bien qu'il eût élé assez précoce pour sa dent ilion el sa marche, il
lut
1res en retard pour le langage : â cinq ans il ne
e, t.a famille ne négligea ni les punitions, ni les châtiments ; tout
lut
inutile. Sur le conseil de mon confrère, le mal
u père est remarié; la Iwlle-nière donc écrivit confidentiellement il
lu
liilile. piî rebondit une longue lettreipic nous
ellement il lu liilile. piî rebondit une longue lettreipic nous avons
lue
. où. ipioi que illettrée, celle leinine expose av
verture d'un cadavre comme un sacrilège et qui ne permettait même pas
lu
dissection des animaux ? Le peu de lumière qui
générale 'absences motivées par maladie......----------.....- 2. De
lu
force physique (notos île gymnastique, apparence
n traite volontiers d'inutile ce qu'on ne mimait pas. et l'orgueil de
lu
science est. comme l'a dit Spencer, de l'humilité
s pairs et fera mentir la Itouladc tle Muimret : « I_es gens du monde
lisent
trop de livres de médecine et les médecins pas as
alluvions de tous les systèmes qui ont, périu- diqucnicut. inondé
lu
médecine. Combien de ces systènies n'uni tenu et
Combien de ces systènies n'uni tenu et ne tiennent sur place que par
lu
grandiloquence des expressions ! K» le» ilr-i tou
étaient en état de sommeil hypnotique. » L'auteur n'a. Évidemment,
lu
aucun de mes ouvrages sur l'hypnotisme. En 1880
affaibli la notion du progrès scientifique. Il en était résulté que
lu
pratique de l'hypnotisme était à plein tolérée. L
t donnée en prix à celui «|uï donnerait la preuve du fait «pi'on peut
lire
sans ic secours des yèujf, de [a lumière et de la
tre dix et quinze lettres, connu île lui. Si le mut ou l'ensemble est
lu
. M. Pouehet versera sur l'heure la somme dé mille
e la somme dé mille francs, dont il sera porteur, à la personne ayant
lu
l'écrit. a En cas d'insuccès, vingt-cinq francs
hypnotisme lors de sa fondation. Avant même on.- le premier numéro eu
lût
paru, ilavait accepté d'en être un des collaborat
rai que désormais elle digérerait ce que je lui ferais porter. Je lui
lis
donner ce jour-là une aïte de poulet qui passa pa
, ni même une voix quand je ne m'adressais pas à elle directement. Je
lis
disparaître par le loucher et la pression lesdoul
autres. Je la réveillai pour procéder au déballage: lorsque le genou
lut
mis à nu. il fallut procéder au nettoyage. Il y a
de chez moi. chez elle, et circula dans sa maison, étonnée elle-même «
lu
changement qui S'était Opéré dans ses mouvements.
ce en tant que rêveur. et à ce dernier propos, j'invite ceux qui vont
lire
ce court travail à suivre mou exemple : ils s'ape
ts avec de l'attention accumulée prise, n'importe comment, sur 1 idée
lise
«le reposer : c'est dans les rêves somuambuliqiie
ns démonstration, ne peuvent être acceptées tout d'abord par ceux qui
lisent
ce travail ; mais j'espère qu'à nu-sure qu'ils av
nt concentrer l'attention des sujels qu'il endormait sur un objet île
lu
vision crut «pie le sommeil ainsi produit était n
ce De M. Dumontpallier Le procès-verbal de la séance du 19 juin est
lu
et adopté. La correspondance comprend des lettr
les membres il paver le moulant de leurs Cotisations est l'indice de
lu
grande vitalité de la Société. Le nombre des adhé
présence ici «l'un élut cérébral duran! depuis plus de S ans. Voici «
lu
reste sou histoire. Madame D... est âgée actuel
pitations un jour en traversant avec sou mari un tunnel sur la ligne «
lu
chemin de fer de ceinture. Heureusement le trajet
e monde obéit. Il m a Commandess d'attendre quatre ans. apres quoi il
lue
fera entrer à l'Opéra, ou je surpasserai Nilson
. niédrcn de la Sal|h-trièrr. M. Itoirac. profrsseur «le philusophir «
lu
lyres- Oin-dorcel. M. le IV Kruould. de Liège. M.
lieu le 3. août, à deux heures et deniie au théâtre de Besancon, sous
lu
présidence de M. le professeur Bouchard, de l'Ins
rd'hui classique, de dédoublement de la personnalité. Tout le monde a
lu
cent lois, plus ou moins résumée, l'histoire de l
ace. Les pages qu'il a écritss là-dessus sont îles plus attrayantes a
lire
, cl elles auront."coinnus leurs aînées, le sort l
d'un César romain, le front dénudé. l'oœil brillant d'un feu sombre,
lu
lèvre dédaigneuse, se levait et prenait la parole
lèvre dédaigneuse, se levait et prenait la parole dans su clinique de
lu
Salpétrîère dont il avait su faire le rendez-vous
t nommé médecin du bureau central des hôpitaux ; professeur agrégé de
lu
Faculté de médecine de Paris en 1860, il était, e
a et se dirigée vers son chevalet où elle travailla tout le temps qui
lu
! avait été lixé. Sa mère, chargée par nous «le la
stère! En tout cas, c'est cette dernière interprétation qui me semble
lu
plus acceptable, parce qu'elle est la plus sensée
.e sujet qui est endormi, et par suite isolé, ne peul plus réngir par
lu
pensée, comme lors de la veille, contre les chose
ns jamais attribué tant d'influence. Voilà déjà une action réelle «le
lu
pensée qui nous échappe au moment même où nous no
: la preuve en est que son mari a pu. nombre de fois, sortir du lit.
lu
quitter plusieurs heures de suite et venir si- re
ticipent pas à ces rêves, plus souvent chez eux que chez moi. Loin de
lu
. Je suis porté û croire qu'il doit exister des rê
ins excessif. — Il y a la un état psychique spécial qui pourra tenter
lu
plume de quelqu'un parmi les philosophes qui font
ajoute que nul ne devra entreprendre de comprendre Tolstoï sans avoir
lu
cette œuvre. Habitudes -vicieuses associées che
tendon Ml fallait pour cela que le tendon, tendu par la Contraction,
lut
pour ainsi dire pincé, sautât par exemple d'une a
cher ses armes et prendre des précautions pour qu'un nouveau crime ne
lût
pas commis. Enfin le meurtrier après avoir vend
ou enfant. Il la gale, mais il veut la tuer, il ne voudrait pas qu'il
lu
! arrivât le moindre aeeideut. il serait au désesp
arrivé si un crime eut été commis : M. X... a cédé à l'obsession et a
lue
sa fille. Il est bien certain que cet acte étant
le veulent bien, dit-il. Son père accourt pour le chercher: le lils
lu
borde comme s'il l'avait vu la veille, sans éprou
complète du malade, je dis complète car je ne crois pas. après avoir
lu
celte observation qu'on puisse conclure à irrespo
iminelle où elles seront publiées. Mais les deux faits qu'on vient de
lire
suffiront à amener la conviction dans l'esprit de
e menaçai de giiller d'importance un quidam qui me molestait, et j'en
lis
le geste impératif. Cela s'arrêta la. mais pouvai
s sur des dormeurs somnambules: s'ils (1) Page 86. (2) Page 88.
lisent
ce qui précède, ils devraient bien jeter les veux
être de même dépourvus du pouvoir de faire des elforts de volonté. Je
lis
des expériences dans le but de vérifier cette ind
cier M. A Mère Denis, de Liège, de cet article de loi. Nos lecteurs
liront
avec intérêt la discussion à laquelle celle autor
ser sur le bureau de l'Académie deux exemplaires d'une brochure due à
lu
plume du Dr Brasseur. médecin de l'hôpital de Sch
rnementale ilu charlatanisme. Je vous demande la permission de vous
lire
trois passades qui vous feront apprécier le but q
est cité à différentes reprises. Comme je n'ai pas eu le temps de la
lire
, je fais toutes mes réserves au sujet des observa
actes criminels, c'est par complaisance pour leur hypnotiseur et dans
lu
conviction que les crimes suggérés ne sont que de
le même succès, sans aucune résistance de sa part. Un samedi, je lui
lis
la même suggestion en ajoutant qu'elle ne pourrai
nt qu'il lui était impossible de me faire pari .de cctle histoire. Je
lis
encore diverses tentatives pendant qu'elle était
e l'acte suggéré, mais immédiatement on voit qu'il y a résistance. Si
lu
conduction est totalement annihilée, les idées co
humaines. l/hématophobie est dune essentiellement eu m hic si on ms
lu
laisse pas trop longtemps dominer la scène et env
du coté de la Pomma ou dans le fond de l'Allemagne, dès leur enfance,
lu
misère et la maludic les ont accompagné» partout.
par leur race même, à toutes les manifestations de la névrose, ("est
lu
un point sur letpiel M. le professeur Charcot a f
'est que ce mystérieux voyageur est un malade : ce qui nous frappe en
lut
. c'est précisément le cachet spécial que lui impr
'est écrié : « S'il était des obstacles à l'union tle la France et de
lu
Russie, qu'ils soient brisés de la même façon que
lueb. Le procès-verbal de la séance annuelle du mois de juillet est
lu
et adopté. La correspondance imprimée comprend
e de la part du sujet récepteur et d'influence nerveuse a distance de
lu
part de l'agent transmetteur. Voilà comment j'a
«le temps en temps. Aucun trouble de la vue. de l'oufe, de l'odorat, «
lu
goul, du tact et toucher. Sensibilité cutanée nor
nsidérable amélioration. Il m'a récité deux fables sans arrêter, il a
lu
quinze lignes d'un jounal sans hésiter, j'ai tenu
xprime sa stupéfaction, car elle suppose que je possedr le pouvoir de
lire
ses pensées. L'expérience précédente a été répé
eler, que, lors de l'expérience n'°3 Lucy s'étonna comment je pouvais
lire
sa pensée ; car telle était l'explication que je
ec une grande pureté. L'auteur fit alors l'expérience suivante ; il
lu
! fil chanter les notes de la gamme. Les syllabes
ition de» symptômes morbides est tardive sont très peu fréquents dans
lu
clientèle privée ; ils sont extrêmement rares apr
pinale ne détermine que très rare ni eut des affections organiques de
lu
moelle ou de ses enveloppes, ainsi que le syndrom
able. L'éducation des éplleptiqnes. Dans un mémoire sur ce sujet,
lu
en présence de l'Association des sciences sociale
assaing portait en dernière ligne: Véritable poudre de Méchy: il faut
lire
: Véritable poudre de Vichy. L'Administrateur
e manière de voir soulève la question de savoir quel est le siège île
lu
conscience qui accompagne les sensations et les d
squ'ici, moins l'apparition des crises nerveuses. Cet examen fait, je
lis
immédiatement à la malade l'affirmation de dormir
na d'introduire le fil dans léchas de l'aiguille. Et quand elle eut. -
lu
premier coup, fait ce dont il l'avait défiée, il
U dumontpallier Le procès-verbal de la séance du mois d'octobre esl
lu
et adopté. Les candidatures de M. Basquin, avoc
s, que toute cette histoire de crime n'était qu'une plaisanterie, que
lu
femme n'était qu'un mannequin grossier qu'elle av
ts et crimes par suggestion hvpnotiquc a été renforcée par un mémoire
lu
par le juge Dalley, de New-York, au Congrès de ju
pie, tel que : vibration île l'air, température de l'objet approché •
lu
corps, etc. » Ceci étant posé, voici ce que nou
» Nous n'avons pas fait comme M. Mavroukakis, nous ne disions pas à
lu
malade l'endroit que nous piquions extérieurement
de la sensibilité aussi développé.- que celle de Collette. Si nous
lut
plaçons la figurine de cire en mains, elle ne sen
té exceptionnelle ; au lieu de considérercette extériorisation comme «
lue
à des émanations fluidiques. je crois qu'elle dép
'ai lieu de croire que souvent il a dû discrètement sourire lorsqu'il
lisait
loules les communications de ces dernières années
— M. Magnan : Amphithéâtre de l'Admission, les mardis et vendredis, â
lu
heures. Les leçon» porteront plus particulièremen
sur soi-même sont possibles et en un sens très faciles. L'ingestion «
lu
café, du thé, de la coca, par exemple, fournit fa
s qualités propres que la force ou la faiblesse, qualités génériques «
lu
reste et comportant une certaine variété dans les
-il pas souvent je l'ai fait moi-même plus d'une fois) qu'après avoir
lu
un livre ou un article intéressant, on veuille se
s, qui par leur constance ont mérité la qualification de stigmates de
lu
neurasthénie, il en est d'autres d'une analyse pl
sonne de sa famille et surtout d'une femme, sans crainte qu'on ne put
lire
dans ses yeux qu'il était hanté de désirs sexuels
et me fascine? • Sa phobie est bien caractérisée par la peur qu'on ne
lise
dans ses yeux des sentiments qu'il n'a pas en réa
s fois de guide et au choix du sujet — que notre pensée n'était point
lue
par lui mais devinée par notre action musculaire
ence dont elle a été victime jusqu'au jour où les mouvements du fœtus
lu
! révéleront qu'elle est devenue mëre. Dans l'état
tisme chirurgical. J'en ai assez dit sur ce sujet pour que ceux qui
liront
cet article soient désireux de consulter le livre
française. Cet ouvrage est de ceux que le médecin aura le devoir de
lire
et de méditer. Dr DUMONTPALLIEr, Membre de l'
t d'avoir sous la main el de consulter souvent cet ouvrage agréable à
lire
malgré la sévérité du sujet. L'Administrateur-G
e de M. Dumontpallier. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. La correspondance imprimée comprend
hropologie, de M. le Dr Bouffé, de M. le Dr Potiier, directeur de
lu
maison de santé de Picpus. de M. Vnlenlino, chef
levé pour accomplir la seconde parts de la suggestion lorsque je
lus
Ires étonne en me retour-nant de voir mrs suggest
illon a pensé que ces expériences pouvaient intéresser les membres de
lu
Société d'hvpnologîe et de psychologie; c'est pou
ce de M. DUMONPALLIER. Le procès-verbal de la séance précédente est
lu
et adopté : La correspondance comprend des lettre
dans la Bible. Dans l'évangile selon saint Mathieu, chap. XIII, nous
lisons
: « Il ne fit pas là beaucoup de miracles à cause
ns ils ne s'accordent pas avec l'esprit des chrétien primitifs qui. a
lire
la Bible, était tout autre et expliquait parfaite
ne. Mais il ne faudrait pas croire que le nombre des malades guéris
lut
bien fort. On nous a donné une moyenne de 20 à 30
guerite de Navarre, pour le pansement d'un furoncle mal placé, et que
lu
bibliothèque de Florence possède un livre imprimé
mer. la longueur des campagnes, l'absence de nouvelles, plus il faut
lu
! opposer d'efforts persévérants, » Ailleurs, le d
moi. et prenez tous les autres ! » Un île ses beaux-fils s'avance et
lu
! dit gravement : « Madame, les gendres en sont-il
léproseries plus épouvantables que celles du moven âge. Syphilis. —
Lisez
, dans les œuvres d'Ambroise Paré, un Péan d'autre
e chose joyeuse, comme deviser, jouer des instruments musicaux, aussi
lire
chose plaisante, » Médecine OPÉratoire. — Je ne
tention d'urine. — Pourquoi dît-on. dans la préface de Pantagruel : n
Lisez
ceci â l'aise du corps et au profit des rognons »
oncerne son efficacité permanente pour le traitement de l'ivrognerie,
lu
preuve qui en a été faite en présence de la commi
e de M. Dumontpallier. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. M. le Président met aux voix les can
ques minutes ou n'a pu entendre les paroles de la grande actrice. «
Lu
lousseur continue, irrite mon poulmon et mon gosi
ni qu auparasant. Nous faisons plu» vile : non» nous développons plus
lût
. nous mûrissons plu» file, nous détenons eipert»
se présenter au doctorat un an après avoir obtenu la licence. Pour
lu
licence en droit, la Faculté est d'avis de n'appo
à une manifestation éclatante. M. le professeur Kichel qui présidait
lu
section de psychologie a interrompu les lra\ aux
sénèral, rue de ittioli, 40 bis. Enseignement de l'hypnotisme et de
lu
psychologie physiologique. Institut psycho-phys
ée à Genes. M. le professeur Morselli s'est chargé de la direction de
lu
consultation des maladies nerveuses. L'instal
i, et elle me parlait sans le voir, demandant pourquoi il n'était pas
lu
. Il se leva et sortît sur le palier sans qu'ell
e de M. Dumontpallier. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. La correspondance comprend des lettr
upart «le ses observations, n'hésita-t-il pas à rédiger la préface de
lu
traduction française du traité de la Neurypnologi
restera attaché â plusieurs des découvertes les plus importantes dans
lu
physiologie expérimentale. Observation de Narco
n n pas été de même pour la douche en lame qu'il a bien supportée. On
lut
a conseillé en outre, l'équitation ou le vélocipè
sujet aient été plus heureux que mol. J'ai cru prudent d'y joindre
lu
strychnine et le phosphore en injections sous-cut
nce : la graphomanic, l'aptitudo à grossir les faits,l'inconséquence,
lu
contradiction, etc., nous verrons qu'ils s'appliq
acha, médecin particulier du sultan. A cette occasion, le D' Pardo, n
lu
à la Société de médecine de Constanlinoplc, une n
ication du professeur Stokvis, d'Amsterdam, au Congrès de Rome, sur c
lu
chimie dans ses rapports avec la pharmacothérapie
ses observations et ses impressions... de chemin do fer, poursuivi de
lu
crainte qu'un autre vienne le devancer ; c'est lu
équilibration. La théorie atomique illustrée par Wurtz cl qui a été
lu
source de si grands progrès en chimie n'est plus
te de M. Dumontimllier Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général fait part à
i soigne1 deux nosophobes (un ayant la peur de l'épilcpsic et l'autre
lu
peur de l'ataxie locomotrice), chez lesquels l'au
'un an il est tombé malade d'une grippe suivie d'une bronchite, à
lu
suite de laquelle il a gardé le lit pendant un mo
dant dix minutes sans chanceler, il a même fait treis fois le tour de
lu
salle avec les yeux fermés. Les réflexes rotu
inue considérablement, au contraire, les autres sécrétions, y compris
lu
sécrétion salivaire ; or, chez notre sujet, l'hyp
ins horizontalement. Dormir, comme le font d'ordinaire les Ignorants,
lu
tête tant soit peu élevée est une hérésie. Voic
IIBF.R DIE VURDE UND DEN STANDPÜNCKT DES MAGNETISME IN ONSERE ZE1T
Lu
dani 1« cUim phyiico-nuihémaiique de l'Acadimic r
û écouter les conseils de la famille. Toutes ces réflexions, je les
lis
rapidement et bien d’autres encore ! Mais lo co
ilieu delà nuit, l’aubergiste entend un va- carme épouvantable dans
lu
salle à manger; il descend... que voit-il? Le mar
ce humaine soit l’expérience, que c’est par elle qu’on peut constater
lu
réalité des suppositions, je me suis occupé à pro
iel, de manière à former une espèce de confiture assez ressemblante à
lu
pâte d'abricot et d’un goût qui n’est pas désagré
nous adonnée l’auteur de toutes choses doublait notre courage, et que
lu
vérité devait être la seule déesse de notre culte
avons pardonné quand des hommes, qui pouvaient devenir le flambeau de
lu
science, n’ont répandu sur nous que le sarcasme e
eurs que nous réunirons. D. PlCHARD, Fondateur« tice-président de
lu
Société Pbiljnthropicu-MagnCtologiyue. MANUEL D
rts aux miens; mais des vésicatoiivs ftux cuisses, qu’il pro- posa,
lurent
obstinément repoussés par la malade ; ¡1 ne parai
ation , c’èst à ceux qui voudront s’avancer dans cette connaissance k
lire
d’autres écrits et à chercher des vérités d’un or
st laissé peu de prise au magnétisme ; car l'activité qui existe dans
lu
circulation est un obstacle à vos efforts. Au lie
etc., c’est-à-dire qu’il reçoit les impressions et les modifications (
lu
mouvement, qu’il les transmet, qu’il les transfèr
s et répond très-juste par moment aux questions qu’on lui adresse. Il
lire
sa montre et dit avec le plus grand calme : II es
ter, du sommet de la têle à l’extrémité des pieds, le magnétisme suit
lu
toute ¡¡lie vous lut tracez. 11 s’en va en grande
têle à l’extrémité des pieds, le magnétisme suit lu toute ¡¡lie vous
lut
tracez. 11 s’en va en grande partie, ou plutôt il
ter davantage à la pratique et à l’étude du magnétisme ceux qui. nous
liront
, agrandissons le champ des phénomènes, parlons du
IRURGICALES FAITES SAN8 DOULEUR, DANS UN ÉTAT MAGNÉTIQUE. Rapport
lu
à l’Académie royale de Médecine, le 11 juillet 18
enue Marhœuf, 27,affectée d’une bouleui- insupportable produite par
lu
carie d’une dent, qui l’avait décidée à demander
molaire du côté droit de la mâchoire supérieure, cariée d’un tiers à
lu
partie latérale gauche, bien fixe et bien solide
, sans que le moindre signe, la moindre altération des traits accusât
lu
plus légère souffrance de la part de la patiente.
es. » Puis elle se tut, et ne vit plus rien. Cette fille ne savait ni
lire
ni écrire, et jamais elle n’avait pris connaissan
s des idées d’autrui. Ils fréquentent les assemblées des savants, ils
lisent
les livres des anciens, ils sont en commerce avec
u'il peut, en effet, fixer un objet durant trois heures et demie sans
lu
moindre clignottcment, et affirme qu’en cet état
ne guérison de névralgie lombaire. M. Chrétien, peintre décorateur,
lue
dos Petits-Ilôtels, 5, était depuis cinq à six jo
pport, et sur le genre de traitement à opposer dans ces doux cas. »
Lisez
encore ce qu’ont écrit, sur ce sujet, de Puysé-gu
arié? ai-je des enfants? Voyez ce que j’ai dans ma poche. Pouvez-vous
lire
les yeux fermés? » Et mille autres questions auss
ambulisme, vous pourrez y puiser de grandes lumières, surtout si vous
lisez
avec attention les réponses des somnambules à des
première chose qui me força de remarquer en moi un changement notable
lut
le retour de ces visions auxquelles l’enfance seu
nt de la têle pendant deux mois. Les eaux changèrent de caractère; ce
lurent
maintenant des mers et des océans. Il se fit enco
ler des baisers dofat il me couvrait. D’autres fois le cadavre venait
lire
par-dessus mon épaule le livre que je tenais à la
main leurs têtes horribles, et le l'autre de longs cierges, qui, à
lu
lueur d’un feu rouge et tremblant, jetaient une l
plaidé la cause de l’humanité. Et toi, jeune 011e que j’y ai guérie,
lu
n’as pas sans doute oublié ce bienfait? moi, je m
étranger, et, d’un autre, qu’il est peu de gens qui croient ce qu’ils
lisent
, quand il s’agit de fails de celte nalure, comme
ypographique qu’il est important de corriger. A la page 1G0, ligne 3,
lisez
place au lieu de pièce. Le Propriétaire-Gérant,
ÉBERT. JOURNAL /f' h ViD DU |~ Il magnétisme RÉPONSE IIE M.
LU
MINISTRE DE LISTRIM P11BLI0CB A LA LETTRE DE M.
, p. 301. qui avait deux pouces de longueur sur un demi de largeur,
lut
enlevée lentement, cl le pansement fuit, sans exc
is m’exprimer ainsi, que le premier échelon de l’insensibilité ; mais
lisez
attentivement ce qui suit. M. Ilusson, s’adressan
r. Lc25junvier,donc,on magnétisa la première fois le malade, et il le
lut
presque tous les jours depuis. Lundi 24 mars, l’o
dividus perçoivent à des distances considérables ; d’autres annoncent
lus
personnes qui arrivent, quoique les assistants n
ais pourquoi s'étendre sur ces faits? Ils sout de tous les temps, car
lu
vie ue change pas. l!n violent coup porté sur u
nnent que l’ombre de la vérité, et vous égarent à chaque pas. Mais,
lira-t
-on, pour tenir un (el langage, êtes-vous donc plu
e faire descendre. Lorsque ce manège eut été répété cinq ou six fois,
lu
figure ouvrit les yeux et ferma la bouche volonta
t l’ivoire embellissent ; instrument divin dans la main qui te tient,
lu
charmeras les oreilles un instant ; puis on oubli
ions sur l’importance, des procédés de magnétisation conseillés par
lus
auteurs, et notamment ceux de M. le baron Du Poie
s « travaux de la société que notre collègue s’est cru obligé de « le
lire
en entier. C’est qu’en effet il est à la portée d
mes commissaires ont écrit ; ce serait sans doute très-intéressant à
lire
, plus que cette imparfaite relation. Rapport de m
plus que cette imparfaite relation. Rapport de mes expériences a été
lu
au conseil supérieur de médecine; les conclusions
, qui donne peu aux sens, affine l'esprit et développe singulièrement
lu
propriété magnétique. J’ai observé que le temps
tances graves, le temps ne doit point èlrc mesuré, la prolongation de
lu
\ie dépend souvent des efforts que vous ferez.
orces qu’il pos- série, et ne pas dépenser sans un impérieux besoin
lu
richesse qu’on lui apporte. 11 csi extrêmement
vous l'avez encore à Londres, suspendue au mur de votre cham-b1’®- —
Lu
lame seule date d alors ; le fourreau a été chang
i, le 1!) janvier 1812. au siège (le Ciudad-Ro-i/iigo, eu Espagne, je
lus
blessé à lu lèteel à l'endroit même indiqué par A
vier 1812. au siège (le Ciudad-Ro-i/iigo, eu Espagne, je lus blessé à
lu
lèteel à l'endroit même indiqué par Alexis. Oui
«J’ai reçu de vous une lettre datée du 23 avril, dans laquelle j’ai
lu
avec le plus vif intérêt les détails sur la prise
, notamment le ( our-rier de Lyon el la Tribune lyonnaise, où on peut
lire
en entier cet article, dont voici les principaux
constaté dans cette séance un cas de vue ri dislance. La lucide a pu
lire
le titre d’un feuilleton qui s’imprimait au momen
ceux de ma compagnie, de nous régaler le plus fraiehemenl qu’il nous
lut
possible d’imaginer. Nous bûmes d’une liqueur com
llollillc ennemie qui menaçail ces parages. C’était au mois de juin;
lu
troupe avait à parcourir près de quarante milles
l qui, dans les temps ordinaires, n’en aurait logé que la moitié. Ils
lurent
entassés par terre, sur de la paille, sans couver
âmes tout le jour à Tropea, et, la ville étant pleine de troupe, nous
lûmes
forcés de conserverie même logement; mais nous ne
ENDANT I.’ÊTAT MAGNÉTIQUE. Mémoire sur une amputation de la cuisse,
lu
ù la Société royale de Médecine et de Chirurgie d
que je reçusse journellement un rapport sur son état, ù mon retour je
lus
aussi étonné qu’heureux de le trouver dans une co
e où j’étais que c’était un pur effet de leur imagination. Ceux qui
liront
ce récit ont le droit de se conduire à mon égard
malades et à ceux qui étaient en voie de guérison, se réser- vaut «
lu
magnétiser seulement les plus malades. Le bien qu
n’est devenu somnambule, el qu’aucun médicament n’a élé administré ^ «
lu
magnétisme direct ou par l’intermédiaire de 1 eau
a chasse aux idées, Je Tais il la chasse aui vertus. Lorsque, par
lu
pensée, on sort pour un instant du groupe des par
tit homme rougi■ , tout contre fait, marchant avec une béquille, qui,
lu
nuit, dans un songe, m'est apparu II m'a dit : «T
re , humorale , rhumatismale , affection de ta moelle épinière, mal à
lu
matrice , ver solitaire. Cette nomenclature serai
nspiration. Froid aux pieds. Pouls ordinairement petit. Difficulté de
lire
et de sontenir une conversation, malaise général,
randes charges, et tu reviendras ensuite gouverner cette province, ou
lu
mourras. Tout arriva comme elle l’avait prédit; o
La société décide ensuite qu’on fera cnnnailre la ligure ci-conlre
lu
sceau qu'elle a adopté en rcniplacemeni de celui
on faire? Vous croyez que la science va s’en occuper, l’étudicr? Pas (
lu
tout, les savants ont trop d’esprit. D’ailleurs c
ent vers vous pour témoigner de son souvenir. Dira-t-on que je suis
lu
seul à opérer de telles guérisons, ù faire de si
tant, nous fûmes obligés de la descen- dre, comme on avait descendu
lu
malado, tout d’uno pièce cl roide, de la meltrc a
xpérience. « Sa réponse, qu’il me fit par écrit et que je conserve, «
lut
que les plus dangereuses étaient /'épilepsie, le
’abstraction pour les faire passer dans le monde positif dis faits.
Lu
volonté humaine, colt»; puissance qui a dominé to
ères lettres d’un mol;... pourquoi, vous objecteront-ils , ne peut-il
lire
le mot tout entier? A nos yeux il n’y a rien d’ét
qu’il n’ait pu déc|iilïrer les dernières lettres; mais qu’il ail pu
lire
les premières, vuilàcequi nous semble miraculeux!
omplies, récolter île maigres recettes, ne pas découvrir des trésors,
lire
dans l’avenir le cours de la renie et vous enrich
luiuièris, il me fut impossible de partager scs opinions à l'endroit «
lu
magnétisme. Rien de ce que je lus depuis, ni de c
e partager scs opinions à l'endroit «lu magnétisme. Rien de ce que je
lus
depuis, ni de ce qui me fut rapporté par des gens
rcent de l'arracher au sommeil, soit en lui pinçant la chair, suit en
lu
piquant avec dus épingles ; rien ne peut lu rüvui
pinçant la chair, suit en lu piquant avec dus épingles ; rien ne peut
lu
rüvuillur. Une heure s’écoule, M. Ch... arrive.
peut lu rüvuillur. Une heure s’écoule, M. Ch... arrive. « Eh bien,
lu
dors? dit-il au magnétisé. — Oui, » répond aussit
ses du l’enfant, il lui perce l'oreille avec une longue épingle d'or;
lu
sang coule el l’enfant n’a pas fait le moindre mo
et souviens-toi que je veux qu’ils soient pour toi invisibles, et que
lu
ne puisses les sentir ni les entendre, s'ils le t
e faveur que l’on doit à monseigneur l’archevêque, il avait obtenu de
lire
son discours en assemblée générale. Mais, nous de
lpitant; de son côté, M. (îaulhicr dira, sans doute, ce qu'il 11e lui
lut
pas permis d’exprimer, el le public jugera, lliim
fil do nombreux prosélytes, entre autres le docteur Elliol-son, dont
lu
talent et l’autorité scieiilifit|ues ont donné un
érité. 11 était doux, bienfaisant, humain; trop sévè.e peut-être pour
lu
.-mOine, .1 était len.p i oe tolé.ance pour les
s;.....a- lité d'homme rien de ce qui affeele l’humanité ne devait
lu
. Cire étranger. .Et puis ajoutait-il souvent lui-
t ce qui touche à l’avenir du mesmérisme, a pensé rendre un service à
lu
cause qu'elle soutient en fondantdcs cours perman
imanche 5 octobre, à une heure, el sera continué tous les dimanches à
lu
même heure. Les personnes qui desirenl le suivr
pour un visionnaire, raconta toutes les circonstances qu’on vient de
lire
; mais il eut beau protester qu’il avait vu et ent
agnétisme, sans que son imagination épouvantée ne lui fasse voir le
lire
moqueur de ses confrères, la confiance ébranlée d
ier, qui ne pouvaient se défendre, une réclamation en leur faveur fût
lue
en séance générale à haute el intelligible voix.
iences ont eu un plein succès. On lui présente ensuite des imprimés à
lire
, malgré l’épaisseur de ses bandeaux. Sur l’un il
ici?... Votre confiance vous aurait causé des regrets bien amers, si
lu
Providence n’avait envoyé un pilote expérimenté p
s’opère dans les esprits, lit différents extraits d’un feuilleton de
lu
Presse et de la Gazette de France, articles plein
de les soumettre, eux académiciens, à l’action du magnétisme. Je leur
lis
observer qu’il s’agissait de malades : « Mais nou
pratiquer l’amputation, qui devenait de jour en jour plus imminente.
Lu
malade fut magnétisée par M. Durand, qui comp-
demi. Au jour fixé, à onze heures du matin, mademoiselle D’Albanel
lut
endormie en moins de trois minutes, puis placée s
été de même les jours suivants. Lundi, G octobre, le premier appareil
lut
levé à deux heures, et l’on lit le pansement de l
rar, se présente pour consulter pour un malade qui est à son château.
Lu
somnambule magnétisée sc transporte en esprit aup
é; il y a presque « paralysie delà cuisse, paralysie de la vossie et «
lu
« rectum. 11 faut que je me rende auprès du malad
sa fille qui habitait Paris quelle désirait voir. Sa ligure exprimait
lu
douleur qu'elle éprouvait (le son absence; tout
ma surprise en voyant que dans le sommeil magnétique mon jeune idiot
lisait
couramment, et que pour lire dans son livre ou da
le sommeil magnétique mon jeune idiot lisait couramment, et que pour
lire
dans son livre ou dans un autre il n’était pas né
Tribune tyonnain.) volonlé so porlâl sur une phrase pour l'entendre
lire
ou dire par mon idiot. « Je communiquai ce fail
ins de l’académicien pétrifié. — Celait un livre allemand que l'idiot
lisait
couramment. —Je priai mon savant confrère du voul
porte près de l'cnirée. —Entrez avec moi à droite; qu’y voyez-vous? —
Lue
chambre voûtée (vrai) avec deux lits en fer. (Fau
.irlata-nisme qui envahit chaque jour davantage la pratique de toutes
lus
médecines. Nous portons ombrage à nos adversair
aux yeux do lous les bienfaits de l’art nouveau et lo défendre contre
lus
utlnqucs do l'ignorance et de la mauvaise foi.
gt;'ii que la crainte remplaçait le rire. Ce nouvel état fie l’esprit
lu
magnétiseur venait augmenter le trouble du magnét
pas possible de s'éclairer sans cela. Aussi prié-je tous ceux qui me
liront
de répéter d’abord toutes celles citées au commen
de nu point où tout était permis pour faire rire. Chamfort nous avait
lu
de ses contes insipides et libertins, et les gran
ier titre de sa gloire. Il a donné le ton à son siècle, et s’est fait
lire
dans l’antichambre comme dans le salon. Un des co
quelque temps en silence et les yeux baissés. « Mail dame, avez-vous
lu
le siège île Jérusalem dans Jo-« sèphc? — Oh ! sa
e Jérusalem dans Jo-« sèphc? — Oh ! sans doute; qu'est-ce qui n’a pas
lu
« cela? mais faites comme si je ne l’avais pas lu
'est-ce qui n’a pas lu « cela? mais faites comme si je ne l’avais pas
lu
. — « Eh bien, Madame, pendant cc siège, un homme
e avait eu des sangsues, puis des bains sans aucun Mjulagemonl. Dès
lu
seconde magnétisation, diminu-tion notable des cr
s-pénibles avec l’impossibilité de tourner la tête. Le surlendemain
lu
douleur reparut au front, mais une nouvelle magné
is sont les cas les plus saillants publiés par la Société magnétique.
Lu
général bien détaillées et accompagnées de réflex
G intnt, HÉBERT (de Garuay). ERRAT A. Page 18, ligne 2, produits,
lire
: produites. 160, 3, pièce, place. 281, 30, s
s. 160, 3, pièce, place. 281, 30, sorciers, sourciers. 321, 17,
lire
: I never said il was possible, I only said it wa
I never said il was possible, I only said it was true. 482, 1, ses,
lire
: des. 490, 19, a descendu, est descendue. 50
ne restreint point leurs privilèges. Toutes les sectes religieuses ne
lurent
-elles pas envahissantes, et ne devinrent elles po
st une vérité qui mène à la croyance en Dieu, c’est aussi la santé et
lu
connaissance deux-mêmes dont vous venez leur révé
ux parisien» de 1838. décrit son portrait pliys:que et moral, il on
lire
l’horoscope, pénètre dans son intérieur, cherche
avorton? Sans aucun doute, si M. de Puysé^ur ressuscitait et qn’il
lût
les statuts qui régissent la Société actuelle, il
s les discussions scientifiques, ou quand tu parlais des Jésuites que
lu
voyais partout; car tu les détestais cordialement
is iront te rejoindre un jour; mais je suis certain que 11 im-porteoù
lu
sois, nous ne le retrouverons à côté d’un Jésuite
titre sur la tranche, et enfin si dans ce livre, qu’il le conjure de
lire
exactement pour l’amour de lui, en cas qu’il s’y
t trouvé le livre en question sur la tablette désignée, qu’il y avait
lu
les vers grecs mentionnés ; que ce livre est très
e lettres qui l'aient ignorée. » Cinquième observation ((). Ayant
lu
dans les journaux de Chàlons-sur-Saône qu’une jeu
e ma conviction était fortement ébranlée. J’é- crivis des mots sur «
lu
papier; Prudence les lut sans même tenir la feuil
rtement ébranlée. J’é- crivis des mots sur «lu papier; Prudence les
lut
sans même tenir la feuille dans le sens voulu. Je
tée. 11 a écrit sur une carte le mot Vin. Le magnétiseur, après avoir
lu
à distance, a souillé sur le verre et a prié l'in
e dimanche depuis quatre ans, résultat d’une frayeur. 3° Paralysie «
lu
bras droit sur une fille de vingt-huit ans, duran
aule jusqu’au poignet du même côté, et, dans une ou deux secondes, je
lis
un effort, comme qui arrache un gant: j’enlevai t
dans leur châle , semblaient souffrir de fluxions variées. Les émirs
lisaient
avec une rare patience et un sang froid imperturb
, que d’entendre des malades demander au médecin : a Dois-je me faire
lire
? Ne ferais-je pas bien de me faire lire?» Et j’av
médecin : a Dois-je me faire lire? Ne ferais-je pas bien de me faire
lire
?» Et j’avouerai que, quand la personne malade se
ule et fanatique à l’excès, je n’hésitais pas à répondre : « Fais-toi
lire
promptemeut. » « On ne peut révoquer en doute l
Tu serais bien habile. Eh! comment feras-tu?— Je vais aller me faire
lire
par un des émirs. Demainjeserai guéri, et ce ne s
nveloppée dans un châle, se met en chemin, va trouver l’émir, se fait
lire
, et revient chez lui beaucoup moins souffrant; le
os plaintes sont exagérées, nos paroles acerbes; que ceux-là, dis-je,
lisent
la nouvelle Gazelle de santé du 31 janvier; ils s
forme plaisante, présenté une chose très-sérieuse. Ce qu’on vient de
lire
n’est que trop vrai dans son fond; les médecins n
pour nous montrer sa puissance médica-trice, ses efforts et sa vertu?
Lu
médecine scolaslique sait-elle au moins l’imiter?
on logement, pour cire l’adjoint au sous-inspecteur aux revues. Je le
lis
mettre dans.uu lit, je lui donnai des soins tout
ai prochainement à Paris, monsieur Jean Raymond. je vous prendrai par
lu
main et je vous ferai toucher du doi^t ce que vou
on front portera l’empreinte du souffle de Dieu. Ev. Lesgaugris. (
Lu
suite prochainement.) CLINIQUE MAGNÉTIQUE. Le
s’enquérir de l’authenticité de ce fait, dont le récit qu’on vient de
lire
est parfaitement exact. Nous en reparlerons dans
...Des gens sans instruction, de pauvres villageois sachant à peine
lire
, des femmes de tout âge, et jusqu’à des enfants d
sont des gens sans culture ; quelques-uns d’entre eux n’ont pas même
lu
la Bible; plusieurs sont incapables de s’cnoncer
eur. Si- Lé magnétisme considéré sous le rapport thérapeutique.
Lu
science de Mesmer doit-elle plus tard renverser
lusieurs coquillages symboliques, lui dit : « Tu auras deux femmes,
lu
en répudieras une à grand « tort : ce sera la pre
rant cet in-12 relié » en parchemin et jauni par le temps, regarde et
lis
. « Joséphine lut à haute voix : PRÉDICTIONS D
é » en parchemin et jauni par le temps, regarde et lis. « Joséphine
lut
à haute voix : PRÉDICTIONS DE MAISTRE NOËL OLIV
uit sans fin et meurt. » «Joséphine, surprise de ce qu’elle venait de
lire
, s’arrêta, ferma le livre, et interrogea Napoléon
sans nom d’auteur, mais celle-ci était signée. A la dernière page, on
lisait
en gothique : Finis, et plus bas 15 i2, en chiffr
et plus bas 15 i2, en chiffres du XVIesiècle. « François de Metz la
lut
en entier, mais il n'en comprit pas le sens : il
oici dans mes mains les pages enfumées de l'antique Diosco-ridc! J’ai
lu
d’abord, puis j’ai réfléchi, puis j’ai essayé; et
dans maintes occasions il en a parlé favorablement. Le récit qu’on va
lire
est extrait de la Presse du 14 avril dernier. «
contient un feuilleton sur l’abus des remèdes. C’est une bonne page à
lire
. — Les livres de magnétisme, d’abord prohibés e
martyre un glorieux baptême, Une orageuse mission ; Oui, Mesmer,
lu
savais que la haine et l’injure Te feraient cortè
manifestations, si bien senties et méritées. Nous avons tous souffert
lu
tort de quelques uns qui, par une aveugle obstina
Laporte. „ Paris, le 25 mai 1847. Prédiction de Danton. — On ne
lira
pas sans intérêt lefragment suivant du dernier vo
ne porte qui se ferme, tombait dans des attaques épouvantables. Si on
lu
touchaitaux mains ou au visage, elle n’éprouvait
de voir les affections fuir devant le mesmérisme, et ce n’était guère
lu
peine à M. Trousseau, pour un agent si mince que
e à Poitiers dans l’état anesthésique provoqué par le magnétisme. —
Lu
Revue nouvelle du mois dernier contient un long a
s qu’aucun accès ait reparu. L.-A. Düriecx. Insensibilité. — Nous
lisons
dans le Pliure de la Manche cl dans le Journal de
s données non moins précieuses. N. B. L’expérience dont on vient de
lire
l’exposé, répétée dans notre avant-dernière confé
lle fait, on en aurait promptement des volumes qui seraient curieux à
lire
; car toujours l'application aux personnes est exa
ermets d’être heureux Que quelques instants dans la vie ; Pour nous
lu
n’es pas généreux, Et de te fuir nul n’a l’envi
occupera une large place. Les opinions religieuses de l’auteur feront
lire
son livre par le clergé, en général fort ignorant
ssant une dame qui avait une descente ne matrice considérable, je lui
lis
part de ce que j avais vu à Pau. lillc y alla s
ités, si avantageuses à un prêtre, que le riche et élégant château me
lût
toujours ouvert aussi bien que la pauvre et humbl
ence, l’adopter s’il était bon et le repousser s’il était mauvais, je
lis
les démarches possibles pour me rendre témoin ocu
fit pas attendre longtemps. En effet, comme si M. le professeur eût
lu
dans mon intérieur, il me demanda, dans une de no
mmédiatement dans toutes les parties du corps, jusqu’à l’époque où je
lis
l’heureuse rencontre de M. de Rovère, c’est-à-dir
min pour venir à lui, et l’aborda en marmottant des charmes, lui prit
lu
main, et presque aussitôt lui passa l’autre trans
e des effets analogues qui naissent spontanément. Nous espérons qu’on
lira
avec intérêt l’article suivant que nous emprunton
vérité la plu« sublime se rapetisse au grand jour, et la vérilé la ¡»
lus
simple grandit dans les lénèbres. Les travaux de
guérir suivant les règles acquises dans les Facultés? Evidemment non!
lise
borne à soutenir que le magnétisme guérit. Or, le
devant la Cour. « Les patients furent tenus dans une ignorance abso
lue
de nos intentions ; et, un ou deux jours après, j
ntention. Au bout de quelques minutes, il cessa de me répondre; je le
lis
sortir de la salle et tourner comme un tolon, aya
i mon avis, et je ne puis en donner une plus juste idée à ceux qui ne
lisent
point l’anglais qu’en le comparant à Y Instructio
gnétisme. Il est jusle de dire, en revanche, que j’avais à peu près
lu
lout ce qui avait été écrit sur le magnétisme.
nvrit au hasard, à la page 229.’; «A quelle page voulez-vous que je
lise
? demanda-t-il. _A la page 249, répondit Maquei.
crayon; traça une ligne aux deux .tièrs de la page. • ' « Jc vais
lire
^cetiehanteiir, ajouta-t-ri'. 9» Ii aïolA — Lis
e. • ' « Jc vais lire ^cetiehanteiir, ajouta-t-ri'. 9» Ii aïolA —
Lisez
, lui dit M. ¡Marc.illet. » ' ■‘ Etil lut sans h
a-t-ri'. 9» Ii aïolA — Lisez, lui dit M. ¡Marc.illet. » ' ■‘ Etil
lut
sans hésitation, écrivant les yeux bandé«, les de
inséparables^ transport. » L’impatience fit qu’on ne lui laissa pas
lire
plus loin. Nous lui prîmes le livre dèamainS ; et
aux deux tiers de la page, à la 35. ligne commençant un alinéa, nous
lûmes
exactement les mêmes paroles-que veriait d’écrire
es exactement les mêmes paroles-que veriait d’écrire' Alexis: ilüvait
lu
à travers onze pages. Maqiietfut invité à prend
.enqrm Alexis toucha l’enveloppe. . j iol n > « C’est facile à
lire
, dit-il, car l’écriture. KSt ibelfcj » Alors, pfe
t-il donc sur la téte?Cela ressemble àambàurrelet. — En effet, lui «
lis
-je, c’est une vessie pleine déglacé. — Non, rép
tout. Daiq Nous rentrâmes. iz**. A ,«»¡1 ■>.. -oi'I « Pouvez-vous
lire
ce: que madame vient d’écrire ? lui demandai-je.
quel elle a écrit? — Sur la cheminée ; je le «ois très-bien, il v —“
Lisez
alors.» : ’ i n: ni ftq • - A« bout de quelques
ois. » Il prit an erpyon et écrivit: ioiiuom om li « Impossible k
lire
. » «??ininn On alla chercher le papier. C’étaie
stance, mais a travers deux portes et une muraille. « Pourriez-vous
lire
l’une des lettres qui se trouvent dans la poche d
'est de M. l’abbé Lamennais. —Oui. — « Voulez-vous que je vous en
lise
quelque chose? j — Oui, lis-nous la première li
—Oui. — « Voulez-vous que je vous en lise quelque chose? j — Oui,
lis
-nous la première ligne. . Presque sans hésitati
Oui, lis-nous la première ligne. . Presque sans hésitation, Alexis
lut
«J’aireçii, mon U'ès-chsr aipi,;. » On ouvrit
on, dit Esquiros, vous vous trompez;.: 1 n fi — Ah! par exemple. Je
lis
Esquiros. Tenez,4énëa, et il me montrait le papie
xemple. Je lis Esquiros. Tenez,4énëa, et il me montrait le papier, ne
lisez
-vous pas là,,lày Esquiros? » .•¡•ni »: 'iMiiüoqml
pas là,,lày Esquiros? » .•¡•ni »: 'iMiiüoqml » « Je ne pouvais pas
lire
, le papier était lermé^i;*-. K) -■m .Ouvrez le
ais pas lire, le papier était lermé^i;*-. K) -■m .Ouvrez le papier,
lut
dis-je,! et voy«na. » iuj> " Il ouvrit le pa
de ses angles. Esquiros avait oublié le contre-seing. Alexis l’avait
lu
. Comme ou le voit, la lucidité était arrivée au
Ah! c’est singulier, dit-il. Je vois des lettres, mais * ne puis pas
lire
. L’objet vient d’outre-mer ; cela a la forme d’uu
deviner. » C’était un Nishan ; ces lettres qu’Alexis ne pouvait pas
lire
, c'était la signature du bey de Tunis. L’objet,
. ..1 En avril 1843, M. Dèglos, imprimeur lithographe, demeurant dans
lu
même maison que cette dame, fut atteint à la ja
dont le traitement fut. sans succès. Bientôt la gangrène survint. Il
lut
voir les dames de Saint-Thomas de la rue de Sèvre
sait sa plaie, madame W‘** venant à entrer, fut frappée, de l’aspect «
lu
mal et de la tristesse du malade, encore sous l'i
et divers autres documents y relatifs, que M. le gouverneur a tous
lus
avec beaucoup d’iutérôt et d'attention. Sa Seig
bouffonner le magnétisme, sans autre raison que celle de n’avoir rien
lu
en faveur du mesmérisme dans les ouvrages philoso
nt, sans qu’ils en soient condamnés par l’Eglise. Voici ce que nous
lisons
à cet égard dans un auteur très-remarquableparson
’huissier, au moins, lui donne la qualification de Monsieur. {Note de
lu
rédaction.) j cellule, j’ai communiqué aux mala
le magnétisme un puissant auxiliaire à leur art?.... Hâtons-nous de «
lire
que nous eu connaissons plusieurs |ui ne dédaigne
’autres malades. » CONFÉRENCES DOMINICALES. Magie. Si vous avez
lu
les Ecritures; si vous avez médité sur l’histoire
sur toute la nature, car Dieu a dit à l’homme : « Tu es mon lils et
lu
participeras de mes œuvres. Tu « pourras tout sou
pable! car c’est l’hnmanilé qu’on exploite avec des mots, continueras
lu
de régner parmi nous et faudra-t-il que la vérité
hain numéro.) Errala. — Page 178, ligne 3, au lieu de saint suaire,
lisez
sanctuaire. — Môme page, ligne 22, au lieu de Red
int suaire, lisez sanctuaire. — Môme page, ligne 22, au lieu de Rede,
lisez
Judc. ATHÉNÉE MAGNÉTIQUE DE LYON. L’académie
us offrons au* lecteurs Y Ode suivante à Mesmer, par M. C.-F. Devert,
lue
dans la séance du 4 août dernier. ODE A MESMER.
ion que vous m’accordiez. Depuis que je me connais, depuis queje sais
lire
et écrire, tout ce qui m’arrivait de surnaturel,
enfermé dans cette ville d'imagination, je marchais dans ses rues, je
lisais
les enseignes de ses boutiques... Eh bien ! lorsq
rt, me rattacha mon madra9, me remit les bras dans mon lit, puis elle
lira
de son sac une lettre de mon père, qu’elle décach
tre de mon père, qu’elle décacheta et tint devant mes yeux, et que je
lus
ainsi sans me déranger ni me découvrir. Ensuite j
e mes nouvelles. — La lettre était mol pour mot celle que j’avais cru
lire
et que j’avais redite de mémoire à mes amis.—Nous
ux à la muraille : la grande silhouette marchais encore. Dix fois, je
lis
le même mouvement de tète, du chemin au mur et du
gibu, partant plus de plum-pudding... L’hiver dernier, je venais de
lire
, chez mes cousines anglaises quelques scènes de m
parler de magnétisme. Un article, parM. Alexandre Dumas, qu’il avait
lu
quelques jours auparavant dans unjournal, l’avait
0 «rpleinlire I8i7. Errata. — Page ¿31, ligne 1(i, au lieu de iftu,
lise
/, sed : et ligne 18, au lieu de Scoperunt, lisez
1(i, au lieu de iftu, lise/, sed : et ligne 18, au lieu de Scoperunt,
lisez
pofucrunt. Documents sur Mesmer. L’appel fait
t, pour pénétrer quelques intelligences supérieures. 0 science, que
lu
es belle ¡avec toi, l’on pénètre l’immensité, l’o
orps matériels ; le physicien dans l’air puiser la foudre; est-ce que
lu
l’y apercevais? elle y était pour tanl. Dans celt
pareilles; et pour nous engager à le faire comme on le doit, il nous
lut
les conseils aux magnétiseurs qui se trouvent dan
voir que l’on ne peut pas être magnétisé si l’on ne dort pas, d’où il
lira
la conséquence que le somnambulisme n’est qu’un d
de Davis, m’a avoué que son langage est le plus beau qu’il ait jamais
lu
ou entendu de sa vie. « Davis, dit-» il, est sans
vient de mander l’abbé Paramelle, pour explorer le sol de Paris. —
Lue
lettre de Sainte-Hélène nous apprend que M. La-ca
pose sur un langage de convention. ■le»ne des Journaux. — L’Echo de
lu
Charente, du 27 octobre, reproduit notre miroir m
les feuilles de délibération seront déposées au bureau. Le secrétaire
lira
les nouveaux motifs publiquement afin d’en instru
s fléchissent; la mâchoire inférieure exécute des mouvements sans que
lu
voix se fasse en'.endre, bien que tout indique qu
santé parfaite. Elle n’avail point assisté à la scène qu’on vient de
lire
: elle en ignorait les résultats. C’élait en plei
r lui vouer un tel culle, une telle adoration. — Ecoulez, ou plutôt
lisez
, el vous admirerez. » Samedi dernier, je chemin
é, l’autre un verre d’eau sucrée. — Elle m’a dit le numéro que j’ai
lire
à la conscription, dit l’un. — Elle m’a précisé
iseur, ceci ne peut se démontrer ! » Kl môme, si I ou réfléchiI que
lu
patient peut se soustraire aux effets des pratiqu
gnétique, ait la faculté de voir à travers les murs d’une chambre, de
lire
un billet enfermé dans une cassette, de savoir ce
assette, de savoir ce qui se passe à plusieurs milles de distance, de
lire
dans l’intérieur des autres les maux dont ils son
étranges et prodigieuses. » — Si l’auleur de cet article avait plus
lu
et surtout plus vu, il n’eût point commis les err
iès-réèl. Il est déplorable devoir ainsi semer l’erreur à la place de
lu
vérité; mais comment rectifier lout à coup les id
et souvent même au mépris. Pauvre magnétiseur! qu’as-tu donc fait?
lu
t’étonnes de ton impuissance, el parce que lu éta
ur! qu’as-tu donc fait? lu t’étonnes de ton impuissance, el parce que
lu
étais pressé de produire, afin de cueillir celte
âcheux méfait, tan-TOMF. Y. — Xo S®. — 10 DÉCEMBRE 1847. 11 dis que
lu
ne devrais en accuser que la propre impalienceet
opre impalienceet la légèreté, ion manque de foi el de persévérance ;
lu
as commencé ion œuvre sans l'être assez recueilli
ssanle ta volonté irritée par la résislance ; oublie l'adversaire que
lu
voulais vaincre, pour ne voir qu un ami à éclaire
ulais vaincre, pour ne voir qu un ami à éclairer, et du bien à faire;
lu
voulais remporter un triomphe, sans avoir préparé
quoi t’élonner de ce mécompte, il faudrait plutôt s’étonner de ce que
lu
ne l’avais pas prévu. — On le raille, — mais lu
s’étonner de ce que lu ne l’avais pas prévu. — On le raille, — mais
lu
t’excuses en disant qu'il y a des natures rebelle
nt. Mais quelque clarté que j’apporte, toi qui as le cœur corrompu,
lu
ne comprendras point mon enseignement : ton âme n
l’a jamais parlé que pour t’appeler à des convoitises charnelles, et
lu
as satisfait à ces désirs grossiers. Va! il est d
livre, car il ne le dira rien ; ma parole sera pour loi sans portée,
lu
ne sentiras aucune vibration dans les chairs; cro
vibration dans les chairs; crois-le, ce serait pour loi un malheur si
lu
apercevais la vérilé, car elle le deviendrait fal
rcevais la vérilé, car elle le deviendrait falalc. El loi, médecin,
lu
devrais connailtc les ressorts secrets de lout Io
l’élude de lout ce qui esl occulte, sans songer que les plantes dont
lu
te sers ont loules une vertu cachée, sans songer
songer encore que la plupart des maladies viennenl de celle âme dont
lu
nies l’existence ; car Ion scalpel ne l’a poinl r
re pour loi n’csl qu’une œuvre morie ; el loi-même, loui en marchant,
lu
parais sans vie; dans la personne comme dans les
scours rien ne paraît sacré ; ion sacerdoce esl devenu un inélier, el
lu
l’exerces d’une manière vénale. Des hommes profon
lu l’exerces d’une manière vénale. Des hommes profonds de l’antiquité
lu
as usurpé les lilrcs; va donc sans nous, nous ne
pprendre du coeur humain. Ici il parle à tous les yeux ; nous pouvons
lire
dans tous ses replis. Attendez, lecteurs, ceux
été élevé avec une sœur qui s’est mariée à un peintre nommé Haensel.
Lu
¡-môme a épousé, il y a dix ans, la fille d’un sé
ton ûme prenne son vol vers des régions plus douces! Oh! sans doute,
lu
voudias rester près de ton infortunée compagne qu
es vont s'engloutir dans un vaste océan; mais Dieu distingue ceux qui
lurent
justes et bons, qui travaillèrent à éclairer leur
ques; elle finit en m’assurant qu’au bout de quinze jours je pourrais
lire
quelques lignes. Celle assurance me donna bon e
’avais sur la vue se dissipait légèrement. Le quatorzième jour je pus
lire
l’adresse d’une lellre, et au bout de vingt-cinq
je pus lire l’adresse d’une lellre, et au bout de vingt-cinq jours je
lisais
quelques lignes. Les yeox n’étaient presque plus
matière un accord unanime sur I espèce d a- (t ) L’article qu'on va
lire
esl extrait d'une thèse soutenue devant la sociét
c lui. (Jne jeune fdle donl toute l'instruction se bornait à savoir
lire
son missel, me disait pendant son sommeil magnéti
tée, dont le résultat final esl presque toujours le rétablissement de
lu
santé. Ce qui semble prouver, du reste, que ce
-peu de magnétistes les les étudient, beaucoup môme ne les ont jamais
lus
. Pourtant ils contiennent des vues, des principes
encore venu. En attendant ce moment opportun, il nous a paru qu’on ne
lirait
pas sans profil ni plaisir l’analyse suivante que
tiges d’une imagination exaltée. La faculté qu’ont les somnambules de
lire
dans le passé et dans l’avenir , s’explique par l
ens qui est absolument neuve el très-ingénieuse. Les gens du monde la
liront
avec plaisir ; ceux qui s’occupent des sciences n
liront avec plaisir ; ceux qui s’occupent des sciences naturelles la
liront
avec intérêt el avec fruit. TABLE DES MATIÈRES.
rgondage d’opinions, qu’un amas de systèmes où le matérialisme a la j)
lus
large place. Allez donc jusqu'au bout, savinits d
t une telle révolution, quojVn eus presque des vertiges. pQuoil me «
lis
-je alors, me serais-je donc trompé? le plicénçilo
erait-il qu’une cliimóre? ciir enfin, par ma seule volonté, j’obtiens
lu
môuie résultat que si j’agissais surl’ovsane voul
qui avait aussi la précaution de lui fixer la tête, l’expérimentateur
lira
, avec un fragment de blanc d’Espagne, à partir de
pond pas, parce qu’il ne vous écoule el ne vous comprend pas ; ne lui
lisez
rien, ne lui moiUrez rien, ne lui donnez surtout
ne lui lisez rien, ne lui moiUrez rien, ne lui donnez surtout rien à
lire
, c'est peine perdue. Ces hypnotisés à divers de
le récit que donne M. Macario, et voyons si les conséquences qu'il en
lire
sont fondées. Les gens du village, nous dit-on
mmunication qui a été faite à l'Académie sur l’Lypno-tisme.No«s avons
lu
entre au très,dans le journal de Touloxidc, d'exc
cM»-natl l’ioeiûcacité de ses reuièdes, c'est celui-ci : la nature...
lu
nature fera sans doute ce ifue nous riuvon» ptu p
nous coin ment s'opèrent le mouvement de la systole et de la diastole
lu
ctrur, la couiraction de l’estomac pour broyer le
MONSIEIR A. MAURY, MEMBRE DE l’iXSTITüT . Monsieur, Je viens île
lire
à l’instan t, dans la fíevue des Deux-Mandet, un
mpte pour qu'il pût rectifier ses erreurs. J ai dans uu autre temps
lu
l'Académie des sciences, un petit mémoire dont la
un lauréat écrivait contre la lumière du jour, vous amuseriez-vous à
lire
son ouvrage et à en discuter le mérite 7 Croyez
siur. franklin, Jussieu et bcniicoiii) 1‘a'>tres savants illustres
lurent
cliargés tic celte mission. Vous omiiaisseî, Al
Cinonl qu’ils portèrent sur le njagnétisme ; ils tixaminèrenl d’abonl
lu
Hystèine d« Mesmer dans tous ses points; ils roco
lanio, ennuyée U’atlendie sans doute, s'ôtaiu alors mise au piano, me
lira
tout à coup i!c l'i^tat presque fébrile ilaiis le
urer. Une féis r^ise de son trouble, elle m’appela auprès d’elle et
lue
iit de sanglants reproches de l’avoir contrainte
qui s’était grièvement blessée au genou ! Je laisse à penser quelle
lut
la stupéfaction de toute lacoin-IKkgtile 1 Je d
bgpective oü de la prévision. En un mot, èst-il plas étonnant de vôlr
lire
dans l’avenir qiiè daiiè le Jiàifsé ? Si nous p
que noüs décident. Charles Péreyba. CORRESPONDANCE. Briixclk's,
lu
ti r¿vi'ici' ISQCi. A M, I.E BARON Dü Potet.
liôrapeutiques, soit nio-« raux,., » Et. en effet, M. Pliilips nous a
lu
(¡udqucs extraits de son livre, constatant, p.ir
ai physico-mathemalicw (1 vol. in-û, publié en un con- temporain (
lu
savant jésuite , Daniel Schwentcr, (le Nuremberg.
elle entend des voix qui l’empêchent de dormir et lui commandent d6-
lire
. Elle croit que ce sont des démons, et pour leur
s, et pour leur obéir, elle passe une partie des jours et des nuits à
lire
le même livre. Douleurs au crenx de l’estomac, pe
du. Le magnétisme est le grand livre de la nature, nous apprenons à y
lire
, et nous vous dirons nos pensées. La forme peu sé
la daine Gi ison et l’a fait condamner, non pour exercice illégal de
lu
médecine, non pas pour consultationa dans l’état
BS DIVERS BAPPORTS ACADÉMIQUES SUB LE MAGNÉTISME. Messieurs, J'ai
lu
avec une grande attention le volume des Mémoires
ises salutaires n’avaient pieo de seoiblable aux crises produites par
lus
raouveraotits de la boule, elles amenaient toujou
nambulisme, bien que je me crusse fort savant ^ofs, parce que j’arais
lu
une fois mon manuel. Je reconnais aujourd’hui que
ari, qui la magné-lisait le matin, nous eûmes la satisfaction de voir
lu
malade vaquer à ses uffaices : la taille s'était
par lo sujet inèn‘e, en assurant les personnes qui voudront bien nous
lire
attentivement, que la vérité seule est le but con
11 Jonc aloi's que lo inëitiu objet, présenté devant une autre partie
lu
corps, devient invisible? 9“ Comment se fait-il
quelque chose à sa rôalîsatidft, à l’instant les acclisations les f)
lus
iii&uliautes eussent accablé ces pauvres magn
s paroles, hâter la venue de ce qui est prévu. Il n'a qu'à dire : Que
lu
lumière soit. Et ce mot se dira pour la plus gr
ons raiTi'fusp niDVt qui frappe tnules clioses, U s'explique et bénit
lu
lui de l'iiiivcrs. o CAUSERIES SUR LE MAGNÉTISM
’espère bientôt vous le montrer reluisant au soleil, et vous donner à
lire
les caractères sacrés qui s’y trouvent. Baron d
maternel dans sa plus haute expression. Nous sommes persuadé qu’on le
lira
avec intérêt. MAGIE MATERNELLE W. « n fallait
rit au delà du tonitwau, à travers les ti'iuebres de la miirt? u Non.
lu
n'es pas loin de moi, ô ma mère ! Tnults 1rs sple
andaient presque toujours de tenter d’autres expiJrienccs, telles que
lu
irans- ntüsion de sensation ou dépensées, (a vu
surprise que je voulais vous ménager. Candides jeunes gens, avez-vous
lu
notre code ? Connaissez-vous nos lois ? Sachez d’
s nos cartons ; il y a des détails intéressants qui mérilenl il'ê-tre
lus
; ils nous viennent d’ailleurs d’une source d’où
n observer. Baron dd Potet. Dans le B* e, 2* série du journal, on
lisait
les eï-cellentes observations de M. Jobard, de Br
et te feront rire ; car ton esprit vacillant diminuera ta puissance,
lu
ne feras rien ou tu donneras des convulsions. — A
s attends pas, sans doute ; « Tu es trop rietir, dis-tu, je doute que
lu
réussises. >» Eh bien ! tu t’es trompé , au mo
Pourquoi es-tu à côté de mon lit, Lefrançois ? que fais-tu? Ah Dieu !
lu
m’as donné un coup de marteau sur la tête ! — Non
il avait la science de Mesmer, le talent d’Esculape, et pouvait même
lire
dans l’avenir. C’était une sorte de Cagliostro qu
enir ici? » Mais Bob n’a garde d’obéir, et son maître de courir après
lut
, et tout le monde de rire à se tenir les côtes.
u ^umsièmB liécle, par M. Ctins»/ ïs L* Ca*vs. Vipiume in-IÎ.Se «ad à
lu
Librairie paritienm. Le fond de ce roman repose s
ro POTET, pnpriilaire-gérani. EXTRAIT DE RQ&ER BACON. « J’ai
lu
bien des volumes dans ma vie, et des meilleurs au
1SME ET l'hYPNOTISME DEVANT l'iSSTITÜT. Nous avons eu le plaisir de
lire
, dans la Revue des Deux-Mondes du 1" février dern
RE, 00, AO MOINS, ENTRER COM.MUNICA-TION AVEC NOUS? Cent qni ont pu
lire
ce qoe nous avons éirit au ffujet des Esprits, on
imal. Après avoir parcouru avec intérêt tout cet article, que j’avais
lu
ailleurs lorsque j’étais étudiant, je me dis ; L’
me chose. Le lendemain, dans X Union médicale (n* du 27 décembre), je
lisais
, sur l’hypnotisme, un excellent travail de M. Am.
, depuis trois mois. Ce qu’il admettait autrefois. (A^) Vous l'avez
lu
; — mais je m’arrête : Ne troublons pas ce jour
ns nos académies. Ceux-là ont aussi leur encyclopédie... 11 suffit de
lire
, dans k Dictionnaire .de ten, les articles Magnél
p; ¿‘áutáht plus à se méfier, que les ignorants et les méchants tôtii
lis
plus nombreux et s’emparént trop Muvent de l’es-
i 4860, page27S, au 12* vers, au lieu de: Lui donne l’espoir à l'âme,
lisez
: Luidonne espoir à r&me. COMMUNICATION A L’
ui desserre les dents, on lui introduit quelques gouttes de rhum dans
lu
bouche, on lui souffle sur les yeux et dans les n
on excuse est toute dans les occupations qui m'oot eœpéché d’abord de
lire
et ensuite de résumer les quelques observations c
danslesiècle de vieillesse précoce où nous vivons. Il m'eût suffi de
lire
Siamora pour affirmer que son auteur n’appartenai
e et de foi; mais je viens d’apprendre, en lisant une note du journal
lu
Petite Presse, que M. Clément de La Chave fait pa
sollicite ou noua pousse, mais elle ne saurait nous envelopper. Nous
lisons
, page 2 de l’Avant-Propos : «Le même rayon les ré
elle, je répondis que non, et rais la lettre i la poche ne pouvant la
lire
. Devenu plus calme, j’en pris lecture et ne pus m
Cependant, comme il ne faut pas mettre la lumière sous le (1) Voir
lu
conlroversfl qui aca lieu entre MM.Petil cfOrmoy
ent l’aDtiquité! Baron du Potet. Nous engageons les magnétistes à
lire
avec attention lo passage suivant de l’Evangile d
i quand vous voudrez, les trois observations médicales que vous allez
lire
. Dans les deux premières, l’emploi du magnétisme
aux magnétistes en publiant ce que vous devez certainement avoir déjà
lu
dans ce journal du 29 avril passé où j'annonçais
Principes de la science occulte, qne sur engagement de ne le laisser
lire
qu’à des adeptes praticiens sérieux. Aura-t-il at
d état physiologique pour ramener au «aturel les préte)\dns mys-hres (
lu
magnétisme animal. » Mais ces importantes lumiè
imer clans une langue qu'il n’a pas apprise (t) ; enfin, qu'il puisse
lire
, sans moyen matériel de commutiication, dans la p
ages Spéciaux j j'en citerai un Seul, que j'ai recueilli de la bouche
lu
^me de l'intérassé. M. iuios B..., ctaiU profess
seules lésions du cerveau sont capabloí de troubler l’intelligence.
Lu
corrélation qui existe entre les divers phénomène
sans changer de milieu, il y apprécie parfaitement les arOmes les j)
lus
ílclicats ; un strabique ii’a piis conscience des
nce (a majeure de cette proposition, en inème temps qu’ils gouvernent
lu
mineure sous leur entière dépendance. Pourquoi
olQ vois s Litara, «on da 1k. Aà. Et 1« mort wui ajant la« miio« at
lu
pi«ljkiétd« baod«^ cl le ri««ge eav«lop|>^ d
PS l’ont ci'llifjui':. Cet article a r6vpill6 la verve ruii île nos i)
lus
an-cifiis collaborateurs, el nous nous empressons
de lumières et de vérités, et nous restons fidèle à notre épigraphe :
Lu
vérité n’importe, par gurlle. bouche, le bien n'i
qu’il croit devoir conduire àla découverte (tu vrai. Après les avoir
lues
attentivement, je me suis dit : Encore un nouvel
dans le Journal du Magnétisme, le fait d’uue de nos somnambiiles qui
lis
^tpar l'épigastre avec d’autant plus de facilité q
que l’âme ne reçoit ses sensations que du cerveau et ne réagit passur
lut
? Mais la preuve de cette réaction se trouve dans
x. P, C. Ordinaire, Docteur-médecio. Cher maître. Je viens de
lire
YE$sai(Cune nouvelle théorie du magnétisme animal
els y voient tout aussi bien dans les ténèbres qu'au grand jour : ils
lisent
, ils écrivent, ils brodent ; ils accomplissent n’
posée k celle qui paraît avoir été adoptée par M. Warlomont. J'ai peu
lu
les divers auteurs qui ont écrit sur le magnétism
nuels ou intellectuels; ils vaquaient à leur besogne journalière, ils
lisaient
, ils écrivaient, ils jouaient aux cartes; ils ign
sont güsséa dans mon article précédent : Ainsi, page 239, ligne 4,
lisez
: On etl donc forcé d'admettre qu'il y a ici enje
ttre qu'il y a ici enjeu un agent nouveau, elc. Page 261, ligne 12,
lisez
: Mais celle méthode est vicieuse. Page 262, li
ne 12, lisez : Mais celle méthode est vicieuse. Page 262, ligne 32,
lisez
: Toute contention d’esprit entraîne nécet-tairem
fautes principales à corriger : Page425, ligne 13, au lieu dn : Us
lisez
: iU y pui'i«n. Page 428, ligne 27, au lieu de:
te, tisfcz ; c'était la pierre. — au lieu du: e’eiaii fWmeniaire,
lisez
: ectail l'iUmentaire céleste. Page 432, ligne
entaire céleste. Page 432, ligne 19, au lieu de : gangut naturelle,
lisez
■ gangue matérielle. — ligne 21, au lieu de : l
e. — ligne 21, au lieu de : les idées fondamentales de la religion,
lisez
: les idées [ondamen-lalet de la science. (!) N
rlu iids luiiiiiiros, ut nuu.s avions emprunté au jnuninl ci-dessii$
lu
version i|ui u ameué ivt’e r'.’cliticaliun. •Vofi
st ainsi qu’un jour le cimetière fut fenné et que sur sa porte on put
lire
: De la part du roi, défense à Dieu de faire mi
ux sur les siens, c’est un regard doux dans lequel je cherche à faire
lire
l’espérance que je projette sur Jui. J’ai soin
le sérieux d’hommes mûra et de savants. Il est tout aussi risible de
lire
des feuilletons de journaux où l’on trouve des di
persuadé de l'existence réelled'ini monde inconnu. Il est curieux de
lire
ce qu'ont écrit sur ce sujet les penseurs des siè
m’en rapporte à cct égard du jugement des geos sensés qui voudront le
lire
. n Encore une fols, quel délire priut imaginer
onvulsion, un soupir, puis plus rieu. Le mauvais plaisant se lève, il
lire
son camarade par le bras, il l’appelle, il s’effr
ouvrage du vicomte de Lapasse, intitulé: Easai sur la conservation de
lu
vie; « Pensant avec raison que toutes les conna
ouver des sensations par le seul effet de la volonté d’un autre et de
lire
comme dans un livre ouvert toutes les impressions
ion. Il u’en eut point d’aulni que celte de Platon et de Socrale. Sur
lu
ciuie reçu, il pensait eommelesagB Aristide et le
plus pur possède encore quatre fois le poids cil-dessus. Et pourtant
lu
mulUre primitive était déjà condensée au point de
primitive était déjà condensée au point de produire les corj)» les i)
lus
pesants, tels que Mars, la terre et les deux autr
ssance, Jupiter créa loul: il esl chef et milieu. De la terre el «
lu
ciel il fnrmo la naissanee : ■ Il posscde en s»
tristi-s fraRmenUs de l'ArchétytiK divin. n A quoi reconnais-tu que
lu
tends à l’entière possession du VerLe divin? — En
ispril de Dieu.....quo, par cnnsequenl, en cette partie intérieure,
lu
es de nature Dieu, Saint-Ksprit, li' ra en l'ordr
uvre, mais puur un blaspliùmc, et parce c|uc, n'ctunt qu'iin humilie,
lu
te fais Dieu. « Jésus leur l'épundit : Il est é
n, mais cyale ù celle 'le nus pliilosopliics modornes, et sa donnée j)
lus
perccplible, plus réviviliauie et plus déiluclive
ait dans leur synagogue, de telle sorte qu'ils en étmeiit étonnés et (
lisaient
; D'où viennent a celui-ci cellestneiice el ces ve
frirn flnrurl m >¡(111111(11 qn« iwuiu el tcminm »»•J, Ml» P*fl«r (
lu
35‘ »enei ilu i*' cli»piirt d« taiDt Mallhl«v, (j
, chap. 9.) L'anecdote que voici confirme ces préceptes : «Je pus
lire
ce conseil donné par d’Alembert à un jeune liomin
ceux-ci eu un seul, les déplacer, les transposer à « sa guise, faire
lire
par l'épigastre, entendre par la plante « des pie
, mais combien lui est supérieur cet agent subtil qui se «nommefilme,
lu
volonté! S'arrêter au pouvoir de la voci lonté, d
ns seulement out offert des qualités supérieures. Pourquoi? Parce que
lu
nature, la texture, Tbonaogénéilé, la mobilité du
professeur à l'Ecole de Médecine à Paris (édition Labé 1856), et vous
lirez
, p. 960 : n Quant au magnétisme animal et à ses p
stre aurrûent soin de tenir la bouche ouverte; mais il n’en est rien.
Lu
condyle articulaire du maxillaire inférieur, qui
ence infuse, il me semble qu'il y a quelque vanité à sc Tantcr de peu
lire
les auleuw (p. 466), à qui, apros tout, nous devo
Arbaud affirme qu’il a beaucoup pratiqué le magnétisme et qu’il a peu
lu
les auteurs. Je l’en crois sur parole, et c’est p
s aUributiqoi, ilam deAine^urra ffatioD- formen I, k dua diflércub,
lu
» calégurie» Înférieorea et la coto mona vt4 des
e d'ordre »nLailetner ona existence dans les Umllea a^iiuaUs. Toi esl
lu
pkhé, le faU de déch^oce d*o^ dérive solrc lutfar
une tri'S-belle l>ranchc de ru), lui dit : 0 Uani ! le remède que
lu
cherches, le vnilà. Ettoutàcouptiranldeson sein u
j'appelle encore voire atieiitiou sur des points essen-ile]s. J’ai
lu
votre brochure : Coup d’œii apprédaltur sur cfrin
es singuliers et mystérieux phénomènes du magnétisme. On savait déjà (
lue
, ne me faisant point accompagner par des sujets s
rs. Donnez un livre à un somnambule, et, pendant qu'il est occupé à
lire
, appliquez vos doigts sur ses paupières et exerce
»« n Ra-Tio>.\us.>cB, dans le n» 92. acte diflicile, tel ijue
lire
, licrire, coudre, broder, enfiler une aiguille. P
ipalement pour ce qui concerne la vue magnétique. Cette jeune fille
lisait
dans l’obsciirité, elle écrivait, elle cousait, e
tes vérités et de divins principes, tous ces hommes si remarquables, (
lisons
-nous, seront réhabilités, et les secrets qu’ils a
marche dans ses voies. Baron nu Poiet. (1) Ceei nous rappelle que
lu
iraiic-uiuçoanerle avait ii sou origine quoique c
n Wle actif dans la production des phénomènes. C’est au lecteur qui a
lu
ces pageâ à décider si ropéi^ateUr a lieu d’être
agnétiseur du 15 octobre dernier, réfute sans examen, pourrions-nous (
lire
, et peu courtoisement (imitant en cela la plupart
qui n’ait été plusieurs fois écrit par les auteurs que nous avons pu
lire
, et que toutes les bonnes pratiques que nous donn
ous connaissons au moins aussi bien que lui, et que, s'il avait mieux
lu
l’article qui lui a fourni l’occasiun de décliner
eu d'intérêt. Revenons à M. Lafontaine, qui, après avoir légèrement
lu
sans doute le paragraphe de notre théorie où il e
, pages 148 à 150; au numéro 79, pages 171 à 175, et après avoir bien
lu
, nous l’engageons à prouver au baron du Potet qu’
ront un jour que sa cause véritable a été le magnétisme ; nous avous (
lu
moins cette conviction, car uoiis pensons que le
. Baron du Potet, SOMMEIL LÉTHARGIQUE. Pendant quatre semaines,
lisons
-nous dans l’Abeille Cau~ cJioise, uae femme d'une
’inconnu ; et c’est pour cela, sans doute, que j’al remué la cendre
lu
passò, et quejeine suis mis à marcher ilans une v
C19. scinWaqu’il n’eu soi'tailqii'uneimiocenl« poussière; mais tous
lurent
pi'is d'un étourdissemeiit singulier et d’une esp
i, 11 Taut : le jamais porle en lui ces vertus. l*ugeS33, ligne 50,
lisez
d'aire, an lieu d’a«e. Page SâS, les trois prem
n espèce?) — à travers, eie. Page SS9, ligne 30, au lieu de Cuffie,
lisez
CsITre. Page S31, S*iisDe, après cetto phrase :
s divers rapports académiques rela tifs au magnetisme, 128. — Mémoire
lu
à l'Académie des sciences par M. du Potet, en 183
ée à M. Maury, de l'Institut, par M. du Potet, et suivie d’un mémoire
lu
par ce dernier, en 1835, à l’Académie des science
produite par le magnétisme, 470. Erreurs auxquelles est exposée la
lu
cidité somnambulique, Faits rap porté» par M. le
oires de revenants, 27, 48. Institut (l') elle magnétisme. Mé moire
lu
à l'Académie des sciences, par M. du Potet, on 18
mal; Puis, allongeant sa figure, l’il ce terrible sermon A ce valel (
lu
démon : « Malheureux, qù’osez vous faiic? « V
erons les détails circonstanciés de ce fait. provenus ; bientôt 011
lira
dans vos cœurs, et moris ou vivants vous ne pourr
ÉCRIT PAU CADET BUTEIX A SON AMI L.VTL’LIPE. Air du Pas redoublé.
lu
m’as ejpllqué l'Progrès, T'ai oublié z-un’ cho»
la région hypogastrique. Séance du 14 janvier. — Plusieurs membres
lisent
des rapports de guérisons de malades à eux confié
s traditions sacrées à force de les corriger; aucun de vous n’en peut
lire
le texte primitif; et, comme le médecin qui, ne s
i. Je portai ma pensée sur un élève le plus sensible, M. Faivre, pour
lut
demander mentalement ce qu’il pensait du docteur.
« plus positifs. En voici le résultat : « Florentin a été endormi à
lu
distance de seize • mètres, 1° par des passes,
effrayées d’une chose si étrange. Mais le récit qu’elles en firent ne
lut
point cru des voisins qu’avaient attirés leurs cr
us faible et déjà modifié. Le guéridon, maintenu par «leux personnes,
lut
repoussé, mais non renversé, en môme temps que la
s une direction opposée, déplaçait sans cesse le centre de gravité de
lu
jeune fille, qui luisait de grands efforts pour s
e, à plusieurs mètres avec une rapidité prodigieuse. Toute occupation
lut
devient bientôt impossible ; si elle veut coudre,
us intenses le matin de huit à neuf, et le »dirdecinq à six heures.
Lu
curiosité, le scepticisme font faire des expérien
gent de toute enveloppe. C’est l’ouvrier qui de-roule le papyrus sans
lire
les caractères qui s’y trouvent, mais qui se gard
peu que ce n'est pas la jteine d’en parler. Un autre grand homme ,
lu
les verras tous, refuse de t'examiner. Cela ne le
longue maladie, la prit à son service. Quelques années après qu’elle
lut
entrée chez cette dame, on entendait souvent au m
uide, 4 grammes; siropdiacode, « 12 grammes. 4 Novembre : continuez
lu
tisane en sup-« primant Phermodacte. Mettez, pend
passes à grands courants; après dix minutes de soins, je l'endormis (
lu
sommeil magnétique, et nous apprîmes alors qu’ell
seur à se composer une petite bibliothèque d’ouvrages spéciaux, à les
lire
surtout, afin de pouvoir comparer les œuvres de l
minutes de chaque montre. Elle parvint souvent, mais pas toujours, à
lire
correctement les mots écrits sur le papier. Plus
de rapport, mais elle s’est exprimée par l’organe de M. Arago, qui a
lu
une note à laquelle nous croyons devoir donner de
e nouvelles et précieuses connaissances en physiologie, j’ai beaucoup
lu
, observé, médité; et ma conviction, qui dans le p
e, dit-il alors, à peine étais-je couché que j’ai rêvé que vous aviez
lue
ma mère, que son ombre sanglante m’était apparue
du même moyen, soit pour cacher leur sccrct, soit que cet auxiliaire
lut
réellement nécessaire à la manifestation de leur
chot. (11. G-) (î) Tome II, septembre 1755, page21ÎO. ignorant de
lu
gcologic comme de loule science, arrivant au môme
e ce simple montagnard dépourvu de toute science, ne sachant pas même
lire
, et celui de M. l’ahbé Chatelard. La Mouche ayant
tte dans sa position primitive, et continue de marcher jusqu’à ce que
lu
baguette s’agite et tourne de nouveau. Alors il m
sation nerveuse, un certain fourmillement plus ou moins fort, suivant
lu
puissance et la profonde de, source* [Pk.B«dé.)
rit par la somnambule au moyen de la sensation n’a, précédemment, été
lu
et n’est connu de personne. De cinq verres parf
t tous été placés ensemble sur une table. Sur l’ordre du magnétiseur,
lu
somnambules’en est approchée, et sa main, après a
us avons dit que notre âme, en rapport avec des êtres immatériels qui
lisent
dans l’avenir, est souvent avertie du bien ou du
cilement l'arabe. Acliined, remarquant son inquiétude au moment où il
lirait
de son écritoire sa plume de jonc, lui dit : « N’
e, son numéro, et les signatures qui « le revêtent; et, en outre, qui
lira
une maxime de « quelques mots anglais lisiblement
cillet, accompagné d’Alexis, est parti pour l’Angleterre, après avoir
lu
l’annonce de ce défi. On assure que M. Ricard,
honorable et remplissant de hautes fonctions, nous adresse : « J’ai
lu
avec un vif intérêt le feuilleton de la Mou-« che
ez la peur, ou tout au moins la défiance. Serez-vous toujours sourds?
Lisez
cette brochure; peut-être vos yeux se dessilleron
irection équa- loríale, et ëlait fortement repoussé: ainsi, suivant
lu
nature du milieu immédiatement ambiant, il pouvai
e peut voir en aucune manière, d’après certaines précautions prises à
lu
première séance par deux de nos confrères, qui pl
e de ces instruments.C’est unedanse nouvelle plus curieuse que toutes
lus
polkas. Mais les Parisiens ont eu le mauvais goût
doubler l’essor. « Comme le soleil que nous cachait un brouillard,
lu
vérité apparaît plus éclatante après avoir été ob
de M. Je baron du Potet étaient réunis pour fêter l'anniversaire de
lu
naissance de Mesmer. Rien n’a manqué à cette prem
mblèmes «le l'immortalité, et, dans une auréole qui l’entourait, on
lisait
l’aphorisme qui résume la doctrine magnéüqtte . L
et sa reconnaissance. Après M. Cosson vint le tour deM. Gally, qui
lut
l’acrostiche suivant : celui dont le zèle a con
ce N’y voit pas plus loin qu’ son nez.. Les corps savants, etc.
lu
*' » *’ i » • ! Ils n’admâltentipas qu’on dorme,
e. M. Stassin. M. Germer Baillière. M. Simonrau. M. le baron (
lu
Potet. M"* la baronne du Potet. M. de Wullès
e colonel Préaux de Locré. M“ Préaux de Locré. M. Chœnli-in. M. F»
lire
. M. Picard, dentiste. M. Piron. M" Piron.
, un médecin qui censure tout ce qui se «attache de près ou de loin à
lu
médecine;,il jette au panier tout ce qui est magn
ents plausibles ou de citations de ¡faits analogues. De ce nombre est
lu
Gazette médicale belge, qui cite le cas d’un nomm
isme, se prévalent de cette-circonstance pourle flétrir des-nomsde de
lus
ion, oiieav, deception, errott, et«.,: etc. Sur c
empêchements à côté (les désirs : il faut connaître les conditions de
lu
vision somnambulique, et les magnétiseurs échevel
le talent et une réussite complète, l’opération ci-après décrite, sur
lu
sieur Baysset (François), âgé de dix-huit ans, mi
q heures trente et une minutes on commence le pansement. Les bords de
lu
première plaie sont réunis à l’aide de cinq éping
e reçois des « offres pécuniaires. à peine mon temps suffit-il à les «
lire
; et je puis dire que, sans compter, j’en ai brûlé
rez cette porte. — Je ne l’ouvrirai pas maintenant, dussé-je perdre
lu
vie. » Bientôt la magnétisée ferme les yeux, ma
ébraïque, et maintenant naturalisé en arabe, caractérise tout ce qui (
lue
, tout ce qui fait sentir son influence aü dehors;
plusieurs reprises, des billets cachetés dont elle lui a tou- jours
lu
le contenu. Ce médecin, désirant s’aider des cons
s ne confirment pas ce fait. ERRATA. Page 24, ligne 5, louvcrain,
lire
souvenir. — 25, — 1, prévenus, — pervers. _ 2
— magnétique de Cambrai. 330 — philanthiop.-magnét. 150,272 — (
lu
Mesmérisme. 120,215,300 Science funeste (la). 28
la foi catholi-« que. — Non. — Voulez-vous donc être plutôt brû- «
lue
que d'abandonner cette secte ? — Je le veux. —
tait étranger. Il écrivit sur ces diverses questions des mémoires qui
lurent
envoyés à la Convention, et que nous avons eu le
point de renaître et d’enflammer les esprits, il sera intéressant de
lire
ce que pensait Mesmer sur la grande question de l
tendant vers ce but généralement recherché par les hommes, consti-
lue
, lorsque ces moyens suffisent, l'état qu’on appel
ans ce siècle à faire retrouver et reprendre à l’homme les droits que
lu
nature avait gravés dans son cœur, mais que la su
yeux fermés , il voyait assez pour se conduire, et même qu’il pouvait
lire
et écrire dans l’obscurité comme il le faisait
a lettre que j'ai adressée en commun avec M. Lafontaine, et qui a été
lue
à la dernière séance, nous avons dit que le fluid
ladies aux hommes et aux animaux, de nuire aux fruits de la terre, de
lire
dans l'avenir et de découvrir les choses les plus
scitera pas. Il est une autre raison , une autre foi, qui naissent «
lu
cœur, qui jaillissent de la charité, qui «’engend
ité plus ou moins étendue, le milieu et l’espace spirituel, comme est
lu
conscience divine, mais dans les proportions de l
ssole, montée ;ï l'ordinaire, mais sur un pivot dépassant quelque peu
lu
boite. » Présentez-lui le doigt (vous, l’homme
ées, aussi pesantes que les barreaux d’acier que je viens de dire, je
lis
la préparation que voici pour ma Seizième expérie
s jeune et la plus jolie : car la fraîcheur du corps et l’harmonie de
lu
forme sont les auxiliaires naturels du magnétisme
tes; elle commençait à désespérer, lorsque, tout à coup, le couvercle
lut
soulevé très-haut et retomba vivement et avec bru
nation purement animique déroulera sous nos yeux l’histoire complète •
lu
progrès des arts. Suivant YVinckelmann, Mengs et
ués latéralement dans la région cervicale. Ces deux dernières glandes
lurent
extraites en trois minutes. Dans la dissection
nt plusieurs personnes s’approchèrent encore delà malade. L’isolement
lut
détruit, pour un instant, par son magnétiseur, et
ue animal, ainsi que de ses effets relativement aux maladies, mémoire
lu
à l’Athénée électromagnétique de Lyon. La polar
enlever de cette manière le vingtième de sa population. entré dans
lu
chambre du sieur de Golleville, et ayant commandé
re en son cœur. a Au procès, après avoir rapporté ce qu’on vient do
lire
, cette lille dit : « Le changement qui se lit en
onses aux interrogatoires des juges ou aux questions des poursuivants
lurent
telles qu’il suit. Comme on lui demandait par que
« ses feux, » va toujours croissant. Elle s'étend maintenant jusqu’à
lu
base du cou. Nulle lucidité encore. Les yeux vont
sie. Prévision d’une crise terrible pour le lendemain, mais ce sera
lu
dernière. 2 octobre. — La crise prévue a lieu e
aient dans le foie, par les diarrhées. » 3 octobre. — Les suites de
lu
crise d’hier ont été, dans la soirée et la nuit,
me il ar- rive clans l’état normal, si je magnétisais de l’eau avec
lu
volonté de lui donner une vertu purgative, deux h
tet ; « Au triomphe du magnétisme. » Après ce discours, M. Jolv a
lu
les vers suivants, qui, au mérite de la pensée, j
cessèrent simultanément, et les personnes qui maintenaient la malade
lurent
bien surprises de sentir graduellement affaiblir
sans qu’il s’en aperçût, ni que la manifestation phréno-mesmérique en
lut
le moindrement troublée. Non content de cet essai
expériences reprennent leur allure accoutumée jusque fort avant dans
lu
nuit. Il faut remarquer que M. Ilarrison n’est
que particulière; 8" Enfin la connaissance d'une profession utile à
lu
société. L’éducation de l’enfant commence avec
nt susceptibles. La perfection des organes de ses sens consiste :
lu
Dans leur sensibilité; 2" Dans toutes les combi
re épuisé toutes les épreuves de l’expériencc avant que d’entrer dans
lu
société civile. Pour cela on doit prudemment pl
ses devoirs. A mesure que les forces augmentent et que les besoins
lu
secours des autres diminuent, les enfants apprend
le 011 telle lin. Ce n’était point assez, on en dressa quelques-uns à
lire
dans la pensée, à deviner les choses cachées, à
e les magnétiseurs se livraient à ces recherches. Mais ces merveilles
liront
du bruit en dehors du sanctuaire; la science avai
prix avait été créé : trois mille francs étaient offerts à celui qui
lirait
au travers d’un corps opaque. Le généreux docteur
e se présenta. Hortense, Calyxte, Prudence, Virginie, etc., etc., qui
lisent
couramment, comme chacun sait, les yeux fermés, n
pas savant, l’antagoniste d’un grand homme; j’intervertis l’ordre de
lu
nature, tant pis pour les règles. M. le docteur
logiques admirables, un rapport, accablant par les faits négatifs, se
lisait
à l’Académie de médecine, et venait détruire en p
si pleinement, et servent de base au mémoire de M. Andriveau qu’on va
lire
tout à l’heure. Une autre expérience, tentée po
que toutes, chose remarquable, se meuvent d’occident en orient. Jo (
lis
donc que la rotation du soleil, agissant sur les
impulsion en vertu de laquelle elles continueraient à se mouvoir dans
lu
môme direction et avec la même vitesse, tant qu’u
l fut tout aussitôt agité, et il étouffait ; sortant de la maison, il
lut
renversé dans une mare d’eau qui est au devant. O
nt de lieu et de concentration. Il n’v a qu’une chose immobile, c’est
lu
loi mathématique , et c'est cette immobilité de l
x est la plus commune faculté. Autre chose est voir les événements et
lire
dans les consciences, autre chose sont la prévisi
dès qu’on touche à l’ho-inœopalliie ! » Il résulte de tout ceci que
lu
Société a entendu frapper les médecins exploiteur
e, exclusivement consacré à une polémique locale, est fort ennuyeux à
lire
. La suite mérite une attention soutenue. Un style
’en pratiqua « jamais une meilleure. Eais ceci cl cela, incontinent «
lu
seras guéri. » Soudain Gonelle jette bas sacoif-«
ont-elles réellement ducs à l’influence de votre volonté? Le sujet ne
lirait
-il pas plutôt dans votre pensée? Vous présentez
sujet parle dans un idiome qui lui est inconnu, je supposerai qu’il a
lu
ou entendu les paroles qui lui échappent, et que
et des mira- des que nous opérons. Je crois, comme vous, à Invenir
lu
magnétisme; je crois, comme vous, que ses sublime
résisteront. F.t c’est, par ma foi,bien naturel : car, qu’on me passe
lu
vulgarilé de l’expression, il y a danger pour le
ez le magnétisme? J’en vais faire sortir devant vous, sur vous-mêmes,
lus
plus étonnant» phénomènes. * Demandez-vous son
ent et non d’abonnement. ERRATA, Page 179, ligne 36, au ¡¡eu de :
lut
d, liseï : mis de. Page 310, ligne 18, au liou
: lut d, liseï : mis de. Page 310, ligne 18, au liou de : un signe,
lises
; une ligne. U Propriétaire-Gérant : HÉBERT (de
t important, nous nous confirmâmes de plus en plus dans l’opinion que
lu
magnétiseur possède la toute-puissance physique
ine, lo-l, p. 100. (4) P. Atpini, de Medicina ægyptior., 1U45, tib.
lu
, p. Il2. quidcs, raffermissait la peau ot forti
forme du Journal et à son cadre, peuvent sans aucun inconvénient être
lus
de tous; la partie la plus essentielle sera réser
einte de la tristesse; mais il ne me regarda point. J’appris seul à
lire
, à écrire, à compter; je feuilletais tous les liv
rit les travaux de la journée, j’en effaçais toutes les illusions. Je
lisais
tout ce qu’on avait écrit contre Mesmer et sa doc
le mena au séjour de la douleur, et lui dit : « Sois sans crainte, «
lu
es l’instrument dont je veux me servir pour con-«
Deleuze, il me répondait : « Ayez la foi, l'espérance et la charité ;
lisez
mes livres. » Puységur : « Croyez et veuillez, c’
e 27 octobre 1847- a° Le discours en forme de thèse que M. Goizueta
lut
devant le jury préposé à l’examen de ses capacité
s livres sacrés sont surtout prodigues de citations de ce genre. Nous
lisons
dans le Livre des ¡lois (i) : « Élie s’étendit pa
(1) Recherches physiques sur l'Homme, chap. 3, p. 67 el 68. (2; Le
lires
sur le Magnétisme animal, parCalard deMontjoie, p
do Titus. On remarque aussi dos figures analogues dans les ouvrages «
lu
comte de Cajlus (5). C’est par l’imposition des
que Dieu souilla dans le corps d’Adam pour lui donner la vie. Nous
lisons
dans les œuvres de Cardan (i), que le frère du ro
« Suit une brillante discussion ou plutôt exposition que vous avez
lue
, Messieurs, et à laquelle notre analyse rigoureus
rsant les habitudes el les intérêts des hommes en crédit. « 11 faut
lire
, dans les ouvrages du temps, le récit de toutes l
comme magnétiseur dans le Mesmeric infirmary. D’un autre côté, nous
lisons
dans une lettre particulière du Dr Elliotson à M.
t et son fils? La prévenue. Ça me serait impossible, je ne sais nii
lire
ni écrire en français. Mm* Bridaut, qui était for
i pas assez d'instruction pour savoir si elle dormait, je ne sais pas
lire
. D. list-ce que vous pensez avoir la puissance
des mémoires hostiles, et que les magné- liseurs no. fissent point
lus
leurs selon les us aeadé-minues, ce qui ferait av
s ruiner , en sapant par la base leur édifice scientifique mensonger,
lis
la reniaient, comme des enfants devenus riches et
h a dit et publié dans son Mesmer el Svoeden- ' borg, que Davis avait
lu
tout un manuscrit qu’il ? portait caché sur lui-m
Tacite, Tite-Live, Salluste, Puffendorf, que le roi paraissait avoir
lus
. On passa bientôt à la médecine. Quelqu’un parla
rouva obscurcie pendant quelque temps. —J’ai remarqué aussi qu’elle a
lu
dans ma pensée, en me disant que ce qui retardait
soulagement. — Je dois dire que lors de la première visite, Mme Rose
lut
ma pensée, devina le malaise et l’embarras que me
Mrac Rose pour une affaire personnelle, étrangère aux maladies. Elle
lut
ma pensée, me reprocha cette préoccupation au mil
, comment n’accueillerait-elle pas un moyen de lever ses doutes et de
lire
couramment dans le corps des malades , comme dans
natique ou de la main gauche, qui défierait toute critique. On vous a
lu
une lettre dont on attendait un grand effet. A ce
isme, de la médecine ou de la pharmacie, scraienl réservées pour élre
lues
en audience publique. J’ai éprouvé, en entendant
aîlre des choses encore plus étonnantes. Il est établi que M" liose a
lu
dans la pensée de plusieurs personnes; notamment
rait pas lieu si elle était douée d’une seconde vue qui lui permit de
lire
dans leur corps. — Si l’objection élait fondée, e
en peu de temps, et elle peut dire aux médecins : Les gens que vous
lue
* se porienl i merveille» C’est ainsi que M. Méd
imprudemment ao-cepté par M. Lassaigne, il fallait de toute nécessité
lire
dans une boîte hermétiquement fermée. C’est là, a
a lucidité des somnambules les plus clairvoyants. L’ancienne Prudence
lisait
à travers un masque de plomb, Alexis Didier a pro
à travers un masque de plomb, Alexis Didier a prouvé mainte fois que
lire
ou écrire dans une boîte était pour lui chose trè
inquante es-prits-forts formulant énergiquement cette volonté : Tu ne
liras
pas, nous ne voulons pas que tu lises; parce que,
giquement cette volonté : Tu ne liras pas, nous ne voulons pas que tu
lises
; parce que, si tu lisais, nous serions dans la né
: Tu ne liras pas, nous ne voulons pas que tu lises; parce que, si tu
lisais
, nous serions dans la nécessité de reconnaître un
us soutenue seulement par son magnétiseur formulant cette pensée : Tu
liras
.....Cinquante contre un! la défaite était prévu
phrase annonçait bien une sorte de lucidité; mais le mot n’a pas été
lu
: donc la vision à travers les corps opaques est
a plupart de ses expériences ont très-bien réussi. Le somnambule a pu
lire
les yeux couverts d’un bandeau préparé avec toute
personne ayant les yeux parfaitement ouverts. Dans plusieurs cas il a
lu
des mots écrits, au travers d’épaisses enveloppes
tenait. Il présenta le paquet à Adolphe , et lui dit que s’il pouvait
lire
le nom et le numéro du billet, il lui appartiendr
nom et le numéro du billet, il lui appartiendrait. Adolphe réussit à
lire
le nom de Stuckey, qui est celui de la banque don
e peuvent procurer d’instruction. Il n’eut le temps que d’apprendre à
lire
imparfaitement, à écrire passablement et à faire
on lui fit visiter et décrire des lieux qu’il n’avait jamais vus, et
lire
, les yeux bandés, dans un livre fermé. Aussi devi
de la nature, au dehors, étaient presque les seuls livres qu’il. eût
lus
. En i845, étant dans le cours de ses pérégrinat
iennes dont il n’avait aucune connaissance, et dont il n’avait jamais
lu
aucune traduction ; que cependant « on ne pouvait
pour éprouver sa lucidité, Townshend rapporte qu’élant ainsi occupé à
lire
l’écriture, à deviner des cartes, ou désigner les
ué n’était plus praticable. Plus heureux ou plus habile, Bonaparte se
lira
d’affaire; mais le général Caftarelli, privé d’un
et des phrases appartenant à des langues étrangères, quelquefois, il
lus
prononce mal; mais pas de manière , cependant, à
nce d’un manuscrit que M. Bush avait laissé dans sa poche, et qu’il y
lut
littéralement; ainsi que l’histoire de ce fameux
lais par M. Bush, encore inédits, et que Davis n’avait pas en- rore
lus
, même dans la pochc de M. Bush; écrit qu’il remit
pposition que ses chers et très-honorés confrères font au magnétisme.
Lisez
plutôt cet édifiant extrait de Y Union médicale :
ne se sont pas tenus pour vaincus; ils ont, toujours sous le couvert (
lu
commissaire central de police de Limoges, fait ap
e magnétisme, osent se mettre à la place de Dieu lui-même, prétendent
lire
dans la conscience humaine, rendent des arrêts et
apparlient point d’être votre prophète, Messieurs, mais pour qui sait
lire
, il est écrit symboliquement ces sentences dans c
res et impuissantes ; aujourd’hui, sciences positives, elles volent à
lire
d’aile dans l’ère du progrès. Que leurs sœurs att
pas par la même raison. La prose et les vers alternant, M. Cosson a
lu
les développements du toste que voici : A L’INS
e lumière que Mesmer a remise en nos mains. Et, pour terminer, il a
lu
la pièce de vers qui suit. «dont le sens a ¿10
il méritait de loU'e : LE SOURiRE D’UN SPiRITUALiSTL Je souris à
lu
terre, où je vis jwur souffrir ; Je sourisau Iq
s, mais que bientôt la terre ne possédera plus. Écoute-moi, mon Paul,
lu
m'aimais et je te payais de retour; nos amours fu
; mais le serpent sc cache sous la mousse, il aura mordu ton pied que
lu
ne l'auras pas encore vu; il sc cachera sous des
venin te glacera à la table de Ion frère, et tu te sentiras froid, el
lu
accuseras le foyer de ton frère..... et le tigr
ables..... et pourtant ce ne sont que des fictions..... O Mesmer!
lu
es bien grand, toi qui nous révélas la source de
qui peut dire à la lumière évidente pour nos sens : Lumière menteuse,
lu
n’es qu’obscurité ! O mon maître! si vous savie
le juge de mes appréciations, et je ne vous les donne qu’après avoir
lu
quelques fragments de ce drame mystique à la Soci
regrettons d’ignorer les noms ; des vers pour la circonstance ont été
lus
ou récités sous divers titres. « Des tosles en
ait, ces messieurs de la clairvoyance 11c font rien comme les autres,
lis
donnent des consultations sans voir le malade : l
nnées qu’elle a passées en pension, elle n’a jamais pu apprendre qu’à
lire
et à écrire, et encore d’une manière fort imparfa
entants, Les Français vous ont élus à l’Asscmblée législative, dans
lu
but de nous délivrer de toutes les lois et ordonn
étisme dans une lettre publiée dans l’Orléanais d’hier. Nous aimons à
lire
les écrits do cet honorable médecin, lorsqu’il co
d'un système. Il n’est pas logique de vouloir assujettir l’emploi (
lu
magnétisme aux mesures de prudence que devraient
atténuée. Nouvelle-Orléans, 19 mars 1851. TAXIL, d. m. Le 20, ou
lisait
encore dans la feuille précitée : M. le Dr Taxi
« grandes officines à portique, etc., >• j’engage tout le monde à
lire
l’ouvrage cité de Gauthier, de même que le Manuel
A code lioutadc, M. liarlhct répondit dans le même journal : Nous
lisons
dans l'Orléanais d’hier matin une lettre d’un M.
bre des initiés » qui grossit tant de jour en jour !.... J. B. On
lisait
dans le numéro du 1er avril : A Monsieur le réd
té qui lui vaudront l’éloge de tous les esprits droits. Après avoir
lu
avec attention ce livre remarquable, nous n’avons
es que publiques, de plusieurs magnétiseurs, el comme j’avais aussi
lu
plusieurs ouvrages de magnétisme , j’élais pleine
centrant à cet effet, il l’a vue aussi par lucidité. Je vous engage à
lire
ce que j’en ai consigné dans mes Lcllrcs, car M
ésista que trois fois; probablement il aurait cédé par la suite. Je
lis
avec beaucoup d’intérêt les livres que vous m’ave
us remercier du commencement de voire nouvel ouvrage, que je viens de
lire
dans les trois derniers numéros du Journal, ot qu
s les trois derniers numéros du Journal, ot que je n’avais pas encore
lu
quand j’écrivis la lettre dans laquelle j’osais v
é la lutte; et je leur ai fait savoir qu’ils ne pouvaient rien faire,
lis
craignent le ridicule dans les antres Universités
mparfait suffira, nous l’espérons, pour mettre les magnétistes qui ne
lisent
pas l’anglais au courant de cesmoyens nouveaux.
ait des passes sur des boîles renfermant des imprimés, et les voyants
lisent
au travers, disant que la lumière en rend les par
daignées. Que tous les magnétistes qui connaissent la langue anglaise
lisent
ce beau travail, et ils partageront certainement
btenu, au bout de cinq séances, des effets assez curieux, mais dont
lu
récil est ordinaire pour vous: secousses électriq
arité qui nous a saisis en étant témoins de la parade dont vous allez
lire
les scènes principales. Le n” 5 de mon paquet e
ur les épaules du sujet. — A propos de ce ail right, je vous engage à
lire
une bonne plaisanterie dans le n° n. . Quant au
l'Électro-Biologie. Ceux dont le temps est employé entièrement dans
lu
journée, auront locpasi.it: d'éludier celle nouve
xpérimenter sur lui. Je lui iis parvenir un billet à cet effet. Il le
lut
, mais ne lit pas de réponse. Lorsque je vis sorti
ès dix ou quinze minutes d’attente, le Dr Fiske ne paraissant pas, je
lis
reconduire l’homme à la walch house dans un cabri
s professeurs des deux sciences combinées. Ceci nous rappelle avoir
lu
hier, dans le Delta, un article d’un monsieur trè
consultations aux malades, de sept heures à midi. Ce qu’on vient de
lire
est traduit du Daily Cres- (1) Jlumpo peut se t
ats-Unis. Tant pis pour ces invenleurs-plagiaires. — Il me larde de
lire
le livre de M. Smee, que, sans doute, M. Meade vo
és, etc. » Je voudrais pouvoir vous envoyer le journal même d’où je
lire
cet aperçu, mais il ne m’est pas permis d’en disp
de sa propre expérience. Ces articles seront fort courts, afin d’étre
lus
par tout le monde, et paraîtront à plusieurs jour
emps quelques petits articles, à l’usage surtout des personnes qui ne
lisent
pas les livres. Le magnétisme est un puissant r
J. B. I.a polémique s’engagea do nouveau; et, le 9 dudit mois, ou
lisait
: A Monsieur le rédacteur de l'Orléanais: Monsi
si on se hâtait de l’employer à leur début!.... J. B. I.e 22, on
lisait
la contre-partie suivante : A Monsieur le rédac
ISME. 1Y. Nous l’avons dit en commençant : c’est pour ceux qui ne
lisent
pas les livres que nous écrivons, et ce serait no
jet que de discuter avec le savant médecin qui nous fait l’honneur de
lire
nos petits essais. Nous ne cherchons qu’à éveille
me, vous le savez, comme 1111 des plus puissants remèdes; mais ils ne
lisent
pas plus vos livres qu’ils ne lisent les prétendu
s puissants remèdes; mais ils ne lisent pas plus vos livres qu’ils ne
lisent
les prétendues matières médicales de l’ancienne é
siller les yeux, d’éclairer les esprits, et voilà pourquoi nous avons
lu
avec beaucoup de soins vos petits essais..... e
constant, nous le maintenons. Mais de là, arguer que nous n’avons pas
lu
ces livres, c’est'tomber dans une erreur grave...
e pronostic funeste de notre collègue allo-pathe, qui n’a pas dù vous
lire
, son silence au moins nous force de le supposer,
ses derniers articles prochainement. HÉBERT (de Garnay). Société «
lu
mesmérisme de Paris. La Société du mesmérisme ,
ouait aux cartes les yeux bandés, ou, pour mieux dire, calfeutres, ot
lisait
, sans jamais se tromper, dans le jeu de son adver
un livre broché et non coupé, que j’apportai à Alexis en le priant de
lire
une page donnée sans ouvrir le volume. L’impressi
e effort qu’il fît pour continuer, sa vue élait fatiguée. Il n’en put
lire
davantage. « Mais cela me suffisait. Ces Irois
autres faits encore plusdignes de remarque que ceux que l’on vient de
lire
. « M. Leroux, propriétaire, demeurant place Sai
ent cacheté. Alexis n’eut besoin que de se recueillir un instant pour
lire
, par la pensée, cette courte phrase : Je ne cro
n vous? Quand est-ce qu’une fois repliés sur vous-mêmes , vous saurez
lire
par les yeux de votre esprit et le sentiment de v
capréoles de vignes, « ce qui ôtait aux indignes la curiosité de les
lire
. » Tertullien recommande de garder le silence dan
mes travaux sur le fluide m’ont valu. Pour vous édifier, vous pouvez
lire
l’article Magnétisme dans le supplément du Dictio
rév. G. Sandby, l’un des vice-présidents. Yoici le rapport qui a été
lu
au nom du comité sur les résultats de cette premi
loyées en vain ; la vie lui était devenue d plus en plus à charge. Il
lut
admis ici en av»il, et voici de quelle manière il
s. L’ouït « et surtout ia vue, sc rétablissent, au point que j « puis
lire
plus facilement maintenant sans lunette: « que je
fait allusion en racontant les expériences de M. Séguin. Ce qu’on va
lire
est emprunté à un ofïicicr anglais, M. Osborne, q
ie; lui, à six mois de prison pour complicité. — D’autre part, nous
lisons
dans la Gazelle des Tribunaux du 29 août : «Le
u pour faire place au sentiment d’une douce espérance ; la faculté de
lire
, de converser, évanouie depuis deux ans, reparais
ujet par les récits qui lui viendront de toutes parts. Avant-hier, on
lisait
dans l’Abeille (côté anglais) quelques faits de l
ns précises nous permettent de leur en faire connaître aujourd’hui le
Lut
et la composition. L’origine de cette instituti
n disant : « Je dois perdre. » « L’expérience suivante consistait à
lire
les yeux également bandés. Un monsieur présenta s
un présenta une enveloppe cachetée, renfermant un mol écrit; le sujet
lut
, après quelques moments d’hésitation : « Adolphe.
qu’il ait rencontré une couleuvre, grosse ou petite. Il faut qu’il
lue
lui-mème cette couleuvre ; il l’écor-chera, une f
u'elle vivait avec des voleurs. » Lucidité spontanee. — On lit dans
lu
Mémorial bordelais des premiers jours de septembr
magnétiques. Leur valeur in-trinsèque, concurremment avec l'action de
lu
volonté, 9.— Voy. aussi Passes magnétiques. Som
s de le raconter voici ce qui se passa. » Nous engageons le lecteur à
lire
attentivement l’exposé qui va suivre, d’autant pl
sance sur elles, voyant notre persistance à rester. Elles appelèrent «
lu
secours. Elles réveillèrent leur mari qui reposai
trop incompatible avec les mœurs d’un galant homme pour qu’elle nous
lut
jamais venue à l’esprit. Maintenant, si nous no
Ricard. polémique. A MONSIEUR LE BARON DU POTET. Je viens de
lire
la réfutation que vous m’aviez annoncée. Mu par
qui semblent le plus avérés ? Mais patience, chers lecteurs, veuillez
lire
la fin de cette histoire, que, du reste, je vous
gent hob recherches pénibles. Évitons les utopies; supportons, sans
lu
morigéner, la lenteur naturelle des réformes scie
eut, se dépouille, Pour mieux renaître à de meilleurs instants : (
lue
de chagrins tombés de la quenouille, Quand de n
journal : N°104, page 205, ligne 10, au lieu de: qu'ils adressent,
lisez
: qu’il adresse. Nous sommes obligés de rétabli
n-sens. N° 104, page 209, ligne 10, au lieu de: vous le stigmatisez
lisez
: vous les stigmatisez. N* 105, page 234, ligne
tisez. N* 105, page 234, ligne, au lieu de : Nous tromperons-nous ?
lisez
: Nous tromperions-nous ? N‘ 105, page 242, lig
N‘ 105, page 242, ligne 4,de la note, au lieu de : L'éther »ù on est,
lisez
: L’éther où od est. BafOn I)c POTET, propriéta
La remarquable inspiration spiritnaliste qui va suivre devait être
lue
au banquet ; mais cela 11e fut pas possible non p
es Brodant le manteau de la nuit, Par leurs diamants fascinée. Je
lisais
une destinée, Mais, sur terre, tout bonheur fui
ur Clever de Maldigny: Page 275, ligne 25, au lieu du mot : échecs,
lisez
: échos. Page 270, ligne 0e, après ces mots : l
ligne 20*, an lieu de : ne ressemblent aux marchands d'orviétan (t),
lisez
: sont des hommes (¡raves, etc. Page 277, ligne
rimez la virgule. Même page, ligne 21e, au lieu de : aura sa place,
lisez
: marquera sa place, etc. ( I ) Ces paroles exi
t être un bien pour l’humanité. A l’un ou l’autre de ces titres, je
lis
avec le plus grand intérêt le journal quevousavez
o 106 du journal et qui fait l’objet de la critique que l’on vient de
lire
, représente un homme couché sur un lit, et une fe
« Orléans, le 11 juin. « Mon cher Confrère. « M. Piérart m'a fait
lire
la lettre par laquelle vous expliquiez votre abse
vous, « Charpignon. » Au bout de vingt-quatre heures ensuite, je
lus
votre article au bureau du Journal du Magnétisme-
cette vérité, n'en vaut-elle pas la peine? vres bonnes gens qui ne
lisent
pas votre éloquence après coup. Du moins mon pers
nière positive. Tous ceux qui connaissent le magnétisme, ou qui ont
lu
des ouvrages sérieux sur cette matière, savent pa
cette manière des événements qui devaient arriver plus tard. » Nous
lisons
dans XIndépendant de Douai : « 11 subsiste enco
du magnétisme avait le privilège de calmer les crises nerveuses de
lu
ma!:i!e. Un jour cependant il y eut, de sa part,
même temps la conduite des médecins qui, sur la demande de M. Cornet,
lurent
délégués par l’Académie auprès de lui ; on remarq
ans les rapports sociaux. Quoi tpi il en soit, la Commission déléguée
lut
justement celle, nous l’avons dit plu s haut, qui
nuer la sympathie avec laquelle on doit accueillir leurs concours. On
lira
M. Cornet certainement avec intérêt et avec fruit
ons parlé plus haut : VU DOCTEUR COMET. Mon cher Confrère, J'ai
lu
les livraisons publiées de votre ouvrage sur le s
nsistait pour le savoir, de ce que les personnes se disaient ; elle
lisait
l’heure précise que marquait le cadran d'une horl
les Btoussais, et vingt autres des célébrités d’alors conseillaient
lu
magnétisme iluiu certaines maladies; ils le faisa
s acquerraient une incontestable valeur. (Noie de la rédaction.) (
lu
souille tlu magnétiseur avec le liquide; ou bien
ieur le Baron, Voici ce que les abonnés de la Revue des Deux-Mondes
lisaient
dans l’avant-dernier numéro de ce recueil,page 95
se en jaillir. Baron du Potet. RECHERCHES SUR LE MAGNÉTISME. On
lira
avec intérêt l’article ci-après, dû à la plume d’
ies-magicicns et les (fahljis) (3), qui sont de véritables médiums (
lu
che'itan ou Satan, possèdent des secrets qu'ils n
aiguille une quantité très-forte d’électricité en l’aimantant. J’ai
lu
quelque part que le fluide magnétique vu par des
a magnétisation, appelée généralement (okoudmak), qui veut dire faire
lire
. Les Arméniens l’appellent ujqoiiUrL (aghotèle),
us suggèrent les curieux et remarquables phénomènes dont 011 vient de
lire
la description. E. A. M. Paris. (/.a suite pr
de nos abonnés, M. Bauche, nous ayant fait parvenir un Mémoire dont
lu
contenu mérite considération, nous avons cru que
remarque, pour un expérimentateur habile, d’après les faits que j’ai
lus
de lui, — M. d’Arbaud, l’un des collaborateurs du
e, anima (5«>ios, vent; fuxri, souille), est de l'air; l'air esl à
lu
lois le principe dis corps et le plus subtil d'en
ent réciproque aux condi -lions de la cosmogonie des anciens, on peul
lire
avec intérêt les fragments qui suivent : a Pour
essentielle à connaître). C’est le religieux ternaire queles initiés
lisaient
et pratiquaient sans incroyance et sans hésitatio
t réputée inerte, conque. Cette vaste ù cause de l'absence apparente «
lu
mouvement définition 11 exclut « L’atmosphère c
. Page 42), ligne Cl, au lieu de : Réponse aux quelques objections;
lisez
: Réponse aux quelques mots. Page 421, ligne 37
ts. Page 421, ligne 37, au lieu de : Confession d'un spiritualiste;
lisez
: Confession spiritualiste. Page 425, ligne 30,
onfession spiritualiste. Page 425, ligne 30, au lieu de : Liquible;
lisez
: Liquide. Page 423, ligne 51, au lieu de : Qu'
23, ligne 51, au lieu de : Qu'il se meut d la crasse de nos humeurs-,
lisez
: Qu'il se meut à la crdse de nos humeurs. Page
rdse de nos humeurs. Page 424, ligne 2, au lieu île : F.ndiomètres;
lisez
: Eudiomètres. Page 420, ligne 30, après les mo
rd, n" 112, 25 août 18lU. Page 435, ligne 15, au lieu de : Faculté;
lisez
: Facultés. Page 43(i, ligne 1, au lieu do : Je
Facultés. Page 43(i, ligne 1, au lieu do : Je n’en vois l'utilité;
lisez
: Je n'en vois pas l’utilité. Page 436, ligne 1
vois pas l’utilité. Page 436, ligne 15, au lieu de: De phénomènes;
lisez
: Des phénomènes. Page 437, ligne 6, au lieu de
s; lisez: Des phénomènes. Page 437, ligne 6, au lieu de : Croyants;
lisez
: Crayons. Page 440, ligne 5, au lieu de : Ce q
sez : Crayons. Page 440, ligne 5, au lieu de : Ce qu'il a vu faire;
lisez
: Ce qu’il a vu, fait et dit. Page 440, ligne 3
e qu’il a vu, fait et dit. Page 440, ligne 32, au lieu de : Partie;
lisez
: Portée. NOUVELLES ET FAITS DIVERS. MÉDECINE
n grand secours sur le terrain analytique du magnétisme. « Vous qai
lisez
et qui pensez, concluez. Les Grecs avaient invent
s intitula de cette inscription : « Tà /uri ri jjûjcxk, ce qu'il faut
lire
après les livres de physique, u Ce titre devint p
SENTIEL: Page 434, ligne 29 ; au lieu de ces étais d'expansibililé,
lisez
: tes états, etc. Page 4ü8, ligne 9 de la deuxi
Page 4ü8, ligne 9 de la deuxième colonne, au lieu de : la matière;
lisez
: ta nature. Page 458, ligne 36, au lieu de: la
. Page 458, ligne 36, au lieu de: la lumière blanche est au-dessus;
lisez
: la lumière bleue est au-dessous. Page 459, à
magnétique lucide peut aisément les voir. Il ne s'en suit pas qu'il y
lise
les pensées ; mais il y juge très-bien de la natu
ge que le lecteur vint se présenter au célébrant avec le livre, et ne
lût
la leçon que lorsqu'il en avait reçu l'ordre du c
l arriva que le dimanche dont il s'agit, pendant que celui qui devait
lire
l’épitre de saint Paul était debout devant l'aute
l'amour-propre. (*) Par quel »¡nguüer illogi'rn« un phyiiolognlü »’»
lise-t
-il d'ndmotlre que l'on pnis»e rrncBVOiR..- te n'r
ne croix à laquelle était attaché un papier contenant ces mots : • Si
lu
mets la bêche dans ce champ, un fantôme viendra l
e 10 de la note 2, au lieu de : par rapport au reste de leur origine,
lisez
: de leur organisme. Page 489, ligne 39, au lieu
: de leur organisme. Page 489, ligne 39, au lieu de si les organes,
lisez
: li des organes. AVIS AUX ABONNÉS. Le Journal
te au prochain numéro.) ERRATUM. N" 1 H> page o I !, ligne 33,
lisez
: Abercombec, au lieu de Abercom-bec!;. ÉTUDE H
it de l’auteur nous a été communiqué et qu’il nous a été permis de le
lire
avec la plus scrupuleuse attention, il nous a sem
, sous « le prisme qui couvre mes yeux, »je prêche le surnaturalisme (
lisez
le contre-naturalisme), quand, au contraire, je m
ce cas, il doit y avoir quelque chose d’écrit. 11 prit l’ardoise, et
lut
ces mots: Gouvernez au nord-ouest. Ayant fait écr
plus tard une traduction; enfin M. le vicomte Emmanuel de Rongé en a
lu
une troisième traduction dans la séance annuelle
ent les sentiments du peuple vers ses symboles grossiers, mais vrais.
lis
restèrent ainsi les premiers d’entrë les hommes ;
s commence par un paragraphe à la ligne 5 de la planche 11-12 ; je le
lis
ainsi : « 0 brebis, enfant de brebis, agneau, f
vouloir (2). (1) Voir les n"* 112, 113, 111, llü, 110 el 117. (2)
Lire
aussi les Lettres d'un voyageur sur le Spirituali
e secret de l'ubiquité. Vous n’avez pas deux esprits, mais votre âme (
lisez
votre corporéité fluidéide), peut, par la (1) L
ifications que l'impartialité recommandait de mettre en lumière. J'ai
lu
l'autographe de cette lettre adressée au directeu
me, en dogme universel du spiritualisme. Etudiez les phénomènes et ne
lisez
les livres que pour l’expression des idéesqu’ils
raison. « Enfin, quand on proclamera l’incompatibilité de nos (!)
Lisez
naturel supérieur. Dr C. de M. (2) Miraciilum.
de la croix ornementée d'une paire de tenailles et d’un marteau, j’ai
lu
. l'aunée dernière, cette légeude énigmatique :
ique amour du bien , acquérez, par la patience et par le courage de
lu
persistance, le calme profond qui constitue le li
et les rapports particuliers de chaque corps de la création. On peut
lu
diviser en cinq catégories, savoir : Io Magnéti
établit lui-même celle différence car le lux, dont il parle d’abord,
lut
créé le premier jour, tandis que le soleil, la lu
e notifié ce refus. . . . (!)•» Quelques jours après, le 27 aoust, on
lisait
dans la môme feuille, sous le titre ; Il MÉDECI
rait la u commission qu’ Elle avait donné à quelques-um de scs mem-ii
lires
à ce sujet. ............... o h° Jusqu’à cette
t de toute évidence que je serais déjà détruit, évaporé, mort. » Ce
lut
bientôt le tour (Sun sieur Pmdet, docteur en méde
dre sur ses malades, a été l’objet de tant de plaisanteries, qu’on ne
lira
pas sans intérêt, la description précieuse quoiqu
sur les places publiques (â). » Paiit. Fassy. La notice qu’on va
lire
est écrite par un académicien. Nos lecteurs verro
. Nos lecteurs verront que pour acquérir ce titre envié, il suffit de
lire
beaucoup, de prendre des notes ou d'avoir de la m
cé, Zaps. 11 est probable qu’entre le mot effacé et ce dernier, on en
lisait
encore d’autres; mais la rouille a profondément m
carieux : ils s’accordaient d’ailleurs trop bien avec ce que j’avais
lu
çà et là des miroirs magiques et des anciens proc
pagnol, et des enfants dont la tête avait passé par des enchantements
lisaient
l’avenir dans des miroirs magiques. Apulée (2), d
tionnaire critique de Baylc, au mot Pythagorc. ture convenable pour
lire
dans le miroir le passé, le présent et l’avenir (
on üi: mouvements physiques violents, car les mouvements violents des
liras
ou des mains nuisent plus qu'on ne croit à l'émis
ovient de la mêmeeawse, je le vois, si tu ne veux pas me croire et si
lu
penses que je me trompe, parce que les reoberohes
mps des llaiumcs qui illuminaient toute la for(t pendant la nuit.
lut
pas , dit l’historiographe Bosroger, créer un cur
er l’honneur du sacerdoce, tenant cette affaire le plus secrète qu’il
lut
possible. Mais quelque soin qu'on prît, quelque s
puits. 12° Que la nuit en laquelle les malades de l’esprit font Ï)
lus
de violences au corps et travaillent davantage le
ent près d’elle, et je la trouvai dans la condition que vous venez de
lire
. Lors de son sommeil, cet intéressant sujet ava
S. A Monsieur le baron du Potet. Monsieur le baron, Je viens de
lire
dans les numéros d’août et septembre du Journal d
e partie-là est recouverte' par l’eau. — Plongez sous l’eau pour le
lire
. — Non, non, cela me fait trop peur. J’ai cit
nuisent considérablement à leur lucidité. Pourquoi ne pas leur faire
lire
un livre placé dans la pièce voisine, ou les fair
éclare, en terminant, que je n’ai jamais vu Alexis et que je n’ai pas
lu
son livre. Je ne me fais donc en aucune manière l
ire que le rédacteur et signataire des déclarations que vous venez de
lire
, loin de s’avouer vaincu par les faits écrasants
, et une facilité croissante. Le plus bel accompagnement de tous, qui
lut
magnifiquement exécuté, fut celui d’un chaut port
ent exagérées et injustes parfois envers la médecine que souvent nous
lisions
dans un journal que nous voudrions rendre digne d
nuisent à la correction et à l'intelligence du texte; ainsi il faudra
lire
: A la ïi* ligne de la pago 42, sur une expérience
tant que nous n’aurons pas une constatation authentique},, le médium
lirait
dans la pensée du consultant et y verrait tout, à
le ramener au « camp. » « M. Ellis, propriétaire à Cambridge, ayant
lu
l’ouvrage de M. Catlin, eut l’envie d’essayer si
Sa famille est dans les plus vives inquiétudes. En quelque lieu qu’il
lise
ces lignes, qu’il écoute l’appel des siens, qu’il
savants devraient étudier. Les savants riront bien, s’ils daignent me
lire
; mais leur rire pour moi cachera seulement leur
. CURES PAR LE MAGNÎTISME. 1° M. Guidi raconte dans son journal
lu
Luce tnagnelica du 28 novembre dernier, que le 2
raient faire naître quelques doutes. On comprend ainsi, après avoir
lu
seulement la première partie, que la deuxième par
urnal au reste dont nous recevons les abonnements. Nos abonnés 'qui
lisent
l'anglais, trouveront dans le Spiritual Télé-grap
Un des signes les plus manifestes des progrès du magnétisme, c’est
lu
manière dont il est accueilli par la presse pério
, un article remarquable de M. Jourdan, sur le livre intitulé Clef de
lu
Vie, que deux hommes de lettres ont offert au pub
ait le dernier soupir. (Extrait de la Patrie du 9 mars. ) _Nous
lisons
clans Y Intérêt public île Tarbes, du h mars :
ochaient des billets soigneusement pliés en leur disant : « Prenez et
lisez
; si vous avez la foi, vous verrez des lettres de
qui révélât le mot confié aux esprits dans une chambre voisine ; qui
lût
le mot anglais écrit à l’intérieur d’uu livre ou
dont voici la rectification : Page 134, ligne 8, au lieu de jours,
lisez
source. Page 134, ligne 19, au lieu de puissant
u de jours, lisez source. Page 134, ligne 19, au lieu de puissants,
lisez
saillants. Page 136, ligne H, au lieu de contri
ants, lisez saillants. Page 136, ligne H, au lieu de contribuer à,-
lisez
contrôler. Page 136, ligne a, au lieu de des au
à,- lisez contrôler. Page 136, ligne a, au lieu de des autographes,
lisez
a des autographes. Page 136, ligne 34, au lieu
phes, lisez a des autographes. Page 136, ligne 34, au lieu de coté,
lisez
être. Page 136, ligne 39, au lieu de s'il en es
coté, lisez être. Page 136, ligne 39, au lieu de s'il en est ainsi,
lisez
s il n en est pas ainsi. Baron du POTET, prop
la pensée de m’informer de ce que c’est en effet. Cependant j’avais
lu
la sainte Ecriture , et, ayant vu que le prophète
lecteur qui s’attend à de magnifiques découvertes; mais, après avoir
lu
, on est tenté de croire que la seconde moitié du
rosse faute d’impression, et qu’au lieu de grande initiation, il faut
lire
grande mystification. Si notre confrère de L’Unio
prend des disques, on écrit le signe de la planète dont chaque disque
lire
sa protection , le signe du zodiaque, etc., et C
Ceci est la moindre chose ; allons plus loin. Demandons-lui de nous
lire
et de nous écrire sans ouvrir le volume ce qu’il
lligente somnambule montrer par scs gestes et par ses paroles qu’elle
lisait
à livre ouvert dans l’intelligence de personnes q
ssart. Certifié sincère par le docteur de Ploeq. Procès-verbal de
lu
Commission ayant assisté aux séances de M. Brunet
e toléré que ce que nous voyons ; la raison humaine n’irait pas (»
lus
loin: elle ne pourrait s'élever au-dessus de laut
ver au-dessus de laut de misères morales et physiques et saisir enfin
lus
causes premières et finales de ses amères contrad
par le fait immense, révélé par Mesmer, priucipu aussi certain que la
lu
nière, aussi fécond qun la nature, dont il semble
survivaient intacts au cataclysme universel, et ils conservaient
lus
dogmes el principes des grandes vérités. Oublieus
, par A. Bûche. 1 petit vol. in-lâ, IS:>8 , chez I autour, 15, rue
lu
Buci. I.e magnétisme est tellement répandu dans
on a le plus souvent recours au magnétisme. Son ouvrage, qui a été
lu
comme thèse pour le grade de-titulaire à la Socié
dans ce numéro les discours prononcés et quelques pièces importantes
lues
à la fin du banquet; puis, les décisions du jury;
t indiqua la puissance colossale qui devait changer la face du monde,
lut
récompensé de sa découverte par le dédain et les
; que ces voyants découvrent parfois les choses cachées ou éloignées,
lisent
la pensée non exprimée; que leur vue pénètre même
Le tour vint des chants et des pièces de vers. M"" Jobey de Ligny,
lut
avec beaucoup d’âme des vers de sa composition ,
es, Pour attaquer le grand Mesmer, En longs discours soporifiques
lisent
leur prose, usent leurs vers. Ils rappellent ce
t rire, Défiant les plus clairvoyants, A qui sans les yeux pourrait
lire
, Offrit un jour trois mille francs ; Mais bient
rs tostcs, et M. Morin fut chargé d’ètre l’interprète des absents; il
lut
d’abord le toste de M. Siemeling que nous donnons
lion scirible aui perceptions de U> (trie. et les instruments,
lis
lurent le privilège du premier homme, c’est-à-dir
scirible aui perceptions de U> (trie. et les instruments, lis
lurent
le privilège du premier homme, c’est-à-dire du pr
u-dessus de votre portée. » (LE CHRIST.) Pièces qui n'ont pu être
lues
au banquet et qui n'en méritent pas moins de trou
mbe de Mesmer que venait de visiter M. V. C.lia-lain. Nous avons tous
lu
les mots simples et touchants par lesquelsM. Chal
de la ligne habituelle de la clairvoyance, et je pense qu'ils seront
lus
avec intérêt même par les personnes les plus incr
ont les feuillets ne sont pas encore coupés, pourriez-vous, Alexis, y
lire
sans l’ouvrir ? Et Alexis de tracer aussitôt au
erreurs dans len° 34 du 23 mai : Page 257, li^'ne 28, au lieu uo ces,
lisez
ses. Page 208, ligne 9, au lieu de l'amour, lis
, au lieu uo ces, lisez ses. Page 208, ligne 9, au lieu de l'amour,
lisez
l'apôtre. Page 470, ligne 19, au lieu de passer,
eu de l'amour, lisez l'apôtre. Page 470, ligne 19, au lieu de passer,
lisez
planer. Page 270, ligne 27, au lieu de fait, li
lieu de passer, lisez planer. Page 270, ligne 27, au lieu de fait,
lisez
sait. Baron uo POTET, propriclairc-géranl.
ue méritent les sorciers ; 6° réfutation des opinions de Jean Wier.
Lisons
ce livre tout entier et ne nous arrêtons pas, com
e place honorable près le tribunal de cette ville? il me dit qu’ayant
lu
avec assez d’incrédulité la Philosophie oc- c
artagent cet avis. Sur les stygmates qui apparaissent sur le corps,
lisez
donc un curieux travail de M. Alfred Maury, insér
e je lui indiquais. Monsieur le baron, si vous avez eu la patience de
lire
jusqu’ici mon mauvais français, vous devez en êtr
ont journellement obtenus. Fort peu de somnambules se sont occupés de
lire
à travers les corps opaques; ce n’est qu’un exerc
u, à l’exemple de M. Burdin, propose un prix de 3,000 fr. à celui qui
lira
l’écrit renfermé dans une boîte fermée. M. Babine
faire que la victoire soit douteuse ; que, par exemple, une personne
lise
l’écrit entier, l’exception d’une lettre , il fau
s un article sur les sciences, extrait du jour-jiai L'Union, qu’on ne
lira
pas sans intérêt : c’est un ensemble d’idées et d
es écrites sur un morceau de papier, enfermé dans un carton scellé et
lues
à coup sûr par un sujet quelconque, dans les cond
es de position que nous avons parlé de l’ouvrage de M. Mabru. Nous ne
lisons
jamais les ouvrages écrits contre le magnétisme,
livre de M. le Dr Yitleaut. Pages 383 h 300, au lieu de JVitleaul,
lisez
Yitleaut. Page 384, ligne 6, au lieu de travail
e JVitleaul, lisez Yitleaut. Page 384, ligne 6, au lieu de travail,
lisez
talent. Page 386, ligne t i, mettez une virgule
virgule apirts papier. Page 388, lignes 33-31, au lieu de ce poète,
lisez
ce mol du poète. 'Page 390, ligne 32, au lieu de
te, lisez ce mol du poète. 'Page 390, ligne 32, au lieu de vellléilé,
lisez
velléité. Baron pu POTET, propriétaire-gérant.
xtraordinaire encore. Elle consiste, en ce que le somnambule peut
lire
dans la pensée de ceux avec lesquels on le inet e
ement formulée dans l'esprit ; (1). Nota. Nous prions tous ceux qui
liront
l’exposé succinct des effets physico psychologiqu
les et du déplacement des corps matériels par des agents inconnus, ne
liront
pas sans intérêt quelques faits anciens qui peu v
a vu un grand nombre qui, au milieu des ténèbres et les yeux fermés,
lisent
, écrivent, calculent, composent en vers ou en pro
st passé devant le conseil de révision. » Le défenseur, après avoir
lu
un grand nombre de certificats qui constatent que
position : Quatre sous tl'esprit de vin brouillé avec de la gelée. Je
lus
averti qu'à la suite de l’ingestion de ce .mélang
ations dans un chapitre de son Traité des Hallucinations. Celui qui a
lu
ces livres n’a plus aucun doute sur l’existence d
et 9/|. La prédiction de l’aide de camp du comte d’Estaing, qu'on va
lire
, est beaucoup moins connue que celle du célèbre m
scène d’évocation, je ne le croirais pas ; permis donc à ceux qui me
liront
, si par hasard quelqu’un me lit, de ne pas y croi
avantage pour être convaincu. 11 paraît qu’elle a surtout le don de
lire
dans la pensée et de voir aussi facilement les év
. On appliqua sur les yeux du sujet un bandeau, et elle parvint à
lire
couramment dans une brochure imprimée en petit te
sur ce que cette dame est presbyte et ne peut, dans l’état ordinaire,
lire
qu’avec de fortes lunettes. Cette,assertion était
quelle, eüe venait.de .lire : elle dit qu’il iui était impossible d’y
lire
un -aeul mot. Alors on lui donna des lunettes con
ors on lui donna des lunettes convexes n° i 2 j leB ayant mises, elle
lut
couramment. Or los personnes qui ont une benne vu
ouramment. Or los personnes qui ont une benne vue, et qui essayent de
lire
avec de pareilles lunettes, voient tous les objet
inaire, elle ne pouvait faire un point de couture i moins d’avoir des
lu
■ nettes, et que même en y ayant recours, elle ne
ÉTÉS. LES PRODIGES DE LA RUE DU BAC. « La rue du Bac est eu émoi.
lise
passe encore par là quelque diablerie 1 « La ma
ne pareille tâche ; il s’adresse à M. Mabru comme s’il ne l’avait pas
lu
, et se boriië à lui dire : Vous niez le magnétism
échantillon de ce baragouinage d’outre-tombe : « Dommy pticem tory :
lu
in curcerem anty aquam noby tœnes. » Il défie les
c un fait ; l’explique qui pourra ! Henri d’Aüdigier. (Extrait de
lu
Patrie, du 12 octobre.) Monsieur'*** affirme qu
action ! Il n’y a que trop de gens disposés à ajouter foi à ce qu’ils
lisent
dans un journal, surtout quand'Tarticle... Je vou
sont ni des sots, ni des ignorants, et mon ami Ed Fourrier vous fera
lire
, un de ces jours, une phrase bien curieuse à ce s
dos du médium, de manière qu’aucun membre de la société ne puisse les
lire
; si c’est un Esprit qui lisait tout à l’heure, i
ucun membre de la société ne puisse les lire ; si c’est un Esprit qui
lisait
tout à l’heure, il ne lui sera sans doute pas plu
ésentant du peuple, ne connaissait le magnétisme que par ouï-dire. Il
lut
quelques traités et voulut amuser son séjour à la
a de temps en temps et réalisa plusieurs des phénomènes dont il avait
lu
la description. L’ayant magnétisée le 6 octobre,
lecture des nombreux traités qui ont été faits sur cette matière. On
lira
cette brochure avec plaisir. Nous y avons remarqu
u'il est utile de rectifier. Page 559, ligne 26, uu lieu de depuis,
lisez
rfèi. Page 542, ligne 15, au lieu de à chaque,
ieu de depuis, lisez rfèi. Page 542, ligne 15, au lieu de à chaque,
lisez
chaque. Page 543, ligne 36, au lieu de qu'il y
e à chaque, lisez chaque. Page 543, ligne 36, au lieu de qu'il y a,
lisez
quil a. Page 5«, ligne 10, nu lieu do témoigner
u'il y a, lisez quil a. Page 5«, ligne 10, nu lieu do témoigner le,
lisez
témoigner du. Page 550, ligne 2, article sur le
0, ligne 2, article sur le jury spiritualiste, au lieu de discussion,
lisez
désunion. Baron du POTET, propriétaire-gérant.
ntimement depuis longtemps. « Les procès-verbaux des séances furent
lus
et adoptés. Sur la proposition de M. Storer, la c
à travers la porte un magnifique palais d'une architecture grandiose.
Lue
de ses ailes était occupée par l’escalier où je m
maman , il a dit loto; on admire la précocité du sujet. — Avez-vous
lu
ou entendu le superbe discours prononcé à l’Acadé
ait placé l’extrait de leurs vastes connaissances et ne pouvoir point
lire
l’étiquette placée sur ce paquet précieux ; tous
toutes choses, vous les fermiez pour le magnétisme, pour pouvoir (
lire
au monde : Je ne l’ai pas vu , je ne le connais p
et 28 novembre 1858, que nous trouvons les faits historiques qu’on va
lire
: Baron nu Potet. Nous connaisons la vie publ
ant au premier passage qui me tomberait sous les yeux. J’ouvre, et je
lis
au haut d’une page : celle a/faire eut de nature
d’ajouter foi aux prédictions faites d’après l'influence des astres,
lisons
-nous dans la Vie privée du maréchal (le Richelieu
de diablerie se bornaient à de, jolies petites cornes. 11 avait fait
lire
Monsieur dans un grand livre tout rouge et tout e
nsieur dans un grand livre tout rouge et tout enflammé, et il y avait
lu
, en très-distincts caractères, qu’il serait roi u
e Gustave III. Stockolm, 1805. lu-8°, tome V, pages ï'J8 et 301. (
lu
régent, une cachette pratiquée dans le mur et trê
tes les voluptés et se livra à toutes les turpitudes. 11 affectait de
lire
Rabelais à la messe et de passer dans des orgies
, pour lui avoir prédit à l'tige de neuf tins i/u elle serait un jour
lu
)imitresse de /.ouis AV (1). Elle faisait souvent
/.ouis AV (1). Elle faisait souvent consulter une dame Bontemps, qui
lisait
l’avenir dans du n:arc de café. Elle se déguisait
« Extrait du journal /'Exposition de Dijon, n* 18. Bon laboureur,
lu
perds ta poine En répandant sur tes sillons Le ch
re 1858. Monsieur le baron, Il y a un an, la fantaisie me prit de
lire
quelques ouvrages de magnétisme, et à la lecture
, mais la réflexion ne tarde pas à montrer que rien n’est plus vrai.
Lisez
l’histoire de toutes les découvertes, vous verrez
ez à. toutes les pages de ce grand liviela preuve de notre asserüon ;
lisez
le long et douloureux mattyrologe des novateurs,
rme découvert en 1831 par M. Soubeiran, analysé par M. Dumas en 1834,
lut
proposé pour remplacer l’é-ther en 1847 parle doc
JANVIER 185* l lisme les yeux ouverts, et dans ce cas le regard est
lise
, les paupières immobiles, la pupile insensible au
rare, est soumise à certaines conditions qu’il convient d’indiquer.
lue
somnambule fréquemment mise en crise sera plus lu
une lettre, indiquer le caractère, le sexe, l'âge, la constitution de
lu
personne qui l’a écrite et le sens du contenu de
ersonne qui l’a écrite et le sens du contenu de cette lettre; même en
lire
les mots, bien quelle soit cachetée. Mis en rap
infinie, et « les hommes, dans leur orgueil immense, ne le compren-«
liront
jamais. » « Lesniediums seuls comprendront peut
lque chose; je n’en veux pour preuve que ton pouvoir parmi nous ; car
lu
fais prendre pour vrai ce qui c t faux. La mort m
avertissement de leur fin ou de leurs angoisses. Comment nous vient
lu
pressentiment? Quel est le messager invisible qui
e même matière peut-elle prévoir les événements, donner la faculté de
lire
dans la pensée, de retrouver les choses perdues?
nalyse d’un livre qui en fut comme le premier évangile : « En 1665, y
lisons
-nous, Va-lentin Greatrakes faisait des cures merv
tracer rapidement, quoique il’une main ferme, quelques lignes qu’elle
lisait
à haute voix à mesure qu’elle les reproduisait su
sumer la pensée de cet écrivain pour ceux de nos amis qui ne pourront
lire
son œuvre. Disons d’abord qu’il n’admet dans le
extatiques pendant lesquelles l'âme étendait ses facultés. ' (i) Uo
lu
cause ilu sommeil. p. ru. (2j 0' l'Iiniiiortoli
e aussi la santé ou la maladie, l’attraction ou la répulsion. .Nous
lisons
dans la Philosophie médicale d’E. Stahl, que l’âm
« Dans le cours de l'année 1841 à 1842, 011 vit apparaî- (t) Vov.
lu
Théâtre sacré des Cévenncs, par Maximilien Moisso
l’on \ient de publier à New-York. L’analyser ne se peut : il faut le
lire
, il faudrait même le traduire pour ceux qui ne li
peut : il faut le lire, il faudrait même le traduire pour ceux qui ne
lisent
pas l’anglais. M. Edmonds, juge à la cour suprê
BARTHKT. PETITE CORRESPONDANCE. tvin génirnl — Les Séances que M.
lu
Polel l'ail le Dimanche depuis pins de 8 ans. von
évoltant pour la conscience la moins timorée, et dont nous retrouvons
lu
justification chez les ' lairos du quiétisme et d
apùlresiie l'illuminisme peuvent se réduire en trois sections : I"
Lu
médecine de concentrai ion, c'est-à-dire l'action
ythonisses, élevées sur la «table à trois pieds,» agitées parle dieu,
lisaient
dans l’avenir. Tout le culte ido-lâtrique n’était
n tourmentant une table sous la pression dos mains? Nous avons bien
lu
flans l\s li-\ les sacrés que l’homme a été fait
vous adresser ces réflexions. Notre lettre n’est pas destinée à être
lue
du haut de la chaire. Le mal que nous signalons n
;;i'r ■•«mMialwU', ni ■’u l'.ml ; -Munlinurlrc. à I aris, qui* sont (
lus
ces prodiges !■ li:ri-!i!c. .. De plu», nous |i
ne sais pas si on a mis mon nom el mon adresse dans ce journal; j’ai
lu
d’autres journaux qui ont parle de ces deux faits
de 'ivre de ce que la nature vous a ilonnc ? M. le Président. Vous
lirez
une étrange conséquence de ce que nous vous dison
ermis de relever une contradiction dans le ministère public. Vousavei
lu
les deux anecdotes racontées par le journal \'A
bbé Fat ki, dans un ouvrage imprimé en 1819, el qui a pour titre : De
lu
cause du sommeil lucide. Pour ce célèbre magnét
. Ce prélat exprime sa prohibition en ces termes : n Vous avez déjà
lu
, sans doute, nos très-chers coopéra-teurs, ce que
. le duc d'Angou-leme, qui le plaça dans les mousquetaires gris. 11
lut
nommé chevalier de la Légion-d'Ilonneur pour un t
insérée dans son numéro du 20 janvier : Monsieur le rédacteur, Je
lis
dans le Journal du Magnétisme, n° 176, un article
soin de le bien faire nettoyer, pour é' iter (pie la conductibilité (
lu
métal ne soit amoindrie par quelque corps gras. C
un temps donné ; elle est essentiellement variable, et les progrès «
lu
génie humain la reculent indéfiniment. 11 ne s'ag
ison parfaite. Paralysie. — Une femme avait un bras paralysé depuis
lu
main jusqu’au coude, la main ôtait fermée et inca
, qu’il avait rencontré juste ; les deux mois étaient : tissu 1/ouso,
lu
verge de Moïse. Le bruit de cette merveille s’éta
ations, en lit la signification, de même que, dans certains cas, nous
lisons
sur la physionomie les effets des passions, et qu
haîne ou le baquet, comme le faisaient Puységur et les amis n'unis de
lu
Société de Strasbourg, que ce grand homme présida
missaire central jugèrent à propos d’envoyer chercher la gendarmerie.
Lue
heure après, dix gendarmes, commandés par le capi
agie? C’est ce qu'il nous est impossible de dire, bien que nous ayons
lu
son numéro avec un soin scrupuleux. 11 se pose en
s sommes obligé de répéter avec lui : fiat lux. A.-S. MORIN. J’ai
lu
aussi, et très-attentivement, la nouvelle œuvre d
st frappé de la ressemblance de leurs titres ; et si l’on vient à les
lire
, on trouve que le sujet en est en effet semblable
fond des ouvrages de M. Delaage ne change pas, et que quiconque en a
lu
un les connaît tous. Cette appréciation , vraie e
xamen de C article de M. Babinet sur les tables motivantes. J’avais
lu
d’abord assez légèrement, je l’avoue, au café, en
sité du parquet, un joint du pavé ou simplement le frottement, suf-
lisent
pour déterminer cette résistance. Or, en dirigean
doigts, ou enfin qu’ils ne sont pas dans les circonstances nerveuses (
lisez
l’état magnétique) nécessaires pour que toute leu
ant un cercle divisé ayant son centre au centre d'oscillation, pour y
lire
l’amplitude du mouvement; qu’on mette l’appareil
ux qui n’ont pas la tournure d’esprit mystique, feront bien de no pas
lire
ces quelques lignes, qui ne seront pour eux qu'un
qu'on présente aux dix les quatre verres, pour tous ce seront bien (
lu
vin, du sirop d’oranges, du kirch et de la bière.
avril 1854. A. PETIT D'ORMOY. POST-SCRIPTUM. Cet article a été
lu
à la Société du Mesmérisme dans sa séance du 6_av
comme d’habitude, les médailles décernées par le Jury. Le Journal (
lu
Magnétisme rendra compte de cette solennité. La
i-même le principe cerUiu de la rénovation des sciences, — en lui est
lu
vie el lu lumière. Il est donc facile de prévoir
principe cerUiu de la rénovation des sciences, — en lui est lu vie el
lu
lumière. Il est donc facile de prévoir une révolu
la routine aux abois, n’excitent plus que le sourire et iront bien-
lût
rejoindre les graves sentences fulminées jadis co
eux dernières solennités, était venu cette fois payer sa dette ; il a
lu
lapièce de vers suivante : I.n liaison et le Sr
SENTIMENT ! _ « Puissent ces deux éléments du progrès rationnel et (
lu
triomplie final du mesmérisme, étroitement et sol
t en marchant, et dans leurs yeux pleins d’une indomptable énergie se
lisent
les hautes destinées. Sur leur front ondoie le dr
ilieu d'un festin. Jl. le D' Léger, fervent apôtre du magnétisme, a
lu
avec une grande chaleur d’âme une de ses inspirat
uter les coups du tcmpsl Chez nous il ronge toute chose, Il fane le
lis
cl la rose. Il sèche le pré le plus vortj Le te
épond : • Bravo I o Et jette au feu maint in-octavo Qu'il n'avait pas
lu
. Puis, subito, 11 se met en branle ex professa
nné une grande vogue à l’ouvrage, et si tous les sceptiques qui l’ont
lu
n’ont pas été convertis, c’est que leur intellige
ent el MM. les membres du Jury magnétique. Messieurs, Je viens de
lire
dans le Journal du Magnétisme que vous m’avez fai
le Président du Jury magnétique. Mon cher Monsieur du Potet, J'ai
lu
avec plaisir que l’institution d’un Jury magnetiq
non écrites, en sont une preuve. Quant à l’étude, si vous avez bien
lu
mes écrits, vous m’avez vu à la recherche constan
res aussi rapides que nombreuses, tel paysan qui ne savait point même
lire
, et n’en improvisait pas moins des vers grecs et
os que je crois devoir traduire ici en entier. 11 m’a semblé qu’on ne
lirait
pas sans intérêt ces quelques lignes éloquentes
ière est ainsi conçue : Monsieur le rédacteur, J’ai l’avantage de
lire
quelquefois votre intéressant Journal du Magnétis
que les oreilles soient sensibles à une autre harmonie, fût-ce celle (
lu
comte Gabrielli. Encore un mot. La Gazelle de F
es. « Dans le Kamschatka, c’est aux femmes qu’est réservé le don de
lire
daus l’avenir : remplissant à la fois les fonctio
’être ou de se produire? « Il existe entre le courant électrique et
lu
force^ inconnue du système nerveux, une analogie
astie, mais bien force lui était de l'admettre comme fait... Et qu’on
lise
donc Parent-Duchâtelet, qu'on lise Lauvergne dans
l'admettre comme fait... Et qu’on lise donc Parent-Duchâtelet, qu'on
lise
Lauvergne dans son appréciation du bagne, on verr
fre par intervalle aux regards du jeune homme les sourires furtifs du
lis
et des roses.... Bientôt l’entrain redouble, ils
conduire vers un but qui en assure la durée. HÉBERT (de Garnay). (
Lu
suite au prochain numéro.) .Société l'Iiilnntli
s y serions résigné , mais un article signé Rupert, et que nous avons
lu
il y a peu de jours dans Y Univers, a brisé notre
prits de ténèbres et des esprits de lumière. Le jour que je venais de
lire
la relation démonologique de M. l’abbé Gav, ne sa
ettres ne formant aucun sens, c’est-à-dire que l’esprit n’a jamais pu
lire
ce que nous lui demandions. Quoique j’aie réuss
es effets merveilleux et n’en ira pas chercher la cause plus loin que
lu
force émanant de lu foi i/ue chacun porte en soi.
x et n’en ira pas chercher la cause plus loin que lu force émanant de
lu
foi i/ue chacun porte en soi. Ces quelques lign
nia mère a ilil à plusieurs personnes qu’elle in Y-tait redevable de
lu
rie; je rapporte en toute lnunilité cet hommage a
« Ainsi que le remarque M. Rayer dans la note intéressante qu’il a
lue
à ce sujet à l’Académie, lorsque la gaine fibreus
yens à sa disposition pour calmer cette agitation violente. 11 voulut
lire
, mais ses paupières, brûlantes et distraites tout
ce « de colosse qui me dit avec un rire infernal : Dans deux « heures
lu
seras à moi'. L'uniforme du soldat disparut alors
les boulets ne me connaissent plus; il m’arrivera mal-i heur ! » «
Lu
lendemain, le sort des combats lui tenait parole.
t. Je n’avais jamais entendu parler de cette coutume, je n’avais rien
lu
à ce sujet, et je suis, je crois, le premier voya
les. L’Histoire analytique, critique, philosophique el ynédicale (
lu
magnétisme animal, par le D' Bellanger (extrait d
res. Après l’inefficacité des pilules de Méglin, de la strychnine, •
lu
sous-carbonate de fer, des vésicatoires, on admin
lagement. Plusieurs observations, semblables à celle qu’on vient do
lire
et qui me sont personnelles, 111e font comprendre
5i. VARIÉTÉS. Ucfiic des Jonrunnx. — Le Moniteur des Ilôpilau.r, ■
lu
G décembre dernier, contenait ce qui suit : c L
que c’est que le triple-électro-galvanique. C'est ce que vous pourrez
lire
dans un petit livre récemment annoncé sous le nom
issance de nos lecteurs. » — Eu analysant le remarquable Traitt. de
lu
Science tnf-dicnlc du IV Edouard Auber, Y Union,
Montrose. Quand M. Napier lui montra des lettres de cet homme célè-
lire
, elle ne fut pas mise sur sa trace, et ne dit rie
itement rendu compte de ce qu’elle renfermait. Comme Emma ne sait pas
lire
, il faut que le sens de la lettre lui soit par-v
regarde ce fait de lucidité comme pleinement satisfaisant, d’autant 1
lus
qu’il se passa en ma présence, d’une manière tout
ut à fait accidentelle. Le trait le plus frappant, c’est qu’ Emma ait
lu
, non les mots écrits, mais les pensées exprimées
ent les faits de cet ordre à la lucidité sympathique, à la faculté de
lire
la pensée, par exemple ; mais il est certain que
moins incompréhensible que l’autre. «1° Clairvoyance sympathique. —
Lire
la pensée d’autrui est une des formes appartenant
es; la publicité qu’elles ont reçue dans l'Edinburg New, journal fort
lu
en Écosse, leur a donné un relief digne de l'auto
perturbations. Si je n’ai pas cherché, en écrivant dans le Journal (
lu
Magnétisme, à contrebalancer l’entraînement génér
glissé une erreur. Au lieu de laliludei, c’esl longitudes qu’il faut
lire
. BIBLIOGRAPHIE. OBSERVATIONS SÜR LE FLUIDE OR
ercueil noir avec une plaque d’argent portant une inscription ; ils y
lurent
le nom de leur fils, qui se trouvait alors dans l
t après elles sont d’un rouge brillant, et il est aussi facile de les
lire
que des traces de craie sur un mur. Quand on les
ai un morceau de papier bleuâtre, couvert d’écriture. Je le pris pour
lire
ce qui était écrit, A ce moment, je sentis la pré
puis le craquement des mâts de navires et le mugissement du canon. Je
lus
alors le papier sur lequel étaient écrits ces mot
étiseur, qui lui demandait d'où lui venait cette précieuse faculté de
lire
dans la pensée des personnes, de discerner les ma
s il y a également un autre ange placé sur la gauche. La physionomie «
lu
premier, portant une tunique blanche, est douce e
ra la lucidité de ses réponses dans son sommeil ; on répandit qu’elle
lisait
les yeux fermés, etc., etc. Je ne vis rien de sem
Reçois des sphères mystérieuses le don de tout com-u prendre, de tout
lire
dans le inonde, de parler et d’écrire u noblement
r. Voyait-il réunis dans un cercle intime des parents ou des amis, il
lisait
aussitôt dans leur cœur les mauvaises pensées, le
d’une pierre magnétique appelée (espèce d’ocre de fer). Jeunesse de
lu
voyante. Le village de Prevorst est, dans le ro
dée avait annoncé sa mort sept jours d’avance, la personne dont on va
lire
l’histoire. Ses frères et sœurs avaient tout jeun
mauvaises actions. Les mots placés sur son estomac étaient facilement
lus
par elle. Le nom' de Napoléon ainsi placé à plu
; une autre fois, en l’engageant à visiter son fusil de chasse, atten
lu
qu’elle l’avait vu se blesser en tirant sur un re
à un chiffre dont elle dépend. 7, disait-elle, était le sien. Elle
lisait
ces chiffres, et la langue interne dont il a été
es individus, tels que Jacques Boëhm, ayant dit, comme la voyante, la
lire
dans leur estomac, je vais en citer quelques-un
de son Quœre el internes, la communication du chapitre qu’on vient de
lire
. Je ne doute point que cette relation intéresse n
vit jadis des hommes, animés par la foi, aller, «le tous les points «
lu
monde, jusqu’au tombeau du Christ, pour toucher e
choses, — c’est une guerre à mort, où le mot d'ordre est: Ôte-toi de
lu
que je m’y nielle. On pourrait peut-être trouve
nce nouvelle, et ne prétendons à d'autre titre qu’àcelui de soldat de
lu
vérité ; que ceux donc qui croient être plus capa
distinguer ce qu’ils voient de ce qu’ils croient voir. Après avoir
lu
le récit pompeux des merveilles dont l'auteur a é
doués d’un sens nouveau inconnu, puisque, de l’aveu de l'auteur, ils
lisent
la pensée d’autrui, pénètrent dans les profondeur
tiques, de croire aux miracles, aux démoniaques, aux sorciers. S'il a
lu
les ouvrages qui font autorité en magnétisme, il
e le passé et pose les conditions du présent. Nous pensons qu’il sera
lu
avec intérêt. « Déjà, en 1845, il s’était formé
l’enthousiasme et du scepticisme. Nul homme de bonne foi, après avoir
lu
, pesé et mûri les termes du premier chapitre de s
somnambules : ce sont des dissertations pleines d’intérêt, qui seront
lues
avec fruit, et qui, nous l’espérons, encourageron
e nous suivait un peu plus loin. La lune était claire, « on aurait pu
lire
une lettre, aussi les ombres, par opposi- * tio
t à moi, j’entendis; la plainte résonnnait encore à « mon oreille. Je
lis
un effort immense et je demandai à cet « être mys
île diablerie se bornaient à de jolies petites cornes. 11 avait fait
lire
Monsieur dans un grand livre tout rouge et tout e
nsieur dans un grand livre tout rouge et tout enflammé, et il y avait
lu
, en très-distincts caractères, qu’il serait roi u
ontinue? « — Quelle continue, répliqua-t-il vivement. Pouvez-vous «
lire
dans la pensée de cette femme ? « — Oui. « —
porte à « sa ceinture ; elle l’a reçue ce matin. « — Pouvez-vous la
lire
? « — C’est dillicile ; cela me fatiguera bien.
-vous la lire ? « — C’est dillicile ; cela me fatiguera bien. « —
Lisez
-la, je le veux, interrompit M. de Puységur en « l
! que vous me faites mal ! vous me brisez la tète et « le cœur. « —
Lisez
. « — Je vois, je vois. Vous êtes bien fou, mons
hure Explriencei de l'ffàtel-Dhu, et co Journal, tome I, page 242. (
lu
régiment d'artillerie en garnison à Strasbourg, c
quant à moi, je vous assure que le frisson me prit. J’avais justement
lu
la veille la fameuse prophétie de M. Cazotte, env
vent ajouter une foi complète à, des présages!.....» A peine a-t-on
lu
ces réflexions que les yeux s’arrêtent avec snrpj
, faut-il rappeler l'exemple des tireuses de cartes, qui prétendent y
lire
le passé, le présent et même l’avenir? Faut-il di
Amérique, étaient déjà connues et proscrites par l’Ancien-Testament.
Lisez
Samuel, xvm : « Et Saül dit à ses serviteurs :
ourd’hui sont exactement les mêmes que celles de l’Ancien-Testament :
Lisez
, Actes xvi, verset 16. Paul dit : « Or, un jour
ont qu’un mot à dire pour te pulvériser!.... — Je me contenterai de
lire
à haute voix les pages mensongères de leurs savan
par un homme qui n'a pas perdu l'esprit. Ecrit avoué par M. Mau-rin (
lisez
: A. Morin). — Critique par M. A. S. Morin, 60.
(1) Rapports du physique et du moral de l'bomme, 1.1, p. 1Î2. Ce
lut
la Faculté de médecine qui condamnq l’usage du qu
ettre qu’il a adressée aux éditeurs de l'Abeille. Messieurs, J’ai
lu
avec beaucoup d’intérêt les observations d’un cas
per, etc... » Revue des Journaux. — L'Union ci-devant monarchique, «
lu
5 décembre, conteste aux guérisons du prince de H
ux sur le sang, el réciproquement du sang sur l’agent nerveux. Nous
lisons
dans un ouvrage (i) de M. Yirey : « S’il existe u
t à votre Journal. En somme, je sais peu; car j’ai peu vu et très-peu
lu
. Seriez-vous assez bon pour faire choix des liv
’ai bien mal à la tête aujourd’hui. Oh! comme je souij're! Olp?-r moi
lu
mal de tête. J’essaje de dégager la tête, elle
ation à ce principe, que nous publions aujourd’hui la lettre qu’on va
lire
ci-après. Il est si rare de trouver des esprits é
émoires. * pdUt- cdnstatMl'èitistehcè d(i fluide magnétique. Ntitià
lisons
dans un de ses ôuvràges (i) i Ayant UiàgnéHsé u
e boutèille, là sdmnatnbulë vit chàqué fbis üft fltlide diifërertt, J)
lus
où mollis brillatit, sUi-vant leur forcé nerveuse
nce toute particulière. Le magnétiseur habituel de M‘"e Gournay avait
lu
la première partie d’un feuilleton dp la Démocrat
r. Au temps de Cicéron , un Nigidus Fi-gulus enseignait l’astrologie,
lirait
des horoscopes et faisait profession de retrouver
« Je passerai peut-être pour un menteur, dit-il, si je « dis que j’ai
lu
au ciel, en caractères hébreux, tout ce qui est d
ont témoins que je nementspas: « j’ajouterai seulement que je ne l’ai
lu
qu’implicitement. » (Ancienne Encyclopédie, Art
x esprits qui parlent, qué de dire qu’unè chose est ceci ou cela; ear
lis
croient toiit savoir, et ils affirment solennelle
ange ! puis cesser de l'être 1mV4 •'»)]> uonoosi taM . > nw?«
lût
puis, ce.langage des anges qui ne peut s’exprimer
lques objections à mon honorable Colli'gne le Docteur Perrier. J’ai
lu
avec une religieuse attention les divers articles
vérité. DU rOTET. Propagande. — Le contenu de la lettre qu’on va
lire
, mérite d’être pris en sérieuse considération. La
hiüHüfl A Mademoiselle Clémence, . ; tf ademoiaellp,. i, v i J’ai
lu
dans la l'atrie, du 5 février, la commiini- rat
ayé déjà; mais je pense qu’on s’y est mal pris, en cherchant àj fai.e
lire
au loin les somnambules. On a bien constaté quelq
suivre les progrès des sciences physiques et physiologiques, c’est de
lire
les notes que M. Du Bois-Raymond a insérées dans
’avez jamais cherché, me « disait une personne de la société, â faire
lire
à votre « élève une lettre cachetée, sans que vou
nner l’air inspiré. Il tient â la main une grosse Bible, qu’il paraît
lire
avec attention. Il exhale une odeur d’ail et d’og
uprès du médecin. Quand j’arrivai en face de sa barrière, un individu
lisait
une affiche dans laquelle on parlait de somnambul
révenu On l’a introduit dans sa maison. Sur la porte d’une chambre on
lisait
: 011 paie 3o fr.; sur celle d’une autre chambre,
uis. Ma femme et moi mangions de l’ail et de l’oignon, et Riéder nous
lisait
la Bible tous les jours. » Après l’audition de
de là , je retournai chez ma malade. Riéder, qui s’y trouvait encore,
lut
bien forcé de reconnaître qu’il n’avait pu réussi
utoriser la lecture. 7° La distribution des médailles décernées par
lu
Jury magnétique sera faite devant toute l’assembl
-tesman, puisqu’elles le savaient d’avance, mais qu’elles disaient le
lire
sur la poupe. « L’une d’elles dit : « Il n’ar
able d’arriver an degré supérieur, c'est-à-dire à des rapports avec
lis
êtres célestes, et se renferme raisonnablement da
r, page 01, lig. il, l'uubli d’un mol a produit uu non-sens ; il faul
lire
: « fiole non magnétisée. » PETITE CORRESPONDAN
Essayez. « On écrivit alors plusieurs noms sur un papier; elle les
lut
, et répondit : — Son nom n’y est pas. — Tâchez de
K ANI) SWEDENBORG : or, the Relation of the Developments of Mesmerism
lu
the Doctrines and disclosures of Swedenborg; by G
glissé une erreur typographique, page|97 , ligne 5, au lieu de 1709 ,
lisez
1679. Swcdenborgisme. « Jusque-là, dit-il, je n
plus impressionné. Quant aux livres de sciences, il n’en avait jamais
lu
un seul ; et lorsque, dans son étal mesmérique, i
manifeste pour moi; et I’esprit gui est maintenant sur votre esprit,
lira
ceci et jugera d’après ses rapports avec vos écri
faire écrire une lettre qu’il aurait dictée lui-même et qu’il aurait
lue
mot à mot, non pas dans sa propre langue qui étai
xtrême. Ayant reçu de lui l’assurance solennelle qu’il n’avait jamais
lu
une seule syllabe des Arcanes, et qu’il ignorait
eût les yeux bandés avec soin, et qu’il fût dans l’impossibililé d’en
lire
un mot. Je n’eus pas besoin de recourir à un seul
ar il était positif qu’il le possédait en entier, quoiqu’il n’eût pas
lu
une seule ligue ele eu que j'avais écrit ; ni s
ui ont élé écrits les premiers; et que les dignes et les indignes les
lisent
; — mais tu réserveras les soixante-dix derniers,
de la trance magnétique. Qui pourrait donc nier, douter même, qui:
lu
héros «Je celte chronique ne lût plongé, par suit
urrait donc nier, douter même, qui: lu héros «Je celte chronique ne
lût
plongé, par suite de l'ingestion de la liqueur my
/lambeau de l'intelligence ne s'éteindra pas avant que les choses que
lu
auras commence d'écrire ne soient achevées. Et ce
d’Esdras, cl Swedenborg relui du Très Haut. EfFrcli- vement, nous y
lisons
que J. Davis quille intuitivement la ville pour a
, lui ensuite pour M“* Eugénie Foa, qu’une cruelle maladie empêche de
lire
, les vers suivants, composés par elle pour la cér
Ont soumis à leur volonté? Rien ne résiste à leur puissunce, Et (
lu
livre de la science Us n'ont qu'à tourner les feu
qu'à tourner les feuillets Pour en apprendre les secrets. Four eux
lu
nature est de verre: De partout jaillit la lumi
ue. Mais que vous dirais-je de plus, Oui ne soient discours super/
lus
? Jadis, si j'ai bouue mémoire, On m'a raconté
de moins, rien de plus. Celle poésie, outre son propre mérite, fut
lue
avec tant de sentiment par M. Bonnellier, que, d’
(1) Calcmboorg cVAIcide'l’oo‘ct. [Tlir'ûht WonMiu/rr.) J'al laque
lu
grand lympatMqut Kl les nerfs qui louchent au uui
J'al laque lu grand lympatMqut Kl les nerfs qui louchent au uuiur. (
lu
sont les nerfs, etc. Rencontrons-nous des tôles
avec tant d’elfusion , que tout le monde en était ému. II demanda à
lire
un poëme incorrect, dont l’idée cl les expression
ains contre esclaves. Tout obéit, tout s'élance !i ma voix! ! ! Je «
lis
un mot : tout rentre dans le calme; Le coursier
e de M. Govi a paru mériter une attention spéciale ; elle devait être
lue
à l’assemblée, mais le temps ne l’ayant pas permi
t nous verrons jusqu’où peut aller l’aberralion de l’esprit. « Je
lus
réveillé dans la nuit par une grande lueur partan
de voiture près du pont de Neuilly. C’est une fort jolie montre, je
lis
le nom du fabricant..... Ah! un soldat passe, j
est adressée, et est ainsi conçue : Monsieur le rédacteur, Ayant
lu
dans le n° 111 do votre journal, les expérimentat
utre, ce Laurent avec sa Prudence? Mais ce n’était pas autre chose...
lût
l’année dernière, Lassaigne qui montrait aussi un
qui ont cru aux horoscopes, aux sibylles ! Et pour prouver qu’il peut
lire
dans le destin, ce personnage interpelle trois ou
rs modernes, qui n’ait eu ses représentants à la foire d’Orléans ! On
lisait
sur deux petites baraques, cette piquante inscrip
ppela brièvement le but de la réunion , puis M. le Secrétaire-général
lut
son rapport, dont voici la teneur : Messieurs ,
ours dirigées vers l’application thérapeutique du mesmérisme, premier
Lut
dos magnétiseurs. lin un mot, majeures par le fon
ici la valeur; tous les magnétiseurs qui aiment à s’instruire les ont
lus
et y ont puisé de solides enseignements. Par so
x partisans les plus connus du magnétisme. Société du Magnétisme de
lu
IVoiivcllc-Orléaus. De toutes les institutions
x : ajoutons-y encore quelques traits. Sachant que peu de personnes
lisent
les ouvrages, tandis que les journaux sont lus av
ue peu de personnes lisent les ouvrages, tandis que les journaux sont
lus
avec avidité par tout le monde, la Société fait d
mme la découverte qui l’a enfantée. Voici un des morceaux de poésie
lus
au banquet mesmérien de la Nouvelle-Orléans; nous
èrent dans l’expectative. Enfin le grand jour arriva, et chacun put
lire
ce qui suit : TRIBUNAL CORRECTIONNEL DE LA SEIN
DECINE. — DIVINATION. — ESCROQUERIE. — MAGNÉTISME ET SOMNAMBULISME.
Lisez
-vous les annonces qui illustrent la quatrième pag
ez volumineuse, dontM. Truy, faisant fonctions de ministère public, a
lu
quelques extraits, et plusieurs baguettes de coud
Elle y viendra tout en dormant, Et restera-z-endormie, A moins qu’
lu
n’ 1’ dis’ galamment : « Réveillez-vous, ma mie
un canard. Suivant celte feuille, une somnambule de Bruxelles, aurait
lu
dans le cabinet de M. Ponsard une tragédie que ce
e chose de brillant qui me fascine et m’éblouit. » Un soir, Gustave
lisait
un roman qui semblait l’intéresser beaucoup; on l
uille étalée, en voulant qu’à son retour le jeune homme ne puisse pas
lire
. Après le repas, Gustave va reprendre son livre;
oment où je le dégage. Excellent moyen pour empêcher un adolescent de
lire
de mauvais livres. Dans ce phénomène, le sujet
magnétique; nous croyons devoir en présenter le résumé à ceux qui ne
lisent
pas le Journal du Magnétisme. La question déb^t
protectrice. Paris, le 28 juillet 1850. Messieurs, Je viens de
lire
l'api el que vous avez fait aux amis de la scienc
rouvait une porte masquée par une draperie , au-dessus de laquelle on
lisait
: « Cabinet de la Sibylle moderne. » Us entendire
riomphe glorieux aux condamnés de la veille. Nous vous prions, M de
lire
l’appel que nous avons eu l’honneur de vous adres
fut convoquée chez M. Mongruel, dans les derniers jours d'août. On y
lut
une lettre d’adhésion du vénérable Laforgue, en f
de pénétrer vos pensées, vos désirs, vos émotions de toute nature; de
lire
en quelque sorte à livre ouvert dans votre cervea
un exemple; en voici un autre : Ouvrez un livre quelconque au hasard,
lisez
, avec un somnambule, la 10% 12e ou telle autre li
la page ouverte; puis, sans ouvrir autrement le livre, priez-le de
lire
à travers les feuillets restés en place la ligne
ivante, que personne assurément ne peut apercevoir, vous le verrez la
lire
immédiatement, et ajouter, s’il se peut, à votre
re , en quelque sorte, moralement et intellectuellement avec vous, de
lire
, comme à livre ouvert, dans votre cerveau, nous n
d’une foule d’adeptes ignorants, sont la-propos de l’article qu’on va
lire
. Nous avons été servis à souhait. « Le D1' B***
é lucidité, n’avait pas reçu cette application lors de la confection «
lu
Code , de faire réformer l’article en leur faveur
es moyens doivent varier selon les individus et les circonstances. Je
lis
sur le dos des insufflations à chaud : à peine av
vre ses leçons. Je fus bientôt initié aux mystères de la science ; je
lus
assidûment tous les livres que M. Ricard mit à ma
ns, leurs chats, tout me devint des sujets d’expérimentations. — J'en
lis
de très-belles à Paris, en Belgique, en Allemagne
Baron DU POTET, proprictairc-gcrant. THÉRAPEUTIQUE. Variété «
lu
.Mesmérisme — Hlsousslon sur 1» thérapeutique inu
raitement de l’apoplexie indiquée dans le mémoire qu’on vient de vous
lire
. Je résume l’objection de M. Louyet, et je ne cro
Il y aurait aussi à écouter aux portes de tous les gouvernants et à
lire
les lumineux articles des feuilles publiques, lor
e dont les pages n’étaient pas coupées et demandait que le somnambule
lût
à une page désignée. Alexis expédiait tous ces cu
e déplace le rôle des sens, se sert des doigts ou de l’épigastre pour
lire
; car, s’il en est ainsi, il n’est pas vrai de di
tit«d«la page 17 du n° l«r de 1857. Au lieu d«guérison d'une hernie,
lisez
: réduction. Baron dd POTET, propriétaire-géran
nes se produisent, et ceux qui douteraient de cette vérité n’ont qu'à
lire
les excellents et profonds ouvrages qu’un savant
lante en magnétisme n’est plus aujourd’hui un fait contestable. Qu’on
lise
à ce sujet tout ce qui a été écrit sur semblable
s. On n’a qu’à se rappeler l’expédition que M. Babinet a faite dans
lu
Revue des Deux-Mondes contre les tables tournante
lisations commençantes, où la poésie est la seule littérature, disons
lus
où*les poè^s — les ®tres essentiellement sensitif
foi est calme et exclut la dispute, et toi, incrédule, tu prouves que
lu
n’es qu un sot présomptueux , un enfant qui devra
r qui s'é- tait d’abord moqué de M. Hume, ne suffisent pas, qu’on
lise
les deux articles suivants, dont l’un est emprunt
articles suivants, dont l’un est emprunté à M. Méry, collaborateur de
lu
Presse, littérateur célèbre, dont le sérieux et l
ence de progrès, que le spiritualisme américain , ainsi que l’appelle
lu
ilevue romaine, fait des pas de géant dans le mon
uperstitieux de l’autre, qui lui sont également hostiles. Quiconque
lira
le résumé de ce travail accompli sous une influen
nges que celui des démons. Le royaume de Satan serait-il divisé ?
Lisez
les journaux d’Amérique pour être édifiés sur ce
vril dernier. A la page 179, dernier paragraphe , au lieu de sternum,
lisez
ilernutn; et, au bas de la page 183, au lieu d«ma
lisez ilernutn; et, au bas de la page 183, au lieu d«madama Vedeaux,
lisez
madame.—Dans l«numér«du 43 mars, aux pages 166 et
Vedeaux, lisez madame.—Dans l«numér«du 43 mars, aux pages 166 et 168,
lisez
: Taxile llelord au lieu de Delor. Baron n«POTJ
médium parlant, et il n’est inférieur à aucun de ceux dont nous avons
lu
des relations. Nous obte-nous des manifestations
ier leurs communications, quoique tout le monde ait la faculté de les
lire
et de les examiner. Loin de nous lasser, nous som
uatorze à quinze ans et dont la lucidité augmentait chaque jour. Elle
lisait
couramment avec les yeux bandés , et lorsque, dou
en que mes yeux sont bien fermés et que ce n’est qu’avec l’âme que je
lis
. « Les paupières étaient tellement chargées de fl
avait été un jeu pour amuser différentes personnes, et qu’elle avait
lu
les yeux couverts d’un bandeau, au moyen d’une ou
r vers du quatrième couplet, au lieu de je fus croyant du magnétisme,
lisez
: je suis croyant du... A la suite de la premiè
re partie du premier couplet d«Terre et Cieux, mettez deux points, et
lisez
les huit vers de chaque couplet sans avoir égard
annière sainte, et que, sur ses plis déroulés au souffle des airs, on
lise
ces mots : La vérité, n’importe par quelle bouche
uplets. Un des élèves de M. du Potet, M. Gérard, s’était proposé de
lire
une petite pièce de vers en l’honneur de Mesmer;
ies , M. Morin a bien voulu se charger d’être son interprète, et il a
lu
les vers suivants qui ont été également applaudis
parer, une dame, qui n'avait pu pendant la première partie du banquet
lire
une pièce de vers de sa composition adressée à la
’Amérique aux bords du Gange, Nos frères se sont étendus; Honneur à
lu
sainte phalange Dont les cœurs se sont entendus!
r des issues qui vont aux profondeurs de l’âme , il prouve qu’il peut
lire
les secrets les plus intimes ; par des exploratio
t littérature. Mademoiselle X, médium très-remarquable, sortait de me
lire
des vers écrits sur son album par le poète Jasmin
n plus que je n'en voudrais dire, Bien moins que vous n'en pourriez
lire
; Ce serait trop sans être assez. — Ces vers n
n plus que je n'en voudrais dire, Bien moins que vous n’en pourriez
lire
: En me lisant si vous m'aimiet, Ce serait tr
ale de la mort du maréchal; elle n’a jamais été montée depuis. Nous
lisons
dans CUrion du 23 juin : « I.a veille de la batai
ormule embrasse à la fois : le mouvement, ou les différents degrés de
lu
vie de l’univers, la force ignée, la source tiali
univers, la force ignée, la source tialive-lumineuse, et capitalement
lu
puissance de ta volonté. De leur côté, les caba
e magnétisme. Voulez-vous connaître ce qu’en écrit Eliphas Lévi ?
Lisez
: «Dans la lumière astrale se conservent les im
s masses au-ttrnt appris ce qu'il est déféré de pouvoir à la volonté (
lu
plus privilégié des colons de la terre. Demandes
ébart. A M. te Rédacteur du Courrier de Paris. Monsieur, J’ai
lu
avec beaucoup d’intérêt les articles que vous ave
ture d’un nom latin, écrit dans l’intérieur des feuilles, et que nous
lûmes
ensuite au bas d’un portrait de femme, sculpté su
édente livraison, page ô43, au lieu d«: mai» le prince de l'aclivilé,
lisez
: le principe de.... A la page 345, à l'avant-der
he de la note t, au lieu île : parait exister pour tous moralement...
lisez
: pour tout... A la pag«346, au 5e paragraphe, au
au 5e paragraphe, au lieu de : nos paroles sont des élimentisalions,
lisez
: nos paroles et nos actes sont ies... LETTRE
ce sont les hallucinations. » (Du Dcmon de Sacrale, p. 260, par F. Lé
lut
, médecin surveillant de la division des aliénés d
e sciences pour pouvoir formuler une seule des définitions « qu'on va
lire
. Quand la table a commencé de sémouvoir sous nos
ffectivement, aux perspectives d’une carrière sans fin, l’adepte sait
lire
cette sentence équitable : Solidarité. Mais, au
éserve. On les accuse injustement de n’y voir que rouages et matière.
Lisez
les lignes suivantes de l’ouvrage monumen- l'âm
triques. turc, ilu moins pur les influences qu'ils Iransinellenl.
Lue
comparaison complétera cette idée. « Soit une
rpoii philosophique du lyttimc nerveux , p. 9 et 10. cncere, aUcn
lu
qu’elles réunissent et coordonnent les innombrabl
eurs miracles (1), parce que, sur (1 A cette occasion, on ne pourra
lire
qu’avec fruit l'extrait que je transcris d'un ouv
douceur du Saint-Esprit qui dictait des colères de l'espèce qu’on va
lire
? Eiriuir d'uns bulle donnée au coxcile de trove
tous les anathèmes. Qu’ils soient maudits dans la cité, miudits dans
lu
campagne! que le fruit a de leur champ soit maudi
s à la mère de l'enfant qu’il a guéri d«sa surdité, et que nous avons
lues
. Désormais, en parlant de lui, nous n’emploierons
l du Magnétisme (n* 3, 2" série), de l’ouvrage de M. Alexis Didier, —
lisez
Henry Delaage, — le Sommeil magnétique expliqué,
tions pompeuses empruntées à des écrivains qui paraissent n’avoir pas
lu
la Bible, le premier point est l’antipode de la v
ance annuelle des cinq académies qui a eu lieu le 17 août 1857, a
lu
une pièce de vers où nous remarquons le passage s
cela n’est que Xétrange folie d'un peuple d’esprits forts qui croit à
lu
magie. Et si, au milieu de cette tendance invin
critiquc.qu’a faite le Siècle de la versification d«M. Viennet, dans
lu
compte-rendu de la séance académique. (2) Ce so
lles-mêuics sc disent être, c’cst-à-dirc des hommes et des femmes que
lu
mort a transfigurés. Eli ! sans aller prendre m
lit. Je le pris : il faisait, clair de June, et je pouvais à peu près
lire
le titre de l'ouvrage. Cinq coups rapides furent
Tu (1) Voir le numér«du 25 août. courus chez le pharmacien , et
lu
y trouvas effectivement les trois personnes (pie
de moi que ceux que je puis toucher à l’état de veille. « Ceux qui
liront
les explications que je viens de te donner, et do
ces paroles de M. Delaage : « Elle (l’âme du somnambule séparée «
lu
corps) sc promène dans le temps comme dans son do
nettes montées en acier, de préférence à celles en écaille, soit pour
lire
, soit pour écrire, et surtout pour aller dehors
Vi e a distance; déplacement de l’ame. Monsieur le Baron, J’ai
lu
avec d’autant plus d’intérêt les deux articles de
Ces évocations, je les fais ordinairement (I) Sur ce dernier sujet,
lisez
la curieuse révélation d'Edgar Poe, la Vérité sur
etc. L. Lamothk. CLINIQUE. Lettre à M. le baron nr Potkt, sur
lu
guérison de diverses maladies ob lent tes par le
le dos de la malade avec de l'eau glacée. Non seulement ce traitement
lut
impuissant, mais encore 011 vit le mal empirer au
rniers jours, j'avais reconnu une lucidité extraordinaire. I.a malade
lut
complètement guérie au bout de dix-sept jours ; a
plaisir comme la peine?... Mais pourquoi vous signaler ces choses?
Lisez
vous-même, comptez bien, et je suis sûr que vous
on naturelle entrant pour moitié dans la provocation de l'hystérie.
Lisez
encore les tableaux de Georget, qui donne la fray
remarqua la contre-épreuve de l'arbre foudroyé. Objet d’un rapport
lu
en 178(> à l’Académie des sciences, ce fait fu
fait s’est également passé près de Zante. Voici un extrait du rapport
lu
à ce sujet : « Ayant dépouillé entièrement le j
ORDINAIRES. Cliaux-dc-Fonds, 2 octobre 1857. A Monsieur le baron (
lu
Potet. Monsieur le baron, Je vous envoie la r
éfense au somnambule de réitérer l’expérience... Huit jours après, on
lisait
dans les journaux : « Nous savons parfaitement ce
ne • découverte qui a beaucoup d’analogie avec celle dont on vient de
lire
le récit. Le T taveler, de Boston, rapporte q
çut mission de décerner un prix de 25,000 fr. au sujet magnétique qui
lirait
les yeux bandés. Ici est l’erreur, attendu qu’auc
ine, M. Burdin, offrit un prix modeste de 3,000 fr. au somnambule qui
lirait
sans le secours des yeux ; je sais aussi que le d
il eût été somnambule ; mais aussitôt que je fus assuré qu’il pouvait
lire
dans des livres fermés, voire même à travers des
conçue : a Monsieur, « Vous avez offert un prix au somnambule qui
lirait
malgré l’occlusion des yeux : depuis, il m’a été
de Alexis eu présence d’un jury ad hoc, désireux de lui prouver qu’il
lira
à. travers les corps opaques. « Veuillez agréer
e mettre un prix à la disposition d’Alexis ayant pour condition qu’il
lira
dans un livre sans le secours des yeux. « Je co
i remarquable de son sujet. Nous qui avons eu des somnambules qui
lisaient
sans le secours des yeux, nous ne faisons aucun d
ier, vint à Paris avec sa fille, jeune somnambule qui avait le don de
lire
sans le secours des yeux. M. Pigeaire fit alors,
ciété de croyants, un prix de 50,000 fr. à celui des académiciens qui
lirait
avec le bandeau de mademoiselle Pigeaire. C’était
s singulier de vision intuitive s’est produit à la Croix-Rousse, dans
lus
circonstances suivantes : « Il y a trois mois e
ochin, rue Larrev, 1, et voici ce qu’il a appris. Le fait annoncé par
lu
Patrie est controuvé. La Société médico-psycholog
olongée d’objets magnétisés par lui-même. 5° L'I nion magnétique (
lu
10 de ce mois raconte qu'une somnambule a fait dé
s, nous citerons l’anecdote suivante, dont nous avons été témoin.
Lu
jour, chez Marcillet, nous avons vu M. l'archevêq
se mut d’elle-nièine; elle obliqua tantôt à droite, tantôt à gauche,
Lu
de ses bouts même quitta le sol. La déviation de
Je ne désespère pas d’y arriver pourtant ; mais il faut attendre qu •
lus
idées de mes très-chers compatriotes soient deven
r dénaturé le mot arnica mal écrit par moi avant mon départ, et avoir
lu
et fait lire armoise, potion em-ménagogue, disait
le mot arnica mal écrit par moi avant mon départ, et avoir lu et fait
lire
armoise, potion em-ménagogue, disait-il, dont je
ivante nous a été transmise par un de.nos amis et correspondants, .M.
lu
docteur Gatti, directeur de l'institut liomœopatl
ire à des forces intelligentes capables de culbuter des meubles et de
lire
au fond de notre âme, ces forces voulussent bien,
z un'de leurs amis dont le fils est un médium moteur remarquable. -le
lus
reçu parle père et par le fils avec une hospitali
toutefois sans me l’aire aucun mal. I.es lumières reparurent, et je
lus
impatient (l’examiner la corde. Tous hk nœuds, gr
lence impitoyable, et qu’il nous priait de le, détacher sur-le-champ.
Lue
lumière à la main, je vais au in dium, et je le t
invincible à d’autres personnes qui insistaient avec énergie et (
lurent
sc rendre de guerre lasse. Cependant, M. Davenpor
e sphère, lorsqu’un jour l’horizon de sa vue s’agrandit et son regard
lut
dans l’avenir. Elle prédit à ses amies et à son m
ns doute que M. Viennet, à. la dernière réunion des cinq académies, a
lu
un discours en vers, dans lequel il raille le spi
a disposition du somnambule Alexis un prix ayant pour condition qu’il
lira
sans le secours des yeux, 548. Dessins gravés p
e do M. Jules Voisin . Le procès-verbal de la précédente séancp est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
de trouver dans l'industrie des verres violeis ne laissant passer quo
lus
rayons violets, et nous n'avons pu que nous en ra
ien monochromalïqucs: les verts laissaient passer du jaune », etc..
Lus
expériences effectuées dans ces conditions à Juvi
que nous avons mis du vert ils sont calmes, ils ne disent pas un mol,
lis
ne chantent plus et quand ils sortent ils sont be
rtiges le prenaient aussitôt et une angoisse extrême se déclarait. Il
lut
était impossible de traverser une place, un pont:
hique. Abolition du pouvoir modérateur chez un délinquant, par M.
lu
D' BËniLLON. • Il -y a deux ans je fus appelé p
inglin le poussait au diaconat. Entre 165G et IGGÛ, a le travail et
lu
vie pénitente l'avaient tellement afTaihli, qu'il
ouchaitsur uno paillasse posée sur un lit de planches de tréteaux. 11
lisait
sans cesse, immobile et debout, et ne s'asseyait
ph, cU'HistoircdeVEglise, dcGodeau,mais, les fêtes et dimanches on ne
lisait
que des livres dévots, comme les confessions d'Au
d'adoration et se couchaient. Les dimanches et fêtes, après Prime, Us
lisaient
des livres pieux, et allaient au catéchisme qui d
s religieuses. — Avant même de réclamer cette signature ù Port-Royal,
lu
roi envoya, cn avril 16(11, aux maisons de Paris
de faire sortir les pensionnaires, Ie3 postulantes et les novices, et
lu
défense d'en recevoir à l'avenir. Jacqueline et M
je doive sonder les secrets de Dieu.... 11 répliqua... Quels livres
lisez
-vous? R. Présentement, ce sont les Morales de S
nnue et de ce que vous m'avez mis au nombre de vos amis. » (1) Elle
lisait
encore les ouvrages cités au sujet du Réglement p
festin, la belle tombe morte, et on l'enterre « dessous des fleurs de
lis
». Mais au bout de trois jours la belle y ressu
versité de Turin, le Dr Morsblli, professeur à l'Université de Turin,
lu
Dr .ci....:, médecin de l'asile de Keggio-Emilia.
otisme correspondent à ces sommeils particuliers dont parlait Bichat.
lis
en sont la reproduction expérimentale. Quand le
'être/page> page n="44"> émises à haute voix. Ayant employé
lu
même courant sur la face du commissaire qui montr
nce de M. Jules Voisin Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et approuve. La correspondance comprend des let
Albert Colas, trésorier, fait l'exposé de la situation financière de
lu
Société. Les recettes de l'année courante se sont
n de ce phénomène, s'il n'en a jamais entendu parler et n'en a jamais
lu
la description, si, en un mot, il no le connaît p
iguée d'être au lit sans dormir.de se lover la nuit et de se mettre à
lire
. Elle passe ainsi la plupart de ses nuits et ne t
es qui lui occasionnaient la nuit des insomnies et l'empêchaient dans
lu
journée de se livrer à son travail. Elle fui guér
ous n'en finirions pas si nous voulions nous arrêter à tous les (t)
Lu
médecine de la superstition, International médica
y et Dechambre tout en faisant des restrictions, inclinent à croire à
lu
continuité : le marquis d'Hervey, Lelut, Serguyef
le langueur. » Terrassé par la neurasthénie, il ne pouvait converser,
lire
, écrire, ni travailler, mais il continuait à se l
paraplégie, et, dès lors, sa vie se passa sur un canapé à prier et à
lire
des ouvrages mystiques. On venait s'édifier à ses
Maie, avant de la lui donner, le curé exigea d'elle son renoncement à
lire
les ouvrages écrits contre la bulle Unigenitus et
vec lui, eut la même impression. Finalement ils ont pu distinguer que
lu
tableau représentait un coucher de soleil La mass
ous pcosoaj quo nos le-zteure et nos collaborateurs seront heureux de
lire
'"homoiage rendu i. noue jaaiire ventre, il. le D
de médecine sur les expériences magnétiques d'Azam, de Bordeaux : il
lut
fié-* vreusementce rapport. Quelques jours plus t
st la première atteinte ; on perd d'abord la finesse du toucher, puis
lu
. sensibilité à la douleur et à la température, pu
ntes, aussi documentées et aussi probantes que celle dont on vient de
lire
la trop courte analyse. FOLKLORE Les supersti
Angleterre, où on vend des spécialités destinées h calmer l'enfant :
lisez
à l'empoisonner par l'opium. Dans la seconde en
ssion de la lumière. Aussi nous conseillons de faire l'obscurité dans
lu
'chambre de l'enfant; maïs dès qu'on a besoin d'y
tique et mordant comme ce dernier, et qu'à son exemple, s'il est fort
lu
en Allemagne, il y est quelque peu haï. Max Nor
s suggestions impliquant des séries compliquées de chiffres n'ont été
lues
à G. qu'une fois ou deux au plus. 4.— C. restai
repoussant et il s'infiltrera dans notre conscience en même temps que
lu
signification qu'on lui prête.Le mot devient idée
upposition que celle de les tenir directement de notre fila. * J'ai
lu
et résumé quinze cents pages de proceedings de la
ce du 17 octobre 1899. Le procès-verbal de la Séance précédente est
lu
et adopté. La correspondance comprend des lettr
portent une observation d'hémichorée arythmique hystérique. On.y peut
lire
les'; lignés suivantes : Désireux de précipiter
Luchsinger, il convenait d'admettre aussi que le centre médullaire de
lu
sudation était, comme tous les autres centres de
nanimement reconnue et appréciée. Quello fin d'existonso enviable que
lu
sienne, et combien serait-il désirablo qu'elle pû
pté ïî. Aaam pnrmi loz membres chargés è'bonneur.i et haut placés qui
lu
! hccorâirer.Î uno par; constante dans une vin trè
:Ir la pr'raeur de ses principaux travaux. Ces', c/nsi que, dès 1870,
lirons
Ci consaîî.e lo paa^ntntditdo Bordeaux, qui, cnt:
losophie. L'Académie, qu'il honora par son talent et son caractère,
lut
dit par ma bouche un dernier adieu. Nous savions
huit heures canoniales du jour et l'obligation où sont les prêtres de
lire
quotidiennement leur bréviaire. (1) Voir la Rev
près du bureau. D. — Que faisait-il? R. — Jo ne sais; il semblait
lire
, il a pris quelque chose sur le bureau qu'il a eu
ui, c'est son air gêné, et pour se dissimuler, il faisait semblant de
lire
un journal qui se trouvait sur ce bureau. Je reco
e apparente, n'a pas hésité a écrire la déposition que nous venons de
lire
. Dans une autre expérience, nous avons fait pas
le monsieur âgé, qui avait une longue barbe blanche et des lunettes,
lira
un couteau-poignard de sa poche et frappa son int
prévenu, soit en sa faveur./page> page n="237"> Eh bien, si
lu
législation, telle qu'elle existe là, est incompl
t-être duré davantage, mais j'ai réveillé le malade. Pour réveiller
lu
malade, j'emploie l'un quelconque des procédés us
s le sens que Charcot leur donnait, sans eu discuter pour aujourd'hui
lu
valeur./page> page n="240"> ves et chea
tt s'y entraîne. On s'expose souvent ù des déboires quand on affiche
lu
prétention d'endormir des malades dès la premiere
rère, dans unu maison de saute. Malgré la tuberculose de la sœur de
lu
jeune accouchée, malgré la fistule bacillaire du
a famille, il divaguait. Comme je considérais ce sujet dangereux pour
lut
et sa famille, je le fis enfermer dans une maison
n mentale à une autre cause que la tuberculose. Cela veut-il dire que
lu
démence cal d'origine bacil'aire? Peut-être est-o
ue aisément dans cette salle sans heurter ni tables, ni chaises. M.
lis
sillon. — Peul-ôlre, au début, s'est-elle prêtée
une représentation mentale dans le même centre nerveux. (1) Momoîre
lu
à la Société d'hypoologie ù la sconce annuelle./p
ciel est (1) Voir les numéros précédents. — Dans celui de Janvier,
lira
Guillebert au Ueu de Qucllebert ut Singlin au lie
Pascal fut à ce qu'il semble l'effet d'une rupture amoureuse, et nous
lisons
dans les Pensées : « Vous auriez bientôt la foi s
s comme les religieuses de Maubuisson, dont la plupart ne savaient ni
lire
, ni écrire, des imbéciles comme Louise de la Bonn
» ('). De l'aveu de Jacqueline Pascal f2), les livres qu'on faisait
lire
aux petites novices de Port-Royal tendaient « bie
nce de M. Jules Voisin Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général fait part à
sion de son élection à l'Académie des sciences morales et politiques.
Lu
bureau est chargé recueillir les souscriptions, q
oir, ou écriture spéculnire, est une écriture inverse, qui ne peut se
lire
qu'au moyen d'un miroir ou par transparence. Dans
ment tendance â se servir de la main gauche ; parfois, tl s'amusait à
lire
à l'envers. L'aspect de ce malade est spécial ;
nce de M. Jules Voisin Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. La correspondance imprimée comprend
... est, dès lors, en proie à une idée fixe : on la poursuit, on veut
lu
frapper et la faire mourir! Elle entend des menac
r soigner jusqu'à sa complète guérison. * Sur ces entrefaites, je
lis
dans la Semaine médicale les articles de MM. Lépt
ibles, je ne sais jusqu'à quel point cette physiologie s'accorde avec
lu
¦réalité des joies et des tristesses humaines.
ce de M. Jules Voisin. Le procès verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. La correspondance imprimée comprend
ui faut, en effet, sortir du lit et gratter la stéarine, car, lorsque
lu
femme de chambre viendra, elle pourra l'écraser d
sont, vers 12 ou lô ans, semblables à des enfants normaux; ils savent
lire
, écrire, calculer; ils sont alertes et agiles. ?
rograde se retrouve même dans la vie journalière ; il ne sait plus ni
lire
, ni écrire, ni s'habiller, ni manger proprement;
xpérimentaux et anatomo-cliniques sur les localisations cérébrales et
lu
première description de la paralysie pseudo-bulba
j'écris les suggestions appropriées ù non cas et lui recommande de la
lire
attentivement. Chaque fois qu'elle se livre à cel
ours, à dix heures du matin, vous vous mettrez dans un fauteuil, vous
lirez
attentivement ma lettre, vous m'entendrez dire :
a carte de visite sur laquelle j'ai écrit des suggestions qu'il devra
lire
attentivement chaque soir avant de se coucher. L'
-ner; nous avons néanmoins persisté dans notre opinion qu'il avait dû
lire
des descriptions de la rage. En tout cas, il ne
ent, et que, dès le début, il n'avait cessé d'être impressionné et de
lire
des livres traitant de la rage. Le surlendemain
alpétriere, a commencé dans son service (section Esqui-rol), le jeudi
lu
mai 1900, à dix heures du matin, un cours qu'il c
ypnotisme de 1900 Art. I". Le Congrès se réunira à Paris du 12 au
lu
août 190O. — La séance d'ouverture est fixée au d
; Tous deux demeurant à Paris, rue d'Antin, n* 12 ; Eiposem : «
lue
le Jountal du Magnétisme, qui parait par braisons
quoi, les arbitre* seront nommés d'office, à la requête de la partie
lu
plus diligente, par le tribunal de commerce de Pa
e cette notice, elle me parait moins heureuse qu’on ne l’a dite. J’ai
lu
presque tout ce qu’on en a écrit; mais ces rappor
vrage si impatiemment attendu a paru hier; nous ne l’avons pas encore
lu
, mais voici, en en attendant l’analyse, une lettr
i ne puisse être vérifié ; j’ai désiré être clair. Quand vous m'aurez
lu
, Monsieur, la puissante pénétration de votre espr
IQUES. JURY MAGNÉTIQUE. Nous espérons que la lettre suivante sera
lue
avec intérêt par les magnétistes de tous les pays
fou), dulla typo-graphia del governo. 1 842. Ce travail mérite d’être
lu
par chaque magnétiseur, outre sa valeur, pour la
onge dans les temps et re- monte jusqu’à Dieu, ce que ne peut faire
lu
reste de l’animalité. Chronique. — Le magnétism
tait temps de se retirer. La tète baissée et les yeux fixés sur les
lisons
, il gardait un profond silence, ennuyé de sa comp
nambulisme, j’avais beaucoup entendu parler de magnétisme, et j’avais
lu
quelques ouvrages publiés par les adeptes de cett
merveilleux que l’on racontait. Audiguet m’afiirmait que cette femme
lisait
à 100, 200 et jusqu’à 1000 lieues; qu’elle avait
e cette femme lisait à 100, 200 et jusqu’à 1000 lieues; qu’elle avait
lu
, de son domicile, dix vers inscrits dans un appar
aissai sur la table d’un cabinet; puis je demandai à la somnambule de
lire
ce mot à travers le mur. Elle fut embarrassée et
t embarrassée et répondit : Je vois un M. —Audiguet meditalors : Elle
lira
beaucoup mieux ce mot dans ma pensée. Soumise à c
ma pensée. Soumise à cette épreuve, la femme Cheyroux déclara qu’elle
lisait
le mot Bible. » Je fis une dernière tentative.
a dix-huit mois que l’on me consulte; il n’y a que six mois que j’ai
lu
l’ouvrage de M. Baspail, qui m’a été remis par M.
rage de M. Baspail, qui m’a été remis par M. Audiguet. Je ne sais pas
lire
l’écriture, je ne lis que l’impression. » Quant
m’a été remis par M. Audiguet. Je ne sais pas lire l’écriture, je ne
lis
que l’impression. » Quant au livre d’inscriptio
rtions, je pensais que vous aviez pu vous égarer sur le côté moral «
lu
magnétisme; et il aurait pu en être ainsi, car ce
s avez publiée dans leN° 61 du Journal du Magnétisme, que je viens de
lire
, a réveillé en moi, avec une nouvelle force, la c
ons avec plaisir que M. Esdaile suit la même marche dans l’Inde. Nous
lisons
en effet dans le Delhi Gazette Overland Summaiy,
dministré, dans l’antiquité, à l’extérieur sous forme d’onguent. Il a
lu
divers extraits de là Magie naturelle de J. B.
t, elle me dit qu’elle ne sentait rien, el sur la remarque que je lui
lis
que dans ce cas cela ne lui ferait pas de mal, «
labeur, car les hommes à coup sûr retourneront vers le passé. Nous
lisons
dans Y Illustration, du 4 courant : « L’Orient,
ôme soutenu par sept ou neuf colonnes de bois. Des inscriptions ou se
lisent
le nom du fondateur, la profession de foi, le nom
econnaissables à leur turban vert, qui ont le plus de réputation pour
lire
sur les malades. J’en ai vu quelques-uns portant,
(t) Voyez Journal du Magnétisme, lomc iv, |iage 61. traçant avec «
lu
collyre, sur le front des femmes et surtout des e
ion à la stupeur, qui est le terme le plus avancé de l’effet produit,
lis
sont donc des agents modificateurs souvent très
’amende ponr escroquerie. Les détails de cette affaire sont curieux à
lire
, mais sans intérêt magnétique. BIBLIOGRAPHIE.
lundi soir, cette ordonnance «l'ut lieu à des attroupements où sonl
lus
cl commentés à haute voix les journaux. Ces attro
meurt sur la terre étrangère. donne lieu à des attroupements où sou
lus
et commentés à haute voix les journaux. Ces attro
ronder le tonnerre. (Franco-Américain.) Chronique. — La conférence «
lu
19 mars, à Notre-Dame, a été signalée par un trai
en Orient, qui n'y a jamais péri, qui y vit encore. Je la possède, je
lis
dans les astres. Nous sommes tous enfanls de quel
n le peut croire lui-même fatiloque. Nous espérons que nos abonnés ne
liront
pas sans intérêt l’extrait suivant de son Histoir
ère ressource, sans que cela lui ait fait le moindre bien. Elle avait
lu
, par hasard, quelque chose du magnétisme; elle ni
voir l’idée que cola pût lui faire du bien. Après avoir fini, je lui (
lis
on riant : respirez; je parie que votre point de
rite; ma communication en faisait partie; l’usage voulait qu’elle fût
lue
; mais il la mentionna seulement, disant qu’on y r
tience, lorsqu’enfin M. le président dit: Il reste encore une pièce à
lire
: le magnétisme; voyons ce que c’est. Al. Ifrse
st inutile; si c’était de l’électricité, encore passe. Un membre. —
Lisez
toujours. M. le secrétaire. — Messieurs, il y a
. A MM. les auteurs du Journal de Paris. Messieurs, Je viens de
lire
l’extrait de la correspondance de la Société roya
l’exposé que je signerai et cachetterai, et les trois exposés seront
lu
* devant M. le lieutenant général de police, douze
oins exercé l’aperçoit de prime abord. Le manuscrit de ce livre a été
lu
à la société linnéenne de Lyon, qui l’a accueilli
« le plus perspicace » de nos adversaires; c’est-à-dire que l’on peut
lire
au travers d’épais bandeaux. Cet argument n a pas
Lisimaco Vehati. 4 vol. in-8°. Firenze, 1845-G. L’analyse qu’on va
lire
est extraite d’un journal de Florence, Il Ricogli
écessaires en des travaux de ee genre. Je dis peut-être, car pour qui
lira
avec attention, il sera facile de découvrir, au m
médecine. Nous nous bornerons donc au conseil. Que l’homme de science
lise
cette œuvre, et il en retirera lumière et inspira
l en retirera lumière et inspiration; que l’ami des belles-letlres la
lise
aussi, et il y trouvera de quoi embellir son espr
e sur 1r cornée, soit devenue à peine visible, et M. Poulet peut déjà
lire
de cet œil sans trop de gène. M'nt Landier, à l
entre les mains, par exemple, le CharlesElwoodde M. Brownson, je l’ai
lu
avec une profonde attention. » Je le trouvai d’
parvient aussi régulièrement que nous pouvons l’espérer. Nous y avons
lu
, avec beaucoup de satisfaction, les intéressantes
tion aussitôt que le calme sera revenu. Enfin M. Amëdée Thuillier a
lu
le sonnet suivant, qui a donné lieu à un toast.
saint nom fut flétri par nos pères! Quoi ! lorsqu'à des ingrats que
lu
traitais en frères, Ton génie enseignait un art
puis quinze jours, que le sulfate de quinine n’avait pu détourner. Je
lis
une première séance pendant l’accès de fièvre, et
jour ou un autre les représentants du pays et la presse de s’occuper «
lu
sujet, bien saisir l'à-propos, serait, ce me semb
st qu’après le 13 février 1831 que Louis-Phi-lippe a fait effacer les
lis
. 11 y avait le 10 février 1831 plus de 20 contr
es magnétisés et somnambules qui voient, sans le secours des yeux, et
lisent
un écrit malgré l’interposition d’un carton ou co
actuellement, ce qui justifie une partie des critiques qu’on vient de
lire
. L'ouvrage de Deleuze dont il est parlé ici ne pe
sentiels du magnétisme ? Ouvrez le livre de la nature, apprenez à y
lire
ce qu’il vous importe à tous de connaître : les
lorique et lumière, mais il n’a aucunement les propriétés aromales «
lu
feu solaire; et pour preuve, nous voyous que les
e rendent pas aux exhibitions, qu’ils ne conviennent pas même d’avoir
lu
certains écrits. A leurs yeux, convenir de ces le
i deux dés, dont le point fut exactement dit; en troisième lieu, je
lis
cheminer les aiguilles d'une pendule, et l'heure
ons doivent, nécessairement porter au dehors et expulser le principe «
lu
mal : mais la maladie est trop ancienne et trop i
tion psychique qui s’applique à tout et qui permet au somnambule l°de
lire
dans l’âme de toute personne bienveillante mise e
successeurs. Bien des commissions les ont jugées. Et adhuc sub judice
lis
est. Si cela prouve que la question n’est pas ais
abilitépour celle-ci? Est-ce suffisant pour enseigner un état où elle
lira
dans toutes les intelligences, dont la pensée est
tâtonnements et d’erreurs. En effet, cesomnambulesi lucide, qui a su
lire
tant de lettres les yeux fermés, n’a su déchiffre
ul mot dans un livre que ne je. lui amis />as présenté, n’a pas pu
lire
une syllabe dans un autre qu’on lui présenta un i
somnambulisme et de phrénologie. Mais voir les affaires de ce monde,
lire
en eux-mêmes ou dans autrui ce qui a trait à celt
y a de curieux, c’est qu’une jeune fille aussi sainte, n’avant jamais
lu
que les évangiles et les livres de dévotion de so
première, qui esl en quelque sorte négative, puisque sa formule ne se
lire
d’aucun principe fixe, est l’empirisme. Celte doc
alades, soit bien portantes, des modifications extraordinaires, et je
lus
prêt à croire à l’action des infinitésimaux. Mais
de l'extérieur, et quand l’âme en reprend possession, elle ne peut y
lire
ce qui n’y est pas gravé. « Il est un état, déc
couperoses invétérées, etc. Les faits et opinions dont on vient de
lire
le résumé sont extraits de l'Histoire de la doctr
ur conservation au caprice des hommes et à leurs fausses règles? Non:
lu
as donné à 1 homme un rayon de lumière, mais tu n
somnambule. Aussitôt, celle-ci porta le papier contre sa poitrine et
lut
, ou plutôt elle épela A...ab...ab..del... Abd-el-
. C’était une habitation se rattachant à un groupe de maisons dont je
lis
le tour pour bien m’assurer que la voix parlait t
Mon cher M. Hébert, Vous ne trouverez pas extraordinaire que j’aie
lu
avec infiniment de plaisir l’article de M. Edgar-
e de M. Edgar-A. Poe, contenu dans le N° 70 de votre journal. Je l’ai
lu
avec d’autant plus de plaisir que je n’y ai pas t
e de Chinois, dans l’énumération de leurs moyens thérapeutiques, nous
lisons
: « Us ont même leurs magnétiseurs, que l’auteur
rnes; Mesmer, le magnétiseur, et leurs adeptes. » Magnétiseurs, qui
lirez
ces lignes, inclinez-vous ; vous uc> prétendie
est à juste titre, je dois le dire, qu’un traité de médecine que j'ai
lu
récemment les désigne sous le nom de morsures de
; mais cette amélioration alla toujours eu décroissant, et si elle ne
lut
pas complètement annihilée au bout de quelques jo
ntéresser; cherchant à rappeler ses souvenirs, il m’avoua qu'il avait
lu
quelque chose de semblable et qu’il devait avoir
i-ques. Une médication énergique, suivie dès le début de l’affection,
lut
impuissante à en arrêter le funeste cours. L’aggr
veaux faits. La voici : Paris, 7 septembre 1848. Monsieur, J’ai
lu
avec le plus vif intérêt les détails circonstanci
jour M. le comte Le Pellier d’Aunay à 1111 de: ses somnambules.—Je ne
lu
vois pas, je le sens; il y a en moi quelque chose
e ne puis vous exprimer ni vous définir ce que j'éprouve.» (Archives /
lu
Miignetisme, t. Y, p. 257.) C’est à peu près
. «Alexandrine Gutlin, dit le docteur Despine ( ouv. cité, p. 172),
lisait
avec le coude, la nuque et l’un des doigts de la
ils ont été. J’en ai déjà fait voyager dans tous les départements de
lu
France, et principalement dans les villes d’extré
métier de découvrir ce qui se passait à de grandes distances. Nous
lisons
, dans le Dictionnaire général des Sciences ( art
es d'outre-terre. M. Mcade nous dit que nous ne pouvons pas ne; pas
lire
cet écrit. Fn attendant que nous avions pu nous
le prospectus d’un ouvrage qui, d’après quelques pages que nous avons
lues
, nous paraît devoir être plein d’intérêt. Nous p
eux billets de 5o 1. (2,5oo fr.), qui deviendront la propriété de qui
lira
la phrase écrite au dos de l’un d’eux. Ce prix a
a clairvoyance ; il lui mit une carte sur l’épigastre, et celui-ci en
lut
une parlie. Le lendemain il recommença l’épreuve,
a, 1111 billet de 20 1. (f>oo f.) sous enveloppe, et n’importe qui
lira
la sentence aura le billet; pourvu qu’il (M. burr
e qu’elle est, et que le clairvoyant qui, dans l’intervalle, pourrait
lire
la sentence en question deviendrait propriétaire
crit : « Le Mémoire de M. M*** m’a tellement intéressé, que je l’ai
lu
sans démordre. Son contenu confirme de point en p
bsédé français pourraient être appliqués ici à l’obsédé anglais. J’ai
lu
confidentiellement les lettres que ce malheureux
ans le lit. Elle a bonne mémoire, raisonne et parle bien, elle sait
lire
et écrire. Les sentiments affectifs sont assez
t allé à l'école de G à 10 ans, était intel- ligent, avait appris à
lire
, à écrire, à compter. Le sommeil était normal,
s lents. Réflexes aclrillccns et rotuliens faibles à gauche, abo-
lis
à droite. Pas de signe de Babinski : l'enfant cri
rchives, 2' série, 1906, I. XXI. 3 34 ASILES DALIl.NI : S. J'ai
lu
et relu, comme chacun, l'exposé des motifs du p
r- ganisation d'un concours spécial. Je crois, dis-je, avoir bien
lu
l'exposé des motifs, je n'ai pas trouvé autre c
on, que M. Babinski considère comme une marque certaine de syphi-
lis
. M. Lancereaux qui, dès 1861, croyait à la fréq
érédité. M. Motet, au contraire, insiste sur le rôle de la syphi-
lis
, non pas que la paralysie générale soit de nature
; les décrets des 6 juin 18G3, 19 octobre 1894 et li août 1905 ; vu
lus
arrêté" mi- varia. 75 nistériels de 18 juil
t sur le sol ; on put intervenir à temps pour em- pêcher qu'elle ne
lût
écrasée. Aussitôt après l'accident elle fut tra
s. Elle n'a cependant aucune instruction même rudimentaire, ne sait
lire
ni écrire et ne connait aucune des lettres de l
velet est recouverte à droite par des méninges blanc-bus épaissies.
Lus
deux lobes sont très inégaux; ils sont le siège
terne et encore cette propriété va-t-elle eu s'atténuant il mesure (
lue
le sujet, avance en âge. Dans notre observation
ose ou à de la syphilis. 1. Jofi'rov (1) cite en efl'et un ky<te(
lu
cervelet gros comme un oeuf de pigeon, et dont la
si brusquement qu'il n'a pas même le temps d'y songer. Au surplus,
lu
malade vit avez »on mal, ne s'en soucie guère,
e les voies pyramidales sont atteintes. On pourrait tout simplement
lu
nommer 1"e/le,ce duitfndoniricipital ou quad1"i
rcément tout le système musculaire, et que, sans naturellement nier
lu
rapport intime qui rattache, le nerf au muscle,
dis que dans le second le contact d'un tissu qui diffère du sien lc
lue
et le rend inaplu à dégénérer comme s'il était in
LOGIE PATHOLOGIQUES. 137 la surdité d'origitielabyrintinque et dans
lus
cas de lésion interne des conducteurs centraux.
D'abord la septième vertèbre cervicale, la plus saillante de toutes
lus
vertèbres, donne insertion un somme par son apo-
influences traumatiques que l'autre, el n'est pas mieux irrigué. Si
lus
recherches de Kadyi sur les artères radiculaire
ier et cinquième métatarsiens. 6° Fi'appe-t-on sur la ligne médiane
lu
sacrum, le sujet élanl REVUE DE PATHOLOGIE NE
lre- mité supérieure et antérieure de l'os iliaque ; il ne se voit (
lue
dans les cas pathologiques. P. 1W aw ? L. REV
richt est-elle une entité clinique justifiée en nosologie ? par Il.
LU
¡';DBORG {Neurolog. Centralbl., \\III, l90't.)
expériences d'E- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 147 ,linner sur
lus
rats, il se produit des troubles nutritifs dans l
es malades peuvent donner au sujet des manifestations de leur dé-
lire
. Ceci est parfaitement exact, mais déjà Falret, e
te au lie : de- mande à nu plus recevoir le' journal qu'il semblait
lire
avec plaisir depuis deux mois, se dit courbatur
nt nuls, bien frappés ; on en compte 1 'lU par minute. .\u loucher,
lu
col, presque complètement effacé, à bords épais,
il ruçoilul dans les feuilles locales, le direcleur du séminaire et
lu
vénérable de la 'Loge échangent du violentes po
er ce diplôme de ces anciens soldats qui pourront même ne savoir ni
lire
, ni écrire ? Ou bien va-t-on créer encore une e
stence du faisceau anftSL0111(11111U1' décrit par lluval et Labordo
lu
noyau de l'abducens et les faisceaux radiculair
t intraprotoplasmique. Ces résultats peu\entetre tmsen rapport avec
lus
connaissances que l'on possède aujourd'hui, grâ
est. mince, atrophiée, décolorée, collée contre 1'0 ? sou ? jacenl.
Lus
cheveux onl disparu, sauf en quelques points. C
e. Pas d'antécédents nerveux héréditaires ni personnels. Réglée à
lu
ans, les règles étaient toujours accompagnées de
mmandant d'étendre légèrement le pied sur la jambe, ce qui explique
lu
clonus chez les hystériques en crise, ou en con
ique. M. Paul FAREZ. L'aneslhésiu généralisée, l'immobilité abso-
lue
, les contractures musculaires, la suspension de l
ine, l'ouïe est totalement suspendue, la "Je et le tact sont obtus,
lu
goût usl normal ul l'odorat considérablement hy
e diction s'obtient spontanément 2 : 2S SOClÉïÉS SAVANTES. dans
lu
» voix couvertes un alléiiuanl le timbre, el un au
nombre d'observa- tions et, d'expériences m'ont permis de formuler
lus
deiiv conclu- sions suivantes : )°dans Il' cas
011 puni multru la 1'1'1111111' 1'[1 somnambulisme, elle accouchera
lu
jour suggéré, à la condition du lai ru tomber e
tion du lai ru tomber eu jour, un plus loi, huit jours avant la (la
lu
fournie par le calcul ut l'examen. Lu médecin n
loi, huit jours avant la (la lu fournie par le calcul ut l'examen.
Lu
médecin nu devra passé- loigner du l'accouchée
uche du l'hypnotiseur, c'est aussi le phénomène qui se réalise dans
lu
cerveau de l'hypno- li·n. C'est absolument comm
lanl que dure la lension inlrl- lucluullu : quand l'effort a cessé,
lu
souvenir nu larde pas à sur- ¡ : il' spontanéme
ie ensuite spécialement les troubles fonctionnels intérussanls pour
lu
nel1l'ologisll', ri dont 1'inlcrprélalion reste
illl qui rejetant le diagnostic tl'hysL{I'o-lr'aumal¡sl11e attribue
lus
troubles présentes, à une psycho-névrose oculai
peul confirmer dans certains cas, lauravite du pronostic, et enfin
lus
moyens do traitement. III. Contribution à l'è
Dr LAJOUE (mai 1 ! )0;1, 85 pagus. Elude d'ensemble inspirée par 1.
lu
professeur Spillmann. L'auteur, dans unesériu d
lications. Il apporte, l'appui,des observations,les unes nouvelles,
lus
autres extraites de travaux antérieurs. Cette thè
ssante nous donne des indica- tions bibliographiques nombreuses sur
lus
cas décrits jusqu'ici de psychoses infantiles p
s probables des I roubles d'après un processus encore mal défini.
Lu
traitement sera celui de toute convalescence et l
se confondant à la limile avec des affections voisines comme as-
lu
: cl. Dus observations précisent ces types : form
OGIE. ver certaines formes comme des entités morbides il. part. Les
lu
sions rencontrées sont très diverses, et siègen
non plus ceux qui, n'ayant pas fait d'éludés médicales, devaient le
lire
ou l'entendre ; aussi a-t-il toujours donné plein
discipline, et. finalement réformé. Nous avons raconté le fait dans
lu
Progrès médical. 1902. p. 271. VARIA , Asiles
- joint à Clermont. (()i"I'), nommé à la 1re classe du l'a(II'(" I.
lu
1) : llembnrt,(oet, médecin en chef non install
l lié ml;decill-adjuillt ¡'l \ïlll'-E\ l'al'd Ieille-el-()isl'), .\1.
lu
D' Pallll'l'i. l11édet'ÏlI-adjuinl à Saint-Dizi
l. 1LY I) Illin, nnnleciu cn chv·l' Ile l'a : il(· d'aliénés de 1'aul;
lu
·u (Seille-el-()ise), porté à la classe exceptio
mplace- ment de .\1. le D1' Halliadil ? IIOII111l{' iL à Bloi. M.
lu
D1' LEVET, médecin-adjoint à Bassons (Savoie), es
complété du microphotographie. Les démO/Isl1'ulions des lésions sur
lus
pièces pathologiques oc- cupant une grande plac
e Rcnda (l ! er- lin), par exemple, permet, lorsqu'on est habitué à
lire
et il in- terpréter les lésions nerveuses. une
és. Les pompiers durent il plusieurs reprises exposer leur vie pour
lus
sauver. Ce n'est que lorsque l'incendie fut éte
f' nUIl/I"ru 1 ? 1 a"l'eoll/pa¡ ! n,' de la troisième table générale (
lus
matières contenues dans ]csan ! )<'<'s]89
HICII ER et IL l\h : II ? Sommaire du numéro l de 1900. Ai.orir.n.
Lus
principales formes «les I roubles nerveux dans
UE. 19oo. - Devient timide, et n'arrive pas à l'école à pou- voir
lire
. Tous-les autres exercices sont bien faits. igo
en dépit de tous les essais, il a été impossible de lui apprendre à
lire
couramment, entravé non seulement par une faibl
a beaucoup gagné, il est en très bonne voie et a un grand désir de
lire
couramment. Nous remarquons une disposition nat
r il copie et écrit ensuite de mémoire sa leçon de lecture, il sait
lire
et écrire les nombres jusqu'à 70, fait seul l'a
Dessert ? a réalisé quelques^ progrès pour la classe; il commence à
lire
, mais l'écriture est à peine lisible. 1896. - N
e rendu du service de 1899, comme très amélioré, est enfin arrivé à
lire
couramment grâce à l'emploi simultané du syllab
agné. igoi. Progrès satisfaisants pour la classe, il est arrivé à
lire
couramment; l'écriture devient plus lisible. 19
a une mémoire extraordinaire pour l'ortho- graphe des mots qu'il a
lus
. Il fait l'addition, la soustraction, ébauche l
nouer, boutonner, connaît ses chiffres, ses lettres, il commence à
lire
; nous espérons qu'il passera d'ici peu à la lec
il passe à la lecture courante, mais il sera long, croyons-nous, à
lire
tout à fait couramment. Il ne s'habitue pas à l
croyons-nous, à lire tout à fait couramment. Il ne s'habitue pas à
lire
du regard un mot entier pour le prononcer ensui
u'il lit lentement, en laissant un trop long temps d'arrêt avant de
lire
la suivante. .Couri ? ne lit bien couramment qu
arrivée, subsiste encore aujourd'hui. 19o3. - Gavar ? est ami'é à
lire
couramment il a pro- gressé en tout, l'écriture
nd de plus en plus goût à la classe. II désire vivement apprendre à
lire
et fait tous ses efforts pour cela. Il est plus
cillité. Entré le 15 février 1902, à l'âge de 9 ans, com- mençait à
lire
par monosyllabe, recopiait assez difficilement
ne pouvait l'utiliser a quoi que ce soit. Comme classe elle savait
lire
à peu près couramment, ne connaissait que l'add
apporter velours, draps d'or, etc Enhyver s'occupoit. souvent à oyr
lire
de diverses belles ystoi- res de la Sainte Escr
relevé comme antécédent la fièvre typhoïde et deux fois la syphi-
lis
, mais le microscope n'a pas montré de différence
une prédisposition préalable nette, voue même un état psycliopatlii(
lue
antérieur à l'accident peut se combiner à des a
à la masturbation. Elle aimait passionnément les livres ; elle les
lisait
sans aucun choix et se livrait après la lecture à
ment. En classe, ses progrès sont sensibles, elle aime beau- coup
lire
; sa lecture est très courante et donne même l'iut
rtiges et accès nombreux). Cette enfant, à son entrée, ne sayait ni
lire
, ni compter, ne faisait que quelques copies, sa
développement physique et intel- lectuel. 1901. - Elle a appris à
lire
couramment, donne à la lec- ture une bonne into
tté la Fondation en l04, après avoir réalisé de réels progrès. Elle
lisait
très couramment, con- naissait les trois premiè
orrecte. En classe, elle a également fait des progrès, commence à
lire
par syllabes, l'écriture est lisible, fait bien u
u- vant durer des mois. Les auteurs en rapportent un certain nom-
lire
d'observations, les rémissionsayant été, dans ces
des phéno- mènes semblables à la suite d'un traumatisme. 11. Il.
LU
, - L'hypophyse et la pathogénie de la maladie de
ce à copier, assemble les lettres. Tout porte à croire que l'enfant
lira
couramment dans le courant de l'année. La mémoi
en chez cette enfant n'indiquait l'intelligence. Elle ne savait pas
lire
, mais formait les lettres et les chiffres; elle
lle a fait également quel- ques progrès en classe : elle a appris à
lire
des mots, à les écrire lisiblement, à compter (
éelles difficultés pour la lecture, nous espérons cependant qu'elle
lira
couramment à la fin de l'année scolaire. - En r
anquait d'expression, n'annonçait qu'une médiocre intelligence. C ?
lisait
par syl- labes, son écriture était lisible, mai
l'étude. L'enfant qui ne connaissait pas ses lettres est parvenue à
lire
couramment, elle écrit très lisible- ment, fait
ne tarda pas à connaître ses lettres, puis à syllaber et parvint à
lire
couramment à la fin de l'année scolaire 1904. A
plexes qui se présentent à propos d'une femme de 37 ans, amputée du
liras
gauche en S9Sa, pour une lésion probable- ment
gations, les narcotiques, la vie contemplative, les macérations, etc.
Lue
imagination exaltée devait également disposer un
ient longtemps en somnambulisme et qui passaient pour sorcières. Ce
lut
pendant des crises de cette nature, que S. Thomas
d’Aquin recueillit ses plus hautes inspirations théologiques. Nous
lisons
dans Y Encyclopédie méthodique, t. xxxi, p. 394,
morale, en s’affranchissant des préjugés de leur siècle. (1)Trailc
lu
Somnamh., par A. Ecrirai»!, p. 22-2r>. (2) D
. (5) Élcm. de Médecine, t. Il, p. MO. (C) Électricité animale.
Lu
professeur Esquirol voyait dans le somnambulisme
ana (2), (I) Voyez cc Journal, t. VIII, p. 481. '2) Dp la r.iii'T
lu
sommeil lucide, t. I, p. 480. c'est que le somm
f à dix heures, j’étais au cercle ; ensuite je me suis couché et j’ai
lu
mie histoire dans le Jouriuil des Demoiselles, po
er momentanément, n’a jamais été plus violente qu’aujourd’hui. « Je
lisais
cette après-midi, nous dit-elle pendant son somme
ndant son sommeil, il est arrivé un moment où , tout en continuant de
lire
il haute voix, j’entendais bien le son d’une voix
comme des enfants à qui 011 donne un alphabet pour appreu- tire ¡\
lire
, j'ose les convier à une élude nouvelle, et leur
très-inolfensif était le grand terroriste de la contrée. Les tendues
lurent
sondées, visitées, et du plancher au plafond exam
asser sous silence une particularité peut-être plus étonnante encore.
Lue
chaise, sur laquelle se trouvaient des vêtements,
chacun est un petit tableau. C’est une série d’études qui peuvent se
lire
et s’apprendre séparément. Nous y voyons neuf leç
primés dans la lettre qui précède n’étonneront aucun de ¡ceux qui ont
lu
dans le Journal des fragments longtemps inédits d
lien direct entre les magnétiseurs de France et d’Italie. Société (
lu
MesmérlNmc île Pari*. Nous avons reçu des journ
ai laissé seul avec un cataleptique en crise et non en crise. .l'ai
lu
depuis lors tout ou la majeure partie «le ce qui
nalogues et avec les mêmes résultats. J’espère, Monseigneur, que vous
lirez
cet ouvrage av ec plaisir et intérêt. I.e deuxi
lu m'envoyer. J’en ai déjà vu une partie. J’ai bien l’intention de le
lire
en entier; mais il est assez probable qu’après l’
ion de le lire en entier; mais il est assez probable qu’après l’avoir
lu
, mon jugement restera encore en suspens, comme il
a été jusqu’ici. Ce n’est pas le premier ouvrage du même genre que je
lis
; j’en ai déjà vu plusieurs successivement : ils n
ondamné? « La science est en elle-même une chose légitime. Bien S
lus
, c’est un mérite, une gloire, et dans un certain
s doute de n’y pas revenir; car tout ce que j’ai vu, tout ce que j’ai
lu
et expérimenté depuis cette époque, n’a fait que
e et ses lois seront mieux reçues, si Votre Grandeur, après les avoir
lues
, désirait en faire tirer copie, je lui en laisse
e partir étant arrivé et ne vo\ ant point d’amélioration sensible, je
lis
durer près de deux heures la dernière séance. Aya
te Billot avec le sage Deleuze, elle se rappellera sans doute y avoir
lu
plusieurs faits qui prouvent ce que je viens d’av
us m’avez envoyée en même temps. Je n ai pas encore eu le loisir de
lire
les deux brochures ilo MM. Charpignon pt Crand-
animal sur une table; d’après une lettre d’Allemagne que je venais de
lire
, j’ai voulu en faire hier soir l’expérience en fa
re tourner le sapin dans son réduit. Nous fini écrivons, nous avons
lu
sans croire, essayé en riant, et vu avec terreur.
l’autre soir au Cercle artistique et littéraire. Un Allemand y avait
lu
la Gazette de Cologne et ses merveilleux récits.
ames, ce qui est, paraît-il, une garantie de plus prompte réussite.
Lu
d’entre nous, esprit très-sérieux, très-peu dispo
idus enlevèrent leurs mains du guéridon. 11 resta immobile. J’avais
lu
qu’une fois la table chargée d’assez de fluide, o
rencontré que des incrédules ; mais de tous les récits que nous avons
lus
, aucun n’égale en merveilleux celui que nous trou
ctivement à l’expérience. » (Presse du 11 mai.) Ce qu’on vient de
lire
est bien surprenant ; voici pourtant quelque chos
dotait certains individus de facultés admirables, leur permettait de
lire
la pensée, de communiquer sans le secours des sen
éger s'empara de la tribune. Voici la charmante pièce de vers qu’il
lut
, avec un accent qui décelait 1 énergie des sentim
est sans vertu, et si dans leurs regards et dans leur bonheur vous ne
lisez
pas la plus éloquente des réponses, vous ne puise
n, tu n’es pas un mal, tu es le plus grand des biens, tu es la santé,
lu
es la vie, tu es l'âme des mondes! « L étude no
ageux. Le 30 juin 1852, je fus appelé, à dix heures du soir, rue (
lu
Roi-(le-Sicile,n° 1, pour voir M"" Joseph, (pii a
IRITUELLES. /I Mademoiselle Anna Blackwell, Ma chère amie, J’ai
lu
avec le plus vif intérêt, dans le Journal du Magn
sont mises au jour. « Je me crois donc obligé de dire à ceux qui me
liront
, que l’homme peut avancer infiniment dans la carr
r avoir occasion de prononcer des discours. Sept ou huit orateurs ont
lu
ou improvisé des harangues à la gloire de Mesmer
t dédiée au président du banquet, mais que le temps n’a pas permis de
lire
. MESMER. Souvent des esprits solitaires Rayon
quelque sorte une condition spéciale. « Tout ce que le somnambule a
lu
, vu, entendu, imaginé pendant sa crise, il l’oubl
e l’observation, de la réflexion et de la méditation ; il faut savoir
lire
dans le livre de la nature, formé de toutes sorte
. « Dr A. CHEREAU. » 2° Attraction et répulsion. Le Courrier de
lu
Drôme et de CArdèche publie une lettre qui lui es
est plus vrai. Toutefois, ces réponses ne sont et ne peuvent être que
lu
réflexion de la pensée de ta personne qui tes pro
n contentes de rappeler le passé et de pénétrer le présent, ont voulu
lire
dans l’avenir ; mais, plus sensées qu’elle, les m
. Rapport à 1 Académie de médecine sur les Expériences magnétiques,
lu
les 21 et S» juin 1831. Expériences publiques f
tes dans une langue qu’ils ignorent. Il arrive aussi qu’ils voient et
lisent
au travers des corps opaques; qu’ils indiquent pa
« Archevêque de Myor, pro vice-gérant. » L’exposé qu’on vient de
lire
, et d’après lequel Rome s’est prononcée, n’est qu
ant de ce qui se passe de plus remarquable en Europe, et nous y avons
lu
avec un bien vif intérêt, que des hôpitaux magnét
s lucides, moyen bien simple, puisqu’il consiste , pour ainsi dire, à
lire
en soi-même, ou plutôt à se laisser diriger par u
annuel : « A L’ÉTERNELI.E GLOIRE DE MESMER ! « Au développement (
lu
magnétisme, et conséquemmcnt de l'esprit humain;
la elle est précieuse, parce que ce sont des étudiants qui doivent la
lire
, et qu’elle consacre une partie des faits qu’ils
is un gros livre. — Qqel livre? — 11 est en latin, je ne sais pas
lire
le latin , moi, et je n’ai pas assez étudié pour
ù le voyez-vous ? — Cette question!..... chez vous, puisque vous le
lisiez
tout à l’heure (et c’était vrai) ; étudiez bien
PRÉVOST. «Alonçon (Orne), 12 mai 1853 » 6 Trois jours après, on
lisait
dans le même journal : « La Pairie a publié une
dois ajouter quelques mots à la brillante analyse qui vient d’en être
lue
; c’est un simple avis. Par un singulier hasard
tesse. Quoi ! la science actuelle ne va pas plus loin que ce que nous
lisons
? Quoi ! il n’v a, à cette époque de lumière que d
dehors du temple l’inscription sacrée que nu profane ne devait jamais
lire
. Quoi qu'il en soit, j’entrerai dans la question,
! mais l’étonnement fut à son comble lorsqu’on vint à découvrir qu’il
lisait
aussi les yeux fermés. J’étais à, la campagne d
d’autres ; c’est ce qui est surtout nécessaire pour les personnes qui
liront
ce récit. Le jeune M*** indiquait avec la plus
tre un bandeau sur les yeux, afin de mieux s’assurer que le malade ne
lisait
pas, par un habile clignotement, les questions qu
n au malade en ces termes : « Dis-moi, mon cher ami, si tu pourrais
lire
ce que nous t’écrivons, en interposant un carton
sorte que nous soyons bien assurés que c’est par le toucher que tu
lis
? » Et il répondit en mettant cette condition :
uée contre le visage, et s’élevait bien au-dessus des yeux. Le malade
lut
également dans cette position ce qu’on lui présen
. Le malade lut également dans cette position ce qu’on lui présenta à
lire
, et notamment les arguments de deux chapitres dan
i étonnant que l’autre. Le somnambule ou le jongleur, si l’on veut, a
lu
les yeux fermés, voilà qui est constant; des comp
ause de la proéminence du nez, a suffi pour que le nouveau Lyncée put
lire
avec tant de rapidité à la distance de ses yeux à
lesquels il posait ordinairement le papier ou le livre qu’il avait à
lire
? Certes, ce serait une perfection du sens de la
maladie nerveuse qui se manifesta par accès variables daus leur type,
lisait
en appliquant sur l’oreille les livres qu’on lui
le, il y porta sa main, l’appliqua encore plus fort contre l’ouïe, et
lut
l’intitulé et quelques lignes de l’intérieur. »
on violon, tous les cœurs battirent vivement, et sur chaque visage on
lisait
une émotion facile à comprendre. « A peine quel
our est la mise en scène du somnambulisme, dans un drame intitulé :
lu
Moissonneuse , qui se joue au Théâtre-Lyrique.
ne (Ain), CONTROVERSES. TABLES MOUVANTES. Le Journal des Débats
lu
30 août contient une lettre fort importante, dont
puissance qui varie avec les personnes, varie aussi avec les jours.
lires
et qui le fait obéir à notre volonté en vertu d’u
ur ce concours, était fixé au 31 décembre 1855. C’est 1853 qu’il faut
lire
, comme nous l’avons dit dans le temps. Ainsi les
t nécessaire, et les mains restant entièrement isolées. « Vous avez
lu
ce matin, dans le Journal des Débats, l’extrait d
e et qui n’est pas moins remarquable, caractérisée par M. Chevreul d'(
lut
particulier déterminant la disposition ou tendanc
ions obtenues de cette façon. « Ce n’est pas plus surnaturel que de
lire
dans un livre fermé, de décrire un appartement él
e Bailly, par M. Arago, dit que «c’est la première fois qu’un savant «
lu
xix' siècle discute la grande et délicate questio
ié à votre gouvernement. « Je vous écris avec l'espoir que vous nie
lirez
jusqu’au bout. « Je ne vous demande ni place, n
ublic se préoccupe beaucoup de ce sujet, et qu’on est sûr de se faire
lire
en l’en entretenant. L'Almanach magnétique est
issé ses idées flotter à l’abandon. Et cependant le sujet qui ne peut
lire
dans sa pensée, et aux yeux duquel tout se passe
ique, voit ces signes corporels, invisibles à nos yeux, et peut ainsi
lire
dans la pensée, ou 11 eu reçoit l’impression, mêm
a postérité, et quels que puissent être les progrès de la science, on
lira
toujours avec fruit les ouvrages de Mesmer, de Pu
mais que ma lettre n’avait point été finie; sur ma demande, elle en a
lu
le contenu. J’envoyai deux personnes chercher ma
e depuis un quart d’heure environ. Je priai la somnambule de. nous en
lire
le contenu, elle s’y refusa. J'insistai, et elle
ensibilité merveilleuse. A une distance quelconque, je puis lui faire
lire
dans ma pensée, lui faire éprouver toutes les sen
t fausse route, à la remorque de l’illustre physicien anglais. J’ai
lu
avec l’extrême intérêt qu’inspirent toujours les
s de cela (celui-là. même qui est possesseur de votre livre, que j’ai
lu
et relu) me dit : « Ne prenez pas une place de qu
ite par l’activité do l’âme. L'homme se repose dans le sommeil, quand
lu
matière est trop thargée pur la mu litre, quand e
bien de l'homme lui-même, comme le feu qui jaillit du silex; c’est de
lu
volonté humaine que s’écoule Cesprit vital, qui r
. C’était alors par les yeux, le front et les sourcils que je pouvais
lire
une sorte de moquerie de tous mes efforts, de déf
lui. Cette détermination prise, je résolus de m’assurer si la malade
lisait
dans ma pensée. Je n’en doutais plus le lendemaih
nace tout homme qui s’engage dans ce labyrinthe. Baron DU POTET. [
Lu
mite prochainement.) 2° DES TAULES. A Monsieu
ns ferait bien de recourir ! » — Quelques-uns de nos abonnés ont pu
lire
dans un grand journal politique un long article i
mètre inventé par M. Weier, et préconisé par M. Sœhnée. Après avoir
lu
avec beaucoup d’intérêt cet article, je me suis d
és ! Dressez donc des statues à Para-celse, à Van Helmont, ù vous qui
lisez
de sang froid les élucubrations facétieuses des f
rien, ne lui est parvenue qu’à la fin de la cérémonie, et n’a pu être
lue
. Nous réparons ce contre-temps en l’insérant tout
je le répète : Hahnemann a différé de Mesmer et de Cagliostro, en ce «
lue
ces derniers avaient eux-mêmes foi dans les erreu
Hom. — Je vous dis que si. Allop. — Je vous disque non ! Hom. —
Lisez
Bretonneau (de Tours) et Chevalier, deux de vos m
ase à une loi générale? Hom. — Voilà votre bonne foi. Si vous aviez
lu
Hahnemann, vous auriez vu qu'il avait expérimenté
du fameux mot de Vicq-d’Azir : Dépêchez -vous de prendre le remkle il
lu
mode, pendant qu'il guérit encore; et s’il en con
ments l’imagination peut être un adjuvant puissant. Nous vous offrons
lu
manière de s’en servir. Ça vous va-t-il? Vous ne
Dans le dernier numéro, page 6C5, ligne 5, au lieu de considération,
lisez
comécraKo*. Baron bu POTET, propriélairc-gcrant
e ses instincts et ses facultés naturelles: c’est pourquoi vous devez
lut
pardonner son ignorance. « Venez, messieurs, ve
arfaitement sans le secours des yeux ; c’e6t ainsi que souvent elle a
lu
les entêtes d’ouvrages, et que j’ai joué avec ell
onfondre avec absolue, qui n’est qu'au cimetière, et n'est que là :
lu
mort seule met tous les hommes de niveau. les
nnaissait le moyen d’endormir et d’éveiller suivant les rè- glus (
lu
magnétisme, et je lui contai tout ce qui s'était
que toutes ont droit de puiser au fonds commun... Si vous en doutez,
lisez
¡’élection de l’évèque de Bourges par le procédé
ouvertes, a signalé le magnétisme animal comme une force curative sur
lu
réalité de laquelle des insensés seuls peuvent él
y a encore en physiologie , et môme en physique bien des mystères , —
lisez
beaucoup d’ignorance. Un aimant peut aimanter aut
jeter le fait comme contraire aux principes et aux lois de la nature?
Lisez
sur ce sujet Laplace (Traité analytique du calcul
thérapeutique ? Pour acquérir à cet égard une certitude, il suffit de
lire
les ouvrages des médecins dont j’ai cité les noms
tre aussi notre opinion pour un cas semblable. Or, pour cela, il faut
lire
ce qui a été publié pour et contre le magnétisme,
aussitôt elle recommençait... Pendant son somnambulisme elle parlait,
lisait
, tricotait, mais elle ne conservait nul souvenir
r avec elles, abandonnait son ouvrage, en prenait un autre, chantait,
lisait
, sortait du salon, y entrait, se heurtait en se f
entourer, ont seuls pu donner lieu à ces idées fausses. Pour qui sait
lire
les vies des saints et les antiques légendes, les
on du fait remarquable de somnambulisme naturel dont nos lecteurs ont
lu
l’aualyse dans le numéro du 10 février 1859, n° 5
nt pas plus libéralement de ses peines. L’auteur ajoute : Je viens de
lire
dans un journal indien, que ce dévot a répété la
parfois avoir raison de s’offenser, c’est que, lorsqu’il m'arrive de
lire
un ouvrage sur un objet quelconque, je n'ai pas l
trop longue à quelques-uns. Ceux-là , je ne tiens pas à ce qu’ils me
lisent
, je ne m’adresse point aux hommes qui ne voient d
s auditeurs, si toutefois vous croyez devoir leur en faire part. i.
Lue
jeune veuve, 11c vivant plus que pour ses deux en
serviteur, « Le docteur F. Roux (de Cette). » Analyse critique (
lu
rapport fait à F Académie des sciences morales et
t de la magie dans l'antiquité et au moyen âge, par M. Alfred Maukt ;
lu
ù I1 Académie des inscriptions et bclles-letlros
coup occupé de recherches sur le diable et sur les auges.. Le mémoire
lu
à l’institut se rapporte à peu près aux mêmes que
vérité, le résultat de la séance. Après avoir éveillé le sujet, j’ai
lu
tout haut la lettre devant elle ; elle en suivait
hiber quelques-uns de ces brillants phénomènes, dont les relations se
lisent
tous les jours dans leurs écrits, ils ont l’habit
Paris. Car nous affirmons qu’ils n’ont jamais vu de médium en état de
lire
à chaque instant et à coup sûr la pensée non expr
ience de la police correctionnelle de Lyon, le S) mars, présent mois.
Lue
dame A... était prévenue d’exercice illégal de la
s ne savons plus ce que nous faisons, ce que nous disons, ce que nous
lisons
, ce que nous pensons, ce que nous voulons. Le moi
es difficultés. Elle suppose, en efTet, qu’une âme peut naturellement
lire
au fond d’une autre âme sâns le secours des signe
squ'au pied. Page 169, lignes 13 et 26, au lieu de 31. Monchaanoff,
lisez
Jff. jBou-chaanofr. Baron du POTET, propriétalr
SUR LA TRANSMISSION DE LA PENSÉE. Liège, Î5 janvier 1859. .« Je
lis
dans un ouvrage récemment publié (1) : « Le but d
n 1836. « Ainsi il y a une ligne de démarcation bien tranchée entre
lu
lucidité et la communication de pensée , bien que
ent ; à cet effet, j’ordonnais impérieusement à mon sujet de ne point
lire
dans ma pensée. Je suis heureux de poiivoir dire
, lui dis-je , nommez les lettres les unes après les autres, et elle
lut
: Windsor Castle. u J’ignorais complètement les
ils n’ont jamais vus ? — Est-ce en vertu dece môme déplacement qu’ils
lisent
dans la pensée de ceux qui sont'mis en rapport ma
Sans idées bien arrêtées sur les faits magnétiques, nous venions de
lire
en 18/10 une brochure anonyme publiée sur ou
naud, sans avoir regardé même le titre du volume : nous le priâmes de
lire
dans ce livre ainsi renversé. En deux ou trois mi
ire dans ce livre ainsi renversé. En deux ou trois minutes, M. Benaud
lut
ou plutôt épela une phrase de deux lignes, que pl
l’exactitude. L’expérience eut un plein succès : le somnambule avait
lu
péniblement, mais avec la plus grande exactitude.
de ce que son prix de 3,000 fr., fondé en faveur de celui qui pourra
lire
sans le secours des yeux, n’a pu être gagné, et i
faculté de palper à loisir la boîte contenant l’écrit qu’il s’agit de
lire
, boite fermée à clef et dûment scellée. M. Mabru
s idées partagées, nous publions quelques-unes des pièces qui ont été
lues
à l’assemblée. Voici ce qu’un de nos zélés conv
ire , honneur à Mesmer ! M. Baïhaut a été vivement applaudi. On a
lu
immédiatement après ce toast un discours envoyé p
é envoyés, mais ils contenaient trop de détails et de faits pour être
lus
au banquet ; le temps d’ailleurs ne le permettait
pterai de concourir, lorsqu’on m’aura démontré l’utilité qu’il y a de
lire
dans une boite fermée. » L’assurance avec laque
passâmes à des exercices plus difficiles. Nous essayâmes de la faire
lire
, en lui posant un journal de botanique sur la rég
ui posant un journal de botanique sur la région épigastrique. Elle en
lut
parfaitement le titre. Elle distingua plus diffic
er chaque jour. Notre surprise fut bien grande lorsque, le lendemain «
lu
jour où elle avait été magnétisée par mon honorab
t les facultés du voyant. M. Charles Louandre, dans son Histoire de
lu
sorcellerie (2), a consacré un trop court passage
racles se réfléchissaient sur le disque de la lune, où on pouvait les
lire
comme dans un livre. L’usage de ces instruments d
ts par pure pénétration, comme dans le monde supérieur. (1) On peut
lire
ce récit dans deux volume» de la Bibliothèque des
ses sentiments. M. Vuillerme-Dunaud, vice-président de la Société, a
lu
ensuite un discours remarquable qui a été écouté
jets qu’on y posait. Mais, chose plus remarquable encore, c’est qu’il
lisait
couramment dans le passé; ce qu’il nous prouva, d
l’avais endormi. 11 est vrai de dire qu’une fois dans le sommeil, il
lisait
fort bien dans ma pensée, et que si je n’avais pa
éclatante, haussa les épaules et allait se retirer, lorsque celui qui
lisait
couramment ce qui se passait en elle, lui dit d’u
ciété philanttiropico magnétique pour faire une enquête sur les faits
lu
spiiitualisme, s'adressa à M. le baron de Guldens
. Page 330, ligne 35, au lien de ces travaux se reproduisent, etc.,
lisez
: Ces iabteam se reproduisent. Page 3iH, ligne
isent. Page 3iH, ligne n, an lieu de l'assurance de l’Esprit, etc.,
lisez
: L'ignorance de ftsprU. Baron dc POTET, proprié
e de remonter aux principes malheureusement méconnus. Les auteurs
lu
Code pénal, en rédigeant l’art. /i70. ont l'.iit
, daus un endroit où il y avait si peu de clarté, qu’on ne pouvait ni
lire
ni distinguer de petits objets. Après avoir fait
s sœurs parurent s’émouvoir. Elles se consultèrent, se levèrent et me
liront
signe d'approcher. L’une d’elles s’agnouilla deva
On en tire un, que M. Tréfeu serre dans sa main fermée, sans l’avoir
lu
. Savez-vous quelle question renferme ce billet?
devons ajouter, car il faut bien le dire, que tout ce que nous avons
lu
sur ce sujet dans les magnétistes spiritualistes
à être témoins des phénomènes : oe n’est pas comme en France où vous
lisez
des récits pompeux d'expériences miraculeuses, de
cepterai de concourir lorsqu’on m’aura démontré l’utilité qu’il y a à
lire
dans une boîte fermée. » —Toutes les expériences
ages, celui de constater la faculté de communication de pensées. Nous
lisons
dans le compte rendu d'une séance de Al"* Mongrue
tinué longtemps, etles avis, certainement, eussent été partagés. Je
lisais
dans le n° 6, 2” vol. de la Revue spiritualité uu
« Eh bien ! comment se plaît-on à Schleifmühl ? (1) Voir le numéro (
lu
10 août, n* S9, p. 402. — Nous y sommes très-
soin de ce malade, l’idée me vint d’employer le magnétisme. Je ne le
lis
ças ouvertement, car je n’eusse peut-être pas été
. MAGNÉTISATION DES OISEAUX. o Monsieur le baron, « Je viens de
lire
avec un bien vif intérêt, dans le dernier numéro
étranger depuis longtemps aux questions de magnétisme animal, je n'en
lis
pas moins avec un vif intérêt tout ce qui se rapp
uelque trente ans, les premières notions. Je me suis donc empressé de
lire
le numéro qui m’était adressé, convaincu d’avance
. Enfin, une jeune fille de dix-neuf ans qui, du reste, ne sait pas
lire
et n’a pu par elle-même prendre connaissance de l
nous espérons que la leçon ne sera pas perdue. A. S. Mobiw. Nous
lisons
en outre, et sur le même sujet, les réflexions su
ait d’arriver des pays étrangers... Une dame désira que le pupille ou
lu
colombe (c’est ainsi qu’il appelait les enfants d
n dans toute sa puissance, du moins dans un de ses accidents; ils ont
lu
également les dépositions des médecins chargés de
n tisonnier, et était mopt bien- tôt après de sa blessure. Morton
lut
la lettre une heure après son arrivée à Londres :
és et sur lesquels s’appuie l’bistorieu. 11 prétend, par exemple, que
lu
sainte kabbale a été emportée de Chal-dée par Abr
t du désespoir. « Les autres critiques de M. Morin prouvent qu’il a
lu
peut-être un peu légèrement notre livre; autremen
magnétisme, a décidé qu’à l’avenir elle jetterait au panier, sans les
lire
, tous les mémoires qui pourraient lui être adress
er du déplacement des sens et en particulier du transport de la vue à
lu
peau de la région épigastrique. Dans (1) Voir Jou
r considérablement les accès les uns des autres , en déterminant chez
lu
malade ce qn'on appelle tétat magnétique. 11 rapp
btenait des réponses, même quand plusieurs expérimentateurs formatent
lu
chaîne. Elle n’entendait rien autrement ponda
850. SI ii'onl pas avoii'î publiquement leur félonie, cl. racnnlé
lis
moyens dont ils s’étaient soi vis pour abuser de
votre journal avec une fébrile impa- ' tience, et je me dispose à les
lire
comme le vieux soldat aime à caresser une arme do
eux ne pussent voir. La crisiaque épelait chaque mot et finissait par
lire
ma phrase avec une certaine peine, mais si j’écri
avec une certaine peine, mais si j’écrivais en grosses lettres, elle
lisait
couramment sans épeler. Si j’employais des lettre
e par intuition je sentais devoir se produire. « On ne pouvait rien
lire
sur mon visage, je m’étais assis. Personne, je vo
demi-sommeil, les autres pierres de couleur l’agitent, le cristal la
lire
du sommeil magnétique, le grès la met en cataleps
séance la plus décisive, et qui ne s'était pas môme donné la peine de
lire
nos articles , est venu recommencer un débat
ent entendu parler de gangrène sénile. Elle n’avait certainement rien
lu
là-dessus, car c’est une personne sans instructio
jamais saisir jusque tlnns scs moindres dé/ails tous les mystères de
lu
création, ni saisir en un clin d'œil les rapports
oser qu’elle peut entrevoir une partie des mystères de l’univers et y
lire
les secrets de Dieu. » Ici ce n’est plus de la sc
its quand ils ont arrondi des périodes creuses à elfet lyrique. Faire
lire
par l’âme les secrets de Dieu, ce n’est pas donne
n’êtes pas effrayé par sa dimension, veuillez prendre la peine de la
lire
et l'insérer dans le Moniteur des Hôpitaux si vou
eur. Mais il faut croire que si M. Velpeau et MM. les académiciens ne
lisent
point le Jour- nul du Magnétisme, ils ne se l
cadémiciens ne lisent point le Jour- nul du Magnétisme, ils ne se
lisent
guère davantage entre eux. Les mômes expérience
n objet luisant qu’elle (I) Voyez les comptes rendus des séances do
lu
Société du mesmérisme dans les premiers volumes d
ue nous n’avons pas à endormir, et des magnétiseurs qui n’ont point à
lire
les livres de nos maîtres (magnétiseurs intuitifs
ucoup trop long, mais nos lecteurs ne seront sans doute pas fâchés de
lire
les éloquentes pages opposées au discours si simp
Dupotet, directeur gérant du Journal du Magnétisme. Monsieur, Je
lis
dans le dernier numéro de votre journal, un artic
ports de contiguïté ; sa Iilllill) supérieure est un'peu au-dessus (
lu
o,j llonlJll1 bU-IwU Lu hl' l'an 1 ie 1. on extré
Iilllill) supérieure est un'peu au-dessus (lu o,j llonlJll1 bU-IwU
Lu
hl' l'an 1 ie 1. on extrémité inférieure ric.2.
molles et que l'examen microscopique montracons- lituées, comme le
lis
*u osseux véritable, par des lames de subs- tanc
fait sentir de une heure et demie à deux heure* la p]ise. En même
LU
Tli 1 : : ¡¡ \PEUTIQI'E. temps que le sommeil e
Ilus. lll. - 1 ? P., 57 ans, présente depuis juin ! ! HI3 un dé-
lire
mélancolique avec un élal d'anxiété presque conti
prolongé pendant 8 mois. (ans, XI et Obs. IX.) Paralysie générale. (
lus
, XIV, .M. A. 50 ans, présente l'en- semble des
te blanche. - Sommeil normal. Mémoire assez bonne. Elle sait un peu
lire
et écrire; elle n'a été mise à l'école qu'à 6 a
e que déjouer. - Elle parle bien, mais lentement. - Elle commence à
lire
et à écrire ; elle écrit SCLÉROSE ATROPHIQUE hé
à noter : (1) Nos malades apprennent plus facilement à écrire qu'à
lire
. (2) On trouvera dans les observations de nos C
it aussi l'éclatement en touffes de Popoff. Il est probable termine
lu
. llielscho\\ sky qu'il s'agit non d'une régénérat
rs. Cette pathogénie se rapproche de celle de l'épilepsie tardive, (
lu
tremblement sé- nile, de la myoclonie familiale
904.) Observation d'un homme de 4G ans qui était atteint d'un de-
lire
généralisé et incohérent avec agitation et quelqu
ue l'avait été la genèse, tant elles étaient superficielles ; elles
lurent
remplacées par ses idées propres." La crédulité
ont si passagers qu'il est difficile d'en tracer un tableau précis,
lise
peut que les allures de ces composé- à l'égard
elation en dedans eton dehors, de l'abduction et. de l'adduction du
liras
, tle, la flexion et du l'extension de (111 poig
t des troubles hysléro-neuraslhéniques et phobiques qui compliquent
lu
tableau morbide (exagération (1(, stit- so-haso
est grièvement bridée. (Journal du 3 tI{,¡;.). La folie d'un père.
Lu
Progrès de Lyon raconte qu'un nom- tiré E nanl
t été remis. Le mal qu'il a, lui a été donné pal' des gl'ns qui ont
lu
dans (le mamais 1Ï\l'e 1'1 ]lIi ont l'aiL prend
rge en érection dans sa main tout en gémissant. 17 aoÛt. - Il eonli\
lue
à se nIH,lul'liel' sans Il'hl', II' JOUI' é't la
des. El, il ce propos, ce n'est pas sansétonnemcnt que nous avons
lu
, dans l'intéressant rapport de M. Deny au Con-
tre, plus éphémère. J'ai vu certaines psychoses dépressives a dé-
lire
religieux et anxiété débuter par de véritables ac
epnur retomber ensuite dans son mutisme habituel. Un peu de boufli.
lire
des ll'ail',a\ec ]l'gi'l'l' ilililll'ali"l1 des
°;r <lécembne ? l'Lmlttnt yuinzu ·jom : · mt olutarmicw a 1·I : ·i·
lu
en même temps que l'excilalion génitale ; il se
l'ail des extravagances, gale au lit, demande encore à ce qu'on le
lue
, manifeste des idées dépressives analogues a cell
e dalh l'altl'lIli-'elill'lll p( Il' ¡ ? ili-III.' fiual. CL' l'IlL
lu
. ,eull' l'l'i-I' d'l'\ciLalillil t ? élliL.tll' ,
clusions d'une première note sur la para- lysie générale conjugale,
lue
. il y a 14 ans. au congrès de médecine mentale
Lés pal' 1\1. Cullcrrc. Et, en effet, dans le premier, la syphi-
lis
n'était pas. avec certitude, la cause déterminant
rait sans doute pas suffi il faire naître, en l'absence de syphi-
lis
, une paralysie, générale chez Marie 13.... car no
. 103 jamais eu beaucoup d'instruction ; il n'a jamais su très bien
lire
; il sait tout juste tracer son nom ; mais ce d
venues de personnages imaginaires qu'il épiait dans l'escalier. Il
lirait
des coups do rovolver par la cheminée. 11 croya
ala- des, sont enfermés dans 54 asiles publies ; ils sont au nom-
lire
dc50.00u environ ; ils ont pour leur donner des s
sL-à-<lil'e il la cl1l'oll1hLine nUcll'ail'e, -- 4° 1)[éten4li.e(
lue
dans le système nerveux central normal, les Ieu
araître se modifier pour donner nais- sance aux fibrilles d'un taii(
lis
4lit'ort n'a jamais pu suivre de neurnlillrille
Chez le nutw·au-nt, la lunttcut· tlc I,t ntoullc rclméenlu ` ? 9, ?
lu
aa laillc ; crllc proportion fléchit, d'abord l
irpations des deux fiers posté- rieurs du cerveau, et même des deux
lu
·mi.llù·res.-3.Chez le la- pin, la cécité cortic
i, on constate une sensation d'engourdissement à la face interne du
liras
gauche. Il se peut qu'il y ait que coïncidence
l'intermédiaire des ravons N, qui sortent des cen- tres du langage.
lis
ont la propriété d'exciter les centres du lan-
analmno- palhologique. Les symptômes décrits comme cal'aell'l'Ïsli(
lues
(slé- réotypiesdu langage parlé etécril, échola
re moins un centre spécial que dans l'alexie. Il s'agirait en gros (
Lu
pli courbe, de la partie postérieure du lobule pa
ques de l'écriture, bien qu'elle conservât totalement la faculté de
lire
, et cependant elle était hors d'état de se repr
favorable fut celui qui fut extrait le plus tôt possible du sang
lire
la suite d'un accès grave el qui provint d'un aut
lire la suite d'un accès grave el qui provint d'un autre epilep- li(
lue
(lue le l1laladL auquel fut injecté. Mais, ni p
la suite d'un accès grave el qui provint d'un autre epilep- li(lue (
lue
le l1laladL auquel fut injecté. Mais, ni pendan
F. 1101SSJlW, S()CIIn IrIIH ? OWt;1E IT DE PSYCIiOLUt;IE SW ace
lu
naodi ' ! 7 clcenabne 1901. l'taoam : rrc ur :
jus soc ? 11 : : 3$,\\',\ : \ Il;S. Sourdlcs 11J11,licalio'l¡; de
lu
j/(11'('O"" é/hifl-mélhyliqw', .'1. Paul ¡ : ,\
étudié longuement ce che- val, en l'absence de son maître cl de son
lis
sont arrivés (,elle conclusion que ce cheval ne
sont arrivés (,elle conclusion que ce cheval ne peut ni compter, ni
lire
, ni calculer : les réponses qu'il doit faire lu
de sens moral, par une sorte de méchanceté innée. Ils apprennent à
lire
, (1) IT.W n, Rapports et mémoires sur le sauvag
us le nom de « génies partiels ». Les faibles d'esprit apprennent à
lire
, à écrire, à orthographier, ils arrivent à la n
France. . Le travail de 31. P. Sérieux comprend plus de 1000 pages.
Lue
analyse quelque peu détaillée ne peut donner qu
teur.tes réformes actuelle ? ; les plus importantes consistent en :
lu
la création de services de malades aigus curabl
e a call-l;lIlIl'éIllOlioll profonde il Issoirc, oit la famille Gay
lu
est 1res connue. (Aurore, 23 janvier HJO : ¡,)
. Col homme qui, depuis quelque temps, l'aisa i 1 la t 1'l'I'I'lI['(
lu
pu ? sc 1 i \ l'a i L il Loul e epèces d'l' \('en
'a i L il Loul e epèces d'l' \('en [l'Ïci LL", Enfermé chez lui, il
lirait
des coups de leu dans sa cour, mena- l;auL lie"
183 espace apparemment normal, peut-être un peu appauvri en li- v
lires
(fig. 10). Sm la (ig. Il, cet espace est déjà dev
même vers de Ruy-Blas. M. 13....; dont les prétentions artistiques
lurent
plus mo- destes, grimace continuellement en se
associa- tions d'idées très élémentaires, comme celles qu'on uti-
lise
.a l'accomplissement de certains ouvrages domesti-
. KERAVAL. 234 REVUE d'.ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.
LU
. Observation de dégénérescence ascendante des fi-
D1' Siiiioii, 1). 108 ligne 4 : au lieu de «réaction el suicide )',
lire
: réaction suicide. Page 110, à la 3e ligne fin
. Page 110, à la 3e ligne finale, au lieu de « ces tout complexes »
lire
: ces ensembles complexes. Le rédacteur-géran
n, cl de nature hystérique. 1 Cinquième entrée an octobre 18%. Nous
lisons
sur l'obser- vation qu'elle sent assez, bien de
sile dans un état d'idiotie complète, n'ayant jamais pu apprendre à
lire
, répondant par monosyllabes aux questions qui l
i lui étaient posées, s'est amélioré d'une façon inespérée. Il peut
lire
, écrire, Statistique ET enseignement des enfant
THOLOGIQUES. 299 pies à l'appui sur toute la question traitée est à
lire
en entier ; cela ne s'analyse pas. P. KERAVAL.
arfois la perle de la vision de l'oeil correspondant disparaît plus
lût
que celle de l'oeil opposé. Si, quand les tro
, qui dura plus de trois mois. A ce moment, dans un retour du dé-
lire
, celte amnésie retro-anterngrade disparut et le m
terio-sclerose, qui a elle-même pour fadeurs : la goutte, las) pli'
lis
, l'alcoolisme, etc., etc. l'. I\eR.\VAL. REVUE
de, XXV. X, F. XIH, 190; XXVI. X. F. XIV, 1903.) . Longue revue à
lire
en entier : numéros de nw. 1\10, l'év. el mars
sur 1231. Comparé à la population moyenne, représentée par le chi
lire
590,09, le rapport des guérisons est de 9,34 %. L
tchargéedu service médical dans l'asile privé de Lincoln. Elle a eu
lu
préférence sur la médecins qui briguaient la plac
rde, elle voit les ohjets de grandeur di rl'érente ; pIle remanlue (
lue
, VilS a\ cc l'oeil droit, les objets sont, plth
rton verticalement surle milieu du visage de l'enfant et lui dis de
lire
en fermant l'oeil gauche (c'est-à-dire le sain)
le carton comme dans l'expérience précédente et dis à Valentine de
lire
en fermant l'oeil gauche : elle distingue après
lunettes dont un verre est rouge et l'autre vert, puis on lui fait L
lire
les lettres du tableau transparent. Si le suj
es les lettres. S'il est au contraire amaurotiquc dut ! oeil, il ne
lira
que les lettres dont la couleur correspond à cell
t, ayant un verre vert à droite et un verre rouge à gauche, elle ne
lira
que les lettres rouges du ta-' bleau : or elle
j'élais d'ailleurs une pâle malléable. J'aurais voulu que mon amant
lut
pour moi un père.... un père sévère et autorita
santé par une singulière aventure. Eu niai 11() : >, M11- X...,
lisait
un journal qui publia successive- ment Claudine
., se crut incarnée dans le personnage de Claudine. Non pas qu'elle
lut
amoureuse des femmes : elle n'a jamais eu avec le
cLlmuacnlanLl·n lalli··;'llic- la, l\ ! l'-Ia; il l'au 1 qLle tu la
lue
" ? .\lai hruqLll'LIlelll LIIOLI 111'.1- Inl lru
ues aryennes, qui ont traduit cent vers d'Hésiode, mais n'ont point
lu
Baudelaire, flui ont traduit trois scènes de Tv
delaire, flui ont traduit trois scènes de Tvrcncc, mais n'ont point
lu
Beaumarchais, qui ont analysé trois pages de Fé
umarchais, qui ont analysé trois pages de Fénélon, mais n'ont point
lu
Voltaire, ces jeunes gens, dis-je, au moment d'
des autorités, -je puis dire qu'il serait surprenant que le neurone
lut
dépourvu d'une faculté qui appartient il tant d
s, et même sur des séquestres li- bres. 8° Tous ces faits prouvent (
lue
lesjointUl'es ne jouent guère de rôle dans la t
d obtenir une imprégnation suffisante des préparations histolugi-
lues
par los sels 1'argenL. · Un cas (l'il/version s
en ce que les chan- ces de guérison sont d'autant moins nombreuses (
lue
la maladie, dure depuis longtemps. La famille e
? l.\LE .Mais parmi les 110 paralytiques ily en a un certain nom-
lire
qui n'eurent yu'unçuil anormal et quelques autres
médecins aliénistes. Les deux observations suivantes, empruntées à
lu
pratique CORPS ÉTRANGERS DE 1/OESOPHAGE CHEZ LE
ertainement plus nom- breuses encore, si elles étaient facilitées :
lu
par l'adoption de congés ou sorties à titre d'e
apports d'une clarté parfaite, les remarquables débats sur le dé-
lire
chronique, sur la classification des maladies men
mp delà médecine légale qu'il a abondamment moissonné. Tous. nous
lisions
avec le plus vif intérêt les importants travaux
s publics d'aliénés de Maison-Blanche et de r()is('l1{' (Seine- et-(
lise
). » CORRESPONDANCE Personnel médical des asil
anéantie; le voilà sous la domination du médecin. 1° Faudra-t-il
lut
défendre impérieusement de fumer? Non. c'est un m
Quoi qu'il en soit, il est préférable d'entraîner les pigeons dans
lu
même direction, car ils partent alors d'un trait,
nce de M. DUMONTPALLIER. Le procès-verbal de la séance du 9 Mai est
lu
et adopté. La correspondance comprend des lettr
, il voit directement le lieu de son colombier. Or, je prétends qu'il
lut
suffit de reconnaître un point de repère quelconq
'y eut-il pas une corde ou un fil attaché à la table, dont le bout se
lût
trouvé entre les mains du médium, de sorte qu'il
ucun phénomène. 114 livres Att 10 1 Rep 10 114 livres 0/0 Att 5 | Rep
lu
On voit simultanément se produire l'amélioratio
es de la Société. Le procès-verbal de la séance du !3 juin 1892 est
lu
et adopté, après lecture d'une lettre de M. le Dr
t qui parle, ne voit pas (toujours dans l'hypothèse). Rainaldi. qui a
lu
Ferrier, Charcot et Pitres, percute la région du
ion du pli courbe (P2) , et la vue est rendue à la malade. S'il avail
lu
Munk, ou Seguin, ou Nonagel, et en général les ou
pli courbe, met fin à cette cécité verbale et permet a la malade de
lire
. La paralysie flasque ou la contracture du membre
s après la présentation de cette note de M. Charcot, M. Dumontpallier
lisait
devant la même société savante un travail sur « l
pnotisme. Dans chacune des sections, des travaux importants ont été
lus
, et l'on peut dire que ce qui caractérisera surto
suggestion lui fut faite immédiatement de voir de loin et de pouvoir
lire
le» lettres les plus unes. Cette suggestion fut
e le lendemain, et depuis sa vue fut suffisante pour lui permettre de
lire
et de travailler. Observation v. — Hémichorée h
dans les conditions où je me serais trouvé si le malade n'avait sa ni
lire
ni écrire. Je me décidai à employer le sens du to
ous obligent à faire les corrections suivantes : Page 24, ligne 38.
lire
: Cannabine. Page 47, ligne 3, lire : partant.
suivantes : Page 24, ligne 38. lire : Cannabine. Page 47, ligne 3,
lire
: partant. — 25. — 4, - mêlée. — -17, — 41, — N
e général. Nous publierons in extenso un certain nombre de mémoires
lus
au Congrès et nous donnerons l'analyse des autres
ant eu la velléité de les accomplir sans y donner suite. M. D... ne
lire
aucune autre conclusion de son travail, si ce n'e
femmes tres suggestibles. cette sug-gestibilité peut facultativement
lire
éveillée dans un degré plus ou moins avancé. en p
s'agit de psychothérapie. L'emploi déraisonnable de ces (I) Mémoire
lu
au Congrès de psychologie expérimentale de Londre
de l'Etat sans tenir compte du fait que les membres de l'État peuvent
lire
et écrire. Il n'est pas besoin de croire à une
es (j), forces qui jouent un rôle comparable à celui de la faculté de
lire
et d'écrire des membres dans l'ensemble d'un État
. Qu'est-ce qui se passe ? Le greffier. — Voici voire déposition...
Lisez
. Mathis, après acoir la quelques lignes. — Malh
que comme devant amener une revolution complète dans le traitement de
lu
morphînomanie. Chez plusieurs de ses malades, il
d'ailleurs, ce qui la décide à se guérir. La malade passe la nuit à
lire
; ses lectures dénotent un esprit assez cultivé :
nuit à lire ; ses lectures dénotent un esprit assez cultivé : elle a
lu
tous les romans écrits par des auteurs connus. El
e M. Dumontpallier. Le procès-verbal de la séance du 11 juillet est
lu
et adopté. M. le secrétaire général fait part d
imitation. Le simulateur imite soit ce qu'il a vu, soit ce qu'il a
lu
. soit ce qu'il a entendu décrire. II peut, de plu
de imitateur a été témoin ou qu'il a entendu décrire, ou même qu'il a
lu
quelque part, a frappé vivement son imagination d
se représentation de la première scène. Sous l'Empire, un soldat se
lue
dans une guérite; plusieurs autres font élection
itôt en disant que pour elle la chambre c'est la voilure. Elle sait
lire
, écrire et compter, chose rare chez les enfants d
mais elle n'a pas de peine à me démontrer que le père leur a appris à
lire
pour qu'ils puissent mieux jouer la comédie. El
Dumontpallier. Le procès-verbal de la séance du lundi 17 octobre en
lu
et adopté. M. le président met aux voix les can
jours une violente émotion morale. Pour s'en convaincre, il suffit de
lire
les observations des différents auteurs, et si l'
fortement dans le cerveau de sa malade la certitude du pardon et mime
lu
; avait ordonné, arec toute la volonté dont il éta
r à parler et à écrire, il leur était devenu absolument impossible de
lire
les caractères imprimés et l'écriture. La suggest
ir d'aller te coucher. Demain tout le monde me fera des reproches que
lu
as encore passé la nuit prés de moi et cela me fa
assées et je ne vois pas encore D. — Ça va venir. R — Comment que
lu
l'appelles ? Tu n'es pas si fine que sœur 0.. pui
re, nous procédons de la façon suivante. Nous écrivons et lui faisons
lire
ce qui suit : « Je vais vous toucher les deux ore
nces, la relation précédente me paraissant suffisante pour en montrer
lu
nature et la signification. Une hystérique frappé
psychique, c'est ce qui résulte du reste do la lettre qu'on vient de
lire
et que son mari m'écrit le 9 août, c'ost-à-dire q
ce de M. Dumontpallier Le procès-verbal do la précédente séance est
lu
et adopté. M. le Président annonce la présence à
, viennent et rassurent la foule. L'un d'eux, sur la figure duquel on
lisait
je ne sais quelle bêtise exallée, répétait à tout
es par suggestion regardent à travers la lunette les six lettres, les
lisent
seuls sans hésiter, donc ils voient de l'œil ambl
ne voit rien ; je n'y mets rien, il dit voir deux doigts. Il ne peut
lire
. Quelquefois il reconnait vaguement les objets.
r, chef de clinique, après avoir constaté que l'œil gawhe ne peut pas
lire
, ni reconnaître les objets, dit au sujet que main
ne in expliquant pas comment le eejet qui. devant moi. ne pouvait pas
lire
de l'œil gauche, les plus gros caractères d'impri
gros caractères d'imprimerie sur un livre ou sur un journal, avait pn
lire
devant M. Kochler des caractères bien pins petits
ise, qu'à la distance de cinq pas et au delà, jusqu'à cinq mètres, il
lisait
très bien les cinq dernières lignes; il disting
les lettres noires sur un fond blanc. Mais plus près, il ne peut plus
lire
; il voit des jambages blancs sur un fond noir
sidérants du jugement dont nous venons de parler. Ils méritent d'être
lus
attentivement : * Attendu qu'il résulte de l'in
suivante : - L'accès ne reviendra qu'après-demain ». 19 octobre, —
Lu
malade, qui ne savait rien de la suggestion intra
de réussir, car beaucoup des personnes des meilleures classes qui ont
lu
ou entendu parler de l'hypnose, n'acceptent les s
ue tu auras besoin la nuit, tu t'éveilleras et tu prendras le vase et
lu
feras. » Cette suggestion fut accomplie à la le
de début, mais il parait ne pas avoir été lent, et dans tons les cas.
lu
contracture a atteint dès le premier jour son max
er exemple suivant : une petite fille adoptée dans une famille entend
lire
dans les journaux une histoire d'attentat à la pu
iques, 6e série, 1883 tome 9, p. 65. faire ce qu'elle avait entendu
lire
dans le journal. Nous avons demandé s'il n'y avai
ce de M. Dumontpallier Le procès-verbal de la séance précédente est
lu
et adopté. La correspondance manuscrite compren
s Imposée aux chrétiens adultes qui embrassent l'islsmisme. On peut
lire
A ce sujet ce que j'ai raconté dan* la Turquie of
mmes, parmi ' lesquels tu comptes si peu d'amis pour tout le bien que
lu
leur fais? « A ton approche, ainsi que des moin
ue tu pilotes, sont peu de chose en comparaison des satisfactions que
lu
donnes à ceux qui n'ont pu le suivre. « Sans pa
s éveiller en eux la moindre reconnaissance ! « Les héritiers, dont
lu
réalises les espérances; les gendres fatigués que
héritiers, dont lu réalises les espérances; les gendres fatigués que
lu
soulages de leurs belles-mères ; les crèvr-la-fai
fe en déblayant les chemins trop encombrés de monde; les prêtres dont
lu
favorises le commerce; les gazeliers à qui lu fou
monde; les prêtres dont lu favorises le commerce; les gazeliers à qui
lu
fournis de la copie on abondance; les chasseurs d
ul peut-être, t'a rendu justice en affirmant que, tous comptes faîfs,
lu
saurais plus d'existence* humaines que lu n'en co
nt que, tous comptes faîfs, lu saurais plus d'existence* humaines que
lu
n'en compromettais. « Sous ton influence. on vo
testé, redouté a l'égal des maux les plus terrible». a On effraie
lus
hommes avec ton nom, comme les enfants avec Croqu
s préventions injustes à ton égard résulte de la mauvaise liaison que
lu
fis en ta jeunesse. « Un destin perfide t'a uni
s la responsabilité de tout le mal que fait la tienne. • Partout où
lu
te présentes, elle le précède, et tu n'as pas le
e de M. Dimontpallier. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. La correspondance imprimée comprend
es ? Pour avoir aujourd'hui une opinion sur ces malades, il suffit de
lire
les rapports du temps, « A plus forte raison, i
simule ne lui est pas étranger, elle en a vu des exemples, elle en a
lu
la description ou en a entendu le récit. Dans tou
malade des lunettes ayant un verre muge et un verre vert, et lui fait
lire
sur un cadre six lettres imprimées sur des verres
n les vertes : mais, si on leur laissait les deux yeux ouverts, elles
lisaient
couramment toutes les lettres sur verre rouge et
uramment toutes les lettres sur verre rouge et sur verre vert ; elles
lisaient
ce qu'elles étaient censées ne pas voir et qu'ell
es du système neuro-musculaire ne s'improvisent pas. Or, supposer que
lu
premier venu soit capable, par une mimique aussi
. le Dr Dumontpallier. Le procès-verbal de la séance précédente est
lu
et adopté. La correspondance comprend des lettr
fait, prendre part aux travaux de la séance annuelle. Il les invite à
lut
faire parvenir à l'avance, autant que possible, l
de votre Ame. élevez votre regard vers la statue de Renaudot, vous y
lirez
que la force ne prime rien, que le droit fait tou
ait des rues qu'il ne se 1 permettait pas de passer; il s'imposait de
lire
tous les jours une certaine gazette depuis la pre
: le sieur Vandevoir était-il hypno- « tisable ou non? On vient de
lire
les certificats de l'École de Nancy et les « mien
e M. Delbœuf. Mais faut-il s'étonner de choses semblables ? Qu'on
lise
les lettres publiées dans un journal quotidien pa
. Bien à vous. Dumontpallier. Méfait de somnambule lucide. Nous
lisons
dans le Paris .• a Que les somnambules nous écl
r suite de la violence et de l'etrangeté du remède appliqué au mal.
Lisez
l'ordonnance de la somnambule : « Conseils à su
avant de l'y loger, à portée de notre main, ne saurions-nous trop le
lire
et le relire. L'auteur, fuyant l'aridité des conn
crivain et d'humoriste. Nous conseillons à ceux qui en douteraient de
lire
le* chapitres suivants : ta Morphinomanie, F Hypo
e rend les gens fous. C'est ce qu'ont dû se dire foi lecteurs qui ont
lu
ta lettre épileplique de M. Masoin, parue dans la
te. Croyez-moi, vos lecteurs vous en sauront gré. Car ils demandent à
lire
dans ce recueil des discussions scientifiques et
ucun résultat ». Deirez le réveillant par de» pa«ses, le rapporteur •
lu
) fait part de sa surprise devant ce singulier pro
dmission. Art. 7. — Tout candidat au titre de membre titulaire doit
lire
en séance publique un travail inédit. Art. 8. —
lletin et Mémoires de la Société d~I!ypnoloyie. Art. — Le* mémoires
lus
à la Société seront publiés dans les Bulletins et
part. Art. VII. — La publication du Bulletin, et celle des mémoires
lus
à la Société, sont placés sous la surveillance d'
er pour une affection nerveuse remontant à dix ans. Elle ne peut rien
Lire
sans éclater en sanglots, de telle sorte qu'on l'
ite. Aussi cet ouvrage ne se prête-il pas à une analyse, il doit èlre
lu
en entier, entre autres le chapitre consacre à la
e, l'auteur entre dans d'intéressants développements qui doivent être
lus
dans l'original. Pour ce qui concerne les relatio
produisit une centaine de personnes capables, grâce à la pratique, de
lire
les pensées comme Brown, en se guidant seulement
lus élevée qu'à l'état normal, ils en conclurent que cette faculté de
lire
les pensées ne dépendait pas d'one sensibilité
la conviction que ce ne sont pas les pensées proprement dites qui se
lisent
, mais les mouvements musculaires dont s'accompagn
Dumontpallier Le procès-verbal de la séance du lundi 21 juillet est
lu
et adopté. M. le président annonce la présence
charge et gouvernement sur quelques enfants de maisons. » (1) Noie
lue
à l'Académie tics sciences morales ci politiques.
doute. Il me suffit de rappeler plusieurs faits bien connus. Tout
lu
monde sait certainement que le chagrin, la triste
mais des faits que je démontre tous les jours; ils sont indéniables,
lis
s'imposent avec une évidence irrésistible à tous
e l'exposé des doctrines qui ont fait de sa part l'objet d'un mémoire
lu
, en 1884, à l'Académie des Sciences morales et po
ifférons d'avis, M. Bcrnheim et moi. c'est sur les conséquences qu'il
lire
de celte suggestibilité au point de vue médico-lé
« commettra l'action criminelle qui lui aura élé ordonnée, » n faut
lire
aussi, messieurs, le remarquable travail de M. le
t été produit chez elle par celui qui la donne en spectacle, soit que
lu
sujet ait été hypnotisé par un tiers. Cette dispo
et qu'il peint très heureusement. Ce livre du Dr de Régla doit être
lu
par toute personne désireuse de se maintenir au c
e- au Congrès international d'hygiène. — Dans le discours d'ouverture
lu
a la section de médecine préventive du septième C
sans trébucher par des chemins très irréguliers; ils sont capables de
lire
très vite en passant leurs doigts sur les caractè
sidence de M. DoMflirALUCB. Le procès-verbal de la dernière séance,
lu
par M. Magnin, secrétaire, est adopté. M. le pr
on verra que l'excitation cutanée locale ne fait qu'élever à un plus
lu
.ut degré dans les muscles correspondants la contr
s la pédagogie des enfants vicieux ou anormaux. Nos lecteurs ont pu
lire
dans la Revue un certain nombre d'articles sur la
ardai en observation pendant un mois. Après ce temps il retourna chex
lut
, mais revint me voir par intervalle*. Six mois ap
sidence de M. Dumontpallier Le procès-verbal de la dernière séance,
lu
par M. Magnin, secrétaire, est adopté. M. le se
ant ce que je lui ai dit à l'état de sommeil : 0 Mon ami, je sais que
lu
veux guérir; tu en as le vif désir. Mais malgré t
as aucun effort à faire pour ne pas de toucher. Je suis convaincu que
lu
es guéri ; tu n'as plus aucune peur, ta bonne nat
lque temps, d'une facilité extrême, et, le plus souvent, il suffit de
lut
dire de dormir pour qu'elle s'endorme immédiateme
te f| , par Hauilton Osgood, de Boston. Dans un travail important,
lu
devant le Boston Society for Médical Fmprove-ment
onfiance que le corps médical mérite el que la législation en vigueur
lut
témoigne et la tolérance qui laisserait hypnotise
issaient puisés dans leur seul imagination, notre éminent confrère en
lirait
la déduction qu'il faut, en médecine légale, se t
solément, ainsi, reniant auquel on aura suggéré l'oubli de son nom le
lira
si on le lui montre écrit. Il sera facile aussi d
nt, je lui dis : e Hier, lorsque tu es passé dans la rue Saint-Denis,
lu
as vu un rassemblement; tu l'es approché. Deux ho
vait la barbe blonde, portail une blouse blanche ; si on t'interroge,
lu
n'auras oublié aucun détail de la scène à laquell
on t'interroge, lu n'auras oublié aucun détail de la scène à laquelle
lu
as assisté ». Quelques minutes après, un interrog
tre. Tu persisteras à l'affirmer, même si je t'affirmais moi-même que
lu
le trompes, et même si l'on devait te conduire en
e lorsqu'on met eu doute l'authenticité do son récit. d. Un second,
lu
nommé M..., âgé de douze ans, ne se prête pas fac
i pour les magistrat- instructeurs de prendre garde à la façon dont
LU
dirigent l'interrogatoire. Enfin il est permis de
sidence de M. Dchostpaluer. Le procès-verbal de la dernière séance,
lu
par M. Magnin, secrétaire, est adopté. M. le Pr
tisée souvent par son complice arrêté en même temps qu'elle, et qu'il
lut
suggérait d'aller voler dans les Magasins du Louv
ystérique, cela est indiscutable; elle présente, comme on vient de le
lire
, des zones hystérogènes, des modifications de la
des caractères de la dimension d'une grande écriture cursive, qui se
lisaient
sans la moindre difficulté. La marque avait-elle
ao.vrPAu.tti. Le procès-verbal de la séance du lundi 11 janvier est
lu
el adopté, après une rectification de M. Auguste
apprendre à écrire lisiblement, bien qu'elle ait facilement appris à
lire
. A l'Age de dix ans, on a vu survenir, pendant pl
e cet article. La chose vaut la peine d'être examinée. Nous avons
lu
et rein, dans les Annales parlementaires, le comp
Dc*ostpau.ier. La procès-verbal de la séance du lundi 8 février est
lu
et adopté. La correspondance comprend des Mires
urement publiés par l'École de Nancy, et, en particulier, mon Mémoire
lu
. en 1884, à l'Académie des Sciences morales et po
ilosophique, eod. p. a». (S) Ibidem, p. VA. (3) Ibidem, p. 5° M. le
lu
Df Brémaud, médecin de la marine, a hypnotise qua
dormir par crainte d'une attaque ou d'une surprise; son irritabilité
lu
: faisait perdre complètement le sommeil. L'insomn
ai opéré; je ne me suis pas conduit simplement comme un partisan de
lu
Salpèlrière. et aujourd'hui encore, après des exp
des difficultés, s'occupait passionnément de la question hypnotique,
lisait
beaucoup de livres de magnétisme et tentait, avec
. Celles que je désire soumettre à la Société visent La communication
lue
par M. Voisin à La séance de décembre. J'aurais d
rait été commis sous l'influence de la suggestion hypnotique. J'avais
lu
naguère, dans U Revue de Wypnotisme, l'exposé abr
de M. le Dumonpallier. Le procès-verbal de la séance du 11 mars est
lu
et adopté. La, correspondance comprend des lett
lorsqu'elle lit, elle oublie au bout d'un instant ce qu'elle vient de
lire
, de sorte qu'elle ne peut comprendre le sujet de
o se souvient do tout ce qui a été dit ou fait devant elle. Elle peut
lire
, compter; elle reconnaît les élève» du servico et
'y a aucun rapport entre les deux personnalités qui se succèdent chez
lu
même individu, tandis qu'ici la perte de la perso
es elle se jetait à terre. (ij Voir Htvxu de Cllypnoti*me, n- î' et
lu
. Le prétendu Aoreier, interrogé minutieusement,
s de bâton, s'enfuit en criani à la femme : « Je te retrouverai bien,
lu
t'en repentiras », et que de»-puis ladite femme n
re maistre ». monstrant un petil chien appartenant à Henri F.. • nous
lu
nommerons assez. » Plusieurs témoins racontent
crises et des convulsions démoniaques. 11 en était de même lorsqu'on
lisait
au possédé des passages de la sainte Écriture, ou
t dans le but aussi, évidemment, d'empêcher leur multiplication. Nous
lisons
, en effet, dans le registre, à cette date : « D
Son étude est très juste et très curieuse Tous les psychologues la
liront
avec intérêt. Dr E. L. IIbnbi Joly. — Le combat
montre adversaire résolu de la transportation, et pour cause. 11 faut
lire
son enquête; c'est intéressant et décourageant au
on de l'œuvre de M. Joly sur la criminalité. Les trois volumes sont à
lire
età méditer d'un bout ò, l'autre. Dr 11" : LaCR
Doionti-aluih. Le procès-Tcrbal de la séance du lundi 11 avril est
lu
el adopté. La correspondance comprend des lettr
Telle est la portée de mon observation et je crois que l'intervention
lu
gouvernement serait de beaucoup préférable a cell
il fisi encore rencontre de ladite Cartière, à laquelle il dit : • Si
lu
as quelque chose à me dire, dis-le moy à présent.
ance d'un cas de ce genre à la fin de l'année 1C07. Voici ce que nous
lisons
dans les regisires : « Du 26 novembre 1607 comp
ma'ade, snyvant quoy ayant pris de * telles verges et bien battu les
lu
habits, advint qu'alors ledit greffier et sa femm
toit au col de sa fille (c'est-à-dire que celle-ci arrachait ce qu'on
lut
mettait autour du cou dans ses crises hystériques
n judiciaire eut lieu du 15 au 19 septembre 1609. CONCLUSION Nous
lisons
dans un livre publié celte année même et approuvé
e d'une nouvelle arme de guerre contre la foi catholique], nous avons
lu
son livre avec intérêt, et cette lecture nous a l
t-elles â jamais disparaître pour le bonheur de l'humanité! Qui n'a
lu
la série des beaux discours religieux prononcés à
en ces termes à ses auditeurs : « Je ne puis vous conseiller de ne
lire
l'Evangile qu'à condition d'en ôter, comme on sar
de se plaindre. FERDINAND SILAS. DÉFI DES SPIRITUALITES. Avant
lu
dans plusieurs journaux américains le défi d’un n
gnent ces instruments. Je prouverai que des médiums, qui n’ont jamais
lu
un livre traitant de science, qui n’en comprennen
jouter que c’est sans connaître en rien ce que sa main écrivait qu’il
lut
lui-même, à sa grande surprise, ce que sa plume v
Code pénal. Mais les pratiques de la femme Bois qui ne savaient pas
lire
, et elles étaient nombreuses, et qui par conséque
er ; il faudrait supprimer les écoles, parce que si l’on ne savait ni
lire
, ni écrire, on ne lirait pas de livres prohibés e
mer les écoles, parce que si l’on ne savait ni lire, ni écrire, on ne
lirait
pas de livres prohibés et on ne ferait point de f
, quand, sans que C on y touchât, et, devant nos regards émerveillés,
lu
goupille se mit à se mouvoir, comme d'elle-même,
tout est mensonge. D’un vol rapide, elle parcourra les mondes... que
lu
pensée heurte chaque jour, en y voulant pénétrer;
ente la science. — Réponds alors à ma première question. (1) Voir
lu
n° 423 du Journal du Magnétisme. (2) En dehors
e vous voir ? Dites ! me comprenez-vous ? — Non. — En vérité ?...
Lisez
-moi bien : chez Roger de Beauvoir?.., Et dans des
s tables tournantes régnait encore, nous avons inséré dans le Journal
lu
Magnétisme (n° du 10 mai 1854) un article où nous
anche 10 février, M™" Petit d'Ormoy était seule chez elle , occupée à
lire
un journal. M" Ogier vint sonner à l’une des port
que de l’observation et point d’expériences. Si, comme nous l’avons
lu
, on peut entendre des bruits paraissant provenir
p; extérieur à un examen sérieux des phénomènes magnétiques. Mais
lisez
les procès-verbaux ; relisez les rapports de M. H
To.vk XV. — N“ *3*. — 45 Mars 1856. 6 portons une édition, ou pour
lu
moins un filon interne des personnes avec lesquel
l’usage de l'alphabet, la manifestation dit : — ( Pauvre mère ! je
lis
tes préoccupations ! Tu penses à de l’argent!...
ns. — « Ne l’écoute pas ! je suis un esprit de Dieu. Tu vois que je
lis
au fond de ta pensée, .le suis ton petit Gustave.
sommeil magnétique, et dans ses crises somnambuliques, la seconde vue
lisait
dans le corps humain, caractérisait les maladies
qui conseille à sa femme de ne point céder à ta prière. » (3) On ne
lira
pas sans intérêt ce qui va suivre. Anna , la somn
int Jean ; puis vous fermerez le livre, tandis que, dans un autre, on
lira
ledit évangile. Si la clef tourne, c'est que l'em
ne pouvaient le supporter, et après midi, il alla sur la promenade et
lut
sur pied toute la journée, sans se plaindre d’aut
s les pampres verts en compagnie des esprits des bacchantes avinées ;
lisez
le soir quelque conte de Boccace ou de La Fontain
e la nier. Je vous soupçonne fort, monsieur le fou, de n’avoir jamais
lu
Cabanis, ni pris garde aux modifications que le
tes et peuvent, en certains cas, voir l’intérieur du corps humain , y
lire
les lésions des organes et indiquer les remèdes.
e , les discute, et l’on peut dire que son livre présente l'état le ¡»
lus
avancé de la science sur ce sujet. Et pourtant, m
se dressa du côté d’un jeune homme qui savait. — Que fais-tu là? — Je
lis
dans son cerveau le nom A’Octavie, c’était le mot
ous manquerions à notre mission si nous n’admettions dans le Journal «
lu
Magnétisme que ce qui se rapproche de notre senti
Ces réflexions nous sont inspirées par un article que nous venons de
lire
dans la I.ucc magne lira, de Turin. Cet article n
inspirées par un article que nous venons de lire dans la I.ucc magne
lira
, de Turin. Cet article nous annonce la prochaine
et bien profonde satisfaction, que nous n’avons pas été tout à fait :
Lu
voix criant dans le disert. L’é-mulation n’est pa
en s’écriant en avant! Puissent ces faits merveilleux, dont vous avez
lu
les récits, acquérir bientôt ce degré de certitud
génie dont nous célébrons aujourd'hui la mémoire. i Messieurs, «
Lu
jury magnétique ne compte que peu d’années d’exis
un certain recueillement, puis elle écrivait, et ensuite se mettait à
lire
avec une grande curiosité ce qu’elle venait de tr
Ici, il me semble que la somnambule ait été très-lucide, et qu'elle a
lu
dans la pensée de mon amie, où elle a trouvée la
cerveau, ordinairement passif ou reposant, ils exercent la lucidité,
lisent
les pensées, voient à distance, et enfin dictent
ême origine, si l’on veut être logique. On m’a parlé, et j’en ai pu
lire
aussi, de faits d’un ordre supérieur, que pour le
n ch'veu d'mâle ou d'femelle, El par son estomac quéquefois J' peux
lire
sans chandelle. Si lui-mém’ s’ trouve maladif,
Toi tu es bonne, mais tu as l'air trop précieuse; puis, comme s’il se
lut
aperçu que sa sortie pouvait paraître quelque peu
s faits, et non par des systèmes ou des théories que peu de personnes
lisent
, même en les supposant exacts, ce qui n’est rien
des faits, et le concours de la multitude des malades qui lui devront
lu
vie en constatera l'existence mieux que ne pourra
i «I i|iil, t'Oiiaiilriiita amia Iiiim « Ira l'Uppoi la , puniti Oli«
lu
clef ilo liilltua luta collimili» « annera, u V
i hi li y ti ri unire/li' connue un minili», » (‘.«Ih mi vini i nvuii|
lu
ou fou i|til 1« ni« i inni» il n‘mi fin» viril, i
e l’importance. Le sieur Molossi, phrénologue distingué de Milan, a
lu
, à la Société d’encouragement, un mémoire, dans
m’en emparai : il faisait clair de lune , et je pouvais ;'i peu près
lire
le titre du livre. Cinq coups rapides furent alor
t de la vue chez un jeune garçon de 14 mis, tel, qu’après avoir avoir
lu
seulement quelques lignes, il lui devenait imposs
dant plusieurs mois de 5 à 10 minutes par jour, et il peut maintenant
lire
pendant plusieurs heures de suite sans la moindre
de foi que le mot docteur soit synonyme de docte, cependant, avant de
lire
vos filandreuses diatribes, nous croyions qu’un d
sme. UNE NOUVELLE PROFESSION DE FOI. Nous avons eu la patience de
lire
une longue tartine dans le Risorgimento d’hier, t
seulement mal assises dans la connaissance si complexe du magnétisme,
lisent
ce seul numéro, et certes, elles n’ont pas envie
nétisme, lisent ce seul numéro, et certes, elles n’ont pas envie d’en
lire
un second, tant elles reçoivent une impression dé
a vérité demeure. C’est assez dire. Voulez-vous prendre la peine de
lire
quelques lignes encore, je vais rapporter un fait
e les critiques qui ont parlé du livre de M. Philips ne l’avaient pas
lu
. Cependant l’E!ectro-dynamisme vital est parfai
er bien des auteurs indigènes. Pourquoi le livre a-t-il été aussi peu
lu
? Pourquoi en outre le Journal du Magnétisme en re
-dynamisme vital, nous la faisons, sachant bien pourtant que ceux qui
liront
jusqu’au bout l’ouvrage éprouveront comme nous un
uvement de colère contre l’auteur et contre celui qui conseille de le
lire
. Nous avons éprouvé ce désappointement, cette col
s tissus qui reçoivent des nerfs propres du système cérébro-spinal.
lu
chien, dont on a ouvert le flauc, et qui a donné
ssi sommes-nous très-peu aptes à déchirer le fameux voile. Que chacun
lise
donc l’ouvrage et devine le rébus. Quant à nous
nal du Magnétisme, si vous jugez que cette place soit méritée. « Je
lis
fort assidûment votre journal, et je ne saurais t
on seulement nos actions, mais aussi nos pensées les plus secrètes et
lisent
jusque dans les replis les plus profonds de nos c
plaça la tète en bas, dit que c’était un imprimé, quelle n’en pouvait
lire
le contenu, parce que sa vue était trouble, mais
italienne. On lui présenta une grammaire italienne-française, elle en
lisait
les mots français, mais montrant les mots italien
nt un des plus féconds et des plus spirituels , et nous avons souvent
lu
avec plaisir ses charmantes facéties, ses jolis c
elle du magnétisme. Pour aborder un si vaste sujet, il faudrait avoir
lu
et médité les nombreux ouvrages qui traitent du m
s yeux. La brochure a pour titre : Introduction du magnétisme (avec
lu
sanction du gouvernement) dans les hôpitaux publi
fusion par des mains bienfaisantes et infatigables. Max. Nous avons
lu
avec une extrême satisfaction, dans le Mesmerisla
hème à satiété. 11 reste donc bien établi pour tout le monde qui sait
lire
, que nous sommes particulièrement folâtres et bad
est pas petit) , il y aura certainement aggravation, même après avoir
lu
les touchants détails de l’organisation civile et
e vue, de prophétie; elle eut aussi celle de pénétrer les pensées, de
lire
dans les cœurs, de parler diverses langues, ce qu
rendue si ignorante, elle qui, durant « son exorcisme, parlait grec,
lu
lin et autres langues, quelle « fut rendue comme
vaillez et vexées tant horriblement, que jamais n’avoit été n vue ni
lue
du semblable. Entre les aultres, la fille Robert
jles cas, il y a eu imposture ou illusion. Le don qu’il a lui-même de
lire
dans les secrets de la nature n’est point un priv
erce l’influence la plus pénétrante et la plus durable. (Extrait de
lu
Revue de l’Ouest de Saint-Louis, Missouri.) Le
e la nôtre ? Les preuves directes de la présence ou de l'absence de
lu
vie, dans une chose quelconque, sont du ressort d
us. On reçut donc six lettres dans cette soirée ; elles furent toutes
lues
, excepté une, q ii était écrite dans une langue q
e, chasuu étendant les pieds et les jambes sous les tables pour mieux
Lire
la vérification. Je crois ces explications suff
et nous devons à ses efforts un encouragement sympathique. Nous avons
lu
son ouvrage avec plaisir ; mais, dans son propre
a consisté à enfreindre la défense qui lui avait été faite de goûter «
lu
fruit de l’arbre de la science du bien et du mal;
rsuasion, et l’établissement de l’inquisition n’a pas eu d’autre but;
lisez
Ammien Marcellin et les violences des premiers em
Sagittaire; et le bruit courait qu’une pucelle venant des marches de
lu
Lorraine, mettrait sous ses pieds les Anglais (qu
palpables, doués seulement du pouvoir d’agiter la matière — mens agi.
lut
molcm — et de s’entretenir avec nous au moyen de
ie d’authenticité), j’ai voulu être bref, afin d’être plus sûr d’être
lu
; et si j’ai voulu être lu, ce n’est pas pour moi
ulu être bref, afin d’être plus sûr d’être lu ; et si j’ai voulu être
lu
, ce n’est pas pour moi, qui suis peu de chose, c’
on basée sur les études de toute sa vie, laissa échapper ces mots :
Lu
terre tourne pourtant. Et l’Eglise, obligée plus
EABON DU POTEX. ERRATA. A la dernière page du dernier numéro :
lisez
à la 3e ligno : terreur, au lieu de l'arme. ...
a 3e ligno : terreur, au lieu de l'arme. ... A la dernière ligne,
lisez
le magnétisme, cette autre lumière, on ne 1&-
oM ratiomlt dei fenomeni del magneliimo, del sonnambulisno et délie
lu
vole dan-tanti e parlanti. (La Vérité sur lo magn
evenus propres (1) ; 5 ont appris à manger seuls (2) ; 4 ont appris à
lire
couramment (3) et 5 sont en bonne voie (4). he
it : Jouât.., René et Le-Bih..., Cyrille. Quatre enfants ont appris à
lire
couramment : Faito.., Beno.., De-va.., Bouvigni..
tant, est entré le 28 juillet 1903. — A son arrivée, il ne savait pas
lire
couramment, ne faisait des exercices de grammaire
ire et de géographie étaient très sommaires. Eu juin 1904 il savait
lire
couramment le bégaiement cons-taté à l'entrée éta
renvoi de l'école Braille comme incapable de gagner sa vie. Il savait
lire
couramment, faisait les 3 premières opérations, s
st d'abord irrégulière et lourde. Entré en 3e classe ne sachant pas
lire
, il commence à sylla-ber en décembre et son écrit
ier du tailleur. En décembre, il commence la multiplication et sait
lire
l'heure. A l'atelier il fait des coutures assez b
l passe à la grande école (2° classe). Pendant ce temps il a appris à
lire
, à faire l'addition et la soustraction, mais il n
re 1900. Prononciation mauvaise: zézaiement très prononcé. Ne sait ni
lire
, ni écrire, ni compter. Marche irrégulière, sauti
1905. — Les progrès intellectuels sont satisfaisants ; il com-mence à
lire
couramment, mais la prononciation est défec-tueus
stituteurs. Les surveillantes institutrices, les instituteurs doivent
lire
les certificats médicaux qui accompagnent les enf
agnent les enfants à l'entrée pour en vérifier les dires. Ils doivent
lire
la partie de nos observations concernant les anté
is part aux leçons de solfège et sur ce nombre, quinze enfants savent
lire
la musique sur la portée, connais-sent la valeur
hap..., Baul..., Saun..., Rigol..., Lemb... 10 enfants ont appris à
lire
couramment ; Léont..., Gorr.., Delon.., Rob.., We
, une petite chaise, etc.), abstraction, géné-ralisation, apprendre à
lire
une image, faire assister l'en-fant à tous les tr
allant 1900. — Devient timide, et n'arrive pas à l'école à pou-voir
lire
. Tous les autres exercices sont bien faits» 190
, en dépit de tous les essais, il a été impossible de lui apprendre à
lire
couramment, entravé non seulement par une faibles
il a beaucoup gagné, il est en très bonne voie et a un grand désir de
lire
couramment. Nous remarquons une disposition natur
our il copie et écrit ensuite de mémoire sa leçon de lecture, il sait
lire
et écrire les nombres jusqu'à 70, fait seul l'add
1 Dessert... a réalisé quelques progrès pour la classe; il commence à
lire
, mais l'écriture est à peine lisible. 1896. — N
pte rendu du service de 1899, comme très amélioré, est enfin arrivé à
lire
couramment grâce à l'emploi simultané du syllabai
agné. 1901. — Progrès satisfaisants pour la classe, il est arrivé à
lire
couramment; l'écriture devient plus lisible. 19
Il a une mémoire extraordinaire pour l'ortho-graphe des mots qu'il a
lus
. Il fait l'addition, la soustraction, ébauche la
r, nouer, boutonner, connaît ses chiffres, ses lettres, il commence à
lire
; nous espérons qu'il passera d'ici peu à la lectu
s, il passe à la lecture courante, mais il sera long, croyons-nous, à
lire
tout à fait couramment. Il ne s'habitue pas à lir
g, croyons-nous, à lire tout à fait couramment. Il ne s'habitue pas à
lire
du regard un mot entier pour le prononcer ensuite
qu'il lit lentement, en laissant un trop long temps d'arrêt avant de
lire
la suivante. Couri... ne lit bien couramment qu
arrivée, subsiste encore aujourd'hui. 1903. — Gavar... est arrivé à
lire
couramment il a pro-gressé en tout, l'écriture es
rend de plus en plus goût à la classe. Il désire vivement apprendre à
lire
et fait tous ses efforts pour cela. Il est plus d
mbécillité. Entré le 15 février 1902, à l'âge de 9 ans, com-mençait à
lire
par monosyllabe, recopiait assez difficilement un
jourd'hui clans la catégorie des s mples arriérées intellectuelles.
LU
. Naissa... (Louise), née le 30 mars 1890, entrée
on ne pouvait l'utiliser à quoi que ce soit. Comme classe elle savait
lire
à peu près couramment, ne connaissait que l'addit
opre-ment. En classe, ses progrès sont sensibles, elle aime beau-coup
lire
; sa lecture est très courante et donne même l'int
vertiges et accès nombreux). Cette enfant, à son entrée, ne savait ni
lire
, ni compter, ne faisait que quelques copies, sans
on développement physique et intel-lectuel. 1901. — Elle a appris à
lire
couramment, donne à la lec-ture une bonne intonat
itté la Fondation en 1904, après avoir réalisé de réels progrès. Elle
lisait
très couramment, con-naissait, les trois première
correcte. En classe, elle a également fait des progrès, commence à
lire
par syllabes, l'écriture est lisible, fait bien u
ence à copier, assemble les lettres. Tout porte à croire que l'enfant
lira
couramment dans le courant de l'année. La mémoire
rien chez cette enfant n'indiquait l'intelligence. Elle ne savait pas
lire
, mais formait les lettres et les chiffres; elle n
— Elle a fait également quel-ques progrès en classe: elle a appris à
lire
des mots, à les écrire lisiblement, à compter (ad
réelles difficultés pour la lecture, nous espérons cependant qu'elle
lira
couramment à la fin de l'année scolaire. — En rés
manquait d'expression, n'annonçait qu'une médiocre intelligence. C...
lisait
par syl-labes, son écriture était lisible, mais m
l'étude. L'enfant qui ne connaissait pas ses lettres- est parvenue à
lire
couramment, elle écrit très lisible-ment, fait de
le ne tarda pas à connaître ses lettres, puis à syllaber et parvint à
lire
couramment à la fin de l'année scolaire 1904. A
ques et arriérés de bicêtre pendant l/année 1904 BOURNEVILLE Arec
lu
collaboration de DURAND, FRIEDEL PERRIN. Volume
evenus propres (1) ; 6 ont appris à manger seuls (2) ; 3 ont appris à
lire
couramment (3)et 8 sont en bonne voie (4). Le t
rer d'une façon satisfaisante. Il a été mis à la grande école sachant
lire
, écrire et commençant mémo à écrire, sous la dict
.., Gava..., Marcill..., Mill..., Bauti.... Deux enfants ont appris à
lire
cou-ramment: Dûmes... (André) et Margil... (André
ue à obtenir. Imbécillité. — Dûmes... (André), 10 ans. Est arrivé à
lire
couramment et à conprendre ce qn'il lit. Pendant
il a beaucoup gagné, il est en très bonne voie et a un grand désir de
lire
couram-ment. Nous remarquons une disposition natu
se en faveur des idiots, n'ont pas manqué de viser à leur apprendre à
lire
. Parcourez le livre d'E. Séguin, vous y verrez qu
dans le milieu du siècle dernier, ce grand pédagogue arrivait à faire
lire
ces malheureux, par des pro-cédés que les auteurs
euves du certificat d'études primaires. Et depuis Ferrus on apprend à
lire
à Bicêtro. La méthode employée? Mais c'est cell
c... Progrès sensibles en français et en arithmétique. Savait à peine
lire
et compter il y a 2 ans. Suit la dictée aujourd
cillité.— Bout... (Ernest, Désiré), 14 ans. — Ce malade est parvenu à
lire
couramment. Il l'ait bien les devoirs écrits, réu
maire. Ne connaissant aucune lettre de l'alphabet, il sait maintenant
lire
de petites phrases ne comportant pas trop de diff
stituteurs. Les surveillantes institutrices, les instituteurs doivent
lire
les certificats médicaux qui accompagne les enf
mpagne les enfants à l'entrée pour en vérifier les dires. Ils doivent
lire
la partie de nos observations concernant les anté
rt aux leçons do solfège etsur ce nom- 10 enfants savent à peu près
lire
la musique, connaissent la valeur des notes, des
e élève piston.— Lesuc.. Lec-ture assez bonne, cet enfant ne sait pas
lire
, mais est arrivé à lire la musique assez bien, fa
Lec-ture assez bonne, cet enfant ne sait pas lire, mais est arrivé à
lire
la musique assez bien, fait partie de la fanfare
e la fanfare comme élève alto.-— Gard... Cet enfant commence un peu à
lire
les notes sur la partie. Mas... Commence un pou à
fant Mas...—• Guon.., Thés..., Carn.., Dufo.. et Corn... commencent à
lire
la musique.— Gard... ne sait pas lire la musique,
Dufo.. et Corn... commencent à lire la musique.— Gard... ne sait pas
lire
la musique, mais il retient bien le nom des notes
ce qui fait sous-sol. — Beaud.., Cour.., Mill... commencent un peu à
lire
la musi-que.—Désert... . Assez bonne lecture, cet
nait aussi la valeur des notes des musique et de silences. Rog.. sait
lire
la musique.— Benni... Assez bonne lecture, connai
tes de musique et des silences.— Broch.. Mar/..., Gar... commencent à
lire
un peu la musique.— Les enfants Chois. ., Lam.. c
rection morale qu'ils essaient de leur imprimer. Le tableau des pages
lu
et lui met en évi-dence Vss résultats obtenus par
— Elle a fait éga-lement quelques progrès en classe: elle a appris à
lire
des mots., à les écrire lisiblement, à compter (a
réelles ditïicultés pour la lecture, nous espérons cependant qu'elle
lira
couramment à la lin de l'année scolaire. — En rés
l'étude, l'enfant qui connaissait à peine ses lettres, est parvenue à
lire
couramment, elle écrit très lisi-blement, fait de
le ne tarda pas à connaître ses lettres, puis à syllaber et parvint à
lire
couramment à la fin de. l'année scolaire 1904.
anquait d'expression, n'annonçait qu'une médiocre intelli-gence. G...
lisait
par syllabes, son écriture était lisible, mais ma
dévouement. Ces trois noms, symbolisant trois époques, jalonnent la
lis
1 e toujours croissante des bienfaiteurs des arri
ent constamment et l'ont répéter le nom, que l'enfant avant de savoir
lire
les reconnaît imperturbablement. J'ai fait l'expé
rton quelconque et il vous répondra sans hésiter, sans tâtonner, sans
lire
, comme s'il voyait l'objet lui-même. Voilà déjà q
re-et-Loir (Bonneval) 6 6 3 4 19 On essaie de l e u r apprendre à
lire
. F i n i s t è re 1° Quimper 7 4 2 13 Aucun
. Marne (Châlons) 15 3 9 27 On se borne à essayer d'apprendre à
lire
aux imbéciles ; quelques r é s u l t a t s ont
es reçues à l'examen. Il est à remarquer que l'une d'elles a appris à
lire
à l'Asile et y a donc acquis toute son instructio
ves depuis cinq ans. A la fin de l'année scolaire, 17 élèves savaient
lire
, écrire et compter. Actuellement, sur les 24 insc
aient lire, écrire et compter. Actuellement, sur les 24 inscrites, 10
lisent
, écrivent, comptent et pro-gressent; les 14 autre
'asile dans un état d'idiotie complète, n'ayant jamais pu apprendre à
lire
, répondant par monosyllabes aux questions qui lui
is n'hésite pas à se défen-dre si on le taquine. Sens normaux. — Sait
lire
, écrire, faire les trois premières opérations. [F
dans le lit. Elle a bonne mémoire, raisonne et parle bien, elle sait
lire
et écrire. Les sentiments affectifs sont assez dé
est allé à l'école de 6 à 10 ans, était intel-ligent-, avait appris à
lire
, à écrire, à compter Le sommeil était normal, s
leva une récla- mation de priorité de la part de Pierre Falret, qui
lut
à soniourù l'Académie, quelques jours après, un
sons alcooliques, les crises de somnambulisme épileptique les dé-
lires
transitoires parmi lesquels l'auteur range les ac
est certain d'ailleurs que, pour interpréter une radioscopie, pour
lire
un radiogramme, il faut des connaissances anatomi
de Nissl et de Cajal. Voici les objections qu'on leur a faites :
lu
La cadavérisation provoque des altérations rapide
permettent pas de voir ensuite les i 1 léi-at ions patliogiioiiioil i(
lue
? Pour faire face à cette objection, 3131. Gitb
gues dans les cellules hépatiques, et beaucoup de lésions hépati - (
lue
" peuvent ahout il' à des symptômes analogues d'in
sie générale diabétique peut se manifester sous di- verses formes :
lu
être accidentelle et disparaître rapidement; 2°
étudiée chez malades à l'aide d'un test (reproduction d'une phrase
lue
); la synthèse s'effectue mal,mais elle est possib
core ce compte-rendu est-il fort imparfait et l'ouvrage doit être
lu
. Il vient à son heure ; il était nécessaire. E. C
ntinués. Docteur Frank. (Zurich). . PROGRAMME 1. Généralités.
lu
Recherches sur la progression numérique des mal
r « épilepsie avec, attaques rares et débilité mentale ». Il savait
lire
et écrire. Quelques mois après l'entrée, il pré
lus : « Les lamelles sont minces; colles de l'amygdale, du vermis, (
lu
ilocculus sont plus épaisses ? D'une façon géné
la vision est seulement centrale. Cependant, même à ce degré, ni
lira
(T't-l;bin7, ni Kornfeld, n'ont trouvé des lésio
toire ont confirmé ce qu'avait fait prévoir la clinique ; le dé-
lire
des infections et des intoxications aiguës doit d
ue et du réseau. Mais les images des cellules ganglion- naires, par
lu
contraste qui existe entre la couleur bleuâtre de
reuse, crcographirluc, dynamométrique, de l'attention, ch/'onoscopi(
lue
, de la dictée, du calcul, de la mémoire des chil-
T.\. (In Rivista di- Freniatria, 1904. Vol. XXX, fasc. II-111.) '
lu
Les éléments qui constituent le tube médullaire o
tracasseries dirigées con- tre lui d'une manière toute spéciale.
lise
décide à quitter Paris pour aller chez lui, pensa
de crises hystériques et épileptiques. Historique. La petite fille
Lu
..1 ? âgée de onze ans, était très bien portante
né : ale pré- existante, .léserais donc assez disposé à me ranger à
lu
vis de MM. Brissaud, Raymond et Ballet. Il résu
le entre le myxoedème infantile et le mon- golisme, que chacun a pu
lire
dans les procès-verbaux du Congrès. Ce parallèl
iques. » Dans le Traité des maladies nerveuses de Kraft-Ebing, je
lis
: « Vu que nous ne connaissons que très peu les c
z les deux en même temps et pendant qua- tre jours. Jamais l'une ne
lut
malade sans que l'autre ne le fut aussi ; ensem
lles n'étaient guère capables de garder longtemps le silence, elles
lisaient
tour à tour les livres pieux et les romans les
famille d'aliénés ; s'il n'avait jamais poussé jusqu'au délire, il
lut
toute sa vie un mélancolique hypochondriaquo ; il
re époque des folies diaboliques du Moyen-Age dont elles a- varient
lu
les descriptions et qui avaient frappé fortement
grande amélioration se produisit et en moins d'un mois la guérison
lut
complète chez les deux. Toutefois, nous jugeâme
verbales. La méthode pour obtenir ces réactions est celle-ci : on
lisait
avec la même rapidité possible les chiffres depui
A chaque intervalle de 5 minutes, on notait le nombre des chiffres
lus
. La vitesse de la prononciation, indépendante d
onnelle due à la qualité de ses membres et à la valeur des rapports
lus
aux séances. Le Congrès avait été organisé d'un
su- rée et nous ne pouvons déjà étudier suffisamment les rapports
lus
aux séances. Qu'il nous soit permis cependant
leur vie un paradis. Jamais ils ne risquent rien, non. Cependant tu
lis
bien quel- quefois dans les journaux un fait di
nt. Eh bien, ô étranger ! sais-tu la cause de ces accidents ? sais-
lu
que si les pensionnaires étaient surveillés plu
i souvent. Et c'est encore faute de surveillance que tu peux encore
lire
ceci : Privas, le 10 août 1900. Vendredi, le
ne changeras rien à ta vie et tu ne te croiras pas obligé, même si
lu
es membre d'une commission de surveillance, à e
lessé très grièvement un gardien. Voici dans quelles circonstances,
lisons
-nous dans le rapport qu'a bien voulu nous commu
r un de no» pension- naires, ancien instituteur ; deux ont appris à
lire
couramment, font des dictées du certificat d'ét
in et y ont fait des progrès. Trois autres ont appris à écrire et à
lire
couramment. Deux autres commencent à écrire seule
rations intéressantes sur la psychose maniaco-dépressive, le dé-
lire
chronique systématique, la folie périodique, la c
endu du pied du lit. « La veille l'ayant trouvé plus anxieux, je le
lis
passer au quar- tier d'observation, pour qu'il
. Zur Behandl. der epid. Ganiclcstarre. Mimchenner med. Wochenschr,
lut
v. 51, no. 12, Mardi 21. Léri, André, Mening. c
tïl. Huprecht. M. Ein unter der Form einer Mening. cerebro-spina-
lis
verlaul'cncr otitischer Ilirnal7scess mit éiterha
adj, de l' Aile ,l'Armentières, Chargé du cours de mcdee. ment, à
lu
Faculté de Lille. et L. DCiBAIt, (d'Armenti
sait d'un sujet intelligent, lisant, écrivant couramment, habitué à
lire
les journaux, et comprenant bien la significati
314 . CLINIQUE MENTAL ? 3 3 mai. Trois minutes après lui avoir fait
lire
et copier la phrase imprimée : Un ami nous fait
cherche ; il en a ensuite une image visuella que nous l'invitons à
lire
et il l'épelle lentement, mettant quelques seco
les lettres, nous le lui faisons alors prononcer en l'in- vitant à
lire
cette image. 18 mai. Il met encore 20" pour pro
bout de quelques secondes il a eu le souvenir visuel du titre, l'a
lu
mentalement et au bout d'environ 20 secondes no
lons, D ? regarde nos lèvres, afin dit-il de mieux comprendre. Nous
lisons
le journal à haute voix; des mots qu'il compren
iblement : Vous ne savez plus écrire ? Il met plus d'une minute à
lire
cette question. Ecris ton nom. Après une minute
ton nom. Après une minute 1/2 d'efforts, il lit : Crire crire.Au..
lu
mon.-Nous lui montrons imprimés les mots équili
l. La lecture est toujours difficile, le mot manus- crit maison est
lu
en 10 "; la lettre l est toujours pour lui un o
iffrer le mot ancien dans un journal. Il met près d'une minute pour
lire
la lettre t, lit très vite u, moins vite s (10
ercher dans le journal la lettre a. Lç nombre manuscrit 3.450 est
lu
en 10 " le nombre im- primé 4.913 est lu en 30
nombre manuscrit 3.450 est lu en 10 " le nombre im- primé 4.913 est
lu
en 30 ". Il doit pour y parvenir lire d'abord c
" le nombre im- primé 4.913 est lu en 30 ". Il doit pour y parvenir
lire
d'abord chiffre par chiffre. 12 avril. Il se
venir lire d'abord chiffre par chiffre. 12 avril. Il se plaint de
lire
moins bien qu'hier, il recon- naît les lettres,
u'hier, il recon- naît les lettres, les épelle,et ne peut arriver à
lire
le mot. Il a m,s dix minutes ce matin pour lire
t ne peut arriver à lire le mot. Il a m,s dix minutes ce matin pour
lire
le mot imprimé citoyenne. Il prend le mot impri
e : Vous pouvez fumer une cigarette, nécessite 65 " d'efforts, il a
lu
lettre par lettre, puis a cherché les syllabes.
uis a cherché les syllabes. Il a compris le sens de la phrase. Pour
lire
la phrase imprimée ; La session ordinaire des c
re des conseils généraux, il met 70 ". Il lui faut 45 secondes pour
lire
le mot imprimé oiseaux, ce temps se décompose d
nous le plaçons en trois endroits d'une liste que nous lui faisons
lire
. Or, tandis qu'il ne met que 10 ", 10 " puis 6
ns lire. Or, tandis qu'il ne met que 10 ", 10 " puis 6 " enfin pour
lire
son nom il met de 30 à 45 " pour déchiffrer les
cé, aussi est-il fier des progrès qu'il a faits. Il devait au début
lire
lettre par lettre, puis syllabepar syllabe, dep
je dois encore gagner du pain pour eux. Chaque fois que j'essaie de
lire
le journal, j'ai du chagrin, l'idée de ne plus
ssaie de lire le journal, j'ai du chagrin, l'idée de ne plus savoir
lire
, l'idée de n'avoir plus de mémoire, je ne saurai
ie du territoire, dans des villages ou même dans des villes. Nous
lisons
dans les rapports de MM. Sutherland et Macphers
eilla, il alla dans le temple et, devant l'image de la divinité, il
lira
énormément sa langue et la coupa. Les médecins
u'elle existe pendant la phase d'atonie et de placidité complète.
lis
Si la trépidation épileploide apparaît sous l'ane
mbre des ras connus. G. C. 470 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. \
lut
. - Quelques manifestations cérébrales du rhuma-
les prédispositions individuelles, le rhumatisme chronique loca-
lise
à telle ou telle partie du système nerveux les ma
t. L'auteur montre encore la réalité du sub-conscient par les dé-
lires
appelés par lui délires à éclipse « formations dé
ns toutes ces expériences magnétiques, c’est une turgescence de toute
lu
glande mammaire par les attouchements magnétiques
ommé par M. Regazzoni d insérer sa réponse à l'article qu’on vient de
lire
, a publié dans son numéro du 5 janvier, la lettre
e : A M. le Rédacteur en chef de la Gazette hebdomadaire. « Ayant
lu
, dans le numéro du 10 novembre de la Gazette de M
de simple renseignement que je vous l’adresse................. J’ai
lu
avec le plus grand plaisir la relation des procéd
ssises de la Sarthe, sur l’assassinat du malheureux Gre-nouilleau, je
lis
les faits suivants : « M. le procureur-général,
ans la Bonne aventure, il a pris, pour pivot de l’action de son roman
lu
prévision. Dès le début de cet ouvrage, l’auteu
it la bonne aven-tuie à ceux qui viennent la consulter. Ses moyens de
lire
dans l’avenir sont multipliés ; elle examine la m
le présent suffît pour révéler le passé et l'avenir à celui qui sait
lire
et observer. 11 n’est aucun de nous qui, à chaque
plus authentiques. Nous citerons en particulier Deleuze, Mémoire sur
lu
faculté de précision, et Bareste, la Fin des temp
s est devenu son mari, et que par conséquent la devineresse n’a pu ni
lire
dans sa pensée, ni procéder par conjecture. Bie
idée si répandue chez les anciens, que les mourants avaient le don de
lire
dans l’avenir. Il y en a qui, pour entrer en cris
idée si répandue chez les anciens, que les mourants avaient le don de
lire
dans l’avenir. Il y en a qui, pour entrer en cris
ngers d’une curiosité indiscrète. 11 est bien imprudent de chercher à
lire
notre avenir, dont la connaissance serait le plus
utie feuille... C’est pour cette petite... Je voudrais bien pouvoir
lire
... Cela m’intéresse... C’est une leçon pour cette
arle là-bns... » Elle fit pendant une heure des efforts inouïs pour
lire
le cahier de la petite, qui lui paraissait si jol
nous trouvons dans Esquirol une observation très-curieuse où le >}*
lus
important des sécréteurs, la peau, joue évidemmen
ndue ; et ceux qui prétendent posséder la faculté de clairvoyance, de
lire
des mots enfermés en des boîtes opaques, etc., ra
ltation succède une dépression beaucoup plus grande que la torpeur (
lu
sommeil naturel. Les sens spéciaux et les muscles
l’insuccès dû aux agents physiques? L’extrait suivant, d’un Mémoire
lu
dernièrement à la Société par M. Arnette, me semb
reçu, le 10 courant, votre honorée du 20 septembre dernier, que j’ai
lue
avec beaucoup de plaisir. Les plus bienfaisants
ue. Nous allons, monsieur, faire beaucoup rire les savants qui nous
liront
, ces hommes forts vont se tenir les côtes. 11 fau
uteilles d’une liqueur contenant un grand nombre d’épingles ; puis il
lut
trois fois, et au rebours, le psaume 37. Enfin il
nir à son premier argument, qui est pê-remptoire. Il est curieux de
lire
les entretiens de l’auteur avec l’esprit qui meut
ant érudit, auquel on présenta le papier écrit par la jeune médium, y
lut
une phrase irréprochable et remarqua avec étonnem
uvenirs, il compulsa toutes ses notes, tous les ouvra-ges qu’il avait
lus
, il n’y trouva rien qui ressemblât, même de loin,
ses discours. On ne manquait pas d’objecter que la somnambule lucide
lisait
dans la pensée des consultants et en composait de
ToiiE XIV. — X“ *01». — 10 avril 1455. 7 INSTITUTIONS. Société «
lu
.UcNiiiérlMinc de Purii«. PROFESSION DE FOI D’E
s. L'aîné BESSON. ERRATl'M. Page 64, ligne 57 ; service imminent,
lisez
: éminent. 2° MAGNÉTISATION A TEMPS. Le somna
iques. Son opinion à cet égard ne saurait être douteuse, il suffit de
lire
le portrait dramatique et coloré qu’il en fait.
s et interprétés subtilement ; mais qu’un homme, même endormi, puisse
lire
directement la pensée d’un autre en son âme, cela
ès. De là pourra se déduire la règle; en attendant : ndhuc sub judice
lis
est. M. Ragon explique d’une manière que nous c
stomac, en lui ordonnant de se rappeler. Le sommeil était-il vrai, ou
lu
volonté du magnétiseur suffisait-elle ? » Oui,
ation normale, la peau moite; enfin, sauf une anesthésie complète (le
lu
peau et l’état des yeux qui sont convulsés vers l
son sommeil sur la cause de ses accès ; elle me répond qu’elle a dans
lu
tête un ver avec beaucoup de pattes. A une heur
Nous ne savons à qui se rapportent les condamnations dont on vient de
lire
l’énoncé. 11 n’y a, croyons-nous, pour le moment,
étique ; mais lorsque le jour sera venu où les divines paroles seront
lues
par tous, nous n’existerons plus, cela est certai
U POTET. Le Gérant : IIÉBEKT (de Camay)- INSTITUTIONS. Société «
lu
llcsniériMiic de l'nrls. DE LA CURABILITÉ DES M
us n’avez cessé de me donner des marques si flatteuses. J’ai beaucoup
lu
, beaucoup observé, beaucoup comparé ; voilà mon s
l’Auteur, rue du faubourg Saint-Honoré, 6. » Dès que nous aurons pu
lire
ce travail, nous nous empresserons de constater c
nce qu’il a mise au jour. Mais ses adversaires se gardent bien de les
lire
. Qu’importe que ces œuvres soient signées de noms
, de Deleuze? Qu’importe à M. Segond? il ne s’en inquiète guère. 11 a
lu
l’admirable rapport de Bailly, et, comme l’abbé d
is, et dans lesquelles celui-ci avait joué avec lui aux cartes, avait
lu
une lettre cachetée ainsi que des papiers renferm
sympathiques. D' LOUYET. 20 juin 185*. INSTITUTIONS. SoelHé «
lu
iiit^iK'dsme «le Paris. Dans une vente d’autogr
des Annales du Magnétisme de cette année 1816, et ce que je viens d’y
lire
n’a fait que me confirmer dans mes craintes à l’é
cultés dont sont doués les somnambules, la science reconnaît celle de
lire
dans la pensée de leurs magnétiseurs tout en reco
rs, avec notre théorie positive, allons donc! Ne vous semble-t-il pas
lire
la scène du Médecin malgré lui et le fameux : Nou
pondantes, se familiarise avec l’administration du fluide magnétique.
Lue
fois son apprentissage technique fait, il s’eu va
chirurgicales, ressort naturellement des conclusions d’un rapport que
lut
, il va quelques mois, le D“ Robert à la Société d
présentera votre pratique ou qui sera soumis à votre examen, et vous
lirez
daus l’un, vous constaterez chez l’autre les cara
lles pour ne point entendre, il nous forcera à lui dire : Vous avez
lu
l’article de Montègre dans le Dictionnaire des sc
ons, avec les ouvrages à l’index, et les opinions proscrites , vous y
lirez
, avec quelque fruit peut-être les raisons que l’a
oici la lettre qu’à ce propos il a adressée aux rédacteurs : « J’ai
lu
avec intérêt l’article intitulé : Le Christianism
ndre de me trouver tout it coup à la hauteur des maîtres dont j’avais
lu
les ouvrages; aussi, le lendemain dimanche j’arri
ue j’étais dans ma boutique, au fond de mon comptoir vitré, occupée à
lire
le feuilleton de mon journal ; ma tante était à c
du mode moral et du mode matériel, non seulement tome XIV — N» *15. —
lu
AOBJ IR55. S'il est un conte usé, commun ot rcl
u point de vue civil. Mais d’abord, établissons notre thèse. V. —
Lu
pratique du magnétisme n’exige pas (l’art. Comm
ires pour établir qu’ils sont naturels à l’honune. X. — Identité de
lu
magnétisation èi titre bienveillant et de la béné
médecin. Le Gérant : HÉBERT (de Garnay). INSTITUTIONS. Société «
lu
Mesniérlsinc Ie Paris. DU MAGNÉTISME COMME MOYE
itulaire. (Suilc. — Voyez page Ô03.) XV. — De la bénédiction dans
lu
tradition religieuse. Nous avons, et sans trans
s facultés magnétiques, virtutes), qui se subdivisent en ceux qui ont
lu
faculté de guérir, de consoler (ojntulari), «lo d
ion. De même qu’il y a desjgens qui ne comprennent bien que ce qu’ils
lisent
des lèvres, de même il y a des gens qui ne peuven
sur l’enfant de la Sanamite (1) ? Pourquoi le (I) Voici le passage (
lu
livro IV îles Rois, relatif à cette action du pro
et qui se croit appelé à le combattre comme en un champ clos ; qu’on
lise
les formules portant le cachet de la haine et de
par céder complètement sous l’influence de cet agent. [Abeille île
lu
Nouve/le-Orléans.) C. HEYNES. Le Gérant : lll
e dans laquelle il soutient qu’il n’est pas donné à une somnambule de
lire
dans l’avenir et de prédire un événement futur.
lations sur la nature desquelles nous ne savons encore presque ¡rien.
Lu
admettant que les tables parlantes et les medium
ES LA BAGUETTE DIVINATOIRE APPLIQUÉE A LA DÉCOUVERTE DES SOURCES.
Lu
Journal of M an, recueil consacré à l’aniliropolo
imentées feront marcher l’hydrologie et lui feront prendre rang parmi
lus
sciences positives. « JOHN W. WILKINSON. » L’
ira minutieusement des objets situés à plusieurs centaines de lieues,
lira
votre pensée, appréciera exactement vos maladies,
erie d'élite. Au commencement de la communication que l’on vient de
lire
, le docteur n’a désigné le nom du consultant que
ication ci-jointe est de nature à vous intéresser, je vous prie de la
lire
jusqu’au bout. Vous en ferez ensuite tel usage qu
le de Toulouse d’être entrée dans cette voie salutaire, et nous avons
lu
avec le plus vif intérêt la brochure que vient de
re duquel est loin d’avoir été dit le dernier mot. Lorsque vous aurez
lu
Puységur, Lutzelbourg, Tardy de Montravel, De-
t apparu, un pauvre diable de garçon de ferme, ne sachant, dit-on, ni
lire
ni écrire, habile seulement à préparer le lin, ho
ébats qui eurent lieu au congrès. Quoiqu’il se fût fait inscrire pour
lire
les développements de sa proposition et qu’il l’e
te la nation allemande : pensez quelle société! Je n’ai pas encore eu
lu
moindre occasion de parler de mes découvertes et
lle un livre tourné à l’envers-, elle donna le numéro de chaque page,
lut
des sentences, épela des mots, décrivit des peint
pais qui jusqu’ici en a dérobé les arcanes ii l’œil du vulgaire; il a
lu
, commenté, expliqué les œuvres réputées indéchiff
ens qui puissent se vanter d’y échapper; de sorte que si, après avoir
lu
attentivement le livre et vous être conformé de p
ègles astrologiques. M. Constant, tout en donnant des procédés pour
lire
l’avenir dans le ciel, fait justice-de cet art ch
n’avons que des éloges à donner à cette partie de l’ouvrage, qui sera
lue
avec fruit par tous les magnétistes. 11 fait entr
est ouverte à 4 h. 50. Le procès-verbal de la séance précédente est
lu
et adopté. Le Secrétaire-général fait part à la
essionnelles d'origine neurasthénique. A propos de la communication
lue
par M. Valcntin à la séance précédente, M. Dumont
u'il y ail hypnose, l'une qui regarde le sujet, l'autre l'opérateur ;
lu
troisième le moyen que celui-ci emploie. Dans le
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la séance précédente est
lu
par iM Valentin, secrétaire, et adopté. M. le D
est ouverte à 4 h. 10. Le procès-verbal do la séance précédente est
lu
par M.Valentin, secrétaire. Il est adopté. La c
que, par une lettre qui leur est adressée, ils peuvent, après l'avoir
lue
, tomber en hypnose, et se suggestionner à eux-mêm
sta huit à dis mois sans souffrir; mais au bout de ces dix mois, elle
lut
prise de douleurs dans la région lombaire, dans l
dénégations de l'hypnotisme et de l'automotisme du sujet. En 1859,
lu
Dr Azam, de Bordeaux, familiarisé avec les ouvrag
qui avait obtenu de merveilleux résultats avec les méthodes de Braid,
lut
, devant l'Académie des Sciences, un compte rendu
faction des brillants résultats obtenus par Azam, tout le plaisir que
lut
avait causé l'action de la Société. A partir de
aire, la maîtrise de soi-même qu'il fallait développer chez lui. a Je
lis
l'éloge de la volonté ; je montrai comment elle é
Hugo, « Et c'est un homme comme ceux-là qu'il faut devenir! * Dans
lu
deuxième partie, je faisais réaliser et passer en
ent, cette réduction est le critérium de la manifestation physique do
lu
vibration invisible dent on peut vérifier lu dire
anifestation physique do lu vibration invisible dent on peut vérifier
lu
direction et le sens de; nous à ce qui n'est pas
ser jusqu'au bout l'analyse de cet élément émotionnel? . J'adresserai
lu
même remarque a M. Edgar Bérillon, qui, du ???1?,
is, que j'étais arrivé moi-même à des conclusions presque identiques,
lu
jour où j'ai pris connaissance de leur mémoire.
to-suggestion par' l'application de l'article 901 du môme Code ; — do
lu
seconde, ù raison de la complicité do la veuve Au
es aimants et l'exposition expérimentale de leur influence illusoire,
lu
à New-York, devant l'Académie de Médecine, ressem
e son traitement, ni n'expliquaient ses succès. » La suggestion était
lu
source de tous les cilels bienfaisants de sa médi
e à ce sujet, depuis 1884, par le rapporteur, d'abord dans un Mémoire
lu
à l'Académie des sciences morales et politiques d
rfois, il lui semble qu'un de ses maîtres se tient là derrière lui et
lut
parle impérieusement; le plus souvent l'hallucina
leçons a pris fin ; il éprouve la même angoisse le jour où l'on doit
lire
les places de composition, tant il a peur de n'êt
nvestigation des phénomènes, et deux ans plus tard un rapport unanime
lut
présenté en faveur de l'authenticité des phénomèn
L'ÉTUDE SUR JAMES BRAID Par le Dr MILNE Bramwell Et de son rapport
lu
au Congrès de Bruxelles, Par le Professeur Bern
pport sur la valeur thérapeutique de l'hypnotisme et de la suggestion
lu
au Congrès de Bruxelles et dans son intéressante
ourrai briser sa résistance » Que le Dr Milno Bramwell veuille bien
lire
la Leçon VIII de ce livre, il se convaincra qu'il
n erronée queme prêtent, je ne sais pourquoi, tou3 ceux qui n'ont pas
lu
mes œuvres; je n'aijamais dit que tous les crimes
est ouverte à 4 h. 50. Le procès-verbal de la séance précédente est
lu
par M. Valentin, secrétaire. Il est adopté. La
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de )a précédente séance est
lu
par M.Valentin, secrétaire. Il est adopté. La c
s'attaque au Mémoire que, dix ans auparavant, j'avais eu l'honneur de
lire
, devant Y Académie des Sciences morales et politi
voir voulu la tuer, M"* E. P.. répond : a Je ne t'ai pas tuée puisque
lu
me parles ! » C'est de ces paroles mémos que Delb
mentale. Après ces deux opinions regrettables, je me réjouissais de
lire
celle de M. Bérillon, qui est un praticien de la
ISCUSSION M. Bérillon. — La dissertation que M. Hartenbcrg vient de
lire
à la Société doit être divisée en deux parties. D
fois la fin et les moyens, l'effet et la cause, le tout et la partie,
lu
matière et l'objet fabriqué, le particulier et le
ai indiqué ci-dessus. Une épidémie d'hypnomanie en Amérique. Nous
lisons
dans le Progrès Médical que les habitants de la v
ique. — Applications cliniques de l'hypnotisme. Co Cours commencera
lu
mardi 19 avril, à cinq heures, et continuera les
onseiller, le guide, le témoin et Je juge de toutes nos actions, sous
lu
point de vue du bien et du mal? La conscience, di
pas où les femmes, les jeunes filles ne soient exposées au contact, à
lu
présence, souvent prolongée, de gens de moralité
il important sur le somnambulisme provoqué. Ceux d'entre nous qui ont
lu
ce travail ont pu se rendre compte de la prudence
e de M. Dumontpallier. Le procès-verbal de la séance précédente est
lu
et adopté. La correspondance imprimée comprend
la Société, doivent être remis au secrétaire général, aussitôt après
lu
communication faite, ou au plus tard, sur le bure
ait vu un sujet endormi saigner du ne/, quand on le lui ordonnait. Il
lut
avec avidité le manuel du magnétiseur de Teste.
assistons à une conversation tenue dans une langue étrangère que nous
lisons
et écrivons, mais que nous n'avons pas l'habitude
trois cents couvents. François de Sales, l'auteur de VIntroduction à
lu
vie dévote, et Mme de Chantai fondaient l'ordre d
cérébral, qu'on substitue la rêverie au raisonnement, qu'on augmente
lu
suggestibililé, qu'on livre des esprits tout à l'
par le concile de Trente, qui fit en outre un devoir aux curés de la
lire
au prône chaque année à l'ouverture du temps pasc
me provoqué. L'on pourrait d'ailleurs, évidemment, — cela ne fait pas
lu
moindre doute, — faire la même chose ei obtenir l
aucune suggestion, ce qui eût empêche que celte pauvre femme — jusque
lu
épouse et mère irréprochable — fût livrée sans dé
tante, le rôle important que l'imitation inconsciente peut jouir dans
lu
production des troubles hystériques chez les enfa
Enfin, elle a de temps en temps des crises inquiétantes. Elle tombe à
lu
renverse, toute ruide, ayant toute l'apparence d'
.postule l'existence dans les cas d'aliénation mentale. C'est encore -
lu
un intéressant exemple de l'action et de la réact
seignait on Sorbonne ta théologie scolastique. Du Veigier lui faisaii
lire
les opuscules d'Augustin sur la grâce, et le déte
seize évéques ou archevêques, elle put lui ouvrir ses portes. » On
lisait
dans cet ouvrage, écrit avec une fermeté digne d'
d maître peut découvrir. Il fait alors montrer au malade sa main : il
lu
, répète tous les heureux pronostics du premier so
rs types d'espace (corporel, tactile, monoculaire, binoculaire). On y
lira
aussi avec intérêt le résumé de divers travaux en
urs occupé spécialement des troubles des centres nerveux, prétend que
lu
jeune fille en question est à l'abri de toute esp
n état d'automatisme. Par exemple, dans Suggestive Tkerapeulics, nous
lisons
, p. 8 : a Dans le somnambulisme profond, ou sixiè
néc des autres mystères de la religion. Fqrton. eonOnna ces dires, cl
lut
plusieurs pages de son livre sur L'alliance de la
r en Sorbonne, se rendirent chez Porlon. Au cours de cette séance, il
lut
un ouvrage sur le péché originel, où il montrait
se marier. Mais son père, ayant surpris ses intentions, lui extorqua
lu
signature d'un renouvellement et d'une ratificati
ce de M. Dduostpalmer. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. La correspondance manuscrite compren
llain, Liégeois, Masoin (de Louvain ctAuguste Voisin, pour constituer
lu
commission chargée d'organiser le deuxième Congrè
appendice à cette traduction de l'ouvrage de Wetterstrand, on pourra
lire
quelques lettres adressées, il y a quelques année
ne suis par sûr, dit Maudsley, que le somnambule ne puisse arriver à
lire
inconsciemment dans l'esprit par une imitation in
ie longuement la littérature criminelle: il nous apprend quels livres
lisent
les criminels ; il a relevé les inscriptions dont
uvrent les murailles et les marges des livres qu'on leur prête ; il a
lu
des volumes entiers de prose et de poésie, sortis
NOTISME DANS LE ROMAN Un Raffiné Par M. L. ACHILLE (1) Nous avons
lu
avec un véritable intérêt le roman de M. L. Achil
ers les âges, chez toutes les nations, nous retrouvons l'anti Vaneris
lues
. Il y a cinq mille ans les livres chinois en pa
ses bottes éperonnées ce qui enragea tellement le Gae! rritable qu'il
lut
sur le point de le rosser. Mais grâce à mes remon
t malades, angoissés, il leur est impossible d'y résister et toujours
lu
satisfaction de l'idée, si futile qu'elle soit, a
M. M... est entré dans un café, il s'est fait servir une absinthe, a
lu
un journal, et est parti sans la prendre. Il décl
u'il se pourra» grâce à la suggestion, que dans l'an 2000, l'humanité
lut
déjà beaucoup améliorée. Nous nous bornons, nous,
pides. » Cest à peine s'il consentait à obliger les enfants de savoir
lire
pour l'âge de 12 ans. Personne n'ira aussi loin q
: nique. C'est une paralysie-épilogue, un phénomène concomitant avec
lu
période de déclin de l'affection. Hn outre, dans
e rendre un compte exact de l'ampleur des vues qui y régnent, il faut
lire
ces pages en entier. Afin d'en donner un succinct
e les plus importants de notre enseignement médical. Rien ne serait
lu
. facile que de provoquer, par le dépôt d'un proje
uelques divertissements fort applaudis. C'est ainsi qu'ils nous ont
lu
et distribué le numéro exceptionnel d'une Revue i
cas un agent thérapeutique de la plus grande valeur, il suffirait de
lire
les communications faites au Congrès internationa
t, qui l'aimait beaucoup. Elle avait aussi beaucoup d'aft'ection pour
lu
.; mais on ne se refait pas, et quand on a eu un c
oll (Der hypnotismus, Berlin, 1890,2e éd.) n'est pas aussi agréable à
lire
que celui de son collègue anglais, mais il est pl
rsonnes étrangères,, non préparées, n'ayant jamais vu. ni entendu, ni
lu
quelque chose sur cette question: en étudiant l'e
e distance de trois mètres, l'œil gauche aun mètre. Il ne pouvait pas
lire
, mais il pouvait prendre des notes, lire, l'heure
aun mètre. Il ne pouvait pas lire, mais il pouvait prendre des notes,
lire
, l'heure sur une montre à fines aiguilles, distin
mbre 1806 Dr F. van Eeden POLÉMIQUE L'Hypnotisme et l'Église Nous
lisons
dans un journal italien (Fanfulla) l'article suiv
gne patho-gnomonique de folie, puisqu'on les rencontre également chez
lus
personnes saines d'esprit. La folie du doute es
é toute l'histoire dî ses inquiétudes et de sa maladie. Il a beaucoup
lu
de livres de médecine, s'est instruit sur 1' hypn
. présente, dit-il, deux signes physiques de folie raisonnante" (il a
lu
l'his-toire de Sandon par Legrand du Saulle). d'a
qui s'était chargé de l'élever, la plaça comme bonne d'enfants. Elle
lut
en service pendant 14 ans. Jamais malade. Jamais
années les idées l'obsédaient de plus en plus. Dé quelle se mettait à
lire
ou à quelque autre occupation les questions la
» Je veux ajouter encore que le * lévrier 1890 un parent du malade me
lut
une lettre de sa mère qui confirme sa guérison ab
gris, qui tantôt le fouettait de bouquets 3e ces mêmes fleurs, tantôt
lut
en montrait des plaines entières en train de se f
, n'est p;is aussi facile qu'on serait tenté de le croire après avoir
lu
l'article de M. Voisin (1) où il parle de la guér
onnement par l'aconit. Lamson avait gagne le continent, mais quand il
lut
dans le Times le récit de son crime, il commit l'
j'ai vu bien des névroses guéries, je n'en ai vu aucune provoquée par
lu
suggestion ! J'ai vu bien des intelligences resta
par ! : loi ; c'est-à-dire qu'il n'a commis le délit ou le crime qui
lut
est imputé que contraint par une force à laquelle
à l'Eden et aux Folies-Bergères. Le caractère de G... paraît étranger
lises
tribulations, car il est doux et tranquille. Tout
ignés et se partagent la vie du sujet; dans le troisième (reversion),
lu
personnalité qui surgit durant le sommeil n'est q
dotes, de citations curieuses, d'idées paradoxales. On retrouve, à le
lire
, l'impression d'éblouissement et d'inquiétude que
'.ifme et médecine légale) (l'iener jabris tr. der geriebSicb Med..
LU
1, 1S90.) SCI1 DER : Hvpnotitme. Med. po^ul. ao m
il fallut tout lui enseigner a nouveau; ainsi elle dut réapprendre a
lire
, à écrire, à compter; peu à peu. elle se familiar
sté contracture. Il se croyait au 26 janvier : il fut ébahi quand or.
lut
fit remarquer que les feuilles poussaient aux arb
au domaine des autres sciences positives. Le mémoire suivant a été
lu
, en 1865, devant l'Académie des sciences de Vienn
nt comme des découvertes personnelles (2), les expériences qu'ils ont
lues
, sans toujours les avoir bien comprises. En faisa
es suggestions par des actions en héteronome. Or. voici ce qu'on peut
lire
à la page 247 de mon livre sur les Forces non déf
cès Gouffé, M. le professeur Brouardel dit ce qui suit : - Nous avons
lu
. dans le journal C Hypnotisme (i), une consultati
crime sous une autosuggestion, parce que, dans son enfance, il avait
lu
une scène semblable dans un roman de Ponson du Te
'ils étaient de noire école, qu'ils acceptaient notre doctrine, (1)
Lisez
la fU-cur l- CHypnolismt. seront étonnés d'appr
ger l'espèce par l'indulgence ou l'impunité. Comme vous venez de le
lire
, je ne partage pas les vues de l'Kcole de Nancy s
urs reprises. En mai dernier, je suis retourné à Nancy, et Ton pourra
lire
prochainement, dans la Bévue de Belgique, le réci
ulent faire usage de la jeune science, les médecins principalement, à
lire
et a étudier le nouveau livre de M. Bernheim. ann
le lendemain du juur où nous avions terminé notre examen, nous avons
lu
dans le journal la Revue de r hypnotisme (3), une
nfluence d'une auto-suggestion, parce que, dans son enfance, il avait
lu
une scène semblable dans un roman de Ponson du Te
u qu'on lui élève du moins un buste. Il le mérite d'autant plus qu'il
lut
en quelque sorte le patron de l'Université de Lyo
qu'il faut faire telle chose et qu'il faut s'abstenir de telle autre,
lis
le savent mais ils ne le sentent pas ; et dès tor
a vérité. Mais c'est l'impression qui résulte pour moi de ce que j'ai
lu
sur eUe; cl, d'après cette impression, moins affi
isaient entendre : Gilles de La Tourette et Guermonprez. Il suffit de
lire
le volume des comptes rendus du Congrès pour s'as
ne jeune actrice, Clotilde J..., à Nice, vitriole son amant. Comme on
lut
demandait à quelle époque elle avait songé a. se
vait songé a. se venger : — Depuis un jour, a-t-elle répondu, où j'ai
lu
, dans un journal de Paris, un article relatif aux
ne détonation pareille à Auxerre. En 1825, à Paris, Henriette Cornier
lue
cruellement un enfant qu'elle gardait ; un peu ap
en! ces juges-là font de la mauvaise besogne, de la besogne immorale,
lis
démoralisent la société et envoient au crime des
ilement réalisables. 11 voudrait, avec M. Garofalo, que le condamné â
lu
prison y reste jusqu'à ce que, par son travail, i
ose. Au surplus voici ce qui s'était pa-se..... Vous m'avez donné à
lire
le rapport de MM. les experts requis par l'accu
limité : le sieur Vandevoir était-il hypoolisable ou non? On vient de
lire
les certificats de l'Ecole de Nancy et le mien. D
était à gauche en dessous de l'ombilic et sur une ligne allant (Il
Lu
rédacu'on de ce travail, sauf les notes et le pos
t que la veille. M. Delbœuf endormît encore une fois la patiente et
lut
dit qu'elle ne perdrait plus de sang, que le lend
tte femme, qui s'endort instantanément sur un signe, comme on a pu le
lire
dans mes articles de la Revue philosophique, a ré
risseurs de ? raine-le- Cnate au Mon cher Rédacteur eu chef. J'ai
lu
avec éionnement dans la Revue de [Hypnotisme (liv
ntrée ici, ni de tout ce qui s'est passé depuis 1885. Elle a appris à
lire
, écrire et calculer dans son état B et c'est une
le a oublié tout ce qu elle lui avait appris, et elle ne sait plus ni
lire
, ni écrire, ni compter, ni travailler à l'aiguill
son état normal d'autrefois, l'état A, dans lequel elle ne savait ni
lire
ni écrire. Elle a oublié aussi et l'Exposition et
à l'heure se reproduisent instantanément aussi : elle sait de nouveau
lire
, écrire et travailler, reconnaît les personnes du
nt nerveux, in-S*. 480 pages, deuxième édition. — J-B. Baillière et
lus
. 19, rueHauiefeuille (près le b' Saint-Germain),
rêt que présentent de pareils sujets au point de vue physiologique. «
lis
réalisent, comme l'a dit M. Gley, de véritables e
en effet, une œuvre incomparable, non surpassée, non égalée, trop peu
lue
de nos jours ; et puis, elles ont été en grande p
e relativement restreint de succès... » Pour écrire ce qu'on vient de
lire
, il faut, arbitrairement, supprimer d'un trait de
'Académie de Médecine. Le procès-verbal de la séance précédente est
lu
et adopté. M. Fiessin-ger, président, de la séanc
ypnotisme, et ce n'est qu'en 1881, aux portes de la vieillesse, qu'il
lut
à l'Académie des sciences morales et politiques u
donne à l'appui sont bien faits pour convaincre. Quel juge, les ayant
lus
. se refusera à reconnaître l'importance de l'hypn
t-on bien fixé sur la pathogénie de la neurasthénie. Chaque jour nous
lisons
des articles très bien faits qui se contredisent.
a plus tenace ne pouvait vaincre sa résistance. Si ??s malades ne
lisent
et n'écrivent que parce qu'elles sont incapables
ue parce qu'elles sont incapables d'attention, elles aiment cependant
lire
ce qui a trait à leur maladie et écrire pour conf
ersonnes qui veulent se perfectionner dans la science de l'Hypnotisme
liront
avec intérêt ce livre dont un des principaux méri
ERRATA Dans le numéro dé juillet 1909. Page 8, lignes 12 et 18.
lire
: il constitue on procédé commode et efficace; il
l donne des résultats rapides et durables. Page 9. lignes 15 et 16.
lire
: les conditions psychologiques et physiologiques
son sommeil. Page 9, ligne 34. au Heu de : opération nu choroforme,
lire
: opération sans chloroforme. L'administrateur:
rêves Et vos lueurs sont te reflet De l'enfer on mon cœur se plaît!
Lu
Fuch do Mal : (Horreur sympathique.) Pendant
e ce dernier chapitre nous extrayons les observations suivantes qu'on
lira
avec intérêt et profit. Dans le domaine du syst
é me (1) Dans le Journal des Praticiens dn 16 octobre 1909, on peut
lire
, sur ce sujet, les lignes suivantes : « Tel méd
ais il écrit comme quelqu'un qui en a l'idolâtrie. En effet, nous
lisons
, à la page 52: « L'homme à qui l'on confère le di
de l'intellectualité de ses contradicteurs, faut-il qu'il les ait peu
lus
. pour croire qu'ils aient des prétentions aussi é
phobie antireligieuse ». On a ça vers les dix-huit ans. Farez n'a pas
lu
mon livre. Je le renvoie à l'introduction du tome
est ouverte à 4 h. 43. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. 31. le Secrétaire général anuonce a
de la Société en prononçant aux. obsèques l'émouvant discoure qu'on a
lu
dans la Reçue de l'Hypnotisme : mais ce qu'il n'a
je soignais l'autre malade, cette dame reposait sur un sofa occupée à
lire
ou à coudre et je suis sur qu'elle ne prêtait auc
CHRNIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de psychologie
Lu
prochaine séance de lu Société d'hypnologie et de
NCE Société d'hypnologie et de psychologie Lu prochaine séance de
lu
Société d'hypnologie et de psychologie aura lieu
e. Dr Paul Farez : L'onirothérapie suggérée. Dr Berillon :Bôle de
lu
détente musculaire dans la production de l'hypnot
e) La neuvième séance le réouverture îles cours, aura tien le lundi
lu
Janvier, a ?> heures, sons In présidence de M.
présidence de M. ?????. député, uncien ministre. ORDRE DXJ JOUR :
lu
1)" ????.1.?\ : 1? programme de l'Ecole de Psycho
hologie pathologique. D' Paul Faiirz. professeur. Objet du cours:
Lu
psychologie-physiologie de la soif. /•'* samedi*
suggestion, sont allés même jusqu'à dire qu'elle est, dans ce cas. j
lus
puissante sur l'orgauisme qu'elle ne peut l'être
nom contradictoire à'état de veille hypnotique. Pour celui qui sait
lire
à travers les lignes, ces contradictions ne sont
animité que la terre ne peut pas être sphérique (2). Lorsque Howard
lut
à la Société royale de Londres un compte rendu de
Le lendemain, dans l'après-midi, je reçois de lui un pneumatique. Je
lis
: « Je n'ai pas eu conscience d'avoir été, hier,
r, cette hypotaxie existe tout naturellement chez chacun guéris par
lu
su™eslion pendant lu narcose éthyl-méthylique, Re
iste tout naturellement chez chacun guéris par lu su™eslion pendant
lu
narcose éthyl-méthylique, Revue de l'hypn., avril
est ouverte à 1 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire-Général donne lectu
t vers dix heures et demie ; mais, un peu après minuit (MDie Matéyéva
lisait
à ce moment), elle se réveille pour dire qu'elle
éation de l'Ecole de psychologie. Je fus fort surpris, je l'avoue, de
lut
entendre dire qu'il était parfaitement au courant
t adonnés k l'étude de la psychothérapie, n'aient pas pris le soin de
lire
les pages si instructives consacrées par Lasègue
ne oreille indifférente ; et l'on s ex, lique sans peine, après avoir
lu
son ouvrage, l'enthousiasme de ces étudiants amér
res et demie, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de
lu
Salpétriere. Les séances ont lieu le troisième
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal à la précédente séance est
lu
et adopté. La correspondance comprend des lettr
ul Magnin, professeur à l'Ecole de psychologie. LrxT>t 7 Mars. —
Lu
psychologie du bonheur : sa réalisation par l'édu
populaires en usage dans les divers pays. L'âme du chirurgien A
lu
séuiice mutuelle de la Société de Chirurgie, le D
ue se heurtent dans l'esprit des malades a des boucliers provenant de
lu
même fabrique. En fin de compte, Il n'est pas pro
n'a, pour les guérir, d'autre remède qu'un traitement purement moral,
lu
persuasion. « Tel est, dans ses principes, l'en
lleux. « La méthode, que M. Déjerine croit être la seule vraie, est
lu
persuasion ; elle s'adresse directement aux facul
e la création. Ce n'est donc pas seulement a la biologie générale que
lu
psychologie doit se référer pour organiser sa mét
livre de M1"* de Salberg beaucoup d'autres signes qui. si vous savez
lire
, comme elle, sur les lignes et entre les lignes,
ous gagne, ou quand nous ne sommes encore qu'imparfaitement éveillés.
lis
constituent un genre à part d'hallucination auque
ment mentale, s'endorment sitôt qu'elles veulent méditer ou seulement
lire
. Voilà pourquoi un discours, un livre ennuyeux
ouverte à cinq heures. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. La correspondance comprend des lettr
difficulté de la documentation, à canse de la pudeur naturelle de
lu
femme qui lui fait taire toute allusion à ces sor
l'auteur. Il dut a cette facnlté la réputation d'un prédicateur dont
lu
réputation s'étendit à tonte l'Italie. Le père
esseur Albert Robin M. le 1 > ? :¦ ¦ : -1 : i r.-1 - - qui, unns
lu
Chronique médicale, donne des silhouettes médical
t digne de leur valeur, 11 a formulé, en ne prenant d'autre guide que
lu
remarquable diversité de ses aptitudes, le traite
ction puissante que la voix humaine exerce sur les nerfs de la femme.
Lisez
, pour vous en convaincre, une nouvelle publiée pa
s, et habituellement sous forme de réminiscences oniriques, Il faut
lire
les travaux de cet auteur pour saisir avec quelle
téressants de ces effusions de la vénérable Agnès Blannbekin : Nous
lisons
dans la préface : La dite Agnès vécut vers la fin
», Etiologie psychogéule et thérapeutique psychique du vagi-nisnie d*
lu
clinique gynécologique de l'hôpital de Fruukfurt
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. II. le Secrétaire Général donne lect
iété d'hypnologie aura lieu le mardi 17 mal à 4 heures el demie, sous
lu
présidence de II. le D[ Jules Voisin, médecin de
es el demie, sous lu présidence de II. le D[ Jules Voisin, médecin de
lu
Salpotrlère. Les séances ont lieu le troisième
e est ouverte à 4 h. 45, le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. M. le secrétaire général donne lectu
nce est ouverte à 4 h. 45, le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le secrétaire-général donne lectu
t ouverte à cinq heures. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. Le secrétaire général donne lecture de
ativement aux deux autres éléments du langage. Notre malade peut—elle
lire
mentalement et comprendre ce qu'elle lit: A-t-ell
ots: a Admission d'urgence. » M. Charcot, s'adressant à la malade :
Lisez
, je vous prie, et dites-moi ce que cela veut dire
llons, cette fois-ci c'est parlait : vous voyez que notre malade peut
lire
et qu'elle comprend fort bien ce qu'elle lit ; el
Le succès avec lequel le Dr Howes réussit à lui apprendre à parler, à
lire
, à écrire avec les mains est aussi une histoire c
ère, elle consentit à se laisser hypnotiser. Une seule suggestion lui
lut
laite, celle de ne plus se mettre en colère et d'
On lui persuade qu'il bégaie, qu'il est ivre, qu'il est paralysé; on
lut
fait boire de l'eau pour du Champagne, etc.. mais
uelques mots très intéressants sur la sourde-muette Laura Bridgman.Je
lis
quelque chose de semblable dans un ouvrage imprim
vous dans quelles conditions l'action des métaux sur les hystériques
lut
découverte par le docteur Burq : Une jeune femm
ais si tous acceptent le fait d'observation qui est in- (1) Rapport
lu
au Congrès de médecine mentale. _ (2) Delasiauv
'état de veille sur les vaso-moteurs utéro-ovariens. 3° L'action de
lu
suggestion dans l'état hypnotique sur les vaso-mo
e qui. agissant sur le centre génito-spinal de Budgz et Goltz,, amène
lu
suspension d'action des nerfs vasos-moteurs de l'
vez confiance, votre foi vous a sauvée, et à l'heure même cette femme
lut
guérie. Ce dernier exemple nous montre l'idée dan
nd. Cette malade étant en même temps atteinte d'anorexie. M. Bérillon
lut
fait les suggestions suivantes: « Votre perte va
a besoin d'être acceptée et dirigée dans le sens voulu. Ce n'est pas
lu
parole de l'opérateur, c'est Le cerveau do l'opér
paravant; une hypércslhesîc hystérique de l'abdomen avec vomissements
lut
enlevée en deux séances. La suggestion seule inca
ours ? Une hystérique monoplègique ou aphasique a entendu les prêtres
lu
: répéter du haut de La chaire qu'il est des eaux
viron, a été atteinte il y a six ans, d'une attaque apoplectique, qui
lut
a causé de l'aphasie temporaire, de la para, lysi
es années, et que la suggestion a rendu actif, capable de marcher, de
lire
les journaux pendant ? a S mois, jusqu'au moment
ssoupir, mais je dois à la vérité d'avancer que tous ceux-ci ont fini
lût
ou tard par m'avouer qu'ils avaient feint le somm
e la Tourelle pourrait s'adresser au rapport de M. Liégeois, qui sera
lu
dans une des prochaines séances, et non pas au mi
le Dr CULLERRE. — Paris, J.-B. Bail-lière, in-12, 618 pages, 1890.
Lu
maladies de l'esprit : Etudes cliniques et médico
t où je faisais ordinairement mes expériences d'auto-suggestion, j'ai
lu
un chapitre sur les hallucinations. Cette lecture
, de parler, de dire si elle était tout à fait muette ; la suggestion
lut
répétée quantité de fois en variant les procédés,
voisine, la porte ouverte; et, à la quatrième séance, elle parlait et
lisait
assez haut et assez distinctement. Au bout de d
le fruit de l'éducation. L'auteur italien a longuement montré combien
lus
enfants sont généralement menteurs, voleurs, gour
t déclare que son frère est un « méque ». Assez intelligente, sachant
lire
et écrire, bien qu'elle ait passé fort peu de tem
sa soeur lui ayant présenté le frère de son amant, elle se prit pour
lu
; d'un « béguin » et resta avec lui un certain tem
eune. Cest un garçon de seize ans. peu intelligent, sachant néanmoins
lire
et écrire, aux oreilles larges et écartées, aux a
ondes, entre les deux pages d'un code qu'on ne leur avait pas donné à
lire
». CONGRÈS INTERNATIONAL DE L'HYPNOTISME EXPÉRI
ans cette découverte, qu'on appréciera par la relation suivante. Je
lus
dans la Revue de l'hypnotisme. 2e année, page 397
sujet a été obser scrupuleusement et aucun doute ne peut s'élever sur
lu
réalité des phénomènes. Le 19 Décembre en prése
uffrir de diverses par-tics du corps. Elle se refusa à manger. Depuis
lu
même époque elle a erdu le sommeil. Ses règles
de l'huile de foie de morue ont été administrées en même temps. Je
lis
faire à la malade des injections sous-cutanées de
ou bien à les piétiner. Ce gouverneur effrayant ne se plaisait pas à
lire
des contes et des romans, et n'encourageait ni le
mées contre lui par le sultan, est naturellement mis à la torture, et
lu
plupart des gens préfèrent la mort à la torture »
cueillent l'eau de pluie. » Le pays était infesté de brigands. Nous
lisons
le récit d'une grande peste en 1341. qui fut bien
çon si terrible la population de l'Europe quelques années après. Nous
lisons
, en outre, le récit de sécheresses et de famines
t donne ses ordres comme d'habitude ; mais il ne sait plus du tout ni
lire
ni écrire. Son nom même, le cardinal ne saurait l
condes, puis ses yeux se mettent en strabisme supérieur et interne et
lus
paupières tombent. Elle paraissait profondément e
ptembre, au matin, l'opération élant décidée, on l'hypnotisa dans son
lu
, puis on le conduisit à l'amphithéâtre où on le f
ourner, se lever, s'asseoir à notre commandement. A 9 heures 50, il
lut
ramené à son lit ; on lui fit la suggestion de do
e est la première partie du roman, consistant dans la présentation et
lu
mise en scène de l'héroïne. Jusqu'ici, rien de bi
on hypnotique aussi complète. Il parait démontré que, chez elle, elle
lisait
peu. ne sortait pas: jamais on ne l'avait fait as
et combien vous trouveriez féconde l'imagination d'un auteur, si vous
lisiez
ce fait dans un volume à l'usage des gens du mond
les cache ensuite dans un poële. Ensuite elle reprend son livre pour
lire
. Les objets volés sont repris par leurs propriéta
aphie criminelle que tous tes savants et tous les magistrats voudront
lire
. Dr Emile LAURENT. NOUVELLES Congrès. — Le
tait exposée dans un roman de Ponson du Terrail, que l'assassin avait
lu
! Est-ce de ce livre, est-ce d'ailleurs que cette
représente avec une vivacité d'imagination extrême les scènes qu'il a
lues
, croit en être l'acteur ou le plus souvent la vic
e coutume. Poussé maigre lui et malgré le mal qu'il savait se faire a
lire
les jour..aux. il s'abreuvait, en quelque sorte,
'autre, ce qui donnait a sa physionomie un aspect spécial. ?n pouvait
lire
, en quelque sorte, son délire sur son visage. E
nterprété dans un sens mélancolique. Pranzini lui dit : « Tout ce que
lu
penses, tout ce que tu lis est vrai, cela va t'ar
ancolique. Pranzini lui dit : « Tout ce que lu penses, tout ce que tu
lis
est vrai, cela va t'arriver, tu vas y passer. » I
tu lis est vrai, cela va t'arriver, tu vas y passer. » Il redoute de
lire
, de se récréer, il voudrait ne pas penser, parce
vraies citations : A la page 55 du Magnétisme animal, on peut déjà
lire
(l'auteur parle de toutes les personnes qui s'occ
bien plus commode de se dire en possession de la science, sans avoir
lu
, sans avoir expérimenté, ou, ce qui est presque a
s'excuse alors en disant qu'il a commis un lopsus oculi (3), on peut
lire
: « En bonne logique, on est en droit, après ce
on examen plusieurs malades atteints de troubles nerveux (1). J'avais
lu
les travaux de Charcol, les mémoires de liai-denh
diteur), m'a envoya votre ouvrage sur la Né-vrose hypnotique. Je l'ai
lu
avec d'autant plus d'intérêt que vous n'y avez pa
... Celui-ci parle beaucoup de M. Charcol et de ses élèves. On peut
lire
entre autres, dans sa brochure. « Enfin, répond
façon des animaux. On nous permettra de douter sur ce point; au fait,
lu
gouvernante se rapprochait peut-être beaucoup....
cet âge d'or que nous avions rêvé pour nos fils. Lorsque nous avons
lu
le compte rendu de la dernière séance du conseil
ns obtenu ainsi des inscriptions assez développées pour qu'on pût les
lire
à vingt mètres de distance. En voici quelques e
utes, en reliefs autographiques assez saillants pour qu'on puisse les
lire
â 20 mètres de distance. Ce phénomène était dev
démodé. Si l'honorable commentateur de la circulaire ministérielle
lisait
les comptes-rendus des sociétés les plus importan
aissance précise et complète de ces études pleine, d'actualité, devra
lire
l'ouvrage de M. Liégeois qui n'est d'ailleurs que
s que le développement du mémoire sur le même sujet qu'il fut admis à
lire
en 1884, devant l'Académie des sciences morales e
udes médico-légales. M. le 1> Motet, dans un remarquable rapport
lu
à l'assemblée générale de l'Association générale
llement à la place indiquée cl une vive douleur au contact. Un nndeau
lut
nus sur le bras ci le malade se coucha, dans un l
servir de conclusion à son œuvrer Et d'autre part ne croirait-on pas
lire
les Sociétés animales en rencontrant dans l'ouvra
enfin d'amender la première des conclusions de M. van Eeden et de ta
lire
ainsi: « La société de psychiatrie de Hollande
ille, et les oblige à venir d'eux-mêmes se précipiter dans sa gueule (
lire
dans la Revue de l'Hypnotisme, ? de décembre 1895
lle je me rendis le lendemain matin au Temple du Christ-Sauveur. Elle
lut
prés de moi une courte prière, dont les premiers
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
par M. Valêntin, secrétaire, et est adopté. M. le
d'utiliser celte suggestibilité pour réaliser quelques (1) Rapport
lu
au Congrès d'Anthropologie criminelle de Genève.
dérobés, la qualité des personnes auteurs de ces vols. (1) Rapport
lu
au Congrès d'Anthropologie criminelle de Genève.
'expertise médicale le constate, les magistrats seront bienveillants,
lis
appliqueront aux autres les sévérités de la loi.
infinitésimale en quelque sorte. Chez le premier le récit d'un crime
lu
dans un journal amènera la crise que tout autre i
s d'insister. Comment peut-on expliquer qu'un individu, après avoir
lu
des récits de crimes détaillés, ait lui-même à so
t, est souvent suggéré par les récits pathétiques d'actes semblables,
lus
dans les journaux. L'exemple est contagieux : l'i
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
par M. Valentin, secrétaire. Il est adopté. La co
M. Dumoxtpallier. - Le procès-verbal de la précédente séance a été
lu
par M. Valentïn secrétaire, et adopté. La corre
ctérisés par une fatigue de la vision telle, que la malade ne pouvait
lire
pendant quelques instants sans être prise d'une f
ue : Homen, Singer, Tooth, Lissaucr, ont constaté que la présence des
lisions
radiculaires anciennes peut entraîner des dégénér
e mais aussi toute la ville. Tous les trésors de ladite Eglise furent
lirez
hors ; ses voisines d'icelle faisoient transporte
levée du premier pansement la malade déclare y voir et déjà elle peut
lire
les gros caractères d'un journal. Second pansemen
lle sa sœur Gilberle, qui fut sabiographe, ne s'étend pas, l'oblige à
lire
des œuvres de piété. Dès lors sa personnalité se
d'en parler à mon tour. Je serai bref. En 1884, j'avais été admis à
lire
, à Paris, devant l'Académie des sciences morales
ilosophie Chrétienne complétera on ne peut mieux celui qu'on vient de
lire
. Nous adressons tous nos remerciements a M. Lec
est ouverte à 4 h. 45. Le procès verbal de la précédente séance est
lu
par M. Valentin, secrétaire ; il est adopté. La
a presse. Or, depuis que les cerveaux suggestionnâmes ne peuvent plus
lire
de déclamations anarchistes et d'appels à la viol
ger, remue, depuis, des charges très lourdes ; ce malade incapable de
lire
n'a pas peur maintenant d'appliquer son attention
s naturel, c'est-à-dire conforme à la nature du sujet qui dort. On ne
lire
jamais du sommeil que les résultats expérimentaux
iques. La manière de procéder est simple. Nous nous souvenons avoir
lu
, il y a bien un an, dans la Revue de l'Hypnotisme
donc le salut des imaginations vives. « Dans nos chambres mentales,
lisons
-nous, il existe non seulement de ces émotions com
penser, mais, par cous donner à elles. t Six mois de ce traitement (
lisons
-nous encore pour terminer), seront une révéla
heureux de leur ouvrir la porte. « On comprendra mieux, après avoir
lu
ce chapitre et celui que j'ai consacré au même su
où il est assez longuement question de l'état hypnotique provoqué par
lu
musique. La capacité civile des morphinomanes.
la morphine. Parmi eux, nous pourrions citer plusieurs professeurs à
lu
Faculté de Médecine de Paris, des membres de l'In
très grande à fixer son attention. A huit ans, il ne sait pas encore
lire
correctement. C'est là, au contact de camarades v
ures conceptions de l'art. Connaître des caractères, les assembler,
lire
des mots et des phrases, cela constitue des actes
cevoir simultanément les signes écrits sur les deux portées et de les
lire
en même temps. Mais le principal obstacle à l'e
plume à des gens qui sont plus philosophes que médecins. Je viens d'y
lire
, signée de M. Boirac, professeur de philosophie a
comme vous le dites, à toutes sortes d'expériences ». Si vous m'aviez
lu
avec plus d'attention, vous auriez vu que nos séa
moi-même. Votre cœur, Sganarelle. est meilleur que vos yeux. Ils ont
lu
un pluriel où j'avais mis un singulier. Mon artic
tive lorsqu'il donne au principal héros de la pièce, le pasteur Sang,
lu
pouvoir de guérir ceux qui l'entourent par sa seu
dées de vieillesse commençante ou confirmée, de déchéance organique ;
lu
femme doit se dire que l'heure de la retraite a s
on annuelle de l'American Psychological Association, M. A. L. Lewis a
lu
un travail intéressant sur la comparaison du temp
est ouvert, je vais te guérir l'autre aussi, je te l'ai promis hier,
lu
t'en souviens! » jalonnement de la malade, elle n
e à laquelle assistèrent plusieurs membres de cette association; il y
lut
son rapport et y exposa ses idées. Son premier ou
ogiques, mais que Me. Xeile avait refusé d'écouter ses lectures et de
lire
aucun des rapports qui en avaient été faits. A ce
t évidemment lorsqu'il commença ses recherches. Les conclusions qu'il
lira
de ses expériences furent donc indépendantes, et
on fils dort dans le berceau Et je le berce. Quand il sera grand il
lira
sur la planche Et le professeur l'instruira. Mo
aierai de mes deniers, Son père est satisfait Quand il commence à
lire
. Et son frère le frappe D'un coup amical sans
auvre bête, « Tandis qu'à peine â les pieds tu peux voir, « Penses-tu
lire
au-dessus de ta tête ? » CHRONIQUE ET CORRESPON
sa niaiserie était restée exemplaire : elle avait appris tout juste à
lire
et à écrire ; mais, ainsi qu'il arrive souvent en
tulée : « Le diagnostic de la suggestibilité. » Diverses notes sont
lues
. Elles seront publiées dans les comptes rendus, d
eçu aucune instruction ; c'est seulement à vingt ans qu'il a appris à
lire
; jusqu'à cet âge, il ne savait même pas chiffrer
t, des critiques qui ont été faites de Neurologie », personne ne peut
lire
l'ouvrage de Braid sans être touché de la persévé
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la séance précédente est
lu
par M. P. Valentin, secrétaire, et adopté. La c
ré, Tisserand et Charcot ; un rapport concernant M. Inaudi a même été
lu
à la séance du 7 juin 1892. Mais M. Binet, de son
Pour ceux d'entre nos lecteurs qui désireraient aller aux sources et
lire
dans leur entier les remarquables travaux relatif
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la séance précédente est
lu
par M. P. Valentin, secrétaire, et adopté. La c
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
par M. Valentin, secrétaire, et adopté. Lacorre
Sciences (4). Cet enfant n'a jamais, à proprement parler, appris à
lire
; il ignore tout à fait les procédés et les méthod
œhler est arrivé sans trop de peine, dès l'âge de deux ans, à pouvoir
lire
très couramment les divers caractères, latins ou
re, son seul maitre; tout ce qu'il connaît, il l'a, depuis qu'il sait
lire
, spontanément appris de lui-même dans les livres.
fidélité et qu'il rappelle avec une rapidité inouïes ; il a appris à
lire
presque seul, mais il n'a mis en œuvre que des as
ertaine circonstance, l'un d'eux avait poussé la mauvaise foi jusqu'à
lire
aux malades le contraire de ce que le rapport aff
reuses lettres (12 ou 15 par jour). Il occupait souvent ses loisirs à
lire
des romans, des feuilletons. Il lisait très vite,
l occupait souvent ses loisirs à lire des romans, des feuilletons. Il
lisait
très vite, mais avait l'habitude de mouvoir les l
rtir de la même époque, il s'est aperçu qu'il lui était impossible de
lire
un imprimé, tout autant et encore plus qu'une pag
eut écrire couramment et régulièrement; mais il lui est impossible de
lire
les pages d'un livre imprimé ou récriture. Il a u
urés, qu'en effet, bien qu'il pût écrire couramment, il ne savait pas
lire
. Nous entrerons, sur ce sujet, dans de plus longs
signalrix). En outre de l'impossibilité ou de la grande difficulté de
lire
, il y a encore à noter chez lui l'oubli d'un cert
ser, la maison où il a décidé de s'arrêter; mais comme il ne peut pas
lire
les noms de ces rues, et qu'il les a d'ailleurs p
r de mots. « J'écris, dit-il, comme si j'avais les yeux fermés, je ne
lis
pas ce que j'écris. » De fait, il écrit aussi bie
i bien les yeux fermés. Il vient d'écrire son nom, on lui dit de le
lire
: « Je sais bien, dit-il, que c'est mon nom que j
en, dit-il, que c'est mon nom que j'ai écrit, mais je ne puis plus le
lire
. » Il vient d'écrire le nom de l'hospice, je l'éc
écris à mon tour sur une autre feuille de papier et je le lui donne à
lire
; il ne le peut pas d'abord ; il s'efforce de le
n. On lui présente une page imprimée. Il dit immédiatement : « Je
lis
moins bien l'imprimé que l'écriture, parce que po
ractères imprimés, comme le ferait un peintre de lettres. On lui fait
lire
une ligne en caractères imprimés : le malade met
és : le malade met 8 minutes à la déchiffrer et 3 minutes seulement à
lire
la même ligne en lettres cursives. On remarque qu
la main droite; on lui met les mains derrière le dos et on lui dit de
lire
; on le voit alors tracer les lettres avec l'inde
voit alors tracer les lettres avec l'index sur l'ongle du pouce. Pour
lire
l'imprimé, il lui est commode d'avoir la plume à
l écrit vite les mots : « Xavier, Yvan, Zèbre ». Il a plus de peine à
lire
, quand il esta jeun, moins après manger. Au bout
sent très fatigué. Si on l'interroge sur le sens de ce qu'il vient de
lire
avec tant de peine, il se souvient très peu des d
es. Ainsi, il ne se rappelle que vaguement que dans l'article qu'il a
lu
la veille, il s'agissait d'une statue de la Répub
. 4 minutes. Il répète plusieurs fois : « Quand je veux commencer à
lire
, même maintenant que j'ai fait des progrès, il me
e, et c'est là ce qui constitue chez lui la cécité verbale. S'il peut
lire
, c'est à l'aide d'un artifice. La série de mouvem
Gendrin3 parle de malades qui « se trouvaient dans l'impossibilité de
lire
, mais qui pouvaient écrire, par une sorte de souv
tégorie. «Yoici, dit ce grand observateur, un malade qui ne sait plus
lire
, cependant il parle à merveille. Il ne peut déchi
re. Ce qu'il y a de plus invraisemblable, c'est que cet homme ne peut
lire
ce qu'il écrit très correctement. » Ce malade, co
avez pas oublié comment notre malade, lorsqu'il fait des efforts pour
lire
, soit un écrit, soit un imprimé, écrit effectivem
rnies par les images visuelles. En d'autres termes, le malade ne peut
lire
qu'en écrivant. Or, le même fait se trouve signal
raitement. Tous'les jours, notre malade fait un devoir qui consiste à
lire
un certain nom- Fia. 24. — Etendue du champ vis
; et, lorsqu'elle fut suffisamment instruite de ce côté, s'efforça de
lire
par les yeux, en même temps qu'elle s'aidait de l
oucher ; mais, au bout de plusieurs mois, la malade ne pouvait encore
lire
par ce procédé que des mots très courts. 5° J'e
lassiques. Jusqu'au début de l'affection qui l'a amené près de moi il
lirait
à livre ouvert les œuvres d'Homère. Il savait le
n pour reproduire, par l'écriture, deux lignes que nous lui donnons à
lire
dans un journal du jour. En les lisant, d'ailleur
apprendre par cœur quelque chose, une série de phrases, par exemple,
lire
à haute voix plusieurs fois ces phrases et affect
; les comprenant, il les écrit bien et délibérément, tandis que pour
lire
les mêmes mots écrits par une autre personne, il
u'on lui a fait écrire passivement, il est obligé de le voir et de le
lire
pour le désigner. La note suivante, rédigée par
aire observer que je me servais de celte faculté dans mes études : Je
lisais
ce que je voulais apprendre et en fermant les yeu
appartenait à cette catégorie d'individus dont parle M. Gallon \ qui
lisent
en quelque sorte mentalement, chacun des mots qu'
ou deux; aujourd'hui, pour obtenir le même résultat, il est obligé de
lire
les phrases, plusieurs fois, à haute voix, et qua
eilleurs jours, il lui est impossible de travailler, de s'occuper, de
lire
même avec quelque suite. Aussi bientôt lomba-t-il
ut lorsque le malade se livre à la moindre occupation, lorsqu'il veut
lire
, par exemple, ou écrire une lettre. Les attaque
e, toujours à un certain degré, » — c'est presque toujours qu'il faut
lire
— « dans l'hémiplégie par lésion en foyer du cerv
s peut-être, nous serons fort avancés déjà. La leçon qu'on vient de
lire
a été délivrée le 29 mai 1885. Huit jours plus ta
A 11 ans, survient une douleur de la hanche droite avec claudication.
lise
produit une rémission complète qui fait croire à
Le troisième ou le quatrième jour qui suivit la leçon qu'on vient de
lire
, entraîné par un de ces caprices si communs chez
les, d'autres troubles du langage intérieur. L'aphasique ne sait plus
lire
ou ne lit qu'avec difficulté ; il ne comprend pas
à l'âge de 12 ans, sachant à peine le français ; aujourd'hui il sait
lire
, mais à peine écrire. Les gens qui le connaissent
abso- Jument perdu, et Ton peut plonger un doigt dans la profondeur
lu
pharynx et l'y maintenir sans déterminer la moind
que sont emmagasinés les résidus des sensations musculaires dont nous
lirons
nos intuitions motrices... » « Les parties de la
ir qui remet les choses en ordre. Notre malade passe ses journées à
lire
, a écrire de vrais mémoires dans lesquels il décr
, oui, je parle un peu mieux. » « Corn..., comment. » On lui fait
lire
un journal : « Tous... tous les préparatifs son
onférence..., on sait de source auto... autorisée, etc. On lui fait
lire
un journal espagnol, c'est la même chose. Au bo
appelé constata la perte absolue de la parole ; la malade ne sait ni
lire
ni écrire. A son arrivée à l'hôpital, mutisme a
cantonnai, comme sourd-muet et paralysé du côté gauche. Il ne sait ni
lire
, ni écrire. Paralysie complète du mouvement et du
'une façon formelle que, depuis cette attaque d'hémiplégie, la malade
lisait
son journal tous les jours et parlait distincteme
tères que ces gens arrivent parfois à comprendre le sens de ce qu'ils
lisent
. De même pour la surdité verbale, il n'est pas tr
us propres (1) ; 5 ont appris à manger seuls (2) ; 5 ont appris à
lire
couramment (3) et 4 sont en bonne voie (4). Le
mile), Pard.. (Marcel), Cot... (Henri). Deux enfants ont appris à
lire
couramment : Gava.. (Emile), Cot... (Henri). Deux
PETITE école complémentaire. nière comme très amélioré est arrivé à
lire
couramment, ses progrès ont été sensibles pour
eure- ment celui de la lecture pour les enfants qui ne savent pas
lire
et est très utile pour les enfants plus avancés
pas lire et est très utile pour les enfants plus avancés qui savent
lire
. L'enfant marche, est devenu propre ; en même
t suivi cette classe savent presque tous Fanfare et Orphéon. xxix
lire
la musique et connaissent les valeurs des notes.
ême que l'année pré- cédente. Voici quelques noms d'enfants sachant
lire
la musique. Rob.... Lecture très bonne, il es
.., Lesu..., Rog..., Chas..., Sim..., Duf... commencent seulement a
lire
un peu les notes. - Les enfants Melno... Via...
voir la position de celles-ci sur la portée, ils finissent par bien
lire
la musique. Pour la valeur des notes et des sil
écillité. S'est sensiblement amé- lioré cette année. Savait à peine
lire
l'année dernière. Com- mence à lire couramment,
oré cette année. Savait à peine lire l'année dernière. Com- mence à
lire
couramment, fait la dictée et rédige lui-même m
t réels sont excessivement lents. Aujolu'(l'hui, Par... commence il
lire
quelques petites phrases ne présentant pas trop
ient posées il oppo- sait le mutisme le plus absolu. Chaque jour je
lu
prenais auprès de moi, le questionnant, essayan
En continuant il bien s'appliquer, il arrivera sûrement il bientôt
lire
couram- ment. L'écriture s'améliore et le mal
point de vue intellectuel et travaillent avec goût. Nous bornons
lu
ces renseignements; en donner sur tous les enfa
ecin en chef la désignation des aliénés qui y prennent part. Dans
lu
Visites, CONGÉS. la très grande majorité des ca
colaires, mais n'y mettait aucune bonne volonté. Elle s'amusait à
lire
et à bavarder avec ses compagnes. L'enfant avait
e il copier, assemble les lettres. Tout porte a croire que l'enfant
lira
couram- ment dans le courant de l'année. La mém
orrecte. En classe, elle a également fait des progrès, commence à
lire
par syllabes, l'écriture est lisible, fait bien u
eurs. - Les surveillantes ins- titutrices, les instituteurs doivent
lire
les certificats médi- caux qui accompagnent les
ent les enfants il l'entrée pour en vérifier les dires. Ils doivent
lire
la partie de nos observa- tions concernant les
li lili ^ léli liri la lala laleu lara leu leuleu lalu leureu
lu
. lulu leulu luru la lala lalo : lara lo lolo
-lecture. Ne -faut-il pas-apprendre ^parler avant d'apprem-, dre à
lire
: ? ...- .- . ? . -... ? CLV111 TRAITEMENT If
27 kil. 200. Glande thyroïde ; 0 gr. 50 la 1re semaine, 0 gr. 75
lu
seconde, 1 gr. ensuite jusqu'à la fin de ce premi
poids était alors de 39 kil. 100, la taille FIG, 21. - .Mi.lz ? eu
lu
¡;¡; ( : >, 1 le ans). Nanisme par arrêt DE d
sme. interrogés isolément et avec soin nient absolument la syphi-
lis
. Il a-t-il eu une interposition ? ' ? 1903. Exa
i syphi- . FIG, 27. - R..., en 1904. Nanisme avec obésité. 77
lis
. Elle est sobre, calme, non rhumatisante. Elle n'
ment est celui d'un enfant de quatre à cinq ans plus jeune que lui.
lisait
lire, écrire, faire quelques calculs. Jusqu'à l
t celui d'un enfant de quatre à cinq ans plus jeune que lui. lisait
lire
, écrire, faire quelques calculs. Jusqu'à l'âge
à 11 ans ; c'est un niais. Parole facile et régulière. Il... - sait
lire
et écrire. Nanisme avec obésité. 83 1" avril.
(sept. DOS à juin 1904), son poids est revenu il ce qu'il était le
lu
," juillet DUS, ce qui indique que l'obésité est
ME avec obésité. 99 L'enfant est simplement une arriérée. Elle sait
lire
, écrire, mais non compter. Sa mémoire est assez
mplète du fémur. 2G Juin, - Elle a gagné 2 cent. (1 ? 32 au lieu de
lut
,30, soit 19 cent. en dessous de la taille norma
strua- tion apparaît (3). En un mot, l'organisme tout entier évo-
lue
vers un état physiologique qui rapproche l'enfant
te blanche. - Sommeil normal. Mémoire assez bonne. Elle sait un peu
lire
et écrire; elle n'a été mise à l'école qu'à G a
que de jouer. - Elle parle bien, mais lentement. - Elle commence à
lire
et à écrire ; elle écrit de la main gauche; ell
A revoir). (1) Nos malades apprennent plus facilement à écrire qu'à
lire
. xi8 Sclérose ATROPHIQUE ET MÉNINGITE. IV. La
mère (il y a un an) « parce qu'il est trop vieux » ; il ne sait ni
lire
ni écrire. Aucune aptitude particulière. Il res
l'enfant se laisse guider avec docilité. Il sait syllaber mais non
lire
couramment; il écrit passablement, fait l'addit
) déterminant la mort. V. Ce malade a été soumis à l'adonalis vem8
lis
pendant plus d'une année, sans aucun résultat.
age 228, ligne 5 au lieu de Fig. 1 et des Planches I et II, il faut
lire
: Fig. 60 et PL. II et III. - Ligne 11, au lieu d
aut lire : Fig. 60 et PL. II et III. - Ligne 11, au lieu de Fig. 8,
lire
Fig. 60. Page 215, ligne 15 au lieu de PL. III,
u de Fig. 8, lire Fig. 60. Page 215, ligne 15 au lieu de PL. III,
lire
Pr,. VII. TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE
evue de l'hypnotisme, !5* année 1900, p. 12. (2) Legraxh du Sable :
Lus
hystériques, 1883. (3) II. Baiitk : Du sommeil
e est ouverte à A h. 35. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
ans par exemple, à l'observation des faits, supposez qu'en se jouant,
lisaient
eux-mêmes provoqué ces faits, c'est-à-dire pratiq
rande instruction se révèle aisément aux yeux de qui cherche un peu à
lire
entre les lignes. Dans l'un et l'autre de ces d
ersoumique comme les deux espèces d'un genre, comme les deux modes do
lu
suggestion somnique. La vérité est qu'il y a là t
édiatement le sommeil; 2* la suggestion înlersomnique faite pendant
lu
courto veille qui vient s'intercaler cotre deux s
e est ouverte à 4 h. 30. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général annonce à la
les enfants de son âge sont d'ordinaire incapables d'accomplir; il se
lire
de la difficulté ; il reste enfant dans une parti
nt courts. Ils sont calqués sur les thèmes que l'enfant est habitué à
lire
. Son invention est pénétrée d'imitation. Kun Arpa
rappelle à ce propos une boutade de Renan : dans un banquet qu'on
lut
offrait à Quimper, il rendit un hommage public à
a boite à pâture, manifesta d'abord un sentiment d'inquiétude ; on le
lisait
clairement dans ses attitudes, et, si j'ose dire,
our vaincre son émotion le jour de son examen. Je l'endors (1) Note
lue
en Congrès de l'Hypnotisme expérimental et thérap
. Intervention des pouvoirs publics dans la réglementation. Rapport
lu
par M. Ch. L. Julliot, Docteur eu droit, Secrétai
ment sont principalement le rapport de M. Chevandier.dans lequel nous
lisons
ces mots : « Le temps n'est pas loin où tout doct
e est ouverte à 4 h. 35. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. MM. Bourdon (de Méru), Félix Regnaut
ude : nous affirmons même que l'emploi des appareils de contention et
lu
fait d'attacher les mains semblent créer ce que n
doute parler ses sens puisqu'elle nous dit : « Quand je commençai à
lire
les confessions de ce grand saint (saint « Au
ui ne les puisse porter à la « vertu... « Ma mère prenait plaisir à
lire
des romans et ce divertissement ne; « lui faisait
et de leurs folies et, qui pis est, j'y prenais plaisir, ce « qui fut
lu
cause de tout mon mal... « Je reçus un grand pr
. Intervention des pouvoirs publics dans la réglementation. Rapport
lu
par M. Ch. Julliot, Docteur eu droit, Secrétaire
lui rappelaient les exercices abandonnés depuis longtemps, et je lui
lis
repasser mentalement divers morceaux qu'il avait
ertain et souvent incorrect. Je l'endormis quatre ou cinq fois et lui
lis
des suggestions dans le sommeil hypnotique, enfin
suggestion d'accès complets d'éclampsie puerpérale. Je n'en ai pas
lu
d'exemples dans nos revues, mais nous savons tous
n somnambulique, avec anesthésie, résolution des membres, etc. Je
lut
dis : « Tu ne veux plus faire ton paquet, tes eff
tuation bien fâcheuse » (8). Le 30 septembre, l'oppression (I) Vies
LU
, 246. (!) Ibid. III, 233. (3} Probablement des
ne lettre au roi d'Israël-Et il partit. Lorsque le roi d'Israël eut
lu
la lettre, il déchira ses vêtements et déclara qu
fait n'a rien d'impossible, car certains esprits perspicaces peuvent
lire
sur la physionomie les pensées de leur voisin. Le
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne conna
dans le second, à la suggestion d'autrui et codent plus facilement à
lu
persuasion ; l'hystérique est en quelque sorte ac
r beaucoup d'esprits. La force mystérieuse n'était, en réalité, que
lu
suggestion ou, pour employer un autre terme, la f
e est ouverte à 4 h. 35. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. La parole est donnée successivement
s philosophes du xvme siècle opposèrent à ceux de Jésus. Il suffit de
lire
ces prodiges pour noter la différence qui existe
grossier manteau d'Apollonius, et embrassa tout son genre de vie.»
Lisez
encore la réapparition d'Apollonius à un disciple
la discussion : des autres jeunes gens, les uns étaient occupés &
lire
, les autres traçaient sur le sol des ligures géom
ans qu'il ait prononcé une seule parole, sa pensée, nous dit-on, sera
lue
par le sujet et l'ordre mental sera effectué fidè
itation, l'ordre mental, et il serait tout naturel qu'il le fit, s'il
lisait
véritablement la pensée. î! tâtonne, cherche, hés
a représentation intense d'un acte ou d'un geste. Uniquement réduit à
lire
ma pensée, Il ne l'a point lue, comme il fallait
te ou d'un geste. Uniquement réduit à lire ma pensée, Il ne l'a point
lue
, comme il fallait s'y attendre. Mais on peut fair
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. La parole est donnée successivement
Domini nostri Leonispapte decimi, noviter editte et publicatai, nous
lisons
(traduction Du Pinet, 1564) : * Une nonnain aya
t cette règle, s'était inspiré de l'exemple de saint Adhelme. On peut
lire
en effet in Beauval (Hîst. des Ouvrages des Savan
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. MM. Le Menant des Chesnais, Paul Far
mente sur son état et entretient son émoti-vité. Elle n'ose môme plus
lire
un journal, car le récit du moindre accident la b
les causes de la criminalité. Le droit pénal, dans cette partie, se
lire
d'affaire d'une façon aussi erronée que simple. L
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. La parole est à M. le Secrétaire Génér
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le D' Jules Voisin rapporte l'obs
rs que si certaines étoffes couvraient ses yeux. Si on lui demande de
lire
, elle voit les lettres, mais les lettres dansent
nt la convalescence de cette opération, étendue sur un brancard, elle
lisait
les journaux, les romans, sans que sa lecture fix
e est ouverte à 5 h. 45. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. La parole est à M. le Secrétaire génér
éance est lu et adopté. La parole est à M. le Secrétaire général pour
lu
lecture de la correspondance. La séance est levée
lent celles de la chorée ou de l'ataxie. Pas de mouvements du côté de
lu
langue et des lèvres. Dans la position horizontal
ionnaires de la vie du dehors. Cerlains « habitants » sont chargés de
lire
les journaux et les revues et, chaque semaine, il
sur l'art de guérir ces maladies, et enfin des conseils politiques de
lu
plus grande sagesse. La Voix l'a engagé à remplac
e est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le secrétaire général donne lectu
M. le Dr Jules Voisin. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. Le compte-rendu de la situation mora
sile de Vaucluse, un garçon de 15 ans, faible d'esprit, ne sachant ni
lire
, ni écrire, s'être mis avec ardeur à l'étude à la
s'être mis avec ardeur à l'étude à la réception d'une missive que lui
lut
l'instituteur et qui émanait d'une tante qui lui
semble, on forme des mots, des syllabes, des phrases, on les lui fait
lire
, puis on les représente à la craie sur le tableau
our la lecture. La vue lumineuse d'un mot coloré, d'un animal dont il
lira
le nom, tirera l'élève de la somnolence. La leç
te comme le but suprême de l'éducation. » Dès que l'anormal saura
lire
et écrire, on le dirigera vers une profession man
nt manger seuls et qu'ils soient propres. Quelques-uns apprennent à
lire
des lettres isolées et à connaître les chiffres,
res et les chiffres isolés apprenaient au bout de quelques semaines à
lire
et même à compter et faisaient au bout de quelque
jeunes aveugles qui écrivent très lisiblement ce qu'on leur dicte et
lisent
correctement avec le doigt ce qu'on leur écrit. L
fière, et il n'est pas rare de l'entendre nous dire : Mon enfant sait
lire
, ou saura bientôt lire, il connaît ses lettres. E
rare de l'entendre nous dire : Mon enfant sait lire, ou saura bientôt
lire
, il connaît ses lettres. Erreur, il s'écoulera en
la présentation des éléments de notre langue. Vous avez voulu faire
lire
à votre enfant le mot papa, par exemple, et vous
. A partir de ce moment, six mois ont suffi pour le rendre capable de
lire
couramment, avec la compréhension complète de ce
apable de lire couramment, avec la compréhension complète de ce qu'il
lirait
. Une courte visite à notre établissement médico
qui nous a permis d'apprendre, en un temps relativement très court, à
lire
couramment et dans n'importe quel livre à des enf
ng souyar (est l'esprit d'une femme impudique morte enceinte). Nous
lirons
ces noms et leurs explications tant d'un autre li
sur les superstitions et la magie dans la Péninsule Malaise pourront
lire
avec fruit les chapitres II et V du volume premie
a lin des mots par ang, ong. 11 est bon de remarquer aussi qu'il faut
lire
le W — à l'anglaise : ou. (16) Publication : Le
garisation, rigoureux comme un traité scientifique et que l'on voudra
lire
pour la clarté de l'exposition, l'agrément du sty
M. .fuies Bois a écrit, en fin de compte, pour « servir aux âmes dans
lu
tourmente et qui attendent leur libération. CHR
ut-être la nouvelle transmise avait-elle été mal traduite et avait-on
lu
trente ans, au lieu de trois ans, voire même de t
ui sont en jeu. Il ne me parait, cependant, y avoir aucun doute sur
lu
question : le débile n'est pas, par définition, u
e. Un siphon se trouvait sur une étagère très élevée. Par mégarde, je
lirai
la toile cirée sur laquelle il était placé. Le si
qui a publié autrefois, sur l'Hypnotisme, le livre que vous avez tous
lu
et qui, au Congrès international de l'Hypnotisme
se hystérique de la crise épileptique, dans les cas douteux ; vous en
lirez
plus loin le résumé dans la Revue. Je citerai enc
le professeur Grasset (de Montpellier), vous n'avez pas manqué de la
lire
, il y a déjà plusieurs semaines, dans les périodi
on seulement le nombre, mais la qualité, » Cette revue clinique est à
lire
pour la richesse et la variété de la documentatio
s n'y avez rien compris c'est que vous n'avez pas pris la peine de la
lire
, ou bien alors que vous vous êtes contenté de ren
(paragr. 4). Est-il donc responsable, se demande le lecteur ? Je
lis
: C'est parce qu'il était sous l'influence de l'a
lignes leur tombent sous les yeux et qu'ils aient la patience de les
lire
. Docteur Paul Parez. Un interwiew de M. Déjer
algré de longs séjours dans les écoles modernes, se trouve obligée de
lire
la traduction en français du Coran quand elle dés
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
Conférences de l'Ecole de Psychologie Pour L'Année 1908 (8e année) (
Lu
cours et la conférences it Psychologie sont publi
agasin après qu'on lui eût dit qu'il mourrait ce jour-là et qu'il eût
lu
dans un journal une notice nécrologique racontant
orter d'après ce qu'il jugeait convenir à la vieillesse. Nous avons
lu
récemment la mort d'un enfant en bas âge qui mour
est ouverte à 4 h. 40. Le procès verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
ie, sur les sommeils pathologiques et les états de mort apparente, je
lis
une enquête dont j'exposai, à cette époque, les r
user à son père et à sa mère, elle leur adresse le télégramme qu'on a
lu
plus haut et qu'elle signe du nom d'une amie, ori
ures du matin qu'il se présenta à la porte de Mourad, demandant qu'on
lut
annonçât sa visite pour une communication urgente
e folklore./ Je vous en parlerai d'après ce que j'ai vu moi-même et
lu
chezKnebel sur les o Amulettes javanaises », Bata
pier sur lequel es inscrit un texte arabe que le Javanais ne peut pas
lire
mais qu'il copie sur un livre aux formules magiqu
moins intelligent, le taquinaient beaucoup, mais il a pu apprendre à
lire
, à écrire, à compter ; il sait faire une addition
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
e ; elle est devenue érythrophobe, il -y a un an de cela, après avoir
lu
la description de cette anomalie dans le Manuel d
s, ou bien à les piétiner. Ce monarque effrayant ne se plaisait pas à
lire
des contes et des romans ; il n'encourageait ni l
et l'ordre donné à tous les habitants de quitter la ville. Le sultan
lira
son cimeterre et le passa à Sadr Aldjihan, disant
Jésus efface les doutes sans plus de retard. Il leur dit, comme s'il
lisait
dans leurs coeurs, parlant en même temps pour le
gnoré au réveil, qui provoque la réapparition des crises. Après avoir
lu
, un soir, dans un ouvrage d'Alexandre Dumas les h
rs, Barrett et Franck Podmore. C'est avec un grand plaisir que j'ai
lu
1s livre que je viens d'analyser. Il porte l'empr
e est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
llucinable à l'état de veille et de sommeil. II est intelligent, sait
lire
, écrire, calculer; sa mémoire est remarquable. En
seul, loin de ma présence. Les notes qu'il a recueillies et qu'on va
lire
, je n'en ai eu communication qu'au moment de les
s que le doigté est pour beaucoup dans le succès; il ne suffit pas de
lire
un cours de physique ou de chimie pour pouvoir ré
phine par la nitroglycérine, associée à la spartéine. — Communication
lue
à la Société médicale de l'Elysée, par le Dr Osca
urot à la Société médico-psvchologique (séance du 27 août 1885), nous
lisons
ce qui suit: « Profitant de l'extrême hyperexci
ie. Mes recherches ont abouti à bonne fin, et, depuis l'observation
lue
au Congrès de Grenoble de 1885. j'ai recueilli pl
ours le laurier que l'on voit intervenir pour déterminer l'extase. On
lira
avec intérêt les anecdotes tirées des auteurs anc
ande sagacité d'expérimentation et une érudition peu commune. Il sera
lu
avec plaisir et intérêt. Dr F. Burot. Le gran
urait écrire, pas plus que celui qui ignorerait l'alphabet ne saurait
lire
sous l'influence de la suggestion. Il y a des h
un ordre logique, et ce serait refaire le livre. Je vous engage à le
lire
, cela vaudra mieux ! Il est très suggestif, et je
ectificative de M. le Dr Pozzi. C'est avec surprise que nous avions
lu
dans le Figaro une note reproduite par un grand n
il y a quelques années déjà, sous le nom d'hémi- (i) Communication
lue
à l'Académie de médecine, le mardi 3o août 1887.
entaient toute la rigueur désirable et prouvaient manifestement, pour
lut
comme pour moi, qu'il existait réellement dans le
M. Charles Richet. C'est avec un véritable plaisir que nous l'avons
lu
, car nous y trouvions, pour un grand nombre de ph
raordinaire. Elle retient des pages entière de poésie après les avoir
lues
une ou deux fois :elle les recite comme une actri
tre assurés d'avoir in extenso, dans le prochain numéro, les mémoires
lus
au Congrès. Nous sommes heureux de constater un
ont il ignore absolument la nature et les effets. (i) Communication
lue
a l'Académie de médecine, le mardi 3o août 1887.
c de la teinture d'iode sur une longueur de 1 décimètre tout au plus,
lut
surpris des symptômes d'une intoxication iodique
ron une heure après, les trois personnes qui avaient fait l'opération
lurent
dans l'impossibilité d'écrire correctement. Il ét
usions de l'intéressant travail de M. Voisin, que nos lecteurs ont pu
lire
dans les numéros d'août et de septembre derniers
malade. 11 a été très précoce à l'école, très intelligent, et savait
lire
à 3 ans. Or. à l'âge de 6 ans, il fut enivré par
re soumis à cette épreuve, où ils courraient risque de contracter
lu
paralysie du cœur. De même, dans cet état, il peu
ueras tes cuisses l'une contre l'autre. » Pendant son sommeil, nous
lut
demandons à plusieurs reprises si elle nous enten
un somnambule susceptible d'avoir subi une suggestion, il l'endort et
lut
demande les détails du fait, mais la défense fait
ne s'accentuent pas. Or. plus tard, à 5 heures 10, quand l'enveloppe
lut
décachetée, nous constatâmes que le flacon n° 4 c
. L'enfant, à ce moment, est déjà assez influencé pour qu'on puisse
lut
ordonner formellement de continuer à dormir et a
M. le professeur Donders. le docteur A.-W. Renterghem, d'Amsterdam, a
lu
un mémoire intitulé : De l'hypnotisme et de la su
elle Louis Chassin se laisse prendre ; de lui donner une seconde fois
lu
suggestion du meurtre et de favoriser son évasion
e jetés; mais ils font partie du monde réel. Il n'est personne qui ne
lise
, sous le pseudonyme, le vrai nom du docteur qui i
les élèves eussent les cheveux coupés ras, qu'à leur entrée leur tète
lût
visitée par le médecin de l'établissement, et que
e racontait, quelques lignes plus haut: Jai acheté un journal et j'ai
lu
que M. Clemenceau avait querellé M. Rouvier. Un
'arbrisseaux, à grand travail. » Et cette expression, que l'on peut
lire
dans le serment de Louis le Germanique, de ce jou
itudes particulièrement élevées. « Dans un voyage, dit-il (1), que je
lis
à Terre-Neuve et au détroit de Belle-Ile, à bord
irection en 1878 par MM. Bourne-ville et Regnard. Je vous engage à la
lire
, vous y trouverez des renseignements très intéres
eur de Londres aurait beaucoup moins ému nos confrères, s'ils avaient
lu
le travail de MM. Bourneville et Regnard. Il ne s
èmes de la clinique, on risque fort de se tromper grossièrement. Je
lisais
l'autre jour dans une lettre de Darwin que ce qui
surle col d'une bouteille de vin, maintenue assez élevée au-dessus de
lut
pour provoquer une fatigue considérable des yeux
logie générale, de l'étendue desquelles on ne doutera pas après avoir
lu
« qu'il sera possible d'économiser les coups de b
arder comme essentiels les caractères que ses sujets présentent. Je
lis
, par exemple, dans le livre de MM. Fontan et Séga
janvier 1888, p. 199). Mais il y a mieux. Ceux de mes lecteurs qui
lisent
la Revue philosophique savent que j'ai, ie premie
ons qui suivent : « Il y a dans le rapport de M. Dujardin-Beaumetz,
lu
i la dernière séance, une omission que je serais
n avec la morale et la religion officielles tombaient sous le coup de
lu
justice. L'hérésie et la sorcellerie n'étaient po
ui n'appartient pas à l'Ecole de Nancy. Que M. Brouardel veuille bien
lire
, dans mon livre sur la suggestion (i), les pages
toutes ces malades étalent hystériques. Mais en supposant que cela
lût
exact, et il n'en est pas ainsi, la guérison de c
car le Sultan, en présence d'un miracle éclatant, dut se soumettre et
lut
laisser toute liberté de faire des prosélytes dan
s dangers qu'il présente entre des mains inexpérimentées, M. Masoin a
lu
les conclusion* suivantes acceptées à l'unanimité
rpoint. » (Tallemant des Réaux.) Suggestion sans hypnotisme. Nous
lisons
dans l'intéressante revue le Sphynx, publiée par
, professeur à l'Université de Liège, un ardent défenseur. Nous avons
lu
avec le plus grand intérêt le plaidoyer dans lequ
eulement une seconde édition, revue et augmentée, du Mémoire que j'ai
lu
, il y a quatre ans. sur le même sujet, à l' Acadé
tat de veille que. à la fin de 1883, (et, ce me semble, avant d'avoir
lu
le livre de M. Ch. Richet, mais, sur ce point, me
ssiers qui jouent a s'entre-frapper. Lorsque le coup est un peu rude,
lu
secousse un peu forte, on ne manque pas de dire à
lement: il marchait à 13 mois et parlait à 18. A 7 ans 1/2, il savait
lire
et écrire. A l'école, il passait pour être très i
ient patents, indiscutables, puisqu'on propose de les interdire. J'ai
lu
le rapport, mais on ne parle que d'accidents surv
. Pueri flagellantur consuetudinaliter, disent les Coutumes de Cluny.
Lisez
la vie de sainte Adélaïde, et, avec édification,
aduc et à l'hystérie, à celui de la puberté. Dans 1 appréciation de
lu
part d'influence qui appartient à la profession s
PONDANCE ET CHRONIQUE Condamnation de l'hypnotisme par un evêque.
Lu
question de l'hypnotisme n'avait pas encore été t
llucinable à l'état de veille et de sommeil. II est intelligent, sait
lire
, écrire, calculer; sa mémoire est remarquable. En
seul, loin de ma présence. Les notes qu'il a recueillies et qu'on va
lire
, je n'en ai eu communication qu'au moment de les
s que le doigté est pour beaucoup dans le succès; il ne suffit pas de
lire
un cours de physique ou de chimie pour pouvoir ré
phine par la nitroglycérine, associée à la spartéine. — Communication
lue
à la Société médicale de l'Elysée, par le Dr Osca
urot à la Société médico-psvchologique (séance du 27 août 1885), nous
lisons
ce qui suit: « Profitant de l'extrême hyperexci
ie. Mes recherches ont abouti à bonne fin, et, depuis l'observation
lue
au Congrès de Grenoble de 1885. j'ai recueilli pl
ours le laurier que l'on voit intervenir pour déterminer l'extase. On
lira
avec intérêt les anecdotes tirées des auteurs anc
ande sagacité d'expérimentation et une érudition peu commune. Il sera
lu
avec plaisir et intérêt. Dr F. Burot. Le gran
urait écrire, pas plus que celui qui ignorerait l'alphabet ne saurait
lire
sous l'influence de la suggestion. Il y a des h
un ordre logique, et ce serait refaire le livre. Je vous engage à le
lire
, cela vaudra mieux ! Il est très suggestif, et je
ectificative de M. le Dr Pozzi. C'est avec surprise que nous avions
lu
dans le Figaro une note reproduite par un grand n
il y a quelques années déjà, sous le nom d'hémi- (i) Communication
lue
à l'Académie de médecine, le mardi 3o août 1887.
entaient toute la rigueur désirable et prouvaient manifestement, pour
lut
comme pour moi, qu'il existait réellement dans le
M. Charles Richet. C'est avec un véritable plaisir que nous l'avons
lu
, car nous y trouvions, pour un grand nombre de ph
raordinaire. Elle retient des pages entière de poésie après les avoir
lues
une ou deux fois :elle les recite comme une actri
tre assurés d'avoir in extenso, dans le prochain numéro, les mémoires
lus
au Congrès. Nous sommes heureux de constater un
ont il ignore absolument la nature et les effets. (i) Communication
lue
a l'Académie de médecine, le mardi 3o août 1887.
c de la teinture d'iode sur une longueur de 1 décimètre tout au plus,
lut
surpris des symptômes d'une intoxication iodique
ron une heure après, les trois personnes qui avaient fait l'opération
lurent
dans l'impossibilité d'écrire correctement. Il ét
usions de l'intéressant travail de M. Voisin, que nos lecteurs ont pu
lire
dans les numéros d'août et de septembre derniers
malade. 11 a été très précoce à l'école, très intelligent, et savait
lire
à 3 ans. Or. à l'âge de 6 ans, il fut enivré par
re soumis à cette épreuve, où ils courraient risque de contracter
lu
paralysie du cœur. De même, dans cet état, il peu
ueras tes cuisses l'une contre l'autre. » Pendant son sommeil, nous
lut
demandons à plusieurs reprises si elle nous enten
un somnambule susceptible d'avoir subi une suggestion, il l'endort et
lut
demande les détails du fait, mais la défense fait
ne s'accentuent pas. Or. plus tard, à 5 heures 10, quand l'enveloppe
lut
décachetée, nous constatâmes que le flacon n° 4 c
. L'enfant, à ce moment, est déjà assez influencé pour qu'on puisse
lut
ordonner formellement de continuer à dormir et a
M. le professeur Donders. le docteur A.-W. Renterghem, d'Amsterdam, a
lu
un mémoire intitulé : De l'hypnotisme et de la su
elle Louis Chassin se laisse prendre ; de lui donner une seconde fois
lu
suggestion du meurtre et de favoriser son évasion
e jetés; mais ils font partie du monde réel. Il n'est personne qui ne
lise
, sous le pseudonyme, le vrai nom du docteur qui i
les élèves eussent les cheveux coupés ras, qu'à leur entrée leur tète
lût
visitée par le médecin de l'établissement, et que
e racontait, quelques lignes plus haut: Jai acheté un journal et j'ai
lu
que M. Clemenceau avait querellé M. Rouvier. Un
'arbrisseaux, à grand travail. » Et cette expression, que l'on peut
lire
dans le serment de Louis le Germanique, de ce jou
itudes particulièrement élevées. « Dans un voyage, dit-il (1), que je
lis
à Terre-Neuve et au détroit de Belle-Ile, à bord
irection en 1878 par MM. Bourne-ville et Regnard. Je vous engage à la
lire
, vous y trouverez des renseignements très intéres
eur de Londres aurait beaucoup moins ému nos confrères, s'ils avaient
lu
le travail de MM. Bourneville et Regnard. Il ne s
èmes de la clinique, on risque fort de se tromper grossièrement. Je
lisais
l'autre jour dans une lettre de Darwin que ce qui
surle col d'une bouteille de vin, maintenue assez élevée au-dessus de
lut
pour provoquer une fatigue considérable des yeux
logie générale, de l'étendue desquelles on ne doutera pas après avoir
lu
« qu'il sera possible d'économiser les coups de b
arder comme essentiels les caractères que ses sujets présentent. Je
lis
, par exemple, dans le livre de MM. Fontan et Séga
janvier 1888, p. 199). Mais il y a mieux. Ceux de mes lecteurs qui
lisent
la Revue philosophique savent que j'ai, ie premie
ons qui suivent : « Il y a dans le rapport de M. Dujardin-Beaumetz,
lu
i la dernière séance, une omission que je serais
n avec la morale et la religion officielles tombaient sous le coup de
lu
justice. L'hérésie et la sorcellerie n'étaient po
ui n'appartient pas à l'Ecole de Nancy. Que M. Brouardel veuille bien
lire
, dans mon livre sur la suggestion (i), les pages
toutes ces malades étalent hystériques. Mais en supposant que cela
lût
exact, et il n'en est pas ainsi, la guérison de c
car le Sultan, en présence d'un miracle éclatant, dut se soumettre et
lut
laisser toute liberté de faire des prosélytes dan
s dangers qu'il présente entre des mains inexpérimentées, M. Masoin a
lu
les conclusion* suivantes acceptées à l'unanimité
rpoint. » (Tallemant des Réaux.) Suggestion sans hypnotisme. Nous
lisons
dans l'intéressante revue le Sphynx, publiée par
, professeur à l'Université de Liège, un ardent défenseur. Nous avons
lu
avec le plus grand intérêt le plaidoyer dans lequ
eulement une seconde édition, revue et augmentée, du Mémoire que j'ai
lu
, il y a quatre ans. sur le même sujet, à l' Acadé
tat de veille que. à la fin de 1883, (et, ce me semble, avant d'avoir
lu
le livre de M. Ch. Richet, mais, sur ce point, me
ssiers qui jouent a s'entre-frapper. Lorsque le coup est un peu rude,
lu
secousse un peu forte, on ne manque pas de dire à
lement: il marchait à 13 mois et parlait à 18. A 7 ans 1/2, il savait
lire
et écrire. A l'école, il passait pour être très i
ient patents, indiscutables, puisqu'on propose de les interdire. J'ai
lu
le rapport, mais on ne parle que d'accidents surv
. Pueri flagellantur consuetudinaliter, disent les Coutumes de Cluny.
Lisez
la vie de sainte Adélaïde, et, avec édification,
aduc et à l'hystérie, à celui de la puberté. Dans 1 appréciation de
lu
part d'influence qui appartient à la profession s
PONDANCE ET CHRONIQUE Condamnation de l'hypnotisme par un evêque.
Lu
question de l'hypnotisme n'avait pas encore été t
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et approuvé. M. le secrétaire général donne lec
ibition commencée. Penser, a dit très justement Albrecht Rau, c'est
lire
les Evangiles des sens, en les rattachant l'un à
M. le D' Jules Voisin Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. M. le D' Bèrillon, secrétaire, donne l
inspecteur des asiles d'aliénés, professeur à l'Ecole de psychologie,
lis
seront répartis de la façon suivante : Luxdi3 A
t une lettre, etc. Ce procédé a plusieurs avantages. Il les amène à
lire
un certain nombre de passages avant de choisir. P
leur collaboration. Un autre moyen d'exciter l'émulation, c'est de
lire
en classe quelque bon devoir d'une autre section
lus significatives. Dans une proportion qui dépasse 90 pour 100. Nous
lisons
des diagnostics tels que ceux-ci : X. Onychopha
morales et politiques, chevalier de !:l Légion d'honneur et admis ft
lu
retraite 11 y quelques années, il uvait été nommé
me, le disciple le plus fidèle et le plue dévoué. Membre fondnteur de
lu
société d'hypno-logle et de psychologie. Il avait
ofesseurs de l'Ecole de psychologie s'associent a l'éloge suivant qui
lut
rédigé par les élèves directs de l'éminent biolog
l'unique moyen d'éliminer la peur. Le réveil est un des moments les (;
lus
importants du procédé hypnotique et doit être eff
quelqu'un, apprendre la mort d'un proche, assister a un enterrement,
lire
son propre article nécrologique ont pu également,
rk Bell, un capitaine, il est vrai centenaire, mourut après qu'il eut
lu
dans un journal une notice nécrologique racontant
a classe, que voit-il Son inspecteur, assis à son bureau, en train de
lire
la lettre de dénonciation. Boulversé d'êtreainsi
e de dégénérescence ? (1) (Suite) Mon cher Directeur, Je viens de
lire
avec le plus vif intérêt l'article, je devrais di
uand tu m'auras rejoint. Les esprits ont décidé que ta ne terrais pas
lu
fin de 1903 ; il faut qu'A VANT NOEL tu aies quit
é des éducateurs en ce pays. (2) Par exemple, La Fontaine enteudant
lire
nne ode de Malherbe prend conscience de ses dons
é les exploits quelque peu licencieux. Dans Claudine à Paris, on peut
lire
en effet, les lignes suivantes : « comme disait l
isse pendant les neuf jours ainsi que l'enfant. Si le quêteur revient
lis
soirs chez loi, qu'il demande l'hospitalité, comm
uel de la mémoire qui lui permet entre autres d'exceller souvent dans
lu
musique. Sa faculté de se soureulr est dans certa
e de morale, comme on les fait dons les écoles françaises ; Mme Kuntz
lut
un rapport snr les sociétés d'écolières établies
discutables, etc.) aussi bien que celle des sanctions ; il préconisa
lu
morale appuyée sur des sentiments comme le sentim
sa passion, se faisant les plus grands reproches, jusqu'au jour où il
lut
* Le Banquet » de Platon et « L'Idiosynchrasie ho
e est ouverte à i h. 40. Le procès-verbal de la séance annuelle est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
r, Dans le numéro de Juillet 1808, de la fîecui de l'Hypnotisme, je
lis
que la méthode de l'hypnotisation par l'occlusion
de suivre les acquisitions scientifiques réalisées dans le domaine do
lu
psychologie positive et de la sociologie. Les lec
aussi et surtout un philosophe au sens précis dn mot. Qne deviendrait
lu
philosophie, maintenant que les recherches scient
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la séance annuelle est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
(Compte-rendu du Nearolog. Centralblait, juin 1906). On s'étonne de
lire
une pareille appréciation, car c'est un fait reco
infirmité très pénible pour leur amour-propre. Us n'apprennent pas à
lire
, ou quand ils y arrivent, c'est très tard et avec
'enfant entend fort bien, retient ce qu'on lui dit. mais n'aime pas à
lire
. Voici un petit gamin de 13 ans 1/2, intelligent,
comprennent pas. Que deviendra cet enfant dans la vie ? Sans doute il
lira
plus tard comme tout le monde ; il pourra même se
maladie. Elle semble assez répandue. Certains enfants n'apprennent à
lire
qu'avec une difficulté incroyable. On met cette i
est ouverte à 4 h. ?d. ¦ Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
tés mystérieuse ? Nous (1) Un chasseur provençal, ? l'affût pendant
lu
nuit, a vu un renard pousser l'astuce jusqu'à tou
notique avec la jurisprudence et la médecine légale. Un mémoire qu'il
lut
à l'Académie des Sciences morales ou 1884, un ouv
oiseaux familiers, peut-être serions-nous mieux servis, moins volés.
Lisez
La servante criminelle, regardez autour de vous,
irige dans ses entreprises militaires contre les autres Princes. Au
LU
* siècle A. D., Tsing-Hé-Hoang. le fameux Roi des
mettre le feu à toutes les bibliothèques et tontes les librairies
lu
Royaume. Cette Grande-Muraille appelée en chinois
ppelée en chinois "Wan-Li-Tch'Ang-Tch"Eng, ou muraille des dix milles
lis
, Fut construite sous les ordres du Général Moung-
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire-général donne lectu
ces ont, en effet, finalement très bien réussi. Toutefois si ce sujet
lisait
véritablement la pensée de son conducteur, il dev
cette parole : Ne vous exposez point à la tentation ». Enfin, il doit
lire
des ouvrages contre le tabac afin d'enraciner ses
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. il. le Secrétaire Général donne lect
séparation n'est pas toujours si tranchée entre les deux procédés.
LU
. Bjs torique. — Partisans et adversaires de l'édu
HRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de psychologie
Lu
séance de rentrée de la Société d'hpnologie et de
icilement au praticien de se plier à une discipline qui lui impose de
lire
, en un temps donné. les chapitres d'un ouvrag
st ouverte A 4- h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire Général donne lectu
yeux pour supprimer en elle toute perception. Si l'on veut la faire
lire
, elle n'y parvient pas, car elle confond les cara
c'est parce que vous avez trouvé en M. le Dr Dubief vice-président de
lu
Chambre des Députés d'une paît, eu M. le Dr Cleme
longé. Le centre du réveil serait donc un centre moteur présidant à
lu
mise enjeu d'un ensemble d'activités motrices d'o
r une gymnastique méthodique, par la lecture, le travail, le théâtre,
lu
musique, le choix d'une carrière, la thérapie oni
convient de faire un choix parmi les projections, d'en montrer peu ?
lu
G??ß, nu lieu d'en faire défiler une cinquantaine
hologie Le mardi 15 juin 1908. La dix-huitième séance auuuelle de
lu
Société d'hypnologie et de psychologie aura lieu
thodes de rééducation en psychothérapie. Inscrits : 1° D* P. Mxoxix :
Lu
rééducation motrice. â° D' Békillox : Le rôle d
rôle de l'hypnotisme : 1° Dans les rééducations sensorielles. 2° dans
lu
rééducation de la volonté. 3" D' Paul Fabejs :
ibuer par leur présence et par leurs communications a la solennité de
lu
séance annuelle. L'aOnfluis?ratear : j- bérillo
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adoptée M. le Secrétaire général donne lectu
e. Observation VIII. — II n'est pas jusqu'à la douleur maîtresse de
lu
volonté qui n'ait son action sur la pupille : sou
venue en grande partie ainsi que la parole en écho ; la malade peut
lire
un peu, mais ne peut écrire spontanément. « Je
le. En effet, elle avait encore de la cécité verbale et n'aurait pu
lire
le testament après l'avoir dicté, ce qui peut ê
é l'école primaire de sept à treize ans et y a appris péniblement à
lire
, à écrire et à compter. Il travailla ensuite da
e lui, il hésite à le croire. II parlait très bien; il ne savait ni
lire
ni écrire; en outre, il avait la tête un peu lo
ien ce qu'on disait ». Il pouvait parler très bien, il ne savait ni
lire
ni écrire. d). Augmentation du volume de la têt
, qu'on lui parlait mais qu'il ne com- prenait pas. Il ne savait ni
lire
ni écrire. En même temps il était pris d'une in
a même profondeur, `r5 minutes de séjour. linii2é- diatement u,.a'è
lu
G1 usrlHC décompression, douleurs violentes à A
'on me parlait, mais je ne comprenais pas. « Le malade ne savait ni
lire
ni écrire. Ces espèces d'aphasie n'ont pas duré
et pncumographiques révèlent des différences fondamentales : chez
lu
simulateur, le tremblement du membre et l'irrégul
tent en quelque sorte les phases ou périodes du même processus. «
lu
Etat cataleptique. Il peut se produire : a). Prim
pos, rectifions une erreur : au lieu de la Société 1)silchial),ique
lisez
des aliénisles. Sociétés savantes. 1°t 11), l
ui pourrait venir à l'esprit de ceux qui, comme lui, n'auraient pas
lu
le rapport sur la nécessité et l'utilité qu'il
dits volontaires. Il suffit, pour s'en convaincre, je le répète, de
lire
l'article 31. M. le Président. Personne ne dema
ls ou tels points de tels ou tels organes du système nerveux 'il en
lire
le diagnostic : 3° Examen de la parole. Revue d
idée bien imparfaite, mais suffisante, je pense, pour engager à le
lire
. Paul BLOCQ. IV. De la suggestion et du somnamb
de mai 1884, M. Liégeois, professeur de droit à la Faculté de Nancy
lisait
devant l'Académie des Sciences morales et polit
aisonnant d'ha- bitude sur des faits, sur des observations. Qu'on
lise
en effet les lignes qui suivent la tirade désespé
lion externe du faisceau de Goll. I). Le faisceau de Burdach. - 1)'
Lu
portion posléio- penphen<)neduYaisseandcUtud
a malade épousa un ivrogne atteint peu avant le mariage de syphi-
lis
; plus tard, la malade eut des maux de gorge, fut
endent; et, quoique la vision soit parfaite, ils sont incapables de
lire
et de comprendre les mots écrits ou imprimés qu
visuelle et kinesthésique étaient intactes, car le malade pouvait
lire
, parler et écrire. Comme c'est seulement depuis
t exactement dans la même position que s'il n'avait jamais appris à
lire
; mais, chose curieuse, il peut écrire sous la d
eut même exprimer ses pensées par écrit; mais il est incapable de
lire
ce qu'il a lui-même écrit. Il faut, .encore une
r la lettre qu'il venait d'écrire, mais il lui fut impossible de la
lire
! Ce qui monlre ainsi, dans toute son originali
té capable d'écrire, mais qu'il lui était tout à fait impossible de
lire
sa propre écriture. En examinant plus en détail
rtante. « J'écris, dit-il, comme si j'avais les yeux fermés ; je ne
lis
pas ce que j'écris. » Défait il écrivait aussi bi
i bien les yeux fermés. Il vient d'écrire son nom; on lui dit de le
lire
: .< Je sais bien, dit-il, que c'est mon nom
bien, dit-il, que c'est mon nom que j'ai écrit, mais je ne puis le
lire
. » Quelques jours après, on observa un autre cu
quante-sept ans, atteint de diabète, qui, quand on lui demandait'de
lire
, se livrait à un travail d'application soutenue
au Du* Ross : «Je savais à peine que faire avec lui; il essaya de
lire
le journal, et continuellement disant : « Je ne
le journal qui était mal écrit, mais que c'était lui qui ne pouvait
lire
. » Ce malade était atteint d'hémianopsie bilaté
e paraître de la cécité verbale ? r Quand on demandait au malade de
lire
un livre, il se servait d'expressions impropres
il comprenait parfaite- ment le langage imprimé, qu'il continuait à
lire
un journal chaque jour, et que, quand on l'a ex
tait certain qu'il avait une complète notion de tout ce qu'il avait
lu
, quoiqu'il employât un jargon incom- préhensihl
qu'il employât un jargon incom- préhensihle, si on lui demandait de
lire
à haute voix. Un tel cas peut certainement ne
proteste énergiquement par la mimique. Je lui ai donné un journal à
lire
; lui ayant demandé s'il comprenait, il m'a fait
n lui disait, mais il ne pouvait y répondre. Le malade ne savait ni
lire
ni écrire. ' ' Dans l'après-midi, vers z heures
voir y répondre, il n'émettait que des cris. Le malade ne savait ni
lire
ni écrire. Au bout de trois à quatre minutes, c
correctement qu'avant son accident. Ce scaphandrier n'a appris ni à
lire
ni à écrire. Le malade n'aurait eu ni vertiges,
ceau de papier, il me donne l'encrier. Si on lui donne un journal à
lire
, on constate qu'il ne comprend plus; impossible
bien, qu'il concevait parfaitement bien ce qu'on lui disait, qu'il
lisait
et qu'il écrivait tout aussi bien qu'a- vant l'
tion XXX11 qui possédait ces facultés d'exprimer sa pensée et qui
lisait
, mentalement, tout avec facilité; il écrivait c
il écrivait couramment et il concevait parfaitement tout ce qu'il
lisait
et tout ce qu'il écrivait. Or, nous étions là e
mémoire- des mouvements gra- phiques. Il n'avait jamais appris ni à
lire
ni à écrire. Nous n'avons pas observé de cas de
un seul mot : b), la mémoire visuelle des mots : il ne pouvait pas
lire
, mentalement, ce qui était écrit; c), la mémoir
uel M. Ladame a constaté les particularités suivantes : c J'avais
lu
dans le Progrès médical la relation de l'expé-
cles intercostaux ; sinon, le diaphragme étant paralysé, la mort se
lût
produite. Il est probable qu'il s'agissait de név
188 : i. M. BALL remercie la Société de l'honneur qu'elle vient de
lu
faire. Homicide commis par un paralytique gén
ndre, les voilà pris de céphalalgie, vertiges ; qu'au contraire ils
lisent
sans attention six ou sept fois de suite, mais
d'aisances, lit. Une phrase, un vers, un objet qu'on vient de leur
lire
ou dénommer, sortent deleur esprit en quelques mi
esi delta epilessia. Studio critico sperimentale de- prof. Luciani.
lu
Rivista sperim. di fi·eniatria,1877-8. Coi ? t-,
dividu voit parfaitement les lettres et les mots sans pouvoir les
lire
ni les comprendre. » De même pour ces trou- ble
un signe d'hérédité. Buvait, parfois même avec abus. Le malade sait
lire
et écrire, est intelligent et sensé, par conséque
inique de l'accident. Voici ces deux observations : Observation
LU
. Alexandre Microgeorgis, âge de vingt-deux ans,
criait. Il concevait très bien la parole entendue ; il ne savait ni
lire
ni écrire. A 5 heures du soir, ce malade commen-
itement bien ce que l'on disait autour de lui. Le malade ne sait ni
lire
ni écrire. -- i Au bout de vingt minutes, le tr
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. il. Charcot. Le malade habitué surtout à
lire
des lettres com- merciales, présentait cette pa
re des lettres com- merciales, présentait cette particularité qu'il
lisait
avec moins de difficulté l'écriture manuscrite
format et de sa reliure semble destiné aux gens du monde, mais sera
lu
avec intérêt par le public médical en raison de
couvra la parole dans un élan d'amour filial et s'écria: « Soldat! ne
lue
pas, Crésus! » La stupéfaction et surtout l'int
s cas de timidité; j'ai vu des malades m'affirmer qu'ils parlaient et
lisaient
très bien dans leur chambre (je n'ai jamais pu le
crainte, absence d'énergie). Au bout de 6 semaines le malade -pouvait
lire
son journal et marcher deux heures. (Correspond.
une façon permanente, ne pouvait presque plus marcher, ne pouvait pas
lire
deux lignes, etc., parce que tout augmentait la d
gmentait la douleur du cou. Elle arriva à marcher une demi-heure, à
lire
plusieurs pages et à jouer du piano; je sentais l
des globes oculaires et de toute la région frontale. Puis je lui fuis
lu
suggestion suivante : « Reposez-vous bien, soyez
a puissance. Passons à la qualité de la voix. * Si nous donnons à
lire
à haute voix un même passage à différents lecteur
'évanouit à nouveaux. Un homme examina alors ses mains et prétendit y
lire
: « Je suis la résurrection et la vie. » Le lende
avait entendu d'étranges nouvelles. A ce moment, l'homme qui avait
lu
la veille dans les mains de la u femme merveilleu
us les journaux médicaux ou scientifiques, le nôtre est le seul qu'il
lise
de la première ligne à la dernière, — et avec pla
sant ainsi, j'ai l'espoir de mettre plus en relief sa personnalité et
lu
certitude de lui causer un plus grand plaisir qu'
ant peut-être qu'on avait touché à son larynx. L'assistant, qui avait
lu
récemment les expériences de Charcot, voulut essa
u'occupé à écrire un livre sur l'hypnotisme, M. Grasset ait oublié de
lire
l'enquête allemande ! Crocq lui-même n'en parle p
voquer et d'augmenter l'instabilité mentale. Mais M. Dubois n'a pas
lu
cette enquête ! Son opinion théorique est faite s
e est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Président annonce à la Société
cale, surtout quand, suivant les méthodes nouvelles, on veut faire de
lu
prévoyance et de la prophylaxie. Les médecins des
mettant la date c'est mars que j'avais écrit, c'est avril qu'il faut
lire
. Cette note peut se résumer ainsi : « Il y a
ès littéraire mais probablement trop peu circonstancié qu'on vient de
lire
. De plus, M. de Champville n'a pas jugé utile d
Elle a parlé d'un vieillard de 60 ans, (dont les journaux que j'ai
lus
ne parlent pas). Elle a parlé, d'après M. Fabiu
té de médecine légale. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. M. le Dr Bérillon, secrétaire généra
15 ans. Très intelligent, mais absolument sans culture, ne sachant ni
lire
ni écrire, très suggestible. Avait été arrêté pou
cte de justice. (Applaudissements.) Dans un traité Célèbre que j'ai
lu
il y a bien longtemps, Cabanis a exposé les rappo
e s'intéresser très vivement à notre Revue. Il ne se bornait pas à la
lire
attentivement, il en annotait les articles. A div
, des crimes et délits commis par les aliénés libres est effrayante à
lire
pour tous ceux qui pensent que si la protection d
76 pages. — Siraudeau, Angers 1906. D'Ritti : Eloge de Jules Falret
lu
à la séanee solennelle de la Société médico-psy
gens surmenés par le travail et la privation de sommeil. On pouvait y
lire
, en quelque sorte à livre ouvert, l'état de surme
te à livre ouvert, l'état de surmenage de celui qui avait écrit. On y
lisait
aussi le retour à la santé morale et physique de
ère, selon moi, dit Braid, de connaître l'opinion d'un auteur, est de
lire
son résumé. » Appliquons ce précepte à son travai
e s'exercer à plusieurs reprises, à se placer dans cet état, avant de
lire
les suggestions, afin de 1 habituer à s'abstraire
premier état d'hypnose. Les cinq minutes suivantes il regardera et
lira
attentivement les suggestions qu'il tient à la ma
le centre du globe, pensant fortement aux suggestions qu'il vient de
lire
, et cherchant à percevoir l'image des lettres et
pper le regard, trois séries de trois suggestions. Le malade devait
lire
les trois premières pendant la première semaine,
trois dernières la troisième semaine. La quatrième semaine, il devait
lire
successivement les trois séries de trois suggesti
ur intention était de tuer des lions. Il est vrai qu'il n'avait guère
lu
autre chose que des romans d'aventures, en partic
est ouverte à 4 h. 45- Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. M. le secrétaire génér.d donne lectu
Angleterre qu'on rencontre le plus grand nombre de cas de phobies de
lu
rougeur. D' Paul Magnin. — Je partage complètem
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. La correspondance comprend des lettres
e est ouverte à 4 h. 45. Le procès verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. La correspondance comprend des lettr
clarté du style et la richesse des illustrations, mérite-t-il d'être
lu
et médité par tous les confrères qui se plaisent
e est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. La correspondance manuscrite compren
s autres (J.-J. Rousseau nous en offre le type dans ses Confessions),
lis
sont embarrassés par la crainte de voir leur méri
an m'amène un jour une fillette de six ans, en me disant qu'elle sait
lire
. Ravie d'avoir une petite élève si avancée, je ve
tite nouvelle qui épelait à peine, et je la chargeai de lui montrer à
lire
. Je les laissai ensuite. Deux jours après, passan
tement la leçon à sa petite camarade moins avancée. * Ah ! vous savez
lire
! » dis-je. Elle ne pouvait nier. La glace se tro
lique ont lieu les mardis, jeudis, samedis, de dix heures à midi, 49,
lue
Saint-André-des-Arts (les médecins, les étudiants
ychonévrose, les plusimportantes sont les suivantes : — « Pouvez-vous
lire
? Aimez-vous la lecture ? Lisez-vous ? » Tant q
s sont les suivantes : — « Pouvez-vous lire ? Aimez-vous la lecture ?
Lisez
-vous ? » Tant qu'un malade trouve de la satisfa
e est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. La correspondance comprend des lettr
aee?58à la page 266. (î) Consulter le rapport du juge Abraham Daily
lu
au Congres psychique de Chicago en 1893. sord
t ouverte à 4 h. ;>Û. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lecture
nes) ; DE PACKIBWICZ (do Riga) ; OBLITZKY (de Moscou); PITRES, prof.k
lu
Faculté de Bordeaux; RAPFEGEAU (duVésioei); Pélix
sitconon NÉTKOSES. maladie» mentales et xeiiveuse-s, medecine léo a
lu
, pédagogie CIMUIKOLOOIE, psychologie physiologiqu
. Celte jupe est un peu courte et laisse voir 11 naissance du mollet.
Lu
ceinture,nouée au-dessous de l'abdomen,Tait resso
m et le lieu de naissance (Fig. IV). Au-dessus du portrait, on peut
lire
la mention suivante : « Jûngfrau Helena Anthonia
à l'homme; Malgré la barbe, tu ne pourras jamais être un homme, mais
lu
peux être une chèvre. Souvent ton conjoint, au mi
e est ouverte à 4 h. 35. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire Général donne lectu
ur famille atteint de cet affreux vice. Voici cette lettre : « J'ai
lu
dans les journaux le compte-rendu de l'infirmerie
J'ai bien mangé, j'ai bu ¦ et je n'ai pas eu mal au cœur. J'ai même
lu
cl causé avec des personnes « qui voyageaient ave
souvent c'est le mot seul que je vois. Je dois dire que j'ai beaucoup
lu
et que, soit habitude, soit organisation innée, j
e j'ai beaucoup lu et que, soit habitude, soit organisation innée, je
lis
des yeux seulement et très rapidement. i Dans m
importants de mes rêves. Je ne suis pourtant pas un moteur; quand je
lis
un mot, je ne le prononce jamais mentalement; cet
émêlés avec son frère, elle s'est imaginée que celui-ci voulait aussi
lu
faire emmener. Dans ses hallucinations, clic voit
éminins sécrètent certaines toxines qui vont influencer plus ou moins
lus
systèmes nerveux prédisposés. Pendant la durée do
qui mourut à Vienne en 1600. (') I! habita longtemps Inspruck, c'est
lu
qu'il oxécuta vraisemblablement le portrait do qu
utes, je l'hypnotise; il tombe en catalepsie légère. Dans cet état je
lut
suggère, a plusieurs reprises, la disparition des
t suivante, il dort très bien et cette amélioration dure huit jours à
lu
suite d'une seule suggestion. Le traitement est c
ujours été bonne. Depuis huit jours, elle se trouve à l'hôpital où on
lut
fait prendre du bromure. Le traitement par l'hy
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire Oénéral donne lectu
ant, c'est-à-dire un gentil peut garçon. Je ne veux pas dire que je
lis
pousser la dent plus vite, je veux dire que je gu
. (Mémoires de rAcadimic des Sciences, année 17*2.) ment do mars.
Lu
, ces attaques la tourmentèrent pendant tout ce mo
laquelle l'avait condamnée sa difformité. Elle en avait profité pour
lire
et surtout pour réfléchir. C'est ainsi qu'elle av
e est ouverte à 4 h, 10. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
le retour à la vie normale fut complet, elle demanda son ngc. Sa mère
lut
répondit 22 ans, faisant abstraction des années d
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire Général donne lectu
ellement d'une manière à peu près exclusive chez les jeunes filles et
lus
femmes après des maladies aiguCs et chroniques.
e en proche, le mal s'étend et se propage. Vous avez, probablement,
lu
, quelque part, l'apologue du voyageur et de la Pe
de compensation. * Dans les premiers jours de 1876, on pouvait
lire
, sur les murs d'un hôtel meublé de Fribourg, en S
. le professeur b s acmé Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général expose la s
vé lui adressait la parole, et qu'il était son ministre sur la terre,
lut
un homme orgueilleux, sujet à violentes colères e
mpératrice. a OENÉVE A la librairie Allioth et Cie. £1 CHU TOUS
LIS
LliSAimOf IStlCt ET DE l'iTHJJCEl On s'abonne s
Il ne faut pas un mois do vie commune pour se détester. Il suffit de
lire
les études sincères faites sur ce sujet par les o
ychothérapie et de la, psychologie. Les conférences sont publiques.
LIS
VENDREDIS A IICIT HEURES ET DEMIE Vendredi 13 j
gie du courage et l'éducation du carac- tère I.' d'ouverture pur M.
lu
h' BëHilion. médecin ¦inspecteur des asiles d'ali
-même au début d'une action, il se disait : « Tu trembles, carcasse ;
lu
tremblerais bien davantage si tu savais où je vai
és universitaires. Pour être édifié, sur cette question, il surfit de
lire
les admirables conférences faites à l'Ecole de ps
Ampoules dosées * 1/2 militer, de Cacodylate de strychnine etO gr.
lu
de Giyeéropnosph&lc de sonde psr ccaUmctre cu
ointe de l'aiguille. On constate, au bout de quelques minutes, dans
lu
majorité des cas, un mouvement d'attraction de l'
e déplacement obtenu avec chaque main successivement, on constate que
lu
déplacement obtenu avec la main droite est normal
us complète un processus essentiellement progressif. Il suffît de
lire
les descriptions qu'ont données des états de l'hy
ent de plus en plus. Il présente un tremblement presque continuel qui
lu
! rend l'écriture très difficile. Il refuse caté
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
agréable. Les suggestions qu'il reçoit ne réussissent pas ; néanmoins
lu
dépression neurasthénique disparait. Voilà, me se
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. A l'occasion du procès-verbal, M. le D
s la première séance, elle fut plongée au 4e degré de sommeil. Je lui
lis
les suggestions appropriées aux circonstances, lu
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
cl adopté. M. le Secrétaire Général donne lectu
ce torrent débordant d'appels et de vociférations la galvanisent, et
lus
sanglots, les gémissements montent dans un chroma
ns navrées, des apostrophes partent du tous tes coins ; les hommes et
lus
fommes, dans des postures désolées, abandonnées s
er.................. 12 — Les abonnements partent du 1"" juillet et
lu
I" janvier de chaque année. LES ABONNEMENTS SON
ala vli. El fATTE, 138. boulevard Hageoia. I » WISOII HACHETTE. —
Lu
* biblinlhtquo* da chemins da (er. IM». 01 ]¦ wj
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopte. M. le Secrétaire Général donne lectu
ts et Suédois, Massage vibratoire Gymnaae, Salle d'armes Lumière. — B»
lu
« de lumière colorée. Bains de lumière électrique.
ux bureaux de la Revue, 4, rue Castellane. A la librairie étrangère
Lu
Soudibr : i'i,, boulevard Saint-Germain ; Société
sont arrivés à celte conclusion que ce cheval ne peut ni compter, ni
lire
, ni calculer; les réponses qu'il doit faire lui s
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lecture
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. Les communications annoncées sont fait
des jeunes gens de son âge; elle était bien, seule à travailler ou a
lire
, la lecture étant sa distraction préférée. Très a
out et à tous, elle ne s'intéresse plus & rien; elle ne peut plus
lire
, d'abord parce qu'elle n'en a nulle envie et ensu
Salci-Michel. BO0UUIIl.il. raad*TAiwUM«-C«B«i«- i':.7,: i.a KoAm.
LU
*t»milt, m* KadM. Itff W^rt,'-. «• Caaimlr-D^arlf»
paraplégies spasmodiques. De plus, en certains cas, elle se montre
lu
où elle n'existe que rarement à l'état normal,
1. --Présidence de 1,UYS. Le procès-verbal delà dernière séance est
lu
et adopté. M. DALLY prend ensuite la parole pou
sion du cerveau » . L'heure avancée ne permet pas au De SAVAGE de
lire
un mé- moire « Sur quelques cas de paralysie gé
ais été mal informé ; ils sont intelligents, savent pour la plupart
lire
et écrire, soutiennent très bien une conversati
us, qui écrit des notes et des lettres très sensées et qui, ne peut
lire
ce qu'elle vient d'écrire elle- même, parce que
à ce que l'on observe chez les sourds- muets auxquels on apprend à
lire
en leur dessinant un objet qu'ils connaissent,,
bien formés qu'il n'avait jamais fait de sa vie, mais il ne put les
lire
pendant quelques ► heures. C'est un cas de céci
à faire. Lorsque je voulus jeter un coup d'oeil sur le livre que je
lisais
, quand ma maladie m'avait atteint, je me vis da
and ma maladie m'avait atteint, je me vis dans l'impossibilité d'en
lire
le titre, etc. » On comprend plus facilement ce
, à la suite d'une attaque d'apoplexie, fut dans l'impossibilité de
lire
et même de distinguer une lettre d'une autre; m
et avec la plus grande exactitude. Néanmoins, il était incapable de
lire
ou de distinguer ce qu'il avait écrit. '' b) Un
n homme, à la suite d'une blessure à la tête,' était inca- pable de
lire
, mais il était cependant en état d'écrire très co
et hémiplégique,' droit à la ( suite d'une attaque. Il ne peut plus
lire
ce qu'il vient,[d'écrire , très correctement lu
même. Après une attaque cérébrale aiguë, impossibilité absolue de
lire
les mots écrits ou imprimés (excepté le propre no
a Société d'Anthropolo- gie de Berlin un aphasique qui n'arrivait à
lire
ce qu'il écrivait lui-même qu'au moyen d'un art
açait avec son doigt ,les lettres des mots qu'il venait d'écrire et
lisait
ces derniers tout en les traçant. M. Kùssmaul c
ien rédiger les lettres d'affairés, mais il lui était impossible dé
lire
. Il voyait nettement les lettres, mais il en av
mais il en avait oublié la signification. Il pouvait en" même temps
lire
l'heure sur un cadran. L'auteur ajoute, et avec r
tellement une action automatique, instinctive, qu'il ne pouvait pas
lire
les ' mots 112. Hormis a donné, en 1877,' un ré
voir M. Magnan, il rédige une note relative à son état. Invité à la
lire
, il s'en montre absolument incapable. Le malade
ots impri- més, mais sans comprendre leur signification, comme s'il
lisait
dans une langue étrangère dont il ne connaît qu
certains objets. La malade reconnaît son nom écrit, et elle ne peut
lire
que quelques mots, « Pont-Neuf», par exemple, m
les comprendre. Elle écrit spontanément et peut copier; elle peut
lire
un nombre de trois chiffres sans comprendre la va
n ayant conservé la lecture mentale, tout en comprenant ce qu'ils
lisent
, ce dont il est facile de s'assurer, sont en même
e dont il est facile de s'assurer, sont en même temps incapables de
lire
à haute voix, parce qu'ils ont perdu la mé- moi
n mot. De la main gauche et d'une écriture « en miroir » qu'on peut
lire
par transpa- rence (écriture décrite par Erlenm
pprocher de ce cas le cas de M. Westphal, dont le malade ne pouvait
lire
qu'en traçant ainsi les lettres avec son doigt.
nan, de ce testament si bien écrit par une personne, ne pouvant pas
lire
, si l'on est dans l'ignorance de ces faits qui
our se f faire comprendre d'elle, on se servait de l'écriture. Elle
lisait
et écrivait facilement. Elle entendait le tic-t
'il était accompagné de gestes expressifs. Le malade ne pouvait pas
lire
. 228 . REVUE CRITIQUE. A l'autopsie, on trouv
t des lèvres. Il ne sait écrire spontanément que son nom qu'il sait
lire
. Il peut copier ; si ,on liai donne à lire quel
t que son nom qu'il sait lire. Il peut copier ; si ,on liai donne à
lire
quelque chose, il émet toute une série de sylla
'il est atteint aussi de la cécité ,es Mot ? Pu ,9, Sa manière de
lire
, très défectueuse, il est vrai, mais où l'on sa
t, en résumé, les traits principaux de l'observation qu'on vient de
lire
? En 1872, à l'âge de seize ans, première crise
nt de décrire en détail ces spasmes partiels. CH.TF. - 'f,; 1 '4 )(
lu
XX' HÉMIPLÉGIE ACCOMPAGNÉE D'APHASIE ET SUIVIE
, compétents', .'consciencieux P , 't)..<ti;if '"uu L . im mrm 1
lu
b,et suffisamment rémunérés, lui paraît 1 meill
1 lu b,et suffisamment rémunérés, lui paraît 1 meilléu ? Eql4p au
lu
fâcheux état de choses qu'il signale. ig i,li ii.
'un travail sur les1-' Co,anulatioiis de Pacchioni 1. 1 >-"[) °9
lu
1 " ? c( ? lf;q zmn's La prochaine séance est f
< ? *, - sq9S ! .tt,sa7j6S'n-L<iJ% h 4"l ="- "' xil ? >J 1
lu
? 1 .5J-).) ? t". -x uu ? >> i ? tua-,
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. de Coynard présente son livre sur
r le Diable. Je voulus l'ouvrir, mais on ne me donna pas le temps d'y
lire
. C'était un vieux bouquin écrit en lettres gothiq
. Voici, à titre de curiosité, le passage du grimoire qu'il fallait
lire
ou réciter pour chasser les esprits gardiens des
t pas moins intéressants. Tous les curieux, tous les érudits voudront
lire
ce livre, l'un des plus documentés sur la questio
rit qu'elle avait été au service d'un pasteur qui avait l'habitude de
lire
à haute voix, et dont le cabinet d'étude était co
e est ouverte à 4 h. 15. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général expose la s
é les hommes les plus compétents sur la question de l'hypnotisme sera
lu
avec fruit par tous ceux qui s'intéressent aux pr
tion, le président du Congrès, M. le professeur Régis, de Bordeaux, a
lu
, aux applaudissements de tous, un travail plein d
ntière d'Avicenne et affirme, tant grecs qu'arabes et modernes, avoir
lu
et annoté plus de six cents ouvrages de médecine.
lu et annoté plus de six cents ouvrages de médecine. Plus tard, il
lira
Paracelse, qu'il trouvera très obscur, mais qu'il
logie avec celles de sainte Thérèse, qui vivait de son temps, qu'il a
lue
et dont les hallucinations ont été considérées pa
se et la fierté d'y voir apposée une plaque en marbre blanc où il put
lire
l'inscription suivante: Dans cette maison naqui
J'espère qu'il y réussira ; en tous cas sa consultation mérite d'être
lue
par tous, car elle n'émane pas, — comme c'est le
ci livrée à elle-même, fouilla dans la bibliothèque sitôt qu'elle sut
lire
et s'empara d'un Agrippa dont elle se délecta, ap
nt: « Mais tu es fatigué! .. Mais tu traînes la jambe gauche!... Mais
lu
boites !... » Rentré chez lui, il le raconte à sa
rver et au devoir qui lui incombe d'améliorer les criminels, voudront
lire
le livre du professeur Paul Kovalewsky, car ils y
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
i sur le compte de l'intervention de Dieu ou du Démon. Il suffit d'en
lire
les relations pour comprendre qu'on se trouve en
s'établissant dans l'immense basilique de Montmartre. II suffira de
lire
la relation de ces faits miraculeux pour comprend
d'en avoir écrit une excellente, que ne pourront pas se dispenser de
lire
et de discuter tous ceux qui aborderont, de près
e est ouverte à 4 h. 45. Le procès verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire-Général donne lectu
notre visite : Intelligence peu développée, — cet homme sait à peine
lire
et écrire. Il est manœuvre, il sert les maçons. D
res de dévotion de l'époque. Il est probable que Marie Alacoque avait
lu
la relation de sœur Clément conservée dans la bib
eau malade n'a fait que reproduire en hallucinations ce qu'elle avait
lu
dans les livres de dévotion de son siècle et ce q
s sont répandues avec le talent d'un Toussenel. Pour vous convaincre,
lisez
plutôt le récit suivant qui a trait aux hirondell
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
le pendule explorateur (l'odomètre d'Herbert Mayo), qui dirigent les
lisent
s de pensées (1) (Cumberlandisme) et le crayon de
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
ion cérébrale ne sont pas trop accentués. Condamnés à peu sortir, ils
lisent
, ne se renferment pas, comme le phtisique, dans l
iosité dans le cadre des affections qui touchent à la leur. Ce qu'ils
lisent
, ils le jugent avec finesse. C'est une qualité qu
t beaucoup intéressé aux esprits ; il se figurait être un médium ; il
lisait
les journaux et les livres se rapportant au spiri
é les hommes les plus compétents sur la question de l'hypnotisme sera
lu
avec fruit par tous ceux qui s'intéressent aux pr
juand l'ange Gabriel lui apparut sous forme d'un homme et lui dit : «
lis
» ; mais il répondit : « Je ne sais pas lire ». A
d'un homme et lui dit : « lis » ; mais il répondit : « Je ne sais pas
lire
». Alors Gabriel l'étreignit si fort qu'il pensa
-frère qui s'étaient secrètement convertis, il les trouva en train de
lire
des sourates du Coran; il les lut et la puissance
nvertis, il les trouva en train de lire des sourates du Coran; il les
lut
et la puissance de ces versets fut si grande qu'i
y et la critique historique, par A. Hamon, docteur ès-lettres. J'ai
lu
avec le plus vif intérêt les articles publiés dan
ligieuse, celte restriction n est certes pas indifférente. On lit à
lu
page 152 : Les hallucinations de la vue vont se j
s'exposer à ne pas donner une exacte solution. A la même p. 152. je
lis
: « Les hallucinations du sens génital se produis
y. Un jour mon Divin Maître me demanda après la Sainte Communion de
lut
reitérer le sacrifice que je lui avais déjà fait
uerite-Marie Alacooce. Il me demanda, après la Sainte Communion, de
lut
réitérer le sacrifice que je lui avais fait déjà
ent il établit la seconde: « II est probable que Marie Alacoque avait
lu
la relation de sœur Clément conservée dans la Bib
biliothèque de Paray ; 2° Il est probable que Marie Alacoque a pu la
lire
. Elle l'a lue en effet; les religieuses contempor
Paray ; 2° Il est probable que Marie Alacoque a pu la lire. Elle l'a
lue
en effet; les religieuses contemporaines l'affirm
veau malade n'a fait que reproduire en hallucination ce qu'elle avait
lu
dans les livres de dévotion de son siècle, et ce
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire Général donne lecture
tout notre temps est occupé à parfaire deux mémoires que nous devons
lire
au Congrès de Madrid, dans quelques jours par con
l y a hallucination et hallucination de l'ouïe, et qu'il suffisait de
lire
et de citer la phrase suivante pour en avoir la p
e la volupté cl lru· ccllc tlu elt : y·iu. » 11 y ctt u tl'aulrcs à
lu
vrilé ct, parmi celles-ci, l'une des plus fréqu
on 4. CLINIQUE NERVEUSE. égoïste calculateur, s'il s'en réservait
lu
meilleure part, il les distribuait parcimonieus
alin on se réveil- lait bien un peu maL èI l'aise,énerv,suulll·etew,
lu
;'uilL(; mais quelques injections avaient vile,
ette idiosyncrasie n'est pas dosa- ])le sans doute, mais l'argument
lire
toutefois quelque valeur de l'ignorance général
cadémie ecclésiastique, j'ai commencé à m'occuper de ma santé et il
lire
quelques manuels sur ce sujet ; j'y ai appris q
dans les yeux. Il s'accusait quelquefois que sou regard provoquait
lu
loux de- autres, que cela lui était désagréable
regard d'autrui persistait toujours ; comme auparavant,pas de de-
lire
ni d'hallucinations. La conduite du malade était
me demandant conseil, elle me présenta une lettre dans laquelle je
lus
ce qui suit : « Je me suis décidée d'écrire mon
l'idée maladive ; el quand je reste à la maison toute seule, si je
lis
tran- LA PHOBIE DU REGARD. 23 quillement et s
n. Je me retrouve moi dans chacun de vos mots comme si vous aviez
lu
tous ces tourments dans mon coeur et dans mon âme
s trouvons en ouLreici l'Ltnleclnnanimne monolinn. (H'ir. 1,' eL3);
lu
nanisme rachitique (M<7. 4 el 5) ; du nanism
riétaire à Ley- mieux (commune de Chagnon), près' de 1ti -de-Giei@,
Lirait
, sans provocation aucune, deux coups de revolve
atteint d'aliénation mentale et laissé en liberté. Le 8 juin, Meley
lirait
plusieurs coups de fusil sur son voisin, le sie
peuvent se rattacher aux lésions que nous avons constatées dans la
lire
et la 2e racine sacrée antérieure droite, surto
! Le diagnobticen l'espèce était déjà établi avant que la ponction
lut
faite. Sans doute il pourra arriver que le cyto-
près. Ce mécanisme inapplicable aux gens qui n'ont coutume ni de
lire
ni d'accommoder, inapplicable aussi aux cas, rare
mon respectueux dévouement. l)' 1)onouanrrU. P. -S. .le viens de
lire
un article fort intéressant de M. le Dr Uuhaiao
la tête et des membres, il existe de rapides mouvements rythmi- (
lues
du ventre et même des mouvements de vomissements,
aque (Morel), neuro-psychose hypochondriaque (Israfft-Lbing), dé-
lire
hypochondriaque , systématisé rSchüle), hypochond
- tres représentants de la psychiatrie, parmi lesquels il mc suf-
lira
de rappeler les noms deGeorget, desdeiix Falret,
es personnages doués de volonté et d'intelligence, et de tels dé-
lires
rappellent bien plutôt les délires de possession
néan- moins excellent : la démence précoce à forme paranoïde évo-
lue
en quelques années et les malades ayant parcouru
équents. Chez un jeune homme de 1\1 ans, le frôlement des cheveux
lut
l'origine d'un tic des' muscles auriculaires et d
t les gardes-malades : il est trop modeste ; ce livre mérite d'être
lu
et conservé parmi les volumes devant être fréqu
ajorité des cas de psychoses infectieuses, la cause réelle du dé-
lire
, c'est l'infection. Il existe donc de véritable
tion des mouvements passifs et actifs des membres. Le sujet loca-
lise
très mal. Si, au lieu d'une perte de substance re
ent hérédo- syphilitique tardive ; par M. Rose (ivotio. Iconogr. de
lu
Salpètrière 1904 ,n°4.) Observation, avec pho
lmonaires chez un alcoolique por- teur d'une cirrhose latente ; par
Liriez
. [Revue de médecine, juillet t'J04.) - Un suj
ire ont t trait à une jeune fille de 14 ans, Sophie Schtarkcrr, qui
lisait
surtout bien la pensée do son père. ! Il. Itaim
culier, de l'ouïe, percevait ces sons et avait, par suite, l'air de
lire
dans la pensée de son père. ' P. KrRAVAL. il
4 et 996 fin 1904. Dans le tableau des « catégories mentales » nous
lisons
-.névroses, 17. 11 serait bon d'indiquer en quo
salion presque générale; ça et là quelques plaques ecchy- moliques.
Lus
lobes frontaux sont accolés par leur face inter
ère droit. Face interne. La décortication se fait assez facilement.
Lus
ci rcou vol niions sent volumineuses. Il n'y a
linique nerveuse. Aùdoll ! Cl1. -Foie cl rate l'OIl8'l'StiOHIlé ? -
Lus
rnics, éa- Il'mcn ! congestionnés, se décortiqu
uis 1 ? ans : a eu (i enfants el deuv fausses couches (pas de s phi
lis
chez elle.) La maladie actuelle remonte il un m
ociété de Ncurolo- flic et la Société de Médecine Mentale de ]3elgi(
lue
ont décidé de se réunir périodiquement sous la
ieux sur la 378 SOCIÉTÉS SAVANTES. présence d'un clonus fruste de
lu
rotule dans certains cas de neurasthénie trauma
généraux cumpren- ncnLnial et, oublient vite ce qu'ilslisenf, aussi
lisent
-ils fort peu. Les trouble* oiil fi-ail à la mon
la marche normale chez l'homme ; par Lvmy (.1'111 £ 1'. Iconogr. de
lu
Salpètrière, In05, Il" 1., Les 1111l"cle spin
t un heinatnra- chies avec double paraplégie tla"qUl'. Cet accident
lut
de courte durée, la résorption de l'épanchemenl
de \fI)a- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 39U ertlipuruil. I : uliu
lu
mutimne 'in·lallt·. \pri·s la guérison du mutis
malacie. F. T. BIBLIOGRAPHIE \1 I. - Les unomnlies meatcrL·.s chc
lu
.s rolicrs, par les H1'» .1. Philippe el G. P.\U
triere se compose de sept «membres, savoir : Trois membres ti- l'
lis
au sort parmi les médecins aliéniste : ; chefs de
phxsiologie du système nerveux, pour laquelle il sera accordé lrois
lu
: nres; 2° une épreuve clinique commune sur un
hommes. 11 fallut donc télégraphier il 1'.\- sile pnur Ileman(ler (
lu
renforl. - D'où la nécessité en pareil cas, d'ê
zone cornu-commissurale qui, surfout dans le segment L1 ? enriclli(
lu
libres saines ; la zone dégénérée occupe de pré
ité dans les seg- ments immédiatement supérieur et inférieur (D 12,
LIS
), diminuent progressivement d'intensité dans le
AIRES. zigs Dans toute la substance blanche. dans les aerm.L3, L'i,
Lu
), déco- loration dilrue qui toutefois est plus
ses conclusions,'identifie le neurocoque de Bra au microl'occus agi
lis
, lui dénie un rôle quelconque dans la pathogénie
aves ; ces recherches furent pra- tiquées au moment de l'accès. Ils
liront
ainsi *)8 préparations fixées ou à l'état frais
palliologische, Anatomie der hanochen, 1597, dans lequel il monlre (
lue
la synostose tribasilaire est réel- lement un s
ue, l'ii\per- trophic de la thyroïde existe déjà chez le foetus,tan¡
lis
que dans le crétinisme la maladie de la glande
ultat. asiles d'aliénés. 485 - A l'autopsie. Tumeur cérébelleuse (
lu
volume d'un oeuf, déve- loppée au niveau des mé
. , Ce fut seulement, au bout de 8 mois d'internement, que ce dé-
lire
organisé, en quelque sorte paradoxal, s'évanouiss
s qui sont employés hors de propos et ne correspondent plus àl'idée
lue
le malade voulait exprimer (paragraphie littéra
'autres cas, ils servent à symboliser les hallucinations et les dé-
lires
qui les accompagnent avec leurs différents caract
re fois ses qualités de précision et de clarté. Nos lectenrs ont pu
lire
dans le Pro- grès Médical le compte rendu qu'il
ns une an- cienne faciale, par Lamy, n. 53. - énérale et syphi-
lis
cérébrale diffuse, par Du- pré et Dcvnw, p. 53.
S13 Sclérose en plaques infantiles, 55. - latérdle amyotrophi- (
lue
, pnr l\1 : ontier et GrHsct, par Haymond pt Bau
20G, 2.i0, : 30 : 3, 337, 481. Boulin, 495 13o-cr (.I.), 411.
lira
. 409. 111 ? 111<1. 1. 131'Hn : 111f3 JJ. 1
alade atteinte de délire des persécutions avec, lia 11 uci ii'ali o
lis
verb"al é's* psycho-motrices et accès de mutisme.
le ., A. Jalousie morbide; par Dimitl'1 STEFNONSRI, de Iaroslawl (
lu
au Congrès de Jurisprudence Médicale de Chigago,
mentale ou nerveuse est laissée au choix de l'auteur ? 0 ? . , cll,
lu
, Cozditiorzs9·ducotzcoürs : ï-. 10 (Le concours
u de la quatrième dorsale ; sur une coupe '' ' ., 1 1 -jt> Z A*l
lu
(, IL16tu colorée par la méthode de Pal, la`moel
s fins et moyens. La lésion se propage dans, la, substance blanche.
lu
. n aim "1 nu -·.dn un pro Toutes les circonvolu
e). ' P. K. XIII. LES découvertes récentes sur LE système nerveux :
lu
par F. BAFER, professeur d'anatomie à l'univers
(hémianopsie gauche). Un second accès lui fait perdre la faculté de
lire
les nombres, ce qui indique un' foyer pariétal du
reconnaître, en les dessinant, les lettres écrites, c'est-à-dire de
lire
par imitation, possédait donc, dans sonlobe occ
ites par le mouvement qui retrace les lettres, le malade arrivait à
lire
, à écrire sous la dictée, à écrire spontanément
ire, à écrire sous la dictée, à écrire spontanément, sinon, comment
lire
et écrire, si les images commémoratives optique
peuvent évidemment être poursuivis que par ceux qui ne les ont pas
lus
ou pas compris. ' ' « Tout ami de la vérité et
de plaisir. Mais nous croyons qu'en insistant on découvrirait chez
lu
172 CLINIQUE MENTALE. bien d'autres stigmates
course à travers le village il rencontre quatre (personnes, et les
lue
toutes les quatre en quelques instants, entleurjj
'WpU7Î 5922 288jt.1'l.lr9 r`ri ·'et : .if ? · , - - r - ? L)6ds ..3
lu
b : o't ab eaiJiisc ,89bio)tn ? o ? ïh. ~ ·., .
seux-de ce'côté;i doigts : en griffe.^Au' niveau de larphalan,ine' !
lu
médius, bulle gangreneuse der mêmes qu'àda main
')n\ ? 4a ? t<n/ .eqtfinfn v t - ? xxxvi. Un cas D incapacité de
LIRE
(alexie); par. Ph. ZEtuElt. ,. , - , Ju y`iJytn
' c'est que la malade peut rassembler. les lettres, en,, unmol. et,
lire
, intellectuellement, au, moment où elle ne voit
3 ) ' J'. ' ? 228 REVUE, DE THÉRAPEUTIQUE. - - ailo e.,n2t,il 'lu
lu
JN. niementtrde»`l'agent curatif sera, mieux co
iie d1 iJ.llUl, : l1 1 ttilu .Ü1 : 7YUUIJ MtCtUV 4 ! 1.1 la"j - il
lue
EfI01S501bC1t a3ClY 887(b Ps3r'f s brusosH "' hh
,plusipi,oche, cependant de,ce dSïïïieJ;o8 elle'up lus9 11 .luoJ SM
lira
" 9 ! iMr.PAMp ? » " sum KM*b 29St't95x9 29S ? S
a être prochainement publiée. Nous en extrayons le passage qu'on va
lire
dans lequel sont exposés, avec une grande netteté
itation aux, questions qu'ils n'ont pas enten- dues mais qu'ils ont
lues
sur les lèvres de leurs interlocuteurs. La conc
' . r ' v Je me suis souvent posé cette question' depuis que j'ai
lu
, et 'relu ? 1- le'livre'de"'Gûfnev',1' Mycrs'et
llemets sont tirées, textuellement de la préface ilé' M.' 1 ç ' pro
lu
s s e t ; r t 11 i c h ii t .' ? j,...... ? . ,
; i , La seconde explication soulevé. des problèmes 'bien autre-
LU
. ? "t vtt -rtnv y ? tv· t1r'vy f ws.v.cr if ? r.
ce qui n'est pas encore ? ^(Kànt; locïcit., p. 111.)' a**™ ? ? Dt ?
lu
? i i 1, rttx. tt,vri ,t">î Zoé ct<' P. 2
terminées i ? n-4 -1 ,opa8 £ 442noiJplc ? *M JS .v-llHJ ! a) -«JU-,
lu
«JU «ui»..«i-.Jl.lUU J J «/««;«;^j 't<.)in ?
ir debout ni mai-cher seul. .1. - âToiBq si tuO ne tenir debou lnym
Lue
i,et 8 Ptigl znr. 910-irq sI ttt h Opération^ l
qu'après3 la, description minutieuse. de,chaque cas ol)séi-vépendâ,
Lu
1 temp, -- suffiât -. - -- - j £ J giopni t, .L
topsiesquet,nous' avons pratiquées la corroborent o(voir 9 p : s 31
lu
l,article,( de , M.°Eloy) : >îli -h* &1
a. Cet doit être péri- phérique 1),t t i,a,I)po i,L lala, lésioii .(
lu
i, ëaus l'immobilité, fixe et réflexe'des z dan
culture; intellec- toels, de 1'li(,rédité. des à à consulter et à
lire
en entier, ? .,oïi, ru < : '> J. S.. REVU
flfSp %w u ? M' -<ffti ? t' 9;1.30 Quelle,est , l'in/lueaace, de
lu
pa'éclispositinn ? , La prédisposition, représe
ration; Les réflexes tendineux sont exagérés, 65 fois, p.i00 ? abo-
lis
,16 fois p. 100;'c'est-a.-dire 4 fois plussouvent,
ndre1 que lé ministère de l'inté- rieur, animé de l'Esprit nouveau (
lisez
ancien et réactionnaire),ine visât tout simplem
lus récente mérite surtout l'atténtionD déspra- ticiens. On peut en
lire
le texte dans la revue spéciale'qu'ûn'con- frèr
etvue microsco- ,pique. r ,, ? ,yr · r, -<'-\) ? <. R''j ^.1R
lu
). r ? a ..Nous ne rappellerons également que p
dire de sa soeur,' l'habitude ! de'1 parler seules En -la' faisant
lire
mentalement nous'avons- constaté que là 'lectur
sch. f. Psych. 1878, p. 551. ? f>-JUfvi c : lzrtr" n'tq9nt "'JLJ
lu
n Ueber, Sinesli 'iuschuitgen, pa2,al. Frauen'fil
Nouvelet, quoiqu'il fut'l]un des plus laids]hommes'qubse voye.».icm
lisait
allé .2noib Y Du nombre^ de ces religieuses éta
e en lesr observant,- et;de les;juger,enjetantcontre t9 . etc an sb
lut
) no up 3-ro si acrnuyo-iiiib ix/sl aBa rr- i 'C
onneries messes, ni de s'appliquer à l'étude; car-lorsqu'il voulait
lire
toutes les lettres du livre lub paraissaient) t
velet, Bretin et Denizqt, . exorcistes, tinrent conseil et réso-
lurent
de faire dans le monastère une 'procession solenn
jàiriâisî·éii-' contré cette lésiorTautour du cervelet.' Or, il est
lise
'de déduire lés raisons anatomiques pour lesque
i ejbu)< i 'dit9,lDF I I'jsvf* no ? tb tj'fq «bnoa9* : 1 «ni ) t
LU
. L'AgE,lCR);BRO-SPINAL (CONSIDERE. comme CENTRE T
'u-ui 1 ? 4 w.if @ ^ - q tes, je * el 3Î) 7E''Ir191 fl. ijitiiiijob
lut
29'IiAT J .sa ! 1" '1M> aux LXXX. Idiotie sy
ti,ctiteme21t sezi-ziueiz, .,Jtlim 1 Ji ? vll, ! eljol ! J`1 AtiA;tl
lu
'14 -En voici les conclusions : 1. 777- La foli
résentée à son ^esprit cette* idée^ que < si la pierre s'enfonce
lu
es perdu ». Voici maintenant une femme de vingt
désordrëet le renversement d'imagination possible."IS af 3J '·1 « A
lire
, la 'rage mue; la : rage'tombante; la'1 rage' end
rudition, conçu- avec méthode, écrit avec le style d'un homme qui a
lu
et pensé beaucoup. Charpentier. uLfv..W w`1 t
ur de la brique, du par- quet, sur un tapis,' une natte, elc- , , ,
lut
Réflexes conjonctival, cornéen, pituitaire, pha
,' dans la-pratique,' les 'choses ne ' ` ru. '9 3- ''i ? i% ? «»* ?
lu
? »l ? &" "ilC -Ta x I` -> J >"» - '
'irnpuretez; 1 les avoit-i sollicitées, de se . faire sorcières ù, -
lue
9uz2t ? ox bvuon nu rt9nürrota : i ? irciii -L'
e'l'hypoglosse, où il y avait aussi atteinte du facial. r ? --m non
lut
Il est intéressant de constater la faible parti
, Bibliothèque" spéciale," collec- tion des travaux*'que nous avons
lus
avec fruit et qui nous paraissent de nature à f
: ' - . La connaissance des deux rapports d'Itard nous a entraîné à
lire
l'Éloge de ce savant prononcé à'l'Académie de m
nt la source de procès; la multiplicité des symptômes subjectifs et
lu
, rareté des autopsies en rendent l'étude, très
e'l'hôpital des Paralytiques; qui fut tout exprès fondé -. 1... 1 .
lu
il il 2`i115u.fr : . =`isba r .,E ? 9 p.s&ri7
n .tuberculeux ? , --n , -f > «>>., '.< ? » -, ^.r1 ' .$
lut
'0 . : $ Les accidents chirurgicaux ont été fré
a^ llarandon de blontyel, 285. 'z' Alexie, , un cas d'incapacité de
lire
, ou , parZemmer, 190., . ",P,4r 'Aliénés, les
A ? rTO Médecine mentale en Belgique, par ? ' · Francotte, 398. ,
lu
^rr' 11} z MÉDICO-LÈG,%L E, étude ~ sur J.-M. ,t
étiologie de la-, par Chris- tiani, 29; - survenant vers l'épo- (
lue
de la puberté, par Wigles- , worth, 296; syphil
enus propres (1); 5 ont appris à manger seuls (2); 3 ont appris à
lire
couramment (3) et 6 sont en bonne voie (4). (Ij
Félix, (etc). X PETITE école complémentaire. Un enfant a appris à
lire
couramment, Lcro.... (Félix), entré le 29 juin
on plus loin). Deux enfants sont en bonne voie pour la lecture et
lisent
couramment : COTI'... (Henri), Ch,y". (Emile).
tite école complémentaire. xiii pour l'orthographe des mots qu'il a
lus
. Il fait l'addition, la soustraction, ébauche l
pour la parole qui était devenue presque normale; pour la lecture,
lisait
et reco- piait un certain nombre de mots imprim
nt ait été élève et moniteur il son tour. 50 enfants environ savent
lire
les notes et en connaissent la valeur. » Fanf
end facilement ses résumés de leçon et oublie peu. Pourra passer en
lu
, classe. ? « classe. 8" ScliarL... (Gustave. Maur
des résultats assez appréciables. C'est ainsi que Sim.. commence à
lire
dans la 11 partie du Syllabaire Regim- beau, al
pprentis de ceux que nous avons cités, c'est qu'ils ont des peur-
LU
Enseignement professionnel. missions de sortie
'cli- mutité; G de surdité; 3 étaient bègues ; 12 présen- taient (
lu
nlllfismc volontaire; ;29 des impulsions violen
pour les anormaux et les enfants de plus de huit ans ne sachant pas
lire
; 2" une autre pour les retardés, mixte égaleme
on. Pas d'épi. l'eau fine, blanche, glabre, sans cicatrice sauf aux
liras
des cicatrices de vaccin. Pas de gan- glions.
. Imliecilily lI{inç¡'s Coll. Hosp. Rep., vol. Vis, 188-l8'ltl) : -
liras
. 1V'iez. 7\'/tn. 1Voc/wns- chrifl, 1890. p. 73.
réussir, met et dessert le couvert. Elle n'a jamais pu apprendre à
lire
, il écrire et à compter. État à l'entrée. - E
une ser- viette au feu.- Balaye, essuie, range. 1900. Mars. Sait
lire
v et ch dans les syllabes simples et les mots u
seule, Traitement niI : DICO-I'T;D : 1GOGIQU. 31 . Juin. - Sait
lire
d, f, au, ou, ai et les mots formés de ces élé-
lasse, quelques progrès, écrit sous la dictée les mots qu'elle sait
lire
: donne des boules jusqu'à 30. Fait du crochet.
tés de mesure. Sait compter jusqu'à 100, connaît les chiffres. Sait
lire
et écrire tous les mots formés de syllabes simp
tirée, sur la scoliose comme manifestation du mvxH. : clèll1e. J'ai
lu
bon nombre de traités et d'études sur la scolio
( ? ) sans aller à la selle. On n'ajamais essayé de lui apprendre Ù
lire
. La parole est assez limitée, comme nous le ver
uses, ni les 128 8 Idiotie lIlYXOEDÉMATEUSE. couches dpn<ps de
lis
=u fibreux, qui se voient toujours dans les cas
97-1902 : Développement progressif de l'intelligence, l'enfant sait
lire
, écrire, faire les premières règles, etc. -Notion
l est heureux quand on le fait travailler. Lorsqu'on l'appelle pour
lire
, il se frotte les mains et saule en signe de sa
ltiplication. Il a une mémoire extraordinaire pour les mots qu'il a
lus
. 11 fait quelques exercices élémentaires de gram-
seul, en un mot à ne plus avoir besoin d'aide. Enfin il a appris à
lire
, à écrire, à compter, à faire les trois pre- mi
ent que superficiellement les malades, n'ont quelque- fois ni vu ni
lu
, le demandent, les considérant comme insus- cep
entive, assez aimable, de donner de la peine aux autres. Elle avait
lu
les Cordes fantastiques illustrés d'Hoffmann et
nt, il serait certainement plus avancé. Il a appris à placer et à
lire
les couleurs et les chiffres, établit bien le rap
rès très sensibles en lecture dès qu'il nous est permis de le faire
lire
quelques jours de suite. Ler... éprouve beaucou
éalisé de grands progrès pour la lecture, il est en bonne voie pour
lire
bientôt couramment. Il fait l'addition et la so
e Rolando. LOC, Lobe occipital. LO, Lobule orbitaire. T',T2,T3,
lire
, 2e, 3°, circonvolutions temporales. tpc, Pli d
T'r,. IX. ERRATA Page 114, dans la note, au lieu de Planche III,
lire
PL. V. , 161, lire Chap. XIII au lieu de XI.
Page 114, dans la note, au lieu de Planche III, lire PL. V. , 161,
lire
Chap. XIII au lieu de XI. 169, XIV XII. 172,
enfants ont été rendus propres (2) ; 7 enfants qui ne savaient pas
lire
ont appris (1) Voir Compte-rendu de Tannée ISÎ1
Boivi ? Dessertain ? Eel... Lauren ? Lemaîtr. vi Petite ÉCOLE. à
lire
couramment (1) ; 6 enfants ont été notablement
endront un repas (1) Nous reviendrons en ilétuil une autre fois sur
lu
préhension, à propos <li l'éducation de la m
ions à Mrao Bru. » Maladies épîdémiques. L'enfant Gauche... ayant
lu
Mouvement de la population. contracté la variol
r décem- bre 1892). Dans la séance du 9 mars 1893 nous vous avons
lu
un troisième rapport relatif à la cons- tructio
Figaro, mars 95). Ciiers Lecteurs, Tous, probablement, vous avez
lu
clans votre jour- nal politique un résumé plus
service d'enfants nerveux de l'hospice de Bicêtre. Vous qui nous
lisez
et qui savez quel soin scrupu- leux nous apport
s un journal qu'il dirige. Ce journal est fort (1) Si ces personnes
lisent
le réquisitoire de M. Deville, elles se féliciter
érêt scientifique. » M. Deschamps. Dans le paragraphe que vous avez
lu
(1) Bourneville. De l'examen physique des enfan
drai comme sur plusieurs autres; mais, dans tous les cas, je vais
lire
intégralement, ce sera plus simple. Il ne faudr
ce sera plus simple. Il ne faudrait pas conclure du passage que je
lisais
avant l'interruption que l'on ne fait à Bicêtre
nt disposer, nous avons dû y renoncer. » L'arti'cle que je viens de
lire
(2; contient des indications vagues, et le syst
a paru dans « l'Eclair » du jeudi 14 mars courant. Je ne vous le
lirai
pas tout entier et je me contenterai de vous donn
ouvelle, le surplus étant dans l'article du « Progrès médical ». Je
lis
: « Depuis longtemps, je me livre à des études
e Trousseau et Hardy sont clas- siques et que tous les médecins les
lisent
. Il y a bien d'autres auteurs que je pourrais c
s, le rappelle au respect de l'exactitude. M. Deville pro- met de
lire
dorénavant l'article intégralement. Bien- tôt,
m- plètement disparu. Au point de vue intellectuel, il a appris à
lire
, un [jeu à compter, à écrire, quoique d'une man
it de température, relevons aussi la marche de la température après
lu
mort. Les notations qui ont été faites indiquen
enfants de Hieêtrc (14 volumes), sur le ivi.'e île l'alcoolisme dans
lu
produc- tion des enfants atteints de maladies n
signification que Planche I. Bourneville, Bicêtre, 1894. Pl. III.
lis
Explication des planches. Planche IV. Hémisph
verses LI Cours cle dessin LI Maladies épidémiques .' LI Teigne
lu
Maladies intercurrentes .................. LU
miques .' LI Teigne lu Maladies intercurrentes ..................
LU
IL Statistique : mouvement de la popifialion. l
.................. LU IL Statistique : mouvement de la popifialion.
lu
Décès ; utilisation des malades lui Sorties;
S Lettre au docteur Liébeault Cher confrère et ami, Je viens de
lire
votre article sur les suggestions criminelles; in
en 1855, c'est-à-dire il y a juste quarante ans. Voici ce qu'on peut
lire
à la page 305 : « Ainsi, disais-je, j'ai établi
rt pour accroître la contraction des fléchisseurs des doigts ! Est-ce
lut
, est-ce la même volonté, la même pensée, la même
e de m. Dumontpallier. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. La correspondance manuscrite compren
jours, au contraire, l'attention ne s'est pas portée sur elles. Nous
lisons
dans le traité sur l'hérédité de Lucas (t. I, p.
s d'un ton ferme que dans son sommeil elle entendrait ma voix et elle
lirait
ce que je lui montrerais écrit. Le sommeil obte
entendirent le sermon, puis ils déposèrent à ses pieds la malade qui
lut
dit avec une grande foi : « Père, voyez en que, é
e de M. Dumontpallier. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. La correspondance comprend des excuses
e de m. Dumontpallier. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. La correspondance comprend des lettr
oulues. » ¦ C'est dans un grand journal presque officiel qu'on a pu
lire
aussi les lignes suivantes : « Un faux préjugé,
historique de l'anesthésie, le secrétaire général. M. Francis Jean, a
lu
le rapport annuel. II a constaté que, dans cet ét
ont devant lui et n'attendent que le signal du départ. Il les voit et
Lire
le coup de pistolet toujours en doutant. Cet état
des malades atteints de sycosis. La communication a été préalablement
lue
au malade qui l'a trouvée rigoureusement exacte.
gent, raconte l'auteur, s'est aperçu un jour qu'il était incapable de
lire
les devoirs qu'il avait à corriger. Un examen oph
nt, mais il ne pouvait plus dire ce qu'elles signifiaient. Il pouvait
lire
les chiffres imprimés avec les plus petits caract
re du malade lui-même. Il y a six mois, il a recommencé à apprendre à
lire
, tout d'abord les lettres, et ensuite il s'est mi
ts familiers et fréquents, comme par exemple, l'article the, sont
lus
par lui à première vue. Il écrit sous la dictée a
que dans ce dernier quart de siècle ? Nous savions bien, pour l'avoir
lu
bien des fois, que la bibliothèque de Marly était
oujours tenu à l'écart ; c'est très bien cela !. » J'avais, en effet,
lu
mon rapport à la Société de biologie, et mes conc
rché à cinq ans, elle a parlé à huit ans, on a pu lui apprendre à
lire
et à écrire, et elle a fait son apprentissage de
e de ces mots conventionnels. Sa destruction amène l'impossibilité de
lire
; c'est la cécité verbale. Si 1 est détruit, le s
l dit : « Je connais l'image des objets qu'on me montre, mais ne puis
lire
les lettres. » Si 3 était intact et que le conduc
e moteur articulaire fût détruit, il dirait: « Je comprends ce que je
lis
, mais ne puis l'articuler, ? Si 2 et 3 sont aboli
nvoyer un filet émissif vers A : d'où ce fait qu'un sujet qui ne peut
lire
si son conducteur 3 V— A est lésé, écrira grâce à
intact et pourra ainsi comprendre et répéter indirectement ce qu'il a
lu
, grâce à la transmission G A. Nous n'avons pas
lueu. Le procès-verbal de la séance annuelle du 25 Juillet 1895 est
lu
et adopté. M. le Président met aux voix la cand
6. ? Monsieur le Rédacteur et très honoré Confrère, « Je viens de
lire
l'article de M. le Prof* Delbœuf dans la Revue de
us délivre des conceptions vagues et des formules métaphysiques. Nous
lisons
par exemple dans un ouvrage récent (') : « Le som
ogie et de psychologie Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. La correspondance comprend les lettr
es, tous tes médecins, tous les experts du monde au a défi de prouver
lu
réalité d'une scène d'hypnotisme que les auteurs
ar les soins du Comité et distribués à tous les membres ne seront pas
lus
en séance ; les orateurs ne pourront occuper la t
e de M. Dumontpallier. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
ét adopté. La correspondance comprend des lettr
automatiques chez les enfants vicieux ou dégénérés o, que je viens de
lire
dans le numéro de novembre de la Revue de l'Hypno
e le fil, l'aiguille, les ciseaux. On constate de plus, en la faisant
lire
, qu'elle présente de la cécité verbale qui se mon
cation (Aphasie de réception); 3e La malade ne comprend, ni ne peut
lire
le mot qu'elle a devant les yeux (Aphasie totale)
e. En effet, voici à quel exercice la malade est soumise. On lui fait
lire
un passage de 35 lignes. Sur ces 35 lignes il y a
n répète la même expérience, avec des passages qu'elle n'a pas encore
lus
, et après six séances on lui fait lire successive
passages qu'elle n'a pas encore lus, et après six séances on lui fait
lire
successivement à l'état de veille, puis en état d
e de M. Dcmoxtpallier Le procès verbal de la séance de Décembre est
lu
et adopté. La correspondance comprend des lettr
ndant le sommeil hypnotique qu'il a été possible de lui réapprendre à
lire
, à compter et à écrire. Enfin, étant devenue en
'en étais déjà ennuyé, j'en suis un peu plus inquiet, depuis que j'ai
lu
le Sommeil tiers de notre vie. Madame Marie Manac
vrai que pour en arriver à cette conclusion, je n'avais pas besoin de
lire
le chapitre sur Yhygiène dît sommeil. Dans celu
à la volée dans un article de journal. Le livre vaut la peine d'être
lu
; outre que le mystère de la question a par soi-mê
saurait, en tous cas, rencontrer d'adversaires parmi ceux qui auront
lu
son livre, et elle leur apparaîtra comme indispen
avoir à réfléchir au nombre cinq ou iL le prononcer. Elle n'ose pas
lire
de crainte d'être entraînée à composer des mots
était forcé parfois de pro- noncer, et aussi pour empêcher qu'on ne
lise
sa pensée sur ses lèvres, il enveloppait son vi
avait été soignée, etc. ; mais le lendemain 'quand il s'apprêtait à
lire
l'observation à M. Charcot, la malade amenée de
fois d'attirer son attention sur la parole. Je lui donne un livre à
lire
, ou mieux je lui donne une multiplication à fai
musculaires m m' m", visuelles v v' v" et auditives a a' a". Nous
lirons
alors l'expression graphique de ce fait : la perc
onner sur eux aucune espèce de renseignement. Du côté des diverses.
Lire
dans American Journal of haanily, années 1886 et
campagne, à Villier-le-Bel, dans une institu- tion où il a appris à
lire
, à écrire et à compter, mais il n'a pas poussé
e. Le malade lit trois à cinq mots et dit qu'il ne peut continuer à
lire
. Pas de prodromes. Intégrité de la vue. Autres
is ne peut réussir, ce qui le navre ou l'irrite. Enfin, après avoir
lu
correctement quelques mots, il continue à recon
égrité des centres acoustiques et moteurs n'est pas nécessaire pour
lire
. On peut être aphasique et comprendre les carac
ant très bien, comprenant la parole, peut avoir perdu la faculté de
lire
. D'autre part la capacité de lire les mots avec
e, peut avoir perdu la faculté de lire. D'autre part la capacité de
lire
les mots avec impossibilité de recon- naître le
collec- teur spécial; c'est B. Par suite, pour qu'un homme cultivé
lise
, il lui faut seulement l'intégrité des voies de
en un mot; c'est la dyslexie. Totale quand il y a impossibilité de
lire
. Partielle quand la lecture est traînante. C'es
viennent plus au centre de la notion complète C. On lit comme si on
lisait
une langue inconnue avec un alphabet connu (plu
exercice des gens éduqués. L'individu un peu cultivé utilise, pour
lire
A6BDE + DC. Si DC est interrompu, nous avons le m
roche de la claudication intermittente du cheval. Quand le malade a
lu
quel- ques mots correctement à tous égards, voi
ent à tous égards, voici qu'il lui est difficile ou impossible d'en
lire
d'autres; en même temps il éprouve des sen- sat
se. Les difficultés repa- raissent quand il recommence à essayer de
lire
. Bruns a observé un dysleclique qui présentait
rticale et non corticale, car il a conservé la faculté mécanique de
lire
et qu'il n'existe que de faibles troubles de la p
mer les légitimes scrupules de M. Briand que j'ai été invité à vous
lire
le rapport de M. S. Garnier par son auteur lui-
Elle ordonne l'affichage au tribunal et dans les feuilles les plus
lues
du jugement rendu sur l'état mental de l'aliéné
ie d'Eulenbourg, écrit sur ce thème un article que je vous engage à
lire
. Que le médecin ne traite pas devant les magistra
teurs. - Il est avant tout entendu que le mémoire de M. Sommer sera
lu
après ces rapports, avant qu'on n'entame la dis
arant l'image du son du mot à l'idée qu'il représente. On apprend à
lire
en unis- sant à des mots déjà connus, représent
nominations par la simple vue de l'i- mage écrite et qu'on arrive à
lire
des caractères écrits en appelant à son aide l'
on particulièrement FUNESTE DE CER- tains MOTS (PENSÉS , PRONONCÉS,
LUS
, ÉCRITS) MOTS COMPROMETTANTS. L'onomatomanie
oûte pour éviter le mot malfaisant, non seulement, ils cessent de
lire
, d'écrire, mais limitent parfois à quelques pa-
ndonné sa dernière robe, d'ailleurs toute neuve parce qu'elle avait
lu
sur une grande toile étalée devant une baraque
sinat, diable, etc. Tout d'abord, il s'agissait d'un mot entendu ou
lu
ou bien pro- noncé ou écrit par mégarde, puis,
s moins à les accomplir. . Depuis longtemps il a cessé d'écrire, de
lire
, il fuit la société, ne trouve du plaisir qu'à
ncés. Très péniblement impressionné, il finit par ne plus vou- loir
lire
et pour ne pas entendre prononcer un mot comprome
bule de l'insula. Certes une observation semblable à celle qu'on va
lire
eût été mieux à sa place en 1865 ' qu'en 1892,
voués ni constatés. Le 8 août 1891, Kerl..., couché dans son lit,
lisait
le journal, quand brusquement il s'aperçut qu'i
ionne au contraire nettement le centre mo- teur ; quand on lui fait
lire
le mot encrier, le malade le dit parfai- tement
eut arriver à trouver.. Pas de paraphasie. Depuis longtemps il peut
lire
aussi bien qu'avant son accident. Pas de troubl
s cette tendance est ma- nifeste ; et quelques personnes ne peuvent
lire
en comprenant ce qu'elles lisent, sans refaire
e ; et quelques personnes ne peuvent lire en comprenant ce qu'elles
lisent
, sans refaire réellement toutes les opérations
e malade, peu lettré, qui s'aperçoit tout à coup qu'il ne peut plus
lire
le journal qu'il tient à la main. Mais point n'
saisir le sens de l'écriture ou des symboles représentés, ou même à
lire
la lettre DES LOCALISATIONS CEREBRALES. 245 d
paralytique général ; par B. FEIST. (Neurol. Centrnbl., 1891.) A
lire
en entier. Car la description tout entière fait,
rons que notre trop courte analyse engagera néanmoins les curieux à
lire
l'ori- ginal dont ils tireront le plus sérieux
nt au nombre de quatre-vingt-trois. M. Albert Carrier (de Lyon) a
lu
ensuite un rapport sur le compte rendu financie
3° Le pronostic ne peut être aujourd'hui fixé d'une manière abso-
lue
. Les idées de négation hypochondriaque semblent i
rre, etc., au traitement et à l'éducation de ces malheureux; qu'ils
lisent
les travaux publiés sur cette partie de la pathol
rs'effor : cer de ne plus penser, évitant de parler, d'écrire, de
lire
, de regarder, s'éloignent dès qu'ils entendent
e à l'école, mais elle apprenait difficilement et elle sait à peine
lire
et écrire. Depuis un an, on s'aperçoit qu'elle
e le mot chien, elle est prise d'angoisse jusqu'à ce qu'elle ait pu
lire
le nom d'un autre animal, boeuf, cheval, mouton
it (Obs. VII), quand il ne le trouvait pas, la famille l'aidait, on
lisait
le dictionnaire et l'on ne se couchait qu'après l
couverte du mot. La fille aînée de la malade, très émolive, ne peut
lire
un fait divers dans un journal sans en être viv
des prennent part à la conver- sation de l'entourage, se décident à
lire
des journaux, des livres, et au bout de quelque
e de l'attention chez les hystériques. ' 460 CLINIQUE NERVEUSE.
lisent
, elles n'ont jamais l'esprit à ce qu'elles font,
délirante ce que nous appelons délire alcoolique. L'homme qui dé-
lire
à besoin de soins spéciaux qu'on ne peut lui donn
mal sous la dictée, il copiait relativement bien. Encore capable de
lire
, il comprenait peu ce qu'il lisait. D'après le
lativement bien. Encore capable de lire, il comprenait peu ce qu'il
lisait
. D'après le schéma Lichtheim et Wernicke, il s'
plus nets pour la théorie des locali- sations. Le Dr A.-D. Waller a
lu
un grand travail sur les fonctions attribuées à
es recherches sur le sens musculaire des aveugles; le Dr Bernheim a
lu
une étude sur l'amaurose unilatérale des hystér
présentés au Congrès et peu- vent encourager quelques chercheurs à
lire
les travaux eux-mêmes dont beaucoup sont indisp
était atteint. Il comprenait t fort bien tout ce qu'on lui disait,
lisait
bien, et jusqu'au jour où sa para- lysie brachi
intellectuelle. Il faut dire, cependant, que la malade ne pouvait pas
lire
, ce qui était peut-être dû. à une hémianopsie,
lace dans la boutique familiale. Il se consola derrière l'étal en
lis
: mt Buffon, et les oeuvres de Dumas père contr
18. Dejerixk. In Path. générale de Bouchard, t. V, 1900. Jnson. -
lu
Atlas man. du Syst. nerv. (trad. française), 1900
, ordonnant d'en modifier en sa présence les mesures. Il se faisait
lire
dans les Ecritures toutes choses concernant la mo
Z LES HASBOURG 153 d'Ezéchiel : r'r Ta propllétiseras sur ces ns et
lu
leur diras : vous, os dessé- chés, écoulez la p
LASIE 165 Extrémités inférieures. 166 FERRUCCIO RAVENNA Il sait
lire
, ne sait pas écrire, il lui manque les notions él
HONDROHYPOPLASIE 173 quelque peu de la culture de son père. Il sait
lire
et écrire en italien et, comme il a vécu longte
fichet et la sclérodermie n'a pas, que je sache, encore été fait. A
lire
pourtant attentivement les observations, rares
Marie et Crouzon (3) ont également insisté sur le rôle de la syphi-
lis
dans l'étiologie du vitiligo. Ils ont observé un
évident que ce dernier cas n'exclut nullement le rôle de la syphi-
lis
dans l'étiologie du vitiligo ; il montre seulemen
s par Griffith et Newcome appartiennent à ce groupe, car je n'ai pu
lire
leurs propres écrits. Le nombre des membres des
de mots et de noms, mais est incapable de comprendre une phrase, de
lire
un journal ou un livre. La parole du reste n'est
s... toute la nuit... sans rêves ne cauchemars. Je peux écrire et
lire
sans la moindre fatigue et sans la moindre émotio
s la moindre fatigue et sans la moindre émotion - je peux écrire et
lire
... sans fatigue... sans la moindre... é... motion
anglant ? Oui, c'est sanglant. Lecture à haute voix. Je lui donne à
lire
le texte imprimé suivant : « Nous avons établi
re est extrêmement lente ; il faut plus d'une demi-heure pour faire
lire
à la malade les deux phrases précédentes. Elle
térale. Elle comprend la lecture et se rappelle ce qu'elle vient de
lire
.L'émission des syllabes est difficile, quelquefoi
t cou écrits avec des cubes alphabétiques placés verticalement sont
lus
four et cour. Les mots soir et loi ne sont pas
rticalement sont lus four et cour. Les mots soir et loi ne sont pas
lus
verticalement, ils le sont horizontalement. Poire
sont pas lus verticalement, ils le sont horizontalement. Poire est
lu
Paris. Jamais écrit verticalement n'est pas lu, é
ntalement. Poire est lu Paris. Jamais écrit verticalement n'est pas
lu
, écrit horizontalement les let- tres écartées i
t pas lu, écrit horizontalement les let- tres écartées il n'est pas
lu
non plus ; il n'est lu qu'horizontalement les let
talement les let- tres écartées il n'est pas lu non plus ; il n'est
lu
qu'horizontalement les lettres accolées. Il y a
, L'étendard est arrivé... Lecture à haute voix. - Je lui donne à
lire
: L'hirondelle est un oiseau voyageur dont le v
da. Pour certains mots. elle devine la dernière syllabe au lieu de la
lire
; ainsi pour paradis elle dit parapluie : pour
Pour BOULET, elle lit BOULA ; le même mot écrit horizontalement est
lu
bouleverse, puis boule. FOURMI est lu FOURNI. L
mot écrit horizontalement est lu bouleverse, puis boule. FOURMI est
lu
FOURNI. Le mot MAJUSCULE n'est pas lu verticale
verse, puis boule. FOURMI est lu FOURNI. Le mot MAJUSCULE n'est pas
lu
verticalement; il l'est avec difficulté, écrit ho
ais- sance des objets parfaites. Reconnaît bien les dessins, sait
lire
l'heure exacte, reconnaît la valeur des différe
e pouvait dire quelques mots spontanément, répéter tous les mots et
lire
à haute voix les mots les plus usuels et les plus
ques phrases courtes. Lecture à haute voix. - Très améliorée ; elle
lira
consécutivement plu- sieurs phrases d'une maniè
ière très correcte ; mais elle ne se rappelle pas bien ce qu'elle a
lu
, et ne comprend pas ou comprend mal le texte, si
ée ; la malade ne comprend la plu- part des mots qu'après les avoir
lus
à haute voix. Elle ne comprend pas, sans les pr
s celte lecture elle ne se rappelle pour ainsi dire plus ce qu'elle a
lu
. Lecture mentale. Est très atteinte ; après avo
s ce qu'elle a lu. Lecture mentale. Est très atteinte ; après avoir
lu
trois lignes relatives à un bombardement d'une
Quand avez-vous pu comprendre ? Trois ans... six ans. Saviez-vous
lire
et écrire avant d'être malade ? - Oui, oui .. trè
eu des crises ? Non, non... Cochin... la tête. Avez-vous essayé de
lire
? - Oui... peux pas... la tête. Et d'écrire ? M
sais pas ». Lecture à haute voix. Lecture mentale. - Je lui donne à
lire
: u Ay- mousseux », elle lit » ay pousseuse ».
l un solitaire à Paris. Texte : Que veux-tu de moi, ma bien-aimée ?
Lu
: Un faut tu de moi, ma bien-aimée ? Je voula
t tu de moi, ma bien-aimée ? Je voulais te voir et être avec toi.
Lu
exactement. Etes-vous triste, êtes-vous fatigué
ce que vous m'aimez. - Cela ne vous ennuie jamais ? - Tout ceci est
lu
très exactement. La lecture est assez ra- pide
troubles latents de la lecture mentale. Les mots PARIS et RUE sont
lus
écrits les lettres placées les unes au-dessous de
UTON, BE131'ADAU1 (le nom de son mari), RICHE, IVRY ne peuvent être
lus
qu'écrits horizontalement les lettres juxtaposées
re. Reconnaissance et désignation des objets parfaites. Elle sait
lire
l'heure et les minutes, reconnaît la valeur des d
r avec l'éducation d'un enfant auquel on veut apprendre à parler, à
lire
et à écrire ; le premier a en- registré dans so
tions psychiques ; entraîner les aphasiques à parler, à écrire et à
lire
par tous les procédés dont on se sert usuelleme
s vers l'oreille gauche. Examen de la face à l'état de repos (PI.
LU
). - Au front, les rides sont totalement absente
e. Soc. de Neurologie, 7 novembre 1912. Feliciangem. Contribution à
lu
la connaissance de la fonction du lobe frontal du
u recueillir aucun renseignement sur ses antécédents. Il ne sait ni
lire
ni écrire, ni compter, a été incapable d'appren
técédents héréditaires duquel on n'a pas de renseignements. Il sait
lire
, écrire, compter, a assez bonne mé- moire et ne
Riva-Rocci est dans les chiffres normaux. D'après ce qu'on vient de
lire
, on voit qu'il y a chez notre malade deux NOUVE
ssermann négative dans le sang et le liquide céphalo-rachidien. SUR
LU
SYNDROME DE LA XANTOOHHOMIE ET DE LA COAGULATION
TEURS Aamc (J.) et PIfH> ? lIél1lispasl1les synci- nétiques de
lu
face liés un clignement des paupières dans les
; 4 enfants ont appris à manger seuls (2); 4 en- fants ont appris à
lire
(3). (1) 13oÍ ? lia ? Troc ? lien ? Dup... ("
s agissons de même pour la soustrac- tion. Ce boulier sert encore à
lire
et écrire les nom- bres de plusieurs chiffres,
enfant serait certainement plus avancé. Trois enfants ont appris à
lire
couramment : 10 Mugn ? (René), 10 ans, atteint
on arrivée en novembre 1891). Cet enfant, d'une inattention abso-
lue
, nous faisait souvent douter de sa lucidité par s
il passe à la lecture courante, mais il sera long, croyons-nous, à
lire
tout il fait couramment. Il ne s'habitue pas à
croyons-nous, à lire tout il fait couramment. Il ne s'habitue pas à
lire
du regard un mot entier pour le prononcer ensui
u'il lit lentement, en laissant un trop long temps d'arrêt avant de
lire
la suivante. Couri... ne lit bien couramment qu
même méthode, c'est-à-dire : placer le mot sur la chose, le faire
lire
il l'enfant, le lui faire poser lui-même et enfin
mprimés qu'ils con- naissent déjà ; ils commencent donc d'abord par
lire
couramment un mot sans connaître les parties do
oire des enfants puisqu'ils les reconnaissent à première vue et les
lisent
couramment lorsqu'ils les rencontrent dans le S
faisons copier les mots appris ainsi isolément afin qu'ils puissent
lire
indifféremment les mots imprimés ou reproduits
ces enfants, sauf une quinzaine appartenant à la fanfare, ne savait
lire
la musique et ne possédait de notions sur la th
la théorie musicale. Aujourd'hui, pres- que tous les enfants savent
lire
les notes, en connais- sent la valeur, en un mo
e la musique. Quand les enfants sont suffisamment avancés pour bien
lire
un morceau de chant et l'apprendre avec fruit,
ment par les projections. Fig. 61. - On projette le mot coq qui est
lu
il haute voix par les enfants, puis Promenades
ercurrentes. - 4 enfants ont été atteints d'état de mal 6,I)ilel)ti(
lue
; G atteints de bron- cho-pneuzonie; un de pneum
nts, à part quelques- unes récemment entrées à la Fondation, savent
lire
les notes et en connaissent la valeur. Le procé
me qu'à Bicêtre : dès que les enfants sont assez avancées pour bien
lire
un morceau de chant, on leur fait chanter des c
s instructions dans ce sens au directeur de l'hospice de Bicêtre.
Lu
Préfet de la Seine. .1. DE SELVES. Secours A
l Tableau des accès el des vertiges Eosinate de sodium. Il; ! r
lu
! miple- Cousine ! ]ernwine (;pileplir¡ue. - AutJ
.' vue, myopie assez prononcée, à la distance d'un mètre ne peut
lire
des lettres de 3 centimètres de long ; l'oeil gau
ttaques de somnambulisme dans la nuit du 7, du 17 et du 24. Dans la
lu
... a saisi une canne qu'il a fait tournoyer au
is mois il ne survient aucun accident con- vulsif ou somnambulique.
Lu
... continue il s'améliorer il tous les points
n entrée dans le service (septembre 1882), on note qu'il commence à
lire
convenablement mais qu'il a beaucoup de peine à
m'arrive de me mordre la langue, il cause des efforts.» On le fait
lire
, il lit sans difficulté notable : « Il y a des
t lire, il lit sans difficulté notable : « Il y a des moments où je
lis
des yeux sans pouvoir bien articuler. » Si on l
lsions qui se répétèrent quotidiennement pendant plusieurs jours et
lurent
suivies de paralysie des membres, compliquée ul
i il 10 mois; intelligence médiocre ; il a pu cependant apprendre a
lire
, à écrire, à compter, et à aider élans le métie
crises, elle sent, dit-elle, qu'il lui est arrivé quelque chose, m
lis
elle ne se souvient plus. 17 bien conservée.
ait plus exister de troubles de la vue, car notre malade' peut bien
lire
, et voit l'heure à huit mètres. 11 est sans ouv
ières. 291 ERRATUM A la page 219 au lieu de ]'L.\ ! \CIIE 111111,
lire
Planches IX et X. 1900. - Imp. des Enfants de B
hystérose, pour moins choquer les personnes pieuses qui peuvent nous
lire
. Mais il ne suffit pas d'affirmer que Bernadett
ants les maladies nerveuses, l'épilepsie parfois, l'hystérie souvent.
Lisez
à ce sujet les statistiques des ouvrages de mé-de
tons ; naïve, crédule, un peu niaisotte, on ne put lui apprendre ni à
lire
, ni à écrire, ni même à réciter un peu de catéchi
a, sive mas est, lia uti alma noctiluca est. (3} Phllochorus quoque
lu
Athride eamdem veneren» affirmât esse lunam ; et
Jules Voisin. La séance est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général adjoint don
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
pas là un danger ? Rappelons ces malheureux sans défiance, donnant à
lire
le livre de leur vie, ou faisant leurs confidence
a vainement de le convaincre de la puérilité d'un pareil motif et lui
lut
par trois fois l'article du code militaire relati
ons un peu longues, mais pour emporter la conviction de ceux qui nous
lisent
, il le fallait, dussions-nous être ennuyeux. Co
llantes roulaient parmi ses sourires, » Dans un autre chapitre nous
lisons
ceci : a Bernadette en arrivant prend son rosaire
toucher ? Oui, il y a chez elle obnubilation des sensations : Que
lisons
-nous à ce sujet dans les livres précités? Un jour
ident de la Société. Le procès-verbal de la séance précédente est
lu
et adopté. U. le Dr Bérillon, secrétaire généra
s. Dans ce but nous faisons circuler des feuilles d'enquête dont on
lira
plus loin la teneur. Depuis que les phénomènes
chez les personnes en bon état de santé normale, plus considérable de
lu
main droite que de la main gauche. Les chiffres i
racousie hystéro-traumatique. Rapport de M. le Professeur Brissaud,
lu
en audience publique du Tribunal de la Seine. — M
grave dans son esprit. L'autre lit sa leçon tout haut ou se la fait
lire
à haute voix ; attentif aux sons qui frappent son
int, il l'apprend par cceur, en silence, à tète reposée. Quand il l'a
lue
des yeux, un certain nombre de fois, il la possèd
exemple, les visuels et les graphiques devront, en même temps qu'ils
lisent
des yeux et écrivent de leur propre main, articul
fonctionnel dont elle n'est fréquemment que la conséquence. » Chez
lut
le philosophe reparait encore lorsque, traitant u
aux de M. Grasset et, à cet égard, les remarques que je viens de vous
lire
me semblent essentiellement justes. Mais, ici,
ur. Alors, sur le conseil du souchantre de sa cathédrale, il se mit à
lire
le traité du Sacerdoce de Ioannès, dit Bouche d'o
e sa vie, sans en manquer un seul jour » (2). Au retour de Matines.il
lisait
ou méditait l'Ecriture. A 7 heures et quart, il d
grand'messe de la cathédrale. Le reste de la journée était employé à
lire
les Pères, les Canons des conciles et les meilleu
e est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
tisan du travail dans les asiles d'aliénés, et, ironie des choses, il
lisait
son rapport dans un asile d'aliénés où nous eûmes
Cet ouvrage original et précis est écrit dans un style clair, et sera
lu
non seulement par les hommes de science, mais par
avait vu naître il vît une plaque de marbre blanc sur laquelle il put
lire
l'inscription suivante : Dans cette maison naqu
ence, de lui en donner l'ordre lorsqu'il était endormi. Après avoir
lu
le Manuel du M&gnêtiseur du Dr Teste, il essa
u'il était déjà depuis quelques années plongé dans la retraite, ayant
lu
l'exposé de certaines théories qui tendaient à ré
plus complète, un processus essentiellement progressif. Il suffit de
lire
les descriptions qu'ont donné des états de l'hypn
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
iologique ; le moyen curatif qui est la possession de l'être aimé, ne
lire
pas à conséquence. Van Helmont ne recueillit jama
rères. Il est incontestable que la majorité des médecins n'ont jamais
lu
un des livres de Liébeault, Durand de Gros, Bern-
mmes persuadés, seront partagées par beaucoup de médecins- Quand on a
lu
ce livre, on a l'impression d'un kaléidoscope dan
ystérie, de neurasthénie ou de mélancolie simple ? Quand on a fini de
lire
l'histoire de ce cas on ne peut diagnostiquer que
in ainsi que l'étudiant entendent parler beaucoup de la suggestion et
lisent
parfois quelque chose là-dessus. Ceux qui émetten
e puisse être le résultat final, le mécanisme mental a été faussé par
lu
Suggestion et la déterminaison est plus ou moins
e est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
r dans leur tète, les fait pénétrer dans leur cerveau sous le couvert
lu
raisonnement tandis qu'en réalité il agît par des
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. il. le Secrétaire général donne lect
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire Général donne lectu
e, en partie du moins, les alarmes suscitées par mon Mémoire de 1884,
lu
à l' Académie des Sciences morales et politiques,
soigner chez elle. » Cette fille vint consulter M. Charpignon; elle
lut
raconta « que » ces sommeils existaient, parce
et les dieux du paganisme étaient des personnages identiques. J'ai
lu
, — et il y a quelque courage à cela, — les 400 pa
saisir au vol, étant sous l'influence hypnotique, des paroles qui ne
lut
étaient pas adressées, je vais directement a l'au
ionnés fortuitement par ce qui se dit autour de nous, par ce que nous
lisons
, par les spectacles qui frappent nos regards et n
lement des autres états de même espèce par la cause occasionnelle qui
lut
donne naissance, par sa durée apparente, qui est
qui a eu Heu à Buffalo, le Rév. Oscar Mae-Culloch, d'Iodianopolis, a
lu
un remarquable travail sur la dégradation sociale
ppelle Dieu s'il s'agit des miracles des mysti- eues... - il fjut
lire
alors : - L'explication précédemment fournie par
me, ce jeune homme répondait avec justesse à toutes les questions qui
lut
étaient posées : qu'il prédisait l'avenir, voyait
outes les circonstances propres à expliquer la genèse de l'épilepsic,
lu
frayeur est celle qui réapparaît avec le plus de
isin n'est responsable des souffrances aigués qu'il endure, il n'esi,
lut
, responsable du sentiment de crainte inopinée qu'
médecin l'ensemble des troubles organiques est un langage dont il ¡1
lu
clef, qu'il enund, malgré les obscurités dont il
ouvent enveloppe. Et cependant c'est sur cette conception fausse de
lu
maladie que repose toute la thérapeutique d'H
lusieurs volumes imprimés en '.ictère* condensés, non seulement ne se
lisent
plus, mais, en raison de leur prix élevé, ne trou
a voir le professeur, fut stupéfait et ravi, et songea u se servir de
lut
comme d'un auxiliaire dans l'instruction qui n'ab
t alors ¦ échec et mat ». II fut un adepte du magnétisme animal. Il
lut
conduit h admettre que, dans certaines conditions
tous las mouvements des acteurs sur la scène en leur tournant le dos.
lire
un biBet doux avec le coude. Les expériences mode
r les avantages et les dangers de l'hypnotisme,et M. Auguste Voisin a
lu
un sur la classification des maladies mentales.
ndons; ces phénomènes ont duré plusieurs années. A l'âge de 40 ans,
lu
ménopause s'établit sans amener de change-; ments
e dirigeais principalement la suggestion en ce sens, et j'excitai par
lu
parole et de douces friction- les glandes salivai
t vingt minutes. Au réveil, les diverses suggestions sont réalisées :
lu
salut militaire se fait très correctement. Le l
par le seul secours de l'olfaction (Organon, pp. 121 et 277). II faut
lire
de pareilles assertions dans l'original pour les;
. Urine au lit depuis sa naissance. Intelligence assez médiocre. Sait
lire
et écrire. Caractère doux. 11 a éié renvoyé de l'
ilan de nos connaissances positives. (i) Exirai; du Rapport général
lu
par M. Proust, secrétaire annuel, dans la séance
i profondes et si vastes, et qui revendique pour l'enfance le droit à
lu
culture intégrale et harmonique des facultés, éca
a mémoire dur. des grand» promoteur» de la neuropathologie moderne en
lut
élevant un monument dans i'en-cetnte de la Salpct
llais étendu dans un fauteuil : je cherchais à me remuer, cela me
lut
impossible. J'arrivai à ouvrir les yeux, et j'ape
rage !e plus complet sur ce sujet, de 4*0 pages, édité en iSS;. Des
lisions
des méninges et du cerveau dans la fièvre typhoïd
nement et de sa compréhension. II sait, comme quand il a appris à
lire
, qu'à un signe graphique donne correspond un son
conversation languissait: bientôt le silence s'établit. A. se mit à
lire
la gazette et B. se blottit confortablement dans
e, surtout de l'œil gauche. Il y a cinq mois que le malade a cessé de
lire
les caractères ordinaires et de faire la messe. E
erbale, comme elle me l'a dit après la séance. Je lui ai suggéré de
lire
distinctement â la distance de 35 centim. et de d
ggestion : Vous devez distinguer les objets à la distance de 4 pas et
lire
à la distance de 45 centim. Réveil obtenu en
ggestion : Vous devez distinguer les objets à la distance de Ó pas et
lire
à la distance de 55 centim. Le résultat de la séa
ensibilité s'émousse. la personnalité du sujet s'affaiblit et on peut
lut
suggérer quelques mouvements automatiques. A la q
octeur P. BU ROT • - i - • .: A l/ÉCOLE du KtlDfcC:- DE KOCHKFORT
Mme Lire
..., Agée de vingt-huit ans, atteinte depuis plus
e nature douce et affectueuse. Un an après son mariage, en i8Si, elle
lut
atteinte de suette miliaire, affection qui régnai
elle. A l'âge de t? ans, sans cause occasionnelle appréciable, clic
lut
prise de eboréc. Ce fut là, chez elle, la premièr
bles accès d'aliénation mentale. Coiii-m à l'Ecole |»-iitit|iie «le
lu
Faculté. M. le docteur Berillon. directeur de l
re : i. Faire plusieurs fois le tour de la place Neuve en courant, i.
Lire
et déclamer à haute voix. 3. Applaudir le précéde
If. T. F... sur les dangers de l'hypnotisme, que tout le monde voudra
lire
dans la Tribune d'aujourd'hui samedi. 6 avril.
i ans. — Ijt guerison se maintient depuis 1887. Mme X.... 45 ans. —
Lu
guerison se maintient depuis 1887. Fa..., 3i an
tasie-abasie (Montpellier mi- dica', 1889). de tout ce que j'ai
lu
et de mes propres observations. Je crois, d'aille
ses à distance. Cet interrogatoire ne peut être clair que si l'on a
lu
l'ouvrage lui-même, et il serait certainement uti
hui les intéressants résultats de ces recherches, dont vous pourrez
lire
tous les détails dans un mémoire très documenté
pour montrer la lan- gue. » La prière d'écrire quelque chose ou de
lire
adressée au malade, reste sans résultat. On a e
bserve chez elle une verbigération, par exemple : elle com- mence à
lire
un alphabet slave avec une intonation très expres
ws. (1'lae Journal of Mental Science. Avril 1902.) Ce travail a été
lu
au moment où le Dr Orr venait de montrer à l'ai
de ce que Fort Hobert- son a désigné sus le nom de « réactivité des
lisons
». - fi. de VIUSGRAVE-CL1Y. III.. Différencia
le langue on lui parle. Après cela, le sujet arrive graduellement à
lire
sans comprendre-le sens de ce qu'il lit : le ce
à la pensée à écrire, la ,.dyscopie ou copie défectueuse des textes
lus
, et la dyséchographie ou exécution vicieuse des
t l'imprimé en cursive, mais qu'il lui est absolument impossible de
lire
quoi que ce soit. Une observation anatomo-clini
réflexes tendineux, troubles sphinctériens, thermoanesthésie abso-
lue
jusqu'à l'ombilic, diminution des sensibilités pr
ociales mettent de plus en plus en danger. Ce livre mérite d'être
lu
par tous les médecins, car il donne des indicat
ombre de faits cliniques très intéressants, à conclure : que le dé-
lire
de grossesse, toujours secondaire, est en quelque
; tous les médecins qui se sont intéres- sés à cette affection ont
lu
tellement de redites à ce sujet qu'il serait ab
mE. (Obozi-énié psichiat1'ii, VI, 1901). Travail très intéressant à
lire
en entier. P. KERAVAL.. XIII. L'élément histrio
t remarquable, et les quelques pages qui y sont consacrées sont à
lire
en entier. SIMON. XXXVI. Fréquence comparée de
. Tabès affirmé par les signes suivants : analgésie presque abso-
lue
, à topographie radiculaire, dans les domaines sui
leur apprendre à marcher, se laver, s'habiller, manger seuls, voir,
lire
, écrire, compter : on est étonné des résultats
mal de Pott cervico-dorsal à cause d'une immobilité presque abso-
lue
de la.tête rentrée dans les épaules, accompagnée
particulière à mettre à côté des démonomanes dans le cadre des dé-
lires
religieux. La première malade se rapproche en tou
bre 1903 un débile achondroplasique (Claudius) qui est incapable de
lire
et d'écrire sous la dictée, mais qui sait bien pa
ce du 20 septembre 1902 B. W. Mouravieff. Sur la symptomatologie du
lues
cérébral (avec présentation de la malade). Mala
à s'améliorer. Le rap- porteur compte assez caractéristique pour le
lues
cérébral les symptômes suivants : la somnolence
koff avec la dépression psychique n'est pas caractéristique pour le
lues
cérébral et que ces symptômes peuvent aussi se re
générales du cer- veau. ' N. P. PosTOVSKY trouve le diagnostic du
lues
cérébral trop géné- ralisé et aurait voulu que
a justesse du diag- nostic. W. P. SERBSKY doute de l'existence du
lues
cérébral dans le cas donné, vu l'absence complè
ral dans le cas donné, vu l'absence complète des indications sur le
lues
dans l'anamnèse de la malade. F. A. GElER. Su
te par la justice vient de nous faire connaître son identité C'est \
lire
Ilenée Dumont, âgée de seize ans, habitant Nogent
issons à penser les critiques intéressantes de Storch; elles sont à
lire
en entier. Il faut lire aussi la critique de l'
iques intéressantes de Storch; elles sont à lire en entier. Il faut
lire
aussi la critique de l'obnubilatiou crépusculai
e précoce, dont il constituerait une variété particulière. il. C.
LU
. Observations cliniques et expérimentales sur la
. Froussvrd. L'ezzléro-c6lile muco-memb1'aneuse. 1 vol. in-8° (le
lût
pages, librairie A. malouine, 25-27, rue de l'Eco
nt et fixer un point blanchâtre au mur, ou s'il le peut, on le fait
lire
à haute voix les grosses lettres d'une échelle
le malade. Il y a un choix souvent difficile à faire. Un fils qui
lue
sa mère. Ce matin, 13 avril à Lorient, vers sept
ne parait pas comprendre les paroles du'ou lui adresse. Ou lui fait
lire
un fait divers, on le prie de le résumer et il
rs. Le 31 octobre le malade cause plus facilement : il commence à
lire
et ne ressent plus de fatigue lorsqu'il veut fair
s le malade au moment où il écrivait chacun de ces mots. Je les lui
lis
les uns UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCO
n d'eux. ftomn. - « J'ai pensé au crime de Sylvestre Bonnard que je
lis
en ce moment : je me suis dit que le litre ne c
sé que Daudet avait voulu décrire Tarascon, port de mer (il n'a pas
lu
le livre). Gustave. - A pensé ci Gustave 1ymard
t mental moindre; il écrit un certain nombre de proverbes qu'il a
lus
Jans l'almanaclr Hachette. Je lui propose alors d
autres personnes, il prend un livre sur la labié du salon, se met à
lire
, ne s'apercevant pas que tout le monde est parti
ai fait barrer certaines let- tres d'un passage déterminé,je lui ai
lu
vingt séries de six chiffres en le priant de le
mais il serait bien embarrassé pour résumer ou analyser ce qu'il a
lu
. Les troubles de la compréhension apparaissent
alade de reproduire ou résumer par écrit une anec- dote qu'on lui a
lue
à haute voix. J'ai répété très souvent cet exer
- ple, il écrit : « Il s'agit du départ d'un bateau », je lui avais
lu
les cinq ou six premières lignes de Education s
: « Je serais, dit- il, bien embarrassé de savoir ce que vous avez
lu
. » Il se refuse a faire l'effort nécessaire pou
leur résultat'que j'aie obtenu à la suite d'une lecture. Je lui avais
lu
le fait divers suivant : « Urzr> vinlle 7J
uatre ans, la veuve Mouillet, qui /LIlbii'Lit une petite maison sur
lu
route des R,co'lets, avait conduit son troupeau
33 mètres par seconde. La quantité d'énergie libérée par le stimu-
lus
n'est pas nécessairement proportionnelle à ce sti
des changements métaboliques de la myéline au moment où le stimu-
lus
traverse le neurone. 2° L'activité métabolique
le peuvent exister aussi des pro- cessus purement syphilitiques. Le
lues
et le p'J1'alues ne s'excluent pas l'un l'autre
à fait perdu la capacité de la parole indépendante, mais il pouvait
lire
libre- ment de même que répéter les paroles des
ble elle avait laissé une feuille de papier sur laquelle on pouvait
lire
ces quelques mots : « Adieu je pars pour le pays
? par Ijinel-Saiiglé. 239. AP.1\-DI;CBE\NE. Voir Paralysie sa-
lu
mine. Archives de médecine expéninenlale et d
les-, par Brissaud et Bauer, 62. Logl3o-*POI\CTION. Voir Urémie.
Lues
cérébral. Sur la symptomato- logie du , par Mou
bution à l'étude des manifestations initiales de la - , par Pick,
lu
. Pirapiiasie. L'examen des malades atteints d
est ouverte à 4 h. 35. Le procès-verbal de la séance précédente est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
ion de se lever le lendemain à deux heures de l'après-midi pour aller
lire
un billet relatif à sa santé et que j'avais eu l'
conservation personnelle. M. Grollet. — L'euphorie de l'auto m obi
lis
me n'est pas identique à celle du cavalier ; celu
je un héritier? L'homme du silence hoche la tête comme s'il pouvait
lire
dans le livre occulte du Destin. — Je donnerais
e est ouverte à 4 h. 35. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
ment dans les classes supérieures de la société. M. Volkov n'a jamais
lu
ni entendu dire que cette opération fut pratiquée
xvi* siècle, Paolo Catania [*] — l'opération ne réussirait pas : Cu
lu
meli lu sgàrgia Îa mammana, Senza lu meli, l'opra
cle, Paolo Catania [*] — l'opération ne réussirait pas : Cu lu meli
lu
sgàrgia Îa mammana, Senza lu meli, l'opra Sarria
ération ne réussirait pas : Cu lu meli lu sgàrgia Îa mammana, Senza
lu
meli, l'opra Sarria uana. Ce qui veut dire : La
ania continue : In nasciri chi fa l'homu a la luci, Di lapa pigghia
lu
primu alimentu, A pena chi dat'ha la prima vuci,
, Di lapa pigghia lu primu alimentu, A pena chi dat'ha la prima vuci,
Lu
so licuri è primu civimentu. (I) Extraits de l'
té. Ainsi le médecin peut" surprendre certaines idées-fixes ignorées (
lu
malade lui-même pendant son état de veille. II y
est ouverte à 4 h. 1/2. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
problèmes du plus haut intérêt social et pathologique. Il suffit de
lire
l'index bibliographique des auteurs et des commun
clergé et des autorités municipales, et, dans une harangue qu'on peut
lire
au Moniteur, déclara que la Révolution touchant à
Tout d'abord, M. Pierre Brun, professeur au lycée de Monte pellier a
lu
une ode intitulée : « Le siècle à Charcot », puis
St-Marcel et de Verneuil avec quelque terres à Épinay-sur-Seine, et,
lu
consentement de sa femme et de Bouchard IV son fi
n certain rapport présenté en 18.. à l'Assemblée Nationale vous aurez
lu
l'énormité suivante : a Nous ne pouvons accepter
; elle est connue de longue date. « Id quoque viris evenire solet »,
lisons
-nous dans Galien, a cela aussi arrive aux hommes
utre mission, eut un dilTé-rendavec l'archevêque de Bordeaux en 1251,
lut
entraîné dans le parti d'opposition contre Henri
tarde à me répondre, je lui souffle sa réponse : « Tu l'entends bien,
lu
appelleras, tu crieras : Maman, pipi ! C'est bien
e est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
tomber leur fourchette, leur couteau, leur verre; s'ils se mettent à
lire
, au bout de quelques minutes le livre leur tombe
jusqu'à l'obnubilation. Pour de plus amples détails, je vous engage à
lire
le livre magistral de M. le Dr Jules Voisin sur l
pas morte, elle n'est qu'endormie o. Voyez aussi Jean XI, 11, et vous
lirez
ceci : « Notre ami Lazare dort, je vais le réveil
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Président communique à la Soci
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lecture
tout ce qu'il y a de plus scientifique — et c'est de là qu'est sorûo
lu
Sorcière, jouée chez Sarah Bernardh, actuellement
us publions cette première liste dans le présent numéro. Nos lecteurs
liront
également avec intérêt les articles élogieux que
mission avec une exquise solennité. Puis M. le professeur Vergely a
lu
une adresse chaleureuse signée de tous les assist
des règles qu'il s'était imposées. Rentré chez lui à cinq heures, il
lisait
les journaux, puis il s'installait à six heures d
un précurseur de lapsychothérapie. Des extraits de son œuvre ont été
lus
à la dernière séance de la Société d'hypnologie e
tisme un saignement du nez. Le soir même, intrigué, au restaurant, il
lut
un rapport de Dubois à l'Académie de médecine, su
on. Une fois docteur, il s'installa à Nancy, 4, rue de Bellevue; tous
lus
matins, 50 à 70 malades allèrent consulter ce sor
our l'œil, ni d'imprégnant pour la mémoire. Il faut un effort pour le
lire
, un autre pour le retenir. L'Image, au contrair
est ouverte à 4 h. 40. L'ordre du jour de la séance précédente est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
rses qu n'étaient que des troubles vaso-moteurs de nature hystérique.
Lisez
, à ce propos, la thèse de mon regretté élève Apt
différeront pas moins les uns des autres, parce que chaque artiste a
lu
à sa manière la figure de son modèle et a conçu à
vent alors un écho dans l'âme de ceux qui les entendent ou qui les
lisent
. Il est cependant bien clair que, pour obtenir
urs communications à la solennité de la séance annuelle. Il fau^t
lire
, dans les journaux d'outre-Manche, les a trucs »
ou que l'on accepte (l) Souques et J.-B. Charcot. — Tuberculose de
lu
région paracentrale. — Fréquence et raisons anato
l des deux côtés, et c'est avec une grande satisfaction que l'on peut
lire
la leçon dans laquelle M. Rendu, avee une bonne f
des objets perdus, faire des pronostics pour les courses de chevaux,
lire
des lettres à travers l'enveloppe, dire l'heure l
. » Il met ses deux mains sur ses yeux en abat-jour, puis cherchant à
lire
et déchiffrant comme avec peine : «C'est un grand
s que l'on voulait trop attirer l'attention du malade en le forçant à
lire
quelques lignes improvisées, il s'est réveillé sp
un délire hallucinatoire qui rappelle beaucoup celui dont on vient de
lire
la description, présente au point de vue de la du
En outre, les attitudes s'accompagnent d'un délire actif, bruyant. On
lira
plus loin la description de ce délire. L'attaque
e chez les sœurs à Persan, toujours maladive, elle n'a pu apprendre à
lire
. Vers 1878 elle entre, comme infirmière, à l'hôpi
uis cette époque. Enfin, particularité bien intéressante, elle sait
lire
, écrire et calculer dans cet état B ; c'est qu'un
e clinique qui se sont succédé de 1880 à 1885. Elle ne sait plus ni
lire
, ni écrire, ni calculer et affirme que la malade
Voire mesme fut besoing recommencer dès son ABC pour la r'apprendre à
lire
. Et prononçait du commencement le tout avec langu
it, et il fallut tout lui enseigner à nouveau. Elle dut réapprendre à
lire
, à écrire, à compter, ce qu'elle fît avec une ass
oublie cependant certaines figures. Elle continue à savoir marcher,
lire
, écrire, chanter, jouer du piano. * * Il en e
s frères, que cependant elle voit à chaque instant. Elle ne sait plus
lire
, ni écrire, ni toucher du piano. La mémoire des c
t-Urbain. Là, il fut employé à travailler la terre et on lui apprit à
lire
et à écrire. Pendant son séjour dans cet établiss
1). Il était alors toujours paraplégique, d'un caractère doux, savait
lire
et écrire. Là, on lui apprend le métier de taille
malade se croit à Mâcon, en 1881, et a oublié tout le reste. Il sait
lire
, mais il est incapable de dire où on lui a appris
otions acquises dans l'état I et devenues plus ou moins automatiques,
lire
, écrire, marcher, etc.. « En 1858, cette conditio
temps l'enfant perd complètement la mémoire du passé. Il ne sait plus
lire
, ni écrire, ni compter ; il cause mal et a totale
à celui de la dame de Mac-Nish à qui l'on fut obligé de réapprendre à
lire
et à écrire. J'ai eu l'occasion d'observer, à l
e personne ordinaire, se trouvent la lecture et l'écriture. Elle sait
lire
et écrire et elle ne fait pas plus de fautes d'or
orrectement, sans maladresses ni défaillances de mémoire. Elle sait
lire
les chiffres et les nombres composés de deux chif
ances se bornent là en fait d'arithmétique. Si on cherche à lui faire
lire
le nombre 354 par exempte, elle lit : trois, cinq
t épisode. Si on lui demande où elle a été élevée, qui lui a appris à
lire
, si elle a été en pension, et où, elle est dans l
struction qu'elle a pu acquérir a également disparu. Elle sait encore
lire
, écrire, coudre, il est vrai, mais elle ne peut p
e donne sur sa famille et sur son enfanco (voir plus loin). Elle sait
lire
, écrire et fait couramment des opérations d'arith
t de passer dans la vie, sans avoir l'air trop empruntée. Elle sait
lire
couramment, écrire et compter à peu près bien et
tendu parler de lui ; il est mort il y a quelques années. Elle sait
lire
aujourd'hui, écrire et compter, mais elle ne sava
trière. C'est la jeune L..., une de ses compagnes, qui lui a appris à
lire
, à écrire, à compter et à faire du crochet et de
orties plus tard. En ce qui concerne la jeune L... qui lui a appris à
lire
, « elle l'a toujours connue. » Comme on le voit
à l'état prime. Dans cette condition première, elle ne sait plus ni
lire
, ni écrire, ni compter. Elle sait coudre grossièr
été élevée à Persan, chez les sœurs. On n'a jamais pu lui apprendre à
lire
« bien qu'elle fût intelligente, mais elle était
l'état B). On lui présente la jeune L..., celle qui lui a appris à
lire
, à écrire, à faire du crochet dans l'état B. « C'
exemple que celui de notre malade, Marguerite D..., qui savait encore
lire
, écrire et composer un nombre de deux chiffres, m
crire et composer un nombre de deux chiffres, mais était incapable de
lire
un nombre de trois chiffres et de faire une opéra
ans l'état de veille. On a vu plus haut que Marie H... avait appris à
lire
, à écrire, à compter et à faire du crochet dans l
spontanément la main à sa poche, en tire ce carnet et l'ouvre pour en
lire
la réponse, quand par hasard elle s'y trouve. Ce
brales. Mort aliéné. Un idiot. Un diabétique. Andral, dans une note
lue
à Y Académie des Sciences, en 1875, cite le cas d
ndormie, ou encore durant le jour pendant que la malade est occupée à
lire
à haute voix ; mais à peine a-t-elle fini que la
stérique combinée avec l'alcoolisme ? La plupart des faits que j'ai
lus
me paraissent se prêter à cette interprétation, e
étend la loyauté de nos adversaires. Monsieur le Rédacteur, Ayant
lu
dans le numéro du 3o décembre derr nier du journa
mourront à la peine! Le ciel ne s’escalade point, on ne parvient à y
lire
qu’en possédant les vertus les plus pures, et qu’
us prie, quel était celui d’Adam ; d’où pouvait-il venir? D’ailleurs,
lu
nombre des morts depuis la création, excédant de
ous ullendail un boni do voire course. Eh! messieurs, vous avez nié
lu
circulation , el le sang circule; l'inoculation s
eur forme de la manière la plus distincte. Peu de jours après avoir
lu
ce qui précède, je tombai inaltendument sur un ph
t elle n'eut aucun souvenir de m’avoir vu dans la journée, mais il en
lut
de même pour tout ce qui lui était arrivé durant
nt sa réponse aux insinuations de son agresseur, M. deCourson; nous y
lisons
: « Je suis magnétiseur! et en quoi ai-je préva
-ci. « Du 20 mars. Aujourd'hui très-tourmentée par une douleur au
liras
; la nuit je nie suis levée avec un tintement d’or
en présence des personnes qui ne se seraient ja- mais rencontrées.
Lus
anciens font connaissance avec les nouveaux ; ils
tés1aux pattes de ces animaux, lorsque la maladie avait cessé. Nous
lisons
dans le Journal de Paris (avril 1784). une observ
des suites d’une affection tuberculeuse; pendant tout le temps qu'il
lut
en rapport avec chacune d’elles, il éprouva tous
us produirons. Et pendant que nous parlions ainsi, l’article qu’on va
lire
s’écrivait. La précision et la clarté qui régnent
OGRAPHIE. ÉTUDES PHYSIQUES SUR LE CHOLÉRA DE 1832. Nous venons de
lire
une brochure d’un haut intérêt. Ce travail, intit
mais'au moins neuf fois sur dix. Pour s’en convaincre , il suffît de
lire
dans ce Journal les procès-verbaux relatifs aux a
du prêtre qui magnétise? Ah ! que nos pasteurs catholiques osent donc
lire
les écrits si lumineux, si orthodoxes, de l’abbé
e fait le blond Lindor Avec marn’ Aristide, Lorsque le mari sort,
Lisent
-ils l'Énéide? (Parlé:) la Somnambule. • Ils lis
le mari sort, Lisent-ils l'Énéide? (Parlé:) la Somnambule. • Ils
lisent
l’Énéide. » — Eh non , non, non, Vous n’êtes
nnaît , et quelle que soit son erreur il y persistera. DU POTET. (
Lu
suite prochainement.) Athénée Iroycn de UeMiiér
ateur (1). A la séance du 28 mai, MM. Despretz et Becquerel vinrent
lire
chacun un mémoire sur ce sujet. Tous les deux ava
’il ne consen- ti) Voyez Journal du Magnétisme, (ome V, page 268.
lirait
jamais à être opéré en état de veille , et mainte
le. Longtemps traité sans succès, il désespérait de guérir, lorsqu’il
lut
dans un journal bengali qu’un hôpital avait clé é
te de sommeil divin. Durant les extases de ce sommeil, disait-on, ils
lisaient
en leur propre corps ainsi qu’en un livre ouvert;
me répondit instantanément : Piirmi les fous il sera mis, Kl je «
lirai
que c'est dommage; L'esprit qu'il perd était co
ns. Cette personne a l’esprit tout-à-fait inculte : elle ne sait ni
lire
ni écrire. Servante dans la maison d’un abonné de
e temps à autre les récits. Enfin, un beau jour, M. Despretz (i) vint
lire
une note sur ces phénomènes surnaturels, et les f
juillet. (Droit.) — Peu de jours avant ce triste dénouement, on
lisait
clans le Tintamarre , la pompeuse annonce que voi
e pittoresque et dramatique , des annonces industrielles dont on peut
lire
dans les journaux le détail libellé. On a choisi
aHticiperit la rfiàin du bourreau; et celuy qu’on dèsbnndàitpour luy
lire
sa grâce, se trouva roide mort sili1 l’eschaffâüd
. (2) Pline. Hist. nalur. (3) Ouvr. cité, p. 1G3. paroles. Nous
lisons
dans la‘ Philosophie de F Histoire, qu’un aveugle
lement employés, furent inventés, dit-on, par les philosophes arabes,
lis
étaient formés de pierres et de métaux qu’ils app
lle. A ceux qui doutent de l’existence du magnétisme, nous dirons :
Lisez
les œuvres contenues dans les rapports qui ont mo
e, puisqu’elles remontent jusqu’à l’époque où l’intervention du démon
lut
admise dans la direction de nos destinées. Les
s démonographes, pour avoir la propriété de chasser le diable. Nous
lisons
dans la Bible que toutes les maladies qui présent
jours à l’abri des maladies dont ils entreprenaient la cure. « Nous
lisons
, ès actes des Apostres, dit Bodin (4), (1) Ouvr
passait pour avoir la propriété de dissiper la démonomanie (3). Nous
lisons
dans le Lé-vitique, ch. I, que Dieu recommande l’
fit alors l’ouverture de la boîte, qui ne contenait que du poil et de
lu
plume. « Ali, monsieur ! s’écria le moine, pour
ier numéro, p. 514, ligne 28; au lieu de ■ mémoire des génies, etc. ;
lisez
: mémoire, génies, etc. Avis. — L’abondance des
oyant mon état s'améliorer, j’y eus une grande confiance; puis, ayant
lu
quelques ouvrages qui traitaient de cette science
cliente, qui envoya des cheveux à une somnam- bide do Paris, et je
lus
la lettre, qui ne donnait assurément aucun indice
yait Mesmer pour faire admettre sa découverte. La pétition qu’on va
lire
est inédite; nous en devons la communication à l’
aux. Le gouvernement ne voudrait pas faire cela pour un million. Je
lis
toujours votre journal, mais je ne le trouve pas
sous les yeux, en lisant des milliers de feuilles que vous ne pouvez
lire
, et que les grands gazetiers, incrédules et dédai
seille enfin, dans ses moments de loisir et surtout de défaillance de
lire
, soit la Médication par l'exércice, de Lagrange,
que des femmes et des hommes de haute culture et de haute situation,
lisent
et vénèrent le livre ennuyeux et illettré de Mrs
il y a à la prison un soldai en prévention de Conseil de guerre. Il a
lu
, en effet, dans les journaux, que des hommes en p
venu « en se livrant aux pratiques magnétiques.....et en donnant de
lu
ouate c aimantée, ne peut être considéré comme
éon Lavcysstàre. Voyez aussi le compte-rendu que j’ai donné du livre «
lu
D’ Van lienterghem : Liébeault et son école, numé
nier Congres International de Psychologie tenu ù Munich en 1897, j'ai
lu
un compte-rendu détaillé de mes expériences de di
s, luttaient à coups de prodiges; et, dans scs débuts, tout au moins,
lu
religion de Simon, beaucoup plus habile que son r
es prêtres égyptiens qui se servaient de celle lète faisaient donc de
lu
ventriloquie religieuse par des procédés artistiq
nt notre première séance, en prononçant le remarquable discours qu'on
lira
plus loin, en faisant aux Congressistes les honne
qui ont pour objet l'étude des phénomènes du sommeil hypnotique et de
lu
suggestion, n recherches empreintes du plus pur e
radieux, l’arc-en-ciel. » • * * Nous avons aussi le plaisir de
lire
dans l'indépendance luxembourgeoise l'article sui
1880. il n’y ait rien d'infaillible, pas plus que dans le reste do
lu
médecine, c'est indéniable. L’électricité aussi a
ÉRAUX I L’évolution de la psychothérapie en Hollande (1), Rapport
lu
par le Dr A. W. Van Renterghem, d'Amsterdam, délé
èche depuis 1887. Il a doté la science hypnologique de maints travaux
lus
dans les différents congrès et publiés dans la Re
se comme délégué au prochain congrès de Psychologie et se propose d'y
lire
un travail sur l’Autosuggestibilité pathologique
résultats ont contribué en certaine mesure à (1) Compte-rendu etc.,
lu
au î-' Congrès de l’Hypnot. expér. et thérap. Bru
r de l’hypnotisme comme moyen d'investigation psychologique Rapport
lu
par M. le Dr Oskar Vogt, de Berlin. C’est seule
r de l'hypnotisme comme moyen d’investigation psychologique Rapport
lu
par le Dr Félix Regnaült. La philosophie classi
malade et l'accroissement de température est très faible. Je lui fais
lire
un livre sérieux et la température augmente un pe
ans les séries représentatives du sommeil ; dès lors, les pensées qui
lu
sont transmises par simple affirmation deviennent
rte esquisse et qu’ils voudront se reporter au texte original pour le
lire
, le relire et le méditer ; ils seront étonnés de
semble rentrer dans le cadre de notre société et je tiens à vous les
lire
in extenso. a II existe au Soudan de petites ri
'insectes comme la fourmi. Ils s’endorment aux premières atteintes (
lu
froid pour s’éveiller aux premières chaleurs. L
cine a eu lieu le mardi 18 décembre dernier. Le professeur Debove y a
lu
un très remarquable éloge de Charcot. Nul mieux
ifiquement, c’est-à-dire en tâchant de m’en rendre compte ■ et 2° par
lu
force de ma volonté. J'ai souvent senti la folie
dence de M. Jules Voisis Le procès verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire-Général donne lectu
rue de Tournon. IflOfl. tains détails tels que l'instantanéité de
lu
guérison de plaies, d’abcès et de fractures, pour
graves dans sa jeunesse. Instruit à l’école primaire, il a appris à
lire
, à écrire, à compter et a acquis, comme les enfan
e le rez-de-chaussée, s’est habillé seul et est allé se promener dans
lu
jardin. Malgré toutes les objurgations, il ne réi
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
le Parlement, autoriser le juge à substituer, dans son application de
lu
loi, cette interprétation individuelle au sens no
rquée et le vocabulaire est limité à trois ou quatre mots. 11 ne peut
lire
, mais remai'que très bien les fautes d’orthograph
s faites pour écrire avec la main gauche ont échoué. Le malade parait
lire
les livres et les journaux avec intérêt; il sembl
tale et psychothérapie, Par M. ie Docteur Paul Faiiez. Nous avons
lu
, dans l’un des derniers numéros de la Revue de VH
des malades partiellement guéris ou améliorés. Généralement, on peut
lire
pour le mot améliorés : récidivistes. Si les bu
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
t psychique spécial. Nous en avons la preuve dans les propositions «
lue
nous avons énoncées plus haut, car toutes les lés
est ouverte à 4 h. 35. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. M. le Secrétaire Général donne lectu
itement moral chez (t) Lettre adressée par M. le D' Binet-San^lé et
lue
en séance de la société. (2) Revue de ¡'Hypnoti
vons invoqués, le diagnostic de sciatique s'impose, et il suffit de
lire
attentivement l'observation pour ne conserver a
on service à l'hospice de la Salpê- trière. La définition qu'on a
lue
implique l'idée de para- lysie de synergies mus
e l'était, elle serait venue me le dire. Je vou- drais bien qu'elle
lût
venue me réclamer, je me serais amusé avec elle
e donc que la Terre sainte ? R. Rli ! eh ! eh ! je ne sais pas. D
Lisez
donc. - R. Mais ce n'est pas écrit. Fig. 11. Sp
OEuvres de Platon, trarl. Cousin, t. XII, p. 12. 3 Loc. cit., chap.
lu
, p. 975. De la suffocation de la matrice. 9t RE
86.) Homme de trente-quatre ans, atteint il ya sept ans de syphi-
lis
. Un an après l'infection, ictus apoplectique lége
toutes deux développées au même degré, il pourra écrire, dessiner,
lire
. La prédominance, chez lui, de l'intelligence d
orme, l'entraî- nera à apprendre à écrire et à dessiner, mais non à
lire
. Si c'est la mémoire de la forme qui tient la t
la mémoire de la forme qui tient la tête, l'enfant apprendra bien à
lire
, mais non à écrire ni à dessiner. C'est aussi du
utre à un érysi- pèle. La dyslexie consiste dans l'impossibilité de
lire
, qpel que soit le caractère imprimé, plus de tr
trois, quatre, cinq mots l'un après l'autre. Ces quelques mots sont
lus
correctement sans para- phasie, puis le malade
te fraction d'efforts il ne peut former un tout satisfaisant, qu'il
lise
à haute voix ou des yeux. Intégrité complète de
e du département de la Seine s'occuper seul de ces fonctions-là. Je
lis
dans un document sérieux ces observations aussi
rticle pareil ! 152 SÉNAT. M. le Rapporteur. Vous ne l'avez pas
lu
, 11. de Gavardie ! Ce comité ne peut rien impos
manquerait plus que ce comité lui impo- sât ses ordres ! Sans même
lire
votre article, je ne pouvais pas supposer qu'il
e article, je ne pouvais pas supposer qu'il y aurait cela ! Mais je
lis
mieux que vous ne pensez. Messieurs, ce comité-
vait été présentée par la commission. L'article 15, tel que vous le
lisez
dans le projet de la commission, faisait partie
rédaction est modifiée dans le sens du texte qui vient de vous être
lu
, il ne reste dans les attributions de la commis
esquels il demeura sans dormir, sans s'asseoir, ni même se coucher.
lise
tint constamment debout et immobile, ou se prom
- ERRATA. Page 383, ligne 1 ; au lieu de : S A M. 1 M S... 5 AI S;
lisez
: 0,8 M A. 1 il A... 5 AI A, ligne 3; au lieu d
AI S; lisez : 0,8 M A. 1 il A... 5 AI A, ligne 3; au lieu de : " "
lisez
: (11) -(11) Archives, t. XV. 1 1 162 ^ patho
tendit plus ceux qui l'ac- compagnaient. » Il nous arrive à tous de
lire
à haute voix sans savoir ce que nous lisons et
Il nous arrive à tous de lire à haute voix sans savoir ce que nous
lisons
et d'écrire un mot pour un autre quand nous som
s dans les centres spéciaux. Des groupes corticaux part le stimu-
lus
, à l'occasion duquel ces centres spinaux entrent
à été publié par l'un de nous*. Il s'agit dans ce cas d'au toi ? îa
lis
ine pg,éépilop tique. Qu'il soit endormi dans s
inté- ressé aux petits événements de leur existence. La manie de
lire
, de déclamer, de réciter à haute voix (Redesucht)
éla aucune lésion du système cérébro-spinal. Quoi qu'il en soit, on
lira
avec intérêt le complément de l'observation de
it les réponses à des phrases proposées; à côté de cela, il ne peut
lire
l'écriture, quoique l'on ne puisse cons- tater
Gavardie. 1li. LE Président. La parole est à 111. le Rapporteur.
Lut
. le Rapporteur. Messieurs, je demande à dire un m
ux qui se permettent ces plaisanteries indécentes. (Exclamations et
lires
.) Ils ne connaissent pas le premier mot de ces
comprenez même pas cette allusion aux livres bibliques que vous ne
lisez
pas colombes blanches portant le rameau d'espér
on, le délire des grandeurs, etc... Mon Dieu ! on n'a pas besoin de
lire
les livres de médecine. Tous les ministres, excep
oute M. Séglas, plusieurs années à l'école mais n'a jamais appris à
lire
. » Or, elle n'allait à l'école que très irrégul
ux ou trois mois de l'année et néanmoins elle a appris et elle sait
lire
. « Elle jouait, dit-on, presque toujours seule
, à la parole facile, aux réponses nettes et pré- cises ; elle sait
lire
et n'offre pas traces d'anomalie sexuelle, elle
ne domestique âgée aujourd'hui de quarante-neuf ans, ayant appris à
lire
et à écrire, en allant à l'école du village com
que dans des conditions données, elle puisse coexister avec le dé-
lire
chronique dont le développemcntréclame toujours u
i concerne la parole et l'instruction de la malade qui n'a appris à
lire
que vers vingt ans, une fois sortie de l'école. P
SLIt\'1TIOY 111 ait eu de la folie du duute; et M. Magnan, s'il eût
lu
exactement mon texte, n'eût pas pris un renseig
ions d'un adversaire qui n'est pas suspect de tendresse pour le dé-
lire
chronique, de notre collègue M. Séglas qui, du re
tre que pathologique. On n'a pas encore démontré que cette anomalie
lût
atavique. On comprend au contraire très bien qu
ronique. Obser- vation très longue avec autopsie et étude bislologi(
lue
confirma- tives. C'est décidément la lésion des
pas «un rapport détaillé conformément aux dispositions ci-dessus]»,
lisons
-nous dans le septième paragraphe de l'article 16,
3 enfants ont appris à manger seuls (2) ; 8 enfants ont appris à
lire
(3). . Tous les enfants sont exercés à la gymna
ses besoins et ne se salit plus jamais. Trois enfants ont appris à
lire
couramment : 1° Buz... (Albert), 11 ans, entré
s classiques : il commença à syllabe en juin 1896 pour arriver il
lire
couramment en juin de cette année. Il fait aussi
ès indicipliné, il a fini cependant par s'intéresser à la classe et
lisait
presque cou- ramment lorsqu'on avril de cette a
vons surprenants. Nous croyons pouvoir aflir- mer qu'il arrivera il
lire
dans le courant de 1899, ce qui sera pour nous
re marchant de pair avec la parole, il est à espérer que cet enfant
lira
couramment dans l'année 1899. Tous les enfants
ceux de la. grande école en trois sections. Aucun d'eux ne savait
lire
la musique et ne possédait de notions sur la th
rtement à la fanfare. Presque tous les enfants savent, aujourd'hui,
lire
eux-mêmes les notes, en connaissent la valeur e
musique. Quand les enfants sont su ! 11samÚlCl1t avancés pour hien
lire
un morceau de chant et l'apprendre avec fruit,
us haut. Voici la statis- tique des bains et des douches en 1898.
lu
Améliorations diverses. Statistique. lui I I
classe ont été des plus encourageants : « Comme l'année précédente,
lisons
-nous dans le rapport pour 1897, ces résultats d
'particulier1,' 'se . dèc()l-trque fac'rlément; cqpsnie surrénale1
lira
[peu grosse ? pas ? de noyau)c tuberculeux ? Rein
uel et moral de C... 13ornons-nous à rappeler qu'il était parvenu à
lire
couramment, à écrire, à con- naître les quatre
75 ans, huissier retraité du ministère des finan- ces, ne sait pas
lire
. Bien portant ; caractère faible, sujet à de vi
rnel de l'entant est mort en 186. à l'àge de 80 ans, d'un cancer de
lu
jonc. - Son grand-père, maternel est mort en 1898
, mais le travail est de plus en plus irré- ulicr. Edouard se met à
lire
beaucoup, se cache pour satis- faire sa passion
lettre qu'il a écrite de Belfort à ses parents est très difficile à
lire
. Aptitude pour le calcul et la comptabilité en
ris. Le sommeil est variable : quelquefois, elle dort pendant 10 ou
lu
heures de suite; d'autrefois elle se réveille p
tologique ; par 1),, Cli. Philippe. Technique. ? Après fixation par
lu
solution de formol aL 10 0/0, le lobe occipital
s minces avec le microtome à glissière. Les colora- tions employées
lurent
: l'hcmatoxytine de Weigert-Pal- Kulscliitky (t
1'(;pilppsie. Thèse de Paris. Errata . Page 82, au lieu de ? 17,
lire
fig. 7. Page 170, ligne 13, au lieu de Rungès,
u lieu de ? 17, lire fig. 7. Page 170, ligne 13, au lieu de Rungès,
lire
Hungis. EXPLICATION DES PLANCHES . ' . ? ? J.
et hydrothérapie ................... LI Promenades m Distractions
lu
Améliorations diverses lu Teigne,- Maladies i
........ LI Promenades m Distractions lu Améliorations diverses
lu
Teigne,- Maladies intercurrentes lui ..II. St
able de toute application intellectuelle. L'idée seule d'essayer de
lire
une ligne lui était pé- nible. Le sommeil, qui
maux de tète avaient presque totalement disparu. Le malade pouvait
lire
eltra- vailler plusieurs heures par jour, sans
ntua très vite. Un mois à peine s'était écoulé qu'il recommençait à
lire
et à étudier une heure par jour. Il partit pour
ne, elle avait presque totalement cédé, et l'enfant put commencer à
lire
un peu. On se contenta cependant de lui donner
ndu : nous ne nous occuperons ni des délires toxiques, ni des dé-
lires
liés à quelque névrose (épilepsie,- hystérie ? et
Jaùxi. interprétations délirantes les-plus-variées. Mais ce dé- \
lire
,lui-même 'peut ,se développer de différentes ^ma-
enfiiir apporte, i lui, -aussi ? une tobservationrn-rtq WH' 3HHL
lire
hypochondriaqueehronique; c'est.quetle débutl c1e
ches dé nt Moréau (de Tours) sur la l1anie'li;s'- térique : l|1' ! (
lis
"II 1, ,... J ;11" , 1\' pl ? '' '' ? ,,1 '** !
deux jours avec 41° de température, 120 au pouls, et avec un dé-'1
lire
violent. La conscience avait coiiipètement dispar
, Ih . r jusqu a 1 âge de trente-deux ans. Durant 1 année 1878, Mec
lu
.. eut'des niâux dé1 tête, des insoiruiié's'] de
1¡ 'CIL itl6tf.l ,1 £ 19J¡lUW t-o 'jL .'J1 cJ'llji, 1, ,f0'Ji : 0ll
lu
? " Il..11 ew : ! hfIE{,1( ? 11 11 Vit, ,/IHl ",J
liusensibilité, n,{Jén.é : rrle, 1 ¡ÍÚMm1 gr.t¡ql.te : , ? iIIIS/J,{
lu
! ¡saljonl P/ ! l : j l1a{Jlf ? ¡ tlsme. ^ 1U'\
ob v.'H ? il'j »n -")b 'j 'ii'jinolii^'Hii 'Il u111uiu raid yile nu
lu
pcuswJl. Jlmautlbu : l3.jl(lt;'I ,Il )1 ,¿'(jjJif
la 'conscience ? ? 4"^ 'mn*tvt0 .. u 1nu b ·m r'1001r n9nlJn0`ni
lu
? Íb1 ? H,çi\ ? i9n, e/ ? t, de tous tles-élément
SOÎIIrCj(()11l est ,L5,1')ide sa ilé ? iai,che, ses gestes, tout en[
lu
,i ? rolJe,la lqul;deu>i ? Lll;lii;Létemeut : l
t des gesticulations incohérentes; il salive de temps en temps. J ",
lu
Parole. - Son vocabulaire est excessivement res
rière Lparpune,;loifurcation qui représenleflaipartie supérieul'ej\(
lu
, sillon 1 prérolandique; ,ù. droite, elle, gagne,
Quand, étant 'assise,' elle appuie la pointe du Í, 1.) '.Mémoire
lu
à la Société de Thérapeutique ' (9 novembre 1881)
uyant sur sa pointe, tout le membre1 se mettait JIISLIU "' a ce "' (
lu
"'I'laisâOl ' 1 talon retomber sur 'le sol. Ses
t,ici une digestion¡tdtéJ-ieure.' IIJ 1 m »--<. ? \,;1 1, ln 1. "
Lu
,... »(, 1·si , Ce phénomène, comme on le voit,-
1 mmuutd ? tt"'P" aux ? ,,] ? ) ? "t t<1 "'fiJ'lTft,.lh U'Hl11 2,()
lu
.J ? e" ! lbullJd mettre aux muscles 1 incitati
ns les artères de la basd'tld FeÚêéphale'(artéritq £ I syphiJitii :
lue
)11,'La' nfoelle' Óffre>J'sul'" tolIte fa' èaup
1 primé ISOLr : IfE\T11EJ' FILETS'J1\ISnVÉiJI'I : SIC.ÙI : parli.'
lu
.1G1111L1\\f : 1 ,,(AI'ch : 'f.Psych ! J1Í, Nerv
rgument 'est "une ' vieille^ observation délJôliri vHûntêc Junior,'
lue
'le ! 23'juin' 1824" à''lâJ'Société)médico-chifû'
anesthésie générale à l'exception de 1,-t, tt, te. h3,pel,estliési (
lue
,, amaurose à peu près, complète,, en ce sens qu
t , n .ment les caractères principaux de ces trois états. un ni m
lu
IU.1 ? J) JUI.lq J n. y, -n {'» l'1 ' l'U'I" i- "
il Test resté. En même temps, il. a été atteint dans la faculté de
lire
et .d'écrire. Il n'a donc pas été à même d'acqu
r n'en dire qu'un mot en passant, lorsqu'ils sont atteints de dé-
lire
, sont soumis, eux aussi, à la loi d'évolution; en
IONS.Malgré son apparente complexité l'ob- servation qu'on vient de
lire
comporte certains ensei- gnements. Elle se résu
ériques non traumatiques. 201 III Les observations qu'on vient de
lire
sont trop peu nombreuses pour qu'on puisse en t
l de tète et l'application du cerveau il y ait une relation abso-
lue
.Commenous l'avons établi plus haut, la céphalée p
front. Ils- ,)Il) 2 CLINIQUE NERVEUSE. ne pouvaient ni écrire, ni
lire
, ni s'occuper de leurs affaires ; mais c'était
ALITE CHRONIQUE; par UOURNRV1LU; et LFrt.mvH : . Le fait qu'on va
lire
fournit un nouvel exemple de la forme d'idiotie
l\ par,(,mois ? céplalalgie"lrullupinstio.ns,aitalion, mélaç,çoie ?
lus
.LaJ;'d,(ICLtraieme.nl,<,lU1;a, ! quatl'eA c
t l'âme do Thérèse fut le théâtre. " i " «Comme lemrationalistes ne
lisent
guère la' Vie des Saints, et que, en dehors de
e, mis eu disponibilité sur sa demande. - Dans la séance du 22 mai,
M. Lu
.nier a été élu membre de l'Académie de médecine
infirme à Bicêtre ; un cousin germain maternel est atteint de dé-
lire
chronique; d'abord persécuté, il en est arrivé au
irconvolution centrale antérieure. Sc. S., Scissure de Sylvius.
lus
., Insula de Reil. L. t., Lobe temporal. A. m.
rouvé le contraire dans l'observation suivante. (Biblioth. néd., t.
LU
, p. 117.) Observation XXVI. Anne Ferry, fille
UE DE PATHOLOGIE MENTALE. li 07 forme fixe, ne soit pas stéréotypé.
lis
sont parfaitement aptes à apprécier les droits
31Ns-W ? Nc.En. (Neurol. Cent1'ltlbl., 1883.) L'observation est à
lire
en entier. Le malade avait des accès de cette f
es ont disparu; elle travaille avec les in- firmières, mais ne peut
lire
, ni coudre à cause des troubles de la vue. M. C
obtiendrons sur tous les tracés des signes qui nous permettront de
lire
ce caractère commun. Mais si, à côté du paralyt
du médicament. Dans l'autre, qui concerne aussi une femme, il fal-
lut
des mois pour que les hallucinations disparussent
- (effets acces- soires de l'), 426. H\ .1)110tit[LiCS liystéi-i(
lues
cousidétés comme sujets d'expérience en médec
jusqu'à la découverte de la laryngoscopie. Il suffit aujourd'hui de
lire
les ouvrages parus en Allemagne, en Russie, en An
au ie diverses mesures prises soigneusement sur différentes parties
lu
corps de la jeune fille : Circonférence du crân
carbone, vient d'être définitivement jugée par la note de M. Coulier,
lue
à l'Académie par M. Vernois. M. Coulier admet t
par des applaudissements unanimes. „*, — Le même jour, M. Lagneau a
lu
sur la population parisienne un mémoire plein d'i
al des montagnes, a tout récemment terminé ses travaux. M. Bouley a
lu
devant l'Académie des sciences le rapport de M. A
phie musculaire progressive de l'enfance, dont le [diagnostic peut se
lire
pour ainsi dire sur la face du malade. Dr Duche
ce d'une journée. Sa démarche était moins assurée, il pouvait à peine
lire
ou écrire, de sorte que ceux qui le virent le cru
ciaux ont analysé comme il suit un important mémoire de M. L. Lefort,
lu
à l'une des dernières séances de l'Académie de mé
es mous et indurés, des chancres uniques et multiples, etc. La partie
lue
à l'Académie constitue en quelque sorte un mémoir
ossession de sa place et à signer la feuille de présence. Je n'ai pas
lu
la lettre de M. Laffon de Ladébat, mais on peut s
nts de l'enfant s'étaient adressés pour une consultation. JNous avons
lu
des observations fort complètes rédigées par des
s d'écrire, le nom de laryngotomie thyroïdienne restreinte. RAPPORT
lu
le 4 AOUT 1869. M. Guy on. M. Krishaber vous a
en effet tenir compte de l'observation de M. Prat, car après l'avoir
lue
on se demande où était implanté le polype et même
os musées. Bien des lecteurs viendront, sans pour cela s'en vanter,
lire
ces conseils pratiques qu'on ne trouve que là, da
nner l'observation, et nous avons fait avec lui l'autopsie dont on va
lire
les détails. L'endocardite puerpérale se présen
s des leçons du professeur Gavarret, nous ne croyons pas avoir jamais
lu
de description plus claire de l'acte de la vision
Dr Hermann................... 187 ERRATA Page 129, dans le titre,
lisez
section et non ablation du cartilage thyroïde.
et non ablation du cartilage thyroïde. Page 157, G'' et 12e ligne,
lisez
roideur au lieu de rougeur. Page 172, 9« ligne, l
' et 12e ligne, lisez roideur au lieu de rougeur. Page 172, 9« ligne,
lisez
135 centigrammes au lieu de centigrades. Page 175
lieu de centigrades. Page 175, Anatomie descriptive et dissertation,
lisez
dissection. Page 176, 3r ligne, initiation, lisez
ve et dissertation, lisez dissection. Page 176, 3r ligne, initiation,
lisez
imitation. Òóð. Alcan-Lévy, 01, nie de Lafayett
tés de la parole, qui sont identiques, que le malade parle ou qu'il
lise
. Le premier caractère important, qui se retrouv
en une scène piquante, que je vous demande la permission de vous
lire
, les nécessités impérieuses de l'obsession. Le hé
ré les lettres annonçant la perte qu'il venait de faire. C'est pour
lu
prendre ce qu'il a qu'on fait courir ce bruit.
ntée par beaucoup d'épileptiques est encore peu connue. Après avoir
lu
le mémoire de M. Cul- lerre, j'ai cherché si el
centripètes. Quant à l'immobilité fixe et réflexe, adhuc sub judice
lis
est ! P. K. XX. La DURÉE DE la VIE DES ÉPILEPTI
. Dans l'un des cas, il est à noter que le malade avait eu un dé-
lire
presque maniaque au cours d'une scarlatine. Dan
'historique de la syringomyélie est expose avec des critiques qu'on
lira
avec profit, bien que l'auteur ail une certaine t
pre-que impossible de faire une analyse d'un tel livre, qu'il faut
lire
pour en tirer profit. Dans la première partie s
0 suicides il y ' Voyez Archives de Neurologie. ' C'est le cas de
lire
la Bibliothèque diabolique, au Dr Bourneville. (P
/tm ! 'tH : e6</ttue; lui-même re- marqua qu'il ne pouvait plus
lire
avec t'oeil gauche. - Pendant l'Exposition il s
jeune MALADIE DES TICS ET' TREMBLEMENT. '189 fille n'a pu bientôt
lire
et coudre qu'avec peine. Les mouvements, légers
ue un second fait semblable amélioré par la faradisa- tion. P. K.
LU
. UN cas DE convulsion DE la langue idiopathique;
me question 2. La critique présente se termine par une invitation à
lire
et à mé- diter le travail de Kandinsky, qui « p
. M. RÉGNIER fait une communication sur les rapports de la syphi-
lis
cérébrale et de la paralysie générale progressive
M. LAURENT fait remarquer que la paralysie générale et la syphi-
lis
sont plus fréquentes dans la Seine-inférieure que
. M. ROLLER (de Brake) sur la folie héréditaire. Ce mémoire a été
lu
dans la dernière séance 2. Disctission. - M. Mo
tel ouvrage ne s'analyse pas. Il se lit ; quand on a commencé à en
lire
les premières pages, on le dévore jusqu'au bout,
inhérentes aux sujets traités par le profes- seur. Et quand on l'a
lu
, ou y pense sans cesse, on le médite silen- cie
iagnostic s'impose en effet, dans ces divers cas, et il suffit de
lire
avec attention la description des symptômes pré-
la marche que j'ai adoptée, car il n'est pas douteux que si j'avais
lu
, avant de commencer mes recherches, ce que j'ai
x que si j'avais lu, avant de commencer mes recherches, ce que j'ai
lu
depuis dans les auteurs, une fois celles-ci ter
donnée, il faut encore distinguer la forme de cette ombre, il faut
lire
les lettres. Les exigences sont ainsi bien plus
l'alpha- bet de Suellen, des difficultés presque insurmontables,
lisent
ensuite avec une surprenante facilité nos tableau
is cela est possible), dont ils sont si fréquemment atteints, ils
lisent
souvent à un éclairage suffisant 1 'écri Lme de S
ouvait s'em- pêcher de parler de ces sortes de tortures, car elle a
lu
autrefois les Mystères de l'Inquisition et cela
lait apprendre quelque chose, elle se contentait le plus souvent de
lire
des yeux; quelquefois en même temps elle parlai
i- tuelle de l'attention ; c'est ainsi que, si on lui commande de
lire
à haute voix un passage d'un livre, elle peut en
'image visuelle en l'associant à une émotion. Si, par exemple, elle
lisait
une date, le mot jeudi, nous lui annoncions en
sa famille à laquelle elle est très attachée. Si nous lui'faisions
lire
notre nom, nous 404 CLINIQUE mentale. lui don
n. Pour aller plus sûrement, nous avons même fait souvent épeler et
lire
à haute voix l'inscription du papier coloré, in
minelle et du système pénal que Lombroso propose d'adopter. P. K.
LU
. Communications PUISÉES A la CLINIQUE psychiatriq
llabes; notons que la malade lit bien mais qu'elle est incapable de
lire
de longs mots parce qu'elle oublie la première
importance de premier ordre en ce qui concerne le rôle de la syphi-
lis
comme agent morbigène du tabes et de la méningo-p
xcuse. - Interdiction DES séances publiques d'hypnotisme EN Russe.-
lue
département de médecine du ministère de l'intér
ofonde émotion dans notre ville. » . UN ivrogne DANGEREUX. - Nous
lisons
dans le Temps : Un indi- vidu nommé Lef'evre, d
s ivrognes. B. Les hallucinations chez LES personnes saines. - Nous
lisons
dans the Journal of nervous and mentul diseuse
compte rendu de la première séance (nominations du bureau), il faut
lire
: « M. le Dr G1R.\UD a été nommé secrétaire gén
reaux du Pro- grès Médical. Bourneville. - Rapport fait au nom de
lu
commission chargée d'exa- miner le projet de lo
é (N°s 51 à 100). Prix : 3 fr. Pour nos abonnés 2 fr. MASSALOXGO (
lut
). Paralisi dissociata delnervo sciatico popliteo
a même place. D'autres fois ce sont des scènes des romans qu'elle a
lus
, dont elle devient l'héroïne. Elle voit des jardi
ans les auteurs. Elles acquièrent parfois une violence extrême, et on
lira
avec intérêt l'observation rapportée à ce sujet p
une foi entière et profonde en la réalité de leur halluci-nation. On
lira
avec intérêt dans le deuxième volume de Y Iconogr
liè-rement attachés. Nous avons fait usage de l'appareil myographique
lu
Dr Marey. Le tambour explorateur a été appliqué l
ujuo a om up^it^uo sur ig mcou* iu.uai-.«i pour îu trace ir i, c. sui
lu
jauijier antérieur pour ie iraco 11" i. T. Convul
e de Marc... Ler... est une femme sans instruction, elle ne sait ni
lire
ni écrire et n'a jamais rien appris. Elle n'en es
récit déjà entrepris, ou comme quel-qu'un qui, feuilletant un volume,
lirait
au hasard les premières lignes de quelques pages.
cole! » je m'en fiche; je vais à l'école chez lui... il m'apprenait à
lire
et à écrire..., etc. » Ce délire de la quatrièm
IQUU A. Marche des attaques. Durée. — Les périodes dont on vient de
lire
la description se succèdent dans l'ordre que nous
is le diagnostic difficile. Au sujet du petit malade dont on vient de
lire
l'observation, je ferai remarquer de quelle impor
sent à la première un rôle exclusif ou pour le moins prédomi-iianl.
Lu
, période épileptoïde est alors régulière et compl
rtie supérieure du corps, sans que les jambes y participent. » Le |)
lus
souvent il n'y a pas de chute, mais certains mala
» Chez cinq malades la commotion était presque toujours accompagnée (
lu
cri épileptique, mais moins prolongé qu'aux attaq
ouve surtout représentée par un de ses éléments, les altitudes illogi
lues
ou conforsions. Les grands mouvements n' occupent
nie particulière; elle soupire, chancelle, perd ses forces, ne sait |)
lus
ce qu'(dle veut, C(; qu'elle fait; accuse des dou
s. « Oui c'est moi qui l'a choisi, Ei-iiest!... Te rappelles-tu quand
lu
me chantais : Ne parle pas, Bose,... ); A ce mo
teille à la figure? Tu m'en contes des mensonges... Tu es un lâche...
lu
as peur de ta sœur, d'une gosse!... Tu ne seras j
s parmi celles qui m'ont paru le plus dignes d'intérêt. Obs. L Nous
lisons
dans Schurigius ^, que la fdle unique de Himpseli
venir de ce qui s'était passé dans le paroxysme (elle priait alors et
lisait
avec ferveur), ces intervalles, dis-je, furent pl
ection de la vision de l'œil droit, les tentatives que fait B... pour
lire
pendant que l'œil gauche est fermé, l'exclamation
tes, mais elle se refuse à d'autres. Le plus souvent elle ne veut pas
lire
, bien que nous nous soyons assurés, par d'autres
ériser ce symptôme que je n'ai point encore rencontré et dont je n'ai
lu
aucune description dans les ouvrages qui sont à m
lui levait un bras, ensuite l'autre, ils ne retombaient point; on les
lu
tournait en arrière, et on les élevait si haut qu
er à la malade ses actes et ses paroles, elle ne peut croire ce qu'on
lu
dit et en demeure très affectée..... 11 juillet
. cit. p. 75. 2. Au point de vue spécial oi^i nous nous plaçons, on
lira
également avec beau-coup d'intérêt robservation I
ler des baisers dont il me couvrait. D'autres fois le ca-davre venait
lire
par dessus mon épaule dans le livre que je tenais
aliénation mentale, par J. Moreau (de Tours). Paris, 18-45 p. U. On
lira
avec intérêt, dans le même ouvrage, le compte ren
st fait le champion des mêmes idées. 11 nous semble qu'il suffit de
lire
attentivement le récit des diverses expériences d
La démence, ajoute Morel, après avoir cité les lignes qu'on vient de
lire
, et dans tous les cas l'affaiblissement progressi
lion de l'oreille, de l'œil, à l'exci-tation musculaire, etc. On peut
lire
la description de cet arsenal dans le beau mémoir
s. Le seul coupable est la maladie. « Il est seulement à remarquer,
lisons
-nous dans l'extrait des preuves du procès, que to
ées pen-dant les longs mois que dura cette étrange procédure. Il faut
lire
tous ces volumi-neux procès-verbaux, la plupart é
fois de l'eau sur ce qu'elle disait avoir l'hostie au palais: puis à
lu
gorge. Peu avant la communion, ainsi que Barré lu
roulant, il conduisit son corps jusques au bout de la chapelle, où il
lira
une grosse langue bien noire, et lécha le pavé av
its contre cotre nom^. » i. Histoire des Diables, 'H.'Jl. Il faut
lire
la scène de l'exorcisme du 23 juin 1034, pendant
ssant et criant : « C'est à ce coup que je te réduirai en poudre, car
lu
es à moi ; » et tantôt dans un furieux éclat de t
s'y passaient. Il a laissé de son voyage une relation fort curieuse à
lire
aujourd'hui, adressée à Sa Majesté, et dans laque
par l'instruction (c'est à peine si un dixième de la population sait
lire
et écrire) les habitants sont d'ailleurs doux et
de ayant accepté, cette dame lui posa sa montre sur le front (c'était
lu
prétendue rjîiquej, et à linstant môme une crise
des scrupules religieux, obligea sa garde à prier pour elle, et elle
lut
elle-même plusieurs pages de ses livres pieux. Ve
t étudiés avec soin, et la résolution fut prise qu'une adresse serait
lue
le 1"" janvier 1858, recommandant les moyens prat
cris tels, qu'ds rappelaient à l'auteur les descriptions qu'il avait
lues
des champs de batadle ». La scène suivante avait
ns, les promesses, et autres passages de la Parole divine qui ont été
lus
ou entendus dans la jeunesse sans avoir été rappe
depuis, ou bien encore qui après avoir été dans ces dernières années
lues
d'une façon incomplète, à cause de l'in-suffisanc
et les hysté-riques est traitée dans son ensemble. Je n'insiste ici «
lue
sur le point particulier des at-taques d'extase.
e chapitre. — au heu de : Période des grands mouve-ments (c/onisTOe);
lisez
: Période des contorsions et des grands mouvement
sme). Page 73, ligne 8. — Au lieu de : nom pittoresque de clonisme;
lisez
:nom pitto-resque de clownisme. Page 196, ligne
Page 196, ligne 17. —Au lieu de : Mouvement médical, 1872, page 203;
lisez
: Mouvement médical 1872, page 303. Page 274, d
e 303. Page 274, dernière ligne. —Au lieu de : Pathologie de Reuin;
lisez
: pathologie de Requin. Page 303, premier mot d
de Requin. Page 303, premier mot du titre. — Au lieu de : Vriétés;
lisez
.• Variétés. Page 306, hgne 2 de la note. — Au
.• Variétés. Page 306, hgne 2 de la note. — Au lieu de : (p. 344);
lisez
(p. 310). Page 324, ligne 25. — Au lieu de M. D
344); lisez (p. 310). Page 324, ligne 25. — Au lieu de M. Duboisag;
lisez
: M. üubnsaij. Page 334, dernière ligne du titr
ière ligne du titre. — Au lieu de : aux autres périodes de l'attaque;
lisez
: aux autres périodes de la grande attaque. Pag
Au lieu de : les observations d'attaque d'hystérie accom-pagnées de :
lisez
: les observations d'attaque Jiystérique accompag
Jiystérique accompagnée de : Page 429, — Au lieu de : chapitre VII;
lisez
: chapitre VI. Page 441, dernière ligne. — Au H
VI. Page 441, dernière ligne. — Au Heu de : D' Alexandre de Livry;
lisez
: D' Alexandre de Sivry Page 494, ligne 14 et 1
494, ligne 14 et 15. — Au lieu de : aux quatre périodes de l'attaque;
lisez
: aux quatre périodes de la grande attaque. PAU
, en la priant de lui envoyer différents objets. 11 n'a plus le dé-
lire
de jalousie. On lui pratique une ponction lomba
s altérations des fibres à myéline des troncs sympathiques. Ce sont
lu
des examens peu faits pour l'étude de l'hypothè
PAR ARME A FEU A LA 1);'I'E 117 7 d'un examen de champ visuel, B...
lut
spontanément le nom du fabri- cant imprimé tout
eau en question et aussi de nommer les lettres compo- sant les mots
lus
auparavant. Lorsqu'au cours de l'examen suivant,
e mot A ! 6ert, il n'arriva point, malgré plusieurs exhortations, à
lire
ce mot, mais lorsqu'on y ajouta le mot Stille, il
nt que B...possède encore des fragments desôn ancienne e faculté de
lire
, et à l'aide de ces fragments on peut obtenir cer
rtains aperçus sur le mécanisme normal de la lecture. La faculté de
lire
couramment présuppose que le liseur dispose d'i
orrigées par la conscience, et donnent lieu à une révision du texte
lu
. L'exclusion visuelle à la lecture doit, pour êtr
es à un et à deux chiffres, mais, le plus souvent, ne réussit pas à
lire
les nombres à plusieurs chiffres; il est capable
e de B... est également sous la dépendance directe de sa faculté de
lire
: il peut écrire les mots et parties de mots qu'i
culté de lire : il peut écrire les mots et parties de mots qu'il sait
lire
, mais rien de plus. Lorsqu'on lui soumet le mot
compte de la forme des différentes lettres, sans pourtant arriver à
lire
ce qu'il vient d'écrire lui-même. Le nO'1l très p
st, Hullaryd, Sonamayd) tandis qu'il reste incapable d'écrire ou de
lire
le mot «heur » (monsieur) isolé : il garde l'im
sile) et Tyskland (Allemagne) que pourtant, à d'autres reprises, il
lisait
sans difficulté : du premier mot, il écrivit im
son alexie : il ne peut pas écrire autre chose que ce qu'il arrive à
lire
. D'autre part, ses exercices d'écriture nous se
s semblent pouvoir servir pour contrôler la valeur de sa faculté de
lire
: s'il a bien saisi le commencement d'un mot, e
ON ET FBOEDlm;;TIW1 une dizaine, et les lettres isolées que B. sait
lire
et écrire ne sont pasplus nombreuses. Les cas
one motrice n'exerce donc pas d'influence notable sur la faculté de
lire
. Par contre, B. arrive presque toujours à recop
frer immédiatement avant ; souvent il lui est arrivé de ne pouvoir
lire
la même lettre quelques instants après, et alor
il nous semble aussi qu'au cours de nos expériences, sa faculté de
lire
s'est quelque peu améliorée à mesure que ses im
cinq ans, et elle le reconnaissait première vue. Elle ne sait ni
lire
ni écrire,mais elle a voulu montrer un jour qu'el
nets pour prouver cette hypothèse et la légitimer d'une façon abso-
lue
. Ce n'est ni une forme mixte, ni une forme systém
glande pinéale, et Male- branche pourtant son disciple el qui avait
lu
le Traité de l'Homme avec tant d'admiration que
, comme on le voit dans la figure 5. Plus rarement une cellule très
lu
mineuse aurait tendance à devenir moins lumineuse
homogène contenant a son intérieur quelques grosses granu- lations
lu
.nineuses clairsemées. Contour du noyau lumineux.
Docent de Neurologie, médecin en chef il l'hospice Marcoutza.
lue
uucuresy. Peu de problèmes peuvent offrir aux p
un ancien proviseur de collège, M. Goijer, de Mônsleraas, elle peut
lire
couramment, et raconter ce qu'elle avait lu, el
Mônsleraas, elle peut lire couramment, et raconter ce qu'elle avait
lu
, elle paraissait d'une intelligence normale, se r
ement, le pouvoir d'accommoda- tion semblait être très bon, et elle
lisait
sans difficulté un texte imprimé en très petits
corps », ce qui avait duré jusqu'au cours de l'été. Caroline savait
lire
et écrire, mais à part cela, ses connaissances ét
n'avoir pas d'hallucinations ni d'idées fixes, disant que « C'était
lu
des idées ? » Son entourage était d'avis qu'il
raumatismes et que rien ne permettait de croire à une hérédo-syphi-
lis
, c'est précisément il un âge tardif que survient
s, mais un de ses camarades lui prête un autre livre de magie qu'il
lisait
le soir très tard en cachette. Trompant la surv
vaillait chez des jardiniers (1910-1911) ; seul dans sa chambre, il
lisait
, avant de s'endormir, des histoires de magie et n
it des gestes comme pour escamoter quelque chose)... Mauvais livre,
lira
pas des lectures « indécentes... les a lues tou
hose)... Mauvais livre, lira pas des lectures « indécentes... les a
lues
tout de même... étais forcé » On lui offre le l
ngera... Pour voir quoi... malheur ! magie ! magie ! Tropjeune pour
lire
ça. Pourquoi chanter cela ? » D. Voulez-vous qu
... Je sais tout... » qui me commande et qui m'a créé. Tant que je
lirai
cela, je saurai tout jus- ce qu'aux plus secrèt
raréfaction de la partie centrale du gliome. Puis au niveau de LI,
Lu
, on se trouve de, nouveau en présence d'une cav
musculaires striées ac- compagnées de tissu cellulo-graisseux (Pl.
LU
, B). La membrane papi I- laire s'applique exact
sphincters. Maintenant il est obligé de se servir de lunettes pour
lire
. Ce trouble date de l'année dernière. Le mala
des cas semblables parmi les nombreuses observations que nous avons
lues
.. Souvent, ce fait peut être expliqué parce qu'il
ja pierre, l'or, etc.) seulement comme un phénomène pur (phenomena }
lu
/'u11t) ». Dans le paragraphe 29 il continue : -
logie surtout du système nerveux central qui valent la peine d'être
lus
dans l'original. Il connaît l'effet de la paral
hésitation dans les mouvements. Dans l'observation qu'on vient de
lire
, une hémi- plégie de la motilité et de la sensi
D'O. III. Trois cas DE maladie DU cerveau; par W. M. OSLER ? Mém.
lu
à la Société médic. chir. de Jlont2,éal. (Canada
ues honteuses dont les Grecs ont fourni le nom. C'est après avoir
lu
dans un livre latin l'histoire de Tibérius et de
odermie, l'ostéomalacie des aliénés et la trophonévrose faciale. On
lira
avec beaucoup d'intérêt le chapitre IV, consacré
rophique en elle-même. Ces considérations sont fort intéressantes à
lire
et agréablement écrites, mais elles ne jettent
hèse de M. Chauvet a un avantage, c'est de rendre sa thèse facile à
lire
et à consulter. IV. M. Landouzy avait un sujet
plus grand profit pour des points de détail; mais, après l'avoir
lue
, il faudra que chacun se résigne à chercher, selo
« une grande difficulté, quelquefois même une impossibilité abso- «
lue
à se procurer un emploi. « Mme George Riley s'e
aux candidats dans le Progrès méd., 1880, p. 260, 358, 380. ! Voir
lu
programme dans le Progrés ntéd.,9 ss0, p. 300.
son lau=, gage est incohérent. Elle avait pu autrefois apprendre à
lire
et'à'écrire'mais n'a jamais'su faire^aucun méti
e droite un peu plus saillante. I....l - " (f '" 01, ., 4 L 1 li.
lut
J 41 'i. zip Encéphale. Poids total : 1260 gr.
sparu. L'année suivante, l'enfant put aller en classe et commença à
lire
et à écrire. Cette rémission prolon- gée parait
note d'entrée porte : « Intelligence ordinaire; apprend bien ; sait
lire
, écrire et compter ; bonne santé habituelle. »
le nombre beaucoup plus considérable des - U,.>\..j(jb r 1,( , l
lu
1 -. ,ir· p.'1. · J 1 .. noyaux et le développe
s le même pour tous les individus; en second lieu,'lorsqu'on trouvé
lu
;un certain métal agit sur un individu donné, ôn
Société de biolo- logie ; ce n'est que plus tard que nous avons pu
lire
les publi- cations originales italiennes : La m
raphie, bien plus riche qu'on ne serait tenté de le supposer; on la
lira
avec profit dans Mauduyt. Ce qui nous intéresse
c. antlaroph., p. 245). Il est très intelligent, mais il ne sait ni
lire
, ni écrire, il compte de mémoire avec la plus g
uye,,deiveloppeeûaurmaximiim. et .avec, le plus.de IIILJQ GllIJlJ",
lu
..LI111J.J]' ,.G1 ? f. .* ? i- . "1 jj ? IJ.i'-1 c
jij.ij" >. ^jn . si.p c "...fjjj ? njt.'jm 1879.) b zltloq Ils ,
lu
'1" ,971GT,ttI09 m;t)u'nb sbioq na MnûiTÎqn ? ,
(1 ! e ¡fptale, de toutes les[bran-, fI ? és 1 q'fJfqc[q ? pelte¡J [
lu
goûthdans la moitié antérieure^ du é6té gauche-
4 ans, fut prisai dans le cours de la'première année rl'Linèsvphi !
lis
.grave^de céphalalgie et de' douleurs le'lbng duJÍ
4 ? 'i annee de sa syphilis, ayant .plusieurs gommes sur, les bras,
lut
frappé'd'une hémiplégie droite. 1 Un,an apres ,
IGUE, ET SURAIGUE, avec huit observations; par S. G.·WEBBER. - Mém.
lu
à la 6'oc..me< ? c. de Boston'. (Boston met,
électricité en thérapeutique des mala- dies du système nerveux : on
lira
avec intérêt les développements que M. Beard a
mble du travail de M. Blaise est intéressant; ces recherches seront
lues
avec profit, elles font honneur à la jeune Ecol
c un malade de la même salle, atteint de cette affection. H. D'O.
LU
. Convulsions puerpérales ; par ALEX. BECKER. (Bos
otte dans l'ataxie a été rapportée par Cruveilhier. Dans un mémoire
lu
à la Société des hôpitaux, M. Féréol a décrit e
ne la relèveront point. Bien au contraire, même les cliniciens qui
liront
le plaidoyer de M. Despine condamneront sa client
ëntimëtrEnirëanche, ,léllgetioutduqcorpscalleuxtest °'ëgaissi' (5 ?
lu
§lgrâüiléi`épaisseur estr,del1 rhillimètres)';risa
du p.pi,e - C çpiaffelfgEssgoilejr 91) 9to·r tT9 retzJ2 2q tU9 nu
lus
,B'jbnoiv ,9(G7d9'I9J 9JrÎT1J2 Et 21Tf.9b tf9 te
orité des -(800.0 ypRsV, y,0finH)B0J su aJi-tiiMtJp 900 idyinuy ijq
lu
t coupes frontales. , . , , " ' z anoilaoup a
uuu 000010090 <»09qay 930 no 19ùiicla0Bil f;I interne o'il'JU
lut
) .9%f>l0Oi)09l fr.^Vn0,<A' tfT'AIfl^Mln'ï'n
, 9)Ç JR) démanseaisons si insupportables, que la malade redou- f
lut
) 'ÉliiDil(1 Ill) » .a''U rU^.<; : .(i '"ov) oo
, ± ,, , . moins ''i*V,'\tJ'iÛ,rA )I191,6)9 , =000 . .9 ? uit9)'n (
lu
Les éruptions et ces troubles vasculaires de. l
t atteints. Il ressent -''ni r.'ii, nui . e r. - - 'juj> i t'y i
lu
"a. ; , t" , 1, ? dans le bout des.doigts, surt
e la plante es,, - dsj est, senti ^mais n^ ? provoque ? aucun 1 i
Lu
.«e3î ? /odjB li jrid3 ailla 2EJIi 11111JfIDJ (tm
s qu'il ne peut être question pour aucun agent d'une valeur abso-
lue
. Il faut toujours tenir compte, en appréciant com
, l'étude des affections systématiques combinées de la moelle. On y
lira
avec intérêt de nouvelles observations : I. D
ronique cérébro-spinale. P. K. 608 REVUE DE pathologie mentale.
LU
. SUR LES hémorrhagies stomacales dans LE COURS DE
ont souvent des enfants hypermétropes que l'on a forcés à' tort de
lire
ou de travailler à la distance normale et qui,
et «151'il avait accepté de faire des, cours a l'Union française de
lu
jertrasst, qui cherche iL)répandre¡l'instruclio
cier. NÉCROLOGIE. 639 scientifiques. Dans cet ordre d'idées, il a
lu
récemment il la tYctv- Y01'/¡ Academy of Scienc
premier numéro est plein de travaux et de documents intéressants à
lire
, et, à en juger par ce premier fascicule, les'sui
ire, et, à en juger par ce premier fascicule, les'sui- vants seront
lus
avec soin et largement répandus.» " ' '* . ° 1
des. , , , 1" «-;or. Dans les fascicules que nous avons reçus, nous
lisons
les noms ! de MM. Charcot, Debove, Gombault, Bo
nd, 6l ? Alcool (emploi de 1' contre le delirium tremens, 33'v ;-(
lu
(lucn- ce de 1'), sur la production du la foli
tion du la folie, 33b. .llcuolisme (traitcment le l') et du dé-
lire
aigu, harBenett, 495;-par Rousseau, 496. Alié
des batraciens, par Mason. Tabès dorsal (rapports de la syphi-
lis
et du), par Westphal, 580 Températures cérébral
dé. N l, noyau lenticulaire. N r. SI., noyau rouge de Stilling,
Lut
. S, locus niger de Soemméring. L. par., lobule
ependant de déterminer d'une façon exacte la (1) Raton Y CAJAL, Tex/
lira
del sistema nervioso del hombre y de los vertebra
rie,on peut obtenir des empreintes très délicates sur lesquelles se
lisent
facilement les lignes papillaires qui peuvent p
a vie. Pas de délire. Affaiblissement de la mémoire. Ne sait ni
lire
ni écrire; ne peut compter jusqu'à 20. Elle ne pe
- ment et seulement jusqu'à l'âge de sept ans, et cependant il sait
lire
et écrit correctement. A 7 ans il a été placé «
, elle n'a pas de surdité verbale, il a été impossible de lui faire
lire
ou écrire quoi que ce soit. Le 20 avril, nous a
'à 20 ans sa vie s'est passée à l'hôpital général. Il sait très peu
lire
et écrire. Il fut ensuite placé chez un cordonn
d'accès d'épilepsie. A l'école jusqu'à dix ans et demi, a appris à
lire
très rapidement, possédait une mémoire excellen
é de congestion plus marquée dans le pôle central du ganglion. Le
lue
ganglion dorsal présente le même aspect, les lési
améliorent par le repos. Si, la malade étant assise ou en attitude de
lire
, on lui fait regarder en bas, vers le milieu de
me paraît très efficace. Il suffit de donner au patient un livre à
lire
, qui l'oblige à diriger la vue par en bas durant
tivement les ouvrages des aliénés, on apprend pour ainsi dire à les
lire
et on finit par relever certains carac- tères p
racle. A ses pieds, un petit ange tient un livre ouvert où l'on peut
lire
une invocation au Saint.- Tout autour, au sec
ns-nous con- sidérer comme exceptionnelle l'observation que l'on va
lire
et qui se rap- porte à un spasme bilatéral du s
tives. Disparition des libres nerveuses. Méningite intense. PLANCHE
LU
p, q, r, s) Début de la sclérose dans la portio
, c'est-à-dire des troubles de l'articulation des mots. En écoutant
lire
les malades que je vais vous présenter, vous n'au
intonation, qui souvent est tout à fait en désaccord avec la phrase
lue
par le malade. 'On voit en effet des paralytiqu
vec la phrase lue par le malade. 'On voit en effet des paralytiques
lire
sur un ton emphatique un banal fait divers, ou
te, montrant ainsi soit une incom- préhension absolue de 'ce qu'ils
lisent
, soit au moins un trouble profond dans le mode
ar la lecture. Interroge-t-on ces malades sur ce qu'ils viennent de
lire
? On constate ou bien qu'ils en ont perdu tout
it possible de lui poser dix fois la même question, ou de lui faire
lire
dix fois la même chose sans provoquer de sa part
atégories : ceux qui comprennent et retiennent assez bien ce qu'ils
lisent
, mais seu- lement pour un temps plus ou moins c
t pour un temps plus ou moins court; ceux qui comprennent ce qu'ils
lisent
mais ne le retiennent pas ; et enfin ceux qui ne
laires après l'audition des paralytiques généraux que je vais faire
lire
devant vous (1). La première malade que je vous
je pense, de la malade un récit complet de ce qu'elle vient de vous
lire
; et, de fait, vous la voyez faire de grands ef
s, comptable, dont l'affection date de quatre ans, et à qui je fais
lire
devant vous une historiette courte et (1) Nous
malade n'a conservé qu'un souvenir extrêmement confus de ce qu'il a
lu
. Sa seule préoccupation semble avoir été de pro
'il a retenu à peine le commencement de l'his- toire qu'il vient de
lire
, oubliant complètement le fait le plus saillant.
nce de souvenir, plus complète encore, pour une autre histo- riette
lue
la veille. Ce troisième malade, âgé de48 ans, e
ncement du fait divers de quelques lignes que je viens de lui faire
lire
. J'attire votre attention sur le ton monotone e
ès réduite, et la malade, sollicitée de répéter ce qu'elle vient de
lire
, se contente de répondre : « Je ne sais rien. »
rappeler un ou deux points très vagues de l'histoire qu'il vient de
lire
. A d'autres malades que je désire vous montrer
depuis un an à peine, est dans l'impossibilité absolue, après avoir
lu
, de se souvenir du moin- dre fait. Cet autre
des malades que je vous ai montrés,n'a eu autant de peine que lui à
lire
et à articuler les mots. Peut-être seriez-vous te
s sont dans l'impossibilité de conter l'histoire qu'ils viennent de
lire
. Quel- ques-uns comprennent assez bien, mais la
s comprennent assez bien, mais la mémoire ne retenant ce qu'ils ont
lu
que pour un temps très court, on assiste bientôt
t capable de faire un récit à peu près correct de ce qu'il vient de
lire
. Et je profite de cette constatation pour vous ra
taine intelligence de leur sujet; inversement d'autres malades, qui
lisent
de façon assez satisfaisante, n'ont qu'une appare
es inintelligibles, les lettres suivantes : z T . 1 . ' l .. ..
LU
IJv1 Lv Uv VUIIW;ICIIG Ut7V1116 ensuite 0117plete
OIS, Agrégé, médecin des hôpitaux de Lyon. L'observation qu'on va
lire
pourrait aussi bien être intitulée l9gopa- thie
ts de IYest Australien, de l3errer en particulier dont M. d'Etreil-
lis
écrit « qu'il ne serait pas West Australien s'il
au Docteur faire la nique. » Au-dessous du troisième personnage, on
lis
« Pierrot apportant un remède pour la guérison
' Mon moyen est sûr et savant, Mettez-le de suite en pratique :
Lisez
-lui, sans perdre un instant, · Tout un discours
), XXII. Nerf optique dans l'amaurose tabétique (A. Léri), L, LI,
LU
. Neurofibromatose (F. RUDLSIt), XXIX, XXX.
dit à propos quelques petites phrases. Trois enfants ont appris à
lire
couramment. 1° Bouil... n'avait rien appris jus
t aux ques- tions qui lui sont posées. 2° Goup... (E.) a appris à
lire
couramment, à faire des dic- tées, des problème
les, mais sa para- lysie l'empêche d'écrire. - Trois autres enfants
lisent
pres- que couramment. Beli.. (Charles), Derep..
et ceux de la grande école en trois sections. Aucun d'eux ne savait
lire
la musique et ne possédait de notions sur la th
er le timbre de leur voix. Les enfants sont ainsi parvenus à savoir
lire
eux-mêmes les notes, à en connaître la valeur e
e de la musique. Quand je les trouve suffisamment avancés pour bien
lire
un mor- ceau de chant et l'apprendre avec fruit
enfants se répartissant ainsi : MOUVEMENT DE LA POPULATION. LI
lu
PERSONNEL DU SERVICE. Évasions. Comme les année
n'a pas été recherchée. - Poids : H. gauche (90 gr.) ; - IL droit (
lis
gr.). (L'hyperhémie est plus prononcée à gauche
availleur et bon père de famille. Son instruction se borne à savoir
lire
et écrire. -[Père, 58 ans, cultivateur dans l'O
e bornée; son ins- truction est à peu près nulle, elle sait à peine
lire
et écrire ; n'est pas nerveuse. - [Père, mort à
amarades il tel point qu'on fut obligé de la rendre à sa mère. Elle
lisait
déjà avec difficulté, comme une myope. II y a
à la lumière, mais celle de gauche parait un peu plus petite. Pour
lire
, l'enfant appro- che le livre qu'on lui présent
r semaine. A l'école, elle n'a jamais rien appris : elle ne sait ni
lire
, ni écrire. - Pas de mauvais instincts, pas de
téressant les circonvolutions frontale et pariétale 'ascendantes et
lu
/mie paracentral (Société anatomique, 1876, p. 558
em- pérament très nerveux caractère exalté, a contracté le syphi-
lis
avant le mariage (35 ans). Un ou deux mois après,
cusé. Néanmoins, dés le début, me fondant sur le caractère du dé-
lire
, je l'ai considéré comme atteint de paralysie gén
frayeur : un incendie s'étant déclaré dans le voisinage, il vou-
lut
mettre à l'abri un fût d'eau-de-vie; celui-ci se
et pourra bientôt sortir. Antécédents personnels. 129 mari. Elle
lisait
alors un livre de vulgarisation de Debay, inti-
et en écriture ; elle écrit iL ses parents des lettres qu'elle sait
lire
; les spasmes persistent. Octobre. - Suspension
: il i nativement; l'intelligence se développe, l'enfant arrive à
lire
et écrire couramment, à compter jusqu'aux nom-
ions ; transferts ; population au ., .. 3) décembre 1895. Personnel
lu
III. QQI.1 ! 5lrnction d'un bâtiment de cent li
aient encore une acuité visuelle suffisante pour se diriger, pour
lire
même, autant toutefois que leur état mental le pe
lirante=. Mmo R..., trente-deux ans, avait déjà, étant jeune fille,
lu
crainte d'une grossesse si elle se mariait, à c
rises différentes, j'ai observé chez lui le fait suivant : Il avait
lu
dans un journal le récit d'un crime dont l'auteur
la crainte obsé- dante d'avoir pu commettre le crime dont il avait
lu
le récit. Apre* une courte période de doute con
e De MaLHERBE. Ce n'est pas sans un peu d'étonnement que nous avons
lu
le compte rendu d'un travail de MM. Charrin, De
, inti- tulé Grundriss der Psychiatrie. 1894-1900. C'est un livre à
lire
, cela vaut mieux qu'une analyse de seconde main
syphilitiques. M. Grasset (de Montpellier) envoie une communication
lue
par M. Marie au sujet de plusieurs cas de lésio
construction particulière rend le livre très captivant et facile à
lire
. Il traite par ordre de fréquence de chacun des d
, la nouvelle méthode si simple, inventée par lui, pour apprendre à
lire
à son propre chien. Il avait commencé par prend
auvage de r4t)e'o ? t et par nous pour des idiots qui ne savent pas
lire
mais reconnaissent l'image du mot, comme ils re
du mois d'août, moment où le délire du sujet passif est entré dans
lu
' CLINIQUE MENTALE. une phase active, que le su
sensible et émotive. En pension et au couvent elle aimait beaucoup
lire
les récits de descriptions fantastiques. Elle a
mais pour se donner de l'air, disait-elle, car elle étouffait. Elle
lisait
continuellement son livre de messe et à haute v
point de vue chirurgical. Déjà en 1887, dans un travail intéressant
lu
à la Société médico-psychologique 1, )[. Charpe
Comme le Dieu des chrétiens, elle va mourir sur la croix, elle l'a
lu
dans les journaux. Elle reconnaît de ses parents
, ses enfants, on va bientôt la guillotiner, la crucifier, elle l'a
lu
dans les journaux. On va la prendre à la place
ait un désordre des opérations mentales comparable à celui du rêve.
Lire
le mémoire. ~ P. IGRAVAL. XVI. Altérations des
xes patellaires ; hémianopsie gauche. Le malade ne peut presque pas
lire
, même l'imprimerie en gros carac- tères ; et dé
rases d'un livre, il doit avant déchiffrer le mot ; si il réussit à
lire
le mot, il l'écrit alors vite et régulièrement.
c une certaine difficulté. En lisant il oublie bien vite ce qu'il a
lu
, et souvent repète plusieurs fois une seule et mê
peut se rappeler que quelques mots isolés de tout ce qu'il vient de
lire
. Il déchiffre en épelant les mots écrits par lu
uchers. L'auteur s'associe à l'opinion de ceux qui pensent que nous
lisons
avec les deux hémisphères. La particularité du ca
ne alexie de ce genre a été décrite par GRASHBY (le maladie pouvait
lire
le mot s'il l'avait devant ses yeux en entier ;
mot s'il l'avait devant ses yeux en entier ; mais si on le faisait
lire
ce même mot par syllabes et qu'il ne voyait qu'
ait qu'une seule lettre et puis une autre, alors il ne pouvait plus
lire
ce mot. DISCUSSIONS. D' Mouravieff trouve que
à répondre. ».« Le cordonnier a soixante-dix-huit ans, ne sait ni
lire
, ni écrire et se trouve forcé d'avoir recours à u
stesse et crainte. La supérieure du couvent de Mont-Cenis lui ayant
lu
une lettre où le cardinal Louis-Antoine de -Noail
s sensations subjectives, il ne joue pas le rôle d'un simple stimu-
lus
anatomique venant exciter le centre sensoriel cor
elles. Fillette de sept ans, née à terme et sans accident. Point de
lues
chez les parents. Le père mort à la suite d'un
. Mère provenant d'une famille tuberculeuse, mais bien portante. Le
lues
et l'abus des boissons fortes sont exclus. Dix
ecins lui ayant interdit de travailler, il ne lit plus que prier et
lire
des livres de piété. En 1697 (soixante-trois an
sse dans la chapelle de cette abbaye. Mais sa soeur, lui ayant fait
lire
une lettre de Jean du Vergier de Hauranne sur l
t. Pour assurer la continuité du traitement, le rapport de nuit est
lu
chaque matin par le personnel de jour, et quand l
sûre. Le Dr Ro- bertson et le Dr Keay voudraient que cette personne
lût
une infir- mière d'hôpital diplômée : l'auteur
n de se lever le lendemain à deux heures de l'après-midi pour aller
lire
un billet relatif à sa santé et que je venais d
es, tous ceux qui s'intéressent aux questions de psychopathologie
liront
et consulteront avec fruit l'oe'uvre nouvelle des
phénomènes « hystériques » et sur les guérisons pas sug- gestion (
lisez
persuasion). Après avoir ainsi défini les accid
om qu'il a vu écrit là-bas).- Saturne est une terre abandonnée dont
lis
habitants parlent un grec écorché (,ic). Il est
c. AI. Doissier donne le résumé d'une observation analogue de dé-
lire
chez un médium. Observation qui sera communiquée
renga oublie de dire qu'il peint des exceptionnels. Si bien qu'à le
lire
, on croirait tous les Israélites d'Algérie bons
vre documentée, originale, utile et-ce qui ne gâte rien -agréable à
lire
, en écrivant cette thèse. lia montré la fréquen
l compris. Une notice mobile était jointe à l'ouvrage, et comme j'y
lis
« prière d'insérer », j'en extrais l'impression
ivres de premier ordre que chacun devrait avoir, et surtout devrait
lire
, car le sujet nous touche essentiellement et ce
d et l'hilippe, 103. Contri- bution à l'étude anatomo-patho- lo.i(
lue
et clinique de l' Cliar- cot ? lat-ie. par Sain
enus propres (1) ; 5 ont appris à manger seuls (2) ; 8 ont appris à
lire
(3). Le traitement du gâtisme, qui consiste à p
ture de chaque jour. La lecture au Syllabaire va lentement mais ils
lisent
et comprennent un grand nombre de nos mots impr
.. (Geor- ges) (2) et COTTE.. (Henri). Deux enfants ont appris iL
lire
couramment : 12° Ctinno.. (Victor) Idiotie prof
assistent aux visites du samedi et qui participent au chant savent
lire
leurs notes de musique. , En maintes circonstan
n octobre ne sachant rien. Lit maintenant quelques petites phrases;
lira
couramment sous peu. Est passé à la 2 ? = parti
es plus usuels. 13° COUDFYII.. (Georges), 13 ans. Il est arrivé à
lire
à peu près couramment. Plus en retard pour le cal
mai 1901 il la grande école, ne sachant pas syllaber. Est arrivé à
lire
à peu près couramment dans le syllabaire Hégimb
Sa mauvaise articulation de l's et du ch l'a beaucoup retardé pour
lire
couramment. Il est cependant passé à la 2e part
7 de trop la section ayant été conçue seulement pour 400 enfants.
LU
Décès, SORTIES. SORTIES, évasions. lui main
chez cette enfant n'indiquait l'intelli- gence. Elle ne savait pas
lire
, mais formait les lettres et les chiffres; elle
rtiges et accès nombreux). Cette enfant, à son entrée, ne savait ni
lire
, ni compter, ne faisait que quelques copies, sa
elle le développement physique et intel- lectuel. Elle a appris à
lire
couramment, donne à la lecture une bonne intona
e découvrir dans les écoles ordi- naires les arriérés de toutes soi
lis
et les idiots à diriger soit dans les asiles, s
essentiellement intuitif. - Tous les enfants arrivent Ù apprendre à
lire
, il écrire, à calculer, à parler assez correcte
és en liberté : Attentat contre le Dr Loir. Il est très commun de
lire
dans les journeaux politiques des articles cont
ne fait que reproduire en les exagé- rant maladroitement des récits
lus
dans des aventures de voyages, qu'il aime par-d
l'école, ses camarades se mo- quaient d'elle, ce qui l'irritait. -
lire
dentition en retard. Parole à vingt mois ; marc
a cause de la moindre inclinaison du col du fémur malade ? Quel est
lu
mécanisme de cette déforma- tion y Beaucoup d
pposé et limité par deux bords minces et tranchants. - Sur un avant
liras
de nouveau-né l'espace est relativement large,
sa famille qu'elle semble aimer beau- coup. Elle lit avec plaisir,
lirait
les journaux, si on les lui laissait prendre, l
lui a donné un livre de lecture ; son tour arrivé, on l'a forcée à
lire
comme toutes ses com- pagnes. Après beaucoup d'
e comme toutes ses com- pagnes. Après beaucoup d'insistance, elle a
lu
très couram- ment une quinzaine de lignes. Elle
érature rectale, est toujours au-dessous de 37°. (Voir page 169).
lu
Fcld ? idiote microcéphale à un haut degré, âgée
alleux. CGC, circonvolution du corps calleux. La lige indique le (
lu
parus, parlant du bord supé- rieur de l'hémisph
de son poids total. Im- médiatement après la saignée, nous avons
lu
dans le tracé que les Fig. 8. 'tracés pris sur
pression des artères carotide et fémorale. Les tracés doivent être
lus
de droite à gauche. Le tracé de la carotide se
s, t. III, 1882, p. 173. 2 NothnageL Maladies de l'encéphale, 1885.
Lire
les observations réunies p. 346 et suivantes.
eille. Or, jamais dans les observations de catatonie que nous avons
lues
l'hysté- rie n'a été sérieusement recherchée ;
uite). M. J. Séglas. Messieurs, ce n'est pas sans surprise que j'ai
lu
à la page 445 du dernier numéro des Archives, t
les dispositions de ces deux articles 20 et 21 qui nous occupent : (
Lisez
! lisez ! ) « Comment ne pas reconnaître, disai
ositions de ces deux articles 20 et 21 qui nous occupent : (Lisez !
lisez
! ) « Comment ne pas reconnaître, disait M. Bru
M. DELSOL. Il s'agit ici du médecin inspecteur. M. le Rapporteur.
Lisez
: le médecin inspecteur. 110 SÉNAT. M. de Gav
ssée de difficultés et d'obstacles, même pour le médecin or- SÉNAT.
lis
j dinaire, pour celui qui ne s'est pas spéciale
n vertu de la loi, ont le droit de les recevoir et le devoir de les
lire
et de voir la suite à donner. Il n'y a qu'avant
urs, dont l abonnement expire à cette date, de nous envoyer le plus
lut
possible le mon- tant de leur renouvellement. I
s heures après » ; pas d'autopsie. Le 10 mars 1883 , M. Charpentier
lisait
à la Société de médecine de Paris un mémoire re
araissent bien fonctionner. Observation IV. Accident occasionné par
lu
jroisiènte immersion; profondeur de 25 brasses;
'entendait un peu avec son entourage parla mimique. Il ne savait ni
lire
ni écrire. Pas de perte connaissance, pas de ver-
entendait, d'ailleurs assez bien, était la mimique. Il ne savait ni
lire
ni écrire. Pas d'aphonie. 168 CLINIQUE NERVEUSE
le membre tiré, en faisant un mouvement dans le même sens. Quand on
lire
, au contraire la jambe droite, la gauche fait a
mots, ni mémoire des mouvements graphiques, car ils ne savaient ni
lire
ni écrire. Ce trouble du langage est survenu br
egré élevé. (4). Les troubles par étiques des mouvements se loca-
lisent
surtout dans les membres supérieurs; la fai- bl
on relative ci la diminution de la responsabilité ? AI. Schuele. De
lu
valeur et de la recevabilité des sorties préma-
ques et les mieux conçues que j'aie jamais vues et que j'aie jamais
lues
. Jamais l'esprit humain n'a fait un effort auss
, comme internes dans un asile ' Cette commission était composée de
LU
. ) ! ourrt(*\'iUe, président et Doiiiiet, médec
se trouvent en communion d'idées délirantes. 1 Celte étude a été
lue
1 la Société de Physiologie psychologique, séance
forcément in- complète, en.raison même de la complexité de ce dé-
lire
. C'est aussi dans ces cas qu'on observe une autre
un nombre plus considérable d'années, elle est en proie à un dé-
lire
de persécution qui forme aujourd'hui tout un syst
l'on jette un coup d'oeil sur l'historique de cette observation, on
lira
« ses pieds « tremblent surtout au réveil et sô
dait et il pleurait, parce qu'il ne pouvait répondre. Il ne sait ni
lire
ni écrire. Il avait, en outre, des vertiges de tr
is il lui était impossible d'articuler un seul mot. Il ne sait ni
lire
ni écrire. L'invasion, aussi bien que la disparit
r les lésions du cervelet et de ses pédon- cules chez les épilel)ti(
lues
; ils attribuaient à ces lésions un rôle importa
oncules cérébelleux. « M. Bethomme, dans un mémoire sur le tournis,
lu
à l'Académie de médecine en 1833, cite l'observ
BtUAXD. SOCIÉTÉ PSYCHIATRIQUE DE LA PROVINCE DU rein '. Séance du
lu
novembre 1884. Après la réélection du même bure
système nerveux central. Sans doute, en bien des cas, elle se loca-
lise
surtout dans le cerveau antérieur, c'est-à-dire d
; mais il dépassa le but, prétendant, par exemple, ne plus pouvoir
lire
le journal, et énonçant 7ht)td au lieu de Deuls
chambre du conseil se contentera, après avoir examiné es pièces, et
lu
notamment le rapport détaillé qui lui aura été
sceaux, ministre de la justice. Il n'y a pas de jugement de sortie.
Lisez
l'article 27. M. le Rapporteur. C'est le même j
principales conclusions de cet ouvrage, que tout neurologiste devra
lire
en entier. Le type cérébral primitif des primat
la question si importante de la responsabilité des aliénés. - On
lira
avec intérêt ce travail riche en bibliographie et
s ? S'il en était ainsi, ce serait profondément regrettable. Nous
lisons
à l'article 4 que « tout admissible qui n'aurait
e récite plutôt de mémoire les courtes lettres que nous lui faisons
lire
: c Monsieur le docteur, je vais mieux. Je n'ai p
dans les beaux jardins de la Salpêtrière, et l'avais encouragée à
lire
. Un jour ses mains reprirent pendant deux heures
clé de cette nouvelle crise, elle nous raconta que le roman qu'elle
lisait
lui avait rappelé certaines scènes de sa vie in
à leurs injures. Elle entend répéter ce qu'elle vient de dire ou de
lire
, mais non pas ce qu'elle pense. « Ceci, ajoute-
PHIQUE sur le CINQUIÈME NERF; par David FERMER. (Brain, part. I, ,
lu
, p. 1.) L'auteur expose dans son discours d'ouv
qu'ils pensaient embrasser, le jeune Calmeil qui, la veille, avait
lu
l'éloge de Tournefort, ré- ponditavec enthousia
erdu la vue mais je dois avoir les yeux atteints puisque je ne puis
lire
que quelques minutes. Je dors généralement très
té nettement indiqué, est due à Armain- gaud. En 1876, cet auteur a
lu
devant l'Académie de médecine de Paris, un mémo
e par la lecture des ouvrages spé- ciaux. Le premier livre que j'ai
lu
, cefut celui d'Esquirol et je dis, encore aujou
tc.; Les faux témoignages des en- faîzts devant la justice. Mémoire
lu
à l'Académie de médecine (Anzz. d'hygiène et de
int devne historique de la question capitale de la responsabilité»,
lire
: «Au point de vue historique, dans la question
Page 343, ligne 21. Au lieu de : « Grand-père Louis de Bourbon.»
lire
: «Grand-père Louis de Bourbon, épouse la fille d
Etant enfant il a fréquenté l'école pendant quelque temps, il sait
lire
et écrire; mais, en somme, son instruc- tion es
. La graud'mère paternelle est morte à vingt-sept ans de tuber- 1
Lire
pour les rapports de la maladie de Raynaud et de
ration. Enfin, contrairement à Meynert, M. Korsakow sépare le dé-
lire
aigu de l'amentiaà cause de l'élévation thermique
sychologues aussi bien que les psychiatres auront grand profit à la
lire
. P. S. XIV. Les nouvelles recherches sur les él
s textes, et, ce qui est mieux en conversant avec les maîtres. Nous
lisons
, en effet, dans le travail déjà cité de 11. Cra
des psychiatres dési-' reux de bien comprendre les mémoires qu'ils
lisent
, à l'aide de l'exacte définition des termes ado
e ]X", t. XVI, p. 22 ? ) DELASL1UVE. Dit diagnostic différentiel de
lu
lypémaatie. (Annales médico-psychologiques, III
semaines. En quittant le lit, elle s'aperçut qu'elle ne savait plus
lire
. Elle pouvait voir et reconnaître les lettres ;
plus lire. Elle pouvait voir et reconnaître les lettres ; mais elle
lisait
des mots qui n'étaient pas écrits, pendant la d
ine intelligibles et raisonnables. Soit qu'ils parlent, soit qu'ils
lisent
, ils associent toute une pléiade de mots qui ne c
e des masticateurs. Fatigue rapide des muscles du corps. Quand elle
lisait
un vers, elle prononçait très nettement les deu
comment la chose peut être possible. -pfrrni "Xll7 t ? il ? ·rç.vn1
lu
", P'"Y, ..11, 4r.rlem j nJ elloj La première c
'e.ti Jiltf GIJY1/ OC 1J./ll Aiiti L ttit tttjt" .tt ? rj.l ? t Les
lu
nse ne, ^chez^-nos malades pourtobtenir ,duzsan
s,troubles, de la parole, qui peuvent-jpèmel dan xio-v ? ii'.m 'l -
lu
..a 11 c^xx ? ^i^o.i 4 1, ,x,f. ,i(,. ? i ? q qu
c.'oni ? -,... ? "...... ? 1" , ^ 1 * : i ff s aperçoit bientôt qu'
lis
se retournent lorsque 1 on lait.du.bruit dans l
ie, mais il est impossible^ de communiquer avec eux. Ils ne peuvent
lire
"une 1 phrase ,éritë;iet cependant ils 'regarden
dentition. Les accès ont paru ensuite. A onze ans et demi sait bien
lire
et écrire. Les accès augmentent; elle a une sér
ttement le sens de ce qu'il lit, mais n'articule pas mieux les mots
lus
que ceux qu'il prononce de lui- même ou après l
édical Journal, 22 septembre 1894, et Brain, octobre 1892.) A. M.
LU
. Anatomie pathologique DE la paralysie infantile
ourquoi M. Fleclisig m'a envoyé la lettre rectificative que je vais
lire
. D'après cette lettre, Feldmann avait des idées
einer. - L'observation du jeune homme de seize ans qui vient d'être
lue
, ne doit-elle pas, à raison de cette forme obsé-
Je crois intéressant de rapprocher de cette publication une note
lue
par M. Lambert àla Société de biologie (séance du
ions de M. Fried- 476 bibliographie. mann.Il est indispensable de
lire
en entier ce long travail. II sou- lèvera, je l
peut donner qu'une idée vague de l'ouvrage. Ce livre mérite d'être
lu
et médité, même par ceux si nombreux qui y sont
bibliographie. psychiatrique russe à l'académie de Pétersbourg. On
lira
aussi avec intérêt l'histoire de la femme possé
de ces dessins, l'un d'eux représente la guérison d'un épileptique,
lisez
hystérique, on y retrouve très bien reproduits
sie, faisant suite à des excès et violences de tout genre, ou qu'on
lise
au 1VO chapitre du livre de Daniel, l'histoire de
nfantile, par Leblais, 480. t·ur.nrcaamré, classification des dé-
lires
, liés à la-, p,r Evbot, 24-1. Baciudien, note s
à s'améliorer d'une façon remarquable. Cinq enfants ont appris à
lire
couramment : 1° Bel... (Charles), atteint d'ins
) atteint également d'arriération intellectuelle. Ces trois enfants
lisent
couramment, font des dictées, des exercices, et
et ceux de la grande école en trois sections. Aucun d'eux ne savait
lire
la musique et ne possédait de notions sur la th
rtenant a la fanfare. Presque tous les enfants savent, aujourd'hui,
lire
eux-mêmes les notes, en connaissent la valeur,
la musique. Quand les enfants sont suffisamment avancés pour bien
lire
un morceau de chant et l'apprendre avec fruit,
e tableau ci-dessus qui figure dans le Rap- port (I) que nous avons
lu
en décembre 1895 à la Délé- gation cantonale.
ilité intellectuelle n'est pas moindre. A peine ont-ils commencé il
lire
qu'ils veulent écrire ou compter, etc. Ils n'ob
fluence, de remédier Ù l'état de choses existant, qu'un rapport lui
lut
adressé, pour être discuté en temps et lieu ».
surveillé. Il aime assez les exercices de lecture, mais ne sait pas
lire
couramment, fait les trois premières opérations,
riture (de la main gauche) est restée lisible, mais il sait à peine
lire
. Sa tenue laisse à désirer. Ses mains surtout s
LS. pas de fièvre typhoïde, de rhumatismes, de dartres, de syphi-
lis
, de traumatismes céphaliques. - [Père, 64 ans, mé
l'orbite sous l'influ- ence de l'atrophie du globe oculaire. Nous
lisons
, en effet, sur l'observation : l'oeil droit est
est sclérosé et atrophié dans toute la région qui borde la corne (
lu
lobe temporal. La face interne de l'hémisphère dr
pprenait rien, puis elle s'y est mise progressivement et a appris à
lire
et à écrire. Elle connaissait ses quatre règles
de mémoire, de raisonnement, d'atten- tion. Elle sait encore un peu
lire
, écrire et coudre, ressemble physiquement plus
ssez tranquille, mais n'apporte aucune attention ; elle ne sait pas
lire
et peut à peine épeler quelques lettres. Elle s
écolage médiocre, avait fini par être entraînée et avait appris à
lire
, écrire, compter, etc. Jusqu'à 11 ans, la situati
a la manie de se sauver sans cesse dans les jardins. Il ne sait ni
lire
, ni écrire, ni compter, etc. La sensibilité gén
gique dans ses déductions. A l'entendre causer, on constate qu'il a
lu
beaucoup de romans-feuilletons, a fré- (IL[enté
raîner. S'y est mis au bout de deux se- maines. Se rend utile. Fait
lire
de petits camarades plus jeunes que lui. A eu c
e de vingt-quatre élèves, il occupe le huitième rang. Nous avons pu
lire
ses bulletins trimestriels, ils fournissent tou
n soin méticuleux iL concourir au nettoyage du service des bains,
lise
conduit bien, n'est plus grossier, est affec- t
up d'étudiants se plaignent d'être réduits à l'impuissance absolue de
lire
et d'appliquer leur attention au travail. Ils man
e de M. Dumontpallier. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. La correspondance comprend des lettres
ments suivants: le malade a été à l'école jusqu'à treize ans, il sait
lire
et écrire ; il est d'un caractère entêté, menteur
ons, qui ont entre elles ce lien commun de dériver d'un (1) Rapport
lu
au Congres des aliénistes français (Clermont-Ferr
en cachetées et faites de papier épais et opaque (Eusapia ne sait pas
lire
), et contenaient autant de feuilles de papier ave
lui-même, ces mêmes mots venant de nouveau à se présenter à ses yeux,
lu
sans épeler mais en embrassant d'un seul coup l'e
e, lettre par lettre, dans d'autres mots à lui inconnus et qu'il a pu
lire
en entier, appliquant, de son propre mouvement, l
propre main. La leçon, une fois écrite, Charcot se gardait bien de la
lire
ou de la réciter comme un exercice de mémoire.
, Bernadette Soubirous, chétive bergère âgée de 14 ans, ne sachant ni
lire
ni écrire, prétendait qu'une belle dame lui était
iscine. Au sortir elle reprend ses sens, ses yeux revoient, elle peut
lire
, elle se lève, affirme sa guérison et court écrir
la critique d'une expérience faite en vue de me convertir (2). (1}
Lire
les réflexions qui, dans mes articles sur la Veil
iothèque circulante aura une salle de lecture à Paris. Pour pouvoir y
lire
ou y emprunter des volumes, il suffira d'être abo
Le retour aux châtiments corporels. Le Dr Curier, dans un travail
lu
devant l'Académie de médecine de New-York, demand
les ultérieures, ne nous laissons pas trop émouvoir par ce qu'on peut
lire
clans des livres, ni surtout par les articles sen
Le procès verbal de la réunion annuelle du mois de Juillet 1894 est
lu
et adopté. La correspondance écrite comprend de
n travail. Charcot fit sur la pneumonie chronique, une thèse que nous
lisons
encore avec intérêt ; il la défendit avec beaucou
e en partie détruits : Zola en donne une description réaliste qui fut
lue
devant rassemblée. Tout de suite après, Marie f
ant transmis son journal à M. Durand (de Gros), celui-ci, après avoir
lu
le compte-rendu du procès criminel, n'hésita pas
première fois, a été signalée dans la science. J'ai souvenir d'avoir
lu
une relation de deux cas identiques extraite d'un
nir près de son lit un ange que Dieu lui-envoyait en vision. Cet ange
lut
apparut entouré d'une grande lumière, et lui prés
isuelle. Verbo-visuelle (une chose vue mentalement par I (1) le mot
lu
mentalement par i) id. Verbo-auditive id. id. e
NS VERBO-VISUELLES Induction verbo-visuelle. Verbo-auditive (un mot
lu
mentalement par I, entendu mentalement par i) I
ormule endo-physique ? On sait que Charcot a découvert que tout homme
lisait
, entendait ou parlait les mots de ses pensées ; d
sujets dénués de toute mimique interne, en aucune façon moteurs, qui
liront
ces lignes, ne comprendront certainement pas le f
e que parce qu'elle était une sanction sérieuse des études médicales,
lisez
et soyez édifiés : « Vous avez consciencieuseme
e de M. Dumoxtpallier. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. La correspondance imprimée comprend
n rappelant brièvement les faits que nous avons tous observés. Pour
lire
les pensées d'un des assistants, M. Wassilieff se
it prendre et serrer fortement les poignets par celui dont il voulait
lire
les pensées. Puis il prenait une attitude extrême
à fait différentes de son fonctionnement psychique. D'abord, pour «
lire
» nos pensées, il ne s'est pas adressé aux mouvem
sante observation que je n'ai pas eu malheureusement le temps de vous
lire
à notre séance du mois de Février: « Miss D...
e de M. Dumoxtpallieb. Le procès-verbal de la précédente séance est
lu
et adopté. La correspondance-manuscrite compren
nt le zona (considérations étiologiques). In-4° de î7 pages. Colin (
lu
.). Sensibilité comparée des réactifs chimiques
ant, mais sa maladie restait un pro- blème pour l'auteur, lorsqu'il
lut
par hasard l'article du D1' Oswald dans le Gltt
cas de crime, inutile même en cas de survie au suicide. R. DE il
LIS
(3 RAVL- CLAY. XIV. La folie dans la cientôle pr
voire même modifier mes conclusions. Pour la paralysie générale :
lu
signalons par un anamnèse détaillé, un examen m
t d'enlrain, que, depuis « un certain temps », il ne peut plus rien
lire
, quoiqu'il soit encore capable d'écrire courammen
capable d'écrire couramment. Il est dans l'absolue impossibilité de
lire
son nom et son adresse qu'il vient d'écrire de
grandes. Elles ont suivi l'école jusqu'à quinze ans et ont appris à
lire
et à écrire. Elles ont été réglées à peu près e
fo- leiller » et qu'elle ne pourrait prendre le dessus. Son père en
lirait
* prétexte pour la battre étant ivre. Prudenc
'obser- vation. Ils ont suivi l'école et ont appris tous les deux à
lire
et à écrire et n'ont jamais quitté, sauf l'un d
lphabet de Snellen des difficultés souvent insurmontables, mais ils
lisent
avec une grande facilité nos tableaux servant à
es différents degrés de la percep- tibilité différentielle; ils les
lisent
même jusqu'aux numéros les plus élevés de la sé
s caractères de nos tableaux d'un ton grisâtre encore net, mais ils
lisent
souvent à un éclairage suffisant l'écriture'de Sn
r à porter un diagnostic définitif. Aussi ai-je été très heureux de
lire
le travail de Babinski qui jette une vive lumiè
que dans les cas organiques ou douteux. Peut-être si l'on généra-
lisait
à tous les malades cet examen, arriverait-on à dé
c- compagnait de paralexie, de perte de la compréhension des mots
lus
et de troubles de l'écriture. L'état maniaque s
nt avec de la paralexie et de la perte de la compréhension des mots
lus
paraît relever de l'in- terruption des voies d'
femme a été guérie après cinq séances de suggestion hypno- tique.
Lu
fonction' sudorale, la vaso-motricité et la sugge
qui ont tendance à se replier sur eux-mêmes. Le malade a appris à
lire
péniblement au service militaire. Il peut à pei
ndés en 1870, sont organisés parla « Société des privat-docenten ».
lis
ont lieu deux fois par an, à Pâques et pendant
;OMt ! <es. C. Formes paranoïdes : 1° Démence paranoide ; 2° Dé-
lires
systématisés fantasques. ' VI. La démence paral
e de M. Proal est, en résumé, très instructif et très intéressant à
lire
. On y trouvera étudié avec le plus grand soin les
un déséquilibré ? Dans les nombreuses observations que nous avons
lues
dans cet ouvrage, nous avons retrouvé dans la p
tion- naire élaboré pour fournir des documents sur ce point, nous
lisons
: « Quel est le développement de l'enfant (observ
on de la plupart des circonvo- lutions, etc. L'observation qu'on va
lire
appartient à cette caté- gorie. Les cas analogu
ter la congestion active du cerveau au moins chez l'enfant, nous ne
lisons
pas moins dans un récent travail de M. Pierre M
e la pie-mère nous apparaissent énormes, tortueux, gonflés de sang.
Lu
pie-mère se détache facilement du cerveau, aprè
s tout cela sa chambre, l'appartement et tout ce qui l'environne.
lise
remit à rire et me dit qu'il était prit. Je décri
368 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. RITTI (A.). Eloge au Dr 7f. l31llocl
lu
f't la séance publique annuelle de la Société m
fibres nerveuses, et à la leucocytose des cellules. P. 11ERAVaL.
LU
. Troubles de l'équilibre consécutifs à une tumeur
s avec conservation par le malade de la faculté d'écrire et même de
lire
à haute voix les mots écrits sous la dictée. Déje
prouver la légitimité de cette subdivision. R. DE Musgrave-Clay.
LU
. Notes sur une épidémie de colite à l'asile du co
la plus importante, est celle relative à l'existence de la syphi-
lis
héréditaire, qui est pour moi, et j'ajoute pour l
r 1 centimètre de largeur. La dure-mère avait son aspect normal. Je
lis
la section de la dure et en séparant les lambeaux
l- leurs résultats dans les cas où l'opération vise à supprimer '
Lu
! gi Roncoroni. Trait, clini. dell' Epilepsia, 18
pendant l'emploi des doses fortes, le malade doit être maintenu au
lis
, et y rester pendant quelques jours après la su
dans divers sens (d'une étendue de 2 mm. en- viron). La malade peut
lire
et faire des fleurs, sans accuser de diplopie.
Les collègues, élèves et amis de notre directeur, M. Lacassagne,
lisons
-nous dans les Archives d'anthropologie criminelle
s palustres, par Sacquepee et Uupler, 141. - multiple epi- léi-ni(
lue
, par Bon(itirdtit, z périphérique avec optique
ie. par Régis. 449. infauto-juvéulle, har Giaunuli. 'c91. - cllez
lue
1)érécio-sylbilltique, par Marchand et Vtirpa
153, 181, 182, 3 4-i, 343, 369. liayner, 330. Ré"is 419 Regn;
lu
;t, J0, 18ï, 188, f89, 315. Richer (P.), î`3.
de l'aphasie, car on constate, non une perte de la mémoire des mots
lus
ou entendus et des images d'articulation, mais
a remarqué chez lui une certaine paresse de cette fonction. Il sait
lire
et écrire, son TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTA
clefs qui, placées sur des dépêches chiffrées, permet- tent de les
lire
et de les comprendre ? De même, en super- posan
s à la maison par un oncle qui les rencontra en chemin, ils réso-
lurent
de se faire ermites, et pour cela construisirent
e et dans cette intelligence supérieure. Causes DE la maladie. Je
lis
quelque part, dans sa vie, que Thérèse fut atte
âge de deux ans on la trouve en retard, elle ne peut apprendre ni à
lire
ni à écrire, mais elle sait compter. Elle s'occ
s. Signes de nanisme. Au point de vue mental, n'a pu apprendre ni à
lire
ni à écrire, a mis longtemps à apprendre à parl
ikt. (The Journal of Mental Science, juillet 1901.) M. Benedikt a
lu
avec d'autant plus d'intérêt le travail de M. B
t on distingue bien la forme et le caractère; mais sans pouvoir les
lire
. Enfin l'élément vital de l'image; ce sont les
o de la sensation originelle : 'par exemple, les mots que l'on peut
lire
à leur place, sans le secours du contexte, dans
dualité de cette aflec- tion. Des recherches anatomo-pathologiques
lurent
communi- quées par plusieurs auteurs, entre aut
, qu'il n'administrait probablement pas lui-même à l'épileptique ? (
Lu
Chronique médicale du 1 ? mai 1902.) " * Dr DAu
A la date du 18 juillet, les dépressions ainsi observées se loca-
lisent
de la façon suivante : 1" Deux de forme lenticula
ozz qui nous ont révélé ce que nous sommes. C'est là que Clotilde a
lu
que nous étions des « Castors », D. Qu'appelez-
c'est ce que j'ai cru comprendre. Il y aussi les demi-castors. J'ai
lu
dans le dictionnaire : « Castor, mammifère amph
ment. C'était encore rue Caulaincourt, par conséquent en 1900. Nous
lisions
ses papiers ensemble, dans la cuisine. D. Pou
rdinier se récrée à sentir le parfum des fleurs. » Si nous savons
lire
entre les lignes, sainte Thérèse a eu raison d'
eu raison d'appeler ainsi l'oraison d'union : il n'est pas diffi-
lis
l'hystérie DE sainte Thérèse cile de démêler, a
on jardin intérieur, je voyais que ce n'était pas un songe. » Que
lisons
-nous dans nos livres classiques sur l'extase ?
le diagnostic de la maladie : au sujet de la crise convulsive, que
lisons
-nous dans nos livres classiques ? Le plus souve
de ronger les vêtements. Etait à son entrée dans l'impossibilité de
lire
; il ne savait pas non plus écrire et avait peu
ses antécédents personnels. Elle a été à l'école où elle a appris à
lire
et à écrire. Le début de l'affection se fit à s
stri- bution des lésions et par la rapidité de leur évolution. De
lu
mort subite parruplure du cceur chez les déments.
; mais elle brûlait ses écrits, au sur et à mesure, n'osant pas les
lire
à autrui, par crainte de n'être pas comprise, et
rs lettres à M. J..., qui déclarait : « C'est étonnant. on croirait
lire
un écrivain ! » Ce fut une période de bonheur
eurs et ses protestations. Les passants s'arrê- taient, étonnés, et
lisaient
ces incohérences, les uns souriants, les autres
parlait de la guerre du Transvaal, sa mère s'écria : « Comment, tu
lis
le journal et tu ne vois pas que c'est nous les
que les troubles respiratoires, la polypnée, le hoquet, la toux, le
lire
, etc., qui constituent des accidents fort fréqu
auteur, dont les rapports sur l'asile de Stéphansfeld sont toujours
lus
par nous avec le plus grand intérêt, parce qu'i
r le Dr Dubuisson, le successeur du D1' Dagonet à l'Asile clinique (
lu
parle D Quesneville), l'autre par le Dt L. Picq
ance, dont il avait toujours pleuré les désastres. BIBLIOGRAPHIE.
Lu
liquide céphalo-l'achidien; par J.-A. Sicann, che
é son livre en quatre chapitres. Le premier, que tout étudiant doit
lire
, a trait à la technique de la ponction lombaire
r; l'enseignement du Pr Raymond. Le second, sous une forme concise,
lira
avec fruit un chapitre nouveau dont s'est enric
frères Lionnet... Les aliénés en liberté Lugubre individu. Nous
lisons
dans la Gazelle des Bains de mer de Royan du 14
océdé protecteur qui semblait soulager la peur. L'obsession n'est
lis
7 1 CLINIQUE MENTALE. souvent que la forme aggr
lles. 526 - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Quand il ne pouvait plus
lire
, il écrivit, et la suite de ses volumes est le
n terminant, se demande comment les livres de Nietzche peuvent être
lus
, et surtout loués. 11. de MUSGHAVK CLAY. M. I
etzche un des plus rigoureux penseurs de l'Allemagne moderne et ont
lu
et admiré ses oeuvres sans s'apercevoir qu'il é
bouche, voient par ses yeux, etc. - Un jour (juillet 1888) qu'elle
lisait
le journal, elle l'a jeté de colère parce que c
isait le journal, elle l'a jeté de colère parce que c'était eux qui
lisaient
; en effet, t, sa langue marchait malgré elle pe
saient; en effet, t, sa langue marchait malgré elle pendant qu'elle
lisait
. Ils lui parlent intérieurement, sans qu'elle l
uvements de la langue. » Les deux observations que je viens de vous
lire
me paraissent des plus nettes à ce même point d
t constate d'abord lui-môme que, depuis qu'il se connaît, il n'a pu
lire
ou penser qu'à l'aide de l'articulalion mentale
t. Il a crevé deux jours et demi après l'opération. , . Autopsie.
Lu
cote atoll, ue lu LULU, un 1 ullint Littij une pl
jours et demi après l'opération. , . Autopsie. Lu cote atoll, ue
lu
LULU, un 1 ullint Littij une pluiu fraîche, arr
termine au niveau' du bord postérieur du pavillon pédonculaire. » l'
lus
loin, il DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLF
locq. - Nous retrouvons, chez nos deux malades, l'impotence abso-
lue
pour les mouvements associés de la station 'debou
et escrocs ; 4° les meurtriers. M. Cramer vient soutenir le mémoire
lu
par lui il la dernière séance. D'un groupe déte
r, ce qui a été unanimement accepté par l'assemblée. - M. EPOFF a
lu
ensuite une communication « sur la structure des
atomiques et fonctionnelles du système nerveux. - - " M. Tokarski a
lu
les principales conclusions de son travail « sur
éréditaires, mais elles dépendent plutôt de l'alcool ingéré. Le dé-
lire
alcoolique des dégénérés ne ressemble pas au déli
est-il pour quelque chose ? Réponse doublement affirmative, Il faut
lire
ces mémoires pour se rendre compte de la discussi
nt et sous la dictée sans se tromper, mais il lui est impossible de
lire
l'imprimé ou l'écriture manuscrite; elle écrira
lle écrira par exemple fort bien son nom, mais sera incapable de le
lire
. Elle reconnaît relativement bien les nombres,
des résultantes de fonctions, ne peuvent avoir d'organes. Il faut
lire
page par page les recherches sur le centre de l'a
d'être distinctes, coïncident et ont un siège anatomique commun. A
lire
aussi les organes nerveux musculo-tendineux, ces
'épilepsie corticale, déjà très résumé par l'auteur, demande à être
lu
et per- drait à l'analyse. En résumé, ce trav
ployée ne fait que relever l'esprit de ce livre, qui demande a être
lu
et relu. Charpentier. VI. Des mouvements de sal
nseil général du Var,' M. MICHEL demandeque lebudgetde l'asile soit
lu
, article par article, en séance publique. Plusieu
urn., 4890, p. 804.) LES ALCOOLIQUES. - Hier soir, vers dix heures,
lisons
-nous dans le Pans du 27 mars, un journalier nom
ancienne, car, de toute éternité, il y a eu des persécutés. On peut
lire
dans Pinel et Esquirol, pour ne citer que ces d
Délire de Persécution sous le nom de Lypémanie ambitieuse. On peut
lire
ses observations dans les Ann. méd. psychol., 187
x ans, est arrivé à l'âge où l'on devient presbyte; il ne peut plus
lire
sans lunettes. Loin d'at- tribuer ce fait, si s
tte nouvelle manoeuvre de ses ennemis : t quand je vais quelquefois
lire
à la salle de lecture, on me sup- prime la vue.
. Les deux tiers des pensionnaires fréquentant la salle de lecture,
lisent
et écrivent sans lorgnons. Je me suis fait envoye
non de conserve. Pendant les premiers jours que je m'en servais, je
lisais
parfaitement. Les gens qui me dirigent la vue son
e nie dit : c Fainéant, t'en veux ? * Je n'ai pas compris. Quand je
lis
, on suit mes idées et on me les vole... Tout ce
1870 l'ont vivement affecté et ont compromis sa situation. Le dé-
lire
s'est développé peu à peu : il a éclaté avec une
sonne; il se renferme dans un silence dédaigneux, passe son temps à
lire
et à dessiner, tout en étant resté très irritable
ICULAIRE BRACHIALE TOTALE; Par le D' ONANOFF. La note que l'on va
lire
est en quelque sorte le résumé d'une leçon fait
e. Jamais il ne parlait du suicidé, ni de son embourbe- ment. Il ne
lisait
pas de romans, mais seulement.des livres de sci
tement DU LOIEET. Dans la séance du mercredi 19 août M. Verdureau a
lu
le rapport sur le service des aliénés. Le Conse
fois les hallucinations persistant, la malade systématisait un dé-
lire
de persécutions, dans lequel le diable et les prê
té leur appartement avait oublié quelques livres de piété; elle les
lut
, découvrit alors qu'elle avait tous les vices,
gazouillements d'oiseaux), une complète surdité même au contact de
lu
montre sur les os du crâne ; en même temps inca
lte]; par C. Eisenlohr. (Neurol. Cetttrrll6l., 1882.) Observation u
lire
en entier. P. K. iI. L.f.1'l' .\NA'10110-L'.IIH
ollissement de la partie postérieure de la troisième frontale et de
lu
partie inférieure de la frontale ascen- dante d
. VARIA. 109 11. BnraNU. Daus l'intéressant mémuire tu'rl meut de
lire
, 11. Ké- raval nous parle de l'action narcotiqu
neumonie chez les enfants ; par SAUDOST. Thèse de Paris, 4884. De
lu
pe)'m't<0 ! 'r/t<}6; par 11a1.Ccu'r. Thèse
.., sur lesquels nous devons insister dès main- tenant. Après avoir
lu
dans tous ses détails la relation de ce cas, on
consi- dérable dans l'étude de l'aliénation mentale. j Iti- ,1 ,
lu
. REVUE CRITIQUE , ' 1 1 14 LA SYNONYMIE DES
llze greal giiaîgiiîalgyî,tis(Ttirner); Gyrus orbilalis iîz tt>î,
lus
(M'ci ssba eli 1). Tout le segment situé on deh
le ou lobule temporal supérieur d'Hugueuin (erreur typographique' !
lisez
pariétal); Ancienne seconde pariétale des Franç
p ! 'a;<0 ! ')', et ceux de ses collègues de France qui pourront
lire
cet article (impossible à analyser en raison mê
loië; lâ, s3=pliilis éntyévanf I...i il. - i ? , l 1 1 ? ,. e ) i'd
lu
f elle, lient une alacé çôusi(3eyavlé âa riint"
nul. ' ? 1;EVUDEP1'HOLOG1H IL11 ? 1LE. 21 t -r^J ? ir Déut;yrc7 ?
lu
PSPS* ? Ai l'gsssepb4e c>ies cL s elle ^ 91JÎ9
1'rrfz 9«b f29 911lq0711;. 111^ C.nLynD ssl Jno6 ,xuonurlulov osa 8
lu
ovuoij no q4ffil-iqffloj oy's'1 et 3b XXX. Tnoz
rhvr JII : ,poi. L-^mim mes iIEDPûHi iFsÛdûtiri 215 J aujil /.il
lu
^lliJU.lOlliA-i tin du *Vl.>i fL, V; luiopsi
utieuse information, une ,lrOlÛ'dlll : l ia, JeT9dtte.r( t.tJLth.(LÛe
lut
p rPiicd'urlé11 £ 9(t ? t'nu .113q jnu'taùunq &
ment jlçs, folies, véritables, mais J1..(.% 1 iJn n IIJJ 1r .(J .fi
lu
·.GI . `J uF1- ? Jf u a. de simples ,, nçviooi e
ar"t e·() ? )=iItliSIDEnGE DE.11L`Jor.Lr (de Strasbourg).1 ! itn ?
lu
;> ,'(J;1f38 8(xz.f ? 97J(1. > «*<xi~
blës'1 locüï °dul'sj·sténie' `ïzéivëûâ central,6de`foÿershémorrhaôi`
lues
`et`emboliques, ellncidemment dé troubles 'génér
st une'encéphalite'interstitielle.riD I * .1." ,u M. Witkowski. Sur
lu
névroglic. L'auteur rappelle que. dans un trava
fournissent un premier jalon sur le mode d'application, le genre,
lu
dose des enseignements pédagogiques à mettre en c
eil de fermeture. Quand 0 : 1 n'y touche pas, il faut sur l'échelle
lire
de 0 à i milliani- pères en passant par des dix
s, les soixante premières heures de la nais- sance. (Ohs.deM. Féré,
lue
à la Société de biologie, octobre 48831. Charpe
isant que nous avons remarqué les causes d'erreur que l'on vient de
lire
. Puissions- nous avoir rempli notre programme !
(Journal of mental Science, avril 1883, p. 55.) Ce mémoire a été
lu
devant l'Association niédico-ps3 chologiqlle an
le texte typographique soit petit, moyen ou gros, le malade, qu'il
lise
à haute voix ou à part soi, ne peut as- sembler
côté, et, après une suspension de quelques instants, il se remet à
lire
quelques mots comme tout à l'heure. L'analyse d
ade succombait quelques mois après l'apparition de la difficulté de
lire
, à une apoplexie; un autre mourait un an plus t
rreur, qui n'a pu être réparée, de l'imprimeur lithographe, il faut
lire
les lettres 1 rebours. ? /%, F3, Première, second
tion des- quelles est attaché le progrès, cl nous pouvons vraiment «
lire
que ce Journal est le Moniteur de la science nouv
; mais pour continuer celle copie, vaudrait autant et encore mieux le
lire
dans son entier; nous nous attacherons donc par l
en mal. Son état s’est amélioré dans ce mois, ainsi que la surdité; »
lu
21 mai au 5i , les bains ont été pris à quarante-
précises à ce sujet. HÉBERT (do Garnay). INSTITUTIONS. Société «
lu
Journnl du BSapirtlsnir, {raison în.Btru et c°.
eur, Nous nous y attendions, M. Barlhet nous avait promis de porter
lu
sujet en discussion entre le magnétisme et l’homé
gent très-actif, dont la principale propriété est d’entraîner hors «
lu
corps, et principalement par les extrémités, tout
euve que saine, L’on peut créer des maux dont on guérit sans peine.
Lisez
plutôt les faits écrits dans l’Organon , L’on n
de ses adversaires, et parfois appelait les cartes pour eux. « Il a
lu
aussi avec assez de facilité des phrases écrites
ait agréablement surpris de ce concours de monde. Un des assistants
lira
sa montre, cl, quand arriva la minute fixée, Féli
bre, à F hôpital homéopathique de Londres, en présence des membres de
lu
Société homéopathique anglaise et de plusieurs pa
7. FAUTES ESSENTIELLES A CORRIGER. Page 286 ligne 9, autochtones,
lisez
: autochthones. 324 — 25, ne peut s'appliquer a
es, lisez : autochthones. 324 — 25, ne peut s'appliquer au cerveau,
lisez
: au cerveau des bêtes. 340 — 17, que suit, lis
iquer au cerveau, lisez : au cerveau des bêtes. 340 — 17, que suit,
lisez
: qui suit. 357 — 22, ils tournent, lisez : il
es. 340 — 17, que suit, lisez : qui suit. 357 — 22, ils tournent,
lisez
: il tourne. 360 — 22, en quelles circonstances
tournent, lisez : il tourne. 360 — 22, en quelles circonstances il,
lisez
: en quelles circonstances ce mouvement. 361
sez : en quelles circonstances ce mouvement. 361 — 4, adducteurs,
lisez
: abducteurs. 395 — 23, mais cette, lisez : mai
t. 361 — 4, adducteurs, lisez : abducteurs. 395 — 23, mais cette,
lisez
: mais toute. 396 — 3, ces propriétés, lises :
395 — 23, mais cette, lisez : mais toute. 396 — 3, ces propriétés,
lises
: ses propriétés. — — 5 de la note (1), regrett
opriétés, lises : ses propriétés. — — 5 de la note (1), regrettent,
lisez
: rejettent. 419 — 2, sans doute, lisez : il est
5 de la note (1), regrettent, lisez : rejettent. 419 — 2, sans doute,
lisez
: il est vrai. — — 28, évoquer dans, lisez : év
nt. 419 — 2, sans doute, lisez : il est vrai. — — 28, évoquer dans,
lisez
: évoquer ainsi. 490 — 2 de la note (1), rêvant,
évoquer dans, lisez : évoquer ainsi. 490 — 2 de la note (1), rêvant,
lisez
: veillant. 513 — 4 de la note (1), il est arri
), rêvant, lisez : veillant. 513 — 4 de la note (1), il est arrivé,
lisez
: il arriva. 519 — 14 delà note (1), infectaret
est arrivé, lisez : il arriva. 519 — 14 delà note (1), infectaret,
lisez
: insectaret. 563 — 28, raisonner avec, lisez •
note (1), infectaret, lisez : insectaret. 563 — 28, raisonner avec,
lisez
• penser avec. 577 — 15, qu'ont poussé, lisez .
— 28, raisonner avec, lisez • penser avec. 577 — 15, qu'ont poussé,
lisez
.-qu'ont poussés. 594 — 14, les tristes, lises
— 15, qu'ont poussé, lisez .-qu'ont poussés. 594 — 14, les tristes,
lises
: ces tristes. 617 — 24, explique, lises : impl
. 594 — 14, les tristes, lises : ces tristes. 617 — 24, explique,
lises
: implique. 624 — 28, la démonstration, lises :
617 — 24, explique, lises : implique. 624 — 28, la démonstration,
lises
: la réalité. ANATOMIE COMPARÉE DU SYSTÈME
être considéré comme une sorte de roman. Toutefois, il mérite d'être
lu
et médité ; on y verra une preuve de la grandeur
s sont si compliquées, qu'il faut les résumer en priant le lecteur de
lire
ce résumé en ayant toujours les figures sous les
s, l'habile anatomiste que nous citons ici fait ses réserves, et nous
lisons
, à la fin de son livre, ces lignes remarquables :
ie, mais aveugle, mais sourd, mais absolument dépourvu (1) Mémoires
lus
à l'Académie des sciences en 1822 et 1823. —M. Fl
hez les mam- (1) Mémoires sur la physiologie de la moelle épinière,
lus
à l'Académie des Sciences, le 27 août et le i sep
ce genre, et elles arrivent fréquemment aux gens qui, ayant beaucoup
lu
et beaucoup entendu, ont plus de sensibilité que
. Un de mes amis, musicien distingué et doué d'une ouïe très-subtile,
lisait
à côté de moi. Voilà qui est singulier, lui dis-j
, de Montauban, que dans cet état on puisse voir dans les ténèbres et
lire
les yeux fermés ou même au travers d'une feuille
t. Tel était cet Oporinus, compagnon du père de Félix Plater (5), qui
lisait
, tout endormi les textes grecs que son ami corrig
m carere potest, nisi tanta esset cerebri nervorumquc col-lapsio, tan
lus
succi nervei defectus aut crassities, ut cerebrum
tigia sunt. — Ni-eephnri, Scholia in Synesium interprète A. Piehonio.
Lu
!eti{E, 1580, fo!. 22 a. nés ont en quelque sort
e, car je suis ton image; le lendemain du jour où tu auras deux fils,
lu
viendras dormir à ma place. » Cette femme eut mal
res, dit Plutarque, et qu'il lui « restait du temps, il l'employait à
lire
jusqu'à la troisième « garde, heure à laquelle le
mère le meurtre de son enfant. Mon ami, M. le docteur Archambault, a
lu
à la Société des Sciences médicales, plusieurs ob
ants prophétisent, donnent des nouvelles des lieux les plus éloignés,
lisent
au travers des corps opaques, de manière à justif
juste eût été une preuve de lucidité, sans réplique. Les somnambules
lisent
, dit-on, à la page qu'on leur indique (1) Bulle
c'était l'hémisphère droit; mais quelques' lignes plus bas, nous
lisons
que, chez un vigoureux ! jeune homme, tantôt le
ment bactério-typhoide. P. K. IX. SUR LES TROUBLES DE la faculté DE
LIRE
CHEZ LES paralytiques généraux ; par G. R.1BD.S
orceaux de prose ou de vers dépourvus de mots peu usités, faciles à
lire
et à comprendre pour tous les prolétaires (voy.
n note cependant que tous les autres aliénés conti- nuent à pouvoir
lire
correctement de même que les gens les plus avan
lésion et les interprétations de l'auteur, il est indispensable de
lire
le mémoire. P. K. XXXII. De l'influence exercée
entrés pour délire consécutif à l'usage du haschisch, 13 pour dé-
lire
alcoolique, 6 pour paralysie générale; 403 sont s
hmétique sur des nombres de plus de trois chiffres, les seuls qu'il
lise
encore, qu'il est obligé de compter sur ses doi
. Sur les rapports qui existent entre les phénomènes ten- dineux et
lu
réaction dégénérative. - Mémoire publié à part'.
sont recueillies et mises sous cachet par le président; elles sont
lues
publiquement par leurs auteurs sous la surveillan
tionnellement larges et longs. Les membres et le dos étaient poi-
lus
. La tête était grosse; les fontanelles n'étaient
- Idiotie avec arrêt de développement du corps et type crêtineux de
lu
face d'origine congénitale ( ? ). - Pas de goitre
usqu'à dix-huit ans. [Son père, journalier aux champs, ne savait ni
lire
ni écrire; il était sobre, bien conformé et est m
son âge on doit lui laisser une entière liberté, ne sait pas encore
lire
, mais écrit un peu; stationnaire sous tous les
e; rien à l'auscultation. 30 janvier. - Poids : 31 kilog. Taille : ,
lu
.23. Juillet. Poids : 34k5OO; Taille : i m24.
. , Par le Dr BABLNSKI, Chef de clinique des maladies nerveuses à
lu
Sdtpctriere. Observation III (résumée). R..., b
ection organique de la moelle ou des nerfs. Il suffit, en effet, de
lire
attentivement l'observation pour rejeter d'une
mental. Intelligence moyenne, cul- ture rudimentaire, sait à peine
lire
et écrire. Il a un peu d'am- DE L'ATROPHIE MUSC
une paralysie hystérique, et bien que le temps me pressât je vou-
lus
essayer si la suggestion hypnotique n'en aurait p
oment dans sa lecture ou dans sa conversation, et puis recommence à
lire
ou à parler très lentement et avec attention, i
ucune. Le développement de la mala- die, ses particularités, sont à
lire
dans le mémoire, ainsi que l'examen objectif du
erveux central, par Tu. RUMPF. (A9'CIE. f. Psyeh., XVI, 2.) I. De
lu
syphilis du cerveau et de la moelle. - Un homme d
veuses des cornes antérieures sont aussi atteintes. Intégrité abso-
lue
des petites cellules nerveuses de la moitié supér
tal gauche. Telles sont les principales particularités de ce fait à
lire
en entier. P. K. XLVII. Communications NEUROP
ci n'offre originellement aucune défectuosité cérébrale. SARDINE.
LU
. Automatisme EPILEPTIQUE ; par le Dr ALTHAUS (Ana
lle ne différait en aucune façon des autres enfants et elle pouvait
lire
un chapitre de la bible ou une histoire aussi b
ements et si stupide que toutes les tentatives pour lui apprendre à
lire
et à écrire .furent vaines. A huit ans, elle vint
pour formuler la réponse. I Système nerveux.-La malade ne peut ni
lire
, ni écrire, et tout essai pour lui apprendre qu
adier, 54. Hypnotisme (de 1'), par Jendras- sik, 43. 'l'.lltLti
LU
: MATIÈRES. 427 Hystérie (traitement de l'atta-
yphiliques), 409. Paralysie générale (troubles de la faculté de
lire
dans la), 67 ; - (et sclérose latérale), 71 ;
ient dans l'impossibilité de distinguer aucun objet, sont arrivés à
lire
les caractères les plus fins, et ils se considère
e un tremblement tellement fort que l'écriture est très difficile à
lire
. Amélioration notable du tremblement pendant le
u de décembre, la patiente a observé tout d'un coup qu'elle pouvait
lire
des lettres écrites sur les murs, qu'elle ne pou-
vent plus d'un quart d'heure. - Une de ses soeurs est aliénée (dé-
lire
des négations avec idées mystiques) ; l'autre est
empêcher autant que i Ce rapport, dont nous exprimons le suc, a été
lu
par son auteur au Congrès annuel de la Société
prêtent pas du tout à cette opération. Il se trouve qu'on ne peut
lire
facilement que les pensées qui supposent un mou-
nt venu'à Paris pour ses affairés, et se reposant au café, il avait
lu
dans un journal' un fait divers dans lequel il ét
pas couronnés de succès, on avait recours à un dictionnaire dont on
lisait
parfois un grand nombre de pages avant de trouv
il n'avait jamais eu l'intelligence déve- loppée : il ne savait pas
lire
; son caractère était doux. Il fumait beaucoup e
sidérablement amélioré depuis son entrée. A ce moment, il ne savait
lire
que les lettres, n'écrivait que mal et en gros
moins éducablé.'1 r1ü'mom'eilt''de"sonadmission, il ne savait guère
lire
que les lettres et syllabait avec'peine en béga
gayant beaucoup;til écrivaitlun.peu,"unais très-mal et ne pou- vait
lire
son écriture; il était- à peu près nul en calcul,
ant après, il récite à haute voix plusieurs lignes d'un livre qu'il
lisait
cesjours derniers, à Bicêtre même. Après quelqu
de posséder un semblable monstre. Voici les points discutables :
lu
Surveillance de chaq'ue'aliéiié par l'Etat; ^ 'vu
M. STARK (d Illenau). Sur la situation actuelle de la question de
lu
pa ? '«MJ/t)/(/e.Historique. Voir" a e'sujet, lal
1 J. ' 1 il 1 Il, Il 1111, lit t c 11,.1. * '- lit ' ! ]U J '1'1""
lu
..{ ? ou 'lt.H," t tul ¡j( t 1 hl if; J i" ' ,1
? ...... z i\1. RICHTER (de Dalldorf). Sur les connexions des trac
lu
s' optiques conducteurs dans l'encéphale humain
des maladies mentales ? Une commission fut nommée et le rapport fut
lu
eu séance le 2,'i mars 11;78, Per- mettez-moi d
bach; médecin assistant (change chaque année). ' Canton DE ZUIIICH.
lu
Bti7,ghol,i. Asile de l'Etat t (330-350 lits, p
uée des plus mauvais instincts.. Elle n'avait jamais pu apprendre à
lire
, pas même un métier ; tout au plus était-elle p
tte était réputée absolument imbécile ; elle n'avait pu apprendre à
lire
ni se plier à un métier. Je me convainquis que
depuis son entrée; à ce moment (septembre 43-I), il savait à peine
lire
, n'écrivait qu'un peu, faisait un peu de calcul,
qui n'ont fait que s'accentuer depuis. Aujourd'hui (1884), il sait
lire
et d'une façon assez expressive, il écrit assez b
ue l'observation de M. Bernheim et les mémoires de M. Aug. Voisin
lus
aux congrès de Blois de t88t et de Grenoble, 1885
équente. Nous l'avons rencontrée six fois (OBs. XI, XXVII, XXXVIII,
LU
, LIV, LV). Comme la sciatique, elle annonce par
embre, on procédait à l'examen des enfants. Il est intéres- sant de
lire
, par le menu, les rapports remis à M. Bcrkhan p
re d'entendre que la fin des mots. Il sait SOCIÉTÉS SAVANTES. 4ft
lire
, mais ce vice de prononciation rend inintelligibl
nette, mais le langage incorrect, impersonnel, enfantin. Il ne sait
lire
ni écrire; il épèle seulement les lettres capital
langage, son atti- tude, concordent parfaitement. Il sait très bien
lire
et convena- blement écrire. La mémoire embras
bain, que dirige M. Pasquier. 11 apprend SOCIÉTÉS SAVANTES. 443 à
lire
à l'école de Mlle Breuille. Il est employé aux tr
? II. OEBEKE. On sait que parmi les prostituées, chez qui lasyphi-
lis
est fréquente, on observe également plus de paral
e d'une opération chirur- g'iL : lde a\'e.; anestliésic), par Va-
lu
de, 226. Ictère (endémie d' à l'asile do \Ier
t renfermé autrefois du mercure. En octobre 1887, le Dr Magitot a
lu
à l'Académie de médecine un mémoire sur la glos
la difficulté à parler (nous avons pu constater le contraire) et à
lire
à voix basse. Le maxillaire inférieur, disait 1
iné que ceux qu'on rencontre habituellement. C'est ainsi que M. a ?
lisait
tous nos poètes dans le texte original et profess
mis en quête de nouvelles médications il tenter, sans compter qu'il
lisait
des livres de mé- decine et s'efforçait, suivan
par de la contracture des maxillaires. La conclusion que j'en tirai
lut
: pas d'appareil ou tout au moins l'appareil le p
s l'étude que M. Charcot a publié, en 1883, avec M. Ri- cher», nous
lisons
aussi : « Cette affection survient tout à coup
Dled. Sciences. April, 1874. / ' Archiv.. di. Psychiatrie, 1882.
Lu
devant le Congrès de Washington, 1887. (Brain, 18
(a) A la page 423, du t. XX, dans la légende de la fig. 39, il faut
lire
Eyes et non Yes, et Tangue au lieu de longue. 7
au de mes premieis animaux en expériences Les deux lobes occipitaux
lurent
enlevés en même temps. Il survient un peu d'enc
s- copiques et photographies à l'appui. M.Moos (d'Heidelberg). De
lu
néoplasic vasculaire dans le laby- l'inthe memb
tes un livre exclusivement technique qu'ils puis- sent sans efforts
lire
ou consulter et dans lequel ils trouvent l'aide
rouvent l'aide nécessaire non pas pour choisir un modèle, mais pour
lire
et comprendre le modèle qu'ils auront choisi. »
ne soit pas utile au médecin, et le livre de M. Richer ne sera-t-il
lu
et utilisé que par les sculpteurs et les peintr
résentent les localisations sur le rein, le cerveau et le coeur. On
lira
avec intérêt, dans le même livre, les chapitres
e la commission. Espérons que non ! si M. Lockroy peut ne pas avoir
lu
les aiticles spéciaux relatifs àce sujet et en pa
actuelle est encore insuffisante à nous démontrer. Vous avez tous
lu
, je suppose, les leçons de M. Charcot sur les a
mentaire du travail mécanique utile produit par la 1 J. Béclard. De
lu
chaleur produite pendant le travail de la con-
erte de la notion de position. Dans un autre 1, la seule note qu'on
lisait
était que le malade avait conservé la faculté d
urtout le pli courbe. La discussion clinique est particulièrement à
lire
. L'auteur groupe ensuite quarante- deux cas tir
e par la Société médicale de Budapesth : 17 novembre 1888. Il-est à
lire
en entier. Nous en extrayons ce qui suit : En
t, directeur de l'hôpital Lariboisière et librettiste bien connu, a
lu
une pièce de vers adressée à Allie Bottard ; M.
bronze au nom de tout le personnel de l'hospice; enfin, M. Peyron a
lu
une lettre de M. Demagny, chef de cabinet du Mi
, con- damné à 500 fr. d'amende. Le remède d'une somnambule. Nous
lisons
dans l'Eclair : Toulon, 15 janvier. D'un corres
MMIS SUR UN épileptique EN état d'automatisme AM- BULATOIItE.- Nous
lisons
dans le Temps, du 2 février : « Un indi- vidu,
quelque sorte un signe pathognomonique de cette affection. Tel qui
lira
et parlera des heures entières sans bégayer ne
à la vé- rité, que m'adresse l'auteur du mémoire que l'on vient de
lire
. J'ai eu tort, d'après lui, d'appeler bégayemen
teurs est si frappant qu'on ne peut douter que dans le dernier cas,
lu
sensibilité est conservée tandis que dans l'aut
enfin les faits qui donnent naissance à la personnification du dé-
lire
ne sontjamaisdes faits récents, mais remontent dé
ué que dans ces cas les malades, si on plaçait un livre devant eux,
lisaient
le plus souvent en 'prononçant bien les mots. D
ar un processus pathologique quelconque. M. MOURaTOFF (de Moscou) a
lu
son travail a sur la pathogénie des atrophies m
e musculaire de l'individu malade. M. le professeur KojEWMhon'- a
lu
un travail sur la paralysie alcoolique fondé su
e et de la physiologie du cerveau. M. Greidenberg (Simpheropol) a
lu
un travail « sur le type 7-écui,- rent dans la
qui voudront s'assurer de la parité trouveront de la satisfaction à
lire
l'histoire de cette maladie » (1). Qu'était ce
nsuffisant. J'ai donc tâché d'examiner les observations. Je n'ai pu
lire
toutes celles qui sont publiées ; elles s'élève
- tèbre sus-jacente. - ' Celle-ci, deuxième lombaire (PI. XIX, F,
Lut
), est peu altérée sur son tiers la- téral droit
nsible à la pression. Les détails de l'observation qu'on vient de
lire
ne laissent pas le moin- dre doute qu'il s'agit
elligence et la mémoire sont demeurées intactes, aucun trouble pour
lire
, écrire ou compter. Le caractère s'est aigri, l
fou.... ; au bout d'une demi-année il avait recouvré la faculté de
lire
. Il pouvait écrire comme auparavant. L'hémianop
ultivées, mais ne paraissent pas avoir été altérées. Le malade sait
lire
et écrire aussi bien qu'avant son accident. ~ E
es érections sont toujours nulles. Les réflexes rotuliens sont abo-
lis
, les plantaires aussi. La sensibilité testiculair
7) - 0,0027 millimètres. Nous n'avons pas réduit en u les divisions
lues
, car il nous a semblé plus Nouv. Iconographie D
vons chiffré les rapports directement en divisions micromé- triques
lues
, ce qui facilite la lecture de ces nombreux chiff
0027 millimètres. Nous transcrivons comme précédemment les chiffres
lus
directement au micromètre; le numérateur de la
on le voit par sa face inférieure et sa face interne (Fig. VI, PI.
LU
). La tige arrive obliquement d'avant en arrière e
en haut : l'iC, noyau caudti (extrémité antérieure); l', pédoncule,
lu
cansy=mterncst.intércss·n1'Gvrntrr,d ? tr,cr1 ? ·
peu intelligent, paresseux d'esprit au- tant que de corps. Il sait
lire
, mais n'écrit qu'imparfaitement. Son caractère et
bile du contraste, van Ostade a su introduire au'-si une note conii
lue
qui t3 : np3r.; toutr' impreîsi ou pénible. Deux
i les malheureux savaient ce qu'ils achètent ! Je me souviens avoir
lu
, dit Cohausen, que les rois et les grands de l'In
pathie marquée pour certaines odeurs : comme la rose, le jasmin, le
lis
. : Il est vrai de dire que les Pétophiles, s'il
ine de perdre la vue. Ami, lui dis-je, car il était lettré, as-tu
lu
Martial ? Oui. Eh bien ceci peut te rendre prud
dre du tabac : ' « Va-t-en au diable, Puisque dans cette maladie,
lu
m'es insecourahle. , Tu me mèneras au trépas,
décéda à l'âge de 45 ans. Il y a plus de 20 ans qu'il a supporté un
lues
. Cinq ou six ans avant la mort apparurent des sym
e la mort a eu lieu un nouvel accès épilep- toide. L'existence d'un
lues
est très possible. Le trouble de la parole portai
LYSE 531 Nous transcrivons directement les divisions micrométriques
lues
; le numé- rateur de la fraction représente le p
he lit le n° 10 du tableau décimal à 4 mètres, l'oeil droit ne peut
lire
ce même numéro qu'à 2 m. 50. Notons que le malade
e ne plus voir qu'avec l'oeil gauche. Avec l'oeil droit seul, il peut
lire
l'écri- ture ordinaire à 0 m. 40 ; à 0 m. 55 il
paru, mais la parole ne s'est pas améliorée. Il ne peut presque pas
lire
, son écriture est très défec- tueuse. Janvier
l accusa de la diplopie pendant quelque temps . Aujourd'hui il peut
lire
aussi bien qu'auparavant. Pas de dyschromatopsi
B. Bramwell. - Case of left hemiplegia due to a perforating wamd ouf.
lue
i-ight oi-bit. Scottish med. and Surg. J., août
ne écriture en miroir : pour la déchiffrer en effet il suffit de la
lire
par réflexion dans une glace, où elle apparaît av
uble caractère d'être au moins originale et de pouvoir cependant se
lire
assez aisément. On n'a peut-être pas suffisamme
e sont ses frères et soeurs. Dès un âge très tendre elle a appris à
lire
, toute seule, en voyant et en en- tendant lire
ndre elle a appris à lire, toute seule, en voyant et en en- tendant
lire
sa soeur aînée. Mais elle a appris à écrire avant
lire sa soeur aînée. Mais elle a appris à écrire avant d'apprendre à
lire
, » et en voyant écrire sa soeur : elle prenait
peu plus tard de la main droite, en même temps qu'elle apprenait à
lire
. On assure qu'elle lisait en miroir l'écrit et
n droite, en même temps qu'elle apprenait à lire. On assure qu'elle
lisait
en miroir l'écrit et l'imprimé aussi aisément que
t et plus péniblement à l'envers. Il parait qu'étant plus petite elle
lisait
,. 0 l'imprimé à l'envers mieux qu'aujourd'hui :
écrire exclusive- ment en écriture centrifuge de la main gauche, à
lire
par conséquent cette écriture : pour elle l'écr
relles. Les nécessités sociales font que tout le monde a intérêt à
lire
et à écrire comme tout le monde, aussi apprend-
d'ordinaire déjà appris la signification ; en d'au- tre termes nous
lisons
d'abord et nous copions ensuite les lettres ou le
nous lisons d'abord et nous copions ensuite les lettres ou les mots
lus
. Mais on voit immédiatement que les choses doiven
rire sa soeur de la main droite et qu'elle écrivait avant de savoir
lire
, ce qui avait frappé son entourage. Pour copier
versés ; que d'autre part elle ai commencé à écrire avant de savoir
lire
; la lecture n'est venue qu'après, car elle n'ava
lecture n'est venue qu'après, car elle n'avait sous les yeux, pour
lire
, d'autres exemples que ceux qu'elle traçait elle-
t encore à rebours de la main gauche une écriture qui ne pouvait se
lire
qu'avec un miroir ou en regardant le papier à l'e
IE CONGÉNITALE 627 (cas de Heuck). Le malade de Mauthner ne pouvait
lire
que lorsque le livre était placé à sa droite. D
Dentistes, qui suivez ses pas. Bientôt vous n'en douterez pas,
Lisez
sa mémorable histoire : Elle annonce pour évide
onnaît pas une seule étude d'ensemble sur les fugues des aliénés. A
lire
les auteurs, elles semblent ne pas exister. Cep
avec une évidence irréfragable. La paralysie générale et la syphi-
lis
coïncident en distribution topographique ; les st
u'un prêtre catholique; or il avait autrefois souffert de la syphi-
lis
; d'autre part, les cas juvéniles de paralysie gé
contrôle du cerveau, dans certains cas pathologiques. En- fin, nous
lisons
: « 11 ne peut pas exister de centre spécial pour
ENY. XVI. Encéphalite aigue chez les enfants ; par Comby. (Bulle-
lire
médical, n° 5, 1906.) L'auteur laisse de côté l
e aboutisse à la démence ; les délirants chroniques d'un âge avancé
lisent
en- core lesjournaux. Il reproche au mot parano
d'avoir changé de sens,depuissacréation. .M. DENY.- Si les déments
lisent
les journaux, c'est sans les comprendre. M. T
ue moderne, il classe les demi-fous en 3 groupes ; sont demi-fous :
lu
certains fous internés dans les asiles, c'etl-à-
orts avec la neurasthénie, soit qu'elles en dérivent, soit qu'elles
lu
provoquent ; il définit la neurasthénie comitie
re du 1)' OREL. Page 80, àlaf4e ligne du second paragraphe, il faut
lire
, «... des' impressions de nos sens en grammes.» &
rtant qui ait paru jusqu'ici sur la question ; celle-ci y est réso-
lue
affirmativement d'après les expériences de Dumont
gTossièl'cl1lell t pell tagollnle, a' cc 1111 an ! .(le saillant !
LU
nord-cst \1'1'3 le houl'g- (lJ Jlinlll'bio tlu :
toutes les chambres assure le- service ; nous en donnons la vue.
Lu
Pavillon des demi-tranquilles contraste avec le p
fs décoratifs qui en agrémentent heureusement l'aspect et atténuent
lu
carac- Il1 1 I·'ic. a3- l'Inn, cuupc, i·l·v : a
et atténuent lu carac- Il1 1 I·'ic. a3- l'Inn, cuupc, i·l·v : alimn
lu
·crviuc Ic cemi-U..uyuil·. 240 ASILES D AL1UN
auto. suggestionnes sur la verlu curative de leurs remèdes, apporte
lu
preuve que ce processus doit être généralisé à
je suis frappé de ce fait que les véritables abouliques évitent de
lire
et ont le plus grand dédain pour l'écri- ture.
évrose la plus importante est la suivante : Aimez-vous la lecture !
Lisez
-vous ? Tant qu'un malade aime la lecture et y t
tal pathologique. Au contraire le retour progressif du l'aptitude à
lire
et à écrire SOCIÉTÉS SAVANTES. 261 constitue
ur 100 à peu près ; elle a débuté par de l'excitation maniaque dans
lu
% ; le début en a été indéterminé dans B-1 %. L
re hallucinatoire aigu. L'analyse des 20 observations publiées dans
lu
thèse de Trepsat (1 nous permet de les répartir
extrême- ment fréquentes. Les idées de possession corporelle (dé-
lire
métabolique) aboutissant des idées de transforma-
remières manifestations deviennent évidentes au mois de décembre 19(
lu
(il 20 ans).Ce sont de nombreuses idées hypocon
ligent parce que j'étais faible pour bien juger; je dois aller chez
lu
médecin pour savoir si je 'vais être sauvé ou sij
sme. .Yovembre, Nouvelle tentative d'évasion. Il demande qu'on le
lue
. « Il se sent mourir. » Janvier 1900. Il demand
En 1902, meuler avait publié un cas de « délire unilatéral », dé-
lire
des actes de la moitié droite du COI'p8.11 admet'
il y a dps lacunes dans sa mémoire et « il a oublié à écrire et à
lire
» : l'hémisphère malade est donc l'hémisphère gau
ore, d'après l'ouvrage cité de Ribot, le cas d'un sujet en train de
lire
et dont la lecture est interrompue par l'occlus
du MoiJ qui classe et burine ses archives » (p. 62). Pourtant nous
lisons
ailleurs : « Chacun de ces deux co-êtres dissoc
nullité, que s'il pense, à la majorité, que proposition de LOI sur
lus
aliénés. lux l'accusé ou l'un des accusés est i
idées,la marche est variable ; la présence d'idées fixes et de dé-
lire
systématisé indique ordinairement que le cours de
audouin. Un cas de maladie de Dercum. MM. CROuzoNct Marcul Nathan
lisent
une note sur une ma.. lade atteinte de celle al
c association probable de poliomyélite. ' Il. CLAUDE et CHARTIER,
lisent
l'observation d'une malade de 17 ans frappée so
ves ; z317 instituteurs, 81 institutrices et 31 maîtresses techni- (
lues
les instruisent, et,chose encourageante, 82 ? des
action littéraire, celle de faire de la science au coin du feu : on
lisait
une scène d'accouchement, un tableau de viol, une
ième, qui est dénoncé comme hérétique à François 1 ? mais le roi le
lut
et s'en amusa fort. Rabelais restait d'ailleurs
membres. XII. MM. les rapporteurs disposeront de 20 minutes pour
lire
leur rappott, tandis qu'ils ne sera pas accordé p
et mal plantées, voûte palatine irrégulière. Intel- ligent, sachant
lire
et écrire. De deux à trois ans il a souffert de
se quelque temps après la syphi- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 47
lis
et le traumatisme, et qui se manifeste surtout pa
Aucune altération musculaire. Depuis quelque temps, il ne peut plus
lire
, sinon il ressent des douleurs dans les yeux.
ÉTIi9DEDEFLECFISIG; par HABBAS. (Allg. Zeilschr. f. Psychiatrie, t.
LU
, fasc. 4.) Gowers avait déjà essayé d'associer
bulbe étaient eux aussi altérés. (Allg. Zeitsch1'. f. Psychiatrie, t.
LU
, fasc. 3.) .. Paul Sérieux. 70 SOCIÉTÉS SAVAN
, extraordinaires ou obscènes. (Allg. Zeitscler. f. Psychiatrie, t.
LU
, fasc. 3.) ' Paul SÉRIEUX. BIBLIOGRAPHIE. I
Bossu. Archiv. ilal. de Biologie, 1890. ' Berdez. Revue médicale de
lu
Suisse Romande, mai 1892. " Marinesco. Comptes
nséquemment recouvert d'un petit crâne, ici l'opération est super !
lue
j 2° celles où il s'est produit une ossifica- t
oût 189, avec l'asepsie la plus rigoureuse, la craniotomie linéaire
lut
pratiquée du côté droit (plus déprime que le ga
ix enfants dont quatre étaient absolument illettrés : un a appris à
lire
et à écrire, un à lire, un à épeler, 1 à reconn
étaient absolument illettrés : un a appris à lire et à écrire, un à
lire
, un à épeler, 1 à reconnaître ses lettres. Les de
sur le degré de toxicité de l'urine des aliénés. Brochure in-8' de
lu
pages. - Gand, 1896. Imprimerie Vander Haeghen.
leu avec le phlegmon, puisque, dit Thi- bierge, il « suffit d'avoir
lu
la description de Charcot pour le reconnaître à
sures spéciales. M. Giraud termine en disant qu'il a été heureux de
lire
le chapitre du rapport concluant à la nécessité
procédés, plus ingénieux les uns que les autres (faire semblant de
lire
un journal, se couvrir le visage avec les mains
a pénible infirmité lui rendait la vie insoutenable. Un jour, ayant
lu
dans un journal espagnol, qu'il existait à Paris
térique est une paralysie psychique, pour ainsi dire, qui se loca-
lise
mal anatomiquement, qui ne se fixe pas sur un sys
psychiques; par le De Luhrmann. (Allg. Zeitschr. f. Psychiatrie, t.
LU
, fasc. 4.) Les tumeurs du cerveau peuvent donne
amenés A la VIE; par LUIIRMAmN. (Allg. Zeitschr. f. Psychiatrie, t.
LU
, f. l,p. 185-195.) Après le retour à la vie de
ral qui, je l'espère, suffira à inspirer à nos lecteurs le désir de
lire
et de connaître en son entier un livre d'un carac
donner qu'une idée bien imparfaite de son importance. Quand on l'a
lu
attentivement, on ne sait ce qu'on doit louer l
n DE la cataracte; par R. Lowy. (Allg. Zeitschr. f. Psychiatrie, t.
LU
, fasc. 1, p. 166-184.) \ Le médecin aliéniste
ans. Signes craniens de dégénérescence; impossibilité d'apprendre à
lire
, à écrire, à compter. Pararniiésie, incapacité
ère étant délicate nous transcrirons une partie de la communication
lue
à la Société de médecine de Paris en juin 1890.
caractérisé par la perte de compréhension de la parole entendue et
lue
avec paraphasie et agraphie. La lésion de ce sy
entendus ou surdité verbale, la perte de la compréhension des mots
lus
ou cécité ver- bale, la paraphasie et l'agraphi
iste pas par- fois pour les symboles. Ainsi un malade, incapable de
lire
les mois « République Française », les prononça
rmant les lettres R. F. Le malade atteint de cécité verbale ne peut
lire
ni l'imprimé ni le manuscrit; s'il écrit, il ne
e très variable; le plus sou- vent le malade conserve la faculté de
lire
son nom ou quelques mots spéciaux toujoursles m
ne parle pas spontanément et ne peut répéter la parole entendue ni
lire
, mais il comprend, peut écrire et répondre en é
mystique. Dans les Aventures de ma vie, de Henri Ho- chefort, nous
lisons
(p. 37, t. I) le passage suivant : « Une autre
fait voir qu'il a le caractère épileptique au plus haut degré. Il ne
lut
est pas difficile de démontrer, en résumé, que
e ces soi-disant investis ; les livres publiés sur eux, ils les ont
lus
et s'en font des boucliers en même temps que de
ut être une cause de trouble. M. FREY (Schwetz). Désodorisation par
lu
formaline. La forma- line est une solution aque
s propres (1) ; 3 ont appris il manger seuls (2) ; 4 ont appris à
lire
(3). Le traitement du gâtisme, qui consiste à p
ronger les vêtements, était il son entrée, dans l'impossibilité de
lire
, il ne savait pas non plus écrire et avait peu
le Compte- rendu de 1899 com- me très amélioré, est enlin arrivé il
lire
couramment grâce à l'emploi simultané du syllab
suivent les visites du samedi et qui participent au chant savent
lire
leurs notes de musique, ces enfants sont au nom
nt était imbécile et hémiplégique (côté droit). Elle ne savait ni
lire
, ni compter, ni écrire. L'écriture présentait mêm
entrées L111 Enseignement professionnel. - à la Fondation, savent
lire
les notes et en connaissent la valeur. Le procé
v.l31; (-être : dès que les enfants sont assez avancées pour bien
lire
un morceau de chant, on leur fait chanter des c
hes et les pauvres. Les enfants envoyés par les provinces paient 40
lires
par mois On prend l'observation des enfants et le
rieurs sont peu développés. Une soeur (11 ans) est très arriérée.
Lu
autre frère a été circoncis. - Cette série de mal
mémoire est très faible, le raisonnement nul. L'enfant sait un peu
lire
et compter. Il ressemble il son père, au double
eu près correcte, il écrit quelques lettres et commence il savoir
lire
, seul son caractère laisse encore à désirer. Il
on de la plupart des circonvo- lutions, etc. L'observation qu'on va
lire
appartient à cette caté- gorie. Les cas analogu
IV. La température après la mort montre que progres- sivement, en
lu
heures, elle s'est mise de niveau avec la tem-
e de l'alcuolisme. Ceux qui s'intéressent à cette question pourront
lire
un grand nombre d'obser- vations détaillées, au
seul, ne casse plus ses ongles. Il écrit sur l'ardoise, commence à
lire
les lettres. La photographie collective n" 7
e autres). (1) Pour être convaincu de tous ces faits, il n'y a qu'à
lire
la série des Compte-rendus du service de Bicétr
dical, celui qui a trait h l'examen des yeux et de la vision. Qu'on
lise
ce chapitre de la « Pratique Neurologique ». Nu
la distance à laquelle les lettres de cette ligne devraient être
lues
par un oeil possédant une .acuité normale. '
lignes. Supposons par exemple que le malade, placé à 5 mètres, ne
lise
que la seconde ligne, son acuité visuelle sera
é visuelle sera ne UJalalle peut, être incapable, il 7 mètres, de
lire
les plus grosses lettres de l'échelle. C'est que
ne. S611 acuité visuelle est de 50 = 20' deux fois moindre que s'il
lisait
cette même ligne à 5 mètres. Le malade, si près
à 5 mètres. Le malade, si près qu'on l'approche du tableau, ne peut
lire
aucun caractère. Il faut alors employer le proc
es lignes, la distance D il laquelle les . lettres devraient être
lues
par un oeil d'acuilé visuelle nor- male. !
mençant par les plus faibles. ' , ft) Ils permettent au malade de
lire
l'échelle.. C'est qu'il était hyper- métrope av
férence entière si vous voulez.' , - , ' a) Le cylindre permet de
lire
l'échelle optométrique; concluez à une diminuti
d, e, ? g, h. On explore de la sorte un plus ou moins grand nom-
lire
de méridiens de la calotte sphé- rique engendré
isparaît pas en un point de son parcours. Vient-il il disparaître ?
lisez
l'indication périmé- trique au point de dispari
l'index poursuivre son chemin, et bientôt il sera perçu à nouveau.
Lisez
l'indication périmétrique au point de réapparitio
l observé suit ces lettres et les lit. A un moment, il cesse de les
lire
en partie ou en totalité. Les pre- mières à dis
es l'une de l'autre. Grâce à un calcul préalablement fait, on petit
lire
sur le tableau, dans le point occupé par la fau
r cet inconvénient, le malade contracte vigoureusement son frontal,
lire
, en haut son sourcil, et, par suite, élève un p
pour plus de commodité, nous les diviserons de la façon suivante :
lu
Rapports des maladies de l'oreille avec les mal
d'apo- plexie qui mérite d'être connue; c'est l'apoplexie troU/na/t'
lue
tardive de Marie et Crouzon ou Spàlapoplexie de
ne, c'est-à-dire qu'il ne peut parler, mais qu'il comprend les mots
lus
ou entendus, et qu'il peut s'exprimer librement
ver d'aussi violents efforts pour émettre les sons du langage. Dans
lu
paralysie agitante, le malade; parle encore avec
le, tremblement, ]'afa,1. : Íe, la clrorée, les spasmes ou crampes,
lu
paralysie. Dans le tremblement, quelle que soit
riture en miroir, c'est-à-dire une écriture renversée que l'on doit
lire
de droite il gauche ou redresser soit en la regar
be, ce qui est fort, rare). On peut aussi. lorsque le malade savait
lire
. lui demander combien il y a de lettres dans te
enter à l'envers au malade le papier sur lequel se trouve la phrase à
lire
, noter s'il retourne immédiatement le papier da
iatement le papier dans la bonne position (cas habitue)). , Faire
lire
à haute voix quelques lignes d'un livre ou d'un j
lire à haute voix quelques lignes d'un livre ou d'un journal. Faire
lire
son propre nom au malade. Si le malade ne peut
ournal. Faire lire son propre nom au malade. Si le malade ne peut
lire
à haute voix, s'assurer s'il comprend ce qu'on
lire à haute voix, s'assurer s'il comprend ce qu'on lui présente à
lire
en lui donnant par écrit des ordres simples : E
ouvrez la bouche », « fermez les yeux », « mouchez- vous ». Faire
lire
des ordres plus compliqués : « Levez votre peti
ite votre oreille avec le pouce gauche » . ' Si le malade ne peut
lire
un ordre, peut-il, du moins, lire un mot isolé
gauche » . ' Si le malade ne peut lire un ordre, peut-il, du moins,
lire
un mot isolé ? Connaît-il encore les lettres ?
caractères imprimés ordinaires capitales écriture cursive ? Faire
lire
des mots constitués par l'assemblage vertical des
és que chez des sujets ayant n'eu une certaine instruction. Faire
lire
en ne montrant les lettres qu'une il une. Faire
ction. Faire lire en ne montrant les lettres qu'une il une. Faire
lire
en permettant au malade de suivre avec ses doigts
abolies ou en tout cas fort limitées. Quelques mots sont compris ou
lus
correctement, mais les troubles para et jargona
sibles sont d'ailleurs souvent déformés. L'anar- thrique ne peut ni
lire
il haute voix, ni répéter les mots entendus; en
et constamment la feuille qu'on lui présente renversée : il ne peut
lire
, mais il sait qu'il y a là quelque chose à lire
versée : il ne peut lire, mais il sait qu'il y a là quelque chose à
lire
: l'agnosique au contraire ne retourne pas la f
e d'images sensorielles auditives ou visuelles, de mots entendus ou
lus
, mais sous la forme d'images motrices à l'aille
ucinations ne peu- vent se produire quanel ils parlent eux-mêmes ou
lisent
il haute voix en articulant, ou inversement qu'
vorable dans les étals d'excitation dus à la congestion encépha- 11(
lue
. Anglade fait remarquer que ce sont les meilleurs
tres (/o0f< ? </c) ; certains hémiplégiques par exemple loca-
lisent
à la paume de la main les excitations portant sur
cliniques particuliers aux troubles sensitifs hystériques, signes (
lue
nous avons décrits plus haut et que nous résumons
s Ù ceux observés par Dejerine et Roussy dans les lésions thalallli(
lues
(1). i IV. - ALGIES CENTRALES OU TOPOALGIES I
Les altérations profondes du sens céneslhésique ne se voient guère (
lue
dans les maladies mentales; mais ce sens peut êtr
cubital légèrement, incliné en dedans, les doigts fortement 11l'('\
lis
, l'avant-bras en extension. L'ouvrier doit dépl
ns l'une sur l'autre. mais la traction se fait au commandement de «
lirez
B. elle n'est que passagère et immédiatement ap
iosenhach recommande d'occuper l'attention du malade en lui faisant
lire
à haute voix et rapidement un [CROUZO.\'.] Fi
t dans certains cas en imposer pour l'hémi- plégie organique, c'est
lu
paralysie agilccrtle, qui. connue on sait, a un
re en bas au-devant du corps du pubis entre la symphyse et l'épine,
lise
termine en haut par une extrémité effilée sur l
dernières cotes. Le tendon d'insertion supérieur du grand dorsal se
lise
, en avant de celui du grand rond, dans le fond
uriculaire antérieur, avec le temporal superficiel qui le prolonge,
lire
l'oreille en avant et en haut. L'auriculaire su
culaire supérieur est un élévateur direct, l'auriculaire postérieur
lire
le pavillon en arrière. Tous ces muscles sont d
Ceci correspond ELANNOIS.] Fiir. 1. - Centres moteurs corticaux (
lu
larynx (d'après Semon et Horsley). - CS, sillon c
ts respirent tout fait normalement, mais dès qu'ils veulent parler,
lire
ou chanter, il se produit une aphonie com- plèt
srh, Bernhardt, Stange (8) ont cru pouvoir considérer bon nombre 1.
LU
(H. C01l(ll'ès de Pau, 1 ! 104. 2. LI.;mE. Soc.
llantes et évcrsées. Fig. 8. Myopnthie facio-scapulo- humerait-. /
lire
en travers, faciès inintelligent. ATROPHIES M
mmune la élite 1. P. Maiîik. Leç. sur les mal. de la moelle, Paris,
lu
. 2. <CO ! .MX. Th. Paris, 1885. 0. Raymond
), rarement par la racine (type scapulo-huméral) : elle s'y loca-
lise
parfois. - Toujours cette atrophie est accom-
re sont ensuite traînés péniblement sans quitter le sol comme s'ils
liraient
un boulet (démarche traînante décrite par P. Mari
étose vraie tous les caractères que nous avons déjà indiqués, niais
lu
les spasmes sont peu marqués, le malade est il
ette très singulière affection, la peau ri- gide, dure, immobi-
lise
dans un véritable étui les doigts qu'elle déf
ceux des tabétiques. Les crises vésicales peuvent être preta- ]Jéti(
lues
, et apparaître longtemps avant la maladie confirm
règles du catheterisme en les adaptant à la pratique journalière.
Lue
sonde de caoutchouc rouge (sonde de Netaton) est
déficit intellectuel variable et le reliquat d'une double hémiplégie.
Lue
paralysie ou mieux une parésie totale, sans atr
femme jeune, au ventre énorme, non douloureux au palper (Mathieu).
Lue
dyspnée considérable existe par refoulement en
moins complètement soudées (le géant in- fantile « s'acroméga-
lise
» quand les épi- physes se soudent), et Y acr
relief les points intéressants. Mesurer est peu de chose en effet;
lire
ses mensurations, comme on lit une coupe, est b
n irré- guliere de la selle. Enfin des distinctions un peu subtiles
lurent
propo- sées ''par d'autres auteurs suivant les
5 ans, les progrès furent sen- siblés; mais un peu moins nets ; ils
lurent
nuls dans un troisième cas (évolution très avan
re en circuit, et, le courant passant par le corps et le voltmètre,
lire
la valeur des volts en même temps qu'on lit la
source du courant. Il ne faudrait pas en conclure, avant d'avoir
lu
l'intensité du courant sur le milliampè-. rcmèt
abial, secousses spasmodiques dans les muscles en état de contrac- [
lire
., soit au repos, soit surtout à l'occasion des mo
galvaniques interrompus, mais avec intensités plus faibles de 5 à 5
lu
. : 1., et parfois des excitations par courants
on a même conseillé des courants plus intenses atteignant 50 ou 40
lu
. 1., parfois plus, si les malades peuvent les s
dans la solu- tion de carmin aluné selon la formule de Ramier. -
lue
" Il importe, pendant toutes les manipulations, de
uditif (Appareil). Résultats de l'examen des réactions électriques,
lu
)77. Voy. Nerf. Audition colorée, z, ' Auscu
iges, 109. Syndrome cérébelleux, 776. Tremblement, 859. (Tumeurs (
lu
-), Radiothérapie, 1189. Cervical supérieur (Sy
les rayons X, 1166. (Lésions de la réaction de dégéné- rescence,
lu
)56. - Maladies, Traite- ment par l'électricité,
du mot sclérose qui termine la ligne 7 de la 1>ane 58 ? il faut
lire
: diffuse, inflammatoire ou non; et reporter ensu
dans le tabès ne permet qu'une série REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
lût
d'hypothèses pendantes'qui sont : ou avant la m
vaillé et a pu obtenir un certificat d'études. Depuis il a toujours
lu
. Plus tard, apprenti, ou employé de commerce, i
mation des cornes grises; mais contrairement au Dr Weber, il loca-
lise
la lésion de la paralysie saturnine dans la moell
nt contenant plusieurs observations curieuses empruntées au rapport
lu
, en 1780, par Andry et Thourct la Société royale
nstituées : PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 163 peut,
lire
plus facilement en fermant un oeil. Plus tard la
manche extrêmement oblique, enfonçure énorme; pas de vais- seaux.
lue
, tympan gauche, au contraire, mat, gonflé, ballon
OIRE DE L'HI'S'fLRO-1 : 1'1LL.PSIG OU GRANDE HYSTÉRIE. [Identité de
lu
nature des phénomènes qui composent la grande a
des hommes noirs, j'ai appris de la malade elle-même qu'elle avait
lu
un livre qui l'avait vivement impressionnée. Ce l
ette observation et .revue DE PHYSIOLOGIE. 231 cellesquel'on peut
lire
dans Y Iconographie photographique delà Salpêtr
que de ménin- GITE aiguë. - 1 : \IPLOf des courants continus. (Note
lue
à la Société de médecine de Paris, dans la séan
- tème nerveux et en particulier du l'ataxie locomotrice. Pour lui,
lu
sylli- lis n'est qu'une cause occasionnelle, un
veux et en particulier du l'ataxie locomotrice. Pour lui, lu sylli-
lis
n'est qu'une cause occasionnelle, un agent provoc
ra les- liiediiis ` tés antérieurement aux nôtres, : on pourra les'
lire
dans toutes les monographies relatives aux loca
vl-1111111`·' tl( 17lt'tl ·t.;n ? sucre mi-r », 11*11 ·· >"[ ? I
lu
/'i'1 41 v W t1n17a ? f . . L'examen, microscopi
dans l'alcool absolu a pns.une.cQns'staneessuihsante pdur'nn )t'' y
lut
possible d y pratiquer desj. coupes. On;m'.5 reéQ
par desilmpulsions dé'sôrdomïée"s,`sont`-projett ? es'brusqueinent "
lu
a Il du I)ut'0laiteincite. -'l Si'oùl-luirdit'de
uite lentement. Elle plèrsi''s Le 1 toujours, elle fau"tnent(, lj-1
lu
? II..11 il > «l.i'fMl' n ! "' (T - ', . ,, .1
11 s'a- gissait'la première fois d'une arthropathie''dû''gehbu]a'
lu
mm .1 1 `f .·lt.ar niT ,·VTV;livrltr· l.i ? i,i ,
aire con- ' i .d.. , ? t ..fff«.i. - .Mit .f ? tn<v. kI l-it »-,
lu
; JilMilj .'(1 sécutive a'une excitation mécaniq
quarante-cinq ait,- m1191( iab rlab 91,J ; 'f'Jttl).c.ii am.U... J·
lu
.. ". 1 ? 1 1 ans, domestique, que nous pûmes, o
t4 , ft l^çp^l.Kj uq t , rtr De c constitution moyenne, elle, est,
lis
déiiiné de rhumatisme, (de scrpfujq,. de1luberc
normal' La malade contracte très bien les muscles ce ce côté lors- (
lu
elle ve 1 soufilei; f ? t,"Ili eC* esl ey1a01 oL
rsr'avaient disparue' `'il' n,'uo'-w'ti-'m-`ÿr ? 9nu91TSia1 81/01 £
lue
liolebi ni '1t7 E : 1·ItiJ'lW/iJ ;^J ysxii inca
gène électro-galvanique, reprend son ? et l'eéil devient capable de
lire
du'petittextei'Ces résultats théra- zutiques, n
"" .I et anastomoses dé l'artère wertébrale - 1 artère carotide,
lu
i-* ? .tu -. 1lit ill. < ,... , If m o ► ..»i
ns de Fauteur. ( (Une planche facilite l'intelligence du texte.) .l/
Lu
? l ? H ? î,i,,n1".Mi iVllôil- t CTUII3AULT ? ,,
V. 0))PF.RVATION D'O't'UËMATOMK chez un enfant SYt')nHT)Qrn (Note
lue
à la Société de médecine de Paris dans la séance
ption-.demeurent, inexpliquées (voir ifij iiiO / -i ? '.al ? i ; ' «
lu
Jim. i '.i.' aii,l.iii'i1.î.i» »., ' n V'' 'L n
re alcoolique, cause commune d'erreurs de diagnostic, mérite d'être
lu
pour quiconque veut se familiariser avec ce gen
ir le barbier penché sur leur visage et les regardant. Ils ont beau
lire
un journal, fermer les yeux, essayer de penser
à se cacher la figure derrière un journal en faisant semblant de
lire
, à se couvrir le visage avec les mains ou avec' u
lus; un autre se couvre de son parapluie; un autre fait semblant de
lire
des affiches ; un autre, si on lui adresse brus
ser par une autre rue, de revenir sur mes pas, de faire semblant de
lire
un journal de très près pour me cacher. Je m'im
nte le sang qui commence à me monter à la tête, je fais semblant de
lire
les affiches, en attendant que la rougeur soit
dessus, quand je suis par trop écoeuré, j'éprouve un réel plaisir à
lire
Epictète, Schopenhauër, Hartmann, Léopardi, et to
s sentiments s'en allèrent naturellement c'est-à-dire avant d'avoir
lu
aucun ouvrage opposé à la religion, avant même
urs en public, les mots précis lui échappent, il se trompe, ne peut
lire
quelques nombres écrits. Les jours suivants exa
ng, et de recueillir et d'enregistrer dans la conscience les images
lues
, c'est-à-dire le contenu de l'ecrit. Le malade se
t-à-dire le contenu de l'ecrit. Le malade se met de bonne volonté à
lire
; il se sent vigoureux et bien dispos; mais après
lonté à lire; il se sent vigoureux et bien dispos; mais après avoir
lu
quelques mots, quelques lignes ou, dans les cas l
ment, avec les mêmes caractères, chaque fois que le malade se met à
lire
.. La plus grande partie de ces individus sont d
l'acte en question. Au contraire, ces individus brûlent du désir de
lire
, ils regardent avec volupté les livres, les jou
pas- modique, ces termes s'appliquant à la prédominance des symp-
lûmes
physiques et nullement à la nature de la maladie.
celles des cornes antérieures de la moelle épinière. Les fibres de
lu
deuxième catégorie sortent de cellules qui ont
cécité verbale qui conservent le pouvoir d'écrire; il doit, pour se
lire
, suivre avec les yeux le contour des caractères
conditions. En comparant les chiffres entre eux on espère arriver à
lire
exactement dans la profondeur du méca- nisme ps
our intéres- sante qu'elle soit, n'est pas complète. Il nous a bien
lu
les certificats et les rapports du médecin de l
rose cérébro-cardiaque constitue une entité morbide et il essaie de
lu
différencier de la neurasthénie et de l'hystérie,
es cérébraux correspondants. Il est clair que celui qui ne sait pas
lire
et dont l'écriture ne se fait pas automatiqueme
uvoir souffrir d'hallucinations visuelles de paroles, il faut avoir
lu
beaucoup ; pour les graphiques il faut que l'éc
rd- muet dont l'instruction n'est pas complétée, qui dans ses rêves
lisait
les paroles sur les lèvres de son père. Ce suje
31 p. 100 l'intempérance; dans 7 p. 100 l'intempérance et la syphi-
lis
; dans 100 p. 10 le surmenage cérébral. Sur les 3
hique. It reproche à ses contradicteurs de l'avoir condamné sans le
lire
. Jusqu'à pré- sent semblable enquête n'avait ét
bornons à indiquer, sans plus préciser, qu'il s'agit lit de symp-
lûmes
souvent rencontrés en clinique. Symptômes. Pour
l'audition, de l'olfaction, de la sensibilité générale, etc., réa-
lise
les conditions nécessaires et suffisantes. Nous a
et les femmes qui ont le plus soeurs folles. R. DE Musgrave CLAY.
LU
. PSEUDO-PARALYSIE générale; par B. HYSLOP. (The J
ception délirante en elle-même. (Allg. Zeitsch. f. Psychiatrie, t.
LU
, f. 6.) Paul Sérieux. SOCIÉTÉS SAVANTES. SO
ne grande importance pratique. (Allg. Zeitsclvr. f. Psychiatrie, t.
LU
, fasc. 0). Paul Sérieux. SOCIETE DE NEUROP :
intérêt, montre que cliniquement on devait admetlre que la syphi-
lis
héréditaire frappe la moelle comme elle frappe le
s très appréciables du jour où elles seraient absolument libres. Je
lis
dans le compte rendu de la Compagnie de chemin
e jeune fille avec V=l, qui devenait myope dès qu'elle se mettait à
lire
; il paraît que dans ce cas jouait un grand rôle
IEUX, médecin du service des alcooliques. l3anewv (P.). The idiot
lus
place in création ttncl liis daims on sociely.
Le notaire transcrivait à mesure et, quand elle eut achevé, il lui
lut
à haute voix la pièce et la malade montra par sa
port avec la sphère limitée de conduite dans laquelle sa folie évo-
lue
, une punition est légitime; 3° Le mot punition
lui parler des anciens avant de s'occuper des modernes, lui faire
lire
Homère avant Platon, l'initier aux beautés simple
, je le répète, ne se l'imagine. Il suffit, pour s'en persuader, de
lire
l'histoire des doctrines et des théories sur la
st à peine conscient dans un esprit sans maturité ? Il est exposé à
lire
dans l'esprit de l'enfant ce qui est dans le sien
chaque lettre. C'est pourquoi les adultes et les gens sachant bien
lire
et écrire n'écri- vent en miroir que dans des c
ive avoisinante. L'épreuve de Harlan fut employée, et la malade put
lire
facilement avec l'oeil soi-disant « aveugle »,
onsciencieuse due à Matter. ' BIBLIOGRAPHIE. '163 puis il a fallu
lire
les innombrables autant que volumineuses oeuvres
es et posséder déjà des notions élémentaires sur la réfraction pour
lire
et apprécier le traité classique de Donders. L'
élioré la vision de l'oeil droit d'une façon notable, on la prie de
lire
les gros caractères des échelles colorées de Stil
nt les lettres des optotypes, les unes après les autres, et ne peut
lire
d'une façon suivie. On en reste là pour le mo
s réagissent bien à la lumière et à l'accommodation, qu'elle peut
lire
ou reconnaître les objets, à peu près aussi bien
îte de Fiées, c'est bien l'oeil droit qui voit ; si nous la faisons
lire
avec la règle ou l'écran, il n'y a toujours que
auche qui voit maintenant presque aussi bien que l'autre : ellepeut
lire
, voir l'image degaucheau stéréoscopeet le point
uche amblyope et le rouge devant l'oeil droit,puis, qu'on lui fasse
lire
ensuite l'échelle de Stilling, elle distingue e
observation d'un garçon de treize ans et demi qui, au stéréoscope «
lisait
sans hésitalion les lignes ou les numéros compo
vous en fournir la preuve. A mon retour du congrès de Marseille, je
lis
part à M. Monod, directeur de l'assistance publ
toutes leurs formes et à toutes leurs phases. Le corps dei2lelé (
lu
cei-velet, les noyaumbulbaires, les cellules des.
e petits bâtonnets et de corpuscules punctiformes. L'examen du sang
lu
révéla aussi la diminution des globules rouges
du torticolis qui, disparaissant encore à la ren- trée de l'école,
lut
de nouveau remplacé par le tic de l'épaule. Il
la descendance des vésaniques et de la descendance des alcooliques.
lis
la rapprochent au contraire entièrement de la d
vidus prédisposés par l'hérédité nerveuse ou congestive. La syphi-
lis
, en effet, se retrouve presque constamment dans l
e de l'alcoolisme. Ceux qui s'intéressent à cette question pourront
lire
un grand nombre d'observations dé- taillées, au
ux profes- sions insalubres, alcoolisme et syphilis. Nous ne vous
lirons
pas ces tableaux, nous ne demandons pas non plu
ronger les vêtements, était, à son entrée, dans l'impossibilité de
lire
, il ne savait pas non plus écrire et avait peu
s le Compte rendu de 1899 comme très amélioré, [est enfin arrivé il
lire
couramment, grâce à l'emploi simultané du sylla
e laissent aucun doute sur la possibilité de parvenir à apprendre à
lire
, écrire, compter, chanter, à coudre, rempailler
La suggestion hypnotique dans un cas d'éclamj)51e puerpérale. AI.
Lu
Menant des rapporte un cas d'éclampsie puerpé-
ies et mises sous cachet par le membre délégué du jury : elles sont
lues
publiquement par leurs auteurs sous la surveillan
nt, n'use pas de la terminologie technique, qui rend si difficile à
lire
les ouvrages traitant le même sujet. Il se propos
ndes et parlait sur tous les sujets avec netteté et préci- sion, il
lisait
même à haute voix, mais dès qu'une heure de l'a
ns trouvé que la température maxima moyenne dans les cas recueil-
lis
sur des hommes était de 9906; 7° L'amélioration p
de sérum chez les aliénés. M. Marié, revenant sur la communication
lue
à la dernière séance par M. Pactet, dit qu'il s
transfèrement à la Co- lonie avaient été soigneusement choisies par
lis
. le Dr .1. 'oisin ; même le distingué médecin d
ire, elle parvient se l'aire assez bien comprendre. Elle ne sait ni
lire
, ni écrire. Placée dans un des villages annexes
rmerie. Bien que la surveillance incessante exigée par coite petite
lut
effectivement difficile, je voulus tenter un no
...... avait commis je ne, sais quelle incartade quilui avait va-
lu
une giffle magistrale, devant qui, je dois le dir
d'onanisme très accentuées. Elle est bien développée, sait un peut
lire
, écrire, compter et coudre. Mise en observation à
compétence pour que nous puissions hasarder quelques heures à vous
lire
? - Oh ! je le confesse : je n'ai ni titres, ni
Bonne s'indigner d'une telle et si audacieuse proposi- tion, et je
lis
le nom des nombreux organes dont il affirme en so
La question des rapports de la sclérose en plaques et de la syphi-
lis
est loin d'être résolue ; la plupart des auteurs
e permet aux aveu- gles d'écrire lisiblement pour les voyants et de
lire
par le toucher l'écriture des voyants. Les an
1897). B1.1UTE. Annales 111édico-psycllOlogiques, 11.)o4. K. LrRoy.
Lu
responsabilité des lzystrriques, rapport au XVI
l en était ainsi on pourrait discuter le voeu suivant : Après avoir
lu
et discuté l'important Rapport du Professeur Gi
le de la si- tuation dégradante où elle est manifestement tombée.
Lu
nécessité de l'expertise médico-légale contradict
faut de régulation dans les pro- cessus réflexes élémentaires. Elle
lire
son caractère propre de lu faculté qu'acquiert
ro- cessus réflexes élémentaires. Elle lire son caractère propre de
lu
faculté qu'acquiert le sujet d'isoler, d'une fa
r- vir de contribution à l'étude analomo-clinique du tabès dorsa-
lis
. le D1' Long et Nicki (Genève) présentent en pr
cérébrale diffuse appartient au groupe des formes vasculaires de la
lues
cerebralis. Ses lésions sont diffuses et d'inte
cote ; elle s'étand non seulement sur la période remplie par le dé-
lire
mais encore sur l'idée même qui a rempli le délir
qui rappellent la danse de Saint-Guy du Moyen-âge. [Petit Parisien,
lu
août;) . la FOLIE EN ANGLETERRE Le livre bleu
ordinaire. Un peu plus tard, à l'épo- que où il avait déjà appris à
lire
, lorsque le malade rencontrait dans un livre ou
dans un livre ou dans un journal la description de cas pareils, il
lisait
et relisait plusieurs fois ces récits en éprouvan
it les sensations d'un homme mis aux fers.... Lorsque le ma- lade
lisait
une histoire d'aventures arrivées en pays indien,
ou si les Indiens me ligotaient de la même manière n. Une fois Z. a
lu
dans le journal que des malfaiteurs avaient ent
rps d'armée, sortait hier matin vers onze heuies de son do- micile,
lue
Saint-Georges, lorsqu'un homme correctement vêtu,
brusquement sans période initiale d'excitation motrice, ni de dé-
lire
. Elle a été accompagnée, au début, de vomissement
i a dit plusieurs fois que son mari était mort; or chaque fois elle
lisait
sur sa figure, dans ses yeux, que ce n'était pa
igure, dans ses yeux, que ce n'était pas vrai. D'autre part, elle a
lu
chez les V..., un roman du Petit Journal qui ré
ce- pendant apparemment épuisé réagissent parfaitement aux stimu-
lis
volontaires et galvaniques ; l'inexcitabilité mêm
ésion peut être loca- lisée dans la région thalamique. F. TISSOT.
LU
. Sur les variétés «en largeur » du syndrome de Br
aractère Mtnxique si prononcé que sa lettre était très difficile il
lire
) ; les 401 i clinique Nerveuse. paresthésies
rmes évolutives de manie et de dépression pures. Il semblerait, à
lire
les pages consacrées au « développement t histo
un terrain de 4S.2' ? 0 mètres carrés cultivable pour pâturage et
lu
).000 mètres carrés pour faire un jardin maraîcher
ions étroites entre la tuberculose des procréa- teurs et l'idiotie (
lisez
: tous les arrêts de développement intellec- tu
u- lettes domptent les chevaux, font peur aux crocodiles, neutra-
lisent
le venin des vipères, font dévier les balles des
u'on lui en présente l'image écrite. Lecture ; écriture. Il ne peut
lire
lettres, mots, nombres, imprimés ou écrits. Mai
a première lettre, et immédiatement après, il est encore capable de
lire
le mot écrit en question et aussi de l'écrire san
voisinage des éléments blancs autour des noyaux du bulbe ». R. C.
LU
. Un cas de ladrerie cérébrale; par MM. Léopold Lé
uïe et de la vue avec paralexie, perte de la compréhension des mots
lus
et troubles de l'écriture. Les troubles halluci
té chez un jeune soldat qui sait très bien écrire, mais pas du tout
lire
. Il - cite, à ce propos/ un autre cas de cécité
relevé comme une conclusion neuve, la constatation que les mots se
lisent
et se retiennent plus facilement que les syllabes
e les syllabes, et l'auteur en déduit l'avantage qu'il y a de faire
lire
aux enfants les mots avant les syllables. Dès 1
IBLIOGRAPHIQUE. blée de l'association va avoir lieu incessamment. l'
lus
de mille ataxiques s'y feront véhiculer et cett
moment par les grands journaux médicaux, où tout le monde a pu le
lire
; tandis que, par une erreur inverse, le premier t
lle-ci venait à cesser,.il la longue, l'obsession cessait aussi. On
lira
avec grand inté- rêt ce qu'écrit à ce point de
ide, intensif. Bien à dire sur « avant ». Je ne pense à rien, ou je
lis
un jour- nal, ou je regarde une personne, un ob
la peur de rougir. L'intelligence passive, celle qui me permet de
lire
, d'étudier, d'assimiler est intacte. L'intell
Monsieur l'instituteur; jesuisà à Ain-Turc ; je ne sais pas encore
lire
et écrire. Je viens de France, des Pennes, banlie
ux des tables de statistique, mais de ces matériaux statistiques on
lire
souvent des erreurs (Exemple). Les tristesses
ralysie géné- rale sans cependant que celle-ci soit évidente. Qu'on
lise
avec soin l'observation de folie à double forme
int ¡¡l'expérience, La brochure de M. Vires est liés intéressante à
lire
et prouve que son auteur possède en perfection
ituation ; je pre- nais habituellement un livre, je me mettais à le
lire
ou à le feuil- leter, mais mes yeux voyaient à
ment d'angoisse, que je parcourus pendant les premiers jours les '
lues
de la ville. Les cours ne devant pas encore com
ne fait que reproduire en les exagé- rant maladroitement des récits
lus
dans des aventures de voyages, qu'il aime par-d
il l'a essayé et les résultats qu'il en a obtenus; il y a surtout à
lire
les pages où il ex- pose comment il comprend ce
teur de la lumière. Le détail et'la .variété des expériences sont à
lire
dans l'original. Il trouve ainsi qu'un arc de 1
ue. fait chez le second malade, j'ai pu constater que le premier ne
lisait
pas de côté comme le font les hémiopiques. M. B
d'hyperchromie sur le tronc. Quoique niant de bonne foi la syphi-
lis
, cet homme est un syphilitique avéré. Son signe d
b... (Alphonse-Désiré), né le 11 mai 1849, bobineur, indigent, sait
lire
et écrire, entre àl'asile d'Armentières, le 14
on frère jumeau, Quinzeb... (Jules Victor), filtier, indigent, sait
lire
et écrire, entre à l'asile d'Armentières, le 3 no
dont elle n'apprécie plus l'usage : il est impossible de l'amener à
lire
et à écrire. Pas du tout, jamais de paralysie,
own-Sequard montrait que les cochons d'Inde devenus épileptiques ci
lu
suite de la section de la moelle ou du sciatique
mp visuel. Avec cela, elle éprouvait une cer- taine difficulté pour
lire
; elle était obligée de reculer le papier, quand
qui a reçu peu d'instruction et qui a une intel- ligence médiocre,
lisait
quotidiennement un journal, avant de tomber mal
gauche, les malades éprouvent habituellement une certaine gêne pour
lire
. Assez souvent, on note, en fait de manifestati
om ! 1/e de quarante-huit ans, garçon bras- seur, indigent, sachant
lire
et écrire. Antécédents héréditaires : un oncle
dans l'étiologie de cette affection soit comme cause initiale, soit
LU
SOCIÉTÉS SAVANTES. comme cause aggravante. Un a
lter Cham- sing, 219. -et aliénés c1Jmmels, par Drew, 404. , DL,
LIRE
par introspection mentale, par I. Vaschide, 238
de lucale, par Lannois, 3G. HÉIIORHHAGIE cérébrale. Voir Fme- 1
lire
. Hémorrhagie méningée spinale en dehors de la
wlstv (J.). Liétlacleto en chef : D0U11NEVII.I.E Secrétaire de
lu
rédaction : Cil. 1 H tt Bi'M ! '<m;<;Mr.L
es fonctions involon- tcziz'es des appareils de lcz locomotiozz, de
lu
Pz·é7zezzsion et de lcz voix. (Arch. gén. de mé
Jachson, nous ont dit n'avoir jamais observé de semblables cas, ni
lu
une descrip- tion de cette maladie. D'autre par
té fort négligée, par suite de sa maladie, et qui passe son temps à
lire
des récits de voyages. L'état général est satisfa
onnaient avaient parfaitement entendu. Il lui est arrivé, lorsqu'il
lisait
, d'être poussé par le besoin irrésistible de pr
rare. Nous ne nous sommes décidés à l'expérimenter qu'après avoir
lu
les nouvelles observations publiées récemment par
nature ont été rarement mentionnées par les auteurs que nous avons
lus
. Nous n'avons rencontré que deux cas dans lesqu
et avril 1883, p. 18.) On est quelque peu déçu lorsque, après avoir
lu
les deux articles consacrés au caractère et aux
mploie aussi bien que jamais la table de multiplication ; elle peut
lire
, définir un objet, le nom- mer quand on le lui
d on le lui présente ; mais elle n'a pas plus la mémoire des choses
lues
que des choses entendues. Elle n'a pas plus oubli
le et émanent de la formation d'un centre des signes écrits 0. Pour
lire
, il faut que ce centre soit joint à A, la lectu
riture; ils sont incapables de répéter, d'écrire sous la dictée, de
lire
à haute voix. Mais ils peuvent encore copier, p
ontaire, l'écriture spontanée; mais répéter, écrire sous la dictée,
lire
à haute voix, comprendre la parole et l'écriture
phe de l'écriture volontaire. Mais les individus atteints répètent,
lisent
à haute voix, écrivent sous la dictée, sans com-
euuto-gastriquc,du glosso-pharyngien. 11. Srmea (d'lleidelbcr). Sur
lu
marche a reculons de la yn - nouille. Enlevez l
de Bonn). Contribution ci la physiologie et ci 1(i p(itho- logie de
lu
sensibilité tactile. Les recherches du professeur
es rapports médico-légaux contradictoires, longue épopée qu'il faut
lire
par le menu pour en apprécier les détails. Elle s
arque qu'il a barbouillé les murs de sa chambre et les livres qu'il
lisait
d'ins- criptions dépourvues de sens. Dans la nu
ntouraient avaient parfaitement entendu. » Il lui arriva, lorsqu'il
lisait
, d'être poussé par le besoin irré- sistible de
DU CURARE DANS LEI'ILEL'SIE. 205 Avantde s'endormir il s'amusait à
lire
, à compter, puis « il balan- etzil sa tète en l
e qui nous intéressent exclusivement. Au point de vue anatomique,
lus
faits se présentent encore avec des variétés pl
tes. 140 La vésanie traumatique n'a pas de signes anatomopatliologi(
lu
*. 11 est rare que l'on trouve à l'autopsie des
évolution inverse du mode, suivant lequel elles ont été acquises.
lis
en arrivent à méconnaître les injustices qu'ils c
acide phosphorique éliminé est diminuée, soit d'une manière abso-
lue
, soit d'une manière relative à la somme des matiè
r l'invitation de M. Falret, donne communication du mémoire qu'il a
lu
à l'Académie de médecine sur les ano- malies, l
droite ? M. Bernhardt. Je n'ai rien trouvé. MM. MENDEL et REMAK.
lise
pourrait qu'on ait affaire à un hys- térique. L
ntée par 111. le Préfet de la Seine. NI. Ritti, secrétaire général,
lira
un éloge de Pinel. Nous croyons savoir égalemen
accommodation était tellement diminuée à droite que le malade, pour
lire
les caractères d'impression de gros- seur moyen
e libre de John Bost à Bétel (Dordogne), on est parvenu à lui faire
lire
quelques lettres. Dès l'enfance, G... était v
eux et ballonné. L'haleine exhale cette odeur pénétrante (Oss. VII,
LU
, CIV), qui im- prègne parfois la chambre du mal
ns le cours du diabète, sans conséquences graves (OBs. VII, XL VII,
LU
, CIV). On voit ainsi des diabétiques présenter,
puis une chute dans l'escalier faite à l'âge de deux ans. Elle sait
lire
et écrire, A quinze ans, sa mémoire diminue et
n le matin; recrudescence dans l'après-midi, les douleurs affectant
lu
forme d'accès névralgiques ; grande lourdeur da
même dans les deux cas. Il est probable, en résumé, que la syphi-
lis
est une cause de tabès, mais d'autres causes auss
dans le corps du journal par la publication in extenso des mémoires
lus
dans le sein de la Société. On en trouvera l'an
n les voyait cesser tout à fait pendant quelques minutes en faisant
lire
l'enfant à haute voix devant quelqu'un ; lui pr
, inspecteur général des établissements d'aliénés de la Belgique, a
lu
un travail sur la Colonisation des aliénés. En
impossible d'en traiter complètement dans un travail destiné à être
lu
dans une séance ordinaire de Société savante. D
auparavant, ainsi qu'il était facile de le constater en lui faisant
lire
un journal. Le docteur C. R. Agnew fut mandé le
vent chez les hé- mianopsiques). Quelques semaines avant sa mort il
lisait
et écri- vait facilement lorsque, la faiblesse
soit en faveur de Charcot ' tandis que les seize cas que je vous ai
lus
parlent hautement contre elle. A la vérité il n
i. Allg. Zeitschr. f. Psych., xli., 1885, p. 637. 44. 1883. Idem.
lu
idem. Fall in., p. 638. 216 G RECUEIL DE FAITS.
ésordres inflammatoires décroissent dans le poi- DE 1/HYSTÉRIE AVEC
LU
RHUMATISME ARTICULAIRE AIGU. 231 gnet pour s'ex
s a montré que la respiration même rendait cette immobilité abso-
lue
, impossible, le bras prenant part aux mouvements
. L'immobilité, chez l'homme, peut difficilement être aussi abso-
lue
que celle de la grenouille, pour toutes sortes de
de force, ni de chaînes. On ne les occupe pas; ils s'entretiennent,
lisent
, fument. Quelques femmes cousent, ou font de pe
r à la réorganisation de l'assistance des aliénés dans sa patrie.
M. Hans Lu
;an. Contribution à l'acéloiiu7-ic des aliénés. Au
rche de la maladie est très rapide. M. ZEKKER rappelle un mémoire
lu
au congrès international de Copenhague, suivant
de de la coloration à la sa- fi,aiiille 2. C. 013LRsiFlrçElt. Sur
lu
rraorplaiomwie <;<60H traitement. (En alle-
un certain nombre de tubes complètement dégénérés. Dans une note
lue
à la Société anatomique', M. Gom- bault a insis
corps thyroïde. D'une intelligence médiocre, la malade sait à peine
lire
, et pré- sente un léger embarras de la parole.
cher, 30S ; ^zones motrices), pat Hu- blé, 29; - (ramollissement (
lu
) ; 85 ; (masses risestlu), parJley- nert,1 15
NévropatUies et ozone, 111. Névroses vaso-motrices et trophi- (
lues
, par Eulenbnrg, 290. Nitrite d amvle (convulsio
ew, 80. Friedmaim, 315. Fritsch, 87. Fuerstnsr, 305. Garnier,
LIS
. Glaser-, 426. Uollstein, QS6. Grasset, 156
e et le pli courbe étaient sains. Si l'ob- servation qu'on vient de
lire
devait, en raison de l'exiguité de la localisat
ique, dont le type est fourni par le délire alcoolique ; 3° les dé-
lires
par intoxication médicamenteuse(chloroforme et io
toires d'excitation, ou plus rarement de dépression; tantôt le dé-
lire
qui en est l'expression est systématisé (délire a
s corps d'armée. Y a-t-il au contraire des réserves à faire ? Qu'on
lise
les lignes écrites par M. Bourneville. Les au
- Loco cilcclo. 3 Allr/emeine %eil.scln·if1 filr l'sycliktlrie, t.
LU
. RECHERCHES SUR l'aNALGÉSIE DU CUBITAL. 99
e ne présentait ni cécité verbale ni surdité verbale ; elle pouvait
lire
et écrire et comprenait ce qu'on lui disait. L'
dant, comme M. Ballet, que si l'on fait une enquête sur la syphi-
lis
des paralytiques généraux on rencontrera le plus
M.Jules Voisin, vice-président et M. BÉRILLON, secrétaire général,
lisent
les discours qu'ils ont prononcés aux obsèques de
ransverses, est tout récent, datant à peine de sept mois ; il a été
lu
en présence de M. Marinesco ; les conclusions et
de places pour les idiots dans les établissements spéciaux ? J'ai
lu
votre rapport de 1894 avec un grand intérêt. Dite
ons songer ici, à présenter un résumé de ces ouvrages où tout est à
lire
; c'eût été, d'ailleurs, franchir les limites d
atoire. A noter, dans ce très intéressant travail qui mérite d'être
lu
, qu'au moment de l'amélioration il semble au mala
du mot. Un enfant qui copie d'après l'abécédaire sans savoir encore
lire
se sert- de 6, v, y. Un enfant qui lit sans a
motet l'écrit utilise b, l, o, v, y. Un enfant qui écrit ce qu'il a
lu
en silence et compris se sert de 6, l, A, v, y.
isme épileptique. (The alienisG andneurologist, oct. 1898.) E. B.
LU
. Sur la dysostose cléido-crânienne héréditaire; p
ique littéraire et de science. Les romans d'aventures sont les plus
lus
, particulièrement ceux d'Alexandre Dumas; aussi f
es fatigues et les veilles suppor- tées dans différentes places, il
lisait
beaucoup, mais n'im- porte quoi, sans suite et
on d'attention, de mémoire, d'une idéation étendue; ils s'occupent,
lisent
, écrivent des lettres; nous en avons même vu fa
parler automatique- ment. La même chose se passe quand on apprend à
lire
ou à écrire; le centre moyen doit alors associe
on frontale. La parole intérieure est conservée, les sujets peuvent
lire
et écrire sans pouvoir parler ' ; 3° L'aphasie
). Malgré le pouvoir de répéter machinalement les mots entendus, de
lire
et d'écrire aussi machinalement (action automat
s et les phrases qu'on prononce ; 3° alexie avec impossibilité de
lire
les mots quoiqu'il soit possible de lire les lett
exie avec impossibilité de lire les mots quoiqu'il soit possible de
lire
les lettres, ce dernier processus étant moins c
56 THÉRAPEUTIQUE. il arrive également que le sujet, tout en pouvant
lire
, est incapable d'écrire, car il ne retient pas
la durée de son accès, il comprenait très bien ce qu'on lui disait,
lisait
et écrivait parfaitement. Il quitte alors les H
lulaires évidentes et profondes ; par G. DADDi et SII,E ? Til],Nl. (
Lu
Sperirnentule, n° 3, 1898.) Au cours de recherc
'un héritage qu'il vient de faire est chez lui bien ancrée et il en
lire
des conséquences logiques. On est donc loin de
réveiller l'instinct de la conservation. (Je me trouve très bien de
lire
et de commenter quelques passages de John Lubbo
nérescence mentale. Etat nevro- pathique, appoint alcoolique, dé-
lire
hallucinatoire, par Truelle, 337. Di'générescen
teur oculaire com- mun dans 1' organique, par Mirallié, 1. H6 :
lu
;nrrc. L' comme (acteur dans l'étiolonie de la I
gine bulbaire, par Malty, 59. Un cas de - juvénile avec syphi-
lis
héréditaire, par Saporito, 62. )1%oli,mie dans
334. d'llypnolo- rie, ilti. Sommeil. Rapports entre la maladie (
lu
- et le m\'xoede[ne, par Cri- quet, 62, par Mon
'ont pu y prendre part (1888, p. ix). 4 de ces enfants ont appris à
lire
. . 20 enfants de la petite école et de la petit
ellement il accourt au devant de nous, vient de lui-même demander a
lire
, écrire, et reste docilement il sa place tant q
prend quelques exercices de grammaire, fait chaque jour une dictée
lue
sur les lèvres. Il a été envoyé à l'atelier des t
leurs où son patron en est satisfait. ' Deux enfants ont appris à
lire
couramment : la 13oo... (Louis), nature apathiq
ceux de la grande école en trois sections. Aucun d'eux ne savait
lire
la musique et ne possédait de notions sur la th
rtenant à la fanfare. Presque tous les enfants savent, aujourd'hui,
lire
eux-mêmes les notes, en connaissent la valeur,
e la musique. Quand les enfants sont suffisamment avancés pour bien
lire
un morceau de chant et l'apprendre avec fruit,
visité la section des enfants le 17 octobre ; un jeune malade lui a
lu
un compliment d'usage et lui a offert un superb
larges, plus que dans un hôpital ordinaire afin d'éviter les col-
lisions
, les rixes entre les malades; 9° Il y aurait in
r il Bicêtre. J'ai entre les mains un rapport récent que je ne puis
lire
publiquement, 14 Imbécillité intellectuelle et
ons tous les ans, que M. Caplain pourrait apprécier s'il daignait
lire
le Rapport général sur le service des alié- nés
hysté- rique ; pas de paralysie, d'hémianesthësie. Pas de syphi-
lis
. Assez grand fumeur. - [Père, mort à 48 ans, ouvr
d'accès. Traitement : 2 bains salés; 2 capsules de bromure de camp
lire
; aller jusqu'à 4. 1894. Peu de modification da
! i). Décembre. - L'enfant est très paresseux, refuse souvent de
lire
et de faire ses devoirs, ricane, si on le réprima
ai- tement (exercices de la prononciation et de la parole) ; - il
lire
, écrire, compter d'une manière passable ; à avo
et la suture métopique sont fermées. (1'ir/. 12). i Les Fig. 13,
lu
, 15 et 16 donnent une idée précise de la mal- f
âge de 5 ans. - Soeur morte de convulsions. - Soeur, colé1'cuse : -¡
lut
¡'e sceur, vagabonde, actuellement en correc- ti
blèmes sur les 4 règles. Son écriture a peu changé, mais il sait la
lire
; fait des dictées et des rédactions. A acquis
. A acquis quelques notions de géographie et d'histoire. A appris à
lire
la musique, fait partie de la fanfare des enfan
t des progrès en classe, se con- duisant bien, travaillant, sachant
lire
, écrire, compter. Début apparent des troubles m
assez bonne. A la sen- sation du chaud et du froid. Il a dû savoir
lire
couramment, car il lit bien des noms difficiles
ppe, assez rapidement même : l'enfant est 1)on écolier, apprend à
lire
, à écrire, il compter. Puis, à la suite d'une b
on XXI (p. 140). I. Dû côté du père nous devons relever la syphi-
lis
survenue à l'âge de 19 ans, bien qu'elle ne sembl
llement stationnaire ; sa soeur a en vain cherché à lui apprendre à
lire
. La déviation du pied droit, qui s'accroit de p
s résul- tats de l'autopsie du crâne et du cerveau qui seront uti
lises
tout-à-l'heure dans la description qui termine l'
nouvelles de lui. Son état de santé était satisfaisant; ni syphi-
lis
, ni rhumatismes, ni dermatoses. Grand-père patern
a jamais envoyé à l'école;- on a vainement tenté de lui apprendre à
lire
, il sait compter' jusqu'à 40. Il se sert plus p
, ni clastoillanie, ni onanisme. Observation. 335 Elle ne sait ni
lire
, ni écrire, mais elle a une mémoire assez dével
nt et tient compte des observations qu'on lui fait. Elle ne sait ni
lire
, ni écrire et préfère bavarder en classe qu'y t
que. aurait néanmoins joui d'une certaine intelligence, il savait
lire
et écrire. Aucun autre antécédent pathologique ou
est onychop liage effrénée. Son intelligence est moyenne. Elle sait
lire
, écrire, faire les quatre règles, mais travaille
émoire est faible, mais son juge- ment est assez développé; il sait
lire
, écrire et compter. 1884. Juin. - Quelques prog
oeil droit. Peti ? n'a ni vertiges, ni tournements de tête, il peut
lire
mais est fatigué au bout de très peu de temps.
t nécessaires (1). ERRATUM. Page 202. Après les mots : Ne le....,
lire
: 18 décembre 1890. (1) Voir, pour compléter
sé, dans ces attaques mêmes, un nouveau caractère de certitude. 1
Lu
à l'Académie de médecine en 1875, ce mémoire, des
elui dont les dimensions s'en rapprochent le plus; on n'a plus qu'à
lire
le numéro et à en déduire le diamètre ce qui es
ssez malin. Son instruction a été un peu négligée, il sait pourtant
lire
, écrire et faire les quatres règles. Il était a
lir. En somme la perte totale des fonctions de sensibilité, dévo-
lues
à un hémisphère, ne saurait s'observer que dans d
ne des facultés de l'intelligence, celle d'inter- préter les signes
lus
ou entendus, qui est parfaitement compa- tible
e souvenir facile des anciennes sensations. Ainsi l'épileptique qui
lira
péniblement une ligne, résoudra aisément des éq
es de l'asile; il recevait avec plaisir les visites de ses parents,
lisait
, jouait aux échecs, etc. En outre, alors que du
jt)<ycAtM ? e, t. VI, 1879. Brochure mu de 24 pages, avec 2 gra\
lires
hors texte. Wesiphal. ? 7;)'aH/fKay der hinters
e, ils entendent des voix qui leur reprochent ., leurs crimes, leur
lisent
leur arrêt de mort ou qui leur répètent qu'ils
mes imaginaires', était obsédée jour et nuit par une voix qui lui
lisait
son arrêt de mort et décrivait les supplices, t
nt le carac- tère morbide. Ceux qui nous feront l'honneur de nous
lire
, voudront bien, pour nous comprendre et partant
nstruction nulle. L'exception signalée prouve sans doute que savoir
lire
et écrire n'est pas indispensable pour apprécie
bien plus que pour les gens du monde, malgré son titre ; doit être
lu
en entier, mais ne peut être résumé; l'auteur exa
e la séance est consacré à la discussion sur le travail de M. Pohl,
lu
à la séance du 12 janvier. Séance du 27 avril.
de culpabilité. Mm, G... se croit magnétisée, s'imagine qu'on peut
lire
dans ses pensées et que ses pensées peuvent êtr
s'imagine qu'elle est persécutée par des gens qui ont le pouvoir de
lire
dans la pensée et qu'elle appelle des r(ii-igaf
failli succomber. D'une intelligence extrêmement précoce, il savait
lire
à trois ans ; mais d'un autre côté, il ne march
heure du jour, fait jusqu'à cinq repas, passe souvent ses. nuits à
lire
des romans ou des journaux; parle avec vivacité,
rait eu une fièvre typhoïde; il est allé à l'é- cole, il a appris à
lire
et à écrire, mais il a été peu appliqué et touj
l. i. 3 Louer. .l'-e/i. sur opltlh., 187. * Marchai (de Calvi). -
Lue
. cil., p. 2oS. Wickerslieiiner. Thèse de l',ma;
rogrès médical, 1875, 1). 1) Î. ' H. Lcpiue. Lyon médical, 1880, u"
lu
. 356 . REVUE CRITIQUE. l'ait caractéristique.
érale de la société ilarvéienne de Londres, le Dr C.-G. Henderson a
lu
l'observation d'un cas de variole confluente su
s ou moins facile ; nous souhaiterions que le travail de M. Fox fût
lu
et médité par tous les directeurs d'asile ; nou
rès couvent un mot à la place d'un autre (para- phasie). Il ne peut
lire
ni mots ni syllabes, ni chiffres, présentant le p
et principalement sur ceux qui se trou- vent dans le corps humain,
lu
à la séance du 26 pluviôse an XII 1804. In mém. d
s'ac- compagne de paralexie, de perte de la compréhension des mots
lus
et de troubles de l'écriture. L'excitation ma
é verbale, mais paralexie avec perle de la compréhen- sion des mots
lus
. Aum. ne présente pas de cécité psychique. Il rec
tée à l'envers, l'écriture est mise eu place et le malade cherche à
lire
, mais un certain nombre de mots sont déformés : i
t pas exé- cutés : il ne comprend pas les phrases qu'on lui donne à
lire
, même celles qu'il lit à peu près correctement.
urd ? 2 rouette... brouette. Vincennes (Imprimé). (Le mot n'est pas
lu
). Mairie ( id. ). Meunier. Les lettres sont b
mot n'est pas lu). Mairie ( id. ). Meunier. Les lettres sont bien
lues
, mais si on les entoure d'un cartouche pour for-
F. » et s. v. p. il ne comprend pas. Les chiffres sont correctement
lus
mais de la façon suivante : ' 8 ........... 82
« je ne vois plus et la boussole n'est plus bonne ». j L'heure est
lue
correctement à l'horloge. , 5° Il existe des tr
exposés ci-dessus. Paralexie et perte de la compréhension des mots
lus
. - Il n'existait pas de cécité verbale, mais so
Il n'existait pas de cécité verbale, mais souvent, quand le malade
lisait
à haute voix, les mots étaient déformés ou même
nt d'être signalés (paralexie et perle de la compréhension des mots
lus
) paraissent devoir relever de l'interruption de
si curieux que rares et on a peine à concevoir, à moins que d'avoir
lu
cet ouvrage, comment il fut possible à son aute
com- mune dans le département de la Marne, et a appris rapidement à
lire
; quel- ques mois après il a voulu imiter ses ca
ent, l'examen complet du malade décelait : d'abord, la cécité abso-
lue
, sans myosis, ni mydriase, ni inégalité papillair
it faire rejeter l'influence, même à titre accessoire, de la syphi-
lis
, dans cette névrite optique, dont l'histoire étio
V. Système NERVEUX. - L'intelligence semble ordinaire. Le malade sait
lire
, écrire et compter. Sommeil bon, pas de rêves n
supérieure une ligne passant, en dehors à 15 centimètres au-dessus de
lu
pointe de la malléole externe, en arrière à 8 c
VIII. Intelligence. - L'intelligence semble ordinaire. Le malade sait
lire
, écrire et compter. Sommeil bon. Pas de rêves n
s les pieds, elle voit des morts. Elle prétend que depuis qu'elle a
lu
« les mémoires de Monsieur Claude » on lui fait
e a lu « les mémoires de Monsieur Claude » on lui fait ce qu'elle a
lu
. Dans la jeunesse et l'adolescence L... avait f
elles qui relèvent du myxoedème congénital ; enfin celles de syphi-
lis
osseuse congénitale, de fractures multiples intra
l'accommodation. La malade accommode ce- pendant assez pour pouvoir
lire
couramment de l'oeil droit quand son vice de ré
os de une minute qui les séparent. Les résultats des expériences se
lisent
facilement dans les tableaux suivants où sont ind
u une pression NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XIV, PI.
LU
1 Cliché Aubert Photot) pie Berthnud SEIN HYS
de volume de 2 centimètres soit actif. Lorsqu'on saisit la peau du
liras
à pleine main, l'on tient un pli plus épais à d
vé avec un intérêt d'autant plus vif l'observation dont on vient de
lire
le résumé, qu'elle parait entièrement calquée sur
celles du tibia et du péroné, c'est-à-dire une sorte de rebrous-
lu
cartilage articulaire, formant une crête Fig.3.
Saignée d'un homme, gravure sur bois extraite de Liber pestilienta-
lis
, de H. Bnurrscnms (Strasbourg, Grûninger, 1500).
botomiste des siècles précédents explique leur abondance. « Plus on
lire
de l'eau d'un puits, disait Botal, plus il en rev
aturelle. Réflexions. — Il résulte de la description qu'on vient de
lire
: i° que les ganglions nerveux sont sujets à une
e, fere per totum intestini tenuis tractum haec vasa modo minus sueto
lu
cul en rissima inveni. Clandulae mesenterica? fer
n thèse générale que la (*) Pendant l'impression de cet article, je
lis
dans un journal de médecine (Nouvelle Bibliothèqu
médication, et par l'absence de douleur. Dans le cas qu'on vient de
lire
, bien que la rate fût le siège de suppuration, ne
est point un antiphlogistique. Non, je ne pense pas que cette maladie
lût
au-dessus des ressources de l'art bien dirigées.
tance, éventuelle, peut-être même cadavérique. C'est ainsi que nous
lisons
, dans les recueils d'observations, des exemples d
d'une malade qui succomba à la même époque que celle dont on vient de
lire
l'histoire. Voici le précis de son observation :
on le pense ; ayant eu occasion de faire part de celui qu'on vient de
lire
à M. Duméril, il se rappela un fait analogue cons
traites, par M. Barruel, de l'ovaire malade d'une jument. On vient de
lire
dans cet article plusieurs exemples de cholestéri
J'ai cru devoir appeler apoplexie du cœur l'altération qu'on vient de
lire
; je trouve dans cette dénomination le double avan
récédent. Je préfère donc rapprocher de la description qu'on vient de
lire
un cas analogue décrit avec une rare exactitude p
anes fibreuses n'a été plus manifeste que dans le fait qu'on vient de
lire
. Nous avons vu qu'elle avait servi de barrière im
icoïdes étaient entièrement détruites. » Dans le cas qu'on vient de
lire
, M. Bouillaud attribue la mort du malade à la dés
aura été résorbée. Réflexions. — Dans l'observation qu'on vient de
lire
, point de céphalalgie, point de vomissemens; mais
ciences et arts, de la Haute-Vienne ; et sur la demande du préfet, je
lis
une Notice qui fut adressée par le ministre de l'
presque toujours sous la forme ataxique. L'observation qu'on vient de
lire
m'a paru être le type de cette forme de maladie.
ique fibreuse de l'intestin. Peut-on dire, dans le cas qu'on vient de
lire
, que l'éruption intestinale était une éruption cr
Cancéreuses des Méninges) (les sinapismes, des boissons délayantes
lurent
prescrits. Ces moyens devinrent inutiles, les sym
cancéreuses des Meninges.) des sinapismes, des boissons délayantes
lurent
prescrits. Ces moyens devinrent inutiles, les sym
nces de symptômes que présentent les deux observations qu'on vient de
lire
? Pourquoi dans un cas existait-il de la fureur,
rophié du même côté PA'. Réflexions. — L'observation qu'on vient de
lire
peut fournir matière à un grand nombre de réflexi
et les chances de repullulation seraient infiniment plus grandes. On
lira
peut-être avec quelque intérêt l'observation suiv
ge cité une faute typographique. Au lieu de en avant de T avant-bras,
lisez
en arrière de Vavant-bras. 9e. Livraison. Pl. 2
l'autre qui ne pouvait la toucher que dans une flexion exagérée. Je
lis
dans le Journal hebdomadaire de médecine (compte
Je n'ai donc pas été surpris que tout dernièrement un Mémoire ait été
lu
à l'Académie royale de Médecine, dans lequel on r
voulurent assister par députation à l'ouverture du malade dont on va
lire
1 histoire, persuadés qu'ils étaient que ce malad
rine en particulier, recherches dont les principaux résultats ont été
lus
à la Société anatomique, en janvier 1828, et sont
isent cette objection à sa juste valeur. XXV. L'expérience qu'on va
lire
va prouver directement que le pus produit dans un
re. Le fait suivant a beaucoup d'analogie avec celui qu'on vient de
lire
; je regrette de n'avoir pas pu retrouver les note
çant. J'avoue qu'à la vue des pièces pathologiques dont on vient de
lire
la description, des doutes se sont élevés dans mo
e des vaisseaux lymphatiques, j'invoquerai : i° une observation qu'on
lira
plus bas, dans laquelle je trouvai pour toute lés
ns l'état le plus parfait d'intégrité. L'observation qu'on vient de
lire
est le seul exemple que j'aie rencontré de maladi
avait pu se faire transporter chez lui. Dans le cas qu'on vient de
lire
, la rapidité de l'amélioration après la cessation
ui se renouvelèrent toute la nuil. XVL L'observation qu'on vient de
lire
peut servir de type pour un certain nombre de cho
ité le nom de spasmodique ou d'as-phyxique que celui dont on vient de
lire
l'histoire. On conçoit, en effet, que les crampes
phleg-masie, soit aiguë, soit chronique. L'observation qu'on vient de
lire
prouve que l'inflammation, suite du choléra, surv
ître le rapport qui existe entre les deux observations qu'on vient de
lire
. Dans le dernier cas, la femme était dans un état
Hunter, Desault, puis reprises par Everard Home, qui, dans un mémoire
lu
à la Société royale de Londres en 1806, leur a do
la perforation de la base de cette végétation. C'est le fait qu'on va
lire
qui m'a suggéré cette idée, que je soumets bien v
ns. Toutes les circonstances relatives à l'observation qu'on vient de
lire
, rentrent parfaitement dans les généralités par l
pêtrière, en même temps que j'observais en ville celui qu'on vient de
lire
. 20e. Livraison. Pl. 5. Perforation spontanée
inue en aucune manière avec le tissu de la cicatrice. Gastrite chro
lue
ulcéreuse par suite d'un choléra léger ; hématémè
ésite pas à corriger ou plutôt à atténuer les caractères trop abso-
lus
qu'il avait d'abord attribués à ce type dans sa p
QUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 41 de l'aphasie hystérique. On
lira
plus loin l'observation d'un syndrome hystériqu
e et fréquent. Impossible de vérifier à cet âge s'il y a faculté de
lire
ou d'écrire. Mais il n'y a certainement pas de su
souffrir. Le visage de l'enfant était déchirant ; sur ses traits se
lisait
la douleur. Dans ces conditions, je conjurai le d
d'église en langue latine, il entrait dans une rage furieuse. Si je
lisais
au contraire un passage d'un classique, il me lai
Si je lisais au contraire un passage d'un classique, il me laissait
lire
tranquillement. Après l'expulsion du diable, l'
state, en outre de ces troubles trophiques, une insensibilité abso-
lue
des deux dernières phalanges du médius et de l'in
de phénomènes trop nombreux et trop complexes pour que l'analyse en
lire
quelque profit. Mais alors même que nous ne sau
SUR UN CAS D'ARTIII ! OI'ATlI18 TABÈT10UI ! DES DEUX UANCUES 149
lu
. 57 au lieu de 1 m. 65 qu'il avait z 21 ans. Comm
, pendant son séjour à l'hôpital, elle a eu de l'incontinence abso-
lue
. Comme stigmate extérieur de syphilis, on const
ularité également bien digne d'intérêt, dans l'observation qu'on va
lire
, c'est qu'il s'agit d'un névropathe, et que l'app
e d'une façon intermittente. L'incontinence d'urine est aussi abso-
lue
qu'au début ; mais il n'existe pas de symptômes d
son de Neuilly qu'il aimait tant. Je lui avais porté, pour qu'il le
lût
et le cor- rigeât, un des derniers chapitres du
s auteurs qui ont étudié les complications médullaires de la syphi-
lis
se sont peu attachés à faire ressortir les partic
tance au même point de vue. Dans un important travail sur la syphi-
lis
des centres nerveux, Oppenheim (l)a émis cette op
e tabes dorsal spasmodique développés sous l'influence de la syphi-
lis
, qui ne sont pas sans analogie avec le suivant.
Vach., 1889. VI 19 274 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
lis
, jusqu'ici bénigne, avait été parfaitement soigné
Son origine devait être fort obscure : jamais il n'avait appris il
lire
ni il écrire et cependant, comme ses congénères
incapable de se rappeler un seul motif entendu. Mais il continuait à
lire
la mu- sique couramment. En 1885, il alla con
lir ce long voyage à la Salpêtrière. Et sa confiance était si abso-
lue
, la certitude du succès si parfaite qu'elle a imm
uict sortes de langues toutes différentes, et en chacune d'icelles,
lire
et escrire, et s'il eust ouy parler un homme di
de souf- frir des yeux, de ne pouvoir fixer longtemps un objet, ni
lire
, ni écrire, sans ressentir une fatigue douloure
Plancy, loc. cil., p. 104. (2) Collin de Plancy, loc. cit. vt 24
lue
354 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
médie en 1,2 scènes. Nancy, 1882, in-16. [Ylh. 20. 905J (cote de la
lis
. Nat ). Blechmann (Bernhard). Ein Beilzvtg sur
▲