieure. ,;sa ANATOM1E DES CENTRES NERVEUX. La masse blanche du
lobe
temporo-occipilccl a considérablement diminué de
ées. . Le carrefour ventriculaire (Voc) ne se prolonge plus dans le
lobe
occipital, mais donne, en arrière de la corne d
ité posté- rieure du sillon, olfactif (l ? ). La masse blanche du
lobe
frontal est considérablement réduite, les fibres
taire de la troisième circonvolu- lion frontale (F3) à la pointe du
lobe
temporal. Il n'est sectionné sur cette coupe qu
enchevêtrées (Cirl), qui appartiennent aux fibres de projection du
lobe
temporal et qui passent sous le noyau lenticulair
même série de coupes que les trois précédentes, passe au-dessous du
lobe
frontal et n'intéresse que le lobe tem-, pond,
précédentes, passe au-dessous du lobe frontal et n'intéresse que le
lobe
tem-, pond, le noyau amygdalien (NA) et la corn
ehors des couches Fic. -n8. - Coupe horizontale microscopique F, du
lobe
temporal droit, passant par la ligne F de la fi
UPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. j77 sagittales, la masse blanche du
lobe
temporal comprend l'intime enchevêtrement des f
rrière, et dont les extrémités se perdent dans la niasse blanche du
lobe
limbique. Ce faisceau, fortement coloré par l'h
ricule latéral (VI) et constitue un faisceau d'association reliant le
lobe
occipital au lobe frontal. Le long de la face e
et constitue un faisceau d'association reliant le lobe occipital au
lobe
frontal. Le long de la face externe du noyau coud
ui appartiennent déjà, dans celte région, aux couches sagittales du
lobe
occipito-pariélal. Sur celle coupe et sur toute
avant et en arrière, avec la masse des libres non différenciées du
lobe
frontal et du lobe occipilo-pariélal. .. Sur ce
e, avec la masse des libres non différenciées du lobe frontal et du
lobe
occipilo-pariélal. .. Sur cette coupe n° 4 (fin
nt presque toutes sectionnées parallèlement. Ces fibres viennent du
lobe
a ? e<o-occ)t/'7/et appartiennent au système d
es (RTh); elles constituent avec ces dernières la couche sagittale du
lobe
oecipito-tempoml (voy. fig. 292 et 293), se dir
enouillé externe. Ces fibres prennent leur origine dans l'écorce du
lobe
occipital et dégé- 2èi,eiii a la suite des lési
Vêlage inférieur du pédoncule, des fibres des couches sagittales du
lobe
occipital (radiations optiques postérieures ou de
e ce faisceau est formé par des fibres de projection qui, venant du
lobe
temporal (en particulier des deuxième el troisi
doncule cérébral persistent en effet intacts la suite de lésions du
lobe
occipital, et dans ce cas, le segment rétro-lenti
X. portant sur la corlicalilé de la partie moyenne et inférieure du
lobe
temporal (T ? T3), ainsi que l'un de nous a pu
re antérieure (coa). Ces fibres viennent des parties inférieures du
lobe
frontal, très probablement de sa face orbitaire
pédoncule inféro-interne de la couche optique (PiTh) proviennent du
lobe
temporal, et s'entre-croisent avec les libres ven
l'autre postérieure, et lui donnent un aspect bilobé. Le bile de ce
lobe
est occupé par le faisceau rétro- flexc de Meyn
n. En avant, le corps strié est en contact avec la masse blanche du
lobe
orbitaire, au sein duquel se trouve le sillon olf
des régions rolandiques supé- rieures et des parties antérieures du
lobe
pariétal. Elles descendent de ce lobe COUPES MI
s et des parties antérieures du lobe pariétal. Elles descendent de ce
lobe
COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 647 el pa
es à direction transversale : le faisceau de Türck (FT), qui vient du
lobe
temporal ainsi que le démontrent l'élude des co
bus pallidus, RTht, fibres de projection de la partie antérieure du
lobe
temporal destinées au pulvinar. SgAq, substance
ert (Sti). Ces fibres (RTht) proviennent des parties antérieures du
lobe
temporal. Elles sont croisées par des fibres à di
t dans le pulvinar (Pul); elles viennent de la partie antérieure du
lobe
temporal (faces externe et inférieure) et passe
rnes et inférieures des hémisphères, et ce n'est qu'au voisinage du
lobe
frontal qu'elle présente sur les faces interne et
de stries de Baillarger (fig. 330). Au niveau de la face interne du
lobe
occipital, l'écorce cérébrale apparaît formée s
ouche blanche intermédiaire externe de Remak, qui constitue dans le
lobe
occipital le ruban de Vicq d'Azyr. Dans certaines
1..... convolutions, en particulier au niveau de la face externe du
lobe
occipital ! jjJ)J ! et du lobe frontal, ainsi q
lier au niveau de la face externe du lobe occipital ! jjJ)J ! et du
lobe
frontal, ainsi que de la face interne de la premi
ne par la strie externe de Baillarger. Cette strie présente dans le
lobe
occipital une grande épaisseur et y forme une vér
s en deux coudes secondaires, et ainsi se trouva constitué, dans le
lobe
occipital, le type longtemps classique des huit
lule pyramidale type moyen de l'écorce cérébrale de l'homme adulte.
Lobe
frontal. Méthode de Golgi. Dessin de M. Azoulay (
s et par le fort calibre de ces dernières ; très nombreuses dans le
lobe
occipital ces fibres y son ! particulièrement fin
ans le lobe occipital ces fibres y son ! particulièrement fines. Le
lobe
temporal et l'insula possèdent de même un strat
oral et l'insula possèdent de même un stratum zonale très épais, le
lobe
frontal, au contraire, est de tous les lobes le
m zonale très épais, le lobe frontal, au contraire, est de tous les
lobes
le plus pauvre en libres tangentielles ^gi (Tuc
fort calibre, signalées pour la première fois par Bechterew dans le
lobe
occipital. Ces libres, qui constituent la strie
e nom, aux confins du feutrage super- radiaire et seraient, dans le
lobe
occipital, l'homologue de la couche l1uf- douai
eutrage super-radiaire d'Edinger. Elle n'est du reste pas propre au
lobe
occipital comme le croyait Bechterew, IL mais a
. Elle est par conséquent, particulièrement développée au niveau du
lobe
occipital, du lobe temporal, des circonvolutions
équent, particulièrement développée au niveau du lobe occipital, du
lobe
temporal, des circonvolutions rolan- diques et
ions rolan- diques et du lobule paracentral, et fait défaut dans le
lobe
frontal et il la face inféro-interne des lobes
t fait défaut dans le lobe frontal et il la face inféro-interne des
lobes
frontal et temporal. 3° La strie externe de Bai
acentes. La strie de Baillarger s'épaissit considérablement dans le
lobe
occipital, où elle porte le nom de ruban de Vic
47, V, et coupes macro et microscopiques); elle se dédouble dans le
lobe
frontal, en particulier au niveau de sa face in
e de ses libres. La strie de Bail- larger se dédouble dans le
lobe
frontal et constitue daus le lobe occipital l
larger se dédouble dans le lobe frontal et constitue daus le
lobe
occipital l'il- ban de Vicq d'Azyr. 8G ANATOM
La partie moyenne de ce feutrage présente, en parti- culier dans le
lobe
frontal, un grand nombre de fibres à myéline rela
deuxième et le troisième mois, la myélinisation s'effectue dans le
lobe
occipital; elle apparaît dans le lobe frontal a
yélinisation s'effectue dans le lobe occipital; elle apparaît dans le
lobe
frontal après le cinquième mois, mais ce lobe n
elle apparaît dans le lobe frontal après le cinquième mois, mais ce
lobe
n'acquiert sa coloration défi- nitive que huit
l'âge adulte. Variétés de la structure de l'écorce suivant les
lobes
. Ecorce du lobe frontal. Cellules pyrami-
riétés de la structure de l'écorce suivant les lobes. Ecorce du
lobe
frontal. Cellules pyrami- dales géantes de
euses et à contours nets (Kaes), telles qu'on les rencontre dans le
lobe
frontal ou à la face inférieure du cerveau; les
e rendent au pédoncule 'inféro-in- terno du thalamus. Ecorce du
lobe
occipital. Les 8 couches de l'écorce du lob
lamus. Ecorce du lobe occipital. Les 8 couches de l'écorce du
lobe
occi- pital d'après Mey- ncrt. Les 5 couche
fibres repré- sentent les rares fibres de projection de l'insula.
Lobe
occipital. Dans le lobe occipital, la présence du
les rares fibres de projection de l'insula. Lobe occipital. Dans le
lobe
occipital, la présence du ruban de Vicq d'Azyr
arités spéciales. Meynert distinguait huit couches dans l'écorce du
lobe
occipital, et créa le type à 8 couches stratifiée
lécu- laire. (1" couche de Cajal.) La couche mo- léculaire du
lobe
oc- cipital présente les caractèresfondamen-
cules polymor- phes. (58 couche de Cajal.) Dans l'écorce du z
lobe
occipital, les z libres tangentielles sont tr
ruban de Vicq d'Azyr devient moins dense et sur la face externe du
lobe
occipital, il se continue insensiblement avec l
onfins des fibres radiées. Ces dernières fibres se comportent dans le
lobe
occipital comme dans les autres régions de l'éc
née. Cellules araignées. Cellules fusiformes ou épendymaires.
Lobe
olfactif. Travaux de Broca et do Zuckerkanil.
l'hippocampe et du crochet est ou raison directe de ce- lui du
lobe
olfactif. (Cajal); les dendrites des cellules f
t autre chose que des cellules épendymaires émigrées de l'alvéus. ,
Lobe
olfactif. Ce lobe, qui comprend le bulbe, le pé
s cellules épendymaires émigrées de l'alvéus. , Lobe olfactif. Ce
lobe
, qui comprend le bulbe, le pédoncule, le trigone
: R11.11.I.. 733 la circonvolution de l'hippocampe se renfle en un
lobe
puissant, connu sous le nom de lobe pyriforme,
de l'hippocampe se renfle en un lobe puissant, connu sous le nom de
lobe
pyriforme, lobe qui s'atrophie, ainsi que Uudden
se renfle en un lobe puissant, connu sous le nom de lobe pyriforme,
lobe
qui s'atrophie, ainsi que Uudden l'a montré, ap
ré, après l'extirpation du bulbe olfactif. . Bulbe olfactif. - Le
lobe
olfactif représente une écorce cérébrale pro- f
que depuis l'appli- cation de la méthode de Golgi à l'étude de ce
lobe
. Chez les animaux osmatiques, la cavité ventr
représentent de petites masses sphériques, ovoïdes ou elliptiques,
Lobe
lyriformr. La structure du lobe et surtout ce
riques, ovoïdes ou elliptiques, Lobe lyriformr. La structure du
lobe
et surtout celle du l,illl,e olfactif est cel
riphé- riques actionnent à leur tour, dans la couche moléculaire du
lobe
olfactif, les dendrites basilaires des cellules
lutions voisines, et les fibres longues qui relient, par exemple, le
lobe
frontal au lobe occipital, ou le lobe frontal a
et les fibres longues qui relient, par exemple, le lobe frontal au
lobe
occipital, ou le lobe frontal avec l'extrémité an
qui relient, par exemple, le lobe frontal au lobe occipital, ou le
lobe
frontal avec l'extrémité antérieure du lobe tem
au lobe occipital, ou le lobe frontal avec l'extrémité antérieure du
lobe
temporal, en décrivant une courbe autour du seu
; B. Les longs faisceaux d'association; C. Les fibres propres des
lobes
occipital et frontal. A. Fibres courtes d'assoc
s courtes fibres d'association relient deux circonvolutions ou deux
lobes
voisins (f, fig. 347, p. 696 et p. 743); elles
première circonvolution limbique à la deuxième, et unit en outre le
lobe
limbique aux lobes de la face interne, et peut-êt
ution limbique à la deuxième, et unit en outre le lobe limbique aux
lobes
de la face interne, et peut-être de la face ext
x appartiennent au manteau cérébral dont ils relient les différents
lobes
. Le faisceau longitudinal supérieur ou faisceau
obes. Le faisceau longitudinal supérieur ou faisceau arqué relie le
lobe
frontal aux lobes pariétal et temporal, en passan
longitudinal supérieur ou faisceau arqué relie le lobe frontal aux
lobes
pariétal et temporal, en passant au- dessus de
la pointe frontale ; le faisceau longi- tudinal inférieur relie le
lobe
temporal au lobe occipital; le faisceau occipito-
le ; le faisceau longi- tudinal inférieur relie le lobe temporal au
lobe
occipital; le faisceau occipito- frontal de For
wicz concourt à former le tapetum et assure les connexions entre le
lobe
occipito-temporal et le lobe frontal. Cingulum
etum et assure les connexions entre le lobe occipito-temporal et le
lobe
frontal. Cingulum (Burdach) (Cing), faisceau lo
le bourrelet du corps calleux, se rétrécit au niveau de l'isthme du
lobe
lim- bique (L[i]) puis s'étale, se renfle au ni
férieur, faisceau basai interne et stratnn) calcarinum. L'écorce du
lobe
limbique et celle du lobule fusiforme ont été enl
-marginal. - coa, commissure antérieure. - CR, couronne rayonnante du
lobe
tem- poral. - fa(ci), fibres arciformes du sill
la racine olfactive interne (Roli), avec l'extrémité antérieure du
lobe
frontal ; aucune de ses fibres no se recourbe-
es bichromates, il relie le pôle temporal il la face orbi- taire du
lobe
frontal et occupe le seuil de l'insula, où il s'é
erforée antérieure à la capsule extrême. Comme la face orbitaire du
lobe
frontal est très rapprochée du pôle temporal, l
s. I Faisceau uncina- tus. Le faisceau unci- natus relie le
lobe
temporal à la face orbitaire du lobe fronta
sceau unci- natus relie le lobe temporal à la face orbitaire du
lobe
frontal. Trajet du taiscea : : uncinatus.
marginal postérieur dct'iusuta. Trajet de ses fibres dans le
lobe
trontal. i 754 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Gsm), du pli courbe (Pc) et des circonvolutions de la face externe du
lobe
occipital (0"02,0.,). A mesure que l'on s'éloig
aisceau arqué se recourbe en bas et en avant pour se porter dans le
lobe
temporal; il se confond en arrière avec la couche
la face externe des régions temporo-occi- pitales à la convexité du
lobe
frontal. Pour Schnopfhagen, au contraire, le fa
diane au niveau du genou du corps calleux, pour se terminer dans le
lobe
frontal de l'hémis- phère du côté opposé. Le fa
et auteur, au système du corps calleux, et mettrait en connexion le
lobe
tem- poro-occipital d'un côté avec le lobe fron
mettrait en connexion le lobe tem- poro-occipital d'un côté avec le
lobe
frontal du côté opposé. C'est là une question q
as contenir des fibres de toute longueur, mettant en connexion deux
lobes
éloignés. Nous avons pu constater en effet à di
e, c'est-à-dire du genou du corps calleux et de la masse blanche du
lobe
frontal; se réuniraient en un faisceau comnact
faisceau occipito-frontal prend son origine dans toute l'écorce du
lobe
frontal face externe, pôle frontal, face orbitair
couronne rayonnante et s'irradient dans l'extrémité anté- rieure du
lobe
frontal. De la base du faisceau occipito-frontal,
te et entrent dans la constitution de la capsule externe. Dans le
lobe
sphéno-occipital, les fibres du faisceau occipito
circonvolutions de la face externe et du bord inféro-externe de ce
lobe
; il est probable qu'elles s'entre- croisent au
paroi externe de la corne occipitale. Dans les lésions limitées du
lobe
occipital, on voit en outre, les fibres dégénér
ca- tion interne des longues fibres d'association. Les lésions du
lobe
occipital retentissent, ainsi que nous le verrons
e dernier faisceau dégénère partiellement, à la suite de lésions du
lobe
temporal et de la convexité de Origine de ce fa
o-frontal forme le tapotum et s'irradie dans la face externe du
lobe
temporo- occipital. Le faisceau occi- pito-
moyenne de la commis- sure antérieure et l'extrémité antérieure du
lobe
temporal en avant du noyau amyg- dalien. Elle i
ntal constitue -donc un long faisceau d'associa- tion, qui relie le
lobe
temporo-occipital au lobe frontal, à la convexité
ng faisceau d'associa- tion, qui relie le lobe temporo-occipital au
lobe
frontal, à la convexité de l'hémisphère et à l'
eau longitudinal inférieur (Burdach) (Fli). - Couches sagittales du
lobe
occipital (Wernicke). Stratum sagittale externwn
tion antéro-postérieure, situé au niveau du bord inféro-externe du
lobe
sphéno-occipital et étendu du pôle occipital au
pôle temporal. Il forme la couche externe des fibres sagittales du
lobe
occipito-temporal et il est extrê- Travaux de M
ravaux de Mura- toff. Le faisceau occi- pito-frontal relie le
lobe
temporo-occipi- tal au lobe frontal. Faisceau
aisceau occi- pito-frontal relie le lobe temporo-occipi- tal au
lobe
frontal. Faisceau longitu- dinal inférieur.
frontal. Faisceau longitu- dinal inférieur. Sa forme dans le*
lobe
temporal. 166 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. S
temporal. 166 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Sa for111e dans le
lobe
occipital. Son aspect sur les coupes vertico-
n dedans, et qui reçoit dans sa concavité les libres de projection du
lobe
occipito-temporal. Il présente à considérer une
nférieur ne présente toutefois cette forme particulière que dans le
lobe
temporal; dans le lobe occipital, la paroi infé
utefois cette forme particulière que dans le lobe temporal; dans le
lobe
occipital, la paroi inférieure de la gouttière
transversales. le à faisceau longitudinal inférieur affecte dans le
lobe
occipital la forme d'un WkM anneau plus ou moin
lus ou moins irrégulier et anguleux (fig. 384 et 290), et dans le .
lobe
temporal, la forme d'une gouttière fortement coud
e concave est en rapport avec la couche des fibres de projection du
lobe
<c ? ? o/'o-oc< ? <7/, connue encore sou
t irrégulière et recouverte par les libres d'association propres au
lobe
occipital (voy. p. 780); elle présente il la base
es affectent une direction sagittale ' comme les circonvolutions du
lobe
occipito-temporal ; peu marquées au niveau du p
quement les circonvolutions temporales (fig. 385 et 293). Dans le
lobe
temporal, le faisceau longitudinal inférieur est
nterne qu'il recouvre en dehors - avec les fibres de projection des
lobes
temporal et pariétal (fig. 383, 385 et p. 532, fi
s radiations thalamiques (RTh) et des fibres de la masse blanche du
lobe
temporo-occipital, grâce au gros calibre et à l
nces secondaires, consécutives à des lésions corticales limitées du
lobe
occipital, nous ont toutefois montré, que ce fais
ont la dégénérescence peut être suivie dans la substance blanche du
lobe
temporal. Les libres du faisceau longitudinal i
tudinal inférieur prennent leur origine dans l'écorce du pôle et du
lobe
occipital; elles traversent radiairement, avec le
de Sachs). fp, fibres de projection. - fl, fibres tangentielles du
lobe
limbique. - i, sillon de l'insula. - la, insula
latéral. - Voc, corne occipitale. Zr, zone réticulée ou grillagée.
lobe
, et se groupent de bonne heure en arrière de la c
fusiforme (Fus) et des trois circonvolutions de la face convexe du
lobe
occipital (Oi,02,03). Toutes ces fibres ne prés
res qui prennent leur origine dans la moitié inférieure et externe du
lobe
occipital se portent d'arrière en avant, le lon
énoïdale, les fibres qui naissent de la partie supéro-externe de ce
lobe
se portent très obliquement en bas et en avant,
d inféro-externe du carrefour ventriculaire, et qui affecte dans le
lobe
temporal la formc d'une gouttière. ' Arrivé a
le lobe temporal la formc d'une gouttière. ' Arrivé au niveau du
lobe
temporal, le faisceau longitudinal inférieur ab
faisceau longitudinal inférieur abandonne aux circonvolutions de ce
lobe
de nombreuses fibres. Les fibres des couches in
7, fig. 303 à 326). - ...... ? ' , Fie. 386. - Coupe horizontale du
lobe
temporal droit, montrant la façon dont le fais-
e ? Représentent-elles, au contraire, des fibres de pro- jection du
lobe
temporal, qui ne feraient que traverser le faisce
ur les auteurs qui assimilent ce faisceau aux fibres de projection du
lobe
occipital et le décrivent avec ces dernières so
), lame des faisceaux optiques (Meynert), substance sa- yittccle du
lobe
occipital (Wernicke), faisceau sensitif (Charcot,
part des fibres que l'on voit se détacher de la couche sagittale du
lobe
occipito-temporal pour s'irradier dans le pulvi
averser et qu'elles appartiennent, soit à la couronne rayonnante du
lobe
occipital, soit à la couronne rayonnante du lob
onne rayonnante du lobe occipital, soit à la couronne rayonnante du
lobe
temporal. Les fibres de la couronne rayonnante
ayonnante du lobe temporal. Les fibres de la couronne rayonnante du
lobe
temporal (c'est-à-dire les fibres de projection
nante du lobe temporal (c'est-à-dire les fibres de projection de ce
lobe
), passent sous la face inférieure du putamen (N
gdalien (NA) (Cip' lig. 21 1, p. 370). Cette couronne rayonnante du
lobe
temporal est destinée à la couche optique, au c
de cette proposition est faite pour les fibres de pro- . jection du
lobe
temporal qui descendent dans le pied du pédoncule
ck naît de l'écor- ce temporale (J. De- jerine.) Les lésions du
lobe
occipital ne retentis- sent pas sur. le pied
ue les fibres du « faisceau dit de Tüuclc » proviennent, non pas du
lobe
occipital, comme l'ont admis Türch, Meynert, Wern
h, Meynert, Wernicke, Charcot, Ballet, Brissaud, etc., mais bien du
lobe
temporal. Le faisceau de Türc7 dégénère en effe
r de la capsule interne, persistent intacts à la suite des lésions du
lobe
occipital et que, dans ces cas, le segment rétr
t travail, mon- tre en effet que, tant que la lésion est limitée au
lobe
occipital, la dégé- nérescence secondaire est t
ntre, dès que les altérations corticales ne sont plus cantonnées au
lobe
occipital, mais empiètent sur les lohes pariétal
sibilité générale, le faisceau sensitif, qui s'épanouissait dans le
lobe
occipital et qui constituait le faisceau extern
que nous venons de l'indiquer, le faisceau de Türch ne vient pas du
lobe
occipital et d'autre part, c'est là une chose pro
.) Le faisceau de Tùrck n'est pas le seul faisceau de projection du
lobe
temporal, qui s'entre-croise avec le faisceau l
ongitudinal inférieur. D'autres fibres de la couronne rayonnante du
lobe
temporal, telles que les radiations du corps ge
), on peut intéresser parallè- lement à leur longueur les fibres du
lobe
temporal qui relient l'extrémité antérieure de
es fibres du lobe temporal qui relient l'extrémité antérieure de ce
lobe
au pulvinar. Ces fibres se rassemblent à la parti
e coupes microscopiques sériées de cerveaux de singe Les lésions du
lobe
occipital no produi- sent pas de troubles d
UX. ï0 (voy. fig. : 388\ on ne retrouve dans la couche sagittale du
lobe
temporo- occipital les différences de coloratio
, et fortement colorés par l'hématoxyline. Ces libres nais- sent du
lobe
occipital (pointe, face interne et face externe),
? - ]\'L3, NL" Ni ? noyau lenticulaire et ses trois segments. - 0,
lobe
occipital. - off, partie orbitaire de la premiè
es montrent que lo fais- ceau longitudinal in- férieur relie lo
lobe
)ccipital au lobe tem- l)Qral. Le faisceau
fais- ceau longitudinal in- férieur relie lo lobe )ccipital au
lobe
tem- l)Qral. Le faisceau longi- tudinal inf
géiiûro dans les deux sens. fibres d'associa- tion propre au
lobe
occipital. matoxyline n'a rien qui doive éton
nal inférieur est avant tout un faisceau d'association qui relie le
lobe
occipital, et en particulier la zone visuelle,
qui relie le lobe occipital, et en particulier la zone visuelle, au
lobe
temporal. Ce faisceau dégénère à la suite des lés
e, au lobe temporal. Ce faisceau dégénère à la suite des lésions du
lobe
occipital et se trouve intéressé, dans la variété
ticulier dans les cas de lésions en foyer de la couche sagittale du
lobe
tcmporo-occipital, on voit que ce faisceau, de
ire de tel ou tel de ces faisceaux. Fibres d'association propres au
lobe
occipital (Stratum pro- prium corlicis de Sachs
u faisceau longitudinal inférieur se groupent les fibres propres au
lobe
occipital, disposées en cinq faisceaux plus ou
ibres plus ou moins verticales, qui relient la partie supérieure du
lobe
occipital à ses parties moyenne et inférieure;
et assurent les connexions entre les faces interne et externe de ce
lobe
. FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. -78t
ual. Cette couche de fibres verticales s'étend du pôle occipital au
lobe
limbique, unit, au niveau de la branche commune a
e cunéus serait ainsi dépourvu. L'examen microscopique de coupes du
lobe
occipital, colorées par les méthodes de Weigert
u moins longues, avant d'arriver la couche des fibres sagittales du
lobe
occipital. Le faisceau occipital vertical ou oc
xitatis de Sachs, constitue une épaisse couche de fibres propres au
lobe
occipital et qui relie le bord supérieur de ce
bres propres au lobe occipital et qui relie le bord supérieur de ce
lobe
à sa face inférieure. Il met par conséquent en co
s'amincit en avant; elle est toutefois facile à con- stater dans le
lobe
pariétal, où elle relie le pli courbe aux deuxièm
se du cu- néus. Ce faisceau relie le cunéus à la convexité du
lobe
occipital et à son bord infére-ex- terne. F
la région calcarinienne en communication avec la convexité du
lobe
occipital. , Wernicke se confond avec les fibre
du faisceau lon- gitudinal inférieur, des radiations thalamiques du
lobe
occipito-temporal et du tapetum; elle est encor
chs) (ftcS), (fig. 390, 384 et 389) relie le cunéus à la convexité du
lobe
occipital et à son bord inféro-externe ; il app
, et s'irradient très probablement dans l'écorce de la convexité du
lobe
occipital et de son 4tY'" " bord inféro-externe
ical de Wernicke, et s'irradient dans l'écorce de la con- vexité du
lobe
occipital et de son bord inféro-externe. Ce faiss
vexité occipitale, se trouve quelquefois, dans certaines lésions du
lobe
occipital, persister intact, parmi les libres d
de Vialet, Obs. III). Outre ces quatre couches de fibres propres au
lobe
occipital, Sachs dé- crit une cinquième couche
tratum proprium cunei. r ig. 389. - Coupe vertico-transversale du
lobe
occipital gauche, destinée à montrer . l'origin
ontrer . l'origine et le trajet des fibres d'association propres du
lobe
occipital. (Demi- schématique.) , C, cunéus.
des circonvolutions de la face interne de l'Izénzisphère. Dans le
lobe
frontal, le système des fibres d'association prop
bres d'association propres est beaucoup moins développé que dans le
lobe
occipital. La corne occipitale, autour de laque
ourtes fibres d'association, se prolonge en effet très loin dans le
lobe
occipital, tandis que la corne frontale ne dépass
n- nante. Fihrcscommissu- raies. de la couronne rayonnante du
lobe
frontal (CR). Ces fibres se disposent en une co
nte que se groupent les couches des fibres d'association propres au
lobe
frontal : les unes affectent une direction tran
affectent une direction transversale et relient la face interne du
lobe
frontal à ses faces orbitaire et externe ; les
'association ne se disposent pas en couches compactes comme dans le
lobe
occipital - elles s'entre-croisent en effet ave
de telle sorte que la || plus grande partie de la masse blanche du
lobe
frontal est formée par l'intime intrication des
es toutes les circonvolutions du manteau cérébral, à l'exception du
lobe
olfactif et de l'extrémité antérieure du lobe t
ral, à l'exception du lobe olfactif et de l'extrémité antérieure du
lobe
temporal, régions desservies par le système de
vant un plan oblique. Elles proviennent de la partie postérieure du
lobe
frontal, de tout le lobe pariétal, de la partie
es proviennent de la partie postérieure du lobe frontal, de tout le
lobe
pariétal, de la partie postérieure du lobe tempor
lobe frontal, de tout le lobe pariétal, de la partie postérieure du
lobe
temporal et peut-être de l'in- sula, par l'inte
e l'opercule sylvien (OpFz, OpR, OpP2), de la partie postérieure du
lobe
temporal (première et deuxième circonvolutions te
me celles du tronc. Nées des faces externe, orbitaire et interne du
lobe
frontal, FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET CO\I111SSI;
ia- tions s'entre-croisent avec les fibres d'association propres du
lobe
frontal et avec les libres de la couronne rayon
ortent donc pas directement en avant vers l'extrémité antérieure du
lobe
frontal; elles ne décrivent pas de chaque côté
en, que des fibres du genou du corps calleux, destinées à relier le
lobe
frontal d'un côté au lobe temporal du côté oppo
u du corps calleux, destinées à relier le lobe frontal d'un côté au
lobe
temporal du côté opposé. Nous avons vu en outre
kcnbuudcl der innerenKapsel), qui, se détachant dela masse blanchcdu
lobe
frontal et du genou du corps calleux, longe le
cipito-frontal de Forel et Onufrowicz (OF), qui forme le tapetum du
lobe
sphénoïdal (fig. 381, p. 760). Schwalbe émet l'hy
de la capsule interne (Cia) et du pied de la couronne rayonnante du
lobe
frontal (pCR), par le pont de substance grise qui
des . parties postérieures et réfléchies; nées de toute l'écorce du
lobe
occipital et de la partie postérieure du lobe p
de toute l'écorce du lobe occipital et de la partie postérieure du
lobe
pariétal, ces dernières entourent d'un anneau c
lus petit, qui reçoit les radiations de la partie inféro-interne du
lobe
occipital, l'autre supérieur, beaucoup plus volum
s volumi- neux, qui dessert les régions externe et supérieure de ce
lobe
. Ces deux 1 Origine et trajet des radiation
du tronc du corps calleux (fig. 383). Nées de toute la convexité du
lobe
pariéto-temporal (deuxième circonvolution tempo
us), soit des circonvolu- tions de la face externe et supérieure du
lobe
occipito-pariétal (deuxième circonvolution occi
Aoscher. Deux cas d'hémianopsie homonyme par lésions de l'écorce du
lobe
occipital. Arch. de Phys., 1890, p. 177 et Vialet
d de la scissure calcarine (K). Les courtes fibres d'association du
lobe
occipital telles que le faisceau transverse du
péro-interne des radiations Fie. 394. Coupe vertico-transversale du
lobe
occipital dans un cas d'hémianopsie homonyme la
ap. suiv., t. II et Vialet, Thèse de Paris, 1893). Les lésions du
lobe
occipital, et en particulier celles du cunéus, en
s, de la bandelette optique. Mais, fait important, ces lésions du
lobe
occipital ne déterminent pas de dégénérescence da
é par le faisceau de Turck, dé- génère non à la suite de lésions du
lobe
occipital, mais consécutivement à à Fig. 395. I
ldsion ten- due de l'écorce. des lésions de la partie moyenne du
lobe
temporal et en particulier des deuxième et troi
ibres calleuses s'observent non seulement il la suite de lésions du
lobe
occipital, mais consécutivement à n'importe que
dictée ainsi que de la parole, et relevant des lésions anciennes du
lobe
occipital. Pendant le deuxième stade, qui ne du
sur les dégénérescences du bourrelet consécutives à des lésions du
lobe
occipital. Mais l'examen méthodique de la pièce
ibres qui, venant de toute la corticalité cérébrale (à l'exception du
lobe
olfactif et de la pointe temporale), s'entre-cr
e aux scissures calcarinc et 1);ti-iéto-occil)il;tle. L(i) sthme du
lobe
limbique. Lg, lobule lingual.o<, sillon collat
tient : 1° des fibres commissurales reliant l'un à l'autre les deux
lobes
olfactifs et représentant un véritable chiasma
es fibres qui s'entre-croisent sur la ligne médiane, et unissent le
lobe
olfactif d'un côté au lobe temporal du côté opp
ent sur la ligne médiane, et unissent le lobe olfactif d'un côté au
lobe
temporal du côté opposé. L'origine corticale
et Mey- nert (15G51, l'ont suivie par la dissection jusque dans le
lobe
occipital; Arnold (1851) et Luys (186a) n'ont p
cipital; Arnold (1851) et Luys (186a) n'ont pu la suivre au delà du
lobe
temporal. Pour Foville (1844), elle s'étendait
là du lobe temporal. Pour Foville (1844), elle s'étendait à tout le
lobe
limbique (première et deuxième circonvolutions
elle représentait le système commissural de la face inférieure des
lobes
temporo-occipitaux; pour Gan- Texture de la com
ke (1881) et par Edingcr (1885), elle constituait la commissure des
lobes
temporaux (de là le nom départie temporale, sou
mmissure du rhinencéphalon : sa partie olfactive relierait les deux
lobes
olfactifs, sa partie hémisphérique unirait entre
érieure ne dégénère pas à la suite de lésions de la face externe du
lobe
temporal et qui atteignent en profondeur l'épendy
Paris, 1893. Du même. Note sur l'existence à la partie inférieure du
lobe
occipital d'un faisceau d'association distinct,
Le segment antérieur de la couronne rayonnante est tri- butaire du
lobe
frontal (faces externe, interne, orbitaire, extré
la capsule interne (Cia). Par analogie avec ce qui se passe dans le
lobe
temporo-occipilal, on pourrait désigner ces deu
e sagittale interne (fSgi) et de couche sagittale externe (fSge) du
lobe
frontal (Fig. 4). Sur les coupes microscopiques
ur des plans plus postérieurs. Les fibres des couches sagittales du
lobe
frontal ne se rendent pas toutes directement da
BRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. H giqucs, destructives du
lobe
frontal, en particulier de lésions de sa pointe,
iennent de la pointe et des faces externe, interne et inférieure du
lobe
occipital (cuneus (C), lobules lingual (Lg) et
s étudié dans le tome 1er, page 765, la couche sagittale externe du
lobe
occipito-temporal sous le nom de faisceau longi
rolenticulaire de la capsule interne. Coupe vertico-transversale du
lobe
pariétal, sectionnant le pilier postérieur du tri
0).- Le segment inférieur de la cou- ronne rayonnante appartient au
lobe
temporal ; sa limite antérieure est con- stitué
est tributaire des parties postérieure, moyenne et anté- rieure du
lobe
temporal, en particulier des trois circonvolution
dégénérescences secondaires, de nombreuses libres de projection du
lobe
occipital (voy. cas Courrière, et Bras, Fig. 83,
. 7). Elles font suite aux couches sagittales externe et interne du
lobe
occipital, affectent une direction sagittale et
s de projection de l'ergot de Morand. - ft, fibres tangentielles du
lobe
limbique. - la, circonvolutions antérieures de l'
férieur de la couronne rayonnante vu sur une coupe horizon- tale du
lobe
temporal. Méthode de Weigert. (Voy. description d
es fascicules se continuent en avant avec la couronne rayonnante du
lobe
frontal, en arrière ils ne dépassent guère la c
inférieure par quelques fibres qui, venant de la face orbitaire du
lobe
frontal, longent le bord inférieur du segment a
oie pas de fibres dans le pied du pédoncule cérébral; tributaire du
lobe
occipital (en particulier du cuneus (C) des lob
precuneus (PrC), du pli courbe (Pc) et de la partie postérieure des
lobes
pariétal et temporal, il envoie ses fibres dans
T) que l'on peut suivre de la substance blanche non différenciée du
lobe
temporal , et du segment inférieur de la couron
L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 47 lésion de la face interne et de la pointe du
lobe
occipital ainsi que des lobules lin- gual et fu
aire. temporales, qu'il reçoit un contingent important de fibres du
lobe
occi- pital et qu'il dégénère partiellement à l
umann, Fig. 135, p. 144) et ne dégénère ni à la suite de lésions du
lobe
occipital (Dejerine, p. 107 et suiv.), ni à la
ule antérieur du thalamus. - C71, pied de la couronne rayonnante du
lobe
frontal. - l'LcJe, plexus choroïdes. - PTg, pli
suiv.), une région déterminée de la couche optique. Les lésions du
lobe
frontal entraînent une dégéné- rescence des fib
Fibres cortico-tha- lamiques antérieu- res. Elles relient le
lobe
frontal à l'extré- mité antérieure do la couc
férieur et plus rapproché de la scissure de Sylvius. Les lésions du
lobe
pariétal (cas Jouan, Leu- dot, p. 121, Fig. 96
t sur la partie postérieure du noyau externe du thalamus; celles du
lobe
occipital (cas Courrière et Bras, p. 108, Fig.
Courrière et Bras, p. 108, Fig. 80 à 95) sur le pulvinar; celles du
lobe
temporal (cas Heu- debert, Le Seguillon, Neuman
, 43. - Les fibres cortico-thalamiques anté- rieures proviennent du
lobe
fronlal (faces externe, interne ou orbitaire),
es appartiennent à la zone rolandique et aux parties adjacentes des
lobes
frontal et pariétal. (Voy. cas Scheule, Fig. 10
ure du noyau externe (Ne) et proviennent de la partie antérieure du
lobe
pariétal, croisent le centre médian de Luys (Nm)
inime dans cette région qui reçoit, en outre, des fibres radiées du
lobe
temporal par l'intermédiaire du seg- ment sous-
33, 41, 43). - Les fibres cortico-thalamiques postérieures relient le
lobe
occipital et la partie adjacente du lobe pariét
es postérieures relient le lobe occipital et la partie adjacente du
lobe
pariétal à l'extrémité postérieure de la couche
le opl ique). Les fibres cortico-thalamiques inférieures relient le
lobe
occipilo. temporal la couche optique. Les unes,
rc&. 66 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les unes relient le
lobe
temporal au pul- vinar et passent par le segm
-len- ticulaire de la cap- u1e interne. Les autres relient le
lobe
temporal à l'extrémité anté- rieure et à la f
s (T, T2 T3 Fus), de la circonvo- lution de l'hippocampe (II) et du
lobe
occipital. Voy. cas Heudebert (Fig. 124 a 128,
. Il est probable qu'elles proviennent de l'extrémité antérieure du
lobe
temporal, de la circonvolu- tion du crochet, de
CÉRÉBRALE. G7 semblent faire suite à la couche sagittale interne du
lobe
temporal. (RTh, Fig. 44 et 23). De là, elles se
venant de la substance perforée antérieure et de la face externe du
lobe
frontal. Arrivées au voisinage du troisième ventr
érieur (BrQp), appartiennent au sys- tème auditif et proviennent du
lobe
temporal, en particulier de la pre- FIBRES DE P
phère visuelle (Voy. cas Courrière, Fig. 82) et dans les lésions du
lobe
pariétal (cas Heudebert, Fig. 121., Leudot, Fig
érieur de l'hémisphère, c'est-à-dire les trois quarts antérieurs du
lobe
frontal d'une part, le lobe occipital, y compris
t-à-dire les trois quarts antérieurs du lobe frontal d'une part, le
lobe
occipital, y compris le pli courbe, d'autre par
r; il ne reçoit pas non plus de fibres de la partie an- térieure du
lobe
frontal, comme le pensaient Meynert, Flechsig, Br
lechsig, Bris- saud, etc., mais bien de la partie postérieure de ce
lobe
, en particulier de l'opercule rolandique et de
it pas quelques libres d'autres régions corticales, en particulier du
lobe
frontal. Ces fibres ne peuvent avoir qu'une ori
et Turner chez le singe après l'ablation de la moitié antérieure du
lobe
frontal. Les résultats de ces auteurs ne sont pas
effet, en avant du sillon précentral, dans la partie antérieure du
lobe
frontal, une importante zone motrice pour les mou
donc à chercher l'origine de ces fibres dans la face orbi- taire du
lobe
frontal, bien que dans le cas Rivaud, dont le fai
e quadrijumeau antérieur (Qt) reçoivent le contingent des fibres du
lobe
occipital; la partie postérieure du noyau externe
sous-optique, en particulier le noyau rouge reçoivent les fibres du
lobe
pariétal. Les fibres de projection du secteur moy
supérieur ou sus-sylvien du secteur moyen et la région orbitaire du
lobe
frontal (colorées en rose) occupent dans la régio
l ou faisceau de Türck (FT)tire son origine de la partie moyenne du
lobe
temporal, et en particulier de l'écorce des deuxi
au externe du pied du pédoncule entrait en connexion intime avec le
lobe
occipital. Pour Meynert, il constituait la port
dons de Goll et de Burdach, les cordons postérieurs de la moelle au
lobe
occipital (Fig. 51). Pour Charcot, ce faisceau
rne du pied du pédoncule cérébral tire son origine exclusivement du
lobe
temporal, qu'il constitue un faisceau leu- p01'
stitue un faisceau leu- p01'o-pl'otubéranliel et que les lésions du
lobe
occipital ne retentissent pas sur le pied du pé
faisceau de Tiirck est donc formé par des neurones de projection du
lobe
temporal. Il dégénère de haut en bas, comme les a
é- brale. FS, fibres du noyau lenticulaire qui se jettent dans le
lobe
sphénoïdaL- FT, fibres de la couche optique qui
pédoncule cérébral ou faisceau de Turck; il provient de l'écorce des
lobes
occipital et tem- poral, occupe la partie exter
re des fibres du locus niger et des fibres directes de l'écorce des
lobes
occipital et temporal. Ces dernières occupaient
-- ..... 1 1 - misceau, allant directement uu peuoncute cérébral au
lobe
H"UllLt11 sans passer par les ganglions centrau
e les deux circonvolutions rolandiques et les parties attenantes du
lobe
pariétal et du lobe frontal. Cet auteur fut ain
utions rolandiques et les parties attenantes du lobe pariétal et du
lobe
frontal. Cet auteur fut ainsi conduit à admettr
he supérieure ou dor- sale du pied du pédoncule cérébral (fibres du
lobe
frontal, du noyau lenticulaire et du noyau caud
es coupes supérieures, puis aborde le centre ovale et se rend dans le
lobe
pariétal, en particulier dans la circonvolution
partie antérieure de son segment postérieur et contient des fibres du
lobe
frontal, du noyau caudé et de la partie antérie
rtie antérieure du noyau lenticulaire. a) Les fibres originaires du
lobe
frontal constituent le faisceau cortico-protubéra
u interne du pied du pédoncule cérébral tire son origine non pas du
lobe
frontal tout entier, comme l'admettaient Meynert,
ones, au nombre de trois, seraient : l'une postérieure, comprenant le
lobe
temporo- occipital, le lobe pariétal et le préc
ient : l'une postérieure, comprenant le lobe temporo- occipital, le
lobe
pariétal et le précunéus; l'autre moyenne, locali
eil ; la troisième antérieure, localisée dans la partie antérieure du
lobe
frontal. D'après Flechsig, il n'y aurait donc g
insula. L'un de nous, en 1897, a montré que l'extrémité antérieure du
lobe
fron- tal et le pli courbe envoient de nombreus
rs antérieur et postérieur, c'est-à-dire les deux tiers antérieurs du
lobe
frontal, le lobe pariétal et le lobe occipital,
térieur, c'est-à-dire les deux tiers antérieurs du lobe frontal, le
lobe
pariétal et le lobe occipital, le précunéus, les
e les deux tiers antérieurs du lobe frontal, le lobe pariétal et le
lobe
occipital, le précunéus, les lobules lingual et f
un enfant âgé de quatre mois, a pu constater très nettement que le
lobe
pariétal, comme les circonvolutions occipito- t
ion, et qu'il participe à la constitution des couches sagittales du
lobe
occipito-temporal et du segment rétro-lenticulair
2° Aux lésions corticales plus restreintes, limitées aux différents
lobes
ou segments de lobe; 3° Aux lésions sous-cort
ales plus restreintes, limitées aux différents lobes ou segments de
lobe
; 3° Aux lésions sous-corticales et centrales.
che, la moitié antérieure de la circonvolution frontale interne et le
lobe
orbitaire. FIG. 66. - Cas Pradel. Hémiplégie dr
intéressés en aucun point par la lésion pri- mitive. Comme dans le
lobe
lemporo-pariétal, la lésion atteint l'épendyme ve
cutives aux lésions corticales restreintes, limitées aux différents
lobes
ou segments de lobe. LOBE OCCIPITAL. - Dans les
orticales restreintes, limitées aux différents lobes ou segments de
lobe
. LOBE OCCIPITAL. - Dans les lésions du lobe occ
s restreintes, limitées aux différents lobes ou segments de lobe.
LOBE
OCCIPITAL. - Dans les lésions du lobe occipital,
ts lobes ou segments de lobe. LOBE OCCIPITAL. - Dans les lésions du
lobe
occipital, on observe toujours une dégénérescen
fibres radiées du pulvinar et des fibres du stratum zonale (Strz). Le
lobe
occipital pos- sède donc : 1° des fibres de pro
de Gratiolet (RTh) et occupent, dans la couche sagittale interne du
lobe
occipiLo-Lemporal, à peu près la hauteur de la de
cootico-clundrijéntirzales antérieures. Par contre, les lésions du
lobe
occipital ne retentissent ni sur l'étage inférieu
sur le segment postérieur de la capsule interne (Voy. Fig. 49). Le
lobe
occipital ne participe donc pas à la formation de
ig. 80 à 80, et cas Bras, Fig. 87 i à 95, p. 115). Les lésions du
lobe
occipilal déterminent, en outre, dans le système
ence : t° Des courtes fibres d'association et des libres propres du
lobe
occipital : faisceau occi- pital Iransverse du
cipital vertical (Ov), lorsque la lésion siège à la face externe du
lobe
occipital; 2° Du faisceau long d'association :
dégénérées de ce faisceau passent par la couche sagittale externe du
lobe
temporo- occipital et s'irradient dans l'écorce
externe du lobe temporo- occipital et s'irradient dans l'écorce du
lobe
temporal (face externe, face pariéto-tem- poral
ito-frontal (OF). Voy. T. I ? pj 794-800. Les fibres commissurales du
lobe
occipital prennent, non seulement la voie du ta
passage aux fibres commissurales du trigone cérébral tributaires du
lobe
limbique (Voy. p. 278). Dans le cas Courrière (
0-86), il s'agit d'une lésion de la pointe et de la face interne du
lobe
occipital intéressant la base du cunéus, l'écorce
érées du faisceau longitudinal inférieur s'irradie dans l'écorce du
lobe
temporal dont la substance blanche est très dégén
dictée ainsi que de la parole, et relevant des lésions anciennes du
lobe
occipital. Pendant le deuxième stade, qui ne du
des courtes fibres d'association qui relient la face inférieure du
lobe
occipital à la face,interne et aux circonvolution
nérescence des fibres d'association qui relient la face inférieure du
lobe
occipital à la face supérieure de la région par
qu'elle est ratatinée et complètement isolée du reste de l'écorce du
lobe
occipital par la plaque jaune sous-jacente. C
ipital par la plaque jaune sous-jacente. Ces lésions si étendues du
lobe
occipital ont entraîné : 1° une dégénérescence tr
les fibres de projection des circonvolutions de la face externe du
lobe
occipital; elles peuvent être suivies sur FiG.
Ov), de la substance blanche non différenciée de la face externe du
lobe
occipital. (Les zones dégénérées sont colo- rée
gitudinal inférieur, a retenti en outre sur la substance blanche du
lobe
temporal; la première et la deuxième circonvolu
g. 91). 3° Une dégénérescence des courts faisceaux d'association du
lobe
occipital : faisceau occipital vertical (Ov), f
Sur l'hémisphère gauche (Fig. 87) il n'existe à la face interne du
lobe
occipital FiG. 90. - Cas Bras. Cécité corticale
pied du pédoncule cérébral est parfaitement normal (Fig. 94 et 95).
LOBE
PARIÉTAL. - Les lésions du lobe pariétal, même lo
arfaitement normal (Fig. 94 et 95). LOBE PARIÉTAL. - Les lésions du
lobe
pariétal, même lorsqu'elles sont isolées, 1 ic.
'autre part. Ce fait montre nettement que les couches sagittales du
lobe
occipito-pariéto-temporal contiennent à la fois d
nt rétro-lenticulaire de la capsule interne. Lorsque la lésion du
lobe
pariétal est plus étendue (Cas Leudot, Fig. 101 à
longitudinal inférieur et la substance blanche non différenciée du
lobe
occipital; dégénérescences du tapetum, du forceps
segment sous-lenticulaire de la capsule interne (Cisl) qui, venant du
lobe
temporal, formenl le faisceau de Turck (FT); da
que lorsque cette région est lésée. . Dans les vastes lésions du
lobe
pariétal, on observe, en outre, une dégénérescenc
la partie antéro-supérieure du noyau rouge (NR, Fig. 103 et 104). Le
lobe
pariéta contient donc des fibres de projection
au do 'l'urck. g2g ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. En résumé : le
lobe
pariétal contient des fibres de projection cortic
bérantielles, ni fibres cortico- médullaires. , , . Une lésion du
lobe
pariétal retentit en outre sur les fibres des sys
x, soit dans le faisceau occipito-frontal (OF). Zone rolandique. (
Lobe
central : circonvolutions frontale et pariétale a
us niger. dégénéré dans les lésions corticales qui intéressent le
lobe
central. Parmi ces fibres, les unes se terminen
al reçoit de la zone rolandique plus de fibres se dirigeant vers le
lobe
frontal qu'il ne reçoit de fibres le reliant à la
Heudebert (Fig. 124 à 128) présente deux lésions; l'une intéresse le
lobe
tem- poro-occipital : nous y reviendrons plus l
se le lobe tem- poro-occipital : nous y reviendrons plus loin (Voy.
Lobe
temporal, p. 137), l'autre occupe le deuxième q
l supérieur, de la capsule externe, de la couche sagittale interne du
lobe
frontal, du faisceau occipito-frontal (OF-1-Pr)
que présentent dans ce cas les pyramides antérieures (Fig. 122).
LOBE
TEMPORAL. Les lésions isolées du lobe temporal so
des antérieures (Fig. 122). LOBE TEMPORAL. Les lésions isolées du
lobe
temporal sont rares. En général, ce lobe se tro
AL. Les lésions isolées du lobe temporal sont rares. En général, ce
lobe
se trouve en effet lésé en même temps que le lobe
s. En général, ce lobe se trouve en effet lésé en même temps que le
lobe
occipital ou le lobe pariétal. Les lésions du l
obe se trouve en effet lésé en même temps que le lobe occipital ou le
lobe
pariétal. Les lésions du lobe occipital étendue
ême temps que le lobe occipital ou le lobe pariétal. Les lésions du
lobe
occipital étendues au lobe temporal occupent le p
ital ou le lobe pariétal. Les lésions du lobe occipital étendues au
lobe
temporal occupent le plus souvent la FiG. 121 e
NATOMIE DES CENTRES NERVEUX. partie postérieure et inférieure de ce
lobe
et relè\enl de troubles circulatoires dans le d
ne de l'artère cérébrale postérieure (Fig. 65, p. 99). Les lésions du
lobe
pariétal (artère cérébrale moyenne), lorsqu'ell
obe pariétal (artère cérébrale moyenne), lorsqu'elles atteignent le
lobe
temporal, s'étalent de préfé- rence à la partie
étalent de préfé- rence à la partie postérieure et supérieure de ce
lobe
(Fig. 123). Dans le premier cas (cas Heudebert,
xième cinquième interne du pied du pédoncule cérébral; 2° lésion du
lobe
occipito-temporal, des segments postérieur et i
cinquième interne du pied du pédoncule cérébral ; 2° lésion du
lobe
occipito-tempo- ral. Dégénérescence des segme
rtie supérieure du pédoncule cérébral (Fig. 127). 1° La lésion du
lobe
occipito-tempol'al dont le foyer atteint (Fig. 12
e temporale, de l'insula (Fig. 12a et 126) et de la face orbitaire du
lobe
frontal (Fig. 127). Intégrité des radiations du
randeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ECORCE CÉRÉBRALE. 141
lobe
occipito-temporal, voire même l'épendyme ventricu
les fibres de la région. Aux dégénérescences secondaires propres au
lobe
occipital, au lobe pariétal et aux couches sagi
gion. Aux dégénérescences secondaires propres au lobe occipital, au
lobe
pariétal et aux couches sagittales sous-jacente
<enM(Cge)se joignent, dans ce cas des dégénérescences propres au
lobe
temporal. Ce sont : dans les lésions des 3° et
inférieur de la zone rolandique est un exemple typique de lésion du
lobe
occipito- lemporal. Il s'agit d'une plaque jaun
oral. Il s'agit d'une plaque jaune ayant délruit la face externe du
lobe
occipital et les parties postérieure et moyenne
montrent que la plaque jaune a dé- truit, non seulement l'écorce du
lobe
occipito- temporal, mais encore la couche blanc
encore la couche blanche sous- jacente et qu'elle atteint, dans le
lobe
tempo- ral, la couche épendymaire du plancher d
éter- miner ce qui, dans la dégénérescence du pu/vinai', revient au
lobe
occipital et ce qui revient au lobe temporal. M
scence du pu/vinai', revient au lobe occipital et ce qui revient au
lobe
temporal. Mais, vu l'absence de dégénérescence du
de dégénérescence du pied du pédoncule cérébral dans les lésions du
lobe
occipital rapportées plus haut (cas Courrière,
e du pied du pédoncule cérébral relève unique- ment de la lésion du
lobe
temporal, en particulier de la lésion des 2° et 3
ion an- térieure de l'insula (la), et dans la face orbi- laire du
lobe
frontal (Fig. 126 et 127). Il est probable que
d du pédoncule cérébral que l'on observe, soit lorsque la lésion du
lobe
occipital empiète sur le lobe temporal, et délrui
on observe, soit lorsque la lésion du lobe occipital empiète sur le
lobe
temporal, et délruit les deuxième et troisième
utions temporales, soit - à un moindre degré lorsque les lésions du
lobe
pariétal s'étendent sur les première et deuxième
lutions temporales, s'observent en outre dans les lésions isolées du
lobe
temporal. Il est vrai que ces lésions intéresse
est vrai que ces lésions intéressent parfois la couche sagittale du
lobe
temporo- occipital et détruisent par conséquent
s avons montré plus haut (p. 108 et suiv.) que les lésions isolées du
lobe
occipital ne retentissent pas sur le pied du pé
d en effet de la lésion temporale; elle ne s'observe que lorsque le
lobe
temporal est lésé (p. T9 et 80). Le cas Neuman
t 80). Le cas Neuman (Fig. 134 à 136) a trait aune lésion isolée du
lobe
temporal. Il s'agit d'une plaque jaune n'intére
du lobe temporal. Il s'agit d'une plaque jaune n'intéressant que le
lobe
temporal, et en particulier la partie moyenne d
a lésion intéressait l'écorce et la substance blanche sous-jacente du
lobe
temporal, mais ne sectionnait pas les couches s
ue, la dégénérescence secondaire présentait la même disposition. Le
lobe
temporal envoie donc ses fibres de /projection da
protubérance (fibres cortico- protubérantielles). Les lésions du
lobe
temporal entraînent, en outre, une dégé- nére
et, les fibres temporales passent au-dessus et en avant des fibres du
lobe
occipital. La dégénérescence du faisceau longit
x sens (fibres corticifuges et fibres corticipètes); il reçoit du
lobe
temporal des fibres qui relient la région tem
ée de l'avant-11HO' (A. ? l11) , jusque dans la face orbitaire du
lobe
frontal (cas Heudebert, Fig. 126 et 127). LOB
ace orbitaire du lobe frontal (cas Heudebert, Fig. 126 et 127).
LOBE
FRONTAL. Les lésions du lobe frontal qui in-
(cas Heudebert, Fig. 126 et 127). LOBE FRONTAL. Les lésions du
lobe
frontal qui in- téressent la pointe frontale et
nt le plus souvent le faisceau compact de la couronne rayonnante du
lobe
frontal; elles déterminent une dégénérescence du
La pointe frontale et les deux tiers antérieurs de la face externe du
lobe
frontal se comportent donc comme le lobe occipi
eurs de la face externe du lobe frontal se comportent donc comme le
lobe
occipital et la partie postérieure du lobe pariét
comportent donc comme le lobe occipital et la partie postérieure du
lobe
pariétal. Elles n'envoient pas de fibres de pro
des fibres radiées des noyaux externe et interne. Les lésions du
lobe
frontal retentissent encore sur les courtes fibre
intimement avec les fibres dégénérées de la couronne rayonnante du
lobe
frontal. Suivant leur biège, les lésions du lob
onne rayonnante du lobe frontal. Suivant leur biège, les lésions du
lobe
frontal déterminent en outre une dégénérescence s
ne le bord postérieur du putamen, longe les couches sagittales du
lobe
tem- poro-occipital et côtoie la couronne rayon
les du lobe tem- poro-occipital et côtoie la couronne rayonnante du
lobe
irontal, il n atteint pas le seg- ment sous-len
(Fig. t 7'1 et 170). Cette dégénérescence peut être suivie dans le
lobe
temporal et jusqu'à la pointe occipi- tale. Ell
ALE. t77 7 genouillé et le pulvinar, se tel minent dans l'écoice du
lobe
temporo-occipital, ainsi qu'à la dégénérescence
érique et à la face inférieure de chaque hémisphère on distingue un
lobe
frontal et un lobe sphéno-occipital séparés l'un
inférieure de chaque hémisphère on distingue un lobe frontal et un
lobe
sphéno-occipital séparés l'un de l'autre par un
isphères (Fig. 199 et 200). A droite, les deux tiers postérieurs du
lobe
sphénoïdal sont développés et l'on distingue en p
et de la moitié inférieure du cuneus droit), la face inférieure du
lobe
frontal, la pointe temporale, - se réduit à une m
qui correspond au pli falciforme de l'insula, au bord postérieur du
lobe
frontal et au trigone olfactif et qui se prolonge
olution frontale, la pointe et les parties antérieure et moyenne du
lobe
temporal. Elle est, en réalité, beaucoup moins
rofonde de l'opercule sylvien, la pointe et la partie antérieure du
lobe
temporal; les circonvolutions l'JI;. 21 L - Cas
, les circonvolutions de la face externe de l'hémisphère gauche. Lor,
lobe
orbi- taire. - Mp, ligne d'insertion de la memb
l'opercule temporal se replie en dedans et s'applique sur celle du
lobe
pariétal pour limiter la porencéphalie en arrière
superficielle pour redevenir profonde dans la région orbitaire des
lobes
frontaux (Fig. 216). Par suite de l'aplatisseme
de lui, on trouve, en effet, de chaque côté, la région orbitaire du
lobe
frontal avec sou sillon crucial, l'espace perfo
sales sériées, les ganglions de la base avec la région oibitaire du
lobe
frontal et la partie adjacente de la circonvolu
l et la partie adjacente de la circonvolution de l'hippocampe et du
lobe
temporal, en coupes honzontales obliques sensib
uches distinctes au voisinage de la cavité ventriculaire. Dans le
lobe
occipital on trouve les trois couches concentriqu
les couches profondes de la membrane épendymaire, on trouve dans le
lobe
occipital comme, dans toute la convexité de l'h
22 et 223). Fil,. 219. - Cas Richard. Coupe vertico-transversale du
lobe
occipital gauche, passant par la ligne de repèr
franchit l'étranglement, se fusionne avec la couronne rayonnante du
lobe
orbitaire et pénètre avec elle dans le segment
l'écorce située immédiatement en arrière de la région étranglée du
lobe
frontal (voy. Fig. 2H et 21G). Le faisceau call
zontale oblique passant par les ganglions de la base et l'écorce du
lobe
orbitaire. Cette coupe sectionne le stratum zon
noyau caudé (NC) et au putamen (XL3), et la couronne rayonnante du
lobe
orbitaire (pCR). Le nombre de ces dernières fibre
ères fibres est é11deIll- ment disproportionné à la petitesse de ce
lobe
; les fibres internes, recourbées en arc, appart
ourbées en arc, appartiennent très vraisemblablement en propre à ce
lobe
, les fibres externes peuvent être suivies sur l
e fibres myélinisées qui se continuent avec la couronne rayonnante du
lobe
orbitaire, ou s'épanouissent dans l'épaisse mem
par la région thalamique ' de la capsule interne, et sectionnant le
lobe
orbitaire au-dessous de sa couronne rayonnante
xterne rudi- mentaire ; elle est recouverte par l'écorce repliée du
lobe
temporal, tapissée par la membrane [qui ferme i
la couronne rayonnante (Fg. 329 et 230) et la couronne rayonnante du
lobe
orbitaire (pCR), Fig. 226 et 227) s'irradient d
comme les apparences paraissent l'indiquer de la face orbitaire du
lobe
frontal, ou y arrivent-elles par le faisceau supé
sériées une partie au moins des fibres de la couronne rayonnante du
lobe
orbitaire dans le faisceau supérieur de la cour
humain, livr. 28-32. - J. Dejerine. Noie sur un cas d'atrophie d'un
lobe
cérébral observé chez un chien, avec atrophie s
a tête et des yeux. Par contre, Ilorsley diagnostique une lésion du
lobe
frontal lorsque l'attaque d'épilepsie jacksonie
ccupe la région rolandique, empiète zono motrice du en avant sur le
lobe
frontal, et en haut sur la face interne de l'hémi
le pli courbe, la première circon- volution temporale (Ferrier), le
lobe
occipital (Schafer, Munk, Scherrington, Risien
a constaté que la lésion rolandique empiétait plus ou moins sur le
lobe
pariétal. II ne faut pas toutefois en conclure
conclure que les troubles de la sensibilité relèvent de la lésion du
lobe
pariétal; les hémiplégies post-opératoires cons
tifs corticaux pour le tact et la douleur dans la circonvolution du
lobe
limbique. Cette opinion est infirmée par ce que
one sensitive comprend toute la partie postérieure de l'hémisphère (
lobes
occipital et pariétal) et empiète en avant sur
sensibilité générale, et en particulier le sens musculaire dans le
lobe
pariétal ; v. Monakow, invoque en faveur de cet
ur de cette localisation les connexions indirectes il est vrai - du
lobe
pariétal avec le ruban de Reil médian (Voyez IIe
dernière, elle ne la dépasse pas en arrière et n'empiète pas sur le
lobe
pariétal. Bien qu'il n'existe aucune observatio
vation d'hémianesthésie totale ou partielle par lésion exclusive du
lobe
pariétal, 'nous possédons toutefois un certain no
laire ainsi que du sens dit stéréognostique, relevant d'une lésion du
lobe
pariétal et en particulier du gyrus supramargin
ions de la région rolandique et dans celle de la partie antérieure du
lobe
pariétal ; mais il n'est pas encore prouvé qu'i
re sans troubles moteurs correspondants à la suite de lésions de ce
lobe
. En d'autres termes, rien ne démontre que la zone
Localisations visuelles. -- Le centre visuel cortical siège dans le
lobe
occipital. Hitzig (J 875) fut l'initiateur de c
tre auditif; chez le singe, il est mieux délimité et occupe tout le
lobe
occipital (face interne et face externe). L'e
cité est totale et permanente; si on laisse intacte une porlion des
lobes
occipitaux, on observe un reste de vision dans le
'elles sont uni ou bilatérales, siègent toutes à la face interne du
lobe
occipital, comme le montrent les documents rappor
et, Forsler, Sachs. Chez l'homme, c'est en effet la face interne du
lobe
occipital et plus particuliè- rement le domaine
étend le centre visuel cortical, non seulement à la face interne du
lobe
occipital, mais encore à la face externe et au pl
externe et au pli courbe, Vialet le localise il la face interne du
lobe
occipital (cunéus, lobules lingual et fusiforme
des deux tiers antérieurs de la scissure calcarine. Les lésions des
lobes
temporal, pariétal, pariéto-temporal et pariéto-o
sme qu'agis- sent encore les lésions de la face externe, convexe du
lobe
occipital. Les troubles visuels, en particulier
Ferrier, a pu être appelé à localiser le centre visuel, non dans le
lobe
occipital, mais dans le pli courbe. - Ce der- n
existence même d'un centre visuel, sou- tient que l'extirpation des
lobes
antérieurs du cerveau détermine, chez le chien,
rès analogues à ceux qui surviennent à la suite de l'abla- tion des
lobes
occipitaux. Ces résultats expérimentaux ne tienne
qui sectionnent les voies optiques centrales (couches sagittales du
lobe
occipito-temporal). Dans ces lésions, quel que so
aujourd'hui. Pour v. llonal : ow enfin, aucune région corticale du
lobe
occipital et de la partie postérieure du pli cour
nk et de Schafer, Wilbrand admet une projection de la rétine sur le
lobe
occipital, et explique l'hémianopsie en secteur p
les conducteurs optiques partiellement ou en totalité par lésion du
lobe
pariéto-temporo-occipital, le trouble visuel es
cité persistante et durable, cécité corticale par double lésion des
lobes
occipitaux. Elle débute le plus souvent après u
sensorielle, et relèvent en général de doubles lésions profondes du
lobe
occipital qui détruisent les radia- tions optiq
ipital qui détruisent les radia- tions optiques et empiètent sur le
lobe
pariétal. Cette localisation a amené Wilbrand à
ené Wilbrand à conclure à l'existence dans toute la face externe du
lobe
occipital d'un centre auquel il donne le nom de
de perception (ÎVahrne- mungsfeld), qui siège à la face interne du
lobe
occipital. Localisations auditives. - Les reche
ques, permettent de localiser les représentations auditives dans le
lobe
temporal. Munk, le premier, montra que l'ablation
lobe temporal. Munk, le premier, montra que l'ablation bilatérale des
lobes
tem- poraux chez le chien entraine une surdité
ditif appréciable chez six singes auxquels il avait enlevé les deux
lobes
temporaux. Le peu de concordance entre ces résult
tive initiale dans les attaques convulsives relevant de lésions des
lobes
temporaux. Les observations de -surdité cortica
en connexion avec les deux centres auditifs, partant avec les deux
lobes
temporaux. Le peu de durée des troubles auditifs
uditifs explique d'autre part que nombre de lésions unilatérales du
lobe
temporal constatées à l'autopsie aient pu passe
manente ne se rencontre que dans les cas de lésions bilatérales des
lobes
temporaux, et en particulier de la partie moyen
des lobes temporaux, et en particulier de la partie moyenne de ces
lobes
. Nous disons la partie moyenne, car il est aujour
car il est aujour- d'hui bien démontré que la partie postérieure du
lobe
temporal gauche chez les droitiers -et vraisemb
du lobe temporal gauche chez les droitiers -et vraisemblablement du
lobe
temporal droit chez les gauchers n'a rien à voi
mages visuelles des mots. Kilo relève do lésions bilatérales du
lobe
temporal. La zone du lan- gage. Ses trois c
es, par de nombreuses fibres d'association, avec la face interne du
lobe
occipital, zone de la vision générale. Ces trois
qui s'établissent par le corps calleux, par la couche sagittale du
lobe
occipital, par le faisceau longitudinal inférieur
Pick, 1898), tantôt unilatérale et siéger dans la masse blanche du
lobe
temporal gauche, comme dans le cas de Liep- man
Bouillvud. Recherches expérimentales sur les fonctions du cerveau (
lobes
cérébraux) en général et sur celles de sa partie
r. An Investigation into the furetions of the occipital et temporal
Lobes
of the monkey's Brain. Philos. Trans. of the R.
. 1888, 379. - Du Même. On electriccal Excitation o/' the occipital
lobe
and adjacent parts of the ilionlieys brain. I'r
DES FIBRES DE PROJECTION DU RHINENCÉPHALE Le rhinencéphale ou grand
lobe
limbique de Broca comprend, comme nous l'avons
Broca comprend, comme nous l'avons vu plus haut (T. I ? p. 296), le
lobe
olfactif, le septum lucidum, la circonvolution
res de projection du manteau cérébral : les fibres de projection du
lobe
olfactif et du- septum lucidum constituent les ra
ébral et en partie dans la capsule interne. FIBRES DE PROJECTION DU
LOBE
OLFACTIF ET DU SEPTUM LUCIDUM 1. radiations olf
s olfactives. - Comme les circonvolutions du man- teau cérébral, le
lobe
olfactif émet des fibres de projection, d'associa
re du manteau cérébral. Suivant qu'elles occupent la surface du
lobe
olfactif ou sa profondeur, les radia- tions olf
bre de libres qui prennent leur origine dans la substance grise des
lobes
olfactifs antérieur et postérieur. Les plus cou
ve. Les fibres commis- surales relient les différentes régions d'un
lobe
olfactif à celles du côté opposé par l'interméd
de la partie olfactive de la commissure anté- rieure, ou encore le
lobe
olfactif d'un côté au noyau amygdalien du côté
u trigone (Fol, Fig.252) etunissentles circonvolutions limbiques au
lobe
olfactif. Quant aux fibres de projection enfin,
be olfactif. Quant aux fibres de projection enfin, elles relient le
lobe
olfactif : 1' au noyau amyg- da lien du même cô
TION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 271 laire et l'écorce de la pointe du
lobe
temporal. Il n'enverrait pas de fibres au noyau
dégé- nérescence du bourrelet consécutive il une lésion étendue du
lobe
occipital (lobule lingual, lobule fusiforme, cu
rescences du bourrelet du corps calleux consécutives aux lésions du
lobe
occipital (Fig. 260), le trajet de toutes ces f
ito- frontal. nérées des couches sagittales interne et externe du
lobe
temporal occupent les parois inférieure et exte
s. La couche sagittale externe (faisceau longitudinal inférieur) du
lobe
temporo-occipital contient des fibres d'associa
e : elle entie dans la constitution de la couche sagittale inlerne du
lobe
temporal, longe les parois externe et inférieur
l'hippocampe, y compris la circonvolution du crochet et l'isthme du
lobe
limbique. Trigone des mammifères macrosmatiques
en particulier d'une couronne rayonnante du corps strié reliant le
lobe
frontal au corps strié et admise par Foville, Mey
érescence de quelques fines fibres du corps strié après ablation du
lobe
frontal chez le singe et le chien (1 895). Ces lé
lésions survenant chez l'adulte, soit qu'il s'agisse de lésions du
lobe
frontal (cas Moriceau Hg. et 11(l., Fig. 137 î
al et dégénèrent à la suite de lésions de la corticalilé cérébrale [
lobe
frontal, zone rolandique (cas Schweigoffer, Fig
one rolandique (cas Schweigoffer, Fig. 116 à 121, p. 133 et suiv.),
lobe
occipito-temporal cas Chab, p. 287, et plus par
s, les suivre, en bas et en arrière, dans les couches sagittales du
lobe
occipilo-temporal au voisinage du segment rétro
la partie postérieure du sillon parallèle jusqu'à la face externe du
lobe
occipital qui présente un léger ramollissement
le à suivre lordne ce segment est dégénéré à la suite de lésions du
lobe
occipital et du lobe occipito-pariétal (cas Bra
segment est dégénéré à la suite de lésions du lobe occipital et du
lobe
occipito-pariétal (cas Bras, Fig. 90 et 91, p. 11
e antérieur du tha- lamus. - pCR, pied de la couronne rayonnante du
lobe
frontal. - Plch, plexus choroïdes. - P1'g, plic
XII, p.285, 1887.- Marinesco. Des connexions du corps strié avec le
lobe
frontal. C. R. Soc. Biologie, 1893. - Meynert.
ieures des circonvolutions rolandiques et de la partie adjacente du
lobe
pariétal. Ces fibres appartiennent au système de
ulier des circonvolutions rolandiques et de la partie adjacente des
lobes
pariétal et frontal, et dégénèrent avec les autre
t aux radiations optiques de Gratiolet (Voy. p. 65), proviennent du
lobe
occipital, et en particulier de la zone visuelle
inar s'irradient des fibres qui provien- nent de la face externe du
lobe
occipital, de la partie adjacente du lobe pa- r
nent de la face externe du lobe occipital, de la partie adjacente du
lobe
pa- riéto-temporal et du precuneus (Voy. p. 66)
isceau temporo-thala- mique d'Arnold (V oy. p. li3) qui provient du
lobe
temporo-occipital, traverse le segment sous-len
cale, soit consécutivement aux lésions de la face inféro-externe du
lobe
temporal. Corps genouillé externe (Cge, Fig. 12
nticulaire de la cap- sule interne (Cirl) et la couche sagittale du
lobe
occipital. Elles se rendent ensuite dans la zon
culaire (Cisl) de celle capsule, et dans la couronne rayonnante] du
lobe
tem- poral et se terminent finalement dans la s
ions variées. Si la lésion corticale est étendue, si elle occupe le
lobe
pariétal et sectionne la sub- stance blanche de
olandique ou dans celles qui section- nent les coupes sagittales du
lobe
occipito-temporal en un point plus ou moins rap-
phère cérébral ; d'après Bechterew, consécutivement à l'ablation du
lobe
temporal (zone auditive, du chien, méthode de Mar
entent une formation constante qui est probablement l'homologue des
lobes
inférieurs des poissons et sont connus sous les n
les émanations ou formations cérébrales : le nerf olfactif étant un
lobe
cérébral développé aux dépens du cerveau antérieu
be, le pédoncule et les stries olfactives. Ces formations véritable
lobe
cérébral con- tiennent les voies olfactives cen
rales qui, passant par la commissure antérieure, se rendent dans le
lobe
olfactif croisé (coa, Fig. 327). Fig. 327. - Le
inatus, enfin, les relie au pôle temporal et à la face orbitaire du
lobe
frontal. Malgré les connexions si nombreuses qu
que la circonvolution du crochet et l'hippocampe, c'est-à- dire le
lobe
piriforme, est plus développé chez les mammifères
ssance dans la rétineet aboutissenten dernière analyse àl'écorce du
lobe
occipital; elles se divisent en deux grands seg
nnante. Elles concourent à former les couches sagit' tales(CSgt) du
lobe
occipito-temporal, puis s'irradient dans la zone
ion de la scissure calca- rine (K) et qui s'étend au cuneus (C), au
lobe
lingual (Lg) et à la pointe occipitale (Fig. 21
'épanouissent rapidement et vont aboutir à toute la face interne du
lobe
occipital (cunéus, scissure calcarine, lobule lin
panouissement des radiations optiques dans toute la face interne du
lobe
occipital, en un mot toutes les dispositions an
centrifuge. Décrites par Ramon, v. Gehuchten et v. Kôlliker dans le
lobe
optique des oiseaux et chez les mammifères, ces
f. Psychiatrie, vol. XIII, p. 352. - V. Gehuchten. La structure des
lobes
optiques chez l'embryon de poulet. La Cellule,
cérébral. Th. Paris, 1893. - Vnzou. Effets de l'ablation totale des
lobes
optiques sur la vision chez le chien. Arch. de
ntale de l'axe du tronc encéphalique et au peu de développement des
lobes
occipitaux, le cervelet est situé au-dessus du tr
ies latérales paires et symétriques, les hémisphères cérébelleux ou
lobes
(1-ICv, Fig. 331, 332 et 333) réunis par une pa
nce vermiforme, pro- cessus vermiformes, et à sa situation celui du
lobe
moyen du cervelet. (Vs, Vi, Fig. 331, 332, 338,
e ou plissée. Au point de vue phylo- génétique et ontogénétique, le
lobe
moyen ou vermis représente en effel la partie p
iane et sail- lante, le vermis supérieur (Vs) ou face supérieure du
lobe
moyen du cer- velet, et deux parties latérales
ancrure marsupiale. - Go, glande pinéale. - le, lame cornée. - Ll',
lobe
postérieur du cervelet. LS, lobe supérieur du cer
pinéale. - le, lame cornée. - Ll', lobe postérieur du cervelet. LS,
lobe
supérieur du cervelet. NC, noyau caudé. - Plch,
peut donc pour la face supérieure du cervelet - être question d'un
lobe
médian et de deux lobes latéraux dans le sens s
supérieure du cervelet - être question d'un lobe médian et de deux
lobes
latéraux dans le sens strict du mot. Nous verrons
nd au monticule (culmen et déclive) du vermis supérieur et forme le
lobe
supé- rieur (LS). La partie postérieure, beauco
arrière, limite l'échancrure marsu- piale en dedans et constitue le
lobe
postérieur (LP). Face inférieure (Fig. 332, 333
le. -eoc, empreinte jugulaire. - llCv, hémisphères cérébelleux. - Ll,
lobe
inférieur. Ll', lobe postérieur. - Lsli, lobe s
ulaire. - llCv, hémisphères cérébelleux. - Ll, lobe inférieur. Ll',
lobe
postérieur. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur.
es cérébelleux. - Ll, lobe inférieur. Ll', lobe postérieur. - Lsli,
lobe
semi-lunaire inférieur. 7'yc, pyramide de Malacar
vent une seconde interruption par un lobule superficiel qui unit le
lobe
semi-lunaire inférieur au tubercule valvulaire
arties inégales : l'une postérieure, plus petite, qui appartient au
lobe
postérieur (LP) ; l'autre antérieure, plus volu
érieur (LP) ; l'autre antérieure, plus volumineuse, qui comprend le
lobe
inférieur du cervelet (LI). En dedans de ce der
rieur du cervelet (LI). En dedans de ce dernier, on trouve un petit
lobe
très bien délimité, situé en arrière du bulbe r
d'après la photographie d'une pièce durcie dans le formol). Amr/,
lobe
tonsillaire ou amygdale. El, éminences latérales
le du nerf pneumogastrique. lf, tige de l'hypophyse. /-<< ? ,
lobe
digastrique. - Lgr, lobe grêle. - Lsli, lobe se
que. lf, tige de l'hypophyse. /-<< ? , lobe digastrique. - Lgr,
lobe
grêle. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. - O
ophyse. /-<< ? , lobe digastrique. - Lgr, lobe grêle. - Lsli,
lobe
semi-lunaire inférieur. - Oi, olive inférieure ou
e latéral du quatrième ventricule (PIN71) et le tlocculus (Floc) du
lobe
supérieur du cervelet, puis pénètrent dans le s
vague. pFloc, pédoncule du flocculus. - hCv, hile du cervelet. Le,
lobe
central, Le', ailes du lobe central. - Ldg, lob
flocculus. - hCv, hile du cervelet. Le, lobe central, Le', ailes du
lobe
central. - Ldg, lobe digastrique. - Lgr, lobe grê
e du cervelet. Le, lobe central, Le', ailes du lobe central. - Ldg,
lobe
digastrique. - Lgr, lobe grêle. At ? lingula. - L
entral, Le', ailes du lobe central. - Ldg, lobe digastrique. - Lgr,
lobe
grêle. At ? lingula. - Lca, lobe qua- drilatère
ral. - Ldg, lobe digastrique. - Lgr, lobe grêle. At ? lingula. - Lca,
lobe
qua- drilatère antérieur. - Lqp, lobe quadrilat
e grêle. At ? lingula. - Lca, lobe qua- drilatère antérieur. - Lqp,
lobe
quadrilatère postérieur. - Lsli, lobe semi-lunair
- drilatère antérieur. - Lqp, lobe quadrilatère postérieur. - Lsli,
lobe
semi-lunaire inférieur. - Lsls, lobe semi-lunai
adrilatère postérieur. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. - Lsls,
lobe
semi-lunaire supérieur. - No, nodule. - l'es, péd
ètrent à des profondeurs très inégales et segmentent le cervelet en
lobes
, lobules, lames el lamelles ou circonvolutions. L
pénètrent jusqu'au noyau blanc central du cervelet et séparent les
lobes
et les lobules; les sillons superficiels servent
r du lobule qu'il dédouble. Il résulte de cette disposition que les
lobes
et lobules limités par ces sillons sont loin d'
E DES CENTRES NERVEUX. Ils délimitent les lames et lamelles des
lobes
et lobules du cervelet. Variétés d'aspect,
velet. Asymétrie de» rc- gions vermienne et hémisphérique des
lobes
cérébelleux. interlamaires ou inlerlamellaires,
lamelles n'appartiennent pas nécessairement à toute la largeur d'un
lobe
ou d'un lobule cérébelleux; elles peuvent n'appar
al profond, ou encore dans la région postérieure du cervelet où les
lobes
très développés dans leurs parties hémisphériques
ette façon s'explique l'inégale épaisseur que peuvent présenter les
lobes
et lobules du cervelet dans leur partie hémisphér
et dans leur partie hémisphérique et dans leur partie médiane : tel
lobe
, très épais au niveau du vermis, ne présente que
, comme la lingula et le lobule central par exemple (Fig. 337); tel
lobe
, très épais au niveau des hémi- sphères, se réd
sphères qui dépassent le vermis en arrière, les volumineux et épais
lobes
semi-lunaires (Lsli, Lsls) ne sont réunis l'un
e blanche centrale, subdivisent le cervelet en un certain nombre de
lobes
plus ou moins volu- mineux, dont la connaissanc
vent être variables les appréciations des auteurs sur le nombre des
lobes
et lobules du cervelet. Un tel décrit trois lob
sur le nombre des lobes et lobules du cervelet. Un tel décrit trois
lobes
au vermis; un autre lui en assure huit à neuf. Le
vermis; un autre lui en assure huit à neuf. Les uns décrivent cinq
lobes
aux hémisphères, les autres neuf à dix. En prés
ication embryologique et de choisir comme type le vermis qui est le
lobe
fondamental dans la série, se développe le premie
ne, les quatre sillons principaux délimitent de chaque côté : 1° le
lobe
quadrilatère ; 2° le lobe postérieur de Henle ; 3
ncipaux délimitent de chaque côté : 1° le lobe quadrilatère ; 2° le
lobe
postérieur de Henle ; 3° le lobe inférieur ou d
: 1° le lobe quadrilatère ; 2° le lobe postérieur de Henle ; 3° le
lobe
inférieur ou digastrique; k0 l'amygdale; 5° le
ème et dans le cours des cinquième et sixième mois apparaissent les
lobes
secondaires qui sont, du côté du vermis : 1° la
bryogénique. Mode d'agence ment des lamelle; propres à chaque
lobe
. Mode propre au lobe supérieur. versale sup
nce ment des lamelle; propres à chaque lobe. Mode propre au
lobe
supérieur. versale supérieure (folium cacuminis
eures (tuber valvul), et du côté des hémisphères, la subdivision du
lobe
quadrilatère en régions antérieure et postérieure
lobe quadrilatère en régions antérieure et postérieure et celle du
lobe
postérieur en lobe semi-lunaire supérieur, lobe
en régions antérieure et postérieure et celle du lobe postérieur en
lobe
semi-lunaire supérieur, lobe semi-lunaire inférie
érieure et celle du lobe postérieur en lobe semi-lunaire supérieur,
lobe
semi-lunaire inférieur et lobe grêle. Il résu
ieur en lobe semi-lunaire supérieur, lobe semi-lunaire inférieur et
lobe
grêle. Il résulte de ces données embryologiques
ur et lobe grêle. Il résulte de ces données embryologiques que le
lobe
quadrilatère, le lobe grêle, les lobes semi-lun
résulte de ces données embryologiques que le lobe quadrilatère, le
lobe
grêle, les lobes semi-lunaires ne sont pas l'homo
données embryologiques que le lobe quadrilatère, le lobe grêle, les
lobes
semi-lunaires ne sont pas l'homologue du lobe dig
, le lobe grêle, les lobes semi-lunaires ne sont pas l'homologue du
lobe
digas- trique, de l'amygdale et du flocculus. L
flocculus. La pyramide, la luette, le nodule, qui représentent des
lobes
primordiaux, correspondent en effet à l'en- sem
a, de sorte que le flocculus, par exemple, est l'homologue des deux
lobes
semi-lunaires et du lobe grêle, ou encore du lo
us, par exemple, est l'homologue des deux lobes semi-lunaires et du
lobe
grêle, ou encore du lobe quadrilatère, en y joign
mologue des deux lobes semi-lunaires et du lobe grêle, ou encore du
lobe
quadrilatère, en y joignant les ailes du lobule
gula. Au point de vue embryologique, le cervelet comprend donc cinq
lobes
primordiaux que nous désignerons, en mettant à
er et Schafer, d'après leur situation sous les noms suivants : 1°
Lobe
supérieur, ou lobe de la masse principale du verm
rès leur situation sous les noms suivants : 1° Lobe supérieur, ou
lobe
de la masse principale du vermis; 2° Lobe posté
: 1° Lobe supérieur, ou lobe de la masse principale du vermis; 2°
Lobe
postérieur, ou lobe des lames transversales ; 3
r, ou lobe de la masse principale du vermis; 2° Lobe postérieur, ou
lobe
des lames transversales ; 3° Lobe inférieur, ou
vermis; 2° Lobe postérieur, ou lobe des lames transversales ; 3°
Lobe
inférieur, ou lobe de la pyramide ; 4° Lobe inf
postérieur, ou lobe des lames transversales ; 3° Lobe inférieur, ou
lobe
de la pyramide ; 4° Lobe inféro-interne, ou lob
es transversales ; 3° Lobe inférieur, ou lobe de la pyramide ; 4°
Lobe
inféro-interne, ou lobe de la luette ; 5° Lobe
Lobe inférieur, ou lobe de la pyramide ; 4° Lobe inféro-interne, ou
lobe
de la luette ; 5° Lobe inféro-anlérieur, ou lob
e la pyramide ; 4° Lobe inféro-interne, ou lobe de la luette ; 5°
Lobe
inféro-anlérieur, ou lobe du nodule. Les trois
inféro-interne, ou lobe de la luette ; 5° Lobe inféro-anlérieur, ou
lobe
du nodule. Les trois derniers lobes restent ind
; 5° Lobe inféro-anlérieur, ou lobe du nodule. Les trois derniers
lobes
restent indivis ; le lobe supérieur se frag- me
r, ou lobe du nodule. Les trois derniers lobes restent indivis ; le
lobe
supérieur se frag- mente en quatre lobes second
lobes restent indivis ; le lobe supérieur se frag- mente en quatre
lobes
secondaires, le lobe postérieur en deux, soit un
; le lobe supérieur se frag- mente en quatre lobes secondaires, le
lobe
postérieur en deux, soit un total de neuf lobes
obes secondaires, le lobe postérieur en deux, soit un total de neuf
lobes
inégaux de forme, d'aspect, de dimension et de vo
ci-contre, résume la classification embryologique du cer- velet en
lobes
primordiaux et lobes secondaires, les parties du
classification embryologique du cer- velet en lobes primordiaux et
lobes
secondaires, les parties du vermis et des hémis
es parties du vermis et des hémisphères appartenant à chacun de ces
lobes
ainsi que les sillons qui les séparent. A l'a
éristique, que présente la région du vermis dans chacun de ces cinq
lobes
primordiaux; 2° le mode d'agence- ment spécial
ion vermienne et dans la région hémisphérique (Fig. 335). Dans le
lobe
supérieur (LS), la région moyenne ou vermienne (V
cérébelleux moyen à l'autre, el éprouvent à peine de chaque côté du
lobe
médian une légère inllexion qui sert à délimite
inllexion qui sert à délimiter le vermis des hémisphères. Dans le
lobe
postérieur (LP), le développement du vermis (V) e
(V) est rudi- 1050 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Mode propre au
lobe
postérieur. Mode propre au lobes inférieurs.
NTRES NERVEUX. Mode propre au lobe postérieur. Mode propre au
lobes
inférieurs. Crêtes d'union des segments vermi
urs. Crêtes d'union des segments vermien et hémisphérique des
lobes
inférieurs. mentaire, celui des hémisphères (Il
directement avec celle du vermis, ainsi que cela s'observe dans le
lobe
supérieur, mais s'implantent sur une ou deux lame
plus profondes, situées au voisinage du pédicule d'in- sertion du
lobe
postérieur sur la substance blanche centrale
ectement avec celles de la région du vermis (Fig. 335). Les trois
lobes
inférieurs (LL) (lobe inférieur propre- ment
a région du vermis (Fig. 335). Les trois lobes inférieurs (LL) (
lobe
inférieur propre- ment dit, lobe inféro-interne
Les trois lobes inférieurs (LL) (lobe inférieur propre- ment dit,
lobe
inféro-interne, lobe inféro-autérieur) se dis-
urs (LL) (lobe inférieur propre- ment dit, lobe inféro-interne,
lobe
inféro-autérieur) se dis- tinguent du lobe supé
, lobe inféro-interne, lobe inféro-autérieur) se dis- tinguent du
lobe
supérieur et du lobe postérieur par l'in- dép
lobe inféro-autérieur) se dis- tinguent du lobe supérieur et du
lobe
postérieur par l'in- dépendance de leur partie
l'une et l'autre région comme celles de la région hémisphérique du
lobe
postérieur. Les lamelles hémisphériques s'impla
, à une lamelle commune plus ou moins oblique. Comme dans les trois
lobes
inférieurs, le vermis est toujours situé à une
t revêtue par l'écorce cérébelleuse (Fig. 31 ? ). La crête d'union du
lobe
Fic. 33 ? - .\lode d'agencement, des lamelles p
Fic. 33 ? - .\lode d'agencement, des lamelles propre aux différents
lobes
du cervelet. LS, lobe supérieur. - LP, lobe pos
cement, des lamelles propre aux différents lobes du cervelet. LS,
lobe
supérieur. - LP, lobe postérieur. - Ll, lobe in
ropre aux différents lobes du cervelet. LS, lobe supérieur. - LP,
lobe
postérieur. - Ll, lobe inférieur- ? région hémi
bes du cervelet. LS, lobe supérieur. - LP, lobe postérieur. - Ll,
lobe
inférieur- ? région hémisphérique. V, région ve
rique. V, région vermienne. - c, crête d'union qui relie dans les
lobes
inférieurs du cervelet la région vermienne à la
e. MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 451 inférieur proprement dit ou
lobe
de la pyramide (ailes de la pyramide) (.pic) es
lle est peu étendue dans le sens trans- versal. La crête d'union du
lobe
inféro-interne (Uv), plus mince el plus étendue
ormer le nid de pigeon ou d'hirondelle. Quant à la crête d'union du
lobe
inféro-antérieur (VT), elle se réduit à un minc
luette au flocculus. Si le mode d'agencement des lamelles des trois
lobes
inférieurs est le même, ces lobes diffèrent tou
agencement des lamelles des trois lobes inférieurs est le même, ces
lobes
diffèrent toutefois les uns des autres par l'élen
r l'élendue de la crête d'union qui est d'autant plus grande que le
lobe
est plus antérieur. I. LOBE SUPÉRIEUR OU LOBE
n qui est d'autant plus grande que le lobe est plus antérieur. I.
LOBE
SUPÉRIEUR OU LOBE DE LA MASSE PRINCIPALE DU VERMI
plus grande que le lobe est plus antérieur. I. LOBE SUPÉRIEUR OU
LOBE
DE LA MASSE PRINCIPALE DU VERMIS Le lobe supéri
ur. I. LOBE SUPÉRIEUR OU LOBE DE LA MASSE PRINCIPALE DU VERMIS Le
lobe
supérieur comprend la partie du cervelet située a
rière par le sillon supérieur de Vicq d'Azyr (ssV) qui le sépare du
lobe
postérieur, le lobe supérieur constitue un des lo
supérieur de Vicq d'Azyr (ssV) qui le sépare du lobe postérieur, le
lobe
supérieur constitue un des lobes les plus volumi-
ui le sépare du lobe postérieur, le lobe supérieur constitue un des
lobes
les plus volumi- neux du cervelet. Trois sillon
ent la substance blanche centrale du cervelet le divisent en quatre
lobes
secondaires; ce sonl, d'avant en arrière : 1° l
nt en quatre lobes secondaires; ce sonl, d'avant en arrière : 1° le
lobe
de la lingula, 2° le lobe central, 3° le lobe d
ires; ce sonl, d'avant en arrière : 1° le lobe de la lingula, 2° le
lobe
central, 3° le lobe du culmen, 4° le lobe du dé
nt en arrière : 1° le lobe de la lingula, 2° le lobe central, 3° le
lobe
du culmen, 4° le lobe du déclive. De même forme,
lobe de la lingula, 2° le lobe central, 3° le lobe du culmen, 4° le
lobe
du déclive. De même forme, mais de dimen- sions
ive. De même forme, mais de dimen- sions fort variables, ces quatre
lobes
secondaires sont tous disposés en croissanl, dé
x supérieurs. Cette fusion constitue un caractère commun à tous les
lobes
développés aux dépens de la masse principale du
s de la masse principale du vermis et les différencie nettement des
lobes
des régions inférieure et postérieure du cervelet
égions inférieure et postérieure du cervelet. Sillons principaux du
lobe
supérieur. - Les sillons qui limitent ces quatr
principaux du lobe supérieur. - Les sillons qui limitent ces quatre
lobes
secondaires sont le sillon précentral, le sillon
un d'être concentriques à l'échancrure semi-lunaire, de se terminer
Lobe
supérieur. Limites. Lobes secondai'es Leurs
chancrure semi-lunaire, de se terminer Lobe supérieur. Limites.
Lobes
secondai'es Leurs caractère communs. Sillon
Sillons limitant 4M ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fig. 336. Les
lobes
primordiaux et les secondaires du vermis : lingul
g. 336. Les lobes primordiaux et les secondaires du vermis : lingula,
lobe
central, culmen, déclive, bourgeon, terminal (B
rhombencéphale passant par le plan sagittal médian du cervelet. Le
lobe
supérieur est coloré en bleu, le lobe postérieu
sagittal médian du cervelet. Le lobe supérieur est coloré en bleu, le
lobe
postérieur en rose, les lobes inférieur, inféro
lobe supérieur est coloré en bleu, le lobe postérieur en rose, les
lobes
inférieur, inféro-interne et inféro-antérieur en
précentral est le moins profond et le plus antérieur; il sépare le
lobe
de la lingula du lobe central (Fig. 336) et devie
ns profond et le plus antérieur; il sépare le lobe de la lingula du
lobe
central (Fig. 336) et devient rapidement superf
nt superficiel sur ses parties latérales, où il sépare les ailes du
lobe
central des freins de la lingula. Il se termine
es tubercules quadrijumeaux. Le sillon post-central (spo) sépare le
lobe
central du lobe du culmen; comme le sillon préc
adrijumeaux. Le sillon post-central (spo) sépare le lobe central du
lobe
du culmen; comme le sillon précédent, il devien
alement la masse blanche centrale du vermis (Fig. 336) et sépare le
lobe
central de la branche verticale de l'arbre de vie
de vie du vermis. Dans quelques cas, sa profondeur est moindre, le
lobe
central s'implante dans ces cas sur la branche
cale de l'arbre de vie médian et semble n'être qu'une dépendance du
lobe
dn culmen. Le sillon transverse antérieur ou si
préclival (sta) est le sillon le plus profond et le plus étendu du
lobe
supérieur. Il entaille profondément le monticul
endu du lobe supérieur. Il entaille profondément le monticule et le
lobe
quadrilatère, sépare le lobe du culmen du lobe du
taille profondément le monticule et le lobe quadrilatère, sépare le
lobe
du culmen du lobe du déclive, décrit une courbe
t le monticule et le lobe quadrilatère, sépare le lobe du culmen du
lobe
du déclive, décrit une courbe à convexité posté
ionnellement superficiels. Ils se portent de la face postérieure du
lobe
du culmen à la face antérieure du lobe du décli
nt de la face postérieure du lobe du culmen à la face antérieure du
lobe
du déclive et représentent de véritables lobules
s de passage profonds de l'écorce cérébrale. Loues secondaires. Ces
lobes
, au nombre de quatre, sont : le lobe de la ling
brale. Loues secondaires. Ces lobes, au nombre de quatre, sont : le
lobe
de la lingula, le lobe central, le lobe du culm
s. Ces lobes, au nombre de quatre, sont : le lobe de la lingula, le
lobe
central, le lobe du culmen et le lobe du déclive.
nombre de quatre, sont : le lobe de la lingula, le lobe central, le
lobe
du culmen et le lobe du déclive. I. Lobe de la
t : le lobe de la lingula, le lobe central, le lobe du culmen et le
lobe
du déclive. I. Lobe de la lingula : lingula (Li
ngula, le lobe central, le lobe du culmen et le lobe du déclive. I.
Lobe
de la lingula : lingula (Lig) et freins de la lin
ula (Lig) et freins de la lingula (Lig') (Fig. 334, 336 et 337). Le
lobe
de la lingula est profondément situé dans l'éch
recouvre à sa base. Pour l'apercevoir il faut ou bien renverser le
lobe
supérieur en arrière, ou enlever à l'aide de cise
térieur. Sa profondeur. Les lames qui ta pissent ses I(` l'CS
Lobe
de la lingula 15r ANAiTOMIE DES CENTRES NERVEUX
), ou encore pratiquer une coupe sagittale médiane (Fig. 336). Le
lobe
de la lingula se présente alors sous l'aspect d'u
). Le lobe de la lingula se présente alors sous l'aspect d'un petit
lobe
triangulaire qui mesure sur la ligne médiane, d
lée, appliquée sur la valvulc de Vieussens (Fig. 336). La base du
lobe
de la lingula se continue avec le lobe central, s
ssens (Fig. 336). La base du lobe de la lingula se continue avec le
lobe
central, s'im- plante sur la masse blanche cent
oyen, auxquels la lingula envoie un certain nombre de fibres. II.
Lobe
central : lobule central et ailes du lobule centr
es du lobule central. (Fig. 336, 33 i, 339). Plus volumineux que le
lobe
de la lingula en arrière duquel il est situé et
de la lingula en arrière duquel il est situé et qu'il surplombe, le
lobe
central occupe le fond de l'échancrure semi-lun
n'apparaît généralement pas à la face supé- rieure du cervelet. Le
lobe
central est en effet recouvert dans presque tou
n effet recouvert dans presque toute son étendue parle culmen et le
lobe
quadrilatère antérieur, aussi faut-il enlever c
culmen et le lobe quadrilatère antérieur, aussi faut-il enlever ce
lobe
ou rejeter le monticule en arrière pour l'aper-
er le monticule en arrière pour l'aper- cevoir. Ainsi préparé, le
lobe
central forme un petit lobe allongé, aplati, cur-
our l'aper- cevoir. Ainsi préparé, le lobe central forme un petit
lobe
allongé, aplati, cur- viligne, plus épais et pl
, plus étendue que l'antérieure (Fig. 336), est recou- verte par le
lobe
du culmen dont la sépare le sillon post-central.
he légère qui sert de limite aux ailes ou parties hémisphériques du
lobe
central (Fig. 334, 339). La base d'implantati
ues du lobe central (Fig. 334, 339). La base d'implantation de ce
lobe
est étroite; elle est située dans la région du
te base d'implantation des freins de la lingula et la large base du
lobe
quadrilatère antérieur (Fig. 358). Les faces an
. 358). Les faces antérieure et postérieure et le bord supérieur du
lobe
central sont tapissés de lames et de lamelles d
des variétés individuelles. Tantôt ces Sa base d'imld,m tation.
Lobe
central. Ailes du lobe cen- tral. Rapports.
s. Tantôt ces Sa base d'imld,m tation. Lobe central. Ailes du
lobe
cen- tral. Rapports. Base d'implanta- tio
melles sont nettement transversales, parcourent toute la largeur du
lobe
et s'implantent soit directement, soit par l'inte
ailes. Ce sont en général les lamelles de la face antérieure de ce
lobe
qui sont les plus étendues, celles de la face p
arsupiale. - esl, échancrure semi-lunaire. - le, lame cornée. - LP,
lobe
postérieur. - 7..f/p, lobe qua- drilatère posté
ure semi-lunaire. - le, lame cornée. - LP, lobe postérieur. - 7..f/p,
lobe
qua- drilatère postérieur. - LS, lobe supérieur
P, lobe postérieur. - 7..f/p, lobe qua- drilatère postérieur. - LS,
lobe
supérieur. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. L
.f/p, lobe qua- drilatère postérieur. - LS, lobe supérieur. - Lsli,
lobe
semi-lunaire inférieur. Lsls, lobe semi-lunaire
r. - LS, lobe supérieur. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. Lsls,
lobe
semi-lunaire supérieur. - NC, noyau caudé. - Qa,
ecine de la Salpêtrière MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 457 III. -
Lobe
du culmen : culmen(V, Cu) et lobe quadriltère ant
GIE DU RHOMBENCÉPHALE. 457 III. - Lobe du culmen : culmen(V, Cu) et
lobe
quadriltère anté- rieur (Lqa). (Fig. 338, 339,
re anté- rieur (Lqa). (Fig. 338, 339, 336, 3u.2, 358, 359, 360.) Ce
lobe
occupe, comme son nom l'indique, la partie la p
l'indique, la partie la plus élevée du vermis. Situé en arrière du
lobe
central, en avant du lobe du déclive, il atteint
lus élevée du vermis. Situé en arrière du lobe central, en avant du
lobe
du déclive, il atteint de chaque côté le tiers
ers antérieur du sillon marginal antérieur et se distingue des deux
lobes
précédents par ses dimensions plus considérables
, et deux masses latérales ou hémisphériques connues sous le nom de
lobe
quadrilatère an- térieur, de parlie antérieure
us le nom de lobe quadrilatère an- térieur, de parlie antérieure du
lobe
quadrilatère. De largeur égale dans presque tou
e quadrilatère. De largeur égale dans presque toute son étendue, ce
lobe
présente trois faces qui sont anlérieure, posté
e anlérieure est tapissée de lames et de lamelles; elle recouvre le
lobe
central et quelquefois les pédoncules cérébelleux
ral et quelquefois les pédoncules cérébelleux supérieurs lorsque le
lobe
central n'apparaît pas à la face supérieure du ce
obules profonds se jettent en effet soit sur la face postérieure du
lobe
du culmen, soit sur la face antérieure du lobe
face postérieure du lobe du culmen, soit sur la face antérieure du
lobe
du déclive, et représentent, ainsi que nous l'a
quatre ou cinq lobules secondaires dont l'épaisseur égale celle du
lobe
central et qui occupent généralement, mais pas né
lle unique qui se jolie sur la face postérieure de l'aile gauche du
lobe
central. Le 3° lobule (3,3) ne présente pas de
tite partie du vermis, se rétrécit au niveau du sillon longitudinal
Lobe
du culmen. Forme, dimension, aspect. Ses fa
t lous deux le sillon mar- ginal antérieur gauche. Fie. 339. - Le
lobe
supérieur du cervelet, ses lobes et lobules secon
al antérieur gauche. Fie. 339. - Le lobe supérieur du cervelet, ses
lobes
et lobules secondaires et le sillon supérieur d
les sillons interlo- baires et interlobulaires ont été écartés. Le
lobe
supérieur est coloré en bleu, le lobe postérieu
rlobulaires ont été écartés. Le lobe supérieur est coloré en bleu, le
lobe
postérieur en rose. 13t, bourgeon terminal. -
- em, échancrure marsupiale. - esl, échancrure semi-lunaire. - Le,
lobe
central. - Lqa, lobe quadrilatère antérieur et se
supiale. - esl, échancrure semi-lunaire. - Le, lobe central. - Lqa,
lobe
quadrilatère antérieur et ses cinq lobules seco
antérieur et ses cinq lobules secondaires (1, 2, 3, zu, 5). - Lyp,
lobe
quadrilatère postérieur, et ses 4 lobules secon-
re postérieur, et ses 4 lobules secon- daires (1, 2, 3, 4). - Lsli,
lobe
semi-lunaire inférieur. - Lsls, lobe semi-lunaire
- daires (1, 2, 3, 4). - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. - Lsls,
lobe
semi-lunaire supé- rieur. - pp, pédicule de la
on lobule profond. - sla, sillon transverse anté- rieur séparant le
lobe
du culmen, du lobe du déclive. I'(Cîj), culmen du
- sla, sillon transverse anté- rieur séparant le lobe du culmen, du
lobe
du déclive. I'(Cîj), culmen du monticule. V(rlc
es parties hémisphériques. A droite, il occupe toute la longueur du
lobe
quadrilatère antérieur, s'enfonce dans la profond
ndividuelles de ces lobules secondaires. Malgré cette asymétrie, le
lobe
du culmen présente toutefois un aspect général et
généralement compensée par un dédoublement du lobule suivant. Le
lobe
du culmen présente une base d'implantation, étroi
e, et il résulte de cette disposition que la base d'implantation du
lobe
quadrilatère antérieur sera d'autant plus large q
ment compte de cette disposition (Fig. 336, 358, 359, 360). IV. -
Lobe
du déclive (V,dc) : déclive et lobe quadrilatère
g. 336, 358, 359, 360). IV. - Lobe du déclive (V,dc) : déclive et
lobe
quadrilatère postérieur (Lqp). - (Fig. 338, 339
. 338, 339, 340, 341, 342, 336, 358, 359, 360). Situé en arrière du
lobe
précédent, en avant du sillon supérieur de Vicq
édent, en avant du sillon supérieur de Vicq d'Azyr qui le sépare du
lobe
postérieur, le lobe du déclive représente une s
illon supérieur de Vicq d'Azyr qui le sépare du lobe postérieur, le
lobe
du déclive représente une sorte de lobe de tran
pare du lobe postérieur, le lobe du déclive représente une sorte de
lobe
de transition qui emprunte ses caractères et son
on qui emprunte ses caractères et son aspect gé- néral à la fois au
lobe
supérieur et au lobe postérieur du cervelet. Par
aractères et son aspect gé- néral à la fois au lobe supérieur et au
lobe
postérieur du cervelet. Par la fusion de son ve
de son vermis dans toute son étendue à la partie hémisphérique, ce
lobe
appartient bien au lobe supérieur du cervelet, ma
e son étendue à la partie hémisphérique, ce lobe appartient bien au
lobe
supérieur du cervelet, mais le vermis ne forme
supérieur du cervelet, mais le vermis ne forme plus, comme pour le
lobe
du culmen, le lobe central et le lobe de la lin
let, mais le vermis ne forme plus, comme pour le lobe du culmen, le
lobe
central et le lobe de la lingula, le point le p
ne forme plus, comme pour le lobe du culmen, le lobe central et le
lobe
de la lingula, le point le plus saillant, le pl
le point le plus saillant, le plus convexe et le plus postérieur du
lobe
. Les parties hémisphériques le débordent un peu e
ne, qui représente à peu près la moitié posté- rieure du vermis, ce
lobe
forme le déclive, la pente ou revers du monticule
e ou revers du monticule; ses parties hémisphériques constituent le
lobe
quadrilatère postérieur ou la parlie postérieur
tituent le lobe quadrilatère postérieur ou la parlie postérieure du
lobe
quadrilatère. Dans la classification des anciens
lobe quadrilatère. Dans la classification des anciens auteurs, les
lobes
du culmen et du déclive formaient le lobe du mont
des anciens auteurs, les lobes du culmen et du déclive formaient le
lobe
du monticule dans la région du vermis, el le lo
live formaient le lobe du monticule dans la région du vermis, el le
lobe
quadrilatère dans la région hémi- sphérique.
tation et la branche \ erticale de l'arbre de 'le du permis.
Lobe
du déclive Forme, dimension, aspect caractcrb
tion et branche hori- zontale de l'arbre de vie du vermis. Le
lobe
du déclive présente comme le lobe du culmen une f
de l'arbre de vie du vermis. Le lobe du déclive présente comme le
lobe
du culmen une face anté- rieure concave, une fa
ermis et se continuent avec les lames de la partie hémisphérique du
lobe
. La face supérieure est irrégulière de forme. D
he. Les lobules postérieurs ne s'étendent pas à toute la surface du
lobe
et sont d'autant plus petits qu'ils sont plus p
lr-r, pour former les lamelles et lobules de la face postérieure du
lobe
du dé- clive. Cette face est en effet tapissée
vité anlé- rieure et inférieure (Fig. 311), puis se ,jettent sur le
lobe
postérieur et représentent de véritables plis d
représentent de véritables plis de passage profonds qui relient le
lobe
supé- rieur au lobe postérieur du cervelet. Les
itables plis de passage profonds qui relient le lobe supé- rieur au
lobe
postérieur du cervelet. Les externes, plus longs,
des deux ou trois lobules de la partie postérieure de la surface du
lobe
du déclive. Les lamelles de ces lobules seconda
h) de l'arbre de vie médian (Fig. 336). La base d'inser- tion de ce
lobe
est large dans la région du vermis; elle diminue
mporte en d'autres termes en sens inverse de la base d'insertion du
lobe
du culmen, laquelle, étroite dans la région du
voisinage du sillon marginal antérieur (Fig. 358, 359, 360). II.
LOBE
POSTÉRIEUR OU LOBE DES LAMES TRANSVERSALES Le l
lon marginal antérieur (Fig. 358, 359, 360). II. LOBE POSTÉRIEUR OU
LOBE
DES LAMES TRANSVERSALES Le lobe postérieur occu
359, 360). II. LOBE POSTÉRIEUR OU LOBE DES LAMES TRANSVERSALES Le
lobe
postérieur occupe le cinquième postérieur de la f
t la moitié postérieure de la face inférieure du cervelet. C'est un
lobe
volumineux, remarquable par l'exiguïté de sa part
développement considérable de ses parties hémisphériques. Séparé du
lobe
supérieur par le sillon supérieur de Vicq d'Azyr
du lobe supérieur par le sillon supérieur de Vicq d'Azyr (ssV), le
lobe
postérieur est limité en avant parle sillon post-
us superficiel dans la région des hémisphères, sillon qui sépare le
lobe
postérieur du lobe inférieur. Deux profonds sil
la région des hémisphères, sillon qui sépare le lobe postérieur du
lobe
inférieur. Deux profonds sillons, le grand sill
- em, échancrure marsupiale. - esl, échancrure semi-lunaire - Lqa,
lobe
quadrilatère antérieur. - Lqp, lobe quadrilatère
échancrure semi-lunaire - Lqa, lobe quadrilatère antérieur. - Lqp,
lobe
quadrilatère postérieur. - LI', lobe posté- rie
e quadrilatère antérieur. - Lqp, lobe quadrilatère postérieur. - LI',
lobe
posté- rieur. - LS, lobe supérieur. - 7,su, lob
Lqp, lobe quadrilatère postérieur. - LI', lobe posté- rieur. - LS,
lobe
supérieur. - 7,su, lobe semi-lunaire inférieur. -
postérieur. - LI', lobe posté- rieur. - LS, lobe supérieur. - 7,su,
lobe
semi-lunaire inférieur. - Lsls, lobe semi-lunaire
r. - LS, lobe supérieur. - 7,su, lobe semi-lunaire inférieur. - Lsls,
lobe
semi-lunaire supérieur. - sef, grand sillon cir
u), culmen du vermis supérieur. V(dc), déclive du vermis supérieur.
Lobe
postérieur. Dimensions. Limites. 462 ANATOM
onno. Bonrgpon termi- nal. Tubercule vah u- laire Les deux
lobes
secondaires. Sillon supérieur do Vicq d'.lr
q d'.lryr. Sa profondeur, son aspect. sphérique en trois grands
lobes
qui sont : le lobe semi-lunaire supérieur, le l
ondeur, son aspect. sphérique en trois grands lobes qui sont : le
lobe
semi-lunaire supérieur, le lobe semi-lunaire in
en trois grands lobes qui sont : le lobe semi-lunaire supérieur, le
lobe
semi-lunaire inférieur et le lobe grêle. Dans l
e lobe semi-lunaire supérieur, le lobe semi-lunaire inférieur et le
lobe
grêle. Dans la région du vermis,lc lobe postéri
emi-lunaire inférieur et le lobe grêle. Dans la région du vermis,lc
lobe
postérieur se réduit parfois à un petit lobule
t forme la lèvre supérieure du profond sillon post-pyramidal. Les
lobes
semi-lunaires supérieurs sont réunis dans la régi
sont réunis dans la région du verrais par le folium cacuminis; les
lobes
semi-lunaires inférieurs, par le tubercule valv
es semi-lunaires inférieurs, par le tubercule valvulaire. Quant aux
lobes
grêles, ils n'ont généralement pas de repré- se
issent le fond du sillon post-pyramidal. On peul donc considérer au
lobe
postérieur deux lobes secondaires : 1° Le lobe
lon post-pyramidal. On peul donc considérer au lobe postérieur deux
lobes
secondaires : 1° Le lobe du bourgeon terminal o
l donc considérer au lobe postérieur deux lobes secondaires : 1° Le
lobe
du bourgeon terminal ou des lames transversales s
s transversales supérieures. comprenant le bourgeon terminal et les
lobes
semi-lunaires supérieurs; 2° Le lobe du tubercu
t le bourgeon terminal et les lobes semi-lunaires supérieurs; 2° Le
lobe
du tubercule valvulaire ou des lames transversale
ercule postérieur el dont les par- ties hémisphériques forment : le
lobe
semi-lunaire inférieur et le lobe grêle. Avan
ties hémisphériques forment : le lobe semi-lunaire inférieur et le
lobe
grêle. Avant de procéder à leur élude, nous p
illon supëro-posléricur, de sillon posl-clical (Schafer), sépare le
lobe
supérieur du lobe postérieur. Superficiel dans la
ricur, de sillon posl-clical (Schafer), sépare le lobe supérieur du
lobe
postérieur. Superficiel dans la région du vermi
s la région des hémisphères, grâce au développement considérable du
lobe
postérieur en arrière; en dehors, il atteint le s
ig. 338). Les lamelles de sa lèvre antérieure, qui appartiennent au
lobe
déclive, s'enfoncent en effet obliquement dans la
érieures. Les lamelles de sa lèvre postérieure qui appartiennent au
lobe
semi-lunaire supérieur sonl, par contre, transv
cf)'(ri ? 310,31.` ? , 3t3) (Sulcus horiionlalis magnus) sépare les
lobes
de la face supérieure du cervelet de ceux de la
ure du cervelet de ceux de la face inférieure, et en particulier le
lobe
semi- lunaire supérieur (Lsls) du lobe semi-lun
rieure, et en particulier le lobe semi- lunaire supérieur (Lsls) du
lobe
semi-lunaire ini'éricnr(Lsli). C'csUe sillon le
celle des Fig. 339, 3'rl, 313, 314. 131, bourgeon terminal. - LP,
lobe
postérieur. - 11), lobule profond du sillon supér
ur. - 11), lobule profond du sillon supérieur de Vicq d'Azyr.- Lqa,
lobe
quadrilatère antérieur. - Ggp, lohe quadrilatère
quadrilatère antérieur. - Ggp, lohe quadrilatère postérieur. - LS,
lobe
supérieur. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. -
- Ggp, lohe quadrilatère postérieur. - LS, lobe supérieur. - Lsli,
lobe
semi-lunaire inférieur. - Lsls, lobe semi-lunaire
- LS, lobe supérieur. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. - Lsls,
lobe
semi-lunaire supé- rieur. - sef, grand sillon c
ce sillon. Une mince lamelle profonde, qui unit en dehors les deux
lobes
semi-lunaires, le sépare du pédoncule cérébelleux
laire (Fig. 341). Fig. 342. - Face latérale du rhombencéphale : les
lobes
semi-lunaires supérieur et inférieur, le grand
crure semi-lunaire. - Floc, flocculus ou lobule du nerf vague. - Ldg,
lobe
digastrique. - Lgr, lobe grêle. - Lqa, lobe qua
flocculus ou lobule du nerf vague. - Ldg, lobe digastrique. - Lgr,
lobe
grêle. - Lqa, lobe quadrilatère antérieur. -Lqp,
e du nerf vague. - Ldg, lobe digastrique. - Lgr, lobe grêle. - Lqa,
lobe
quadrilatère antérieur. -Lqp, lobe quadrilatère p
rique. - Lgr, lobe grêle. - Lqa, lobe quadrilatère antérieur. -Lqp,
lobe
quadrilatère postérieur. - Lsli, lobe semi-luna
quadrilatère antérieur. -Lqp, lobe quadrilatère postérieur. - Lsli,
lobe
semi-lunaire inférieur.-Lsls, lobe semi-lunaire s
quadrilatère postérieur. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur.-Lsls,
lobe
semi-lunaire supérieur. - P, pied du pédon- cul
dehors, qui appartient aux hémisphères du cervelet et qui sépare le
lobe
semi-lunaire inférieur (Lsli) du lobe grèle (Lbr)
du cervelet et qui sépare le lobe semi-lunaire inférieur (Lsli) du
lobe
grèle (Lbr). Il se con- tinue en dedans avec le
n dedans avec le profond sillon post-pyramidal (spop) qui sépare le
lobe
postérieur du lobe inférieur, et en particulier l
ofond sillon post-pyramidal (spop) qui sépare le lobe postérieur du
lobe
inférieur, et en particulier le tubercule valvula
ieur est souvent tapissé de plis de passage profonds qui relient le
lobe
semi-lunaire inférieur au lobe grêle. 1. Lobe d
s de passage profonds qui relient le lobe semi-lunaire inférieur au
lobe
grêle. 1. Lobe du bourgeon terminal ou lobe des
ofonds qui relient le lobe semi-lunaire inférieur au lobe grêle. 1.
Lobe
du bourgeon terminal ou lobe des lames transver-
mi-lunaire inférieur au lobe grêle. 1. Lobe du bourgeon terminal ou
lobe
des lames transver- sales supérieures. - Bourge
des lames transver- sales supérieures. - Bourgeon terminal (13t) et
lobe
semi- lunaire supérieur (Lsls). Le lobe du bour
Bourgeon terminal (13t) et lobe semi- lunaire supérieur (Lsls). Le
lobe
du bourgeon terminal constitue une masse excess
on terminal ou folium cacuminis. Dans la région des hémisphères, le
lobe
du bourgeon terminal forme l'important lobe sem
ion des hémisphères, le lobe du bourgeon terminal forme l'important
lobe
semi-lunaire supérieur (Lsls), mince en dedans,
e en dedans, épais en dehors, et qui comprend comme tous les autres
lobes
hémisphé- riques une face superficielle et deux
té- TOMK il. 30 Fic. 343. - Le grand sillon circonférentiel et le
lobe
des lames transversales d'Arnold. (D'après la p
e celles des Fig. 339, 31, 344.) 131, bourgeon terminal. - f.r¡p,
lobe
quadrilatère postérieur. - Lsli, lobe semi-lunair
31, bourgeon terminal. - f.r¡p, lobe quadrilatère postérieur. - Lsli,
lobe
semi-lunaire inférieur. - Lsls, lobe semi-lunai
adrilatère postérieur. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. - Lsls,
lobe
semi-lunaire supérieur.-Li, lobe des lames transv
be semi-lunaire inférieur. - Lsls, lobe semi-lunaire supérieur.-Li,
lobe
des lames transversales d'Arnold. - sc ? grand
mis supérieur. Sillon inférieur do Vicq d'.\zyr. Son étendue.
Lobe
du bourgeon terminal. : : Son aspect, ses dim
es et lobules secondaires. Plis de passage profond reliant le
lobes
semi-lunaire; supérieur et mfc- rieur. Lame
e de concen- tration commune de la région hémil'hé- rique de ce
lobe
Lobe du tubercul valvulaire. rieure ell'aut
ncen- tration commune de la région hémil'hé- rique de ce lobe
Lobe
du tubercul valvulaire. rieure ell'autre infé
rcul valvulaire. rieure ell'autre inférieure, en contact avec les
lobes
secondaires adjacents. La face superficielle es
ules qui sillonnent les faces supéro-antérieure et pos- térieure du
lobe
semi-lunaire supérieur ont comme caractère commun
lus anté- rieurs se portent obliquement en bas et se jettent sur le
lobe
semi-lunaire inférieur, formant ainsi des plis
si des plis et des lobules de passage profonds qui relient les deux
lobes
semi-lunaires d'un même hémisphère. On compte e
lobules des faces postérieure, supéro-antérieure et infé- rieure du
lobe
semi-lunaire supérieur, se fusionnent en dedans e
mode d'insertion des lamelles cérébelleuses est caractéristique des
lobes
des faces postérieure et inférieure du cervelet e
la région vermienne de la région hémisphérique. Elle fait défaut au
lobe
supérieur où les lames des hémisphères se conti
et où les sillons longitudinaux supérieurs sont insignifiants. , 2.
Lobe
du tubercule valvulaire, ou lobe des lames trans-
upérieurs sont insignifiants. , 2. Lobe du tubercule valvulaire, ou
lobe
des lames trans- versales inférieures : tubercu
des lames trans- versales inférieures : tubercule valvulaire (Tv),
lobe
semi- lunaire inférieur (Lsli) et lobe grêle (L
: tubercule valvulaire (Tv), lobe semi- lunaire inférieur (Lsli) et
lobe
grêle (Lgr). - Le lobe du tubercule Bibliothèqu
(Tv), lobe semi- lunaire inférieur (Lsli) et lobe grêle (Lgr). - Le
lobe
du tubercule Bibliothèque des Internes en Méd
trière MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 467 valvulaire constitue un
lobe
considérable, compris entre le grand sillon cir
nférentiel de Vicq d'Azyr (scf) et le sillon post-pyramidal (spup),
lobe
qui comporte dans la région hémisphérique les deu
les sujets. Le tubercule valvulaire ou partie vermienne de ce grand
lobe
se fusionne ou non avec la partie vermienne du
nne de ce grand lobe se fusionne ou non avec la partie vermienne du
lobe
précédent, c'est-à-dire avec le bourgeon termin
, c'est-à-dire avec le bourgeon terminal. Fusionnés (Fig. 313), ces
lobes
forment une petite masse que l'on peut désigner
obes forment une petite masse que l'on peut désigner sous le nom de
lobes
des lames trazzsvez·- sales d'Arnold, remarquab
ntale de l'arbre de vie médian (Fig. 336, p. 452). Lorsque les deux
lobes
sont indépendants et que le grand sillon circon
egment hémisphérique en deux parties, donl l'antérieur constitue le
lobe
grêle, el le postérieur le lobe semi-lunaire in(é
ties, donl l'antérieur constitue le lobe grêle, el le postérieur le
lobe
semi-lunaire in(é- rieur. Le lobe semi-lunair
lobe grêle, el le postérieur le lobe semi-lunaire in(é- rieur. Le
lobe
semi-lunaire inférieur (Lsli), à l'inverse du lob
n(é- rieur. Le lobe semi-lunaire inférieur (Lsli), à l'inverse du
lobe
semi-lunaire supérieur, est large el épais en d
de Vicq d'Azyr (Fig. 313); une face antérieure, en contact avec le
lobe
grêle, auquel elle est unie par de nombreuses l
perficielle qui pré- sente la forme semi-lunaire caractéristique du
lobe
. Un sillon interlobulaire profond, que l'on peu
e. Étendue de sa face inférieure. Segment Lénti- sphérique.
Lobe
semi-lunaire inférieur. Son aspect. 468 ANA
nd deux à trois lobules qui ne s'étendent pas à toute la largeur du
lobe
semi- lunaire inférieur (Lsli), s'amincissent e
de couteau, qui se jette en dehors sur la partie correspondante du
lobe
semi-lunaire supérieur (Fig. 343, côté gauche).
de concentration unique qui s'implante par un court pédicule sur le
lobe
semi-lunaire supérieur ou qui se continue avec
vermis inférieur et la mem- brane obturatrice du 4e ventricule. Le
lobe
postérieur est coloré en rose, les lobes inféri
uratrice du 4e ventricule. Le lobe postérieur est coloré en rose, les
lobes
inférieur, inféro-interne et inféro-antérieur e
erminal. - Floc, flocculus. - pFloc, pédoncule du flocculus. - Lcl,
lobe
digastrique. - Lgr, lobe grêle. - Lsli, lobe semi
s. - pFloc, pédoncule du flocculus. - Lcl, lobe digastrique. - Lgr,
lobe
grêle. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. - L
e du flocculus. - Lcl, lobe digastrique. - Lgr, lobe grêle. - Lsli,
lobe
semi-lunaire inférieur. - Lsls, lobe semi-lunai
ue. - Lgr, lobe grêle. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. - Lsls,
lobe
semi-lunaire supérieur. - Ma, trou de Magendie. -
ÉPHALE. 469 rieure du tubercule valvulaire. La partie antérieure du
lobe
semi-lunaire inférieur (Fig. 344, 2, 2) compren
u voisinage du sillon marginal antérieur à la partie postérieure du
lobe
grêle; en dedans, ils se continuent avec les lame
férieurs droit et gauche. La disposition de la partie antérieure du
lobe
semi-lunaire est en général constante ; il n'en
de Vicq d'Azyr au sillon semi-lunaire (Fig. 313, côté gauche). Le
lobe
grêle (Lgr), plus petit que le lobe semi-lunaire
e (Fig. 313, côté gauche). Le lobe grêle (Lgr), plus petit que le
lobe
semi-lunaire inférieur, en avant duquel il est
a lèvre inférieure. Un sillon intcr-lobulaire profond, le sillon du
lobe
grêle (sgr, Fig.3H.) (sulcus gracilis, sulcus i
elles parallèles. En dedans, les lamelles des segments dédoublés du
lobe
grêle s'implantcnt sur deux lamelles communes qui
les expansions latérales ou ailes de la pyramide du vermis. III.
LOBE
INFÉRIEUR OU LOBE DE LA PYRAMIDE '. PYRAMIDE ET
latérales ou ailes de la pyramide du vermis. III. LOBE INFÉRIEUR OU
LOBE
DE LA PYRAMIDE '. PYRAMIDE ET LOBE DIGASTR1QUE
vermis. III. LOBE INFÉRIEUR OU LOBE DE LA PYRAMIDE '. PYRAMIDE ET
LOBE
DIGASTR1QUE Le lobe inférieur, situé en avant d
FÉRIEUR OU LOBE DE LA PYRAMIDE '. PYRAMIDE ET LOBE DIGASTR1QUE Le
lobe
inférieur, situé en avant du lobe postérieur, est
PYRAMIDE ET LOBE DIGASTR1QUE Le lobe inférieur, situé en avant du
lobe
postérieur, est très réduit de vo- lume lorsqu'
be postérieur, est très réduit de vo- lume lorsqu'on le compare aux
lobes
postérieur ou supérieur du cervelet; mais, au p
mais, au pointde vuc embryologique, il est équivalent à chacun de ces
lobes
. Il comprend, dans la région du vermis, la pyra
a pyramide de Malacarne (Pyc), et, dans la région hémisphérique, le
lobe
digastrique (Ldg) ou cunéiforme. Considéré dans
be digastrique (Ldg) ou cunéiforme. Considéré dans son ensemble, le
lobe
inférieur affecte la forme d'un fer à cheval, i
e lobe inférieur affecte la forme d'un fer à cheval, inclus dans le
lobe
postérieur; les branches sont situées en arrièr
profonds sillons, les sillons post et pré-pyramidaux délimitent ce
lobe
et le séparent du lobe postérieur et du lobe infé
sillons post et pré-pyramidaux délimitent ce lobe et le séparent du
lobe
postérieur et du lobe inféro-interne ou uvulo-
ramidaux délimitent ce lobe et le séparent du lobe postérieur et du
lobe
inféro-interne ou uvulo- amygdalicn. Segment
e inféro-interne ou uvulo- amygdalicn. Segment I anté- rieur.
Lobe
gt.élc. Dimension et as- pect. Sillon du lo
anté- rieur. Lobe gt.élc. Dimension et as- pect. Sillon du
lobe
grêle. Lobe inférieur. Itomologf em- bryo
Lobe gt.élc. Dimension et as- pect. Sillon du lobe grêle.
Lobe
inférieur. Itomologf em- bryologiqno. i/70
men- sion. Ailes de la pyra- mide. Hase d'implanta- tion.
Lobe
digastrique. Le sillon post-pyramidal (spop) es
pare la pyramide du tubercule valvulaire et de la partie interne du
lobe
semi-lunaire inférieur (Fig. 336, 344). Il reçoit
té interne du sillon inférieur de Vicq d'Azyr (siV) et du sillon du
lobe
grêle (sgr), se dirige de chaque côté obliqueme
liquement en avant et en dehors, sépare les ailes de la pyramide du
lobe
grêle, puis ce dernier du lobe digastrique, et at
, sépare les ailes de la pyramide du lobe grêle, puis ce dernier du
lobe
digastrique, et atteint le sillon mar- ginal an
décrit de chaque côté une courbe à concavité interne qui sépare le
lobe
digastrique de l'amygdale (Fig. 344 345); sa pa
pyramidal que par la mince crête verticale qui unit la pyramide au
lobe
digastrique. La pyramide (Pyc, Fig. 332, 336,
8 et 410 à 414) (pyra- mide lumineuse cle Malacarne) forme un petit
lobe
piriforme dirigé obli- quement en arrière et en
ce blanche centrale du vermis (Fig. 336). La pyramide est reliée au
lobe
digastrique par une mince crête d'union (cPyc)
en arrière de l'amygdale (Amg), en avant de l'extrémité interne du
lobe
grêle (Lgr). Pour l'apercevoir, il faut donc enle
ne coupe sagittale en dehors de la pyramide (Fig. 414 et 1 3). Le
lobe
digastrique (Ldg) (Fig. 333, 334, 344, 345) (lobe
. 414 et 1 3). Le lobe digastrique (Ldg) (Fig. 333, 334, 344, 345) (
lobe
inférieur et MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 471
(lobe inférieur et MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 471 antérieur,
lobe
cunéiforme, lobe bivenler) est un lobe irrégulièr
et MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 471 antérieur, lobe cunéiforme,
lobe
bivenler) est un lobe irrégulièrement triangula
OMBENCÉPHALE. 471 antérieur, lobe cunéiforme, lobe bivenler) est un
lobe
irrégulièrement triangulaire situé en dehors de
de l'amygdale (Amg), en arrière du floccu- lus (Floc), en dedans du
lobe
grêle (Lgr). Son sommet est dirigé en arrière e
rt n'est pas constant et varie ' avec les dimensions respectives du
lobe
digastrique et du flocculus. Les faces du lobe
sions respectives du lobe digastrique et du flocculus. Les faces du
lobe
digastrique sont inférieure, interne et exleme.
es. Un de ces sillons peut devenir quelquefois assez profond, et le
lobe
digastrique comprend dans ces cas trois lobules
cas trois lobules imbriqués de dedans en dehors. La face exlerne du
lobe
digastrique est régulièrement convexe, tapissée
convexe, tapissée de lamelles à direction curviligne et séparée du
lobe
grêle par le sillon post- pyramidal (spop). L
tinue avec la crête d'union des ailes de la pyramide (Fig. 345). Le
lobe
digastrique présente une mince base d'implantatio
n avant sur le pédoncule cérébelleux moyen (Fig. 316 et 116). IV.
LOBE
1\llslt0-I\TER\E. LOBE DE LA LUETTE, LOBE UVULO-A
en (Fig. 316 et 116). IV. LOBE 1\llslt0-I\TER\E. LOBE DE LA LUETTE,
LOBE
UVULO-A511GD : LIE\ : LUETTE ET AMYGDALE Le l
BE DE LA LUETTE, LOBE UVULO-A511GD : LIE\ : LUETTE ET AMYGDALE Le
lobe
inféro-interne est un lobe petit, situé en avant
-A511GD : LIE\ : LUETTE ET AMYGDALE Le lobe inféro-interne est un
lobe
petit, situé en avant de la pyramide, en arrièr
e petit, situé en avant de la pyramide, en arrière et en dedans des
lobes
digastriques; il forme une sorte de gout- Ses r
orte de gout- Ses rapports. s. Ses faces. Sillon digastrique.
Lobe
inréro -111- terne. 4ï2 ANATOMIE DES CENTRES
n- sion. tière ouverte en avant, que complète la face interne des
lobes
digastriques- (Fig. 334, 3 il) el qui loge la f
. 334, 3 il) el qui loge la face postérieure du bulbe rachidien. Le
lobe
inféro-interne comprend, comme tout lohe principa
nféro-interne comprend, comme tout lohe principal du cer- velet, un
lobe
impair et médian, la luette, et deux lobes pairs
incipal du cer- velet, un lobe impair et médian, la luette, et deux
lobes
pairs et symé- triques, les amygdales ou tonsil
chaque côté pour montrer le nid d'hirondelle, la face antérieure du
lobe
digastrique et la base d'implantation du lobe d
la face antérieure du lobe digastrique et la base d'implantation du
lobe
de l'amygdale. Le cervelet repose sur sa face s
on de l'amygdale. Floc, flocculus. - arc, hile du cervelet. - Lady,
lobe
digastrique. - Lqa, lobe quadrilatère antérieur.
locculus. - arc, hile du cervelet. - Lady, lobe digastrique. - Lqa,
lobe
quadrilatère antérieur. - Lqp, lobe quadrilatère-
- Lady, lobe digastrique. - Lqa, lobe quadrilatère antérieur. - Lqp,
lobe
quadrilatère- postérieur. - Lsli, lobe semi-lun
adrilatère antérieur. - Lqp, lobe quadrilatère- postérieur. - Lsli,
lobe
semi-lunaire inférieur. - Lsls, lobe semi-lunaire
drilatère- postérieur. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. - Lsls,
lobe
semi-lunaire supérieur. ms, le relief médian du
e, les nids de pigeon ou d'hirondelle sont limités en dehors par le
lobe
digastrique et le pédoncule du flocculus (P Flo
mg, Fig. 344, 313, 34G, 348 et 410 à 415) consti- tuent deux petits
lobes
ovoïdes, allongés dans le sens vertical et remar-
st latérale (Fig. 316) et non pas supérieure, comme pour les autres
lobes
de la face inférieure des hémisphères. Le pédic
artient à la face antérieure du cervelet, concourt à former avec le
lobe
digastrique (Ldg) la gouttière qui loge le bulb
nférieur. La face externe, ou convexe, se loge dans l'excavation du
lobe
digastrique. Le bord exterrze, l'iG. 346. - Cou
irculaires externes. fsmi, fibres semi-circulaires internes. - Ldg,
lobe
digastrique. - L3r, lobe grêle. - Lqa, lobe qua
, fibres semi-circulaires internes. - Ldg, lobe digastrique. - L3r,
lobe
grêle. - Lqa, lobe quadrilatère antérieur. - Lq
culaires internes. - Ldg, lobe digastrique. - L3r, lobe grêle. - Lqa,
lobe
quadrilatère antérieur. - Lqp, lobe quadrilatèr
ique. - L3r, lobe grêle. - Lqa, lobe quadrilatère antérieur. - Lqp,
lobe
quadrilatère postérieur. - Lsli, lobe semi-lunair
quadrilatère antérieur. - Lqp, lobe quadrilatère postérieur. - Lsli,
lobe
semi-lunaire inférieur. - Lsls, lobe semi-lunai
adrilatère postérieur. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. - Lsls,
lobe
semi-lunaire supérieur. - Ses, embole ou bouchon.
scf, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - sqi-, sillon du
lobe
grêle. - siV, sillon inférieur de Vicq d'Azyr.
OLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 173 mince et effilé, est recouvert par le
lobe
digastrique ; le bord interne est séparé de cel
rection on n'observe pas l'aspect dendritique si spécial des autres
lobes
cérébelleux. Cet aspect ne se rencontre que sur l
sertion de l'amygdale (pAmg) perpendiculairement à sa direction. V.
LOBE
I\T1 : f20-A\'l'I : IilrUl;. - LOBE DU NODULE : N
iculairement à sa direction. V. LOBE I\T1 : f20-A\'l'I : IilrUl;. -
LOBE
DU NODULE : NODULE ET FLOCCULUS Le lobe du nodu
1 : f20-A\'l'I : IilrUl;. - LOBE DU NODULE : NODULE ET FLOCCULUS Le
lobe
du nodule se distingue des autres lobes primordia
ULE : NODULE ET FLOCCULUS Le lobe du nodule se distingue des autres
lobes
primordiaux du cervelet : 1° par sa petitesse;
coupes horizontales, sagit- tales et vertico- transversales.
Lobe
inféro-anté- rieur 476 ANATOMIE DES CENTRES N
ne, le nodule, de ses parties hémisphériques qui forment les petits
lobes
du nerf pneumogastrique ou vague, appelés encore
, elles ne deviennent apparentes à l'extérieur qu'après ablation du
lobe
tonsillaire (Fig. 315). On considère à chaque v
, 4 L ï, .3G, ! r37).- Le floc- culus (touffe, flocon) est un petit
lobe
irrégulier, constant, très apparent et très bie
, constant, très apparent et très bien délimité, situé au-dessus du
lobe
digastrique, en avant et en dehors de l'amygdal
ébelleux moyen (Fig. 437). Le Ilocculus constitue le plus petit des
lobes
hémisphériques et affecte une forme en poire ou
nnues sous le nom de flocculus accessoire, sépare le floc- culus du
lobe
digastrique. La partie externe, épaisse et proé
vague. pFloc. pédoncule du flocculus. - ho, hile du cervelet. - Le,
lobe
central. Le', ailes du lobe central. - Lrlg, lo
locculus. - ho, hile du cervelet. - Le, lobe central. Le', ailes du
lobe
central. - Lrlg, lobe digastrique. - 7 ? lobe grê
u cervelet. - Le, lobe central. Le', ailes du lobe central. - Lrlg,
lobe
digastrique. - 7 ? lobe grêle. - Lig. lingula. Lg
entral. Le', ailes du lobe central. - Lrlg, lobe digastrique. - 7 ?
lobe
grêle. - Lig. lingula. Lga, lobe quadrilatère a
ral. - Lrlg, lobe digastrique. - 7 ? lobe grêle. - Lig. lingula. Lga,
lobe
quadrilatère antérieur. - Lgp, lobe quadrilatèr
obe grêle. - Lig. lingula. Lga, lobe quadrilatère antérieur. - Lgp,
lobe
quadrilatère postérieur. - Lsli, lobe semi-lunair
quadrilatère antérieur. - Lgp, lobe quadrilatère postérieur. - Lsli,
lobe
semi-lunaire infé- rieur. - Lsls. lobe semi-lun
rilatère postérieur. - Lsli, lobe semi-lunaire infé- rieur. - Lsls.
lobe
semi-lunaire supérieur. - No, nodule. - Pes, pédo
vertébrés. Très réduites chez les vertébrés non mammifères dont les
lobes
latéraux cérébelleux sont rudimentaires, elles
les diverticules latéraux du le ventricule (d'après Retzius). Les
lobes
postérieur, supérieur et inféiieur du cervelet on
halique, des pédoncules cérébelleux supérieurs, de la lingula et du
lobe
central. (D'après la photographie d'une pièce d
M, languette diverticulaire. - lu, languette ventriculaire. - Lqa,
lobe
quadrilatère antérieur. - o, membrane obturatrice
ec celle qui tapisse la face inférieure du flocculus et recouvre le
lobe
digastrique. La toile choroïdienne inférieure p
es saillies et sur toutes les dépressions, tapisse les innombrables
lobes
, lobules, lames et lamelles du cervelet el se r
, au niveau de l'insertion des freins de la lingula et des ailes du
lobe
central sur la base du pédoncule cérébelleux supé
ouce, oblique en bas et en dehors, qui correspond à l'insertion des
lobes
, lames et lamelles du lobe quadrilatère, le long
ehors, qui correspond à l'insertion des lobes, lames et lamelles du
lobe
quadrilatère, le long de la lèvre supérieure' d
u sillon marginal antérieur où elle correspond à l'implantation des
lobes
digastriques, grêle et semi-lunaire inférieur sur
dépourvues d'écorce cérébelleuse. 11 en est de même de la partie du
lobe
digastrique situé dans la profondeur du sillon
carne et les branches horizontale et verticale de l'arbre de vie du
lobe
médian. - Méthode de Weigert-Pal. Grandeur nature
utrage sous-lobaire. - fsme, fibres semi-circulaires externes. - Lgr,
lobe
grêle. Lqa, lobe quadrilatère antérieur. - Lqp,
. - fsme, fibres semi-circulaires externes. - Lgr, lobe grêle. Lqa,
lobe
quadrilatère antérieur. - Lqp,, lobe quadrilatère
ernes. - Lgr, lobe grêle. Lqa, lobe quadrilatère antérieur. - Lqp,,
lobe
quadrilatère postérieur.7,s< : , lobe semi-l
drilatère antérieur. - Lqp,, lobe quadrilatère postérieur.7,s< : ,
lobe
semi-lunaire inférieur. - Lits, lobe semi-lunai
ilatère postérieur.7,s< : , lobe semi-lunaire inférieur. - Lits,
lobe
semi-lunaire supérieur. - Pie, pyramide de mais-
- sla, sillon transverse antérieur. Les crêtes et les axes des
lobes
dé- pourvus d'écorce. 500 ANATOMIE DES CENTRE
quables par leur nombre et leur minceur. Ils constituent l'axe des
lobes
et lobules du cervelet, se divisent à angle plu
nce, comprenant la substance blanche immédiatement sous-jacente aux
lobes
du culmen, du déclive et du bour- geon terminal
e du cervelet, les noyaux gris centraux et la substance blanche des
lobes
de la face infé- rieure du cervelet. Ainsi prép
arrière et de chaque côté par l'écorce du bourgeon terminal et des
lobes
semi-lunaires inférieurs, il se confond largeme
/3 Grandeur nature. fsme, fibres semi-circulaires externes. - Lsli,
lobe
semi- lunaire inférieur. - Lsls, lobe semi-luna
circulaires externes. - Lsli, lobe semi- lunaire inférieur. - Lsls,
lobe
semi-lunaire supérieur. - Oc, olive cérébelleus
elle masse ovalaire, se détachent ra- FIG. 38. - L'aibre de vie des
lobes
latéraux du cervelet. - Coupe sagittale de l'hémi
u, par l'olive cérébel- leuse et le pédoncule cérébelleux moyen. Le
lobe
supérieur est coloré en bleu, le lobe postérieu
doncule cérébelleux moyen. Le lobe supérieur est coloré en bleu, le
lobe
postérieur en rose, les lobes inférieur et inféro
lobe supérieur est coloré en bleu, le lobe postérieur en rose, les
lobes
inférieur et inféro-antérieur en jaune. Méthode
d'Azyr. - siV, sillon inférieur de Vicq I'.1r5·r. - slg, sillon du
lobe
grêle. spo, sillon post-cen- tral. - spop, sill
NTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 509 diairement les axes des différents
lobes
et lobules des hémisphères qui Arbre de vie de
différents lobes et lobules des hémisphères qui Arbre de vie de ...
lobes
latéraux d1 constituent dans leur ensemble la f
cervelet. lattlrati-< dut mistes sous le nom d'arbre de vie des
lobes
latérazcx du ce1't'elel. Dans la région du verm
se détachent, à la manière des rayons Fie. 339. - L'arbre de vie du
lobe
médian du cervelet. - Coupe sagittale passant en
ne sagittale médiane par le noyau du toit, les lamelles internes du
lobe
semi-lunaire inférieur et de l'amygdale. Le lobe
melles internes du lobe semi-lunaire inférieur et de l'amygdale. Le
lobe
supérieur est coloré en bleu, le lobe postérieu
nférieur et de l'amygdale. Le lobe supérieur est coloré en bleu, le
lobe
postérieur en rose, les lobes inférieur, inféro-i
lobe supérieur est coloré en bleu, le lobe postérieur en rose, les
lobes
inférieur, inféro-interne et inféro-antérieur en
se antérieur. 510 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Arbre do vie du
lobe
médian. Modifications su- bies dans la région
'ensemble constitue la figure si caractéristique de l'arbre de vie du
lobe
médian du cervelet. Ce sont, en avant et en hau
sont, en avant et en haut, les petites branches de la lingula et du
lobe
central; en avant et en bas, les branches du nodu
passant par le sillon longitudinal supérieur) avec l'arbre de vie des
lobes
latéraux du cervelet (coupe S9, Fig. z8). Dans
lanche centrale rappelle par certains caractères l'arbre de vie des
lobes
latéraux, tout en présentant encore des caractè
out en présentant encore des caractères propres à l'arbre de vie du
lobe
médian. Sur les coupes vertico-traesve·.sales q
Fig. 359). Il est situé en arrière de la base de la lin- gula et du
lobe
central, au-dessous de la branche verticale de l'
upérieur et la grosse racine sensitive descendante du trijumeau. Le
lobe
supérieur est coloré en bleu, le lobe postérieur
descendante du trijumeau. Le lobe supérieur est coloré en bleu, le
lobe
postérieur en rouge, les lobes inférieur et inf
lobe supérieur est coloré en bleu, le lobe postérieur en rouge, les
lobes
inférieur et inféro-interne en jaune. - Méthode
Rolando,. - sil', sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - sly, sillon du
lobe
grêle. - spop, sillon post-pyramidal. - ssl', s
nent le voisinage de la base d'implantation des axes des principaux
lobes
hémi- sphériques. Chaque pli ou feston du corps
t dans leur ensemble une couche mal délimitée, située à la base des
lobes
et lobules, et que nous désignerons sous le nom
ge sous-lobaire. - fsna, fibres semi-circulaires du cervelet. - Lg,
lobe
grêle. - Lme, lame médullaire externe du thala-
lp, faisceau longitudinal postérieur. - Le, locus c;erulcus. - Lqa.
lobe
quadrilatère antérieur du cervelet. - Vcs, noyau
tion de cette coupe, p. si ? 5, Coupe H 2, Fig. 424). a lingula, a
lobe
central, axe de la lingula et axe du lobe central
, Fig. 424). a lingula, a lobe central, axe de la lingula et axe du
lobe
central. - Fcc, faisceau cen- tral de la calott
ption de cette coupe, p. 632, coupe H 4, Fig. i ? 7.) aLc, axe du
lobe
central. - bu, branche verticale de l'arbre de vi
dont elles occupaient la partie externe, puis s'iriadiaient dans le
lobe
occipital. (Voy. Historique de la voie pédoncul
velet et permettent de suivre les transformations que subissent les
lobes
du cervelet et l'arbre de vie en passant du vermi
cervelet, de la profondeur des sillons qui séparent les différents
lobes
du -ermis, etde l'exiguïté remarquable delasubsta
nche, qui affecte la figure si caractéristique de l'arbre de vie du
lobe
médian. Considéré dans son ensemble, le vermis
- gent soit directement, soit indirectement les axes des différents
lobes
du vermis. Elle occupe une situation excentriqu
eur et d'importance moindres, qui s'irra- dient dans les différents
lobes
du vermis. Les deux branches principales de l'a
lobes du vermis. Les deux branches principales de l'arbre de vie du
lobe
médian, portent le nom de branche verticale (bv
t supérieures et deux inférieures. Les premières se portent dans le
lobe
central et dans la lingula, les autres dans la
gula, les autres dans la luette elle nodule. La branche ou l'axe du
lobe
central, présente à peu près la même épaisseur
se détache de la branche verticale de l'arbre de vie médian, et le
lobe
central ne représente dans ce cas qu'un des lob
lus mince et le plus efûlé des axes principaux de l'arbre de vie du
lobe
médian. Il se déta che de la face inférieure du
quelques fibres du pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs). Quant aux
lobes
des faces supérieure et postérieure du vermis :
s). Quant aux lobes des faces supérieure et postérieure du vermis :
lobes
central, culmen, déclive, bout- geon terminal,
érieure et inférieure du vermis se trouvent les premières lamelles du
lobe
grêle, et les lamelles plus nombreuses du lobe
remières lamelles du lobe grêle, et les lamelles plus nombreuses du
lobe
semi-lunaire inférieur, sectionnées tangentiell
ieure et inférieure du vermis, on trouve l'amygdale sous forme d'un
lobe
allongé, indépendant, qui refoule la luette en ar
ule la luette en arrière, le nodule en haut, et s'insinue entre ces
lobes
et le bulbe rachidien, dont la sépare la toile ch
crochet avant de se continuer avec la valvule de Tarin. Les axes du
lobe
central, du culmen, de la pyramide, à part leur a
rties hémisphériques sont représentées dans cette coupe : 1° Par le
lobe
semi-lunaire supérieur, réduit à une lamelle qui
) et à un petit îlot indépendant d'écorce cérébelleuse; 2° Par le
lobe
semi-lunaire inférieur, en connexion étroite avec
considérable; ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 99 3° Par le
lobe
grêle, dont les lamelles sectionnées parallèlemen
3 que nous venons d'étudier, intéressent le vermis c'est-à-dire le
lobe
médian du cervelet. Les deux coupes S 4 et S 5
peu l'arbre de vie médian (coupe SI, Fig. 408) en arbre de vie des
lobes
latéraux du cervelet (coupe S9, Fig. 417). L'ac
le (Coupes S6 et S 7). Il en résulte que la parlie hémisphérique du
lobe
du déclive (lobe quadrilatère pos- térieur), du
S 7). Il en résulte que la parlie hémisphérique du lobe du déclive (
lobe
quadrilatère pos- térieur), du bourgeon termina
du déclive (lobe quadrilatère pos- térieur), du bourgeon terminal (
lobe
semi-lunaire supérieur), et du tubercule valvul
terminal (lobe semi-lunaire supérieur), et du tubercule valvulaire (
lobe
semi-lunaire inférieur), s'implantent d'avant en
fait suite à la ligne d'implantation de la partie hémisphérique du
lobe
du culmen (lobe quadri- latère antérieur). 3°
ligne d'implantation de la partie hémisphérique du lobe du culmen (
lobe
quadri- latère antérieur). 3° Pour les autres
oncule cérébelleux supérieur (Lig', Coupe S4, Fig. 412). L'axe du
lobe
central s'épaissil et se raccourcit, semble n'êtr
re reçoit l'insertion de l'axe de l'amygdale, l'inférieure l'axe du
lobe
digastrique (Coupe S 6, Fig. 414). Ce dernier,
et le tubercule valvulaire apparaît dans la région de transition un
lobe
hémisphérique, le lobe grêle, qui n'a pas son équ
ire apparaît dans la région de transition un lobe hémisphérique, le
lobe
grêle, qui n'a pas son équi- valent dans le ver
son équi- valent dans le vermis. L'axe de la moitié postérieure du
lobe
grêle s'insère de bonne heure sur l'axe du tube
valvulaire (Coupe S4, Fig. 412), tandis que la moitié antérieure du
lobe
grêle représente, dans toute la région de trans
t qu'un profond sillon sépare de la moitié pos- térieure de ce même
lobe
. L'écorce cérébelleuse qui tapisse ce profond sil
l'axe commun au tubercule valvulaire et à la partie postérieure du
lobe
grêle, de l'axe commun à la pyramide et à la lu
sphé- rique (coupe S7, Fig. 415), l'axe de la moitié postérieure du
lobe
grêle s'implante sur la face inférieure de la s
le, dont les dimensions ont considérablement augmenté; le sillon du
lobe
grêle (slg) diminue de profondeur et l'implanta
be grêle (slg) diminue de profondeur et l'implantation des axes des
lobes
de la face inférieure des hémisphères (lobe sem
lantation des axes des lobes de la face inférieure des hémisphères (
lobe
semi-lunaire inférieur, moitié pnslé1'ieure et
semi-lunaire inférieur, moitié pnslé1'ieure et moitié antérieure du
lobe
grêle, lobe digastrique, amygdale) s'effectue b
inférieur, moitié pnslé1'ieure et moitié antérieure du lobe grêle,
lobe
digastrique, amygdale) s'effectue bientôt sur u
ébelleux supérieur et inférieur, 2° aux dépens des axes de tous les
lobes
de la face supérieure du cervelet. Les lobes de
s des axes de tous les lobes de la face supérieure du cervelet. Les
lobes
de la face inférieure du cervelet ne fournissent
n à la présence du nid d'hirondelle et à la profondeur du sillon du
lobe
grêle. Dès que la région des hémisphères est in
phères est intéressée, dès que le nid d'hi- rondelle a disparu, les
lobes
de la face inférieure du cervelet envoient à la
teur, et égalent bientôt en profondeur les sillons interlobaires du
lobe
supérieur des hémisphères. L'axe du lobe central
s sillons interlobaires du lobe supérieur des hémisphères. L'axe du
lobe
central ne s'implante plus direc- tement sur la
ticale (bv) de l'arbre de vie et semble n'être qu'un des lobules du
lobe
quadrilatère antérieur (Coupe S 5, Fig. tl3).
ns antéro-postérieur. Son extrémité postérieure se prolonge dans le
lobe
semi-lunaire inférieur en décrivant une courbe
nférieur en décrivant une courbe à concavité inférieure. L'axe du
lobe
semi-lunaire supérieur (qui n'est que la continua
axe du déclive ne se détachent plus d'un point commun avec l'axe du
lobe
semi-lunaire inférieur, mais s'implantent à une c
sente donc, en réalité, une branche richement ramifiée, destinée au
lobe
postérieur et à la partie postérieure du lobe sup
ramifiée, destinée au lobe postérieur et à la partie postérieure du
lobe
supérieur du cer- velet ; elle s'épanouit dans
stérieure du lobe supérieur du cer- velet ; elle s'épanouit dans le
lobe
semi-lunaire inférieur, reçoit les axes du lobe
le s'épanouit dans le lobe semi-lunaire inférieur, reçoit les axes du
lobe
semi-lunaire supérieur et du lobe du déclive (q
ire inférieur, reçoit les axes du lobe semi-lunaire supérieur et du
lobe
du déclive (quadrilatère postérieur), et donne
u déclive (quadrilatère postérieur), et donne naissance aux axes du
lobe
grêle. En avant de cette branche horizontale mo
t se porte en bas et en avant, s'effile et se rapproche de l'axe du
lobe
digastrique auquel il s'unit sur la coupe S 6 (
t S2, Fig. 411 et 410) compris entre le nid d'hirondelle (nh) et le
lobe
digastrique. La substance blanche considérablem
icq d'Azyr. - ssV, sillon supérieur de Vicq d'.\zyr. - slg, sillon du
lobe
grêle. - spop, sillon post-pyramidal. - sta, si
sens sagittal, aplatie de haut en bas, et les axes des dif- férents
lobes
sont encore de longueur fort inégale. La branch
, crête de la pyra- mide du vermis recevant l'insertion de l'axe du
lobe
digastrique. - l'leh V., plexus cho- roïdes du
cq d'Azyr. - ssV, sillon supérieur de Vicq d'Azyr. - slg, sillon du
lobe
grêle. - spop, sillon post-pyramidal. - sta, si
eur du trijumeau. ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 609 du
lobe
du culmen, c'est-à-dire le lobe quadrilatère anté
APHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 609 du lobe du culmen, c'est-à-dire le
lobe
quadrilatère antérieur, s'insère sur la sub- st
eur profondeur égale celle du sillon transverse antérieur (sta). Le
lobe
quadrilatère postérieur, le lobe semi- TOME II.
illon transverse antérieur (sta). Le lobe quadrilatère postérieur, le
lobe
semi- TOME II. 39 Fig. 415. - L'arbre de vie
sure que la substance blanche centrale augmente d'épaisseur. Les
lobes
de la face inférieure de l'hémisphère cérébelleux
émisphère cérébelleux présentent seuls certaines particularités. Le
lobe
semi-lunaire inférieur et la partie postérieure d
larités. Le lobe semi-lunaire inférieur et la partie postérieure du
lobe
grêle, s'implantent sur la partie postérieure de
ternes (coupes S6 et S 7, Fig. 414 et 415). La partie antérieure du
lobe
grêle est encore sur la coupe S6 (Fig. 414) sans
ion avec la substance blanche centrale; l'axe mince, long et grêle du
lobe
digastrique se continue avec la crête de la pyr
sez régulièrement convexe, s'implantent radiai- remcnt les axes des
lobes
quadrilatères antérieur et postérieur et du lobe
remcnt les axes des lobes quadrilatères antérieur et postérieur et du
lobe
semi- lunaire supérieur, séparés par des sillon
grand sillon circonférentiel du même auteur (scf), qui limitent le
lobe
semi-lunaire supérieur en haut et en bas, se di
s autres sillons interlo- baires. Sur la coupe S 8 (Fig. 416), le
lobe
semi-lunaire inférieur et la parlie posté- 1'ic
16), le lobe semi-lunaire inférieur et la parlie posté- 1'icul'e du
lobe
grêle présentent encore une grosse branche d'inse
ertion commune; sur la coupe S 9 (Fig. 417) l'insertion de ces deux
lobes
se fait - grâce à l'ac- croissement de la subst
tion distinctes. Ainsi se trouve donc constitué l'arbre de vie du
lobe
latéral du cervelet, carac- térisé par la dispo
érisé par la disposition régulièrement radiée des axes des différents
lobes
et lobules autour d'une substance blanche centr
masse blanche centrale, riche r c. '>1 \), - L'arbre de vie des
lobes
latéraux ou de l'hémisphère cérébelleux, l'olive
s à direction sagittale et qui appar- FiG. 417. - L'arbre de vie du
lobe
latéral du cervelet, le flocculus, l'olive cérébe
Vico d'Azyr. - ssV, sillon supérieur de Vicq d'Azyr. - slg, sillon du
lobe
grêle. - spo, sillon post-central. - spop, sill
érenciées (fibres semi-circulaires externes, toison) de la base des
lobes
et lobules et qui est particulièrement épais à la
lp, faisceau longitudinal postérieur. - Le, locus c.eruleus. - Lqa,
lobe
quadrilatère antérieur du cervelet. - Nes, noyau
p. 615. Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. aLc, l'axe du
lobe
central. - bv, branche verticale de l'arbre de vi
, l'axe du lobe central. - bv, branche verticale de l'arbre de vie du
lobe
médian du cervelet. - Cj, corps juxta-restiform
croisent ensuite sur la ligne médiane du vermis, le long de l'axe du
lobe
central (aLc) et de la branche verticale de l'a
tif du trijumeau (NVm et NVs). Cette coupe sectionne les différents
lobes
de la masse principale du vermis, la lingula, l
s différents lobes de la masse principale du vermis, la lingula, le
lobe
central, le culmen et le déclive et intéresse dan
ulmen et le déclive et intéresse dans la région des hémisphères les
lobes
quadrilatères antérieur (Lqa) et postérieur (Lqp)
res les lobes quadrilatères antérieur (Lqa) et postérieur (Lqp) et le
lobe
semi-lunaire supérieur. Ce dernier lobe, complè
) et postérieur (Lqp) et le lobe semi-lunaire supérieur. Ce dernier
lobe
, complètement séparé des autres par le sillon s
APHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 613 centrale. Les connexions des axes du
lobe
quadrilatère antérieur et du culmen avec la sub
ermis. Dans la branche verticale de l'arbre de vie et dans l'axe du
lobe
central, on aperçoit les fibres parallèles de I
du cervelet. - fsmi, fibres semi-circulaires internes. - Lqa, Lqp,
lobes
quadrilatères antérieur et postérieur des hémisph
rvelet. - fsmi, les fibres semi-circulaires internes. - aLc, axe du
lobe
central. - Lirl, lingula. -¡''la, lobe quadrilatè
ires internes. - aLc, axe du lobe central. - Lirl, lingula. -¡''la,
lobe
quadrilatère antérieur. - Nem, noyau emboliforl
ipa- lement la branche verticale de l'arbre de vie (bv) et l'axe du
lobe
central (aLe). Les fibres semi-circulaires exte
ig.lW8). Cette coupe intéresse les circonvolutions cérébelleuses du
lobe
quadrilatère antérieur et du culmen qui tapisse
le fond du sillon transverse antérieur (sta), et sectionne l'axe du
lobe
quadrilatère postérieur (Lqp) il sa fusion avec l
ervelet. - fsmi, fibres semi-circulaires internes du cervelet. - Lqp,
lobe
quadrilatère postérieur du cervelet. - Nem, emb
substance blanche centrale des hémisphères. Les circonvolutions du
lobe
semi- lunaire supérieur forment encore, comme s
ants de la substance blanche centrale des hémisphères et séparés du
lobe
quadrilatère posté7'iew' par le sillon supérieur
postérieure du vermis appartiennent au déclive et unissent les deux
lobes
quadrilatères postérieurs entre eux. La substan
ervelet. - fsmi, fibres semi-circulaires internes du cervelet. - Lqp,
lobe
quadrilatère postérieur. - Nem, embole. - Nt, n
(Fig. 430). La coupe intéresse, dans la région des hémisphères, le
lobe
qitud7-ilalè ? ,e ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBE
n. -- Ville, branche vestibulaire du nerf auditif. poslérieur et le
lobe
semi-lunaire supérieur; à droile ce dernier s'ins
verse antérieur (sta) et les lamelles du déclive qui relient les deux
lobes
quadrilatères postérieurs droit et gauche. La s
-lobaire. - fsme, fibres semi-circulaires externes. - Lsli, Lsls, les
lobes
semi-lunaires inférieur et supérieur du cervele
atéral du quatrième ventricule (rlV4), le nid d'hirondelle (nh) les
lobes
de la face inférieure des hémisphères, les amyg
bes de la face inférieure des hémisphères, les amygdales (Amy), les
lobes
du vermis inférieur, le bourgeon le),î21111al(BL)
s'implantent les nombreux axes, d'inégale longueur, des différents
lobes
des faces inférieure et postérieure du cervelet
pédoncule du flocculus (PFloc); puis les nombreux et courts axes du
lobe
grêle, l'axe court et grêle de l'extrémité anté
es du lobe grêle, l'axe court et grêle de l'extrémité antérieure du
lobe
semi-lunaire inférieur (Lsli), compris entre le s
e blanche centrale, s'implantent les nombreux et importants axes du
lobe
semi-lunaire supérieur (Lsls). Au voisinage du ve
, s'implantent les axes de la partie posté- rieure, volumineuse, du
lobe
semi-lunaire inférieur; quant à la partie moyenne
d'A4yr (scf). Dans la région du vermis, on trouve, entre les deux
lobes
semi-lunaires infé- rieurs, l'axe infiniment ré
ent suivant la profondeur des sillons qui délimitent les lobules et
lobes
aux- quels elles appartiennent. Les fibres dend
les de l'écorce cérébelleuse. Arrivées à la base d'implantation des
lobes
et des lobules, les fibres dendritiques se coud
, s'enchevêtrent et s'entre-croisent avec les fibres homologues des
lobes
voisins en formant à la base des lobes un feutr
ec les fibres homologues des lobes voisins en formant à la base des
lobes
un feutrage sous-lobaire inextricable (Fig. 4G3),
zontale de l'arbre de vie, c'est-à-dire les fibres dendritiques des
lobes
tributaires de celle branche (déclive, bourgeon
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fig. 463. - L'écorce cérébelleuse du
lobe
supérieur du cervelet et la substance blanche c
ervelet. - fsmi, fibres semi-circulaires internes du cervelet. - Lqp,
lobe
qua- drilatère postérieur. - Nem. embole. - Ni,
destructions partielles, pathologiques ou expérimentales, d'un des
lobes
d'un hémisphère ou du vermis. Il n'est pas rare
te fusion est surtout mani- feste pour le feutrage sous-lobaire des
lobes
des faces postérieure et infé- rieure de l'hémi
re des lobes des faces postérieure et infé- rieure de l'hémisphère (
lobes
semi-lunaires supérieur el inférieur, lobes grê
rieure de l'hémisphère (lobes semi-lunaires supérieur el inférieur,
lobes
grêle, digastrique ; voy. Coupes S7, S8, S9, Fi
613); elle paraît moins évidente pour le feulrage sous-lobaire des
lobes
quadrilatères antérieur el postérieur. Ici les
e. Elle reçoit les nombreuses fibres purkinjicnnes des diffé- rents
lobes
et lobules de l'hémisphère et envoie à la cortica
branche verticale de l'arbre de vie (bu) ; 2° à la base des axes du
lobe
central (aLc) et de la lingula (aLig); 3° dans
xtrémité postérieure de la branche horizontale de l'arbre de vie du
lobe
médian (Fig. 437, p. G : 3); la couche sagittale
is au-dessus du noyau du toit et qui longe en s'effilant la base du
lobe
central et de la lingula. Du coude formé par l'un
rale du vermis au- dessus du noyau du toit, la base des axes du
lobe
central et de la lingula. 720 ANATOMIE DES CE
e de vie du vermis, la face supérieure du noyau du toit et l'axe du
lobe
central; il se prolonge en avant dans l'axe de la
dian. Méthode de Wei- gert-Pal. 10/1 grandeur nature. aLc, axe du
lobe
central. - aLia, axe de la lingula. - a('y, axe d
r ? couche sagittale de la branche horizontale de l'arbre de vie du
lobe
médian. Eca, grand cntre-cronfïnent commissural a
nt en cou- pant avec l'extrémiu i couteau qu'on évite d'entamer les
lobes
sphé-noïdaux. Lorsque la coupe est faite très e
amée i sa partie inférieure par une profonde dépression qui sépare le
lobe
routai du lobe sphénoïdal. Cette dépression corre
e inférieure par une profonde dépression qui sépare le lobe routai du
lobe
sphénoïdal. Cette dépression correspond à la vall
l'espace perforé ; l'autre partie se jette dans la substance grise du
lobe
temporal, dans le voisinage du lobule de l'hippoc
s l'hémisphère, et en respectant soigneusement les circonvolutions du
lobe
temporal. Le schéma 12 représente la région du se
es circonvolutions d'un même hémisphère en six grands départements ou
lobes
: le lobe frontal, le lobe pariétal, le lobe occi
lutions d'un même hémisphère en six grands départements ou lobes : le
lobe
frontal, le lobe pariétal, le lobe occipital, le
hémisphère en six grands départements ou lobes : le lobe frontal, le
lobe
pariétal, le lobe occipital, le lobe temporal, le
grands départements ou lobes : le lobe frontal, le lobe pariétal, le
lobe
occipital, le lobe temporal, le lobe limbique et
s ou lobes : le lobe frontal, le lobe pariétal, le lobe occipital, le
lobe
temporal, le lobe limbique et le lobe de Vinsida.
be frontal, le lobe pariétal, le lobe occipital, le lobe temporal, le
lobe
limbique et le lobe de Vinsida. Les quatre premie
pariétal, le lobe occipital, le lobe temporal, le lobe limbique et le
lobe
de Vinsida. Les quatre premiers sont suffisamment
tre premiers sont suffisamment désignés par le nom qu'ils portent. Le
lobe
limbique n'est autre chose que la grande circonvo
ilignes disposés en éventail au fond de la scissure de Svlvius. Les
lobes
sont séparés les uns des autres par les scissures
s autres par les scissures. Les circonvolutions dont se composent les
lobes
sont séparées les unes des autres par les sillons
les sillons ne sont pas partout continus les territoires de l'écorce,
lobes
ou circonvolutions, ne sont pas assimilables à de
milables à des lobules glandulaires ; ils communiquent entre eux, les
lobes
avec les lobes,' les circonvolutions avec les cir
lobules glandulaires ; ils communiquent entre eux, les lobes avec les
lobes
,' les circonvolutions avec les circonvolutions. L
rconvolutions. Les plis qui font communiquer les circonvolutions d'un
lobe
avec les circonvolutions d'un autre lobe sont les
uer les circonvolutions d'un lobe avec les circonvolutions d'un autre
lobe
sont les plis de passage (Gratiolet) ; ils sont s
profonds. Les plis qui font communiquer les circonvolutions d'un même
lobe
sont les plis d'anastomose (Broca); ils sont eux-
de la région temporale (T). Mais il n'y a pas encore à parler ici de
lobes
. La région frontale (F) se confond avec la région
rémité antérieure, une partie renflée. Ce prolongement nerveux est le
lobe
olfactif; la partie renflée est le bulbe olfactif
alcarine un angle ouvert en arrière, dont les côtés limitent le futur
lobe
occipital. Au-dessous de la calcarine (K) est le
mitent le futur lobe occipital. Au-dessous de la calcarine (K) est le
lobe
temporal (T) ; au-dessus et en avant de la scissu
; au-dessus et en avant de la scissure occipitale interne (Oi) est le
lobe
pariétal (P). Le lobe temporal, à son extrémité
de la scissure occipitale interne (Oi) est le lobe pariétal (P). Le
lobe
temporal, à son extrémité antérieure, se recourbe
convolution occipitale représente en réalité la partie essentielle du
lobe
occipital à la face interne du cerveau. La scissu
entral. lation avec ce qu'on observe sur le cerveau du singe, où le
lobe
occipital a une autonomie parfaite. Dans la nomen
misphère. Tout ce qui est situé à sa partie postérieure appartient au
lobe
pariétal (P1). L'extrémité antérieure se rapproch
sME). Tout ce qui est au-dessus de la scissure limbique appartient au
lobe
frontal (F1) ; tout ce qui est au-dessous apparti
ercule de ionction (T.l). Le grand sillon métopique (sME) divise le
lobe
frontal en deux plis. Le pli antérieur (F1) est l
(TJ), au-dessus et en avant de la vallée de Sylvius (S). La partie du
lobe
frontal qui est en arrière du grand sillon métopi
ntale. La scissure limbique (L), qui forme la limite postérieure du
lobe
para-central (Pa) et qui sépare la première circo
de passage fronto-limbique. Enfin, dans l'intervalle qui sépare le
lobe
paracentral (Pa) du lobe occipital (06), c'est-à-
ue. Enfin, dans l'intervalle qui sépare le lobe paracentral (Pa) du
lobe
occipital (06), c'est-à-dire entre la scissure li
Oe), on voit une surface quadrilatérale, qu'on appelle communément le
lobe
carré, et qui n'est autre que la face interne du
communément le lobe carré, et qui n'est autre que la face interne du
lobe
pariétal. Ce lobe communique avec la circonvoluti
be carré, et qui n'est autre que la face interne du lobe pariétal. Ce
lobe
communique avec la circonvolution limbique par un
passage (7:L) : le pli de passage pariéto-limbique. A la surface du
lobe
carré, une profonde incisure étoilée (sP) à trois
carré, une profonde incisure étoilée (sP) à trois branches divise ce
lobe
en trois territoires suffisamment indépendants. L
limbique; tiL, pli de passage pariéto-limbique; GQA, pli antérieur du
lobe
carré; GQP, pli postérieur du lobe carré; BQ, bou
to-limbique; GQA, pli antérieur du lobe carré; GQP, pli postérieur du
lobe
carré; BQ, bourrelet du lobe carré; sM£, grand si
ur du lobe carré; GQP, pli postérieur du lobe carré; BQ, bourrelet du
lobe
carré; sM£, grand sillon métopique; sF, premier s
sage pariéto-limbique (tcL), qui réunit la circonvolution limbique au
lobe
carré. Le lobe carré, au-dessus du prolongement
ique (tcL), qui réunit la circonvolution limbique au lobe carré. Le
lobe
carré, au-dessus du prolongement postérieur de la
ansverse (pt), qui établit une séparation entre le gyrus antérieur du
lobe
carré (GQA) et le gyrus postérieur (GQP) ; d'autr
e sous-pariétale qui sépare le gyrus postérieur (GQP) du bourrelet du
lobe
carré (BQ). Le bourrelet, grand triangle isocèle,
me temps; elles deviendront les deux sillons frontaux. Dès lors, le
lobe
frontal est constitué; il est représenté par tout
la scissure de Rolando (R). Les deux sillons (/i et fs) partagent ce
lobe
en trois plis parallèles, qui seront les trois ci
illon temporal, apparaît au voisinage de la région occipitale (0). Le
lobe
temporal est donc, lui aussi, définitivement cons
fj), mais confondues dans l'intervalle de ces sillons. En arrière, le
lobe
temporal se confond avec la région occipitale et
l'hémisphère. Ce qui est en arrière de la scissure occipitale est le
lobe
occipital (0). Au-dessous de cette encoche, un si
n avant, dans toute son étendue, par la scissure de Rolando (R). Le
lobe
pariétal est donc divisé en deux lobules (P1 etP2
P), et le pli courbe (PC), qu'on peut considérer comme appartenant au
lobe
pariétal. Au-dessus et au-dessous du sillon par
u lobe pariétal. Au-dessus et au-dessous du sillon pariétal (p), le
lobe
pariétal est relié au lobe ocipital (0) par deux
s et au-dessous du sillon pariétal (p), le lobe pariétal est relié au
lobe
ocipital (0) par deux plis : un pli supérieur (n
e externe (Gratiolet). Il réunit le lobule pariétal supérieur (P1) au
lobe
occipital (0); un pli inférieur (71 P), au-dessou
71 P), au-dessous du sillon pariétal (p), relie le pli courbe (PC) au
lobe
occipital : c'est le deuxième pli de passage exte
ugmenté de longueur et de profondeur, de façon à isoler davantage les
lobes
et les circonvolutions; mais il n'y a que peu de
s opercules sont plus prononcées. Toutes les parties constituantes du
lobe
frontal ont la disposition générale qui a été déc
e et ne se prolonge pas en avant. Dans la région antéro-inférieure du
lobe
frontal, apparaît une incisure isolée (soe), qui
emier et deuxième sillons frontaux; soe, sillon orbitaire externe; P,
lobe
pariétal ; p, sillon pariétal ou interpariétal; p
e inférieur se rejoignent de manière à former une étoile au milieu du
lobe
pariétal, dont les trois territoires (P, P1, P2)
trois territoires (P, P1, P2) sont plus complètement isolés. Sur le
lobe
occipital on peut reconnaître encore les trois ci
diatement en arrière de la languette de substance grise qui réunit le
lobe
frontal au pôle sphénoïdal (PS) et qui porte le n
, sépare la partie antérieure de l'insula de la partie postérieure du
lobe
frontal. Une rigole postérieure (IRP), dirigée en
hippocampe sont moins faciles à saisir. A l'extrémité antérieure du
lobe
sphénoïdal on remarque un sillon en S italique (S
térieure de la cinquième occipitale (03), et aussi la continuation du
lobe
carré (CQ). Sur ce schéma on constate facilemen
pe et crochet ; rJl, pli de passage temporo-limbique ; CQ, cap du
lobe
carré; 0^ 0', 0*, O'^O», deuxième, troisième, q
onvolution limbique ; PSO, pentagone sous-ovalaire; PE', pentagone du
lobe
carré; CQ, cap du lobe carré; T'*, circonvolution
SO, pentagone sous-ovalaire; PE', pentagone du lobe carré; CQ, cap du
lobe
carré; T'*, circonvolution de l'hippocampe ou cin
métopique postérieur; Pa, lobule paracentral ; GQA, pli antérieur du
lobe
carré; GQP, gyrus postérieur du lobe carré;BQ, bo
acentral ; GQA, pli antérieur du lobe carré; GQP, gyrus postérieur du
lobe
carré;BQ, bourrelet du lobe carré; 0", Cuneus, co
r du lobe carré; GQP, gyrus postérieur du lobe carré;BQ, bourrelet du
lobe
carré; 0", Cuneus, coin ; 0**, gyrus lingual; 0*,
tagone antérieur (PEÂ), pentagone sous-ovalaire (PSO) et pentagone du
lobe
carré (PEN). Ce dernier est situé immédiatement a
n avant d'une proéminence arrondie, attenante au splenium : le cap du
lobe
carré (CQ). On constatera également que la prem
us rectus. On peut donc se rendre compte que si les anfractuosités du
lobe
frontal n'occupent pas leur situation normale, el
ure sous-pariétale; GQA, GOT", gyrus antérieur et gyrus postérieur du
lobe
carré; BQ, bourrelet du lobe carré; 0*, quatrième
, gyrus antérieur et gyrus postérieur du lobe carré; BQ, bourrelet du
lobe
carré; 0*, quatrième circonvolution occipitale; T
chématique (29) on notera encore une disposition anormale des plis du
lobe
carré. Le sillon pariétal transverse fait défaut
ert de démarcation entre le gyrus antérieur et le gyrus postérieur du
lobe
carré (GQA, GQP). Pour compenser l'absence de ce
es deux plis en question. De cette façon la disposition des plis du
lobe
carré rentre, ou peu s'en faut, dans le type sché
le sillon pariétal transverse se ramifie en tous sens sur le plan du
lobe
carré. Mais comme ces ramifications ont, à leur t
e fond qui, en comblant les intervalles, réunissent et confondent les
lobes
. En résumé, la surface cérébrale, chez les liss
dans le sillon prœ-rolandique inférieur, sont isolés à la surface du
lobe
frontal. 1. Nous ne parlerons pas des cas où un
end ensuite son cours de haut en bas, selon la courbure antérieure du
lobe
frontal, mais se confond bientôt avec le sillon d
re deux régions bien distinctes qui appartiennent l'une et l'autre au
lobe
pariétal : la région supérieure est formée par le
llon qui prend naissance à la face-interne, vers la partie moyenne du
lobe
carré. Il divise en deux portions inégales le lob
précédentes, à la face interne de l'hémisphère, entame légèrement le
lobe
occipital, parla branche supérieure qu'elle envoi
onvolution frontale se réfléchit à la face inférieure ou orbitaire du
lobe
frontal, où elle constitue la majeure partie du l
vius fait partie, aussi bien du lobule pariétal inférieur (P2) que du
lobe
sphénoïdal. Il est au voisinage du pied de la tem
tomose interrompt son parcours entre le lobule paracentral (Pa) et le
lobe
carré (GQA). Elle atteint le bord de l'hémisphère
misphère, elle envoie une branche postérieure qui se bifurque dans le
lobe
carré. Cette branche postérieure (sP) qui n'est,
homme, autre chose que la scissure limbique elle-même, prend, dans le
lobe
carré, le nom de scissure sous-pariétale. La bran
représente la terminaison de la scissure limbique au-dessus du cap du
lobe
carré (CQ). Dans tout ce trajet, depuis la régi
t de limite entre la circonvolution limbique (C) d'une part, et les
lobe
frontal et pariétal d'autre part. Tout ce qui est
tre part. Tout ce qui est en avant ou au-dessus d'elle appartient aux
lobes
frontal et pariétal; tout ce qui est en arrière o
ous-pariétale [sP). sP. La scissure sous-pariétale s'avance dans le
lobe
carré, venue de la scissure limbique au moment où
orme d'une étoile à trois branches, servant de limite à trois plis du
lobe
pariétal : en avant le gyrus antérieur du lobe ca
limite à trois plis du lobe pariétal : en avant le gyrus antérieur du
lobe
carré (GQA), en haut le gyrus postérieur du lobe
e gyrus antérieur du lobe carré (GQA), en haut le gyrus postérieur du
lobe
carré (GQP), en arrière le cap du lobe carré (CQ)
en haut le gyrus postérieur du lobe carré (GQP), en arrière le cap du
lobe
carré (CQ). En avant et au-dessous de ces trois p
inue d'établir une démarcation entre la circonvolution limbique et le
lobe
pariétal. La circonvolution limbique, à ce niveau
représentée par deux plis (PSO, PEN) qui seront décrits plus loin; le
lobe
pariétal est représenté par les trois plis du lob
rits plus loin; le lobe pariétal est représenté par les trois plis du
lobe
carré (GQA, GQP, BQ). Oi. La scissure occipital
carré (GQA, GQP, BQ). Oi. La scissure occipitale interne sépare le
lobe
pariétal du lobe occipital. Elle s'étend obliquem
BQ). Oi. La scissure occipitale interne sépare le lobe pariétal du
lobe
occipital. Elle s'étend obliquement de haut en ba
plus postérieure de la circonvolution limbique, au-dessous du cap du
lobe
carré (CQ) en arrière du splenium (SPL). Elle reç
it figurer encore le sillon prse-uncique {PRU), qui, à l'extrémité du
lobe
temporal, sépare le pôle sphénoïdal (PS) du lobul
ure limbique (L), se porte en avant, vers l'extré-rnité antérieure du
lobe
frontal, où il se bifurque : entre ses deux branc
jà été question, fait suite à la scissure limbique. Il envoie dans le
lobe
frontal de profondes entailles qui contribuent à
e profondes entailles qui contribuent à diviser la face interne de ce
lobe
en deux lobules principaux, le gyrus métopique an
u de la face convexe, s'avance obliquement en bas et en avant dans le
lobe
carré. R. La scissure de Rolande apparaît enfin
ieur ; elle établit la limite, d'ailleurs toute conventionnelle, du
lobe
frontal et du lobe pariétal. Les scissures, sil
la limite, d'ailleurs toute conventionnelle, du lobe frontal et du
lobe
pariétal. Les scissures, sillons et incisures u
ncisure venue de la scissure limbique ; le postérieur ou pentagone du
lobe
carré (PEN) s'avance vers le centre étoile de la
sous-pariétale (sP). Use confond en bas et en arrière avec le cap du
lobe
carré (CQ). En général, le pentagone sous-ovala
ssage (tcL) entre la circonvolution limbique et le gyrus antérieur du
lobe
carré (GQA). Ici le pli de passage appelé pariéto
eprésenté sur la figure 2 de la même planche. Le gyrus antérieur du
lobe
carré (GQA) est séparé du gyrus postérieur (GQP)
riétal transverse (pt), sauf à sa partie inférieure. Il appartient au
lobe
pariétal ainsi que le gyrus postérieur. Nous y re
ue le gyrus postérieur. Nous y reviendrons plus loin. CQ. Le cap du
lobe
carré fait partie de la circonvolution lim.-bique
il marque, à la surface interne de l'hémisphère, le lieu précis où le
lobe
pariétal, représenté par le lobe carré, se contin
e l'hémisphère, le lieu précis où le lobe pariétal, représenté par le
lobe
carré, se continue avec le lobe temporal (tzT). L
ù le lobe pariétal, représenté par le lobe carré, se continue avec le
lobe
temporal (tzT). La continuité se fait grâce au pl
netteté, comme sur cette figure, qu'en soulevant légèrement le cap du
lobe
carré. 7:T. Le pli de passage temporo-limbique
d'autre part, la continuation do la circonvolution limbiquo dans lo
lobe
temporal (Broca). Tl est en arrière l'origine de
{pro), en bas par la scissure limbique, communique en arrière avec le
lobe
carré, par le fait de l'interruption momentanée d
paracentral appartient donc vraiment, ainsi que Broca y a insisté, au
lobe
frontal. Seule la petite portion de ce lobule, qu
te portion de ce lobule, qui est en arrière de Rolande, appartient au
lobe
pariétal et représente l'extrémité supérieure de
'hémisphère. GQA, GQP. Le gyrus antérieur et le gyrus postérieur du
lobe
, carré forment dans leur ensemble une masse trian
mme un coin entre le pentagone sous-ovalaire (PSO) et le pentagone du
lobe
carré (PEN). La base du triangle est le bord su
sommet, par le sillon pariétal transverse (pt). BQ. Le bourrelet du
lobe
carré a également la forme d'un riangle, à très l
t en rrière, le bourrelet (BQ) se confond avec le gyrus postérieur du
lobe
arré (GQP); en bas et en avant, il se confond ave
Il se continue en haut, sur la face convexe de l'hémisphère, avec le
lobe
pariétal, par le premier pli de passage pariéto-o
C et HL). PS. Le pôle sphénoïdal, séparé, en apparence, du reste du
lobe
temporal par le sillon praî-uncique {PRU) et par
antérieur de la circonvolution limbique (PEA), se relève derrière le
lobe
paracentral (Pa) et va se terminer sur le bord su
e sous-pariétale {sP). La circonvolution limbique se continue avec le
lobe
pariétal, par le pli de passage pariéto-limbique
terruption, dans la région métopique et ne se termine qu'au devant du
lobe
paracentral (Pa). Il se confond avec le grand sil
sens que la circonvolution limbique (C) n'a aucune anastomose avec le
lobe
frontal. Le grand développement du premier sill
racentral (io). sP. La scissure sous-pariétale, isolée au milieu du
lobe
carré, sert de limite aux quatre plis dont se com
mpose ce lobule : au-dessus d'elle on reconnaît le gyrus antérieur du
lobe
carré (GQA); en avant de sa branche de bifurcatio
jusqu'au corps calleux, établir une séparation entre le pentagone du
lobe
carré (PEN) et le pentagone sous-ovalaire (PSO).
dédoublant, à la face interne de l'hémisphère. Le gyrus postérieur du
lobe
carré (GQP) est donc divisé en deux plis secondai
cupent (sur la figure 1) le gyrus antérieur et le gyrus postérieur du
lobe
carré (GQA, GQP). Oi. La scissure occipitale in
mente de largeur à mesure qu'elle marche, d'arrière en avant, vers le
lobe
carré. Elle présente trois ourlets bien conformés
sure qui s'étend jusqu'au sinus du corps calleux. Arrivée au cap du
lobe
carré (CQ), la circonvolution limbique passe derr
eure ou externe de la scissure de Sylvius est largement ouverte; le
lobe
temporal (ou opercule inférieur de Sylvius) est a
aordinaire de ce cerveau : elle semble d'autant plus prononcée que le
lobe
sphénoïdal a peu de hauteur. On constate égalemen
exceptionnelle. Figure 1. nÉMispnÈRE DRorr Le développement du
lobe
frontal est énorme. La distance qui sépare le mil
le milieu de Rolando et le pôle occipital (0^). Cette hypertrophie du
lobe
frontal entraîne le refoulement en arrière du lob
te hypertrophie du lobe frontal entraîne le refoulement en arrière du
lobe
pariétal; et comme, d'autre part, le lobe pariéta
e refoulement en arrière du lobe pariétal; et comme, d'autre part, le
lobe
pariétal est très volumineux lui-même, on conçoit
est très volumineux lui-même, on conçoit la diminution de hauteur du
lobe
sphénoïdal. R. La scissure de Rolando est peu p
lon frontal (f^) s'étend d'arrière en avant dans toute la longueur du
lobe
frontal, sans aucune interruption; il n'existe, e
le que c'est h cette absence du premier pli de passage externe que le
lobe
occipital doit de présenter, par compensation, un
t 2 de la planche II. Figure 2. hémisphère gauche Ici encore le
lobe
frontal est considérable ; toutefois la scissure
bord supérieur de l'iiémisplière, doit entraîner une conformation du
lobe
occipital plus conforme au type schématique que d
nterrompt la continuité de la scissure occipitale. La conformation du
lobe
occipital, chez l'homme, est sujette à varier à l
e de l'insula (PI), au devant duquel le pli falciforme (FAL) passe du
lobe
spénoïdal au lobe frontal. En arrière, la sciss
, au devant duquel le pli falciforme (FAL) passe du lobe spénoïdal au
lobe
frontal. En arrière, la scissure de Sylvius env
est en outre situé notablement au-dessus de l'extrémité antérieure du
lobe
frontal, alors que, sur le cerveau schématique, i
sence du véritable sillon prae-ovalaire. GQA. Le gyrus antérieur du
lobe
carré n'est pas séparé du gyrus postérieur au niv
vexe. 0^ Le cuneus, très allongé, laisse voir, au-dessous du cap du
lobe
carré (CQ), le pli de passage cunéo-limbique qui
re sur la face interne de cet hémisphère. La complication des plis du
lobe
carré, ; la simplicité absolument primitive du lo
abord de ce fait que les circonvolutions sont très nombreuses dans le
lobe
carré (GQxV, GQP, BQ, PEN, PSO), et que ce lobule
la règle, entre le lobule paracentral (Pa) et ; le gyrus antérieur du
lobe
carré (GQA). Seulement, au lieu d'atteindre et d'
la notation que nous venons de proposer. GQA. Le gyrus antérieur du
lobe
carré se confond avec le gyrus postérieur (GQP) e
émisphère. ramifications. Elle occupe, dans la partie antérieure du
lobe
carré, la place du sillon pariétal transverse; et
étale présente un développement excessif dans la région antérieure du
lobe
carré. PSO. Le pentagone sous-ovalaire est de t
a scissure limlnquc (L), accompagne celte scissure jusqu'au devant du
lobe
carré, mais sans atteindre le bord supérieur de l
'est à peine si elle sépare le gyrus postérieur (GQP) du bourrelet du
lobe
carré (BQ). On voit par tous ces exemples de co
n du lobule paracentral (Pa) ; 3' la simplicité toute rudimentaire du
lobe
carré. Toutes ces incorrections, par rapport au t
olution limbique (PEA), pentagone sous-ovalaire (PSO) et pentagone du
lobe
carré (PEN). Mais ces trois plis sont de très pet
ient impossible de la limiter. La circonvolution limbique envoie au
lobe
carré le pli de passage pariéto-limbique (zL); ma
lobule paracentral (Pa) se confond de même avec le gyrus antérieur du
lobe
carré (GQA), puisque la scissure limbique n'arriv
sverse, qui sépare le gyrus antérieur (GQA) et le gyrus postérieur du
lobe
carré, se prolonge en bas jusque dans la scissure
peu élcnduc dans le sens antéro-postérieur au-dessus du pentagone du
lobe
carré (PEN), re monte obliquement en haut et en a
et en arrière, où elle sépare le gyrus postérieur et le bourrelet du
lobe
carré (GQP et BQ). De cette dis position des scis
carré (GQP et BQ). De cette dis position des scissures et sillons du
lobe
carré il résulte que le lobule est divisé en troi
limbique (xF) ; 2° le faible développement de la moitié antérieure du
lobe
carré (GQA, GQP) ; 5" la complexité du cuneus (0*
entral (Pa). GQA, GQP. Le gyrus antérieur et le gyrus postérieur du
lobe
carré sont représentés par deux petits plis paral
ui, lui, n'atteint pas le bord de l'hémisphère. BQ. Le bourrelet du
lobe
carré est très large, très long et sinueux; et ai
le faible développement du gyrus antérieur et du gyrus postérieur du
lobe
carré (GQA, GQP). 0^ Le cuneus présente une for
nfin on remarquera la complexité des gyrus antérieur et postérieur du
lobe
carré (GQA, GQP), le développement considérable d
Le second sillon sous-frontal, en raison de l'énorme développement du
lobe
frontal, est dédoublé; les deux tronçons dont il
e continue avec le sillon ros tral (SR). GQA. Le gyrus antérieur du
lobe
carré, repoussé en arrière par grandes circonvo
rconvolution linj bique et la premicre circonvolution frontale. Les
lobes
carrés sont de petite dimension, surtout celui de
e de la région frontale, ne présente qu'un tout petit volume; tout le
lobe
carré lui-même est aminci au voisinage du bord su
pariétale est divisée en deux tronçons principaux; et le bourrelet du
lobe
carré (BQ). dont la surface est habituellement li
que postérieur (GMP) au lieu d'aborder la région antéro-inférieure du
lobe
paracentral (Pa). sP. La scissure sous-pariétal
étale est la continuation directe de la scissure limbique (L) dans le
lobe
carré. Il s'en faut que cette continuité des deux
naire : elle est censée appartenir aux types cérébraux inférieurs. Le
lobe
carré se trouve donc divisé par cette scissure en
supérieur, où l'on reconnaît d'avant en arrière le gyrus antérieur du
lobe
carré (GQA), le gyrus postérieur (GQP) et le bour
n limbique (PEA), le pentagone sous-ovalaire (PSO) et le pentagone du
lobe
carré (PEN). En arrière cette scissure sous-parié
re est horizontale ; et ce n'est pas le bourrelet (BQ) mais le cap du
lobe
carré (CQ) qui est compris entre les deux branche
ous-pariétale [sP) sépare le bourrelet (BQ) et le gyrus postérieur du
lobe
carré (GQP). On remarquera enfin que, pour comp
ude que nous indiquons est indispensable pour l'étude de la région du
lobe
carré, du cuneus et surtout de la scissure occipi
lanche VIII. GQA, GQP. Le gyrus antérieur et le gyrus postérieur du
lobe
carré, séparés l'un de l'autre par le sillon pari
pariétal transverse (pt), sont, d'autre part, séparés du bourrelet du
lobe
carré (BQ) par une profonde scissure qui entame l
communiquer avec la scissure occipitale. Il en résulte que le cap du
lobe
carré (CQ) et le pli de passage cunéo-limbique (x
mité inférieure de la scissure occipitale (Oi). BQ. Le bourrelet du
lobe
carré apparaît ainsi, comme un pli isolé, interpo
uis le cuneus (0®) jusqu'à la circonvolution limbique entre le cap du
lobe
carré (CQ) et le pli de passage temporo-limbique
s du pédoncule cérébral, pour s'assurer qu'on ne lèse pas l'écorce du
lobe
sphénoïdal. Lorsque cette préparation est faite
stérieure du fascia dentata (Fd) qui vient de la région antérieure du
lobe
sphénoïdal, où il prend insertion sur le crochet
l est maintenant facile de s'orienter ' dans la région de l'écorce du
lobe
sphénoïdal. 0^ Le lobule lingual, large et cont
^ Le lobule lingual, large et contourné sur lui-même à l'extrémité du
lobe
occipital, va s'amincissant progressivement d'arr
irconvolution, toutefois, ne va pas jusqu'à l'extrémité antérieure du
lobe
temporal ou pôle sphénoïdal (PS). Elle est séparé
eprésente virtuellement la terminaison de la scissure limbique sur le
lobe
temporal (nous avons déjà rappelé ce fait, bien m
emporale. Cette circonvolution rejoint sur la ligne médiane le cap du
lobe
carré (CQ), auquel elle est réunie par le pli de
le pli de passage temporo-limbique (xT). Enfin, en arrière du cap du
lobe
carré, vers le sommet duquel on voit s'avancer la
S), qui, décrivant une vaste courbe à convexité antérieure, sépare le
lobe
frontal du lobe temporal. Cette vallée de Sylvius
nt une vaste courbe à convexité antérieure, sépare le lobe frontal du
lobe
temporal. Cette vallée de Sylvius gagne le bord e
convolutions situées au devant de la vallée de Sylvius font partie du
lobe
frontal, qui, vu par sa face inférieure, s'appell
lobe frontal, qui, vu par sa face inférieure, s'appelle improprement
lobe
orbitaire ; toutes les circonvolutions, situées e
taire ; toutes les circonvolutions, situées en arrière font partie du
lobe
temporal et du lobe occipital. Les circonvoluti
irconvolutions, situées en arrière font partie du lobe temporal et du
lobe
occipital. Les circonvolutions de la région occ
poral [ot^). i. Le cerveau étant i)lacé ici sur sa face convexe, le
lobe
de l'hippocampe est au-dessus de la bandelette op
on de l'hippocampe se trouve réunie, comme nous venons de le dire, au
lobe
carré (CQ) par l'intermédiaire du pli de passage
le sillon orbitaire interne {soi) représente à la face inférieure du
lobe
frontal le prolongement réfléchi du premier sillo
faits principaux, r On remarquera d'abord la grande analogie des deux
lobes
1 ¦ Cerveau de Gambetta. Une étude détaillée de
e eux; d autre part, on peut constater leur grande diflerence avec le
lobe
temporal de la première figure. Cette dilïe-rence
au niveau du genou et au niveau du bourrelet. A la face interne du
lobe
frontal, on reconnaît, d'avant en arrière, Ce d
ps calleux (sC). Derrière le bourrelet du corps calleux, on voit le
lobe
carré (Q), séparé du cuneus (0®) par la scissure
pulvinar (Pul). Substance blanche. ce. Le corps calleux, dans le
lobe
frontal et dans le lobe occipital, n'émet pas ses
ance blanche. ce. Le corps calleux, dans le lobe frontal et dans le
lobe
occipital, n'émet pas ses fibres transversales, d
ées aux fibres de la couronne rayonnante de ce noyau (RNC). Dans le
lobe
occipital, le corps calleux, après avoir formé la
P), la paroi externe de ce ventricule. GO. Le centre ovale, dans le
lobe
frontal, est la masse de fibres qui émergent de l
ntérieure du corps calleux, pour se mélanger aux fibres propres de ce
lobe
. On voit un faisceau clair, situé en dehors de la
n dehors de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC), se porter du
lobe
frontal à la partie interne de l'insula. Ce faisc
if est cette bande claire à direction antéro-postérieure qui, dans le
lobe
occipital, fait suite à la couronne rayonnante (R
ation verticale, entre les circonvolutions occipitales internes et le
lobe
carré. Figure 2. COUPE HORIZONTALE PASSANT PA
is circonvolutions frontales (F*, F^ F^) forment la majeure partie du
lobe
frontal. La troisième circonvolution est séparée
dehors, que limite le sillon parallèle, profondément enfoncé dans le
lobe
temporal. Toute la surface de l'écorce qui s'éten
A la partie postérieure de la fente de Bichat se succèdent, dans le
lobe
temporo-occipital, la circonvolution de l'hippoca
anfractuosité delà calcarine et celle qu'on retrouve à l'extrémité du
lobe
occipital, la face interne de l'hémisphère est re
masse peu compacte de fibres d'association qui réunissent l'écorce du
lobe
pariétal inférieur à l'écorce des deuxième et tro
rforé antérieur (EPA). La vallée de Sylvius pénètre ainsi derrière le
lobe
frontal, de dedans en dehors et n'est séparée de
s le deuxième sillon frontal, qui s'avance en dedans de la portion du
lobe
frontal (F^ 4-F^), commun à la deuxième circonvol
ière, depuis le cul-de-sac postérieur de la fosse de Sylvius jusqu'au
lobe
occipital, où il devient tout à fait diflùs. En d
vertical, diffus lui-même, établit une anastomose entre les étages du
lobe
temporal (T, T) et le lobe pariétal situé au-dess
établit une anastomose entre les étages du lobe temporal (T, T) et le
lobe
pariétal situé au-dessus du plan de la coupe. Il
EU. Le fasciculus uncinatus, représenté par une tache foncée dans le
lobe
frontal, passe au-dessus de l'isthme gris fronto-
asse au-dessus de l'isthme gris fronto-sphé-noïdal (IFS). Il vient du
lobe
sphénoïdal, où il est également représenté par un
t ainsi une communication au-dessus de la vallée de Sylvius, entre le
lobe
sphénoïdal et le lobe frontal. Dans le lobe front
ion au-dessus de la vallée de Sylvius, entre le lobe sphénoïdal et le
lobe
frontal. Dans le lobe frontal, il est toujours si
llée de Sylvius, entre le lobe sphénoïdal et le lobe frontal. Dans le
lobe
frontal, il est toujours situé en dehors de la su
pour la figure 1 (pl. XI), où l'ensemble des faisceaux postérieurs du
lobe
occipital se réduisent à un seul (FS), représenté
seront étudiés un peu plus loin). Dans quelle région de l'écorce du
lobe
occipital s'effectuent cette convergence et cette
aison dans toute son étendue aiitéro-postérieure, depuis la pointe du
lobe
occipital jusqu'à son anastomose avec la scissure
us fusiforme (0'), pour se perdre à l'extrémité la. plus reculée du
lobe
oceipital, laquelle est, comme nous le savons (vo
la face externe de la cavité; elles vont ainsi jusqu'à l'extrémité du
lobe
occipital. LFE. La lame festonnée est de plus e
circonvolution occipitale (0'), mais par l'angle postéro-supérieur du
lobe
carré (Q). — Sur la face interne on voit le sillo
ord supérieur de l'hémisphère est représenté par le bord supérieur du
lobe
carré (Q), au-dessous L Nous avons dit que réte
s, au contraire, vont en arrière jusqu'à la partie la plus reculée du
lobe
occipital. FCF. Le faisceau compact du fornix t
i), s'enfonçant dans l'hémisphère sans se rejoindre. Cela fait que le
lobe
carré semble n'être relié à la masse cérébrale qu
e fond de ces deux scissures. Écorce. C'est toujours le sommet du
lobe
carré (Q) qui forme le bord supérieur de l'hémisp
Q) qui forme le bord supérieur de l'hémisphère. A la face interne, le
lobe
carré présente déjà une dépression qui répond à l
a partie postérieure de la scissure sous-pariétale (sP). Plus bas, le
lobe
carré est pénétré par la scissure perpendiculaire
pénétré par la scissure perpendiculaire interne (Oi). Cette partie du
lobe
carré répond exactement à ce que nous avons appel
é répond exactement à ce que nous avons appelé le Cap (CQ). Le cap du
lobe
carré forme, comme on le voit sur la figure, un v
e porte sur le fond de la scissure occipitale [Oi) et pénètre dans le
lobe
carré entre les deux branches externe et interne
La coupe a pour sommet le bord sagittal représenté par la crête du
lobe
carré (Q). Immédiatement en dedans, une dépressio
ssous, à la face interne de riiémisphèrc, toujours représentée par le
lobe
carré, on voit l'encoche (pt) du sillon pariétal
bable qu'un bon nombre d'entre elles pénè trent à ce niveau dans le
lobe
carré ; mais celles qui poursuivent leur trajet p
s ces coupes le sommet de l'hémisphère est représenté par la crête du
lobe
carré (Q, fig. 9) et par la circonvolution pariét
), qui, jusqu'alors, était superficiel, est maintenant caché entre le
lobe
carré et la cinquième occipito-temporale (O'^) ou
uperposé au faisceau moyen (FOm), et paraissant sortir de l'écorce du
lobe
carré. En réalité, il vient du bourrelet du corps
ssure occipitale interne s'enfonçant dans l'hémisplière derrière le
lobe
carré. FCF, le faisceau compact du fornix et (cin
OURRELET DU CORPS CALLEUX, TANGENTE AU BORD SUPÉRIEUR DU PENTAGONE DU
LOBE
CARRÉ Écorce. Le bord supérieur est représent
cissure limbique (L). Au-dessous de la scissure limbique se trouve le
lobe
carré ou le pli de passage pariéto-limbique. Ici
uve le lobe carré ou le pli de passage pariéto-limbique. Ici c'est le
lobe
carré avec une scissure peu profonde, la sous-par
sous-jacente à la sous-pariétale fait donc parti{3, clic aussi, du
lobe
carré. Mais cette portion représente la continuat
de la coupe et devient blanc; il se dirige vers la substance grise du
lobe
carré dans laquelle il se termine, ainsi que dans
upérieure de la courbe se dirige vers la partie la plus inférieure du
lobe
carré, et plus loin vers la face supérieure du co
rce grise du pli de passage cunéo-limbique (-âO") et s'avance dans le
lobe
sphénoïdal. Toujours en contact avec l'écorce, il
la plus postérieure du bourrelet du corps calleux, semble émerger du
lobe
carré; mais, en réalité, il laisse la substance b
er du lobe carré; mais, en réalité, il laisse la substance blanche du
lobe
carré derrière lui ; il vient d'une région plus a
issure sous-pariétale (sP) n'entame plus que très peu profondément le
lobe
carré. — La substance grise qui revêtait la goutt
en dedans. En haut, il se porte vers la partie la plus inférieure du
lobe
carré, c'est-à-dire vers la circonvolution limbiq
. La lame festonnée, que nous savons être une anastomose verticale du
lobe
carré avec le lobule lingual (T5), passant toujou
obliquement en haut et en dedans vers la partie la plus inférieure du
lobe
carré. FOi. Le faisceau inférieur du forceps s'
pariéto-frontal, plus clair que sur la coupe précédente, se dirige du
lobe
pariétal supérieur et du lobe pariétal inférieur
e sur la coupe précédente, se dirige du lobe pariétal supérieur et du
lobe
pariétal inférieur dans la pariétale ascendante.
DE LA PRÉCÉDENTE, PAR LA PARTIE LA PLUS INFÉRIEURE DU PENTAGONE DU
LOBE
CARRÉ Écorce. Elle ne diffère en rien de la d
s seulement sont à signaler: A la partie inférieure du pentagone du
lobe
carré (PEN), on distingue une encoche qui corresp
e était, devient oblique en bas et en dehors. Dans la continuité du
lobe
carré, au-dessus de l'encoche précédente, apparaî
st plus foncée. Il est plaqué exactement contre la substance grise du
lobe
carré (Q) au voisinage du sinus du corps calleux
re qu'il redevient, là encore, indépendant de la substance blanche du
lobe
carré, avec laquelle il avait paru se mélanger su
mélanger ses fibres supérieures avec celles qui tapissent l'écorcc du
lobe
carré. Figure 17. COUPE VERTICO-TRANSVERSALE
Le faisceau compact du fornix, en contact avec la substance grise du
lobe
carré, immédiatement au-dessous du sinus du corps
t que de fixer d'une façon bien précise les rapports des faisceaux du
lobe
occipital, dont les changements de direction sont
émisphère. Au-dessous de la scissure Iimbique, l'écorce appartient au
lobe
carré; l'entaille assez importante (sP) de la sci
portante (sP) de la scissure sous-pariétale divise en deux parties le
lobe
carré; une supérieure, appartenant au pli de pass
e pariéto-limbique (tcL), une inférieure, appartenant au pentagone du
lobe
carré. — La circonvolution Iimbique, dont le pent
one du lobe carré. — La circonvolution Iimbique, dont le pentagone du
lobe
carré n'est que la région postérieure, est séparé
jà vu sur les précédentes. On remarquera seulement que la division du
lobe
temporal en trois circonvolutions externes, ne ré
ement circonvolution du corps calleux, circonvolution sous-pariétale,
lobe
carré, pli de passage temporo-limbique, circonvol
ar le pli de passage pariéto-limbique (tcL), n'est autre chose que le
lobe
carré; en d'autres termes, le sillon occipito-tem
ur et l'étage inférieur de l'hémisphère, entre les circonvolutions du
lobe
carré et la circonvolution de l'hippocampe. FPF
. PLANCHE XVI COUPES VERTICO-TRANSVERSALES (31-36) PASSANT PAR LE
LOBE
CARRÉ, LA PARTIE POSTÉRIEURE DU SPLENIUM, TANGENT
r axe, au moment où, venues de la partie inférieure et postérieure du
lobe
carré et du cuneus, elles passent clans la circ
culaire, mais restant Coupes 39 et 4-2 de la fimbria FI, passant du
lobe
sphenoidal dans le tr1 gone (TRI). toujours sép
oujours adossée à la circonvolution limbique, elle se porte du cap du
lobe
carré à la circonvolution de l'hippocampe, forman
u fascia dentata, en se portant d'arrière en avant jusqu'à l'uncus du
lobe
sphénoïdal (voir plus loin). Sur les figures 46,
ous de la scissure de Sylvius (S'), les sillons et circonvolutions du
lobe
temporal se succèdent comme il a été indiqué; on
rrière dans la capsule interne, pour aller se terminer à la pointe du
lobe
occipital (c'est le faisceau cortical direct du c
fig. 70). CO. Le faisceau du centre ovale (fig. 69) remonte dans le
lobe
frontal, entre le faisceau diffus du fornix et le
irigent en avant, et nous les verrons, plus loin, se terminer dans le
lobe
frontal. PCF. Le faisceau compact du fornix (ti
. Le trait (81) passe par le sommet de l'uncus (Une). PS, pôle du
lobe
sphénoïdal de l'hémisphère gauche; IIL, lobule
sensitif, auquel il les abandonne à travers la couronne rayonnante du
lobe
occipital. Il résulte de là que le faisceau de
TÉRIEURE DU GANGLION DE l'hARÉNULE Écorce. Sur toute l'étendue du
lobe
frontal et du lobe pariétal, elle ne présente de
N DE l'hARÉNULE Écorce. Sur toute l'étendue du lobe frontal et du
lobe
pariétal, elle ne présente de spécial que l'appar
la temporale transverse. Des changements notables dans l'aspect du
lobe
sphénoïdal résultent de l'apparition du crochet {
ns émettre des faisceaux, qui divergent en dehors et en haut, vers le
lobe
frontal et vers le lobe pariétal; mais il est imp
, qui divergent en dehors et en haut, vers le lobe frontal et vers le
lobe
pariétal; mais il est impossible de les suivre bi
et le putamen (PUT). Elle sert d'anastomose entre le centre ovale du
lobe
pariéto-frontal et la substance médullaire du lob
le centre ovale du lobe pariéto-frontal et la substance médullaire du
lobe
temporo-sphénoïdal. Elle renferme des fibres qui
surface convexe de l'hémisphère. ' ' ¦ ' Mais la IbruKî générale du
lobe
frontal ne éhangera plus maintenant. Deux grands
squ'au pôle frontal : les trois circonvolutions frontales. Quant au
lobe
sphénoïdal, ses divisions sont toujours de beauco
au appartient à trois régions bien distinctes : 1° le centre ovale du
lobe
sphénoïdal; 2" l'espace perforé antérieur; 5° la
e ; cette première portion appartient tout entière au centre ovale du
lobe
sphénoïdal. La deuxième portion, horizontale ap
e l'hippocampe (SH) en un Face interne de l'extremite anterieure du
lobe
.sphenoidal. Hip. circonvolution de I'llip-poca
NA. Le noyau amygdalien, situé au-dessus du cul-de-sac antérieur du
lobe
sphénoïdal, dont il forme la voûte, est longé en
eur de la capsule interne se prolonge dans la substance médullaire du
lobe
teniporo-sphénoïdal jusqu'à l'écorec de la troisi
che inférieure (ThI) superposée à la bandelette optique (BO) vient du
lobe
temporal et va, en avant, se jeter dans la couche
pédoncule. Le faisceau de Turck-Meynert, en effet, a disparu dans le
lobe
occipital, et le faisceau pyramidal qu'on disting
e grise de l'anse (GAP, fig. 112, 114) jusque dans le centre ovale du
lobe
sphénoïdal. Bien plus, elles s'incurvent de la mê
evant et au-dessous de la tête du noyau caudé, à travers la moelle du
lobe
frontal. FU. Le fasciculus uncinatus (fig. 115,
résentant une coupe vertico-transversale de l'extrémité antérieure du
lobe
sphénoïdal, au voisinage du pôle sphénoïdal (PS).
et en dehors du lobule de l'hippocampe (Hip). Il se recourbe vers le
lobe
frontal où il pénètre, sous-jacent à la capsule e
rne (CE). C'est là qu'il est le plus compact. Il arrive ainsi dans le
lobe
frontal au-dessus des circonvolutions orbitaires,
t en avant, à travers la capsule interne, se recourbant ainsi vers le
lobe
frontal où elles se partagent dans deux direction
ant du turercule mamillaire Écorce. Nous avons vu que la forme du
lobe
frontal ne subissait plus de variations important
faites d'arrière en avant, entamaient les trois circonvolutions de ce
lobe
. Il n'y a à signaler ici que l'apparition d'un cu
s (115, 116), très compact au-dessous de la capsule externe, passe du
lobe
sphénoïdal dans le lobe frontal ; il est tout voi
ct au-dessous de la capsule externe, passe du lobe sphénoïdal dans le
lobe
frontal ; il est tout voisin de l'écorce de l'ins
au fasciculus uncinatus et lui emprunte sa voie pour pénétrer dans le
lobe
frontal. Sur les coupes 119 et 120 les fibres d
et 120 les fibres d'origine du fasciculus uncinatus, à l'extrémité du
lobe
sphénoïdal, s'incurvent en haut et en dedans. Ell
ours en dehors de celte racine. Dans toute cette région antérieure du
lobe
sphénoïdal où elles prennent naissance, les libre
arqué, à concavité antérieure, dont l'extrémité supérieure répond au
lobe
frontal et l'extrémité inférieure au pôle sphénoï
PA), on voit l'avant-mur (CL) se confondre avec la substance grise du
lobe
sphénoïdal. Cette substance grise est celle qui r
us en avant (fig. 124, 125), lorsque le fasciculus uncinatus passe du
lobe
sphénoïdal dans le lobe frontal, l'intervalle ent
25), lorsque le fasciculus uncinatus passe du lobe sphénoïdal dans le
lobe
frontal, l'intervalle entre les deux parties de l
ur la coupe 126, où l'isthme gris fronto-sphénoïdal (IFS) traverse le
lobe
sphénoïdal. Cela tient à ce que l'insertion du cl
noïdal. Cela tient à ce que l'insertion du clau-strum sur l'écorce du
lobe
de l'hippocampe se fait à la partie la plus posté
l'insula, c'est parce qu'il est arrêté par les fibres corticales des
lobes
frontal et occipital qui se projettent sur le péd
au devant du pilier descendant du trigone (DF). Elle descend dans le
lobe
temporal en passant derrière l'espace perforé ; e
use la courbure antérieure du corps calleux qu'il accompagne. Dans le
lobe
sphénoïdal, ce faisceau (FDF, fig. 123) s'épanoui
ximum d'épaisseur. Outre les fibres qu'il envoie dans la direction du
lobe
frontal et du lobe pariétal, nous voyons qu'il se
Outre les fibres qu'il envoie dans la direction du lobe frontal et du
lobe
pariétal, nous voyons qu'il se continue sans déma
l'insula (PI, fig. 127), se prolonge en bas et en dedans au-dessus du
lobe
temporal, et n'est arrêtée que par l'isthme gris
(S, iig. 129) sera divisée dans toute son étendue transversale, et le
lobe
temporal sera séparé du reste de l'hémisphère.
ette région le trajet des faisceaux profonds. La face inférieure du
lobe
frontal passe directement de la face externe à la
capsule interne (Cl, fig. 152) qui s'épanouit dans le centre ovale du
lobe
frontal. LES. La capsula extrema (fig. 152), do
que antérieure, qui continuent leur trajet d'arrière en avant vers le
lobe
frontal. Les plus externes des fibres de cette ra
ntérieur de la capsule interne (CI) forment la couronne rayonnante du
lobe
frontal, et les plus externes deviennent transver
. Le fasciculus uncinatus (fig. 127) s'étale dans toute la largeur du
lobe
frontal au-dessus de l'isthme gris fronto-sphénoï
t parcourir son chemin sous le putamen, et il se termine à la base du
lobe
frontal, en dehors du fasciculus uncinatus (FU, 1
R LE ROSTRUM ET LE GENOU DU CORPS CALLEUX; LA COUPE 138 PASSE DANS LE
LOBE
FRONTAL EN AVANT DU GENOU DU CORPS CALLEUX Écor
dedans avec la portion de cette môme circonvolution. Il est séparé du
lobe
temporal par la vallée de Sylvius (S). La môme
diffus qui se termine, s'épuise totalement dans l'étage supérieur du
lobe
frontal. FDF. Le faisceau diffus du fornix (fig
lée de Sylvius (S, fig. 155, 154,155) le tronçon le plus antérieur du
lobe
temporal présente encore la subdivision de ce lob
plus antérieur du lobe temporal présente encore la subdivision de ce
lobe
en quatre circonvolutions (fig. 155, TS T^ T% T).
épandre au-dessus et au-dessous du ventricule dans le centre ovale du
lobe
frontal. Nous reviendrons encore sur leur distrib
mmissure vraie entre les parties des deux hémisphères qui occupent le
lobe
frontal : parties corticales et parties ganglionn
eux (ce) s'incline en avant et en dehors et va rejoindre au milieu du
lobe
frontal (fig. 158) la masse des fibres antéro-pos
calleux qui se terminent, en s'épar-pillant, dans le centre ovale du
lobe
frontal. Mais c'est seulement par comparaison ave
s ne présentent une certaine densité que dans la moitié inférieure du
lobe
frontal (137), où elles forment une bande vertica
un enroulement de substance grise qui fait suite à l'écorce du cap du
lobe
carré (CQ). Substance blanche. PP. Le pied du
u putamen (PUT), se réfléchit à ce niveau, en bas et en avant vers le
lobe
sphénoïdal. Mais plus haut (iîg. 2 et 3), elle fo
traire, se reconnaît facifement (fig. 3) dans la substance blanche du
lobe
carré, en avant de la scissure occipitale interne
gonale de Broca, et se perd en dehors et en arrière, dans l'écorce du
lobe
sphénoïdal, en avant du lobule de l'hippocampe.
R. Le gyrus rectus occupe la plus grande partie de la face interne du
lobe
frontal; il est coupé parallèlement à sa directio
nfonce, avec l'extrémité antérieure de la calcarine (/t), derrière le
lobe
carré; la calcarine repousse son écorce grise ver
ciola cinerea (Fci), au moment où celui-ci s'enfonce de la surface du
lobe
carré (CQ) vers la corne d'Ammon (CAM). Elle est
fasciola cinerea est donc la portion de l'écorce grise qui, partie du
lobe
carré avec le taenia tecta, s'enfonce de dedans e
e passant par les deux commissures soit exactement tangente au cap du
lobe
carré. D'autre part le fasciola cinerea, ou cir
le quadrijumeau (QA). C'est là précisément que se trouve la limite du
lobe
carré et de la circonvolution de l'hippocampe. La
oit la face inférieure du pulvinar (Pul). L'extrémité antérieure du
lobe
sphénoïdal, séparée du lobule orbitaire par la va
ans en dehors, dans la cavité ventriculaire, puis il a divisé tout le
lobe
sphénoïdal jusqu'à l'écorce, intéressant ainsi :
eure du thalamus (Thl). Figure 3. Ici la coupe n'intéresse que le
lobe
sphénoïdal; elle passe au-dessous de la bandelett
a longueur et l'on peut juger de sa disposition longitudinale dans le
lobe
sphénoïdal. En avant elle a pour paroi antérieure
e et interne du crochet (Une). PLANCHE XLI COUPES HORIZONTALES DU
LOBE
SPHENOÏDAL Les douze figures de cette planche r
res de cette planche représentent la série des coupes horizontales du
lobe
sphénoïdal, pratiquées de haut en bas, sur un hém
façon absolument conforme à celle que nous présentons. L'obliquité du
lobe
sphénoïdal est si variable qu'on arrive malaiséme
La plus postérieure (I) de ces coupes passe au devant du bourrelet du
lobe
carré; la seconde (2) traverse le lobe carré à sa
asse au devant du bourrelet du lobe carré; la seconde (2) traverse le
lobe
carré à sa partie moyenne; la troisième (5) gliss
ranche relevée de la scissure limbique dans la région poslé rieure du
lobe
paracentral; la quatrième (4), qui est la plus an
ème (4), qui est la plus antérieure, traverse la région antérieure du
lobe
paracentral. La figure 1 de la planche XLII fai
tratum zonale du pulvinar. BP. Bras du pidvinar. BO. Bourrelet du
lobe
carré. BOA. Bras du tubercule quadrijumeau anté
du tuber cinereum) . CP. Commissure postérieure. CQ. Opercule du
lobe
carré ou cap du lobe carré. Cli. Portion réfléc
CP. Commissure postérieure. CQ. Opercule du lobe carré ou cap du
lobe
carré. Cli. Portion réfléchie du splenium. CI
Genou supérieur de la pariétale ascendante. GQA. Gyrus antérieur du
lobe
carré. GQP. Gyrus postérieur du lobe carré. G
nte. GQA. Gyrus antérieur du lobe carré. GQP. Gyrus postérieur du
lobe
carré. GR. Gijinis reclus. GS. Pyramide grise
ntal du ruban de Reil, couche de Reil {Schlelfe des Allemands). LF.
Lobe
frontal. LFE. Lame festonnée. LES. Capsula exlr
s de Lancisi). LN. Locus niger, substance noire de Sœmmering. LO.
Lobe
occipital. LP. Lobule pariétal. LS. Lobe sphé
oire de Sœmmering. LO. Lobe occipital. LP. Lobule pariétal. LS.
Lobe
sphénoïdal. LST. Stratum lacunosum. LTE. Lami
pellucidum, cloison transparente. PEN, Pli, ourlet ou pentagone du
lobe
carré. pen. Extrémité la plus antérieure du pli
étale. SPL. Splenium, bourrelet du corps calleux. sQ. Recessus du
lobe
carré. SR. Sillon rostral. Sra. Stratum radia
Bourrelet du corps calleux (SPL)............... xviii Bourrelet du
lobe
carré (BQ)................ xl Brachium cerehell
ap de la troisième circonvolution frontale (CAP).......ui, 9 Cap du
lobe
carré (CQ)................... lv Capsula extrem
ccipito-temporal de Pansch (0^4).......xxx\i, 20 Gyrus antérieur du
lobe
carré (GQA).............. xl Gyrus falciforme (
us pariétal supérieur (P^)................. xly Gyrus postérieur du
lobe
carré (GQP)............. xl Gyrus rectangulaire
....................... ^vi Limen........................xvi, xvm
Lobe
carré (Q), (voy. GQA, GQP, BQ).............. xl
....xvi, xvm Lobe carré (Q), (voy. GQA, GQP, BQ).............. xl
Lobe
frontal...................... Lobe occipital...
GQA, GQP, BQ).............. xl Lobe frontal......................
Lobe
occipital...................... pnss. Lobe sphé
...................... Lobe occipital...................... pnss.
Lobe
sphénoïdal...................... pass. Lobe tem
............... pnss. Lobe sphénoïdal...................... pass.
Lobe
temporal..................... pass. Lobule de l
.... 26 Olive supérieure (NR).................... 259 Opercule du
lobe
carré (CQ) (voy. Cap du lobe carré)....... lv O
R).................... 259 Opercule du lobe carré (CQ) (voy. Cap du
lobe
carré)....... lv Opercule frontal (OF).........
antérieur de la circonvolution limbique (PEA)..... Lv Pentagone du
lobe
carré (PEN)„............... Pentagone sous-oval
postérieur du trigone (TRç)......... . . xxvi, 220 Pli antérieur du
lobe
carré (GQA)............... xl Ph postérieur du
li antérieur du lobe carré (GQA)............... xl Ph postérieur du
lobe
carré (GQP)............... xl PU courbe (PC)...
nt de l'étage supérieur des ventricules latéraux. Ces masses sont les
lobes
olfactifs. Les choses étant ainsi indiquées, re
non d'un gris rougeâtre. La masse de ce tubercule est divisée en deux
lobes
, que les frères Wenzel ont décrits avec une atten
oici celte description : s Le corps pituitaire est divisé en un grand
lobe
antérieur et un petit une lame grise est étendu
rieure. Elle est surtout bien apparente dans le cerveau de l'homme,
lobe
postérieur. Le premier est reniforme et le second
et le second plus ou moins arrondi.— Le plus grand diamètre du grand
lobe
est transversal, le plus petit est de devant en a
l, le plus petit est de devant en arrière. Le bord supérieur du grand
lobe
est convexe, son bord postérieur est échancré. Ce
e, son bord postérieur est échancré. Cette échancrure reçoit le petit
lobe
. « Laface supérieure du grand lobe est d'autant
Cette échancrure reçoit le petit lobe. « Laface supérieure du grand
lobe
est d'autant plus élevée que le sujet est plus je
e moyen âge, et creuse dans un âge avancé. La face inférieure du même
lobe
est toujours un peu proéminente. Le petit lobe ou
ace inférieure du même lobe est toujours un peu proéminente. Le petit
lobe
ou lobe postérieur est au moin-s de moitié moindr
rieure du même lobe est toujours un peu proéminente. Le petit lobe ou
lobe
postérieur est au moin-s de moitié moindre que l'
de celui-ci. « Il y a pendant toute la vie deux substances dans le
lobe
supérieur, l'une extérieure, rougeâtre forme une
u moins rouge qui se dirige au milieu de la face postérieure du grand
lobe
, exactement à l'endroit où l'infundibulum communi
um communiqne avec le corps pituitaire. Quant a la substance du petit
lobe
elle est d'une seule couleur, tantôt blanche, tan
sans exception au milieu de l'échancrure du bord postérieur du grand
lobe
. » (Observations sur le cervelet, par J. Wenzel,
337), la glande pituitaire n'offre point d'éléments nerveux dans son
lobe
antérieur de couleur rouge. Il accepte les opinio
rt. Blutgefdss drusen dans Wagner, Handwbrterbuch der physiologie) ce
lobe
contient les éléments des glandes vasculaires san
obe contient les éléments des glandes vasculaires sanguines. Quant au
lobe
postérieur il contient, outre des noyaux et des v
térieure manque absolument, du moins dans l'adulte, logent les grands
lobes
latéraux des plexus choroïdes du quatrième ventri
ement. Mais cette conclusion serait loin d'être exacte; en effet, aux
lobes
antérieurs qui, chez les singes, sont extrêmement
pond un ventricule très-réduit dans toutes ses parties, tandis que le
lobe
postérieur, malgré la grandeur de son ventricule,
t présente une échancrure qu'on nomme X!échancrure seminulaire. Les
lobes
du cœur sont situés en arrière et font dans Y hom
grande échancrure du cœur ou plutôt la vallée médiane qui sépare ses
lobes
se prolonge donc à la face inférieure et communiq
du cœur, et une partie de sa masse ; l'autre, postérieure, répond aux
lobes
du cœur. Cette scissure, très-large à ses extrémi
té sur une lame commune, forme un lobule, un groupe de lobules est un
lobe
. 11 y a plusieurs manières de décrire ces lobes,
oupe de lobules est un lobe. 11 y a plusieurs manières de décrire ces
lobes
, nous préférerons la suivante qui diffère, il est
queue. Le corps est une masse pyriforme, dont la base répond aux deux
lobes
du cœur. La queue est le vermis latéral ; elle se
ois masses, dont nous venons de parler, sont subdivisées en plusieurs
lobes
plus ou moins compliqués. Nous conserverons à ces
en plusieurs lobes plus ou moins compliqués. Nous conserverons à ces
lobes
les noms qui leur ont été imposés par Reil. A.
2° Le lobule central compris dans féchancrure semilunaire ; 3° Le
lobe
antéro-supérieur de Reil, que composent trois gro
de chaque cervelet latéral comprend, à son tour, plusieurs étages ou
lobes
superposés. Ces lobes, semblables à des disques p
téral comprend, à son tour, plusieurs étages ou lobes superposés. Ces
lobes
, semblables à des disques plus ou moins épais, ne
u des noms divers que nous ne changerons pas, on distingue : 1° Les
lobes
postéro supérieurs ou seminulaires. Ces lobes, fo
on distingue : 1° Les lobes postéro supérieurs ou seminulaires. Ces
lobes
, fort épais, surtout à leur extrémité externe, so
spondent à la lame transversale supérieure du vermis médian. 2° Les
lobes
postéro inférieurs] ils sont fort épais, et répon
ent aux lamelles transversales inférieures du vermis médian. 3° Les
lobes
grêles dont la direction est oblique. 4° Les lo
médian. 3° Les lobes grêles dont la direction est oblique. 4° Les
lobes
digastriques ainsi nommés, parce qu'ils sont form
de deux lobules distincts; leur direction est presque verticale. Les
lobes
grêles et les lobes digastriques sont en connexio
tincts; leur direction est presque verticale. Les lobes grêles et les
lobes
digastriques sont en connexion avec la pyramide.
ques sont en connexion avec la pyramide. 5° Les amygdales, sorte de
lobes
arrondis ou plutôt ellipsoïdes, dont les lamelles
bre et de la disposition des feuilles du cervelet dans ses différents
lobes
. On a beaucoup écrit sur les feuilles du cervel
feuilles pouvant avoir une direction oblique, eu égard à celles des
lobes
, la même feuille peut passer d'un lobe sur un l
ique, eu égard à celles des lobes, la même feuille peut passer d'un
lobe
sur un lobe voisin en s'infiéchis- sant dans le
rd à celles des lobes, la même feuille peut passer d'un lobe sur un
lobe
voisin en s'infiéchis- sant dans le fond des va
lées qui les séparent, et dès lors, si l'on compte les feuilles des
lobes
isolés pour additionner ensuite ces sommes part
fois une seule en donne plusieurs, et toutes n'ont pas, dans un môme
lobe
, la même longueur nécessaire; ainsi le nombre des
nombre des feuilles peut différer suivant les points que dans un même
lobe
un observateur considère ; à peine est-il permis
dans certains endroits parallèle aux grands sillons qui séparent les
lobes
. Dans le corps du cervelet antérieur elles s'infl
plus irrégulières dans le cervelet latéral et du bord inférieur d'un
lobe
se portent le plus souvent au côté supérieur du l
d inférieur d'un lobe se portent le plus souvent au côté supérieur du
lobe
contigu, et même à sa face libre. Cela a lieu sur
u lobe contigu, et même à sa face libre. Cela a lieu surtout entre le
lobe
semilunaire et le lobe postéro-inférieur. Ces pas
à sa face libre. Cela a lieu surtout entre le lobe semilunaire et le
lobe
postéro-inférieur. Ces passages sont moins appare
e lobe postéro-inférieur. Ces passages sont moins apparents entre les
lobes
postéro-inférieurs et les lobes grêles, et sont p
ssages sont moins apparents entre les lobes postéro-inférieurs et les
lobes
grêles, et sont plus rares encore entre ceux-ci e
s et les lobes grêles, et sont plus rares encore entre ceux-ci et les
lobes
digastriques, ce qui tient, sans aucun doute, à l
s de plus en plus réduits. Il y a une distinction à faire entre les
lobes
, quant au nombre de leurs plis. Ceux du lobe semi
ction à faire entre les lobes, quant au nombre de leurs plis. Ceux du
lobe
semilunaire sont les plus compliqués et surtout l
uliers de tous. Leurs extrémités convergent, à l'extrémité externe du
lobe
, vers la lame mince qui sert de base commune à to
. Dans la plupart des singes de l'ancien continent les feuilles de ce
lobe
sont semblables à des lames de couteau, dont le d
us sur une lame basilaire. Cette forme distingue au premier aspect le
lobe
semilunaire de toutes les autres parties du cerve
lus possible de distinguer des autres parties du cervelet latéral, ce
lobe
exceptionnel. Reil et Malacarne ont si bien déc
décrit ces tubercules. Plusieurs auteurs les désignent sous le nom de
lobes
optiques. Leurs relations avec les nerfs de la vi
la vision dans tous les animaux justifient cette dénomination. Ces
lobes
ne paraissent point avoir, dans l'ordre des organ
e leur grandeur relative. Vaqueduc de Sylvius est le ventricule des
lobes
optiques. Dans le fœtus, où ces lobes dominent, i
e Sylvius est le ventricule des lobes optiques. Dans le fœtus, où ces
lobes
dominent, il offre une grande dilatation. Cette d
it qu'elle existe dans tous les vertébrés ovipares. La division des
lobes
optiques en quatre tubercules ne se voit que dans
latéral est la région fronto-pariétale que nous distinguerons en deux
lobes
, le frontal et le pariétal. Celle qui répond à la
frontal et le pariétal. Celle qui répond à la corne inférieure est le
lobe
sphenoidal; enfin, à la corne postérieure du vent
sphenoidal; enfin, à la corne postérieure du ventricule correspond le
lobe
occipital. Ces quatre lobes boursouflés autour de
ne postérieure du ventricule correspond le lobe occipital. Ces quatre
lobes
boursouflés autour de l'ensemble du ventricule la
ale qui recouvre le noyau d'enroulement. Cette région porte le nom de
lobe
central ou d1Insula. L'ensemble de ces lobes a la
te région porte le nom de lobe central ou d1Insula. L'ensemble de ces
lobes
a la forme d'un cratère dont le fond est légèreme
tère dont le fond est légèrement soulevé. Dans le fœtus, les quatre
lobes
qui forment la ceinture du cratère sont d'abord p
illants, et leur ensemble décrit une courbe assez régulière autour du
lobe
central. Mais à mesure qu'ils se développent, cet
e de Sylvius, à laquelle on distingue un bord antérieur qui répond au
lobe
frontal, un bord supérieur qui longe le lobe pa
ntérieur qui répond au lobe frontal, un bord supérieur qui longe le
lobe
pariétal, et enfin un bord inférieur qui limite e
ariétal, et enfin un bord inférieur qui limite en avant et en haut le
lobe
sphenoidal. Vers la fin du cinquième mois {la v
férieure se dirige en avant, et s'ouvre à la base du cerveau entre le
lobe
frontal et le lobe sphenoidal. Ainsi le fond de l
en avant, et s'ouvre à la base du cerveau entre le lobe frontal et le
lobe
sphenoidal. Ainsi le fond de la vallée répond aux
e en arrière dans les points qui répondent au cervelet. Au niveau des
lobes
frontaux, elle est dans l'homme à peu près plane,
emarquable par la grande saillie que forment à droite et à gauche les
lobes
sphénoïdaux. Entre ces deux saillies, on aperçoit
s, la partie frontale des hémisphères est énorme et prédomine sur les
lobes
sphénoïdaux qui sont fort écartés l'un de l'autre
sur les lobes sphénoïdaux qui sont fort écartés l'un de l'autre. Ces
lobes
s'accroissent beaucoup jusqu'à la naissance ; à c
è™ (1) E. Chevreul, Lettres à M. Yillemain. Paris, 1855. res, les
lobes
olfactifs, seraient dans cette somme. Il faudrait
ssus de la scissure de Sylvius, comprend deux groupes de plis ou deux
lobes
. Ces deux groupes sont séparés par une anfractuos
actuosité verticale, qui est le sillon de Rolando. L'antérieur est le
lobe
frontal, le postérieur, à cause de ses rapports,
st le lobe frontal, le postérieur, à cause de ses rapports, est nommé
lobe
pariétal. b. La région, située au-dessous de la
, située au-dessous de la scissure de Sylvius, ne comprend qu'un seul
lobe
, le lobe temporo-sphénoïdal. c. Dans les singes
au-dessous de la scissure de Sylvius, ne comprend qu'un seul lobe, le
lobe
temporo-sphénoïdal. c. Dans les singes, que la
issure verticale profonde sépare, derrière la scissure de Sylvius, le
lobe
pariétal d'avec la région qui occupe l'extrémité
e perpendiculaire externe. La région qu'elle limite, en avant, est le
lobe
postérieur ou occipital. Si, maintenant, nous é
scissure de Sylvius, nous apercevrons, au fond de cette scissure, un
lobe
lisse dans les singes mais qui porte plusieurs pl
les singes mais qui porte plusieurs plis rayonnants dans l'homme. Ce
lobe
, qui recouvre la saillie du corps strié externe,
u corps strié externe, est Yinsula. Nous lui donnons encore le nom de
lobe
central. Ainsi, nous distinguerons, sur la face
s, sur la face externe de l'hémisphère , cinq groupes de plis ou cinq
lobes
, savoir : le lobe central, et autour de celui-ci
rne de l'hémisphère , cinq groupes de plis ou cinq lobes, savoir : le
lobe
central, et autour de celui-ci quatre lobes : le
ou cinq lobes, savoir : le lobe central, et autour de celui-ci quatre
lobes
: le frontal, le pariétal, le temporo-sphénoïdal
e frontal, le pariétal, le temporo-sphénoïdal et l'occipital. A. Du
lobe
central. Ce lobe est complètement lisse dans la
tal, le temporo-sphénoïdal et l'occipital. A. Du lobe central. Ce
lobe
est complètement lisse dans la plupart des singes
tement représentés par Rolando, par M. Arnold et par M. Foville. Le
lobe
central paraît particulier à l'homme et aux singe
mais on ne voit rien de semblable chez les autres mammifères. B. Du
lobe
frontal. Le sillon de Rolando sépare ce lobe d'
es mammifères. B. Du lobe frontal. Le sillon de Rolando sépare ce
lobe
d'avec le lobe pariétal. Ce sillon est compris en
B. Du lobe frontal. Le sillon de Rolando sépare ce lobe d'avec le
lobe
pariétal. Ce sillon est compris entre deux circon
rconvolutions ascendantes. L'une de ces circonvolutions appartient au
lobe
frontal, l'autre au lobe pariétal. Le lobe fron
. L'une de ces circonvolutions appartient au lobe frontal, l'autre au
lobe
pariétal. Le lobe frontal présente deux faces,
nvolutions appartient au lobe frontal, l'autre au lobe pariétal. Le
lobe
frontal présente deux faces, comprenant chacune u
hémisphère, au-devant du champ olfactif; cette scissure, scissure des
lobes
olfactifs, loge l'arête supérieure de ces lobes,
cissure, scissure des lobes olfactifs, loge l'arête supérieure de ces
lobes
, très-grêles, comme chacun sait, dans l'espèce hu
ntérieure de l'hémisphère au pl,i ascendant qui borde, en arrière, le
lobe
frontal. Ce pli, très-flexueux dans l'homme, y pr
dans Yidioie que nous avons examinée, les étages supérieurs des deux
lobes
frontaux étaient à peu de choses près symétriques
'homme blanc, dissimule cette régularité primitive, et entre les deux
lobes
frontaux il n'y a plus aucune symétrie; souvent l
une anomalie véritable. D'une manière générale, les trois étages du
lobe
frontal sont horizontaux et parallèles. Leur extr
dans l'homme et dans les singes de l'ancien continent, les limites du
lobe
frontal sont celles de l'os frontal. Ce rapport e
tres parties du cerveau et les parties postérieures du crâne. C. Du
lobe
pariétal. hi. uu loue parieiai. Ce lobe situé a
térieures du crâne. C. Du lobe pariétal. hi. uu loue parieiai. Ce
lobe
situé au-dessus de la scissure de Sylvius entre l
nt du sommet de cette scissure qu'il contourne pour descendre dans le
lobe
sphenoidal, en suivant le bord antérieur de la sc
désigné sous le nom de lobule du pli pariétal ascendant. D. Plis du
lobe
temporo-sphénoïdul. Ce lobe, situé au-dessous d
du pli pariétal ascendant. D. Plis du lobe temporo-sphénoïdul. Ce
lobe
, situé au-dessous de la scissure de Sylvius, comp
le. Le deuxième \Ai,pli temporal mot/en, est étendu de la pointe du
lobe
sphenoidal à celle du lobe occipital ; il est don
emporal mot/en, est étendu de la pointe du lobe sphenoidal à celle du
lobe
occipital ; il est donc commun à ces deux lobes.
sphenoidal à celle du lobe occipital ; il est donc commun à ces deux
lobes
. Ce pli reçoit l'extrémité inférieure du pli cour
Le pli temporal inférieur, comme le moyen, s'étend de l'extrémité du
lobe
sphenoidal à celle du lobe occipital. E. Plis d
comme le moyen, s'étend de l'extrémité du lobe sphenoidal à celle du
lobe
occipital. E. Plis du lobe occipital. Il nous
'extrémité du lobe sphenoidal à celle du lobe occipital. E. Plis du
lobe
occipital. Il nous reste à étudier le lobe occi
occipital. E. Plis du lobe occipital. Il nous reste à étudier le
lobe
occipital, et les parties situées au fond de la s
es parties situées au fond de la scissure perpendiculaire externe. Le
lobe
occipital est très-grand dans tous les singes. Li
r type, on détache, par une section habilement ménagée, Y opercule du
lobe
occipital, on découvrira les parties cachées au f
1° Un pli qui du lobule du pli pariétal ascendant passe au sommet du
lobe
occipital, et 2° un pli qui du sommet du pli cour
, et 2° un pli qui du sommet du pli courbe passe au bord antérieur du
lobe
occipital. J'ai donné à ces plis, dont la considé
ils comblent en quelque sorte la scissure perpendiculaire externe. Le
lobe
occipital, extrêmement réduit, n'a plus alors d'o
lis de passage, les prolongements qui, des plis moyen et inférieur du
lobe
temporo-sphénoïdal, se portent dans le sommet du
et inférieur du lobe temporo-sphénoïdal, se portent dans le sommet du
lobe
occipital. On peut les désigner sous le nom de tr
'homme quatre plis de passage grands et superficiels. Deux passent du
lobe
pariétal au lobe occipital. Les deux autres uni
s de passage grands et superficiels. Deux passent du lobe pariétal au
lobe
occipital. Les deux autres unissent ce même lob
u lobe pariétal au lobe occipital. Les deux autres unissent ce même
lobe
occipital au lobe tcmporo-sphénoïdal. Si l'on p
lobe occipital. Les deux autres unissent ce même lobe occipital au
lobe
tcmporo-sphénoïdal. Si l'on prend comme point d
ngent vers l'extrémité occipitale. On pourrait considérer les plis du
lobe
temporo-sphénoïdal comme résultant d'une inflexio
inges, dans le but de déterminer la valeur relative de ses différents
lobes
, en partant de ce fait que le cerveau en général
grandeur prédominante. Dans les singes ce sont en général les plis du
lobe
temporo-sphénoïdal et le lobe occipital qui prédo
s singes ce sont en général les plis du lobe temporo-sphénoïdal et le
lobe
occipital qui prédominent; dans l'homme, au contr
nt le bord supérieur de l'hémisphère, et s'étendent de l'extrémité du
lobe
frontal à celle du lobe occipital, que leur dével
l'hémisphère, et s'étendent de l'extrémité du lobe frontal à celle du
lobe
occipital, que leur développement excessif refoul
a grande ouverture de l'hémisphère. On peut y distinguer trois grands
lobes
, séparés par deux scissures fondamentales. 1 La
La deuxième scissure (se. des Hippocampes) commence à la pointe du
lobe
occipital et se dirige presque horizontalement ve
a grande ouverture de l'hémisphère, et se termine vers l'extrémité du
lobe
temporo-spbénoïdal. Cette scissure est bifurquée
s dont nous parlons divisent la face interne de l'hémisphère en trois
lobes
, groupés autour de l'ouverture centrale. Le pre
en trois lobes, groupés autour de l'ouverture centrale. Le premier
lobe
est situé au-dessus du corps calleux, au-devant d
e bord antérieur de l'ouverture cérébrale. Nous lui donnons le nom de
lobe
fronto-pariétal interne. Le deuxième lobe est c
ous lui donnons le nom de lobe fronto-pariétal interne. Le deuxième
lobe
est compris entre la scissure perpendiculaire int
interne, et la partie postérieure de la scissure des Hippocampes. Ce
lobe
, de forme triangulaire, est le lobe occipital int
e la scissure des Hippocampes. Ce lobe, de forme triangulaire, est le
lobe
occipital interne. Le troisième lobe s'étend de
de forme triangulaire, est le lobe occipital interne. Le troisième
lobe
s'étend de la pointe du lobe occipital à celle du
e lobe occipital interne. Le troisième lobe s'étend de la pointe du
lobe
occipital à celle du lobe sphenoidal au dessous d
Le troisième lobe s'étend de la pointe du lobe occipital à celle du
lobe
sphenoidal au dessous du lobe occipital interne e
la pointe du lobe occipital à celle du lobe sphenoidal au dessous du
lobe
occipital interne et de la grande ouverture céréb
erne et de la grande ouverture cérébrale. Nous le désignerons ainsi :
lobe
occipito-sphenoidal interne. Ces divisions une
s une fois admises, la description des plis sera facile. A. Plis du
lobe
fronto-pariétal interne. Le premier pli borde l
el il avait été décrit par Rolando. Ce pli forme l'étage inférieur du
lobe
fronto-pariétal. L'étage supérieur qu'une anfra
é en deux plis dont le plus élevé se confond avec le pli supérieur du
lobe
frontal externe. B. Plis du lobe occipital inte
e confond avec le pli supérieur du lobe frontal externe. B. Plis du
lobe
occipital interne. Ces plis, à peu près nuls da
, à peine flexueuses, qui échappent à toute description. C. Plis du
lobe
occipito-sphénoïdal interne. L'un de ces plis,
uit le bord inférieur de la scissure des hippocampes, de la pointe du
lobe
occipital à celle du lobe sphenoidal. Ce pli asse
a scissure des hippocampes, de la pointe du lobe occipital à celle du
lobe
sphenoidal. Ce pli assez grêle en arrière se renf
pocampes. 3° Une sorte de prédominance relative de tous les plis du
lobe
occipito-sphénoïdal interne. (b) Dans Vhomme.
sphénoïdal interne. (b) Dans Vhomme. 1° Le grand développement du
lobe
fronto-pariétal, dti lobule quadrilatère et du lo
développement du lobe fronto-pariétal, dti lobule quadrilatère et du
lobe
occipital interne. 2° La réduction relative des
et du lobe occipital interne. 2° La réduction relative des plis du
lobe
occipito-sphénoïdal. Si nous comparons maintena
râne. J'ai déjà parlé de la relation singulière qui existe entre le
lobe
frontal et la vertèbre frontale. Constamment la s
ronto-pariétale répond à peu de chose près, à la limite qui sépare le
lobe
frontal d'avec le lobe pariétal. Les singes du no
à peu de chose près, à la limite qui sépare le lobe frontal d'avec le
lobe
pariétal. Les singes du nouveau continent et en p
saire, loin de là. Dans la plupart des singes, le bord antérieur du
lobe
occipital dépasse de beaucoup l'os de ce nom et a
ticipe sur la région des os pariétaux. Dans l'homme, au contraire, le
lobe
occipital, extrêmement réduit, n'occupe que la mi
des fosses occipitales supérieures; en sorte que ces prolongements du
lobe
pariétal que nous avons décrits sous le nom de pl
sur la région occipitale. Ce n'est pas tout. Dans les singes où le
lobe
occipital est si grand, l'os occipital est plat e
à peine saillie au delà de l'atlas. Dans l'homme, au contraire, où le
lobe
occipital est si petit, la saillie des tubérositô
t supérieure des hémisphères manquait, il n'y avait qu'un vestige des
lobes
inférieurs. La voûte, très-irrégulière, n'avait e
en ceci ; mais ce n'est pas ici le lieu de les combattre. § 5. Des
lobes
olfactifs. Ces lobes, désignés sous le nom de n
t pas ici le lieu de les combattre. § 5. Des lobes olfactifs. Ces
lobes
, désignés sous le nom de nerfs dans l'espèce huma
, très-grêles dans l'homme et dans les singes, se prolongent dans les
lobes
olfactifs, et ont été considérés comme constituan
olfactifs, et ont été considérés comme constituant les racines de ces
lobes
. Les lobes olfactifs sont un prolongement des h
ont été considérés comme constituant les racines de ces lobes. Les
lobes
olfactifs sont un prolongement des hémisphères eu
ils deviennent de plus en plus grêles, cheminent dans la scissure des
lobes
olfactifs, et se terminent par une extrémité renf
râne, c'est-à-dire dans les fosses ethmoïdales. La partie grêle des
lobes
olfactifs a la forme d'un prisme triangulaire, sa
s auteurs désignent sous le nom de racines. Le reste de la suface des
lobes
est gris, comme les hémisphères eux-mêmes. Leur a
ans l'homme, n'existe point dans les singes. Dans les animaux où le
lobe
olfactif est grêle, sa base est très-distincte ou
ignée de la tubérosité du pli unciforme. Mais, dans les animaux où ce
lobe
acquiert un plus grand volume, cette base s'élarg
bsister aucun doute sur la question s'il s'agit ici d'un nerf ou d'un
lobe
encéphalique. La continuité des parois des lobes
ici d'un nerf ou d'un lobe encéphalique. La continuité des parois des
lobes
olfactifs, avec celle des hémisphères, est éviden
tre une commissure des hémisphères, et plus particulièrement de leurs
lobes
postérieurs dans l'homme et dans les singes, est
s singes, est dans les autres animaux, ceux surtout qui ont de grands
lobes
olfactifs, une commissure de ces lobes. Il y a, e
ceux surtout qui ont de grands lobes olfactifs, une commissure de ces
lobes
. Il y a, en effet, une sorte de balancement ent
y a, en effet, une sorte de balancement entre le développement des
lobes
olfactifs et celui des extrémités occipitales des
s résumant, les processus olfactifs ne sont point des nerfs, mais des
lobes
encéphaliques; ces processus ne sont point séparé
je viens de le dire, il semble y avoir, entre le développement de ces
lobes
et celui des lobes postérieurs des hémisphères, u
, il semble y avoir, entre le développement de ces lobes et celui des
lobes
postérieurs des hémisphères, une opposition const
tubercules quadrijumeaux complètement à découvert, correspondent des
lobes
olfactifs énormes; chez l'homme, à des hémisphère
s énormes; chez l'homme, à des hémisphères énormes, correspondent des
lobes
olfactifs rudimentaires; ajoutons que tous les an
lobes olfactifs rudimentaires; ajoutons que tous les animaux à petits
lobes
olfactifs, ont de grands hémisphères chargés de p
is, l'emportent sur tous les autres par la grandeur relative de leurs
lobes
olfactifs. J'insiste à dessein sur ces faits. P
uième paire qui l'accompagne, il se jette directement dans la base du
lobe
olfactif. Ainsi le faisceau postérieur fournit su
x, aux hémisphères par l'intermédiaire de la couronne de Reil, et aux
lobes
olfactifs. Cette structure est si compliquée qu
oli. Les figures qu'oflrent des sections obliques, pratiquées sur les
lobes
du cervelet latéral, sont beaucoup moins élégante
implantés une multitude de petits arbres de vie rayonnant dans chaque
lobe
. Ainsi, d'une manière générale, le cervelet com
entre le développement des diverses parties du cervelet et celui des
lobes
olfactifs. 4° Les pédoncules cérébelleux supéri
des tubercules quadrijumeaux. Ces tubercules, qu'on a aussi appelés
lobes
optiques, ne paraissent pas avoir, dans l'ordre d
attentivement examiné. Les unes partent de l'extrémité antérieure du
lobe
fronto-pa-riétal et se réunissent au ruban fibreu
détacher plus loin et se perdre dans les plis marginaux supérieurs du
lobe
. D'autres, contournant avec l'ourlet l'ouverture
vec l'ourlet l'ouverture de l'hémisphère, descendent avec lui dans le
lobe
occipito-sphénoïdal interne. La plupart de ces fi
escendante du corps calleux, naissent des fibres qui, de la pointe du
lobe
sphenoidal à celle du lobe occipital, rayonnent d
, naissent des fibres qui, de la pointe du lobe sphenoidal à celle du
lobe
occipital, rayonnent dans toute l'étendue du bord
rps strié interne dont elles suivent la courbe jusqu'à l'extrémité du
lobe
sphenoidal. Ses autres fibres se redressent gradu
se redressent graduellement et descendent dans les plis inférieurs du
lobe
occipito-sphénoïdal. Les plus pos- (1) Arnold.
s l'avoir placé sur sa base, je le divise verticalement au-devant des
lobes
sphénoïdaux par une section transversale. Cela
e l'hémisphère, depuis le deuxième pli ascendant jusqu'à la pointe du
lobe
occipital. Quelle est l'origine de ce nouveau p
toutes ses fibres à la ibis se portent vers les tubercules nates des
lobes
optiques. Ainsi, cette petite racine, si grêle da
t énormément dans les carnassiers, reçoivent des faisceaux émanés des
lobes
optiques en général, mais plus particulièrement d
au que par l'intermédiaire de deux masses ganglionnaires, savoir: les
lobes
optiques et les corps genouillés internes. Voilà
au minimum, elle peut être nulle; en revanche, la racine destinée aux
lobes
optiques s'accroît proportionnellement; ces faits
ane de sensation avec conscience, c'est-à-dire d'intelligence, si les
lobes
optiques sont au contraire organes d'automatisme,
épanouit en dehors en un vaste éventail qui s'étend de l'extrémité du
lobe
sphenoidal à celle du lobe occipital le long du b
ste éventail qui s'étend de l'extrémité du lobe sphenoidal à celle du
lobe
occipital le long du bord inférieur de l'hémisphè
neau pédonculaire, se portent dans les plis de la région orbitaire du
lobe
frontal. Il forme une tige arrondie ; cette tig
re. Les deux extrémités de la tige correspondent aux sommets des deux
lobes
sphénoïdaux. Les fibres qui la composent ne son
eur; celles-ci se terminent immédiatement dans les plis inférieurs du
lobe
sphenoidal, vers son extrémité. Quant à ses fibre
ent à sa paroi postérieure, et, se prolongeant jusqu'à l'extrémité du
lobe
occipital, doublent dans les singes tous les plis
de Sylvius. Leur véritable terminaison est dans le bord supérieur du
lobe
occipital ; je ne les ai pas vues remonter plus h
s singes, il est fort douteux que la commissure envoie des fibres aux
lobes
olfactifs, du moins les fibres qui ont été décrit
bres du corps strié inférieur; mais dans les animaux qui ont un grand
lobe
olfactif il n'en est point ainsi. La majeure part
est point ainsi. La majeure partie de la commissure se porte dans ces
lobes
, et n'envoie aux hémisphères qu'un pinceau rudime
; dans les autres animaux c'est surtout une commissure entre les deux
lobes
olfactifs. Y a-t-il une meilleure preuve que le p
revêt le corps strié cxtraven-triculaire, et descend dans les plis du
lobe
occipito-sphé--noïdal. Enfin, en dehors de celle-
inférieure, et s'applique à la lame qui, du corps calleux, descend au
lobe
temporo-sphénoïdal. Les autres commissures vont d
es physiologiques de ces dispositions générales. § 4. Structure des
lobes
olfactifs. Il faut à peu près renoncer à se fai
à peu près renoncer à se faire une idée complète de la structure des
lobes
olfactifs dans l'Homme, dans les Singes, dans les
'en faire une idée positive que d'après les animaux chez lesquels ces
lobes
sont très-développés, tels que les Carnassiers, l
les Rongeurs et les Marsupiaux. Chez tous ces animaux, en effet, les
lobes
olfactifs présentent les mêmes conditions de stru
x, de véritables plis. Mais partout ailleurs ces couches sont dans le
lobe
olfactif très-minces et transparentes, et cette t
uons au premier abord une bande blanche qui, de la face inférieure du
lobe
olfactif, se porte au sommet du lobe sphenoidal,
he qui, de la face inférieure du lobe olfactif, se porte au sommet du
lobe
sphenoidal, en suivant la partie adhérente du bor
ébrale. C'est à cette bande qu'on a donné le nom de racine externe du
lobe
olfactif; cette prétendue racine est une commissu
du lobe olfactif; cette prétendue racine est une commissure entre le
lobe
olfactif et le cerveau. Elle appartient à cette c
aisceaux semblables occupent le bord externe et la face supérieure du
lobe
olfactif. Dans mon mémoire sur l'organe de Jacobs
presque partout très-amincie autour d'elles. Quant au ventricule du
lobe
olfactif, il communique librement dans le fœtus a
te pendant toute la vie. Les fibres qui pénètrent dans la masse des
lobes
olfactifs sont, outre les fibres commissuralcs co
n petit cerveau laissant le cervelet à découvert, correspond un grand
lobe
olfactif. Ici la commissure presque entière pénèt
rand lobe olfactif. Ici la commissure presque entière pénètre dans ce
lobe
, glisse sous le ventricule central jusqu'à son ex
jour de résoudre. 3° Des fibres émanées de la couronne de Reil. Les
lobes
olfactifs reçoivent on effet, des rayons inférieu
rt simple. Toutes ces fibres se dirigent vers la partie antérieure du
lobe
, c'est-à-dire vers le cul de sac ou l'ampoule q
mme, il est impossible de démêler avec précision cette structure; les
lobes
sont trop grêles, trop rudimenlaires. Le ventricu
fibres qui, de l'anneau pédonculaire, se portent vers l'extrémité du
lobe
. Mais il n'y a aucune trace de ce rameau de la co
e borner à les exposer et à les traduire. Un grand développement du
lobe
olfactif est le caractère d'un type inférieur. L'
de son cervelet, et même de son cerveau, n'est point, avec ses grands
lobes
olfactifs, la réalisation d'un (1) Je partage c
intelligences terricoles, le soleil de ces intelligences. Si donc les
lobes
olfactifs étaient des organes de raison, l'homme
bes olfactifs étaient des organes de raison, l'homme aurait de grands
lobes
olfactifs; il n'en a que de fort petits. Ces lobe
e aurait de grands lobes olfactifs; il n'en a que de fort petits. Ces
lobes
sont essentiellement l'apanage des brutes. Dès lo
l'anneau pédonculaire, d'où elle se prolonge jusque dans la base des
lobes
olfactifs; ainsi, de même qu'il y a certaines con
que nous venons de décrire un rapport de cette paire avec la base des
lobes
olfactifs. Je n'hésite point à supposer que cet
nom au prolongement fibreux que le trijumeau envoie dans la base des
lobes
olfactifs. Ce prolongement suit le faisceau posté
ers le cerveau, de même celui-ci accompagne la division qui gagne les
lobes
olfactifs. Ce nerf accompagne probablement le max
J'ai décrit plus haut les origines du nerf optique. Les unes vont aux
lobes
optiques ou tubercules quadrijumeaux, d'autres au
é Vieussens. J'ai fait remarquer que la racine cérébrale et celle des
lobes
optiques étaient, quant à leur importance relativ
imum, l'autre est au minimun, et réciproquement. La racine qui va aux
lobes
optiques, est en communication avec le cerveau pa
factives, ou nerfs olfactifs. (1) Il serait curieux de détruire les
lobes
olfactifs jusqu'à leur base, et de rechercher si
de la lame criblée, et plongent immédiatement dans la coiffe grise du
lobe
olfactif. On doit distinguer parmi ces nerfs celu
rgane de Jacobson à un petit ganglion situé sur la face supérieure du
lobe
. On pourra consulter à cet égard, outre le rappor
l'optique aux tubercules quadrijumeaux et au cerveau, l'olfactif aux
lobes
de ce nom. A cet égard les faits m'ont obligé d'a
ourde. Dans le cas observé par M. Pressât, les nerfs olfactifs et les
lobes
eux-mêmes manquaient ; on n'a point parlé de surd
tation porte à sa partie antérieure deux excroissances symétriques ou
lobes
accessoires qui lui donnent un aspect cordiforme.
s ou lobes accessoires qui lui donnent un aspect cordiforme. Ces deux
lobes
, de plus en plus distincts, constituent une régio
ue droit — de D en E est le cerveau moyen, c'est-à-dire la région des
lobes
optiques ou tubercules quadrijumeaux. La cavité d
ntérieure du cerveau intermédiaire pousse en entraînant avec elle les
lobes
du cerveau antérieur et se recourbe en sens inver
paroi dorsale du cerveau postérieur. Les tubercules quadrijumeaux ou
lobes
optiques se superposeront au cerveau moyen; les c
es couches optiques au cerveau intermédiaire ; les hémisphères et les
lobes
olfactifs aux renflements primordiaux du cerveau
moyen de Baër, c'est-à-dire la masse des tubercules quadrijumeaux ou
lobes
optiques de Serres. Vers la neuvième semaine, com
and diamètre est vertical, ils ne recouvrent encore, ni la région des
lobes
optiques, ni celle du cerveau intermédiaire. Le c
la dépression médiane qui sépare en deux moitiés distinctes les deux
lobes
des hémisphères futurs. Il paraît qu'au début d
ui s'avancera graduellement au-dessus du cerveau intermédiaire et des
lobes
optiques, mais bien le fond de la poche elle-même
erveau intermédiaire et touchent au cerveau moyen, c'est-à-dire aux
lobes
optiques. A partir de cette époque, leurs parois
sez d'épaisseur pour leur mériter le nom d'hémisphères cérébraux; les
lobes
olfactifs sont, dès avant ce temps, parfaitement
étriques; toutes les parties de l'encéphale s'accroissaient, mais les
lobes
optiques plus lentement, si bien que le cerveau m
queduc de Sylvius était dilaté en une vaste ampoule sous la masse des
lobes
optiques. Tiedemann a représenté un cerveau de
s le premier, les hémisphères étaient fort allongés et touchaient aux
lobes
optiques, mais sans les recouvrir. Le lobe spheno
llongés et touchaient aux lobes optiques, mais sans les recouvrir. Le
lobe
sphenoidal formait déjà une petite saillie qu'une
udiment de la scissure de Sylvius, séparait de la masse frontale. Les
lobes
olfactifs étaient grands, percés d'un ventricule
'un ventricule et bien distincts dans toute leur étendue; quant aux
lobes
optiques, ils étaient fort étendus avec une trace
gulier. Il rappelait fort exactement la forme d'un mufle de lion. Les
lobes
optiques formaient le nez de ce mufle; le cervele
sicules membraneuses dans l'intérieur desquelles étaient contenus les
lobes
latéraux des plexus cho roïdes du ventricule. L
lables, quant au développement général des hémisphères; toutefois les
lobes
sphénoïdaux étaient un peu plus saillants. Les lo
s; toutefois les lobes sphénoïdaux étaient un peu plus saillants. Les
lobes
optiques avaient un peu perdu de leur grandeur re
aisseur, surtout dans la région de la commissure des pédoncules ; les
lobes
optiques contenaient une vaste dilatation du vent
un peu plus âgé. Celui-ci avait environ quinze ou seize semaines. Les
lobes
du cerveau et ceux du cervelet avaient beaucoup g
obes du cerveau et ceux du cervelet avaient beaucoup grandi. Déjà les
lobes
optiques étaient en partie recouverts. Dès cette
s les autres parties de l'encéphale, une prédominance marquée, et ses
lobes
sphénoïdaux faisaient une saillie bien distincte.
es métamorphoses s'accomplissaient, les parois des hémisphères et des
lobes
optiques acquéraient une épaisseur de plus en plu
lobes optiques acquéraient une épaisseur de plus en plus grande. Les
lobes
olfactifs prenaient aussi un notable accroissemen
rédominait alors, c'étaient les tubercules quadrijumaux ou plutôt les
lobes
optiques; venaient ensuite les hémisphères céré
t le cerveau qui l'emporte. Le cervelet occupe le second rang, et les
lobes
optiques sont désormais relégués au troisième. Je
ptiques sont désormais relégués au troisième. Je ne parle pas ici des
lobes
olfactifs, qui, pendant toute la vie fœtale, deme
dit a bientôt acquis une grandeur démesurée et dépassé en arrière les
lobes
optiques et le cervelet. Son caractère typique es
is acquis. La scissure de Sylvius, large encore et béante, enferme un
lobe
central. Les lobes frontaux sont grands ; quant a
sure de Sylvius, large encore et béante, enferme un lobe central. Les
lobes
frontaux sont grands ; quant aux lobes sphénoïdau
, enferme un lobe central. Les lobes frontaux sont grands ; quant aux
lobes
sphénoïdaux, leur volume s'est accru, mais ils n'
accélère. Le culmen s'élève; le bord antérieur du cervelet produit un
lobe
distinct où se dessinent trois ou quatre plis t
arge à celte époque, se divise en ses lobules constitutifs. Quant aux
lobes
ou au corps des cervelets latéraux, ils demeurent
tendant, en quelque sorte, l'heure des développements ultérieurs. Ces
lobes
n'ont à aucune époque ces grands vermis latéraux
une lame transversale avec la luette du vermis médian, au-dessous des
lobes
latéraux. Tout cela est bien loin, comme on le
orps calleux s'avance au-dessus du cerveau intermédiaire, jusqu'aux
lobes
optiques divisés dès lors en quatre tubercules, e
épare nettement, dès le sixième mois, les masses pariétales d'avec le
lobe
frontal. Ce lobe n'a point encore les plis profon
dès le sixième mois, les masses pariétales d'avec le lobe frontal. Ce
lobe
n'a point encore les plis profonds qui le disting
aussi quelques vestiges de plis vers l'extrémité occipitale, mais le
lobe
occipito-pariétal est encore absolument lisse. Ve
st seulement vers les derniers temps de la vie fœtale que les plis du
lobe
occipito-sphénoïdal externe se développent. Souve
te à gauche qu'à droite, tandis que l'inverse a lieu pour les plis du
lobe
occipito-sphénoïdal. Du moins, dans tous les cas
ês-saillant, et ses versants ont une déclivité singulière. Ses grands
lobes
, tant le corps du cervelet médian que ceux des ce
pe comme un individu, les vermis préexistent évidemment aux corps des
lobes
et surtout aux cervelets latéraux. Dans le fœtus
ut aux cervelets latéraux. Dans le fœtus humain, c'est l'inverse. Les
lobes
latéraux préexistent aux vermis : à la place du v
ontraire dans les singes inférieurs. L'inverse a lieu pour les grands
lobes
du cervelet latéral; ils sont au minimum dans ces
s lobes du cervelet latéral; ils sont au minimum dans ces singes; ces
lobes
caractérisaient au contraire les premiers âges du
n de Rolando ; 2° un petit sillon qui distingue, dès cette époque, le
lobe
occipital. La scissure parallèle, qui est si prof
céphales sont des Hommes amoindris, ce ne sont point des Singes. D.
Lobes
olfactifs. Jamais les lobes olfactifs du fœtus hu
indris, ce ne sont point des Singes. D. Lobes olfactifs. Jamais les
lobes
olfactifs du fœtus humain ne ressemblent à ceux d
ères, il est vrai, ont à peirie quelques rudiments de plis, mais deux
lobes
olfactifs énormes leur donnent une physionomie to
s différences. Les plis du cerveau n'apparaissent qu'au moment où ses
lobes
postérieurs ont recouvert et même dépassé le cerv
isphères, (1) Ex. l'Éléphant. Voy. Pl. XIII et XIV. ou plutôt des
lobes
latéraux lisses, grands et très-apparents attende
leur surface offre des rudiments très-apparents des plis futurs; des
lobes
olfactifs énormes naissent de leur région inférie
ffrent dèscetle époque des indices très-marqués de division en quatre
lobes
distincts. Le cervelet a déjà quelques plis, et l
n en quatre lobes distincts. Le cervelet a déjà quelques plis, et les
lobes
olfactifs ont un développement énorme; mais il n'
es qui sont fort abondantes chez les ruminants, dans le voisinage des
lobes
olfactifs, et s'accumulent souvent en quantité co
moule. — « La convexité supérieure répond à la concavité légère des a
lobes
postérieurs du cerveau. » Ce repli est tendu en
es canaux rigides, compris la plupart dans les interstices des grands
lobes
de l'encéphale et presque absolument inextensible
l'une vers l'autre, s'engagent dans l'intervalle qui sépare les deux
lobes
antérieurs du cerveau, et se recourbent autour du
° Les veines cérébrales antérieures. Nées de la partie inférieure des
lobes
antérieurs du cerveau, elles se terminent dans la
le cervelet. Une seconde vertèbre antérieure ou frontale, répond aux
lobes
olfactifs. Une troisième vertèbre intermédiaire o
cerveau s'avance de ce côté, on voit s'atrophier de plus en plus les
lobes
olfactifs. Ceux-ci, refoulés dans le fond de la v
rande partie de la loge frontale, en sorte que la face inférieure des
lobes
antérieurs du cerveau est profondément excavéc; o
ais elle peut dépendre aussi de conditions (1) Cette dépression des
lobes
orbitaires est très-marquée dans les Singes les p
quand la microcephalic est poussée à son dernier degré, l'atrophie du
lobe
frontal la rend un peu moins apparente, ainsi que
nce de tous ces caractères. Ainsi, considérant l'étage supérieur du
lobe
frontal, le lobule du deuxième pli ascendant et l
noué sous le menton, divise les parties supérieures du crâne en deux
lobes
, comme M. le docteur Lunier l'a observé dans le d
clusion évidemment ridicule. Enfin, comme en descendant la série, les
lobes
frontaux se réduisent plus que les pariétaux, les
caractérisent aussi bien l'encéphale humain que d'autres parties des
lobes
frontaux, et qu'en conséquence il serait difficil
s particulièrement par leur grandeur, savoir: 1° l'étage supérieur du
lobe
frontal; 2° le lobule du deuxième pli ascendant;
s un effet direct et un effet croisé. «J'enlevai, dit M. Flourens, le
lobe
cérébral droit à un pigeon : l'animal perdit auss
t la « nature de la sensation, agit seul ou réclame le concours des «
lobes
cérébraux. » Il faut distinguer avec soin le mo
vements des deux membres antérieurs, et que leurs radiations dans les
lobes
postérieurs du cerveau partagent le même rôle. No
érieurs, cette influence était partagée par leurs radiations dans les
lobes
antérieurs du cerveau. Ainsi la couche optique et
dans les lobes antérieurs du cerveau. Ainsi la couche optique et les
lobes
postérieurs du cerveau présidaient au mouvement d
du cerveau présidaient au mouvement des bras, les corps striés et les
lobes
antérieurs, aux mouvements des jambes. M. Serres,
ur, et il en a été de même, suivant lui, de leurs radiations dans les
lobes
du cerveau. Cela est possible, et cependant en vo
velet, des hémisphères cérébraux, des tubercules quadrijumeaux et des
lobes
olfactifs, et ce progrès est dû surtout aux belle
t est excitateur des organes de la génération, mais seulement par son
lobe
médian. Ses hémisphères sont excitateurs du mouve
arler ici des mouvements de locomotion. J'ai émis l'hypothèse que les
lobes
moyens du cervelet présidaient surtout aux mouvem
ut aux mouvements automatiques dont la moelle est le principe, et les
lobes
latéraux aux mouvements que le cerveau détermine;
les portes de l'inconnu. Une question importante se présente : les
lobes
cérébelleux ont-ils une action directe ou croisée
Flourens, dans ses célèbres expériences, a admis l'action croisée des
lobes
cérébelleux. « Le cervelet d'un pigeon étant mis
des hémisphères agissaient sur des parties différentes du corps. Les
lobes
postérieurs présideraient aux mouvements des bras
. Les lobes postérieurs présideraient aux mouvements des bras, et les
lobes
antérieurs à ceux des membres pelviens. Saucerott
des facultés cérébrales. Il n'est point prouvé que la destruction des
lobes
antérieurs du cerveau anéantisse la faculté du la
anatomiquemcnl si difficiles à établir. Il nous reste à parler des
lobes
olfacUjs. Longtemps on les a pris pour des nerfs
eurs. M. Magendie mit en doute, en 1824, la fonction olfactive de ces
lobes
(3). Il se fondait sur ce que des animaux (t) R
? Dans le Journ. de physiologie exp. T. IV, p. 169. privés de leurs
lobes
olfactifs demeurent cependant sensibles à Taction
asale ne sont pas nécessairement des odeurs? Si l'animal privé de ses
lobes
olfactifs sentait encore les effets de vapeurs ir
oïncidant soit avec la destruction soit avec l'absence congéniale des
lobes
olfactifs, et insiste sur l'observation dont M. l
ste en un certain degré chez les chiens, et chez les autres animaux à
lobe
olfactif très-grand. Mais on s'aperçoit aisément
s une seule perce sonne, j'avais imaginé de les placer chacun dans un
lobe
« du cerveau. Ces deux lobes ont en effet même co
vais imaginé de les placer chacun dans un lobe « du cerveau. Ces deux
lobes
ont en effet même conformation, « même structure,
ment l'un de l'autre et comme deux cerveaux « différents. Or, que ces
lobes
soient inégaux par le dévelop-r pement et l'énerg
parlera le plus haut « et émettra les pensées les plus diverses. Deux
lobes
ne sauce raient suffire à tant de monde. Mon expl
udes des hommes et des animaux d'une même espèce. Je m'explique. Le
lobe
olfactif reçoit évidemment dans sa coiffe les rac
on l'étendue de l'odorat, est en rapport avec le développement de ces
lobes
. On pourrait objecter, il est vrai, que si les ch
On pourrait objecter, il est vrai, que si les chiens qui ont un grand
lobe
olfactif, ont en même temps un odorat fort étendu
des hémisphères et le crâne......................... 124 § 5. Des
lobes
olfactifs...................... ÏSS II 44 P
ucture des hémisphères cérébraux............ 160 § 4. Structure des
lobes
olfactifs................. 191 CHAPURE VI. — Or
de coupes est faite suivant un plan horizontal, portant sur les deux
lobes
à la fois; enfin une troisième série est pratiqué
uses au-dessous du cerveau, égale-ment partagé incomplètement en deux
lobes
par une scissure médiane. Le névraxe, couché ob
ent avec les deux hémisphères cérébraux, inférieurement avec les deux
lobes
cérébelleux. Au trou occipital, il prend le nom d
ct caractéristique et nettement apparent, dans les circonvolutions du
lobe
occipital, sous la forme d'une bandelette blanche
caractérise exclusivement les circonvolutions de l'étage inférieur du
lobe
occipital. La zone profonde de la substance gri
ynert divise également la substance grise de l'écorce de la pointe du
lobe
occipital en huit couches. La lre et la 2e couc
ont indiquées par la physiologie comme des centres moteurs. Dans le
lobe
occipital, les deux premières circonvolutions sph
me hémisphère. Elles unissent une circonvolution à une autre, ou deux
lobes
voisins, en décrivant des anses curvilignes à con
XII, 1), qui se porte des régions inférieures et antérieures de ce
lobe
aux régions pariétales supérieures; à la région p
. XII, 5), décrit une anse du lobulus extremus de l'occipital vers le
lobe
pariétal supérieur ; un troisième faisceau, situé
u longitudinal supérieur (Pl. VI, 1), réunit la région infé-rieure du
lobe
frontal au lobule paracentral et au lobule quadri
e du lobe frontal au lobule paracentral et au lobule quadrilatère; du
lobe
occipital, un faisceau de fibres, le faisceau lon
res, le faisceau longitudinal inférieur (Pl. XII, 4), pénètre dans le
lobe
sphénoïdal, et s'épanouit dans la région arrondie
ibres arciformes occipito-frontales unissent la partie postérieure du
lobe
frontal à la partie supérieure du lobe sphénoïdal
ssent la partie postérieure du lobe frontal à la partie supérieure du
lobe
sphénoïdal et au lobe occipital, en décrivant une
ieure du lobe frontal à la partie supérieure du lobe sphénoïdal et au
lobe
occipital, en décrivant une courbe qui embrasse l
). Un groupe particulier de fibres commissurantes conjugue les deux
lobes
sphé-noïdaux. Les fibres issues des régions antér
lobes sphé-noïdaux. Les fibres issues des régions antérieures de ces
lobes
se portent vers le haut et en dedans, tournent su
est tournée en avant, « les deux branches émergeant de chacun des
lobes
sphénoïdaux (Pl. II, 6; XXVII-XXVIII, 10, 10; XLV
XLVIII, 14). Chez les mammifères un faisceau très distinct part du
lobe
olfactif et se réunit à la commissure blanche ant
es circonvolutions postérieures, se portent directement vers l'axe du
lobe
occipital, se juxtaposent, se condensent sur le c
semble que les fibres convergentes des régions internes seulement du
lobe
occipital vont s'amortir dans le pulvinar (Pl. XX
. Le cervelet a la forme d'un segment d'ellipsoïde, composé de deux
lobes
latéraux réunis l'un à l'autre par un petit lobe
de, composé de deux lobes latéraux réunis l'un à l'autre par un petit
lobe
médian et séparé des lobes occipitaux du cerveau
latéraux réunis l'un à l'autre par un petit lobe médian et séparé des
lobes
occipitaux du cerveau par la tente du cervelet ;
; il est en contact médiat avec la face postérieure du névraxe. Le
lobe
médian présente une éminence en forme d'arête ant
ionnelle. Il en est de même des émi-nences signalées à la surface des
lobes
cérébelleux. Elles n'offrent d'intérêt qu'au poin
ition particulière le plan général de la texture du cerveau. Chaque
lobe
cérébelleux est constitué par une écorce de subst
central. — La substance grise forme en outre à l'intérieur de chaque
lobe
cérébelleux, comme dans chaque hémisphère cérébra
ibres unis-santes : Les unes relient les folioles voisins d'un même
lobe
, les autres unissent entre elles les régions homo
lobe, les autres unissent entre elles les régions homologues des deux
lobes
, un troisième groupe met en connexion les cellule
ps rhomboïdal. § 1. Le système d'association des folioles d'un même
lobe
est formé par des fibres médullaires curvilignes,
érenciel, passent au-dessus du corps rhomboïdal et se portent vers le
lobe
médian. Les fibres qui proviennent des régions in
Gavoy. — Encéphale. A au-dessous du corps rhomboïdal et gagnent le
lobe
médian. Ces deux groupes de fibres constituent la
bstance médullaire des Vermis superior et inferior ; elles sortent du
lobe
médian et se répandent dans le lobe opposé vers l
or et inferior ; elles sortent du lobe médian et se répandent dans le
lobe
opposé vers les régions homologues à celles dont
u de substance grise enclavé seulement dans la substance corticale du
lobe
sphénoïdal. Ce noyau, désigné sous le nom de ga
n bilobé libre à l'extrémité antérieure du névraxe, bien en avant des
lobes
frontaux. Ce ganglion, chez la raie, reçoit dir
avant de l'hippocampe. 11 est recouvert par l'extrémité antérieure du
lobe
sphé-noïdal, et composé par des cellules présenta
tre médullaire et va aboutir aux régions latérales et postérieures du
lobe
frontal. Ce faisceau met en connexion immédiate l
rrière et en bas, et gagne les régions postérieures et inférieures du
lobe
occipital (Pl. XXVI, 5). Les cordons antérieurs
opto-striés du cerveau et le noyau central de la substance grise des
lobes
du cervelet. Les faisceaux de fibres cérébelleu
icale dans le plan médian, la faux du cervelet, située entre les deux
lobes
du cervelet. 3. — La cloison médiane des fosses
, par les fosses occipitales supérieures en arrière. 16. — Coupe du
lobe
médian du cervelet. Les lobes latéraux du cervele
supérieures en arrière. 16. — Coupe du lobe médian du cervelet. Les
lobes
latéraux du cervelet occupent la cavité des fosse
rts par la tente du cervelet qui les sépare de la face inférieure des
lobes
postérieurs du cerveau. Le cervelet com-prend tou
nt les troncs des nerfs moteurs oculaires communs. 15. — Section du
lobe
médian du cervelet mettant en évidence la disposi
rieure, branche de la carotide interne, irrigue la face inférieure du
lobe
frontal et une grande partie de la face interne d
à la circonvolution du crochet, la deuxième à la partie inférieure du
lobe
sphénoïdal, la troisième (d) au lobule occipital
avant de la protubérance, la section du bord antérieur et interne du
lobe
sphénoïdal, comprenant la circonvolution de l'hip
cule cérébelleux inférieur. 3. — Section de l'extrémité arrondie du
lobe
sphénoïdal. En dedans est la circonvo-lution de l
rémité antérieure fait partie de la section de la portion arrondie du
lobe
sphénoïdal. Le corps calleux, séparé de la circ
constituent les pédoncules cérébelleux moyens (19). 20. — Coupe du
lobe
sphénoïdal. VII. — Encéphale dont on a détaché
-doncules du cervelet. En avant delà protubérance est la section du
lobe
sphénoïdal (20, Pl. VI). Dans son angle supérieur
igeant en bas et en dehors, et se termine dans la portion arrondie du
lobe
sphénoïdah Au niveau du bourrelet du corps calleu
che un prolonge-ment horizontal, qui gagne l'extrémité postérieure du
lobe
occipital. La partie anté-rieure du ventricule la
a substance grise du corps genouillé interne (18). 19. — Section du
lobe
latéral du cervelet. Les fibres médullaires effér
res radiculaires externes (15) du nerf olfactif. 16.— La section du
lobe
latéral du cervelet comprend la substance grise c
i-circularis forment de fines traînées blanches dans sa substance. Le
lobe
sphenoidal est séparé du lobe frontal par la scis
traînées blanches dans sa substance. Le lobe sphenoidal est séparé du
lobe
frontal par la scissure de Sylvius. La section
st séparé du lobe frontal par la scissure de Sylvius. La section du
lobe
latéral du cervelet montre la disposition fibrill
ormes occipito-pariétales (5) relient les circonvolutions de ces deux
lobes
les unes aux autres. Le faisceau arciforme fronta
t en connexion les circonvolutions du lobule orbitaire avec celles du
lobe
frontal. Le faisceau arciforme longitudinal infér
u arciforme longitudinal inférieur part de l'extrémité postérieure du
lobe
occipital et s'étend jusqu'à la région antérieure
térieure du lobe occipital et s'étend jusqu'à la région antérieure du
lobe
sphénoïdal. Il passe au-dessous de la cavité ancy
es ou de sillons, atteintes par la section. La scissure qui sépare le
lobe
frontal du lobule de l'insula se relève vertica-l
vertica-lement de son point d'origine à la scissure de Sylvius. Le
lobe
frontal est réuni au lobule orbitaire par le fais
régions postérieures se dirigent directement en avant; les fibres du
lobe
sphénoïdal se portent en haut. Dans la sub-stance
x autres par les trous de l'espace perforé antérieur. La section du
lobe
latéral du cervelet montre la disposition des pro
e interne de la couche corticale. Les fibres commissurantes de chaque
lobe
s'isolent des fibres convergentes, passent sur la
ent sur la région médiane inter-hémisphérique, pour atteindre dans le
lobe
opposé les régions homologues à celles d'où elles
) ou forceps major. Le fascicule qui se pro-longe dans l'intérieur du
lobe
sphénoïdal pórtele nom de corne sphénoïdale, ou t
ne, quatrième branche de la carotide interne, suit le bord interne du
lobe
sphénoïdal, et entre, par la fente cérébrale de B
udé. 16. —Vermis superior apparaissant entre les bords internes des
lobes
occipitaux. XIX.—Encéphale dont on a détaché la
s latéraux, en arrière, la corne occipitale. Les bords internes des
lobes
postérieurs comprennent entre eux la section de l
arque la présence du ruban de Vicq d'Azyr dans la substance grise des
lobes
occipitaux. XX. — Coupe horizontale antéro-post
us choroïdes des ventricules latéraux. Entre les bords internes des
lobes
occipitaux apparaît la section de la région supér
s des régions postérieures. Ce faisceau suit la direction de l'axe du
lobe
occipital, contourne la cavité sphénoïdale et se
emble par conséquent que les fibres des régions internes seulement du
lobe
occipital soient en connexion avec la région post
transversale des fibres nerveuses qui relient l'un à l'autre les deux
lobes
du cervelet. XXIV. — Coupe horizontale antéro-p
ergent postérieur, issues des circonvolutions des régions internes du
lobe
occipital. 14. — En dedans du centre médian app
oison transpa-rente (21). 22. — Section de la région supérieure des
lobes
latéraux du cervelet. Les fibres médullaires trav
Les fibres médullaires traversent la ligne médiane, mettent ces deux
lobes
en connexion. Cette section a atteint la partie a
eur du trigone (corps bordant). La section du cervelet comprend les
lobes
latéraux etl'éminence médiane inférieure, vermis
médiane, un groupe de fibres commissurantes met en connexion les deux
lobes
du cervelet. XXVII. — Encéphale dont on a détac
ormée par les fibres commissurantes qui mettent en connexion les deux
lobes
sphénoïdaux. Ces fibres se groupent à leur sort
es deux lobes sphénoïdaux. Ces fibres se groupent à leur sortie des
lobes
sphénoïdaux en un gros faisceau arrondi, qui pénè
Sur cette coupe, on aperçoit la continuité de la commissure vers les
lobes
sphénoïdaux (plus nette en 10', Pl. XXVIII). La
stance grise de Pavant-mur. 5. — Faisceau de fibres convergentes du
lobe
sphénoïdal, sectionné au niveau de la bandelette
ntérieure; ses branches latérales (10') émergent de la profondeur des
lobes
sphénoïdaux. Cette com-missure parcourt par consé
Substance grise corticale circonscrivant la substance médullaire du
lobe
sphénoïdal et du lobe frontal; la section a attei
icale circonscrivant la substance médullaire du lobe sphénoïdal et du
lobe
frontal; la section a atteint les circonvolutions
dans la sub-stance grise du corps strié. Les fibres commissurantes du
lobe
sphénoïdal présentent le mouvement de groupement
ssocient la substance grise de l'avant-mur et mettent en connexion le
lobe
frontal avec le lobe sphénoïdal. En avant de la
grise de l'avant-mur et mettent en connexion le lobe frontal avec le
lobe
sphénoïdal. En avant de la corne d'Ammon, est l
de substance grise enclavée chez l'homme dans la portion arrondie du
lobe
sphénoïdal; il reçoit par sa région antérieure le
ition centrale de la substance médullaire à l'intérieur de chacun des
lobes
cérébelleux, réunie sur la ligne médiane par des
l. VIII. 4. — Ensemble des fibres convergentes et commissurantes du
lobe
sphénoïdal. 5. — Région inférieure du noyau int
minces qui prolongent le bec du corps calleux vers l'angle arrondi du
lobe
sphénoïdal ; ils forment à la face supérieure du
corticale circonscrit de toutes parts les deux lobules orbitaires du
lobe
frontal et les deux lobes sphénoïdaux, séparés tr
toutes parts les deux lobules orbitaires du lobe frontal et les deux
lobes
sphénoïdaux, séparés transversalement par la scis
rantes naissent à la base des circonvolutions et se dirigent dans les
lobes
frontaux d'avant en arrière, tandis que dans les
igent dans les lobes frontaux d'avant en arrière, tandis que dans les
lobes
sphé-noïdaux elles se portent en avant, en dedans
e la corne d'Ammon (hippocampe), situées dans la portion arrondie des
lobes
sphénoïdaux. Les bandelettes optiques (7, Pl. X
La substance grise corticale décrit, dans la substance médullaire des
lobes
frontaux, des sinuosités déterminées par la secti
scrit les dernières fibres convergentes des lobules orbitaires et des
lobes
sphénoïdaux. 1. — Section du tronc des nerfs ol
me cerveau frais, du bourrelet vers le genou du corps calleux.) Les
lobes
occipitaux et les régions postérieures du cervele
d'épaisseur, que l'on nomme corps calleux, étendue comme un pont d'un
lobe
à l'autre dans la grande scissure inter-hémisphér
stèmes de fibres détermine également, dans la substance médullaire du
lobe
sphénoïdal et du lobe occipital, une petite cavit
mine également, dans la substance médullaire du lobe sphénoïdal et du
lobe
occipital, une petite cavité désignée sous le nom
nt les fibres nerveuses qui constituent le centre médullaire des deux
lobes
. Chacun de ces centres est formé de fibres conv
uatrième ventricule. Le bulbe rachidien, en partie recou-vert par les
lobes
cérébelleux, se prolonge vers le bas ; d'un côté
e les tubercules quadrijumeaux antérieurs (nates). 9. — Section des
lobes
latéraux du cervelet. La substance médullaire env
nerf pathétique. Gavoy. — Encéphale. 16 La section verticale des
lobes
latéraux du cervelet a détaché la portion du cent
ngageant au-dessous des tubercules quadrijumeaux. 12. — Section des
lobes
latéraux du cervelet. Les ramuscules et les ramea
yau gris des corps restiformes. La section du centre médullaire des
lobes
cérébelleux indique la formation des pédoncules c
région moyenne (3) se dirigent vers la couche optique ; les fibres du
lobe
sphenoidal (4) s'élè-vent, s'incurvent en dedans,
la sub-stance grise du noyau lenticulaire; les fibres convergentes du
lobe
sphénoïdal se diri-gent en haut et en dedans. Ces
érieurs. La section du cervelet montre la disposition de chacun des
lobes
cérébelleux et celle des fibres des pédoncules cé
et s'entrelacent sur la ligne médiane avec leurs homologues issues du
lobe
du côté opposé; ces faisceaux décrivent donc une
lles qui concourent à la formation du centre médullaire de chacun des
lobes
céré-belleux, proviennent de régions déjà détaché
s supérieures et des régions moyennes. 4. — Fibres convergentes des
lobes
sphénoïdaux. Ces fibres forment avec les précéden
tion crêtée par le sinus corporis callosi. Les fibres convergentes du
lobe
sphénoïdal se groupent en un cordon arrondi, que
externe. 3. — Ensemble des fibres convergentes et commissurantes du
lobe
sphénoïdal. 4. — Dernier vestige de la corne d'
. Les fibres commissurantes des régions supérieures se portent d'un
lobe
à l'autre dans les régions homologues, en formant
isphérique, la voûte du corps calleux. — Les fibres commissurantes du
lobe
sphénoïdal sont groupées en un cordon à l'angle p
est épuisée par les coupes successives ; on trouve, dans la région du
lobe
sphénoïdal qu'elle occupait, la substance grise d
a substance grise de la couche optique. 4. — Fibres convergentes du
lobe
sphénoïdalse dirigeant vers la région inférieure
isceau arrondi, formé par le groupement des fibres commissu-rantes du
lobe
sphénoidal, constituant les branches latérales de
traverse la capsule interne et gagne la substance grise corticale du
lobe
frontal (voir Pl. VII). Les fibres spinales const
constituent la voûte du corps calleux ; les fibres commissurantes du
lobe
sphénoïdal sont groupées en un faisceau arrondi s
che de la cérébrale postérieure qui se rend à la partie inférieure du
lobe
sphénoïdal. XLVI, Coupe verticale transverse pa
entoure le centre médullaire, s'enfonce dans les sillons profonds du
lobe
sphénoïdal; du lobule de l'insula et dans la scis
ibres commissurantes des régions supérieures et moyennes passent d'un
lobe
à l'autre dans les régions homologues et constitu
la portion antérieure du corps calleux. Les fibres commissurantes du
lobe
sphénoïdal se portent en haut et en dedans; celle
e portent en haut et en dedans; celles des régions postérieures de ce
lobe
se sont groupées en un faisceau arrondi que la se
e fibres arciformes occipito-frontales. 7. — Fibres convergentes du
lobe
sphénoïdal. 8. Noyau lenticulaire composé de tr
cale circonscrit chacun des hémisphères et la portion anté-rieure des
lobes
sphénoïdaux. De sa face interne, naissent les f
, dans le noyau caudé du corps strié et dans la couche optique. Les
lobes
sphénoïdaux sont composés par les fibres médullai
ions de ses branches latérales (10') avec la substance médullaire des
lobes
sphénoïdaux. Le faisceau radiculaire des fibres
de l'avant-mur. 7. — Fibres médullaires des régions antérieures du
lobe
sphénoïdal. 8. — Fibres commissurantes des régi
ux ; ils ne comprennent que leur portion antérieure, c'est-à-dire les
lobes
frontaux. La scissure de Sylvius les sépare des d
frontaux. La scissure de Sylvius les sépare des derniers vestiges des
lobes
sphénoïdaux. Les fibres commissurantes des régi
e la base des circonvolutions, passent dans les régions homologues du
lobe
du côté opposé, en formant sur la ligne médiane l
du corps calleux. Cette portion de l'Encéphale ne comprend que les
lobes
frontaux. La substance grise qui forme la couche
scissure inter-hémisphérique, qu'elles contournent et gagnent dans le
lobe
opposé les régions homologues à celles dont elles
labial. k° Plëropodes. « Dans le clio boréal, le cerveau est à deux
lobes
placés sur l'origine de l'œsophage; de chacun d'e
M. Garner, le ganglion supérieur ou sus-œsophagien n'est aulre que le
lobe
optique des poissons, et la partie antérieure de
ertébrés. 2. Le double ganglion céphalique n'est pas l'analogue des
lobes
cérébraux. S. Ce ganglion est toujours situé au
et des pinces ont un caractère particulier; ils sont bilobés ; chaque
lobe
est pyramidal, ayant sa base en dedans tournée ve
laire surmonté, à l'une de ses extrémités, de plusieurs renflemens ou
lobes
auxquels viennent aboutir les nerfs des sens et c
tien de la vie. Le faisceau, c'est la moelle épinière; la réunion des
lobes
, c'est l'encéphale. 1. Encéphale. Les lobes,
nière; la réunion des lobes, c'est l'encéphale. 1. Encéphale. Les
lobes
, qui composent l'encéphale des poissons, varient
au ganglion cérébral. Dans ce dernier cas, il n'existe au devant des
lobes
optiques, lobes toujours faciles à reconnaître pu
ébral. Dans ce dernier cas, il n'existe au devant des lobes optiques,
lobes
toujours faciles à reconnaître puisqu'ils donnent
adossés et ne s'envoient aucun filet de communication. En avant, les
lobes
olfactifs fournissent les nerfs, du même nom, en
r découvrir leur commissure , il suffit d'écarter l'un de l'autre les
lobes
ou ganglions cérébraux, la scissure qui sépare ce
l'autre les lobes ou ganglions cérébraux, la scissure qui sépare ces
lobes
est traversée par un petit filet blanc très ténu,
s tubercules du cerveau; Tréviranus, hémisphères postérieurs; Cuvier,
lobes
creux; M. Serres, Desmoulins, M.Gottsche, etc. lo
érieurs; Cuvier, lobes creux; M. Serres, Desmoulins, M.Gottsche, etc.
lobes
optiques. Chezbeaucoup de poissons, les ganglions
l'a observé M. Gotts -Che, qui ont les yeux d'inégale grosseur , les
lobes
optiques sont inégalement développés. Si on incis
ur , les lobes optiques sont inégalement développés. Si on incise ces
lobes
, on voit qu'ils ne constituent pas réellement un
ure blanche qui réunit l'une à l'autre, la partie antérieure des deux
lobes
optiques; en arrière de celte commissure, les pro
entricule placée sous le cervelet. De chaque côté, le ventricule du
lobe
optique présente un petit renflement (tori semi-c
me alors une simple lame placée en travers de la moelle, derrière les
lobes
optiques; mais le plus ordinairement, il consiste
fs optiques. Au-dessus des tubercules quadrijumeaux, en arrière des
lobes
optiques, il existe un petit corps analogue à la
qu'à la pointe antérieure de l'encéphale : et s'épanouissent dans les
lobes
optiques, les tubercules quadrijumeaux, les lobes
anouissent dans les lobes optiques, les tubercules quadrijumeaux, les
lobes
inférieurs, les lobes cérébraux et les lobes olfa
bes optiques, les tubercules quadrijumeaux, les lobes inférieurs, les
lobes
cérébraux et les lobes olfactifs. Les fibres qui
cules quadrijumeaux, les lobes inférieurs, les lobes cérébraux et les
lobes
olfactifs. Les fibres qui entrent dans les tuberc
deux faisceaux qui se joignent tout-à-fait à la partie antérieure du
lobe
optique, et de la jonction desquels résulte le ne
oins importantes à connaître que faciles à observer. En décrivant les
lobes
optiques, j'ai dit que celui de droite est uni à
ls sortent du corps strié. Pour récapituler ce que nous présente le
lobe
optique, je dirai que ce lobe ou plutôt que cette
our récapituler ce que nous présente le lobe optique, je dirai que ce
lobe
ou plutôt que cette lame est formée, 1° D'un pé
granulée dont ils sont en grande partie composés. A l'occasion des
lobes
optiques, j'ai parlé de fibres transverses qui fo
obes optiques, j'ai parlé de fibres transverses qui forment, pour ces
lobes
, une véritable commissure; la plupart des autres
es des pyramides et celles du cervelet. Cette commissure et celle des
lobes
optiques sont les seules dont les fibres soient i
ommissure; pour les ganglions placés en arrière du cervelet; pour les
lobes
optiques et les lobes olfactifs, des racines nerv
nglions placés en arrière du cervelet; pour les lobes optiques et les
lobes
olfactifs, des racines nerveuses , pour tous une
es. En tête de ces derniers , il faut placer le ganglion antérieur au
lobe
optique et que j'ai appelé ganglion cérébral; ens
érieures et les corps restiformes ; aux tubercules quadrijumeaux, aux
lobes
optiques, aux lobes inférieurs, aux ganglions cér
s restiformes ; aux tubercules quadrijumeaux, aux lobes optiques, aux
lobes
inférieurs, aux ganglions cérébraux et aux gangli
e la moelle. On voit les fibres du faisceau fulcral qui se rendent au
lobe
optique, se continuer à travers la lame optique,
, du mélandre (4), et de la raie bâtis (5). Ces derniers ont tous des
lobes
olfactifs très développés, un lobe cérébral volum
is (5). Ces derniers ont tous des lobes olfactifs très développés, un
lobe
cérébral volumineux et un long cervelet; ils ress
cervelet; ils ressemblent aux poissons osseux, principalement par les
lobes
optiques. Entre eux, ils n'offrent que de légères
s optiques. Entre eux, ils n'offrent que de légères dissemblances; le
lobe
olfactifdu requin {squalus carcharías) est encore
ans la grande roussette (squalus canícula); dans la raie bouclée, les
lobes
sont peu prononcés, peu saillans, tandis qu'ils l
les poissons osseux, l'encéphale varie aussi sur plusieurs points. Le
lobe
optique est assez uniforme, mais le lobe olfactif
ssi sur plusieurs points. Le lobe optique est assez uniforme, mais le
lobe
olfactif n'est pas, à beaucoup près, également dé
s optiques recouverts en grande partie par l'extrémité postérieure du
lobe
cérébral, et un cervelet allongé à-peu-près comme
cipales dont se compose l'encéphale des reptiles sont le cerveau, les
lobes
optiques, le cervelet ; les parties secondaires s
née en arrière, se prolonge dans presque tous les reptiles, jusqu'aux
lobes
optiques; sa petite extrémité se termine en avant
re un peu renflé, fournit les nerfs olfactifs. Lorsque l'on écarte le
lobe
cérébral du côté droit de celui du côté gauche, o
de l'homme. La surface en est lisse; cependant, au côté externe de ce
lobe
, on voit, chez la tortue, par exemple, une légère
, les nerfs olfactifs de la grenouille. couleur de la substance des
lobes
cérébraux est d'un gris blanchâtre; celle de la c
aux est d'un gris blanchâtre; celle de la commissure placée entre ces
lobes
a la même apparence. Si l'on incise les lobes c
sure placée entre ces lobes a la même apparence. Si l'on incise les
lobes
cérébraux, on les trouve creux, et la surface int
ent un petit renflement ganglionaire, analogue au corps strié. Chaque
lobe
cérébral est comme implanté sur l'extrémité cépha
iles, le crapaud et la grenouille, par exemple, il existe en avant du
lobe
cérébral, un petit ganglion olfactif qui se conti
inairement un peu renflée, fournit les filets nerveux olfactifs. 2°
Lobes
optiques. Ces lobes situés en arrière des pré* cé
nflée, fournit les filets nerveux olfactifs. 2° Lobes optiques. Ces
lobes
situés en arrière des pré* cédens, sont arrondis,
ait analogue à celle que j'ai décrite chez les poissons. Incisés, les
lobes
optiques présentent comme les lobes cérébraux, un
e chez les poissons. Incisés, les lobes optiques présentent comme les
lobes
cérébraux, une cavité ; la cavité du lobe droit c
iques présentent comme les lobes cérébraux, une cavité ; la cavité du
lobe
droit communique avec celle du lobe gauche; une d
ébraux, une cavité ; la cavité du lobe droit communique avec celle du
lobe
gauche; une dépression qui rappelle la voûte àtro
l'une de l'autre, plutôt qu'elle ne les sépare. La surface interne du
lobe
, ou pour parler plus exactement, de la lame opti
ue une masse globuleuse égale et même supérieure en volume à l'un des
lobes
optiques. D'après M. Mayer, de Bonn (1), le menop
s. Les prolongemens olfactifs sont creux chez tous les reptiles ; les
lobes
cérébraux le sont également ; les lobes optiques
chez tous les reptiles ; les lobes cérébraux le sont également ; les
lobes
optiques sont creux et communiquent celui du côté
. 5. 6° Commissure antérieure. Elle est placée un peu en arrière du
lobe
cérébral, à l'extrémité antérieure de Vinfu n-dib
ur les pédoncules cérébraux du crocodile, entre ces pédoncules et les
lobes
optiques. Je n'ai pas eu l'occasion de disséquer
cules quadrijumeaux, mais par tubercules quadrijumeaux, il entend les
lobes
optiques. du nerf optique, elle offre une parti
l'on remarque sur les pro-longemens fulcraux de la moelle, entre les
lobes
optiques et le cerveau. Les auteurs n'admettent p
olongemens fulcraux de la moelle épinière, avant leur entrée dans les
lobes
cérébraux. Ue paire. Nerfs pathétiques. Ils exi
il faut, avec des ciseaux très fins, enlever d'un seul coup, les deux
lobes
optiques, à leur partie postérieure, car réunis e
um. La partie la plus interne des prolongemens fulcraux se rend aux
lobes
cérébraux , elle se comporte d'une manière analog
..... 0,00133 — Cervelet. ............... 0,00166 Lézard Fibre du
lobe
optique........... 0,00166 — Ibid..............
t. 3e part. pl. xvu, fig, 7. gros, d'un tiers environ, que l'un des
lobes
optiques. Quant à ces derniers, chez tous les rep
tes, d'une différence dans le développement des parties latérales des
lobes
cérébraux, ou bien du volume variable de quelque
des oiseaux; il a signalé la non-existence de circonvolutions sur les
lobes
cérébraux de ces animaux, et le développement con
rehri anatome, cap. v, Lond.," 1664. térieure, Vmfundibidum, et les
lobes
optiques, dont il a découvert la cavité. Valentin
nences mamillaires, de corps olivaires et de pyramides. Il regarde le
lobe
antérieur de l'encéphale des oiseaux comme l'anal
analogue des corps striés. Sœmmering (5) appelle couches optiques les
lobes
optiques, ainsi que Har-wood (6) et les frères We
i seul presque tout l'hémisphère. Cuvier appelle couches optiques les
lobes
optiques; il dit que, entre les couches optiques
enflemens placés sur le trajet des pédoncules cérébraux, en avant des
lobes
optiques. On les voit très bien sur le pigeon, la
re antérieure. M. Tiedemann combat cette opinion ; il indique sur les
lobes
cérébraux un seul sillon : c'est la scissure de S
ence de la glande pinéale, décrit une large commissure qui réunit les
lobes
optiques; il admet l'existence des corps striés,
és, (i) Op. cit., t. 2 , p. 162. formant la plus grande partie du
lobe
cérébral, une glande pinéale et une glande pituil
Il appelle couches optiques les petits ganglions placés en avant des
lobes
optiques ; il indique des ganglions placés à l'or
es les parties composant l'encéphale des oiseaux, paraît regarder les
lobes
cérébraux comme les analogues des corps striés; q
r les lobes cérébraux comme les analogues des corps striés; quant aux
lobes
qui donnerit naissance aux nerfs optiques, il les
t aux lobes qui donnerit naissance aux nerfs optiques, il les appelle
lobes
optiques : il ne fait aucune mention des tubercul
: chez lès reptiles, ce n'est plus une simple calotte, mais un petit
lobe
creux ; chez les oiseaux, c'est un lobe plus épai
simple calotte, mais un petit lobe creux ; chez les oiseaux, c'est un
lobe
plus épais que dans les deux cas précédens, et il
identité entre ces tubercules considérés dans les mammifères ) et les
lobes
optiques des oiseaux, par exemple : il y a seulem
origine, chez les vertébrés inférieurs et même chez les oiseaux, des
lobes
placés en avant du cervelet ; ces lobes ne sont a
et même chez les oiseaux, des lobes placés en avant du cervelet ; ces
lobes
ne sont autre chose que les re-présentans des tub
on toutefois du corps strié qui, s'il existe, serait confondu avec le
lobe
cérébral lui-même, ou serait représenté par un pe
vant de la couche optique. 1° Cerveau. Cet organe est formé de deux
lobes
pleins, ordinairement pyriformes, parfaitement sy
tièrement dépourvus de circonvolutions. A la partie inférieure de ces
lobes
, on voit chez presque tous les oiseaux, une légèr
ndice, et on doit la regarder comme un progrès dont l'organisation du
lobe
cérébral : ce sillon loge des vaisseaux sanguins.
ce sillon loge des vaisseaux sanguins. La partie interne de chaque
lobe
cérébral est plane : c'est par là que les deux lo
interne de chaque lobe cérébral est plane : c'est par là que les deux
lobes
sont en contact ; en les écartant l'un de l'autre
este de cette face est placée sur les pédoncules cérébraux et sur les
lobes
optiques. Les lobes cérébraux des oiseaux constit
st placée sur les pédoncules cérébraux et sur les lobes optiques. Les
lobes
cérébraux des oiseaux constituent une sorte d'ef-
s'étale en manière de patte d'oie, se dirige vers la face interne du
lobe
, dans le bord supérieur duquel il se termine. Un
eau blanc se remarque à la base du cerveau et sur les côtés de chaque
lobe
; il s'étend d'avant en arrière, depuis la partie
il s'étend d'avant en arrière, depuis la partie la plus saillante du
lobe
, jusque tout près de la pointe du cerveau. La s
eux substances cérébrales, ainsi que je le dirai tout-à-l'heure. Le
lobe
cérébral des oiseaux n'est pas creusé d'une cavit
situés en dessous, c'est-à-dire qu'ils résultent de l'application des
lobes
sur les cuisses du cerveau : aussi sont-ils plutô
véritables cavités. Trois commissures réunissent l'un à l'autre les
lobes
cérébraux : l'une antérieure et inférieure, situé
corps calleux : M. Carus adopte cette détermination. (1) Quoique le
lobe
cérébral des oiseaux soit comme le corps strié de
servir de l'expression employée par Gall et Spurzheim, tandis que le
lobe
cérébral est un organe dans lequel se terminent l
de la moelle épinière. A sa partie antérieure, terminée en pointe, le
lobe
cérébral présente un petit tubercule qui donne na
e de la commissure des nerfs optiques. Ce mamelon est un rudiment des
lobes
inférieurs de l'encéphale des poissons. 3. Lobe
st un rudiment des lobes inférieurs de l'encéphale des poissons. 3.
Lobes
optiques. En arrière des couches optiques et sur
artie externe et supérieure de la moelle épinière. Ces corps sont les
lobes
optiques : leur masse est formée de sub- (i) Op
traverse à l'état de cordon et sans éprouver aucun aplatissement. Les
lobes
optiques sont creux, la cavité en est tapissée pa
valvule de Vieussens et les processus cere-belli ad testes, avec les
lobes
optiques; latéralement, avec la moelle. Cette d
tous de support. En avant, elle se bifurque pour se terminer dans les
lobes
cérébraux ; en arrière, à son entrée dans le crân
ouches optiques; sur les côtés, l'implantation du cervelet, celle des
lobes
optiques, et sur différens points de son étendue,
e recouvrement, partiel chez la plupart, complet chez les autres, des
lobes
optiques par les lobes cérébraux, la formation bi
chez la plupart, complet chez les autres, des lobes optiques par les
lobes
cérébraux, la formation bien déterminée des couch
us haut; 2° les nerfs optiques très volumineux viennent seulement des
lobes
optiques, et les couches optiques paraissent être
ar les frères YVenasel, M. Serres et M. Lilut. Plus la longueur des
lobes
cérébraux est considérable, plus ces lobes s'éten
ut. Plus la longueur des lobes cérébraux est considérable, plus ces
lobes
s'étendent en arrière sur le cervelet et recouvre
lus ces lobes s'étendent en arrière sur le cervelet et recouvrent les
lobes
optiques. Parmi les oiseaux inscrits au tableau q
iseaux inscrits au tableau qui précède, quelques-uns de ceux dont les
lobes
optiques restent très à découvert sont la buse, l
t très à découvert sont la buse, le pigeon et la poule; ceux dont les
lobes
en question restent en partie couverts sont le pl
e , tel autre un peu plus en avant, et c'est pour cette cause que les
lobes
optiques sont plus ou moins en saillie sur les fi
e compose de trois ganglions principaux, le cerveau, le cervelet, les
lobes
optiques et d'un ganglion supplémentaire, la couc
n, mais chez quelques oiseaux seulement. 3. Le cerveau recouvre les
lobes
optiques en totalité ou en partie; il dépasse ces
recouvre les lobes optiques en totalité ou en partie; il dépasse ces
lobes
, en arrière et latéralement, chez la pie, le corb
ervelet qu'il recouvre même quelquefois de la moitié environ. U. Le
lobe
cérébral n'a pas de cavité, les substances grises
s. 5. Les couches optiques existent à l'état rudimentaire. 6. Les
lobes
optiques sont inférieurs au cerveau; ils ont un v
, l'une antérieure, l'autre postérieure réunissent entre eux les deux
lobes
cérébaux ; il y a de plus une petite commissure i
s cérébaux ; il y a de plus une petite commissure inférieure; sur les
lobes
optiques, on trouve une commissure large, dont le
elle n'est pas disposée en couche, comme chez les mammifères. Chaque
lobe
cérébral peut être considéré comme un amas de sub
a substance grise en arrière de la commissure des nerfs optiques ; le
lobe
optique, à sa circonférence, en présente une asse
bstance jaune du cerveau du]pigeon. à laquelle n'atteignent pas les
lobes
cérébraux de ces animaux. Dans la moelle allongée
fibres de la moelle épinière s'opère de la manière suivante, dans les
lobes
encéphaliques. D'abord ces fibres ne se croisent
ste de la moelle , ou la portion fulcrale de cet organe, se porte aux
lobes
optiques, et au cerveau. A l'endroit où le cerv
, renforcées par un ganglion , vont former une sorte d'anse entre les
lobes
optiques. Ainsi, sur ce point, comme sur beaucoup
bres nerveuses des oiseaux. M. Pigeon. Fibre de la commissure des
lobes
optiques..... o,ooi Poule. Fibre du cervelet...
Fibre du cervelet........................ 0,00166 Mésange. Fibre du
lobe
cérébral.................... 0,00166 Ici. Fibre
que..................... 0,00166 Pigeon. Fibre de la commissure des
lobes
optiques...... 0,002 Id. Fibre du pédoncule cér
du pédoncule cérébral................ 0,0025 Chardonneret. Fibre du
lobe
cérébral.................... 0,002 5 Mésange. F
o-gastrique............. 0,00477 Pigeon. Fibre de la commissure des
lobes
optiques...... o,oo583 Mésange. Fibre de la moe
de la moelle allongée. 3. Les fibres de la moelle, en arrivant aux
lobes
optiques, se comportent d'une manière absolument
i pas à parler ici de la forme de la moelle épinière, ni de celle des
lobes
optiques, ces parties n'ayant pas une relation di
s me tromper jamais. Dans le mâle, le cervelet est plus grand, et les
lobes
postérieurs sont plus petits; dans la femelle, au
its; dans la femelle, au contraire, le cervelet est plus petit et les
lobes
postérieurs ou la circonvolution affectée à celte
erveau en arrière: ceux doni le cerveau se prolonge davantage sur les
lobes
optiques et sur le cervelet, sont les premiers.
en arrière, le coucou , qui n'élève pas lés siens, devrait avoir les
lobes
optiques plus à découvert que tous les autres ois
s oiseaux, et par conséquent être le dernier sur cette liste. Or, ses
lobes
optiques sont au niveau du cerveau, tandis que le
u, tandis que les oiseaux dont les noms suivent le sien, on! tous les
lobes
optiques encore moins recouverts qu'il ne les a.
es. 6. Il n'est pas vrai de dire que les oiseaux femelles aient les
lobes
cérébraux plus allongés que les oiseaux mâles.
tionne par l'augmentation considérable du volume de sa commissure; un
lobe
nouveau se développe dans le cervelet; le cerveau
couches optiques et les corps striés l'emportent de beaucoup sur les
lobes
optiques, et sa surface est sillonnée par des ond
emblance avec les circonvolutions intestinales. 1. Encéphale. Les
lobes
optiques ne nous occuperont plus que comme un des
up moins de circonvolutions que l'homme, et surtout les sapajous : le
lobe
postérieur n'en a même presque aucune. Dans les c
le de la part de Treviranus (2). M. Serres, qui lui a donné le nom de
lobe
d'hippocampe, en a parlé dans le même sens que Tr
ingue les animaux en ceux qui ont des circonvolutions similaires d'un
lobe
à l'autre, et ceux qui les ont dissimilaires. Dan
rnière évidence et dont on pourra s'assurer en jetant les yeux sur le
lobe
cérébral d'un éléphant, lobe que l'on conserve au
urra s'assurer en jetant les yeux sur le lobe cérébral d'un éléphant,
lobe
que l'on conserve au muséum d'histoire naturelle
même degré de ressemblance existe entre les circonvolutions des deux
lobes
cérébraux. Dans l'énumération que je viens de f
ont (2), aucun progrès touchant les circonvolutions. «.La surface des
lobes
cérébraux, dit ce dernier, présente des replis qu
groupe des mammifères correspond, quant au défaut de sillonneinent du
lobe
cérébral, à ceux des oiseaux qui ont peu d'intell
qui est ici plus prononcée que dans le premier groupe, il y a sur le
lobe
cérébral des dépressions qui ne manquent pas d'un
médian qui s'éten danl d'avant en arrière, sépare le cerveau en deux
lobes
, on voit une dépression parallèle à ce sillon qui
ure de Sylvius; les deux autres sont à la partie supérieure de chaque
lobe
cérébral : sur un cerveau depuis long-temps conse
aient en rapport avec le volume du cerveau. Le furet qui a sur chaque
lobe
cérébral, cinq circonvolutions bien distinctes, t
urs, qui se répètent assez rarement avec Une parfaite régularité d'un
lobe
à l'autre , et d'un' cerveau à un autre cerveau ,
par des exemples. Voyez (pl. iv, fig. 2) la face latérale externe du
lobe
cérébral droit du renard. En S se trouve un sillo
rconvolution I, dont on voit une partie seulement, celle qui forme le
lobe
d'hippocampe, dans la figure 2, et dont la (i)
e fait est exceptionnel , car la même dépression n'existe pas1 sur le
lobe
gauche du chien, et je ne l'ai rencontrée ni sur
mais entre la troisième et la quatrième, il n'en est pas ainsi sur le
lobe
gauche du lion (fig.lre): on voit en arrière un p
lution interne, celle dont l'extrémité inférieure forme la saillie ou
lobe
d'hippocampe, arrivée au niveau de la réunion du
est autre qu'une saillie de la circonvolution interne qui commence au
lobe
d'hippocampe (I, fig. 3, cerveau de la loutre), s
tre, fig. 3), elle présente un sillon pour loger le nerf ou plutôt le
lobe
olfactif. Les cerveaux du cinquième groupe form
), le dromadaire, le chameau, etc. La circonvolution interne née du
lobe
d'hippocampe , se contourne sur le corps calleux
en arrière elle est simple, et c'est à cet état -qu'elle va former le
lobe
d'hippocampe. II n'en est pas de même chez le bœu
iliers antérieurs de la voûte cérébrale, jusqu'à la partie externe du
lobe
d'hippocampe, au niveau de la scissure de Sylvius
tions des cochons sont ondulées; il en existe deux à la périphérie du
lobe
cérébral, et la circonvolution supérieure est div
es chiffres i— n, une espèce de sillon. Lorsqu'on a séparé les deux
lobes
l'un de l'autre, on voit la circonvolution intern
n de l'autre, on voit la circonvolution interne, celle qui, venant du
lobe
d'hippocampe, s'élève derrière le corps calleux q
conde division antérieure. C'est, en effet, ce qui est réalisé sur le
lobe
gauche du cerveau du sanglier. Le cerveau du co
ostérieur P' (fig. 2) qui, réuni à un prolongement analogue venant du
lobe
d'hippocampe 1. h., se porte en arrière et en deh
u chevreuil (pl. x), etc. La circonvolution interne qui commence au
lobe
d'hippocampe 1. h., arrivée sous le bord antérieu
ont l'homme el le singe sont pourvus. Enfin, la troisième division du
lobe
d'hippocampe quand elle existe, se porte en dehor
uatre sillons non interrompus partagent d'avant en arrière chacun des
lobes
cérébraux du marsouin , du dauphin et de la balei
e la baleine. L'un (si, pl. xn, lig. 2), situé à la partie interne du
lobe
, au-dessus de la circonvolution l 11 qui recouv
de toutes les autres, depuis la partie antérieure du cerveau jusqu'au
lobe
d'hippocampe (l. h., môme figure). Les trois autr
arce que le temps m'a manqué pour décrire le cerveau du narval. Les
lobes
cérébraux de la baleine sont sillonnés de grandes
le présente de nombreuses dépressions. Le troisième est, sur les deux
lobes
, double en arrière, tandis qu'en avant, elle est
erne de la baleine, parce qu'il eût fallu, pour cela, détacher un des
lobes
cérébraux, ce que je ne pouvais pas faire et ce q
s aussi chez l'homme. 4 La planche xm représente la face interne du
lobe
cérébral droit d'un éléphant des Indes (1), et la
'un éléphant des Indes (1), et la planche xiv la face externe du même
lobe
. La circonvolution interne 1,1,1, qui se contourn
circonvolutions , et cet appareil est situé à la partie supérieure du
lobe
cérébral. Quant aux sinuosités, aux ondulations
ut à côté du nerf optique (I, fig. 3, et I, fig. 5), sous la forme du
lobe
d'hippocampe. Ce lobe ne va pas seulement à la ci
que (I, fig. 3, et I, fig. 5), sous la forme du lobe d'hippocampe. Ce
lobe
ne va pas seulement à la circonvolution interne,
d'une cavité et se prolonge en arrière, sur la partie antérieure des
lobes
optiques; chez les oiseaux, il se prolonge davant
es lobes optiques; chez les oiseaux, il se prolonge davantage sur ces
lobes
, qu'il parvient même à recouvrir entièrement; che
me à recouvrir entièrement; chez les mammifères, le développement des
lobes
en arrière devient encore plus considérable ; les
loppement des lobes en arrière devient encore plus considérable ; les
lobes
optiques sont presque toujours recouverts en to
in nombre de cas. Du rapprochement de la partie inférieure des deux
lobes
cérébraux, résulte une cavité que l'on a appelée
autre cavité qui se prolonge plus ou moins dans la substance même du
lobe
cérébral; c'est le ventricule latéral. Les lobe
a substance même du lobe cérébral; c'est le ventricule latéral. Les
lobes
cérébraux sont réunis entre eux par des commissur
lobes cérébraux sont réunis entre eux par des commissures, et chaque
lobe
a de plus une commissure qui met en relation sa p
antérieure avec sa partie postérieure. Les commissures qui vont d'un
lobe
à l'autre, sont le corps calleux, la commissure a
es ventricules moyens el latéraux représentent la surface interne des
lobes
cérébraux, comme les circonvolutions en représent
paré en faisceaux fibreux, s'étale en rayonnant dans l'intérieur du
lobe
cérébral. Le point d'origine de ce lobe est donc
rayonnant dans l'intérieur du lobe cérébral. Le point d'origine de ce
lobe
est donc celui de l'insertion du pédoncule ; sa t
assez exactement les contours. En effet, cette circonvolution dont le
lobe
d'hippocampe est une dépendance, termine le cerve
la corne antérieure s'ouvre dans une cavité qui règne tout le long du
lobe
olfactif (pl. x, chevreuil e, fig. 2). (i) Vf y
s de ce ventricule dont elle est séparée par la bandelette blanche du
lobe
d'hippocampe, et par une autre bandelette corresp
s extrémités , avec la commissure antérieure, et par l'autre, avec le
lobe
d'hippocampe. La corne inférieure descend presq
pocampe. La corne inférieure descend presque dans cette éminence du
lobe
cérébral qui est placée en arrière de la scissure
en arrière de la scissure de Sylvius, éminence que M. Serres appelle
lobe
sphénoidal; on trouve dans sa cavité deux saillie
commissure réunit, l'un à l'autre, la partie supérieure de chacun des
lobes
cérébraux, elle se présente sous la forme d'un co
lement au pied de la grande scissure qui résulte du rapprochement des
lobes
ou hémisphères (c. c. pl. iv, fig. 3 et); sa face
toutes les espèces de mammifères, par le prolongement en arrière des
lobes
cérébraux, ces tubercules se présentent sous la f
rivent, dit M. Carus (1), à un point de développement tel qu'à chaque
lobe
correspond un de leur prolongement; savoir, la co
be correspond un de leur prolongement; savoir, la corne antérieure au
lobe
antérieur, la corne descendante au lobe d'hippoca
avoir, la corne antérieure au lobe antérieur, la corne descendante au
lobe
d'hippocampe, et la corne postérieure, au lobe qu
a corne descendante au lobe d'hippocampe, et la corne postérieure, au
lobe
qui recouvre le cervelet. » Celle dernière n'appa
a corne d'Ammon qui n'est autre chose que la saillie intérieure de ce
lobe
, doit être mise au nombre des organes les plus im
ps frangés se prolongent en avant dans les couches optiques, dans les
lobes
antérieurs des hémisphères et dans le replis anté
t j'y ai vu bien manifestement un corps calleux, situé entre les deux
lobes
cérébraux, comme chez les autres mammifères. On s
noter ici le volume de la commissure molle ou commissure moyenne des
lobes
optiques qui est plus considérable dans les mammi
t il est lui-même en partie recouvert par l'extrémité postérieure des
lobes
cérébraux. D'avant en arrière, il est divisé de c
aque côté par deux sillons principaux qui le partagent ainsi en trois
lobes
(1, 2, 3, pl. iv, renard, fig. 2, etc.), savoir :
i en trois lobes (1, 2, 3, pl. iv, renard, fig. 2, etc.), savoir : un
lobe
moyen, ou ver du cervelet, dont l'extrémité qui s
é qui s'avance dans le quatrième ventricule, a été appelée luette; un
lobe
latéral (2 même planche) moins saillant que le pr
nt très prononcée, au niveau du bord postérieur du cervelet; enfin un
lobe
tout-à-fait externe (3, pl. m, lapin, fig. lre) q
se. Des sillons plus ou moins nombreux coupent en travers ces trois
lobes
; parmi ces sillons les uns sont profonds, les aut
te la largeur de l'organe, les seconds sont ordinairement bornés à un
lobe
et présentent, dans leur trajet, de nombreuses so
culté devient encore plus grande si l'on veut compter les lamelles du
lobe
moyen : d'abord parce qu'elles n'ont pas entre el
efois dans le doute s'il faut les ranger parmi les lamelles du ver ou
lobe
moyen, ou parmi celles du lobe latéral. Cependant
es ranger parmi les lamelles du ver ou lobe moyen, ou parmi celles du
lobe
latéral. Cependant, ces difficultés toutes grande
ts sont une sorte d'amplification de celui du mouton. La section du
lobe
moyen du cervelet m'a présenté le nombre de lamel
. 175 Che\al........ 178 Le nombre comparé des lamelles du ver ou
lobe
moyen et du lobe latéral du cervelet, est très di
..... 178 Le nombre comparé des lamelles du ver ou lobe moyen et du
lobe
latéral du cervelet, est très différent, suivant
n et du lobe latéral du cervelet, est très différent, suivant que ces
lobes
sont relativement plus ou moins développés. Chez
tivement plus ou moins développés. Chez les rongeurs, les lamelles du
lobe
moyen sont moins nombreuses que celles du lobe la
geurs, les lamelles du lobe moyen sont moins nombreuses que celles du
lobe
latéral; c'est le contraire qui a lieu dans le ph
ussens, la luette, l'extrémité inférieure et postérieure du vermis ou
lobe
médian du cervelet, les pédoncules du cervelet, e
hant est le seul dont je n'aie pu mesurer le cerveau (j'ai dit que le
lobe
cérébral de l'éléphant des Indes, dont je donne l
ue l'on a pas compris, c'est que Perrault n'avait mesuré qu'un seul
lobe
, et n'avait par conséquent donné que la moitié de
rveau lui-même, un point fixe qui serve de départ pour diviser chaque
lobe
, en partie antérieure et en partie postérieure.
pital vient recouvrir, comme chez l'homme, l'extrémité postérieure du
lobe
cérébral, à laquelle la phrénologie a donné pour
largueur du cervelet; la hauteur indique surtout le développement du
lobe
moyen ou ver du cervelet, tandis que le degré de
et, tandis que le degré de largeur dépend surtout du développement du
lobe
latéral. Diamètre du cervelet. Rapport, haut.
de la partie moyenne est ordinairement en raison inverse de celui du
lobe
latéral. Ce dernier lobe est en effet très large
ordinairement en raison inverse de celui du lobe latéral. Ce dernier
lobe
est en effet très large chez le phoque, chez les
omme sous plusieurs autres, se rapprochent beaucoup des oiseaux. Le
lobe
extérieur (les flocons) presque toujours très min
mifères. J'aurais voulu déterminer exactement le volume de chacun des
lobes
du cervelet, en mesurant ou en pesant chacun d'eu
; mais cela n'est pas possible parce que les limites qui séparent ces
lobes
n'ont rien de régulier ni de tranché. C'est un fa
nt rien de régulier ni de tranché. C'est un fait bien positif que les
lobes
du cervelet diffèrent beaucoup, quant à leur volu
térieure du cerveau, l'absence presque complète de dépressions sur le
lobe
postérieur de cet organe, et le défaut de sinuosi
ns de ces circonvolutions, par l'absence des éminences mamillaires ou
lobes
ethmoïdaux, le développement d'une troisième cavi
eur du pont de varole correspondant à l'étendue très considérable des
lobes
latéraux du cervelet. Le cerveau des makis est
rage achevé. Je ne connais bien de l'encéphale de l'éléphant, qu'un
lobe
cérébral, et je n'ai vu de la moelle allongée de
signale l'ample cavité qui se trouve dans les corps mamillaires ou
lobes
olfactifs. Mais ces faits, exprimés d'une manière
cide chez l'homme et chez le singe avec le prolongement en arrière du
lobe
cérébral. En somme, l'encéphale de l'éléphant,
al. En somme, l'encéphale de l'éléphant, par les circonvolutions du
lobe
cérébral est au-dessus de celui du singe, par les
nsidérables que ceux de l'homme, du singe et de l'éléphant; le ver ou
lobe
moyen du cervelet en est très rétréci, tandis que
le ver ou lobe moyen du cervelet en est très rétréci, tandis que les
lobes
latéraux ont un grand développement. Le pont de v
pont de varole, dont l'étendue est toujours en rapport avec celle des
lobes
moyens du cervelet, est aussi complet que chez l'
ieu chez l'éléphant et la plupart des mammifères, on ne trouve pas de
lobe
olfactif chez le marsouin, le dauphin et la balei
u cervelet a de très nombreuses sous-divisions ainsi que le troisième
lobe
; quant au lobe latéral, d est plus élargi que che
très nombreuses sous-divisions ainsi que le troisième lobe; quant au
lobe
latéral, d est plus élargi que chez la plupart de
olfactifs naissent comme celui de l'éléphant, par l'intermédiaire du
lobe
olfactif ; le pont de varole est plus étroit que
d'un sillon qui sépare le cerveau du cervelet. L'unau et l'ai ont le
lobe
moyen du cervelet un peu déprimé, tous les autres
traire saillant, surtout les rongeurs, le kanguroo et les moulons. Ce
lobe
est moins en saillie chez le chat, le renard, le
en totalité chez quelques-uns. 20. Le cervelet des mammifères a un
lobe
latéral qui n'existe pas chez les oiseaux et qui
aussi complet que celui de l'homme, chez lous les mammifères dont les
lobes
latéraux du cerveau sont très développés ; chez l
la ruse, ont chacun leur organe situé à la partie latérale externe du
lobe
cérébral; plus ils sont développés, plus aussi le
visée (V. pl. ix, cheval, fig. lre, la circonvolution située entre le
lobe
ethmoïdal e, et l'extrémité antérieure de la circ
rvelet, l'imagination et la fantaisie dans l'extrémité postérieure du
lobe
cérébral que recouvre l'angle postérieur de l'occ
e cette partie de l'occipital qui recouvre l'extrémité postérieure du
lobe
cérébral de l'homme et du singe, je concluerais,
t avec les os que dans la très petite portion de son étendue, appelée
lobe
d'hippocampe ; il en est d'autres, celles par exe
vert, et chez quelques-uns, le défaut de développement en arrière des
lobes
cérébraux est tel, que l'on aperçoit entre ces lo
t en arrière des lobes cérébraux est tel, que l'on aperçoit entre ces
lobes
et le ver du cervelet, une portion des tubercules
ez les animaux supérieurs; ainsi, dans la chauve-souris, on compte au
lobe
moyen du cervelet seulement neuf lamelles, tandis
l, il y en a jusqu'à cent soixante-dix-huit; chez la chauve-souris le
lobe
latéral n'existe pas, chez le cheval il est petit
outon et le bœuf en ont plus que le renard ; j'en puis dire autant du
lobe
moyen, car la loutre a ce lobe plus développé que
e le renard ; j'en puis dire autant du lobe moyen, car la loutre a ce
lobe
plus développé que le chien. Après ce résumé, o
loppée. 21. Tous les mammifères qui ont le cervelet couvert par les
lobes
cérébraux sont intelligens : mais tous les mammif
ons frontales ; légères anomalies ( ? ) à la partie anté- rieure du
lobe
frontal. Rien à noter sur le corps opto-s : rié,
orax. Poumon droit, hépatisation au niveau du bord postérieur et du
lobe
inférieur, pas de tubercules, ganglions bronchi
e se rétractent pas à l'ouverture du thorax. A droite, au niveau du
lobe
inférieur, congestion manifeste. A gauche, le l
te, au niveau du lobe inférieur, congestion manifeste. A gauche, le
lobe
inférieur offre les lésions de la broncho-pneu-
c infiltration tuberculeuse du sommet droit et absence du troisième
lobe
de ce poumon. - Foie {oelal. - Adénopathie pron
H'e-mè1'e n'offre rien de particulier ; adhérences de la pointe des
lobes
temporaux avec la dure-mère de la base. Entre l
ns que nous allons trouver très intenses sur l'hémisphère gauche.
Lobe
frontal. - Les quatre circonvolutions frontales s
ntes par le sillon prérolandiclue. Mais ce que l'on constate sur ce
lobe
frontal, c'est surtout l'absence, en de nombreu
t et en bas, on constate les lésions de la méningo-encé- phalite.
Lobe
pariétal. - Le sillon inter-pariétal est normal.
u'en suivant avec le doigt ou une pince, la scissure parallèle du
lobe
temporal, on n'est pas arrêté par l'insertion du
du lobe temporal, on n'est pas arrêté par l'insertion du lobule.
Lobe
occipital. - Rien de bien intéressant. La scissur
perpendiculaire externe n'existe pas et des plis de passage vont du
lobe
pariétal et du lobe temporal jusque dans le lobe
rne n'existe pas et des plis de passage vont du lobe pariétal et du
lobe
temporal jusque dans le lobe occipital. Lésions
de passage vont du lobe pariétal et du lobe temporal jusque dans le
lobe
occipital. Lésions méningitiques très limitées.
sque dans le lobe occipital. Lésions méningitiques très limitées.
Lobe
temporal. - Rien à noter si ce n'est les lésions
rmales avec lésions de méningo-encéphalite sur la partie moyenne du
lobe
lemporo-occipilal. Le pli de passage temporo-li
rconvolution* qui normalement occupent cette région. Ainsi, dans le
lobe
frontal, la moitié postérieure de la troisième
te qui atteint la deuxième circonvolution frontale, presque tout le
lobe
pariétal et le lobe occipital et de plus une atro
uxième circonvolution frontale, presque tout le lobe pariétal et le
lobe
occipital et de plus une atro- phie de toutes l
naler sauf quelques points de méningo-encéphalite disséminés sur le
lobe
temporo- occipital et sur le bord interne du lo
disséminés sur le lobe temporo- occipital et sur le bord interne du
lobe
orbitaire. Le cervelet n'offre aucune anomalie
petit et normal comme forme; la pyramide de Lalouette se détache du
lobe
médian. Thymus. remplacé par du tissu cellulair
poumon, aspect et crépité normaux. - Le pou- mon droit n'a que deux
lobes
; la scissure oblique n'est qu'é- bauchée et a
n'est qu'é- bauchée et a un cent. de longueur ; le sommet des deux
lobes
est dur et présente de l'infiltration tubercule
sive avec escharres au sacrum ; mort. AUTOPSIE. - Pseudo-hyste du
lobe
temporal gauche et droit avec atrophie du lobe
E. - Pseudo-hyste du lobe temporal gauche et droit avec atrophie du
lobe
occipital gauche et du lobe frontal droit. - At
mporal gauche et droit avec atrophie du lobe occipital gauche et du
lobe
frontal droit. - Atrophie il gauche du nerf opt
re de la dure-mère, on trouve une large plaque jaune, occupant le
lobe
temporal droit et les parties voisines de la lèvr
rres- pondante du côté gauche, enfin une atrophie considérable du
lobe
occipital gauche et du lobe frontal droit. Les
che, enfin une atrophie considérable du lobe occipital gauche et du
lobe
frontal droit. Les artères de la base sont symé
nt .sur les deux hémis- phères. ... C'est d'abord une atrophie du
lobe
frontal droit, dont la longueur et l'épaisseur
la longueur et l'épaisseur sont nettement dépassées par celles du
lobe
fronlal gauche. En suivant le bord supérieur des
sphère. Hémisphère droit : Face externe. - Les circonvolutions du
lobe
frontal sont à peu près normales. Les sillons de
ontale. La zone psychomotrice ne présente rien d'anormal. Tout le
lobe
temporal (et c'est là la lésion essentiellement i
il n'y a pas trace de communication avec le ventricule. Le reste du
lobe
pariétal est normal. Les circonvolutions du lob
icule. Le reste du lobe pariétal est normal. Les circonvolutions du
lobe
occipital sont nota- blement atrophiées, LO.
ne, la circonvolution du corps calleux, le lobule para- central, le
lobe
quadrilatère et le lobe occipital, ce der- nier
corps calleux, le lobule para- central, le lobe quadrilatère et le
lobe
occipital, ce der- nier cependant atrophié. -Le
résente rien d'anormal. Face inférieure. - Les circonvolutions du
lobe
orbitaire sont normales. Au contraire, dans le
convolutions du lobe orbitaire sont normales. Au contraire, dans le
lobe
temporo-occipital, la moitié antérieure présent
En résumé, destruction avec formation de pseudo-iayste, de tout le
lobe
temporal de la face externe, et de la moitié anté
e lobe temporal de la face externe, et de la moitié anté- rieure du
lobe
temporo-occipital de la face inférieure. - On s
e, lésions pulmonaires, etc. 61 Hémisphère gauche : Face externe. -
Lobe
frontal plus volumineux que du côté opposé. Cir
sillon préro- landique est encore très incomplètement formé. - Les
lobes
pariétal et occipital n'ont rien de particulier
Nous trouvons là, comme du côté droit, sur la moitié antérieure du
lobe
temporo-occipital, les mêmes lésions que nous a
symé- triques des deux côtés. ' Cou. - Corps thyroïde : les deux
lobes
sont égaux. L'is- thme est très peu développé.
on intense et qui plonge au fond de l'eau. - Poumon droit : tout le
lobe
inférieur et les parties posté- rieures des lob
on droit : tout le lobe inférieur et les parties posté- rieures des
lobes
moyen et supérieur sont splénisées; en avant, a
- Thorax. - Pou- mon droit, emphysème et légère congestion des deux
lobes
supérieurs; foyer de bJ'Ollc/w-pnelLJ110nie occ
deux lobes supérieurs; foyer de bJ'Ollc/w-pnelLJ110nie occupant le
lobe
inférieur. - Poumon gauche, congestion du lobe
LJ110nie occupant le lobe inférieur. - Poumon gauche, congestion du
lobe
supérieur; emphysème du lobe inférieur ; dans c
érieur. - Poumon gauche, congestion du lobe supérieur; emphysème du
lobe
inférieur ; dans ce lobe congestion très marqué
congestion du lobe supérieur; emphysème du lobe inférieur ; dans ce
lobe
congestion très marquée et quelques foyers de b
le bord inférieur de l'hémisphère jusqu'au pôle frontal. Tel est le
lobe
frontal' il n'y a pas, comme on le voit, de cir-.
s. Il semble qu'il n'y a pas non plus de pariétale ascendante. Le
lobe
occipital, LO, n'a rien de particulier. Trois pet
céphalie vraie. 71 trois racines, les deux premières vont former le
lobe
temporal (Pl. IV, Tl, '1'2). -1o]a première rac
e en bas et en avant, paral- lèle à la scissure de qui la sépare du
lobe
frontal jusqu'au bord inférieur de l'hémisphère
s : peu limité eu avant, il est très nettement séparé en arrière du
lobe
occipital par la profonde scissure perpendicula
lons respectifs, girus rectus et sillon cruciforme ; en arrière du
lobe
orbitaire, la vallée sylvienne et le lobe temporo
ruciforme ; en arrière du lobe orbitaire, la vallée sylvienne et le
lobe
temporo- occipital. Dans ce lobe nous trouvons
bitaire, la vallée sylvienne et le lobe temporo- occipital. Dans ce
lobe
nous trouvons les deux circonvolu- tions classi
à dit, avec la circonvolution du corps calleux pour former le grand
lobe
limbique de Groca, s'enroulant en avant pour co
es lésions visibles à l'oeil nu. En certaines régions, notamment au
lobe
occipital, les méninges n'avaient pas été décor
é du pli pariétal inférieur et du pli courbe mais principalement du
lobe
temporal. - La corne d'Ammon, le corps strié, l
qui parait sain, est facile. Cou. - Corps thyroïde normal; les deux
lobes
sont égaux. - Le thymus est presqu'entière'ment
iotie et épilepsie symptomatiques de sclérose atro- phique des deux
lobes
frontaux ; PAR BOURNEVILLE ET DAUDEL. SOMMAIR
o- phie des ganglions du mésentère. .Sctorose atrophique des deux
lobes
frontaux. - Hypertrophie compensatrice des os f
oite. Cette hype1'- trophie des os frontaux répond à l'atrophie des
lobes
frontaux du cerveau. Adhérences entre la dure
la région frontale, où la teinte est lactescente. En soulevant les
lobes
frontaux, profondément altérés, pour dégager la
veau. - La décortication en est assez facile, excepté au niveau des
lobes
postérieurs, L'atrophie des lobes frontaux, déj
sez facile, excepté au niveau des lobes postérieurs, L'atrophie des
lobes
frontaux, déjà très nette sous la pie-mère, app
la pie-mère, apparait encore plus nettement et ce qui reste de ces
lobes
tranche fortement, par sa couleur jaunâtre, sur
que, dans son ensem- ble, cet hémisphère a une forme arrondie. Les
lobes
pariétal et temporal sont, au contraire, assez
re, assez développés. Ce qui reste des circonvolutions (PL. VII) du
lobe
frontal a une colo- ration brun-jaunâtre sur se
lons qui les séparent sont assez profonds. Les circonvolutions du
lobe
frontal sont non seulement atrophiées, mais scl
- Il en est de môme des circonvolutions de la face inférieure du
lobe
. , Le lobule de l'insu la, dans sa moitié antér
ux centimètres de la longueur de la circonvolution de passage. - Le
lobe
occipital est peu volumineux, sans sclérose.
arrière de Tl, quelques adhérences légères de la pie-mère jusqu'au
lobe
occipital. - Les trois circonvolutions du lobe
la pie-mère jusqu'au lobe occipital. - Les trois circonvolutions du
lobe
temporal (Tl, T2, T3) sont volumineuses, les si
pé. - Le lobule paracentral (LP) est moins gros que le gauche. - Le
lobe
quadrilatère (LQ) est assez volumineux et assez
à tort par LO sur la Planche VIII, est plus petit qu'à gauche. - Le
lobe
occipital est composé de circonvolutions plutôt
n'ont rien de particulier. Hémisphère gauche. - Face convexe. Le
lobe
frontal est également réduit à de très minimes
es ou d'un blanc jaunâtre, indurées, et cela sur les trois faces du
lobe
(PL. X). La moitié antérieure de l'insitla est,
, P2) et le pli courbe (PC) sont plutôt volumineux, tandis que le
lobe
occipital est notablement réduit. - Les circonvol
nt réduites à une simple lamelle ainsi que toute la face interne du
lobe
frontal, à l'exception de l'ex- trémité postéri
rieure de la première frontale (F1). Le lobule paracentral (LP), le
lobe
quadrilatère (LQ) et le coin n'ont rien de part
le lobe quadrilatère (LQ) et le coin n'ont rien de particulier. Le
lobe
occipital est petit; la circonvo/¡t- tion de l'
est impossible de l'enlever com- plètement et de le peser. Tout le
lobe
inférieur reste collé au diaphragme. A la coupe
ÉPILEPSIE, ENTÉRITE CHRONIQUE. 109 graves lésions destructives des
lobes
frontaux et l'arrêt de développement du cerveau
e de la scissure de Sylvius ; 3° l'a- trophie très considérable des
lobes
frontaux dont le droit est venu en noir par sui
ration brune jaunâtre ; 4° enfin le volume relativement exigu des
lobes
occipitaux. La destruction presque complète des
t exigu des lobes occipitaux. La destruction presque complète des
lobes
frontaux, à un degré tel qu'on la rencontre bie
le peu de hauteur du front, étaient en rapport avec l'atrophie des
lobes
frontaux, mais les os frontaux n'avaient pu sui
les os frontaux n'avaient pu suivre le mouvement de retrait de ces
lobes
et l'espace devenu libre entre ces lobes et la
vement de retrait de ces lobes et l'espace devenu libre entre ces
lobes
et la face interne des frontaux était comblé :
., elle s'étend obliquement du pied de PA à la partie antérieure du
lobe
occipital. Nombreuses adhérences sur le lobe pa
partie antérieure du lobe occipital. Nombreuses adhérences sur le
lobe
pariétal. La lésion atrophique est surtout intens
surtout intense au ni- veau du pli courbe. - Le tiers postérieur du
lobe
temporal et le tiers antérieur du lobe occipita
be. - Le tiers postérieur du lobe temporal et le tiers antérieur du
lobe
occipital sont atrophiés (PL. XI). La face inte
t atrophiés (PL. XI). La face interne est tout aussi lésée. Fez, le
lobe
paracentral, l'avant coin, le coin, la corne oc
s frontales et PA semblent saines. Les scissures sont béantes. Le
lobe
pariétal supérieur est à peu près normal ; mais l
21 largeur. T1 est atrophiée sur ses 2/3 postérieurs. Le reste du
lobe
temporal n'est pas trop altéré. La face interne
la face convexe et à la base. Quelques taches ecchymotiqucs sur les
lobes
temporaux. La décortication s'opère avec facili
yant une colo- ration chair de saumon. Epilepsie : cerveau. 147
Lobe
pariétal. - Rien de particulier. La disposition e
ulier. La disposition est analogue celle de l'hémisphère gauche. Le
lobe
temporal est d'aspect normal. T est un peu grêl
st un peu grêle. Rien à noter au niveau du lobule de l'insula ni du
lobe
occipital Face interne. -1"17 le lobe paracentr
u du lobule de l'insula ni du lobe occipital Face interne. -1"17 le
lobe
paracentral, l'avant-coin, le lobe temporo-sphé
occipital Face interne. -1"17 le lobe paracentral, l'avant-coin, le
lobe
temporo-sphénoïdal, l'hippocampe, le corps call
nvexe. Ce qui frappe tout d'abord c'est l'arrêt de développement du
lobe
frontal (PL. XIV, FI, F. ) ? ) et surtout du lo
développement du lobe frontal (PL. XIV, FI, F. ) ? ) et surtout du
lobe
occipital (PL. XIV, Or, O2, 0 ? et PC.) et du p
s (PL. XV). Hémisphère gauche. Face convexe. Mêmes caractères des
lobes
frontal, occipital, pariétal et temporal. La comp
pli de passage qui manque à droite. 160 DÉMENCE ÉPILEPTIQUE. Les
lobes
pariétaux supérieur et inférieur ne se ressemblen
plèvre est épaissie et rouge sur la paroi externe correspondant au
lobe
inférieur. - Pas de tubercules. - Coeur (110 gr
V. Il ne nous reste plus qu'à rappeler l'arrêt de développement des
lobes
frontaux, la sclérose des BOURNEVILLE, Bicêtre,
se des BOURNEVILLE, Bicêtre, '1897. Il 162 DÉMENCE ÉPILEPTIQUE.
lobes
occipitaux, l'asymétrie très remarquable des ci
2(i centimètres de circonfé- rence. On sent assez distinctement les
lobes
latéraux du corps thyroïde. Thorax et abdomen
do. PS, pli pariétal supérieur. PI, pli pariétal inférieur. LO,
lobe
occipital. '1". T3, seconde et troisième circon
I, pli pariétal inférieur. Fo, foyer de pseudo-porencéphalie. LO,
lobe
occipital. 190 Explication des planches. Plan
ébrales. FA, frontale ascendante. ! 'A, pariétale ascendante. LP,
lobe
pariétal supérieur. LO, lobe occipital. Fo, f
nte. ! 'A, pariétale ascendante. LP, lobe pariétal supérieur. LO,
lobe
occipital. Fo, foyer de pseudo-porencéphalie.
eur. LO, lobe occipital. Fo, foyer de pseudo-porencéphalie. LT,
lobe
temporal. 192 Explication DES planches. Planc
LP, l'p, lobule paracentral ( ? ). pl, pariétale, ascendante. LO,
lobe
occipital. T1, T2, première et seconde circonvo
]>1, pli pariétal supérieur. 1, pli pariétal inférieur. LO,
lobe
occipital. T', T2, première, seconde circonvolu
it (p. 70). I ? première circonvolution frontale. LO, (en avant),
lobe
orbitaire, CC, circonvolution du corps calleux.
avant), lobe orbitaire, CC, circonvolution du corps calleux. LP,
lobe
paracentral. LQ, lobe quadrilatère. SPI sciss
CC, circonvolution du corps calleux. LP, lobe paracentral. LQ,
lobe
quadrilatère. SPI scissure perpendiculaire inte
rilatère. SPI scissure perpendiculaire interne. LO, (en arrière),
lobe
occipital. UH, circonvolutions de l'hipocampc.
00 Explication des planches. Planche VIII. Sclérose ATROPHIQUE DU
lobe
frontal droit. Face interne de l'hémisphère cér
érébral droit (p. 156). F1, première circonvolution frontale. LF,
lobe
paracentral. LQ, lobe quadrilatère. CCC, circ
F1, première circonvolution frontale. LF, lobe paracentral. LQ,
lobe
quadrilatère. CCC, circonvolutions du corps cal
ux. CO, couche optique. CH, circonvolution de l'hippocampe. LO,
lobe
occipital. BOURNEVILLE, Bicêtre, 189ï, PL. VII[
202 EXPLICATION DES PLANCHES. Planche IX. Sclérose ATROPHIQUE du
lobe
frontal gauche. Face convexe de l'hémisphère cé
ètal supérieur, P2, qli pariétal inférieur. PC, plie ourle. LO,
lobe
occipital. T1, T2, T3, circonvolutions temporal
rébral gauche (p. 106). Fi. première circonvolution frontale. LP,
lobe
paracentral. Pp0 (au lieu de LQ), lobe quadrila
rconvolution frontale. LP, lobe paracentral. Pp0 (au lieu de LQ),
lobe
quadrilatère. LO, lobe occipital. CCC, circon
LP, lobe paracentral. Pp0 (au lieu de LQ), lobe quadrilatère. LO,
lobe
occipital. CCC, circonvolution du corps calleux
tion de l'hippocampe. T3, troisième circonvolution temporale. LP,
lobe
paracentral. , sillon.de Rolando. ' AC, avant
LP, lobe paracentral. , sillon.de Rolando. ' AC, avant-coin ou
lobe
quadrilatère. Ppe, scissure perpendiculaire ext
ippocampe. T'\ troisième temporale. SI2, sillon de Rolando. LP,
lobe
paracentral. AC, avant-coin ou lobe quadrilatèr
SI2, sillon de Rolando. LP, lobe paracentral. AC, avant-coin ou
lobe
quadrilatère. SPE, scissure perpendiculaire ext
u ne présentait d'autres anomalies qu'un arrêt de développement des
lobes
antérieurs. Malgré un examen très attentif de l
ie antéro-supérieure du péricarde, ce peloton adipeux a la forme du
lobe
droit du thymus dont il semble occuper la place.
es, il s'écoule un liquide muco-spumeux. A la partie postérieure du
lobe
inférieur gauche existe quelques petites ecchym
ecchymoses sous-pleurales. Le tissu pulmo- naire, très compacte au
lobe
inférieur, l'est moins au lobe'supérieur et est
cilement jusqu'à la périphérie. - Le poumon droit possède ses trois
lobes
ordinaires, mais sur le lobe inférieur on renco
- Le poumon droit possède ses trois lobes ordinaires, mais sur le
lobe
inférieur on rencontre une scissure profonde. On
ieur on rencontre une scissure profonde. On constate sur ce dernier
lobe
quelques petites ecchymoses ponctuées. Les lési
des circonvolutions est luisant et rappelle, principalement sur les
lobes
temporaux et occipitaux, l'aspect du cerveau de
lusieurs mois dans l'alcool tout l'insula et les plis de passage du
lobe
temporal se trouvent à découvert. Elle possède de
t atteint à peine la partie antérieure de la scissure surcilière.
Lobe
frontal. La scissure parallèle frontale (PL. II,
est sinueux, bien développé; un pli de passage à niveau le relie au
lobe
occipital. La scissure interpariétale (Sc. i) p
un pli de passage relie celui-ci au lobule pariétal inférieur. Le
lobe
occipital (L 0) nettement séparé du lobe temporal
e pariétal inférieur. Le lobe occipital (L 0) nettement séparé du
lobe
temporal est relié au lobule pariétal supérieur
occipi- tale. Tous les sillons et toutes les circonvolutions de ce
lobe
, de forme normale, occupent leur position ordin
cupent leur position ordinaire, et sont assez bien développés. Le
lobe
temporal est assez volumineux, sauf dans son quar
oisième circonvolution temporales se trouvent en retrait, c, sur le
lobe
occipital et les parties antérieures du lobe te
en retrait, c, sur le lobe occipital et les parties antérieures du
lobe
temporal. - La première circonvolution temporal
eure de la deuxième scissure temporale, séparant ainsi nettement le
lobe
temporal du lobe occipital. On trouve encore qu
me scissure temporale, séparant ainsi nettement le lobe temporal du
lobe
occipital. On trouve encore quatre circonvoluti
tion du corps calleux (C. C. C.) est bien développée, normale. - Le
lobe
quadrilatère (L U) est très développé, en conti
u lobule orbitaire ne présentent rien autre chose de particulier.
Lobe
frontal. - Il existe de ce côté une scissure para
qui la sillonnent, parait dédoublée et bien développée. En avant du
lobe
frontal se trouve un pli de passage transversal,
ulaire externe (c) qui va se jeter dans la scissure parallèle. Le
lobe
occipital (L, 0), nettement séparé des lobes pari
scissure parallèle. Le lobe occipital (L, 0), nettement séparé des
lobes
pariétal et temporal, est par suite dépourvu de
al, est par suite dépourvu de plis de passage se rendant à ces deux
lobes
; il est assez irrégulier, peu développé, mais on
ses trois circonvolutions : enfin, il est un peu en retrait sur le
lobe
temporal. Le lobe temporal est bien développé;
utions : enfin, il est un peu en retrait sur le lobe temporal. Le
lobe
temporal est bien développé; sa première circonvo
nettement en se réunissant à l'incisure préoccipitale (In. pré.) le
lobe
temporal du lobe occipital. - Il existe trois c
éunissant à l'incisure préoccipitale (In. pré.) le lobe temporal du
lobe
occipital. - Il existe trois circonvolutions temp
lution du corps calleux (C. C. C.) est bien développée, normale. Le
lobe
quadrilatère (L. Q.), très développé, présente en
re perpendiculaire externe descend, comme chez la singe, jusqu'au
lobe
temporal. La scissure de Sylvius laisse des deu
porter M. J. Reverdin d'un de ses malades chez qui l'extirpation du
lobe
gauche de la thyroïde fut 1 Mikulicz. - Beitrag
23 janvier l8tG,. 94 IDIOTIE CRÉTINOÏDE. suivie de l'atrophie du
lobe
droit '; toutefois 11. Pon- cet dit ne pas avoi
verne grosse comme une noisette, remplie d'un pus épais. OEdème des
lobes
inférieurs. Rate (90 gr.) adhérente aux organes
lations tubercu- leuses, elle s'enlève assez facilement sauf sur le
lobe
pa- riétal (tiers inférieur de la pariétale asc
s profonde se trouve entre les deux branches de l'incisure en II.
Lobe
frontal. - La première frontale qui s'insère par
e même du pli de passage qui se rend du pli pariétal supérieur au
lobe
occipital. Le pli pariétal inférieur est assez bi
llon qui va presque rejoindre l'incisure préoccipitale et sépare le
lobe
temporal du lobe occipital. La deuxième tempo
ue rejoindre l'incisure préoccipitale et sépare le lobe temporal du
lobe
occipital. La deuxième temporale est sinueuse
la troisième. Celle-ci est également assez bien déve- loppée. - Le
lobe
occipital présente son aspect ordinaire, mais s
perpendiculaires; la médiane appartient au sillon de Rolando. Le
lobe
quadrilatère est bien développé, a une scissure
moins prononcé ; ce lobule est, du reste, plus large qu'à gauche.
Lobe
frontal. - La première frontale s'insère à la fro
développé ainsi que le pli pariétal inférieur et le pli courbe. Le
lobe
occipital est moins volumineux qu'à gau- che ;
ébauchée, elle est limitée en avant par une incisure ovalaire. Le
lobe
quadrilatère est très développé, parcouru par t
semblable, grosse comme une noix, se trouve à la face supérieure du
lobe
gauche du cervelet. - Tuberculose pulmonaire, u
ale complète. Mort. Autopsie. Masse caséeuse remplissant presque le
lobe
gauche du cervelet. Un tubercule gros comme une
TUBERCULOSE DE la protubérance. Un autre à la surface inférieure du
lobe
droit du cervelet et un peu en avant. - Tubercu
niveau, est une tumeur, grosse comme une lentille. A la pointe du
lobe
occipital gauche du cerveau, on remar- que une
; à droite, il n'y a pas de points semblables. Sur la base des deux
lobes
frontaux, la pie-mère est très injectée et couv
'un semis de gra- nulations. Elle est beaucoup plus épaissie sur le
lobe
droit que sur le gauche, et la décortication au
r le lobe droit que sur le gauche, et la décortication au niveau du
lobe
olfactif ne peut se faire qu'en entraînant une
lo- rachidien. Sur l'hémisphère gauche, à la partie inférieure du
lobe
carré, en arrière du corps calleux, la pie-mère e
st pas interrompue, alors qu'elle l'est à gauche plusieurs fois. Le
lobe
occipital est assez développé mais moins plissé
acé, mesurant 7 à 8 mm. de diamètre. Sur la plèvre qui sépare les
lobes
, on voit des granulations tuberculeuses assez r
alement quelques-unes en prati- quant des coupes dans le poumon. Le
lobe
inférieur offre plusieurs petits noyaux caséeux
découvre une masse ca- séeuse sous-pleurale à la partie moyenne du
lobe
supérieur. Elle a 2 cent. sur 1 cent. 1/2, s'én
ire. Hémisphère droit. - Ce qui frappe tout d'abord, c'est que le
lobe
frontal, la moitié postérieure de la région par
le lobe frontal, la moitié postérieure de la région pariétale et le
lobe
occipital sont moins développés que les parties
occipital sont moins développés que les parties centrales et que le
lobe
temporal.- Sur toute la partie postérieure de l
avant,est atrophié en arrière. L'atrophie porte aussi sur tout le
lobe
occipital et sur les parties postérieures de la p
s. - La scissure de Sylvius n'offre rien de particulier. - Sur le
lobe
orbitaire les circonvolutions sont sinueuses, la
uses, la scissure en II est bien dessinée. - La circonvolution du
lobe
olfactif est normale. Face interne. La première
forme, non sinueuse. Le coin, atrophié, a un aspect vermiculé. Le
lobe
occipital est atrophié comme sur la face externe.
'insula n'offrent rien de particulier. 150 MÈNINGO-ENCÉPHALITE.
Lobe
orbitaire.-La circonvolution du lobe olfactif est
er. 150 MÈNINGO-ENCÉPHALITE. Lobe orbitaire.-La circonvolution du
lobe
olfactif est L grêle, le reste du lohe peu plis
leux est large et unie ; le sillon calloso-marginal est profond. Le
lobe
quadrf- latère est borné par des sillons larges
rtie antérieure de la première frontale, de la partie supérieure du
lobe
quadrilatère, et un peu sur le bord du coin.
stologique fait par M. PILLIET, aide préparateur d'histologie. - a)
Lobe
frontal de l'hémisphère gauche. Les méninges so
'atrophie que l'on peut observer sur les coupes. Sur une coupe du
lobe
pariétal, les lésions sont absolument du même o
surtout aux points de pénétration des capillaires. Sur une coupe du
lobe
occipital, une portion assez considé- rable de
encéphalite, étendue à presque tout le cerveau, prédominant sur les
lobes
occipitaux et pariétaux, mais ayant aussi attei
sur les lobes occipitaux et pariétaux, mais ayant aussi atteint les
lobes
frontaux. La sclérose céré- brale, lésion ordin
sécutive à des lésions aiguës graves ayant détruit complètement les
lobes
temporaux et en grande partie les lobes occipit
nt détruit complètement les lobes temporaux et en grande partie les
lobes
occipitaux et les lobules do l'insula. Nous ser
ronchite ; - calcul rénal. - En- céphale : Destruction complète des
lobes
temporaux et occipitaux, des lobules de l'insul
emplacés par deux pseudo-hystes ; pseudo-kystes plus petits sur les
lobes
antécédents héréditaires. 155 frontaux. Isp/m
a dure-mère, on aperçoit immédiatement une destruction complète des
lobes
tem- poraux remplacés par un pseudo-kyste qui l
etrait de près d'un centimè- tre sur l'hémisphère droit. La base du
lobe
frontal est moins large à gauche qu'à droite. E
u lobe frontal est moins large à gauche qu'à droite. En arrière, le
lobe
occi- pital gauche est en retrait de plus d'un
e, sur un centimètre environ, du même pseudo-kyste. Face convexe. -
Lobe
frontal. Nous avons déjà décrit les deux pseudo
on sous-jacente. - Le lobule pariétal inférieur, le pli courbe, les
lobes
tempo- ral et occipital, le lobule de l'insu la
TIONS. rieur est complètement compris dans la lésion kystique. Le
lobe
temporo-occipital n'existe pas et fait partie du
profonde, limite par sa lèvre inférieure la lésion siégeant sur le
lobe
occipital. La scis- sure parallèle est comprise
be occipital. La scis- sure parallèle est comprise dans le kyste du
lobe
temporal. Les différentes scissures delà face i
riétale ascendante parait cepen- dant à peu près naturelle. Tout le
lobe
occipital est atro- phié et montre à sa surface
érébrale est fortement colorée en jaune ocreux et est aréolaire. Le
lobe
temporal est réduit à une languette de la premi
languette de la première circonvolution temporale; tout le reste du
lobe
, ainsi que le lobule de l'insula, sont englobés
e, ainsi que les lobules para- central, quadrilatère et le coin. Le
lobe
temporo-occipital n'existe pas et fait partie d
foyers principaux avaient détruit plus ou moins complètement les
lobes
temporaux et occipitaux, les lobules pariétaux in
s bronches. Quelques adhé- rences du poumon droit et entre les deux
lobes
pulmo- naires du côté gauche; pas de granulatio
se et des noyaux de broncho- pneumonie dans la partie inférieure du
lobe
droit. Abdomen : foie, 645 gr.; quelques adhére
s'anastomose en bas avec l'extrémité de la deuxième .temporale. Le
lobe
occipital est d'aspect assez maigre. - La sciss
corps calleux est volumineuse, avec des sillons superfi- ciels. Le
lobe
carré est composé de circonvolutions étroites,
utions étroites, assez maigres. Le coin est petit et régulier. Le
lobe
occipital est formé par des circonvolutions un pe
convolutions un peu plus volumineuses que sur la face convexe. - Le
lobe
or- bitaire est développé. - Les sillons callos
cendante par une portion assez large, rejetée en dedans, vers le
lobe
paracentral. Elle se dédouble vers le tiers an-
en arrière deux cir- convolutions recourbées qui vont se rendre au
lobe
occipi- tal. - La première temporale, très sinu
Sylvius, etc., sont, en général, très profondes et flexueuses. -Le
lobe
orbitaire présente à peu près la même dispositi
sillon droit, et une seule encoche due au sillon de Ro- lando. - Le
lobe
carré est étroit, le coin un peu plusgros qu'à
- Le lobe carré est étroit, le coin un peu plusgros qu'à droite. Le
lobe
occipital est composé de circonvo- lutions maig
sur les faces latérales des deux côtés, on en trouve aussi sur les
lobes
frontaux et occipitaux ; mais elles sont beauco
ent dans la substance blan- che. La coupe d'une circonvolution du
lobe
occipital gauche à la face externe de l'hémisph
e que dans les régions motrices gauches. La première frontale et le
lobe
oc- cipital droits sont à peu près semblables a
au niveau do la scis- sure de Sylvius, du sillon de Rolando et des
lobes
fron- taux. A la base, vascularisation générale
s'insère de niveau sur la frontale ascendante. La troisième, née du
lobe
orbitaire d'une forte anastomose avec la second
e dans son milieu et large en haut, est très flexueuse. Sur tout le
lobe
frontal, indé- pendamment des foyers qui ont ét
onnent un aspect chagriné, marqué surtout à la partie inférieure du
lobe
frontal. La pariétale ascendante est assez grêl
r une circonvolution très tor- tueuse, communiquant en haut avec le
lobe
pariétal supé- rieur, en arrière, avec le lobe
uant en haut avec le lobe pariétal supé- rieur, en arrière, avec le
lobe
occipital ; elle est séparée du lobe temporal p
- rieur, en arrière, avec le lobe occipital ; elle est séparée du
lobe
temporal par une incisure profonde. La première
la présente trois digitations saillantes.- Les circonvolutions du
lobe
occipital sont amaigries et tassées ; leurs sillo
sez marqués sur cette face, l'aspect chagriné assez prononcé sur le
lobe
temporal, l'est davan- tage et d'une façon typi
r le lobe temporal, l'est davan- tage et d'une façon typique sur le
lobe
occipital ; cet aspect est dû, on le sait, à de
ar sa partie moyenne avec la première circonvolution frontale. - Le
lobe
carré est très développé. Le coin présente des
Le coin présente des circon- .volutions amaigries et chagrinées. Le
lobe
occipital est assez développé. - La circonvolut
e optique, le corps strié et la conie d'Ammon paraissent normaux.
Lobe
orbitaire. Les scissures sont peu profondes, les
rtions de la première frontale par une incisure plus complète. - Le
lobe
frontal est coupé en tous sens do sillons super
rbe est assez volumineux et fournit en arrière un pli de passage au
lobe
occipital. Tout le lobe pariétal a un aspect ch
et fournit en arrière un pli de passage au lobe occipital. Tout le
lobe
pariétal a un aspect chagriné et à un degré plu
be pariétal a un aspect chagriné et à un degré plus marqué que le
lobe
frontal. - La scissure de Sylvius, bien des- si
ge à la troisième temporale, qui fait corps avec la quatrième. Le
lobe
temporal est, comme on le voit, très chagriné s
comme on le voit, très chagriné sur presque toute son étendue. Le
lobe
occipital, composé de circonvolutions peu dé- v
nent un aspect mamelonné.» Elle communique en bas seulement avec le
lobe
paracentral. Celui-ci est large, coupé en bas e
lui-ci est large, coupé en bas et en haut par un sillon oblique. Le
lobe
carré est moitié plus petit que celui du côté o
celui du côté opposé et communique par un pli de passage avec 1.;
lobe
paracentral. - Le coin est, lui aussi, peu volumi
calleux est semblable à celle de droite. -- Les circonvolutions du
lobe
occipital sont amaigries, mais moins que du côt
a corne d'Ammon, les corps opto-striés n'offrent rien à noter. Le
lobe
orbitaire a des scissures assez profondes. La cir
aux sont très dilatés, les corps granuleux sont très abon- dants.
Lobe
occipital. - Les coupes du lobe occipital, au niv
granuleux sont très abon- dants. Lobe occipital. - Les coupes du
lobe
occipital, au niveau d'un foyer plus étendu que
ntale ascendante qu'au fond de la vallée de Sylvius. Les sillons du
lobe
frontal sont profonds. La scissure de Syl- vius
très sinueuses et très irrégulières. Toutes les circonvolutions du
lobe
temporal sont nettement séparées (il est même t
) de celles du lobule pariétal inférieur d'une part et de celles du
lobe
occipital d'autre part; une scissure verticale,
eure de lapremière scissure temporale, une sorte de confluent. Le
lobe
occipital, nettement séparé par les sillons précé
cipital, nettement séparé par les sillons précé- demment décrits du
lobe
temporal et du lobule pariétal inférieur, est c
coupée par do nombreux sillons parallèles et perpendi- culaires. Le
lobe
paracentral est bien développé, de forme triang
éveloppé et très sinueux à la deuxième circonvolution de passage du
lobe
occipital et qu'il n'existe pas de pli de passa
étal supérieur et inférieur, le pli courbe, les circonvolutions des
lobes
occipital et temporal sont bien développées et
sillon paracentral n'atteint pas la scissure calloso-marginale ; le
lobe
paracentral est bien développé et tout à fait d
ppé et tout à fait différent par son sillon bifurqué et profond, du
lobe
paracentral gauche. Toutes les autres scissures
ue le larynx. - Le poumon droit (450 gr.) est très congestionné; le
lobe
inférieur est splé- nisé. Les lésions de bronch
trouve seulement doux plaques ecchymotiques sur la face convexe du
lobe
frontal et une autre sur sa face inférieure, en
s encore do petites plaques ecchymotiques sur la face inférieure du
lobe
frontal droit, sur le lobe temporal gauche, sur
ecchymotiques sur la face inférieure du lobe frontal droit, sur le
lobe
temporal gauche, sur le lobe occipital droit et
férieure du lobe frontal droit, sur le lobe temporal gauche, sur le
lobe
occipital droit et le cervelet. - Les artères e
arrête au niveau do la scissure inter-pariétalo où elle se jette.
Lobe
frontal. - La première circonvolution frontale es
il paraît plus large dans son ensemble que celui du côté gauche.
Lobe
pariétal. La scissure interpariétale, très creuse
ons occipitales sont assez régulières, ainsi que leurs scissures.
Lobe
temporal. La première circonvolution temporale,
envoie des plis de passage à niveau à la troisième temporale et au
lobe
occipital. Le deuxième scissure temporale, très
e du sillon de Rolando et de la scissure perpendiculaire externe.
Lobe
frontal. - Il existe une scissure frontale parall
cissures et ses circonvolutions sont normales et bien conformées.
Lobe
pariétal. - La scissure inter-pariêtale part du f
férieur est moins bien déve- loppé ; le pli courbe est normal. Le
lobe
occipital présente des circonvolutions très sinue
ns très sinueuses, découpées par de nombreux sillons irréguliers.
Lobe
temporal. - La première circonvolution temporale,
à sa partie antérieure, simple en arrière et séparés nettement du
lobe
occipital. - Les circonvolutions temporo-occipita
périeur. P2, Pli pariétal inférieur. Ps, Pli courbe. i,· 0. C.,
Lobe
occipital. Ti, 1" circonvolution temporale. T
- On remarquera sur chaque face convexe la séparation bien nette du
lobe
occipital des parties environnantes. Les lettre
a vessie est pleine, le foie atteint juste le rebord des côtes, son
lobe
droit est adhérent à la paroi. Le diaphragme, q
x. Poumon gauche (240 gr.). Plèvre lisse, non dépolie. Au niveau du
lobe
supérieur, on trouve une petite caverne isolée
mon droit (°65 gr.). Même aspect de la plèvre. Légère congestion du
lobe
inférieur; noyau caséeux dans le lobe moyen, de
plèvre. Légère congestion du lobe inférieur; noyau caséeux dans le
lobe
moyen, de la grosseur d'une cerise, et un autre
gros, a la forme d'un coeur de carte à jouer à pointe inférieure.
Lobe
occipital. Il existe une circonvolution de passag
ourbe et la seconde occipitale. Les circonvolutions et scissures du
lobe
occipital ne présentent rien de particulier.
et scissures du lobe occipital ne présentent rien de particulier.
Lobe
temporal. La première temporale est moyennement
sur la partie située au-delà de la branche interne de l'incisure.
Lobe
frontal. Il existe une scissure parallèle complèt
gulier, est également assez Les circonvolutions et les scissures du
lobe
occipital ne présen- tent aucune anomalie. Lo
les scissures du lobe occipital ne présen- tent aucune anomalie.
Lobe
temporal. La p)'e))ue)'ecu'conuo ! u(t0)t tempora
t sur les ci1'convolutions fl'on- tales, pariétales ascendantes, le
lobe
paracentral, les cir- convolutions du corps cal
le lobe paracentral, les cir- convolutions du corps calleux et les
lobes
occipitaux. Ars.. (Emile), 10 ans, né le 10 mar
entent aucune lésion. Le poumondroit est le siège, au niveau de son
lobe
inférieur, d'une congestion in- tense et de pet
. Cette adhérence est très marquée au niveau de la face interne des
lobes
frontaux. Cette membrane présente un épais- sis
60 11ÉNI\GO-\CliPIIALITi;. surtout marquées dans toute l'étendue du
lobe
frontal, sur les lobes pariétaux supérieur et i
;. surtout marquées dans toute l'étendue du lobe frontal, sur les
lobes
pariétaux supérieur et inférieur, sur le pli cour
eur et inférieur, sur le pli courbe et à l'extrémité postérieure du
lobe
temporal. Elles n'existent pas sur le lobule de
s n'existent pas sur le lobule de l'insula, sur la face interne des
lobes
tem- poraux, occipitaux, sur le lobe paracentra
sula, sur la face interne des lobes tem- poraux, occipitaux, sur le
lobe
paracentral et quadrilatère. Au niveau de l'hém
son étendue res- pectant toutefois les faces interne et externe des
lobes
tem- poraux et occipitaux. La substance cortica
à la déformation crânienne, la pointe étant constituée par les deux
lobes
frontaux, effilés, la base, par toute la région
qui se prolonge jusque sur le bord interhémisphérique, en avant du
lobe
frontal. Elles ne sont pas unies par des plis d
escend presque jusqu'à la scissure parallèle et sépare nettement le
lobe
pariétal infé- rieur du pli courbe; la branche
érieur et le pli courbe sont sinueux et assez bien développés. Le
lobe
occipital nettement séparé du lobe pariétal et te
eux et assez bien développés. Le lobe occipital nettement séparé du
lobe
pariétal et tem- poral semble normal, mais d'un
étal et tem- poral semble normal, mais d'une façon générale tout ce
lobe
paraît légèrement atrophié, et un peu chagriné.
trophié, et un peu chagriné. Il se trouve surtout en retrait sur le
lobe
temporal. Le lobe temporal est assez gros La 1
hagriné. Il se trouve surtout en retrait sur le lobe temporal. Le
lobe
temporal est assez gros La 1 circonvolution tem-
arginal. La circonvolution du corps calleux est un peu maigre. Le
lobe
quadrilatère sinueux, très-découpé, bien développ
avec un sillon ascendant qui prolonge la scissure parallèle sur le
lobe
temporal. Le sillon de Rolando est limité netteme
é et moins concave qu'à droite. La scissure en H est irrégulière.
Lobe
frontal. Il existe une scissure parallèle frontal
arrière de cette seconde circonvolution 80 Lésions du rachis. Le
lobe
occipital a des sillons et des circonvolutions no
n peu atrophié et en retrait à sa partie inférieure, surtout sur le
lobe
temporal.- Celui-ci est assez bien développé, s
ofond en forme de T dont la grande branche sciait horizontale. - Le
lobe
quadrilatère est bien développé et présente des
re la scissure perpendiculaire interne et sépare ainsi nettement le
lobe
temporo-occipital des parties situées au-dessus
ttement le lobe temporo-occipital des parties situées au-dessus. Le
lobe
lempo1'O-occipilal présente des sillons et des
e lobule de l'insula présente 4 digitations. Les circonvolutions du
lobe
temporal, surtout à sa partie supé- rieure, par
tie supé- rieure, paraissent un peu chagrinées. Le cervelet a son
lobe
droit moins développé que le gauche, il en est
s'opposait pas au développement du cer- veau et en particulier des
lobes
frontaux. VII. ' Cas d'hystérie chez l'homme
sclérose d'un hémisphère ou des deux hémisphères ; b) sclérose d'un
lobe
du cerveau; c) sclérose des cir- Introduction.
e est finement vascularisée, surtout à l'extrémité anté- rieure des
lobes
frontaux et au niveau de la protubérance. La Au
ati et en retrait de près de 2 centimètres sur le cervelet dont les
lobes
, très-volumineux, forment deux sail- lies consi
e bien l'M classique. (PL. III, IV, V et VI.) La face inférieure du
lobe
frontal ne présente pas de sillon cruciforme, m
Le pli courbe et le lobule du pli courbe n'existent donc pas. Le
lobe
occipital (L 0) est remplacé par une grosse circo
e petits sillons superficiels dont le plus inférieur le sépare du
lobe
temporal. Ce dernier lobe est assez bien développ
ciels dont le plus inférieur le sépare du lobe temporal. Ce dernier
lobe
est assez bien développé, et au-dessous de la s
ois circonvolutions. Le coin parait absent. La face inférieure du
lobe
sphénoïrlal présente un sillon cru- ciforme sup
a est beaucoup moins développée qu'à gauche : La face inférieure du
lobe
frontal présente deux sillons assez peu profond
allèle (S P) qui se termine à la partie antérieure et inférieure du
lobe
temporal. Entre le sillon de Ilolando et cette
convolution représentant le lobule pariétal inférieur, se trouve le
lobe
occipital sous forme d'une simple circonvolutio
illons tout à fait superficiels et sans interprétation possible. Ni
lobe
quadrila- tère, ni cuncus. Le lobe temporo-sp
ns interprétation possible. Ni lobe quadrila- tère, ni cuncus. Le
lobe
temporo-sphénoidal est assez bien divisé en trois
rrespondance de l'autre hémisphère. En somme le dévelop peinent des
lobes
frontaux est assez considérable. Les circonvolu
ons motrices présentent aussi un développement suffisant ; mais les
lobes
postérieurs du cerveau sont rudimentaires, et l
présente ni cuncus, ni avant-coin. Le 132 Microcéphalie : croup.
lobe
temporal, au contraire, est bien développé relati
temporal, au contraire, est bien développé relativement, comme les
lobes
frontaux (1). Le cervelet, la protubérance et l
thymus (2). -Le corps thyroïde a un volume ordinaire (10 g1'.); ses
lobes
sont symé- triques. Pas d'isthme ni de pyramide
t, légèrement spu- meux qui doit être du lait. Poumons volumineux :
lobes
infé- rieurs atélectasiés, d'un rouge foncé et
épitant encore Un peu. Les bronches contiennent un peu de lait. Les
lobes
supé- rieurs des deux côtés sont très volumineu
n voit encore sourdre du lait des bronches, mais moins que dans les
lobes
inférieurs. z Description DU cerveau. 173 Le
hémisphère. C'est sur lui que vient en quelque sorte s'appliquer le
lobe
temporal que l'on peut considérer à part. L'ens
près normal; les sil- lons qui les séparent sont superficiels. Le
lobe
temporal se compose : 1° d'une circonvolution o
ession ombiliquée. Cette dernière partie est ridée. De la pointe du
lobe
temporal part une autre circonvolution qui va h
orizontalement d'avant en arrière jusqu'à l'extrémité inférieure du
lobe
temporal. Entre cette circonvolution, qui est p
essinée et présente plusieurs sillons tout à fait superfi- ciels.Le
lobe
pariétal, qui se confond en avant avec la premièr
de bords rectilignes. La corne d'Ammon ne présente aucun pli. Le
lobe
quadrilatère est volumineux et composé de plis
jusqu'au bord inférieur de l'hémisphère où elle reçoit en avant le
lobe
temporal; 3° en arrière de ces deux masses, une
n arrière de ces deux masses, une masse trian- gulaire répondant au
lobe
occirital. v Le bord inférieur de la première e
ar places et parcourues par des sillons qui les subdivi- sent. Le
lobe
temporal se compose d'une masse ovoïde, séparée
i ? ,iéto-occil)ital est profond. Cuneus en partie confondu avec le
lobe
occipital de telle sorte que la scissure calcar
calcarine est incomplète. Les plis qui composent le cuneus et le
lobe
occipital sont très sinueux et se replient pour c
une sorte de tour- billon. Un sillon assez creux sépare en avant le
lobe
occipital de la partie postérieure du lobe temp
creux sépare en avant le lobe occipital de la partie postérieure du
lobe
temporal. La circonvolution de l'hippocampe est
lésions valvulaires. Poumon gauche : 100 gr. Brouclio-pncumonie du
lobe
inférieur. Poumon droit : 170 gr. Mêmes lésions
be inférieur. Poumon droit : 170 gr. Mêmes lésions occupant tout le
lobe
inférieur et la partie inférieure du lobe supér
lésions occupant tout le lobe inférieur et la partie inférieure du
lobe
supérieur. Plèvre saine. abdomen. Rate : 30 gr.
convexité. Véritables plaques ccoli5-mo- tiques, par exemple sur le
lobe
frontal et au niveau du pli pariétal supérieur
partie. Thrombose des deux veines méningées qui descendent vers le
lobe
frontal en suivant le bord supérieur de l'hémis
ieur de l'hémisphère. Thrombose semblable des veines méningées du
lobe
occipital. A gauche, thrombose d'une veine descen
nne une dépression très étendue, allant de la partie postérieure du
lobe
frontal au lobe occipital. Le cerveau étant enc
on très étendue, allant de la partie postérieure du lobe frontal au
lobe
occipital. Le cerveau étant encore recouvert de
e de l'hémis- phère à sa partie inférieure. En résumé, on trouve le
lobe
fron- tal et le lobe occipital à peu près intac
sa partie inférieure. En résumé, on trouve le lobe fron- tal et le
lobe
occipital à peu près intacts, ainsi que la corne
veau sont les parois de ce ventricule plus ou moins déformées. Le
lobe
frontal et la frontale ascendante forment une mas
ons. Celles- ci ont une disposition ascendante du bord inférieur du
lobe
au bord supérieur. Là elles se replient sur la
s qui les séparent, sauf deux, sont super- ficiels. Tandis que le
lobe
frontal mesure 5 centimètres de long, cette sec
irection tortueuse et antéro-postérieure comme celle des plis. Le
lobe
temporal mesure près de 5 centimètres de long et
près avoir formé une partie de sa paroi. Entre le bord inférieur du
lobe
frontal et la pointe du lobe temporal, existe u
e sa paroi. Entre le bord inférieur du lobe frontal et la pointe du
lobe
temporal, existe une dépression large et longue d
s venant constituer sa partie postérieure et faisant partie l'un du
lobe
frontal de la face convexe, l'autre de la parti
tal de la face convexe, l'autre de la partie intermédiaire entre le
lobe
frontal et le lobe pos- térieur. Toutes les cir
exe, l'autre de la partie intermédiaire entre le lobe frontal et le
lobe
pos- térieur. Toutes les circonvolutions de la
les circonvolutions de la face interne, qui cor- respondent au dit
lobe
intermédiaire, affectent : les antérieures une
de ces circonvolutions obliques, nous trouvons ce qui doit être le
lobe
quadrilatère. Il se compose d'abord d'un pli asce
ns sa partie antérieure et ne présente pas un sillon. En arrière du
lobe
quadrilatère, nous trou- vons la scissure parié
seul pli de passage.- La scissure calcarine est peu profonde. Le
lobe
occipital est relativement régulier. Descriptio
a grande cavité infundibuliforme. Hémisphère droit. Face convexe. -
Lobe
frontal : Il se com- pose d'une masse, de forme
érieure de la scissure de Sylvius. La partie inférieure comprend le
lobe
occipital avec des circonvolu- tions volumineus
osse constituant l'angle postérieur de la scissure de Sylvius. Le
lobe
temporal se compose d'abord de quatre plis assez
les ci ['cOI1\'olu lions de la face convexe, qui se replient sur le
lobe
orbitaire. On trouve sept petites masses faisant
on- volutions deux petites saillies verruqueuscs -comme celles du
lobe
orbitaire. En arrière se trouve une autre masse
out à fait superficielle et même en avant se réduit à une ligne. Le
lobe
quadrilatère a 4 centimètres en travers, 3 en h
e dans ses 3/4 antérieurs. Elle est peu large et assez profonde. Le
lobe
occipital se compose de circon- PSEUDO-PODENctP
ns sa branche antérieure. Les frontale et pariétale ascendantes, le
lobe
parié- tal dans toute sa partie inférieure et l
point, il n'existe de communication arec le ventricule laté- ral.
Lobe
frontal. La 110 frontale est très développée. Ell
repliées sur elles- même et rayonnant également vers le kyste. Le
lobe
occipital est relativement bien conservé et formé
n conservé et formé par une circonvolution constituant la pointe du
lobe
et pré- sentant un sillon oblique en haut et en
nt un sillon oblique en haut et en avant qui aboutit au kyste. Le
lobe
temporal est assez complet en avant. On trouve
e précédente. Enfin une circonvolution se continuant avec celles du
lobe
occipital. Le lobe orbitaire est bien développé
une circonvolution se continuant avec celles du lobe occipital. Le
lobe
orbitaire est bien développé. Face interne. La
ontale et du lobule quadrilatère par deux sillons très profonds. Le
lobe
quadrilatère est irrégulier et présente un sill
nt presque jusqu'à la fente cérébrale le sépare de l'avant-coin. Le
lobe
temporo-occipital est bien développé, avec des
rontale, très développée, constitue la moitié inférieure environ du
lobe
frontal. Très sinueuse, elle est séparée en deu
artie antérieure se continue en dessous avec les circonvolutions du
lobe
orbitaire. La partie postérieure, qua- drilatèr
eloppé. En bas elle se conti- nue sans ligne de démarcation avec le
lobe
orbitaire par un pli très contourné et très sai
transversal, qui passe sur la face interne pour limiter en avant le
lobe
paracentral. Le sillon de Rolando est profond,
l'hémisphère. La scissure de Sylvius n'offre rien de particulier.
Lobe
pariéiai. La pariétale ascendante est très large
edevient simple et peu sinueuse et se rétrécit pour aller former le
lobe
paracentral. Elle est reliée au lobe pariétal i
rétrécit pour aller former le lobe paracentral. Elle est reliée au
lobe
pariétal inférieur par deux plis de passage. La
use, en S italique, petite en haut, très large en bas et séparée du
lobe
temporal par un sil- lon étroit continuant la s
temporal par un sil- lon étroit continuant la scissure parallèle.
Lobe
temporal. - La première temporale est très dévelo
un sillon vertical de deux centimètres, continue en arrière avec le
lobe
pariétal inférieur. Scissure parallèle profonde
me une masse commune avec cette 3"le temporale. Elle est séparée du
lobe
occipital par un sillon assez net. Le lobule de
oite dirigée obliquement d'avant en arrière et de bas en haut. Le
lobe
occipital est bien développé, ses circonvolutions
profond qui limite en bas une circonvolution très développée. Le
lobe
orbitaire et le gyrus reclus sont normaux. En a
Lobule quadrilatère normal, bien développé, séparé du cuneus et du
lobe
occipital par un sillon vertical très profond.
ne présentant pas d'arrêt net, et ne plongeant pas dans la poche.
Lobe
frontal. - La scissure du Sylvius et le sillon de
ux masses', séparées par un sillon Bifide au milieu, et distinct du
lobe
occipital, grâce à un profond sillon. ' ' Lob
eu, et distinct du lobe occipital, grâce à un profond sillon. ' '
Lobe
occipital. Il est formé d'une grosse -circonvolut
epliant sur lui-même, et tout , à fait à l'extrémité postérieure du
lobe
, par une petite circon- volution triangulaire q
riangulaire qui est réunie au dessous avec la première temporale.
Lobe
temporal. - La première temporale est complètemen
3/4 antérieurs et formée d'un pli simple qui rejoint en arrière le
lobe
occipital. Il en est de même de la deuxième tem
t irréguliére comme le sillon calloso-marginal lui-même en arrière.
Lobe
paracentral petit, peu net en avant, où il se c
t, où il se confond avec la partie postérieure de la le frontale. -
Lobe
quadrilatère petit, trapézoïde en avant et sépa
ent au contraire en arrière par un sillon creux, bifide en avant.
Lobe
occipital formé de petites circonvolutions séparé
par le sillon dont nous avons parlé pour la quatrième temporale.
Lobe
orbitaire et ggrus reclus. Rien de particulier.
ier. Ventricule latéral non dilaté. Hémisphère droit. Face convexe.
Lobe
frontal. 11'e {J'on- tale étroite, s'insérant d
le et circonvo- lutions à peine marquées il la pointe antérieure du
lobe
. Très large en arrière, elle est séparée presqu
e, peu prolongée en arrière, sa branche antérieure peu distincte.
Lobe
pariétal. Pariétale ascendante, normale, large en
, au bord supéri- eur de l'hémisphère. Aucun pli de passage avec le
lobe
parié- tal. Quelques sillons transversaux peu p
ariétale supérieure et s'arrête en bas à la scis- sure parallèle.
Lobe
occipital. - Il se compose d'une masse irrégulièr
ont unies, simples, étroites et verticales, au nombre de trois. -
Lobe
temporal. '11'e temporale assez courte, à peine
temporale n'est distincte qu'en arrière, où elle se confond avec le
lobe
occipital. Lobule de l'insula , rien de particu
atère presque détaché du rente de la circon- volution et séparée du
lobe
paracentral par un sillon très creux. - Sillon
nal. Scissure calcarine très profonde.- Cuneus à peine marqué. Le
lobe
occipital se compose d'une petite masse de cir-
e en deux parties presque égales par un sillon transversal profond.
Lobe
orbitaire et gyrus rëchts, rien de particulier.
sement (Pl. XIV). Le traitement fut commencé le 11 juin 1904 par un
lobe
du corps thyroïde de mouton, que se malade ingé
érait tous les matins, à jeun ; le 18, cette dose a été élevée à un
lobe
et demi, et le 29 à deux lobes par jour, qu'il
; le 18, cette dose a été élevée à un lobe et demi, et le 29 à deux
lobes
par jour, qu'il prit régulièrement jusqu'au 8 j
e sont dissipés rapidement et au bout de 8 jours il reprit les deux
lobes
, qu'il continua à prendre jusqu'au 12 août (190
les radiations thalamiques sous le nom de « couronne rayonnante du
lobe
occipital » ; mais la première description à part
était formé de fibres d'asso- ciation, prenait son origine dans le
lobe
occipital, limitait en dehors la cou- ronne ray
a capsule externe,puis se poursuivait le long de la face externe du
lobe
frontal jusqu'au pôle de ce lobe. Arnold (2) ad
vait le long de la face externe du lobe frontal jusqu'au pôle de ce
lobe
. Arnold (2) admet l'interprétation de Reil, mai
Wernicke (5) qui propose la dénomination de « substance sagittale du
lobe
occipital ». Sachs (6) fait de nouveau préval
totalité de l'écorce occipitale et qui se termine entièrement dans le
lobe
tem- poral, surtout dans l'écorce des première
a partie externe du pied du pédoncule et qui se terminerait dans le
lobe
occipital. ' Brissaud (3) admet ces mêmes idées
iation ayant son origine dans l'écorce du pôle et de la totalité du
lobe
occipal. Ce faisceau présente à la base de chaque
ngitu- dinal inférieur abandonne un grand nombre de fibres. Dans le
lobe
temporal et au niveau du segment rétro-lenticul
mité et ses fibres s'enchevêtrent avec les fibres de projection des
lobes
temporal et pariétal. En avant du segment rétro-l
au noyau amygda- lien et à l'écorce cérébrale avoisinante. Dans le
lobe
temporal les fibres des cou- ches inférieures s
al constitue exclusivement un fais- ceau d'association qui relie le
lobe
occipital, et en particulier la sphère visuelle ,
relie le lobe occipital, et en particulier la sphère visuelle , au
lobe
temporal. Les lésions limitées du lobe occipital
lier la sphère visuelle , au lobe temporal. Les lésions limitées du
lobe
occipital entraînent une dégé- nérescence qui p
dégé- nérescence qui peut être snivie dans la substance blanche du
lobe
temporal, mais souvent, à cause du grand nombre
r ne renferme que des fibres de projection qui se terminent dans le
lobe
occipital et particulièrement dans la sphère vi
llé interné et en partie dans la coupe optique et qui se rendent au
lobe
temporal et à la sphère auditive. - La couche s
e de Sachs ne représente pas un faisceau d'asso- ciation reliant le
lobe
occipital au lobe temporal... elle est formée exc
ésente pas un faisceau d'asso- ciation reliant le lobe occipital au
lobe
temporal... elle est formée exclusivement de fi
nvolution du crochet... il se poursuit à travers toute l'étendue du
lobe
temporal-occipital et constitue la couche externe
externe et des circonvolutions, temporales et se terminent dans le
lobe
occipital ; mais il existe, en outre, des fibre
ssent une grande partie des radiations sagittales qui se rendent au
lobe
occipital ; elles concourent à former surtout la
les deux sens. , A la suite de lésions de la région calcarine et du
lobe
occipital on observe une dégénérescence des rad
state une dégénérescence corticipète qui se poursuit jusque dans le
lobe
occipital. Au niveau du carrefour ventriculaire
sociation provenant surtout de la sphère visuelle et qui se rend au
lobe
temporal ; mais la partie supérieure de ce fais
un faisceau d'association reliant entre elles les circonvolutions du
lobe
piriforme et de l'opercule sylvien. Une autre p
un bon nombre de fibres proviennent des faces externe et interne dn
lobe
occi- pital et se rendent au pulvinar, aux corp
partielle du faisceau longitudinal inférieur qui s'épuise et dans le
lobe
temporal et dans le lobe occipital. Parmi les f
itudinal inférieur qui s'épuise et dans le lobe temporal et dans le
lobe
occipital. Parmi les fibres non dégénérées de ce
férieur renferme donc des fibres thalamo-corti- cales destinées aux
lobes
temporal et occipital et, en outre, des fibres qu
oral et occipital et, en outre, des fibres qui pro- viennent de ces
lobes
et qui passent dans le pied du pédoncule. Ce que
u faisceau lon- gitudinal qu'il a pu suivre jusque dans l'écorce du
lobe
occipital et de la scis- sure calcarine ; il en
e sagittale externe. Une partie du faisceau longitudinal, allant au
lobe
occipital est cependant respectée, car ce faiscea
illé externe, et dans ce cas, £ ces noyaux sont in- demnes. ' Les
lobes
pariétal et occipital envoient des fibres au corp
3, 110 LA SALLE AHCHAMBAULT ' faisceau d'association qui relie le
lobe
occipital au lobe temporal et vice versai Dans
AHCHAMBAULT ' faisceau d'association qui relie le lobe occipital au
lobe
temporal et vice versai Dans un cas où, pendant
Dans un cas où, pendant la vie,' l-'on'aVait'pratiqué l'ablàti'omdu
lobe
temporal, l'exàmèn 'démontra qu'une dégÕ'ér'es¿
un cas de mycrogyrie avec anomalies consi- dérables portant sur les
lobes
temporal Õet'occipital. Le faisceau' longitudinal
au' longitudinal inférieur est cependant bien développé et passe du
lobe
occipital' au mésencé- phale ; ici l'auteur don
s fibres sagittales profondes. Toutes ces fibres se rendent dans le
lobe
occipital pour se terminer dans les deux lèvres
ent l'existence du faisceau de Türck ; il n'est pas démontré que le
lobe
temporal ne prend aucune part dans sa constitutio
our l'autenr, la majorité des fibres de ce faisceau lui viennent du
lobe
occipital, et, de plus, elles font partie du fa
a base) proviennent, selon Starokotlitzki, presque exclusivement du
lobe
occipi- tal ; peut-être en est-il un certain no
e de fibres provenant des circonvo- lutions de la face orbitaire du
lobe
frontal, du pôle temporal et de la première cir
re calcarine, du pôle occipital, des circonvolutions inférieures du
lobe
occipital et en partie dans l'écorce des cir- c
convolutions supérieures de la convexité pariéto-occipale. Dans le
lobe
temporal, le faisceau longitudinal n'abandonne
NGITUDINAL INTÉRIEUR ET OPTIQUE CENTRAL 113 basale et antérieure du
lobe
temporal. En tout cas, Redlich pense que cette
l'épendyme ventriculaire. On suit cette dégénérescence à travers le
lobe
temporal, elle passe par la cap- sule interne e
it l'auteur, que ce segment inféro-interne soit en relation avec le
lobe
occipital. Plus loin, l'auteur revient sur l'or
horizontalement en avant, celles qui naissent de la face interne du
lobe
occipital contournent les parois ventriculaires
r Redlich, le contingent corticipète de la cou- ronne rayonnante du
lobe
temporo-occipital occupe la couche externe, et le
a appliqué indifféremment à la couche de fibres la plus externe du
lobe
temporo-occipital l'une et l'autre de ces dénomin
faisceau longitudinal inférieur, couche sagittale externe. Dans le
lobe
occipital la distinction entre ces termes n'a guè
mes n'a guère d'impor- tance, mais il en est tout autrement dans le
lobe
temporal, surtout au niveau de sa partie moyenn
tion, elle ne représente nullement la couche sagit- tale externe du
lobe
occipital. Plus loin encore, à un niveau antérieu
avons en vue est de démontrer : que, la couche sagittale externe du
lobe
occipital, le faisceau longitudinal inférieur tel
ipital, le faisceau longitudinal inférieur tel qu'il existe dans ce
lobe
, ne contient que des fibres de projection ; il re
r nous la Fra. 1. Coupe frontale normale de la partie antérieure du
lobe
occipital. Fs : faisceau du cuneus de Sachs.
ntral. 180 LASALLE-ARCHAMBAULT couronne rayonnante corticipète du
lobe
occipital, il provient du corps genouillé exter
ne, la terminaison et la nature de la couche sagit- tale externe du
lobe
uccipital. En faisant la description de ces pla
ttale externe prise dans son ensemble, à travers toute l'étendue du
lobe
temporo- occipital. 1er Cas : Lamb... Hémiplé
n autre envahit le pôle temporal qu'il sépare presque totalement du
lobe
pariéto- frontal. Plus en avant la lésion dimin
et- tement au niveau du noyau lenticulaire. La partie antérieure du
lobe
temporal n'est reliée au lobe pariétal que par
lenticulaire. La partie antérieure du lobe temporal n'est reliée au
lobe
pariétal que par la première et quelques fibres d
nt de radia- tions thalamiques provenant de la partie antérieure du
lobe
temporal et serait accompagné de fibres que le
cette coupe, malgré les lésions étendues de la partie antérieure du
lobe
temporal (PI. XXXII, 16). Nous croyons qu'il ap
face externe et destinées aux circonvolutions de la face interne du
lobe
occipital. 2° Cas : Ro... Hémiplégie gauche, hé
appréciable de la partie inférieure de la couche sagittale externe de
lobe
tem- poral. Malheureusement, à des niveaux post
ccupe le faisceau optique central au niveau de la partie moyenne du
lobe
temporal. Sur la coupe que nous décrivons, on voi
corps genouillé externe). La grosse dégénérescence siégeant dans le
lobe
pariétal est en rapport avec les lésions du noy
be et la totalité des trois circonvo- lutions de la face externe du
lobe
occipital, le cuneus et la scissure calca- rine
u lobe occipital, le cuneus et la scissure calca- rine ; de tout le
lobe
occipital il n'y a que la partie supérieure du lo
, c'est le faisceau optique central, la couche sagittale externe du
lobe
occipital, le faisceau longitudinal inférieur des
le faisceau optique central, le faisceau longitudinal inférieur du
lobe
occipital; il est lui-même légèrement touché pa
e nous accordons aux fibres corticipètes de la couronne rayonnante du
lobe
occipital et, en particulier, à une partie du f
ieures. Il est évident que ce faisceau ne tire pas son ori- gine du
lobe
occipital, autrement il n'en resterait pas trace
externe. En avant, aucun nouveau foyer ne se présente au niveau du
lobe
temporal. La décoloration de la substance profo
e tiers postérieur de la première circonvolution temporale. Dans le
lobe
occipital (Fig. 2), la lésion détruit le pli cour
sulté une dégénérescence qui se poursuit à travers toute l'étendue du
lobe
temporal et qui, dans le lobe occipital, se por
poursuit à travers toute l'étendue du lobe temporal et qui, dans le
lobe
occipital, se porte progressivement en dedans et
dégénérées appar- tiennent à la couronne rayonnante corticipète du
lobe
occipital. Nous croyons qu'elles font partie d'
s constituent la presque totalité de la couche sagittale externe du
lobe
occipital, mais dans le lobe temporal elles n'o
lité de la couche sagittale externe du lobe occipital, mais dans le
lobe
temporal elles n'occupent que le segment horizont
ulaire. Il existe en outre un ramollissement sur la face interne du
lobe
occipital qui détruit la moitié postérieure du lo
orticale; il est certain que la couche optique envoie des fibres au
lobe
temporal, peut-être aussi au lobe pariétal ( ? )m
uche optique envoie des fibres au lobe temporal, peut-être aussi au
lobe
pariétal ( ? )mais pour nous, la couche sagitta
u lobe pariétal ( ? )mais pour nous, la couche sagittale externe du
lobe
occipital ne renferme que des fibres géniculo-c
ions thalamiques provenant des circonvolutions du bord inférieur du
lobe
temporal. La lésion respecte la deuxième circon
e signalées. Nous avons déjà dit que la couche sagittale externe du
lobe
temporal ne représente pas la couche sagittale
e du lobe temporal ne représente pas la couche sagittale externe du
lobe
occipital, sa constitution est beaucoup plus co
se comporte exactement de la même façon ; nous croyons que dans le
lobe
occipital, cette couche ne renferme que des fib
cifuges et que sa constitution se modifie sensiblement au niveau du
lobe
temporal ; c'est-à- dire qu'elle contient à cet
uges. La couche sagittale interne dégénère à la suite de lésions du
lobe
occipital et 198 LASALLE-ARCHAMBAULT de la pa
occipital et 198 LASALLE-ARCHAMBAULT de la partie postérieure du
lobe
pariéto-lemporal ; quel que soit le siège du ra
ais aussi les radiations du corps qua- drijumeau antérieur. Dans le
lobe
occipital, la majorité des fibres de la couche
terne occipitale de la façon suivante : Couche sagittale interne du
lobe
occipital renferme des : a) Radiations thalamiq
du pulvinar. Les radiations thalamiques des parties postérieures du
lobe
pariétal et des première et deuxième circonvolu
ques des circonvolutions du bord inférieur et de la face interne du
lobe
temporal (troisième temporale, lobule fusiforme,
énère dans les deux sens ; nous l'avons retrouvé aussi bien dans le
lobe
temporal que dans le lobe occipital et par cons
nous l'avons retrouvé aussi bien dans le lobe temporal que dans le
lobe
occipital et par conséquent nous n'admettons pas
quent nous n'admettons pas qu'il soit considéré propre à ce dernier
lobe
; nous croyons même que c'est au niveau du carr
oyons même que c'est au niveau du carrefour ventriculaire, en plein
lobe
temporal, qu'il acquiert son maxi- mum de dével
du pli courbe et du gyrus supramarginalis, elles se rendent dans le
lobe
occipital aux deuxième et troisième circonvolutio
. A la suite de lésions occipitales et de la partie postérieure des
lobes
tempo- ral et pariétal, on observe toujours la
calleux. Dans les cas de ramollissement de la partie antérieure du
lobe
temporal, on constate la dégénérescence de la c
purement commissural, du corps calleux. Donc, toutes les lésions du
lobe
temporo-occipital retentissent sur le tapetum,
e ces lésions, la dégénérescence de la couche saggittale interne du
lobe
fronlo-pariétal, du faisceau occipito- frontal.
veau normal ; il forme une bonne partie du tapetum, et au niveau du
lobe
fronto-pariétal, il est représenté par le petit
ale interne » (An- ton, Zingerle). La couche sagittale interne du
lobe
fronto-pariétal est formée surtout de fas- cicu
us n'avons jamais vu ce faisceau dégénérer à la suite de lésions du
lobe
frontal ou des circonvolutions du bord supérieur
faisceau longitudinal inférieur, de la couche sagittale externe du
lobe
occipital, car c'est surtout sur ce faisceau qu
ipitales ; nous l'avons vu persister intacte alors que la totalité du
lobe
occipital était le siège d'un ramollissement, d
ionne complètement toutes les connexions de la partie antérieure du
lobe
temporal. En dépit de cette énorme lésion, on c
tale externe est normale), ou de lésions de la partie antérieure du
lobe
temporal (à condition que ces dernières soient
te. Nous avons suivi la zone dégénérée à travers toute l'étendue du
lobe
tempo- ral ; dès que l'on dépasse le bourrelet
lleux, le liseré blanchâtre oc- cupe la couche sagittale externe du
lobe
occipital et,selon qu'il siège dans la partie s
te un faisceau de projection, la couronne rayonnante corticipète du
lobe
occipital ; nous croyons avoir précisé son orig
t représente le « carrefour sensitif». FiG. 5 - Coupe frontale du
lobe
occipital. Foc, faisceau optique central. 204
aussi quel- ques radiations thalamiques de la partie antérieure du
lobe
temporal. Suivons maintenant le faisceau optiqu
temporal. Suivons maintenant le faisceau optique central depuis le
lobe
occipital jus- qu'à la partie antérieure du lob
central depuis le lobe occipital jus- qu'à la partie antérieure du
lobe
temporal et voyons quelle disposition il affecte
r des coupes vertico-transversales, ce faisceau cons- titue dans le
lobe
occipital la couche sagittale externe de Sachs, l
s qui vont s'irradier dans l'écorce de cette partie du cunéus et du
lobe
lingual qui constitue la scissure calcarine. Au
ines lésions occipitales. Pour nous, ce Fio. 6. - Coupe frontale du
lobe
occipital. Fs : faisceau du cuneus de Sachs.
mais nous croyons que la plupart proviennent de la face externe du
lobe
occipital et que d'autres appartiennent au faisce
unéus et qui font par- tie de la couronne rayonnante corticipète du
lobe
occipital. Nous voyons donc l'intimité de relat
. 1 et 6). Au niveau du carrefour ventriculaire, de cette partie du
lobe
temporal où la corne sphénoïdale atteint ses pl
gittale ex- terne ne représente plus la couche sagittale externe du
lobe
occipital ; elle en diffère sensiblement. Les f
r la réparti- tion des fibres au niveau de la partie postérieure du
lobe
temporal, résumer de la façon suivante : a) L
i ventriculaire inférieure, elle est à peu près la même que dans le
lobe
occipital, c'est-à-dire que la couche externe c
ion que celui dont nous nous entretenons. Dans la partie moyenne du
lobe
temporal, au niveau du pulvinar, une grande par
idè- rent qu'il est impossible de répartir les fibres sagittales du
lobe
temporo-occi- pital en deux couches bien délimi
u exagéré ; qu'il en soit ainsi au ni- veau de la partie moyenne du
lobe
temporal,cela est indubitable; mais dans la rég
fait plus haut) une délimitation relativement exacte. Enfin, dans le
lobe
occi- pital, il n'est plus question de confondr
isposition des fibres de ce faisceau dans la par- tie antérieure du
lobe
temporal ainsi que sur leurs relations avec les f
ociation de la région. En parlant de ce faisceau optique au niveau du
lobe
occi- pital, nous avons insisté sur la délimita
dégénérescence secondaire. Or, il en est absolument de même dans le
lobe
temporal, avec cette différence toutefois qu'en r
ion de l'hémisphère à ce niveau, le problème déjà difficile dans le
lobe
occipital se complique plus que jamais. Dans le
cile dans le lobe occipital se complique plus que jamais. Dans le
lobe
occipital, la corne ventriculaire est petite, il
e l'on a décrit un bon nombre de faisceaux d'association propres au
lobe
occipital. Personnelle- ment nous admettons que
que nous ne croyons pas, c'est que ces faisceaux soient propres au
lobe
occipital. Nous devons donc nous éloigner momen
ces relations du cingulum. Or, la même chose se passe au niveau du
lobe
occipital,' le faisceau transverse de Sachs est l
u reçoit et émet pour les 'circonvolutions médianes et supérieures du
lobe
occipital. Ces deux faisceaux font partie d'un
font partie d'un seul système, constituent le cingulum supérieur du
lobe
occipital et ne diffèrent dans leurs caractères
au de Vialet, mais pour nous il représente le cingulum inférieur du
lobe
occipital : il émet pour le lobule fusiforme, l
ions du faisceau optique central au niveau de la partie antérieure du
lobe
temporal, nous voyons qu'ici, comme dans le lob
rtie antérieure du lobe temporal, nous voyons qu'ici, comme dans le
lobe
occipital, il existe un fais- ceau d'associatio
ys- tèmes eux-mêmes existent encore. Nous ne nous occupons que du
lobe
temporal. Ses circonvolutions sont sépa- rées p
de cette région leur refuse le vaste champ qu'elles avaient dans le
lobe
occipital ? Évidemment elles devront forcément
même faisceau. Or, comme on n'a jamais songé à cette union pour le
lobe
occipital, pourquoi faire exception du lobe tem
é à cette union pour le lobe occipital, pourquoi faire exception du
lobe
temporal ? Disons plutôt que délimitation plus ou
atteint la partie postérieure du gyrus FiG. 7. - Coupe frontale du
lobe
frontal. F3 : Troisième circonvolution frontale
'traités classiques. ) Nous avons déjà parlé de ces fibres dans le
lobe
temporal et avons dit que, pour nous, elles rep
un système analogue au faisceau de Vialet ; de mêmes, les fibres du
lobe
fronto-pariétal constituent un faisceau de Sachs
e ces fibres pour les raisons que nous avons déjà indiquées pour le
lobe
temporal. Or, dans le lobe fronto-parié- tal, c
ns que nous avons déjà indiquées pour le lobe temporal. Or, dans le
lobe
fronto-parié- tal, ces fibres, destinées à reli
n'a prétendu jusqu'ici qu'il appartient à la couronne rayonnante du
lobe
pariétal. Pour nous, il existe une couronne ray
e du lobe pariétal. Pour nous, il existe une couronne rayonnante du
lobe
temporo-occipilal 1 absolument identique à cell
onnante du lobe temporo-occipilal 1 absolument identique à celle du
lobe
fronto-pariétal ; elle est partout entourée de
e, mais, ainsi qu'est reconnue l'indépendance de ces fibres dans le
lobe
fronto-pariétal, de même nous insistons sur leur
to-pariétal, de même nous insistons sur leur indé- pendance dans le
lobe
temporo-occipital. Au niveau du corps genouillé
au uncina- tus ; il représente au niveau de la partie antérieure du
lobe
temporal le faisceau de Vialet du lobe occipita
u de la partie antérieure du lobe temporal le faisceau de Vialet du
lobe
occipital. Nous nous sommes étendu longuement s
masse de fibres dont est constituée la couche sagittale externe du
lobe
temporo-occipital, un faisceau à part, qui est, à
auteurs ; seulement le faisceau longitudinal prend son origine dans
lobe
occipital et se termine dans l'écorce du lobe t
rend son origine dans lobe occipital et se termine dans l'écorce du
lobe
temporal, tandis que notre faisceau optique tire
a observé une dégénérescence de la couche sagittale externe dans le
lobe
occipital et a vu ses fibres se terminer dans les
royons pas que les lésions de la couche optique retentissent sur le
lobe
. occipital ; exception faite, bien entendu, de ce
le faisceau optique central. Quant à la couche sagittale externe du
lobe
temporal, nous admettons parfai- tement qu'elle
aisceau longitudinal inférieur. Ce passage de fibres débute dans le
lobe
occipital et se continue sur toute l'étendue comp
ons suivantes : CONCLUSIONS 1) Il existe un faisceau qui, dans le
lobe
temporal, occupe en partie la couche sagittale
ittale externe, en partie la couche sagittale interne et qui, dans le
lobe
occi- pital, constitue la presque totalité de c
e. Ce faisceau qui représente la couronne rayonnante corticipète du
lobe
occipital, tire son ori gine du corps genouillé
fibres d'association. 3) Quelle que soit l'étendue d'une lésion du
lobe
occipital, tout rentre dans l'ordre au niveau d
ital, tout rentre dans l'ordre au niveau de la partie antérieure du
lobe
temporal et nous n'admettons pas l'existence ch
ieur de Beevor, se conti- 216 LASALLE-ARCfIAMBA ULT nuent dans le
lobe
occipital où ils prennent les-noms de faisceaux d
alet. 5) Les faisceaux de Sachs et de Vialet ne sont pas propres au
lobe
occipital, mais existent également dans la lobe
sont pas propres au lobe occipital, mais existent également dans la
lobe
pariéto-temporal, et ne sont facilement décelab
aisceau perpendiculaire ou vertical de Wernicke n'est pas propre au
lobe
occipital, il se retrouve dans le lobe temporal ;
Wernicke n'est pas propre au lobe occipital, il se retrouve dans le
lobe
temporal ; c'est même au 'niveau du carrefour v
s (temporo-occipitales) proviennent de toutes les circonvolutions des
lobes
temporal et occipital et de la partie postérieu
ions des lobes temporal et occipital et de la partie postérieure du
lobe
pariétal. 8) Le tapetum est formé exclusivement
iation. 9) La couche sagittale interne de la couroune rayonnante du
lobe
fronto- pariétal, la zone réticulée de la couro
ro-inférieures de l'hémisphère envoient au pédoncule proviennent du
lobe
temporal, surtout de la partie moyenne de la de
d'une noix, bien circonscrit, situé dans la subs- tance blanche du
lobe
frontal gauche, empiétant sur la substance grise
la substance grise de l'écorce de la partie orbitaire et interne du
lobe
. Le contenu en est liquide, épais, cohérent, vi
nt en partie la grandeur d'un pois. Reste enfin la grande tumeur du
lobe
frontal gauche (Pl. XL, 3).Signalons encore deux
er et son éloignement de la périphérie du cerveau. , La tumeur du
lobe
frontal gauche baigne dans une hémorrhagie de dat
. Les deux zones décrites plus haut se retrouvent à travers tout le
lobe
frontal gauche, mais à mesure que la tumeur gra
l'existence de la couche des fibres tangentielles. Cervelet. - Le
lobe
gauche contient une quinzaine de métastases dont
en effet défaut autour des petites métastases. Leur localisation au
lobe
frontal gauche fait supposer qu'il s'agit d'un go
e et dans la cavité supplémen- taire creusée dans le sphénoïde. Les
lobes
antérieur et postérieur de l'hypo- physe ne son
21 et 24 ans. Le larynx est petit, peu saillant. Le corps thyroïde,
lobes
et isthme, est parfaitement senti dans les mouv
opsie. - Pleurésie double séro-hémorragique; congestion récente des
lobes
inférieurs des poumons : semis de granulations mi
vons vu ses dimen- sions. ! 1 ne touche ni à la substance grise des
lobes
hémisphériques et du vermis, ni à l'olive. Il o
ni à l'olive. Il occupe le feutrage sous-lobaire indifférencié des
lobes
grêle, quadrilatère postérieur et semi-lunaire.
it foyer allongé antéro-postérieur dans le feutrage sous-lobaire du
lobe
semi-lunaire supérieur. Enfin sur des coupes ho
millimètre, longues de 3 ou 4, ocreux, jaune rougeàtre, occupaut le
lobe
semi-lunaire inférieur et le quart postérieur du
, occupaut le lobe semi-lunaire inférieur et le quart postérieur du
lobe
grêle. II. Etude des dégénérescences liées au f
eux inférieur, la branche horizontale de l'arbre dévie médian, et les
lobes
, central, quadrilatères antérieur et postérieur
coupes sagittales S. 7 et S. 8 de Dejerine, on voit l'arbre de vie du
lobe
(1) Vigouhoux et LAIGNEL-LAVASTIIVE, lac. cit.,
cérébelleuse centrant la substance blanche limitée en dehors par le
lobe
semi-lunaire supérieur, en arrière le lobe quadri
limitée en dehors par le lobe semi-lunaire supérieur, en arrière le
lobe
quadrilatère posté- rieur et en avant le lobe d
érieur, en arrière le lobe quadrilatère posté- rieur et en avant le
lobe
digastrique et le flocculus. Sont sclérosés les
bande linéeuse antéro-postérieure séparant la substance blanche du
lobe
semi-lunaire supérieur et occupée par le feutrage
un à grains volumineux et inégaux dans le feutrage sous- lobaire du
lobe
semi-lunaire supérieur, indiquant la terminaison
nt de la partie postérieure de l'olive au feutrage sous- lobaire du
lobe
semi-lunaire supérieur; 4° Et du pédoncule céré
épanchement sanguin, lamelliforme, dans le feutrage sous-lobaire du
lobe
semi-lunaire supérieur. Au niveau de ce foyer il
proportionnellement au reste de la coupe. Le foyer sous-lobaire du
lobe
semi-lunaire supérieur forme une dégénéres- cen
médian extra-ciliaire ; et le 3° dans le feutrage soits-lobaire du
lobe
semi-lunaire supérieur. 2° Dans le tronc céré
nférieur, c'est-à-dire, la couche sagittale externe tout entière du
lobe
occipito-temporal provient de la partie externe d
a appliqué, indifféremment à la couche de fibres la plus externe du
lobe
temporo-occipital, l'une et l'autre de ces déno
faisceau longitudinal inférieur, couche sagittale externe. Dans le
lobe
occipital la distinction entre ces termes n'a guè
ermes n'a guère d'importance, mais il en est tout autrement dans le
lobe
temporal, etc. » Ensuite « Le but que nous avon
us avons en vue est de démontrer : que la couche sagittale externe du
lobe
occipital, le faisceau longitudinal inférieur t
ccipital, le faisceau longitudinal inférieur tel qu'il existe dans ce
lobe
, ne contient que des fibres de projection, il r
de projection, il représente la couronne rayonnante corticipète du
lobe
occipital, il provient du corps genouillé externe
part des fibres que l'on voit se détacher de la couche sagittale du
lobe
occipito-tem- poral, pour s'irradier dans le pu
erser, et qu'elles appartiennent soit à la couronne rayon- nante du
lobe
occipital, soit a la couronne rayonnante du lobe
ne rayon- nante du lobe occipital, soit a la couronne rayonnante du
lobe
temporal. » On ne saurait être plus clair ; mal
u le caractère purement corticipète de cette couche qu'au niveau du
lobe
occipital. Surtout n'avons-nous pas eu le tourm
ent de la pointe et des faces externe, interne et infé- 1 ieure, du
lobe
occipital ; en avant viennent s'ajouter les fibre
tion, à savoir : « Que les couches sagittales externe et interne du
lobe
pariéto-temporu-occipital ne sont constituées que
us le représente assez menu), s'épuisent certainement au niveau des
lobes
pariétal et temporal. Nous n'en avons jamais re
he sagittale interne. Cette dégénérescence peut être suivie dans le
lobe
temporal et jusqu'à la pointe occi- pitale ».
n n'établit pas les confins du territoire qu'elle occupe au niveau du
lobe
occipital. Ainsi, l'on abandonnerait l'ancienne
ésente le tableau des dégénérescences secondaires de la totalité du
lobe
pariéto-temporo-occipital. · Viennent d'abord l
u lobe pariéto-temporo-occipital. · Viennent d'abord les lésions du
lobe
occipital, « elles entraînent une dégé- néresce
ulaire de Wer- nicke ; et d'autre part dans la substance blanche du
lobe
temporal. A cet égard l'on nous prie de nous en
rière) il s'agit d'une lésion de la pointe et de la face interne du
lobe
occipital, intéressant la base du cunéus, l'éco
ées du faisceau longitudinal inférieur s'ir- radie dans l'écorce du
lobe
temporal dont la substance blanche est très dégé-
s volontiers, que les ramollissements strictement localisés soit à un
lobe
, soit à un certain groupe de circonvolutions, s
. 11, p. 145) : « Il s'agit d'une plaque jaune n'intéressant que le
lobe
temporal, et en particulier la partie moyenne d
foyer profond des régions cor- ticales antérieures, c'est-à-dire du
lobe
temporal ». Pour être plus précis encore, nons
he sagittale externe. Reste à considérer : les lésions profondes du
lobe
pariétal ainsi que les lésions des segments sou
part. Ces faits montrent nettement que les cou- ches sagittales du
lobe
occipito-pariéto-temporal contiennent à la fois d
ns le corps genouillé et le pulvinar, se terminent dans l'écorce du
lobe
temporo-occipital, ainsi qu'à la dégénérescence
rer le faisceau longitudinal avec la couche externe qu'au niveau du
lobe
occipital ce que nous avons établi tex- tuellem
en avant, les faisceaux de Sachs, de Vialet et de Wernicke dans le
lobe
occipital ? Nous tenons à le dire, « toutes les f
Il suffit de se le représenter(au ni- veau de la partie moyenne du
lobe
temporal) sous forme de trait d'union, entre le
tubérantiel. Quaut à la pyramide bulbaire, elle se réfléchit dans le
lobe
occipital. Nous avons vu que la pyramide bulbai
socié. - C'est la partie antérieure (un peu moins que la moitié) du
lobe
temporal qui lui sert de pédoncule. Il faut dir
faisceau optique central, que nous em- prunterons à cette partie du
lobe
temporal comprise entre le pulvinar et le splén
BAULT central se déploient progressivement et se cantonnent dans le
lobe
occipital, à la couche sagittale externe dont e
erne dont elles constituent la presque totalité. C'est donc dans ce
lobe
que nous trouvons une pyramide optique ; elle est
deux corticalités, ou plutôt d'un appareil nerveux comprenant deux
lobes
; les deux réunis par l'in- termédiaire du corp
ne, qui entre alors dans la constituti on de l'un et de l'autre. Le
lobe
extra-cérébral est morphologiquement l'analogue
nt aux racines postérieures ; car la bandelette est sensorielle. Le
lobe
occipital représente le lobe intra-cérébral de
car la bandelette est sensorielle. Le lobe occipital représente le
lobe
intra-cérébral de l'appareil visuel et reçoit l
n siège, l'équivalent sensitif de la voie optique. On sait que le
lobe
occipital envoie de nombreuses fibres aux ganglio
erficielle. 3° Au pulvinar, un très petit nombre de fibres. b) Le
lobe
occipital envoie : 1° Au corps genouillé extern
rticale et fonctionnellement périphérique. Par conséquent, c'est le
lobe
occipital seul, qui renferme une corticalité vi
, mais des circonvolutions de la face inféro-externe et latérale du
lobe
occipital. L'analogie est grande et fait ressor
bres. Quant à la grande commissure visuelle, elle se retrouve dans le
lobe
occipital ; elle constitue la majeure partie du
bulbaire. Avant de reprendre l'étude de cette analogie au niveau du
lobe
occipital, il reste un détail digne d'être comp
des libres genotiillées qui se rendent à la couronne rayonnante du
lobe
occipital contra-latéral ; enfin, de simples fibr
en passant par la capsule. interne et à travers le centre ovale du
lobe
temporo-occipital pour s'irradier dans l'écorce
la considération du trajet du faisceau optique central au niveau du
lobe
occipital ; il reste en effet quelques particular
s de la couronne rayonnante, mais ce faisceau traverse la totalité du
lobe
temporo-occipilal sans souffrir d'atteinte a so
pilal sans souffrir d'atteinte a son intégrité. Il est au niveau du
lobe
occipital ce qu'il est dans la partie moyenne du
au niveau du lobe occipital ce qu'il est dans la partie moyenne du
lobe
temporal ; il change d'aspect mais non de volume
pas la différence entre la répartition des couches sagittales d'un
lobe
occipital avec symphyse ventriculaire et celle d'
tales d'un lobe occipital avec symphyse ventriculaire et celle d'un
lobe
occipital hydro- céphalique ? 2 Les libres gé
nt à l'état de pu- reté presque dans la couche sagittale externe du
lobe
occipital, entourent d'un anneau la corne ventr
lobe occipital, entourent d'un anneau la corne ventriculaire de ce
lobe
, occupent en avant le segment infé- rieur de la
isuel existe à l'état de pureté dans la couche sagittale externe du
lobe
occipital. Ainsi qu'une lésion cérébrale se tra
sion circonscrite des noyaux centraux ou de la partie antérieure du
lobe
temporal ne détermine que la dégénérescence de la
détermine que la dégénérescence de la couche externe, au niveau du
lobe
occipital. M. et Mme Dejerine terminent leur ré
quivaut à celle de la vision réelle. Au lieu d'être situé dans le
lobe
occipital, comme ce serait le cas dans une hallu-
ie antérieure; nous trouvons que ce - qu'on appelle généralement le
lobe
préfontal (tout ce qui est en avant d'une ligne
les mêmes chiffres. Dans mes premières expériences, l'excitation du
lobe
occipital ne m'a donné aucun résultat. Mais Luc
blables se produisant après l'excitation des différentes parties du
lobe
occipital et des régions avoisinantes. Mes expé
ements du globe oculaire, puissent être obtenus par l'excitation du
lobe
occipital, ils sont, en règle générale, moins c
ai pas pu obtenir une réaction constante a l'excitation du reste du
lobe
temporal et des autres portions de l'écorce.
c- cani et Tamburini, les mouvements des yeux par l'excitation du
lobe
occipital. Schæfer, qui oublie le segment antérie
é- rieure de la circonvolution temporale moyenne, cette partie du
lobe
occipital immédiatement derrière la scissure occi
s mouvements en haut par l'excitation de la surface sous-jacente du
lobe
occipital, la partie la plus inférieure de ce l
sous-jacente du lobe occipital, la partie la plus inférieure de ce
lobe
, et de la marge inférieure de la surface convexe.
mouvement latéral des yeux en excitant le reste de la convexité du
lobe
occipital et une étroite bande le long de la ma
longue de quelques centièmes de seconde dans le cas d'excitation du
lobe
occipital que dans le cas d'excita- tion du cen
ur les résultats uniformé- ment négatifs de la destruction des deux
lobes
occipitaux, excepté lorsque la lésion empiétait
phie d'un cerveau de mes premieis animaux en expériences Les deux
lobes
occipitaux lurent enlevés en même temps. Il survi
a lésion. Vous verrez, que sur le côté droit, non seulement tout le
lobe
occipital, mais aussi une partie du segment pos
ndant laquelle on lui avait en- levé la plus grande partie des deux
lobes
frontaux. Cette seconde opération n'a causé auc
on, faits d'une grande importance pour la question des rapports des
lobes
fron- taux avec le sens de la vue. Vu que che
ision est dû à cette cause ; car, lorsque la ligne de . section des
lobes
occipitaux était bien séparée de cette scissure,
ne percevait aucun trouble de la vision. Ainsi on a mis à nu les
lobes
occipitaux, des deux côtés. chez un singe, et on
face au cautère qu'on passa assez profondément dans l'intérieur des
lobes
pour détruire les f11}] e;; médullaires. , L'op
ai laissé sur sa perche t. » Malgré la destruction étendue des deux
lobes
occipitaux dans ce cas, l'animal, un peu plus d
e de la conservation de sa vision précise. Dans un autre cas où les
lobes
occipitaux furent enlevés par une section à six
tale l'animal, malgré l'ablation d'au moins les deux tiers des deux
lobes
occipitaux, prouva la netteté de sa vision, une d
n collègue, le professeur G. F. Yeo, enleva les deux tiers des deux
lobes
occi- pitaux, l'animal, deux heures après l'opé
ntre ici aussi la photographie du cerveau d'un singe chez lequel le
lobe
occipital gauche fut enlevé par une incision im
en lumière les résultats négatifs des lésions uni ou bilatérales du
lobe
occipital. J'ai cependant trouvé dans mes premi
aux plis courbes qui étaient oedé- matiés et au bord antérieur des
lobes
occipitaux, comprenant un léger empiétement du
to-pariétale, et il localise la sphère visuelle, uniquement dans le
lobe
occipital et re- garde le pli courbe comme la s
isonnable de supposer que les opérations de Munck, pour enlever les
lobes
occipitales, atteignent secondairement le pli c
question de la délimitation exacte de la sphère visuelle, soit aux
lobes
occipitaux comme le veut Munck, soit comprenant
pinion, et celle des rapports respectifs entre le pli courbe et les
lobes
occipitaux et les yeux out été l'objet de recher-
à cette conclusion que les centres visuels ne sont pas limités aux
lobes
occipitaux, mais embrassent aussi le pli courbe
ol. CLXXIX, 1888. Bd. XX. 5 Functions of the occipital and temporal
lobes
of the illoitkey's (Brain Phil. Trapus., vol. C
eurs. liorsley et Scha;fer rapportent plusieurs expériences sur les
lobes
occipitaux, sur un seul ou sur les deux. L'expé
rs propres ternies, est spécialement digne de remarque. c Tout le
lobe
occipital gauche fut enlevé par une incision obli
t d'un grand intérêt, puisqu'elles montrent l'ablation complète des
lobes
occipitaux et frontaux et les limites de la lés
Dans un cas' (Expérience XXVI), dans laquelle on enleva les deux
lobes
occipitaux (surface externe et postérieure et une
xpériences de Ilorsley et Schoefer, dans lesquelles les lésions des
lobes
occipitaux sont plus considérables que dans cel
cité plus haut, il parait y avoir eu une extirpation com- plète du
lobe
occipital, et cependant, l'hémiopie ne fut pas pe
iopie ne fut pas perma- nente. La destruction du pli courbe avec le
lobe
occipital fut la lésion qui a produit un résult
les sont déjà arrivés Munck, Tessier et Yéo. Elles montrent que les
lobes
occipitaux et les plis courbes ont des fonction
ut. Ceci est aussi conforme aux résultats de Luciani. Autant que le
lobe
occipital seul est intéressé, nos observations co
elle. Mais la vision imparfaite qui reste après l'ablation des deux
lobes
occipitaux (voir cas 25 et et 26) fait penser q
entre en rapport avec la conscience visuelle n'est pas limité à ces
lobes
, comme le pensait Munck, mais s'étend sur les p
nser d'accord avec Munk que l'extirpation complète unilatérale d'un
lobe
occipital seule produit une hémiopie persistant
té, il ne s'ensuit pas que les résultats soient dus à l'ablation du
lobe
occipital tel quel. - Schoefer ' lui-même admet
' lui-même admet que' le centre visuel n'embrasse pas seulement le
lobe
occipital mais aussi une partie ou la totalité du
ragment postérieur d'après Schoefer), plus grande même que celle du
lobe
occipital. Donc si une cécité totale suit l'abl
le du lobe occipital. Donc si une cécité totale suit l'ablation des
lobes
occipitaux suivant la direction de la scissure
cerveau et spécialement du pli courbe peuvent être coupées avec le
lobe
occipital et que cette hypothèse s'appuie sur d
s faits qui ont conduit Luciani à étendre le centre visuel jusqu'au
lobe
tem- ppral. Non seulement' on peut trouver alor
s de Btown et Schfefer. L'opération a consisté dans l'ab ! ation du
lobe
temporal droit. Plus tard, la lésion s'est éten
ard, la lésion s'est étendue en partie sur la surface inférieure du
lobe
occipital. A l'exception de cette lésion du lob
face inférieure du lobe occipital. A l'exception de cette lésion du
lobe
occipital, tout le reste de la zone visuelle étai
ieures de la rétine. Il semble donc que l'incision de l'ablation du
lobe
occipital racée le long de la scissure pariéto-
plantaut un conducteur à ce point entre la surface 1l1fé- rieure du
lobe
occipital et la tente , et je passe un stylet cou
es optiques primaires. Brown elTbompson 2 pensent que l'ablation du
lobe
occipital d'un côté produit de l'hémiopie du cô
des détails sur un singe chez lequel on constate après ablation du
lobe
occipital gauche, une hémiopie droite, avec une
ération. Cent jours après la première opération. on enleva aussi le
lobe
occipital droit. Il s'ensuivit une cécité complèt
sie le deux cent trente-unième jour. A l'autopsie, on trouva que le
lobe
occipital entier avait été enlevé de chaque côt
rtain cependant que cette première lésion a dû s'étendre au delà du
lobe
occipital, à cause de l'hénllanestéoie qui ne s
téoie qui ne se produit pas quand les lésions sortent localisées au
lobe
occipital ; et ce fait que l'ablation des lobes
ortent localisées au lobe occipital ; et ce fait que l'ablation des
lobes
occipitaux, tels mêmes qu'ils ont été trouvés c
fit une seconde opéra- tion, consistant dans l'incision de tout le
lobe
occipital droit. Elle fut suivie d'une hémiopie
cit.), d'un autre côté, qui a fait de nombreuses expérien- sur les
lobes
occipitaux et les gyri angulaires chez les singes
d'accord avec mes résultats et ceux de Yeo, que la des uction du
lobe
occipital ne produit aucun trouble appréciable de
mme dans un petit nombre de mes expériences où la destruction de ce
lobe
était complète d'un côté ou de l'autre, l'ablat
complète d'un côté ou de l'autre, l'ablation ultérieure de l'autre
lobe
ne semble pas atteindre la vision ni d'un côlé
é, mais il dit que vu que l'am- mal ne pouvait pas être aveugle, le
lobe
occipital étant probable- ment intact, l'absenc
l'hypothèse de Gowers que sur la surface exté- rieure au-devant du
lobe
occipital, il y avait un centre visuel plus élevé
considérable de l'hémisphère opposé com- prenant le pli courbé. Le
lobe
occipital était intact et nullement t diminué d
ccidentellement blessé le tractus optique en faisant des lésions du
lobe
temporal. Le résultat dans les deux cas fut une
optiques subissent la décussation dans le chiasma et se rendent au
lobe
occipital ; les sensitives subissent la décussati
soient spécialement représentés dans des régions correspondantes du
lobe
occipital, suivant les hypo- thèses de Munk et
soit bien prouvée; car même après la destruction la plus grande des
lobes
occipitaux, aucune partie de la rétine ne parait
uteux qu'on ait publié des cas strictement de lésions corticales du
lobe
occipital accompagé d'hémiopie sans participation
ullaires de la région postérieure vaguement ou sans raison dénommes
lobe
occipital; or. si l'écorce a été grav emen attein
gulaires et supra-marginale seulement, Ici décrits comme lésions du
lobe
occipital seul. De ces 15 il n'y en avait que 2
t de son voisinage, Segttin et Nothnagel pense que cette portion du
lobe
occipital a une relation spéciale avec la perce
n seulement unilatérales mais bilatérales ont eté trouvées dans les
lobes
occi- pitaux sans aucun trouble visuel d'aucune
re cérébral opposé, qu'il ne rapporte pas cependant spécialement au
lobe
occipital, rapport qu'il a admis plus récem- me
éac- tions électriques correspond chez le singe au pli courbe et au
lobe
occipital. Le centre visuel décrit par Munk est
ans ces termes amusants : « Une portion considérable de l'écorce du
lobe
occipital, est décrite comme centre visuel par
ntre visuel. Quand un trouble de la vision se produit par lésion du
lobe
postérieur, il y a toujours la même hémiopie ou s
lle que soit la portion du centre atteint. La portion la- térale du
lobe
n'est pas en relation spécialeavec le centre extr
o-postérieur divise le toit en deux moitiés : tubercules bijumeaux,
lobes
optiques, etc. La partie antérieure du toit for
nt deux systèmes différents, un sys- tème périphérique qui vient du
lobe
occipital, un système médian par rapport au pre
n système médian par rapport au premier qui est en relation avec le
lobe
^temporal; il n'est pas démontré que ce secteur
aurait que quelques fibres, si tant est qu'il y en ait, émanées du
lobe
frontal; en revanche on y trouverait des fibres
genouillé interne. Elle dépendrait, selon lui, de la destruction du
lobe
temporal ou de l'interruption des fibres blanches
x inférieurs ceux-mêmes, comme d'autre part il paraît établi que le
lobe
temporal gauche préside à l'intelligence des so
es acci- dents thoraciques; on reconnaît plus tard une pneumonie du
lobe
inférieur gauche, ainsi qu'une pneumonie moms é
rt de pneumonie. L'autopsie révèle dans la couronne rayonnante du
lobe
frontal gauche l'existence d'un gliome très vascu
RVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 191 chez le foetus à une époque où le
lobe
olfactif acquiert son plus grand développement
Il comprend le carrefour de l'hémisphère et la première portion du
lobe
du corps calleux (ou circonvolution du corps ca
« Une région plane qui communique en avant avec la face interne du
lobe
frontal, en haut avec le lobe du corps calleux,
ue en avant avec la face interne du lobe frontal, en haut avec le
lobe
du corps calleux, en bas avec la partie interne
l'espace quadrilatère. » ... « Le centre olfactif postérieur est le
lobe
de l'hippocampe où va se rendre la racine olfac
tive ex- terne. L'anatomie comparée nous montre, en effet, que le
lobe
de l'hippocampe croît et décroît en même temps
d'anormal ou d'exception- nel le siège d'un centre sensitif dans le
lobe
frontal, je ferai remarquer que ce n'est que pa
enu dans les idées de Broca, c'est qu'il fait un centre olfactif du
lobe
de l'hippocampe « qui croît et décroît en même
ses annexes, il y a en effet beaucoup de probabi- lités pour que le
lobe
de l'hippocampe, au moins dans sa portion corti
Ajoutez que, quel que fût le point du cerveau directement exploré,-
lobes
frontaux, pariétaux ou oc- cipitaux, soit de l'
par conséquent, dans cette hypothèse, s'il se développe, dans les
lobes
frontaux, un travail plus intense que dans les
chez le chien, vers un « territoire neutre », commun, situé sur le
lobe
pariétal inférieur : les lésions de ce « centre
ences' dans lesquelles, avec la' destruction des autres portions du
lobe
temporal, la circonvolution temporale supérieur
u bilatéralement. Dans deux de ces cas (XI et XII) dans lesquels le
lobe
temporal était dé- truit seulement d'un côté, o
ous avons établi d'abord dans une longue série d'expériences sur le
lobe
temporal 2 qu'on ne pouvait trouver au- cun sig
e pouvait trouver au- cun signe de trouble de l'ouie, quand tout le
lobe
temporal était détruit excepté la circonvolutio
e dans une de ces expériences 2 dans laquelle ils avaient enlevé le
lobe
temporo-sphénoïdal, l'animal ne semblait pas en
ement des circonvolu- tions temporales supérieures, mais de tout le
lobe
lui-même des deux côtés. Il décrit ainsi les ré
Sur un singe, j'ai enlevé d'abord toute la con- vexité apparente du
lobe
temporal gauche, comprenant la circonvo- lution
succès continuer des observations sur des animaux chez lesquels les
lobes
temporaux avaient été détruits des deux côtés : m
me les observations de Schefer semblent l'indiquer, la totalité des
lobes
temporaux comme les autres lobes cérébraux, peut
mblent l'indiquer, la totalité des lobes temporaux comme les autres
lobes
cérébraux, peut être enlevée sans abolir complè
sorte, même les plus grands. Parfois, quand toute l'écorce des deux
lobes
temporaux a été détruite, il a été observé une
té. Lu- ciani dit : « Les effets de l'extirpation dans la région du
lobe
pa- riétal confirment ce qui avait été reconnu
trent aussi que cette sphère s'irradie de son point central dans le
lobe
temporal en haut vers la région parié- tale, en
ématémèse le 21 octobre. On trouva une lésion extensive dans chaque
lobe
temporal, envahissant la circonvolu- tion tempo
auteurs concluent : « que les nerfs auditifs; se terminent dans le
lobe
temporal et que la lésion bilatérale de ces lobes
terminent dans le lobe temporal et que la lésion bilatérale de ces
lobes
produit une surdité complète. On peut donc dire
rdité complète. On peut donc dire avec une entière certitude que es
lobes
temporaux sont les centres cérébraux de l'auditio
le démontrer, le siège que j'ai désigné au centre auditif dans ces
lobes
. Les affections de l'ouie d'origine cérébrale a
s sur lesquels j'ai des notes, dix ne présentaient qu'une lésion du
lobe
temporale. Dans 7 de ces cas, la première tempo
circonvolution temporale supérieure et les parties avoisinantes des
lobes
occipitaux et parié- taux et un cas est rapport
aine viennent encore à l'appui de la localisation de l'ouïe dans le
lobe
temporal et plus spéciale- ment dans la circonv
oral et plus spéciale- ment dans la circonvolution supérieure de ce
lobe
. Les expériences de Baginsky', comme les recher
s géniculé interne. Von Monakow dit aussi qu'après l'extirpation du
lobe
temporal chez les lapins nouveau-nés, on trouve
mmes environ au cerveau ; celte diminution de poids commence par le
lobe
frontal, puis s s'étend au manteau entier et fi
g ? 81 chez les hommes et de 6 gr, 51 chez la femme, et respecte le
lobe
frontal. Dans tous ces cas, la moitié droite du
P. K. X. Observation DE TROIS PERTES de substance trouvées dans LES
LOBES
PARIÉTAL ET FRONTAL DE L'HÉMISPHÈRE CÉRÉBRAL GA
lièrement intéressante, c'est l'existence d'un ostéome au milieu du
lobe
frontal gauche, en pleine substance blanche, os
substance grise des frontales y compris la frontale ascendante, du
lobe
occipital et des tempo- rales des deux côtés. V
lettes op- tiques du lapin - à l'extirpation des zones visuelles du
lobe
occi- pital - à la section transverse de la par
ernière analyse aux troisième et cinquième cou- ches de l'écorce du
lobe
occipital. La troisième couche corticale du mêm
e l'écorce du lobe occipital. La troisième couche corticale du même
lobe
contient de grosses cellules pyramidales qui proj
ion du cervelet; par W. R. GOWERS. (Neurol. Centralbl., 1890.) Le
lobe
moyen du cervelet préside à la coordination des m
le concept de la situation est transmis au cerveau et réglé par le
lobe
cérébelleux moyen. Le lobe moyen est un centre
est transmis au cerveau et réglé par le lobe cérébelleux moyen. Le
lobe
moyen est un centre régulateur des impulsions c
ssi un cas de méningite tuberculeuse, avec locali- sations aux deux
lobes
paracentraux ayant déterminé une para- plégie t
hale : non seulement le pédoncule mais encore la couche optique, le
lobe
temporal et le lobe occipital étaient touchés,
le pédoncule mais encore la couche optique, le lobe temporal et le
lobe
occipital étaient touchés, de telle manière que
l'écorce, dans la région située entre la scissure de Rolando et le
lobe
occipital. Meynert a sup- posé que le tiers ext
ette partie du pédoncule évidemment en rapport avec des lésions des
lobes
occipital et temporal, et Flechsig dit que ces
rs cas, dans lesquels les lésions s'étendaient profondément dans le
lobe
temporal que la sensibilité était atteinte ou a
. ' LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 379 moins grande destruction du
lobe
occipital ou de la région tem- porale inférieur
ruire la région de l'hippocampe par un cautère enfoncé a travers le
lobe
occipital et dirigé en bas et en avant suivant le
e jour. On trouva que les lésions étaient limitées soigneusement au
lobe
temporal inférieur et à la région de l'hippo- c
fier si le centre tactil ne pourrait pas s'étendre dans le reste du
lobe
falciforme dont la région de l'hippocampe n'est
prouvent la précision des idées anatomiques de Rroca sur l'unité du
lobe
falciforme et démontrent que les lésions du gyr
il. Trans. et ils reéher- chèrent aussi s'il y avait des parties du
lobe
falciforme spécialement en relation avec des ré
tant la sensibilité du côté opposé en général, certaines parties du
lobe
falciforme peuvent représenter plus spécialemen
é commune et tactile du côté opposé par les lésions destructives du
lobe
falciforme, mais cela tient peut-être à ce que
tructives du lobe falciforme, mais cela tient peut-être à ce que ce
lobe
n'a pas été entièrement détruit. - Il est proba-
bilatéralement de sorte qu'une certaine compensation se fait par le
lobe
falciforme de l'autre hé- misphère. Le trajet d
forme de l'autre hé- misphère. Le trajet des fibres qui unissent le
lobe
falciforme et la partie sensitive de la capsule
à cause des preuves qui ont été données plus haut, des rapports du
lobe
falciforme avec la sensibilité com- mune et tac
thèse de Flechsig sur la distribution des fibres sensitives dans le
lobe
pariétal doit être modifiée. On ne peut admettr
yés sur ce fait, que les lésions de la sec- tion de l'hippocampe du
lobe
falciforme, suffisamment éloignée des centres m
. - Til, tractus opticils. - c/t, cln,\sm 1. - Il, nerf optique. T,
lobe
temporal. - U. crochet. - Am, noyau am) gdahcn.
rps calleux. - NI, nerf de Lancisi. dl, sissureloiigitu- dinale. F,
lobe
frontal. - Bol, bulbe olfac4l. - Toi, tractus olf
e en rapport res- pectivement avec la substance grise de la base du
lobe
frontal et du irigonum olfactorium, ou substanc
interne et externe avec les extrémités antérieure et postérieure du
lobe
falciforme ont été comparés par Broca à une raq
par Broca à une raquette dont la circonférence est formée par le
lobe
falciforme et le manche par le nerf optique et so
o. Surface interne de l'hémisphère droit de la loutre (Broca). 0,
lobe
olfactif. - Il. lobe de l'hippocampe. - C, commen
de l'hémisphère droit de la loutre (Broca). 0, lobe olfactif. - Il.
lobe
de l'hippocampe. - C, commencement du lobe du co-
0, lobe olfactif. - Il. lobe de l'hippocampe. - C, commencement du
lobe
du co- « calleux. - C, C' C", lobe du corps cal
hippocampe. - C, commencement du lobe du co- « calleux. - C, C' C",
lobe
du corps calleux. - F, lobe frontal. - PP, lobe p
t du lobe du co- « calleux. - C, C' C", lobe du corps calleux. - F,
lobe
frontal. - PP, lobe pu- z - 8, scissure Jimbjqu
calleux. - C, C' C", lobe du corps calleux. - F, lobe frontal. - PP,
lobe
pu- z - 8, scissure Jimbjquc. -9, pli de passag
auregard' le place dans le cerveau de la baleine à l'extré- mité du
lobe
temporal immédiatement postérieur à Tuncus et Z
est le pli de passage qui unit l'uncus à l'extrémité antérieure du
lobe
tempora-phénoidal (+ fig. 31). C'est très net d
le la circonvolution marginale (Randwindung) qui forme la limite du
lobe
falciforme, et se continue postérieu- rement av
ussi comme particulier aux animaux osmatiques, un prolongement du
lobe
falciforme qui se trouve au-dessous du splenium d
s du ventri- cule latéral et se dirige en arrière et en bas dans ce
lobe
de l'hémisphère, que l'on peut, par sa position
ntre la communauté de fonctions entre l'hippo- campe et le reste du
lobe
falciforme que nous avons vu en rap- port avec
oût ou de l'odorat par la destruction de l'extrémité inférieure des
lobes
temporaux des deux côtés. Ils disent page 324 :
sent page 324 : « Les animaux, avec la portion antéro-inférieure du
lobe
complètement enlevée, sententleur nour- riture,
r ce sujet. J'ai enleve chez trois singes la portion antérieure des
lobes
temporaux par des operations successives, mais
es observations convenables. Dans ce cas la portion anté- rieure du
lobe
temporal gauche était entièrement enlevée excepté
is; alors on le tua avec du chloroforme. Les surfaces coupées des
lobes
temporaux étaient adhérentes à la fosse moyenne d
dérable après l'ablation bi-latérale de l'extré- mité inférieure du
lobe
tempoial, il ne refusa pas de manger des substa
i rempli de liquide. A l'exception des cicatrices de l'ablation des
lobes
occipitaux, le cerveau, les cordons olfactifs et
un u affaiblissement évident de l'odorat succède à l'extirpation du
lobe
temporal; mais si la lésion s'étend sur la circ
iétale jusqu'à la scissure longitudinale et en partie aussi vers le
lobe
frontal. Quant au sens du goût, il dit qu'une foi
Becvor 6 un troisième, dans lequel toute l'extrémité anterieure du
lobe
temporo-sphénoidal droit était le siège d'une t
d'une sensation d'odeur et de goût particulière avec une tumeur du
lobe
temporo-sphénoidal gauche; mais les lésions éta
s reactions aux excitations sensitives du singe dont on a enlevé le
lobe
falciforme et de celui dont on a extirpé les cent
lésion n'était pas confinée àla zone de Rolando, mais englobait les
lobes
adjacents et particulièrement le pariétal. Les
n peut reproduire expérimentalement chez les singes, par lésions du
lobe
falciforme nous avons une preuve de plus que les
entre autres, que les centres du sens musculaire sont sités dans le
lobe
pariétal. L'altéra- tion de la sensibilité tact
région et non la lésion de l'écorce elle-même ; car les lésions du
lobe
pariétal inférieur ne produisent pas la plus lé
situés dans la portion interne du pied du pédoncule et unissent le
lobe
frontal avec l'hémisphère cérébelleux opposé in
scences ont été décrites par Brissaud2 comme résultat de lésions du
lobe
frontal chez l'homme. Il n'a pas pu suivre la d
. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 419 Dans un cas où j'ai enlevé le
lobe
frontal des deux côtés par une incision transve
aucun doute,, cause d'une ablation plus complète, sinon totale, du
lobe
frontal. Cette expérience montre que la destruc
pu découvrir aucun autre symptôme physiologique après l'ablation du
lobe
frontal. Je n'ai observé aucune altération de l
ie deces mouve- ments de la tête et des yeux par la destruction des
lobes
frontaux, j'ai aussi observé, et mes observatio
ALES. 421 temps. Les cas publiés de traumatismes ou de maladies des
lobes
frontaux chez l'homme sont d'accord avec le car
impression visuelle ne peut être produite s'il existe une lésion du
lobe
occipital, et inversement une excitation de ce
e une lésion du lobe occipital, et inversement une excitation de ce
lobe
produit des phénomènes analogues à des percepti
croisée périodique, par Cour- mont, 265. Hémisphère (lésions des
lobes
pa- riétal et frontal d'un - sans troubles mo
c'est la paralysie nucléaire. Nous verrons plus loin que l'abcès du
lobe
temporo-sphénoïdal provoque quelquefois, dans le
épond en haut à la troisième circonvolution occipitale, et en bas aux
lobes
supérieur-postérieur et supérieur-moyen du cervel
e. Elle se termine au trou déchiré postérieur et répond en dedans aux
lobes
inférieur-moyen et inférieur-antérieur du cervele
ébrales postérieures et inférieures, parcourent la face inférieure du
lobe
temporo-occipital, en formant deux ou trois tronc
ncéphalique est exceptionnelle. § i. — CERVEAU Nous décrirons les
lobes
temporaux et occipitaux, qui intéressent plus spé
raux et occipitaux, qui intéressent plus spécialement l'otologiste.
Lobe
temporal. — Inclus entre les lobes frontal, parié
t plus spécialement l'otologiste. Lobe temporal. — Inclus entre les
lobes
frontal, pariétal et occipital, le lobe temporal
temporal. — Inclus entre les lobes frontal, pariétal et occipital, le
lobe
temporal repose sur l'étage moyen du crâne. Il a
la concavité de la grande aile du sphénoïde, et une base répondant au
lobe
occipital. Cette limite postérieure est indiquée
térieure de la scissure de Sylvius, suivant Déjerine. (Pl. XIV.) Le
lobe
temporal présente une face inférieure ou pétreuse
ment dans le sens antéro-postérieur, constituent macroscopiquement ce
lobe
temporal. Ce sont : les première, deuxième et tro
euxième pariétale ou gyrus supra-marginalis. Sur la face sylvienne du
lobe
, on trouve les circonvolutions temporales profond
autre que le lobule fusiforme ; eile court sur la face inférieure des
lobes
occipitaux et temporaux, sans atteindre le pôle t
t en rapport avec le prolongement sphénoïdal du ventricule latéral.
Lobe
occipital. —Il occupe la partie postérieure de l'
aces : interne, externe et inférieure : enfin, une base qui répond au
lobe
temporal. Trois sillons plus ou moins horizonta
horizontaux indiquent très irrégulièrement, sur la face externe de ce
lobe
, les première, deuxième et troisième circonvoluti
tration des trois circonvolutions occipitales et du lobule lingual.
Lobe
pariétal. — La face externe du lobe pariétal est
cipitales et du lobule lingual. Lobe pariétal. — La face externe du
lobe
pariétal est comprise entre la scissure de Roland
e, qui coiffe fa portion verticale postérieure du sillon parallèle.
Lobe
frontal. — Sur la face externe, le long et en ava
ns horizontales; la troisième est la plus inférieure. Structure des
lobes
temporaux et occipitaux. — Dans chaque lobe céréb
érieure. Structure des lobes temporaux et occipitaux. — Dans chaque
lobe
cérébral, on doit considérer séparément la substa
4° La zone des corpuscules polymorphes. Chez l'homme, au niveau du
lobe
temporal, on constate, dans la troisième zone de
calleuses ou commissurales. Les fibres de projection efférentes du
lobe
temporal sont constituées par les prolongements c
d'association relient un point de l'écorce à d'autres points du même
lobe
ou de lobes distincts. Les fibres calieuses ou
ion relient un point de l'écorce à d'autres points du même lobe ou de
lobes
distincts. Les fibres calieuses ou commissurale
genouillé interne et la radiatio acustica pour aboutir à l'écorce du
lobe
temporal, au niveau des circonvolutions profondes
roprement dite occupent des points symétriques sur la face interne du
lobe
occipital, — plus exactement, sur le territoire c
ves de la vision psychique occupent l'écorce de la convexité des deux
lobes
occipitaux. Leur lésion entraîne la cécité psychi
'ensemble des fibres de projection, d'association et commissurales.
Lobe
occipito-temporal.—Faisceaux de projection. Couro
be occipito-temporal.—Faisceaux de projection. Couronne rayonnante du
lobe
temporal. — Elle est constituée parles fibres qui
ion, dont les fibres se myélinisent plus tôt que toutes les autres du
lobe
temporal (Flechsig); elle forme aussi partie du s
e pédoncule inférieur thalamique étendu entre le segment antérieur du
lobe
temporal et le noyau interne du thalamus. Couro
be temporal et le noyau interne du thalamus. Couronne rayonnante.du
lobe
occipital. — Elle comprend : a) La radiatio opt
a voie centrale optique, qui vient se terminer sur la face interne du
lobe
occipital au niveau du territoire de la scissure
e faisceau uncinatus, reliant le pôle temporal k la face orbitaire du
lobe
frontal ; c) Le faisceau longitudinal inférieur
on thalamique et au tapetum pour constituer les couches sagittales du
lobe
occipito-temporal. Il établit des connexions inti
sal du cunéus (Sachs), reliant celui-ci k l'écorce de la convexité du
lobe
occipital ; f) Le faisceau occipital transversa
nt l'extrémité de la scissure calcarine k l'écorce de la convexité du
lobe
occipital; g) Les fibres en Y de Meynert (strat
ion postérieure). Les centres auditifs et les portions antérieures du
lobe
temporal sont reliés entre eux par des fibres cal
r des fibres calleuses. (Bechterew.) Les portions inférieures de ce
lobe
sont commisurées par des fibres qui traversent la
érieur, formés par des fibres qui viennent des différentes parties du
lobe
occipital, passent par le splénius, et se distrib
L'interruption porte alors sur les fibres qui, de la face convexe du,
lobe
occipital, se rendent aux différenls centres du l
otitique. — L'abcès cérébral otitique siège presque toujours dans le
lobe
temporo-sphénoïdal. On peut l'observer exceptio
yer osseux pénétreraient dans un des sillons de la face inférieure du
lobe
occipito-temporal et y engendreraient une lepto-m
ier est formé défibres qui se dirigent vers la couronne rayonnante du
lobe
temporal. Entre le sillon marginal postérieur de
gris centraux. Elle livre passage au pied de la courone rayonnante du
lobe
temporal, qui va former ensuite le segment sous-l
ité d'origine centrale aurait été observée dans quatre cas d'abcès du
lobe
temporal. Ilémianopsie latérale homonyme. — C'e
utanée indiquait un siège très reculé, très probablement au niveau du
lobe
occipital. Les troubles moteurs étaient variables
s d'aphasies, qu'on observe durant l'évolution d'un abcès otitique du
lobe
temporal gauche, présentent tous les caractères c
té signalée deux fois seulement dans les abcès cérébraux otitiques du
lobe
temporal gauche. Par contre, la cécité verbale es
aux de tête ? » — J'ai examiné et étudié deux cas d'abcès otitique du
lobe
temporal gauche dans lesquels existait cette form
de signaler l'anosmie ou F hyposmie parmi les symptômes de l'abcès du
lobe
temporo-sphénoïdal, surtout lorsqu'il acquiert un
, étant donnée la non-décussation des fibres olfactives. L'abcès du
lobe
temporal pourra comprimer le ganglion de Gasser e
plancher du quatrième ventricule. Le cervelet est constitué par un
lobe
médian nommé vermis et deux lobes latéraux, les h
. Le cervelet est constitué par un lobe médian nommé vermis et deux
lobes
latéraux, les hémisphères. Vermis. — C'est la p
la pyramide de Malacarne et le tubercule valvulaire. Hémisphères ou
lobes
latéraux. — Le grand sillon circonférentiel de Vi
, et dont les prolongements ramifiés s'enfoncent dans l'épaisseur des
lobes
, lobules, lames et lamelles. Cette disposition fo
fonctions distinctes : l'un, le nerf cochléaire, relié à l'écorce du
lobe
temporal et présidant k l'audition ; l'autre, le
it pratiqué trois sortes de mutilations cérébelleuses : l'ablation du
lobe
moyen, l'ablation d'une moitié latérale et l'exti
la moitié du corps correspondant au côté opéré. Après résection du
lobe
moyen, les mouvements du train postérieur sont pl
nes........................................ 29 — — occupant tout un
lobe
............................. 21 — — multiples d
tout un lobe............................. 21 — — multiples du même
lobe
........................... 4 — — postéro-inféri
la jambe droite avec perte de la parole. Une trépanation au niveau du
lobe
temporal gauche resta négative : il s'agissait d'
e ultérieure du chirurgien varie selon que l'abcès siège soit dans le
lobe
temporo-occipital, soit dans le cervelet, soit da
nt un abcès encéphalique; il s'agira presque toujours d'une lésion du
lobe
temporo-occipital gauche : 2° On soupçonne l'ex
2° On soupçonne l'existence d'un abcès encéphalique ; est-il dans le
lobe
temporo-occipital, ou dans le cervelet ? Dans l
antrotomie avec craniotomie moyenne, appliquée à la cure des abcès du
lobe
temporo-occipital; 2° L'attico-antrotomie avec
ut, en effet, « une ponction, dirigée en haut et en arrière, en plein
lobe
occipital, qui ramena enfin un pus crémeux, épais
on, étendus entre les centres du langage et les centres sensoriels du
lobe
occipital. L'évidement pétreux devra atteindre
al, on aperçoit la dure-mère cérébrale qui tapisse la face externe du
lobe
occipital. PHOTOTYPIE PEUSER BUENOS AIRES I
P. CONI FRÈRES Sur cette planche, on peut étudier la topographie du
lobe
temporo-occi pi ta l, du sinus latéral et du cerv
té conservée en grande partie. On aperçoit toute la face externe du
lobe
temporo sphénoïdal, limitée en haut par la scissu
s. On trouve, en arrière de la ligne pointillée, la face externe du
lobe
occipital avec ses trois circonvolutions, une par
terne du lobe occipital avec ses trois circonvolutions, une partie du
lobe
pariétal (gyrus ancjalaris ou pli courbe), et, en
éoccipitale de Meynert. En arrière, il limite, sur la face externe du
lobe
postérieur-supérieur du cervelet, une zone à trav
marque le grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr, qui sépare les
lobes
postérieur-supérieur et postérieur-inférieur du c
ale, élevée sur l'axe du méat auditif externe, passe par le milieu du
lobe
temporo-sphénoïdal. Une ligne verticale, tracée
e segment postérieur de la capsule interne, la couronne rayonnante du
lobe
temporal, le segment sous-lenticulaire de la caps
4° parmi les faisceaux d'association : le cingulum qui appartient au
lobe
limbique supérieur ou circonvolution calloso-mar-
o-frontal, le faisceau arqué étendu entre la troisième frontale et le
lobe
temporal, le faisceau longitudinal inférieur qui
be temporal, le faisceau longitudinal inférieur qui unit en partie le
lobe
occipital aux lobes temporaux et frontaux, et, en
sceau longitudinal inférieur qui unit en partie le lobe occipital aux
lobes
temporaux et frontaux, et, enfin, des fibres temp
lobule fusiforme, l'hippocampe, la corned'Ammon, la godronnée et les
lobes
supérieurs du cervelet; 3°parmi les fibres de pro
e sont destinées à montrer les rapports de l'antre mastoïdien avec le
lobe
temporo-sphénoïdal. Le troisième sillon temporal
oblique en bas et en dehors de la tente du cervelet. Elle sépare les
lobes
supérieurs du cervelet du lobule fnsiforme et de
bules fusiforme et lingual, l'isthme cunéo-limbique, leprécunéus, les
lobes
supérieurs et inférieurs du cervelet, la luette,
s latéral s'insinue entre la troisième circonvolution temporale et le
lobe
supérieur-moyen du cervelet. A gauche, au-dessu
liné en bas et en dehors, sépare les lobules fusiforme et lingual des
lobes
supérieur-antérieur et supérieur-moyen du cervele
gual et fusiforme, le pôle temporal, la circonvolution godronnée, les
lobes
supérieur-postérieur, supérieur-moyen, inférieur-
e la face supérieure du cervelet des lobules fusiforme et lingual. Le
lobe
supérieur-moyen répond en avant à la fosse sub-ar
. Le lobe supérieur-moyen répond en avant à la fosse sub-arcuata ; le
lobe
supérieur-postérieur confine en arrière au sinus
le lobe supérieur-postérieur confine en arrière au sinus latéral; le
lobe
inférieur-moyen est en rapport, en avant, avec le
ou supra-marginalis, première, deuxième et troisième temporales, les
lobes
supérieur-moyen, supérieur-postérieur, inférieur-
haut et en arrière, sépare la troisième circonvolution temporale des
lobes
supérieur-moyen et supérieur-postérieur du cervel
a découvert, en avant, l'épiglotte; en arrière, elle a sectionné les
lobes
occipitaux. Celte coupe n'est pas symétrique. A d
u'une lésion unilatérale d'une partie de la substance cérébrale des
lobes
postérieurs produit, sur l'oeil du côté opposé,
nes, de la couche optique, et des faisceaux qui s'irradient dans le
lobe
occipital. Je dois ajouter que, comme les premi
niaient par conséquent que la sphère visuelle fût confinée dans le
lobe
occi- "pital, comme l'enseignait Munk. Frappés
de leurs expériences sur la décortication du gyrus angulaire et du
lobe
occipi- tal des singes, qu'une lésion unilatéra
, comme la conséquence de la destruction du gyrus angulaire, non du
lobe
occi- pital : « Le centre visuel du singe ne pe
pital : « Le centre visuel du singe ne peut être confiné dans le
lobe
occipital ; il doit comprendre encore tout le g
, et lui associent « une grande partie, sinon toute la convexité du
lobe
occipi- tal ». Mais ils croient encore à l'exis
uccessivement à un singe l'écorce des deux plis courbes et celle du
lobe
occipital, bref, les centres de la vision selon
ité de l'écorce chez le chien, puisque les lésions destructives des
lobes
temporaux et frontaux ont déterminé des trouble
frontaux ont déterminé des troubles de ce genre, comme celles des
lobes
pariétaux et occipitaux. Peut-être l'écorce de la
l'ablation uni ou bilatérale de parties plus ou moins étendues des
lobes
frontaux ou des lobes temporaux sont transitoir
érale de parties plus ou moins étendues des lobes frontaux ou des
lobes
temporaux sont transitoires , ceux que détermin
sont transitoires , ceux que détermine l'extirpation bilatérale des
lobes
occipitaux et pariétaux sont permanents. En out
x sont permanents. En outre, alors que les lésions peu étendues des
lobes
frontaux ou tem- poraux peuvent ne donner lieu
tion appréciable de la vision , les lésions, même limi- tées, des
lobes
pariéto-occipitaux, déterminent tou- jours des
e la vision sont exclusivement localisés, chez les chiens, dans les
lobes
occipito-pariétaux, si bien qu'on devrait attri
st vrai, mais constants, consé- cutifs aux lésions destructives des
lobes
frontaux et temporo-sphénoïdaux ? Mais, dans le
la vision observés par Hitzig après l'ablation de la pointe d'un
lobe
frontal, on ne peut arguer de la proximité de c
pointe d'un lobe frontal, on ne peut arguer de la proximité de ce
lobe
avec les régions occipito-pariétales. D'autre p
a chienne S et chez le chien X, après l'extirpation de l'écorce des
lobes
temporaux, les trou- bles visuels ont persisté
sphères, avec d'autres centres corticaux, et, en rayonnant vers les
lobes
frontaux et les lobes temporo- Il sphénoïdaux,
centres corticaux, et, en rayonnant vers les lobes frontaux et les
lobes
temporo- Il sphénoïdaux, elle se trouve être en
hez le chien, d'après la dernière ma- nière de voir de Luciani, les
lobes
occipitaux et parié- taux représentent, en somm
et que ce centre n'est en rapport anatomique direct avec les autres
lobes
du cerveau que par les irradiations décroissant
leur envoie. De même pour les singes. «.Nul doute que l'écorce des
lobes
occipitaux des singes ne représente la partie c
démontrer que les sphères visuelles du singe s'irradient vers les
lobes
pariétaux, en particulier vers l'écorce des pli
es irradiations des centres de la vision du singe dans l'écorce des
lobes
pariétaux n'ont point, pour ces animaux, une pl
portance que les irradiations des centres visuels du chien dans les
lobes
frontaux et temporaux 2. » Il res- tait encore
» Il res- tait encore à rechercher si la décortication étendue du
lobe
temporo-sphénoïdal du singe donnerait lieu, com
l'extirpation d'un gyrus angulaire, à la réaction inflammatoire du
lobe
occipital, surtout à la lésion des faisceaux op
ques qui, des ganglions d'origine des tractus optiques, gagnent les
lobes
occipitaux en passant sous l'écorce du pli cour
ait presque aussi fort que le fais- ceau croisé. L'extirpation d'un
lobe
occipital produit donc une hémianopsie bilatéra
e, ne seraient associés qu'avec une région distincte de l'écorce du
lobe
occipital (le point A). L'ablation d'un point d
homonyme au côté opéré, non pas seulement après l'extirpation d'un
lobe
occipital, mais après l'ablation étendue d'un l
extirpation d'un lobe occipital, mais après l'ablation étendue d'un
lobe
pariétal ou d'un lobe temporal; 2° les extirpat
occipital, mais après l'ablation étendue d'un lobe pariétal ou d'un
lobe
temporal; 2° les extirpations partielles bilaté
'un lobe temporal; 2° les extirpations partielles bilatérales des
lobes
occipitaux, c'est-à-dire des sphères visuelles de
hémianopsie consécutifs aux larges extirpa- tions unilatérales 'des
lobes
occipital, pariétal ou temporal, sont aussi peu
itoires. Il en est de même chez les singes après l'extirpation d'un
lobe
occipital entier. Il faut donc admettre, dit Lu
elle aussi, au delà LES FONCTIONS DU CERVEAU.. 43 des limites du
lobe
occipital, et que chaque partie du centre de la
êmes régions centrales. On conçoit ainsi comment l'extirpation d'un
lobe
occipital, pariétal ou temporal, causera de l'h
tortures normales'. Mais, chez les oiseaux, si l'ex- tirpation des
lobes
cérébraux est complète des deux côtés, la cécit
echerches expérimentales. Les lésions étaient localisées dans les
lobes
pariétal, occipital, ou dans les deux, pariétal e
la vision ne sont ni dans le gyrus angulaire (Ferrier) ni dans le
lobe
occipital (Munk), considérés isolément, mais dans
e la con- tiguïté anatomique du lobule pariétal inférieur avec le
lobe
occipital, doit correspondre à des rapports physi
les centres sensoriels de l'oeil et de la vision. Les fonctions du
lobe
pariétal, en dehors de la pa- riétale ascendant
s de l'oeil et de la vision ont été, entre autres, localisés sur le
lobe
pariétal, mais aucune de ces loca- lisations n'
che et des lèvres; en arrière, aux ré- gions psycho-sensorielles du
lobe
occipital. La partie an- térieure du lobule par
e dans lesquels on trouve, comme caractères commun, une lésion du
lobe
occipital : dans cinq cas même, la lésion est exc
al : dans cinq cas même, la lésion est exclu- sivement limitée à ce
lobe
. Dès que l'examen du fond de l'oeil n'a révélé
t bien d'établir une relation entre l'hémiauopsie et les lésions du
lobe
occipital, que le processus se limite à l'écorc
ans un cas de Westphal), et il existait en même temps une lésion du
lobe
occi- pital. , , - Les conclusions que Seppil
écidément en faveur de la doctrine qui, chez l'homme, considère les
lobes
occipitaux comme les organes, non pas exclusifs
ale. L'hémianopsie bilatérale homonyme, consécutive à la lésion d'u
lobe
LES FONCTIONS DU CERVEAU. SI occipital démont
LES FONCTIONS DU CERVEAU. SI occipital démontre que chacun de ces
lobes
est en rapport avec la moitié homonyme de chacu
l'hémisphère opposé ! En outre, dans deux cas, ce n'était pas le
lobe
occipital, mais le lobe frontal et le lobe tem-
En outre, dans deux cas, ce n'était pas le lobe occipital, mais le
lobe
frontal et le lobe tem- poral qui étaient trouv
x cas, ce n'était pas le lobe occipital, mais le lobe frontal et le
lobe
tem- poral qui étaient trouvés atteints. « Ces
s cas, on pourrait les expliquer, disait Seppilli, en disant que le
lobe
frontal et le lobe temporal reçoivent des irrad
les expliquer, disait Seppilli, en disant que le lobe frontal et le
lobe
temporal reçoivent des irradiations des nerfs o
en ce mode d'explication : les affections exactement limitées aux
lobes
frontaux ou aux lobes temporaux ne provoquent p
tion : les affections exactement limitées aux lobes frontaux ou aux
lobes
temporaux ne provoquent point de troubles visue
n devrait donc être attribué à une action exercée à distance sur le
lobe
occipital par les régions encéphaliques malades
hémianopsie bila- térale homonyme consécutifs à la lésion d'un seul
lobe
occipital. Elles ont été faites sur des malades
e chez les singes, les centres de la vision ne sont pas limités aux
lobes
occipitaux, mais s'irradient dans les circonvol
izza, et que cette observation d'anophthalmie congénitale, où les
lobes
occipitaux ont été trouvés atrophiés, confirme le
es occipitaux ont été trouvés atrophiés, confirme le fait que « ces
lobes
sont bien une des origines réelles des nerfs op
rophier » , atrophie résultant de l'inactivité fonctionnelle de ces
lobes
par suite d'a- bsence complète de la vue. Tartu
s corps genouillés, des tubercules quadrijumeaux et de la pointe du
lobe
occipital chez de jeunes lapins dont il avait é
2. Inversement, dans un cas de porencéphalie portant sur les deux
lobes
occipitaux, publié par Monakow ? ' Eugenio Giov
t d'un foetus humain de huit mois environ auquel manquaient tout le
lobe
occipital des deux côtés et une partie du lobe
l manquaient tout le lobe occipital des deux côtés et une partie du
lobe
pariétal. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 3 atrop
ques, comme chez les mammifères (chats, lapins) dont on extirpe les
lobes
occipitaux les premiers jours après la naissanc
entres optiques infracorticaux n'envoient de radiations que dans le
lobe
occipital, non dans le lobe temporal aussi, et
ux n'envoient de radiations que dans le lobe occipital, non dans le
lobe
temporal aussi, et que le corps genouillé inter
i, et que le corps genouillé interne n'est pas en rap- port avec le
lobe
occipital, mais avec le lobe temporal. Tout ce
interne n'est pas en rap- port avec le lobe occipital, mais avec le
lobe
temporal. Tout ce qu'ont écrit Luciani et Seppi
res visuels infracorticaux ou basilaires, depuis la rétine jusqu'au
lobe
occipital. · Nous terminerons ce chapitre, cons
rs; c'est toute une étude à faire. Les cas de lésion destructive du
lobe
occipital ont souvent été précédés de processus
al, à Gowers, à Monakow, où existaient, à l'autopsie des lésions du
lobe
occipital. Tamburini et Riva, dans un récent tr
dont les limites lui semblent bien dépasser aujourd'hui celles du
lobe
temporal : ce centre enverrait des irra- diatio
s du lobe temporal : ce centre enverrait des irra- diations dans le
lobe
pariétal, le lobe frontal, la cir- convolution
: ce centre enverrait des irra- diations dans le lobe pariétal, le
lobe
frontal, la cir- convolution de l'hippocampe et
ne observation clinique décisive de surdité par lésion corticale du
lobe
temporal. Ce qu'il a surtout étudié avec prédil
ux de surdité verbale, situe la lésion de cette affection dans le
lobe
temporal gauche, surtout dans la Ti, mais il ét
PHYSIOLOGIE. pli courbe, mais aussi celles des circonvolutions du
lobe
occipital. Quoique considérée généralement comme
(Nebenwirkung), et résulter d'une action à distance exercée sur le
lobe
temporal gauche par un processus morbide d'une
parole, un foyer de ramollissement occupait la moitié antérieure du
lobe
temporal gauche, mais la T était ' Cattani a pu
mblées dans la littérature, sur les localisations pathologiques des
lobes
temporo-sphénoïdaux (Le localiaioni delle malade
ions, assez négatives, de ce clinicien, disent entre autres que ces
lobes
peuvent être lésés sans donner heu à aucun symp
et la clinique ont trouvé touchant les fonctions et les rapports du
lobe
temporal avec les nerfs acoustiques '. Quant à
ogica délia paralisi progressiva, etc.)0)it constaté des lésions du
lobe
temporal, de la T, eu particulier, dans des cas
genouillé interne s'atrophie secondai- rement après extirpation du
lobe
temporal, ce qui montrait assez, les fonctions
pation du lobe temporal, ce qui montrait assez, les fonctions de ce
lobe
étant connues, que le nerf acoustique propremen
halique du nerf acoustique, depuis le limaçon jusqu'à l'écorce du
lobe
temporal, à travers quelques-unes des princi- p
nte ans. Dans les deux cas, il existe un arrêt de développement des
lobes
temporaux au regard des autres régions cérébral
inges), Luciani a noté que ce centre s'irradie certainement dans le
lobe
pariétal, moins dans le lobe temporal, et que,
entre s'irradie certainement dans le lobe pariétal, moins dans le
lobe
temporal, et que, sur la face externe des hémis
rveux du grand hippocampe subiraient, comme celles qui émanent du
lobe
occipital, une décussation partielle avant de se
errier, de Munk et de Luciani touchant les rapports fonctionnels du
lobe
et du bulbe olfactif avec ces régions. Au congr
rhagiques. Deux grands infarc- tus hémorrhagiques existant à chaque
lobe
occipital, plus étendus à celui du côté droit.
foyer hémorrhagique de la grosseur d'une lentille. Il y a aussi au
lobe
pariétal droit trois petits foyers.-Enfin un gr
nfin un grand infarctus hémorrhagique déforme triangulaire siège au
lobe
temporal gauche : la branche artérielle qui y c
de la vie extra-utérine : on a soumis la subslance corticale de ses
lobes
occipitaux à une excitation par un courant indu
égion que pour la zone psychomotrice. Pour la substance blanche des
lobes
occipi- taux, les résultats diffèrent. Ainsi, l
es phénomènes résultant de l'excitation de la substance blanche des
lobes
occipitaux : Dans ce but, l'expérimentateur excis
la région psychomotrice et excite ensuite la substance blanche des
lobes
occipitaux : la déviation des yeux appa- rait a
els. Elle apparaît encore lorsqu'on excite la substance blanche des
lobes
occipitaux après avoir fait une section transve
transversale de un centimètre et demi de profondeur, sépa- rant les
lobes
antérieurs des lobes postérieurs ou après avoir p
ntimètre et demi de profondeur, sépa- rant les lobes antérieurs des
lobes
postérieurs ou après avoir pra- tiqué des secti
146 REVUE DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. conclusions suivantes : Les
lobes
occipitaux paraissent dépourvus de centres anal
rès laquelle les mouvements oculaires observés dans l'excitation du
lobe
occipital sont le résultat de sensations optiqu
ans leurs recherches. Les expériences sur l'extrémité antérieure du
lobe
frontal n'ont donné aucun résultat, mais en arr
ncent nettement. L'ablation du tiers ou du quart antétieur des deux
lobes
frontaux n'a amené aucune paralysie, ni aucun t
ale ascendante et de la frontale ascendante, ainsi qu'une partie du
lobe
frontal adjacent. Sur une grande partie de cette
; REVUE DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. 149 portion de la surface du
lobe
frontal au niveau de son bord supé- rieur. Les
uses, concordent avec celles de Munk et de Ferrier et Yeo. Les deux
lobes
occipitaux et les gyrus angulaires sont en rappor
observations corroborent les assertions de Munie que la lésion des
lobes
occipitaux produit l'liémiauopsieï.Afaisla visi
ieï.Afaisla vision imparfaite qui subsiste aprèsl'ablation des deux
lobes
occipitaux fait penser que l'aire de la conscienc
enser que l'aire de la conscience visuelle n'est pas confinée à ces
lobes
, comme le pensait Munk, mais s'étend au gyrus a
ation subséquente de cette circonvolution. Leurs expériences sur le
lobe
temporo-sphénoïdal prouvent enfin qu'il est en
circonvolutions et que toutes fibres rayonnantes qui rejoignent le
lobe
frontal et le lobe pariétal au tronc, ont subi
que toutes fibres rayonnantes qui rejoignent le lobe frontal et le
lobe
pariétal au tronc, ont subi une telle dégénéres
ée de plus de moitié par rapport à celle de gau- che, tandis que le
lobe
occipital et le lobe temporal sont demeurés pre
par rapport à celle de gau- che, tandis que le lobe occipital et le
lobe
temporal sont demeurés presque intacts. l.a cou
ed du pédoncule cérébral contient des trousseaux de fibres issue du
lobe
temporal et des régions du lobe pariétal, en arri
t des trousseaux de fibres issue du lobe temporal et des régions du
lobe
pariétal, en arrière de circonvolutions ascenda
, pour de ce rendez-vous gagner ensemble le pied du pédoncule. Le
lobe
occipital n'envoie pas de faisceaux directs dans
pe près du tiers de la substance grise, et s'accroît encore dans le
lobe
occi- pital par l'interposition d'une couche de
blanche. 186 PATHOLOGIE MENTALE. La coupe d'une circonvolution du
lobe
occipital gauche à la face externe de l'hémisph
e que dans les régions motrices gauches. La première frontale et le
lobe
occipital droits sont à peu près semblables aux
on approche le doigt de l'oeil, les paupières se referment, mais le
lobe
oculaire est complètement t immobile. Si l'on p
cécité expérimentale chez un chien, produite par ablation des deux
lobes
occipitaux. Cet ani- mal voit encore pour se co
N. - Observation de trois lacunes dans la substance céré- brale des
lobes
pariétal et frontal de l'hémisphère gauche, chez
xie répétées (hémorrhagies cérébrales), occupent la face médiane du
lobe
frontal et la convexité du lobe pariétal. Elles
rales), occupent la face médiane du lobe frontal et la convexité du
lobe
pariétal. Elles ne se sont traduites par aucun
ie mé- ninges très adhérentes au cerveau. Examen histologique. a.
Lobe
frontal de l'hémisphère gauche. - Les méninges
l'atrophie que l'on peut observer sur les coupes. Sur une coupe du
lobe
pariétal, les lésions sont absolument du même o
surtout aux points de pénétration des capillaires. Sur une coupe du
lobe
occipital, une portion assez considérable de su
Examen U1STOLOG ! QUE. - Coupe d'une circonvolution prise dans le
lobe
frontal. - La substance grise est très mince ; on
des couches profondes sont groupées par petits îlots, comme dans le
lobe
frontal; même rareté des éléments pyramidaux ;
périvasculaires très dilatés. Dans une circonvolution prise sur le
lobe
occipital, les foyers de désintégration, à cent
és des cris, accès de colère, etc. Examen IIISTOLOGIQUE. -Coupes du
lobe
paracentral droit. - Les couches de la substanc
raissent résulter de la fusion d'anciens corps granuleux. Dans le
lobe
paracentral gauche, on constate des lésions exac-
entre eux, elle offre les mêmes caractères que ci-dessus. Dans le
lobe
occipital, l'état est le même. Il existe autour d
ent profond des circonvolutions. Examen IIISTOLOGIQLE. - Coiipes du
lobe
frontal droit. La pre- mière couche est très ré
ion se retrouve sur les pièces montées à .la glycérine. Coupes du
lobe
occipital gauche. Il présente aussi de l'amai-
On retrouve les mêmes désordres dans les régions motrices, dans le
lobe
occipital. Là toutefois, elles sont moins accentu
érieure de l'aé- misphère droit. Examen histologique. - Coupes du
lobe
frontal droit, état géla- tiniforme. Picro-cazm
mais seulement un grand nombre de corpuscules amylacés. Coupes du
lobe
occipital, atrophié. Même vascularisation ; l'esp
droite, présente à l'au- topsie un arrêt de développement des deux
lobes
frontaux, et de la méningo-encéphalite chroniqu
ique sur les coupes laissées vingt-quatre heures dans ce réactif.
Lobe
occipital droit en dehors de la lésion. Vaisseaux
lcool sur la pièce. Cerveau. Hémisphère gauche. - Il existe dans le
lobe
frontal une vascularisalion très développée ave
inés. Nombreux corps granuleux dans la substance blanche. Dans le
lobe
occipital, on retrouve, à côté de points normaux
aux sont très dilatés, les corps granuleux sont très abondants. ,
Lobe
occipital. Les coupes du lobe occipital, au nivea
orps granuleux sont très abondants. , Lobe occipital. Les coupes du
lobe
occipital, au niveau d'un foyer plus étendu que
s (C.), la sécrétion longitudinale commence à reprendre (baume). 2°
Lobe
occipital (Schad.). De la pie-mère (A) partent de
iesse, dans le coin et dans la première cirvonvo- lution externe du
lobe
occipital, d'autres fonctions de la vision que
occipital, d'autres fonctions de la vision que dans le reste de ce
lobe
. , S'il suffit au médecin et au chirurgien de c
ée. Nothnagel incline certaine- ment à localiser ceux-ci dans les «
lobes
pariétaux », où, depuis longtemps déjà, il a lo
ue de la nature des paralysies corti- cales motrices. Selon lui, le
lobe
pariétal soutiendrait les mêmes rapports avec l
drait les mêmes rapports avec les circonvolutions centrales et le
lobe
paracentral, que la circonvolution de Broca, pa
terminer une paralysie pure de l'hypoglosse. De même, une lésion du
lobe
pariétal pourrait produire une ataxie pure des
ieurs de la moelle, pour les reconnaître chér- les animaux dont les
lobes
antérieurs du cerveau ont été extirpés. Ce que
s fonctions de la zone motrice. Il a donc localisé ailleurs, sur le
lobe
pariétal, les centres des sensa- tions tactiles
exemple, entre le bord postérieur du gyrus sigmoïde et la pointe du
lobe
occipital, pro- duit une déviation conjuguée de
prouvé que les mouvements des yeux observés dans l'ex- citation du
lobe
occipital ne peuvent être de natuie réflexe, c'es
s optiques subjectives, car, après l'ablation totale de l'écorce du
lobe
occipital, ces mouvements se produisent avec une
c une parfaite identité lorsqu'on excite la substance blanche de ce
lobe
. Les lobes occipitaux dans leurs rapports avec
aite identité lorsqu'on excite la substance blanche de ce lobe. Les
lobes
occipitaux dans leurs rapports avec les fonctions
ts conjugués des yeux, déterminés par l'excitation de l'écorce du
lobe
occipital, ils n'ont apparu qu'après la fin du pr
veau fait certainement partie de cette aire : elle comprend donc le
lobe
frontal, de la,pointe des hémisphères jusqu'au
des hémisphères jusqu'au sillon crucial, et la moitié antérieure du
lobe
pariétal, représentée par la région postcrucial
radiations des perceptions tactiles n'at- teignent sans doute ni le
lobe
occipital, ni le lohe temporo-sphénoïdal, ni la
s; mais elles s'étendent sûrement jusqu'aux parties postérieures du
lobe
parié- tal (région F. de Munk). ' Voici d'ail
ait un état d'atro- phie et de dégénérescence plus accentué dans le
lobe
frontal gau- che qu'en tout autre point; il y a
ns son ensemble, mais d'une façon sensiblement plus marquée dans le
lobe
frontal; et celte lésion, joinle aux adhé- renc
s diffuses de texture siégeant de préférence dans l'écorce grise du
lobe
frontal gauche. Dans le second cas, comme dan
rébrale, ayant, selon tarègle, comme siège unique ou principal, les
lobes
fronto-pariétaux. Les lésions, con- sistant sur
lume d'une noix, que comprimait légèrement la partie postérieure du
lobe
temporal droit. Pendant la vie, cette tumeur n'
sion tonique termine la scène. Nothnagel a signalé dans l'écorce du
lobe
occipital, un endroit dont l'excita- tion, par
s (C.), la sécrétion longitudinale commence à reprendre (baume). 2°
Lobe
occipital (Schad.). De la pie-mère (A) partent de
misphère droit. Face externe. -Aspect général court et globuleux. -
Lobe
frontal. Circonvolutions bien contournées sépar
rande partie. Le fond de ce sillon est mince et membraniformc. - Le
lobe
pariétal de ce côté est réduit à une poche memb
DU cerveau. 23 substance cérébrale. Le pli courbe est atrophié. Le
lobe
occipital est formé de petites circonvolutions
tions plates, nota- blement diminuées de volume et atrophiées. - Le
lobe
tem- poral droit est d'aspect absolument sain d
e tiers postérieur participe à l'aplatissement et il, l'atrophie du
lobe
occipital. Face interne. - Fi a un aspect norma
ie du lobe occipital. Face interne. - Fi a un aspect normal mais le
lobe
paracen- tral la circonvolution du corps calleu
cérébrale recouvrant la poche membraneuse qui fait saillie vers le
lobe
pariétal it la face externe. Cette atrophie lai
ement de la poche hydrocéphalique s'est surtout opéré aux dépens du
lobe
pariétal. Hémisphère gauche Aspect général gl
néral globuleux, Circon- volutions compliquées, sillons nombreux.
Lobe
frontal. - Les trois circonvolutions sont bien dé
de8ylvius, profonde, laisse entrevoir le lobule de l'insula sain.
Lobe
pariétal. Rien de particulier. PA est bien dévelo
nu exemptes de toute lésion. Il en est de même du pli courbe. Le
lobe
occipital et le lobe temporal sont aussi d'appare
lésion. Il en est de même du pli courbe. Le lobe occipital et le
lobe
temporal sont aussi d'apparence normale. Face
e temporal sont aussi d'apparence normale. Face interne. - I ? le
lobe
paracentral, l'avant coin, le coin sont bien dé
out la circonvolution du corps calleux à sa partie antérieure. - Le
lobe
occipital et le lobe tempo- 24 IDIOTIE HYDHOCÉP
du corps calleux à sa partie antérieure. - Le lobe occipital et le
lobe
tempo- 24 IDIOTIE HYDHOCÉPHALIQUE. m-sphéno'i
ans tout le poumon, masse caséeuse de la grosseur d'une noisette au
lobe
moyen. - Poumon gauche. Infiltration tuberculeu
isette au lobe moyen. - Poumon gauche. Infiltration tuberculeuse du
lobe
supé- rieur. La plèvre diaphraumaliqlte est aus
ssi et rempli de granulations. - Foie hypertrophié surtout dans son
lobe
droit, mou, a subi la dégénérescence graisseuse
Pli cotcrhe (P3.), développé avec de petits sillons superficiels. -
Lobe
occipi- tal (L.O C.), circonvolutions grêles. (
L) et Corne d'Ammon (C'A.), saines (l'L. lII), Face inférieure du
lobe
frontal, ventricule latéral, couche optique, co
cielles. Scissure parallèle, semble assez accusée, s'étend jusqu'au
lobe
occi- pital. - l'ien21ère circonuolulion /Oonta
ineux, avec des sillons plus accentués que sur l'hémisphère gauche.
Lobe
occipital, circonvolutions 11'l'égulièl'es, -Pr
oin d'être symétriques. Cou. - Le corps thyroïde est volumineux, le
lobe
droit un peu plus gros que le gauche ; on ne tr
vre diaphragmatique; points atélectasiés au sommet; les deux autres
lobes
sont fortement congestionnés. - Les ganglions 1
culose pulmonaire. - Lésions ménin- gitiques de la face interne des
lobes
frontaux. Cur.. (Ulysse), né à Mussy-sur-Seine,
des sillons peu profonds. - Le pli courbe (P3.) est normal. - Le
lobe
occipital (L.O.C.) est trôs-irrégulier parcouru p
la scissure de Sylvius, pli de passage très-développé qui l'unit au
lobe
pariétal. - La deuxième circonvolution temporal
aux supérieur et infé- rieur, ne présente rien de particulier. - Le
lobe
occipital est normal, entrecoupé de nombreux si
ère est étroit. Le coin, bien délimité, est de petite dimension. Le
lobe
occipital présente trois petits sillons qui s'e
re rien de particulier. Cou, - Pas de thymus, - Corps thyroïde : le
lobe
gauche est plus long que le droit; l'isthme est
la plèvre gauche. -Poumon droit : infiltration caséeuse de tout le
lobe
inférieur et d'une partie du lobe moyen. Masses
infiltration caséeuse de tout le lobe inférieur et d'une partie du
lobe
moyen. Masses tuberculeuses disséminées dans le
ne partie du lobe moyen. Masses tuberculeuses disséminées dans le
lobe
inférieur. Poumon gauche : cavité au sommet. In-
ne 11U ! ¡¡¡'nao-c11céphnl¡'te circons- crite à la face interne des
lobes
frontaux. C'est leur localisation et leur limit
n et leur limitation, avec un retentissement limité sur le reste du
lobe
frontal, qui a permis d'améliorer, dans d'assez
li- gne. - Autopsie : au cerveau, pie-mère adhérente au niveau du
lobe
temporal. Hydrocéphalie ventriculaire considérabl
s scissures principales offrent un aspect à peu près normal. - Le
lobe
frontal est formé de circonvolutions assez con-
llon de Rolando, assez pro- fond, est très légèrement sinueux. - Le
lobe
pariétal n'offre rien de particulier au niveau
et atrophiées qui finissent par disparaître absolument au niveau du
lobe
occipital et du lobe temporal. - Ces deux lobes
sent par disparaître absolument au niveau du lobe occipital et du
lobe
temporal. - Ces deux lobes se composent d'une min
olument au niveau du lobe occipital et du lobe temporal. - Ces deux
lobes
se composent d'une mince couche de substance gr
nlral n'offrent rien de bien anormal. - L'avant coin, le coin et le
lobe
temporo-sphénoïdal sont formés de circonvolutio
ventricule est épaisse, recouverte des circonvolutions au niveau du
lobe
frontal et du lobule P. S. ; elle forme seule,
ne légère couche de substance nerveuse, la plus grande partie des
lobes
temporal, temporo-sphénoïdal, occipital et le l
llons sont profonds et ont leur direction et leur aspect normaux, -
Lobe
frontal. Les quatre circonvolutions frontales s
ontournées, de nombreux plis de passage les relient entre elles. Le
lobe
pariétal, le lobe temporal, le lobe occipital n
eux plis de passage les relient entre elles. Le lobe pariétal, le
lobe
temporal, le lobe occipital n'ont rien de notable
age les relient entre elles. Le lobe pariétal, le lobe temporal, le
lobe
occipital n'ont rien de notable. (PL. VII.) F
IIICCLAIIlE : forme globuleuse. 99 pariétales, surtout au niveau du
lobe
P. S., sont très minces et translucides. La mem
ère droit de ces deux malades, les régions aplaties sont surtout le
lobe
quadrilatère et la partie postérieure de la cir
du corps calleux. (Chez Pint., il y a en outre un aplatissement du
lobe
temporal.) Sur la face con- vexe de chacun de c
chacun de ces mêmes hémisphères, l'aplatis- sement prédomine sur le
lobe
temporo-occipital chez Pint.. et sur la pariéta
e d'une légère inflammation. Des deux cotés, surtout il droite, les
lobes
frontaux sont formés de circonvolutions assez g
-fait dissemblables sur les deux hémisphères. Il en est de même des
lobes
<fnt)<0) ? \' dont les circonvolutions sont
ineuses, sinueuses et sillonnées il gauche. Les circonvolutions des
lobes
occipitaux sont assez grêles mais plus symétriq
anchement liquide. Pou- mon droit fortement congestionné à la base.
Lobe
inférieur du poumon gauche très congestionné ;
néale et piluitaire ne présen- tant rien de particulier. - Les deux
lobes
frontaux sont acco- lés dans leur quart postéri
, on enlève des fragments de substance surtout Ü la face interne du
lobe
frontal, sur le gyrus reclus, sur quelques poin
illon de Rolando, etc., etc.) y sont bien plus nettement accusés.
Lobe
, frontal. 1"r, F2, Pv ont. bien que très contourn
rès profonde la coupe un peu avant son union avec le pied de F A.
Lobe
pariétal. - l' 1 est parfaitement autonome. Kilo
position que ceux du coté gauche. . Cas suivis de décès.... 135 :
Lobe
temporal. - Comme il gauche T1 est nettement auto
he T1 est nettement auto- nome tandis que T2 et T3 sont unies. Le
lobe
occipital peut être divisé en trois petites circo
noyaux, un inférieur; isolé, un supérieur communiquant avec Fi. ,
Lobe
pariétal. PA est excessivement grêle ; elle bifur
en bas et communique en avant avec FA, en arrière avec le reste du
lobe
pariétal. Elle se termine en haut d'une façon a
, un peu contournées,- surtout le lobule pariétal inférieur.. ; -
Lobe
occipital. Rien de bien particulier; les circonvo
obe occipital. Rien de bien particulier; les circonvolutions, de ce
lobe
paraissent n'être que la continuation et les dépe
lobe paraissent n'être que la continuation et les dépens dances des
lobes
voisins. Lobe temporal. T, a son autonomie. Un
'être que la continuation et les dépens dances des lobes voisins.
Lobe
temporal. T, a son autonomie. Un peu grêle vers l
oïde. Cas suivis de décès. li7 148 Epidémie DE fièvre typhoïde.
Lobe
pariétal. PA est beaucoup moins développée que FA
ucoup moins développée que FA. Les parties moyenne et inférieure du
lobe
pariétal sont le siège de nombreuses adhérences
obe pariétal sont le siège de nombreuses adhérences des méninges.
Lobe
temporal. T, est régulière et bien développée. tu
l leur région pos- térieure le siège de nombreuses adhérences. Le
lobe
occipital forme une petite région autonome divisé
ent de nombreux sillons. Face interne. FI est très-contournée, - Le
lobe
paracen- lral est peu développé en arrière de l
x. Les autres sillons sont aussi nettement marqués. Face externe.
Lobe
frontal. 1 ? ].'2 et ].'3 assez contour- nées,
est plus grêle et moins développée que ses deux tiers antérieurs.
Lobe
pariétal. PA est régulière et indépendante, son
constatée sur le LPl, mais ses circonvolutions sont plus grosses.
Lobe
temporal. - TI est très nette et bien distincte d
hérences méningitiques existent à la partie postérieure de Ta. Le
lobe
occipital forme trois petites circonvolutions trè
oint de vue morphologique. Face interne. Rien à noter pour Fi. - Le
lobe
paracentral a sa partie postérieure peu dévelop
ne disposition normale. Rien à dire sur l'aspect de CCC, du C.C. du
lobe
temporo-occipital, de l'hippocampe, des ventric
es scissures de Sylvius, de Rolando et perpen- diculaire externe.
Lobe
frontal. FI est assez contournée, coupée d'incisu
ment avec F. A. F. A., irrégulière, n'offre aucune particularité.
Lobe
pariétal. - P.A. présente à son milieu plusieurs
mêmes caractères que sur l'hémisphère opposé. Il en est de même au
lobe
occipital et au lobe temporal, Tl, cependant es
sur l'hémisphère opposé. Il en est de même au lobe occipital et au
lobe
temporal, Tl, cependant est coupée par beaucoup
Mêmes caractères que sur le côté opposé : aplatissement notable du
lobe
paracentral, de l'avant-coin, du coin, de la ci
les sillons peu profonds à cause de la dilatation ventriculaire.
Lobe
frontal. - F4 offre trois plis de passage avec F2
et un pli de FI et une supérieure qui va rejoindre le pied de F1.
Lobe
pariétal. P A a une configuration des plus irrégu
grêles et sont coupées en tous sens par de petites incisures. - Le
lobe
occipital est formé de circonvolutions irréguli
de circonvolutions irrégulières qui n'offrent rien à signaler. - Le
lobe
temporal se compose de Tl, très mince dans son
ricules offre son maximum au niveau de la région rolandique et du
lobe
pariétal. La corne sphénoïdale est aussi dilatée,
ice. Foie : fausse membrane épaisse sur la face inférieure de son
lobe
droit ; rien ailleurs. - Rate un peu hypertrophié
cause des nombreuses adhérences de cette membrane. ('L. XII). Le
lobe
pariétal n'offre pas de sclérose sur PA, ni sur l
de haut en bas, est divisé en deux par le sillon paral- lèle. Le
lobe
occipital est sclérosé au niveau de l'extrémité d
la continuation du noyau pariétal, occupe la moitié postérieure du
lobe
occipital. Sclérose tubéreuse. 193 Un autre n
petit, d'un centimètre environ, existe il la jonction de T3 avec le
lobe
occipital. · Le lobe temporal présente vers la
environ, existe il la jonction de T3 avec le lobe occipital. · Le
lobe
temporal présente vers la corne sphénoïdale un'
en arrière. T, n'est alors sclérosée que vers son pied au niveau du
lobe
pa- riétal. T2 vers sa partie moyenne s'unit iL
, continua- tion de la zone de la face externe. Rien à noter sur le
lobe
paracentral. Le lobule quadrilatère présente à
s sur un grand nombre des circonvolutions non sclérosées. Cou. Le
lobe
droit du corps thyroïde est un peu plus gros qu
(5 gr.). - Quelques traces du thymus. Thorax. Congestion légère du
lobe
inférieur du lJOI(llI01t l3oummLLL, Bicêtre, 18
Technique. ? Après fixation par lu solution de formol aL 10 0/0, le
lobe
occipital a été divisé en plusieurs blocs par d
s, névroglie, tissu conjonctif et vaisseaux). Ainsi, au niveau du
lobe
occipital tout entier, nous avons pu étudier l'
ir- convolution, le centre ovale proprement dit. Rappelons que le
lobe
occipital, à l'oeil nu, présentait les mêmes no
les mêmes circonvolutions, légè- rement atrophiées, que les autres
lobes
; nous pouvons donc, avec toute vraisemblance,
s pouvons donc, avec toute vraisemblance, conclure des lésions du
lobe
occipilal aux lésions de l'hémisphère tout entier
p, scissure parallèle. Se. t2., deuxième scissure temporale. L 0,
lobe
orbitaire. 1 ? F2, Fez, première, seconde et tr
tal supérieur. P2, pli pariétal inférieur. P3, pli courbe. LOC,
lobe
occipital. Tl, T ? T-3, première, deuxième et t
C C C, circonvolution du corps calleux. C C, corps calleux. LP,
lobe
paracentral. LQ, lobe quadrilatère ou avant-coi
du corps calleux. C C, corps calleux. LP, lobe paracentral. LQ,
lobe
quadrilatère ou avant-coin. · C, coin. T o2.,
présente des adhérences au niveau du pli parié- tal inférieur et du
lobe
frontal. La décortication néanmoins s'opère ass
eur paraît bien développé. FA est très volumineuse. Rien à noter au
lobe
pariétal, ni au pli courbe, si ce n'est des adh
si ce n'est des adhérences nombreuses au niveau de leur jonction au
lobe
temporal et à la partie supé- rieure et postéri
quelques adhérences. b) Face interne, Lobule paracential, cuneus,
lobe
occi- pital, etc., rien de particulier. Hémis
olandique est très développée et sépare complètement FA du reste du
lobe
frontal. Cette scissure se continue du reste av
émisphère n'offre guère d'intérêt, ce n'est la région inférieure du
lobe
parié- tal et la région supérieure des lobes te
la région inférieure du lobe parié- tal et la région supérieure des
lobes
temporal et occipital qui présente des traces d
ticulier à noter. Traces d'adhérences assez nombreuses au niveau du
lobe
orbitaire. Les couches optiques paraissent un
II. Idiotie symptomatique d'un ancien foyer (pseudo- kyste) du
lobe
temporal gauche et de méningite de l'hémisphère
Antécédents. H du tubercule mamillaire gauche; pseudo ? t/sfe du
lobe
gauche; tuberculisation pulmonaire, ganglionnai
ame antérieure est emphyséma- teuse, ainsi que le bord antérieur du
lobe
inférieur. Quelques tubercules très-petits au s
comme un pois, tout près du hile droit dans le tissu pulmonaire du
lobe
supérieur. 20 Tuberculose généralisée. Poumon
ommet, la languette antérieure, les bords supérieur et inférieur du
lobe
inférieur sont emphy- sémateux. A la coupe du l
et inférieur du lobe inférieur sont emphy- sémateux. A la coupe du
lobe
supérieur, quelques tubercules. dont l'un, gros
frontale ascendante. Même lésion de la partie la plus supérieure du
lobe
pariétal. Adhérences nom- breuses de la pie-mèr
dhérences nom- breuses de la pie-mère au niveau du pli courbe. Le
lobe
occipital est fort peu développé ; les circonvolu
y sont très petites, très tortueuses, mais saines en apparence. Le
lobe
temporal, sain en avant, présente sur la partie p
2- temporale et au niveau des plis de passage, au pli courbe et au
lobe
occipital un foyer très net de sclérose atrophi
plus nombreuses sur cet hémisphère que sur l'hémisphère gauche. Le
lobe
frontal présente une bande d'atrophie obli- que
pas très altéré. Légère atro- phie de la partie toute supérieure du
lobe
pariétal. En arrière et au-dessous du pli courb
ffrent à ce niveau l'apparence d'un amas d'anneaux de tinta. . Le
lobe
temporal, sain en avant, présente en arrière des
t moins intense que les précédentes. La partie toute postérieure du
lobe
occi- pital semble saine. La circonvolution du
ant avec la lésion du coin droit et le manque de déve- loppement du
lobe
occipital gauche. VIII. Mentionnons enfin l'adé
ée, tandis qu'à gauche, on trouvait de nombreuses adhérences sur le
lobe
tem- poro-sphénoïdal. Enfin si le lobe orbitair
nombreuses adhérences sur le lobe tem- poro-sphénoïdal. Enfin si le
lobe
orbitaire droit était exempt d'adhérences, on e
it était exempt d'adhérences, on en trouvait de nombreuses sur le
lobe
orbitaire gauche. Est-ce à cette méningo- encép
- Les hémisphères cérébraux paraisssent avoir la môme longueur. Les
lobes
occipitaux ne recouvrent que les deux tiers ant
le ascendante, le lobule pariétal supérieur en entier, ainsi que le
lobe
occipital Face interne. - En avant, les circonv
la face interne du lobule pariétal supérieur et la face interne du
lobe
occipital; sur la partie tout-à-fait postérieur
sale en II du lobule orbitaire ; en arrière, sclérose atrophique du
lobe
occipital semblable à celle des deux autres fac
gauche (140 gr.) un peu congestionné. Sur la partie postérieure du
lobe
inférieur, on trouve une cicatrice bleuâtre à l
tits noyaux crétacés. Poumon droit (330 gr.). Adhérences de tout le
lobe
supérieur. Le lobe moyen est le siège d'un vast
s. Poumon droit (330 gr.). Adhérences de tout le lobe supérieur. Le
lobe
moyen est le siège d'un vaste foyer de gangrène
a vome crânienne. 74 11É\I\GO-I;NCÉPH : 1LIT1; chronique. Tout le
lobe
pariétal présente des adhérences qui s'étendent
laisse apparaître le lobule de l'insula sans lésion apparente. - Le
lobe
te IJ1j)() l'il présente à la partie posté- rie
es méningées considéra- bles mais assez nettement circonscrites. Le
lobe
occipital offre à sa partie antérieure un aspec
- Face externe : Adhérences nom- breuses à la partie antérieure du
lobe
frontal sur tout le tra- jet de F3, moins conto
de Rolando. - Aspect chagriné de PA dans sa moitié inférieure et du
lobe
pariétal supérieur qui présente des tra- ces d'
niveau du pli courbe. Scissure de Syl- vius, lobule de l'insula et
lobe
occipital, rien de particulier. - Aspect chagri
e particulier. - Aspect chagriné et adhérences sur tout le tiers du
lobe
tem- poral. Face interne : 1 : normale. Lobul
du corps calleux et de sa circonvolution sur tout leur trajet. -
Lobe
ten¡p01'o,sphénoïclal d'aspect normal. Le trigone
TOIDE. 87 vrequi est assez épaisse. Tuberculose caséeuse de tout le
lobe
inférieur avec caverne considérable au centre.
170 gr.). Adhérences généralisées; sclérose pulmonaire complète des
lobes
inférieurs; caséification du lobe supérieur ave
sclérose pulmonaire complète des lobes inférieurs; caséification du
lobe
supérieur avec cavernes. rlbclomen.- Foie (75
aussi assez bien distinctes. Leur volupté est presque normal. Le
lobe
pariétal est séparé du lohe occipital par une sci
ons qui les séparent sont peu profonds. L'étage moyen occupé par le
lobe
tcmporo-spliénoïdal est à peine indiqué, la plu
rd supérieur. Ce porus est distant de 4 centimètres de la pointe du
lobe
frontal. Il est moins vaste que celui du côté g
ment dif- férenciables des circonvolutions de la face inférieure du
lobe
frontal, très rudimentaires et à peine séparées
peine séparées entre elles par de minces sillons peu accusés. Le
lobe
ton.poi'o-8pë)toMa est figuré par quelques circon
développement des cir- convolutions cle l'hémisphère et surtout du
lobe
frontal 104 Porencéphalie -vraie. n'a pas été
ns pas à la mettre sur le compte du défaut de dévelop- pement des
lobes
frontaux, défaut de développement qui a eu pour
éveloppement qui a eu pour conséquence l'absence de formation des
lobes
frontaux. On ne saurait mieux trouver pour mett
crâne ET cerveau. Pas de congestion de la pie-mère de la base. Les
lobes
frontaux sont un peu accolés à leur face intern
d'ailleurs facilement. Sur la face convexe, principalement sur le
lobe
frontal, sur les F A et P A, la pie-mère est un p
l n'est pas resté de pie-mère adhérente à la face infé- rieure du
lobe
frontal ; que la scissure de Sylvius n'est pour
. Légè- res adhérences. Très nombreux tubercules surtout dans les
lobes
supérieurs. - Poumon gauche (1150 gl'.) ; adhét'c
re. A peine note-t-on quelques adhérences à la partie inférieure du
lobe
pariétal surtout au niveau du pli courbe et sur
étal surtout au niveau du pli courbe et sur la partie inférieure du
lobe
tem- poral. La face interne est d'apparence abs
pré- sente à sa base et à son sommet des points d'emphysème. Les
lobes
adhèrent entre eux. A la coupe, le tissu intersti
ophie kystique, lésion que nous retrouverons plus accentuée dans le
lobe
pariétal et sur la description de laquelle nous
à son tiers supérieur. Le tobe pariétal et la partie postérieure du
lobe
temporal présentent une lésion toute particuliè
be sur le trajet de la seconde circonvolution temporale (T2). Les
lobes
temporaux et occipitaux sont fortement altérés,
lution du corps calleux atrophiée surtout dans son tiers antérieur.
Lobe
tem- poro-sphènoïdal bien moins atrophié. Altér
uses au tiers moyen des circon- volutions frontales et au niveau du
lobe
orbitaire. - FA et PA sont sans lésions. - Le l
et au niveau du lobe orbitaire. - FA et PA sont sans lésions. - Le
lobe
pariétal est déprimé et porte les traces de nom
rente de 1 ? du lobule paracentral, de l'avant-coin, du coin, ni du
lobe
temporu-sphé- noïdal. - Le corps calleux, sa ci
ui contraste singulièrement avec V induration du côté opposé. Les
lobes
du cervelet paraissent sains, mais le gauche est
iétales et viscérales. Emphysème interstitiel considérable des deux
lobes
supé- rieurs ; atélectasie du lobe inférieur. L
erstitiel considérable des deux lobes supé- rieurs ; atélectasie du
lobe
inférieur. Les bronches, sur une coupe, laissen
(125 gr.). Pas d'adhérences; emphysème interstitiel etlobulaire au
lobe
su- périeur surtout en avant ; atélectasie du l
l etlobulaire au lobe su- périeur surtout en avant ; atélectasie du
lobe
inférieur. Coeur (80 gr), pas d'anomalie, trou
u- larisée : iiiais on note une vascularisation très fine sur les
lobes
temporaux, pariétaux et occipitaux; la vascularis
sont bien dessinées, mais les scissures sont peu profondes. Sur le
lobe
pariétal, on peut noter un aspect chagriné de l
a pariétale ascendante, du pli courbe, des plis pariétaux. - Sur le
lobe
frontal, nous notons à la partie postérieure de
oit. - La pie-mère s'enlève très facilement. Les circonvolutions du
lobe
frontal ont un aspect chagriné. Elles affectent
ntuée. Les cir- convolutions occipitales ont un aspect normal. - Le
lobe
temporo-sphènoïdal a un aspect chagriné. La sci
uleux sont surtout nombreux au sommet et à la partie postérieure du
lobe
moyen. Pou- mon gauche (530 gr.). Lésions analo
e moyen. Pou- mon gauche (530 gr.). Lésions analogues; toutefois le
lobe
Réflexions. 181 supérieur est atteint d'un de
erne de la grosseur d'une noix occupe sa partie supérieure. Dans le
lobe
inférieur, les lésions sont les mêmes qu'à droite
ur les 2/3 antérieurs des hémisphères et à la partie antérieure des
lobes
temporaux. Ces infiltrations paraissent un peu
Il existe encore des plaques ecchymotiques sur toute l'étendue des
lobes
frontaux et sur les lobes pariétaux, principale
ues ecchymotiques sur toute l'étendue des lobes frontaux et sur les
lobes
pariétaux, principalement à droite, ainsi qu'à
pariétaux, principalement à droite, ainsi qu'à la partie moyenne du
lobe
temporal droit. Des amas purulents existent au
ences pleurales nombreuses des deux côtés. Induration de la base du
lobe
supérieur gauche, tiont les bronches laissent s
es altérations semblables à celles que nous avons constatées sur le
lobe
frontal. - La scissure perpendiculaire externe es
ulaire externe est très accentuée. Le lobule pariétal inférieur, le
lobe
occipital sont d'apparence normale. Rien sur Ti
rences nombreu- ses sur toute la surface de la région inférieure du
lobe
tem- poral. Face interne. Elle parait saine d
Thorax. Poumon droit (70 gr.), rosé, sain; il est divisé en trois
lobes
bien distincts. Aucune trace de lésions tuber-
ommet. Poumon gauche (75 gr.), sain, divisé imparfaitement en trois
lobes
, de coloration rosée. Cecllr 1;1;) gr.). L'orei
ochés et sont d'un rouge foncé. - I-0117-IOn gauche (138 gr.). Le
lobe
supérieur est sain. La partie la plus déclive d
rieur est sain. La partie la plus déclive de la face postérieure du
lobe
inférieur est occupée par des foyers de broncho
st atrophiée et n'a pas changé de couleur ni de consistance. Sur le
lobe
de l'insu la ; il semble y avoir à gauche des l
u territoire de l'artère sylvienne à gauches IlepatLaliou rouge des
lobes
inférieurs des deux poumons. Gob... Joseph Cami
e. Il en est de même de P A, où la lésion est moins accentuée. - Le
lobe
pariétal, surtout au niveau du pli courbe, prés
urbe, présente des adhérences méningitiques assez accentuées. - Les
lobes
occipital et temporal ont une dispo- sition rég
interne. - La sclérose atrophique intéresse la partie antérieure du
lobe
paracentral. L'avant-coin, le coin, la région t
r tout leur parcours mais surtout dans leur moitié inférieure. - Le
lobe
pariétal supérieur et le pli courbe sont très a
parait surtout porter sur le territoire de l'artère sylvienne. - Le
lobe
occipital est indemne. - Le lobe temporal l'est
itoire de l'artère sylvienne. - Le lobe occipital est indemne. - Le
lobe
temporal l'est aussi, sauf Tri qui est très scl
al, ni d'adhérences. Pou- mon droit (770 gr). Hépatisation rouge du
lobe
inférieur et de la partie inférieure du lobe mo
Hépatisation rouge du lobe inférieur et de la partie inférieure du
lobe
moyen. - Poumon gauche (710 gr). Hépatisation r
eure du lobe moyen. - Poumon gauche (710 gr). Hépatisation rouge du
lobe
inférieur. Congestion intense du lobe supérieur
gr). Hépatisation rouge du lobe inférieur. Congestion intense du
lobe
supérieur. - Coeur (300 gr.), normal, pas de pers
adhérences à l'extrémité antérieure et à l'extrémité postérieure du
lobe
temporal gauche. Les nerfs olfactifs sont aplat
liquide céphalo-rachiclien. - Le cervelet est très volumineux. Son
lobe
gauche en particulier est tuméfié et on sent à la
consistance un peu molle, qui fait saillie à la face inférieure du
lobe
gauche du cervelet. En arrière de cette tuméfac
yant une branche anté- rieure très développée, laisse apercevoir le
lobe
de l'insula formé de 6 digitations qui ne parai
loppée ainsi que le tiers inférieur de FA. D'une façon générale, le
lobe
frontal peut être considéré comme formé de deux p
pariétal est moins altéré. PA est déprimée et assez mince mais les
lobes
pariétaux supé- rieur et inférieur et le pli co
érieur et le pli courbe ont un aspect normal. Il en est de même des
lobes
occipitaux et temporaux et la seule remarque qu
devant du sillon de Rolando, correspond à la partie postérieure du
lobe
frontal auquel elle donne l'aspect particulier
préfrontale est nette et F A est séparée ici des autres parties du
lobe
frontal. A sa partie moyenne cependant un sillo
bien moindre. Il en est de même de la partie supérieure de PA et du
lobe
pariétal supérieur qui, cependant, n'offrent à
qui, cependant, n'offrent à la vue aucune anomalie, pas plus que le
lobe
pariétal infé- rieur, ni le pli courbe. Le lobe
ie, pas plus que le lobe pariétal infé- rieur, ni le pli courbe. Le
lobe
occipital est d'apparence normale. Il en est de
au sillon préfrontal et cause la zone qui se laisse déprimer sur le
lobe
frontal ; l'autre plus en arrière est une dépre
ière est une dépression digitale moins pro- fonde qui correspond au
lobe
pariétal supérieur. De ce côté, le corps calleu
ptique et le noyau calldé sont plus saillants qu'à droite. FI et le
lobe
paracentral, l'avant-coin, le coin et la circon-
(is) que nous avons signalée (fig. 8). Sur une autre coupe du même
lobe
cérébelleux, nous avons trouvé une série de foy
le. On ne constate nulle part la présence de foyers de sclérose. Le
lobe
frontal est bien conformé ainsi que le lobule d
tité ordinaire. Cou. - Larynx normal. - Corps thyroïde (15 gr.). Le
lobe
droit est d'un volume double du lobe gauche.
- Corps thyroïde (15 gr.). Le lobe droit est d'un volume double du
lobe
gauche. Thorax. -l11'ouverture du thorax qui es
. FA, frontale ascendante. PA, pariétale ascendante. pt, P2, PC,
lobes
pariétaux supérieur et inférieur, pli courbe. L
pt, P2, PC,lobes pariétaux supérieur et inférieur, pli courbe. Lo,
lobe
occipital. Tt, T2, première et seconde temporal
ontale. LP, lobule paracentral. AC, avant-coin. C, coin. LTS,
lobe
temporo-sphénoïdal. ce, corps calleux. co, co
ascendante. PA, circonvolution pariétale ascendante. P', P2, PC,
lobes
pariétaux supérieur et inférieur, pli courbe. L
P', P2, PC, lobes pariétaux supérieur et inférieur, pli courbe. LO,
lobe
occipital. Tl, T2, T3, première, seconde et tro
rontale. LP, lobule paracentral. AC, avant-coin. C, coin. Lo,
lobe
occipital. T3, troisième temporale. CO, couch
FA, frontale ascendante. PA, pariétale ascendante. pt, P2; PC,
lobes
pariétaux supérieur et inférieur; pli courbe. T
3, première, seconde et troisième circonvolutions temporales. LO,
lobe
occipital, ss, scissure de Sylvius. sr, sillo
Roq ? p. 88-96). Hémisphère cérébral gauche; face supérieure. LF,
lobe
frontal. LO, lobe occipital. Péd, pédoncule.
émisphère cérébral gauche; face supérieure. LF, lobe frontal. LO,
lobe
occipital. Péd, pédoncule. P, porus. Bourne
l droit ; face interne. Fi. première circonvolution frontale. LP,
lobe
pariétal. AC, avant-coin. C, coin. LTS, lob
on frontale. LP, lobe pariétal. AC, avant-coin. C, coin. LTS,
lobe
temporo-spliénoïdal. co, couche optique. V, v
FA, frontale ascendante. PA, pariétale ascendante. P', P2, PC,
lobes
pariétaux supérieur et inférieur, pli courbe.
ontale. LP, lobule paracentral. AC, avant-coin. C, coin. LTS,
lobe
temporo-sphénoïdal. co, couche optique. v, ve
FA, frontale ascendante. PA, pariétale ascendante. P1, Il-, PC,
lobes
pariétaux supérieur, inférieur et pli courbe Lo
P1, Il-, PC, lobes pariétaux supérieur, inférieur et pli courbe Lo,
lobe
occipital. Tl, T2, T3, première, seconde et tro
ingt-quatre heures après la mort. - Thorax. Hépatisation de tout le
lobe
supérieur du poumon droit; quelques noyaux de b
du poumon droit; quelques noyaux de broncho-pneumonie au niveau du
lobe
inférieur du poumon gauche. Coeur (70 gr.) ; ca
ère offre une vascularisation fine, prononcée surtout au niveau des
lobes
frontaux, ainsi que sur les lobes occipi- taux,
, prononcée surtout au niveau des lobes frontaux, ainsi que sur les
lobes
occipi- taux, principalement à gauche. Encéphal
ostérieure de la cir- convolution du corps calleux; 3° à la base du
lobe
carré, Le ventricule latéral n'est pas dilaté;
ès la mort. Thorax. Le pou- mon gauche est un peu affaissé dans son
lobe
supérieur, et légèrement congestionné à sa part
hyme est ramolli sur une faible épaisseur à ce niveau. Le restedu
lobe
offre la lésion d'une pneumonie franche au début;
ne crépite plus, est friable sous le doigt mais surnage encore. Les
lobes
supérieur et moyen sont sains. - Coeur 120 gr.
est englobée dans un îlot ; noyau volumineux sur la face convexe du
lobe
occipital; un sur le lobe pariétal supérieur; -
noyau volumineux sur la face convexe du lobe occipital; un sur le
lobe
pariétal supérieur; - un à la partie antérieure
ques. Les hémisphères ne pa- raissent pas égaux; du côté droit, les
lobes
frontal et occi- sont en retrait sur ceux du cô
rmis au ni- veau du lobule de l'insula, et des ` ? 13 antérieurs du
lobe
temporal. La même chose se reproduit sur la fac
volution frontale, le lobule paracentral, l'avant-coin, le coin, le
lobe
occipital de toute leur substance grise, laquel
la circonvolution du corps calleux, et sur la moitié antérieure du
lobe
temporo-occi- pital. La substance blanche, ains
rconvolutions ascendantes, du lobule paracentral, de l'extrémité du
lobe
occipital, et de la face interne du lobe tempor
ntral, de l'extrémité du lobe occipital, et de la face interne du
lobe
temporal. Mais on n'entraîne que des fragments de
ntéro-latérales au sommet du poumon droit qui est hépatisé dans son
lobe
inférieur; le gauche n'est que congestionné et
moins profondes de la subs- tance grise. Il en était de même sur le
lobe
temporo-sphé- noïdal droit. Mais, et c'est là
orales sont nettes; le lobule du pli courbe, le lobule pariétal, le
lobe
occipi-- tal sont très distincts, très simples
tral, dont le sillon est reporté en avant; rien de particu- lier au
lobe
carré ni au coin, qui sont rudimentaires. La 4e
A la coupe, il s'échappe une notable quantité de sang, surtout des
lobes
inférieurs. Pas d'emphysème évident. Les bronch
s unes des autres. Notons aussi le développement assez accusé des
lobes
paracentraux et des lobes carrés. Ces derniers, a
s aussi le développement assez accusé des lobes paracentraux et des
lobes
carrés. Ces derniers, ainsi que les lobes occip
lobes paracentraux et des lobes carrés. Ces derniers, ainsi que les
lobes
occipitaux, offraient d'assez nombreux sillons
La première circonvolution frontale occupe laplus grande partie du
lobe
frontal, de sorte que les autres circonvolu- ti
artie du lobe frontal, de sorte que les autres circonvolu- tions du
lobe
semblent refoulées et atrophiées à son avan- ta
en arrière le bord sagit- tal de l'hémisphère, sans bifurcation.
lobe
frontal; simple en arrière, il se bifurque en ava
tiligne. La deuxième orbitaire, occupant la plus grande partie du
lobe
, présente des incisures sous-orbitaires en Y comm
est presque séparée de sa partie supérieure par le rapprochement du
lobe
temporal et de la troisième circon- volution fr
par la troisième circonvolution frontale, la prérolan- dique et le
lobe
temporal. Son angle antéro-supérieur est le poi
anormale est peut-être le résultat du trouble du développe- ment du
lobe
frontal, dans lequel la première circonvolu- ti
n arrière, (1) l3ruu.v,-W cr le cerveau du gorille; sur le ! 1l'and
lobe
limbique, dans Rev. d'Anlh., 1878, p. 20. 46
le cours de la vie, cette anastomose se rétablit par l'atrophie du
lobe
pariétal qui subit une évolu- tion inverse du l
ar l'atrophie du lobe pariétal qui subit une évolu- tion inverse du
lobe
frontal et dont les circonvolutions se fusionne
remière circonvolution pariétale droite est complètement séparée du
lobe
occipital, le premier pli de passage étant tout
emporale. A droite, la deuxième pariétale ne communique pas avec le
lobe
occipital, le deuxième pli de passage étant tou
est profond et la deuxième temporale est complète- ment séparée du
lobe
occipital ; le troisième pli de passage est con
et se continue jusqu'au sillon occipital latéral, sur la limite du
lobe
occipital, sans être interrompu par les plis de p
mité antérieure une grande distance en arrière du bord antérieur du
lobe
temporal. Au contraire, chez la négresse de M.
sillons temporaux s'étendaient en avant jusqu'au bord antérieur du
lobe
temporal, sépa- 48 MICROCÉPHALIE. rant les ci
ment à droite, où tous les sillons temporaux se continuent sur le
lobe
occipital, comme c'est l'ordinaire. «Les lobes
e continuent sur le lobe occipital, comme c'est l'ordinaire. «Les
lobes
occipitaux sont très petits. Comme je l'ai déjà
à droite où les trois pre- miers plis de passage sont profonds; le
lobe
gauche forme aussi calotte, bien que les plis d
ès long qui, en avant, s'étend presque jusqu'au bord antérieur du
lobe
temporal, et, en arrière,se bifurque en deux bran
u lieu de se prolonger ici dans le grand BOURN. 4 50 , IDIOTIE.
lobe
limbique comme chez les primates, ne dépasse pas
hez tous les ruminants, le sillon calcarin ne pénètre pas dans le
lobe
limbique, il l'atteint chez le chameau et le chev
(Ecker, loc. cit.). La scissure calcarine ne pénètre pas dans le
lobe
du corps calleux, mais s'infléchit en bas comme c
erne comme par une compression d'avant en arrière. Si on examine le
lobe
occipital gauche, on y voit un plisse- ment bea
e interne, et le cunéus est, par suite, linéaire ; il semble que le
lobe
qua- drilatère, très développé, ait refoulé le
'interruption de la scissure occipitale interne et le plissement du
lobe
sous-occipital. De ce côté, comme à droite, la
En résumé, chez Edern, la scissure calcarine n'incise pas le grand
lobe
limbique ; il en est de même chez le che- val e
le premier degré de la fusion effectuée chez les primates entre le
lobe
du corps calleux et le lobe pariétal et qui fai
on effectuée chez les primates entre le lobe du corps calleux et le
lobe
pariétal et qui fait disparaître presque entièr
de mil à celui d'une len- tille. Le poumon gauche présente dans son
lobe
inférieur, au niveau de la gouttière costo-vert
accès dans une vaste caverne, à parois déchi- quetées. Le reste du
lobe
est induré; son tissu est comme carnifié, ne cr
A. 81 nieux, noirâtre et fétide qui s'écoule par les bronches. Le
lobe
inférieur renferme de plus, en outre de quelques
broncho-pneumonie caséeuse identi- ques à ceux du poumon droit. Le
lobe
supérieur est intact. Les ganglions péribronchi
l'insula BOURN. 6 82 hémiplégie; ÉPILEPSIE symptomatique. et du
lobe
sphénoïdal. Partout la pie-mère se détache aisé-
e foie est situé tout entier à droite de la colonne vertébrale ; le
lobe
gauche paraît manquer, la face inférieure est d
es sous- crépitants dans le poumon droit : à gauche, au niveau du
lobe
inférieur, respiration soufflante. T. R. 40°,2. (
libres dans la ca- vité pleurale. Du côté droit, on trouve dans le
lobe
supé- rieur des noyaux tuberculeux ramollis et
des cavernulos disséminées, de la capacité d'un pois au maximum. Le
lobe
inférieur est congestionné. Du côté gauche, on
côté gauche, on découvre deux cavernes du volume d'une noix dans le
lobe
supérieur, et une un peu plus petite dans le lo
'une noix dans le lobe supérieur, et une un peu plus petite dans le
lobe
inférieur. Tout le parenchyme est infiltré de t
itants. La respiration est soufflante, du côté droit au niveau du
lobe
pulmonaire inférieur. T. R. 40°,6. - Soir : T. R.
; cet organe est sain. Le poumon gauche est congestionné dans son
lobe
inférieur. - Coeur, 110 gr.; de chaque côté, on
nie dans sa totalité. - Le poumon droit n'est enflammé que dans son
lobe
inférieur ; de plus, il offre quelques adhérenc
es; la pie-mère est épaissie et s'enlève difficilement au niveau du
lobe
occipi- tal. La corne d'Ammon est indurée, le v
e thoracique, les pou- mons se rétractent imparfaitement ; les deux
lobes
supé- rieursdu poumon droitsont sains, crépiten
ins, crépitent, surnagent, etc. Cependant, sur le bord inférieur du
lobe
moyen, on constate l'existence d'un noyau rouge
pe donne issue à de la sérosité purulente. La face postérieure du
lobe
inférieur est le siège d'ecchymoses sous-pleurale
oses sous-pleurales. Au niveau de la gouttière costo-vertébrale, ce
lobe
est atteint de bronchio-pneumonie surperficiell
e sur le couteau, par le raclage, un détritus purulent. Le reste du
lobe
est congestionné ; sur son bord inférieur etsa
noyaux de bronchio-pneumonie. Le poumon gauche, au niveau de son
lobe
supérieur, est flasque, affaissé. On y voit quelq
ssu emphysémateux, et un noyau de bron- chio-pneumonie au niveau du
lobe
inférieur; il existe quelques ecchymoses sous-p
rales interlohaires. On trouve un noyau d'hépatisation rouge sur le
lobe
inférieur. Toute la partie la plus déclive de c
1° sur le lobule du pli courbe ; 2° au niveau de la face interne du
lobe
occi- pital. De nombreuses particularités car
e- nu sur lui-même, est blanc grisâtre. A la partie antérieure du
lobe
inférieur, on trouve une plaque ovalaire, faisant
de pus de la masse hépatisée. Poumon gauche. On trouve au niveau du
lobe
inférieur un noyau de broncho-pneumonie, peu vo
sthme 140 gr. Pie-mère injectée, adhérente à gauche au niveau des
lobes
frontaux et occipitaux, du pli courbe, et de la f
a face interne. - Sur l'hémisphère droit, légère adhérence sur le
lobe
frontal et le pli courbe. Circonvolutions bien dé
che sur toute la face convexe de l'hémisphère droit, excepté sur le
lobe
temporo-sphénoidal, au niveau duquel il n'oxist
r. P3, pli courbe. T1, T-, T3, circonvolutions temporales. L 0,
lobe
Occipital. Leuba. lith. Imp.Becquet 7 ? $, PI
H, circonvolution de l'hippocampe. L P, lobule paracentral. L Q,
lobe
carré. L C, coin. L 0, lobe occipital. T1,
pe. L P, lobule paracentral. L Q, lobe carré. L C, coin. L 0,
lobe
occipital. T1, Tr', quatrième et cinquième circ
extrémité postérieure est lésée. l ? lobule du pli courbe. L 0,
lobe
orbitaire (face inférieure du lobe frontal). Il
l ? lobule du pli courbe. L 0, lobe orbitaire (face inférieure du
lobe
frontal). Il, membrane résultant : 1° des repli
xtra-nucléaires. On n'est donc pas fondé à soutenir, que, dans le
lobe
antérieur, le pied de la couronne rayonnante ré-
té antérieure de la couche optique, point limite pour nous entre le
lobe
frontal et le lobe pariétal. En somme, dans l
couche optique, point limite pour nous entre le lobe frontal et le
lobe
pariétal. En somme, dans les trois premières zo
de la maladie. Cerveau ferme. A la partie moyenne et postérieure du
lobe
an- térieur gauche en dehors et en avant du cor
de la substance ' blanche avoisinant la troisième circonvolution du
lobe
anté- rieur gauche. Homme de quarante-quatre
me d'une noix, situé à 5 centimètres de l'extré- mité antérieure du
lobe
frontal, à 1 centimètre au-dessus de la scissur
noyau ventriculaire du corps strié avec la substance médullaire du
lobe
frontal, la con- sistance du tissu médullaire é
gauche. Ramollissement central, diffus de la substance blanche du
lobe
pariétal. Les bords mal limités se continuent san
de la portion frontale de la capsule interne se recourbant vers le
lobe
orbitaire. 2, Faisceaux intra-nucléaires. PLA
riences à cet égard. II. Pour déterminer les rapports qu'affecte le
lobe
occipital avec la bandelette optique, AI. Ganse
étales contiguës. L'auteur rattache l'état de l'ouïe à la lésion du
lobe
pariétal; malheureusement il existait en même t
araît un néo- plasme tendu, rosé, qui vient faire saillie entre les
lobes
frontaux, et soulever le corps calleux; il occu
e. Ceci s'applique communément aux circonvolutions ascendantes.au
lobe
frontal, à l'insula, au lobule paracentral et au
scendantes.au lobe frontal, à l'insula, au lobule paracentral et au
lobe
occipital. Passons aux particularités : les fib
ion de la couche externe sont très fines et très nombreuses dans le
lobe
frontal et l'insula. La même couche est très ri
dans le lobule paracentral et les circonvolu- Lions ascendantes. Le
lobe
occipital est parcouru dans les mêmes zones par
les fibres à myéline à tra- vers toutes les couches corticales des
lobes
frontaux,'y compris l'in- sula (le, cas), ou l'
fibres. La rupture des fibres d'association qui font communiquer le
lobe
frontal avec l'insula entraîne l'aphasie, l'agrap
tuméfaction de cetihémisphère estrsuftoutr appréciablelau niveau du
lobe
frontal, maisselle s'ételid·raussi,au3rrégions
e cérébrale colligées par Gintrac nous conduit au même résultat. Le
lobe
moyen gauche en a été cinquante-deux fois le si
baire est comprise dans le bloc désigné vulgairement sous le nom de
lobe
moyen, et que, d'autre part, dans chacun des ca
une, cause de la perte de la' parole; ensuite, un ramollissement du
lobe
postérieur,' causé de la perte de la vue et de
que, sur cent vingt-sept observations d'hémorrhagies cérébrales, le
lobe
;moyen, gauche^en avait été cinquante-deux fois
enfdrdit, et l'aphasie permanente 1,'a accompanédix foisll--2t Le
lobe
moyen droit serait ? donç plusasujet`queadel ga
lobulé de l'insula et DES IRRADIATIONS CAPSULAIRES. 171 lution du
lobe
frontal droit avec conservation de l'in- tellig
e; après notre travail sur l'état de la couronne rayonnante dans le
lobe
frontal, il nous paraît bien difficile de ne pa
ir de notre opinion. Ainsi, tous les faits d'aphasie concernant les
lobes
cérébraux, an- térieur et moyen, concourraient
ervée quelquefois à l'occasion de certaines destructions dont les
lobes
postérieurs sont le siège. Il est inutile d'ins
veau. - Nous n'avons pas à revenir sur les divisions de iiurdach en
lobe
antérieur, lobe supérieur, lobe inférieur, que
vons pas à revenir sur les divisions de iiurdach en lobe antérieur,
lobe
supérieur, lobe inférieur, que personne ne 'son
ir sur les divisions de iiurdach en lobe antérieur, lobe supérieur,
lobe
inférieur, que personne ne 'songe à tirer de l'
e se coude en. deux rameaux. L'un, antérieur, petit, monte vers- le
lobe
,'frontal (rameau antérieur ascendant); l'autre,
); l'autre, postérieur, bien iplus long, gagne la partie moyenne du
lobe
pariétal (rameau posté- rieur, horizontal, gran
ue, en réalité, la continuation du long rameau pos- térieur dans le
lobe
frontal : figuré partout, icejrameaua n'est nul
celle, de postéro- pariétale, puisque le sillon réside en avant du
lobe
pariétal. T Scissure perpendiculaire externe (G
près dulobe temporal, séparant ainsi nettement, à la convexité, le
lobe
occipital des lobes pariétal et temporal. Il n'en
al, séparant ainsi nettement, à la convexité, le lobe occipital des
lobes
pariétal et temporal. Il n'en est pas ainsi che
n temporal. Telles sont les trois scissures qui limitent les quatre
lobes
frontal, pariétal, occipital, temporal. Etudion
quer que, dans le mémoire de Gratiolet (Plis cérébraux, etc.), le
lobe
frontal ne comprend que les trois circonvolutions
plus la frontale ascendante. C'est aussi Gratiolet qui a, dans le
lobe
frontal, distingué une partie inférieure, un pe
s continuité entre la portion dorsale et la portion orbitaire v^ du
lobe
frontal (Pozzi, Ecker, Broca). Pozzi affirme quel
termine en avant la scissure surcilière. La partie supérieure du
lobe
frontal correspond à la voûte du frontal. De là
du frontal. De là les appellations de LOBULE frontal (Gratiolet),
LOBE
FRONTAL PROPREMENT DIT. Synonymie : Portion dor
térieure de la scissure frontale inférieure, séparant en arrière le
lobe
frontal (troisième et deuxième circonvolution)
llons précentraux serejoignent et l'on observe alors, en arrière du
lobe
frontal propre (voy. plus loin), sur les confin
miques et physiologiques, justifie, croyons-nous, la création d'un
lobe
à part. On est, par l'ensemble de ces motifs, aut
réunies l'une à l'autre sur la face plane de l'hémisphère, de leurs
lobes
respectifs. La dénomination de lobe central a é
lane de l'hémisphère, de leurs lobes respectifs. La dénomination de
lobe
central a été formulée dans bien des recueils.
due à l'Ecole de la Salpêtrière, afin d'éviter les confusions. C.
Lobe
pariétal. a. LOBULE pariétal supérieur. Synon
titution du pli de passage externe qui, lors- qu'il existe, unit le
lobe
pariétal au lobe occipital. La scissiiî,e aiale
e passage externe qui, lors- qu'il existe, unit le lobe pariétal au
lobe
occipital. La scissiiî,e aialerpareélale (Ecker
ué à la scissure perpendiculaire (interne et externe) qui sépare le
lobe
occipital du lobe pariétal; aussi devrait-on lui
erpendiculaire (interne et externe) qui sépare le lobe occipital du
lobe
pariétal; aussi devrait-on lui ajouter une épit
plis pariétaux inférieurs. Elle rattache la pariétale ascendante au
lobe
occipital, en pas- sant au-dessus de l'extrémit
compte de la complexité des régions en chaque cas particulier. D.
Lobe
occipital ? Chez l'homme, avons-nous dit, la sc
perpendiculaire externe se réduit à une encoche. Par conséquent, le
lobe
occipital continue sans interruption le lobe pa
. Par conséquent, le lobe occipital continue sans interruption le
lobe
pariétal, notamment au niveau du lobule pariétal
ions occipitales, les regardent toutes comme des plis de passage du
lobe
pariétal aux lobes occipital et temporal (Grati
s regardent toutes comme des plis de passage du lobe pariétal aux
lobes
occipital et temporal (Gratiolet), tandis que les
al (Gratiolet), tandis que les autres adoptent, de même que pour le
lobe
pariétal, un schéma modèle, sans décrire les pl
r). C'est encore une scissure parallèle; placée vers le milieu du
lobe
, elle a, en arrière d'elle, la première circonvol
2 uru 196 , REVUE CRITIQUE. Schwalbe décrit encore à la pointe du
lobe
occipital un troisième sulcus occipitalis longi
oca), par opposition' avec l'extrémité postérieure fondue dans lest
lobes
pariétal et occipital. Ce pôle antérieur est le
al. Ce pôle antérieur est le lieu de convergence des trois faces du
lobe
. E 1° La face supéro-externe se compose de haut
en et partie desceradantedu pli courbe (Gratiolet) ; Etage moyen du
lobe
ternpôro-sphézoi'dal(Gratiolet) ; Gyrus tempora
t); Inferior lemporo-sphenoïdal gyrus (Turner) ; Etage inférieur du
lobe
<emo ? 'o-speMoa (Gratiolet). Cette circonvo
s il est d'habitude simple en arrière, et plus ou moins distinct du
lobe
occipital. C'est ici qu'il importe de poser les
dre la scissure perpendi- culaire externe en séparant totalement le
lobe
occipital des lobes pariétal et temporal. Elle
pendi- culaire externe en séparant totalement le lobe occipital des
lobes
pariétal et temporal. Elle passerait en avant d
, qui, au nombre de deux à trois, occupent la moitié postérieure du
lobe
temporal cachée dans ta'profon- deur de la scis
re de ce groupe serait cons- tante. 2° La face inféro-iaaterne du
lobe
temporal comprend : a. La première scissure tem
sulcus temporalis inferior sive tertius (Ecker). Commune aux deux
lobes
, elle sépare la première circonvolu- tion occip
tue d'une mince capsule, molle, de couleur jaune pâle, partant du
lobe
cérébral moyen droit, faisant saillie dans l'espa
terpé- donculaire, repoussant vers le dehors la partie adjacente du
lobe
moyen, et déplaçant les nerfs, lacommissure et
pouce, fortement colorés par le car- min se rencontraient dans les
lobes
frontaux, mais surtout dans la partie postérieu
substance grise est réduite à l'état de sinlplé·I31üéllé sur' lés1
lobes
fronlaux.1 L'épend3·mcrlventriculairr,;aûrtoûC
blement etiunisprmementhyper- trophié; sa section- montre dans ilei
lobe
droit,quelqnes,l.3ïsteûde la grosseur d'unipois
arachnoïde (pachyméningito). Adhérences 'sur,' toute la surface des
lobes
frontaux. Adhérence extraor'dinairement ma ? -
nce extraor'dinairement ma ? - quée entre les surfaces médianes des
lobes
frontaux. Pas d'atrophie La substaiice grise pa
générale. Autopsie. Adhérences corticales caractéristiques. Tout le
lobe
temporal gauche (étroitesse. et apla- tissement
s tabès, et qu'il s'est compliqué delà formation d'un foyer dans le
lobe
temporal gauche. Il est possible, que ce foyer
u persmarginal (pari étal inférieur de Hietter) sur presque tout le
lobe
occipital à droite, sur le lobe occipital presq
eur de Hietter) sur presque tout le lobe occipital à droite, sur le
lobe
occipital presque entier, sur la circonvolution
es de divers âges. La plus vieille (coloration jaune) siège dans le
lobe
temporal droit qu'elle a détruit, en s'étendant
e transverse et se termine de 4 centimètres et demi de la pointe du
lobe
occipital ; la troisième est constituée par un
pédoncules cérébraux, surtout celui de droite. L'auteur attribue au
lobe
temporal droit l'amblyopie de j'ceu gauche, les
(6-u>3 gr.) présente quelques adhérences assez faibles, tout son
lobe
inférieur est congestionné. Pas de tubercules. Su
de l'hémis- phère droitqui présente unesorte d'encoche séparant le
lobe
frontal du lobe pariétal. La pie-mère offre là
re droitqui présente unesorte d'encoche séparant le lobe frontal du
lobe
pariétal. La pie-mère offre là une véritable infi
moins large que l'autre hémisphère ; tandis que le bord interne du
lobe
orbitaire gauche mesure quatre centimètres et dem
et demi, celui du côté droit n'en mesure que trois en longueur. Le
lobe
or- bitaire gauche a trois centimètres et demi
pect légèrement chagriné qui ne se retrouve pas de l'autre côté. Le
lobe
occipital est relativement assez volumineux.
en massue à l'ori- gine de sa portion horizontale (supérieure).- Le
lobe
paracentral est bien développé avec un sillon m
be paracentral est bien développé avec un sillon médian central. Le
lobe
carré est large et parait normal ainsi que le c
ré est large et parait normal ainsi que le coin, la face interne du
lobe
occipital, la corne (I'Aminoz, la circonvolutio
rconvolution de l'hippocampe. Hémisphère gauche. - Face convexe. Le
lobe
frontal est bien développé. La première circonv
istincts; à cet égard c'est un cerveau type. Les circonvolutions du
lobe
occipital sont assez volumineuses. Le lobule de
par un sillon perpendicu- laire (PL. IX, s); elle se termine sur le
lobe
paracentral) (L P) sans séparation. Le lobule p
al est volumineux, presque coupé en deux par un sillon vertical. Le
lobe
carré (L Q), le coin (L C), le lobe occipital (
deux par un sillon vertical. Le lobe carré (L Q), le coin (L C), le
lobe
occipital (L 0), sont normaux (PL. IX). Réflexi
rée de sa congénère du côté opposé par la faux du cerveau. Chaque
lobe
y est représenté. A. Lobe frontal interne. Les
) ; Scissure du cor-pus calleux (Huxley, Bischoff); Grand sillon du
lobe
fronto-par létal (Gratiolet); Scissure sous-fro
tale interne. ' Synonymie : Second pli ou pli de la zone externe du
lobe
fronto-pariélal (Gratiolet) ; Gyrus frontalis s
de circonvolution de passage qui rattache les uns aux autres, et au
lobe
tempo- ral, les lobes de la face interne. Elle
passage qui rattache les uns aux autres, et au lobe tempo- ral, les
lobes
de la face interne. Elle se continue, en effet, p
ckel, avant-coizz (Burdach, Ecker) ; Lobule quadrilatère (Foville);
Lobe
carré, quadrate lobule, lobus qua- dratus (Grat
rme (Halaenzuindung) que dans sa portion antérieure, à la pointe du
lobe
temporal, au débutde la portion transverse de l
qui porte en arrière l'éperon double, sans atteindre l'extrémité du
lobe
occipital; une bran- che oblique en bas qui, ap
sument les exposés précédents. Broca désignait sous le nom de grand
lobe
limbique toute la partie médiane des hémisphère
res en rapport decontiguité directe avec le corps calleux. Le grand
lobe
limbique comprenait : - la deuxième frontale in
du corps calleux, et, au dessous de ce dernier, jusqu'à lapointe du
lobe
temporo-occipital où, après avoir franchi l'isthm
ca), qui se décompose eu : Sulcus ccclloso-naarginalis (région du
lobe
frontal) ; sulcus sub- parielalis (région de l'
Schwalbe applique aujourd'hui aux mêmes organes la ru- brique de
lobe
lalcifoiiiie, en en étendant les bornes à ce qui
à la cloison transparente, au corps godronné, etc. A son sens, le
lobe
falciforme, limité en dedans par la grande fent
ital interne. Synonymie : Coin, Cuneus, Zivickel (Henle, Burdach) ;
Lobe
triangulaire (Broca) ; Occipital lobule (Turner
uellement parmi les ganglions de la base sous le titre générique de
lobe
de la base. Je n'en veux pour preuve que les sy
u même âge. Les deux hémisphères cérébraux sont similaires. Dans le
lobe
frontal, les circonvolutions sont très peu déve
tal, très peu accusé, affecte une orienta- tion perpendiculaire. Le
lobe
pariétal se trouve complètement séparé, à la fa
lobe pariétal se trouve complètement séparé, à la face externe, du
lobe
occipital, par un grand sillon perpendiculaire
e, du lobule pariétal supérieur, du lobule pariétal infé- rieur, du
lobe
occipital. L'extension et l'intensité des lésions
mois intra-utérin soit écoulé). Puis l'apparition s'en fait dans le
lobe
occipital et dans certaines portions de l'insul
central, en dehors des circonvolutions ascendantes, en dehors du
lobe
occipital, il n'y a pas d'autres zones du manteau
plus tardive que se forment les fibres nerveuses à myéline dans le
lobe
frontal, qu'il s'agisse des circon- volutions d
enfant de vingt-sept jours, le gyrus rectus, la partie orbitaire du
lobe
frontal, la deuxième circonvolution frontale ne
e est dur etferme, tandis que le droit est normal. C'est surtout le
lobe
moyen gauche dont le volume est diminué. A la f
uche sont plus petites qu'à l'état normal. La substance blanche des
lobes
antérieur et moyen est réduite à gauche à une c
côté gauche du crâne est beaucoup plus épais que le côté droit; le
lobe
antérieur gauche du cerveau est déprimé par suite
he était plus grande que la droite, il ne parait pas douteux que le
lobe
gauche du cervelet ait été plus vo- lumineux qu
eux que le lobe gauche du cervelet ait été plus vo- lumineux que le
lobe
droit. Il résulte de cette observation, comme d
Poids du cerveau entier : 1,120 grammes (cervelet, 115 grammes).
Lobe
cérébelleux gauche normal; lobe droit sensiblemen
20 grammes (cervelet, 115 grammes). Lobe cérébelleux gauche normal;
lobe
droit sensiblement plus petit, aplati, donnant
e l'hémisphère gauche, en arrière de l'amygdale bien développée, un
lobe
anor- mal, étant donné la place qu'il occupe; o
it à droite considérablement épaissie et légèrement rougeâtre. Le
lobe
postérieur du cerveau était très manifestement pl
ci la physiologie du cerveau, examine les fonctions de la pointe du
lobe
antérieur, du lobe frontal, du chien. Il rappel
u cerveau, examine les fonctions de la pointe du lobe antérieur, du
lobe
frontal, du chien. Il rappelle ses opinions antéc
ions, à l'aide de résec- tions, produit des paralysies, rattache au
lobe
frontal l'innervation des muscles du dos, tout
op forts. Il n'en est pas de même des mutilations; la séparation du
lobe
antérieur d'avec le reste du cerveau aurait engen
raumatisme de la pointe du cerveau an- térieur doit exercer sur les
lobes
occipitaux (sphère visuelle), il doit exister d
ire des organes particuliers, et, provisoi- rement, il s'adresse au
lobe
frontal. En revanche, il serait à priori tout à
t improbable que l'énorme masse de substance cérébrale qui forme le
lobe
frontal de l'homme soit totalement préposée à d
dues, a fait défaut ici après l'ablation de la partie antérieure du
lobe
frontal. La section de la couronne rayonnante a
n effet, relier les lésions de l'écorce c'est-à-dire de l'écorce du
lobe
occipital que l'on rend responsables de l'hémia
de la portion frontale de la capsule interne se recourbant vers le
lobe
orbitaire. 2, Faisceaux intra-nucléaires. 406
e droit; foyer ancien. F,, Première circonvolution frontale. L P,
Lobe
paracentral. L C, Lobe carré. L C, Coin. L
F,, Première circonvolution frontale. L P, Lobe paracentral. L C,
Lobe
carré. L C, Coin. L 0, Lobe occipital. C c,
tale. L P, Lobe paracentral. L C, Lobe carré. L C, Coin. L 0,
Lobe
occipital. C c, Circonvolution du corps calleux
l supérieur. Il , Pli pariétal inférieur. P c, Pli courbe. L 0,
Lobe
occipital. T, , Première circonvolution tempora
Ce, Circonvolution du corps calleux.. z C, Corps calleux. L P,
Lobe
paracentral. , L Q, Lobe carré L C, Coin. L
rps calleux.. z C, Corps calleux. L P, Lobe paracentral. , L Q,
Lobe
carré L C, Coin. L 0, Lobe occipital C S, C
eux. L P, Lobe paracentral. , L Q, Lobe carré L C, Coin. L 0,
Lobe
occipital C S, Corps strié. C 0. Couche optiq
circonvolutions non atteintes. Les lobules paracentraux (L P), les
lobes
carrés (L Q), le coin (1 Ci, les lobes occipita
ules paracentraux (L P), les lobes carrés (L Q), le coin (1 Ci, les
lobes
occipitaux (L 0), les circonvolutions temporales
rtance de l'anatomie comparée. — Circonvolutions du cerveau du singe,
lobes
frontal, pariétal et sphénoïdal. — Centres psycho
re la disposition des plis et des sillons sur la substance grise du
lobe
pariétal et des parties postérieures du lobe fron
la substance grise du lobe pariétal et des parties postérieures du
lobe
frontal ? Combien d'observations, propres à éclai
endant ; — p m i, pli marginal inférieur ; — p c, pli courbe ; — l o,
lobe
occipital ; — l q r, lobeorbitaire. Situation d
fondamentaux convergent en un point et délimitent la face externe du
lobe
frontal. On voit ensuite et plus en arrière une
ne ou pariéto-occipitale (spe). Elle sépare nettementchez le singe le
lobe
occipital du lobe temporal et du lobe pariétal. C
pitale (spe). Elle sépare nettementchez le singe le lobe occipital du
lobe
temporal et du lobe pariétal. Cette séparation es
épare nettementchez le singe le lobe occipital du lobe temporal et du
lobe
pariétal. Cette séparation est beau-coup moins év
is de passage qui comblent plus ou moins complètement ce sillon. Le
lobe
pariétal et le lobe sphénoïdal se distinguent moi
mblent plus ou moins complètement ce sillon. Le lobe pariétal et le
lobe
sphénoïdal se distinguent moins exactement chez l
ace externe de l'hémisphère cérébral se trouve donc divisée en quatre
lobes
: le lobe frontal, le lobe pariétal, le lobe sphé
de l'hémisphère cérébral se trouve donc divisée en quatre lobes : le
lobe
frontal, le lobe pariétal, le lobe sphénoïdal et
cérébral se trouve donc divisée en quatre lobes : le lobe frontal, le
lobe
pariétal, le lobe sphénoïdal et le lobe occipital
donc divisée en quatre lobes : le lobe frontal, le lobe pariétal, le
lobe
sphénoïdal et le lobe occipital. Chacun de ces
e lobes : le lobe frontal, le lobe pariétal, le lobe sphénoïdal et le
lobe
occipital. Chacun de ces lobes est partagé à so
be pariétal, le lobe sphénoïdal et le lobe occipital. Chacun de ces
lobes
est partagé à son tour en lobes secon-daires, qui
et le lobe occipital. Chacun de ces lobes est partagé à son tour en
lobes
secon-daires, qui portent le nom de plis ou circo
ou circonvolutions, par des scissures ou sillons de deuxième ordre.
Lobe
frontal. — Le sillon prœcentral ou sillon courbe
lon prœcentral ou sillon courbe frontal (se f) limite en avant, surle
lobe
frontal, une circon-volution parrallèle à la scis
ns perpendiculaires à la direction du précédent di-visent le reste du
lobe
frontal en trois étages ou circonvolu-tions. 1° L
dus notre éminent collègue à la cause des localisations cérébrales.
Lobe
pariétal. — Le lobe pariétal, dont l'étude est si
llègue à la cause des localisations cérébrales. Lobe pariétal. — Le
lobe
pariétal, dont l'étude est si dif-ficile chez l'h
'à l'extrémité supérieure de la circonvolution frontale ascendante.
Lobe
sphénoïdal. — Le lobe sphénoïdal a une dispositio
ure de la circonvolution frontale ascendante. Lobe sphénoïdal. — Le
lobe
sphénoïdal a une disposition aisée à comprendre.
parce qu'elle suit la direction de la scissure de Sylvius, divise ce
lobe
en deux étages. Nous trouvons dans l'étage supéri
ier, produirait la cécité temporaire dans l'œil du côté opposé (F).
Lobe
occipital. —- Un sillon transverse partage ce lob
côté opposé (F). Lobe occipital. —- Un sillon transverse partage ce
lobe
en deux étages. Nous n'avons pour le moment rien
) et le sillon de Rolando (R), circonscrivant en bas et en arrière le
lobe
fron-tal sur lequel vous voyez la circonvolution
Fig. 3. — Face convexe d'un hémisphère du cerveau de l'homme. (Vue du
lobe
pariétal, dessin demi-schématique.) Scissures:
nfuse, chez l'homme, en raison de l'existence des plis de passage, le
lobe
occipital des lobes pariétal et sphenoidal. Vou
, en raison de l'existence des plis de passage, le lobe occipital des
lobes
pariétal et sphenoidal. Vous pouvez distinguer
le lobule du pli courbe (P2) et enfin le pli courbe (P3). Quant au
lobe
spliénoïdal, ou temporal, il présente ici, de môm
stances tem-porales (T2, T3). Vous avez ainsi, Messieurs, autour du
lobe
pariétal, de la scissure de Sylvius et du sillon
ge. Considérons, par exemple, à ce point de vue, l'étage inférieur du
lobe
occipital. Dans les parties de ce lobe qui entour
t de vue, l'étage inférieur du lobe occipital. Dans les parties de ce
lobe
qui entourent la corne postérieure des ventricule
rès uniforme qui lui est propre dans d'autres régions du cerveau, les
lobes
antérieurs, si vous voulez. Vicq d'Azyr, en effet
z. Vicq d'Azyr, en effet, avait déjà observé que, dans ces parties du
lobe
occi-pital, la substance grise des circonvolution
Morisonian Lectures. In Edinb. med. .Journal, p. 39i mai 1874. des
lobes
antérieurs du cerveau d'un sujet qui avait suc-co
cinq couches superposées. 11 se rencontre à peu près partout dans les
lobes
antérieurs. Voici comment les élé-ments sont répa
dans cette circonscription. En arrière, la région comprend tout le
lobe
sphénoïdal, l'occipital et la partie médiane jusq
hénoïdal, l'occipital et la partie médiane jusqu'au bord antérieur du
lobe
quadrilatère. Là, les couches granuleuses l'empor
b) la moitié postérieure du lo-bule lingual et fusiforme ; c) tout le
lobe
occipital ; d) les deux premières circonvolutions
ont été désignées comme le siège du sensorium. 2° Le département du
lobe
antérieur qui mérite une men-tion particulière po
tés supérieures des deux circonvolu-tions médianes et surtout dans le
lobe
paracentral. Elles sont disposées en groupes ou e
163 B. Charcot. Œuvres complètes, t, iv, Localisations 3 partie des
lobes
pariétaux, mal délimitée encore du côté du lobe o
tions 3 partie des lobes pariétaux, mal délimitée encore du côté du
lobe
occipital. Nous verrons dans un instant que ce ty
dans les parties postérieures de l'encéphale comprenant : 1° tout le
lobe
sphénoïdal ; 2° le lobe occipital, et 3° enfin le
ieures de l'encéphale comprenant : 1° tout le lobe sphénoïdal ; 2° le
lobe
occipital, et 3° enfin les parties de l'écorce gr
la face interne qui sont circonscrites par l'extrémité postérieure du
lobe
et par un sillon qui délimite en arrière une régi
ement distincte que nous allons décrire tout à l'heuro sous le nom de
lobe
carré. a) Mais je crois nécessaire, pour plus d
supérieure de la scissure de Rolande — LP, Lobule paracentral ; — LQ,
Lobe
carré ou avant-coin ; — LC, Lobule cunéiforme ou
LQ, Lobe carré ou avant-coin ; — LC, Lobule cunéiforme ou coin ; LO,
Lobe
occipital; Cil, Circonvolution de l'Hippocampe; C
sur le bord supérieur de l'hémisphère une'sorte d'enco-che (Sr). Le
lobe
paracentral (LP) est situé immédiatement au-des-s
pte tant de sa structure que de ses rapports, on pourrait dire que le
lobe
paracentral représente l'extrémité interne renv
des hémis-phères, ne sont pas difficiles à présenter : 1° en avant du
lobe
paracentral, vous reconnaissez la surface médiane
coin, Vorzivickeï). Ce lobule (L Q) appartient à proprement parler au
lobe
pariétal; c'est, pour ainsi dire, la face interne
mme sur la face externe, par des plis de passage, sépare nettement le
lobe
carré (ou quadrila-tère) du lobe occipital; 4° im
plis de passage, sépare nettement le lobe carré (ou quadrila-tère) du
lobe
occipital; 4° immédiatement en arrière du lo-bule
tal; 4° immédiatement en arrière du lo-bule carré, dans le domaine du
lobe
occipital, il y a à remar-quer un lobule triangul
sez la promiscuité déjà signalée à propos de la face externe entre le
lobe
occipital et le lobe sphénoïdal. Là, il convient
jà signalée à propos de la face externe entre le lobe occipital et le
lobe
sphénoïdal. Là, il convient de distinguer surtout
; 6° je me bornerai à mentionner seulement, plus en avant et en plein
lobe
sphénoïdal, le lobulede l'hippocampe, le crochet
se rencontrent ces particularités compren-nent, je vous le répète, le
lobe
occipital tout entier, le lobe sphénoïdal et les
és compren-nent, je vous le répète, le lobe occipital tout entier, le
lobe
sphénoïdal et les parties postérieures et médiane
postérieures et médianes de l'hémis-phère jusqu'au bord postérieur du
lobe
quadrilatère. Le caractère général de l'écorce
le corps calleux et se répand sur une partie de la face inférieure du
lobe
antérieur ou frontal (gyrus reclus et circonvolut
se en trois bran-ches, qui vont à la face inférieure du cerveau et au
lobe
occi-pital (gyrus uncinatus , circonvolution de l
n; lobuluslingualis). Uartère sylvienne se distribue à la partie du
lobe
frontal qui n'est pas vascularisée par la cérébra
vascularisée par la cérébrale antérieure, et sur toute l'étendue du
lobe
pariétal. 11 nous sera nécessaire, plus tard, d'e
supérieur. — LPi, lobule pariétal inférieur. — Pc, pli courbe. — Lo,
lobe
occipital. recourbent ensuite, de dedans en deh
12. — Territoires vasculaires de la face supérieure du cerveau. — P,
lobe
frontal. — P, lobe pariétal. — 0, lobe occipital.
vasculaires de la face supérieure du cerveau. — P, lobe frontal. — P,
lobe
pariétal. — 0, lobe occipital. — S, fin de la bra
ce supérieure du cerveau. — P, lobe frontal. — P, lobe pariétal. — 0,
lobe
occipital. — S, fin de la branche hori-zontale de
e du cerveau. C'est ainsi que, dans un cas de des-truction limitée au
lobe
carré (plaque jaune), il n'existait aucun indice
jaune laquelle intéressait une large étendue de la face inférieure du
lobe
sphénoïdal qui, vous le savez, est artérialisé pa
nterne et externe), au lobule para-central et, sur la face convexe du
lobe
frontal, à la première et à la deuxième circonvol
ante. La troisième branche de la cérébrale antérieure est destinée au
lobe
carré qui peut être lésé pour son propre compte,
r embolie ou par thrombose. Aussi les ramollissements ischémiques des
lobes
postérieurs sont-ils bien plus communs que ceux d
émiques des lobes postérieurs sont-ils bien plus communs que ceux des
lobes
antérieurs. Le terri-toire de cette artère se par
la circonvolution du crochet ; la deuxième à la partie inférieure du
lobe
sphénoïdal, compre-nant la circonvolution sphénoï
, 17 fois seulement le foyer a pris naissance soit dans le centre des
lobes
antérieurs ou pos-térieurs, soit à la périphérie
yau caudé. — F S, fibres du noyau lenticulaire qui se jettent dans le
lobe
sphénoïdal. — F N, fibres du noyau lenticulaire q
Fibres pédonculaires directes se rendant à la substance corticale du
lobe
occipital; — leur rôle relativement à la sensibil
ibres pédoncu-laires directes se rendant à la substance cor-ticale du
lobe
occipital. Ce schéma est emprun-té à l'ouvrage de
ent en suivre le parcours dans l'épaisseur de la substance blanche du
lobe
occipital, immédiatement en dehors de la corne po
ent finalement dans l'épaisseur de la substance grise corticale de ce
lobe
(1). B. Existe-t-il quelque raison d'ordre anat
e. 11 importerait maintenant de décider si les lésions étendues des
lobes
occipitaux et en particulier de leur écorce grise
rés com- (1) Dans les observations de ramollissement superficiel du
lobe
occipital que j'ai recueillies, il s'agit aussi s
lus arcuatus dont les fibres au-dessus du corps calleux s'étendent du
lobe
occipital au lobe frontal ; — en Ig, le faisceau
les fibres au-dessus du corps calleux s'étendent du lobe occipital au
lobe
frontal ; — en Ig, le faisceau longitudinal infér
obe frontal ; — en Ig, le faisceau longitudinal inférieur qui unit le
lobe
occipital à l'extrémité du lobe sphénoï" dal, enf
au longitudinal inférieur qui unit le lobe occipital à l'extrémité du
lobe
sphénoï" dal, enfin, en une, le fasciculus uncina
direction est presque verti-cale et qui établit une relation entre le
lobe
frontal et le sphénoïdal. Fig. 31. — N G, noyau
yau caudé. — F S, libres du noyau lenticulaire qui se jettent dans le
lobe
sphénoïdal. — F N, fibres du noyau lenticulaire q
e. — P, pied du pédoncule cérébral. Om, faisceaux médullaires qui, du
lobe
occipital, vont au pulvinar auxBS, bras des tub
Burdach et de Gratiolet se diri-gent en arrière, dans l'épaisseur des
lobes
occipitaux et sphénoïdaux. Les faits cliniques co
é sur le prolongement des fibres médullaires, dans l'écorce grise des
lobes
occipitaux et sphénoïdaux. Nous aurons à reveni
es membres du côté droit. A l'autopsie, on trouva dans l'épaisseur du
lobe
frontal gauche une tu-meur du volume d'une pomme,
s superficiels (plaques jau-nes) étendus, lorsqu'ils occupent soit le
lobe
occipital, soit les parties postérieures du lobe
ils occupent soit le lobe occipital, soit les parties postérieures du
lobe
temporal ou encore le lobe sphénoïdal, soit enfin
ccipital, soit les parties postérieures du lobe temporal ou encore le
lobe
sphénoïdal, soit enfin les régions antérieures du
l ou encore le lobe sphénoïdal, soit enfin les régions antérieures du
lobe
frontal ne sont pas suivis de scléroses fasciculé
iétale ascendante, frontale ascendante) et les parties atte-nantes du
lobe
pariétal et du lobe frontal. (Fig. 38). Je revien
rontale ascendante) et les parties atte-nantes du lobe pariétal et du
lobe
frontal. (Fig. 38). Je revien- Charcot. Œuvres
rébrale) à la suite d'un ramollissement cérébral ayant in-téressé les
lobes
opto-striés et la capsule interne dans l'hémisphè
vait détruit la substance blanche de toutes les parties frontalesd'un
lobe
, sans affecter directement les noyaux gris centra
suivantes, savoir : une partie quelconque des lo-bes sphénoïdaux, le
lobe
carré, le coin, un lobe occipital ou les deux lob
partie quelconque des lo-bes sphénoïdaux, le lobe carré, le coin, un
lobe
occipital ou les deux lobes occipitaux tout entie
es sphénoïdaux, le lobe carré, le coin, un lobe occipital ou les deux
lobes
occipitaux tout entiers, une région quelconque de
aux tout entiers, une région quelconque des deux tiers antérieurs des
lobes
frontaux. Dans tous les cas du second groupe, i
ore à l'état fœtal; ce n'est qu'au bout d'un mois que la substance du
lobe
occipital commencera à blanchir; et, quatre moi
rtance de l'anatomie comparée. — Circonvolutions du cerveau du singe,
lobes
frontal, pariétal et sphenoidal. — Centres psycho
Fibres pédonculaires directes se rendant à la substance corticale du
lobe
occipital; — leur rôle relativement à la sensibil
es (Cellules). (V. Cel-lules.) Ii Lésions. ( V. Systématiques.)
Lobes
cérébraux, 13 et suiv. Lobule paracentral, 30,
l repose par sa convexité; on écarte légèrement et également les deux
lobes
frontaux, et l'on applique le tranchant du coutea
re n'est pas ainsi étayée, elle s'affaisse dès les premiers jours, le
lobe
occipital se tord sur lui-même, et lorsque le mom
linéaire. Or la détermination exacte du trajet des faisceaux dans le
lobe
occipital n'est possible qu'à la condition que la
circonscrite, sur un petit fragment de l'hémisphère, sur la pointe du
lobe
occipital, par exemple, ou sur le pôle sphénoïdal
LE CERVEAU PL.I Héliog. Lemercier G MASson Edit BQ. Bourrelet du
lobe
carré, 25. C. Circonvolution limbique, 18, 22,
17. ce. Corps calleux, 17. CH. Chiasma optique. CQ. Opercule du
lobe
carré ou cap du lobe carré, 22. DF. Pilier descen
ux, 17. CH. Chiasma optique. CQ. Opercule du lobe carré ou cap du
lobe
carré, 22. DF. Pilier descendant du fornix, 17. E
eur, 24. GMP. Gyrus métopique postérieur, 24. GQA. Gyrus antérieur du
lobe
carré, 22, 25. GQP. Gyrus postérieur du lobe carr
GQA. Gyrus antérieur du lobe carré, 22, 25. GQP. Gyrus postérieur du
lobe
carré, 22, 25. GR. Gyrus reclus, 24. GSF. Premi
circonvolulioa lim-bique, 22, 29. PEN. Pli, ourlet ou pentagone du
lobe
carré, 22, 29. PO. Pôle occipital, 16. PP. Pi
CERVEAU PL.4 Héliog. Lemercier G. Masson Edit BQ. Bourrelet du
lobe
carré. C. Circonvolution limbique, 45, 45. CÀ
CH. Chiasma optique. CP. Commissure postérieure. CQ. Opercule du
lobe
carré ou cap du lobe carré. CRR. Entre-croiseme
CP. Commissure postérieure. CQ. Opercule du lobe carré ou cap du
lobe
carré. CRR. Entre-croisement du ruban de Reil d
44. GMP. Gyrus métopique postérieur, 41. GQA. Gyrus antérieur du
lobe
carré, 42, 44. GQP. Gyrus postérieur du lobe ca
QA. Gyrus antérieur du lobe carré, 42, 44. GQP. Gyrus postérieur du
lobe
carré, 44. GR. Gyrus rectus. GSF. Première ci
PEL. Septum lucidum ou pellucidum. PEN. Pli, ourlet ou pentagone du
lobe
carré. PO. Pôle occipital. PP. Pied du pédoncule
on Edit BO. Bandelette optique, tractus oplicus. BQ. Bourrelet du
lobe
carré, 51. C. Circonvolution limbique, 48, 50.
re. ce. Corps calleux. CH. Chiasma optique, 47. CQ. Opercule du
lobe
carré ou cap du lobe carré. DF. Pilier descenda
ux. CH. Chiasma optique, 47. CQ. Opercule du lobe carré ou cap du
lobe
carré. DF. Pilier descendant du fornix ou pilie
50. GMP. Gyrus métopique postérieur, 49, 50. GQA. G\rus antérieur du
lobe
carré, 50, 52. GQP. Gyrus postérieur du lobe carr
GQA. G\rus antérieur du lobe carré, 50, 52. GQP. Gyrus postérieur du
lobe
carré, 50, 52. GR. Gyrus rectus. GSF. Première
pellucidum, cloison transparente. PEN. Pli, ourlet ou pentagone du
lobe
carré, 48. PO. Pôle occipital. pro. Sillon pr
VEAU P L . 6 Héliog. Lemercier G. Masson Edit RIJ. Bourrelet du
lobe
carré, 54. C. Circonvolution du corps calleux,
u calloso-mar- ginale, 52, 54. ce. Corps calleux. CQ. Opercule du
lobe
carré ou cap du lobe carré. EPF. Encoche de l'ext
le, 52, 54. ce. Corps calleux. CQ. Opercule du lobe carré ou cap du
lobe
carré. EPF. Encoche de l'extrémité frontale. CC.
térieur. GMP. Gyrus métopique postérieur, 55. GQA. Gyrus antérieur du
lobe
carré, 55. GQF. Gyrus postérieur du lobe carré. G
55. GQA. Gyrus antérieur du lobe carré, 55. GQF. Gyrus postérieur du
lobe
carré. GR. Gyrus reclus. GSF. Première circonvo
eur de la circonvolution limbique. PEN. Pli, ourlet ou pentagone du
lobe
carré. fjro. Sillon pr e-ovalaire. PRU. Sillon pr
elette de Giacomini, 60. BO. Bandelette optique. BQ. Bourrelet du
lobe
carré, 57. C. Circonvolution limbique. CA. Co
CH. Chiasma optique. CP. Commissure postérieure. CQ. Opercule du
lobe
carré ou cap du lobe carré, 57. DL. Discus lent
CP. Commissure postérieure. CQ. Opercule du lobe carré ou cap du
lobe
carré, 57. DL. Discus lentiformis, 61. EPA. E
e antérieur. GMP. Gyrus métopique postérieur. GQA. Gyrus antérieur du
lobe
carré, 56. GQP. Gyrus postérieur du lobe carré, 5
eur. GQA. Gyrus antérieur du lobe carré, 56. GQP. Gyrus postérieur du
lobe
carré, 56. GR. Gyrus rectus. GSF. Première circ
ur de la circonvolution limbique. PEN. Pli, ourlet, ou pentagone du
lobe
carré. PP. Pied du pédoncule cérébral. pro. S
onvolution frontale, 05. CH. Chiasma optique, 62, 65. GQ. Opercule du
lobe
carré ou cap du lobe carré, 63. DO. Désert olfact
05. CH. Chiasma optique, 62, 65. GQ. Opercule du lobe carré ou cap du
lobe
carré, 63. DO. Désert olfactif, 65. EPA. Espace p
mercier G. Masson Edit Cin. Cingulum, 106, 108. CQ. Opercule du
lobe
carré ou cap du lobe carré. FCF. Faisceau compact
dit Cin. Cingulum, 106, 108. CQ. Opercule du lobe carré ou cap du
lobe
carré. FCF. Faisceau compact du fornix, 101, 104,
e lingual, 105. sP. Scissure sous-pariétale, 99, 106. sQ. Recessus du
lobe
carré, 99, 101. T1. Première circonvolution tempo
e. pen. Extrémité la plus antérieure du pli, ourlet ou pentagone du
lobe
carré, 121. ttCP. Pli d'anastomose entre le pli
bule lingual, 110. ¦SP. Scissure sous-pariétale, 109. sQ. Recessus du
lobe
carré, 110. TJ. Première circonvolution temporale
r. pen. Extrémité la plus antérieure du pli, ourlet ou pentagone du
lobe
carré. ttL. Pli de passage pariéto-limbique. -ni.
, 429, 455. Cin. Cingulum, 454. CL. Claustrum, 450. CQ. Opercule du
lobe
, carré ou cap du lobe carré, 451. DE. Pilier de
lum, 454. CL. Claustrum, 450. CQ. Opercule du lobe, carré ou cap du
lobe
carré, 451. DE. Pilier descendant du fornix, 45
ux. sME. Grand sillon métopique. SPL. Splenium. sQ. Recessus du
lobe
carré. T1. Première circonvolution temporale.
isceau d'Arnold. BP. Bras du pulvinar, 457, 439. BQ. Bourrelet du
lobe
carré. C. Circonvolution limbique. GA. Commis
erne, 458. CL. Claustrum. CP. Commissure postérieure. CQ. Opercule du
lobe
carré ou cap du lobe carré. DE. Pilier descendant
rum. CP. Commissure postérieure. CQ. Opercule du lobe carré ou cap du
lobe
carré. DE. Pilier descendant du fornix ou pilier
U. Faisceau d'Arnold, 442. APiG. Faisceau arqué. BQ. Bourrelet du
lobe
carré. BSO. Bandelette sous-optique, 444. C.
al. PC. Pli courbe. PEL. Septum lucidum, 412. PEN. Pentagone du
lobe
carré. PO. Pôle occipital. PUT. Putamen, 441. i
Grand sillon métopique. sP. Scissure sous-pariétale. sQ. Recessus du
lobe
carré. T1. Première circonvolution temporale. tv
on Edit PLANCHE XXXVII ARC. Faisceau arqué, 448. BQ. Bourrelet du
lobe
carré. C. Circonvolution limbique. ce. Corps call
Cl. Capsule interne. Cin. Cingulum. CL. Claustrum. CQ. Opercule du
lobe
carré ou cap du lobe carré. CV. Carrefour ventric
Cin. Cingulum. CL. Claustrum. CQ. Opercule du lobe carré ou cap du
lobe
carré. CV. Carrefour ventriculaire, 446. F. Circo
de la corne d'Ammon, 456. RP. Bras du pulvinar. RQ. Bourrelet du
lobe
carré. C. Circonvolution limbique. CA. Commis
O. Centre ovale. CP. Commissure postérieure, 452. CQ. Opercule du
lobe
carré ou cap du lobe carré, 450. I)F. Pilier de
. Commissure postérieure, 452. CQ. Opercule du lobe carré ou cap du
lobe
carré, 450. I)F. Pilier descendant du fornix.
ule externe, 458. Cin. Cingulum. CL. Claustrum. CQ. Opercule du
lobe
carré ou cap du lobe carré. F1. Première circon
in. Cingulum. CL. Claustrum. CQ. Opercule du lobe carré ou cap du
lobe
carré. F1. Première circonvolution frontale.
rose des deux hémisphères ou d'un hémisphère ; b) sclé- rose d'un
lobe
du cerveau; c) sclérose de circonvolutions isol
érieur. Diphtérie : mort. AUTOPSIE. - Absence presque complète du
lobe
occipital. - Acrocéphalie. Arrêt de développeme
ssez prononcée qu'explique très bien la lésion du cerveau, dont les
lobes
postérieurs faisaient défaut; cette partie dépr
ie. Atrophie générale des circonvolutions, sclérose de la pointe du
lobe
occipital droit. Soulèvement partiel de l'écorc
-mère à la pie-mère. - Adhérences nombreuses de la face interne des
lobes
/')'on- Fig. G. - ODS. IV. 26 IDIOTIE. ta
j'. 13. Ons. IX. Hémisphère cérébral gauche; face supérieure. 1,1',
lobe
frontal. 1.0, lobe occipital. I ra ? aomm.
sphère cérébral gauche; face supérieure. 1,1', lobe frontal. 1.0,
lobe
occipital. I ra ? aomm. 1 11, »sortis. 1',
tales, FA, frontale ascendante. l'A, pariétale ascendante. LI'.
lobe
pariétal. 1,0, lobe occipital. 1', parus, s
ascendante. l'A, pariétale ascendante. LI'. lobe pariétal. 1,0,
lobe
occipital. 1', parus, sr, sillon de Rolando
tion fron- tale. 1,11, lol)e AC, lwant-eoin. C, coili. LTS,
lobe
temporo-sphéiioïdal/ co, couche optique. V, v
c; - absence du tubercule mamillaire gaucite; 7- pseudo-ltysle du
lobe
gauche. - Tuberculisalion pulmonaire, ganglion-
ale. . LI', lobule paracentral. AC, avant-coin. C, coin. LTS,
lobe
temporo-spnénolual. ce, corps calleux, co, co
FA, frontale ascendante. PA, pariétale ascendante. Pi, 1'2, PC,
lobes
pariétaux supé- rieur et inférieur, pli courbe.
2, PC, lobes pariétaux supé- rieur et inférieur, pli courbe. 1.0,
lobe
occipital. i' '1'2, première et seconde tem-
endante. l'A. circonvolution pariétale ascendante. Pl, 1'2, PC
lobes
pariétaux supé- rieur et inférieur, pli courbe.
1'2, PC lobes pariétaux supé- rieur et inférieur, pli courbe. LO,
lobe
occipital. 1 ? 1 ? T : I, première, seconde et
ontale. LP, lobule paracentral. AC, avant-coin. C, coin.- Lo,
lobe
occipital.. T3, troisième temporale. 00,couch
FA, frontale ascendante. PA, pariétale ascendante. l'l, P=, PC,
lobes
pariétaux supérieur et inférieur; pli courbe.
, première, seconde et tro sième circonvolutions temporales. 1,0,
lobe
occipital, ss, scissure de Sylvius. sr, sillo
FA, frontale ascendante. PA, pariétale ascendante. Pi, P2, PC,
lobes
pariétaux su- périeur et inférieur, pli courbe.
. taie. LP, lobule paracentral. AC, avant-coin. C, coin, LTS,
lobe
temporo-sphénoïdal. 00,' couche optique. v, v
rA, frontale ascendante. PA, pariétale ascendante. I ? P2, PC,
lobes
pariétaux supé- rieur et inférieur; pli courbe.
P2, PC, lobes pariétaux supé- rieur et inférieur; pli courbe. Lo,
lobe
occipital. 1 ? T2, T3, première, seconde et t
rt. AUTOPSIE. - Epaississement et adhérences de la Adhérences des
lobes
frontaux. - Atrophie simple ou sclé- reuse d'un
Réflexions. 97 aspect rouge, louche. Il s'échappe des bronches du
lobe
supé- rieur, à la pression, un liquide purulent
- rieur, à la pression, un liquide purulent. Pas de bronchite des
lobes
moyen et inférieur. A gauche, il y a moins de liq
a plèvre ; fausses membranes plus abondantes, broncho- pneumonie du
lobe
inférieur, oedème du bord antérieur. Poids du p
ique ET MÉN ! NGO-ENCÉPHALITE. circonvolutions de la fla convexe du
lobe
frontal sont grêles. De plus, la moitié antérie
s sillons. Face interne. - La pie-mère est adhérente au niveau du
lobe
quadrilatère, du coin. de la circonvolution de l'
s toutes les circon- volutions sont petites sauf la FA et la PA. Le
lobe
frontal de ce côté est moins atrophié que l'aut
(12gl'.); pas de thymus. -Poumon droit (250 gr.), pas d'adhérences.
Lobe
supérieur atélectasié. - Poumon gauche (380gr.)
ur atélectasié. - Poumon gauche (380gr.). - La partie inférieure du
lobe
supérieur présente une hépatisation rouge tenda
rise ; il coule dans l'eau ; emphysème il la partie supérieure ; au
lobe
inférieur nombreux nodules de broncha-pneumonie
eur nombreux nodules de broncha-pneumonie. Adhérence pieu raie du
lobe
supérieur. - Coeur (110 gr.), normal. Abdomen.
a face convexe, larges plaques ecchymotiques. A la face interne des
lobes
frontaux la pie-mère est adhérente. Les bords d
lvius sont accolés. 120 NIÉNITGO-NCI : PH : 1LITLr. antérieurs du
lobe
temporal Sur la face supérieure du 4" ventricul
stance grise par petits îlots ; le maximum des lésions siège sur le
lobe
frontal, le pied de la frontale et de la pariét
les, rien de particulier. Cou. Corps thyaaïde (10 gr.) ; les deux
lobes
sont régu- liers. Thymus (35 gr.) s'étendant de
liers. Thymus (35 gr.) s'étendant depuis la partie inférieure des
lobes
latéraux du corps thyroïde jusqu'à la moitié infé
sticulaire. 133 sur toute son étendue, principalement au niveau des
lobes
frontaux et des lobes temporaux. - La pie-mère
ute son étendue, principalement au niveau des lobes frontaux et des
lobes
temporaux. - La pie-mère du bulbe et de la prot
vexe. Quelques petites adhérences rares sur la moitié antérieure du
lobe
frontal, asseznombreusessurl;i moitié postérieu
ure du lobe frontal, asseznombreusessurl;i moitié postérieure de ce
lobe
et sur les frontale et pariétale ascendantes. A
ntale et pariétale ascendantes. A partir de là jusqu'à la pointe du
lobe
occipital les adhérences sont géné- ralisées et
ns pourtant, mais en petit nombre, sont indemnes d'adhérences. Le
lobe
de l'insula qui a 4 digitations et toute la bordu
tale et la circonvolution du corps calleux; assez nombreuses sur le
lobe
carré, moins nombreuses sur le lobe oceipital.
alleux; assez nombreuses sur le lobe carré, moins nombreuses sur le
lobe
oceipital. Ventricule latéral non dilaté. Couch
palement dans leur moitié postérieure. Il n'y a presque rien sur le
lobe
occipital, quelques petites adhéren- ces sur la
con- volutions et des sillons que sur l'autre hémisphère. Cou. Le
lobe
gauche du corps thyroïde est tout à fait réduit
plaques ecchymotiques, sur le bord extérieur et la face interne des
lobes
frontaux, à l'extrémité inférieure de la fronta
riétale ascendantes. Quelques plaques ecchymotiques aussi sur les
lobes
temporaux à la pointe des lobes occipitaux. Sur l
plaques ecchymotiques aussi sur les lobes temporaux à la pointe des
lobes
occipitaux. Sur la base de l'encéphale, la pie-
es sur l'extrémité posté- rieure. La pie-mère de la face interne du
lobe
frontal droit adhère à celle du lobe frontal ga
pie-mère de la face interne du lobe frontal droit adhère à celle du
lobe
frontal gauche. Les circonvolutions paraissent
te quelques adhérences au niveau des circonvolutions motrices et du
lobe
pariétal. Les circonvolutions n'offrent pas d'a
taire est très sillonnée, normale, bien développée. Face convexe. -
Lobe
frontal. Les scissures parallèles fron- tales s
lant de la scissure de Sylvius à la scissure frontale inférieure.
Lobe
central. La circonvolution frontale ascendante es
rait plus large à sa partie supérieure qu'à sa partie inférieure.
Lobe
pariétal. Le lobule pariétal supérieur est bien
e assez maigre et en retrait allant au lobule pariétal inférieur.
Lobe
occipital. Il existe deux plis de passage allant
Les circonvolutions occipitales sont sinueuses et assez grosses.
Lobe
temporal. - La Ire circonvolution temporale, asse
arallèle qui circonscrit le pli courbe, séparant ainsi nettement le
lobe
occipital; elle n'est interrompue que vers son
'insula, un peu chagriné, possède cinq digitations. Face interne.
Lobe
occipital. La le circonvolution occipitale est
t, mais assez bien conformée, est éga- lement un peu chagrinée. ,
Lobe
frontal. La circonvolution frontale interne est b
essus de ce sillon transverse est un peu en retrait et chagrinée.
Lobe
pariétal. La scissure inter-pariétale, assez pro-
t circoncrit par deux sillons provenant de la scissure parallèle.
Lobe
occipital. Il est bien conformé dans toutes ses p
conformé dans toutes ses par- ties, scissures et circonvolutions.
Lobe
temporal. - La première et la seconde circonvolu-
de temporale à la deuxième circonvolution occipitale. Face interne.
Lobe
tem]J()1'o-occipilat. Les deux circon- volution
très développées, sans pli de passage allant de l'une à l'autre.
Lobe
frontal. La première circonvolution est assez bie
'insula qui fait saillie à cause de la dilatation ventriculaire. Le
lobe
frontal offre des sillons peu profonds, les cir
ouc. Le sillon de Rolando qui la borne en arrière est fort mince. -
Lobe
pariétal : la frontale ascendante très large, a
res analogues. Le pli cour- be ne présente rien de particulier. -Le
lobe
temporal est sil- lonné de scissures plus profo
d'adhérences à son bord sylvien T3 et T3 ont un aspect normal. -Le
lobe
lcm.pom- sphénoïdal est assez aminci et la circ
nvolution de l'hippo- campe est réduite à une simple membrane. - Le
lobe
occipital parait absolument sain. Face intern
ont rien de particulier. Les lobules parié- taux, le pli courbe, le
lobe
temporal ont leur aspect ordinaire. face intern
droite. Des adhérences nombreuses et fines existent au ni- veau des
lobes
frontal et pariétal droits. , i; Le cerneau, qu
tance cérébrale de 5 centimètres carrés environ forme le vestige du
lobe
occipital. Une surface lisse et mem<r braneu
e surface lisse et mem<r braneuse lui succède jusqu'au niveau du
lobe
frontal qui, lui ? est représenté par une plaqu
restes de la partie inférieure de I et de la partie antérieure : du
lobe
temporo-sphénoîdal. L'hémisphère droit offre enco
l. L'hémisphère droit offre encore moins de substance]cérébrale. Le
lobe
frontal y est représen- té par une fort petite
tite partie, de son extrémité antérieure; il n'y a pas de traces du
lobe
pariétal, ni du lobe temporo-sphé-- Iroidal. Qu
xtrémité antérieure; il n'y a pas de traces du lobe pariétal, ni du
lobe
temporo-sphé-- Iroidal. Quelques vestiges sclér
, ni du lobe temporo-sphé-- Iroidal. Quelques vestiges sclérosés du
lobe
occipital forment' en arrière un petit îlot. La
se du cerveau est assez dévelop- pée dans sa partie antérieure. Les
lobes
orbitaires existent bien que singulièrement atr
al gauche. - Il offre L-s mêmes lésions à un degré moins avancé. Le
lobe
frontal est formé de circon- volutions à très n
rconvolutions de l'insula semblent se continuer directement avec le
lobe
frontal. Cette scissure de va obliquement jusqu
ordant la scissure inter-hémisphérique et à la partie antérieure du
lobe
temporal. Le lobe pariétal est lisse et distend
inter-hémisphérique et à la partie antérieure du lobe temporal. Le
lobe
pariétal est lisse et distendu. = La face inter
ubé-' rance et des pédoncules cérébraux et est en rapport avec le
lobe
médian du cervelet. Aux dépens de ces organes la-
de cet hémisphère sont nettement accusés. Les circonvolu- tions du
lobe
frontal, très contournées et bien développées,
adhérences pie-mériennes nombreuses aux deux tiers anté- rieurs du
lobe
temporal. La face interne présente une altéra-
lobe temporal. La face interne présente une altéra- tion notable du
lobe
quadrilatère qui correspondait du reste, au som
da légères adhérences pie-mériennes à la partie toute antérieure du
lobe
temporal, au niveau de la circonvolution de l'h
ante, fort aplatie, a environ 3 centimètres de largeur. La corne du
lobe
temporal est aussi fortement aplatie et lisse.
sur la corne temporale. Thorax. Poumon gauche (480 gr.), tout le
lobe
infé. rieur est hépatisé. La plèvre présente qu
ue l'on pourrait regarder comme la partie droite de Fig. 53. - L F,
lobe
frontal. - L M, lobe moyen. - I. 0, lobe occipita
rder comme la partie droite de Fig. 53. - L F, lobe frontal. - L M,
lobe
moyen. - I. 0, lobe occipital. z S S, scissure
droite de Fig. 53. - L F, lobe frontal. - L M, lobe moyen. - I. 0,
lobe
occipital. z S S, scissure de Sylvius. - L I, l
cervelet. F, première circonvolution frontale. S 0, scissure. L P,
lobe
paracentral. L Q, lobe carré - C C, corps calle
circonvolution frontale. S 0, scissure. L P, lobe paracentral. L Q,
lobe
carré - C C, corps calleux. - L 0, lobe occipital
L P, lobe paracentral. L Q, lobe carré - C C, corps calleux. - L 0,
lobe
occipital. (/1 loyer hémorrhagique. , Cette f
ie simple. Quant à la petite fille de la Salpêtrière, le manque des
lobes
céré- belleux mérite qu'on la classe en dehors
ion s'accentue par plaques à droite sur la première temporale et le
lobe
pariétal inférieur, à gau- che sur les lobes te
remière temporale et le lobe pariétal inférieur, à gau- che sur les
lobes
temporal et pariétal. Le lobe frontal droit est
riétal inférieur, à gau- che sur les lobes temporal et pariétal. Le
lobe
frontal droit est recouvert de taches ecchynmot
hérences à l'extrémité antérieure et à l'extrémité posté- rieure du
lobe
temporal gauche. Les nerfs olfactifs sont aplat
de liquide céphalo-rachidien. Le cervelet est très volumineux. Son
lobe
gauche en particulier est tuméfié et on sent à
is- tance un peu molle, qui fait saillie il la face inférieure du
lobe
gauche du cervelet. En arrière de cette tuméfacti
ons. - Tuberculose intestinale. - Atrophie du cerveau surtout des
lobes
frontaux et occipitaux. - Développement exagéré
utre. En avant en haut et en dehors la cavité était limitée par les
lobes
occipitaux du cerveau. Ceux-ci offrent un aspec
s paquets d'adhé- rences qui sont très multipliés il. la pointe des
lobes
frontaux. L'encéphale se présente, vu par sa fa
par sa face convexe, sous la forme d'un coeur de carte à jouer. Les
lobes
frontaux sont atrophiés et les lobes postérieur
un coeur de carte à jouer. Les lobes frontaux sont atrophiés et les
lobes
postérieurs, également atrophiés, laissent à déco
t vascularisée, mais à un degré moyen, sauf sur la face convexe des
lobes
frontaux, où elle l'est à un degré très accusé.
droit. - On est frappé de suite de l'atrophie considérable des deux
lobes
frontaux. Dans son ensemble, bien Fig. 9. 44
llongé et transversal, atteignant le sillon de Rolando. Le reste du
lobe
est bien diminué de volume. - Le lobe tempo- ra
illon de Rolando. Le reste du lobe est bien diminué de volume. - Le
lobe
tempo- ral parait normal, les sillons et scissu
normal, les sillons et scissures y sont bien accen- tués. - Sur le
lobe
pariétal, on retrouve également des traces Fig.
avec des traces analogues situées sur la pariétale ascendante. Les
lobes
occipitaux dont nous avons déja signalé l'atrop
élargi. En avant de lui on note une atrophie et un aplatissement du
lobe
frontal, qui paraît même déprimé et concave au
nombreux et un peu de pachy- méningite à sa partie supérieure.- Le
lobe
temporal est normal à sa partie inférieure. En
issure. - Au-dessous les dernières temporales sont normales. - Le
lobe
pariétal est régulier bien que légèrement atrophi
Le lobe pariétal est régulier bien que légèrement atrophié. - Le
lobe
occipital est lisse, régulier; il est atrophié à
la substance grise. Sur presque toute l'étendue des trois faces des
lobes
frontaux, la substance blanche de la première c
ale et la pariétale ascen- dantes gauches, de la circonvolution des
lobes
olfactifs des deux côtés, la partie antérieure
n des lobes olfactifs des deux côtés, la partie antérieure des deux
lobes
temporaux est complètement mise à nu et se prés
isphère droit que de l'hémisphère gauche. La partie postérieure des
lobes
temporaux et ce qui représente les , lobes occi
partie postérieure des lobes temporaux et ce qui représente les ,
lobes
occipitaux n'offrent que des lésions de méningite
O-ENCÉPHALITE. Cou. - Corps thyroïde, très petit (6 gr.) ; les deux
lobes
sont séparés sans isthme intermédiaire. Le lobe
(6 gr.) ; les deux lobes sont séparés sans isthme intermédiaire. Le
lobe
droit est deux fois plus épais que le lobe gauc
isthme intermédiaire. Le lobe droit est deux fois plus épais que le
lobe
gauche. - Pas de traces de thy- mus. ' : , Th
aucune concrétion. - Rate, petite (25 gr.) ; elle est divisée en 3
lobes
. - Reins, normaux : le gauche pèse 38 gr.; le d
nze injections de suc thyroïdien en février. 1896. 0 mat. Un demi
lobe
de glande thyroïde ingéré par la wie slonwcillc
e slonwcillc. T. IL 3C", 9 le matin et 37" le soir. 10 mai. Un demi
lobe
. T. 11. 37", 5. Soir : 380, 1. Quel- ques modif
s reprises. Elle agite les bras dans tous les sens. 11 mat. l'as de
lobe
. Pouls à G7 ; respiration il 21 ; T. R. 38°, 3.
ement pour la première fois. - Soir : T. R. 39°. 13 mai. - Pas de
lobe
. T. R. 38°, 2. Soir : T. R. 38°, 5. L'en- fant
Sylvius, l'insula, le sillon de Rolando déli- mitent normalement le
lobe
mais les circonvolutions très contournées ont u
deux à sa partie moyenne. Ce sillon transversal se continue dans le
lobe
frontal bor- dant une partie de F2 et coupant l
dant une partie de F2 et coupant le sillon préfrontal et du côté du
lobe
pariétal en coupant PA à sa partie moyenne. Il
lvius. Il se continue avec le sillon intra-pariétal de sorte que le
lobe
pariétal offre deux régions très nettement sépa
l'autre plus contournée compre- nant la partie inférieure de PA, le
lobe
pariétal inférieur et le pli courbe. Le lobe
inférieure de PA, le lobe pariétal inférieur et le pli courbe. Le
lobe
temporal n'offre rien de particulier si ce n'est
re perpendiculaire, externe est nette, plus accusée qu'a gauche. Le
lobe
occipital est toujours d'aspect rudimen- taire
tral, l'avant-coin, le coin, la circonvolution du corps calleux, le
lobe
temporo-sphénoïdal, sont normaux morphologiquem
ésion. - Poumon gauche (440 gr.) très forte congestion et oedème du
lobe
inférieur. Abdomen. Estomac, sain. - Foie ()450
olutions sont vermiformes, l'hémisphère ne recouvre qu'en partie le
lobe
cérébelleux correspondant et est en retrait en
ns relativement assez grande sur les circonvolutions très grêles du
lobe
quadrilatère et de l'extrémité du lobe fron- ta
rconvolutions très grêles du lobe quadrilatère et de l'extrémité du
lobe
fron- tal. Les circonvolutions du lobe occipita
ilatère et de l'extrémité du lobe fron- tal. Les circonvolutions du
lobe
occipital sont aussi plusgré. les que ne le fai
personnelle de l'en- fanl. AUTOPSIE. - Pseudo-kystes occupant le
lobe
temporal et Vin- sula de l'hémisphère cérébral
ont assez bien accusées (scissure de Sylvius, sillon de Rolando).
Lobe
frontal. Les trois circonvolutions frontales sont
ont sclérosés. Le sillon préfrontal sépare nettement FA du reste du
lobe
. Ce sillon se continue par un autre formant cro
ation de FA qui en haut se termine sans discontinuité avec ) ! 1.
Lobe
pariétal. Il est très sinueux et très complexe. L
st mal délimité. PA garde seule son autonomie. Il en est de même du
lobe
occipital qui est sclérosé et atrophié dans toute
toute la partie qui borde la scissure perpendiculaire externe. Le
lobe
temporal se divise en deux régions : Une supérieu
st sclérosé et atrophié dans toute la région qui borde la corne (lu
lobe
temporal. La face interne de l'hémisphère droit e
l. La face interne de l'hémisphère droit est d'aspect normal. Les
lobes
pariétaux et occipitaux n'offrent aucune particu-
ffrent aucune particu- larité si ce n'est dans leur rapport avec le
lobe
temporal qui, à vrai dire, n'existe pas. A pein
qui est restée à peu près normale. En arrière, par les vestiges du
lobe
temporal ; - en avant par la partie inférieure
vestiges du lobe temporal ; - en avant par la partie inférieure du
lobe
frontal d'aspect normal. Cette cavité est limitée
cependant séparé que par une très mince membrane (Planche IV). Le
lobe
frontal est formé de ses trois circonvolutions no
détruite/Le pseudo-kyste de l'hé- misphère droit'remplaçait tout le
lobe
de l'insula et en. viron la moitié antérieure d
açait tout le lobe de l'insula et en. viron la moitié antérieure du
lobe
temporal. Comme il n'y avait pas de communicati
interne sauf le lobule paracentral : en dehors sur presque tout le
lobe
frontal et la pariétale ascendante. - Atrophie
La glande pinéale n'offre rien de particulier. Cerveau. Les deux
lobes
frontaux sont accolés au niveau des 2/3 postéri
se sur la circonvolution du corps calleux, la première frontale, le
lobe
quadrilatère, le lobe occipital et le lobe temp
on du corps calleux, la première frontale, le lobe quadrilatère, le
lobe
occipital et le lobe temporal. Seul le lobe par
la première frontale, le lobe quadrilatère, le lobe occipital et le
lobe
temporal. Seul le lobe paracentral, le sillon c
lobe quadrilatère, le lobe occipital et le lobe temporal. Seul le
lobe
paracentral, le sillon calloso-marginal et ceux q
central, le sillon calloso-marginal et ceux qui séparent le coin du
lobe
quadrilatère et du lobe occipital ne présentent
so-marginal et ceux qui séparent le coin du lobe quadrilatère et du
lobe
occipital ne présentent pas d'adhérences. Aux p
r- ties plus ou moins étendues de la substance grise, sur tout le
lobe
frontal. Sur les F2 et F3 presque dans toute leur
iétal inférieur et sur la moitié postérieure de T2 et de T3. Sur le
lobe
frontal, on trouve un très grand développement
ions et des plis de passage. A partir de la moitié postérieure du
lobe
frontal, les deux faces des sillons ne présentent
obule de l'insula. dont les circonvolutions sont très grêles. - Les
lobes
occi- pitaux et pariétaux sont normaux. Hémis
ieur de F A, de P A, des deux plis pariétaux, et de presque tout le
lobe
temporal. (Planche VI.) Des deux côtés, les v
couches optiques et les corps striés paraissent normaux. Les deux
lobes
du cervelet, ainsi que sa partie médiane, n'offre
de myxoe- dème congénital, la dixième partie environ du quart d'un
lobe
de thyroïde de mouton. J'ai observé, dès le len
lilli- culté par les malades. La dose a varié d'un demi-lobe a un
lobe
. Les enfants sont surveillés avec le plus grand s
er un demi-lobe tous les jours,' nous n'avons administré le demi-
lobe
que tous les deux jours. A l'heure actuelle, dix
es. Nous en avons fait peser un certain nombre. Le poids moyen d'un
lobe
frais est de 2 grammes. M. Rendu. J'ai eu l'o
uer toujours la dose médicamenteuse de ces ces organes non pas en
lobes
ou en fractions de lobes, mais en grammes et frac
dicamenteuse de ces ces organes non pas en lobes ou en fractions de
lobes
, mais en grammes et fractions de grammes. Je cr
s élément», elles pèsent naturellement moins, à peine un gramme par
lobe
. 142 Discussion. M. IIA.YEM. lime parait très
ille. e Sueurs peu abondantes. - Reprise du traitement : un demi-
lobe
tous les deux jours. 3 février. Le cuir chevelu
e premier traitement qui a porté sur 166 jours, elle a pris un demi
lobe
de glande thyroïde pendant 77 jours, soit 37 n'
nt. Du 23 juillet au 5 novembre 1895, la malade a ingéré un demi-
lobe
de glande thyroïde tous les deux jours; puis du 9
toute l'étendue des deux hémisphères. Sauf sur la face interne des
lobes
temporal et occipital droits et sur la région par
elle est rugueuse en maints endroits de sa face interne. Les deux
lobes
frontaux sont accolés dans leur moitié postérieur
; elles présentent un as- pect vermiforme. - Les circonvolutions du
lobe
temporal et le lobule pariétal inférieur sont r
ière. La sclérose porte surtout sur le lobule paracentral, sur le
lobe
frontal, sur FA et l'.1; la méningo-encéphalite a
. P.P.I., pli pariétal inférieur. T1, première temporale. L.O.,
lobe
occipital. Fig. 2. - Face interne du même hémis
tion du corps calleux. r, première circonvolution frontale. L.P.,
lobe
paracentral. L.Q., lobe quadrilatère. L.O., l
, première circonvolution frontale. L.P., lobe paracentral. L.Q.,
lobe
quadrilatère. L.O., lobe occipital. BOURNEVIL
rontale. L.P., lobe paracentral. L.Q., lobe quadrilatère. L.O.,
lobe
occipital. BOURNEVILLE, Bicêtre, 189'" £ PL.
première, seconde et troisième circonvolutions temporales. L.O.,
lobe
occipital. Le foyer a détruit la circonvolution
sure de Sylvius, le lobule de l'ins«laet l'extrémité antérieure du
lobe
temporal. Bourneville. Bicêtre, 1896. l'1.. IV.
volution frontal ? C.C.C., circonvolution du corps calleux. L.P.,
lobe
paracentral. L.Q., lobe quadrilatère. L.().,
., circonvolution du corps calleux. L.P., lobe paracentral. L.Q.,
lobe
quadrilatère. L.()., lobe occipital. C.lI., c
alleux. L.P., lobe paracentral. L.Q., lobe quadrilatère. L.().,
lobe
occipital. C.lI., circonvolution de l'hippocamp
nérale. OEdè- me, vascularisation fine et ecchymotique au niveau du
lobe
sphéno-temporal droit. - La pie-mère s'enlève à
ncipalement sur l'hémisphère droit, au niveau de la face externe du
lobe
occipital, la moitié antérieure de la première
ues. 9 P1, bien développé, envoie en arrière un pli de passage au
lobe
occipital. - P2, assez volumineux, avec sillons s
ssez creuse. LO assez p'issé. - CII grosse. CA, VL, CO, CS, rien. -
Lobe
orbi- taire, formé de circonvolutions séparées
formée de circonvolutions développées, sinueuses, envoie un pli au
lobe
occipital, un au lobule pariétal inférieur, un
naler. - Le corps calleux a G à 7 mm. au milieu, 9 à 10 en avant. -
Lobe
orbilaire plissé. Titoi,,tx. - Coetti,iioriiiil
-i,.). -PoLtiioitq.-Aclliéi,eilceg anciennes des deux sommels et du
lobe
moyen à droite. Pas de tuberculose. - Hyperhemi
coup plus marquées au sommet droit. - Poumon droit (460 gr.) : le
lobe
supérieur présente une vaste cauerne ; on en trou
te cauerne ; on en trouve une plus petite à la partie supérieure du
lobe
inférieur, qui est fortement congestionné. - Po
tie supérieure. - La première pariétale envoie un pli de passage au
lobe
occipital. - La deuxième pariétale est peu déve
ons. - Le pli courbe, assez volumineux, envoie un pli de passage au
lobe
occipital. - Le lobule de l'insula, très dévelo
que la deuxième et la troisième qui sont en partie confondues. - Le
lobe
occipital, assez volumineux, est facilement déc
passage entre l'extrémité postérieure de la première frontale et le
lobe
paracentral. Ce pli il plus'd'un cen- timètre d
e lobe paracentral. Ce pli il plus'd'un cen- timètre de largeur. Le
lobe
paracentral et le loue carré sont volumineux et
lle est en partie confondue avec, la deuxième et la troisième. - Le
lobe
de l'insula est exactement pareil à celui du cô
YHnLIrL. 31 lisse et présente quelques adhérences à son origine. Le
lobe
paracentral est lisse, le sillon de Rolando y f
central est lisse, le sillon de Rolando y forme une enco- che. - Le
lobe
carré est bien développa. Pas d'adhérences. - L
vexe et sont presque nulles sur la face interne. Des deux côtés les
lobes
temporaux, occipitaux, et l'insula sont indemne
.- La pie-mère est très nota- blement épaissie à la face interne du
lobe
frontal et sur pres- que toute l'étendue de la
ue ses prolongements semblent dilatés. - La pointe postérieure du
lobe
frontal, au niveau de la bandelette optique, est
tout le long du bord de la grande scissure, sur la face convexe des
lobes
frontal, pariétal et occipital, est finement va
sses grises centrales. Il n'y a que sur la moitié postérieure des
lobes
temporaux que la pie-mère n'est pas sensiblement
étendue des hémisphères cérébraux, sauf à la partie postérieure des
lobes
temporaux (La sensibilité est demeurée intacte
s développée, et ces deux circonvolutions vo- lumineuses donnent au
lobe
frontal un développement assez considérable, re
ceux qui constituent la F3 et une partie de la I .A. - La T3 et le
lobe
occipital ne présentent rien à signaler. Le pli
ions olfactives interne et externe également, ainsi que le reste du
lobe
orbitaire. Face interne. - Circonvolution du co
t aboutir la scissure de Rolando qui, à ce niveau, est naturelle. -
Lobe
quadrilatère, coin, normaux. Dans leur ensemble
e Sylvius, a peu près rectiligne, laisse voir l'insula normal. - Le
lobe
frontal est très développé, ses circonvolutions
lumineux, particulièrement aux circonvolutions occipita- les. - Les
lobes
temporal et occipital n'offrent rien de spécial.
emporales. Face inférieure. Rien à signaler. Cervelet. - Les deux
lobes
ont un développement inégal, le gauche est un p
capil- laires dilatés et des strates de sang épanché. 2° Coupe du
lobe
pa1"acentral, sain en apparence, au dessus du f
e du lobe pa1"acentral, sain en apparence, au dessus du foyer. - Ce
lobe
comprend.peu d'éléments cellulaires, contrairem
décoloration subséquente ont donné les résultats sui- vants : 1°
Lobe
frontal. On constate que la couche superficielle
nce blanche ne présentent pas de paquets de fibres dégénérées. 2°
Lobe
pariétal. La surface grise est encore intacte et
. Les cellules nerveuses sont pourtant aussi abondantes que dans le
lobe
frontal et pré- sentent les mêmes caractères de
s comme celles que l'on rencontre chez les très jeunes chiens. 3°
Lobe
occipital. Son aspect est tout à fait semblable à
ando, - FA, frontale ascendante, - PA, pariétale ascendant, - L1'I,
lobe
pariétal inférieur. 96 Impressions maternelles.
une. autre occupe le pli courbe ; une autre la partie antérieure du
lobe
occipital. - z La face interne de cet hémisphèr
rouve des granulations tuberculeuses au sommet du poumon droit : le
lobe
inférieur est très conges- ' tienne. Il en est
: le lobe inférieur est très conges- ' tienne. Il en est du même du
lobe
correspondant du poumon gauche. Goeui' (G5 gr.)
. - Cou. - Quel- ques traces de thymus. Corps thyroïde (8 gr.) ; le
lobe
gauche est plus développé que le droit. Thora
s plaques ecchymotiques sur les plis I pariétaux et à la pointe des
lobes
frontaux. - Les diffé- rentes parties de la bas
Idiotie par arrêt DE développement.. 123 volumineuse, ainsi que le
lobe
paracentral et le lobe quadri- latère dont le t
éveloppement.. 123 volumineuse, ainsi que le lobe paracentral et le
lobe
quadri- latère dont le tiers inférieur se compo
plus petit que celui du côté droit et se confond en partie avec le
lobe
occipital peu développé, comme le lobe temporal
se confond en partie avec le lobe occipital peu développé, comme le
lobe
temporal. La circonvolution du corps calleux es
té sensiblement les mêmes dans les différents points examinés. 1°
Lobe
frontal. La couche superficielle, sous pie-mérien
inégalement répartie, car les fibres y sont peu abondan- tes. 2°
Lobe
pariétal. Une des circonvolutions les plus volumi
s de la région, mais beaucoup plus petites qu'à l'état normal. 3"
Lobe
occipital. Ici l'atrophie est très prononcée. Les
à R... le traitement thyroïdien. Chaque jour le malade pren- dra un
lobe
de corps thyroïde. 25 août. Aucune modification
otiques et blanchâtres prédominant à droite. Les faces internes des
lobes
frontaux sont accolées l'une à l'autre. Môme ép
tale ascendante toutes les temporales, les plis pariétaux, tout le
lobe
occipital. - Sur la face interne de l'hémisphère,
es lésions de méningo-encéphalite occupent le lotie occipital, le
lobe
quadrilatère, le lohe temporal, le tiers-antérieu
be c'est-à-dire le quart de la glande (2), puis nous avons donné un
lobe
, ou la moitié. Trois malades ont été soumis à c
Pisanti, Gley, Magnan, etc. (2) Nous avons pesé pendant 8 jours les
lobes
, soit la moitié des glandes ; les pesées nous o
r. 20, 2 gr. 30, 2 gr. 60, 2 gr. 80, 2 gr. soit environ 2 grammes par
lobe
frais, ou demi-glande. 170 Thérapeutique.
core un peu plus dégonflées, le malade maigrit. Nous donnons un
lobe
. 7 juin. - Amaigrisse- ment notable (2 k. 300
120, régulier. Etatlypothy- mique. Pas de glande. 10 juin. 1/2
lobe
. Pouls : 120. Vers 2 heures de l'après- midi, t
de l'albumine ou du sucre. 5 juillet. - Reprise du traitement (1/2
lobe
). Deb... se met Fig. 22. - Debar... en septembr
et des pieds continue. Pouls : 120. Urine : 500 gr. 14 juillet. - ?
lobe
. Pouls : 120. Urine : 260 gr. ( ? ). 15 juillet
Pouls : 120. Urine : 500 gr. La peau est moite. 16 juillet. - Va
lobe
. Pouls : 120. Urine : 500 gr. Quelques coliques
cela existait avant tout traitement. Nous lui avons fait prendre un
lobe
tous les deux jours jusqu'à la date du 30 septemb
moins chez celle de 14 ans (Obs. III). - La dose avarié d'un demi
lobe
à un lobe de glande thyroïde du mouton. L'actio
ez celle de 14 ans (Obs. III). - La dose avarié d'un demi lobe à un
lobe
de glande thyroïde du mouton. L'action de la gl
olution physique. (Voir l'Oi3s. complète p. 120.) Il a pris un demi
lobe
tous les jours du Il 1 août au 2 ! ) septembre
s un demi lobe tous les jours du Il 1 août au 2 ! ) septembre et un
lobe
quotidiennement du 1 ? octobre au 4 novembre, s
., pariétale ascendante. L.P.S., lobule pariétal supérieur. L.O.,
lobe
occipital. Tl, première temporale. S.S., scis
e droit. 1 , première frontale. L.P., lobule paracentral. L.Q.,
lobe
quadrilatère. C., coin. C.C.C., circonvolutio
S.R., sillon do Rolando. P.rl., pariétale ascendante. L.l'.S.,
lobe
pariétal supérieur. L.P'.L, lobule pariétal inf
lobe pariétal supérieur. L.P'.L, lobule pariétal inférieur. L.O.,
lobe
occipital. Les chiffres i,i,3, etc., indiquent
l'hémisphère gauche. F1, première circonvolution frontale. L.P.,
lobe
paracentral. L.Q., lobe quadrilatère. L.O., l
, première circonvolution frontale. L.P., lobe paracentral. L.Q.,
lobe
quadrilatère. L.O., lobe occipital. 1, 2, îlo
rontale. L.P., lobe paracentral. L.Q., lobe quadrilatère. L.O.,
lobe
occipital. 1, 2, îlots de sclérose. Bournevil
, troisième circonvolutions temporales. P.C., pli courbe. L.O.,
lobe
occipital. Bourneville, Bicêtre, 1895. PL. V.
Face interne de l'hémisphère droit. F', première frontale. L.P.,
lobe
paracentral. L.C.,lobe carré. C.C.C., circonv
hère droit. F', première frontale. L.P., lobe paracentral. L.C.,
lobe
carré. C.C.C., circonvolution du corps calleux.
, pariétale ascendante. L.P.S., lobule pariétal supérieur. L.P.L,
lobe
pariétal inférieur. P.C., pli courbe. L.O., l
érieur. L.P.L, lobe pariétal inférieur. P.C., pli courbe. L.O.,
lobe
occipital. T1) T2, T3., première, deuxième, tro
modifications du poids. Les grands carrés verts correspondent à un
lobe
de glande thyroïde. Les petits carrés verts c
yer. OBs. VIII. - Hennequi... Plusieurs coupes pratiquées sur les
lobes
frontaux des hémisphères cérébraux ont fait décou
he (G ? s gr.) présente quelques adhérences assez faibles, tout son
lobe
inférieur est congestionné. - Pas de tubercules.
de l'hémis- phère droilqui présente unesorle d'encoche séparant le
lobe
frontal du lobe pariétal. La pic-mère oilre là
re droilqui présente unesorle d'encoche séparant le lobe frontal du
lobe
pariétal. La pic-mère oilre là une véritable infi
t moins large que l'autre hémisphère; tandis que le bord interne du
lobe
orbi laire gauche mesure quatre centimètres et de
et demi, celui du côté droit n'en mesure que trois en longueur. Le
lobe
or- bitaire gauche a trois centimètres et demi
pect légèrement chagriné qui ne se retrouve pas de l'autre côté. Le
lobe
occipital est relativement assez volumineux.
en massue à l'ori- gine de sa portion horizontale (supérieure).- Le
lobe
paracentral est bien développé avec un sillon m
be paracentral est bien développé avec un sillon médian central. Le
lobe
carré est large etparait nurmal ainsi que le, c
ré est large etparait nurmal ainsi que le, coin, la face interne du
lobe
occipital, la corne cl'.I 11111[1)11, la circon
irconvolution de {hippocampe. Hémisphère gauche. - Face convexe. Le
lobe
frontal est bien développé. La première circonv
istincts; à cet égard c'est un cerveau type. Les circonvolutions du
lobe
occipital sont assez volumineuses. Le lobule de
par un sillon perpendicu- laire (PL. IV, s); elle se termine sur le
lobe
paracentral) (L P) sans séparation. Le lobitle
est volumineux, presque coupé en deux par un sillon vertical. - Le
lobe
carré (L Q), le coin (L C), le lobe occipital (
ux par un sillon vertical. - Le lobe carré (L Q), le coin (L C), le
lobe
occipital (L 0), sont normaux (PL. IV). Réflexi
terne et sur la face convexe et semble avoir séparé complètement le
lobe
occipital du reste de l'hémisphère. Le kyste di
es circonvolutions temporales sont normales, bien développées. - Le
lobe
occipital est normal. - Le lobule de l'insula e
rne. La première circonvolution frontale est épaisse, plissée. - Le
lobe
paracentral est épais, long, bien développé; au
ment bifurquée en avant au niveau du bourrelet du corps calleux. Le
lobe
quadrilatère est bien développé, très sinueux;
bien développés, normaux. Les circonvolutions et les scissures du
lobe
orbitaire ne présen- tent rien de particulier.
ve le pseudo-kyste qui occupe : a) sur la face externe, la place du
lobe
temporal dont les circonvolutions sont complète
convolutions sont complètement détruites ; la partie postérieure du
lobe
pariétal inférieur, la partie la plus antérieure
érieure du lobe pariétal inférieur, la partie la plus antérieure du
lobe
occipital, le pli courbe, la partie postérieure
sztpé- ricll1'; - b) sur la face interne : la moitié postérieure du
lobe
quadrilatère, tout le coin, le lobule lingual e
ue sorte l'hémis- phère cérébral en deux parties, l'une antérieure (
lobe
frontal et région pariétale), l'autre postérieu
lobe frontal et région pariétale), l'autre postérieure répondant au
lobe
occipital. La partie antérieure du lobe pariéta
re postérieure répondant au lobe occipital. La partie antérieure du
lobe
pariétal est atrophiée, mais a con- servé son a
bituel. Les circonvolutions occipi- tales paraissent normales. Le
lobe
de l'insu la est très atrophié. Face interne. -
atrophié. Face interne. - La première circonvolution frontale et le
lobe
paracentral sont plissés, bien développés.- La
est réduite à une sorte de mince membrane. La partie antérieure du
lobe
quadrilatère est très atrophiée, plis- sée et e
ée, plis- sée et en retrait de plusieurs millimètres par rapport au
lobe
paracentral; sa partie postérieure, comme nous
atrophiée encore, se trouve beaucoup plus en retrait par rapport au
lobe
occipital. -Le coin se trouve perdu dans le foyer
ort au lobe occipital. -Le coin se trouve perdu dans le foyer. - Le
lobe
occipital est bien développé, sauf dans une petit
e sa partie antéro-inférieure, qui est intéressée dans le foyer. Le
lobe
orbitaire, dans son ensemble, est très atrophié;
c la lésion qui a détruit la partie antérieure du corps calleux. Le
lobe
orbitaire mesure à droite : longueur, 3 centim.
e en avant une poche arrondie répondant à l'extrémité antérieure du
lobe
sphénoïdal.-La subs- tance grise des circonvolu
). (PL. V, fig. % et 4). Troisième coupe. Elle est pratiquée sur le
lobe
occipital et vers l'extrémité du kyste et montr
, c'est l'étendue consi- dérable du foyer, la destruction totale du
lobe
temporal, la séparation presque complète de l'h
ue l'on a prises pour enlever l'encéphale. La face interne des deux
lobes
frontaux est complètement ecchymotique et prése
les latéraux. Hémisphère droit. Il existe une première rupture du
lobe
frontal au niveau de la circonvolution qui longe
une perforation qui fait communiquer le ventricule avec le foyer du
lobe
frontal. Face convexe. La première circonvolu
nique avec un foyer qui a détruit toute la substance blan- che du
lobe
frontal, et s'est ouvert dans le ventricule laté-
i de CCCa se porte à LP interrompt le sillon calloso-marginal. Le
lobe
carré, LQ, est volumineux et interrompu par des
est très marquée. LC,assez développé, envoie un pli de passage au
lobe
occipital, LO,qui est petit, et dont les circonvo
droit, on trouve quelques granulations tubercu- leuses, et dans le
lobe
moyen, un noyau de ln'oncho-pneu- manie. Les ga
xiste quelques légères adhérences faciles à rompre entre les deux
lobes
orbitaires on avant du chiasma. Encéphale 1220
) ; il se bifurque en arrière en V qui reçoit entre ses branches le
lobe
occipital ; il envoie un pli de passage au pli
doublé en arrière d'un pli bifurqué envoyant un pli de passage au
lobe
occipital. Le lobe occipital est peu développé
d'un pli bifurqué envoyant un pli de passage au lobe occipital. Le
lobe
occipital est peu développé avec deti sillons t
bord inférieur et allant s'ouvrir à la scissure parallèle sépare le
lobe
occipital du lobe temporal. CIRCONVOLUTIONS CÉR
allant s'ouvrir à la scissure parallèle sépare le lobe occipital du
lobe
temporal. CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES. 141 1 L
transversaux. - Le lobule lingual s'arrête loin de l'extré- mité du
lobe
occipital. La scissure parallèle s'arrête moins
e considé- rable sur son bord inférieur et un sillon vertical. Le
lobe
carré est volumineux, très plissé avec des sillon
lissé avec des sillons pro- fonds. - Le coin est petit ainsi que le
lobe
occipital ; tous les deux ont des sillons peu p
zo2z n'est pas indurée. - Le ventricule latéral n'est pas dilaté.
Lobe
orbitaire très plissé, sauflogyrus qui est uni. -
li de passage aux lobules pa- riétaux supérieur et inférieur, et au
lobe
carré. - Le lobule pariétal supérieur est très
ur est très sinueux et envoie un pli de passage au pli courbe et au
lobe
occipital. - Le lobule pa- riétal inférieur est
li courbe et le rendent ainsi irrégulier; entre le pli courbe et le
lobe
occipital, il y a une circonvolution qui, en ba
il y a une circonvolution qui, en bas, envoie un pli de passage au
lobe
occipital. - Le lobe occipital est composé de c
ion qui, en bas, envoie un pli de passage au lobe occipital. - Le
lobe
occipital est composé de circonvolutions petites
e et qui en reste distincte dans tout le reste de son étendue. - Le
lobe
paracentral est assez gros, avec un sillon prof
ec un sillon profond en forme de V ouvert en arrière et en haut. Le
lobe
carré est composé de plis grêles, séparés par d
ne seule masse. - La scis- sure pariéto-occipitale est profonde. Le
lobe
occipital est peu volumineux, sinueux; il envoi
'Ammon, le corps strié, la couche optique et le corps calleux, le
lobe
orbitaire ne présentent rien de particulier. RÉ
re droit; foyer ancien. FI, Première circonvolution frontale. LP,
Lobe
paracentral. * LC, Lobe carré. LC, Coin. LO
FI, Première circonvolution frontale. LP, Lobe paracentral. * LC,
Lobe
carré. LC, Coin. LO, Lobe occipital. CC, Ci
ontale. LP, Lobe paracentral. * LC, Lobe carré. LC, Coin. LO,
Lobe
occipital. CC, Circonvolution du corps calleux.
tal supérieur. P2, Pli pariétal inférieur. P c, Pli courbe. LO,
Lobe
occipital. Tt Première circonvolution temporale
S. C c, Circonvolution de corps calleux. C, Corps calleux. LP,
Lobe
paracentral. LQ, Lobe carré. LC, Coin. LO,
n de corps calleux. C, Corps calleux. LP, Lobe paracentral. LQ,
Lobe
carré. LC, Coin. LO, Lobe occipital. CS, Co
calleux. LP, Lobe paracentral. LQ, Lobe carré. LC, Coin. LO,
Lobe
occipital. CS, Corps strié. CO, Couche optiqu
s circonvolutions non atteintes. Les lobules paracentraux (LP), les
lobes
carrés (LQ), le coin (LC), les lobes occipitaux
lobules paracentraux (LP), les lobes carrés (LQ), le coin (LC), les
lobes
occipitaux (LO), les circonvolutions temporales
S. PLANCHE V. Ancien {oye1' (pseudo-hyste), ayant détruit tout le
lobe
temporal. Hémisphère droit (fig. 1, 2, 3), dess
sie, limitant le pseudo-kyste, PK. Fig, 2. Coupe pratiquée sur le
lobe
quadrilatère, les lobules pariétaux supérieur e
e pariétal supérieur. - P2, Lobule pariétal inférieur. LQ, Coupe du
lobe
carré. - VL, Ventricule laté- ral. - CS, Corne
PM, Coupe de la pie-mère épaissie. Fig. 3. - Coupe pratiquée sur le
lobe
occipital et vers l'extrémité é du pseudo-kyste
sur le lobe occipital et vers l'extrémité é du pseudo-kyste. LO,
Lobe
occipital. LC, Coin. CO, Corne occipitale. TA,
e ascen- dante. T, Première circonvolution temporale. Fig. 5. LQ,
Lobe
quadrilatère. - VL, Ventricule latéral. - CS, C
pariétal inférieur. TT, Circonvolutions temporales. Fig. 6. - LO,
Lobe
occipital. - CO, Corne occipitale. PARIS. - III
te des scissures et des circonvolutions normales. Face convexe. -
Lobe
frontal. - En avant de la circonvo- lution fron
viron au-dessus du pied de la circonvolution. Dans son ensemble, le
lobe
frontal parait normal et très bien déve- loppé
llon transverse. - Le pli courbe est assez développé, sinueux. - Le
lobe
occipital est bien conformé. Lobe temporal. - L
assez développé, sinueux. - Le lobe occipital est bien conformé.
Lobe
temporal. - La première circonvolution temporale
, dont il est séparé par un pli de passage, allant du pli courbe au
lobe
occipital. Ce sillon délimite nettement le lobe
nt du pli courbe au lobe occipital. Ce sillon délimite nettement le
lobe
temporal du lobe occipital. -Le lobule de l'ins
au lobe occipital. Ce sillon délimite nettement le lobe temporal du
lobe
occipital. -Le lobule de l'inszzla ne possède q
qui sont bien développées, larges et subdivisées. Face interne. -
Lobe
temporo-occipital. -Les circonvolutions et les
ieur existe une scissure profonde divisant transversalement tout le
lobe
. Lobe frontal. - La scissure calloso-marginale
ste une scissure profonde divisant transversalement tout le lobe.
Lobe
frontal. - La scissure calloso-marginale semble p
cissure inter- pariétale par un pli de passage à niveau, reliant le
lobe
occi- pital au lobule pariétal supérieur. - Le
ale supé- rieure au delà de la scissure occipitale transverse. - Le
lobe
occipital est bien conformé; mais la scissure o
la scissure interhémisphérique à la deuxième scissure occipitale.
Lobe
temporal. - La première circonvolution temporale
issure parallèle au niveau de sa courbe et isole ainsi nettement le
lobe
occipital. Le lobule de l'insula n'a que deux d
temporo-occipitale avec la seconde. DE l'épilepsie PROCURSIVE. 69
Lobe
frontal. - La scissure calloso-marginale est irré
gestion du poumon avec un peu d'oedème à la partie postérieure du
lobe
inférieur. - Poumon droit. Adhérence telle qu'il
èoe, un peu con- gestionnée à la base surtout, un peu adhérente aux
lobes
frontaux. - Artères et organes de la base, rien
t un léger relief; mème hypertrophie sur la partie posté- rieure du
lobe
carré. Autres foyers ou mieux îlots de sclérose
nt très gros à bipartie postérieure du pli pariétal supérieur. - Le
lobe
occipital, assez plissé, est très volumineux. L
plissé, est très volumineux. Longueur de l'extrémité antérieure du
lobe
frontal à la partie moyenne de la face postérie
88 DE l'épilepsie procursive. point à l'extrémité postérieure du
lobe
occipital, 11 centi- mètres et demi '. Le lob
sillons tout à fait superficiels se confon- dant en arrière avec le
lobe
paracentral. Le sillon calloso- marginal est pe
- marginal est peu profond. - Le lobule paracentral est séparé du
lobe
quadrilatère par un sillon profond avec un sillon
sillon cen- tral-oblique de bas en haut et d'arrière en avant. - Le
lobe
quadrilatère, très long (7 centimètres à sa par
nne), est plissé et possède des sillons superficiels. Le coin et le
lobe
occipital sont composés de petites circonvoluti
n frontale assez courte s'insère aussi de niveau. - En avant sur le
lobe
frontal les sillons sont peu profonds, ils le s
ariétale ascendante et un en arrière. Le sillon situé en arrière du
lobe
paracentral est très accusé La scissure paral-
circonvolution quadrangulaire qui envoie un pli de passage vers le
lobe
occipital et en reçoit un du pli pariétal infér
ers le lobe occipital et en reçoit un du pli pariétal inférieur. Le
lobe
occipital est assez plissé et volumi- neux. Les
ule paracentral qui est très irrégulier, incomplètement séparé du
lobe
quadrilatère, tandis qu'à droite la séparation es
nd. La circonvolution du corps calleux, lisse, offre, en arrière du
lobe
pariétal, le renflement normal qui fait défaut
lobe pariétal, le renflement normal qui fait défaut à gauche. Le
lobe
quadrilatère, un peu irrégulier, mesure qualre ce
convolution qui semble plutôt se rattacher au coin. - Le coin et le
lobe
occipital peu sinueux sont assez développés. -
ution pariétale ascendante, également sinueuse, est un peu grêle.
Lobe
pariétal. Les lobules pariétaux supérieur et infé
euxième circonvolution temporale par un pli de passage à niveau. Le
lobe
occipital n'offre pas d'anomalies, mais ses cir
re pas d'anomalies, mais ses circonvolutions sont un peu maigres.
Lobe
temporal. - La première (¡¡'convolution temporale
, qui, ici se trouverait confondue avec la seconde. Face interne.
Lobe
temporo-occipital. - La première scis- sure lem
bien développée est par suite très irrégulière et mal délimitée du
lobe
temporal. Toutes les parties situées à l'entour
parmi pli de passage il niveau allant du pli pariétal supérieur au
lobe
occi- pital. - La scissure interpariétale est t
tal. Le lobule01'bitalÎ'e est bien développé, normal. Face convexe.
Lobe
frontal. - En avant de la circonvolution fronta
érieure, mais plus grêle que de cou- tume à sa moitié supérieure.
Lobe
pariétal. - Le pli pariétal supérieur, bien dével
en est de même du pli courbe, mais à un degré moins prononcé. Le
lobe
occipital est assez volumineux ; mais ses deuxièm
ses deuxième et troisième circonvolutions sont un peu chagrinées.
Lobe
temporal. - La première circonvolution temporale
légèrement en retrait vers l'incisure préoccipitale. Face interne.
Lobe
temporo-occipilal. - La première scis- sure tcm
re du lobule paracentral à la circonvolution frontale interne. - Le
lobe
quadrilatère est petit, maigre, possède un peti
l'hémisphère cérébral droit dont certaines circonvolu- tions des
lobes
pariétaux et temporal offrent un cer- tain degr
squ'à l'incisure préocci- pitale, isolait, comme chez le singe, les
lobes
pariétaux et temporal du lobe occipital. Bien
e, isolait, comme chez le singe, les lobes pariétaux et temporal du
lobe
occipital. Bien que cela nous écarte un peu de
mplis de boudin; esto- mac plein; thymus persistant. - Atrophie des
lobes
occipitaux. - Hémisphère droit 20 gr. de moins
acée. Quelques adhérences pie-mériennes ; atrophie et sclérose du
lobe
cérébelleux gauche; -inégalité de poids entre les
abdomen on constate : 1° que le foie est repoussé à droite, que son
lobe
gaucho atteint tout juste la ligne médiane, que s
rhémisphérique. A part quelques légères adhé- rences entre les deux
lobes
frontaux (face interne), la décortication est f
. - L'olive droite est également moins proéminente et éraflée. Le
lobe
cérébelleux droit arrive au niveau de la partie p
lobe cérébelleux droit arrive au niveau de la partie postérieure du
lobe
occipital, mais le lobe cérébelleux gauche est en
rrive au niveau de la partie postérieure du lobe occipital, mais le
lobe
cérébelleux gauche est en retrait de près de 3
occipitales. - Le lobule orbitaire est bien conformé. Face convexe.
Lobe
frontal. - Il existe une scissure parallèle fro
en développés, très découpés; il en est de même du pli courbe. - Le
lobe
occipital est bien déve- loppé, mais les scissu
loppé, mais les scissures et les circonvolutions sont irrégulières.
Lobe
temporal. - La première temporale sinueuse, un pe
La scissure parallèle, sinueuse, profonde, communique à la base du
lobe
pariétal par deux sillons transverses avec la d
si que la troisième temporale qui est bien conformée. Face interne.
Lobe
tcmporo-occipital. - Les première et deuxième c
par un pli de passage à niveau reliant le pli pariétal supérieur au
lobe
occipital. - La scissure interpariélale ne poss
. Le lobule orbitaire est normal, très développé. Face convexe. -
Lobe
frontal. - En avant de la frontale ascen- dante
férieur au pli pariétal inférieur par un pli de passage à niveau.
Lobe
pariétal. - Les lobules pariétaux supérieur et in
irréguliers par suite de nom- breux sillons qui les découpent. Le
lobe
occipital, dont lés circonvolutions paraissent un
sillon transverse occipital jusque vers l'incisure préoccipitale.
Lobe
temporal. - La première temporale plissée envoie
arallèle à la première scissure temporo-occipitale. Face interne. -
Lobe
temporo-occipital. - Les première et deuxième c
é de la partie moyenne de la circonvolution frontale ascendante, du
lobe
occipital, l'état chagriné des pre- ' Nous fero
r un pli de passage à niveau allant du lobule pariétal supérieur au
lobe
occipital. La scissure interpariétale, qui forme
un rameau transversal qui va se jeter dans le sillon de Rolando. Le
lobe
orbitairc est formé de circonvolutions grêles, at
phalite surtout prononcée vers l'in- cisure en Il. Face convexe. --
Lobe
frontal. - En avant de la fron- tale ascendante
ite, surtout à son tiers supérieur, mais à un degré moins prononcé.
Lobe
pariétal. Le lobule pariétal supérieur peu volumi
eau relie le pli courbe à la première circonvolution occipitale. Le
lobe
occipital est plutôt petit; la méningo-encéphal
tal est plutôt petit; la méningo-encéphalite y est peu accentuée.
Lobe
temporal. - Les première et deuxième temporales p
e à la troisième temporale qui est très découpée. Face interne. -
Lobe
temporo-occipital. La méningo-encéphalite attei
-encéphalite atteint principalement toute l'extrémité antérieure du
lobe
tem- poral et s'étend jusqu'au de-là de la part
térieure sont en retrait, vermiformes et atrophiés. Face convexe. -
Lobe
frontal. Il existe une scissure parallèle front
s dans leur moitié supérieure, la pre- mière plus que la seconde.
Lobe
pariétal. - Le pli pariétal supérieur est tout à
oration de la substance cérébrale parait à peu près normale. ' Le
lobe
occipital, sans être manifestement atrophié, offr
loration légèrement ocreuse, surtout dans sa partie supérieure. -
Lobe
temporal. - Les trois circonvolutions temporales
présentent pas d'anomalies dignes d'être notées. Face interne. -
Lobe
temporo-occipital. - La première circonvo- luti
ique sur les coupes laissées vingt-quatre heures dans ce réactif.
Lobe
occipital droit en dehors delà lésion. - Vaisseau
lcool sur la pièce. Cerveau. Hémisphère gauche. - Il existe dans le
lobe
frontal une vascularisalion très développée ave
aminés. Nombreux corps granuleux dans la substance blanche. Dans le
lobe
occipital, on retrouve, à côté de points normau
te. Les poumons étaient oedématiés, emphysémateux à leur bord; le
lobe
inférieur droit présentait une hépatisalion rouge
er les mouvements paraît devoir être exclusivement réservée à son
lobe
moyen. Or, nous avons vu que, chez Duch... (Obs
son lobe moyen. Or, nous avons vu que, chez Duch... (Obs. LIV), le
lobe
moyen du cervelet était en partie atrophié. P
erméable obliquement. 12) Il s'agissait, dans ce caa, d'un abcès du
lobe
gaucho du foie, ayant envahi l'arrière-cavité d
ho-pneumonie ; c'est dire que la lésion occupe la majeure partie d'un
lobe
, l'inférieur surtout, dans sa partie postérieure.
disposées sur les bords posté-rieurs des poumons et sur les bords des
lobes
inférieurs. A gauche, la lésion forme une grande
bronchioles remplies de muco-pus et un peu dilatées ; Y emphysème des
lobes
respectés par la phlegmasie ; et enfin une altéra
idents consécutifs. Quant aux lésions pulmonaires, elles occupent les
lobes
supérieurs, mais à part cette localisation, resse
Ja sec-tion des récurrents, on trouve une infiltration œdémateuse des
lobes
supérieurs, une véritable splénisation ; dans que
e l'induration grise a envahi la totalité ou la presque totalité d'un
lobe
, celui-ci adhère en général fortement aux parois
rrup-tion de continuité, à une partie plus ou moins considérable d'un
lobe
, ou même d'un poumon. Dans notre première observa
uré; dans la deuxième, l'altération avait envahi la totalité d'un des
lobes
inférieurs.Le plus souvent, suivant Chomel (cinq
r huit), elle occupait les régions inférieures; une fois seulement le
lobe
supérieur avait été atteint seul. M. Durand-Farde
traire, par l'analyse de ses propres observa-tions, à admettre que le
lobe
supérieur est plus souvent at-teint que ne Test l
clater au sein d'un ' Clinique médicale, t. III, obs. 64, p. 446.
lobe
pulmonaire induré par le fait de l'inflammation c
hronique ulcéreuse. — Induration ardoisée occupant toute l'étendue du
lobe
inférieur du poumon droit. —? Caverne ulcéreuse d
tc. En ar-rière, les deux sommets présentent les mêmes caractères. Le
lobe
inférieur du poumon gauche est très sonore et la
; bronchophonie et nasonnement très prononcés dans toute l'étendue du
lobe
inférieur, surtout au niveau de la pointe de l'om
aux parois thoraciques, si ce n'est à droite et en bas, au niveau du
lobe
inférieur. En ce point le lobe inférieur droit
est à droite et en bas, au niveau du lobe inférieur. En ce point le
lobe
inférieur droit adhère très intimement dans toute
'avec difficulté, on s'assure que les os sont tout à fait sains. Ce
lobe
est environ moitié moins volumineux qu'à l'état n
. Au voisinage de sa surface et au niveau de son bord postérieur le
lobe
pulmonaire est creusé d'une excavation allongée,
ation jaunâtre et d'une odeur as-sez forte mais non gangreneuse. Le
lobe
moyen, le lobe supérieur du poumon droit, les deu
et d'une odeur as-sez forte mais non gangreneuse. Le lobe moyen, le
lobe
supérieur du poumon droit, les deux lobes du poum
reneuse. Le lobe moyen, le lobe supérieur du poumon droit, les deux
lobes
du poumon gauche sont très volumineux, très pâles
au diagnostic suivant: induration occupant dans toute son étendue le
lobe
inférieur du poumon droit, excavation siégeant au
mplètement pour ne plus jamais reparaître. A l'autopsie, on trouve le
lobe
inférieur du poumon droit in-duré dans toute son
lusieurs fois un abcès d'un volume considérable siégeant au milieu du
lobe
inférieur d'un poumon atteint d'une induration ch
cavations qui en sont la consé-quence siègent habituellement dans les
lobes
inférieurs ou moyens ; mais ils peuvent cependant
s inférieurs ou moyens ; mais ils peuvent cependant aussi occuper les
lobes
supérieurs. Dans plusieurs cas il a été constaté
er les lobes supérieurs. Dans plusieurs cas il a été constaté que les
lobes
indurés, de même que les autres parties de l'orga
hier3 ont rencontré deux fois de petits abcès siégeant au milieu d'un
lobe
pulmonaire frappé d'hépatisation chronique : « Da
vations séparées l'une de l'autre occupaient la partie postérieure du
lobe
inférieur du poumon droit ; la plus grande, qui e
xcavation située de même vers le bord postérieur et près du sommet du
lobe
supérieur 1 Stokes. •— Diseuses of the cliest.,
l-ques fausses membranes molles et faciles à déchirer. En divisant le
lobe
supérieur du poumon droit dans toute sa hauteur,
es qui correspondent à du tissu pulmonaire infiltré de pus concret.
Lobe
moyen. Il est presque entièrement transformé en u
liquide séreux. A son bord postérieur, emphysème extra-vésiculaire.
Lobe
inférieur. A la partie supérieure se trouve une c
et. Pas de fausses membranes dans la cavité pathologique. Le reste du
lobe
inférieur est dur, friable, non cré-pitant, non g
oisinage de l'excavation qui siégeait au niveau du bord postérieur du
lobe
inférieur droit ; elle était très manifeste encor
ure vésiculaire paraît affaibli au niveau de la partie postérieure du
lobe
inférieur; on le perçoit cepen-dant et il paraît
oncé, cra-chats rouilles très foncés ; le souffle bronchique gagne le
lobe
in-férieur. — Le 3, l'état typhoïde persiste ; da
— Le 3, l'état typhoïde persiste ; dans les deux tiers su-périeurs du
lobe
inférieur on perçoit du souffle bronchique très p
à 84. — Le 6, râle crépitant de retour ; dans la partie supérieure du
lobe
inférieur, plus de souffle bronchique ; le souffl
é persistent au sommet ; bronchophonie intense et matité au niveau du
lobe
in-férieur ; on n'y perçoit pas de souffle, mais
é dans toute l'étendue de la poitrine par l'auscultation au niveau du
lobe
supérieur, murmure indistinct, faible et lointain
re indistinct, faible et lointain, résonnance de la voix au niveau du
lobe
inférieur ; souffle tubaire très prononcé dans to
obe inférieur ; souffle tubaire très prononcé dans toute l'étendue du
lobe
, mêlé de râle muqueux à grosses bulles, à timbre
nsi, tantôt ilparaît y avoir silence complet dans toute l'étendue des
lobes
inférieurs et supérieurs ; tantôt, au contraire,
fibro-cartilage. On reconnaît sur fa surface de section que les trois
lobes
sont pour ainsi dire réunis en un seul et que l'a
xsudât fibrineux (croupôse Pneumonie). Tous les tuyaux bronchiques du
lobe
atteint, même les plus volumineux, étaient rempli
ncé ; on le rencontrerait, au contraire, ra-rement dans les cas où le
lobe
inférieur seul est atteint. MM. Raimbert1 et Cott
lmonaire, la dila tation des bronches étendue à tous les rameaux d'un
lobe
, la pleurésie chronique, telles sont les affectio
lisation occupe, au moins d'une manière exclusive et prédominante, le
lobe
inférieur d'un poumon, bien que cela se voie cepe
es, chez un seul, les tubercules siégeaient exclusivement dans un des
lobes
inférieurs d'un poumon {Gmfs tiospit. Rep., p. 22
Piorry a rapporté plusieurs cas de tubercu-lisation prédominante des
lobes
inférieurs chez l'adulte. J'ai observé moi-même t
nre : dans deux de ces cas il y avait des excavations nombreuses; les
lobes
supérieurs étaient restés indemnes. ces en âge,
ique est infi-niment rare. L'induration pneumonique occupe plutôt les
lobes
inférieurs que les supérieurs, ou tout au moins e
à éviter, dans le cas où des excavations se seraient formées dans le
lobe
atteint d'induration pneumonique. — Si l'ausculta
s les plus pronon-cés. B. Lorsque les tuyaux bronchiques de tout un
lobe
se sont dilatés et que le tissu pulmonaire qui le
breux à timbre métallique ; l'affection siège surtout au niveau des
lobes
inférieurs l. Mais dans la dilatation des bronche
nduration d'un gris bleuâtre, autour des ramifications bronchiques du
lobe
inférieur du poumon. Il n'y avait aucune trace d'
dense, rougeâtre, ressemblant assez bien an tissu charnu du cœur. Ce
lobe
était parcouru de bronches notablement dilatées.
paru quatre ans avant la mort. Il s'agit d'un enfant de sept ans. Le
lobe
inférieur du poumon gauche lourd et dur au touche
stance, au tissu de l'utérus après la grossesse. Coupé en travers, ce
lobe
présentait une surface criblée d'aréoles, pou-van
e celle-là, car dans maintes circonstances où les bronches de tout un
lobe
avaient subi, comme dans les cas précédents, une
rtour du foyer, occuperait la presque totalité ou même la totalité du
lobe
(obs. 1). F. Infiltration grise tuberculeuse. —
avation énorme non d'origine tuberculeuse, occupant toute Vétendue du
lobe
inférieur du poumon gauche. — Antoinette Auvoilée
plèvre pariétale par d'épaisses fausses membranes fibreuses. Les deux
lobes
du poumon sont unis par une fausse membrane blanc
Pas de trace de tubercule dans leur inté-rieur ou à leur pourtour. Le
lobe
supérieur est creusé par une vaste caverne qui a
hysiques disparaître dans un cas où la pneumonie s'étendait à tout un
lobe
, sans que la quantité de l'expectoration fût augm
e malade succomba au bout de 4 mois. On trouva, à l'autopsie, tout le
lobe
inférieur transformé en une masse fibreuse, atrop
i W. Fox, loc. cit., p. 612. ques de pneumonie ayant pour siège le
lobe
inférieur gauche, et une occupant le lobe supérie
eumonie ayant pour siège le lobe inférieur gauche, et une occupant le
lobe
supérieur droit. Les intervalles qui séparent les
hronique, indu-ration rouge et ardoisée, avec adhérences pleurales du
lobe
inférieur droit. Poumon droit : hépalisation gris
roit. Poumon droit : hépalisation grise récente de toute l'étendue du
lobe
supérieur. M. Charcot fait remarquer que toutes
ion, et un peu de respiration rude avec râles sous-crépitants dans le
lobe
moyen gauche. Il est clair qu'une lésion permanen
sommet du poumon droit. Pleurésie enkystée du même côté au niveau du
lobe
inférieur. Induration fibreuse du sommet du poumo
, et postérieures, avec tendance remarquable à se fixer dans un. seul
lobe
, sous la forme pseudo-lobaire ; 2° coloration vio
nts : Io bronches dilatées (dilatations fusiformes), surtout dans les
lobes
inférieurs ; quelquefois, aspect aréolaire compar
t des accidents pulmonaires. La lésion était au premier degré dans le
lobe
supérieur, avec des nodules péribronchiques disti
vec des nodules péribronchiques distincts, des bronches peu dilatées.
Lobes
inférieur et moyen con-fondus, déjà atrophiés ; d
iguë (rougeole, coquelu-che, fièvre typhoïde, bronchite), occupant le
lobe
inférieur et se révélant cliniquement par des phé
cloisons fibreuses interlobulaires qui tra-versent toute l'étendue du
lobe
supérieur. Mêmes lésions dans le lobe inférieur à
tra-versent toute l'étendue du lobe supérieur. Mêmes lésions dans le
lobe
inférieur à l'état moins avancé. Bronches un peu
De même que chaque lobule a une bronche indépendante de la bronche du
lobe
voisin, de même chaque lobule a une bronchiole qu
e même chaque lobule a une bronchiole qui ne communique avec celle du
lobe
voisin que parla bronche qui leur a donné naissan
sa part cette division du poumon en trois éléments constitutifs : le
lobe
, le lobule, Y acinus. Cet acinus reproduit les
ier cas, des nodules tuberculeux de volume variable, surtout dans les
lobes
inférieurs. Il n'y a pas de granulations grises n
is à des cavernes lobaires, c'est-à-dire occupant tout ou partie d'un
lobe
du poumon (Fig. 35). Les grandes cavernes ont p
umon dimi-nué de volume, présentant sur une étendue variable, dans le
lobe
supérieur, les caractères de la cirrhose pulmonai
fibroïde doit être réservé aux cas où l'induration s'étend à tout un
lobe
ou à presque tout un lobe. Le processus de la tra
é aux cas où l'induration s'étend à tout un lobe ou à presque tout un
lobe
. Le processus de la transformation fibreuse se re
souffle bronchique et râles sous-crépitants, clans toute l'étendue du
lobe
inférieur du pou-mon droit. Crachais d'un jaune v
aucun point des deuxpoumons, non plus que dans les autres organes. Le
lobe
inférieur du poumon droit est, dans sa totalité,
uelques-uns de ces nodules se montrent clairsemés dans l'épaisseur du
lobe
supé-rieur du poumon droit, d'autres dans l'épais
seur du lobe supé-rieur du poumon droit, d'autres dans l'épaisseur du
lobe
infé-rieur du poumon gauche. 2e cas. (Observati
rose tendre jusqu'au jaune en passant par le gris, se voient dans le
lobe
supérieur, du côté opposé et dans le lobe inférie
le gris, se voient dans le lobe supérieur, du côté opposé et dans le
lobe
inférieur du côté correspondant. Ce sont donc l
âles caverneux, pas de craquements, pas de matité clans la région des
lobes
supérieurs : respiration soufflante et râle muque
t principalement à la partie antérieure des deux, poumons et dans les
lobes
inférieurs; elles sont manifeste-ment moins nombr
eurs; elles sont manifeste-ment moins nombreuses dans l'épaisseur des
lobes
supérieurs. A la partie postérieure et supérieure
isseur des lobes supérieurs. A la partie postérieure et supérieure du
lobe
inférieur du poumon droit, plusieurs cavernes con
voie de ramollissement, siège dans la partie la plus déclive du même
lobe
. Dans l'épaisseur des lobes supérieurs des deux p
ège dans la partie la plus déclive du même lobe. Dans l'épaisseur des
lobes
supérieurs des deux poumons, on ne Charcot. Œuvre
ons miliaires y sont, comme on l'a dit, moins abondantes que dans les
lobes
inférieurs. Le cœur est peu volumineux, flasque
s tubercules jaunâtres qui siégeaient au voisinage des excavations du
lobe
inférieur droit. Nous n'en conclurons pas moins
du cerveau. C'était un ramollissement blanc, occupant les parties des
lobes
antérieur et moyen qui attiennent à la scissure d
umons. Poumon droit : adhérences intimes aux parois thoraciques ; les
lobes
sont confondus en un seul et reliés entre eux par
ar l'exis-tence d'une phlegmasie pulmonaire d'abord localisée dans le
lobe
inférieur du poumon gauche, mais y restant pendan
ie primitivement affectée pour aller définitivement s'établir dans le
lobe
supérieur du poumon droit et y déterminer rapi-de
ltation, un peu de râle crépitant assez fin dans la partie moyenne du
lobe
inférieur du poumon gauche. (Potion : tartre stib
ouvre autre chose dans la poitrine que du râle sous-crépitant dans le
lobe
inférieur du poumon gauche; pas de matité en ce p
ent. Autopsie faite le (î avril, à 9 h. du matin. — Encéphale. — Le
lobe
gauche du cervelet présente à sa face supérieure
sain dans tout le reste de son étendue. Vers la partie antérieure du
lobe
cérébral droit, au niveau de l'extrémité externe
laques pseudo-membraneuses, verdâ-tres, sur la plèvre qui recouvre le
lobe
inférieur. L'épanchement s'étendait sur la plus g
r des fausses mem-branes organisées de date plus ou moins récente. Le
lobe
moyen et le lobe inférieur du poumon droit sont d
-branes organisées de date plus ou moins récente. Le lobe moyen et le
lobe
inférieur du poumon droit sont d'une coloration f
vironnantes dont la teinte est plus pâle; toutes les parties des deux
lobes
infé-rieurs, qui n'offrent pas ces altérations, p
si de l'œdème des deux poumons dans les parties postérieures des deux
lobes
inférieurs. Suivant une importante remarque de
cum. Dans la branche principale de l'artère pulmonaire qui conduit au
lobe
inférieur du poumon droit, on trouve un caillot d
l'aorte, simuler un anévrisme de cette artère. On a vu quelquefois un
lobe
hypertrophié du foie, un rein mobile, venir se pl
diarrhée. L examen des divers organes fait reconnaître, au niveau du
lobe
inférieur du poumon gauche, l'existence d'un souf
complète de roideur cadavérique. Cerveau. — A la face inférieure du
lobe
cérébral droit, dans le tissu cellulaire sous-ara
'a coupée pour en-lever les poumons. Seule, l'extrémité inférieure du
lobe
inférieur du poumon gauche présente un certain de
on bifurquées. La scissure de Sylvins a une disposition normale. Le
lobe
occipi- tal n'a rien de particulier. Les plia
ée. La circonvolution du corps calleux (C. C.) est assez grosse. Le
lobe
]Jill'acentl'al est volumineux, présente deux sil
, vient couper la partie supérieure de la frontale ascendante. - Le
lobe
quadrilatère est volumineux, irrégulier, plissé
lobe quadrilatère est volumineux, irrégulier, plissé. - Le coin, le
lobe
occipital n'offrent rien de spécial. - La circo
t tranchent, par conséquent, avec les régions d'aspect chagriné. Le
lobe
occipital est peu volumi- neux. - Le lobule de
e. - La circonvolution frontale est bien développée, sinueuse. - Le
lobe
paracentral est très irr-éulier, petit; son sil-
l- lon est vertical et s'ouvre dans le sillon calloso-mtrgiiial.-Le
lobe
quadrilatère est aussi irrégulier et atrophié.
i volumineux la relie à la circon- volution frontale. Le coin et le
lobe
occipital sont peu volumineux. Des deux côtés,
coin et le lobe occipital sont peu volumineux. Des deux côtés, les
lobes
orbitaires n'offrent rien de spécial. Voici les
ieur est réduit à un simple pli. Le pli courbe est rudimentaire; le
lobe
occipital, composé de trois replis, est assez g
corne d'Ammon ne présente rien de particulier. La fate orbitaire du
lobe
frontal est très plissée ; le lobule de l'in- s
sion leur donne, dans une hauteur de trois centimètres, l'aspect du
lobe
quadrilatère, en ce sens qu'un sillon assez super
circonvolutions. Il n'y a pas de sillon c(illoso-inÉtî,gii2ttl. Le
lobe
})(l1'accntml forme une sorte de boucle dont le
sillon assez profond qui, lui aussi, aboutit au corps calleux. - Le
lobe
quadrilatère, moitié plus long que large, offre
enclume, dont la partie horizontale se confond en arrière avec le
lobe
occipital. Les sillons sont assez profonds sur la
lière. Le lobule pariétal supérieur, l'inférieur, le pli courbe, le
lobe
occipital sont rudimentaires; les circonvolutions
RYCISME. 73 calloBo-rr¡(l1'rrinal. Même disposition qu'il gauche du
lobe
pctrcreentral : cependant la partie antérieure
rieure de la boucle est moitié moins épaisse que la postérieure. Le
lobe
quadrilatère, moitié moins large que long, diff
oins large que long, diffère de celui du côté gauche; le coin et le
lobe
occi- pital offrent la même disposition. Les
ltration cellulaire et a une colo- ration noire, ocreuse. Tout le
lobe
pariétal, et la partie postérieure des circonvolu
ons antérieures du lobule de l'insula, de l'extrémité antérieure du
lobe
temporal, de la face inférieure du lobe frontal
e l'extrémité antérieure du lobe temporal, de la face inférieure du
lobe
frontal, de la face convexe du lobe oc- cipital
poral, de la face inférieure du lobe frontal, de la face convexe du
lobe
oc- cipital et de la face interne des lobes tem
l, de la face convexe du lobe oc- cipital et de la face interne des
lobes
temporo-occipitaux. A la face interne, on trouv
lus marquées, et une atrophie relative de la partie supé- rieure du
lobe
carré, qui limite en dedans le foyer décrit plus
urbe. A la face interne, on note quelques adhérences au niveau du
lobe
carré, du lobe temporal, à la partie antérieure d
ce interne, on note quelques adhérences au niveau du lobe carré, du
lobe
temporal, à la partie antérieure du lobe para-
u niveau du lobe carré, du lobe temporal, à la partie antérieure du
lobe
para- central, à la partie avoisinante de la Ir
it, en nous montrant des foyers de méningo-encéphalite au niveau du
lobe
pal'acent1'al et des cir- convolutions frontale
leux. F, face interne de la première circonvolution frontale. Lq,
lobe
carré. IV. Idiotie consécutive à l'hydrocépha
l'hémis- phère cérébral gauche, dans la région qui correspond au
lobe
carré, la substance cérébrale est indurée et form
ssez larges de la substance cérébrale. La face orbitaire des deux
lobes
frontaux est confondue avec la face convexe et,
Hémisphère gauche. Face inférieure. Toutes les cir- convolutions du
lobe
frontal (fig. 2, L F.) se dirigent d'avant en a
rique par un intervalle de trois centimètres, de telle sorte que le
lobe
frontal se termine en forme de pointe arrondie.
es sillons ressemblent par consé- quent à des lignes ; sauf sur les
lobes
frontaux où un cer- tain nombre de sillons sont
ssantes. - Hémisphère droit. Les circonvolutions qui répondent au
lobe
frontal se dirigent horizontalement (l'une d'elle
est assez volumineuse et assez épaisse) ; celles qui ré- pondent au
lobe
moyen (LM) se dirigent, les antérieures, obliqu
uement en avant, les postérieures verticalement; les Fig. 2. - L F,
lobe
frontal. - L M, lobe moyen. L O, lobe occipital.
postérieures verticalement; les Fig. 2. - L F, lobe frontal. - L M,
lobe
moyen. L O, lobe occipital. z S S, scissure de
icalement; les Fig. 2. - L F, lobe frontal. - L M, lobe moyen. L O,
lobe
occipital. z S S, scissure de Sylvius. - L I, l
ment assez épaisses. Enfin, les circonvolutions qui ré- pondent au
lobe
postérieur de la face inférieure (L P) se dirig
let. - F, première circonvolution frontale. - s s, scissure. - L P,
lobe
paracentral. - L Q, lobe carré. - C C, corps ca
onvolution frontale. - s s, scissure. - L P, lobe paracentral. - L Q,
lobe
carré. - C C, corps calleux. - L 0, lobe occipi
, lobe paracentral. - L Q, lobe carré. - C C, corps calleux. - L 0,
lobe
occipital. - f h, foyer hémorrhagique. 128 DESC
circonvolution allongée, aplatie, sans sillon, qui est peut-être le
lobe
paracentral (fig. 3, L P). Viennent ensuite des
t un peu plus épaisses et sillonnées (L Q) qui semblent répondre au
lobe
carré et au coin. Quant au lobe occipital (L O)
es (L Q) qui semblent répondre au lobe carré et au coin. Quant au
lobe
occipital (L O), il est assez épais et parait fai
re droit : Longueur 15 cent. ; hauteur, 9,5. Les circonvolutions du
lobe
frontal présentent, à une dis- tance de leur po
n deux parties : l'une antérieure, allant j us· qu'à l'extrémité du
lobe
frontal, où les circonvolutions sont petites, a
même arrêt de dévelop- pement que les circonvolutions frontales. Le
lobe
occi- pital est petit, plissé; les circonvoluti
s sinueuse ; le lobule paracentral irrégulier, mais assez gros ; le
lobe
carre est assez volumineux ; ses sillons sont r
relativement superficiels. Le coin est peu volumineux, ainsi que le
lobe
occipital. La circonvolution du corps calleux,
tique et le corps strié sont assez développés. La face orbitaire du
lobe
frontal présente des circonvolutions petites, m
ui du pli courbe paraissent réguliers, sans arrêt de développement.
Lobe
occipital, normal. Face interne : circonvolutio
se, lobule paracentral beaucoup plus plissé que de l'autre côté ;
lobe
carré, plissé, sinueux, ainsi que le coin. Circon
oie, où on trouve une vaste poche purulente, se prolongeant vers le
lobe
gauche, et contenant environ un litre d'un pus
on, des circonvolutions, intéressant les deux tiers antérieurs du
lobe
frontal droit, le lobe pariétal inférieur, le pli
ns, intéressant les deux tiers antérieurs du lobe frontal droit, le
lobe
pariétal inférieur, le pli courbe, et, à un moi
eux. Tj, face interne de la première circonvolution frontale. Le,
lobe
carré.
érent entre les cas typiques d'liyperpituitarisme pour adé- nome du
lobe
antérieur, et les formes de la dystrophie adiposo
POLYDACTYLIE ET TÉHATOME HYPOPHYSAIRE 21 sécutives à un adénome du
lobe
antérieur de l'hypophyse (1). Or il est importa
de la région sellaire qui correspond à la destruction même soit du
lobe
antérieur, soit encore de toute la glande hypop
ng cette thermo-réaction serait donc caractéristique des tumeurs du
lobe
postérieur ou de la tige pituitaire ; en réalité
c'est-à-dire dans l'acromégalie où il s'agit d'une hyperfonction du
lobe
antérienr, la thermo-réaction est toujours néga-
ntrent aucune lésion manifeste. Ils sont présents dans l'écorce des
lobes
frontaux, pariétaux et occipitaux (PI. XII). Une
ohe, orhitaire Il. De par le fait, nous dit l'auteur, que « dans le
lobe
temporo-pariétal, la lésion atteint l'épendyme
yau. Nous ferons remarquer que, dans l'un et l'autre de ces cas, le
lobe
temporal est largement impliqué par le ramollis
n qu'il eût affaire cette fois à une lésion attei- gnant surtout le
lobe
temporal et n'impliquant que légèrement le lobe
i- gnant surtout le lobe temporal et n'impliquant que légèrement le
lobe
pariétal. Dans ce cas (cas Le Séguillon), que l
ompre la majeure partie des fibres de projection qui proviennent du
lobe
temporal . Cette lésion a déterminé une dégénéres
e et dans lesquels le foyer de ramollissement atteint aussi bien le
lobe
temporal que le lobe pariétal. Nous attirons ma
foyer de ramollissement atteint aussi bien le lobe temporal que le
lobe
pariétal. Nous attirons maintenant l'attention
un autre cas (cas Jouan), dont la lésion est strictement limitée au
lobe
pariétal. Pour ce qui en est des lésions du lob
ctement limitée au lobe pariétal. Pour ce qui en est des lésions du
lobe
frontal et du lobe occipital, les cas publiés p
lobe pariétal. Pour ce qui en est des lésions du lobe frontal et du
lobe
occipital, les cas publiés par M. Dejerine semb
ques, foyers de ramollissement, sclérose cérébrale) occupant soit le
lobe
pariétal ou le lobe frontal, soit l'une et l'au
lissement, sclérose cérébrale) occupant soit le lobe pariétal ou le
lobe
frontal, soit l'une et l'autre de ces régions, ou
le lobe frontal, soit l'une et l'autre de ces régions, ou alors le
lobe
temporal. Dans un de ces cas, il s'agissait d'une
s par l'auteur. Dans trois de ces cas, les lésions intéressaient le
lobe
frontal 1 (FI F2 et 13); dans quatre, le (1) Vo
03) ; dans deux enfin, les lésions siégeaient surtout au niveau du
lobe
temporal (Fi à F3 et région occipito-temporale)
u rouge. Les lésions, dans trois de ces cas positifs, occupaient le
lobe
fron- tal ; dans quatre, elles siégeaient au ni
sur le noyau rouge, il s'agissait de foyers strictement limités au
lobe
occipital (4 cas), au lobe pariétal (4 cas), ou a
gissait de foyers strictement limités au lobe occipital (4 cas), au
lobe
pariétal (4 cas), ou au lobe temporal (2 cas).
limités au lobe occipital (4 cas), au lobe pariétal (4 cas), ou au
lobe
temporal (2 cas). Etant donné que dans les cas
s régions situées en arrière du sillon de Rolando, c'est-à-dire des
lobes
pariétal, temporal et occipital. L'auteur élimi
été constatée que lors- qu'il s'agissait de lésions intéressant le
lobe
frontal (région préfrontale) ou la région rolan
des rapports aussi bien avec la régioncentro-operculaire qu'avec le
lobe
préfrontal. Etant donné toutefois, que dans tous
ORTICALES DU NOYAU ROUGE 1 usa résulte de la lésion isolée, soit du
lobe
préfrontal, soit de la région oper- cuio-cenlra
olument dis- tinctes et indépendantes : l'une siégeant au niveau du
lobe
préfrontal, l'autre au niveau de la région cenl
u niveau Nc. 4. LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 199 du
lobe
occipital (cunéus, lobule lingual), et ne lésail
occipital (cunéus, lobule lingual), et ne lésail que faiblement le
lobe
temporal ou seulement l'extrémité postérieure de
soumis à l'étude deux cas de ramollissement intéressant surtout le
lobe
frontal, et, en plus, nous avons revu très soig
s; dans cinq, le ramollis- sement siège à la face inféro-interne du
lobe
temporo occipital et atteint, en particulier, l
ocampe ; dans deux, il se localise presque entièrement au niveau du
lobe
occipital ; dans un, le foyer se limite assez net
noyau rouge ; ce sont les lésions : a) de la face inféro-interne du
lobe
temporal ; b) du lobe frontal etc)de la région
les lésions : a) de la face inféro-interne du lobe temporal ; b) du
lobe
frontal etc)de la région operculo-centrale (pie
si- nante des circonvolutions rolandiques). Les lésions limitées au
lobe
occipi- tal ou au lobe pariétal n'entraînent pa
utions rolandiques). Les lésions limitées au lobe occipi- tal ou au
lobe
pariétal n'entraînent pas la dégénérescence secon
I ; Fig. 2, 3 et 4). . Ramollissement ancien de la face médiane du
lobe
temporo-occipital gauche. Dans le lobe occipita
ancien de la face médiane du lobe temporo-occipital gauche. Dans le
lobe
occipital, ce ramollissement détruit toute la lèv
irige vers le bord inférieur de l'hémisphère. Plus eh avant dans le
lobe
occipital, le foyer détruit toute l'extrémité ant
ROUGE 201 1 n'existe dans ce cas aucune autre lésion, soit dans le
lobe
pariétal, soit dans le lobe frontal. Au niveau
e cas aucune autre lésion, soit dans le lobe pariétal, soit dans le
lobe
frontal. Au niveau de la couche optique, cependan
une certaine décoloration diffuse de la lame médullaire externe. Le
lobe
pariétal et l'insula sont parfaitement sains mais
semble renfermer un mince fascicule partiellement dégénéré. Dans le
lobe
temporal, la lésion a complètement disparu mais
he sagittale interne de la cou- ronne rayonnante pariétale. Dans le
lobe
temporal les couches sagittales re- prennent un
A, B et C). Ramollissement très ancien de la face inféro-interne du
lobe
temporo-occi- pital gauche. Le foyer s'étend du
extrémité postérieure du noyau rouge. Le ramollissement . ancien du
lobe
temporo-occipital a entraîné une dégénérescence s
tion assez nette de la subs- tance profonde de la région médiane du
lobe
temporal, dans le domaine du cingulum en partic
t, d'autre part, la couronne rayonnante et la substance profonde du
lobe
pariétal. Il existe quelques petits foyers lacuna
aintenant alimentée surtout par des fibres tirant leur ori- gine du
lobe
frontal, lequel est intact dans ce cas. De même,
légère décoloration de la partie médiane du noyau interne. Dans le
lobe
pariétal, on note encore la dé- générescence di
plan vertical passant par le bord antérieur du noyau rouge. Dans le
lobe
occipital, le ramollissement intéresse la majeure
alcarine, mais respecte à peu près intégralement le cunéus. Dans le
lobe
temporal, le foyer occupe tout le segment antérie
llisse- 208 LA SALLE ARCHAMBAULT ment de la substance profonde du
lobe
pariétal, lequel siège au niveau de la couche s
ssi à obtenir des coupes très fortement colorées excepté au niveau du
lobe
pariétal, il s'en suit également que les zones
YAU ROUGE 209 proportionnellement marquées. C'est ainsi que dans le
lobe
temporal, la déco- loration partielle des couch
one résulte de la lésion de la première circonvolution limbique. Le
lobe
temporal parait être parfaitement sain. La de
usqu'à l'écorce de la partie moyenne de la pariétale,ascendante. Le
lobe
temporo-occipital et les ganglions de la base son
omplètement le segment vertical des couches sagittales profondes du
lobe
temporal. Cette vaste lésion Schéma ? VI. Sixiè
capsule externe est totalement incolore et la substance profonde du
lobe
pariétal est nettement dé- générée. - Sur les
ième coupe (Fig. 6) traverse le tiers moyen du noyau rouge. Dans le
lobe
temporal, le ramollissement intéresse les mêmes c
les mêmes circonvolutions que sur la coupe précédente, mais dans le
lobe
pariétal, il acquiert une étendue beau- Fio. 6.
une décoloration très notable de toute la région sous-corticale du
lobe
pariétal et une dégénérescence extrê- mement ma
dégénère à la suite de lésions atteignant la face inféro interne du
lobe
temporo-occipital (3 observa- tions), le bord a
e lésions intéressant les circonvolutions du bord inféro-interne du
lobe
temporal, le lobule fusiforme et la circonvolutio
fibres provenant de la face médiane. Quant aux lésions limitées au
lobe
occipital ou à la région rétro-rolandique du lobe
sions limitées au lobe occipital ou à la région rétro-rolandique du
lobe
pariétal, nous sommes parfaitement d'accord ave
noyau rouge. Pour ce qui en est des lésions atteignant la pointe du
lobe
frontal, la connexité antérieure des deuxième e
e que certaines de ces radiations proviennent de la face médiane du
lobe
temporal, d'autres de la partie antérieure du b
ous puissions affirmer que dans les lésions strictement limitées au
lobe
occipital ou au lobe pariétal (exception faite de
r que dans les lésions strictement limitées au lobe occipital ou au
lobe
pariétal (exception faite de la pariétale ascen-
tres ganglions. Ainsi, dans les lé- sionsde laface inféro-internedu
lobe
temporo-occipital, la dégénérescence LES COiNNE
s cas de lésion intéressant les circonvolutions de la facemédianedu
lobe
temporo- occipilal On observe, dans ces cas, ou
diane. D'une façon générale, dans les lésions de la face médiane du
lobe
tem- poro-occipital, la dégénérescence secondai
nce médullaire centrale. Dans les lésions du bord supéro-inlerne du
lobe
fronto-pariétal (pre- mière circonvolution fron
de la lésion déterminante. Les lésions de la face inféro-interne du
lobe
lemporo-occipital retentis- sent sur les deux t
dorsale et ventro-latérale. - Les lésions du bord supéro-inlerne du
lobe
fronto-pariétal retentissent sur les deux tiers
A SALLE ARCHAMBAULT pas rare dans les lésions de la face médiane du
lobe
temporal ; nous avons trois observations person
vons vu que le noyau rouge reçoit des libres de, la face médiane du
lobe
temporal et que ces libres passent parle segment
ils ont trouvé des lésions corticales assez strictement limitées au
lobe
frontal et atteignant d'une façon toute particuli
de l'hémisphère cérébral. Certaines de ces radiations proviennent du
lobe
frontal, d'autres, de la région operculo-cenlia
la région operculo-cenliale, d'autres, enfin, de la face médiane du
lobe
temporal. Le lobe occipital, le lobe pariétal et
-cenliale, d'autres, enfin, de la face médiane du lobe temporal. Le
lobe
occipital, le lobe pariétal et la face externe
, enfin, de la face médiane du lobe temporal. Le lobe occipital, le
lobe
pariétal et la face externe du lobe temporal ne
temporal. Le lobe occipital, le lobe pariétal et la face externe du
lobe
temporal ne semblent pas envoyer de fibres au noy
r de fibres au noyau rouge. Les fibres qui tirent leur origine du
lobe
frontal se rendent au noyau rouge en passant pa
l ventro-latérale. Les fibres qui proviennent de la face médiane du
lobe
temporal se rendent au noyau rouge en passant p
borateurs Goetsclr et Jacobson, ont conduit à admettre que les deux
lobes
de l'hypophyse, embryotogiquement et histofogique
ment si différents, jouent chacun un rôle physiologique spécial. Le
lobe
antérieur de la glande, d'après les tendances a
antis- me ou à l'acromégalie, suivant l'àe auquel il intervient. Le
lobe
posté- rieur, longtemps considéré comme foficli
ux accentués, qui i (l priol'i semhlenL relever d'une déficience du
lobe
postérieur. Faut-il, des lors, parler de dyshypop
térieures de Livon 'et de Curling On sait que, pour ces auteurs, le
lobe
postérieur de l'hypophyse verserait sa sécrétion
l'hypophyse verserait sa sécrétion non dans les vaisseaux, comme le
lobe
antérieur, mais dans le troisième ventricule au
ies analo- gues à celles produites par les injections d'extraits de
lobe
postérieur » (Mouriquand) (1). Nous avons, pa
n léger épaississement des méninges molles. Les circonvolutions des
lobes
frontaux sont un peu amincies. Les grands vaiss
s du cerveau est de 1.300 grammes. Les circonvolutions, surtout des
lobes
frontaux, sont beaucoup plus minces que dans le
cet effet une injection de 2 centimètres cubes à 5 0/0 d'extrait de
lobe
postérieur. On a décrit, à côté des formes pour
l, Lidon et Peyron, Ascoli et Leânani, etc., après l'extirpation du
lobe
extérieur chez des jeunes chiens, ont obtenu un
la selle turcique (Launois et Cléret), en cas d'hémorragies dans le
lobe
antérieur (Maranon). après des lésions traumati
glande qui y inlerv ient. Ainsi Fischer, Peude, Pari incriminent le
lobe
postérieur ; Goelhsch ef..Tacoh- sohn et derniè
elhsch ef..Tacoh- sohn et dernièrement Cushing incriminent aussi le
lobe
postérieur. Crowe etHomans, Schüller attribuent
ur. Crowe etHomans, Schüller attribuent l'adiposité à une lésion du
lobe
antérieur. Clunet et Roussy onl obtenu expérime
Delille ont démontré la polyurie qui apparaît après l'injection du
lobe
postérieur. Crowe, Cushing et Romans, Lewis e
hysaire avec obésilé et persistance des menstrues. Dans leur cas le
lobe
postérieur était le plus altéré de la glande. On
peut dire en un mot que la majorité des auteurs excluent le rôle du
lobe
antérieur dans la palhogénèse de la polyurie.
d du pédon- cule et se demandent en même temps si l'insuffisance du
lobe
nerveux, producteur de pituitrine, n'y intervie
g obtient un retard de la croissance à la suite de l'extirpation du
lobe
antérieur. Aschner, Ascoli et Legnani, Benedict
alance du côté de l'épilepsie cérébrale (foyers encéphaliques dans le
lobe
frontal gauche) surtout quand, outre cela, se p
5. SIGNES EXPLICATIFS DES PARTIES DU SYSTÈME CÉRÉBRO-SPINAL. A,
lobe
olfactif. B, lobe cérébral. - .. - C, lobe op
IFS DES PARTIES DU SYSTÈME CÉRÉBRO-SPINAL. A, lobe olfactif. B,
lobe
cérébral. - .. - C, lobe optique. C', cavité
E CÉRÉBRO-SPINAL. A, lobe olfactif. B, lobe cérébral. - .. - C,
lobe
optique. C', cavité du lobe optique. Cru, deu
factif. B, lobe cérébral. - .. - C, lobe optique. C', cavité du
lobe
optique. Cru, deuxième feuillet du lobe oplique
be optique. C', cavité du lobe optique. Cru, deuxième feuillet du
lobe
oplique. D, cervelet. D', cervelet médian.
feuillet du lobe oplique. D, cervelet. D', cervelet médian. D",
lobes
latéraux du cervelet. E, commissure du quatrièm
s latéraux du cervelet. E, commissure du quatrième ventricule. F,
lobe
du quatrième ventricule. F', couverture du quat
G s, cordon supérieur de la moelle. ' G i, cordon inférieur. 11,
lobe
impair du quatrième ventric. des cyprins. I, lo
, couverture du quatrième yentl icule, formée par la pie-mère. K,
lobes
pairs couvrant le quatrième ventric. des carpes
airs couvrant le quatrième ventric. des carpes. L, cinq paires de
lobes
cervicaux des trigles. M, lobe ou renflement in
. des carpes. L, cinq paires de lobes cervicaux des trigles. M,
lobe
ou renflement intrr-scapu\'¡irc des oi- seaux e
masse de matière nacrée, qui remplit le ven- tricule de ce dernier
lobe
. - PA, pyramid. inférieure ou antérieure. PP,
me bande. il i, troisième b.mde. l'a. filaments arti formes. X,
lobe
particulier aux lamproies, situé entre 1",5 lob
arti formes. X, lobe particulier aux lamproies, situé entre 1",5
lobes
olfactifs et les lobes cérébraux. Y. corps géni
particulier aux lamproies, situé entre 1",5 lobes olfactifs et les
lobes
cérébraux. Y. corps génieulé, externe. Z, pro
rieure de la moelle au-devant de la protubérance. a, pédoncule du
lobe
olfactif. a', son cordon externe ou d'hippocamp
articuliers des raies.-na. narines vues par leur convexité. Fiv. 3.
Lobe
, nerf olfactif déployé, narine, et artère caverne
rtions des 4% 5°, o"ct 8" paires du mêm e squale. z r" f, Erg. 3.
Lobe
du quatrième ventricule du même squale, vu en-des
électrique de la torpille (raia torpédo), vus en- dessus. Fig. 3.
Lobe
du quatrième ventricule et cervelet retroussé en
naux. , Fig. 2. Systèmes nerveux du trygla lyra, vus en-dessus. Les
lobes
olfactif, cérébraux, optiques, et le cervelet,
en-dessus, pour montrer la différence de forme et de proportion des
lobes
post - cérébelleux dans ces deux es- pèces de t
ur montrer la pie-mère occupant toute l'ampli- tude-dc la cavité du
lobe
; cette pie-mère a été enlevée à gauche pour montr
optique et le corps strié. Fig. 7. Coupe verticale du cervelet; des
lobes
optiques et de la protubérance chez l'homme.
échancrure qui les reçoit par juxia-position au-devant de la base des
lobes
optiques. ' , Fig. 4. Système nerveux de la v
oite, les plis sont montrés ' ouverts par une section faite près du
lobe
optique. ' - - Fig. 5. Systèmes nerveux du merl
tortue terrestre, vu en-dessous. - ' Fig. 5. Idem, vu en-dessus. Le
lobe
optique est ouvert, ainsi que l'hémisphère cé-
g. 7. Id. de marmotte (mus lIlpinus). , PLANCHE XIII. , Fig. 1.
Lobe
du quatrième ventricule, ou moelle allongée et pr
g. 1 /1. Encéphale de mouton développé vu par la face inférieure. il.
lobe
olfactif; il. son pédoncule; a'. le faisceau ex
e de la température centrale; - Pneumonie. -Autopsie : atrophie des
lobes
frontaux. (Obs. pers.) - Oud... J. Cécile, étai
s faces convexe et interne des hémisphères ; elle prédomine sur les
lobes
frontaux, dont la face inférieure est vivement
protubérance et le bulbe sont sains. L'encéphale pèse 860 gr. Les
lobes
antérieurs du cerveau sont un peu courts. NOTES
tion malade est dure au toucher, donne la sensation du squirrhe. Le
lobe
paracentral est sain, mais'irrégulier ; le sill
Le lobe paracentral est sain, mais'irrégulier ; le sillon propre du
lobe
descend jusqu'a la scissure calloso-marginale.
on propre du lobe descend jusqu'a la scissure calloso-marginale. Le
lobe
carré, le lobe occipital semblent normaux. .,
descend jusqu'a la scissure calloso-marginale. Le lobe carré, le
lobe
occipital semblent normaux. ., La circonvolutio
L'extrémité supérieure du sillon de Rolando est très marquée sur le
lobe
paracentral. La ci ? ,- convolution frontale as
endante résulte une espèce d'encoche que sépare en quelque sorte le
lobe
postérieur du lobe antérieur. Les trois rayons
espèce d'encoche que sépare en quelque sorte le lobe postérieur du
lobe
antérieur. Les trois rayons postérieurs de l'in
, mais a subi un arrêt de développement sur toute sa longueur. - Le
lobe
paracentral est irrégulier; son 80 CLINIQUE MEN
ENTALE. sillon est vertical et séparé jusqu'au bord inférieur. - Le
lobe
carré, lui aussi, est irrégulier et présente pl
ascendante résulte un sillon qui sépare encore plus profondément le
lobe
antérieur du lobe moyen que nous ne l'avons vu
un sillon qui sépare encore plus profondément le lobe antérieur du
lobe
moyen que nous ne l'avons vu à gauche. La par
anche III donne une idée très exacte de l'arrêt de développement du
lobe
frontal et du sillon profond qui sépare ce lobe
de développement du lobe frontal et du sillon profond qui sépare ce
lobe
de la partie de l'hémisphère restée saine. Les
e. Thorax. - Larynx, trachée, bronches, rien. - Hépatisa- tion du
lobe
inférieur du poumon gauche. Coeur, normal (80 g
etc., ayant déterminé secondairement un arrêt t9 développement des
lobes
antérieurs du cerveau. Cette lésion s'est tradu
le lobule pariétal supérieur ; sur le pli courbe ; sur la pointe du
lobe
occipital. b) Face inférieure : îlots sur les d
ution fron- tale est le siège de plusieurs îlots très distincts. Le
lobe
paracen- tral est notablement déformé ; on y vo
terminaison du sillon de Rolando. On note aussi une déformation du
lobe
carré et du lobule cunéiforme ou coin : ces dif
x ; les deux autres ontprès d'un centimètre; deux gros îlots sur le
lobe
carré; un îlot de la troisième circonvolution t
e Sylvius. PLANCHE IV Face interne de l'hémisphère gauche. L p,
lobe
paracentral. L q, lobe carré. L, ventricule l
Face interne de l'hémisphère gauche. L p, lobe paracentral. L q,
lobe
carré. L, ventricule latéral. C s, corps stri
ail intellectuel il y a une élévation de tempé- rature en faveur du
lobe
frontal gauche. Tout récemment, à propos de la
pérature céphalique. On a trouvé en effet une tumeur volumineuse du
lobe
frontal droit, ayant détruit la moitié antérieu
onsidérant ces températures par régions céphaliques, on voit que le
lobe
occipital fournit constamment les chiffres les
nit constamment les chiffres les plus faibles. Les températures des
lobes
frontaux et occi- pitaux s'égalisent dans la dé
progressive et dans la lypémanie avec agitation, la température des
lobes
pariétaux est supé- rieure à celle des lobes fr
on, la température des lobes pariétaux est supé- rieure à celle des
lobes
frontaux. Par rapport aux différences de tempér
postérieure, le triceps crural répond à la partie postérieure du
lobe
occipital, les muscles abdominaux et ceux de la c
- meaux chez l'homme et les animaux supérieurs d'une part, et les
lobes
optiques chez les reptiles d'autre part. Les conc
apport avec l'innervation rétinienne et oculo-motrice; 5° Que les
lobes
optiques des reptiles sont les homologues de la
entive de' la région optique ainsi pré- sentée et conduite jusqu'au
lobe
occipital à travers le ganglion- géniculé exter
mais sans traces de méningite. A l'extrémité antéro-inférieure du
lobe
sphénoïdal droit, il existait une tumeur du volum
}i'àÙ : é ? .... ''A'ÚtÓjnie''... ? Absence complète de lésions des
lobes
/ ? 'OMMa ? HM ? 'a<MMe la coi,ize d'Aiîziii
- Mort. Autopsie. Erosions des ci2,coîzvolu- tions, surtout sur le
lobe
frontal ; dilatation ventriculaire. Gail..., Ma
côtés, plaques opalescentes de la pie-mère ; adhérence intime des
lobes
frontaux droit et gauche. Hémisphère cérébral g
olutions sur la face interne et sur la face convexe, surtout sur le
lobe
frontal où la pie-mère entraîne avec elle l'éco
tal où la pie-mère entraîne avec elle l'écorce grise; -c'est sur le
lobe
occipital que les lésions sont le moins accentuée
cérébral droit. Erosions multiples sur la fron- tale ascendante, le
lobe
sphénoïdal et la circonvolution du corps calleu
obe sphénoïdal et la circonvolution du corps calleux. - Rien sur le
lobe
pariétal ni sur le lobe occipital. Ventricules
convolution du corps calleux. - Rien sur le lobe pariétal ni sur le
lobe
occipital. Ventricules latéraux très dilatés de
hères, se dé- tache avec les méninges, principalement au niveau des
lobes
frontaux. La 3° circonvolution frontale de chaq
: méningo-encéphalite diffuse généralisée, mais prédominant sur les
lobes
antérieurs et la convexité des hémisphères le l
a décortication est assez difficile au niveau de la face convexe du
lobe
frontal, sur les bords de la scissure de Sylviu
ur les bords de la scissure de Sylvius et sur la partie centrale du
lobe
occipital. Au niveau de ces adhérences, la subs
mère est notablement épais- sie et adhérente sur toute l'étendue du
lobe
frontal, sauf au niveau de la moitié postérieur
tant dans toute son étendue et présente des tubercules dans tout le
lobe
supérieur, dont le sommet est farci do petites
o-encéphalite très nettes, assez éten- dues, et prédominant sur les
lobes
frontaux. La dé- chéance intellectuelle a suivi
est, généralement assez épaissie. Adhérence de la face interne, des
lobes
frontaux des deux hémisphères à leur partie ant
a pie-mère est notablement adhé- rente à l'extrémité postérieure du
lobe
occipital. Les poumons 'présentent une congesti
L'autopsie a montré que les lésions occupaient principalement les
lobes
frontaux; mais, elles étaient DE LA DÉMENCE ÉPI
ient DE LA DÉMENCE ÉPILEPTIQUE. 235M assez accusées au niveau des
lobes
occipitaux'; la par ? ) tie moyenne des hémisph
720 gr. Différence : 160 gr.) . ^Cervelet et 2'stJame : 200 gr. (
lobes
cérébelleux droit et gau- t 'l. - si . ' che,
de l'extrémité supérieure du .6 sillon" dé' Rolando à la pointe du
lobe
occipital : à droite, 13 c.; à gauche,, 8,,5. R
auche, le plus petit, qui présente le plus grand développe- ment du
lobe
frontal. ? 't'Les'circônvolutÍons occipitales et
pas d'anomalies, mais on remarque, vers la face inféro-inter- ne du
lobe
sphénoïdal gauche, que la pie-mère est adhérente
r¡.1J ;>/1 ¡; LéS" lésions 1 cérébrales n'occupaient' que ' les-
lobes
1 fron'talÍx r;-Jrespectant"entièremeIh 'lé's'1
scissure1 occipitale9 externe ; le'lob'è o'1fcipifars détachait du
lobe
pariétal, sous la forme que Gratiolet a appelée
nglions, sénsitifs,"qui X< ? tJdE ! s. couches ? optiquesj,aux ?
lobes
^occipitaux' eJ4aeJà séténdënt jusqu'aux cordon
'd"ll'b" ! ? 7 ? T ? 1.. grosseur Une noix, a la partie interne du
lobe
gauche du cer- velet ? l'111, PFI,Ifj ,tin-ib-i
rocher droit,"et s'étant étendue sous la tente du cervelet jusqu'au
lobe
droit du cervelet,.qui était en partie envahi,,
a peau, suscitait des réflexes. A l'autopsie, on découvrit les deux
lobes
frontaux profondément atrophiés ; ce n'était pl
On trouva, de même, atrophiées, les circonvolutions voisines des
lobes
frontaux : d'un aspect tout à fait anormal, elles
très nettement l'altération des circon- volutions qui touchent aux
lobes
frontaux : or, celles- ci, précisément, d'après
20 onces d'une sérosité ' Campbel Clark. -d detached left occipital
lobe
, and ollaer abnorma- lities in the brain of a h
alies qu'on remarquait sur ce cerveau, il faut citer encore : 1° le
lobe
occipital gauche, de dimensions réduites, qui s
ant évo- lué elle-même, en dedans et èn avant, va se cacher sous le
lobe
frontal. Cette disposition des circonvolution
que la partie antérieure de l'insula ne va point se cacher sous le
lobe
frontal, mais reste à découvert (Pr,. X, ha : a
PL. X, ha : a); sur l'hémisphère gauche, elle est recouverte par le
lobe
frontal. La scissure post-centrale, sur les deu
pariéto-occipital (PL. X, XI, po) est assez largement béant. Sur le
lobe
occipital (PL. X, XI, 0), en outre du sillon occi
versé (PL. X, XI, Tr.) on trouve encore un sillon : de sorte que le
lobe
occipital se présente avec ses trois circonvolu-
se présente avec ses trois circonvolu- tions caractéristiques. Le
lobe
temporal (PL. X, T', T2; PL. XI, T', te, T3) est
trouve pas au même degré sur un cerveau normal. On remarque, sur le
lobe
temporal, la scissure parallèle, ou premier sil
e X. Surface externe de l'hémisphère droit. s, face antérieure du
lobe
frontal gauche, qui proémine. d, face antérieur
cissure sylvienne. Cette rougeur est surtout prononcée au niveau du
lobe
frontal et temporal et à la base des circonvo-
t blancs dans les oreillettes. Foie (345 gr. rate (15 gr. avec un
lobe
presque pédicule ; pas de lésions. Chaque rein
la base du cerveau (PL. IX), on remar- que à la face inférieure du
lobe
occipital droit, une disposition anormale des c
s traits ombrés que l'on voit sur la même Planche, à l'extrémité du
lobe
occipital gauche, ne donnent qu'une médiocre id
ircon- volutions occipitales, aussi bien à la face inférieure de ce
lobe
qu'à la face convexe, et le long du bord supéri
la grande scissure du cerveau sont atro- phiées. De l'extrémité du
lobe
occipital et à trois centimètres au-dessous par
e la première frontale et de la circonvolution du corps calleux. Le
lobe
paracentral, le lobe carré sont irré- guliers ;
e et de la circonvolution du corps calleux. Le lobe paracentral, le
lobe
carré sont irré- guliers ; il en est de même de
de la première circonvolution frontale, de la partie antérieure du
lobe
para- central, des parties moyenne et postérieu
rature. Autopsie : Anomalie artérielle. Foyer hémorrhagique dans le
lobe
frontal droit. Nombreux îlots de sclérose à la
e ; elle s'enlève, en général, facilement, si ce n'est au niveau du
lobe
frontal. L'artère communicante antérieure est d
pèse 40 gr. de plus que le gauche. -Au niveau de la face convexe du
lobe
frontal, on trouve, sous la pie-mère, une quant
, et c) sur la circonvolution du corps calleux (PL. VII, N). - Le
lobe
paracentral, assez volumineux, présente un petit
l, assez volumineux, présente un petit îlot en haut et en avant. Le
lobe
carré est normal. Enfin, sur les circonvolution
ormal ( 8 cent, et demi). Le. foie présente à la face inférieure du
lobe
droit, près du bord postérieur, une scissure an
gr. Les poumons présentent tous deux, à la partie postérieure du
lobe
inférieur, un foyer d'hépatisation rouge assez ét
ès médical, 1880, p. 163. 406 CLINIQUE MENTALE. rha,gie dans le
lobe
frontal de l'hémisphère droit, qui n'a occasion
e interne de l'hémisphère gauche. N, N, N, îlots de sclérose. Lq,
lobe
carré. Lp, lobe paracentral. C s, corps strié
isphère gauche. N, N, N, îlots de sclérose. Lq, lobe carré. Lp,
lobe
paracentral. C s, corps strié. PLANCHE VIII
quadrijumeau antérieur. 8° La diminution de volume de la pointe du
lobe
occipital est due à l'altération de celui-ci et
cule quadrijumeau antérieur sous-jacent (Gudden); 9° La pointe du
lobe
occipital est,chez lelapin,le centre cortical d
a première circonvo- lution frontale et les portions inférieures du
lobe
pariétal et supé- rieure du lobe temporo-sphéno
ale et les portions inférieures du lobe pariétal et supé- rieure du
lobe
temporo-sphénoïdal. Lobule de l'insula intact. -
le 30 décembre. Autopsie. Grande tache jaune déprimée, au niveau du
lobe
frontal droit près de la scissure interhémisphé
use. Ces altérations se rencontrent dans presque toute l'étendue du
lobe
frontal et s'étendent en arrière jusqu'au sillo
anes, sauf dans le foie, qui présentait à la face supérieure de son
lobe
droit une tache jaunâtre. On vit à la coupe qu'
Méninges molles du cei veau, troubles à la convexité. Adhérence du
lobe
postérieur droit. Sclérose et atrophie de l'hémis
oute^ne^bandejette^de substance grise ? qui -.s'interpose aentre,le
lobe
pariétal, Pv et les ,ganglions cérébraux, -, et
s;éfrconvol, centrales' .9 é .militar ïEü;u sb Tuslhaol gt ailgb du
lobe
temporal. foil flOI3 - Iit nez n ·. -'rr ? ? f-
ns la région iÉ ? )")f.)'jr ? ? ' 'f 1)1 fr f ? rr ? n "'i -11 du
lobe
central, séparés de la 'surtace 'cérébrale que pa
ot de substance. griser, situé au milieu de la substance blauche du
lobe
occi- pilalndu ecôté droite et'eiiédu ! rester
,f-'rr'7'n ^arjtfli;» r-,1 gliv par suite de 1 isolement de tout un
lobe
, (le lobe des ... . h I(Tqmq (1frI , Irrot pnri
^arjtfli;» r-,1 gliv par suite de 1 isolement de tout un lobe, (le
lobe
des ... . h I(Tqmq (1frI , Irrot pnriil(;M n
ière marginale supérieure (Neelsen).Pourlui, c'est al'intégrité des
lobes
frontaux qu'il faut rapporter la conservation de
M. Luys avec atrophie des circonvolutions de la face interne des
lobes
postérieurs, M. Hartmann se contente de citer les
ues de Ferrier, de Munck, qui localisent le centre auditif dans les
lobes
temporaux. En supposant que des lésions atrophi
CHES. ()71 PLANCHE IV Face interne de l'hémisphère gauche. L p,
lobe
paracentral. L q, lobe carré. L, ventricule l
Face interne de l'hémisphère gauche. L p, lobe paracentral. L q,
lobe
carré. L, ventricule latéral. C s, corps stri
interne de l'hémisphère gauche. N, N, N, îlots de sclérose. L q,
lobe
carré. Lp, lobe paracentral. C s, corps strié
sphère gauche. N, N, N, îlots de sclérose. L q, lobe carré. Lp,
lobe
paracentral. C s, corps strié. EXPLICATION DE
HE X Surface externe de l'hémisphère droit. s, face antérieure du
lobe
frontal gauche, qui proémiue. il, face antérieu
ricule latéral. C S, surface du noyau caudé. P C, pmciiiieiis (ou
lobe
quadrilatère, ou avant-coin). C, coin (cuneus).
e postérieure (ou pariétale ascendante). R, sillon de Rolando. P,
lobe
pariétal. lit a, lobe antérieur de l'insula (po
ale ascendante). R, sillon de Rolando. P, lobe pariétal. lit a,
lobe
antérieur de l'insula (portion déprimée). In :
al. lit a, lobe antérieur de l'insula (portion déprimée). In : p,
lobe
postérieur de l'insula (portion proéminente). 0
e). In : p, lobe postérieur de l'insula (portion proéminente). 0,
lobe
occipital. T l,T2, T 3, première, deuxième, tro
XPLICATION DES PLANCHES. 681 PLANCHE XIV A, Coupe transversale du
lobe
frontal de l'hémisphère gauche, à 1(2 centimètr
face cérébrale, le ven- tricule latéral. B, Coupe transversale du
lobe
frontal de l'hémisphère gauche, à 1 112 centimè
blanche de la circonvolu- tion frontale. C, Coupe transversale du
lobe
fcontalde l'hémisphère gauche, a 8 mill. en ava
éprimée, et arrivant sur le noyau caudé. D, Coupe transversale du
lobe
frontal de l'hémisphère gauche, tout contre le
ut contre le chiasma des nerfs optiques. l', substance blanche du
lobe
pariétal, arrivant à la capsule interne. , une
grise de la poition déprimée de l'insula. E, Coupe transversale du
lobe
frontal, de l'hémisphère gauche, à 1 cent. en a
n, capsule interne, - C x, capsule externe. P, substance blanche du
lobe
pariétal, qui arrive sur la substance blanche d
ie. - la, portion de l'insula, en retrait. F, Coupe transversale du
lobe
frontal de l'hémisphère gauche, à 1 cent. en ar
la frontale et la pariétale ascendantes et le tiers antérieur du
lobe
temporal. Il en est de même à la face interne, su
circonvolution du corps calleux, ainsi que sur le face orbitaire du
lobe
frontal. Il y a de nombreuses adhé- rences de m
li pariétal inférieur, le pli courbe, les deux tiers postérieurs du
lobe
temporal et le lobe carré. Les trois circonvo
le pli courbe, les deux tiers postérieurs du lobe temporal et le
lobe
carré. Les trois circonvolutions frontales sont
C C ( ? L P a l'aspect d'une grosse masse quadrangulaire coupée. Le
lobe
paracentral est largement confondu en avant ave
petit, est nettement distinct. De même que sur la face externe, le
lobe
occipital est petit. V L., C C, couche optique,
épaissie ; foyer caséeux en voie de ramollissement au sommet ; les
lobes
adhèrent entre eux et sont farcis de tubercules.
ns 16 IDIOTIE mongolienne : tuberculose; appendicite. intimes des
lobes
; petite caverne et tubercules au sommet. Lobe i
icite. intimes des lobes; petite caverne et tubercules au sommet.
Lobe
inférieur à peu près sain. Crellr, rien ; trou de
a porté sur plusieurs circonvolutions choisies dans les différents
lobes
du cerveau (circonv. rolandiques, lobule parace
avoir envahi la presque totalité des circonvolutions, dans tous les
lobes
du cerveau, avec une intensité sensiblement éga
orifice aorti- que. Abdomen. Le foie, très volumineux, possède un
lobe
gauche extrêmement développé qui s'avance dansl
ses grosses glandes avaient conservé. Son foie pèse 1850 gr., et le
lobe
gauche y est prédominant. Sa rate pèse 250 gr.,
érose ah ophicXue foi,n7,int un foyer occupant la partie moyenne du
lobe
frontal et la pariétale ascendante, à gauche. S
re épaisse. Adhérences de la dure-mère à la pie- mère au niveau des
lobes
pariétaux et des faces internes des lobes orbit
pie- mère au niveau des lobes pariétaux et des faces internes des
lobes
orbitaires. - Pas de tubercules miliaires. - Le s
pitaux. - La scissure perpendiculaire externe est très prononcée.
Lobe
frontal. Il est coupé à sa partie moyenne, par un
gions voisines. L'extrémité antérieure des trois circonvolutions du
lobe
fron- tal ne présente pas de sclérose mais un a
e TI, circonvolution très grêle mais ne paraissant pas scléreuse.
Lobe
pariétal. Nous avons signalé la sclérose atrophiq
ncisées et semblent nor- males ainsi que le lobule du pli courbe.
Lobe
temporal. - Nous avons noté déjà un arrêt de dé
t assez bien développées, plus que les circon- volutions des autres
lobes
, arrêtées dans leur développement. Lobe occipit
on- volutions des autres lobes, arrêtées dans leur développement.
Lobe
occipital. Circonvolutions très grêles sur ses de
érose atrophique de l'extrémité supérieure de PA se prolonge sur le
lobe
paracentral qui est sclérosé et atrophié dans s
la scissure perpendiculaire externe l'est à un degré prononcé. Le
lobe
quadrilatère est très volumineux. Le coin est ass
s strié, la couche optique, la corne d'Ammon parais- sent sains. Le
lobe
orbitaire n'offre rien d'anormal dans ses circo
T. Face externe. - Vascularisation prononcée de la pie-mère sur les
lobes
pariétaux et occipi- taux, sans engorgement vei
ieure, est atrophiée, sclérosée, ainsi que la plus grande partie du
lobe
paracentral et toute la moitié anté- rieure du
rande partie du lobe paracentral et toute la moitié anté- rieure du
lobe
carré. La scissure perpendiculaire interne est
très profonde; la scissure calcarine est peu prononcée. Le coin, le
lobe
occipital, la circonvolution de l'hippocam- pe,
gauche. Plusieurs noyaux (quatre) de booncho-pneumonie occupant le
lobe
inférieur (partie pos- érieure) ; légère infilt
qui semblent être récentes. Ce pou- mon est creusé au niveau de son
lobe
moyen et de son lobe supérieur d'une grosse cau
entes. Ce pou- mon est creusé au niveau de son lobe moyen et de son
lobe
supérieur d'une grosse cauerne ayant tous les c
Dans ce même poumon droit, on trouve dans la partie infé- rieure du
lobe
inférieur un noyau de broncho-pneumonie. Le bor
lobe inférieur un noyau de broncho-pneumonie. Le bord antérieur du
lobe
est atélectasié. - Coeur flasque; pas de symphy
cela existait avant tout traitement. Nous lui avons fait prendre un
lobe
tous les deux jours jusqu'à la date du 30 septe
rapport à F2 qui est plus large et bien plus sinueuse. Sur tout le
lobe
frontal, il n'y a qu'un pli de passage entre F2
férieur P2, sont assez volumineux ainsi que le pli courbe, PC et le
lobe
occipital LOC. Le pli courbe envoie un pli de p
et le lobe occipital LOC. Le pli courbe envoie un pli de passage au
lobe
occipital qui est assez développé, Le lobe tempo-
oie un pli de passage au lobe occipital qui est assez développé, Le
lobe
tempo- nul a ses circonvolutions plutôt volumin
un peu grêles et s'envoient un pli de passage, FI, C C C, LP et le
lobe
carré, LQ, sont bien développés, le coin, C, est
onné et il y a des plaques de péri-hépatite à la face supérieure du
lobe
droit. Vésicule biliaire, rien. Rein droit hype
nné, présentant une série de dépressions circonscrivant 4 ou 5 gros
lobes
. Signalons aussi une série de petits kystes varia
ncipales régions de l'écorce cérébrale : par exemple, au niveau des
lobes
frontal, occipital et rolandique (lobule parace
la structure générale des neuroblastes. Dans les au lies régions ¡
lobe
occipital, par exemple), le pro- ces>us path
solument tout ce qui vient d'être dit pour les circonvolu- tions du
lobe
frontal et du lobule paracentral. FIBRES nerveu
ans d'un goitre très volumineux qui fait saillir très nettement les
lobes
du corps thyroïde. Elle a eu 13 enfants et a fa
. Os du crâne durs, épais; pas de synostose; sclérose atrophique du
lobe
carré et méningo-encéphalite disséminée. Conges
ences de ménill[Jo-encé- phalite disséminées sur les trois faces du
lobe
frontal. Il existe une atrophie très prononcée
frontal. Il existe une atrophie très prononcée du bord supérieur du
lobe
carré et de son bord antérieur. A l'angle de ce
rieur du lobule paracentral. Face convexe. - Les circonvolutions du
lobe
frontal sont assez bien développées. F' et r"2
onvolutions occipitales supérieures sont plutôt un peu grêles. - La
lobe
temporal est assez développé, en particulier la
ut, CCC, LP sont assez développés tandis que les circonvolutions du
lobe
carré, du coin et du lobe occipital sont plutôt
eloppés tandis que les circonvolutions du lobe carré, du coin et du
lobe
occipital sont plutôt petites. Les plis de pa
s, de méningo-encéphalite ; 3° un petit foyer ocreux portant sur le
lobe
paracentral et le coin. L'idiotie, par conséq
tal inférieur. P3, pli courbe. Se S., scissure de Sylvius. LOC,
lobe
occipital. LO, lobule orbitaire. Tl, T2, T3,
, Circonvolution frontale ascendante. SR, Sillon de Rolando. LOC,
Lobe
occipital. LO, Lobule orbitaire. T',T2,T3, li
Corne d'Ammon. CH, Circonvolution de l'hippocampe C, Coin. LOC,
Lobe
occipital. Sc cm, Scissure calloso-marginale.
re droit. F', F2, F3, Ire, 2e, 3° circonvolutions frontales. LPS,
lobe
pariétal supérieur. ' LPI, lobe pariétal inféri
° circonvolutions frontales. LPS, lobe pariétal supérieur. ' LPI,
lobe
pariétal inférieur. F, fourche. , PA, circonv
ale ascendante. ' r SR, sillon de Rolando. PC, pli courbe. LOC,
lobe
occipital. LO, lobe orbitaire. Ti, T2, T3, 1r
SR, sillon de Rolando. PC, pli courbe. LOC, lobe occipital. LO,
lobe
orbitaire. Ti, T2, T3, 1re, 2e, 3" circonvoluti
face convexe des deux hémisphères cérébraux, surtout au niveau des
lobes
frontaux, et à gauche; cette surface présente p
coloration grise manifestement plus foncée que les mêmes centres du
lobe
op- posé et que le reste de la substance grise;
et, à mesure qu'on s'éloigne de cette limite pour se rapprocher des
lobes
postérieurs cette zone, jusque-là encore sensit
es</të6';e; contractures permanentes, etc.; 2" foyer cortical du
lobe
frontal gauche ; extension de la paralysie au c
isement avec les fibres du côté opposé. b). Hémisphère gauche. Le
lobe
frontal a seul souffert des altéialions constat
ritoire. A gauche, c'est le département de la cérébrale antérieure (
lobe
frontal) qui a seul souffert; quoiqu'il en soit
ne trouve aucune trace de la blessure reçue- trois mois avant : les
lobes
antérieurs adhéraient l'un à l'autre SOCIÉTÉS S
ante, mais qui, soit dit en passant, est surtout en rapport avec le
lobe
pariéto-occipital; vous obtiendrez encore l'atr
de sang tout récent sous-arachnoidien, en lame, à la convexité des
lobes
occipitaux et de la portion postérieure du lobe
la convexité des lobes occipitaux et de la portion postérieure du
lobe
pariétal droit; il s'étend à une grande partie de
es possèdent égale- ment une fonction différente; ainsi l'écorce du
lobe
frontal serait motrice, celle des lobes occipit
ifférente; ainsi l'écorce du lobe frontal serait motrice, celle des
lobes
occipitaux et temporaux serait sensorielle. M.
s ganglions de la base et notamment les irradiations qui issues des
lobes
occipitaux, temporaux et pariétaux entrent dans l
x entrent dans la cou- che optique, ainsi que celles qui partent du
lobe
frontal pour ga- gner les noyaux lenticulaire e
des bandelettes optiques avec les corps genouillés latéraux et les
lobes
optiques (tubercules quadri- jumeaux postérieur
périphérique (voy. le cas de Hirschberg, n° 5). 9. Les lésions des
lobes
optiques ont été rarement observées chez l'homm
où l'hémianopsie était due à une lésion de la substance blanche du
lobe
occipital, au nombre de onze. 5. Les cas d'hémi
et de la balle suivait la face dorsale de l'occipital, à travers le
lobe
pariétal jusqu'aux confins de la circonvolution
te que celle du côté opposé. Il y avait une dépression au niveau du
lobe
occipital droit, la pie- mère adhérant sur une
s. Son extrémité antérieure était à 6 centimètres de la pointe du
lobe
. La substance blanche n'était que peu lésée. Il n
utopsie. On trouva deux tumeurs dans le cerveau, l'une au sommet du
lobe
frontal gauche, l'autre près de la pointe - A
u sommet du lobe frontal gauche, l'autre près de la pointe - A du
lobe
occipital droit. Ependyme des ventricules granule
sures de Sylvius. - Fg.3, A. Tumeur au niveau de la face moyenne du
lobe
occipital droit : hémia- nopsie latérale gauche
OPSIE CORTICALE. 201 La seconde tumeur siège sur la face moyenne du
lobe
occi- pital droit, dépassant de quelques millim
sevelie presque entièrement dans la substance cérébrale. La base du
lobe
occipital n'était pas atteinte. Tumeurs caséeuses
rale de Ecker). Pas de dégénération se- condaire. Corps genouillés,
lobes
optiques, bandelettes, chiasma et nerfs optique
l'artère cérébrale postérieure irriguant la face postéro-interne du
lobe
occipital droit. . La maladie de M. D... dura
opposé. Cet as- pect est dû à la destruction de la face interne du
lobe
occipital droit par un large foyer, évidemment
irconvolution de l'hippocampe. La lésion n'atteint pas la pointe du
lobe
occipital. Les autres circonvolutions des deux
dans le bichromate de potasse pour y être durci et reposant sur le
lobe
temporal, celui-ci ne tarda pas à se désagréger.
duire de tous ces cas ? 2 1. Que des lésions de la face interne des
lobes
temporaux ou même des autres départements de la
l'hémianesthésie seule. 3. Qu'une lésion de la substance blanche du
lobe
occipital, au niveau des fibres les plus postér
sie, l'alexie, l'hémianopsie et l'hémiplégie. 6. Que les lésions du
lobe
occipital, écorce et substance DE L'HÉMIANOPSIE
s aires visuelles, ou centres de la vision psychique, sont dans les
lobes
occipitaux et que chacun d'eux a des connexions
lement produit l'hémianopsie chez les chiens en détruisant un des
lobes
occipitaux. Et ces résultats ont été vérifiés sur
229, et reproduites dans le Brain, april 188'4 : 1° Les lésions des
lobes
occipitaux et du gyrus angularis 1 .lolui C. Da
produise la perte complète de la vue est la destruction totale des
lobes
occipitaux et des gyrus angularis des deux côté
actère hémiopique. 5° On peut faire de profondes incisions dans les
lobes
occi- pitaux des deux côtés en même temps, ou e
eux à la fois sans amener du trouble visuel. 6° La destruction du
lobe
occipital et du gyrus angularis d'un côté cause
le pariétal inférieur et du gyrus angularis dans son trajet vers le
lobe
occipital (le coin principa- lement). Une lésio
on des faisceaux laté- raux à travers les tubercules quadrijumeaux (
lobes
optiques) dans leur trajet vers la capsule inte
sa théorie de la production de l'amblyopie d'un oeil par lésion du
lobe
occipital et de la' capsule interne du côté opp
trémité postérieure avec les résultats bien établis des lésions des
lobes
occipitaux, mérite une sévère critique. Mais il s
ette optique droite. - C. G. L., corps genou il latéral. - z L, 0.,
lobes
optiques (tubercules qundriumenuxJ. - P. 0. C., p
qundriumenuxJ. - P. 0. C., premiers centres optiques, comprenant le
lobe
optique, le coi l)s geiiotiillê latéral et le pul
ne postérieure. CI- A - région du gyrns ziiigtil.i iç. - 1,. 0. S.,
lobe
occipital gauche. - L. 0. D., lobe occipital dr
yrns ziiigtil.i iç. - 1,. 0. S., lobe occipital gauche. - L. 0. D.,
lobe
occipital droit. - C, u.. coin et circonvolutions
elà substance griseimmédiatementenvironnante sur la face interne du
lobe
occipital, dans l'hémisphère opposé à la moitié
nocular hemiopia, depen- dingupon a gummytumorin the lcft posterior
lobe
of thé brain. Knapp's Archives of Ophihtil., v.
ion de Meynert, car chez le rat, on a respecté les petits noyaux du
lobe
central du cervelet qui occupent le toit du qua
on du noyau du faisceau grêle et après l'extirpation de l'écorce du
lobe
pariétal, mais il est impossible de dire pourqu
arrêt de développement très notable qui occupe prin- cipalement les
lobes
occipitaux et temporaux; le lobe frontal est le
e qui occupe prin- cipalement les lobes occipitaux et temporaux; le
lobe
frontal est le plus complet, mais il y manque l
t, mais il y manque le sillon proerolandique. En outre, l'écorce du
lobe
pariétal fait totalement défaut sur la face exter
'une partie de la troisième temporale, sur la zone limite entre les
lobes
occipitaux et temporaux ; aucune altération n'o
ent-il de rattacher le trouble thermique vaso-moteur à la lésion du
lobe
pariétal, à l'exemple des auteurs ? Discussion
extenso. Discussion : M. OTTO. Quel était l'état microscopique des
lobes
temporaux ? -Réponse. Rien d'anormal. M. Jast
mémoire extraordinairement affaiblie. Diagnostic. Com- pression du
lobe
occipital gauche par une exostose consécutive à
blement; nouvel accès de lièvre : dyspnée, pneumonie fibrineuse du
lobe
inférieur droit. Expectoration impossible; asphyx
lui-même indiqué tout en maintenant que, d'une manière générale, le
lobe
frontal est le plus fortement atteint. Cette in
pour la vie ; dans l'involuliun sénile du cerveau, c'est encore le
lobe
frontal qui est le plus géné- ralement atrophié
leur atrophie ou sclérose (Meynert, Kéraval), de l'asymétrie des
lobes
du cervelet (Bra). Il en est de même de la cons
la scissure rolandique est à 0m 104 de l'extrémité an- térieure du
lobe
frontal, tandis que le sommet en est à 0" 130.
pied du sillon de Rolando est à Oe 102 de l'extrémité antérieure du
lobe
frontal, tandis que le sommet en esta Om4R5. A
ornes d'Ammon, ni atrophie ni ramollissement. Cervelet : Les deux
lobes
du cervelet pèsent séparément 45 gr. La substan
Cerveau : Hémisphère droit : poids 580 gr. Les circonvolutions de
lobe
frontal sont étalées et aplaties, elles affectent
de la scissure rolandique est à on 102 de l'extrémité antérieure du
lobe
frontal, tandis que le sommet en est de On 122.
ed du sillon de Rolando est à On 097 de l'extré- mité antérieure de
lobe
frontal, tandis que le sommet en est dis- tant
dans les ventricules. Cervelet : sur la face postéro-supérieure du
lobe
droite, on re- marque une tumeur de la grosseur
couleur jaunâtre, avec tous les caractères d'un myo-sarcôrne. Le
lobe
gauche du cervelet ne présente rien de particulie
dans toute son étendue, sauf au niveau de la paitie située dans le
lobe
occipital où il existe en ramollissement purifo
te paraissent saines. Epanchement ventriculaire notable. Cervelet :
lobe
gauche; poids 70 gr., intact. Le lobe droit pès
culaire notable. Cervelet : lobe gauche; poids 70 gr., intact. Le
lobe
droit pèse 60 gr. et renferme un ancien foyer de
t congestions généralisés. Emphysème aux sommets, et adhérences des
lobes
inférieurs. Ancienne pleurésie droite. Le rei
d'une excitation constante des couches corticales du cer- veau (du
lobe
occipital surtout (Iloseiibacli), comme provoquan
cause des adhérences qui existaient entre la surface orbitaire des
lobes
frontaux etla dure-mère : à ce niveau, on trouv
voit une tumeur qui s'é- tend de la commissure optique au bord des
lobes
frontaux; elle parait déplacer seulement les ci
ure montre que la tu- meur occupe presque la totalité de chacun des
lobes
frontaux ; elle est tellement dure qu'elle crie
le des tissus voisins. Une grande partie de la face supé- rieure du
lobe
frontal gauche est molle au loucher; mais son as-
igine carotidienne en deux branches également anormales. - , , Le
lobe
droit du cervelet est de teinte foncée à sa face
luide. Le cervelet tout entier était congestionné, et la portion du
lobe
droit située dans le voisinage immédiat du cail
s à une emhulie de l'une des branches artérielles qui alimentent le
lobe
cérébelleux droit, ou bien à une légère hémor-
lleux droit, ou bien à une légère hémor- rbagie ayant intéressé 'ce
lobe
, et dont les traces auraient été effacées par l
ribue au cercelet une action directe et non croisée, les lésions du
lobe
droit s'accompagneraient de faiblesse dans les
e courants à employer. P. K. XXVIII. SUR UN cas DE DESTRUCTION DU
LOBE
temporal gauche par UN NÉOPLASME SANS APHASIE,
parJley- nert,1 15 ? (auomalies des artères du), 422; - lésion du
lobe
tem- poral gauche sans aphasie chez un gauche
de l'œsophage, auquel elle donnait des rameaux, et venir se rendre au
lobe
inférieur du poumon ; une troisième artère AD naî
l'intervalle qui existe entre la protubérance et le bulbe. LM est le
lobe
médian, CC les deux lobes latéraux du cervelet. I
entre la protubérance et le bulbe. LM est le lobe médian, CC les deux
lobes
latéraux du cervelet. Il y a probablement quelque
Le côté droit de la protubérance est d'une dureté remar-« quable ; le
lobe
gauche du cervelet présente, vers son bord antéri
u centre de chaque foyer une déchirure plus ou moins considérable. Le
lobe
inférieur du poumon droit présentait, dans une bo
tait gangrenée dans l'épaisseur de quelques lignes ; tout le reste du
lobe
inférieur présentait une hépatisation mollasse co
l'observation fait partie des bulletins de cette Société, on voit le
lobe
supérieur du poumon gauche converti en une vaste
foyer purulent, mais les divisions bronchiques qui se rendent dans le
lobe
supérieur du poumon gauche remplies de pus; la mu
usure n'est pas le résultat d'une action chimique du sang. Tout le
lobe
inférieur du poumon droit était parsemé de petits
t à peu près le même à l'extrémité droite et à l'extrémité gauche. Le
lobe
gauche est atrophié, et la surface du foie est co
canaux hépatiques, dont un grand nombre était oblitéré. Le kyste du
lobe
gauche, qui dépassait en bas le niveau du foie, o
sion qui était singulièrement rétrécie, d'où sans doute l'atrophie du
lobe
gauche. La branche correspondante du canal hépati
, fussent le résultat de la compression exercée par les côtes. Ici le
lobe
gauche était atrophié, et semblait remplacé en en
ui le constitue ait été refoulée à droite. Cette division du foie, en
lobe
droit et en lobe gauche, est tout-à-fait arbitrai
it été refoulée à droite. Cette division du foie, en lobe droit et en
lobe
gauche, est tout-à-fait arbitraire; elle est uniq
de; je pus alors enlever la voûte du crâne, enlever le cerveau et les
lobes
du cervelet sans faire mourir l'animai; je pus ag
t été refoulé en bas, l'estomac s'est présenté adhérent intimement au
lobe
moyen du foie. Sa grosse extrémité était très-vol
t prouve, contrairement à l'assertion de quelques auteursque les deux
lobes
de l'utérus bifide ne ne sont pas nécessairement
e l'utérus bifide ne ne sont pas nécessairement solidaires, et que le
lobe
vide ne prend pas toujours un développement propo
vide ne prend pas toujours un développement proportionnel à celui du
lobe
qui contient le produit de la conception. Fig.
it cloison entre les deux moitiés de l'utérus. Chacune des moitiés ou
lobes
de l'utérus avait à peu de chose près le volume d
cavités étaient parfaitement distinctes. On peut voir la cavité CC du
lobe
droit DD. Du reste, à chaque lobe répondent un ov
nctes. On peut voir la cavité CC du lobe droit DD. Du reste, à chaque
lobe
répondent un ovaire, une trompe, un ligament rond
tuées sur la ligne médiane; car, dans tous les faits connus, les deux
lobes
utérins réunis formaient un tout plus considérabl
s, succomba à son cinquième accouchement par l'effet de la rupture du
lobe
utérin droit qui contenait le fœtus. Les deux lob
t de la rupture du lobe utérin droit qui contenait le fœtus. Les deux
lobes
réunis par leur sommet s'ouvraient chacun séparém
d'autres faits qui constatent une sorte de solidarité entre les deux
lobes
. Le fait précité de Chaussier vient encore à l'ap
t mince, séparées par la sérosité qui remplit les anfractuosités. Les
lobes
postérieurs, terminés en pointe, laissent entre e
presque totalité de la face supérieure du cervelet; la pointe de ces
lobes
n'atteignait pas à beaucoup près la circonférence
f. Dans l'observation suivante, l'idiotie était liée à l'absence du
lobe
moyen de l'hémisphère gauche, et par conséquent à
on de ses lamelles. IIIe Observation. — Idiotie absolue; absence du
lobe
moyen gauche et communication du ventricule latér
ée S' S'. 3\ Ce défaut de scissure de Sylvius est liée a l'absence du
lobe
moyen ou sphénoïdal. Du reste, il n'y a aucune si
tte figure, où les circonvolutions ont été fidèlement copiées. 5°. Le
lobe
gauche du cervelet LG n'est pas moitié du lobe dr
lement copiées. 5°. Le lobe gauche du cervelet LG n'est pas moitié du
lobe
droit LD. La disposition des lamelles cérébelleus
ent du cerveau ; l'autre moitié n'en aurait été que la répétition. Le
lobe
moyen du cerveau a été enlevé pour montrer la sci
ssure de Sylvius dans toute son étendue. LM représente la coupe de ce
lobe
moyen. La figure 4 représente les méninges déta
nuit suivante. Ouverture du cadavre. Pleuro-pneumonie à droite. Le
lobe
moyen tout entier et la moitié antérieure du lobe
umonie à droite. Le lobe moyen tout entier et la moitié antérieure du
lobe
inférieur du même'côté étaient indurés, compactes
ion de la pleuro-pneumonie à la partie antérieure du poumon droit (le
lobe
moyen et la moitié antérieure du lobe inférieur d
antérieure du poumon droit (le lobe moyen et la moitié antérieure du
lobe
inférieur droit). Je suis persuadé que l'inflamma
ture, nous trouvons sur les côtés de la faux du cerveau, au niveau du
lobe
moyen gauche, des adhérences intimes entre la dur
ns les gouttières olfactives et qui compriment la face inférieure des
lobes
cérébraux antérieurs interceptent complètement l'
la scissure de Sylvius, et s'enfonçait dans l'extrémité antérieure du
lobe
moyen LM. Une autre tumeur très-petite TC se voya
ne excavation creusée aux dépens des circonvolutions antérieures C du
lobe
antérieur LA de l'hémisphère droit cérébral. Ces
la scissure de Sylvius, et s'enfonçait dans l'extrémité antérieure du
lobe
moyen LM. Une autre tumeur très-petite TC se voya
ses méninges, présente du côté gauche une dépression considérable. Le
lobe
antérieur droit se porte de plus d'un demi-pouce
Le lobe antérieur droit se porte de plus d'un demi-pouce en avant du
lobe
antérieur gauche. La dure-mère ayant été incisée,
e de la protubérance et du bulbe raehidien. Chose bien singulière! le
lobe
droit LD du cervelet est moins volumineux que le
singulière! le lobe droit LD du cervelet est moins volumineux que le
lobe
gauche du cerveau, ce qui semblerait indiquer un
effet croisé entre le cerveau et le cervelet ; mais la diminution du
lobe
droit de celui-ci ne saurait entrer en balance av
on. ) Idiotie. — Bonne conformation du crâne, avec absence des deux
lobes
antérieurs du cerveau et atrophie de son hémisphè
extérieur, sa cavité n'est pas exactement remplie par le cerveau. Les
lobes
antérieurs (fig. i ) manquent complètement. Une s
elles d'un individu sain du même âge. D'ailleurs, à part l'absence du
lobe
antérieur, l'hémisphère gauche remplissait complè
On voit encore la partie supérieure de l'ouverture OA que présente le
lobe
antérieur LA de l'hémisphère gauche HG. La fig.
emens, le cervelet C, sont dans l'état naturel. Il en est de même des
lobes
moyen et postérieur de l'hémisphère gauche; mais
e même des lobes moyen et postérieur de l'hémisphère gauche; mais les
lobes
moyen et postérieur de l'hémisphère droit présent
stérieur de l'hémisphère droit présentent une atrophie manifeste. Les
lobes
antérieurs LA, LA existent à peine, surtout celui
planche v, où il est question d'une idiotie produite par l'absence du
lobe
moyen, avec communication de la cavité du ventric
soulèvent d'une manière si variable les sinus frontaux (**). » Les
lobes
antérieurs du cerveau n'existaient pas ; et néanm
ns digitales tout aussi prononcées que dans le cas d'intégrité de ces
lobes
antérieurs. Ce fait est en opposition avec cette
nstances étrangères. Dirons-nous, dans le cas dont il s'agit, que les
lobes
antérieurs avaient existé jusqu'à une certaine ép
s'applique parfaitement au développement des os du crâne; ainsi, les
lobes
antérieurs manquaient, et cependant la région fro
el. Dira-t-on que l'existence de cette région frontale prouve que les
lobes
antérieurs du cerveau ont existé? mais ce n'est l
mment destinée à remplir les vides. Il y avait absence complète des
lobes
antérieurs du cerveau ; donc l'idiotie est le rés
bsence. Mais gardons-nous bien d'en déduire comme conséquence que les
lobes
antérieurs sont exclusivement affectés à l'exerci
e livraison, fournit un exemple d'idiotie absolue, avec intégrité des
lobes
antérieurs. Tout vice de conformation du cerveau,
nt, a pour résultat l'idiotie. Remarquons qu'il y avait absence des
lobes
antérieurs, et cependant la malade avait la facul
ée. Donc, la faculté d'articuler les sons ne réside pas plus dans les
lobes
antérieurs que dans les lobes moyens, que dans le
er les sons ne réside pas plus dans les lobes antérieurs que dans les
lobes
moyens, que dans les lobes postérieurs. La mala
lus dans les lobes antérieurs que dans les lobes moyens, que dans les
lobes
postérieurs. La malade ne paraissait pas jouir
sains. Dirons-nous que l'olfaction est sous l'influence immédiate des
lobes
antérieurs? non sans doute; dans une fonction aus
coordonner; dirons-nous que la faculté coordinatrice existe dans les
lobes
antérieurs ? non certes, pas plus que dans les lo
existe dans les lobes antérieurs ? non certes, pas plus que dans les
lobes
moyens et dans les lobes postérieurs. La faculté
térieurs ? non certes, pas plus que dans les lobes moyens et dans les
lobes
postérieurs. La faculté de la coordination suppos
, ressemble à un petit foyer apoplectique. La moitié postérieure du
lobe
inférieur des deux poumons est complètement impro
, représentent le poumon droit. La base B et le bord postérieur BP du
lobe
inférieur sont le siège principal des abcès A A A
urface du poumon, et sont entourés d'une auréole rouge et indurée. Le
lobe
supérieur en est complètement exempt. La coupe
réduit au tiers environ de son poids et de son volume ordinaires; le
lobe
droit LDetle lobe gauche LG sont à peu près de mê
nviron de son poids et de son volume ordinaires; le lobe droit LDetle
lobe
gauche LG sont à peu près de même dimension, et n
s, opaques dans beaucoup de points. On voit sur la face inférieure du
lobe
gauche, des lames cartilagineuses MG, MC, qui app
foie, des foyers cancéreux du foie ouverts dans l'estomac , etc.; le
lobe
de Spigel n'est pas exempt de cette altération :
; le lobe de Spigel n'est pas exempt de cette altération : j'ai vu ce
lobe
tantôt farci de petites tumeurs cancéreuses, tant
ellement, soit généralement : l'atrophie partielle peut porter sur un
lobe
, sur une petite portion du foie ; on rencontre so
norme qui occupait toute l'épaisseur du foie; le tiers droit du grand
lobe
était seul respecté. Sept à huit petites tumeurs
cancéreuses étaient disséminées dans l'épaisseur de ce qui restait du
lobe
droit. Dans un autre cas, des praticiens distingu
eignement. La figure 1 représente la face convexe de ce foie, dont le
lobe
droit e'tait très volumineux , et le lobe gauche
convexe de ce foie, dont le lobe droit e'tait très volumineux , et le
lobe
gauche très peu conside'rable. C'est la varie'te'
n. Cette altération, qui régnait dans les trois quarts postérieurs du
lobe
inférieur du poumon gauche, consiste dans un ramo
du gros intestin et de l'intestin grêle, une induration rouge dans le
lobe
inférieur du poumon gauche, au centre de laquelle
ON DES PLANCHES. Fig, 1. Caillots de sang autour du cervelet et des
lobes
poste'rieurs du cerveau. Caillots de sang adhé-*
t est limité autour du cervelet; souvent il entoure en même temps les
lobes
postérieurs du cerveau ; enfin, dans certains cas
u poumon, à l'aide d'un pédicule vasculaire. PD, poumon droit, sur le
lobe
supérieur duquel on a détaché la plèvre. PG, poum
idienne, qui des bords du calamus scriptorius s'étend à la portion du
lobe
médian du cervelet, connue sous le nom de vermis
ens et entourés de vaisseaux. On voyait en outre à la face interne du
lobe
supérieur du poumon gauche une masse considérable
t, à chaque fois, de nouveaux foyers plus ou moins profonds. Le petit
lobe
du foie était sur-tout pénétré de pus. En examina
re était chez cet individu la source de tous les accidents. Fjg. 1.
Lobe
gauche du foie présentant de larges plaques blanc
sont entourées d'un cercle brun ardoisé. Fig. 1'. Coupe de ce même
lobe
. On voit que les plaques ne sont pas seulement su
s antérieures et moyennes de la base du crâne, et de la convexité des
lobes
antérieurs. EXPLICATION DES FIGURES. Les lobe
e la convexité des lobes antérieurs. EXPLICATION DES FIGURES. Les
lobes
antérieurs sont transformés en des kystes, à paro
S'il était parvenu à l'âge adulte, on conçoit combien l'influence des
lobes
antérieurs sur le développement physique et intel
établit un rapport de causalité entre l'articulation des sons et les
lobes
antérieurs. L'état de flexion forcée des membre
raciques et abdominaux ne me parait nullement prouver l'influence des
lobes
antérieurs sur les muscles extenseurs, lesquels n
la prostate, connue improprement, depuis Everard Home, sous le nom de
lobe
moyen; i° le lobe gauche, 3° le lobe droit, 4° ia
e improprement, depuis Everard Home, sous le nom de lobe moyen; i° le
lobe
gauche, 3° le lobe droit, 4° ia portion moyenne e
uis Everard Home, sous le nom de lobe moyen; i° le lobe gauche, 3° le
lobe
droit, 4° ia portion moyenne et l'un des lobes, l
° le lobe gauche, 3° le lobe droit, 4° ia portion moyenne et l'un des
lobes
, l'autre lobe étant intact, 5° enfin les deux lob
e, 3° le lobe droit, 4° ia portion moyenne et l'un des lobes, l'autre
lobe
étant intact, 5° enfin les deux lobes latéraux, l
yenne et l'un des lobes, l'autre lobe étant intact, 5° enfin les deux
lobes
latéraux, la portion moyenne conservant son volum
« La prostate tuméfiée se trouvait en outre augmentée d'une sorte de
lobe
provenant » de sa propre substance glanduleuse, a
végétations de la prostate étaient le résultat du développement d'un
lobe
particulier de cette glandequ'il a désigné sous l
t d'un lobe particulier de cette glandequ'il a désigné sous le nom de
lobe
moyen. Or, voici ce que la dissection la plus a
oici ce que la dissection la plus attentive démontre par rapport à ce
lobe
moyen. Si onexaminela circonférence postérieure o
es côtés de l'extrémité antérieure du véru-montanum. Or, Home appelle
lobe
moyen, toute la (1) Dict. de médecine et de chi
épare cette portion moyenne des parties latérales, la dénomination de
lobe
moyen, admise par Home, me paraît propre k donner
alade succomba presque immédiatement. A l'ouverture, on trouva que le
lobe
moyen et le lobe gauche proéminaient dans la vess
esque immédiatement. A l'ouverture, on trouva que le lobe moyen et le
lobe
gauche proéminaient dans la vessie. Il est probab
la partie moyenne de la prostate, mais bien les parties latérales ou
lobes
latéraux qui proéminent dans l'intérieur de la ve
u cervelet qui appartenait à un adolescent de 14 ans. Le tubercule du
lobe
gauche LGG est, comme ceux représentés fig. 1, pa
le d'énucléation. Il n'en est pas de même de la masse tuberculeuse du
lobe
droit LDG qui paraît formée par la substance même
aux cas représentés fig. 1 et 2. Deux masses tuberculeuses dans le
lobe
gauche du cervelet. Aucun phénomène de paralysie.
te masse tuberculeuse, irrégulière occupait le côté externe de chaque
lobe
cérébelleux. Les membranes étaient soulevées, la
la vie. Cavité thoracique. Les poumons et plus particulièrement les
lobes
inférieurs , présentaient un certain nombre de tu
te à une matière crétacée, est déposée ou infiltrée dans le sommet du
lobe
supérieur du poumon, et nous révèle la puissance
uelques-unes paraît avoir subi la même altération. Poumons.—Tout le
lobe
inférieur droit est hépatisé au premier degré : l
ait suinter des bronches un liquide grisâtre abondant : engouement du
lobe
inférieur du poumon gauche. Replis muqueux arythé
ide, mais non ramollis. Thorax. — Hépatisation au deuxième degré du
lobe
inférieur du poumon droit. Téte. — Le sinus lon
ssement blanc qui s'étendait dans plusieurs points jusqu'au centre du
lobe
antérieur. Ce lobe antérieur lui-même était rem
tendait dans plusieurs points jusqu'au centre du lobe antérieur. Ce
lobe
antérieur lui-même était remarquable par un aspec
olutions antérieures d'un hémisphère et toute la substance blanche du
lobe
antérieur jusqu'à la membrane du ventricule étaie
pultacé sans changement de couleur des substances grise et blanche du
lobe
antérieur de l'hémisphère gauche. Cicatrices nomb
llissement en bouillie pultacée sans changement notable de couleur du
lobe
antérieur gauche. La substance cérébrale est difï
toutes les circonvolutions antérieures, tout le centre médullaire du
lobe
antérieur étaient réduits en bouillie. D'après ce
réduits en bouillie. D'après cela, on serait porté à conclure que le
lobe
antérieur préside aux mouvemens des membres supér
èvent avec les membranes. 3° Les circonvolutions de la base du même
lobe
postérieur gauche sont converties en une membrane
le, bien amaigri. Le corps thyroïde est augmenté de volume, dans le
lobe
droit on sent une tumeur dure. Dans la par- tie
en cein- ture sous les côtes. Etat actuel. - Tumeur dure dans le
lobe
droit du corps thyroïde. Une tumeur dans la rég
atteint de deux plaies du cuir chevelu situées l'une, au niveau du
lobe
frontal droit, l'autre à la région pariétale su
ent légèrement aux parois de la cavité thoracique (en arrière). Les
lobes
inférieurs sont congestionnés. Le coeur est dil
nt très élar- gies et présentent la forme d'une feuille à plusieurs
lobes
. A l'articulation du poignet on remarque un ost
oblitéra- tion des artères basales du cerveau, le ramollissement du
lobe
pariétal gauche, de la première et de la deuxiè
circonvolutions centrales degauche comme de la partie antérieure du
lobe
temporal de gauche. La troisième observation re
ous en assurer au cours de l'autopsie, il y avait une gomme dans le
lobe
parié- tal inférieur gauche et[une lésion syphi
hémorragique qui détruisait profondé- ment la moitié postérieure du
lobe
pariétal gauche. Lésions microscopiques. Dans l
is 3 ans. Examen macroscopique. Deux foyers corticaux dans les deux
lobes
occi- pitaux qui détruisent les scissures calca
. Dans le cervelet un ancien foyer cortical à la face inférieure du
lobe
gauche. Examen macroscopique. Dans la frontale
04, n. 34. 6. C. BADUEL. - Le osleo-arllaropathie vertebrali niella
lobe
; contributo di due casi. Hivista criticadi clin
des adhé- rences abondantes, mais molles et faciles à détacher. Le
lobe
inférieur du poumon droit présente des lésions
supramarginalis, au gyrus angularis, et à la superficie complexe du
lobe
occipital, c'est-à-dire à des zones qui, pour la
formé -pénétrait sous-corticalement dans la substance médullaire du
lobe
temporal et du lobe occipital. Or, dans tous ce
s-corticalement dans la substance médullaire du lobe temporal et du
lobe
occipital. Or, dans tous ces cas, où la répétitio
t les études du même Quensel, quand il existe un gros foyer dans le
lobe
temporal gauche et que le gyrus temporalis tran
on trouva dans l'hémisphère cérébral droit, au point de passage du
lobe
pariétal dans le lobe occipital, au-dessous et
sphère cérébral droit, au point de passage du lobe pariétal dans le
lobe
occipital, au-dessous et en arrière du gyrus an
roles écrites se fasse de préférence dans l'extrémité antérieure du
lobe
occipital [gyrus al1gut(t1'is), on comprend com
ntient un petit nombre de fibres médullaires, celles qui regardent le
lobe
frontal sont entièrement disparues. Le gyrus po
faire à l'absence globale soit de l'organe entier, soit d'un de ses
lobes
ou d'une de ses régions, dans les cas d'agénésie
ait en arrière pour former deux pi- liers arrondis dirigés vers les
lobes
occipitaux et qui s'enfonçaient peu à peu dans
sent pas, de sorte que le cunéus se trouve très allongé en avant. Les
lobes
elles bulbes olfactifs font défaut, ainsi que l
ain. A gauche, cette partie du faisceau sous-calleux qui se rend au
lobe
frontal et au lobe temporal était totalement dé
e partie du faisceau sous-calleux qui se rend au lobe frontal et au
lobe
temporal était totalement dégénérée, alors que la
e, alors que la partie située au-dessous du splénium et destinée au
lobe
occipital était demeurée abso- lument intacte.
faisceau sous-calleux dégénère à la suite de lésions aussi bien du
lobe
frontal que du lobe occipital ; dans le premier
ux dégénère à la suite de lésions aussi bien du lobe frontal que du
lobe
occipital ; dans le premier cas, la sclérose n'
riques. Les connexions les plus symé- triques se font au niveau des
lobes
frontaux. A la suite de lésions corti- cales, l
'Onufrowicz doit être identifié avec la couche sagittale interne du
lobe
fronto-pariétal et correspond à ce que Meynert
faisceau occipito- frontal prend son origine dans toute l'écorce du
lobe
frontal ; il reçoit, chemin faisant, un grand n
nante et entrent dans la constitution de la capsule externe. Dans le
lobe
sphéno-occipital, les fibres du faisceau occipi
circonvolutions de la face externe et du bord inféro-externe de ce
lobe
; il est probable qu'elles s'entrecroisent au n
, avec les fibres du forceps major du corps calleux. Les lésions du
lobe
occipital retentissent non seulement sur le force
e dernier faisceau dégénère partiellement, à la suite de lésions du
lobe
temporal et de la convexité de l'hémisphère, et s
ontal constitue donc un long faisceau d'associa- tion, qui relie le
lobe
temporo-occipital au lobe frontal, à la convexité
ng faisceau d'associa- tion, qui relie le lobe temporo-occipital au
lobe
frontal, à la convexité de l'hémisphère et à l'
tie antérieure du cerveau et qui ne dépasse pas en avant la base du
lobe
frontal. Le trigone n'est normalement conformé
intègres. Le corps du trigone fait totalement défaut. Au niveau du
lobe
occipital, aucune des scissures typiques, pas m
phère, affectent une disposition rayonnante. A la face orbitaire du
lobe
frontal les sillons atypiques abondent, mais le
et situé du côté temporal, se continue en arrière jusqu'au pôle du
lobe
occipilal. 12 Z ARCHAMBAULT Quant à l'hémisph
e plus grand nombre concourt à former le tapétum latéral. Dans le
lobe
temporal, le tapétum reçoit des fascicules dont l
Ces fascicules se dessinent d'abord dans la partie pos- térieure du
lobe
frontal où ils forment un champ quadrangulaire en
ne le nom de faisceau d'association fronto-temporal. Au niveau du
lobe
occipital, le tapétum est formé, selon l'auteur,
oppement exagéré lorsque le corps calleux fait défaut. Au niveau du
lobe
pariétal, le faisceau fronto-occipital est mal
de ses fibres se rendent directement à la capsule externe. Dans le
lobe
occipital, les fibres de ce faisceau peuvent être
corne temporale. Ce dernier est formé par des fascicules dérivés du
lobe
frontal et qui constituent un faisceau autonome,
autonome, le faisceau d'asso- ciation fronto-temporal. Au niveau du
lobe
occipital gauche, un certain nombre des fibres
ons calleuses, un bon nombre de fibres d'association qui relient le
lobe
occi- pital et le lobe temporal au lobe frontal
ombre de fibres d'association qui relient le lobe occi- pital et le
lobe
temporal au lobe frontal du même hémisphère. Le
'association qui relient le lobe occi- pital et le lobe temporal au
lobe
frontal du même hémisphère. Les cas d'agénésie
de l'hémisphère cérébral et sert à relier entre eux les différents
lobes
. La voie latérale ou externe, qui est une voie d'
n arrière il s'enfonce dans la profondeur de celui-ci. Au niveau du
lobe
frontal, le trigone est renforcé par un grand -
grand -nombre de fibres qui viennent de la substance profonde de ce
lobe
ainsi que du tapétum de la corne frontale. Il e
Cette corne est très dilatée des deux côtés. Dans la profondeur du
lobe
occipital droit, on note plusieurs îlots do sub
it, il existe une microgyrie très accentuée de la majeure partie du
lobe
frontal, Le cunéus est traversé par une scissur
veloppé, mais le splénium manque totalement. En avant, au niveau du
lobe
frontal, il existe au-dessus du corps calleux,
e le cingulum. Ses fibres peuvent être suivies très loin et dans le
lobe
frontal et dans le lobe occipital. La commissure
s peuvent être suivies très loin et dans le lobe frontal et dans le
lobe
occipital. La commissure antérieure nettement r
ents. Il existe, des deux côtés,'une micro- gyrie très accentuée du
lobe
frontal et du lobe occipital, et, d'une façon g
s deux côtés,'une micro- gyrie très accentuée du lobe frontal et du
lobe
occipital, et, d'une façon générale, toutes les
tre dans la partie supérieure, l'autre dans la partie inférieure du
lobe
frontal. On ne trouve pas la moindre trace d'un
e microgyrie généralisée mais particuliè- rement nette au niveau du
lobe
frontal et du lobe occipital. Le cervelet est l
lisée mais particuliè- rement nette au niveau du lobe frontal et du
lobe
occipital. Le cervelet est le siège d'une hypop
e traînée assez épaisse qui se dirige vers l'extrémité postérieure du
lobe
occipital. En avant la sclérose périveutriculai
uve deux, assez petites (1 centimètre de diamètre environ), dans le
lobe
occipital, et quatre, très petites, du volume d
ital, et quatre, très petites, du volume d'un grain de blé, dans le
lobe
frontal. Ces petites pla- ques siègent toutes d
distance on note souvent leur absence complète. Dans une plaque du
lobe
occipital, constituée par de fines fibrilles névr
rmal, sauf quelques légères anomalies dans le trajet des sillons du
lobe
pariétal et du lobe occipital. La branche verti
légères anomalies dans le trajet des sillons du lobe pariétal et du
lobe
occipital. La branche verticale ascendante de la
convolution pa- riétale supérieure par un large pli de passsage. Le
lobe
occipital pré- sente dans sa totalité un aspect
rticularité la plus saillante de cet hémisphère est la petitesse du
lobe
frontal dont le volume est réduit au moins de d
u lobe frontal dont le volume est réduit au moins de deux tiers. Ce
lobe
est le siège d'une microgyrie si accentuée auss
région est tendue, adhérente et très épaissie. La face orbitaire du
lobe
frontal est relativement normale, bien que la c
ce du sillon et du bulbe olfaclifs. Au niveau de la face interne du
lobe
frontal,les circonvolutions minuscules affectent
ar des sillons très superficiels. A part la très grande anomalie du
lobe
frontal, la convexité de l'hémi- 632 ARCHAMBAUL
cend obliquement en avant pour s'unir au second sillon temporal. Le
lobe
occipital droit a, comme le gauche, une tendanc
ual au-dessous. Il existe toutefois au niveau de la face interne du
lobe
occipital, un lobe triangulaire limité en haut pa
existe toutefois au niveau de la face interne du lobe occipital, un
lobe
triangulaire limité en haut par un sil- lon qui
ption MICROSCOPIQUE. - Hémisphère gauche. SREIE VERTICO-rRONTALE.
Lobe
frontal. La partie antérieure de ce lobe (fig. 1)
SREIE VERTICO-rRONTALE. Lobe frontal. La partie antérieure de ce
lobe
(fig. 1) est constituée par un amas d'îlots de
aire et très compact situé à la partie moyenne du bord orbitaire du
lobe
frontal. Ce champ triangulaire, dont nous n'avo
se, occupant il peu près le même siège à travers toute l'étendue du
lobe
frontal. Arrivé à la pointe du lobe temporal, il
ge à travers toute l'étendue du lobe frontal. Arrivé à la pointe du
lobe
temporal, il devient de plus en plus superficie
en reprendrons l'étude à ce niveau. , Dans la partie postérieure du
lobe
frontal (PI.LXXIfI-r1) et sur les coupes inté-
l'on peut suivre le plus aisément. , Dès que l'on aborde le pôle du
lobe
temporal, le champ triangulaire compact (fig. 2
act (fig. 2) que nous avons signalé en parlant du bord inférieur du
lobe
frontal, subit d'importantes modifications quan
mineux qu'à l'état normal. rG. 2. AGENÉSIE DU CORPS CALLEUX G37
Lobe
pariéto-temporal. Dans la partie antérieure de ce
inflammatoire foetal extrêmement intense. Dans toute l'étendue du
lobe
pariétal, la substance profonde de la circonvo-
- AGÉNÉSIE DU CORPS CALLEUX ( 9 l'insula et de la face externe du
lobe
temporal. Des deux couches sagittales de la cou
ns frontale et pariétale ascendantes). A travers toute l'étendue du
lobe
pariétal se détachent de la couche sagittale in
- cule antérieur et du noyau dorsal de la couche optique. Dans le
lobe
temporal, la corne sphénoïdale est extrêmement pe
oins développés qu'à l'état normal. Dans la partie postérieure du
lobe
pariéto-temporal (PI. LXXIV-E) et corres- ponda
retrouve plus très nettement à ce niveau le cin- gulum pariétal.
Lobe
occipital. Dans la partie moyenne de ce lobe, la
cin- gulum pariétal. Lobe occipital. Dans la partie moyenne de ce
lobe
, la corne postérieure 644 ARCHAMBAULT présent
let, habituellement considérés comme étant des faisceaux propres au
lobe
occipital, n'étaient que les prolongements post
différencié au niveau du lobule lingual à travers toute l'étendue du
lobe
occipital. Ces particularités sont non seulemen
nt les radiations calleuses du bord supérieur et de la convexité du
lobe
occipital. La couche sagittale interne est très
particularités qui s'observent à chaque niveau, que de décrire chaque
lobe
isolément. Sur les coupes qui passent par la
rma- tion rétro-lenticulaire et les couches sagittales profondes du
lobe
temporal. On voit très distinctement qu'en arri
hétérotopique analogues à ceux que nous avons observés au niveau du
lobe
frontal gauche. Ce qui plaide en faveur de cett
rps genouillé externe et reçoit des couches sagittales profondes du
lobe
temporal, de nombreuses fibres (radiations thal
nt croisées obliquement par un autre système de fibres provenant du
lobe
temporal. Ces dernières tirent leur origine sur
le segment temporal de la paroi ventriculaire externe. Au niveau du
lobe
occipital et des circonvolutions de la face méd
ge. En avant, entre la lame terminale et l'angle postéro-interne du
lobe
frontal, un champ de fibres très irrégulier et
me, entre autres, les radiations calleuses profondément altérées du
lobe
frontal. Nous reprendrons plus loin l'étude minut
gèrement arquée qui sépare le noyau caudé de la substance profonde du
lobe
frontal. Plus haut cette cloison est remplacée
ue nous avons déjà remarqué au niveau de l'angle postéro-interne du
lobe
frontal prend un développement considérable et se
(ou le rudiment de la cloison transparente) de l'écorce médiane du
lobe
frontal. Ce sillon semble se prolonger sous la fo
eau de la circonvo- lution de l'hippocampe et de la face médiane du
lobe
frontal. La commissure molle et la commissure p
la paroi interne. La fimbria est très nettement dégénérée. Dans le
lobe
frontal, on parvient à suivre la couche interne d
terne. On voit encore se détacher de l'écorce de la face interne du
lobe
temporo-occipital, de courtes fihres qui traverse
es plus antérieures peu- vent être suivies jusque dans la pointe du
lobe
frontal. Le noyau caudé accompagné de la strie
ui, malgré de nombreuses lésions, l'entoure complètement. Dans le
lobe
frontal, les couches sagittales interne et extern
ent explique l'absence de la majeure partie d'un hémi- sphère, d'un
lobe
ou d'une région quelconque,quel que soit le mécan
dra, en-effet, que le tapétum fait complètement défaut au niveau du
lobe
occi- pital et de la paroi interne de la corne
cons- titution du tapétum médian, mais il se rend cependant dans le
lobe
occi- pital où il prend le nom de faisceau de S
rizontales,et on voit très distinc- tement sur toute la longueur du
lobe
fronto-pariétal gauche, que celle couche de fib
en traversant le corps calleux. 5° La couche sagittale interne du
lobe
fi,onto-pai-i étal, la zone réticulée de Sachs,
le l'épine iliaque ant. sup. à l'interligne art. A-jtopsie. 89 Le
lobe
pariétal est aussi simple que le lobe frontal. La
ligne art. A-jtopsie. 89 Le lobe pariétal est aussi simple que le
lobe
frontal. La PA. peut, morphologiquement, être d
une supérieure assez grêle qui forme un groupe similaire avec le
lobe
pariétal supérieur (L. P. S.), une inférieure lar
pli courbe (P. C.) et son lobule sont très nets et très simples. Le
lobe
temporal et le lobe occipital offrent également
son lobule sont très nets et très simples. Le lobe temporal et le
lobe
occipital offrent également le mémo aspect schéma
régions voisines que par les plis de passage de ses extrémités. Le
lobe
pariétal se divise en deux lobules, LPS et LPI,
r- pendiculaire externe (SPE), très accusée. Ce pli est grêle. Le
lobe
temporal est scindé très nettement par le sillon
T1 se confond avec LPI. T2 en se bifurquant supérieurement forme le
lobe
occi- pital. La scissure de Sylva us, S. S., et
très, simple et diffère de celle de l'hémisphère droit en ce que le
lobe
paracentral (LP.) et le lobe quadrilatère ou av
e de l'hémisphère droit en ce que le lobe paracentral (LP.) et le
lobe
quadrilatère ou avant-coin (A.C.) sont beaucoup p
extrémités à savoir : en haut, un pli de passage postérieur avec le
lobe
pariétal supé- rieur ; en bas un antérieur avec
; en bas un antérieur avec F3 et un troisième, postérieur, avec le
lobe
pariétal inférieur. Le lobe pariétal supérieur, t
F3 et un troisième, postérieur, avec le lobe pariétal inférieur. Le
lobe
pariétal supérieur, très nettement séparé de l'
externe, nettement accusée et ayant 2 cm. 5 de longueur, sépare le
lobe
pariétal supérieur du lobe occipital. Le lobe p
t ayant 2 cm. 5 de longueur, sépare le lobe pariétal supérieur du
lobe
occipital. Le lobe pariétal inférieur est représe
e longueur, sépare le lobe pariétal supérieur du lobe occipital. Le
lobe
pariétal inférieur est représenté par une circo
r la relie à PA et deux plis de passage postérieurs l'unis- sent au
lobe
occipital. Le lobe occipital est formé de trois
deux plis de passage postérieurs l'unis- sent au lobe occipital. Le
lobe
occipital est formé de trois petites circonvolu
ns de 3 centimètres 1/2 de longueur, paral- lèles et verticales. Le
lobe
temporal présente une scis- sure très profonde
vers la partie postérieure de l'insula, la seconde va rejoindre le
lobe
pariétal inférieur. 'I- est unie clans ses deux
s son liers postérieur sinueuse et autonome et va se perdre dans le
lobe
occipital. Face interne. F1 est formée à sa par
lon curviligne à concavité dirigée en haut et un peu en arrière. Le
lobe
quadrilatère est bien développé et formé de tro
lus de 2 centimètres 4 de base sur 2 cen- timètres 5 de hauteur. Le
lobe
temporo-sphénoïdal est formé de deux petites ci
distinctes et les circonvolutions toujours simples. Face convexe.
Lobe
frontal. F1, plus nettement séparée à son origi
é- tal inférieur et supérieurement par un autre pli de passage au
lobe
pariétal supérieur. Le lobe pariétal supérieur es
eurement par un autre pli de passage au lobe pariétal supérieur. Le
lobe
pariétal supérieur est très nettement séparé de
ire externe, qui est accentuée, par un pli de passage qui l'unit au
lobe
occipital. Le lobe pariétal inférieur et le pli
accentuée, par un pli de passage qui l'unit au lobe occipital. Le
lobe
pariétal inférieur et le pli courbe sont assez ac
e qu'ils sont en quelque sorte confondus sur l'hémisphère droit. Le
lobe
temporal est formé de trois circonvolutions aya
is circonvolutions ayant la même disposition que du côté opposé. Le
lobe
occipital a aussi les mêmes caractères qu'à dro
t (170 gr.) offre Lésions pulmonaires, cardiaques, etc. 119 trois
lobes
. Dans la scissure inférieure, à la base, il exist
laire de 3 centimètres de long qui semble le vestige d'un quatrième
lobe
. La région postérieure du lobe supérieur et le
i semble le vestige d'un quatrième lobe. La région postérieure du
lobe
supérieur et le lobe inférieur sont plus fortemen
d'un quatrième lobe. La région postérieure du lobe supérieur et le
lobe
inférieur sont plus fortement congestionnés. To
t hyperémié à son bord postérieur et à sa base. Adhérences des deux
lobes
. A cinq cent, du sommet, sur le bord de la scis
n ; vésicule biliaire pas de calculs. - Rate (40 gr.), bilobée ; le
lobe
supérieur, nettement marqué, est plus petit que
L. P. L, lobule pariétal inférieur. P. C., pli courbe.. L. O.,
lobe
occipital. T1, première circonvolution temporal
. L.P., Lobule paraccntral. A.C., Avant-coin. C., Coin. L.T.,
Lobe
temporal C.C.C., Circonvolution du corps calleu
nanisme. Tableau des modifications survenues. On administre un 1/2
lobe
de glande iliy) oitle de moulon tous les jours
amphre. 5 juillet. Le traitement thyroïdien est Institué. Un demi
lobe
tous les deux jours du 5 juillet au 9 octobre. Un
demi lobe tous les deux jours du 5 juillet au 9 octobre. Un demi
lobe
tous les jours jusqu'au 5 novembre. En tout 74 jo
et le poids de 31 kil.. L'enfant est remise en traitement : un demi
lobe
tous les jours du 4 au 21 janvier. Le traitemen
23 janvier. Du 2 février jusqu'au 25 mai, l'enfant prend un demi
lobe
tous les deux jours. Le 22 mai le traitement est
ques. Légère adhé- rence du tiers postérieur de la face interne des
lobes
fron- taux. Plexus choroïdes ricn de particulie
de' l'hippocampe et la première frontale; sur la face interne, le
lobe
frontal est absolument intact. - Corps calleux, c
et la pariétale ascendantes sont assez développées, ainsi que le
lobe
temporalen entier. Les sillons sont peu profonds
illons ; en somme, de la ménin- go-encéphalite, prédominant sur les
lobes
temporal et pariétal. Si l'enfant, par certai
u compliquées. Le cerveau est peu développé surtout au niveau des
lobes
frontaux. Rien de particulier à signaler à l'exam
très notable des circonvolutions; l'atrophie prédonime au niveau du
lobe
frontal et du lobe occipital. - Toutes les circ
rconvolutions; l'atrophie prédonime au niveau du lobe frontal et du
lobe
occipital. - Toutes les circonvolutions sont un
tes concrétions miliaires comme crétacées. - Les circonvolutions du
lobe
frontal sont un peu grêles. Les circonvolutions
sont un peu grêles. Les circonvolutions de la partie postérieure du
lobe
temporal et du pli courbe présentent un grand n
denses qu'à droite ; leur atrophie, très-notable, prédomine sur le
lobe
frontal et le lobe occipital. Il y a également,
; leur atrophie, très-notable, prédomine sur le lobe frontal et le
lobe
occipital. Il y a également, à gauche, mais moi
eau de Vey... avait une atrophie double de la partie antérieure des
lobes
frontaux : il en était donc résulté une diminut
tous les sens au niveau de la loge moyenne, la partie antérieure du
lobe
temporal qui s'introduit sous la petite aile du
rs de doute, par exemple le cas de R.... chez lequel l'atrophie des
lobes
frontaux a laissé un large Fit. 62. Atrophies
IT. antérieure, de la cérébrale postérieure. Les faces internes des
lobes
frontaux sont accolées l'une à l'autre-. Le b
, ainsi que le sillon de Rolando SR. Face interne. On y retrouve le
lobe
frontal LF, vermicelle de même que le lobe orbi
nterne. On y retrouve le lobe frontal LF, vermicelle de même que le
lobe
orbitaire; lé lobe paracentral, le lobe quadri-
ve le lobe frontal LF, vermicelle de même que le lobe orbitaire; lé
lobe
paracentral, le lobe quadri- latère et le coin,
, vermicelle de même que le lobe orbitaire; lé lobe paracentral, le
lobe
quadri- latère et le coin, formant une masse co
lobe quadri- latère et le coin, formant une masse confuse, enfin le
lobe
occipital déformé, - La circonvolution du corps
ressant les circonvolutions frontale et pariétale ascendantes et le
lobe
pariétal (Soc. Anatomique, 1876, p. 55S) ; - No
ensatrice des os du crâne répondant à une atrophie considérable des
lobes
frontaux; - voir aussi p. 2t4 3LS).' Les déta
isphère cérébral gauche. - Décortication facile. Circonvolutions du
lobe
frontal relativement un peu grêles. Corps calle
belleux gauche. Hydrocéphalie. Atrophie, de la partie inférieure du
lobe
pariétal droit formant une sorte de fosse. Ecto
e latéral de ce côté ayant été vidé du liquide qu'il contenait Le
lobe
frontal est absolument déforma, il est composé d'
res- pond à la dilatation veniriculaire. La partie postérieure du
lobe
est formée de petites circonvolutions ascendantes
épaisse sur le pourtour et surtout un arrière, existe au centre du
lobe
frontal. La scissure de SU/du.' est peu profo
ntre du lobe frontal. La scissure de SU/du.' est peu profonde. Le
lobe
de l'insula n'est pas nettement dessiné. Celle
au de circonvolutions très grêles. 320 Inégalité cérébelleuse. Le
lobe
pariétal est à peu près normal dans sa partie sup
ion car les pourtours de cette fosse sont nettement délimités. Le
lobe
temporal est atrophié surtout en avant. Il est ex
tout en avant. Il est ex- cessivement grêle. Rien de particulier au
lobe
occipital. La face interne de l'hémisphère prés
ez mal séparés et la scissure perpendiculaire externe peu nette. Le
lobe
temporal sphénoïdal et la circonvolution de l'h
LOLlt au iliveau de la corne frontale et de la partie inférieure du
lobe
parié- tal. Hémisphère gauche. Cet hémisphère
ccupent leurs places nor- males toutes les parties constituantes du
lobe
frontal sont nettement dessinées. Il en est de
l sont nettement dessinées. Il en est de même de FA et de PA. Les
lobes
pariétal, occipital et temporal ont sensiblement
es peu fréquentes, est l'atrophie décrite à la région inférieure du
lobe
parié- tal droit. Cette atrophie détermine lafo
C A, corne d'Ammon. C H, circonvolution de l'hippocampe. . L O,
lobe
carré. C, coin. L O, lobe occipital. Planch
irconvolution de l'hippocampe. . L O, lobe carré. C, coin. L O,
lobe
occipital. Planche VIII. Face convexe de l'hé
ueux, Fa', Fl' faisant une saillie notable sur le plan de Fi. - LP,
lobe
paracentral. - CCC, pli doublant la circonvolut
par le trigone Tg et le septum lucidum; il aboutit en arrière) au
lobe
paracentral. - Tgp, pilier postérieur du trigone
mporale très marquée. - CH, circon- volution de l'hippocampe. - LQ,
lobe
carré. - C, coin. - LO, lobe occipital. L, f, l
con- volution de l'hippocampe. - LQ, lobe carré. - C, coin. - LO,
lobe
occipital. L, f, lobe fusiforme très volumineux.
ippocampe. - LQ, lobe carré. - C, coin. - LO, lobe occipital. L, f,
lobe
fusiforme très volumineux. T3, troisième tempor
sur la PL. XII. Planche XIV. Hémisphère droit : face convexe. LF,
lobe
frontal, ; tou- tes ses circonvolutions sont at
ont disparu, d'où une surface plane, d'aspect un peu vitreux. - LT,
lobe
temporal, dont le» Explication DES planches. 33
', lobule pariétal supérieur. - P2 lobule pariétal inférieur. - LO,
lobe
occipital. Planche XV. Hémisphère cérébral
Rolando, SR. Planche XVI. Hémisphère droit : face interne. - LF,
lobe
frontal. - F', portion de la première frontale
- F', portion de la première frontale ou frontale interne. - LP,
lobe
paracentral. - CCC, circonvolutions du corps ca
e cérébral. Planche XVII. Hémisphère droit : face inférieure. LO,
lobe
orbitaire. - LT, lobe temporal composé de circo
II. Hémisphère droit : face inférieure. LO, lobe orbitaire. - LT,
lobe
temporal composé de circonvolutions très atro-
LT, lobe temporal composé de circonvolutions très atro- phiées. LO,
lobe
occipital. ERRATA. Page 164, ligne 11, l'indi
utions. Il n'y a d'adhérences qu'au niveau de la face antérieure du
lobe
frontal. Les cir- convolutions sont en général
nterne, princi- palement des circonvolutions du corps calleux et du
lobe
carré. Des deux côtés, la corne d'Ammon, les
ger DE l'oesophage. « Cou. Le corps thyroïde, mis à nu, présente un
lobe
droit volumineux, jaunâtre, laissant sourdre à
aissant sourdre à la moindre pression, quelques gouttes de pus. Son
lobe
gauche a l'aspect d'une poche à parois grisâtre
stose. Quelques adhé- rences des méninges entre elles au niveau des
lobes
frontaux. Dure-mère exsangue. Les différentes f
normal. Cerveau, - Hémisphère droit. Pie-mère assez adhérente du
lobe
frontal et surtout à la face interne du lobe fron
ère assez adhérente du lobe frontal et surtout à la face interne du
lobe
frontal et au niveau du lobe temporal où elle e
rontal et surtout à la face interne du lobe frontal et au niveau du
lobe
temporal où elle entraîne, en la décor- tiquant
semble équivaut à une petite noix. On en sent un autre au niveau du
lobe
occipital gauche. A droite, on sent une petite
riques sont transparentes. La partie de la poche correspondant aux
lobes
frontaux est d'une minceur extrême, aussi s'est-e
y avoir de substance cérébrale. La partie des poches qui répond aux
lobes
pariéto-temporo-sphénoïdaux est plus épaisse et
s, et des parties jaunâtres, plus épaisses, non transparentes.- Les
lobes
occipitaux et tempo- raux sont bien dessinés.
ntes.- Les lobes occipitaux et tempo- raux sont bien dessinés. Le
lobe
temporo-sphénoïdal droit est transformé en un kys
n kyste tout à fait transparent, ainsi que la plus grande partie du
lobe
oc ? vital, Il en est de même du lobe correspon
que la plus grande partie du lobe oc ? vital, Il en est de même du
lobe
correspondant du côté gauche, sauf un épaississ
uf un épaississement à sa pointe, d'environ un centimètre carré. Le
lobe
occipital gauche offre, dans sa moitié postérieur
e les deux hémisphères cérébraux, on voit qu'à gauche, au niveau du
lobe
frontal, les méninges molles sont doublées de q
semble pas y avoir de fragments de circonvolution. En arrière, le
lobe
occipital persiste avec des circonvolutions qui o
ne forme. Sur la face interne de l'hémisphère droit, au niveau du
lobe
frontal, il y en a moins qu'à gauche, mais les
ce capillaire. - A la partie moyenne, même aspect qu'à gauche. Le
lobe
occipital n'est plus reconnaissahie, en tant que
re un grand kyste qui représente alors toutes les circonvolutions :
lobes
parié- tal, rolandique, frontal, temporal et la
rié- tal, rolandique, frontal, temporal et la plus grande partie du
lobe
occipital, le ventricule latéral, le corps opto
oit. - Sauf quelques points de détail (disparition plus complète du
lobe
occipital, épaississement plus ou moins marqué
res nerveuses. Mais si l'on observe les points (portion interne des
lobes
occi- pitaux) où la substance nerveuse est enco
à la faoe interne. Nombreuses adhérences filamenteuses au niveau du
lobe
temporal. Entre la dure-mère et le cerveau, il
de la dure-mère et de la pie-mère au niveau de la face interne des
lobes
frontaux, quelques-unes vers le lobule paracent
supérieur. Au-dessous de la faux du cerveau, les faces internes des
lobes
frontaux sont en quelque sorte soudées par des
I. Idiotie et Épilepsie symptomatiques de sclérose atrophique des .
lobes
frontaux. ' Compte-rendu de Bicêtre, 1897 p. 96
96. Vayrad.... Sclérose lobaire symétrique, intéressant les deux
lobes
frontaux. . ' Examen histologique. 1 Examen des
nt les deux lobes frontaux. . ' Examen histologique. 1 Examen des
lobes
frontaux. Les circonvolutions ont il peine 3 mi
1886, p. 33.) Sclérose lobaire alrophique. intéressant surtout les
lobes
frontaux et pariétaux, n'épargnant complètement
ux libres et de nodules glieux, et cela sur, toute l'étendue d'un
lobe
. Il est difficile de préciser le point de départ
r la face convexe mais un peu sur les circonvo- lutions internes du
lobe
temporal. On constate sur l'hemt- sphère gauche
térie : Mort. Résultats de l'autopsie : Absence presque complète du
lobe
occipital. Arrêt de développement et malformati
gnements. - Oreillons. Rougeole à 9 ans. - Autopsie : sclérose du
lobe
occipital droit. Loui.. (Joseph), né à Paris le
rices et intellectuelles) c'est impossible car le développement des
lobes
frontaux ne modifie nulle- ment la forme généra
générale du crâne. - On ne peut évaluer la quantité des différents
lobes
cérébraux. Le développement du front, en-effet,
u front, en-effet, ne donne pas d'indications nettes sur l'état des
lobes
frontaux, comme on le croit souvent. Il partici
frontale minimum supérieur à la moyenne) recouvre cepen- dant des
lobes
frontaux très altérés : ne pourra-t-on découvri
c.ip., scissure interpariétale. Sc.S., scissure de Sylvius. L.o.,
Lobe
orbitaire. TI, '1'2, 'P, première, deuxième, tr
ieur. ' P3., pli courbe. Se., t ? , scissure temporale. L. Oc.,
Lobe
occipital. BOURNEVILLE, Bicêtre, 1900. Po. II.
. S. R., sillon de Romande L. O., lobule orbitaire. - 1. O. C.,
lobe
occipital. Tl, T2, T3., 1 rc, 2e, 3" circonvolu
Sclérose d'un hémisphère ou des deux hémisphères ; b) Sclérose d'un
lobe
du cerveau ; c) Sclérose des cir- convolutions
mon gauche, 120 gr. ; ecchymoses ponctuée ? , principalement sur le
lobe
supérieur ; oedème et congestion du lobe inféri
, principalement sur le lobe supérieur ; oedème et congestion du
lobe
inférieur.- Poumon droit, 240 gr. ; oedème très p
ment grêles par places, puis ren- flées entre ces étranglements. Le
lobe
occipital est petit; les circonvolutions serrée
ngement épais au lobule de l'insula. « Les sillons secondaires du
lobe
frontal sont très peu pro- fonds ; ceux des lob
ons secondaires du lobe frontal sont très peu pro- fonds ; ceux des
lobes
pariétal, temporal et occipital le sont un peu
sont bien développées. sauf la circonvolution du corps calleux; le
lobe
paracentral est creusé de sillons assez nombreu
s développée, ainsi que la 3e. - Le pli courbe est bien formé. - Le
lobe
occipital est formé de cir- convolutions peu si
dante. b) Face internes La première circonvolution frontale et le
lobe
paracentral sont bien développés jusqu'à la sciss
développés jusqu'à la scissure cal- carine. Les circonvolutions du
lobe
occipital présentent beaucoup de points amaigri
alleux est beaucoup mieux développée que celle du côté op- posé. Le
lobe
quadrilatère est volumineux; le coin est plus l
droite. Les circonvolutions ne sont pas symétriques, surtout les
lobes
quadrilatères et le coin. A droite, cette dernièr
déprimée et moitié moins épaisse qu'à gauche. Cervelet.- Les deux
lobes
latéraux sont symétriques, le lobe moyen paraît
u'à gauche. Cervelet.- Les deux lobes latéraux sont symétriques, le
lobe
moyen paraît petit; la protubérance, le bulbe e
u pris au milieu de la frontale ascendante droite et sur l'un des
lobes
latéraux du cervelet, les coupes montrent un déve
pe près du tiers de la substance grise, et s'accroît encore dans le
lobe
occi- pital par l'interposition d'une couche de
demment dans la substance blanche. La coupe d'une circonvolution du
lobe
occipital gauche à la,. '122 ENCÉPHALITES CHRON
e que dans les régions motrices gauches. La première frontale et le
lobe
occipital droits sont à peu près semblables aux
mé- ninges très adhérentes au cerveau. Examen histologique. a.).
Lobe
frontal de l'hémisphère gauche. - Les méninges
l'atrophie que l'on peut observer sur les coupes. Sur une coupe du
lobe
pariétal, les lésions sont absolument du même o
surtout aux points de pénétration des capillaires. Sur une coupe du
lobe
occipital, une portion assez considérable de su
. Examen histologique. - Coupe d'une circonvolution prise dans le
lobe
frontal. - La substance grise est très mince ; on
des couches profondes sont groupées par petits îlots, comme dans le
lobe
frontal ; même rareté des éléments pyramidaux ;
périvasculaires très dilatés. Dans une circonvolution prise sur le
lobe
occipital, les foyers de désintégration à centr
otés des cris, accès de colère, etc. Examen histologique. Coupes du
lobe
paracentral droit. Les couches de la substance
raissent résulter de la fusion d'anciens corps granuleux. Dans le
lobe
paracentral gauche, on constate des lésions exac-
entre eux, elle offre les mêmes caractères que ci-dessus. Dans le
lobe
occipilal, l'état est le même. Il existe autour d
ssement profond des circonvolutions. Examen histologique. Coupes du
lobe
frontal droit. La pre- mière couche est très ré
tion se retrouve sur les pièces montées à la glycérine. Coupes du
lobe
occipital gauche. - Il présente aussi de l'amai-
On retrouve les mêmes désordres dans les régions motrices, dans le
lobe
occipital. Là toutefois, elles sont moins accentu
stérieure de l'hé- misphère droit. Examen histologique. Coupes du
lobe
frontal droit, état géla- tiniforme. Picro-carm
mais seulement un grand nombre de corpuscules amylacés. Coupes du
lobe
occipital, atrophié. Même vascularisation ; l'esp
droite, présente à l'au- topsie un arrêt de développement des deux
lobes
frontaux, et de la méningo-cncéphalite chroniqu
e sur les coupes laissées vingt-quatre heures dans ce réactif. f.
Lobe
occipital clroit en dehors de la lésion. Vaisseau
lcool sur la pièce. Cerveau. Hémisphère gauche. - Il existe dans le
lobe
frontal une vascularisation très développée ave
inés. Nombreux corps granuleux dans la substance blanche. Dans le
lobe
occipital, on retrouve, à côté de points normaux
seaux sont très dilatés, les corps granuleux sont très abondants.
Lobe
occipital. - Les coupes du lobe occipital, au niv
orps granuleux sont très abondants. Lobe occipital. - Les coupes du
lobe
occipital, au niveau d'un foyer plus étendu que
(C.), la sécrétion longitudinale commence à reprendre (baume). 2°
Lobe
occipital (Schad.). - De la pie-mère (A) partent
obe, c'est-à-dire le quart de la glande 2@ puis nous avons donné un
lobe
, ou la moitié de la glande. Trois malades ont é
Pisanti, Gley, Magnan. : 1 Nous avons pesé pendant huit jours les
lobes
, soit la moitié des glandes; les pesées nous on
20, 2 gr. 30, 2 gr. 60, 2 gr. 80, 2 gr., soit environ 2 grammes par
lobe
frais ou demi-glande. f4 . THÉRAPEUTIQUE. pre
e, les rec- tangles correspondent à un demi-lobe, les carrés à un
lobe
entier. Ces explications préalables étant données
cela existait avant tout traitement.-Nous lui avons fait prendre un
lobe
tous les deux jours jusqu'à la date du 30 septe
le de quatorze ans (Cas. III). -La dose a varié d'un demi-lobe à un
lobe
de glande thyroïde du mouton. Fia. 11. Les tr
ophie du cerveau généralisée. Petits foyers sans importance dans le
lobe
occipilai droit, foyer de ramollissement étendu
ans le lobe occipilai droit, foyer de ramollissement étendu dans le
lobe
occipital gauche. Ce foyer s'étendait sur une g
la circonvolution de l'hippocampe. Le foyer de ramollis- sement du
lobe
occipital ne se bornait pas à l'écorce, mais port
du tha- lamus opticus et la queue du noyau caudé. La convexité du
lobe
occipital et du lobe temporal était intacte. Le
us et la queue du noyau caudé. La convexité du lobe occipital et du
lobe
temporal était intacte. Le territoire ramolli s
quelques parties du tapetum du corps calleux. La partie convexe du
lobe
occipital est indemne, même au point de vue mic
qui établit une communication entre le centre optique gauche et le
lobe
tem- poral gauche (centre auditif du langage) é
petum interrompt la communi- cation du centre optique droit avec le
lobe
temporal gauche. Ces lésions expliquent, d'aprè
açons. On sait que Déje- rine admet, en dehors du centre optique du
lobe
occipital, un centre optique spécial, où seraie
fragment osseux mit à nu un kyste volumineux qui occu- pait dans le
lobe
frontal une surface mesurant environ deux pouces
ues ne révéla aucune altération. On trouva du reste des lésions des
lobes
temporo-pariétaux, et en parti- culier du pli c
nscrites intéressant la frontale interne, l'extrémité antérieure du
lobe
frontal et la 3e frontale (siège des images mot
es sur des cerveaux d'autres aliénés, a constaté des altérations du
lobe
temporal coïncidant avec des hallucinations chr
ltat : L'examen histologique a porté sur les points suivants : Le
lobe
frontal, les première et deuxième circonvolutions
quelques points des circonvolutions frontales antérieures, dans le
lobe
temporal gauche et particulièrement dans la pre
: légère atrophie des régions frontale et pariétale; sur le bord du
lobe
temporo-sphé- noïdal gauche, la désorganisation
et de leurs résidus (per- ception) et un centre cortical supérieur (
lobe
frontal) siège de l'idéa- tion (aperception), q
hyroïdienne sous-cutanée dans la région sous-mam- maire avec un des
lobes
pris sur le mouton vivant; au moment même de l'
ives en 1891 ; voici comment il préparait le liquide injectable. Un
lobe
du corps thyroïde d'un mouton qu'on vient de tu
ron 3 centimètres cubes de suc. Cette quantité, qui correspond à un
lobe
de corps thyroïde, sert pour deux injections. C
vement doit être fait d'une manière rigoureusement aseptique. Les
lobes
débarrassés de la graisse et du tissu conjonctif
thyroïde est une glande bilobée : l'unité thérapeu- thique sera un
lobe
, c'est-à-dire une demi-glande. Ce point est imp
our éviter des confusions qui se sont déjà produites. Le poids d'un
lobe
varie de 1 gr. 05 à 1 gr. 20 ce qui fait pour l
par jour, ce qui correspondrait, d'après les auteurs, à environ un
lobe
de corps thyroïde. Cette PHARMACOLOGIE DU CORPS
et ce poids se trouve réduit à 80 gr. 50 par dessiccation. Chaque
lobe
de glande thyroïde pesant en moyenne 1 gr. z3 e
e (soit 26,8 p. 100), il faut 3 de ces capsules pour représenter un
lobe
soit une unité thérapeutique. Thyroéidine et
rd ce fait remarquable que l'écart normal de poids entre les deux
lobes
cérébraux, dont le maximum habituel est de 5 ou 6
aximum habituel est de 5 ou 6 grammes, de 7 au plus, au bénéfice du
lobe
gauche, est absolument inverse dans les cerveau
de l'équilibre entre les activités dynamiques que chacun des deux
lobes
est capable d'exercer. Ajoutons que la différence
le projectile fractura la septième côte gauche et se logea dans le
lobe
inférieur du poumon droit : il ne put être extr
ltat de l'autopsie, seulement en ce qui touche le cerveau : dans le
lobe
frontal de l'hémisphère droit, on trouve un abc
la substance blanche des deux tiers antérieurs et inférieurs de ce
lobe
. Cet abcès s'étendait en arrière jusqu'à enviro
iveau des régions motrices, mais légèrement atrophiées au niveau du
lobe
frontal. Les grosses artères sont saines : la com
es artères sont saines : la communiquante antérieure est double. Le
lobe
pariétal gauche est ratatiné et flétri. La moit
n. Les convulsions, particulièrement lorsque la lésion intéresse le
lobe
frontal ou temporo-sphénoïdal, sont si fréquentes
aleur diagnostique. Les troubles psychiques n'exis- tent que si les
lobes
frontaux sont intéressés, mais ils le sont d'un
IE CLINIQUE MENT DÉMENCE VÉSANIQDE, RAMOLLISSEMENT DU CERVELET (
lobe
droit), RUPTURE DU COEUR (oreillette droite) ;
sphère ; rarement, dans ce cas, il s'étend à la "surface de tout un
lobe
. » (Traité de niée.) Dans l'observation suivant
ie à gauche. Le corps olivaire gauche est atrophié et déformé. Le
lobe
droit du cervelet est un peu moins volumineux que
ts ténus qui semblent ne plus être perméables depuis longtemps. Les
lobes
moyen et gauche sont normaux. L'examen microsco
en faveur de ce dernier groupe de mouve- ments ; 5° les lésions du
lobe
moyen paraissent affecter les deux côtés du cor
issent affecter les deux côtés du corps, tandis que les lésions des
lobes
latéraux ou des pédoncules n'affectent que le c
chaque un cas. Au point'de vue du siège, les lésions occupaient le
lobe
gauche dans 32 cas, le lobe droit dans 32 cas,
vue du siège, les lésions occupaient le lobe gauche dans 32 cas, le
lobe
droit dans 32 cas, le lobe moyen dans 17, les d
ccupaient le lobe gauche dans 32 cas, le lobe droit dans 32 cas, le
lobe
moyen dans 17, les deux lobes latéraux ensemble
32 cas, le lobe droit dans 32 cas, le lobe moyen dans 17, les deux
lobes
latéraux ensemble dans 6, le lobe droit et le lob
le lobe moyen dans 17, les deux lobes latéraux ensemble dans 6, le
lobe
droit et le lobe moyen dans 3, le lobe gauche e
ns 17, les deux lobes latéraux ensemble dans 6, le lobe droit et le
lobe
moyen dans 3, le lobe gauche et le lobe moyen d
latéraux ensemble dans 6, le lobe droit et le lobe moyen dans 3, le
lobe
gauche et le lobe moyen dans cas. Au point de v
dans 6, le lobe droit et le lobe moyen dans 3, le lobe gauche et le
lobe
moyen dans cas. Au point de vue des manifestati
second cas, on avait dia- gnostiqué pendant la vie un néoplasme du
lobe
cérébelleux droit : l'autopsie vérifia le diagn
ait kystique. Chez le troisième malade, il s'agissait d'un abcès du
lobe
cérébelleux' gauche, diagnostiqué pendant la vie
nt dus à une méningite d'origine syphilitique siégeant au niveau du
lobe
frontal. Il est toutefois à craindre ici que le
région des pédoncules cérébel- leux gauches ou dans le voisinage du
lobe
cérébelleux moyen. L'origine du hoquet n'a pu ê
homme par la scissure, qui sépare la circonvolution d'hippocampe du
lobe
temporal et cette scissure est moins bien dével
r la partie temporo-pariétale et centrale et assez complète pour le
lobe
frontal. Elle y manque pour le lobe occipital.
trale et assez complète pour le lobe frontal. Elle y manque pour le
lobe
occipital. Chez l'homme la partie frontale de c
correspond à la scissure frontale externe de l'homme, qui sépare le
lobe
frontal externe de la circonvolution orbitaire.
transversal est celui qui sépare la circonvolution quadrilatère du
lobe
occipital et que Benedikt désigne comme- scissu
rimé l'oculomoteur commun gauche et le nerf optique, et détiuit les
lobes
frontaux. OEdème de la capsule interne et de sa
d'abord des phénomènes cérébraux diffus correspondant à l'abcès des
lobes
frontaux, puis des symptômes, en rapport avec l
e Reil latéral, occupe surtout les circonvolutions transversales du
lobe
temporal. Elle est donc en grande pat Lie caché
du lobule paracentral ; 2° temporal; toutes les circonvolutions du
lobe
tem- poral entre la première temporale et la ci
ème et troisième temporales et le lobule fusiforme, avec le pôle du
lobe
temporal. En réalité, le centre temporal et le
Il serait donc juste de dire : centre tempo ro-pariétal ; c'est un
lobe
du double plus grand que le centre d'associatio
ation frontal ; 3° Le centre d'association frontal comprend tout le
lobe
frontal moins le pied des frontales (partie des
rayonnante qui, du rameau antérieur de la capsule, viennent dans le
lobe
frontal, et les faisceaux que le noyau lenticulai
cas d'absence du corps calleux. Les deux couches passent dans le
lobe
occipital (Sachs); à la partie moyenne de celui-c
tion entre les deux couches est-elle bien moins frap- pante dans le
lobe
temporal; ici, en effet, les deux systèmes de f
médiane, ses fibres parvenant aux extrémités convexes et basales du
lobe
occipital ; dans le lobe tem- poral, elles arri
nant aux extrémités convexes et basales du lobe occipital ; dans le
lobe
tem- poral, elles arrivent, du reste comme les
ours de toutes les fibres du faisceau subcalleuxqui proviennent des
lobes
temporal et occipital ; de là elles se dirigent
éto-occipitale, on voit que, sui- vant ce plan, la paroi médiane du
lobe
occipital présente, du côté du ventricule, une
ée. Et l'on en peut suivre des fibres de conjonction à la pointe du
lobe
tem- poral, au noyau amygdalien, au pédoncule a
se s'exercer de fonction minima. Ceci dit, l'étude de l'atrophie du
lobe
optique des oiseaux prouve, d'après M. Jelgersma,
qui vont aux racines postérieures de la moelle, se retrouve dans le
lobe
optique des oiseaux, dans le ganglion dorsal opti
e nouvelles incisures. Ces modifications sont plus marquées dans le
lobe
pariétal que .partout ailleurs. Parmi les nom
rtemeuts de l'écorce, d'hémisphère à hémisphère (corps calleux), de
lobe
à lobe, de circonvolution à circonvolution et,
s de l'écorce, d'hémisphère à hémisphère (corps calleux), de lobe à
lobe
, de circonvolution à circonvolution et, dans un
ettement séparés l'un de l'autre ; au niveau de la face latérale du
lobe
optique qu'ils embras- sent à la façon d'un glo
orrespondent à un demi-lobe de glande lhyi,o'ide et les carrés à un
lobe
. Planche II. 1'ill. 1. - Coupe de l'artère cu
Ouverture du cadavre. — Pleuro-pneumonie au premier degré occupant le
lobe
inférieur du poumon gauche. Examen de la fractu
qui étaient malades. Le cerveau était à l'état normal, excepté les
lobes
antérieurs qui présentaient un léger ramollisseme
térieurs qui présentaient un léger ramollissement; l'extrémité de ces
lobes
, qui était en rapport avec la tumeur, était conve
la forme « seulement, à une énorme pomme de terre, composée de quatre
lobes
principaux, et sub- « divisés à l'infini par un
n étranglement circulaire ; que cette portion déplacée appartenait au
lobe
droit, et que la vésicule du fiel en faisait part
phie du pylore par vomissement. OEdème avec coloration violacée des
lobes
inférieurs des deux poumons. La sérosité découle
s principales divisions de l'artère pulmonaire, qui correspondent aux
lobes
œdémateux. Les caillots disparaissent dans les pe
ent sain. Dans la plèvre gauche, deux verres de sérosité lactescente.
Lobe
inférieur du poumon gauche splénifié. Le périnée
emplies de sérosité jaunâtre ; cœur et poumons sains ; foie ayant son
lobe
gauche hypertrophié. Le lobe droit presque en tot
; cœur et poumons sains ; foie ayant son lobe gauche hypertrophié. Le
lobe
droit presque en totalité transformé en une vaste
rate qui m'ont été adressés. Le foie présentait, à la place de son
lobe
droit, une vaste poche, pleine d'un pus horriblem
nageaient quelques acéphalocystes. Cette poche avait été ouverte. Le
lobe
gauche était très considérable, ce qui me paraît
e véritable hypertrophie, mais bien au refoulement de la substance du
lobe
droit, en sorte que ce lobe gauche était constitu
is bien au refoulement de la substance du lobe droit, en sorte que ce
lobe
gauche était constitué à-la-fois et par le lobe g
roit, en sorte que ce lobe gauche était constitué à-la-fois et par le
lobe
gauche et par le lobe droit, refoulé à gauche du
lobe gauche était constitué à-la-fois et par le lobe gauche et par le
lobe
droit, refoulé à gauche du sillon antéro-postérie
issie à leur xxme LIVRAISON. i niveau et comme cartilagineuse. Le
lobe
moyen ou lobe gauche du foie présentait proportio
xxme LIVRAISON. i niveau et comme cartilagineuse. Le lobe moyen ou
lobe
gauche du foie présentait proportionnellement un
rtionnellement un plus grand nombre de tubercules et de masses que le
lobe
droit. La plus grande partie de ces masses et t
en épaisseur, et il n'est pas rare de le voir atteindre par son grand
lobe
la fosse iliaque du côté droit, tandis que le moy
ar son grand lobe la fosse iliaque du côté droit, tandis que le moyen
lobe
déborde à peine le thorax. La partie du foie qu
péritonite diaphragmatique et hépatique était limitée à la région du
lobe
droit du foie. On peut se rendre compte de cette
eux , situé dans l'épaisseur du foie, au niveau de la face convexe du
lobe
droit L D. Ses parois ont la couleur ardoisée des
é en tissu fibreux dans une certaine partie de son étendue. Le même
lobe
droit du foie présente, au voisinage du bord supé
présente un abcès considérable enkysté F P, situé dans l'épaisseur du
lobe
droit du foie, au voisinage de son bord postérieu
liers, mais non uniformément ; ils occupaient principalement le grand
lobe
du foie. Le canal cholédoque, étroit dans sa po
es poumons étaient œdémateux. L'un de ces poumons présentait dans son
lobe
inférieur tous les caractères de la pneumonie œdé
u tissu du foie jaune et ramolli. Sur la figure, le bord antérieur du
lobe
droit LD rend exactement l'aspect que présentait
masse que présentait le foie. Les coupes obliques pratiquées sur le
lobe
gauche LG et sur le lobe droit LD, montrent la di
oie. Les coupes obliques pratiquées sur le lobe gauche LG et sur le
lobe
droit LD, montrent la disposition des tumeurs par
sur ce fait aucun renseignement clinique. Le goitre était borné au
lobe
gauche]; le lobe droit et le lobe moyen étaient a
n renseignement clinique. Le goitre était borné au lobe gauche]; le
lobe
droit et le lobe moyen étaient atrophiés. Toute l
linique. Le goitre était borné au lobe gauche]; le lobe droit et le
lobe
moyen étaient atrophiés. Toute la surface de la t
vie fut ainsi prolongée de plusieurs mois. La fig. 3 représente le
lobe
supérieur du poumon gauche, transformé en un kyst
in, le surlendemain, vous trouvez que la maladie s'étend dans le même
lobe
, dans le même poumon ou même de l'autre côté ; qu
: ils semblent avoir été envahis isolément et restent distincts. Le
lobe
supérieur présente à sa surface, dans un certain
membrane PSI, infiltrée de sang. La figure 2 représente la coupe du
lobe
supérieur et du lobe inférieur. On voit sa couleu
ée de sang. La figure 2 représente la coupe du lobe supérieur et du
lobe
inférieur. On voit sa couleur blanchâtre ; on peu
bule infiltré, on voyait un certain nombre de granulations. Tout le
lobe
inférieur présentait une disposition granitique f
veloppé par une fausse membrane très épaisse. La partie supérieure du
lobe
supérieur adhérait intimement à la plèvre costale
tuberculeux, étaient disséminées çà et là. La moitié supérieure du
lobe
supérieur était creusée d'une caverne, que rempli
e l'hémisphère gauche, une troisième qui occupait la circonférence du
lobe
gauche du cervelet. La première tumeur adhérait
a figure 3 représente une vaste caverne cicatrisée CP, CP occupant le
lobe
supérieur du poumon. Ce cas est remarquable par l
tes cavernes cicatrisées cp, c p, se voyaient dans d'autres points du
lobe
supérieur. Réflexions sur les cicatrices pulmon
ssita. Le poumon du côté de l'épanchement était parfaitement sain. Le
lobe
supérieur de l'autre poumon présentait deux ordre
es au sacrum. A Xouverture, pneumonie œdémateuse molle, flasque, du
lobe
inférieur du poumon gauche. Une boue lie-de-vin d
de stupeur jusqu'au 5 mai. Ouverture du cadavre le 6 mai.— Tout le
lobe
supérieur du poumon droit était le siège d'une in
ignaient la respiration dans des limites bien plus étroites. Ainsi le
lobe
inférieur du poumon droit, infiltré, mollasse, pr
stiqué,une tumeur anévrysmale,mais elle était unique, bilobée, à deux
lobes
inégaux,dont l'un occupait la cavité gauche du th
a respiration, avec accélération du pouls. Râle crépitant occupant le
lobe
inférieur du poumon gauche. Un peu de matité dans
on. Poitrine. Poumon droit sain; hépatisation rouge d'une partie du
lobe
inférieur du poumon gauche. Cœur. (Fig. 1, pl.
ricule gauche. Poumons œdémateux dans presque toute leur étendue. Les
lobes
inférieurs sont pénétrés de sang et de sérosité.
voyait également un autre foyer apoplectique sur le bord antérieur du
lobe
supérieur du même poumon. Le poumon droit était t
tous les points correspondans à l'épanchement , c'est-à-dire dans son
lobe
inférieur et dans la partie inférieure de son lob
st-à-dire dans son lobe inférieur et dans la partie inférieure de son
lobe
supérieur. La poche formée par le péricarde est n
sposition de cette base qui est divisée en fosses dans lesquelles les
lobes
du cerveau, comme emprisonnés, n'ont pu échapper
Boullet, élève externe dans mon service à la Salpêtrière. forte du
lobe
antérieur de l'hémisphère droit au niveau de la g
ur que la moitié des dimensions verticales de l'hémisphère opposé. Le
lobe
droit du cervelet était atrophié. La protubérance
omme étranglée, mais sans solution de continuité manifeste. Tout le
lobe
supérieur du poumon gauche, sauf le bord antérieu
eur du poumon gauche, sauf le bord antérieur, la partie supérieure du
lobe
inférieur du même côté, étaient frappés de pneumo
La pleurésie occupait la plèvre diaphrag-matique, toute la surface du
lobe
inférieur du poumon gauche, et la partie correspo
ondante de la plèvre pariétale et médiastine. La plèvre qui répond au
lobe
supérieur du poumon était exempte d'inflammation,
inflammation, excepté à la partie inférieure de la face externe de ce
lobe
. Les fausses membranes qui recouvraient la plèvre
estion : i-a faculté d'articuler les sons a-t-elle son siège dans les
lobes
antérieurs du cerveau, ainsi que Va avancé le doc
La figure i représente une tumeur cancéreuse développée aux dépens du
lobe
occipital de l'hémisphère droit du cerveau, et pl
lus particulièrement aux dépens des circonvolutions inférieures de ce
lobe
. Cette tumeur qui, par sa face inférieure, adhéra
s du cerveau, avait-elle été formée dans l'épaisseur et aux dépens du
lobe
occipital; ou bien, développée dans le tissu cell
que la tumeur s'est formée très superficiellement dans l'épaisseur du
lobe
occipital, et que la couche mince qui la séparait
subitement. A l'ouverture, on trouva (fîg. a), dans l'épaisseur du
lobe
postérieur du cerveau, du côté de la face convexe
s, les sinus de la dure-mère gorgés d'une grande quantité de sang. Le
lobe
antérieur de l'hémisphère droit était occupé par
ire représente la face externe de l'hémisphère droit du cerveau. L A,
lobe
antérieur; LB, lobe postérieur; SS, scissure de S
ce externe de l'hémisphère droit du cerveau. L A, lobe antérieur; LB,
lobe
postérieur; SS, scissure de Sylvius. La cicatri
e. Hémisphère droit. Destruction des circonvolutions inférieures du
lobe
occipital. Une cicatrice peau de daim remplace le
icule jaunâtre. La substance blanche, qui forme le centre ou noyau du
lobe
occipital, présente, i° une cicatrice celluleuse
té de cicatrices parfaitement confectionnées. Chez ce sujet, les deux
lobes
occipitaux avaient été successivement le siège du
e l'hémisphère droit du cerveau, vu par sa face supérieure. LA est le
lobe
antérieur, LB le lobe postérieur, SS la scissure
u cerveau, vu par sa face supérieure. LA est le lobe antérieur, LB le
lobe
postérieur, SS la scissure de Sylvius. La coupe a
verture du cadavre. 11 y avait inflammation de la presque totalité du
lobe
inférieur du poumon gauche. A la partie antérieur
lité du lobe inférieur du poumon gauche. A la partie antérieure de ce
lobe
inférieur, se voyaient plusieurs dilatations bron
présenter, indépendamment du foyer apoplectique, une hépatisation du
lobe
inférieur de l'un ou de l'autre poumon, si bien q
1) AC, parfaitement isolé de toutes parts, situé dans l'épaisseur du
lobe
postérieur de l'hémisphère droit, contenant un pu
tion: « La faculté d'articuler les sons a-t-elle son siège dans les
lobes
antérieurs du cerveau , ainsi que l'a avancé M. l
au bout de trente-deux jours. Deux abcès enkystés dans l'épaisseur du
lobe
antérieur du cerveau. N., séminariste, âgé de a
écolorée. Téte. Le crâne ouvert à l'aide de la scie, j'ai trouvé le
lobe
antérieur de l'hémisphère gauche, d'une mollesse
un vaste foyer, capable de contenir un œuf de poule, occupant tout le
lobe
antérieur, communiquanfren haut par une petite ou
point de paralysie lente et graduelle; et, chose bien remarquable, le
lobe
antérieur d'unbémisphère a pu être désorganisé pr
s-arachnoïdien. Sous le rapport physiologique , on voit que tout un
lobe
a été détruit et par la suppuration, et par le ra
t cependant point de paralysie, ni du sentiment ni du mouvement. Le
lobe
antérieur a été incapable de fonctions, et cepend
ler les sons, la parole, a persisté jusqu'au dernier moment : donc le
lobe
antérieur ne préside ni à l'intelligence, ni à l'
igence, ni à l'articulation des sons, On pourrait dire : mais l'autre
lobe
antérieur était intact, et les lobes antérieurs p
, On pourrait dire : mais l'autre lobe antérieur était intact, et les
lobes
antérieurs peuvent se suppléer; à cela je réponds
ur de la surface du cerveau. Cette tumeur portait à-la-fois et sur le
lobe
antérieur et sur le lobe postérieur de l'hémisphè
au. Cette tumeur portait à-la-fois et sur le lobe antérieur et sur le
lobe
postérieur de l'hémisphère gauche, dont la substa
ar un très large pédicule : elle s'était fait une place aux dépens du
lobe
gauche du cervelet, qui était légèrement déprimé.
du cerveau , de la portion de dure-mère, qui recouvre la convexité du
lobe
antérieur: elle naissait en même temps de la face
e altération , tout-à-fait indépendante de la précédente, occupait le
lobe
postérieur du même hémisphère: la portion du lobe
édente, occupait le lobe postérieur du même hémisphère: la portion du
lobe
postérieur, qui déborde en arrière le corps calle
de la faux et delà portion de dure-mère, qui revêt la convexité du
lobe
antérieur droit, débordait en bas le bord concave
us complètes que je possède à cet égard. Cicatrice superficielle du
lobe
droit du cervelet avec destruction d'un grand nom
let avec destruction d'un grand nombre de lamelles, et atrophie de ce
lobe
. —Apoplexie récente de la couche optique gauche e
présentent des plaques crétacées PC La circonférence antérieure du
lobe
droit du cervelet offre une dépression manifeste
eux , notablement hypertrophié dans son ventricule gauche. Poumons.
Lobes
inférieurs des deux poumons imperméables à l'air,
cupait la partie postérieure du poumon droit. La face inférieure du
lobe
gauche du cervelet LG présente une perte de subst
ues-uns des points de l'apoplexie du cervelet. Kyste séreux dans le
lobe
droit du cervelet. — Apoplexie récente du cervele
lobe droit du cervelet. — Apoplexie récente du cervelet dans ce même
lobe
. Un malade de quarante-cinq ans environ s'était
ouva cinq à six onces de sérosité dans les ventricules du cerveau. Le
lobe
droit du cervelet était fluctuant. On trouva dans
e, pourrait faire présumer la présence d'une lésion organique dans le
lobe
opposé du cervelet. Ici c'était un kyste séreux.
maladies de cet organe. Induration des circonvolutions moyennes du
lobe
gauche du cervelet. Desary (Marie), 79 ans, gât
rait les caractères d'une adhésion. Le cervelet présentait dans son
lobe
gauche une légère diminution de volume. Cette dis
ices peau de daim et ramollissement occupant la portion inférieure du
lobe
postérieur du cerveau. Destruction â-peu-près com
e dans le tissu cellulaire sous-arachnoïdien. La face inférieure du
lobe
postérieur droit du cerveau, présente cette coule
aire. Le reste du cerveau est parfaitement sain. Cervelet. Dans son
lobe
droit, kyste apoplectique qui occupe la substance
ccupe la substance blanche au niveau de la grande circonférence de ce
lobe
: en écartant les lamelles qui occupent cette gra
» Cette coupe permet de voir que la prostate P est composée de deux
lobes
inégaux en volume, l'un, droit, plus petit, l'aut
volume, l'un, droit, plus petit, l'autre, gauche, plus considérable,
lobes
parfaitement indépendans l'un de l'autre, et unis
ce de cette portion médiane de la prostate qu'on appelle improprement
lobe
moyen. Les deux lobes interceptaient une cavité
iane de la prostate qu'on appelle improprement lobe moyen. Les deux
lobes
interceptaient une cavité ou plutôt un ventricule
ite transversalement; on voit sur cette coupe i° l'inégalité des deux
lobes
de la prostate; 20 le moyen d'union de ces deux l
galité des deux lobes de la prostate; 20 le moyen d'union de ces deux
lobes
à l'aide d'un tissu membraneux et musculeux et qu
'aide d'un tissu membraneux et musculeux et qui permettait à ces deux
lobes
de jouer l'un sur l'autre; 3° l'orifice FR de la
ent hypertrophiés : l'un de ces grains glanduleux, qui appartenait au
lobe
gauche CPG, est d'un volume extrême- (1) La piè
pace possible. Lorsque la rétention d'urine tient à l'hypertrophie du
lobe
médian, il suffit quelquefois de traverser le péd
du lobe médian, il suffit quelquefois de traverser le pédicule de ce
lobe
médian ou la traverse musculeuse qui le supporte,
ne venant pas butter contre la soupape unique que forme si souvent le
lobe
moyen prostatique hypertrophié. 5 La moitié inf
es, connues depuis sir Everard Home sous le titre de développement du
lobe
moyen de la prostate. La tumeur lobuleuse LMP,
rées par une cloison incomplète : l'une de ces cavités appartenait au
lobe
droit, l'autre appartenait au lobe gauche de la p
'une de ces cavités appartenait au lobe droit, l'autre appartenait au
lobe
gauche de la prostate. Sur le trajet du canal d
irure ou plutôt dans une destruction de celles des circonvolutions du
lobe
postérieur, qui appartiennent à la scissure. La c
face inférieure de la protubérance, et s'était même étendue jusqu'au
lobe
antérieur de l'hémisphère opposé (hémisphère gauc
ligne médiane répondait à l'axe d'union des deux fœtus, que les deux
lobes
du foie étaient à-peu-près égaux en volume et sem
......... Maladies de la prostate et de la vessie. Développement du
lobe
moyen de la prostate. — Ecchymoses de la vessie c
au. 33e liv., pl. ni, p. /. — Deux abcès enkystés dans l'épaisseur du
lobe
antérieur du cerveau. OEdème de la conjonctive et
oitié du crâne. 6e liv., pl. iv, v,p. 4.— Idiotie absolue; absence du
lobe
moyen gauche et communication du ventricule latér
v, p. 2. — Idiotie. Bonne conformation du crâne avec absence des deux
lobes
antérieurs du cerveau et atrophie de son hémisphè
s substances grise et blanche du ANAT. PATHOL.--TABLE DES MATIERES.
lobe
antérieur de l'hémisphère gauche. Cicatrices nomb
au bout de trente-deux jours. Deux abcès enkystés dans l'épaisseur du
lobe
antérieur du cerveau. 33e liv., pl. m, p. 3. — Pl
e annulaire. Masses tuberculeuses : Deux masses tuberculeuses dans le
lobe
gauche du cervelet. Aucun phénomène de paralysie.
rvelet sont moins rares qu'on ne le croit.=Cicatrice superficielle du
lobe
droit du cervelet, avec destruction d'un grand no
et, avec destruction d'un grand nombre de lamelles, et atrophie de ce
lobe
. Apoplexie récente de la couche optique gauche et
engouement du poumon. 37e liv., pl. v, p. 1. — Kyste séreux dans le
lobe
droit du cervelet. Apoplexie récente du cervelet
le lobe droit du cervelet. Apoplexie récente du cervelet dans ce même
lobe
. 37e liv., pl. v, p. 3. — Induration des circon
37e liv., pl. v, p. 3. — Induration des circonvolutions moyennes du
lobe
gauche du cervelet. 37ft liv., pl. v, p. 4. — Idi
ces peau de daim et ramollissement, occupant la portion inférieure du
lobe
, postérieure du cerveau. Destruction â-peu-près c
tié du crâne. 5e liv., pl. iv, v, p. 4. — Idiotie absolue. Absence du
lobe
moyen gauche* et communication du ventricule laté
v, p. 5.— Idiotie. Bonne conformation du crâne avec absence des deux
lobes
antérieurs du cerveau et atrophie de son hémisphè
ence dans l'apoplexie de la protubérance. 21e liv., pl. v, p. 5.— Les
lobes
antérieurs du cerveau ne président ni â l'intelli
eur mode de production. 36e liv., pl. 11, p. 2,— Kyste séreux dans le
lobe
droit du cervelet. 37e liv., pl. v, p. 3. — Mode
te rempli par un canal urinaire.26« liv., pl.v, p.3.—Développement du
lobe
moyen de la prostate. Calculs prostatiques. 30e
pultacé sans changement de couleur des substances grise et blanche du
lobe
antérieur de l'hémisphère gauche. Cicatrices nom-
2. SONS. La faculté d'articuler des sons ne réside pas plus dans les
lobes
antérieurs du cerveau que dans les lobes moyens e
ne réside pas plus dans les lobes antérieurs du cerveau que dans les
lobes
moyens et postérieurs. 8e liv., pl. vi, p. 3- 33e
. i, 3. — Tubercules pulmonaires. ~ Deux masses tuberculeuses dans le
lobe
gauche du cervelet. Aucun phénomène de paralysie.
l'énorme hypertrophie de la substance ner- veuse, surtout dans les
lobes
frontaux et sphéno-temporalix; le cerveau est d
rne est très mar- quée et très profonde, et sépare complètement des
lobes
pariétaux les lobes occipitaux qui forment calo
ée et très profonde, et sépare complètement des lobes pariétaux les
lobes
occipitaux qui forment calotte, reproduisant ains
rigine au pied de la pariétale ascendante, à sa terminaison dans le
lobe
occipi- tal. A droite, elle est interrompue à s
e leur trajet, effacées par l'hypertrophie. Circonvolutions. - 1 -
Lobe
f ? ,ontitl. Les lobules orbitaires pré- senten
r ainsi dire pas. On ne distingue d'ailleurs bien nettement sur ces
lobes
que la première et la'troisième circonvolution,
és, présentant une surface bombée sans trace de digitations. . 2°
Lobes
pariétaux. Les deux pariétales ascendantes, très
ux, moins haut, et est beaucoup plus volumi- neux qu'à gauche. 3°
Lobes
occipitaux . Les deux plis de passage pariéto-occ
ature. Les circonvolutions occipitales sont à peine indiquées. 4°
Lobes
temporaux. Enormément hypertrophiés, surtout dans
lésion hypertrophique, qui cependant portait principalement sur les
lobes
frontaux et plus spécialement, s'il est possibl
ur lui-même ; seuls, le nerf olfactif, réduit des deux tiers, et le
lobe
olfactif, diminué de moitié, présentent une struc
f. Psych., XIV, 3) '. Porencéphalie-bilatérale symétrique des deux
lobes
occipitaux chez un foetus de huit mois : atroph
atrophie totale des deux nerfs optiques. Lacunes étendues des deux
lobes
pariélo-occipltauX; dégéné- rescence des deux s
les) ; chez lui, le système des fibres de projection de l'écorce du
lobe
occipital aux centres optiques infracorticaux a
s l'écorce ; le corps genouillé interne est eu rapport non avec le'
lobe
occipital, mais avec le lobe temporal ; les fai
lé interne est eu rapport non avec le' lobe occipital, mais avec le
lobe
temporal ; les faisceaux de la couronne rayonna
ante ( ? ) Observation du mémoire actuel. Encéphalomulacie des deux
lobes
occipitaux avec lacune dans la première circonv
et vice versd. Planches à l'appui. Conclusion générale. L'écorce du
lobe
occipital est étroitement unie aux centres opti
nution des cellules est plus marquée. Les cellules de l'écorce du
lobe
occipital demeurent intactes. On ne peut, en supp
de cellules granulo-graisseuses.En ce qui concerne les relations du
lobe
occipital avec les centres optiques infra- cort
ie gauche homonyme, lui permet d'affirmer que la destruction d'un
lobe
occipital s'accompagne de dégénérescence des cent
commissure antérieure est exclu- sivement une voie de connexion des
lobes
olfactifs. On voit clai- rement dans la bandele
conjonctif très délicat, à la place de la bandelette disparue, le
lobe
olfactif ne présentant macroscopiquement rien, mi
ours), on assiste à l'atrophie totale des deux bandelettes les deux
lobes
restant normaux. C'est de l'ensemble de ces faits
autour de la suture coronaire, et, si en ayant soin de respecter le
lobe
olfactif, on SOCIÉTÉS SAVANTES. 109 enlève da
AVANTES. 109 enlève dans la même direction, des deux côtés, tout le
lobe
occi- pital et pariétal jusqu'à une distance de
e sphère visuelle; il conserve la vision mentale. La résection du
lobe
frontal des deux côtés, en respectant le lobe o
tale. La résection du lobe frontal des deux côtés, en respectant le
lobe
olfactif, entraîne l'idiotie. L'animal, privé d
ue de tout petits vestiges qui appartiennent à la portion fermée du
lobe
, les fibres commissu- z rales de cette portion
uvements. Prenons un animal adulte (lapin ou chat) enlevons-lui son
lobe
frontal, c'est-à-dire, commençant la section à
tal située en avant du hO SOCIÉTÉS SAVANTES. couteau y compris le
lobe
olfactif : la paralysie du côté opposé, consécu
rus postcru- ciatus en atteignant, quoique pas toujours, la base du
lobe
olfactif. L'autopsie révèle encore que les fais
otrices et visuelles avaient été anéanties. La double séparation du
lobe
frontal des deux côtés, dangereuse chez les lap
euse chez les lapins de moins de deux mois (nécessité d'épargner le
lobe
olfactif), est mortelle si l'on atteint la part
s mammi- fères, on constate un rapport déterminé entre le volume du
lobe
olfactif, du renflement olfactif, du nerf olfac
u renflement olfactif, du nerf olfactif. Parallèlement, l'écorce du
lobe
olfactif offre des particularités spéciales. Rapp
peut effectuer des deux côtés la section des deux renflements; les
lobes
n'en con- tinuent pas moins à se développer et
maux quand plus tard chez l'adulte on les examine. 2° L'ablation du
lobe
frontal, et cette ablation seule, entraîne l'at
traîne l'atrophie complète des faisceaux pyramidaux. L'ablation des
lobes
pariétaux et occipi- SOCIÉTÉS SAVANTES. 111 t
e le système médian est en rapport, au moins de préférence, avec le
lobe
frontal; le système latéral, avec le lobe parié
ns de préférence, avec le lobe frontal; le système latéral, avec le
lobe
pariéto-occipitat. 4° J'ai, moi aussi, constaté
ualifie de cortical (ruban de Reil cortical), dépend de l'écorce du
lobe
pariéto-occipital. Je pense, sauf plus ample et
o-occipital. Je pense, sauf plus ample et plus exact examen, que le
lobe
olfactif doit être rattaché au lobe pariéto-occ
et plus exact examen, que le lobe olfactif doit être rattaché au
lobe
pariéto-occipital. En tout cas l'ablation du lobe
être rattaché au lobe pariéto-occipital. En tout cas l'ablation du
lobe
frontal laisse intact le ruban de Reil, les fib
des cordons grêles et cunéiformes, tandis que, lorsqu'on enlève le
lobe
pariéto-occipital, on voit les organes énumérés
issure inférieure 2. Certains de ces noyaux ne dépendent-ils pas'du
lobe
frontal ? La chose est possible, mais la plus g
e d'entre eux, voire le corps genouillé interne, sont dépendants du
lobe
pariéto-occipital. 6° Le ganglion mé- dian post
e ganglion mé- dian postérieur du corps mammillaire dépend aussi du
lobe
pariéto-occipital; il persiste après la séparat
aussi du lobe pariéto-occipital; il persiste après la séparation du
lobe
frontal. On en arrivait, d'après cela à conclur
les pyramidales les plus nombreuses et les plus grosses occupent le
lobe
frontal chez le lapin normal. A côté de cela, s
e cela, sur un cerveau de chien, dont on avait réussi par lésion du
lobe
frontal à atrophier radica- lement le faisceau
estions restées dans l'urne étaient : Substance grise de la moelle;
Lobe
cérébral antérieur. Questions orales : 1° Symp-
une hypertrophie du coeur ; un foyer hémorrhagique noirâtre dans le
lobe
tem- poral droit; un kyste apoplectique en deho
onvexité; thrombose du sinus transverse gauche ; deux abcès dans le
lobe
temporal gauche; un abcès dans le lobe temporal
gauche ; deux abcès dans le lobe temporal gauche; un abcès dans le
lobe
temporal droit; myélite et ané- vrismes de la m
glée). Quant à l'origine des abcès, l'adhérence de la dure-mère aux
lobes
temporaux et la mention d'un écoulement d'oreil
fin la cécité (névro-rétinite stasique), la surdité (lésion du du
lobe
temporal), la rougeur et la tuméfaction de la jou
des hémisphères cérébraux très difficile à prendre, par exemple le
lobe
occipital où se réunis- sent une surface plane,
lace supérieure de l'hémisphère céré- belleux, la partie médiane du
lobe
quadrangulaire du côte gauche et les deux tiers
Dédoublement de la i™ fron- tale. Prédominance exagérée de tout le
lobe
frontal sur le reste des CM'COHUO ? 0 ? Hypertr
s CM'COHUO ? 0 ? Hypertrophie des circonvolutions rolandiques et du
lobe
paracentral. Atrophie des circonvolu- Baillarne
première vue, une dif- férence très appréciable en étendue entre le
lobe
frontal et les lobes postérieurs. Le lobe front
férence très appréciable en étendue entre le lobe frontal et les
lobes
postérieurs. Le lobe frontal mesure le long du bo
iable en étendue entre le lobe frontal et les lobes postérieurs. Le
lobe
frontal mesure le long du bord interne, depuis
hie des parties supérieures des cir- convolutions rolandiques et du
lobe
paracentral soit en rapport avec les hallucinat
bstance blanche qui contiennent les fibres de projection issues des
lobes
occipitaux et d'une partie de celles qui vienne
es circonvolutions pariétales et tempo- rales,'d sorte que les deux
lobes
occipitaux, une petite portion du lobe temporal
rales,'d sorte que les deux lobes occipitaux, une petite portion du
lobe
temporal droit, une grande portion du lobe pariét
x, une petite portion du lobe temporal droit, une grande portion du
lobe
pariétal et temporal gauche ont dû cesser de fo
deux nerfs optiques. La destruction des faisceaux blancs émanés du
lobe
temporal a provoqué l'atrophie secondaire d'un
plète (cécité corticale presque totale) ; destruction dans les deux
lobes
occipitaux, mais intégrité complète des deux gl
tiques se réunissent danslasubstance blanche anté- ropostérieure du
lobe
occipital en un solide tractus qui se dirige le
ion est très manifeste; en effet M. Duguet a vu des goitres dans le
lobe
gauche duquel il injec- tait le liquide, se rés
rnier. Les candidats ont eu à traiter la question écrite suivante :
lobe
frontal, anatomie et phy- siologie. Les deux au
elot, interne, et des infirmiers de service, V... se com- prime les
lobes
oculaires comme pour se mettre en léthargie, le
xterne, descendrait après avoir contourné la face interne, entre le
lobe
pariétal et le lobe occipital pour se replier sou
après avoir contourné la face interne, entre le lobe pariétal et le
lobe
occipital pour se replier sous la face inférieu
tal et le lobe occipital pour se replier sous la face inférieure du
lobe
temporal et de la gagner la pointe anté- rieure
s le développement et la direction des circonvolu- tions des divers
lobes
. (Voy. le mémoire et les planche*.) Intégrité d
une partie des ganglions centraux et de la couronne rayonnante du
lobe
temporal. Névrite étranglée des deux nerfs optiqu
l'auteur dans un précédent mémoire, avait rattaché à l'atrophie des
lobes
frontaux; il rangerait volon- tiers le cas actu
1° Une partie des irradiations blanches des parties inférieures du
lobe
occipito-temporal se termine, chez le chat REVU
t le groupe des noyaux situés dans le toit du quatrième ventricule (
lobe
central du cervelet); tel est le faisceau spina
des chats nouveaux nés par la méthode de de Gudden 2. L'ablation du
lobe
pariétal droit et des faisceaux blancs de la co
et ses origines corticales (ruban de Reil cortical), l'ablation du
lobe
pariétal entraîne la déchéance des trousseaux d
inalement, dans le noyau des cordons grêles du côté opposé. Donc le
lobe
pariétal, au moyen de fibres fines médianes et la
nce secondaire des trousseaux optiques, à la suite d'altération des
lobes
occipitaux. Sera publié in-extenso 1. Présent
eurs. Tumeur cérébrale : un cas de gliosarcome du corps strié et du
lobe
temporal gauches; paralysie de la moitié droite
.) P. KËRAVAL. BIBLIOGRAPHIE IF 1. Sur un cas de destruction du
lobe
temporal gauche pur un néo- plasme sans aphasie
u ne présentait d'autres anomalies qu'un arrêt de développement des
lobes
antérieurs. Malgré un examen très attentif de l
postparétiques du côté droit. Hématome de la dure-mère au niveau du
lobe
temporal gauche, et foyer de ramollissement bru
rtie antérieure, un kyste gros comme une lentille. II. Sarcome du
lobe
frontal. Observation dans laquelle, une tumeur
Observation dans laquelle, une tumeur occupant une grande partie du
lobe
frontal, les symptômes se rapprochèrent des acc
avec rotation constante à droite (l'animal auquel on a extirpé le
lobe
frontal gauche tient constamment la tête tournée
curvation anor- male à droite) ; finalement coma. Autopsie. Dans le
lobe
fron- tal droit, existe une tumeur qui a princi
e encore de la pachyméningite pseudo-membraneuse au niveau des deux
lobes
frontaux, un hématome sous-dure-mérien récent a
ux lobes frontaux, un hématome sous-dure-mérien récent au milieu du
lobe
frontal gauche. Telles sont les principales par
ait encore de l'encéphalite interstitielle ; peut-être la lésion du
lobe
occipital est-elle en rapport avec les syndrôme
épileptique, dans ces cas, affecte surtout les parties du cerveau,
lobes
frontaux, chargés du contrôle intellectuel et m
ie anttro-supérieure du péricarde, ce peloton adipeux a la forme du
lobe
droit du thymus dont il semble occuper la place
es, il s'écoule un liquide muco-spumeux. A la partie postérieure du
lobe
inférieur gauche existe quelques petites ecchym
es ecchymoses sous-pleurales. Le tissu pulmonaire, très compacte au
lobe
inférieur, l'est moins au lobe supérieur et est
e tissu pulmonaire, très compacte au lobe inférieur, l'est moins au
lobe
supérieur et est partout très oedématié. Les br
ilement jusqu'à la périphérie. - Le poumon droit possède ses trois-
lobes
ordinaires, mais sur le lobe inférieur on renco
- Le poumon droit possède ses trois- lobes ordinaires, mais sur le
lobe
inférieur on rencontre une scissure profonde. O
ieur on rencontre une scissure profonde. On constate sur ce dernier
lobe
quelques petites ecchymoses ponctuées. Les lési
des circonvolutions est luisant et rappelle, principalement sur les
lobes
temporaux et occipitaux, l'aspect du cerveau de
lusieurs mois dans l'alcool tout l'insula et les plis de passage du
lobe
temporal se trouvent à découvert. Elle possède de
atteint à peine la partie antérieure de la scissure surcilière. -
Lobe
frontal. - La scissure parallèle frontale (PL. II
est sinueux, bien développé; un pli de passage à niveau le relie au
lobe
occipital. La scissure interpariétale (Se. i) p
un pli de passage relie celui-ci au lobule pariétal inférieur. Le
lobe
occipital (L 0) nettement séparé du lobe temporal
e pariétal inférieur. Le lobe occipital (L 0) nettement séparé du
lobe
temporal est relié au lobule pariétal supérieur
occipi- tale. Tous les sillons et toutes les circonvolutions de ce
lobe
, de forme normale, occupent leur position ordin
pent leur position ordinaire, et sont assez bien développés. . Le
lobe
temporal est assez. volumineux, sauf dans' son qu
oisième circonvolution temporales se trouvent en retrait, e, sur le
lobe
occipital et les parties antérieures du lobe te
en retrait, e, sur le lobe occipital et les parties antérieures du
lobe
temporal. - La première circonvolution temporal
eure de la deuxième scissure temporale, séparant ainsi nettement le
lobe
temporal du lobe occipital. On trouve encore qu
me scissure temporale, séparant ainsi nettement le lobe temporal du
lobe
occipital. On trouve encore quatre circonvoluti
lution du corps calleux (C. C. C.) est bien développée, normale. Le
lobe
quadrilatère (L 0) est très développé, en conti
u lobule orbitaire ne présentent rien autre chose de particulier.
Lobe
frontal. Il existe de ce côté une scissure parall
qui la sillonnent, parait dédoublée et bien développée. En avant du
lobe
frontal se trouve un pli de passage transversal,
ulaire externe (c) qui va se jeter dans la scissure parallèle. Le
lobe
occipital (L, 0), nettement séparé des lobes pari
scissure parallèle. Le lobe occipital (L, 0), nettement séparé des
lobes
pariétal et temporal, est par suite dépourvu de
al, est par suite dépourvu de plis de passage se rendant à ces deux
lobes
; il est assez irrégulier, peu développé, mais on
ses trois circonvolutions ; enfin, il est un peu en retrait sur le
lobe
temporal. Le lobe temporal est bien développé;
utions ; enfin, il est un peu en retrait sur le lobe temporal. Le
lobe
temporal est bien développé; sa première circonvo
ettement en se réunissant à l'incisure préoccipitale (Izz. pré.) le
lobe
temporal du lobe occipital. Il existe trois cir
unissant à l'incisure préoccipitale (Izz. pré.) le lobe temporal du
lobe
occipital. Il existe trois circonvolutions tempor
tion du corps calleux (C. C. C.) est bien développée, normale. - Le
lobe
quadrilatère (L. Q.), très développé, présente en
re perpendiculaire externe descend, comme chez la singe, jusqu'au
lobe
temporal. La scissure de Sylvius laisse des deu
porter M. J. Reverdin d'un de ses malades chez qui l'extirpation du
lobe
gauche de la thyroïde fut i Mikulicz. - l3eitra
.IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 367 suivie de l'atrophie du
lobe
droit '; toutefois M.Pon- cet dit ne pas avoir
e cas de mon second malade, le coeur était déplacé en dehors, et le
lobe
inférieur du poumon gauche ne servait que peu à l
é fonc- tionnelle emprunte l'intermédiaire de la sphère visuelle du
lobe
occipital ne s'effectue pas directement et dans
om- battre l'hypothèse de Wernicke etMunk d'après laquelle chaque
lobe
occipital se décomposerait en deux territoires sé
mètre d'un centimètre à la base correspondant à un enfoncement du
lobe
temporal du cerveau. La selle turcique est asymét
ticulaire du bulbe et de la protubérance, 105. Gaucher (lésion du
lobe
tempo- ral gauche sans aphasie chez un), 124.
s (syphilitiques des m' ninges cérébrales), 231 ; -r. (sarcome du
lobe
frontal), : 1.2 1 ! 233, 235. I Typhoïde (épi
supérieur. '1, Pli pariétal inférieur. P.3, Pli courbe. L. oc.,
Lobe
occipital. 7 ? l,e circonvolution temporale.
du pôle occi- pital, on voit : La lésion occupe principalement le
lobe
lingual et le lobe fusiforme. Ce der- nier est
al, on voit : La lésion occupe principalement le lobe lingual et le
lobe
fusiforme. Ce der- nier est presque complètemen
est presque complètement détruit. L'écorce de la partie supérieure du
lobe
lingual, qui borne la lèvre inférieure de la sc
OPSIE D'ORIGINE INTRA-CÉRÉBRALE 3 substance blanche sous-jacente du
lobe
lingual est aussi partiellement rempla- cée par
le tissu conjonctif. L'écorce de la partie inférieure et interne du
lobe
lingual est détruite, la plus grande partie de
grande partie de la substance blanche dece lobule est conservée. Le
lobe
fusiforme est presque complètement détruit, exc
en s'éloignant à 5 centimètres du pôle oc- cipital, on voit : Le
lobe
lingual est presque tout à fait détruit par le
it détruit par le ramollissement, de même que ia parue interne au
lobe
lusitorme et la partie intérieure de la circonvol
le domaine de la scissure calcarine,en détruisant principalement le
lobe
lingual et le lobe fusiforme et que cette lésion
issure calcarine,en détruisant principalement le lobe lingual et le
lobe
fusiforme et que cette lésion pénélrait dans la
touchée. Le pli rétrolimbique est tout à fait modifié, ainsi que le
lobe
lingual, le lobe fusiforme et la troisième tempo-
étrolimbique est tout à fait modifié, ainsi que le lobe lingual, le
lobe
fusiforme et la troisième tempo- rale, qui est
sur la surface. Cepen- dant à la palpation on constate au niveau du
lobe
pariétal une mollesse, qui indique un ramolliss
occi- nital. on Deut remarquer : La substance blanche du coin, du
lobe
lingual et du lobe fusiforme (dans la partie
t remarquer : La substance blanche du coin, du lobe lingual et du
lobe
fusiforme (dans la partie interne de ce dernier
cissure calcarine est conservée, ainsi que la partie de l'écorce du
lobe
lingual qui constitue la lèvre inférieure de la
lèvre inférieure de la scissure calcarine. La substance blanche du
lobe
lingual est tout à fait détruite par le ramolli
la corne postérieure. L'écorce de la partie intéro-supérieure de ce
lobe
est conservée ; sur la par- tie interne et infé
ce lobe est conservée ; sur la par- tie interne et inférieure de ce
lobe
, il ne reste qu'une très mince couche de l'é- c
de l'é- corce cérébrale, qui limite la lésion. La partie interne du
lobe
fusiforme est aussi détruite. On peut voir sur
m du corps calleux, la lésion occupe la circonvolution limbique, le
lobe
lingual et le lobe fusiforme, dont la substance
la lésion occupe la circonvolution limbique, le lobe lingual et le
lobe
fusiforme, dont la substance blanche est détrui
ètement. Fig. 6. Cas II. - C, cunéus. - K, fissure calcarine. lg,
lobe
lingual. - (La lésion est indiquée en blanc.)
8 JOUKOWSKY L'écorce cérébrale de la circonvolution limbique et du
lobe
lingual est con- servée avec une mince couche d
t con- servée avec une mince couche de substance blanche. Dans le
lobe
fusiforme reste seulement une couche très mince d
eure de la corne postérieure, la circonvolution de l'hippocampe, le
lobe
lingual, le lobe fusiforme et la partie interne
e postérieure, la circonvolution de l'hippocampe, le lobe lingual, le
lobe
fusiforme et la partie interne de la troisième
tance nerveuse de la corne postérieure. Une partie de l'écorce du
lobe
fusiforme est conser- vée. En outre on voit un
upait la substance blanche du pli courbe et des parties voisines du
lobe
temporal et du lobe pariétal. Ce foyer pénétrai
lanche du pli courbe et des parties voisines du lobe temporal et du
lobe
pariétal. Ce foyer pénétrait dans la profondeur
er un fait intéres- sant : malgré la grande étendue de la lésion du
lobe
occipital dans les deux cas, nous n'avons obser
0 observations complètes, 10 cas de kystes de cette nature dans les
lobes
cérébraux, 8 dans le cervelet, 4 dans les ventric
lumineux pesait 510 grammes. La partie supérieure et postérieure du
lobe
droit, s'étant rompue avait laissé échapper 3 v
TES PARASITAIRES DU CERVEAU 31 J. E. Estevens. - Kyste hydatique du
lobe
frontal gauche, opération, grande perle de liqu
sséminées au niveau des deux hémisphères, sans pré- dominance en un
lobe
, des petites masses jaunâtres du volume d'un grai
tranches, , 3 Fig. 1. - Répartition des kystes sur une coupe du
lobe
frontal. 34 LÉVI ET LEMAIRE nous comptons 12
égion du corps) de plus de vingt hydatides,' dont six dans les deux
lobes
temporaux. Observation (1) Aum..., 75 ans, an
c'est ainsi qu'à droite et à gauche il existait des kystes dans le
lobe
temporal, dans la zone rolandique et au pôle fron
e et les deux hémisphères se rapprochent. Par suite de l'absence du
lobe
médian le cervelet est diminué transversalement;
fin dans ces deux cas nous remarquons le manque de développement du
lobe
médian du cervelet. Cas III. - Même tableau (Ph
examen macroscopique du cervelet (Phot. 1) on peut remarquer que le
lobe
médian n'est pas représenté et mainte- nant il
leur plein développement, mais une forme irrégulière (Phot. 19). Le
lobe
médian est absent et les deux hémisphères sont
e gauche, vu par sa face externe. Endothéliome ayant re- foulé le
lobe
temporosphéooïdal. Fie. 2. - Hémisphère gauche
héliome est con- tenu dans une loge formée par le tas- sement des
lobes
orbitaires et tempo- rosphénoidal. Le chiasma d
est encastrée dans une profonde excavation de la face inférieure du
lobe
frontal et du lobe temporo sphénoïdal, refoulés e
une profonde excavation de la face inférieure du lobe frontal et du
lobe
temporo sphénoïdal, refoulés en haut; et, en ba
e languette de deux centimètres environ de large de la substance du
lobe
frontal ; en longueur, la tumeur s'étend depuis U
si- tué en avant, à trois centimètres de l'extrémité antérieure du
lobe
frontal. Toute la face orbitaire de ce lobe coi
extrémité antérieure du lobe frontal. Toute la face orbitaire de ce
lobe
coiffe la tumeur suivant une courbe régulière,
tres environ de la scissure de Sylvius. L'extrémité antérieure du
lobe
temporal n'est plus visible : refoulée et tas-
ant la scissure iuterliémicylnrilun, on voit que la face interne du
lobe
frontal gauche tdist.t'ndue el refoulée à droite.
les adhérences ostéo-fibreuses durent être rompues pour énucléer le
lobe
frontal et sa tumeur de la fosse cérébrale, et
de l'écorce cérébrale sur des fragments prélevés loin de la tumeur (
lobe
occipital et région paracentrale) et au voisinage
'in- TUMEUR CÉRÉBRALE 179 sula, et les régions inféro-externes du
lobe
frontal, notamment la circon- volution de Broca
ré- bral ; ensuite, le siège de la tumeur, qui, placée n la base du
lobe
frontal, occupait une des régions de relative i
tion, quelque intérêt. On sait que, pour la plupart des auteurs, le
lobe
frontal représente le lieu probable de l'élabor
'élaboration des processus intellectuels les plus élevés : c'est le
lobe
psychique par excellence. Et, en effet, il semble
ntaux, au cours des lésions encéphaliques, que c'est l'atteinte des
lobes
frontaux qui porte le préjudice le plus grave a
aisance, comme symptôme caractéristique des lésions néoplasiques du
lobe
frontal, par Bruns (1) et surtout Jastro- witz
e spéciale des cellules. Entre ces amas qui dessinent de véritables
lobes
, l'oeil est attiré par la pré- sence d'un nombr
fondent, pour ar- river à constituer plusieurs centres dans un seul
lobe
. La présence d'un vaisseau modifie cette ordina
int par la coupe. Dans certains cas enfin, on trouve, au milieu des
lobes
, des espaces lacunaires dont le dessin et l'aspec
sont assez abondantes, et leur volume est plus grand que celui des
lobes
cellulaires. Les lacunes qu'elles forment sont tr
aximum à la base de l'encéphale est notablement plus marquée sur le
lobe
temporo-sphé- noïdal gauche, dans la région jux
gion juxta-néoplasillue. A cet endroit, l'extrémité an- térieure du
lobe
est amincie et ses limites sont formées par une é
. Les coupes sont-elles au contraire pratiquées en deçà de la tumeur (
lobe
temporo-sphénoïdal) on constate des lésions moi
ion des leucocytes dans l'intérieur de la cellule nerveuse. Dans le
lobe
électrique de la torpille, après cautérisation,
e de deux moi- tiés, correspondant aux hémisphères du cervelet, son
lobe
médian n'étant pas développé. Ce cas se disti
trait précisément à un syndrome urémique qui a simulé une tumeur du
lobe
frontal gauche. L'auteur avait fondé son diagnost
du bulbe et de la protubérance réunis, ou presque égal à celui d'un
lobe
frontal, un poids équivalant au septième, environ
inage de la tumeur ; mêmes lésions sur les méninges médullaires. Le
lobe
cérébelleux droit renferme une petite tumeur ad
ature. Autopsie. Cerveau. - La dure-mère est adhérente au niveau du
lobe
pa- riétal droit sur une circonférence de 4 cen
ne tumeur grosse comme une mandarine, encastrée dans l'épaisseur du
lobe
pariétal. · La loge de cette tumeur est constit
· La loge de cette tumeur est constituée par les circonvolutions du
lobe
tem- poral qui, refoulées et aplaties, tapissen
circonvolu- tions qui n'existe pas au niveau de la face interne du
lobe
frontal. La circonvo- lution du corps calleux e
nt réduits à l'état de minces lames, tassées au fond de la loge. Le
lobe
temporal et le lobe occipital ne sont pas direc
t de minces lames, tassées au fond de la loge. Le lobe temporal et le
lobe
occipital ne sont pas directement comprimés par
la tumeur, qui, ainsi qu'on le voit, est bien nettement limitée au
lobe
pariétal. La tumeur, des dimensions et de la fo
res. Les lésions du vermis beaucoup moins prononcées que celles des
lobes
. Fraser dans son cas relève des lésions dont no
ne vessie à colonne, à parois très épaissies, de l'hypertrophie des
lobes
latéraux de la prostate ». Dans Gilles de la To
scendante, de la pariétale ascendante, de la partie anté- rieure du
lobe
paracentral et du lobe pariétal supérieur de l'
ale ascendante, de la partie anté- rieure du lobe paracentral et du
lobe
pariétal supérieur de l'hémisphère cérébral gau
t d'apparence normale. Il en est de même du sillon de Rolando. - Le
lobe
pariétal supérieur est atrophié dans sa partie
ro-supérieure sur une surface d'environ 3 centi- mètres carrés. Les
lobes
occipitaux et temporaux n'offrent wmevcroscopic
hologiquement nor- male. Une scissure longitudinale dédouble Fi. Le
lobe
paracentral est atrophié assez nettement et il
otablement plus. volumineuses que celles de l'hémisphère gauche. Le
lobe
frontal p'a aucune disposition anormale, si ce
partie toute supé- rieure et interne. - Rien au niveau de PA ni des
lobes
pariétaux, occipitaux et temporaux, ni au nivea
à cette atrophie céré- brale, l'idiotie au peu de développement des
lobes
frontaux. V. , De l'hystérie mâle de l'enfa
séparer les quelques tractus celluleux qui réu- nissaient les deux
lobes
cle la glande. Dans sept cas (11,16 0/0) les de
nt les deux lobes cle la glande. Dans sept cas (11,16 0/0) les deux
lobes
étaient plus intimement unis. De bipartie moyen
, nos 23, 29, 33) ou inférieure (3 fois, nOS 6, 16, 37) de l'un des
lobes
se détachait un trac- tus glandulaire plus ou m
s glandulaire plus ou moins épais pour aller se perdre dans l'autre
lobe
. De petits vaisseaux accompagnaient ces tractus
nt ces tractus. Dans un cas (n° 52) enfin, la séparation des deux
lobes
n'existait pour ainsi dire pas ; dans presque t
ainsi dire pas ; dans presque toute l'éten- due du thymus, les deux
lobes
étaient réunis par un épais (1) Cruveilliier, A
glandulaire ; seules, les cornes supérieures indi- quaient les deux
lobes
de la glande. Rapports. Dans deux cas (voir nOS
x cas la thyroïde n'était point basse, puisque le bord inférieur du
lobe
thyroïdien droit était placé au niveau du sixiè
thymus, il existait une masse tubercu- leuse qui pénétrait les deux
lobes
; mais il nous fut très facile d'énudéer complè
lésions destructives du lobule de l'Insula ; sclérose atrophique du
lobe
temporal ; Par ttOUR\EV<LLE ET BEIL1N. Bie
pace demeuré vide par suite de la lésion qui a détruit en partie le
lobe
temporal droit, tout le lobule de l'itsula.corr
Dégénéra- tions secondaires. - Petit foyer ocreux de la pointe du
lobe
temporal gauche. Wi... (Marguerite Marie), née
ÉSIONS DE LINSULA Et DU LOBE TEMPORAL. Lésions DE L'INSUC : A ET du
lobe
TEMPORAL. 175 égaux. Le tubercule mamillaire dr
sphère gauche. · Hémisphère droit. - Il existe au niveau de tout le
lobe
temporal et de l'insula une lésion ancienne con
vaste foyer, qui n'a pas moins de 7 centimètres de longueur sur le
lobe
tem- poral, sont tous plus petits que ceux du c
e de la circonvolution de l'hippocampe. La lésion intéresse tout le
lobe
temporal aussi bien la face inférieure que la f
lobe temporal aussi bien la face inférieure que la face convexe. Le
lobe
a conservé sa forme générale (PL. I). A l'ext
de la bandelette optique. : Autour de cette lésion principale, -
lobe
temporal, insula, les circonvolutions contiguës
llimètres de largeur et constituent autour de la lésion principale (
lobe
temporal, circonvolution d'enceinte de la sciss
sistance normales. (PA, P1, moitié supérieure de L.Q ; extrémité du
lobe
occipital, pied de FA, F3). Par suite cle la sc
rière, et la fissure calcarine il y a une encoche profonde entre le
lobe
occipital en bas, pl et LQ en arrière. (pal. I
n est très réduit et composé de petites circonvolu- tions dures. Le
lobe
quadrilatère est un peu induré, dur sur son bor
s surtout de FI et les lobules pariétaux supérieur et inférieur. Le
lobe
temporal dans son entier et le lobe occi- pital
taux supérieur et inférieur. Le lobe temporal dans son entier et le
lobe
occi- pital sont formés de circonvolutions asse
z volumineuse* mais bien moins sinueuses que les circonvolutions du
lobe
frontal. (PL. III et IV). Les deux caractères d
'une équerre dont le côté le plus grand correspond à la pointe du
lobe
temporal et la branche la plus courte à la circon
ité de la mort. ? La destruction totale du lobule de l'insula et du
lobe
temporal et partielle clos circonvolutions marg
it le lobule le l'insula du côté droit et intéressé profondément le
lobe
temporal correspondant ainsi que la circonvolut
ier point à signaler c'est la lésion de l'ex- trémité antérieure du
lobe
temporal gauche, ana- logue, sauf l'étendue, à
ur tout le logue, sauf l'étendue, à celle qui a porté sur tout le
lobe
temporal droit. Les lésions symétriques ne sont
in. Hémisphère gauche. Face convexe (Pu. VII). - Il existe sur le
lobe
frontal huit Ilots tubéreux ({ni forment une sort
'21'. - Pas d'adhérences des plèvres. - Poumon droit volumineux; le
lobe
supérieur est farci de tubercules ; le lobe moy
on droit volumineux; le lobe supérieur est farci de tubercules ; le
lobe
moyen présente une vaste caverne, l'inférieur e
convolutions sont larges et étalées surtout à la partie centrale du
lobe
frontal, au niveau de FA et de PA, vers P1 et P
interne. - Rien de bien particulier à noter sur Ft, LP, LQ, C et le
lobe
tomporo-sphénoidal. Le corps calleux CC (PL. 0)
aire. pois. - Poumon gauche (155 gr.) assez congestionné dans son
lobe
inférieur, nombreux foyers caséeux dans ce lobe
ngestionné dans son lobe inférieur, nombreux foyers caséeux dans ce
lobe
tandis que le lobe supérieur est indemne de tub
lobe inférieur, nombreux foyers caséeux dans ce lobe tandis que le
lobe
supérieur est indemne de tubercules. - Rien de
ces, de la pie-mère et de l'écorce, atrophie cérébrale, surtout des
lobes
frontaux, vaisseaux scléreux, foyer de ramollisse
Atrophie des fibres à myéline, surtout des fibres tangentielles des
lobes
frontaux, atrophie des cellules pyramidales. Ep
moitiés du crâne J. SGLAS. XIII. Contribution aux affections DES
lobes
temporaux : - UN cas DE SURDI-MUTITÉ; UN CAS DE
ES lobes temporaux : - UN cas DE SURDI-MUTITÉ; UN CAS DE LÉSIONS DU
LOBE
TEMPORAL GAUCHE SANS SURDITÉ VERBALE CHEZ UN IN
s lequel l'autopsie révéla une lésion destructive ancienne des deux
lobes
temporaux. Si l'on se reporte au mécanisme de l
UES. 2° Observation d'un cas de lésions destructives anciennes du
lobe
temperal gauche chez un individu gaucher qui pend
res du matin. Autopsie le 5 janvier 1892. La partie postérieure des
lobes
inférieurs des deux poumons est le siège d'une
eines sont fortement dilatées, surtout vers la convexité et dans le
lobe
frontal, au niveau de la scissure de Rolando. I
ostérieure du corps calleux et ayant proliféré dans la substance du`
lobe
occipital droit/ D'avant t en airière, la tumeu
, du sillon cal- loso-marginal, dépasse en haut de 2 centimètres le
lobe
occipital, comprime les tubercules quadrijumeau
e vraie, en ce qui touche la région occi- pitale. Mais au niveau du
lobe
frontal,, la cicatrice qui avait rem- placé une
psie; altération de la substance blanche et de 'l'écorce \ des deux
lobes
temporaux (ramollissement presque fluc- tuant)
de mal de Bright.' 'Autopsie : les parties ./supérieures des deux'
lobes
temporaux sont affaissées, molles, jau- nâtres.
s; l'absence des por- tions centrales du cerveau, et l'atrophie des
lobes
, spécialement le frontal et l'occipital. L'exam
voir les parties les plus importantes; on peut alors distinguer les
lobes
frontal, occipital, pariétaux et temporaux et les
secondaires apparaissent entre le cinquième et le sixième mois; le
lobe
occipital couvrirait le cervelet au sixième moi
resque tous les principaux replis de l'hémisphère sont visibles, le
lobe
frontal s'allonge, la scissure de Sylvius se ré
men qu'il a fait après la mort sur un cas d'adulte, chez lequel les
lobes
occipitaux étaient défectueux et où il y avait
neuroformatif du volume d'une orange, parti de la face interne du
lobe
frontal gauche. Compression cérébrale; atrophie p
du cerveau; dégéné- nescence des fibres de la substance blanche du
lobe
frontal gauche et du faisceau d'association sou
'3phé- UN CAS DE GLIOME NEURO-FORMATIF. 277 7 rique au niveau des
lobes
frontaux, on tombe immédiatement sur une tumeur
située sur la ligne médiane à un centi- mètre du bord antérieur des
lobes
frontaux. Cette tumeur, qui a l'aspect d'une ci
ur toute sa périphérie, mais elle adhère intimement à l'écorce du
lobe
frontal par sa partie la plus saillante. A gauche
g, la tumeur pénètre en arrière et en dehors dans le noyau blanc du
lobe
frontal, sans atteindre le corps strié (fig. 13
iquée suivant la ligne . aa' de la figure 13 ; compression des deux
lobes
frontaux. UN CAS DE GLIOME NEURO-FORMATIF. 279
n détruisant la faux du cerveau à ce niveau. Les centres blancs des
lobes
frontaux sont très fortement aplatis; les circo
LINIQUE NERVEUSE. l'aplatissement subi par le centre blanc des deux
lobes
frontaux, la destruction par le néoplasme de l'
ssion directe subie par le reste de l'écorce de la face interne des
lobes
frontaux droit et gauche, la compression généra
coupes portant sur des circonvolutions isolées. Le centre blanc du
lobe
frontal droit, quoique comprimé, ne pré- sente
es évidentes de dégénérescence dans toute la partie antérieure du
lobe
frontal qui est respectée par la tumeur; dans ce
est com- prise entre la tumeur et l'écorce de la face orbitaire du
lobe
fron- tal, la dégénérescence est moins accentué
ence de la des- truction de leur lieu d'origine, la face interne du
lobe
frontal UN CAS DE GLIOME NEURO-FORMATIF. 289
s entre elle et l'écorce ; on en retrouve encore des traces dans le
lobe
temporal où les fibres longitudinales, qui occupe
gauche qu'à droite. Ainsi donc, en résumé, la substance blanche du
lobe
frontal gauche a subi, autour de la tumeur, une
nce montre que ce faisceau d'association part de la face interne du
lobe
frontal, cède ses fibres tout le long de son traj
ouches dans les diverses régions de l'écorce céré- brale. Dans le
lobe
frontal gauche toute la région antérieure ne con-
euxième couche. Il en est de même au niveau du cap de Broca. , Le
lobe
frontal droit, d'une façon générale, subit une lé
opposé. La lésion est beaucoup plus marquée à la face interne de ce
lobe
, au niveau des points directement comprimés et ad
est pas régulière, mais est répartie sous forme de plaques. Dans le
lobe
pariétal la lésion redevient plus intense; à gauc
n redevient plus intense; à gauche, dans la partie antérieure de ce
lobe
, on ne trouve presque plus de fibres dans la pr
QUE NERVEUSE. assez mal fournies. Dans la par- tie postérieure du
lobe
pariétal la lésion est encore plus avancée. A
autant qu'à gauche dans la région pariétale postérieure. Dans le
lobe
temporal la lé- sion est à son maximum dans l
resque com- plètement disparu, même dansles sillons, à gauche. Le
lobe
droit est moins altéré. Enfin en arrivant dan
gauche. Le lobe droit est moins altéré. Enfin en arrivant dans le
lobe
occipital, on retrouve encore une atrophie tr
plus faible à droite, est beau- coup moins intense que celle du
lobe
pariétal; elle est pourtant plus forte que cell
couches de l'écorce. UN CAS DE GLIOME l'OEUH.O-FOlOIATIl'. 293
lobe
frontal la lésion est à son maximum; elle diminue
i semble jouir d'une immunité particulière, pour reparaitre dans le
lobe
pariétal et s'atténuer de nouveau dans le lobe
r reparaitre dans le lobe pariétal et s'atténuer de nouveau dans le
lobe
occipital, le plus éloigné de la cause de compr
lobe occipital, le plus éloigné de la cause de compression. Dans le
lobe
temporal la pointe, pro- tégée par le rebord de
ome neuro-formatif, comprimant directement la face interne des deux
lobes
frontaux et indirec- tement le cerveau tout ent
la nature de la tumeur. La démence est le fait de l'altération des
lobes
frontaux, que l'on regarde unanimement comme le
lètement ne représente qu'un petit territoire de la face interne du
lobe
frontal gauche, l'extrémité antérieure de l'our
térieure de l'ourlet; par contre tout le reste de l'écorce des deux
lobes
frontaux a conservé l'intégrité de ses éléments
D'autre part, la subs- t 294 CLINIQUE NERVEUSE. tance blanche du
lobe
frontal droit est 'complètement intacte, quoiqu
ntal droit est 'complètement intacte, quoique déformée, et celle du
lobe
frontal gauc ! le,st SJ11Q p,our la bonne moiti
e que dans beaucoup de ces lésions traumatiques, même étendues, des
lobes
frontaux, on n'a pas constaté l'apparition d'un
ment de caractère et d'humeur dans huit cas de lésions variées des
lobes
frontaux. 1 D'autre part, on sait l'importance
dent souvent avec des îlots de substance grise dans l'épaisseur des
lobes
cérébraux, sans connexions avec l'écorce. Tùngc
des convulsions épileptiformes. Le plan supérieur est formé par les
lobes
préfrontaux; il renfermeles centres moteurs les
de la pre- mière frontale gauche, de la circonvolution de Broca, du
lobe
fron- tal, de la frontale ascendante droite, de
u lobe fron- tal, de la frontale ascendante droite, de la pointe du
lobe
occipi tal droit, de la première temporale gauc
de fibres tangentielles épaisses. La première frontale gauche et le
lobe
occipital droit possèdent une abondance considé-
te que celle de Baillarger qui bien souvent apparaît double dans le
lobe
frontal. P. KERavAL. XXXII. LES expériences f
e, les centres optiques primitifs (infra-corti- caux), dépendent du
lobe
occipital correspondant, puisque les lésions en
ns encéphalomalaciques, hydrocéphaliques, traumatiques ou autres du
lobe
occipital, entraînant des dégénérescences secon
de ces organes. La dégénérescence secondaire part du point lésé du
lobe
occipital et se propage par la substance blanch
rniers dépend de la différence de localisations des lésions dans le
lobe
occipital. La dégénérescence secondaire est en
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 403 Le; segments antérieurs du
lobe
pariéto-orcipital, c'est-à-dire du lobule parié
que sont en relation avec les parties corticales de la pointe du
lobe
occipital ; celles qui sont plus antérieures, son
x dans l'épilepsie. R. M.-C. XLII. Tumeur cérébrale intéressant les
lobes
frontaux; par A. HILL Griffitu et T. STEELE She
s circonvo- lutions de la convexité sont aplaties. En soulevant les
lobes
fron- taux, on aperçoit le bord antérieur d'une
tant comme forme que comme volume, à un cervelet, insinué entre les
lobes
frontaux; elle était en effet divisée par un si
cun avait largement creusé sa place dans la substance blanche du
lobe
frontal correspondant. On put assez facilement én
.) ? . En détruisant l'écorce grise de la région qui correspond- au,
lobe
temporal, on supprime le goût du côté opposé. E
nsacrée à la fonction.olfactive. Chez les mammifères osmatiques. le
lobe
olfactif et l'espace quadrilatère de Broca, se
au cerveau, moyen.1 Le renflement olfactif est relié à l'écorce du
lobe
olfactif et de la corne d'Ammon parles bandelet
..tractus blanc spécial,qui,s'enfonçantidansla substance blanche du
lobe
olfactif et delà1 région- olfactive, .gagne, l'éc
ion- olfactive, .gagne, l'écorce de la corne en question.- Les deux
lobes
: olfactifs sont'reliés entre eux par.lesifibre
même commissure réunissent, entre. eux les territoires latéraux du
lobe
temporal ;.les lobes limhiquessont également unis
nissent, entre. eux les territoires latéraux du lobe temporal ;.les
lobes
limhiquessont également unis' par des trousseau
nfectieux par Grasset, 502. Temporaux, contribution à l'étude des
lobes
-, par Seppili, 55. Tiiomsen (maladie DE), para
'du'cer- ''veau; par Raymond, 273;cere- . C braie intéressant les
lobes
frontaux, 4t par Griffitli et Steele Sheldon, 4
instrument de musique. L'oreille a une partie « insensible dans le
lobe
(vers l'extérieur de l'oreille). Cela est dû «
tous les sens au niveau de la loge moyenne, la partie antérieure du
lobe
temporal qui s'introduit sous la petite aile du
ors de doute, par exemple le cas de R ? chez .lequel l'atrophie des
lobes
frontaux a laissé un large Fig. 10. 42 ' ANAT
nt quelques symptômes de localisation, selon quela tumeur occupe le
lobe
médian, les lobes latéraux, les pédoncules céré
ômes de localisation, selon quela tumeur occupe le lobe médian, les
lobes
latéraux, les pédoncules cérébelleux moyens, ou
phénomènes de compression suivent la même loi : pour les tumeurs du
lobe
mé- dian et du vermis, les troubles occupent le
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XV. Sur les manifestations des tumeurs du
lobe
occipital et du . lobe temporo-sphénoidal ; par
XV. Sur les manifestations des tumeurs du lobe occipital et du .
lobe
temporo-sphénoidal ; par H. Duret. .M. Duret ét
uret étudie la manifestation la plus caractéristique des tumeurs du
lobe
occipital, Y hémianopsie latérale homonyme. Ce
ou à des hémiplégies et des hémianesthésies. Quant aux tumeurs du
lobe
temporo-sphénoïdal, elles peuvent produire de l
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXI. Un cas de sclérose symétrique des
lobes
occipitaux; par Marchand. (IVO2GU. ICO)20g7'. d
euses. A l'autopsie on constate une sclérose de toute l'étendue des
lobes
occipitaux avec maximum au niveau des scissures
ssements et photophobie. A l'autopsie, kyste dermoïde volumineux du
lobe
frontal droit, nodules analogues des méninges m
ées. Par contre, les ascendantes, les frontales de la convexité, le
lobe
occipital, le coin. la corne d'Ammon, une parti
basilaire. A l'autopsie, on ne trouva qu'une tumeur volumineuse au
lobe
préfrontal gauche. L'augmen- tation de pression
vants) sont étendues aux deux hémisphères, avec un maximum dans les
lobes
occipitaux et le pôle frontal. Elles vont en dé
roissant dans le pli courbe, les circonvolutions rolandiques et les
lobes
temporaux. La destruction des éléments cellulai
s. Les méninges molles sont manifestement épaissies au niveau des
lobes
frontaux, sans adhérences, sans lésions tubercule
cer- tains phtisiques dans les lésions destructives des cellules du
lobe
frontal, et parce qu'elle permet de rapporter c
la plus limitée de la rétine, se trans- mettant jusqu'à l'écorce du
lobe
occipital, doit se diffuser sur un grand espace
erveau, de l'hy- drocéphalie interne, un coeur gras, une embolie du
lobe
inférieur du poumon droit, la dégénérescence gr
scope, on constate des apoplexies capillaires très pressées dans le
lobe
occipital, isolées dans le lobe frontal. Dilata-
s capillaires très pressées dans le lobe occipital, isolées dans le
lobe
frontal. Dilata- tion extrême dans le lobe fron
cipital, isolées dans le lobe frontal. Dilata- tion extrême dans le
lobe
frontal des espaces lymphatiques péri- REVUE D'
re cérébrale antérieure qui irrigue la province si importante des
lobes
frontaux : proportion : 22,3 p. 100. Elles sont '
tive et de l'affaiblissement mental. Elle doit tenir aux lésions du
lobe
pariétal, car les singes auxquels Munk et Schae
e pariétal, car les singes auxquels Munk et Schaefer excisent de ce
lobe
offrent exactement le même syndrome. Ils voient
ence de la surdité verbale pure dans le cas de lésion bilatérale du
lobe
temporal n'est pas prouvée, qu'elle est simplem
particulière. ' Autopsie. Glio-.<(t1'come ayant envahi tout le
lobe
pariétal droit et arrivant jusqu'aux méninges s
lles il adhère fortement. La tumeur se prolonge dans l'intérieur du
lobe
frontal au-dessous du ventricule latéral. Cette
r- 1 être en avant à trois centimètres de l'extrémité antérieure du
lobe
frontal et en arrière au niveau d'une ligne pas
Centrals, XXi, ID02.) Un idiot privé de la presque totalité de son
lobe
temporal et de son lobe occipital a cependant c
n idiot privé de la presque totalité de son lobe temporal et de son
lobe
occipital a cependant conservé son faisceau longi
nférieur : il est facile de voir qu'il va du pôle occipital, non au
lobe
temporal, comme le prétendent les auteurs qui en
PHYSIOLOGIE pathologiques. 399 coin. Les antres circonvolutions du
lobe
occipital ne sont munies de fibres myéliques qu
473 antérieure, de la cérébrale postérieure. Les faces internes des
lobes
frontaux sont accolées l'une à l'autre. Le bu
RECUEIL DE FAITS. . très diminuées sans être sclérosées. Tout le
lobe
temporal est atteintde sclérose ve1'micellée. E
llée. En résumé la lésion forme un demi- cercle, comprenant : 10 le
lobe
frontal ; 2° le lobe temporel; 3° les plis pari
sion forme un demi- cercle, comprenant : 10 le lobe frontal ; 2° le
lobe
temporel; 3° les plis pariétaux inférieur et su
ressant les circonvolutions frontale et pariétale ascendantes et le
lobe
pariétal (Soc. Anatomique, 1876, p. 558) , - No
satrice des os du crâne répondant à une atrophie considé- rible des
lobes
frontaux). , Les détails que nous avons donnés
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE ' PATHOLOGIQUES. XCI. Gliome volumineux du
lobe
frontal gauche; destruction presque complète de
on intéressante dans laquelle l'évolution d'un gliome volumineux du
lobe
frontal gauche a été presque complètement laten
e la ligne de la scissure longi- tudinale, d'où le résultat que les
lobes
frontaux étaient anormale- ment grands. Environ
pitale, étaient visibles sur la surface externe. Hémisphère gauche.
Lobe
frontal : circonvolution frontale ascendante as
trophiée, les sillons par conséquent baillanls et très irréguliers.
Lobe
pariétal : la circonvolution ascendante, comme
me l'étaient aussi les deux divisions du lobule pariétal inférieur.
Lobe
occipital : circonvolutions petites et irrégu-
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. la partie antérieure du
lobe
il y avait une constriction marquée qui rejetai
constriction marquée qui rejetait en saillie la portion occipitale.
Lobe
temporo-sphénoïdal gauche : circonvolution supé
t moyenne au-des- sous du développement normal. Hémisphère DROIT.
Lobe
frontal : circonvolution ascendante bien marqué
al : circonvolution ascendante bien marquée, tandis que le reste du
lobe
était à peu près nette- ment différencié, (par
s 3 circonvolutions frontales, qui toutes étaient bien développées.
Lobe
pariétal droit : circonvolutions et sillons nor
és avec la région correspondante du côté gauche, bien développés.
Lobe
occipital droit : circonvolution moyenne particul
oyenne particulièrement bien développée.'Toutes.les divisions de ce
lobe
montraient leurs rapports avec les lobes pariét
'Toutes.les divisions de ce lobe montraient leurs rapports avec les
lobes
pariétal et temporo-sphénoïdal, très claire- me
t, courte revue bibliogra- phique. Noter comme signes de tumeur des
lobes
frontaux : la raideur de la nuque, la stupeur,
les centres moteurs et les centres du langage, particulièrement le
lobe
temporal. A l'autopsie, on trouva, en effet, un r
sur l'hémi- sphère droit, qui consistaient en un ramollissement du
lobe
tem- poral droit, des premières et deuxièmes fr
remières et deuxièmes frontales, ainsi que de la face inférieure du
lobe
frontal, expliquaient au contraire les troubles
ques épileptiformes. Or l'autopsie montre un foyer d'hémorrhagie du
lobe
frontal gauche, rompu sous les mé- ninges qui é
pli sinueux, F", faisant une saillie notable sur le plan de F' LP,
lobe
paracentral. CCC, pli doublant la circonvolution
ée par le trigone Tg et le septum lucidum; il aboutit en arrière au
lobe
paracentral. Tgp, pilier postérieur du tri- gon
mporale très marquée. -, CII, circonvolution de l'hippocampe, - LQ,
lobe
carré. C, coin. - LO, lobe occipital. L, f, lobe
I, circonvolution de l'hippocampe, - LQ, lobe carré. C, coin. - LO,
lobe
occipital. L, f, lobe fusiforme très volumineux
'hippocampe, - LQ, lobe carré. C, coin. - LO, lobe occipital. L, f,
lobe
fusiforme très volumineux. T', troisième tempor
sième temporale. Planche VIII. Hémisphère droit : face convexe. LF.
lobe
frontal; toutes ses circonvolutions sont attein
s ont disparu, d'où une surface plane, d'aspect un peu vitreux. LT,
lobe
temporal, dont les circonvolutions sont extrême-
P', lobule pariétal supérieur. - P'- lobule pariétal inférieur. LO,
lobe
Qccipital. Planche IX. Hémisphère cérébral droi
lon de Rolando, SR. Planche X. Hémisphère droit : face interne. LF,
lobe
frontal. F'. portion de la première frontale ou
tal. F'. portion de la première frontale ou frontale interne. - LP,
lobe
para- central. ' CCC, circonvolution du corps c
ule cérébral. Planche XI. Hémisphère droit : face inférieure. LO,
lobe
orbi- taire. LT, lobe temporal composé de circo
e XI. Hémisphère droit : face inférieure. LO, lobe orbi- taire. LT,
lobe
temporal composé de circonvolutions très atrophié
LT, lobe temporal composé de circonvolutions très atrophiées. - LO,
lobe
occipital. · Le rédacteur-gérant : Bourneville.
. Le sur la te- neur en sucre du -, par Lannois et Boulud. 487.
Lobe
. Voir Tumeurs. - Voir Sclé- rose. Localisatio
et de la thérapeutique ; par Gerhardt, +la. Gliome volumineux du
lobe
fron- tal gauche ; amélioration par la - , pa
9. Sclérose en plaques. Voir Cezaelet. Un cas de - symétrique des
lobes
occipitaux, par Marchand, 68. en plaques chez
ons des du cervelet, par Duret, 64. Sur les manifestations des du
lobe
occipital et du lobetemporo-spté- noidal, par
ment ne surnage pas. On fait sourdre un sang noir à la pression. Le
lobe
moyen est splénisé; la base gauche est seulemen
pli de liquide; l'atrophie porte surtout sur les circonvolutions du
lobe
occipital. L'hémis- phère droit pèse 555 gramme
ité moyenne, mais chez le premier nous avons trouvé une atrophie du
lobe
cérébral gauche et de la splénisation pul- mona
s et les sillons adjacents des deux côtés, ainsi qu'à la surface du
lobe
frontal droit. Hémisphère gauche congestionné, le
PATHOLOGIQUES. IV. Note sur la valeur, intellectuelle comparée des
lobes
céré- braux antérieurs et postérieurs, par CIio
of Mental Science, avril 1898 ) , Suivant la doctrine actuelle, les
lobes
pariétaux sont occupés par les centres moteurs
upés par les centres moteurs de Ferrier et d'autres auteurs, et les
lobes
temporo-sphénoïdaux par les centres de sensibil
par les centres de sensibilité spéciale. La plus grande partie des
lobes
antérieurs (frontaux) et postérieurs occipitaux
rontaux) et postérieurs occipitaux) demeure ainsi disponible. Les
lobes
antérieurs ont été choisis comme le siège de l'in
de l'intelli- gence sur des preuves un peu minces ; les droits des
lobes
posté- rieurs à cette fonction élevée reposent
rs ordres de preuves qu'il a énumérés. Preuves biologiques. - Les
lobes
occipitaux apparaissent tard chez les vertébrés
s et plis de passage. Dans les cerveaux à évolution supérieure, les
lobes
occipitaux deviennent plus profonds, plus plein
es. - Dans les races humaines intellectuelle- ment inférieures, les
lobes
occipitaux sont petits. Preuves Urées,du dévelo
u développement. Chez l'individu, comme dans l'échelle animale, les
lobes
occipitaux apparaissent tardivement, obéissant
t proportionnels au degré de rapprochement entre la lésion et les
lobes
occipitaux, ainsi que l'avait déjà montré Dax. En
erveau des déments chroniques, il y a une atrophie considérable des
lobes
occipitaux. . ' `s1 t`2,11w,.... REVUE D'ANAT
l a entendu discuter c'est la valeur intellectuelle comparative des
lobes
antérieurs et des lobes poslé- rieurs, et la fr
st la valeur intellectuelle comparative des lobes antérieurs et des
lobes
poslé- rieurs, et la fréquence avec laquelle la
penche lourdement en faveur de la prédo- minance intellectuelle des
lobes
postérieurs. - Il. DE 1\1 VSG RAVE-CU Y. ' V.
ans et meurt de fièvre typhoïde. Autopsie. Sclérose névroglique des
lobes
occipitaux, temporaux et pariétaux ; gliose sous-
OLOGIE PATHOLOGIQUES. 145 - En outre, dans la substance blanche des
lobes
temporaux, pariétaux, occipitaux, frontaux, ain
GIE PATHOLOGIQUES. 151 régions attaquées de préférence sont : a) le
lobe
olfactif et la partie inférieure du lobe limbiq
de préférence sont : a) le lobe olfactif et la partie inférieure du
lobe
limbique ; 6) le lobe temporal, et c) la zone m
) le lobe olfactif et la partie inférieure du lobe limbique ; 6) le
lobe
temporal, et c) la zone moléculaire dans tous l
ique ; 6) le lobe temporal, et c) la zone moléculaire dans tous les
lobes
; à tous les degrés de l'éthé- risation la majeu
est recou- verte sur sa face interne de néo-membranes au niveau des
lobes
frontaux, des fosses temporales et de la face d
es nouveaux accidents constaté l'hémianopsie.- A la face interne du
lobe
occipital droit 1 occupant tout le cunéus le lo
gion du corps) de 24hydatides dont six étaient situés dans les deux
lobes
temporaux. Cette observation est intéressante à
sie sont très rares; ' l'existence d'une lésion symétrique des deux
lobes
temporaux con- firme la constatation clinique.
es seize cas qu'il a observés se décomposent ainsi : 1° Gliome du
lobe
frontal droit. Mort. Autopsie ; 2° Sarcome mult
gauche. Mort. Autopsie; . / ' - 14° Nodules tuberculeux dans les
lobes
droit et gauche du cer- velet. Mort. Autopsie;
bes droit et gauche du cer- velet. Mort. Autopsie; ' 15" Kyste du
lobe
droit du cervelet. Mort. Autopsie ; 16° Abcès d
15" Kyste du lobe droit du cervelet. Mort. Autopsie ; 16° Abcès du
lobe
gauche du cervelet. Mort. Autopsie. Nous résumo
ciput, surtout quand la tumeur , intéressait soit la base, soit les
lobes
occipitaux ou temporaux, soit le cervelet. La
semble équivaut à une petite noix. On en sent un autre au niveau du
lobe
occipital gauche. A droite, on sent une petite
oiques sont transparentes. La partie de la poche correspondant aux
lobes
frontaux est d'une minceur extrême, aussi s'est-e
y avoir de substance cérébrale. La partie des poches qui répond aux
lobes
pariéto-temporo-sphénoïdaux est plus épaisse et
es, et des parties jaunàtles, plus épaisses, non transparentes. Les
lobes
occipitaux et tempo- rccux sont bien dessinés.
ntes. Les lobes occipitaux et tempo- rccux sont bien dessinés. Le
lobe
lemporo-sphénoïdal droit est transformé en un kys
n kyste tout à fait transparent, ainsi que la plus grande partie du
lobe
octi- pital. Il en est de même du lobe correspo
que la plus grande partie du lobe octi- pital. Il en est de même du
lobe
correspondant du côté gauche, sauf un épaississ
uf un épaississement à sa pointe, d'environ un centimètre carré. Le
lobe
occipital gauche offre, dans sa moitié postérieur
e les deux hémisphères cérébraux, on voit qu'à gauche, au niveau du
lobe
frontal, les méninges molles sont doublées de q
semble pas y avoir de fragments de circonvolution. En arrière, le
lobe
occipital persiste avec des circonvolutions qui o
ne forme. Sur la face interne de l'hémisphère droit, au niveau du
lobe
frontal, il y en a moins qu'à gauche, mais les
ence capillaire. A la partie moyenne, même aspect qu'à gauche. Le
lobe
occipital n'est plus reconnaissable, en tant que
re un grand kgste qui représente alors toutes les circonvolutions :
lobes
parié- tal, rolandique, frontal, temporal et la
rié- tal, rolandique, frontal, temporal et la plus grande partie du
lobe
occipital, le ventricule latéral, le corps opto
droit. Sauf quelques points de détail (disparition plus complète du
lobe
occipital, épaississement plus ou moins marqué
res nerveuses. Mais si l'on observe les points (portion interne des
lobes
occi- pitaux) où la substance nerveuse est enco
êt d'humanité à agir partout de même. CLINIQUE NERVEUSE. Abcès du
lobe
temporal droit du cerveau d'origine inconnue ;
ntense sous localisation fixe avec prédominance du côté de ABCÈS DU
LOBE
TEMPORAL DROIT DU CERVEAU. 291 la nuque. La per
uque, au point où pendant la vie on avait noté Fig. 9. z ABCÈS DU
LOBE
TEMPORAL DROIT DU CERVEAU. 297 de l'empâtement
nées. Léger oedème cérébral au niveau de la partie supérieure du
lobe
frontal gauche. En somme, à première vue et revêt
e lésion. 1 Après décortication, l'attention est attirée du côté du
lobe
tem- li. l0. - t : oupe frontale. - .298 CLIN
cette région et par conséquent dans toute la partie postérieure du
lobe
temporal, l'aspect est violacé et au niveau de 'P
sue à environ la centimètres Fi. ll. - Coupe Lor,zoWale. ABCÈS DU
LOBE
TEMPORAL DROIT, DU CERVEAU. 299 9 d'un pus jaun
issu cérébral ramolli ; les lésions ne dépassent pas les limites du
lobe
temporal droit. Quant aux cir- convolutions qui
des ventricules laté- raux ainsi qu'à la partie postéro-externe du
lobe
frontal. Dans la région la plus reculée de T3 e
reconstituer la physiologie pathologique de ce cas clinique : Le
lobe
temporal droit, siège de l'abcès, se trouvant tro
ause la destruction des fibres acous- tiques qui se rendent dans le
lobe
temporal. Sur la notion de l'étiologie de ces a
'origine otique de» abcès du cerveau et principalement des abcès du
lobe
temporal; depuis quelques années surtout, dans
elui de méningite tuberculeuse; à l'autopsie, on trouva un abcès du
lobe
temporal droit et une méningite suppurée de la
tement une attaque de grippe, deux ans et demi avant les ABCÈS DU
LOBE
TEMPORAL DROIT DU CERVEAU. 301 L premiers signe
et à l'autopsie de laquelle on trouva un ramollissement de tout le
lobe
tem- poral droit sans dégénération secondaire.
et Pitres soit de nature à faire penser que l'on puisse vivre sans
lobe
tem- poral droit. Une intervention chirurgicale
les lésions circonvoisines et en quelque sortes diffusées dans le
lobe
, nons voyons que notre abcès ne remplissait pas l
ces différences sont exactement semblables des deux côtés pour les
lobes
frontaux et occipitaux. Dans les deux hémisphèr
Mi Touciic présente deux cerveaux atteints, l'un d'une lésion du
lobe
temporal ayant entraîné de la surdité verbale ave
occipi- tale à la percussion) il doit s'agir d'un processus aigu du
lobe
moyen de cet organe. N P. KERAVAL. L. Parésie
urgien-dentiste. - Z, - R. C. XLVI. Un cas d'abcès traumatique du
lobe
frontal; J. CONA. (Ibid.) - Traumatisme remonta
ns de la base étaient atrophiés, surtout dans la couche optique. Le
lobe
cérébelleux du côté opposé à la lésion (c'est-à
llules nerveuses, et lésions vasculaires dans la substance grise du
lobe
frontal. - On chercha immédiatement la dégénéra
s lésions ana- tomiques présentaient une diffusion uniforme sur les
lobes
cérébraux de nature à exclure d'emblée l'idée d
Le rédacteur-gérant : l3ouwevu.La. TABLE DES -MATIÈRES Abcès du
lobe
temporal droit du cerveau, par Lagnfi'e, 289. -
erveau, par Lagnfi'e, 289. - du cerveau, par l'iïell7s. 311. - du
lobe
frontal par Cône, Oi. ACRO\IÉG.1LIE avec autops
et Crouzon, In7. Cérébraux. Valeur intellectuelle comparée des
lobes
, par Cro- Gllley-Clalaam, 13G. Cerveau. Cont
'nl 'ItT "'f'«'La plus'ratidelnreur du'lolle`frotital,'83 mi]).; du
lobe
tem- 'p'oral, '98 'milr ? du'lobe occipital, 73
lolt`guéilutdu'lôliëlfroiiLUl,'(i8,7 : i;rdu'lobe pariétal;1 M,12; du
lobe
occipital,' 11,96 ;'Iargeu ? dú"Joh81 frontal ?
'faveur'dé la- négresse, ^longueur du'lobe' pa- riétal, 7,74, et du
lobe
occipital, G,9 : ;i largeur du lobe temporal, 4
u'lobe' pa- riétal, 7,74, et du lobe occipital, G,9 : ;i largeur du
lobe
temporal, 43;G ? et'du lobe' occipital, 3,83 :
l.J'1tHf P a·n 1`II h 91'Jb2 i'i13 L dlil,U7 ? 1J ? ·.yyyWS4 . Les
lobes
frontaux son l aplabs, 'très allongés,1 irregu]ie
n frontale (F 1), des deuxt'éfité`s,ocüpé'lë'plu's grande partie du
lobe
frontal, de sorte que les autres circonvolu- ti
artie du lobe frontal, de sorte que les autres circonvolu- tions du
lobe
semblent refoulées et atrophiées à son avantage ;
avant, s'arrête un peu plus d'un centimètre, du.bord. antérieur du
lobe
temporal, et, en arrière,, dans la portion antéri
ès long qui, en avant, s'étend presque jusqu'au bord anté- rieur du
lobe
temporal, et, en arrière, se bifurque en deux bra
Demoiselle de, trente ans; saillie anormale au côté droit du cou :
lobe
droit' du corps, thyroïde très volumineux. Les
ndividu soit en déficit d'un nerf auditif, tel autre d'une série de
lobes
cérébraux de par les arrêts du hasard. L'examen
, ' 4 un territoire non' 'délimité 'parles autenrs; ''J *» 3 les
lobes
ironiaux; 1a- : zit : cz 2 si » z ' > * 5 la
llon de Rolando ? ? ' 12 la convexité des hémisphères; ,. . 5 les
lobes
temporaux. t , , t5S BIBLIOGRAPHIE. Quand la
lusieurs ca- vernes du volume d'une noix et d'une noisette dans les
lobes
supérieurs des deux poumons. Rien de particul
l'attention et de la concentration de la pensée rési- dent dans les
lobes
frontaux. Or, à l'âge qu'ont nos enfants, ce so
; hémisphère droit, C75 gr. ; hémisphère gauche, 547 gr. Cervelet :
lobe
droit, coupé au ras de la protubérance, 62 gr.
r. Cervelet : lobe droit, coupé au ras de la protubérance, 62 gr. ;
lobe
gauche, 51 gr. L'hémisphère droit est plus volu
51 gr. L'hémisphère droit est plus volumineux. La tuméfaction du
lobe
droit est plus prononcée dans la région frontale.
quide. La tuméfaction de l'hémisphère droit, plus prononcée dans le
lobe
frontal, se fait aussi sentir dans les lobes sp
plus prononcée dans le lobe frontal, se fait aussi sentir dans les
lobes
sphénoïdàl et occipital. Le lobe droit a, en qu
al, se fait aussi sentir dans les lobes sphénoïdàl et occipital. Le
lobe
droit a, en quelque sorte, pénétré dans le lobe
àl et occipital. Le lobe droit a, en quelque sorte, pénétré dans le
lobe
gauche. En ar- rière, cependant, l'adhérence es
ement, sans épaississement des parois. Les cellules ner- veuses des
lobes
frontaux, temporaux et occipitaux des deux hémi
Cette différence était surtout très marquée dans toute l'étendue du
lobe
frontal. La substance blanche des circonvolutio
cerveau d'un homme de soixante et un ans, présentant une lésion du
lobe
frontal droit (pas de localisation de la lésion
face inférieure du cerveau sont symétriques; les faces internes des
lobes
frontaux sont unies par quelques adhérences. En
iltration cellulaire et a une colo- ration noire-ocreuse. Tout le
lobe
pariétal, et la partie postérieure des circonvolu
ons antérieures du lobule de l'insula, de l'extrémité antérieure du
lobe
temporal, de la face inférieure du lobe frontal
e l'extrémité antérieure du lobe temporal, de la face inférieure du
lobe
frontal, de la face convexe du lobe oc- cipital
poral, de la face inférieure du lobe frontal, de la face convexe du
lobe
oc- cipital et de la face interne des lobes tem
l, de la face convexe du lobe oc- cipital et de la face interne des
lobes
temporo-occipitaux. A la face interne, on trouv
lus marquées, et une atrophie relative de la partie supé- rieure du
lobe
carré, qui limite en dedans le foyer décrit plus
urbe. A la face interne, on note quelques adhérences au niveau du
lobe
carré, du lobe temporal, à la partie antérieure d
ce interne, on note quelques adhérences au niveau du lobe carré, du
lobe
temporal, à la partie antérieure du lobe para-
u niveau du lobe carré, du lobe temporal, à la partie antérieure du
lobe
para- central, à la partie avoisinante de la ir
it, en nous montrant des foyers de méningo-encéphalite au niveau du
lobe
pamcentml et des;cl1'- convolutions frontale et
lleux. F face interne de la première circonvolution frontale. Lq,
lobe
carré. 1 Bourneville et Wuillamié. Archives de
space nom- bre de cellules normales de la substance grise. C'est Je
lobe
frontal, à l'exception de la troisième circonvo
ération.' 'Celle-ci consiste en un' infundilntluni'qui,'partant'diI
lobe
de Bctzspénôlrc dans ia'profohdeur sans'gag'ner
ningo-encéphalite, surtout au niveau de 1'hémi-phèrc droit dans les
lobes
pariétaux. Le micros- cope décèle l'existence W
antité de noeuds durs, de différente grandeur, dissé- menés dans le
lobe
inférieur du poumon gauche ou réu- nis en masse
lobe inférieur du poumon gauche ou réu- nis en masse durcie dans le
lobe
supérieur du poumon droit. Les parties endurcie
tale de l'hémisphère gauche immédiatement sous l'opercule. L. f.,
Lobe
frontal. L. t., Lobe temporal. L. oc., Lobe o
uche immédiatement sous l'opercule. L. f., Lobe frontal. L. t.,
Lobe
temporal. L. oc., Lobe occipital. Se. S. Scis
l'opercule. L. f., Lobe frontal. L. t., Lobe temporal. L. oc.,
Lobe
occipital. Se. S. Scissure de Sylvius. lits.,
oit Il 919 centimètre environ plus haut que la précédente. L. f.,
Lobe
frontal. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE
Lobe frontal. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 375 L. oc.,
Lobe
occipital. Se. S. a., Rameau ascendant de la sc
émisphère droit il un centimètre plus haut que la seconde. L. f.,
Lobe
frontal. L. oc., Lobe occipital. Se. pn.. Sci
ntimètre plus haut que la seconde. L. f., Lobe frontal. L. oc.,
Lobe
occipital. Se. pn.. Scissure proecentrale. C.
gauche à 112 eentimètre environ plus haut que la troisième. L. ?
Lobe
frontal. C. c. c., Circonvolution du cops calle
isphère droit il 1l centimètre plus haut que la quatrième. L. f.,
Lobe
frontal. S. f. ? Sillon frontal Ia. 376 REVUE
eure. Sc. S., Scissure de Sylvius. lus., Insula de Reil. L. t.,
Lobe
temporal. A. m., Avant-mur. N. 1., Noyau lent
stives, portaient, soit, comme dans les expériences de Munk, sur le
lobe
occipital exclusivement (obs. 1), soit sur le lob
de Munk, sur le lobe occipital exclusivement (obs. 1), soit sur le
lobe
temporo- occipital (obs. II). L'ensemble des at
moment, la perception est abolie, M. Stenger tend à admettre que le
lobe
occipital renferme deux centres : l'un situé à la
UE DE PATHOLOGIE MENTALE. K)3 il reste au surplus indéterminé '. Au
lobe
occipital serait égale- ment dévolu l'hémianops
), seulement les couches optiques, les tubercules mamillaires et le
lobe
pariétal participaient aussi dans ces faits aux
complète du lobule de l'izsula et de la troisième circonvolution du
lobe
frontal du coté droit, avec conservation du langa
ux. Fez, face interne de la première circonvolution frontale. Lq,
lobe
carré. 458 EXPLICATION LIES PLANCHES. PLANCHE
tale de l'hémisphère gauche immédiatement sous l'opercule. L. f.,
Lobe
fruntal. ' L. t., Lobe temporal. L. oc., Lobe
he immédiatement sous l'opercule. L. f., Lobe fruntal. ' L. t.,
Lobe
temporal. L. oc., Lobe occipital. Se. S. Scis
'opercule. L. f., Lobe fruntal. ' L. t., Lobe temporal. L. oc.,
Lobe
occipital. Se. S. Scissure de SUvius. Ins., l
oit it 1/2 centimètre environ plus haut que la précédente. L. f.,
Lobe
frontal. L. oc., Lobe occipital. Se. S. a., R
viron plus haut que la précédente. L. f., Lobe frontal. L. oc.,
Lobe
occipital. Se. S. a., Rameau ascendant de la sc
hémisphère droit à un centimètre plus haut que la seconde. L. f.,
Lobe
frontal. L. oc., Lobe occipital. Se. yr·.. Sc
ntimètre plus haut que la seconde. L. f., Lobe frontal. L. oc.,
Lobe
occipital. Se. yr·.. Scissure prfficentrale.
gauche it tl3 centimètre environ plus haut que la troisième. L. ?
Lobe
frontal. C. c. c., Circonvolution du corps call
phère droit à 1/2 centimètre plus 1 haut que la quatrième. L. f..
Lobe
frontal. S. f, 1., Sillon frontal le,. Se. pu
ure. Se. S., Scissure de Sylvius. Ins., Insula de Ileil. L. t.,
Lobe
temporal. A. 1/t., Avant-mur. , . N. I., Noya
ivions à cette époque les leçons où Broca exposait ses idées sur le
lobe
limbique (publiées depuis dans le Revue d'anthr
, d'après les pièces qu'il avait reçues de nous, sa conception du
lobe
limbique devait être modifiée chez les animaux.
érieure de l'hippocampe) atro- phiées et que, par suite l'étude, du
lobe
limbique est entièrement à refaire d'après des
r Wirbelthiere. Leipzig, 1870. LA CORNE D'AMMON. 25 15 jusqu'au
lobe
olfactif, 01. On trouve, en V, la cavité des ve
l'insula sont le siège d'un ramollissement très étendu qui gagne le
lobe
occipital en arrière. Sur la première coupe tra
r; elle est presque réduite en putrilage, vers le pli sourcilier.
Lobe
pariétal : ramollissement de la pariétale ascenda
ariétale ascendante à son origine, et de la pariétale inférieure.
Lobe
sphénoïdal : ramollissement du sommet de la corne
férieure. Lobe sphénoïdal : ramollissement du sommet de la corne du
lobe
sphénoidal : 1 ro, 2° et 3° temporales presque
que, des accidents gangreneux du décubi- tus, et d'une pneumonie du
lobe
inférieur droit, met un terme à l'affection apr
un mil à celui d'une lentille. Le poumon gauche pré- sente dans son
lobe
inférieur, au niveau de la gouttière costo- ver
ent accès dans une vaste caverne à parois déchiquetées. Le reste du
lobe
est induré; son tissu est comme RECUEIL DE FAIT
quide sanieux, noirâtre et fétide qui s'écoule par les bronches. Le
lobe
inférieur renferme de plus, en outre de quelque
roncho- pneumonie caséeuse, identiques à ceux du poumon droit. Le
lobe
supérieur est intact. Les ganglions péribronchiqu
une dépression considérable au niveau du lobule de l'insula et du
lobe
sphénoïdal. Partout la pie-mère se détache aiséme
xtrémité posténeuie est lésée. P 2, lobule du pli courbe. L. 0,
lobe
oibilaire (face intérieure du lobe Iroutal). ,1
P 2, lobule du pli courbe. L. 0, lobe oibilaire (face intérieure du
lobe
Iroutal). ,11, membrane résultant : 1° des iepl
r a calculé que la diminution se manifeste principalement sur les
lobes
frontaux et occipitaux, assertion qui ruinerait l
longitudinale ou transverse. La con- vexité n'est point séparée en
lobes
. La base seule décèle un lobe postérieur et un
con- vexité n'est point séparée en lobes. La base seule décèle un
lobe
postérieur et un lobe antérieur. Les caractères f
int séparée en lobes. La base seule décèle un lobe postérieur et un
lobe
antérieur. Les caractères frappants de la circo
mpe et de la circonvolution en crochet indiquent l'individualité du
lobe
postérieur ; c'est le lobe temporal, et, par co
n crochet indiquent l'individualité du lobe postérieur ; c'est le
lobe
temporal, et, par conséquent, le sillon qui le li
surplus de se rendre compte du degré d'atrésie des deux régions. Le
lobe
olfactif manque totalement ; il est remplacé pa
cède la couche optique surle plancher ventriculaire. Nulle trace de
lobe
occipital. Il n'existe ni corps calleux, ni com
ux des éléments qui à leur tour en dépen- dent ; telle l'absence de
lobes
occipitaux causée par celle du corps calleux (R
re l'état à peu près parfait des organes visuels et le, manque de
lobes
olfactifs (quatrième à sixième semaine après la f
ui sera publiée in exteîîsol concerne une défectuosité prononcée du
lobe
frontal gauche; l'insula se trouve notamment à dé
cines, l'une centrale, l'autre latérale, toutes deux originaires du
lobe
olfactif, qui se réunissent en un tronc commun et
phides, les coecilies ou les gymnopinons, de chaque côté partent du
lobe
olfactif une racine ventrale et une racine dors
triques. Les hémisphères ne paraissent pas égaux; du côté droit les
lobes
frontal et occipital 3 a se RECUEIL DE faits.
e, hormis au niveau du lobule de l'insula, et des 2/3 antérieurs du
lobe
temporal. La même chose se reproduit sur la fac
frontale, le lobule I)cii@(tceîzt7-(tl, 1'tivait- coin, le coin, le
lobe
occipitahde toute leur substance grise, la- que
la circonvolution du corps calleux, et sur la moitié antérieure du
lobe
temporo-occi- pital. La substance blanche, ains
convolu- tions ascendantes du lobule paracentral/ de l'extrémité du
lobe
occipital, et de la face interne du lobe tempor
central/ de l'extrémité du lobe occipital, et de la face interne du
lobe
temporal. Mais on n'en- traîne que des fragment
ro-Iatérales au sommet du pou- mon droit qui est liépatisé dans son
lobe
inférieur ; le gauche n'est que congestionné et
u moins profondes de la substance grise. Il en était de même sur le
lobe
temporo-sphéno'idal droit. (PL. VIL) Mais, et c
yons MM. Ferrier et Yeo placer leur centre visuel à la fois dans le
lobe
occipital et dans le gyrus angulaire, tandis qu
al et dans le gyrus angulaire, tandis que M. Munk le limite dans le
lobe
occipital seul. M. Munk, MM. Lucianni et Tambur
ut déterminer une amblyopie croisée temporaire, que l'ablation d'un
lobe
occipital peut ne produire aucun trouble visuel
equel le trouble visuel est en rapport avec une lésion corticale du
lobe
occipital, tou- jours il s'agit de lésions siég
te une relation entre l'hémianopsie et les lésions très étendues^du
lobe
occipital. D'autre part, un fait de M. Hujuenin
les semblent aussi pouvoir être déterminée par certaines lésions du
lobe
occipital (fait de Petrina). Quant à l'hémianop
parallèlement, ou à peu près, aux fibres du pédoncule cérébral. Du
lobe
occipital du cerveau on voit partir quatre grou
isées dans l'autre ; cependant il est cer- taines variétés dans les
lobes
pariétaux et temporaux qui semblent rester tout
nerf optique par l'impression d'une idée mentale, et considère les
lobes
optiques comme le centre réflexe com- mun à ces
it. Si l'on rapproche ce fait de la localisation du langage dans le
lobe
frontal gauche, on est en droit d'admettre, d'u
e le champ absolu du membre supérieur siège a la face inférieure du
lobe
sphénoïdal, celui de <'/t.)o<o&'6'(; da
rieure du lobe sphénoïdal, celui de <'/t.)o<o&'6'(; dans le
lobe
occi- pital cl celui de l'oeil dans le lobe fro
<o&'6'(; dans le lobe occi- pital cl celui de l'oeil dans le
lobe
frontal. » E. li. XIII. Etudes cliniques sur ?
reomolution temporale dont est lésée -, lobule du pli combe. 0,
lobe
orbitaire (face intérieure du lobe frontal). .1
sée -, lobule du pli combe. 0, lobe orbitaire (face intérieure du
lobe
frontal). .1/, membrane résultant . des repli»
ur toute la face convexe de 1'liéiiiibl)llèic droit, excepté sur le
lobe
teniporo-sphé nudal, au imeau duquel il n'exist
par un sillon superficiel pour aller enfin s'anasto- moser avec le
lobe
occipital. Le lobule pariétal inférieur est au
gue pas les circonvolutions de l'insula qui sont atrophiées. , Le
lobe
occipital ne dénote rien de particulier. Les ci
ion. Le poumon gauche (450 grammes) offre les mêmes lésions dans le
lobe
inférieur, mais moins avancées Ganglions bronch
r- convolutions de la face interne, mais principalement celles du
lobe
frontal ont un aspect chagriné que l'on retrouveà
d'une scissure parallèle frontale. Toutes les circonvolutions du
lobe
frontal sont très plissées, découpées par de prof
ourcilicr est volumineux. L'as- pect général des circonvolutions du
lobe
frontal droit est semblable à celui qu'elles pr
. Le yyucç fornicalus se jette en arrière, en se dédoublant dans le
lobe
carré; il donne un pli de passage, en avant, à
eux hémisphè- res est rompu, on constate que les faces internes des
lobes
frontaux ne sont pas adhérentes l'une à l'autre
pie-mère s'enlève bien. ? 4 LÉSIONS DU CERVEAU. Hémisphère droit.
Lobe
frontal : Les circonvolutions sont très complex
r un pli de passage très sinueux ; elle est complètement séparée du
lobe
du pli courbe ; ce lobe présente de nombreux si
sinueux ; elle est complètement séparée du lobe du pli courbe ; ce
lobe
présente de nombreux sillons verticaux. Les cir
égularité de la le parié- tale et du pli courbe. Face interne. Le
lobe
paracentral est mal délimité; il se continue tr
geant et ne présentent que partiellement une section à pic. . Le
lobe
antérieur est constitué par trois circonvolutions
es par un sillon analogue, de sorte que, dans sa partie moyenne, ce
lobe
présente cinq circonvolutions superposées et se
d'épaisseur est nettement séparée, à son extrémité postérieure, du
lobe
pos- térieur par une scissure très profonde.
be à angle droit pour le limiter en arrière, et le séparer ainsi du
lobe
occipital auquel il n'est contigu que par sa pa
e, qui se continue du reste avec cette circonvolution temporale. Le
lobe
occipital est séparé de cette dernière par un s
quelques petits sillons peu profonds à -direction indéterminée. Le
lobe
occipital est séparé, comme nous l'avons dit, d
- comblé par un petit lobule de même forme. " Face inférieure. Le
lobe
antérieur est assez normale- ment développé. La
me les cir- convolutions ne présentent plus de forme déterminée. Ce
lobe
-est séparé du lobe postérieur par le porus, en
ions ne présentent plus de forme déterminée. Ce lobe -est séparé du
lobe
postérieur par le porus, en dehors, et en dedan
r par le porus, en dehors, et en dedans par le corps opto-strié. Le
lobe
postérieur, de forme ' quadrilatère, est consti
constitué par quatre circonvolutions paral- lèle's. La le limite ce
lobe
en dehors et rejoint, en arrière, la .`seconde
les profon- des, dont une la divise comme F. A. en deux parties. Le
lobe
- pariétal supérieur est formé de nombreuses ci
ès nettement séparé du dernier par la scissure sous- frontale et du
lobe
occipital par la scissure occipitale. Le lobe d
sous- frontale et du lobe occipital par la scissure occipitale. Le
lobe
du corps calleux est très peu développé en avan
n présentant d'assez nombreuses sinuosités des .circonvolutions. Le
lobe
occipital n'offre rien de particulier. Face inf
u trou de Botal. Poumon gauche (150 gr.), normal, sauf au niveau du
lobe
inférieur qui est congés- 106 - Porencéphalie v
oumon gauche. Pas d'adhérences. Pas d'ecchymoses sous-pleurales. Le
lobe
supérieur présente à sa surface de nombreuses d
présente à sa surface de nombreuses dilatations emphysémateuses. Le
lobe
inférieur également emphysémateux est. congesti
première, seconde et troisième circonvolutions frontales. L. Oc.,
lobe
occipital. S. O., scissure occipitale. L. F.,
les. L. Oc., lobe occipital. S. O., scissure occipitale. L. F.,
lobe
frontal. L. P., lobe pariétal. 138 Explicatio
ipital. S. O., scissure occipitale. L. F., lobe frontal. L. P.,
lobe
pariétal. 138 Explication DES planches. Planc
lanches. Planche II. .Rase de l'encéphale (Voir p. 96). L. Or.,
lobe
orbitaire. Po ? porus. C. O., couche optique.
a scissure interhémisphérique et sur l'écorce de la face convexe du
lobe
frontal ; elles sont plus rares sur le reste du
ace convexe du lobe frontal ; elles sont plus rares sur le reste du
lobe
frontal : on n'en voit presque pas sur les lobes
res sur le reste du lobe frontal : on n'en voit presque pas sur les
lobes
temporaux et pariétaux ; quant au lobe occipita
en voit presque pas sur les lobes temporaux et pariétaux ; quant au
lobe
occipital, il parait sain. Les circonvolutions
aisseaux dessiner un Observation 1. Ecorce prise tt la convexité du
lobe
frontal. Lésions , des vaisseaux, dont les paro
'heure. Dans l'écorce cérébrale elle est à son maximum dans tout le
lobe
frontal, aussi bien à droite qu'à gauche, et à
frontal, aussi bien à droite qu'à gauche, et à son maximum dans le
lobe
occipital. - A l'encéphalite se joint une mén
supérieures du cerveau et en particulier sur la partie con- vexe du
lobe
frontal, où pourtant l'encéphalite est avancée, p
ite, au début des acci- dents). Il en existe aussi beaucoup dans le
lobe
frontal gauche, mais il n'y en a que quelques-u
le lobe frontal gauche, mais il n'y en a que quelques-unes dans le
lobe
frontal droit, et dans le lobe occipital gauche
l n'y en a que quelques-unes dans le lobe frontal droit, et dans le
lobe
occipital gauche ; le lobe occipital droit en con
s dans le lobe frontal droit, et dans le lobe occipital gauche ; le
lobe
occipital droit en contient à peine. On trouv
s rectus; que la lésion vasculaire diminue un peu dans lereste du
lobe
frontal et dans le'pied des circonvolutions motri
z avancées à la superficie, surtout la première ; enfin que dans le
lobe
occipital les lésions vasculaires sont à leur m
s-jacente ; interruption des communications entre ces organes et le
lobe
pariétal. Hémia- nopsie inconsciente, peu gênan
che suffisait à interrompre toute communi- cation entre l'écorce du
lobe
occipital et l'ensemble du reste de l'écorce de
ganglions centraux et de la pointe voisine de la face inférieure du
lobe
temporal, des deuxième et troisième circonvolutio
plus la faculté d'en acquérir de nouvelles. Foyer probable dans le
lobe
occipital droit (hémianopsie gauche). Un second
a faculté de lire les nombres, ce qui indique un' foyer pariétal du
lobe
gauche. Il y a en outre rétrécissement de la mo
supérieur, ce qui indique un double foyer occipital (un dans chaque
lobe
). Lésion vasculaire syphilitique. Cécité psy- c
Tumeur cérébrale indéniable. Compression et destruction de tout le
lobe
occipital gauche; foyer de ramollissement ayant
er de ramollissement ayant interrompu toute la substance blanche du
lobe
occipital gauche au niveau du bourrelet du corp
s'imprégner des images commémoratives phonétiques placées dans' le
lobe
temporal gauche. Il est probable qu'il y avait
est probable qu'il y avait conservation des tractus, unis- sant le
lobe
occipital droit indemne aux'centres commandant au
es ne préexistent pas à la fonc- tion ? A côté de la suppression du
lobe
occipital gauche et de l'in- terruption des fib
rruption des fibres d'association qui, parle corps calleux, vont au
lobe
occipital droit, il faut encore tenir compte de l
pression exercée à droite, par la tumeur, sur la partie médiane du
lobe
occipital dans la région du coin et de l'avant-co
s à l'asile et son autopsie a pleinement confirmé le diagnostic. Le
lobe
frontal gauche était en grande partie désorgani
9rJ·· w ,s ? a· -La dure-mère. qui, répond àla,partie antérieure du
lobe
frontal ,-auchei est( très i;eâlre 1 dans une
olution frontale. l : lles'étend enavânt'jusqu'au bord antérieur du
lobe
frontal 1l'e"êst-*a-di'rej'u'squ"à l'endroit,^ où
érieur du lobe frontal 1l'e"êst-*a-di'rej'u'squ"à l'endroit,^ où'ce
lobe
se recourbe pour se' continuer avec'la*. face inf
t^ ? > ,» i«" 11 est probable qu'il y1 a' lésion d'une partie du
lobe
, occipital. Le traitement est resté, sans résul
x qui. admettent uncentre) particulier, de la parole écrite dans le
lobe
"occipital, y : ait destruction`de ce centre,, so
I. Sur les rapports DE la cécité bilatérale avec les ARFECTIONS des
lobes
occipitaux; parle Dr SEPPILI R2U. sp. di fi-en.,
avail : La cécité bilatérale peut dépendre d'une affection des deux
lobes
occipitaux. Lorsque la cécité apparaît des deux
i,ale de la région occipitale. La cécité due.'à;une lésion des deux
lobes
occipitaux tantôt ,se montre en même; temps, da
éré ; 6° quand on se borne à'détruire le' bord interne' d'un 'des''
lobes
occipitaux et en même temps `la substance 1 bla
ébral mou etspou- gieux. Il y a un,,vaste ramollissement du bordjdu
lobe
,temporo- sphénoïdal gauche, et d'autres foyers
des fibres de l'irradiation, optique cen- trale, qui, parties, du,
lobe
, .occipital, ^rejoignent- les ganglions optiqu
que une tumeur de la convexité de l'extrémité postéro-supérieure du
lobe
temporal gauche. Et, en effet, on enlève une ma
u cerveau ; les plus fines se rencontrent dans les frontales' et le
lobe
occipital; 7 ? constance de la raie de Germain.
de Germain.'1' Celle det Bai112rer est fréquemment double dans les
lobes
frontaux ; on la rencontre parfois aussi dans le
ement soit'resté plus ou moins au-dessus de la normale; 9° c'est le
lobe
-frontal qui généralement témoigne- dela façon
u faible développement des. fibres; après lui, vient à cet égard le
lobe
temporal ; 100 en prenant ses points de repère
auparavant, arrêter brusque- ment la parole par la compression des
lobes
frontaux d'un malade dont la paroi antérieure d
rveau. Il constata qu'il exis- tait, en effet, une grosse lésion du
lobe
pariétal droit, mais il ne borna pas là ses rec
lequel se trouvait un abcès. D'après lui, l'abcès siégeait dans le
lobe
pos- térieur. Le l'aU était par conséquent en o
la même fréquence : les, cas de manie sont les plus.fréquents. La ,
lobe
puerpérale, lorsqu'elle,, prend la forme, d excit
e de localisation dans la partie antérieure, inférieure, interne du
lobe
tempoyoispliéno'idal ys 51 z HMia>\ ï9F18jL1
guines au niveau de' la 'deuxième frontale. Les méninges, minces au
lobe
occipital, épaissies à la partie'antérieure, soud
es; elles augmentent ,de pro-, fondeur, au niveau, de. la pointe du
lobe
frontal et à sa partie interne. La pie-mère lèc
partie interne. La pie-mère lèche sur le reste de la surface de ce
lobe
. Le lobe occipital, le lobe pariétal, le lobe t
nterne. La pie-mère lèche sur le reste de la surface de ce lobe. Le
lobe
occipital, le lobe pariétal, le lobe temporal, la
lèche sur le reste de la surface de ce lobe. Le lobe occipital, le
lobe
pariétal, le lobe temporal, la plus grande part
e de la surface de ce lobe. Le lobe occipital, le lobe pariétal, le
lobe
temporal, la plus grande partie des circonvolut
s (épaississement des méninges et adhérences) aux territoires des
lobes
frontaux intéressés du- côté opposé' : ulcération
us très accentué. Autopsie ? gliome du ? volume d'une pomme dans le
lobe
pariétal gauche, çomprimantjV- les deux tiers i
x.. circonvolutions au bord externe de l'hémisphère droit, là où le
lobe
antérieur^et le lobe r moyen se confondent); ,-
u bord externe de l'hémisphère droit, là où le lobe antérieur^et le
lobe
r moyen se confondent); ,- celui de M. Féi. (di
est considérable, car.la cavité pseudo-kystique comprend, outre le
lobe
pariétal en entier (sauf la pariétale ascendant
le lobe pariétal en entier (sauf la pariétale ascendante), tout "le
lobe
occipital. (Annales médico- psychologiques, 189
aires (frontales) jusqu'aux ascendantes, puis horizontales jusqu'au
lobe
temporale elles redeviendront alors perpendicul
. Il est également peu probable que l'intelligence soit confinée au
lobe
frontal (Hitzig); elle s'étend à toute l'écorce
comparée, l'étude. des microcéphales. démontrent l'importance du
lobe
frontal pour l'intelligence. - M. NOECKE. Munka f
il est, enlevé, l'animal n'a,plus le sens de l'espace. Le volume du
lobe
frontal est parallèle à la'dimension de la'' scis
évoca- blement atteint; de plus, il y a des idiots chez lesquels lé
lobe
frontal est bien conserve., ;.·.4a y ....,po ?
e. Elle succombe à un glio-sarcôme occupant la substance blanche du
lobe
occipital droit allant jusqu'au pulvinar; autre
à l'opération, nous pratiquons une petite trépanation au niveau du
lobe
pariétal gauclie : Eu effet ; la même'amélioratio
conclure à l'existence d'une tumeur .dans le,segment postérieur du
lobe
temporal droit/siégeant* non' directement dans
é verbale est instable, pas davantage dans lepli courbe, ni dans le
lobe
occi- pital, puisqu'il n'y;, pas d'hémianopsie,
oigné de centimètres de la scissure de Sylvius, gagne en arrière le
lobe
temporal. C'est du tubercule et du sarcome casé
1541 sur les rapports de la bilate- rale avec les affections des
lobes
occipitaux, par Soeppili, 195., Cellule nerve
TRE D'INNERVATION CORTICALE, ETC. 119 face interne et inférieure du
lobe
occipital (cuneus, lobe lin- gual et lobe fusif
ALE, ETC. 119 face interne et inférieure du lobe occipital (cuneus,
lobe
lin- gual et lobe fusiforme d'après Déjerine et
interne et inférieure du lobe occipital (cuneus, lobe lin- gual et
lobe
fusiforme d'après Déjerine et Viallet scissure
l et lobe fusiforme d'après Déjerine et Viallet scissure calcarine,
lobe
lingual et lobe fusiforme d'après Brissaud la s
rme d'après Déjerine et Viallet scissure calcarine, lobe lingual et
lobe
fusiforme d'après Brissaud la scissure calcarin
s n'est pas neuve de faire jouer un rôle oculo-moteur à l'écorce du
lobe
occipital. Nous avons à ce sujet un certain nom
du chien entre le bord postérieur du gyrus sigmoïde et la pointe du
lobe
occipital a vu : 1° la déviation des yeux du cô
nt des pupilles. Ce n'est pas, probablement, que la face convexe du
lobe
occipital joue un rôle par elle-même. Mais nous
eux se dirigeaient en bas par l'excitation de la zone supérieure du
lobe
occipital, en haut par l'excitation de la zone
lus intenses lorsque l'excitation était portée à la face interne du
lobe
occipital. Il admet que l'excitation produit de
) n'est pas nécessaire, car l'excitation de la substance blanche du
lobe
occipital produit les mêmes mou- vements (Danil
ien aux résultats (Munk). La section de la couronne rayonnante du
lobe
occipital empêche ces mouvements de se produire
aux où l'entrecroisement optique est complet l'excitation d'un seul
lobe
occipital produit les mouvements des deux yeux
ormale s'accordent donc à faire de la face interne et inférieure du
lobe
occipital un centre non seulement sensitif, mai
d'un malade ; ils se ferment vivement : le centre réflexe a été le
lobe
occipital. En effet, ce réflexe est aboli dans
ssi produit des mouvements des yeux par l'excitation de l'écorce du
lobe
frontal. Le temps perdu serait moindre que dans
r l'excitation du centre pos- térieur. A la partie postérieure du
lobe
frontal, probablement au niveau du pied de la d
s les mouvements que nous avons mis plus haut sous la dépendanee du
lobe
occipital (mouvements de latéralité, convergenc
ciée à l'hémiplégie motrice, sans lésion ni du pli courbe, ni du
lobe
occipital, est produite par une lésion du centre
herons donc quels sont les troubles produits soit par une lésion du
lobe
occipital, soit par une lésion du centre oculo-
lésion du centre oculo-moleur antérieur. a) Dans les lésions du,
lobe
occipital. Lorsque celles-ci sont isolées, les
es mouvements palpébraux ayant la rétine pour point de départ et le
lobe
occipital comme centre de réflexion. C'est d'
lexe produit par une vive lumière; il est aboli dans les lésions du
lobe
occipital : une lueur intense produite dans la
'. Ces deux mouvements étant sous la dépendance de chacun des deux
lobes
occipitaux, ne sont pas troublés dans les lésio
, ne siège pas au niveau du pli courbe, mais à la face interne du
lobe
occipital ; les fibres centrifuges qui en partent
maintenant que ces mouvements ont leur centre de réflexion«dans le
lobe
occipital. Si au contraire on com- mandait à la
sie (Froriep). « Dans l'hémisphère droit, au bord externe, là où le
lobe
antérieur et le lobe moyen se confondent, kyste
l'hémisphère droit, au bord externe, là où le lobe antérieur et le
lobe
moyen se confondent, kyste hémorragique ayant d
sensorielle (rétine) au niveau de la face interne et inférieure du
lobe
occipital. 2° Chacun de ces centres agit bila
ermédiaire des fibres sous-jacentes provenant de la face interne du
lobe
occi- pital. 5° Le ptosis d'origine corticale
A l'autopsie, méninges un peu épaisses. A la partie antérieure du
lobe
frontal gauche on trouve un caillot de 3 centimèt
rale et faisant saillie sous les méninges molles. A la palpation du
lobe
frontal on est frappé de son peu de consistance;
ns de la surface cérébrale, notamment au niveau de l'insula et du
lobe
frontal. Comme le dit Broadbent, l'apparence exté
e-mère. Dans l'observation I, il existait à la partie antérieure du
lobe
frontal gauche un caillot faisant une sail- lie
- lie de 3 centimètres de haut sur 4 de large ; à la palpation le
lobe
frontal se laissait profondément déprimer et l'on
osé d'étudier seulement, chez des chiens soumis à la destruction du
lobe
mé- dian, d'une moitié latérale et à la destruc
(Brissaud) dans les centres moteurs des extrémités inférieures. Le
lobe
paracentral se développe en dernier lieu pendan
fait l'ablation de tout le cervelet, d'un hémisphère (deux cas), du
lobe
médian et de la substanoe blanche d'un hémisphè
ervelet avec le floculus du côté opposé; 11° Après l'extirpation du
lobe
moyen du cervelet on peut constater des dégénér
de 20 centimètres de mercure peut être supportée à la base de deux
lobes
frontaux pendant un temps très long sans aucune
s le cer- veau moyen et la couche optique, des libres à l'écorce du
lobe
optique, à la partie supérieure du corps genoui
t, il fournit aux postes de terminaison centrale du nerf op- tique (
lobe
optique, corps genouillé thalamique, noyau à gros
thalamique, noyau à grosses cellules). D'autre part, l'écorce du
lobe
optique contient une couche de cellules profond
es originelles de ce faisceau dans la substance blanche profonde du
lobe
optique ne reçoivent pas seu- lement les fibres
sitoire d'agitation à forme maniaque. D'après Luys les lésions du
lobe
cérébral droit sont pres- que toujours accompag
Le cerveau présente des zones de coloration très différentes : les
lobes
occipitaux sont affaissés, complètement déco- l
s un filet d'eau avec la substance blanche sous-jacente. - Les deux
lobes
frontaux compas jusqu'à la scissure rolandique,
s sa partie antérieure et ramolli dans le système de projection des
lobes
occipitaux. Athérome très pro- noncé de tout le
n vaste foyer de ramollissement du centre ovale intéressant tout le
lobe
frontal droit. La substance grise corti- cale p
r les foyers de nécrobiose, intéres- sant la substance corticale de
lobes
entiers (obs. I), ou leur système de projection
5 grammes ; pas de suffusions sanguines. Les méninges minces sur le
lobe
occipital, plus épaisses à la partie antérieure
t sur la grande partie de l'hémisphère et adhèrent seulement sur le
lobe
frontal. Les ulcérations caracté- ristiques son
s se ralentit. On croit à un hématome sous-dure-mérien au niveau du
lobe
temporal gauche et l'on REVUE DE PATHOLOGIE NER
. Autopsie : double fracture mastoï- dienne. Au niveau du pôle du
lobe
temporal gauche, la première tempo- rale est tr
une destruction hémorrhagique com- plète de la pointe antérieure du
lobe
temporal gauche ; cette des- truction se poursu
it eu notamment une petite hémorrhagie de la pointe antérieure du
lobe
temporale. L'hémorrhagie, dans la substance blanc
l., XVII, 1898.) Observation I. - Sarcome à cellules rondes dans le
lobe
frontal gauche. Il s'agit d'une femme de quar
'une affaire de pression). Occupe-t-elle les parties antérieures du
lobe
temporal, et, par suite, exerce-t-elle une pres
tômes associés du côté des nerfs crâniens. C'est donc une tumeur du
lobe
frontal gauche se développant vers la base où ell
se développant vers la base où elle comprime les nerfs qui entre le
lobe
frontal et la base se dirigent dans la cavité o
oculaire. Autopsie. La tumeur située sous le milieu de l'écorce du
lobe
frontal paraît intéresser la substance blanche,
Elle n'a pas touché aux par- ties supérieures et supéro-externes du
lobe
frontal. Elle s'avance à 2 ou 3 centimètres en
amincit prompte- ment en arrière, et, dans la partie postérieure du
lobe
frontal, n'atteint que les éléments sous-jacent
et en dehors; elle a fortement com- primé les parties orbitaires du
lobe
frontal en bas, ainsi que les nerfs et vaisseau
einte de la partie postérieure de l'hémisphère gauche. S'agit-il du
lobe
pariétal, du lobe occipital, du lobe temporal ?
postérieure de l'hémisphère gauche. S'agit-il du lobe pariétal, du
lobe
occipital, du lobe temporal ? ? Le caractère va
émisphère gauche. S'agit-il du lobe pariétal, du lobe occipital, du
lobe
temporal ? ? Le caractère variable et peu inten
peu intense de la cécité verbale exclut les parties postérieures du
lobe
temporal. Ce n'est là qu'un symp- tôme de voisi
du lobe temporal. Ce n'est là qu'un symp- tôme de voisinage. 1 Le
lobe
pariétal gauche serait plutôt atteint à cause des
es territoires en rapport avec ces symptômes, c'est-à- dire dans le
lobe
pariétal gauche, et qu'elle produit en agissant
parésie droite ; en dehors, l'aphasie sensorielle. Quel point du
lobe
pariétal gauche occupe la tumeur' ? L'absence d
ituitaire, est un sarcome; par suite, elle a pris naissance dans le
lobe
postérieur de cette glande (Hertwig, Schwalbe)
e-t-il ; de supposer que c'est bien le kyste hémorragique ancien du
lobe
frontal qui a donné lieu, pendant trois ans, aux
ect infantile. Atrophie optique bilatérale. Autopsie : Carcinome du
lobe
antérieur de l'hypophyse. Cas de Zutaka lion. -
rqué des jeunes chiens sur lesquels il avait pratiqué l'ablation du
lobe
antérieur de l'hy- pophyse. f , Cushing, Bied
hy- pophyse. f , Cushing, Biedl ont vu l'extirpation partielle du
lobe
antérieur entraîner un certain degré d'adipose
ènes de croissance et de puberté est-elle réservée exclusivement au
lobe
antérieur ou au lobe postérieur de la glande, o
de puberté est-elle réservée exclusivement au lobe antérieur ou au
lobe
postérieur de la glande, ou bien est-elle commune
au lobe postérieur de la glande, ou bien est-elle commune aux deux
lobes
? Etant données les difficultés extrêmes de l'exp
initivement le problème. Tout porte à croire cependant que c'est le
lobe
antérieur qui seul, en 78 SOUQUES ET STEPHEN CH
. Si telle est la réalité, quelle est la lésion perturbatrice de ce
lobe
antérieur qui détermine le syndrome infantilisme
înement des faits parait logique. On conçoit sans difficulté que le
lobe
antérieur de l'hypophyse, dont l'hy- perfonctio
infantilisme. Quant à savoir si, pathogéniquement, cette action du
lobe
antérieur de la pituitaire est directe et exclu
-nous l'enchaînement des faits suivants : L'hypofonc- tionnement du
lobe
antérieur de la pituitaire a arrêté la croissance
hisme, apparition des désirs sexuels. Bref, l'hypofonctionnement du
lobe
antérieur retenti sur les glandes gé- nitales e
l'lypo-ovarie, au même titreque ies perturbations fonctionnelles du
lobe
postérieur retentissent, semble-t-il, sur ces m
n Levandowsky, 1912). ' FIG. 21. Premier cas de paralysie agitante.
Lobe
frontal et précentral (Formol. Celloïdine. Thio
centimètres. Le corps thyroïde impalpable sur la ligne médiane. Les
lobes
latéraux semblent perceptibles. Le membre supér
ne dilatation modérée des ventricules latéraux. Le corps thyroïde sur
lobe
: 10 grammes, l'isthme 4 gr. L'autre lobe a été
ux. Le corps thyroïde sur lobe : 10 grammes, l'isthme 4 gr. L'autre
lobe
a été enlevé par un autre confrère avant t que
eudoacineuses avec une goutte de colloïde au centre. A la limite du
lobe
épithélial et nerveux on peut rencontrer des foll
charlach montre des granulations lipoïdes assez abondantes. Dans le
lobe
nerveux on rencontre des cellules pigmentaires de
duit par des manifestations différentes suivant que se trouve lésé le
lobe
antérieur ou le lobe postérieur de la glande.
ions différentes suivant que se trouve lésé le lobe antérieur ou le
lobe
postérieur de la glande. L'altération du lobe a
obe antérieur ou le lobe postérieur de la glande. L'altération du
lobe
antérieur donne lieu au syndrome décrit par Ilas-
s sont fines ; la peau est peu épaisse, délicate. L'altération de
lobe
postérieur de l'hypophyse a pour conséquence un
ASIE syndrome résulte de la suppression totale du fonctionnement de
lobe
anté- rieur. Il semble logique de considérer le
iers comme répondant chacun à une insuffisance partielle de ce même
lobe
. Les fonctions de l'hypophyse seraient troublée
ourraient être classés de la façon suivante. A. - Insuffisance du
lobe
antérieur. a) Totale : atéliose. , b) Partiel
rtielle : achondroplasie. dystrophie périostaie. B. Insuffisance du
lobe
postérieur. a) Totale : Dystrophie adiposo-géni
des genoux. \ La palpation du corps thyroïde montre d'ailleurs des
lobes
latéraux absolu- ment normaux, et on sent bien
grande qu'autrefois et n'occasionne plus de suffocations. Les deux
lobes
sont hypertrophiés, celui du côté droit d'une f
dépendance des glandes endocrines, peut-être surtout dans celle du
lobe
antérieur de l'hypophyse. Sur deux cas de sclér
pathiques voisins, un corps thyroïde très petit et alrophi- que. Le
lobe
médian était à peine visible et la glande était.f
ion de l'écorce, cependant la substance blanche non différenciée du
lobe
temporal a été relativement épargnée par les fo
aire duquel ses libres se prolon- gent dans la substance blanche du
lobe
frontal. Plus bas la dégénérescence du pédoncul
sula. On ne suit pas sa dégénérescence dans la substance blanche du
lobe
orbitaire. Corps calleux. - On ne trouve pas de
avité, ou remarque que celle-ci est taillée à l'emporte-pièce dans le
lobe
temporal. En avant elle respecte l'écorce de l'
bres qu'il faut attribuer la pâleur de la substance blanche dans le
lobe
frontal, dans le lobe pariétal, au niveau du gy
uer la pâleur de la substance blanche dans le lobe frontal, dans le
lobe
pariétal, au niveau du gyrus supra marginalisât
ceau qu'il faut expliquer la pâleur de la substance blanche dans le
lobe
occipital, au niyeau de la scissure calcarine.
- Le faisceau uncinatus a été coupé au niveau du pôle antérieur du
lobe
temporal, la dégénérescence de ses fibres peut
cence de ses fibres peut être suivie dans les coupes inférieures du
lobe
frontal. Fibres de projection. Voie pédonculair
e trajet des radiations thalamiques et dans la substance blanche du
lobe
pariéto-temporal. Les fibres du noyau externe du
xième circonvolution frontale, un sur le corps calleux au uiveau du
lobe
frontal, un au-dessous de la deuxième cir- conv
sphère droit. t, tuherculome de la couche optique. ? tuberculomes des
lobes
occipitaux. (G. Ralszier et J. Baulllel) Nouv
et du membre supérieur gauche. Deux autres sont retrouvés dans les
lobes
frontaux. Il n'y a rien dans le lobe temporal.
utres sont retrouvés dans les lobes frontaux. Il n'y a rien dans le
lobe
temporal. Le cerveau gauche ne présente rien de
ce blanche. Dans le cervelet on sent une induration au cerveau du
lobe
droit. Le vermis et le lobe gauche sont intacts
et on sent une induration au cerveau du lobe droit. Le vermis et le
lobe
gauche sont intacts. Par une coupe pratiquée sur
s troubles visuels trouvaient leur justification dans la lésion des
lobes
occipitaux et à la rigueur de la couche optique,
que nous n'avions pas de troubles psychiques malgré l'atteinte des
lobes
frontaux (présence de 3 tuberculomes), que nous n
culeux, Académie des sciences, 26 mai 1913. BiANCHi. - Fonction des
lobes
frontaux. XVI, Congrès international de méd. de B
2. Feliciangem. Contribution à lu la connaissance de la fonction du
lobe
frontal du cer- veau du chien. Archives italien
uche est de 19). Il offre une sclérose vermicellée occupant tout le
lobe
frontal. Le lobe pariétal et le lobe occipital so
Il offre une sclérose vermicellée occupant tout le lobe frontal. Le
lobe
pariétal et le lobe occipital sont séparés par
e vermicellée occupant tout le lobe frontal. Le lobe pariétal et le
lobe
occipital sont séparés par une bande de scléros
cipital sont séparés par une bande de sclérose qui a envahi tout le
lobe
temporal. Absence du 408 ROUBINOVITCH ET BARBE
. Absence du 408 ROUBINOVITCH ET BARBE corps calleux; atrophie du
lobe
gauche du cervelet. Plus récemment, Kotzowsky (
nt le long de la paroi interne du ventricule latéral et joignant le
lobe
frontal au lobe occipital. Il y a donc un vesti
paroi interne du ventricule latéral et joignant le lobe frontal au
lobe
occipital. Il y a donc un vestige du corps calleu
jamais eu de poils sur la face. Au niveau du cou on ne sent pas les
lobes
du NOUVEL ! Iconographie DE la SALPÊIRILHE. T
, Ascoli et Legnani, a montré que l'hypophysectomie, portant sur le
lobe
antérieur et pratiquée sur de jeunes animaux en
dans les 24 heures, trouva une tumeur ayant complètement détruit le
lobe
postérieur de l'hypophyse, respecté le lobe ant
complètement détruit le lobe postérieur de l'hypophyse, respecté le
lobe
antérieur et la }Jars itttervnedia : c'est par
elle- ci, sous l'influence de l'irritation exercée par la tumeur du
lobe
posté- rieur, que l'auteur explique l'exaltatio
ienne, une pachy- lepto- méningo-encéphalite chronique. Du côté des
lobes
frontaux et des parties voisines des lobes temp
e chronique. Du côté des lobes frontaux et des parties voisines des
lobes
temporaux les méninges étaient adhérentes entre e
tique DE sclérose. l'hémisphère gauche; atropine moins accentuée du
lobe
occipital. - Hémisphère droit presque normal. -
termine au niveau du rameau ascendant de la scissure de Sylvius.
Lobe
frontal. - La Il', circonvolution frontale (F1 )
scendante et par un pli de passage, situé à la partie antérieure du
lobe
, à la deu- xième frontale. Celle-ci (l'=), sinu
ssure parallèle frontale (se. p. f. ) est assez courte, sinueuse.
Lobe
pariétal. - La scissure interpariétale (se. ip.)
nies par des plis de passage aux 1 ? et -'e temporales (T et T2|.
Lobe
temporal. - Les circonvolutions temporales (Tl, T
utions temporales (Tl, T2, T3) sont normales. T et T2 sont unies au
lobe
occipital par des plis de passage. Les circonvo
avant tout, c'est l'atrophie du coin et de la partie postérieure du
lobe
occipital. La partie comprise entre la scissure
ôté gauche. La scissure perpendiculaire externe est bien marquée.
Lobe
frontal. La scissure frontale parallèle (se. p. f
la frontale ascendante (Fa). F', F, F : ¡ n'ont rien d'anor- mal.
Lobe
pariétal. La scissure in ter-pariétale est complè
complète ; les circonvolutions pariétales sont bien développées.
Lobe
temporal. La scissure parallèle (se. p.) est bien
r- quée, les 3 circonvolutions Tri, T2, T3 sont de volume normal.
Lobe
occipital. Le lobe occipital a un volume ordinair
rconvolutions Tri, T2, T3 sont de volume normal. Lobe occipital. Le
lobe
occipital a un volume ordinaire. Il est toutefo
n de sem- blable à l'atrophie du coin de l'hémisphère gauche. Les
lobes
frontal, temporal, le lobule quadrilatère et la c
do est normal ainsi que la scissure perpen- diculaire externe. Le
lobe
frontal est très développé et très plissé. La pre
par un pli de passage pour la deuxième frontale ; elle est grêle.
Lobe
temporal. Très réduit de volume. Le sillon interp
e de la scissure de Sylvius. La pariétale ascendante est normale.
Lobe
pariétal. - La première pariétale est très large,
transversal. La deuxième pariétale est très réduite de longueur. Le
lobe
occipital est de même normal. Face interne. L
corps calleux et la scissure calloso-marginale sont régulières. Le
lobe
paracenlral est volumineux. Le lobe quadrilatèr
o-marginale sont régulières. Le lobe paracenlral est volumineux. Le
lobe
quadrilatère est très réduit, long d'à peine de
ieur. Les circonvolutions sont en général grêles, surtout celles du
lobe
frontal. Les plis de passage sont rares, les si
ntal. Les plis de passage sont rares, les sillons peu profonds - Le
lobe
frontal est très distinct et séparé de FA compl
en histologique). ' Cou. Le corps thyroïde (7 gr.) paraît sain; ses
lobes
sont égaux. Persistance du thymus réduit aux di
s d'une noisette (5 gr.). Thorax. - Le poumon gauche, qui a trois
lobes
, est farci de granulations miliaires et présent
- Le poumon droit n'a de granu- lations tuberculeuses que dans son
lobe
inférieur.- Coeur, péricarde, cavités, rien. Pa
r d'infiltration celluleuse qui a détruit l'extrémité antérieure du
lobe
temporal. - La glande pinéale est un peu volumi
u volu- mineux. Hémisphère cérébral droit. Les circonvolutions du
lobe
lû2 PSEUDO-POREVC1 : PH : 1LIE. frontal ont l
ême région. De plus, sur le bord interhémis- phérique, au niveau du
lobe
paracentral, se voit un second foyer qui a détr
rtie antérieure de Fi (face externe), toute la partie antérieure du
lobe
paracentral ainsi que la moitié postérieure de
La lésion s'étend en profondeur, en arrière du bord infé- rieur du
lobe
carré jusque dans le ventricule. Lorsque la pie
qu'au ventricule laté- ral. (Planche XVI.) Les circonvolutions du
lobe
frontal sont assez sinueuses avec des plis de p
sée par la lésion dans son bord antérieur et son bord supérieur. Le
lobe
occipital n'offrait rien de particulier. L'ex
par la partie anté- rieure de 1 (face interne) ; en arrière par le
lobe
carré ; en bas par la circonvolution du CC; en
disparaître la partie postérieure de Fi, la plus grande partie du
lobe
paracentral et la partie supérieure de F A et la
haliques sont symé- triques, ont détruit l'extrémité antérieure des
lobes
temporaux, plus à gauche qu'à droite, car à gau
h..., P. 15 1.) Face convexe de l'hémisphère cérébral gauche. L0,
lobe
orbitaire. 't, F2, F3, première,, seconde et tr
A, pariétale ascendante. S 11, sillon de Rolando. S, extrémité du
lobe
temporal en partie détruite par la lésion et la
l supérieur. P2, pli pariétal inférieur. , PC, pli courbe. LOC,
lobe
occipital. 232 .. EXPLICATION DES PLANCHES. P
, qui se continue jusqu'à la première division de la sylvienne ; le
lobe
cérébral gauche est par suite plus anémié que l
ylvienne ; le lobe cérébral gauche est par suite plus anémié que le
lobe
droit.. CI P. K. XXIV. NOUVELLE observation d'a
ernant une lésion (ramollissement) limitée aux lobules linguaux des
lobes
occipitaux, la partie posté- 84 REVUE d'anatomi
lequel elles sont atteintes, ni de la progression de l'atrophie du
lobe
frontal au lobe pariétal, ni de l'intégrité du
atteintes, ni de la progression de l'atrophie du lobe frontal au
lobe
pariétal, ni de l'intégrité du lobe occipital ; l
e l'atrophie du lobe frontal au lobe pariétal, ni de l'intégrité du
lobe
occipital ; le processus mar- cherait du reste
infarctus plénique et rénal. Ramollissement étendu, par embolie, du
lobe
frontal gauche, de la plusgrande moitié de la por
rontal gauche, de la plusgrande moitié de la portion pa- riétale du
lobe
temporal et d'un petit segment du lobe occipital,
de la portion pa- riétale du lobe temporal et d'un petit segment du
lobe
occipital, ayant entraîné une dégénérescence se
cation d'une observation dans laquelle, à la suite d'une lésion des
lobes
pariétal et temporal d'un hémisphère, il y eut
Il semble y avoir une rela- lion à cet égard entre le cervelet, le
lobe
frontal, le lobe occipital. Intégrité des autre
r une rela- lion à cet égard entre le cervelet, le lobe frontal, le
lobe
occipital. Intégrité des autres éléments cérébe
rande partie des fibres inte1'mé- lliui1'es. Les ascendantes et les
lobes
occipitaux sont le moins endom- magés. Telles s
ais dans la substance blanche de l'hémisphère droit, au niveau du
lobe
occipital une masse cancéreuse de la grosseur d
rontales ascendantes, pariétales ascendantes, lobules paracentraux,
lobes
occipitaux, insulas, corps striés, des deux côtés
anche postérieure de la scissure de Sylvius, le tiers postérieur du
lobe
temporal et descend jusque dans l'insula. P. K.
vieille dame démente; elle succomba à une pneumonie lobulaire du
lobe
supérieur gauche; lésions atéleclasiques avec bro
à la suite de l'influenza, fut atteinte d'une pneumonie de tout le
lobe
gauche avec péricardite, et guérit. Une jeune p
r ont permis d'asseoir la formule de cette première affirmation. Le
lobe
frontal est, dans l'espèce, le plus affecté ; l
crpéùoncnl.dl'c. B. d. Dnmle diagonale. A. o. Arc olfactif. - L. o.
Lobe
olfactif. La bande dia- go n,de et l'arc olfact
b. et les rapports qu'il paraît avoir avec le nerf olfactif et son
lobe
. Lobes olfactifs. Avant d'aborder mon sujet, je
es rapports qu'il paraît avoir avec le nerf olfactif et son lobe.
Lobes
olfactifs. Avant d'aborder mon sujet, je veux d
t l'anatomie comparée, on a fait de ces renfle- ments de véritables
lobes
cérébraux, constitués de toutes pièces et relié
ie et de l'anatomie comparée, il faut faire de la rétine un autre
lobe
cérébral, car elle a été également une vésicule
te conception. Malgré la façon brillante dont Broca a entouré son
lobe
olfactif de toutes les propriétés et de toutes le
n'en aura pas moins une fonction supérieure ; et les pédoncules des
lobes
seront de simples racines nerveuses avec leurs
espace perforé antérieur. Qu'en raison de la structure spéciale des
lobes
olfactifs, on en fasse une dépendance plus ou m
s où aboutissent les deux racines blan- ches, c'est-à-dire entre le
lobe
de l'hippocampe et l'origine du corps calleux.
de la vision. Vulpian dit : < En effet, lorsqu'on a en- levé les
lobes
cérébraux sur un poisson, offrant de la résistanc
; tandis que chez les poissons osseux le centre visuel principal (
lobes
optiques) étant intact, les modes habituels d'a
. A, Hémisphère central. - B. Lobe optique. - C, Cervelet. - 0.
Lobe
ol- factif. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 409
e, soit par en haut, soit par côté, une portion assez étendue des
lobes
cérébraux, sans que leurs fonctions soient perdue
urs fonctions soient perdues. Une por- tion assez restreinte de ces
lobes
suffit donc à l'exercice de leurs fonctions; 2°
t; et passé certaines limites, elles sont tout à fait éteintes. Les
lobes
cérébraux concourent donc par tout leur ensembl
s pigeons, les lapins l'ont amené à conclure que la destruction des
lobes
anté- rieurs seulement produisait les symptômes
erdu toute faculté de raisonner. Un animal, dil-il, chez lequel les
lobes
antérieurs avaient été détruits, quoique privé
s cliniques qui semblent. indiquer un rapport entre des lésions des
lobes
antérieurs et la perte de la parole confirmant
TIONS DU LOBE occipital DES mammifères ET résultats DE pesées DES
lobes
cérébraux d'hommes atteints DE lésions ANATOMIQUE
YNERT. (Jahrb. f. Psychiat; VII; 1. 2.) L'expansion chez l'bomme du
lobe
frontal, et les dimensions du lobe pariétal, dé
.) L'expansion chez l'bomme du lobe frontal, et les dimensions du
lobe
pariétal, dépendent du développement de l'insula.
du cube des parois de la scissure du Sylvius et de leur contenu. Le
lobe
temporal joue aussi par ses dimensions un rôle
lissement étendu de l'hémisphère droit dont l'analyse montre que le
lobe
occipital envoie ses fibres au pulvinar et aux
térales de ce dernier renferment deux systèmes : un système issu du
lobe
temporal, un système émané des parties du lobe
un système issu du lobe temporal, un système émané des parties du
lobe
pariétal postérieures aux ascendantes; ces deux s
TROUBLES DE la VUE ET DE leur hiérarchie par rapport aux LÉSIONS du
lobe
occipital; par MOOREN. (Neurol. Centralbl., 188
la diminution de l'acuité visuelle. Mais ce sont les altérations du
lobe
occipital qui se traduisent par l'abolition de
eption des couleurs occupe la couche la plus externe de l'écorce du
lobe
occipital ; au-dessous d'elle est le centre de l'
sible d'en préciser le substratum anatomique, il est évident que le
lobe
occipital, sans être détruit, peut, par une lés
té droit. Démence rapide. Diagnostic. Lésion dans le voisinage du
lobe
temporal gauche; puis, diffusion du foyer; ramoll
) 11 s'agit d'un cholestéatome encéphalique ayant détruit tout le
lobe
temporal droit et ayant donné lieu pendant la vie
Cerveau , troubles d'équilibration dans deux cas de tumeurs du
lobe
pariétal du -, par Bernheim et Simon, 69 ; poid
niger. 249. Équilibration, troubles d' dans deux cas de tumeur du
lobe
parié- tal du cerveau, par Bernhein et Si- mo
a hallucinatoire, par Hoppe, 96; - troubles de la - et lésions du
lobe
occipital, par Mooren, 434. 'Zones épileptogè
-mère est partout très adhé- rente à la substance grise sur tout le
lobe
occipital, tout le lobe temporal, la face posté
é- rente à la substance grise sur tout le lobe occipital, tout le
lobe
temporal, la face postérieure de la circonvolutio
eux tiers antérieurs de la première frontale, la face intérieure du
lobe
frontal, le lobe carré, le coin et le lobe occi
s de la première frontale, la face intérieure du lobe frontal, le
lobe
carré, le coin et le lobe occipital sont complète
e, la face intérieure du lobe frontal, le lobe carré, le coin et le
lobe
occipital sont complètement dépouillés de subst
s circonvolutions sont plus atteintes que celles du côté opposé.-Le
lobe
paracentral est lésé dans toute sa partie infér
te la hauteur une bande saine de 8 millimètres de lar- geur. Sur le
lobe
frontal, portions saines surtout dans le fond d
érieure de la première temporale est à peu près saine. La pointe du
lobe
occipital présente quelques petites portions sa
rfaitement expliquée par l'éten- due et l'intensité des lésions des
lobes
frontaux. D'un autre côté, nous avons vu que l'
rt avec l'intégrité relative des circonvolutions pariétales et du
lobe
paracentral. Nous avons vu que l'enfant se serv
mal. Les plis pariétaux supérieur et inférieur, le pli courbe, le
lobe
occipital, ainsi que les circonvolutions temporal
ueuse, doublée ; - circonvolution du corps calleux ré- gulière , le
lobe
paracentral est très volumineux, irré- gulier (
e sillon allant obliquement de bas en haut, d'arrière en avant ; le
lobe
quadrilatère est volumineux, plissé et nettemen
e lobe quadrilatère est volumineux, plissé et nettement séparé du
lobe
paracentral ; tandis qu'à gauche la circonvolutio
du corps calleux envoie, suivant l'habitude, un pli de pas- sage au
lobe
quadrilatère, à droite, c'est au lobe paracen-
itude, un pli de pas- sage au lobe quadrilatère, à droite, c'est au
lobe
paracen- tral qu'elle envoie ce pli de passage.
au lobe paracen- tral qu'elle envoie ce pli de passage. Le coin, le
lobe
occi- pital, la circonvolution de l'hippocampe,
rs d'hémorrhagie capillaire ; un autre surl'extrémité antérieure du
lobe
temporal. Hémisphère gauche. Face connexe, - La
lier ainsi que le DESCRIPTION DES EXOSTOSES. 117 pli courbe et le
lobe
occipital. Le lobule de l'insula est large, apl
e. - Première circonvolution frontale très sinueuse, très plissée ;
lobe
paracentral irrégulier, presque triangulaire, m
entimètres en hauteur et un en bas, avec un sillon central en Y. Le
lobe
quadrila- tère mesure quatre centimètres à sa p
oit n'en mesure que trois. - Circonvolution du corps calleux, coin,
lobe
occipital, circonvolution de l'hippocampe, corn
is petits foyers d'hémorrhagie capillaire sur la face inférieure du
lobe
frontal, principalement sur la circonvo- lution
genre, gros comme une petite pomme, comprimant le cervelet, dont le
lobe
inférieur contenait un second nodus semblable,
toute probabilité, le cerveau tout entier est re- présenté dans les
lobes
frontaux, il est légitime de penser que c'est d
n affilé l'encéphale de la grenouille jusqu'au tiers postérieur des
lobes
optiques desdeux côtés; donnez à l'animal vingt
travers l'écorce du cerveau d'un pa- ralytique général : a dans le
lobe
occipital (fibres très abondantes dans toutes l
cipital (fibres très abondantes dans toutes les couches), b dans le
lobe
frontal (absence presque complète de fibres dan
ment la cir- convolution de l'hippocampe et de la corne d'Ammon, le
lobe
olfactif et l'origine des nerfs olfactifs. De
ne brun(F ? 3). Pneumonie au deuxième degré à droite au centre du
lobe
moyen; 1 congestion des lobes inférieurs des
deuxième degré à droite au centre du lobe moyen; 1 congestion des
lobes
inférieurs des deux poumons. Cette autopsie n
tre lésion dans la profondeur. Insuffisance aortique ; pneumonie du
lobe
inférieur gauche. Fig. 6. Face interne de l'hém
exception, nous voyons en effet une lésion de la face interne du
lobe
occipital, au lieu d'une lésion du lobule pariéta
ptomatique. Les symp- tômes relevés seraient caractéristiques de la
lobe
systématique et de la mélancolie stupide, s'il
nvolutions ascendantes ; il touche un peu aux bords limitrophes des
lobes
frontaux, pariétaux, temporaux : disposition ra
terne et sur la face convexe et semble avoir séparé complètement le
lobe
occipital du reste de l'hémisphère. Le kyste di
Les circonvolutions temporales sont normales, bien développées. -Le
lobe
occipital est normal. Le lobule de l'insula est
terne. La première circonvolution frontale est épaisse, plissée. Le
lobe
paracentral est épais, long, bien développé; au
ment bifurquée en avant au niveau du bourrelet du corps calleux. Le
lobe
quadrilatère est bien développé, très sinueux;
bien développés, normaux. Les circonvolutions et les scissures du
lobe
orbitaire ne présen- tent rien de particulier.
ve le pseudo-kyste qui occupe : s) sur la face externe, la place du
lobe
temporal dont les circonvolutions sont complète
rconvolutions sont complètement détruites; la partie postérieure du
lobe
pariétal inférieur, la partie la plus antérieure
érieure du lobe pariétal inférieur, la partie la plus antérieure du
lobe
occipital, le pli courbe, la partie postérieure
étal supé- rieur; 6) sur la face interne : la moitié postérieure du
lobe
quadrilatère, tout le coin, le lobule lingual e
ue sorte l'hémis- phère cérébral en deux parties, l'une antérieure (
lobe
frontal et région pariétale), l'autre postérieu
lobe frontal et région pariétale), l'autre postérieure répondant au
lobe
occipital. La partie antérieure du lobe pariéta
re postérieure répondant au lobe occipital. La partie antérieure du
lobe
pariétal est atrophiée, mais a con- servé son a
bituel. Les circonvolutions occipi- tales paraissent normales. Le
lobe
de iinsula est très atrophié. Face interne. La
s atrophié. Face interne. La première circonvolution frontale et le
lobe
paiace71t7,al sont plissés, bien développés.-La
est réduite à une sorte de mince membrane. La partie antérieure du
lobe
quadrilatère est très atrophiée, plis- sée et e
ée, plis- sée et en retrait de plusieurs millimètres par rapport au
lobe
paraccntral; sa partie postérieure, comme nous
atrophiée encore, se trouve beaucoup plus en retrait par rapport au
lobe
occipital.' Le corn se trouve perdu dans le foyer
ort au lobe occipital.' Le corn se trouve perdu dans le foyer. - Le
lobe
occipital est bien développé, sauf dans une petit
e sa partie antéro-inférieure, qui est intéressée dans le foyer. Le
lobe
orbitaire, dans son ensemble, est très atrophié;
c la lésion qui a détruit la partie antérieure du corps calleux. Le
lobe
orhitaire mesure à droite : longueur, 3 centim.
e en avant une poche arrondie répondant à l'extrémité antérieure du
lobe
sphénoidal. La subs- tance grise des circonvolu
nt ici avec le kyste). Troisième coupe. Elle est pratiquée sur le
lobe
occipital et vers l'extrémité du kyste et montr
, c'est l'étendue consi- dérable du foyer, la destruction totale du
lobe
temporal, la séparation presque complète de l'h
sécrétion muco-purulente des bronches; 1>ronchio-pneumonie du
lobe
inférieur droit; nombreuses ecchymoses pleurales
al. Communication annoncée de M. Westphal sur un cas de tumeur du
lobe
temporal gauche avec pièce à l'appui. Elle sera p
gie, t. VIII, p. 382. SOCIÉTÉS SAVANTES. 423 foyer à la pointe du
lobe
temporal droit. Tout petit qu'il fût, ce foyer
ubles du pourtour du foyer qui rétrocédèrent; en ce qui concerne le
lobe
temporal opposé, toute la pointe était dans un
de surdité verbale, Mendel a rencontré une atrophie très accusée du
lobe
temporal droit. M. R ! CHTER'(de Dalldorf) a
. Dans le second cas, il s'agissait d'un paraly- tique général ; le
lobe
temporal gauche était atrophié. M. WESTPHAL pré
n'avait que le volume d'une lentille, était distant de la pointe du
lobe
temporal d'environ 5 centimètres ; ce petit foyer
'artère cérébrale postérieure, à peu près à la limite qui sépare le
lobe
temporal du lobe pariétal, et celui-ci du lobe oc
postérieure, à peu près à la limite qui sépare le lobe temporal du
lobe
pariétal, et celui-ci du lobe occipital. Une tr
limite qui sépare le lobe temporal du lobe pariétal, et celui-ci du
lobe
occipital. Une troisième perte de substance cic
ES. PLANCHE II ancien FOYER (pseudo-layste) ayant BhTHUtT TOUT LE
lobe
Tli11P011AL, etc. Hémisphère droit. (Fig. 1,2,
épaissie, limitant le pseudo-kyste, PK. 2. - Coupe pratiquée sur le
lobe
quadrilatère, les lobules parié- taux supérieur
PM, coupe de la pie-mère épaissie. FiG. 3. Coupe pratiquée sur le
lobe
occipital et vers l'extrémité du pseudo-kllsle.
sur le lobe occipital et vers l'extrémité du pseudo-kllsle. L 0,
lobe
occipital. - L C, coin. Ç 0, corne occipitale. TA
ascendante. - T, première circonvolution temporale. FiG. 5. L Q,
lobe
quadrilatère. F L, ventricule latéral. C S, cor
ariétal in- férieur. T l', circonvolutions temporales. Fie. 6. 0,
lobe
occipital. C 0, corne occipitale. F.rrm. ( : h.
t du coeur. L'au- topsie révéla une pneumoniechronique ulcéreuse du
lobe
supérieur gauche, de l'oedème pulmonaire, des a
te, de concert avec les altérations de laparalysie générale, que le
lobe
temporal gauche est réduit en bouillie : ce ramol
bstance. Chez l'un, il avait enlevé : à gauche, en deux séances, le
lobe
frontal et toute la zone motrice; a droite, outre
oite, outre les mêmes régions, la plus grande partie de l'écorce du
lobe
occipital. Cet animal pouvait encore fléchir la
p. 302. 124 SOCIÉTÉS SAVANTES. étendue et très profonde des deux
lobes
occipitaux; anéantisse- ment eomplet des deux z
l'incisure préoccipitale. Il résulte de cette disposition que le
lobe
occipital est complètement isolé des lobes pariét
cette disposition que le lobe occipital est complètement isolé des
lobes
pariétal et temporal. - La scissure interpariét
e lobule orbitaire est bien développé, très sillonné. Face convexe.
Lobe
frontal. - En avant de la circonvolution fronta
ution pariétale ascendante, également sinueuse, est uu peu grêle.
Lobe
pariétal. - Les lobules pariétaux supérieur et in
euxième circonvolution temporale par un pli de passage à niveau. Le
lobe
occipital n'offre pas d'anomalies, mais ses cir
re pas d'anomalies, mais ses circonvolutions sont un peu maigres.
Lobe
temporal. La première circonvolution temporale pe
, qui, ici se trouverait confondue avec la seconde. Face interne.
Lobe
temporo-occipital. La première scis- sure tempo
suite très irrégulière et 240 CLINIQUE NERVEUSE. mal délimitée du
lobe
temporal. -Toutes les parties situées à l'entou
par un pli de passage à niveau allant du pli pariétal supérieur au
lobe
occi- pital. La scissure interpariélale est trè
tal. Le lobule O1'bifaÙ'e est bien développé, normal. Face convexe.
Lobe
frontal. - En avant de la circonvolution fronta
érieure, mais plus grêle que de cou- tume à sa moitié supérieure.
Lobe
pariétal . - Le pli pariétal supérieur, bien déve
en est de même du pli courbe, mais à un degré moins prononcé. Le
lobe
occipital est assez volumineux ; mais ses deuxièm
ses deuxième et troisième circonvolutions sont un peu chagrinées.
Lobe
temporal. La première circonvolution temporale es
èrement en retrait vers l'incisure préocci- pitale. Face interne.
Lobe
temporo-occipital. La première scis- sure tempo
re du lobule paracentral à la circonvolution frontale interne. - Le
lobe
quadrilatère est petit, maigre, possède un peti
l'hémisphère cérébral droit dont certaines circonvolu- tions des
lobes
pariétaux et temporal offrent un cer- tain degr
squ'à l'incisure préocci- pitale, isolait, comme chez le singe, les
lobes
pariétaux et temporal du lobe occipital. Bien
e, isolait, comme chez le singe, les lobes pariétaux et temporal du
lobe
occipital. Bien que cela nous écarte un peu de
is de boudin; esto- 7zt«r; plein; thymus persistant. - Atrophie des
lobes
occipitaux. - Hémisphère droit 20 gr. de moins
en essayant de détacher la pie-mère, on déchire complètement les
lobes
frontal et temporal; la substance nerveuse appara
llie, presque fluctuante. Somme toute, il n'y a que l'extrémité des
lobes
frontal et occipital qui soit demeurée indemne, e
ec cette idée, car la pie-mère présente une altération au niveau du
lobe
temporal, et le cerveau est à ce point ramolli
e; demain, ce sera un vrai dément. Comme les segments antérieurs du
lobe
frontal étaient, ainsi que certaines parties du
antérieurs du lobe frontal étaient, ainsi que certaines parties du
lobe
occipital, abso- lument indemnes, je crois à un
u corps calleux et n'avait épargné que la corne la plus externe des
lobes
frontal et occipital. M. KNEcHr. Cas d'aphasie
acee. Quelques adhérences pie-méi,ienizes atrophie et sclérose du
lobe
cérébelleux gauche;-inégalité de poids entre les
abdomen on constate : 1° que le foie est repoussé à droite, que son
lobe
gauche atteint tout juste la ligne médiane, que s
rhémisphérique. A part quelques légères adhé- rences entre les deux
lobes
frontaux (face interne), la décortication est f
he. L'olive droite est également moins proéminente et éraflée. Le
lobe
cérébelleux droit arrive au niveau de la partie p
lobe cérébelleux droit arrive au niveau de la partie postérieure du
lobe
occipital, mais le lobe cérébelleux gauche est en
rrive au niveau de la partie postérieure du lobe occipital, mais le
lobe
cérébelleux gauche est en retrait de près de 3
s occipitales. Le lobule orbitaire est bien conformé. Face convexe.
Lobe
frontal. Il existe une scissure parallèle front
bien développés, très découpés; il en est de même du pli courbe. Le
lobe
occipital est bien déve- loppé, mais les scissu
loppé, mais les scissures et les circonvolutions sont irrégulières.
Lobe
temporal. La première temporale sinueuse, un peu
La scissure parallèle, sinueuse, profonde, communique à la base du
lobe
pariétal par deux sillons transverses avec la d
si que la troisième temporale qui est bien conformée. Face interne.
Lobe
temporo-occipital. Les première et deuxième cir
par un pli de passage à niveau reliant le pli pariétal supérieur au
lobe
occipital. - La scissure interpariétale ne poss
se. Le lobule orbitaire est normal, très développé. Face convexe.
Lobe
frontal. En avant de la frontale ascen- dante e
férieur au pli pariétal inférieur par un pli de passage à niveau.
Lobe
pariétal. Les <o6u'sp(H't(( ! <a;SMp ? eu)'
irréguliers par suite de nom- breux sillons qui les découpent. Le
lobe
occipital, dont lés circonvolutions paraissent un
sillon transverse occipital jusque vers l'incisure préoccipitale.
Lobe
temporal. La première temporale plissée envoie un
parallèle à la première scissure temporo-occipitale. Face interne.
Lobe
temporo-occipital. Les première et deuxième cir
é de la partie moyenne de la circonvolution frontale ascendante, du
lobe
occipital, l'état chagriné des pre- .' Nous fer
es méninges et de l'ensemble de l'encé- phale surtout au niveau des
lobes
frontaux). L'individu est mort avant qu'il ait
, chez une démente sénile de soixanle-quatre ans ; on trouve sur le
lobe
frontal et la frontale ascendante du côte droit
uche; un autre foyer de ramollissement jaune, récent, siège dans le
lobe
occipital gauche, traversant l'écorce et la sub
du ventricule latéral. On trouve au microscope, en divers points du
lobe
temporal, de la frontale ascendante, et de la t
x à la région sigmoïdienne; la seconde (zone inactive) comprend les
lobes
frontal et occipital. Par ses recherches person
é de consistance, surtout dans certains points situés la surface du
lobe
frontal droit et du lobe temporo-sphénoldal et
dans certains points situés la surface du lobe frontal droit et du
lobe
temporo-sphénoldal et occipital gauche où se tr
208 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE détruit appartient au
lobe
pariétal. Nous croyons que c'est a peu près un
que c'est a peu près un 1/8-1/9 de la surface dorsale pariétale.
Lobe
occipital. Sauf l'union déjà nommée de la scissur
ieure cérébrale. Comme le montre très distinctement la Pl.XXVI,le
lobe
occipital gauche se présente comme un morceau i
orales. La figure nous fait voir très évidemment une inclinaison du
lobe
occipital à la hauteur de l'impressio petrosa ;
obstacle il la propagation du processus destructif, de sorte que le
lobe
occipital est resté épargné. , . Lobe temporal.
destructif, de sorte que le lobe occipital est resté épargné. , .
Lobe
temporal. A droite, rien de particulier. Sur la
. Lobe temporal. A droite, rien de particulier. Sur la gauche, le
lobe
temporal est transformé en une vaste poche kys-
le tissu nerveux a été détruit complètement ; par la rétraction du
lobe
nommé la partie antérieure de l'insula de Reil es
ue la partie postérieure, qui correspond à la surface supérieure du
lobe
détruit, est transformée en tissu conjonctif. 3
bstance grise sont atrophiées. Deux coupes frontales de ATROPHIE DU
LOBE
TEMPORAL GAUGHE chez une 0pilcptiquc. Hémisph
s rides qui se trouvent dans la partie inférieure et postérieure du
lobe
pariétal. Pour une moindre part la cause doit êtr
e altération doit être interprétée comme une méningo-encéphalite du
lobe
temporal, qui s'est répandue de lu sur l'é- cor
te aucune ano- malie. Dans la région motrice gauche (y compris le
lobe
frontal et la circonvo- lution pariétale supéri
ltérations dans les circonvolutions centrales, moins dans celles du
lobe
frontal, et plus dans les circonvolutions pariéta
ns les circonvolutions pariétales. Il nous parait discutable que le
lobe
temporal ait contribué à l'atrophie du pédoncul
ord pour admettre que le faisceau médian entre en connexion avec le
lobe
frontal et avec le noyau strié de Flechsig (3).
rvation, les filets les. plus externes entrenl en relations avec le
lobe
occipital et les' fibres plus médianes avec les
e latérale de ces fibres longitudinales et le fait cheminer vers le
lobe
temporal. Les filets les plus latéraux du fasci
ndis que les fibres internes se terminent dans la partie médiane du
lobe
temporal. Frylinck les fait plonger aussi dans
e médiane du lobe temporal. Frylinck les fait plonger aussi dans le
lobe
temporal, c'est-à-dire les libres latérales dan
périeures et les mé- dianes dans les circonvolutions de passage des
lobes
temporaux et pa- riétaux. Déjerirce (1) et 'J
pa- riétaux. Déjerirce (1) et 'J1lonako1V (2) acceptent aussi le
lobe
temporal comme endroit d'origine. Sioli (3) dit
(3) dit que ces libres blanches trouvent leur ter- minaison dans le
lobe
temporal et dans l'écorce du lobe pariétal, situé
ouvent leur ter- minaison dans le lobe temporal et dans l'écorce du
lobe
pariétal, situé der- rière les circonvolutions
irconvolutions centrales, tandis que Winhler incline à admettre les
lobes
pariétaux comme origine ; il admet néanmoins qu'u
égénéré peut être suivi à travers la capsule interne jusque dans le
lobe
temporal. Filmer, se fondant sur son observatio
poral. Filmer, se fondant sur son observation où une destruction du
lobe
occi- pital n'était pas suivie de dégénération
donculaires latérales,et sur une trouvaille de lt'ilakler où sur un
lobe
occipital normal fut trouvé une dégénération du
trouvé une dégénération du fascicule latéral entier, prétend que le
lobe
occi- pital n'entre pas en relation avec les fi
ction complète de l'écorce et des libres blanches sous- jacentes du
lobe
temporal, sans aucune anomalie secondaire dans le
vation pareille avec résultat négatif, on voit qu'il ne reste que le
lobe
pa- riétal qui puisse être considéré comme régi
tion de l'écorce cérébrale entière, datant dès la jeunesse, sauf le
lobe
temporal, la base des lobes frontaux et occi- p
entière, datant dès la jeunesse, sauf le lobe temporal, la base des
lobes
frontaux et occi- pitaux et de petites parties
ur semble aussi s'opposer. Là on trouve une lésion insignifiante du
lobe
pariétal (gyrus angularis) avec une dégénératio
même pour des systèmes différents. IV. Kam (obs. V). Destruction du
lobe
pariétal entier et de la capsule interne sans d
interprétation. I. ir711tl,.Iei (1885). Une destruction étendue du
lobe
pariétal comme a . ' 15 222 NOUVELLE ICONOGRA
ci-dessus. III. 'Jelgers1na. Un foyer situé principalement sous le
lobe
pariétal avait donné une dégénération secondair
énération secondaire. IV. Sioli. Destruction des fibres blanches du
lobe
pariétal avec dégé- nération partielle du fasci
de consistance surtout dans certains points situés à la surface du
lobe
frontal droit et du lobe temporo-sphénoïdal et
ans certains points situés à la surface du lobe frontal droit et du
lobe
temporo-sphénoïdal et occipital gauche oit se t
erveau droit présente une perte de substance considérable de tout son
lobe
postérieur, surtout du côté de la face interne
arachnoïdienno dans toute la fosse sylvienne et dans les sillons du
lobe
occipital. Moelle. - Ici l'altération atteint d
tt avec grande déformation, 158. TABLE DES PLANCHES Atrophie du
lobe
temporal gauche chez une épileptique, XXXVI.
nges sont épaissies p a r t i c u l i è r e m e n t au niveau des
lobes
frontaux et des circonv. motrices. Méningite hé
un peu louche. — E t a t t r è s g r è l e des circonvolutions du
lobe
frontal. — Tuberculose pulmonaire. Os du c r
tion presque générale ; ça et là quelques plaques ecchy-motiques. Les
lobes
frontaux sont accolés par leur face interne et la
sinueuses. FA et PA sont tout à fait régulières ainsi que le S. R. Le
lobe
frontal est relativement très développé; ses plis
et résistantes de la plèvre droite. — Adhérences assez prononcées du
lobe
supé-rieur. Congestion intense du lobe inférieur.
Adhérences assez prononcées du lobe supé-rieur. Congestion intense du
lobe
inférieur. — A gauche, œdè-me très marqué du lobe
ngestion intense du lobe inférieur. — A gauche, œdè-me très marqué du
lobe
supérieur, congestion moins accusée qu'à droite d
rès marqué du lobe supérieur, congestion moins accusée qu'à droite du
lobe
inférieur. — Cœur rien à noter. Abdomen. —Foie
et de Sylvius sont bien visibles, quoique comblées par l'exsudat. Le
lobe
frontal est très développé. La circonvolution de
c la frontale ascendante qui est bien visible. Les circonvolutions du
lobe
temporal ne sont dis-tinctes qu'en avant. Le Jobe
oumon gauche : congestion intense de ce poumon ; on constate dans les
lobes
d'assez nombreux turbercules ayant tous subi une
ion sclèreuse ou cré-tacée.— Poumon droit: congestion très intense du
lobe
supé-rieur qui est volumineux. Le lobe moyen est
it: congestion très intense du lobe supé-rieur qui est volumineux. Le
lobe
moyen est moins conges-tionné, tandis que le lobe
est volumineux. Le lobe moyen est moins conges-tionné, tandis que le
lobe
inférieur est encore le siège d'une congestion in
de la circonvolution du corps calleux. — Le lobule paracentral et le
lobe
occipital sont indemnes sur la face interne, la m
emnes sur la face interne, la méningo-encéphalile occupe surtout le
lobe
frontal, le pied de F3, Pa, Fa, le pli pariétal i
liaires. Cou et thorax. — Thymus. Se présente sous la forme de deux
lobes
allongés, sur 5 cm. de long sur un centimètre et
palpation montre que le corps thyroïde est facilement perceptible, le
lobe
gauche surtout. Membres supérieurs, musculature
s entraîner toutefois de substance cérébrale. Les circon-volutions du
lobe
frontale sont un pou maigres. Les autres circonvo
t, toutefois, il y a de peti-tes adhérences sur la face inférieure du
lobe
frontal, sur l'extrémité postérieure de F 2, sur
d'une façon presque uniforme, peut-être sont-elles plus grêles sur le
lobe
frontal et sur le lobe occi-pital. Seules la moit
forme, peut-être sont-elles plus grêles sur le lobe frontal et sur le
lobe
occi-pital. Seules la moitié inférieure de FA et
la moitié inférieure de FA et de PA, ainsi que les circonvolutions du
lobe
temporal ont un volume normal. — Toutes les cir
5° Pas de tubercules miliaires. Cou. — Corps thyroïde, volumineux,
lobes
hypertrophiés. Le lobe droit à sa partie inférieu
liaires. Cou. — Corps thyroïde, volumineux, lobes hypertrophiés. Le
lobe
droit à sa partie inférieure et un peu en arrière
en arrière pré-sente une petite glandule de la grosseur d'un pois. Le
lobe
gauche offre la même particularité. On les conser
poumon droit s'ouvre et se déchire à la sortie du poumon. Tous les
lobes
sont infiltrés de tuber-cules. Le poumon gauche n
Rappelons l'atrophie de la partie supérieure de V A, P A et un peu du
lobe
paracentral. De pair avec cette parésie marche
oup de points avec la pil'-mèl'e dll cervelet. La partie voisine du
lobe
cérébelleux gauche est comprimée par le néoplas
rchives, 2, série, 1905, l. XIX. 3 34 RECUEIL DE FAITS. niveau du
lobe
frontal et du lobe occipital. Toutes les circon
1905, l. XIX. 3 34 RECUEIL DE FAITS. niveau du lobe frontal et du
lobe
occipital. Toutes les circonvolutions sont un p
tites concrétions miliaires comme crétacées. Les circonvolutions du
lobe
frontal sont un peu grêles. Les circonvolutions
sont un peu grêles. Les circonvolutions de la partie postérieure du
lobe
temporal et du pli courbe présentent un grand n
; leur atrophie, très-notable, prédomine sur le lohe frontal et le
lobe
occipital. Il y a également, iL gauche, mais mo
e centre oculo-musculaire frontal occupe la partie posté- rieure du
lobe
frontal ; il est en avant du sillon crucial, immé
t pu en fixer la con- nexion avec ces fibres dégénérées. Il. - Le
lobe
pariétal contient un endroit, qui siégerait dans
r à l'hôpital. Autopsie. Consistance cartilagineuse de l'écorce des
lobes
frontaux et pariétaux, du cervelet, de la parti
es [dégénérescences corticales principalement des as- cendantes, du
lobe
occipital ; amvélinie moins absolue des lobes f
des as- cendantes, du lobe occipital ; amvélinie moins absolue des
lobes
frontaux et temporaux : déchets de myéline plei
ique. noter que les lésions liistulogiqneb constatées au niveau des
lobes
frontaux intéressaient à la lois les cellules,
space interbemispherique sous l'influence du froid et du chaud. Les
lobes
frontaux s'éloi- gl1t'nt sous l'influence du fr
sous l'in- fluence du chaud. Or, précisément pendant le sommeil, le
lobes
frontaux sont rapprochés au maximum, on compren
s, se retrouve e dans la région rolandique, et, par places, dans le
lobe
frontal. Il .'a;;iL, en l'espèce, .d'une jeune
iL pleinement conservé.' 2. Chez \ oiseau, (pigeon), l'ablation des
lobes
occipitaux se réfléchit sur la vue ; lui i bouc
n, la cécité corticale émane de l'extirpation de la face interne du
lobe
occipital. C'est, l'oeil du côté opposé qui souff
u côté opposé qui souffre le plus. 4. Chez le ch ien, la lésion des
lobes
frontaux détermine surtout des signes de démenc
ieur d'une bande d'un demi-centimètre qui occupe la face externe du
lobe
occipital el la partie la plus postérieure du l
le externe et. en partie, la région oc- cipitale externe, depuis le
lobe
pariétal jusqu'au pôle postérieur et sous la te
e courte durée sur l'oeil opposé. La lé- sion de la face interne du
lobe
occipital provoqueunehemianop- sie homonvme cor
ssés de l'extirpation antérieure. La lé- sion de la face externe du
lobe
occipital jusqu'au sillon pariélo- occipilal et
u'au sillon pariélo- occipilal et celle de la partie postérieure du
lobe
pariétal provo- la vision distincte), dans l'oe
nt. 8. \os préparations relatives aux lésions de la face interne du
lobe
occipital chez le singe montrent que les voies
ge montrent que les voies d'association, gagnent la face externe du
lobe
occipital (centre d'élaboration mentale), les p
e d'élaboration mentale), les portions supérieures et externes du
lobe
pariétal et de la région motrice, enlin l'écorce
ternes du lobe pariétal et de la région motrice, enlin l'écorce des
lobes
frontaux. Ces voies empruntent le trajet du fai
ngiLudi- nal supérieur. Elles vont il toutes les circonvolutions du
lobe
temporal en parlant de la face externe de l'éco
raire la perte des facultés mentales supérieures ; c'est celles des
lobes
frontaux. Celle zone est en rapport avec toutes
des corps genouillés externes. La lésion commence dès la pointe du
lobe
occipital et rend méconnaissable en bonne parti
ux foyers, l'un occupant la région calcarine, l'autre une partie du
lobe
lingual, laissant entr'eux un pont de (1) Clini
des- truction linéaire sous-corticale dans la partie inférieure du
lobe
lingual et la supérieure du fusiforme (fifl. 8)
'ont qu'une valeur très rela- tive. 11 est en et)et, évident que ce
lobe
occipilal a subi des mo- difications profondes
SECONDAIRE. 179 fornique, toute destruction de la partie médiane du
lobe
occipi- tal doit léser en même temps les faisce
enir de la région comprise entre les scissures P. o. et Cale, et du
lobe
lingual. Elles ont la couleur noire, le calibre
é de FIL dans l'hémisphère droit, sere- trouve jusqu'à la pointe du
lobe
temporal, (fit. 11, 13, 14.). La zone supérieur
sibilité qu'à l'état normal il contienne aussi des libres allanL du
lobe
occipital à la première circonvolution temporale.
e ré- gion plus frontale en a), une zone inférieure se rendant au
lobe
temporal ; b. une zone supérieure allant il c. g.
ux de notre maître que la partie dorsale des faisceaux sagittaux du
lobe
occi- pital relie axant tout les parties postér
Kilo n'a pas de rela- tions de quelqu'importancc avec le cunéus, le
lobe
lin- gual et 02. D'après lI. de 1\Ionakow aussi
g. c. qui dépend direc- tement de l'état du nerf optique et non du
lobe
occipital (v. llonal : ow)... " Nous ne sauri
in- férieur est avant tout un faisceau d'association qui relie le
lobe
occipital et en particulier la zone visuelle au l
n qui relie le lobe occipital et en particulier la zone visuelle au
lobe
temporal » . Ceci paraît être aussil'opinion de
nous voudrions nous rallier en la modifiant quelque peu. Dans le
lobe
occipital, la partie inférieure de Fli. con- ti
bres d'association restent à l'étage inférieur et se ren- dent au
lobe
temporal. Il est bien entendu que nous ne sauri
n, partant avant tout de c. g. e., atteindrait presque la pointe du
lobe
temporal et se recourberait en- suite pour arri
ointe du lobe temporal et se recourberait en- suite pour arriver au
lobe
occipital. En 1900 nous avons publié les résult
0 nous avons publié les résultats de l'examen d'un cas de tumeur du
lobe
occipital avec dégénérescence secondaire de H t
due du foyer cortical. Ceci s'appliquerait tout particulièrement au
lobe
occipi- tal où il ne se produit jamais de ramol
ale, et a l'autopsie de laquelle on ll'oum une pachy- niéningile du
lobe
frontal droit, constituée par de sa sclern- gOU
. C. XC. Hémianopsie homonyme droite par abcès sous-cor- tical du
lobe
occipital gauche ; par M. Braun. (Société mé- d
in intérêt en raison de sa localisation, qui est assez rare. Dansle
lobe
occipital gauche, exis- tait une cavité du volu
8. Voir Néo- plasme. homonyme droite par abcès sous-cortical du
lobe
occipital gauche, par Braun, 383. HEMicuoREE,
ne qui fut poussée par erreur très loin, jusqu'à l'ingestion de six
lobes
de thyroïde par jour, produisit l'exagération des
enre aussi pittoresques qu'inattendues, parle-t-il des idées ou des
lobes
du cerveau, des sensations ou des plexus cellul
sous-jacent est infiltré de tubercules de différents âges ; un des
lobes
supérieurs montre une réaction fibreuse intense
ite de la ligure). SYPHILIS UÈRÉDITAIHE TARDIVE 87 entre les deux
lobes
pariétal et occipital et allant en s'amincissant
e par un pont de substance de 2 centimètres environ. De ce fait, le
lobe
occipital se termine en une languette mince, de
al se termine en une languette mince, de 2 cent. 1/2 de hauteur, le
lobe
pariétal occupe l'extrémité d'une grosse tubéro
l occupe l'extrémité d'une grosse tubérosité, offrant l'aspect d'un
lobe
nettement distinct. Cette encoche apparaît égal
scrètes, à la face inférieure de l'hémisphère, particulièrement des
lobes
frontaux. L'hémisphère droit montre aussi quelq
es pédoncules cérébraux, remonte légèrement sur la face interne des
lobes
frontaux, recouvre partiellement le pôle temporal
X, PAR L. MARCHAND, Médecin-Adjoint des asiles d'aliénés. Les
lobes
occipitaux sont le siège des centres visuels cort
tent que les centres visuels corticaux occupent la face interne des
lobes
occipitaux, au niveau de la scissure calcarine. L
s troubles déterminés chez l'homme par la sclé- rose symétrique des
lobes
occipitaux. La marche lente de l'affection, la
initive qui peut être assimilée à une destruction complète des deux
lobes
occipitaux ajoutent encore à l'intérêt de cette o
te et menaçait de tuer les personnes de son SCLÉROSE SYMÉTRIQUE DES
LOBES
OCCIPITAUX 101 entourage. Ses parents la soignè
X (Marchand.) Masson & CL, Editeurs SCLÉROSE SYMÉTRIQUE DES
LOBES
OCCIPITAUX 103 mesure un centimètre environ d'é
as d'adhérences entre la dure-mère et la pie-mère. Au niveau des deux
lobes
occipitaux, la dure-mère adhère à la pie-mère ;
grammes, le gau- che 315 grammes. Rien de particulier au niveau des
lobes
frontaux, pariétaux et temporaux. Au niveau de
pariétaux et temporaux. Au niveau de la face externe et interne des
lobes
occipitaux, le cerveau est recouvert de membran
nte aux circonvolutions. Les circonvolutions de la face externe des
lobes
occipitaux sont petites, ratatinées, atrophiées ;
ont pénétrées par les fausses membranes. A la face interne des deux
lobes
occipitaux, les circonvolutions ont le même aspec
centimètres du pôle occipital, la minceur de la partie interne des
lobes
occipi- taux apparaît dans toute sa netteté. A
stance blanche au niveau des circonvolutions de la face externe des
lobes
occipitaux ; ces parties donnent au toucher une s
territoire. Von Monakow com- prend comme sphères visuelles tous les
lobes
occipitaux jusqu'aux plis courbes, Vialet la fa
ipitaux jusqu'aux plis courbes, Vialet la face interne seule de ces
lobes
. Seguin les limite au cunéus, Brissaud au lobul
les formes. Bull, Dahms, Henschen et Vialet SCLÉROSE SYMÉTRIQUE DES
LOBES
OCCIPITAUX 109 se sont élevés contre cette hypo
avec l'opinion d'Edridge-Green (1) qui soutient qu'il y a dans les
lobes
occi- pitaux, deux groupes de cellules bien dis
ux hémisphères par des fibres directes et croisées ; la lésion d'un
lobe
occipi- tal permet ainsi la conservation de la
sion centrale aurait dû être abolie chez notre malade, car les deux
lobes
occi- pitaux étaient sclérosés, La seconde hypo
t comme des aveugles par lésions périphériques. Dans les lésions du
lobe
occipital, il est de règle de voir les malades pe
chiv. f. Ophtalmologie, Leipzig, 1890, I. SCLÉROSE SYMÉTRIQUE DES
LOBES
OCCIPITAUX 10 ? dans les lésions des sphères vi
s- pace (Sachs). Chez les malades atteints de lésion symétrique des
lobes
occipitaux et ayant conservé la vision centrale
suelles et tactiles ne peuvent plus être reproduites en séries ; le
lobe
occipital a presque toujours perdu ses relation
be occipital a presque toujours perdu ses relations avec les autres
lobes
du cerveau et en particulier avec les circonvol
ement extérieur du thorax, les poumons sont peu volumineux. Dans le
lobe
supérieur de chacun d'eux, plus particulièrement
mme adulte oscille entre 18 et 25 grammes (PI. XXXVIII). Des deux
lobes
, unis par l'isthme, qui ne présente pas de prolon
escend plusbas que le droit. Les dimensions respectives de ces deux
lobes
sont les suivantes : NOIJV. ICONOGRAPHIE DE LA
er, s'en- fonce, par la scissure interhémisphérique, jusque dans le
lobe
frontal droit. Sur une coupe frontale de l'hémi
. 2° Prolongement intm-ventTiculail'e de la tumeur à l'intérieur du
lobe
frontal droit. A un faible grossissement (PI.
s microscopiques des portions des hémisphères, contiguës la tumeur (
lobe
frontal) ont montré l'intégrité des circonvolutio
grands vaisseaux sont sains, ainsi que les poumons; seu- lement au
lobe
droit du milieu et sur le sommet du poumon gauche
de sang. La pie-mère est très adhérente, spécialement au niveau de
lobes
frontaux et pariétaux, et on ne la peut arrache
Nissl, Marchi, Weigert Vassale, Pal. L'examen du cerveau montre :
Lobe
frontal droit. Diminution du nombre de cellules d
ux alentours des petits foyers de pigment hématique (Pl. LIV, B).
Lobe
frontal gauche. - Diminution du nombre des cellul
ifférentes altérations cellulaires qu'on a déjà rencontrées dans le
lobe
frontal droit et une abondante prolifération des
globules rouges en dia- pédèse (PI. LIV et LV, A, B, C). Dans les
Lobes
pariétal droit, pariétal gauche, occipital droit,
rait-on suivre dans les cas, comme le mien, par exemple, où dans le
lobe
frontal droit existent des altérations paren- c
t des altérations paren- chymateuses sans méningite, et où, dans le
lobe
frontal gauche on a affaire à une véritable mén
pl en pho- tocollogr.), par M. Dide, 341. Sclérose symétrique des
lobes
occipitaux (1 pl. en photocollogr.), par Marcha
- que (2 pl.), 280. Marchand. Un cas de sclérose symétrique des
lobes
occipitaux (1 pl. en photogr.), 100. Mariani
-oedème catatonique (Dide), LXV à LXVIII. Sclérose symétrique des
lobes
occipitaux (Marchand), XXII. Spasmes et tremb
périeure des hémisphères manquaient; il n'y avait qu'un vestige des
lobes
inférieurs. La voûte, très irrégulière, n'avait
o, Rosenbach, ont tous produit des accès d'épilepsie en excitant le
lobe
occipital. Pour être efficace, l'excitation por
nt). Comme, après l'ablation de la zone motrice, les excitations du
lobe
occipital ne provoquent plus de convul- sions,
oté que, pour la production des accès consécutive à l'excitation du
lobe
occi- pital, la durée est plus importante que l
propriété épileptogène autonome que Unverricht semble accorder aux
lobes
occipitaux 2, Unverricht soutient que de pures
adiation aux éléments moteurs, produire des accès convul- sifs : le
lobe
occipital n'a pas de « propriété épileptogène »
eur des fais- 110 REVUE critique. ceaux de cet ordre, reliant les
lobes
cérébraux les plus éloi- gnés' . Il faut surtou
songer au faisceau unciforme et au faisceau arqué, qui unissent le
lobe
frontal aux lobes temporal, pariétal et occipit
au unciforme et au faisceau arqué, qui unissent le lobe frontal aux
lobes
temporal, pariétal et occipital, au faisceau lo
isceau longitudinal inférieur, au faisceau du cingulum. Quoique les
lobes
frontaux et préfrontaux renfer- ment des centre
mal de l'intelligence 3. Par ceux-ci, Bianchi entend les régions du
lobe
frontal, que quel- ques auteurs ont considéré e
a motilité volontaire. Cependant, si les expériences de Munk sur le
lobe
frontal, expériences dont Meynert reconnaît la
s dont Meynert reconnaît la haute valeur, sont fondées en fait, les
lobes
frontaux font partie de la sphère sensitive ou
. Milano, 1890. DE L'ÉPILEPSIE corticale. 111 l rimentales de ces
lobes
altèrent beaucoup plus l'intelligence que celle
le zone sensorielle. Quelques nou- velles expériences d'ablation du
lobe
préfrontal du chien et du singe, mais dont les
ons de la base à la moelle épinière. » Lussana avait situé dans les
lobes
frontaux le centre de la connaissance des perso
e était atteint. La troisième observation est celle d'une tumeur du
lobe
occipital droit (Wollenberg); vertiges, attaques
dons postérieurs). L'alaxie qui se montre dans le cas de foyers des
lobes
pariétaux est donc identique à celle qui se rat
la protubérance. Ces éléments-là sont en contact avec l'écorce des
lobes
frontaux et avec la partie postérieure des hémis-
ui Se transforme en hémiplégie. A l'autopsie, on a trouvé dans le
lobe
frontal gauche, dans la région des 2° et 3° circo
le de rattacher la forme observée par le rapporteur aux lésions des
lobes
frontaux du cerveau. M. RoTU, rappelant que dan
. - 1, sillon de Rolando. 2, scissure frottto-puriétale interne. - 3,
lobe
paracentral. 4, circonvolution crêtée ou second
nvolution de pas- sage, un centre de coordination, un pont entre le
lobe
sensitif temporal et le lobe moteur pariétal. C
ntre de coordination, un pont entre le lobe sensitif temporal et le
lobe
moteur pariétal. C'est une connexion apha- siqu
re perpendiculaire, serait une circonvo- lution de passage entre le
lobe
temporal et le lobe pariétal, une connexion aph
serait une circonvo- lution de passage entre le lobe temporal et le
lobe
pariétal, une connexion aphasique ; 2° Que la
olé en apparence, mais qui se trouve relié en réalité à l'écorce du
lobe
inférieur près du quadrilatère perforé » d'aprè
lequel elle se dirige, chez les animaux, est celui où l'origine du
lobe
du corps calleux vient se confondre avec le bec
termine à la fois sur l'une et l'autre, mais principalement sur le
lobe
du corps calleux. » ' ' Piliers antérieurs. H
Atrophie partielle symétrique des hémisphères et porencéphalie du
lobe
frontal droit. M. Rrrrr donne lecture d'un mémoir
am. Trois cas d'altération du nerf optique à la suite de lésions du
lobe
occipital du cerveau, présentation des pièces. Le
tion intra-crâniennedu nerf optique, des foyers bilatéraux dans le
lobe
occipital. Le mémoire sera publié. Séance du 11
me. L'anévrysme siège au début de l'aorte descendante; il adhère au
lobe
supérieur du poumon gauche non atélectasié et à
. Mémoire publié. M. Sachs (de Breslau). De la substance blanche du
lobe
occipital dans le cerveau humain. Mémoire publi
n en 1835, dans les circonvolutions occipitales. Munck l'étendit au
lobe
occi- pital. Luciani et Tamburini découvrirent
elles convergeraient, chez le chien, vers un territoire neutre : le
lobe
pariélal inférieur. La destruction de ce centre
ucinations dépendraient d'une excitation plus ou moins prolongée du
lobe
oc- cipital. Dans les cas de migraine, elles se
e, elles seraient dues à des spasmes des artères qui nourrissent ce
lobe
, et à l'anémie consécutive. Il croit que cette
l'on soumet à l'action d'un courant électrique l'angle inférieur du
lobe
temporal, on provoque l'élévation de la paupière
ion DE la bandelette OPTIQUE ET DU serf OPTIQUE dans les lésions du
lobe
occipital du cerveau, par C. Moeli. (.-11'Ch. f
.) 1.) . , Deux observations montrant que les lésions cérébrales du
lobe
occipital atteint pendant son développement se
é une affection eu foyer qui détruit la substance blanche du même
lobe
(Obs. 111) détermine la dégénérescence du corps g
A l'autopsie : foyer hémorrha-ique ancien à la partie inférieure du
lobe
antérieur gauche du cerveau, large de deux centim
n deuxième foyer analogue, mais plus petit, à la face inférieure du
lobe
moyen gauche. Puis, comme lésions récentes : un
s surtout une hémorrhagie céré- belleuse de la partie antérieure du
lobe
cérébelleux gauche où se trouve une anfractuosi
, sur toute la face y compris le front. On diagnostique : lésion du
lobe
frontal et peut-être de la protubérance, due prob
ntégrité des fibres fines, se poursuit dans la substance blanche du
lobe
gauche du cervelet. Le corps godroné du même cô
ons- tater d'altération dans le ruban de Reil et l'acoustique. Le
lobe
moyen étant demeuré intact, il n'y avait pas eu d
ck, 129 ; - altérations des - optiques à la suite de la lésion du
lobe
occi- - pital, par lI1oeli, 273; - racines du
QUE, altération de la bandelette et du nerf - dans les lésions du
lobe
occipital, par Moeli, 'F00. Oreille, mouvements
ion scléreuse. Au niveau du pancréas, on peut observer que certains
lobes
se colorent t mal ; les limites des cellules n'
Cet amincissement des lamelles intéressant le vermis supérieur et le
lobe
quadrilatère antérieur et postérieur des deux c
et postérieur des deux côtés, contraste avec l'état des lamelles du
lobe
semi-lunaire, et en général du reste de la face s
et horizontales. A l'oeil nu on peut déjà observer que l'écorce du
lobe
quadrilatère antérieur et postérieur, du lobe g
erver que l'écorce du lobe quadrilatère antérieur et postérieur, du
lobe
grêle, du vermis supérieur (culmen et déclive) du
e grêle, du vermis supérieur (culmen et déclive) du floc- culus, du
lobe
digastrique et du lobe central du vermis est nett
rieur (culmen et déclive) du floc- culus, du lobe digastrique et du
lobe
central du vermis est nettement atro- phiée, ta
res et du vermis. Les sillons interlamaires et interlamellaires des
lobes
précités sont plus larges que normalement. L'écor
deux moitiés du cer- velet et atteint son plus fort degré dans les
lobes
quadrilatères antérieurs et postérieurs, dans l
eur (culmen et déclive), auxquels succèdent en ordre d'intensité le
lobe
grêle, le lobe central du cer- velet, la lingul
déclive), auxquels succèdent en ordre d'intensité le lobe grêle, le
lobe
central du cer- velet, la lingula, le lobe diga
ensité le lobe grêle, le lobe central du cer- velet, la lingula, le
lobe
digastrique et la pyramide. Si dans les lobes les
velet, la lingula, le lobe digastrique et la pyramide. Si dans les
lobes
les plus fortement pris il existe un parallélis
ion des trois couches citées de la corticalité et si dans les mêmes
lobes
l'atrophie intéresse presque avec la même inten
esque avec la même intensité les lamelles correspondantes, dans les
lobes
moins atteints le degré d'altération est souven
diverses lamelles qui leur appartiennent. Dans ce dernier ordre de
lobe
il n'est pas rare de constater en plus que la l
description histologique nous prendrons les lamelles appartenant au
lobe
quadrilatère antérieur et postérieur, au vermis s
ps amyloides. Cellules de Purkinje. Dans la plupart des lamelles du
lobe
quadrilatère, du culmen et du déclive, du flocc
rticulier. Si on la compare avec celles des lamelles et de lames du
lobe
semi-lunaire non atrophié, il ne semble pas non
ervée, même dans les lamelles les plus atteintes. Dans les autres
lobes
(grêle, digastrique, lobe central du vermis, pyra
es les plus atteintes. Dans les autres lobes (grêle, digastrique,
lobe
central du vermis, pyra- mide, lingula) on retr
rains et la couche moléculaire avaient un aspect normal. Dans les
lobes
semi-lunaires, supérieur et inférieur,dans les am
n et décoloration. La couche médullaire est intacte. Comme dans les
lobes
les plus atrophiés, il n'existe, dans le reste de
as nous avons observé en outre que si dans les lamelles de quelques
lobes
(quadrilatère, flocculus, vermis supérieur) l'atr
léculaires, des grains et les cellules de Purkinje, dans les autres
lobes
on rencontre à côté des lamelles présen- tant l
autopsie, on trouve des plaques de méningo-encéphalite au niveau du
lobe
pariétal supérieur et du lobe frontal de l'hémi
s de méningo-encéphalite au niveau du lobe pariétal supérieur et du
lobe
frontal de l'hémisphère gauche, et un foyer de
e et pédoncule cérébral) ; de même la protubérance et le bulbe. Les
lobes
lemporo-occipitaux ont été dé- bités séparément
males, ainsi que les vaisseaux et les mé- ninges de la moelle. 4°
Lobe
occipital. - Les coupes frontales du lobe occipit
ninges de la moelle. 4° Lobe occipital. - Les coupes frontales du
lobe
occipital gauche mon- trent qu'il existe une di
une diminution de largeur très notable des couches sagittales de ce
lobe
, surtout accusée pour la couche sagittale interne
de cette couche, ce qui lui donne un aspect plus pâle que celle du
lobe
occipital droit. Les circonvolutions du lobe oc
us pâle que celle du lobe occipital droit. Les circonvolutions du
lobe
occipital gauche sont, d'une façon générale, un
, d'une façon générale, un peu moins développées que celles du même
lobe
de l'hémisphère opposé, mais c'est surtout au n
eption faite pour quelques petits faisceaux les plus internes. Le
lobe
occipital est indemne de tout foyer primitif. C
u champ de Wernicke et des couches sagittales interne et externe du
lobe
temporo-occipital ; une dégénération rétrograde
res aux corps genouillés externe et interne, à une grande partie du
lobe
temporal et au lobe occipital. On comprend aisé-
llés externe et interne, à une grande partie du lobe temporal et au
lobe
occipital. On comprend aisé- ment que l'oblitér
oyer à l'extrémité de la corne sphénoïdale,un deuxième au sommet du
lobe
occipital). Dans l'observation de Blessigs (2)
e locus niger. L'auteur ne donne pas de renseignement sur l'état du
lobe
oc- cipital, mais dit que l'hémianopsie doit êt
La glande thyroïde : elle paraît peu atrophiée relativement, les deux
lobes
pèsent 6 gr. 12 centigrammes, le droit pèse 3 g
ire normale. Les cordons de cellules épithéliales polyé- driques du
lobe
antérieur sont normalement constitués. Les cellul
à la surface totale, différence en moins allant jusqu'à 10 0/0, au
lobe
occipital droit avec ses scissures profondes. I
épanchements sanguins. Examen des coupes sériées. Dès la pointe du
lobe
occipital il y a une diflé- rence entre les deu
crâne. Il est possible que cela ait soumis la moitié inférieure du
lobe
oc- cipital à une pression particulièrement int
rmations récentes (Iconogr., n° 3,1906). Les faisceaux sagittaux du
lobe
occipital droit sont particulièrement al- térés
d'un fragment de l'écorce cérébrale, pris loin de la tumeur dans le
lobe
orbitaire, pratiqué par mon interne M. Aynaud,
foyer de ramollissement très étendu, avec perte de substance sur le
lobe
temporo-occipital, formant une cavité allongée,
ntricule latéral, se prolongeant jusqu'à l'extrémité postérieure du
lobe
: Ce cas de porencéphalie acquise est à rapproche
e celui publié par Touche (1) qui observa une perte de substance du
lobe
pariélo-occiplial droit, due à l'oblitération d
L'hémisphère droit contient un kyste dans la couronne rayonnante du
lobe
pariétal. Zingerlé considère son cas comme une
montre que l'on est en pré- sence d'une absence presque complète-du
lobe
pariétal droit. Le lobe frontal est assez régul
ré- sence d'une absence presque complète-du lobe pariétal droit. Le
lobe
frontal est assez régulièrement développé. Quan
droit. Le lobe frontal est assez régulièrement développé. Quant au
lobe
sphénoïdal, extrêmement aminci, il est réduit u
ar une cavité ventriculaire relativement considérable. Au niveau du
lobe
frontal, cette cavité est assez développée, pui
re, elle s'a- mincit et prend un développement considérable dans le
lobe
occipital qui n'est plus réduit qu'à une simple
e, couleur lie de vin, siégeant dans la cavité épendymaire entre le
lobe
frontal et le lobe pariétal. Cette niasse, d'un a
in, siégeant dans la cavité épendymaire entre le lobe frontal et le
lobe
pariétal. Cette niasse, d'un aspect 430 0 J. SI
l'autopsie un foyer de ramollissement dans la substance blanche du
lobe
frontal droit, par thrombose probable de la pre
e la latérale 4° les faisceaux d'association antéropostérieurs du
lobe
frontal ; -- 50 les fibres des corps calleux; 6°
n des phénomènes papillaires. Discus- sion des symptômes : gomme du
lobe
temporal. P. 1\ÉIIA YAL. VIII. Observation DE p
ns ce cas, on se trouve en présence d'une lésion corticale des deux
lobes
occipitaux ayant détermini une hémianopsie doub
uement vers la surface de l'écorce. Le ruban rayé de Vicq-d'Azyr du
lobe
occipital, beaucoup plus large que les stries d
lèle à la surface de l'écorce. Sur un fragment de circonvolution du
lobe
pariétal, où les raies de Baillarger étaient bi
it bien partie de la zone motrice, et la première circonvolution du
lobe
occipital, siège reconnu d'une fonction des sen
une différen- ciation physiologique évidente, par exemple celle du
lobe
olfactif chez les animaux osmatiques, et celle
deux directions; exemple : les dendrites des cellules apolaires du
lobe
olfactif. L'entrelacement des dendrites établit
i suit la naissance. Ses fibres se dirigent bien en arrière dans le
lobe
occipital et, en particulier dans le centre vis
à la couche optique. Elles font donc un coude énorme, car, dans le
lobe
temporal, elles se dirigent en avant jusqu'à la
orps calleux ; ces trousseaux arrivent dans la substance blanche du
lobe
frontal, jusqu'à 2 il 3 centimètres du pôle front
ent jusqu'en avant, les autres, s'infléchissent en arrière vers les
lobes
occipito-tem- poraux ; il ne s'y mêle qu'un trè
ions absolues directes, établis- sant une communication expresse du
lobe
occipito-temporal au lobe frontal. P. KEKAVAL.
lis- sant une communication expresse du lobe occipito-temporal au
lobe
frontal. P. KEKAVAL. II. Contribution A la QUES
ions infectieuses; localisation systématique de l'infection dans un
lobe
pulmonaire seul dysnervé) ; 2° La fréquente c
on. Poumon gauche (440 grammes), très forte congestion et oedème du
lobe
inférieur l' Abdomen. - Estomac sain. - Foie
olutions sont vermiformes, l'hémisphère ne recouvre qu'en partie le
lobe
cérébelleux correspondant et est en retrait en
rique. 201 ment assez grande sur les circonvolutions très grêles du
lobe
qua- drilatère et l'extrémité du lobe frontal.
irconvolutions très grêles du lobe qua- drilatère et l'extrémité du
lobe
frontal. Les circonvolutions du lobe occipital
a- drilatère et l'extrémité du lobe frontal. Les circonvolutions du
lobe
occipital sont aussi plus grêles que ne le fait
ation, on peut admettre un arrêt de développement correspondant des
lobes
postérieurs, siège de la sphère visuelle, ou un
mbre de cellules situées dans des territoires et peut-être dans des
lobes
distincts d'un même hémisphère. Chez l'homme et
rapport avecles dendrites des cellules pyramidales. Ainsi, dans le
lobe
olfactif des mam- mifères, les branches collaté
cervelet, du bulbe olfactif, des ganglions acoustiques centraux, du
lobe
optique, etc., présentent constamment la même e
nine); 2° les arborisations nerveuses terminales de la rétine et du
lobe
optique, chez les reptiles et les batraciens, off
xiste que des cellules épithéliales dans l'écorce céré- brale et le
lobe
optique. C'est peu dire : dans le même organe, de
des cellules en araignées se montrent dans l'écorce cérébrale et le
lobe
optique des oiseaux. En outre, plus un centre n
vomissements répétés. Pendant six semaines, signes d'induration du
lobe
infé- rieur droit. Pendant sept semaines fièvre
mples : 1° D'une cellule pyramidale située, par exemple, dans les
lobes
frontaux ; le cylindraxe se dirige vers la portio
e ces fibres nerveuses forme une longue voie d'associàtion entre le
lobe
frontal et le lobe occipital. Chaqueprolongemen
ses forme une longue voie d'associàtion entre le lobe frontal et le
lobe
occipital. Chaqueprolongementcylindraxileémetse
ifférentes régions quel- ques déviations du plan général. Ainsi, le
lobe
occipital est muni d'un plus grand nombre de fi
d centre d'associa- tion postérieur comprenant une grande partie du
lobe
occipital, du lobe pariétal et du lobe temporal
tion postérieur comprenant une grande partie du lobe occipital, du
lobe
pariétal et du lobe temporal ; 2" le centre d'ass
prenant une grande partie du lobe occipital, du lobe pariétal et du
lobe
temporal ; 2" le centre d'association moyen loc
entre d'association antérieur localisé dans la partie antérieure du
lobe
frontal. C'est dans les centres d'association q
riences, de pratiquer l'ablation totale du corps thyroïde et de ses
lobes
accessoires.' A. Marie. XLI. Indépendance FONCT
ane à l'écorce, l'atrophie des circonvolutions surtout au niveau du
lobe
frontal, la dilatation des ventricules, les gra
TER (Stephansfeld). Un cas de dégénérescence hyaline isolée dans le
lobe
frontal. L'auteur a trouvé, à l'autopsie d'une
oplasme de la grosseur d'une noix muscade situé dans l'épaisseur du
lobe
frontal droit. A l'oeil nu, on pouvait penser à
niveau du trou ovale gauche et ayant envahi la substance blanche du
lobe
temporal. 11 s'agissait d'un sarcome à cellules
o-sarcome) de la grosseur d'une pomme, dans la substance blanche du
lobe
occipital. III. La troisième observation est ce
siège des tumeurs était, lui aussi, différent dans chaque cas : 1°
lobe
temporal ; 2° lobe occipital ; 3° cervelet. Les t
était, lui aussi, différent dans chaque cas : 1° lobe temporal ; 2°
lobe
occipital ; 3° cervelet. Les trois cas présente
pi- nard déformation française relevée 1. L'oreille droite, dont le
lobe
est adhérent, est à un niveau supérieur à celui
r baigné la troisième frontale ; puis, refoulé par la résistance du
lobe
occipital, il a comprimé la face interne des hé
. P.P.I., pli pariétal inférieur. T', première temporale. L.O.,
lobe
occipital. riq. 2. - Face interne du même hémis
ion du corps calleux. F', première circonvolution frontale. L.P.,
lobe
paracentral. L. Q., lobe quadrilatère. 1..0.,
première circonvolution frontale. L.P., lobe paracentral. L. Q.,
lobe
quadrilatère. 1..0., lobe occipital. TABLE DE
ntale. L.P., lobe paracentral. L. Q., lobe quadrilatère. 1..0.,
lobe
occipital. TABLE DES MATIÈRES Académie de méd
a , pm Abt, 368. Frontal. Dégénérescence hyaline isolée dans le
lobe
-, par Vors- tel', \02. Gvnghène. Trois cas d
z le chien. Chez le singe, au contraire (extirpation bilatérale des
lobes
occipitaux), qui survécut deux ans, les cordons
. - Riv. speriment. di frein., 1882, 431 sq. 84 PHYSIOLOGIE. le
lobe
préfrontal d'un côté avec l'hémisphère opposé d
si que celle de connexions du même genre entre le cervelet et les
lobes
temporal et occipital. Voici les phénomènes de
de concert avec les circonvolutions voisines, telles que celles du
lobe
frontal (régions antérieures des trois frontale
re que les lésions des deux tiers antérieurs des circonvolutions du
lobe
frontal, non plus que celles des lobes occipita
eurs des circonvolutions du lobe frontal, non plus que celles des
lobes
occipital et temporal, ne déterminent aucun tro
'est-il déjà plus tout à fait exact pour les régions antérieures du
lobe
frontal, pas plus que pour le lobe pariétal.
pour les régions antérieures du lobe frontal, pas plus que pour le
lobe
pariétal. Silvio Tonnini, médecin du manicome d
t et de Kahler et Pick, la lésion n'a jamais été trouvée limitée au
lobe
pariétal. Toute conclusion sur le siège du sens
dit Seppilli, on peut du moins admettre comme vraisemblable, que le
lobe
pariétal est surtout en connexion avec les fais
tes enx-mêmes. Il faudrait enlever entièrement ces parties du grand
lobe
limbique, « opération de la plus grande difficult
ésions se montrent surtout nettement quand l'altération atteint les
lobes
pariétaux ; 3° l'aphasie, qu'elle soit motrice
tion occupe les première et deuxième temporales ; - 4° la lésion du
lobe
occipital engendre des troubles de la vue directs
a cécité psychique, qui à la cécité corticale. La des- truction des
lobes
pariétaux peut indirectement et passagèrement pro
e produit de préférence quand l'altération occupe la con- vexité du
lobe
occipital; - 10° les lacunes du champ visuel ne p
individu. Il n'est pas démontré que chez l'homme l'écorce de chaque
lobe
occipital se divise en deux compartiments ; - 13°
es idées corrélatives, cécité psychique associative. C'est dans les
lobes
occipitaux que réside la perception consciente
roduite par l'interruption des fibres d'association qui unissent le
lobe
occipital au reste des hémisphères. Une telle i
it bien partie de la zone motrice, et la première circonvolution du
lobe
occipital, siège reconnu de la vision mentale.
raison. De même, pour l'étude de la première circonvolu- tion du
lobe
occipital, Golgi, qui nie que les divisions de
une différenciation physiolo- gique évidente, par exemple celles du
lobe
olfactif chez les animaux osmatiques, et celles
de 0,1 à 0 ? n. Quant à l'âge, l'épaisseur de la substance grise du
lobe
pariétal serait plus grande sur la face interne
serait plus grande sur la face interne que sur la convexité de ce
lobe
chez des individus jeunes que chez des adultes
progressivement, à partir de cette scissure, jusqu'à l'extrémité du
lobe
occipital. Enfin, dans la région intermédiaire,
e 236 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. thyroïde (la gauche) fut faite ; le
lobe
fut enfermé chaud dans une solution saline norm
tirée du mouton. Par une partie, je veux dire que le greffage d'un
lobe
ou même d'une moitié, s'il était possible, offr
fet entre l'abolition complète de la vision et la double lésion des
lobes
occipitaux. G. D. V. Contribution : 1 L'ÉTUDE
a force motrice, surtout à gauche. Elle meurt de pneumonie aiguë du
lobe
inférieur droit. La nécropsie révèle l'existenc
ue, et, à cet égard, il est intéressant de signaler l'intégrité des
lobes
occipi- taux. R. M. C. SOCIÉTÉS SAVANTES SO
e de chien chez lequel, le jour de la naissance, on avait enlevé le
lobe
occipital du côté gauche et une partie du lobe
, on avait enlevé le lobe occipital du côté gauche et une partie du
lobe
temporal. Il mourut huit semaines plus tard. On
e l'hémisphère cérébral droit. Il n'est resté, outre l'extrémité du
lobe
frontal et des lobes olfactifs, que des débris
ral droit. Il n'est resté, outre l'extrémité du lobe frontal et des
lobes
olfactifs, que des débris du gyrus sigmoïde, de
bris du gyrus sigmoïde, de la circonvolution du corps calleux et du
lobe
temporal. La capsule interne a subi une com- pl
ans lequel il existait un foyer de n(- wollissement ancien en plein
lobe
occipital guuclie. Cettepièce appar- SOCIÉTÉS S
xiste plus de première temporale gauche; les segments inférieurs du
lobe
pariétal gauche ont subi un recoquillement cons
ntique du pulvinar et du corps genouillé externe des deux côtés (le
lobe
occipital semble d'ailleurs normal). Le corps g
aires. Elles montrent plus particulièrement que l'anéantissement du
lobe
temporal gauche (Obs. IV) se traduit par le rec
'expé- rimentation chez le lapin et le chat auxquels on a enlevé le
lobe
temporal. (V. Archives f. Psych., t. lIl ; Neur
ques primaires s'atrophient forcément à la suite de destructions du
lobe
occipital ; à cette dégénérescence secondaire p
du côté gauche faisait une saillie d'environ un centimètre dans le
lobe
temporo-sphénoïdal. - La pie-mère était épaissi
rs après l'attaque le 14 mars 1866, A Y autopsie, on trouve dans le
lobe
pariétal de l'hémisphère gauche un épanchement ré
e en octobre 1800, on trouva à l'autopsie une liémorrhagie récente du
lobe
droit du cervelet. En enlevant la pie-mère, on dé
a. Mort cinq jours après l'attaque, le 20 mai 1807. Hérnorrhagie du
lobe
gauche du cervelet, avec pénétration clans le qua
psie, on trouve une vaste hérnorrhagie du cervelet développée dans le
lobe
droit et s'étendant à une grande partie du gauche
te par la chute qu'avait déterminée l'apoplexie. — On trouve clans le
lobe
sphénoïdal gauche, un foyer d'hémorrhagie récente
C..., 74 ans. — Morte le 10 novembre 1867 d'hémorrhagie cérébrale clu
lobe
postérieur droit, quatre jours après l'attaque. —
écent d'hémorrhagie dans l'épaisseur de la deuxième circonvolution du
lobe
frontal droit. Il a la grosseur d'une noix et est
de sang noir, coagulé. On trouve dans le corps strié droit et dans le
lobe
droit du cervelet, des kystes à paroi brunâtre, q
Reins normaux. Pas d'athérome aortique. Vaste foyer hémorrhagique du
lobe
gauche du cervelet, ayant envahi le lobe médian e
Vaste foyer hémorrhagique du lobe gauche du cervelet, ayant envahi le
lobe
médian et après la déchirure du vermis inférieur
e. Une autre déchirure de la couche corticale à la face inférieure du
lobe
gauche a amené une perforation de la méninge en c
le latéral d'une part, et d'autre part sous la pie-mère, au niveau du
lobe
occipital. On trouve quelques anévrysmes miliaire
couche optique gauche, et un autre enfin dans la substance blanche du
lobe
occipital gauche. On trouve de plus un foyer hémo
don latéral droit de la moelle. On découvre sur une circonvolution du
lobe
antérieur gauche un petit anévrysme miliaire. L
ncien qui a détruit quelques circonvolutions de la face inférieure du
lobe
occipital. Le cœur est sain; l'aorte est parsem
é droit. Autre ancien foyer à la partie postérieure du noyau blanc du
lobe
occipital du même côté. — Anévrysmes des petites
une nouvelle attaque. L'autopsie montre un ramollissement récent du
lobe
occipital gauche, dû probablement à de petites em
utopsie, on trouve les lésions de la paralysie générale; puis dans le
lobe
postérieur de l'hémisphère droit, un foyer d'hémo
és pendant la vie. Autopsie : Noyaux d'hépatisation rouge clans les
lobes
inférieurs des deux poumons; symphise cardiaque a
après l'attaque. Autopsie : Inflammation de la presque totalité du
lobe
inférieur du poumon gauche. Foyer apoplectique tr
s symétriques anciens (de ramollissements ou d'hémorrhagie?) dans les
lobes
frontaux. — Nombreux anévrysmes des petites artèr
r. T. R. 40°, 3. Obs. II. Moreau, 70 ans. — Ramollissement blanc du
lobe
gauche de la protubérance. — Pneumonie lobaire.
our. Obs. III. Emeux, 59 ans. — Ramollissement blanc très étendu du
lobe
moyen gauche ; sans oblitération artérielle. — Dé
41°, 2. Obs. X.Aubin, 80 ans. — Ramollissement rouge superficiel du
lobe
occipital droit. Thrombose du sinus latéral corre
T.R. 37°,4. Obs. XII. Thomas, 76 ans. — Foyer hémorrhagique dans le
lobe
droit du cervelet. Début apoplectique le 22 mai
Ramollissement blanc du centre ovale gauche et des circonvolutions du
lobe
pariétal correspondant. — Thrombose sylvienne.
issement. Obs. XXII. Danjou, 70 ans. — Ramollissement blanc rosé du
lobe
occipital droit. — Oblitération fibrineuse et ath
s et son bord postérieur. Le ramollissement avait détruit : 1° sur le
lobe
temporal, la circonvolution dite marginale inféri
side aux mouvements de coordination de la parole a son siège dans les
lobes
antérieurs du cerveau, si Ton peut nouvelle let
malade qui. ayant été privé de l'usage de la parole, ait présenté les
lobes
antérieurs dans un état d'intégrité complet en le
a première phase ; car à cette époque, la délimitation anatomique des
lobes
antérieurs n'était point faite suivant le mode ad
ervations établissant que l'aphémie peut exister sans altérations des
lobes
antérieurs du cerveau en général, et de la troisi
timètres de diamètre, occupe l'étage supérieur des circonvolutions du
lobe
temporal et s'étend dans la profondeur de la scis
e canalisation. Plaques athé-romateuses non ulcérées sur l'aorte. Les
lobes
inférieurs des deux poumons, surtout le droit, so
ation, on perçoit seulement des râles muqueux abondants au niveau des
lobes
inférieurs. 14 et 15. — Les douleurs que déterm
ité supérieure, au niveau de l'étage supérieur des circonvolutions du
lobe
pariétal, parait relativement très-volumineuse et
4 centimètres de diamètre environ, occupant la partie postérieure du
lobe
pariétal. Le ramollissement n'est pas borné aux c
tance blanche du centre ovale et ayant envahi, la presque totalité du
lobe
pariétal. Hémisphère du côté opposé tout à fait n
ns frontale et pariétale ascendantes, avec la partie postérieure du
lobe
frontal et la partie antérieure du lobe pariétal
ec la partie postérieure du lobe frontal et la partie antérieure du
lobe
pariétal seraient l'endroit où se ferait la per
la faux du cerveau, sur les bords des deux hémisphères, depuis les
lobes
frontaux jusqu'aux occipitaux. Sa surface interne
t de notre malade se voit dans l'arrangement général des sillons du
lobe
pariétal et du lobe occipital. On sait que ce q
voit dans l'arrangement général des sillons du lobe pariétal et du
lobe
occipital. On sait que ce qui distingue le cervea
es singes anthropomorphes c'est une configuration spé- ciale de ces
lobes
où domine la direction antéro-postérieure des sil
ont la fente simienne est le principal exemple, qui don- nent à ces
lobes
leur aspect particulier. Or, sous ce rapport, l'h
t indépendant du sillon inter- pariétal. Remarquons encore que le
lobe
frontal offre le type des quatre circonvolution
ré en particulier que l'hallu- cination résultant d'une lésion d'un
lobe
occipital doit affec- ter partiellement les cha
faction, M. Soury étudie les terminaisons du nerf olfactif dans les
lobes
fron- tal et temporal, la structure histologiqu
dentata. Il cite l'exemple remarquable d'involution régressive du
lobe
olfactif du dauphin et en tire cette conclusion q
on de l'hippocampe, par le centre visuel placé à la face interne du
lobe
occipital, et par le centre auditif localisé su
s ventricu- laires), mais à prédominance très marquée au niveau des
lobes
temporaux et frontaux des deux hémisphères. Les
au niveau des lobes temporaux et frontaux des deux hémisphères. Les
lobes
temporaux sont très notablement réduits de volu
lobes temporaux sont très notablement réduits de volume, surtout le
lobe
gauche. Cette observation mérite d'être rapport
e ces cerve- lets présente à sa face postérieure une déformation du
lobe
droit. Une hémorragie du ventricule latéral dro
tre une méningo-encéphalite intéres- sant presque exclusivement les
lobes
temporaux des deux hémis- phères, mais de beauc
hères, mais de beaucoup plus accentuée et plus circonscrite dans le
lobe
temporal gauche. Dans l'hémisphère gauche les a
était une paralytique générale avec prédominance des lésions sur le
lobe
temporal. M. Sérieux. La rareté des surdités ve
fonçant par l'insula jusqu'à la capsule interne et empiétant sur le
lobe
temporal. Les pseudo-méralgies paresthésiques d
sorielle complexe dont les éléments sont probablement reçus dans le
lobe
pariétal du cerveau, et ensuite reprises et ana
ériphérique, c'est-à-dire quelque lésion dans ou entre le centre du
lobe
pariétal et les ter- minaisons des nerfs sensor
e cécité psychique pure correspondant à un ramol- lissement dans le
lobe
occipital gauche et dans le bourrelet du corps
les faits cités, consisterait fréquemment en une double lésion des
lobes
occipitaux ; les cas les plus intéressants reco
intéressants reconnaissent pourtant généralement une lésion du seul
lobe
gauche (au moins chez les droitiers). La prépon
tourant l'artère fémorale ; - Roncali.Un cas d'abcès traumatique du
lobe
temporo-sphénoïdal (Suite et fin); M. H. Bejarano
ons destructives du lobule de l'Insula et de sclérose atrophique du
lobe
temporal ; Par BOURNEVILLE et BELLIN. Bien qu
pace demeuré vide par suite de la lésion qui a détruit en partie le
lobe
temporal droit, tout le lobule de l'insula, etc.
Dégé- né1'ations secondaires. - Petit foyer ocreux de la pointe du
lobe
tem- poral gauche. Wi... (Marguerite-Marie),
NSULA, ETC. 499 notablement plus petite que la gauche. (Atrophie du
lobe
frontal correspondant.) L'apophyse crista-galli
ital n'a rien de particulier. Nombreuses atlhérences très fines des
lobes
temporaux à la partie antérieure des fosses cor-
misphère gauche. Hémisphère droit. - Il existe au niveau de tout le
lobe
tempo- ral et de l'insula une lésion ancienne c
de la circonvolution de l'hippocampe. La lésion inté- resse tout le
lobe
temporal aussi bien la face inférieure que la fac
lobe temporal aussi bien la face inférieure que la face convexe. Le
lobe
a conservé sa forme générale. A l'extrémité ant
la bandelette optique (PL. IV). Autour de cette lésion principale,-
lobe
temporal, insula les circonvolutions contiguës
llimètres de largeur et constituent autour de la lesion principale (
lobe
temporal, circonvolution d'enceinte de la sciss
sistance nor- males. (PA, P', moitié supérieure de LQ, extrémité du
lobe
occi- pital, pied de FA, F'.) Par suite de la
rière, et la fissure calcarine il y a une encoche profonde entre le
lobe
occipital en bas, P' et LQ en arrière (PL. IV e
oin est très réduit et composé de petites circonvolutions dures. Le
lobe
quadrilatère est un peu induré, dur sur son bor
s surtout de F' et les lobules pariétaux supérieur et inférieur. Le
lobe
temporal dans son entier et le lobe occipital s
taux supérieur et inférieur. Le lobe temporal dans son entier et le
lobe
occipital sont formés de circonvolutions assez
volumineuses mais bien moins sinueuses que les circonvolutions du
lobe
frontal (PL. VI et VII). Les deux caractères de l
d'une équerre dont le côté le plus grand correspond à la pointe du
lobe
temporal et la branche la plus courte à la circ
de la mort. V. La destruction totale du lobule de l'insula et du
lobe
temporal, partielle des circonvolutions margina
le lobule de l'insula du côté droit et intéressé profondément le
lobe
temporal correspondant ainsi que la circonvolutio
rnier point à signaler c'est la lésion de l'extrémité antérieure du
lobe
temporal gauche, analogue, sauf l'éten- due, à
gauche, analogue, sauf l'éten- due, à celle qui a porté sur tout le
lobe
temporal droit. Ces lésions symétriques ne sont
visuels qui commencent à la rétine et se terminent dans l'écorce du
lobe
occipital ou de la fissure calca- rine (ergot d
re gauche et par la partie postérieure dans la substance blanche du
lobe
occipital. La tumeur n'est pas bien délimitée,
montre le cerveau. Celui-ci présente un foyer de ramollissement du
lobe
occipital droit, intéressant la face inférieure
cipital droit, intéressant la face inférieure de la face interne du
lobe
occipital avec destruction du cunéus; le pli co
ait expliquée par la même source d'irrigation de ce tubercule et du
lobe
occipital. Le malade n'avait jamais présenté de
porale. PLANCHE II Face externe de l'hémisphère gauche. l.. F.,
lobe
frontal; f'2. ('), deuxième sillon frontal; pr i.
ariéto-occipntale; -o ci. (°), sillon occipital antérieur; - L. o.,
lobe
occipital ; j'. ('), sillon intermédiaire de Je
sain. Hémisphère gauche. Face convexe (PL. III). 11 existe sur le
lobe
frontal huit îlots tubéreux qui forment une sorte
horax. Pas d'adhérences des plèvres. Poumon droit volu- mineux ; le
lobe
supérieur est farci de tubercules ; le lobe moyen
droit volu- mineux ; le lobe supérieur est farci de tubercules ; le
lobe
moyen présente une vaste caverne, l'inférieur e
se produit au point même où siège la mémoire, c'est-à-dire dans le
lobe
frontal. M. Sollier termine cet exposé, qui c
en cinquième ligne, M. Ameline (72) ; la question écrite était : Le
lobe
frontal. Rappelons que le jury se composait, ou
iège dans la région rolandique ; une fois elle était située dans le
lobe
frontal, sa localisation put être déterminée av
ie ni anomalie. L'écorce du cerveau présente, surtout au niveau des
lobes
frontaux, pariétaux et occipitaux, des altérati
rien les phéno- mènes tabétiques. Traitement antisyphilitique et
lobes
. - M. Bamcvss a pu traiter deux malades atteint
itique et lobes. - M. Bamcvss a pu traiter deux malades atteints de
lobes
au début, chez lesquels sous l'in- fluence d'in
s avons étudié spécialement le centre moteur oculaire situé dans le
lobe
pariétal. Dans la zone indiquée par nous avons
1° Le centre frontal, qui est situé dans la partie postérieure du
lobe
frontal, en avant du Sulcus cruciatus et en arriè
e limite en arrière ; 2° Fritsch et Hitzig ont trouvé une zone du
lobe
pariétal, dont l'excitation électrique donne -l
e intégrante de « la région oculaire F » de Muni, par conséquent du
lobe
pariétal. 3° L'on sait enfin que des mouvements
nts des yeux peuvent être provoqués par l'excitation électrique des
lobes
occipitaux (sphère visuelle). Mes expériences
e. Inégalité de poids des hémisphe- res cérébraux. Malformation des
lobes
occipitaux dans lesquels les sinus latéraux se
férieure ; foie également congestionné. 216 RECUEIL DE faits. Les
lobes
occipitaux du cerveau présentent en arrière une
bifurque à deux centimètres en avant de l'extrémité postérieure des
lobes
occipitaux pour former ces sinus. L'hémisphère
cement osseux et dans un épanchement sanguin abondant à la base des
lobes
frontaux qui étaient le siège d'une plaie contu
à la maladie de Basedow. · A. FENAYROU. XLV. Un cas de tumeur du
lobe
occipital; par le Dr Weber. (Rev. méd. de la Su
érant à la face interne de la pie-mère. 11 en est ainsi sur tout le
lobe
frontal, sur le lobe temporal, ainsi qu'au nive
ne de la pie-mère. 11 en est ainsi sur tout le lobe frontal, sur le
lobe
temporal, ainsi qu'au niveau des lobes orbitaires
tout le lobe frontal, sur le lobe temporal, ainsi qu'au niveau des
lobes
orbitaires, et â la partie antérieure de la fac
ale sont généralisées, mais beaucoup plus pro- noncées au niveau du
lobe
frontal et dans les circonvolutions qui avoisin
ande thyroïde de mouton, dont le malade absorba tous les jours deux
lobes
, sauf pendant une angine pultacée intercur- ren
percepteurs, chargés de conserver les impressions, c'est-à-dire les
lobes
frontaux. Dans les autres parties de l'axe cé
actère notoire et essentiel du cerveau réduit est l'état abortif du
lobe
occipital ». La place qui nous est assignée ne
ot de lieil (qui était resté découvert), à la partie antérieure des
lobes
Archives, 2 série, t. X. 20 306 CONGRÈS INTER
0 centimètres) de longueur, s'éten- dant de la partie antérieure du
lobe
frontal droit presque jusqu'à l'occipital, lais
es étaient le troisième ventricule, le ventricule latéral droit, le
lobe
occipital droit, la face convexe de la région f
ccipital droit, la face convexe de la région frontale droite, et le
lobe
pariétal. Des vices plastiques du cervelet ont
u démontrer : SECTION DE PSYCHIATRIE. 317 Sur une couche faite du
lobe
temporal droit : 318 CONGRÈS INTERNATIONAL DE M
cerveau (sc. hémisphérique ou di-hémisphérique) ; b) sclérose d'un
lobe
du cerveau (se. lo- baire); c) sclérose des cir
4-1883-1889). En 1874, Hitzig fait remarquer qu'après une lésion du
lobe
occipital, l'oeil du côté opposé est frappé de cé
ertébrale à l'énorme masse de substance cérébrale qui constitue les
lobes
frontaux de l'homme. Expérimentalement, il insi
nsiste sur la déchéance intellectuelle qui suit l'ablation des deux
lobes
frontaux. Dans ces dernières années, le profess
re un procédé d'expérience. Un cas de ramolli -sèment complet des
lobe
droit et lobe moyen du cervelet, avec destructi
é d'expérience. Un cas de ramolli -sèment complet des lobe droit et
lobe
moyen du cervelet, avec destruction des noyaux
lobe moyen du cervelet, avec destruction des noyaux centraux de ces
lobes
; par SwiTALsm (de Lemlerg). Contribution à l
lement d'origine orga- nique. Il s'agissait d'une lésion du premier
lobe
temporal gauche, dans le gyrus supramarginalis,
aisceau uncinatus et une partie de la couronne rayonnante qui va du
lobe
temporal au pied du pédoncule (faisceaux de Tùr
J'ajoute incidemment que ces trois faisceaux émergent ensemble du
lobe
temporal. Sur des photographies originales de pré
ve des réactions correspondantes. Les fibres qui rayonnent vers les
lobes
occipitaux se dessinent grâce à leur couleur inte
aux se dessinent grâce à leur couleur intense ; celles qui vont aux
lobes
temporaux se décolorent. Enfin, voici comment d
x lobes temporaux se décolorent. Enfin, voici comment dans tous les
lobes
du cerveau se compor- tent les faisceaux différ
s les lobes du cerveau se compor- tent les faisceaux différents. Le
lobe
temporal se décolore le plus vite, exception fa
pariétales infé- rieures. Un peu plus lente est la décoloration des
lobes
frontaux. Enfin les circonvolutions centrales s
onvolutions centrales se décolorent le moins vile et avant tout les
lobes
occipitaux. . 424 £ . CONGRÈS INTERNATIONAL DE
représenté que par une plaque noire et de sclé- rose atrophique du
lobe
sphénoïdal permettant de se rendre compte des p
de de M. Lemos devait éveiller l'attention sur l'état anatomique du
lobe
temporal et pariétal ; et comme l'examen en cou
celles-ci, 7 correspondaient à des lésions corticales, frappant le
lobe
pariétal seul, ou le lobe parié- 506 congrès in
ent à des lésions corticales, frappant le lobe pariétal seul, ou le
lobe
parié- 506 congrès international DE médecine.
obe parié- 506 congrès international DE médecine. tal et d'autres
lobes
. Les lésions pariétales s'étendaient en profon-
Walton; 130, par van Gehuchten et Le-i\lolt, t, 132. Tumeur du
lobe
occipital, par Weber, 227. Urine. Evacuation
ue neuro- logique, mai 1901). E. B. VIII. Agénésie bilatérale des
lobes
frontaux chez une femme ayant présenté un dével
aurait entraîné la mort. R. de iIUSGRAVE-CLAM. XIII. Note sur les
lobes
préfrontaux et la localisation des fonctions me
t à la partie antérieure de la » région pariétale, en sorte que les
lobes
des deux côtés opposés » se continuent l'un ave
ntre les facultés intel- lectuelles et l'arrêt de développement des
lobes
préfrontaux. Il y a actuellement deux théories
ntellectuelles. La première place le siège de ces facultés dans les
lobes
préfontaux, la seconde le place dans les lobes oc
es facultés dans les lobes préfontaux, la seconde le place dans les
lobes
occi- pitaux. Désirant s'appuyer sur des faits
très accentuées et accompa- gnées d'arrêt de développement dans les
lobes
préfrontaux; - 2 fois des lobes occipitaux peti
s d'arrêt de développement dans les lobes préfrontaux; - 2 fois des
lobes
occipitaux petits et 'arrêtés dans leur développe
des irrégularités et un défaut de développement à la fois dans les
lobes
préfrontaux et dans les lobes occipitaux. Ces f
de développement à la fois dans les lobes préfrontaux et dans les
lobes
occipitaux. Ces faits viennent donc à l'appui de
i de la théorie qui localise les fonctions intellectuelles dans les
lobes
antérieurs, mais ce qu'ils démontrent plus clai
qué. G. 1) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE 1. Abcès traumatique du
lobe
occipital droit avec symptômes cérébelleux Abcè
l s'agit de deux cas d'abcès encéphalique dont l'unsiégeait dans le
lobe
occi- pital droit bien qu'il fût accompagné de
staté. Le seul symptôme qui eût permis de localiser l'abcès dans le
lobe
occipital, l'hémianopsie faisait défaut ou du m
mitants des symptômes cérébelleux étaient dus à une compression des
lobes
occipitaux en même temps que du cervelet par un
rapport à F2 qui est plus large et bien plus sinueuse. Sur tout le
lobe
frontal, il n'y a qu'un pli de passage entre F2
rieur. 112 sont assez 'volumineux ainsi que le pli courbe, PC et le
lobe
occipital LOC. Le pli courbe envoie un pli de p
et le lobe occipital LOC. Le pli courbe envoie un pli de passage au
lobe
occipital qui est assez développé, Le lobe tempo-
oie un pli de passage au lobe occipital qui est assez développé, Le
lobe
tempo- ral a ses circonvolutions plutôt volumin
onné et il y a des plaques de péri-hépatite à la face supérieure du
lobe
droit. Vésicule biliaire. rien. Rein droit hype
nné, présentant une série de dépressions circonscrivant 4 ou 5 gros
lobes
. Signalons aussi une série de petits kystes varia
cipales régions ie l·ecorce cért'Lrale : par exemple, au niveau des
lobes
frontal, occipital et rolandique (lobule paruce
la structure généiale des neuroblastes. Dans les autres régions (
lobe
occipital, par exemple), le pro- cessus patholo
solument tout ce qui vient d'être dit pour les circonvolu- tions du
lobe
lrontal et du lobule paracentral. Fibres nerveu
égèrement ramollie suit out au niveau de l'extrémité antérieure des
lobes
temporaux. Pas d'autre lésion de la subs- tance
XXVII. Un cas d'épilepsie consécutive à une lésion traumatique du
lobe
préfrontal; par R.-A. UnouiiART et W. )'"ordHoB !
malade avait une soeur épileptique. A l'autopsie on trouva dans le
lobe
frontal droit un foyer étendu de ramollissement
E DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 173 sent d'accord pour localiser dans les
lobes
frontaux. Ces altérations peuvent donner naissa
s'expliquer par l'extension et la générali- sation des plaques aux
lobes
.frontaux, par leur présence sur le corps calleu
ts arri- vent dans un nombre correspondant de cellules nerveuses du
lobe
' Nous avons signalé bien des fois, après d'aut
un courant, et celui-ci parvient à quelques cellules de l'écorce du
lobe
temporal, etc. Mais les fibrilles du nerf optiq
; ces courants divers arrivent dans des cellules correspondantes du
lobe
occipital, mais produisent là des courants seco
courants secondaires. Ainsi le groupe de cellules excitées dans le
lobe
occipital seront alliées entre elles et causeront
ong de fibres d'association tous les groupes mentionnés, et dans le
lobe
occipital et dans le lobe pariétal. Parce que n
tous les groupes mentionnés, et dans le lobe occipital et dans le
lobe
pariétal. Parce que nous avons aussi écouté le no
t et de ses qualités particulières, des groupes de cellules dans le
lobe
temporal sont de même alliés dans le processus.
a convexité de l'hémis- phère droit, la pie-mère, dans la région du
lobe
temporal et du lobule pariétal inférieur, conti
e mais adhérentes entre elles au niveau de la surface interne des
lobes
frontaux. Circonvolutions petites, contractées et
onvolutions petites, contractées et tassées. A droite, au niveau du
lobe
pariétal, plaque de ramollissement. Ecorce céré
'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XL. Un cas de tumeur des
lobes
frontaux du cerveau, dans lequel le sommeil a é
use, elle partait des membranes et avait envahi la surface des deux
lobes
frontaux jusqu'à une profondeur d'environ trois
re dans la conscience dans le centre correspondant de perception du
lobe
temporo-sphénoïdal. Il peut se faire qu'il y ait
ors une lésion siégeant sur une seule oreille retentit sur les deux
lobes
temporaux et par suite est incapable d'explique
hère droit F', FI, FI, 1 ? 2-, 31 circonvolutions frontales. LPS,
lobe
pariétal supérieur. LPI, lobe pariétal inférieu
31 circonvolutions frontales. LPS, lobe pariétal supérieur. LPI,
lobe
pariétal inférieur. F, Fourche. PA, circonvol
rontale ascendante. SR, sillon dr ttolando. PC, pli courbe LOC,
lobe
occipital. L0, lobe orbitaire. T', T', T', 1
SR, sillon dr ttolando. PC, pli courbe LOC, lobe occipital. L0,
lobe
orbitaire. T', T', T', 1 ? 2-. 3 circonvolution
rie, t. XVI. 3· T : 113Lh Dh.S 31ATlÈItFS .lm : i.a tranmatiyue u
lobe
occipital choit avec sympômes cérébelleux. -
nimale, yat Ilaeiret-Souplet, 181. f. .1(.ENisip.bilatér,-tle des
lobes
fron taux chez une femme ayant pré- un dévelo
Séglas, 168. Un Cal il' consécutive à une lésion trau- malique du
lobe
prélontal, par Uiquhart et Robertson, 171. Les
s de - pellagreuse, par Warnock, 416. fONl : l10y5 mentales. Voir
Lobes
pré- frortlaux. Friedreich. Voir Maladie nerv
célébrales, par Déjerme, 76. Ma- ladie dc -, pur Rrtssaud, 1 ià.
Lobes
frontaux. Voir .)('71e'c. Note sur tesprefoutau
ieur est réduit à un simple pli. Le pli courbe est rudimentaire, le
lobe
occipital, composé de trois replis assez gros.
rne d'Ammon ne présente rien de particulier. La face orbitaire du
lobe
frontal est très plissée ; le lobule de l'in- s
sion leur donne, dans une hauteur de trois centimètres, l'aspect du
lobe
quadrilatère, en ce sens qu'un sillon assez super
eux circonvolutions. Il n'y a pas de sillon eallosO-rnal'[fÏ1wl. Le
lobe
paracentral forme une sorte de boucle dont les
sillon assez profond qui, lui aussi, aboutit au corps calleux. - Le
lobe
quadrilatère, moitié plus long que large, oifre
enclume, dont la partie horizontale se confond en arrière avec le
lobe
occipital. Les sillons sont assez profonds sur la
lière. Le lobule pariétal supérieur, l'inférieur, le pli courbe, le
lobe
occipital sont rudimentaires; les circonvolutions
ence du sillon calloso-rrHl1'yinal. Même disposition qu'à gauche du
lobe
paracentrezl : - cependant la partie antérieure
rieure de la boucle est moitié moins épaisse que la postérieure. Le
lobe
quadrilatère, moitié moinslarge que long, dilfè
moinslarge que long, dilfère de celui du côté gauche; le coin et le
lobe
occi- pital offrent la même disposition. Les
Chez le porc, le type à cinq couches se retrouve au niveau du grand
lobe
limbique, du lobe frontal, de la première et deux
ype à cinq couches se retrouve au niveau du grand lobe limbique, du
lobe
frontal, de la première et deuxième pariétales.
première et la seconde circonvolution, il partir de l'extrémité du
lobe
occipital jusqu'au lieu de passage de celle sec
centre visuel croisé, non plus que l'hypertrophie compensatrice du
lobe
temporal annoncée par Munk. Dix des sujets en e
ique en avant des deux précédentes et comprend la région motrice du
lobe
frontal. De sa destruction résulte l'atrophie d
ules cérébraux ainsi que d'un faisceau d'association qui rejoint le
lobe
frontal au lobe occipital ; le segment antérieur
insi que d'un faisceau d'association qui rejoint le lobe frontal au
lobe
occipital ; le segment antérieur de la capsule
lin- guaux '. Chez l'homme, les lésions de ces mêmes parties du
lobe
frontal peuvent donner lieu à deux variétés par-
a mâchoire; la contusion occupait la scissure de Sylvius, depuis le
lobe
sphé- noïdal jusqu'à la troisième circonvolutio
romateux. Aorte saine. - Foie, rate, sains. Poumons. - Emphysème du
lobe
supérieur. Un peu de con- gestion des bords pos
i paraît à peu près de la même date, dans la substance blanche du
lobe
occipital, et dui afllue à la face profonde d'une
, plus ancien, dans la substance blanche de la partie antérieure du
lobe
frontal gauche, près de la base. Ce petit foyer
Observation IV. - Paralysie glosso-labiée ; lésion superficielle du
lobe
moyen de hémisphère droit. (Magnus, Milliers. A
ie. - (Froriep.) Dans l'hémisphère droit, au bord externe, là où le
lobe
antérieur et le lobe moyen se confondent, kyste
l'hémisphère droit, au bord externe, là où le lobe antérieur et le
lobe
moyen se confondent, kyste hémorrhagique ayant
p qu'il existait dans l'hémisphère droit, au bord externe, là où le
lobe
antérieur et le lobe moyen se confondent , un k
l'hémisphère droit, au bord externe, là où le lobe antérieur et le
lobe
moyen se confondent , un kyste hémorrhagique ay
u sinus falciforme supérieur, correspondant au point de jonction du
lobe
frontal et pariétal, on observe une tu- meur ov
el, qu'une tumeur développée dans les parois du sinus à l'union des
lobes
frontaux et pariétaux, vienne diminuer le calib
312 REVUE CRITIQUE. larité aussi importante dans la nutrition des
lobes
frontaux et de la dure-mère, se prolongeant pen
sie et l'hémiopie passagères, de là l'aphasie du debut. Atrophie du
lobe
frontal en rapport avec la démence de l'individ
orps. Accidents du décubitus. Vaste foyer de ramollissement dans le
lobe
occipital droit. Petit foyer dans le noyau lentic
a langue et du voile du palais. Gliôme dans la pointe antérieure du
lobe
frontal gauche. Cette tumeur de la grosseur d'u
s compliquée des accidents du décubitus. Les lésions portent sur le
lobe
frontal droit du cerveau. L'aspect microscopiqu
les à la surface (fibres d'association int1'( ! -Co1'tieales) *. Le
lobe
frontal, et surtout la troi- sième frontale, l'
base et ils se rencontrent aussi dans lelobule paracentral, dans le
lobe
occipital, parfois même en plein milieu des tissu
n a vu d'exemples que chez des chiens, à la suite d'extirpations du
lobe
frontal. La substance grise de toutes les circo
IÉTÉS SAVANTES. 381 cellules nerveuses ganglionnaires. La pointe du
lobe
temporal, l'm- sula, le gyrus rectus représente
s accentuées. Intégrité absolue des faces latérales et médianes des
lobes
frontaux, pariétaux, occipitaux, dont la face i
lobules pariétal supérieur et inférieur et la plus grande partie du
lobe
occipital. 1 M. Freud (Neui-ologisches Centralb
gestion du poumon avec un peu d'oedème à la partie postérieure du
lobe
inférieur. -Poumon droit. Adhérence telle qu'il f
ère, un peu con- gestionnée à la base surtout, un peu adhérente aux
lobes
frontaux. Artères et organes de la base, rien d
t un léger relief; même hypertrophie sur la partie posté- rieure du
lobe
carré. Autres foyers ou mieux îlots de sclérose
asse crétacée du volume d'un petit pois à l'extrémité supérieure du
lobe
inférieur; conges- tion assez prononcée du lobe
émité supérieure du lobe inférieur; conges- tion assez prononcée du
lobe
inférieur. Cceur : 230 grammes, sain. Abdomen
ente des scissures et des circonvolutions normales. Face convexe.
Lobe
frontal. En avant de la circonvo- lution fronta
viron au-dessus du pied de la circonvolution. Dans son ensenble, le
lobe
frontal parait normal et très bien déve- loppé
sillon transverse. - Le pli courbe est assez développé, sinueux. Le
lobe
occipital est bien conformé. Lobe temporal. La
st assez développé, sinueux. Le lobe occipital est bien conformé.
Lobe
temporal. La première circonvolution temporale es
, dont il est séparé par un pli de passage, allant du pli courbe au
lobe
occipital. Ce sillon délimite nettement le lobe
nt du pli courbe au lobe occipital. Ce sillon délimite nettement le
lobe
temporal du lobe occipital. -Le lobule dc l'ins
au lobe occipital. Ce sillon délimite nettement le lobe temporal du
lobe
occipital. -Le lobule dc l'insula ne possède qu
s qui sont bien développées, larges et subdivisées. Face interne.
Lobe
temporo-ocdpital. -Les circonvolutions et les d
ieur existe une scissure profonde divisant transversalement tout le
lobe
. Lobe frontal. La scissure calloso-ina2ginale s
ste une scissure profonde divisant transversalement tout le lobe.
Lobe
frontal. La scissure calloso-ina2ginale semble pr
cissure inter- pariétale par un pli de passage à niveau, reliant le
lobe
occi- pital au lobule pariétal supérieur. Le lo
itale supé- rieure au delà de la scissure occipitale transverse. Le
lobe
occipital est bien conformé; mais la scissure o
la scissure interhémisphérique à la deuxième scissure occipitale.
Lobe
temporal. La première circonvolution temporale
issure parallèle au niveau de sa courbe et isole ainsi nettement le
lobe
occipital. Le lobule de l'insu la n'a que deux
l'insu la n'a que deux digitations principales. b. Face interne. -
Lobe
temp01'o-ocdpital. Les circonvolutions sont bie
issure temporo-occipitale avec la seconde. 260 CLINIQUE NERVEUSE.
Lobe
frontal. - La scissure calloso-maigiiiale est irr
t très gros à la partie postérieure du pli pariétal supérieur. - Le
lobe
occipital, assez plissé, est très volumineux. L
plissé, est très volumineux. Longueur de l'extrémité antérieure du
lobe
frontal à la partie moyenne de la face postérie
dernier 266 CLINIQUE NERVEUSE. point à l'extrémité postérieure du
lobe
occipital, 11 centi- mètres et demi'. Le lobu
sillons tout à fait superficiels se confon- dant en arrière avec le
lobe
paracentral. Le sillon calloso- marginal est pe
- marginal est peu profond. - Le lobule paracentral est séparé du
lobe
quadrilatère par un sillon profond avec un sillon
n sillon cen- tral oblique de bas en haut et d'arrière en avant. Le
lobe
quadrilatère, très long (7 centimètres à sa par
nne), est plissé et possède des sillons superficiels. Le coin et le
lobe
occipital sont composés de petites circonvoluti
n frontale assez courte s'insère aussi de niveau. - En avant sur le
lobe
frontal les sillons sont peu profonds, ils le s
ariétale ascendante et un en arrière. Le sillon situé en arrière du
lobe
paracentral est très accusé. La scissure paral-
circonvolution quadrangulaire qui envoie un pli de passage vers le
lobe
occipital et en reçoit un du pli pariétal infér
ers le lobe occipital et en reçoit un du pli pariétal inférieur. Le
lobe
occipital est assez plissé et volumi- neux. Les
ule paracentral qui est très irrégulier, incomplètement séparé du
lobe
quadrilatère, tandis qu'à droite la séparation es
d. La circonvolution du corps calleux , lisse, offre, en arrière du
lobe
pariétal, le renflement normal qui fait défaut
lobe pariétal, le renflement normal qui fait défaut à gauche. Le
lobe
quadrilatère, un peu irrégulier, mesure qualre ce
irconvolution qui semble plutôt se rattacher au coin. Le coin et le
lobe
occipital peu sinueux sont assez développés. Le
table delà thyroïde. L'hypertrophie porte uniformément sur les deux
lobes
latéraux de la glande qui gagnent le bord des s
sion baisse. L'excitation des parties moyennes de l'ltémispltèl'e (
lobe
pariétal) en des points déterminés des deuxième e
lI.Be- nedikt en conclut qu'il existe concurremment une aplasie des
lobes
occipitaux, ou des centres visuels de Munit. Il
cécité congénitale ou précoce procédant d'une aplasie corticale du
lobe
occipital. Cette obser- vation est doac des plu
tion à l'autopsie. Opposition à l'autopsie. Sclérose atrophique des
lobes
temporaux plus prononcée à droite : dégénération
olienne. 8 juillet. Tuberculose gé-néralisée. Fibro-sacorme des
lobes
frontaux. — Crâne rond. Persistance des sutures.
Pleurésie puru-lente. Méningo-encéphalite disséminée prédominant au
lobe
frontal. — Crâne très mince avec plaques transpar
ans. Idiotie profonde, épilep- pas. 15 grs. sie, hémiplégie droite,
lobe
droit: athétose. lobe gaue : OiS1........ 13
pilep- pas. 15 grs. sie, hémiplégie droite, lobe droit: athétose.
lobe
gaue : OiS1........ 13 ilns- Idiolie Saisine. «
n de la pie-mère, sans ecchymose. Sclérose atrophique d'une partie du
lobe
occipital et de la par-tie postérieure du lobe te
phique d'une partie du lobe occipital et de la par-tie postérieure du
lobe
temporal surtout de T 3. La lésion de la face int
n de la face interne prédomine sur les circonvolutions antérieures du
lobe
occipital : en arrière les circonvolutions sont p
bral gauche..................... 350 gr. Hémisphère gauche: tout le
lobe
temporal est ferme et en particulier la corne d'A
F1 sur la circonvolution du corps calleux sur le tiers pos-térieur du
lobe
orbitaire. Les circonvolutions non sclérosées s
. A. Sur la face interne môme gracilité. Sclérose très prononcée du
lobe
quadrilatère; les cù-co?iuo-Intions sont comme ve
masse casèeuse cette masse est plus étendue dans le poumon droit. Les
lobes
inférieurs des deux poumons sont à peu près intac
er une description des circonvolutions qui toutes sont malformées. Le
lobe
frontal est assez volu-mineux; les lobes pariétau
ui toutes sont malformées. Le lobe frontal est assez volu-mineux; les
lobes
pariétaux, composés surtout d'une fron-tale et d'
e ascendantes grosses, défigurées, avec un pli de passage large ; les
lobes
occipitaux sont tout petits. Les sillons sont t
se rendre un compte exact do la disposition des circonvolutions. Les
lobes
de l'insula sont tout à fait irréguliers. Lorsqu'
vec la pie-mère, assez lâches, siégeant principalement au niveau du
lobe
frontal et de la partie antérieure du lobe pari
ncipalement au niveau du lobe frontal et de la partie antérieure du
lobe
pariétal du côté gauche. Quelques rares adhéren
pitale que de la corne frontale. En outre les circonvolutions de ce
lobe
fron- tal sont étalées, élargies : les sillons
a première coupe qui porte sur la portion tout à fait antérieure du
lobe
frontal gauche nous montre le commencement de l
. Elle présente à sa base deux échancrures qui la divisent en trois
lobes
assez nets. Sa consis- tance n'est pas complète
lle consistait tout d'abord en une augmenta- tion des dimensions du
lobe
frontal, si volumineux que le sillon de Rolando
nvier 1889. UN CAS DE SARCOME DU CERVEAU. 13 volutions de ce même
lobe
frontal, de telle sorte que les cir- convolutio
égion du gyrus hippocampi et du lobule lingual jusqu'à la pointe du
lobe
occipital. Intégrité du gyrus fusiforme. A la con
ge d'un centimètre et demi dans la substance blanche. Enfin dans le
lobe
occipital gauche une tumeur vasculaire sans limit
2 centimètres de la convexité, occupe la profondeur de la pointe du
lobe
en question, gagne en se rapprochant de l'écorc
ique avec excessive vascularisation, en foyers occupant l'écorce du
lobe
frontal, des ascendantes, du lobe temporal et d
n, en foyers occupant l'écorce du lobe frontal, des ascendantes, du
lobe
temporal et de l'insula. Çà et là atteinte de l
de faux du cerveau, ayant usé l'os frontal, comprimé et déplacé les
lobes
frontaux. Ramollissement jaune citron de ces de
déplacé les lobes frontaux. Ramollissement jaune citron de ces deux
lobes
. Quelques altérations dans la moelle lombaire s
sedow, c'est bien à coup sûreeliti qui consiste dans l'ingestion de
lobes
thyroïdiens ! Et cependant ce traitement a été
nos chiens, nous avons pu constater une tuméfaction très nette des
lobes
du thyroïde, tuméfaction qui, dans un cas, atte
riences, nous n'avons pas constaté de tuméfaction appréciable des
lobes
thyroïdes, mais par contre, chez la plupart, nous
e, ont pu être améliorés par le traitement thyroïdien, ingestion de
lobes
ou injections d'extrait. « S'il est vrai que, c
pe, mon collègue et ami, le professeur agrégé Jaboulay, a enlevé un
lobe
de thyroïde que j'ai injecté immédiatement avec
six chiens. Dans aucun cas, même après intoxication prolongée (800
lobes
en quarante jours), nous n'avons provoqué la mo
ues, et enfin le collapsus terminal. De plus, fait intéressant, les
lobes
thyroïdiens sont hypertrophiés parfois considérab
(l'auteur a observé un cas d'atro- phie de la substance blanche du
lobe
occipilal avec atrophie de la corne ventriculai
ais entraînent des fragments de substance cérébrale, surtout sur le
lobe
temporo- sphénoïdal qui présente une consistanc
et la partie inférieure des circonvolutions motrices. La pointe des
lobes
frontaux est relativement intacte. Sur la coupe
rveau. - La pie-mwe cérébrale, dans toute son étendue, même sur les
lobes
occipitaux, est infiltrée de noyaux ronds. La lés
trée de noyaux ronds. La lésion est iufiniment plus intense sur les
lobes
frontaux et surtout à la face inférieure; au ni
culièrement dans le gyrus rectus, les frontales, les motrices et le
lobe
temporal. Cette altération est remarquable par sa
ectus, des circonvolutions frontales et motrices et de la pointe du
lobe
temporal. Pourtant il n'existe pas de lésions d
er l'absence de fièvre. Y a-t-il eu une lésion grave intéressant le
lobe
frontal, par- suite d'une fracture de la table
la. Voici une autre observation. Une lésion destructive occupe le
lobe
temporal gauche; il y avait aphasie totale, surdi
représentatives de la parole, chez un paralytique général ( ? ); le
lobe
temporal gauche est com- plètement ramolli de m
hénomène d'excitation ayant *>, pour siège la sphère visuelle du
lobe
occipital, comparable aux'plié- - - nomènes d'e
ns et encore moins chez celle de quatorze ans. La dose a varié d'un
lobe
à un demi-lobe de glande thyroïde. L'action de la
M. TATY et Guérin (de Lyon). Nous avons traité par l'inges- tion de
lobes
de corps thyroïde un myxoedémateux de trente-deux
on l'ouvre plus largement et on constate une dépression de tout le
lobe
frontal gauche : au ni- veau du territoire rola
tif (circonvolution de l'hippocampe et partie postéro-inférieure du
lobe
frontal), les circonvolutions frontales et asce
yonnante ; on n'y trouve que des fibres d'association. Ce sont : le
lobe
frontal antérieur, le lobe temporal, l'insula, le
e des fibres d'association. Ce sont : le lobe frontal antérieur, le
lobe
temporal, l'insula, le lobe pariétal postérieur
Ce sont : le lobe frontal antérieur, le lobe temporal, l'insula, le
lobe
pariétal postérieur. Ils n'ont sur les mouvements
oire. Ses recherches ont porté surtout sur les fibres corticales du
lobe
frontal. On sait que ces fibres constituent tro
ps granuleux en quantité. Atrophie des circonvolutions voisines des
lobes
occipital, temporal et pariétal. Hémisphère dro
hère droit. Pas de lésions en foyer, mais une atrophie manifeste du
lobe
occipital. Les coupes des deux hémisphères ont
, dégénérescence presque totale des fibres du corps calleux dans le
lobe
occipital; tapetum droit plus pauvre en fibres qu
suel du côté gauche et rupture des faisceaux d'association des deux
lobes
occipitaux; dégé- 478 sociétés savantes. nére
avait-il supposé l'existence d'un foyer situé à la face interne du
lobe
occipital de l'hémisphère gauche et celle d'un
commissurales qui relient la surface interne et la convexité des
lobes
occipitaux, les deux circonvolutions temporales,
des lobes occipitaux, les deux circonvolutions temporales, les deux
lobes
occipitaux. De ces faisceaux un grand nombre on
dégénérer, comme le prouve l'atrophie des circonvolutions des deux
lobes
occipitaux. La dégénérescence accusée du bourrele
ption. Ils vont d'un seul trait, sans interruption ni réduction, du
lobe
postérieur DE LA CAPSULE INTERNE ET DE LA COURO
rand développemnt de la tête de ce noyau, la partie qui provient du
lobe
frontal offre une épaisseur nota- blement plus
l'hippocampe et, selon Meynert, il irait se terminer à la pointe du
lobe
temporal. De nombreuses fibres provenant des pa
ble- ment plus volumineux que l'interne, commence à l'é- corce du
lobe
frontal et va se terminer dans le lobe occipita
ne, commence à l'é- corce du lobe frontal et va se terminer dans le
lobe
occipital, en traversant le centre ovale. Il es
il me parait plus naturel d'en parler avant. Il va de la pointe du
lobe
occipital à celle du lobe tem- poral. Sa struct
d'en parler avant. Il va de la pointe du lobe occipital à celle du
lobe
tem- poral. Sa structure est celle des faisceau
cérébrale antérieure destinée à les remplacer pour l'union des deux
lobes
temporaux. D'après cela, la capsule externe exa
le2,venheik-. Psych. gerichtl Psychopath., 1880.) 1° L'ablation des
lobes
occipitaux des deux côtés sans inté- resser les
une amblyopie évidente. 3° L'ablation à la fois du pli courbe et du
lobe
occipital d'un hémisphère entraîne l'hémiopie d
li courbe gauche et après un temps assez long le pli courbe et le
lobe
occipal droits présente une hémiopie gauche de qu
visuelle. Un ani- mal chez qui l'on détruit en une séance les deux
lobes
occipi- taux (absence de trouble visuel) et dan
de la fonction. 4° C'est par la destruction des plis courbes et des
lobes
occi- pitaux des deux hémisphères en même temps
chez le chien de fortes éten- dues des couches corticales dans les
lobes
cérébraux sans dé- terminer de paralysie ni d'a
circonvo- lutions, on décrit bien, à la région inféro-interne du
lobe
temporal, une circonvolution de l'hippocampe, dit
Dans l'hémis- phère gauche, un foyer de ramollissement occupant le
lobe
DE LA CÉCITÉ ET' DE1 LA SURDITÉ DES MOTS. 231
e droit, un petit foyer de ramollissement sur la face inférieure du
lobe
frontal/ Un autre point ramolli au pied de la d
) qui fut le premier à établir que « toutes les circonvolutions des
lobes
postérieurs du cerveau concourent à la fonction
cherches physiologiques et a cité deux cas de cécité avec lésion du
lobe
occipital. En 1874, Hitzig admettait qu'une lés
e occipital. En 1874, Hitzig admettait qu'une lésion destructive du
lobe
occipital produisait la cécité du côté opposé.
ce convexe de l'hémis- phère gauche. Le ramollissement englobait le
lobe
temporal plus complètement que le lobe pariétal
ramollissement englobait le lobe temporal plus complètement que le
lobe
pariétal. - L'année suivante; MM. Kahler et Pic
e entend un bruit. A l'autopsie, on trouva les cir- convolutions du
lobe
temporal ainsi que la troisième frontale gauche
'autopsie, on trouva une pachyméningite et un caillot comprimant le
lobe
temporal et la troisième circonvo- lution, fron
erveuses. L'arrivée dans la corne d'Aminon' oïl'dàiïs 1 l'écordé du
lobe
occipital' de conducteurs d'ordre 'sensoriel 'g
il en est de même pour lés relations ' établies entre'la corne'etle
lobe
occipital, la substance blanche^ du lobe sphéno
ablies entre'la corne'etle lobe occipital, la substance blanche^ du
lobe
sphénoïdal; l'écorcé grise dû cerveau,' 'là ligné
épaissie et adhérente à l'écorce), on constata un foyer purulent du
lobe
frontal droit, 356 REVUE DE''PATHOLOGIE'NERVEUS
ver, que les impressions acoustiques, ont pour locali- - sation les
lobes
postérieurs et plus rigoureusement le lobule tria
les.. 1 , M. DELASIAUVE. J'ai vu une fois la destruction de tout le
lobe
occi- pital chez un individu qui entendait très
res. L'impression du rocher est très profonde des deux côtés et les
lobes
tempo- i raux font une forte saillie sur un pla
protubérance occipitale ; au-dessous de ce plan, on remarque que le
lobe
temporal descend presque verticalement et occup
presque verticalement et occupe une place énorme en comparaison des
lobes
frontaux et occipitaux. L'axe de la protubéranc
ges. Adhérences entre les deux méninges et le cerveau au niveau des
lobes
temporaux et des gyri recti. Hyperplasie pie-méri
au moins au-dessous d'un plan passant par la surface inférieure des
lobes
temporaux (environ 8 millimètres de plus que su
veau'de comparaison). La concavité qui est à la face inférieure des
lobes
temporo-occipitaux a une profondeur exagérée po
horizontalement va obliquement, par suite de la voussure anormale des
lobes
temporaux qui « font hernie » la base du cervea
s droites, dans leur moitié inférieure, ont fait impression dans le
lobe
gauche. La voussure du corps calleux est un peu
autres. Les sillons sont étroits. Sur les coupes transversales, le
lobe
occipital a une forme triangulaire, comme tirée
cissure calcarine débouche exactement à l'angle inféro- interne, le
lobe
lingual ayant subi tout entier un déplacement con
tempo- rales y paraissent atrophiées. Sur les coupes sagittales, le
lobe
occipital sur- ' tout présente des circonvoluti
par la boite osseuse, la forme triangulaire, presque rectiligne, du
lobe
occipital, entraînant le déplacement de la scissu
corne et la périphérie, n'entre pas en ligne de compte, puisque le
lobe
occipital ne repose pas sur l'os, mais sur la t
omalie est sans doute en rapport avec le faible déve- loppement des
lobes
frontaux, sans qu'il soit possible de dire si ell
atés à la base, surtout dans le centre médian de Luys. L'écorce des
lobes
frontaux est, dans certains cas, le siège d'altér
tourait le projectile, englobant le tissu de la tige, jusqu'au même
lobe
postérieur de l'hypophyse ; elle sortit adhérente
epuis Magnus etSchâfer, ont observé, en effet, que les extraits des
lobes
moyen et postérieur de l'hypophyse possèdent de
expérimentale de la ré- gion hypophysaire, surtout de la région du
lobe
postérieur (Cus- hing) (9), ou par la lésion tr
m, en sup- posant que la lésion donnât origine à une irritation des
lobes
moyen et postérieur, qui élaboreraient leur séc
olyurie dans 1 acromégalie, ils s'expliquent parce que la tumeur du
lobe
antérieur, qui produit cette maladie, comprime
a tumeur du lobe antérieur, qui produit cette maladie, comprime les
lobes
moyen et postérieur, en 192 MARANON ET PINTOS
rver, dans les acromégaliques, d'autres symptômes d'insuffisance du
lobe
postérieur, surtout l'obésité. Mais surtout ce
195 diurétique des extraits hypophysaires, nous nous référions aux
lobes
moyen et postérieur ; maintenant tous les auteu
aintenant tous les auteurs sont d'accord pour admettre que ces deux
lobes
seulement possèdent des propriétés antidiu- rét
seulement possèdent des propriétés antidiu- rétiques, tandis que le
lobe
antérieur n'agit pas de cette façon. Le dévelop
mbrane interne de l'aorte est lisse. Il y a une bronchopneumonie du
lobe
inférieur du poumon gauche. Il n'y a pas d'adhé
poumons. Le parenchyme des poumons, en général, pâle et aérien. Le
lobe
inférieur du poumon gauche montre une quantité de
s les bronches, une grande quantité de mucus ; dans les bronches du
lobe
inférieur du poumon gauche, une sécrétion muco-pu
s supermarginal. Ilorsley, au contraire, diagnostique une lésion du
lobe
frontal quand il observe des accès jacksoniens
s riche aux environs de la fosse de Sylvius droite et de la base du
lobe
frontal. Là encore, le sang a le même caractère
ng SUR LES HEMORRAGIES MÉNINGÉES 323 sombre liquide s'écoulait du
lobe
occipital droit. A l'examen attentif, on a déco
eur d'une noisette. Cet endroit est situé sur la surface interne du
lobe
occipital droit (environ 3 centimètres du pôle
derrière le chiasma, en partie au-dessus de la partie antérieure du
lobe
temporal. Quand ces coagulations ont été prudem-
sseur d'une noix, gisant dans'ta substance cérébrale à la pointe du
lobe
temporal. Là-dessus, l'encéphale est lixé dans
et d'épais- seur normales. Correspondant directement à la pointe du
lobe
temporal, elle s'élargit soudain en un sac de l
ation. La. masse de sang coagulé, qui a pénétré dans l'extrémité du
lobe
temporal, se détache nettement de la substance cé
? nW r·snte. c. I" : P,111Chl'lI1l.11t sanguin. Is. Imul.t. - 1,1'.
Lobe
temporal. Mnsson & Cic, éditeurs SUR LES
séparé les deux hémisphères, ou a observé que la surface interne du
lobe
frontal se bombait furtemeut au-dessus de la lign
ression sur l'hémisphère gauche. A la palpation, on a trouvé que le
lobe
frontal droit était plus mou que les autres parti
est clair que cette formation, située dans le voisinage immédiat du
lobe
central gauche, doit prédisposer à une irritati
INGÉES 337 déchirés ; dans le cas III, un cratère semblable dans le
lobe
temporal à proximité immédiate de l'anévrisme r
orales sont nettes; le lobule du pli courbe, le lobule pariétal, le
lobe
occipital sont très distincts, très simples et sa
ezztral dont le sillon est reporté en avant; rien de particulier au
lobe
carré, ni au coin, qui sont rudimentaires. La q
A la coupe, il s'échappe une notable quantité de sang, surtout des
lobes
inférieurs. Pas d'em- physèine évident. Les bro
les unes des autres. Notons aussi le développement assez accusé des
lobes
paracentraux et des lobes carrés. Ces derniers,
s aussi le développement assez accusé des lobes paracentraux et des
lobes
carrés. Ces derniers, ainsi que les lobes occip
lobes paracentraux et des lobes carrés. Ces derniers, ainsi que les
lobes
occipitaux, offraient d'assez nombreux sil- lon
P3, pli courbe. Tl, 7 ? 1'3, circonvolutions temporales. L. 0.,
lobe
occipital. PLANCUE II Face interne de l'hémis
circonvolution de l'hippocampe. L.P., lol)ule paracentral. L. C.,
lobe
carré. L. C., coin. L. 0., lobe occipital.
P., lol)ule paracentral. L. C., lobe carré. L. C., coin. L. 0.,
lobe
occipital. T4, 7 ? quatrième et cinquième circo
ulaire, pour se diriger aussitôt après en arrière vers la pointe du
lobe
occipital, et celle d'un autre tractus, déjà dé
centi- mètre ou à un centimètre et demi en avant de la pointe du
lobe
occipital. Elle n'intéresse plus le ventricule qu
TIF. 75 hauteur diminuent à mesure qu'on approche de la pointe du
lobe
occipital. La forme du corps du faisceau peut ê
ascendantes, tout au moins dans leur partie supé- rieure, celles du
lobe
pariétal, enfin les circonvolutions occipi- tal
dégager les propositions sui- vantes : A la suite des lésions du
lobe
frontral (la circonvolution fron- tale ascendan
aisemblablement comprend toutes les circonvolutions, sauf celles du
lobe
frontal. Tous les détails qui précèdent se résu
sions épileptiques généralisées ; mais, après leur avoir enlevé un
lobe
cérébral, il n'a plus obtenu de convulsions épile
du corps correspondant au côté de la lésion ; si on enlève les deux
lobes
cérébraux, on ne peut plus détermi- ner du tout
se produire les manifestations épileptiques alors même que les deux
lobes
cérébraux avaient été extirpés ; il ne saurait
sent quand on a fait une section nette entre les hémisphères et les
lobes
opti- ques. P. M. XVIII. Tabès INCIPIENS ; pa
une atrophie considérable de l'hémisphère gauche, surtout dans les
lobes
temporaux etoccipitaux : le cervelet du côté droi
eure de la circonvolution de l'hippocampe et d'une grande partie du
lobe
temporal, moins prononcées d.ms l'insula ; tout
t. Peut-être la perte de l'oreille droite tient-elle à la lésion du
lobe
temporal gauche, puisqu'il n'existe ni otite, ni
nentes. Quant à la nature de la lésion, la colo- ration jaunâtre du
lobe
temporal démontre qu'il s'était effectué une hé
ernicke, Reinhard, W. Sander, M. Wernicke constate l'ennlobement du
lobe
occipital dans la zone d'atrophie ; cependant,
nce d'une surdité du côté droit, en relation avec une altération du
lobe
temporal gauche, confirme les toutes récentes r
uoique chose de semblable chez un malade atteint d'un abcès dans le
lobe
occipital gauche. Cet abcès avait pénétré jusqu'à
l gauche. Cet abcès avait pénétré jusqu'à la subs- tance blanche du
lobe
pariétal et de la pariétale ascendante du munie
quammeuse, du lambda et de la scissure perpendiculaire externe. Les
lobes
occipital et temporo-sphé- noïdalont les mêmes
i là d'une contusion cérébrale portant sur la partie postérieure du
lobe
antérieur gauche, et intéressant une portion de
ns inférieures du système nerveux) et que Ferrier localise dans les
lobes
antérieurs du cerveau. » Il n'est donc pas éton
Pa, pli courbe. - y, T-, 1'3, circonvolutions temporales. L. 0.,
lobe
occipital. - H2 EXPLICATION DES PLANCHES. PLA
irconvolution de l'hippocampe. L. P., lobule paracentral. L. C .,
lobe
carré. L. C., coin. L. 0., lobe occipital.
P., lobule paracentral. L. C ., lobe carré. L. C., coin. L. 0.,
lobe
occipital. Tà, Ts, quatrième et cinquième circo
le droit. A, Amygdales. 6 PATHOLOGIE NERVEUSE. le bord interne du
lobe
temporo-sphénoïdal qu'elle repousse légè- remen
es. Broncho-pneumonie à foyers disséminés du sommet du poumon et du
lobe
moyen à droite; à gauche, congestion de la base
s de Blin 2 où l'on trouva à l'autopsie un kyste de la surface du
lobe
cérébelleux gauche ; on avait observé durant la v
enregistre une observation d'Oliver qui, dans un cas de gliome du
lobe
moyen, nota des changements de coloration très ra
nt de se cramponner à son lit. A l'autopsie on trouva dans l'un des
lobes
du cervelet un foyer gros comme une noisette, m
rales donnerait d'après Bianchi les conclu- sions suivantes : 1° Le
lobe
préfrontal contient les centres moteurs des yeu
. Bianchi critique lui-même ces dernières propositions, pour lui ce
lobe
serait le siège de la coordi- nation des produi
tonus psychique individuel. L'auteur décrit 4 cas de lésions de ce
lobe
. 1° Femme, vingt-trois ans. Après un mois de cé
nées. Après deux mois coma et mort. A l'autopsie : à gauche dans le
lobe
préfrontal, sarcome ovoïde de 2 pouces sur 1 1/
bout de deux mois. Autopsie : abcès dans la subs- tance blanche du
lobe
préfrontal n'atteignant ni l'écorce ni les noya
'un mois. Autopsie : tumeur de la dure-mère comprimant la pointe du
lobe
frontal droit sans destruction des tissus, odèm
ellaire augmentés. Pas de paralysie. Autopsie : invasion de tout le
lobe
frontal gauche par une tumeur qui comprime la fac
rontal gauche par une tumeur qui comprime la face in- terne du même
lobe
du côté opposé, mais n'atteint pas la région de
optique double. Autopsie : tumeur sphéroïde de pouces 1 /2 dans le
lobe
frontal droit afleurant aux F' et F, facile a enu
sont la règle. Si le diagnostic des tumeurs et lésions massives du
lobe
préfrontal est difficile parmi les tumeurs céré
ocalisés d'une façon précise ; on les a cherchés aussi bien dans le
lobe
frontal que dans le lobe pariétal. Certains expé-
ise ; on les a cherchés aussi bien dans le lobe frontal que dans le
lobe
pariétal. Certains expé- rimentateurs ont dénié
que dans le lobe pariétal. Certains expé- rimentateurs ont dénié au
lobe
frontal toute excitabilité électrique. Ferrier
les du tronc et de la nuque chez le chien, et s'il existait dans le
lobe
frontal un centre spécial pour les mouvements d
VUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 157 Pour IIitzig le
lobe
frontal est complètement inexcitable; pour Ferr
euvent entraîner la conviction au point de vue de l'excitabilité du
lobe
frontal et au point de vue du siège des centres
affirmation de l'existence d'un centre des muscles des yeux dans le
lobe
frontal. Contre les idées émises par Hitzig et
k. Ce physiologiste place le centre du tronc chez le chien, dans le
lobe
frontal ; le centre de la nuque en est voisin.
possède deux centres pour les muscles de la nuque : a) l'un dans le
lobe
frontal en avant de fissure présylvienne (centre
ure présylvienne (centre frontal de la nuque). b) L'autre dans le
lobe
pariétal, sur l'extrémité du gyrus syg- moïde p
es du même côté ; 3° il n'y a pas de centre moteur des yeux dans le
lobe
frontal du chien; 4° la situation des centres e
icke). Ainsi il y a agraphie corticale sensorielle lorsque, dans le
lobe
occipital, il y a destruction des images commémor
ictée, le dépôt des images phonétiques étant demeuré intact dans le
lobe
temporal; il peut, par suite, encore écrire, même
t, en particulier, la pointe 232 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. du
lobe
occipital, le coin, la circonvolution linguale, l
ons principales fournissent à l'écorce et à la substance blanche du
lobe
occipital, de la pointe de celui- ci, du coin,
a parole), les deux ascendantes (centre du bras et de la jambe), le
lobe
occi- pital (centre visuel), puis la localisati
cences consécutives ce qui mène par l'atrophie et la diminution des
lobes
centraux en- tiers et par la sclérose lobulaire
ieur réduit. La glande thyroïde très congestionnée à la surface, le
lobe
gauche atrophié, le parenchyme glandulaire très
u singe, consécutive à 462 BIBLIOGRAPHIE. l'ablation complète des
lobes
occipitaux ; par M. Alex. N. Vitzou ; Recherche
s pas, et ce qui domine c'est la lypémanie. . Examen physique. Le
lobe
gauche du corps thyroïde est très augmenté de,v
ure le corps thyroïde de mouton; la dose est croissante, d'abord un
lobe
, puis deux, et ainsi de suite jusqu'à deux glande
et ainsi de suite jusqu'à deux glandes par jour, en augmentant d'un
lobe
tous les deux jours. 25. Le tremblement s'attén
or- RIJAGIQUE ; coexistence d'un épanchement sanguin au niveau du
lobe
frontal du côté opposé ; par G.-A. Gf13S0Y et Ald
les yeux s'élever et s'abaisser. D'autre part, l'ablation des deux
lobes
frontaux qui contiennent ces centres n'entraîne
uit donc que l'ophtalmoplégie corticale après lésion bilatérale des
lobes
frontaux n'a pu être obtenue expérimentalement.
plus probants. Il n'est pas rapporté un seul cas où la lésion d'un
lobe
frontal ait entraîné une paralysie des muscles
côté opposé existe un large épanchement sanguin qui s'étend sur le
lobe
frontal et le com- prime. Il était logique dè
e conclure à une ophtalmoplégie uni- latérale, causée par lésion du
lobe
frontal opposé. Encore fallait- il, pour rendre
con- viction, je puis citer trois observations de tumeur : l'une du
lobe
frontal, l'autre du lobe droit du cervelet, et
er trois observations de tumeur : l'une du lobe frontal, l'autre du
lobe
droit du cervelet, et la troisième de la base d
la moitié droite parce que plus communément la lésion existe sur le
lobe
cérébral gauche. Beaucoup de causes peuvent p
du corps) la présence de plus de 20 hydatides, dont 6 dans les deux
lobes
temporaux. Ces kystes étaient de la grosseur d'
au cerveau, les lésions sont' limitées aux cellules de l'écorce des
lobes
frontal, central et occipi- tal, sans altératio
ramollissement en foyer de la scissure calcarine, ayant détruit les
lobes
lingual et fusiforme et pénétré la substance blan
t de la substance blanche du pli courbe et des parties voisines des
lobes
temporal et pariétal. A noter que dans les deux
ons de Flechsig sont en contradiction avec ce développement. - Le
lobe
frontal, territoire d'association antérieur de Fl
ience est la condition fondamentale de la formation du jugement. Le
lobe
frontal les synthétise. Le singe auquel on a
. Le lobe frontal les synthétise. Le singe auquel on a enlevé les
lobes
frontaux, et qui avant cela savait distinguer,
pressions antérieures, il mange la craie qui ressemble au sucre. Le
lobe
frontal est l'organe du jugement, des grands se
ent des mus- cles du cou et du ligament occipital qu'avec celui des
lobes
occipi- taux du cerveau. L'auteur a soumis à
ur du troisième ventricule; par MOTS et DUNATT. Télangiectasie du
lobe
frontal gauche avec convulsions épilepti- forme
fracture du tibia compliquée de plaie, et comme questions orales :
lobe
frontal, branches du nerf facial, faisceau pyra
ces.) Lepinay (F.). Essai anatomique et pathologique sur l'étude du
lobe
frontal en dehors de la région motrice, in-8° d
es dans les corps optiques. La circonvolution centrale gauche et le
lobe
paracentral présentent des altérations parenchy
première et seconde tem- porale gauches (figures). A l'atrophie du
lobe
temporal gauche se rattache la perte de l'intel
du cerveau, du cerveau gauche surtout, sont alté- rées, en outre du
lobe
temporal. Cette forme de l'écholalie ne se mani
ndissent, ils sont réper- cutés. Une presque complète séparation du
lobe
temporal par l'atrophie n'est pas possible sans
Lésions à peu près symétriques, mais plus superfi- cielles, dans le
lobe
temporal droit. L'examen histologique confirme
aux tl'liéiî21al-opltie faciale. ' Double abcès contl'(lvalaires du
lobe
frontal droit, Confusion mentale " et mélancoli
de la grosseur de petites noix, situés dans la substance blanche du
lobe
frontal droit, au-dessus et en dehors de l'avant
ides, constitue un document de plus dans l'histoire pathologique du
lobe
frontal. L'apparition tar- dive de l'hémiparési
tion. Tout le monde est d'accord pour le localiser dans l'écorce du
lobe
occipital. Seulement, suivant les uns, il ne dépa
avoisinantes; suivant d'autres, enfin, il embrasse toute l'aire du
lobe
occipital, débordant même sur laportion adjacente
aire du lobe occipital, débordant même sur laportion adjacente du
lobe
pariétal. Je vous répète que je reviendrai plus e
l'élément vasculaire, et à localisation prépondérante au niveau du
lobe
occipital. Nous avons fait, chez cette première
ages auditives ver- bales, et ce centre, nous le localisons dans le
lobe
tem- poral gauche. - Reste la disposition de
et, comment expliquer qu'à la suite de la destruction complète d'un
lobe
occipital, le corps genouillé du côté cor- resp
peu près complète, si le territoire en question n'est pas relié au
lobe
occipital par des prolongements ascendants ? z
mposé de fibres d'association; elles relient les circonvolutions du
lobe
occipital à la pointe du lobe Lem-, poral. D'
elles relient les circonvolutions du lobe occipital à la pointe du
lobe
Lem-, poral. D'abord compact et ramassé sur l
e lobule fusiforme, c'est-à-dire les faces interne et inférieure du
lobe
occipital. D'après von Monakow, elle embrasse t
occipital. D'après von Monakow, elle embrasse toute l'étendue du
lobe
occipital ; elle empiéterait même sur la partie a
be occipital ; elle empiéterait même sur la partie avoisi- nante du
lobe
pariétal. Une observation publiée récemment par
x foyers de ramol- lissement, à peu près symétriques, dans les deux
lobes
occipitaux, au voisinage de la scissure calcari
ne de 2 centimètres carrés de surface, qui, partant de la pointe du
lobe
occipital, s'étendait jus- qu'à 18 millimètres
ie est la conséquence de lésions corticales ou sous-» corticales du
lobe
occipital gauche. Il nous est impossible de leu
, de toute façon, le processus morbide doit dépasser les limites du
lobe
occi- pital ; dans l'hypothèse contraire il ne
l'hémianopsie homonyme peut être l'unique symptôme d'une lésion du
lobe
occipital de l'un des hémisphères. Il est rare
dité verbale on assigne comme substratum ana- tomique une lésion du
lobe
temporal gauche; principalement de la partie po
nvolutions temporales, dans le pli courbe, dans une bonne partie du
lobe
occipital, mais prin- cipalement dans le territ
la partie antérieure des circonvolutions occipitales, la pointe du
lobe
temporo-occi- pital. Donc, une ischémie, surven
étendue relativement grande, peut-être la totalité de la surface du
lobe
occipital, un foyer circons- crit, situé dans l
467 térieure. En effet, ce vaisseau alimente toute la surface du
lobe
temporo-occipital (moins la pointe) et le coin, à
tique, depuis son origine réti- nienne jusqu'à son terminus dans le
lobe
occipital. Une remarque, pour terminer : Dans
acteur-gérant : BOURNEVILLU. TABLE DES MATIERES Abcès double - du
lobe
frontal i droit, par Dupré et Heitz, 422. AC1
le, Rev. Neurologique, 1875, p. 474) sont les signes des tumeurs du
lobe
médian et du vermis. Mais les tumeurs mêlent aux
sur la face externe de l'hémisphère gauche, partant de la pointe du
lobe
occipital gauche s'étendant en avant à la parti
e de l'hémisphère sur une très petite étendue. La face interne du
lobe
occipital est absolument respectée ainsi que la f
: T. XVIII. Pl. V APHASIE AMNESIQUE /7 ? );'t''J A. Les deux
lobes
occipitaux. On voit les lésions des lobes occipit
/7 ? );'t''J A. Les deux lobes occipitaux. On voit les lésions des
lobes
occipital et pariétal gauches. B. Coupe horiz
orticale de la 3e fron- tale). Les deux dernières lésions, celle du
lobe
paracentral et celle de l'hémisphère droit semb
té verbale. AUTOPSIE - Ramollissement jaune partant de la pointe du
lobe
occipital gau- che et gagnant de là le lobule p
rtie et n'avait du reste que très peu altéré la forme extérieure du
lobe
occipital. Ses dimensions étaient d'en- viron 5
hagies dans son intérieur. Nous avons débité en coupes sériées ce
lobe
occipital : toutes les coupes qui se trouvent e
nt défaut. Résumé. Phénomènes de compression limités à la partie du
lobe
occipital périphérique à la plus grande extensi
re. Poids total 1402 grammes. La tumeur a repoussé et disséqué le
lobe
temporal dont les circonvolutions ne sont pas d
ée qu'à une différence de résistance du tissu ambiant. Mais dans le
lobe
occipital le ventricule est entouré de faisceau
p grand. Il en est de même du tapetum et des faisceaux sagittaux du
lobe
occipital. Là la dilatation ventriculaire est l
contrent partout, mais elles sont peut-être plus prononcées dans le
lobe
occipital droit. Ecorce.- Dès le pôle frontal e
es fibres conservées jusqu'au voisinage immédiat de la tumeur. Le
lobe
occipital droit (côté du néoplasme) présente au c
M. Monakow (Gehirnpathologie) indique comme suites de lésions desi
lobes
frontaux : 1° Un déficit intellectuel analogue
intellectuel analogue à celui de la paralysie générale si les deux
lobes
sont atteints. 2° L'altération du caractère dan
artie de la base, en avant des ventricules, a poussé devant soi les
lobes
frontaux qui forment autour d'elle une sorte de c
té dit pour notre observation 2. Cependant il y a, surtout dans les
lobes
frontaux, une altération nouvelle : une sclérose
aire est le plus forte là où il y a le plus de fibres associatives (
lobe
frontal). A mesure que la corne frontale se dil
1 si petite et laissant indemne la majeure partie de la pie-mère du
lobe
occipital ait pu gêner à ce point la circulation
e) sont éosinophiles. UN cas d'acromégalie 181 pertrophiée. Son
lobe
droit, beaucoup plus volumineux que le gauche, me
oint admis, deux questions restent à résoudre : 1* Les lésions du
lobe
antérieur de l'hypophyse interviennent-elles po
, et l'on trouve alors sim- plement une hypertrophie glandulaire du
lobe
antérieur. Peut-être celte hypertrophie n'est-e
Nous pensons donc qu'il y a plus de chances pour que les lésions du
lobe
antérieur du corps pituitaire interviennent dans
mange ses matières. Le 11 mai 1903, il succombe à une pneumonie du
lobe
inférieur droit, pneumonie qui a évolué sans gr
scentes par place. Elles ne sont adhérentes qu'à la face interne du
lobe
sphénoïdal et du lobe orbitaire. Les artères cé
es ne sont adhérentes qu'à la face interne du lobe sphénoïdal et du
lobe
orbitaire. Les artères cérébrales ne présentent
èse 1430 grammes, alors que le gauche ne pèse que 500 grammes. Le
lobe
inférieur droit est complètement hépatisé (hépati
- mes. Méninges. Epaissies, opalescentes, adhérentes au niveau du
lobe
frontal. Ventricules. Très dilatés, liquide cép
e et injectée de sang. Elle est extrêmement adhérente au niveau des
lobes
frontaux et on 214 VIGOUROUX ET LAIGNEL-LAVASTI
dhérence des méninges, l'atrophie des circonvolutions au niveau des
lobes
frontaux, la dilatation des ventri- cules et l'
, mouvements de manège de gauche à droite. - Autopsie : Atrophie du
lobe
cérébelleux gauche, méningo-encéphalite diffuse
ur les vaisseaux de la base. Le cervelet présente une atrophie du
lobe
gauche (fig. 1). Les circonvolu- tions du flocc
lume. La microgyrie s'étend aux autres circonvolutions voisines. Le
lobe
médian et le lobe droit paraissent normaux. E
e s'étend aux autres circonvolutions voisines. Le lobe médian et le
lobe
droit paraissent normaux. Examen llISTOLOGIQU
ux. Examen llISTOLOGIQUE. Cerveau. Nos recherches ont porté sur les
lobes
frontaux, les lobes occipitaux, les circonvolut
IQUE. Cerveau. Nos recherches ont porté sur les lobes frontaux, les
lobes
occipitaux, les circonvolutions sylviennes droite
ccipitaux, les circonvolutions sylviennes droites et gau- ches, les
lobes
olfactifs. Les méthodes employées sont celles de
vées sont diffuses, mais ont une prédominance marquée au niveau des
lobes
frontaux. La pie-mère et l'arachnoïde sont épai
237 Les fibres tangentielles sont en partie disparues dans les deux
lobes
frontaux ; elles sont dans les autres parties d
névroglique se retrouve autour des pa- rois vasculaires. Dans le
lobe
olfactif, on trouve les mêmes lésions inflammatoi
erche de microbes dans les coupes est restée négative. Cervelet.-1°
Lobe
droit.- Les méninges molles sont envahies par de
glie est hy- perplasiée par places dans la couche moléculaire. 2°
Lobe
gauche. Les lésions inflammatoires sont plus acce
uche. Les lésions inflammatoires sont plus accentuées que celles du
lobe
droit. Au niveau des circonvolutions les plus ext
sont complètement obstrués par des cellules embryonnaires. Fig. 2.
Lobe
frontal gauche, couche moléculaire. Prolifération
s ganglions. Les symptômes provoqués par les lésions partielles des
lobes
cérébel- leux sont encore mal déterminés. Les e
on inflammatoire portant sur les circonvolutions antéro-externes du
lobe
cérébelleux gauche d'un chien, a provoqué un mo
ge à une formation découpée par quatre sillons peu profonds en cinq
lobes
longitudinaux et parallèles entre eux. Elle forme
articulier. Coupes sagittales du cervelet. Sur toutes ces coupes le
lobe
central, les lobes quadrilatère antérieur et po
sagittales du cervelet. Sur toutes ces coupes le lobe central, les
lobes
quadrilatère antérieur et postérieur, les lobes s
e lobe central, les lobes quadrilatère antérieur et postérieur, les
lobes
semi-lunaires supérieur et inférieur, le lobe g
r et postérieur, les lobes semi-lunaires supérieur et inférieur, le
lobe
grêle sont extrêmement amincis ; le lobe dygastiq
supérieur et inférieur, le lobe grêle sont extrêmement amincis ; le
lobe
dygastique et l'amyg- dale le sont moins. En gé
latérales la lésion est moins étendue et épargne aussi les axes des
lobes
inférieurs, qui cependant restent toujours très m
tient plus pâle dans la moitié postérieure et les axes des différents
lobes
et lobules (arbre de vie des lobes latéraux du
ieure et les axes des différents lobes et lobules (arbre de vie des
lobes
latéraux du cervelet) présentent par ci par là
nérescence de la rétine ; l'anosmie résulte de la dégénérescence du
lobe
olfactif. Mais les nerfs rachidiens ne sont pas
le diagnostic différentiel de l'abcès du cervelet et de l'abcès du
lobe
temporo-sphénoïdal, l'examen de l'oreille donne d
laires, on trouva encore un ramollissement jaune des deux tiers du
lobe
occipital droit, qui s'étendait jusqu'au fond de
e grandeur de ramollissement jaune était aussi observé au sommet du
lobe
occipital gauche. On constata, en outre, du côt
cité corticale s'explique parfaitement par la lésion bilatérale des
lobes
occipitaux (le som- met du coin et de l'ergot d
de Sylvius et un ramollissement jaune dans l'écorce [du sommet du
lobe
temporal, un anévrisme oblong de la grandeur d'un
de la scissure syl- vienne du côté droit et la moitié antérieure du
lobe
temporal, qui présentait une lamelle très fine,
ossible. En somme méningite scléreuse très accentuée. Au niveau des
lobes
frontaux, occipitaux et temporaux les lésions s
OSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 113 3 femme atteinte de gomme du
lobe
frontal gauche : à plusieurs reprises elle prés
tic s'imposait : embolie partie du poumon ou de la plèvre, abcès du
lobe
occipital gauche. En raison de l'absence actuel
et mourut en quelques heures. A l'autopsie nous trouvâmes dans le
lobe
occipital gauche un gros abcès du volume d'une
n, on rencontre dans chacune d'elles une sorte de glande divisée en
lobes
très petits avec quelques petits kystes remplis
s kystes remplis d'un liquide blanchâtre (ovaire ? ). A côté de ces
lobes
, à la partie inférieure se rencontre une sorte d'
nguinal interne ; 7, Cordon comllet;-8,Anneau inguinal externe ; 9,
Lobes
glandulaires et kystes; - 10, Pavillon de la tr
s, elle s'étend obliquement du pied de PA à la partie antérieure du
lobe
occipal. Nombreuses adhérences sur le lobe pari
la partie antérieure du lobe occipal. Nombreuses adhérences sur le
lobe
pariétal. La. lésion atrophique est surtout int
est surtout intense au niveau du pli courbe. Le tiers postérieur du
lobe
temporal et le tiers antérieur du lobe occipita
urbe. Le tiers postérieur du lobe temporal et le tiers antérieur du
lobe
occipital sont atrophiés (Pl. I). La face int
t atrophiés (Pl. I). La face interne est tout aussi lésée. F', le
lobe
paracentral, l'avant- coin, le coin, la corne o
ons frontales et PA semblent saines. Les scissures sont béantes. Le
lobe
pariétal supérieur est à peu près normal ; mais
s de largeur. T' est atrophiée sur ses 2/3 postérieurs. Le reste du
lobe
temporal n'est pas trop altéré. La face inter
nt diminué de volume, réduit en masse. Pont de Varole très mince,
lobes
cérébelleux très petits et égaux ; aspect sclér
ées mais raréfiées. Sclérose nette à la région postérieure des deux
lobes
. Noyau rouge droit légèrement plus petit que le
3° et4°segments cervi- caux et des segments dorsaux du 3° au 9°. Le
lobe
inférieur du poumon est plus spécialement en co
possession d'un prolongement qui s'arborise dans les glomérules du
lobe
olfactif; on a ici les trois segments du neuron
rs cellules centrales des tubercules quadrijumeaux antérieurs ou du
lobe
optique. Relativement à la cellulPolfuctive, vo
jetée sur différents territoires de l'écorce cérébrale, tels que le
lobe
frontal, toujours dans une di- rection cellulif
ibres optiques et les ramifications protoplasmiques des cellules du
lobe
optique des oiseaux qui emportent vers l'écorce
us avons vu que les prolon- gements axiles des cellules mitrales du
lobe
olfactif, au moins ceux de la racine olfactive
s et sans pro- longement nerveux apparent, telles que les grains du
lobe
olfactif, les amacriifes de la rétine, les prol
près en état de mal. Autopsie. Congestion des méninges. Atrophie du
lobe
gauche du ce ? -velet, réduit au volume d'un oe
mianopsie au même titre qu'une lésion des radiations optiques ou du
lobe
occipital du même côté. Dr F. DEVAY. LXIII. L
de l'oculo-moteur externe : L'oculo-moteurcommuu paraît venir du
lobe
pariétal (pli courbe); de là les fibres vont au
-moteur externe parait, lui aussi, partir de l'étage infé- rieur du
lobe
pariétal : de là les fibres vont au pédoncule com
qui, 'peut-être, intéresse aussi la partie postérieure contigué du
lobe
pariétal, notamment du lobule pa- riétal inféri
démontré que la sphère tactile du corps va jusqu'au tiers moyen du
lobe
frontal ou du moins jusqu'au territoire de la pre
ntérieure de cette sphère est difficile à établir, car le volume du
lobe
frontal varie suivant les individus (Archives de
lé du putamen, et vont à la circonvolution transverse antérieure du
lobe
temporal, dans laquelle on reconnaît des fibres
ibres myéliniques. Donc, la circonvolution transverse antérieure du
lobe
temporal contient les stations terminales des f
eur olfactive, précédait l'accès convulsif; on trouva une tumeur du
lobe
temporo- sphénoïdal. Hughlings-Jackson and Beev
décharge des souvenirs, si l'on veut, fut causée par une lésion des
lobes
frontaux. Hughfings- Jackson. Intellectual Aura
aura intellectuelle précède les spasmes unilatéraux, c'est dans le
lobe
frontal qu'on doit chercher la lésion déchar- g
e une lésion du pli courbe. L'aura olfactive indique une- lésion du
lobe
temporo-sphénoïdal. Si donc l'aura, qui précède
r. Les poumons présentent tous deux, à la partie posté- rieure du
lobe
inférieur, un foyer d'hépatisalion rouge assez
droit 720 gr. Différence : 160 gr.) Cervelet et isthme : 200 gr. (
lobes
cérébelleux droit et gauche chacun, 85 gr. Bulb
gauche, le plus petit, qui présente le plus grand développement du
lobe
frontal. Outre cette première anomalie, le dé
t pas d'anomalies, mais on remarque, vers la face inféro-interne du
lobe
sphénoïdal gaucho, que la pic-mère est adhérent
oniques, qu'on aurait pu s'attendre à rencon- trer la convexité des
lobes
frontaux. Ce résultat négatif parait être en co
observe également des plaques ecchymotiques sur la face convexe des
lobes
frontaux, sur les lobes occipitaux et sur le bo
aques ecchymotiques sur la face convexe des lobes frontaux, sur les
lobes
occipitaux et sur le bord postérieur du cervele
ur les lobes occipitaux et sur le bord postérieur du cervelet. Le
lobe
frontal gauche est situé en arrière de son congé-
ière, l'arachnoïde et la pie-mère se portent sur toute l'étendue du
lobe
sphéno-occipital à la manière d'un voile rosé,
re et paraît sil- lonné de vaisseaux nombreux. Sur les. confins des
lobes
occipital et sphénoidal, il existe un bourrelet
congestion intense et même un certain degré de splénisation de leur
lobe
in- férieur. Rate, 140 gr., volumineuse. - Foie
vait disparu au niveau des centres correspondants. L'intégrité du
lobe
paracentral pourrait expliquer, cependant, deux d
opsie, 40 heures après la mort. Les poumons pré- sentent dans leurs
lobes
inférieurs quelques foyers de bron- cho-pneumon
intense dans tout le cul-de-sac dure-mérien qui reçoit la pointe du
lobe
occipital. Dans toute l'étendue de l'hémisphère
e est le moins avancée. Il existe au niveau des divers sillons du
lobe
frontal, du sillon de Rolando et sur le bord supé
volume (1). Adhérence totale du poumon gauche, excepté au niveau du
lobe
inférieur qui reste libre. Pas de liquide anormal
auche pèse 240 gr. et présente une congestion très intense des deux
lobes
, mais surtout du lobe inférieur. Pas d'atélecta
résente une congestion très intense des deux lobes, mais surtout du
lobe
inférieur. Pas d'atélectasie. Les bronches cont
lésions que le poumon gauche, mais moins prononcées. Em- physème du
lobe
supérieur, du bord postérieur et de la face int
vascularisée partout; elle a une teinte un peu ecchymotique sur le
lobe
temporal gauche et sur les lobes temporal et fron
e teinte un peu ecchymotique sur le lobe temporal gauche et sur les
lobes
temporal et frontal droits. Elle est mince des
supérieur, P, volumineux et sinueux, envoie un pli de pas- sage au
lobe
occipital et un autre au pli courbe. Le pli parié
pli courbe, P C. Ce dernier est peu développé, mais entre lui et le
lobe
occipital, il existe une circonvolution composé
irconvolution composée de trois replis (lobule du pli courbe). Le
lobe
occipital, LO, est composé de circonvolutions ass
rconvolution du corps calleux, CCCa, assez large, mais non plissée.
Lobe
quadrilatère, LQ, volumineux et plissé. Lobe 1,
rge, mais non plissée. Lobe quadrilatère, LQ, volumineux et plissé.
Lobe
1,P, bien développé, avec deux sillons dont un
superficiel. Le coin, LC, est sinueux, avec des plis superficiels.
Lobe
occipital assez bien développé et plissé. La ci
ormé de deux replis sinueux, envoie en arrière un pli de passage au
lobe
occipital. P2,non dédoublée, envoie un pli de p
pli courbe, bien dé- veloppé, et qui envoie deux plis de passage au
lobe
occipital composé de circonvolutions assez peti
de passage sinueux; en arrière, elle est incomplètement séparée du
lobe
paracentral. A l'origine de cette circonvolutio
s parties antérieures et : z basales des frontales; 6) dans tout le
lobe
pariétal; c) dans la parié-' tale ascendante; d
circonvolutions temporales; e)'dans ? l'insula. Les altérations du
lobe
occipital tiennent le milieu' entre z ces deux
cence ; a) des frontales ; b) de la pariétale Hi z ascendante et du
lobe
pariétal; c) de l'iusula; d) de la circonvo- ' ·
alités corticales typi-' ques de Flechsig, autant à peu près que le
lobe
frontal et le lobe pariétal : cette allure cont
ypi-' ques de Flechsig, autant à peu près que le lobe frontal et le
lobe
pariétal : cette allure contraste vivement avec
que par des attaques congestives, trouve une intégrité relative du
lobe
frontal; la dégénérescence corticale se limite
que par leur décours. Celles de ces observations dans lesquelles le
lobe
frontal est affecté se rapprochent cliniquement
rapprochent cliniquement, proportionnellement aux altérations de ce
lobe
, de la paralysie générale démentielle, typique.
UES. 1X. Observation de ramollissement bilatéral et symétrique du
lobe
frontal, accompagné de névrite optique; par ZACHE
foyer occupe exactement et exclusivement la moitié anté- rieure du
lobe
frontal; il a détruit moins l'écorce que la subst
frontal; il a détruit moins l'écorce que la substance blanche de ce
lobe
des deux côtés. Le reste du cerveau, y compris
résente pas de grosse lésion. Les deux moitiés antérieures des deux
lobes
frontaux ont donc été réellement supprimées. Le
et se rendre compte de ce qui appartient à la moitié antérieure des
lobes
frontaux. .1 1 1 Il ne saurait être question de
A. L'auteur décrit un cas de kyste dermoïde, qui siégeait dans le
lobe
temporal et frontal de l'hémisphère droit chez un
ois la substance grise des circon- volutions a été atteinte dans le
lobe
occipital, d'autres fois c'était le corps strié
ie. Toutefois les altérations semblent siéger de préférence dans le
lobe
occipital. Il rapproche de ce fait les observat
rgés de sang noir fluide. La moitié ou les deux tiers inférieurs du
lobe
frontal droit et presque toute la moitié antéri
eurs du lobe frontal droit et presque toute la moitié antérieure du
lobe
temporo-sphénoïdal droit sont occupés par une t
par une tumeur gélatineuse qui s'étend à la surface infé- rieure du
lobe
frontal droit, où les sillons sont oblitérés, et
it, 551 grammes. Lésions de mériiigo-encéphcilite diffuse, mais les
lobes
frontaux sont relativement épargnés, tandis que
mais les lobes frontaux sont relativement épargnés, tandis que les
lobes
tempo- raux présentent le maximum des altératio
étaient altérées à droite. Il existait un ramollissement des deux
lobes
occipitaux siégeant à la partie postérieure du lo
isées ici, ne laissant guère indemne que la partie posté- rieure du
lobe
occipital. Hydropisie ventriculaire, état chagrin
let, des plaques de méningite néoplasique, qui recouvraient tout le
lobe
temporal et le lobule orbitaire à droite. Histolo
taire. Ces diverses lésions sont particulièrement accusées sous le
lobe
frontal. On les observe également dans le lobe
ent accusées sous le lobe frontal. On les observe également dans le
lobe
temporal. Peu accu- sées dans le lobe pariétal,
les observe également dans le lobe temporal. Peu accu- sées dans le
lobe
pariétal, elles le sont moins encore dans le lobe
ccu- sées dans le lobe pariétal, elles le sont moins encore dans le
lobe
occipital. D'une façon générale, les lésions so
. Enfin, on trouve deux foyers d'hépatisation rouge, un dans chaque
lobe
, entourés de tissu non hépatisé, sauf au niveau
qui précède, s'impose le diagnostic de pneumonie centrale des deux
lobes
du poumon gauche. Péricarde. Nous fimes, en l'e
ne étaient ceux d'une dégénérescence infectieuse et cachectique. Le
lobe
gauche portait à sa face supérieure une épingle
que, l'existence de certaines relations entre la région centrale du
lobe
pariétal et les états de mélancolie. 1° Cela es
é- gions de la perception intellectuelle et de la réflexion, et les
lobes
occipitaux n'ont rien à voir avec les processus
ils sont des centres psycho-moteurs et psycho senso- riels ; 4° les
lobes
frontaux seuls donnent des indications relatives
tre petite' chez une personne de grande intelligence pourvu que les
lobes
frontaux soient relati- vemeut les plus saillan
ntrôlent et relèvent les sentiments et les penchants, et parla, les
lobes
aniétieurs sont pour le reste du cerveau des cen-
éristique macroscopiquement et microscopi- quement, qui occupait le
lobe
droit du cervelet et avait refoulé la partie dr
x. LEUCOMAINES. Les de la substance nerveuse, par Labatut, 392.
LOBE
frontal. Ramollissement bila- téral et symétriq
états neurasthéni- ques, par Ducosté, 3S1. XËvnn'E optique; Voir
Lobe
frontal. hypertrophique; Préparation d'un cas
par la compres- sion de l'anévrysme. Il n'en reste que le toit des
lobes
semilunaire et quadran- gulaire. Le vermis est
belleux gauche sont conservées morphologiquement ; on reconnaît les
lobes
quadrau- gulaire et semi-luuaire. Leur substanc
énéré, et qui existe il côté de régions atrophiques du llocon et du
lobe
semi-lunaire su- périeur. Le toit du lobe quadr
rophiques du llocon et du lobe semi-lunaire su- périeur. Le toit du
lobe
quadrangulaire est assez bien conservé. Le corp
avités ne sont recouvertes que par le mince reste de l'é- corce des
lobes
quadrannulaires. Par suite de la destruction co
ne médiane. Le resle de l'hémisphère céré- belleux gauche conservé (
lobes
quadrilatère et semi-lunaire inférieur), était
entier, de sorte qu'il n'en restait que les parties latérales et le
lobe
quadrangulaire. Tous les pédoncules cérébelleux
existe une autre tuméfaction tantôt unique, tantôt divisée en deux
lobes
par un sillon médian. Dans ce der- nier cas, le
rquoi n'a-t-on pas trouvé, il droite du moins, un ramollissement du
lobe
occipital, puisque la cérébrale postérieure, de c
es faits bien que se rapportant à des expériences pratiquées sur le
lobe
antérieur du cerveau se rapprochent beaucoup des
à grains plus serrés pour ainsi dire, plus fines ; on en voit .quatre
lobes
principaux, symétriques, séparés par deux sillo
atteint son maximum sur les hémisphères, et principalement dans les
lobes
et lobules de la face inférieure du cervelet. L
es du vermis supérieur, c'est-à-dire les lames les plus internes du
lobe
semi-lunaire supérieur sont relativement moins
n histologique de l'écorce sur des fragments prélevés au niveau des
lobes
semi-lunaires et colorés par le carmin en masse.
couche moléculaire. En présence de telles lésions, la réduction des
lobes
et lobules, lames et lamelles n'a rien de surpr
se détachent du corps restiforme pour pénétrer dans les lobules du
lobe
semilunaire supérieur les plus rapprochés de la l
n rapport avec le vermis,quelques-unes avec les parties adjacentes du
lobe
semi- lunaire supérieur (cette région hémisphér
sphérique contient en effet plus de fibres à myéline que les autres
lobes
). Elles occupent, à leur pénétration dans le cerv
le une hémiplégie due à une hémorrhagie de la partie postérieure du
lobe
frontal, DE L'HÉMIPLÉGIE traumatique 375 enco
droite et de diagnostiquer une blessure pénétrante de la portion du
lobe
temporal à la place où la bandelette optique en
assant au-dessus du splénium du corps calleux atteint légèrement le
lobe
occipital dans la deuxième circonvolution tempo
oduit dans la figure III (Pl. LI). La tige pénètre par la pointe du
lobe
temporal à la face inférieure du cerveau, tra-
ater, disons- nous, que la broche a atteint la partie antérieure du
lobe
temporal, la substance grise des noyaux centrau
al. Lors de l'opération on trouva que l'abcès intéressait plutôt le
lobe
occipital et le lobule du pli courbé (l'altérat
e. Examen microscopique. Procédé DE GOLGI. 1. Ecorce cérébrale du
lobe
frontal. -'Sur beaucoup de préparations du lobe
. Ecorce cérébrale du lobe frontal. -'Sur beaucoup de préparations du
lobe
frontal gauche on reçut une quantité assez cons
e de cellules névrogliques imprégnées. Sur d'autres préparations du
lobe
frontal il y a très peu de cellu- les névrogliq
nt les dendrites dans la région occipitale comparativement avec les
lobes
frontaux est bien plus grande. Assez souvent on
rites ont été soumises à une déformation bien plus marquée dans les
lobes
frontaux et dans la région motrice gauche, que
s les lobes frontaux et dans la région motrice gauche, que dans les
lobes
occipitaux. Dans le lobe fron- tal le nombre d'
dans la région motrice gauche, que dans les lobes occipitaux. Dans le
lobe
fron- tal le nombre d'appendices collatéraux, r
le. Sur quelques-unes des coupes, comme, par exemple, sur celles du
lobe
frontal et surtout de la région motrice, on voyai
lysie générale 481 PROCÉDÉ DE Briscii. [. Hémisphère gauche. A)
Lobe
frontal. - On prit pour les recherches cinq morce
ules luisantes, quelquefois avec des globules noirs en dedans. B)
Lobe
occipital. Nous avons pris deux morceaux. Par pla
peu de celui que nous avons observé dans la subs- tance blanche du
lobe
frontal gauche, mais par places on voit des foyer
les cellules nerveuses con- tiennent moius de pigment que celles du
lobe
frontal. Les autres modifications sont les même
frontal. Les autres modifications sont les mêmes que celles dans le
lobe
frontal. C) Région motrice. - a) Partie supérie
par places de petits ramollissements. II. Hémisphère droit. A)
Lobe
frontal. - Pour l'examen furent pris six morceaux
oup de ressemblance avec la tableau observé sur les préparations du
lobe
frontal gauche; en outre, on pouvait voir un gran
bre de globules noirs se trouvant en liaison avec les vaisseaux. B)
Lobe
occipital. - Le tableau microscopique a beaucoup
p de ressem- blance avec le tableau observé sur les préparations du
lobe
occipital gauche, mais seulement il y a ici bie
s nerveuses contiennent une quantité assez marquée de pigment. D)
Lobe
temporal. Ce qui saute aux yeux c'est que les cel
qu'elle a une grande ressemblance avec celui qu'on a observé dans les
lobes
frontaux. ANATOMIE PATHOLOGIQUE ET üIS-TOPATI
llules nerveuses, surtout dans la partie périphérique de l'écorce des
lobes
frontaux etc.) faisons attention sur l'examen d
pitale.- On observe appro- ximativement le même tableau que dans le
lobe
frontal, seulement avec cette différence, qu'il
nt exagéré des vaisseaux, le périssement des cellules nerveuses des
lobes
frontaux bien plus grand ; là, on rencontrait d
aires. Les modifications très profondes dans l'écorce cérébrale des
lobes
fron- taux ont une autre pathogénèse, probablem
de Burney Yeo l'hypertrophie thy- roïdienne portait surtout sur le
lobe
droit, tandis que l'exophthalmie prédominait à
s l'urine. s Le corps thyroïde paraît normal ; on sent nettement le
lobe
gauche. Bien qu'à cette époque le diagnostic le
ragments furent pris à la surface du goitre, les deux autres sur le
lobe
sain laissé en place. A la suite de cette opéra
agénésie cérébelleuse ; agénésie partielle du ' corps calleux et du
lobe
limbique ; anomalies des circonvolutions cérébr
longueur ; le gauche pèse 450 gr. et me- sure 152 mm. A droite, le
lobe
temporal présente une réduction notable ; le pô
face inférieure du cerveau due 1 l'asv- métrie du métencéphale, Le
lobe
temporal droit est fortement déprimé et forme u
une sorte de calotte coiffant 1'liéniispliii-,3 céré- bulleux ; le
lobe
temporal gauche est au contraire régulièrement
beaucoup plus déve- loppé à gauche qu'à droite. inféro-interne du
lobe
occipital est remplacé par un plan oblique et l
ital est remplacé par un plan oblique et la partie inférieure de ce
lobe
est plus élevée qu'à gauche : l'hémisphère droi
F2 est dédoublée sur presque toute sa longueur. La conformation des
lobes
pariétal et occipital est également d'une inter
aux deGromier sur le trajet du sillon inlerpariétal (1t G ? ). Le
lobe
temporal (légèrement endommagé pendant le durci
ent direc- tement en dedans avec les portions correspondantes des
lobes
frontal el pariélal : l'insula n'est'donc pas dif
bes frontal el pariélal : l'insula n'est'donc pas diffé- renciée en
lobe
distinct, mais la partie antérieure de la face
de la première limbique correspondant au lobule paracentral et au
lobe
carré les noms de pentagone antérieur et penta-
ANATOMIE PATHOLOGIQUE. gone sous-ovalaire et celui de pentagone du
lobe
carré. On a vu, au cours de la description de l
qui vient s'unir a, '1' au niveau du pôle temporal. A ce niveau, le
lobe
temporal est fortement aplati de haut en bas. L
au contraire v 1' 2 par un large pli situé vers le tiers moyen du
lobe
. La circonvolution de l'hippocampe esta peu prè
sa plus forte part dans l'hémisphère gauche et sous le rudiment du
lobe
supérieur droit. » Le vermis inférieur était re
r droit. » Le vermis inférieur était représenté probablement par un
lobe
anormal de la base de l'hémisphère gaucho, en a
issait extraordinairement réduite dans ses dimen- , sions. « Le
lobe
postérieur du cerveau était très manifestement pl
ndent qu'en partie de l'agénésie par- tielle du corps calleux et du
lobe
limbique. Les pre- mières scissure ? (calcarine
e stade pour se continuer jusqu'au moment de la différenciation des
lobes
frontaux et des régions rolandiques.Mais dans l
UES IX. Observation histologique de glio-endothéliome kystique du
lobe
occipital droit ; par Ettore RA.VENNA. (ln Rivi
corticale des lésions histologiques se rencontre sur- tout dans le
lobe
frontal de la zone motrice. La nature des lésions
dimension et entièrement ramollie. 2° A l'extrémité postérieure du
lobe
occipital, à un centimètre en dehors du sillon
iers antérieurs du corps cal- leux, se prolongeant en avant dans le
lobe
frontal, et latéra- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉ
rine et dans le subiculum de la corne d'Ammon. Dans la convexité du
lobe
frontal, le réseau inlercellulaire était « nota
droite. Pyra- initie de LaloucLLe aLLcignamL presque le sommet des
lobes
. 452 CLINIQUE MENTALE. Abdomen. Pas de liqu
met pas de retrouver l'épithélium de revêtement. Glande thyroïde (
lobe
moyen). - Sur la coupe histolo- gique, l'archit
eux petits kystes, il y avait une atrophie notable avec sclérose du
lobe
glandulaire. Les auteurs font remarquer que dan
des circonvolutions, avec des extravasations sanguines au niveau du
lobe
frontal; le long des syriennes quelques granulati
du volume d'une très grosse noix dans les deux tiers supérieurs du
lobe
in- férieur du poumon gauche, a passé cliniquem
oebius ; l'intel- ligence est appréciée par Forci par le rapport du
lobe
lrontal avec le reste du grand cerveau : 42/100
ir Sommeil. GLlO'ENDOTHÉLlOME kystique. Observation de - - - du
lobe
occipital droit, par Raven- na, p. 139. Globu
GËNÊsiE cérébelleuse, agé- nésie partielle du corps calleux et du
lobe
hmbique, anomalies des circonvolutions cérébral
r Guido-Garbini, p. 147. Lésions cérébrales. oit Psy- choses.
Lobe
OCCIPIT.\L. Voir Glio-endo- Localisations motri
es à démontrer que la perte de la parole correspond à la lésion des
lobes
ant. du cerv. (Acad. des se, 1825. Arch. gén. de
nerveux. Phtisie diabétique. Autopsie : destruction des cellules du
lobe
central. G. D. IX. Ataxie LOCOMOTRICE : ARTHROP
ut la protubérance et le bulbe. Cas. V. Destruction d'une partie du
lobe
temporo-sphénoïda) et de la substance médullair
ales gauches qu'un lambeau tout petit qui appar- tient à la base du
lobe
occipital. Les ganglions profonds ont subi une
ophies, congénitales ou datant de la première enfance, sur certains
lobes
du cerveau et du cervelet ont entraîné un arrêt
r un pli de passage à niveau allant du lobule pariétal supérieur au
lobe
occipital. La scissure interpariétale, qui forme
un rameau transversal qui va se jeter dans le sillon de Rolando. Le
lobe
orbitaire est formé de circonvolutions grêles, at
ncéphalite surtout prononcée vers l'in- cisure en Il. Face convexe.
Lobe
, frontal. En avant de la fron- tale ascendante,
ite, surtout à son tiers supérieur, mais à un degré moins prononcé.
Lobe
pariétal. Le lobule pariétal supérieur peu volumi
eau relie le pli courbe à la première circonvolution occipitale. Le
lobe
occipital est plutôt petit; la méningo-encéphal
tal est plutôt petit; la méningo-encéphalite y est peu accentuée.
Lobe
temporal. Les première et deuxième temporales pré
ème à la troisième temporale qui est très découpée. Face interne.
Lobe
temporo-occipital. La méningo-encéphalite attei
-encéphalite atteint principalement toute l'extrémité antérieure du
lobe
tem- poral et s'étend jusqu'au delà de la parti
antérieure sont en retrait, vermiformes et atrophiés. Face convexe.
Lobe
frontal. Il existe une scissure parallèle front
s dans leur moitié supérieure, la pre- mière plus que la seconde.
Lobe
pariétal. Le pli pariétal supérieur est tout à fa
oloration de la substance cérébrale paraît à peu près normale. Le
lobe
occipital, sans être manifestement atrophié, offr
coloration légèrement ocreuse, surtout dans sa partie supérieure.
Lobe
temporal. Les trois circonvolutions temporales so
ne présentent pas d'anomalies dignes d'être notées. Face interne.
Lobe
temporo-occipitnl. La première circonvo- littio
ique sur les coupes laissées vingt-quatre heures dans ce réactif.
Lobe
occipital droit en dehors delà lésion. Vaisseaux
'alcool sur la pièce. Cerveau. Hémisphère gauche. Il existe dans le
lobe
frontal une vascularisation très développée ave
aminés. Nombreux corps granuleux dans la substance blanche. Dans le
lobe
occipital, on retrouve, à côté de points normau
e la sensibilité 2 D, permettent de dire qu'assigner à l'écorce des
lobes
occipitaux exclusivement, le rôle de zone sensi
bres rayonnantes du faisceau de Meynert se rendent à l'écorce des
lobes
occipitaux. Les fibres centripètes que nous avo
sitives de la capsule interne et une partie atteignant l'écorce aux
lobes
occipitaux, après avoir traversé directement la
faisceau est, avons-nous dit, assez mal délimitée sur l'écorce des
lobes
occipitaux. Comme pour la description du traj
e, frontales. 4 ; cire, orbitaires. 5 ; cire, de la face interne du
lobe
frontal. 6; faisceaux préfrontaux du centre ova
te. Les poumons étaient oedématiés, emphysémateux à leur bord; le
lobe
inférieur droit présentait une hépatisation rouge
er les mouvements paraît devoir être exclusivement réservée à son
lobe
moyen. Or, nous avons vu que, chez Duch... (Obs
son lobe moyen. Or, nous avons vu que, chez Duch... (Obs. LIV), le
lobe
moyen du cervelet était en partie atrophié. P
e supérieur du même côté. Autopsie. Foyer de ramollissement dans le
lobe
occipital gauche. Foyers de ramollissement micr
optique, mais que les symptômes psychiques tenaient à un sarcome du
lobe
frontal. M. A. Scnntrrz. Communications sur que
la partie antérieure et postérieure de la pre- mière temporale, le
lobe
paracenirai, la pointe du lobe occipital, de l'
ieure de la pre- mière temporale, le lobe paracenirai, la pointe du
lobe
occipital, de l'hémisphère gauche le cervelet.
e, frontales. 4 ; cire, orbitaires. 5 ; cire. de la face interne du
lobe
frontal. 6; faisceaux préfrontaux du centre ova
antérieurs. L'origine corticale devrait en être cherchée dans le
lobe
occipital ou temporal. Quant à la zone diffuse, e
postérieure qu'elle forme exclusivement, la couche optique et le
lobe
frontal (terminaison probable). P. Keraval II.
un cerveau présentant les mêmes altérations par- tout. Atrophie du
lobe
frontal, des ascendantes, des lobes para- centr
térations par- tout. Atrophie du lobe frontal, des ascendantes, des
lobes
para- centraux, des gyri recti, des circonvolut
traiter la ques- tion écrite suivante : Anatomie et physiologie du
lobe
pnriéto-frott- tal. Le concours s'est terminé p
des observateurs dans le pli courbe et dans la partie adjacente du
lobe
pariétal de l'hémisphère gauche; mais les résul
calisa les centres visuels dans les plis courbes, à l'exclusion des
lobes
occipitaux. Dans ses premières expériences, il
expériences, Ferrier tira les conclusions sui- vantes : quoique les
lobes
occipitaux soient compris dans les centres visu
u permanente de la vision. S'il y a destruction du pli courbe et du
lobe
occi- pital dans un hémisphère, une amblyopie p
uée par Munk, a été, par er- reur, attribuée par lui à la lésion du
lobe
occipital seul, ce qui est dû à l'imperfection
e. Ces observateurs continuèrent alors leurs expé- riences sur le
lobe
occipital qu'ils enlevèrent entière- ment, au m
utour dans cette direction. Chez un autre singe, on enleva les deux
lobes
occi- pitaux, laissant les plis courbes intacts
les résultats opposés obtenus par Ferrier, qui enlevait les deux
lobes
occipitaux, sans déterminer de symp- tôme de lé
service, chez lequel, après la mort, il trouva une lésion des deux
lobes
occipitaux 2. Dans le même ar- ticle, parmi div
LOGIE NERVEUSE. topsie on trouvait des lésions profondes des deux
lobes
occipitaux, où un certain nombre de grains de p
avan- cée dans la circonvolution de la corne d'Ammon que dans les
lobes
antérieurs; elle est également plus avancée dans
dans les lobes antérieurs; elle est également plus avancée dans le
lobe
frontal et dans la zone psycho-motrice que dans
cée dans le lobe frontal et dans la zone psycho-motrice que dans le
lobe
occipital. On trouve dans l'écorce et surtout d
quoique les lésions artérielles soient aussi avancées que dans les
lobes
frontaux : peut-être ces cellules ont-elles moi
es moins besoin de matériaux de reconstitution que les cellules des
lobes
frontaux ? Les tubercules quadriju- meaux et la
admet que quelques fibres de la commissure» e blanche viennent des
lobes
olfactifs, mais la provenance délai plupart des
eux foyers de ramollissement, symétriquement disposés dans les deux
lobes
occipitaux; à gauche, tout le lobule lingual ét
uctibilité et de battements était due à une légère saillie d'un des
lobes
frontaux hors de l'orifice osseux qui était ain
circonscrite de la fosse moyenne du crâne), avec lésion, diffuse du
lobe
frontal ou de ses enveloppes, par suite d'exsudat
- clure à l'ali;nation mentale. M. AUER13.CII (de Francfort). Des
lobes
optiques chez les poissons osseux. L'auteur a é
tard que les autres systèmes qui prennent part lacoustruc- tion des
lobes
optiques s'entourent de myéline. Les nerfs opti-
enula'. Mentionnons finalement les fibres se dirigeant au-dessus du
lobe
inférieur. Voyez Archives de Scurologic, Liovuc
e des images commémoratives optiques due à la lésion de l'écorce du
lobe
occipital, il faut aussi faire la part des ramoll
part des ramollisse- ments étendus de la substance blanche des deux
lobes
occipitaux, l'écorce étant demeurée tout à fait
cliniques pour prouver que le centre moteur du bras siège dans le
lobe
frontal, etc. On peut ainsi tout prouver. J'estim
une cloche. La tumeur est du volume d'une petite orange et siège au
lobe
droit. La régression est lente, mais progressiv
nsécutives à l'ablation de la glande thyroïde. L'ablation d'un seul
lobe
chez le chien est bien supportée, tandis que l'
orax, 436. Ophlhalmoplégie bilatérale, par Ziem, 294. Optiques (
lobes
chez les poissons osseux), par Auerbach, 304.
sillon de Rolando ci droite; déformation de la partie inférieure du
lobe
frontal du même côté. La nommée L. Il.... âgée
cissure verticale qui rejoint le cou de la scissure parallèle. Le
lobe
occipital, elle lobe temporo-splrénoïdal n'offren
rejoint le cou de la scissure parallèle. Le lobe occipital, elle
lobe
temporo-splrénoïdal n'offrent pas de déviations
ure qui donne un aspect si extraordinaire à la partie inférieure du
lobe
frontal pourrait être considérée comme le résul
ifs s'établissent. On pourrait quant à la prééminence apparente des
lobes
occipito-sphénoïdaux rapprocher les enfants de
dent donc pas exclusivement du dévelop- pement plus considérable du
lobe
temporo-spbénoïdal chez l'enfant. 6° Des rapp
borée par Schifï' (section de l'olfactif), Vulpian (destruction des
lobes
olfactifs), Prévost (destruction successive des
st (destruction successive des ganglions sphéno-palatins : et des
lobes
olfactifs). L'excitation chimique, mécanique, the
temps après. L'autopsie démontra la des- truction par une tumeur du
lobe
frontal gauche (cancer) de l'olfactif du même c
ter. La substance blanche du territoire de la capsule interne et du
lobe
pariétal est oedématiée. Intégrité microscopiqu
ente de la rate, de la bronchite et de la pneumonie hypostatique du
lobe
inférieur droit. On trouve au microscope des lé
cupe les par- ties corticales ; 3° que le diagnostic des tumeurs du
lobe
frontal ne peut se faire que par exclusion, tan
be frontal ne peut se faire que par exclusion, tandis que celles du
lobe
occipito- pariétal peuvent être soupçonnées par
nt pas les masses centrales qui paraissent tout à fait normales. Le
lobe
occipital est sain. Les nerfs cutanés correspon
s n'est pas en rapport nécessaire avec les lésions destructives des
lobes
occipitaux, puisque ces lobes étaient intacts c
ire avec les lésions destructives des lobes occipitaux, puisque ces
lobes
étaient intacts chez notre malade. Observatio
ière circonvolution sphénoïdale et du lobule pariétal inférieur. Le
lobe
occipital est sain. Ces foyers de ramollissemen
rs. Ou peut encore noter dans cette observation l'inté- grité des
lobes
occipitaux malgré le développement d'une eschar
ire; au sommet existe un noyau d'hépatisation grise, tandis que les
lobes
moyen et inférieur sont encore en hépatisation
détache des lambeaux de fausse mem- brane très fine, au niveau des
lobes
frontaux et de la région pariétale, sur les deu
tale, sur les deux hémisphères. On trouve quelques caillots sur les
lobes
occipitaux et dans les fosses sp lié ii oïdal es;
sieurs points des circonvo- lutions frontalesetpariétaleset sur les
lobes
sphénoïdaux. Alabase, l'arachnoïde est notablem
tubercules nombreux et à différents degrés d'évolution dans tout le
lobe
supérieur. Pas de caverne à droite; tubercules
orale. Son extrémité antérieure est à 3 centimètres de la pointe du
lobe
sphénoïdal et la postérieure à 1 centimètre de
ération dépasse un peu en arrière le sillon de séparation d'avec le
lobe
carré et, sur la convexité, les deux, circonvol
ointe; elle recouvre'donc'le lobule paracentral. A\la sur- face ,du
lobe
carré, existe également-une pstite'plaque 'do nîé
achyméningite hémor- rbagique, atrophie- corticale surtout dans les
lobes
frontaux, tel est le bilan macroscopique. L'étu
ieur se"jétteldans,ly,silloliidel Rolande' extrêmement sinueux. ^Le
lobe
? . occipital,, gauche possède, i dqs il replis,,
trochléaire du frontal interne. , i \léningo : érlericéphâlité dés
lobes
frontaux du cerveau. Myélite éhrônique"dû faisçëâ
vie, on trouva un kyste à échinocoques, stérile d'ailleurs, dans le
lobe
antérieur. Il avait également pris naissance da
onvolutions et plutôt dans la partie antérieure du cerveau, dans le
lobe
frontal. Enfin trois fois nous avons vu cette mêm
misphère gauche. On trouve sur celui-ci, à la partie postérieure du
lobe
frontal, une masse d'aspect glio- mateux, rosée
l'étendue d'une pièce de 5~francs, légèrement saillante, divisée en
lobes
par des sillons. Cette tumeur a refoulé en arri
E. T. XV PI. XXV TUMEUR CÉRÉBRALE Obs. I. Tumeur gliomateuse du
lobe
frontal gauche. A. Tumeur en placc. - 13 Coupe
l'autopsie, énorma sarcome dit volume d'une orange com- primant le
lobe
frontal gauche. , CI... Jean, 14 ans, apprenti
lpêtrière. T. XV, Pl. XXVI TUMEUR CÉRÉBRALE Obs. II. Sarcome du
lobe
frontal gauche. (En haut, la tumeur est en plac
t réduit à une lame mince d'un demi-centimètre et qu'au-dessous, le
lobe
de l'insula est très aplati et méconnaissable (
secondairement d'aphasie sensorielle du fait de l'extension vers le
lobe
pariétal et les circonvolutions temporales supé
es. A la région antérieure, entre l'encéphalocèle et l'extrémité du
lobe
frontal droit existe sur le 1/3 antérieur un si
lèvre postérieure de cette scissure est le reste de l'hémi. sphère (
lobe
temporo-occipital)qui présente une longueur de 4
elle se termine en extrémité de doigt. Cette languette prolonge le
lobe
droit du cervelet avec lequel elle se continue sa
pourrait les homologuer que d'une façon artificielle et hasardée, les
lobes
latéraux n'étant pas symétriques, surtout à la
postérieure de 22 millimètres du plan tangent au bord postérieur du
lobe
droit. Régulièrement incurvée (concave à gauche
ale, se relevant même vers la gauche sur un plan plus antérieur. Le
lobe
pariétal est de forme triangulaire. Le sillon int
a gauche de la partie postérieure de l'hémisphère droit. Les deux
lobes
temporal et occipital ne forment qu'un ensemble p
de l'insu la ; mais alors, il y aurait une atrophie considérable du
lobe
temporo-occipital,l'épaisseur de l'hémisphère gau
scissure de Rolando, sur un cerveau normal. Et alors, on aurait un
lobe
temporo-occipital, non plus s'étendant dans un
rête à l'isthme du cuneus, mais il empiète légèrement sur le cap du
lobe
carré à la : base du pli de passage temporo-lim
blanche (altération décrite par Baillarger, Rey, Tuczek). Dans le
lobe
temporal droit, lésions à peu près symétriques, m
sie, en dehors des lésions de broncho-pneumonie localisées aux deux
lobes
inférieurs, il n'y avait rien d'important en deho
té gauche et conservation apparente de la conscience. - Atrophie du
lobe
gauche du cervelet. Le nommé Roc..., âgé de 21
psie « on est immédiatement frappé par une atrophie considérable du
lobe
gauche du cervelet qui est diminué de volume dans
'atrophie porte égale- ment sur les pédoncules cérébelleux issus du
lobe
gauche. A la palpation le lobe atrophié est bea
les pédoncules cérébelleux issus du lobe gauche. A la palpation le
lobe
atrophié est beaucoup plus dur et plus résistant
ogique du cervelet (méthode de Nissl) : .... à la partie moyenne du
lobe
atrophié, altération intense. Dès l'examen à l'oe
urkinje ont complètement disparu... « Dans la partie postérieure du
lobe
atrophié, la lésion est très intéressante parce
r les coupes du vermis inférieur. « Sur les coupes de l'amygdale du
lobe
atrophié, nous avons trouvé plu- sieurs dentelu
nt les mêmes altérations atrophiques que la partie pos- térieure du
lobe
atrophié... (1) » Nous avons reproduit ici tout
Autopsie, 34 heures après la mort. Lésions de broncho-pneumonie du
lobe
supérieur du poumon droit. On trouve même de peti
i de la broncho-pneumonie dans les parties déclives des deux autres
lobes
. Congestion de la base gauche. Rien au coeur. F
t normal. Au contraire, il y a une lésion évidente du cervelet : le
lobe
droit est réduit de moitié environ. Il est rétr
icile de le retirer en entier. Ceci fut surtout marqué au sommet du
lobe
temporo-sphénoïdal gauche, qui GIGANTISME ET IN
sauf un épaississement particulier avec compression en arrière des
lobes
temporo-sphénoïdaux obligeant le tiers antérieur
ongueur sur 5 centimètres de largeur. Elle empiète sur le sommet du
lobe
temporal et la partie antérieure du pont de Varol
ment décoloration. Les nerfs olfactifs et la partie postérieure des
lobes
frontaux sont comprimés par la portion antérieu
, hémisphères cé-rébelleux. D D', éminence vermiforme inférieure. KK,
lobe
digastrique. BB, lobule attenant au nerf auditif,
st destinée à montrer plusieurs parties de la base de l'encéphale. Le
lobe
temporal a été excisé ainsi que la partie externe
lobe temporal a été excisé ainsi que la partie externe inférieure du
lobe
occipital. Le cervelet aussi a été excisé. f, e
re de l'hémisphère elle se porte ensuite à l'extré-mité antérieure du
lobe
temporal formant la limite externe de la zone cé-
ison de la seconde circonvolution de deuxième ordre dans le sommet du
lobe
temporal. Les trois fragments de cette circonvo
indique la terminaison de cette même circonvolution dans le sommet du
lobe
temporal. C C C C. branches circonvolutionnaire
inences mamillaires. N, région fasciculée du, pédoncule. E, sommet du
lobe
temporal. B, tubérosité temporale de la circonvol
de la circonvolu-tion de l'ourlet. D', terminaison dans le sommet du
lobe
temporal de la grande circonvolution de deuxième
rébrale il en est un fort intéressant, se rattachant à la lésion du
lobe
occipital, c'est l'hé- miopie homonyme dont nou
nous occuper dans un instant. Cette hémiopie est droite si c'est le
lobe
occipital gauche qui est lésé ; elle est gauche
le lobe occipital gauche qui est lésé ; elle est gauche si c'est le
lobe
occipital droit, de sorte qu'au premier abord il
t inversement quand l'hémiopie estgauche. Dans ces cas la lésion du
lobe
occipital détermine donc dans chacune des deux
tique, soit dans les centres mêmes de la vision, c'est-à-dire dans le
lobe
occipital. Nous savons également que les trou
hez notre malade, se rattachent à des lésions siégeant soit dans le
lobe
temporal, soit au niveau du pli courbe (du côté g
droit chez les gauchers), c'est-à-dire tout à fait sur la limite du
lobe
occipital. Cela étant établi, et en nous report
e la troisième et la seconde, toute la partie postéro-inférieure du
lobe
temporal, tout le lobe occipital, ainsi que l'e
conde, toute la partie postéro-inférieure du lobe temporal, tout le
lobe
occipital, ainsi que l'ergot de Morand. En ou
res, et la nécrobiose qui s'ensuivra portera uniquement sur tout le
lobe
occipital et une grande partie du lobe temporal,
rtera uniquement sur tout le lobe occipital et une grande partie du
lobe
temporal, L'hémiopie en sera la conséquence et
ment (par la destruction des fibres d'association qui réunissent le
lobe
occipital et les centres sensoriels du langage)
a lésion, et à cause de ce voisinage et de leurs connexions avec le
lobe
occipital, subiront certains troubles qui, quoi
l'on observe habi- tuellement dans les cas d'hémiopie par lésion du
lobe
occipital, le champ visuel était très nettement
a cérébrale postérieure donnant lieu à un ramollissement de tout le
lobe
occipital, de toute la partie postéro-inférieure
de tout le lobe occipital, de toute la partie postéro-inférieure du
lobe
tempo- ral, les cinquième, quatrième, et peut-ê
branches terminales, il n'y aura en con- séquence aucune lésion des
lobes
occipital et temporal ; mais par contre les col
le cérébral, tandis qu'il se produira un ramol- lissement étendu du
lobe
occipital et d'une grande partie du lobe tempo-
ramol- lissement étendu du lobe occipital et d'une grande partie du
lobe
tempo- ral donnant lieu à l'hémiopie persistant
de Ley- den. 1C A. JOFFROY . cérébral, de la couche optique, du
lobe
occipital et de la plus grande par- tie du lobe
couche optique, du lobe occipital et de la plus grande par- tie du
lobe
temporal. On aurait alors le syndrome de Weber
pré- sentaient quelques anomalies morphologiques, surtout dans les
lobes
(1) J'adresse mes plus vifs remercîments à M. l
il dit que « l'on peut du moins admettre comme vraisemblable que le
lobe
pariétal est surtout en connexion avec les fais
nd centre d'association postérieur, comprenant une grande partie du
lobe
occipital, du lobe pariétal el du lobe temporal ;
tion postérieur, comprenant une grande partie du lobe occipital, du
lobe
pariétal el du lobe temporal ; il serait spécia
prenant une grande partie du lobe occipital, du lobe pariétal el du
lobe
temporal ; il serait spécialement le siège de l
e centre d'association antérieur comprenant la partie antérieure du
lobe
frontal intéresserait surtout la personnalité de
ce suivants : l'ossification prématurée de la suture sagittale; les
lobes
inférieurs des oreilles manquent, les oreilles so
us a une forme très singulière, il est formé de plusieurs canaux et
lobes
situés l'un près de l'autre. Comment peut-on ex
est ainsi que Bruns (1) a publié quatre observations de tumeurs des
lobes
frontaux, qui se sont accompagnées de troubles
une membrane très fine; on peut distinguer dans cette dernière deux
lobes
, temporal et frontal ; dans le lobe frontal, on d
nguer dans cette dernière deux lobes, temporal et frontal ; dans le
lobe
frontal, on distingue des bulbes olfactifs au t
les ventricules latéraux. Cependant on peut encore y distinguer les
lobes
tem- poraux et frontaux et en particulier dans
existent normalement dans la région de l'écorce située au niveau du
lobe
paracentral. La démonstration est donc aujourd'
ransverse, seraient, chez les rep - tiles, représentés par les deux
lobes
optiques. » L'auteur passe en revue, sous dix p
isibles évidentes chez les reptiles et les oiseaux sous la forme de
lobes
optiques, et chez les mammifères, sous celle de
'artère céré- brale postérieure droite; foyers de ramollissement du
lobe
temporal droit, du lobe occipital, de l'hémisph
érieure droite; foyers de ramollissement du lobe temporal droit, du
lobe
occipital, de l'hémisphère cérébelleux droit. G
pendant la vie, au foyer occipital, la surdité complète à celui du
lobe
temporal droit (couche blanche); l'intégrité de
le lobule paracentral ; on en trouve quelques-unes isolées dans le
lobe
frontal, et dans le lobe occipital avec de peti
en trouve quelques-unes isolées dans le lobe frontal, et dans le
lobe
occipital avec de petites et de moyennes. Forme u
xquels elles conduisent sont les suivants : dans lès deux sexes, le
lobe
frontal gauche est le plus .lourd, qdel que' soit
r lés régions pài·iëio-téiïi- p6ra)eS) la différence entre lés deux
lobes
est, au contraire, plus marquée pdur les cervea
nce de âge se manifeste de là manière suivante : La prédominance du
lobe
frontal gauche est plus marquée chez les adulte
les adultes que chez les vieillards. Chez les adultes le poids des
lobes
frontaux est proportionnellement plus fort pour
lop- pement maximum des différentes régions est atteint. Pour les
lobes
intérieurs, à trente-cinq ans, pour les régions o
age d'un peigne et fait un contraste considé- rable sur le reste du
lobe
temporal bien développé. L'insula est couverte.
1883 On trouyo, à l'autopsie, un foyer de ramollis- sement dans le
lobe
occipital droit qui évidemment a causé l'hémianop
psie gauche- doit'être imputée à un foyer de ramollissement dans le
lobe
occipital droit. Les os du crâne extraordinaire
'en découle pas nécessairement que ces altérations .émanas- sent du
lobe
occipital puisqu'un des cas témoignait d'une atro
ie du, globe, oculaire gauche, la relation entre cet accident et le
lobe
occipital n'est pas démontrée. ' '' " " l' Conc
plusieurs années, 1° 11 n'est pas, démontré que la destruction d'un
lobe
occipital détermine sur les cellules nerveuses
rale émise par M. Munk, que la lésion de la couche superficielle du
lobe
occipi- tal, tout en produisant des troubles vi
u'à l'autopsie du malade, on trouva la leptoméningite au-dessus des
lobes
paracentraux. Peut-être Jubineau avait-il à fai
le 30 avril. A l'autopsie, on trouve un ramollissement notable des
lobes
antérieurs du cerveau et des tubercules gris en
quatrième cas, les tubercules méningés visibles étaient limités aux
lobes
pariétal, occipital et temporo-sphénoïdal du cô
térations occupant le segment de la base du crâne qui comprend le
lobe
temporal. Deux cas témoignent d'une perforation r
méninges molles s'est imprimée dans les fossettes, de sorte que les
lobes
temporaux sont trans- formés en proéminences to
ale porte sur les /tores nerveuses à myéline intra- co¡'ticales2 du
lobe
frontal (hase et convexité) et de l'insula; on co
X. (Thèse de Paris, 1885.) De l'hémitttrophie de la langue dans les
lobes
dorsulotuxiqaes ; par 1t;1\.mu. (Thèse de Paris
sa partie supérieure deux incisures assez profondes qui limitent un
lobe
très distinct, ce qui est dû à un défaut de dével
Viola, Pisenti) et sur l'embryogénie (Valenti, Kupfer, Pisenti) du
lobe
antérieur de l'hypophyse, à l'envisager comme une
ne région limitée contenant des follicules dilatés, au voisinage du
lobe
nerveux. Toujours au voisinage de ce dernier, o
portion glandulaire de l'hypophyse, tandis que sous l'influence du
lobe
dit nerveux on observe d'abord une élimination
m trouva qu'il s'élimine d'une façon exagérée tant sous l'action du
lobe
glandulaire que sous celle du lobe nerveux. L'e
n exagérée tant sous l'action du lobe glandulaire que sous celle du
lobe
nerveux. L'extrait glandulaire aurait, d'après Ma
Malcolm, la même action sur le magnésium, tandis que l'influence du
lobe
nerveux serait faible ou nulle. Récemment Moc
ce cas était normal, part quelques anomalies des circonvolutions du
lobe
frontal. Il existait de plus un épithélioma du
t une tumeur ayant détruit presque totalement les voies optiques du
lobe
occi- pital gauche, sans produire d'hémianopsie
d'une observation analogue, plus compliquée cependant, car les deux
lobes
occipitaux furent envahis par des néoplasmes. O
une fois la dure-mère enlevée, on put ainsi prévoir que surtout les
lobes
occipitaux seraient le siège de néoplasmes, la
ues, j'en ai compté 15, 9 à droite, 6 à gauche. C'est bien dans les
lobes
occipitaux qu'ils sont ou le plus grands, ou le
e celle du cerveau. Conformément à ces constatations, les bases des
lobes
frontaux sont proéminenles. Les parties postéri
des lobes frontaux sont proéminenles. Les parties postérieures des
lobes
frontaux et les antérieu- res des temporaux s'e
uché par l'ouverture du trépan. Coupes sériées. - Très tôt déjà, le
lobe
occipital droit se distingue du gau- che. Les n
Fa, Pa, Thaï, opt., C. i., N. R., la région de l'insula et jusqu'au
lobe
temporal, c. g. e, le pied du pédoncule. Elle n'a
l'espace réservé à son jumeau. 3° Comme conséquence de 1 et 2 : les
lobes
(p. ex. frontaux et occipi- taux) se tassant, p
use, occupant la majeure partie de la face externe, c'est-à-dire le
lobe
temporal et les régions adjacentes des lobes fron
xterne, c'est-à-dire le lobe temporal et les régions adjacentes des
lobes
frontal, pariétal et occipital. En outre, il ex
une petite hémorragie récente au niveau de la substance blanche du
lobe
occipital. Une coupe rasant le bord su- périeur
que se montre un nouveau foyer, situé dans la substance blanche du
lobe
temporal (PI. XXVII, VI). Enfin la figure VII mon
uveaux foyers dans la substance blanche de la partie postérieure du
lobe
pariétal droit. Il existe de nombreuses petites
ne ogivale. Corps thyroïde nettement hypertrophié, surtout dans son
lobe
droit et moyen. La circonférence du cou dans la
dèle. La thyroïde est manifestement atrophiée,réduite à deux petits
lobes
du volume d'une noisette ; aspect crétinoïde de
ules; frigidité totale; ni désirs, ni érections. On ne sent pas les
lobes
latéraux du corps thyroïde; apathie et frigidité;
de la région thyroïdienne ne permet pas de sentir l'itlrsme et les
lobes
latéraux du corps thyroïde. La pal- pation des
gauche atteint d'emphysème généralisé est intiltré d'oedème dans un
lobe
inférieur et parsemé de quelques tubercules créta
es pleurales à la partie posté- rieure et inférieure du thorax ; le
lobe
supérieur est atteint d'hépatisation grise, les
du thorax ; le lobe supérieur est atteint d'hépatisation grise, les
lobes
moyen et inférieur d'hépatisation rouge. - Le c
tication est malaisée. Le corps thyroïde est atrophié, scléreux, le
lobe
droit ne dépasse pas 6 gram- mes, le lobe gauch
st atrophié, scléreux, le lobe droit ne dépasse pas 6 gram- mes, le
lobe
gauche 5 grammes. Les parathyroïdes peuvent êtr
supérieure de la pariétale ascendante et de la partie adjacente du
lobe
pariétal supérieur; lésion de la seconde circon
rconclut à l'existence d'une polioencéphalite aigzcë(Struempell) du
lobe
paracentral gauche, rareté chez un adulte. Les
a com- ARCHIVES, t. XXXI. 10 146 SOCIÉTÉS SAVANTES. pression du
lobe
frontal gauche et des première et deuxième fron-
roubles moteurs sensitifs ou sensoriels. Ceci indique une lésion de
lobes
frontaux, sans la région motrice. La syphilis ant
ncule cérébral proviennent non pas comme on le disait jusqu'ici, du
lobe
occipital, mais bien du lobe temporal. Une autr
n pas comme on le disait jusqu'ici, du lobe occipital, mais bien du
lobe
temporal. Une autre partie ordinairement passée
u, décrit par les auteurs, le faisceau occipito-frontal, reliant le
lobe
temporo-occipital au lobe frontal, à la convexi
le faisceau occipito-frontal, reliant le lobe temporo-occipital au
lobe
frontal, à la convexité de l'hémisphère, et con
mental. A l'autopsie, on trouva une tumeur occupant l'extrémité du
lobe
frontal gauche, dans lequel elle avait détermin
niveau du bord antérieur du cervelet, et s'étendant autour des deux
lobes
. Du côté droit, elle avait comprimé la face pos
vait comprimé la face postérieure de la protubé- rance, repoussé le
lobe
latéral du cervelet, ainsi que la moelle allong
téral du cervelet, ainsi que la moelle allongée. Du côté gauche, le
lobe
temporo-sphénoïdal était com- primé : le moteur
i- cations pathologiques sous forme de ramollissement, surtout du
lobe
droit. La tumeur était un fibre-sarcome. (America
st la zone corticale motrice (ascendantes et partie postérieure des
lobes
frontaux), c'est encore la zone temporale (surtou
est encore la zone temporale (surtout en ar- rière), c'est enfin le
lobe
occipital qui, à trenle-huit ans, sont le plus
it ans, sont le plus fournis en fibres. A l'âge de dix-huit ans, le
lobe
temporal est bien au-dessous des deux autres gr
possède la plus grande quantité de fibres puissantes, tandis que le
lobe
occipital l'emporte sur toutes les autres régions
ion la plus pauvre en fibres, c'est la partie la plus antérieure du
lobe
frontal à la convexité. P. KERAVAL. XXVII. Ob
la paralysie, mais des accidents d'incoordination. L'at- teinte du
lobe
frontal explique l'altération des fonctions psych
thrombosée. Le cer- velet n'est pas complètement recouvert par les
lobes
occipitaux. Poids de l'encéphale : 1,202 gramme
rontales droile et gauche peu développées ; faible développement du
lobe
paracentral gauche et des parties contiguës des
; accumulation en plusieurs places de cellules-araignées. Dans le
lobe
occipital gauche, foyer brun ocreux de 10 milli-
he à l'idée d'une lésion vasculaire syphilitique ayant porté sur le
lobe
occipital gauche et provoqué des lésions histol
t évident (il y a un an que l'on observe le malade) qu'il s'agit du
lobe
frontal droit et qu'on est en présence d'une at
, impose l'idée presque certaine d'un abcès du cerveau, occupant le
lobe
temporal gau- u che ou, plus exactement, la par
la seconde côte de chaque côté, en avant. Hypertrophie modérée du
lobe
droit de la glande thyroïde ; tuméfaction des gan
et de rattacher le symptôme à un épuisement particulier de l'un des
lobes
occipitaux, épuise- ment fonctionel qui ne supp
t pas la sensation élémen- taire comme ferait une destruction de ce
lobe
, mais qui sup- primerait la- conscience,; la pe
brales entre les centres sensoriels intacts et ceux placés dans les
lobes
frontaux, car l'amnésie n'existait pas immédiatem
flasque, surcharge graisseuse considérable. Foie: Cirrhose avancée;
lobe
gauche complètement ratatiné.— Rate : de consista
nt, nous voyons que les malades parlaient facilement, même lorsque le
lobe
frontal gauche ou l'hémisphère gauche tout entier
de plus que le droit. Congestion intense des deux poumons; dans le
lobe
inférieur, il y a des ilôts d'apoplexie.—Caillots
sement de la por-tion membraneuse de l'urèthre. — Abcès dans l'un des
lobes
de la prostate. II Tels sont les faits et les
vier. — Adhérences pleurales des deux côtés. Congestion très-forte du
lobe
inférieur du poumon gauche. Conges-tion et œdème
crvelet et V isthme pèsent 170 gr. Thorax. Il y a un peu d'œdème du
lobe
supérieur du poumon gauche, une légère congestion
d'œdème du lobe supérieur du poumon gauche, une légère congestion du
lobe
inférieur du même poumon et des lobes supérieur e
gauche, une légère congestion du lobe inférieur du même poumon et des
lobes
supérieur et inférieur du poumon droit. — Le péri
uide ; ils sont surtout volumineux au sommet de la convexité des deux
lobes
pariétaux et à la partie antérieure de l'hémisphè
la pie-mère offre aussi d'abondantes suffusions sanguines, surtout au
lobe
temporal gauche et sur le trajet du nerf olfactif
ans la substance blanche. Les prin-cipales altérations siègent sur le
lobe
temporal gauche, dont la substance grise, moins l
obstruction. Mais on trouve dans la plupart des artères allant aux
lobes
temporaux des embolies, d'un blanc jaunâtre, asse
s produits par toute autre affection. La pleurésie, l'inflammation du
lobe
inférieur du poumon gauche, la néphrite ne peuven
La glande thyroïde présentait un léger accroissement de volume et le
lobe
gauche était plus accentué que la portion droite
e la pulpe du doigt, sont hémisphériques et constituent de véritables
lobes
; sur le reste de la surface, ils sont beaucoup pl
remarqués à la surface. Du côté du tissu propre, les sillons et les
lobes
ne sont indiqués que par des dépressions et des s
eur et qui est plus molle dans les couches superficielles et dans les
lobes
mamelonnés de la surface. L'examen histologique
bé le 10 septembre. Autopsie. Hépatisation rouge et grise des trois
lobes
du poumon droit. Un peu de congestion du poumon g
père sur les nombres dans leur ensemble. Il existe un foyer dans le
lobe
temporal gauche ; l'écorce et la substance blan
ts se sontfait inscrire. 23 ont pris part à la composition écrite :
Lobes
frontaux et pariétaux du cerveau (anatomie et p
trouble visuel. 3° Le même foyer inflammatoire, déve- loppé dans le
lobe
occipital du chien, engendre une amaurose crois
rdité verbale. L'autopsie a constaté une abondante hémor- rhagie au
lobe
temporal gauche; la pie-mère spinale présentait
ones, on voit que le quart externe renferme des fibres qui vont des
lobes
temporal et occipital à la protubérance. Le qua
, la zone la plus interné du pédoncule ne contient ni les fibres du
lobe
frontal ni celles du noyau lenticu- laire, mais
a protubérance. Le corps genouillé interne affecte avec l'écorce du
lobe
temporal les mêmes relations que le corps genou
temporal les mêmes relations que le corps genouillé externe avec le
lobe
occipital. Flechsig et d'autres ayant signalé l
semble (Obs. I) que la lésion de certaines régions de l'écorce du
lobe
occipital (coin première occipale) ou l'interrupt
erruption entre le centre de la vue et celui de la parole, entre le
lobe
occipital et les première et deuxième temporale
; suppression du mélange des images commémoratives d'ordre optique (
lobe
occipital) avec les images coordonnées d'arti-
ique (lobe occipital) avec les images coordonnées d'arti- culation (
lobe
temporal). P. KERAVAL. XIII. La GENÈSE DES circ
vant et en bas et dépassant les limites de la région pour gagner le
lobe
temporal. La crête moyenne, parallèle à la crêt
latie, de 10 centi- mètres de diamètre, occupant la face externe du
lobe
frontal droit envahi lui-même en partie, au niv
s propres, épaissies, résistantes et opaques, surtout au niveau des
lobes
frontal et pariétal; plusieurs circonvolutions
seaux. Dans l'écorce, partout, notamment dans les ascendantes et le
lobe
fron- tal, de très nombreuses cellules ont dégé
à fait indemne. Cette dégénérescence par couches occupe le coin, le
lobe
occi- pital et le lobe pariétal, jusqu'au voisi
égénérescence par couches occupe le coin, le lobe occi- pital et le
lobe
pariétal, jusqu'au voisinage de la pariétale asce
la maladresse de la main qui, probablement, doit.êlre rapportée au
lobe
pariétal. Elle se manifeste par plaques irrégul
c'est ce qui arrive dans les endroits qu'elle affectionne, comme le
lobe
frontal, la circonvolution du SOCIÉTÉS SAVANTES
térations, comme celles que nous venons de passer en revue, dans un
lobe
, par exemple le lobe temporal, tandis que les l
es que nous venons de passer en revue, dans un lobe, par exemple le
lobe
temporal, tandis que les lésions du lobe fronta
ns un lobe, par exemple le lobe temporal, tandis que les lésions du
lobe
frontal sont très minimes. On pourrait les appe
. Écorce cérébrale. L'examen des coupes de l'écorce cérébrale des
lobes
frontaux temporaux, pariétaux et occipitaux montr
es lésions dont l'ensemble caractérise la paralysie générale. Aux
lobes
frontal et pariétal le réseau sous-méningé d'Exne
mie veineuse des méninges cérébrales. A la base du cerveau, dans le
lobe
temporal gauche, on voit une tache brune rougeâ
t le caractère des métastases sarcoma- teux à la face inférieure du
lobe
temporal et dans le cervelet. Les éléments cell
istance ferme sur la substance blanche. La lésion s'étend depuis le
lobe
frontal jusqu'au lobe occipital. L'examen histo
ubstance blanche. La lésion s'étend depuis le lobe frontal jusqu'au
lobe
occipital. L'examen histologique a montré qu'il
s indiquer. Hémisphère cérébral gauche. A l'extrémité inférieure du
lobe
moyen, coloration jaunâtre de l'arachnoïde, de
(Revue neurologique, juin 1898.) E. B. XCVI. SUR un cas D'ABCÈS DU
lobe
temporal gauche; par les Drs P. Marie et SANTON
rivée du ma- lade, de porter le diagnostic d'abcès cérébral dans le
lobe
temporal gauche. ' Une intervention fut faite
ntervention fut faite sans résultat. A l'autopsie on trouva dans le
lobe
temporal gauche un abcès encapsulé, du volume d'u
on, aurait dû insister pour que le chirurgien ouvrit au bistouri le
lobe
temporal, les ponctions avec des trocarts étant
ne microgyrie intéressant une partie des régions rolandiques et des
lobes
frontaux des deux hémisphères cérébraux. Mais c
res centrifuges mêlées aux radiations optiques, dans l'épaisseur du
lobe
occipital (Mo- nakow, Flechsig, etc.). Je m'é
la lacune. Ces deux trous empiètent : à gauche sur un morceau du
lobe
frontal et des autres frontales; à droite, sur le
n morceau du lobe frontal et des autres frontales; à droite, sur le
lobe
pariétal. Celui de gauche s'étend en profondeur
isinage immédiat; le reste de l'hémisphère est intact, notamment le
lobe
occipital. Celui de droite s'étend eu surface e
postérieurs sont fortement atteints. Ce sont surtout les lésions du
lobe
occipital puis celles du lobe pariétal inférieu
eints. Ce sont surtout les lésions du lobe occipital puis celles du
lobe
pariétal inférieur qui déterminent la sclérose
n les fibres les plus fines de la substance grise de la moelle, des
lobes
cérébelleux, de l'écorce. Cette méthode est compa
eulement la partie corticale motrice, mais la plus grande partie du
lobe
frontal. Malgré cela, intégrité des ganglions d
té antérieure de la circonvolution de l'hippocampe, une partie du
lobe
frontal, et de la circonvolution de l'hippocampe
and, une partie du coin, du lobule lingual et du pôle postérieur du
lobe
occipital ; 4° la région auditive : c'est la pr
campe; le centre d'association antérieur ou frontal, à la pointe du
lobe
frontal, et, de préférence, à sa base; le centr
tion de nos conceptions et notions. Lésion de la surface externe du
lobe
occipital et du lobe pariétal. 2° Fonctionnelle
ns et notions. Lésion de la surface externe du lobe occipital et du
lobe
pariétal. 2° Fonctionnelle. - Cas dans lesquels
ar Hronner,144. cerebra),par Hossen, 296; par llarslt. 30, - du
lobe
temporal gauche, par P. Marie et Sainton, 406.
'est-à-dire pour les fonctions de l'âme. Flourens (2) dit : « Les
lobes
cérébraux concourant effectivement, par tout le
rreur consistait à ne considérer que tels ou tels points donnés des
lobes
cérébraux, quand il fallait les considérer tous.
moins étendues du cerveau prouvent « qu'une lésion déterminée, des
lobes
cérébraux, quel qu'en soit le siège, peut très
sidérablement grossi et faisait pression, a on both of the anterior
lobes
of the brain » et on pouvait observer « heavine
sis jusqu'à 1/3 pouce et faisaient une pression : « on the anterior
lobes
on the brain, both anteriorly and latterally, w
h in other respects in health. A deep wound into the right anterior
lobe
of the brain, aitended with inflammation and su
ramollissement, cortical également, et placé sur la face externe du
lobe
occipital, où il occupe la cir- convolution 02
segments d'inégales dimensions. Le segment antérieur, comprenant le
lobe
frontal jusqu'au genou du corps calleux, est dé
es. Fic. 2. - Coupe horizontale passant par le partie inférieure du
lobe
paracentral. MONOPLÉGIE CRURALE ET LÉSION DE LA
UE 41 La première, déjà signalée, est placée sur la face externe du
lobe
occipital, au niveau de la circonvolution °2' D
mi- sphère et un rapprochement, sur la face externe du cerveau, des
lobes
frontal et temporal. Vu par sa face supéro-ex
n coupes horizontales. Dans le segment antérieur, qui comprend le
lobe
frontal jusqu'au genou du corps calleux inclusi
de cette dernière est conservée. Le segment postérieur comprend le
lobe
occipital, la partie postérieure des circonvolu
proximité du ventricule, s'infiltre dans les faisceaux sagittaux du
lobe
occipital et augmente rapidement d'étendue, dans
DU TISSU cérébral 363 pôle frontal ; c'est la moitié supérieure du
lobe
frontal qui est même le plus fortement vacuolée
cipitale gauche est plus ouverte que la droite ; ensuite parce que le
lobe
occipital droit est plus tassé, que les coupes
nt la substance grise sous- épend., la tumeur s'est étendue dans le
lobe
frontal gauche. Elle n'y a pas formé de noyau n
conservé un aspect à peu près normal. Cependant ces altérations du
lobe
frontal droit ne sont pas toutes les mêmes que
re que touchées, non tranchées. Malgré une destruction étendue du
lobe
frontal droit et d'une partie du gauche, B... n
roit est plus petit que le gauche ; diminution porte surtout sur le
lobe
occipital droit. Les parois des artères de la b
passant la pauvreté en fibres nerveuses de la partie antérieure du
lobe
temporal. Destruction de l'apport de Co. a. et de
ôté gauche. A droite la destruction la plus importante se trouve au
lobe
occipital. Elle s'étend aux deux circonvolution
rite spécifique. Elle a entraîné une forte réduction de volume du
lobe
occipital, frappante surtout en ce qui concerne
mbler). La différence toutefois est très inégalement répartie ; les
lobes
frontaux sont sensiblement égaux (10 : 10) ; les
à la tumeur ; il en est généralement ainsi. Cependant l'atrophie du
lobe
occipital droit n'est pas compensée par une cavit
sée par une cavité ventriculaire de dimen- sions exagérées. Tout le
lobe
s'est en quelque sorte tassé et le ventricule ave
rale, parce que nous savons que surtout les tumeurs du cervelet, du
lobe
frontal droit et de la base (Oppenheim) ont sou
▲