/ 187
1 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
és suivautes : il est plongé dans le coma, étendu immobile dans son lit , les paupières fermées, la respiration calme. La
et l'aggravation de l'état comateux : le malade est étendu dans son lit , sans déviation de la tête, les yeux à demi fermé
plus tard, douleurs dans le bas- ventre, disparues par le repos au lit . Deux semaines après, elle a été effrayée par l
en adduction forcée. L'enfant, ne pouvant se tenir assis, reste au lit . L'appétit est médiocre; la mastication ne se f
ucun moyen de coercition; lorsqu'il est plus calme, on lui donne un lit sur les Archives, 2' série, t. X. 4 50 REVUE
. Fenayrou. XVI. Le traitement des psychoses aiguës par le repos au lit ; par les 1)"8 Scmvus et Farnarier. (73u11. de l
hydrothérapie, chambres de surveil- lance pour le traitement par le lit , elc. Des laboratoires de toute nature : de phy
aient les dimensions de ceux d'une fillette de huit ans. M. Meige lit pour M. Vihes, de Montpellier une intéressante ét
nde-t-il, pendant la cure, une surveillance incessante, le repos au lit , la diète, les lave- ments fréquemment répétés,
s fécales. Au dire de la mère, l'enfant passa ensuite huit jours au lit en proie à des troubles que le médecin de la fa-
ble, et chose que la malade n'a pas fait depuis très longtemps elle lit et s'intéresse à tout ce qu'on lui dit et lui mon
s'est mise à parler haut, crier, chanter : elle s'est levée de son lit et a couru dans le dortoir; c'est avec beaucoup
le dortoir; c'est avec beaucoup de peine qu'on a pu la maintenir au lit . Elle a de la diarrhée et gâte dans son lit sans
on a pu la maintenir au lit. Elle a de la diarrhée et gâte dans son lit sans s'en rendre compte. Elle est remise à l'
des paroles in- cohérentes. La diarrhée persiste, l'enfant gâte au lit , elle ne peut s'habiller ni se déshabiller <
utres enfants, leur pincer le nez. On est obligé de la maintenir au lit . Le gâtisme persiste. 25. L'enfant a passé la n
sé la nuit à chanter, à rire. Ce matin, on la trouve assise sur son lit , les yeux brillants, le reeard égaré, d'une ext
e petite médaille que sa soeur portait au cou, on ne l'a retenue au lit qu'avec difficulté. - L'enfant ne fait plus sa
n instant. Elle chante, rit, fait mille grimaces, se lève, fait son lit , se recouche, pour se rele- ver bientôt, bavard
lle était seule dans le dortoir, elle s'est mise à défaire tous les lits , à se rouler sur les matelas, monter sur la table
lement. A. FENAynou. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. XVII. Du maintien au lit des aliénés; par A. V. TnAi');zN;KOw. Portée th
iénés; par A. V. TnAi');zN;KOw. Portée thérapeutique du maintien au lit des aliénés; par V.-P. Ossipow. (Oborénié psicl
oids de la malade ; c'est l'effet probablement du séjour continu au lit ; 3° Il n'améliore pas le sommeil et .n'exclut
à l'évacuation intestinale; 5° Les malades s'habituent tellement au lit que celles que l'on remet au régime ordinaire r
aient volontiers soumises. P. KERAVAL.. XVIII. Le traitement par le lit à l'asile des aliénés de Perm; par J. B. Fischm
; il fallut employer, pour quelques- uns seulement, le maintien au lit par la force à l'aide des serviteurs, mais ce f
ades, autour duquel sont installés 1 dortoir ou 2 dortoirs de 4 à 5 lits ; or,' ontre les infir- miers de service dans le
salles. P. KERAVAL. XIX. Quatorze mois d'application du maintien au lit dans les états d'excitation psychique ; par Lio
a dans la section des agités et violents, installé le traitement au lit pour tous ceux qui présentent de l'excitation. On
les agités en permanence qui ne se soumettent pas au traitement au lit ; 2 cellules pour les aliénés relativement calmes,
a été obtenu par suegestion, silence, action morale, agrément du lit , les bains chauds, quelquefois un médicament calm
e, les premiers jours, les malades récalcitrants s'asseoir sur leur lit , aller et venir, s'impré- gner graduellement de
her dans une pièce séparée. En cas de refus persistant, on place le lit dans une cellule dont on ne ferme la porte que
de décubitus ; le reste du temps le malade se peut asseoir dans son lit , passer quelque temps dans la salle de jour, se
ures. Troisième ques- tion. Thérapeutique. De l'alitement (repos au lit ) dans le traite- ment des formes aiguës de la f
hors des asiles) ; par le Dr Otto Snell (de HIdesheim). Du repos au lit dans le traitement de psychoses aiguës parle Dr
.commerçant l'ayant trouvée couchée, complètement ivre, dans son lit , et lui ayant fait des observations à ce sujet, e
gne), la colonisation des aliénés (Allemagne), le traitement par le lit (Belgique, Russie, Allemagne), l'assistance famil
Généralisation du traitement des psychoses aiguës par le séjour au lit ; 1 - Réaction contre l'isolement cellulaire ;
t chez nous, celles de l'isolement en cellule, du traitement par le lit , des quartiers spéciaux d'agités, ces questions
nons-en brièvement les caractères principaux : Clinique de soixante lits pour malades aigus ; -'deux pavillons- de trent
e de soixante lits pour malades aigus ; -'deux pavillons- de trente lits chacun, la plupart des lits étant placés au rez-d
des aigus ; -'deux pavillons- de trente lits chacun, la plupart des lits étant placés au rez-de- chaussée ; pas de quart
rtier cellulaire; - aménagement spécial en vue du traitement par le lit ; un bâtiment principal avec salle de cours de c
ité du terrain, d'une superficie de deux hectares.) Le nombre des lits de la clinique (60) paraîtra peut-être insuffisan
autres cliniques psychiatriques universitaires d'Allemagne (100-150 lits ). Mais à Wirzbourg, on dispose pour l'enseignem
admissions est quatre ou cinq fois plus considérable que celui des lits , d'où le renou- vellement fréquent des patients
Les locaux devaient se prêter à l'application du traitement par le lit de tous les malades non tranquilles et de ceux
orridors, on peut très aisément conduire les patients, maintenus au lit , de la salle de surveillance à la salle des cou
effet, situés au rez-de-chaussée. Les sujets traités par le repos au lit sont ainsi présentés aux élèves, ou examinés, d
epos au lit sont ainsi présentés aux élèves, ou examinés, dans leur lit . Celte manière de faire présente en outre l'ava
à ces exigences spéciales. Chacun de ces quartiers comprenant 30 lits , c'étaient donc 16 malades agités ou à surveiller
rester dans une salle de surveillance, à moins d'être maintenus au lit par des infirmiers, tandis qu'on peut sans inco
oduit artificiel de la camisole et de la cellule, on a recours à un lit capitonné placé dans la salle de surveillance,
tient. Parfois il suffit d'un changement de milieu, du transport du lit du malade dans la salle d'examen pour calmer l'
ployées ; elles n'entrent pas en ligne de compte dans le nombre des lits disponibles. Lorsqu'on y a recours, c'est plutô
s disponibles. Lorsqu'on y a recours, c'est plutôt comme à un grand lit dans lequel médecin et infirmiers ont le patien
M. Rieger attache une grande importance au mode de répartition des lits dans la salle de surveillance, répartition qui
de ce genre, excellente pour une clinique universitaire de soixante lits , présenterait des inconvénients dans un établis
ts et deux médecins volontaires, logés à la clinique. Le nombre des lits est de 80. La proportion des serviteurs est de
une grande-salle de surveillance continue pour le traitement par le lit , une salle de réunion, une salle de bains. Da
e rideaux qui permettent de baigner les malades agités près de leur lit . Comme dans les autres cliniques, le non-restre
médecins assistants et 2 médecins volontaires pour un service de 80 lits . Le nombre moyen des malades présents pendant l
dmissions en 1889 : 203 (148 hommes, Il : ) femmes).- Le nombre des lits disponibles est environ de 180. L'asile d'Ién
ssements sont aujourd'hui déjà soumis au traitement par le repos au lit , grave et importante ques- tion d'alitement ind
médicament. l'opium, et enfin vie de repos, et au besoin séjour au lit , telles sont t les principales pratiques de cet
et meurent debout, c'est- à-dire sans avoir jamais été confinés au lit , ayant gardé jusqu'à la fin la possibilité d'al
né prit ses enfants par les jambes et les lança violemment sous les lits , sous prétexte de les dérober aux dents aiguës
ique qui trouva son maître étendu sans mouvement sur sa descente de lit , au milieu d'une mare de sang. M. Meneville ne
, monta se coucher ; il n'eut même pas la force de grimper dans son lit et tomba comme une masse sur le parquet, où on
ARCHIVES DE NEUROLOGIE THÉRAPEUTIQUE. De l'alitement (repos au lit ) dans le traitement<iies formes aiguës des m
la question parmi les aliénistes russes. Comme partout, le repos au lit était depuis longtemps appliqué comme moyen thé
z1593 que la nécessité d'une application systématique du régime au lit a été pour la première fois proclamé dans la li
en des chambres pour des malades tranquilles. Bien que le régime au lit était appliqué en 1895 également à la clinique
stezki et Yochtchenko, qui communiquaient les résultats du repos au lit appliqué dans des grands hôpi- taux, et du Prof
corps se couvrirait d'ec- chymoses, et c'est pourquoi le régime au lit largement et fermement appliqué était un retour
trêmes il y a eu celle de ceux qui, tout en attribuant au régime du lit une grande valeur dans le traitemcnt des maladi
ine. Paris. Masson et Ci., éditeurs, 1900.) 276 thérapeutique. au lit . Ainsi, les uns pensaient qu'il devait avoir pour
les uns admettaient l'usage de telles mesures, comme le maintien au lit par des infirmiers, l'emploi des enveloppements
raient tout cela barbare ; enfin les uns voyaient dans le régime au lit un puissant moyen thérapeu- tique qui bien que
ns que ceux des autres pays et que les avis concernant le régime au lit et son application étaient aussi différents que
à ce qu'on n'entendait pas toujours la même chose par le régime au lit ; tandis que les uns en parlaient comme d'un « s
dications de M. CI. Neisser il s'est formé le « système du repos au lit ». Les éléments faisant partie de ce système ne
crois que ce système comprend principalement ceci : 1° l'u- sage du lit est considéré comme un élément essentiel du trai-
omme un élément essentiel du trai- tement, et la durée du séjour au lit est établie pour chaque jour suivant les indica
ications el qui chan- gent d'un individu à l'autre; 2° le séjour au lit des malades s'obtient non pas par violence, mai
de nos confrères, tout en appliquant systématiquement le repos au lit , se servent également de cellules, je pense que l
u'on s'était bien posé la question, dans quelle mesure le régime au lit convenait à tel ou tel malade. Dans certains cas,
nvenait à tel ou tel malade. Dans certains cas, il faut un repos au lit prolongé, presque constant pendant quelques sem
ce repos se réduit au minimum, par exemple, le malade ne reste au lit que la nuit et le matin jusqu'à la visite du méde
blit, comme toute autre mesure thérapeutique, la durée du séjour au lit et combien il doit être continu. Je crois que l
ations précises sur la durée et le mode d'appli- cation du repos au lit écarteraient bien des objections essentielles q
à ce système. Chez nous, on divise, d'après la durée, le régime au lit , de la façon suivante : ' 1° Le régime au lit a
a durée, le régime au lit, de la façon suivante : ' 1° Le régime au lit absolu, lorsqu'on veut que le malade soit const
ime au lit absolu, lorsqu'on veut que le malade soit constamment au lit . Il arrive certainement que le malade se lève b
n'y a point d'infraction au régime, si le malade est assis dans son lit . La position horizontale continue n'est exigée
continue n'est exigée que dans des cas peu nombreux. Le régime au lit absolu, appliqué dans les psychoses aiguës, ne do
ades fébriles ou souffrant de maladies somaliques; 2° Le repos au lit avec l'autorisation de s'asseoir pendant le dîn
de s'asseoir pendant le dîner, sur la chaise qui se trouve près du lit ou de la table ; les malades, pendant ce temps,
s, passent également un léger vêtement de dessus ; 3° Le repos au lit avec l'autorisation de faire une promenade une
se désha- billent et se couchent de nouveau ; -, 4° Le régime au lit avec l'autorisation des promenades et d'un séjo
nt quelques heures entre ces deux repas; la durée du séjour hors du lit est fixée très exacte- ment ; Si Le repos au
u séjour hors du lit est fixée très exacte- ment ; Si Le repos au lit jusqu'à la visite du matin du médecin. Ensuite,
utorise, il est permis au malade de rester toute la journée hors du lit . La plupart du temps de tels malades, surtout d
telle classification des malades d'après la durée de leur séjour au lit ; doit se faire sans pédantisme paralysant, ni s
s'ensuit de ce qui vient d'être dit que le « système » du régime au lit peut être appliqué même alors qu'il y a, à un m
es conditions. Le principe du système du traitement par le repos au lit sera tout de même observé si le médecin établit
bservé si le médecin établit bien chaque fois la durée du séjour an lit pour chaque individu et que la nécessité de con
lades eux-mêmes. II. Quant au second point fondamental du régime au lit , je crois que le milieu doit contribuer à ce qu
it ce que les malades, même les plus agités, prennent l'habitude du lit . Parmi les facteurs qui agissent dans ce sens,
que l'on engage chaque malade nouvellement arrivé à se mettre au lit , et le temps qu'il y séjournera dépend uniquement
liberté des mouvements dans sa chambre, tantôt il est main- tenu au lit . Plusieurs des aliénistes s'élèvent avec raison
lusieurs des aliénistes s'élèvent avec raison contre le maintien au lit par des infirmiers : il irrite souvent les mala
est quel- quefois également nécessaire pour que le malade reste au lit . Il y a des malades pour lesquels le repos au l
e malade reste au lit. Il y a des malades pour lesquels le repos au lit est une indi- cation vitale (des malades fortem
s si j'admets dans quelques cas isolés le maintien des malades au lit par les infirmiers, je ne saurais trop insister s
des chirurgicaux, de même, en imposant progressivement le régime au lit régulier, on finit par être de moins en moins o
e de moins en moins obligé de faire maintenir les malades dans leur lit . Il ! . L'organisation d'une surveillance régul
erew et ses élèves, par exemple, qui con- sidèrent que le régime au lit dans des chambres séparées, aux portes ouvertes
communes. Mais je suis d'un autre avis : le système de régime au lit réussit particulièrement bien et produit son pu
s ce n'est pas la base du système du 282 THÉRAPEUTIQUE. régime au lit . En outre, la surveillance dans les chambres sé
n'y a rien qui favorise si fortement le développement du régime au lit que la décision prise de ne point se servir de
le de le bannir complètement et s'en servent il côté du régime au lit . C'est pourquoi je renonce à considérer le non-us
nt indispensable du système d'alite- ment. Le système du repos au lit bien organisé a des avantages incontestables. C
nt par la ce décentralisation de la psychiatrie », car le régime au lit donnerait la possibi- lité de soigner ces malad
encore con- testable. A côté des partisans entraînés du régime au lit qui y voient DE l'alitement. 283 3 un très pu
u'il entraîne. En effet, il peut y avoir des abus avec le régime au lit . -Le premier que je voudrais signaler c'est que
tractions. On dit même par une sorte d'opposition : le régime au lit serait propre aux maladies aiguës, le régime ouvr
réglé, comme je l'ai indiqué plus haut. On n'a recours au repos au lit absolu, qu'après avoir bien pesé toutes les ind
système restreint. Mais, comme je le disais plus haut, le régime au lit bien organisé n'a presque rien de commun avec l
que ce n'est pas encore suffisamment clair à quel point le repos au lit prolongé puisse en général être utile ou nuisib
nous considèrent comme élément principal de ce régime le séjour au lit prolongé pendant des mois et qu'il soit presque
m- mémoriaux on se sert de la position horizontale et du repos au lit comme d'une mesure thérapeutique générale, et cep
u de recherches bien scientifiques relatives à l'effet du régime au lit , et encore moins relativement à son effet sur l
rie d'observa- tions prises sur des aliénés traités par le repos au lit , comme, par exemple, celles des docteurs Trapez
plus haute importance pour nous de savoir à quel point le repos au lit est susceptible, surtout chez les aliénés, de p
cependant on se pose involontairement la question, si le séjour au lit par trop prolongé ne pourrait pas, en affaiblis-
du diagnostic de ce dementia prrccox » et l'application du repos au lit prolongé chez des sujets jeunes dans quelques h
s jeunes dans quelques hôpitaux. Ensuite, bien que le traitement au lit soit employé avec succès pour le traitement des
clVorotique, nous savons très peu de chose sur l'effet du repos au lit prolongé sur l'héma- tose, sur la composition d
cependant par expérience que l'effet théra- peutique du 'régime au lit sur les maladies mentales est incontestable. Ce
es, les malades faibles conservent plus de forces avec le régime au lit . D'où l'indication formelle du régime au lit pl
rces avec le régime au lit. D'où l'indication formelle du régime au lit plus ou moins constant et d'une durée plus ou m
période initiale à la phase stationnaire, il faut user du régime au lit avec prudence et de n'en pas abuser en durée. I
rs penser au fait que nous ne savons pas encore comment le repos au lit agit sur l'énergie de la force direc- trice de
dédaigner, à cause de la commodité et de la facilité du maintien au lit des amentiques les moyens dont on use avec succ
n organisé, à savoir, l'individualisation rigoureuse z du régime au lit comme moyen thérapeutique. Il m'est impossible
seraient les modifications que le régime au DE l'alitement. 287 Î lit amènerait dans la construction des asiles d'alién
étage inférieur (rez-de-chaussée) pour que l'on puisse rouler leurs lits dans le jardin. Ensuite on n'a pas besoin du to
omposés uniquement des pavillons isolés (cellules). Les pièces à un lit doivent se trouver près des salles ou des dor-
ans la question du traitement des maladies mentales par le repos au lit il faut distinguer le « système d'alitement» co
bases du système de l'alitement sont les suivantes : a) l'usage du lit est considéré comme un élément essentiel du tra
onsidéré comme un élément essentiel du traitement ; b) le séjour au lit est obtenu non pas par violence, mais au moyen
estion, mais il contribue puissamment au développement du régime au lit ; d'un autre côté la diminution d'usage des cell
. 3. La régularisation exacte du temps de séjour des ma- lades au lit , des promenades et des occupations en dehors du
ma- lades au lit, des promenades et des occupations en dehors du lit constitue la partie essentielle de ce système ; l
du lit constitue la partie essentielle de ce système ; le séjour au lit doit être réglé dans tous ses détails depuis le s
au lit doit être réglé dans tous ses détails depuis le séjour au lit absolu jusqu'au plus limité. 4. L'usage des sal
ème d'alitement. Bien que l'on soit obligé d'appliquer le régime au lit également 288 8 THÉRAPEUTIQUE. dans les chamb
système en question une importance secondaire. Le maintien forcé au lit n'est pas un élément du régime d'alitement comm
d'alitement comme système. 5. Les principaux avantages du régime au lit sont : un plus grand ordre dans l'asile, surtou
ue; usage restreint des chambres isolées ; le système du repos au lit est susceptible d'abolir complètement l'emprisonn
es aiguës est notablement diminuée. 6. Avec le système du régime au lit il ne faut pas non plus négliger les autres sys
leur sphère. Ce qui mérite d'être étudié, c'est l'effet du repos au lit et du manque d'exercice sur la composition du s
per- ception active). 8. L'indication principale pour le repos au lit est l'état d'excitation des malades. Le régime
r le repos au lit est l'état d'excitation des malades. Le régime au lit très prolongé et appliqué d'une manière rigoure
pour que celles-ci deviennent chez eux incurables. 9. Le repos au lit doit être appliqué d'une manière diffé- rente s
au point d'en avoir les lar- mes aux yeux, du départ d'un voisin de lit . De plus, il désespérait facilement de sa situa
s'agit d'une jeune fille de seize ans, sans tare névropathidue, qui lit , à l'âge de quinze ans, une lièvre typhoïde de
cin pourra permettre au malade, si bon lui semble, de quitter le lit , pour prendre part à un travail, à une distractio
orridors et dans les salles de réunion ; 2° Le malade sera mis au lit dès son arrivée, ou plutôt après le bain, premi
n thérapeutique. Comme il est indispen- sable que le malade soit au lit pour le premier examen médical, toute indicatio
. Si on le laisse échapper, le malade- prend facilement la manie du lit , préjudiciable à son physique et à son moral, man
ce qu'on peut faire du reste de plu- sieurs manières (occupation au lit , succession alternative du repos et du travail
alades, deux ou trois divisions renfermant chacune à peu près vingt lits . Chacune de ces divisions comprendra trois ou q
uivant les dernières ressources de la science. IL Seront confiés au lit : 1° tous les malades atteints de psy- choses a
iénation mentale. Chez celles-là, bien que d'aucunes aient gardé le lit jusqu'à près de six mois, ils n'ont obtenu aucu
ceptée, folie alcoolique). Sur ces 55 malades : la guérison dans le lit a été obtenue 11 fois, soit dans 20 p. 100 des
ses enfants; chaque fois qu'il mange ou qu'il se retourne dans son lit , un homme est exécuté, etc. Il veut être fusill
ns d'abord au malade à se lever sur son séant el à descendre de son lit . Descendre du lit et y remonter est pour l'hémi
de à se lever sur son séant el à descendre de son lit. Descendre du lit et y remonter est pour l'hémiplégique une grand
bilité ou plutôt cette crainte de ne pas pouvoir descendre de son lit chez les vieux hémiplégiques, qui marchent depuis
as. Mais elle était incapable de s'asseoir et de des- cendre de son lit . Pour la mettre sur le lit, on était obligé de
le de s'asseoir et de des- cendre de son lit. Pour la mettre sur le lit , on était obligé de la poser comme une seule ma
prendre à nos malades la manière de descendre et de remonter sur le lit sans aide de personne. Si l'ataxique a table ra
ue nous les employons chez les hémiplégiques. Dans un de nos cas on lit matin et soir des mouvements passifs du bras dè
ner- veuses » (l'sychiatrische und Nerven-Klinik). Le chiffre des lits est de 155, mais la population réelle est plus
8, le nombre des malades s'élevait à 145 (75 hommes, 70 femmes); 25 lits sont réservés aux sujets atteints d'affections
aux sujets atteints d'affections nerveuses. Le prix de revient du lit a dépassé 10 000 francs. L'établisse- ment tout
lle de réunion, des dortoirs et chambres à coucher (possédant 1 à 9 lits ), un corri- dor, de 3 ou de 5 mètres de largeur
de doubles portes et de judas. Le parquet est en bois de chêne, sur lit de bitume. Sous ce parquet étanche sont des con
s aménagements spéciaux que nous avons remarqués, nous citerons des lits pour épileptiques ou sujets agités et affaiblis.
erons des lits pour épileptiques ou sujets agités et affaiblis. Ces lits , en forme de caisse capitonnée, profonde, ont des
ont avec un minimum de forma- lités. Le directeur dispose de quinze lits gratuits, précieuse ressource pour l'enseigneme
iatrique provisoire dans deux bâtiments en loca- tion comprenant 10 lits . ' En 1888, l'Université, voulant construire un
à 832 000 francs. La clinique de Halle, dont le chiffre normal des lits est de 110, fut inaugurée le 29 avril 1891. C'e
. 10 de hauteur, comporte les éléments suivants : deux salles de 10 lits chacune, cinq chambres d'isolement et les locau
toirs puisque le pavillon a été aménagé en vue du traitement par le lit : l'une est affectée aux sujets excités ou ayan
s nouvellement admis sont couchés dans celle des deux salles de dix lits qui est contiguë au bâtiment principal, à moins
ux ». On dispose donc, en dehors des « nerveux », de vingt à trente lits pour les catégories suivantes : malades à surve
antes : malades à surveiller, malades sou- mis au traitement par le lit , sujets atteints d'affections intercur- rentes.
M. Hitzig est partisan du traitement des psychoses aiguës par le lit ; aussi les salles du pavillon de traitement ont-e
traitement ont-elles été spécia- lement aménagées dans ce but. Les lits sont munis à la tête et aux pieds d'une tablett
auquel le malade peut, sans fatigue, rester assis à moitié dans son lit . Cette disposition ingénieuse mériterait d'être i
rait d'être imitée : elle facilite la pratique du traitement par le lit en permettant au patient de varier sa position
r la position assise sans aucune fatigue. Le prix de revient de ces lits , en fer, est de 44 francs. Ce n'est pas tout. E
e n'est pas tout. En vue toujours de faciliter le traitement par le lit , M. Hitzig ZD se sert d'une table spécialement
le but de permet- tre au malade de prendre commodément ses repas au lit . Cette table a la forme suivante : =1 La partie
suivante : =1 La partie horizontale inférieure étant placée sous le lit , la partie horizontale supérieure se trouve au-
percée dont l'usage est aussi indiqué pour des malades maintenus au lit . No- tons encore un aménagement spécial qui a s
es tables de nuit sont à rebords et à tiroirs métalliques. Près des lits sont placés des porte- serviettes. Nous avons
CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 387 M. Hitzig, en outre du traitement au lit , se loue de l'emploi èhez les mélancoliques de
g applique le traitement de Weir-Mitchell : faradisation repos au lit suralimentation massage de vingt minutes deux foi
union, sur lesquels ouvrent les portes de petits dortoirs (de 3 à 4 lits , parfois de 12). Pas de bains centraux. Chaque
cassables. Les murs sont peints à l'huile. Dans certaines cellules, lit massif, scellé dans le parquet ; dans d'autres,
mperméable. Les paralytiques reposent sur un coussin à air, soit au lit , soit dans un fauteuil. Les jardins des malades
toire du patient lerminé, celui-ci quitte la salle et le professeur lit ensuite l'observation. Puis il interroge l'élève
l'auto-mutilation ont des gants de cuir épais. Le traitement par le lit est employé dans certains cas, chez les mélanco
existe, et des résultats que les méthodes actuelles peuvent donner; lit les publications doivent être intelligibles et pr
et DELTIIEtL . (de Montpellier). L'open-door el le traitement au lit dans la République Argentine; par le D'' CAURED
ançais, § 52 allemand, 432 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MEDECINE. § 2 lit . g. autrichien). Quand même l'irrésistibilité ne
diquer, tantôt en fai- saut asseoir les malades sur le bord de leur lit , les jambes pendantes, et en supprimant le plus
de trois méde- cins volontaires. La section de neuropathologie (ïG lits ) et le ser- vice de la policlinique ont pour as
streint, introduit par Griesinger en 186, et le traite- ment par le lit sont appliques à la clinique de Berlin. Il y a de
rsité de Berlin va d'ailleui être reconstruite. Elle comprendra 200 lits . Université de Greisswald (Prusse, province de
utes seule- ment des autres instituts universitaires. Le nombre des lits aété fixé à 120, dont 100 pour aliénés du régim
le professeur de clinique, Dr Specht et sept médecins. Nombre des lits : 857. - Prix de revient du lit : j.24 francs.
t et sept médecins. Nombre des lits : 857. - Prix de revient du lit : j.24 francs. Université de Heidelberg (Grand-
ales les asiles provinciaux voisins des universités. Le chiffre des lits est de 80. Le prix de revient de chaque lit a d
rsités. Le chiffre des lits est de 80. Le prix de revient de chaque lit a dépassé 10.000 francs. Le terrain a une super
nctionnement d'une clinique psychiatrique, estime que le nombre des lits de ces pavil- lons spéciaux doit s'élever à 20
lons spéciaux doit s'élever à 20 ou 30 p. 100 du nombre total des lits . 11 faut, d'ailleurs, tenir compte aussi du chiff
, aux agités. On y applique depuis longtemps le traite- ment par le lit . Dans ces pavillons de traitement, les infirmiers
te en chef sont logés dans les pavillons de traitement. Nombre de lits : 300. Population au ler janvier 1898 : 2t7 mal
y sont conduits en omnibus. Le non-restreint, le traitement par le lit sont depuis longtemps appliqués. Il en est-de m
1887, sous la direction d-u profes- seur Emminghaus. Le nombre des lits est de 90. Population (1° janvier 1S90) : 94 ma
n par l'7toscia»tinc; par les Du Mairet et DEL'l'EIL. Du repos au lit dans le traitement des psychoses aiguës; par le
même l'autre moitié. Elle se couchait alors avec son enfant sur son lit , puis trouvant que la mort ne venait pas assez vi
uva sa femme sans connais- sance tenant son enfant embrassée sur le lit . Affolé, il courut cher- cher du secours. ! ' -
ndirent à la maison du dormeur qu'on trouva comme toujours dans son lit plongé dans son som- meil léthargique. Le briga
eureux sur une chaise près de la- fenêtre pendant que l'on fait son lit . Le malade, qui ne peut pas se tenir sur son séan
chez la famille Diettrich, le malade venait d'être reporté dans son lit et les pauvres femmes. terrifiées, n'ont pas pu
ers, 58. Système ncrveux chrz les- par Brisière, 126. Maintien au lit des -, par Tra¡1PwiJ\ow et Ossi- pow, 138. Tr
lit des -, par Tra¡1PwiJ\ow et Ossi- pow, 138. Traitement par le lit des - à Perm, par Fuschmann, 110. Les - en li
MATIERES. 537 Léthargie chez les poissons, par Farez, 522. - LIT , Maintien au - des aliénés, par Trapeznikow et
2 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
uxquels elle fait la chasse. Ces animaux se-montrent à la tête de son lit et du côté droit. Aujourd'hui elle se plaint de
Elle passe pour bonne couturière. Parfois elle vient de quitter le lit où les malaises proclromiques l'avaient confinée
par les pro-dromes ordinaires de ses attaques... Elle est demeurée au lit ;elle est abattue, l'insensibilité est complète et
a poitrine. A 6 heures et demie elle saute tout à coup à bas de son lit , et avant qu'on ait eu le temps de s'y opposer,pa
Marie B... voit des chats noirs, des rats grimper à la tête de son lit , du côté droit2. Aussitôt qu'elle s'assoupit, ell
it2. Aussitôt qu'elle s'assoupit, elle voit des hommes au pied de son lit , passant dans un sens ou dans l'autre, ou bien se
nt des hommes qui viennent en avant d'elle, s'arrêtent au pied de son lit , la regardent fixement et lui font peur. Elle ne
de Marc... Marc... a eu des accès dans la matinée, elle demeure au lit tout l'après-midi, elle est très agitée. Elle sou
, sur le sommet d'un mur qu'on aperçoit par la fenêtre en face de son lit . Près delà se trouve une lucarne qui semble être
l'éblouissent. Elle cause avec ses compagnes assises autour de son lit . Toul? d'un coup elle montre le mur à sa droite :
aques il n'est pas rare de voir Gen... se lever tout d'un coup de son lit et se sauver dans la cour, où elle prétend avoir
nd la main, mais il a déjà disparu. A peine est-elle de re-tour à son lit , que l'effrayante vision reparaît à la même place
lieu de la nuit, on la voit se lever effrayée et courir autour de son lit . Elle poursuit les rats qui l'assiègent. « Erne
de l'accès. 26 février 1878. — Marc..., debout, appuyée contre son lit , silencieuse, les traits altérés, l'œil dirigé du
Complètement absorbée par son hallucination, elle se laisse mettre au lit . Toujours son regard est fixé sur le même point.
t. Ses bras et ses jambes commencent à se contracturer. Une fois au lit , sa figure impassible ouvre les yeux démesurément
change même quelques mots avec la vision, qui s'arrête au pied de son lit . Cependant les autres phénomènes de l'aura s'accu
le bras 1. 5 février 1878. — Deux heures après midi, Gen... est au lit , contracturéedes membres, elle sent que ses attaq
présentaient aussi de l'hyperesthésie à la pression et au contact du lit , et la malade était obligée de changer souvent de
de est réveillée en sursaut; il lui semble qu'elle tombe à bas de son lit , ce qui arrive effectivement quelquefois. Gl...
uefois. Gl... (1er novembre 1878) va avoir ses attaques.Elle est au lit , et est prise de secousses généralisées qui revie
e indiquent l'imminence des accès. On se hâte de la transporter à son lit , où l'attaque convulsive ne tarde pas à éclater.
toute la journée. Les quatre membres sont pris. Elle est confinée au lit . De temps à autre surviennent de petits accès épi
nuit. Elle se réveille en sursaut, se figurant tomber à bas de son lit ; ce qui ar-rive effectivement quelquefois. Les
les pieds étant en extension forcée, et s'élèvent un peu au-dessus du lit , de telle sorte que pendant un inslant, très cour
n un clin d'oeil toute agita-tion cesse, et la malade retombe sur son lit dans la résolution la plus complète. des zones
le. Le corps est courbé en arrière er forme d'arc, ne reposant sur le lit que par la tête et les pieds. Le ventre souvent m
tétanique, complètement rigides dans l'extension, ne reposent sur le lit que par les talons, tandis que nous avons toujour
enoux légèrement fléchis permettent aux hystériques de reposer sur le lit par la plante du pied. Fig. .40. Contorsion. —V
par les kicher. • (i grands mouvements. La malade exécute sur son lit un grand saut qui rap. pelle celui de Marc... (fi
44). Elle demeure ainsi une à deux minutes, puis elle retombe sur son lit , et se place presque aussitôt dans la situation f
Fig. 50. — Grands mouvements du tronc. pui avec ses pieds sur son lit , les jambes étant à demi fléchies. Au lieu d'êt
r les pieds et la tête seulement, puis elle se laisse retomber sur le lit . Elle rebondit ainsi quinze à vingt fois de suite
sant par les trois positions figurées ci-dessus, elle retombe sur son lit , qui fait office de tremplin, et ce grand mouveme
de suite, le plus souvent trois fois. La malade s'enfonce dans son lit ou se ramasse sur elle-même pour pousser ce cri (
de bête fauve (fig. 55). Fig. 55. — Cris de rage. Elle frappe son lit de la tête en même temps que des poings, ré- Fi
'elle subit un mouve-ment de rotation rapide ; les jambes frappent le lit , se fléchissent et s'étendent brusquement; les br
tifs de flexion et d'extension, sont déjetés en dehors et frappent le lit suivant le rythme de la respiration; les jambes s
r la porte et de s'emparer de la clef. avant, elle se roule sur son lit en criant : « Pardon! pardon! » Parfois, dans u
eux ne se laisse pas toucher. Brusquement la malade retombe sur son lit comme terrassée par une force invisible. Elle est
ors delà crise, son agresseur, après l'avoir placée en travers sur le lit , lui attacha la tête, les deux bras enjeroix, et
voit des rats, elle a des mouvements de frayeur, elle frappe sur son lit comme pour les 1. Vraisemblablement au personna
pel, et les infirmières ont beaucoup de peine à la maintenir dans son lit . Une véritable lutte s'établit. Marc..., qui est
t d'horreur, elle se blottit contre le mur près duquel est appuyé son lit (fig. 70). 11 lui échappe des paroles comme celle
stagnettes (fig. 75). Elle se redresse parfois complètement sur son lit pour exécuter une sorte de danse bizarre. En résu
e et les dents. Elle s'acharne après l'ennemi vaincu et roule sur son lit avec son oreiller qu'elle étreint dans ses bras.
uses, se rapprochant de l'extase. Elle est à genoux ou assise sur son lit , l'œil au ciel, un doigt levé ou les mains jointe
faire que de consigner ici quelques passages des notes recueillies au lit de Ler... pendant une de ses grandes attaques.
rême. Ler... se soulève complètement pour se laisser retomber sur son lit . Elle se jette de côté et d'autre, bat le lit ave
aisser retomber sur son lit. Elle se jette de côté et d'autre, bat le lit avec ses pieds. « Ah ! Ah !... oui... les bourrea
présente, sans habits de couleurs vives. Elle apparaît au pied de son lit , où elle demeure quelques instants lui tenant d'a
eux pleins de larmes, comme si quelqu'un venait de s'approcher de son lit : « Tiens!... te voilà!... » Elle pleure abondamm
on, laissez-moi la paix. » Plus calme, la malade se couche dans son lit avec l'intention évidente de se reposer. Mais ell
le qui retient son bras gauche, on la dénoue. Elle s'assied sur son lit , la tète dans ses mains et semble réfléchir. Le d
rale, et montrant du doigt un petit crucifix attaché à la tête de son lit : « Si je voulais te confondre, regarde ce Dieu q
redresse, son bras gauche demeure contracture. Elle cherche dans son lit , soulève ses draps ; tout d'un coup elle frappe d
s me mangent... Otez donc toutes ces vipères. » Elle se roule sur son lit en se cachant la figure de ses mains. — Au bout d
e qui est plus rare, la malade demeure stupide, elle cherche dans son lit , arrange ses draps, etc.. et, suivant l'expres-si
soulève ses draps ou sa chemise : « Des vipères!... j'en ai plein mon lit ... elles me montent partout le corps. )) Les co
. )) Les corbeaux apparaissent habituellement du côté gauche de son lit . Fig. 81. Quatrième période. Zoopsie. Gen...
Tiens, v'ià pour toi ! (Elle frappe de grands coups de pied sur le lit ). Ah! ton affaire est réglée (40 h. 7). Ah!... le
propre à rien, crois-tu qu'il a tué sa femme ? (Elle s'assied sur son lit , tourne la tête de côté et d'autre.) Tiens, v'ià
es.) Ah! les chameaux. Il y a des bêtes... » Elle s'accroupit sur son lit et fait la mimique de souffler le feu (fig. 83).
A chat! à chat! » Elle se frotte les mains, frappe de la tête sur le lit , a plusieurs éructations qu'elle accompagne d'un
u'elle accompagne d'un « Vlà pour toi ». Elle se lève et fait sur son lit une véritable culbute, elle répète la culbute plu
ecommence deux culbutes. « Ah! les jeanf..., ils ont foiré dans mon lit , je ne [veux pas coucher dans ce lit, je sais bie
jeanf..., ils ont foiré dans mon lit, je ne [veux pas coucher dans ce lit , je sais bien que ce n'est pas toi. » Elle prête
gagner son Fig. 83. Quatrième période. Ler... « souffle le feu ». lit . A pçine couchée elle est saisie d'un tremblement
eux, en demandant qu'on lui rende ses yeux; elle s'agenouille sur son lit , la face contre les draps, et souffle le feu ; el
ttends, va. » Elle crie: A chat! à chat!... Elle s'accroupit sur soi! lit pour souffler le feu. Elle a comme des grognement
verse avec les assistants. «Attends que je frotte mes yeux... Vlà mon lit qui tourne. Arrête-moi donc... Je tombe dans la f
ière dans la tête, tu vois bien que ça bout. Laisse-moi... Arrête mon lit , tu vois bien que tout tourne... » Elle voit des
illants par-dessus les ailes. « Arrête donc... nous allons tomber, le lit tourne, tu ne te fais pas de bile... nous tombons
qu'elle a des « fourmiches » ; se gratte la tête ; s'imagine que sou lit marche et roule: que tout saute ; furète dans son
imagine que sou lit marche et roule: que tout saute ; furète dans son lit ; appelle son « cher ami Ernest ». Elle a des bêt
t..., comme presque toutes les hystériques, avait orné la tête de son lit de fleurs artificielles. 3. Causes célèbres de
urs, des assassins, le calme se fait peu à peu. Elle s'assied sur son lit . « Ah ! c'est comme ça », elle se pré-pare à fair
s d'imprécations grossières. Elle se met à genoux, la face con-tre le lit , elle converse avec Ernest, à voix basse : « Tu m
aut que je parte... » On ne la maintient plus... Elle furète dans son lit , chasse les bêtes... arrange les oreillers. Puis,
e les bêtes... arrange les oreillers. Puis, se mettant debout sur son lit , elle se livre à quelques grandes gesticulations.
ercle, elle pousse de grands cris aigus.—Puis elle s'enfonce dans son lit , se contourne, et finit par se placer en arc de c
u à peu, prend un air désolé, puis rit, se couche, s'enfonce dans son lit et se tourne de côté et d'autre. Elle s'assied,
Il faudrait des chasseurs pour tirer dessus. » Elle cherche dans son lit , gratte: « Oh! oh !... que c'est drôle, ah! ah !.
e... je verrai Dieu... j'irai au ciel. » Elle regarde à droite de son lit : u J'ai un ange gardien, je le vois !... Oh ! qu
rands mouvements des pieds qui frappent violemment contre la barre du lit , et des accès de rage, pendant les-quels elle mor
s'arrête : c). « Oh! ces horreurs de bêtes!.. (Elle frappe sur son lit .) des crapauds! des hannetons ! des lézards! (Ell
s gens qui n'y croient pas! » — Elle regarde en bas, cherche dans son lit : « C'est de l'eau, ça! Je ne veux pas me mouille
nes avec la main, regardant en bas, penchée sur le bord gauche de son lit . On dirait que la scène se passe bien loin sous l
u. Elles durent ensemble 2 minutes. Ensuite Suzanne tourne dans son lit , cherche, furète... « Je te dis qu'il est là-dess
eiller. — Bientôt elle se redresse, et se penchant sur le bord de son lit , l'œil fixé à terre, elle est victime d'une hallu
ucination ne tarde pas à se montrer. On voit Su-zanne, assise sur son lit , diriger en haut un regard extatique : « Oh! c'es
ssion des parents, mais d'un sin~ gulier sommeil. Transportée sur son lit , ou étendue à terre sur un matelas, elle est rigi
a repris connaissance et qu'elle est bien tranquille couchée dans son lit , elle est tourmentée par des hallucinations qu'el
rribles se succèdent tour à tour. Voici quelques notes prises à son lit , lors d'une de ses grandes attaques, le 25 octobr
soulevant en arc de cercle et se laissant brusquement retomber sur le lit . Puis elle demeure immobile dans une attitude biz
e1. Un tableau plus riant succède à cette agitation. Assise sur son lit , les bras croisés sur ses jambes, elle contemple.
ude dont nous ne comprenons pas bien la signification. Assise sur son lit , elle croise les jambes, saisit son pied droit et
attitude que pré-cédemment. Attitudes passionnelles. Assise sur son lit , elle joint les mains en regar-dant le ciel, «la
attitude ne se pro-longe pas, elle se redresse et, accroupie sur son lit , rit aux éclats. — Mais la terreur survient avec
d'un petit tremblement. Peu à peu elle s'affaisse et re-tombe sur son lit . A peine étendue, les grands sauts commencent.
-elle. —Nouvelle attitude de terreur, elle lève le poing et frappe le lit : « Sale bête ! » — La connaissance revient tout
tourne tout à coup comme si quelqu'un venait de passer au pied de son lit : « Comme tu es belle!... tu es mariée aujourd'hu
'avons observé jusque-là. La malade se raidit en s'enfonçant dans son lit , le tronc s'incurve en arrière, les jambes à demi
un doigt sur sa bouche. — Elle se saisit la gorge et se roule sur son lit , en proie à une violente suffocation l. Le visage
araît préoccupée d'une vision qui se trouve en haut et en face de son lit , regardant tour à tour à droite et à gauche et ch
bitus latéral et les bras fixés derrière le dos. c.) Assise sur son lit , la malade semble interroger du regard un être in
, le visage lance de côté des regards furieux. — Elle regarde sur son lit , touche avec la main, se redresse, se baisse de n
e fait quelques signes de dénégation. —Elle regarde à gauche dans son lit , embrasse l'angle de son oreiller, rit, le caress
tinue comme si de rien n'était. — Elle regarde à côté d'elle dans son lit et, soulevant les draps, semble chercher quelque
ses se peignent sur son visage ; — elle regarde à côté d'elle sur son lit , semble fureter... Arrêt de l'attaque par la comp
e. Hallucinations et attitudes passionnelles. Elle est assise sur son lit et regarde attentivement à côté d'elle : « C'est
faut lui couper l'aile. » De nouveau elle abaisse ses regards sur son lit . Elle fait avec l'index le geste de prendre l'ois
s attaques. En effet, tout d'un coup elle s'agite, elle saute sur son lit , imitant avec sa bouche le bruit du chemin de fer
int que le tronc se soulève complètement pour retomber ensuite sur le lit , et la malade pousse des cris aigus et prolongés
nc est courbé en avant, les jambes étendues et soulevées au-dessus du lit , les bras étendus également et formant angle droi
un soulèvement brusque du bas- sin qui retombe avec violence sur le lit . A cette agitation succède un mo-ment de calme pe
flement bruyant. La malade ouvre les yeux, regarde à droite, dans son lit ; l'effroi se peint sursoit visage. Elle se retire
! les rats ! » Elle est ramassée en boule et regarde fixement sur son lit . 10 h. 17 m. La malade se renverse, la tête tou
ipitée. Sauts et cris. Stertor très court. La malade regarde dans son lit : « Oh! les queues de rats... oh! ma tante, les q
iron et les attaques ne reparaissent point. La malade est restée au lit tout le jour et a dormi. En résumé, nous voyons
nt l'agitation grandit. Bientôt la malade se débat, se roule dans son lit , tire les couvertures, se frappe le visage de ses
ds, elle la voit; elle est sous la table, au mur, à son côté, dans le lit : « Cache-moi... cache-moi !... dis à Hippolyte q
, et l'on est obligé de la maintenir pour qu'elle ne tombe pas de son lit . Puis elle demeure inerte, la respiration se régu
s cataleptiques 1 d'abord, puis épileptiformes. La malade est sur son lit , raide comme une barre de fer. La raideur est tel
mant que de fois à autre, durant le sommeil ou pendant qu'elle est au lit , on a pu voir la jambe ramenée en arrière en demi
ouche vingt-cinq jours avant son arrivée à Passy. Elle avait gardé le lit ou la chambre pendant quinze jours et tout sembla
de tète, constriction du pharynx. Elle avait le temps de descendre du lit afin de ne pas tomber pendant la crise. Une fois
pliquer des sangsues à la région pubienne. Cette émission sanguine ne lit que compliquer la situation, les crises se répétè
alors plusieurs personnes très vigoureuses pour la maintenir dans son lit . Elle n'avait point alors d'hallucinations, mais
itôt le docteur Fleury. A notre arrivée, la malade se tordait sur son lit , ramenant sur le bassin les membres inférieurs. C
t incurvé en arrière, et la tête et les pieds reposaient seuls sur le lit . Les yeux ouverts étaient en strabisme convergent
e som-nambulisme. A deux reprises différentes, après avoir été mis au lit , on le trouva levé, habillé, ayant allumé les bou
n hysté-rique qui depuis six mois ne lui permettait pas de quitter le lit . Cette jeune malade présentait les phénomènes s
alement l'attitude passionnelle. La malade était alors assise sur son lit , avançant les bras, appelant son frère; elle s'ag
rendu à la malade la liberté de ses mou-vements, on la fit sortir du lit . Je demandai de l'eau très froide, et celle d'un
connaissables. 24 juillet 1879. — Mademoiselle X... est confinée au lit depuis une quin-zaine de jours par une contractur
a chambre. Elle voit encore des souris grises qui s'approchent de son lit , et les entend chanter. Cette zoopsie est presque
nt l'esprit de la malade, cessent; la malade se laisse tomber sur son lit , comme accablée; elle ferme alors les yeux, gémit
out d'un coup, un cri strident est poussé, la tête qui portait sur le lit , par un mouvement rapide, vient re-trouver les ge
né, dit-elle, par la peur qu'elle eut d'une poupée placée près de son lit . Conduite à la Salpêtrière, elle y fut traitée pa
la nuit, cauchemar; elle croit voir une multitude d'hommes devant son lit , puis un serpent monstrueux; elle pousse des cris
e, imminence de suffocation, perte de connaissance; elle tombe de son lit , se roule à terre et se frappe violemment la tête
ents, la malade avait des mouvements convulsifs et bondissait sur son lit . Elle ne répondait pas quand on lui adressait la
sionnaires de Saint-Médard. Après plusieurs bonds très élevés sur son lit , elle jetait ses jambes en avant sur le bord' du
s élevés sur son lit, elle jetait ses jambes en avant sur le bord' du lit , comme si elle eût voulut tâter le terrain, et se
us cette influence, devinrent très violentes, la malade bondit de son lit sur le tapis, se roula en tous sens et se leva en
ui exprime la souffrance. Rien de ce qui se dit ou fait autour de son lit n'est perçu par elle à ce moment de l'attaque. U
vements, mais la malade s'arc-bouté de la tête et des pieds sur son lit , dont elle fait plier les barreaux de ferjpar un
uragée; elle vous prie instamment de renvoyer une femme qui est à son lit , avec un petitchien noir quiveutla mordre;cette f
oniques; par moments, la tête seule et les talons sont appuyés sur le lit , le sternum lentement et forte-ment projeté en av
ie, s'arrache les cheveux, fait des bonds qui la jette-raient hors du lit si on ne la retenait; ses membres sont agités de
malade, ouvrant les yeux démesurément, se jeta dans la ruelle de son lit comme sous l'empire d'une vision épouvantable : «
e ses attaques existaient, il n'était ar rivé à la malade d'uriner au lit . Les prodromes de l'accès consistaient en bâill
de spasme opis-thotonique, « la tête et les talons seuls touchent le lit » ; (Yaura distincte partant de l'ovaire gauche.
elles sont d'une autre sorte; par exemple le corps se dresse dans le lit et s'incline en avant, tandis que la tête est pro
es moments, est ca-pable de ployer ou de briser les tiges de fer d'un lit . » Briquet a signalé d'ailleurs, lui aussi, les
res bizarres, un vieux morceau de mi-roir, placé sur la planchette du lit , témoignaient suffisamment des occupations favori
ourbe lentement, de sorte que la tête et les talons seuls touchent le lit ; et il est si raide et si fortement incurvé en ar
on du pied qui, maintenu à angle droit sur la jambe, ne repose sur le lit que par le talon. § 2. — ACCÈS ÉPILEPTOÏDES INC
sément la preuve. 23marsl878. — A la visite du matin, Gen... est au lit , elle estde fort mau-vaise humeur, et répond par
on. A 5 heures du soir, voici ce que nous constatons. Gen... est au lit , elle a le côté gauche contracture; mais la contr
re contraclurée. A trois heures de l'après-midi nous la trouvons au lit et contraclurée ainsi qu'il suit : Les deux jam
mbres contractures dans l'exten-sion s'élèvent perpendiculairement au lit , ils s'entrecroisent souvent par une adduction fo
essayé, dans une planche au fraii (p. oii) de représenter l'aspect du lit de Ler.... lors de ses grandes attaques el le nom
x, elle est en quelque sorte le résumé des observations prises à leur lit , et peut être considérée comme l'expression la pl
série de mouvements rapides, produits pendant que la malade était au lit , le dos en extension forcée comme dans l'opisthot
ns l'opisthotonos; la tête et les talons seuls tou-chaient le plan du lit ; puis, quand les muscles se relâchaient subitemen
s se relâchaient subitement, les fesses retombaient avec force sur le lit . Ces contractions se répétèrent avec ra-pidité et
ement sur ses genoux ; puis elle saisit avec les mains le bord de son lit , comme pour en détacher un morceau, et ne pou-van
si terribles, que quatie honiiues eurent peine à la contenir sur son lit : cet accid^;nt dura quinze heures. Depuis ce j
x sont légèrement dirigés en haut, les mains jointes repo-sent sur le lit ; c'est raUitude de la prière: — tantôt, la léte e
En pareille circonstance, la ma-lade laisse retomber son corps sur le lit , relève sa chemise, écarte les cuisses; — ou bien
ma montre, il était quatre heures deux minutes. Elle était dans son lit , le visage parfaitement calme, l'œil fermé, la pa
t et qui eurent pour résultat de refouler les cou-vertures au pied du lit . Elle va se lever, me dit sa mère. En e/f'et, ave
a sur elle-même, et avec une allure irréprochable, s'étendit dans son lit et reprit son immobilité, pour recommencer quelqu
a description : « Berguille reste ainsi tranquille, étendue sur son lit , pendant tout le temps que nous l'examinons. Mais
rd de plus en plus vague. Elle dirige les yeux en haut sur le bois du lit . En ce moment le pouls a de 68 à 72 pulsations.
une sorte de ba-lancement d'un côté à l'autie et s'agenouille sur son lit : les mains restent jointes, les yeux toujours fi
geant douze fois de position et faisant ainsi à genoux le tour de son lit , tombant trois fois aux inter-valles voulus, le v
herchait quelque chose. » Enfin, à 6 h. 7 m., elle s'assied sur son lit , se tourne du côté de la che-minée qui est chargé
du soir, L... a crié et a été très agitée; on a du la fixer dans son lit . A 7 heures, elle est revenue à elle et a demandé
, lançait les bras et les jambes au hasard, ou bien se levait sur son lit et s'élançait en avant, les bras ouverts, vers un
es bras ouverts, vers un but imaginaire. Il fallut l'attacher sur son lit . Pendant ces attaques, nous essayâmes de nouvea
deux reprises, le malade se mit en arc de cercle, ne reposant sur le lit que par Vocciput et les talons. Par moments, le
deux ou trois personnes ne suffisaient pas pour le mainteuirdans son lit ), nous résolûmes de le faire entrer à Sainte-Anne
u l'appeler, chercher à l'attirer à soi, ou l'engagera se remettre au lit , il n'entend pas, résiste et échappe. Puis subi
gitation maniaque, exigeant l'emploi de la camisole. Attachée sur son lit , elle se démenait comme une véritable furie, pous
paraplégie hystérique des membres inférieurs. qui lui fit garder le lit pendant deux mois. Puis vint une amaurose; sa vue
ssinée. Elle croit avoir entendu un coup de pistolet tiré dessous son lit ; elle entre dans une violente colère, crie au sec
ance. Le matin, à la visite, nous trouvons la malade immobile sur son lit , les yeux fixes, le regard atone, sans raideur da
ses premières années, S... « se trouvait souvent mal; couchée sur un lit ou même par terre elle s'agitait violemment, serr
ivre ouvert en attirant son regard sur Tune des lignes. Aussitôt elle lit à l'endroit indiqué et n,e s'arrête qu'à la fin d
en retour-nant le livre; mais la lecture est encore possible, et elle lit à l'envers presque couramment. Elle ne s'arrête q
des paupières, la vue était conservée dans une certaine mesure. B... lit dans un livre, et sait très bien le remettre en s
une liématocèle probablement, et depuis six mois ne quittait pas son lit . Dès qu'elle était endormie, elle pouvait se leve
ée, on n'aurait pu^obtenir d'elle qu'elle se levât pour qu'on fit son lit . » (Du som-nambulisme provoqué, dans le Journal d
ses paupières, elle retombe dans l'automatisme que nous avons dit, et lit aussitôt pour ne s'ar-rêter que devant un obstacl
nts qui veulent la dévorer, de grosses écrevisses qui courent sur son lit , sur ses bras, sur sa poitrine; elle se réveille
du matin. Pendant cette longue attaque de sommeil, Del... a uriné au lit . On l'a changée de linge sans qu'elle se réveillâ
soir jusqu'au 5 août dix heures du matin. La malade n'a pas uriné au lit . 30 août, — Del... est prise d'une attaque de s
e; quand on la soulève, Del... retombe comme une masse inerte sur son lit , et garde la position que le hasard lui donne. Ce
emars, elle cherche à fuir en se tournant de côté et d'autre dans son lit et en se cachant la figure dans ses oreillers. Se
ressemblance. 3 septembre. — Del... s'endort tout d'un coup sur le lit d'une voisine à sept heures du soir; le sommeil d
a respiration calme et régulière, le pouls à 90. Elle tourne dans son lit , mais reste le plus sou-vent couchée sur le côté
t, nous commençâmes par bander les yeux de la malade qui reposait, au lit , dans le décubitus horizontal; comme, à ce moment
jours à vivre. En effet, le soir suivant, comme j'étais auprès de son lit , elle fait un mouvement, se relève, se jette sur
me la jugea morte, mais en conseillant toutefois delà laisser dans le lit . Pendant 28 heures, aucun changement; on croyait
res se ferment malgré elle. Elle bâille, et s'endort subitement. Au lit , la malade est dans le décubilus dorsal, le tronc
position dans laquelle on les a mis et retombent brus-quement sur le lit . Les jambes sont contracturées dans f extension,
Je viens de revoir ma malade, à mon entrée elle était assise sur son lit , se tenant la tête dans les deux mains et se plai
hystérique provoqué par le médecin. La malade est à genoux sur son lit , accroupie, la face entre les mains, poussant des
aines formes de l'aura epileptica. Ordinairement elle peut gagner son lit ; mais souvent aussi, cela lui est rendu impossibl
impunément abandonnée à elle-même sans craindre qu'elle tombe de son lit . Ces accès peuvent même se réduire à une simple a
que je dus au bout de quelques secondes faire retomber le bras sur le lit , » La malade n'eut que ce seul accès, elle guér
nstants les deux bras et les deux jambes levés perpendiculairement au lit , pour voir si elle maintiendra longtemps cette si
bile, le visage souriant, les bras diversement placés, assise sur son lit ou couchée. Elle est dans un état cataleptique se
d'ammo-niaque, qu'elle sentait à plus de 10 pieds de distance de son lit . Lorsqu'on l'approchait d'elle un peu plus près,
était alors assez plaisant de voir cette jeune fille assise dans son lit , le tronc immobile, la tête penchée, les yeux tou
musculaires avait été telle que le corps plié en arc reposait sur le lit par la tête et Vextrémité des^orteils, madame X..
ique; entrée le 29 mai 1873, à l'hôpital Cochiu, salle Saint-Jacques, lit n» 7. ... Au mois de janvier 1874^ on découvre
le menton s'appuyant sur le sternum, tout le corps n'appuyant sur le lit que par le sacrum. Elle est restée dans cette pos
plaignant d'un violent senti-ment de brûlure. Presque assise dans son lit , les yeux fixes et grands ouverts, elle décrit un
remonte dans sa chambre, se hâte de se dé-shabiller, de se mettre au lit , comme si elle avait le pressentiment que la cris
e aussi violent que le précédent. Elle se réveille, s'asseoit sur son lit , s'étonne de voir la domestique levée, de nous tr
lade et l'attitude qu'elle nous présentait; elle était assise sur soe lit , les yeux fixes, largement ouverts, les bras éten
'une période de catalepsie pour déshabiller la malade et la mettre au lit ; nous avions constaté son état cataleptique en la
onheur; elle éten-dit les bras, se souleva lentement, s'assit sur son lit , avança le corps et les bras dans la direction de
oi ! » » Elle ne revint pas à elle, et sembla vouloir sortir de son lit . Nous la lais-sâmes faire; elle s'habilla précipi
as retombèrent le long de sa poitrine, et je la ramenai ainsi sur son lit que j'avais fait mettre à terre. L'état catalepti
jour-née, M. le docteur M... lui avait fait prendre. A peine sur son lit , et comme je ne la touchais plus, son hallucinati
xes et extrêmement dilatées. A ce moment, elle est debout près de son lit . M. le docteur Puel, qui vient d'arriver, lui fai
ent à moi et ne s'arrête qu'à ma poitrine; du doigt jelui indique son lit , je puis même me dispenser de faire ce geste : el
nt conservé toute leur intégrité. Armandine H... se retourne dans son lit comme une personne qui rêve; la sensibilité, quel
ite de se trouver assise sur une chaise, à une grande distance de son lit . 2° Accès complexes. — Phénomènes hystériformes
visite du soir, elle se cacha et épia notre départ pour regagner son lit . Elle repousse notre proposition de se lever et
avec un air de satisfaction visible qu'elle est «' trop bien dans son lit pour en sortir » ; elle s'oppose également à ce q
te : elle croit toujours voir sa nour-rice en délire au chevet de son lit , s'endort difticilement, et est prise pen-dant la
récipitent dans sa chambre et le trouvent venant d'expirer dans son lit . — La jeune fille est prise d'une attaque d'hysté
ractère d'agitation tout particulier. Elle se remue, se tord dans son lit , jette ses couvertures, crie, pleure, chante. Peu
n M. Lasègue, est celui-ci. Pendant que sa mère est seule près de son lit , et que les autres personnes sont à côté dans une
at-taques de catalepsie qui la surprennent de temps en temps dans son lit . Ces attaques varient d'intensité et de durée,
interroger la malade, deux élèves de service se sont approchés de son lit , et, sans la prévenir, l'un d'eux lui a fermé les
lam tam produisent le même effet. (Voy. p. 360 et suiv.) malade au lit ; la faiblesse et le mal de tête l'y retenaient; l
lait parler à plusieurs de ses amies qui s'assemblaient autour de son lit ; ce qu'elle di-sait avait quelque suite avec ce q
, elle chanta, fit des éclats de rire et des efforts pour se tirer du lit , ce qu'elle fit en sautant et poussant des cris d
oussant des cris de joie. Je m'attendais à la voir heurter contre les lits voisins, mais elle enfila sa ruelle et tourna à p
s la salle, elle enfila de nouveau sa ruelle sans tâtonner, se mit au lit , se couvrit, et peu de temps après elle fut catal
tons, des singes, des serpents, etc., qui couraient sur les draps, le lit , les murailles. Les représentations d'animaux éta
poursuit des rats, des chats; harassé de fatigue, il se couche sur le lit vers deux heures du matin et dort pendant deux he
vec un long bec, des rats ; il y en avait au moins deux cents sous le lit qui mangeaient ses provisions. Dans lajournée, il
, diminuent un peu quand le malade, trop fatigué, obligé de garder le lit , s'affranchit pour quelque temps de sa déplorable
té et crie toute la nuit. Le matin, à la visite, on le trouve dans le lit , où il est maintenu par la camisole; il est pâle,
es engage ci fuir, à échapper au danger, se détourne, voit au pied du lit des rats, une araignée, voit des flammes, a peur,
s et lâches, tomberait à chaque pas. Pourtant il arrivait jusqu'à mon lit sans parler, et se couchait sur moi; c'était alor
e d'un de ces insectes qui était en mal d'enfant et avait choisi pour lit de douleur le troisième cheveu à gauche de mon fr
le ^ : La tête et le tronc se portent en arrière et vont toucher le lit et l'oreiller; en même temps : 1° le bras se coll
cuisse sur le bassin, et la plante du pied tout entière frotte sur le lit . (Fig. 100)» Ceci constitue, pour ainsi dire, u
t plus ou moins menacées. De plus, elles peuvent se tourner dans leur lit , se coucher sur le côté, se soulever pour qu'on l
ns \Histoire de VAcadémie roijale des sciences, année 1752, p. 73, on lit qu'un garçon apothicaire, se trouvant à côté d'un
nnains pour danser... Puis il prit la forme d'un chien, se lançant au lit d'une soupçonnée coupable du péché qu'ils nomment
més qui effrayaient les moinesses. « Une religieuse couchée dans un lit voisin de celui de Gertrude tomba la pre-mière da
aient ceux qui la gardaient. Le père F. Bdlet, s'en prenant garde, la lit retourner ; mais après, s'étant endormi, ds la vo
dit spectre se tut et demeura quel-que temps pleurant au pied de son lit . Enfin la dite fille épouvantée et le dit spectre
it spectre, elle appelle une fille pensionnaire qui était en un autre lit proche du sien ; se lèvent toutes deux et en même
que toutes les autres rebgieuses, elle a vu souvent approcher de son lit , comme elle lui a déclaré lorsqu'eUe a été confro
rait que toutes ces choses n'étaient que feintes et que malices. Elle lit encore les mêmes déclarations deux jours après, s
les grandes séries d'attaques hys-tériques. « Pendant que le frère lit la formule des adjurations contenues dans le form
entaient par instants les signes de l'extase et de la cata-lepsie. On lit dans l'ouvrage de la Ménarday : « Un autre jour e
secousses de tout le corps, de chutes, de perte des sens, etc.. On lit dans la notice qui traite des événements de Louvi
ement importunée, que j'allai au parloir, là où le père confesseur me lit voir clairement que c'était le diable qui m'avait
avoir longuement contesté et dit qu'elle n'y rentrerait pas, elle le lit pourtant et rentra par le même passage, el aussit
puis plus de quatre ans, et elle se trouva en état découcher dans son lit comme une autre personne. » Le 19 juillet l'œdè
ville, ancien démonstrateur en anatomie et prévostdes chirurgiens, on lit ce qui suit : «... Nous certifions d'abondant q
aussi bien que les extrémités, se roulant de toutes les façons sur le lit , sur lequel elle ne pouvait qu'avec beaucoup de p
e et les deux bras ont frappé violemment et avec précipitation sur le lit oii elle était étendue. Tous ces mouvements diffé
tation cérébrale alarmante. On se décide à la faire mettre dans son lit ; elle se prend à réciter des prières qui sont trè
el temps la dame Thévenet devint encore plus furieuse; elle sortit du lit et se mit à sauter s'éievant à peu près jusqu'à l
3. Dom Lataste, t. I, p. 651. 4. Ibid. p. 652. et sauter de son lit de plus de trois pieds de haut. » Le prêtre ayant
aris, deux paquets de terre de son tombeau, un morceau de bois de son lit , qu'on jeia au feu; puis elle fit profession de f
eulement, la tête de la croix posant sur le plancher. En cet état, on lit la passion de l'évangile saint Jean au lieu de ps
d, la voix, les gestes 1. Jotin Chapman, lac. cit., p. 32. 2. The lits tory (iml pionrttienl characterisiics of the prés
e malade ne pouvait se tenir assis sur une chaise, ni rester dans son lit . Tout ce (jui affectait d'une manière désagréab
joie la plus vive, semblable à un ange glorieux, touchant à peine son lit de la pointe des pieds, éclatante comme une rose,
elle est la plus grande partie du jour, à genoux à l'extrémité de son lit , et en extase. Les mains, croisées sur sa poitrin
ssort de tous les traits de cette femme. Elle est là à genoux sur son lit , les mains croisées contre la poitrine. Autour d'
exercices de piété l'enlèvent à tous les soins de la famille. De son lit , elle dirige le ménage dont elle richer. 46 p
antage d'être portatif et de ne point condamner la malade à garder le lit pendant tout le temps de l'application. (( Le d
3 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
l'Administration de l'Assistance publique; 2° afin de procurer des lits à des enfants inscrits depuis longtemps à l'Adm
médier au premier inconvénient, c'est-à-dire à l'insuffisance des lits , nous proposâmes de transformer en dortoirs les l
le gymnase, 53 (voirie Plan); cette modifica- tion, qui donnait 40 lits , soit au total 160, parut juste à M. Thulié, qu
ns. Sur ce terrain s'élèverait un bâtiment destiné à conte- nir 160 lits d'enfants, 16 lits d'infirmerie et 8 lits pour l'
s'élèverait un bâtiment destiné à conte- nir 160 lits d'enfants, 16 lits d'infirmerie et 8 lits pour l'isole- ment des a
destiné à conte- nir 160 lits d'enfants, 16 lits d'infirmerie et 8 lits pour l'isole- ment des affections contagieuses.
8 lits pour l'isole- ment des affections contagieuses. Ce nombre de lits serait parfaitement suffisantpour le traitement
issons en deux divisions : la Division des grands (13 à 17 ans), 80 lits ; 2° Division des petits(4 à 13 ans), 80 lits.
nds (13 à 17 ans), 80 lits ; 2° Division des petits(4 à 13 ans), 80 lits . Nous établissons dans chaque division deux sec
ueillis dans une infirmerie commune composée de deux salles de huit lits . En outre, une salle d'isolement de huit lits s
e deux salles de huit lits. En outre, une salle d'isolement de huit lits serait spéoialement affectée au traitement d'af
ébarras. Dans les ailes de ce rez-de-chaussée deux dor- toirs de 10 lits chacun pour la division des grands et deux dort
s et deux dortoirs de 10 chacun pour la division des petits. Ces 40 lits placés à ce rez-de-chaussée seraient destinés a
oirs des infirmières de jour et de nuit; l'infirmerie contiendra 16 lits ('2). Dans les ailes de ce premier étage, deux
lits ('2). Dans les ailes de ce premier étage, deux dortoirs de 10 lits chacun pour la division des petits. 3° Au deu
gasins. Les deux chambres d'isolement contiendront cha- cune quatre lits . Dans les ailes du deuxième étage, deux dor- to
. Dans les ailes du deuxième étage, deux dor- toirs ayant chacun 10 lits pour la division des grands et deux dortoirs ay
0 lits pour la division des grands et deux dortoirs ayant chacun 10 lits pour la division des petits. 4° Au troisième ét
s chambres pour les serviteurs. Dans les ailes, deux dortoirs de 10 lits chacun pour la division des grands et deux dort
e 10 lits chacun pour la division des grands et deux dortoirs de 10 lits chacun pour la division des petits. Les 40 lits
deux dortoirs de 10 lits chacun pour la division des petits. Les 40 lits de ce troisième étage ne seraient utilisés qu'e
cos généraux; les ailes, aux divi- sions des enfants. Le nombre des lits pour la division des grands serait de- 80; la d
ds serait de- 80; la division des petits compterait égale-. ment 80 lits ; l'infirmerie générale, 16 lits, et les chambres
s petits compterait égale-. ment 80 lits; l'infirmerie générale, 16 lits , et les chambres d'isolement, 8 lits ; soit au
its; l'infirmerie générale, 16 lits, et les chambres d'isolement, 8 lits ; soit au total -1Si lits. En face le bâtiment
, 16 lits, et les chambres d'isolement, 8 lits ; soit au total -1Si lits . En face le bâtiment principal, dont je viens d
al aux jeunes garçons idiots et épileptiques. Il aurait contenu 180 lits (2). Vous avez donné un avis favorable à cette cr
lement agran- die, car il no s'agit plus d'un simplo service de 180 lits , mais bien de la création d'un véritable hôpita
bien de la création d'un véritable hôpital spécial, contenant 47G lits , coûtant 2,800,000 francs, sans le mobilier qui n
el des idiots et épileptiques. Les dortoirs sont insu(. suants; les lits y sont les uns sur les autres; les escaliers sont
étroite et basse de plafond; elle contient un trop grand nombre de lits pour la nature do ceux qui les occupent ; presq
) Presque autant d'erreurs que d'assertions. (2) Non, mais 100; les lits d'infirmerie ne doivent pas être compris (Voir
a au moins quadruplé .cette dépense pour grossir le total. Pour 200 lits , la dépense s'éiève à 75.000 fr.. ? ? CRITIQU
e impossible de les rendre à la santé. Et pourtant, si le nombre de lits était plus considérable, ces malheureux enfants
diots et épileptiques ? Assurément non; l'augmentation du nombre do lits ne nous rendra pas un citoyen français utilisab
ne vont pas à l'école. Il serait possible d'augmenter le nombre des lits dans une certaine proportion. En 1877, 95 enfants
étaient logés dans les bâtiments de ce quartier ; en conservant 40 lits , ce qui rendrait possible de porter la population
endraient vacantes, et, tout en augmentant, s'il en est besoin, les lits d'adultes, on parviendrait à avoir une section
erait à ce résultat avantageux que, tout en diminuant le nombre des lits dans les dortoirs actuels des adultes, il restera
re des lits dans les dortoirs actuels des adultes, il resterait des lits où l'on pourrait transporter les quatre-vingt-u
rouvent dans la 1 re et dans la 2° section, lesquelles auraient des lits rendus à l'usage des aliénés. 2° La Salpêtrière
es. Quant à la dernière, elle exige quelques explications. Tous les lits sont actuellement occu- pés. Ils s'ensuit que d
dultes; de là, un premier motif en faveur d'un plus grand nombre de lits d'enfants. D'un autre côté, conformément au voe
abandonnés dans l'ancien quartier pour y installer une vingtaine de lits jusqu'à l'édification du nouveau pavillon. Cette
le do réunion. Grâce à ces transformations, vous aurez au moins 200 lits d'adultes au lieu de 140, ce qui permettra de p
qui donnerait cent URGENCE D UNE RÉFORME RADICALE. XLIII soixante lits , quarante de plus que ne le comportait le projet
que... « Le bâtiment qu'il s'agirait de construire contiendrait 160 lits d'enfants de 4 à 17 ans, 16 lits d'infirmerie e
ait de construire contiendrait 160 lits d'enfants de 4 à 17 ans, 16 lits d'infirmerie et 8 lits pour les cham- bres d'is
endrait 160 lits d'enfants de 4 à 17 ans, 16 lits d'infirmerie et 8 lits pour les cham- bres d'isolement. Actuellement,
ution de ce projet permettrait donc d'augmenter de 35 le nombre des lits et de diminuer d'autant le chiffre des transferts
diminuer d'autant le chiffre des transferts en province. « Les 40 lits placés au rez-de-chaussée seraient destinés aux e
lesquels l'ascension d'un escalier constitue un danger (1). Les 40 lits du troisième étage ne seraient utilisés qu'en c
lessures ou des fractures parfois mortelles. Enfin, le nombre des lits qu'il était possible d'installer dans la future
ssistance publique nous convainquaient que le chiffre do deux cents lits indiqué par vous serait lui-même insuffisant.
mposera seulement d'un rez-de-chaussée renfermant deux salles de 20 lits . Les lits, rangés à gauche et à droite de la sa
ulement d'un rez-de-chaussée renfermant deux salles de 20 lits. Les lits , rangés à gauche et à droite de la salle, seron
ont séparés par autant de fenêtres ; les trumeaux correspondant aux lits auront au moins un mètre, la largeur des dortoi
s par l'Ad- ministration. Service des gâteux. Il Il contiendra 48 lits , en deux salles, ayant au moins 8 mètres de lar
ètres de largeur ; le plafond sera élevé ; le cube d'air par chaque lit devra être de 50 à GO m. c. Chaque lit sera sép
; le cube d'air par chaque lit devra être de 50 à GO m. c. Chaque lit sera séparé du voisin par une fenêtre. A chaque e
chaleur et assainir les salles (Plan, 103). - Elle contiendra 24 lits en deux salles qui au- ront 7 à 8 mètres de lar
arlatine, teignes, ophtalmies, diphtéries, etc.). Il contiendra III lits : 10 dans deux salles de 5 lits, 6 dans des chamb
iphtéries, etc.). Il contiendra III lits : 10 dans deux salles de 5 lits , 6 dans des chambres d'un lit. Ces chambres ser
III lits : 10 dans deux salles de 5 lits, 6 dans des chambres d'un lit . Ces chambres seront fermées au moyen de cloisons
el des idiots et épileptiques. Les dortoirs sont insuffisants ; les lits y sont les uns sur les autres ; les escaliers son
étroite et basse de plafond ; elle contient un très grand nombre de lits pour la nature de ceux qui les occupent : presq
ants, sur la lon- gue expectation des scrofuleux avant d'obtenir un lit , ce que vous connaissez de longue date puisque,
ux occupés aujourd'hui parles enfants, ce qui donnera près de cents lits aux adultes (en plus de ceux qu'ils occupent) e
a construction de deux nouveaux pavil- lons à usage de dortoirs (40 lits chacun), et, s'il y avait lieu, du quartier des
ion, à l'emplacement indiqué, de deux nouveaux dortoirs de quarante lits , avec quatre galeries qui les relieraient aux b
l est obligé de rece- voir les enfants et, après avoir installé des lits supplémen- taires dans les dortoirs au point de
ns les dortoirs au point de ne laisser aucun inter- valle entre les lits , il a fallu en installer chaque soir dans les c
ents, celui des réfectoires, afin d'y installer pro- visoirement 40 lits pour dégager le Bureau d'admission. Toutefois,
tance publique de mettre le plus vite possible à sa disposition des lits dans l'un des bâtiments de la nou- velle sectio
Bicêtre, où il n'y avait plus alors que les carreaux à poser et des lits à y placer. Actuellement le gros oeuvre de plusie
onner , par les ateliers d'enfants de Bicêtre, un certain nombre de lits de sangle, des tables sco- laires, etc. Il dema
x de journée, 11 2 fr. 55, prix de revient selon lui, les cinquante lits occasionneraient pour le 2" semestre de 1884, u
ion avait réclamé l'installation provisoire d'une cinquan- taine de lits , afin de débarrasser le Bureau d'admission. Cet
un mois, de s'occuper du devis nécessité pour l'installation de 50 lits provisoires et si, il y a une huitaine de jours
répondu qu'ILS n'avaient reçu aucun ordre pour l'installation DE LITS DANS LE BATIMENT DES RÉFECTOIRES, ni il J a lL7z
n'avaient pas été tenus et réclamant de nouveau l'installation des lits . M. le Préfet fut d'avis que, avant de l'expédi
da s'il avait enfin reçu l'ordre de procéder à l'installa- tion des lits . M. le Directeur de l'hospice, à son grand regr
orce ce qu'on aurait dû accomplir dès le début de bonne grâce : les lits provisoires étaient placés et le Bureau d'admis
: bien et bon marché. réponse DE M. G. robinet. LXXIII moitié des lits de l'ancien Hôtel-Dieu. Ne votez donc d'allocatio
pelé M. Robinet, que les dé- penses totales de la section, pour 400 lits , sont évaluées à 2,880,000 fr. ; que les crédit
ice balnéo-hydrothérapique, les classes, huit dortoirs de chacun 20 lits , le bâtiment des gâteux {80 lits), l'infirmerie
lasses, huit dortoirs de chacun 20 lits, le bâtiment des gâteux {80 lits ), l'infirmerie (24 lits). Pour compléter le servi
chacun 20 lits, le bâtiment des gâteux {80 lits), l'infirmerie (24 lits ). Pour compléter le service, qui doit avoir 400
infirmerie (24 lits). Pour compléter le service, qui doit avoir 400 lits , il reste à voter un crédit de 1.318.000 fr., d
a congestion cérébrale» ; durée : trois mois. Lorsqu'il a quitté le lit , « toitt le cOté gauche était en paralysie » ;
d que, depuis l'application du bracelet, il peut s'étendre dans son lit , ce qu'il n'aurait pu faire auparavant; il ajou
s jusqu'à 10 grammes. 4 juillet. A fait assez de progrès à l'école; lit demi-couram- ment ; est plus intelligent. Gymna
au plus. Il a parlé vers quinze mois; - a presque toujours uriné au lit jusqu'à onze ans;-il il allait à l'école du pay
grosseur d'une noix. Masturbation moins fréquente. 44 DU CURARE lit ; la face pâlit très peu, la tête s'incline à gauc
e très rouge; à 7 heures il s'est mis à pleurer, puis s'est levé du lit , se figurant qu'on lui di- DANS L'ÉPILEPSIE. 45
; 1 Les enfants agités sont laissés confondus dans un dortoir de 50 lits servant d'infirmerie,' de réfectoire, de salle
nt, il est purement expectant. Le séjour il la chambre, le repos au lit , une diète légère, telles sont les précautions
ants, le bras droit s'élève automatiquement; on le re- place sur le lit mais il ne tarde pas à s'élever de nouveau. Les
ils s'arrêtent un instant et se maintiennent avant d'arriver sur le lit ; la tonicité musculaire est mieux conservée à d
sion des INSTINCTS. nuit; le matin, on le trouvait endormi sous son lit ; il a conservé cette habitude jusqu'à 16 ans. P
matin, il jette uncri; sa mère accourt, le trouve immobile dans son lit , les yeux ouverts, le corps et les membres soup
ne remarqua ni écume, ni sang; on ne sait s'il avait uriné dans son lit . Après cette crise, forte céphalalgie et courba
ang sur son oreiller, et, plus rarement, des traces d'urine dans le lit ou dans le pantalon. Depuis longtemps déjà, il
déjà, il avait des frayeurs nocturnes, criait, se couchait sous son lit . Souvent, il souffrait de la tête, « il lui sem
aient, et lorsqu'on lui demandait pourquoi il se cachait sous son lit il disait : «Je crois voir des hommes, des bêtes
qu'on lui raconte. Pas de morsure à la lan- gue, ni d'urine dans le lit . Il n'eut pas d'autres attaques à Sainte-Anne;
novembre 1882, il s'est réveillé en sursaut, s'est as- sis sur son lit , agitant les bras, disant : « D'quoi qu'tu te t
nuit dernière, S... s'est réveillé 4 ou 5 fois; il s'assied sur son lit , gesticule, prononce quelques paroles très vive
. 18 décembre. Hier, vers 9 heures du soir, S... est sorti de son lit , s'est mis à tâtonner, paraissant chercher quel-
ressemble à de la simulation. 30 décembre. S... se glisse sous les lits et essaie d'ef- frayer ses camarades. Il se lai
, il fut jugé le 15 octobre et con- damné à G mois de prison, qu'il lit à la Santé (6 décem- bre 1879-6 juin 1880). L
arc de cercle durant trois ou quatre secondes, et est tombé sur son lit . Puis on lui a fait boire un peu de vin et il a
4 (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877
ans et demi, elle ressemblait à une petite vieille, pissait encore au lit et commençait à peine à parler et à marcher. A pa
es, et qui reposaient d'abord sur le tronc, se soulèvent au-dessus du lit . Les membres inférieurs sont rigides et dans l'ex
voit des brigands, des voleurs, etc. Ensuite, elle s'asseoit sur son lit , se lamente, se plaint de ne plus voir clair, inc
place un coussin pour qu'elle ne se blesse pas, elle retombe sur son lit et, à diverses reprises, elle fléchit et étend br
vaginale est de 38°, 1. On relève la malade et on la couche sur son lit et dès qu'elle y est placée, elle se rendort. Un
ux pré-i cédents consiste en ce que G. [ s'asseoitbrusquementsurson i lit , et rejette non moins brusquement le tronc en arr
un quart d'heure, elle se lève et demande à aller se coucher dans son lit . On l'y conduit en la soutenant des deux côtés. A
lesquelles nous reviendrons, continue tant que G. n'est pas dans son lit . Bientôt, les attaques se reproduisent, et, à mai
lle a refusé de prendre quoi que ce soit. Elle a quitté deux fois son lit et est allée se promener en chemise dans la cour.
mener en chemise dans la cour. D'ordinaire, elle est blottie dans son lit et divague. Les spasmes des muscles du cou et du
e mouvement, saute partout, danse, se tient debout sur le pied de son lit , cherche à embrasser, lève ses jupes, et, durant
avec plus d'excitation et peu après a vomi. Quand elle s'est mise au lit , elle avait le libre exercice de ses membres. Auj
me. 4 mars. — Plusieurs attaques. Tout d'un coup, elle saute de son lit et se précipite en chemise jusqu'au parloir. S ma
puisse manger. Bientôt, elle s'excite, descend précipitamment de son lit , et court grimper sur le toit d'un bâtiment où tr
tenant sa chemise sur son bras. Elle 's'est laissée ramener dans' son lit sans difficulté. 7-10 mars. — G. mange peu, ne
ranchi le seuil de la porte de la salle que Geneviève, assise sur son lit , en fureur, réclamait impérieusement à manger : c
. crever de faim », répétant des expressions prononcées à côté de son lit , il y a quelques jours et qui l'ont mortifiée. —
ve brusquement le tronc, qu'elle rejette non moins brusquement sur le lit et exécute, plusieurs fois, avec rapidité les gra
le visage se convulsé d'une façon horrible; puis, G... roule dans son lit de gauche à droite et de droite à gauche ; les ch
us n'avons pas consignées jusqu'ici. G... est à demi-assise sur son lit , le tronc reposant sur les oreillers ; les cheveu
x sont légèrement dirigés en haut, les mains jointes, reposent sur le lit ; c'est Y attitude de la prière (Pl. XXII); — tant
En pareille circonstance, la malade laisse retomber son corps sur le lit , relève sa chemise, écarte les cuisses ; — ou bie
re hallucinatoire. Tandis que les infirmières la conduisaient à son lit , en la tenant sous les bras, elle s'écrie : « Mai
ou refuse de parler; actuellement, elle est couchée dans la ruelle du lit , la face tournée vers le mur. Sous l'influence de
l'air quand je suis en terre. • passé plusieurs fois à côté de son lit — durant son délire erotique — elle ne leur a pas
trêmement prononcée. G... s'est mise à bavarder, s'est assise sur son lit , puis elle s'est levée, voulant embrasser l'un ou
tronc, avec soulèvement des épaules qui, pourtant, ne quittent pasie lit . Ace moment, G... pousse un cri aigu, très-perç
i le tronc qu'elle rabat en arrière; frappe l'oreiller de sa tète, le lit de sa jambe gauche. En même temps, il s'écoule de
membre inférieur gauche, y compris le pied, est soulevé au-dessus du lit . G... conserve cette position durant une trentain
devient lubrique. On la recouche, elle s'assied, puis retombe sur son lit ; bientôt la rigidité reparait. Vers onze heures
eu des attaques avortées,avec écume; tantôt elle était assise sur son lit , tantôt couchée. La porte de sa cellule ayant été
pelle. » Elle parle à voix basse, embrasse sa main, se couche sur son lit , se découvre, écarte les jambes, murmure des paro
allonné. Cette attitude a persisté dix minutes. G... s'assied sur son lit , regarde dans sa chemise, saute, crie : « Les vip
enverse par terre. Elle se redresse, demande son jupon, monte sur son lit , ferme violemment le contrevent de la fenêtre, ré
et que ses visiteurs s'enfuient dès qu'on fait du bruit auprès de son lit . 6 septembre. — Hier soir, à sept heures et dem
la région hyperesthésiée contre un corps quelconque, les pieds de son lit , le mur, etc., les effets sont les mêmes. L'appro
de de la prière(PL. XXII) ; d'autres fois, elle se met debout sur son lit , n'appuyant qu'un seul pied, étendant l'un des br
r son bras proche de la poutre du planch -r, sans qu'elle touchât son lit que d'un pié.....» [Cruels effets, etc., p. 54.)
Elle porte presque toujours un scapulaire, a des images religieuses, lit des prières, limitation, etc. surabondamment so
urne n'aime pas le bruit, il s'enfuit dès que quelqu'un s'approche du lit . Le matin qui succède aces nuits amoureuses, Ge
que toutes les autres religieuses elle a vu souvent approcher de son lit , comme elle lui a déclaré, lorsqu'elle lui a été
ns à un incube, d'avoir reçu les caresses de ce démon jusque clans le lit conjugal, aux côtés mêmes de son époux. On l'ente
ser les hommes, essayait de se mettre toute nue et de courir sous les lits parce que des voix le lui commandaient ; elle vou
adie nerveuse]. Pas de consanguinité. Des sept enfants du premier lit , il ne reste que Célina. Les autres sont morts en
nourrice, quelques-uns des convulsions. — Des huit enfants du second lit , deux sont vivants et ont une bonne santé ; deux
les carreaux des fenêtres, criait à l'assassin, etc. Elle pissait au lit presque toutes les nuits et s'amusait avec une de
et s'amusait avec une de ses compagnes qui, la nuit, rapprochait son lit du sien. Un jour, les religieuses se lassèrent; l
Puis, la partie supérieure du corps et la tête frappent violemment le lit . Après un court moment de repos, M... pousse tr
uit par des visions effrayantes : elle a vu la lune se lever sous son lit , des chats circuler dans la salle et elle s'est l
e droite ; quelquefois, la jambe gauche se met perpendiculairement au lit , ou bien elle se lève et s'abaisse alternativemen
t d'un coup et laisse retomber brusquement la tète et le tronc sur le lit qu'elle ébranle ; ces mouvements, entre lesquels
ête et le tronc qu'elle laisse retomber brusquement, battant ainsi le lit avec une violence extrême. Chaque fois que le tro
it avec une violence extrême. Chaque fois que le tronc retombe sur le lit , le bassin est projeté en avant et la malade ne r
e intensité : tantôt Célina est accroupie à « quatre pattes » sur son lit , tantôt elle se tortille, ne sachant quelle posit
récipices ; elle se réveille en sursaut et saisit les barreaux de son lit pour se retenir; ou bien elle voit des montagnes
s, puis elle fait des grimaces affreuses. Enfin, elle retombe sur son lit qu'elle bat rapidement en soulevant et laissant r
montrent les Planches XXX et XXXII, a ramené le tronc vers le haut du lit et tient sa tète légèrement élevée. Dans un autre
lui fait quotidiennement des injections sous-cutanées. Elle garde le lit à peu près toute la journée et se plaint toujours
rs 6 heures du soir, la malade étant couchée voulut s'asseoir sur son lit . Dans le mouvement qu'elle fit, elle sentit « que
ouvements du ventre; les jambes s'infléchissent, M... retombe sur son lit et exécute de nouveau des mouvements cloniques.
es. D'un mouvement rapide, elle porte le corps sur le côté droit du lit , la tête repose sur l'oreiller; la face se conges
ite s'applique contre l'oreiller, la face se dirige vers la droite du lit , la malade présente les fesses, qui sont élevées,
sa physionomie. Tout-' à coup, elle replace le corps sur le milieu du lit , le soulève un peu et, avec la main droite, exécu
epos de 3 ou 4 minutes. M... s'assied à demi vers le bord gauche du lit , le corps étant incliné vers la droite, la face,
liens qui maintiennent: 1° les épaules (et vont se fixer à la tête du lit ) ; 2° les hras, la poitrine (et vont s'attacher a
e du lit) ; 2° les hras, la poitrine (et vont s'attacher aux pieds du lit ). De plus, le tronc est maintenu par des bandes t
tenu par des bandes transversales, attachées aux parties latérales du lit , et les pieds par des liens fixés aux barreaux vo
ales du lit, et les pieds par des liens fixés aux barreaux voisins du lit . Malgré la solidité de cet appareil, les malades
t, pousse des : Oh ! là là ! porte brutalement, sur le bord gauche du lit , le corps qui est en quelque sorte ramassé sur lu
uence des inhalations d'éther. Elle est assise par terre, auprès d'un lit , dans une espèce d'état cataleptique. La figure e
r sa poitrine)... Ça se passe en pleurant... (Regarde dans le coin du lit , sanglotte)... Ça ne me fait pas de mal... (Embra
là,...au cœur...Ce petit était si drôle!.. (Elle embrasse le pied du lit , pleure). Oh ! mon Dieu ! si j'avais encore de l'
pas qu'on me voie. » (Elle se blottit dans la ruelle que sépare deux lits voisins.Elle fait des grimaces, sourit, fait sign
tenant... Cependant, je ne fais pas de mal... » Elle regarde sous son lit : « Il y a des pieds sous mon lit... des pieds d'
s de mal... » Elle regarde sous son lit : « Il y a des pieds sous mon lit ... des pieds d'Ernest!... Il me tenait dans ses b
gaz... on faisait brûler le punch. » Alors, elle revient aux pieds du lit , pleure : « C'est embêtant !» Elle prend ses bott
le monde va le savoir. » Elle était debout, elle va se cacher sous un lit . Nous la retirons ; elle se laisse manier comme u
in droite appuyée sur la poitrine; frotte ses jambes, s'appuie sur un lit , saute. Elle tombe dans des idées tristes, se pla
it, exécute des mouvements de ventre ; puis, elle s'accroupit sur son lit , prend une des images attachées à sa pancarte (1)
nies les épileptiques et les hystériques, on reconnaît facilement les lits de celles-ci : leur pancarte est enjolivée de heu
saute malgré elle ; il y a quelque temps, elle a fait un bond de son lit et elle est tombée par terre. Enfin, elle a des c
., il y a quelquefois une distance de plus de 50 centimètres entre le lit et le sommet de la concavité formée par le dos. A
; «Ernest! Ernest !.. viens donc ! » elle retombait subitement sur le lit , prête à le recevoir. Nous avons indiqué (p. 12
5 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et qui comptait en outre cinq oncles et tantes ayant tous pissé au lit dans leur enfance. Dans notre observation IV ci
g- dales hypertrophiées et tous les adénoïdiens ne pissent pas au lit . Chez ceux qui le font, il ne s'agit vraisemblabl
continence, si réellement quelques enfants continuent t à pisser au lit après la troisième année par simple paresse céré-
ation les causes de l'incontinence. Pour lui les rêveurs pissent au lit par suite d'un rêve de miction et les dormeurs
res. Il est évident, dit cet auteur, qu'un jeune sujet qui pisse au lit , a 1 Erhardt. De la polyurie hystérique. Thèse
e. Si, en effet, le plus grand nombre des inconti- nents pissent au lit depuis leur enfance, il en est un certain nombr
rative dont la formule doit varier selon les cas : ne pas pisser au lit , sentir le besoin et se réveiller aussitôt; s'é
ée pour uriner; penser en s'en- dormant qu'il ne faut pas uriner au lit . Au besoin, comme le conseille M. Bérillon on p
, très émotif, portant au cou des ganglions volumineux. Il urine au lit depuis la première en- fance ; n'a jamais eu de
profond avec oubli au réveil. Suggestion : « Il ne pissera plus au lit ; sentira toujours quand il aura besoin et se ré
ents), souffrant beaucoup de l'estomac. Elle a commencé à uriner au lit à partir de sept ans, à la suite d'une fièvre muq
estion un mieux notable se produit. 18 juin z Elle n'a pas uriné au lit depuis trois semaines. 4 juillet.- Elle a eu un
urs et une autre la nuit dernièie. Suggestion : « Ne plus pisser au lit . Cette séance n'est suivie d'aucun succès et pour
sez chétives dont une recueillie dans un orphelinat, pisse aussi au lit . Enfant assez développé, strabique : d'une bonne
ituelle; n'ayant eu ni convulsions, ni maladies graves, il pisse au lit depuis sa naissance. 10 novembre 1892. Endormi
du regard; attitudes calaleptoïdes. Suggestion : Ne plus piaser au lit , sentir le besoin d'uriner et se réveiller aussit
ion- nelle : < Penser en s'endormanl qu'il ne faut pas pisser au lit . » Le traitement est continué pendant les mois
r la fatigue, il se couchait à l'aube, aussitôt il pissait dans son lit . Rien que guéri, il a tou- TRAITEMENT DE L'INCO
aucune maladie grave. Sommeil agité; il rêve beaucoup. Il pisse au lit depuis deux ans. Au commencement il y avait que
uggestive, mouvements automatiques; suggestion de ne plus pisser au lit , de retenir son urine, de sentir le besoin et d
onze ans (frère du sujet de l'observation précédente). Il pisse au lit depuis un an. 10 décembre 1893. Endormi par la
gestive. Mouvements auto- matiques. Suggestion de ne plus pisser au lit , de se réveiller et de se lever. 17. Aucun ré
e n'a pas eu de convulsions, n'a fait aucune maladie. Elle pisse au lit depuis sa naissance, et toutes les nuits à de r
Enfant chétive, d'un tempérament lymphatique marqué. Elle urine au lit depuis quelques mois seulement et d'une façon irr
i- tiques, aucune tare dans la famille. Cet enfant qui n'urinait au lit que de temps en temps, surtout l'hiver, pisse m
toute tenta- tive d'hypnotisation. Suggestion : * Ne plus pisser au lit , etc. » 13. - Toutes les nuits sèches depuis le
ne me four- nit aucun renseignement tuile. La jeune fille urine au lit depuis la naissance, mais ce n'est qu'à partir
rrivait que de temps en temps; à partir de ce moment, elle pisse au lit continuellement. Quelle que soit l'heure où on
e procédé habituel; hypnose légère. Suggestion de ne plus pisser au lit , de sentir le besoin et de se réveiller aussitô
de treize ans. Père normal; mère lymphatique; tante ayant pissé au lit jusqu'à quinze ans. Ça lui arrivait toutes les
gité, inquiet; il fallait la faire lever, sans quoi elle pissait au lit . Beaucoup de rêves, de cauchemars. De temps en
Beaucoup de rêves, de cauchemars. De temps en temps elle pissait au lit malgré les pré- cautions. Il y a six mois son p
dont elle a été vivement émue. A partir de ce moment elle pisse au lit plusieurs fois par semaine. Ça lui TRAITEMENT D
et elle se réveillait à chaque instant dans la crainte de pisser au lit . Elle ne reviendra qu'une fois par semaine. ,
avril 1894. Depuis près de cinq mois l'enfant n'avait pas uriné au lit et on la considérait comme guérie, mais la semain
aine dernière ayant été prise d'angine avec fièvre, elle a pissé au lit deux fois. 22 juillet. Elle n'a pas eu de nou
son certificat d'études et cette semaine elle a pissé trois fois au lit . Suggestion. 23 août. Deux nuits mouillées à qu
altéré, buvant énormément, ce qui pré- occupe sa mère. Il pisse au lit depuis sa naissance. 28 octobre 1894. Hypnose l
28 octobre 1894. Hypnose légère. Suggestion de ne plus pisser au lit , de sentir le besoin, de se réveiller. 4 novemb
sentir le besoin, de se réveiller. 4 novembre. Il n'a pas pissé au lit depuis la dernière séance. Il se réveille trois
fluette et pâle; non réglée. Pas de maladies graves. Elle pisse au lit toutes les nuits depuis quatre ans. ' TRAITEMEN
18 février 1895. Hypnose légère. Suggestion de ne plus pisser au lit . de sentir le besoin et de se réveiller. 24. Un
. A huit ans il a eu la rougeole et depuis cette époque il pisse au lit . Ça lui arrive plusieurs nuits de suite vers deux
uggestive, pas d'amnésie au réveil. Suggestion de ne plus pisser au lit , de sentir le besoin et de se réveiller. 3 mars
sante observation d'un garçon pissant encore au 22 THÉRAPEUTIQUE. lit à dix-neuf ans et dont l'infirmité a succédé à la
st intelligent, a bon appétit et ne serait pas maladif. Il pisse au lit depuis sa naissance, mais jusqu'à dix ans, ça n
e un an à quatre ans, mais à quatre ans elle s'est mise à pisser au lit sans cause connue. On a essayé tous les remèdes
23 l'apparition des règles elle est restée deux mois sans uriner au lit , mais ensuite l'infirmité est revenue comme aup
près toutes les nuits, et plus on la fait lever plus elle pisse au lit . 22 mars 1895. Hypnose légère. Suggestion de ne
it. 22 mars 1895. Hypnose légère. Suggestion de ne plus uriner au lit , d'avoir un sommeil léger, sans rêves, de sentir
lligents. N'a pu rien apprendre à l'école. Il a toujours pissé au lit depuis son enfance; on le faisait cou- cher dan
- cher dans les granges sur la paille pour qu'il ne souille pas les lits . 8 décembre 1895. Hypnose rapide; attitudes cat
aleptoïdes, pas d'amnésie au réveil. Suggestion : ne plus pisser au lit , sentir le besoin et se réveiller. 45. Les qu
INCONTINENCE D'URINE PAR SUGGESTION. 25 Depuis deux ans il pisse au lit toutes les nuits. Auparavant ça ne lui arrivait
nose avec catalepsie suggestive. Sugges- tion : « Ne plus pisser au lit ; se lever une fois la nuit pour faire. » 29. Un
kiurie) ; il ne fait pas dans ses vêtements. Il a toujours pissé au lit mais cela lui arrive de plus en plus souvent et m
tion verbale; catalepsie suggestive. Suggestion : ne plus pisser au lit , sentir le besoin et se réveiller. 29. Une se
Il se réveille tous les matins et tout fier de n'avoir pas pissé au lit il le fait remarquer à sa mère avec contentemen
guéri spontanément à quinze ans et notre jeune malade. Il pisse au lit depuis sa naissance et toutes les nuits. Il sem
stion : se réveiller facilement une fois par nuit; ne plus faire au lit . 1er mars. Deux nuits humides seulement. 1er
'urine qui coule par terre et mouille son pantalon. Il n'a pissé au lit qu'une seule fois. La station assise prolongée,
GESTION. 27 1er mars. Il ne se mouille plus le jour mais a pissé au lit une fois cette semaine. 1er avril. Cet enfant
pas connue. Enfant petite, d'aspect chétif, non réglée, pissant au lit depuis trois ans seulement. C'est venu sans cau
te dans le cours de la nuit. Elle rêve beaucoup et s'agite dans son lit surtout au commencement de la nuit. L'examen
veil et de phénomènes cataleptoïdes. Suggestion ; ne plus pisser au lit ; sentir le besoin et se réveiller aussitôt. 1
e; elle ne veut pas se coucher. Une demi-heure après qu'elle est au lit , elle se mouille ; le reste de la nuit est bon.
cauchemars, du vigilambulisme; elle se lève les yeux ouverts, va au lit de ses parents, leur parle, veut sortir. On a b
meil normal; elle rêve parfois tout haut de ses jeux. Elle pisse au lit depuis sa naissance. Le père pense qu'elle fait
on : « Sentir le besoin d'uriner et se réveiller; ne plus pisser au lit . " 6 octobre. Deux nuits sèches, les autres bea
nfants que je connais tous et qui sont normaux. Cet enfant urine au lit depuis dix-huit mois seulement. Tout d'abord ce
qui heureusement ne s'est pas développée, il s'est mis à pisser au lit d'une façon continue. Divers traitements ont ét
e accompagnée d'amnésie au réveil. Suggestion : «Ne pissera plus au lit ; quand il aura besoin, il le sentira et se réve
d'eau. Suggestion : « N'avoir soif qu'aux repas, ne plus pisser au lit . » 17. Six nuits mouillées depuis le 3. Cet e
nt et cessent de me l'amener. Mars 1896. L'enfant urine toujours au lit . A la suite d'un traitement ordonné par un sorc
ar un sorcier (eau ferrée) il est resté quinze jours sans pisser au lit , puis ça a recommencé. On se propose de me l'am
de l'école malgré sa bonne volonté. Extrêmement émotif. Il pisse au lit toutes les nuits depuis sa naissance. 24 juille
er et à le calmer. Hypnose légère ; suggestion de ne plus pisser au lit , de sentir le besoin et de se réveiller. 28.
s mouvements volontaires exaspérant les douleurs. Pour se mettre au lit , quand il sent venir les attaques, il fléchità
à lui le tronc et finalement les jambes après lui. Pour se lever du lit , il laisse pendre lesjamhes mais non complètement
ce à construire un second asile en se basant sur la proportion d'un lit pour 1,000 habitants, c'est-à-dire de 1,800 lit
la proportion d'un lit pour 1,000 habitants, c'est-à-dire de 1,800 lits pour toute la province, chiffre encore insuffis
Présidence DU professeur PEL2fANN. - Bonn, 15 juin 1895. M. PELMANN lit un rapport sur un certain nombre de brochures d
façon positive que les fibres endogènes existent dans la moelle. On lit dans van Ge7azccLen, page 20o : « Ehrlich et Br
muscles des membres sont très rigides et le malade immubile sur son lit ne réagit à aucune sorte d'excitation. Anesthésie
se soulève radieux, envoie un baiser et se laisse retomber sur son lit . Alors nouveau changement, il prend l'aspect d'
écieux de diagnostic est une lettre qu'il écrivit du manicome. On y lit qu'il se sentait comme éveillé d'un long sommei
e part peut-on se contenter d'isoler les tuberculeux qui gardent le lit , et pour ceux qui sont levés de les faire couch
candaleux qui se sont passés à l'établissement d'Aix-la-Cha- pelle, lit un rapport sur les réformes qu'il y a lieu d'appo
ie des jambes on a recours aux exercices suivants : 1° Exercices au lit (le malade étant couché) ; 2° Exercices debout.
d'équilibre sta- tique ; b. Exercices de locomotion. Exercices au lit . Le malade étant couché sur un lit ou sur un ca
ices de locomotion. Exercices au lit. Le malade étant couché sur un lit ou sur un canapé, les jambes nues, la tête soul
ment ? 3 genou est fléchi, la plante du pied repose sur le plan du lit , le bassin est immobilisé. Le malade doit exécute
rochées l'une de l'autre, on invite le malade de s'asseoir dans son lit , sans s'appuyer sur ses mains et sans que les j
l devra faire les exer- cices les yeux fèrmés. , Les exercices au lit constituent la première partie du traite- ment
. Chez le tabétique qui ne marche plus, la période des exercices au lit durera naturelle- ment plus longtemps que chez
LE TABES DORSALIS. Ib7 mandera en dehors des exercices le repos au lit . Les malades qui marchent encore relativement b
tents, c'est-à-dire ceux qui ne mar- chent plus et sont confinés au lit (OBS. II, III et VI) ; Les malades qui marchent
pui, sans canne des longues promenades, après avoir été confinée au lit pendant six ans 1 Dans l'OBSERVATION III, quoiq
ade. Elle était incapable de s'asseoir, ni de se retourner dans son lit . Désordre le plus complet dans les mouvements d
ls sentent mieux leurs jambes, qu'ils les « perdent moins » dans le lit , que les jambes sont moins froides et moins eng
rdination motrice. Le malade exécute assez bien les mou- vements au lit . Il se lève sans trop de difficultés d'un siège.
e bien définie : pendant le repas, dans un bain même chaud, dans le lit quand on découvre le ma- lade. D'autre part la
obes diphtéritique et tétanique et du bacille pyocyanique. M. CROCQ lit un travail sur l'acrocyanose que nous reproduison
République, être retenue dans l'éta- blissement. M. le Dur RouBY lit un mémoire sur ]ïnlc1'llcment des aliénes en An
ètres de long, 1m,60 de large, 2 mètres de haut. J'rou à la turque; lit de camp en planches collé contre le mur, rebord f
bitumé. " Autrefois, nous dit le brigadier qui nous accompagne, le lit était plus haut, en tombant les ivrognes se bless
demander si, la méthode du traitement des aliénés par le séjour au lit est appliquée par les aliénistes français. En R
élancoliques avec idées de suicide et refus d'aliments, sont mis au lit sous la surveillance d'un garde pendant un à six
ne résistent généralement pas et ne cherchent pas à quil- ter leurs lits : bientôt ils finissent par se considérer comme m
u'on soit obligé d'avoir recours aux gardiens pour les maintenir au lit pendant une heure ou deux. Les résultats qu'on
puis ces dernières années nos malades sont traités par le séjour au lit et les cellules sont devenues inutiles. Autrefois
st à peu près général. Celui du sang est rare. (Dans un rapport, on lit : « Nous ne sommes pas encore parvenus à déterm
rables. En général, on trouve qu'il ne faut pas associer plus de 75 lits ni moins de 3. 58. Les bains pulvérisés ou en p
de chaleur interne, le malade ne peut conserver ses couvertures au lit , même l'hiver. Excitabilité électrique propor-
oins de vingt-quatre heures, à la suite desquelles il dut garder le lit . Au bout de deux jours on s'aperçut que son oreil
II. Tabès dorsalis. Ataxie d'emblée. Hémiataxie gauche. Confinée au lit depuis le mois d'avril 1888. Guérison com- plèt
e, entrée à la Sal- pêtrière le 3 avril 1888, salle Reyer (petite), lit n° 8. Sans hérédité neuro ni psychopathique. J'
out du troisième jour la malade en voulant se lever le matin de son lit , s'est aperçue que ses jambes - ne la portaient
, puisqu'elle se rappelle bien qu'elle pouvait remuer ses jambes au lit . C'est dans cet état qu'elle fut transportée à
mbre 1894. La malade apprend assez vite à exécuter les exercices au lit . Son pied varo- équin est également vite corrig
s dorsalis. Ataxie d'emblée. Impotence com- plète et confinement au lit par suite d'une incoordination motrice absolue
ntrée à la Sal- pêtrière le 17 décembre 1891. Salle Reyer (petite), lit 11' 4. Sans hérédité neuropathique. Antécéden
pour uriner. Depuis son entrée à l'hospice elle n'a plus quitté le lit . Il y a trois ans la malade a eu pour la premiè
six semaines tout traitement impos- sible. Pour les mouvements au lit cela allait encore. Dans l'espace d'un mois la
e se sent plus légère. Elle peut se retourner et s'asseoir dans son lit . Elle sent mieux ses jambes, qui ne sont plus pou
uin 1895, la malade pouvait en s'appuyant avec une main le long des lits et soutenue par une personne de l'autre côté, f
gourdissement aux membres inférieurs. Elle perd les jambes dans son lit . Quand elle marche elle ne sent pas bien le sol
l 1895. La malade faisant très régulièrement tous les mouvements au lit , no us limitons ce traitement aux exercices deb
renversé en varo- équin. Les différents mouvements des jambes au lit ^flexion, extension, TRAITEMENT DE L'ATAXIE DAN
la malade s'arrête pour changer de direction, elle se retient à un lit voisin pour opérer ce mouvement. Elle marche en
Après deux mois de traitement, qui consistent dans des exercices au lit , debout et de locomotion la malade apprend à ma
fortement incoordonnés. Le malade ne peut pas s'as- seoir dans son lit sans s'appuyer sur ses mains. S'il essaie de le
(les yeux fermés naturellement). Tous les mouvements des jambes au lit , même les plus simples, sont très irréguliers e
lade avant son départ. Il exécute assez bien tous les mouvements au lit . Au lit le pied gauche ne se renverse plus. L
nt son départ. Il exécute assez bien tous les mouvements au lit. Au lit le pied gauche ne se renverse plus. Le malade
malade se fait une entorse légère au pied gauche, qui le retient au lit pendant une dizaine de jours. A partir de ce mo
nférieure. Reconnu exact. En particulier, une'grande proportion des lits consistent eu paillasses communes ; toutefois,
uelle- ment 2,500 malades de plus qu'ils n'en peuvent contenir. Les lits se touchent dans les dortoirs, etc., etc. Les b
rional doit être pris de deux à quatre heures avant de se mettre au lit . Lorsque l'insomnie est liée à des douleurs, on
consiste en l'impossibilité pour le malade de compren- dre ce qu'il lit après quelques mots de lecture. Cette affection f
retournai près de lui comme à l'ordinaire, et je m'assis devant son lit . Etonné de son silence, j'entr'ouvris les ridea
ient les trois signes de croix qu'il avait faits. Il gisait sur son lit , brisé de terreur et de fatigue, et, la nuit su
d'achever le symbole, et Hugues me pria de faire venir près de son lit tous les religieux du mont Saint-Michel qui rés
s. » Je renvoyai alors nos cinq frères du mont se reposer sur leurs lits ; mais voyant Hugues repris d'un nouvel accès, je
le de saint Athanase. Après le Gloria Patri, Hugues s'assit sur son lit , en s'é- criant : « Que le Seigneur soit béni !
personnage apparaît tenant, par exemple, en mains des tables où se lit une inscription. Ici encore, l'hallucination vi
tiques; elle réclama une alloca- tion de 2,800 francs pour achat de lits , couvertures, matelas, vin, viande et l'install
d'établir pour chaque sexe une petite infirmerie d'au moins quatre lits ; qu'il n'y avait pas de buanderie et d'étendoir
nitures neuves doivent être faites en plus comme suit : 6 bois de lits suivant l'indication de nos médecins. 4 grands
ines sont normales. Entré à l'hôpital, la première nuit il urine au lit . Le lendemain soir, couché, on lui applique le
de ses extrémités, à la main gauche du sujet, on lui fait longer le lit et sortir par la partie inférieure du meuble. O
ésies et douleurs des extrémités reprennent. On adjoint au repos au lit et à une alimentation forte, les tablettes de c
de surveillance. Tandis que Gudden se contentait, pour le nombre de lits de cette section, d'un chiffre équivalent à 10
de 15 p. 100. Lasection de surveillance de Lauenberg, qui compte 36 lits pour les deux sexes, sur une population de 6U0
qui a été fait à Lauenburg, et dans quelques mois une salle de huit lits sera réservée à ces malades. Une fois éliminés le
mala- des, c'est-à-dire restera encombrée, car il faut réserver des lits pour les aliénés entrants. Les sujets atteints
ions, d'idées de grandeur, etc., sont soumis au traite- ment par le lit dans le quartier de surveillance. On peut se pass
ne salle de réunion. Sur les 12 malades non traités par le repos au lit , il en est 2 qui s'occupent aux travaux du ménage
dans laquelle le malade peut être conduit, couché dans son propre lit , est indispensable. 5° Un médecin ou un surveilla
de 189G, l'ouverture d'un crédit de 1,280 francs pour l'achat de 80 lits en fer conformes au modèle de Ville-Evrard. Cel
dortoirs un peu moins désa- gréable, par suite de l'uniformité des lits . « Dans l'un des quartiers nous avons vu un cer
une rangée de matelas longitudinalement, mais les deux rangées de lits ordinaires comprennent un supplément de lits qui
is les deux rangées de lits ordinaires comprennent un supplément de lits qui parfois sont contigus. énergiques, en nou
e autre malade, en chemise, la poitrine apparente, à genoux sur son lit , était injuriée, 1 Nous avons trouvé là un nouv
ur de la thèse que nous soutenons et qui consiste à ne placer qu'un lit en face de chaque trumeau. 49G VARIA. menac
menacée de violences par ses voisines qui l'accusaient d'aller de lit en lit pour les embrasser et les toucher. Pour to
ée de violences par ses voisines qui l'accusaient d'aller de lit en lit pour les embrasser et les toucher. Pour tout ce q
enlèvement, le matin, de tous ces matelas avec leurs draps et leurs lits , et leur replacement, le soir, imposait un surcro
e des asiles 1 A l'asile de Vaucluse, les malades des dortoirs de 8 lits situés dans les combles sont abandonnées à elle
6 (1906) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1905
its au tableau, mais ne peut suivre la dictée. En décembre 1904, il lit couramment, fait des exercices d'application sur
en décembre et son écriture s'est déjà améliorée. — En juin 1902, il lit presque couramment, fait l'addition, la sous-trac
u mois de juillet parce qu'il a frappé sa mère et son frère. L'enfant lit et écrit de petites phrases et fait des additions
depuis, des progrès assez sensibles; la lecture est en bonne voie, il lit de petites phrases faciles ; l'écriture s'est bie
menuiserie, réparations jour-nalières du service, -41 réparations de lits . Cordonnerie. 171 paires de chaussures neuves
ation. Au lever, on apprend aux enfants à faire leur toilette, leur lit , h nettoyer leur dortoir, à brosser leurs vête-me
s aimer, surtout sa mère. Il lui arrive aussi fréquemment d'uriner au lit par taquinerie ou paresse (?). Cette habitude lui
e possédait aucune notion des exercices classiques. Aujourd'hui, il lit couramment; l'écriture est lisible, et il peut éc
De notables progrès sont à signaler à la classe, et, au-jourd'hui, il lit couramment en se rendant bien compte de ce qu'il
au-jourd'hui, il lit couramment en se rendant bien compte de ce qu'il lit ; écrit lisiblement, fait la dictée avec les grand
s, très fréquentes autrefois, n'existent plus. Actuellement, l'enfant lit couramment, écrit lisiblement, fait des devoirs e
l'enfant au point de vue des exercices classiques et du caractère. Il lit presque couramment, l'écriture devient plus lisib
continué de bien travailler, aussi ses progrès sont-ils notables; il lit couramment, ma:.s lentement et nous avons été sur
. estbeaucoupplus attentif et a tout à fait pris goût à la classe. Il lit couramment, sait écrire les nombres jusqu'à 100,
atience, nous sommes arrivés à lui faire prendre goût à la classe. Il lit couramment, fait quelques dictées de mémoire et l
ées. li a de la mémoire et retient les leçons orales. 1902. — Ch... lit et comprend ce qu'il écrit, reproduit de mémoire,
e et au calcul et surtout à la lecture des mots imprimés. En 1902, il lit presque couramment, copie ce qu'il lit et écrit m
des mots imprimés. En 1902, il lit presque couramment, copie ce qu'il lit et écrit même de mémoire un certain nombre de mot
ce à lire, mais l'écriture est à peine lisible. 1896. — Notre élève lit couramment, il fait l'addition avec retenues, il
9, il commence seulement à prendre goût à la lecture et à l'écriture, lit un certain nombre de nos mots imprimés et s'intér
illé, est heureux des progrès réalisés et travaille avec plai-sir. Il lit et écrit un grand nombre de mots imprimés isolé-m
hographe; il fait beaucoup moins de fautes et comprend mieux ce qu'il lit et ce qu'il écrit. — Caractère de plus en plus ra
érons qu'il passera d'ici peu à la lecture courante. 1896. — Rob... lit couramment, fait de petits exercices de grammaire
nne voie pour la lecture, écrit de la main gauche. 1896. — Poirs... lit couramment, mais ne comprend pas très bien ce qu'
6. — Poirs... lit couramment, mais ne comprend pas très bien ce qu'il lit , l'écriture est très régulière. 1897. — P... fa
le prononcer ensuite à haute voix. Il dé-tache chaque syllabe, qu'il lit lentement, en laissant un trop long temps d'arrêt
t un trop long temps d'arrêt avant de lire la suivante. Couri... ne lit bien couramment que les papiers imprimés, qui son
tous les exercices scolaires; aussi ses progrès sont-ils notables. Il lit presque couramment, fait l'addition et la soustra
nnée il a fini par passer à la lecture courante. Il comprend ce qu'il lit mais pas toujours ce qu'il écrit. Il commence cep
s en retard pour son âge, André a bien travaillé pen-dant l'année, il lit couramment et pour tous les exercices sco-laires
alisés en classe sont plus satisfaisants. Il prend goût à la lecture, lit quelques papiers, commence à établir une relation
loppe; elle fixe son attention sur tout ce qui lui est enseigné. Elle lit couramment, écrit très lisiblement, fait l'additi
aie. Elle s'occupe principa-lement des soins du ménage; elle fait son lit seule, enlève la poussière des portes, des chaise
fait son lit seule, enlève la poussière des portes, des chaises, des lits de son dortoir et le fait très minutieusement. El
enu dans les tiroirs des leçons de choses. L'enfant n'urine plus au lit . La physionomie est moins triste, les yeux sont b
faisait pas au début; elle s'habille et se déshabille seule, fait son lit , cire ses chaus-sures. ?— En classe elle est deve
remière lettre de l'alphabet sait aujou.rdhui syllaber par-faitement, lit presque couramment, l'écriture est lisible; l'en-
ux manuels, tout était inconnu pour elle. Elle urinait quelquefois au lit . Ajoutons surtout qu'elle était tout à fait nulle
classe méritent surtout d'être particulièrement mentionnés. Nied... lit couramment, écrit lisiblement, connaît les trois
résultat. Peu à peu, l'enfant prit goût au travail, à la classe. Elle lit aujourd'hui très couramment, donne à sa lecture u
quille. Elle procède elle-même à tous ses soins de toilette, fait son lit , cire sa chaussure, se tient proprement. Marcelle
nt son attention. Elle a commencé par cirer ses chaussures, faire son lit ; puis balayer, essuyer, laver par terre et, auj
attacher sa chaussure, se' débarbouiller.; aujourd'hui elle fait son lit , elle aime: se rendre utile, balaie son dortoir,
ons cependant ; à noter .aujour-d'hui (1902), de bons résultats. Elle lit par syllabes, a appris à écrire, fait bien une co
us les ateliers, mais principalement à la buanderie. — En classe elle lit couramment, écrit lisiblement, fait des dictées,
cultés, l'enfant a réalisé aujour-d'hui (1899) de réels progrès. Elle lit lentement, mais cou ramment; son écriture est lis
maire, connaît les deux premières opéra-tions de l'arithmétique, elle lit lentement mais sa lecture est courante. L'enfant
te enfant s'est beaucoup améliorée au point de vue intellectuel. Elle lit bien, donne à sa lecture une bonne intonation, co
bien à la classe et a pris goût aux exer-cices de ses compagnes. Elle lit par syllabes, fait les deux premières opérations
ement elle-mêhie. 1905. — Trouil... a continué de s'améliorer, elle lit cou-ramment, fait des devoirs de grammaire, des'd
s lisi-blement, fait une copie, connaît et sait faire les chiffres et lit par syllabes. Tout donne lieu d'espérer que sa le
ence à faire quelques devoirs de grammaire, connaît l'addi-tion. Elle lit par syllabes et tout donne à espérer que d'ici qu
. Au point de vue intellectuel ses progrès sont à signaler: Gabrielle lit couramment, son écriture est bien formée et même
us et strabisme assez accusés); malgré ce grand obstacle, notre élève lit très couramment, fait des dictées, connaît l'addi
posées, mais elle marchait très difficilement et uri-nait parfois au lit . L'expression de la physionomie était peu mobile,
ment, malgré cela nous constatons aujourd'hui des progrès réels. Elle lit assez couramment, son écriture est régulière. Ell
ue nous étions en droit d'attendre se sont enfin réalisés. Marguerite lit aujourd'hui couramment, suit une dictée du cours
», et va sur les cabinets; la nuit il lui arrive rarement d'uriner au lit . — L'enfant mar-che maintenant seule, elle trotti
Ses progrès n'ont pas été très rapides, mais sûrs et constants. Elle lit très bien aujourd'hui, donne à sa lecture une bon
t se voyant en retard a redoublé de courage et de bonne volonté. Elle lit couramment, fait des copies, connaît l'addition e
lence dont rien n'approche, elle sautait par-dessus les barres de son lit , grimpait partout, on était obligé de l'attacher
st très propre le jour, la nuit il lui arrive quelquefois d'uriner au lit . — Elle commence à s'habituer en classe, essaie m
aire, elle connaît les deux premières opérations de l'arithmétique et lit presque couramment. Elle suit avec facilité tous
902, mérite actuellement d'être de nouveau signalée. Aujourd'hui elle lit couramment, suit les dictées ordi-naires, a appri
tatons une amélioration notable chez cette enfant. Actuellement, elle lit par syllabes, écrit très lisiblement, fait une co
érite actuellement d'être de nouveau men-tionnée. Aujourd'hui, îlle lit couramment, donne à sa lecture une bonne intonati
aujourd'hui (1900) de réels progrès, sous le rapport classique. Elle lit presque couramment, son écriture. est très lisibl
nts de la gymnastique des échelles et des ressorts. En classe, elle lit presque couramment, fait de petites copies assez
taire. Elle connaît les trois premières opérations de l'arithmétique; lit couramment et donne à sa lecture une bonne intona
it des progrès très nota-bles surtout au point de vue classique. Elle lit couramment, commence à faire des dictées, connaît
igné. Elle a appris à connaître ses lettres, à syllaber et maintenant lit presque couramment. Elle sait écrire et faire des
s'inté-resse à tout; on voit qu'elle est désireuse d'apprendre. Elle lit très couramment, fait des copies, connaît l'addit
e, elle porte beaucoup d'attention sur tout ce qui est enseigné. Elle lit couramment, connaît l'addi-tion, la soustraction
très sensible et craintive. Elle cherche à se rendre utile, fait son lit , ainsi que ceux de ses compagnes qui ne peuvent l
s progrès au point de vue scolaire n'ont pas été moins rapi-des; elle lit par syllabes, son écriture est lisible et bien fo
ès borné, obstiné surtout, il ne voulait rien apprendre. A présent il lit couramment, écrit lisiblement, fait les quatre op
7 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
si- dérable de 1 12 enfants. Le cube d'air correspondant à chaque lit , qui était déjà un peu faillie pour une popu- l
une popu- lation de 100 enfants, est devenu aujourd'hui, avec les lits supplémentaires, tnut-tt-/iait in.m.c ? isant. Ce
gères. Le matin, après leur toilette, on leur apprend à faire leurs lits , il entretenir proprement leurs dor- toirs. On
créé. LII Fondation Vallée. 3° Services de nuit : Dortoirs de 20 lits avec lavabos, cabinets d'aisances, meubles de t
tablir : « 1" L'avant-projet d'un bâtiment destiné à recevoir 100 lits d'enfants avec les services nécessaires : « 2"
cipe même du projet et sur la cons- truction d'un bâtiment pour 100 lits . Cette dernière proposition, qui est urgente, n
nserade; le pavillon des contagieuses. le tout sur la même ligne. lit Fondation Vallée. Au-delà, en descenc ant le co
Au-dessus, il y aurait deux étages compre- nant six dortoirs de 20 lits chacun. C'est ce bâtiment que l'Administration
e de '1 '1. Au-dessus un étage, composé de trois dortoirs de vingts lits chacun. Enfin, plus bas. à cheval sur l'enclave
préau couvert et au- dessus deux étages pour six dortoirs de vingt lits chacun. Enfin, il l'angle sud-ouest, donnant su
ulier qui consiste il construire immédiatement un pavillon de 100 lits . La dépense totale, est-il dit dans la lettre d
fr. et de 222, 720 francs pour la construction d'un pavillon de 100 lits . » « En présence du chiffre élevé de cette dern
le amplement suffisante. Le plan montre encore que l'on placera les lits deux par deux entre les fenêtres. Le système ad
dans la section des enfants de Bicétre et qui consiste il placer un lit entre chaque fenêtre nous paraît de beaucoup pr
ses dans ce projet. Or, il est évident que si vous augmentez de 100 lits la population de cette fondation en la portant
lits la population de cette fondation en la portant de 1UO à 200 lits , vous devrez de toute nécessité procéder à l'exte
arriérées , 2° La construction d'un bâtiment, ne comportant que 100 lits . Ce second projet ne touche en rien aux bâtimen
r Ileschamps, je dois dire que la construction du bâtiment de 100 lits ne comportera pas d'au très dépenses que celles p
'ensemble, doit-on procéder à la construction d'un bâtiment (le 10U lits , on vue (l'y placer les jeunes filles internées
et par moi, nous sommes parvenus il trouver de la place pour 100 lits , il la fondation Vallée; sur ces 100 lits 99 sont
uver de la place pour 100 lits, il la fondation Vallée; sur ces 100 lits 99 sont occupés. 1 ne reste plus qu'un lit vaca
ion Vallée; sur ces 100 lits 99 sont occupés. 1 ne reste plus qu'un lit vacant. La construction d'un nou- Ive-au bâtime
ejuif de celles qui l'encom- brent, ce qui permettra de rendre cent lits au service des femmes. \I. l3nill a demandé où
de la Fondation Vallée et sur la construction d'un pavillon de 100 lits . Dans ce rap- port, nous avons examiné d'abord
ons examiné d'abord l'avant-projet de la création d'un asile de 400 lits , ensuite le projet de construction d'un bâtimen
400 lits, ensuite le projet de construction d'un bâtiment pour 100 lits , avant-projet et projet qui nous étaient soumis
ensemble, doit-on procéder à la construction d'un bâtiment de 100 lits , en vue d'y placer les jeunes filles internées
im- pose d'une façon urgente. La section de la Salpê- trière (141 lits ), le quartier de Villejuif (56 lits) et la Fond
ection de la Salpê- trière (141 lits), le quartier de Villejuif (56 lits ) et la Fondation Vallée avec ses 110 lits (1) n
quartier de Villejuif (56 lits) et la Fondation Vallée avec ses 110 lits (1) ne peuvent faire face aux besoins de cette
face aux besoins de cette catégorie de malades. L'insuffisance des lits pour les femmes aliénées exige impérieusement q
r- toirs ne permettait, an grand maximum, que l'installation de 100 lits . LeslO iits supplémentaires constituent un réel
ion d'un plan d'ensemble doit-on procéder la d'un bâtiment-de 100 lits , en vue d'y placer les jeunes filles internées
timent qui devra se relier au plan d'ensemble. Quant au nombre de lits , il a été réservé pour être tranché par la soin
désir du Conseil général d'avoir le plus rapidement possible 10Q lits pour dégager l'Asile de Villejuif. Nous avons i
sage de dortoirs, 2 au rez-de chaussée, 2 au premier étage, soit 80 lits si on adopte des dortoirs de 20 lits, soit 96 s
e, 2 au premier étage, soit 80 lits si on adopte des dortoirs de 20 lits , soit 96 si l'on adopte des dortoirs de 24 lits
des dortoirs de 20 lits, soit 96 si l'on adopte des dortoirs de 24 lits . Provisoirement les deux dor- toirs du rez-de-c
des cloisons, qu'il est facile d'opérer, en dortoirs contenant 20 lits . Les réfectoires subiraient la même transforma-
éfectoires subiraient la même transforma- tion, ce qui donnerait 17 lits . On aurait ainsi 37 lits, qui, joints aux 48 li
même transforma- tion, ce qui donnerait 17 lits. On aurait ainsi 37 lits , qui, joints aux 48 lits des deux dortoirs du p
qui donnerait 17 lits. On aurait ainsi 37 lits, qui, joints aux 48 lits des deux dortoirs du premier étage du futur bât
remier étage du futur bâtiment formeraient un total général de 85 lits . Enfin, comme le cube d'air proposé pour les do
ons à usage de dor- LXVIH Fondation Vallée. toirs, tolérer 6 ou 7 lits suplémcntaires, ce qui don- nerait le nombre dé
et d'un 'l ? étage. Chacun d'eux sera divisé en' 2 dortoirs do 2 4 lits . A Bicêtre chaque dortoir n'a que 20 lits; mais
isé en' 2 dortoirs do 2 4 lits. A Bicêtre chaque dortoir n'a que 20 lits ; mais comme le futur asile est destiné à des fi
r d'une façon sérieuse aux soins du ménage, apprendre à faire les lits , à balayer et il nettoyer, nous ne voyons aucun
ous ne voyons aucun inconvénient à augmenter un peu le nombre des lits . Ceux-ci, rangés à droite et à gauche de la salle
ont séparés par autant de fenêtres, les trumeaux correspondants aux lits auront au moins 1 m. 25. La largeur des dortoir
la hauteur du plafond de 5 mètres, de manière à avoir pour chaque lit un cube d'air de 40 à 45 mètres. Au centre du p
argeur, le plafond sera élevé de 5 mètres. Le cube' d'air de chaque lit devra être de 45 à 50 mètres cubes. -Chaque lit
be' d'air de chaque lit devra être de 45 à 50 mètres cubes. -Chaque lit sera séparé du voisin par une fenê- nôtre. Les
uses ; 3° le pavillon des cellules. 1° L'infirmerie renfermera 24 lits en 2 salles qui auront 7 à 8 mètres de largeur,
argeur, et 5 m. de hauteur et un cube d'air d'environ GO mètres par lit . Au centre : entrée, vestibule, office, pièce a
doir. A droite, et à gauche, sur l'une des façades, 2 dortoirs de 6 lits . Sur l'autre façade, 4 chambres cle chaque côté
autre façade, 4 chambres cle chaque côté du service central, soit 4 lits cle plus que dans le pavillon d'isole- ment de
L'expérience nous a, en effet, démontré que cette augmentation de lits était nécessaire. Un couloir central longitudinal
iments de la section des enfants de Bicêtre conte- nant plus de 400 lits n'est que de 30.800 métrés carrés. Une étendue
asile de Villejuif est de 56. Si la construction du bâtiment de 100 lits est votée par vous, il resterait encore une' qu
ion consultée sur cette question émet le vau qu'un bâtiment de 100. lits , se reliant à. un plan d'ensemble, soit aussitô
passeront pas la- dite somme, contiendra quand même une centaine de lits , jet. ne m'oppose pas à ce qu'il n'ait qu'un ét
hacun des bâtiments à construire et devant contenir une centaine de lits , sera à un étage. Adopté à l'unanimité. M. le
nique soient toujours reçus, sauf à ajourner, lorsqu'on manquera de lits disponibles, les demandes de placements volonta
'a pas de tics ni de mau- vais instincts. 1885. Juin. - Le Tal... lit à peu près couramment; sa mémoire est bonne; il
poli, ne prononce jamais de mots gros- siers, n'est pas menteur. Il lit couramment, fait de petites dictées et commence
tembre 1891. Enfant immobile dans son 58 DESCRIPTION DE la malade lit , déformée par les contractures, ne vivant plus qu
urmand, vorace, il gâtait parfois la nuit et urinait fréquemment au lit . Sa mère s'aperçut que ses selles contenaient p
s de la plèvre, blanchâtre et épaissie, atélectasie surtout au de lit plè\-i-c, ])Iaiieli,itre et ép;tissie, atélcetisi
é. Abdomen. -Estomac, tube intestinal, Rate (80 gr.), Rein droit ( lit gr.), Rein gauche (Gj gr.), - Foie (iG0 gr.), Ves
on oculaire sans paralysie, et aurait fait un séjour de six mois au lit . Mère, originaire cle Ieaux; elle est d'une fam
. - Grand'mère paternelle, morte à 75 ans. Elle est restée un an au lit avant de mourir. Elle était très faible, mais n
s de diarrhée. Il ne marche pas et tient continuellement dans son lit ses jambes repliées. -Les yeux, atteints de cécit
ne donnant aucun signe d'intelligence. Il demeure cou- ché dans son lit , immobile, les yeux clos, la bouche à demi ouve
e bonne santé. Mère, morte à 74 ans, à la suite d'un long séjour au lit , déterminé par une entorse, toujours bien porta
ans la journée il va seul au siège. La nuit il urine quelquefois au lit , mais moins souvent qu'autrefois. On l'envoie à
émique. Elle prétend actuellement avoir une maladie de vessie. Elle lit beaucoup de romans et fait des vers. - [ [ Père
ment; en dernier lieu, cependant, elle se reculait jusqu'au bord du lit , « comme les petits serins. » Elle urine rareme
us. Il a eu des oncles et des tantes du côté paternel issus de deux lits . Aucun ne présentait rien de particulier au poi
L'enfant est pâle mais paraît assez éveillé, s'assied même sur son lit Il ne semble pas gêné dans sa respiration. Il n
llralo-raelridien. B.-LiON-CHO-1NËTJMONIE. f Sur la face interne, lit FI est très atrophiée, blanche 'et indurée dans
tale des papilles. Aux Enfants-Malades, une petite fille voisine du lit de Marie B. aurait dit à la mère de celle-ci qu
'étendre, la soulever jus- qu'à 80 centimètres au-dessus du plan du lit . Elle se couohe sur le dos, et les membres infé
z5 à l'office. Au dortoir, il ferme toutes les portes, frotte son lit , le parquet et le mur, avance en tournoyant, se
se déshabille lorsqu'on le lui ordonne, passe sa nuit assis sur son lit en grognant. Il ne gâte jamais. Il s'habille lu
sont bien portants ainsi que leurs enfants. - Deux frères du 1 .rli lit (son père s'est marié 3 fois). Un est mort de l
elligent, a eu 8 ou 10 enfants en bonne santé. - Deux sceurs du 1er lit également, une des deux est morte sans avoir eu
x. L'autre soeur est bien portante, sans enfants. Une soeur du même lit que le père est un peu nerveuse, sans crises, i
ttres, compte jusqu'à 20, fait des bâtons sur le cahier. En 1892, lit couramment, écrit lisiblement, fait de petits p
nne ; il se sert bien de la cuiller de la fourchette et du couteau, lit couramment, écriture lisi- ble et assez soignée
8 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
service. Elle en remplit les fonctions durant quelques jours, prit un lit à l'infirmerie et enfin fut reçue dans la section
sont tout à fait celles des hystériques. Elle place à la tête de son lit toutes sortes d'objets : une pelote bleue, des ro
n remarque quelques secousses isolées, comme électriques, W... bat le lit avec ses mains, pousse des cris redoublés, bat l'
Sa physionomie exprime l'effroi. D'ordinaire, W... est assise sur son lit . On la fait manger à la sonde matin et soir. Elle
ements (clownisme). C. — Période de délire. — W... remonte dans son lit , s'asseoit, ouvre les paupières jusqu'alors fermé
nds mouvements alternatifs de flexion et d'extension qui ébranlent le lit , puis le corps se met en arc, décrivant une courb
écrivant une courbe à convexité antérieure et ne reposant plus sur le lit que par les pieds et la nuque. La tête est dans l
i° attaque.— a) Période épileptoïde. — b) Période clo-nique. — Bat le lit . c) Période de délire. — W... se met en sirène,
anque, excepté la terre... » Elle a peur, se débat, s'asseoit sur son lit . Le regard exprime l'épouvante, puis la menace. E
répète, souvent plusieurs fois, les mots qu'on prononce auprès de son lit . 5 h. 40. Le compresseur est retiré; bien que l
elle est dans un cimetière, voit un fantôme1; elle saute à bas de son lit , et, une fois debout, s'aperçoit qu'elle a rêvé ;
rus équin, de telle sorte qu'entre la face postérieure du tronc et le lit , il y a un intervalle de 30 à 40 centimètres1.
ion durant près d'une minute; ensuite elle retombe lourdement sur son lit ; 1 La Planche III donne une idée très imparfait
ile, concentrée en elle-même; — dans l'autre, elle s'asseyait sur son lit , terrifiée, s'écriant : « Oh! cette tête ! Otez l
. — « Je ne suis pas dormeuse, dit-elle, et dès qu'on approche de mon lit , je me réveille. » Dans la période de délire de
repose plus que sur la nuque et les talons et que, entre le dos et le lit , il y a une distance de plus de 60 centimètres. A
s de 60 centimètres. Au bout de 10 secondes, la malade retombe sur le lit et recommence ses bruits de soufflet, non plus do
1 Varc de cercle, dans lequel les malades sont soulevées au-dessus du lit , la rigidité du corps, l'insomnie, que nous trouv
mblait avoir réussi, lorsqu'une nuit Jeanne, pendant qu'elle était au lit entre deux servantes, fut enlevée tout à coup com
t gentil là-bas !... » Retour de la tristesse. Elle se lève sur son lit , pousse des cris d'effroi, d'angoisse. « Ah ! m
croient voir des personnes, des têtes bizarres, etc., autour de leur lit . Lorsque le sommeil est arrivé, il se produit p
ur échapper au danger, elles se dressent tout de bout sur 12 leur lit , sautent parterre... et alors elles s'aperçoivent
ber dans des précipices, fait des sauts, s'accroche aux barres de son lit , elle voit des mains qui cassent des œufs sur sa
glacées sur sa figure ; elle croit que des hommes se cachent sous son lit ; elle parle tout haut. Maintenant tous ses rêves
ué rien de particulier. Le matin on a trouvé Marcil... morte dans son lit . Autopsie. — L'examen des différents organes, f
ent croyant qu'elle était malade : elles la trouvèrent assise sur son lit , prête à tomber; l'une d'elles ayant appuyé les m
ait que son sommeil était mauvais, qu'elle tombait quelquefois de son lit . Peu après son arrivée, on s'aperçut qu'elle étai
couchait et, à son réveil, elle était tout étonnée de se voir sur son lit . Le 10 mai, elle a eu une attaque de sommeil qu
t étonnée, se plaint qu'on ne l'ait pas réveillée, se plonge dans son lit et pleure. Elle se rasseoit bientôt et assure que
e. Ail heures et demie, D... reprend connaissance, s'assied sur son lit , demande son jupon. Questionnée aussitôt sur ce q
t à elle, et quelques instants après se rendort. On la porte dans son lit . Les letttes tracées hier ressemblent aujourd'h
est réveillée par la compression ovarienne. Elle se lève, arrange son lit , va uriner, se recouche, coud sa chemise 1 et se
à peine de la peau. Hier soir, D... s'est endormie à 7 heures, sur le lit d'une de ses compagnes avec laquelle elle causait
e de ses compagnes avec laquelle elle causait. On l'a portée dans son lit . A 8 heures du soir : T. R. 37°,8. — A minuit, T.
éveillée ce matin à 8 heures. Peu après, elle s'est levée, a fait son lit et est allée dans la cour où elle se promène seul
ques instants, elle se rendort. —A midi, elle se réveille, déjeune au lit , puis se lève. 8 sept. ¦— Elle est tranquille,
elquefois, difficilement. Elle avoue être dormeuse, désirer rester au lit le matin. Le plus souvent, elle rêve beaucoup. El
les du sommeil, en apparence insignifiants : la malade tombait de son lit . Puis, on a remarqué que, dans la journée, elle é
on ; la paralysie est incomplète en ce sens que la malade exécute, au lit , quelques mouvements, mais il lui est impossible
me.) Les selles sont quotidiennes. La malade a constamment gardé le lit depuis 1866 et n'a jamais offert aucun des accide
! oh !», s'asseyait et laissait retomber brusquement le tronc sur le lit . Ces grands mouvements se répétaient 5 ou 6 fois
ère qu'elle traite de coquin. En revenant à elle, elle disait que son lit tournait. Ce matin, elle se plaint de douleurs, d
ui a toujours persisté, a fait que cette femme a constamment gardé le lit depuis dix-huit ans. Il en est résulté un amaigri
n la place, penfant quelle fuft morte. Au matin elle fe trouue en fon lit couchée. De quoy fon maiftre efbahi, luy demanda
de volumes où l'absurdité s'étale au grand jour; on se demande si on lit des œuvres d'aliénés ou si l'auteur ne se moque p
tance sont du même ordre et relèvent de la même cause. Que de fois on lit dans les livres de magnétiseurs qu'ils ont réussi
ite d'amyle : « Après le nitrite d'amyle, j'étais enfoncée dans mon lit ; je commençais à m'endormir, quand je vois M... s
aignait d'une grande fatigue : pendant deux jours, elle dût garder le lit . Nous avons eu, de la sorte et par hasard, une at
al qui court : X... cherche en riant, bouscule tout, se jette sous le lit ; elle parait essayer d'attraper l'animal imaginai
On T'a couchée, on a remis sa chemise et oh l'a immobilisée dans son lit . A 7 heures, élis est parvenue à se débarrasser d
de ses liens. L'agitation continue ; B... se lève, se couche sur les lits , s'empare du flacon de vin de quinquina d'une de
il lui semble qu'un homme laid, toujours le même, rode autour de son lit ; elle sent son haleine qui devient de plus en pl
— D'autres fois, elle s'imagine voir un homme assis en travers de son lit , accoudé et la regardant. Elle a peur et appelle.
d sonne l'heure du lever, elle a envie de dormir et resterait bien au lit jusqu'à midi. Souvent elle a des insomnies, et ne
s'y ajoute aussi les scènes les plus effrayantes des romans qu'elle lit ; nous avons noté encore des extases religieuses.
9 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
male. Le sommeil était entrecoupé de cauche- mars, de sauts dans le lit . Elle a bonne mémoire, raisonne et parle bien,
veille facilement en poussant rlrs cris, elle se lève. saute de son lit . La mère va consulter à ce moment il la Polyclini
venus sans efforts, au moment où elle voulait se retourner dans son lit . La céphalalgie a beaucoup diminué. La constipa
x du lait.» Il dit des grossièretés à quiconque s'ap- proche de son lit : « vache, cochon, putain. » Il a constamment l
ce, la malade était sujette à des terreurs nocturnes. Elle urina au lit jusqu'à 7 ans. De bonne heure, on constata chez
lit place à une dépression profonde. Elle ne parla plus et resta au lit pendant deux mois. Cet état persista jusqu'il l
UE DE PATHOLOGIE MENTALE. posé, de même que l'alcoolisme cc fait le lit » à la tuberculose; mais il ne saurait admettre
a reprise du processus ulcératif perforant, malgré le sé- jour au lit fréquent et le repos prolongé du malade a l'inf
relâchant les mus- cles, les pieds dépassant la table ou le bord du lit ; rayez avec le manche du marteau ou avec une ai
tantôt d'une pâleur anormale ; ça et là tractus de tissu conjonc- lit ancien. On peut suivre la dégénérescence rétrogra
Troubles du langage musical chez les hystériques. 1. iNGÉGNiKREs lit une note sur le langage musical chez les hystér
ntenait pas un calmant comparable à la seule présence d'Oppolzer au lit d'un malade. » Le prof. Benedikt fait ensuite
chemin de la garde-robe et fait ses besoins sur un drap près de son lit .) A. : Refuse complètement toute nourriture. A
0 grammes de pain. 5 juin 1900. S, : Demande à recevoir le journal, lit . A. : Deux bols de soupe ; un litre de lait ave
avec pain. G juin 1900 à 10 août 1900. S. : Se lève tous les jours lit , des- cend un peu dans la cour. A. : Se nourrit
novembre 1909. - S. : SLéréoL'piescl'attitude, (reste de nouveau au lit ).Négativisme(taidcur,mutisme).A : Ue- fuse tout
nt, traverse la largeur de la salle, et vase figer debout devant le lit en face du sien, restant immobile, la tête bais
ant immobile, la tête baissée, contractée. 28 juillet 1901. S : : Lit le journal, ce qu'il avait cessé (le l'ai J'e d
abituelle, elle cesse de se lamenter et prend immédiatement dans le lit où on la couche une attitude absolument semblab
ilité. Une lois le gavage terminé, elle se laisse reconduire iL son lit et y reprend immédiatement son alli- tude accou
mode à côté de laquelle elle s'asseyait pour le gavage. Puis on lui lit prendre cette cuiller et on l'exerça lentement à
c à pren- dre plusieurs cuillerées de, potage ; à ce moment, on lui lit pren- dre l'habitude de saisir directement la t
dit que c'était pour uriner davantage et faire ses besoins dans son lit . Cette période d'exci- tation légère avec négat
mouve- ments sont généralisés. Quand la malade est allongée sur son lit , en résolution musculaire, elle est surprise pa
dans un soubresaut généralisé, élève le corps au-dessus du plan du lit , par contraction des muscles dans la région dor
Les membres inférieurs tantôt sont soule- vés en masse au-dessus du lit , avec flexion légère des cuisses sur le bassin,
, ils sont soulevés de dix centimètres environ au-dessus du plan du lit avec flexion légère de l'avant-bras. Lesmuscles
t au moment de l'émission des sons. Si la malade est assise sur son lit , le buste et la tète sont pro- GROSSESSE ET P
a malade dans le service, l'agitation motrice est extrême. Repos au lit , potion de chloral. Pendant la première se- mai
isolée dans une chambre, et l'on institue un traitement : repos au lit , chloral en lavements quo- tidiens. Ceux-ci son
ais il laissa voler son employé. Le lendemain du vote, le supérieur lit venir M ? chez lui et lui dit : « C'est fini en
t d'autre, sans plus s'intéresser à rien; il ne mangeait pas et se " lit à s'alcooliser. A la lin, n'y tenant plus, il sui
queuse linguale). Aphasie par tuberculose. LE Secrétaire général lit au nom (le M. L. Pron l'observa- tion d'une jeu
aux étapes malheureusement trop vite franchies. « Né à Metz, où il lit de très bonnes études classiques qui lui permir
ache, la mutilant af- Ircusemcnt. Le vieillard a ensuite arrosé son lit de 1>étrole eL y a mis le l'eu, puis il s'es
possédait aucune notion des exercices classiques. Aujourd'hui, il lit couramment; l'écriture est lisible, et il peut
notables progrès sont à signaler à la classe, et, au- iourd'hui, il lit couramment en sa rendant bien compte de ce qu'i
iourd'hui, il lit couramment en sa rendant bien compte de ce qu'il lit ; écrit lisiblement, fait la dictée avec les grand
très fréquentes autrefois, n'existent plus. Actuellement, l'enfant lit couramment, écrit lisiblement, fait des devoirs
enfant au point de vue des exercices classiques et du caractère. Il lit presque couramment, l'écriture devient plus lis
ontinué de bien travailler, aussi ses progrès sont-ils notables; il lit couramment, ma's lentement et nous avons été su
estbeaucoupplus attentif et a tout à fait pris goût à la classe. Il lit couramment, sait écrire les nombres jusqu'à 100
ience, nous sommes arrivés à lui faire prendre goût à la classe. Il lit couramment, fait quelques dictées de mémoire et
es. Il a de la mémoire et retient les leçons orales. 1902. - Ch ? lit et comprend ce qu'il écrit, reproduit de mémoir
et au calcul et surtout à la lecture des mots imprimés. En 1902, il lit presque couramment, copie ce qu'il lit et écrit
mots imprimés. En 1902, il lit presque couramment, copie ce qu'il lit et écrit même de mémoire un certain nombre de mot
ce à lire, mais l'écriture est à peine lisible. 1896. - Notre élève lit couramment, il fait l'addition avec retenues, i
il commence seulement à prendre goût à la lecture et à l'écriture, lit un certain nombre de nos mots imprimés et s'int
é, est heureux des progrès réalisés et travaille avec plai- sir. Il lit et écrit un grand nombre de mots imprimés isolé-
graphe; il fait beaucoup moins de fautes et comprend mieux ce qu'il lit et ce qu'il écrit. - Caractère de plus en plus
rons qu'il passera d'ici peu à la lecture courante. 1896. - Rob ? lit couramment, fait de petits exercices de grammai
bonne voie pour la lecture, écrit de la main gauche. 1896. Poirs ? lit couramment, mais ne comprend pas très bien ce q
96. Poirs ? lit couramment, mais ne comprend pas très bien ce qu'il lit , l'écriture est très régulière. 1897. P ? fait
prononcer ensuite à haute voix. Il dé- tache chaque syllabe, qu'il lit lentement, en laissant un trop long temps d'arr
un trop long temps d'arrêt avant de lire la suivante. .Couri ? ne lit bien couramment que les papiers imprimés, qui s
s les exercices scolaires; aussi ses progrès sont- ils notables. Il lit presque couramment, fait l'addition et la soust
ée il a fini par passer à la lecture courante. Il comprend ce qu'il lit mais pas toujours ce qu'il écrit. Il commence c
n retard pour son âge, André a bien travaillé pen- dant l'année, il lit couramment et pour tous les exercices sco- lair
isés en classe sont plus satisfaisants. Il prend goût à la lecture, lit quelques papiers, commence à établir une relati
ppe; elle fixe son attention sur tout ce qui lui est enseigné. Elle lit couramment, écrit très lisiblement, fait l'addi
. Elle s'occupe principa- lement des soins du ménage; elle fait son lit seule, enlève la poussière des portes, des chai
ait son lit seule, enlève la poussière des portes, des chaises, des lits de son dortoir et le fait très minutieusement.
enu dans les tiroirs des leçons de choses. L'enfant n'urine plus au lit . La physionomie est moins triste, les veux sont
isait pas au début; elle s'habille et se déshabille seule, fait son lit , cire ses chaus- sures. -- En classe elle est d
mière lettre de l'alphabet sait aujourdhui syllaber par- faitement, lit presque couramment, l'écriture est lisible; l'en-
manuels, tout était inconnu pour elle. Elle urinait quelquefois au lit . Ajoutons surtout qu'elle était tout à fait nul
classe méritent surtout d'être particulièrement mentionnés. Nied ? lit couramment, écrit lisiblement, connaît les trois
sultat. Peu à peu, l'enfant prit goût au travail, à la classe. Elle lit aujourd'hui très couramment, donne à sa lecture
ille. Elle procède elle-même à tous ses soins de toilette, fait son lit , cire sa chaussure, se tient proprement. Marcel
son attention. Elle a commencé par cirer ses chaussures, faire son lit ; puis balayer, essuyer, laver 304 4 THÉRAPEUT
nnelles, à faire un essai biographique, inséré dans l'ancien volume lit et que nous reproduirons dans le volume X, en l
s pupillaires et réflexes très exagérés. Mouvements automatiques au lit la nuit (croit travailler à la forge, comme au
ours à l'hôpital après son accident. En dernier lieu, il urinait au lit , divaguait. Cauche- mars. Voyait des voleurs la
attacher sa chaussure, se débarbouiller; aujourd'hui elle fait son lit , elle aime se rendre utile, balaie son dortoir,
uan- derie. Elle s'initie peu à peu aux soins du ménage, fait son lit , essuie la poussière, essaie de balayer, etc. En
ons cependant à noter aujour- d'hui (igo2), de bons résultats. Elle lit par syllabes, a appris, il écrire, fait bien un
us les ateliers, mais principalement à la buanderie. En classe elle lit couramment, écrit lisiblement, fait des dictées
tés, l'enfant a réalisé aujour- d'hui (1899) de réels progrès. Elle lit lentement, mais cou- ramment ; son écriture est
re, connaît les deux premières opéra- tions de l'arithmétique, elle lit lentement niais Sa lecture ést courante. L'enfa
enfant s'est beaucoup améliorée au point de vue intellectuel. Elle lit bien; donne à sa lecture une bpnne intonation,
n à la classe et a pris goût aux exer- cices de ses compagnes. Elle lit par syllabes, fait les deux premières opération
èrement elle-même. 19°5. - Trouil ? a continué de s'améliorer, elle lit cou- ramment, fait des devoirs de grammaire, de
isi- blement, fait une copie, connaît et sait faire les chiffres et lit par syllabes. Tout donne lieu d'espérer que sa
à faire quelques devoirs de grammaire, connaît l ? ddi- tion. Elle lit par syllabes et tout donne à espérer que d'ici
u point de vue intellectuel ses progrès sont à signaler : Gabrielle lit couramment, son écriture est bien formée et mêm
ncombrant élève demandait fré- quemment la permission de sortir, le lit suivre et ne tarda pas à apprendre qu'il s'enfe
yeux, du côté opposé. » (Revue neurologique, janvier 1905.) E. B. Lit . Le noyau mésocéphalique des oculogyres, par A.
s un cas, de constater que la lésion avait détruit les noyaux de la lit , et IVe paires de chaque côté en laissant intac
, cherche à se préci- piter par les fenêtres, se jette a bas de son lit à plusieurs repri- ses. Un jour on trouve sous
est profondément atro- phiée, surtout à la jambe et au pied qui, au lit , se met en équin varus ; à la ceinture scapulai
a marche devient de plus en plus difficile et il lui faut garder le lit . Au bout de quel- quesjours, le malade sort de
et strabisme assez accusés); malgré ce grand obstacle, notre élève lit très couramment, fait des dictées, connaît l'ad
sées, mais elle marchait très difficilement et uri- nait parfois au lit . L'expression de la physionomie était peu mobil
nt, malgré cela nous constatons aujourd'hui des progrès réels. Elle lit assez couramment, son écriture est régulière. E
nous étions en droit d'attendre se sont enfin réalisés. Marguerite lit aujourd'hui couramment, suit une dictée du cour
et va sur les cabinets; la nuit il lui arrive rarement d'uriner au lit . - L'enfant mar- che maintenant seule, elle tro
es progrès n'ont pas été très rapides, mais sûrs et constants. Elle lit très bien aujourd'hui, donne à sa lecture une b
voyant en retard a redoublé de courage et de bonne volonté. Elle lit couramment, fait des copies, connaît l'addition e
nce dont rien n'approche, elle sautait par-dessus les barres de son lit , grimpait partout, on était obligé de l'attache
très propre le jour, la nuit il lui arrive quelquefois d'uriner au lit . - Elle commence à s'habituer en classe, essaie
, elle connaît les deux premières ' opérations de l'arithmétique et lit presque .couramment. Elle suit avec facilité to
2, mérite actuellement d'être de nouveau signalée. Aujourd'hui elle lit couramment, suit les dictées ordi- , naires, a
tons une amélioration notable chez cette enfant. Actuellement, elle lit par syllabes, écrit très lisiblement, fait une
actuellement d'être de nouveau men- tionnée. Aujorrrd'7aui, elle lit couramment, donne à sa lecture une bonne intona
ujourd'hui (1900) de réels progrès, sous le rapport classique. Elle lit presque couramment, son écriture est très lisib
MENT MÉDICO-PÉDAGOGIQUE DES IDIOTIES. 475 ressorts. En classe, elle lit presque couramment, fait de petites copies asse
e. Elle connaît les trois premières opérations de l'arithmétique; lit couramment et donne à sa lecture une bonne intona
des progrès très nota- bles surtout au point de vue classique. Elle lit couramment, commence à faire des' dictées, conn
né. Elle a appris à connaître ses lettres, à syllaber et maintenant lit presque couramment. Elle sait écrire et faire d
inté- resse à tout; on voit qu'elle est désireuse d'apprendre. Elle lit très couramment, fait des copies, connaît l'add
elle porte beaucoup d'attention sur tout ce qui est enseigné. Elle lit couramment, connaît l'addi- tion, la soustracti
rès sensible et craintive. Elle cherche à se rendre utile, fait son lit , ainsi que ceux de ses compagnes qui ne peuvent
ogrès au point de vue scolaire n'ont pas été moins rapi- des ; elle lit par syllabes, son écriture est lisible et bien fo
borné, obstiné surtout, il ne voulait rien apprendre. A présent il lit couramment, écrit lisiblement, fait les quatre
10 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
aimer, surtout sa mère. Il lui arrive aussi fréquemment d'uriner au lit par taquinerie ou paresse ( ? ). - Cette habitu
ssédait aucune notion des exercices classiques. " Aujourd'hui, il lit couramment, l'écriture est lisible, et il peut
xes : lion, liai, sci, etc. X. -LETTRES ne se prononçant pas : rue, lits , vingt, etc XI. - Exceptions : faisan, monsieur
ris goût à la lecture et à l'écriture. Doué d'une bonne mémoire, il lit un grand nombre de papiers, qu'il com- mence à
; la parole ayant ainsi marché de pair avec la lecture, notre élève lit couramment aujourd'hui, et prononce convenablem
Il déta- LII . Barres d'entraînement. ' che chaque syllabe, qu'il lit lentement, en laissant un trop long temps d'arr
un trop long temps d'arrêt avant de lire la suivante. Couri... ne lit bien couramment que les papiers impri- més, qui
lassique. L'enfant a fait néanmoins des progrès surprenants. Elle lit couramment, suit des dictées élémentaires, fait l
lgré toutes ces difficultés, l'enfant a fait de réels progrès, elle lit couramment, écrit lisiblement, mais ne fait que
ien à la classe et a pris goût aux exercices de ses compagnes. Elle lit par syllabes, fait les deux premières opération
nts de la gymnastique des échelles et des ressorts. En classe, elle lit presque couramment, fait de petites copies asse
ion. Au lever, on apprend aux enfants à faire leur toilette, leur lit , à nettoyer leur dortoir. Aux repas, on sur- ve
ues et aliénés. Il dispose, en effet, à l'heure actuelle do : 250 lits à la colonie de Vaucluse ; 453 lits à Bicêtre ;
à l'heure actuelle do : 250 lits à la colonie de Vaucluse ; 453 lits à Bicêtre ; 200 lits iL la Fondation Vallée ;
: 250 lits à la colonie de Vaucluse ; 453 lits à Bicêtre ; 200 lits iL la Fondation Vallée ; 162 lits à la Salpêtri
se ; 453 lits à Bicêtre ; 200 lits iL la Fondation Vallée ; 162 lits à la Salpêtrière, soit, au total. 1.065 lits. M
Fondation Vallée ; 162 lits à la Salpêtrière, soit, au total. 1.065 lits . Malheureusement, par suite de l'accroissement
qui existaient en 1884 : demandes nombreuses, insuffi- sance des lits , et qui ont motivé alors un arrêté de M. le pré
ancien ré- fectoire où il sera possible d'installer environ douze lits . Viendra peut-être ensuite, à une époque que no
nistration pourra disposer progres- sivement d'un certain nombre de lits pour les enfants inscrits à l'asile Clinique.
Par la, on aurait encore la dis- ponibilité d'un certain nombre de lits . Vous vous sou- venez, sans doute, que nous vou
en a été envoyé 1'i à Ville-Evrard et 19 à Villejuif. Il suit de lit que les sections de Bicêtre ont été, au con- tr
alcoolique. Cratid'met'e maternelle morte d'apoplexie. A uriné au lit jusqu'à l'âge de sept ans. Masturbation précoce
quels le sedum acre eut unc influence; plus ou moins heureuse. Il lit prendre', matin et soir, à l'un de ses malades, e
à 75 ans d'une bronchite de nature sus- pecte, après avoir gardé le lit pendant 15 mois. Boitait, à la suite d'un traum
oordination lorsque la malade soulève sa jambe au-dessus du plan du lit . Peau des extrémités froide et cyanosée, sans p
sa chambre, a été dans la pièce voisine, a essayé de monter dans le lit d'un camarade, puis est retourné à son lit. Il
essayé de monter dans le lit d'un camarade, puis est retourné à son lit . Il a dormi ensuite paisiblement. - La déchéanc
souvent des cauchemars ; une fois même en 1892 il serait tombé du lit . En mai 1895, l'enfant, en allant chez son oncle
u un cauchemar ; il a crié au feu, au voleur, s'est débattu sur son lit , et comme on ne parvenait pas à le réveiller un
hute. Il faut cependant le monter au- dortoir, et l'étendre sur son lit : il y reste cinq minutes, puis se déshabille l
e genre de celle du 1er mai. Le 28, vers 10 heures du soir, dans le lit , IL.. sans ouvrir les yeux se met à parler à ha
es couvertures. Il marche en raidissant le corps, se dirige vers le lit voisin, y donne un fort coup de poing; les paupiè
il revient sur ses pas, en évitant tous les obstacles, monte sur un lit et d'un bond saute sur le faite d'une armoire p
il n'y reste épie quelques secondes, en descend pour aller vers son lit , prend ses vêtements et s'habille; il retourne
saie d'ouvrir de nou- veau ; n'y réussissant pas il retourne il son lit , se déshabille et se couche. La durée de cet ac
dortoir, de la durée d'une heure environ, R... s'est assis sur son lit , a ouvert le tiroir de sa talMc de nuif, cl a r
l'effort qu'il vient de faire, se couche convenable- ment dans son lit et s'endort. Durant le sommeil somnambu- lique,
age. - Au point de vue intellectuel, B... fait quelques progrès. Il lit couramment, sait faire exactement les trois pre
travail, est docile. 1884. - B..... a fait de nouveaux progrès. Il lit bien, réussit à résoudre quelques petits problè
tituteurs ne constatent que des progrès très peu sensibles. l3én .. lit couramment, possède quelques notions d'histoire
de me mordre la langue, il cause des efforts.» On le fait lire, il lit sans difficulté notable : « Il y a des moments
eule, la tête tremble, mais moins que dans la station verticale. Au lit , ou mieux dans le décubitus dorsal, peu après l
il a appelé : « Oh ! maman ! maman ! » On l'a trouvé assis sur son lit , faisant le geste d'écarter : « Maman ! les bêt
ourtant le sommeil était un peu agité : il sautait souvent dans son lit . Tandis que, avant, il ne souf- frait pas de la
sionné, est revenu en hurlant. Sa mère l'a fait coucher. A peine au lit , a éclaté une crise convulsive très forte, avec
chez une tante, à la campagne, où elle resta jusqu'à un an. C'est lit qu'elle a eu, à 8 mois, ses premières convulsions
plus tard, douleurs dans le bas-ventre, disparues par le repos au lit . Deux semaines après, elle a été effrayée par les
en adduction forcée. L'enfant ne pouvant se tenir assis ; reste au lit . z L'appétit est médiocre ; la mastication ne s
s'est mise à parler haut, crier, chanter : elle s'est levée de son lit et a couru dans le dortoir : c'est avec beaucoup
e dortoir : c'est avec beaucoup de peine qu'on a pu la maintenir au lit . Elle a de la diarrhée et gale dans son lit san
on a pu la maintenir au lit. Elle a de la diarrhée et gale dans son lit sans s'en rendre compte. Elle est remise à l'in
es paroles incohérentes. - La diarrhée persiste, l'enfant gâte au lit , elle ne peut s'habiller ni se déshabiller seule,
utres enfants, leur pincer le nez. On est oblige de la maintenir au lit . Le gâtisme; persiste. 25 mars. L'enfant a pass
é la nuit il chanter, à rire. Ce matin, on la trouve assise sur son lit , les yeux brillants, le regard égaré, d'une ext
petite médaille que sa soeur portait au cou, on ne l'a retenue au lit qu'avec difficulté. L'enfant ne fait plus sa pr
n instant. Elle chante, rit, fait mille grimaces, se lève, fait son lit , se recouche, pour se relever bientôt, bavarde,
lle était seule dans le dortoir, elle s'est mise à défaire tous les lits , à se rouler sur les matelas, monter sur la tab
ses actes, semblait chercher la fenêtre, sautait sur le dossier du lit , renversait les meubles, les vases, etc.. Après
e met facilement en colère. La nuit il se lève tout endormi sur son lit . Sa mère est obligée de le recoucher. Jamais il
les remuaient. Elle se serait réveillée la nuit en disant que son lit marchait, s'envolait ; elle a repris connaissance
. Après ces convulsions elle avait peur de tomber et disait que son lit descendait. Sa figure est très éveillée, intell
moins ; se réveille la nuit, fait des « sauts de carpe » dans son lit . Elle appelle sa mère et lui dit : « tiens-ntoi,
11 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aux stades terminaux du tabes, quand les malades sont confinés au lit , quoiqu'on ne puisse confondre naturellement cett
omes, constituant autant de petits asiles urbains d'une centaine de lits . Telles sont les cliniques de Leipzig (1882), d
formé de pavillons détachés, sans galeries couvertes. Le nombre des lits ne doit pas dépasser 100 à 120, et même, si le
à manger gaies et bien décorées et un grand nombre de chambres à un lit . Griesinger ne veut pas de division spéciale po
ents. Les uns, situés dans les villes, ne possédant qu'un nombre de lits très restreint, serviraient de bu- reau d'admis
, mais aussi à celui des maladies nerveuses. Un cer- tain nombre de lits (20 ou 25) et la policlinique (consultation ext
ue celle des établissements purement universitaires. Le chiffre des lits de ces dernières varie en général entre 100 et
entre 100 et 130. Citons par exemple la clinique de Halle avec 110 lits , celles de Leipzig avec 135 lits, de Tubingen a
mple la clinique de Halle avec 110 lits, celles de Leipzig avec 135 lits , de Tubingen avec 140, de Kiel avec 120. La cli
ychiatrie dispose en outre d'un quartier d'aliénés chroniques de 88 lits , soit, en tout, de 148 ma- lades. La clinique d
ossède qu'une cinquantaine, celle de Konigsberg qu'une trentaine de lits . En revanche, la cli- nique de Kiel a 200 lits,
qu'une trentaine de lits. En revanche, la cli- nique de Kiel a 200 lits , et la nouvelle clinique de Berlin aura éga- le
a 200 lits, et la nouvelle clinique de Berlin aura éga- lement 200 lits . On estime à 50 p. 100 la proportion des cas ai
r orga- niser leurs cliniques psychiatriques. Le prix de revient du lit a Archives, 2° série, t. XI, 3 '34 ENSEIGNEME
: à Tubingen, de 11 000 francs environ. La clinique de Halle (110 lits ) a coûté un million de francs ; celle de Leipzi
lle (110 lits) a coûté un million de francs ; celle de Leipzig (135 lits ), 1 475 000 francs ; celle de Tubingen (140 lits)
le de Leipzig (135 lits), 1 475 000 francs ; celle de Tubingen (140 lits ), 1 825 000 francs : celle de Wurzbourg (60 lit
e de Tubingen (140 lits), 1 825 000 francs : celle de Wurzbourg (60 lits ), 340 000 francs, (sans le terrain) ; celle de
60 lits), 340 000 francs, (sans le terrain) ; celle de Giessen (100 lits ), 1 150 000 francs, celle de Rostock (200 à 250
e Giessen (100 lits), 1 150 000 francs, celle de Rostock (200 à 250 lits ), 1 700 000. Plan. Nous n'insisterons pa.s sur
singer (asiles cliniques urbains, autonomes, avec un maximum de 120 lits ), mais pour lesquels cependant on n'a pas renon
ix pavillons pour 110 aliénés ; deux pavillons à Wurzbourg, pour 60 lits (les frais de construction de chacun d'eux se s
sont élevés à 100 000 francs) ; huit pavillons à Giessen, pour 100 lits . La plupart des pavillons sont constituées par
es : à Leipzig, la capacité des dortoirs est de 25 mètres cubes par lit ; celle des salles de réunion de 36 mètres cube
son but, avec aménagement particulier en vue du trai- tement par le lit 1 ; un autre pavillon distinct est réservé aux al
de surveillance continue, comprenant le tiers du chiffre total des lits , et affectée aux psychoses aiguës nécessi- tant
insisté sur ce point (voir clinique de Wurz- bourg). Le nombre des lits des pavillons de traitement ou de surveillance
s, pour les cliniques psychiatriques, le nombre proportion- nel des lits doit s'élever à 20 ou à 30 p. 100 du chiffre tota
de traitement, à rez-de-chaussée, se compose de deux salles de dix lits avec cinq chambres d'isolement, dont trois ne c
gement intérieur ont été disposés en prévision du traitement par le lit : notons des sommiers à partie supérieure mobil
v.-déc. 1895. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 37 ter assis dans son lit sans effort, et facilitant ainsi le séjour pro-
ns son lit sans effort, et facilitant ainsi le séjour pro- longé au lit l'installation à la tête et au pied du lit de tab
le séjour pro- longé au lit l'installation à la tête et au pied du lit de tablettes verticales, en substance mauvaise
la chaleur ; l'usage de tables spéciales pour prendre les repas au lit , de chaises percées, de paravents pour l'isolem
re peut s'abaisser ; l'autre est appliquée contre le mur. Un de ces lits n'a pas de sommier : le matelas repose directem
telas repose directement sur le parquet, de sorte que les parois du lit ont plus de un mètre de hauteur au-dessus du mate
t plus de un mètre de hauteur au-dessus du matelas. Ajoutons que le lit est placé à l'extrémité de la salle et adossé au
est placé à l'extrémité de la salle et adossé au mur. L'usage de ce lit profond permet d'éviter à bien des malades la m
es convulsifs et les affaiblis turbulents. La hauteur des parois du lit , au-dessus du matelas est d'environ 0,75. Dans
Dans certaines cliniques (Wurzbourg), en vue du traitement par le lit et d'une surveillance plus étroite du malade, on
e clinique plus considérable que celle de Wurzbourg (qui n'a que 60 lits ), on recommande l'organisation de deux salles de
ment optique (paravents), par les bains très prolongés, le repos au lit , et dans le cas d'agita- tion violente, par le
u lit, et dans le cas d'agita- tion violente, par le séjour dans un lit profond, à parois capi- tonnées, enfin par l'is
elles des établissements hospitaliers ordinaires. Traitement par le lit . Il est difficile de parler de l'organisa- tion
avillons de traitement sans dire quelques mots du traitement par le lit . C'est en effet dans ces établissements que ce
evient le mérite d'avoir, en 1860, introduit le trai- tement par le lit en Allemagne, et d'avoir, dans de nombreuses pu
ttention, dans une série de publications (1894-99), sur le repos au lit dans le traitement des maladies mentales, n'hésit
précisément en vue de permettre l'application du traitement par le lit . Rappelons que d'après le professeur Rieger, l'
ou à la salle d'examen. Tous les mala- des traités par le repos au lit sont en conséquence présentés aux élèves dans l
le repos au lit sont en conséquence présentés aux élèves dans leur lit , ce qui a de plus l'avantage de permettre, sans
s, un examen physique complet. Les indications du traitement par le lit peuvent être formulées en deux mots : la méthod
physique, aussi bien que le repos psychique. Le traitement par le lit répond à ces indications pressantes. Inutile d'
qui, depuis plus de trente-cinq ans, pratique le traitement par le lit , c'est surtout dans les signes physiques qu'il fa
ations du repos et du temps pendant lequel le malade doit rester au lit . L'auteur accorde d'ailleurs que les 1 P. Série
e les 1 P. Sérieux. Le traitement des mélancoliques par le repos au lit . Revue de psychiatrie, août 1897. Le traiteme
trie, août 1897. Le traitement des psychoses aiguës par le repos au lit . Rev. internai, de llaérapeul., sept. 1897. P
t F. Famarier. « Le traitement des psychoses aiguës par le repos au lit . » Semaine médic, Il oct. 1899. Travail et alit
t normal des mutations nutritives du neurone. Or, seul le séjour au lit permet de réaliser le repos complet du cerveau.
allucinations et des illusions . De plus, le séjour des patients au lit modifie d'une façon favo- rable le milieu : dan
. 41 trique, le nombre des sujets justiciables du traitement par le lit ; la proportion des malades qui y sont soumis v
ion, après avoir été au bain et avoir changé de linge, gar- dent le lit au moins pendant quelques jours. Cette manière de
eillance : les malades peuvent être présentés aux .élèves dans leur lit . Le prix de revient de ce bâtiment s'est élevé
anglions spineaux dans le tabès. Au nom de M. MARINESCO, M. Joffroy lit la communication suivante : J'avais examiné e
fut-on pas peu surpris en le trouvant, hier matin, mort dans son lit . Le cadavre a été transporté à la Faculté de méde
inerte et un peu bestiale, elle urine souvent involontaire- ment au lit . Bref la démence s'installe progressivement. En
y a trois ans, nouvel accès de stupidité pendant lequel il garde le lit dans une immobilité complète. L'année dernière,
s inférieurs était telle que la malade était condamnée à prendre le lit qu'elle n'a plus quitté depuis cette époque. Am
sie incomplète de tout ce coté, le malade perd ses membres dans son lit . Paralysie du droit externe gauche; la face est
et ne-se souvient pas avoir jamais été malade au point de garder le lit . Parmi ses ascendants directs, personne n'a jam
. L'intelligence est moyenne, l'instruction rudimentaire, le malade lit à peine et signe difficile- ment son nom. La
ravail jour- nalier. Organes des sens. La vue est bonne, le sujet lit la. montre à trois mètres. 11 épèle à peine, au
. L'intelligence est assez bonne, le sujet s'exprime facilement. il lit avec peine. Il n'y a rien au coeur ni aux poumons
entre elles, le professeur dispose à son gré d'un certain nombre de lits (10 ou 15). A Strasbourg, par exemple on reçoit
, aussi assidus que ceux qu'on donne à un typhique, sont soignés au lit et soumis à une surveillance attentive et à un ex
épenser plus d'un million pour une clinique psychia- trique de cent lits . - Nous avons dit plus haut les services multip
e universitaire, d'une clinique psychiatrique autonome, de 60 à 100 lits . Cette clinique située dans la ville même (hôpi
1883. P. Sérieux. Le traitement des mélancoliques par le repos au lit . Revue de psychiatrie, 1897. - Rieger. Uber ein
et FARNRIFII. Le traitement des psychoses aiguës i)oi, le repos au lit . Semaine médie., Il oct. 1S99. S. Pozzi. - Note
28, sous l'empire d'un accès de folie, s'est levé subitement de son lit vers une heure du matin et, s'armant d'un poignar
ns mal les bras que les jambes. Il ne pouvait se retourner dans son lit qu'en se renversant la tête en arrière, comme app
dans certaines circons- tances, par exemple quand on le caresse. Au lit , les jambes res- tent allongées, les bras collé
il aurait été frappé d'insolation en juillet 1899 pour laquelle il lit un séjour de deux mois à l'hôpital de Cette où on
t mais avec plus de lassi- tude. Il est maintenant allongé dans son lit . La paralysie parait aujourd'hui complète ci ga
aît plus ses parents ; on a beaucoup de peine à le coucher; dans le lit il remue furieusement les bras et lesjambes. A
on entrée. L'enfant, d'une constitution robuste, est étendu sur son lit com- plètement sans connaissance. Les pupille
et je vais vous décrire son aspect, son visage, sa posture dans le lit , et par-dessus tout cela sa chambre, l'appartem
'ayant visité à l'occasion du congrès de Budapest. Cet asile de 500 lits est souvent encombré et abrite jusqu'à 800 mala
ouvèrent et décrit en détail les différents travaux auxquels on les lit se livrer chacun selon leurs moyens. Les résultat
nce; 3° période termi- ncale, profonde léthargie, malade confiné au lit , bave, perte de l'intelligence, escarres, tremb
, éditeur, 1900. Ce manuel, utile à l'étudiant l'est plus encore au lit du malade pour le praticien qui sait, mais a be
au'; chambres en 1895, par M. Bergerem, ministre de la justice, on lit le passage suivant : « Il est permis d'affirmer
es chambres de malade ? , 4 salles de réunion et dortoirs de 3 et 4 lits , 4 cellules. Le premier étage est plus spéciale
x réservés aux malades ont été aménagés en vue du traitement par le lit et de la surveillance continue. Au 1 ? étage, c
ge, chaque division comprend trois salles de surveillance de 12, et lits séparées par une salle de réunion, vaste et agr
s nécessaires pour l'examen clinique. Il y a encore un dortoir de G lits , une. chambre d'infirmier et enfin, dans une ai
érieure, une section pour malades agités comprenant un dortoir de 3 lits , 4 chambres d'isolement et une chambre d'infirm
les divers, à titre d'essai. Au deuxième étage, 6 chambres à 1 et 2 lits pour pensionnaires, une grande salle de iéunion
l'enfant. » Un revolver d'ordonnance se trouvait, en effet, sur le lit . Le docteur Véron, médecin-major à l'hôpital, f
'épilepsie. (f3.) .) THÉRAPEUTIQUE. Le traitement par le repos au lit , en médecine mentale; Par le D' Alexandre PAR
s bons effets du traitement de l'aliénation mentale par le repos au lit ; si je ne peux pas dire que je lui dois un chi
dies mentales par l'alitement me sem- LE TRAITEMENT PAR LE REPOS AU LIT . 389 blent un peu trop négligés jusqu'à présent
moins étendu que l'on généralise plus le traitement par repos au lit ; métrorrhagies, plaies, fractures sont beaucoup
orcée par le voisinage d'autres agitées ; chez ces malades repos au lit , hypnotiques pendant le jour, hyp- notiques pou
de ce dernier. Son premier soin fut d'allumer un réchaud près du lit de son enfant, une fillette de quatre ans, qui se
la maison; puis, la prenant dans ses bras, elle s'étendit sur un lit , attendant la mort. Lorsque M. Eucher rentra de s
z lui. La nuit dernière, la folle, prise d'un accès, se leva de son lit et se précipita sur sa fillette, âgée de neuf a
que la famille de notre malade, j'entends la descendance du premier lit de son père, sur laquelle nous avons des détail
ctif : « Victor L... a été hospitalisé le 24 mars 1898 pour frac- lit ,e indirecte du fémur gauche au tiers moyen, consé
it les balayures en autant de petits tas que la chambre comptait de lits , pour les déposer ensuite religieusement sur ce
ment son bras gauche, mais on n'obtient pas qu'il regarde, ce qui lit que sa mère le crut aveugle. Pendant la demi-heur
dans la seconde circonstance, vingt- quatre heures, et il garda le lit ensuite trois semaines environ. Déjà, à la suit
ondeur de la lésion des eschares sacrées dues au séjour prolongé au lit . ' , Co)tSRl(;l'CllZOIIS Srll' lct purvlysic én
12 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
(Mathieu, Mort cl'lle2·i IV.) Une nuit, J. Clément, étant dans son lit , Dieu lui envoya son ange en vision, lequel ave
é par deux fois de se précipiter du haut d'un escalier. Maintenu au lit , camisole et surveillé, il s'est entaillé profo
'au moment de la production de nouvelles lésions le malade garde le lit ; le médecin doit être en éveil, quand l'oppress
L'asile, construit toujours sur le même plan et pour un nombre de lits fixé à l'avance, avec des bâtiments identiquement
vient de se faire photogra- phier à l'électricité avant d'aller au lit . Voilà six ans que vous n'avez entendu parler d
oir sermonée. Elle résolut d'éviter l'infidèle. Bientôt après, elle lit de nouveau dans le journal : « Je vous attends.
tient au courant de tout ce qui parait en médecine nerveuse; elle lit les ouvrages de médecine et de science, elle s'em
e Dostoïewsky, dans Crime et châtiment, qui croit que tout le monde lit son meurtre sur sa figure et le lui reproche; l
omme qui ne s'appelait pas Il.... » Les différentes démarches qu'il lit de divers côtés pour recher- cher l'étymologie
rent transformer en certitude les soupçons de D.... Il déserta le lit conjugal et, à travers la cloison, entendait les
entre elle et son oncle. Il la revit quatre mois plus tard sur son lit de mort à la suite de ses couches. Une pièce qn
ier, il nous a été permis d'examiner cette malade. Etendue dans son lit , avec le masque immobile de la paralysie pseudo
CHARON. VIII. De la porencéphalie ; par A. IIICIITER (Ce2lil-tilbl( LIt f Nervenheil- Iiii)zde, XU, N. F. 1s.18 : t8).
oncer certaines opinions manifestement erronées. Ainsi (page 89) on lit : « L'homme qui actionne son cer- veau est doli
dit-il, sur la table d'opération, comme il se serait couché sur son lit pour se reposer après une grande fatigue ». La li
inence prolongée, sinon absolue, il se levait parfois, courait d'un lit à l'autre, se déshabillait, et errait nu dans le
itions les plus anormales, et, parfois, se place si près du bord du lit qu'il lui arrive de perdre l'équilibre, et de t
but, se promène dans le dortoir; puis, incapable de reconnaître son lit , il se couche à la place d'un autre malade. En
le de refroidissements qu'il a contractés en se découvrant dans son lit et en se promenant dans le dortoir dans un cost
nnaissance, et à son réveil il a été surpris de se trouver dans son lit , et de constater qu'il ignorait absolument ce q
, il se souvient d'avoir conversé avec des malades couchés dans les lits voisins du sien, et RELATION D'UN CAS DE CONFUS
dit-il, sur la table d'opération, comme il se serait couché sur son lit pour se reposer après une grande langue ». L'
é le VA septembre 1898 dans le service de M. le Dr Durand, salle 3, lit 19. Cette malade, dont les antécédents hérédita
ême sujet ; elle raconte qu'une malade de la salle a placé dans son lit un bras, qu'elle a mis à l'annulaire de la main u
iété ce qu'elle va faire de ce bras qu'elle croit sentir au pied du lit et insiste pour qu'on l'enlève. Si on la découv
'hôpital Saint-André dans le service de M. le 1), Durand, salle 12, lit 1 i, le 18 mars 1899. Antécédents héréditaire
nt bientôt complètement para- lysés et le malade ne put quitter son lit ; en même temps, il eut des troubles généraux,
premier mari, trois avec le second. Notre malade est née du second lit . Nous n'avons pas de renseignements sur les enf
lit. Nous n'avons pas de renseignements sur les enfants du premier lit ; du second, deux soeurs sont mortes, l'une baci
sa chambre, a été dans la pièce voisine, a essayé de monter dans le lit d'un camarade, puis est retourné à son lit. Il
essayé de monter dans le lit d'un camarade, puis est retourné à son lit . Il a dormi ensuite paisiblement. La déchéance
ordinaires, dans les hôpitaux : on les laissait habi- tuellement au lit , dans la plus grande promiscuité, les privant a
rable dans le traitement des maladies mentales. Certes, le repos au lit n'est pas une panacée universelle ; il ne peut
celle de nombreux médecins aliénistes étran- gers, que le repos au lit doit être la base du traitement des maladies ai
os physique aussi bien que le repos psychique. Le traitement par le lit répond à ces indications pressantes. Parmi le
mptômes physiques qui réclament plus parti- culièrement le repos au lit , citons : la dénutrition, l'amaigris- sement, l
at normal des mutations nutritives du neurone. Or seul le séjour au lit permet le repos complet du cerveau ; outre que
hallucinations et des illusions. De plus le séjour des patients au lit modifie d'une façon favorable le milieu : dans
physiquement et psychiquement. Les résultats du traitement par le lit sont unanimement admis. L'alitement atténue à n
us inaperçues, grâce il la facilité d'examen que donne le séjour au lit ; la physionomie de l'asile se trans- forme et
eux mots encore avant d'aborder l'historique du traite- ment par le lit : il n'est jamais entré dans notre esprit la pe
entré dans notre esprit la pensée d'opposer la méthode du repos au lit à la méthode du travail; chacune d'elle a son m
e formule simple notre manière de voir, nous dirons que le repos au lit est pour les malades aigus ce que le travail 1
iodes peuvent être distinguées dans l'histoire du traitement par le lit . Dans l'une, il n'est question d'appliquer l'al
iles. Dans la seconde période, au contraire, le traitement par le lit est envisagé comme une méthode applicable d'une f
tie, l'immobilité, qu'on eut, en premier lieu, recours au séjour au lit . A Guislain * revient le mérite d'avoir, en 18¡
ques, écrivait le célèbre aliéniste belge, sont cou- chés dans leur lit . Je prescris le repos du corps... Le lit sera,
, sont cou- chés dans leur lit. Je prescris le repos du corps... Le lit sera, pendant toute la première période du mal,
iéniste anglais, Conolly, recommande, d'après Brosius, le séjour au lit dans les états maniaques et les autres formes a
inolhérapie, les proportions respectives des malades traités par le lit et des aliénés travailleurs. Les 209 malades de l
uchés une partie de la journée el, après les avoir fait déjeuner au lit , leur administrait un hypnotique pour les faire
n 1864, le premier en France, parle du trai- tement par le repos au lit pour certains mélancoliques et certains maniaqu
tendance que l'on avait, à leur époque, de maintenir les aliénés au lit dans les hôpitaux, cette réaction a été excessi
etté confrère le docteur Guislain, et nous conseillons le séjour au lit de ces malades, au lieu de les laisser circuler e
énés, soit maniaques, soit mélancoliques, doivent être maintenus au lit pendant certaines périodes de leur affection, c
neurasthénie une méthode reposant essentiellement sur le repos au lit (Rest cure, Rest treatmenl) combiné avec l'isole-
f isanity) insistait, sans cepen- dant parler du traitement pour le lit , sur la nécessité du repos : « Tant qu'il exist
s, émaciées et dont le sang était devenu trop fluide ». Le repos au lit devait être continué pendant la plus grande par
ell . Les deux aliénistes français se proposaient, par le séjour au lit , dans le décubi- lus dorsal complet aussi prolo
Cullerro considère le traitement de la mélancolie par le séjour au lit comme ayant pour but principal de congestionner
un médecin américain, Samuel Jackson, avait recommandé le repos au lit chez les femmes hystériques et neurasthé- nique
UE. Régis ', Dagonet et Duhamel 2 signalent également le repos au lit comme pouvant être appliqué au traitement des m
ell, qui avaient eu le mérite de saisir les indications du repos au lit dans diverses formes psychopathiques, n'eurent
e. Le traitement systématique des psychoses aiguës par le séjour au lit a pris naissance, il y a une quarantaine d'anné
nombre considérable de travaux. D'Alle- magne le traitement par le lit se répandit dans les pays de langue allemande,
, les cellules d'isolement sont supprimées, et le traitement par le lit est appliqué non seu- lement chez tous les alié
ez les mélancoliques- et va mémejusqu'à conseiller le main- tien au lit par la fixation du malade. En 1879, la méthode
uis cette époque sont aménagés spécialement en vue du traitement du lit . C'est surtout à partir de 1880 que la méthode
plus puissant, il montre que la place de l'aliéné aigu est dans un lit d'hôpital et non à l'atelier ou aux champs : le
ns un lit d'hôpital et non à l'atelier ou aux champs : le séjour au lit est un moyen de traitement sou- verain ou mieux
de Scholz8. CI. Neisser, en 1889, introduit le traitement par le lit à l'asilede Leubus (Silésie). Le même auteur, a
voyage d'études en Allemagne, fait connaître le traitement par le lit et l'emploie le premier en z1892, à l'asile Alexa
a promptitude avec laquelle la plupart des maniaques s'habituent au lit ; l'agitation s'atténue considéra- blement ; le
ie militaire de médecine de Saint-Pétersbourg, le traitement par le lit est appliqué, en 1896, par le professeur BeUite
à conclure que les aliénés s'habituent très facilement au séjour au lit ; que ce mode de traitement ne diminue pas sensi
de l'anorexie 1. Pour le professeur BecUteayyr le traitement par le lit est indiqué chez les aliénes agités 1' (aigus e
n dictionnaire mé- dico-psychologique3. Clouston range le séjour au lit parmi les moyens de contrainte et, malgré les t
ty Tuke, au contraire, est par- tisan du traitement par le repos au lit ; il admet que, dans les psychoses aiguës, il ex
in lied'. r. Aux Etats-Unis, lIurd. recommande le traitement par le lit dans les psychoses aiguës, sauf la manie. En
ainsi qu'au cours de diverses publications sur le traitement par le lit dans l'épilepsie, les délires toxiques, la méla
rtir de 1894, il eut l'occasion d'expérimenter le traitement par le lit dans cer- tains cas pendant quelques intérims à
Serbski, demande aux membres de l'assemblée si le traitement par le lit est appli- qué en France. Aucune discussion n'e
e Santé de Ville- Evrard l,. . 1 Hoeliricli. Du traitement par le lit chez les aliénés. (Thèse de C;ellève, 1898.)
e, août 1897.) - Le traitement des psychoses aiguës par le repos au lit . (Revue internat, de lhémpeul. ci de pharmacol.,
5 P. Keraval. Le traitement de l'aliénation mentale par le repos au lit . [Progrès méd. 18 juin 1898.) 0 Lacombe. Contri
e. Contribution à l'élude du traitement des aliénés par le repos au lit . (Thèse de Paris, 1898.) \ 7 lagilan. Il/lemenl
éthode de l'alitement. Comme on le voit, l'idée de soigner par le lit les sujets atteints de psychoses aiguës afait d
précieuses de la psychiatrie contemporaine. · Le traitement par le lit entraine comme corollaire obligé une modificati
depuis lors formule sans appli- cation ; seul le traitement par le lit en assurera le développe- ment intégral. On ne
, toute la famille entre dans le ventre d'un éléphant couché sur le lit . Sa femme et sa fille l'appellent par la fenêtr
des cloches, il voit des curés qui dansent dans la cour et sur son lit . On lui envoie à la figure des poignées de poud
pect du malade est celui d'un enfant craintif, il se cache sous les lits , sous l'escalier, sous les tables, craignant qu'o
faiblesse et d'une grande difficulté à marcher, mais les jambes, au lit , conser- vaient leur mobilité. Puis est apparue
ourrit extrême- ment mal et s'amaigrit. Le 6 juillet elle se met au lit , devient tout à fait inaccessible et renfermée;
t à lui, vomit, s'en retourne à pied chez lui, dine convenablement, lit le journal, cause et dort tranquille. Le lendem
signe de deuil. Le traitement des psychoses aiguës par le repos au lit . M. Farnarier communique en son nom personnel e
Il n'existe pas de contre-indication absolue au traitement par le lit , mais seulement quelques inconvénients facilement
gtemps que Pinel, dit-il, leur a rendu ce service. Le traitement au lit , ajoute-t-il, empêcherait la déperdition des fo
gités qu'il devient très difficile sinon impossible de maintenir au lit , sans moyens de contrainte. Ces malades finisse
ns quelques cas de ne pas persister à vouloir maintenir l'aliéné au lit quand sa résis- tance se traduit par une lutte
n ne saurait toutefois espérer qu'on pourra y traiter les agités au lit . Le dortoir commun constitue un milieu spécial
les mélancoliques en vue d'éviter les amyotrophies. M. Christian lit très attentivement les rapports annuels du ser-
u'il faut pour soigner ces gens-là. Mais vous avez toujours bien un lit et un endroit autre que celui-ci. On ne pourrai
un endroit autre que celui-ci. On ne pourrait pas le tenir dans un lit . « Décidément cette brave infirmière congrégani
us de haillons. Chez eux, ils cou- chaient sur les tringles de leur lit , à peine recouvertes de vieux sacs. Pourtant, l
quelques minutes avant le réveil des prisonniers il a approché son lit d'une fenêtre et il a attaché à un des barreaux
ait quelques instants après, ne voyant pas le jeune Pinson dans son lit , examina la cellule et l'aperçut pendu au barre
rèrent hier soir dans son domicile et la trouvèrent étendue sur son lit , ayant à ses côtés ses deux enfants qui étaient
e mercredi à 9 h. 1/2 visite du service. Confé- rences cliniques au lit des malades. Hospice de la SALPÊTRIÈRE. - Cours
avec les-, par Chartier, 171. Trahi- tement des - par le repos au lit , par Farnarier et Sérieux, 509. Psychonévrose
13 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
i sa figure était déviée. Consécutivement il est resté cinq mois au lit ; la parole serait revenue peu à peu, lout en rest
e malade repose son bras sur la table, le tremblement disparait. Au lit , dans la position liorizontale, la tète bien appu
la même mère (son père s'est remarié et a eu huit enfants du second lit ). Chez ses « demi-frères et soeurs » rien de sp
es autres enfants, dit-il; il a eu la rougeole. Il a aussi pissé au lit jusqu'à dix ans. l'as d'autres maladies. Pas de s
manger et boire et il était forcé, pour marcher, de s'accrocher aux lits de la salle. En outre sa parole aurait été embarr
lorsque la tête et les membres reposent complètement sur le plan du lit , on ne constate rien d'anormal. Si on dit au ma
s une maison de santé. Antécédents personnels. Ce malade a uriné au lit pendant longtemps; il a été « somnambule » jusq
a route et avoir une crise. Le lendemain il s'est retrouvé dans son lit , la figure et les mains meurtries au point qu'o
e. Vers trois heures du matin, il se réveilla par terre près de son lit et resta ainsi couché pendant une demi-heure sa
lever, sans pouvoir remuer aucun membre. Puis il put se remettre au lit et se rendormir. A son réveil, se sen- tant mal
il rentre à la Pitié. La veille il s'était réveillé au pied de son lit , par terre, et avait été repris de son hémi-lremb
rière. Depuis ses attaques d'éclampsie, elle a constamment gardé le lit , ses jambes étant complètement paralysées. Rien
avoir de la diplopie transitoire. Dans une note de février 1888 on lit : toujours douleurs épigastriques avec crises.
. Anesthésie totale. La malade ne sent aucun contact, ni le plan du lit , ni les objets qu'on lui met dans les mains, su
Le 12, on dit à la malade de lever les jambes au-dessus du plan du lit , elle parvient à le faire avec la jambe droite
lle lève le membre inférieur à 10 centimètres au- dessus du plan du lit . Elle arrive également à fléchir de quelques degr
ur les cuisses. Le 10 juin, la malade peut s'asseoir sur le bord du lit , les jambes pendantes, sans l'aide de ses mains;
ES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 31 - La malade peut se lever de son lit et marcher dans la salle sans appui. Nous l'avo
nt paraplégique il y a cinq ans. Depuis lors elle n'a pas quitté le lit . 11 y a trois ans environ, elle eut à diverses
eurs, qui, quelques jours auparavant, ne pouvaient être soulevés du lit et étaient restés dans cet état d'impotence et
ation horizontale, il peut élever ses membres au- dessus du plan du lit , assez haut, mais ces mouvements ne s'exécutent q
Ce tremblement disparaît dès que les jambes reposent sur le plan du lit . La flexion etl'extension des jambes sont possibl
et le rectum sont intacts. Fin mai 1873. Le malade est tombé de son lit sans s'en douter. Le trem- blement n'a pas vari
quoiqu'il ne sache ni le nom du médecin ni celui de ses voisins de lit . En novembre, il com- mença à se lever. Il marc
ant lentement ses pieds devant lui et s'accrochant aux barreaux des lits . D'autres fois il passe une partie de la journé
mment, elle ne sait où est'sa jambe ; et, quand elle se lève de son lit , celle-ci lui semble encombrante et hors d'usage.
alade, pour soulever quelque- fois ses couvertures lorsqu'il est au lit . Ce phénomène n'existe pas au niveau des membre
enlever l'appareil. Pendant toute cette période d'immobilisation au lit , les membres supérieurs avaient fait quelques pro
HIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Antécédents personnels. Le malade a uriné au lit jusqu'à 1/ âge de qua- tome ans, malgré sa bonn
te que l'anesthésie pharyngée. Il est vrai qu'il 1 a uriné dans son lit jusqu'à l'âge de quatorze ans, détail important q
, s'allonge sur la chaise où elle est assise comme si elle était au lit , se tâte le poids (I'1. VIII, fig. 4). Puis ell
à la tête. Puis elle fait le geste de rejeter ses draps au pied du lit , allonge ses jambes, place ses mains le long de
long de son corps comme si elle s'arrangeait pour être examinée au lit . Elle fait le geste de.boire. Elle remue la tête
rée. Si l'on invite le malade il s'étendre tranquille- ment sur son lit , dans une attitude abandonnée, comme pour dormir,
ssus de l'oreiller, à élever un de ses membres au-dessus du plan du lit , le tremblement se reproduit aussitôt (fig. 28)
ntentionnels; que l'on se borne à examiner le malade couché sur son lit , et on croira que ce tremblement cesse d'existe
épileptique. Antécédents personnels. Dans son enfance il a uriné an lit jusqu'à l'âge de dix ans. Puis sa santé a été p
chaque pas. On dut le reconduire chez lui en voiture. Il se mit au lit en arrivant. Il remarqua que sa jambe gauche tr
inten- tionnels. ' Cependant lorsque le malade se couche sur son lit le tremblement s'apaise et disparait complèteme
S TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 123 Les jours suivants M. X... garda le lit , fut soigné par son médecin habituel et put rep
sautait à une hauteur élevée dès qu'il voulait marcher. Parfois au lit même il avait de très forts soubresauts dans le
fois le supprime momen- tanément. Quand le malade se couche sur son lit , le tremblement cesse aus- sitôt, il reparaît d
on applique de la glace sur le ventre. Après deux mois de séjour au lit il veut se lever, mais ses jambes ont peine à l
le long de la colonne vertébrale, et, après trois mois de séjour au lit , dans le repos absolu, on veut le faire lever, ma
transparent qui met à l'abri de la poussière de menues reliques on lit ces mots écrits à la main : Saint Estrope. Or,
saient plus. En sortant de l'hôpital, elle est restée chez elle, au lit , allant un peu mieux, Nouvelle iconographie DR
ans, est entrée le 19 septembre 1888 à la Salpêtrière, salle Pinel, lit n° 15, dans le service de M. le docteur Joffroy.
pied à la Salpê- trière, mais au moment où elle allait se mettre au lit , elle fut prise d'un malaise subit. Ce malaise
nt une demi-heure environ; après quoi la malade qui s'était mise au lit fut prise tout à coup d'un tremblement géné- ra
ment peu touchés. Si on examine la malade debout ou assise dans son lit , les rides que nous venons de signaler s'accuse
tation debout et la slation assise. Quand la malade s'étend sur son lit , le tremblement disparaît. Et alors, si elle soul
de chambre, entrée à la Salpêtrière le 8 avril 1889, salle Duchenne, lit n° 3, dans le service de M. le professeur Charc
nuit, le vent très frais (on était en septembre) soufflait sur son lit à travers la fenêtre mal jointe; c'est dans cet
sait plus ce qui s'est passé. Elle s'est éveillée le lendemain, le lit n'était pas en désordre. Elle ignora si elle a
lle ne s'était pas mordu la langue, elle n'avait pas uriné dans son lit . Elle se trouvait très bien, plus de douleurs, pl
avant, tandis que sa tête et ses pieds touchaient seuls le plan du lit . Cette attaque qui avait duré un quart d'heure, s
commerce, est entré à la Salpêtrière le 6 juin 1889, salle Priiss, lit n° 8, dans le service de M. le professeur Charc
reprit sa besogne le jour même. Celle fois elle avait uriné dans son lit . Cela lui est arrivé une autre fois d'uriner da
dans son lit. Cela lui est arrivé une autre fois d'uriner dans son lit la nuit, mais sans qu'elle ait eu une attaque c
Ces deux malades, qui étaient absolument impotentes ci gardaient le lit avec une attitude vicieuse et permanente des jamb
les des deux jambes et des deux cuisses. La malade occupait dans le lit une position accroupie qu'elle ne pouvait quitt
cette malade. Quand je l'examinai, je la trouvai accroupie dans son lit , comme il a été dit plus haut. En exerçant quel
uarante jours, puis enlevé. A ce moment la malade occupait dans son lit la position horizontale et commençait aussi à s
se des deux côtés, dans le décubitus et la jambe fléchie au bord du lit . On ne provoque pas la trépidation réflexe. L'é
articu- laires, pour lesquelles il est souvent obligé de garder le lit pendant plusieurs jours; il n'a pas de déformat
s raideurs allèrent en progres- sant. Néanmoins elle put quitter le lit . Trois semaines après, elle entra à la Charité,
hes dès qu'elle veut marcher, et elle se trouve bientôt confinée au lit . Au mois de mars se produit lentement une contr
côté droit, soit qu'elle marche, soit qu'elle se tienne couchée au lit . C'est une sorte d'attitude d'adaptation comme
e, on provoque aussi l'aura en question. L'attitude de la malade au lit est celle indiquée plus haut. Habituellement, e
rniers mois la raideur était telle, que la malade était confinée au lit sans pouvoir du tout marcher. La toux nerveuse qu
en s'appuyant sur le bras, le déplacer ainsi, se retourner dans son lit , toutes choses qu'elle ne réussissait pas à fai
membres inférieurs. Durant un mois, elle a gardé com- plètement le lit , ne pouvant se tenir sur ses jambes. Elle a pu en
l. Pas de lésions oculaires. 13 novembre. La malade est confinée au lit ; elle ne peut marcher que très difficilement. E
interne. Elle soulève difficilement les jambes au-dessus du plan du lit . La démarche est spasmodique; elle frotte du bo
six ans, est épileptique ; la soeur est hystérique; elle a uriné au lit jusqu'à l'àge de dix ans. Tous les trois ou qua
paraplégie. se modifie; la malade remue un peu les jambes dans son lit , et c'est seu- lement au bout de vingt jours de
rée rhythmée classique du bras gauche. 2° Paraplégie. Examinée au lit , dans le décubitus dorsal, on constate qu'elle pe
le peut élever fort peu les membres inférieurs au-dessus du plan du lit ; la flexion des jambes sur les cuisses est très
x, dans le dos et dans l'abdomen. Si on lui dit de descendre de son lit , elle transporte avec ses mains ses jambes sur
e son lit, elle transporte avec ses mains ses jambes sur le bord du lit , puis se laisse glisser jusqu'à terre. Elle se ti
ntrant de l'école, il se plaignit d'un fort mal de tête; je le mis au lit croyant que c'était une indisposition; mais pas
jet a été présenté par nous à la Société d'anthropologie éance du 7 lit ti 1391 ). 331 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP
laques noires ont une sensibilité très obtuse. Le malade reste au lit et prend quatre grammes d'ergoline de Bon,jean pa
ant celle période de brûlure l'enfant avait été obligé de garder le lit . Quand il fut guéri de cet accident et qu'on vo
t soutenue. A dater de cette tentative, elle reste quatorze mois au lit , les membres inférieurs flasques, paralysés; El
a paraplégie. La malade peut marcher dans la salle en se tenant aux lits , mais il lui est impossible dc 368 . NOUVELLE I
malade passe comme d'habitude sa journée sur une chaise ou dans son lit ; quand elle veut marcher dans la salle, elle a
fait des progrès; elle peut se passer d'aides et glisser seule d'un lit à l'autre dans la salle. En mars 1890, les trou
ce est devenue absolue, et depuis lors la malade n'a plus quitté le lit . Les crises douloureuses surviennent toujours ave
Troubles de la motricité. - Paraplégie complète tenant la malade au lit depuis deux ans. Elle ne peut soulever les memb
. Elle ne peut soulever les membres inférieurs au-dessus du plan du lit ; ils restent dans l'attitude normale du repos,
mais en faisant des mouvements du tronc, les coudes appuyés sur le lit . En réalité, les mouvements volontaires des mem
otion de la position de ses membres ; elle perd ses jambes dans son lit ; la nuit, elles sont quelquefois pendantes, de
ultats moteurs et sensitifs généraux lorsqu'on examine la malade au lit . Lorsqu'on la lève et qu'on essaye de la faire ma
urtout celle du côté droit (il était obligé de sortir les jambes du lit ); elles étaient tellement violentes qu'elles le f
toujours obligé de se servir d'une canne et se fatigue aisément. Au lit , il soulève ses jambes avec peine, brusquement,
pie : le malade ne compte les doigts qu'à cinquante centimètres; il lit difficilement, ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES
énéral triste, d'humeur assez versatile; il passe tout son temps au lit . L'appétit est bon, l'état général aussi. Dans le
le même état, la malade se sentant en outre fatiguée est restée au lit et le surlendemain elle s'est levée. Celte con-
'est précipitée dans sa chambre. Elle l'a trouvée debout au pied du lit ; elle l'a vue aussitôt tomber sans connaissance,
écriture, etc., alors qu'au- paravant elle écrivait avec facilité), lit , depuis deux mois, la main droite est sans cess
e façon générale que, si le malade peut mouvoir ses jambes dans son lit , elles sont trop faibles pour soutenir le poids
cès de nuit, il lui est souvent arrivé de refaire automatiquement son lit la tête aux pieds. La période de stupeur propre
, la somme de 100;louis, prix de leur initiation.. llesmer recueil- lit ainsi de ce seul fait la somme considérable de `
14 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
itées et plusieurs fois la malade s'est réveillée à terre hors de son lit . Puis apparurent les premiers bâillements qui d'a
ous une forme en quelque sorte suraiguë il y a cinq ans. Le séjour au lit à l'hôpital d'Argenteuil a été absolu pendant env
tions du mal qui, cependant, n'ont pas nécessité un nouveau séjour au lit ; mais, à un moment donné, notre malade mis dans
. Le rhumatisme s'est déclaré il y a quatre mois ; elle est restée au lit pendant un mois, elle avait des douleurs dans les
anglant par une inscription obtenue par le procédé du tatouage, qu'on lit sur la partie supérieure et interne de son avant-
a malheureuse est-elle depuis trente-trois ans absolument confinée au lit , n'ayant jamais quitté la division autrefois diri
, bien d'autres indices encore, comme par exemple le fait d'uriner au lit , fait à peu près général chez les « dormeuses »,
coup sur son séant, étendre les bras en avant, puis retomber sur son lit , pour recommencer ensuite, une fois encore ou deu
toujours sans se réveiller, se dresser tout à coup, se jeter à bas du lit et courir dans la salle en prenant des attitudes
rouge, tuméfié, et il y avait de la fièvre. Il'fallut donc garder le lit . Les choses allèrent ainsi pendant trois jours. —
ement amendées dans le genou, le malade commença à pouvoir quitter le lit et à faire quelques pas dans la chambre, fort gên
avoir un grand vertige. M. Charcot : Et la nuit, quand vous êtes au lit , qu'est-ce qui vous arrive? Le malade : J'ai so
est demeuré pendant près d'un mois à peu près complètement confiné au lit . Les douleurs à la pression étaient vives, ainsi
jours ; pendant cet accès le malade très bruyant dut être maintenu au lit par la camisole de force. Il était quelque temps
e plus de vigueur et de fougue qu'il n'en faut pour procréer, dans un lit maussade, insipide et fatigué, toute une tribu de
s de trop pour maintenir B... quand il est pris de ses attaques et le lit de fer sur lequel on est obligé de l'attacher à é
it ; il s'est montré très agité ; il se livre continuellement soit au lit , soit sur le fauteuil où il s'assied, à des geste
ôté et d'autre et en frappe les oreilles du fauteuil ou l'oreiller du lit . Il fait les grimaces les plus insensées, croise
ur le siège et qu'on est à chaque instant obligé de ie redresser ; au lit , même tendance à toujours descendre. On s'aperçoi
s malades du service ; tous ceux qui ont aidé à le maintenir dans son lit ou dans son fauteuil l'ont, assure-t-il, cruellem
la face postérieure et interne des bras. On n'a pu le laisser hors du lit , sur son fauteuil, qu'une heure ce matin. De même
esticulations sont des plus intenses. Il n'a pu quitter un instant le lit où il rend les urines involontairement. Impossibl
Ils brisent les liens dont on les entoure, se roulent en bas de leur lit ... etc., etc. Puis subitement, disent MM. Rilliet
est extrêmement peureuse ; elle regarde à plusieurs reprises sous son lit , tous les soirs avant de se coucher. Elle a des i
'hôpital au bout de quatre jours et sé rendit chez lui où il garda le lit pendant une vingtaine de jours à cause d'une angi
malaise nerveux, et lorsque guéri de son angioleucite, il quitta son lit , il croyait bien en être quitte,je ne dirai pas p
résence d'une tache bleuâtre, d'une ecchymose? Le malade est resté au lit toute la journée. Le lendemain 17, allant mieux,i
toute d'une pièce, afin de ne pas mouvoir mon dos ; couchée dans mon lit c'étaitlamême chose : je me tenais raide et, je m
et, je me tournais d'une pièce afin de ne pas frotter mon dos sur le lit ou le heurter. Quelques jours après, le mal a u
ne grande constipation. Il m'est arrivé quelquefois d'uriner dans mon lit . AL Charcot : Il me reste, pour terminer cette
on a été très faible, très délicate dans son enfance. Elle a uriné au lit jusqu'à l'âge de seize ans; elle s'est toute sa v
douleurs dans diverses jointures sans être jamais obligé de garder le lit . Notre mère était rhumatisante: elle avait les do
était,comme je l'ai dit en commençant, restée absolument confinée au lit pendant plus d'un an. Les premiers débuts de la p
racines profondes. Les applications de pointes de feu et le repos au lit pourront être utiles en vue de com- battre le t
ques, surtout dans la droite. Lorsque nous avons examiné le malade au lit , nous avons remarqué qu'il ne peut s'asseoir comp
t essayer de le faire, il tire de toutes ses forces sur la corde du lit et parvient ainsi à soulever ses épaules ; le tro
eux depuis plusieurs mois lorsque survint la maladie qui le retint au lit pendant près de six mois. Les relations, si lon
s-ci sont des plus violentes, au point qu'il a plusieurs fois mis son lit en pièces. Toujours, il faut plusieurs personnes
iculier à l'appui de cette assertion que, la nuit dans ses rêves, son lit n'est jamais souillé. Je ferais valoir en outre q
ur. Les accès, en général, ne le retenaient pas plus de huit jours au lit . Il porte au niveau du coude gauche une petite tu
es phénomènes vertigineux persistant tels quels ; on dut le mettre au lit . Ils durèrent encore du reste, presque sans attén
s cessé, pour ainsi dire, jour et nuit de sentir à chaque instant son lit verser tout à coup vers la gauche avec la crainte
rainte d'être entraîné dans sa chute; parfois il lui semblait que son lit se soulevait par le pied, tandis que sa tête tomb
e jours de durée enfin terminé. Le malade pourra désormais quitter le lit , se tenir debout même, s'alimenter enfin; pendant
r une civière ; elle était depuis plusieurs semaines déjà confinée au lit . Les membres paralysés sont légèrement amaigris,
age. Notre malade peut-elle lire mentalement et comprendre ce qu'elle lit ? A-t-elle conservé la faculté de comprendre le s
et dites-moi ce que cela veut dire ? — (La malade examine le papier, lit et se met immédiatement à écrire.) M. CnARCOT,
que notre malade peut lire et qu'elle comprend fort bien ce qu'elle lit ; elle n'est donc point atteinte de cécité verbal
re ; la douleur produite par cette contusion a nécessité le séjour au lit seulement pendant quelques jours ; mais, lorsqu'i
ami. Il s'était passé environ trois quarts d'heures, il resta là, au lit , pendant une huitaine de jours, et durant cette p
posée, inquiète, elle s'était levée de bonne heure ; elle se remet au lit et, à peine couchée, elle s'endort du sommeil pat
s dans la journée, elle ouvre les yeux, se dresse tout à coup sur son lit et fait mine d'en sortir ; mais à peine l'a-t-on
; quatre fois elle se lève tout à coup et fait effort pour sortir du lit ; vingt-sept grandes salutations, par groupes detr
er. Mêmes salutations ; mêmes efforts de temps à autre pour sortir du lit . Aujourd'hui 5 février les choses sont exacteme
ant nous à trois reprises un profond salut. Puis elle retombe sur son lit et rentre dans le sommeil. 11 est vraisemblable q
utre côté, les tentatives que faitparfois lamalade pour sortir de son lit et s'enfuir, en prononçant des paroles dont on ne
re dans la pratique quelques bons offices. M. Gharcot s'approche du lit où est couchée la malade ; il applique sur le fla
t pas abolis car la malade peut élever le membre au-dessus du plan du lit et le porter en abduction et en adduction. Mais t
ais qu'on a compté cinq hystériques mâles, dans un seul service de 40 lits d'hommes. La proportion a été à peu près la même
est suivi une attaque de rhumatisme articulaire aigu qui l'a tenu au lit pendant six semaines ; d'ailleurs pas de convulsi
gauches étaient flasques, absolument inertes. Il lui fallut rester au lit pendant huit jours. Puis, quand il a pu marcher,
relation de la veilleuse de nuit, et fait de tels mouvements que son lit en est ébranlé. Les convulsions, d'une façon géné
ambre, moi, je suis plus malade que vous, je vais m'étendre sur votre lit . Donnez-moi auparavant un peu d'eau fraîche et de
de la joue et peut à peine ouvrir l'œil droit. Elle s'étend sur le lit et paraît s'assoupir. Au bout d'une heure, elle s
e sa leçon, s'est mis à se déshabiller comme s'il allait se mettre au lit . J'ai revu, ces jours-ci, un pauvre diable de pro
moins accidentée, elle remonte tranquillement se coucher: à peine au lit survient une nouvelle attaque d'hystérie. Au réve
ors qu'on voit le malade pousser des cris affreux, se rouler dans son lit et prendre les attitudes les plus bizarres de faç
e la crise que. pendant plus de quatre mois, je n'ai pas pu sortir'du lit : d'ailleurs je ne pouvais pas manger et les cris
usieurs jours, il ne se sentit pas le courage de sortir un instant du lit . Enfin, lorsque sous l'influence du repos et d'un
quels il est venu nous consulter. Je vous le présente couché sur un lit ; ce n'est pas, Messieurs, qu'il ne puisse 48
e 48 pas se tenir debout; mais je tiens à vous bien montrer qu'au lit , il a dans les membres inférieurs la liberté de t
,peu accentué ; remarquez une fois de plus qu'il se retourne dans son lit , se plaçant à volonté sur le dos, sur le ventre,
Maintenant le malade, soulevé par des aides, va être transporté du lit sur une chaise; le voilà assis : je vous fais rem
pendant, la remarque en a été faite expressément, il pouvait,étant au lit ,imprimer à ses membres tous les mouvements possib
ue le jeune malade me fut amené je constatai également que, couché au lit ou assis, la force musculaire et la coordination
uvant révéler une lésion organique spinale. Cependant soulevé hors du lit , et soutenu par deux aides dans le but de l'aider
les mouvements de l'état normal, se trouve, lorsqu'il veut quitter le lit , dans l'absolue impossibilité de se tenir debout,
ucha et s'endormit... Trois jours après, il se réveillait dans un des lits de l'Hôtel-Dieu, fort étonné de s'y voir. Vous
até qu'il lui était littéralement impossible de monter seule dans son lit . Il a remarqué en même temps que la paupière de s
ine une « croix d'honneur » imaginaire ; sur son avant-bras gauche on lit l'inscription suivante « mort aux gendarmes. » Au
lade aucune espèce de souvenir, il se mordait la langue et urinait au lit . C'était le mal comitial dans toute sa pureté ter
ue dans les crises qui viennent la nuit, il n'est jamais tombé de son lit ; qu'enfin,il ne se mord pas la langue et n'urine
ue je rêvais d'éclairs, d'orage et je me dressais tout à coup sur mon lit croyant entendre le bruit du tonnerre. M. Charc
ffarés autour de lui ; puis, tout à coup, il voulut s'échapper de son lit . On l'y retint de force; alors commencèrent des p
cit. t. II, p. 113. 2. Girault, dans Sestier, loc. cit., t. II, p. lit . droite appuyée sur un panier plein d'herbes po
e, après une nuit agitée par des rêves terrifiants, a voulu sortir du lit . Nous avons dit qu'à ce moment-là ce membre avait
iron 4 heures du soir. En ce moment-là, il est allé s'étendre sur son lit : bientôt après il s'est mis à s'agiter sans perd
les mouvements de l'état normal, se trouve, lorsqu'il veut quitter le lit , dans l'absolue impossibilité de se tenir debout,
ra environ 2 jours ; pendant ce temps le malade ne put pas quitter le lit . Les accidents nerveux, au bout de cette périod
n, ne pouvaient pas le supporter, étaient capables cependant, dans le lit , d'exécuter tous les mouvements possibles avec fo
gressivement. Le fait est que, pendant deux mois, le 6i séjour au lit a été à peu près absolu et que, pendant deux autr
bout de ce temps, les crises ayant cessé, le malade voulut sortir du lit , mais l'astasie s'était reproduite dans toute son
e l'avait pas soutenu sous les bras ». L'enfant étant replacé sur son lit , dans le décubitus dorsal, rien ne pouvait faire
uelconque. Sans effort, il soulevait les membres au-dessus du pian du lit . Pas la moindre apparence d'ataxie, le pied était
ns ces cas, comme dans ceux que nous étudions ici, le malade étant au lit , peut, vous le savez, déployer dans les mouvement
prédomina dans le membre inférieur gauche et le retint trois jours au lit . La paralysie motrice ne fut pas de longue durée
divers : Cr...t est bon nageur, et lorsque placé à plat ventre sur un lit , on le prie de figurer les mouvements de la natat
dans le service de M. Debove, une boule d'eau chaude placée dans son lit lui a occasionné, sans qu'il en ait ressenti la m
ois ans de l'affection dont elle a souffert et qui l'a immobilisée au lit pendant une période de plus de vingt-quatre mois.
nue « à la suite d'un coup de foudre ». Il fut admis salle Saint-Luc, lit n° 13, dans le service de M. le professeur Peter
15 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
rs de ses accès épileptiformes, bien entendu — et n'a jamais gardé le lit depuis son admission à la Salpêtrière. — Les fonc
ssez intenses pour la réveiller, il peut arriver qu'elle tombe de son lit et qu'elle se fasse mal. è) Elle a ensuite des ba
se frottait, etc. Jamais d'accidents scrofu-leux. — Elle a pissé au lit , de temps en temps, jusqu'à 9 ans. — Les règles o
usieurs bronchites dans l'enfance, qu'elle a marché à 4 ans, pissé au lit jusqu'à 5 ans, que ses pieds auraient été tournés
e marmottait des paroles incompréhensibles, se mettait debout sur son lit , passait Pianelle Vili. EPILEPSIE PARTIELLE
a malade,depuis le commencement de l'année, reste presque toujours au lit . Elle a gâté hier pour la première fois. Léger ér
s la nuit du 3 au 4, folie : P... se levait, s'habillait, allait d'un lit à un autre, bavardait. — Le 5, apparition des règ
. Bientôt on s'aperçoit qu'elle urine tout debout dans la ruelle d'un lit . On le lui reproche, elle saute et rit aux éclats
sements pendant des heures. Elle divague, ricane, mais reste dans son lit . Le traitement a été continué durant trois jours
Le membre supérieur droit demeure, tout le temps, appliqué contre le lit , allongé, sans roideur. Les doigts sont fléchis;
ions cloniques qui soulèvent les deux membres inférieurs au-dessus du lit de telle façon que, durant la période clonique, l
rs la même : le pouce, l'index La jambe gauche s'élève au-dessus du lit et est prise de petites secousses tétanifor-mes e
ousses tétanifor-mes et rapides. — La jambe droite n'abandonne pas le lit et est immobile. En même temps que ces modifica
n et soulevées, cle telle sorte que, seul, le siège repose sur le lit : C'est là une attitude singulière que nous n'avo
et. » Pour résister à cette sorte d'impulsion, elle se cramponnait au lit de toutes ses forces ; l'effort était tel qu'elle
rs dans le ventre et dans les reins, qui l'ont contrainte à garder le lit pendant quarante-huit heures. La seconde appa
écute un demi-mouvement de rotation et se porte sur le côté gauche du lit . Alors, les bras se fléchissent à demi et se plac
rt, elle a des cauchemars ; avant-hier, elie s'est jetée à bas de son lit ; elle voyait « un grand vieux homme qui la poursu
évrier, les syncopes reprirent la malade. Comme on la portait sur son lit , « elle tombe morte, sans pouls, ni sentiment...
débutaient par de petits cris et se terminaient par des sauts sur le lit , des pleurs et sans miction involontaire, ni écum
frayeur, il lui fit boire une liqueur, la déshabilla, la jeta sur son lit et eut des rapports complets. Le lendemain, L..
de cris et dans lesquels elle s'asseoit et retombe brusquement sur le lit . Nouveau repos. Période de délire. — Regard e
e réveille quelquefois en sursaut, s'as seoit brusquement sur son lit , regarde vers la droite, comme s'il y avait quelq
du soir, secousses très-fortes ; l'une d'elles l'a jetée à bas de son lit . 1er juin. — Secousses, puis attaques de 8 heur
e largement la bouche, tire la langue, se porte rapidement du bord du lit au milieu en criant : oue ! oue... ! Le corps se
s plus ou moins long, L... s'asseoit puis retombe brusquement sur son lit et cela à 5, 6.... 10 reprises différentes. En mê
du soir, L... a crié et a été très-agitée ; on a dû la fixer dans son lit . A 7 heures, elle est revenue a elle et a demandé
cela dans un certain ordre. 23 août. — Ce matin, elle a qu ilté son lit et s'est couchée dans le lit voisin, placé contre
23 août. — Ce matin, elle a qu ilté son lit et s'est couchée dans le lit voisin, placé contre le mur. Elle est assise ; se
porte fortement dans l'extension ; le tronc retombe violemment sur le lit ; la bouche, grand'ouverte, laisse voir la langue
droit. La tête et le tronc se portent en arrière et vont toucher le lit et l'oreiller ; en même temps : 1° le bras se col
, le talon seulement ou la plante du pied toute entière frotte sur le lit . [Fig. 5.) Ceci constitue pour ainsi dire un pr
Pl. XIX). Il cède, X... se couche en se portant sur le côté gauche du lit et montrant la place libre qu'elle lui fait dans
ôté gauche du lit et montrant la place libre qu'elle lui fait dans le lit . Elle ferme les yeux, la physionomie dénote la po
de figurée dans la Pl. XXI. D'autres fois elle échoue, retombe sur le lit et, après un court repos, elle a peur : « Vilaine
affirmatifs et négatifs ; enfin elle laisse retomber le tronc sur le lit et quelques instants après, reprend connaissance.
dant 40 secondes environ. Elle se couche à demi sur le côté gauche du lit , les bras entre-croisés, la physionomie souriante
l. XXI). Effroi : « Des rats !» X... donne des coups violents à son lit . « Cette fois il nous laissera tranquille. » Ensu
orté de furie en vn exorcisme que le Père Es- » prit luy faisoit, lit empoigner à cette fille la grosse » corde, dont e
prétend que des hommes, portant des lanternes,viennent auprès de son lit , l'appellent et lui demandent une place à côté d'
ension du tronc qui se fléchit en avant et retombe brusquement sur le lit , avec mouvements des jambes, etc. Parfois, le cor
s-peu. 30 octobre. — G... est en cellule, assise sur le bord de son lit , habillée de vêtements sombres; elle est profondé
t-elle, on ne s'aperçoit de rien. » Elle met une chaise à côté de son lit , pour que M. X... dépose ses habits; elle a de l'
ère qui fut brûlée en 1556, dans le voisinage de Laon, partageait son lit avec Satan... (1). » D'après Delancre, les démo
s ce singulier amant qui s'introduisait depuis plus de 30 ans dans le lit conjugal sans que le mari de Jeanne se doutât de
e démon de Geneviève, M. X..., vient, d'habitude, la trouver dans son lit même. Toutefois, G..., elle aussi, a été « enlevé
i montre une croix toute couverte de fleurs : « Voilà, lui dit-il, le lit de mes chastes épouses, où je te ferai consommer
16 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
quatre pa- villons de deux dortoirs chacun, c'est-à-dire pour 160 lits . Ayant été averti que le règlement des comptes de
ste actuellement t 4 pavillons do chacun 2 dortoirs, comprenant 1GO lits . La sec- tion, lorsqu'elle sera complète, en au
lance le projet de construction des cellules, d'un pavillon pour 40 lits , et de deux préaux couverts. Ce Conseil nomma u
onstruction du pavillon des cellules, d'un pavillon de dortoirs (40 lits ) et des deux préaux couverts de la nouvelle sec
uction d'un nouveau pavillon nous donnera le moyen d'enlever les 23 lits , placés aujourd'hui dans deux ateliers, ce qui
la Ville de Paris. En effet, une même salle, renfermant un tiers de lits en trop, servait : 1° d'infirmerie pour les enf
d'agitation, attachés à des poteaux, sur des chaises ou dans leurs lits . Tous les médecins et tous les conseillers qui
n- fants ne marchant pas ! ) et son bâtiment ne contenait que 120 lits alors que la population des enfants était de 13
considérable qui permit de construire deux nouveaux pavillons de 40 lits chacun et, de plus, le pavillon d'iso- lement p
ser les en- fants dits incurables. Lorsque nous avons proposé 400 lits , on craignait que ce chiffre ne fut exagéré. Or,
matisme, pas d'alcoolisme (lors de la première grossesse du premier lit , elle avait sou- vent envie de boire du cognac)
de cri. Quand les crises ont lieu dans la nuit, il se débat dans le lit , semble donner des coups ; pas de stertor, pas
mains aux deux roues de derrière d'un fiacre en marche. S'il est au lit , quelquefois on observe les phénomènes que nous
il arrive maintenant plus fréquemment que Grandid... se lève de son lit dans ses accès; aussi doit-on l'y maintenir att
nuit dernière il aurait eu un accès, dans lequel il serait tombé du lit , d'où une contusion assez forte du coude. 28. A
ce. 6 août. - A 8 heures du soir, alors qu'il était auprès de son lit , se préparant à se coucher, Grand.... est pris d'
urant vers la porte vitrée, éloignée d'une dizaine de mètres de son lit , dont il enfonce le carreau inférieur avec le b
é coucher dans un terrain vague de l'avenue de ' Frère d'un premier lit , Agé de 35 ans, qui l'a fait arrêter, DE L'ÉPIL
s camarades; on ne s'en est aperçu que ce matin en trouvant dans le lit des mannequins formés de traversins, d'oreiller
et d'habits déposé en dehors des cellules et correspondant à chaque lit , a fermé la porte du dortoir sans y entrer.- Qu
éral, aussitôt après la course terminée, il vient se placer dans le lit de camp, s'endort pendant une dizaine de minute
la suite de ces actes pro- cursifs va de lui-même se placer dans le lit de camp et s'y endort pendant une dizaine de mi
r sans provoquer de violence. - La nuit, on le maintenait sur son lit avec des sangles. - Dans la rue, il ne s'est jama
ne peut lui faire dire son nom. 31 décembre. - Le malade urine au lit toutes les nuits, il est quelquefois grand gale
ans se souvenir de ce qui vient de se passer. Elle urine parfois au lit . 22. Elle a uu de ses vertiges habituels pendan
eu ce matin une petite crise; elle s'est déshabillée, s'est mise au lit , puis s'est affaissée sans avoir de convulsions
ménage ou les bassins de garde-robe, etc. Elle urine quelquefois au lit . Elle a considérablement grandi depuis son entr
sur sa femme. « Ça lui bouillait dans sa tète, il se sauvait de son lit , il avait le transport. » (Délire aigu.) Les tr
à côté du fauteuil, puis. par un autre mouvement brusque sous le lit . Les membres inférieurs sont écartés, les membres
a de la raideur des deux côtés. On dégage les jambes de dessous le lit . A ce mo- ment, la tête se met dans l'extension
gauche se relève il une distance de 20 ou 50 centimètres du plan du lit ; la jambe droite reste horizontale. La tète se
n'a que des accès de nuit ; après l'accès, il cherche ci faire son lit , parcourt la salle, puis va se coucher dans le pr
aire son lit, parcourt la salle, puis va se coucher dans le premier lit venu. Observation XXVII. - Pas d'antécédents hé
ses accès, se déshabille complètement, cherche à se coucher dans le lit de camp, comme si c'était un véri- table lit.
e à se coucher dans le lit de camp, comme si c'était un véri- table lit . DE l'épilepsie PROCURSIVE. 11 OBSERVATION la
chaulfoir, cherche à les ébranler; il prend ensuite les matelas du lit de camp, simule l'acte de faire un lit. Avant s
prend ensuite les matelas du lit de camp, simule l'acte de faire un lit . Avant son entrée à Bicêtre, on avait constaté
lève, l'air égaré, traverse toute la salle de l'infirmerie, va à un lit vide, essaie de l'ouvrir parle pied, finit enfi
épond à peine aux questions et par monosyllabes : a Je ne sais, mon lit , etc., » puis il s'endort paisi- blement. C'est
ns ce cas d'automatisme préépileptique. Qu'il soit endormi dans son lit ou sur une chaise, il se lève d'un bond; il a peu
du reste sur les deux côtés. Il ne peut pas remon- ter seul sur son lit . Les deux jambes sont roides, surtout la gauche.
une scissure parallèle presque complète, se prolongejusque dans le lit du premier sillon occipital et envoie deux rame
- A deux heures de l'après-midi, le malade étant debout contre son lit , s'est senti tout à coup défaillir, et s'est pl
nte- ment : « Deux... ou trois... heures... après que... je suis au lit . » Jamais de cauchemars. 166 DEUX CAS D'ATHÉT
ous les jours à marcher et il commence à y arriver en se tenant aux lits . Il est allé au concert le 27, était très heure
est arrivé à pouvoir marcher soutenu sous les bras ou en allant de lit en lit. 1884. Janvier. -Poids, 43 kilogr. 60. T
rivé à pouvoir marcher soutenu sous les bras ou en allant de lit en lit . 1884. Janvier. -Poids, 43 kilogr. 60. Taille,
et n'offrent aucune défor- mation. Le malade étant couché sur son lit , l'attitude est la suivante : les cuisses sont
uemment qu'autrefois à s'es- sayer à marcher, soit en se tenant aux lits , soit en poussant le dos d'un fauteuil devant l
bras, les mains s'abattent, grandes ou- vertes sur les barreaux des lits , en même temps le- tronc et le cou se contourne
nsibilité de la muqueuse palatine parait très obtuse. L'examen au lit permet de constater que le réflexe rotulien est
a force musculaire s'affaiblit et les malades demeurent confinés au lit (paraplégie). Dans l'athé- tose double, même au
qu'elle soit propre. Elle est allée à l'école jusqu'à 15 ans. Elle lit un peu, mais non couramment, elle ne se rend pa
peu, mais non couramment, elle ne se rend pas compto de ce qu'elle lit . Elle écrit, mais mal, ne sait pas faire les ad
s. Il s'était remarié et avait abandonné les enfants du pre- mier lit , dont est le père de notre malade. Il n'était ni
- Une soeur en bonne santé, de même que ses deux filles. Du second lit , il a un frère bien portant et une soeur dont o
turbait dans les cabinets, surtout -vers novembre 1883, et dans son lit il y avait moins de taches depuis ce moment. Re
puyei' sur moi, je cherchai il me lever, j'étais attaché dans mon lit , ma mère venait d'exercer sur moi l'incorporation
enait d'exercer sur moi l'incorporation. Elle était étendue sur mon lit , les jambes sur mon ventre. Une nouvelle odeur
uis elle m'offrit de coucher sur les planches. Elle coucha dans mon lit chez mon oncle. De peur d'être soumis aux mêmes
17 (1876) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie : Compte rendu des observations recueillies à la Salpêtrière de 1872 à 1875
t à l'heure, la malade a maintenu le bras gauche élevé au-dessus du lit ; ce membre, en général, retombe moins lourdemen
gnes, est devenue moins désagréable et reste, d'ordinaire, dans son lit .;pendan 44 RECHERCHES THÉRAPEUTIQUES. la nuit
robable qu'elle en avait déjà eu, car, souvent, on avait trouvé son lit en désordre et les draps déchirés. Dans lejour,
cauchemar : Une nuit elle appela sa mère qui la vit assise sur son lit , l'ef- froi peint sur le visage et criant : « J
ement insuffisant que les dortoirs renfer- maient quatre rangées de lits , et que, dans les allées in- termédiaires, on p
et que, dans les allées in- termédiaires, on plaçait, le soir, des lits supplémentaires. On juge dans quelle atmosphère
des pa- villons isolés, ne contenant qu'un nombre raisonnable de lits . Eh bien ! depuis que cette mesure, que l'humanit
par une souris qui se promenait sur la flèche des rideaux de son lit ; elle eut peur, n'osa pas appeler et ne put se re
icotements dans les membres et surtout dans les doigts. Le soir, au lit , elle a eu de l'engourdissement dans la cuisse
venant par série, de telle sorte que, les malades étant confinés au lit , il suffit de les surveiller pour pou- voir adm
ce qui se dit ou se fait autour d'elle. Puis, elle s'assied sur son lit et a encore des mouvements de lappe- ment et de
ui suffisent. Il... se couche très-tard afin de ne pas s'ennuyer au lit ; couchée, elle tourne et retourne sans cesse d
nuyer au lit ; couchée, elle tourne et retourne sans cesse dans son lit . Souvent, elle se relève soit pour causer avec la
/elle voit des figures hideuses, un homme se cache sous son r iy s lit , et l'impression laissée par ces visions a été te
as se coucher, s'imaginant. encore que l'homme était caché sous son lit . -Souvent on l'a 1 \ chloroformée; elle préfère
voleurs. Elle passa les huit mois qui suivirent sans accès, mais au lit ou couchée sur un matelas placé dans le jardin.
avec convulsions si intenses qu'elle défonça deux fois le pied du lit et se blessa les orteils, bien que plusieurs homm
tenir, durant lesquelles elle frappe si violemment les pieds de son lit qu'elle ! e déplace ; tentatives pour se mordre
ule qui remonte et l'étouffe. A ce moment, elle s'asseoit sur son lit , incline sur sa poitrine sa tète qu'elle secoue v
i ont saisi un objet qu'ils déchirent.. Enfin, elle retombe sur son lit et avec sa tête qu'elle soulève et abaisse, elle
ffirmé l'avoir vue dans un de ses moments d'extase, étendue sur son lit , se soulever de tout son corps d'un pied de haut
t. Puis, la malade roule de gau-ij che à droite et tomberait de son lit si on ne la soutenait. Pas de convulsions cloni
ent des grimaces. Le bras gauche, qui se détache difficilement du lit , est en outre le siège de douleurs et de fourmill
ndant un mois entier, elle était pendant la nuit renversée de . son lit à terre et souffrait beaucoup à ce moment. HYST
ques des pieds qu'elle projette violemment contre les barres de son lit ; c'est durant cette période qu'on assiste à un
elle a des « fourmi- ' ches », se gratte la tète; s'imagine que son lit marche et roule; que tout saute; furète dans so
magine que son lit marche et roule; que tout saute; furète dans son lit ; appelle son « cher ami Ernest ! » Elle a des b
lever un malade, et tomba en arrière. Cet accident la confina au lit pendant trois mois ; cependant, elle n'avait pas
'est pas totalement fléchie sur la cuisse, quand le talon quitte le lit . t. Sensibilité. - Il y une hémianesthésie gauc
rme aussi voir double l'infirmière qui esta deux mètres à droite du lit . La main étant présentée étendue, les doigts ve
c violence. Si on l'abandonne alors, il retombe lour- dement sur le lit . Quelques légères contractions se manifes- tent
n'avait rien extrait durant les quatre jours précédents. Jamais le lit n'est mouillé. L'introduction de la sonde est t
ertainement, dans ses efforts, elle renverserait le liquide dans le lit (1). 17 octobre. Etch... a été purgée hier ;'el
a débuté par une grande agitation (E... s'est jetée à bas de son lit ) et qui s'est accompagnée de convulsions et môme
renverser. Pour boire, elle appuie ordi- nairement son coude sur le lit et c'est sa bouche qui va cher- cher le verre.
té- tanique, suivie de ronflements, elle s'est jetée à bas de son lit . Dès qu'elle a été recouchée, son corps s'est rec
quement de cet état : elle pousse un cri perçant, s'asseoit sur son lit et retombe; les muscles de la moitié gauche de
ut prise d'un accès d'oppression telle qu'elle se jeta à bas de son lit : Elle croyait qu'elle allait étouffer. Ces accid
paru complètement t et la malade s'écriait : a Je veux descendre du lit ! je veux marcher ! » Bientôt on remarque que
ent, n'était plus à redouter : on laissa la malade descendre de son lit . Quand elle fut debout, on vit que la jambe gau
cesse : « Je veux marcher ! je veux marcher 1 Elle fit le tour des lits voisins et s'assit. On lui présenta une tasse de
ait à la sonder plusieurs fois par jour : elle était clouée sur son lit par la contracture de ses membres inférieurs, e
n visage était rouge, ses yeux lar- moyants, elle s'agitait sur son lit , puis elle se mettait à uri- ner et rendait en
18 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
nt, s'allonge sur la chaise où elle est assise comme si elle était au lit , se tâte le pouls. Puis elle fait le geste d'écar
al à la tête. Puis elle fait le geste de rejeter ses draps au pied du lit , allonge ses jambes, place ses mains le long de s
le long de son corps comme si elle s'arrangeait pour être examinée au lit . Elle fait le geste de boire. Elle remue la tête
re orange. — Le malade parle indistinctement; il veut se lever de son lit , tourne sa tête comme s'il fixait une personne ou
nt, le malade, fatigué, couvert d'une sueur abondante, retourne à son lit . Sens du goût. —Sulfate de quinine. Il se jette
amphre. — Il devient rouge. Il fixe quelqu'un et veut se lever de son lit où on le maintient de force. Tabac. — Il se lèv
de son lit où on le maintient de force. Tabac. — Il se lève de son lit , le regard fixe, mais se recouche. Sa figure expr
e en disant : « Zdravia zjelaem (1) ! » Verre vert. — Il quitte son lit , fait quelques mouvements des lèvres, incline la
e dans une tasse do thé, et recommence à manger. Puis, il se remet au lit on donnant des signes do fatigue. Essence de té
Verre orange. — Sa figure exprime la pitié et il se jette hors de son lit , en montrant par sa mimique qu'il éprouve de viol
à la suite d'une légère agitation de peu de durée, il se lève hors du lit . Il se livre alors, pendant un temps variable, au
ont parle Voltaire, qui pendant son sommeil saute tout à coup hors du lit , fait la révérence, danse le menuet, puis va se r
ieu d'un cauchemar où elle rêve de voleurs, quitte précipitamment son lit , descend éveiller et avertir la concierge de sa m
es séries incoordonnées d'actes ; elle se dressait en sursaut sur son lit , fuyant d'abord, comme sous le coup d'une poursui
alpêtrière, à laquelle j'ai déjà fait allusion, fuyait apeurée de son lit , alors que dans la journée la présence au laborat
5; 1888-1889, p. 303. pleine classe, comme s'il allait se mettre au lit . (Charcot). Il s'agit enfin, d'autres fois, d'a
êtes pas mon père. » Puis il sautait à cheval sur le traversin de son lit et chevauchait à travers la chambre, criant : « H
ez-moi un mouchoir. Voilà quatre sous. » Tout à coup il saute sur son lit et pendant une demi-heure le met sens dessus dess
arrivait quelquefois, par exemple lorsqu'il écrivit la nuit dans son lit au ministre de l'intérieur. Il arrivait cependant
out de même. » Puis mettant ses mains sur ses yeux en abat-jour, il lit dans le lointain sur un grand poteau rouge : « Je
aurait sa crise spontanée du soir, s'est redressé tout à coup sur son lit . (Il s'était mis au lit aussitôt après le dîner q
e du soir, s'est redressé tout à coup sur son lit. (Il s'était mis au lit aussitôt après le dîner qui a lieu à 5 heures). I
ses Lu-as convulsivement avec efforts ; puis il s'est étendu sur son lit ; les torsions, flexions et extensions exagérées
ccompagnaient parfois d'un soulèvement du bassin au-dessus du plan du lit . Par ce mouvement, le malade esquissait comme un
vous faites-là ? Pourquoi tant de monde ?» Il se met à genoux sur son lit : « Ah I la voilà ! sale bête. » Enfin il se reco
lui arrivait parfois de voir une main jaune (celle de sa mère sur son lit de mort) qui s'avançait vers elle, la tirait par
cauchemars, rêvait de sa mère, la croyait couchée avec elle dans son lit , etc. Placée en apprentissage chez une couturiè
rber quelque boisson. La nuit on doit la veiller pour la maintenir au lit ou pour l'y faire rentrer si elle vient à se leve
bule, se levait pendant son sommeil, et, les yeux fermés, faisait son lit , s'habillait, se promenait la canne à la main, al
lui avons mis son manuscrit sous les yeux. A l'avant-dernier vers on lit : du fond de leurs tombeaux les trépassés me font
z ses parents. On l'obligeait à se recoucher, et elle se remettait au lit , le plus souvent à moitié habillée. Le lendemain
billée. Le lendemain matin elle se retrouvait ainsi habillée dans son lit et c'était ce qui lui indiquait qu'elle avait eu
es corridors de sa maison et on était obligé de la rapporter dans son lit , d'où elle s'échappait de nouveau, parfois à plus
bes. Il vient de Saint-Urbain où cette paralysie s'est développée. Il lit à peine (t est obligé d'épeler ses lettres pour y
tique. Si on cherche à lui faire lire le nombre 354 par exempte, elle lit : trois, cinq, quatre, ou trente-cinq, mais ne pe
lle, je l'ai vue quelquefois. C'est la jeune fille qui couche dans le lit voisin du mien. » Cette reconnaissance est facile
rite F... pendant la nuit, lorsqu'elle est en état A, couchée dans le lit voisin du sien. Nous fîmes souvent cette confront
e quelquefois, le soir ; c'est, croit-elle, la personne qui occupe le lit voisin du sien. » Autre exemple ; Le lendemai
dans son sommeil. Nous l'avons fait observer par ses deux voisines de lit , et nous avons ainsi appris qu'elle rêvait tout h
ment, sans autre forme de procès lui dit : « Madame D..., préparez un lit ; votre mari est mort, on va vous l'apporter. » Vo
ns. On la délaça et après l'avoir déshabillée on la transporta sur un lit . Là, quinze ou vingt minutes après le début de ce
«Oh! cet homme..., cet homme...,» criait-elle, en se dressant sur son lit , dans l'attitude de l'effroi, comme pour fuir une
u parler. D. — Connaissez-vous ces deux dames (ses deux voisines de lit ). R. — Non, Monsieur, je ne les ai jamais vues.
tous les jours ; elle ne reconnaît pas davantage ses deux voisines de lit avec lesquelles elle vit du matin au soir. Il y a
son défaut de mémoire. Sur ce carnet elle inscrivait, car elle écrit, lit et calcule parfaitement, ce qu'elle avait à faire
e se trouve actuellement, toujours sans le savoir. La disposition des lits lui fait bien reconnaître une salle d'hôpital, ma
usquement : « Votre mari est mort, on va vous l'apporter, préparez un lit , Madame D... » Il devait connaître mon nom. Je fu
e disant : « Au lieu de vous désoler, montez donc en haut préparer un lit . » Puis il partit, je ne sais trop comment, tant
etc. D. Quelles sont ces dames ? R. Ce sont mes deux voisines de lit ; elles sont venues tout à l'heure au parloir ave
tat de veille, le nom de la salle oU elle se trouve, le numéro de son lit , les noms de ses deux voisines et de l'interne. E
u'autrefois, mais suffisants pour l'empêcher de comprendre ce qu'elle lit , ou d'écrire une lettre. Il persiste encore bea
vertures intolérables. Elles le forçaient à crier, à sauter en bas du lit et l'empêchaient complètement de dormir. « Ce son
té pris d'un rhumatisme articulaire aigu qui l'a retenu trois mois au lit . Depuis cette époque, il a eu deux crises semblab
brale Mais il y a 25 ans dite méningite passait ses nuits hors de son lit . Frère. 3 sœurs. Le malade, bien portants. 32
, ni sensation d'entraînement vers la gauche. Il peut occuper dans le lit toutes les positions possibles. Mais dès qu'il s'
e lit toutes les positions possibles. Mais dès qu'il s'assied sur son lit , les vertiges apparaissent, pour continuer ensuit
jambe gauche. Il souffre de violents maux de tête. Le 28, il est au lit et ne peut plus en bouger. Il répond aux question
bras gauche avec la main droite. Si l'on place une épingle sur son lit , il est incapable de la saisir avec les doigts. I
au niveau du genou et du tendon d'Achille, le malade était confiné au lit depuis plusieurs années. Il est mort le 4 mai 189
appartient ce thorax était resté, comme nous l'avons dit, confiné au lit pendant plusieurs années. Ses genoux, maintenus e
sur le même côté, les membres inférieurs fléchis, posés à plat sur le lit et les cuisses en rotation, l'une en dedans, l'au
élément de déformation chez les sujets qui n'étaient pas confinés au lit . Nous vous présentons à ce propos un malade, le n
pour tomber, ou, lorsqu'il est chez lui ou à l'hôpital, de gagner son lit pour y prendre ses ébats. En fait, cela est absol
e de la langue, du sang sur l'oreiller, de l'urine dans les draps, le lit bouleversé, etc., etc.. Dans cette catégorie d'
n frère a eu des convulsions dans l'enfance. A uriné quelquefois au lit jusqu'à l'âge de quinze ans. Début à 15 ans «an
rtigineux qui dura près d'un an et la maintint presque constamment au lit (?). A 14 ans, avec les premières règles, début
au contraire, elle est assez longue pour lui permettre de gagner son lit ou de se coucher à terre et de laisser ainsi, san
mouvements violents; cependant, parfois, le malade ne portant sur le lit que par les pieds et par la nuque prenait l'attit
nt de fatigue et d'abattement extraordinaire; ce jour-là, il garda le lit , son sommeil fut interrompu et agité. Le lendemai
appé d'hémiplégie du côté droit ; on fut obligé de le porter dans son lit . L'attaque a été subite, cependant le malade as
onnels que les premiers. Le malade était, le matin, assis près de son lit , lorsqu'il fut pris tout à coup de convulsions gé
partielle). Le malade fut renversé, et il fallut le replacer dans son lit , où les convulsions persistèrent encore pendant q
emps. Il fallut même Vaicle de plusieurs infirmiers pour maintenir au lit le malade qui assure que, pendant tout ce temps,
eut une première attaque convulsive pendant laquelle il tomba de son lit , et qui fut suivie d'hémiplégie droite. Bientôt a
19 (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882
moyens de parer aux in- convénients résultant de l'insuffisance des lits attribués aux enfants et qu' « il y avait lieu
irable sans toutefois diminuer le nombre déjà trop restreint de nos lits d'adultes (1).' ? Il s'agissait là de ce qu'on
; enfin officiellement, au mois de septembre, une autre salle de 17 lits d'adultes a été consacrée aux enfants. XX HIS
mangeait seul et savait s'habiller, pourtant il a toujours pissé au lit ; depuis trois ans il est pro- pre pour la défé
let 1881. - L'enfant a fait des progrès remarquables à l'école ; il lit et écrit convenablement. 4 2 décembre.- Suppres
u sale après ses accès mais il n'urine plus dans son pantalon ni au lit que depuis le commencement de l'année. Il est d
utrefois de rêver qu'il pissait contre un arbre et qu'il pissait au lit à ce moment; cet accident lui est arrivé pour la
observations. 67 et parlé vers 14 mois ; on ne sait s'il a pissé au lit longtemps à 4 ans il était propre, parlait et m
lève, l'air égaré, traverse toute la salle de l'infirmerie, va à un lit vide, essaie de l'ouvrir par le pied, finit enf
aucoup de peine aux questions et par monosyllabes, aje ne sais, mon lit , etc.,» puis il s'en- dort paisiblement. 3 se
e degrés, commençant à se produire après 3/4 d'heures de repos au lit , le malade étant soumis à une application de un
mariée quand notre malade avait à peine 2 ans : 3 enfants du second lit : 1° Garçon, 14 ans ; 2° Fille, ans ; 3° Fille.
pour me faire recoucher. » Il était peureux. Comme il pis- sait au lit . il était souvent fouetté par les soeurs : (1 en
agitation : dans une attaque, il a tordu les barreaux de fer de son lit ; une autre fois, il l'a soulevé en masse et jet
de son lit; une autre fois, il l'a soulevé en masse et jeté sur le lit voisin. Il y aurait aussi une période terminale
t ses crises. Intelligence moyenne ; instruction peu développée. Il lit à demi-couramment, ne sait pas écrire : on ne l
ire : on ne lui a jamais montré, dit-il; il connaît les chiffres et lit les nombres de deux chiffres, mais ne sait pas
t revient à lui. Il demande à boire, s'étonne de se trouver sur son lit , se lève et se met à marcher ; il assure n'avoi
rivé (la distance est d'environ 50 à 60 mètres) et couché sur le lit de camp, il lâche les barreaux et se relève ; pas
de 3 minutes environ après le début ; ii est maintenu avec peine au lit par quatre hommes ; face normale, sauf les pomm
nverse en arrière, puis il se soulève et essaye de se jeter hors du lit ; maintenu par les infirmiers, il se renverse d
un ennemi imaginaire. Il retourne ensuite la tête vers le chevet du lit et regarde la lumière d'un air étonné. n 9° m
ndu des pièges... mais... mais... ». Il essaye de s'asseoir sur son lit , on ne le maintient couché qu'à grand'peine ; r
musculaire très- énergique : nouvelle tentative pour s'échapper du lit ; puis, il retombe sur le dos en murmurant : « V
efois - : lirait..., adolescent de 17 ans, tordait les barreaux des lits de fer, les rampes en fer des esca- liers ; il
es lits de fer, les rampes en fer des esca- liers ; il soulevait un lit monté (lit en fer, sommier et ma- telas) et le
fer, les rampes en fer des esca- liers ; il soulevait un lit monté ( lit en fer, sommier et ma- telas) et le jetait sur
monté (lit en fer, sommier et ma- telas) et le jetait sur un autre lit : ce sont là des déploie- ments de force que no
se tient un peu mieux sur les jambes; peut marcher en se tenant aux lits , ou soutenu par les épaules. 10 juin. Légère
que les jours derniers, néanmoins on est obligé de le maintenir au lit à. l'aide de la camisole.-La plaque érysipélate
nt et que, pour aller aux cabinets, il était obligé de se tenir aux lits ; il serait même tombé. D'habitude la mar- che
éthyle; hydrothérapie. 8 avril. Schad... parvient à monter dans son lit . La sen- sibilité au chatouillement, au pinceme
lioration notable ; le malade va seul aux cabinets en se tenant aux lits ; hier il se serait même sauvé au fond de la sa
20 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
il l'employer chaque fois que nous en trouverions l'occasion 1. 1,, lit (les cliniques et physiologiques sur la marche. -
uellement, le malade, de taille moyenne, se lient presque toujours au lit , toussant et crachant, les deux poumons présent
ble. Puis on le transporta en voiture à son domicile où il garda le lit pendant vingt-quatre heures. Durant t cette pér
s l'accident, il essaya de se lever seul : il mit les pieds hors du lit , mais à peine avait-il touché le sol qu'il s'aper
ôpital Necker (14 juillet). Au début de son séjour il dut rester au lit , souffrant beaucoup de douleurs lombaires et en
r. Par contre, le membre inférieur droit, qui repose sur le plan du lit par son bord externe, est inerte ; la paralysie
lle le malade se débat au point qu'on est obligé de le lier sur son lit . Après l'attaque légère contracture du côté droit
s et demi, est entrée à la Salpêtrière le 11 juin 1887 et occupe le lit n° 1G de la salle Rayer dans le service de M. C
t; mais la contracture persista et obligea la malade à conserver le lit . C'est brusquement, tout' d'un coup, que les ja
de dix-neuf ans, entre le 10 mai 1887 à la Salpêtrière et occupe le lit ne 18 de la salle Rayer. 1 Antécédents hérédita
actuellement, vers l'âge de quinze ans est restée plusieurs mois au lit avec les jambes enflées; elle est très nerveuse
notable quantité de pus. Cet accident obligea la malade à garder le lit pendant trois semaines au bout desquelles elle no
ée sur la partie antéro-inlerne du genou. La malade dut garder le lit deux mois. Depuis ce temps elle n'aurait jamais
rs semaines : les attaques ces- sèrent pendant ce nouveau séjour au lit . Puis la malade se lève malgré l'avis du médeci
Depuis cette époque l'état de M... reste stationnaire. Elle garde le lit pen- dant huit jours, se lève pendant quinze au
'état de la malade ne s'est pas modifié. M... reste assise dans son lit , penchée sur le côté droit, la jambe gauche dan
que la malade est dans le décubitus dorsal il repose sur le plan du lit , parlant sur le bord interne. En même temps que
ans l'angle de la grande salle, près de la fenêtre en regard de son lit , immobile sur son siège, courbée en avant et comm
s autres enfants de sa famille ont marché vers un an; il a uriné au lit jusqu'à l'âge de trois ans. Bien qu'il soit allé
nnée dernière (on mai 1883), il est tombé malade et a dti garder le lit pendant quinze jours. Aussitôt après, ses parents
s'enchevêtrer dans la lettre précédente. Si on examine le malade au lit , dans le décubitus dorsal et au repos, les cont
pied notre main tenue à 40 ou 50 cen- timètres au-dessus du plan du lit , il atteint facilement ce but, mais ses mouve-
ifié de sciatique par le médecin,, et obligea la malade à garder le lit un mois. Depuis, la marche devint de plus en pl
le des hôpitaux, ISSu, p. 345 et il(;. . - , , 2. Leçons du mardi lit Salpêtrière, 13 mars 1888. Fin. 2-i. ? 1/ ? s
au tiers moyen de la partie latérale externe de la jambe, repos au lit pendant vingt et un jours. État actuel, 17 déce
aux questions que par monosyllabes, ou ne répond pas et sourit. Il lit des 102 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
bandelette que l'on aperçoit sous les circonvolution s qui bordent lit couche optique n'est autre chose que le trigone i
osité qui se résorbe rapidement sous la seule influence du repos au lit . Le cou-de-pied du même côté présente des troub
RS ]) I L' J : , T J'; H YEN T 1 () : 'i C 111 nu Tt r. 1( : .\ LE, lit marche graduée, les massages ou manipulations d
11 juin. - Les appareils plâtrés sont enlevés. La malade descend du lit et peut se tenir debout sans appui.- Électricit
août. - Les appareils plâtrés sont retirés. La malade descendue du lit peut se tenir debout sans appui. Du 28 août au
stérie pendant laquelle elle tombe sans connaissance, elle reste au lit pendant six semaines et ensuite elle s'aperçoit
nt-Antoine dans le service de M. le docteur Hanot, le 19 juin 1888, lit no 2, salle Aran. Il est né à B... (Haute-Loire
mot : démarche tabéto-cérébello-parétique. Les mouvements dans le lit ne sont pas moins troublés que dans la station
. J'ai mis sur la peau, le membre étant au repos et reposant sur le lit , des poids différents entre eux de 20, 30 et 50
immédiatement l'instrument à sa bouche. Il s'est enfin jeté sur le lit de camp où il s'est endormi pour un quart d'heure
istribution particulière. Aussi faut-il s'élever contre ce que l'on lit partout : à savoir que les troubles de la sensi
la correction obtenue persista et le malade fut transporté dans son lit . Le lendemain, la saillie lombaire est restée p
exes tendineux, signe d'Argyll Robertson, perle des membres dans le lit , etc. Le diagnostic d'ataxie locomotrice n'est pa
uvent, empêcheront le malade de marcher et l'obligeront à garder le lit . Ce sera une infirmité de plus ajoutée à toutes
arthropathie du pied, qui forcera le malade à ne plus sortir de son lit , pourra, dans certains cas, retentir d'une façon
tat général de ce malade condamné par ce fait à ne plus quitter son lit ou sa chambre. Notons cependant que l'évolution
ueteur, entré le 10 février 1888 à l'IIôtel-Dieu, salle Saint-Jean, lit n° 20. En 1881, étant soldat, le malade tombe d
ans la région dorso-lombaire. Coma pendant trois jours. Séjour au lit pendant un an, et six mois de repos avant de re
tre exclusivement subjectif. Le malade sent mal ses jambes dans son lit . Chatouillement parfaitement perçu. La motili
agitait pendant quelques minutes; il n'est jamais tombé hors de son lit . Pendant un certain temps, il urinait dans son so
s autres malades. Étant en train de manger sa soupe, assis dans son lit , il tenait son assiette d'une main, sa cuiller
'assez grands mouvements pour leur faire craindre une chute hors du lit . Pas d'autres renseignements. Nous le soumetton
elle se plaignit de courbature générale et fut obligée de garder le lit pendant huit jours environ. Deux mois après, c'
uqueuses pâles, peau molle, chairs flasques, nécessité de garder le lit par suite d'un certain degré de faiblesse général
nt plus. Quand je la vis, en 1860, elle restait toute la journée au lit où elle ne pou- vait même se retourner qu'au pr
s agissent dans le même. sens; toujours est-il qu'il garde dans son lit une immobilité à peu près complète; on dirait un
ils ont un petit volume. En un mot, ce malade est étendu dans son lit comme une masse inerte; il ne cause pas avec se
s (voy. moelle). TABLE DES AUTEURS Blin, 75. Blocq, 28, 45, G1, lit . t. Charcot, 42, 87, 131, 170, : ! OU, 258. D
21 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
la deuxième phalange. Depuis lors, tr soir, dès qu'il élnit dans son lit . il commençait à sucer ses et ne poutail s endor-
nne : Lise H... non seulement se ronge les ongle", mais elle urine an lit trois ou quatre foi" par mois II lui arrive, en r
se mil îi se frotter les veux du iitalîu au soir, avec ses mains, et lit nailre une congestion îles paupières, si bien, qu
pour une kératite interstitielle, ou dut renoncer à la garder. Klle lit des mensonges graves au sujet des înlirmières.
ne d'années, en service dans une ville d'enu renommée de la Belgique, lit une chute malheureuse sur le pavé. Elle eut la pe
être reveillée. Puis je lui commandai «le se mettre à genoux. Elle le lit . mais avec gène et eu accusant une vive douleur.
qu'on m'a dit. il se prêta jusqu'à un certain point â l'examen qui se lit jusqu'au bout et donna un résultat négatif. Quand
me un diable. Mais précédemment, il ne voulait même pas mouler sur le lit . ni se déshabiller, ni même s'asseoir dans un fau
s que ses compliques lui font respirer en s'approchaut la nuit de son lit . Juin 1881. L'obsession dominante du nommé Loui
l'ablation. Ce jour venu, la malade étant placé sur le bord de son lit . je tente l'hypnotisât ion. mais sans succès aucu
me permette une comparaison triviale, que lorsqu'on peut se faire un lit , et qu'on le possède ce serait folie de ne pas s'
ndre à còlè sur la dure. Le sommeil n'est-il pas comparable à un lion lit oii l'on doit mettre le dormeur et l'y suggestion
é dans le sommeil profond des dormeurs ordinaires. J'ai vu. dans leur lit . à la clinique de ce professeur, des malades donn
lourd : la preuve en est que son mari a pu. nombre de fois, sortir du lit . lu quitter plusieurs heures de suite et venir si
atif d'abaissement el de soulèvement de la paillasse élastique de mon lit . etc., ont été dix fois, causes d'illusions penda
tais par la sensation des mouvements delà! paillasse elastique de mon lit . Et quant à la scène de presque tous mes rêves, e
gtemps, elle était dans cet étal démoniaque couchée, étendue dans sou lit . Lorsque j arrivais, je trouvais la jeune fille d
léthargique, sans que le moindre mouvement :iit pu être perçu dans le lit . sous les couvertures. Cependant, il n'y avait au
y avait aucun doutepourmoi; ces bruits secs, vibrants, provenaient du lit . Un examen de celui-ci me démontra qu'il n'y avai
u de l'immense salle, assis, sans avoir l'air de remuer le pied, nous lit enteudn-el sentir les bruits nets. secs, vibrants
.. avait des cauchemars, se réveillait en sursaut et restait dans son lit les yeux ouverts voyant le sang couler du corps d
re a écrit un livre essentiellement clinique. C'est l'enseignement au lit du malade, fixé dans quelques chapitres imprimés:
t été très impressionnée. Ce cas nous démontre que la pudeur féminine lit naître dans ce cerveau une autosuggestion suffisa
e gauche, il y a un an juste. Depuis, la malade garde la chaise ou le lit : elle ne peut absolument pas marcher et ne quitt
uivis de stertor et de sommeil comateux; le malade transporté sur son lit . y fait un bon somme et. à mon arrivée, je le tro
ithéâtre ; une méchante table. votive d'un de ses pieds servit de lit an patient et un garçon qui passait pour être ple
ce le 7 septembre sa guérison est reconnue indiscutable. Il parle, il lit , il récite bien, il demande :à table ce qu'il dés
eine : et, chose étonnante, je suis encore plus fatigue en sortant du lit , le matin, que le soir en me couchant. s Il en
malentendus. « Si l'on s'obstine à faire de la conscience une cause, « lit -il. tout reste obscur » (ibidem). Nullement si l'
ou motn» vague» qui qui la mirent sur 1« voie de parler comme elle Ir lit . Car chaque foi» que plu» lard, pendant Mi ion na
mais en bloc, la disparition des autres signes morbides. Ce qui me lit espérer une telle solution, c'est d'abord que j'a
nous avons fait commettre ii cette personne l'acte suivant : Sur un lit . un mannequin affublé d une robe et coiffé d un b
pidement vers la table, saisit l'arme et, s'approchant brusquement du lit , elle frappa la femme couchée d'un grand coup de
t constitué une force motrice suffisante, notre homme saule en bas du lit . bien convaincu qu'il a élé tiré hors de ses drap
Humilie, il n'osa plus remettre les pieds à l'Ecole de médecine et se lit inscrire à l'Ecole de droit. L'époque du volontar
vues sur le chapitre desquelles on ne badine pas au régiment et il se lit punir. Pour se soustraire à ses angoisses et à se
llant aux écritures, il parvint à éviter tous les services el même se lit dispenser de la revue d'intendant a laquelle ¡I e
train se mettait en marche, de sauter dans le wagon des bagages. Il y lit un long trajet, s'étant â grand prix assuré la co
litaire d'un extérieur très grave, se présentèrent ensemble devant le lit du prince. entièrement vetus Je blanc; le cap
e chandelle le plus jeune d'entre eux, qui s'élait endormi au pied du lit . Le mourant, ayant ouvert les yeux, fui si frappé
oqué par la présence «l'un abcès dans le pharynx, languissait sur son lit de douleur. Tous ses gens, plus empressés de se p
on adresse, prétendit huiler ces serviteurs à gages. Posté en face du lit . il s'affubla de la mitre du pain re agonisant. —
, il coupait... je n'ai pas besoin de dire quoi. Fasse le ciel des... lits qu'on n'ait jamais à rogner ainsi ni vous, ni moi
Vierge est très irritée de ce que la malade ne soit pas sortie de son lit . Cela réussit : la malade se lève et récite les p
on nom. elle dit lé vrai, mais après avoir regardé In pancarte de son lit pour être bien sûre qu'elle ne se trompe pas On n
avait ordonné pendant mon sommeil. — Qui vous avait ordonné cela ? « lit le premier témoin. — Munsieiir. dit-elle en me
10. Il revint alors à Mnurtce pour y exercer la médecine. Mais il n'y lit qu'un court séjour. Paris l'attirait et c'est là
aine frayeur, obéit, et H. G... et moi appuyés sur le bois du pied du lit , nous la regardons faire. Elle démêle les cheveux
vers cinq ou six heures et parcourt un instant les journaux ; s'il y lit un article jovial, le voilà qui s'endort ï il en
, tant pour lui, ne pas penser et dormir lui semblent, en ces moments lit , un bonheur immense. Du reste, cette exaspérati
jour qu'il jouait aux échecs en la garde-robe de la reine, elle-même lit mettre une souris devant luy ; et luy de pour, co
d'autres rendre gorge a voir de la crème, d'autres a voir brasser un lit de plumes. I.esmédccins.pas plus que les autres
soin d'uriner. Peu de temps après, il cesse naturellement d'uriner au lit pendant la nuit. Il arrive cependant assez souv
elle-ci n'atteigne l'orifice uréthral. Pour cela, on élève le pied du lit qui doit former un angle de 45 cm. avec l'horizon
l'hypnose, de lui faire simplement la suggestion de ne plus uriner au lit . C'est évidemment par là qu'il faut commencer; ma
t qu'il s'endormira le soir avec la préoccupation de ne pas uriner au lit ; qu'il ressentira vivement le besoin d'uriner dè
ermes suivants : « Vous aurez tellement le désir de ne plus uriner au lit , que cette préoccupation vous empêchera de vous e
vous empêchera de vous endormir le soir. Nous serez agité dans votre lit , ne dormant pas; ne pensant qu'à vous lever pour
ens, éprouvent cette insomnie et vous disent : « Je n'ai pas uriné au lit , mais cela tient à ce que je n'ai pas pu mendormi
n courante des plus intéressants, c'est que lorsque l'enfant urine au lit toutes les nuits, on peut presque sûrement compte
te ; très nerveuse. Depuis son enfance, la malade a toujours uriné au lit . Il y a eu de rares interruptions, ne durant jama
tière, de dix-neuf ans et demi à vingt ans et demi, elle n'a urine au lit qu'une dizaine do fois au plus. L'in- contine
dente se manifesta : elle resta huit jours consécutifs sans uriner au lit . Elle interrompit ce traitement et l'incontinen
as à ressentir un effet favorable, car en deux mois elle n'a uriné au lit que deux fois. Elle se considère comme guérie, ca
il y a trois ans. Depuis ce moment, il urine toute les nuits dans son lit . Le malade est entré en apprentissage chez un épi
ellement profond même qu'il ne se réveillait pas après avoir uriné au lit . Son sommeil est troublé par des rêves, des cauch
mières séances ne donnèrent aucun résultat. Il continuait à uriner au lit . Nous eûmes l'idée de lui suggérer de l'insomnie
ippe suivie d'une bronchite, à lu suite de laquelle il a gardé le lit pendant un mois. Au momcnl de sa maladie il a con
22 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
...r, âgée de quarante-trois ans, entre le 11 janvier, salle Pinel, lit n° 3, dans le service de M. le professeur Raymo
flement très mar- qué avec rougeur intense. La malade dut garder le lit six semaines. L'oedème s'effaça peu à peu. La j
isme, ni attaque convulsive. Elle ne se rappelle pas avoir uriné au lit , et ne fut pas en proie aux peurs nocturnes. A
cour de peur qu'on se moque d'elle. Elle passe sa journée dans son lit , impotente de ses mains, ayant crainte de ne po
. La quantité d'urine augmente. Je suis plus gaie. » Cependant elle lit des livres qu'elle ne connaît pas, les yeux fer
é dans ce pays. Pen- dant quatre mois consécutifs, il dut garder le lit et conserva de la difficulté à marcher jusqu'au
à s'occuper du ménage, n'enlève plus son couvert, ne fait plus son lit . Elle regarde ses compagnes d'un air dédaigneux
nt pas de les emmener au domicile conjugal, de souiller leur propre lit avec elles : Augus- tine s'en aperçoit bien, ca
maintenus les nombreux gâteux et à leur assurer les bienfaits d'un lit et de soins continus ; il fallut pour cela inst
alitement prolongé, Nous pratiquons très largement le traitement au lit des aliénés. Actuellement le septième des femme
narcotiques. En revanche, un large usage est fait du traitement au lit , même chez nos épilep- tiques excitables qu'on
nocturne. On n'économise donc pas les cellules par le traitement au lit . Nous avons reconnu que l'alitement continuel r
s aussi à ce que la plupart de nos alités quittent pendant l'été le lit pendant quelques heures pour être conduits en ple
ur être conduits en plein air. Dans ces conditions le traitement au lit est des plus recom- mandables. Voyons ce qu'o
ur, il se rendait au Grand-Hôpital, non seulement pour y étudier au lit des ma- lades, mais aussi pour assister aux fré
e et désireux de l'entendre de plus près, il effleura de sa main le lit d'un malade nouvellement opéré. Dupuytren s'en ap
urprendre et privall. Calmeil d'un puissant appui. Il fut appelé au lit de mort du maître, et l'assista à ses derniers mo
ades. Les établissements dontle chiffre de popu- lation dépasse 500 lits peuvent en avoir moins, mais, quand il y a dava
roit se paralysent, et le malade est obligé de se confiner dans son lit . Après quelques semaines, les phénomènes paralyti
alytiques s'amendent un peu, mais le malade ne peut se lever de son lit . Les douleurs continuent. Quatre mois après le
de la moelle. ' M. Wulff présente une tumeur, du frontal gauche et lit l'obser- vation du malade correspondant. C'est
es- tion étaient des sarcomes à petites cellules rondes. M. WULFF lit un mémoire sur l'hypoplasie du crnur chez les m
sur la pyélo-néphrile (Revue med : co-c/tt)' ! t;-y : 'cc[, 185r); De lit BIBLIOGRAPHIE. 153 pneumonie continue rémitte
(Union médicale, 1855); De quel- ques phénomènes sympathiques dans lit pneumonie (Union médicale, 1857); -Du plyalisii
un serrurier pour forcer la porte. On a trouvé Maumy debout sur son lit , sans chaussures, mais habillé, tenant d'une ma
de trente-sept ans, tapissière, entre le 2 août 1894, salle Pine], lit u" 2, service du Pr Raymond. Antécédents hérédi
vait alors sur son séant, frissonnante, s'as- seyait au bord de son lit , et restait des heures entières absorbée par so
urent prises et les articulations vertébrales. La malade garda le lit trois semaines. Elle avait eu de la fièvre avec
prise de tremblement, de frissons. Elle rentra chez elle, se mit au lit . Toute la nuit elle ne dormit pas, eut devant l
ndemain 19 avril, vers 11 heures du matin, la malade était dans son lit , en proie à son idée, ayant peur de mourir, quand
. Son mari avait dû quitter la chambre à coucher et s'était fait un lit dans la salle à manger. Parfois les crises étai
de faire placer quelques instants le pied de la malade hors de son lit , les genoux légèrement fléchis. Elle ne tarde p
eut considérer la guérison comme absolue. A peine les pieds hors du lit présentent-ils une insignifiante moiteur, et un
voir passé la nuit dans une chambre à côté de la morte, qu'étant au lit en proie à l'idée de la mort elle ressent pour
s femmes : il lui arrivait de les prendre souvent avec lui dans son lit et leur vue l'excitait l'onanisme. Ces diverses
IE' de la paralysie PROGRESSIVE; par le Dr P. Kovalewsky. (Bull. de lit Soc. de Med. ment., de Belgique, 1894, n°74.)
émie ou la congestion. LES aliénés et-la magistrature. M. LEGRAIN lit au nom de M. FEBVRE et au sien une communica- t
tente, idées de persécution, mélancolie, folie morale. M. LFGRAIN lit une communication de M. Ramadier, sur un per- s
ane indispensable dans un asile d'aliénés moderne. 2. Le nombre des lits qu'il doit comprendre doit être, pour les grands
ections somatiques, les agités, et ceux qui doivent être traités au lit ; ceux aussi qui pour un motif particulier doive
urs classifications. Le mélange semble 'encore plus intimé quand on lit leurs travaux dans le texte,'et quand, surtout,
, au bout déplus d'un mois, le bras droit fut dégagé. Elle garda le lit pendant cinq ou six semaines. En quittant le lit,
agé. Elle garda le lit pendant cinq ou six semaines. En quittant le lit , elle s'aperçut qu'elle ne savait plus lire. El
c très faible diminution delà sensibilité douloureuse. .fq 1 1 -. 1 lit ) · ? . ? 11 t li 1 1 n. '< ? Voy. Archives d
99 ,, f;, . ? 1 ? Il ' l+ li'i ir- " , ( 1 t . , a t 1'i fo -, 4, lit l , j ii r ? j' IW ' 11, 0 -il , ,. , 1 1 n , t
és. Le 20 janvier 1894, nous examinons de nouveau cette malade au lit . Il y a un peu de raideur des membres inférieurs,
estant raides; il semble qu'elle va tomber en avant. Examinée à son lit , en janvier 1894, elle a les jambes spasmodi- q
re 1893, la rigidité est devenue telle que la malade doit rester au lit , ne pouvant plus marcher, ni se tenir debout ou a
is quelques mois elle était gâteuse. En janvier 1894 examinée à son lit , la malade a une attitude spéciale : les muscle
lus obtuse comme nous l'avons dit. Lorsqu'on examine ces malades au lit , on leur trouve les jambes raides légèrement at
alades progressent à petits pas précipités et les jambes raides. Au lit les cuisses sont rapprochées par la contracture
uant à ses occupations spéciales de maçon, le malade doit garder le lit , à partir du 15 février. A ce moment, la toux a
t et gauche. Notre malade saisit très nettement le sens de ce qu'il lit , mais n'articule pas mieux les mots lus que ceu
st prise la nuit de secousses nerveuses qui la projettent horsdebon lit . En examinant l'enfant, je constate aussi certain
Le désordre des mouvements est tel que, pour la maintenir dans son lit la nuit, sa mère est obligée de l'attacher avec
e est plus calme. Elle a encore quelques secousses la nuit dans son lit mais il n'est plus nécessaire de CHORÉE DE SYDE
urs après, un de ses compagnons d'atelier fut blessé et mis dans le lit voisin du sien, il ne le reconnut pas. Il s'éta
ues et les orteils nécrosés sont à peu près éliminés; elle urine au lit et dort douze heures par jour pendant quelques
ur la tombe de l'illustre doyen des aliénistes français. M. JEANKET lit un rapport sur le livre « le Merveilleux » de M
on, quoi- qu'elle soit difficile à mettre en pratique. M. MERCKDN lit son travail sur la conscience de l'état morbide
unés ont tout juste la place néces- saire pour se glisser dans leur lit . Les dimensions, d'ailleurs, n'ont pas besoin d
de chercher du renfort. La chambre sera aménagée de manière que le lit du gardien soit adossé à la cloison du dortoir
s aliénés; de cette façon, lesur- veillant, sans se déranger de son lit , n'aura qu'à regarder par cette lucarne pour s'
le que l'ameublement de ces chambres fût un peu confortable; un bon lit avec sommier, deux matelas, traversin et oreill
avec sommier, deux matelas, traversin et oreiller, une descente de lit , une table de nuit, une armoire, un portemantea
ssoires nous retiendront plus longtemps. Et tout d'abord combien de lits comportent-ils ? A cet égard les avis sont asse
gnerions. Dans ces conditions mieux vaut-il deux dortoirs de trente lits ou quatre dortoirs de quinze; ce qui revient à
à chaque bout. J'opinerai donc pour deux grands dortoirs de trente lits ; bien entendu, qu'il n'est pas question ici ni
des agités ni des mal- propres. pour lesquels un dortoir de quinze lits serait déjà excessif. Le cubage de ces dortoi
de telle sorte que dans la largeur de chaque trumeau on place deux lits . On perd ainsi beaucoup de place ; peut-être es
firmerie et des malpropres dont nous nous occuperons ailleurs, d'un lit en fer, d'un sommier, d'un matelas et d'un trav
de coton et de laine, selon les saisons, et aussi d'une descente de lit . C'estvraimentpitié que dans les asiles françai
il est si facile avec de la sparterie de fabriquer des descentes de lit qui reviennent à 1 fr. 50 pièce ! Que chaque mala
s opérations d'affaisser et de déplacer par son poids le matelas du lit . Elle se compose de deux parties : une supérieu
qui serait suspendue par un petit crochet inoffensif à la tête du lit , sur le mur. Enfin je me demande pourquoi entre c
u lit, sur le mur. Enfin je me demande pourquoi entre chaque deux lits oh ne mettrait pas un grande olaceàbon marché qu'
par mesure de propreté; ils sont ainsi forcés de se rendre à leurs lits en chaussettes. Cette mesure est anti-hygiéniqu
. Nous avons insisté plus haut sur la nécessité d'une descente de lit , nous insisterons maintenant sur la nécessité d'u
son. S'il sont dépourvus de toute ornementation et de des- cente de lit , si le nombre des cuvettes mises à la disposition
minimum et presque entièrement écarté par le maintien du malade au lit pendant toute la durée du traitement et pendant
1 ? 3 et 4.) Supprimer les cellules, en traitant tous les agités au lit . Si l'on soumet à ce traitement tous les agités
veillance continue, vous les placez dans une chambre de malades, au lit , en mettant une garde auprès d'eux. Le malheu-
nettoyer des cellules. Si au contraire les aliénés sont traités au lit , voilà de l'hospitalisation. Il viendra à vous
nt de la salle de cours et des lieux d'examen scientifique, même au lit . Tous les locaux doivent donc être reliés ensem
; les deux salles sont reliées en- semble par un chemin de fer pour lits , il est ainsi possible de pro- céder dans la sa
pprimons en tout cas les cellules et multiplions le traite- ment au lit . Disséminons les éléments de perturbation de faço
23 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
à l'impossibilité où se trouvait le malade de se redresser sur son lit . A partir de ce moment-là on s'est aperçu que C
t. Dix jours au plus s'étaient écoulés, et le malade dut prendre-le lit , en raison des progrès de la faiblesse des membre
u- fection fébrile qui vénériennes, rant 1¡; mois consé- le tint au lit du- ' cutifs. A l'âge de rant deux mois ; la
lité. - Il est incapable de se maintenir dans la station debout. Au lit dans la position horizontale, on remarque que les
te d'un tapis d'Orient, sur le mur une horloge, et dans le fouds un lit à baldaquin et à rideaux verts. Là se tient une p
touche guère. Et même, n'a-t-elle pas oublié de dissimuler sous son lit certain vase intime ? ... Quelle faute pour une m
eux que le mal l'il[ brisée au point de l'obligera garder le ]it,un lit moelleux, douillet, abrité par un balda- quin e
couverte d'un tapis d'Orient, avec un carafon de cristal. Auprès du lit , une chaise et un vase de nuit. - Le médecin ne
hollandaise. Au fond, une fenêtre garnie de vitraux. Le même grand lit à baldaquin et à rideaux verts, la même table r
nt le métier de col- porteur, entre à l'hôpital St-André, salle 15, lit 3, en juillet 1898; il est atteint d'une atroph
s, en jouant avec ses ca- marades, V... fait une chute du haut d'un lit et se fracture l'humérus droit au tiers supérie
ont conservés. Le malade se rend bien compte de sa position dans le lit et il va saisir le mem- bre malade sans hésitat
piqûre. Quand on fait placer le membre étendu au-dessus du plan du lit , on remar- que qu'il est animé de petites oscil
ture de la face. Le réflexe massétérin ne se produit pas. Le malade lit très bien. Son écriture est rendue difficile de l
ime. 126 J. SABRAZÈS ET L. MARTY A 13 ans, une chute du haut d'un lit est suivie de fracture de l'humé- rus au tiers
amment du milieu extérieur. Un mem- bre sera posé par terre, sur le lit , en l'air ; mais il sera dans l'attitude de fle
anneau de bois ; hauteur : 0 m. 31 ; largeur : 0 m. 66, non signé. On lit , dans un coin, en bas, à droite, une fausse sig
ait dans l'épaisseur de la muraille contre laquelle était placé son lit , et cette muraille était fort humide. II nous r
ans le service du Dr Paul Segond, à la Salpêtrière. Elle occupe les lits 32 et 34 de la petite salle. , Antécédents héré
es et les masses saillantes des cuisses, augmentent de vo- lume. Au lit , elles diminuent et les urines deviennent plus ab
de mastic. « Vous portez une mouche, avez-vous mal aux dents ? » lit -on dans une satire de Courval-Sonnet, en 1631 (2)
ssoires connus : un intérieur de jeune hollandaise; dans le fond un lit à 'baldaquin ; au mur, un tableau représentant un
évélateur. Et, non loin de là, une feuille de papier froissée. On y lit ces mots : ' Dner bael geen medesijn Want het
ée, mais qui fait 'sourire un jeune garçon à demi caché derrière un lit à rideaux rouges. C'est lui peut-être qui repré
t que le mal d'amour ne l'ait pas inspirée (Pl. XXXVIII). Dans un lit , aux rideaux de pourpre, savamment relevés sur un
a-t-il tout particulièrement soigné son portrait. Debout devant le lit , un pied posé sur la marche qui le précède, le
our plaisanter grassement. Seul, un petit épagneul, assis auprès du lit , semble concevoir quelque inquiétude de l'inter
on. Le décor varie peu : une chambre propre et nette ; à gauche, un lit à à baldaquin; sur les murs, une guitare, une p
umes, mêmes coiffures, même agencement de l'intérieur : au fond, le lit à baldaquin, par terre, la chaufferette et le r
fenêtre rondegrillée donne un faible éclairage. A droite, un grand lit rideaux v erts légère- ment entrebâillés laisse
d'osier cylindrique pour ranger l'urinal. Dans le fond, un grand lit surmonté d'un dais rond dont une servante propr
age, elle a eu quatre enfants dont .trois sont morts ; du troisième lit , elle n'a qu'un enfant, qui vit. Ceci pour la f
e s'aggrave pendant la nuit. Certaines femmes, pour échapper à leur lit et à leurs douleurs, se lèvent de bonne heure, br
charge incroyable de couvertures, ces femmes sont glacées dans leur lit , dorment dans de la flanelle et se lèvent néanm
nd. Dans les cas graves, les douleurs matuti- nales les chassent du lit , malgré le sommeil. La température du corps est
, éteinte par moments. De fréquents maux de tête lui font garder le lit plusieurs jours de suite. Elle ressent beaucoup
surtout au niveau des omoplates et elle s'exaspère par le séjour au lit . La patiente est quelquefois comme chassée de son
ar le séjour au lit. La patiente est quelquefois comme chassée de son lit par la douleur du dos. Actuellement âgée de 43
essus des yeux. La douleur est surtout intense le matin, au saut du lit . Cette jeune fille est invinciblement constipée
ne la nuit; toutes les nuits, sans exception aucune, il mouille son lit . Les dents sont presque toutes cariées ; les ge
immédiatement : du 24 juin 1898 au 19 février 1899, il ne mouilla son lit que sept fois. L'histoire de la mère de cet e
souffrances sont plus fortes le matin que le soir et la chassent du lit . Très constipée. Les dents sont très malades, pre
ement. Les parties génitales sont très peu développées. Il urine au lit toutes les nuits. La mère (44 ans) souffre beau
ine), 45 ans, domestique, entrée le 27 septembre 1892, salle Pinel, lit ilo 1. Salle Rostan, lit n° 11. (1) Biswanger,
entrée le 27 septembre 1892, salle Pinel, lit ilo 1. Salle Rostan, lit n° 11. (1) Biswanger, Ueber Sensibililatprilfun
ique, entrée le 31 mars 1898 à la Salpê- trière, salle Cruveilhier, lit n° 9. Antécédents . - Son père est mort à 60 an
A 25 ans elle a eu la fièvre typhoïde et elle est restée deux mois au lit . Elle affirme n'avoir pas eu la syphilis et on
ans, employée de commerce, entrée le 20 octobre 1896, salle Broca, lit n° 10. Antécédents. Son père est mort à 65 ans
ns, lingère. entrée le 18 octobre 1898, salle Duchenne de Boulogne, lit n° 14. , Antécédents. Le père est mort à 84 ans
sans se tenir aux meu- bles ; on la soumit à quelques exercices au lit . Etat actuel. - La malade a l'aspect fatigué, l
iété. Nous voici donc dans une chambre luxueuse. Au fond, un beau lit à colonnes torses dorées entouré d'un rideau blan
voici les tranches de citron révélatrices. Enfin, sur le dais du lit , un joli groupe sculpté représente deux amours
Miens le Vieux (PI. LX). Une chambre élégante et riche; à côté d'un lit à rideaux, un beau meuble surmonté de faïences
e dans une vaste pièce garnie de boiseries et de vitraux. Près d'un lit , une jeune femme est assise, une coiffe blanche s
s très soigneusement figurée. C'est une jeune femme couchée dans un lit à rideaux soutenue par de gros oreillers, la tê
ulent des favoris; l'oeil 1 est triste, fatigué, alangui. Près du lit , une table avec une bouteille de pharmacie, un po
r la percussion. Le malade ne peut pas ramasser une épingle dans le lit , mais peut saisir une bouteille en la serrant c
la laisse glisser en arrière. Le malade peut descendre seul de son lit , mais en se tordant, en s'arcbou- tant ; avec s
t, en s'arcbou- tant ; avec ses mains il prend point d'appui sur le lit , puis s'appuie sur le coude, fait un mouvement
ouvements de la tête conservés. Le malade ne peut s'asseoir sur son lit tout seul sans aide. La motilité des membres in
; gauche, 31 centimètres. Le malade peut s'asseoir seul dans son lit sans se servir des mains ; une fois assis, pour
somnies; 380 ' ' G. ÉTIENNE le malade ne se trouve jamais bien au lit , il se relève, se recouche, est agité. Pas de c
une influence sur l'atrophie musculaire consécutive à un séjour au lit de plusieurs- semaines ou de plusieurs mois chez
ement, sont friables. Les déformations des pieds sont analogues, et lit encore, l'hypertrophie est surtout apparente au
.. Elise, 49 ans, corsetière, entrée le 13 juillet 1897, salle Rayer, lit no 3. Antécédents. Son père est mort à 63 ans
47 ans, ménagère. Entrée le 10 août 1897 petite salle Cruveilhier, lit n° 4. Antécédents. - Le père est mort à 72 ans,
), 42 ans, entrée le 12 janvier 1899 à la Salpêtrière, salle Rayer, lit n° 14. Antécédents. - Le père est mort à G5 ans
bientôt sécher ses larmes et la soubrette n'a plus qu'à préparer le lit . D'ailleurs, pour dissiper toute angoisse, le D
anteau doublé de cygne, au mur une mandoline, dans le fond un'grand lit à ri- deaux et une porte qui s'ouvre sur une en
sence d'une lettre ou- verte sur la table, et au bas de laquelle on lit ces mots : « Dieu vous garde. » La lettre, supp
sans erreur tous les objets qu'on lui dénomme. Exemple : Montrez le lit ; (elle le montre.) Question. - Dites ce que c'e
ste et lui dis : « Que vous ai-je dit de répéter ? » elle montre le lit . On lui redit encore : « Répétez : je voudrais al
'on lui dénomme et qu'on lui dit de montrer du doigt; l'encrier, le lit , le poêle, une infirmière etc. On lui montre un
. - (Dans un autre examen, elle a dit : chai pour ça moucher). Un lit . - Un do, un do. un dodo. Il est impossible de lu
lit. - Un do, un do. un dodo. Il est impossible de lui l'aire dire un lit . Brosse. Pour faire ça (elle brosse) une poi, u
cacher, de cacher. On lui demande alors : qu'est-ce que cela ? (un lit ) : Dodo, fais dodo, je dis comme ça : na do.
ns qu'on puisse parvenir ensuite a lui faire dire ce même nom. Elle lit aussi assez bien les chiffres (un il un) avec des
e son nez et dit un nez, un ne ? Dans ces essais de lecture elle ne lit qu'au moyen de l'oeil gauche et en te- nant le
dessus du genou. Aucun trouble de la sensibilité. Par le repos au lit , la compression à la bande de caoutchouc, les dou
résenté des pseudo- lipomes sus-claviculaires douloureux. Ce serait lit , selon Desnos, une va- riété d'oedème liée à l'
que, mais malheureusement pour signaler leur insuffisance. Repos au lit prolongé, massages, compression ouatée ou caoutch
et la trophicité de la face. L'acuité visuelle est bonne.; le malade lit sans lunettes ; les pupilles égales réagissent
t la cyanose locale qui s'atténue sous l'influence de la chaleur du lit ; la main ainsi réchauffée se refroidit très vi
t, creusé de sillons transversaux a perdu son poli et repose sur un lit hyperkératosi- que ; altérations de début au ni
brette, qui, vers la gauche, s'apprête tranquillement à bassiner le lit . ' Ce Mascarille libertin ne se soucie guère de
24 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
me anéanti, il a des défaillances, si on l'oblige à s'asseoir sur son lit ; la face est froide, pâle, les traits sont altér
immédiatement très prononcée, et les malades sont forcés de garder le lit . En général, la fièvre est, dès le début, assez i
gé pour soulager le sort des malades : ainsi, on compte près de 3,500 lits temporaires. De son côté, le conseil de salubrité
un » fragment de Rufus, conservé dans un livre inédit d'Oribase. On y lit : « Le » bubon dit Rufus, qui, pour des causes ma
e jaclitation continuelle et ne sait quelle position prendre dans son lit . — Les accidents gastriques se montrent les premi
e Lorry (De morb. cutan. Paris, 1777, p. 602) : « Pleni sunt auctorum lit »ri exemplo-« rum canitiei prae timoré intra brève
court de l'Empereur Charles V, s'estant ammourachc d'vne Damoiselle, lit tant que partie par amour, partie par force, il c
Paris pour 1831 renferment la note suivante : Obs. III. — M. Barre lit l'observation d'un kyste hydatique d'un volume én
tuer une tumeur du petit bassin, n'est pas isolée dans la science. On lit , en effet, dans la Revue médicale de 1838, ?u'au
yphilitique. Lors de cet examen, le malade pouvait s'as-seoir sur son lit , et il assurait avoir éprouvé un peu de soulage-m
-macal qu'il provoquait autrefois si facilement en s'agitant dans son lit . La constipation fait bientôt place à une diarr
certaine époque, tant d'influence sur les déterminations à prendre au lit du malade. L'existence de ces phénomènes qui marq
, et la contre-indication fournie par les symp-tômes d'adynamie. « Au lit des malades, en présence des cas particuliers où
monie d'apparence bénigne : le traitement se composa du traitement au lit , de la diète, de l'usage de quelques boissons pec
forces de la nature. Ainsi je faisais tenir les enfants chaudement au lit et je leur faisais donner de la mauve sucrée chau
admis, le 24 mars 1860, à l'hôpital Saint-Louis, pavillon Ga-brielle, lit n°17, dans le service de mon excellent collègue M
s mois; sensibilité obtuse aux membres inférieurs. Le malade peut, au lit , remuer ses jambes ; mais il ne peut se tenir de-
ente rapidement. Le 10 juillet, cet homme passe une heure hors de son lit , chancelle encore lors-qu'il ferme les yeux. Le 1
ul faisait excep-tion; il ne pouvait plus se tenir debout, bien qu'au lit , il re-muât facilement les membres inférieurs. Or
époque, en 1855, la malade faisait encore quelques pas autour de son lit , en s'appuyant sur les barreaux ou en se tenant a
n an au moins que la malade a été obligée de rester définitivement au lit , la locomotion étant deve-nue tout à fait impossi
plus triste condition : elle pouvait difficilement s'asseoir sur son lit et était incapable de rester assise dans un faute
acher des cris à la malade. Elle ne peut plus se tenir assise sur son lit et l'on est obligé de l'étayer avec des oreillers
Gharcot. Œuvr. compl. t. vm, 5e partie : Thérapeutique. 24 sur son lit , elle peut môme se tenir assise pendant quelques
up-tion lichénoïde. 1er mai. — La malade peut rester assise sur son lit pendant la plus grande partie de la journée ; ell
dément atteints, ne peuvent pas encore supporter la malade ; mais, au lit , leurs mouvements se font avec une précision bien
ntrevoyant plus qu'une lueur indécise, incapable de s'asseoir sur son lit , ne pouvant presque plus se servir de ses mains,
n lombaire devient telle que la malade ne peut plus s'asseoir sur son lit , encore moins dans un fauteuil, et qu'on est obli
'y a pas un amaigrissement considérable. La malade, étendue sur son lit , peut fléchir et étendre la cuisse sur le bassin,
ces mouvements ont une énergie assez grande. Si on la descend de son lit , elle peut demeurer quelques instants debout, à c
e du tronc ont encore bien peu de vi-gueur, et pour s'asseoir sur son lit d'elle-même, la malade est obligée de faire les p
29 avril. — Nouveaux progrès ; la malade s'assied facilement sur son lit , et peut rester assise dans un fauteuil. Les do
comme elle le faisait auparavant. Elle sent bien mieux le drap de son lit avec ses pieds, et, quand on la lève, elle sent m
tenant, à l'aide de ses deux mains, un des barreaux verticaux de son lit , elle a pu demeurer debout pendant quelques insta
une précision suffisante son point d'appui. Elle reste assise sur son lit ou dans un fauteuil presque aussi longtemps qu'el
moins prononcés. Le 2 mai, la malade peut se tenir debout près de son lit , sans aucun appui. A la fin du mois de mai, l'amé
nt de plus en plus difficile ; la malade peut à peine se traîner d'un lit à un autre ; souvent ses jambes s'embar-rassent l
erniers mois, la malade est condamnée à rester presque constamment au lit , la station étant devenue à peu près impossible.
quelle nous la voyons, pour la première fois, elle n'a plus quitté le lit . Elle paraît, d'ailleurs, pendant cette période d
ablement conservée dans les membres infé-rieurs. La malade peut, au lit , mouvoir à son gré ses membres dans tontes les di
marche, sont tout à fait impossibles: dès que la malade, tirée de son lit et soutenue par deux aides est placée dans la sit
'opèrent très régulièrement. 29 avril. — La malade est tirée de son lit et soutenue par deux aides, on la place dans la s
out sur ce membre en s'ap-puyant fortement à l'aide des mains sur son lit . Les membres supérieurs sont tout à fait dans l'é
ble de la vue. Membres inférieurs un peu atrophiés. Couchée sur son lit , la malade peut les soulever, fléchir et étendre
ère n'avait jamais pu que se traîner, pour ainsi dire, au-tour de son lit , en s'y tenant fortement, peut demeurer debout pe
ortement, peut demeurer debout pendant plusieurs instants près de son lit , sans aucun soutien ; elle marche dans la salle à
adie du système nerveux. La malade, lorsqu'elle est couchée sur son lit , peut fléchir et étendre ensuite les divers segme
ut se tenir dans la station verticale en s'appuyant fortement sur son lit ; elle peut faire deux ou trois pas soutenue sous
t même elle ne sait pas reconnaître si ses membres sont posés sur son lit ou soulevés à une certaine hauteur. Si l'on touch
e. La malade peut même se tenir debout pendant un instant près de son lit , sans y prendre un point d'appui. Hier, elle a pu
ppui. Hier, elle a pu s'agenouiller pen-dant quelques moments sur son lit , ce qu'elle n'a pu faire depuis son admission à l
tenir debout et de faire un pas, depuis plusieurs années confinées au lit où quelques-unes même étaient dans l'impossibilit
des plus désirables que celle qui a permis à des malades retenues au lit depuis des années, de se lever, de faire quelques
peu atrophiés, la malade ne peut pas les détacher de la surface du lit , tout au plus s'aperçoit-on de l'effort qu'elle f
s cette attitude. Depuis près de quatre ans, lorsqu'on veut faire son lit , on est obligé de la déposer sur un brancard, par
is depuis plus de trois ans, elle a pu d'elle-même s'as-seoir sur son lit pendant quelques instants. Elle peut soulever que
n et l'autre de ses membres inférieurs au-dessus de la surface de son lit ; elle les écarte légèrement l'un de l'autre et le
plètement changé d'expression. Elle peut s'asseoir facilement sur son lit et dans un fauteuil ; elle peut imprimer à ses me
25 (1886) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1885
e premier pavillon de dortoirs a été terminé le 18 mars 1885 et les lits installés provisoirement dans le réfectoire des
l'air et servent d'appui chacune à un cabinet vitré, pourvu d'un lit sur lequel on dépose les enfants qui viennent d
énumérées précédemment. Nous devons ajouter : deux dortoirs de 20 lits chacun, placés entre les fenêtres, séparés par
on a installé, en les sé- parant par des cloisons à mi-hauteur, le lit de l'infirmier ou de l'infirmière de jour, celu
les enfants s'ils se sont souillés. Chacun des dortoirs contient 24 lits et 2 d'infirmières. Le sol est carrelé, afin de
ouvent sur leur table de nuit. SALLE DES BAINS DE PIEDS. XLIII 12 lits chacune, avec 2 chambres d'isolement pour les m
d'affections suspectes ; 3° deux chambres pour les infirmières. Les lits sont placés entre les fenûtres,eton ne peut pas
n ne peut pas, en raison de la disposition de celles-ci, placer des lits contre les cloisons qui terminent les dortoirs,
tains points, par un bec de az. Cube d'air. - Le cube d'air est par lit : de 43 mètres 500 dans les dortoirs des valide
occuper et déjà les deux premiers bâtiments à usage de dortoirs (80 lits ) étaient sur le point d'être livrés par l'archi
u (1884, p. lxv), avait obligé l'Assistance publique à installer 80 lits pro- visoires (lits Tucker et lits de sangle) d
ait obligé l'Assistance publique à installer 80 lits pro- visoires ( lits Tucker et lits de sangle) dans les deux bâtimen
sistance publique à installer 80 lits pro- visoires (lits Tucker et lits de sangle) dans les deux bâtiments terminés (vo
t de quelques jours. L'adjudicataire devait fournir la moitié des lits dans les premiers jours de novembre. (1) M. E.
ent il ne s'était pas'conformé aux con- ditions de son contrat; ses lits furent refusés par l'Ad- ministration et il dut
e dortoirs ont été terminés le 10 octobre. La première livraison de lits n'a eu lieu que le 17 décembre; les autres livr
mes amis du Conseil général et moi pen- sions qu'une section de 200 lits devrait suffire (avec la colonie de Vaucluse) p
ire la faculté des placements volontaires d'indigents et jamais les lits accordés aux placements volontaires n'étaient r
t normale : la sensibilité spéciale intacte : cependant l'enfant ne lit que de très près les petits caractères : blésit
rthographe, il connaissait peu les choses usuelles. Aujourd'hui, il lit couramment et blèse à peine; il fait les quatre
parlé vers dix-huit mois ; il a toujours uriné de temps en temps au lit . Quand il fut repris par sa mère à l'âge de deu
des parties génitales et, dans cette conviction, il urine dans son lit ou dans ses vêtements. Les traitements sont infru
juin. Gui... parle très peu, prononce quelques mots (maman...), ne lit pas ses lettres; il est d'ailleurs presque impos-
tion le matin. La nuit, si on ne le maintenait, il tomberait de son lit ; il a des frayeurs et ne veut coucher que dans
tionss'accomplissent bien. Son écriture commence il être régulière ( lit . 6). 30 avril. L... est guéri. Sa mère, interro
d'une angine ; - 3° Garçon bien portant, il a eu un enfant mort-né; lit et 5° deux jumelles (1) mortes il huit mois de
FOLIE DE L'ENFANCE. 57 Il y a huit jours (28 novembre), étant au lit , il a cru que la boule blanche était venue le s
ais il voit encore des têtes attachées le long du mur auprès de son lit . Le sommeil est moins mauvais. - Angine érythém
26 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et l'on sent une résistance qui paraît difficile à vaincre. Dans le lit , la déviation du tronc ne disparaît pas non plu
attitude etla déformation du troncper- siste quand le malade est au lit ; le malade ne peut se coucher sur le ventre, e
t, la jeune L... a passé la plus grande partie de son temps soit au lit , soit couchée sur un sofa. Depuis le 25 avril, il
urs et des phénomènes moteurs, et la ma - Jade reste constamment au lit . Etat actuel (8 juillet 1883). - Il s'agit d'un
et les bras. Lorsqu'on lui dit de remuer les membres inférieurs au lit , elle les porte aisément dans toutes les direct
on du pied, ni trace de contracture. On fait descendre la malade du lit en l'aidant, et elle se tient debout parfaiteme
enfant fut amené à la consultation de M. Charcot qui constata qu'au lit , cependant, la force musculaire était absolumen
ns et demi, est entré le 23 juin 4887 à la Salpêtrière et occupe le lit n° 7 de la salle Pruss, dans le service de M. C
teint d'nne violente douleur de tête qui le contraignit à garder le lit . Il fut si.igné par le docteurlerrari; au boutde
uait une légère douleur dans la colonne vertébrale. Etendu sur un lit , le malade essayait de-- mouvements variés avec
l ne put pas se tenir sur ses jambes, ni même s'éloigner du bord du lit . Quand on voulait qu'il marchât il fallait qu'i
i fis essayer divers mouvements, non seulement en se tenant sur son lit , mais encore debout pendant qu'on le soute- nai
pus donner aucune raison d'une forme clinique aussi étrange. Sur un lit , on voyait un jeune enfant vigou- reux, a)ant l
s. Cinq semaines après, se développe la para- plégie spéciale. Au lit , la puissance musculaire des membres inférieurs e
PATHOLOGIE NERVEUSE. Etat actuel. Le malade se tient couché sur un lit ou sur un soplia et il est dans l'impossibilité
de porte un corset. Elle est depuis plusieurs mois étendue dans son lit , sur le dos, sans bouger, im- passible et indif
a pas d'anesthésie, ni de diminution du sens musculaire. Couchée au lit , les membres inférieurs sont fléchis et il est
ndant le sommeil. Elle peut cependant lever les jambes de dessus le lit , mais elles re- tombent rapidement. Dans l'épre
fait effort elle parvient à étendre ses jambes taudis que dans son lit cela lui est impossible. Debout, soutenue par d
rcussion de la plante du pied par un corps dur, par exemple dans le lit contre les barreaux, ne produit également aucun
dit connaissance; elle en eut une entorse qui la tint trois mois au lit . Au mois d'août de la même année tout à coup, s
après le début de ces douleurs, en voulant se lever, elle tomba du lit , et ne s'aperçut qu'à celte chute que ses membr
une névralgie intercostale du côté droit.) 60 CLINIQUE NERVEUSE. lit . Passons maintenant en revue les principales ob
à côté du fauteuil, puis, par un autre mouvement brusque sous le lit . Les membres inférieurs sont écartés, les membres
a de la raideur des deux côtés. On dégage les jambes de dessous le lit . A ce mo- ment, la tête se met dans l'extension
nes et bien éclairées et, sauf la façon d'ailleurs discrète dont le lit est retenu en place, il serait difficile de dev
ait à coups tte verges, et, pour savoir si elle était morte, on Jui lit mettre le feu aux parties les plus sensibles; e
rte et on l'aban- donna; le lendemain on la trouva couchée dans son lit . » Voici ce que rapporte dom Calmot 4 : « On
couchée dans son lit. » Voici ce que rapporte dom Calmot 4 : « On lit dans le Marteau des Sorciers qu'une femme s'alla
: je sentois à toute heure comme si un animal eût couru dans mon lit et m'eust touchée en diverses parties du corps. C
ncapable de multiplier quatre par six (il obtient qua- rante-six) ; lit très lentement, connaît les lettres et les syllab
s autres etne peut venir à bout d'expliquer le sens de ce qu'on lui lit . Copie l'im- primé, peut même spontanément écri
s l'élocution avec effort manifeste de l'esprit : efforts inutiles. Lit en com- mençant couramment, puis s'interrompt,
ble de continuer; après une pause de quelques secondes, il reprend, lit de nouveau trois, quatre, cinq mots et s'arrête
affection fébrile aiguë déjà commençante, qui l'obligea à garder le lit pendant huit jours; ensuite il commença à se réta
'hôpital des enfants. Vers l'âge de vingt ans, vertiges au lever du lit . Durant quinze jours auparavant, le malade s'ét
'embarrassent l'une dans l'autre, ou bien les membres, souples au lit et dans la station assise, se raidissent dès qu'i
dans la relation duquel il est dit : « Lors- que la malade, est au lit , elle peut bien étendre la jambe sur la cuisse,
gauche se relève à une distance de 20 ou 50 centimètres du plan du lit ; la jambe droite reste horizontale. La tête se
ne or iiiv patients alwaw hopped round the room before he fell in a lit . » ((;owers, On Epilepsg, p. 121.) : 2M" CLINIQ
. n'a que des accès de nuit ; après l'accès, il cherche à faire son lit , parcourt la salle, puis va se coucher dans le pr
aire son lit, parcourt la salle, puis va se coucher dans le premier lit venu. Observation XXXVIII. - Pas d'antécédents
ses accès, se déshabille complètemenl, cherche à se coucher dans le lit de camp, comme si c'élait un véri- table lit.
e à se coucher dans le lit de camp, comme si c'élait un véri- table lit . 246 CLINIQUE NERVEUSE. Observation XLIII. -P
chauffoir, cherche à les ébranler; il prend ensuite les matelas du lit de camp, simule l'acte de faire un lit. Avant s
prend ensuite les matelas du lit de camp, simule l'acte de faire un lit . Avant son entrée à Bicêtre, on avait constaté
lève, l'air égaré, traverse toute la salle de l'infirmerie, va à un lit vide, essaie de l'ouvrir par le pied, finit enf
épond à peine aux questions et par monosyllabes : a Je ne sais, mon lit , etc., » puis il s'endort paisi- blement. C'est
d'au toi ? îa lis ine pg,éépilop tique. Qu'il soit endormi dans son lit ou sur une chaise, il se lève d'un bond; il a peu
à ces actes une autre direction. Le cata- tonique aime à rester au lit , refuse la nourriture même dans le stade de man
e l'individu ne se réveille pas flasque sur le plan horizontal du lit . Or ici, il n'en est plus de même et en analysant
urs à vivre. En effet, le jour suivant, comme j'étais auprès de son lit , elle fait un mouvement, se relève, se jette sur
la jugea morte, mais en conseillant toutefois de la laisser dans le lit . Pen- dant vingt-huit heures, aucun changement;
int. Cette opération fut annoncée à ses parenls assis à côté de son lit , pour que le malade l'entendit. On pratiqua trois
ndant deux mois, il vaque aux occupations intérieures de l'asile et lit volontiers. Dans la nuit du 15 au 16 novembre, at
e vous ai dit : « Y aura-t-il un répertoire général des aliénés ? » Lit . LE Rapporteur. Oui ! M. DE Gavardie. Oui ! Et
vasions, 5 H. Reste au 31 décembre 624 malades (310 H., 314 F. et 4 lits vacants). 3° Clinique : Ma- lades présents au 1
H., 51 F.). -- Reste au 31 décembre, 148 malades (99 H., 49 F.). Lits vacants, 11. IL Asile de Vaucluse. Les malades
auses, 61 (20 H., 26 F., 15 idiots). Reste au 31 décembre 1887, 801 lits (335 H., 355 F., 111 idiots). Travail- leurs, 2
(31 IL, 1 F.). Reste au 31 décembre, 865 malades (473 H., 392 F.). Lits vacants, (109 d'hommes, 37 femmes couchent sur
., 392 F.). Lits vacants, (109 d'hommes, 37 femmes couchent sur des lits supplémentaires; 2o Pensionnat : Malades présen
me. Reste au 31 décembre 1887 : 181 malades (76 H., 105 F.). Pas de lits vacants. IV. Asile de Villejuif. - Malades prés
20 H., 5 F.). - Reste au 31 décembre, 982 malades (410 H., 572 F.). Lits vacants, 160. La colonie d'épileptiques DE Biel
s d'accès, chaque boutique et chaque école possède un matelas ou un lit , à portée de la main. Plusieurs médecins de la
roite. Ces douleurs survenaient habituellement le matin, au saut du lit , et elles s'apaisaient assez rapidement par le
bres inférieurs. Il ne lui arrive pas de perdre ses jambes dans son lit . La sensibilité cutanée est obtuse. Les piqûres
les éclatent surtout le soir, après le coucher, quand la chaleur du lit commence à se faire sentir. Les douleurs ont le
atoniques proprement dits ne sont que des symptômes. Von Rinecker lit à l'assemblée des aliénistes de 1880, à Eisenac
a force musculaire s'affaiblit et les malades demeurent confinés au lit (paraplégie). Dans l'athé- tose double, même au
nifestation se pro- duisait à la suite de repas copieux. M. KLEIN lit une note sur l'origine des idées délirantes dans
oppe les rideaux, elle se lève, va ouvrir la fenêtre et se remet au lit atten- dant l'asphyxie qui ne vient pas. Voilà
ociété tombe en février et sera célébrée par un banquet. M. Thomsen lit son mémoire sur les troubles de la sensibilité
temps un secours de l'Etat. Quelques-uns reçoivent des dons ou des lits des Etats. D'autres vivent sur le prix que paie
27 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
pavillons de dortoirs. Ils se composent chacun de deux salles de 20 lits , au rez-de-chaussée, et delO chambres pour le p
la galerie inférieure. Là, un dortoir, composé de deux salles de 20 lits chacun, avec partie du milieu réservée au servi
ur ancienne desti- nation, en réduisant, s'il a lieu, le nombre des lits . - Adopté. 3° Nomination d'une Sous-Commissio
aule, directeur de l'Asile clinique, (1) Il convient de prendre des lits de différentes dimensions, en harmonie avec les
de repos. Comme nous ne sommes pas fixés sur le chiffre exact des lits , il s'en suit que ce cadre ne peut être que pro
qu'on a dû consacrer aux petites filles idiotes. L'insuffisance des lits pour cette catégorie de malades, la nécessité d
istra- tion à la Commission de surveillance, ne comportait que 44 lits . Les modifications que nous avons fait subir à
ptuf haut. x 4'. Mouvement de la population. moitié le nombre des lits , tout en respectant les con- ditions exigées pa
-heure à une heure. Les enfants sont exercées en outre à faire leur lit ; nettoyer leur dortoir, mettre le couvert, lave
er un peu aux ' jouets qu'on lui donnait. Il n'a pu se lever de son lit qu'à l'âgé de 4 ans. C'est vers cette époque se
fant, toujours très propre jusqu'à cette époque, se mit à pisser au lit et, en 6 semaines, il était devenu complètement g
u du pénil. L'enfant ne présente pas de trou- bles de la parole. Il lit mais pas très couramment. Son écri- ture est as
d'une céphalalgie continue. Il ne peut plus se tenir assis sur son lit et il se lais- se retomber aussitôt, lorsqu'on
tient sa tète plus droite, il se soulève un peu au-des- sus de son lit mais le gâtisme persiste. Après un séjour de 6
bien portante ; elle s'est mariée deux fois, elle a eu 2 enfants du lit et4 du second. [Père, mort avec toute son intelli
t intelligente. La mère de l'enfant a eu, de son côté, d'un premier lit 2 enfants : Un garçon de 14 ans un peu délicat
s du soir, il se réveillait à 2 heures du matin, s'asseyait sur son lit et recom- mençait ses mouvements du tronc et de
et la mère se sont mariés chacun deux fois. Les enfants du premier lit de la mère n'ayant pas eu de convulsions, tandi
e la mère n'ayant pas eu de convulsions, tandis que ceux du premier lit du père en ayant eu, on est naturellement encli
et. L'enfant est faible, il ne peut môme pas se tenir assis sur son lit . Il se sert très bien de ses bras. Le foie débo
s; un peu de raideur dans les genoux. Jean... qui avait conservé le lit sera levé tous les jours. Traitement : Continue
vant, la tuberculose faisant des progrès, et l'enfant restant au lit , les accès redeviennent nombreux. VII. Au point
se porte lentement en avant, de façon à s'asseoir pres- que sur son lit : les pupilles qui dans l'intervalle des attaques
tôt pour s'arc-bouter en arc de cercle, le corps ne reposant sur le lit que par la tête et les pieds, la respiration touj
e se termine par un mouvement brusque qui rejette le corps sur le lit dans la position horizontale et par trois ou quat
ses caractéri- sées par une légère projection du corps au dessus du lit , comme s'il était poussé par un ressort. Ces at
3 jours des séries d'attaques. Le soir on le trouve étendu sur son lit , les traits fatigués, la figure couverte de sue
de frayeur à la suite d'un accident de voi- ture. L'accouchement se lit bien, l'enfant fut mis en nourrice. Il fut bien
malade était couché quand tout-à-coup il s'est levé au pied de son lit , ses yeux sont devenus hagards, puis au dire de
s chaussures de ses voisins, à les mêler, enfin il est revenu à son lit et s'est couché. 11 juin. Hett.. a eu une attaq
convulsifs, pendant 1 minute : puis le malade se met debout sur son lit ; les yeux hagards, semble qu'il a devant lui q
en colère ; on a peine à le maintenir. Enfin il descend de son « lit , continue à chiffonner sa chemise qu'il enlève, c
il enlève, cherche ses effets, les remet en place, cherche sous son lit . Tout cela dure 1/4 d'heure. Il s'habille et pe
e de faire ce qu'on lui ordonne, dit qu'il veut se sauver, urine au lit ou dans son pantalon. Ces accès durent une jour
à 13 cent. de longueur et 10 cent. de circonférence. A l'école, il lit bien les mots faciles, copie assez lisiblement,
Une nuit la sonnette électrique l'ayant réveillé, il a sauté de son lit ; il ne savait plus où il était, voulait se sauver
sonner, il n'cut plus peur. A la campagne il n'urinait jama : s au lit , il satisfaisait ses besoins dans les champs. A
besoins dans les champs. A Paris, les premiers jours, il urinait au lit , il ne voulait pas aller aux cabinets, mais dan
olive. La parole se développe; on note quelques progrès en écri- lit ? -e; Arn... reconnaît toutes les lettres mais se
que vers vingt et un mois. Il n'a jamais été propre : il gâte au lit , matières fécales et urine. Il aurait du prolapsu
paraît pas-savoir se servir de ses mains. Tel qu'on le pose sur son lit , il reste..11 ne marche pas.. - Organes génit
Organes génitaux bien conformés.- Gland découvra.ble.II garde le lit depuis un mois à cause d'une bronchite. Amai- g
ée et un sillon profond la sépare, coin-- me nous l'avons vu, de la lit temporale qui est irrégulière. z Le corps strié
eur. Son écriture, lisible, ressemble à celle d'un commerçant. Elle lit des historiettes à l'usage des enfants. Son car
eux, T. 360,1. L'enfant ressemble à une arriérée de 4 à 5 ans. Elle lit de petits mots mais ne sait pas écrire. Sa mère
28 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
, le service d'admission temporaire est institué. Il se compose de 60 lits , à savoir : 40 lits pour les femmes et 20 lits po
sion temporaire est institué. Il se compose de 60 lits, à savoir : 40 lits pour les femmes et 20 lits pour les hommes. Je ne
é. Il se compose de 60 lits, à savoir : 40 lits pour les femmes et 20 lits pour les hommes. Je ne saurais trop remercier M.
cularités qui ne peuvent bien s'observer que lorsque le malade est au lit . Je ferai ressortir tout d'abord que l'état gén
méthodique nous fait reconnaître ce qui suit : quand le malade est au lit , le membre inférieur droit exécute normalement to
s extenseurs de la cuisse en faisant glisser son talon sur le plan du lit , ou bien il s'aide de ses mains ou de son autre p
urs du genou se révélera encore lorsque le malade va descendre de son lit , parle côté gauche, et se mettra à marcher. Vous
, il survint un peu de gonflement de la jointure.; le malade resta au lit , mais sans fièvre. Les médecins qui le voient par
des réflexes rotuliens, je fais placer le malade assis sur le bord du lit , l'extrémité des pieds reposant sur le bord d'une
1. Klein. — De l'hystérie chez l'h omme, thèse de Paris, 1880. que, lit des romans avec avidité; pas de vice de conformat
s secousses étaient surtout vifs la nuit, exaspérés par la chaleur du lit , au point que le patient avait pris l'habitude de
. Sur la porte de cette salle, on pourrait placer l'inscription qu'on lit , dit le Dante, au-dessus des portes de l'Enfer.
erticale, qu'elle marchait ou qu'elle faisait des mouvements dans son lit , et se calmaient dans le repos. Remarquez bien,
il n'existe aucun symptôme qui indique une lésion spinale ; ainsi, au lit , les mouvements de flexion et d'extension des mem
e se tient debout, essaie de marcher, ou fait des mouvements dans son lit . Quelle est la signification de cette douleur,
e jour, à partir du 5 mars, nous lui donnons un devoir de lecture. Il lit sans écrire, mais en s'aidant toujours de caractè
peu compliquée. Quand la signification d'un mot lui est connue, il lit plus vite que s'il ne la connaît pas, ainsi : R
s de la lettre, ou du mot. On pourrait dire d'un seul trait, qu'il ne lit qu'en écrivant. En manière de contraste, j'appe
lument incapable de proférer un seul mot, entend tout, comprend tout, lit , mentalement, tout avec facilité, écrit courammen
vec facilité, écrit couramment et comprend parfaitement tout ce qu'il lit et tout ce qu'il écrit. Vous reconnaîtrez déjà,
culation de la laïujue et des lèvres pour comprendre les lignes qu'il lit . M. X... paraît avoir très bien analysé tout le
que les malades sont abandonnés à un repos complet, couchés dans leur lit , par exemple. S'ils sont assis, au contraire, les
nt revenues à différentes reprises, sont assez vives pour le tenir au lit . Il est externe dans une pension voisine du pénit
«ont projetés en l'air et gigottent, la têle restant appuyée sur le lit . Pendant l'attaque, Julie pousse quelques grognem
promène, parle tout haut, crie au voleur et enfin va se jeter sur son lit où se termine ou bien recommence une série d'accè
s d'une crise hystérique délirante, alors qu'il était encore cloué au lit par une attaque de rhumatisme. Deux jours plus ta
tion debout sont devenues impossibles ; les malades sont confinées au lit , où elles peuvent à peine se mouvoir : les muscle
arrière (opisthotonos), les pieds et la tête touchant alors seuls le lit et le corps faisant le pont. Pendant ce temps, le
t pendant quelque temps encore ; il cherche autour de lui et sous son lit les bètes noires qui le menacent, il examine ses
ces crises, il ne s'est mordu la langue, jamais il n'a uriné dans son lit . Depuis près d'un an, R... est soumis au traite
véritable opisthotonos dans lequel les reins sont séparés du plan du lit par une distance de plus de 50 centimètres, le co
nc et la tête soulevés, les fesses et les reins reposant seuls sur le lit . D'autre fois, enfin dans l'attitude de l'arc de
d'ailleurs assez légère, puisqu'elle ne le retint que quinze jours au lit . La même année, il se soigna pour se débarrasser
e. Puis tout à coup, il change d'attitude ; on le voit, assis sur son lit , passer à diverses reprises sa main sur son membr
lade, l'histoire d'un rhumatisme articulaire aigu qui l'avait tenu au lit , pendant cinq ou six semaines. L'idée nous vint,
re ses genoux. Un peu après, il déchire ses draps, les rideaux de son lit et, tournant sa fureur contre lui-même, il se m
qui a eu lieu pendant la nuit du 17 mars, le malade a uriné dans son lit . Deux autres attaques se produisent le 19. Le 21
après, il contracte un rhumatisme articulaire aigu qui l'a retenu au lit pendant six semaines. Depuis cette époque, le gen
ues les plus variés. Ainsi, par exemple, l'on fait sortir de force du lit où elle était depuis longtemps immobile, une mala
ques pas cependant; on le transporta chez lui ; il resta deux mois au lit , ayant, dit-il, dans les premiers temps, le membr
éveloppements. Nous y consacrerons une prochaine leçon. Ctt.UîCOT. ( lit !M'uS Complètes, t. iu, *yl m: urrcC'iX. 25 VI
es troubles du langage intérieur. L'aphasique ne sait plus lire ou ne lit qu'avec difficulté ; il ne comprend pas ou compre
nférieurs comme morts : il ne pouvait d'abord les élever au-dessus du lit qu'en les soulevant à l'aide de ses mains. Au bou
de ses mains. Au bout de quelques jours cependant, il put quitter le lit et sortir de l'hôpital pour se rendre chez lui en
lement affaiblis que Le Log... peut à peine les détacher du plan du lit . Une résiste que très peu aux mouvements de flexi
et les pieds venir frapper avec tant de force contre les barreaux du lit que celui-ci en a été déplacé. L'attaque terminée
i en a été déplacé. L'attaque terminée, le malade est descendu de son lit et s'est mis à marcher, d'abord avec une certaine
de se tenir debout, de se lever même. Il n'a pu se lever et sortir du lit qu'au bout de 13 jours. Le malade fut transport
complètement négatif. Le 13° jour seulement le malade put sortir du lit . Il fut évacué dans un service de médecine, peu a
la nuit, pendant qu'elle dormait, une planche placée au-dessus de son lit se descelle et tombe avec les objets qu'elle supp
colérique. Ch. a eu une enfance maladive; à 12 ans, il fut cloué au lit pendant 5 à 6 mois par une maladie de langueur. L
-il, me faisait tomber en syncope; on ne pouvait causer auprès de mon lit . » A deux reprises, pendant son séjour au collège
sais avec mon chef de bureau, je fus trouvé un matin inanimé dans mon lit . Une saignée et des doses de calomel me firent re
acilement, les consonnes avec plus de peine. Le 30 avril, il parle et lit à haute voix, mais non sans fatigue. Après dix mi
à Lyon. Le 11 septembre 1882, il est trouvé sans connaissance sur son lit . Une saignée le ranime ; mais au réveil, il est d
he nervous System, 1883, p. 463). — Jeune fille de 22 ans, gardant le lit depuis plus d'une année pour une affection de la
e année pour une affection de la moelle. Six mois avant de prendre le lit , elle avait eu de temps en temps des impossibilit
. Obs. XV. — (Wilks, ibidem, p. 465). — Femme de 28 ans, gardant le lit depuis 4 ans et demi. Elle avait eu des nausées,
nausées, des douleurs dans les jambes; un jour, en voulant quitter le lit , elle a perdu l'usage de ses jambes. Durant ces q
29 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
pour les choses ancien- nes ; le malade comprend très bien ce qu'il lit . Il répond sensément aux ques- tions qui lui so
tige extrême. Grande faiblesse générale. Le malade est tombé de son lit . Il ne peut s'asseoir, ni à plus forte raison s
. Chaque fois que l'on essayait de faire asseoir le malade dans son lit ou de le faire tenir debout, hors du lit, même
asseoir le malade dans son lit ou de le faire tenir debout, hors du lit , même en le soutenant de chaque côté, cela était
ons et de rêveries. Le ma- lade veut alors absolument sortir de son lit . L'agitation augmente surtout beau- coup pendan
re, pendant une nuit d'agitation, le malade tombe de nouveau de son lit , son garde-malade s'étant profondément endormi. L
du côté gauche, et il ne put plus marcher, ni rester assis dans son lit , ni se tenir de- bout. A côté de cela tous les
s de la déglutition. Au milieu de septembre il fit une chute de son lit qui aggrava considérable- ment son étal. Le dél
it dans l'impossibilité absolue de marcher et garda complètement le lit pendant mois. Après quoi il recommença à marcher,
les difficultés de la marche s'accentuèrent. Il dut se remettre au lit (tin 1894) pour ne plus jamais le quitter. Les
t insis- ter pour obtenir de lui quelques mots. Il reste confiné au lit : c'est à peine s'il se lève quelquefois sponta
1897. A partir de cette époque,F)... reste définitivement confiné au lit ; on le trouve étendu, sans mouvement, comme un
'ai raconté ce que je faisais mais mes idées mauvaises ne sont plus lit eh bien, quoique ne mangeant pas puisqu'il faut
out ; quand on le prie de se lever et de marcher, il s'appuie à son lit , fléchit sur ses genoux el se traîne en tirant
que dans le trajet que fit la malade de la porle de la salle à son lit , on voyait les gouttes tomber sur le parquet ;
cm. au même niveau (l'l. XIV). 'Quand la malade est assise dans son lit , la tumeur s'étale tout autour du siège. La p
eure et un tamponnement de la plaie, l'enfant est emportée dans son lit . Schok considérable : injections d'éther, de ca
as, un artiste qui a voulu imiter la manière du maître hollandais. On lit même, sur l'écriteau qui sert d'enseigne à l'op
essemblance avec celui qui figure sur l'affiche de la vrou Hexe. On lit en effet sur cette dernière, après un incompréhen
ait trois ou quatre hommes des plus robustes pour l'arrêter sur son lit . » Ces convulsions étaient suivies d'une espèce
est entrée raja salle « San José » le 22 octobre 1898, occupant le lit no 8. - Ses antécédents héréditaires sont à peu
lle énergiquement par son nom. Elle s'agite d'abord, remue dans son lit , ouvre les yeuxqu'elle frotte avecses mains, bnil
est assez at- teinte. La malade ne peut pas rester assise dans son lit ni encore moins se mettre ni rester debout.Dans
se dans son lit ni encore moins se mettre ni rester debout.Dans son lit elle conserve tous les mouvements des bras, des
rétention d'u- rines pendant 24 heures, resta quelques semaines au lit , incapable de marcher : après un repos forcé de
grand effort et en tirant sur une corde suspendue au-dessus de son lit , on est tout d'abord frappé par l'existence d'u
de ne peut se tenir debout que soutenu par deux aides vigoureux. Au lit , il peut mouvoir avec énergie les deux membres in
le membre inférieur gauche et dix jours plus tard, en mon- tant au lit la malade ressentit un craquement accompagné d'un
d'une vive douleur dans la jambe gauche. Elle put s'accrocher à son lit et éviter une chute. Mais le membre resta doulo
eu rien près com- plètement anéanti : Elle perd ses jambes dans son lit . Il n'a pas été constaté d'autres troublas de l
du genou gauche. Troisième examen en 1897, à 50 ans. Confinement au lit depuis un an. Amai- grissement allant jusqu'à l
douloureuse spéciale. Une fois la malade a trouvé l'ongle dans son lit et deux fuis dans son bas. Il n'existe ni suppu
du genou gauche, définitivement constituée. En 1896, le séjour au lit est devenu nécessaire. La malade se fait hospital
'examiner nous-même le 24 juin 1897. Françoise Ch... est étendue au lit dans le décubitus dorsal. La physionomie est ca
absolument insensibles. La malade perd souvent ses jambes dans son lit . Elle n'a pas la notion de position de ses memb
corps fait ainsi un angle de 45° environ avec le plan horizontal du lit . La tête est enfoncée dans les épaules : celles
incident, se recouche et se rendort. Mais le lendemain, au saut du lit , elle s'aperçoit que sa jambe droite est énorme
ce ; le malade soulève avec peine les jam- bes au-dessus du plan du lit . Abolitions des réflexes tendineux. Pas de réac-
up un fort étourdisse- ment, perdit l'équilibre et s'appuya sur son lit pour ne pas tomber. Quand elle. voulut se redre
panneau de bois, hauteur 0 m. 51, lar- geur 0 m. 66, non signé ; on lit dans un coin en bas à droite une fausse .signat
u côté gauche. Il fut couché dans la maison et tomba la nuit de son lit en voulant se lever. Transporté le lendemain chez
a femme lui disait par exemple : « prends ton chapeau il est sur le lit » il ne savait pas tout d'abord ce qu'elle voulai
affirmer attendu qu'on faisait manger la malade et qu'elle restait au lit . Au bout de quinze jours on lui permit de jouer
poussa un cri et tomba. Il fut immédialemen relevé et porté sur un lit où il resta sans connaissance pendant quelques
alors l'hémianesthésie et l'hémiplégie. Un mois après il quittait le lit et on me l'amena à Edimbourg. Etal actuel. -
~^$3 J DE L'IIÉMIPLÉGIE TRAUMATIQUE 233 pondre, il urina dans son lit pendant la nuit, le pouls était à 82 et la tempér
idemment. Il demeura apathique et pendant longtemps il urina dans son lit . Il ne pouvait pas reconnaître sa femme ni ses
maines reconnaître un ouvrier son camarade, qui était placé dans un lit voisin à l'hôpital. Mais le fait le plus remarqua
espace de cinq ans dont il ne se souvenait en rien. Il quitta le lit au bout de huit semaines et rentra chez lui au bo
durant toute la journée du 12 septembre. Vers le soir, il se mit au lit et ses parents s'aperçurent que, pour se soulever
ez pour le décider à entrera l'hôpital où il fut placé salle n° 16, lit 28. Le lendemain de son entrée, le 5 mai par co
ci- dents. - Au bout de quatre semaines le malade était encore au lit et offrait tous les signes d'une paralysie,. co
nous trouvons en présence d'une femme qui est obligée de rester au lit à cause de l'impotence des mem- bres inférieurs
ce des objets mis dans sa main. Elle ne perd pas les jambes dans le lit , mais quand on déplace xm 17 258 SABRAZÈS ET
é qu'il veut déjà se reposer, il re- tombe alors sans force sur son lit , moitié assis, moitié couché jusqu'à ce que que
des douleurs névralgiques, qui la forcèrent, dit-elle, à garder le lit pendant trois mois. Depuis cette époque, elle a t
ient très sensible au froid et perd quelquefois ses jambes dans son lit . Un jour, par hasard, elle constata deux petits
n'étaient cependant jamais assez fortes pour nécessiter le repos au lit : elles survenaient de loin en loin, apparaissant
ommissionnaire, entre à l'hôpital Saint-André de Bordeaux, salle 6, lit n° 26, service de M. le professeur Pitres le 4
rieurs sont conservés. Le malade ne perd jamais ses jambes dans son lit : il conserve toujours très nettement le sens de
eur décrivons aujourd'hui. Examiné dans la position assise, sur son lit , le malade est remarquablement penché en avant,
Le sternum est éloigné de 12 à 1 centimètres du plan horizontal du lit . Il est im- possible, même en pressant assez fo
pée. Observation prise le 7 mai 1896. Quand on observe la malade au lit , et sans qu'elle s'en doute, on est frappé par
le sens musculaire sont intacts, tous les mou- vements exécutés au lit sont corrects. Les réflexes tendineux sont exagér
e de la marche et de l'équilibration, la malade restait confinée au lit . Les facultés intellectuelles avaient passablemen
on trouve la rougeole lorsqu'il était enfant ; à 18 ans il garda le lit pendant 30 jours pour le typhus abdominal. A 25
dorsale il concavité dirigée à gauche Lorsqu'il se dirige vers son lit ou s'il s'assied les genoux fléchis, suivant la
cidents surviennent après une maladie infectieuse ; mais ce ne sera lit qu'un élément de présomption et non une certitude
ait dans une position dont le maintien exige peu d'efforts, dans le lit par exemple. Il faut reconnaître cependant qu'i
e à droite. Le bras droit soulevé retombe lourdement sur le plan du lit , il en est de même de la jambe du même côté, ta
fraîches et la peau présente une teinte basanée. Quand elle est au lit le membre inférieur ne présente rien de particu-
es plus intenses. Elle a toujours froid, surtout aux pieds, même au lit . Se lève le matin, plus lasse et plus brisée qu
z les xiii '27 414 nrERTOGUE infantiles. Cette femme a uriné au lit jusqu'à sa 13° année et elle n'a été réglée qu'
le de foie de morue sauf depuis l'hiver dernier. Urine souvent au lit . En juillet 1899, fluxion de poitrine qui se te
on de rou- geurs diffuses sur tout le corps ; après quinze jours de lit , il semble y avoir une aggravation notable de l
devenu bossu (obs. Il). Dans un mouvement intempestif, la nuit, au lit apparaît tout à coup une gibbosité définitive (
exemple remarquable chez une tabétique confinée depuis longtemps au lit (obs. IV). Quoi qu'il en soit, que l'évolutio
; le tronc fait à peine un angle de 45° avec le plan horizontal du lit . Le dos est voûté, la tête tombe sur la poitrin
érieurs croit de jour en jour chez lui, il reste bientôt confiné au lit . Là, il demande peu ou rien ai sa colonne verté
ppellent coup de bois, d'une autre ce qu'on nomme l'ordinaire. Au lit , à l'église, sur la place publique, dans la rue,
rmais de retrouver son équilibre normal. Le tabé- tique, confiné au lit est dans l'impossibilité de mouvoir ses jambes, i
se penche plus volontiers du côté de la table disposée près de son lit . Il va donc créer ainsi deux déviations vertébral
nous sommes abstenu. Parmi nos malades, les uns étaient confinés au lit par la seule incoordination de leurs membres infé
en dehors, et en bas et en dehors. Acuité visuelle. L'oeil gauche lit le n° 10 du tableau décimal à 4 mètres, l'oeil
ue les faits qui ont pour lui une réelle importance. Maintenant, il lit , parle et écrit sans grande difficulté B... est d
que une différence d'un demi-centimètre en 'faveur du côté droit Au lit tous les mouvements des membres sont possibles et
es, âgé de 19 ans, cocher, entre le 15 octobre 1896, salle Velpeau, lit n° 27, service de M. le Dr Blum, à l'hôpital Sain
e revolver dans la tempe droite, étant couché à plat ventre sur son lit . Après un moment de perte de connaissance dont il
- DE l'hémiplégie traumatique 553 ciel' la durée, il tombe de son lit et se traîne jusqu'à sa porte, où il s'endort ?
de la Pitié, cli- nique chirurgicale du Dr Terrier, salle Lisfranc, lit n° 13. En descendant de wagon, la malade est to
le décubitus acutus qu'on pourrait éviter par la propreté et par un lit spécial qui évite le séjour des matières excrém
ÉCRITURE DE LÉONARD DE VINCI 605 Lecture. - Pour l'imprimé, Rose le lit assez couramment à l'endroit ; lente- ment et p
urait diminué du fait de l'éducation. Quant au manuscrit, elle le lit à l'envers beaucoup mieux qu'elle ne fait de, l
envers beaucoup mieux qu'elle ne fait de, l'imprimé, néanmoins elle lit plus couramment le manuscrit en écriture droite
l'administration du sulfate de quinine. Au moment où il a quitté le lit , il était très faible, sa vue était trouble et ce
fit amener à l'Hôtel-Dieu pour-cette jambe ; on lui fit gar- der le lit , la jambe en élévation, ce qui parut diminuer l'o
à la ré- gion dorso-lombaire : lorsque le malade est assis sur son lit , il repose sur sa colonne lombaire ; il existe
entuée dans les deux membres inférieurs, qui sont habituellement au lit fixés en ad- duction et en extension ; on peut
oulève de quelques centimètres la jambe gauche au-dessus du plan du lit . Réflexes ? Le réflexe rotulien est exagéré des
n symbole. « Vous portez une mousche, avez-vous mal aux dents ? » lit -on dans une pièce de vers de l'époque. Et le dict
30 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
les mouvements partiels sont LA RÉÉDUCATION MOTRICE. '0 réglés au lit dans le décubitus, c'est-à-dire dans des condi-
centuée à ce point que depuis deux mois la malade n'a pas quitté le lit . Au LA RÉÉDUCATION MOTRICE. 83 début on la tr
and on n',ous apporte la malade, le 13 novembre 1901, elle était au lit depuis sept mois, absolument incapable de se te
lète qu'au mois de juin. Il... qui se ressent de son long séjour au lit , reprend son traitement. Au mois de novembre 19
érimentation avait d'autant plus de valeur que le traitement par le lit fut tour à tour employé et suspendu pour des ac
nt absolu est posée au malade avant son entrée. Il est tenu dans un lit dont les rideaux sont fermés et ne , reçoit ni
trouva sa femme couchée raide morte dans sa chambre, au pied de son lit . Elle avait avalé un verre plein de disssolutio
d'avoir séquestre pendant douze ans, en la tenant enchaînée sur son lit , leur nièce, Armandine Sabathée, hystérique inoff
. Ils pénétrent chez elle quand elle sort avec sa fille, défont les lits . salissent leur eau etc. » Comme le sujet actif
t de les toucher. Parfois, elle se sent poussée à fouiller dans les lits des malades pour voir s'il n'y existe pas des por
l'asile, elle croyait que des gens se trouvaient au-dessous de son lit , exprès pour la surveiller ; elle entendait leu
s quelques jours, la malade refuse même les aliments, se confine au lit et reste : cn proie une agitation anxieuse contin
rhagies très abondantes et si répétées qu'elle a fini par garder le lit et par entrer à l'hôpital pour être curetée. Ce
n qui la soignait diagnostiqua « appendicite » et lui fit garder le lit pendant dix jours. Depuis elle ne ressentit rie
'oeil droit; puis l'amaurose était devenue double. Il y a un an, on lit le diagnostic de tumeur cérébrale. La malade su
u discours qu'il a prononcé aux obsèques de M. Dagonet. M. Giraud lit le dernier adieu adressé par lui à M. Bousseliti.
ats mélancoliques au cours des granulies tuberculeuses. M. Bienvenu lit quatre observations de malades, emportés en que
journée, mais le soir, au moment où le malade vient de se mettre au lit et va s'endormir. Ma suggestion est ainsi ce qu
qui écrit, il peut deviner d'après les mouvements le mot écrit. Il lit mieux les mots imprimés en noir qu'en rouge, mais
ut de suite ce dont on lui parle; il se démène constamment dans son lit . Hémianesthésie complète du côté gauche. Parési
est arrêté ; le plus souvent malgré toutes ses recherches le malade lit des fragments de phrases dans diffé- rents endr
Il déchiffre en épelant les mots écrits par lui-même et souvent les lit de travers ; il reconnaît son écriture. Il écri
e à l'hô- pital, il ne peut trouver lui-même, ni sa chambre, ni son lit . Le malade n'est pas gaucher. La particularit
e la même année, elle fit une rétractation de sa signature, où l'on lit : Je suplie qu'on n'aïe aucun égard à ce que l'
gâtisme; les membres refusent tout service; elle ne quitte plus le lit . 5 janvier 1902. Entérite grippale à forme grav
ns les sens opposés des mouvements du tic à corriger. Le repos au lit , l'isolement pourront être parfois nécessaires.
un traitement tonique et reconsti- tuant. Suralimentation, repos au lit , lécithine en injections hypo- dermiques, frank
se rompre, qu'il va mou- rir sur l'instant. Il se précipite hors du lit , fait la lumière : l'accès se calme au bout d'u
mais marcha toujours d'un pas égal dans la voie de son salut. Elle lit paraître jusqu'à la fin la solidité de sa vertu
que j'avais vu et même souffert en me croyant un l'autre monde, me lit une si forte impression sur l'esprit que dès ce
tomba presque à la renverse, et il fut bien heureux de trouver son lit proche de lui, pour s'y jeter promptement. Il n
mes amis »i', De Chaudrai, qu'il alla cette fois voir lui-même, lui lit mettre un emplâtre sous la gorge et lui donna d
nte-deux ans), les médecins lui ayant interdit de travailler, il ne lit plus que prier et lire des livres de piété. En
s'approchoit peu à peu de lui. Il s'avança tout transporté de joie, lit un pas ou deux dans la rivière et l'attrapa : c
biens et à toutes les espérances du siècle 1 u. En conséquence, il lit une retraite à Port-Royal des Champs, puis y devi
3 000 cas récents. Tous les cas aigus sont traités par le séjour au lit dans des dortoirs, sans qu'on ait jamais besoin
dortoirs doubles, avec des portes battantes, con- tenant chacun 80 lits , qui sont occupés par des malades calmes et tra
trois pièces de l'appartement : il s'y perd, ne peut retrouver son lit , etc. Le seul autre trouble psychique constaté
mouvements. Malgré cela, elle se déclarait incapable de quitter son lit , sa volonté ne pouvant animer ses jambes. Il s'
sont amenés à la clinique, les élèves sont conduits par groupes aux lits des malades, des interro- gations sont toujours
tions par seconde ; le pied, que le malade relève étant couché au lit , se balance aussi, et s'il relève les deux pieds,
vahissent tout le corps et sont si fortes qu'elles font trembler le lit . Dans l'état-de repos, point de tremblement ou on
re le matin, montèrent à sa chambre et le trouvèrent étendu sur son lit , sans connaissance. Un médecin, après deux heur
me pour les aliénés curables»; il proposait une clinique de 50 à 00 lits , et insistait sur l'utilité de l'enseignement d
ment, les appareils ont coûté 150 000 francs. Le prix de revient du lit est de 11 000 francs. L'inauguration de la clin
tiques de cet établissement. Nombre peu élevé des malades (80 à 100 lits ). Proportion relativement considérable du nombr
es de surveillance; aménagements spéciaux pour le traitement par le lit , les bains de traitement; -absence des moyens d
salon avec une bibliothèque, une salle à manger, six chambres à un lit et des chambres pour le personnel. Dans la moit
particulières du premier étage sont remplacées par une chambre à 3 lits . ' Dans tous les locaux des pavillons, les parq
dallés. Le mobilier des chambres de pensionnaires se compose d'un lit , d'une table de nuit, d'une armoire, d'une étagèr
e de jour (le corridor), deux chambres de pensionnaires pour 2 et 8 lits chacune, commuai- CLINIQUE psychiatrique DE L'U
elle de gauche, d'une conte- nance de 250 mètres carrés, avec 7 à 8 lits , sert de salle de sur- veillance continue pour
sert de salle de sur- veillance continue pour le traitement par le lit ; celle de droite, dont les dimensions sont les
rties de la salle : l'une sert de dortoir pour les convalescents (6 lits ), l'autre de salle de jour pour les hommes, d'a
jour pour les hommes, d'atelier de couture pour les femmes. Un des lits du dortoir est réservé à un infirmier. Les deux
agités, mais susceptibles néanmoins d'être traités par le repos au lit , et aux sujets qui cherchent à s'évader. Ils ne s
es dans chaque division. Chaque pavillon, à deux étages, possède 12 lits répartis au rez de chaussée et'au premier étage
apacité de 175 mètres carrés sert aux malades qui ne gardent pas le lit ; elle est éclairée par quatre fenêtres. A gauche
e presque toute la profondeur du bâtiment. Le chiffre normal de ses lits est de 10 ; la capacité est de 300 mètres cubes
sa destination spéciale et de l'applica- tion du traitement par le lit . Dans l'installation de cette salle on s'est in
a, dans la salle de surveillance, séparé de la partie réservée aux lits , une sorte de vaste annexe (Wachsaal- Toilelte)
nce un certain nombre de tables spéciales pour le traitement par le lit . i L'éclairage électrique est obtenu par 7 lamp
urt. Il est réservé aux malades agités et insociables. Le nombre de lits est de 7. Les desiderata d'un quartier de ce genr
ommunique avec une grande salle de 90 mètres carrés possédant trois lits destinés aux malades les moins agités (paralyti
ienne acception du mot : les malades y sont traités par le repos au lit , la porte de la cellule restant ouverte. Seul l'a
nce assez spacieuse où l'on place les malades qui doivent garder le lit : sujets inconscients, paralysés dont on veut é
déjec- tions, ni à des érosions mécaniques dues au déplacement des lits . Autrement le xylolithe perd son poli et son as
erve les odeurs. - La question du confort n'a pas été négligée. Les lits métalliques ont été munis d'aménagements spécia
attirer l'attention par un aspect anormal. A la tête et au pied du lit ont été placées des tablettes de bois; les mont
lit ont été placées des tablettes de bois; les montants latéraux du lit peuvent être abaissés. La partie moyenne du som
déchirent leur literie, ne puissent les enlever. Les fournitures du lit comprennent un matelas de crin, une toile imper-
elle pour le tiers moyen, une couverture de laine et des draps. Les lits des malades sujets à des attaques convulsives p
ves peuvent être munis de barrières latérales capitonnées. Tous les lits sont mobiles. Les pensionnaires possèdent des lit
onnées. Tous les lits sont mobiles. Les pensionnaires possèdent des lits de bois avec un sommier « cotte de mailles ».
s clairs des murs. Il en est de même des s tables spéciales pour le lit , des armoires, tables de toilette, armoires à l
un grec écorché (,ic). Il est, dit-il, spirile; il peut quitter son lit et part comme un nuage, comme la fumée d'une ciga
les asiles régionaux passent à peu près la moitié de leur temps au lit : règle générale il se couchent à huit heures e
it heures et se lèvent à six. La question de savoir si ce séjour au lit ne pourrait pas être utilement abrégé ne sera p
de la surveillance des malades pendant ces dix heures de séjour au lit . il n'y a pas bien longtemps que cette question e
est insuffisante. 10 Supposons une salle de femmes contenant vingt lits : pendant le jour il y a deux ou trois infirmiè
olut de la brûler vive. Dans ce but, il amassa des chiffons sous le lit dans lequel la malheureuse venait de s'en- dorm
e qui dor- mait. Celle-ci, se défendant, sera tombée entre les deux lits , où le meurtrier, s'acharnant sur elle, lui aur
ne pierre pesant 10 kiiogs. (Bonhomme Normand 10 avril). Drame de lit folie. - On a procédé hier matin, à l'arrestation
31 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
us souvent affectée). Mén... était depuis bien des années confinée au lit , et l'incoor-dination était peu marquée aux membr
revêtent quelquefois un caractère pé-riodique. Les mouvements dans le lit , qu'ils soient d'ailleurs actifs ou passifs, prov
ne relève point d'un amoindrissement de la force musculaire, car, au lit , dans le temps où les douleurs ne sont pas trop v
t perdit connaissance un instant. Il dut rester plusieurs semaines au lit , se plaignant d'une douleur vive au cou et d'une
r, à aucun moment, assez fort pour empêcher M. R... de rester hors du lit une partie du jour. La seule particularité à no
ments, le 1er oc-tobre, en se levant le matin, et à peine descendu du lit , Ch. R... sentit ses membres inférieurs fléchir s
incapable de soulever ses membres en totalité au-dessus du plan du lit . On assure que, quelques jours après le début des
quelques mois, un ou deux ans, trois ans au plus, se voit confiné au lit , privé plus ou moins absolument de l'usage de tou
la sta-tion lui devient impossible et le voilà à peu près confiné au lit ou réduit à passer tout le jour assis dans un fau
e. Déjà, depuis quelque temps, le malade avait remarqué que, étant au lit ou assis, ses membres infé-rieurs, de temps à aut
t être demeurée, par ce fait, pendant une longue période, confinée au lit dans une impuissance absolue, est capable aujourd
urs. Deux ans après le début, le malade était condamné à séjourner au lit , et il était privé de la plupart de ses mouvement
effet d'abord que de rendre la marche, surtout le matin au sortir du lit , un peu difficile. Les malades dépeignent la situ
aux spasmes mus-culaires. Alors, dans la situation horizontale, au lit par exemple, les membres affectés commencent à se
t de la trépida-tion — s'accuse plus encore lorsque le malade sort du lit et se tient debout. Elle gêne la marche de plus e
1 Quand la contracture est devenue permanente, elle existe même au lit ; mais elle se montre plus intense lorsque le mal
ent le jour sur un canapé, dans un fauteuil, ou demeurent confinés au lit . Mais il est facile de reconnaître que la cause d
énomènes sont surtout faciles à apprécier lorsque les malades sont au lit . L'exacerbation qui se produit, par moments, dans
particulier, même chez les sujets à peu près complètement confinés au lit , continue à s'opérer d'une façon normale, aussi b
une femme nommée Seb..., âgée d'une quarantaine d'années, confinée au lit depuis deux ans, incapable qu'elle est devenue de
niblement quelques pas dans la salle, s'appuyant sur les barreaux des lits où poussant devant elle une chaise dont elle sais
vessie, et quelques semaines après il était capable de sortir de son lit et de marcher, aidé bien entendu de ses béquilles
ment qu'exprime la physionomie de la malade. Si l'on appro-che de son lit , elle donne aussitôt des signes d'une grande anxi
Il en est de même, je l'ai dit, des moindres mouve-ments imprimés au lit et, lorsque tout à l'heure on soulèvera la malade
marche, la station même impossibles et à nécessiter le confinement au lit . Avant cette époque, les accès ont été durant lon
re que G... était, depuis plusieurs années, littéralement confinée au lit , sous le coup d'un état vertigineux pour ainsi di
es mouvements un peu étendus. Les moindres mouve-ments communiqués au lit exaspéraient aussi, à un haut degré, la sensation
, depuis quelques jours déjà, la malade pouvait être secouée dans son lit , transportée même d'un lit dans un autre, sans po
à, la malade pouvait être secouée dans son lit, transportée même d'un lit dans un autre, sans pousser des cris de détresse,
r. A son réveil, il se trouva, à sa grande surprise, cou-ché dans son lit où on l'avait transporté. La perte de connais-san
s prémo-nitoires, le malade a presque toujours le temps de gagner son lit et de s'y étendre. Alors, on voit le membre supér
; il se roidil dans l'extension forcée, s'élève au-des-sus du plan du lit , puis quelques secondes après il est pris de trép
sa chambre, se trouvait dans l'im-possibilité absolue de quitter son lit . Les choses en étaient à ce point lorsque MM. l
lement amélioré. Huit jours plus tard, le malade avait pu quitter son lit et faire quel-ques pas dans sa chambre. Au comm
en voie d'amendement, lors-que, un matin (1858), en descendant de son lit , la malade remarqua avec étonnement qu'elle boita
droit s'était raccourci. Il s'était produit, pendant la nuit, dans le lit , sans douleur, une luxation de la hanche droite.
un hôtei meublé éloigné de sa demeure et où on l'occupait à faire des lits . Vers le commencement de l'année 1859, survint
plusieurs mois, lorsqu'une nuit, à la suite d'un mouvement dans le lit , un craquement se produisit dans la hanche gauche
rantes continuaient à se produire de temps en temps, elle pouvait, au lit , leur imprimer des mouvements éner-giques ; mais
ses qu'il lui était impos-sible de faire autrefois. Un jour, étant au lit , et voulant faire montre de sa souplesse, elle po
nts à sa bouche, se livrer à des travaux d'aiguille, ramasser sur son lit les objets les plus délicats, un brin de fil, une
juillet 1873, G..., au moment où elle chan-geait de position dans son lit , se fractura les deux os de l'avant-bras gauche.
e temps où C... s'ai-dait de la main droite pour se redresser sur son lit , Vavant-bras droit s'est fracturé à son tour vers
ent sur leur partie latérale externe où elles reposent sur le plan du lit . Ces mouvements sont ceux exécutés par la malade
du membre, celui-ci ne pouvant être détaché com-plètement du plan du lit , surtout le talon. Il existe également, à la ra
dedans, le genou et le bord inférieur du pied reposant sur le plan du lit . Des plis moins nombreux mais plus obliques que c
té atteint d'un rhumatisme articulaire généralisé qui l'a retenu au lit pendant près de trois mois. Peu après se déclara
e toux très pénibles. Dans le courant du mois d'août M. G... étant au lit , fut réveillé brusquement par une de ces quintes;
s violentes. Ces accès survenaient de préférence pendant le séjour au lit , mais ils pou-vaient se produire aussi pendant la
omme elle en avait l'habitude. Pendant la nuit, on la vit quitter son lit pour aller s'asseoir dans son fau-teuil ; comme e
ayant à peu près tout à fait perdu connaissance. On la remit dans son lit où elle ne tarda pas à mourir. Autopsie le 19 m
e paralysées. — Le 12 septembre une nouvelle tentative pour sortir du lit n'a pas plus de succès ; la marche et la station
ant aggravés subitement, elle est aujourd'hui abso-lument confinée au lit . L'impuissance motrice, complète dans le membre
les autres. Ils peuvent exécuter quelques mouvements dans le plan du lit . Les masses musculai-res, celles des mollets surt
e couleur feuille-morte que donne si souvent aux muscles le séjour au lit longtemps prolongé. Etat des centres nerveux. —
tenir sur ses jambes. Hier, elle est tombée en voulant sortir de son lit et n'a pas pu se relever sans aide. La déglutitio
urs. Deux ans après le début, le malade était condamné à séjourner au lit et il était privé de la plupart de ses mouvements
e talon s'élève, les orteils remuent. — Quand on observe la malade au lit , on voit que la main et le pied gauches sont à pe
32 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
us ennuyer, et sortirait d’ailleurs de mon sujet. Cependant le diable lit encore une chose que je ne puis vous taire. Il fa
anouit enfin, et je ne vis plus que des diables sans queue, ce qui me lit une peine extrême, car je ne pus plus les disting
pour l'endormir une fois dans une minute, qu’il soit étendu dans son lit ou assis sur une chaise au milieu d'une société n
e qu’il ressentait, comme s'il eut réellement changé de place, on lui lit faire, dans la même séance, d’autres voyages qu’i
gir beaucoup sur les esprits : bêlas! détrompez - vous, car on ne les lit pas. Ce qu’on demande, ce que la généralité des h
lumière et proclamées par Mesmer. » VARIÉTÉS. Frojet de loi. — On lit dans la Mouche du 1G décembre: « Si Jésus-Chris
ntenant emprisonner la vérité nouvelle dans les catacombes médicales, lit c’est à vous, cher docteur, qu'en reviendrait l’i
andouzy, M. du Potet, reprenant la parole, « rappelle les cures qu’il lit à l’IIôtel - Dieu de € Reims, il y a dix ans, et
upé de ce que j’avais vu, j’entrai au café Lafavette, où un avocat se lit fort d'endormir le garçon qui nous servait. Le ma
allère en rien la vie et les organes. VARIÉTÉS. Hydroscopie. — On lit dans la Démocratie pacifique du 17 janvier, à pro
e les personnes « tensitives dont le sommeil était agité lorsque leur lit «se trouvait dans la direction du nord au sud, do
dame ne pouvait ni marcher ni travailler. Un second médecin appelé lit une nouvelle saignée, puis ordonna beaucoup de ba
ire l’adjoint au sous-inspecteur aux revues. Je le lis mettre dans.uu lit , je lui donnai des soins tout particuliers qui le
continue, lorsque le malade, dans un accès de délire, s’élança de son lit , annonçant l’intention de se précipiter par la fe
car il disait: «Encore.... encore....; » et si je m’éloignais de son lit , il étendait les'bras pour m’atteindre, et ne res
le lendemain, ne voulut point d’autre drogue que le magnétisme, et se lit enlever la glace dont on avait entouré sa téte.
nétiques apaisent, calment l’âme du voyant, et font rentrer dans leur lit ces courants vitaux débordés. Ou entraîne dans
a de manger ; mais la difficulté d’avaler se fit sentir. On la mit au lit : la fièvre se développa rapidement; les yeux devi
tervalles, un bruit analogue h des coups de marteau sur le dossier du lit de la jeune fille. En outre, le père et les voisi
tion; mais le malade, ne pouvant se résoudre à entrer à l’hôpital, se lit transporter chez moi. Il habitait Paris depuis un
« Aura femme par deux.... » o Joséphine s’arrêta. ■ Continue, « lit l'empcrcur, qui n'aimait pas les inter-« ruptions
la Seine rougie par sang; suite de « combats à outrance, étendra son lit par ruine et mor- * talité; séditions nouvelles
ne reparut pas le lendemain ni les jours suivants. Cette disparition lit soupçonner qu’il était complice du vol, et, le tr
mais elle resta toute la nuit assise sur le grabat qui lui servait de lit ; elle semblait en proie à un sommeil léthargique,
ther, etc. Se trouvant sur un uavire, Un matin mon cousin Paul Se lit insuffler, pour rire, La vapeur de l’alcool.
L’autre soir, dans une loge, Un petit club d’ergoteurs, A l'Odéon lit l’éloge De tous nos élhériseurs. Je maîtrisai l
justice que lui faisaient les bureaux. Servan, malade, était dans son lit ; il écoulait avec distraction le jeune prince. D
le n’a fait aucun mouvement ni manifesté aucun besoin. Assise sur son lit , la bouche cl les veux entr'ouverts, le teint l
es avait, échoué quand, un jour, une de ses nièces, en jouant sur son lit , passe à son bras un collier d’ambre. Immédiateme
les guérit; elles marchèrent librement. Moi, je les avais laissées au lit . » Que faisait cette bonne vieille? Elle pressait
tisme, par un philosophe incompris et tant soit peu pharisien. — On lit dans la Mouche du 5 mai : « Les adversaire* du
t défaillir, et qu’il faut le lever parce qu’il ne peut plus tenir au lit . Je l’aidai à s’habiller promptement, le fis asse
uire ; — de Roussel, ingénieur de la marine; — Delente, directeur des lits militaires; —Uippolyte deRiencourt, propriétaire;
sie du ventre est telle que la malade est forcée de se coucher sur le lit sans couverture. Les digestions sont difficiles;
français puissent en toute connaissance y porter leur offrande. On lit dans le Zoist : « Un meeting tenu, le 9 juillet
ambre de la police correctionnelle , présidée par M. d’Harbclot. On lit à cet égard dans VEstafette du 21 : «Une affair
ur un coup d’étber an piton des opérations. Dans ce coup de feu, en lit -on, grand Dieu! Heureusement, cet amour de l’hu
de volume du goitre; mais l’autre berger contestant, M. le commandant lit asseoir auprès de lui la malade, et lui passa dan
de condamner ceux qui pratiquent le magnétisme. Quant au second, on lit dans son excellent ouvrage de théologie morale ce
par le Sud concernant la recherche de la corvette le Berceau. — On lit dans ¡‘Union médicale du 13 : o Une somnambule,
u corps mesmé-rien et de ses moyens d’action. Voici ce document; ou lit sur la première page : [iOllRESPOXDANCE PHÉNOMÉ
le brouilla. 11 quitta alors l’Allemagne pour venir en France, où il lit beacoup de partisans de ses principes, malgré la
ême si ce fait est isolé, si nulle part on n’en trouve la trace. On lit dans le Glaneur indou-chinois, journal de Ma-laca
puis lors elle eut toujours des vomissements. lille ne quitta plus le lit dès l’été dernier, et, vers la fin de novembre, à
bon appétit, elle dort bien, passe ses journées entières hors de son lit , dans un fauteuil; elle se sert assez bien de ses
ui ne devrait peut-être pas trop surprendre après neuf mois passés au lit . Cependant la malade s’en inquiète; quand elle so
uivre, Colomb profila d’une éclipse de lune pour sauver son armée; il lit dire aux chefs des sauvages que s’ils ne lui proc
rdis le soin de décider la ques- A. I). Négresse somnambule. — Ou lit dans le Courrier tle la Louisiane du 18 juin :
nipulations réfléchies, magnétiques, qui facilitent leurs larcins. On lit à cet égard dans les Lettres de Victor Jacquemont
ue désirée. Ceci fait, approchez lesommetde sa tête de l’extrémité du lit , et asseyez-vous de manière à pouvoir appliquer v
eiuture et Jes jambes découvertes; le magnétiseur, assis à la tète du lit , se penchait de manière à avoir la face presque e
quoiqu’elle n’y eût jamais été et ne connût môme pas cette maison, se lit préparer une eau pour ses yeux et partit pour nes
e que ce fut chez les prêtres d’Héliopolis que le législateur hébreux lit son éducation scientifique; on voit que l’opinion
Pau. (Perle de sang continue. Depuis six semaines ‘elle gardait le lit ; au premier verre d’eau magnétisée la perte a ce
les jambes paralysées depuis plus de dix ans, cl gardant toujours le lit . Cette lille a été guérie après huit mois; elle a
la science, et beaucoup sont écrits par des médecins. Pourquoi ne les lit -on pas? Pourquoi les médecins ne cherchent-ils pa
uelle bouche; le Bien n'importe par quelles mains.« D’antre part on lit dans VAbeille de la Nouvelle-Orléans du 16 juille
bienfaisant envers l’affligé, dit que l'Elernel le soutiendra dans un lit de langueur, et que le Seigneur transformera son
utiendra dans un lit de langueur, et que le Seigneur transformera son lit lorsqu’il sera malade {Ps. xi.). Par ce langage d
des jeunes, comme la cloche du lever sonnait; il s’arrêta devant mon lit , et au milieu de beaucoup d’autre» paroles, il ba
uit. A la pointe du jour, élant plus calme, j’avançai ma tôle hors du lit . Il n’y avait personne dans la chambre en ce mome
yer avec ses mains de cuivre et sans marbie dessus; et au pied de mon lit , la chaise où j'avais jeté mes habits, enfin tout
mbrassa très-fort, me rattacha mon madra9, me remit les bras dans mon lit , puis elle lira de son sac une lettre de mon père
m inimici et ipsum innnicum eradicare et ex-liluiilure ruinas...... lit crcalura tua.......ad abigendot dœmones, divina;
bigendot dœmones, divina; tuœ gratte sumat effectum. Voilà ce qu'on lit dans le Missel et dans le Rituel. Jésus-Christ
le de ses luttes avec les corps savants. Voici textuellement ce qu'on lit dans les : N° 92, 2 nivôse an n (22 décembre 17
i se destinent à l’art de guérir, et de leur enseigner la pratique au lit das malades. HOPITAL MESMÉRIQUE DE CALCUTTA.
r insensibilité dans la chambre à magnétiser on les portait sur leurs lits dans celle à opérer, traversée du nord au sud par
moins du monde. On le transporta alors avec ses couvertures, el son lit fut placé à la porte nord de la salle à opérer ;
la plus grande satisfaction, quoique toujours dormant. On rapporta le lit dans la chambre à magnétiser où on l'éveilla par
cembre ; le 25, il était insensible aux piqûres. Le 27 , on porta son lit à la porte du nord. Je l’appelai très-haut et arr
ITS DE MESMER XoliuiiM «‘■«‘menlnlras Mir la morale, l’^duration el lit l^xlMladon pour «ervlr A l'InMtriiclIon publique.
rable; c’était une tumeur cancéreuse, etc. Celle première opération lit voir à l’œil exercé que le virus n’étail pas en
-à-dire phénomène magnétique, quoique le contraire soit déclaré. On lit à ce sujet dans la Mouche, du 13 de ce mois : «
re, libraire, 219, Regeni-Slreet. VARIÉTÉS. :%Il3IIISmiiit*. — On lit dans la Démocratie Pacifique du 26 novembre : «
ssion difficile, el tu y succombas. Entends l’adieu d'un homme qui ne lit que t'entrevoir mais connut les pensées généreuse
(1) C'est-à-dire un acte conforme à la raison sans que l'animal en lit la conscience; un acte tel que le lui dicterait s
33 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ns sur tout ce qu'elle voit, prend un plaisir extrême à la musique. Lit facilement, très vite, sem- ble avoir hâte de t
ormale aussi, l'enfant va ouvrir quand on sonne, comprend ce clu'il lit , comprend les jeux de physionomie, lit sur les lè
on sonne, comprend ce clu'il lit, comprend les jeux de physionomie, lit sur les lèvres ce qu'on lui dit, écrit facileme
fort pour entendre et comprendre,'il saisit encore quelques mots et lit facilement sur les lèvres. Il y a chez lui des ph
avec une bonne énergie. Le malade peut se lever, s'asseoir sur son lit sans peine. Dynamomètre : 33. Les réflexes rotuli
à tel point que le malade reste toute la journée immobile dans son lit , cependant on ne constate pas, au sens strict d
un peu d'étran- geté déterminée par son strabisme. Il a uriné au lit très tard et maintenant encore il lui arrive par-
onne instruction primaire. Pendant l'enfance on note : urination au lit jusqu'à l'âge' de onze ans, mais sans accidents
dans la chambre à côté de la sienne, accourut et le trouva dans son lit une écume sanglante aux lèvres, hébété, ayant c
âli tout d'un coup, serait devenu inconscient et transporté sur son lit , il aurait eu une « violente attaque de nerfs »
la tête lourde, la langue douloureuse, l'oreiller taché de sang, le lit mouillé, et il a travaillé dans ces conditions
, qu'on pourrait plus exactement désigner sous le nom de période du lit , car, pour des raisons variées, les unes vraies
ainte thérèse. Thérèse eut cette période de maladie : elle garda le lit durant trois années. L'affection, qui avait été
jouet pendant trois années consécutives et qui lui firent garder le lit pendant cette longue période de temps. Un jou
ngue période de temps. Un jour pourtant, pendant cette période de lit , Thérèse se trouva guérie subitement durant que
des miracles qui n'existaient pas. Le lendemain Thérèse se remit au lit , devenue de nouveau complètement incapable de s
». Sommeil hypnotique DE Thérèse. C'est pendant cette période de lit qu'elle eut dans la maison de son père, à Avila,
par mon départ. A mon arrivée toute la famille pleurait autour du lit , le corps était insensible et sans mouvement, la
dernier soupir. Comme j'avais placé une trousse de chirurgie sur le lit et que je la dépliais en silence en laissant to
de mort, je vais le prouver. Faits DIVERS DE sommeil hystérique. On lit sou- vent dans les journaux des faits divers re
tisme, presque nulle dans le cas actuel, puisque la malade était au lit , au moment de la fracture : mais il n'y a plus
lis furent discutées plusieurs reprises, mais « la contradiction ne lit que confirmer chacun dans son opinion ». L'ép
V. Essai l'usile de Pau du traitement des aliénés par le repos au lit , par M. Clausalles. Th. F. Toulouse. L'auteur c
conclut de 27 observations à l'acquisition facile de l'habitude du lit , facilitée par la persuasion, les récompenses et
sa marâtre, car il était l'aîné de la famille et fils d'un premier lit . Hier, armé d'un gros couteau, il saisit la mar
folle. Depuis ce temps, ils la tenaient enfermée et couchée dans un lit entourée d'une grosse chaîne à hoeufs. Le maire
d'hospitaliser tous ses malades aliénés, il réserve une centaine de lits au moins aux malades de la Seine, dont il tire
re com- plet des actes. La malade est maintenue avec peine dans son lit par trois personnes ; elle cherche a s'échapper
mment la tête, veut se relever, puis se rejette brusquement sur son lit , etc. Ne reconnaît pas les per- sonnes qui l'en
nt, ce matin encore, est bien énervée, par moments s'étire dans son lit , rit et pleure sans motif; est encore un peu obnu
peine, se montre un peu excitable, change souvent de place dans son lit . Est allée du ventre; rien dans les urines. A t
que dans la position verticale. Il suffit qu'ils s'étendent sur un lit ou sur un fauteuil suffisamment incliné pour qu
été indiqués et que 1 ! I ? X... se livrait mystérieusement sur son lit à sa gymnaa- tique nouvelle, le silence du lieu
x liqueurs à se guérir. Démence épileptique précoce. M. J. Voisin lit trois observations nouvelles de démence épilep-
e- main, l'enfant est incapable de faire aucun mouvement dans son lit ; le moindre attouchement lui fait pousser des cr
he, une grosse chaine à boeufs solidement fixée à un poteau près du lit ; depuis elle souffrait sans se plaindre. D'apr
Dans la chambre à coucher, la femme Minodier était étendue sur le lit , le crâne fracassé en plusieurs endroits ; elle a
a distinction faite par M. Régis est très importante, mais quand on lit attentive- ment les observations publiées, on s
s. Notre père a eu le grand tort de ne pas nous en avertir. Sur son lit de mort, nous avons vu qu'il voulait nous dire
s de la face et de la langue, du tremblement. Le 12, G... a gâté au lit ; le 14 on note de l'em- SUR UN CAS DE PARALYSIE
ation est très grande dans la nuit; le malade a de nouveau 'gâté au lit . Le 17 juin, à il heures du matin, G... assis d
és. Il est extrêmement turbulent, cherche souvent à se lever de son lit sans but précis; il se' recouche d'ailleurs vol
tion la tête de gauche à droite, se tournant et retournant dans son lit , mala- xant ses couvertures d'un geste quasi-au
ce. G... roule en tous sens ses cou- vertures, mais sans quitter le lit maintenant; il interpelle ses chevaux qui s'emp
che son couteau pour couper ses traits, etc.. Tout cela se passe au lit , étendu sur le dos, les yeux fermés, avec toujo
festonne comme un homme ivre; il est parfois obligé de s'appuyer au lit pour ne pas tomber, surtout dans les changement
Au pensionnat des hommes, au second étage, il y a un dortoir de 7 lits pour les aliénés de l'asile qui viennent faire le
De notables progrès sont à signaler à la classe et, aujourd'hui, il lit couramment en se rendant bien compte de ce qu'i
ujourd'hui, il lit couramment en se rendant bien compte de ce qu'il lit ; il écrit lisiblement, fait la dictée avec les g
une renfermerie. « La méthode récente du traitement parle séjour au lit , de l'ali- tement, méthode surtout adoptée à l'
, par exemple : « Dans sa dernière nuit, il voulut être tiré de son lit et,étendu sur la cendre. Il y mourut, tenant to
ne chambre à la quinzaine, nous couchions toutes trois dans le même lit . Nous avions peur, livrées ainsi à des garçons
te (à sa soeur). Tu as là une mauvaise expression. Nous avons trois lits et nous ne couchons jamais ensemble. Quelle abo-
ire tenir sa verge toute raidie et bien dure. Il me mettait sur son lit , en m'appelant sa petite chérie. Il me l'enfonç
'un sentiment maternel au moins exagéré, prenait avec elle dans son lit , serrait contre sa poitrine, les jambes enlacées
elle peut cependant guérir. Le traitement consiste dans le repos au lit , jusqu'à ce que la température redevienne normale
DE MUSGRAVE-CLAY. ' REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 441 II. Le séjour au lit des aliénés, son emploi et son rôle thérapeutiq
arcotiques violents, etc., appliqués au malade pour le maintenir au lit ; 7° les indications et contre-indications de l'
oit être adapté à chaque malade individuellement ; 27° le séjour au lit ne sera pas continu ; il sera assaisonné de prome
charges épileptiques. IX. Le traitement des aliénés par le repos au lit ; par le Dr\VlzEL. (Annules 711édicr¡.ps ! }hcol
phère des indications pour la méthode du traitement par le repos au lit est très vaste. Il faut appliquer l'alitement dan
xcitation. En appliquant la méthode « du traitement par le repos au lit », les uns s'efforcent de traiter les malades l
énistes, qui font usage de la méthode du traitement par le repos.au lit , 446 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 1 sont d'accor
d'alitement. A priori, il semble impossible qu'on puisse garder au lit et accoutumer à être tranquillement couchés les
nce apprend que les malades, même les plus exci- tés, se calment au lit . L'influence sédative du lit dépend de plusieur
me les plus exci- tés, se calment au lit. L'influence sédative du lit dépend de plusieurs conditions. Avant tout, l'a
es faits par quelques médecins russes au traitement par le repos au lit , à savoir que les malades traités au lit perden
traitement par le repos au lit, à savoir que les malades traités au lit perdent de leur poids, qu'ils souffrent de la c
le plus ardent partisan de la méthode du traitement par le repos au lit . E. BtJN. X. Quelques points du traitement des
caractère doctrinal, professé à l'amphithéâtre de la Faculté et au lit du ma- , lade, si utile aux médecins de l'armée
battant dans l'eau. Ils la retirèrent et la transportèrent dans son lit . C'était la veuve Buffeteau. âgée de soixante-t
comme j'ai fait le sien. » En disant ces^paroles elle désignait le lit voisin du sien, celui d'une petite infirme, Mar
arguerite Lutier, âgée de douze ans. La supérieure se pencha sur le lit de l'enfant. Elle put constater que celle-ci ét
rculeuse classique, parut complètement guéri pendant deux ans. Il lit alors une rechute qui, au bout de six semaines, f
énérale. Essai à l'asile de Pau du traitement des par le repos au lit , par Clau- salles, 185. en liberté, 190. Asil
arrivé, 338. Les ongles chez les - , parPierret, 380.'Le séjourau lit des , son emploi et son rôle thérapeutique, par
que, par Ossipow, 4 tl. Le traitement des aliénés par le repos au lit , par Wizel, 415. Quelques points sur le traitem
34 (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]
crut voir en dormant un enfant sc noyer. 11 s’étend aussitôt sur son lit , dans la situation d’un nageur, et en imite tous
lles que : maladies, impressions morales, longues fatigues, etc. On lit dans les Annales de la Société harmonique de Stra
ière, évanouie et presque asphyxiée. Après cet accident, je gardai le lit pendant neuf mois, j’eus des crachements de sang,
ant longtemps on était obligé de me soutenir les épaules au-dessus du lit , pour éviter tout contact, et que le simple fait
de prendre la douche ; on transporte la malade immédiatement dans son lit . (( Cette crise se manifeste, comme les précéde
étouffe. J’ouvre les fenêtres : la face pâlit, elle s’agite dans son lit , le pouls est à 90, et à huit heures et demie le
rend au cercle ; qu’il rentre chez lui pour se coucher; enfin, qu’il lit une histoire dans le Journal des Demoiselles, por
vait pas même supporter sur cette région le simple contact du drap de lit , tolère ces frictions, qui sont faites avec une c
uraille et s’y produisaient de bas en liant, à l’endroit oii était le lit de la deuxième lille du tailleur, âgée de onze an
a deuxième lille du tailleur, âgée de onze ans, alors courbée dans ce lit et endormie. île frappement se renomela les jours
re, ouvrirent le mur : ces mêmes faits se reproduisaient toujours. Le lit fut déplacé et les frappements se firent entendre
pendant une heure, très-violents par instants ; l’enfant changeait de lit , puis de chambre, et alors l'esprit frappeur agis
de chambre, et alors l'esprit frappeur agissait simultanément sous le lit , et dans l’intérieur du lit et de la muraille : s
t frappeur agissait simultanément sous le lit, et dans l’intérieur du lit et de la muraille : son action variait, les coups
s à son voisin, qu’il allait demander (5 coups; il se plaça devant le lit et fit la demande mentalement: les (5 coups se fi
mme de haute stature et d’une hideuse figure, placé debout devant son lit , et lui tenant les genoux; elle assura qu’elle re
tements distincts; ce fait se reproduisit, et le son sembla sortir du lit . Le frappement s’entendit encore, soit en alterna
Immédiatement après, un coup violent frappa à l’intérieur du bois de lit et l’ébranla fortement; puis ce bruit se répandit
blaient tour à tour produits à la surface ou à l'extérieur du bois de lit ; enfin, un coup très-fort le souleva subitement
firent pour l’abaisser; bientôt ces personnes lâchèrent prise, et le lit , après quelques balancements, reprit sa première
irent, et, faisant un signe de la main droite: «Viens ici, devant mon lit , dit-elle, joins tes mains, car je veux t’entrete
elle se réveilla. Suivant le dire de personnes assez rapprochées du lit pour en juger, les \ eux de l'enfant étaient clos
es présentes : « Oui, dit-elle, j’ai vu tous ceux qui entouraient mon lit . » Les frappements et les grattements se renouvel
rent partis, et ou entendit encore des coups violents dans le bois de lit . En présence de faits aussi extraordinaires, 01
nouveaux inquisiteurs, on l’entendait sur la commode, sur le bois de lit , sur et sous chaque meuble. La plupart s’en amusa
r tant qu’ils voulurent à en trouver l’auteur. On ne le trouva point. Lits et meubles démontés, paillasses vidées sur le pla
urent duré une demi-heure, la jeune visionnaire se mit debout sur son lit , s’appuya contre le mulet joignit les mains; son
noux , et demanda à l’esprit pourquoi il prenait congé d'elle. « Ah ! lit -elle ensuite, tu reviendras donc demain avec d’au
cèrent à se faire entendre sous sa chaise. La jeune fille se mit au lit à neuf heures; à peine couchée, on entendit sorti
au lit à neuf heures; à peine couchée, on entendit sortir du bois de lit des grattements entremêlés d’autres sons; puis ap
ère sans vouloir le lâcher ; celui-ci la coucha ensuite dans un autre lit , afin qu’elle pût y trouver le repos. Étant à pei
hes dans un (on différent, partant d’une autre partie inaccoutumée du lit . 11 semblait que l’esprit donnait une leçon à un
le 20, il arriva pour la première fois que ce ne fut plus le bois de lit qui fut secoué, mais la jeune fille ; or celle-ci
emi-heure sans pouvoir remuer ses membres : les frappements contre le lit eurent lieu ensuite. Dans le manuscrit, M. Seng
es, 'nutes aient disparu, sans qu’on en ait trouvé le vestige dans le lit , et iiiui il p. hi. peau saine eu recouvre la pla
signataire de cette lettre; car sur la cage de beaucoup d’animaux 011 lit : « Donné par M. le comte d’Ourdies. » ('.’est eu
le de jocko, une des espèces les plus rapprochées de l’homme. On la lit magnétiser, comme il est dit ci-dessus, par une b
sira avec le temps à faire disparaître les aspérités qui hérissent le lit de son cours, qu’elle les aplanira tout à fait et
a transmis le don de guérir à des hommes, nous ne pouvons le nier. On lit , en effet, dans le Nouveau-Testament, saint Evang
ourg. Nous reparlerons de tout cela samedi prochain. » En effet, on lit , dans le numéro du 7, le précieux aveu que voici
e : Et cependant tu tournes 1... Ahédée LATOÜR. D’autre part on lit dans le Siècle du 1" mai, le récit suivant, empru
r le /unj magnétique ! Baron DU POTET. Eîevne »¡es Joarnaux. — On lit dens Y Union du 17 courant : > Les beaux jou
Je viens, etc. Comme le Ilot qui lentement s’écoule, Quitte son lit et s’étend dans les mers, L'écho fidèle, ondulant
t levée, en train de broder, disant qu’elle ne voulait plus garder le lit , qu’elle u’était plus malade. En elfet, l’appét
nt d’expirer. A mon arrivée, je trouvai cette dame couchée dans son lit et dans une immobilité complète, redoutant le moi
frappant la tète sur le carreau. On l’avait relevée et mise sur son lit où trois hommes la contenaient diliicilement, lor
ans l’Inde bien avant l’expédition d’Alexandre-le-Grand. En effet, on lit dans un ouvrage qui traite des mystères en usage
au jour, grande émotion dans la jolie petite ville d’Aix : M'"' X*'** lit par 1rs pieds, sons le secours des yeux !... Pers
Deux heures sonnent en ce moment, nous sommes tous cinq assis près du lit de miracle, et nous ne perdons pas de vue un seul
lle annonce que la lumière va venir, et, un quart d’heure après, elle lit , à un court intervalle, les deux premiers mots de
tels que châles, draps, etc. Ce fait était exact. Ainsi voilée, elle lit plus vite, avec moins de peine, et la lumière dim
rt adressé à Louis XVI par les membres de l’Académie de médecine, 011 lit ce qui suit : « Les sens (1) s'allument, l’imag
ourtant le plus, lorsqu’il faut donner quelque temps à son étude ; on lit bien les romans, mais les ouvrages sérieux sont d
t prise d’un complet évanouissement. « On la porta aussitôt sur son lit , où elle resta plus de vingt minutes sans pouvoir
chute, et ne put s’expliquer .comment elle se trouvait assise sur son lit ; enfin elle conserva jusqu’au milieu de la nuit
u’elle retombe dans son premier état. Cette fois, on l’emporte sur un lit . Après dix minutes, se sentant parfaitement guéri
CHABERT. « Batignolles, rue Saint-Louis, 62. » 6° Rotation. On lit dans le Courrier de Paris de Y Indépendance belge
faire avant de rien conclure. IIÉBEKT (de Garnay). CLINIQUE. On lit dans le liegister of médical science, publié à Ca
qui devint amoureuse d’un domestique qui se trouvait aux pieds de son lit au moment où elle sortait d’un coma. Ce fut un su
nse Et nos tables et nos chapeaux. « P. F......., d’Aix. » — On lit dans le Courrier du Nord, journal de Lille, cité
Cazaintre et de la réponse du savant physiologiste de Montpellier. lit d’abord je nie hâte d’avertir, pour qu’on ne se m
déterminer par suggestion sur des sujets faiblement magnétisés. On lit dans 1 'Akhbar du 7 juin : « Dimanche dernier,
nt, qui marche toujours. . L. TOIiLOL'ZE. » 3° CLAIRVOYANCE, j On lit dans le Courrier des États-Unis, du 6 août : v
il s’agit des accidents survenus en faisant tourner des tables. On lit dans le Morning Adccrtiser de la fin de mai : «
et consolant. . L. TOULOUZE. » 2° L’ANTHROPOPHAGE GAILICIEN. On lit dans l'Union du 12 juillet l’extrait suivant d’un
trepassent toujours les faits. HÉBERT (de Garnay). CLINIQUE. On lit dans le Journal de Genève : a 11 y a deux mois
étiquement ses volets, elle éteint la lumière et elle s’étend sur son lit . A l’heure précise, le premier accès de la crise
osthotonos ; pendant cette agitation tumultueuse, la malade frappe le lit , les murs, et indistinctement tout ce qui l’envir
ronne ; bientôt elle veut s’élancer au dehors, je la repousse sur son lit en m’appuyant sur elle de tout le poids de mon co
fer, prennent un point d’appui, tantôt sur la muraille, tantôt sur le lit , et malgré toute la force que je déploie, je ne p
et malgré toute la force que je déploie, je ne puis la maintenir : le lit est bientôt entraîné au milieu de la chambre. D
son premier état de somnambulisme et de calme; elle s’assied sur son lit et cause tranquillement avec moi de l’accès qui v
un utile secours aux opérations de la justice. » CONTROVERSES. On lit clans le Courrier de l’Eure du 26 juillet la lett
n petit garçon de quinze ans; de I.argentière ; il le fit marcher, le lit mettre à genoux. Je dis que ce n’est rien; moi-mê
ien autant, et je \ous assure que je plains mes trente sous ! J’avais lit de quoi faire manger de la soupe à mes enfants pe
our le moment cela m’est impossible.... » Revue «le» Journ:un. — On lit dans le Constitutionnel du 17 novembre, sous la r
35 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
e ans, le soir elle se levait à moitié, s’asseyait sur le bord de son lit , et se mettait à causer avec sa famille qui faisa
ait un morceau de pain, prenait un peu de fromage, puis se mettait au lit pour le manger. Le lendemain matin, à son réveil,
t ; mais dès qu’on la touchait, dès qu’on voulait la retenir dans son lit , elle commençait par se débattre, et ne tardait p
se lever encore ; le mari la prit par le bras et la força à rester au lit . Immédiatement elle se réveilla, et lui demanda p
chez lui. Il trouva en effet sa femme qu’il avait laissée chez lui au lit , parce qu’elle était accouchée trois jours aupara
naissance de cet événement, elle s’était sentie entraînée hors de son lit par une force irrésistible, les draps avaient été
r une force irrésistible, les draps avaient été violemment enlevés du lit , elle avait en vain lutté contre cette puissance
e appartement à Saint-Malo et savez qu’il y a dans notre chambre deux lits à un mètre de distance, dans l’un desquels couche
par le bruit d’une chute lourde. Je me retourne et je vois au bas du lit Ernestine toute nue, étendue sur le parquet et se
x. Je songe alors à sa sœur Zoé que j’aperçois seule toute nue sur le lit ; elle s’éveille en criant : Ma tante! Toutes deux
auprès de la malade que je trouvai sans connaissance, étendue sur son lit , et en proie à des convulsions cloniques très-vio
après, lui survenait de l’agitation. La malade était assise dans son lit , et, bien que paraissant étrangère à ce qui l’ent
a catalepsie, puis, à trois heures et demie , la malade sortit de son lit . On la laissa faire. Elle s’habilla seule, et cet
idées ; elle agissait comme si elle eût été seule: elle se mettait au lit , était prise d’un accès d’hystérie, après lequel
et a continué pendant trois ans. Mon père voulait que je restasse au lit jusqu’6 la troisième heure du jour, et lorsque je
VU DE CUIRASSES. Celle vision surgissait toujours à la droite do mon lit ; elle s'élevait peu à peu et marchait lentement v
uvent il arrivait qu'au lieu de passer professionnellement devant mon lit , cette masse immense d'objets divers se produisai
magnétisme, nous l’engageons à nous draper de la même manière. — On lit dans YOpinione, à la date de Vigerano, 7 février
assage, ce torrent court, mugissant, pendant un quart d'heure, sur un lit de rochers polis, traverse un défilé resserré ent
xemple : Une femme de quatre-vingts et quelques années gisait sur son lit ; les médecins s’étaient retirés, car l’état de l
près une admirable lucidité dont elle émerve ll.i tout le monde, elle lit signe à M. S. de sc retirer : « Approchez, monsie
’avance, de M'"e du P***) ont caractérisé la naissance de l’enfant. lit des deux côtés, le reste des choses pronostiquées
erait l'aurore des premiers âges de l’humanité. Ci Cette aberration lit rappelle par I.icbig, ùan.' m:» NouutUi Ltttrti i
contrées ont conservé des débris de l'ancienne science brahmi-que. On lit dans I'Amsiebdausciie-Courant : « Il est reconn
s ou moins de temps, extases, somnambulisme, agitation sans sortir du lit . 15 mars. Journée terrible. Dès le matin , il é
s du soir, elles deviennent si fortes, que P... se débattait dans son lit et poussait des cris. Après quelques heures de so
eu de le guérir. Il s’était levé pour faire sa prière. On le remit au lit , et, à son réveil, il n'eut pas conscience de ce
nte, que souvent plusieurs personnes ne peuvent la maintenir dans son lit , d’où elle s’échappe parfois pour rouler à tex-re
critique, elle met en pièces tout ce qui lui tombe sous la main ; son lit et ses vêtements ne sont pas épargnés; elle mord
rveau les escaliers, les appartements, les lieux qu’il parcourt; il y lit le caractère des livres qu’il a devant lui, de la
pilier de la cheminée et la muraille, et quand on enleva le corps du lit pour le poser sur une planche, la tôte glissa des
seule dans sa chambre à coucher, et elle se disposait à se mettre au lit . Ses deux domestiques dormaient déjà dans une cha
en plus loin. Faites qu’un magnétiseur puissant soit appelé auprès du lit d’un agonisant (dans un stade donné), et la vie d
t forte table ronde, d’un diamètre et d’une pesanteur peu ordinaires, lit un saut vers lui, en traversant d’un bond la moit
agne, elle vit un jour son fils qui était à Edimbourg. Elle le vit au lit et malade, tandis que la nourrice de l’enfant éta
gé la position des meubles, et elle dit à la nourrice : « Là était le lit , et ici vous fûtes debout quand vous vous êtes to
Rome. Un jour elle dit à sa bonne qu’elle venait de voir son mari au lit et malade à Edimbourg, mais que ce n’était rien d
tre de son mari, dans laquelle il lui disait qu’il avait dû rester au lit pendant un jour seulement, c’était le jour de la
' Septième fait. — Elle a vu l'empereur Nicolas mort, d'abord sur son lit , ensuite dans une église, et elle a décrit minuti
ait profondément, ainsi que Savage. Pour cela, je me glissai sous son lit , et me mis à frapper sur le plancher, les pieds e
n lit, et me mis à frapper sur le plancher, les pieds et les côtés du lit . Ces bruits réveillèrent bientôt Goodall, qui s’a
du lit. Ces bruits réveillèrent bientôt Goodall, qui s’assit dans lé lit , et se mit à interroger ce qu’il croyait être un
ontrant la tête : vous fies bienvenu. Ce fut assez : il sauta hors du lit , fort mécontent ; mais j’avais pris les devants,
Nous étions seuls. Nous avions à peine éteint la lumière et gagné le lit , que des bruits sourds se firent entendre sur le
eux découvrir d’où ils partaient, et alors un livre fut jeté sur le lit . Je m’en emparai : il faisait clair de lune , et
notre ami Redman me dit de le retenir, parce qu’on le tirait hors du lit . Je le saisis et fis de vains efforts : une puiss
ts : une puissance supérieure me domina ; Redman fut entraîné hors du lit , puis sous le lit. Nous nous étions à peine recou
supérieure me domina ; Redman fut entraîné hors du lit, puis sous le lit . Nous nous étions à peine recouchés, qu’un autre
livre fut violemment jeté contre la persienne, et vint tomber sur le lit , ce qui nous fit tirer la couverture sur nos tête
i de douleur. «Pensant que ce jeu finirait si je m’asseyais dans le lit , je me décidai à mieux observer et à découvrir, s
comme si quelqu’un piétinait sur moi. La lampe fut jetée aussi sur le lit . L’alphabet ayant été redemandé, il fut épelé : v
nous nous couvrîmes, et alors nous fûmes tous les deux tirés hors du lit comme collés l’un à l’autre, et lorsque nous fûme
nvisible assaillant, qui ne la reprit pas. Encore nous arrangeâmes le lit et y remontâmes, et, l’alphabet ayant été redeman
par-dessus la tête du médium, en se renversant, et alla tomber sur un lit qui était tout près. Cela fut répété plusieurs fo
itement satisfaisante pour toutes. Ensuite, le médium se plaça sur le lit , étendant un bras de manière que ses doigts pusse
on de tous. Ensuite on plaça la table au côté de la chambre opposé au lit , une distance de dix à douze pieds : le médium s’
moyen bien précieux ! Vous redoutez tous l’alliance!... Mais ce sont lit de pauvres considérations personnelles auxquelles
rriver l’air et la lumière ; depuis cinq mois, on n’avait pu faire le lit à cause des soull'rances du ventre et les syncope
mouvements , nous parvînmes en quelques jours à changer la malade de lit ; une enflure générale existait par tout le corps
t une souplesse telle qu’après avoir été soulevé, il retombait sur le lit comme un corps inerte. En faisant de pareilles fr
ins d’une heure. Depuis, le malade, qui dut rester confiné dans son lit pendant trois semaines, reçut chaque jour la visi
essus nommés, ou tout au moins de l’un d’entre eux. En quittant son lit , il ne pouvait marcher qu’avec des béquilles et e
ouvait pas le garder plus longtemps à l’hôpital, à cause du besoin de lits pour de nouveaux malades. Le docteur Staples lui
deuse qui la poursuivait ; devenue somnambule, elle descendait de son lit et s’occupait de travaux de couture, puis elle se
trop étendre la puissance humaine ; doit-il mettre la science sur le lit de Procuste ? A partir de' quelle limite dépasse-
ins bien et plus ou moins logiquement, mais enfin qui la consigne. On lit à la page 345 du t. 27 : « Quelques années avant
rer l’épouse d’un des membres de ma famille, une cousine malade et au lit , à la suite d’une imprudence; étant dans une phas
le docteur qui revint le lendemain, pensant bien trouver sa malade au lit , et qui l’aperçut vaquant à ses affaires. Elle pu
, et tout remède fut impuissant à la sauver, et elle répétait sur son lit de douleurs sa famille navrée : « Oh ! il n’y a q
rêve) dans lequel elle me vit très-malade, étendu , souffrant sur mon lit ; et quoique n’ayant jamais vu Paris, ni par consé
re-vingts kilomètres), elle a parfaitement vu les dispositions de mon lit et l’intérieur de ma chambre, ainsi que la manièr
ils a certainement quelque chose, je l’ai trop bien vu malade sur son lit ; elle se leva avec la même idée, et son tourment
lle m’avait vu la nuit de son rêve, ainsi que les dispositions de mon lit dans ma chambre; elle avait même indiq lé l’avanc
diq lé l’avance la couleur blanche de ma couverture el de mon tour de lit , qui était exacte. « Tels sont. Monsieur, les f
je la lui communique par l’émanation de l’agent magnétique. Alors il lit dans ma pensée, dans ma mémoire comme dans un liv
36 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
., une ancienne demoiselle de compagnie, est revenue et a partagé mon lit pendant quinze jours. Je pensais de suite aux é
l vient d'entendre un reniflement. Celte fois ça vient de dessous son lit . — As-tu entendu ? fait-il à sa femme apeurée.
— As-tu entendu, cette fois? — Oui, fait la femme; c'est sous le lit . Z... se lève tremblant, allume sa lanterne et
très facilement, affirme qu'elle ne souffre plus et regagne seule son lit , d'un pas ferme, au grand éion-nement de ceux qui
suite de celle séance, se lever sans aide et retourner seule à son lit . Quoique la. Jambe ait encore des mouvements invo
omprend même â peu prêt, au mouvement des lèvres, un de tes voulut de lit . Il faut remarquer cependant que lorsqu'il a écri
pai pas ce jour-là de la plaraplégie et Qs reconduire le malade à son lit par les hommes qui l'avaient amené. Le lendemai
ns, « épuisée, elle fait une terrible maladie et reste quatre mois au lit , avec congestion, dit-elle, de tous les organes (
elle et lui dit brusquement cette phrase : « Madame D..., préparez un lit . on va vous rapporter votre mari qui est mort ».
glissaient sur elle sans laisser la moindre trace : un voyage qu'elle lit à Rogan, quand elle fut un peu remise de celte at
inte des pieds, se tenait pendant plusieurs heures sur le bord de son lit , dans celle atti-ludo, que l'homme le plus fort n
'un état de passivité dans lequel se tient la personne couchée sur un lit de repos, les yeux fermés, une espèce de concentr
ngeant, el pendant que les gens de la noce chantent, Mathis se met au lit , s'endort et fait un rêve. Un rêve ? Celui de t
s êtes innocent, pourquoi donc redoutez-vous le songeur ? Parce qu'il lit dans les âmes I Croyez-moi, soyez calme, ou vos c
er, d'agir, de se mouvoir. Il n'a pas le courage de s'arracher de son lit et. si sa situation de fortune le lui permet, pre
otablement la durée de sa vie. Cette idée, déposée dans son esprit, y lit rapidement son chemin; quelques Jours après, la m
est exécutée ponctuellement. Pendant quatre jours elle est restée au lit , ayant des vomissements et de la diarrhée, des su
dant toute la durée de l'accès, on voyait la malade se tordre sur son lit , no hachant quelle position prendre |>our dimi
épigastrique, vers la poitrine et vers le ventre. Il se tord sur son lit , exactement de la même façon que l'avait fait la
ce. Dans tout le cours de sa crise et tout en se retournant sur son lit , le second malade répète de la même façon le même
çons, et que son tablier bleu lui servait à faire la vaisselle et les lits dans la chambre. A ce mot de chambre, je fais i
âge. on l'a souvent surprise la nuit lisant des feuilletons dans son lit ou écrivant des lettres anonymes aux habitants du
fille de quinze ans. qui. depuis plus d'un an, était étendue dans sou lit avec l'attitude d'une coxalgie droite avec luxati
restais. D. — Vous serez bien raisonnable, alors. Vous resterez au lit et vous ne vous ferez point de mal. R. — Tu dis
voulait tuer son mari et ses enfants, et qui. chaque matin, dans ton lit . se demandait avec angoisse si ce serait pour auj
se promenant), enfin le 2i juillet. A cette date, elle s'est mise au lit pendant huit à dix jours ; elle avait la tangue t
e à de nouvelles crises extrêmement violentes; elle se jetait sur son lit les poings fermés et en se tordant les bras, se t
des verres est rouge et l'autre vert. A travers ces lunettes le sujet lit sur un cadre noir six lettres recouvertes de carr
ternativement rouges et verts. En regardant les deux yeux ouverts, on lit les six lettres ; en regardant avec un seul œil.
x yeux ouverts étant armés de la paire de lunettes rouge et verte, il lit les six lettres et reconnaît leurs couleurs, tand
oit ces couleurs, mais, d'autre part, distingue les objets, puisqu'il lit les lettres : et cela sans qu'il y ait vision bin
t étant fermé, l'œil gauche armé du verre rouge étant seul ouvert, il lit les lettres rouges ; l'œil gauche armé du verre v
l ouvert, il lit les lettres rouges ; l'œil gauche armé du verre vert lit les lettres vertes, sans reconnaître, il est vrai
0.6: pour l'œil droit de U.6; pour l'ceU gajche de 0.5. Cet œil seul lit très bien les cinq dernières lignes de l'échelle.
pingle : il ne peut dire si cette main est en l'air ou couchée sur la lit . Si je lui ferme les yeux et que je l'invite à ch
Des le début, clinomanie — à peu près dix-huit mois sans quitter le lit — et toxicomanie : éther, chloroforme, chloral, c
a été si forte que je me suis reveillée en sursaut et ai sauté de mon lit , « me lAianl bras et jambes pour trouver la tra
souvent, elle était réveillée par des crises où elle sautait sur son lit et se frottait vivement la tète comme au premier
la nuit. Maigré ces précautions, il urinait encore très souvent ai lit . En outre, l'enfant était toujours très distrait,
qui avait touché le tombeau du saint, elle put se retourner dans son lit sans l'aide de personne. Le jour suivant, elle se
de volonté nocturne {surtout quand les enfants s'oublient dans leurs lits , ne voulant ou ne pouvant se lever a temps, quoiq
t, se lever, s'habiller et se placer, au port d'armes, au pied de son lit , comme dans l'attente d'une inspection ou d'ordre
rseraient les téguments. Eblouissements, diplopie sur-venaut quand il lit ou fixe trop longtemps un objet; de temps un temp
t quelque malheur, elle remonte et le trouve pendu à la flèche de son lit avec la corde d'une malle ; elle la coupe; il est
n pauvre cerveau que, pendant que je couchais dans mon pauvre petit lit de soldat, tu n'étais pas seule dans le tien, m'a
sont chères, je croyais qu'elle était la près de moi. partageant mon lit ; alors, pour ne pas me laisser aller à la masturb
lui frappe l'imagination par la lecture des faits divers. Il pisse au lit et a des cauchemar*. Renseignements pris, il s'ag
emie, nous la trouvons en état cataleptique; elle est étendue sur son lit toute droite, dans le décubitus dorsal. Les qua
lution est telle que les membres soulevés retombent lourdement sur le lit . Le trismus a cessé, ainsi que la contraction o
est entré à l'hôpital de Molenbeck le 27 février 1893. Il occupait le lit 2 de la salle 3. Son pète est mort à trente-deu
dans le service du professeur Rommelaere; elle occupe actuellement le lit 10 de la salle 37. Ses parents sont vivants, so
tal Saint-Pierre, dans la service du professeur Bommelaere, salie 30, lit 2. Les parents sont bien portants. elle a une s
est entrée à l'hôpital de Molenbeck en février 1893, elle occupait le lit 3 de la salle 8. Fig. 9. — Champs visuels d'Eud
vante, entre à l'hôpital de Molenbeck on février 1893. Elle occupe le lit 1 de la salle 9. Son père est bien portant; il
ans, exerçant la profession de tailleuse, occupait, en mars 1893, le lit 2 de la salle 9, à l'hôpital do Molenbeck. Son
nt la profession de modiste, était couchée, en février 1893. salle 9, lit 20, à l'hôpital de Molenbeck. Ses parents sont
ierre, dans le service de M. le professeur Rommelaere. Elle occupe le lit 8 de la salle 37. Sa mère est morte de cause in
est entrée à l'hôpital de Molenbeck le 6 mars 1893; elle occupait le lit 14 de la salle 9. Ses grands-parents sont morts
erre, dans le service de M. le professeur Rom-melaere; elle occupe le lit 6 de la salle 30. La sensibilité est normale et
la jambe gauche se meut difficilement ; la malade ne peut quitter son lit , c'est pourquoi nous avons été obligés de la phot
u dispensaire Furlado-Heine, de m aider dans mon entreprise, ce qu'il lit avec la meilleure grâce, en m autorisant a observ
qu'elle y voit tracées. L'hallucination suggérée s'est produite, elle lit le mot Marie el trace avec son crayon les lettres
; elle simula quelques mouvements convulsifs et se jeu au bas de son lit . I,e lendemain, le tremens avait disparu. On la m
37 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
. Lorsque le malade est couché, nous nous tenons debout près de son lit et l’engageons à se rapprocher de nous autant que
curieux que je m’arrêtai longtemps à l’examiner, et j’étais encore au lit de la malade quand déjà M. le professeur de clini
la nuit du mercredi continuèrent d éli e très-violents. On la mit au lit et elle dormit parfaitement toute la nuit. Lors
incre qu’on lui avait retiré du sang. » SOMNAMBULISME naturel. On lit dans le Journal de Belfort, du 26août 1843 : «
use, les reins également, mais le sommeil avait reparu; la chaleur du lit , si insupportable avant la magnétisation, n’incom
ne, et enfin de l’auteur de l'article, le docteur Benjamin West. On lit dans le Taunthon whig: « Un jeune homme qui ava
, qui se tenait à distance, voulut qu’il ouvrît la bouche, oc qu’il lit en demandant si elle était ouverte assez grande.
, analysant un ouvrage récent de Mgr Gousset, archevêque de Reims, en lit l’extrait suivant : « Comment doit « se comporter
ir comme à un remède t/nc plusieurs estiment na- a lurel et utile à lit santé. Son Eminence le cardinal, grand-pé-« niten
ail lui est impossible; la nuit, tout sommeil interdit. La chaleur du lit lui était insupportable; il passait ses nuits sur
par À. D. M. 1 »pl. io-12. Pri* 80 c. Pari*, 1828. éveillé dans mon lit , de longues processions passaient avec une pompe
ce travail, nous allons en donner la traduction. « A la page 282 on lit : « Ce qui est immatériel ne peut, par sa vraie d
0, un cours de magnétisme à l’usage des étudiants en médecine. — On lit dans la Mouche du 22 avril : « Un singulier cas
ès avoir chauft'é une lessive dans la rue Municipale, se jette sur un lit à trois heures du soir, se lève une heure après,
n au bout de vingt minutes. Lapo&te. Pari», 10 mai 1845. — On lit dans la Sylphide du 11 mai 1815. « Il y a à Syr
e peut-il en réciter quelques lignes. Une nuit qu'il.s’était levé, il lit le thème qui lui avait été donné la veille. Le ma
r l'opération n'avait pas même été commencée, surprit l’opérateur; un lit avec soin l’ouverture du cadavre, mais on ne déco
que mouvement des porteurs; deux officiers tenaient des plateaux en lit d'or, sur lesquels étaient une coupe et une fiole
avaux des membres actifs de l'Athénée électromagnétique de Lyon. On lit dans la Presse du 5 juin : « Voici une aventure
à la cheville du pied par la chute d'un lingot de plomb, il garda le lit six mois consécutifs, au bout desquels il reprit
es convulsions en ma présence sont peu durables; tant que je reste au lit des malades, les muscles conservent. leur souples
de ces filles que je suis venu, que j'ai commencé mon opération ? Il lit donc dans ma pensée, car si je reste prtssif il e
au fait principal. Cet article a pour titre : UN DOCUMENT EN l'AVE Lit DU MAGNETISME. .... Rien n’est brutalement conc
pour nier l’évidence et trop de cœur pour ne pas aimer qui vous aime— lit je vous aime bien, moi, tout Anglais que vous ôte
... — Et celte épée, qu'est-elle devenue? — Votre général vous en lit don.... et vous l'avez encore à Londres, suspendu
brèche, fut assailli et près dôtre accablé par des soldats; alors il lit le cri de detresse maçonnique, un officier le sau
ême, je rappelai toute ma raison et tous mes sens; je m’assis sur mon lit . J’avançai la tôle autant qu’il me fui possible s
on lit. J’avançai la tôle autant qu’il me fui possible sans tomber du lit ; et plus je me levais, plus clairement voyais-je
t se faisait illusion. Pour donc me mieux éclairer, je sautai hors du lit . Mes pieds n’eurent pas plus tôt touché le planch
r. Sur cela je pris honnêtement congé, tournai le dos et revins à mon lit . « Je ne suis point peureux île mon naturel, et
on a bien saisi ce que la nature cachait ! On est affligé lorsqu’on lit les ouvrages écrits sur le magnétisme; ils ne son
e chaleur annonçait le travail critique. Une amélioration sensible se lit de jour en jour remarquer, et il ne resta plus de
remise. Il s’y loge ; et sur le soir il ordonne qu’on lui dresse son lit dans 1 appartement sur le devant, qu’on lui appor
ché avec son jeune frère; il lui sembla voir quelqu’un assis sur leur lit , et qui approchait des ciseaux de sa tête, et mêm
ettre à de nouvelles expériences, mais il n’est pas revenu. M. Hébert lit un rapport sur un ouvrage de M. Chardel, intitulé
Les variations pulsatives sont à considérer dans cet exemple. — On lit dans le Hampshire Telegraph : Ayant été interro
’on lui offrait, le malade remonte dans sa chambre, se remet dans son lit et se rendort. ( Démocratie pacifique. ) Le réc
Percy entendit, sur les six heures du matin, tirer les rideaux de son lit , et, se tournant pour voir qui c'etait,.il aperçu
t le marquis de Rambouillet en buffles et en bottes. Il sortit de son lit et voulut sauter à son cou pour lui témoigner la
des imprimés à lire, malgré l’épaisseur de ses bandeaux. Sur l’un il lit : Démocratie pacifique, ce qui était exact ; sur
est très-difficile de les en tirer. . Séance du 20 août. — M. Simon lit un rapport sur la guérison qu'il a faite à Au leu
M. Possin, comme preuve du mouvement qui s’opère dans les esprits, lit différents extraits d’un feuilleton de lu Presse
. Là on lui donna des douches , et la contrariété qu’il en éprouva le lit cesser. Il redevint calme, tranquille, et finalem
fréquence. Mademoiselle D’Albanel fut aussitôt transportée dans son lit , et on la laissa tranquille un moment. Au bout d’
Lundi, G octobre, le premier appareil lut levé à deux heures, et l’on lit le pansement de la plaie pendant le sommeil magné
fut gaie, s’amusa avec une poupée et autre jouets d’enfants, resta au lit pendant ces huit jours, et eut sa dernière crise
se couvrirent do la pâleur de la mort; elle retomba sans vie sur son lit . « Le lendemain, JI1'® G.... parut fort triste
moi à droite; qu’y voyez-vous? — Lue chambre voûtée (vrai) avec deux lits en fer. (Faux.) — Etes-vous sûre qu’il y en ait d
fer. (Faux.) — Etes-vous sûre qu’il y en ait deux?—Oh! non, c'est un lit et une table. (Vrai.) — Qu’y voyez-vous en outre?
ance du 25 octobre. — Réception de deux membres stagiaires. M. Hébert lit un rapport sur une amputation delà jambe, Tait à
k, qui le tenait de madame la marquise de l’uvsé-gur. Sur le cadre se lit l’inscription suivante : « Donné pur Mesmer ù M.
, elle pourrait consulter une gravure du temps, au bas de laquelle on lit : « Lo voilà ce morti'l dont tu siècle s’honore
je ne l’avais pas lu. — « Eh bien, Madame, pendant cc siège, un homme lit « sept jours de suite 1e lour des remparts à la v
ux ou « trois personnes avaient grand'peine à la maintenir « dans son lit . Les moyens de Ih médecine étaient « impuissant
38 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
est absurde, et votre thérapeutique ridicule. Hom. — C'est bientôt « lit . Allop. — Quoi ! vous voulez que je prenne an s
ire traiter. C’est l’expérience, au contraire, qui m’a démontré qu’au lit du malade toutes vos médecines sont presque toujo
te obscurité ; à la lueur des lanternes, les constables ont vu sur le lit deux enfants, l’un de cinq ans, l'autre de trois.
elle, et aussitôt elle passait à une autre. Pendant cette scène, elle lit preuve d'une mémoire prodigieuse , d’un sens exqu
é d’une névralgie sciatique qui empirait horriblement à la chaleur du lit , et qui avait résisté à toutes médications ordonn
ut pendu. Selon Pétrarque, un individu rêve qu’il a un œuf dans son lit ; il creuse, il fouille et trouve un trésor. U
ï. (fliote de r Observateur.) s Cette rencontre eut enfin lieu et lit éprouver à la malade une I sorte de commotion c
ls. 11 explique ce fait par la communication de pensée : le crisiaque lit alors la pensée de celui qui lui adresse la parol
ines. L. Lamothe. SPIRITUALISME. TÉLÉGRAPHIE SPIRITUALITE. On lit dans le Progrès international de Bruxelles (n° du
n le supplie d’interdire aux malins esprits l'entrée du temple, et on lit le procès-verbal de la séance précédente. Puis, s
ui, dès le début, l’avait condamnée à garder au moins quinze jours le lit . Déjà précédemment j’avais eu plusieurs fois l'oc
fort. Le malade était depuis quatre ou cinq semaines couché sur son lit , en proie aux douleurs les plus atroces d’un accè
Tout est fini, s’écrie le doc-(. tour merveilleux, qu’on le relève. » lit en effet, au môme instant l’homme était debout et
entre nous ; elle avait abandonné ma main et s’était éloignée de mon lit . Je passai six ou sept heures sans souffrances, m
t pas seuls dans la chambre, il y a un petit enfant dans un autre lit à gauche en entrant... Est-il gentil avec son pet
uche en entrant... Est-il gentil avec son petit bras qui pend hors du lit ! » « Comment la chambre est-elle meublée? lui
’expériences qui fait l’objet du défi. Si, par exemple, un somnambule lit quelques lignes d’un livre fermé et pris au hasar
yon dont la source est en Dieu. A son éclair, notre âme illuminée Lit dans les corps, — dans les cœurs, — en tout lieu.
à chaque contraction musculaire. Ce bruit se faisait entendre dans le lit , hors du lit et à une distance assez considérable
raction musculaire. Ce bruit se faisait entendre dans le lit, hors du lit et à une distance assez considérable du lieu où l
nnes et les objets placés derrière les panneaux ou les rideaux de son lit . Il nous est souvent arrivé de lui dire : Mademoi
e ; elle était extrêmement pétulante, se remuant constamment dans son lit , aga- çant tous ceux qui s’en approchaient. S
effet, plus les secousses étaient fortes. J’essayai de m’éloigner du lit de quelques pas pour répéter la même expérience,
n. Lorsque j’employais ce moyen, elle se levait tout à coup sur son lit , et, quoiqu’endormie, elle se dirigeait vers moi
decin, appuyée sur des aides. Elle retournait précipitamment dans son lit avec humeur, comme si elle eût été l’objet d'une
de façon que, lorsque la malade était couchée horizontalement sur son lit , le courant se perdait dans le ciel du lit; que l
ée horizontalement sur son lit, le courant se perdait dans le ciel du lit ; que lorsqu’elle se tournait sur son côté, il fuy
oyant les figures des tapisseries et la couleur des garnitures de ses lits , en après il voit dans ce miroir sa femme dans un
a porte et vit un jeune enfant qu’on venait de mettre dans un certain lit qui n’était pas le sien. De même que l’ouïe se
mbulisme. Le lendemain matin je trouvai les deux médecins devant le lit de la malade qui se déchirait les doigts et les a
ndre, et auxquelles vous n’avez môme jamais songé de votre vie. « — lit quelles sont ces précautions ? « — Si moralemen
: nous touchions seulement la tablette de l'extrémité d'undoigt. Elle lit plusieurs fois le tour de la salle, puis elle s'é
qu’elle avait demandé. Au jour indiqué, à minuit, elle se leva de son lit et vint au salon qui n'était éclairé que par une
S ET PRESSENTIMENTS. N° 1. Metz, vers 1818. — J’étais au lycée. Les lits , dans les ¡dortoirs, ne touchaient au mur que d'u
un de mes bons condisciples. Nous étions séparés par trois ou quatre lits ; je dormais, et, de plus, je lui tournais le dos
croit que je ne le vois pas, mais il se trompe ; le voilà au pied du lit d’un tel, puis d’un tel; il a beau s eüacer, se c
a beau s eüacer, se cacher, je le vois; il arrive à la ruelle de mon lit ...; il pousse déjà le matelas... ; mais, vif comm
était tombé sans connaissance, et était resté ensuite quatre mois au lit , insensible et ayant îi peine conscience de son e
nfants. On lui fait observer qu'elle n’est pas en état de quitter son lit et de monter à cheval. Elle persiste, et dit
possible, dit la mère ; vous n’êtes pas sortie tout ce temps de votre lit . —Eh hien, dit l’autre, jesuis pourtaut allée voi
ans 1» sienne ; qu’elle était restée environ un quavt d’heure près.du lit où elle était couchée avec l’enfant le plus petit
était un des plus longs jours de l’année. Elle s’était assise sur son lit avait regardé et observé attentivement l’appariti
t un malade qui étouffe. J'arrive chez Hubert; son jeune homme est au lit ; il est fortement oppressé, il ne peut respirer,
et roide, et sans conscience de ce qui se passe autour d’elle, sur un lit de paille que lui a préparé sa pauvre ni ère, dan
, et même elle s’est levée au milieu de la nuit pour mettre le feu au lit de ses parents. « L’àecideirt' n’a pas eu de su
d’en mettre dans la bassinoire, et avec cette dernière de bassiner le lit en tournant la bassinoire du côté de la porte.
it livre de M. de Saint-Félix est sans doute fort intéressant ; on le lit avec beaucoup de plaisir, et les aventures du hér
urs, si l’on suit mes prescriptions, le prince de Soubise quittera ce lit et se promènera dans cette chambre ; dans huit jo
le. En rentrant, M“* X... trouvait étendu, en chemise, au pied de son lit , son mari dont les tristes pressentiments ne s'ét
thode dont l’expérience a confirmé la sagesse. Baron du Potet. On lit dans le Courrier de Lyon : « Les cris : Au seco
spasmes nerveux, tomba dans d'affreuses convulsions; puis, roulant du lit , se fit en tombant une luxation au bras droit. Pe
nécessaires, ne put le prendre à table avec lui pour manger, et lui « lit de rester dans son cabinet jusqu’à ce qu’il vint
èrement, le 20 du mois de juin, à six heures du matin, étant dans mon lit parfaitement éveillé, j’ai vu mon frère au pied d
étant dans mon lit parfaitement éveillé, j’ai vu mon frère au pied du lit , ouvrant mes rideaux et me regardant sans rien di
couché dans son berceau en le recommandant à Dieu, et s’ôtait mise au lit , ayant une servante à côté d’elle. Au bout d’un q
t entendait les moindres cris de sa fille. Elle s'avance donc près du lit , et lui dit : « Madame, n’entendez-vous pas votre
s votre enfant crier? » Point de réponse. Elle met la main sur le lit , et ne sent rien. Effrayée, elle appelle le mari,
r de ses nouvelles. Comme il entrait dans la chambre, il la trouva au lit couchée sur le dos, les yeux fermés. Il en fut tr
lle fit quelques mouvements ; le curé et son mari approchèrent de son lit ; ils eurent beau l’appeler et la secouer, elle ne
quatre heures, pendant lesquelles le curé resta toujours près de son lit . Après ce temps, elle se leva, mit la main sur le
plus loin l’expérience, et j’exigeai que cette dame 3’étendit sur un lit de repos. En même temps, je fis disparaître la lu
ne alcôve au deuxième étage. Tous les objets que je touchais sous son lit , clef, lancette, pièces de monnaies étaient désig
ec des caractères tellement tranchés, qu’on ne pouvait plus dire elle lit plutôt dans la pensée de son magnétiseur que sur
alade. La douleur cessa aussitôt. Je lui dis alors de se lever de son lit , ce qu’elle fit. Alors je la dirigeai pour qu’ell
ieds, très-chaud, des fomentations stimulantes, etc.; en résumé, l’on lit usage de tous les moyens les plus énergiques pour
bre de la servante, et trouva la somnambule assise sur le bord de son lit et dans un état de préoccupation profonde. Elle n
Quand la malade avait le temps de le faire, elle se couchait sur son lit ou s’asseyait sur une chaise ; d’autres fois, ell
soir, je trouvai la vessie énormément distendue, et le 9 au matin, le lit fut inondé par suite d’une miction involontaire.
ès très-fort. Il me fallut plus de temps pour magnétiser la malade au lit qu’étant levée. « La malade accuse de la pesant
. La gastralgie la fait tellement souffrir, qu’elle se roule dans son lit , mais sans mouvements convulsifs et sans perte de
. « Le 15. La malade se réveille couchée sur le plancher devant son lit . Combien de temps y est-elle restée ? A-t-elle rê
a mère confirme son dire, quedansle temps elle tombait souvent de son lit ; quelquefois à la suite d’un accès, quelquef
la forcent d’aller dans sa chambre et de s’appuyer la tête contre son lit . A 3 heures, en marchant elle tombe comme foudroy
La malade ne répond plus, ne fait aucun mouvement ; elle git dans son lit comme un cadavre. J’applique des compresses d’eau
douleurs de tête deviennent intolérables. La malade se couche sur son lit et tombe bientôt dans un 'étal comateux. « A de
é, dit M. Gregory, qu’il n’y a pas de meilleur moyen de s’endormir au lit , non-seulement quand on a de l’insomnie, mais aus
39 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
trépidation spinale. Celle-ci survient presque spontanément dans le lit par le simple effleurement des orteils par les dr
encore de longues courses; enfin il remarque parfois que, dans son lit , lors- que les faces planlaires ne sont pas bie
robant sous elle. Elle peut les détacher mais avec peine du plan du lit mais la paralysie des membres inférieurs pour êtr
st pas'moins évidente. Lorsqu'on la maintient assise sur le bord du lit les jambes pendantes, on voit les pieds devenir
illaires. Besoins impérieux d'uriner ; la malade urinerait dans son lit si on ne lui don- nait immédiatement le vase ;
ras gauche avec la main droite. Si l'on place une épingle sur son lit , il est incapable de la saisir avec les doigts.
reconnu dès l'entrée du ma- lade. Dans les traités classiques, on lit que la névrite traumatique peut se présenter à
atteinte à son tour et pendant sept mois, la malade a dû garder le lit . Puis elle a pu se lever et a repris peu à peu la
que, le malade peut déjà faire quelques mouve- ments, sortir de son lit , mais il est incapable, même soutenu, de se tenir
es : La marche et même la station sont complètement impossibles. Au lit il y a quelques mouvements de flexion et d'extens
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Fig.l. Figez. Henry Meige del. et lit ] Tome VI. PI. XIII, XIV, XV. Fit, 3 Fig. 5.
. A la vé- rité, elle essaie d'abord de s'accrocher aux barreaux du lit ; mais sur l'ordre sé- vère du chef de clinique,
essamment et fut pris d'une si grande faiblesse qu'il dut garder le lit . Un médecin appelé à ce moment constata ce qui
ande que la tranquillité. Le jour, il se tient blotti dans le fond du lit sans attitude spéciale, sans fuir positivement
dès son arrivée, la fièvre jaune le cloue pendant trois mois sur un lit d'hô- pital. A 27 ans, il paie tribut il l'impa
genoux endoloris : ce malaise disparaît après un mois de séjour au lit . Sur le cou, le malade avait noté la présence d
En mai 1889, sensations bizarres : il lui semblait, le soir, dans son lit , que son buste et ses membres s'hypertrophiaien
n milieu, il l'union de la 11'0 el de la 2e phalange il a l'aspecl ( lit rcntoslt; il se termine en s'effilant par un on
e était fille unique. Son père avait 3 soeurs et 1 frère du premier lit ; 2 frères et 5 soeurs du dernier lit. Plusieur
soeurs et 1 frère du premier lit ; 2 frères et 5 soeurs du dernier lit . Plusieurs sont morts, mais Jean Moneg ne peut di
sin étant très pénible, puis il fut obligé de s'aliter. Il resta au lit 3 mois. Le médecin fit le diagnostic de luxatio
7 Déjà il avait eu une crise analogue au moment où il avait pris le lit pour sa hanche gauche. On lui avait fait une pi
très pénibles, mais fixées dans toute la jambe. Il resta 3 mois au lit sans bouger la jambe droite qu'on lui avait défen
jà, il souffrait d'une constipation pres- que absolue. Il se met au lit , et le lendemain, appelle un médecin qui retire d
tement spécifique : le malade peut dé- tacher les jambes du plan du lit . Mais bientôt, à la suite d'un nouvel érysipèle
rence complète pour les affaires les plus importantes; le malade ne lit pas, ne pense pas il sa femme, mais il conserve l
ement indif- férent pour tous les intérêts sérieux de la vie, il ne lit ,plus, ne converse pas, n'écrit pas, ne pense pa
ait pas un mot de français, et c'est par une lettre en hébreu qu'il lit voir, qu'on apprit sa religion et sa nationalit
passionnés. - C'est Grégoire de Tours (2) qui, le premier, nous la lit connaître. Mais (1) Nous devons à l'obligeance
. Dès qu'on la met sur ses pieds, elle s'affaisse immédiatement. Au lit , elle exé- cute quelques mouvements, mais très
'un second mariage de son père, il a eu 2 frères et 1 soeur du même lit . Les deux frères sont morls de maladie aiguë (f
ais le malade n'a eu de paralysie complète, l'obligeant à garder le lit . Examen du malade ci son admission . - Il prése
élioration considérable ; il pou- vait remuer les quatre membres au lit (juillet 1892), puis il put bientôt mar- cher.
Il prétend que, pendant la grande maladie qui l'a tenu 3 semaines au lit en juillet de l'an.dernier, il a eu l'oeil gauc
ux côtés : le malade soulève un peu les talons au-dessus du plan du lit , mais il est incapable de garder le membre inféri
est impossible maintenant au malade de détacher le talon du plan du lit : elle est peut-être encore plus marquée à droite
musculaire augmente encore, au point qu'il est obligé de garder le lit pendant près d'une semaine ; au lit d'ailleurs le
t qu'il est obligé de garder le lit pendant près d'une semaine ; au lit d'ailleurs les mouvements des membres inférieur
rtout la droite; jamais cependant il n'a été obligé de reprendre le lit de nouveau, et la marche a toujours été possibl
, et une faiblesse des membres inférieurs, qui l'oblige à garder le lit quelques jours. La paralysie n'est pas complète,
berg : l'oc- clusion des yeux n'augmente pas les oscillations. Au lit , dans un fauteuil, les mouvements des membres inf
eurs fois il lui est arrivé de laisser aller ses ma- tières dans le lit sans en avoir conscience. Vers le début de l'an
sible sans canne. Mais jamais le malade n'a été obligé de garder le lit . La marche de l'affection a été graduellement p
spasmodique des plus accentuées, qui ne le condamne pas à garder le lit cependant ; car il se lève seul, marche dans la
est impossible de croiser les jambes l'une sur l'autre. Examinés au lit , les membres inférieurs se présentent dans l'état
surtout au début ; mais si les malades sont condamnés à prendre le lit , c'est d'une façon passagère, et le traitement
bles du mouvement sont assez importants pour condamner le malade au lit d'une façon définitive ou à peu près; la paraly
ieurs jours, il ne se sentit pas le courage de sortir un instant du lit . Enfin lorsque sous l'influence du repos . et d
fé- vrier 1892. Dénué de toutes ressources, il venait demander un lit l'lapital. Les salles étant pleines, on ne put
x questions. Elle est très anémique. 18 mai-8 juin. Elle saute d'un lit il l'autre, elle se dépouille de ses vêtements
a fenêtre. 3 novembre 1885-12 mars 188G. Elle reste étendue sur son lit , se couvre souvent la tète avec un mouchoir, fr
sant. )fui-25 décembre. La malade se plaint de céphalée et garde le lit . 2-4 février. Etat fébrile. Aucun changement da
er. Mal à la tête, vomissement, langue chargée ; la malade garde le lit . 7 février. Les vomissements ont cessé et la te
dort mal. 25. Elle urine sous elle. Le reste du mois elle garde le lit . 1-2-7-9-11-12-17-30 mai. Elle reste couchée.
elle frappe également la garde-malade. 7-9 juillet. - Elle reste au lit . H-12-lG-18-22 août. Idem. 16-30 septembre. I
ésent La malade est immobile ; elle reste assise ou étendue sur son lit ; la tension des muscles du cou, du visage, des e
grande aptitude des Juifs pour les langues est un fait bien connu. On lit dans la « Cosmographie universelle » d'André Th
40 (1895) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1894
, qui est surveillée attentive- ment, on leur enseigne à faire leur lit , à entretenir proprement leur dortoir. Elles me
sur le projet définitif pour la construction d'un bâtiment de cent lits à la Fondation Vallée, présenté par M. BOURNEVI
troisième rapport relatif à la cons- truction d'un pavillon de 100 lits . Nous vous avons alors indiqué un certain nombr
e donnant accès à droite et à gauche à deux dortoirs de chacun 24 lits ayant une surface de 193 mètr. 60 sur 4 mètr. 50
0 sur 4 mètr. 50 de haut, ce qui donne un cube de 3G mètres 250 par lit . A l'entrée de chaque dortoir un lavabo, des wa
Commission et le Conseil général se soient décidés à mettre un seul lit par trumeau ; il invoque à l'appui de ses regre
existe dans les asiles de la Seine et qui consiste à placer deux lits par trumeau. Nous rappellerons une fois de plus
st. d'ailleurs, encore plus utile quand il s'agit d'enfants : leurs lits se trou- vent ainsi mieux séparés, ce qui évite
ais prié M. le directeur de m'envoyer le cube d'air et le nombre de lits de Bourneville, Bicêtre, 1894. 3 34 L'orpheli
donné à ces dortoirs par le dépôt des serviettes sur les pieds des lits . Il conviendrait, pour remédier à ces inconvéni
sous les combles, dortoirs qui sont bien aérés. Les paillasses des lits de ces enfants laissent beaucoup à désirer. La
l'enveloppe lessivé, au moins tous les 8 jours. Au lieu de faire le lit le matin, il vaudrait mieux ne le faire que le so
accord. (4) Toutefois il lui arrivait de temps en temps d'uriner au lit et cela jusqu'à son admission à Bicêtre. {Rense
t veiller très attentivement à ce que les enfants restent dans leur lit et n'aillent pas au lit des autres, sous aucun
ment à ce que les enfants restent dans leur lit et n'aillent pas au lit des autres, sous aucun prétexte. Ils et elles (
donnant à ces mauvaises habitudes, soit aux cabinets, soit dans son lit , il ou elle doit immédiatement s'y opposer et l
vent s'assurer avec le plus grand soin que ToUS les enfants sont au lit . L'infirmière de jour doit indiquer à la veille
t veiller très attentivement à ce que les enfants restent dans leur lit et n'aillent pas aux lits des autres, sous aucu
t à ce que les enfants restent dans leur lit et n'aillent pas aux lits des autres, sous aucun prétexte. Elles doivent le
donnant à ces mauvaises habitudes, soit aux cabinets, soit dans son lit , elle doit immédiatement 68 INSTRUCTIONS aux in
tiges, prendre des précautions pour qu'ils ne tombent pas de leur lit ; les empêcher de se coucher sur le ventre car, lo
sur les enfants qui, sans avoir d'accès ou de vertiges, urinent au lit . Elles doivent prendre soin de les faire uriner
laver la figure et les mains, à brosser leurs habits, à faire leur lit , etc. Lorsque les enfants sont sortis des salle
irmières doivent noter tous les enfants qui urinent et défèquent au lit , et inscrire scrupuleusement le nombre des accè
les études relatives à la création d'un.")0 asile d'aliénés de 1200 lits et de met- tre au concours la construction d'un
ral de la Seine, on a volé la création d'un asile dans lequel 500 lits seront réservés aux alcooliques. Dans cet asile l
ème me semble-t-il s'imposer, pour un grand asile de buveurs de 500 lits . En le divisant, selon le projet de M. le Dr Pa
; on réservera dans l'un des pavillons deux sal- les de huit à dix lits chacune ; les cellules sont réduites à cinq ou
ur le projet définitif pour la cons- truction d'un bâtiment de cent lits à la Fondation Vallée, présenté par M. Bour-
41 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
atrophie des membres inférieurs. La malade est obligée de garder le lit à partir du commen- cement d'octobre ; elle peu
endant les premiers jours de son entrée, on avait tenu la malade au lit , mais elle ne tarda pas à se lever, elle allait
ment, elle a commencé à ne plus pouvoir marcher qu'en se tenant aux lits et peu à peu elle est arrivée à ne plus marcher
CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 23 pas qu'en se tenant aux lits voisins, et encore faut-il la soute- nir. La tê
ur les pointes et se prennent l'un dans l'antre. Lorsque, dans le lit , on veut écarter ses deux jambes, on éprouve un
on, engoûment céphalique, vertiges, cha- leur à la peau, miction au lit ); elle s'élimine par les poumons et non par l'u
lade sont morts dans des convulsions. Un frère survivant a uriné au lit jusqu'à l'âge de dix-sept ans ; depuis fort longt
soumise, après un intervalle de sept semaines, à 0,20, et tenue au lit : dans ces conditions, il n'y eut pas collapsus.
rès Benninghausen depuis 1883. II contient provisoirement 200 à 250 lits . Il sera jusqu'à nouvel ordre administré par la
ce à réfléchir et à chercher. Il se retourne plusieurs fois dans le lit , s'assied, réveille sa femme, gémit et, la tète
ns, cherche le nom qui ne vieut pas. Tout à coup il saute hors du lit , pâle, angoissé, couvert d'une sueur froide il se
ur ne voir ni les noms, ni les enseignes sur les devantures ; il ne lit strictement que ce qui lui est indispen- sable,
st normale : lasensiLilité spéciale intacte : cependant l'enfant ne lit que de très près les petits caractères : blésit
on. Le 20 à la visite, nous ti,ouv4>w ? le malade, assis sur son lit , en proie à une anhélation, considérable. R. 45
t le malade. Pendant le reste de la nuit, il se tient assis sur son lit , anhélant et anxieux. 23 janvier. Amélioration.
, qu'il vient de courir dans la salle, alors qu'il se voit cloué au lit par sa contracture. , 10 février. Pour le con
nomie se rassure. 14 février. - Même état. - V... garde toujours le lit pour sa contracture. Disparition à peu près com
nterrompue, et les membres du côté droit retombaient inertes sur le lit . Si l'on ouvrait l'oeil gauche, l'hémi- catalpp
droite, comme précédem- ment. Mars, avril. V... garde toujours le lit avec sa contracture du côté droit. Les crises s
lucinations de la vue, délire partiel, etc. Il se croit enchaîné au lit par la volonté de Charcot et de l'interne du ser-
vailler. Il s'étonne que ses vêtements ne soient pas au pied de son lit ; il croit que l'on vient l de les lui cacher pa
du côté droit est revenue. Le malade est resté plusieurs heures au lit dans l'état où il était du mois de janvier au m
a l'intérêt d'un fait inédit. C'est en maintenant le malade sur le lit que nous nous sommes aperçus que la pression du
il travaillait à la culture. Il ne se rappelait pas avoir gardé le lit pour une con- tracture à l'infirmerie de cet ét
n soumet ces malades à une sorte d'engraissement : repos complet au lit ,- toutes les deux heures ingestion d'uneportion
t, qu'à des accès Jpurs d'épilepie vraie. ' n - je , Il, 1 b allmlt lit , ynii'J M. FREUSBIOEG appuie la' manière' de- v
. , '' ' ' ' M. Scander, a été chargé du rapport /'Le mémoire qu'il lit , très. étendu'et' circonstancié à tous égards,
,la conduite de 1lechsig. ' ' '" Ir' 1 t 1 J. ' 1 il 1 Il, Il 1111, lit t c 11,.1. * '- lit ' ! ]U J '1'1"" lu..{ ? ou
ig. ' ' '" Ir' 1 t 1 J. ' 1 il 1 Il, Il 1111, lit t c 11,.1. * '- lit ' ! ]U J '1'1"" lu..{ ? ou 'lt.H," t tul ¡j( t 1
l . si ? " ,1 l' -t # t t.. \11 t 1 fJ Il .. 1 t fez "lI. ,LOEIIR lit , un rapport sur les, progrès de l'assistance en A
des, humides, privées d'air et de jour et « meublées seulement d'un lit de paille, que l'on renouvelaitrare- « ment, et
froides, humides, privées d'air et de lumière et ne contenant qu'un lit de paille que l'on renouvelait rarement. Ceux q
er; médecin assistant, Dr Hansen. ` ? ° La Métairie. Asile privé(30 lits ), D''H;ST. 30 Etay. Asile pour les idiots (40 mal
n en 2e, Dr Godet. 2° Asile Bellcvue près le Henveville (privé), 30 lits . Dr MARGUET. - 3° l3ellcvzce près de Landeron.
Dr MARGUET. - 3° l3ellcvzce près de Landeron. Asile pour idiots (10 lits ), pas de médecin spécial. Canton du Valais. Pas
REPONDS. Canton DE BERNE. - fla La 4Yctldau. Asile de l'État. (330 lits .) Di- recteur médecin en chef, Dr prof. ScrIEnn
nnée). On pro- jette de bâtir un nouvel asile à Munzingen, pour 3ô0 lits . 2o L'Espérance (Zur Hoffitung).Asile privé, de
au service des aliénés; on a commencé à bâtir un nouvel asile, 60 lits pour les curables, 40 pour les incurables (idiots
al can- tonal à Liestal est affectée au service des aliénés (90-100 lits ), sous la direction du . ,D J. KUNZ. 1 ' ,CAN
ül1stel'lingen, Asile de l'Etat (pour aliénés curables, environ 150 lits ). Médecin-directeur, Dr WALTER ; 2" Saint-Katha
les, épileptiques, etc. La division réservée aux aliénés compte 180 lits ). Médecin-directeur, Dr Jo- seph BRUINER; - 3°
ANGEIi; médecin en second, Dr X... ? 4° Allnau. Asile privé (6 à 12 lits ). Dr BRIDGER. Canton DE S.11NT-GALL.' - Saint-P
nton DE S.11NT-GALL.' - Saint-Pirminsberg. Asile de l'Etat (2àO-300 lits ). Directeur-médecin en chef, Dr WELLER; médecin e
1'PR\ZELL. Pas d'asile de l'Etat. lVczhenhCttlSe72. Asile privé (10 lits ), appartenant à Mmo Galle. Médecin, Dr CUSTER.
de l'hôpital est affectée au service des' aliénés avec environ. 20 lits . En outre, dans la ville, il existe deux petits
lades).- La colonie Solznenhalde dépend aussi de l'asile avec 2 à4 lits ). Directeur et médecin en chef,.Dr FETSCHERIN; mé
e). ' Canton DE ZUIIICH. lu Bti7,ghol,i. Asile de l'Etat t (330-350 lits , pour les aliénés curables (clinique psychiatri
é de Stammheim. Dr von ORELLI; 4° Asile privé pour idiots {18- 20 lits , sans médecin spécial) dirigé par MUe Keller. (Da
qua- trième classe. La population en a été fixée à 450. Sur les 225 lits d'hommes, 221 sont déjà occupés, les dernières
dernières places sont pro- mises. Le service des femmes contient 25 lits de libres. Dur en. Destiné, à l'origine, à 300
ses dix cellules. Ce résultat a été atteint grâce au traitement au lit des agités. Superficie : 74.hectares. L'an dern
ns les extrémités inférieures, de sorte que la malade dut garder le lit . Après deux semaines les douleurs diminuaient,
entrait en état de surexcitation, et était contrainte de garder le lit des mois entiers. 11 ajouta qu'une demoiselle L
er soit auprès de sa femme qui, pendant deux ans, avait partagé son lit et lavé son linge, soit auprès de M. le docteur
chait avec Berger a déclaré qu'en un an, il avait uriné une fois au lit la nuit, par suite d'ivresse ; l'incon- tinence
parlé vers dix-huit mois ; il a toujours uriné de temps en temps au lit . Quand il fut repris par sa mère à l'âge de deu
des parties génitales et, dans cette conviction, il urine dans son lit ou dans ses vêtements. Les traitements sont infru
juin. Gui... parle très peu, prononce quelques mots (maman...), ne lit .pas ses lettres; il est d'ailleurs presque impos-
dont l'aîné a aujourd'hui plus de vingt ans : ces enfants du second lit n'ont jamais été ma- lades. Dans ces conditions
LOGIQUG Séance du 30 mars 1885. Présidence DE M. OAGONET. )1. REY lit une note sur le poids des hémisphères cérébraux.
scipliné. La parole est aisée, la prononciation très distincte ; il lit parfaitement bien et écrit passablement. Il ign
cité et para- lysie générale), 116. Société médico-psychologique, lit , 2n3, 41G. Société de psychiatrie et des mala
42 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
tes comme rendus propres le jour, urinaient encore fréquem- ment au lit , ils sont maintenant tout à fait propres nuit et
au calcul et surtout à la lecture des mots imprimés. Aujourd'hui il lit presque couramment, cop : e ce qu'il lit et écr
s imprimés. Aujourd'hui il lit presque couramment, cop : e ce qu'il lit et écrit même de mémoire un certain nombre de m
les exercices sca- laires ; aussi ses progrès sont-ils notables. Il lit presque couramment, fait l'addition et la soust
s pour tout le reste il s'applique dans la mesure du possible; il lit bien, fait bien les devoirs écrits et comprend le
sse. - 13° Coudcy... (gorges), 1 '1 ans. Epilepsie. Parésie droite. Lit couramment, fait les exer- cices de copie. Plus
rès, au point de vue de la classe n'ont pas été moins rapides. Elle lit presque couramment, son écriture est lisible et
e. Nous avons cependant à noter aujourd'hui de bons résultats. Elle lit par syllabes, a appris à écrire, fait bien une
re, elle connaît les deux premières opérations de l'arithmétique et lit presque couramment. Elle suit avec facilité tou
lisiblement, fait une copie, connaît et sait faire les chiffres et lit par syllabes. Tout donne lieu d'espérer que sa le
ion. Au lever, on apprend aux enfants à faire leur toilette, leur lit , 1 nettoyer leur dortoir, à brosser leurs vête-
Améliorations diverses. - Ouverture d'un nou- veau dortoir (de 24 lits ), installé d'après les indica- tions données le
en face de notre bureau, les mains crispées après le montant d'un lit , la bouche contorsionnée : «Je deviens paralysée,
mal- heureux infirmier, il avait été porté en toute hâte sur son lit . Il était évanoui. On le ranima et on le pansa. L
rps durs à sa portée, le dos- sier des chaises, les montants de son lit , etc.. Malgré la sur- veillance, les capelines
1) L'enfant Lehris ? mongolien, se met également un tailleur dans sou lit , et s'endort ainsi. - Description de la malad
er son . Antécédents personnels. 27 aiguille, essaie de faire son lit , mais sans y réussir, met et dessert le couvert
mots. Fait les couvertures dans son dor- toir, commence à faire son lit . Sait dire la couleur d'un objet donné. Elle es
des figures géométriques, les usages du mètre et du litre. Fait son lit . Décembre. Connaît deux nouvelles lettres l et
tre. Fait son lit. Décembre. Connaît deux nouvelles lettres l et 1, lit leurs combinaisons en syllabes simples et en mo
jambes l'une sur l'autre, on peut le faire asseoir sur le bord d'un lit ou d'une table, etc. Le meilleur procédé est le
- Tremble- ment des jambes qui oblige de maintenir le malade au lit , pour évi- ter le retour des fai- blesses qui
15 juin. - Agitation pendant la nuit : le malade s'est levé sur son lit et voulait battre la veilleuse. Ce matin, il ne s
et il mord avec frénésie. 1898. Juin. Progrès dans l'écriture. Il lit et retient avec une Fig. 23. - Lem..., (Georges
rimés, il ne retient que les mots qu'il comprend et ces mots il les lit indifféremment à l'envers et à l'endroit. Il est
end goût à tous les exercices clas- siques. Il copie les mots qu'il lit et même en écrit un cer- tain nombre de mémoire
Juin. Progrès pour la classe, mais difficulté pour le calcul. Il lit couramment, commence à faire des devoirs élémenta
gymnastique et aux travaux de la classe. Il comprend bien ce qu'il lit , écrit mieux, fait l'addition et la soustraction
e front il y a un an (à 7 anus) : un chien l'a renversé et il s'est ? Lit à la tête une bosse avec plaie, pas de perte de c
ouleur, diminuée. Intelligence : assez ouver- te. Parole : normale, lit et écrit bien. Tableau du poids et de la taille
e tout le long du dortoir, il lui est même arrivé d'uriner dans son lit . Surveil- lée de très près, la veilleuse surpre
ous en revenant on passe sous des couloirs et l'on voit beaucoup de lits vides. Dans le dortoir où je couche il y en a d
DE la maladie. leurs, nombres, surfaces, famille, vêtements, qu'il lit avec la même facilité. Juin. Atteint pendant
le. Il se frappe continuellement la tête contre les bar- res de son lit et se cogne la face. Pour parer à ces acci- den
r parer à ces acci- dents, on a mis des planches matelassées iL son lit et on lui maintient continuellement le manchon.
emander, il entre en fureur, se frappe la tète contre les barres du lit , saute au-dessus des barreaux, s'arrache l'inté-
son caractère, il continue à se frapper con- tre les barres de son lit , à s'égratigner avec son manchon, il urine et d
de son lit, à s'égratigner avec son manchon, il urine et défèque au lit malgré toutes les précautions que l'on prend. D
empresse de lui annoncer qu'il exercera ses malpro- pretés dans son lit , et il tient parole. L'état de Ler... se mainti
principalement le gauche, cognements de la face sur les barreaux du lit , plaie, érysipèle, phlegmon et suppuration de l
43 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s cesse. Parfois elle se couche par terre et refuse de se mettre au lit . Aux questions que nous lui posons elle répond di
eul mot et très lentement. Il reste loutela journée couché dans son lit et enveloppé sous sa couverture. On ne recon- n
quoique avec quelques hésitations; il. demande des journaux, qu'il lit en se pro- 46 PATHOLOGIE MENTALE. menant da
er à l'examen. Le 13 août 1895, vers minuit, la malade tombe de son lit , criant : « Je suis un fantôme ! Je suis empois
, la peur; il parait qu'elle ne trouve pas sa place, elle fuit d'un lit à un autre, d'un coin dans un autre; de sa bouc
nt; elle ne s'essuie pas; ainsi que ses vêtements, les draps de son lit sont humides. Il est impossible de juger sur l'
rps. Pas de période d'incontinence d'urine. Aime beaucoup rester au lit , on ne constate pas d'onanisme. Devient plus in
rgations, toniques du coeur, régle- mentation des piqûres, repos au lit ; on profitera également de ce moment pour désha
emps d'aliénation mentale, a été trouvée pendue au baldaquin de son lit , hier soir, vers dix heures. Dans une lettre la
enfants, âgé de onze ans, malade de la fièvre, elle le prit de son lit , le porta dans une hutte voisine et le pendit à
lus nécessaire et indispensable. Elle refuse de se coucher dans son lit , on est forcé de lui appliquer la camisole et la
t, on est forcé de lui appliquer la camisole et la tenir liée à son lit . On la nourrit à la sonde. Observation XXVIII.
confirmer l'efficacité. P. KERAVAL. III. De l'emploi du repos au lit chez les aliénés ; par V. DE BECH- terew. (C<
t chez un para- lytique qui affirmait ne pas pouvoir tenir dans son lit tant son corps était devenu énorme et chez un a
laircissement. A la troi- sième période, quand ils sont confinés au lit , ce sont les couvertures et les draps qui les r
atistique de 1852 à 1890, avait pensé qu'il fallait en Allemagne un lit pour 500 habitants au moins. Or, le grand duché
u moins. Or, le grand duché de Bade ne possède pour le moment qu'un lit pour 818 habitants et il semble qu'il faille al
ller plus loin que Loehr, qu'il serait nécessaire de posséder 3.000 lits . L'encombrement des asiles acluelf, l'accumulat
d'Emmendingen supporterait, au besoin, un agrandisse- ment pour 100 lits ; celui de Pforzheim qui est destiné aux chroni-
euses d'un lleilanstalt ou asile d'aigus, et l'on donnera ainsi des lits vacants aux autres asiles, notamment à celui d'
ciles et susceptibles d'amé- lioration. Dans un asile d'aigus, le lit coûte près de 5.000 francs; dans le nouvel asil
minait, par exemple, si la région comporte lacréa- tion de nouveaux lits - s'il faut opérer de nouvelles constructions o
ain, veut dîner quant il sort de table, être couché quand il est au lit , etc. Si on lui signale sa méprise, il accepte
n malade atteint de confusion mentale aiguë prolongée, le séjour au lit systé- atcttq2ce préconisé par les étrangers et
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 303 nisent le repos au lit systématique dans le traitement de la confusion
édaire sans savoir encore lire se sert- de 6, v, y. Un enfant qui lit sans articuler un motet l'écrit utilise b, l, o,
vail intel- lectuel de l'homme devenu sourd qui répète un mot qu'il lit sur la bouche d'un ami et comprend, etc., etc.
angue, grimace, secoue la tête dans tous les sens, se roule suc son lit ; ou bien elle repousse violemment les personnes q
x, parle de cra- pauds, de poissons, de serpents qui rôdent sur son lit . DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉTAT NÉVROPATHIQUE.
xtrême. Dans les périodes d'accalmie, Il H... reste étendue sur son lit , immobile, ou bien assise l'après-midi dans le
ie de mou- vements de défense plus ou moins désordonnés, secoue son lit , déplace ses oreillers qu'elle rejette loin d'e
chasser certains contacts désa- gréables ; elle se cramponne à son lit pour ne pas tomber : « .le glisse, je glisse, c
ève, saccadée, impé- rative. Un instant après, elle retombe sur son lit , comme épuisée des efforts qu'elle a faits; ell
allucination : il y a des chats, des poissons, des reptiles sur son lit : « Tenez, là, les voyez-vous ? » dit-elle ; et
mains. La malade s'alimente suffisamment; elle garde volontiers le lit , prend régulièrement et sans difficulté 3 grammes
sister jusqu'au moment du bain du soir : elle se met debout sur son lit , pousse des cris de douleur, piétine ses draps,
lle a vu ses cinq enfants à qui on a coupé la tête, là, près de son lit ; « Parbleu, je l'ai bien vu le sang qui coulai
écorée, qui est-ce qui dit cela ? ... J'en ai encore trois dans mon lit ... Mais vous ne les voyez donc pas, vous avez don
et 111°l B..., qu'elle écrase; elle cherche à se soule- ver sur son lit . Ou bien elle fait un paquet de ses draps, le pre
le lève lentement, puis le dépose avec mille pré- cautions sur son lit , lui parlant comme à un enfant. Elle envoie des
ilement revêtir, pour presque aussitôt sauter précipitamment de son lit , désignant du doigt le milieu de son matelas, e
le tient la République entre ses mains, qu'il y a du monde dans son lit , qu'elle entend des voix qui l'insultent. Son p
on a affaire ici à une psychose aiguë, instituer le traitement au lit en toute liberté, tel qu'on le pratique dans le s
rammes; et il n'est pas douteux que ce soit au système du séjour au lit qu'on doive attribuer ce résultat. C'est en eff
en effet une règle générale de voir les maniaques aigus traités au lit conserver un embonpoint qu'on n'était pas accoutu
para- plégie flasque complète. En élevant les jambes sur le plan du lit , elles tombent comme un corps inerte; elles son
s doigts (équinisme). Dans la note correspondant au 11 juin 1898 on lit : « Le membre inférieur gauche est contracté ai
, qui était fixée à un crochet planté dans la muraille, derrière le lit de M"10 X... Du côté de l'appareil de la vision
ite pût à elle seule déterminer des troubles cérébraux, et quand on lit les ob- servations de psychoses polynévritiques
é. Depuis un an il ne peut plus marcher seul; pour s'asseoir sur le lit , il est obligé de descendre les jambes à l'aide
que l'occasion s'en présente, par exemple lorsque l'infirmière nous lit les notes prises par elles, nous en profitons pou
page 199, et qui a été reproduite dans le Compte rendu de l31cêlre lit ; 1806. 11 en aurait trouvé beaucoup d'autres dans
t très spirituelles. Bien que son délire soit resté aussi actif, il lit , fait de la musique, sort à bicyclette, avec son
t et avait déjà repris ses habi- tudes de vie ordinaire lorsqu'elle lit dans un journal le récit de l'incendie du Bazar
uditif le sujet ne comprend pas la parole qu'on lui adresse, parle, lit et écrit paraphatique- ment ; . 3° L'alexie i
atique du centre moyen) la parole reste incomprise, le sujet parle, lit et écrit parapha- tiqtiemetit 1 .)" Y alexie d'
tion en cas de lésions du pli courbe (g. supraangularis). Le malade lit les lettres et les mots. mais sans y rattacher
le de faire la lecture à haute voix malgré qu'on comprenne ce qu'on lit ; 1 Cette variété portait le nom d'aphasie motr
ssaire pour l'écrire ; 4° dyslexie, caractérisée parce que le sujet lit d'abord bien, mais au bout d'un moment il s'arr
e sentait seulement très fatigué par ses excès. Rentré chez lui, il lit appeler un médecin qui le prit pour un simulate
cerne un enfant de Paris qui, en cassant une vitre avec la main, se lit au poignetune blessure qui intéressa le tendon
rtes pour tous les malades. Alitement (traitement par le repos au lit ) dans les formes aiguës et sub-aiguës de l'alco
mentale à laquelle convient le mieux le traitement par le repos au lit . Permettez-moi de rappeler, d'abord, l'alcoolis
aire observer qu'alitement ne veut pas dire immobilité et fixité au lit , le maniaque lui-même, au bout de peu de temps,
out de peu de temps, reste le plus souvent assis ou étendu dans son lit , mais les pre- miers jours, il s'agite, remue,
ir que dans les cas, d'ailleurs peu fréquents, où le malade sort du lit et est porté à frapper ses voisins et à bri- se
largement usé depuis 1888, mais avec le traitement par le repos au lit , nous en avons réduit intention- nellement l'em
les mouvements cho- réiformes sont tels que la malade tombe de son lit . Trismus, mâchonnement, raideur de la nuque. Le
que l'un des dortoirs renferme 35 malades, alors que le nombre des lits réglementaires est de 28. Delà nécessité de nou
44 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
tre le 25 octobre 1887. à l'hospice de la Salpêtrière, et occupe le lit 8 de la salle Prüss dans le service de M. Charc
s, modiste, est entrée il la Salpètrière en mars 1887, et occupe le lit nez 1 salle Rayer, dans le service de M. le pro
rticulaire aigu polyarticulaire il y a dix-sept ans, qui le tint au lit pendant six semaines. Il a fait des excès vénérie
le` novembre 1887, il 1'llôtel-Dicti-aniiexe, salle Saint-Antoine, lit n° 1-2, dans le service de M. le professeur Cor
s résultats suivants : Le sol n'est pas senti pendant la marche. Au lit , la situation des jambes est nettement perçue.
les avons précédemment décrites. , Lorsqu'on examine l'enfant au lit dans le décubitus dorsal, on observe qu'alors q
NOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. l'hôpital Cochin, salle Saint-Jacques, lit ne 29, dans le service de M. Théo- phile Anger.
- Courbe dynamographique de la main droite l'élat normal (le tracé se lit de droite à gauche). . NOTE SUR L'ÉTAT DES FORC
urbe dynamographique de la main gauche à l'état normal (le tracé se lit de droite à gauche). FIG. 7. -a. 1remb[emeul de
phique de la main gauche une demi-heure après un accès (le trace se lit de dioite a gauche). NOTE SUR L'ETAT DES FORCES
se dans la cour en cherchant la porte de sortie. La malade étant au lit , nous constatons à la face plan- taire de ses d
roit; elle n'a pu non plus se frotter les pieds sur les barreaux du lit . Son état indique d'ailleurs nettement un ralenti
'elle ne sent aucune douleur. Plusieurs fois, elle s'échappe de son lit pour aller boire au seau de la garde-robe, toujou
e se coupe de temps à autre de grandes mèches de. cheveux; reste au lit la face ensevelie dans l'oreiller; mange et boi
ue ; se couche alors par terre, le front dans la poussière, sous un lit ou au milieu de la cour et se cramponne de toutes
d Mesmer quittait Paris. z « Adieu baquet, vendanges sont faites, » lit -on au-dessous d'une autre pièce satirique, et c
pliqué pour effectuer le changement des draps, la malade restant au lit en permanence. On lui applique alors des appare
s règles se suppriment, elle ressent un malaise général et prend le lit . Aussitôt, hoquet violent, vomissements incoercib
NI6P ET BABÉ, ÉDITEURS DE LA SUPERPOSITION DES S 'f no II Il L Il ? lit ) dernier étant situé en dehors. Toutes ces cont
un intérêt historique. On y voit les malades couchés à deux dans un lit ? recouverts jusqu'au cou par des draps bien te
x extrémités sont occupées par deux malade ? < couchés dans leur lit . Celui de gauche est un fébricitant. Il se soulèv
ette opération ses gants, qu'il tient de la main gauche. Au pied du lit , un aide soulève un vase à large encolure qui pou
ngle de droite appartient à une autre catégorie. Egalement dans son lit ,1 comme doit être tout malade au moment de la v
bandelettes, est sur les genoux d'une femme assise à terre près du lit . Et si la douleur qu'éprouvent les assistants s
lités, que les patients étaient couchés complètement nus dans leurs lits . Nous ne pouvons, en vérité, passer sous silenc
scène un médecin. Il est intitulé la Consultation. La malade est au lit , près d'elle le médecin est assis, tenant encore
convulsions Arthur U... a toujours joui d'une santé excellente. Il lit au Mans ses études classiques, s'est toujours m
quelque temps reparaissent; le malade souille ses vêtements et son lit sans en avoir conscience. Chez G... l'intelli
u point de vue particulier qui nous intéressait. Le premier (Obs. lit ), qui est encore à la Salpêtrière, n'est autre qu
t avoir persisté plusieurs jours. Pendant qu'elle gardait encore le lit , on s'aperçut que son membre inférieur droit étai
ts et de contorsions... Obligée de rester sans cesse assise dans un lit ou dans un fauteuil, elle est bientôt toute éco
ésentait un si bel exemple. - Après le temps ordinairement passé au lit à la suite de l'ictus apo- plectique, lorsque l
apprend encore que la malade « obligée de rester sans cesse dans un lit ou dans un fauteuil fut bientôt toute écorchée
uronneau était âgée de soixante-sept ans et que le simple séjour au lit un peu prolongé à cet âge, à propos de n'importe
ait alors âgé de dix-sept ans fut très effrayé et se cacha sous son lit . Après cette scène de colère il passa plusieurs
c en avant et l'étendre, ce qui lui permettait de s'asseoir sur son lit et de s'étendre en décubitus dorsal. Il n'avait p
Attitudes passionnelles, le malade se redresse et s'asseoit sur son lit ou se met à genoux, visage souriant. Expression
mps chez lui et entrer ensuite. à la Salpêtrière. 11 est resté au lit pendant dix mois : un matin, presque brusquement,
se trouble; ces phénomènes sont surtout accentués lorsqu'il est au lit . Dans la journée, à intervalles variables, une
fermés ou demi-clos, elle se découvrait brusquement, sortait de son lit .eu.courant, se dirigeait vers la sortie et- allai
côté, les tentatives que fait parfois la malade pour sortir de son lit et s'enfuir en prononçant des paroles dont on ne
. (R ? ) 11T.89 ? 1; S. 38°,2. Pouls, 160. Respir. ( ? ) Urine, 2 lit . 150. Urée, 16 gr. 80 par vingt-quatre heures.
rieurs. Sens musculaire : aboli : le malade perd ses jambes dans le lit . Examen des yeux (17 juillet 1889). Pupilles
alysie; pas deinorsuires à lalangue.Apeinele malade est-il dans son lit que survient une attaque violente durant 4 minu
puis, peu à peu, le malade se mit à parler avec ses cama- rades de lit et devint plus gai et plus communicatif. Il-quitt
son travail, des maux de tête et un étourdissement; s'étant mis au lit dans l'après-midi, il eut une attaque d'un quart
art d'heure le soir, à dix heures, pendant laquelle il tomba de son lit . Il dormit ensuite d'un sommeil profond et pais
45 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e coucher le DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE. 29 malade sur un lit bas ayant des balustrades et contenant des orei
olu, pas même de communications écrites avec sa famille, repos au lit , alimentation ordonnée sévèrement avec menace de
mmissaire de police. Dernièrement, l'in- culpé se trouvait dans son lit lorsque sa grand'mère lui apporta un bol de bou
er sitôt, car mes dernières règles sont du mois d'avril. J'étais au lit quand j'ai senti un malaise... ça n'a pas duré
ce même jour les gendarmes avertis découvrent sous le traversin du lit de Marie C... un enfant mâle dans un état de dé
ses. Elles a des cauchemars pendant lesquels elle se dresse sur son lit , gesticule, pousse des cris, et semble assister
décidé de distribuer à ses adhérents des cartes sur les- quelles on lit au recto : « Je promets : 1° de m'abstenir entièr
le épinière. Arch. de phys., 1873. 2 Chvostek. Zicei Faite Non Tube, lit des Rûckenmarkes (Wien. med. Presse, 1873, p. 8
u point qu'il lui fut impossible de se tenir debout; elle se mit au lit ; la paralysie s'accentua rapidement; le 28, rét
e 184 CLINIQUE NERVEUSE. soulever ses jambes au-dessus du plan du lit . Dans le membre inférieur gauche quelques léger
fille, elle me répond : « Ça doit être un papier qui était sur ton lit et qui est tombé. » Et elle ajoute, quand je le
souscription, elle me le PSYCHOSES DE DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. 205 lit et s'arrête au mot de « Balthazar s, puis me le f
u. Dans le courant .de juillet, on est venu encore en poser sur mon lit pendant que j'étais à la cuisine. a Le 7 sept
en compagnie de quelqu'un. Elle dit qu'elle ne mourra pas dans son lit , et que le diable viendra l'enlever. Elle a du
articulier; vers 11 heures, elle vient subitement se mettre dans le lit de sa fille parce qu'elle a peur. A 3 heures du
s le monde dans la rue; on va tout brûler, on va me brûler dans mon lit , on sent la chaleur, il y a de la fumée partout
t la tuer ; elle met des armes (un couteau et des ciseaux) dans son lit pour se défendre. Elle s'irrite parce qu'on ref
e musculaire est assez grande pour qu'on soit obligé de la tenir au lit . Au point de vue physique, par sa décrépitude,
ccusé de propos, de tentations obscènes, une autre réclame dans son lit la compagnie d'un homme. Celle-ci se livre à la
rétion insuffisante du corps thyroïde malade. M. Poxs (de Bordeaux) lit une observation relative à une femme atteinte d
l'atrophie artério-scléreuse présente des lésions en foyer. M. VOGT lit un travail sur les faisceaux de fibres des corps
ns le jour, ne bave presque plus, mâche ses aliments, monte sur son lit et en descend seul ; sa figure a pris de l'expr
bet dans sa double expression graphique et verbale ; aujourd'hui il lit varia. 267 Î mentalement les syllabes ' qui l
pprendre une lettre; en moins de trois mois elle a su l'alphabet el lit des syllabes; elle parlait, ou du moins voulait
e put descendre l'escalier, le lendemain il fut obligé de garder le lit et entra à l'hôpital. Etat actuel. - Douleurs f
une ou trois heures, G... est souvent loquace et agité. Confiné au lit depuis la fin de 1891 il a des eschares au sacr
subitement atteint de paraplégie et de parésie vési- cale, garda le lit pendant trois mois environ, mais se remit ensuite
che au contraire s'accentuent au point de con- * finer le malade au lit . Au mois de janvier 1893, W... est arrivé dans
calisée et si elle n'avait pas évolué sur un malade déjà confiné au lit . Les quatre observations qui viennent d'être ra
sans en rapporter l'éclosion à aucune lésion valable. M. Verrier lit un travail sur l'aquapuncture dans le traitement
l'anesthésie hystérique ou paralytique. ` M. LAGRANGE (de Poitiers) lit un travail sur l'étiologie de la para- lysie gé
.103, p. 249. VARIA. 347 Ces malheureux couchent tantôt dans les lits de voyageurs qui existent encore dans un certai
sa porte à clef, elle fit cou- cher ses enfants à ses côtés, sur le lit . L'asphyxie commençait à se produire lorsque le
ière aux Hautes-Brives, près de Mayenne, étant sortie sans bruit du lit où elle se couchait avec sa fille, ses enfants se
s humanitaires, alors bien peu répandues : « Il y a des exemples, y lit -on, qui montrent que par l'intervention de la m
ance, la géné- ralisation du traitement des psychoses aiguës par le lit , la réaction contre l'isolement cellulaire, la
ules, etc., étaient inutiles pour l'hôpital urbain. Le nom- bre des lits , ne devait pas dépasser 100 à 120; et même, si le
anger gaies et bien déco- rées, et un grand nombre de chambres à un lit . La durée du séjour des aliénés dans l'asile ur
ents. Les uns, situés dans les villes, ne possédant qu'un nombre de lits très restreint, serviraient de bureau d'admissi
de surveillance continue, comprenant le tiers du chiffre total des lits , et affectée aux psychoses aiguës nécessitant u
e. L'un d'eux était tellement fatigué qu'il a dû aller se mettre au lit . « Il y a un danger public il laisser s'organis
l, etc., qui ne se savent certainement pas invoqués à cet effet, on lit les noms de M. le procureur de la RépubliqLe de B
sera lui-même divisé par des chambres de gardiens en sections de 10 lits au maximum. En adoptant cette disposition fragm
ont être mis dans des chambres d'isolement, mais l'espace entre les lits sera supérieur, un mètre au minimum est nécessa
lits sera supérieur, un mètre au minimum est nécessaire entre les lits , à cause de l'agitation des sujets. La literie
35 mètres cubes par mal- propre ; la distance de 1 mètre entre les lits sera la même que pour le quartier précédent, af
e système n° 3 de l'Inspection générale, avec cette variante que le lit a ses parois latérales constituées par des barres
rie. Dans le nouvel asile il conviendrait qu'un des dortoirs de dix lits fùt disposé de façon à permettre aux pauvres alit
s de maladies incidentes tandis qu'ils sont contraints de garder le lit , mais encore durant leur convalescence et aussi
ce. En effet là un tiers environ de l'effectif du quartier garde le lit et par conséquent n'occupe pas les habitations
malades affaiblis et frileux. Jadis il était d'usage de munir les lits de rideaux blancs, coquets et gracieux, qui perme
ur isoler le moribond, dans quelques établissements on entoure le lit d'un immense paravent; malheureusement la plupart
scernement. Dans les dortoirs de l'infirmerie la distance entre les lits devrait être d'un mètre. Sauf la fontaine de la
e recevront jamais qu'un seul malade. Elles auront pour mobilier un lit complet avec deux matelas comme tous ceux de la
et avec deux matelas comme tous ceux de la section, une descente de lit , une table de nuit, une petite table pour recev
d est de 7 pour une population de cinquante malades; deux sont à un lit qui mesurent un cubage de 45 mètres, plus que s
des meilleures ins- tallations de l'asile. Les cinq chambres à deux lits n'ont qu'un cubage de 51 mètres,-très insuffisa
du seront suffisants avec un intervalle de 80 centimètres entre les lits et la fontaine de la cour pourra n'être pas fer
ête à aucune tentative de pendaison ou de strangulation. Enfin, les lits des dortoirs où couchent ces malades sont pleins
ème Pichery) et de l'échelle convexe; distingue toutes les lettres, lit sans épeler (d'après la méthode Regimbaud) les mo
yllabes simples (une consonne, une voyelle). Ecrit les mots qu'elle lit . Imite de petits dessins sur papier quadrillé. Pa
par moments on s'aperçoit qu'elle raisonne mieux. En classe, elle lit mieux et copie mieux, pas de progrès en cal- cu
onde moitié du mois a été beaucoup meilleure; Marie- Louise compte, lit les nombres jusqu'à cent; commence l'addition.
nous appelle « son amoureux » et voudrait que nous l'embrassions au lit . Août. Traitement : douches, suspension de brom
plus en plus rarement. En classe l'écriture est meilleure, l'enfant lit couramment, fait seule des lettres à sa famille
t, à compter jusqu'aux nombres de quatre chiffres, qu'elle écrit et lit , à faire des addi- tions et des soustractions,
n. Elle ne s'orientait plus dans sa chambre, ne retrouvait plus son lit , ne savait plus se servir des objets usuels, se
emblée donne, par acclamation, la présidence de la première séance, lit un long rapport sur l'histoire de la lutte cont
46 (1881) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1880
ple, à balayer les chambres, à frotter les parquets, à.disposer les lits , à sécher ou plier le linge, à porter des farde
ors de la visite de votre Com- mission, il y avait une vingtaine de lits supplémentaires. Mais les dortoirs qui servent
endraient vacantes, et, tout en augmentant, s'il en est besoin, les lits d'adultes, on parviendrait à avoir une section
erait à ce résultat avantageux que, tout en diminuant le nombre des lits dans les dortoirs actuels des adultes, il y en
rouvent dans la 1 rq et dans la 2e section, lesquelles auraient des lits ren- dus à l'usage des aliénés (2). » On voit
tes valides, des deux dortoirs des enfants valides. Enfin, tous les lits de ces mêmes salles ont été repeints. D. Méde
eine à exécuter quelques pas, que. pour cela, il restait confiné au lit une grande partie de la jour- née, il parvient
un temps assez long en s'appuyant aux barreaux d'une chaise ou d'un lit . Les organes génitaux ne présentent pas de vice
onomie triste; coloration violacée du nez ; il se ratatine dans son lit ; les mains sont croisées en avant du cou. T. R
re à la couche (punition qui consiste à laisser l'enfant 8 jours au lit ). Les crises se terminent généralement par des
t facilement passer la main entre la colonne lombaire et le plan du lit . Cette première période ne s'accompagne pas d'é
ieurs s'étendent et que les pieds vont frapper l'autre extrémité du lit secoué par cette agitation désordonnée. C'est à
rcle plus ou moins complets. La tête et les pieds repo- sant sur le lit , le corps se soulève en arc à une hauteur varia
. 39 pas l'équilibre dans cette situation et tombe de côté sur le lit , mais sa position en arc n'en persiste pas moins
. 3° P. de délire. Enfin, le malade retombe définitivement sur le lit ; la rigidité a diminué mais existe encore aux
e ; l'enfant gémit, pousse des cris de rage, se redresse, frappe le lit , puis retombe.-Dans une autre at- taque, il s'é
ite ses membres d'une manière désordonnée et fait des bonds sur son lit ; la langue pend au dehors de la bouche, mais el
actérisée par de grands mou- vements dans lesquels le malade bat le lit : mouvements violents et rapides de flexion et
t en avant à une hauteur d'au moins 0,40 cent. au-dessus du plan du lit et reste quelques secondes dans cette position.
duit instantanément. La chute est prévenue et l'enfant porté sur un lit . On observe alors des battements des paupières
une période d'exaltation extrême, le malade se lève furieux de son lit et se précipite sur le veilleur pour l'étrangle
semblables. Dès qu'il entend la voix, il tâche de se jeter hors du lit , de se frapper, etc. Avant d'en arrivera l'id
ntière dans le même état, mangeant avec appétit, 'mais gardant le lit . Intelligence très affaiblie ; idiotie incomplète
ale; épilepsie et hystérie. Paris, 1873. Tn-8 de 160 pages, avec 14 lit . Prix : 3 fr. 50. - Pour nos abonnés 2 fr. 50.
to d'observations, pour conserver toutes les observations faites au lit du malade. Paris, 1878. - Prix. 60 cent. SEVEST
47 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
mesmériste des plus échevelés, et lui fait prendre un pétrin pour le lit nuptial. Heureux pour longtemps peut-être, sans l
du rachis, et durant les cinq derniers mois il n’avait pas quitté le lit , ne pouvant se mouvoir. Avant hier au soir ses am
pouvant se mouvoir. Avant hier au soir ses amis le placèrent sur lin lit portatif, et le transportèrent à l’infirmerie de
vérité avec une égale passion. D*** m’avait promis cette visite à son lit de mort; la lucide le vit, mais le mort ne revint
uragement offertes par le Jury magnétique. Revue des Journaux. — On lit dans le Delta du 9 janvier, sous la rubrique de W
lus affaiblie, à la suite d’une diète, elle no put plus sortir de son lit . « Elle avait de temps en temps des convulsions
s, bains de siège et saignées, le malade n’en était pas moins sur son lit , pouvant à peine respirer et accusant un point de
rié de se lever et de montrer son mal, il fut très-surpris de voir le lit mouillé et sa tumeur considérablement diminuée. O
furent plusieurs fois soulevés en l’air, et violemment rejetés sur le lit sans aucun signe de mouvements volontaires. Il ne
main invisible. Au même instant, une pelisse qu’on avait posée sur un lit voisin, enveloppe la berceuse, et se fixe sur ell
ion suivante d'un lait dont il a déjà entretenu nos lecteurs : « On lit dans un recueil d’anecdotes chinoises, qu’un anci
ui souleva les jambes plusieurs fois et on les laissa retomber sur le lit . On lui arracha un poil de la barbe; 011 lui piqu
roit. Le i5. Un bassin de métal fut jeté sur les dalles près de son lit . On le piqua partout le corps, sa tumeur fut déco
est pourquoi il fut conduit à la salle d’opération; on l’assit sur un lit qui fut placé dans un fort courant d’air, sans qu
n bassin de métal fut jeté avec bruit sur les dalles tout près de son lit , etc., etc., sans troubler son sommeil. Le 26.
sis comme la première fois, et je la laissai comme elle était sur son lit , dans le sommeil. Environ deux heures après, el
ée au troisième degré, pendant quelques minutes. On l’assit sur son lit , et on le renversa soudainement dessus. On lui ou
rendu par un bassin de métal jeté sur les dalles, tout à côté de son lit , lui fit faire aussi un mouvement soudain. Alors
e mes jambes, oh! cela brûle! Qu’avez-vous mis sur moi, Dr Sahib? » lit il parut éprouver une vive souffrance. Je le fis
ur scs pieds, etil dormitainsi un moment. On le porta ensuite sur son lit et on le laissa dormir. Le ii. Il a été électri
l. Les nuits sont mauvaises; le patient ne peut se tourner dans son lit qu’avec une extrême difficulté, et il lui faut un
e du poignet est entièrement libre. 11 dort mieux, se meut dans son lit et se lève aisément. Le moral et l’appétit sont b
il. Le malade peut lever l’avant-bras et la jambe assez haut sur son lit ; il ouvre légèrement la main. Le spasme des muscl
du corps en s’aidant d’un appui. Du 18. Aujourd’hui il est sorti du lit , et a marché dans la salle avec un bâton. Il a pu
il avait payé une telle consultation. « 1 fr. 5oc.,me répondit-il. — lit vous trouvez cela cher pour vous faire rendre 15
me in-12 , publié par i’instilul homéopathique du Brésil. —1849. On lit dans l’introduction de cet ouvrage, par le Dr Mur
t malade depuis longtemps. J’ai trouvé cette personne couchée dans un lit , étendue sur le dos, et ayant les membres dans un
après un mouvement brusque, des fois en voulant se jeter hors de son lit . Quelques coliques, la diarrhée, un malaise gén
Une magnétisation locale de vingt-cinq minutes calma la douleur, la lit changer de place, et endormit le malade. Le len
ets et la puissance. Le livre de la vie se déroule, et chaque page se lit dans un instant. Mortels, vous voulez connaître v
ès-notable de la population de Troye9. VARIÉTÉS. Catalepsie. — On lit dan9 l’Hermine, de Nantes : « L’état de la jeune
ne iille qui, avant son arrivée, était étendue sans mouvement sur son lit de souffrance. Pendant l’opération , Anne Chaigne
en crise nerveuse, se tordant sur le sol, où elle était tombée de son lit de misère. M. Gravé et autres s’empressèrent de l
le pour ses regards. 20 Lorsqu'à une autre séance, ce même miroir lit voir à deux personnes qu’on y avait conduites, de
où la nôtre commence. Ve- nez, ouvrez les yeux et instruisez-vous ! lit si vous notes pas convaincus, si des préjugés par
s, et te contraindre à rester dans le cercle qu’ils avaient tracé. Le lit de Procuste est sous le dôme de notre Institut. O
ie, 86. (1) Président du Tribunal civil. J'atteste avoir connu le lits Giblal avant le commencement du traitement par le
rmir ? Cet état continua jus-qu’à cinq heures, alors on le changea de lit , et pendant qu’on lui liait quelques petits vaiss
académiques. i)U POTET. VARIÉTÉS. Physiologie magnétique. — On lit dans le National Intclligenccr, journal de Washin
les plus opposées ; les plus bienveillantes comme les plus féroces. lit ce n’est pas seulement son âme qu’il a le pouvoir
casion d’apprécier l'avantage de cette méthode) , je la fis mettre au lit à quatre heures du soir, et l’endormis du sommeil
e suite. — Oh, cousin , voyez-vous, ça se cache, ces infirmités là! » lit j’eus toutes les peines du monde à lui faire comp
rcoralcs ! Je tente le taxi», une, deux, trois fois; point de succès, lit certes je fus à assez bonne école pour dire qu’al
immédiatement une selle ronflante, qu’il ne peut retenir, inonde son lit . J’étais attéré. Je ne puis m’empêcher de rire
est un effet de l’har-« monie (1); la raison est factice (2); » et on lit dans ses Aphorismes cette belle définition : « La
avoisier, Guillotin, d’Arcet, Poissonnier-Desperrières, Franklin; 011 lit observer que, si les effets du magnétisme devaien
’il est donné à l’œil de parcourir; ils avaient le don de prescience, lit pour produire ces inexplicables phénomènes, que
ltats des effets dus à l’imagination échauffée (i). Quelques (I) On lit dans le Rapport des commissaires chargés par le r
is plus de trois ans, elle n’avait pas lait d’autre voyage que de son lit à sa chaise, et de sa chaise à son lit. Quand ell
lait d’autre voyage que de son lit à sa chaise, et de sa chaise à son lit . Quand elle apprit que le saint-sacremeut passera
e saint Barsès, évêque d’E-desse, guérissait par sa parole, et que le lit qu’il laissa à sa mort possédait tant de vertus,
Michel fit une prière et lui commanda de se lever; celle-ci sortit du lit sans le secours de personne, et sc rendit le lend
s que la nuit était pour moi un supplice; car, aussitôt que jetais au lit , et au moindre de mes mouvements, des craquements
difficulté, que je trébuchais à chaque pas en essayant de gagner mon lit . Aujourd’hui, mes douleurs ont successivement dis
un pois ; celui du genou gauche , qui a été démis durant le séjour au lit , empêchant la marche; celui de l'index droit ayan
liberté de vous soumettre, observations religieusement recueillies au lit de mon enfant mourant, et que j’ai sauvé par le m
es avec la douleur, le délire; on avait peine (1 le contenir dans sou lit ; j'arrivais, je soufflais légèrement sur son fron
48 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
matin, 39°, 5 le soir. De plus on apprend que le malade a uriné au lit , et on constate qu'il s'agit d'une miction par
eprennent leurs mouve- ments, et il les déplace facilement dans son lit . Le 25 avril, il peut faire quelques pas appuyé
tendent au côté gauche. Le malade reste immobile et rigide dans son lit ; il répond à peine aux questions; l'idéation es
des corps opto-striés 1. L'hypothèse que nous avions formulée au lit du malade, d'un processus secondaire descendant
ruit la moitié du corps calleux, la circonvolution qui le surmonte, lit partie supérieure du noyau caudé \' C n, et une
étaient les siennes : il se livrait aux soins du ménage, faisait le lit et la cuisine de ses parents. A dix-sept ans, o
leurs subites, pas de moments d'absence. Le malade n'urinait pas au lit . La première attaque d'épilepsie fut suivie de
nt tel que le malade ne peut se soutenir et est obligé de garder le lit ; on ne constate cepen- dant aucune trace de pa
ropathies du genou; l'un est survenu pendant que le malade était au lit , l'autre avant que tout symp- tôme ataxique eût
ture, entretien); en arrière et de chaque côté, une chambre à dew lits destinée aux indispositions. Au premier, douze ma
e des régions comprimées, sans gêner les malades, de construire des lits pou- vant être inclinés en divers sens suivant
oulue, à l'ins- tar des berceaux. M. vos Gudden fera installer un lit de ce genre. M. MKNUEL adresse une question rel
YCHOLOGIE LÉGALE DE VIENNE Séance du 26 mai 18811. M. 1 ntrsctt lit un mémoire sur le délire systématique des gens qu
s prouvent que c'est non pas la substance fonda- mentale servant de lit aux cellules nerveuses, mais bien la cel- lule
onte à dix-neuf jours. Depuis quatre ou cinq jours, B... gardait le lit ou la chambre pour une maladie fébrile, sans dé
tation est tellement intense qu'on est obligé de l'attacher sur son lit ; elle 132 pathologie mentale. alterne d'abor
n- nelles, elles ne surviennent qu'à la suite d'un long séjour au lit ... On n'a pas observé jusqu'ici de raideur musc
s. Le matin, au réveil, il perd complètement ses membres dans son lit . Allongé dans son lit, il fait, les yeux ouvert
, il perd complètement ses membres dans son lit. Allongé dans son lit , il fait, les yeux ouverts, tous les mouvements
c une incoordination des plus évidentes. Au repos, toujours dans le lit , il a, pendant l'examen, des contractions spont
nelles, elles ne surviennent qu'à la suite d'un long sé- jour au lit . Duchenne, dès le début de l'histoire du tabes,
D 50 '40- -2' ? ' ,. 16 16 w - 4 90'. G = 00 70 7 ? a. 90° D lit n-")4 J à t2'' w +, s r ° t J d 8" 19. G lit
00 70 7 ? a. 90° D lit n-")4 J à t2'' w +, s r ° t J d 8" 19. G lit n° )4 J a )3"w + nu 6 J'it8" Les pupilles réagi
rsque, la faiblesse augmentant tous les jours le força de garder le lit . L'autopsie fut faite avec l'assistance du doct
ant lesquels elle ne s'est pas mordu la langue, mais urina dans son lit , miction inconsciente accidentelle. Le lendemain,
du partiellement connaissance; elle urine inconsciemment dans son lit , elle se mord la langue et a des convulsions. En
r des araignées à pattes volumineuses autour de sa chaise et de son lit et montant sur ses jambes pour se promener sur
l'ont perdue et, abandonnés à eux-mêmes, d'une certaine hauteur du lit , ils retombent comme s'ils étaient paralysés; a
tomb.e en oscillant lorsqu'il est laissé à une certaine distance du lit ; sugges- lions possibles à l'aide du bras droit
, j'ai pris aussi la courbe d'un homme normal (PI. III, 1 4) et PI. lit 15, celle d'un hémiplégique pour montrer quels se
tion le matin. La nuit, si on ne le maintenait, il tomberait de son lit ; il a des frayeurs et ne veut coucher que dans
es genoux; il lui était impossible de tenir ses jambes au repos; au lit , survenait une amélioration, à raison de la sup
s. A ce moment, dyssen- terie de trois semaines; quand il quitte le lit , il lui faut, à l'instar d'un enfant, réapprend
TÉS SAVANTES. 311 Séance du 14 jzcin 1883. M. ,lOLL1·, président, lit un télégramme de remerciements du directeur-méd
esol et au premier, quatre ailes en forme de pavillons de chacun 10 lits (cubage, 1,000 mètres cubes d'air); au centre,
une section de malades agités ou semi agités ne travaillant pas (60 lits )-,un quartier de 120 agités un taxareth de 0, m
on avec salon de conversation ; au premier étage, chambres à deux lits . Les malades de 30 classe habitent le rez-de-chau
ille de Lübeck. - En 1881, on décidait d'édifier deux ailes pour 40 lits ; elles étaient occupées en 1882. Ce qui a permis
ue complètement paralysé, ne peut être soulevé au-dessus du plan du lit ; quelques mouve- ments limités persistent encor
est avec une grande difficulté que le malade arrive à se traîner de lit en lit ; les jambes fléchissent, se dérobent à
c une grande difficulté que le malade arrive à se traîner de lit en lit ; les jambes fléchissent, se dérobent à chaque
e ou la station debout sont impossibles. Le malade reste confiné au lit ; à peine peut-il déplacer ses jambes en les fai-
peut-il déplacer ses jambes en les fai- sant glisser sur lo plan du lit . Pas de douleurs spontanées ni provoquées, La s
otion de la posi- tion de ses membres inférieurs, les perd dans son lit , et ne peut indiquer les diverses attitudes qu'
ment à déplacer ses membres en les faisant glisser sur le plan du lit . Les divers muscles réagissent mieux à l'excitati
faits étaicnt ccrtains. Annette G... avait enlevé une couverture du lit de la chambre meublée qu'elle habitait avec sa
it prise de rai- deur de tout le corps, elle était allongée sur son lit , immobile, les yeux fermés, les mains tournées,
uffit de passer la main devant ses yeux, pour qu'elle tombe sur son lit près duquel on l'a portée. La morphine a eu sur
le mangé depuis la veille, Annette G... prit une des couvertures du lit , alla l'engager au Mont-de-Piété et vendit la r
eur. Jusqu'à l'âge de douze ans, la malade urinait fré- quemment au lit . Cette incontinence nocturne fit place à des ver-
es vio- lentes, qu'il urinait quelquefois involontairement dans son lit quand il avait bu, et même alors qu'il était so
mais au bout d'une minute et demie, il pâlit et tombe étendu sur le lit ; à peine est-il dans la-position horizontale qu
truire, dans le voisinage immédiat de Berlin, un asile de six cents lits , exclusivement consacré aux épileptiques ; on b
alldorf deux nouveaux pavillons contenant, ensemble une centaine de lits ; on arriverait, ainsi, à créer un supplément d
rochure in-8° de 40 pages. Paris, 1896. Librairie J.-B. Bailhère et lits . SAuny (H.). Etude clinique sur la folie hérédi
11urbiUau, 333 ;-de Saint- Albau, 333 ; - de de Somme, 334 ; - de lit Providence, 335 ; de Glas- cow, 33; - (auatomie
sie chez un gaucher, 425. Cervelet (voies d'union du), 234); z ( lit ), 422. Chorée traitée par le bromure de camph
49 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
ier 1905, elles présentent un léger voile. Elles sont abondantes, 2 lit . 1/2 à 3 lit. 1/2 par jour, mais par ailleurs s
lles présentent un léger voile. Elles sont abondantes, 2 lit. 1/2 à 3 lit . 1/2 par jour, mais par ailleurs sont normales,
dans un état de stupeur complète, passant ses journées immobile au lit ou dans un fauteuil, sans prononcer une parole, l
s constitue à peu près tout son vocabulaire. Il finit par rester au lit , pelotonné sur lui-même, recro- quevillé en chi
s ou le mot « non » ; puis il refuse de se lever. Il reste dans son lit , couché sur le côté gauche, pelotonné sur lui-
d'uriner, d'aller à la garde-robe, de se vêtir ; reste nu dans son lit et constamment dé- couvert. Passe tout son temp
squ'en novembre 1905, époque à laquelle le malade s'est alité. Au lit , il a modifié ses stéréotypies. Il jetait les bra
téréotypies. Il jetait les bras dans le vide, de chaque côté de son lit , en disant en même temps « Brr ! ... Brr ! » Le
couchée, le bassin et la région lom- baire reposant sur le plan du lit , les genoux s'écartent de celui-ci de 15 cen- t
t plus mo- biles et la malade peut s'asseoir et se relever dans son lit ; elle peut même faire l'esquisse de quelques p
rticale, les malades sont obligés de fléchir leurs genoux ; dans le lit , ils ne peuvent se coucher comme ils veulent ;
and ou lui fait toucher du pied un objet placé au-dessus du plan du lit . ATROPHIE PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET
cité par Mingazzini (1), et le cas IV de la thèse de Tho- mas où on lit « le malade marche en titubant et en lançant les
cé d'une incision ou la désarticulation d'un os. A l'Hôpital ? Au lit du malade, là, sans doute, le futur docteur pour-
te pas de troubles de la parole. Quoique étant « minus liabens » il lit et écrit assez bien. L'état du malade ne s'est
te adipose. En tous cas, elle n'a jamais été obli- gée de garder le lit par le fait d'une affection intercurrente, d'asth
e en s'effritant laissait à découvert des parties rosées. Un lavage lit apparaître un autre écorché colorié, un vrai, a
bles sphinctériens. Le malade ne présente aucun signe d'aphasie, il lit et écrit très bien de la main gauche. Pas de dy
t à peine marcher avec soutien, raison pour laquelle on le remit au lit . Le lendemain, il avait de la difficulté à mouvoi
oryza, toux, troubles gastriques, influenza peut-être ; il garda le lit pendant cinq jours. En se levant on observa qu'il
, halluciné et presque anxieux. Il s'entend appeler, se lève de son lit pour obéir à cet appel, demande à sortir, n'a a
nués de force d'une façon globale, sans qu'il soit possible d'établir lit une sys- tématisation. Les réflexes tendineux
à droite qu'à gauche ; le malade s'asseoit très péniblement sur son lit , les divers mouvements du thorax sont diminués.
e. Toute pression sur la tête, le mouve- ment de S'asseoir dans son lit lui étaient extrêmement douloureux. On nota que
ool qu'il consomme. C'est ainsi que le 30 septembre il avait pris 1 lit . 1/2 de vin blanc avec deux amis. Il se souvint
ne survenaient que lorsque le malade était debout ou assis dans son lit , jamais lorsqu'il restait couché et immobile. C
re inspiration bruyante par ci par là. Remis immédiatement dans son lit , le coeur cesse de battre après peu de minutes.
de voir. Dès que M. G.... se mettait debout ou s'asseyait dans son lit , il s'en suivait une crise épileptiforme. Ne do
ne sortie au centre de la cale où les serviteurs étaient logés. Les lits de camp, en bois, fixés au plancher, se trouvai
capable de marcher seul et actuellement il ne peut plus se lever du lit . Au dynamomètre on a 17 à droite et 23 à gauche
e la main droite amène 4 et la gauche 13. Le malade est condamné au lit et gâte 'quel- quefois. La torpeur cérébrale es
nerveuse, Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière 1907, n° 2. xx lit UN CAS D'ACHONDROPLASIE PAR CHARON, DEGOUY
augmenta, sans toutefois les déformer d'une façon remarquable. On lit suivre plusieurs fois la cure antibiotique, mais
tion ne se produisait pas au début; n'a commencé à se manifester au lit qu'au bout de deux ou trois mois. Dès lors, les
ue, se coucher tôt, se le- ver lard, rester environ douze heures au lit , éviter les boissons alcooli- ques ou excitante
déter- mine-t-elle la recrudescence actuelle. Il devra garder le lit pendant 2 ou 3 jours ; il est d'ailleurs très cal
sans aucune raideur ni contraction. 12 janvier 1903. - Le repos au lit n'a pas apporté de changement ap- préciable. Il
Il est vrai que Taurone n'a pu rester une journée entière dans son lit ; les contractions ont reparu dans la position cou
mauvaise ; il ne m'a pas été possible de conserver un seul moment au lit la position correcte, et depuis lors je suis en
nt incorrecte : à peine quelques pas sans rotation de la tête. Au lit , plus une minute de bonne position. Je passe mon
Comme me le conseillait votre dernière lettre j'ai passé 8 jours au lit . Au point de vue intellectuel, le repos a été abs
de vue la résistance invincible que j'éprouvais avant ma période de lit . Une autre conséquence a été la sup- pression d
mouvement d'inclinaison de ce côté. 2° Au cours de mon séjour au lit , j'ai éprouvé quelques bienfaits des mon- vemen
en bonne position ? chose im- possible en ce moment. 50 Enfin, au lit , le soir principalement, 1/2 ou 1 heure après le
igue nerveuse. , , 4 avril 1903. - 1° Un peu calmé par le séjour au lit , j'ai essayé de re- prendre les exercices en su
ieure du sterno-mastoïdien. 18 mai 1903. Depuis 12 jours je suis au lit pour attendre et tâcher de favoriser une détent
e m'avaient pas encore gagné quand j'étais couché pour me mettre au lit pendant un certain temps, et c'est ainsi que je s
le plus, c'est que, depuis 3 jours, les contractions se produisent au lit , et ce n'est qu'après de longues périodes d'agi
vois impuissant à obtenir des progrès. 23 mai 1903. - Je reste au lit aussi longtemps que je le puis et voici com- me
re, puis je me recouche. Si je réussis à m'immobiliser, je reste au lit , sinon je me relève de nouveau, attendant une t
immobilisation : si je m'y mets après être resté en bonne position au lit pendant une heure ou deux, j'arrive quelquefois
e complète de préoccupations, existence toute végétative, séjour au lit prolongé, quelques distractions non fatigantes.
iolentes me permettra de conserver cette position, la nuit dans mon lit , le jour, lorsque la température le permettra,
a- tions au grand air jusqu'à 8 heures. De 8 à 9 heures, repos au lit pour me préparer aux exercices. De 9 à 10, exer
, essais de lecture ou tracés de quelques lettres. De 10 à 11, au lit pour me délasser et conserver mieux l'effet des m
ééducation. A 11 heures,déjeuner ; puis 1/4 d'heure de repos sur le lit pour me détendre un peu ; après quoi, une cigar
ès quoi, une cigarette au grand air. De midi 1/2 à 3 heures, sur le lit . De 3 à 4, exercices comme le matin. De 4 heu
. De 3 à 4, exercices comme le matin. De 4 heures à 4 1/2, sur le lit . De 4 1/2 à 5, petite promenade. De 5 à 6, su
1/2, sur le lit. De 4 1/2 à 5, petite promenade. De 5 à 6, sur le lit ou le hamac. A 6 heures, dîner. ' Après dîner
res, dîner. ' Après dîner comme après le déjeuner. A 8 heures, au lit . Résultats : Encore nuls comme tenue et correct
qui dort. J'ai cependant l'intention de faire deux fois par jour au lit des mouvements respiratoires et de passer ensui
ices que vous me conseilliez pendant mes repos de la journée sur le lit ,j'ai très rapidement perdu la faculté que j'ava
re les indices de cette détente et la perte de la bonne position au lit ; s'il en est ainsi, il faut espérer qu'un nouvel
' qu'il est, jouir du repos considérable que j'avais, le séjour au lit entraînant le plus souvent une fatigue par les
nstant je crois la mienne plutôt bonne, malgré la perte du repos au lit . Les nuits sont d'ailleurs encore moins mauvaises
arrière s'étant accentué encore davantage ; je n'ai pas retrouvé au lit la bonne position ; il y a seule- ment un léger
e de la famille. Midi à 1 heure, repas. De 1 h. 1/2 à 3, repos au lit . De 3 h. 1/2 à 5, troisième séance d'exercices
uveau ni lire ni écrire. Malgré quelques jours de repos absolu au lit , les tentatives pour reprendre les mouvements d
eau repos avant le repas du soir. Je me trouvais de mieux en mieux au lit ; j'en arrivais même à pouvoir faire quelques ch
aient horizontalement. La description très nette que donna Ch. Bell lit donnera ce phénomène le nom de phénomène de Charl
r le bandage sur les bulbes oculaires ; en effet, en nous levant du lit le matin nous n'éprouvons pas cette douleur carac
50 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
désespoir de l'incon- duite de son épouse. La malade est du premier lit . Mariée à vingt-trois ans avec un veuf qui avai
e mal empirant de plus en plus et se voyant complètement confiné au lit , il se fait admettre en 1878 comme incurable à
ns pu noter les faits suivants : le malade garde continuellement le lit ; il ne peut plus faire aucun pas, même avec l'
urs, qui sont profondément atteints. Le malade, réduit au séjour au lit , ne peut leur imprimer le moindre mouvement.
leur imprimer le moindre mouvement. Relevés au-dessus du plan du lit , ils figurent de véritables barres inflexibles
la position assise, les yeux hagards; puis elle se renverse sur le lit , et son corps se courbe en arc de cercle, le ve
se qu'elle voit'le médecin. Dans un accès furieux elle tombe sur le lit , puis se relève, frappe le matelas qu'elle plie
nêtre avec l'intention de sauter dans la rue. Elle se cache sous le lit , ou dans toutes sortes d'endroits incommodes. E
moment les convulsions. A peine la malade était-elle mise sur son lit , qu'une nouvelle crise éclata. Il y eut une court
i violents, qu'il fallut quatre personnes pour la maintenir sur son lit . Les paupières étaient de nouveau complètement
nous avons ici sous les yeux. La malade est étendue rigide sur son lit , la tête renversée et tournée de côté, la langu
nécessitent le secours de plusieurs aides pour la maintenir sur le lit . L'observation est accompagnée d'une figure qui
donner du délire des négations. SOCIETES SAVANTES. 113 M. Bounnm lit un mémoire sur le Mensonge chez les enfants. M.
é et le sujet est main- tenu pour l'année prochaine. Le Dr Amidon lit un mémoire sur les Variations du tracémijogra-
on du Dr Seguin parait fort plausible. Le Dr 13.wosvrn (de Chicago) lit ensuite une note sur la manie produite par le b
ail sera analysé ultérieurement. - Sécczcc dzc soi·. -111. Morton lit un travail sur les améliorations apportées dans
ique quand toute autre excitation était infructueuse. M. Birdsall lit au nom du Dr Bachelder une note sur la maladie
e temps elle était étourdie, au point d'être forcée de se mettre au lit , tout tournait autour d'elle; elle était comme
RIPHERIQUES NON TRAUMATIQUES. 203 l'hôpital Saint-André, salle VIT, lit 13, service de M. Pitres, le 23 mai 1882. On ne
le, et qu'on l'a trouvée étendue sans connaissance au pied de son lit . Quelques heures après son entrée à l'hôpital l
ôté gauche sont inertes, et si on les soulève, ils retombent sur le lit sans la moindre tonicité; ils sont en outre, se
telle de tout le côté gauche du corps qu'il fut obligé de rester au lit . Les jours suivants cette faiblesse aug- menta
fesse gauche. Le malade entra à l'hôpital Saint-André, salle XVI, lit 16, service de M. Pitres, le 24 avril 1882. É
es du côté gauche sont inertes, flaccides, et soulevés au-dessus du lit ils retombent lourdement : pas de contracture p
220 RECUEIL DE FAITS. si mai. Agitation ; Pipa... veut quitter son lit ; rejette constam- ment ses couvertures; saisit
éprouva un si violent chagrin qu'elle resta près de quatre jours au lit . Les crises gastralgiques fort rares au début dev
départ. Elle n'oppose aucune résistance, quand on la retientdansson lit . Je suis auprès d'elle, mais elleneme recon- na
qu'elle tient entre ses doigts. Les bras s'allongent ensuite sur le lit et J... garde, pendant environ une minute, une
ruit léger autour d'elle provoque des mou- vements de la tète. Elle lit les imprimés et répond oralement ou par écrit a
s, au lieu dit Lesvellec, commune de Saint-avé ; il contiendra ;i00 lits , pensionnatcompris. Les dépenses de constructio
ictc anatomique, claiisja séance du 21 mars 1882. Voir i Bulletins de lit Société, IS82, p. 192. )7(i ' PATHOLOGIE NERV
ne postérieure fussent t ? o ? o nllC`Ji pn9t1r4. )lilf`JIt^hf( : l lit .il .. 'secondaires, wconsecutives3a,f linflamma
ffaissé que les'jours précédents'et peut à peine''s'asseoir sur son lit ; les douleurs de tête et dès reins sont excessiv
II..11 il > «l.i'fMl' n ! "' (T - ', . ,, .1™, ,, .. -7 14 ? ll, lit , diminue parfois sans causes J appreciablesl'JLll
fléchisseurs des doigts, par exemple, une.cer-, 1. , , 111 Itlt, ), lit , , " >i ? a," ? ;\ ? ' 1 ' laine excitation
i, suivant toute .vraisemblance, que,) ces, 1 mu 1't te i L,>i 1 lit lit" a Ili ii" )-> (1 ? muscles entrent en a
uivant toute .vraisemblance, que,) ces, 1 mu 1't te i L,>i 1 lit lit " a Ili ii" )-> (1 ? muscles entrent en actio
s deux' ordres''de'phénomènes ? t ·nll I t [ ? t"t> ' j' l' Mi o lit > i- "' '' bit Vu ! a'n ? A'r) ? 6e//t-/i'OK
s soin de procéder par petites doses, - b.i....i yl')lit-ltJ : - et lit ) ? th')) ? h par ce que nous avons vu partois c
, , , czclaare est-il un réflexe cutané ? ', . .' h'')t'h ? )'j ? ' lit , 1 ? 'i'l' il, v ' ij .. \it nt \ \> "' - '
dre des réflexes cutanés.- Cette expérienc'e"est']a' suivante ? ni- lit «1^4 - >l» ? u i tt, --t «b'" -* Une excitat
. Nous avons vu de quelle localisation précise était la 't' ? t . lit .il - ? l.. ,IL] * ) 0 '« ' Il rit 9 0 suscepti
infir'mes'ou'pour tout' le reste'de leurs'jours - v>confinés.aUï lit .t,Les,, cas sont nombreux ? d'autre-, part, ,dans
dans une certaine, mesure, soulever le membre au-dessus du plan du lit " , ? "L'e'mémbre' superieurrgaiiché'est"ùn peu1
ontinuent à se reproduire 'fréquemment le lendemain ! "1'' f ' "M^' lit ,. I ,J'Lé'2l, attaque épileptiforme très viblen
live, en obscurcir la marche, /a'm<omoo ? e/)01 absorbera' elll lit i ;, 1. ? ? '' ""' - ,, Dans, un cas semblable
-,b - .<ff* TT ? "'< ? ? f'' ,9tft', tr'tf/<''t-) t ' c'lé Lit c.1-ts ? L'Po normal arrangement on the plexus of
' t t i Jf 'f f ))t ) t ) '< ) 1 lier . ' -i- ' . i.. ,.i ii u i lit Pl 1 Il i veuses. . I ? , ? ,, ? . ,( ,r ,. ? ?
connus, sont tour a tour examinés. Signalons les éléments - ,.J'. t lit .<»,....' /i.- .i ? - 1 i, ' ..n n ." ''.'...,
r 'frtlmlfl·r 5 It·mhl. , . ', ;Ift ' 1 s ; If -illlluf ? l 'r- ' - lit 'lll-l'll il . I ''llKlild'ilt n-;if»t . 'i I )'-
les espaces lymphatiques pen-vasculaires et pen- , . tl ? ( il · t lit -. ,1 > ? T- , ,lj , ? ? I , ,ll , I nerveux
l'enfant, eu jouant, avait passé la tête entre les barreaux de son lit en fer et n'avait pu la retirer qu'avec peine.
attribuer les formes de la folie systématique empruntant ? su (161) Lit , . Il le Il masque . "d , la'nianie et de. la mél
ment'moral et l'éducation des habitudes, les appareils ,de gâteux ( lits , etc.), l'hydrothérapie, la faradisation, les moy
\uV)W\> tayïq 11 «Aiyf^ \.'<i\'y ? \ .p11 'Biodin»'ihLs> f lit ni ? : ,i,lt J fl(Iltn`12 ! 'T'ill'TSfIW 'tl 91
é semblable question à l'égard des descendants du malade. N '' - '. lit < « Mentir est toujours laid, dit M. Lelient
ue psychiatrique, devoir être nécessairement modifiés. Le président lit ensuite le Rapport du Bureau relatif aux conclu-
an. L'ins- tallation offre à signaler particulièrement : l'usage de lits en bois pour les agités et les malades violents
unes. Les étages supérieurs contiennent des dortoirs de dix à douze lits . L'as- pect riant du pays (terrasses), l'abolit
main gauche et marche avec maladresse. Depuis, presque toujours au lit , gâteuse, elle devient méchante et décheoif gra
51 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
e celles d’Europe, obligées par le décorum à mettre la science sur le lit de Procuste, et à se boucher les oreilles quand l
nous adressait un feuilleton de l’Estafette, signé Paul d’Ivoy, où on lit le passage suivant que nous nous empressons de re
Z. PIÉRABI, POURSUITES POUR EXERCICE ILLÉGAL DE LA MÉDECINE. On lit dans les journaux : «M. Fortin, curédeLevis, co
cette justice ne s’exerce que pour la forme, c’est sur le vivant, au lit du mourant, qu’elle devrait intervenir pour être
bien vite, je vous magnétiserai encore un peu, lorsque vous serez au lit , et notre épreuve n’eût-elle d’autre résultat que
un peu indisposé. « Le 23 juillet, je magnétise de nouveau, mais au lit , la malade s'étant couchée de bonne heure, ce qui
ession qu’il éprouvait fut tellement forte qu’à l’instant il sauta du lit , sella son cheval et accourut chez lui au galop.
re le corps de son enfant, le porta dans sa chambre et le mit sur son lit ; puis il cria au Seigneur, et fit une prière. «
l’hospitalité à Elisée, ayant perdu son fils , porta le corps sur son lit et alla trouver le prophète, comme assurée d’avan
se rend à la maison ofi il trouve le corps de l’enfant couché sur le lit : il ferme la porte, prie le Seigneur ; il monte
hé sur le lit : il ferme la porte, prie le Seigneur ; il monte sur le lit et se couche sur l'enfant. Il met sa bouche sur s
e promena et fit deux tours dans la chambre. Il remonta encore sur le lit et se coucha sur l'enfant. Alors l’enfant bâilla
édium, et il faut remarquer que nous étions seuls, en tête à tête. On lit dans cet article : Et maintenant que vous tenez t
gnage d'une personne honorable actuellement à Paris. Voici ce qu’on lit dans la Presse : « La fable seule a trouvé l’un
qu’on ne lui ferait pas de mal. Alors les esprits la levèrent de son lit , la portèrent dans la chambre et la posèrent entr
ite ils l’enlevèrent de nouveau, la reportèrent délicatement dans son lit , et remirent sur elles les couvertures. Après quo
sur elles les couvertures. Après quoi, deux esprits s’assirent sur le lit , chacun d’un côté, et lui caressèrent les joues a
les personnes gravement atteintes. Le curé du lieu était au chevet du lit de la patiente, l’exhortant à la résignation. J’a
ssement, d’une pleurodynie du côté droit, qui le tenait doué dans son lit . Le malade pouvait à peine respirer, le moindre m
al avec la main. Un quart d’heure après, il pouvait s’asseoir sur son lit , et le lendemain , Paria était en convalescence.
ns des circonstances semblables à d’autres généraux de l’empire. On lit dans les Etudes sur Napoléon, du colonel deBau-du
e amusante s'est répétée dernièrement sous le secret d'un artiste. Ou lit dans l'un des feuilletons de Paul d’Ivoy : a M.
es soins lui seraient bons, je le vois ; ils éviteraient de rester au lit dix-sept ou dix-neuf jours. Je suis sans puissanc
cteur Oppert, que le roi de Prusse vient de fonder un hôpital de cent lits , où les malades seront traités uniquement par le
lui nuire, une cuillère d'argent, par exemple, furent éloignés de son lit ii travers les airs comme par des mains invisible
de l'ouverture d'un large ravin, au fond du-« quel serpentait, sur un lit rocailleux, un ruisseau assez abondant. Lom-« bo-
était mort et bien mort: un médecin l’avait déclaré. P1ÉRART. On lit dans les journaux du 8 au 11 août : « Un fait c
le Courrier de Paris est de la plus exacte vérité. Z. PIÈRART. On lit dans le Courrier de Paris du 19 juillet : Jusqu
st mon chapelet (2).» Agréez, G”* Paris, le 17 juillet 1857. On lit dans le journal les Chroniqueurs du 19 juillet :
être un jour je serai plus heureux, et je verrai. PAUL d’ivoi. On lit encore dans le Courrier de Paris : M. Home, qui
rs, des montagnes, etc., comment peux-tu voir? « J'y vois. 2" — « lit lorsque je te dis de regarder un objet éloigné de
it profondément, ainsi que Savage. Pour cela , je me glissai sous son lit , et me mis à frapper sur le plancher, les pieds e
n lit, et me mis à frapper sur le plancher, les pieds et les côtés du lit . Ces bruits réveillèrent bientôt Goodall, qui s’a
du lit. Ces bruits réveillèrent bientôt Goodall, qui s’assit dans le lit et se mit à interroger ce qu’il croyait être un e
et en lui montrant ma tête : Vous êtes bienvenu. Il s’élança hors du lit , fort mécontent, et me poursuivit ; mais j’avais
s étions seuls. Nous avions à peine éteint la lumière cl gagné le lit , que clos bruits sourels se firent entendre sur l
mieux découvrir d’où ils partaient, et alors un livre fut jeté sur le lit . Je le pris : il faisait, clair de June, et je po
notre ami Rcdman me dit de le retenir, parce qu’on le tirait hors du lit . Je le saisis; mais je fis de vains efforts : une
efforts : une puissance supérieure me domina, Redman fut tiré hors du lit , puis entraîné sous le lit. Nous nous étions à pe
érieure me domina, Redman fut tiré hors du lit, puis entraîné sous le lit . Nous nous étions à peine recouchés, lorsqu’un au
e fut violemment jeté contre la persienne, d’où il vint tomber sur le lit , ce qui nous fit tirer la couverture par-dessus n
p sur un cor. Pensant que ce jeu finirait, si je m’asseyais dans le lit , je me décidai à mieux observer, et à voir, si c’
comme si quelqu’un piétinait sur moi. La lampe fut jetée aussi sur le lit . L’alphabet ayant été redemandé, il fut encore ép
e fois encore nous nous couvrîmes , et alors nous fûmes tirés hors du lit , tous les deux, comme collés l’un à l’autre ; pui
r ainsi l’invisible, qui ne la reprit pas. Encore nous arrangeâmes le lit et y remontâmes , et l’alphabet ayant été redeman
u'en éprouva, madame B... la força à revenir promptement se mettre au lit . Le lendemain, instruit de,son retour, je me hâta
vous donnerai le pouvoir de le guérir vous-même. Veillez près de son lit ; et aussitôt qu’il se disposera à se lever, pren
en lui ordonnant de se rappeler sa promesse. Il retournera à son lit , et il sera guéri. — « Est-ce tout? — « C’est
réfugia sous un arbre ; mais au même instant une forte détonation se lit entendre : la vache fut tuée par le fluide électr
ant voici un petit article que j’extrais du Journal de Genève : «On lit dans la Gazelle Saint-Galloise qu’un médecin bern
RIN. CHRONIQUE. SOMNAMBULISME. — DÉFI PORTÉ AUX ACADÉMIES. On lit dans le Siècle du 10 octobre : A M. le Rédacteu
veler cette expérience avec madame Louyet. M. Paul, notre collègue, lit ensuite un long article favorable au magnétisme,
out des doigts, que ia presence d’une force étrange, singulière!, s’y lit remarquer par un bruit de coups frappés çà et là,
es d’une apoplexie nerveuse : il était étendu sans mouvement dans son lit depuis une huitaine de jours ; le pouls insensibl
raphique à M. le baron du Potct un lion médecin magnétiseur. Celui-ci lit dire aussitôt par la même voie à M. Bégué de se r
partis tranquille. Le malheur voulut que cet ami fût cloué sur son lit deux jours après à la suite d’une chute qu’il fit
ère cet homme loyal qu’elle avait connu pendant six mois au chevet du lit de sa fille; je n’étais plus que le militaire che
LE ÉLECTRIQUE. Fait renversant. — Avis à MM. les Académiciens. On lit dans t’Union bourguignonne : ' « Une personne s
ancher marqua l'instant où elle était enlevée. Bientôt le jeune homme lit entendra des exclamations de douleur. A mes quest
qui, sans examen, rejettent le magnétisme comme impossible... On lit dans le Pays du 7 décembre : « L’ambassadeur de
à nous, que nos communs e/forts. BARON DÜ POTET. VARIÉTÉS. On lit dans le journal le Nord : Nous extrayons de not
es questions que je livre à la sagacité des hommes compétents. » On lit dans C Ami des sciences du 29 novembre : BRUITS
s à cette petite expédition. z. p. FAITS DE P RESSENS ATION. On lit dans la Patrie du 22 septembre : n Faut-il ou n
faisait un beau clair de lune. Un large rayon de lumière éclairait le lit de son frère ; spontanément il regarda de ce côté
lairait le lit de son frère ; spontanément il regarda de ce côté ; le lit était occupé. — « Tiens ! tu es rentré? « P
membres raidis. « Epouvanté, il allume une bougie, il regarde... le lit est v ide ! — « Suis-je fou? dit-il. Quelle est
idement quelques lettres sur le papier et disparaît. Il s’approche et lit : Goilefruy. C’est le nom d’un de ses amis qui vo
52 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
e A, 0, P, T. Main- tenant, il possède un petit vocabulaire, écrit, lit sur les lèvres, dit à propos quelques petites p
ramment. 1° Bouil... n'avait rien appris jusqu'en juillet 1895 : il lit cou- ramment, fait des dictées, additionne, éco
mi.. Emile (18 ans) ne connaissant que les lettres en janvier 1895, lit couramment, apprend tous les jours des leçons,
issement DE la fondation. . III. CONSTRUCTION DU bâtiment de CENT lits . Nous avons reproduit claus notre dernier Compt
e surveillance des asiles sur la construction d'un bâtiment de cent lits il la Fon- dation Vallée. Le projet a été voté
taine ceux qui sont inscrits pour être admis lors- qu'il y aura des lits vacants : d'autres demeurent dans leurs familes
faibles. Quand on assied le malade, sa tête retombe jusque sur le lit . 'l'.lt. 3`J°,G. G. 2G février. - L'enfant n'a
mi cette nuit. Il n'a cessé de se remuer, de chercher à quitter son lit , d'injurier les personnes qui le gardent. - A p
l'ennui ; s'il réussit, il est, au contraire, très fier. Lorsqu'il lit et surtout quand il écrit, il est agité, tire l
re. - Depuis le commencement du mois, l'enfant refuse de quitter le lit . Quand on le lève do force, il s'affaisse sur s
s de deux cents. Quand nous l'avons vue, elle était étendue sur son lit , immobile, sans connaissance, ne réagis. sant p
accès rares. - Mère, rien de particulier, sauf qu'elle a uriné au lit jusqu'à 16 ans. - Grand-père maternel, excès de
l'enfance ; pas de maladies nerveuses ou autres ; elle a uriné au lit jusqu'à 1G ans ; éprouve de rares maux de tête ma
survint peu après et- la. DESCRIPTION DE la malade. 71 i tint au lit doux mois, elle cessa de marcher et de parler. El
ès de colère. A l'école, IIenn., se montre studieux et docile, il lit à voix un peu basse, mais avec expression et sa
es coutumes de piété, fait sa prière chaque soir, dit son chapelet, lit son livre de messe, porte un scapulaire. Tantôt
ssin..., Guibl..., Lalleni..., Morti..., Tliom... (B). \Vil.. C'est lit une mort : Ul.é proportionnellem' nt plus grande
t et dont on ignorait la présence ; il défaisait les rou- lettes du lit de ses parents. Un jour en faisant levier avec un
rre de bois et en superposant des cales, il parvint à soule- ver un lit très lourd. Il arracha toute l'étoupe qui garniss
sa sieur ainée. Il couchait clans la même chambre, les pieds de son lit répondant aux pieds du lit de sa soeur. Il s'est
clans la même chambre, les pieds de son lit répondant aux pieds du lit de sa soeur. Il s'est levé tout debout l'entend
rait devenue moins libre et l'enfant, de temps en temps, faisait au lit . A 12 ans, il a été très vivement impressionné
ii. - Tremblement des jambes qui oblige de maintenir ' le malade au lit , pour éviter le retour des faiblesses qui le pr
15 juin. - Agitation pendant la nuit : le malade s'est levé sur son lit et voulait battre la veilleuse. Ce matin il ne se
angl... est plus agile. Naguère elle voulait tou- jours demeurer au lit , maintenant elle demande à se lever ; elle est
(système et de l'échelle convexe ; dis- tingue toutes les lettres, lit sans épeler (d'après la méthode nègimb1ud) les
labes simples (une con- sonne, une voyelle). Ecrit les mots qu'elle lit . Imite de petits dessins sur papier quadrillé.
par moments on s'aperçoit qu'elle raisonne mieux. En classe, elle lit mieux et copie mieux ; pas de progrès en calcul
onde moitié du mois a été beaucoup meilleure ; Marie-Louise compte, lit les nombres jusqu'à cent ; commence l'addition.
pelle l'un de nous « son amoureux » et voudrait qu'il l'embrasse au lit . 514 Traitement médico-pédagogique. /iott(. T
plus en plus rarement. En classe l'écriture est meilleure, l'enfant lit couramment, fait seule des lettres à sa famille
ment, à compter jusqu'aux nom- bres de 4 chiffres, qu'elle écrit et lit , à faire des additions et des soustractions, à
bre 1895. Personnel lu III. QQI.1 ! 5lrnction d'un bâtiment de cent lits LVI Table des matières. 253 Section III : Ass
53 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
divinités authentiques de toutes sortes, qu'il ne pouvait gagner son lit sans en-"jaoïb.er* quelques momies. Nous ne sui
é réalisés dans l'impression et la ciselure de la gravure sur bois. lit . II. Femme a barbe. {Chronique de Conrad Lycoaibc
de cette période de huit jours, pendant qu'elle est couchée dans son lit , tout à coup sa face devient grimaçante, ses yeux
é dans les Hôpitaux • .; •. Rll'll U YXtUhll ill SeWIKl, 13 S*ft JMI. lit . Neurat&énle, Maladies nerveuses, tic-Dragé
érir. Pausanias (Description de la Grèce, I. X, chap. 32} parle des lits qui étaient disposés dans les temples d'isis et d
uggère plusieurs fois de suite que chaque nuit, dès son entrée au lit , ¡1 s'endormira très vite et très profondément, q
Atkarsk. Voilà pourquoi, moi, naturaliste, je me suis trouvé près du lit de la malade, sur la demande du docteur Genischek
s attaques : 1* Elle se trouvoit prise tout à coup, tantôt dans son lit , tantôt montant les degrés ou faisant autre chose
t montant les degrés ou faisant autre chose ; si cela lui arrivoit au lit , on ne pouvoit s'en apercevoir qu'en ce qu'elle n
737, visitant l'hôpital à 10 heures du matin, je trouvai la malade au lit , la faiblesse et le ma! de téte l'y retenoient ;
loit parler à plusieurs de ses amies qui s'assembloient autour de son lit ; ce qu'elle disoit avoit quelque suite avec ce qu
tion en forme de catéchisme qu'elle avoit entendue la veille, elle en lit des applications morales et malicieuses à des per
fille, et fit du bruit avec une pierre portée contre le chevet de son lit ; cette fille en tout autre temps auroit tremblé d
s elle chanta, fit des éclats de rire et des efforts pour se tirer du lit , ce qu'elle fit en sautant et poussant des cris d
oussant des cris de joie. Je m'attendois à la voir heurter contre les lits voisins, mais clic enfila sa ruelle et tourna à p
s ta salle, elle enfila de nouveau sa ruelle sans tâtonner, se mit au lit , se couvrit, et peu de temps après elle fut catal
nU,IXbe«U>.d«a Habeas. ¦il li KT, lie. rw SaiM-Aatolaa. «H ET, ... lit .» VrrtesM. lUHUrM (I intuii, tt. ree Acber. aUHBi
un traumatisme provenant des manoeuvres nécessitées pour arranger le lit de la malade, était de la dimension d'une pièce d
non encore éveillée peut cependant se mouvoir et se soulever sur son lit . Le lundi 2h mal, les mouvements convutsifs ne
M. B. exhale des plaintes et se soulève » plusieurs reprises sur son lit . Je lui demande où elle souffre, elle montre sa p
-t-on déjà arraché des dents? ¦ Comme je m'éloigne un moment de son lit pour me rendre dans la pièce voisine, elle demand
us faible et très oppressée. Elle se soulève ù choque instant sur son lit , tousse fréquemment et demande un mouchoir pour c
mère de quatre enfants, d'un tempérament nerveux et colère, garde le lit depuis vingt-cinq jours, car clic souffre d'une n
ngué. Elle parle facilement l'anglais, mais un peu à sa manière. Elle lit , mais sans épeler, et reconnaît les mots d'après
pleine et entière connaissance ; il lui semble qu'elle s'est mise au lit la veille et que rien d'anormal ne s'est passé. V
calme et la résolution musculaire prédomine. Gésine repose dans son lit , couchée sur le dos; cependant, elle ne garde pas
car la malade détourne la tête dès qu'on approche une lumière de son lit . La sensibilité tactile et musculaire est très ob
sa sœur qui, il y a dix-septans, couchait à côté d'elle dans le même lit , mais qui, depuis longtemps, s'est mariée et a qu
ieurs avec assez do facilité et d'énergie, tant qu'ils sont dans leur lit et être incapables de se tenir, même un très cour
ablir, elle ne peut marcher sur le plancher; mais elle le peut sur le lit , sur les bancs, sur les tables, etc. ; elle peut
une douleur dans la région précordiale. Elle se met immédiatement au lit , mais aussitôt reviennent la tristesse et le mal
maux de téte ont aussi disparu. Elle s'intéresse à ce qui l'entoure, lit , va au tlréâtre, visite les magasins, va chez ses
ne de minutes. La mémoire de la malade s'améliore manifestement, elle lit et s'intéresse à son entourage. Elle est encore s
, elle ressent une légère douleur dans la région cardiaque. Mais elle lit volontiers, s'intéresse à tout ce qui l'entoure e
urs après, la malade a une attaque à 4 heures du matin; elle tombe du lit , avec perle de connaissance, et se lord en convul
illeurs quelque chose d'impulsif : « Dès qu'il vil Schaoul, Iahvé lui lit savoir ceci : * Voilà l'homme dont je t'ai « ains
bilité. La force musculaire est conservée. Toutefois son émotivité se lit sur son visage que vous voyez rouge et couvert de
ns la vérification des preuves de l'aliénation mentale. Le repos au lit et la folle. Un médecin-expert du nord de l'Ang
r mes soins à une femme d'environ (renie ans, littéralement clouée nu lit par une crise de rhumatisme aigu. Bras et jambes
dès que ses ordres n'étalent pas bien exécutés. Or, 11 arriva pendant lit bataille du Burgos qu'au moment décisif, un capit
M). boulevard ????????. (OUI, boulevard' Saint-Wartln. LlUtlir t Mit lit ?. tmimu. ?.', b. Hsaismaaa ttBU'M SOrtUlt. li. b
n organisme un trouble profond. Elle reposait tranquillement dans son lit , lorsque le 1" janvier une bande de masques Ht so
le résultat de la suggestion ou do l'imitation. Tour les jours, au lit du malade, le médecin fait et doit faire de la su
car il a cinquante ans... etc. Si, par exemple, elle est restée au lit quelques minutes plus tard qu'à l'ordinaire, clic
l UâpIUUI C*ntlo-ri3«Bi il Vk-.Uii'. iu &âaa, 13 &tfl 1901. lit . NenrasiheQie, .Usladici nerveuses, oie Dragoea
e faiblesse que, le 26 novembre, celte femme est obligée de garder le lit . L'estomac ne garde aucune espèce de nourriture s
cœur. Elle est très anémiée et ne peut faire aucun mouvement dans son lit , sous peine de s'évanouir; les yeux sont enfoncés
augmenté graduellement et qu'elle s'est sentie en état de quitter son lit la veille du nouvel an. A cette même date du 28 f
que. Mlle X..., âgée de 28 ans, modèle, éprouve, dès qu'elle est au lit , le besoin de se livrer à l'onanisme et le contac
ation jugé dangereux et destructeur, ce qui amena son internement. On lit mention de sa barbe sur le registre en 1878 comme
sens klnesthé-sique sont conservés. Je me mets à coté d'elle, sur son lit , et, de mes deux doigts (index et médius), je com
e lui ordonne alors, à la façon d'un thaumaturge, de descendre de son lit et de faire le tour de la pièce, ce qu'elle fait
on, le lecteur ne la volt pas ; a la deuxième, Il la voit, mais ne la lit pas; à la troisième, il la lit; à la quatrième, i
a la deuxième, Il la voit, mais ne la lit pas; à la troisième, il la lit ; à la quatrième, il s'informe du prix de l'articl
s la maison de santé du docteur Gourgeon. Là on la soumet au repos au lit et à la suralimentation. Par ce traitement la mal
'en a nulle envie et ensuite parce qu'elle ne comprend pas ce qu'elle lit : elle est incapable de suivre l'enchaînement des
t plus. A partir de ce moment, la progression de la personnalité se lit suivant la règle bien connue : les souvenirs reve
dans l'intervalle des repas, pour se soutenir, elle cachait dans son lit de la viande et plusieurs gros morceaux de pain ;
Renaissance (Une pièce de M. Maurice Donnay à la), p. 2S2. Repos au lit et folle, p. 160. Rêve (Contribution à la psychol
54 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
lectro-dynamisme Vital, publié en 1855, il y a juste quarante ans, se lit ceci : « En effet, disais-je, si nous démontron
A côté de ces phobies, citons un exemple de philie extraordinaire. On lit dans l'histoire d'Ecosse qu'une jeune fille, née
pirées et qui ont été exposées dans les conférences ultérieures ou au lit du malade). J'essaie de nouveau la suggestion
xpliquant que je veux simplement l'endormir quelques minutes dans son lit , que cela ne le fatiguera plus, au contraire, et
l'expiration soufflée au sommet. Le plus souvent, parle seul repos au lit , par une simple potion thébaîque, avec quelques a
ontenterais désormais de l'endormir pendant quelques minutes dans son lit pour guérir sa maladie de poitrine, et, lui tenan
de la guérison. Comme exemple à l'appui, je lui montre son voisin de lit , qui, tuberculeux aussi et souffrant depuis des a
haleur du démêlé, on aperçut un insecte noir courant sur le chevet du lit de Nicole. Naturellement, les catholiques virent
qui est du propre des femmes », s'approcha de Nicole étendue sur son lit sans mouvement, probablement en catalepsie. C'est
s, n'est pas discutable, et les pays les plus civilisés, ceux où l'on lit le plus, sont aussi ceux où l'on compte le plus d
mbes a un peu diminué. J'affecte maintenant de passer vite devant son lit , en disant : « Cela va mieux. Les douleurs diminu
rs ; elle est réveillée en sursaut, est obligée de s'asseoir dans son lit . Cet accès dure aussi à peu près de onze heures j
e dort moins bien ; elle est agitée et se retournait souvent dans son lit . Cependant elle n'avait pas d'oppression, c'était
; souvent, ceux qui passent la nuit à siffler et à souffler dans leur lit , dorment facilement et sans oppression à la faveu
et se levait de bonne heure pour se rendre sur l'eau. Il tombe du lit , mais n'urine pas; l'accès est court, pas de ster
ie ; cet accès est accompagné de trois autres, dont un second dans le lit , mais sans chute à terre. X... passe l'examen d
t et depuis longtemps ; il se ronge les ongles de même. — Il urine au lit depuis sa naissance, — il est assez docile, timid
s sur une place très fréquentée » et son complice « sera brûlé sur un lit de fer chauffé au rouge » (VIII. 354-86) L'alco
d'avril 1893, une scarlatine avec albuminurie consécutive la tient au lit pendant près de six semaines. Elle commence déjà
ai vue pour la première fois le 14 février 1894. Couchée ou assise au lit , elle exécute tous les mouvements dos membres inf
te précision et force, ayant les yeux ouverts ou fermés. Mais hors du lit , soutenue des deux côtés, dans le but de l'aider
la catastrophe. Lorque jo n'avais pu la sauver, je sautais au bas du lit , les pieds nus sur un carreau frotté, malgré le f
s un état hypnagogique, qu'il n'y a pas de course ; il reste ainsi au lit toute la matinée ; on vient le faire lever, il ré
sursaut, en proie à une grande frayeur, elle se trouve assise sur son lit , elle ne peut se rendormir. Le lendemain, elle vi
dans la main. Elle va pour se coucher, elle veut avancer un peu son lit de fer, elle l'attire... et ne peut plus le lâche
et cherche partout, va dans une autre chambre, regarde sous tous les lits , court au grenier, à la cave, au pressoir ; puis,
lle était complètement amaurotique, et que, même étant assise sur son lit au moment où elle prenait ses repas, elle s'endor
faire autrement que de dormir. On la trouva morte subitement dans son lit un matin. Elle avait succombé à une hémorrhagie q
tanée que les muscles qui ne sont pas couverts par les couvertures de lit — si Ton ne veut pas risquer d'éveiller la person
i-même, il suffirait de la présence d'une autre personne près de leur lit pour faire cesser le sommeil. En tout cas, des sé
tat des muscles ni le contact du corps entier, par les couvertures de lit ; on est ordinairement restreint à sentir une seul
rdinaires de l'aliénation. La diminution de la folie par le séjour au lit le matin est une lâche que chacun peut se propose
rdu, l'insomnie était complète, il lui était impossible de quitter le lit où il gardait une position très inclinée en avant
Mais on revint à la charge ; on s'adressa à de mes amis ; le père me lit parvenir des lettres de recommandation. De guerre
bes. Croyant que c'était la faiblesse, je me remets tranquillement au lit . Soudain, je ressens un violent picotement à la h
t être transitoire. Supposez le passage de 3 vers 2 aboli, le sujet lit bien, mais ne comprend pas ce qu'il lit, et pourt
e de 3 vers 2 aboli, le sujet lit bien, mais ne comprend pas ce qu'il lit , et pourtant, dès qu'on lui présente les objets,
m (Ferrand). Le manque d'attention produit souvent le même fait: on lit mentalement ou même tout haut sans savoir ce qu'o
même fait: on lit mentalement ou même tout haut sans savoir ce qu'on lit . Le schéma du système auditif est identique à c
oses promises en vain, une montre, s'il restait 3 mois sans uriner au lit ; ce ne fut que la dernière nuitquel'incontinences
secoue tout l'appareil animal. — Ce petit garçon de 10 ans urinait au lit généralement les jours où il avait été prendre un
ccincts au texte de l'ouvrage : A la page 111, quatrième alinéa, on lit : o L'éducation et la médecine de l'âme trouven
et dont elle voit le nom (Aphasie de transmission) ; 2e La malade lit le mot à haute voix, sans hésiter, mais ne sait p
mnambulisme et on lui fait relire le même passage. Dans cet état elle lit sans hésitation et comprend tous les mots. Réve
e, ni le voir. Pendant ses crises, en effet, elle se cache sous les lits , ou bien elle le poursuit et lui jette des pierre
asard de la clinique me conduisit, il y a dix ans, en 1886, devant le lit d'un malade atteint de poussées ambulatoires, Le
face congestionnée et bouffie, s'étirer et bâiller, je sortais de mon lit frais, gaillard et dispos, après six heures de so
ce. Je me souviens que mon père, qui était très matinal, venait à mon lit avant même que le" jour commençât à poindre, m'en
loyer ce que j'ai d'énergie, pour m'arracher le matin aux douceurs du lit d'où je descendais si allègrement autrefois. J'
de peine à m'éveiller le matin, c'est que je ne suis jamais dans mon lit avant une heure de la nuit, allant tous les soirs
, je ne rêve jamais que quand je suis malade ou quand j'ai un mauvais lit . un lit auquel je ne suis pas habitué. Et je conn
rêve jamais que quand je suis malade ou quand j'ai un mauvais lit. un lit auquel je ne suis pas habitué. Et je connais nomb
55 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
ns humides, il contracta les fièvres palustres, qui l'ont retenu au lit pendant deux grands mois. Il affirme n'avoir ja
93. Cités par M \GNUS LEvr. - Des Sloffwechsel nach der Ifastration. lit Vox NOOIWEN, IIandbuch der Pathologie der Stoff
ts qu'on leur a servis, depuis combien de temps ils ont quitté leur lit , si l'on se trouve en hiver, en été, (1) Kraepe
maîtresse, sa belle-soeur veut s'em- parer de son argent, dans son lit couche un étranger ; un malade vient de faire u
oursuivis par des oiseaux ; d'autres trouvent des vipères dans leur lit , entendent, des hommes chuchoter, se disputer d
, veulent sortir, et sans savoir où aller, courent autour de - leur lit . « La presbyophrénie est-elle une maladie parti
ont elle n'a gardé aucun souvenir, enfin à la Salpêtrière. Tenue au lit par une entorse, elle raconte qu'un monsieur est
du reste d'intensité d'un jour à l'autre. Il se lève souvent de son lit , va aux portes. (1) Voir Nouv. Iconographie de
mouvements des bras sont ataxiques ; il ne sait plus retrouver son lit , dont il s'est peine éloigné. On est frappé du fa
oments, son regard prend une expression terrifiée; il bondit de son lit , lance des cris d'effroi et boxe des êtres imagin
te est nette : les membres de ce côté retombent lourde- ment sur le lit ; il n'en et pas ainsi à gauche. Il y a encore un
d'lvry, était depuis cette époque gâteux et ne bougeait pas de sou lit . Il remuait bien ses membres et parlait facilem
l ne mange plus et a des étouffements. On le trouve couché dans son lit , ne faisant aucun mouvement spontané, plongé da
il ne sort qu'en entr'ouvrant les yeux, quand on s'approche de son lit ou quand lorsqu'on l'interroge, pour y retomber a
ttre tout à fait normale d'après celle-ci. 9 janvier. Maintenu au lit depuis le commencement de l'année'. Il est un p
onner un ? » Puis il prend sur la table nue feuille d'ordonnance et lit spontanément à voix basse l'instruction sur l'al-
ns forme de politesse. - On a noté qu'il urine de temps en temps au lit . 25 janvier,- Mutisme complet. Toujours ses ges
être toujours les mêmes. Depuis environ un mois, G. n'a plus uriné au lit , il se promène depuis trois jours dans la cour
té déjà malade une pre- mière fois. 22 avril. Commence à gâter au lit et, levé, dans son pantalon. Va dans les W.-C.
e qui y était avant. Le rang des cellules cartilagineuses (e, de la lit . 8) a disparu. Décaleination et coloration comm
lus vite possible ; il revient ensuite à sa place,s'asseoit sur son lit et se met à consommer lentement ce qu'il vient de
varus équin ; le bord externe des deux pieds appuie sur le plan du lit , les deux plantes se regardent. Petits orteils fo
es de la sensibilité générale, sensations de paille de fer dans son lit . Idées va- gues de persécution dirigées contre
est allumé. Jusqu'en 1910, elle pouvait la nuit se retourner dans son lit pour se saisir de son vase dans sa table de nui
Voici quelques-uns de ceux-ci : 1° Le malade étant couché dans son lit , si nous lui demandons de sou- lever la jambe e
Si nous cherchons maintenant l'ataxie chez lui, soit étant couché au lit , soit debout ou en le faisant marcher sans cann
Boulogne disait patbonomo- nique : le malade étant couché dans son lit , et s'il veut soulever la jambe en l'air le gen
talon du membre relevé le genou de l'autre membre qui repose sur le lit ; rester debout avec les talons rapprochés, rest
aussitôt que le malade laisse, par exemple, reposer la jambe sur le lit , ou s'il est couché, les contractions cessent M
pire. Le résultat est le suivant : Si le malade est couché dans son lit ,on observe qu'il soulève la jambe en l'air, la
XIE TABÉTIQUE 34H pas prévenu, en voyant exécuter ces mouvements au lit , on ne pourrait pas soupçonner que le malade es
avons donné plus haut, dans lequel le malade, étant couché dans son lit , soulève le membre inférieur étendu, est un mou
vement, et c'est seulement quand le membre est bien appliqué sur le lit qu'on sent que la dureté disparaît. Par contre,
e muscle est relâché ; et si nous abaissons lentement la jambe sur le lit , le muscle est tout le lemps mou. 2° Si maint
du mouvement, quand le membre est près d'arriver sur la surface du lit , alors on sent une nouvelle contraction. Cette
rait ensuite rapidement dès que la jambe repose complètement sur le lit . On comprend ce phénomène : les muscles adducte
a descente, et même quand il est arrivé à le laisser reposer sur le lit , les muscles antérieurs cette fois-ci antagonis
du malade. Disons-lui d'abaisser le membre, et de le laisser sur le lit , on voit t que rapidement le membre tombe , tan
les, on l'observe même quand le membre repose tranquillement sur le lit , et il dure quand le malade soulève le membre et
et à écrire. Actuellement elle ne sait plus écrire du tout, et elle lit très défectueu- sement. Elle est timide, elle
lagueuse. Elle s'est montrée très complaisante pour ses voisines de lit à l'hôpital, et aimait à rendre ser- vice aux s
temps que nous parlons avec lui, la main droite sous le menton. Il lit bien mais lentement. Il a suivi, dit-il, quelques
examiné, j'étais dans le quatrième banc. » Il ne retient pas ce qu'il lit . Le calcul mental pour les nombres d'un seul ch
icotements et des élancements assez vifs. La chaleur et le repos au lit amendent ces troubles ; aussi le matin le nez e
'accompagne de mouvements convulsifs. Il lui est arrivé d'uriner au lit sans s'en apercevoir. A l'examen, jeune homme d
l'entrée (octobre 1911) : Homme de 34 ans, qui, soit debout, soit au lit , n'en paraît que 18. L'aspect un peu âgé qu'il
arence grippale ayant nécessité pendant trois semaines le séjour au lit , et accompagnés de douleur et de gon- flement d
ussi le ma- lade cesse-t-il de se lever ; il demeure constamment au lit , immobile, chaque mouvement (dont au reste l'ex
de, d'une apparence très forte et un peu obèse, ne quitte jamais le lit . On le trouve toujours couché dans son lit dans l
èse, ne quitte jamais le lit. On le trouve toujours couché dans son lit dans la position dorsale, ou assis dans son lit
urs couché dans son lit dans la position dorsale, ou assis dans son lit avec les jambes croisées. Du côté de la tête, o
s il est incapable de détacher le membre entièrement de la surface du lit . Quant à la résistance qu'il oppose aux mouveme
et limités, il peut à peine le soulever à 20 centimètres au-dessus du lit , et ne peut pas aller plus loin, parce que, dit
rvation suivante. Le malade était dans l'impossibilité de quitter son lit , il prenait ses repas dans son lit. Je remarqua
s l'impossibilité de quitter son lit, il prenait ses repas dans son lit . Je remarquai un jour, quand il était en train
airement l'autre main, referme celle-ci et s'appuie avec elle sur son lit , ou sur son genou, pour prendre, dit-il, plus d
peu. Déjà en s'approchant du malade, on était frappé de voir que le lit était d'un côté fermé par une grande planche mi
on séant, il risquait, avant qu'on mît la planche, de tomber de son lit . Quand il est assis, il croise les jambes l'une
re point d'appui sur la planche, ou s'il ne mettait la main sur son lit , derrière son corps. Assis toujours sur son séa
lui renverse le mem- bre sur l'abdomen. Le malade étant couché au lit , si on lui demande de soulever la jambe en l'ai
ès lo début en dehors du genou, et talon alors touche la surface du lit au lieu du genou, tout ceci parce qu'il ne peut
un rôle impor- tant. Quand le malade, cité plus haut,est couché au lit et soulève le membre infé- rieur trop brusqueme
s l'année dernière,-il est presque incapable de pouvoir quitter son lit , comme nous le ver- rons plus loin. La sensatio
la nuque. Les pieds sont tombants, et appuyent sur la surface du lit par leur bord externe. Tous les mouvements ac
va en descendant à la recherche de celui-ci. Assis sur le bord du lit , il peut se mettre debout comme une personne nor-
sur eux. S'il est debout avec les yeux fermés, il s'asseoit sur le lit brusquement ; avec les yeux ouverts, il s'asseo
es analyser. Notre malade se tient debout, se fixant sur le bord du lit par une main, et avec l'autre s'appuyant vigour
l fait, une fois qu'il est assuré d'être bien appuyé sur le bord du lit et sur sa canne. Mais ce mouvement de porter la j
Le malade est debout et s'appuie avec la main gauche sur le bord du lit et avec la droite sur sa canne. Nous lui disons
56 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
; onanisme. Rapports avec l'infirmier D. le 2" sep- tembre, dans le lit de l'infirmier. Syphilis. 5° Blo., J. Louis : E
e se livrer sur lui à des attouchements, le soir, quand il était au lit . Pas de rapports; aucun accident. 7° Lemass.,
a encore la prédominance des convulsions à gauche. Il dut garder le lit pendant un mois et nous n'a- vons pu savoir s'i
e enfance, son som- meil était agité; il faisait des bonds dans son lit , mais n'a- vait pas de peurs. Avant sa dernière
devenu propre depuis deux mois, bien que parfois encore il urine au lit . La mère ne signale pas d'onanisme, Etat actuel
sée; néanmoins Dub... est trop affaibli pour être levé; il reste au lit , recoquevillé sur lui même, indifférent à ce qu
il a eu des accidents pulmonaires qui ont né- cessité un séjour au lit de six ou huit mois ; à 22 ans, fièvre typhoïde
froi, quelques plaintes, ou bien se mettant sur son séant dans le lit . Il n'y a pas eu de sommeil à proprement parler.
u bas-ventre et une sensation d'étourdissement. On le porte sur son lit et presque aussitôt, il éprouve une sorte de st
crise, avec grands mouvements : il semble vouloir se jeter à bas du lit . Grand arc de cerclo. Dou- leur vive à la press
isin qui est venu pour le maintenir. Il veut atteindre le ciel du lit , et pour cela fait un amas d'oreillers sur lesq
té,les grands mouvements,l'arc de cercle. Le mala- de saute sur son lit et cherche à se glisser sous ses matelas. L'ins
aque. Le sommeil est agité; le malade se tourne contamment dans son lit , mais il n'y a ni délire, ni secousses convulsi
é à 11 heures. Vers 2 heures, il s'est brusquement assis sur sont lit , et, sans pousser de cri, est retombé brusquement
lade présente un état d'agitation considérable, cherche à sortir du lit , prononce des paroles incohérentes. Il a eu deu
e douleurs ; et clic est obligée pendant 8 ou 10 jours de garder le lit . Habituellement, elle marche peu, son allure dé
l'encombrement, car, chaque soir on installe, entre les rangées de lits ré- glementaires, une ou deux rangées de lits s
entre les rangées de lits ré- glementaires, une ou deux rangées de lits supplémen- taires. Il s'ensuit que la nuit, et
tous les enfants valides sont descendus à la petite école, que les lits sup- plémentaires ont été enlevés, le sol lavé,
ite de ses accès, nous trouvons l'enfant prostré, pâle, immobile au lit ; ses membres sont agités de secousses assez rap
toute la poitrine. Le -malade reste toute la journée assis sur son lit . T. R. 38,2. - Soir : T. Il. 3S". 29 Janvier.
trine; l'enfant ne tousse plus ; il mange et il joue, assis sur son lit . 28 Février. Il existe encore, par places, de l
aburralc, anorexie. Le petit malade est abattu et reste immobile au lit . T. R. 39°,8. Soir : T. R. 40°. 16 janvier. M
janvier. L'enfant se montre plus gai, et a pu rester assis sur son lit une partie de la journée d'hier. T. R. 38°,G. S
ir : T. R. 40°. (Fig. 10). 27 mars. L'enfant qui avait abondonné le lit depuis un mois s'affaiblit considérablement dep
dansles membres; d'autres fois le petit malade se tortille sur son lit . 1881. 9 janviel'. L'enfantestsomnolent,morose,
eux ans, en deux reprises différentes. Pondant ce laps de temps, il lit plusieurs maladies, quiau- raientporté principa
(1). Malgré la gravité de l'état de cet enfant qui était confiné au lit , à notre arrivée dans le service, nous avons in
catégorie ; les enfants étaient couchés deux à deux dans de petits lits confinés dans un cabanon étroit où résidaient e
57 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
a laine de tourbe, de la tannée, du varech et de la paille pour les lits des gâteux. L'expérience nous a montré les avan
comprend la construction de ces trois derniers pavillons, qui, à 40 lits chacun, fourniraient 120 lits nouveaux, et comp
s trois derniers pavillons, qui, à 40 lits chacun, fourniraient 120 lits nouveaux, et compléteraient a 400, chiffre du pro
eaux, et compléteraient a 400, chiffre du pro- gramme, le total des lits du quartier, non compris les lits de rechange d
ffre du pro- gramme, le total des lits du quartier, non compris les lits de rechange du pavillon des gâteux et ceux de l
pavillon des cellules. En ce moment 60 enfants occupent encore des lits dans la section des épileptiques adultes ; 30 c
section des épileptiques adultes ; 30 couchent au quartier dans des lits supplémentaires, et un certain nombre attendent
tendent à l'asile Sainte-Anne leur translation a Bicêtre. Les 120 lits nouveaux permettraient donc à l'Administration
de restituer il, la section des épileptiques adultes son nombre de lits normal. Les trois pavillons à construire sont f
ferment l'un et l'autre : Au rez-de-chaussée, deux dortoirs de 20 lits chacun avec services généraux au milieu et cham
nt des classes. Le rez-de-chaussée renfermera deux dortoirs de po lits chacun avec leurs annexes ordinaires, comme dans
: Californie : Institution privée sous le patronage de l'Etat, 25 lits , fondée en 1884 à Vallejo ; - Connecticut : Insti
Connecticut : Institution privée sous le patronage de l'Etat, 10 ? lits , fondée en 1858, à Lalr,euille; - Autre institu
n fondée en 1881, à DZcriden ; - Illizois : Institution d'Etat, 300 lits , fondée en 1865, à Lin- coln : Inclina : Instit
its, fondée en 1865, à Lin- coln : Inclina : Institution d'Etat, 82 lits , fondée en 1878, à Knighstown ; lo·tva : Asile
82 lits, fondée en 1878, à Knighstown ; lo·tva : Asile d'Etat, '21) lits , fondé en 1870, à Gleenwood. - Kansas : Asile d
'21) lits, fondé en 1870, à Gleenwood. - Kansas : Asile d'Etat, 160 lits , fondé en 1860 à 1·'ranlcfort.-Dlassasu.clcetls
Institution privée, fondée en regs à layville ; - Asile d'Etat, HO lits , fondé en 1818 à South- Boston ; Mtc/ucUt : Ins
, 1887, tome XIV, p. 302. ASSISTANCE DES ENFANTS IDIOTS. XLIX 200 lits , fondée en 1860 à New-York. - Institution privée
s, fondée en 1860 à New-York. - Institution privée du Dr Seguin, 11 lits , fondée en 1880, à New-York. - Ohio : Asile d'E
in, 11 lits, fondée en 1880, à New-York. - Ohio : Asile d'Etat, 560 lits , fondée en 1857 auprès de Collimbus. - Pen- syl
1857 auprès de Collimbus. - Pen- sylvanie : Institution privée, 405 lits , fondée en 1863, à Elwyn. En Ecosse, il existe
de l'élixir. 1887. 7 mars. Accès fréquentslanuit, avec chute sur le lit . Sirop polybromuré. 1888. Nouvelles séries d'
hute qui a failli provoquer l'avortement et l'a forcée de garder le lit pen- dant plusieurs semaines. « L'enfant, dit-e
es bras, très lourdement ; il se tient assez bien aux chaises ou au lit ; lors- qu'on le met dans le chariot, il s'y ti
perte abondante pendant trois heures et qui a nécessité un repos au lit de huit jours. Ni traumatisme, ni émotions, ni
phériques appartenant LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. , lit Il aux cellules interstitielles. Sur certains p
ments sontbrusques. Sommeil agité, remue beaucoup. Urine parfois au lit (7 à 8 fois depuis le le, jan- vier). ler avr
angeant il a perdu complète- ment connaissance. On l'a porté sur un lit et il a eu huit crises ce jour-là, de cinq heur
58 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
mené à la maison, se met à table, dîne de bon appétit, puis se met au lit , toujours toussant; à la fin il s'endort et penda
rapporteur, M. Noguès, de Toulouse, arrivant au traitement des tics, lit une allusion au traitement par la suggestion hypn
l'étude de la Magie. Mais son esprit n'est pas encore satisfait. Il lit Senèque le philosophe et Epictète, s'enflamme à l
pli le cycle des changements qu'il peut subir. Pour se distraire il lit Dioscoride et Matthiole son commentateur. L'étude
el, qu'on lui dit être d'excellents épitomés de l'art médical. Il les lit . Ces ouvrages le font « sourire ». C'est qu'il
n agent : le ferment. Néanmoins il continue l'étude de la médecine, lit deux fois les œuvres de Galien — une fois celles
te le seul médecin de l'antiquité qui ait trouvé grâce devant lui. Il lit encore à ce moment l'œuvre entière d'Avicenne et
us la gouttière de la maison, je me suis couché et je n'ai quitté mon lit que lorsque la viande fut putréfiée. A ce moment-
état, car Mlle E. 0... peut, au commencement d'avril, se lever de son lit et marcher avec une canne. Mais elle ne peut pas
fiés que la malade peut exécuter toutes sortes de mouvements dans son lit . De même les extrémités inférieures ont repris to
ation alarmant. Atteinte de neurasthénie, elle n'avait pas quitté son lit depuis plusieurs mois, et avait de plus un lupus
aussi malade qu'au dernier pèlerinage, ayant passé tout son temps au lit , avec des palpitations, de la gastralgie, ne pren
iques, par exemple des femmes nues se roulant dans les rideaux de son lit ; un avare verra des voleurs; un criminel des tête
ordinaire, la malade dont j'ai parlé plus haut, travaille, s'occupe, lit , et cause avec beaucoup de bon sens et d'esprit;
tend la voix de son ancienne cuisinière, sent cette dernière dans son lit , lorsqu'il est couché; quelquefois il la repousse
ndant quelques semaines des accès de manie érotique : étendue sur son lit . ses cheveux blancs en désordre, la face vultueus
rit lascif qui imposait ses caresses à une jeune femme jusque dans le lit conjugal; ô naïf saint Bernard! Il suffit de vi
iège de fourmillements douloureux. On la relève, on la porte dans son lit et, quelques minutes après, tout disparaît. Elle
l'inanité de ses visions, demeure sans force, accablé et réclame son lit où Electre le replace, lui disant : « Le lit est
, accablé et réclame son lit où Electre le replace, lui disant : « Le lit est cher au malade ; il est pénible d'y séjourner
u d'estampes qui n'a souci que de leur rareté et le bibliomane qui ne lit jamais ses livres et n'en admire que le maroquin
: « Mon petit garçon a une coxalgie !» L'enfant est couché dans son lit . Sa mine est à l'unisson de la consternation géné
s voir le bout, mais elle était toute couverte de fleurs : « Voilà le lit de mes « chastes épouses ; c'est là ou le fin de
ceux qui ont étudié les maladies nerveuses, mais encore le public qui lit et qui comprend. Ils diront avec moi, que Marie A
et je trouvais la malade dans un état de catalepsie, étendue sur son lit , sans connaissance, ne pouvant faire aucun mouvem
réduite à une faiblesse si grande qu'on avait peine à la tirer de son lit , pour l'accommoder; l'on n'osait le faire que tou
e; collé contre elle, suivant son expression, elle ie reçoit dans son lit . Comme on lui objecte, que sa sœur aînée couche d
dans son lit. Comme on lui objecte, que sa sœur aînée couche dans ce lit avec elle, que ses parents dorment dans la chambr
22 octobre, comme sœur Clément faisait le signe de la croix dans son lit , elle fut prise soudainement au cœur par la prése
es ces notions, un peu arides dans leur forme synthétique. Un sujet lit à haute voix. S'il fait attention à ce qu'il lit,
thétique. Un sujet lit à haute voix. S'il fait attention à ce qu'il lit , y pense, continue volontairement sa lecture, l'i
0 est compris dans le cercle vVOMm. Si au contraire il dicte ce qu'il lit ou s'il lit à une autre personne sans penser à ce
s dans le cercle vVOMm. Si au contraire il dicte ce qu'il lit ou s'il lit à une autre personne sans penser à ce qu'il lit,
ce qu'il lit ou s'il lit à une autre personne sans penser à ce qu'il lit , s'il lit automatiquement, le cercle rie comprend
lit ou s'il lit à une autre personne sans penser à ce qu'il lit, s'il lit automatiquement, le cercle rie comprend plus 0, i
a journée, mais le soir, au moment où le malade vient de se mettre au lit et va s'endormir. Ma suggestion est ainsi ce qui
. Balzac s'obstinait à vivre. Il avait son œuvre à achever. Sur son lit de mort, l'angoisse l'étreignait. Il avait encore
voici l'aspect général. Incapable de se tenir debout, elle reste au lit toute la journée. Dégoûtée de toutes choses, elle
la paix, il passe chez lui le moins de temps possible ; aux repas, il lit assidûment son journal pour n'avoir pas à causer
ace sa main, il reconnaît l'écriture de la défunte. Une fuis même, il lit : « Je suis ta femme qui t'aime !.... d Puis, un a
ceux qui ont étudié les maladies nerveuses, mais encore le public qui lit et comprend ». Or, ces citations sont plus ou moi
me permettrai de souligner, j'emploierai de petites majuscules. On lit dans le numéro de novembre, p. 151 : « Un jour on
la religieuse, celte restriction n est certes pas indifférente. On lit à lu page 152 : Les hallucinations de la vue vont
stes, ni ceux qui ont étudié les maladies nerveuses, ni le public qui lit et comprend, > Sans mettre en cause sa bonne f
ire qu'à l'intervention de l'hypnotisme. L'une d'elle s'était mise au lit , ayant pris la résolution de ne pas se rendre au
une suggestion post-hypnotique qu'elle se leva automatiquement de son lit , et enleva son premier prix de chant, sans presqu
camarade d'Ecole, qui deviendra ainsi son compagnon de chambre et de lit . Il n'est pas rare en Amérique de demander, par v
es journaux, un Room-mate, c'est-à-dire un compagnon de chambre et de lit . On ne se connaît pas; si on ne peut s'accorder o
st dit. Déjà l'étudiant n'est plus seul, il travaille en commun, il lit ses notes de cours avec son compagnon; tous deux
temps. Pour l'enseignement clinique, les malades, sans quitter leur lit , sont . voitures dans l'amphithéâtre. Les élèves
ou aux ignorants; ils sont la risée de tous. Pour le diagnostic au lit du malade, les élèves sont emmenés par groupes da
59 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l1JellL dill11llu('e cL présente des modili- ntliun" iii4li(ittaliL lit réaction de dt") : : ('I1('- rescence. La malad
e tle 0,() centiramnes ; dès les premières nuits la malade reste au lit durant quelques heures et, dort..pendant, les 3
que les vertiges. L'enfant a fait quelques progrès en classe : elle lit et écrit lisiblement (de la main gauche). Elle
ur a barré le canal central au lieu com- primé ; en rétrécissant le lit du courant, elle a refoulé le liquide qui y cou
nt le lit du courant, elle a refoulé le liquide qui y coulait el ce lit "'1 ? 1 ainsi dilaté au-dessus de l'en- REVUE D
rale gauche. 3131. Brissaud et HATHERY, - Il s'agif d'un malade qui lit de nombreux séjours au Tonkin, ci qui présente
, 22 mars. Persistance de l'état stuporeux-. Le malade, maintenu au lit y demeure inerte, les yeux fermés, ne les ou- \
ents, l'infirmier avant eu la sottise de déposer son couteau sur le lit du malade pour le service, celui-ci s'en empare
v Loul tlu forccs cl ruisselant dc sm·uo, il retombe épuisé sur son lit . D'autres fois il exerce, avec ses deux poings
colique avec obfusiou mentale : il l'ail des extravagances, gale au lit , demande encore à ce qu'on le lue, manifeste de
e plaio il. la tète, lésions internes, hématurie, trois semaines de lit . Il se remariait deux ans après environ ; el de
e. Peu ins- truit déjà, il devient incapable de comprendre ce qu'il lit .Sa mé- moire également baisse et s'égare : il o
dier les mesu- res à prendre montre que d'ici à 1915 il faudra 2010 lits nou- veaux. 11 fauL créer deux nouveaux asiles
nouveaux asiles et en attendant utili- ser le plus grand nombre des lits disponibles en renvoyant le plus grand nombre d
ement affecté aux chroni- ques près d'lleiOell>eng, de 700 à 800 lits , avec exploitation agri- cole : il desservirait
ption et garderait ses chroniques : région de Constance : 300 à 400 lits . Quatre circonscriptions d'assistance sans priv
tricts, M. Wyrou- llow Iwohose l'inslallur un lupilal Ilu ;I) à (i0 lits pour lew nu trois dislricls. On y adlllL'UI'ail
ou une me- ningo-myélitc ; la constatation de la lymphocy tose les lit pencher vers ce dernier diagnostic, que la marc
lui-même, en dehors de Imite suggestion. JI. Bernard (de Cannesl, Lit élh 1-111t"[h liqU(' m'a permis d'obtenir des r
e en liberté àla colunie,nlo- restraint partout ; traitement par le lit des psychoses aiguës ; autonomie de chaque pavi
vite chercher sa serviette, posait son chapeau, s'étendait sur le lit et se présentait de lui-même il la sonde. Ni le d
es animaux qu'elle \o\ait grimpaient toujours du côté gauche de son lit , jamais du côté droit. Or, nous verrons plus lo
5, t90 et 890 grammes. La I'n"ihililé au eltaud ..t au l'roi,1 poll\ lit l'eslwcl,\e, Les régions ovariennes et mammaire
s situés de chaque côté des salles de réunion contiennent chacun 12 lits . Ce chiffre serait, à la rigueur, élevé à 16, c
nsécutive. Xi hérédité, ni traumatisme. La suspension elle repos au lit diminuent notable- ment la cyphose. Intégrité-
i, à la suite d'une chute faite il l'tige de 33 ans, avait gardé le lit pendant trois mois puis avait eu une lésion ann
ause, dit-elle, des douleurs qu'elle éprouve. Cha- que fois qu'elle lit , l'oeil lui pique, elle ne peut fixer un objet
VEUSE. Au bout de 8 jours, on constate un mieux sensible ; l'enfant lit presque bien ; mais cet état d'amélioration n'e
lement une règle ou -un crayon entre les yeux d'un sujet normal qui lit et le texte qu'il tient à la main, la lecture s'e
s la lecture dès qu'on place une règle de- vant ses yeux : or, elle lit parfaitement ; donc, là aussi, son amaurose dis
ne voit absolument rien. Si elle ferme l'oeil droit amblyope, elle lit très bien la partie de la phrase située à gauch
située à gauche du carton. Si enfin elle ouvre les deux yeux, elle lit parfaitement la phrase en entier, par conséquent
ue la réalité ; si elle ferme l'oeil droit et ouvre le gauche, elle lit la première moitié de la phrase dont les lettre
nfin, 348 CLINIQUE NERVEUSE. si les deux yeux sont ou verts, elle lit la phrase entière, elles lettres, tout à l'heur
- tres rouges, et avec l'oeil au verre vert les lettres vertes : il lit ainsi AMBLYOPIE HYSTÉRIQUE MONOCULAIRE ; SA DIS
gauche, elle ne lira que les lettres rouges du ta-' bleau : or elle lit aussi les lettres vertes. Inversement,le verre ro
vert àgauche, elle ne devrait voir que les lettres vertes ; or elle lit les lettres rouges ; donc elle voit avec l'oeil
coloré sur l'oeil gauche, par exemple un verre rouge. Valentinene lit que les lettres rouges ; j'enlève alors le verre
rouges ; j'enlève alors le verre opaque de l'oeil amblyope et elle lit les lettres rouges et vertes ; si je mets un verr
n verre verL à;;auclle et replace le verre opaque à droite, elle ne lit que les lettres vertes, mais dès que j'ôte de n
lettres vertes, mais dès que j'ôte de nouveau le verre opaque, elle lit aussi les lettres rouges. Elle voit donc de l'oei
t distinguer que la lettre F en rapport avec l'oeil sain ; or, elle lit E sans hésiter dès que les deux yeux sont ouver
; avec cette différence que, dans la vision droite seule, l'enfant lit la lettre L, mais une lettre L réduite dans ses
ement les lettres rou- ges;sionchaugeclwerre rouge parmi vert, elle lit bien les lettres vertes. Donc l'amblyopie a dis
es (le vibration du diapason sous la rotule demeurant inactives, on lit agir le vihratcurelecfrique ; les réflexes patell
s patellaires et achil- ]{'ens repal'lIl'l'nL Le \ ibmtl'Ul' à main lit perdl'e le terrain gagné. Cinq nouvelles seancc
des épileptiques dits simples, et, d'autre part, les épileptiques ( lits aliènes. Dans les deux groupes on voyait, des m
tiques. Les services d'épileptiques comprennent cent quarante et un lits : il l'hospice de l'Antiquaille, quarante-huit
-huit lils pour les femmes ; il l'hospice du Perron, cinquante-deux lits pour les hommes, vingt-sept lits pour les femme
'hospice du Perron, cinquante-deux lits pour les hommes, vingt-sept lits pour les femmes et quatorze lits pour les enfan
x lits pour les hommes, vingt-sept lits pour les femmes et quatorze lits pour les enfants garçons ayant de cinq ans il s
our les enfants garçons ayant de cinq ans il seize ans. Sept de ces lits . ont été établis par l'administration des hospice
té établis par l'administration des hospices, à ses frais. Ces sept lits gratuits de la fondation de l'administra- tion
aux épileptiques indigents, nés il Lyon et domi- citiesa Lyon. Dix lits ont été créés, pour l'administration des hospic
lils, en exécution de la fondation manlline 1'trancL ; ces dix-sept lits sont mis, gratuitement, a la disposition des ép
toutes les communes, Lyon compris, du département du Rhône. Trois lits ont été fondés par JIntc Gritlet, veuve Guy, pour
s indigents de la paroisse Saint-Louis delà Guillolière. Les autres lits sont attribués aux épileptiques payants. Pendan
es pieds sur le sol; peu à peu, il devient impotent, est confiné au lit et meurt cachectique ; signes généraux des cont
d. Tabès et rééducation. M. 1)or'-ouo montre un malade confiné au lit depuis plusieurs mois et qui sur les simples av
urent immédiatement prodigués, l'état général de ce mal- heureux ne lit qu'empirer : la température atteignait bientôt 40
cins de conclure à son irresponsabilité, et le juge d'ins- truction lit , en conséquence, interner Hollin à l'asile de Cll
60 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
servir aux séances de projection, aux leçons de choses, aux lec- lit )-es récréatives. Il s'est notablement enrichi tan
lever on apprend aux enfants à faire leur toi- lette, à faire leur lit , à nettoyer leur dortoir. Aux repas, on surveil
iotie. 15 août ! ! Fuso11 12 ans. Î Idiotie. 30 octobre. DÉCÈS. LIT CAUSE DU DÉCÈS. PARTICULARITÉS. Pneumonie aig
. (1) Dufau (P.-A.). -- Des Aveugles, etc. Paris, 1860, p. XVIII. lit . Criminalité des enfants et des adolescents S
. - Grand'mère paternelle morte a 71 ans, après avoir été clouée au lit , pen- dant deux ans, de paralysie progressive.
(fig. 1 et 2) ; on est forcé de la nourrir et de la main- tenir au lit car elle est incapable de se tenir debout ou sur
elle se cogne de tous côtés et se fait des contusions bien que son lit soit garni. Elle a les mains toutes meurtries.
iagnostic : Chorée vulgaire. Traitement : L'enfant est maintenue au lit pour éviter les, contusions. Huile de foie de m
pas reproduites. Il est mort à 5 ans de méningite tuberculeuse ;- lit garçon, mort il 18 d'une congestion pulmonaire ;
de brûlure qu'il porte à la jambe gauche se sont ulcérées. Repos au lit . Glycérolé d'a- midon. 21 décembre. - L'exame
fausse de, volé du vin dans une des armoires du réfectoire. Juin. - Lit couramment, s'exprime correctement. Com- mence
changement dans le caractère. Juin. - Progrès sensibles eu classe : lit et écrit couram- ment. Commence à faire la divi
ler aux cabinets, a dit il l'infirmière : ci Allez donc refaire mon lit » et dès que celle-ci a été dans la cellule, el
l lui arrive quelquefois la nuit de se dresser tout-à- coup sur son lit , de proférer des menaces et des injures ou de c
s ses demandes des mots : « je veux ». La nuit, elle saute de son lit , cherche il aller se coucher dans un lit voisin,
La nuit, elle saute de son lit, cherche il aller se coucher dans un lit voisin, veut se sauver en chemise, gâte, souill
s avons pu obtenir une infirmière, nous essayons de la maintenir au lit d'une façon permanente. L'agitation est tou- (1
assez calmes. C... cherche moins à se lover, urine parfois dans son lit . peut-être à dessein. Elle dit à la surveillant
minué. 2 mais On a toujours beaucoup de peine à maintenir C... au lit . Dès que l'infirmière s'éloigne, elle se lève, gr
e l'infirmière s'éloigne, elle se lève, grimpe sur les chaises, les lits , tombe, se contusionne. Elle est toujours aussi
t moins grossière dans son langage, moins sale sur elle et dans son lit . - Elle mange assez bien et accepte plus volont
d'organisa- tion, ordonner d'emblée le traitement par le repos au lit . Au bout d'une dizaine de jours, nous l'avons r
e semai- nes les circonstances nous ont permis de la maintenir au lit (111 mai). Le calme a reparu à la fin du mois d
s. Pas de période d'incontinence d'urine. Aime beaucoup rester au lit , on ne constate pas d'onanisme. Devient plus inst
t ne présente aucun abattement, se tient tout le jour assis sur son lit , balançant comme autrefois son corps d'avant en
lire ni de prostration. Le malade est continuellement assis sur son lit . 19 septembre. - La température, qui jusque-là
nt refusé les rapports. Il cherche aussi il avoir sa fille dans son lit ; sa femme l'a surpris les mains sur les parties g
té abattu un moment. Trois jours après, nouvelle crise. A partir de lit , les crises reviennent une fois ou deux par sem
cesse ; mouvements continuels durant les- quels il s'assied sur son lit et se laisse retomber en arrière, frappant dure
à 4 ans, il lui arrivait deux ou trois fuis par semaine d'uriner au lit . Envoyé il l'école maternelle à 3 ans : n'a jam
chemin de fer pour aller voir son oncle dans le Soissonnais. C'est lit que ses parents le retrouvent Description du ma
dans quatre cas de contracture spasmodique ' infantile (syndrome de Lit /lc); par CH, PHi- - .- lippe et CESTAN.........
61 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
ismes articulaires aigus très douloureux qui l'ont obligé à garder le lit pendant plusieurs mois. Puis il continua à vomir
au lieu de cela, je vois une dame, ayant bonne mine, assise dans son lit , chantant une chanson du temps passé avec une mim
us, alors qu'elle se croît malade au point de garder la chambre et le lit , jo lui affirme qu'elle pourra, dès le lendemain,
en cutunc grande maladie. » Il couchaitsur uno paillasse posée sur un lit de planches de tréteaux. 11 lisait sans cesse, im
ans. Le lendemain, Singlin écrivait à Port-Royal une lettre où l'on lit : * Elle avait.., beaucoup de confiance en moi »
fille verra en rêve l'homme qu'elle doit épouser si en se mettant au lit , elle récite avec conviction : Aujourd'hui Sain
a prière est pressante dans les vers qui suivent; Je vais entrer au lit Saint-André, je te prie ;-mol voir mon bien aim
re deux bougies allumées ; sur le coup de minuit, elles descendent du lit , le pied droit le premier, et vont voir dans la g
, cette jeune fille montait sur le rebord courbe et poli du pied d'un lit en noyer et elle y restait debout, sur la pointe
mulation chez la malade. Cette jeune fille était obligée de garder le lit presque loute la semaine après chacun des dimanch
Ses parents me disent qu'il lui arrive souvent, fatiguée d'être au lit sans dormir.de se lover la nuit et de se mettre à
lence extrême dès qu'il/page> page n="54"> s'étend dans son lit , de sorte que ce malade passe ses nuits à se prom
ur de l'Aisne m'écrit un jour au sujet de son jeune fils qui urine au lit chaque nuit. Tout naturellement je recommande l'h
re sans chercher a se rendre compte. — Quand un adolescent pisse au lit toutes les nuits, faites-le boire sur des ossemen
l'on ne connaît bien Pascal, si l'on n'est armé par la science, on ne lit pas sans trouble les Pensées. Que d'erreurs n'ont
anard d'une blancheur immaculée tué, mais encore chaud. Le canard est lit sans doute pour être mangé après coup, par le sor
; ù 6 heures, ils se couchent à 9, ce qui fait plus de huit heures de lit et en réalité de sommeil, grâce à !a discipline d
reusement d'ailleurs!) et celui à qui ? faudrait une heure de plus de lit le matin dormira toute la journée quand on le rév
ssitôt après son dîner, qui moins compliqué que le nôtre se digère au lit , —pour l'adolescent ayant accès à la table de fam
lui soit pas ravi. Toutefois, l'enfant ne dort bien que seul dans son lit , et tous les médecins s'élèvent contre l'habitude
taient brisés à coups de longs bambous énormes, et l'on en faisait un lit régulier de braise flamboyante. Ce lit avait 5 mè
énormes, et l'on en faisait un lit régulier de braise flamboyante. Ce lit avait 5 mètres do longueur, 2 mètres de hauteur e
C'est d'abord une jeune fille que l'on soigne et que l'on retient au lit depuis trois mois pour une affection de la hanche
ui fait une petite piqûre : alors, d'un bond, elle saute à bas de son lit et se réfugie auprès de sa mère. La pseudo-affect
de nuit au tunnel, le mari trouva sa :·· .. comme paralysée dans son lit , dans un demi-sommeil. En la découvrant, il aperç
me était en proie à une crise nerveuse des plus violentes. M. Mabboux lit ouvrir l'animal et constata la présence de lait d
es, la sensibilité cutanée était à ce point développée que, dans leur lit , les plis d'un seul pétale de rose les faisait so
oubles psychiques variés. J'eus l'idée de l'endormir un soir dans son lit et de la laisser ainsi toute la nuit; je priai le
e ces malaises à une grippe assez violente qui l'a obligé d garder le lit pendant quelques jours. ? l'examen de la cage tho
fférent Elle prit aussi en grippe son mari. Uuc nuit, elle enjamba le lit et se sauva vers la fenêtre pour se lancer dans l
ve de 38 ans : cette dernière a déjà une fille de 13 ans d'un premier lit . D'une nature assez calme et posée jusqu'au jour
et olfactives. i. — Adjuvants de premier pus 1. La docilité, — On lit dans une Méditation sur la mort de Jésus-Christ,o
essée à Florin Périer, au sujet de Gilberte dangereusement malade, on lit encore : « Etouffons autant qu'il nous sera possi
illy et Marie Desseaux entrèrent au couvent dès l'enfance. La seconde lit profession à 22 ans. Magdeleine Baudran et Mari
s de la face. Etienne Pascal fut suggestionné au cours du séjour au lit qui suivit un accident. Enfin, une variole et u
par exemple, celui-ci :/page> page n="303"> ß Tout le monde lit dans ma pensée et devine mes" moindres projets !
aire. » 11 est donc entendu que, chaque soir, Mme B... se mettra au lit de bonne heure et qu'aussitôt couchée, elle prend
ures du soir au lendemain à midi, en moyenne, Mme B... reste dans son lit soit profondément endormie, soit simplement assou
taient si intenses, qu'il lui était très difficile de rester dans son lit sans tomber; son état s'est modifié peu à peu et
ts. I.c soir, au moment de se coucher, il éclaire le dessous de son lit pour s'assurer que personne ne s'y est caché ; ma
t, il ne peut parvenir à s'endormir; il lui faut, en effet, sortir du lit et gratter la stéarine, car, lorsque lu femme de
die s'aggrave encore, au point que la malade est obligée de garder le lit . C'était en 1890. Il survint, à cette époque, d
sant de la porter. On la fait entrer d'urgence salle Sainte-Clotilde, lit n° 19. Après quelques essais pour, séance tenan
progressivité continue ; le malade en arrive à garder complètement le lit et le fauteuil; dément et gâteux, il ne comprend
e/page> page n="344"> qu'au prix d'une violation de la loi. lit , d'autre part, le Président d'assises ne peut pos
e cinq ou six personnes pour le maîtriser ; on dut même l'attacher au lit . Pendant la crise, il avait refusé de boire, mais
celui-ci couché sur le dos, maintenu, pieds et poings liés, dans son lit . La physionomie aune expression concentrée; les y
le malheureux a réussi, malgré les liens, à uriner dans la ruelle du lit . Un urinai improvisé, tel qu'un bocal, et une tor
on relâchement. D'un autre coté, comme il est étroitement lié sur son lit , si nous l'y maintenons, ne sommes-nous pas expos
que tes membres supérieurs, de sorte que le malheureux pût quitter le lit . Tout au plus, tant pour rassurer la famille que
62 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
sens d'aucun mot; aujourd'hui il peut converser avec tout le monde, lit sur les lèvres et l'audition semble avoir beauc
digestion. Le caractère est plus ouvert, plus gai, moins colère. Il lit couramment, fait de petites dictées, se rend bi
squ'en juin 1895, époque à laquelle il fut confié il ? lIme Bonnet, lit aujour- d'hui couramment, a quelques notions de
ever, on apprend aux enfants il faire leur toi- lette, à faire leur lit , il nettoyer leur dortoir. - Aux repas, on surv
ibles. Les devis ont été faits ; le projet Nouveau bâtiment DE CENT LITS . LX7 a été rapporté, également par M. Du Mesnil
dissement de la Fondation Vallée : le nouveau B\1'I\II : \T de cent lits . (1). Le nouveau bâtiment au sujet duquel nous
mmission du Conseil général (décembre). 1" Lorsqu'on a installé les lits dans les dortoirs et les tables dans le réfecto
non sans quelque étonnement, qu'il était impossible de placer les lits et les tables de chaque rangée en face les uns
n dont l'inscription de quelques-unes remonte à près d'un an. Les lits vacants à la colonie de Vaucluse, affectée aux
1893. 14 janvier. -'Avant-hier et hier matin, il est tombé de son lit sur le coude droit qui est le siège d'un oedème d
nsion incomplète : il n'est pas possible de coller la cuisse sur le lit ; abduction presque nulle; adduction assez étend
à partir de leur apparition, La tête, qu'elle se cognait contre le lit , paraissait à cette époque proportionnellement
ne fièvre typhoïde grave avec délire violent, elle se levait de son lit et s'échappait dans la cour de la maison. - Gra
égalité d'âge de 3 ans (mère plus âgée). Six enfants d'un premier lit : 1° une fille un peu nerveuse dont un des enfa
portant, a eu des convulsions internes. Cinq enfants d'un second lit : 1° une fille, 18 ans t ? médit. crement intel
à 15 mois; 11 n'a marché qu'à 18 mois. Jusqu'A 6 ans il a pissé au lit , mais il 84 Antécédents personnels. était pro
sur le côté droit. Il passa ces trois mois presque complètement au lit , sans bouger, sans parler, paraissant souffrir
seul, et ne gâte pas d'habitude. Il est incapable de retrouver son lit au dortoir ou sa place à l'école. Actuellement
on des douches ; bromure de potassium de 2 à 8 grammes; école. D... lit un peu; gym- nastique (où il y a peu de progrès
nombre de mots. Après ces convulsions, l'en- fant resta 15 jours au lit , ayant de la fièvre, du délire. La tète tombait
plus, ne fait pas de mouvements, est incapable de marcher. Dans son lit , elle ne bouge qu'à peine, mange ses excréments
s particulièrement sur les modifications du poids, de la taille, de lit quepréalabhementnousavons fait prendre pendant
sseoir certains malades ou de les faire changer de position dans le lit pour que le nombre des pulsations augmente de 2
vomit plusieurs fois, refuse démanger, boit beaucoup de lait. Au lit , elle se découvre sans cesse. T. R.37u, 6, ce qui
la parole. Quant à la marche, elle préfère s'y essayer le long d'un lit ou à l'aide d'une chaise que d'aller dans son cha
n père le trouve sans connaissance et froid, la tète aux pieds du lit . Pondant trois jours, les convulsions ont persist
pouce dans la main. Pendant 14 jours, l'enfant n'a pas quitté le lit ; les convulsions reparurent, mais en s'espaçant.
Il ne gâte jamais dans le jour, mais, toutes les nuits, il urine au lit . '. N.. est assez long à s'endormir, puis dort
arce qu'il était redevenu très maigre et le garda, tantôt couché au lit , tantôt assis. On essayait de temps en temps de
lus élevé que le droit, et on ne peut pas appliquer la jambe sur le lit . Sa mère prétend que, il la maison, quand on le
A droite la raideur est moindre, on peut appliquer la jambe sur le lit , et il n'y a pas de craquements. Il y a une lég
us prononcés que le ventre, le bassin et les membres inférieurs. Au lit , flexion des cuisses sur le bassin, flexion des
es qui sont les plus forts. Il élève les pieds au-dessus du plan du lit en fléchissant lé- gèrement la jambe, il ne par
e bassin, il ne peut les étendre de façon il les appliquer sur le lit , le genou gauche reste à 0,07 centimètres, et le
7 centimètres, et le genou droit il 0,12 cent. au-dessus du plan du lit . La Ilexion des jambes est à peu près la même d
63 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
Petite école. les opérations arithmétiques. Actuellement, l'enfant lit cou- ramment, écrit lisiblement, fait des devoi
isparu. De notables progrès sont il signaler il la classe et, il il lit couramment en se rendant bien compte de ce qu'i
asse et, il il lit couramment en se rendant bien compte de ce qu'il lit , écrit lisiblement, fait la dictée avec les gra
une voyelle quelconque et reconnaît bien les sons obtenus ainsi. Il lit un certain nombre des mois imprimés, isolément,
nous avons appris à cet enfant. Ces m.ts, notre élève les comprend, lit et écrit; il cherche iL les articuler, plus sou
l commence seu- lement à prendre goût à la lecture et à l'écriture, lit un cer- tain nombre de nos mots imprimés et s'i
llé, est heureux des progrès réalisés et travaille avec plaisir. Il lit et écrit un grand nombre de mots imprimés isolé
ve a fini par passer il la lecture courante; il comprend ce qu'il lit , pas toujours ce qu'il écrit. Il commence cependa
aire, connaît les deux premières opérations de l'arithmétique, elle lit lentement mais sa lecture est courante. L'enfan
n- dre. Aujourd'hui, elle a réalisé des progrès surprenants, elle lit couramment, donne une bonne intonation à la lectu
ont complètement disparu ; il lui arrive très rarement d'uriner au lit . Elle travaille bien il la couture, il en de mê
asse. Elle écrit lisi- blement, fait quelques devoirs de grammaire, lit par syllabes .et.connaît les deux premières opé
atons aujourd'hui de réels progrès, sous le rapport classique. Elle lit presque couramment, son écriture est très lisib
. Elle connaît les trois premières opérations de l'arith- métique ; lit couramment et donne à sa lecture une bonne into
n. Au lever, on apprend aux enfants à faire leur toi- lette, leur lit , à nettoyer leur dortoir, à brosser leurs vêtem
es et aliénés. Il dispose, en effet, il l'heurc actuelle de : 250 lits il la Colonie de Vaucluse (Garçons) ; 453 lits
actuelle de : 250 lits il la Colonie de Vaucluse (Garçons) ; 453 lits à Bicêtre (G.) ; 200 lits il la Fondation Vallé
la Colonie de Vaucluse (Garçons) ; 453 lits à Bicêtre (G.) ; 200 lits il la Fondation Vallée (Filles); 165 lils il la
ée (Filles); 165 lils il la Salpêtrière (F.), soit, au total, 1.068 lits . Malheureusement, en raison de l'augmentation d
qui existaient en '188-'i : demandes nom- breuses, insuffisance des lits , qui avaient motivé l'arrêté suivant de M. le p
ien réfectoire où il sera possible d'installer environ dix ou douze lits . Viendra peut-être ensuite, aune époque que nou
nistration pourra disposer progres- sivement d'un certain nombre de lits . Nous n'avons rien à dire sur le passage des fi
s. Par la, on aurait encore la disponibilité d'un certain nombre de lits . Nous avons fait voir à 131cêtic-, à plusieurs
aura lieu d'examiner dans quelle proportion il faut augmenter les lits des sections existantes ou s'il est utile de crée
out jeune de méningite ; La soeur ainée est morte étouffée clans le lit , la soeur cadette est morte de convulsions. - D
andagiste dit à la mère que son enfant avait une éventration et lui lit deux ceintures que la malade n'a jamais pu gard
ux yeux, taie sur l'oeil droit, pas de convulsions, pisse encore au lit , va à l'école où il n'ap- prend rien; 70 fille,
l'âge d'un an, alors qu'il disait papa, maman ; en jouant sur un lit assez élevé, a fait une chute sur la tète. Il n'a
ns mal les bras que les jambes. Il ne pouvait se retourner dans son lit qu'en se renversant la tête en arrière, comme app
dans certaines circons- tances, par exemple quand on le caresse. Au lit , les jambes res- tent allongées, les bras collé
64 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
ire ses quatre repas dans un appartement commode , se coucher dans un lit douillet et bien bassiné, —Joseph est venu, qui a
e balayer l’appartement, de manger son déjeuner, de coucher clans son lit , de mettre ses habits. Joseph prétend même un bea
Elle sera heureuse à perpétuité. (Événement.) Zoomagnétisme. — On lit dans la Patrie du 4 février : « I/alarme était
ns imposer à personne. » L. P. Nouvelle forme de Mesmérisme. — On lit dans VAbeille de la Nouvelle Orléans du 26 juin
savants sans les comprendre ; comment les médecins , se succédant au lit du malade, avec chacun une médecine différente, é
ais: Ce sont les précepteurs des hommes qui font tous leurs malheurs. lit ce n’est pas assez que le lait reçu par l’enfant
oses que les esprits lui inspirent ou lui dictent. Effectivement, 011 lit dans cet ouvrage que J. Davis cul un ami nommé Wi
ence sur la direction des études et de la propagande magnétique. On lit , t. III, page 5î?i : « Pendant l’absence de l’i
tous les hommes à une espèce de communisme, et de les tailler sur le lit de Procuste ? Non ; il comprend mieux son œuvre ;
mnambule ignorante qui n’a jamais ouvert un livre de médecine, qui ne lit point, et chez laquelle on ne trouverait pas un s
cause unique on a été amené à un remède unique pour la combattre. De lit les panacées qui doivent guérir tous les maux. Sa
plus importante. Oui, sans doute, depuis dix-huit mois elle a fait de lit médecine dans ce pays; mais ce qu’il faut constat
rnent des personnes bien connues, les faits sont notoires. Me Morin lit une liste où sont énumérés les noms des personnes
habitants de Peterhead, (London Morning-Chronicle.) 2m* cas. —On lit dans le Bristol Mercury du 7 septembre dernier, l
ambitieux, ne s’attribue que la simple mission d’éclairer les hommes, lit nous n’opposerons pas de sérieuses objections à c
s républiques, puisque celles-ci existaient depuis plusieurs siècles. lit lorsqu’il ajoute que le peuple grec le chargea de
ence positive. Et pour qu’on ne trouve pas notre (1) Voici ce qu'on lit à ce sujet dans le Tableau de l’Egypte, pendant l
eau superbe aux médecins, avec ses bandages simplifiés et sa cravate, lit vous aussi, mon cher et savant ami, Monsieur Riga
s t’influence de plusieurs magnétiseurs réuDis. Nous ne signalons ces Lits que comme des exceptions , quoique la pratique du
sonnes : deux jeunes enfants de onze et douze ans, une jeune fille au lit , le père et la mère. Toutes ces figures, quoique
e. La malade s’assied sur son séant, me fait asseoir sur le bord du lit ; passe familièrement son bras autour de mon cou,
etits bons hommes s’apprêtent à se coucher, comme si de rien n’était! lit moi je descends au grand air promener mes pensées
heure moins sept minutes après , je reviens; la mère était auprès du lit dans l’attitude d’une heureuse contemplation. « N
, qu’elle ne sembla qu’effleurer leurs traits. Moi, debout, à côté du lit , je soutenais la léle de Louise sur ma poitrine;.
rs de Notre-Dame, que le nombre des dupes ne diminuera pas d’un seul, lit remarquez bien que ces faits ne se passent pas da
n d’injures? Le corps médical, sans doule; car, pour le public, il ne lit point les journaux de médecine. Mais aujourd'hui
t arrêtés, et une instruction sévère est dirigée contre eux. » — On lit dans le Pays du 9 juin : « Une dame Austin, de
les détails de ce procès. HÉBERT (de Garnay.) Noctambulisme. — On lit dans le Courrier de la Gironde, journal de Bordea
t une mine fé- ronde ; ce qui doit en sortir peut rénover le monde, lit , Dieu seul sait si ce ne sont point là les temps
en sa parole, c’est désavouer nos convictions.... Or, voici cc qu’on lit au paragraphe 29J de VOrganon : «Je crois néces
ort (l’état magnétique) guérira ce cadavre, etc., etc. » J. B. On lit clans le numéro du même jour, à la suite de l’art
gnification de ce mot, au Traité pratique dont nous avons déjà parlé, lit , pour en finir, et en attendant que les homéopath
é. Il quitta l'ouvrage de bonne heure, rentra chez lui et se mit au lit ; mais ses nerfs étaient surexcités, il ne put dor
ron dont la demeure était près de là ; mais cet homme était malade au lit , el l’on fut obligé d’aller chercher un de ses co
, dit M. Gregory, qu’il 11’y a pas de meilleur moyen de s’endormir au lit , non seulement quand on a de l’insomnie, mais aus
ncement de mai, Mlle B*** se sentit assez forte pour descendre de son lit , s’habiller et sortir de sa chambre. Depuis ce
terre était pour Antée. Lorsqu’elle est fatiguée, elle retourne à son lit , se fait réveiller et revient à sa position ordin
. BARTIIET. Nouvelle-Orléans, 14 avril 1850. SÜRDI - MUTITÉ. — On lit dans le Siècle du 28 juillet : M. Lafontaine, m
ur lui. Je lui iis parvenir un billet à cet effet. Il le lut, mais ne lit pas de réponse. Lorsque je vis sortir les spectat
e Fiske, convoquée à jour fixe, le co- mite delà réunion précédente lit le rapport do la résolution suivante qui a été ad
RI. Fiske, qu’entendez-vous par magnétisme? — « Le somnambulisme. — lit lorsqu’il n’y a pas som-« nambulismc, n’y a-t-il
ndant à la même fin ? Jos. BARTHET. ARRESTATION DE M. FISKE. — On lit dans le Daily Delta du 26 juin 1851 , la lettre s
le sujet de cet important débat viendront à la fin de l’article. On lit dans VAbeille du 5 avril 1851 : « Nos colonnes
comme les autres riches font aux autres pauvres l’aumône du matériel. lit ce ne sera ni pénible, ni difficile, si on s’y pr
la malveillante ignorance, ces petites doses sont des poisons..... lit cependant, ces prétendus poisons triomphent tou
l aurait guéri si on eût persévéré assez longtemps : était retenue au lit depuis plus de quatre mois, par ce qu’on avait ap
es faits de somnambulisme dont la citation a quelque importance. On y lit ce qui suit : « Un de ces derniers étés, j’étai
gaire indigne et profane se retirât loin du lieu des cérémonies. On lit dans Esdras le même commandement fait aux cabal
Impr, do Pommcrct el Morcan, quai des Angustias, 17, CLINIQUÉ. On lit dans lo Siècle du 11 septembre : « Les faits ma
aient pendant douze heures. Les jours suivants, cette dame restait au lit , brisée dans lout son corps, souffrant de la lête
ce jeune homme qui se déballait dans d’horribles convulsions, sur un lit où trois hommes avaient grand’ peine à le retenir
vrit les yeux, témoigna un grand étonnement de se voir étendue sur un lit , entourée de plusieurs personnes; elle se leva sa
e quelques médecins de celle ville, du prestige dont ils jouissent au lit du malade, de leur haut rang dans la société, le
e quelques médecins de celle ville, du prestige dont ils jouissent au lit du malade, de leur haut rang dans la société, le
res aujourd’hui?Nous sommes destinés à voir tant de prodiges ! — On lit dans VAvènement du 3o octobre, ce qui suit : «
léfices, qu’elle faisait réussir ou échouer les entreprises, etc. a lit que l’on ne croie pas que la clientèle de cette p
tte sciatique se dissipent rapidement sous l’empire de l’harmonie. On lit dans les Mémoires de VAcadémie des sciences, 1707
as, des cuisses, des jambes et de la vessie, n’avail pas quitté son lit ; la mort semblait lui remonter d’en bas vers le t
on n’a que trop tardé. Vers la fin de décembre, on pourra la tirer du lit et l’asseoir sur un fauteuil; mais elle, se trouv
ois, c’est-à-dire depuis huit jours. J’ai fait placer de suite sur le lit une espèce de dôme en cerceaux qui garantira les
aminer, qui atteste sa parlicipation à des travaux de cet ordre. On lit 011 effet, dans ce journal, du 24 août 1850, un l
re le contenu en trois fois : à dix heures du soir, en se niellant au lit ; au moment où sonnerait minuit, et à l’aube du jo
ulement qu'elle vivait avec des voleurs. » Lucidité spontanee. — On lit dans lu Mémorial bordelais des premiers jours de
65 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
isir fortement l’index de ma main gauche, que je lui présentai. 11 le lit , en me disant que je ne pourrais plus retirer 111
bien, celte dame... Elle est assise dans uue grande ctlamtre... Elle lit ... » Puis tout à coup : «Tiens! voici aussi la pe
ous de la vérité. » Vous, M,n0 Hérold (1), qui étiez retenue sur un lit de douleur depuis plus de quatre mois, les soins
vant d’une congestion cérébrale. Emma lui apparaissait gisant sur son lit de mort et l’appelait en lui disant à plusieurs r
le plus près de lui venait de tomber ; aussitôt il sauta hors de son lit ; s’élança liors de sa tente, et fut tiré du péri
ques jours après, le somnambulisme revint ; et, alors, étant dans son lit , la patiente commença de chercher le bracelet sou
nous convaincre qu’il en fût vraiment ainsi. Quand le patient attend/ lit l’opération et se tenait tranquille pour qu’elle
il y a des jours que ses meubles ainsi qu’une cloison voisine de son lit font entendre des craquements qui feraient croire
onscrit : il avait amené l’avant-dernier numéro. » nécrologie. — On lit dans la Gazette de Lyon, citée par le Journal des
langue pendante. Saisi de terreur à cette vue, je m’enfonçai dans mon lit et tirai vivement la couverture pardessus ma tête
élic, 24 février 1855. FAITS ET EXPÉRIENCES. 1° SORCELLERIE. On lit dans le Times de la fin de février, sous la rubri
ique) du praticien. Anna BLACKWELL. 2° TURGESCENCE MAMMAIRE. On lit dans la Presse du 15 mars : « Le lundi 5 de ce
. Dieu, que j’ai cbaud ! » Nous fîmes à l’instant même bassiner son lit ; on la coucha sans souffrance, et elle s’endormi
en son âme, cela passe toute possibilité et toute croyance. Dieu seul lit dans les cœurs. » On le voit, c’est toujours le
s ce cas sort tout à fait du nombre de ceux prescrits par la Faculté, lit il a réussi ! Imlè irœ ! Voici, afin qu’on juge
Quand la malade avait le temps de le faire, elle se couchait sur son lit ou s’asseyait sur une chaise; d’autres fois elle
soir, je trouvai la vessie énormément distendue, et le 9 au matin, le lit fut inondé par suite d’une miction involontaire.
ès très-fort. Il me fallut plus de temps pour magnétiser la malade au lit qu’étant levée. La malade accuse de la pesanteur
r. La gastralgie la fait tellement souffrir qu’elle se roule dans son lit , mais sans mouvements convulsifs et sans perte de
x. Le 15, la malade se réveille couchée sur le plancher, devant son lit . Combien de temps y est-elle restée ? A-t-elle rê
re confirme son dire, que, dans le temps, elle tombait souvent de son lit , quelquefois à la suite d’un accès, quelquefois a
la forcent d’aller dans sa chambre et de s’appuyer la tête contre son lit . A trois heures, en marchant, elle tombe comme fo
La malade ne répond plus, ne fait aucun mouvement, elle gît dans son lit comme un cadavre. J’applique des compresses d’eau
douleurs de tête deviennent intolérables. La malade se couche sur son lit et tombe bientôt dans un état comateux. A deux he
t aurait-il pu se reconnaître? OGIER. VARIÉTÉS. Tribunaux. — On lit clans le Siècle du 29 avril, à l’article Chroniqu
e en apparence, Mais où le verbe actif brille par son absence. On lit donc simplement : « Le bien, par toute main ; L
dimanche, jour heureux s’il en fut jamais pour moi ! lisant dans mon lit de douleur le Journal de l’Aube, j’y vis qu’un ce
t plus vives que jamais, et telles que je crus devoir me lever de mon lit afin d’essayer si je parviendrais à les rendre pl
e secours des yeux et contemple, à Paris, ce qui se fait à Pékin ; ou lit dans l’avenir comme dans un almanach ; ou, ce qui
a abandonnése. Et les niais et les fourbes témoins de ces scènes, le lit d’un agonisant n’admettant d’ordinaire que deux c
la niaiserie) de se servir du magnétisme pour éloigner la mort qui se lit parfois des remèdes traditionnels du Codex. Il es
avait perdue. Le stéthoscope, appliqué de nouveau sur le ventre, me lit percevoir les battements du cœur du fœtus, dix fo
de ce royaume, c’était à elle à apprendre le résultat au public. « lit , ajoute-t-il, nous savons par notre correspondanc
qui cependant réussit à celui nui a eu elle une confiance absolue. lit tout cela est bien simple. La faculté de guérir,
et à des froids aux pieds subits, et sans cause apparente, surtout au lit . A force de tâtonner, j’avais trouvé moyen de me
a lèpre fut guérie. » Jésus trouve le beau-père de Pierre retenu au lit par la fièvre. VIII, 15. « Il lui toucha la mai
e favorisa l’action du magnétisme en gardant un repos absolu dans son lit , afin que la cicatrisation des vaisseaux rompus p
rds quand ¡1 y séjournait. Son mari était déjà vieux; mais Elisée lui lit cependant obtenir un fils; ÿ 17. « Cette femme
e Dieu.—Addition de Le Maistrc de Sacy), et elle mit l'enfant sur son lit ; et ayant fermé la porte, elle vint trouver son m
tra ensuite dans la maison, et il trouva l'enfant mort couché sor son lit . f 33. « Il ferma aussitôt la porte sur lui et
qui n'eurent point de témoins.) fit. a Après cela, il monta (sur le lit ) et sc coucha sur l'enfant. 11 mit sa bouche sur
a chair de l'enfant fut échauffée. f 35. « Et étant descendu de son lit , il se promena et fit deux tours de chambre. Il r
il se promena et fit deux tours de chambre. Il remonta encore (sur le lit ) et se coucha sur l'enfant. Alors l’enfant bâilla
lleurs la bénédiction, et nous reproduisons à dessein la définition : Lit volonté bienveillante accompagnée de gestes dirig
es scélérats, qui n’avaient pas quitté leur maison, gardaient tous le lit avec des trous de balle dans les jambes, l’exorci
cultés nouvelles, lui permet de guérir ses semblables ; le somnambule lit votre pensée, voit l’intérieur du corps et le rem
puisqu’il s’appuie sur des opérations (I) Numéro XLVI, vol. XII, p. lit cl suivantes. Tome X!V. — **!). — 25 septembre
se que j’ai h vue, ce sont vos yeux. » « On proposa de la porter au lit , mais elle refusa simplement, et monta tranquille
lle refusa simplement, et monta tranquillement deux étages, se mit au lit , cl fut replongée dans son extase magnétique pa
qu’il pouvait guérir la bête. On examina très-attentivement ce qu’il lit ; mais la seule chose qu’on put voir, c’est que l
ne peut opposer que des palliatifs inefficaces, le somnambule lucide lit dans l’intérieur du corps comme dans un livre ouv
op de sang, et ils disent que si le sang circule mal et détermine par lit des congestions variables de divers organes, on p
a A leur suite, le mulade se couchera (durant chaque entr’acte), le lit ayant été chauiTé d’abord par une bassinoire à fu
me nuit, son fils, qui était dans sa maison à Astoria couché dans son lit , fut réveillé en sursaut par le bruit d’un corps
mbant sur le parquet. Il crut que son frère avait glissé à bas de son lit et l’appela en criant : — Jean, est-ce vous ? Une
iez d’être frappé d’un coup (le sang. Je vous voyais étendu sur votre lit et luttant entre la vie et la mort. J’aurais voul
à pénétrer le secret : il ne trouva rien au-delà du poignet. Il fut, « lit -on, renversé en punition de son audace, et person
l le plaça dans un sac de tapisserie qu’il attacha à la flèche de son lit , puis il se tint tranquille. Le lendemain matin,
-tress Hise fut réveillée par le mouvement de son mari qui sortait du lit . Elle se leva et observa ses démarches. 11 alla à
stérilité, de faire périr les bestiaux, de suspendre la fécondité du lit conjugal, etc. L’opération la plus singulière con
du plus illustre bienfaiteur de l’humanité des temps modernes. — On lit clans les journaux allemands la nouvelle suivante
e réalisa. Nous apprenons d’une personne qui en a été témoin, qu’elle lit et décrit tout dans l’obscurité aussi bien qu’à l
que. Fausse appréciation du somnambulisme, par M. Mueller, à laquelle M. Lit tré oppose les opinions de M. le Dr Carpenter, 98
66 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
ûler à Pâques, A fait un horrible coup Dont on parlera beaucoup. Du lit d'une Irépassée Un malin il s’approcha; Surlc f
s autres. CLINIQUE MAGNÉTIQUE. SECTION DU TENDON d'aCHII.LE. On lit dans le Phare de la Manche: Monsieur le rédacte
disparaissait rapidement.) Le 24, je vins la voir et la trouvai au lit , accusant un malaise indéfinissable et une grande
t électri-« sée, appuyée contre son énorme couchette en chêne, « avec lits , paillasse, le tout pesant bien trois cents li-«v
LV.yant épiée, on s’assura qu’au bout de deux heures qu’elle était au lit elle s’agitait et murmurait dans ses dents; puis
ement dans la maison où elle demeurait alors. Un an plus tard el'e se lit à parler beaucoup dans son sommeil; il Ili sembla
cherait à mordre les personnes qui devaient la tenir avec moi.dansson lit . Elle m’indiqua ensuite les remèdes qu’il faudrai
membres agités de mouvements convulsifs. Je la transportai sur son lit , je lui fis des passes à grands courants; après d
alier de l’escalier lorsqu’un chat s’embarrassa dans ses jambes et la lit tomber. Elle eut beaucoup de fièvre, do larges
rdement. Elle secouait la tête, levait les mains, les appuyait sur le lit , se levait sur son séant, puis se laissait aller
. Séance du 28 janvier. — Un nouveau membre, M. Péreyra, de Tiflis, lit un long mémoire, dont voici les passages principa
se coucher, et tenait un grand couteau à la main. Il alla droit à mon lit , dont il connaissait la position, eut l’air de vé
l engorgement hydropique dans les deux jambes. Un premier médecin lui lit deux mois de visites et l’abandonna plus malade q
ce du 5 mars. — Réception d’un membre stagiaire, M. Legenvre. M. Lovy lit le rapport qu’il avait été chargé de faire sur Y
sensible è l'attraction magnétique. Séance du 2 avril. — M. Dubois lit un long mémoire sur une sorte d’obsession momenta
pôt a été fait en cette banque, et sur l’enveloppe qui le contient on lit : « Cette enveloppe renferme un billet de 100 « l
» Harvey n’était que trop franc; Il fut trouvé ridicule, Et se lit du mauvais sang.... Les corps 3;rvants, etc.
place, pensant qu’elle fût morte. «Au matin, elle se trouva en son lit couchée; à quoi son maître ébahi lui demanda ce q
disait n’avoir aucune puissance si elle n’était hors de la prison, la lit élargir. Alors elle se frotta toute nue de certai
n que vous vous êtes trompés. Faites pour vos doctrines ce que Biehat lit pour la matière médicale ; c’est le premier de vo
. Il est admis membre titulaire. Séance du 2 juillet. — M. Lefeburc lit la relation d’une cure de paralysie rhumatismale.
s'éprit d’amour pour une femme morte, sur la description qu’on lui en lit , devint fou, et mourut lui-même de sa passion. Il
Enfin, deux mois après lejuge-ment d’Henriette, M. Barbier (d’Amiens) lit à l’Aca— démie de médecine l’histoire d’une femme
poches pleines de plomb, afin d’atteindre plus sûrement le fond du lit du fleuve. On apprend aux enlanls, dans les école
lement, c’est la rapidité incroyable avec laquelle son magnétiseur la lit passer plusieurs fois, en notre présence, et immé
droit. — Ed. Nouet, ingénieur de la-marine. —-Delente, directeur des lits militaires. — Lebeurrier, commis principal de la
n buste , mais une petite pyramide sur l’une des faces de laquelle on lit : A LA GLOIRE DE MESMER. Il serait très-curie
répréhensibles scs rapports avec le barnabite Laeombe, trois fois la lit enfermer par lettre de cachet, n’est pas moins in
orté ce qu’on vient do lire, cette lille dit : « Le changement qui se lit en « moi en cet instant, ne m’a jamais paru natur
battant sous l’effort de cette crise , de fortes contusions contre un lit près duquel elle s’était endormie. Ces contusions
santé... Le sang me gêna... c’est n alors qu’un animal de médecin me lit des saignées réi-« térées. Il appauvrit encore un
matières déjectéesétaienten effet comme de la chaux. Elle a gardé le lit de midi à 6 heures. Les hémor- roïdes ne sont p
t n’étaient pas toujours suffisants pour l’empêcher de sauter hors du lit sur lequel on cherchait à la maintenir. Ses mâcho
avec elle. Le lendemain matin, je trouvai ma malade assise sur son lit ; ses yeux étaient fermés; elle voulait, di-sait-e
et on lui présenta 1111 vase de nuit, sur lequel, étant descendue du lit , elle se plaça avec quelque difficulté. — « Je ne
’il y en avait plus de deux pintes. Cela fait, elle se remit dans son lit , exprimant tout le plaisir qu elle ressentait «le
L E S Au bureau du Journal du magnétisme. 11 octobre. — M. Derrien lit la relation d’une- cure d’affection chronique (vo
alement un rapport sur une guérison d’hémiplégie ancienne. M. Laporte lit plusieurs relations de maladies guéries par le ma
; mais tous ces soins étaient inutiles. Alors nous la portâmes sur un lit dans une pièce voisine; elle y recouvra vite l’us
quel j’étais assis dans la salle à manger pour aller me mettre sur un lit voisin; mais mes forces m’abandonnèrent tout à co
aussitôt sa prédiction; je la retirai de là et la transportai sur un lit , où elle reprit immédiatement ses sens. Ce fut en
e-présidents, et lord Morpeth un des fondateurs. — D’autre part, on lit dans la correspondance de la Démocratie pacifique
accepté. Le magnétisme, ce qu’il y a peut-être de plus grand TOME lit . 15 NOVEMBBE 1846. 0 au monde, après Dieu , a t
i se manifestent dans le sommeil magnétique. Plein d’enthousiasme, il lit part de sa découverte, et les magnétiseurs provoq
pensée, à deviner les choses cachées, à prévoir l’avenir. Le doute lit des objections; on y répondit en couvrant de band
lin, convoque la même commission, pour lui montrer une somnambule qui lit dans la pensée et fait cent choses plus surprenan
phe. 11 dit : « Buflon, « Condillac, Jouffroy, ont écrit des romans.» lit no voulant pus imiter ces grands hommes, il livre
plets puisqu’ils ne contiennent que les actes d’une partie de la vie. lit maintenant que sur ces points les savants sonl pl
long monologue il s’arme d'un bâton, ouvre une porte, et va droit au lit de sa belle-mère; il frappe celte malheureuse fem
eilles, vous serez les premiers frappés! Tentative de meurtre. — On lit dans divers journaux quotidiens des 6 et 7 couran
n accent méridional: Parbleu ! si ze la connais ! Si ze dors dans mon lit , c’est bien à elle que za le dois. Quant à sa con
plus dix ans ze ne pouvais pas dormir; aussitôt que z’étais dans mon lit z’étouiïais, et z’étais oblizé de passer toutes l
fait les remèdes, et maintenant ze dors bien tranquillement dans mon lit et ze me porte à merveille, comme vous voyez. (Hi
67 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
les nerfs de la face et des yeux sont gris et le malade est sur son lit comme un naufragé sans secours. Il y a très rarem
vec délire hypochondriaque et attaques hysté- riformes. M. CHAMBARD lit ensuite un travail sur un cas de pa- ralysie gé
CONGRÈS DES ALIÉNISTES RUSSES A MOSCOU (Suite'). V. M. Vtcrorsors lit ensuite son travail Sur l'assistance des aliené
appante lorsqu'on compare les données statistiques sur le nombre de lits pour les aliénés à Moscou et à Saint-Pétersbour
t-Pétersbourg a 1,955 places; autrement parler : à Moscou, il y a 1 lit pour 1,183 personnes; dans le gou- vernement de
83 personnes; dans le gou- vernement de Moscou, avec la capitale, 1 lit pour 3,241 per- sonnes ; à Saint-Pétersbourg, 1
la capitale, 1 lit pour 3,241 per- sonnes ; à Saint-Pétersbourg, 1 lit pour 441 personnes; dans le gouvernement de Sai
sonnes; dans le gouvernement de Saint-Pétersbourg et la capitale, 1 lit pour 828 personnes 2. En présence de ces fait
ent de Moscou, de construire une maison d'aliénés au moins pour 400 lits . Les dépenses qn'exigera cette construction mon-
it plus persistant qu'intolérable, et ne la forçait pas à garder le lit . Durant ce temps, elle commença cependant à res
ons et de pustules phlegmoneuses. Elle se trouvait au mieux dans un lit bien chaud, la transpiration étant peut-être pl
traverse, servant à recevoir une paillasse; dans l'autre il y a un lit eu fer mobile. Les aliénés sont conservés quinz
ille est presque iden- tique, à la circonscription près, à celui de lit V..., que nous venons de relater. Nous retrouvo
rendent la marche impossible et forcent même le malade à garder le lit . L'impo- DES MONOPLÉGIES PARTIELLES DU MEMBRE S
adie fébrile extrêmement grave (fièvre typhoïde ? ), qui le tint au lit pendant plusieurs semaines. A partir de cette é
ans se souvenir de ce qui vient de se passer. Elle urine parfois au lit . DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 247 22. Elle a un
u ce matin une petite crise ; elle s'est déshabillée, s'est mise au lit , puis s'est affaissée sans avoir de convulsions
ménage ou les bassins de garde-robe, etc. Elle urine quelquefois au lit . Elle a considérablement grandi depuis son entr
nir sans provoquer de violence. La nuit, on le maintenait sur son lit avec des sangles. Dans la rue, il ne s'est jamais
n ne peut lui faire dire son nom. 31 décembre. Le malade urine au lit toutes les nuits, il est quelquefois grand gâte
sur sa femme. « Ça lui bouillait dans sa tète, il se sauvait de son lit , il avait le transport. » (Délire aigu.) Les tr
t la nuit et empêchant de le placer dans une bonne position dans le lit . Cette sensation tient souvent le malade éveill
, contradic- toires ; on les retrouve dans ses écrits dont M. Motet lit les pas- sages suivants : « Du 19 juin 4886.
aire de bot- tines de rechange, au point de la forcer à demeurer au lit jusqu'à ce qu'on eût réparé la vieille paire. I
emps, douleurs au sommet de la tête et à la nuque. Depuis, repos au lit : les syn- copes deviennent rares, et ne se pro
es ; parfois aussi vertiges; il lui semble qu'elle tombe ou que son lit est obliquement soulevé. Le 12 mars, agitation,
les questions scientifiques de la psy- chiatrie. XXVII. M. Rosché lit son étude « sur l'abus des boissons alcooli- qu
imatériques que la Pologne, chaque habitant consomme en une année 5 lit . 88 d'alcool en moyenne, tandis qu'enPologne, c
moyenne, tandis qu'enPologne, celte quantité moyenne n'est que de 4 lit . 36. Parmi les aliénés qu'on admet dansles mai-
r; la manie, la dégénérescence psychique, etc. XXXI. M. VICTOROFF lit ensuite son étude « sur la personnalité considé
ait les secouer. « Quand j'eus soufflé la lumière et me suis mis au lit , dit-il, il me sembla qu'aussitôt les noix se m
, diable ? Soit, je recommande mon âme à Dieu. » Je retournai à mon lit et m'endormis. Une fois à Wittemberg, j'entendis
ant de violentes coliques qui l'obligeaient quelquefois à garder le lit . Pendant la puberté, elle ne présente pas d'acc
nés qui obligent à la main- tenir, pour l'empêcher de tomber de son lit . Ce n'est qu'avec beaucoup de peine et par une
d'aller jusqu'au fond de la salle, de revenir et de se remettre au lit . Réveillée, elle se met à s'habiller et répond
lée, elle se lève, va au fond de la salle, revient et tombe sur son lit . Au réveil, elle est tout étonnée de se trouver
it. Au réveil, elle est tout étonnée de se trouver habillée sur son lit . 15. M. Grasset, tout en» lui comprimant le poi
- dre reçu, dire bonjour à M. Grasset, qui se trouve aux premiers lits de la salle des femmes. Elle tombe immédiatement
hoscope qu'il a dans la poche de son tablier, de le cacher dans son lit et d'accuser du méfait une de ses voisines. Au ré
chant de le fléchir à droite. Un an après le début de la maladie se lit remarquer une faiblesse de la jambe droite qui
urmillement, qui se répandait de la tête au dos; vertige parfois au lit , parfois sentiment de chancellement et de secou
- A deux heures de l'après-midi, le malade étant debout contre son lit , s'est senti tout à coup défaillir, et s'est pl
lente- ment « Deux... ou trois... heures... après que... je suis au lit . » Jamais de cauchemars. Fonctions digestives
ous les jours à marcher et il commence à y arriver en se tenant aux lits . 11 est allé au concert le 27, était très heure
est arrivé à pouvoir marcher soutenu sous les bras ou en allant de lit en lit. 1884. Janvier. Poids, 45 kilogr. 60; Ta
rivé à pouvoir marcher soutenu sous les bras ou en allant de lit en lit . 1884. Janvier. Poids, 45 kilogr. 60; Taille, 1
et n'offrent aucune défor- mation. Le malade étant couché sur son lit , l'attitude est la suivante : les cuisses sont
constater ses progrès sous ce rap- port. Il marche en se tenant aux lits ; il rit largement et pousse des grognements con
uemment qu'autrefois à s'es- sayer à marcher, soit en se tenant aux lits , soit en poussant le dos d'un fauteuil devant l
bras, les mains s'abattent, grandes ou- vertes sur les barreaux des lits , en même temps le tronc et le cou se contournen
nsibilité de la muqueuse palatine parait très obtuse. L'examen au lit permet de constater que le réflexe rotulien est
AIT tuberculose pulmonaire ; hémiplégie DROITE ; DIAGNOSTIC FAIT AU LIT DU MALADE : « TUBERCULE CÉRÉ- BRAL ». Autopsie
au tabes, ni avec l'a- maigrissement produit par un long séjour au lit . Mais cela ne suffit pas pour décider si l'amyo
68 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de rhumatismes articulaires généralisés qui l'a obligé à garder le lit assez longtemps. Ses antécédents hé- réditaires
nouvelle crise de dyspnée le fit suspendre son travail et garder le lit . Il ne s'est jamais rétabli complètement depuis
bonne. Il pesé 60 kilogrammes. Il supporte volontiers le séjour au lit . La face est pâle, les artères temporales sont
blement. Moins calme que le jour de son entrée, il veut quitter son lit , demande à s'en aller, dort très mal, se plaint
rôle pour les leçons cliniques. La Clinique disposant de 80 à 100 lits , c'est donc 20 à 25 malades qui sont attribués
ablissements de traitement si l'on veut arriver à la suppression de lits spéciaux pour gâteux, des cellules où les malad
avoir un matériel clinique nombreux, une clinique doit disposer de lits gratuits en nombre suffisant et de lits à prix tr
e clinique doit disposer de lits gratuits en nombre suffisant et de lits à prix très faible. Le professeur dispose de 10
uffisant et de lits à prix très faible. Le professeur dispose de 10 lits gratuits. Le prix de pen- sion le moins élevé e
SEN. 29 §8. Il n'y a pas d'admissions' gratuites, sauf pour les dix lits qui sont à la disposition du Directeur. Les §
t il mord avec frénésie. 1898. Jmn. - Progrès dans l'écriture. Il lit et retient avec une Fig. 8. Lem... Georges en j
rimés, il ne retient que les mots qu'il comprend et ces mots il les lit indifféremment à l'envers et à) l'endroit. Il est
end goût à tous les exercices clas- siques. Il copie les mots qu'il lit et même en écrit un cer- tain nombre de mémoire
Juin. Progrès pour la classe, mais difficulté pour le calcul. Il lit couramment, commence à faire des devoirs élémenta
gymnastique et aux travaux de la classe. Il comprend bien ce qu'il lit , écrit mieux, fait l'addition et la soustraction
nostique une démence organique. Elle demeure presque constamment au lit sans faire grand mouvement, et meurt dans le co
iable pour un hémiplégique ou un paraplégique que de se confiner au lit . Il faut lui enseigner une foule de mouvements,
onquête du sénile don Juin; elle l'emmena rue des Batignolles et le lit arrêter par des agents. Conduit devant M. Rouff
, journalier à Bonnehosq, canton de Cambremer, était couché dans un lit voisin de celui de sa femme. Se levant dans la
ner souvent surtout la nuit. Il se réchauffe difficilement dans son lit . Au point de vue mental on note de l'affaibliss
des remords). Il a pleuré, s'est mis en colère après son voisin de lit qui marmotte continuellement, el a accusé des hal
logie des troubles rénaux que nous avons constatés : . Examiné au lit à son entrée dans le service le malade parait p
, malgré les médi- caments calmants, d'être agité, de sortir de son lit , qu'il faisait et défai- sait continuellement,
die cérébro-spinale. L'auteur attribue celte différence à ce que le lit du père était plus éloigné des portes et fenêtr
esoin de la dé- morphinisation par les méthodes lente et brusque et lit l'observa- tion d'un médecin morphinomane issu
avance ; le savant médecin de la Pitié. entouré d'élèves, était au lit d'une malade; c'était une morphinique. Et Lance
ant de vingt-six mois. M. Paul FAHEZ Une enfant a cessé d'uriner au lit , la nuit, vers quatorze ou quinze mois. A deux
de garde robe dans la journée, on lui donne avant de la mettre au lit un lavement froid; il en résulte pendant le somme
cteur captivé, parce qu'il s'assi- milie sans grand effort ce qu'il lit , tant le style de l'ouvrage est clair, tant les
s généralisés. - A dix-sept ans, elle eut une grippe qui la tint au lit quelques jours mais qui n'offrit aucune complic
emps de céphalées tenaces. Alité, il ne peut se réchauffer dans son lit et demande, en plein été, qu'on lui donne un éd
e sous l'influence de ses hallucinations qu'il s'agite, sort de son lit , crie, se cache un instant après sous ses couvert
evient propre dans le jour; mais urine fréquemment la nuit dans son lit . Il distingue les couleurs, les lettres et les ch
ménagers, il travaille avec goût en classe, fait l'addition simple, lit et copie un certain nom- bre de mots imprimés.
e se dissiper. 1899. Il ne gâte plus le jour, mais urine souvent au lit . I ! s'ha- bille seul, mais ne sait pas encore
s leçons orales, aimearendte service dans le ménage. 1902. Cott.. lit un grand nombre de nos mots imprimés qu'il copi
Nous arrivons au résultat inespéré de la lecture courante. 1903. Il lit et comprend ce qu'il écrit; reproduit de mémoire
Peu à peu, elle s'est intéressée à la lecture et aujourd'hui, elle lit couramment, écrit très lisiblement, fait quelques
nfantines, les livres de classe, voire même les journaux ; l'enfant lit en un mot tout ce qu'elle trouve sous sa main.
es menaces, est-il placé en observation a l'asile de Bonneval. Il y lit un séjour de cinq mois. Le Dr Derriq, direc- te
de ces malades qu'à chaque ronde le veilleur trouve assis sur leur lit , qui ne dorment que d'une façon interrompue, in
eures que l'on a adoptée ailleurs : 12 heures de bain, 12 heures de lit , en inter- calant au besoin quelques moments de
tée et qui devait entraîner son renvoi de l'hospice, ses voisins de lit lui reprochaient d'avoir manqué de pudeur en pr
cachet des réactions per- sonnelles du sujet qui en est atteint. De lit tant de variantes indi- viduelles qu'on rencont
asse dans une grande salle d'hôpital dont le fond est occupé par un lit , et surtout le chirurgien, car les détails de l
trouver Saul, et se présenta devant lui. Saul l'aima beaucoup et le lit son écuyer... 23. Ainsi toutes les fois que l'E
prend, en bas, à droite du couloir central, un dortoir de quatorze lits , destiné aux tuberculeux alités ; à gauche de ce
vaste réfectoire. Au premier étage, existent deux dortoirs de seize lits , destinés, l'un aux malades tranquilles, l'autr
nuit du 22 au 23 juin : impulsion subite, quitte brus- quement son lit , se jette sur une fenêtre, brise les vitres ; le
ambes dues à la tension musculaire. Du 25 au 28. le malade reste au lit étendu sur le dos comme » s'il était rivé à sa
tes de "la rate passent par les grands splanchniques de deux côtés. lit L'influence de la région cervicale et dorsale d
tamment jour et nuit, on était d'ailleurs obligé de le maintenir an lit , car il risquait de tomber et de se blesser.
éunion et couchent dans des dortoirs, généralement de douze à vingt lits , où l'espace nous a paru parfois leur être un p
s actes ont été inspirés par le culte qu'elle avait voué au maitre, lit don à uotre31stinué confrère, M. le D'' Belugou
mois lui sortent de la bouche sans qu'il puisse les arrêter ». S'il lit son journal, il se plaint qu'on le lise plus vi
voit le diable sous la forme d'un singe, des bêtes courent sur son lit , sortent de sa bouche, lui rongent la gorge, lu
ur les terrains de l'hôpital un pavillon spé- cial qui contenait 22 lits , mais que l'on a dû agrandir et qui en renferme
besoin d'être étudié. La salle a la forme d'un corridor, et les 54 lits sont ainsi répartis : 20 chambres contenant un
idor, et les 54 lits sont ainsi répartis : 20 chambres contenant un lit ; trois chambres contenant deux lits; quatre chamb
artis : 20 chambres contenant un lit; trois chambres contenant deux lits ; quatre chambres en contenant quatre et deux co
eux lits; quatre chambres en contenant quatre et deux contenant six lits . Les hommes sont au rez-de-chaussée, les femmes
r des moyens plus inoffensifs et plus humains, tels que le repos au lit , le maillot hu- mide et les bains chauds prolon
edèmes : oedème froid et gélatiniforme du pied, non influencé parle lit ni par le lait, l'auteur eut l'idée d',tp- pliq
rnne liiez les aliénés, par Sciiigny, 272. Maniaque. Singulier -, lit ) Don Juan sur le retour. Plus de trente victi
I.aI3LE DES IATlItE. 553 SmoruoBtE.Kute sur uniforme par- uculive lit ! -, par Cullerre. 336. Sommeil. Les troubles d
urasthéniques et mélancoliques, par Dubois, 276 utérins rinét par lit tion hypnotique ; observations d'orthopédie m
69 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
mmérages des femmes du Petit-Condom dont quelques-unes entouraient le lit du malade. Elles ne cessaient de lui répéter ; on
e augmentait, leur intensité diminuait. La malade ne quittait plus le lit . Au mois de juillet, vers le y mois de sa grosses
confiance Le Dr Vautrin qui la rencontra au moment de son départ, lui lit des remontrances. Plus confiant en la suggestion
ecin l'avait soignée. Lorsque je la vis, elle était étendue sur son lit . Son pouls marquait 90 pulsations ; la langue éta
leva et sortit de la tente: mais il revint bientôt, et s'approcha du lit du lieutenant Mac en disant. « Viens camarade ! V
dant Général de l'armée Indienne, et Chesney. lieutenant de Génie, se lit connaître depuis par ses écrits et pour sa carriè
âce à mes remontrances C. fut transporté à la tente et déposé sur son lit . Il regarda tout autour et dit : « Qu'y a-t-il? Q
iffrez-Les élèves des hautes classes ne restent guère que 7 heures au lit en moyenne; il en est qui dorment moins encore. 1
de commun. Il y avait donc, avant tout, à préciser le ciagnoslic. Au lit de chacun de ses deux mala-des, le savant profess
evenait incapable de tout mouvement, s'alitait et ne quittait plus le lit . Jusqu'à cette époque, la malade n'avait eu que
ses convulsives. d'une paraplégie complète. Elle est couchée dans son lit depuis huit ans. Dès qu'on la touche, elle accuse
e. A la quatrième séance, nous la faisions asseoir sur le bord de son lit et, avec un peu d'aide, nous la faisions tenir de
it mois après ses couches, elle fit un violent effort en poussant son lit avec son ventre, en faisant son ménage. A partir
II — Une femme, âgée de 28 ans. Mme A..., mécanicienne, a uriné an lit jusqu'à 12 ans. A dix-sept ans, elle a commencé à
naissance, cette jeune fille n'avait pas passé une nuit san uriner au lit . Nous avons, en outre appliqué la suggestion a\
ndue sans bruit, sans éclat; on l'? trouvée morte un malin dans . son lit . L'occasion me parait favorable pour vous parle
num. Obs. III. — Elisabeth M—, agée de vingt-trois ans, retenu- :au lit pendant de longs mois par des contractures hystér
Elle boucha soigneusement l'ouverture de la cheminée avec un drap de lit , ferma aussi hermétiquement que possible les fent
on disposé en tas devant la cheminée s'étendit toute habillée sur son lit . Au bout de quelque temps une odeur étrange se ré
. ????» m,¿k. ftqCÍ. Janv. |$3;, p. o» »..,,? «..:. M.b. aine T. III. lit » p. »7°. **? « ***. idées, tit observer néanm
ablement sauvée d'une grave maladie cérébrale. • A cette époque, elle lit un voyage et le 17 juillet, elle écrivit : « mes
er pourremplir un devoir; il n'a pas le courage de s'arracher d.- son lit ; c'est la. manie lectuaire qui fait partie de la
re est restée impassible et reposée, elle est demeurée inerte sur son lit conservant la position qu'elle avait eu pendant l
examen, nous trouvions G... dans l'état suivant : il était étendu au lit . le corps reposant sur le dos. Les paupières étai
on. Lorsqu'on soulevait la poitrine, elle retombait lourdement sur le lit dès qu'on cessa:t de la retenir. Il en était de m
geait dans un bain. 11 se laissa choir au fond de la baignoire. Il ne lit aucun effort pour sortir la tète hors de l'eau, e
nt plusieurs mois, et i! durait encore au moment où Legrand du Saulle lit sa communication à la Société médico-psychologiqu
ul. Durant les dix semaines, il était resté couché, immobile dans son lit , ne prononçant aucune parole, tenant les yeux fer
un Jour, pour parle ainsi au nom de Marguerite? — Je sais son amie. — lit comment vous appelez-vous, s'il vous plaît?—Je ne
la 1re liste...... 634 francs Un vol dans l'état d'hypnotisme. Ou lit dans le Hirlap, de Pesth, que c'est à Londres que
avril. Nature psycî-.clogiçue de l'hjpaolism». Rrv. des setenees et Lit ;e. tj: to-n. p. 97-10». S FRITZ PICHLER '¦ E'»
nir, il ne commettrait plus de vols. Pour occuper ses loisirs, on lui lit apprendre le métier de tailleur. Il travaillait,
leur disposition Ainsi, la médecine pratique, qui ne s'apprend qu'au lit dn malade, se trouverait largement enseignée sans
, au contraire, portent au pôle positif l'effluve ItX plus longue, et lit plus courte, au pôle négatif; différence qui, en
lit plus lard ; un autre où il fait la psychologie des Lvonnais. On lit dans ce dernier, k propos des Lyonnaises, cette p
s précédent les aliments ordinaires et. chaque jour, elle sort de son lit pour aller faire ses besoins dans la salle et pre
ous pénétrerez dans une grande chambre ; dans cette chambre il y a un lit , dans ce lit il y a un homme : c'est le roi d'Ang
z dans une grande chambre ; dans cette chambre il y a un lit, dans ce lit il y a un homme : c'est le roi d'Angleterre ; à c
ans ce lit il y a un homme : c'est le roi d'Angleterre ; à coté de ce lit une table de nuit; sur celle-ci un revolver; vous
ver; vous vous en saisirez et vous tirerez trois coups sur l'homme au lit ». A l'heure dite, l'homme arriva; toute la scène
ures. Vers 3 h. matin, se sentant mouillée, elle se leva, changea son lit et ne pouvait plus dormir. Elle éprouva de temps
it les supérieurs en cherchant à saisir les liens placés aux côtés du lit de camp : la figure devenait un peu plus rouge, c
de nouveau dans le ventre et dans les reins. Je la fis remettre au lit après avoir constaté qu'elle n'avait qu'un léger
mes articles sur la veille somnambulique), se tenait immobile sur son lit , obéissant à toutes les Injonctions que je lui tr
r aider la descente du faix. La garde lui commanda de sortir de son lit pour l'évacuation des eaux el elle le fit sans s'
s d'une névralgio sus-orbitaire rebelle, qui l'obligeait de rester au lit au moins trois jours par semaine. De plus, elle é
ccidents convulsifs (méningite1). Jusqu'à sept ans, il avait uriné au lit , et eu des attaques. La nuit, rêve» terrifiants
d'énervement. La crise se montre souvent quand M™ G... est encore au lit , A six heures du matin, ou quand elle vient de se
elle ne sait pas ce qu'elle a >; elle geint, se retourne dans son lit , éprouve des crispations dans les mollets et dans
ostration et d'un anéantissement extrêmes. La malade reste parfois au lit , n'ayant pas l'énergie suffisante pour s'habiller
nt, mais, cette fois-ci, à la région épigastrique; elle dut garder le lit le 25 et vomit toute la journée jusqu'au jour de
nt. Malgré sa douleur épigastrique, elle lave encore les planchers et lit la lessive jusqu'au mercredi 2i, où elle dut s'al
isséminés ; sortie de l'hôpital, elle dut encore rester trois mois au lit , mais ne peut donner des renseignements précis su
nent (1) des outrages dont elles sont l'objet la nuit, même dans leur lit , à côté de leur mari. Elles prennent toutes sorte
son réveil, frapper d'un coup de couteau une malade dormant dans son lit . Les magistrats, cachés derrière un rideau, viren
70 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
pour qu'on leur apprenne, au lever, à les brosser et à faire leur lit . Nous avons fait composer par les enfants de no
était isolée, sa literie et ses vêtements étaient désinfectés ; son lit lavé avec une solution phéniquée forte. Dans le
ans ces derniers établissements. Sur près de cinquante, demandes de lits que j'ai adressées à des directeurs d'asiles av
ai reçu qu'une dizaine de réponses favorables. Encore le nombre des lits mis par ces Directeurs à notre disposition est-
nt, cet encombrement n'est pas à craindre, puisqu'il y a environ 2U lits vacants à Bicêtre et IS à la fondation Vallée,
à la Fondation Vallée. Supposons que, un jour, il n'y ait plus de lits vacants. Ce jour-là, faites établir un registre à
août dernier : « Dans le service des hommes, contenant seulement 56 lits montés, il y a actuellement 96 malades, dont 39
d'encombrement, et on les garnit pour le coucher. A côté de chaque lit de camp est placé le vase indispensable. Le mat
l a des battements violents des membres inférieurs qui ébranlent le lit ; les jambes sont projetées en l'air, puis retom-
, du tronc, projection des membres en l'air, puis il retombe sur le lit . Petits mouvements sur place des membres inféri
, DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE. 9 s'agite dans son lit , se couche tantôt d'un côté, tantôt de l'autre.
ayant l'air de cher- cher consciencieusement et défaisant même les lits pour cela. A diverses questions qu'on lui posa,
t rien. Une fois cependant au moment où il voulait regarder dans le lit d'un ma- lade couché, on le prit par la main po
tout en dormant, grimpant sur les croisées, sautant par-dessus les lits avec une agilité surprenante, au point qu'on du
dans un sommeil léthargique, avec insen- sibilité complète. Mis au lit il eut quatre attaques consécutives semblables
vec mouvements étendus; 4° stertor. A 10 h. et demie placé dans son lit il a une série d'attaques très violentes, toujo
ant : « Je vois clair. A 7 heures du soir, il était couché dans son lit quand subitement il s'est levé, s'est sauvé en
e qu'on n'a pu l'at- teindre tout de suite. On le reconduisit à son lit , et alors il se mit à pleurer et à demander du
autre, le genou droit reposant par la partie interne sur le plan du lit en dehors du genou gauche. Emaciation extrême.
t que lesjours derniers, néanmoins on est obligé de le maintenir au lit à l'aide de la camisole. - La plaque érysipélat
et que, pour aller aux cabinets, il était obligé de se tenir aux lits , sinon il serait même tombé. D'habitude la marche
./Hydrothérapie. 8 avril. Schad... parvient à monter seul dans son lit . La . sensibilité au chatouillement, au pinceme
oration' notable; le malade va seul aux cabi- nets en se tenant aux lits ; hier il se serait même sauvé au fond de la sal
aute de cellule ou de chambre d'isolement, à le main- tenir sur son lit . 11 y a quatre ou cinq jours, l'infirmier lui p
voit qu'on le cherche ; aussi, est-on obligé de lui faire garder le lit . II va seul aux cabinets. - Son état ne se modi
suspend les injections d'acide sclérotinique quel'on reprendle le) lit dose dequiuzegoultcs (6 cen- trigrammes). Cette
journée.. Les accès restent fréquents et obligent à le maintenir au lit . Il continue à vouloir se cacher et lorsqu'on l
s, il avait eu des vomissements avec un peu de toux, ilest resté au lit une quinzaine de jours ; « le médecin a dit qu'
us, mais elle est très sale dans sa tenue. Elle a été l'école; elle lit péniblement, mais ne sait pas écrire ni compter
71 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
quelles le diagnostic semble douteux et dans lesquelles celui qui les lit et les analyse attentivement croit pouvoir reconn
sans bruit dans sa chambre. Je me tiens d'abord à quelques mètres du lit et, d'une voix très basse, à peine perceptible, s
si longtemps que cela sera nécessaire. Petit à petit je m'approche du lit et j'arrive bientôt à quinze ou vingt centimètres
ter-somnique. La première est faite au malade, dès qu'il s'est mis au lit , avant même qu'il ne s'endorme. La seconde s'adre
complètement connaissance. On le dégage et on le transporte dans son lit . Il revient à lui trois heures après. Il sent alo
que ceux des Ursulines de Loudun (introduisant un crucifix dans leur lit dans un but voluptueux], des nonnes d'Uverlet et
les P..., âgé de 9 ans, de tempérament lymphalico-nerveux, urinait au lit presque toutes les nuits, depuis l'âge où les enf
ndo, je répétai plusieurs fois les suggestions :« Tu n'urines plus au lit , tu n'urines plus jamais au lit, tu prends l'habi
es suggestions :« Tu n'urines plus au lit, tu n'urines plus jamais au lit , tu prends l'habitude d'uriner tous les soirs, av
s les soirs, avant de te coucher, et tu ne veux plus jamais uriner au lit , etc. » Avec des variantes, j'insistai beaucoup
a mienne, qu'elle m'apprenait que son enfant n'urinait plus jamais au lit depuis que je lui avais parlé pendant son sommeil
la petite mare », comme ils disaient, existait toujours sous le petit lit en fer qu'une urine abondante avait traversé. C
s et suivant le rythme respiratoire, qu'elle n'urinait plus jamais au lit , que, prenant l'habitude d'uriner toujours avant
ant de se coucher, elle aurait la volonté de ne plus jamais uriner au lit . Je répétai ces suggestions plusieurs fois en r
ffit; plus jamais, au grand étonnementde tous, .Iulia R... n'urina au lit , ce qu'elle n'avait jamais manqué de faire un seu
e trouve le véritable danger. 11 n'est pas sur la scène des théâtres. lit cependant nous avons reconnu l'impossibilité d'un
on tour de taille et de poitrine est de 1 m. 96. Il se couche dans un lit de 3 mètres de long et 1 m. 50 de large. Le géa
tations firent une profonde impression sur la petite pensionnaire. On lit dans une de ses lettres: « Je me souviens... d'un
ours dans un profond silence, seulement occupée à la prière » (~). On lit encore dans son épitaphe qu'«elle avait un grand
mère crut remarquer qu'il avait fait semblant de dormir: elle le lui lit même presque avouer. D'ailleurs la sugges-tibilit
deux fois par jour; puis elle se tourne sur le côté et crache hors du lit un peu de mucus, puis reprend sa position ordinai
position ordinaire, qu'elle ne quitte plus que pour descendre de son lit , lorsqu'elle doit aller à la garde-robe ou uriner
nt avait été atteint le nommé P.... Puis elle reste toujours dans son lit , dans la même position, sans se mouvoir, elle ne
uit ou neuf mois à l'infirmerie du noviciat, sans toutefois garder le lit . Il y eut, pendant cette période, une rémission d
V, 2). Il guérit des fièvres assez graves pour tenir les malades au lit [Mat., VIII, 14 ; Luc, IV, 38 ; Marc, I, 30). Que
donc dans la maison ; et voici, l'enfant était mort et couché sur son lit . Et étant entré, il ferma la porte sur eux deux,
nostic fut très hésitant et l'on prescrivit des sangsues, le repos au lit , ainsi qu'un traitement médicamenteux. L'état aig
ué jusqu'au jour de la Sainte-Trinité dernière » (*). Cette tumeur, lit -on d'autre part dans les Mémoires de Pierre Thoma
uissance, comme lorsqu'il dit au paralytique : * Lève-toi, prends ton lit et marche a. L'impotent ne peut qu'ajouter foi à
annonce, non seulement qu'il pourra marcher, mais qu'il emportera son lit . Pour certains sujets, il est préférable de ne
ortait des malades dans les rues de Jérusalem, on les mettait sur des lits et sur des couchettes afin que, quand Pierre vien
de pitié. Telle cette Isis charitable dont le culte vint d'Egypte et lit un moment de grands progrès. Le christianisme aff
e voir et l'on me demande de me rendre auprès d'elle. Je la trouve au lit , exténuée, épuisée. Prés d'elle, un bol de taille
d'hommes et de femmes de Fontevrault, entrait courageusement dans le lit de ses religieuses, « afin, disait-il, qu'en s'ex
. Les organisateurs de cette confrérie faisaient coucher dans le même lit un jeune homme et une jeune fille : un crucifix p
é de Fontevrault : 1" Robert d'Arbrissel n'était a pas de bois » au lit de ses religieuses et tout se passait normalement
ne congestion pulmonaire qui mit sa vie en danger et qui la retint au lit pendant six semaines. La convalescence dura longt
e huit jours et l'affaiblit au point de nécessiter le repos absolu au lit : ce tremblement réapparaît ; petit à petit M'""
me parle, les douleurs reparaissent. Je la prie de s'étendre sur son lit pour l'examiner, et au toucher vaginal je ne renc
s se met à écrire;sa femme vient regarder au-dessus de son épaule -et lit : « Ma chère Jeanne, tu m'abandonnes .... » Mais a
i ; va te coucher avec ta mère ! a Mais la femme partage néanmoins le lit de son mari et, fatiguée, elle finit par s'endorm
as les raisons ; cela lui est égal. Dans la journée, il dort, ou bien lit sans aucun goût n'importe quel livre qui lui tomb
s exécutent divers mouvements, se tournent et se retournent dans leur lit . L'apparition de ces phénomènes marque une limite
visite nécessaire, je vois cette malade, le 16 février 1900, dans son lit . Je procède à un examen minutieux de la malade.
X..., dix-sept ans, grosse fille robuste et de bonne santé, prend le lit , atteinte d'une fièvre très vive, mal de tète, en
as d'autres blessures que des contusions qui l'obligèrent à garder le lit pendant plusieurs jours. A partir de ce moment, o
e rigoureuse et d'entière certitude. - « Telle resta, jusque sur le lit de mort, cette claire et forte intelligence. 11 v
dans un asile d'aliénés. A propos de la voyante de Boulleret. . On lit dans la Semaine religieuse du Puy : « Mgr l'évé
72 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, TEINTURIER (1 : .), TIIUL1É (H.), TROISIKII (I ! .), vicotiltolix lit .), wlstv (J.). Liétlacleto en chef : D0U11NEV
le malade arrive, avec beau- coup d'efforts, à détacher le talon du lit . La respiration est toujours exclusivement diap
a tête, et porte la main de ce côté à la poignée de la corde de son lit ; l'extension des doigts est complète des deux c
gauche, mais il ne peut que détacher avec peine le talon droit du lit . Disparition presque complète de l'hyperesthési
ties inférieures du corps à partir de l'hypogastre, les draps du lit paraissent brûlants. Le malade prend depuis cinq
ours. Le mot merde, qu'il ne proiio, venu : il le dit pendant qu'il lit et sans cause a le, 'il continue à répéter -sym
rs de ses compagnes, suspend son occupation et s'assied près de son lit . Deux ou trois minutes après, elle est prise d'un
e indifféremment toutes les parties du corps contre les barreaux du lit , déchire parfois le col de sa chemise ; en un 5
jet de ce travail concerne une femme de trente-cinq ans confinée au lit depuis trois ans par une paraplégie qui, bien q
nouir. La malade peut encore fléchir et étendre les jambes dans son lit quoiqu'assez lentement, elle présente une épileps
ire, consistant en des leçons pendant l'hiver et en enseignement au lit du malade, dans la mesure où les exigences de c
- buait en effet une grande fortune. Un jour, cet homme se met au lit , refuse de manger, maigrit, souffre d'une insomni
la fortune qu'il avait mission de gérer; au moment où il se mit au lit et témoigna des craintes qui paraissaient illus
rosier en caisse, pour que la pluie l'arrosât; G... ne dormant pas, lit sa ronde et trouva la plante dans la cour, il l
la compagnie Lesage dont il a coupé tous les en-tétes, parce (tue, ( lit -il, il ne veut has qu'nn 4 Lesage » fasse la vida
ut l'été, il a couché enveloppé d'une couverture sur la sangle d'un lit ; il prépare lui-même ses aliments, ne parle que
durcis par la méthode fran- çaise à l'acide nitrique. 11. lltizig lit un mémoire sur la température au-dessous de /tt)
s (moyenne) 2° Chez les aliénés qui jeûnent en demeurant couchés au lit , la dernière semaine d'abstinence se traduit pa
aliénés sitiolhobes doit- être bien plus attribuée l,t perte d'eau lit perte d'albumine. En ingérant une grande quanti
OCIÉTÉS SAVANTES. Ill 1 SOCIÉTÉ PSYCHIATRIQUE DE BERLIN Séttiice ( lit i i tléceiitbi-e 1883 i. M. LOEHR, président, d
la tête ballotte de ci delà; station presque constamment assise au lit : démarche in- certaine, lourde; absence du sig
e qu'un peu de dépression psychique. Le 2 décembre, elle reste au lit , violente agitation, céphalalgie très intense, vo
essus un morceau de laine ou un bas. On place ce bandage le soir au lit , pour l'enlever le lendemain matin. En dilatant
e semble figé dans la stupidité; on a le temps de le placer sur son lit . Il ne se produit pas de ci Les convulsions dur
arter les projets de construction d'un autre asile d'aliénés de 300 lits environ, d'un asile d'idiots, d'un asile d'épil
n, ce qui les distingue des hallucina- tions, rétrocéder. L'orateur lit à ce propos l'histoire d'une femme de trente an
. Eu conséquence, les malades sont contraintes à garder un repos au lit absolu, afin d'éviter ces tortures. Aucun des
ps, mais se remit graduellement et après quelques jours de repos au lit parut complètement rétabli. On remarqua cependa
actions y étaient encore manifestes. L'évolution de la maladie se lit sans douleurs, la sensibilité des muscles atrophi
ehors vienne frapper l'oreille du malade, la vue seule du mot qu'il lit peut la déterminer : la seule pensée même du mo
l'on observe dans la chorée; jamais les malades ne sont confinés au lit par la vio- lence des mouvements. Enfin, jamais
s jusqu'à 10 grammes. 4 juillet. A fait assez de progrès à l'école; lit demi-couram- ment ; est plus intelligent. Gymna
au plus. Il a parlé vers quinze mois ; - presque toujours uriné au lit jusqu'à onze ans;it allait à l'école du pays où
Masturbation moins fréquente. DU CURARE DANS 1,'ÉPILEFSIK. 217 Î lit ; la face pâlit très peu, la tête s'incline à gauc
très rouge ; à 7 heures il s'est mis à pleurer, puis s'est levé du lit , se figurant qu'on lui di- 218 THÉRAPEUTIQUE.
; ' Les enfants agités sont laissés confondus dans un dortoir de 50 lits servant d iulimerre, de réfectoire, du salle de
'appétit et le sommeil sont bons; la malade com- mence à quitter le lit et passe des journées entières dans un fau- teu
affaiblie, elle était cependant encore excitée, pouvait quitter le lit , parlait sans discontinuer et avec de nombreuses
la prison ? » Le calme s'étant rétabli, Codara va s'asseoir sur le lit d'un de ses camarades, et se met à parler avec
aversé la chambrée, qu'il a pris son fusil, qu'il s'est rendu à son lit , a tiré des cartouches de sa giberne et qu'il a
i, et le soldat blessé Zanoletti, marchant à quatre pattes sous les lits , cherchaient à atteindre le fond de la chambrée
t Ragni ; et tire encore plusieurs coups dans la direction de leurs lits et sort. Courant à la recherche des sergents
us-officiers et le long du passage de la chambrée. 11 s'approcha du lit du caporal- major Condari, qui n'était pas enco
enou. Ciccarelli se jeta à terre et, sans être vu, il passa sous un lit , et en rampant, il arriva auprès de Inisdea et
Inisdea et de Condari qui le suppliait; alors, sor- tant de sous le lit , il se précipita sur le forcené qui tira encore u
gré d'agitation la nuit, qui le pousse quelquefois à abandonner son lit et t se promener en rond, sans idées délirantes
e déclivité de pavés où arrive l'eau destinée à laver parterre. Les lits sont des plus pri- mitifs ; ce sont des caisses
. A midi, par exemple, on trouvait encore des malades aulit; peu de lits étaient faits, le ménage n'était pas soigné ;
ts, le ménage n'était pas soigné ; 8° Un nombre infiniment petit de lits remplissent les indica- tions réglementaires;
preté, à J'entretien du vêtement, etc... L'établissement fournit un lit pour chaque malade dans un but d'uniformité; en
e somme, somme distraite du prix de pension; trois ans plus tard le lit lui appartient. Obligation par lui de signaler
73 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
et occuperont encore : 1° deux dortoirs des anciens bâtiments (40 lits et 18 lits); 2° deux des ateliers du bâtiment d
ront encore : 1° deux dortoirs des anciens bâtiments (40 lits et 18 lits ); 2° deux des ateliers du bâtiment des ateliers
lits et 18 lits); 2° deux des ateliers du bâtiment des ateliers (23 lits ); - 3° Dans la nouvelle section : a) quatre pav
; - 3° Dans la nouvelle section : a) quatre pavillons dortoirs (160 lits ); b) le bâ- timent des gâteux (80 lits); c) l'i
atre pavillons dortoirs (160 lits); b) le bâ- timent des gâteux (80 lits ); c) l'infirmerie (24 lits). I. Les enfants de
0 lits); b) le bâ- timent des gâteux (80 lits); c) l'infirmerie (24 lits ). I. Les enfants de la première catégorie se su
Ouest, existent, à gauche et à droite, deux dortoirs de chacun cinq lits . Sur le côté Est, à gauche et à droite de l'esc
à gauche et à droite de l'escalier, se trouvent trois chambres à un lit , qui n'ont d'ouverture que sur une galerie sail
ore par les impostes à soufflet des fenêtres. Les dortoirs à cinq lits sont pourvus d'un lavabo en marbre, composé de
qui est mobile, et peut être transportée, le cas échéant, auprès du lit des malades. L'office contient aussi une pierre
coupe du bâtiment suivant la ligne A B du plan. Le nombre total des lits est de 22. >ân cas de nécessité, il PAVILLON
, les dortoirs, tout près de 15Q mè- tres, soit 25 mètres cubes par lit . Les infirmières prendront leurs repas dans l'o
sol, qui correspond à d'anciennes carrières, ont été réglés (1) Six lits dans chaque dortoir, soit 12; 6 lits dans les cha
rières, ont été réglés (1) Six lits dans chaque dortoir, soit 12; 6 lits dans les chambres; 6 lits pour le personnel. Le
Six lits dans chaque dortoir, soit 12; 6 lits dans les chambres; 6 lits pour le personnel. Le cube d'air des chambres du
ssi à ce fait que nous n'a- vions pas voulu combler les vacances de lits qui s'étaient produites dans les dernières sema
ervice des enfants ; enfin, ce fait que M. le D1' Bourneville a 463 lits , dont 425 sont occu- pés, alors que ses deux co
se mettait souvent en colère; n'a jamais monté en grade; a pissé au lit jusqu'à dix-huit ans. [Son père, journalier aux c
lligente, n'a marché qu'à trois ans, pas de convulsions, a pissé au lit jusqu'à neuf ans et y pisse encore quelquefois;
ans, et n'a pas été trop tardif à parler. Il a pissé assez tard au lit . Il n'est jamais allé à l'école, les autres en-
eine à exécuter quelques pas; que, pour cela, il restait confiné au lit une grande partie de la journée, il parvient au
temps assez long, en s'ap- puyant aux barreaux d'une chaise ou d'un lit . Les organes génitaux ne présentent pas de vice
avoir décrit sa courbe normale se continue ensuite presque dans le lit du premier sillon occipital. Le lobule pariétal
endiculaire externe (Sc. p. e) est complète et va se perdre dans le lit de la scissure parallèle. Lobule orbitaire. - L
eint d'une chute du rectum déjà ancienne et il demeurait confiné au lit sur les recommandations de sa mère, sous prétex
t affaissé, reste couché sur le côté droit ou à demi assis dans son lit . Il ne tousse pas, la respiration est un peu gê
e sont ceux de l'idiotie complète. La malade reste couchée dans son lit , grande gâteuse, immobile, dans un état de mutism
, mais après un séjour de quelques heures sous les couvertures du lit . Le corps thyroïde ne peut pas être senti. Au-d
vec 2 gr. extrait de- quinquina. 14 mai. Quand on approche de son lit , Hoël... se met toujours à pleurer et à crier.
emue les lèvres, tourne parfois la tête. Si on approche trop de son lit , il se plaint. Il continue à prendre du lait et
la maison on le laissait courir dans la chambre, ou couché dans son lit ; si on l'asseyait, il restait en place sans ch
) : il est atteint d'un balancement antéro-postérieur du tronc ; au lit , il aime à se bercer lui- même. Il tousse par m
t (habillement, toilette, etc.l. Il reste toute la journée dans son lit , dans la position où on l'a mis le matin. 15
e confondre avec la scissure pa- rallèle, puis va se perdre dans le lit de la première scissure occipitale, elle-même t
scissure interpariétalo poursuit ensuite son trajet jusquo dans lo lit du premier sillon occipital. Le pli pariétal su
74 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
ule et le bras étaient décharnés. » De môme dans l'observation X on lit : « Tous les muscles moteurs du bras sur l'épaule
, un samedi soir, Henri Se,...frissonne, délire et doit être mis au lit . Cet état fébrile persiste trois jours durant, le
ces troubles se sont rapide- ment accentués, et, après un repos au lit de quinze jours, la force musculaire avait dimi
ille âgée aujourd'hui de 13 ans. Des cinq enfants, nés de ces trois lits , seule notre malade présente de l'atrophie musc
leurs rhumatismales peu intenses qui n'ont pas nécessité le repos au lit . Pre- mières règles à 13 ans 1/2 ; époques touj
es mouve- ments des épaules se faisaient difficilement. Le repos au lit lui était toujours favorable, tandis que les es
eignements désirés. xv - 3 34 LONG plus se tenir assise sur son lit et vers la fin de la même année il lui devient
ette époque est complètement inerte. Depuis qu'elle est confinée au lit et réduite à une immobilité presque absolue, le
t par l'atrophie du système musculaire. Elle reste étendue dans son lit ; elle soulève ses cuisses avec ses mains pour
est expressive. Lorsqu'on soulève la malade pour l'asseoir sur son lit , sa colonne vertébrale s'infléchit dans tous le
nds droits et obliques de l'abdomen, le thorax reste sur le plan du lit . Les mouvements des psoas-iliaques doivent être
az entre à ma clinique de la Caridad le 28 mars 1901 et oc- cupe le lit n° 20 de la salle San José. Elle arrive de la cam
debout avec parfaite sécurité, si elle peut appuyer sur les fers du lit le bout de l'index, le bout du petit doigt, san
fermés et alors la marche n'est pas notablement modifiée. Dans le lit . - La malade présente une conformation spéciale d
ûlure, de froid, surtout quand elle est au repos, et notamment - au lit . Les autres sens sont en parfait état. Le profe
Cependant si on permettait à la malade de s'appuyer sur les fers du lit avec le bout d'un doigt, avec le bout du petit
u doigt, du bout du doigt appliqué sans nul effort, sur les fers du lit aurait pu faire équi- libre ai cette énorme for
du 14 février, on l'a transporté dans mon service, où il occupe le lit n° 14 de la salle Bouvier. Voici quel était alors
ntilisme. Hélène Fr..., âgée de 15 ans 1/2, est entrée salle Pinel, lit 3, le 2 décembre 1001, à la Salpêtrière, dans l
l'en- toure ; elle reste couchée, complètement apathique, dans son lit , ne témoigne d'aucune initiative et ne parle pr
e avec d'autres enfants, s'intéresse aux choses qui l'entourent, et lit des journaux illustrés. Cette modification perm
tile. Les historiettes 128 DUPRÉ ET PAGNIEZ fort simples, qu'elle lit assez couramment, ne laissent aucune notion dans
artie médicale des oeuvres de Willis. Un malade est couché dans son lit près d'une petite table chargée -de médica- men
mélan- colique. Le plus habile y découvre la chambre du malade, son lit , la cou- leur des rideaux. Un jour une dame dép
e livres, un écritoire et des plumes. Notre homme est un savant, il lit et il écrit. Assis près de la table, un livre ent
9 Novembre.- Le malade ne voit plus les personnes placées près de son lit . 3 Décembre. Le malade est plongé dans un état
rise qui dure quelques minutes. Le malade urine sans cesse dans son lit , il se forme une escarre sacrée. A partir de ce
r constamment, tombe dans un véritable état de torpeur, il reste au lit , ne manifestant pas l'envie de sortir, ne réclama
en temps, ses parents l'habillent de force et le font sortir de son lit . Le malade peut alors faire quelques pas, mais il
9. TROIS CAS DE NÉOPLASIES CÉRÉBRALES 217 C... est étendu sur son lit dans un état de torpeur complète, ne faisant au
1 11 , |'Utll I 1 I ll-l il U l,fr Lj l^V'VU'V. 11UIU.U11LJH.. 11.11 Lit IIIH.1H.UIV. ^^ i-i i^i'vu'v. nui ".UIIdl ? ti.
11LJH.. 11.11 Lit IIIH.1H.UIV. ^^ i-i i^i'vu'v. nui ".UIIdl ? ti.il lit Hun nui v. MONSTRUOSITÉ RARE DE LA FACE ET DE L
ralysie était incomplète et la malade pouvait se retourner dans son lit et plier le tronc latéralement, mais elle resta
Un troisième calcul (n° 2) est entouré de plomb. Sur les laines on lit : «Elisabeth Fransen oud 52 Jaaren in gestonen
l est nourri à la sonde oesophagienne. Il reste toute la journée au lit dans une attitude stéréotypée, pelotonné en chien
raison de la raideur des membres. Mutisme absolu. Il ne sort de son lit que pour faire ses besoins sur un drap placé au
de son lit que pour faire ses besoins sur un drap placé au pied du lit . Il est impossible de le faire aller à la garde-r
l se remet progressivement à manger, se lève, descend dans la cour, lit les journaux, répond aux questions qu'on lui adre
, mais considérablement affaiblie. 10 août. P... reste à nouveau au lit et l'on voit reparaître les symp- tômes de la p
étranges et stéréotypés. Quand P... ne se tient pas au pied de son lit ou le long d'un mur dans l'atti- tude décrite a
attitude habituelle, la tête baissée, le sourcil froncé, devant le lit qui est en face du sien. Lorsqu'il descend dans
udes stéréotypées (PI. XLV, I). L'hiver il reste assis au pied de son lit , la tête basse, les mains sur les genoux, sans
âgé de trente et un ans, est entré à l'hôpital Tenon (salle Barth, lit n° 2), le 24 mai 1902, pour une bronchite chroniq
t paralysé, incapable de remuer aucun membre et de descendre de son lit . Il perd ensuite connaissance et demeure pendant
, elle n'apparaît sur la scène. Une bande de brocart représente son lit de malade près de la rampe, et c'est tout. Par co
qui avait les apparences d'une auberge, entra, mangea et se mit au lit ; vers minuit, comme il dormait profondé- ment,
'entre eux (obs. 3, 4, 9) sont impotents, cachectiques, confinés au lit ou dans un fauteuil ; les autres vont et viennent
uisent pas généralement quand le malade est au repos absolu dans le lit , mais qui apparaissent dès qu'il se met en mouv
ades, sans chutes fréquentes. Jamais de maladies graves à garder le lit . - Pas d'alcoolisme, ni de syphilis. Il a tou
. Pour calmer ces douleurs, il est obligé de tenir ses bras hors du lit . La guérison se produit sans traitement vers l'âg
ne chute, sur le côté droit, d'une hauteur de 3 mètres, et garde le lit pendant 4 jours. En janvier 1900, les troubles
De fait dans le côté gauche de la toile nous voyons étendu dans un lit somptueux un malade qui cache sa figure dans ses
été déjà appliquées : un per- sonnage de grand âge, debout près du lit , les bras nns jusqu'au coude, s'apprête à appli
lampe nécessaire et unejatte. Une jeune femme se tientau chevet du lit , chargée de maintenir le malade et pose une de se
, probablement l'épouse ou la mère du malade, est assise au pied du lit , repliée sur elle-même, la face à demi voilée, da
ntrée dans le service, le 17 octobre dernier (1900). Elle occupe le lit n° 14 de notre salle Rayer. Elle est mécanicienne
oser. La malade soulevait aisément les jambes au- dessus du plan du lit . Par contre, la malade ne pouvait se maintenir
obligé d'écarter les jambes. Le lundi suivant, B... dut prendre le lit , en proie à une fièvre intense et à des douleur
les cuisses. Enfin les membres inférieurs retombent sur le plan du lit et le tronc devient t vertical. La force musc
la salle, dit qu'elle a un gros ventre, qu'elle va accoucher; mise au lit , elle ne veut pas qu'on reste autour d'elle ni
alors 110 kilos et était si grand qu'il ne pouvait coucher dans un lit ordinaire. Il sortit gnéri et se remit à garder
(A.). Absence congénitale des mus- cles grand et petit pectoral (2 lit . eu photocollogr.), 131. Thomas (A.) et HAUSE
75 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
'il se souvient d'avoir été pendant dix-sept jours attaché dans son lit avec du délire. Au moment où il sortit de l'h
E ICONOGRAPHIE DE LA SALPETKIEnn. et qui le narguait encore sur son lit . C'est le rêve qui, l'attaque finie, pousse soe
première étincelle, longue d'un pouce, le malade sauta à bas de son lit , et se mit à courir en criant. Où trouver une m
s indéniables de la névrose. Pendant un mois elle reste confinée au lit ; de temps en temps, on la transporte dans la co
alors, en présence de ces symptômes, de faire quelques pas hors du lit . Elle consent à essayer et, huit jours plus tard,
au bout de ce temps, elle fut obligée de s'arrêter et de prendre le lit , les douleurs devenant de plus en plus intenses
s jambes. C'était seulement la douleur qui l'obligeait à prendre le lit et à cesser tout travail actif. Le séjour au li
geait à prendre le lit et à cesser tout travail actif. Le séjour au lit amena une diminution de la douleur et la malade s
on, elle se décida à entrer à l'hôpital. - Depuis qu'elle a pris le lit ou le fauteuil, elle est sujette de temps en te
ssise ou couchée. Elle ne peut coucher pour cette raison que sur un lit à plusieurs matelas, le moin- dre trou dans son
ison que sur un lit à plusieurs matelas, le moin- dre trou dans son lit lui causant des douleurs violentes par distorsion
S CUINON, Chef de clitii,itte des maladies du s ? lèlllc nerveux. lit . 0 HÉMIPLÉGIE SPASMODIQUE INFANTILE ÉPILEPSIE
rès-midi ; alors il fut pris de convulsions ; il se tordait sur son lit , mordait les draps, poussait des cris (ces rens
ui arrive parfois, durant le sommeil de la nuit, de se lever de son lit , de parler à haute voix à des êtres imaginaires,
ment des membres fut si intense que le malade ne put pas quitter le lit . Au bout de cette période, le tremble- ment des
oduite que très lentement. Ce n'est qu'après deux mois de séjour au lit absolu, que la station et la progression ont été
, le trem- blement s'étant un peu calmé, le malade voulut sortir du lit , mais l'astasie s'était reproduite et ce syndro
ement remplies de quelque liquide bienfaisant. Sur l'une d'elles se lit , assez mal d'ailleurs, le mot Rose ou Rosat. No
ins la malade avait un sommeil très agité et tombait souvent de son lit , mais elle ne saurait dire si, à ce moment, elle
ue temps il ne disait plus rien, restait immobile, urinant dans son lit . - - Quand il vit ses parents, il ne parut pas
BABÉ, LDITkURS CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES BAILLEMENTS HYSTÉRIQUES, lit ' La perception des sensations gustatives est n
ouvre puis revient à sa place et fait dans son pantaton ou dans son lit . A la suite de cet accès d'excitation il est re
s à regret qu'il se déplace et lorsqu'on lui dit de retourner à son lit il y va en manifestant son contentement par sa'
très bien retrouver sa -place habituelle et ne se trompe jamais de lit .. Il bave presque continuellement et dans de ce
Il y a impossibilité de s'asseoir et de changer de position dans le lit . Intégrité des muscles des yeux, de la langue, du
irent son admission, la malade s'asseyait encore facilement sur son lit , et pouvait avec une certaine difficulté, en.s'
ses mains et de ses bras, mettre ses membres inférieurs hors de son lit . A ce moment les membres thoraciques étaient li
acfe ; mais son caractère de permanence avec absence de 1. Bull. de lit Soc. d'oplttltalntoloie de Paris, 1889, t. II, p.
ntrée le 20 dé- cembre z1873 à l'hôpital Beaujon, salle Saint-Paul, lit nu 22, dans le service de M. IIayem. POLIOMYÉ
acune d'elles, et selon qu'elle est prise en dedans ou en dehors du lit . 201 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE.
e, et le malade est obligé de se lever ou de changer de place. Au lit , il lui est impossible de se coucher sur le côté
Elle persiste, dans les mêmes limites, dans la position assise. Au lit , dans la situation horizontale; la nuit, pendan
ésique. « Je me suis dès lors contenté du repos absolu et sévère au lit , ce qui a déjà amélioré la situation; j'y ai jo
nt complexe : pendaison, extension continue au début, puis repos au lit , électrisation. Faut-il attribuer le bénéfice d
leurs dans le pied droit, qui se mit à entier; obligée de garder le lit , elle fait appeler un médecin qui porte le diagno
ite à une impotence absolue. Depuis huit ans elle n'a pas quitté le lit : sans mouvements, à demi assise sur son lit, l
elle n'a pas quitté le lit : sans mouvements, à demi assise sur son lit , les jambes écartées et légèrement fléchies, elle
76 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
s n'avons pas réclamée amis entre nos mains un service de près de 150 lits où il nous est donné d'observer toutes les formes
e fait des maladiqs les plus di-verses, sont condamnés à séjourner au lit pendant un temps très long. Ces éruptions, tantôt
fecté; examen thermoméh'ique,àyns\a. thèse de Mougcot.Paris, 1869, p. lit . 2. Folct. — Cas de contusion du plexus brachia
ie, 4 juillet 1872. 1. Vulpian. — Revue des cours scientifiques, t. lit , p. 744. 2. Voir 0. Weber. — Handbw/i der Chiru
sions (stati-ques ou dynamiques). Période terminale. — Confinement au lit . Troubles de la nutrition. — Affai-blissement de
d'après Van Swieten, le tremblement qui persistepen-dant le repos au lit résulte d'une irritation qui s'exerce d'une maniè
oit accidentelles,soit occasionnées par le marasme, le confinement au lit , etc. Dans le premier cas, il s'agit d'une maladi
ade ne rencontrait, à un mo-ment donné, soit un banc, soit un mur, un lit . etc., etc., elle tomberait brus-quement : La pro
Ce besoin de déplacement, de changement se mon-tre principalement au lit , pendant la nuit, chez les infirmes qui sont inca
ive, qui fait que, au cœur de l'hiver, vous les voyez se découvrir au lit et ne conserver sur eux, pendant le jour, que les
ter toute la journée sur leur chaise ou même de garder tout à fait le lit . Alors la nutrition souffre, surtout celle du sys
simple cependant, j'espère vous le montrer, que de caractériser, au lit du malade, l'affec-tion dont il s'agit, du moins
ort beau spécimen de la forme cérébro-spinale. Le malade quittant son lit fit quelques pas dans la salle, u C'est imaiaœiqu
ent ces symptoma-tologïes faites à grand renfort d'éloquence, loin du lit des malades. Elles ne parviennent guère, quoi qu'
t un certain rôle. J'aurai l'occasion de vous présenter Mlle V..., au lit , et abandonnée à un repos complet cette fois ; vo
r l'aggravation de la paralysie motrice, ils peuvent être confinés au lit . Les membres supérieurs sont envahis, eux aussi,
t parfois si prononcée qu'en soulevant l'un d'eux, le malade étant au lit , on soulève en même temps la moitié inférieure du
ois, assez intense pour se com- muniquer à tout le corps et même au lit où repose le malade. Elle persiste chez certains
le malade pour vomir, pour aller à laselle, pour se dresser dans son lit oupour en descendre et met-tre te pied à terre. L
apoploctiform?s, je me bornerai à signaler certaines 1. Observation lit du mémoire de M. Vulpian, communiquée par M. Char
habituellement fort long encore, durant lequel le malade, con-finé au lit ou pouvant à peine faire quelques pas dans sa cha
à peu près absolue et confinés définitivement à la chambre ou même au lit . La contracture qui signale le début de cette pér
our faire cesser les phénomènes extraordinaires, et on trouva dans le lit de la malade des bou-lettes de matière fécale dur
nsi, cette femme, vous le voyez, était condamnée à un repos absolu au lit ; elle était dans l'impossibilité de se servir de
placer auprès d'elle deux infirmes dé-vouées, comme elle confinées au lit , et prêtes à tout me révéler si elles découvraien
t deux ou trois jours et même davantage, sans que jamais les draps du lit fussent mouillés. A. ces symptômes, qui persist
x précautions suivantes : de temps en temps, on visitait avec soin le lit de la malade ; on ne laissait à sa disposition ni
— De morbis convulsivis, t. II, p. 34. 2. D.-L. Mercalus. — Opéra, lit . III. — De virginum et viduarum affeclio-nïbus. p
'influence des mouvements que fait le malade pour se dresser dans son lit , pour en descendre et mettre le pied à terre, ou
es reprendront la vie commune. 1. Une femme sera restée confinée au lit pendant plusieurs mois, tout à l'ait incapable de
s l'influence d'une cause morale puissante, on la verra sortir de son lit non longer the victim of nerves bulthe vansquishe
raidit en même temps que le bras droit qui, lui, reste appuyé sur le lit . La raideur tétanique gagne en-suite les membres
huitheures après la mort, T. R. 40°. — (Le cadavre est resté dans le lit ). Les pupilles sont moyennement dilatées et au mê
ures bizarres, un vieux morceau de miroir, placé sur la planchette du lit , témoignaient suffisamment des occupations favori
vent et crie. Évacuations fré-quentes d'urines et de matières dans le lit . Amélioration, puis état stationnairc jusqu'au 2
grand axe, dirigé verticalement, forme un angle droit avec le plan du lit sur lequel la malade est couchée ; étendu sur le
eut se tenir debout sans s'aider du bras gauche qu'elle appuie sur le lit . Avec le secours d'une personne étran-gère, elle
de non seulement pendant la journée, mais encore pendant le séjour au lit . — Le sommeil est moins long qu'autrefois. — La m
il ne se trouve bien nulle part. Cela est surtout marqué ta nuit, au lit : les membres ont à peine pris une Charcot. Œuv
mpossibilité de mou-voir les membres inférieurs. Elle fut confinée au lit pendant six mois. Quand elle recommença à marcher
Le tremblement des mains a diminué. La ma-lade peut s'asseoir sur son lit . Actuellement (fin 1876), l'amélioration est en
mal, les objets ne dessinent pas nettement leur image ; les draps du lit et le papier paraissent gris, les caractères d'un
noirs courir à gauche d'elle, sur le parquet ou sur les draps de son lit . 2° Wit. — Anesthésie totale, mais prédominant
de est courbée en arrière, les pieds et la tête reposent seuls sur le lit , le ventre formant le sommet de la courbe. Les
s ces moments,est capable déployer ou de briser les tiges de fer d'un lit . » M. Briquet a signalé d'ailleurs, lui aussi,
sions (stati-ques ou dynamiques). Période terminale. — Confinement au lit . Troubles de la nutrition. — Affai-blissement de
77 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
ice, âgée de 28 ans, entre le 6 novem- bre 1895, salle Cruveilhier, lit n° H, service de M. le Prof. Raymond. Antécéden
ent son histoire. Elle ne présente aucun trouble de la parole, elle lit facile- ment. Son écriture n'est pas tremblée
ir all'aire il un nouvel accès de rhumatisme et resta huit jours au lit . La douleur pourtant devenant moins vive et l'enf
ucider le mécanisme du syndrome physiologique complexe, constaté au lit du malade (1). Résumé clinique : Début aJ1oJ1le
té chez lui; depuis ce moment (quatre jours); il'est resté -sur son lit , absolument im- mobilisé du tronc.et clés membr
ire. (Fig. 10.) Les deux jambes sont étalées symétri- quement surje lit , les pieds légèrement déviés en dehors. Les lim
isser dans l'ombre un détail intéressant, qui nous avait frappés au lit du malade et dont nous allons chercher à élucider
plis anormaux qui contiennent de nombreux vaisseaux dilatés. Il y lit quelque chose d'analogue à ce que l'ou trouve dan
' d'hypnotisme. ' A droite, un personnage est étendu inanimé sur un lit derrière lequel une femme, debout soulève une r
te situation anor- ' maie. 1 e. Les pieds reposent sur le plan du lit par leur bord externe. Ils sont subluxés au niv
éréditaire. Le malade ne peut se tenir, ni debout ni assis, sur son lit . Impossibilité abso- lue de mouvoir les bras ou
on). ' 10 février. - Amélioration graduelle; peut s'asseoir sur son lit , mouvoir les doigts, les mains, les bras et les
tal ; pas de douleurs ; il pou- vait soulever ses jambes du plan du lit , mais il ne pouvait-marcher. Grands vertiges lo
rejetés par le nez. Vers lé 10 août, urine à deux reprises dans son lit sans s'en apercevoir, besoin impérieux d'uriner
isseuse, est entrée le 26 octobre 189'r, hôpi- tal Hérold, salle D, lit n° 28. " A. II. Père mort il 61 ans d'un cancer
tinguer nettement les objets qui l'entouraient. Elle put gagner son lit où, après un vomissement, elle tomba dans un ét
e constamment couchée ri cause des vertiges qu'elle éprouve même au lit . Il lui semble que les objets qui sont au-devant
rler, sur les membres inférieurs qui nesont pas lancés en avant. Au lit , la direction imprimée, au commandement, aux memb
touche assez bien avec le bout du pied un objet placé au-dessus du lit et dans diverses situations. Le membre soulevé
s diverses situations. Le membre soulevé retombe brusquement sur le lit . La force musculaire est conservée. L'occlu- si
e attaque de grippe avec fièvre. Mme X... est for- cée de garder le lit pendant 15 jours. Lorsqu'elle se lève, ses membre
rente, elle tombe par terre on essayant de marcher en descendant du lit . On la transporta à l'Hôtel-Dieu, dans le servi
- tion se reproduit. On la réduit en décembre et la malade garde le lit pendant deux mois. Au bout de ce temps, elle so
à peu près conservés. Le malade se redresse assez aisément sur son lit et se renverse en arrière même si on lui oppose u
ent des fonctions psychiques. Le 30 septembre, celte femme reste au lit , mange peu, remue rarement, ne répond pas si on
auprès de la Faculté. Dans l'approbation qui accompagne le volume on lit le passage suivant : . « L'observation est en
a peine à retenir ses urines, au point de les laisser aller dans le lit , comme je l'ai déjà fait observer. Les douleu
Cet accès passé, la malade restait attachée sans mouvement sur son lit plusieurs heures de suite. Si avant ces cris el
lade la prévenait même fort souvent, en se levant subitement de son lit avant que de la sentir, ou aussitôt qu'elle la
, une grande faiblesse de jambes empêche la malade de sortir de son lit , les difficultés d'uriner sont presque continuell
j'entrai dans la chambre, je l'entendis s'agiter beaucoup dans son lit , et proférer quelques paroles mal articulées ; m'
ieure, elle les a perdues, ou hrisées, en mordant le support de son lit , dans les accès de soull'rance. Le ventre était
tre de cette opération et que depuis elle n'était pas sortie de son lit . Les rétentions, les difficultés d'uriner ne la
de raidissements de tous les membres, le corps s'élevant de dessus le lit , avec beaucoup de force, et beaucoup de contors
246 NOUVELLE 1CONOGR11'L11G DE ' LA SALPÊTRIÈRE levant de dessus le lit ». Enfin, la malade reste « sans mouvement » sur
dessus le lit ». Enfin, la malade reste « sans mouvement » sur son lit pendant plusieurs heures, « rendant des gaz par h
ve. « Elle avait brisé plusieurs dents en mordant le support de son lit ». Geneviève, nous l'avons vu, eut aussi des cr
nde fai- blesse des jambes qui empêchait la malade de sortir de son lit ». C'est par une des plus inquiétantes manifest
cie le long de la jambe. Leur intensité fut la cause d'un séjour au lit de 2 mois. * Cinq ans après, nouvelle attaque d
be au moment où la paralysie fut complète et détermina le séjour au lit , on se rend facilement compte que jamais il n'a
e pouvaient être exécutés : a) Elever la jambe au-dessus du plan du lit ; b) (La cuisse soulevée et reposant sur la main
ent,la jambe devient impolenle,ce qui oblige le malade à prendre le lit ,et nécessite son transport à l'hôpital Beaujon.
on un centimètre entre lequel s'insinue la dure-mère laquelle va de lit constituer un revêtement . à chaque branche de
yaux infiltrés çà et là. Les veines aussi sont d'aspect variable; lit aussi on trouve la tunique adventice désagrégée
les malades se plaignent de ce que le contact des couver- tures du lit avec les pieds et les jambes leur devient insuppo
e décida à consulter un médecin, obligée qu'elle était de garder le lit . Elle avait les membres inférieurs paralysés et a
78 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
peu scrupuleuse, sur les choses de l'amour en particulier. Elle ne lit pas les feuilletons du Petit Journal de peur d'
N PROGRESSIVE ET A SYSTÉMATISATION DITE PRIMITIVE » {Suite) 2 PAR lit Cil. VALLON, et A. MARIE, Médecin en chef de
s de lui à 2 heures du matin, trouve ce malade assis sur le bord du lit , les pieds sur une chaise et soutenu de côté pa
is en se colorant d'une façon plus intense que ce dernier; c'est le lit des fines granulations, de grosseurs variables,
e amaigri, très alfaibli, incapable de se mouvoir, confiné dans son lit et s'étei- gnant enfin dans l'épuisement et le
mourir une période plus ou moins longue d'impotence et de séjour au lit . Quant aux causes de la mort, elles se répartis
nce fonctionnelle des paralytiques généraux et leur séjour forcé au lit seraient dus principalement il des symptômes sp
n, sous mes yeux, au moment où l'infirmier le levait pour faire son lit . M. Charpentier ne croit pas que les escarres s
ant aussi bien chez les malades debout que chez ceux qui gardent le lit , ou un érythème provoqué par la pression du déc
elui-ci hors le cas de maladie incidente néces- sitant le séjour au lit ; s'il n'y a qu'un parloir unique, comme à ses y
ux malades alités, ils seraient visités comme aujourd'hui à leurs lits . Puis la latitude également d'accorder les collat
duisant ainsi les sensations qui accompagnent l'action d'écrire. Il lit difficilement un imprimé en miroir, et très fac
e, ont la garantie de la plus exacte ressemblance. Ordinairement il lit les paroles sur les lèvres de son interlocuteur
che empressée des hosties, qui pourraient rester aux mains, dans le lit , etc. (Leuret, l. c.) D'une façon générale, en
ité d'âge de trois ans (mère plus âgée). Six enfants d'un premier lit : 1° une fille un peu nerveuse dont un des enfa
portant, a eu des convulsions internes. Cinq enfants d'un second lit : 1° une fille, dix-huit ans et demi, médiocrem
is; il n'a marché qu'à dix-huit mois. Jusqu'àsix ans, il a pissé au lit , mais il était propre dans le jour. On l'envoya
ur le côté droit. Il passa ces trois mois presque complète- ment au lit , sans bouger, sans parler, paraissant souffrir lo
e seul et ne gâte pas d'habitude. Il est incapable de retrouver son lit au dortoir ou sa place à l'école. Actuellement
on des douches; bromure de potassium de 2 à 8 grammes ; école. D... lit un peu; gymnastique (où il y a peu de progrès).
alades chez lesquels on peut per- mettre quelques jours de repos au lit ; ce sont d'abord les malades atteintes de folie
rire, et du temps pendant lequel le malade devra être maintenu au lit . Souvent même le malade, conscient des bénéfices
cte. Nous nous bornons à indiquer, sans plus préciser, qu'il s'agit lit de symp- lûmes souvent rencontrés en clinique.
die s'élevant habituellement à 130 pulsa- tions pendant le repos au lit et n'avant jamais été au-dessous de -H2. Un t
coutume s'explique par ce fait que les Japonais n'ont ni sièges ni lits , mais s'assoient et dorment sur les nattes qui co
uDmG (Heppenheim) est nommé président. M. Wildermuth (Stuttgart), lit un rapport sur les troubles psy- chiques de l'é
la prolongation de la durée des études d'un semestre. » M. LUDWIG lit les conclusions de son rapport sur la question de
r étage comprend vingt-deux chambres d'isolement, un dortoir de dix lits avec lavabo et chambre de veilleuse ' et donnant
les d'aliénés. ' 186,000 francs, ce qui ferait ressortir le prix du lit de malade à 3,875 francs ». ' Ainsi que nous
Le nouveau pavillon doit comprendre 38 cellules et 1 dortoir de 10 lits , soit au total 48 places. Or, dans le quartier af
e modification. 4° Pourquoi placer dans le dortoir des agitées deux lits par trumeau, alors qu'à diverses reprises la Co
trumeau, alors qu'à diverses reprises la Commission a réclamé un lit par trumeau ? Encore tout récemment, en relatant
nous a\ons montré les conséquences qu'entraîne le voisinage de deux lits . L'existence d'une fenêtre entre deux lits cons
îne le voisinage de deux lits. L'existence d'une fenêtre entre deux lits constitue une sorte de sépw alion maté- rielle
ns légères et utilitaires, de baraquements capables de recevoir des lits nombreux, et susceptibles d'être élevés dans l'es
t soumis. On pouvait l'utiliser par la création d'un pavillon de 48 lits comme celui que nous proposons, on ne rien faire
s grands services, et s'il est vrai que le projet ne prévoit que 48 lits pour 75 agitées, il lui sera facile de choisir
rtement de l'Eure préfère affecter le plus grand nombre possible de lits aux malades payants que lui envoie la Seine, de
étaient hospitalisés, afin d'être traités, il ne resterait guère de lits disponibles pour la Seine. B. L'open DOOR et
soutenir assis et attachés, on est obligé de les laisser dans leur lit » (p. 513). Il signale comme habituelles l 'inf
; on se voit contraint alors de les maintenir à demeure dans leur lit . Lorsque la mort n'arrive qu'au dernier terme de
e peuvent supporter le corps ; le malade partage son temps entre le lit et un fauteuil, où il a peine à se soutenir et
PÉRIODE TERMINALE DE LA PARALYSIE GENERALE. '435 végètent dans leur lit , ne pouvant ni marcher, ni se tenir debout, ni
D'après Régis 2, . « les malades en arrivent à ne plus quitter leur lit , à devenir grabataires, et bientôt, sous l'influe
, la mar- che devient impossible ... Le patient, forcé de garder le lit , s'é- teint dans un état de profond marasme...
e ils sont contraints de rester continuellement cou- chés dans leur lit (p. 279). La maladie se termine ordinai- rement
voir plus marcher, de ne pouvoir même plus se soutenir. Confinés au lit ou dans un fauteuil, ils mai- grissent, ils sub
mouvements et n'ayant jamais passé par une phase de séjour forcé au lit . Il est étrange que la possibilité de ces cas n'a
us affaiblis que les précédents, avaient de la peine à quitter leur lit ou leur fauteuil, mais depuis peu de temps seul
peu près complète de se mouvoir et, par suite, le séjour forcé au lit , remontaient à plusieurs mois. Ceux-là se sont mo
rnier se produisit 2 mois avant la mort, ce malade a été confiné au lit pendant plus de 4 ans. Ses membres inférieurs c
que les pieds étaient mainte- nus constamment au-dessus du plan du lit , sans point d'appui. J'ai vu le malade dans cet
e période toujours immobilisé dans son fauteuil d'abord et dans son lit ensuite, par l'impossibilité de se mouvoir. Il
'impotence musculaire (sans paralysie vraie) et de séjour obligé au lit ; dans cette seconde variété, la maladie aurait
ticulation du langage est normale; il répète les paroles prononcées lit couramment à haute voix et comprend ce qu'il lit;
paroles prononcées lit couramment à haute voix et comprend ce qu'il lit ; il peut écrire sous la dictée et copier; mais,
eant dans la région sacro-lombaire la contraignirent à se mettre au lit . Les crises douloureuses continuèrent avec une
ant les sent venir ; il se dirige alors vers une chaise ou vers sou lit , puis pâlit tout à coup, devient indifférent at
79 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
isent. Dans l'une, Cing... se réveille en sursaut, s'assied sur son lit , pousse des cris, a des hallucinations terrifiant
tions terrifiantes de la vue; dans l'autre, il se lève, renverse le lit d'un malade, le matin on le trouve couché sous
qui devait lui attirer une séquestration peut-être illimitée, il me lit les aveux compro- mettants que l'on connaît. En
es quartiers spéciaux. Chaque section comporte une moyenne de 300 lits ; est-ce trop ? oui, pour les médecins qui deman
s du bon, le soin de répondre. Je considère que les services de 800 lits et même plus, comme il en existe en province, p
lavabo ; d'un côté deux chambres de gardiennes et un dortoir de 16 lits , un lit par panneau. Au fond du dortoir, un cabin
d'un côté deux chambres de gardiennes et un dortoir de 16 lits, un lit par panneau. Au fond du dortoir, un cabinet d'a
et de petits casiers, avec un numéro correspondant à celui de son lit , où chaque malade déposera les divers objets qui
l'incendie, la chambre de la veilleuse ; à droite un dortoir de 14 lits avec deux chambres de gardiennes ; à gauche, un d
lits avec deux chambres de gardiennes ; à gauche, un dortoir de 16 lits , offrant les mêmes dispositions que celui du rez-
mêmes dispositions que celui du rez-de- chaussée. Soit au total 49 lits . La disposition intérieure est exactement la mê
du personnel de sur- veillance, au rez-de-chaussée un dortoir de 10 lits , dit de surveil- lance continue, cinq chambres
toire et une salle de réunion. Au pre- mier étage, un dortoir de 14 lits ; dix grandes chambres; des bidets, un bain de s
les expériences qui semblent si concluantes du traitement t par le lit , préconisé par il1. le D1' Magnan,a l'Asile clini
isait con- naître que, dans les services de son administration, les lits de gâteux étaient supprimés depuis longtemps et
de gâteux étaient supprimés depuis longtemps et remplacés par des lits ordinaires avec matelas en laine de tourbe, ou de
ait le drap de dessous et le traversin. Or, nous n'avons trouvé ces lits dans aucun service de Bicêtre ' ou de la Salpêt
in. Partout ailleurs, les gâteuses couchent sur la paille, dans des lits en bois dits à bateau. Le système employé par M
dopté ce système de couchage, mais avec certaines modifications. Le lit en fer avec sommier remplace le lit en bois et
vec certaines modifications. Le lit en fer avec sommier remplace le lit en bois et la paillasse, l'alèze est changée au
angée aussi souvent que cela est nécessaire, non seulement le ' Les lits de laine de tourbe ou de fibre de bois sont exclu
tié ne gâte que d'une manière accidentelle, ou ne fait qu'uriner au lit . Est-ce trop demander au personnel de ces quart
hez une malade une suppres- sien presque complète de l'urination au lit . Dans les cinq autres cas, on n'a pas constaté
e neurasthénie et depuis deux ans et demi se trou- vait confinée au lit , parlant à peine, ne pouvant manger seule, inca
ante. Des émotions gaies chez quelques animaux. M. Albert Coutald lit une étude critique de psychologie com- parée d'
Le mercredi à 9 h. 1/2 visite du service. Conférences cliniques au lit des malades. Suicide d'enfant. - A la suite d'u
excellente. Son humeur a toujours été capricieuse et instable. Il lit un apprentissage de coiffeur, mais il s'énervait
ant les dernières semaines, le malade ne pouvait plus sortir de son lit ; il s'affaiblit graduellement; ses mouvements c
chiatrique ou d'un bureau psychia- trique d'admission de cinq à dix lits . Ce petit asile servira de refuge à tous les al
environ dix cercles (ouyezde). Si l'on disposait seulement de cinq lits d'aliénés par cercle, on ASSISTANCE DES ALIÉNÉS
VE-CL.1Y, XXIX. Le traitement des aliénés violents par le séjour au lit à l'Asile clinique de Paris; par Louise G. HOBI
SOCIÉTÉS SAVANTES. '1%Î Les procès aux animaux. M. Henri LEMESLE lit une étude médico-légale sur les procès faits au
e cordelette, un enfant de trois ans. Le père gisait inanimé sur le lit , la tête trouée par des balles de revol- ver. L
ste ni sensations de dérobe- ment de jambes, ni soubresauts dans le lit . Le malade n'a jamais eu de douleurs à type ful
eut défaire assez vivement son pantalon ou sauter assez vite de son lit et l'urine part en jet dans ses culottes ou dan
course vers les cabinets, elle installa un réci- pient près de son lit , à portée de sa main et chaque fois que le beso
u'elle me dit que ma tête sent mau- vais + J'aide maman à faire les lits ? Je travaille, mais je ne suis plus aussi gaie
ue durant plus ou moins longtemps ; elle voyait des hommes sous son lit , croyait qu'ils voulaient soulever ses jupons,
ntendue pousser de cris, on n'a pas constaté qu'elle avait uriné au lit . Si elle avait eu alors des crises nocturnes, il
cun accident nerveux, sauf un frère jumeau du malade qui a uriné au lit jusqu'à un âge assez avancé. Bien portant jusqu
s les rensei- gnements puisés près des infirmiers et des voisins de lit du malade : notre homme pousse un cri unique ;
ssance, et revenu à lui, a beaucoup de peine à marcher. Il resta au lit environ une semaine avec les symptômes suivants
ie, vision imparfaite, tintements d'oreille. Lorsqu'il quitte son lit on note, pour le cerveau les mêmes symptômes; p
on médullaire, soit au contraire parce que le malade, immobilisé au lit , ne peut, con- trairement à ce que font les ata
elle reprit possession d'elle-même, elle se trouva attachée sur son lit , ne se rendant pas compte de ce qui s'était pas
e s'agite, parle, se lève interpelle d'un air furieux sa voisine de lit , veut la faire lever, s'accroche à elle, l'égra
défiances : la nuit dernière il a fait venir son père auprès de son lit et à un moment où il avait le dos tourné, il lu
de cause qu'il frappe son père après l'avoir fait approcher de son lit et en profitant d'un moment où il a le dos tour
ade est calme mais a l'air effrayé, le regard effaré; elle reste au lit à la condition que l'infirmière ne la quitte pa
e veut se tuer; les deux infirmières qui sont de chaque côté de son lit n'ayant pas la force de la maintenir, elle entr
é de son lit n'ayant pas la force de la maintenir, elle entraîne le lit et les deux filles à portée de la fenêtre voisine
ue, et l'élimination du séquestre crânien, il n'a en effet gardé le lit que pendant quelques jours après l'accident. Ce
ances et la BOUCHEREAU. 313 .3 faiblesse qui la clouaient sur son lit , a voulu être portée dans votre chambre et vous
ns votre chambre et vous contempler, une dernière fois, sur votre lit mortuaire. Vos malades, auxquelles vous avez co
e l'asile Sainte-Anne et dans tous les services vous avez donné des lits aux blessés, que vous alliez, vous et votre col
qu'une pauvre malade infirme avait demandé à être portée auprès du lit mortuaire du Dr Bouchereau pour le revoir une d
e 16 mars, Auguste Thaon, garçon d'hôtel à Nice, a été tué dans son lit par sa femme, Joséphine Peyron, d'un coup de cout
ebroucq, il y mourut cinq ans après y être entré; il était resté au lit , tout ce temps. C'était un homme vif, à caractè
L'agitation présentée à l'arrivée a disparu ; il est calme sur son lit d'où il ne bouge pas, et ne parle que fort peu.
mier examen, il fut atteint d'une fièvre typhoïde grave et garda le lit pendant six semaines ; la convalescence fut lon
e, pai Ergolsiii, 132. Traitement des - violents par le séjour au lit à l'asile-clinique de l'avis, par Roubmowitch,
80 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
nomma chef de bataillon au 76* régiment d’infanterie de ligne. « 11 lit avec distinction les campagnes de 1808,1800,1810,
do vos désirs. Le magnétisme aura son lieu d’asile, la souffrance son lit de repos; et, si nous ne pouvons soulager ou guér
r des soins à M. Bertrand, marchand de vin, que la goutte retenait au lit depuis plusieurs jours. Le magnétisme ne me fut d
le fut tellement attirée de mon côté, qu’elle manqua de tomber de son lit . Cette dame, qui était d’un tempérament lymphatic
Immobilité complète et profond silence. J’enlevai mon chapelet. n lit maintenant, peux-tu parler? » reprit M. le curé.
dit, quand j’ai été frappée à la gorge, et mon père était près de mon lit . Je rêvais que l’on m’assassinait. Je disais dans
sentis couler mon sang le long de mon cou. Je me suis assise dans mon lit , et alors mon père, mettant sa main sur ma poitri
es horribles blessures. (Patrie.) 3° Rêve EN PARTIE RÉALISÉ. On lit dans le Constitutionnel du 29 janvier : « Une a
n songe effrayant et bizarre. 11 rêva qu’il voyait s’approcher de son lit une personne qu’il reconnut pour la sœur de son p
es faits qu’il avait racontés à son réveil. » /i“ CONVULSIONS. On lit dans le Salut Publie, journal de Lyon : « L’ave
ouve instinctivement une profonde aversion pour cet lionnne dont elle lit la dépravation sur ses traits ignobles. Mais elle
e mourante. Ce roman, plein d'intérêt, écrit d’un style élégant, se lit avec plaisir, avec émotion, et respire les plus n
’il a achetés dans la journée, les ouvre les uns après les autres, en lit quelques lignes; rien ne l'intéresse. Enfin il en
it les conséquences et soulève ainsi un coin du voile de l’avenir; il lit les pensées, il obéit à une volonté non exprimée
fication correspondante, que le somnambule voit ces modifications, en lit la signification, de même que, dans certains cas,
ts. a. s. MORIN. Le Gérant : UKBF.RT (de Garnay). CLINIQUE On lit dans le feuilleton de la Presse du 12 avril : «
ésident, E. ALLIX. ÉTUDES ET THÉORIES. TABI.ES TOURNANTES. On lit dans la Revue de Toulouse et Midi urlislii/ue du
sonnes compétentes. « E. MOUTTET. » VARIÉTÉS. les Marconi. — On lit dans le Journal du Loiret : « Hier vendredi, la
et tout à fait inaccessible à l’œil des curieux. « Tribunaux. — On lit dans le Siècle du 19 avril : u Le tribunal corr
mpressions personnelles dont ils n’ont pas la conscience. Aussi su ( lit -il qu’un des membres de la chaîne, ou mèue quelqu
e. Ce guéridon venant vers elle a redoublé son effroi. Elle se mit au lit fort émue, et ressentit bientôt après la sensatio
l’arbre au milieu de la plaine; mais de flammes, de lueurs, — point, lit cependant ajitour d’eux tous les spectateurs témo
tre moral aussi nettement que l’œil charnel voit l’être physique ; il lit dans l’intérieur du corps humain comme dans un li
ps malade et souffrant, par le fluide mystérieux tiré de nos organes? lit si l'être qui souffre, à ce titre suffisant pour
le le voit; c’csl la perte excessive du fluide magnétique prodigué au lit des malades, donné en pâture à une vaine curiosit
Ce concert devint si furioso, Qu’il retentit jusqu'au mont Viso Et lit frémir la source du Pô, Que l'on sait fort loin
s pages pleines de sens ; leurs ouvrages sont partout, mais on ne les lit pas, et les erreurs qu’ils ont détruites renaisse
ET EXPÉRIENCES. 1" CLAIRVOYANCE SOMNAMBULIQÜE. Premier fait. On lit clans le Mercure d'OrthezAw 2 mai, le fait suivan
ence qu’à leur conscience? D' LOUYET. 2° DANSE DES AÏSSAOUA. On lit dans la France musicale du h seplemhie 1853 : «
cette sorte d’imposture. Buron DU POTET. Revue des Journaux. — On lit dans la Gazelle des Tribunaux du h cornant, ce qu
terreur les paroles qui vont s’échapper de l’antre de la sibylle. On lit un numéro, puis un second, un troisième, un qua
s. a. s. morin. • 2° ESPRITS FRAPPEURS. — BRUITS MYSTÉRIEUX. On lit dans le Constitutionnel du 15 juin, rendant compt
sser à un animal ou à un esprit impur. h Vers minuit, tout le monde lit silence: toutes les mères étaient revenues au ber
, par Johannès Trismôgiste. 1 vol. in-18. Revue des .«onruanx. — On lit dans le Moniteur de* Hôpitaux du 20 juillet 1854
passer. A cet effet, nous prîmes nos précautions. Je m’approchai du lit où se trouvait le moribond, et le magnétisai pend
dans votre chambre où 11e se trouvent que peu de meubles, savoir : un lit du côté de la porte, un secrétaire, puis un grand
e esl dans l’habiludodo désigner la mor. (2) I.a disposition de mon lit près la porte de ma chambro à coucher est exacte,
dans le magasin de la susdite rue d’Orléans. Dans ladite enseigne, on lit , entre beaucoup d autres choses de même force, «q
ier soir bien portante» Tout à coup ce matin, à cinq heures, étant au lit , elle demeura sans parole et sans mouvement. On
ne donne aucun signe de sensibilité. Les bras élevés retombent sur le lit , si on les laisse livrés h la pesanteur. Les dent
e chez la malade à dix heures du soir : je la trouve couchée dans son lit , en supination, immobile, les yeux fermés; les pu
e, cachée d’ailleurs par une armoire qui était entre la pendule et le lit . Lorsque j’arrivai, il était dix heures moins vin
, a commencé à suivre les exercices à la lin de mai ; aujourd’hui, il lit l’alphabet et articule déjà un certain nombre de
sibilité, la respiration nulle. Le3 parents, réunis à l’entour de son lit , la croyaient morte. Cette fille, âgée de vingt-d
ci quelques extraits des derniers numéros que nous avons reçus : On lit dans le numéro du 15 juillet une lettre de M. H.-
ors de la chambre. Quand cette apparition eut cessé, le mari sauta du lit , courut à la porte qu’il trouva soigneusement fer
firmativement, et l’on m’indiqua quatre heures du matin. Je me mis au lit . Après minuit, je rêvai que j’étais dans une vill
nfuses. En ce moment, mon chien entra en courant et s’élança vers mon lit ; mais une main puissante et invisible le jeta à
et fortement sinapisé ; ils y restent longtemps froids. On la met au lit , on la réchauffe avec peine ; sa figure s’anime e
nes sont un mouvement d’affaissement qui entraîne le corps au pied du lit , en même temps qu’elle pousse quelques cris affre
ns la maison que des vases d’or, des pipes enrichies de diamants, des lits et des sièges d’une étonnante mollesse, des table
e force purgations, et de je ne sais combien d’autres expériences que lit sur elle la médecine, elle 11e fit qu’aller de ma
omba, presqu’à son arrivée, si malade qu’elle ne put plus quitter son lit . Ce fut alors que le Dr Kerner, auteur de ce réci
les efforts de ces deux hommes la contraignissent de rentrer dans son lit . Pareil fait est raconté d’un homme par Horst dan
léra. Quand j’arrivai, le malade était mort depuis une demi-heure. Le lit était entouré d’une dizaine de personnes qui s’ét
onfirait d’une paralysie au côté gauche et ne pouvait se lever de son lit sans être"aidé. Un membre de la Société instrui
onsignait dans son portefeuille les révélations de la table. » — On lit dans le Courrier de tu Vienne: « Il se trouve q
vention des esprits qui les inspirent ou dont ils sont inspirés. On lit à ce sujet dans le Spiritual telegrapk .- k Un
ier soupir. Pendant que sa famille désespérée se tenait autour de son lit , sa sœur, qui est medium, écrivit que M. Atvvood,
qui est orthodoxe, celui-ci, au bout d’une demi-heure, se leva de son lit , regarda dans une glace, et dit qu’il était très-
; elle est entièrement différente de son écriture ordinaire; elle se lit aussi bien que de l’impression. Une grande partie
ce. Le public jugera. Baron DU POTET. Revue «le* Jrarniiiis. — On lit dhns le Mémorial bordelais, cité pat'le Siècle Es
t jusqu’ici. » Page 72. A la date du 2 septembre 1782, page Û05, on lit encore : « M”' la princesse de Montbéliard pleu
gauche. « 11 me fallut plusieurs heures pour me réchauffer dans un « lit brûlant et sous des couvertures. « J’espère que
i la perte de la France. J’en remercie le ciel. « Je mourrai dans mon lit ? n— Oui, répliqua-t-elle d’une voix si basse qu
otamment sur la jeune Louise, guérie de l'épilepsie. Voici ce qu’on lit à cet égard dans Y Art (le magnétiser. « La mus
81 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
que et parfois même elle prétendait être incapable de sortir de son lit . A l'âge de sept ans, elle aurait eu des vision
errogation. Le plus souvent, elle fut étaler un grand châle sur son lit et s'y installe sans se déshabiller; elie conse
alle sans se déshabiller; elie consent rarement à laisser faire son lit . Quand elle veut se coucher dans les draps ou cha
ment, et après de minutieuses pré- cautions, elle se glisse dans le lit , enveloppée dans une longue chemise. Elle conse
e plus régulière, le repos la nuit dans le 10 PATHOLOGIE MENTALE. lit , parfois même l'administration d'un bain, mais le
s ,ni de fils électriques rapprochés de son corps. Il prétend qu'on lit dans sa pensée, puisque ses collègues s'emparen
P... (Constant) a eu des convulsions dans son enfance et a uriné au lit jusqu'à dix ans; toujours sombre, triste, il ap
ste comme une, entité morbide bien définie, mais sa, distinction au lit du malade est devenue très difficile, sinon imp
sibles, et la paralysie des membres inférieurs le force à rester au lit . Dix jours après, le sphincter de la vessie se pr
rlin, accompagnée d'autop- sie et d'analyse histologique. Le malade lit trois à cinq mots et dit qu'il ne peut continue
mots émis ne parviennent plus au centre de la notion complète C. On lit comme si on lisait une langue inconnue avec un al
uleurs sacrées, à caractère sourd et térébrant, surtout la nuit, au lit , quand il est resté long- temps assis ou debout
voyait entouré d'hommes et de femmes qui venaient accomplir sur son lit des actes obscènes, ils versaient dans ses draps
de ces comtés possèdent chacun son hôpital qui dispose de 40 à 250 lits . Ceux qui n'en ont point devraient en cons- tru
rablementla question. La Société fera bien de récidiver. M. ANTON lit son mémoire sur les troubles du sens musculaire e
d soin, à l'aide de liquides désinfectants, tout ce qui entoure les lits des tubercu- leux : plancher, parois de muraill
les lits des tubercu- leux : plancher, parois de murailles, bois de lits ; on séparera leur linge et leurs vêtements des
plaie. ' Au huitième jour, l'enfant pouvait se tenir assis dans son lit , il n'y avait aucune rétraction de la tête et l
ans, qui, à huit jours d'intervalle, a mis le feu à la paillasse du lit de son père et à un tas de paille contenu dans un
enterrée vivante. Elle se couche très soucieuse, mais à peine au lit , elle s'angoisse, se sent suffoquée, ne peut plus
la jette dans l'épouvante; effrayée, angoissée, elle saute hors du lit , s'habille à la hâte et sans tenir compte des s
elle se voyait forcée de toucher plusieurs fois de suite le pied du lit ou le pied de la table; elle devait répéter plusi
r. Dans la nuit, le malade avait un accès, mais il n'urinait pas au lit . On recueillait alors le matin une deuxième uri
d'autres fois une heure, et oblige alors la malade de se mettre au lit pour prendre un court sommeil qui lui rend le bie
ues avoués ni constatés. Le 8 août 1891, Kerl..., couché dans son lit , lisait le journal, quand brusquement il s'aper
Anorexie et dégoût des aliments. Le ma- lade passe quinze jours au lit ; il est traité d'abord par des bains de pied si
lations équivalentes. Moins l'individu a reçu d'éducation, moins il lit , et plus cette tendance est ma- nifeste ; et qu
rphes des faibles d'esprit, ainsi que le prouve une observation que lit M. Sé- glas. Aussi, pour trancher le diagnostic
té- gories d'incurables qui sont inoffensifs. M. Marie (d'Évreux) lit une note sur le mode de placement et la réparti
août (matin). Présidence DE M. GIRAUD (de Rouen). M. Samuel GARNIER lit une note sur les Retraites des médecins d'asile
digestives. 312 ruz) SOCIÉTÉS SAVANTES. M. F. RAYMOND (de Paris) lit un travail sur les troubles délirants du goitre
ût (soir). - Présidence de M. 13oUCIIEREAU. M. J. SÉGLAS (de Paris) lit une observation sur un cas d'hystérie avec auto
s'accentuer, car ce sont des phénomènes de même nature. M. Séglas lit , au nom de M. CHASLIN (de Paris), une note sur un
de partage des eaux sur le sommet du plateau. M. PIERRE (de Lyon) lit une observation de méningo-encéphalite infectie
épi- leptiques déments ou imbéciles. M. MABILLE (de la Rochelle) lit en son nom et au nom de M. Lalle- - SOCIÉTÉS SA
emps en temps un état passager de dépression. M. Marie (d'Évreux) lit une observation d'une femme aliénée hys- tériqu
ment anesthésié. Peu après l'opération je laissai l'enfant dans son lit à la garde d'une infirmière et de sa mère. Il é
e fait la cuiller contre le bol de soupe quand on la lui apporte au lit . Quand elle l'entend, elle sort le bout de sa l
bras gauche, et que lorsqu'elle veut saisir ou tirer les rideaux du lit , les mouve- ments du bras gauche sont bien plus
ouve sa chambre, où elle était rentrée sans bruit pour regagner son lit . « Comme personne n'a osé donner le mot de l'én
chambre, emprunta un fusil de chasse à un camarade, s'assit sur son lit , se mit le canon du fusil dans la bouche et fit
l'accomplissement de sa tâche. Dès qu'elle avait achevé de faire le lit , elle prononçait un mot, le mot serpent par exe
ail du ménage; le mot prononcé, le calme revient, et elle se met au lit répétant avec la plus vive satisfaction le mot
les malades à se dégager de la préoccupation du mot, à se mettre au lit et à y rester, toute lumière éteinte. La tâche
NNELS.- Cha..., dans son enfance n'eut aucune maladie : il urina au lit jusqu'à l'âge de douze ans, mais dans cette épo
sions allusion plus haut), pendant l'attaque il sort brusquement du lit en se diri- geantvers la fenêtre; cet acte, qu'
corps; la jambe se raidit en extension et fut soulevée au-dessus du lit , le bras en extension et en forte adduc- tion s
ssible, le bras pend flasque le long du corps, la jambe git dans le lit comme une masse inerte. Les plus fortes excitat
ans les deux membres et C... fut en mesure de pouvoir sortir de son lit . 412 PATHOLOGIE NERVEUSE. Le jour suivant, il
e'. Dans ces attaques, pendant la phase comateuse, ses voisins de lit ont entendu qu'il criait : maman ! maman ! La sen
ce qu'elle lui arracha des cris. Tandis qu'il était descendu de son lit pour chercher de l'eau froide, il fut pris subi
t d'une faiblesse, il se sentit s'affaisser et tomba la face sur le lit , en restant avec les jambes appuyées sur le sol
e continua pendant quarante- huit heures en l'obligeant à garder le lit . Le troisième jour il s'aperçut qu'il bégayait
pour entrer à l'hôpital. Malheureusement, il n'y avait pas alors de lits . disponibles et je n'ai pu suivre le malade mi
il sentit ses jambes se dérober sous luiet il tomba la face sur le lit , les jambes restant appuyées à terre ». Or, il
lle n'a pas pu se coucher et qu'elle a passé la nuit assise sur son lit , en admiration. « C'est bien beau, dit-elle enf
u malade de lever le membre infé- rieur gauche au dessus du plan du lit . Dans la position assise, il ne se produit rien
mentreparait alors. John est dans l'impossibilité de sortir seul du lit et de se tenir debout sans aide. Dans la positi
La myélite chro- nique est une maladie suffisamment caractérisée au lit du malade ; il n'y a pas à s'y tromper. Eh bien
ont la volonté ne serait que le développement; M. le Dr Wallescheck lit une communication fort curieuse sur une petite
82 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
ns à la téte ; que, se trouvant à une noce, sous prétexte de bénir le lit nuptial, il y jeta un charme, et que toute la nui
u lieu de onvie, 'tiw ironie. Pag» 650, au lieu d* toute Ja raison, lit » toute raison. Page 646, Ie' alinéa, a« lieu de
e les faits. Dans le Spiritual Telegraph du 14 novembre dernier, on lit une lettre signée C. Nerwood et datée de Pontiac
sthme humide, avec pleurésie récente. — Le malade est couché dans son lit qu’il n’a pas quitté depuis trois semaines enviro
arrivèrent « jusqu’à entrer dans les dortoirs pour tirer le drap des lits « et enlever les jupes des religieuses. » M. Du
r les abus. » (.L'Indépendance belge du 0 mars.) VARIÉTÉS. On lit dans le Courrier de Lyon : « Il y a quelque tem
qui lui étaient offerts, remonte dans sa chambre, se reinet dans son lit et se rendort. Le Siècle du 11 janvier dernier
mènes mystérieux, demande qu'ils soient étudiés et constatés. 6° On lit dans le Siècle du 3 février, un article remarquab
es poumons m’affaibliront tellement, que je serai forcée de rester au lit pour dix jours (c’est-à-dire jusqu'au 20 janvier)
ce temps, je me prescrirai les remèdes dont j'aurai besoin. -• De lit à trois mois (c’est-à-dire au 27 mars, je serai f
27 mars, je serai frappée d’une céphalite qui m’obligera de garder le lit pendant un mois, et je serai guérie de ce mal par
mai), je serai prise d’un rhumatisme intestinal qui me fera garder le lit pendant quinze jours (c’est-à-dire jusqu’au 10 ju
le se prescrirait. Le 10 janvier, elle fut incapable de se lever du lit , à cause de la prostration et du malaise général
riva comme elle l’avait prévu. Pendant tout le temps qu’elle garda le lit , elle mangea très-peu, et réduisit sa nourriture
par do grands coups frappés contre la muraille, contre le bois de son lit , contre tous ses meubles. M. X... croit aux esp
M. X... prend le chemin de fer et arrive chez Albert. 11 le trouve au lit , gravement malade. — Que je suis heureux de te
ourdissement sous la neige et même sons la glace sans goler. Hunter lit congeler de l’eau dans laquelle il y avait des po
hasard et ouvert de môme. Dans son sommeil mystérieux, le magnétisé lit distinctement à la page qui lui est présentée. Ce
la Putric du 18 avril, à la fin d’un article iutitulé : Causeries, on lit l’article suivant : « J’ai une répugnance natur
ser avec le docteur et avec ses enfants qui se levaient autour de son lit . Tout ce rétablissement se fit en moins de dix mi
. » Cédant aux exhortations de ses amis, l'auteur, séance tenante , lit son manuscrit. Nous le publierons dans le numéro
uet. Cette voix douce et sympathique d’un véritable artiste rendit et lit saisir par tous les cœurs les idées exprimées par
t enfreindre, n La cause... en ta nature... engendre ses effets ; « lit le mal, pour chacun, naît des maux qu’il a faits.
s, mêlées avec la troupe lubrique des faunes et des satyres? Quand on lit dans les auteurs païens, ainsi que dans saint Clé
lications qui manqueraient de base. A. S. MOKLN. VARIÉTÉS. — On lit dans le Journal (le Saint-Etienne : « Le sieur
ras et les jambes du malade, et on lui prescrivait de rester dans son lit pendant au moins trente-six heures. « Qui le cr
il sonne, il entre (c’était vrai). — Voyez ce qu’il y a dans le petit lit au second. — Ma petite fille (c'était également v
ut en mangeant, de choses indifférentes, quand, tout à coup, la table lit un bond qui manqua de renverser les bougies. Je m
minutes ; nous voyons nos amis pleurant sur notre corps étendu sur le lit ; puis notre ange gardien qui est ordinairement q
t à des accès de somnambulisme naturel, étant endormi, se leva de son lit , sauta par la fenêtre d’un étage élevé et tomba s
bien vite, la médecine est là; vous vous coucherez bientôt dans notre lit , vous y serez sur des leuilles de rose ; ne déran
es par tous les coins, et, avec force et violence, rejetaient des lits ceux qui y reposaient. » Le propriétaire de Vig
Extrait du Courrier du Palais de la Presse du 2 août. Un Parisien lit dans un journal qu’un vieux château est à vendre
kson, des fantômes les ont tirés par les pieds. Ouoi encore ? les lits se promènent, les sonnettes carilionneni toutes s
ans regarder derrière lui. La première fois qu’il se reposa dans un lit , le fantôme se dressa encore devant ses yeux, non
t des crises, et plus d’une fois elle s’était vue forcée de garder le lit pendant tout le cours de la grossesse, en proie à
is pas ; permis donc à ceux qui me liront, si par hasard quelqu’un me lit , de ne pas y croire. On devine qu’elle fut le suj
chambre mortuaire, elle s’établit sur un fau- tcuil placé près du lit que venait de quitter le corps de sa sœur. «Cin
examinant ces faits, nous chercherons à découvrir la vérité. — On lit dans l'Intérêt publie, de Tarbes : « Le départe
s était très-critique et qu’il y avait très-peu d’espoir de salut. 11 lit diverses prescriptions qui n’eurent aucun résulta
ce futrapide. Au bout de trois jours, l’enfant se tint assise sur son lit et mangea tout en jouant, mais continua pendant e
e, qui faisait des expériences d'hydroman-cic, vit une chambre à deux lits ; dans l’un était un mourant qu’elle reconnut pou
in (jeudi), ne me trouvant pas aussi bien que la veille, je restai au lit pour prendre du repos avant de retourner chez moi
tête et je vis distinctement une personne se tenant tout prés de mon lit . Pendant un instant très-court je pus voir ses tr
tait impossible de rester couché. On fut obligé de me hisser dans mon lit . Je n'appelai pas de médecin, mais j’eus recours
e, ainsi comprise, rendrait d’émi-nents servies, car tout le monde ne lit pas les litres dé science , cela coûte trop cher
t pas les litres dé science , cela coûte trop cher ; et tout le monde lit les journaux. Je me rappelle que M. et madame de
core, à la fin du mois de septembre dernier (1858), j’étais retenu au lit par une indisposition qui m’était occasionnée par
vaient presque entièrement disparu. Je me sentais disposé à sortir du lit pour reprendre mes occupations journalières; je n
aison , avaient, comme moi, la franchise de l’avouer. » Si M. Mabru lit cette lettre, il dira : « Que m’importe ! c’est u
réveillée par deux ou trois coups frappés très-fort à la tête de mon lit . Aussitôt cette idée jaillit en quelque sorte dan
it alors en Afrique, en marche pour Tombouctou. Je vis les rideaux du lit se mouvoir ; je sautai à bas du lit, espérant voi
Tombouctou. Je vis les rideaux du lit se mouvoir ; je sautai à bas du lit , espérant voir une figure humaine ; je sentis que
eau clair de lune ; j’explorai la chambre, je cherchai tout autour du lit , je regardai dessous, mais je ne vis rien. J’obse
rendre compte des expériences auxquelles il s'était livré. Ce médecin lit un récit fort intéressant et détaillé des faits q
quelle verve , quelle profondeur d’idées, etc., j’en suis tout ému ! lit ce père X..., dans sa chaire de vérité, il a su s
ière naa-gnétisation ? ù O savants ! venez et approchez avec moi du lit de la mar lade, examinez-la avec votre aplomb aca
83 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
e complètement par le repos, lorsque ses mains sont appuyées sur le lit . Rien de semblable aux membres inférieurs ; parfo
n est obligé de la faire manger, de la changer de position dans son lit , lorsqu'elle est fatiguée. Les mouvements passi
inq jours, empêchant le malade de dormir et l'obligeant à garder le lit ; ces douleurs, exaspérées par le moindre mouveme
En 1900, le malade a eu des hémoptysies abondantes ; il a gardé le lit pen- dant trois semaines, et c'est depuis ce mo
9, dans l'attitude qui lui est normale. Le matin, après le repos au lit , la cyphose est un peu moins prononcée; par la pe
ectées; en outre, la suspension à l'appareil de Sayre, le repos 'au lit , diminuent la cyphose ; il n'y a dans l'étiolog
intervalles, se réveillant par la position debout, disparaissant au lit la nuit. Vers le milieu de mars 1903, aggravati
CYPHO-SCOLIOSE £ (H. Forestier) DÉFORMATIONS RACHIDIENNES 89 Au lit , en décubitus horizontal, le redressement se fait
inutes; le malade est porté en chaise aller et retour ; sudation au lit ; pendant trois semaines et demie, avec interru
tées avec oscillations du tronc. Il a peine à se retourner dans son lit . Epaules. - Simples raideurs des mouvements; pa
er de place. La tête est très mobile. Il peut se retourner dans son lit . 3" Cure de douches-mas- sages. Observation I
et est obligé de plier les genoux. Il a peine à se tourner dans son lit . Les articulations des membres et notamment les
toutes les articulations furent enflées successivement; 60 jours de lit . Pen- dant les sept années qui suivirent, cures
tiples des membres avec gon ! 1ement,'douleur, les ayant retenus au lit un temps assez long. Les conditions dans lesque
la vue et de l'ouïe. 20. - Constipation. La malade est confinée au lit : cette nuit elle est tom- bée de son lit (cont
La malade est confinée au lit : cette nuit elle est tom- bée de son lit (contusion du nez et de la main). 95 janvier 19
utes, sans coma, elle est revenue à elle. 28. - On met la malade au lit parce qu'elle ne peut plus rester levée ; elle
bant toujours à droite. An bout de deux ou trois jours de séjour au lit , elle a présenté des vomis- sements alimentaire
fait, de même que dans le cas de M. Lannois, notre malade garda le lit quelque temps et la température qui, alors, fut
r de traces.A 9 ans,maladie indé- terminée, qui le tient un mois au lit , dont il ne sait rien sur le début, mais en laq
tant, quoique diminués. Aux membres inférieurs : le malade étant au lit , présente les cuisses rap- prochées en adductio
est assis, les jam- bes sont pendantes avec la même attitude qu'au lit , mais plus exagérée. Moti- lité presque complèt
le est devenue presque absolue, le malade est à peu près confiné au lit ; ce n'est qu'au prix de grands efforts qu'il arr
vec une grande incoordination ses membres infé- rieurs au-dessus du lit . Ceux-ci sont à l'état permanent de contracture q
décliné rapidement : asthénie extrême ; il ne peut plus quitter le lit ; quand on l'assied, la tête tombe entre les épau
tir de la prison où il est injustement renfermé » ; un hébéphénique lit couram- ment le journal, apprend des faits nouv
coercition forcée. -Pas un de nos psychopatiques n'est maintenu au lit . Cinq hommes et quatre fem- mes, savoir le 2 1/
us les travailleurs et les' fous qui ne sont pas obligés de garder le lit , peuvent librement circuler, se promener,-grimp
tre octogénaires ou paralytiques à l'état terminal sont confinés au lit . Des 121 femmes, 6 seulement sont alitées par, vi
ontraire tellement le froid, que cela gêne pour l'examiner dans son lit d'hôpital parce qu'il ramène toujours ses couvert
'il n'eût pas trouvé de porte d'entrée. Le malade garda le repos au lit ; sa jambe fut entourée de com- presses d'eau p
nt des plaques plus foncées, asphyxiques. Un séjour de 12 heures au lit , n'amène aucune modification de l'oedème ni de
and je dis tout haut ou tout bas le mot : mourir, j'ai l'idée qu'on lit ma pensée, et j'ai la torture morale de croire qu
de dégénéres- cence. Toutefois, la malade est obligée de garder le lit , où elle ne peut ni s'as- . seoir ni se retourn
ques, elle accepte avec résignation, depuis sept mois, son repos au lit ; et elle ne doute pas de sa guérison, au moins,
it : elle est souvent agitée, elle est rarement tranquille dans son lit ; elle sursaute à tout instant, en éprouvant des h
sa couverture puis elle jette de tous côtés les accessoires de son lit et lance la vaisselle à la tête des personnes d
du tout entendre ; cachée sous sa couverture elle reste immobile au lit . Très apathique. Ces états alternent avec une rap
ctuelle. Tantôt la malade est calme, apath ique, elle travaille, elle lit et relit z sans fin le même livre, tantôt elle
347 temps en temps, de fines fibres musculaires et séparées par des lits de tissu cellulo-adipeux. Ce tissu interstitiel
r de véritables bandes de stratification fibreuses séparées par des lits de vésicules adipeuses. Ces bandes fibreuses Fl
eurs on note la peine à élever la jambe droite au-dessus du plan du lit . Trépidation épileptoïde des deux côtés. Réflexe
tililé est stationnaire. La malade peut encore faire le tour de son lit . Encore quelques mouvements spontanés a gauche
lète ou même nulle. Dans ce dernier cas, le malade le plus instruit lit du français comme un paysan lit du latin. Cependa
ier cas, le malade le plus instruit lit du français comme un paysan lit du latin. Cependant certains paraly- tiques, ma
en est de nouveau fait à cette date : Le malade reste étendu sur le lit dans le decubitus latéral droit. Le côté gauche
e ne peut étendre la jambe gauche ni l'élever au- dessus du plan du lit ; il peut la fléchir un peu. Il peut étendre la j
le malade dans le décubitus dorsal ne pouvait se redresser sur son lit sur lequel il était comme fixé; aujourd'hui il
tracter. Inégalité des pupilles, pupille gauche dilatée. Voit bien, lit facilement, mais au début se fatiguait vite en
s'asseoir, sur une chaise qu'il a disposée à cet effet près de son lit . Il a aussi quelques phénomènes analogues du cô
sente depuis ,ans un phénomène singulier : lorsqu'il se lève de son lit ou de sa chaise il a une contraction totale des
aru et persiste encore actuelle- ment. Lorsque le malade descend du lit , lé poids du corps fait d'abord toucher terre a
acer une chaise devant lui ou de se retourner avant de descendre du lit . Le même phénomène se produit lorsqu'il se lève d
te avec négativisme. Il s'ali- mente très difficilement et urine au lit . 24. Déprimé, inerte, hébété, reste constamment
ss Finch) avait hérité de sa mère un caractère très difficile et on lit dans son histoire qu'avant de lutter sur l'hipp
place sur le large fauteuil, plus douloureux, pour le moment, que le lit de Procusle : elle a renversé la tète en arrièr
eprésentant un homme hydrôpique,assis sur un fauteuil, de- vant son lit , le ventre extrêmement distendu, les,cuisses gonf
84 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
age. Notre malade peut—elle lire mentalement et comprendre ce qu'elle lit : A-t-elle conservé la feculté de comprendre le se
, et dites-moi ce que cela veut dire ? —(La malade examine le papier, lit et se met immédiatement à écrire.) M. Charcot.
z que notre malade peut lire et qu'elle comprend fort bien ce qu'elle lit ; elle n'est donc point atteinte de cécité verbal
plusieurs fois M. Liébeault. Nous sommes dix personnes autour de son lit . Elle est intelligente, parfaitement consciente,
comme le célèbre peureux de Toppfer, en train de regarder sous votre lit ou de fermer pour la vingtième fois la serrure ;
our l'opérer sans chloroformisation. La malade, hypnotisée dans son lit par l'interne du service, reçut la suggestion de
a sensation d'aucune douleur. , Elle fut ensuite rapportée dans son lit sans avoir été réveillée. Là, à son réveil, elle
s toujours il expose et défend ses thèses avec une telle clarté qu'on lit même ces passages avec une grande satisfaction.
cercle, la tète restant sur le traversin, les pieds ne portant sur le lit que par les talons, le bassin et le torse projeté
vements désordonnés il se blesserait certainement et tomberait de son lit s'il n'était retenu. Sa force musculaire, durant
par un membre, peuvent limiter ses mouvements et le maintenir sur son lit . Pendant ce temps, sa physionomie est tourmenté
oitrine. Ordinairement ce sang est projeté contre le mur auquel son lit est adossé: toute la cloison en est éclaboussée j
près avoir mis sa chemise en pièces, il en fait autant de son drap de lit . Il le serre violemment entre ses dents, tire ave
u mouvement et a la station debout succèdent le repos et le séjour au lit ; exagération, et non suppression, comme dans l'a
temps, il se convainquit que le goujon était imprenable, et il ne se lit plus aucun elfort pour s'en emparer. On peut dès
e montra en même temps une jeune personne, fort jolie, étendue sur le lit , a demie vêtue, se cachant la figure dans son mou
fait prévenir. Nous allons voir ensemble la malade qui repose sur un lit de caillots. Très hypnotisable par suite, d'hypno
mptemenl amendée en quelques séances; la malade, immobilisée dans son lit depuis des semaines, put de nouveau se lever. Une
duit de ses vols, dans une perpétuelle orgie. II a vu passer dans son lit toutes les prostituées connues, toutes les actric
ieur a repris des mouvements ; il jouit d'une assez grande liberté au lit : debout, il peut être projeté en avant, mais ret
personne qui lui tient le bras du côté paralysé, la malade descend du lit et fait le tour de la chambre, lançant la Jambe,
eureux atteint de sclérose en plaques, presque aveugle, cloué sur son lit depuis des années, et que la suggestion a rendu a
s. Quant aux jambes, le sujet put dès ce moment les déplacer dans son lit , et même s'asseoir seule sur le bord du lit. Elle
ent les déplacer dans son lit, et même s'asseoir seule sur le bord du lit . Elle en était enchantée, car la veille encore, e
qu'eux d'hilarité, puis tomba dans la torpeur. Il fut porté dans son lit avec tous les signes de l'ivresse alcoolique, mai
tout i fait hors de propos ; et finalement, il fallut la porter à son lit dans un état de torpeur. Les yeux de la malade re
était devenue très faible. Elle fut traitée par différents médecins, lit deux cures d'eaux minérales et revenait peu à peu
:le père s'enivre, vole et va en prison; la mère se prostitue dans le lit même de son mari. Et le fils devient ivrogne et v
e et écrire, bien qu'elle ait passé fort peu de temps à l'école, elle lit les romans de Richebourg avec enthousiasme. « La
, pour la bonne distribution de la justice une étude approffondie des lits qui se rattachent a la suggestion, au somnambulis
sortit de l' affaire en si piteux état qu'il fut obligé de garder le lit pendant plusieurs jours et d'endurer de cruelles
amilles, ce qui se produit quand on attache sur un fauteuil ou sur un lit un parent, crispé par la colère, vociférant, et
actiles. Pas d'ambliopie, de dyschromatopsie. ni d'astigmatisme. Elle lit facilement les lignes parallèles n°4 allas de Gal
rome qu'un besoin invincible de dormir. La malade est étendue sur son lit . dans le decubitus dorsal, les yeux sont fermés,
s les plus extravagantes : sauts, culbutes, arbre droit, ascension du lit et des meubles sur lesquels la malade se hisse en
gastre et remonter à la gorge. La malade angoissée se soulève sur son lit , les yeux sont hagards, la bouche ouverte ; la fa
s'asseoir à notre commandement. A 9 heures 50, il lut ramené à son lit ; on lui fit la suggestion de dormir jusqu' à mid
midi, heure à laquelle il se réveillerait, pourrait s'asseoir sur sou lit et demanderait à manger ; on lui défendit de fair
i jusqu'à l'heure fixée et à midi précis, on le vît s asseoir sur son lit et étendre le bras sain; il prononça alors les pa
suggéré pendant son sommeil de voler ma montre à son réveil. Elle le lit sans hésiter, et quand je découvris le vol. vous
e entièrement sur cette seule base de sustentation, et descend de son lit sur le pied gauche. » Une fois à terre, poses p
ense au réveil, empêchant souvent la malade de rentrer seule dans son lit . » 2° Sommeil spontané. — Crises pouvant durer
permettant à la jeune fille, qui est couchée, les yeux clos, dans son lit de, causer et d'exécuter tous les actes qu'on lui
it à la taire manger, provoqua des garde-robes, l'empêcha d'uriner au lit , procura un sommeil calme pour la nuit el, enfin,
nuit el, enfin, pût combattre l'idée fixe qu'elle avait de rester tu lit , en lui disant de se lever, de s'occuper de son m
e de M.Verneuil.qui, depuis cinq mois, était restée immobile dans son lit par suite d'une coxalgie et d'un pied bot hystéri
s voilà que le lendemain j'apprends que, la nuit, elle avait uriné au lit . Il a suffi d'une nouvelle suggestion pour remédi
e directeur en robe de chambre; il me montre l'endroit précis près du lit n° 6 où le directeur s'est arrêté, etc. Un autre
une durée écalemcnt très longue. L. ., entend-il parler d'un meurtre, lit -il un fait divers à sensation, il est saisi d'ang
oir des tableaux obscènes, le menace et se montre à lui. Tout ce qu'i lit est interprété dans un sens mélancolique. Pranzin
ssion. Je renvoyais encore a la page 65 du Magnétisme animal, où on lit : « Les hystériques de la Salpêtrière m'ont fai
au point qu'elle s'endormait quand elle nous voyait venir près de son lit , à l'heure de la visite, et que maintes fois nous
nistration de l'Assistance pu- l.'llYPNOTISMi: AU CONSEIL MUNICIPAL lit PARIS 34' bliquc. vous pouvez en être assures
ontact. Un nndeau lut nus sur le bras ci le malade se coucha, dans un lit , sous nos yeux. A la hn de la séance, à 11 heur
85 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
0 O thérapeutique. faible dose, ces mêmes malades restent dans leur lit , parlent à voix basse, et les observations ont
ns sa chambre, alluma le bout de bougie qui se trouvait près de son lit et se glissa furtivement dans la grange. Il ess
jour; on se contentera de laisser une partie des salles privées de lits . On accé- dera à chaque salle par une porte ven
s munies de panneaux de verre épais, et n'auront pas de caissons de lits , ou les lits auront une construction spéciale;
anneaux de verre épais, et n'auront pas de caissons de lits, ou les lits auront une construction spéciale; on en pourrai
tion circonspecte, contrôle incessant de l'état du malade, repos au lit , observation précise, mise à profit de particular
siège ni camisole de force, à introduire la sonde chez le malade au lit , à la condition qu'on relève et fléchisse légèr
'irradia- tion de la commissure de Meynert témoigne suffisamment du lit de chacun des deux systèmes. Le fait est que le
fille. Elle était âgée d'environ dix-huit ans. Elle reposait sur un lit de plume assez moelleux, placé dans une chambre
e était fatiguée parunetroplonguestation sur un seul côté, dans son lit , ou même lorsque sa mère la priait de setourner
ité d'humeur nauséabonde s'écoula par le méat urinaire que tout son lit en fut inondé au point que les couvertures et l
rme des lacs stagnants' dont les eaux ne peuvent retourner dans son lit . Les rayons'du soleil ne peuvent les dessécher
n huit heures du matin. Nous revîmes Apollonie couchée dans le même lit et vivant encore, suppor- tant sonjeûne habitue
sur-le-champ près de sa fille. Nous la retrouvâmes toujours sur son lit ... , . Dès qu'elle m'eut aperçu, m'ayant déjà v
Guérissez-moi. » « Cependant l'organe de l'ouïe est intact... Elle lit très facilement l'entête des feuilles d'observa
irmé par les infirmier» et par ses voisins de salle. Assis dans son lit , le malade éprouve parfois, dans les muscles du
u près les mêmes que lorsque le malade est étendu ou assis dans son lit , mais s'il lève le pied, ou qu'on le lui soulève,
l'hôpital Tenon, dans le service de M. le Dr STRAUS, et occupe le lit n' 21, de la salle Andral. Il est interrogé ave
n sont devenues tout à fait impossibles et le malade doit garder le lit . Jamais pendant tout ce temps, le malade n'a re
nt conservée, à ce point qu'on peut ainsi soulever le malade de son lit , par sa jambe fléchie sans qu'elle s'étende. L'
t ne ressent encore aucune douleur. Il sent bien ses jambes dans le lit , et apprécie les poids qu'on lui fait sup- port
chroniques qui ont guéri à la période des persécutions. M. PICHON lit deux observations de persécutés héréditaires deve
sions, l'une destinée aux hommes, l'autre aux femmes. Le nombre des lits est de quarante. Vous trouvez dans chaque divis
matisme, pas d'alcoolisme (lors de la première grossesse du premier lit , elle avait sou- vent envie de boire du cognac)
de cri. Quand les crises ont lieu dans la nuit, il se débat dans le lit , semble donner des coups ; pas de stertor, pas
mains au deux roues de derrière d'un fiacre en marche. S'il est au lit , quelquefois on observe les phénomènes que nous
il arrive maintenant plus fréquemment que Grandid... se lève de son lit dans ses accès ; aussi doit-on l'y maintenir at
nuit dernière il aurait eu un accès, dans lequel il serait tombé du lit , d'où une contusion assez forte du coude. 28. A
vice. 6 août. A 8 heures du soir, alors qu'il était auprès de son lit , se préparant à se coucher, Grand....'est pris d'
urant vers la porte vitrée, éloignée d'une dizaine de mètres de son lit , dont il enfonce le carreau inférieur avec le b
é coucher dans un terrain vague de l'avenue de 1 Frère d'un premier lit , : i Ic a ans, qui l'a fait arrêter. DE L 11r,E
s camarades; on ne s'en est aperçu que ce matin en trouvant dans le lit des mannequins formés de traversins, d'oreiller
et d'habits déposé en dehors des cellules et correspondant à chaque lit , a fermé la porte du dortoir sans y entrer.- Qu
éral, aussitôt après la course terminée, il vient se placer dans le lit de camp, s'endort pendant une dizaine de minute
la suite de ces actes pro- cursifs va de lui-même se placer dans'le lit de camp et s'y endort pendant une dizaine de mi
de ne réagit à aucune excitation. Parait insensible. Res- terait au lit si on ne le levait pas. -On est obligé de l'habil
anvier. Nous trouvons le malade assis sur une chaise au pied de son lit . Son immobilité est absolue. Les membres inféri
s'est affaibli. Il est pâle, amaigri : Il est forcé de garder le lit . Depuis quelques jours, il accepte les aliments q
ne prend que du potage. Il est toujours étendu sur le dos dans son lit , les yeux fixes, la tèle immobile. Si on essaie
oui de la tète et il se met à rire ; on le pousse alors hors de son lit , en lui disant : Viens. Mes ses yeux deviennent
at habituel. Le soir à 9 heures et demie, nous arrivons près de son lit . Il est couché en chien de fusil, la tète pench
bien par rapport à son degré d'ins- truction et d'intelligence ; il lit à haute voix d'une façon assez peu correcte, ma
et ne se trompe guère dans le calcul de ses heures de travail ; il lit également sans peine et assez correctement l'éc
d'oedème lors même qu'il reste les jambes pendantes sur le bord du lit . " ' La trépidation spinale est facilement prov
jambes et des cuisses font lorsque les jambes sont étendues dans le lit , une saillie considérable et sont durs absolu-
Il peut soulever le pied gauche à 40 centimètres environ du plan du lit , peut porter la jambe dans l'adduction forcée à
tée tout à fait jusqu'à l'angle droit. Quand le malade est dans son lit , il ne peut s'asseoir; il est obligé pour prendre
est obligé pour prendre cette position de se mettre sur le bord du lit les jambes pen- dantes. Les mouvements du cou
d pour un homme, en devient amoureuse et lui demande à partager son lit . Une mu- lâtresse fait à son tour sa conquête,
be, il sort du liquide par le méat. Toutefois, on a trouvé dans son lit , des taches dont l'aspect rappelait les taches sp
ération et imi- tation. Discussion.. M. Fuerstner. Sur cinq cents lits on ne compte que cent quatre-vingts admissions
86 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ltés qui, jusque-là, étaient restées au-dessous de la moyenne. Ou lit dans Hippocrate (trad. Littré, V, p. 223), l'hi
avancée. Quand il se réveille, il est tout surpris de se trouver au lit , et, ne se rappelant rien de ce qui lui était a
ux ans qu'il a réellement parlé. A quatre ans, il cessa d'uriner au lit ou dans son pantalon, mais jusqu'à douze ans il
parole est libre, relativement facile avec un léger zézaiement. Il lit bien, écrit assez facilement, sait ses quatre règ
t des cabinets ; il le prit à bras le corp s, et le coucha dans son lit . D'après ce que dit C..., sur trois tentatives un
le fut couronnée de succès. Il ne resta qu'un quart d'heure dans le lit lu garçon ( ? ). Quinze jours auparavant, ce de
économique. Il se réduit à nne traverse en bois s'appuyant sur deux lits . Deux linges roulés en cylindres, placés aux ex
ues sont revenus. La seconde malade, qui ne pouvait se lever de son lit , a pu se tenir debout quelques ins- tants après
eux malades par la suspension; l'un d'eux confiné antérieurement au lit , marche sans l'aide d'une canne, et n'a plus de
onde catégorie se trouvera tout à fait épuisé en dix-huit mois, les lits vacants suffiront aux besoins de,la ville penda
ambre d'isole- ment ou de surveillance, deux dortoirs de huit à dix lits séparés par la chambre des gardiens, en face de
Il a été établi, pour ce service sur nos indications, un type de lit en tôle et fer, avec sommier, donl toutes les par
e démontées qu'à l'aide d'instruments spéciaux. Quelques-uns de ces lits sont fixés au parquet. Le bâtiment, sauf dans l
nuit dans d'autres sections, attendu qu'il n'y a place que pour 41 lits au maximum et encore les prévisions du début ét
de 848 malades, dont 41G hommes. C'est donc environ le dixième des lits des hommes que complet notre quartier de sûrelé
e que des accès nocturnes, accusés, le matin, parla miction dans le lit et par des traces de morsures récentes sur les
erré légèrement que J..., comme mu par un ressort, s'assied sur son lit , il se frotte les yeux, se lève et s'habille, s
l'aliénation récente qui, de même que la fièvre typhoïde, exige le lit : c'est le seul moyen de régulariser la circula
du 6 août (matin). PRÉSIDENCE DE M. BE,tEDIxT (de Vienne). M. RITTI lit au nom de M. CoTARD une note sur l'ORIGINE PYCIIO
oient consignés dans une publication régulière. M. Voisin (Jules) lit une note sur cinq cas DE FUGUES INCONSCIENTES c
les mêmes inconvénients en ce qui concerne l'hyoscine. M. BRIAND lit un travail sur les TROUBLES DE la mémoire dans L'
u PÉRICÉRÉBRITÉ, suivant le nom qu'il adopte. M. Ladame (de Genève) lit une note sur un cas d'ÉRYTHnorsIE chez un paral
Séance du 8 août (soir). Présidence DE M. DELASIAUVE. M. GARNIER lit un travail sur la PROGRESSION corrélative DE la
analogue du même auteur au Congrès de l'alcoolisme). M. CHRISTIAN lit un travail sur les rapports DE LI syphilis et de
10,NOD, directeur des services d'hygiène à l'Assistance publi- que, lit un rapport sur la situation DES aliénés dans LES
du lapin. Il existe là une véritable cécité psychique. ,NI. BINER lit un travail sur l'acuité SENSITI1'o-SENSOItIELLE D
matif que 11. Richet au sujet de la réalité de ces faits. ! IL GLEY lit un travail sur le sens musculaire qui consiste, s
cool consommé par habitant a été de 2 l'1, 92 ; de 1878 à 1882 de 3 lit " 53 ; de 1883 à 1887 de 3 111-1 83. Pendant ce te
PEUTIQUE Tenu à Paris du 8 au 12 août 1889. M. Ladame (de Genève) lit un rapport concernant l'INTERDICTION DES séance
upérieures (attention, perception, etc.). z 111. FoNTAN (de Toulon) lit une note sur les EFFETS DE la SUGGES- TION HYPN
r par l'hypnotisme deux cas de métrorrhagie. AI. FORE (de Zurich) lit un travail sur les hallucinations NÉGA- TIVES c
r et de les mettre sous la dépendance du médecin. AI. AuG. Voisin lit son rapport sur les indications DE L'HYPNO- T1S
ie, de folie du doute, qu'il a guéris par suggestion. M. BÉRILLON lit son rapport sur les applications DE la SUGGESTION
exclusivement, comme son indication, dévolue au médecin. M. Fort lit une observation d'ABLATION DE LOUPE DU cuir CHE-
DE LOUPE DU cuir CHE- velu pendant L'HYPNOSE. Ai. BOURDON (de Méru) lit une NOTE sur L'UTILITÉ DE L'HYPNOSE ET DE LA SU
GUÉRIE PAR LA SUGGESTION. M. LIÉGEOIS, professeur de droit à Nancy, lit son rapport sur la question suivante : des rapp
es ouvriers d'industrie et des transports. 11f. LASCIII (de Vérone) lit un travail sur le CRIME POLITIQUE au POINT DE v
e malade exposé au froid pendant les nuits d'hiver. J'ajoute que le lit de fer fixé au sol est garni simplement de pail
et une grosse botte de paille a été jetée dans un coin en guise de lit ... » Si le Sous-Préfet de S... compare les cell
lades, avec facilité D'ÉTENDRE LES services jusqu'au chiffre de 450 LITS ; par C.-S.-W. COBDGLD (The Journal of Mental Sc
bli pour 310 malades ne dépasserait pas le prix de 3,500 francs par lit , abstraction faite du prix du terrain. z R. M.
e professeur Charcot, à l'hos- pice de la Salpêtrière, et occupe le lit n° 11 de la salle Rayer. Antécédents héréditair
189.) co)'<tcn/e M cet'ueaM. (h'e/tii;es s/au de & : o ? e, lit , 1887, p. 189.) . Ueber die Localisation der li
nouveaux accidents. Il était mousse sur le vaisseau-école l'Auslet· lit , à Brest, quand, à la suite d'une grande colère
uels le courant constant doit être appli- REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 4 lit Il que dès le début, pourvu qu'on sache le dose
24 juin 1889. - Présidence de 1. F.ILliET 1 Cocamismc. M. 111,Niti lit une note sur le cocaïnisme. Classification des
médecine mentale de Belgique et passe à l'ordre du jour. M. Dupain lit au nom de M. Déricq une communication sur la pr
ations qui prouventque l'opium. et la morphine associés au repos au lit , à un régime fortifiant et non excitant, agisse
87 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
e 10 août 1879, une pleurésie tuberculeuse qui le tint longtemps au lit et qui faillit l'empor- ter. Il se releva de ce
depuis, quelquefois elle se mord la langue, mais n'urine jamais au lit , c'est le plus souvent la nuit qu'elle en est a
dégénérescence consécutive à une hémorrhagie, qui avait détruit le lit de la scissure de Sylvius; non seulement la subs-
yé de noter la durée des accès dans la folie à double forme. M. REY lit une note sur le poids du cervelet, du bulbe de la
quelques formes d'aliénation mentale. Prix Aubanel. - M. Garnier lit ensuite son rapport sur le prix Aubanel. Le suj
élevées sont riantes. La population des dortoirs est un peu dense. Lits en bois et literie comme en VARIA. Ili | Dane
de grilles en fil de fer, et contiennent une table, un siège et un lit fixés au sol, ainsi que des latrines. Le chauff
la contrachere 5 ? tshrqrte perznaneufe. DES ATTAQUES DHI'STER1E. lit « Chez Co..., dont les crises ont un cachet épi
sion ; le poing est fermé et se soulève un peu au-dessus du plan du lit . La main gauche est dans l'attitude suivante : le
frontale et pariétale; en bas, il est séparé du corps strié par un lit de substance blanche de 1 centimètre d'épaisseu
circonstances, 1 aphasie avat exisié dix-sept fois. Tos · ? IyzIIL lit 91),WIU'lh Or, dans ce même nombre d'observatio
concerne la, troisième frontale" droite. (Atrophie |Com-t 1 fil [ lit fil 1-, ''b ? 11V[ JOMIBU -UIJ Ibq 911J''t1'l : 7
jet; nous rappellerons 1 Feuilles d'autopsie de la Salpê/rière, 2e ( lit ., 1881. 1. l.,u ,11 DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRA
rête, ou bien elle poursuit, sans interrup- tion, sa marche dans le lit même du sillon occipital supérieur. C'est dans
t s'accompagnent de mouvements très étendus; elle tombe hors de son lit , et on a de la peine à l'empêcher de se bles- s
e-, tiquèsmi'*épileptiforniës. 'Faiblesse ? p7ogrèrsivé7* séjour au lit , eschai-'esmarasme iftortî ; swlioi sl aupuiscn
^d mees,,ilesi.rena1difliciles;.ceci)est notamment vrai pour celles Lit ,iiiil)oseiit d5jiautes,PxigenceV au 'travail psyc
on. M. La : un, président, souhaite la. bienvenue à t'assemblée. li lit un compte rendu des travaux produits pendant l'
- sion soulevée aboutit à un rejet. ' , " «' - '-j z M. Oppenheiu lit un long mémoire sur l'Expression du, visage che
reste impossible jusqu'au 4 ! >; ce jour-là, le malade quitte le lit ; mais, le 2 1, on l'y retrouve en état de stert
lte disposition. Les dortoirs sont contigus aux locaux du jour. Les lits sont en bois, mais on projette d'en mettre en fer
t une fois par semaine. Un pot de chambre en porcelaine sous chaque lit . Les fenêtres ne sont armées de grilles que dan
n. Les cel- lules un peu petites, au moins quelques-unes, ont leurs lits fixés au sol, elles sont enduites de couleurs à
oint. Les médicaments viennent de Stockholm. On tient volontiers au lit les mélancoliques. On ne mettrait en usage les
en bois. Les cellules, petites, à parois cimentées, contiennent des lits assujettis au sol et une latrine ; elles jouiss
d'arrosage. Les dortoirs, situés au premier, renferment dix à douze lits ; ils dispensent par tête 600 pieds cu- biques d
x à douze lits; ils dispensent par tête 600 pieds cu- biques d'air. Lits en fer ou en bois, larges de 72 centimètres; les
1 VARIA. arrivé, par une multiplication croissante du nombre de ses lits , à contenir 414 hommes et 106 femmes de deuxièm
l'extension, le poing fermé et un peu soulevé au-dessus du plan du lit ; la jambe gauche est aussi dans l'extension et
ce dans la situation qu'elle occupe d'habitude chez une personne au lit . Mais la malade reste plongée dans un état quas
tion desdits accès, d'après les notes que nous avons recueillies au lit de la malade : la tête s'incline vers la gauche
uelles : à la fin de l'accès convulsif, la malade se remue dans son lit , comme si elle avait peur : elle nous dit voir
t été fournis par la surveillante du service et par les voisines de lit de Fore... Ces attaques ne se ressemblent par t
elle perd connaissance. Alors elle gesti- cule et se tord dans son lit . Parfois elle pleure et crie, ou se met à rire.
a congestion cérébrale» ; durée : trois mois. Lorsqu'il a quitté le lit , « tout le côté gauche était en paralysie » ; o
d que, depuis l'application du bracelet, il peut s'étendre dans sou lit , ce qu'il n'aurait pu faire auparavant; il ajou
On trouva, après un troisième accès, la malade inanimée hors de son lit . La température n'a pas été prise au moment des
ce, à la condition que le patient soit isolé dans le liquide sur un lit de sangles. Dans ces conditions, on constate qu
grands asiles (au delà de 600 malades) le prix de construction par lit , le prix d'entretien du bâti- ment et du matéri
st plus élevé que dans les asiles de moyenne grandeur (de 450 à 600 lits .) L'auteur est d'avis qu'il convient de s'oppos
érieur du même côté. C'est une imbécile, mais d'un type élevé; elle lit passablement, écrit très bien de la main gauche
Falret et Moreau (de Tours). SOCIÉTÉS SAVANTES. 365 M. BASOROFF lit un travail anthropologique sur les criminels, b
-trois ans; il n'a, depuis sa plus tendre enfance, jamais quitté le lit . Il n'existerait pas d'hé- rédité myopathique o
e aggravation que de douze à qua- torze ans il lui fallut garder le lit à nouveau. Il entre, à quatorze ans, à l'hôpita
gnation plus précise, naturellement. M. 1 uEUSrvLa (d'Heidelberg) lit un Mémoire, intitulé : Contri6u- tion à la path
88 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
it camarade ayant sauté sur son dos, il tomba; on le porta dans son lit et on constata, en outre des douleurs lombaires
avée parfois par les mouvements cloniques du pied droit. Dans son lit , le malade déplace ses membres inférieurs tout
ce en s'aidant volontiers des mains ; il élève au-dessus du plan du lit sa jambe gauche beaucoup plus facilement qu'il ne
t, à vaincre cette contracture et à étendre la jambe sur le plan du lit . Fig. 2. - 1, sensibilité au contact : diminuée
int de l'insomnie et des cauchemars. Il ne sait pas reconnaître son lit et va se coucher dans celui du voisin. Pas d'in
t plus difficile. Les mains sont maladroites et P... urine dans son lit à côté de l'urinal. ' Le 30 janvier, il se lè
faisse tout à coup sans perdre connaissance et ne peut regagner son lit qu'avec l'aide de l'infirmier. Le lendemain nou
s'affaisse brusquement durant la marche, ne peut regagner seul son lit , a de l'incontinence des réservoirs ainsi qu'un
Il ne peut lire lettres, mots, nombres, imprimés ou écrits. Mais il lit les lettres et les nombres, dès qu'on les a tra
s lettres et les nombres, dès qu'on les a tracés sous ses yeux ; il lit les mots en les épelant dès qu'on lui en a dit
soir, la céphalalgie a disparu, les expressions lui reviennent, il lit et écrit, lentement à la vérité, Le quatrième j
frapper en cadence à l'aide d'une bûche sur Jacques couché dans son lit , sortir ensuite de l'isbah, afin d'uriner, ren-
t. Une heure plus tard, le beau-père trouvait sa fille morte sur le lit près du mur ; à côté d'elle gisait sanglant et
it étendue sans vie la femme de Jacques dont le cadavre occupait le lit familial. Jean dormait... La jus- tice saisit u
hache pleines de sang, la première près de la porte, l'autre sur le lit de Jean; pas de taches ailleurs, nulle trace de
convulsions à la suite desquelles il est resté trois ans confiné au lit ; à partir de ce mo- ment on a pu le lever; mais
mpossibilité de fixer par les extenseurs le membre inférieur sur le lit , et dans cette flexion combinée de la cuisse et
teur de l'abbaye d'hommes et de femmes de Fontevrault partageait le lit des reli- gieuses, afin de vaincre les désirs d
et la Folie dans le numéro des Archives de Neurologie d'octobre on lit : « De Londres au Rappel : Le rapport de la com
nster, London. S.-W. pour 2 shillings and 4 pences ou 3 francs), on lit à la page 5 : « Le total de tous les aliénés pauv
re de notre malade; ajoutons que jusqu'à dix-neuf ans il a uriné au lit , qu'il a toujours eu des rêves terrifiants, que
e. Cet état dura six semaines. Un confrère, consulté par la malade, lit le diagnostic du tabès d'une façon vague, mais
drome mental au cours de l'urémie. M. KLIPPEL au nom de M. lIANNION lit une observation relative à ' un enfant de treiz
IV. Le traitement des névralgies et des névrites ; par Plicquk. ( lit Actualités Médicales. J.-B. Baillrère et fils, Pa
Mayard lui tournaille dos, illui tira une balle dans la nuque et se lit ensuite sauter la cervelle. - - Il y a quelques
force, s'invectivèrent au point que la nommée G..., s'approchant du lit de la nommée D..., se jeta sur elle et l'etouffa
nimal. La victime, plus agitée que la meurtrière, étant fixée à son lit par la camisole - de force, n'avait pas pu se d
ns l'écurie, est effrayé par les boeufs détachés qui bousculent son lit ; quelques jours après, à propos d'une dispute,
saut + Ça a fait bonm, c'est débloqué; si je ne m'étais pas tenu au lit , j'aurais sauté sur le plancher + Il y a encore
ieures en durcissant son corps par des bains froids journaliers, un lit dur et une chambre froide ; et lui apprendre le
comme dans le cas présent où le malade était seulement tombé de son lit . SnIO : >1. X1\'l II. Délire mélancolique
nte-huit ans, qui a été traitée sans succès à la Salpetrière par le lit et le régime lacté pour un état neurasthénique
-8° de 400 pages. Lyon 1902. Stock et C ? Paris, Doin. LAI/DIS, The lits tory of the developmenl of Médical science in A
l'heure la meilleure et la plus désirée était celle où j'allais au lit et où, à l'abri des rail- leries et des tourmen
et ma chambre ; je faisais vite le plus nécessaire et me jetais au lit , laissant mes pensées suivre leur cours. J'épro
e ou récente, d'apparence grave ou légère, d'emblée par un repos au lit de plusieurs semaines, qui ne doit être suspendu,
e. Un matin, après une nuit agitée, ou l'a trouvé immobile dans son lit , violacé de la tête aux pieds. Il succombait qu
pendant une heure environ, puis tous les phénomènes disparurent. On lit vingt- cinq injections mercurielles. En été 189
de 02 pages. Prix : 1 (r. 50. Nontpellrer 1901. Librairie Caulet et lits . Zoac BUHGUET (A.) De la valeur comparative des
ore près d'un quart d'heure sans connaissance ; on la porta sur son lit où elle revint à elle, demanda d'un air étonné
en, la malade se sent mal à son aise; elle se couche et, à peine au lit , elle est prise de convulsions, toniques d'abor
gauche et regardant fixement en arrière, puis elle retombe sur le lit ; elle reprend alors connaissance et répond aux qu
ux, mais n'est pas encore bien orientée; on la porte alors dans son lit , où elle ne tarde pas à s'endormir profondément
nnée, en se réveillant, de se trouver couchée tout habillée sur son lit . 13. Reprise de la potion au bromure et à l'inf
u moment de se lever, que la malade a été obligée de se tenir à son lit pour ne pas tomber. Le soir, la température est
est mort, il frappe si on veut l'obliger à s'alimenter, il garde le lit . » Lors de son entrée à l'asile, son état est l
gâtisme, ni morsure de la langue. On lui pres- crit de se mettre au lit , elle se déshabille toute seule, se couche et s
uoi cette vessie et ne comprend pas comment elle est venue dans son lit . En se recueillant, elle se rap- pelle son acci
douloureux qui n'est pas un tic mais bien un spasme. 1 M. Dastros lit une communicaticn sur un cas de syndrome de Bén
néanmoins, qu'à l'âge de trente- cinq ans la malade a dû garder le lit pendant près de deux mois. Elle n'a pas eu de f
e troubles aphasiques : elle parle, elle écrit, elle entend et elle lit très bien. Tout au plus lui arrivc-t-il, par mo
uestion, un nommé L..., est âgé de cinquante-cinq ans. Il occupe le lit numéro 5 de notre salle Bouvier. Les renseignem
pagnée de perte de la connaissance. On a dû le transporter dans son lit . Revenu à lui, il ne pouvait plus parler ; il n
archer, à cause de la faiblesse de son côté droit. Il dut garder le lit , pendant deux jours. Au bout de ce temps, la fa
ce ; il est tombé comme une masse, et il a fallu le porter dans son lit . Revenu à lui, il ne pouvait plus par- ler ; il
, se fait apporter de l'éther, un traité de médecine dans lequel il lit l'empoisonnement par le gaz d'éclairage, et écr
rac- tère pratique. Les malades agités sont traités par le repos au lit . Le personnel se compose de deux médecins, de d
agrosa, in-8° de 92 pages avec 5 planches, lmo la 1901. , BRUGIA. - lit causa di leslamenlo oppugnali, in.So de 54 pages.
RALYSIF tabioforme par Wertheim-Solomonson. 500. Troubles \1071 : LItS . Voir Tics. - a. S42 ' TABLE DES AUTEURS ET DES
89 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
r leurs fonctions, surtout s'ils sont forcément astreints à garder le lit . Ils perdent l'appétit, maigrissent, pâlissent, c
des deux côtés. Les cornées sont intactes. L'enfant, âgé de huit ans, lit avec la même facilité de l'œil droit et de l'œil
celle du côté droit surtout, présentent des taches légères. L'enfant lit des deux yeux, mais plus facilement de l'œil dr
cuisse avec le mollet. Deux fois, à six semaines et à trois mois, on lit une section de la bride, mais sans résultat compl
llissement des os chez un adulte, qui remonte au temps des Arabes. On lit dans Fernel qu'un soldat avait les os des jambes,
nt la nuit doit favoriser le redressement produit pendant le jour. Le lit sera assez résistant et assez droit pour ne pas f
nuit. Pour ajouter à l'action du décubitus, on place le corps sur un lit mou, où il tend à décrire une courbe inverse de c
minuer sa courbure. C'est ce qu'on appelle Yextension du rachis ; les lits disposés à cet effet sonl les lits à extension ;
appelle Yextension du rachis ; les lits disposés à cet effet sonl les lits à extension ; j'aurai occasion de vous en parle
; j'aurai occasion de vous en parler de nouveau dans la suite ; ces lits sont également applicables à quelques cas de cyph
ation convenable, » c'est-à-dire qu'il faut que l'enfant se tienne au lit dans une si-» tuation presque horizontale, et cou
(2). » Ce précepie paraît avoir été le point de départ de l'usage des lits dans le traitement de la scoliose, usage spéciale
leur mode d'action. Le plan sur lequel le corps repose peut être un lit ordinaire, auquel on donne un peu d'inclinaison d
d'inclinaison de la tête aux pieds, et un peu plus de fermeté qu'aux lits le plus en usage. Le conseil de Du-verney de se s
autres matières usitées servent indifféremment à la confection de ces lits , pourvu que ces matières soient suffisamment tass
Les sommiers élastiques offrent l'avantage de moins se déformer. Les lits de fougère, de plantes aromatiques, sont employés
agnes chez les enfants très-jeunes. En tout cas, on aura soin que ces lits ne soient pas trop froids l'hiver; j'ai vu des rh
se courbant davantage dans l'autre. L'inclinaison du corps sur les lits et les autres plans fait agir le poids des partie
es à se soutenir dans les airs tout le temps qu'ils passaient hors du lit . De là le déploiement d'appareils nombreux, à l'i
ancement d'un plan mobile autour d'un axe transversal, comme dans les lits de Pravaz, dans le petit lit mécanique de Delacro
ur d'un axe transversal, comme dans les lits de Pravaz, dans le petit lit mécanique de Delacroix, dans les diverses sortes
et Darwin (7) songèrent à appliquer l'extension d'Hippocrate sur des lits ; méthode qui se répandit d'abord en Allemagne, pu
n n'a eu que trop souvent l'occasion de constater à une époque où les lits à extension faisaient fureur et où leur applicati
obtient par le seul décubitus. On a beaucoup varié le mécanisme des lits destinés à l'extension permanente du rachis ; je
loi. Il y a trois choses dans ces appareils : 1° leur support ou le lit ; 2° les bandages ou liens'extenseurs appliqués a
eurs appliqués au corps du malade: 3° les puissances extensives. Le lit est construit comme je l'ai dit en parlant de la
l'on fixe sur le sommier ou que l'on fait remonter jusqu'au chevet du lit . Ces liens ont le double inconvénient de comprime
uissances extensives ne sont invariables que clans un petit nombre de lits extenseurs. On préfère généralement se servir de
es de la ceinture à des boucles fixées aux extrémités ou aux bords du lit ; on supprime alors le collier. Les poids ont l'
ple ressort en boudin. On fixe ces ressorts à la tête et au pied du lit ; on fait aboutir à l'un d'eux les courroies du co
, de la décomposition des forces de la pesanteur par l'inclinaison du lit , ainsi que de la résistance produite par le frott
tion est la plus forte; mais, quand le corps a glissé vers le pied du lit , elle devient plus forte du côté de la tête. L'en
et le premier état se reproduit. On a soin de régler l'inclinaison du lit pour que ces variations ne soient pas trop rapide
rte un treuil mu à l'aide d'une manivelle, faisait partie des anciens lits à extension ; elle recevait une corde fixée au re
ur cette position. On habitue le malade par degrés à coucher sur le lit extenseur dans le jour et ensuite la nuit, d'abor
xtensions plus puissantes en s'attirant par les mains vers le haut du lit ; il résulte de ce mouvement une grande tension de
imagina peu après son corps à lige de suspension (2). Les premiers lits à extension, tels que celui de Vene!, n'avaient p
ression. Cé n'est qu'au commencement de ce siècle qu'on imita sur les lits le mécanisme adapté par Levacher à son fauteuil.
les; dans fautre, les pièces d'appareil sont simplement posées sur le lit , mobiles et fixées par des ressorts qui se prêten
bandes de peau ou de cuir mince, de longs ressorts fixés aux bords du lit , telles sont les pièces qui composent ces apparei
enter leur résistance et leur hauteur. Ces pelotes sont fixées sur le lit de manière qu'on puisse les avancer plus ou moins
au moyen de cette large bande de peau douce, solidement fixée sur le lit h une petite distance du corps, et dirigée de man
; ses deux extrémités, ramenées du côté opposé, se fixent au bord du lit et, par l'intermédiaire du bassin, tirent en trav
es par l'épaulette et la bande pelvienne. Les ressorts sont ceux du lit de Heine, de "Wurzbourg, quand les ressorts des p
les place verticalement dans des douilles plates fixées aux bords du lit . Les longues courroies des plaques à pelote simpl
des pressions opposées, analogues à celles que l'on pratique sur les lits , diminuent légèrement les deux courbures, comme v
tentation (2). Ce genre de machines condamne à l'immobilité comme les lits , et il est beaucoup moins supportable; on y a à p
fois, c'est une simple bande de cuir matelassée comme la ceinture des lits à extension, ou un cercle métallique étroit, lége
ressions agissant suivant une double direction, comme les pelotes des lits , il leur faut un point d'appui antérieur, qui leu
astique, des extensions, des pressions et tractions latérales sur les lits , de la force d'inclinaison des ceintures orthopéd
90 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
tat s'étant considérablement aggravé. On a dû la porter jusqu'à son lit car elle ne peut ni marcher, ni se tenir debout
ent inertes, les muscles sont flasques. Il ne peut s'asseoir sur le lit ,ni se coucher sur le côté, sans aide ; toute t
la direction de la ligne médiane. 15. - Il remue facilement sur son lit les deux membres inférieurs ; étendue et force
tension des articulations plus prononcées. Il s'assied seul sur son lit . Réflexes patellaires et achilléens très vifs ; s
e le froid pour la chaleur. Au commencement d'octobre il quitte son lit sans aide, se tient debout pendant quelques minut
en faisant les essais voulus en élevant les extrémités au-dessus du lit . La tonicité de tous les groupes muscu- laires,
am- ment de la droite. La malade cesse de marcher, ne quitte pas le lit ; appari- tion d'une douleur insignifiante en c
; soulevée, elle ne peut être maintenue et la jambe retombe sur le lit ; la malade ne peut accomplir l'abduction de la ja
'exprime facilement. Dans la journée il bavarde avec ses voisins de lit . Il n'a jamais de somno- lence. Il est droitier
es différences dans le nombre des accès. Le tronc s'incline dans le lit en flexion sur les cuisses. Les membres inférieur
s si fortes. Elle se met en décubitus dorsal' et saisit les fers du lit avec les mains. Dans celte position elle obtien
nde malade les contractions sont plus fortes quand la malade est au lit et surtout avant de s'endormir. C'est déjà un fai
- lentes. Les malades finissent généralement par s'immobiliser au lit et meurent en cachexie. Le pronostic est toujou
insi les préoccupations de Phi- lippe : « Il fit porter près de son lit la bière, où devait être déposé son cadavre, or
presque toujours les yeux fixés vers une fenêtre située près de son lit , d'où il voyait l'autel de l'église (2). » En
onnellement dans la chambre de don Carlos et de le coucher dans son lit (1). Philippe, attri- buant par la suite la gué
rès d'elle (2). » Nous devons enfin noter cette réponse typique que lit Marie-Thérèse à Aune d'Autriche, qui lui demand
en italien et, comme il a vécu longtemps en Allemagne, il parle et lit correctement l'allemand. Dans ses loisirs il ve
s de propreté les plus élémentaires, crache sur elle, urine dans le lit , etc. L'attention est facilement attirée mais d
férieurs ; dès qu'on soulève ceux-ci, ils retombent lourdement sur le lit . Dans les membres on ne remarque pas de trouble
serrer avec une certaine force le doigt de l'examinateur. Le malade lit aussi des tentatives pour prononcer quelques mo
fléchi, et la jambe renversée en dehors, le pied s'appuyant sur le lit par son bord externe, tandis que sa face intern
d'une lon- gueur quelque peu démesurée. Lorsqu'il est assis sur son lit , notre sujet parait absolument normal, mais dès
fut atteint d'une affection fébrile qui l'aurait tenu douze mois au lit et sur laquelle on ne peut avoir le moindre rense
rir à terre chez ses parents, grâce à de simples infusions. On ne lui lit aucun lavage uréthral. Il n'y eut aucune compli
llerie, constitutionnel) Lecture à haute voix. - Troublée ; elle ne lit que les mots usuels. Chant. - Troublé : amnésie
gré d'excitation vaso-motrice, qui maintient leur tunique... » Elle lit : « Nous avez, non, avons établi que le ar-tisse
au fusil, dont la championne est une tireuse de premier ordre ». Elle lit : 0... bourg, une des plus déli-cherié dis-trac
est pas cela, mais je ne peux pas dire. Lecture des lettres. - Elle lit bien la plupart des lettres ; pour L, elle dit
e se trompe jamais. Ni aphasie optique, ni cécité psychique. - Elle lit bien l'heure sur une montre. Elle reconnaît le
e fait sa nourriture en débarrassant nos arbres frui- tiers. - Elle lit : L'hirondelle un oiseau voyageur dont le vol rap
e rond correspondant comme point de repère. Lecture mentale. - Elle lit bien les mots suivants écrits les lettres les une
R. NAPOLÉON, MADEMOISELLE, BOULEVARD, ANGLETERRE. Pour BOULET, elle lit BOULA ; le même mot écrit horizontalement est lu
anation faite il fut impossible de constater la moindre lésion : on lit trois ponctions sans obtenir aucun résultat. Auss
elle a lu, et ne comprend pas ou comprend mal le texte, si elle ne le lit pas tout haut, En résumé, progrès très sensib
un... a... hier... tombé... grêle». Lecture à haute voix. La malade lit syllabe par syllabe, détachant bien tontes les
ent ce qu'on lui dit, sitôt que la phrase est un peu longue. On lui lit à haute voix et lentement trois lignes, où il e
d'écrire ? Mon nom... c'est tout. Qu'avez-vous fait ce matin ? -Mon lit ... du lait... midi... bouillon. De combien êtes
ix. Lecture mentale. - Je lui donne à lire : u Ay- mousseux », elle lit » ay pousseuse ». Pour Epernay, elle lit : « é-mé
e : u Ay- mousseux », elle lit » ay pousseuse ». Pour Epernay, elle lit : « é-mé-re- nal. »Elle lit bien : fournisseur
it » ay pousseuse ». Pour Epernay, elle lit : « é-mé-re- nal. »Elle lit bien : fournisseur des hôpitaux de Paris, Au lieu
ôpitaux de Paris, Au lieu de : journal d'un solitaire à Paris, elle lit : journal un solitaire à Paris. Texte : Que veu
e ? Voulez-vous que je chante ! Que puis- je faire pour vous ? Elle lit bien, sauf le mot triste qu'elle prononce trique
i est lu très exactement. La lecture est assez ra- pide ; la malade lit en syllabant et articule comme dans la parole spo
ile parce que sa mère est morte récemment et son père est malade au lit . ' A la maison il restait seul, entouré de chai
pa- résie faciale, précisent davantage. Dans leur observation I, on lit : « Les contractions spasmodiques de l'orbicula
culiers : dans ce cas, malgré ce fait que la malade est confinée au lit depuis de longues années, ii n'existe aucun phé-
annes dans le même but. L'année passée il a été obligé de garder le lit à cause de la faiblesse des jambes qui se dérob
nférieur droit qu'à 5-10 centimètres seulement au-dessus du plan du lit . La répétition du même mouvement provoque la cont
rieurs, engourdissement, de sorte qu'il se voit obligé de garder le lit . Quelques mouvements du membre gauche ont persi
se gauche, survenant par accès, le malade étant obligé de garder le lit pendant les exacerbations. Les douleurs étaient s
troces dans les lianes et les deux jambes re- tiennent le malade au lit . Etat présent. Le malade a un facies altéré, pr
ifficulté de la démarche, et après jours il est obligé de garder le lit . Le 15 décembre, la motilité des mains, et prin
res ; il ne peut pourtant relever les membres inférieurs du plan du lit . Les douleurs spontanées ont disparu presque enti
relever, étant en décubitus dorsal, les jambes au-dessus du plan du lit , mais pas jusqu'à la verticale. Il ne peut pas re
91 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
nerveux ; père, mère et une sœur bien portants. Assez intelligent, il lit et écrit correctement. II est suggestible à l'éta
in, à 7 heures 1/2. — Tu le jures ? — Je le jure ! » Enfin, dans le lit voisin est un enfant de 9 ans, G..., convalescent
e m'a pas dit qui. 11 ne le connaissait pas. » — Je m'approche de son lit et je lui dis : « Voyons, mon ami, il ne faut rie
tion, convaincue de sa réalité, si bien que quand je veux quitter son lit , elle se montra fort inquiète et me dit : « C'est
le conduisis dans sa chambre, le fis immédiatement s'allonger sur son lit et lui intimai l'ordre de s'endormir aussitôt. A
obes oculaires convulsés en bas, les membres inertes en repos sur son lit , ou relevés et fixes dans 1 état cataleptoïde si
prit, et continuait à sentir comme avant, car elle s'agitait dans son lit , et criait avec force à chaque nouvelle douleur.
ne souffrira plus, qu'elle peut dormir... Elle reste étendue sur son lit , la tête reposant sur son oreiller, dans une immo
e se lève, met son jupon, scs pantoufles ; saisit la barre de son lit , comme point d'appui, à chaque douleur qui lui su
délivrance se fait d'elle-même un quart d'heure après. Une fois le lit changé, la toilette de la mère et de l'enfant ter
(il est a Saint-Urbain en 1877, il a neuf ans). Il voudrait sortir du lit , pleure parce qu'il ne peut jouer avec ses petits
ticisme moins farouche. Aussi est-ce avec le plus grand intérêt qu'on lit le chapitre de la suggestion mentale vraie et cel
r Drysdale, médecin en chef du Metropolitan Free Hospital de Londres, lit une communication sur la valeur-nutritive des boi
litaire d'un extérieur très grave, se présentèrent ensemble devant le lit du prince, entièrement vêtus de blanc; le capitai
ternement dans un asile d'aliénés ou que le malade soit mis à plat de lit par l'intoxication alcoolique. Jamais d'hallucina
es ou à faire... Le sommeil ne venait pas, je me suis tourné dans mon lit jusqu'à une heure du matin. » II croit qu'il a rê
lement prononcés qu'on était obligé de le maintenir de force dans son lit . Son affection, qui datait de vingt jours, n'avai
soirs, vers les 10 heures, je l'entendais parler et s'agiter dans son lit . Cette agitation durait 20, 25 minutes. Puis, sil
sme. Effrayé, je cessai l'expérience. J'ordonnai a Anatole d'aller au lit . Il obéit. Le lendemain, il ne se souvenait de ri
répété plusieurs fois ces expériences, j'ordonne à Anatole d'aller au lit . Il obéit aussitôt : mais sa démarche est mal ass
essaye, mais ne peut parler. Enfin, il se déshabille seul, se met au lit et je le quitte en lui suggérant de ne pas parler
t il était allé se coucher et se trouvait très étonné d'être dans son lit , au lieu d'être dans mon cabinet. • Le lendemai
mille francs qu'il vient de trouver enfonce dans un des oreillers du lit de la chambre à coucher Berthe nie connaître et
s ils ont le défaut d'avoir un peu la tournure des faits divers qu'on lit dans les journaux. Une fois c'est un lord anglais
it profondément, sent un troisième petit personnage se remuer dans le lit . Une autre fois, la même chose se passe pour une
Eugénie B. ... demeurant au village avec sa mère, se couche dans son lit . Presque aussitôt se font entendre une série de b
il faut que les bras de l'enfant soient placés sous la couverture du lit et que les personnes présentes en soient distante
tenu à constater moi-même ce fait bizarre : La fillette s'est mise au lit toute habillée, munie encore de bas et de chausso
(ella ne pouvait donc ni gratter ni frapper avec ses pieds le bois de lit ). Immédiatement le phénomène s'est produit. Des c
es grattages, paraissaient être produits contre le panneau de bois du lit qui fait face aux pieds. Si je m'approchais trop
que fois les mêmes coups, les mêmes bruits se sont repercutés dans le lit , observant exactement la même intensité, la même
ambo urine ment des doigts sur une table, s'est fait entendre dans le lit , suivant bien les notes de l'instrument. Durant c
s retentissaient. On a essayé de coucher Eugénie B... dans un autre lit chez d'autres personnes, et même sur le plancher,
ans la chambre de Mme B... On la trouve couchée tout habillée sur son lit ; elle dit qu'elle ne peut pas se tenir debout et
mais pas de morsures de la langue. De 18 à 22 ans, elle n'a uriné au lit que trois ou quatre fois. Est très impressionna
cuisine ou dans les corridors de la maison, et la rapporter dans son lit , d'où elle s'échappait parfois à plusieurs repris
qu'elle lui a faite. Le soir du 28 octobre, la malade sortit de son lit , au moment où elle venait de s'endormir, en ne vo
te la nuit, sans rêves ni cauchemars. Je lui défends de sortir de son lit ; je lui affirme qu'elle aura un très bon réveil e
cré : Polyurie améliorée par suggestion. « 14 décembre: émission de 5 lit . Soo d'urine. 7 janvier : émission de 5 lit. 5oo
4 décembre: émission de 5 lit. Soo d'urine. 7 janvier : émission de 5 lit . 5oo d'urine (?). » Voici encore deux observation
ir bien la ramener, et je rentrai chez moi. Au moment de me mettre au lit , je m'aperçus — un peu tard — que j'avais oublié
erché partout inutilement l'enfant, elle se déshabille et se remet au lit . Au bout de quelque temps, elle entend une voix q
d'heure. Suggestion : Se déshabiller, se coucher et dormir dans son lit jusqu'au lendemain matin. 29 février. — La sugg
dont voici le compte rendu : 26 novembre. — L'enfant, couché sur un lit , est endormi par la fixation du regard dans l'esp
ant le sommeil, on lui fait exécuter une série d'actes : descendre du lit , marcher dans la salle, écrire, remonter dans le
s : descendre du lit, marcher dans la salle, écrire, remonter dans le lit , etc.. ; il exécute tout ponctuellement. Lorsque
92 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
nerveux ; père, mère et une sœur bien portants. Assez intelligent, il lit et écrit correctement. II est suggestible à l'éta
in, à 7 heures 1/2. — Tu le jures ? — Je le jure ! » Enfin, dans le lit voisin est un enfant de 9 ans, G..., convalescent
e m'a pas dit qui. 11 ne le connaissait pas. » — Je m'approche de son lit et je lui dis : « Voyons, mon ami, il ne faut rie
tion, convaincue de sa réalité, si bien que quand je veux quitter son lit , elle se montra fort inquiète et me dit : « C'est
le conduisis dans sa chambre, le fis immédiatement s'allonger sur son lit et lui intimai l'ordre de s'endormir aussitôt. A
obes oculaires convulsés en bas, les membres inertes en repos sur son lit , ou relevés et fixes dans 1 état cataleptoïde si
prit, et continuait à sentir comme avant, car elle s'agitait dans son lit , et criait avec force à chaque nouvelle douleur.
ne souffrira plus, qu'elle peut dormir... Elle reste étendue sur son lit , la tête reposant sur son oreiller, dans une immo
e se lève, met son jupon, scs pantoufles ; saisit la barre de son lit , comme point d'appui, à chaque douleur qui lui su
délivrance se fait d'elle-même un quart d'heure après. Une fois le lit changé, la toilette de la mère et de l'enfant ter
(il est a Saint-Urbain en 1877, il a neuf ans). Il voudrait sortir du lit , pleure parce qu'il ne peut jouer avec ses petits
ticisme moins farouche. Aussi est-ce avec le plus grand intérêt qu'on lit le chapitre de la suggestion mentale vraie et cel
r Drysdale, médecin en chef du Metropolitan Free Hospital de Londres, lit une communication sur la valeur-nutritive des boi
litaire d'un extérieur très grave, se présentèrent ensemble devant le lit du prince, entièrement vêtus de blanc; le capitai
ternement dans un asile d'aliénés ou que le malade soit mis à plat de lit par l'intoxication alcoolique. Jamais d'hallucina
es ou à faire... Le sommeil ne venait pas, je me suis tourné dans mon lit jusqu'à une heure du matin. » II croit qu'il a rê
lement prononcés qu'on était obligé de le maintenir de force dans son lit . Son affection, qui datait de vingt jours, n'avai
soirs, vers les 10 heures, je l'entendais parler et s'agiter dans son lit . Cette agitation durait 20, 25 minutes. Puis, sil
sme. Effrayé, je cessai l'expérience. J'ordonnai a Anatole d'aller au lit . Il obéit. Le lendemain, il ne se souvenait de ri
répété plusieurs fois ces expériences, j'ordonne à Anatole d'aller au lit . Il obéit aussitôt : mais sa démarche est mal ass
essaye, mais ne peut parler. Enfin, il se déshabille seul, se met au lit et je le quitte en lui suggérant de ne pas parler
t il était allé se coucher et se trouvait très étonné d'être dans son lit , au lieu d'être dans mon cabinet. • Le lendemai
mille francs qu'il vient de trouver enfonce dans un des oreillers du lit de la chambre à coucher Berthe nie connaître et
s ils ont le défaut d'avoir un peu la tournure des faits divers qu'on lit dans les journaux. Une fois c'est un lord anglais
it profondément, sent un troisième petit personnage se remuer dans le lit . Une autre fois, la même chose se passe pour une
Eugénie B. ... demeurant au village avec sa mère, se couche dans son lit . Presque aussitôt se font entendre une série de b
il faut que les bras de l'enfant soient placés sous la couverture du lit et que les personnes présentes en soient distante
tenu à constater moi-même ce fait bizarre : La fillette s'est mise au lit toute habillée, munie encore de bas et de chausso
(ella ne pouvait donc ni gratter ni frapper avec ses pieds le bois de lit ). Immédiatement le phénomène s'est produit. Des c
es grattages, paraissaient être produits contre le panneau de bois du lit qui fait face aux pieds. Si je m'approchais trop
que fois les mêmes coups, les mêmes bruits se sont repercutés dans le lit , observant exactement la même intensité, la même
ambo urine ment des doigts sur une table, s'est fait entendre dans le lit , suivant bien les notes de l'instrument. Durant c
s retentissaient. On a essayé de coucher Eugénie B... dans un autre lit chez d'autres personnes, et même sur le plancher,
ans la chambre de Mme B... On la trouve couchée tout habillée sur son lit ; elle dit qu'elle ne peut pas se tenir debout et
mais pas de morsures de la langue. De 18 à 22 ans, elle n'a uriné au lit que trois ou quatre fois. Est très impressionna
cuisine ou dans les corridors de la maison, et la rapporter dans son lit , d'où elle s'échappait parfois à plusieurs repris
qu'elle lui a faite. Le soir du 28 octobre, la malade sortit de son lit , au moment où elle venait de s'endormir, en ne vo
te la nuit, sans rêves ni cauchemars. Je lui défends de sortir de son lit ; je lui affirme qu'elle aura un très bon réveil e
cré : Polyurie améliorée par suggestion. « 14 décembre: émission de 5 lit . Soo d'urine. 7 janvier : émission de 5 lit. 5oo
4 décembre: émission de 5 lit. Soo d'urine. 7 janvier : émission de 5 lit . 5oo d'urine (?). » Voici encore deux observation
ir bien la ramener, et je rentrai chez moi. Au moment de me mettre au lit , je m'aperçus — un peu tard — que j'avais oublié
erché partout inutilement l'enfant, elle se déshabille et se remet au lit . Au bout de quelque temps, elle entend une voix q
d'heure. Suggestion : Se déshabiller, se coucher et dormir dans son lit jusqu'au lendemain matin. 29 février. — La sugg
dont voici le compte rendu : 26 novembre. — L'enfant, couché sur un lit , est endormi par la fixation du regard dans l'esp
ant le sommeil, on lui fait exécuter une série d'actes : descendre du lit , marcher dans la salle, écrire, remonter dans le
s : descendre du lit, marcher dans la salle, écrire, remonter dans le lit , etc.. ; il exécute tout ponctuellement. Lorsque
93 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
alheureux dont l'agitation ne faisait que croître. J'étais au pied du lit ne disant mot et observant, et dans mon esprit na
périeur : mais appliquant ma main sur son front je le retenai sur son lit en lui disant : « Dormez ». Il s'endormait aussit
phobie professionnelle de nature neurasthénique. M. le Dr Valentin lit une observation sur un cas d'hypochondrie consécu
moment de chaque période menstruelle, et était condamnée à garder le lit pendant toute cette période, et même plusieurs jo
femme passait ia moitié do sa vio diurne sur uno chaise longue ou au lit . Elle ne pouvait faire aucun exercice de quelque
r, vous sortirez et ne souffrirez pas ; le soir, vous vous mettrez au lit à 10 heures et vous vous endormirez avec l'idée q
i, elle allait faire une fausse couche. Je lui conseillai le repos au lit . Je dis à la mère de la malade qu'il n'y aurait
ins, je rassurai Mme X... et sa famille, et je conseillai le repos au lit . Trois jours après cette alerte, il n'était plus
cette alerte, il n'était plus question de fausse couche. Le repos au lit , cependant, fut maintenu jusqu'au 30 juin. Pour
u'après chaque rapport, Mme X... devait rester deux ou trois jours au lit . Mme X... passait donc, comme je l'ai dit, la m
s suivantes : « Dormez comme si vous étiez endormi la nuit dans votre lit ; dormez sans être agité, sans rêver; dormez uniq
le ne peut plus marcher. Apres examen, elle est transférée salle 3, lit n° 7, le 16 janvier 1897, dans le service de M. l
es jambes, douleurs exagérées par les mouvements et par la chaleur du lit . Ces douleurs lui donnèrent l'idée de s'examiner,
ugulaires. Motilité. — La malade remue aisément les jambes dans son lit . Il n'y a pas d'atrophie musculaire. Les articula
e lève. Elle marche. Elle va tout d'abord, titubant tant soit peu, au lit voisin, puis s'enhardit, traverse la salle, à con
à la suite de cette première promenade, après quatre mois de repos au lit . ÉTUDES BIOGRAPHIQUES JAMES BRAID : 1son œuvr
la concentration de l'esprit du sujet sur l'opérateur, expliquant par lit , non seulement le rapport, mais aussi le pouvoir
Toulouse ? B. R. — N'est-ce pas dans les Mémoires de Constant qu'on lit que Napoléon se rongeait souvent les ongles, légè
lle a dormi les nuits. Nous lui disons de continuer à rester dans son lit dans la position du sommeil. Il lui sera donné co
nts qu'on lui apportait pendant ces 11 jours ; elle descendait de son lit pour satisfaire ses besûins et pour faire sa toil
n marchant pendant son sommeil. Elle s'attachait une jambe au pied du lit chaque soir. Au bout de treize ans, cette idée fi
t que la continuation du rêve ; ils voient sur le mur, à côté de leur lit ,l'image qui a causéleur crainte et les a réveillé
ne de ses amies..... C'était a peine extraordinaire pour Hoffmann. On lit dans son journal, qu'un soir, à un bal, s'étant a
au courant continu, sans obtenir la moindre amélioration; un repos au lit prolongé, pendant quelque temps, sembla atténuer
ttes à l'insomnie doivent prendre quelque chose avant de se mettre au lit , par exemple, du pain, du lait, des biscuits, etc
te entière, un respectueux hommage à sa mémoire. M. Paul Hartenderg lit une communication sous le titre : « l'hypnotisme
uer le système musculaire par une série d'exercices accomplis dans le lit même. Le patient s'étend d'abord tout de son lo
d'inspirations, la tête qui commence à s'alourdir est reposée sur le lit . Le patient, tout en continuant à se raidir en lo
emain nous nous lèveroïis tard, n'est-ce pas? J'aime tant à rester au lit le matin ! » Voici enfin une expérience dont mo
n, ou liés « dans la chambre avec les fers aux pieds, ou enchaînés au lit ou dans « la chambre delà paille. II les traitera
Lévy, le doute ne fut plus possible. Devant le juge d'instruction, il lit cet aveu étonnant: « Oui, vous étiez pure, « vous
être resté presque ignore dans les pays de langue française. C'est, lit -on dans une brochure à laquelle j'emprunte les re
s. Les autres ne pouvaient exercer sans l'approbation de l'Eglise. On lit en effet à l'article M de l'Edit sur les plaintes
un auteur, il fut reçu cutholiquement, c'est-à-dire partout. » On y lit : « Celui qui possède celte connaissance céleste
. elle écrivit une « Consolation sur la mort d'une huguenote » ou Ton lit : .....« Grand Dieu ! l'amitié Peut émouvoir v
r des terreurs nocturnes ; dans ce cas là, elle se lève droit sur son lit et pousse des cris perçanls. Elle a suriout des t
ervenir à une heure convenue, avant que l'on ait songé à se mettre au lit ; et il ne- serait pas digne qu'un praticien refus
paroles adressées à l'enfant pendant qu'il dort paisiblement dans son lit . 5* En pédagogie courante (et non plus anormale
ivra ¦ aux mortifications de la chair », mettant une planche dans son lit . el portant une ceimure de fer garnie de pointes.
mmeil: en effet, cellç-ci pendant toute la nuit reste étendue sur son lit les yeux ouverts, sans parvenir à s'endormir. Cet
ent la matière. C'était surtout un propagandiste vigilant, « un cœur, lit -on dans son épitaphe, tout occupé de Dieu et féco
à la pénitence et au mépris d'elle-même. « La parfaite mortification, lit -on dans une de ses épitaphcs, a été en elle une q
l. (4) Id. voies de Dieu(i)». « Elle a enfanté en Jésus-Christ, lit -on dans une seconde épitaphe, toutes celles qui d
94 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
ui de rhumatisme. Il éprouva de violentes douleurs et dut garder le lit plus d'un an. Mais la guérison fut complète et
lles persistent pendant une minute à peu près. Le malade est mis au lit , il revient peu à peu sans se rendre compte de ce
institue un traitement bromure anti-épiteptique. Le malade reste au lit , il a des maux de tète très intenses et des verti
urtout pendant la nuit. Il a la sensation qu'on le soulève avec son lit , il croit avoir une barre de fer sous son édredou
t qu'une belle-soeur qui le soigne lui fait des sortilèges, que son lit exécute pendant la nuit des mouvements DEUX CAS
, il a épousé sa soeur; que pendant la nuit, il est soulevé avec le lit et jeté en l'air comme une balle, que pendant l
misères qu'on lui a faites chez lui,comment il a été soulevé avec sou lit ,avec la maison, comment on lui a changé la coul
tant l'infirmière nous dit qu'il est descendu plusieurs fois de son lit , qu'il est allé jusqu'aux lits des autres malad
u'il est descendu plusieurs fois de son lit, qu'il est allé jusqu'aux lits des autres malades et qu'il a été un peu agité.
d'une céphalée violente avec des vomissements bilieux. Il reste au lit pendant deux jours après quoi ces troubles ont
on appartement. Depuis ce soir-là il est tombé de nouveau malade au lit avec des maux de tète intenses, se joignant il
mbaire NOUVELLE ICONOGRAIHl6 Oh LA SALLI : JRILJ2E. ? f ? T. XXV. lit . XIV CONSERVATION DES RÉFLEXES ROTULIENS DANS L
pour lui des diffi- cultés insurmontables. En écriture ordinaire il lit toujours ses propres noms et encore Stockholm,
n mot inconnu, à en trouver l'équivalent verbal et cela bien qu'il. lit , en recopia nt, formé les lettres d'une façon nor
r les animaux et fréquemment il prend des chiens pour compagnons de lit . L'enfant est pensionnaire de huit à quatorze a
l dans sa chambre et il oblige quelqu'un de sa famille à occuper un lit voisin du sien. En même temps son développement
service de notre maître le Professeur Carrieu et est hospitalisé au lit 30 de la salle Combat. C'est pour une poussée s
lleur, entre le 13 dé- cembre 1911 à l'hôpital Tenon, salle Bichat, lit n° 4, pour une pleurésie avec congestion pulmon
l'opérer. Son père a été trouvé sans connaissance un matin dans son lit . Il avait 67 ans et s'était couché bien portant
OUULE, Traité des variations des os de la colonne vertébrale. 1.\ v lit 242 - KLIPPEL ET FEIL en date (1816) l'hypoth
s la direction horizontale, soulever seule un matelas pour faire le lit , tenir ses enfants sur le bras, etc. Par contre
aient jamais, au cours de toutes ces années, vu Caroline quitter le lit de son initiative propre, ni ne l'avaient enten
ne d'années, elle s'était un jour, en sa pré- sence, assise dans le lit , regardant autour d'elle, et lorsque, tout ébahi,
Jésus, aie pitié de moi. » Après quoi elle s'était blottie dans le lit , ramenant les couvertures sur sa tête, selon so
lques gouttes » ; lorsque, à cet effet, la mère l'avait soulevée du lit , elle « s'appuyait un peu sur les pieds » tout en
de ce moment, ce fut le père qui, une fois par semaine, faisait le lit de Caroline et qui, chaque soir, la portait hor
faisait le lit de Caroline et qui, chaque soir, la portait hors du lit pour uriner. Dans les derniers temps, le plus j
ent qu'elle man- geait des bonbons qu'on avait posés sur le bord du lit ; toutefois, jamais tant qu'on l'observait. La
e temps à autre, on avait pu trouver Caroline assise droite dans le lit , le regard éveillé, mais alors elle s'était bru
lui ordonna. « peut-être un peu sévèrement » de se coucher, ce que lit Caroline en demandant à plusieurs reprises : «
it pas observé, à le surprendre en train de s'asseoir droit dans le lit , de se promener dans la pièce, de rire, etc. ; ma
nade par terre, il n'eut que le temps de se jeter en travers de son lit . Au cours de l'année 1892, il commença à « se rév
tion horizontale à la position assise, lorsqu'il est étendu sur son lit , le sujet n'y arrive qu'en s'aidant des membres s
supérieurs, et en arc-boutant fortement la tête et les pieds sur le lit , de manière à faire décrire à son corps un arc
illes par aes cris : on ac- court, on trouve l'enfant assis sur son lit , terrifié, croyant voir des rats et disant les
entendre gratter. Il voyait aussi une tête de mort au-dessus de son lit et « le Diable était là ». On essaie de le calm
der un doigt, tirer la langue, fermer les yeux. Il s'asseoit dans son lit , les jambes pliées légèrement sur les cuisses,
allucinations. « J'étais placé chez les X..., je couchais dans « un lit de fer..., j'ai entendu des rats qui grattaient l
achilléen également. 24. - L'enfant chante par intervalles dans son lit , il s'agite la nuit et se lève sans s'éloigner
Il raconte des hallucinations nocturnes : « Il y a le Diable dans mon lit . « Mon lit ne tient pas. » Et il ajoute : « Fau
s hallucinations nocturnes : « Il y a le Diable dans mon lit. « Mon lit ne tient pas. » Et il ajoute : « Faudrait que je
dans la salle, il a eu peur et s'est dressé sur son séant dans son lit . Il parait cependant plus calme le jour. D. L
histoires de « Barbe-Bleue. Des rats rentraient dans ma bouche. Mon lit craquait. A « ceux qui venaient je leur disais
t il s'agite, chantonne, pousse des cris sourds, se dresse dans son lit en ouvrant démesurément les yeux. 9. - L'enfant
bouche. Le pouls est rapide, dur, serré (120 pulsations). On lui lit ce qu'il a dit dans des examens précédents : « Ça
e de la Vierge et un Christ que l'enfant peut voir très bien de son lit . Dans son délire il voyait remuer ces statuette
s sont désordonnés, il se perd dans la salle, va se coucher dans le lit d'autres malades, gâte sur le plancher et sur les
gauche sont lents et faibles; surtout l'opposition du pouce aux 5e, lit , 3e doigts est difficile, faible et peu étendue
en état de repos, le faire appuyer 408 PASTtNR * du coude sur le lit , le tenir avec la main, etc., puisque en faisant
e asymétrie, aucune déviation du rachis. Le malade s'assied sur son lit très facilement. Etant debout, il peut se pen-
déjà signalée, qui néanmoins n'existerait pas quand il est couché au lit , dans l'état de repos absolu. Du reste, pas de
matelas par les mains et les talons, et se traîne jusqu'au bord du lit ; à ce point elle bascule les jambes au dehors
mps l'assoupissement est si intense qu'elle voudrait être toujours au lit . Elle ressent une grande fatigue. 422 E. MONI
Meige. Soc. de Neurol., 11 juillet 1912, R. Neurol., p. 136-137. lit LAIGNEL-LAVASI'JNE ET V1ARD A Amiens elle est v
95 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
bituel d'infirmité condamne au défaut d'exercice et même au séjour au lit , les os s'atrophient comme tous les autres tissus
ps, la moindre pression extérieure, l'action de se retourner dans son lit , suffisent pour produire de nombreuses fractures.
z laquelle, par le seul fait des mouve-mens qu'elle exerçait dans son lit , il se produisit successivement plusieurs fractur
faits me portent à établir que le défaut d'exercice, le décubitus au lit très longtemps continué, suffisent pour détermine
i des renseignemens que j'ai pris que la malade n'est pas restée au lit . Elle est transférée dans mon service le 9 mai i8
t ankylosés,en sorte que cette malheureuse était condamnée à garderie lit dans un état d'immobilité presque complet et à re
par les mêmes moyens. Amélioration, mais impossibilité de quitter le lit . Le 5 juin, en descendant de son lit, soutenue pa
mais impossibilité de quitter le lit. Le 5 juin, en descendant de son lit , soutenue par deux personnes, elle se luxa la cui
maladie, il est bien difficile de rattacher les symptômes observés au lit du malade, aux lésions constatées après la mort,
nt dans des coliques pendant lesquelles le malade se roulait dans son lit ; en même temps, il se dessinait, à la partie inf
femme un suspensoir qui sera soutenu par des bretelles et le repos au lit long-temps continué pour obtenir une diminution d
sur lui-même à son extrémité inférieure. Lorsque le malade restait au lit , la tumeur se réduisait de 9 pouces à 6; lorsqu'i
plus grande longueur. Aussi le malade s'était-il condamné à garder le lit . On avait fait à plusieurs reprises des efforts i
reprises, mais sans résultat autre que celui qu'obtenait le séjour au lit , c'est-à-dire une diminution de 2 ou 3 pouces de
symptômes tellement analogues à ceux du cancer, qu'on les confond au lit du malade et même souvent sur le cadavre. L'obs
lement analogues à ceux du cancer du même organe, qu'on le confond au lit du malade et même souvent sur le cadavre. Je vais
i cette malheureuse s'était-elle condamnée à garder habituellement le lit . L'examen de l'anus montrait une cavité infundi
du foie, elle est nulle, complètement nulle, et nous aurions beau, au lit du malade, déterminer de la manière la plus posit
velait de temps en temps. Le 2/j. avril, en se palpant l'abdomen au lit , il s'aperçut que le foie dépassait d'un travers
r : il put se soutenir jusqu'au dernier jour pour se transporter d'un lit dans un autre. Les facultés intellectuelles con
inflammation pseudo-membraneuse, qui doit certainement se traduire au lit du malade par des symptômes propres à les faire d
s prédire l'invasion, je puis prédire la cessation de l'épidémie; les lits supplémentaires de ma salle se remplissent et se
este couché sans oppression notable sur le côté sain : il sort de son lit pendant la nuit. Le 5, au matin, peau livide, v
tion toujours très douloureuse, et qui oblige les malades à garder le lit . Ce scorbut aigu des jambes (car les membres prés
ente, dont le malade n'a nullement conscience dans l'état de repos au lit , mais qui s'accompagne d'une oppression très gran
n très grande,pour peu qu'il exécute le plus petit mouvement, soit au lit , soit levé. Très souvent pendant la nuit, et quel
sent les poumons chez les vieillards, surtout après une immobilité au lit pendant plusieurs années : la connaissance de ce
us on moins long; que, pour se soulager, il était obligé de sauter du lit et de pratiquer des frictions sur les membres spa
tement sur deux personnes ou bien en s'accrochant aux colonnes de son lit . Le chatouillement de la plante des pieds, quoiqu
plus léger sentiment d'oppression, lorsqu'il reste immobile dans son lit ; mais le moindre mouvement hors du lit détermine
qu'il reste immobile dans son lit ; mais le moindre mouvement hors du lit détermine des accidens de suffocation. Au lit, la
indre mouvement hors du lit détermine des accidens de suffocation. Au lit , la respiration est aussi régulière, aussi profon
rs malheureux que des notes plus détaillées n'aient pas été prises au lit du malade sur l'ensemble de toutes les fonctions.
istend les veines dont il est pénétré; mais je n'ai jamais observé au lit du malade, de même que je n'ai jamais observé sur
ucoup saigné dans les rhumatismes; aujourd'hui je saigne fort peu. Le lit , la diète, des boissons chaudes et le temps, voil
e céphalalgie plus considérable encore que de coutume, elle gagne son lit de son pied, et à peine couchée tombe dans l'état
eux côtés du corps étaient également affaiblis: condamnée à rester au lit , la malade succomba bientôt à des symptômes adyna
faisait la culbute. Il y a deux ans qu'elle est obligé de garder le lit . Elle n'accuse d'ailleurs aucune céphalalgie, auc
quoi ce désaccord souvent désespérant entre les symptômes observés au lit du malade et les résultats de l'autopsie cadavéri
on. Piri, 6o ans, ancienne garde-malade, ouvrière, était couchée au lit n° 16, salle Saint-Antoine , lorsque, en septembr
res inférieurs, les infirmières sont obligées de se placer au pied du lit et de tirer sur les jambes de toutes leurs forces
jambes étendues avec des draps passés en travers et fixés au bois du lit . La sensibilité est conservée dans les mêmes me
actère de la douleur, c'est un engourdissement ou fourmillement. Au lit , elle meut assez bien les jambes. Levée, elle mar
mémoire, n'ayant pu retrouver les notes détaillées que j'ai prises au lit de la malade. Le vénérable A. Dubois, MM. Moreau
nir avec une bande roulée. Je lui fis sentir l'importance du repos au lit . Trois ou quatre jours après, on me pria d'alle
e jours après, on me pria d'aller voir mademoiselle Gault, retenue au lit par un engourdissement douloureux du membre infér
e appréhende tellement le mouvement, que, lorsqu'on s'approche de son lit ,elle crie de ne pas lui faire de mal, que, lorsqu
hier lui causait delà douleur; que, lorsqu'on touchait le bois de son lit , elle disait que la secousse, assurément bien lég
illance pour s'opposer à ce qu'aucun mouvement ne fût imprimé à son lit ; que le bruit cle la porte de la salle , qu'on f
me, font tressaillir la malade, qui ne veut même pas qu'on touche son lit . Tous les jours cependant on fait son lit ; on la
t même pas qu'on touche son lit. Tous les jours cependant on fait son lit ; on la sonde matin et soir, et les mouvemens que
in et soir, et les mouvemens que nécessite son transport sur un autre lit et le cathétérisme sont excessivement douloureux.
lle pouvait marcher. Au réveil, elle s'est trouvée retournée dans son lit ; mais il lui a été impossible de reprendre sa pos
c'est l'expression dont se sert la malade) et la fait sauter dans son lit . Cette douleur l'obligea une attitude désordonnée
rappelle celle des maladies cérébrales. La malade est assise sur son lit ,la tête inclinée à droite et la face appuyée cont
jours précédens, a toutes les peines du monde à faire le tour de son lit . Emulsion nitrée, douze sangsues. 6 juillet et
cependant on est obligé de faire manger la malade comme un enfant. Au lit , les membres inférieurs se fléchissent et sont to
bres inférieurs se fléchissent et sont toujours placés sur le bord du lit . D'ailleurs, jamais de crampes , jamais de seco
milieu de la rue. Il y a seize ans, elle pouvait faire le tour de son lit ; mais, depuis cette époque, elle est réduite à re
r de son lit; mais, depuis cette époque, elle est réduite à rester au lit ou assise dans son fauteuil. Quelques mois après
yer, 54 ans, brodeuse, à l'hospice depuis 18a5, n'ayant pas quitté le lit depuis le moment de son entrée, a été observée pa
r des (ils; et, lorsque les infirmières transportaient la malade d'un lit dans un autre, il fallait qu'elles lussent bien s
ions auxquelles ils sont destinés. Les membres inférieurs, mobiles au lit , refusent complètement leur service pour la stati
ralysie incomplète du mouvement dans ces mêmes membres inférieurs. Au lit , elle exécute à-peu-près tous les mouvemens de fl
aiguille lui échappe souvent des doigts. Je place une épingle sur son lit ; elle la saisit, elle dit la sentir, mais il est
entes et toujours très douloureuses se manisfestaient spontanément au lit . Il y a cinq mois, qu'obligée de garder le lit, e
taient spontanément au lit. Il y a cinq mois, qu'obligée de garder le lit , elle se décida à entrer à l'Hôtel-Dieu. C'est da
et aussi par suite de manie , s'était condamnée à rester immobile au lit depuis deux ans, était considérée comme paraplégi
t successivement toutes les articulations; ce rhumatisme la retint au lit et dans l'immobilité pendant neuf mois. Elle raco
x reins ; elles sont si vives, que la malade est obligée de garder le lit pendant trois mois, depuis le mois de décembre i8
'une perte complète de connaissance : elle venait de descendre de son lit pour vaquer à un besoin, et c'est dans l'effort q
voir, et elle en usait largement, car il suffisait d'approcher de son lit , de lui ta ter le pouls, de lui adresser quelques
privés de toute espèce de renseignemens sur les symptômes observés au lit du malade. La figure 3' représente la coupe de
et qu'on est obligé ou de le porter sur ses bras ou de le laisser au lit , et pourtant il meut à volonté tous ses membres;
e porte, et que le tronc soit vertical. S'il arrivait qu'on le mît au lit au moment où il paraissait profondément endormi,
. Quelques jours avant son entrée, elle s'était donné, en faisant son lit , un coup violent sur la tumeur, qui se perfora ,
sition exaspère les douleurs : aussi le malade reste-t-il immobile au lit et dans la supination : et lorsqu'il est obligé d
Nouvelle Bibliothèque médicale, i8a5, tome ix, pageioi. bien qu'au lit , dans l'obscurité et le silence. Quand je lui dem
voit mieux, dit-il, de l'œil droit que de l'œil gauche; cependant il lit également bien des deux yeux. Le pouls est extrêm
n'accuse aucune douleur. La malade est souvent occupée à défaire son lit , et on la trouve souvent sans couvertures. Point
ans la position verticale. Aussi bien s'est-elle condamnée à garderie lit , constamment occupée à des ouvrages d'aiguille, p
e était parfaitement bien. Elle passa toute la journée assise sur son lit , occupée à coudre comme de coutume. A quatre heur
lit, occupée à coudre comme de coutume. A quatre heures du soir, elle lit son petit souper, qui consista en des harengs, qu
pal tenait à une indigestion. .Nous prescrivîmes de le mettre dans un lit bien bassiné. Des synapismes furent appliqués, de
c laquelle il avait des relations de société, et qui était retenue au lit depuis neuf jours par une violente colique néphré
rendu une énorme « quantité d'urine purulente : elle trouva dans son lit une quantité assez considérable de graviers blanc
ce sont tout simplement des fragmens de sucre qui sont tombés dans le lit de la malade. XXXVIe LIVRAISON. 2 miriutiori.
un et l'autre mode de terminaison par gangrène peut se reconnaître au lit du malade. Dans le cas de gangrène par couches su
expliquer l'état de l'abdomen. L'exploration la plus attentive ne me lit découvrir aucune lésion appréciable dans les visc
et abcès viscéraux, à la suite de l'accouchement, 11e liv., pl. i, n, lit , p. . — Déchirure du col de l'utérus pendant l'ac
AGES. Examen anatomique des cartilages dans le pied-bot. 2e liv., pl. lit , p. 3. — L'usure des cartilages est une raison d'
érable, suivi de phénomènes de chorée. Guérison. 14e liv., pl. 1, 11, lit , iv, v, p. 3i.— Dangers de l'usage immodéré de l'
s productions cornées. 24e liv., pl. m, p. 6. — Causes. 24e liv., pl. lit , p. y.—Unité ou multiplicité des productions corn
n, p. 5. — Principales espèces de kystes de l'ovaire. 5e liv., pl. lit , p. 4. — Kyste mulliloculaire et gélatiniforme
Cancer du reclum, qui s'est propagé jusqu'à la vessie. 25e liv., pl. lit , p. 5. — Rupture du rectum, produite par le rétré
. 3. URATE. De la sécrétion de l'urate dans la goutte. he liv., pl. lit , p. 5, 6. URETÈRE. Dilatation de l'uretère avec
96 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
s de la nature humaine : « On voit dans le musée antique Sur un lit de marbre sculpté Une statue énigmatique . D'
artie supérieure, ainsi que de l'olécrâne du même côté. Il garda le lit 4 mois, e.t depuis cette époque il boite et se se
l'arti- culation de la banche(élever le membre au-dessus du plan du lit ), du genou, des orteils, etc. Ensuite j'ai exam
ée des types observés. Dans certains cas le malade, en quittant son lit , présente une contraction tonique en extension
après avoir fait asseoir l'individu soit sur le canapé, soit sur le lit ). J'ai pratiqué jusqu'aujourd'hui la compressio
e et erre dans sa chambre en parlant ou bien il reste assis sur son lit et rêve à haute voix. Malgré les efforts que l'
e d'un bicycliste, une autre fois dans la crainte de voir tomber un lit . Revu deux mois plus tard, un an entier après l
it de bois sur lequel sont jetées des tresses de roseau en guise de lit et de matelas. Des corbeilles et des vases suspen
e pendant la nuit; très souvent, s'il est endormi, il urine dans le lit . Il a une soif énorme, buvant avec fréquence de
e gauche. Le malade tombe à droite, même quand il est assis sur son lit . Il tombe surtout quand il se détourne à droite
ment les membres supérieurs à 40 centi- mètres au-dessus du plan du lit , plus facilement à droite qu'à gauche. Aux memb
cilement encore. Le malade arrive à se retourner lentement dans son lit , avec quelque difficulté. Arrive·à faire tous les
Elève très facilement les membres inférieurs au- dessus du plan du lit . 42 juin. Réflexes normaux. Orteils en flexion.
cu- laires molles à la palpation, atrophiés. Pour remonter dans son lit , le malade grimpe plutôt. Mouvements très diffi
utôt. Mouvements très difficiles. Il peut à peine s'asseoir sur son lit et seulement en étant aidé ; debout, le malade
Le malade soulève très difficilement les jambes au-dessus du plan du lit . Il se meut très difficilement, il lui est impo
; mais il ne peut soulever les bras ni les avant-bras au-dessus du lit . Lagophtalmos avec écart de un centimètre sans
. La jambe droite peut se détacher quelque peu du niveau du plan du lit . La gauche se lève difficilement encore. Quel
Le malade peut élever les pieds 15 centimètres au-dessus du plan du lit . Abduction et adduction assez faciles. Peut s'a
4 juin. - Jambe droite s'élève à 32 centimètres au-dessus du plan du lit . , La jambe gauche peut s'élever de 18 centimèt
La jambe gauche peut s'élever de 18 centimètres au-dessus du plan du lit . Les jambes peuvent se maintenir en l'air assez
, plus assurée. 1 : 3. - Peut élever les pieds au-dessus du plan du lit , avec oscillation et tremblement : Réflexe du g
tenir debout. Déplacement difficile des membres infé- rieurs sur le lit . 2 juin. Les mouvements d'abduction et d'adduct
Elévation de la jambe gauche à 32 centimètres au-dessus du plan du lit facilement ; élévation de la jambe droite à xi ce
douleur. Le mouvement d'élévation de la jambe au-dessus du plan du lit est limité et hésitant, surtout à gauche, moins
aideur douloureuse des lombes dans le mouvement de s'asseoir dans son lit . La nuque reste libre. 210 ÉTIENNE Réflexes
halée violente. Le malade, en adynamie profonde, est coulé dans son lit . Urines 1.600 centimètres cubes, louche d'album
. Quand on demande au malade de lever la jambe au-dessus du plan du lit , il n'y arrive pas ; mais quand on soulève les
aucoup moins douloureuse. Lève mieux les pieds au-dessus du plan du lit . , 9 septembre. Le malade ne peut se tenir debo
ervation XI, le malade ne peut élever la jambe au-dessus du plan du lit ; mais quand on soulève les membres, le malade
; parfois au point de rendre intolé- rable le contact des draps du lit . Douleurs osseuses, seules ou combinées aux dou
peut rester couché tranquillement ; il se tourne et retourne dans le lit . Les tout derniers jours, l'agitation du malade
epuis deux ou trois jours il n'a pu se lever, ni être assis sur son lit . Il peut faire les mouve- ments des articulatio
s douleurs très intenses dans les jambes, et il se tourne dans son, lit et se lamente tout haut. Sédation par la morphine
yalins. - 26. - Depuis hier, l'urine et les excréments salissent ie lit . Il a passé les deux derniers jours dans un éta
, des douleurs intenses ont commencé aux jambes. Le malade était au lit et s'est plaint jour et nuit. Pendant 12 jours,
u'en 1914 ; elle y a appris à écrire d'une façon très correcte ; elle lit mainte- nant, se souvient de ce qu'elle a lu et
ulté à répondre quand on lui parle. Est couchée sur le dos dans son lit , la nuque repliée en arrière. Est tout à fait d
même que le foie et la rate, ne présentent rien à signaler. ' SUR LitS HÉMORRAGIES MÉNINGÉES 319 A la reprise de la pr
mbaire, a été observé par une aide, s'efforcant de se lever hors du lit pour saisir un objet. Immédiatement après, il a
is de convulsions soudaines dans les deux bras, est retombé dans le lit sans connaissance, la respiration ronflante. 11
ntre orthopédique. Là, pendant 10 jours, on le laissa étendu snr le lit , avec extension au niveau des jambes, et contre
le tronc. Puis on cessa l'extension, mais on maintint le malade au lit . Vers la fin du mois de juillet, on lui permit de
qu'il n'est pas droit. Jusqu'alors il avait tout le temps gardé le lit , où il restait toujours couché sur le côté à caus
mois. Pendant ces quatre mois, il a gardé presque tout le temps le lit , ne se levant que les dimanches, pendant une he
rphine pendant quatre à cinq jours. On lui a conseillé de garder le lit . II restait couché sur le côté sans pou- voir s
tronc était toujours incurvé. On lui mit alors une planche dans son lit , et on l'obligea de se coucher, le dos étendu sur
t y reconnaître les germes de toutes les maladies ; au besoin, il y lit des prédictions pour l'avenir. Sa spécialité, c
97 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
arie, car pour 1 Il. 11<Uie. - L'l«/slérie il la cOllsultatlU11 ( lit lfurettza central (Pro ? .llécl. 27 juillet 188
hallucinations. 1er septembre. Disparition complète du délire. D... lit tranquil- lemenlle journal j elle n'a qu'un sou
a malade peut soulever le talon à quelques centimètres au-dessus du lit ; on empêche très facilement ce mouvement. La s
t et la malade s'affaisse lourdement. Quand D... est assise sur son lit , la jambe pendante, une légère extension de la ja
800). Mlle l'... se tient indistinctement couchée ou assise sur son lit ou sur une chaise longue. Eu dehors des attaque
e pour faciliter l'imbibition céré- brale, on place l'organe sur un lit d'ouate et on écarte les grandes scissures natu
, longtemps différée, paraissait nécessaire, quand, par le repos au lit , l'application de glace sur la tête, l'administ
et l'histoire de sa formation, le secrétaire, 11f. le Dr Korsakof, lit le compte rendu de la composition et de l'organ
es pas plus que toutes les théories. M. 11F : UOLD. Traitement au lit et cellule. Dans le service des hommes de l'asi
. 145 avec les troubles intellectuels; les autres sont maintenus au lit à cause de leur psychopathie et de ses conséque
pu être mortelles, se dissipent rapidement à la suite du séjour au lit , fûl-il court. Le même traitement est appliqué
x épileptiques en état de mal, aux aliénés malpropres et gâteux; le lit est à la fois un agent thérapeutique, à la fois
est supérieure à l'alitement forcé. Il y a des malades qui, même au lit ne peuvent reposer ni se calmer à cause du bruit
E, doute que, dans les psychopathies chroniques, le trai- tement au lit soit de notable utilité. C'est avant tout une que
il est impossible de toujours l'éviter. M. AMER. Le traitement au lit a un autre avantage, celui de ' montrer aux inf
beus et à Sorau sont merveilleux. M. i<fuELLER. Le traitement au lit a également une grande impor- tance dans la thé
r but de mettre en pleine lumière deux succédanés, le traitement au lit et la réclusion en cellule. (Allg. Zcitsch. f.
nt à la démence et parfois à la paralysie générale. M. A. Carrier lit ensuite un mémoire de M. Régis sur le même suje
t le développement parallèle de la paralysie générale. M. CAMUSET lit un mémoire où il conclut de ses observations à ce
ndé- pendamment de la question de date de ces lésions. M. MORDRET lit ensuite une observation de méningo-encéphalite
it être acceptée, sinon il n'y a plus de responsabilité. M. RouBY lit un mémoire sur la folie de Ravaillac : « Ravailla
1885, tous les épileptiques adultes sont à l'hospice du Perron (40 lits ). Il y a aussi 25 lits pour les femmes épilepti
iques adultes sont à l'hospice du Perron (40 lits). Il y a aussi 25 lits pour les femmes épileptiques. A l'Antiquaille, il
ent dispensés, tandis qu'on leur refusait le bromure. . M. Mairet lit un travail sur la température dans les accès d'ép
. Mairet et de M. Coste, son élève. L'épileptique étant laissé au lit vingt-quaLre heures, on prend la température re
enne loi par les mêmes argu- ments au Congrès de 1878. M. Rebatel lit un voeu proposé au vote du Congrès. Les Membres
Séance du 29 juin 1891. - Présidence DE M. BoUCHEREAU. M. ROUILLARD lit une note sur trois cas de troubles cérébraux co
SESSION DE BRESLAU. Séance du 25 novembre 1889 '. M. CI., NEissER lit l'observation d'un malade qui, après avoir été
puyant sur les plans de l'asile de Leubus, le mode de traitement au lit des aliénés. Visite de cet asile Allg. Zeistch.
'enfoncer les vitres à sa portée; ou bien il brise ses meubles, son lit , la glace de sa chambre; ou encore il va frapper,
ent. En 1888, il eut des hallucinations, prétendit une nuit que son lit brûlait. Vers cette époque, il manifesta une gr
l a des battements violents des membres inférieurs qui ébranlent le lit ; les jambes sont projetées en l'air, puis retom-
, du tronc, projection des membres en l'air, puis il retombe sur le lit . Petits mouvements surplace des membres inférie
le malade a des secousses, 368 RECUEIL DE FAITS. s'agite dans son lit , se couche tantôt d'un côté, tantôt de l'autre.
ayant l'air de cher- cher consciencieusement et défaisant même les lits pour cela. A-` diverses questions qu'on lui pos
t rien. Une fois cependant au moment où il voulait regarder dans le lit d'un ma- lade couché, on le prit par la main po
tout en donnant, grimpant sur les croisées, sautant par-dessus les lits avec une agilité surprenante, au point qu'on du
dans un sommeil léthargique, avec insen- sibilité complète. Mis au lit il eut quatre attaques consécutives semblables
vec mouvements étendus; 4° stertor. A 10 h. et demie placé dans son lit il a une série d'attaques très violentes, toujo
« Je vois clair. » A sept heures du soir, il était couché dans son lit quand subitement il s'est levé, s'est sauvé en
e qu'on n'a pu l'at- teindre tout de suite. On le reconduisit à son lit , et alors il se mit à pleurer et à demander du
t, 16 de profondeur, 13 de large; on y peut mettre commodément deux lits en long. Nous nous servons d'une fenêtre à haut
rent; il se remit à marcher alors qu'il était aupara- vant cloué au lit . Chez un autre atteint d'amaurose et d'inconti-
eaux asiles qu'on construira ne contiennent pas plus de trois cents lits par sexe, d'ailleurs l'hygiène y gagnera en mêm
nsi il est de coutume pour les ouvriers des fermes de préparer leur lit dont la composition est souvent trop insuffisante
lyn, une maison de santé pour les morphinomanes. On y dispose de 12 lits pour ces malades et ceux qui fout abus du chlor
- mentale, par Minet, 440 ; Les aliénés criminels, par Allaman, lit ; - Etude clinique sur la mé- lancolie sénile c
; étiologie du - , par Bernhardt, Oppenheim, 425. Traitement au lit et cellule, par Hebold, 144. Trapèze, lacune
98 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
en bon état, parce que, pendant son évolution, l'aliénée demeure au lit dans une chambre chaude (conservation de la pro
qui exigent une certaine peine et quelque attention. Chaque malade lit celui qu'on lui propose sur une feuille choisie
tals cataleptoïdes et cataleptiques; tel malade refusera d'aller au lit , de se mettre au bain, qui, une fois au lit et da
ade refusera d'aller au lit, de se mettre au bain, qui, une fois au lit et dans le bain, ne voudra plus en sortir), les
t suivantes 2 Id. t. VII, p. 125, t. V, p. 9t. SOCIETES SAVANTES. lit 1 phiée et de là dans la même direction à trave
par exem- ple plus de champ que la flexion. En se tenant au bord du lit , il fera quelques pas et encore la démarche est
de l'asile d'aliénés, un projet selon lequel l'asile comprendra 290 lits de malades. Concours pour une place DE médecin-
se mettait souvent en colère; n'a jamais monté en grade; a pissé au lit jusqu'à dix-huit ans. [Son père, journalier aux c
lligente, n'a marché qu'à trois ans, pas de convulsions, a pissé au lit jusqu'à neuf ans et y pisse encore quelquefois;
ans, et n'a pas été trop tardif à parler. Il a pissé assez tard au lit . 11 n'est jamais allé à l'école, les autres euf
s sont plus froides que la peau du tronc. Le malade, soulevé sur le lit , ne peut s'asseoir, et il éprouve une légère do
iers jours qui suivirent le débarquement, il fut forcé de garder le lit à cause d'un violent mal de tête, qui augmentai
nce véritable (Rumpf). Figures à l'ap- pui. Il ! . Contribution à lit pathologie cérébelleuse. Examen ana- tomique d'
exagéré. Détails sur ses enfants et petits-enlanls : la chaleur du lit et l'exercice, les suda- tions dissipent l'état
de la sensibilité. Au point de vue de l'étiologie, il n'y avait ici lit refroidissement m maladie infectieuse, ni alcoo
uïe, et tendant au suicide; on les évite en maintenant la malade au lit dès le début de l'agitation, et en lui donnant
r que le malade, étant encore chez lui, voyant son enfant tomber du lit , s'est mis sur les pieds, bien que ses jambes f
lier; Ch..., souffrant de vio- lents maux de tête, se débat sur son lit , pleure, va et vient dans la salle ; tout le co
es des pieds. Le 10 novembre, R... commence à marcher auprès de son lit , les jambes toujours courbées; mais il ne march
mbes d'une manière particulière : il appuie ses bras sur le bord du lit , et, après quelques instants d'efforts vi- sibl
ignais toujours de le voir tomber. De même, R... s'asseyait sur son lit , non par degrés, mais d'un seul coup, en sépara
patient peut alors facilement uriner, remuer les jambes dans son lit , même se mettre sur les jambes lorsqu'on le souti
en s'appuyant sur la table, quitter sa chaise et se placer sur son lit ; les tiraillements des jambes se sont affaiblis.
illet, le malade est en état de soulever un peu les jambes dans son lit ; la miction devient plus facile; il y a moins d
blement, se mit tout à coup à agiter les mains et faillit sauter du lit . Le 28 décembre, les sensations de la douleur e
Au mois de février, il fait librement mouvoir ses jambes dans son lit , il peut marcher à côté de sa couche, mais les co
vec une force et une rapidité extraordinaires, se retourne dans son lit , le dos en l'air, prend la position à la vache
dessus et ne la quitte plus des yeux, il se retourne même dans son lit , se soulève, lorsque je la fais sortir exprès d
e le dos en arrière en arc de cercle, se frappe du bassin contre le lit deux ou trois fois, et puis, pendant près de qu
le dos est recourbé en arrière, de sorte que le malade ne touche le lit que par les reins; la tète est telle- ment reje
me d'opisthotonus ou de pleurosthotonus, ou bien le sujet frappe le lit de la tête à plusieurs reprises, etc. En un mot
eine à exécuter quelques pas; que, pour cela, il restait confiné au lit une grande partie de la journée, il 300 CLINIQU
temps assez long, en s'ap- puyant aux barreaux d'une chaise ou d'un lit . Les organes génitaux ne présentent pas de vice
avoir décrit sa courbe normale se continue ensuite presque dans le lit du premier sillon occipital. Le lobule pariétal
endiculaire externe (Sc. p. e) est complète et va se perdre dans le lit de la scissure parallèle. Lobule orbitaire.-La
eint d'une chute du rectum déjà ancienne et il demeurait confiné au lit sur les recommandations de sa mère, sous prétex
t affaissé, reste couché sur le côté droit ou à demi assis dans son lit . Il ne tousse pas, la respiration est un peu gê
e sont ceux de l'idiotie complète. La malade reste couchée dans son lit , grande gâteuse, immobile, dans un état de mutism
mais après un séjour de quelques heures sous îles couvertures du lit . il.. Le corps thyroïde ne peut pas être senti.
oint le plus déclive de l'incision (le malade étant couché dans son lit ). On doit enlever ce tube le jour suivant et la
t de directrice de l'école, elle donne tous les jours des leçons au lit du malade et fait des cours. (The med. Record N.-
99 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
t ou du goût. Aujourd'hui, il lui est impossible de se lever de son lit ; d'ailleurs elle n'éprouve ni douleurs, ni cra
notion de la position de ses jambes qui ne se perdent pas dans son lit . La force musculaire est diminuée dans les membre
flasque. Le membre soulevé retombe lourdement. Le talon posé sur le lit , genou fléchi, glisse de suite inerte. Le pied
jà un peu de force et ' de motilité. Le talon ne glisse plus sur le lit . Il y a quelques mouvements voulus, amélioratio
on lente de la partie blessée sur la moelle. L'histoire des myélopa Lit ies, suites lointaines d'un traumatisme périphéri
les flancs, le ventre, les jambes qui réclament impé- rieusement le lit . Je constate qu'elle est incapable de faire le mo
détente, une écriture brisée et troublée. « Quand l'individu est au lit , les mouvements volontaires sont absolument norma
ans tomber en avant,alors qu'il remuait fort bien ses jambes dans son lit et qu'il semblait avoir conservé toute sa force
Ainsi, spontanément, la malade au .moment où nous approchons de son lit nous déclare : « Je voudrais dire et je ne peux
omplète. On lui fait lire le mot Rouen en caractères imprimés. Elle lit l'R, puis pro- nonce Rou. Roussin. Ou lui mon
1 puis 5. Eh bien combien cela fait-il. - 5 et 1 ça fait 6. Elle lit bien un 9. On lui montre le mot Nouvelles. Elle
0 ? C'est ou. Le même mot est écrit en écriture cursive. Elle le lit incorrectement. On lui montre le mot jeudi en é
eroy qu'elle prononce bien. A l'endroit où est écrit Legendre, elle lit : « Levendre » et ajoute « c'est le nom de mon ma
ent à leur discrétion et à leur sollicitude. Ils pré- paraient leur lit à l'église dans une chambre à cet usage », puis,
ticulations furent atteintes et dès lors la malade n'a plus quitté le lit . A 44 ans elle a été opérée d'un fibromyome uté
dont elle ne peut définir exactement la forme, qui remplissent son lit , la piquent et lui font ressentir un fourmille-
tantôt des hommes, tantôt des femmes qui viennent tout près de son lit , des bêtes se promènent sur et sous son édredon
ait d'elle. Autre détail remarquable : transportée du bain dans son lit , Mlle M... a sou- vent prétendu qu'on ne l'avai
bout, il tombait immédiatement en riant ; pourtant, couché dans son lit , il exécutait tous les mouvements qu'on lui comma
ndant quel- ques années en hiver son rhumatisme l'oblige à tenir le lit pendant de longues semaines. A l'âge de 20 an
urs. La malade ne peut pas soulever les jambes au-dessus du plan du lit ; à plus forte raison, elle ne peut se tenir de
tion. Mais son effet serait ici comparable avec l'effet du repos au lit chez les ataxiques tabétiques ou chez les hémip
de Lasègue. La douleur est continuelle avec paroxysmes, surtout au lit . Ce sont alors des élancements qui partent de l
e courant de mars, il s'affaiblit progressivement et prend dans son lit l'attitude dite en chien de fusil ; les cuisses s
temps et du lieu. Il se perd dans le dortoir, ne peut retrouver son lit ,etc. Il répète des phrases stéréotypées : « tout
ue l'inconscience de la situation ; bien que ne pouvant quitter son lit , Cor... demande à sortir de l'a- sile, se croya
lus de boyaux, plus de gorge ; il est souvent turbulent, défait son lit , cherche à se lever en gémissant. Il devint gât
t les tissus jusqu'au sacrum. Quelque temps après, il prit dans son lit l'attitude dite en chien de fusil. Les cuisses
peine si la malade peut le soulever légèrement au-dessus du plan du lit . Elle ne peut imprimer aucun mouvement à sa jam
XVI). L..., âgée de 32, ans est entrée le 24 août 1901 salle Pinel, lit 24, dans le 248 8 DUPRÉ ET PAGNIEZ service du
re extrême : la malade ne peut que difficilement s'asseoir dans son lit , il lui est impossible de tenir un bras élevé,
élevé, elle n'arrive pas à soulever les jambes au-dessus du plan du lit . Les mouve- ments de la vie journalière (pour m
l; la malade, comme une neurasthénique, est mise au repos absolu au lit , à la sura- limentation et au traitement par la
rre. Si, la malade étant debout, on lui prescrit de monter dans son lit , elle approche une chaise du lit, soulève avec
on lui prescrit de monter dans son lit, elle approche une chaise du lit , soulève avec les deux mains le membre inférieur
amène ainsi le pied sur la chaise. Puis saisissant la corde de son lit , elle se hisse péniblement, de façon à s'asseoi
lit, elle se hisse péniblement, de façon à s'asseoir sur le bord du lit . Elle prend alors successivement ses jambes avec
t cérébrale. En 1892, une forte grippe la retient trois semaines au lit , et c'est quand elle se remet à écrire qn'appar
t en 1892, après une grippe qui retient la malade trois semaines au lit . La première fois où, quoique encore très faibl
e premier jour où, après trois semaines de maladie, elle quitte son lit et veut écrire. HOPITAL BROUSSAIS. SERVICE DE M
e lljerneslcals 13jzzing ved Anencephalia og Misdannelsens rorlzold lit Hjeoneskallens l'rimordialbrusk (Videnslz. Selsk.
t assez peu soucieuse de sa propreté pour faire ses besoins dans le lit , et qu'au début elle semble avoir eu des halluc
générales deux semaines plus tard, le malade est forcé de garder le lit . Le patient prétend que ces douleurs articulair
s se sont pris trois ans après, mais jamais le malade n'a quitté le lit depuis le début de son affection. Chez le cadet
ibles le long de la colonne vertébrale, qui l'ont forcé à garder le lit pendant une se- maine. Puis les douleurs dispar
endant une se- maine. Puis les douleurs disparaissant, il quitte le lit et reprend le tra- vail des champs. Mais deux m
vu comment l'aîné, depuis le début de sa maladie n'a plus quitté le lit ; le cadet,depuis deux mois après le e début do
eurs devenant toujours plus fortes le malade est forcé de garder le lit pendant une semaine, Les douleurs qu'il ressentai
t encore plus terribles au moindre mouvement de l'échine dorsale au lit , et surtout lorsqu'il essayait de rester debout o
versant les côtes et la poitrine. Une semaine après, il a quitté le lit ne ressentant plus rien, les douleurs avaient d
lleur à la maison qu'à l'hôpital, car quoique ne pouvant quitter le lit , il pouvait tout de même exécuter quelques lége
les membres inférieurs étendus. Pour pouvoir, se relever dans son lit et s'asseoir, il doit s'appuyer avec les deux m
son lit et s'asseoir, il doit s'appuyer avec les deux mains sur le lit ; sans cet appui ce serait impossible. Une fois d
nt à la visite. Il lui est impossible de se relever debout dans son lit . Mais si nous couchons le malade sur le parquet
e généralisant dans tout le corps, le malade est forcé de garder le lit . Deux semaines après le début de la maladie, da
esco, avec son frère. 436 NOICA Etat actuel. - Le malade garde le lit et ne peut en descendre, il est ég- lement inca
olume, surtout quand le malade est assis sur une chaise ou dans son lit . Les muscles abdominaux ont disparu entièrement
nveloppement ouaté autour du cou et on conseilla le repos absolu au lit . Le traitement fut suivi sans grande améliorati
ier elle dit avoir fait une chute, an dortoir : elle arrivait à son lit sans aucune précipitation, lorsqu'elle glissa sur
début, et avait institué un traitement général avec repos complet au lit . Mais claudication et surtout déviation de la c
le pouvait à peine se porter. Un médecin ordonna le repos absolu au lit et l'immobilité complète. Il visita l'enfant à pl
té ses jambes à quelques centimètres seulement au-dessus du plan du lit . La pression forte au niveau des os, fémur et tib
esquisses de chute en prenant appui sur les chaises voisines, sur le lit . Puis elle marcha, s'appuyant très fortement su
sur la valeur curative de la ponction lombaire, et repos absolu au lit . On lui persuade qu'elle doit guérir rapidement
in s'assit, regarda quelques secondes autour de lui, sauta à bas du lit , enfila sa culotte, oublia sa béquille et fila
e qui débuta par une diarrhée qui dura trois semaines ; il resta au lit plusieurs jours. Il a eu l'influenza en 1889. E
Le malade ne peut pas se tenir debout; il reste à demi-assis sur son lit les jambes écartées. Incontinence des matières
lade s'étant endormi avec le bras appuyé sur la planche latérale du lit . 29. - Le malade délire et il répond à peine au
entra à l'Hôtel-Dieu dans le service du professeur Boudet où on lui lit de l'extension forcée de ses doigts et de l'élect
32 LAUNOIS ET TRÉMOLIÈRES Dans un autre, rapporté par Reulos (l),on lit que Mme X., née R.,morte à 79 ans, était née av
alades se tiennent courbés en avant lorsqu'ils sont assis dans leur lit » (1). Tout, d'ailleurs, dans notre observation
100 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
s étaient quotidiennes. Elles commençaient quand elle était encore au lit , entre cinq et six heures du matin, pour recommen
ement. Nota. — Dans les troisième et quatrième degrés, le magnétisé lit dans la pensée du magnétiseur et agit, dirigé par
d besoin de sommeil ; ci le soir, B... s'endormait dès qu'il était au lit . Deux heures après environ il se levait, s'habill
major dans la poche de son pantalon déposé sur une chaise prés de son lit . Quatre ou cinq nuits après, &..., qui avait
, se faisait depuis plusieurs mois rouler dans une voiture munie d'un lit et affectait de ne pouvoir se servir de ses jambe
te; et puis on fit semblant d'oublier, à une certaine distance de son lit , mais bien en vue. des gâteaux et un bol de lait.
ns; il est paresseux avec délices et il aime mieux s'ennuyer dans son lit que de descendre en classe. » (1) BaouitoLLX, D
fée sur la tête d'un sujet névropathe endormi tranquillement dans son lit d'un sommeil naturel, on pourrait lui imposer des
se forme aussi facilement des images olfactives et gustatives. S'il lit haut, il entend derrière son oreille, dit-il. une
ère son oreille, dit-il. une voix avant qu'il prononce les mots. S'il lit bas, la voix parle bas. Lui fait-oa penser une ph
les deux autres. Quand il s'endort lui-même, soit le soir dans son lit , soit dans la journée quand il est inoccupé, il a
aut la nuit. Tel s'élance rout à coup avec [des cris perçants hors du lit et, plein d'angoisse, se jette dans les bras de s
ncontinence préexiste, et c'est le malaise résultant de l'humidité du lit qui détermine la crise. Là. l'incontinence est la
en proie à la terreur qui le domine, l'enfant saute en criant hors du lit , que l'on tienne compte de cette loi physiologiqu
ort, sa doctrine n'a pas progressé et elle resta toujours ce qu'il la lit . Deux idée*, deux lois, disert: les initiés, lu
entifiques, s'ingénient donc à mettre « la disposition de l'homme qui lit , non plus de gros traités didactiques, touffus et
mme hystérique qu'il hypnotise en la faisant p'accr simplement sur un lit et en lo{ projetant sur les yeux un faisceau de r
depuis ses premières années. Depuis ? ans, urine involontairement au lit . Intelligence lourde et elle apprend difficilemen
— 18 avril. — W... ^Stanislas), 17 ans. Corps peu développé. Urine au lit depuis sa naissance. Intelligence assez médiocre.
t; des distances considérables. Il semble quels puissance sensorielle lit été portée, chez le somnambule, s un degré tel qu
d'aller, deux heures après son réveil, frapper du poing sa voisine de lit . Sortie de son sommeil, X... n'a gardé aucun souv
souvient de rien, et est fort étonnée de se Trouver habillée sur son lit . Vendredi S. — La malade n'a pas langui. Elle a
s mains pour les remuer. » " Je le fais aussitôt transporter sur un lit , et là, son étonnement et sa satisfaction croissa
sa face externe, et plier la droite à angle droit, en la détachant du lit . « Je suis très content, dit-il spontanément, en
tat inespéré... Jamais je o'étais parvenu à me mouvoir ainsi dans mon lit . » Léo, décembre, le résultat acquis hier s'est
s la journée, il marche en s'aidant simplement du bras d'un voisin de lit . Il continue d'ailleurs à être transporté de jo
des membres inférieurs, et qui ne pouvait mouvoir ses jambes dans son lit qu'en les déplaçant avec les mains comme des corp
bâtiment est entouré d'un grand parc. La clinique contient cinquante lits , ce qui est suttsant pour l'enseignement des mala
des maladies mentales et nerveuses ; cet hôpital contient trois cents lits . L'organisation des cliniques, dans les Facul
mmédiats des signes écrits, comme les muscles phonomoteurs, lorsqu'il lit à haute voix, deviennent les interprètes fidèles
cot, Grancher, Peter, Potain. Tarnier, etc. M. Fissiaux, trésorier, lit le compte rendu des recettes (io.iSo fr.) et des.
au vous endort ! Eh bien ! chaque soir, lorsque vous serez dans votre lit , vous avalerez une gorgée d'eau qui vous endormir
de 3 pas les traits de ma figure et les doigts que je lui montre; il lit également à la distance de 20 cent. Le 9 avril,
à la distance de 8 pas, voit bien tous les objets dans la chambre et lit exactement les caractcrcs ordinaires à la distanc
ières. Après la séance. la malade voit bien a la distance de 4 pas et lit bien à la distance de 45 centim. Le 10 mai, le
ucoup moins de scléroses en plaques sur la table d'amphithéâtre qu'au lit du malade. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE -
n'entendait autoor de lui. Après quelques mouvements d'impatience, il lit >ij;ne qu'il pouvait, écrire. On lui présenta
quait d'énergie. Cependant, quand sa mère lui portait son chocolat au lit ou la priait de se lever, « elle ne voulait pas:
faire les choses suivantes. Au milieu de la nuit, il se levait de son lit et allait dans une maison voisine qui était ruiné
ommeil agité. 2* Vous est-il possible de dormir à deux dans le même lit ? 3° N'éprouvcz-vous aucun malaise quand vous v
divers accidents Je nature hystérique. Elle tut laissée au repos au lit . avec le moins de lumière possible; on lui admini
endre son travail. Autre cas : un homme robuste ne quittait plus le lit depuis deux ans. Chaque fois qu'il essayait de se
e chronique avec déformations des articulations. Le malade gardait le lit depuis des années, les douleurs et le gonflement
/ 187