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1 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
bien qu'il eût élé assez précoce pour sa dent ilion el sa marche, il lut 1res en retard pour le langage : â cinq ans il ne
e, t.a famille ne négligea ni les punitions, ni les châtiments ; tout lut inutile. Sur le conseil de mon confrère, le mal
u père est remarié; la Iwlle-nière donc écrivit confidentiellement il lu liilile. piî rebondit une longue lettreipic nous
ellement il lu liilile. piî rebondit une longue lettreipic nous avons lue . où. ipioi que illettrée, celle leinine expose av
verture d'un cadavre comme un sacrilège et qui ne permettait même pas lu dissection des animaux ? Le peu de lumière qui
générale 'absences motivées par maladie......----------.....- 2. De lu force physique (notos île gymnastique, apparence
n traite volontiers d'inutile ce qu'on ne mimait pas. et l'orgueil de lu science est. comme l'a dit Spencer, de l'humilité
s pairs et fera mentir la Itouladc tle Muimret : « I_es gens du monde lisent trop de livres de médecine et les médecins pas as
alluvions de tous les systèmes qui ont, périu- diqucnicut. inondé lu médecine. Combien de ces systènies n'uni tenu et
Combien de ces systènies n'uni tenu et ne tiennent sur place que par lu grandiloquence des expressions ! K» le» ilr-i tou
étaient en état de sommeil hypnotique. » L'auteur n'a. Évidemment, lu aucun de mes ouvrages sur l'hypnotisme. En 1880
affaibli la notion du progrès scientifique. Il en était résulté que lu pratique de l'hypnotisme était à plein tolérée. L
t donnée en prix à celui «|uï donnerait la preuve du fait «pi'on peut lire sans ic secours des yèujf, de [a lumière et de la
tre dix et quinze lettres, connu île lui. Si le mut ou l'ensemble est lu . M. Pouehet versera sur l'heure la somme dé mille
e la somme dé mille francs, dont il sera porteur, à la personne ayant lu l'écrit. a En cas d'insuccès, vingt-cinq francs
hypnotisme lors de sa fondation. Avant même on.- le premier numéro eu lût paru, ilavait accepté d'en être un des collaborat
rai que désormais elle digérerait ce que je lui ferais porter. Je lui lis donner ce jour-là une aïte de poulet qui passa pa
, ni même une voix quand je ne m'adressais pas à elle directement. Je lis disparaître par le loucher et la pression lesdoul
autres. Je la réveillai pour procéder au déballage: lorsque le genou lut mis à nu. il fallut procéder au nettoyage. Il y a
de chez moi. chez elle, et circula dans sa maison, étonnée elle-même « lu changement qui S'était Opéré dans ses mouvements.
ce en tant que rêveur. et à ce dernier propos, j'invite ceux qui vont lire ce court travail à suivre mou exemple : ils s'ape
ts avec de l'attention accumulée prise, n'importe comment, sur 1 idée lise «le reposer : c'est dans les rêves somuambuliqiie
ns démonstration, ne peuvent être acceptées tout d'abord par ceux qui lisent ce travail ; mais j'espère qu'à nu-sure qu'ils av
nt concentrer l'attention des sujels qu'il endormait sur un objet île lu vision crut «pie le sommeil ainsi produit était n
ce De M. Dumontpallier Le procès-verbal de la séance du 19 juin est lu et adopté. La correspondance comprend des lettr
les membres il paver le moulant de leurs Cotisations est l'indice de lu grande vitalité de la Société. Le nombre des adhé
présence ici «l'un élut cérébral duran! depuis plus de S ans. Voici « lu reste sou histoire. Madame D... est âgée actuel
pitations un jour en traversant avec sou mari un tunnel sur la ligne « lu chemin de fer de ceinture. Heureusement le trajet
e monde obéit. Il m a Commandess d'attendre quatre ans. apres quoi il lue fera entrer à l'Opéra, ou je surpasserai Nilson
. niédrcn de la Sal|h-trièrr. M. Itoirac. profrsseur «le philusophir « lu lyres- Oin-dorcel. M. le IV Kruould. de Liège. M.
lieu le 3. août, à deux heures et deniie au théâtre de Besancon, sous lu présidence de M. le professeur Bouchard, de l'Ins
rd'hui classique, de dédoublement de la personnalité. Tout le monde a lu cent lois, plus ou moins résumée, l'histoire de l
ace. Les pages qu'il a écritss là-dessus sont îles plus attrayantes a lire , cl elles auront."coinnus leurs aînées, le sort l
d'un César romain, le front dénudé. l'oœil brillant d'un feu sombre, lu lèvre dédaigneuse, se levait et prenait la parole
lèvre dédaigneuse, se levait et prenait la parole dans su clinique de lu Salpétrîère dont il avait su faire le rendez-vous
t nommé médecin du bureau central des hôpitaux ; professeur agrégé de lu Faculté de médecine de Paris en 1860, il était, e
a et se dirigée vers son chevalet où elle travailla tout le temps qui lu ! avait été lixé. Sa mère, chargée par nous «le la
stère! En tout cas, c'est cette dernière interprétation qui me semble lu plus acceptable, parce qu'elle est la plus sensée
.e sujet qui est endormi, et par suite isolé, ne peul plus réngir par lu pensée, comme lors de la veille, contre les chose
ns jamais attribué tant d'influence. Voilà déjà une action réelle «le lu pensée qui nous échappe au moment même où nous no
: la preuve en est que son mari a pu. nombre de fois, sortir du lit. lu quitter plusieurs heures de suite et venir si- re
ticipent pas à ces rêves, plus souvent chez eux que chez moi. Loin de lu . Je suis porté û croire qu'il doit exister des rê
ins excessif. — Il y a la un état psychique spécial qui pourra tenter lu plume de quelqu'un parmi les philosophes qui font
ajoute que nul ne devra entreprendre de comprendre Tolstoï sans avoir lu cette œuvre. Habitudes -vicieuses associées che
tendon Ml fallait pour cela que le tendon, tendu par la Contraction, lut pour ainsi dire pincé, sautât par exemple d'une a
cher ses armes et prendre des précautions pour qu'un nouveau crime ne lût pas commis. Enfin le meurtrier après avoir vend
ou enfant. Il la gale, mais il veut la tuer, il ne voudrait pas qu'il lu ! arrivât le moindre aeeideut. il serait au désesp
arrivé si un crime eut été commis : M. X... a cédé à l'obsession et a lue sa fille. Il est bien certain que cet acte étant
le veulent bien, dit-il. Son père accourt pour le chercher: le lils lu borde comme s'il l'avait vu la veille, sans éprou
complète du malade, je dis complète car je ne crois pas. après avoir lu celte observation qu'on puisse conclure à irrespo
iminelle où elles seront publiées. Mais les deux faits qu'on vient de lire suffiront à amener la conviction dans l'esprit de
e menaçai de giiller d'importance un quidam qui me molestait, et j'en lis le geste impératif. Cela s'arrêta la. mais pouvai
s sur des dormeurs somnambules: s'ils (1) Page 86. (2) Page 88. lisent ce qui précède, ils devraient bien jeter les veux
être de même dépourvus du pouvoir de faire des elforts de volonté. Je lis des expériences dans le but de vérifier cette ind
cier M. A Mère Denis, de Liège, de cet article de loi. Nos lecteurs liront avec intérêt la discussion à laquelle celle autor
ser sur le bureau de l'Académie deux exemplaires d'une brochure due à lu plume du Dr Brasseur. médecin de l'hôpital de Sch
rnementale ilu charlatanisme. Je vous demande la permission de vous lire trois passades qui vous feront apprécier le but q
est cité à différentes reprises. Comme je n'ai pas eu le temps de la lire , je fais toutes mes réserves au sujet des observa
actes criminels, c'est par complaisance pour leur hypnotiseur et dans lu conviction que les crimes suggérés ne sont que de
le même succès, sans aucune résistance de sa part. Un samedi, je lui lis la même suggestion en ajoutant qu'elle ne pourrai
nt qu'il lui était impossible de me faire pari .de cctle histoire. Je lis encore diverses tentatives pendant qu'elle était
e l'acte suggéré, mais immédiatement on voit qu'il y a résistance. Si lu conduction est totalement annihilée, les idées co
humaines. l/hématophobie est dune essentiellement eu m hic si on ms lu laisse pas trop longtemps dominer la scène et env
du coté de la Pomma ou dans le fond de l'Allemagne, dès leur enfance, lu misère et la maludic les ont accompagné» partout.
par leur race même, à toutes les manifestations de la névrose, ("est lu un point sur letpiel M. le professeur Charcot a f
'est que ce mystérieux voyageur est un malade : ce qui nous frappe en lut . c'est précisément le cachet spécial que lui impr
'est écrié : « S'il était des obstacles à l'union tle la France et de lu Russie, qu'ils soient brisés de la même façon que
lueb. Le procès-verbal de la séance annuelle du mois de juillet est lu et adopté. La correspondance imprimée comprend
e de la part du sujet récepteur et d'influence nerveuse a distance de lu part de l'agent transmetteur. Voilà comment j'a
«le temps en temps. Aucun trouble de la vue. de l'oufe, de l'odorat, « lu goul, du tact et toucher. Sensibilité cutanée nor
nsidérable amélioration. Il m'a récité deux fables sans arrêter, il a lu quinze lignes d'un jounal sans hésiter, j'ai tenu
xprime sa stupéfaction, car elle suppose que je possedr le pouvoir de lire ses pensées. L'expérience précédente a été répé
eler, que, lors de l'expérience n'°3 Lucy s'étonna comment je pouvais lire sa pensée ; car telle était l'explication que je
ec une grande pureté. L'auteur fit alors l'expérience suivante ; il lu ! fil chanter les notes de la gamme. Les syllabes
ition de» symptômes morbides est tardive sont très peu fréquents dans lu clientèle privée ; ils sont extrêmement rares apr
pinale ne détermine que très rare ni eut des affections organiques de lu moelle ou de ses enveloppes, ainsi que le syndrom
able. L'éducation des éplleptiqnes. Dans un mémoire sur ce sujet, lu en présence de l'Association des sciences sociale
assaing portait en dernière ligne: Véritable poudre de Méchy: il faut lire : Véritable poudre de Vichy. L'Administrateur
e manière de voir soulève la question de savoir quel est le siège île lu conscience qui accompagne les sensations et les d
squ'ici, moins l'apparition des crises nerveuses. Cet examen fait, je lis immédiatement à la malade l'affirmation de dormir
na d'introduire le fil dans léchas de l'aiguille. Et quand elle eut. - lu premier coup, fait ce dont il l'avait défiée, il
U dumontpallier Le procès-verbal de la séance du mois d'octobre esl lu et adopté. Les candidatures de M. Basquin, avoc
s, que toute cette histoire de crime n'était qu'une plaisanterie, que lu femme n'était qu'un mannequin grossier qu'elle av
ts et crimes par suggestion hvpnotiquc a été renforcée par un mémoire lu par le juge Dalley, de New-York, au Congrès de ju
pie, tel que : vibration île l'air, température de l'objet approché • lu corps, etc. » Ceci étant posé, voici ce que nou
» Nous n'avons pas fait comme M. Mavroukakis, nous ne disions pas à lu malade l'endroit que nous piquions extérieurement
de la sensibilité aussi développé.- que celle de Collette. Si nous lut plaçons la figurine de cire en mains, elle ne sen
té exceptionnelle ; au lieu de considérercette extériorisation comme « lue à des émanations fluidiques. je crois qu'elle dép
'ai lieu de croire que souvent il a dû discrètement sourire lorsqu'il lisait loules les communications de ces dernières années
— M. Magnan : Amphithéâtre de l'Admission, les mardis et vendredis, â lu heures. Les leçon» porteront plus particulièremen
sur soi-même sont possibles et en un sens très faciles. L'ingestion « lu café, du thé, de la coca, par exemple, fournit fa
s qualités propres que la force ou la faiblesse, qualités génériques « lu reste et comportant une certaine variété dans les
-il pas souvent je l'ai fait moi-même plus d'une fois) qu'après avoir lu un livre ou un article intéressant, on veuille se
s, qui par leur constance ont mérité la qualification de stigmates de lu neurasthénie, il en est d'autres d'une analyse pl
sonne de sa famille et surtout d'une femme, sans crainte qu'on ne put lire dans ses yeux qu'il était hanté de désirs sexuels
et me fascine? • Sa phobie est bien caractérisée par la peur qu'on ne lise dans ses yeux des sentiments qu'il n'a pas en réa
s fois de guide et au choix du sujet — que notre pensée n'était point lue par lui mais devinée par notre action musculaire
ence dont elle a été victime jusqu'au jour où les mouvements du fœtus lu ! révéleront qu'elle est devenue mëre. Dans l'état
tisme chirurgical. J'en ai assez dit sur ce sujet pour que ceux qui liront cet article soient désireux de consulter le livre
française. Cet ouvrage est de ceux que le médecin aura le devoir de lire et de méditer. Dr DUMONTPALLIEr, Membre de l'
t d'avoir sous la main el de consulter souvent cet ouvrage agréable à lire malgré la sévérité du sujet. L'Administrateur-G
e de M. Dumontpallier. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. La correspondance imprimée comprend
hropologie, de M. le Dr Bouffé, de M. le Dr Potiier, directeur de lu maison de santé de Picpus. de M. Vnlenlino, chef
levé pour accomplir la seconde parts de la suggestion lorsque je lus Ires étonne en me retour-nant de voir mrs suggest
illon a pensé que ces expériences pouvaient intéresser les membres de lu Société d'hvpnologîe et de psychologie; c'est pou
ce de M. DUMONPALLIER. Le procès-verbal de la séance précédente est lu et adopté : La correspondance comprend des lettre
dans la Bible. Dans l'évangile selon saint Mathieu, chap. XIII, nous lisons : « Il ne fit pas là beaucoup de miracles à cause
ns ils ne s'accordent pas avec l'esprit des chrétien primitifs qui. a lire la Bible, était tout autre et expliquait parfaite
ne. Mais il ne faudrait pas croire que le nombre des malades guéris lut bien fort. On nous a donné une moyenne de 20 à 30
guerite de Navarre, pour le pansement d'un furoncle mal placé, et que lu bibliothèque de Florence possède un livre imprimé
mer. la longueur des campagnes, l'absence de nouvelles, plus il faut lu ! opposer d'efforts persévérants, » Ailleurs, le d
moi. et prenez tous les autres ! » Un île ses beaux-fils s'avance et lu ! dit gravement : « Madame, les gendres en sont-il
léproseries plus épouvantables que celles du moven âge. Syphilis. — Lisez , dans les œuvres d'Ambroise Paré, un Péan d'autre
e chose joyeuse, comme deviser, jouer des instruments musicaux, aussi lire chose plaisante, » Médecine OPÉratoire. — Je ne
tention d'urine. — Pourquoi dît-on. dans la préface de Pantagruel : n Lisez ceci â l'aise du corps et au profit des rognons »
oncerne son efficacité permanente pour le traitement de l'ivrognerie, lu preuve qui en a été faite en présence de la commi
e de M. Dumontpallier. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le Président met aux voix les can
ques minutes ou n'a pu entendre les paroles de la grande actrice. « Lu lousseur continue, irrite mon poulmon et mon gosi
ni qu auparasant. Nous faisons plu» vile : non» nous développons plus lût . nous mûrissons plu» file, nous détenons eipert»
se présenter au doctorat un an après avoir obtenu la licence. Pour lu licence en droit, la Faculté est d'avis de n'appo
à une manifestation éclatante. M. le professeur Kichel qui présidait lu section de psychologie a interrompu les lra\ aux
sénèral, rue de ittioli, 40 bis. Enseignement de l'hypnotisme et de lu psychologie physiologique. Institut psycho-phys
ée à Genes. M. le professeur Morselli s'est chargé de la direction de lu consultation des maladies nerveuses. L'instal
i, et elle me parlait sans le voir, demandant pourquoi il n'était pas lu . Il se leva et sortît sur le palier sans qu'ell
e de M. Dumontpallier. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend des lettr
upart «le ses observations, n'hésita-t-il pas à rédiger la préface de lu traduction française du traité de la Neurypnologi
restera attaché â plusieurs des découvertes les plus importantes dans lu physiologie expérimentale. Observation de Narco
n n pas été de même pour la douche en lame qu'il a bien supportée. On lut a conseillé en outre, l'équitation ou le vélocipè
sujet aient été plus heureux que mol. J'ai cru prudent d'y joindre lu strychnine et le phosphore en injections sous-cut
nce : la graphomanic, l'aptitudo à grossir les faits,l'inconséquence, lu contradiction, etc., nous verrons qu'ils s'appliq
acha, médecin particulier du sultan. A cette occasion, le D' Pardo, n lu à la Société de médecine de Constanlinoplc, une n
ication du professeur Stokvis, d'Amsterdam, au Congrès de Rome, sur c lu chimie dans ses rapports avec la pharmacothérapie
ses observations et ses impressions... de chemin do fer, poursuivi de lu crainte qu'un autre vienne le devancer ; c'est lu
équilibration. La théorie atomique illustrée par Wurtz cl qui a été lu source de si grands progrès en chimie n'est plus
te de M. Dumontimllier Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général fait part à
i soigne1 deux nosophobes (un ayant la peur de l'épilcpsic et l'autre lu peur de l'ataxie locomotrice), chez lesquels l'au
'un an il est tombé malade d'une grippe suivie d'une bronchite, à lu suite de laquelle il a gardé le lit pendant un mo
dant dix minutes sans chanceler, il a même fait treis fois le tour de lu salle avec les yeux fermés. Les réflexes rotu
inue considérablement, au contraire, les autres sécrétions, y compris lu sécrétion salivaire ; or, chez notre sujet, l'hyp
ins horizontalement. Dormir, comme le font d'ordinaire les Ignorants, lu tête tant soit peu élevée est une hérésie. Voic
2 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
IIBF.R DIE VURDE UND DEN STANDPÜNCKT DES MAGNETISME IN ONSERE ZE1T Lu dani 1« cUim phyiico-nuihémaiique de l'Acadimic r
û écouter les conseils de la famille. Toutes ces réflexions, je les lis rapidement et bien d’autres encore ! Mais lo co
ilieu delà nuit, l’aubergiste entend un va- carme épouvantable dans lu salle à manger; il descend... que voit-il? Le mar
ce humaine soit l’expérience, que c’est par elle qu’on peut constater lu réalité des suppositions, je me suis occupé à pro
iel, de manière à former une espèce de confiture assez ressemblante à lu pâte d'abricot et d’un goût qui n’est pas désagré
nous adonnée l’auteur de toutes choses doublait notre courage, et que lu vérité devait être la seule déesse de notre culte
avons pardonné quand des hommes, qui pouvaient devenir le flambeau de lu science, n’ont répandu sur nous que le sarcasme e
eurs que nous réunirons. D. PlCHARD, Fondateur« tice-président de lu Société Pbiljnthropicu-MagnCtologiyue. MANUEL D
rts aux miens; mais des vésicatoiivs ftux cuisses, qu’il pro- posa, lurent obstinément repoussés par la malade ; ¡1 ne parai
ation , c’èst à ceux qui voudront s’avancer dans cette connaissance k lire d’autres écrits et à chercher des vérités d’un or
st laissé peu de prise au magnétisme ; car l'activité qui existe dans lu circulation est un obstacle à vos efforts. Au lie
etc., c’est-à-dire qu’il reçoit les impressions et les modifications ( lu mouvement, qu’il les transmet, qu’il les transfèr
s et répond très-juste par moment aux questions qu’on lui adresse. Il lire sa montre et dit avec le plus grand calme : II es
ter, du sommet de la têle à l’extrémité des pieds, le magnétisme suit lu toute ¡¡lie vous lut tracez. 11 s’en va en grande
têle à l’extrémité des pieds, le magnétisme suit lu toute ¡¡lie vous lut tracez. 11 s’en va en grande partie, ou plutôt il
ter davantage à la pratique et à l’étude du magnétisme ceux qui. nous liront , agrandissons le champ des phénomènes, parlons du
IRURGICALES FAITES SAN8 DOULEUR, DANS UN ÉTAT MAGNÉTIQUE. Rapport lu à l’Académie royale de Médecine, le 11 juillet 18
enue Marhœuf, 27,affectée d’une bouleui- insupportable produite par lu carie d’une dent, qui l’avait décidée à demander
molaire du côté droit de la mâchoire supérieure, cariée d’un tiers à lu partie latérale gauche, bien fixe et bien solide
, sans que le moindre signe, la moindre altération des traits accusât lu plus légère souffrance de la part de la patiente.
es. » Puis elle se tut, et ne vit plus rien. Cette fille ne savait ni lire ni écrire, et jamais elle n’avait pris connaissan
s des idées d’autrui. Ils fréquentent les assemblées des savants, ils lisent les livres des anciens, ils sont en commerce avec
u'il peut, en effet, fixer un objet durant trois heures et demie sans lu moindre clignottcment, et affirme qu’en cet état
ne guérison de névralgie lombaire. M. Chrétien, peintre décorateur, lue dos Petits-Ilôtels, 5, était depuis cinq à six jo
pport, et sur le genre de traitement à opposer dans ces doux cas. » Lisez encore ce qu’ont écrit, sur ce sujet, de Puysé-gu
arié? ai-je des enfants? Voyez ce que j’ai dans ma poche. Pouvez-vous lire les yeux fermés? » Et mille autres questions auss
ambulisme, vous pourrez y puiser de grandes lumières, surtout si vous lisez avec attention les réponses des somnambules à des
première chose qui me força de remarquer en moi un changement notable lut le retour de ces visions auxquelles l’enfance seu
nt de la têle pendant deux mois. Les eaux changèrent de caractère; ce lurent maintenant des mers et des océans. Il se fit enco
ler des baisers dofat il me couvrait. D’autres fois le cadavre venait lire par-dessus mon épaule le livre que je tenais à la
main leurs têtes horribles, et le l'autre de longs cierges, qui, à lu lueur d’un feu rouge et tremblant, jetaient une l
plaidé la cause de l’humanité. Et toi, jeune 011e que j’y ai guérie, lu n’as pas sans doute oublié ce bienfait? moi, je m
étranger, et, d’un autre, qu’il est peu de gens qui croient ce qu’ils lisent , quand il s’agit de fails de celte nalure, comme
ypographique qu’il est important de corriger. A la page 1G0, ligne 3, lisez place au lieu de pièce. Le Propriétaire-Gérant,
ÉBERT. JOURNAL /f' h ViD DU |~ Il magnétisme RÉPONSE IIE M. LU MINISTRE DE LISTRIM P11BLI0CB A LA LETTRE DE M.
, p. 301. qui avait deux pouces de longueur sur un demi de largeur, lut enlevée lentement, cl le pansement fuit, sans exc
is m’exprimer ainsi, que le premier échelon de l’insensibilité ; mais lisez attentivement ce qui suit. M. Ilusson, s’adressan
r. Lc25junvier,donc,on magnétisa la première fois le malade, et il le lut presque tous les jours depuis. Lundi 24 mars, l’o
dividus perçoivent à des distances considérables ; d’autres annoncent lus personnes qui arrivent, quoique les assistants n
ais pourquoi s'étendre sur ces faits? Ils sout de tous les temps, car lu vie ue change pas. l!n violent coup porté sur u
nnent que l’ombre de la vérité, et vous égarent à chaque pas. Mais, lira-t -on, pour tenir un (el langage, êtes-vous donc plu
e faire descendre. Lorsque ce manège eut été répété cinq ou six fois, lu figure ouvrit les yeux et ferma la bouche volonta
t l’ivoire embellissent ; instrument divin dans la main qui te tient, lu charmeras les oreilles un instant ; puis on oubli
ions sur l’importance, des procédés de magnétisation conseillés par lus auteurs, et notamment ceux de M. le baron Du Poie
s « travaux de la société que notre collègue s’est cru obligé de « le lire en entier. C’est qu’en effet il est à la portée d
mes commissaires ont écrit ; ce serait sans doute très-intéressant à lire , plus que cette imparfaite relation. Rapport de m
plus que cette imparfaite relation. Rapport de mes expériences a été lu au conseil supérieur de médecine; les conclusions
, qui donne peu aux sens, affine l'esprit et développe singulièrement lu propriété magnétique. J’ai observé que le temps
tances graves, le temps ne doit point èlrc mesuré, la prolongation de lu \ie dépend souvent des efforts que vous ferez.
orces qu’il pos- série, et ne pas dépenser sans un impérieux besoin lu richesse qu’on lui apporte. 11 csi extrêmement
vous l'avez encore à Londres, suspendue au mur de votre cham-b1’®- — Lu lame seule date d alors ; le fourreau a été chang
i, le 1!) janvier 1812. au siège (le Ciudad-Ro-i/iigo, eu Espagne, je lus blessé à lu lèteel à l'endroit même indiqué par A
vier 1812. au siège (le Ciudad-Ro-i/iigo, eu Espagne, je lus blessé à lu lèteel à l'endroit même indiqué par Alexis. Oui
«J’ai reçu de vous une lettre datée du 23 avril, dans laquelle j’ai lu avec le plus vif intérêt les détails sur la prise
, notamment le ( our-rier de Lyon el la Tribune lyonnaise, où on peut lire en entier cet article, dont voici les principaux
constaté dans cette séance un cas de vue ri dislance. La lucide a pu lire le titre d’un feuilleton qui s’imprimait au momen
ceux de ma compagnie, de nous régaler le plus fraiehemenl qu’il nous lut possible d’imaginer. Nous bûmes d’une liqueur com
llollillc ennemie qui menaçail ces parages. C’était au mois de juin; lu troupe avait à parcourir près de quarante milles
l qui, dans les temps ordinaires, n’en aurait logé que la moitié. Ils lurent entassés par terre, sur de la paille, sans couver
âmes tout le jour à Tropea, et, la ville étant pleine de troupe, nous lûmes forcés de conserverie même logement; mais nous ne
ENDANT I.’ÊTAT MAGNÉTIQUE. Mémoire sur une amputation de la cuisse, lu ù la Société royale de Médecine et de Chirurgie d
que je reçusse journellement un rapport sur son état, ù mon retour je lus aussi étonné qu’heureux de le trouver dans une co
e où j’étais que c’était un pur effet de leur imagination. Ceux qui liront ce récit ont le droit de se conduire à mon égard
malades et à ceux qui étaient en voie de guérison, se réser- vaut « lu magnétiser seulement les plus malades. Le bien qu
n’est devenu somnambule, el qu’aucun médicament n’a élé administré ^ « lu magnétisme direct ou par l’intermédiaire de 1 eau
a chasse aux idées, Je Tais il la chasse aui vertus. Lorsque, par lu pensée, on sort pour un instant du groupe des par
tit homme rougi■ , tout contre fait, marchant avec une béquille, qui, lu nuit, dans un songe, m'est apparu II m'a dit : «T
re , humorale , rhumatismale , affection de ta moelle épinière, mal à lu matrice , ver solitaire. Cette nomenclature serai
nspiration. Froid aux pieds. Pouls ordinairement petit. Difficulté de lire et de sontenir une conversation, malaise général,
randes charges, et tu reviendras ensuite gouverner cette province, ou lu mourras. Tout arriva comme elle l’avait prédit; o
La société décide ensuite qu’on fera cnnnailre la ligure ci-conlre lu sceau qu'elle a adopté en rcniplacemeni de celui
on faire? Vous croyez que la science va s’en occuper, l’étudicr? Pas ( lu tout, les savants ont trop d’esprit. D’ailleurs c
ent vers vous pour témoigner de son souvenir. Dira-t-on que je suis lu seul à opérer de telles guérisons, ù faire de si
tant, nous fûmes obligés de la descen- dre, comme on avait descendu lu malado, tout d’uno pièce cl roide, de la meltrc a
xpérience. « Sa réponse, qu’il me fit par écrit et que je conserve, « lut que les plus dangereuses étaient /'épilepsie, le
’abstraction pour les faire passer dans le monde positif dis faits. Lu volonté humaine, colt»; puissance qui a dominé to
ères lettres d’un mol;... pourquoi, vous objecteront-ils , ne peut-il lire le mot tout entier? A nos yeux il n’y a rien d’ét
qu’il n’ait pu déc|iilïrer les dernières lettres; mais qu’il ail pu lire les premières, vuilàcequi nous semble miraculeux!
omplies, récolter île maigres recettes, ne pas découvrir des trésors, lire dans l’avenir le cours de la renie et vous enrich
luiuièris, il me fut impossible de partager scs opinions à l'endroit « lu magnétisme. Rien de ce que je lus depuis, ni de c
e partager scs opinions à l'endroit «lu magnétisme. Rien de ce que je lus depuis, ni de ce qui me fut rapporté par des gens
rcent de l'arracher au sommeil, soit en lui pinçant la chair, suit en lu piquant avec dus épingles ; rien ne peut lu rüvui
pinçant la chair, suit en lu piquant avec dus épingles ; rien ne peut lu rüvuillur. Une heure s’écoule, M. Ch... arrive.
peut lu rüvuillur. Une heure s’écoule, M. Ch... arrive. « Eh bien, lu dors? dit-il au magnétisé. — Oui, » répond aussit
ses du l’enfant, il lui perce l'oreille avec une longue épingle d'or; lu sang coule el l’enfant n’a pas fait le moindre mo
et souviens-toi que je veux qu’ils soient pour toi invisibles, et que lu ne puisses les sentir ni les entendre, s'ils le t
e faveur que l’on doit à monseigneur l’archevêque, il avait obtenu de lire son discours en assemblée générale. Mais, nous de
lpitant; de son côté, M. (îaulhicr dira, sans doute, ce qu'il 11e lui lut pas permis d’exprimer, el le public jugera, lliim
fil do nombreux prosélytes, entre autres le docteur Elliol-son, dont lu talent et l’autorité scieiilifit|ues ont donné un
érité. 11 était doux, bienfaisant, humain; trop sévè.e peut-être pour lu .-mOine, .1 était len.p i oe tolé.ance pour les
s;.....a- lité d'homme rien de ce qui affeele l’humanité ne devait lu . Cire étranger. .Et puis ajoutait-il souvent lui-
t ce qui touche à l’avenir du mesmérisme, a pensé rendre un service à lu cause qu'elle soutient en fondantdcs cours perman
imanche 5 octobre, à une heure, el sera continué tous les dimanches à lu même heure. Les personnes qui desirenl le suivr
pour un visionnaire, raconta toutes les circonstances qu’on vient de lire ; mais il eut beau protester qu’il avait vu et ent
agnétisme, sans que son imagination épouvantée ne lui fasse voir le lire moqueur de ses confrères, la confiance ébranlée d
ier, qui ne pouvaient se défendre, une réclamation en leur faveur fût lue en séance générale à haute el intelligible voix.
iences ont eu un plein succès. On lui présente ensuite des imprimés à lire , malgré l’épaisseur de ses bandeaux. Sur l’un il
ici?... Votre confiance vous aurait causé des regrets bien amers, si lu Providence n’avait envoyé un pilote expérimenté p
s’opère dans les esprits, lit différents extraits d’un feuilleton de lu Presse et de la Gazette de France, articles plein
de les soumettre, eux académiciens, à l’action du magnétisme. Je leur lis observer qu’il s’agissait de malades : « Mais nou
pratiquer l’amputation, qui devenait de jour en jour plus imminente. Lu malade fut magnétisée par M. Durand, qui comp-
demi. Au jour fixé, à onze heures du matin, mademoiselle D’Albanel lut endormie en moins de trois minutes, puis placée s
été de même les jours suivants. Lundi, G octobre, le premier appareil lut levé à deux heures, et l’on lit le pansement de l
rar, se présente pour consulter pour un malade qui est à son château. Lu somnambule magnétisée sc transporte en esprit aup
é; il y a presque « paralysie delà cuisse, paralysie de la vossie et « lu « rectum. 11 faut que je me rende auprès du malad
sa fille qui habitait Paris quelle désirait voir. Sa ligure exprimait lu douleur qu'elle éprouvait (le son absence; tout
ma surprise en voyant que dans le sommeil magnétique mon jeune idiot lisait couramment, et que pour lire dans son livre ou da
le sommeil magnétique mon jeune idiot lisait couramment, et que pour lire dans son livre ou dans un autre il n’était pas né
Tribune tyonnain.) volonlé so porlâl sur une phrase pour l'entendre lire ou dire par mon idiot. « Je communiquai ce fail
ins de l’académicien pétrifié. — Celait un livre allemand que l'idiot lisait couramment. —Je priai mon savant confrère du voul
porte près de l'cnirée. —Entrez avec moi à droite; qu’y voyez-vous? — Lue chambre voûtée (vrai) avec deux lits en fer. (Fau
.irlata-nisme qui envahit chaque jour davantage la pratique de toutes lus médecines. Nous portons ombrage à nos adversair
aux yeux do lous les bienfaits de l’art nouveau et lo défendre contre lus utlnqucs do l'ignorance et de la mauvaise foi.
gt;'ii que la crainte remplaçait le rire. Ce nouvel état fie l’esprit lu magnétiseur venait augmenter le trouble du magnét
pas possible de s'éclairer sans cela. Aussi prié-je tous ceux qui me liront de répéter d’abord toutes celles citées au commen
de nu point où tout était permis pour faire rire. Chamfort nous avait lu de ses contes insipides et libertins, et les gran
ier titre de sa gloire. Il a donné le ton à son siècle, et s’est fait lire dans l’antichambre comme dans le salon. Un des co
quelque temps en silence et les yeux baissés. « Mail dame, avez-vous lu le siège île Jérusalem dans Jo-« sèphc? — Oh ! sa
e Jérusalem dans Jo-« sèphc? — Oh ! sans doute; qu'est-ce qui n’a pas lu « cela? mais faites comme si je ne l’avais pas lu
'est-ce qui n’a pas lu « cela? mais faites comme si je ne l’avais pas lu . — « Eh bien, Madame, pendant cc siège, un homme
e avait eu des sangsues, puis des bains sans aucun Mjulagemonl. Dès lu seconde magnétisation, diminu-tion notable des cr
s-pénibles avec l’impossibilité de tourner la tête. Le surlendemain lu douleur reparut au front, mais une nouvelle magné
is sont les cas les plus saillants publiés par la Société magnétique. Lu général bien détaillées et accompagnées de réflex
G intnt, HÉBERT (de Garuay). ERRAT A. Page 18, ligne 2, produits, lire : produites. 160, 3, pièce, place. 281, 30, s
s. 160, 3, pièce, place. 281, 30, sorciers, sourciers. 321, 17, lire : I never said il was possible, I only said it wa
I never said il was possible, I only said it was true. 482, 1, ses, lire : des. 490, 19, a descendu, est descendue. 50
3 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
ne restreint point leurs privilèges. Toutes les sectes religieuses ne lurent -elles pas envahissantes, et ne devinrent elles po
st une vérité qui mène à la croyance en Dieu, c’est aussi la santé et lu connaissance deux-mêmes dont vous venez leur révé
ux parisien» de 1838. décrit son portrait pliys:que et moral, il on lire l’horoscope, pénètre dans son intérieur, cherche
avorton? Sans aucun doute, si M. de Puysé^ur ressuscitait et qn’il lût les statuts qui régissent la Société actuelle, il
s les discussions scientifiques, ou quand tu parlais des Jésuites que lu voyais partout; car tu les détestais cordialement
is iront te rejoindre un jour; mais je suis certain que 11 im-porteoù lu sois, nous ne le retrouverons à côté d’un Jésuite
titre sur la tranche, et enfin si dans ce livre, qu’il le conjure de lire exactement pour l’amour de lui, en cas qu’il s’y
t trouvé le livre en question sur la tablette désignée, qu’il y avait lu les vers grecs mentionnés ; que ce livre est très
e lettres qui l'aient ignorée. » Cinquième observation ((). Ayant lu dans les journaux de Chàlons-sur-Saône qu’une jeu
e ma conviction était fortement ébranlée. J’é- crivis des mots sur « lu papier; Prudence les lut sans même tenir la feuil
rtement ébranlée. J’é- crivis des mots sur «lu papier; Prudence les lut sans même tenir la feuille dans le sens voulu. Je
tée. 11 a écrit sur une carte le mot Vin. Le magnétiseur, après avoir lu à distance, a souillé sur le verre et a prié l'in
e dimanche depuis quatre ans, résultat d’une frayeur. 3° Paralysie « lu bras droit sur une fille de vingt-huit ans, duran
aule jusqu’au poignet du même côté, et, dans une ou deux secondes, je lis un effort, comme qui arrache un gant: j’enlevai t
dans leur châle , semblaient souffrir de fluxions variées. Les émirs lisaient avec une rare patience et un sang froid imperturb
, que d’entendre des malades demander au médecin : a Dois-je me faire lire ? Ne ferais-je pas bien de me faire lire?» Et j’av
médecin : a Dois-je me faire lire? Ne ferais-je pas bien de me faire lire ?» Et j’avouerai que, quand la personne malade se
ule et fanatique à l’excès, je n’hésitais pas à répondre : « Fais-toi lire promptemeut. » « On ne peut révoquer en doute l
Tu serais bien habile. Eh! comment feras-tu?— Je vais aller me faire lire par un des émirs. Demainjeserai guéri, et ce ne s
nveloppée dans un châle, se met en chemin, va trouver l’émir, se fait lire , et revient chez lui beaucoup moins souffrant; le
os plaintes sont exagérées, nos paroles acerbes; que ceux-là, dis-je, lisent la nouvelle Gazelle de santé du 31 janvier; ils s
forme plaisante, présenté une chose très-sérieuse. Ce qu’on vient de lire n’est que trop vrai dans son fond; les médecins n
pour nous montrer sa puissance médica-trice, ses efforts et sa vertu? Lu médecine scolaslique sait-elle au moins l’imiter?
on logement, pour cire l’adjoint au sous-inspecteur aux revues. Je le lis mettre dans.uu lit, je lui donnai des soins tout
ai prochainement à Paris, monsieur Jean Raymond. je vous prendrai par lu main et je vous ferai toucher du doi^t ce que vou
on front portera l’empreinte du souffle de Dieu. Ev. Lesgaugris. ( Lu suite prochainement.) CLINIQUE MAGNÉTIQUE. Le
s’enquérir de l’authenticité de ce fait, dont le récit qu’on vient de lire est parfaitement exact. Nous en reparlerons dans
...Des gens sans instruction, de pauvres villageois sachant à peine lire , des femmes de tout âge, et jusqu’à des enfants d
sont des gens sans culture ; quelques-uns d’entre eux n’ont pas même lu la Bible; plusieurs sont incapables de s’cnoncer
eur. Si- Lé magnétisme considéré sous le rapport thérapeutique. Lu science de Mesmer doit-elle plus tard renverser
lusieurs coquillages symboliques, lui dit : « Tu auras deux femmes, lu en répudieras une à grand « tort : ce sera la pre
rant cet in-12 relié » en parchemin et jauni par le temps, regarde et lis . « Joséphine lut à haute voix : PRÉDICTIONS D
é » en parchemin et jauni par le temps, regarde et lis. « Joséphine lut à haute voix : PRÉDICTIONS DE MAISTRE NOËL OLIV
uit sans fin et meurt. » «Joséphine, surprise de ce qu’elle venait de lire , s’arrêta, ferma le livre, et interrogea Napoléon
sans nom d’auteur, mais celle-ci était signée. A la dernière page, on lisait en gothique : Finis, et plus bas 15 i2, en chiffr
et plus bas 15 i2, en chiffres du XVIesiècle. « François de Metz la lut en entier, mais il n'en comprit pas le sens : il
oici dans mes mains les pages enfumées de l'antique Diosco-ridc! J’ai lu d’abord, puis j’ai réfléchi, puis j’ai essayé; et
dans maintes occasions il en a parlé favorablement. Le récit qu’on va lire est extrait de la Presse du 14 avril dernier. «
contient un feuilleton sur l’abus des remèdes. C’est une bonne page à lire . — Les livres de magnétisme, d’abord prohibés e
martyre un glorieux baptême, Une orageuse mission ; Oui, Mesmer, lu savais que la haine et l’injure Te feraient cortè
manifestations, si bien senties et méritées. Nous avons tous souffert lu tort de quelques uns qui, par une aveugle obstina
Laporte. „ Paris, le 25 mai 1847. Prédiction de Danton. — On ne lira pas sans intérêt lefragment suivant du dernier vo
ne porte qui se ferme, tombait dans des attaques épouvantables. Si on lu touchaitaux mains ou au visage, elle n’éprouvait
de voir les affections fuir devant le mesmérisme, et ce n’était guère lu peine à M. Trousseau, pour un agent si mince que
e à Poitiers dans l’état anesthésique provoqué par le magnétisme. — Lu Revue nouvelle du mois dernier contient un long a
s qu’aucun accès ait reparu. L.-A. Düriecx. Insensibilité. — Nous lisons dans le Pliure de la Manche cl dans le Journal de
s données non moins précieuses. N. B. L’expérience dont on vient de lire l’exposé, répétée dans notre avant-dernière confé
lle fait, on en aurait promptement des volumes qui seraient curieux à lire ; car toujours l'application aux personnes est exa
ermets d’être heureux Que quelques instants dans la vie ; Pour nous lu n’es pas généreux, Et de te fuir nul n’a l’envi
occupera une large place. Les opinions religieuses de l’auteur feront lire son livre par le clergé, en général fort ignorant
ssant une dame qui avait une descente ne matrice considérable, je lui lis part de ce que j avais vu à Pau. lillc y alla s
ités, si avantageuses à un prêtre, que le riche et élégant château me lût toujours ouvert aussi bien que la pauvre et humbl
ence, l’adopter s’il était bon et le repousser s’il était mauvais, je lis les démarches possibles pour me rendre témoin ocu
fit pas attendre longtemps. En effet, comme si M. le professeur eût lu dans mon intérieur, il me demanda, dans une de no
mmédiatement dans toutes les parties du corps, jusqu’à l’époque où je lis l’heureuse rencontre de M. de Rovère, c’est-à-dir
min pour venir à lui, et l’aborda en marmottant des charmes, lui prit lu main, et presque aussitôt lui passa l’autre trans
e des effets analogues qui naissent spontanément. Nous espérons qu’on lira avec intérêt l’article suivant que nous emprunton
vérité la plu« sublime se rapetisse au grand jour, et la vérilé la ¡» lus simple grandit dans les lénèbres. Les travaux de
guérir suivant les règles acquises dans les Facultés? Evidemment non! lise borne à soutenir que le magnétisme guérit. Or, le
devant la Cour. « Les patients furent tenus dans une ignorance abso lue de nos intentions ; et, un ou deux jours après, j
ntention. Au bout de quelques minutes, il cessa de me répondre; je le lis sortir de la salle et tourner comme un tolon, aya
i mon avis, et je ne puis en donner une plus juste idée à ceux qui ne lisent point l’anglais qu’en le comparant à Y Instructio
gnétisme. Il est jusle de dire, en revanche, que j’avais à peu près lu lout ce qui avait été écrit sur le magnétisme.
nvrit au hasard, à la page 229.’; «A quelle page voulez-vous que je lise ? demanda-t-il. _A la page 249, répondit Maquei.
crayon; traça une ligne aux deux .tièrs de la page. • ' « Jc vais lire ^cetiehanteiir, ajouta-t-ri'. 9» Ii aïolA — Lis
e. • ' « Jc vais lire ^cetiehanteiir, ajouta-t-ri'. 9» Ii aïolA — Lisez , lui dit M. ¡Marc.illet. » ' ■‘ Etil lut sans h
a-t-ri'. 9» Ii aïolA — Lisez, lui dit M. ¡Marc.illet. » ' ■‘ Etil lut sans hésitation, écrivant les yeux bandé«, les de
inséparables^ transport. » L’impatience fit qu’on ne lui laissa pas lire plus loin. Nous lui prîmes le livre dèamainS ; et
aux deux tiers de la page, à la 35. ligne commençant un alinéa, nous lûmes exactement les mêmes paroles-que veriait d’écrire
es exactement les mêmes paroles-que veriait d’écrire' Alexis: ilüvait lu à travers onze pages. Maqiietfut invité à prend
.enqrm Alexis toucha l’enveloppe. . j iol n > « C’est facile à lire , dit-il, car l’écriture. KSt ibelfcj » Alors, pfe
t-il donc sur la téte?Cela ressemble àambàurrelet. — En effet, lui « lis -je, c’est une vessie pleine déglacé. — Non, rép
tout. Daiq Nous rentrâmes. iz**. A ,«»¡1 ■>.. -oi'I « Pouvez-vous lire ce: que madame vient d’écrire ? lui demandai-je.
quel elle a écrit? — Sur la cheminée ; je le «ois très-bien, il v —“ Lisez alors.» : ’ i n: ni ftq • - A« bout de quelques
ois. » Il prit an erpyon et écrivit: ioiiuom om li « Impossible k lire . » «??ininn On alla chercher le papier. C’étaie
stance, mais a travers deux portes et une muraille. « Pourriez-vous lire l’une des lettres qui se trouvent dans la poche d
'est de M. l’abbé Lamennais. —Oui. — « Voulez-vous que je vous en lise quelque chose? j — Oui, lis-nous la première li
—Oui. — « Voulez-vous que je vous en lise quelque chose? j — Oui, lis -nous la première ligne. . Presque sans hésitati
Oui, lis-nous la première ligne. . Presque sans hésitation, Alexis lut «J’aireçii, mon U'ès-chsr aipi,;. » On ouvrit
on, dit Esquiros, vous vous trompez;.: 1 n fi — Ah! par exemple. Je lis Esquiros. Tenez,4énëa, et il me montrait le papie
xemple. Je lis Esquiros. Tenez,4énëa, et il me montrait le papier, ne lisez -vous pas là,,lày Esquiros? » .•¡•ni »: 'iMiiüoqml
pas là,,lày Esquiros? » .•¡•ni »: 'iMiiüoqml » « Je ne pouvais pas lire , le papier était lermé^i;*-. K) -■m .Ouvrez le
ais pas lire, le papier était lermé^i;*-. K) -■m .Ouvrez le papier, lut dis-je,! et voy«na. » iuj> " Il ouvrit le pa
de ses angles. Esquiros avait oublié le contre-seing. Alexis l’avait lu . Comme ou le voit, la lucidité était arrivée au
Ah! c’est singulier, dit-il. Je vois des lettres, mais * ne puis pas lire . L’objet vient d’outre-mer ; cela a la forme d’uu
deviner. » C’était un Nishan ; ces lettres qu’Alexis ne pouvait pas lire , c'était la signature du bey de Tunis. L’objet,
. ..1 En avril 1843, M. Dèglos, imprimeur lithographe, demeurant dans lu même maison que cette dame, fut atteint à la ja
dont le traitement fut. sans succès. Bientôt la gangrène survint. Il lut voir les dames de Saint-Thomas de la rue de Sèvre
sait sa plaie, madame W‘** venant à entrer, fut frappée, de l’aspect « lu mal et de la tristesse du malade, encore sous l'i
et divers autres documents y relatifs, que M. le gouverneur a tous lus avec beaucoup d’iutérôt et d'attention. Sa Seig
bouffonner le magnétisme, sans autre raison que celle de n’avoir rien lu en faveur du mesmérisme dans les ouvrages philoso
nt, sans qu’ils en soient condamnés par l’Eglise. Voici ce que nous lisons à cet égard dans un auteur très-remarquableparson
’huissier, au moins, lui donne la qualification de Monsieur. {Note de lu rédaction.) j cellule, j’ai communiqué aux mala
le magnétisme un puissant auxiliaire à leur art?.... Hâtons-nous de « lire que nous eu connaissons plusieurs |ui ne dédaigne
’autres malades. » CONFÉRENCES DOMINICALES. Magie. Si vous avez lu les Ecritures; si vous avez médité sur l’histoire
sur toute la nature, car Dieu a dit à l’homme : « Tu es mon lils et lu participeras de mes œuvres. Tu « pourras tout sou
pable! car c’est l’hnmanilé qu’on exploite avec des mots, continueras lu de régner parmi nous et faudra-t-il que la vérité
hain numéro.) Errala. — Page 178, ligne 3, au lieu de saint suaire, lisez sanctuaire. — Môme page, ligne 22, au lieu de Red
int suaire, lisez sanctuaire. — Môme page, ligne 22, au lieu de Rede, lisez Judc. ATHÉNÉE MAGNÉTIQUE DE LYON. L’académie
us offrons au* lecteurs Y Ode suivante à Mesmer, par M. C.-F. Devert, lue dans la séance du 4 août dernier. ODE A MESMER.
ion que vous m’accordiez. Depuis que je me connais, depuis queje sais lire et écrire, tout ce qui m’arrivait de surnaturel,
enfermé dans cette ville d'imagination, je marchais dans ses rues, je lisais les enseignes de ses boutiques... Eh bien ! lorsq
rt, me rattacha mon madra9, me remit les bras dans mon lit, puis elle lira de son sac une lettre de mon père, qu’elle décach
tre de mon père, qu’elle décacheta et tint devant mes yeux, et que je lus ainsi sans me déranger ni me découvrir. Ensuite j
e mes nouvelles. — La lettre était mol pour mot celle que j’avais cru lire et que j’avais redite de mémoire à mes amis.—Nous
ux à la muraille : la grande silhouette marchais encore. Dix fois, je lis le même mouvement de tète, du chemin au mur et du
gibu, partant plus de plum-pudding... L’hiver dernier, je venais de lire , chez mes cousines anglaises quelques scènes de m
parler de magnétisme. Un article, parM. Alexandre Dumas, qu’il avait lu quelques jours auparavant dans unjournal, l’avait
0 «rpleinlire I8i7. Errata. — Page ¿31, ligne 1(i, au lieu de iftu, lise /, sed : et ligne 18, au lieu de Scoperunt, lisez
1(i, au lieu de iftu, lise/, sed : et ligne 18, au lieu de Scoperunt, lisez pofucrunt. Documents sur Mesmer. L’appel fait
t, pour pénétrer quelques intelligences supérieures. 0 science, que lu es belle ¡avec toi, l’on pénètre l’immensité, l’o
orps matériels ; le physicien dans l’air puiser la foudre; est-ce que lu l’y apercevais? elle y était pour tanl. Dans celt
pareilles; et pour nous engager à le faire comme on le doit, il nous lut les conseils aux magnétiseurs qui se trouvent dan
voir que l’on ne peut pas être magnétisé si l’on ne dort pas, d’où il lira la conséquence que le somnambulisme n’est qu’un d
de Davis, m’a avoué que son langage est le plus beau qu’il ait jamais lu ou entendu de sa vie. « Davis, dit-» il, est sans
vient de mander l’abbé Paramelle, pour explorer le sol de Paris. — Lue lettre de Sainte-Hélène nous apprend que M. La-ca
pose sur un langage de convention. ■le»ne des Journaux. — L’Echo de lu Charente, du 27 octobre, reproduit notre miroir m
les feuilles de délibération seront déposées au bureau. Le secrétaire lira les nouveaux motifs publiquement afin d’en instru
s fléchissent; la mâchoire inférieure exécute des mouvements sans que lu voix se fasse en'.endre, bien que tout indique qu
santé parfaite. Elle n’avail point assisté à la scène qu’on vient de lire : elle en ignorait les résultats. C’élait en plei
r lui vouer un tel culle, une telle adoration. — Ecoulez, ou plutôt lisez , el vous admirerez. » Samedi dernier, je chemin
é, l’autre un verre d’eau sucrée. — Elle m’a dit le numéro que j’ai lire à la conscription, dit l’un. — Elle m’a précisé
iseur, ceci ne peut se démontrer ! » Kl môme, si I ou réfléchiI que lu patient peut se soustraire aux effets des pratiqu
gnétique, ait la faculté de voir à travers les murs d’une chambre, de lire un billet enfermé dans une cassette, de savoir ce
assette, de savoir ce qui se passe à plusieurs milles de distance, de lire dans l’intérieur des autres les maux dont ils son
étranges et prodigieuses. » — Si l’auleur de cet article avait plus lu et surtout plus vu, il n’eût point commis les err
iès-réèl. Il est déplorable devoir ainsi semer l’erreur à la place de lu vérité; mais comment rectifier lout à coup les id
et souvent même au mépris. Pauvre magnétiseur! qu’as-tu donc fait? lu t’étonnes de ton impuissance, el parce que lu éta
ur! qu’as-tu donc fait? lu t’étonnes de ton impuissance, el parce que lu étais pressé de produire, afin de cueillir celte
âcheux méfait, tan-TOMF. Y. — Xo S®. — 10 DÉCEMBRE 1847. 11 dis que lu ne devrais en accuser que la propre impalienceet
opre impalienceet la légèreté, ion manque de foi el de persévérance ; lu as commencé ion œuvre sans l'être assez recueilli
ssanle ta volonté irritée par la résislance ; oublie l'adversaire que lu voulais vaincre, pour ne voir qu un ami à éclaire
ulais vaincre, pour ne voir qu un ami à éclairer, et du bien à faire; lu voulais remporter un triomphe, sans avoir préparé
quoi t’élonner de ce mécompte, il faudrait plutôt s’étonner de ce que lu ne l’avais pas prévu. — On le raille, — mais lu
s’étonner de ce que lu ne l’avais pas prévu. — On le raille, — mais lu t’excuses en disant qu'il y a des natures rebelle
nt. Mais quelque clarté que j’apporte, toi qui as le cœur corrompu, lu ne comprendras point mon enseignement : ton âme n
l’a jamais parlé que pour t’appeler à des convoitises charnelles, et lu as satisfait à ces désirs grossiers. Va! il est d
livre, car il ne le dira rien ; ma parole sera pour loi sans portée, lu ne sentiras aucune vibration dans les chairs; cro
vibration dans les chairs; crois-le, ce serait pour loi un malheur si lu apercevais la vérilé, car elle le deviendrait fal
rcevais la vérilé, car elle le deviendrait falalc. El loi, médecin, lu devrais connailtc les ressorts secrets de lout Io
l’élude de lout ce qui esl occulte, sans songer que les plantes dont lu te sers ont loules une vertu cachée, sans songer
songer encore que la plupart des maladies viennenl de celle âme dont lu nies l’existence ; car Ion scalpel ne l’a poinl r
re pour loi n’csl qu’une œuvre morie ; el loi-même, loui en marchant, lu parais sans vie; dans la personne comme dans les
scours rien ne paraît sacré ; ion sacerdoce esl devenu un inélier, el lu l’exerces d’une manière vénale. Des hommes profon
lu l’exerces d’une manière vénale. Des hommes profonds de l’antiquité lu as usurpé les lilrcs; va donc sans nous, nous ne
pprendre du coeur humain. Ici il parle à tous les yeux ; nous pouvons lire dans tous ses replis. Attendez, lecteurs, ceux
été élevé avec une sœur qui s’est mariée à un peintre nommé Haensel. Lu ¡-môme a épousé, il y a dix ans, la fille d’un sé
ton ûme prenne son vol vers des régions plus douces! Oh! sans doute, lu voudias rester près de ton infortunée compagne qu
es vont s'engloutir dans un vaste océan; mais Dieu distingue ceux qui lurent justes et bons, qui travaillèrent à éclairer leur
ques; elle finit en m’assurant qu’au bout de quinze jours je pourrais lire quelques lignes. Celle assurance me donna bon e
’avais sur la vue se dissipait légèrement. Le quatorzième jour je pus lire l’adresse d’une lellre, et au bout de vingt-cinq
je pus lire l’adresse d’une lellre, et au bout de vingt-cinq jours je lisais quelques lignes. Les yeox n’étaient presque plus
matière un accord unanime sur I espèce d a- (t ) L’article qu'on va lire esl extrait d'une thèse soutenue devant la sociét
c lui. (Jne jeune fdle donl toute l'instruction se bornait à savoir lire son missel, me disait pendant son sommeil magnéti
tée, dont le résultat final esl presque toujours le rétablissement de lu santé. Ce qui semble prouver, du reste, que ce
-peu de magnétistes les les étudient, beaucoup môme ne les ont jamais lus . Pourtant ils contiennent des vues, des principes
encore venu. En attendant ce moment opportun, il nous a paru qu’on ne lirait pas sans profil ni plaisir l’analyse suivante que
tiges d’une imagination exaltée. La faculté qu’ont les somnambules de lire dans le passé et dans l’avenir , s’explique par l
ens qui est absolument neuve el très-ingénieuse. Les gens du monde la liront avec plaisir ; ceux qui s’occupent des sciences n
liront avec plaisir ; ceux qui s’occupent des sciences naturelles la liront avec intérêt el avec fruit. TABLE DES MATIÈRES.
4 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
rgondage d’opinions, qu’un amas de systèmes où le matérialisme a la j) lus large place. Allez donc jusqu'au bout, savinits d
t une telle révolution, quojVn eus presque des vertiges. pQuoil me « lis -je alors, me serais-je donc trompé? le plicénçilo
erait-il qu’une cliimóre? ciir enfin, par ma seule volonté, j’obtiens lu môuie résultat que si j’agissais surl’ovsane voul
qui avait aussi la précaution de lui fixer la tête, l’expérimentateur lira , avec un fragment de blanc d’Espagne, à partir de
pond pas, parce qu’il ne vous écoule el ne vous comprend pas ; ne lui lisez rien, ne lui moiUrez rien, ne lui donnez surtout
ne lui lisez rien, ne lui moiUrez rien, ne lui donnez surtout rien à lire , c'est peine perdue. Ces hypnotisés à divers de
le récit que donne M. Macario, et voyons si les conséquences qu'il en lire sont fondées. Les gens du village, nous dit-on
mmunication qui a été faite à l'Académie sur l’Lypno-tisme.No«s avons lu entre au très,dans le journal de Touloxidc, d'exc
cM»-natl l’ioeiûcacité de ses reuièdes, c'est celui-ci : la nature... lu nature fera sans doute ce ifue nous riuvon» ptu p
nous coin ment s'opèrent le mouvement de la systole et de la diastole lu ctrur, la couiraction de l’estomac pour broyer le
MONSIEIR A. MAURY, MEMBRE DE l’iXSTITüT . Monsieur, Je viens île lire à l’instan t, dans la fíevue des Deux-Mandet, un
mpte pour qu'il pût rectifier ses erreurs. J ai dans uu autre temps lu l'Académie des sciences, un petit mémoire dont la
un lauréat écrivait contre la lumière du jour, vous amuseriez-vous à lire son ouvrage et à en discuter le mérite 7 Croyez
siur. franklin, Jussieu et bcniicoiii) 1‘a'>tres savants illustres lurent cliargés tic celte mission. Vous omiiaisseî, Al
Cinonl qu’ils portèrent sur le njagnétisme ; ils tixaminèrenl d’abonl lu Hystèine d« Mesmer dans tous ses points; ils roco
lanio, ennuyée U’atlendie sans doute, s'ôtaiu alors mise au piano, me lira tout à coup i!c l'i^tat presque fébrile ilaiis le
urer. Une féis r^ise de son trouble, elle m’appela auprès d’elle et lue iit de sanglants reproches de l’avoir contrainte
qui s’était grièvement blessée au genou ! Je laisse à penser quelle lut la stupéfaction de toute lacoin-IKkgtile 1 Je d
bgpective oü de la prévision. En un mot, èst-il plas étonnant de vôlr lire dans l’avenir qiiè daiiè le Jiàifsé ? Si nous p
que noüs décident. Charles Péreyba. CORRESPONDANCE. Briixclk's, lu ti r¿vi'ici' ISQCi. A M, I.E BARON Dü Potet.
liôrapeutiques, soit nio-« raux,., » Et. en effet, M. Pliilips nous a lu (¡udqucs extraits de son livre, constatant, p.ir
ai physico-mathemalicw (1 vol. in-û, publié en un con- temporain ( lu savant jésuite , Daniel Schwentcr, (le Nuremberg.
elle entend des voix qui l’empêchent de dormir et lui commandent d6- lire . Elle croit que ce sont des démons, et pour leur
s, et pour leur obéir, elle passe une partie des jours et des nuits à lire le même livre. Douleurs au crenx de l’estomac, pe
du. Le magnétisme est le grand livre de la nature, nous apprenons à y lire , et nous vous dirons nos pensées. La forme peu sé
la daine Gi ison et l’a fait condamner, non pour exercice illégal de lu médecine, non pas pour consultationa dans l’état
BS DIVERS BAPPORTS ACADÉMIQUES SUB LE MAGNÉTISME. Messieurs, J'ai lu avec une grande attention le volume des Mémoires
ises salutaires n’avaient pieo de seoiblable aux crises produites par lus raouveraotits de la boule, elles amenaient toujou
nambulisme, bien que je me crusse fort savant ^ofs, parce que j’arais lu une fois mon manuel. Je reconnais aujourd’hui que
ari, qui la magné-lisait le matin, nous eûmes la satisfaction de voir lu malade vaquer à ses uffaices : la taille s'était
par lo sujet inèn‘e, en assurant les personnes qui voudront bien nous lire attentivement, que la vérité seule est le but con
11 Jonc aloi's que lo inëitiu objet, présenté devant une autre partie lu corps, devient invisible? 9“ Comment se fait-il
quelque chose à sa rôalîsatidft, à l’instant les acclisations les f) lus iii&uliautes eussent accablé ces pauvres magn
s paroles, hâter la venue de ce qui est prévu. Il n'a qu'à dire : Que lu lumière soit. Et ce mot se dira pour la plus gr
ons raiTi'fusp niDVt qui frappe tnules clioses, U s'explique et bénit lu lui de l'iiiivcrs. o CAUSERIES SUR LE MAGNÉTISM
’espère bientôt vous le montrer reluisant au soleil, et vous donner à lire les caractères sacrés qui s’y trouvent. Baron d
maternel dans sa plus haute expression. Nous sommes persuadé qu’on le lira avec intérêt. MAGIE MATERNELLE W. « n fallait
rit au delà du tonitwau, à travers les ti'iuebres de la miirt? u Non. lu n'es pas loin de moi, ô ma mère ! Tnults 1rs sple
andaient presque toujours de tenter d’autres expiJrienccs, telles que lu irans- ntüsion de sensation ou dépensées, (a vu
surprise que je voulais vous ménager. Candides jeunes gens, avez-vous lu notre code ? Connaissez-vous nos lois ? Sachez d’
s nos cartons ; il y a des détails intéressants qui mérilenl il'ê-tre lus ; ils nous viennent d’ailleurs d’une source d’où
n observer. Baron dd Potet. Dans le B* e, 2* série du journal, on lisait les eï-cellentes observations de M. Jobard, de Br
et te feront rire ; car ton esprit vacillant diminuera ta puissance, lu ne feras rien ou tu donneras des convulsions. — A
s attends pas, sans doute ; « Tu es trop rietir, dis-tu, je doute que lu réussises. >» Eh bien ! tu t’es trompé , au mo
Pourquoi es-tu à côté de mon lit, Lefrançois ? que fais-tu? Ah Dieu ! lu m’as donné un coup de marteau sur la tête ! — Non
il avait la science de Mesmer, le talent d’Esculape, et pouvait même lire dans l’avenir. C’était une sorte de Cagliostro qu
enir ici? » Mais Bob n’a garde d’obéir, et son maître de courir après lut , et tout le monde de rire à se tenir les côtes.
u ^umsièmB liécle, par M. Ctins»/ ïs L* Ca*vs. Vipiume in-IÎ.Se «ad à lu Librairie paritienm. Le fond de ce roman repose s
ro POTET, pnpriilaire-gérani. EXTRAIT DE RQ&ER BACON. « J’ai lu bien des volumes dans ma vie, et des meilleurs au
1SME ET l'hYPNOTISME DEVANT l'iSSTITÜT. Nous avons eu le plaisir de lire , dans la Revue des Deux-Mondes du 1" février dern
RE, 00, AO MOINS, ENTRER COM.MUNICA-TION AVEC NOUS? Cent qni ont pu lire ce qoe nous avons éirit au ffujet des Esprits, on
imal. Après avoir parcouru avec intérêt tout cet article, que j’avais lu ailleurs lorsque j’étais étudiant, je me dis ; L’
me chose. Le lendemain, dans X Union médicale (n* du 27 décembre), je lisais , sur l’hypnotisme, un excellent travail de M. Am.
, depuis trois mois. Ce qu’il admettait autrefois. (A^) Vous l'avez lu ; — mais je m’arrête : Ne troublons pas ce jour
ns nos académies. Ceux-là ont aussi leur encyclopédie... 11 suffit de lire , dans k Dictionnaire .de ten, les articles Magnél
p; ¿‘áutáht plus à se méfier, que les ignorants et les méchants tôtii lis plus nombreux et s’emparént trop Muvent de l’es-
i 4860, page27S, au 12* vers, au lieu de: Lui donne l’espoir à l'âme, lisez : Luidonne espoir à r&me. COMMUNICATION A L’
ui desserre les dents, on lui introduit quelques gouttes de rhum dans lu bouche, on lui souffle sur les yeux et dans les n
on excuse est toute dans les occupations qui m'oot eœpéché d’abord de lire et ensuite de résumer les quelques observations c
danslesiècle de vieillesse précoce où nous vivons. Il m'eût suffi de lire Siamora pour affirmer que son auteur n’appartenai
e et de foi; mais je viens d’apprendre, en lisant une note du journal lu Petite Presse, que M. Clément de La Chave fait pa
sollicite ou noua pousse, mais elle ne saurait nous envelopper. Nous lisons , page 2 de l’Avant-Propos : «Le même rayon les ré
elle, je répondis que non, et rais la lettre i la poche ne pouvant la lire . Devenu plus calme, j’en pris lecture et ne pus m
Cependant, comme il ne faut pas mettre la lumière sous le (1) Voir lu conlroversfl qui aca lieu entre MM.Petil cfOrmoy
ent l’aDtiquité! Baron du Potet. Nous engageons les magnétistes à lire avec attention lo passage suivant de l’Evangile d
i quand vous voudrez, les trois observations médicales que vous allez lire . Dans les deux premières, l’emploi du magnétisme
aux magnétistes en publiant ce que vous devez certainement avoir déjà lu dans ce journal du 29 avril passé où j'annonçais
Principes de la science occulte, qne sur engagement de ne le laisser lire qu’à des adeptes praticiens sérieux. Aura-t-il at
d état physiologique pour ramener au «aturel les préte)\dns mys-hres ( lu magnétisme animal. » Mais ces importantes lumiè
imer clans une langue qu'il n’a pas apprise (t) ; enfin, qu'il puisse lire , sans moyen matériel de commutiication, dans la p
ages Spéciaux j j'en citerai un Seul, que j'ai recueilli de la bouche lu ^me de l'intérassé. M. iuios B..., ctaiU profess
seules lésions du cerveau sont capabloí de troubler l’intelligence. Lu corrélation qui existe entre les divers phénomène
sans changer de milieu, il y apprécie parfaitement les arOmes les j) lus ílclicats ; un strabique ii’a piis conscience des
nce (a majeure de cette proposition, en inème temps qu’ils gouvernent lu mineure sous leur entière dépendance. Pourquoi
olQ vois s Litara, «on da 1k. Aà. Et 1« mort wui ajant la« miio« at lu pi«ljkiétd« baod«^ cl le ri««ge eav«lop|>^ d
PS l’ont ci'llifjui':. Cet article a r6vpill6 la verve ruii île nos i) lus an-cifiis collaborateurs, el nous nous empressons
de lumières et de vérités, et nous restons fidèle à notre épigraphe : Lu vérité n’importe, par gurlle. bouche, le bien n'i
qu’il croit devoir conduire àla découverte (tu vrai. Après les avoir lues attentivement, je me suis dit : Encore un nouvel
dans le Journal du Magnétisme, le fait d’uue de nos somnambiiles qui lis ^tpar l'épigastre avec d’autant plus de facilité q
que l’âme ne reçoit ses sensations que du cerveau et ne réagit passur lut ? Mais la preuve de cette réaction se trouve dans
x. P, C. Ordinaire, Docteur-médecio. Cher maître. Je viens de lire YE$sai(Cune nouvelle théorie du magnétisme animal
els y voient tout aussi bien dans les ténèbres qu'au grand jour : ils lisent , ils écrivent, ils brodent ; ils accomplissent n’
posée k celle qui paraît avoir été adoptée par M. Warlomont. J'ai peu lu les divers auteurs qui ont écrit sur le magnétism
nuels ou intellectuels; ils vaquaient à leur besogne journalière, ils lisaient , ils écrivaient, ils jouaient aux cartes; ils ign
sont güsséa dans mon article précédent : Ainsi, page 239, ligne 4, lisez : On etl donc forcé d'admettre qu'il y a ici enje
ttre qu'il y a ici enjeu un agent nouveau, elc. Page 261, ligne 12, lisez : Mais celle méthode est vicieuse. Page 262, li
ne 12, lisez : Mais celle méthode est vicieuse. Page 262, ligne 32, lisez : Toute contention d’esprit entraîne nécet-tairem
fautes principales à corriger : Page425, ligne 13, au lieu dn : Us lisez : iU y pui'i«n. Page 428, ligne 27, au lieu de:
te, tisfcz ; c'était la pierre. — au lieu du: e’eiaii fWmeniaire, lisez : ectail l'iUmentaire céleste. Page 432, ligne
entaire céleste. Page 432, ligne 19, au lieu de : gangut naturelle, lisez ■ gangue matérielle. — ligne 21, au lieu de : l
e. — ligne 21, au lieu de : les idées fondamentales de la religion, lisez : les idées [ondamen-lalet de la science. (!) N
rlu iids luiiiiiiros, ut nuu.s avions emprunté au jnuninl ci-dessii$ lu version i|ui u ameué ivt’e r'.’cliticaliun. •Vofi
st ainsi qu’un jour le cimetière fut fenné et que sur sa porte on put lire : De la part du roi, défense à Dieu de faire mi
ux sur les siens, c’est un regard doux dans lequel je cherche à faire lire l’espérance que je projette sur Jui. J’ai soin
le sérieux d’hommes mûra et de savants. Il est tout aussi risible de lire des feuilletons de journaux où l’on trouve des di
persuadé de l'existence réelled'ini monde inconnu. Il est curieux de lire ce qu'ont écrit sur ce sujet les penseurs des siè
m’en rapporte à cct égard du jugement des geos sensés qui voudront le lire . n Encore une fols, quel délire priut imaginer
onvulsion, un soupir, puis plus rieu. Le mauvais plaisant se lève, il lire son camarade par le bras, il l’appelle, il s’effr
ouvrage du vicomte de Lapasse, intitulé: Easai sur la conservation de lu vie; « Pensant avec raison que toutes les conna
ouver des sensations par le seul effet de la volonté d’un autre et de lire comme dans un livre ouvert toutes les impressions
ion. Il u’en eut point d’aulni que celte de Platon et de Socrale. Sur lu ciuie reçu, il pensait eommelesagB Aristide et le
plus pur possède encore quatre fois le poids cil-dessus. Et pourtant lu mulUre primitive était déjà condensée au point de
primitive était déjà condensée au point de produire les corj)» les i) lus pesants, tels que Mars, la terre et les deux autr
ssance, Jupiter créa loul: il esl chef et milieu. De la terre el « lu ciel il fnrmo la naissanee : ■ Il posscde en s»
tristi-s fraRmenUs de l'ArchétytiK divin. n A quoi reconnais-tu que lu tends à l’entière possession du VerLe divin? — En
ispril de Dieu.....quo, par cnnsequenl, en cette partie intérieure, lu es de nature Dieu, Saint-Ksprit, li' ra en l'ordr
uvre, mais puur un blaspliùmc, et parce c|uc, n'ctunt qu'iin humilie, lu te fais Dieu. « Jésus leur l'épundit : Il est é
n, mais cyale ù celle 'le nus pliilosopliics modornes, et sa donnée j) lus perccplible, plus réviviliauie et plus déiluclive
ait dans leur synagogue, de telle sorte qu'ils en étmeiit étonnés et ( lisaient ; D'où viennent a celui-ci cellestneiice el ces ve
frirn flnrurl m >¡(111111(11 qn« iwuiu el tcminm »»•J, Ml» P*fl«r ( lu 35‘ »enei ilu i*' cli»piirt d« taiDt Mallhl«v, (j
, chap. 9.) L'anecdote que voici confirme ces préceptes : «Je pus lire ce conseil donné par d’Alembert à un jeune liomin
ceux-ci eu un seul, les déplacer, les transposer à « sa guise, faire lire par l'épigastre, entendre par la plante « des pie
, mais combien lui est supérieur cet agent subtil qui se «nommefilme, lu volonté! S'arrêter au pouvoir de la voci lonté, d
ns seulement out offert des qualités supérieures. Pourquoi? Parce que lu nature, la texture, Tbonaogénéilé, la mobilité du
professeur à l'Ecole de Médecine à Paris (édition Labé 1856), et vous lirez , p. 960 : n Quant au magnétisme animal et à ses p
stre aurrûent soin de tenir la bouche ouverte; mais il n’en est rien. Lu condyle articulaire du maxillaire inférieur, qui
ence infuse, il me semble qu'il y a quelque vanité à sc Tantcr de peu lire les auleuw (p. 466), à qui, apros tout, nous devo
Arbaud affirme qu’il a beaucoup pratiqué le magnétisme et qu’il a peu lu les auteurs. Je l’en crois sur parole, et c’est p
s aUributiqoi, ilam deAine^urra ffatioD- formen I, k dua diflércub, lu » calégurie» Înférieorea et la coto mona vt4 des
e d'ordre »nLailetner ona existence dans les Umllea a^iiuaUs. Toi esl lu pkhé, le faU de déch^oce d*o^ dérive solrc lutfar
une tri'S-belle l>ranchc de ru), lui dit : 0 Uani ! le remède que lu cherches, le vnilà. Ettoutàcouptiranldeson sein u
j'appelle encore voire atieiitiou sur des points essen-ile]s. J’ai lu votre brochure : Coup d’œii apprédaltur sur cfrin
es singuliers et mystérieux phénomènes du magnétisme. On savait déjà ( lue , ne me faisant point accompagner par des sujets s
rs. Donnez un livre à un somnambule, et, pendant qu'il est occupé à lire , appliquez vos doigts sur ses paupières et exerce
»« n Ra-Tio>.\us.>cB, dans le n» 92. acte diflicile, tel ijue lire , licrire, coudre, broder, enfiler une aiguille. P
ipalement pour ce qui concerne la vue magnétique. Cette jeune fille lisait dans l’obsciirité, elle écrivait, elle cousait, e
tes vérités et de divins principes, tous ces hommes si remarquables, ( lisons -nous, seront réhabilités, et les secrets qu’ils a
marche dans ses voies. Baron nu Poiet. (1) Ceei nous rappelle que lu iraiic-uiuçoanerle avait ii sou origine quoique c
n Wle actif dans la production des phénomènes. C’est au lecteur qui a lu ces pageâ à décider si ropéi^ateUr a lieu d’être
agnétiseur du 15 octobre dernier, réfute sans examen, pourrions-nous ( lire , et peu courtoisement (imitant en cela la plupart
qui n’ait été plusieurs fois écrit par les auteurs que nous avons pu lire , et que toutes les bonnes pratiques que nous donn
ous connaissons au moins aussi bien que lui, et que, s'il avait mieux lu l’article qui lui a fourni l’occasiun de décliner
eu d'intérêt. Revenons à M. Lafontaine, qui, après avoir légèrement lu sans doute le paragraphe de notre théorie où il e
, pages 148 à 150; au numéro 79, pages 171 à 175, et après avoir bien lu , nous l’engageons à prouver au baron du Potet qu’
ront un jour que sa cause véritable a été le magnétisme ; nous avous ( lu moins cette conviction, car uoiis pensons que le
. Baron du Potet, SOMMEIL LÉTHARGIQUE. Pendant quatre semaines, lisons -nous dans l’Abeille Cau~ cJioise, uae femme d'une
’inconnu ; et c’est pour cela, sans doute, que j’al remué la cendre lu passò, et quejeine suis mis à marcher ilans une v
C19. scinWaqu’il n’eu soi'tailqii'uneimiocenl« poussière; mais tous lurent pi'is d'un étourdissemeiit singulier et d’une esp
i, 11 Taut : le jamais porle en lui ces vertus. l*ugeS33, ligne 50, lisez d'aire, an lieu d’a«e. Page SâS, les trois prem
n espèce?) — à travers, eie. Page SS9, ligne 30, au lieu de Cuffie, lisez CsITre. Page S31, S*iisDe, après cetto phrase :
s divers rapports académiques rela tifs au magnetisme, 128. — Mémoire lu à l'Académie des sciences par M. du Potet, en 183
ée à M. Maury, de l'Institut, par M. du Potet, et suivie d’un mémoire lu par ce dernier, en 1835, à l’Académie des science
produite par le magnétisme, 470. Erreurs auxquelles est exposée la lu cidité somnambulique, Faits rap porté» par M. le
oires de revenants, 27, 48. Institut (l') elle magnétisme. Mé moire lu à l'Académie des sciences, par M. du Potet, on 18
5 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
mal; Puis, allongeant sa figure, l’il ce terrible sermon A ce valel ( lu démon : « Malheureux, qù’osez vous faiic? « V
erons les détails circonstanciés de ce fait. provenus ; bientôt 011 lira dans vos cœurs, et moris ou vivants vous ne pourr
ÉCRIT PAU CADET BUTEIX A SON AMI L.VTL’LIPE. Air du Pas redoublé. lu m’as ejpllqué l'Progrès, T'ai oublié z-un’ cho»
la région hypogastrique. Séance du 14 janvier. — Plusieurs membres lisent des rapports de guérisons de malades à eux confié
s traditions sacrées à force de les corriger; aucun de vous n’en peut lire le texte primitif; et, comme le médecin qui, ne s
i. Je portai ma pensée sur un élève le plus sensible, M. Faivre, pour lut demander mentalement ce qu’il pensait du docteur.
« plus positifs. En voici le résultat : « Florentin a été endormi à lu distance de seize • mètres, 1° par des passes,
effrayées d’une chose si étrange. Mais le récit qu’elles en firent ne lut point cru des voisins qu’avaient attirés leurs cr
us faible et déjà modifié. Le guéridon, maintenu par «leux personnes, lut repoussé, mais non renversé, en môme temps que la
s une direction opposée, déplaçait sans cesse le centre de gravité de lu jeune fille, qui luisait de grands efforts pour s
e, à plusieurs mètres avec une rapidité prodigieuse. Toute occupation lut devient bientôt impossible ; si elle veut coudre,
us intenses le matin de huit à neuf, et le »dirdecinq à six heures. Lu curiosité, le scepticisme font faire des expérien
gent de toute enveloppe. C’est l’ouvrier qui de-roule le papyrus sans lire les caractères qui s’y trouvent, mais qui se gard
peu que ce n'est pas la jteine d’en parler. Un autre grand homme , lu les verras tous, refuse de t'examiner. Cela ne le
longue maladie, la prit à son service. Quelques années après qu’elle lut entrée chez cette dame, on entendait souvent au m
uide, 4 grammes; siropdiacode, « 12 grammes. 4 Novembre : continuez lu tisane en sup-« primant Phermodacte. Mettez, pend
passes à grands courants; après dix minutes de soins, je l'endormis ( lu sommeil magnétique, et nous apprîmes alors qu’ell
seur à se composer une petite bibliothèque d’ouvrages spéciaux, à les lire surtout, afin de pouvoir comparer les œuvres de l
minutes de chaque montre. Elle parvint souvent, mais pas toujours, à lire correctement les mots écrits sur le papier. Plus
de rapport, mais elle s’est exprimée par l’organe de M. Arago, qui a lu une note à laquelle nous croyons devoir donner de
e nouvelles et précieuses connaissances en physiologie, j’ai beaucoup lu , observé, médité; et ma conviction, qui dans le p
e, dit-il alors, à peine étais-je couché que j’ai rêvé que vous aviez lue ma mère, que son ombre sanglante m’était apparue
du même moyen, soit pour cacher leur sccrct, soit que cet auxiliaire lut réellement nécessaire à la manifestation de leur
chot. (11. G-) (î) Tome II, septembre 1755, page21ÎO. ignorant de lu gcologic comme de loule science, arrivant au môme
e ce simple montagnard dépourvu de toute science, ne sachant pas même lire , et celui de M. l’ahbé Chatelard. La Mouche ayant
tte dans sa position primitive, et continue de marcher jusqu’à ce que lu baguette s’agite et tourne de nouveau. Alors il m
sation nerveuse, un certain fourmillement plus ou moins fort, suivant lu puissance et la profonde de, source* [Pk.B«dé.)
rit par la somnambule au moyen de la sensation n’a, précédemment, été lu et n’est connu de personne. De cinq verres parf
t tous été placés ensemble sur une table. Sur l’ordre du magnétiseur, lu somnambules’en est approchée, et sa main, après a
us avons dit que notre âme, en rapport avec des êtres immatériels qui lisent dans l’avenir, est souvent avertie du bien ou du
cilement l'arabe. Acliined, remarquant son inquiétude au moment où il lirait de son écritoire sa plume de jonc, lui dit : « N’
e, son numéro, et les signatures qui « le revêtent; et, en outre, qui lira une maxime de « quelques mots anglais lisiblement
cillet, accompagné d’Alexis, est parti pour l’Angleterre, après avoir lu l’annonce de ce défi. On assure que M. Ricard,
honorable et remplissant de hautes fonctions, nous adresse : « J’ai lu avec un vif intérêt le feuilleton de la Mou-« che
ez la peur, ou tout au moins la défiance. Serez-vous toujours sourds? Lisez cette brochure; peut-être vos yeux se dessilleron
irection équa- loríale, et ëlait fortement repoussé: ainsi, suivant lu nature du milieu immédiatement ambiant, il pouvai
e peut voir en aucune manière, d’après certaines précautions prises à lu première séance par deux de nos confrères, qui pl
e de ces instruments.C’est unedanse nouvelle plus curieuse que toutes lus polkas. Mais les Parisiens ont eu le mauvais goût
doubler l’essor. « Comme le soleil que nous cachait un brouillard, lu vérité apparaît plus éclatante après avoir été ob
de M. Je baron du Potet étaient réunis pour fêter l'anniversaire de lu naissance de Mesmer. Rien n’a manqué à cette prem
mblèmes «le l'immortalité, et, dans une auréole qui l’entourait, on lisait l’aphorisme qui résume la doctrine magnéüqtte . L
et sa reconnaissance. Après M. Cosson vint le tour deM. Gally, qui lut l’acrostiche suivant : celui dont le zèle a con
ce N’y voit pas plus loin qu’ son nez.. Les corps savants, etc. lu *' » *’ i » • ! Ils n’admâltentipas qu’on dorme,
e. M. Stassin. M. Germer Baillière. M. Simonrau. M. le baron ( lu Potet. M"* la baronne du Potet. M. de Wullès
e colonel Préaux de Locré. M“ Préaux de Locré. M. Chœnli-in. M. F» lire . M. Picard, dentiste. M. Piron. M" Piron.
, un médecin qui censure tout ce qui se «attache de près ou de loin à lu médecine;,il jette au panier tout ce qui est magn
ents plausibles ou de citations de ¡faits analogues. De ce nombre est lu Gazette médicale belge, qui cite le cas d’un nomm
isme, se prévalent de cette-circonstance pourle flétrir des-nomsde de lus ion, oiieav, deception, errott, et«.,: etc. Sur c
empêchements à côté (les désirs : il faut connaître les conditions de lu vision somnambulique, et les magnétiseurs échevel
le talent et une réussite complète, l’opération ci-après décrite, sur lu sieur Baysset (François), âgé de dix-huit ans, mi
q heures trente et une minutes on commence le pansement. Les bords de lu première plaie sont réunis à l’aide de cinq éping
e reçois des « offres pécuniaires. à peine mon temps suffit-il à les « lire ; et je puis dire que, sans compter, j’en ai brûlé
rez cette porte. — Je ne l’ouvrirai pas maintenant, dussé-je perdre lu vie. » Bientôt la magnétisée ferme les yeux, ma
ébraïque, et maintenant naturalisé en arabe, caractérise tout ce qui ( lue , tout ce qui fait sentir son influence aü dehors;
plusieurs reprises, des billets cachetés dont elle lui a tou- jours lu le contenu. Ce médecin, désirant s’aider des cons
s ne confirment pas ce fait. ERRATA. Page 24, ligne 5, louvcrain, lire souvenir. — 25, — 1, prévenus, — pervers. _ 2
— magnétique de Cambrai. 330 — philanthiop.-magnét. 150,272 — ( lu Mesmérisme. 120,215,300 Science funeste (la). 28
la foi catholi-« que. — Non. — Voulez-vous donc être plutôt brû- « lue que d'abandonner cette secte ? — Je le veux. —
tait étranger. Il écrivit sur ces diverses questions des mémoires qui lurent envoyés à la Convention, et que nous avons eu le
point de renaître et d’enflammer les esprits, il sera intéressant de lire ce que pensait Mesmer sur la grande question de l
tendant vers ce but généralement recherché par les hommes, consti- lue , lorsque ces moyens suffisent, l'état qu’on appel
ans ce siècle à faire retrouver et reprendre à l’homme les droits que lu nature avait gravés dans son cœur, mais que la su
yeux fermés , il voyait assez pour se conduire, et même qu’il pouvait lire et écrire dans l’obscurité comme il le faisait
a lettre que j'ai adressée en commun avec M. Lafontaine, et qui a été lue à la dernière séance, nous avons dit que le fluid
ladies aux hommes et aux animaux, de nuire aux fruits de la terre, de lire dans l'avenir et de découvrir les choses les plus
scitera pas. Il est une autre raison , une autre foi, qui naissent « lu cœur, qui jaillissent de la charité, qui «’engend
ité plus ou moins étendue, le milieu et l’espace spirituel, comme est lu conscience divine, mais dans les proportions de l
ssole, montée ;ï l'ordinaire, mais sur un pivot dépassant quelque peu lu boite. » Présentez-lui le doigt (vous, l’homme
ées, aussi pesantes que les barreaux d’acier que je viens de dire, je lis la préparation que voici pour ma Seizième expérie
s jeune et la plus jolie : car la fraîcheur du corps et l’harmonie de lu forme sont les auxiliaires naturels du magnétisme
tes; elle commençait à désespérer, lorsque, tout à coup, le couvercle lut soulevé très-haut et retomba vivement et avec bru
nation purement animique déroulera sous nos yeux l’histoire complète • lu progrès des arts. Suivant YVinckelmann, Mengs et
ués latéralement dans la région cervicale. Ces deux dernières glandes lurent extraites en trois minutes. Dans la dissection
nt plusieurs personnes s’approchèrent encore delà malade. L’isolement lut détruit, pour un instant, par son magnétiseur, et
ue animal, ainsi que de ses effets relativement aux maladies, mémoire lu à l’Athénée électromagnétique de Lyon. La polar
enlever de cette manière le vingtième de sa population. entré dans lu chambre du sieur de Golleville, et ayant commandé
re en son cœur. a Au procès, après avoir rapporté ce qu’on vient do lire , cette lille dit : « Le changement qui se lit en
onses aux interrogatoires des juges ou aux questions des poursuivants lurent telles qu’il suit. Comme on lui demandait par que
« ses feux, » va toujours croissant. Elle s'étend maintenant jusqu’à lu base du cou. Nulle lucidité encore. Les yeux vont
sie. Prévision d’une crise terrible pour le lendemain, mais ce sera lu dernière. 2 octobre. — La crise prévue a lieu e
aient dans le foie, par les diarrhées. » 3 octobre. — Les suites de lu crise d’hier ont été, dans la soirée et la nuit,
me il ar- rive clans l’état normal, si je magnétisais de l’eau avec lu volonté de lui donner une vertu purgative, deux h
tet ; « Au triomphe du magnétisme. » Après ce discours, M. Jolv a lu les vers suivants, qui, au mérite de la pensée, j
cessèrent simultanément, et les personnes qui maintenaient la malade lurent bien surprises de sentir graduellement affaiblir
sans qu’il s’en aperçût, ni que la manifestation phréno-mesmérique en lut le moindrement troublée. Non content de cet essai
expériences reprennent leur allure accoutumée jusque fort avant dans lu nuit. Il faut remarquer que M. Ilarrison n’est
que particulière; 8" Enfin la connaissance d'une profession utile à lu société. L’éducation de l’enfant commence avec
nt susceptibles. La perfection des organes de ses sens consiste : lu Dans leur sensibilité; 2" Dans toutes les combi
re épuisé toutes les épreuves de l’expériencc avant que d’entrer dans lu société civile. Pour cela on doit prudemment pl
ses devoirs. A mesure que les forces augmentent et que les besoins lu secours des autres diminuent, les enfants apprend
le 011 telle lin. Ce n’était point assez, on en dressa quelques-uns à lire dans la pensée, à deviner les choses cachées, à
e les magnétiseurs se livraient à ces recherches. Mais ces merveilles liront du bruit en dehors du sanctuaire; la science avai
prix avait été créé : trois mille francs étaient offerts à celui qui lirait au travers d’un corps opaque. Le généreux docteur
e se présenta. Hortense, Calyxte, Prudence, Virginie, etc., etc., qui lisent couramment, comme chacun sait, les yeux fermés, n
pas savant, l’antagoniste d’un grand homme; j’intervertis l’ordre de lu nature, tant pis pour les règles. M. le docteur
logiques admirables, un rapport, accablant par les faits négatifs, se lisait à l’Académie de médecine, et venait détruire en p
si pleinement, et servent de base au mémoire de M. Andriveau qu’on va lire tout à l’heure. Une autre expérience, tentée po
que toutes, chose remarquable, se meuvent d’occident en orient. Jo ( lis donc que la rotation du soleil, agissant sur les
impulsion en vertu de laquelle elles continueraient à se mouvoir dans lu môme direction et avec la même vitesse, tant qu’u
l fut tout aussitôt agité, et il étouffait ; sortant de la maison, il lut renversé dans une mare d’eau qui est au devant. O
nt de lieu et de concentration. Il n’v a qu’une chose immobile, c’est lu loi mathématique , et c'est cette immobilité de l
x est la plus commune faculté. Autre chose est voir les événements et lire dans les consciences, autre chose sont la prévisi
dès qu’on touche à l’ho-inœopalliie ! » Il résulte de tout ceci que lu Société a entendu frapper les médecins exploiteur
e, exclusivement consacré à une polémique locale, est fort ennuyeux à lire . La suite mérite une attention soutenue. Un style
’en pratiqua « jamais une meilleure. Eais ceci cl cela, incontinent « lu seras guéri. » Soudain Gonelle jette bas sacoif-«
ont-elles réellement ducs à l’influence de votre volonté? Le sujet ne lirait -il pas plutôt dans votre pensée? Vous présentez
sujet parle dans un idiome qui lui est inconnu, je supposerai qu’il a lu ou entendu les paroles qui lui échappent, et que
et des mira- des que nous opérons. Je crois, comme vous, à Invenir lu magnétisme; je crois, comme vous, que ses sublime
résisteront. F.t c’est, par ma foi,bien naturel : car, qu’on me passe lu vulgarilé de l’expression, il y a danger pour le
ez le magnétisme? J’en vais faire sortir devant vous, sur vous-mêmes, lus plus étonnant» phénomènes. * Demandez-vous son
ent et non d’abonnement. ERRATA, Page 179, ligne 36, au ¡¡eu de : lut d, liseï : mis de. Page 310, ligne 18, au liou
: lut d, liseï : mis de. Page 310, ligne 18, au liou de : un signe, lises ; une ligne. U Propriétaire-Gérant : HÉBERT (de
6 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
t important, nous nous confirmâmes de plus en plus dans l’opinion que lu magnétiseur possède la toute-puissance physique
ine, lo-l, p. 100. (4) P. Atpini, de Medicina ægyptior., 1U45, tib. lu , p. Il2. quidcs, raffermissait la peau ot forti
forme du Journal et à son cadre, peuvent sans aucun inconvénient être lus de tous; la partie la plus essentielle sera réser
einte de la tristesse; mais il ne me regarda point. J’appris seul à lire , à écrire, à compter; je feuilletais tous les liv
rit les travaux de la journée, j’en effaçais toutes les illusions. Je lisais tout ce qu’on avait écrit contre Mesmer et sa doc
le mena au séjour de la douleur, et lui dit : « Sois sans crainte, « lu es l’instrument dont je veux me servir pour con-«
Deleuze, il me répondait : « Ayez la foi, l'espérance et la charité ; lisez mes livres. » Puységur : « Croyez et veuillez, c’
e 27 octobre 1847- a° Le discours en forme de thèse que M. Goizueta lut devant le jury préposé à l’examen de ses capacité
s livres sacrés sont surtout prodigues de citations de ce genre. Nous lisons dans le Livre des ¡lois (i) : « Élie s’étendit pa
(1) Recherches physiques sur l'Homme, chap. 3, p. 67 el 68. (2; Le lires sur le Magnétisme animal, parCalard deMontjoie, p
do Titus. On remarque aussi dos figures analogues dans les ouvrages « lu comte de Cajlus (5). C’est par l’imposition des
que Dieu souilla dans le corps d’Adam pour lui donner la vie. Nous lisons dans les œuvres de Cardan (i), que le frère du ro
« Suit une brillante discussion ou plutôt exposition que vous avez lue , Messieurs, et à laquelle notre analyse rigoureus
rsant les habitudes el les intérêts des hommes en crédit. « 11 faut lire , dans les ouvrages du temps, le récit de toutes l
comme magnétiseur dans le Mesmeric infirmary. D’un autre côté, nous lisons dans une lettre particulière du Dr Elliotson à M.
t et son fils? La prévenue. Ça me serait impossible, je ne sais nii lire ni écrire en français. Mm* Bridaut, qui était for
i pas assez d'instruction pour savoir si elle dormait, je ne sais pas lire . D. list-ce que vous pensez avoir la puissance
des mémoires hostiles, et que les magné- liseurs no. fissent point lus leurs selon les us aeadé-minues, ce qui ferait av
s ruiner , en sapant par la base leur édifice scientifique mensonger, lis la reniaient, comme des enfants devenus riches et
h a dit et publié dans son Mesmer el Svoeden- ' borg, que Davis avait lu tout un manuscrit qu’il ? portait caché sur lui-m
Tacite, Tite-Live, Salluste, Puffendorf, que le roi paraissait avoir lus . On passa bientôt à la médecine. Quelqu’un parla
rouva obscurcie pendant quelque temps. —J’ai remarqué aussi qu’elle a lu dans ma pensée, en me disant que ce qui retardait
soulagement. — Je dois dire que lors de la première visite, Mme Rose lut ma pensée, devina le malaise et l’embarras que me
Mrac Rose pour une affaire personnelle, étrangère aux maladies. Elle lut ma pensée, me reprocha cette préoccupation au mil
, comment n’accueillerait-elle pas un moyen de lever ses doutes et de lire couramment dans le corps des malades , comme dans
natique ou de la main gauche, qui défierait toute critique. On vous a lu une lettre dont on attendait un grand effet. A ce
isme, de la médecine ou de la pharmacie, scraienl réservées pour élre lues en audience publique. J’ai éprouvé, en entendant
aîlre des choses encore plus étonnantes. Il est établi que M" liose a lu dans la pensée de plusieurs personnes; notamment
rait pas lieu si elle était douée d’une seconde vue qui lui permit de lire dans leur corps. — Si l’objection élait fondée, e
en peu de temps, et elle peut dire aux médecins : Les gens que vous lue * se porienl i merveille» C’est ainsi que M. Méd
imprudemment ao-cepté par M. Lassaigne, il fallait de toute nécessité lire dans une boîte hermétiquement fermée. C’est là, a
a lucidité des somnambules les plus clairvoyants. L’ancienne Prudence lisait à travers un masque de plomb, Alexis Didier a pro
à travers un masque de plomb, Alexis Didier a prouvé mainte fois que lire ou écrire dans une boîte était pour lui chose trè
inquante es-prits-forts formulant énergiquement cette volonté : Tu ne liras pas, nous ne voulons pas que tu lises; parce que,
giquement cette volonté : Tu ne liras pas, nous ne voulons pas que tu lises ; parce que, si tu lisais, nous serions dans la né
: Tu ne liras pas, nous ne voulons pas que tu lises; parce que, si tu lisais , nous serions dans la nécessité de reconnaître un
us soutenue seulement par son magnétiseur formulant cette pensée : Tu liras .....Cinquante contre un! la défaite était prévu
phrase annonçait bien une sorte de lucidité; mais le mot n’a pas été lu : donc la vision à travers les corps opaques est
a plupart de ses expériences ont très-bien réussi. Le somnambule a pu lire les yeux couverts d’un bandeau préparé avec toute
personne ayant les yeux parfaitement ouverts. Dans plusieurs cas il a lu des mots écrits, au travers d’épaisses enveloppes
tenait. Il présenta le paquet à Adolphe , et lui dit que s’il pouvait lire le nom et le numéro du billet, il lui appartiendr
nom et le numéro du billet, il lui appartiendrait. Adolphe réussit à lire le nom de Stuckey, qui est celui de la banque don
e peuvent procurer d’instruction. Il n’eut le temps que d’apprendre à lire imparfaitement, à écrire passablement et à faire
on lui fit visiter et décrire des lieux qu’il n’avait jamais vus, et lire , les yeux bandés, dans un livre fermé. Aussi devi
de la nature, au dehors, étaient presque les seuls livres qu’il. eût lus . En i845, étant dans le cours de ses pérégrinat
iennes dont il n’avait aucune connaissance, et dont il n’avait jamais lu aucune traduction ; que cependant « on ne pouvait
pour éprouver sa lucidité, Townshend rapporte qu’élant ainsi occupé à lire l’écriture, à deviner des cartes, ou désigner les
ué n’était plus praticable. Plus heureux ou plus habile, Bonaparte se lira d’affaire; mais le général Caftarelli, privé d’un
et des phrases appartenant à des langues étrangères, quelquefois, il lus prononce mal; mais pas de manière , cependant, à
nce d’un manuscrit que M. Bush avait laissé dans sa poche, et qu’il y lut littéralement; ainsi que l’histoire de ce fameux
lais par M. Bush, encore inédits, et que Davis n’avait pas en- rore lus , même dans la pochc de M. Bush; écrit qu’il remit
pposition que ses chers et très-honorés confrères font au magnétisme. Lisez plutôt cet édifiant extrait de Y Union médicale :
ne se sont pas tenus pour vaincus; ils ont, toujours sous le couvert ( lu commissaire central de police de Limoges, fait ap
e magnétisme, osent se mettre à la place de Dieu lui-même, prétendent lire dans la conscience humaine, rendent des arrêts et
apparlient point d’être votre prophète, Messieurs, mais pour qui sait lire , il est écrit symboliquement ces sentences dans c
res et impuissantes ; aujourd’hui, sciences positives, elles volent à lire d’aile dans l’ère du progrès. Que leurs sœurs att
pas par la même raison. La prose et les vers alternant, M. Cosson a lu les développements du toste que voici : A L’INS
e lumière que Mesmer a remise en nos mains. Et, pour terminer, il a lu la pièce de vers qui suit. «dont le sens a ¿10
il méritait de loU'e : LE SOURiRE D’UN SPiRITUALiSTL Je souris à lu terre, où je vis jwur souffrir ; Je sourisau Iq
s, mais que bientôt la terre ne possédera plus. Écoute-moi, mon Paul, lu m'aimais et je te payais de retour; nos amours fu
; mais le serpent sc cache sous la mousse, il aura mordu ton pied que lu ne l'auras pas encore vu; il sc cachera sous des
venin te glacera à la table de Ion frère, et tu te sentiras froid, el lu accuseras le foyer de ton frère..... et le tigr
ables..... et pourtant ce ne sont que des fictions..... O Mesmer! lu es bien grand, toi qui nous révélas la source de
qui peut dire à la lumière évidente pour nos sens : Lumière menteuse, lu n’es qu’obscurité ! O mon maître! si vous savie
le juge de mes appréciations, et je ne vous les donne qu’après avoir lu quelques fragments de ce drame mystique à la Soci
regrettons d’ignorer les noms ; des vers pour la circonstance ont été lus ou récités sous divers titres. « Des tosles en
ait, ces messieurs de la clairvoyance 11c font rien comme les autres, lis donnent des consultations sans voir le malade : l
nnées qu’elle a passées en pension, elle n’a jamais pu apprendre qu’à lire et à écrire, et encore d’une manière fort imparfa
entants, Les Français vous ont élus à l’Asscmblée législative, dans lu but de nous délivrer de toutes les lois et ordonn
étisme dans une lettre publiée dans l’Orléanais d’hier. Nous aimons à lire les écrits do cet honorable médecin, lorsqu’il co
d'un système. Il n’est pas logique de vouloir assujettir l’emploi ( lu magnétisme aux mesures de prudence que devraient
atténuée. Nouvelle-Orléans, 19 mars 1851. TAXIL, d. m. Le 20, ou lisait encore dans la feuille précitée : M. le Dr Taxi
« grandes officines à portique, etc., >• j’engage tout le monde à lire l’ouvrage cité de Gauthier, de même que le Manuel
A code lioutadc, M. liarlhct répondit dans le même journal : Nous lisons dans l'Orléanais d’hier matin une lettre d’un M.
bre des initiés » qui grossit tant de jour en jour !.... J. B. On lisait dans le numéro du 1er avril : A Monsieur le réd
té qui lui vaudront l’éloge de tous les esprits droits. Après avoir lu avec attention ce livre remarquable, nous n’avons
es que publiques, de plusieurs magnétiseurs, el comme j’avais aussi lu plusieurs ouvrages de magnétisme , j’élais pleine
centrant à cet effet, il l’a vue aussi par lucidité. Je vous engage à lire ce que j’en ai consigné dans mes Lcllrcs, car M
ésista que trois fois; probablement il aurait cédé par la suite. Je lis avec beaucoup d’intérêt les livres que vous m’ave
us remercier du commencement de voire nouvel ouvrage, que je viens de lire dans les trois derniers numéros du Journal, ot qu
s les trois derniers numéros du Journal, ot que je n’avais pas encore lu quand j’écrivis la lettre dans laquelle j’osais v
é la lutte; et je leur ai fait savoir qu’ils ne pouvaient rien faire, lis craignent le ridicule dans les antres Universités
mparfait suffira, nous l’espérons, pour mettre les magnétistes qui ne lisent pas l’anglais au courant de cesmoyens nouveaux.
ait des passes sur des boîles renfermant des imprimés, et les voyants lisent au travers, disant que la lumière en rend les par
daignées. Que tous les magnétistes qui connaissent la langue anglaise lisent ce beau travail, et ils partageront certainement
btenu, au bout de cinq séances, des effets assez curieux, mais dont lu récil est ordinaire pour vous: secousses électriq
arité qui nous a saisis en étant témoins de la parade dont vous allez lire les scènes principales. Le n” 5 de mon paquet e
ur les épaules du sujet. — A propos de ce ail right, je vous engage à lire une bonne plaisanterie dans le n° n. . Quant au
l'Électro-Biologie. Ceux dont le temps est employé entièrement dans lu journée, auront locpasi.it: d'éludier celle nouve
xpérimenter sur lui. Je lui iis parvenir un billet à cet effet. Il le lut , mais ne lit pas de réponse. Lorsque je vis sorti
ès dix ou quinze minutes d’attente, le Dr Fiske ne paraissant pas, je lis reconduire l’homme à la walch house dans un cabri
s professeurs des deux sciences combinées. Ceci nous rappelle avoir lu hier, dans le Delta, un article d’un monsieur trè
consultations aux malades, de sept heures à midi. Ce qu’on vient de lire est traduit du Daily Cres- (1) Jlumpo peut se t
ats-Unis. Tant pis pour ces invenleurs-plagiaires. — Il me larde de lire le livre de M. Smee, que, sans doute, M. Meade vo
és, etc. » Je voudrais pouvoir vous envoyer le journal même d’où je lire cet aperçu, mais il ne m’est pas permis d’en disp
de sa propre expérience. Ces articles seront fort courts, afin d’étre lus par tout le monde, et paraîtront à plusieurs jour
emps quelques petits articles, à l’usage surtout des personnes qui ne lisent pas les livres. Le magnétisme est un puissant r
J. B. I.a polémique s’engagea do nouveau; et, le 9 dudit mois, ou lisait : A Monsieur le rédacteur de l'Orléanais: Monsi
si on se hâtait de l’employer à leur début!.... J. B. I.e 22, on lisait la contre-partie suivante : A Monsieur le rédac
ISME. 1Y. Nous l’avons dit en commençant : c’est pour ceux qui ne lisent pas les livres que nous écrivons, et ce serait no
jet que de discuter avec le savant médecin qui nous fait l’honneur de lire nos petits essais. Nous ne cherchons qu’à éveille
me, vous le savez, comme 1111 des plus puissants remèdes; mais ils ne lisent pas plus vos livres qu’ils ne lisent les prétendu
s puissants remèdes; mais ils ne lisent pas plus vos livres qu’ils ne lisent les prétendues matières médicales de l’ancienne é
siller les yeux, d’éclairer les esprits, et voilà pourquoi nous avons lu avec beaucoup de soins vos petits essais..... e
constant, nous le maintenons. Mais de là, arguer que nous n’avons pas lu ces livres, c’est'tomber dans une erreur grave...
e pronostic funeste de notre collègue allo-pathe, qui n’a pas dù vous lire , son silence au moins nous force de le supposer,
ses derniers articles prochainement. HÉBERT (de Garnay). Société « lu mesmérisme de Paris. La Société du mesmérisme ,
ouait aux cartes les yeux bandés, ou, pour mieux dire, calfeutres, ot lisait , sans jamais se tromper, dans le jeu de son adver
un livre broché et non coupé, que j’apportai à Alexis en le priant de lire une page donnée sans ouvrir le volume. L’impressi
e effort qu’il fît pour continuer, sa vue élait fatiguée. Il n’en put lire davantage. « Mais cela me suffisait. Ces Irois
autres faits encore plusdignes de remarque que ceux que l’on vient de lire . « M. Leroux, propriétaire, demeurant place Sai
ent cacheté. Alexis n’eut besoin que de se recueillir un instant pour lire , par la pensée, cette courte phrase : Je ne cro
n vous? Quand est-ce qu’une fois repliés sur vous-mêmes , vous saurez lire par les yeux de votre esprit et le sentiment de v
capréoles de vignes, « ce qui ôtait aux indignes la curiosité de les lire . » Tertullien recommande de garder le silence dan
mes travaux sur le fluide m’ont valu. Pour vous édifier, vous pouvez lire l’article Magnétisme dans le supplément du Dictio
rév. G. Sandby, l’un des vice-présidents. Yoici le rapport qui a été lu au nom du comité sur les résultats de cette premi
loyées en vain ; la vie lui était devenue d plus en plus à charge. Il lut admis ici en av»il, et voici de quelle manière il
s. L’ouït « et surtout ia vue, sc rétablissent, au point que j « puis lire plus facilement maintenant sans lunette: « que je
fait allusion en racontant les expériences de M. Séguin. Ce qu’on va lire est emprunté à un ofïicicr anglais, M. Osborne, q
ie; lui, à six mois de prison pour complicité. — D’autre part, nous lisons dans la Gazelle des Tribunaux du 29 août : «Le
u pour faire place au sentiment d’une douce espérance ; la faculté de lire , de converser, évanouie depuis deux ans, reparais
ujet par les récits qui lui viendront de toutes parts. Avant-hier, on lisait dans l’Abeille (côté anglais) quelques faits de l
ns précises nous permettent de leur en faire connaître aujourd’hui le Lut et la composition. L’origine de cette instituti
n disant : « Je dois perdre. » « L’expérience suivante consistait à lire les yeux également bandés. Un monsieur présenta s
un présenta une enveloppe cachetée, renfermant un mol écrit; le sujet lut , après quelques moments d’hésitation : « Adolphe.
qu’il ait rencontré une couleuvre, grosse ou petite. Il faut qu’il lue lui-mème cette couleuvre ; il l’écor-chera, une f
u'elle vivait avec des voleurs. » Lucidité spontanee. — On lit dans lu Mémorial bordelais des premiers jours de septembr
magnétiques. Leur valeur in-trinsèque, concurremment avec l'action de lu volonté, 9.— Voy. aussi Passes magnétiques. Som
7 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
s de le raconter voici ce qui se passa. » Nous engageons le lecteur à lire attentivement l’exposé qui va suivre, d’autant pl
sance sur elles, voyant notre persistance à rester. Elles appelèrent « lu secours. Elles réveillèrent leur mari qui reposai
trop incompatible avec les mœurs d’un galant homme pour qu’elle nous lut jamais venue à l’esprit. Maintenant, si nous no
Ricard. polémique. A MONSIEUR LE BARON DU POTET. Je viens de lire la réfutation que vous m’aviez annoncée. Mu par
qui semblent le plus avérés ? Mais patience, chers lecteurs, veuillez lire la fin de cette histoire, que, du reste, je vous
gent hob recherches pénibles. Évitons les utopies; supportons, sans lu morigéner, la lenteur naturelle des réformes scie
eut, se dépouille, Pour mieux renaître à de meilleurs instants : ( lue de chagrins tombés de la quenouille, Quand de n
journal : N°104, page 205, ligne 10, au lieu de: qu'ils adressent, lisez : qu’il adresse. Nous sommes obligés de rétabli
n-sens. N° 104, page 209, ligne 10, au lieu de: vous le stigmatisez lisez : vous les stigmatisez. N* 105, page 234, ligne
tisez. N* 105, page 234, ligne, au lieu de : Nous tromperons-nous ? lisez : Nous tromperions-nous ? N‘ 105, page 242, lig
N‘ 105, page 242, ligne 4,de la note, au lieu de : L'éther »ù on est, lisez : L’éther où od est. BafOn I)c POTET, propriéta
La remarquable inspiration spiritnaliste qui va suivre devait être lue au banquet ; mais cela 11e fut pas possible non p
es Brodant le manteau de la nuit, Par leurs diamants fascinée. Je lisais une destinée, Mais, sur terre, tout bonheur fui
ur Clever de Maldigny: Page 275, ligne 25, au lieu du mot : échecs, lisez : échos. Page 270, ligne 0e, après ces mots : l
ligne 20*, an lieu de : ne ressemblent aux marchands d'orviétan (t), lisez : sont des hommes (¡raves, etc. Page 277, ligne
rimez la virgule. Même page, ligne 21e, au lieu de : aura sa place, lisez : marquera sa place, etc. ( I ) Ces paroles exi
t être un bien pour l’humanité. A l’un ou l’autre de ces titres, je lis avec le plus grand intérêt le journal quevousavez
o 106 du journal et qui fait l’objet de la critique que l’on vient de lire , représente un homme couché sur un lit, et une fe
« Orléans, le 11 juin. « Mon cher Confrère. « M. Piérart m'a fait lire la lettre par laquelle vous expliquiez votre abse
vous, « Charpignon. » Au bout de vingt-quatre heures ensuite, je lus votre article au bureau du Journal du Magnétisme-
cette vérité, n'en vaut-elle pas la peine? vres bonnes gens qui ne lisent pas votre éloquence après coup. Du moins mon pers
nière positive. Tous ceux qui connaissent le magnétisme, ou qui ont lu des ouvrages sérieux sur cette matière, savent pa
cette manière des événements qui devaient arriver plus tard. » Nous lisons dans XIndépendant de Douai : « 11 subsiste enco
du magnétisme avait le privilège de calmer les crises nerveuses de lu ma!:i!e. Un jour cependant il y eut, de sa part,
même temps la conduite des médecins qui, sur la demande de M. Cornet, lurent délégués par l’Académie auprès de lui ; on remarq
ans les rapports sociaux. Quoi tpi il en soit, la Commission déléguée lut justement celle, nous l’avons dit plu s haut, qui
nuer la sympathie avec laquelle on doit accueillir leurs concours. On lira M. Cornet certainement avec intérêt et avec fruit
ons parlé plus haut : VU DOCTEUR COMET. Mon cher Confrère, J'ai lu les livraisons publiées de votre ouvrage sur le s
nsistait pour le savoir, de ce que les personnes se disaient ; elle lisait l’heure précise que marquait le cadran d'une horl
les Btoussais, et vingt autres des célébrités d’alors conseillaient lu magnétisme iluiu certaines maladies; ils le faisa
s acquerraient une incontestable valeur. (Noie de la rédaction.) ( lu souille tlu magnétiseur avec le liquide; ou bien
ieur le Baron, Voici ce que les abonnés de la Revue des Deux-Mondes lisaient dans l’avant-dernier numéro de ce recueil,page 95
se en jaillir. Baron du Potet. RECHERCHES SUR LE MAGNÉTISME. On lira avec intérêt l’article ci-après, dû à la plume d’
ies-magicicns et les (fahljis) (3), qui sont de véritables médiums ( lu che'itan ou Satan, possèdent des secrets qu'ils n
aiguille une quantité très-forte d’électricité en l’aimantant. J’ai lu quelque part que le fluide magnétique vu par des
a magnétisation, appelée généralement (okoudmak), qui veut dire faire lire . Les Arméniens l’appellent ujqoiiUrL (aghotèle),
us suggèrent les curieux et remarquables phénomènes dont 011 vient de lire la description. E. A. M. Paris. (/.a suite pr
de nos abonnés, M. Bauche, nous ayant fait parvenir un Mémoire dont lu contenu mérite considération, nous avons cru que
remarque, pour un expérimentateur habile, d’après les faits que j’ai lus de lui, — M. d’Arbaud, l’un des collaborateurs du
e, anima (5«>ios, vent; fuxri, souille), est de l'air; l'air esl à lu lois le principe dis corps et le plus subtil d'en
ent réciproque aux condi -lions de la cosmogonie des anciens, on peul lire avec intérêt les fragments qui suivent : a Pour
essentielle à connaître). C’est le religieux ternaire queles initiés lisaient et pratiquaient sans incroyance et sans hésitatio
t réputée inerte, conque. Cette vaste ù cause de l'absence apparente « lu mouvement définition 11 exclut « L’atmosphère c
. Page 42), ligne Cl, au lieu de : Réponse aux quelques objections; lisez : Réponse aux quelques mots. Page 421, ligne 37
ts. Page 421, ligne 37, au lieu de : Confession d'un spiritualiste; lisez : Confession spiritualiste. Page 425, ligne 30,
onfession spiritualiste. Page 425, ligne 30, au lieu de : Liquible; lisez : Liquide. Page 423, ligne 51, au lieu de : Qu'
23, ligne 51, au lieu de : Qu'il se meut d la crasse de nos humeurs-, lisez : Qu'il se meut à la crdse de nos humeurs. Page
rdse de nos humeurs. Page 424, ligne 2, au lieu île : F.ndiomètres; lisez : Eudiomètres. Page 420, ligne 30, après les mo
rd, n" 112, 25 août 18lU. Page 435, ligne 15, au lieu de : Faculté; lisez : Facultés. Page 43(i, ligne 1, au lieu do : Je
Facultés. Page 43(i, ligne 1, au lieu do : Je n’en vois l'utilité; lisez : Je n'en vois pas l’utilité. Page 436, ligne 1
vois pas l’utilité. Page 436, ligne 15, au lieu de: De phénomènes; lisez : Des phénomènes. Page 437, ligne 6, au lieu de
s; lisez: Des phénomènes. Page 437, ligne 6, au lieu de : Croyants; lisez : Crayons. Page 440, ligne 5, au lieu de : Ce q
sez : Crayons. Page 440, ligne 5, au lieu de : Ce qu'il a vu faire; lisez : Ce qu’il a vu, fait et dit. Page 440, ligne 3
e qu’il a vu, fait et dit. Page 440, ligne 32, au lieu de : Partie; lisez : Portée. NOUVELLES ET FAITS DIVERS. MÉDECINE
n grand secours sur le terrain analytique du magnétisme. « Vous qai lisez et qui pensez, concluez. Les Grecs avaient invent
s intitula de cette inscription : « Tà /uri ri jjûjcxk, ce qu'il faut lire après les livres de physique, u Ce titre devint p
SENTIEL: Page 434, ligne 29 ; au lieu de ces étais d'expansibililé, lisez : tes états, etc. Page 4ü8, ligne 9 de la deuxi
Page 4ü8, ligne 9 de la deuxième colonne, au lieu de : la matière; lisez : ta nature. Page 458, ligne 36, au lieu de: la
. Page 458, ligne 36, au lieu de: la lumière blanche est au-dessus; lisez : la lumière bleue est au-dessous. Page 459, à
magnétique lucide peut aisément les voir. Il ne s'en suit pas qu'il y lise les pensées ; mais il y juge très-bien de la natu
ge que le lecteur vint se présenter au célébrant avec le livre, et ne lût la leçon que lorsqu'il en avait reçu l'ordre du c
l arriva que le dimanche dont il s'agit, pendant que celui qui devait lire l’épitre de saint Paul était debout devant l'aute
l'amour-propre. (*) Par quel »¡nguüer illogi'rn« un phyiiolognlü »’» lise-t -il d'ndmotlre que l'on pnis»e rrncBVOiR..- te n'r
ne croix à laquelle était attaché un papier contenant ces mots : • Si lu mets la bêche dans ce champ, un fantôme viendra l
e 10 de la note 2, au lieu de : par rapport au reste de leur origine, lisez : de leur organisme. Page 489, ligne 39, au lieu
: de leur organisme. Page 489, ligne 39, au lieu de si les organes, lisez : li des organes. AVIS AUX ABONNÉS. Le Journal
te au prochain numéro.) ERRATUM. N" 1 H> page o I !, ligne 33, lisez : Abercombec, au lieu de Abercom-bec!;. ÉTUDE H
it de l’auteur nous a été communiqué et qu’il nous a été permis de le lire avec la plus scrupuleuse attention, il nous a sem
, sous « le prisme qui couvre mes yeux, »je prêche le surnaturalisme ( lisez le contre-naturalisme), quand, au contraire, je m
ce cas, il doit y avoir quelque chose d’écrit. 11 prit l’ardoise, et lut ces mots: Gouvernez au nord-ouest. Ayant fait écr
plus tard une traduction; enfin M. le vicomte Emmanuel de Rongé en a lu une troisième traduction dans la séance annuelle
ent les sentiments du peuple vers ses symboles grossiers, mais vrais. lis restèrent ainsi les premiers d’entrë les hommes ;
s commence par un paragraphe à la ligne 5 de la planche 11-12 ; je le lis ainsi : « 0 brebis, enfant de brebis, agneau, f
vouloir (2). (1) Voir les n"* 112, 113, 111, llü, 110 el 117. (2) Lire aussi les Lettres d'un voyageur sur le Spirituali
e secret de l'ubiquité. Vous n’avez pas deux esprits, mais votre âme ( lisez votre corporéité fluidéide), peut, par la (1) L
ifications que l'impartialité recommandait de mettre en lumière. J'ai lu l'autographe de cette lettre adressée au directeu
me, en dogme universel du spiritualisme. Etudiez les phénomènes et ne lisez les livres que pour l’expression des idéesqu’ils
raison. « Enfin, quand on proclamera l’incompatibilité de nos (!) Lisez naturel supérieur. Dr C. de M. (2) Miraciilum.
de la croix ornementée d'une paire de tenailles et d’un marteau, j’ai lu . l'aunée dernière, cette légeude énigmatique :
ique amour du bien , acquérez, par la patience et par le courage de lu persistance, le calme profond qui constitue le li
et les rapports particuliers de chaque corps de la création. On peut lu diviser en cinq catégories, savoir : Io Magnéti
établit lui-même celle différence car le lux, dont il parle d’abord, lut créé le premier jour, tandis que le soleil, la lu
e notifié ce refus. . . . (!)•» Quelques jours après, le 27 aoust, on lisait dans la môme feuille, sous le titre ; Il MÉDECI
rait la u commission qu’ Elle avait donné à quelques-um de scs mem-ii lires à ce sujet. ............... o h° Jusqu’à cette
t de toute évidence que je serais déjà détruit, évaporé, mort. » Ce lut bientôt le tour (Sun sieur Pmdet, docteur en méde
dre sur ses malades, a été l’objet de tant de plaisanteries, qu’on ne lira pas sans intérêt, la description précieuse quoiqu
sur les places publiques (â). » Paiit. Fassy. La notice qu’on va lire est écrite par un académicien. Nos lecteurs verro
. Nos lecteurs verront que pour acquérir ce titre envié, il suffit de lire beaucoup, de prendre des notes ou d'avoir de la m
cé, Zaps. 11 est probable qu’entre le mot effacé et ce dernier, on en lisait encore d’autres; mais la rouille a profondément m
carieux : ils s’accordaient d’ailleurs trop bien avec ce que j’avais lu çà et là des miroirs magiques et des anciens proc
pagnol, et des enfants dont la tête avait passé par des enchantements lisaient l’avenir dans des miroirs magiques. Apulée (2), d
tionnaire critique de Baylc, au mot Pythagorc. ture convenable pour lire dans le miroir le passé, le présent et l’avenir (
on üi: mouvements physiques violents, car les mouvements violents des liras ou des mains nuisent plus qu'on ne croit à l'émis
ovient de la mêmeeawse, je le vois, si tu ne veux pas me croire et si lu penses que je me trompe, parce que les reoberohes
8 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
mps des llaiumcs qui illuminaient toute la for(t pendant la nuit. lut pas , dit l’historiographe Bosroger, créer un cur
er l’honneur du sacerdoce, tenant cette affaire le plus secrète qu’il lut possible. Mais quelque soin qu'on prît, quelque s
puits. 12° Que la nuit en laquelle les malades de l’esprit font Ï) lus de violences au corps et travaillent davantage le
ent près d’elle, et je la trouvai dans la condition que vous venez de lire . Lors de son sommeil, cet intéressant sujet ava
S. A Monsieur le baron du Potet. Monsieur le baron, Je viens de lire dans les numéros d’août et septembre du Journal d
e partie-là est recouverte' par l’eau. — Plongez sous l’eau pour le lire . — Non, non, cela me fait trop peur. J’ai cit
nuisent considérablement à leur lucidité. Pourquoi ne pas leur faire lire un livre placé dans la pièce voisine, ou les fair
éclare, en terminant, que je n’ai jamais vu Alexis et que je n’ai pas lu son livre. Je ne me fais donc en aucune manière l
ire que le rédacteur et signataire des déclarations que vous venez de lire , loin de s’avouer vaincu par les faits écrasants
, et une facilité croissante. Le plus bel accompagnement de tous, qui lut magnifiquement exécuté, fut celui d’un chaut port
ent exagérées et injustes parfois envers la médecine que souvent nous lisions dans un journal que nous voudrions rendre digne d
nuisent à la correction et à l'intelligence du texte; ainsi il faudra lire : A la ïi* ligne de la pago 42, sur une expérience
tant que nous n’aurons pas une constatation authentique},, le médium lirait dans la pensée du consultant et y verrait tout, à
le ramener au « camp. » « M. Ellis, propriétaire à Cambridge, ayant lu l’ouvrage de M. Catlin, eut l’envie d’essayer si
Sa famille est dans les plus vives inquiétudes. En quelque lieu qu’il lise ces lignes, qu’il écoute l’appel des siens, qu’il
savants devraient étudier. Les savants riront bien, s’ils daignent me lire ; mais leur rire pour moi cachera seulement leur
. CURES PAR LE MAGNÎTISME. 1° M. Guidi raconte dans son journal lu Luce tnagnelica du 28 novembre dernier, que le 2
raient faire naître quelques doutes. On comprend ainsi, après avoir lu seulement la première partie, que la deuxième par
urnal au reste dont nous recevons les abonnements. Nos abonnés 'qui lisent l'anglais, trouveront dans le Spiritual Télé-grap
Un des signes les plus manifestes des progrès du magnétisme, c’est lu manière dont il est accueilli par la presse pério
, un article remarquable de M. Jourdan, sur le livre intitulé Clef de lu Vie, que deux hommes de lettres ont offert au pub
ait le dernier soupir. (Extrait de la Patrie du 9 mars. ) _Nous lisons clans Y Intérêt public île Tarbes, du h mars :
ochaient des billets soigneusement pliés en leur disant : « Prenez et lisez ; si vous avez la foi, vous verrez des lettres de
qui révélât le mot confié aux esprits dans une chambre voisine ; qui lût le mot anglais écrit à l’intérieur d’uu livre ou
dont voici la rectification : Page 134, ligne 8, au lieu de jours, lisez source. Page 134, ligne 19, au lieu de puissant
u de jours, lisez source. Page 134, ligne 19, au lieu de puissants, lisez saillants. Page 136, ligne H, au lieu de contri
ants, lisez saillants. Page 136, ligne H, au lieu de contribuer à,- lisez contrôler. Page 136, ligne a, au lieu de des au
à,- lisez contrôler. Page 136, ligne a, au lieu de des autographes, lisez a des autographes. Page 136, ligne 34, au lieu
phes, lisez a des autographes. Page 136, ligne 34, au lieu de coté, lisez être. Page 136, ligne 39, au lieu de s'il en es
coté, lisez être. Page 136, ligne 39, au lieu de s'il en est ainsi, lisez s il n en est pas ainsi. Baron du POTET, prop
la pensée de m’informer de ce que c’est en effet. Cependant j’avais lu la sainte Ecriture , et, ayant vu que le prophète
lecteur qui s’attend à de magnifiques découvertes; mais, après avoir lu , on est tenté de croire que la seconde moitié du
rosse faute d’impression, et qu’au lieu de grande initiation, il faut lire grande mystification. Si notre confrère de L’Unio
prend des disques, on écrit le signe de la planète dont chaque disque lire sa protection , le signe du zodiaque, etc., et C
Ceci est la moindre chose ; allons plus loin. Demandons-lui de nous lire et de nous écrire sans ouvrir le volume ce qu’il
lligente somnambule montrer par scs gestes et par ses paroles qu’elle lisait à livre ouvert dans l’intelligence de personnes q
ssart. Certifié sincère par le docteur de Ploeq. Procès-verbal de lu Commission ayant assisté aux séances de M. Brunet
e toléré que ce que nous voyons ; la raison humaine n’irait pas (» lus loin: elle ne pourrait s'élever au-dessus de laut
ver au-dessus de laut de misères morales et physiques et saisir enfin lus causes premières et finales de ses amères contrad
par le fait immense, révélé par Mesmer, priucipu aussi certain que la lu nière, aussi fécond qun la nature, dont il semble
survivaient intacts au cataclysme universel, et ils conservaient lus dogmes el principes des grandes vérités. Oublieus
, par A. Bûche. 1 petit vol. in-lâ, IS:>8 , chez I autour, 15, rue lu Buci. I.e magnétisme est tellement répandu dans
on a le plus souvent recours au magnétisme. Son ouvrage, qui a été lu comme thèse pour le grade de-titulaire à la Socié
dans ce numéro les discours prononcés et quelques pièces importantes lues à la fin du banquet; puis, les décisions du jury;
t indiqua la puissance colossale qui devait changer la face du monde, lut récompensé de sa découverte par le dédain et les
; que ces voyants découvrent parfois les choses cachées ou éloignées, lisent la pensée non exprimée; que leur vue pénètre même
Le tour vint des chants et des pièces de vers. M"" Jobey de Ligny, lut avec beaucoup d’âme des vers de sa composition ,
es, Pour attaquer le grand Mesmer, En longs discours soporifiques lisent leur prose, usent leurs vers. Ils rappellent ce
t rire, Défiant les plus clairvoyants, A qui sans les yeux pourrait lire , Offrit un jour trois mille francs ; Mais bient
rs tostcs, et M. Morin fut chargé d’ètre l’interprète des absents; il lut d’abord le toste de M. Siemeling que nous donnons
lion scirible aui perceptions de U> (trie. et les instruments, lis lurent le privilège du premier homme, c’est-à-dir
scirible aui perceptions de U> (trie. et les instruments, lis lurent le privilège du premier homme, c’est-à-dire du pr
u-dessus de votre portée. » (LE CHRIST.) Pièces qui n'ont pu être lues au banquet et qui n'en méritent pas moins de trou
mbe de Mesmer que venait de visiter M. V. C.lia-lain. Nous avons tous lu les mots simples et touchants par lesquelsM. Chal
de la ligne habituelle de la clairvoyance, et je pense qu'ils seront lus avec intérêt même par les personnes les plus incr
ont les feuillets ne sont pas encore coupés, pourriez-vous, Alexis, y lire sans l’ouvrir ? Et Alexis de tracer aussitôt au
erreurs dans len° 34 du 23 mai : Page 257, li^'ne 28, au lieu uo ces, lisez ses. Page 208, ligne 9, au lieu de l'amour, lis
, au lieu uo ces, lisez ses. Page 208, ligne 9, au lieu de l'amour, lisez l'apôtre. Page 470, ligne 19, au lieu de passer,
eu de l'amour, lisez l'apôtre. Page 470, ligne 19, au lieu de passer, lisez planer. Page 270, ligne 27, au lieu de fait, li
lieu de passer, lisez planer. Page 270, ligne 27, au lieu de fait, lisez sait. Baron uo POTET, propriclairc-géranl.
ue méritent les sorciers ; 6° réfutation des opinions de Jean Wier. Lisons ce livre tout entier et ne nous arrêtons pas, com
e place honorable près le tribunal de cette ville? il me dit qu’ayant lu avec assez d’incrédulité la Philosophie oc- c
artagent cet avis. Sur les stygmates qui apparaissent sur le corps, lisez donc un curieux travail de M. Alfred Maury, insér
e je lui indiquais. Monsieur le baron, si vous avez eu la patience de lire jusqu’ici mon mauvais français, vous devez en êtr
ont journellement obtenus. Fort peu de somnambules se sont occupés de lire à travers les corps opaques; ce n’est qu’un exerc
u, à l’exemple de M. Burdin, propose un prix de 3,000 fr. à celui qui lira l’écrit renfermé dans une boîte fermée. M. Babine
faire que la victoire soit douteuse ; que, par exemple, une personne lise l’écrit entier, l’exception d’une lettre , il fau
s un article sur les sciences, extrait du jour-jiai L'Union, qu’on ne lira pas sans intérêt : c’est un ensemble d’idées et d
es écrites sur un morceau de papier, enfermé dans un carton scellé et lues à coup sûr par un sujet quelconque, dans les cond
es de position que nous avons parlé de l’ouvrage de M. Mabru. Nous ne lisons jamais les ouvrages écrits contre le magnétisme,
livre de M. le Dr Yitleaut. Pages 383 h 300, au lieu de JVitleaul, lisez Yitleaut. Page 384, ligne 6, au lieu de travail
e JVitleaul, lisez Yitleaut. Page 384, ligne 6, au lieu de travail, lisez talent. Page 386, ligne t i, mettez une virgule
virgule apirts papier. Page 388, lignes 33-31, au lieu de ce poète, lisez ce mol du poète. 'Page 390, ligne 32, au lieu de
te, lisez ce mol du poète. 'Page 390, ligne 32, au lieu de vellléilé, lisez velléité. Baron pu POTET, propriétaire-gérant.
xtraordinaire encore. Elle consiste, en ce que le somnambule peut lire dans la pensée de ceux avec lesquels on le inet e
ement formulée dans l'esprit ; (1). Nota. Nous prions tous ceux qui liront l’exposé succinct des effets physico psychologiqu
les et du déplacement des corps matériels par des agents inconnus, ne liront pas sans intérêt quelques faits anciens qui peu v
a vu un grand nombre qui, au milieu des ténèbres et les yeux fermés, lisent , écrivent, calculent, composent en vers ou en pro
st passé devant le conseil de révision. » Le défenseur, après avoir lu un grand nombre de certificats qui constatent que
position : Quatre sous tl'esprit de vin brouillé avec de la gelée. Je lus averti qu'à la suite de l’ingestion de ce .mélang
ations dans un chapitre de son Traité des Hallucinations. Celui qui a lu ces livres n’a plus aucun doute sur l’existence d
et 9/|. La prédiction de l’aide de camp du comte d’Estaing, qu'on va lire , est beaucoup moins connue que celle du célèbre m
scène d’évocation, je ne le croirais pas ; permis donc à ceux qui me liront , si par hasard quelqu’un me lit, de ne pas y croi
avantage pour être convaincu. 11 paraît qu’elle a surtout le don de lire dans la pensée et de voir aussi facilement les év
. On appliqua sur les yeux du sujet un bandeau, et elle parvint à lire couramment dans une brochure imprimée en petit te
sur ce que cette dame est presbyte et ne peut, dans l’état ordinaire, lire qu’avec de fortes lunettes. Cette,assertion était
quelle, eüe venait.de .lire : elle dit qu’il iui était impossible d’y lire un -aeul mot. Alors on lui donna des lunettes con
ors on lui donna des lunettes convexes n° i 2 j leB ayant mises, elle lut couramment. Or los personnes qui ont une benne vu
ouramment. Or los personnes qui ont une benne vue, et qui essayent de lire avec de pareilles lunettes, voient tous les objet
inaire, elle ne pouvait faire un point de couture i moins d’avoir des lu ■ nettes, et que même en y ayant recours, elle ne
ÉTÉS. LES PRODIGES DE LA RUE DU BAC. « La rue du Bac est eu émoi. lise passe encore par là quelque diablerie 1 « La ma
ne pareille tâche ; il s’adresse à M. Mabru comme s’il ne l’avait pas lu , et se boriië à lui dire : Vous niez le magnétism
échantillon de ce baragouinage d’outre-tombe : « Dommy pticem tory : lu in curcerem anty aquam noby tœnes. » Il défie les
c un fait ; l’explique qui pourra ! Henri d’Aüdigier. (Extrait de lu Patrie, du 12 octobre.) Monsieur'*** affirme qu
action ! Il n’y a que trop de gens disposés à ajouter foi à ce qu’ils lisent dans un journal, surtout quand'Tarticle... Je vou
sont ni des sots, ni des ignorants, et mon ami Ed Fourrier vous fera lire , un de ces jours, une phrase bien curieuse à ce s
dos du médium, de manière qu’aucun membre de la société ne puisse les lire ; si c’est un Esprit qui lisait tout à l’heure, i
ucun membre de la société ne puisse les lire ; si c’est un Esprit qui lisait tout à l’heure, il ne lui sera sans doute pas plu
ésentant du peuple, ne connaissait le magnétisme que par ouï-dire. Il lut quelques traités et voulut amuser son séjour à la
a de temps en temps et réalisa plusieurs des phénomènes dont il avait lu la description. L’ayant magnétisée le 6 octobre,
lecture des nombreux traités qui ont été faits sur cette matière. On lira cette brochure avec plaisir. Nous y avons remarqu
u'il est utile de rectifier. Page 559, ligne 26, uu lieu de depuis, lisez rfèi. Page 542, ligne 15, au lieu de à chaque,
ieu de depuis, lisez rfèi. Page 542, ligne 15, au lieu de à chaque, lisez chaque. Page 543, ligne 36, au lieu de qu'il y
e à chaque, lisez chaque. Page 543, ligne 36, au lieu de qu'il y a, lisez quil a. Page 5«, ligne 10, nu lieu do témoigner
u'il y a, lisez quil a. Page 5«, ligne 10, nu lieu do témoigner le, lisez témoigner du. Page 550, ligne 2, article sur le
0, ligne 2, article sur le jury spiritualiste, au lieu de discussion, lisez désunion. Baron du POTET, propriétaire-gérant.
ntimement depuis longtemps. « Les procès-verbaux des séances furent lus et adoptés. Sur la proposition de M. Storer, la c
à travers la porte un magnifique palais d'une architecture grandiose. Lue de ses ailes était occupée par l’escalier où je m
maman , il a dit loto; on admire la précocité du sujet. — Avez-vous lu ou entendu le superbe discours prononcé à l’Acadé
ait placé l’extrait de leurs vastes connaissances et ne pouvoir point lire l’étiquette placée sur ce paquet précieux ; tous
toutes choses, vous les fermiez pour le magnétisme, pour pouvoir ( lire au monde : Je ne l’ai pas vu , je ne le connais p
et 28 novembre 1858, que nous trouvons les faits historiques qu’on va lire : Baron nu Potet. Nous connaisons la vie publ
ant au premier passage qui me tomberait sous les yeux. J’ouvre, et je lis au haut d’une page : celle a/faire eut de nature
d’ajouter foi aux prédictions faites d’après l'influence des astres, lisons -nous dans la Vie privée du maréchal (le Richelieu
de diablerie se bornaient à de, jolies petites cornes. 11 avait fait lire Monsieur dans un grand livre tout rouge et tout e
nsieur dans un grand livre tout rouge et tout enflammé, et il y avait lu , en très-distincts caractères, qu’il serait roi u
e Gustave III. Stockolm, 1805. lu-8°, tome V, pages ï'J8 et 301. ( lu régent, une cachette pratiquée dans le mur et trê
tes les voluptés et se livra à toutes les turpitudes. 11 affectait de lire Rabelais à la messe et de passer dans des orgies
, pour lui avoir prédit à l'tige de neuf tins i/u elle serait un jour lu )imitresse de /.ouis AV (1). Elle faisait souvent
/.ouis AV (1). Elle faisait souvent consulter une dame Bontemps, qui lisait l’avenir dans du n:arc de café. Elle se déguisait
« Extrait du journal /'Exposition de Dijon, n* 18. Bon laboureur, lu perds ta poine En répandant sur tes sillons Le ch
re 1858. Monsieur le baron, Il y a un an, la fantaisie me prit de lire quelques ouvrages de magnétisme, et à la lecture
, mais la réflexion ne tarde pas à montrer que rien n’est plus vrai. Lisez l’histoire de toutes les découvertes, vous verrez
ez à. toutes les pages de ce grand liviela preuve de notre asserüon ; lisez le long et douloureux mattyrologe des novateurs,
rme découvert en 1831 par M. Soubeiran, analysé par M. Dumas en 1834, lut proposé pour remplacer l’é-ther en 1847 parle doc
9 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
JANVIER 185* l lisme les yeux ouverts, et dans ce cas le regard est lise , les paupières immobiles, la pupile insensible au
rare, est soumise à certaines conditions qu’il convient d’indiquer. lue somnambule fréquemment mise en crise sera plus lu
une lettre, indiquer le caractère, le sexe, l'âge, la constitution de lu personne qui l’a écrite et le sens du contenu de
ersonne qui l’a écrite et le sens du contenu de cette lettre; même en lire les mots, bien quelle soit cachetée. Mis en rap
infinie, et « les hommes, dans leur orgueil immense, ne le compren-« liront jamais. » « Lesniediums seuls comprendront peut
lque chose; je n’en veux pour preuve que ton pouvoir parmi nous ; car lu fais prendre pour vrai ce qui c t faux. La mort m
avertissement de leur fin ou de leurs angoisses. Comment nous vient lu pressentiment? Quel est le messager invisible qui
e même matière peut-elle prévoir les événements, donner la faculté de lire dans la pensée, de retrouver les choses perdues?
nalyse d’un livre qui en fut comme le premier évangile : « En 1665, y lisons -nous, Va-lentin Greatrakes faisait des cures merv
tracer rapidement, quoique il’une main ferme, quelques lignes qu’elle lisait à haute voix à mesure qu’elle les reproduisait su
sumer la pensée de cet écrivain pour ceux de nos amis qui ne pourront lire son œuvre. Disons d’abord qu’il n’admet dans le
extatiques pendant lesquelles l'âme étendait ses facultés. ' (i) Uo lu cause ilu sommeil. p. ru. (2j 0' l'Iiniiiortoli
e aussi la santé ou la maladie, l’attraction ou la répulsion. .Nous lisons dans la Philosophie médicale d’E. Stahl, que l’âm
« Dans le cours de l'année 1841 à 1842, 011 vit apparaî- (t) Vov. lu Théâtre sacré des Cévenncs, par Maximilien Moisso
l’on \ient de publier à New-York. L’analyser ne se peut : il faut le lire , il faudrait même le traduire pour ceux qui ne li
peut : il faut le lire, il faudrait même le traduire pour ceux qui ne lisent pas l’anglais. M. Edmonds, juge à la cour suprê
BARTHKT. PETITE CORRESPONDANCE. tvin génirnl — Les Séances que M. lu Polel l'ail le Dimanche depuis pins de 8 ans. von
évoltant pour la conscience la moins timorée, et dont nous retrouvons lu justification chez les ' lairos du quiétisme et d
apùlresiie l'illuminisme peuvent se réduire en trois sections : I" Lu médecine de concentrai ion, c'est-à-dire l'action
ythonisses, élevées sur la «table à trois pieds,» agitées parle dieu, lisaient dans l’avenir. Tout le culte ido-lâtrique n’était
n tourmentant une table sous la pression dos mains? Nous avons bien lu flans l\s li-\ les sacrés que l’homme a été fait
vous adresser ces réflexions. Notre lettre n’est pas destinée à être lue du haut de la chaire. Le mal que nous signalons n
;;i'r ■•«mMialwU', ni ■’u l'.ml ; -Munlinurlrc. à I aris, qui* sont ( lus ces prodiges !■ li:ri-!i!c. .. De plu», nous |i
ne sais pas si on a mis mon nom el mon adresse dans ce journal; j’ai lu d’autres journaux qui ont parle de ces deux faits
de 'ivre de ce que la nature vous a ilonnc ? M. le Président. Vous lirez une étrange conséquence de ce que nous vous dison
ermis de relever une contradiction dans le ministère public. Vousavei lu les deux anecdotes racontées par le journal \'A
bbé Fat ki, dans un ouvrage imprimé en 1819, el qui a pour titre : De lu cause du sommeil lucide. Pour ce célèbre magnét
. Ce prélat exprime sa prohibition en ces termes : n Vous avez déjà lu , sans doute, nos très-chers coopéra-teurs, ce que
. le duc d'Angou-leme, qui le plaça dans les mousquetaires gris. 11 lut nommé chevalier de la Légion-d'Ilonneur pour un t
insérée dans son numéro du 20 janvier : Monsieur le rédacteur, Je lis dans le Journal du Magnétisme, n° 176, un article
soin de le bien faire nettoyer, pour é' iter (pie la conductibilité ( lu métal ne soit amoindrie par quelque corps gras. C
un temps donné ; elle est essentiellement variable, et les progrès « lu génie humain la reculent indéfiniment. 11 ne s'ag
ison parfaite. Paralysie. — Une femme avait un bras paralysé depuis lu main jusqu’au coude, la main ôtait fermée et inca
, qu’il avait rencontré juste ; les deux mois étaient : tissu 1/ouso, lu verge de Moïse. Le bruit de cette merveille s’éta
ations, en lit la signification, de même que, dans certains cas, nous lisons sur la physionomie les effets des passions, et qu
haîne ou le baquet, comme le faisaient Puységur et les amis n'unis de lu Société de Strasbourg, que ce grand homme présida
missaire central jugèrent à propos d’envoyer chercher la gendarmerie. Lue heure après, dix gendarmes, commandés par le capi
agie? C’est ce qu'il nous est impossible de dire, bien que nous ayons lu son numéro avec un soin scrupuleux. 11 se pose en
s sommes obligé de répéter avec lui : fiat lux. A.-S. MORIN. J’ai lu aussi, et très-attentivement, la nouvelle œuvre d
st frappé de la ressemblance de leurs titres ; et si l’on vient à les lire , on trouve que le sujet en est en effet semblable
fond des ouvrages de M. Delaage ne change pas, et que quiconque en a lu un les connaît tous. Cette appréciation , vraie e
xamen de C article de M. Babinet sur les tables motivantes. J’avais lu d’abord assez légèrement, je l’avoue, au café, en
sité du parquet, un joint du pavé ou simplement le frottement, suf- lisent pour déterminer cette résistance. Or, en dirigean
doigts, ou enfin qu’ils ne sont pas dans les circonstances nerveuses ( lisez l’état magnétique) nécessaires pour que toute leu
ant un cercle divisé ayant son centre au centre d'oscillation, pour y lire l’amplitude du mouvement; qu’on mette l’appareil
ux qui n’ont pas la tournure d’esprit mystique, feront bien de no pas lire ces quelques lignes, qui ne seront pour eux qu'un
qu'on présente aux dix les quatre verres, pour tous ce seront bien ( lu vin, du sirop d’oranges, du kirch et de la bière.
avril 1854. A. PETIT D'ORMOY. POST-SCRIPTUM. Cet article a été lu à la Société du Mesmérisme dans sa séance du 6_av
comme d’habitude, les médailles décernées par le Jury. Le Journal ( lu Magnétisme rendra compte de cette solennité. La
i-même le principe cerUiu de la rénovation des sciences, — en lui est lu vie el lu lumière. Il est donc facile de prévoir
principe cerUiu de la rénovation des sciences, — en lui est lu vie el lu lumière. Il est donc facile de prévoir une révolu
la routine aux abois, n’excitent plus que le sourire et iront bien- lût rejoindre les graves sentences fulminées jadis co
eux dernières solennités, était venu cette fois payer sa dette ; il a lu lapièce de vers suivante : I.n liaison et le Sr
SENTIMENT ! _ « Puissent ces deux éléments du progrès rationnel et ( lu triomplie final du mesmérisme, étroitement et sol
t en marchant, et dans leurs yeux pleins d’une indomptable énergie se lisent les hautes destinées. Sur leur front ondoie le dr
ilieu d'un festin. Jl. le D' Léger, fervent apôtre du magnétisme, a lu avec une grande chaleur d’âme une de ses inspirat
uter les coups du tcmpsl Chez nous il ronge toute chose, Il fane le lis cl la rose. Il sèche le pré le plus vortj Le te
épond : • Bravo I o Et jette au feu maint in-octavo Qu'il n'avait pas lu . Puis, subito, 11 se met en branle ex professa
nné une grande vogue à l’ouvrage, et si tous les sceptiques qui l’ont lu n’ont pas été convertis, c’est que leur intellige
ent el MM. les membres du Jury magnétique. Messieurs, Je viens de lire dans le Journal du Magnétisme que vous m’avez fai
le Président du Jury magnétique. Mon cher Monsieur du Potet, J'ai lu avec plaisir que l’institution d’un Jury magnetiq
non écrites, en sont une preuve. Quant à l’étude, si vous avez bien lu mes écrits, vous m’avez vu à la recherche constan
res aussi rapides que nombreuses, tel paysan qui ne savait point même lire , et n’en improvisait pas moins des vers grecs et
os que je crois devoir traduire ici en entier. 11 m’a semblé qu’on ne lirait pas sans intérêt ces quelques lignes éloquentes
ière est ainsi conçue : Monsieur le rédacteur, J’ai l’avantage de lire quelquefois votre intéressant Journal du Magnétis
que les oreilles soient sensibles à une autre harmonie, fût-ce celle ( lu comte Gabrielli. Encore un mot. La Gazelle de F
es. « Dans le Kamschatka, c’est aux femmes qu’est réservé le don de lire daus l’avenir : remplissant à la fois les fonctio
’être ou de se produire? « Il existe entre le courant électrique et lu force^ inconnue du système nerveux, une analogie
astie, mais bien force lui était de l'admettre comme fait... Et qu’on lise donc Parent-Duchâtelet, qu'on lise Lauvergne dans
l'admettre comme fait... Et qu’on lise donc Parent-Duchâtelet, qu'on lise Lauvergne dans son appréciation du bagne, on verr
fre par intervalle aux regards du jeune homme les sourires furtifs du lis et des roses.... Bientôt l’entrain redouble, ils
conduire vers un but qui en assure la durée. HÉBERT (de Garnay). ( Lu suite au prochain numéro.) .Société l'Iiilnntli
s y serions résigné , mais un article signé Rupert, et que nous avons lu il y a peu de jours dans Y Univers, a brisé notre
prits de ténèbres et des esprits de lumière. Le jour que je venais de lire la relation démonologique de M. l’abbé Gav, ne sa
ettres ne formant aucun sens, c’est-à-dire que l’esprit n’a jamais pu lire ce que nous lui demandions. Quoique j’aie réuss
es effets merveilleux et n’en ira pas chercher la cause plus loin que lu force émanant de lu foi i/ue chacun porte en soi.
x et n’en ira pas chercher la cause plus loin que lu force émanant de lu foi i/ue chacun porte en soi. Ces quelques lign
nia mère a ilil à plusieurs personnes qu’elle in Y-tait redevable de lu rie; je rapporte en toute lnunilité cet hommage a
« Ainsi que le remarque M. Rayer dans la note intéressante qu’il a lue à ce sujet à l’Académie, lorsque la gaine fibreus
yens à sa disposition pour calmer cette agitation violente. 11 voulut lire , mais ses paupières, brûlantes et distraites tout
ce « de colosse qui me dit avec un rire infernal : Dans deux « heures lu seras à moi'. L'uniforme du soldat disparut alors
les boulets ne me connaissent plus; il m’arrivera mal-i heur ! » « Lu lendemain, le sort des combats lui tenait parole.
t. Je n’avais jamais entendu parler de cette coutume, je n’avais rien lu à ce sujet, et je suis, je crois, le premier voya
les. L’Histoire analytique, critique, philosophique el ynédicale ( lu magnétisme animal, par le D' Bellanger (extrait d
res. Après l’inefficacité des pilules de Méglin, de la strychnine, • lu sous-carbonate de fer, des vésicatoires, on admin
lagement. Plusieurs observations, semblables à celle qu’on vient do lire et qui me sont personnelles, 111e font comprendre
5i. VARIÉTÉS. Ucfiic des Jonrunnx. — Le Moniteur des Ilôpilau.r, ■ lu G décembre dernier, contenait ce qui suit : c L
que c’est que le triple-électro-galvanique. C'est ce que vous pourrez lire dans un petit livre récemment annoncé sous le nom
issance de nos lecteurs. » — Eu analysant le remarquable Traitt. de lu Science tnf-dicnlc du IV Edouard Auber, Y Union,
Montrose. Quand M. Napier lui montra des lettres de cet homme célè- lire , elle ne fut pas mise sur sa trace, et ne dit rie
itement rendu compte de ce qu’elle renfermait. Comme Emma ne sait pas lire , il faut que le sens de la lettre lui soit par-v
regarde ce fait de lucidité comme pleinement satisfaisant, d’autant 1 lus qu’il se passa en ma présence, d’une manière tout
ut à fait accidentelle. Le trait le plus frappant, c’est qu’ Emma ait lu , non les mots écrits, mais les pensées exprimées
ent les faits de cet ordre à la lucidité sympathique, à la faculté de lire la pensée, par exemple ; mais il est certain que
moins incompréhensible que l’autre. «1° Clairvoyance sympathique. — Lire la pensée d’autrui est une des formes appartenant
es; la publicité qu’elles ont reçue dans l'Edinburg New, journal fort lu en Écosse, leur a donné un relief digne de l'auto
perturbations. Si je n’ai pas cherché, en écrivant dans le Journal ( lu Magnétisme, à contrebalancer l’entraînement génér
glissé une erreur. Au lieu de laliludei, c’esl longitudes qu’il faut lire . BIBLIOGRAPHIE. OBSERVATIONS SÜR LE FLUIDE OR
ercueil noir avec une plaque d’argent portant une inscription ; ils y lurent le nom de leur fils, qui se trouvait alors dans l
t après elles sont d’un rouge brillant, et il est aussi facile de les lire que des traces de craie sur un mur. Quand on les
ai un morceau de papier bleuâtre, couvert d’écriture. Je le pris pour lire ce qui était écrit, A ce moment, je sentis la pré
puis le craquement des mâts de navires et le mugissement du canon. Je lus alors le papier sur lequel étaient écrits ces mot
étiseur, qui lui demandait d'où lui venait cette précieuse faculté de lire dans la pensée des personnes, de discerner les ma
s il y a également un autre ange placé sur la gauche. La physionomie « lu premier, portant une tunique blanche, est douce e
ra la lucidité de ses réponses dans son sommeil ; on répandit qu’elle lisait les yeux fermés, etc., etc. Je ne vis rien de sem
Reçois des sphères mystérieuses le don de tout com-u prendre, de tout lire dans le inonde, de parler et d’écrire u noblement
r. Voyait-il réunis dans un cercle intime des parents ou des amis, il lisait aussitôt dans leur cœur les mauvaises pensées, le
d’une pierre magnétique appelée (espèce d’ocre de fer). Jeunesse de lu voyante. Le village de Prevorst est, dans le ro
dée avait annoncé sa mort sept jours d’avance, la personne dont on va lire l’histoire. Ses frères et sœurs avaient tout jeun
mauvaises actions. Les mots placés sur son estomac étaient facilement lus par elle. Le nom' de Napoléon ainsi placé à plu
; une autre fois, en l’engageant à visiter son fusil de chasse, atten lu qu’elle l’avait vu se blesser en tirant sur un re
à un chiffre dont elle dépend. 7, disait-elle, était le sien. Elle lisait ces chiffres, et la langue interne dont il a été
es individus, tels que Jacques Boëhm, ayant dit, comme la voyante, la lire dans leur estomac, je vais en citer quelques-un
de son Quœre el internes, la communication du chapitre qu’on vient de lire . Je ne doute point que cette relation intéresse n
vit jadis des hommes, animés par la foi, aller, «le tous les points « lu monde, jusqu’au tombeau du Christ, pour toucher e
choses, — c’est une guerre à mort, où le mot d'ordre est: Ôte-toi de lu que je m’y nielle. On pourrait peut-être trouve
nce nouvelle, et ne prétendons à d'autre titre qu’àcelui de soldat de lu vérité ; que ceux donc qui croient être plus capa
distinguer ce qu’ils voient de ce qu’ils croient voir. Après avoir lu le récit pompeux des merveilles dont l'auteur a é
doués d’un sens nouveau inconnu, puisque, de l’aveu de l'auteur, ils lisent la pensée d’autrui, pénètrent dans les profondeur
tiques, de croire aux miracles, aux démoniaques, aux sorciers. S'il a lu les ouvrages qui font autorité en magnétisme, il
e le passé et pose les conditions du présent. Nous pensons qu’il sera lu avec intérêt. « Déjà, en 1845, il s’était formé
l’enthousiasme et du scepticisme. Nul homme de bonne foi, après avoir lu , pesé et mûri les termes du premier chapitre de s
somnambules : ce sont des dissertations pleines d’intérêt, qui seront lues avec fruit, et qui, nous l’espérons, encourageron
e nous suivait un peu plus loin. La lune était claire, « on aurait pu lire une lettre, aussi les ombres, par opposi- * tio
t à moi, j’entendis; la plainte résonnnait encore à « mon oreille. Je lis un effort immense et je demandai à cet « être mys
île diablerie se bornaient à de jolies petites cornes. 11 avait fait lire Monsieur dans un grand livre tout rouge et tout e
nsieur dans un grand livre tout rouge et tout enflammé, et il y avait lu , en très-distincts caractères, qu’il serait roi u
ontinue? « — Quelle continue, répliqua-t-il vivement. Pouvez-vous « lire dans la pensée de cette femme ? « — Oui. « —
porte à « sa ceinture ; elle l’a reçue ce matin. « — Pouvez-vous la lire ? « — C’est dillicile ; cela me fatiguera bien.
-vous la lire ? « — C’est dillicile ; cela me fatiguera bien. « — Lisez -la, je le veux, interrompit M. de Puységur en « l
! que vous me faites mal ! vous me brisez la tète et « le cœur. « — Lisez . « — Je vois, je vois. Vous êtes bien fou, mons
hure Explriencei de l'ffàtel-Dhu, et co Journal, tome I, page 242. ( lu régiment d'artillerie en garnison à Strasbourg, c
quant à moi, je vous assure que le frisson me prit. J’avais justement lu la veille la fameuse prophétie de M. Cazotte, env
vent ajouter une foi complète à, des présages!.....» A peine a-t-on lu ces réflexions que les yeux s’arrêtent avec snrpj
, faut-il rappeler l'exemple des tireuses de cartes, qui prétendent y lire le passé, le présent et même l’avenir? Faut-il di
Amérique, étaient déjà connues et proscrites par l’Ancien-Testament. Lisez Samuel, xvm : « Et Saül dit à ses serviteurs :
ourd’hui sont exactement les mêmes que celles de l’Ancien-Testament : Lisez , Actes xvi, verset 16. Paul dit : « Or, un jour
ont qu’un mot à dire pour te pulvériser!.... — Je me contenterai de lire à haute voix les pages mensongères de leurs savan
par un homme qui n'a pas perdu l'esprit. Ecrit avoué par M. Mau-rin ( lisez : A. Morin). — Critique par M. A. S. Morin, 60.
10 (1850) Journal du magnétisme [Tome IX]
(1) Rapports du physique et du moral de l'bomme, 1.1, p. 1Î2. Ce lut la Faculté de médecine qui condamnq l’usage du qu
ettre qu’il a adressée aux éditeurs de l'Abeille. Messieurs, J’ai lu avec beaucoup d’intérêt les observations d’un cas
per, etc... » Revue des Journaux. — L'Union ci-devant monarchique, « lu 5 décembre, conteste aux guérisons du prince de H
ux sur le sang, el réciproquement du sang sur l’agent nerveux. Nous lisons dans un ouvrage (i) de M. Yirey : « S’il existe u
t à votre Journal. En somme, je sais peu; car j’ai peu vu et très-peu lu . Seriez-vous assez bon pour faire choix des liv
’ai bien mal à la tête aujourd’hui. Oh! comme je souij're! Olp?-r moi lu mal de tête. J’essaje de dégager la tête, elle
ation à ce principe, que nous publions aujourd’hui la lettre qu’on va lire ci-après. Il est si rare de trouver des esprits é
émoires. * pdUt- cdnstatMl'èitistehcè d(i fluide magnétique. Ntitià lisons dans un de ses ôuvràges (i) i Ayant UiàgnéHsé u
e boutèille, là sdmnatnbulë vit chàqué fbis üft fltlide diifërertt, J) lus où mollis brillatit, sUi-vant leur forcé nerveuse
nce toute particulière. Le magnétiseur habituel de M‘"e Gournay avait lu la première partie d’un feuilleton dp la Démocrat
r. Au temps de Cicéron , un Nigidus Fi-gulus enseignait l’astrologie, lirait des horoscopes et faisait profession de retrouver
« Je passerai peut-être pour un menteur, dit-il, si je « dis que j’ai lu au ciel, en caractères hébreux, tout ce qui est d
ont témoins que je nementspas: « j’ajouterai seulement que je ne l’ai lu qu’implicitement. » (Ancienne Encyclopédie, Art
x esprits qui parlent, qué de dire qu’unè chose est ceci ou cela; ear lis croient toiit savoir, et ils affirment solennelle
ange ! puis cesser de l'être 1mV4 •'»)]> uonoosi taM . > nw?« lût puis, ce.langage des anges qui ne peut s’exprimer
lques objections à mon honorable Colli'gne le Docteur Perrier. J’ai lu avec une religieuse attention les divers articles
vérité. DU rOTET. Propagande. — Le contenu de la lettre qu’on va lire , mérite d’être pris en sérieuse considération. La
hiüHüfl A Mademoiselle Clémence, . ; tf ademoiaellp,. i, v i J’ai lu dans la l'atrie, du 5 février, la commiini- rat
ayé déjà; mais je pense qu’on s’y est mal pris, en cherchant àj fai.e lire au loin les somnambules. On a bien constaté quelq
suivre les progrès des sciences physiques et physiologiques, c’est de lire les notes que M. Du Bois-Raymond a insérées dans
’avez jamais cherché, me « disait une personne de la société, â faire lire à votre « élève une lettre cachetée, sans que vou
nner l’air inspiré. Il tient â la main une grosse Bible, qu’il paraît lire avec attention. Il exhale une odeur d’ail et d’og
uprès du médecin. Quand j’arrivai en face de sa barrière, un individu lisait une affiche dans laquelle on parlait de somnambul
révenu On l’a introduit dans sa maison. Sur la porte d’une chambre on lisait : 011 paie 3o fr.; sur celle d’une autre chambre,
uis. Ma femme et moi mangions de l’ail et de l’oignon, et Riéder nous lisait la Bible tous les jours. » Après l’audition de
de là , je retournai chez ma malade. Riéder, qui s’y trouvait encore, lut bien forcé de reconnaître qu’il n’avait pu réussi
utoriser la lecture. 7° La distribution des médailles décernées par lu Jury magnétique sera faite devant toute l’assembl
-tesman, puisqu’elles le savaient d’avance, mais qu’elles disaient le lire sur la poupe. « L’une d’elles dit : « Il n’ar
able d’arriver an degré supérieur, c'est-à-dire à des rapports avec lis êtres célestes, et se renferme raisonnablement da
r, page 01, lig. il, l'uubli d’un mol a produit uu non-sens ; il faul lire : « fiole non magnétisée. » PETITE CORRESPONDAN
Essayez. « On écrivit alors plusieurs noms sur un papier; elle les lut , et répondit : — Son nom n’y est pas. — Tâchez de
K ANI) SWEDENBORG : or, the Relation of the Developments of Mesmerism lu the Doctrines and disclosures of Swedenborg; by G
glissé une erreur typographique, page|97 , ligne 5, au lieu de 1709 , lisez 1679. Swcdenborgisme. « Jusque-là, dit-il, je n
plus impressionné. Quant aux livres de sciences, il n’en avait jamais lu un seul ; et lorsque, dans son étal mesmérique, i
manifeste pour moi; et I’esprit gui est maintenant sur votre esprit, lira ceci et jugera d’après ses rapports avec vos écri
faire écrire une lettre qu’il aurait dictée lui-même et qu’il aurait lue mot à mot, non pas dans sa propre langue qui étai
xtrême. Ayant reçu de lui l’assurance solennelle qu’il n’avait jamais lu une seule syllabe des Arcanes, et qu’il ignorait
eût les yeux bandés avec soin, et qu’il fût dans l’impossibililé d’en lire un mot. Je n’eus pas besoin de recourir à un seul
ar il était positif qu’il le possédait en entier, quoiqu’il n’eût pas lu une seule ligue ele eu que j'avais écrit ; ni s
ui ont élé écrits les premiers; et que les dignes et les indignes les lisent ; — mais tu réserveras les soixante-dix derniers,
de la trance magnétique. Qui pourrait donc nier, douter même, qui: lu héros «Je celte chronique ne lût plongé, par suit
urrait donc nier, douter même, qui: lu héros «Je celte chronique ne lût plongé, par suite de l'ingestion de la liqueur my
/lambeau de l'intelligence ne s'éteindra pas avant que les choses que lu auras commence d'écrire ne soient achevées. Et ce
d’Esdras, cl Swedenborg relui du Très Haut. EfFrcli- vement, nous y lisons que J. Davis quille intuitivement la ville pour a
, lui ensuite pour M“* Eugénie Foa, qu’une cruelle maladie empêche de lire , les vers suivants, composés par elle pour la cér
Ont soumis à leur volonté? Rien ne résiste à leur puissunce, Et ( lu livre de la science Us n'ont qu'à tourner les feu
qu'à tourner les feuillets Pour en apprendre les secrets. Four eux lu nature est de verre: De partout jaillit la lumi
ue. Mais que vous dirais-je de plus, Oui ne soient discours super/ lus ? Jadis, si j'ai bouue mémoire, On m'a raconté
de moins, rien de plus. Celle poésie, outre son propre mérite, fut lue avec tant de sentiment par M. Bonnellier, que, d’
(1) Calcmboorg cVAIcide'l’oo‘ct. [Tlir'ûht WonMiu/rr.) J'al laque lu grand lympatMqut Kl les nerfs qui louchent au uui
J'al laque lu grand lympatMqut Kl les nerfs qui louchent au uuiur. ( lu sont les nerfs, etc. Rencontrons-nous des tôles
avec tant d’elfusion , que tout le monde en était ému. II demanda à lire un poëme incorrect, dont l’idée cl les expression
ains contre esclaves. Tout obéit, tout s'élance !i ma voix! ! ! Je « lis un mot : tout rentre dans le calme; Le coursier
e de M. Govi a paru mériter une attention spéciale ; elle devait être lue à l’assemblée, mais le temps ne l’ayant pas permi
t nous verrons jusqu’où peut aller l’aberralion de l’esprit. « Je lus réveillé dans la nuit par une grande lueur partan
de voiture près du pont de Neuilly. C’est une fort jolie montre, je lis le nom du fabricant..... Ah! un soldat passe, j
est adressée, et est ainsi conçue : Monsieur le rédacteur, Ayant lu dans le n° 111 do votre journal, les expérimentat
utre, ce Laurent avec sa Prudence? Mais ce n’était pas autre chose... lût l’année dernière, Lassaigne qui montrait aussi un
qui ont cru aux horoscopes, aux sibylles ! Et pour prouver qu’il peut lire dans le destin, ce personnage interpelle trois ou
rs modernes, qui n’ait eu ses représentants à la foire d’Orléans ! On lisait sur deux petites baraques, cette piquante inscrip
ppela brièvement le but de la réunion , puis M. le Secrétaire-général lut son rapport, dont voici la teneur : Messieurs ,
ours dirigées vers l’application thérapeutique du mesmérisme, premier Lut dos magnétiseurs. lin un mot, majeures par le fon
ici la valeur; tous les magnétiseurs qui aiment à s’instruire les ont lus et y ont puisé de solides enseignements. Par so
x partisans les plus connus du magnétisme. Société du Magnétisme de lu IVoiivcllc-Orléaus. De toutes les institutions
x : ajoutons-y encore quelques traits. Sachant que peu de personnes lisent les ouvrages, tandis que les journaux sont lus av
ue peu de personnes lisent les ouvrages, tandis que les journaux sont lus avec avidité par tout le monde, la Société fait d
mme la découverte qui l’a enfantée. Voici un des morceaux de poésie lus au banquet mesmérien de la Nouvelle-Orléans; nous
èrent dans l’expectative. Enfin le grand jour arriva, et chacun put lire ce qui suit : TRIBUNAL CORRECTIONNEL DE LA SEIN
DECINE. — DIVINATION. — ESCROQUERIE. — MAGNÉTISME ET SOMNAMBULISME. Lisez -vous les annonces qui illustrent la quatrième pag
ez volumineuse, dontM. Truy, faisant fonctions de ministère public, a lu quelques extraits, et plusieurs baguettes de coud
Elle y viendra tout en dormant, Et restera-z-endormie, A moins qu’ lu n’ 1’ dis’ galamment : « Réveillez-vous, ma mie
un canard. Suivant celte feuille, une somnambule de Bruxelles, aurait lu dans le cabinet de M. Ponsard une tragédie que ce
e chose de brillant qui me fascine et m’éblouit. » Un soir, Gustave lisait un roman qui semblait l’intéresser beaucoup; on l
uille étalée, en voulant qu’à son retour le jeune homme ne puisse pas lire . Après le repas, Gustave va reprendre son livre;
oment où je le dégage. Excellent moyen pour empêcher un adolescent de lire de mauvais livres. Dans ce phénomène, le sujet
magnétique; nous croyons devoir en présenter le résumé à ceux qui ne lisent pas le Journal du Magnétisme. La question déb^t
protectrice. Paris, le 28 juillet 1850. Messieurs, Je viens de lire l'api el que vous avez fait aux amis de la scienc
rouvait une porte masquée par une draperie , au-dessus de laquelle on lisait : « Cabinet de la Sibylle moderne. » Us entendire
riomphe glorieux aux condamnés de la veille. Nous vous prions, M de lire l’appel que nous avons eu l’honneur de vous adres
fut convoquée chez M. Mongruel, dans les derniers jours d'août. On y lut une lettre d’adhésion du vénérable Laforgue, en f
de pénétrer vos pensées, vos désirs, vos émotions de toute nature; de lire en quelque sorte à livre ouvert dans votre cervea
un exemple; en voici un autre : Ouvrez un livre quelconque au hasard, lisez , avec un somnambule, la 10% 12e ou telle autre li
la page ouverte; puis, sans ouvrir autrement le livre, priez-le de lire à travers les feuillets restés en place la ligne
ivante, que personne assurément ne peut apercevoir, vous le verrez la lire immédiatement, et ajouter, s’il se peut, à votre
re , en quelque sorte, moralement et intellectuellement avec vous, de lire , comme à livre ouvert, dans votre cerveau, nous n
d’une foule d’adeptes ignorants, sont la-propos de l’article qu’on va lire . Nous avons été servis à souhait. « Le D1' B***
é lucidité, n’avait pas reçu cette application lors de la confection « lu Code , de faire réformer l’article en leur faveur
11 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
es moyens doivent varier selon les individus et les circonstances. Je lis sur le dos des insufflations à chaud : à peine av
vre ses leçons. Je fus bientôt initié aux mystères de la science ; je lus assidûment tous les livres que M. Ricard mit à ma
ns, leurs chats, tout me devint des sujets d’expérimentations. — J'en lis de très-belles à Paris, en Belgique, en Allemagne
Baron DU POTET, proprictairc-gcrant. THÉRAPEUTIQUE. Variété « lu .Mesmérisme — Hlsousslon sur 1» thérapeutique inu
raitement de l’apoplexie indiquée dans le mémoire qu’on vient de vous lire . Je résume l’objection de M. Louyet, et je ne cro
Il y aurait aussi à écouter aux portes de tous les gouvernants et à lire les lumineux articles des feuilles publiques, lor
e dont les pages n’étaient pas coupées et demandait que le somnambule lût à une page désignée. Alexis expédiait tous ces cu
e déplace le rôle des sens, se sert des doigts ou de l’épigastre pour lire ; car, s’il en est ainsi, il n’est pas vrai de di
tit«d«la page 17 du n° l«r de 1857. Au lieu d«guérison d'une hernie, lisez : réduction. Baron dd POTET, propriétaire-géran
nes se produisent, et ceux qui douteraient de cette vérité n’ont qu'à lire les excellents et profonds ouvrages qu’un savant
lante en magnétisme n’est plus aujourd’hui un fait contestable. Qu’on lise à ce sujet tout ce qui a été écrit sur semblable
s. On n’a qu’à se rappeler l’expédition que M. Babinet a faite dans lu Revue des Deux-Mondes contre les tables tournante
lisations commençantes, où la poésie est la seule littérature, disons lus où*les poè^s — les ®tres essentiellement sensitif
foi est calme et exclut la dispute, et toi, incrédule, tu prouves que lu n’es qu un sot présomptueux , un enfant qui devra
r qui s'é- tait d’abord moqué de M. Hume, ne suffisent pas, qu’on lise les deux articles suivants, dont l’un est emprunt
articles suivants, dont l’un est emprunté à M. Méry, collaborateur de lu Presse, littérateur célèbre, dont le sérieux et l
ence de progrès, que le spiritualisme américain , ainsi que l’appelle lu ilevue romaine, fait des pas de géant dans le mon
uperstitieux de l’autre, qui lui sont également hostiles. Quiconque lira le résumé de ce travail accompli sous une influen
nges que celui des démons. Le royaume de Satan serait-il divisé ? Lisez les journaux d’Amérique pour être édifiés sur ce
vril dernier. A la page 179, dernier paragraphe , au lieu de sternum, lisez ilernutn; et, au bas de la page 183, au lieu d«ma
lisez ilernutn; et, au bas de la page 183, au lieu d«madama Vedeaux, lisez madame.—Dans l«numér«du 43 mars, aux pages 166 et
Vedeaux, lisez madame.—Dans l«numér«du 43 mars, aux pages 166 et 168, lisez : Taxile llelord au lieu de Delor. Baron n«POTJ
médium parlant, et il n’est inférieur à aucun de ceux dont nous avons lu des relations. Nous obte-nous des manifestations
ier leurs communications, quoique tout le monde ait la faculté de les lire et de les examiner. Loin de nous lasser, nous som
uatorze à quinze ans et dont la lucidité augmentait chaque jour. Elle lisait couramment avec les yeux bandés , et lorsque, dou
en que mes yeux sont bien fermés et que ce n’est qu’avec l’âme que je lis . « Les paupières étaient tellement chargées de fl
avait été un jeu pour amuser différentes personnes, et qu’elle avait lu les yeux couverts d’un bandeau, au moyen d’une ou
r vers du quatrième couplet, au lieu de je fus croyant du magnétisme, lisez : je suis croyant du... A la suite de la premiè
re partie du premier couplet d«Terre et Cieux, mettez deux points, et lisez les huit vers de chaque couplet sans avoir égard
annière sainte, et que, sur ses plis déroulés au souffle des airs, on lise ces mots : La vérité, n’importe par quelle bouche
uplets. Un des élèves de M. du Potet, M. Gérard, s’était proposé de lire une petite pièce de vers en l’honneur de Mesmer;
ies , M. Morin a bien voulu se charger d’être son interprète, et il a lu les vers suivants qui ont été également applaudis
parer, une dame, qui n'avait pu pendant la première partie du banquet lire une pièce de vers de sa composition adressée à la
’Amérique aux bords du Gange, Nos frères se sont étendus; Honneur à lu sainte phalange Dont les cœurs se sont entendus!
r des issues qui vont aux profondeurs de l’âme , il prouve qu’il peut lire les secrets les plus intimes ; par des exploratio
t littérature. Mademoiselle X, médium très-remarquable, sortait de me lire des vers écrits sur son album par le poète Jasmin
n plus que je n'en voudrais dire, Bien moins que vous n'en pourriez lire ; Ce serait trop sans être assez. — Ces vers n
n plus que je n'en voudrais dire, Bien moins que vous n’en pourriez lire : En me lisant si vous m'aimiet, Ce serait tr
ale de la mort du maréchal; elle n’a jamais été montée depuis. Nous lisons dans CUrion du 23 juin : « I.a veille de la batai
ormule embrasse à la fois : le mouvement, ou les différents degrés de lu vie de l’univers, la force ignée, la source tiali
univers, la force ignée, la source tialive-lumineuse, et capitalement lu puissance de ta volonté. De leur côté, les caba
e magnétisme. Voulez-vous connaître ce qu’en écrit Eliphas Lévi ? Lisez : «Dans la lumière astrale se conservent les im
s masses au-ttrnt appris ce qu'il est déféré de pouvoir à la volonté ( lu plus privilégié des colons de la terre. Demandes
ébart. A M. te Rédacteur du Courrier de Paris. Monsieur, J’ai lu avec beaucoup d’intérêt les articles que vous ave
ture d’un nom latin, écrit dans l’intérieur des feuilles, et que nous lûmes ensuite au bas d’un portrait de femme, sculpté su
édente livraison, page ô43, au lieu d«: mai» le prince de l'aclivilé, lisez : le principe de.... A la page 345, à l'avant-der
he de la note t, au lieu île : parait exister pour tous moralement... lisez : pour tout... A la pag«346, au 5e paragraphe, au
au 5e paragraphe, au lieu de : nos paroles sont des élimentisalions, lisez : nos paroles et nos actes sont ies... LETTRE
ce sont les hallucinations. » (Du Dcmon de Sacrale, p. 260, par F. Lé lut , médecin surveillant de la division des aliénés d
e sciences pour pouvoir formuler une seule des définitions « qu'on va lire . Quand la table a commencé de sémouvoir sous nos
ffectivement, aux perspectives d’une carrière sans fin, l’adepte sait lire cette sentence équitable : Solidarité. Mais, au
éserve. On les accuse injustement de n’y voir que rouages et matière. Lisez les lignes suivantes de l’ouvrage monumen- l'âm
triques. turc, ilu moins pur les influences qu'ils Iransinellenl. Lue comparaison complétera cette idée. « Soit une
rpoii philosophique du lyttimc nerveux , p. 9 et 10. cncere, aUcn lu qu’elles réunissent et coordonnent les innombrabl
eurs miracles (1), parce que, sur (1 A cette occasion, on ne pourra lire qu’avec fruit l'extrait que je transcris d'un ouv
douceur du Saint-Esprit qui dictait des colères de l'espèce qu’on va lire ? Eiriuir d'uns bulle donnée au coxcile de trove
tous les anathèmes. Qu’ils soient maudits dans la cité, miudits dans lu campagne! que le fruit a de leur champ soit maudi
s à la mère de l'enfant qu’il a guéri d«sa surdité, et que nous avons lues . Désormais, en parlant de lui, nous n’emploierons
l du Magnétisme (n* 3, 2" série), de l’ouvrage de M. Alexis Didier, — lisez Henry Delaage, — le Sommeil magnétique expliqué,
tions pompeuses empruntées à des écrivains qui paraissent n’avoir pas lu la Bible, le premier point est l’antipode de la v
ance annuelle des cinq académies qui a eu lieu le 17 août 1857, a lu une pièce de vers où nous remarquons le passage s
cela n’est que Xétrange folie d'un peuple d’esprits forts qui croit à lu magie. Et si, au milieu de cette tendance invin
critiquc.qu’a faite le Siècle de la versification d«M. Viennet, dans lu compte-rendu de la séance académique. (2) Ce so
lles-mêuics sc disent être, c’cst-à-dirc des hommes et des femmes que lu mort a transfigurés. Eli ! sans aller prendre m
lit. Je le pris : il faisait, clair de June, et je pouvais à peu près lire le titre de l'ouvrage. Cinq coups rapides furent
Tu (1) Voir le numér«du 25 août. courus chez le pharmacien , et lu y trouvas effectivement les trois personnes (pie
de moi que ceux que je puis toucher à l’état de veille. « Ceux qui liront les explications que je viens de te donner, et do
ces paroles de M. Delaage : « Elle (l’âme du somnambule séparée « lu corps) sc promène dans le temps comme dans son do
nettes montées en acier, de préférence à celles en écaille, soit pour lire , soit pour écrire, et surtout pour aller dehors
Vi e a distance; déplacement de l’ame. Monsieur le Baron, J’ai lu avec d’autant plus d’intérêt les deux articles de
Ces évocations, je les fais ordinairement (I) Sur ce dernier sujet, lisez la curieuse révélation d'Edgar Poe, la Vérité sur
etc. L. Lamothk. CLINIQUE. Lettre à M. le baron nr Potkt, sur lu guérison de diverses maladies ob lent tes par le
le dos de la malade avec de l'eau glacée. Non seulement ce traitement lut impuissant, mais encore 011 vit le mal empirer au
rniers jours, j'avais reconnu une lucidité extraordinaire. I.a malade lut complètement guérie au bout de dix-sept jours ; a
plaisir comme la peine?... Mais pourquoi vous signaler ces choses? Lisez vous-même, comptez bien, et je suis sûr que vous
on naturelle entrant pour moitié dans la provocation de l'hystérie. Lisez encore les tableaux de Georget, qui donne la fray
remarqua la contre-épreuve de l'arbre foudroyé. Objet d’un rapport lu en 178(> à l’Académie des sciences, ce fait fu
fait s’est également passé près de Zante. Voici un extrait du rapport lu à ce sujet : « Ayant dépouillé entièrement le j
ORDINAIRES. Cliaux-dc-Fonds, 2 octobre 1857. A Monsieur le baron ( lu Potet. Monsieur le baron, Je vous envoie la r
éfense au somnambule de réitérer l’expérience... Huit jours après, on lisait dans les journaux : « Nous savons parfaitement ce
ne • découverte qui a beaucoup d’analogie avec celle dont on vient de lire le récit. Le T taveler, de Boston, rapporte q
çut mission de décerner un prix de 25,000 fr. au sujet magnétique qui lirait les yeux bandés. Ici est l’erreur, attendu qu’auc
ine, M. Burdin, offrit un prix modeste de 3,000 fr. au somnambule qui lirait sans le secours des yeux ; je sais aussi que le d
il eût été somnambule ; mais aussitôt que je fus assuré qu’il pouvait lire dans des livres fermés, voire même à travers des
conçue : a Monsieur, « Vous avez offert un prix au somnambule qui lirait malgré l’occlusion des yeux : depuis, il m’a été
de Alexis eu présence d’un jury ad hoc, désireux de lui prouver qu’il lira à. travers les corps opaques. « Veuillez agréer
e mettre un prix à la disposition d’Alexis ayant pour condition qu’il lira dans un livre sans le secours des yeux. « Je co
i remarquable de son sujet. Nous qui avons eu des somnambules qui lisaient sans le secours des yeux, nous ne faisons aucun d
ier, vint à Paris avec sa fille, jeune somnambule qui avait le don de lire sans le secours des yeux. M. Pigeaire fit alors,
ciété de croyants, un prix de 50,000 fr. à celui des académiciens qui lirait avec le bandeau de mademoiselle Pigeaire. C’était
s singulier de vision intuitive s’est produit à la Croix-Rousse, dans lus circonstances suivantes : « Il y a trois mois e
ochin, rue Larrev, 1, et voici ce qu’il a appris. Le fait annoncé par lu Patrie est controuvé. La Société médico-psycholog
olongée d’objets magnétisés par lui-même. 5° L'I nion magnétique ( lu 10 de ce mois raconte qu'une somnambule a fait dé
s, nous citerons l’anecdote suivante, dont nous avons été témoin. Lu jour, chez Marcillet, nous avons vu M. l'archevêq
se mut d’elle-nièine; elle obliqua tantôt à droite, tantôt à gauche, Lu de ses bouts même quitta le sol. La déviation de
Je ne désespère pas d’y arriver pourtant ; mais il faut attendre qu • lus idées de mes très-chers compatriotes soient deven
r dénaturé le mot arnica mal écrit par moi avant mon départ, et avoir lu et fait lire armoise, potion em-ménagogue, disait
le mot arnica mal écrit par moi avant mon départ, et avoir lu et fait lire armoise, potion em-ménagogue, disait-il, dont je
ivante nous a été transmise par un de.nos amis et correspondants, .M. lu docteur Gatti, directeur de l'institut liomœopatl
ire à des forces intelligentes capables de culbuter des meubles et de lire au fond de notre âme, ces forces voulussent bien,
z un'de leurs amis dont le fils est un médium moteur remarquable. -le lus reçu parle père et par le fils avec une hospitali
toutefois sans me l’aire aucun mal. I.es lumières reparurent, et je lus impatient (l’examiner la corde. Tous hk nœuds, gr
lence impitoyable, et qu’il nous priait de le, détacher sur-le-champ. Lue lumière à la main, je vais au in dium, et je le t
invincible à d’autres personnes qui insistaient avec énergie et ( lurent sc rendre de guerre lasse. Cependant, M. Davenpor
e sphère, lorsqu’un jour l’horizon de sa vue s’agrandit et son regard lut dans l’avenir. Elle prédit à ses amies et à son m
ns doute que M. Viennet, à. la dernière réunion des cinq académies, a lu un discours en vers, dans lequel il raille le spi
a disposition du somnambule Alexis un prix ayant pour condition qu’il lira sans le secours des yeux, 548. Dessins gravés p
12 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
e do M. Jules Voisin . Le procès-verbal de la précédente séancp est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
de trouver dans l'industrie des verres violeis ne laissant passer quo lus rayons violets, et nous n'avons pu que nous en ra
ien monochromalïqucs: les verts laissaient passer du jaune », etc.. Lus expériences effectuées dans ces conditions à Juvi
que nous avons mis du vert ils sont calmes, ils ne disent pas un mol, lis ne chantent plus et quand ils sortent ils sont be
rtiges le prenaient aussitôt et une angoisse extrême se déclarait. Il lut était impossible de traverser une place, un pont:
hique. Abolition du pouvoir modérateur chez un délinquant, par M. lu D' BËniLLON. • Il -y a deux ans je fus appelé p
inglin le poussait au diaconat. Entre 165G et IGGÛ, a le travail et lu vie pénitente l'avaient tellement afTaihli, qu'il
ouchaitsur uno paillasse posée sur un lit de planches de tréteaux. 11 lisait sans cesse, immobile et debout, et ne s'asseyait
ph, cU'HistoircdeVEglise, dcGodeau,mais, les fêtes et dimanches on ne lisait que des livres dévots, comme les confessions d'Au
d'adoration et se couchaient. Les dimanches et fêtes, après Prime, Us lisaient des livres pieux, et allaient au catéchisme qui d
s religieuses. — Avant même de réclamer cette signature ù Port-Royal, lu roi envoya, cn avril 16(11, aux maisons de Paris
de faire sortir les pensionnaires, Ie3 postulantes et les novices, et lu défense d'en recevoir à l'avenir. Jacqueline et M
je doive sonder les secrets de Dieu.... 11 répliqua... Quels livres lisez -vous? R. Présentement, ce sont les Morales de S
nnue et de ce que vous m'avez mis au nombre de vos amis. » (1) Elle lisait encore les ouvrages cités au sujet du Réglement p
festin, la belle tombe morte, et on l'enterre « dessous des fleurs de lis ». Mais au bout de trois jours la belle y ressu
versité de Turin, le Dr Morsblli, professeur à l'Université de Turin, lu Dr .ci....:, médecin de l'asile de Keggio-Emilia.
otisme correspondent à ces sommeils particuliers dont parlait Bichat. lis en sont la reproduction expérimentale. Quand le
'être/page> page n="44"> émises à haute voix. Ayant employé lu même courant sur la face du commissaire qui montr
nce de M. Jules Voisin Le procès-verbal de la précédente séance est lu et approuve. La correspondance comprend des let
Albert Colas, trésorier, fait l'exposé de la situation financière de lu Société. Les recettes de l'année courante se sont
n de ce phénomène, s'il n'en a jamais entendu parler et n'en a jamais lu la description, si, en un mot, il no le connaît p
iguée d'être au lit sans dormir.de se lover la nuit et de se mettre à lire . Elle passe ainsi la plupart de ses nuits et ne t
es qui lui occasionnaient la nuit des insomnies et l'empêchaient dans lu journée de se livrer à son travail. Elle fui guér
ous n'en finirions pas si nous voulions nous arrêter à tous les (t) Lu médecine de la superstition, International médica
y et Dechambre tout en faisant des restrictions, inclinent à croire à lu continuité : le marquis d'Hervey, Lelut, Serguyef
le langueur. » Terrassé par la neurasthénie, il ne pouvait converser, lire , écrire, ni travailler, mais il continuait à se l
paraplégie, et, dès lors, sa vie se passa sur un canapé à prier et à lire des ouvrages mystiques. On venait s'édifier à ses
Maie, avant de la lui donner, le curé exigea d'elle son renoncement à lire les ouvrages écrits contre la bulle Unigenitus et
vec lui, eut la même impression. Finalement ils ont pu distinguer que lu tableau représentait un coucher de soleil La mass
ous pcosoaj quo nos le-zteure et nos collaborateurs seront heureux de lire '"homoiage rendu i. noue jaaiire ventre, il. le D
de médecine sur les expériences magnétiques d'Azam, de Bordeaux : il lut fié-* vreusementce rapport. Quelques jours plus t
st la première atteinte ; on perd d'abord la finesse du toucher, puis lu . sensibilité à la douleur et à la température, pu
ntes, aussi documentées et aussi probantes que celle dont on vient de lire la trop courte analyse. FOLKLORE Les supersti
Angleterre, où on vend des spécialités destinées h calmer l'enfant : lisez à l'empoisonner par l'opium. Dans la seconde en
ssion de la lumière. Aussi nous conseillons de faire l'obscurité dans lu 'chambre de l'enfant; maïs dès qu'on a besoin d'y
tique et mordant comme ce dernier, et qu'à son exemple, s'il est fort lu en Allemagne, il y est quelque peu haï. Max Nor
s suggestions impliquant des séries compliquées de chiffres n'ont été lues à G. qu'une fois ou deux au plus. 4.— C. restai
repoussant et il s'infiltrera dans notre conscience en même temps que lu signification qu'on lui prête.Le mot devient idée
upposition que celle de les tenir directement de notre fila. * J'ai lu et résumé quinze cents pages de proceedings de la
ce du 17 octobre 1899. Le procès-verbal de la Séance précédente est lu et adopté. La correspondance comprend des lettr
portent une observation d'hémichorée arythmique hystérique. On.y peut lire les'; lignés suivantes : Désireux de précipiter
Luchsinger, il convenait d'admettre aussi que le centre médullaire de lu sudation était, comme tous les autres centres de
nanimement reconnue et appréciée. Quello fin d'existonso enviable que lu sienne, et combien serait-il désirablo qu'elle pû
pté ïî. Aaam pnrmi loz membres chargés è'bonneur.i et haut placés qui lu ! hccorâirer.Î uno par; constante dans une vin trè
:Ir la pr'raeur de ses principaux travaux. Ces', c/nsi que, dès 1870, lirons Ci consaîî.e lo paa^ntntditdo Bordeaux, qui, cnt:
losophie. L'Académie, qu'il honora par son talent et son caractère, lut dit par ma bouche un dernier adieu. Nous savions
huit heures canoniales du jour et l'obligation où sont les prêtres de lire quotidiennement leur bréviaire. (1) Voir la Rev
près du bureau. D. — Que faisait-il? R. — Jo ne sais; il semblait lire , il a pris quelque chose sur le bureau qu'il a eu
ui, c'est son air gêné, et pour se dissimuler, il faisait semblant de lire un journal qui se trouvait sur ce bureau. Je reco
e apparente, n'a pas hésité a écrire la déposition que nous venons de lire . Dans une autre expérience, nous avons fait pas
le monsieur âgé, qui avait une longue barbe blanche et des lunettes, lira un couteau-poignard de sa poche et frappa son int
prévenu, soit en sa faveur./page> page n="237"> Eh bien, si lu législation, telle qu'elle existe là, est incompl
t-être duré davantage, mais j'ai réveillé le malade. Pour réveiller lu malade, j'emploie l'un quelconque des procédés us
s le sens que Charcot leur donnait, sans eu discuter pour aujourd'hui lu valeur./page> page n="240"> ves et chea
tt s'y entraîne. On s'expose souvent ù des déboires quand on affiche lu prétention d'endormir des malades dès la premiere
rère, dans unu maison de saute. Malgré la tuberculose de la sœur de lu jeune accouchée, malgré la fistule bacillaire du
a famille, il divaguait. Comme je considérais ce sujet dangereux pour lut et sa famille, je le fis enfermer dans une maison
n mentale à une autre cause que la tuberculose. Cela veut-il dire que lu démence cal d'origine bacil'aire? Peut-être est-o
ue aisément dans cette salle sans heurter ni tables, ni chaises. M. lis sillon. — Peul-ôlre, au début, s'est-elle prêtée
une représentation mentale dans le même centre nerveux. (1) Momoîre lu à la Société d'hypoologie ù la sconce annuelle./p
ciel est (1) Voir les numéros précédents. — Dans celui de Janvier, lira Guillebert au Ueu de Qucllebert ut Singlin au lie
Pascal fut à ce qu'il semble l'effet d'une rupture amoureuse, et nous lisons dans les Pensées : « Vous auriez bientôt la foi s
s comme les religieuses de Maubuisson, dont la plupart ne savaient ni lire , ni écrire, des imbéciles comme Louise de la Bonn
» ('). De l'aveu de Jacqueline Pascal f2), les livres qu'on faisait lire aux petites novices de Port-Royal tendaient « bie
nce de M. Jules Voisin Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général fait part à
sion de son élection à l'Académie des sciences morales et politiques. Lu bureau est chargé recueillir les souscriptions, q
oir, ou écriture spéculnire, est une écriture inverse, qui ne peut se lire qu'au moyen d'un miroir ou par transparence. Dans
ment tendance â se servir de la main gauche ; parfois, tl s'amusait à lire à l'envers. L'aspect de ce malade est spécial ;
nce de M. Jules Voisin Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. La correspondance imprimée comprend
... est, dès lors, en proie à une idée fixe : on la poursuit, on veut lu frapper et la faire mourir! Elle entend des menac
r soigner jusqu'à sa complète guérison. * Sur ces entrefaites, je lis dans la Semaine médicale les articles de MM. Lépt
ibles, je ne sais jusqu'à quel point cette physiologie s'accorde avec lu ¦réalité des joies et des tristesses humaines.
ce de M. Jules Voisin. Le procès verbal de la précédente séance est lu et adopté. La correspondance imprimée comprend
ui faut, en effet, sortir du lit et gratter la stéarine, car, lorsque lu femme de chambre viendra, elle pourra l'écraser d
sont, vers 12 ou lô ans, semblables à des enfants normaux; ils savent lire , écrire, calculer; ils sont alertes et agiles. ?
rograde se retrouve même dans la vie journalière ; il ne sait plus ni lire , ni écrire, ni s'habiller, ni manger proprement;
xpérimentaux et anatomo-cliniques sur les localisations cérébrales et lu première description de la paralysie pseudo-bulba
j'écris les suggestions appropriées ù non cas et lui recommande de la lire attentivement. Chaque fois qu'elle se livre à cel
ours, à dix heures du matin, vous vous mettrez dans un fauteuil, vous lirez attentivement ma lettre, vous m'entendrez dire :
a carte de visite sur laquelle j'ai écrit des suggestions qu'il devra lire attentivement chaque soir avant de se coucher. L'
-ner; nous avons néanmoins persisté dans notre opinion qu'il avait dû lire des descriptions de la rage. En tout cas, il ne
ent, et que, dès le début, il n'avait cessé d'être impressionné et de lire des livres traitant de la rage. Le surlendemain
alpétriere, a commencé dans son service (section Esqui-rol), le jeudi lu mai 1900, à dix heures du matin, un cours qu'il c
ypnotisme de 1900 Art. I". Le Congrès se réunira à Paris du 12 au lu août 190O. — La séance d'ouverture est fixée au d
13 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
; Tous deux demeurant à Paris, rue d'Antin, n* 12 ; Eiposem : « lue le Jountal du Magnétisme, qui parait par braisons
quoi, les arbitre* seront nommés d'office, à la requête de la partie lu plus diligente, par le tribunal de commerce de Pa
e cette notice, elle me parait moins heureuse qu’on ne l’a dite. J’ai lu presque tout ce qu’on en a écrit; mais ces rappor
vrage si impatiemment attendu a paru hier; nous ne l’avons pas encore lu , mais voici, en en attendant l’analyse, une lettr
i ne puisse être vérifié ; j’ai désiré être clair. Quand vous m'aurez lu , Monsieur, la puissante pénétration de votre espr
IQUES. JURY MAGNÉTIQUE. Nous espérons que la lettre suivante sera lue avec intérêt par les magnétistes de tous les pays
fou), dulla typo-graphia del governo. 1 842. Ce travail mérite d’être lu par chaque magnétiseur, outre sa valeur, pour la
onge dans les temps et re- monte jusqu’à Dieu, ce que ne peut faire lu reste de l’animalité. Chronique. — Le magnétism
tait temps de se retirer. La tète baissée et les yeux fixés sur les lisons , il gardait un profond silence, ennuyé de sa comp
nambulisme, j’avais beaucoup entendu parler de magnétisme, et j’avais lu quelques ouvrages publiés par les adeptes de cett
merveilleux que l’on racontait. Audiguet m’afiirmait que cette femme lisait à 100, 200 et jusqu’à 1000 lieues; qu’elle avait
e cette femme lisait à 100, 200 et jusqu’à 1000 lieues; qu’elle avait lu , de son domicile, dix vers inscrits dans un appar
aissai sur la table d’un cabinet; puis je demandai à la somnambule de lire ce mot à travers le mur. Elle fut embarrassée et
t embarrassée et répondit : Je vois un M. —Audiguet meditalors : Elle lira beaucoup mieux ce mot dans ma pensée. Soumise à c
ma pensée. Soumise à cette épreuve, la femme Cheyroux déclara qu’elle lisait le mot Bible. » Je fis une dernière tentative.
a dix-huit mois que l’on me consulte; il n’y a que six mois que j’ai lu l’ouvrage de M. Baspail, qui m’a été remis par M.
rage de M. Baspail, qui m’a été remis par M. Audiguet. Je ne sais pas lire l’écriture, je ne lis que l’impression. » Quant
m’a été remis par M. Audiguet. Je ne sais pas lire l’écriture, je ne lis que l’impression. » Quant au livre d’inscriptio
rtions, je pensais que vous aviez pu vous égarer sur le côté moral « lu magnétisme; et il aurait pu en être ainsi, car ce
s avez publiée dans leN° 61 du Journal du Magnétisme, que je viens de lire , a réveillé en moi, avec une nouvelle force, la c
ons avec plaisir que M. Esdaile suit la même marche dans l’Inde. Nous lisons en effet dans le Delhi Gazette Overland Summaiy,
dministré, dans l’antiquité, à l’extérieur sous forme d’onguent. Il a lu divers extraits de là Magie naturelle de J. B.
t, elle me dit qu’elle ne sentait rien, el sur la remarque que je lui lis que dans ce cas cela ne lui ferait pas de mal, «
labeur, car les hommes à coup sûr retourneront vers le passé. Nous lisons dans Y Illustration, du 4 courant : « L’Orient,
ôme soutenu par sept ou neuf colonnes de bois. Des inscriptions ou se lisent le nom du fondateur, la profession de foi, le nom
econnaissables à leur turban vert, qui ont le plus de réputation pour lire sur les malades. J’en ai vu quelques-uns portant,
(t) Voyez Journal du Magnétisme, lomc iv, |iage 61. traçant avec « lu collyre, sur le front des femmes et surtout des e
ion à la stupeur, qui est le terme le plus avancé de l’effet produit, lis sont donc des agents modificateurs souvent très
’amende ponr escroquerie. Les détails de cette affaire sont curieux à lire , mais sans intérêt magnétique. BIBLIOGRAPHIE.
lundi soir, cette ordonnance «l'ut lieu à des attroupements où sonl lus cl commentés à haute voix les journaux. Ces attro
meurt sur la terre étrangère. donne lieu à des attroupements où sou lus et commentés à haute voix les journaux. Ces attro
ronder le tonnerre. (Franco-Américain.) Chronique. — La conférence « lu 19 mars, à Notre-Dame, a été signalée par un trai
en Orient, qui n'y a jamais péri, qui y vit encore. Je la possède, je lis dans les astres. Nous sommes tous enfanls de quel
n le peut croire lui-même fatiloque. Nous espérons que nos abonnés ne liront pas sans intérêt l’extrait suivant de son Histoir
ère ressource, sans que cela lui ait fait le moindre bien. Elle avait lu , par hasard, quelque chose du magnétisme; elle ni
voir l’idée que cola pût lui faire du bien. Après avoir fini, je lui ( lis on riant : respirez; je parie que votre point de
rite; ma communication en faisait partie; l’usage voulait qu’elle fût lue ; mais il la mentionna seulement, disant qu’on y r
tience, lorsqu’enfin M. le président dit: Il reste encore une pièce à lire : le magnétisme; voyons ce que c’est. Al. Ifrse
st inutile; si c’était de l’électricité, encore passe. Un membre. — Lisez toujours. M. le secrétaire. — Messieurs, il y a
. A MM. les auteurs du Journal de Paris. Messieurs, Je viens de lire l’extrait de la correspondance de la Société roya
l’exposé que je signerai et cachetterai, et les trois exposés seront lu * devant M. le lieutenant général de police, douze
oins exercé l’aperçoit de prime abord. Le manuscrit de ce livre a été lu à la société linnéenne de Lyon, qui l’a accueilli
« le plus perspicace » de nos adversaires; c’est-à-dire que l’on peut lire au travers d’épais bandeaux. Cet argument n a pas
Lisimaco Vehati. 4 vol. in-8°. Firenze, 1845-G. L’analyse qu’on va lire est extraite d’un journal de Florence, Il Ricogli
écessaires en des travaux de ee genre. Je dis peut-être, car pour qui lira avec attention, il sera facile de découvrir, au m
médecine. Nous nous bornerons donc au conseil. Que l’homme de science lise cette œuvre, et il en retirera lumière et inspira
l en retirera lumière et inspiration; que l’ami des belles-letlres la lise aussi, et il y trouvera de quoi embellir son espr
e sur 1r cornée, soit devenue à peine visible, et M. Poulet peut déjà lire de cet œil sans trop de gène. M'nt Landier, à l
entre les mains, par exemple, le CharlesElwoodde M. Brownson, je l’ai lu avec une profonde attention. » Je le trouvai d’
parvient aussi régulièrement que nous pouvons l’espérer. Nous y avons lu , avec beaucoup de satisfaction, les intéressantes
tion aussitôt que le calme sera revenu. Enfin M. Amëdée Thuillier a lu le sonnet suivant, qui a donné lieu à un toast.
saint nom fut flétri par nos pères! Quoi ! lorsqu'à des ingrats que lu traitais en frères, Ton génie enseignait un art
puis quinze jours, que le sulfate de quinine n’avait pu détourner. Je lis une première séance pendant l’accès de fièvre, et
jour ou un autre les représentants du pays et la presse de s’occuper « lu sujet, bien saisir l'à-propos, serait, ce me semb
st qu’après le 13 février 1831 que Louis-Phi-lippe a fait effacer les lis . 11 y avait le 10 février 1831 plus de 20 contr
es magnétisés et somnambules qui voient, sans le secours des yeux, et lisent un écrit malgré l’interposition d’un carton ou co
actuellement, ce qui justifie une partie des critiques qu’on vient de lire . L'ouvrage de Deleuze dont il est parlé ici ne pe
sentiels du magnétisme ? Ouvrez le livre de la nature, apprenez à y lire ce qu’il vous importe à tous de connaître : les
lorique et lumière, mais il n’a aucunement les propriétés aromales « lu feu solaire; et pour preuve, nous voyous que les
e rendent pas aux exhibitions, qu’ils ne conviennent pas même d’avoir lu certains écrits. A leurs yeux, convenir de ces le
i deux dés, dont le point fut exactement dit; en troisième lieu, je lis cheminer les aiguilles d'une pendule, et l'heure
ons doivent, nécessairement porter au dehors et expulser le principe « lu mal : mais la maladie est trop ancienne et trop i
tion psychique qui s’applique à tout et qui permet au somnambule l°de lire dans l’âme de toute personne bienveillante mise e
successeurs. Bien des commissions les ont jugées. Et adhuc sub judice lis est. Si cela prouve que la question n’est pas ais
abilitépour celle-ci? Est-ce suffisant pour enseigner un état où elle lira dans toutes les intelligences, dont la pensée est
tâtonnements et d’erreurs. En effet, cesomnambulesi lucide, qui a su lire tant de lettres les yeux fermés, n’a su déchiffre
ul mot dans un livre que ne je. lui amis />as présenté, n’a pas pu lire une syllabe dans un autre qu’on lui présenta un i
somnambulisme et de phrénologie. Mais voir les affaires de ce monde, lire en eux-mêmes ou dans autrui ce qui a trait à celt
y a de curieux, c’est qu’une jeune fille aussi sainte, n’avant jamais lu que les évangiles et les livres de dévotion de so
première, qui esl en quelque sorte négative, puisque sa formule ne se lire d’aucun principe fixe, est l’empirisme. Celte doc
alades, soit bien portantes, des modifications extraordinaires, et je lus prêt à croire à l’action des infinitésimaux. Mais
de l'extérieur, et quand l’âme en reprend possession, elle ne peut y lire ce qui n’y est pas gravé. « Il est un état, déc
couperoses invétérées, etc. Les faits et opinions dont on vient de lire le résumé sont extraits de l'Histoire de la doctr
ur conservation au caprice des hommes et à leurs fausses règles? Non: lu as donné à 1 homme un rayon de lumière, mais tu n
somnambule. Aussitôt, celle-ci porta le papier contre sa poitrine et lut , ou plutôt elle épela A...ab...ab..del... Abd-el-
. C’était une habitation se rattachant à un groupe de maisons dont je lis le tour pour bien m’assurer que la voix parlait t
Mon cher M. Hébert, Vous ne trouverez pas extraordinaire que j’aie lu avec infiniment de plaisir l’article de M. Edgar-
e de M. Edgar-A. Poe, contenu dans le N° 70 de votre journal. Je l’ai lu avec d’autant plus de plaisir que je n’y ai pas t
e de Chinois, dans l’énumération de leurs moyens thérapeutiques, nous lisons : « Us ont même leurs magnétiseurs, que l’auteur
rnes; Mesmer, le magnétiseur, et leurs adeptes. » Magnétiseurs, qui lirez ces lignes, inclinez-vous ; vous uc> prétendie
est à juste titre, je dois le dire, qu’un traité de médecine que j'ai lu récemment les désigne sous le nom de morsures de
; mais cette amélioration alla toujours eu décroissant, et si elle ne lut pas complètement annihilée au bout de quelques jo
ntéresser; cherchant à rappeler ses souvenirs, il m’avoua qu'il avait lu quelque chose de semblable et qu’il devait avoir
i-ques. Une médication énergique, suivie dès le début de l’affection, lut impuissante à en arrêter le funeste cours. L’aggr
veaux faits. La voici : Paris, 7 septembre 1848. Monsieur, J’ai lu avec le plus vif intérêt les détails circonstanci
jour M. le comte Le Pellier d’Aunay à 1111 de: ses somnambules.—Je ne lu vois pas, je le sens; il y a en moi quelque chose
e ne puis vous exprimer ni vous définir ce que j'éprouve.» (Archives / lu Miignetisme, t. Y, p. 257.) C’est à peu près
. «Alexandrine Gutlin, dit le docteur Despine ( ouv. cité, p. 172), lisait avec le coude, la nuque et l’un des doigts de la
ils ont été. J’en ai déjà fait voyager dans tous les départements de lu France, et principalement dans les villes d’extré
métier de découvrir ce qui se passait à de grandes distances. Nous lisons , dans le Dictionnaire général des Sciences ( art
es d'outre-terre. M. Mcade nous dit que nous ne pouvons pas ne; pas lire cet écrit. Fn attendant que nous avions pu nous
le prospectus d’un ouvrage qui, d’après quelques pages que nous avons lues , nous paraît devoir être plein d’intérêt. Nous p
eux billets de 5o 1. (2,5oo fr.), qui deviendront la propriété de qui lira la phrase écrite au dos de l’un d’eux. Ce prix a
a clairvoyance ; il lui mit une carte sur l’épigastre, et celui-ci en lut une parlie. Le lendemain il recommença l’épreuve,
a, 1111 billet de 20 1. (f>oo f.) sous enveloppe, et n’importe qui lira la sentence aura le billet; pourvu qu’il (M. burr
e qu’elle est, et que le clairvoyant qui, dans l’intervalle, pourrait lire la sentence en question deviendrait propriétaire
crit : « Le Mémoire de M. M*** m’a tellement intéressé, que je l’ai lu sans démordre. Son contenu confirme de point en p
bsédé français pourraient être appliqués ici à l’obsédé anglais. J’ai lu confidentiellement les lettres que ce malheureux
14 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ans le lit. Elle a bonne mémoire, raisonne et parle bien, elle sait lire et écrire. Les sentiments affectifs sont assez
t allé à l'école de G à 10 ans, était intel- ligent, avait appris à lire , à écrire, à compter. Le sommeil était normal,
s lents. Réflexes aclrillccns et rotuliens faibles à gauche, abo- lis à droite. Pas de signe de Babinski : l'enfant cri
rchives, 2' série, 1906, I. XXI. 3 34 ASILES DALIl.NI : S. J'ai lu et relu, comme chacun, l'exposé des motifs du p
r- ganisation d'un concours spécial. Je crois, dis-je, avoir bien lu l'exposé des motifs, je n'ai pas trouvé autre c
on, que M. Babinski considère comme une marque certaine de syphi- lis . M. Lancereaux qui, dès 1861, croyait à la fréq
érédité. M. Motet, au contraire, insiste sur le rôle de la syphi- lis , non pas que la paralysie générale soit de nature
; les décrets des 6 juin 18G3, 19 octobre 1894 et li août 1905 ; vu lus arrêté" mi- varia. 75 nistériels de 18 juil
t sur le sol ; on put intervenir à temps pour em- pêcher qu'elle ne lût écrasée. Aussitôt après l'accident elle fut tra
s. Elle n'a cependant aucune instruction même rudimentaire, ne sait lire ni écrire et ne connait aucune des lettres de l
velet est recouverte à droite par des méninges blanc-bus épaissies. Lus deux lobes sont très inégaux; ils sont le siège
terne et encore cette propriété va-t-elle eu s'atténuant il mesure ( lue le sujet, avance en âge. Dans notre observation
ose ou à de la syphilis. 1. Jofi'rov (1) cite en efl'et un ky<te( lu cervelet gros comme un oeuf de pigeon, et dont la
si brusquement qu'il n'a pas même le temps d'y songer. Au surplus, lu malade vit avez »on mal, ne s'en soucie guère,
e les voies pyramidales sont atteintes. On pourrait tout simplement lu nommer 1"e/le,ce duitfndoniricipital ou quad1"i
rcément tout le système musculaire, et que, sans naturellement nier lu rapport intime qui rattache, le nerf au muscle,
dis que dans le second le contact d'un tissu qui diffère du sien lc lue et le rend inaplu à dégénérer comme s'il était in
LOGIE PATHOLOGIQUES. 137 la surdité d'origitielabyrintinque et dans lus cas de lésion interne des conducteurs centraux.
D'abord la septième vertèbre cervicale, la plus saillante de toutes lus vertèbres, donne insertion un somme par son apo-
influences traumatiques que l'autre, el n'est pas mieux irrigué. Si lus recherches de Kadyi sur les artères radiculaire
ier et cinquième métatarsiens. 6° Fi'appe-t-on sur la ligne médiane lu sacrum, le sujet élanl REVUE DE PATHOLOGIE NE
lre- mité supérieure et antérieure de l'os iliaque ; il ne se voit ( lue dans les cas pathologiques. P. 1W aw ? L. REV
richt est-elle une entité clinique justifiée en nosologie ? par Il. LU ¡';DBORG {Neurolog. Centralbl., \\III, l90't.)
expériences d'E- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 147 ,linner sur lus rats, il se produit des troubles nutritifs dans l
es malades peuvent donner au sujet des manifestations de leur dé- lire . Ceci est parfaitement exact, mais déjà Falret, e
te au lie : de- mande à nu plus recevoir le' journal qu'il semblait lire avec plaisir depuis deux mois, se dit courbatur
nt nuls, bien frappés ; on en compte 1 'lU par minute. .\u loucher, lu col, presque complètement effacé, à bords épais,
il ruçoilul dans les feuilles locales, le direcleur du séminaire et lu vénérable de la 'Loge échangent du violentes po
er ce diplôme de ces anciens soldats qui pourront même ne savoir ni lire , ni écrire ? Ou bien va-t-on créer encore une e
stence du faisceau anftSL0111(11111U1' décrit par lluval et Labordo lu noyau de l'abducens et les faisceaux radiculair
t intraprotoplasmique. Ces résultats peu\entetre tmsen rapport avec lus connaissances que l'on possède aujourd'hui, grâ
est. mince, atrophiée, décolorée, collée contre 1'0 ? sou ? jacenl. Lus cheveux onl disparu, sauf en quelques points. C
e. Pas d'antécédents nerveux héréditaires ni personnels. Réglée à lu ans, les règles étaient toujours accompagnées de
mmandant d'étendre légèrement le pied sur la jambe, ce qui explique lu clonus chez les hystériques en crise, ou en con
ique. M. Paul FAREZ. L'aneslhésiu généralisée, l'immobilité abso- lue , les contractures musculaires, la suspension de l
ine, l'ouïe est totalement suspendue, la "Je et le tact sont obtus, lu goût usl normal ul l'odorat considérablement hy
e diction s'obtient spontanément 2 : 2S SOClÉïÉS SAVANTES. dans lu » voix couvertes un alléiiuanl le timbre, el un au
nombre d'observa- tions et, d'expériences m'ont permis de formuler lus deiiv conclu- sions suivantes : )°dans Il' cas
011 puni multru la 1'1'1111111' 1'[1 somnambulisme, elle accouchera lu jour suggéré, à la condition du lai ru tomber e
tion du lai ru tomber eu jour, un plus loi, huit jours avant la (la lu fournie par le calcul ut l'examen. Lu médecin n
loi, huit jours avant la (la lu fournie par le calcul ut l'examen. Lu médecin nu devra passé- loigner du l'accouchée
uche du l'hypnotiseur, c'est aussi le phénomène qui se réalise dans lu cerveau de l'hypno- li·n. C'est absolument comm
lanl que dure la lension inlrl- lucluullu : quand l'effort a cessé, lu souvenir nu larde pas à sur- ¡ : il' spontanéme
ie ensuite spécialement les troubles fonctionnels intérussanls pour lu nel1l'ologisll', ri dont 1'inlcrprélalion reste
illl qui rejetant le diagnostic tl'hysL{I'o-lr'aumal¡sl11e attribue lus troubles présentes, à une psycho-névrose oculai
peul confirmer dans certains cas, lauravite du pronostic, et enfin lus moyens do traitement. III. Contribution à l'è
Dr LAJOUE (mai 1 ! )0;1, 85 pagus. Elude d'ensemble inspirée par 1. lu professeur Spillmann. L'auteur, dans unesériu d
lications. Il apporte, l'appui,des observations,les unes nouvelles, lus autres extraites de travaux antérieurs. Cette thè
ssante nous donne des indica- tions bibliographiques nombreuses sur lus cas décrits jusqu'ici de psychoses infantiles p
s probables des I roubles d'après un processus encore mal défini. Lu traitement sera celui de toute convalescence et l
se confondant à la limile avec des affections voisines comme as- lu : cl. Dus observations précisent ces types : form
OGIE. ver certaines formes comme des entités morbides il. part. Les lu sions rencontrées sont très diverses, et siègen
non plus ceux qui, n'ayant pas fait d'éludés médicales, devaient le lire ou l'entendre ; aussi a-t-il toujours donné plein
discipline, et. finalement réformé. Nous avons raconté le fait dans lu Progrès médical. 1902. p. 271. VARIA , Asiles
- joint à Clermont. (()i"I'), nommé à la 1re classe du l'a(II'(" I. lu 1) : llembnrt,(oet, médecin en chef non install
l lié ml;decill-adjuillt ¡'l \ïlll'-E\ l'al'd Ieille-el-()isl'), .\1. lu D' Pallll'l'i. l11édet'ÏlI-adjuinl à Saint-Dizi
l. 1LY I) Illin, nnnleciu cn chv·l' Ile l'a : il(· d'aliénés de 1'aul; lu ·u (Seille-el-()ise), porté à la classe exceptio
mplace- ment de .\1. le D1' Halliadil ? IIOII111l{' iL à Bloi. M. lu D1' LEVET, médecin-adjoint à Bassons (Savoie), es
complété du microphotographie. Les démO/Isl1'ulions des lésions sur lus pièces pathologiques oc- cupant une grande plac
e Rcnda (l ! er- lin), par exemple, permet, lorsqu'on est habitué à lire et il in- terpréter les lésions nerveuses. une
és. Les pompiers durent il plusieurs reprises exposer leur vie pour lus sauver. Ce n'est que lorsque l'incendie fut éte
f' nUIl/I"ru 1 ? 1 a"l'eoll/pa¡ ! n,' de la troisième table générale ( lus matières contenues dans ]csan ! )<'<'s]89
HICII ER et IL l\h : II ? Sommaire du numéro l de 1900. Ai.orir.n. Lus principales formes «les I roubles nerveux dans
UE. 19oo. - Devient timide, et n'arrive pas à l'école à pou- voir lire . Tous-les autres exercices sont bien faits. igo
en dépit de tous les essais, il a été impossible de lui apprendre à lire couramment, entravé non seulement par une faibl
a beaucoup gagné, il est en très bonne voie et a un grand désir de lire couramment. Nous remarquons une disposition nat
r il copie et écrit ensuite de mémoire sa leçon de lecture, il sait lire et écrire les nombres jusqu'à 70, fait seul l'a
Dessert ? a réalisé quelques^ progrès pour la classe; il commence à lire , mais l'écriture est à peine lisible. 1896. - N
e rendu du service de 1899, comme très amélioré, est enfin arrivé à lire couramment grâce à l'emploi simultané du syllab
agné. igoi. Progrès satisfaisants pour la classe, il est arrivé à lire couramment; l'écriture devient plus lisible. 19
a une mémoire extraordinaire pour l'ortho- graphe des mots qu'il a lus . Il fait l'addition, la soustraction, ébauche l
nouer, boutonner, connaît ses chiffres, ses lettres, il commence à lire ; nous espérons qu'il passera d'ici peu à la lec
il passe à la lecture courante, mais il sera long, croyons-nous, à lire tout à fait couramment. Il ne s'habitue pas à l
croyons-nous, à lire tout à fait couramment. Il ne s'habitue pas à lire du regard un mot entier pour le prononcer ensui
u'il lit lentement, en laissant un trop long temps d'arrêt avant de lire la suivante. .Couri ? ne lit bien couramment qu
arrivée, subsiste encore aujourd'hui. 19o3. - Gavar ? est ami'é à lire couramment il a pro- gressé en tout, l'écriture
nd de plus en plus goût à la classe. II désire vivement apprendre à lire et fait tous ses efforts pour cela. Il est plus
cillité. Entré le 15 février 1902, à l'âge de 9 ans, com- mençait à lire par monosyllabe, recopiait assez difficilement
ne pouvait l'utiliser a quoi que ce soit. Comme classe elle savait lire à peu près couramment, ne connaissait que l'add
apporter velours, draps d'or, etc Enhyver s'occupoit. souvent à oyr lire de diverses belles ystoi- res de la Sainte Escr
relevé comme antécédent la fièvre typhoïde et deux fois la syphi- lis , mais le microscope n'a pas montré de différence
une prédisposition préalable nette, voue même un état psycliopatlii( lue antérieur à l'accident peut se combiner à des a
à la masturbation. Elle aimait passionnément les livres ; elle les lisait sans aucun choix et se livrait après la lecture à
ment. En classe, ses progrès sont sensibles, elle aime beau- coup lire ; sa lecture est très courante et donne même l'iut
rtiges et accès nombreux). Cette enfant, à son entrée, ne sayait ni lire , ni compter, ne faisait que quelques copies, sa
développement physique et intel- lectuel. 1901. - Elle a appris à lire couramment, donne à la lec- ture une bonne into
tté la Fondation en l04, après avoir réalisé de réels progrès. Elle lisait très couramment, con- naissait les trois premiè
orrecte. En classe, elle a également fait des progrès, commence à lire par syllabes, l'écriture est lisible, fait bien u
u- vant durer des mois. Les auteurs en rapportent un certain nom- lire d'observations, les rémissionsayant été, dans ces
des phéno- mènes semblables à la suite d'un traumatisme. 11. Il. LU , - L'hypophyse et la pathogénie de la maladie de
ce à copier, assemble les lettres. Tout porte à croire que l'enfant lira couramment dans le courant de l'année. La mémoi
en chez cette enfant n'indiquait l'intelligence. Elle ne savait pas lire , mais formait les lettres et les chiffres; elle
lle a fait également quel- ques progrès en classe : elle a appris à lire des mots, à les écrire lisiblement, à compter (
éelles difficultés pour la lecture, nous espérons cependant qu'elle lira couramment à la fin de l'année scolaire. - En r
anquait d'expression, n'annonçait qu'une médiocre intelligence. C ? lisait par syl- labes, son écriture était lisible, mai
l'étude. L'enfant qui ne connaissait pas ses lettres est parvenue à lire couramment, elle écrit très lisible- ment, fait
ne tarda pas à connaître ses lettres, puis à syllaber et parvint à lire couramment à la fin de l'année scolaire 1904. A
plexes qui se présentent à propos d'une femme de 37 ans, amputée du liras gauche en S9Sa, pour une lésion probable- ment
15 (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]
gations, les narcotiques, la vie contemplative, les macérations, etc. Lue imagination exaltée devait également disposer un
ient longtemps en somnambulisme et qui passaient pour sorcières. Ce lut pendant des crises de cette nature, que S. Thomas
d’Aquin recueillit ses plus hautes inspirations théologiques. Nous lisons dans Y Encyclopédie méthodique, t. xxxi, p. 394,
morale, en s’affranchissant des préjugés de leur siècle. (1)Trailc lu Somnamh., par A. Ecrirai»!, p. 22-2r>. (2) D
. (5) Élcm. de Médecine, t. Il, p. MO. (C) Électricité animale. Lu professeur Esquirol voyait dans le somnambulisme
ana (2), (I) Voyez cc Journal, t. VIII, p. 481. '2) Dp la r.iii'T lu sommeil lucide, t. I, p. 480. c'est que le somm
f à dix heures, j’étais au cercle ; ensuite je me suis couché et j’ai lu mie histoire dans le Jouriuil des Demoiselles, po
er momentanément, n’a jamais été plus violente qu’aujourd’hui. « Je lisais cette après-midi, nous dit-elle pendant son somme
ndant son sommeil, il est arrivé un moment où , tout en continuant de lire il haute voix, j’entendais bien le son d’une voix
comme des enfants à qui 011 donne un alphabet pour appreu- tire ¡\ lire , j'ose les convier à une élude nouvelle, et leur
très-inolfensif était le grand terroriste de la contrée. Les tendues lurent sondées, visitées, et du plancher au plafond exam
asser sous silence une particularité peut-être plus étonnante encore. Lue chaise, sur laquelle se trouvaient des vêtements,
chacun est un petit tableau. C’est une série d’études qui peuvent se lire et s’apprendre séparément. Nous y voyons neuf leç
primés dans la lettre qui précède n’étonneront aucun de ¡ceux qui ont lu dans le Journal des fragments longtemps inédits d
lien direct entre les magnétiseurs de France et d’Italie. Société ( lu MesmérlNmc île Pari*. Nous avons reçu des journ
ai laissé seul avec un cataleptique en crise et non en crise. .l'ai lu depuis lors tout ou la majeure partie «le ce qui
nalogues et avec les mêmes résultats. J’espère, Monseigneur, que vous lirez cet ouvrage av ec plaisir et intérêt. I.e deuxi
lu m'envoyer. J’en ai déjà vu une partie. J’ai bien l’intention de le lire en entier; mais il est assez probable qu’après l’
ion de le lire en entier; mais il est assez probable qu’après l’avoir lu , mon jugement restera encore en suspens, comme il
a été jusqu’ici. Ce n’est pas le premier ouvrage du même genre que je lis ; j’en ai déjà vu plusieurs successivement : ils n
ondamné? « La science est en elle-même une chose légitime. Bien S lus , c’est un mérite, une gloire, et dans un certain
s doute de n’y pas revenir; car tout ce que j’ai vu, tout ce que j’ai lu et expérimenté depuis cette époque, n’a fait que
e et ses lois seront mieux reçues, si Votre Grandeur, après les avoir lues , désirait en faire tirer copie, je lui en laisse
e partir étant arrivé et ne vo\ ant point d’amélioration sensible, je lis durer près de deux heures la dernière séance. Aya
te Billot avec le sage Deleuze, elle se rappellera sans doute y avoir lu plusieurs faits qui prouvent ce que je viens d’av
us m’avez envoyée en même temps. Je n ai pas encore eu le loisir de lire les deux brochures ilo MM. Charpignon pt Crand-
animal sur une table; d’après une lettre d’Allemagne que je venais de lire , j’ai voulu en faire hier soir l’expérience en fa
re tourner le sapin dans son réduit. Nous fini écrivons, nous avons lu sans croire, essayé en riant, et vu avec terreur.
l’autre soir au Cercle artistique et littéraire. Un Allemand y avait lu la Gazette de Cologne et ses merveilleux récits.
ames, ce qui est, paraît-il, une garantie de plus prompte réussite. Lu d’entre nous, esprit très-sérieux, très-peu dispo
idus enlevèrent leurs mains du guéridon. 11 resta immobile. J’avais lu qu’une fois la table chargée d’assez de fluide, o
rencontré que des incrédules ; mais de tous les récits que nous avons lus , aucun n’égale en merveilleux celui que nous trou
ctivement à l’expérience. » (Presse du 11 mai.) Ce qu’on vient de lire est bien surprenant ; voici pourtant quelque chos
dotait certains individus de facultés admirables, leur permettait de lire la pensée, de communiquer sans le secours des sen
éger s'empara de la tribune. Voici la charmante pièce de vers qu’il lut , avec un accent qui décelait 1 énergie des sentim
est sans vertu, et si dans leurs regards et dans leur bonheur vous ne lisez pas la plus éloquente des réponses, vous ne puise
n, tu n’es pas un mal, tu es le plus grand des biens, tu es la santé, lu es la vie, tu es l'âme des mondes! « L étude no
ageux. Le 30 juin 1852, je fus appelé, à dix heures du soir, rue ( lu Roi-(le-Sicile,n° 1, pour voir M"" Joseph, (pii a
IRITUELLES. /I Mademoiselle Anna Blackwell, Ma chère amie, J’ai lu avec le plus vif intérêt, dans le Journal du Magn
sont mises au jour. « Je me crois donc obligé de dire à ceux qui me liront , que l’homme peut avancer infiniment dans la carr
r avoir occasion de prononcer des discours. Sept ou huit orateurs ont lu ou improvisé des harangues à la gloire de Mesmer
t dédiée au président du banquet, mais que le temps n’a pas permis de lire . MESMER. Souvent des esprits solitaires Rayon
quelque sorte une condition spéciale. « Tout ce que le somnambule a lu , vu, entendu, imaginé pendant sa crise, il l’oubl
e l’observation, de la réflexion et de la méditation ; il faut savoir lire dans le livre de la nature, formé de toutes sorte
. « Dr A. CHEREAU. » 2° Attraction et répulsion. Le Courrier de lu Drôme et de CArdèche publie une lettre qui lui es
est plus vrai. Toutefois, ces réponses ne sont et ne peuvent être que lu réflexion de la pensée de ta personne qui tes pro
n contentes de rappeler le passé et de pénétrer le présent, ont voulu lire dans l’avenir ; mais, plus sensées qu’elle, les m
. Rapport à 1 Académie de médecine sur les Expériences magnétiques, lu les 21 et S» juin 1831. Expériences publiques f
tes dans une langue qu’ils ignorent. Il arrive aussi qu’ils voient et lisent au travers des corps opaques; qu’ils indiquent pa
« Archevêque de Myor, pro vice-gérant. » L’exposé qu’on vient de lire , et d’après lequel Rome s’est prononcée, n’est qu
ant de ce qui se passe de plus remarquable en Europe, et nous y avons lu avec un bien vif intérêt, que des hôpitaux magnét
s lucides, moyen bien simple, puisqu’il consiste , pour ainsi dire, à lire en soi-même, ou plutôt à se laisser diriger par u
annuel : « A L’ÉTERNELI.E GLOIRE DE MESMER ! « Au développement ( lu magnétisme, et conséquemmcnt de l'esprit humain;
la elle est précieuse, parce que ce sont des étudiants qui doivent la lire , et qu’elle consacre une partie des faits qu’ils
is un gros livre. — Qqel livre? — 11 est en latin, je ne sais pas lire le latin , moi, et je n’ai pas assez étudié pour
ù le voyez-vous ? — Cette question!..... chez vous, puisque vous le lisiez tout à l’heure (et c’était vrai) ; étudiez bien
PRÉVOST. «Alonçon (Orne), 12 mai 1853 » 6 Trois jours après, on lisait dans le même journal : « La Pairie a publié une
dois ajouter quelques mots à la brillante analyse qui vient d’en être lue ; c’est un simple avis. Par un singulier hasard
tesse. Quoi ! la science actuelle ne va pas plus loin que ce que nous lisons ? Quoi ! il n’v a, à cette époque de lumière que d
dehors du temple l’inscription sacrée que nu profane ne devait jamais lire . Quoi qu'il en soit, j’entrerai dans la question,
! mais l’étonnement fut à son comble lorsqu’on vint à découvrir qu’il lisait aussi les yeux fermés. J’étais à, la campagne d
d’autres ; c’est ce qui est surtout nécessaire pour les personnes qui liront ce récit. Le jeune M*** indiquait avec la plus
tre un bandeau sur les yeux, afin de mieux s’assurer que le malade ne lisait pas, par un habile clignotement, les questions qu
n au malade en ces termes : « Dis-moi, mon cher ami, si tu pourrais lire ce que nous t’écrivons, en interposant un carton
sorte que nous soyons bien assurés que c’est par le toucher que tu lis ? » Et il répondit en mettant cette condition :
uée contre le visage, et s’élevait bien au-dessus des yeux. Le malade lut également dans cette position ce qu’on lui présen
. Le malade lut également dans cette position ce qu’on lui présenta à lire , et notamment les arguments de deux chapitres dan
i étonnant que l’autre. Le somnambule ou le jongleur, si l’on veut, a lu les yeux fermés, voilà qui est constant; des comp
ause de la proéminence du nez, a suffi pour que le nouveau Lyncée put lire avec tant de rapidité à la distance de ses yeux à
lesquels il posait ordinairement le papier ou le livre qu’il avait à lire ? Certes, ce serait une perfection du sens de la
maladie nerveuse qui se manifesta par accès variables daus leur type, lisait en appliquant sur l’oreille les livres qu’on lui
le, il y porta sa main, l’appliqua encore plus fort contre l’ouïe, et lut l’intitulé et quelques lignes de l’intérieur. »
on violon, tous les cœurs battirent vivement, et sur chaque visage on lisait une émotion facile à comprendre. « A peine quel
our est la mise en scène du somnambulisme, dans un drame intitulé : lu Moissonneuse , qui se joue au Théâtre-Lyrique.
ne (Ain), CONTROVERSES. TABLES MOUVANTES. Le Journal des Débats lu 30 août contient une lettre fort importante, dont
puissance qui varie avec les personnes, varie aussi avec les jours. lires et qui le fait obéir à notre volonté en vertu d’u
ur ce concours, était fixé au 31 décembre 1855. C’est 1853 qu’il faut lire , comme nous l’avons dit dans le temps. Ainsi les
t nécessaire, et les mains restant entièrement isolées. « Vous avez lu ce matin, dans le Journal des Débats, l’extrait d
e et qui n’est pas moins remarquable, caractérisée par M. Chevreul d'( lut particulier déterminant la disposition ou tendanc
ions obtenues de cette façon. « Ce n’est pas plus surnaturel que de lire dans un livre fermé, de décrire un appartement él
e Bailly, par M. Arago, dit que «c’est la première fois qu’un savant « lu xix' siècle discute la grande et délicate questio
ié à votre gouvernement. « Je vous écris avec l'espoir que vous nie lirez jusqu’au bout. « Je ne vous demande ni place, n
ublic se préoccupe beaucoup de ce sujet, et qu’on est sûr de se faire lire en l’en entretenant. L'Almanach magnétique est
issé ses idées flotter à l’abandon. Et cependant le sujet qui ne peut lire dans sa pensée, et aux yeux duquel tout se passe
ique, voit ces signes corporels, invisibles à nos yeux, et peut ainsi lire dans la pensée, ou 11 eu reçoit l’impression, mêm
a postérité, et quels que puissent être les progrès de la science, on lira toujours avec fruit les ouvrages de Mesmer, de Pu
mais que ma lettre n’avait point été finie; sur ma demande, elle en a lu le contenu. J’envoyai deux personnes chercher ma
e depuis un quart d’heure environ. Je priai la somnambule de. nous en lire le contenu, elle s’y refusa. J'insistai, et elle
ensibilité merveilleuse. A une distance quelconque, je puis lui faire lire dans ma pensée, lui faire éprouver toutes les sen
t fausse route, à la remorque de l’illustre physicien anglais. J’ai lu avec l’extrême intérêt qu’inspirent toujours les
s de cela (celui-là. même qui est possesseur de votre livre, que j’ai lu et relu) me dit : « Ne prenez pas une place de qu
ite par l’activité do l’âme. L'homme se repose dans le sommeil, quand lu matière est trop thargée pur la mu litre, quand e
bien de l'homme lui-même, comme le feu qui jaillit du silex; c’est de lu volonté humaine que s’écoule Cesprit vital, qui r
. C’était alors par les yeux, le front et les sourcils que je pouvais lire une sorte de moquerie de tous mes efforts, de déf
lui. Cette détermination prise, je résolus de m’assurer si la malade lisait dans ma pensée. Je n’en doutais plus le lendemaih
nace tout homme qui s’engage dans ce labyrinthe. Baron DU POTET. [ Lu mite prochainement.) 2° DES TAULES. A Monsieu
ns ferait bien de recourir ! » — Quelques-uns de nos abonnés ont pu lire dans un grand journal politique un long article i
mètre inventé par M. Weier, et préconisé par M. Sœhnée. Après avoir lu avec beaucoup d’intérêt cet article, je me suis d
és ! Dressez donc des statues à Para-celse, à Van Helmont, ù vous qui lisez de sang froid les élucubrations facétieuses des f
rien, ne lui est parvenue qu’à la fin de la cérémonie, et n’a pu être lue . Nous réparons ce contre-temps en l’insérant tout
16 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
je le répète : Hahnemann a différé de Mesmer et de Cagliostro, en ce « lue ces derniers avaient eux-mêmes foi dans les erreu
Hom. — Je vous dis que si. Allop. — Je vous disque non ! Hom. — Lisez Bretonneau (de Tours) et Chevalier, deux de vos m
ase à une loi générale? Hom. — Voilà votre bonne foi. Si vous aviez lu Hahnemann, vous auriez vu qu'il avait expérimenté
du fameux mot de Vicq-d’Azir : Dépêchez -vous de prendre le remkle il lu mode, pendant qu'il guérit encore; et s’il en con
ments l’imagination peut être un adjuvant puissant. Nous vous offrons lu manière de s’en servir. Ça vous va-t-il? Vous ne
Dans le dernier numéro, page 6C5, ligne 5, au lieu de considération, lisez comécraKo*. Baron bu POTET, propriélairc-gcrant
e ses instincts et ses facultés naturelles: c’est pourquoi vous devez lut pardonner son ignorance. « Venez, messieurs, ve
arfaitement sans le secours des yeux ; c’e6t ainsi que souvent elle a lu les entêtes d’ouvrages, et que j’ai joué avec ell
onfondre avec absolue, qui n’est qu'au cimetière, et n'est que là : lu mort seule met tous les hommes de niveau. les
nnaissait le moyen d’endormir et d’éveiller suivant les rè- glus ( lu magnétisme, et je lui contai tout ce qui s'était
que toutes ont droit de puiser au fonds commun... Si vous en doutez, lisez ¡’élection de l’évèque de Bourges par le procédé
ouvertes, a signalé le magnétisme animal comme une force curative sur lu réalité de laquelle des insensés seuls peuvent él
y a encore en physiologie , et môme en physique bien des mystères , — lisez beaucoup d’ignorance. Un aimant peut aimanter aut
jeter le fait comme contraire aux principes et aux lois de la nature? Lisez sur ce sujet Laplace (Traité analytique du calcul
thérapeutique ? Pour acquérir à cet égard une certitude, il suffit de lire les ouvrages des médecins dont j’ai cité les noms
tre aussi notre opinion pour un cas semblable. Or, pour cela, il faut lire ce qui a été publié pour et contre le magnétisme,
aussitôt elle recommençait... Pendant son somnambulisme elle parlait, lisait , tricotait, mais elle ne conservait nul souvenir
r avec elles, abandonnait son ouvrage, en prenait un autre, chantait, lisait , sortait du salon, y entrait, se heurtait en se f
entourer, ont seuls pu donner lieu à ces idées fausses. Pour qui sait lire les vies des saints et les antiques légendes, les
on du fait remarquable de somnambulisme naturel dont nos lecteurs ont lu l’aualyse dans le numéro du 10 février 1859, n° 5
nt pas plus libéralement de ses peines. L’auteur ajoute : Je viens de lire dans un journal indien, que ce dévot a répété la
parfois avoir raison de s’offenser, c’est que, lorsqu’il m'arrive de lire un ouvrage sur un objet quelconque, je n'ai pas l
trop longue à quelques-uns. Ceux-là , je ne tiens pas à ce qu’ils me lisent , je ne m’adresse point aux hommes qui ne voient d
s auditeurs, si toutefois vous croyez devoir leur en faire part. i. Lue jeune veuve, 11c vivant plus que pour ses deux en
serviteur, « Le docteur F. Roux (de Cette). » Analyse critique ( lu rapport fait à F Académie des sciences morales et
t de la magie dans l'antiquité et au moyen âge, par M. Alfred Maukt ; lu ù I1 Académie des inscriptions et bclles-letlros
coup occupé de recherches sur le diable et sur les auges.. Le mémoire lu à l’institut se rapporte à peu près aux mêmes que
vérité, le résultat de la séance. Après avoir éveillé le sujet, j’ai lu tout haut la lettre devant elle ; elle en suivait
hiber quelques-uns de ces brillants phénomènes, dont les relations se lisent tous les jours dans leurs écrits, ils ont l’habit
Paris. Car nous affirmons qu’ils n’ont jamais vu de médium en état de lire à chaque instant et à coup sûr la pensée non expr
ience de la police correctionnelle de Lyon, le S) mars, présent mois. Lue dame A... était prévenue d’exercice illégal de la
s ne savons plus ce que nous faisons, ce que nous disons, ce que nous lisons , ce que nous pensons, ce que nous voulons. Le moi
es difficultés. Elle suppose, en efTet, qu’une âme peut naturellement lire au fond d’une autre âme sâns le secours des signe
squ'au pied. Page 169, lignes 13 et 26, au lieu de 31. Monchaanoff, lisez Jff. jBou-chaanofr. Baron du POTET, propriétalr
SUR LA TRANSMISSION DE LA PENSÉE. Liège, Î5 janvier 1859. .« Je lis dans un ouvrage récemment publié (1) : « Le but d
n 1836. « Ainsi il y a une ligne de démarcation bien tranchée entre lu lucidité et la communication de pensée , bien que
ent ; à cet effet, j’ordonnais impérieusement à mon sujet de ne point lire dans ma pensée. Je suis heureux de poiivoir dire
, lui dis-je , nommez les lettres les unes après les autres, et elle lut : Windsor Castle. u J’ignorais complètement les
ils n’ont jamais vus ? — Est-ce en vertu dece môme déplacement qu’ils lisent dans la pensée de ceux qui sont'mis en rapport ma
Sans idées bien arrêtées sur les faits magnétiques, nous venions de lire en 18/10 une brochure anonyme publiée sur ou
naud, sans avoir regardé même le titre du volume : nous le priâmes de lire dans ce livre ainsi renversé. En deux ou trois mi
ire dans ce livre ainsi renversé. En deux ou trois minutes, M. Benaud lut ou plutôt épela une phrase de deux lignes, que pl
l’exactitude. L’expérience eut un plein succès : le somnambule avait lu péniblement, mais avec la plus grande exactitude.
de ce que son prix de 3,000 fr., fondé en faveur de celui qui pourra lire sans le secours des yeux, n’a pu être gagné, et i
faculté de palper à loisir la boîte contenant l’écrit qu’il s’agit de lire , boite fermée à clef et dûment scellée. M. Mabru
s idées partagées, nous publions quelques-unes des pièces qui ont été lues à l’assemblée. Voici ce qu’un de nos zélés conv
ire , honneur à Mesmer ! M. Baïhaut a été vivement applaudi. On a lu immédiatement après ce toast un discours envoyé p
é envoyés, mais ils contenaient trop de détails et de faits pour être lus au banquet ; le temps d’ailleurs ne le permettait
pterai de concourir, lorsqu’on m’aura démontré l’utilité qu’il y a de lire dans une boite fermée. » L’assurance avec laque
passâmes à des exercices plus difficiles. Nous essayâmes de la faire lire , en lui posant un journal de botanique sur la rég
ui posant un journal de botanique sur la région épigastrique. Elle en lut parfaitement le titre. Elle distingua plus diffic
er chaque jour. Notre surprise fut bien grande lorsque, le lendemain « lu jour où elle avait été magnétisée par mon honorab
t les facultés du voyant. M. Charles Louandre, dans son Histoire de lu sorcellerie (2), a consacré un trop court passage
racles se réfléchissaient sur le disque de la lune, où on pouvait les lire comme dans un livre. L’usage de ces instruments d
ts par pure pénétration, comme dans le monde supérieur. (1) On peut lire ce récit dans deux volume» de la Bibliothèque des
ses sentiments. M. Vuillerme-Dunaud, vice-président de la Société, a lu ensuite un discours remarquable qui a été écouté
jets qu’on y posait. Mais, chose plus remarquable encore, c’est qu’il lisait couramment dans le passé; ce qu’il nous prouva, d
l’avais endormi. 11 est vrai de dire qu’une fois dans le sommeil, il lisait fort bien dans ma pensée, et que si je n’avais pa
éclatante, haussa les épaules et allait se retirer, lorsque celui qui lisait couramment ce qui se passait en elle, lui dit d’u
ciété philanttiropico magnétique pour faire une enquête sur les faits lu spiiitualisme, s'adressa à M. le baron de Guldens
. Page 330, ligne 35, au lien de ces travaux se reproduisent, etc., lisez : Ces iabteam se reproduisent. Page 3iH, ligne
isent. Page 3iH, ligne n, an lieu de l'assurance de l’Esprit, etc., lisez : L'ignorance de ftsprU. Baron dc POTET, proprié
e de remonter aux principes malheureusement méconnus. Les auteurs lu Code pénal, en rédigeant l’art. /i70. ont l'.iit
, daus un endroit où il y avait si peu de clarté, qu’on ne pouvait ni lire ni distinguer de petits objets. Après avoir fait
s sœurs parurent s’émouvoir. Elles se consultèrent, se levèrent et me liront signe d'approcher. L’une d’elles s’agnouilla deva
On en tire un, que M. Tréfeu serre dans sa main fermée, sans l’avoir lu . Savez-vous quelle question renferme ce billet?
devons ajouter, car il faut bien le dire, que tout ce que nous avons lu sur ce sujet dans les magnétistes spiritualistes
à être témoins des phénomènes : oe n’est pas comme en France où vous lisez des récits pompeux d'expériences miraculeuses, de
cepterai de concourir lorsqu’on m’aura démontré l’utilité qu’il y a à lire dans une boîte fermée. » —Toutes les expériences
ages, celui de constater la faculté de communication de pensées. Nous lisons dans le compte rendu d'une séance de Al"* Mongrue
tinué longtemps, etles avis, certainement, eussent été partagés. Je lisais dans le n° 6, 2” vol. de la Revue spiritualité uu
« Eh bien ! comment se plaît-on à Schleifmühl ? (1) Voir le numéro ( lu 10 août, n* S9, p. 402. — Nous y sommes très-
soin de ce malade, l’idée me vint d’employer le magnétisme. Je ne le lis ças ouvertement, car je n’eusse peut-être pas été
. MAGNÉTISATION DES OISEAUX. o Monsieur le baron, « Je viens de lire avec un bien vif intérêt, dans le dernier numéro
étranger depuis longtemps aux questions de magnétisme animal, je n'en lis pas moins avec un vif intérêt tout ce qui se rapp
uelque trente ans, les premières notions. Je me suis donc empressé de lire le numéro qui m’était adressé, convaincu d’avance
. Enfin, une jeune fille de dix-neuf ans qui, du reste, ne sait pas lire et n’a pu par elle-même prendre connaissance de l
nous espérons que la leçon ne sera pas perdue. A. S. Mobiw. Nous lisons en outre, et sur le même sujet, les réflexions su
ait d’arriver des pays étrangers... Une dame désira que le pupille ou lu colombe (c’est ainsi qu’il appelait les enfants d
n dans toute sa puissance, du moins dans un de ses accidents; ils ont lu également les dépositions des médecins chargés de
n tisonnier, et était mopt bien- tôt après de sa blessure. Morton lut la lettre une heure après son arrivée à Londres :
és et sur lesquels s’appuie l’bistorieu. 11 prétend, par exemple, que lu sainte kabbale a été emportée de Chal-dée par Abr
t du désespoir. « Les autres critiques de M. Morin prouvent qu’il a lu peut-être un peu légèrement notre livre; autremen
magnétisme, a décidé qu’à l’avenir elle jetterait au panier, sans les lire , tous les mémoires qui pourraient lui être adress
er du déplacement des sens et en particulier du transport de la vue à lu peau de la région épigastrique. Dans (1) Voir Jou
r considérablement les accès les uns des autres , en déterminant chez lu malade ce qn'on appelle tétat magnétique. 11 rapp
btenait des réponses, même quand plusieurs expérimentateurs formatent lu chaîne. Elle n’entendait rien autrement ponda
850. SI ii'onl pas avoii'î publiquement leur félonie, cl. racnnlé lis moyens dont ils s’étaient soi vis pour abuser de
votre journal avec une fébrile impa- ' tience, et je me dispose à les lire comme le vieux soldat aime à caresser une arme do
eux ne pussent voir. La crisiaque épelait chaque mot et finissait par lire ma phrase avec une certaine peine, mais si j’écri
avec une certaine peine, mais si j’écrivais en grosses lettres, elle lisait couramment sans épeler. Si j’employais des lettre
e par intuition je sentais devoir se produire. « On ne pouvait rien lire sur mon visage, je m’étais assis. Personne, je vo
demi-sommeil, les autres pierres de couleur l’agitent, le cristal la lire du sommeil magnétique, le grès la met en cataleps
séance la plus décisive, et qui ne s'était pas môme donné la peine de lire nos articles , est venu recommencer un débat
ent entendu parler de gangrène sénile. Elle n’avait certainement rien lu là-dessus, car c’est une personne sans instructio
jamais saisir jusque tlnns scs moindres dé/ails tous les mystères de lu création, ni saisir en un clin d'œil les rapports
oser qu’elle peut entrevoir une partie des mystères de l’univers et y lire les secrets de Dieu. » Ici ce n’est plus de la sc
its quand ils ont arrondi des périodes creuses à elfet lyrique. Faire lire par l’âme les secrets de Dieu, ce n’est pas donne
n’êtes pas effrayé par sa dimension, veuillez prendre la peine de la lire et l'insérer dans le Moniteur des Hôpitaux si vou
eur. Mais il faut croire que si M. Velpeau et MM. les académiciens ne lisent point le Jour- nul du Magnétisme, ils ne se l
cadémiciens ne lisent point le Jour- nul du Magnétisme, ils ne se lisent guère davantage entre eux. Les mômes expérience
n objet luisant qu’elle (I) Voyez les comptes rendus des séances do lu Société du mesmérisme dans les premiers volumes d
ue nous n’avons pas à endormir, et des magnétiseurs qui n’ont point à lire les livres de nos maîtres (magnétiseurs intuitifs
ucoup trop long, mais nos lecteurs ne seront sans doute pas fâchés de lire les éloquentes pages opposées au discours si simp
Dupotet, directeur gérant du Journal du Magnétisme. Monsieur, Je lis dans le dernier numéro de votre journal, un artic
17 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ports de contiguïté ; sa Iilllill) supérieure est un'peu au-dessus ( lu o,j llonlJll1 bU-IwU Lu hl' l'an 1 ie 1. on extré
Iilllill) supérieure est un'peu au-dessus (lu o,j llonlJll1 bU-IwU Lu hl' l'an 1 ie 1. on extrémité inférieure ric.2.
molles et que l'examen microscopique montracons- lituées, comme le lis *u osseux véritable, par des lames de subs- tanc
fait sentir de une heure et demie à deux heure* la p]ise. En même LU Tli 1 : : ¡¡ \PEUTIQI'E. temps que le sommeil e
Ilus. lll. - 1 ? P., 57 ans, présente depuis juin ! ! HI3 un dé- lire mélancolique avec un élal d'anxiété presque conti
prolongé pendant 8 mois. (ans, XI et Obs. IX.) Paralysie générale. ( lus , XIV, .M. A. 50 ans, présente l'en- semble des
te blanche. - Sommeil normal. Mémoire assez bonne. Elle sait un peu lire et écrire; elle n'a été mise à l'école qu'à 6 a
e que déjouer. - Elle parle bien, mais lentement. - Elle commence à lire et à écrire ; elle écrit SCLÉROSE ATROPHIQUE hé
à noter : (1) Nos malades apprennent plus facilement à écrire qu'à lire . (2) On trouvera dans les observations de nos C
it aussi l'éclatement en touffes de Popoff. Il est probable termine lu . llielscho\\ sky qu'il s'agit non d'une régénérat
rs. Cette pathogénie se rapproche de celle de l'épilepsie tardive, ( lu tremblement sé- nile, de la myoclonie familiale
904.) Observation d'un homme de 4G ans qui était atteint d'un de- lire généralisé et incohérent avec agitation et quelqu
ue l'avait été la genèse, tant elles étaient superficielles ; elles lurent remplacées par ses idées propres." La crédulité
ont si passagers qu'il est difficile d'en tracer un tableau précis, lise peut que les allures de ces composé- à l'égard
elation en dedans eton dehors, de l'abduction et. de l'adduction du liras , tle, la flexion et du l'extension de (111 poig
t des troubles hysléro-neuraslhéniques et phobiques qui compliquent lu tableau morbide (exagération (1(, stit- so-haso
est grièvement bridée. (Journal du 3 tI{,¡;.). La folie d'un père. Lu Progrès de Lyon raconte qu'un nom- tiré E nanl
t été remis. Le mal qu'il a, lui a été donné pal' des gl'ns qui ont lu dans (le mamais 1Ï\l'e 1'1 ]lIi ont l'aiL prend
rge en érection dans sa main tout en gémissant. 17 aoÛt. - Il eonli\ lue à se nIH,lul'liel' sans Il'hl', II' JOUI' é't la
des. El, il ce propos, ce n'est pas sansétonnemcnt que nous avons lu , dans l'intéressant rapport de M. Deny au Con-
tre, plus éphémère. J'ai vu certaines psychoses dépressives a dé- lire religieux et anxiété débuter par de véritables ac
epnur retomber ensuite dans son mutisme habituel. Un peu de boufli. lire des ll'ail',a\ec ]l'gi'l'l' ilililll'ali"l1 des
°;r <lécembne ? l'Lmlttnt yuinzu ·jom : · mt olutarmicw a 1·I : ·i· lu en même temps que l'excilalion génitale ; il se
l'ail des extravagances, gale au lit, demande encore à ce qu'on le lue , manifeste des idées dépressives analogues a cell
e dalh l'altl'lIli-'elill'lll p( Il' ¡ ? ili-III.' fiual. CL' l'IlL lu . ,eull' l'l'i-I' d'l'\ciLalillil t ? élliL.tll' ,
clusions d'une première note sur la para- lysie générale conjugale, lue . il y a 14 ans. au congrès de médecine mentale
Lés pal' 1\1. Cullcrrc. Et, en effet, dans le premier, la syphi- lis n'était pas. avec certitude, la cause déterminant
rait sans doute pas suffi il faire naître, en l'absence de syphi- lis , une paralysie, générale chez Marie 13.... car no
. 103 jamais eu beaucoup d'instruction ; il n'a jamais su très bien lire ; il sait tout juste tracer son nom ; mais ce d
venues de personnages imaginaires qu'il épiait dans l'escalier. Il lirait des coups do rovolver par la cheminée. 11 croya
ala- des, sont enfermés dans 54 asiles publies ; ils sont au nom- lire dc50.00u environ ; ils ont pour leur donner des s
sL-à-<lil'e il la cl1l'oll1hLine nUcll'ail'e, -- 4° 1)[éten4li.e( lue dans le système nerveux central normal, les Ieu
araître se modifier pour donner nais- sance aux fibrilles d'un taii( lis 4lit'ort n'a jamais pu suivre de neurnlillrille
Chez le nutw·au-nt, la lunttcut· tlc I,t ntoullc rclméenlu ` ? 9, ? lu aa laillc ; crllc proportion fléchit, d'abord l
irpations des deux fiers posté- rieurs du cerveau, et même des deux lu ·mi.llù·res.-3.Chez le la- pin, la cécité cortic
i, on constate une sensation d'engourdissement à la face interne du liras gauche. Il se peut qu'il y ait que coïncidence
l'intermédiaire des ravons N, qui sortent des cen- tres du langage. lis ont la propriété d'exciter les centres du lan-
analmno- palhologique. Les symptômes décrits comme cal'aell'l'Ïsli( lues (slé- réotypiesdu langage parlé etécril, échola
re moins un centre spécial que dans l'alexie. Il s'agirait en gros ( Lu pli courbe, de la partie postérieure du lobule pa
ques de l'écriture, bien qu'elle conservât totalement la faculté de lire , et cependant elle était hors d'état de se repr
favorable fut celui qui fut extrait le plus tôt possible du sang lire la suite d'un accès grave el qui provint d'un aut
lire la suite d'un accès grave el qui provint d'un autre epilep- li( lue (lue le l1laladL auquel fut injecté. Mais, ni p
la suite d'un accès grave el qui provint d'un autre epilep- li(lue ( lue le l1laladL auquel fut injecté. Mais, ni pendan
F. 1101SSJlW, S()CIIn IrIIH ? OWt;1E IT DE PSYCIiOLUt;IE SW ace lu naodi ' ! 7 clcenabne 1901. l'taoam : rrc ur :
jus soc ? 11 : : 3$,\\',\ : \ Il;S. Sourdlcs 11J11,licalio'l¡; de lu j/(11'('O"" é/hifl-mélhyliqw', .'1. Paul ¡ : ,\
étudié longuement ce che- val, en l'absence de son maître cl de son lis sont arrivés (,elle conclusion que ce cheval ne
sont arrivés (,elle conclusion que ce cheval ne peut ni compter, ni lire , ni calculer : les réponses qu'il doit faire lu
de sens moral, par une sorte de méchanceté innée. Ils apprennent à lire , (1) IT.W n, Rapports et mémoires sur le sauvag
us le nom de « génies partiels ». Les faibles d'esprit apprennent à lire , à écrire, à orthographier, ils arrivent à la n
France. . Le travail de 31. P. Sérieux comprend plus de 1000 pages. Lue analyse quelque peu détaillée ne peut donner qu
teur.tes réformes actuelle ? ; les plus importantes consistent en : lu la création de services de malades aigus curabl
e a call-l;lIlIl'éIllOlioll profonde il Issoirc, oit la famille Gay lu est 1res connue. (Aurore, 23 janvier HJO : ¡,)
. Col homme qui, depuis quelque temps, l'aisa i 1 la t 1'l'I'I'lI['( lu pu ? sc 1 i \ l'a i L il Loul e epèces d'l' \('en
'a i L il Loul e epèces d'l' \('en [l'Ïci LL", Enfermé chez lui, il lirait des coups de leu dans sa cour, mena- l;auL lie"
183 espace apparemment normal, peut-être un peu appauvri en li- v lires (fig. 10). Sm la (ig. Il, cet espace est déjà dev
même vers de Ruy-Blas. M. 13....; dont les prétentions artistiques lurent plus mo- destes, grimace continuellement en se
associa- tions d'idées très élémentaires, comme celles qu'on uti- lise .a l'accomplissement de certains ouvrages domesti-
. KERAVAL. 234 REVUE d'.ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. LU . Observation de dégénérescence ascendante des fi-
D1' Siiiioii, 1). 108 ligne 4 : au lieu de «réaction el suicide )', lire : réaction suicide. Page 110, à la 3e ligne fin
. Page 110, à la 3e ligne finale, au lieu de « ces tout complexes » lire : ces ensembles complexes. Le rédacteur-géran
n, cl de nature hystérique. 1 Cinquième entrée an octobre 18%. Nous lisons sur l'obser- vation qu'elle sent assez, bien de
sile dans un état d'idiotie complète, n'ayant jamais pu apprendre à lire , répondant par monosyllabes aux questions qui l
i lui étaient posées, s'est amélioré d'une façon inespérée. Il peut lire , écrire, Statistique ET enseignement des enfant
THOLOGIQUES. 299 pies à l'appui sur toute la question traitée est à lire en entier ; cela ne s'analyse pas. P. KERAVAL.
arfois la perle de la vision de l'oeil correspondant disparaît plus lût que celle de l'oeil opposé. Si, quand les tro
, qui dura plus de trois mois. A ce moment, dans un retour du dé- lire , celte amnésie retro-anterngrade disparut et le m
terio-sclerose, qui a elle-même pour fadeurs : la goutte, las) pli' lis , l'alcoolisme, etc., etc. l'. I\eR.\VAL. REVUE
de, XXV. X, F. XIH, 190; XXVI. X. F. XIV, 1903.) . Longue revue à lire en entier : numéros de nw. 1\10, l'év. el mars
sur 1231. Comparé à la population moyenne, représentée par le chi lire 590,09, le rapport des guérisons est de 9,34 %. L
tchargéedu service médical dans l'asile privé de Lincoln. Elle a eu lu préférence sur la médecins qui briguaient la plac
rde, elle voit les ohjets de grandeur di rl'érente ; pIle remanlue ( lue , VilS a\ cc l'oeil droit, les objets sont, plth
rton verticalement surle milieu du visage de l'enfant et lui dis de lire en fermant l'oeil gauche (c'est-à-dire le sain)
le carton comme dans l'expérience précédente et dis à Valentine de lire en fermant l'oeil gauche : elle distingue après
lunettes dont un verre est rouge et l'autre vert, puis on lui fait L lire les lettres du tableau transparent. Si le suj
es les lettres. S'il est au contraire amaurotiquc dut ! oeil, il ne lira que les lettres dont la couleur correspond à cell
t, ayant un verre vert à droite et un verre rouge à gauche, elle ne lira que les lettres rouges du ta-' bleau : or elle
j'élais d'ailleurs une pâle malléable. J'aurais voulu que mon amant lut pour moi un père.... un père sévère et autorita
santé par une singulière aventure. Eu niai 11() : >, M11- X..., lisait un journal qui publia successive- ment Claudine
., se crut incarnée dans le personnage de Claudine. Non pas qu'elle lut amoureuse des femmes : elle n'a jamais eu avec le
cLlmuacnlanLl·n lalli··;'llic- la, l\ ! l'-Ia; il l'au 1 qLle tu la lue " ? .\lai hruqLll'LIlelll LIIOLI 111'.1- Inl lru
ues aryennes, qui ont traduit cent vers d'Hésiode, mais n'ont point lu Baudelaire, flui ont traduit trois scènes de Tv
delaire, flui ont traduit trois scènes de Tvrcncc, mais n'ont point lu Beaumarchais, qui ont analysé trois pages de Fé
umarchais, qui ont analysé trois pages de Fénélon, mais n'ont point lu Voltaire, ces jeunes gens, dis-je, au moment d'
des autorités, -je puis dire qu'il serait surprenant que le neurone lut dépourvu d'une faculté qui appartient il tant d
s, et même sur des séquestres li- bres. 8° Tous ces faits prouvent ( lue lesjointUl'es ne jouent guère de rôle dans la t
d obtenir une imprégnation suffisante des préparations histolugi- lues par los sels 1'argenL. · Un cas (l'il/version s
en ce que les chan- ces de guérison sont d'autant moins nombreuses ( lue la maladie, dure depuis longtemps. La famille e
? l.\LE .Mais parmi les 110 paralytiques ily en a un certain nom- lire qui n'eurent yu'unçuil anormal et quelques autres
médecins aliénistes. Les deux observations suivantes, empruntées à lu pratique CORPS ÉTRANGERS DE 1/OESOPHAGE CHEZ LE
ertainement plus nom- breuses encore, si elles étaient facilitées : lu par l'adoption de congés ou sorties à titre d'e
apports d'une clarté parfaite, les remarquables débats sur le dé- lire chronique, sur la classification des maladies men
mp delà médecine légale qu'il a abondamment moissonné. Tous. nous lisions avec le plus vif intérêt les importants travaux
s publics d'aliénés de Maison-Blanche et de r()is('l1{' (Seine- et-( lise ). » CORRESPONDANCE Personnel médical des asil
18 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
anéantie; le voilà sous la domination du médecin. 1° Faudra-t-il lut défendre impérieusement de fumer? Non. c'est un m
Quoi qu'il en soit, il est préférable d'entraîner les pigeons dans lu même direction, car ils partent alors d'un trait,
nce de M. DUMONTPALLIER. Le procès-verbal de la séance du 9 Mai est lu et adopté. La correspondance comprend des lettr
, il voit directement le lieu de son colombier. Or, je prétends qu'il lut suffit de reconnaître un point de repère quelconq
'y eut-il pas une corde ou un fil attaché à la table, dont le bout se lût trouvé entre les mains du médium, de sorte qu'il
ucun phénomène. 114 livres Att 10 1 Rep 10 114 livres 0/0 Att 5 | Rep lu On voit simultanément se produire l'amélioratio
es de la Société. Le procès-verbal de la séance du !3 juin 1892 est lu et adopté, après lecture d'une lettre de M. le Dr
t qui parle, ne voit pas (toujours dans l'hypothèse). Rainaldi. qui a lu Ferrier, Charcot et Pitres, percute la région du
ion du pli courbe (P2) , et la vue est rendue à la malade. S'il avail lu Munk, ou Seguin, ou Nonagel, et en général les ou
pli courbe, met fin à cette cécité verbale et permet a la malade de lire . La paralysie flasque ou la contracture du membre
s après la présentation de cette note de M. Charcot, M. Dumontpallier lisait devant la même société savante un travail sur « l
pnotisme. Dans chacune des sections, des travaux importants ont été lus , et l'on peut dire que ce qui caractérisera surto
suggestion lui fut faite immédiatement de voir de loin et de pouvoir lire le» lettres les plus unes. Cette suggestion fut
e le lendemain, et depuis sa vue fut suffisante pour lui permettre de lire et de travailler. Observation v. — Hémichorée h
dans les conditions où je me serais trouvé si le malade n'avait sa ni lire ni écrire. Je me décidai à employer le sens du to
ous obligent à faire les corrections suivantes : Page 24, ligne 38. lire : Cannabine. Page 47, ligne 3, lire : partant.
suivantes : Page 24, ligne 38. lire : Cannabine. Page 47, ligne 3, lire : partant. — 25. — 4, - mêlée. — -17, — 41, — N
e général. Nous publierons in extenso un certain nombre de mémoires lus au Congrès et nous donnerons l'analyse des autres
ant eu la velléité de les accomplir sans y donner suite. M. D... ne lire aucune autre conclusion de son travail, si ce n'e
femmes tres suggestibles. cette sug-gestibilité peut facultativement lire éveillée dans un degré plus ou moins avancé. en p
s'agit de psychothérapie. L'emploi déraisonnable de ces (I) Mémoire lu au Congrès de psychologie expérimentale de Londre
de l'Etat sans tenir compte du fait que les membres de l'État peuvent lire et écrire. Il n'est pas besoin de croire à une
es (j), forces qui jouent un rôle comparable à celui de la faculté de lire et d'écrire des membres dans l'ensemble d'un État
. Qu'est-ce qui se passe ? Le greffier. — Voici voire déposition... Lisez . Mathis, après acoir la quelques lignes. — Malh
que comme devant amener une revolution complète dans le traitement de lu morphînomanie. Chez plusieurs de ses malades, il
d'ailleurs, ce qui la décide à se guérir. La malade passe la nuit à lire ; ses lectures dénotent un esprit assez cultivé :
nuit à lire ; ses lectures dénotent un esprit assez cultivé : elle a lu tous les romans écrits par des auteurs connus. El
e M. Dumontpallier. Le procès-verbal de la séance du 11 juillet est lu et adopté. M. le secrétaire général fait part d
imitation. Le simulateur imite soit ce qu'il a vu, soit ce qu'il a lu . soit ce qu'il a entendu décrire. II peut, de plu
de imitateur a été témoin ou qu'il a entendu décrire, ou même qu'il a lu quelque part, a frappé vivement son imagination d
se représentation de la première scène. Sous l'Empire, un soldat se lue dans une guérite; plusieurs autres font élection
itôt en disant que pour elle la chambre c'est la voilure. Elle sait lire , écrire et compter, chose rare chez les enfants d
mais elle n'a pas de peine à me démontrer que le père leur a appris à lire pour qu'ils puissent mieux jouer la comédie. El
Dumontpallier. Le procès-verbal de la séance du lundi 17 octobre en lu et adopté. M. le président met aux voix les can
jours une violente émotion morale. Pour s'en convaincre, il suffit de lire les observations des différents auteurs, et si l'
fortement dans le cerveau de sa malade la certitude du pardon et mime lu ; avait ordonné, arec toute la volonté dont il éta
r à parler et à écrire, il leur était devenu absolument impossible de lire les caractères imprimés et l'écriture. La suggest
ir d'aller te coucher. Demain tout le monde me fera des reproches que lu as encore passé la nuit prés de moi et cela me fa
assées et je ne vois pas encore D. — Ça va venir. R — Comment que lu l'appelles ? Tu n'es pas si fine que sœur 0.. pui
re, nous procédons de la façon suivante. Nous écrivons et lui faisons lire ce qui suit : « Je vais vous toucher les deux ore
nces, la relation précédente me paraissant suffisante pour en montrer lu nature et la signification. Une hystérique frappé
psychique, c'est ce qui résulte du reste do la lettre qu'on vient de lire et que son mari m'écrit le 9 août, c'ost-à-dire q
ce de M. Dumontpallier Le procès-verbal do la précédente séance est lu et adopté. M. le Président annonce la présence à
, viennent et rassurent la foule. L'un d'eux, sur la figure duquel on lisait je ne sais quelle bêtise exallée, répétait à tout
es par suggestion regardent à travers la lunette les six lettres, les lisent seuls sans hésiter, donc ils voient de l'œil ambl
ne voit rien ; je n'y mets rien, il dit voir deux doigts. Il ne peut lire . Quelquefois il reconnait vaguement les objets.
r, chef de clinique, après avoir constaté que l'œil gawhe ne peut pas lire , ni reconnaître les objets, dit au sujet que main
ne in expliquant pas comment le eejet qui. devant moi. ne pouvait pas lire de l'œil gauche, les plus gros caractères d'impri
gros caractères d'imprimerie sur un livre ou sur un journal, avait pn lire devant M. Kochler des caractères bien pins petits
ise, qu'à la distance de cinq pas et au delà, jusqu'à cinq mètres, il lisait très bien les cinq dernières lignes; il disting
les lettres noires sur un fond blanc. Mais plus près, il ne peut plus lire ; il voit des jambages blancs sur un fond noir
sidérants du jugement dont nous venons de parler. Ils méritent d'être lus attentivement : * Attendu qu'il résulte de l'in
suivante : - L'accès ne reviendra qu'après-demain ». 19 octobre, — Lu malade, qui ne savait rien de la suggestion intra
de réussir, car beaucoup des personnes des meilleures classes qui ont lu ou entendu parler de l'hypnose, n'acceptent les s
ue tu auras besoin la nuit, tu t'éveilleras et tu prendras le vase et lu feras. » Cette suggestion fut accomplie à la le
de début, mais il parait ne pas avoir été lent, et dans tons les cas. lu contracture a atteint dès le premier jour son max
er exemple suivant : une petite fille adoptée dans une famille entend lire dans les journaux une histoire d'attentat à la pu
iques, 6e série, 1883 tome 9, p. 65. faire ce qu'elle avait entendu lire dans le journal. Nous avons demandé s'il n'y avai
ce de M. Dumontpallier Le procès-verbal de la séance précédente est lu et adopté. La correspondance manuscrite compren
s Imposée aux chrétiens adultes qui embrassent l'islsmisme. On peut lire A ce sujet ce que j'ai raconté dan* la Turquie of
mmes, parmi ' lesquels tu comptes si peu d'amis pour tout le bien que lu leur fais? « A ton approche, ainsi que des moin
ue tu pilotes, sont peu de chose en comparaison des satisfactions que lu donnes à ceux qui n'ont pu le suivre. « Sans pa
s éveiller en eux la moindre reconnaissance ! « Les héritiers, dont lu réalises les espérances; les gendres fatigués que
héritiers, dont lu réalises les espérances; les gendres fatigués que lu soulages de leurs belles-mères ; les crèvr-la-fai
fe en déblayant les chemins trop encombrés de monde; les prêtres dont lu favorises le commerce; les gazeliers à qui lu fou
monde; les prêtres dont lu favorises le commerce; les gazeliers à qui lu fournis de la copie on abondance; les chasseurs d
ul peut-être, t'a rendu justice en affirmant que, tous comptes faîfs, lu saurais plus d'existence* humaines que lu n'en co
nt que, tous comptes faîfs, lu saurais plus d'existence* humaines que lu n'en compromettais. « Sous ton influence. on vo
testé, redouté a l'égal des maux les plus terrible». a On effraie lus hommes avec ton nom, comme les enfants avec Croqu
s préventions injustes à ton égard résulte de la mauvaise liaison que lu fis en ta jeunesse. « Un destin perfide t'a uni
s la responsabilité de tout le mal que fait la tienne. • Partout où lu te présentes, elle le précède, et tu n'as pas le
e de M. Dimontpallier. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. La correspondance imprimée comprend
es ? Pour avoir aujourd'hui une opinion sur ces malades, il suffit de lire les rapports du temps, « A plus forte raison, i
simule ne lui est pas étranger, elle en a vu des exemples, elle en a lu la description ou en a entendu le récit. Dans tou
malade des lunettes ayant un verre muge et un verre vert, et lui fait lire sur un cadre six lettres imprimées sur des verres
n les vertes : mais, si on leur laissait les deux yeux ouverts, elles lisaient couramment toutes les lettres sur verre rouge et
uramment toutes les lettres sur verre rouge et sur verre vert ; elles lisaient ce qu'elles étaient censées ne pas voir et qu'ell
es du système neuro-musculaire ne s'improvisent pas. Or, supposer que lu premier venu soit capable, par une mimique aussi
. le Dr Dumontpallier. Le procès-verbal de la séance précédente est lu et adopté. La correspondance comprend des lettr
fait, prendre part aux travaux de la séance annuelle. Il les invite à lut faire parvenir à l'avance, autant que possible, l
de votre Ame. élevez votre regard vers la statue de Renaudot, vous y lirez que la force ne prime rien, que le droit fait tou
19 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
ait des rues qu'il ne se 1 permettait pas de passer; il s'imposait de lire tous les jours une certaine gazette depuis la pre
: le sieur Vandevoir était-il hypno- « tisable ou non? On vient de lire les certificats de l'École de Nancy et les « mien
e M. Delbœuf. Mais faut-il s'étonner de choses semblables ? Qu'on lise les lettres publiées dans un journal quotidien pa
. Bien à vous. Dumontpallier. Méfait de somnambule lucide. Nous lisons dans le Paris .• a Que les somnambules nous écl
r suite de la violence et de l'etrangeté du remède appliqué au mal. Lisez l'ordonnance de la somnambule : « Conseils à su
avant de l'y loger, à portée de notre main, ne saurions-nous trop le lire et le relire. L'auteur, fuyant l'aridité des conn
crivain et d'humoriste. Nous conseillons à ceux qui en douteraient de lire le* chapitres suivants : ta Morphinomanie, F Hypo
e rend les gens fous. C'est ce qu'ont dû se dire foi lecteurs qui ont lu ta lettre épileplique de M. Masoin, parue dans la
te. Croyez-moi, vos lecteurs vous en sauront gré. Car ils demandent à lire dans ce recueil des discussions scientifiques et
ucun résultat ». Deirez le réveillant par de» pa«ses, le rapporteur • lu ) fait part de sa surprise devant ce singulier pro
dmission. Art. 7. — Tout candidat au titre de membre titulaire doit lire en séance publique un travail inédit. Art. 8. —
lletin et Mémoires de la Société d~I!ypnoloyie. Art. — Le* mémoires lus à la Société seront publiés dans les Bulletins et
part. Art. VII. — La publication du Bulletin, et celle des mémoires lus à la Société, sont placés sous la surveillance d'
er pour une affection nerveuse remontant à dix ans. Elle ne peut rien Lire sans éclater en sanglots, de telle sorte qu'on l'
ite. Aussi cet ouvrage ne se prête-il pas à une analyse, il doit èlre lu en entier, entre autres le chapitre consacre à la
e, l'auteur entre dans d'intéressants développements qui doivent être lus dans l'original. Pour ce qui concerne les relatio
produisit une centaine de personnes capables, grâce à la pratique, de lire les pensées comme Brown, en se guidant seulement
lus élevée qu'à l'état normal, ils en conclurent que cette faculté de lire les pensées ne dépendait pas d'one sensibilité
la conviction que ce ne sont pas les pensées proprement dites qui se lisent , mais les mouvements musculaires dont s'accompagn
Dumontpallier Le procès-verbal de la séance du lundi 21 juillet est lu et adopté. M. le président annonce la présence
charge et gouvernement sur quelques enfants de maisons. » (1) Noie lue à l'Académie tics sciences morales ci politiques.
doute. Il me suffit de rappeler plusieurs faits bien connus. Tout lu monde sait certainement que le chagrin, la triste
mais des faits que je démontre tous les jours; ils sont indéniables, lis s'imposent avec une évidence irrésistible à tous
e l'exposé des doctrines qui ont fait de sa part l'objet d'un mémoire lu , en 1884, à l'Académie des Sciences morales et po
ifférons d'avis, M. Bcrnheim et moi. c'est sur les conséquences qu'il lire de celte suggestibilité au point de vue médico-lé
« commettra l'action criminelle qui lui aura élé ordonnée, » n faut lire aussi, messieurs, le remarquable travail de M. le
t été produit chez elle par celui qui la donne en spectacle, soit que lu sujet ait été hypnotisé par un tiers. Cette dispo
et qu'il peint très heureusement. Ce livre du Dr de Régla doit être lu par toute personne désireuse de se maintenir au c
e- au Congrès international d'hygiène. — Dans le discours d'ouverture lu a la section de médecine préventive du septième C
sans trébucher par des chemins très irréguliers; ils sont capables de lire très vite en passant leurs doigts sur les caractè
sidence de M. DoMflirALUCB. Le procès-verbal de la dernière séance, lu par M. Magnin, secrétaire, est adopté. M. le pr
on verra que l'excitation cutanée locale ne fait qu'élever à un plus lu .ut degré dans les muscles correspondants la contr
s la pédagogie des enfants vicieux ou anormaux. Nos lecteurs ont pu lire dans la Revue un certain nombre d'articles sur la
ardai en observation pendant un mois. Après ce temps il retourna chex lut , mais revint me voir par intervalle*. Six mois ap
sidence de M. Dumontpallier Le procès-verbal de la dernière séance, lu par M. Magnin, secrétaire, est adopté. M. le se
ant ce que je lui ai dit à l'état de sommeil : 0 Mon ami, je sais que lu veux guérir; tu en as le vif désir. Mais malgré t
as aucun effort à faire pour ne pas de toucher. Je suis convaincu que lu es guéri ; tu n'as plus aucune peur, ta bonne nat
lque temps, d'une facilité extrême, et, le plus souvent, il suffit de lut dire de dormir pour qu'elle s'endorme immédiateme
te f| , par Hauilton Osgood, de Boston. Dans un travail important, lu devant le Boston Society for Médical Fmprove-ment
onfiance que le corps médical mérite el que la législation en vigueur lut témoigne et la tolérance qui laisserait hypnotise
issaient puisés dans leur seul imagination, notre éminent confrère en lirait la déduction qu'il faut, en médecine légale, se t
solément, ainsi, reniant auquel on aura suggéré l'oubli de son nom le lira si on le lui montre écrit. Il sera facile aussi d
nt, je lui dis : e Hier, lorsque tu es passé dans la rue Saint-Denis, lu as vu un rassemblement; tu l'es approché. Deux ho
vait la barbe blonde, portail une blouse blanche ; si on t'interroge, lu n'auras oublié aucun détail de la scène à laquell
on t'interroge, lu n'auras oublié aucun détail de la scène à laquelle lu as assisté ». Quelques minutes après, un interrog
tre. Tu persisteras à l'affirmer, même si je t'affirmais moi-même que lu le trompes, et même si l'on devait te conduire en
e lorsqu'on met eu doute l'authenticité do son récit. d. Un second, lu nommé M..., âgé de douze ans, ne se prête pas fac
i pour les magistrat- instructeurs de prendre garde à la façon dont LU dirigent l'interrogatoire. Enfin il est permis de
sidence de M. Dchostpaluer. Le procès-verbal de la dernière séance, lu par M. Magnin, secrétaire, est adopté. M. le Pr
tisée souvent par son complice arrêté en même temps qu'elle, et qu'il lut suggérait d'aller voler dans les Magasins du Louv
ystérique, cela est indiscutable; elle présente, comme on vient de le lire , des zones hystérogènes, des modifications de la
des caractères de la dimension d'une grande écriture cursive, qui se lisaient sans la moindre difficulté. La marque avait-elle
ao.vrPAu.tti. Le procès-verbal de la séance du lundi 11 janvier est lu el adopté, après une rectification de M. Auguste
apprendre à écrire lisiblement, bien qu'elle ait facilement appris à lire . A l'Age de dix ans, on a vu survenir, pendant pl
e cet article. La chose vaut la peine d'être examinée. Nous avons lu et rein, dans les Annales parlementaires, le comp
Dc*ostpau.ier. La procès-verbal de la séance du lundi 8 février est lu et adopté. La correspondance comprend des Mires
urement publiés par l'École de Nancy, et, en particulier, mon Mémoire lu . en 1884, à l'Académie des Sciences morales et po
ilosophique, eod. p. a». (S) Ibidem, p. VA. (3) Ibidem, p. 5° M. le lu Df Brémaud, médecin de la marine, a hypnotise qua
dormir par crainte d'une attaque ou d'une surprise; son irritabilité lu : faisait perdre complètement le sommeil. L'insomn
ai opéré; je ne me suis pas conduit simplement comme un partisan de lu Salpèlrière. et aujourd'hui encore, après des exp
des difficultés, s'occupait passionnément de la question hypnotique, lisait beaucoup de livres de magnétisme et tentait, avec
. Celles que je désire soumettre à la Société visent La communication lue par M. Voisin à La séance de décembre. J'aurais d
rait été commis sous l'influence de la suggestion hypnotique. J'avais lu naguère, dans U Revue de Wypnotisme, l'exposé abr
de M. le Dumonpallier. Le procès-verbal de la séance du 11 mars est lu et adopté. La, correspondance comprend des lett
lorsqu'elle lit, elle oublie au bout d'un instant ce qu'elle vient de lire , de sorte qu'elle ne peut comprendre le sujet de
o se souvient do tout ce qui a été dit ou fait devant elle. Elle peut lire , compter; elle reconnaît les élève» du servico et
'y a aucun rapport entre les deux personnalités qui se succèdent chez lu même individu, tandis qu'ici la perte de la perso
es elle se jetait à terre. (ij Voir Htvxu de Cllypnoti*me, n- î' et lu . Le prétendu Aoreier, interrogé minutieusement,
s de bâton, s'enfuit en criani à la femme : « Je te retrouverai bien, lu t'en repentiras », et que de»-puis ladite femme n
re maistre ». monstrant un petil chien appartenant à Henri F.. • nous lu nommerons assez. » Plusieurs témoins racontent
crises et des convulsions démoniaques. 11 en était de même lorsqu'on lisait au possédé des passages de la sainte Écriture, ou
t dans le but aussi, évidemment, d'empêcher leur multiplication. Nous lisons , en effet, dans le registre, à cette date : « D
Son étude est très juste et très curieuse Tous les psychologues la liront avec intérêt. Dr E. L. IIbnbi Joly. — Le combat
montre adversaire résolu de la transportation, et pour cause. 11 faut lire son enquête; c'est intéressant et décourageant au
on de l'œuvre de M. Joly sur la criminalité. Les trois volumes sont à lire età méditer d'un bout ò, l'autre. Dr 11" : LaCR
Doionti-aluih. Le procès-Tcrbal de la séance du lundi 11 avril est lu el adopté. La correspondance comprend des lettr
Telle est la portée de mon observation et je crois que l'intervention lu gouvernement serait de beaucoup préférable a cell
il fisi encore rencontre de ladite Cartière, à laquelle il dit : • Si lu as quelque chose à me dire, dis-le moy à présent.
ance d'un cas de ce genre à la fin de l'année 1C07. Voici ce que nous lisons dans les regisires : « Du 26 novembre 1607 comp
ma'ade, snyvant quoy ayant pris de * telles verges et bien battu les lu habits, advint qu'alors ledit greffier et sa femm
toit au col de sa fille (c'est-à-dire que celle-ci arrachait ce qu'on lut mettait autour du cou dans ses crises hystériques
n judiciaire eut lieu du 15 au 19 septembre 1609. CONCLUSION Nous lisons dans un livre publié celte année même et approuvé
e d'une nouvelle arme de guerre contre la foi catholique], nous avons lu son livre avec intérêt, et cette lecture nous a l
t-elles â jamais disparaître pour le bonheur de l'humanité! Qui n'a lu la série des beaux discours religieux prononcés à
en ces termes à ses auditeurs : « Je ne puis vous conseiller de ne lire l'Evangile qu'à condition d'en ôter, comme on sar
20 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
de se plaindre. FERDINAND SILAS. DÉFI DES SPIRITUALITES. Avant lu dans plusieurs journaux américains le défi d’un n
gnent ces instruments. Je prouverai que des médiums, qui n’ont jamais lu un livre traitant de science, qui n’en comprennen
jouter que c’est sans connaître en rien ce que sa main écrivait qu’il lut lui-même, à sa grande surprise, ce que sa plume v
Code pénal. Mais les pratiques de la femme Bois qui ne savaient pas lire , et elles étaient nombreuses, et qui par conséque
er ; il faudrait supprimer les écoles, parce que si l’on ne savait ni lire , ni écrire, on ne lirait pas de livres prohibés e
mer les écoles, parce que si l’on ne savait ni lire, ni écrire, on ne lirait pas de livres prohibés et on ne ferait point de f
, quand, sans que C on y touchât, et, devant nos regards émerveillés, lu goupille se mit à se mouvoir, comme d'elle-même,
tout est mensonge. D’un vol rapide, elle parcourra les mondes... que lu pensée heurte chaque jour, en y voulant pénétrer;
ente la science. — Réponds alors à ma première question. (1) Voir lu n° 423 du Journal du Magnétisme. (2) En dehors
e vous voir ? Dites ! me comprenez-vous ? — Non. — En vérité ?... Lisez -moi bien : chez Roger de Beauvoir?.., Et dans des
s tables tournantes régnait encore, nous avons inséré dans le Journal lu Magnétisme (n° du 10 mai 1854) un article où nous
anche 10 février, M™" Petit d'Ormoy était seule chez elle , occupée à lire un journal. M" Ogier vint sonner à l’une des port
que de l’observation et point d’expériences. Si, comme nous l’avons lu , on peut entendre des bruits paraissant provenir
p; extérieur à un examen sérieux des phénomènes magnétiques. Mais lisez les procès-verbaux ; relisez les rapports de M. H
To.vk XV. — N“ *3*. — 45 Mars 1856. 6 portons une édition, ou pour lu moins un filon interne des personnes avec lesquel
l’usage de l'alphabet, la manifestation dit : — ( Pauvre mère ! je lis tes préoccupations ! Tu penses à de l’argent!...
ns. — « Ne l’écoute pas ! je suis un esprit de Dieu. Tu vois que je lis au fond de ta pensée, .le suis ton petit Gustave.
sommeil magnétique, et dans ses crises somnambuliques, la seconde vue lisait dans le corps humain, caractérisait les maladies
qui conseille à sa femme de ne point céder à ta prière. » (3) On ne lira pas sans intérêt ce qui va suivre. Anna , la somn
int Jean ; puis vous fermerez le livre, tandis que, dans un autre, on lira ledit évangile. Si la clef tourne, c'est que l'em
ne pouvaient le supporter, et après midi, il alla sur la promenade et lut sur pied toute la journée, sans se plaindre d’aut
s les pampres verts en compagnie des esprits des bacchantes avinées ; lisez le soir quelque conte de Boccace ou de La Fontain
e la nier. Je vous soupçonne fort, monsieur le fou, de n’avoir jamais lu Cabanis, ni pris garde aux modifications que le
tes et peuvent, en certains cas, voir l’intérieur du corps humain , y lire les lésions des organes et indiquer les remèdes.
e , les discute, et l’on peut dire que son livre présente l'état le ¡» lus avancé de la science sur ce sujet. Et pourtant, m
se dressa du côté d’un jeune homme qui savait. — Que fais-tu là? — Je lis dans son cerveau le nom A’Octavie, c’était le mot
ous manquerions à notre mission si nous n’admettions dans le Journal « lu Magnétisme que ce qui se rapproche de notre senti
Ces réflexions nous sont inspirées par un article que nous venons de lire dans la I.ucc magne lira, de Turin. Cet article n
inspirées par un article que nous venons de lire dans la I.ucc magne lira , de Turin. Cet article nous annonce la prochaine
et bien profonde satisfaction, que nous n’avons pas été tout à fait : Lu voix criant dans le disert. L’é-mulation n’est pa
en s’écriant en avant! Puissent ces faits merveilleux, dont vous avez lu les récits, acquérir bientôt ce degré de certitud
génie dont nous célébrons aujourd'hui la mémoire. i Messieurs, « Lu jury magnétique ne compte que peu d’années d’exis
un certain recueillement, puis elle écrivait, et ensuite se mettait à lire avec une grande curiosité ce qu’elle venait de tr
Ici, il me semble que la somnambule ait été très-lucide, et qu'elle a lu dans la pensée de mon amie, où elle a trouvée la
cerveau, ordinairement passif ou reposant, ils exercent la lucidité, lisent les pensées, voient à distance, et enfin dictent
ême origine, si l’on veut être logique. On m’a parlé, et j’en ai pu lire aussi, de faits d’un ordre supérieur, que pour le
n ch'veu d'mâle ou d'femelle, El par son estomac quéquefois J' peux lire sans chandelle. Si lui-mém’ s’ trouve maladif,
Toi tu es bonne, mais tu as l'air trop précieuse; puis, comme s’il se lut aperçu que sa sortie pouvait paraître quelque peu
s faits, et non par des systèmes ou des théories que peu de personnes lisent , même en les supposant exacts, ce qui n’est rien
des faits, et le concours de la multitude des malades qui lui devront lu vie en constatera l'existence mieux que ne pourra
i «I i|iil, t'Oiiaiilriiita amia Iiiim « Ira l'Uppoi la , puniti Oli« lu clef ilo liilltua luta collimili» « annera, u V
i hi li y ti ri unire/li' connue un minili», » (‘.«Ih mi vini i nvuii| lu ou fou i|til 1« ni« i inni» il n‘mi fin» viril, i
e l’importance. Le sieur Molossi, phrénologue distingué de Milan, a lu , à la Société d’encouragement, un mémoire, dans
m’en emparai : il faisait clair de lune , et je pouvais ;'i peu près lire le titre du livre. Cinq coups rapides furent alor
t de la vue chez un jeune garçon de 14 mis, tel, qu’après avoir avoir lu seulement quelques lignes, il lui devenait imposs
dant plusieurs mois de 5 à 10 minutes par jour, et il peut maintenant lire pendant plusieurs heures de suite sans la moindre
de foi que le mot docteur soit synonyme de docte, cependant, avant de lire vos filandreuses diatribes, nous croyions qu’un d
sme. UNE NOUVELLE PROFESSION DE FOI. Nous avons eu la patience de lire une longue tartine dans le Risorgimento d’hier, t
seulement mal assises dans la connaissance si complexe du magnétisme, lisent ce seul numéro, et certes, elles n’ont pas envie
nétisme, lisent ce seul numéro, et certes, elles n’ont pas envie d’en lire un second, tant elles reçoivent une impression dé
a vérité demeure. C’est assez dire. Voulez-vous prendre la peine de lire quelques lignes encore, je vais rapporter un fait
e les critiques qui ont parlé du livre de M. Philips ne l’avaient pas lu . Cependant l’E!ectro-dynamisme vital est parfai
er bien des auteurs indigènes. Pourquoi le livre a-t-il été aussi peu lu ? Pourquoi en outre le Journal du Magnétisme en re
-dynamisme vital, nous la faisons, sachant bien pourtant que ceux qui liront jusqu’au bout l’ouvrage éprouveront comme nous un
uvement de colère contre l’auteur et contre celui qui conseille de le lire . Nous avons éprouvé ce désappointement, cette col
s tissus qui reçoivent des nerfs propres du système cérébro-spinal. lu chien, dont on a ouvert le flauc, et qui a donné
ssi sommes-nous très-peu aptes à déchirer le fameux voile. Que chacun lise donc l’ouvrage et devine le rébus. Quant à nous
nal du Magnétisme, si vous jugez que cette place soit méritée. « Je lis fort assidûment votre journal, et je ne saurais t
on seulement nos actions, mais aussi nos pensées les plus secrètes et lisent jusque dans les replis les plus profonds de nos c
plaça la tète en bas, dit que c’était un imprimé, quelle n’en pouvait lire le contenu, parce que sa vue était trouble, mais
italienne. On lui présenta une grammaire italienne-française, elle en lisait les mots français, mais montrant les mots italien
nt un des plus féconds et des plus spirituels , et nous avons souvent lu avec plaisir ses charmantes facéties, ses jolis c
elle du magnétisme. Pour aborder un si vaste sujet, il faudrait avoir lu et médité les nombreux ouvrages qui traitent du m
s yeux. La brochure a pour titre : Introduction du magnétisme (avec lu sanction du gouvernement) dans les hôpitaux publi
fusion par des mains bienfaisantes et infatigables. Max. Nous avons lu avec une extrême satisfaction, dans le Mesmerisla
hème à satiété. 11 reste donc bien établi pour tout le monde qui sait lire , que nous sommes particulièrement folâtres et bad
est pas petit) , il y aura certainement aggravation, même après avoir lu les touchants détails de l’organisation civile et
e vue, de prophétie; elle eut aussi celle de pénétrer les pensées, de lire dans les cœurs, de parler diverses langues, ce qu
rendue si ignorante, elle qui, durant « son exorcisme, parlait grec, lu lin et autres langues, quelle « fut rendue comme
vaillez et vexées tant horriblement, que jamais n’avoit été n vue ni lue du semblable. Entre les aultres, la fille Robert
jles cas, il y a eu imposture ou illusion. Le don qu’il a lui-même de lire dans les secrets de la nature n’est point un priv
erce l’influence la plus pénétrante et la plus durable. (Extrait de lu Revue de l’Ouest de Saint-Louis, Missouri.) Le
e la nôtre ? Les preuves directes de la présence ou de l'absence de lu vie, dans une chose quelconque, sont du ressort d
us. On reçut donc six lettres dans cette soirée ; elles furent toutes lues , excepté une, q ii était écrite dans une langue q
e, chasuu étendant les pieds et les jambes sous les tables pour mieux Lire la vérification. Je crois ces explications suff
et nous devons à ses efforts un encouragement sympathique. Nous avons lu son ouvrage avec plaisir ; mais, dans son propre
a consisté à enfreindre la défense qui lui avait été faite de goûter « lu fruit de l’arbre de la science du bien et du mal;
rsuasion, et l’établissement de l’inquisition n’a pas eu d’autre but; lisez Ammien Marcellin et les violences des premiers em
Sagittaire; et le bruit courait qu’une pucelle venant des marches de lu Lorraine, mettrait sous ses pieds les Anglais (qu
palpables, doués seulement du pouvoir d’agiter la matière — mens agi. lut molcm — et de s’entretenir avec nous au moyen de
ie d’authenticité), j’ai voulu être bref, afin d’être plus sûr d’être lu ; et si j’ai voulu être lu, ce n’est pas pour moi
ulu être bref, afin d’être plus sûr d’être lu ; et si j’ai voulu être lu , ce n’est pas pour moi, qui suis peu de chose, c’
on basée sur les études de toute sa vie, laissa échapper ces mots : Lu terre tourne pourtant. Et l’Eglise, obligée plus
EABON DU POTEX. ERRATA. A la dernière page du dernier numéro : lisez à la 3e ligno : terreur, au lieu de l'arme. ...
a 3e ligno : terreur, au lieu de l'arme. ... A la dernière ligne, lisez le magnétisme, cette autre lumière, on ne 1&-
oM ratiomlt dei fenomeni del magneliimo, del sonnambulisno et délie lu vole dan-tanti e parlanti. (La Vérité sur lo magn
21 (1906) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1905
evenus propres (1) ; 5 ont appris à manger seuls (2) ; 4 ont appris à lire couramment (3) et 5 sont en bonne voie (4). he
it : Jouât.., René et Le-Bih..., Cyrille. Quatre enfants ont appris à lire couramment : Faito.., Beno.., De-va.., Bouvigni..
tant, est entré le 28 juillet 1903. — A son arrivée, il ne savait pas lire couramment, ne faisait des exercices de grammaire
ire et de géographie étaient très sommaires. Eu juin 1904 il savait lire couramment le bégaiement cons-taté à l'entrée éta
renvoi de l'école Braille comme incapable de gagner sa vie. Il savait lire couramment, faisait les 3 premières opérations, s
st d'abord irrégulière et lourde. Entré en 3e classe ne sachant pas lire , il commence à sylla-ber en décembre et son écrit
ier du tailleur. En décembre, il commence la multiplication et sait lire l'heure. A l'atelier il fait des coutures assez b
l passe à la grande école (2° classe). Pendant ce temps il a appris à lire , à faire l'addition et la soustraction, mais il n
re 1900. Prononciation mauvaise: zézaiement très prononcé. Ne sait ni lire , ni écrire, ni compter. Marche irrégulière, sauti
1905. — Les progrès intellectuels sont satisfaisants ; il com-mence à lire couramment, mais la prononciation est défec-tueus
stituteurs. Les surveillantes institutrices, les instituteurs doivent lire les certificats médicaux qui accompagnent les enf
agnent les enfants à l'entrée pour en vérifier les dires. Ils doivent lire la partie de nos observations concernant les anté
is part aux leçons de solfège et sur ce nombre, quinze enfants savent lire la musique sur la portée, connais-sent la valeur
hap..., Baul..., Saun..., Rigol..., Lemb... 10 enfants ont appris à lire couramment ; Léont..., Gorr.., Delon.., Rob.., We
, une petite chaise, etc.), abstraction, géné-ralisation, apprendre à lire une image, faire assister l'en-fant à tous les tr
allant 1900. — Devient timide, et n'arrive pas à l'école à pou-voir lire . Tous les autres exercices sont bien faits» 190
, en dépit de tous les essais, il a été impossible de lui apprendre à lire couramment, entravé non seulement par une faibles
il a beaucoup gagné, il est en très bonne voie et a un grand désir de lire couramment. Nous remarquons une disposition natur
our il copie et écrit ensuite de mémoire sa leçon de lecture, il sait lire et écrire les nombres jusqu'à 70, fait seul l'add
1 Dessert... a réalisé quelques progrès pour la classe; il commence à lire , mais l'écriture est à peine lisible. 1896. — N
pte rendu du service de 1899, comme très amélioré, est enfin arrivé à lire couramment grâce à l'emploi simultané du syllabai
agné. 1901. — Progrès satisfaisants pour la classe, il est arrivé à lire couramment; l'écriture devient plus lisible. 19
Il a une mémoire extraordinaire pour l'ortho-graphe des mots qu'il a lus . Il fait l'addition, la soustraction, ébauche la
r, nouer, boutonner, connaît ses chiffres, ses lettres, il commence à lire ; nous espérons qu'il passera d'ici peu à la lectu
s, il passe à la lecture courante, mais il sera long, croyons-nous, à lire tout à fait couramment. Il ne s'habitue pas à lir
g, croyons-nous, à lire tout à fait couramment. Il ne s'habitue pas à lire du regard un mot entier pour le prononcer ensuite
qu'il lit lentement, en laissant un trop long temps d'arrêt avant de lire la suivante. Couri... ne lit bien couramment qu
arrivée, subsiste encore aujourd'hui. 1903. — Gavar... est arrivé à lire couramment il a pro-gressé en tout, l'écriture es
rend de plus en plus goût à la classe. Il désire vivement apprendre à lire et fait tous ses efforts pour cela. Il est plus d
mbécillité. Entré le 15 février 1902, à l'âge de 9 ans, com-mençait à lire par monosyllabe, recopiait assez difficilement un
jourd'hui clans la catégorie des s mples arriérées intellectuelles. LU . Naissa... (Louise), née le 30 mars 1890, entrée
on ne pouvait l'utiliser à quoi que ce soit. Comme classe elle savait lire à peu près couramment, ne connaissait que l'addit
opre-ment. En classe, ses progrès sont sensibles, elle aime beau-coup lire ; sa lecture est très courante et donne même l'int
vertiges et accès nombreux). Cette enfant, à son entrée, ne savait ni lire , ni compter, ne faisait que quelques copies, sans
on développement physique et intel-lectuel. 1901. — Elle a appris à lire couramment, donne à la lec-ture une bonne intonat
itté la Fondation en 1904, après avoir réalisé de réels progrès. Elle lisait très couramment, con-naissait, les trois première
correcte. En classe, elle a également fait des progrès, commence à lire par syllabes, l'écriture est lisible, fait bien u
ence à copier, assemble les lettres. Tout porte à croire que l'enfant lira couramment dans le courant de l'année. La mémoire
rien chez cette enfant n'indiquait l'intelligence. Elle ne savait pas lire , mais formait les lettres et les chiffres; elle n
— Elle a fait également quel-ques progrès en classe: elle a appris à lire des mots, à les écrire lisiblement, à compter (ad
réelles difficultés pour la lecture, nous espérons cependant qu'elle lira couramment à la fin de l'année scolaire. — En rés
manquait d'expression, n'annonçait qu'une médiocre intelligence. C... lisait par syl-labes, son écriture était lisible, mais m
l'étude. L'enfant qui ne connaissait pas ses lettres- est parvenue à lire couramment, elle écrit très lisible-ment, fait de
le ne tarda pas à connaître ses lettres, puis à syllaber et parvint à lire couramment à la fin de l'année scolaire 1904. A
22 (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904
ques et arriérés de bicêtre pendant l/année 1904 BOURNEVILLE Arec lu collaboration de DURAND, FRIEDEL PERRIN. Volume
evenus propres (1) ; 6 ont appris à manger seuls (2) ; 3 ont appris à lire couramment (3)et 8 sont en bonne voie (4). Le t
rer d'une façon satisfaisante. Il a été mis à la grande école sachant lire , écrire et commençant mémo à écrire, sous la dict
.., Gava..., Marcill..., Mill..., Bauti.... Deux enfants ont appris à lire cou-ramment: Dûmes... (André) et Margil... (André
ue à obtenir. Imbécillité. — Dûmes... (André), 10 ans. Est arrivé à lire couramment et à conprendre ce qn'il lit. Pendant
il a beaucoup gagné, il est en très bonne voie et a un grand désir de lire couram-ment. Nous remarquons une disposition natu
se en faveur des idiots, n'ont pas manqué de viser à leur apprendre à lire . Parcourez le livre d'E. Séguin, vous y verrez qu
dans le milieu du siècle dernier, ce grand pédagogue arrivait à faire lire ces malheureux, par des pro-cédés que les auteurs
euves du certificat d'études primaires. Et depuis Ferrus on apprend à lire à Bicêtro. La méthode employée? Mais c'est cell
c... Progrès sensibles en français et en arithmétique. Savait à peine lire et compter il y a 2 ans. Suit la dictée aujourd
cillité.— Bout... (Ernest, Désiré), 14 ans. — Ce malade est parvenu à lire couramment. Il l'ait bien les devoirs écrits, réu
maire. Ne connaissant aucune lettre de l'alphabet, il sait maintenant lire de petites phrases ne comportant pas trop de diff
stituteurs. Les surveillantes institutrices, les instituteurs doivent lire les certificats médicaux qui accompagne les enf
mpagne les enfants à l'entrée pour en vérifier les dires. Ils doivent lire la partie de nos observations concernant les anté
rt aux leçons do solfège etsur ce nom- 10 enfants savent à peu près lire la musique, connaissent la valeur des notes, des
e élève piston.— Lesuc.. Lec-ture assez bonne, cet enfant ne sait pas lire , mais est arrivé à lire la musique assez bien, fa
Lec-ture assez bonne, cet enfant ne sait pas lire, mais est arrivé à lire la musique assez bien, fait partie de la fanfare
e la fanfare comme élève alto.-— Gard... Cet enfant commence un peu à lire les notes sur la partie. Mas... Commence un pou à
fant Mas...—• Guon.., Thés..., Carn.., Dufo.. et Corn... commencent à lire la musique.— Gard... ne sait pas lire la musique,
Dufo.. et Corn... commencent à lire la musique.— Gard... ne sait pas lire la musique, mais il retient bien le nom des notes
ce qui fait sous-sol. — Beaud.., Cour.., Mill... commencent un peu à lire la musi-que.—Désert... . Assez bonne lecture, cet
nait aussi la valeur des notes des musique et de silences. Rog.. sait lire la musique.— Benni... Assez bonne lecture, connai
tes de musique et des silences.— Broch.. Mar/..., Gar... commencent à lire un peu la musique.— Les enfants Chois. ., Lam.. c
rection morale qu'ils essaient de leur imprimer. Le tableau des pages lu et lui met en évi-dence Vss résultats obtenus par
— Elle a fait éga-lement quelques progrès en classe: elle a appris à lire des mots., à les écrire lisiblement, à compter (a
réelles ditïicultés pour la lecture, nous espérons cependant qu'elle lira couramment à la lin de l'année scolaire. — En rés
l'étude, l'enfant qui connaissait à peine ses lettres, est parvenue à lire couramment, elle écrit très lisi-blement, fait de
le ne tarda pas à connaître ses lettres, puis à syllaber et parvint à lire couramment à la fin de. l'année scolaire 1904.
anquait d'expression, n'annonçait qu'une médiocre intelli-gence. G... lisait par syllabes, son écriture était lisible, mais ma
dévouement. Ces trois noms, symbolisant trois époques, jalonnent la lis 1 e toujours croissante des bienfaiteurs des arri
ent constamment et l'ont répéter le nom, que l'enfant avant de savoir lire les reconnaît imperturbablement. J'ai fait l'expé
rton quelconque et il vous répondra sans hésiter, sans tâtonner, sans lire , comme s'il voyait l'objet lui-même. Voilà déjà q
re-et-Loir (Bonneval) 6 6 3 4 19 On essaie de l e u r apprendre à lire . F i n i s t è re 1° Quimper 7 4 2 13 Aucun
. Marne (Châlons) 15 3 9 27 On se borne à essayer d'apprendre à lire aux imbéciles ; quelques r é s u l t a t s ont
es reçues à l'examen. Il est à remarquer que l'une d'elles a appris à lire à l'Asile et y a donc acquis toute son instructio
ves depuis cinq ans. A la fin de l'année scolaire, 17 élèves savaient lire , écrire et compter. Actuellement, sur les 24 insc
aient lire, écrire et compter. Actuellement, sur les 24 inscrites, 10 lisent , écrivent, comptent et pro-gressent; les 14 autre
'asile dans un état d'idiotie complète, n'ayant jamais pu apprendre à lire , répondant par monosyllabes aux questions qui lui
is n'hésite pas à se défen-dre si on le taquine. Sens normaux. — Sait lire , écrire, faire les trois premières opérations. [F
dans le lit. Elle a bonne mémoire, raisonne et parle bien, elle sait lire et écrire. Les sentiments affectifs sont assez dé
est allé à l'école de 6 à 10 ans, était intel-ligent-, avait appris à lire , à écrire, à compter Le sommeil était normal, s
23 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
leva une récla- mation de priorité de la part de Pierre Falret, qui lut à soniourù l'Académie, quelques jours après, un
sons alcooliques, les crises de somnambulisme épileptique les dé- lires transitoires parmi lesquels l'auteur range les ac
est certain d'ailleurs que, pour interpréter une radioscopie, pour lire un radiogramme, il faut des connaissances anatomi
de Nissl et de Cajal. Voici les objections qu'on leur a faites : lu La cadavérisation provoque des altérations rapide
permettent pas de voir ensuite les i 1 léi-at ions patliogiioiiioil i( lue ? Pour faire face à cette objection, 3131. Gitb
gues dans les cellules hépatiques, et beaucoup de lésions hépati - ( lue " peuvent ahout il' à des symptômes analogues d'in
sie générale diabétique peut se manifester sous di- verses formes : lu être accidentelle et disparaître rapidement; 2°
étudiée chez malades à l'aide d'un test (reproduction d'une phrase lue ); la synthèse s'effectue mal,mais elle est possib
core ce compte-rendu est-il fort imparfait et l'ouvrage doit être lu . Il vient à son heure ; il était nécessaire. E. C
ntinués. Docteur Frank. (Zurich). . PROGRAMME 1. Généralités. lu Recherches sur la progression numérique des mal
r « épilepsie avec, attaques rares et débilité mentale ». Il savait lire et écrire. Quelques mois après l'entrée, il pré
lus : « Les lamelles sont minces; colles de l'amygdale, du vermis, ( lu ilocculus sont plus épaisses ? D'une façon géné
la vision est seulement centrale. Cependant, même à ce degré, ni lira (T't-l;bin7, ni Kornfeld, n'ont trouvé des lésio
toire ont confirmé ce qu'avait fait prévoir la clinique ; le dé- lire des infections et des intoxications aiguës doit d
ue et du réseau. Mais les images des cellules ganglion- naires, par lu contraste qui existe entre la couleur bleuâtre de
reuse, crcographirluc, dynamométrique, de l'attention, ch/'onoscopi( lue , de la dictée, du calcul, de la mémoire des chil-
T.\. (In Rivista di- Freniatria, 1904. Vol. XXX, fasc. II-111.) ' lu Les éléments qui constituent le tube médullaire o
tracasseries dirigées con- tre lui d'une manière toute spéciale. lise décide à quitter Paris pour aller chez lui, pensa
de crises hystériques et épileptiques. Historique. La petite fille Lu ..1 ? âgée de onze ans, était très bien portante
né : ale pré- existante, .léserais donc assez disposé à me ranger à lu vis de MM. Brissaud, Raymond et Ballet. Il résu
le entre le myxoedème infantile et le mon- golisme, que chacun a pu lire dans les procès-verbaux du Congrès. Ce parallèl
iques. » Dans le Traité des maladies nerveuses de Kraft-Ebing, je lis : « Vu que nous ne connaissons que très peu les c
z les deux en même temps et pendant qua- tre jours. Jamais l'une ne lut malade sans que l'autre ne le fut aussi ; ensem
lles n'étaient guère capables de garder longtemps le silence, elles lisaient tour à tour les livres pieux et les romans les
famille d'aliénés ; s'il n'avait jamais poussé jusqu'au délire, il lut toute sa vie un mélancolique hypochondriaquo ; il
re époque des folies diaboliques du Moyen-Age dont elles a- varient lu les descriptions et qui avaient frappé fortement
grande amélioration se produisit et en moins d'un mois la guérison lut complète chez les deux. Toutefois, nous jugeâme
verbales. La méthode pour obtenir ces réactions est celle-ci : on lisait avec la même rapidité possible les chiffres depui
A chaque intervalle de 5 minutes, on notait le nombre des chiffres lus . La vitesse de la prononciation, indépendante d
onnelle due à la qualité de ses membres et à la valeur des rapports lus aux séances. Le Congrès avait été organisé d'un
su- rée et nous ne pouvons déjà étudier suffisamment les rapports lus aux séances. Qu'il nous soit permis cependant
leur vie un paradis. Jamais ils ne risquent rien, non. Cependant tu lis bien quel- quefois dans les journaux un fait di
nt. Eh bien, ô étranger ! sais-tu la cause de ces accidents ? sais- lu que si les pensionnaires étaient surveillés plu
i souvent. Et c'est encore faute de surveillance que tu peux encore lire ceci : Privas, le 10 août 1900. Vendredi, le
ne changeras rien à ta vie et tu ne te croiras pas obligé, même si lu es membre d'une commission de surveillance, à e
lessé très grièvement un gardien. Voici dans quelles circonstances, lisons -nous dans le rapport qu'a bien voulu nous commu
r un de no» pension- naires, ancien instituteur ; deux ont appris à lire couramment, font des dictées du certificat d'ét
in et y ont fait des progrès. Trois autres ont appris à écrire et à lire couramment. Deux autres commencent à écrire seule
rations intéressantes sur la psychose maniaco-dépressive, le dé- lire chronique systématique, la folie périodique, la c
endu du pied du lit. « La veille l'ayant trouvé plus anxieux, je le lis passer au quar- tier d'observation, pour qu'il
. Zur Behandl. der epid. Ganiclcstarre. Mimchenner med. Wochenschr, lut v. 51, no. 12, Mardi 21. Léri, André, Mening. c
tïl. Huprecht. M. Ein unter der Form einer Mening. cerebro-spina- lis verlaul'cncr otitischer Ilirnal7scess mit éiterha
adj, de l' Aile ,l'Armentières, Chargé du cours de mcdee. ment, à lu Faculté de Lille. et L. DCiBAIt, (d'Armenti
sait d'un sujet intelligent, lisant, écrivant couramment, habitué à lire les journaux, et comprenant bien la significati
314 . CLINIQUE MENTAL ? 3 3 mai. Trois minutes après lui avoir fait lire et copier la phrase imprimée : Un ami nous fait
cherche ; il en a ensuite une image visuella que nous l'invitons à lire et il l'épelle lentement, mettant quelques seco
les lettres, nous le lui faisons alors prononcer en l'in- vitant à lire cette image. 18 mai. Il met encore 20" pour pro
bout de quelques secondes il a eu le souvenir visuel du titre, l'a lu mentalement et au bout d'environ 20 secondes no
lons, D ? regarde nos lèvres, afin dit-il de mieux comprendre. Nous lisons le journal à haute voix; des mots qu'il compren
iblement : Vous ne savez plus écrire ? Il met plus d'une minute à lire cette question. Ecris ton nom. Après une minute
ton nom. Après une minute 1/2 d'efforts, il lit : Crire crire.Au.. lu mon.-Nous lui montrons imprimés les mots équili
l. La lecture est toujours difficile, le mot manus- crit maison est lu en 10 "; la lettre l est toujours pour lui un o
iffrer le mot ancien dans un journal. Il met près d'une minute pour lire la lettre t, lit très vite u, moins vite s (10
ercher dans le journal la lettre a. Lç nombre manuscrit 3.450 est lu en 10 " le nombre im- primé 4.913 est lu en 30
nombre manuscrit 3.450 est lu en 10 " le nombre im- primé 4.913 est lu en 30 ". Il doit pour y parvenir lire d'abord c
" le nombre im- primé 4.913 est lu en 30 ". Il doit pour y parvenir lire d'abord chiffre par chiffre. 12 avril. Il se
venir lire d'abord chiffre par chiffre. 12 avril. Il se plaint de lire moins bien qu'hier, il recon- naît les lettres,
u'hier, il recon- naît les lettres, les épelle,et ne peut arriver à lire le mot. Il a m,s dix minutes ce matin pour lire
t ne peut arriver à lire le mot. Il a m,s dix minutes ce matin pour lire le mot imprimé citoyenne. Il prend le mot impri
e : Vous pouvez fumer une cigarette, nécessite 65 " d'efforts, il a lu lettre par lettre, puis a cherché les syllabes.
uis a cherché les syllabes. Il a compris le sens de la phrase. Pour lire la phrase imprimée ; La session ordinaire des c
re des conseils généraux, il met 70 ". Il lui faut 45 secondes pour lire le mot imprimé oiseaux, ce temps se décompose d
nous le plaçons en trois endroits d'une liste que nous lui faisons lire . Or, tandis qu'il ne met que 10 ", 10 " puis 6
ns lire. Or, tandis qu'il ne met que 10 ", 10 " puis 6 " enfin pour lire son nom il met de 30 à 45 " pour déchiffrer les
cé, aussi est-il fier des progrès qu'il a faits. Il devait au début lire lettre par lettre, puis syllabepar syllabe, dep
je dois encore gagner du pain pour eux. Chaque fois que j'essaie de lire le journal, j'ai du chagrin, l'idée de ne plus
ssaie de lire le journal, j'ai du chagrin, l'idée de ne plus savoir lire , l'idée de n'avoir plus de mémoire, je ne saurai
ie du territoire, dans des villages ou même dans des villes. Nous lisons dans les rapports de MM. Sutherland et Macphers
eilla, il alla dans le temple et, devant l'image de la divinité, il lira énormément sa langue et la coupa. Les médecins
u'elle existe pendant la phase d'atonie et de placidité complète. lis Si la trépidation épileploide apparaît sous l'ane
mbre des ras connus. G. C. 470 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. \ lut . - Quelques manifestations cérébrales du rhuma-
les prédispositions individuelles, le rhumatisme chronique loca- lise à telle ou telle partie du système nerveux les ma
t. L'auteur montre encore la réalité du sub-conscient par les dé- lires appelés par lui délires à éclipse « formations dé
24 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
ns toutes ces expériences magnétiques, c’est une turgescence de toute lu glande mammaire par les attouchements magnétiques
ommé par M. Regazzoni d insérer sa réponse à l'article qu’on vient de lire , a publié dans son numéro du 5 janvier, la lettre
e : A M. le Rédacteur en chef de la Gazette hebdomadaire. « Ayant lu , dans le numéro du 10 novembre de la Gazette de M
de simple renseignement que je vous l’adresse................. J’ai lu avec le plus grand plaisir la relation des procéd
ssises de la Sarthe, sur l’assassinat du malheureux Gre-nouilleau, je lis les faits suivants : « M. le procureur-général,
ans la Bonne aventure, il a pris, pour pivot de l’action de son roman lu prévision. Dès le début de cet ouvrage, l’auteu
it la bonne aven-tuie à ceux qui viennent la consulter. Ses moyens de lire dans l’avenir sont multipliés ; elle examine la m
le présent suffît pour révéler le passé et l'avenir à celui qui sait lire et observer. 11 n’est aucun de nous qui, à chaque
plus authentiques. Nous citerons en particulier Deleuze, Mémoire sur lu faculté de précision, et Bareste, la Fin des temp
s est devenu son mari, et que par conséquent la devineresse n’a pu ni lire dans sa pensée, ni procéder par conjecture. Bie
idée si répandue chez les anciens, que les mourants avaient le don de lire dans l’avenir. Il y en a qui, pour entrer en cris
idée si répandue chez les anciens, que les mourants avaient le don de lire dans l’avenir. Il y en a qui, pour entrer en cris
ngers d’une curiosité indiscrète. 11 est bien imprudent de chercher à lire notre avenir, dont la connaissance serait le plus
utie feuille... C’est pour cette petite... Je voudrais bien pouvoir lire ... Cela m’intéresse... C’est une leçon pour cette
arle là-bns... » Elle fit pendant une heure des efforts inouïs pour lire le cahier de la petite, qui lui paraissait si jol
nous trouvons dans Esquirol une observation très-curieuse où le >}* lus important des sécréteurs, la peau, joue évidemmen
ndue ; et ceux qui prétendent posséder la faculté de clairvoyance, de lire des mots enfermés en des boîtes opaques, etc., ra
ltation succède une dépression beaucoup plus grande que la torpeur ( lu sommeil naturel. Les sens spéciaux et les muscles
l’insuccès dû aux agents physiques? L’extrait suivant, d’un Mémoire lu dernièrement à la Société par M. Arnette, me semb
reçu, le 10 courant, votre honorée du 20 septembre dernier, que j’ai lue avec beaucoup de plaisir. Les plus bienfaisants
ue. Nous allons, monsieur, faire beaucoup rire les savants qui nous liront , ces hommes forts vont se tenir les côtes. 11 fau
uteilles d’une liqueur contenant un grand nombre d’épingles ; puis il lut trois fois, et au rebours, le psaume 37. Enfin il
nir à son premier argument, qui est pê-remptoire. Il est curieux de lire les entretiens de l’auteur avec l’esprit qui meut
ant érudit, auquel on présenta le papier écrit par la jeune médium, y lut une phrase irréprochable et remarqua avec étonnem
uvenirs, il compulsa toutes ses notes, tous les ouvra-ges qu’il avait lus , il n’y trouva rien qui ressemblât, même de loin,
ses discours. On ne manquait pas d’objecter que la somnambule lucide lisait dans la pensée des consultants et en composait de
ToiiE XIV. — X“ *01». — 10 avril 1455. 7 INSTITUTIONS. Société « lu .UcNiiiérlMinc de Purii«. PROFESSION DE FOI D’E
s. L'aîné BESSON. ERRATl'M. Page 64, ligne 57 ; service imminent, lisez : éminent. 2° MAGNÉTISATION A TEMPS. Le somna
iques. Son opinion à cet égard ne saurait être douteuse, il suffit de lire le portrait dramatique et coloré qu’il en fait.
s et interprétés subtilement ; mais qu’un homme, même endormi, puisse lire directement la pensée d’un autre en son âme, cela
ès. De là pourra se déduire la règle; en attendant : ndhuc sub judice lis est. M. Ragon explique d’une manière que nous c
stomac, en lui ordonnant de se rappeler. Le sommeil était-il vrai, ou lu volonté du magnétiseur suffisait-elle ? » Oui,
ation normale, la peau moite; enfin, sauf une anesthésie complète (le lu peau et l’état des yeux qui sont convulsés vers l
son sommeil sur la cause de ses accès ; elle me répond qu’elle a dans lu tête un ver avec beaucoup de pattes. A une heur
Nous ne savons à qui se rapportent les condamnations dont on vient de lire l’énoncé. 11 n’y a, croyons-nous, pour le moment,
étique ; mais lorsque le jour sera venu où les divines paroles seront lues par tous, nous n’existerons plus, cela est certai
U POTET. Le Gérant : IIÉBEKT (de Camay)- INSTITUTIONS. Société « lu llcsniériMiic de l'nrls. DE LA CURABILITÉ DES M
us n’avez cessé de me donner des marques si flatteuses. J’ai beaucoup lu , beaucoup observé, beaucoup comparé ; voilà mon s
l’Auteur, rue du faubourg Saint-Honoré, 6. » Dès que nous aurons pu lire ce travail, nous nous empresserons de constater c
nce qu’il a mise au jour. Mais ses adversaires se gardent bien de les lire . Qu’importe que ces œuvres soient signées de noms
, de Deleuze? Qu’importe à M. Segond? il ne s’en inquiète guère. 11 a lu l’admirable rapport de Bailly, et, comme l’abbé d
is, et dans lesquelles celui-ci avait joué avec lui aux cartes, avait lu une lettre cachetée ainsi que des papiers renferm
sympathiques. D' LOUYET. 20 juin 185*. INSTITUTIONS. SoelHé « lu iiit^iK'dsme «le Paris. Dans une vente d’autogr
des Annales du Magnétisme de cette année 1816, et ce que je viens d’y lire n’a fait que me confirmer dans mes craintes à l’é
cultés dont sont doués les somnambules, la science reconnaît celle de lire dans la pensée de leurs magnétiseurs tout en reco
rs, avec notre théorie positive, allons donc! Ne vous semble-t-il pas lire la scène du Médecin malgré lui et le fameux : Nou
pondantes, se familiarise avec l’administration du fluide magnétique. Lue fois son apprentissage technique fait, il s’eu va
chirurgicales, ressort naturellement des conclusions d’un rapport que lut , il va quelques mois, le D“ Robert à la Société d
présentera votre pratique ou qui sera soumis à votre examen, et vous lirez daus l’un, vous constaterez chez l’autre les cara
lles pour ne point entendre, il nous forcera à lui dire : Vous avez lu l’article de Montègre dans le Dictionnaire des sc
ons, avec les ouvrages à l’index, et les opinions proscrites , vous y lirez , avec quelque fruit peut-être les raisons que l’a
oici la lettre qu’à ce propos il a adressée aux rédacteurs : « J’ai lu avec intérêt l’article intitulé : Le Christianism
ndre de me trouver tout it coup à la hauteur des maîtres dont j’avais lu les ouvrages; aussi, le lendemain dimanche j’arri
ue j’étais dans ma boutique, au fond de mon comptoir vitré, occupée à lire le feuilleton de mon journal ; ma tante était à c
du mode moral et du mode matériel, non seulement tome XIV — N» *15. — lu AOBJ IR55. S'il est un conte usé, commun ot rcl
u point de vue civil. Mais d’abord, établissons notre thèse. V. — Lu pratique du magnétisme n’exige pas (l’art. Comm
ires pour établir qu’ils sont naturels à l’honune. X. — Identité de lu magnétisation èi titre bienveillant et de la béné
médecin. Le Gérant : HÉBERT (de Garnay). INSTITUTIONS. Société « lu Mesniérlsinc Ie Paris. DU MAGNÉTISME COMME MOYE
itulaire. (Suilc. — Voyez page Ô03.) XV. — De la bénédiction dans lu tradition religieuse. Nous avons, et sans trans
s facultés magnétiques, virtutes), qui se subdivisent en ceux qui ont lu faculté de guérir, de consoler (ojntulari), «lo d
ion. De même qu’il y a desjgens qui ne comprennent bien que ce qu’ils lisent des lèvres, de même il y a des gens qui ne peuven
sur l’enfant de la Sanamite (1) ? Pourquoi le (I) Voici le passage ( lu livro IV îles Rois, relatif à cette action du pro
et qui se croit appelé à le combattre comme en un champ clos ; qu’on lise les formules portant le cachet de la haine et de
par céder complètement sous l’influence de cet agent. [Abeille île lu Nouve/le-Orléans.) C. HEYNES. Le Gérant : lll
e dans laquelle il soutient qu’il n’est pas donné à une somnambule de lire dans l’avenir et de prédire un événement futur.
lations sur la nature desquelles nous ne savons encore presque ¡rien. Lu admettant que les tables parlantes et les medium
ES LA BAGUETTE DIVINATOIRE APPLIQUÉE A LA DÉCOUVERTE DES SOURCES. Lu Journal of M an, recueil consacré à l’aniliropolo
imentées feront marcher l’hydrologie et lui feront prendre rang parmi lus sciences positives. « JOHN W. WILKINSON. » L’
ira minutieusement des objets situés à plusieurs centaines de lieues, lira votre pensée, appréciera exactement vos maladies,
erie d'élite. Au commencement de la communication que l’on vient de lire , le docteur n’a désigné le nom du consultant que
ication ci-jointe est de nature à vous intéresser, je vous prie de la lire jusqu’au bout. Vous en ferez ensuite tel usage qu
le de Toulouse d’être entrée dans cette voie salutaire, et nous avons lu avec le plus vif intérêt la brochure que vient de
re duquel est loin d’avoir été dit le dernier mot. Lorsque vous aurez lu Puységur, Lutzelbourg, Tardy de Montravel, De-
t apparu, un pauvre diable de garçon de ferme, ne sachant, dit-on, ni lire ni écrire, habile seulement à préparer le lin, ho
ébats qui eurent lieu au congrès. Quoiqu’il se fût fait inscrire pour lire les développements de sa proposition et qu’il l’e
te la nation allemande : pensez quelle société! Je n’ai pas encore eu lu moindre occasion de parler de mes découvertes et
lle un livre tourné à l’envers-, elle donna le numéro de chaque page, lut des sentences, épela des mots, décrivit des peint
pais qui jusqu’ici en a dérobé les arcanes ii l’œil du vulgaire; il a lu , commenté, expliqué les œuvres réputées indéchiff
ens qui puissent se vanter d’y échapper; de sorte que si, après avoir lu attentivement le livre et vous être conformé de p
ègles astrologiques. M. Constant, tout en donnant des procédés pour lire l’avenir dans le ciel, fait justice-de cet art ch
n’avons que des éloges à donner à cette partie de l’ouvrage, qui sera lue avec fruit par tous les magnétistes. 11 fait entr
25 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
est ouverte à 4 h. 50. Le procès-verbal de la séance précédente est lu et adopté. Le Secrétaire-général fait part à la
essionnelles d'origine neurasthénique. A propos de la communication lue par M. Valcntin à la séance précédente, M. Dumont
u'il y ail hypnose, l'une qui regarde le sujet, l'autre l'opérateur ; lu troisième le moyen que celui-ci emploie. Dans le
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la séance précédente est lu par iM Valentin, secrétaire, et adopté. M. le D
est ouverte à 4 h. 10. Le procès-verbal do la séance précédente est lu par M.Valentin, secrétaire. Il est adopté. La c
que, par une lettre qui leur est adressée, ils peuvent, après l'avoir lue , tomber en hypnose, et se suggestionner à eux-mêm
sta huit à dis mois sans souffrir; mais au bout de ces dix mois, elle lut prise de douleurs dans la région lombaire, dans l
dénégations de l'hypnotisme et de l'automotisme du sujet. En 1859, lu Dr Azam, de Bordeaux, familiarisé avec les ouvrag
qui avait obtenu de merveilleux résultats avec les méthodes de Braid, lut , devant l'Académie des Sciences, un compte rendu
faction des brillants résultats obtenus par Azam, tout le plaisir que lut avait causé l'action de la Société. A partir de
aire, la maîtrise de soi-même qu'il fallait développer chez lui. a Je lis l'éloge de la volonté ; je montrai comment elle é
Hugo, « Et c'est un homme comme ceux-là qu'il faut devenir! * Dans lu deuxième partie, je faisais réaliser et passer en
ent, cette réduction est le critérium de la manifestation physique do lu vibration invisible dent on peut vérifier lu dire
anifestation physique do lu vibration invisible dent on peut vérifier lu direction et le sens de; nous à ce qui n'est pas
ser jusqu'au bout l'analyse de cet élément émotionnel? . J'adresserai lu même remarque a M. Edgar Bérillon, qui, du ???1?,
is, que j'étais arrivé moi-même à des conclusions presque identiques, lu jour où j'ai pris connaissance de leur mémoire.
to-suggestion par' l'application de l'article 901 du môme Code ; — do lu seconde, ù raison de la complicité do la veuve Au
es aimants et l'exposition expérimentale de leur influence illusoire, lu à New-York, devant l'Académie de Médecine, ressem
e son traitement, ni n'expliquaient ses succès. » La suggestion était lu source de tous les cilels bienfaisants de sa médi
e à ce sujet, depuis 1884, par le rapporteur, d'abord dans un Mémoire lu à l'Académie des sciences morales et politiques d
rfois, il lui semble qu'un de ses maîtres se tient là derrière lui et lut parle impérieusement; le plus souvent l'hallucina
leçons a pris fin ; il éprouve la même angoisse le jour où l'on doit lire les places de composition, tant il a peur de n'êt
nvestigation des phénomènes, et deux ans plus tard un rapport unanime lut présenté en faveur de l'authenticité des phénomèn
L'ÉTUDE SUR JAMES BRAID Par le Dr MILNE Bramwell Et de son rapport lu au Congrès de Bruxelles, Par le Professeur Bern
pport sur la valeur thérapeutique de l'hypnotisme et de la suggestion lu au Congrès de Bruxelles et dans son intéressante
ourrai briser sa résistance » Que le Dr Milno Bramwell veuille bien lire la Leçon VIII de ce livre, il se convaincra qu'il
n erronée queme prêtent, je ne sais pourquoi, tou3 ceux qui n'ont pas lu mes œuvres; je n'aijamais dit que tous les crimes
est ouverte à 4 h. 50. Le procès-verbal de la séance précédente est lu par M. Valentin, secrétaire. Il est adopté. La
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de )a précédente séance est lu par M.Valentin, secrétaire. Il est adopté. La c
s'attaque au Mémoire que, dix ans auparavant, j'avais eu l'honneur de lire , devant Y Académie des Sciences morales et politi
voir voulu la tuer, M"* E. P.. répond : a Je ne t'ai pas tuée puisque lu me parles ! » C'est de ces paroles mémos que Delb
mentale. Après ces deux opinions regrettables, je me réjouissais de lire celle de M. Bérillon, qui est un praticien de la
ISCUSSION M. Bérillon. — La dissertation que M. Hartenbcrg vient de lire à la Société doit être divisée en deux parties. D
fois la fin et les moyens, l'effet et la cause, le tout et la partie, lu matière et l'objet fabriqué, le particulier et le
ai indiqué ci-dessus. Une épidémie d'hypnomanie en Amérique. Nous lisons dans le Progrès Médical que les habitants de la v
ique. — Applications cliniques de l'hypnotisme. Co Cours commencera lu mardi 19 avril, à cinq heures, et continuera les
onseiller, le guide, le témoin et Je juge de toutes nos actions, sous lu point de vue du bien et du mal? La conscience, di
pas où les femmes, les jeunes filles ne soient exposées au contact, à lu présence, souvent prolongée, de gens de moralité
il important sur le somnambulisme provoqué. Ceux d'entre nous qui ont lu ce travail ont pu se rendre compte de la prudence
e de M. Dumontpallier. Le procès-verbal de la séance précédente est lu et adopté. La correspondance imprimée comprend
la Société, doivent être remis au secrétaire général, aussitôt après lu communication faite, ou au plus tard, sur le bure
ait vu un sujet endormi saigner du ne/, quand on le lui ordonnait. Il lut avec avidité le manuel du magnétiseur de Teste.
assistons à une conversation tenue dans une langue étrangère que nous lisons et écrivons, mais que nous n'avons pas l'habitude
trois cents couvents. François de Sales, l'auteur de VIntroduction à lu vie dévote, et Mme de Chantai fondaient l'ordre d
cérébral, qu'on substitue la rêverie au raisonnement, qu'on augmente lu suggestibililé, qu'on livre des esprits tout à l'
par le concile de Trente, qui fit en outre un devoir aux curés de la lire au prône chaque année à l'ouverture du temps pasc
me provoqué. L'on pourrait d'ailleurs, évidemment, — cela ne fait pas lu moindre doute, — faire la même chose ei obtenir l
aucune suggestion, ce qui eût empêche que celte pauvre femme — jusque lu épouse et mère irréprochable — fût livrée sans dé
tante, le rôle important que l'imitation inconsciente peut jouir dans lu production des troubles hystériques chez les enfa
Enfin, elle a de temps en temps des crises inquiétantes. Elle tombe à lu renverse, toute ruide, ayant toute l'apparence d'
.postule l'existence dans les cas d'aliénation mentale. C'est encore - lu un intéressant exemple de l'action et de la réact
seignait on Sorbonne ta théologie scolastique. Du Veigier lui faisaii lire les opuscules d'Augustin sur la grâce, et le déte
seize évéques ou archevêques, elle put lui ouvrir ses portes. » On lisait dans cet ouvrage, écrit avec une fermeté digne d'
d maître peut découvrir. Il fait alors montrer au malade sa main : il lu , répète tous les heureux pronostics du premier so
rs types d'espace (corporel, tactile, monoculaire, binoculaire). On y lira aussi avec intérêt le résumé de divers travaux en
urs occupé spécialement des troubles des centres nerveux, prétend que lu jeune fille en question est à l'abri de toute esp
n état d'automatisme. Par exemple, dans Suggestive Tkerapeulics, nous lisons , p. 8 : a Dans le somnambulisme profond, ou sixiè
néc des autres mystères de la religion. Fqrton. eonOnna ces dires, cl lut plusieurs pages de son livre sur L'alliance de la
r en Sorbonne, se rendirent chez Porlon. Au cours de cette séance, il lut un ouvrage sur le péché originel, où il montrait
se marier. Mais son père, ayant surpris ses intentions, lui extorqua lu signature d'un renouvellement et d'une ratificati
ce de M. Dduostpalmer. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. La correspondance manuscrite compren
llain, Liégeois, Masoin (de Louvain ctAuguste Voisin, pour constituer lu commission chargée d'organiser le deuxième Congrè
appendice à cette traduction de l'ouvrage de Wetterstrand, on pourra lire quelques lettres adressées, il y a quelques année
26 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
ne suis par sûr, dit Maudsley, que le somnambule ne puisse arriver à lire inconsciemment dans l'esprit par une imitation in
ie longuement la littérature criminelle: il nous apprend quels livres lisent les criminels ; il a relevé les inscriptions dont
uvrent les murailles et les marges des livres qu'on leur prête ; il a lu des volumes entiers de prose et de poésie, sortis
NOTISME DANS LE ROMAN Un Raffiné Par M. L. ACHILLE (1) Nous avons lu avec un véritable intérêt le roman de M. L. Achil
ers les âges, chez toutes les nations, nous retrouvons l'anti Vaneris lues . Il y a cinq mille ans les livres chinois en pa
ses bottes éperonnées ce qui enragea tellement le Gae! rritable qu'il lut sur le point de le rosser. Mais grâce à mes remon
t malades, angoissés, il leur est impossible d'y résister et toujours lu satisfaction de l'idée, si futile qu'elle soit, a
M. M... est entré dans un café, il s'est fait servir une absinthe, a lu un journal, et est parti sans la prendre. Il décl
u'il se pourra» grâce à la suggestion, que dans l'an 2000, l'humanité lut déjà beaucoup améliorée. Nous nous bornons, nous,
pides. » Cest à peine s'il consentait à obliger les enfants de savoir lire pour l'âge de 12 ans. Personne n'ira aussi loin q
: nique. C'est une paralysie-épilogue, un phénomène concomitant avec lu période de déclin de l'affection. Hn outre, dans
e rendre un compte exact de l'ampleur des vues qui y régnent, il faut lire ces pages en entier. Afin d'en donner un succinct
e les plus importants de notre enseignement médical. Rien ne serait lu . facile que de provoquer, par le dépôt d'un proje
uelques divertissements fort applaudis. C'est ainsi qu'ils nous ont lu et distribué le numéro exceptionnel d'une Revue i
cas un agent thérapeutique de la plus grande valeur, il suffirait de lire les communications faites au Congrès internationa
t, qui l'aimait beaucoup. Elle avait aussi beaucoup d'aft'ection pour lu .; mais on ne se refait pas, et quand on a eu un c
oll (Der hypnotismus, Berlin, 1890,2e éd.) n'est pas aussi agréable à lire que celui de son collègue anglais, mais il est pl
rsonnes étrangères,, non préparées, n'ayant jamais vu. ni entendu, ni lu quelque chose sur cette question: en étudiant l'e
e distance de trois mètres, l'œil gauche aun mètre. Il ne pouvait pas lire , mais il pouvait prendre des notes, lire, l'heure
aun mètre. Il ne pouvait pas lire, mais il pouvait prendre des notes, lire , l'heure sur une montre à fines aiguilles, distin
mbre 1806 Dr F. van Eeden POLÉMIQUE L'Hypnotisme et l'Église Nous lisons dans un journal italien (Fanfulla) l'article suiv
gne patho-gnomonique de folie, puisqu'on les rencontre également chez lus personnes saines d'esprit. La folie du doute es
é toute l'histoire dî ses inquiétudes et de sa maladie. Il a beaucoup lu de livres de médecine, s'est instruit sur 1' hypn
. présente, dit-il, deux signes physiques de folie raisonnante" (il a lu l'his-toire de Sandon par Legrand du Saulle). d'a
qui s'était chargé de l'élever, la plaça comme bonne d'enfants. Elle lut en service pendant 14 ans. Jamais malade. Jamais
années les idées l'obsédaient de plus en plus. Dé quelle se mettait à lire ou à quelque autre occupation les questions la
» Je veux ajouter encore que le * lévrier 1890 un parent du malade me lut une lettre de sa mère qui confirme sa guérison ab
gris, qui tantôt le fouettait de bouquets 3e ces mêmes fleurs, tantôt lut en montrait des plaines entières en train de se f
, n'est p;is aussi facile qu'on serait tenté de le croire après avoir lu l'article de M. Voisin (1) où il parle de la guér
onnement par l'aconit. Lamson avait gagne le continent, mais quand il lut dans le Times le récit de son crime, il commit l'
j'ai vu bien des névroses guéries, je n'en ai vu aucune provoquée par lu suggestion ! J'ai vu bien des intelligences resta
par ! : loi ; c'est-à-dire qu'il n'a commis le délit ou le crime qui lut est imputé que contraint par une force à laquelle
à l'Eden et aux Folies-Bergères. Le caractère de G... paraît étranger lises tribulations, car il est doux et tranquille. Tout
ignés et se partagent la vie du sujet; dans le troisième (reversion), lu personnalité qui surgit durant le sommeil n'est q
dotes, de citations curieuses, d'idées paradoxales. On retrouve, à le lire , l'impression d'éblouissement et d'inquiétude que
'.ifme et médecine légale) (l'iener jabris tr. der geriebSicb Med.. LU 1, 1S90.) SCI1 DER : Hvpnotitme. Med. po^ul. ao m
il fallut tout lui enseigner a nouveau; ainsi elle dut réapprendre a lire , à écrire, à compter; peu à peu. elle se familiar
sté contracture. Il se croyait au 26 janvier : il fut ébahi quand or. lut fit remarquer que les feuilles poussaient aux arb
au domaine des autres sciences positives. Le mémoire suivant a été lu , en 1865, devant l'Académie des sciences de Vienn
nt comme des découvertes personnelles (2), les expériences qu'ils ont lues , sans toujours les avoir bien comprises. En faisa
es suggestions par des actions en héteronome. Or. voici ce qu'on peut lire à la page 247 de mon livre sur les Forces non déf
cès Gouffé, M. le professeur Brouardel dit ce qui suit : - Nous avons lu . dans le journal C Hypnotisme (i), une consultati
crime sous une autosuggestion, parce que, dans son enfance, il avait lu une scène semblable dans un roman de Ponson du Te
'ils étaient de noire école, qu'ils acceptaient notre doctrine, (1) Lisez la fU-cur l- CHypnolismt. seront étonnés d'appr
ger l'espèce par l'indulgence ou l'impunité. Comme vous venez de le lire , je ne partage pas les vues de l'Kcole de Nancy s
urs reprises. En mai dernier, je suis retourné à Nancy, et Ton pourra lire prochainement, dans la Bévue de Belgique, le réci
ulent faire usage de la jeune science, les médecins principalement, à lire et a étudier le nouveau livre de M. Bernheim. ann
le lendemain du juur où nous avions terminé notre examen, nous avons lu dans le journal la Revue de r hypnotisme (3), une
nfluence d'une auto-suggestion, parce que, dans son enfance, il avait lu une scène semblable dans un roman de Ponson du Te
u qu'on lui élève du moins un buste. Il le mérite d'autant plus qu'il lut en quelque sorte le patron de l'Université de Lyo
qu'il faut faire telle chose et qu'il faut s'abstenir de telle autre, lis le savent mais ils ne le sentent pas ; et dès tor
a vérité. Mais c'est l'impression qui résulte pour moi de ce que j'ai lu sur eUe; cl, d'après cette impression, moins affi
isaient entendre : Gilles de La Tourette et Guermonprez. Il suffit de lire le volume des comptes rendus du Congrès pour s'as
ne jeune actrice, Clotilde J..., à Nice, vitriole son amant. Comme on lut demandait à quelle époque elle avait songé a. se
vait songé a. se venger : — Depuis un jour, a-t-elle répondu, où j'ai lu , dans un journal de Paris, un article relatif aux
ne détonation pareille à Auxerre. En 1825, à Paris, Henriette Cornier lue cruellement un enfant qu'elle gardait ; un peu ap
en! ces juges-là font de la mauvaise besogne, de la besogne immorale, lis démoralisent la société et envoient au crime des
ilement réalisables. 11 voudrait, avec M. Garofalo, que le condamné â lu prison y reste jusqu'à ce que, par son travail, i
ose. Au surplus voici ce qui s'était pa-se..... Vous m'avez donné à lire le rapport de MM. les experts requis par l'accu
limité : le sieur Vandevoir était-il hypoolisable ou non? On vient de lire les certificats de l'Ecole de Nancy et le mien. D
était à gauche en dessous de l'ombilic et sur une ligne allant (Il Lu rédacu'on de ce travail, sauf les notes et le pos
t que la veille. M. Delbœuf endormît encore une fois la patiente et lut dit qu'elle ne perdrait plus de sang, que le lend
tte femme, qui s'endort instantanément sur un signe, comme on a pu le lire dans mes articles de la Revue philosophique, a ré
risseurs de ? raine-le- Cnate au Mon cher Rédacteur eu chef. J'ai lu avec éionnement dans la Revue de [Hypnotisme (liv
ntrée ici, ni de tout ce qui s'est passé depuis 1885. Elle a appris à lire , écrire et calculer dans son état B et c'est une
le a oublié tout ce qu elle lui avait appris, et elle ne sait plus ni lire , ni écrire, ni compter, ni travailler à l'aiguill
son état normal d'autrefois, l'état A, dans lequel elle ne savait ni lire ni écrire. Elle a oublié aussi et l'Exposition et
à l'heure se reproduisent instantanément aussi : elle sait de nouveau lire , écrire et travailler, reconnaît les personnes du
nt nerveux, in-S*. 480 pages, deuxième édition. — J-B. Baillière et lus . 19, rueHauiefeuille (près le b' Saint-Germain),
rêt que présentent de pareils sujets au point de vue physiologique. « lis réalisent, comme l'a dit M. Gley, de véritables e
27 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
en effet, une œuvre incomparable, non surpassée, non égalée, trop peu lue de nos jours ; et puis, elles ont été en grande p
e relativement restreint de succès... » Pour écrire ce qu'on vient de lire , il faut, arbitrairement, supprimer d'un trait de
'Académie de Médecine. Le procès-verbal de la séance précédente est lu et adopté. M. Fiessin-ger, président, de la séanc
ypnotisme, et ce n'est qu'en 1881, aux portes de la vieillesse, qu'il lut à l'Académie des sciences morales et politiques u
donne à l'appui sont bien faits pour convaincre. Quel juge, les ayant lus . se refusera à reconnaître l'importance de l'hypn
t-on bien fixé sur la pathogénie de la neurasthénie. Chaque jour nous lisons des articles très bien faits qui se contredisent.
a plus tenace ne pouvait vaincre sa résistance. Si ??s malades ne lisent et n'écrivent que parce qu'elles sont incapables
ue parce qu'elles sont incapables d'attention, elles aiment cependant lire ce qui a trait à leur maladie et écrire pour conf
ersonnes qui veulent se perfectionner dans la science de l'Hypnotisme liront avec intérêt ce livre dont un des principaux méri
ERRATA Dans le numéro dé juillet 1909. Page 8, lignes 12 et 18. lire : il constitue on procédé commode et efficace; il
l donne des résultats rapides et durables. Page 9. lignes 15 et 16. lire : les conditions psychologiques et physiologiques
son sommeil. Page 9, ligne 34. au Heu de : opération nu choroforme, lire : opération sans chloroforme. L'administrateur:
rêves Et vos lueurs sont te reflet De l'enfer on mon cœur se plaît! Lu Fuch do Mal : (Horreur sympathique.) Pendant
e ce dernier chapitre nous extrayons les observations suivantes qu'on lira avec intérêt et profit. Dans le domaine du syst
é me (1) Dans le Journal des Praticiens dn 16 octobre 1909, on peut lire , sur ce sujet, les lignes suivantes : « Tel méd
ais il écrit comme quelqu'un qui en a l'idolâtrie. En effet, nous lisons , à la page 52: « L'homme à qui l'on confère le di
de l'intellectualité de ses contradicteurs, faut-il qu'il les ait peu lus . pour croire qu'ils aient des prétentions aussi é
phobie antireligieuse ». On a ça vers les dix-huit ans. Farez n'a pas lu mon livre. Je le renvoie à l'introduction du tome
est ouverte à 4 h. 43. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. 31. le Secrétaire général anuonce a
de la Société en prononçant aux. obsèques l'émouvant discoure qu'on a lu dans la Reçue de l'Hypnotisme : mais ce qu'il n'a
je soignais l'autre malade, cette dame reposait sur un sofa occupée à lire ou à coudre et je suis sur qu'elle ne prêtait auc
CHRNIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de psychologie Lu prochaine séance de lu Société d'hypnologie et de
NCE Société d'hypnologie et de psychologie Lu prochaine séance de lu Société d'hypnologie et de psychologie aura lieu
e. Dr Paul Farez : L'onirothérapie suggérée. Dr Berillon :Bôle de lu détente musculaire dans la production de l'hypnot
e) La neuvième séance le réouverture îles cours, aura tien le lundi lu Janvier, a ?> heures, sons In présidence de M.
présidence de M. ?????. député, uncien ministre. ORDRE DXJ JOUR : lu 1)" ????.1.?\ : 1? programme de l'Ecole de Psycho
hologie pathologique. D' Paul Faiirz. professeur. Objet du cours: Lu psychologie-physiologie de la soif. /•'* samedi*
suggestion, sont allés même jusqu'à dire qu'elle est, dans ce cas. j lus puissante sur l'orgauisme qu'elle ne peut l'être
nom contradictoire à'état de veille hypnotique. Pour celui qui sait lire à travers les lignes, ces contradictions ne sont
animité que la terre ne peut pas être sphérique (2). Lorsque Howard lut à la Société royale de Londres un compte rendu de
Le lendemain, dans l'après-midi, je reçois de lui un pneumatique. Je lis : « Je n'ai pas eu conscience d'avoir été, hier,
r, cette hypotaxie existe tout naturellement chez chacun guéris par lu su™eslion pendant lu narcose éthyl-méthylique, Re
iste tout naturellement chez chacun guéris par lu su™eslion pendant lu narcose éthyl-méthylique, Revue de l'hypn., avril
est ouverte à 1 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le Secrétaire-Général donne lectu
t vers dix heures et demie ; mais, un peu après minuit (MDie Matéyéva lisait à ce moment), elle se réveille pour dire qu'elle
éation de l'Ecole de psychologie. Je fus fort surpris, je l'avoue, de lut entendre dire qu'il était parfaitement au courant
t adonnés k l'étude de la psychothérapie, n'aient pas pris le soin de lire les pages si instructives consacrées par Lasègue
ne oreille indifférente ; et l'on s ex, lique sans peine, après avoir lu son ouvrage, l'enthousiasme de ces étudiants amér
res et demie, sous la présidence de M. le Dr Jules Voisin, médecin de lu Salpétriere. Les séances ont lieu le troisième
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal à la précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend des lettr
ul Magnin, professeur à l'Ecole de psychologie. LrxT>t 7 Mars. — Lu psychologie du bonheur : sa réalisation par l'édu
populaires en usage dans les divers pays. L'âme du chirurgien A lu séuiice mutuelle de la Société de Chirurgie, le D
ue se heurtent dans l'esprit des malades a des boucliers provenant de lu même fabrique. En fin de compte, Il n'est pas pro
n'a, pour les guérir, d'autre remède qu'un traitement purement moral, lu persuasion. « Tel est, dans ses principes, l'en
lleux. « La méthode, que M. Déjerine croit être la seule vraie, est lu persuasion ; elle s'adresse directement aux facul
e la création. Ce n'est donc pas seulement a la biologie générale que lu psychologie doit se référer pour organiser sa mét
livre de M1"* de Salberg beaucoup d'autres signes qui. si vous savez lire , comme elle, sur les lignes et entre les lignes,
ous gagne, ou quand nous ne sommes encore qu'imparfaitement éveillés. lis constituent un genre à part d'hallucination auque
ment mentale, s'endorment sitôt qu'elles veulent méditer ou seulement lire . Voilà pourquoi un discours, un livre ennuyeux
ouverte à cinq heures. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend des lettr
difficulté de la documentation, à canse de la pudeur naturelle de lu femme qui lui fait taire toute allusion à ces sor
l'auteur. Il dut a cette facnlté la réputation d'un prédicateur dont lu réputation s'étendit à tonte l'Italie. Le père
esseur Albert Robin M. le 1 > ? :¦ ¦ : -1 : i r.-1 - - qui, unns lu Chronique médicale, donne des silhouettes médical
t digne de leur valeur, 11 a formulé, en ne prenant d'autre guide que lu remarquable diversité de ses aptitudes, le traite
ction puissante que la voix humaine exerce sur les nerfs de la femme. Lisez , pour vous en convaincre, une nouvelle publiée pa
s, et habituellement sous forme de réminiscences oniriques, Il faut lire les travaux de cet auteur pour saisir avec quelle
téressants de ces effusions de la vénérable Agnès Blannbekin : Nous lisons dans la préface : La dite Agnès vécut vers la fin
», Etiologie psychogéule et thérapeutique psychique du vagi-nisnie d* lu clinique gynécologique de l'hôpital de Fruukfurt
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. II. le Secrétaire Général donne lect
iété d'hypnologie aura lieu le mardi 17 mal à 4 heures el demie, sous lu présidence de II. le D[ Jules Voisin, médecin de
es el demie, sous lu présidence de II. le D[ Jules Voisin, médecin de lu Salpotrlère. Les séances ont lieu le troisième
e est ouverte à 4 h. 45, le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le secrétaire général donne lectu
nce est ouverte à 4 h. 45, le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le secrétaire-général donne lectu
t ouverte à cinq heures. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. Le secrétaire général donne lecture de
28 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
ativement aux deux autres éléments du langage. Notre malade peut—elle lire mentalement et comprendre ce qu'elle lit: A-t-ell
ots: a Admission d'urgence. » M. Charcot, s'adressant à la malade : Lisez , je vous prie, et dites-moi ce que cela veut dire
llons, cette fois-ci c'est parlait : vous voyez que notre malade peut lire et qu'elle comprend fort bien ce qu'elle lit ; el
Le succès avec lequel le Dr Howes réussit à lui apprendre à parler, à lire , à écrire avec les mains est aussi une histoire c
ère, elle consentit à se laisser hypnotiser. Une seule suggestion lui lut laite, celle de ne plus se mettre en colère et d'
On lui persuade qu'il bégaie, qu'il est ivre, qu'il est paralysé; on lut fait boire de l'eau pour du Champagne, etc.. mais
uelques mots très intéressants sur la sourde-muette Laura Bridgman.Je lis quelque chose de semblable dans un ouvrage imprim
vous dans quelles conditions l'action des métaux sur les hystériques lut découverte par le docteur Burq : Une jeune femm
ais si tous acceptent le fait d'observation qui est in- (1) Rapport lu au Congrès de médecine mentale. _ (2) Delasiauv
'état de veille sur les vaso-moteurs utéro-ovariens. 3° L'action de lu suggestion dans l'état hypnotique sur les vaso-mo
e qui. agissant sur le centre génito-spinal de Budgz et Goltz,, amène lu suspension d'action des nerfs vasos-moteurs de l'
vez confiance, votre foi vous a sauvée, et à l'heure même cette femme lut guérie. Ce dernier exemple nous montre l'idée dan
nd. Cette malade étant en même temps atteinte d'anorexie. M. Bérillon lut fait les suggestions suivantes: « Votre perte va
a besoin d'être acceptée et dirigée dans le sens voulu. Ce n'est pas lu parole de l'opérateur, c'est Le cerveau do l'opér
paravant; une hypércslhesîc hystérique de l'abdomen avec vomissements lut enlevée en deux séances. La suggestion seule inca
ours ? Une hystérique monoplègique ou aphasique a entendu les prêtres lu : répéter du haut de La chaire qu'il est des eaux
viron, a été atteinte il y a six ans, d'une attaque apoplectique, qui lut a causé de l'aphasie temporaire, de la para, lysi
es années, et que la suggestion a rendu actif, capable de marcher, de lire les journaux pendant ? a S mois, jusqu'au moment
ssoupir, mais je dois à la vérité d'avancer que tous ceux-ci ont fini lût ou tard par m'avouer qu'ils avaient feint le somm
e la Tourelle pourrait s'adresser au rapport de M. Liégeois, qui sera lu dans une des prochaines séances, et non pas au mi
le Dr CULLERRE. — Paris, J.-B. Bail-lière, in-12, 618 pages, 1890. Lu maladies de l'esprit : Etudes cliniques et médico
t où je faisais ordinairement mes expériences d'auto-suggestion, j'ai lu un chapitre sur les hallucinations. Cette lecture
, de parler, de dire si elle était tout à fait muette ; la suggestion lut répétée quantité de fois en variant les procédés,
voisine, la porte ouverte; et, à la quatrième séance, elle parlait et lisait assez haut et assez distinctement. Au bout de d
le fruit de l'éducation. L'auteur italien a longuement montré combien lus enfants sont généralement menteurs, voleurs, gour
t déclare que son frère est un « méque ». Assez intelligente, sachant lire et écrire, bien qu'elle ait passé fort peu de tem
sa soeur lui ayant présenté le frère de son amant, elle se prit pour lu ; d'un « béguin » et resta avec lui un certain tem
eune. Cest un garçon de seize ans. peu intelligent, sachant néanmoins lire et écrire, aux oreilles larges et écartées, aux a
ondes, entre les deux pages d'un code qu'on ne leur avait pas donné à lire ». CONGRÈS INTERNATIONAL DE L'HYPNOTISME EXPÉRI
ans cette découverte, qu'on appréciera par la relation suivante. Je lus dans la Revue de l'hypnotisme. 2e année, page 397
sujet a été obser scrupuleusement et aucun doute ne peut s'élever sur lu réalité des phénomènes. Le 19 Décembre en prése
uffrir de diverses par-tics du corps. Elle se refusa à manger. Depuis lu même époque elle a erdu le sommeil. Ses règles
de l'huile de foie de morue ont été administrées en même temps. Je lis faire à la malade des injections sous-cutanées de
ou bien à les piétiner. Ce gouverneur effrayant ne se plaisait pas à lire des contes et des romans, et n'encourageait ni le
mées contre lui par le sultan, est naturellement mis à la torture, et lu plupart des gens préfèrent la mort à la torture »
cueillent l'eau de pluie. » Le pays était infesté de brigands. Nous lisons le récit d'une grande peste en 1341. qui fut bien
çon si terrible la population de l'Europe quelques années après. Nous lisons , en outre, le récit de sécheresses et de famines
t donne ses ordres comme d'habitude ; mais il ne sait plus du tout ni lire ni écrire. Son nom même, le cardinal ne saurait l
condes, puis ses yeux se mettent en strabisme supérieur et interne et lus paupières tombent. Elle paraissait profondément e
ptembre, au matin, l'opération élant décidée, on l'hypnotisa dans son lu , puis on le conduisit à l'amphithéâtre où on le f
ourner, se lever, s'asseoir à notre commandement. A 9 heures 50, il lut ramené à son lit ; on lui fit la suggestion de do
e est la première partie du roman, consistant dans la présentation et lu mise en scène de l'héroïne. Jusqu'ici, rien de bi
on hypnotique aussi complète. Il parait démontré que, chez elle, elle lisait peu. ne sortait pas: jamais on ne l'avait fait as
et combien vous trouveriez féconde l'imagination d'un auteur, si vous lisiez ce fait dans un volume à l'usage des gens du mond
les cache ensuite dans un poële. Ensuite elle reprend son livre pour lire . Les objets volés sont repris par leurs propriéta
aphie criminelle que tous tes savants et tous les magistrats voudront lire . Dr Emile LAURENT. NOUVELLES Congrès. — Le
tait exposée dans un roman de Ponson du Terrail, que l'assassin avait lu ! Est-ce de ce livre, est-ce d'ailleurs que cette
représente avec une vivacité d'imagination extrême les scènes qu'il a lues , croit en être l'acteur ou le plus souvent la vic
e coutume. Poussé maigre lui et malgré le mal qu'il savait se faire a lire les jour..aux. il s'abreuvait, en quelque sorte,
'autre, ce qui donnait a sa physionomie un aspect spécial. ?n pouvait lire , en quelque sorte, son délire sur son visage. E
nterprété dans un sens mélancolique. Pranzini lui dit : « Tout ce que lu penses, tout ce que tu lis est vrai, cela va t'ar
ancolique. Pranzini lui dit : « Tout ce que lu penses, tout ce que tu lis est vrai, cela va t'arriver, tu vas y passer. » I
tu lis est vrai, cela va t'arriver, tu vas y passer. » Il redoute de lire , de se récréer, il voudrait ne pas penser, parce
vraies citations : A la page 55 du Magnétisme animal, on peut déjà lire (l'auteur parle de toutes les personnes qui s'occ
bien plus commode de se dire en possession de la science, sans avoir lu , sans avoir expérimenté, ou, ce qui est presque a
s'excuse alors en disant qu'il a commis un lopsus oculi (3), on peut lire : « En bonne logique, on est en droit, après ce
on examen plusieurs malades atteints de troubles nerveux (1). J'avais lu les travaux de Charcol, les mémoires de liai-denh
diteur), m'a envoya votre ouvrage sur la Né-vrose hypnotique. Je l'ai lu avec d'autant plus d'intérêt que vous n'y avez pa
... Celui-ci parle beaucoup de M. Charcol et de ses élèves. On peut lire entre autres, dans sa brochure. « Enfin, répond
façon des animaux. On nous permettra de douter sur ce point; au fait, lu gouvernante se rapprochait peut-être beaucoup....
cet âge d'or que nous avions rêvé pour nos fils. Lorsque nous avons lu le compte rendu de la dernière séance du conseil
ns obtenu ainsi des inscriptions assez développées pour qu'on pût les lire à vingt mètres de distance. En voici quelques e
utes, en reliefs autographiques assez saillants pour qu'on puisse les lire â 20 mètres de distance. Ce phénomène était dev
démodé. Si l'honorable commentateur de la circulaire ministérielle lisait les comptes-rendus des sociétés les plus importan
aissance précise et complète de ces études pleine, d'actualité, devra lire l'ouvrage de M. Liégeois qui n'est d'ailleurs que
s que le développement du mémoire sur le même sujet qu'il fut admis à lire en 1884, devant l'Académie des sciences morales e
udes médico-légales. M. le 1> Motet, dans un remarquable rapport lu à l'assemblée générale de l'Association générale
llement à la place indiquée cl une vive douleur au contact. Un nndeau lut nus sur le bras ci le malade se coucha, dans un l
servir de conclusion à son œuvrer Et d'autre part ne croirait-on pas lire les Sociétés animales en rencontrant dans l'ouvra
enfin d'amender la première des conclusions de M. van Eeden et de ta lire ainsi: « La société de psychiatrie de Hollande
29 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
ille, et les oblige à venir d'eux-mêmes se précipiter dans sa gueule ( lire dans la Revue de l'Hypnotisme, ? de décembre 1895
lle je me rendis le lendemain matin au Temple du Christ-Sauveur. Elle lut prés de moi une courte prière, dont les premiers
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la précédente séance est lu par M. Valêntin, secrétaire, et est adopté. M. le
d'utiliser celte suggestibilité pour réaliser quelques (1) Rapport lu au Congrès d'Anthropologie criminelle de Genève.
dérobés, la qualité des personnes auteurs de ces vols. (1) Rapport lu au Congrès d'Anthropologie criminelle de Genève.
'expertise médicale le constate, les magistrats seront bienveillants, lis appliqueront aux autres les sévérités de la loi.
infinitésimale en quelque sorte. Chez le premier le récit d'un crime lu dans un journal amènera la crise que tout autre i
s d'insister. Comment peut-on expliquer qu'un individu, après avoir lu des récits de crimes détaillés, ait lui-même à so
t, est souvent suggéré par les récits pathétiques d'actes semblables, lus dans les journaux. L'exemple est contagieux : l'i
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la précédente séance est lu par M. Valentin, secrétaire. Il est adopté. La co
M. Dumoxtpallier. - Le procès-verbal de la précédente séance a été lu par M. Valentïn secrétaire, et adopté. La corre
ctérisés par une fatigue de la vision telle, que la malade ne pouvait lire pendant quelques instants sans être prise d'une f
ue : Homen, Singer, Tooth, Lissaucr, ont constaté que la présence des lisions radiculaires anciennes peut entraîner des dégénér
e mais aussi toute la ville. Tous les trésors de ladite Eglise furent lirez hors ; ses voisines d'icelle faisoient transporte
levée du premier pansement la malade déclare y voir et déjà elle peut lire les gros caractères d'un journal. Second pansemen
lle sa sœur Gilberle, qui fut sabiographe, ne s'étend pas, l'oblige à lire des œuvres de piété. Dès lors sa personnalité se
d'en parler à mon tour. Je serai bref. En 1884, j'avais été admis à lire , à Paris, devant l'Académie des sciences morales
ilosophie Chrétienne complétera on ne peut mieux celui qu'on vient de lire . Nous adressons tous nos remerciements a M. Lec
est ouverte à 4 h. 45. Le procès verbal de la précédente séance est lu par M. Valentin, secrétaire ; il est adopté. La
a presse. Or, depuis que les cerveaux suggestionnâmes ne peuvent plus lire de déclamations anarchistes et d'appels à la viol
ger, remue, depuis, des charges très lourdes ; ce malade incapable de lire n'a pas peur maintenant d'appliquer son attention
s naturel, c'est-à-dire conforme à la nature du sujet qui dort. On ne lire jamais du sommeil que les résultats expérimentaux
iques. La manière de procéder est simple. Nous nous souvenons avoir lu , il y a bien un an, dans la Revue de l'Hypnotisme
donc le salut des imaginations vives. « Dans nos chambres mentales, lisons -nous, il existe non seulement de ces émotions com
penser, mais, par cous donner à elles. t Six mois de ce traitement ( lisons -nous encore pour terminer), seront une révéla
heureux de leur ouvrir la porte. « On comprendra mieux, après avoir lu ce chapitre et celui que j'ai consacré au même su
où il est assez longuement question de l'état hypnotique provoqué par lu musique. La capacité civile des morphinomanes.
la morphine. Parmi eux, nous pourrions citer plusieurs professeurs à lu Faculté de Médecine de Paris, des membres de l'In
très grande à fixer son attention. A huit ans, il ne sait pas encore lire correctement. C'est là, au contact de camarades v
ures conceptions de l'art. Connaître des caractères, les assembler, lire des mots et des phrases, cela constitue des actes
cevoir simultanément les signes écrits sur les deux portées et de les lire en même temps. Mais le principal obstacle à l'e
plume à des gens qui sont plus philosophes que médecins. Je viens d'y lire , signée de M. Boirac, professeur de philosophie a
comme vous le dites, à toutes sortes d'expériences ». Si vous m'aviez lu avec plus d'attention, vous auriez vu que nos séa
moi-même. Votre cœur, Sganarelle. est meilleur que vos yeux. Ils ont lu un pluriel où j'avais mis un singulier. Mon artic
tive lorsqu'il donne au principal héros de la pièce, le pasteur Sang, lu pouvoir de guérir ceux qui l'entourent par sa seu
dées de vieillesse commençante ou confirmée, de déchéance organique ; lu femme doit se dire que l'heure de la retraite a s
on annuelle de l'American Psychological Association, M. A. L. Lewis a lu un travail intéressant sur la comparaison du temp
est ouvert, je vais te guérir l'autre aussi, je te l'ai promis hier, lu t'en souviens! » jalonnement de la malade, elle n
e à laquelle assistèrent plusieurs membres de cette association; il y lut son rapport et y exposa ses idées. Son premier ou
ogiques, mais que Me. Xeile avait refusé d'écouter ses lectures et de lire aucun des rapports qui en avaient été faits. A ce
t évidemment lorsqu'il commença ses recherches. Les conclusions qu'il lira de ses expériences furent donc indépendantes, et
on fils dort dans le berceau Et je le berce. Quand il sera grand il lira sur la planche Et le professeur l'instruira. Mo
aierai de mes deniers, Son père est satisfait Quand il commence à lire . Et son frère le frappe D'un coup amical sans
auvre bête, « Tandis qu'à peine â les pieds tu peux voir, « Penses-tu lire au-dessus de ta tête ? » CHRONIQUE ET CORRESPON
sa niaiserie était restée exemplaire : elle avait appris tout juste à lire et à écrire ; mais, ainsi qu'il arrive souvent en
tulée : « Le diagnostic de la suggestibilité. » Diverses notes sont lues . Elles seront publiées dans les comptes rendus, d
eçu aucune instruction ; c'est seulement à vingt ans qu'il a appris à lire ; jusqu'à cet âge, il ne savait même pas chiffrer
t, des critiques qui ont été faites de Neurologie », personne ne peut lire l'ouvrage de Braid sans être touché de la persévé
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la séance précédente est lu par M. P. Valentin, secrétaire, et adopté. La c
ré, Tisserand et Charcot ; un rapport concernant M. Inaudi a même été lu à la séance du 7 juin 1892. Mais M. Binet, de son
Pour ceux d'entre nos lecteurs qui désireraient aller aux sources et lire dans leur entier les remarquables travaux relatif
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la séance précédente est lu par M. P. Valentin, secrétaire, et adopté. La c
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est lu par M. Valentin, secrétaire, et adopté. Lacorre
Sciences (4). Cet enfant n'a jamais, à proprement parler, appris à lire ; il ignore tout à fait les procédés et les méthod
œhler est arrivé sans trop de peine, dès l'âge de deux ans, à pouvoir lire très couramment les divers caractères, latins ou
re, son seul maitre; tout ce qu'il connaît, il l'a, depuis qu'il sait lire , spontanément appris de lui-même dans les livres.
fidélité et qu'il rappelle avec une rapidité inouïes ; il a appris à lire presque seul, mais il n'a mis en œuvre que des as
ertaine circonstance, l'un d'eux avait poussé la mauvaise foi jusqu'à lire aux malades le contraire de ce que le rapport aff
30 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
reuses lettres (12 ou 15 par jour). Il occupait souvent ses loisirs à lire des romans, des feuilletons. Il lisait très vite,
l occupait souvent ses loisirs à lire des romans, des feuilletons. Il lisait très vite, mais avait l'habitude de mouvoir les l
rtir de la même époque, il s'est aperçu qu'il lui était impossible de lire un imprimé, tout autant et encore plus qu'une pag
eut écrire couramment et régulièrement; mais il lui est impossible de lire les pages d'un livre imprimé ou récriture. Il a u
urés, qu'en effet, bien qu'il pût écrire couramment, il ne savait pas lire . Nous entrerons, sur ce sujet, dans de plus longs
signalrix). En outre de l'impossibilité ou de la grande difficulté de lire , il y a encore à noter chez lui l'oubli d'un cert
ser, la maison où il a décidé de s'arrêter; mais comme il ne peut pas lire les noms de ces rues, et qu'il les a d'ailleurs p
r de mots. « J'écris, dit-il, comme si j'avais les yeux fermés, je ne lis pas ce que j'écris. » De fait, il écrit aussi bie
i bien les yeux fermés. Il vient d'écrire son nom, on lui dit de le lire : « Je sais bien, dit-il, que c'est mon nom que j
en, dit-il, que c'est mon nom que j'ai écrit, mais je ne puis plus le lire . » Il vient d'écrire le nom de l'hospice, je l'éc
écris à mon tour sur une autre feuille de papier et je le lui donne à lire ; il ne le peut pas d'abord ; il s'efforce de le
n. On lui présente une page imprimée. Il dit immédiatement : « Je lis moins bien l'imprimé que l'écriture, parce que po
ractères imprimés, comme le ferait un peintre de lettres. On lui fait lire une ligne en caractères imprimés : le malade met
és : le malade met 8 minutes à la déchiffrer et 3 minutes seulement à lire la même ligne en lettres cursives. On remarque qu
la main droite; on lui met les mains derrière le dos et on lui dit de lire ; on le voit alors tracer les lettres avec l'inde
voit alors tracer les lettres avec l'index sur l'ongle du pouce. Pour lire l'imprimé, il lui est commode d'avoir la plume à
l écrit vite les mots : « Xavier, Yvan, Zèbre ». Il a plus de peine à lire , quand il esta jeun, moins après manger. Au bout
sent très fatigué. Si on l'interroge sur le sens de ce qu'il vient de lire avec tant de peine, il se souvient très peu des d
es. Ainsi, il ne se rappelle que vaguement que dans l'article qu'il a lu la veille, il s'agissait d'une statue de la Répub
. 4 minutes. Il répète plusieurs fois : « Quand je veux commencer à lire , même maintenant que j'ai fait des progrès, il me
e, et c'est là ce qui constitue chez lui la cécité verbale. S'il peut lire , c'est à l'aide d'un artifice. La série de mouvem
Gendrin3 parle de malades qui « se trouvaient dans l'impossibilité de lire , mais qui pouvaient écrire, par une sorte de souv
tégorie. «Yoici, dit ce grand observateur, un malade qui ne sait plus lire , cependant il parle à merveille. Il ne peut déchi
re. Ce qu'il y a de plus invraisemblable, c'est que cet homme ne peut lire ce qu'il écrit très correctement. » Ce malade, co
avez pas oublié comment notre malade, lorsqu'il fait des efforts pour lire , soit un écrit, soit un imprimé, écrit effectivem
rnies par les images visuelles. En d'autres termes, le malade ne peut lire qu'en écrivant. Or, le même fait se trouve signal
raitement. Tous'les jours, notre malade fait un devoir qui consiste à lire un certain nom- Fia. 24. — Etendue du champ vis
; et, lorsqu'elle fut suffisamment instruite de ce côté, s'efforça de lire par les yeux, en même temps qu'elle s'aidait de l
oucher ; mais, au bout de plusieurs mois, la malade ne pouvait encore lire par ce procédé que des mots très courts. 5° J'e
lassiques. Jusqu'au début de l'affection qui l'a amené près de moi il lirait à livre ouvert les œuvres d'Homère. Il savait le
n pour reproduire, par l'écriture, deux lignes que nous lui donnons à lire dans un journal du jour. En les lisant, d'ailleur
apprendre par cœur quelque chose, une série de phrases, par exemple, lire à haute voix plusieurs fois ces phrases et affect
; les comprenant, il les écrit bien et délibérément, tandis que pour lire les mêmes mots écrits par une autre personne, il
u'on lui a fait écrire passivement, il est obligé de le voir et de le lire pour le désigner. La note suivante, rédigée par
aire observer que je me servais de celte faculté dans mes études : Je lisais ce que je voulais apprendre et en fermant les yeu
appartenait à cette catégorie d'individus dont parle M. Gallon \ qui lisent en quelque sorte mentalement, chacun des mots qu'
ou deux; aujourd'hui, pour obtenir le même résultat, il est obligé de lire les phrases, plusieurs fois, à haute voix, et qua
eilleurs jours, il lui est impossible de travailler, de s'occuper, de lire même avec quelque suite. Aussi bientôt lomba-t-il
ut lorsque le malade se livre à la moindre occupation, lorsqu'il veut lire , par exemple, ou écrire une lettre. Les attaque
e, toujours à un certain degré, » — c'est presque toujours qu'il faut lire — « dans l'hémiplégie par lésion en foyer du cerv
s peut-être, nous serons fort avancés déjà. La leçon qu'on vient de lire a été délivrée le 29 mai 1885. Huit jours plus ta
A 11 ans, survient une douleur de la hanche droite avec claudication. lise produit une rémission complète qui fait croire à
Le troisième ou le quatrième jour qui suivit la leçon qu'on vient de lire , entraîné par un de ces caprices si communs chez
les, d'autres troubles du langage intérieur. L'aphasique ne sait plus lire ou ne lit qu'avec difficulté ; il ne comprend pas
à l'âge de 12 ans, sachant à peine le français ; aujourd'hui il sait lire , mais à peine écrire. Les gens qui le connaissent
abso- Jument perdu, et Ton peut plonger un doigt dans la profondeur lu pharynx et l'y maintenir sans déterminer la moind
que sont emmagasinés les résidus des sensations musculaires dont nous lirons nos intuitions motrices... » « Les parties de la
ir qui remet les choses en ordre. Notre malade passe ses journées à lire , a écrire de vrais mémoires dans lesquels il décr
, oui, je parle un peu mieux. » « Corn..., comment. » On lui fait lire un journal : « Tous... tous les préparatifs son
onférence..., on sait de source auto... autorisée, etc. On lui fait lire un journal espagnol, c'est la même chose. Au bo
appelé constata la perte absolue de la parole ; la malade ne sait ni lire ni écrire. A son arrivée à l'hôpital, mutisme a
cantonnai, comme sourd-muet et paralysé du côté gauche. Il ne sait ni lire , ni écrire. Paralysie complète du mouvement et du
'une façon formelle que, depuis cette attaque d'hémiplégie, la malade lisait son journal tous les jours et parlait distincteme
tères que ces gens arrivent parfois à comprendre le sens de ce qu'ils lisent . De même pour la surdité verbale, il n'est pas tr
31 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
us propres (1) ; 5 ont appris à manger seuls (2) ; 5 ont appris à lire couramment (3) et 4 sont en bonne voie (4). Le
mile), Pard.. (Marcel), Cot... (Henri). Deux enfants ont appris à lire couramment : Gava.. (Emile), Cot... (Henri). Deux
PETITE école complémentaire. nière comme très amélioré est arrivé à lire couramment, ses progrès ont été sensibles pour
eure- ment celui de la lecture pour les enfants qui ne savent pas lire et est très utile pour les enfants plus avancés
pas lire et est très utile pour les enfants plus avancés qui savent lire . L'enfant marche, est devenu propre ; en même
t suivi cette classe savent presque tous Fanfare et Orphéon. xxix lire la musique et connaissent les valeurs des notes.
ême que l'année pré- cédente. Voici quelques noms d'enfants sachant lire la musique. Rob.... Lecture très bonne, il es
.., Lesu..., Rog..., Chas..., Sim..., Duf... commencent seulement a lire un peu les notes. - Les enfants Melno... Via...
voir la position de celles-ci sur la portée, ils finissent par bien lire la musique. Pour la valeur des notes et des sil
écillité. S'est sensiblement amé- lioré cette année. Savait à peine lire l'année dernière. Com- mence à lire couramment,
oré cette année. Savait à peine lire l'année dernière. Com- mence à lire couramment, fait la dictée et rédige lui-même m
t réels sont excessivement lents. Aujolu'(l'hui, Par... commence il lire quelques petites phrases ne présentant pas trop
ient posées il oppo- sait le mutisme le plus absolu. Chaque jour je lu prenais auprès de moi, le questionnant, essayan
En continuant il bien s'appliquer, il arrivera sûrement il bientôt lire couram- ment. L'écriture s'améliore et le mal
point de vue intellectuel et travaillent avec goût. Nous bornons lu ces renseignements; en donner sur tous les enfa
ecin en chef la désignation des aliénés qui y prennent part. Dans lu Visites, CONGÉS. la très grande majorité des ca
colaires, mais n'y mettait aucune bonne volonté. Elle s'amusait à lire et à bavarder avec ses compagnes. L'enfant avait
e il copier, assemble les lettres. Tout porte a croire que l'enfant lira couram- ment dans le courant de l'année. La mém
orrecte. En classe, elle a également fait des progrès, commence à lire par syllabes, l'écriture est lisible, fait bien u
eurs. - Les surveillantes ins- titutrices, les instituteurs doivent lire les certificats médi- caux qui accompagnent les
ent les enfants il l'entrée pour en vérifier les dires. Ils doivent lire la partie de nos observa- tions concernant les
li lili ^ léli liri la lala laleu lara leu leuleu lalu leureu lu . lulu leulu luru la lala lalo : lara lo lolo
-lecture. Ne -faut-il pas-apprendre ^parler avant d'apprem-, dre à lire : ? ...- .- . ? . -... ? CLV111 TRAITEMENT If
27 kil. 200. Glande thyroïde ; 0 gr. 50 la 1re semaine, 0 gr. 75 lu seconde, 1 gr. ensuite jusqu'à la fin de ce premi
poids était alors de 39 kil. 100, la taille FIG, 21. - .Mi.lz ? eu lu ¡;¡; ( : >, 1 le ans). Nanisme par arrêt DE d
sme. interrogés isolément et avec soin nient absolument la syphi- lis . Il a-t-il eu une interposition ? ' ? 1903. Exa
i syphi- . FIG, 27. - R..., en 1904. Nanisme avec obésité. 77 lis . Elle est sobre, calme, non rhumatisante. Elle n'
ment est celui d'un enfant de quatre à cinq ans plus jeune que lui. lisait lire, écrire, faire quelques calculs. Jusqu'à l
t celui d'un enfant de quatre à cinq ans plus jeune que lui. lisait lire , écrire, faire quelques calculs. Jusqu'à l'âge
à 11 ans ; c'est un niais. Parole facile et régulière. Il... - sait lire et écrire. Nanisme avec obésité. 83 1" avril.
(sept. DOS à juin 1904), son poids est revenu il ce qu'il était le lu ," juillet DUS, ce qui indique que l'obésité est
ME avec obésité. 99 L'enfant est simplement une arriérée. Elle sait lire , écrire, mais non compter. Sa mémoire est assez
mplète du fémur. 2G Juin, - Elle a gagné 2 cent. (1 ? 32 au lieu de lut ,30, soit 19 cent. en dessous de la taille norma
strua- tion apparaît (3). En un mot, l'organisme tout entier évo- lue vers un état physiologique qui rapproche l'enfant
te blanche. - Sommeil normal. Mémoire assez bonne. Elle sait un peu lire et écrire; elle n'a été mise à l'école qu'à G a
que de jouer. - Elle parle bien, mais lentement. - Elle commence à lire et à écrire ; elle écrit de la main gauche; ell
A revoir). (1) Nos malades apprennent plus facilement à écrire qu'à lire . xi8 Sclérose ATROPHIQUE ET MÉNINGITE. IV. La
mère (il y a un an) « parce qu'il est trop vieux » ; il ne sait ni lire ni écrire. Aucune aptitude particulière. Il res
l'enfant se laisse guider avec docilité. Il sait syllaber mais non lire couramment; il écrit passablement, fait l'addit
) déterminant la mort. V. Ce malade a été soumis à l'adonalis vem8 lis pendant plus d'une année, sans aucun résultat.
age 228, ligne 5 au lieu de Fig. 1 et des Planches I et II, il faut lire : Fig. 60 et PL. II et III. - Ligne 11, au lieu d
aut lire : Fig. 60 et PL. II et III. - Ligne 11, au lieu de Fig. 8, lire Fig. 60. Page 215, ligne 15 au lieu de PL. III,
u de Fig. 8, lire Fig. 60. Page 215, ligne 15 au lieu de PL. III, lire Pr,. VII. TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE
32 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
evue de l'hypnotisme, !5* année 1900, p. 12. (2) Legraxh du Sable : Lus hystériques, 1883. (3) II. Baiitk : Du sommeil
e est ouverte à A h. 35. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
ans par exemple, à l'observation des faits, supposez qu'en se jouant, lisaient eux-mêmes provoqué ces faits, c'est-à-dire pratiq
rande instruction se révèle aisément aux yeux de qui cherche un peu à lire entre les lignes. Dans l'un et l'autre de ces d
ersoumique comme les deux espèces d'un genre, comme les deux modes do lu suggestion somnique. La vérité est qu'il y a là t
édiatement le sommeil; 2* la suggestion înlersomnique faite pendant lu courto veille qui vient s'intercaler cotre deux s
e est ouverte à 4 h. 30. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général annonce à la
les enfants de son âge sont d'ordinaire incapables d'accomplir; il se lire de la difficulté ; il reste enfant dans une parti
nt courts. Ils sont calqués sur les thèmes que l'enfant est habitué à lire . Son invention est pénétrée d'imitation. Kun Arpa
rappelle à ce propos une boutade de Renan : dans un banquet qu'on lut offrait à Quimper, il rendit un hommage public à
a boite à pâture, manifesta d'abord un sentiment d'inquiétude ; on le lisait clairement dans ses attitudes, et, si j'ose dire,
our vaincre son émotion le jour de son examen. Je l'endors (1) Note lue en Congrès de l'Hypnotisme expérimental et thérap
. Intervention des pouvoirs publics dans la réglementation. Rapport lu par M. Ch. L. Julliot, Docteur eu droit, Secrétai
ment sont principalement le rapport de M. Chevandier.dans lequel nous lisons ces mots : « Le temps n'est pas loin où tout doct
e est ouverte à 4 h. 35. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. MM. Bourdon (de Méru), Félix Regnaut
ude : nous affirmons même que l'emploi des appareils de contention et lu fait d'attacher les mains semblent créer ce que n
doute parler ses sens puisqu'elle nous dit : « Quand je commençai à lire les confessions de ce grand saint (saint « Au
ui ne les puisse porter à la « vertu... « Ma mère prenait plaisir à lire des romans et ce divertissement ne; « lui faisait
et de leurs folies et, qui pis est, j'y prenais plaisir, ce « qui fut lu cause de tout mon mal... « Je reçus un grand pr
. Intervention des pouvoirs publics dans la réglementation. Rapport lu par M. Ch. Julliot, Docteur eu droit, Secrétaire
lui rappelaient les exercices abandonnés depuis longtemps, et je lui lis repasser mentalement divers morceaux qu'il avait
ertain et souvent incorrect. Je l'endormis quatre ou cinq fois et lui lis des suggestions dans le sommeil hypnotique, enfin
suggestion d'accès complets d'éclampsie puerpérale. Je n'en ai pas lu d'exemples dans nos revues, mais nous savons tous
n somnambulique, avec anesthésie, résolution des membres, etc. Je lut dis : « Tu ne veux plus faire ton paquet, tes eff
tuation bien fâcheuse » (8). Le 30 septembre, l'oppression (I) Vies LU , 246. (!) Ibid. III, 233. (3} Probablement des
ne lettre au roi d'Israël-Et il partit. Lorsque le roi d'Israël eut lu la lettre, il déchira ses vêtements et déclara qu
fait n'a rien d'impossible, car certains esprits perspicaces peuvent lire sur la physionomie les pensées de leur voisin. Le
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne conna
dans le second, à la suggestion d'autrui et codent plus facilement à lu persuasion ; l'hystérique est en quelque sorte ac
r beaucoup d'esprits. La force mystérieuse n'était, en réalité, que lu suggestion ou, pour employer un autre terme, la f
e est ouverte à 4 h. 35. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. La parole est donnée successivement
s philosophes du xvme siècle opposèrent à ceux de Jésus. Il suffit de lire ces prodiges pour noter la différence qui existe
grossier manteau d'Apollonius, et embrassa tout son genre de vie.» Lisez encore la réapparition d'Apollonius à un disciple
la discussion : des autres jeunes gens, les uns étaient occupés & lire , les autres traçaient sur le sol des ligures géom
ans qu'il ait prononcé une seule parole, sa pensée, nous dit-on, sera lue par le sujet et l'ordre mental sera effectué fidè
itation, l'ordre mental, et il serait tout naturel qu'il le fit, s'il lisait véritablement la pensée. î! tâtonne, cherche, hés
a représentation intense d'un acte ou d'un geste. Uniquement réduit à lire ma pensée, Il ne l'a point lue, comme il fallait
te ou d'un geste. Uniquement réduit à lire ma pensée, Il ne l'a point lue , comme il fallait s'y attendre. Mais on peut fair
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. La parole est donnée successivement
Domini nostri Leonispapte decimi, noviter editte et publicatai, nous lisons (traduction Du Pinet, 1564) : * Une nonnain aya
t cette règle, s'était inspiré de l'exemple de saint Adhelme. On peut lire en effet in Beauval (Hîst. des Ouvrages des Savan
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. MM. Le Menant des Chesnais, Paul Far
mente sur son état et entretient son émoti-vité. Elle n'ose môme plus lire un journal, car le récit du moindre accident la b
les causes de la criminalité. Le droit pénal, dans cette partie, se lire d'affaire d'une façon aussi erronée que simple. L
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. La parole est à M. le Secrétaire Génér
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le D' Jules Voisin rapporte l'obs
rs que si certaines étoffes couvraient ses yeux. Si on lui demande de lire , elle voit les lettres, mais les lettres dansent
nt la convalescence de cette opération, étendue sur un brancard, elle lisait les journaux, les romans, sans que sa lecture fix
e est ouverte à 5 h. 45. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. La parole est à M. le Secrétaire génér
éance est lu et adopté. La parole est à M. le Secrétaire général pour lu lecture de la correspondance. La séance est levée
lent celles de la chorée ou de l'ataxie. Pas de mouvements du côté de lu langue et des lèvres. Dans la position horizontal
ionnaires de la vie du dehors. Cerlains « habitants » sont chargés de lire les journaux et les revues et, chaque semaine, il
sur l'art de guérir ces maladies, et enfin des conseils politiques de lu plus grande sagesse. La Voix l'a engagé à remplac
33 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
e est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le secrétaire général donne lectu
M. le Dr Jules Voisin. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. Le compte-rendu de la situation mora
sile de Vaucluse, un garçon de 15 ans, faible d'esprit, ne sachant ni lire , ni écrire, s'être mis avec ardeur à l'étude à la
s'être mis avec ardeur à l'étude à la réception d'une missive que lui lut l'instituteur et qui émanait d'une tante qui lui
semble, on forme des mots, des syllabes, des phrases, on les lui fait lire , puis on les représente à la craie sur le tableau
our la lecture. La vue lumineuse d'un mot coloré, d'un animal dont il lira le nom, tirera l'élève de la somnolence. La leç
te comme le but suprême de l'éducation. » Dès que l'anormal saura lire et écrire, on le dirigera vers une profession man
nt manger seuls et qu'ils soient propres. Quelques-uns apprennent à lire des lettres isolées et à connaître les chiffres,
res et les chiffres isolés apprenaient au bout de quelques semaines à lire et même à compter et faisaient au bout de quelque
jeunes aveugles qui écrivent très lisiblement ce qu'on leur dicte et lisent correctement avec le doigt ce qu'on leur écrit. L
fière, et il n'est pas rare de l'entendre nous dire : Mon enfant sait lire , ou saura bientôt lire, il connaît ses lettres. E
rare de l'entendre nous dire : Mon enfant sait lire, ou saura bientôt lire , il connaît ses lettres. Erreur, il s'écoulera en
la présentation des éléments de notre langue. Vous avez voulu faire lire à votre enfant le mot papa, par exemple, et vous
. A partir de ce moment, six mois ont suffi pour le rendre capable de lire couramment, avec la compréhension complète de ce
apable de lire couramment, avec la compréhension complète de ce qu'il lirait . Une courte visite à notre établissement médico
qui nous a permis d'apprendre, en un temps relativement très court, à lire couramment et dans n'importe quel livre à des enf
ng souyar (est l'esprit d'une femme impudique morte enceinte). Nous lirons ces noms et leurs explications tant d'un autre li
sur les superstitions et la magie dans la Péninsule Malaise pourront lire avec fruit les chapitres II et V du volume premie
a lin des mots par ang, ong. 11 est bon de remarquer aussi qu'il faut lire le W — à l'anglaise : ou. (16) Publication : Le
garisation, rigoureux comme un traité scientifique et que l'on voudra lire pour la clarté de l'exposition, l'agrément du sty
M. .fuies Bois a écrit, en fin de compte, pour « servir aux âmes dans lu tourmente et qui attendent leur libération. CHR
ut-être la nouvelle transmise avait-elle été mal traduite et avait-on lu trente ans, au lieu de trois ans, voire même de t
ui sont en jeu. Il ne me parait, cependant, y avoir aucun doute sur lu question : le débile n'est pas, par définition, u
e. Un siphon se trouvait sur une étagère très élevée. Par mégarde, je lirai la toile cirée sur laquelle il était placé. Le si
qui a publié autrefois, sur l'Hypnotisme, le livre que vous avez tous lu et qui, au Congrès international de l'Hypnotisme
se hystérique de la crise épileptique, dans les cas douteux ; vous en lirez plus loin le résumé dans la Revue. Je citerai enc
le professeur Grasset (de Montpellier), vous n'avez pas manqué de la lire , il y a déjà plusieurs semaines, dans les périodi
on seulement le nombre, mais la qualité, » Cette revue clinique est à lire pour la richesse et la variété de la documentatio
s n'y avez rien compris c'est que vous n'avez pas pris la peine de la lire , ou bien alors que vous vous êtes contenté de ren
(paragr. 4). Est-il donc responsable, se demande le lecteur ? Je lis : C'est parce qu'il était sous l'influence de l'a
lignes leur tombent sous les yeux et qu'ils aient la patience de les lire . Docteur Paul Parez. Un interwiew de M. Déjer
algré de longs séjours dans les écoles modernes, se trouve obligée de lire la traduction en français du Coran quand elle dés
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
Conférences de l'Ecole de Psychologie Pour L'Année 1908 (8e année) ( Lu cours et la conférences it Psychologie sont publi
agasin après qu'on lui eût dit qu'il mourrait ce jour-là et qu'il eût lu dans un journal une notice nécrologique racontant
orter d'après ce qu'il jugeait convenir à la vieillesse. Nous avons lu récemment la mort d'un enfant en bas âge qui mour
est ouverte à 4 h. 40. Le procès verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
ie, sur les sommeils pathologiques et les états de mort apparente, je lis une enquête dont j'exposai, à cette époque, les r
user à son père et à sa mère, elle leur adresse le télégramme qu'on a lu plus haut et qu'elle signe du nom d'une amie, ori
ures du matin qu'il se présenta à la porte de Mourad, demandant qu'on lut annonçât sa visite pour une communication urgente
e folklore./ Je vous en parlerai d'après ce que j'ai vu moi-même et lu chezKnebel sur les o Amulettes javanaises », Bata
pier sur lequel es inscrit un texte arabe que le Javanais ne peut pas lire mais qu'il copie sur un livre aux formules magiqu
moins intelligent, le taquinaient beaucoup, mais il a pu apprendre à lire , à écrire, à compter ; il sait faire une addition
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
e ; elle est devenue érythrophobe, il -y a un an de cela, après avoir lu la description de cette anomalie dans le Manuel d
s, ou bien à les piétiner. Ce monarque effrayant ne se plaisait pas à lire des contes et des romans ; il n'encourageait ni l
et l'ordre donné à tous les habitants de quitter la ville. Le sultan lira son cimeterre et le passa à Sadr Aldjihan, disant
Jésus efface les doutes sans plus de retard. Il leur dit, comme s'il lisait dans leurs coeurs, parlant en même temps pour le
gnoré au réveil, qui provoque la réapparition des crises. Après avoir lu , un soir, dans un ouvrage d'Alexandre Dumas les h
rs, Barrett et Franck Podmore. C'est avec un grand plaisir que j'ai lu 1s livre que je viens d'analyser. Il porte l'empr
e est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
34 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
llucinable à l'état de veille et de sommeil. II est intelligent, sait lire , écrire, calculer; sa mémoire est remarquable. En
seul, loin de ma présence. Les notes qu'il a recueillies et qu'on va lire , je n'en ai eu communication qu'au moment de les
s que le doigté est pour beaucoup dans le succès; il ne suffit pas de lire un cours de physique ou de chimie pour pouvoir ré
phine par la nitroglycérine, associée à la spartéine. — Communication lue à la Société médicale de l'Elysée, par le Dr Osca
urot à la Société médico-psvchologique (séance du 27 août 1885), nous lisons ce qui suit: « Profitant de l'extrême hyperexci
ie. Mes recherches ont abouti à bonne fin, et, depuis l'observation lue au Congrès de Grenoble de 1885. j'ai recueilli pl
ours le laurier que l'on voit intervenir pour déterminer l'extase. On lira avec intérêt les anecdotes tirées des auteurs anc
ande sagacité d'expérimentation et une érudition peu commune. Il sera lu avec plaisir et intérêt. Dr F. Burot. Le gran
urait écrire, pas plus que celui qui ignorerait l'alphabet ne saurait lire sous l'influence de la suggestion. Il y a des h
un ordre logique, et ce serait refaire le livre. Je vous engage à le lire , cela vaudra mieux ! Il est très suggestif, et je
ectificative de M. le Dr Pozzi. C'est avec surprise que nous avions lu dans le Figaro une note reproduite par un grand n
il y a quelques années déjà, sous le nom d'hémi- (i) Communication lue à l'Académie de médecine, le mardi 3o août 1887.
entaient toute la rigueur désirable et prouvaient manifestement, pour lut comme pour moi, qu'il existait réellement dans le
M. Charles Richet. C'est avec un véritable plaisir que nous l'avons lu , car nous y trouvions, pour un grand nombre de ph
raordinaire. Elle retient des pages entière de poésie après les avoir lues une ou deux fois :elle les recite comme une actri
tre assurés d'avoir in extenso, dans le prochain numéro, les mémoires lus au Congrès. Nous sommes heureux de constater un
ont il ignore absolument la nature et les effets. (i) Communication lue a l'Académie de médecine, le mardi 3o août 1887.
c de la teinture d'iode sur une longueur de 1 décimètre tout au plus, lut surpris des symptômes d'une intoxication iodique
ron une heure après, les trois personnes qui avaient fait l'opération lurent dans l'impossibilité d'écrire correctement. Il ét
usions de l'intéressant travail de M. Voisin, que nos lecteurs ont pu lire dans les numéros d'août et de septembre derniers
malade. 11 a été très précoce à l'école, très intelligent, et savait lire à 3 ans. Or. à l'âge de 6 ans, il fut enivré par
re soumis à cette épreuve, où ils courraient risque de contracter lu paralysie du cœur. De même, dans cet état, il peu
ueras tes cuisses l'une contre l'autre. » Pendant son sommeil, nous lut demandons à plusieurs reprises si elle nous enten
un somnambule susceptible d'avoir subi une suggestion, il l'endort et lut demande les détails du fait, mais la défense fait
ne s'accentuent pas. Or. plus tard, à 5 heures 10, quand l'enveloppe lut décachetée, nous constatâmes que le flacon n° 4 c
. L'enfant, à ce moment, est déjà assez influencé pour qu'on puisse lut ordonner formellement de continuer à dormir et a
M. le professeur Donders. le docteur A.-W. Renterghem, d'Amsterdam, a lu un mémoire intitulé : De l'hypnotisme et de la su
elle Louis Chassin se laisse prendre ; de lui donner une seconde fois lu suggestion du meurtre et de favoriser son évasion
e jetés; mais ils font partie du monde réel. Il n'est personne qui ne lise , sous le pseudonyme, le vrai nom du docteur qui i
les élèves eussent les cheveux coupés ras, qu'à leur entrée leur tète lût visitée par le médecin de l'établissement, et que
e racontait, quelques lignes plus haut: Jai acheté un journal et j'ai lu que M. Clemenceau avait querellé M. Rouvier. Un
'arbrisseaux, à grand travail. » Et cette expression, que l'on peut lire dans le serment de Louis le Germanique, de ce jou
itudes particulièrement élevées. « Dans un voyage, dit-il (1), que je lis à Terre-Neuve et au détroit de Belle-Ile, à bord
irection en 1878 par MM. Bourne-ville et Regnard. Je vous engage à la lire , vous y trouverez des renseignements très intéres
eur de Londres aurait beaucoup moins ému nos confrères, s'ils avaient lu le travail de MM. Bourneville et Regnard. Il ne s
èmes de la clinique, on risque fort de se tromper grossièrement. Je lisais l'autre jour dans une lettre de Darwin que ce qui
surle col d'une bouteille de vin, maintenue assez élevée au-dessus de lut pour provoquer une fatigue considérable des yeux
logie générale, de l'étendue desquelles on ne doutera pas après avoir lu « qu'il sera possible d'économiser les coups de b
arder comme essentiels les caractères que ses sujets présentent. Je lis , par exemple, dans le livre de MM. Fontan et Séga
janvier 1888, p. 199). Mais il y a mieux. Ceux de mes lecteurs qui lisent la Revue philosophique savent que j'ai, ie premie
ons qui suivent : « Il y a dans le rapport de M. Dujardin-Beaumetz, lu i la dernière séance, une omission que je serais
n avec la morale et la religion officielles tombaient sous le coup de lu justice. L'hérésie et la sorcellerie n'étaient po
ui n'appartient pas à l'Ecole de Nancy. Que M. Brouardel veuille bien lire , dans mon livre sur la suggestion (i), les pages
toutes ces malades étalent hystériques. Mais en supposant que cela lût exact, et il n'en est pas ainsi, la guérison de c
car le Sultan, en présence d'un miracle éclatant, dut se soumettre et lut laisser toute liberté de faire des prosélytes dan
s dangers qu'il présente entre des mains inexpérimentées, M. Masoin a lu les conclusion* suivantes acceptées à l'unanimité
rpoint. » (Tallemant des Réaux.) Suggestion sans hypnotisme. Nous lisons dans l'intéressante revue le Sphynx, publiée par
, professeur à l'Université de Liège, un ardent défenseur. Nous avons lu avec le plus grand intérêt le plaidoyer dans lequ
eulement une seconde édition, revue et augmentée, du Mémoire que j'ai lu , il y a quatre ans. sur le même sujet, à l' Acadé
tat de veille que. à la fin de 1883, (et, ce me semble, avant d'avoir lu le livre de M. Ch. Richet, mais, sur ce point, me
ssiers qui jouent a s'entre-frapper. Lorsque le coup est un peu rude, lu secousse un peu forte, on ne manque pas de dire à
lement: il marchait à 13 mois et parlait à 18. A 7 ans 1/2, il savait lire et écrire. A l'école, il passait pour être très i
ient patents, indiscutables, puisqu'on propose de les interdire. J'ai lu le rapport, mais on ne parle que d'accidents surv
. Pueri flagellantur consuetudinaliter, disent les Coutumes de Cluny. Lisez la vie de sainte Adélaïde, et, avec édification,
aduc et à l'hystérie, à celui de la puberté. Dans 1 appréciation de lu part d'influence qui appartient à la profession s
PONDANCE ET CHRONIQUE Condamnation de l'hypnotisme par un evêque. Lu question de l'hypnotisme n'avait pas encore été t
35 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
llucinable à l'état de veille et de sommeil. II est intelligent, sait lire , écrire, calculer; sa mémoire est remarquable. En
seul, loin de ma présence. Les notes qu'il a recueillies et qu'on va lire , je n'en ai eu communication qu'au moment de les
s que le doigté est pour beaucoup dans le succès; il ne suffit pas de lire un cours de physique ou de chimie pour pouvoir ré
phine par la nitroglycérine, associée à la spartéine. — Communication lue à la Société médicale de l'Elysée, par le Dr Osca
urot à la Société médico-psvchologique (séance du 27 août 1885), nous lisons ce qui suit: « Profitant de l'extrême hyperexci
ie. Mes recherches ont abouti à bonne fin, et, depuis l'observation lue au Congrès de Grenoble de 1885. j'ai recueilli pl
ours le laurier que l'on voit intervenir pour déterminer l'extase. On lira avec intérêt les anecdotes tirées des auteurs anc
ande sagacité d'expérimentation et une érudition peu commune. Il sera lu avec plaisir et intérêt. Dr F. Burot. Le gran
urait écrire, pas plus que celui qui ignorerait l'alphabet ne saurait lire sous l'influence de la suggestion. Il y a des h
un ordre logique, et ce serait refaire le livre. Je vous engage à le lire , cela vaudra mieux ! Il est très suggestif, et je
ectificative de M. le Dr Pozzi. C'est avec surprise que nous avions lu dans le Figaro une note reproduite par un grand n
il y a quelques années déjà, sous le nom d'hémi- (i) Communication lue à l'Académie de médecine, le mardi 3o août 1887.
entaient toute la rigueur désirable et prouvaient manifestement, pour lut comme pour moi, qu'il existait réellement dans le
M. Charles Richet. C'est avec un véritable plaisir que nous l'avons lu , car nous y trouvions, pour un grand nombre de ph
raordinaire. Elle retient des pages entière de poésie après les avoir lues une ou deux fois :elle les recite comme une actri
tre assurés d'avoir in extenso, dans le prochain numéro, les mémoires lus au Congrès. Nous sommes heureux de constater un
ont il ignore absolument la nature et les effets. (i) Communication lue a l'Académie de médecine, le mardi 3o août 1887.
c de la teinture d'iode sur une longueur de 1 décimètre tout au plus, lut surpris des symptômes d'une intoxication iodique
ron une heure après, les trois personnes qui avaient fait l'opération lurent dans l'impossibilité d'écrire correctement. Il ét
usions de l'intéressant travail de M. Voisin, que nos lecteurs ont pu lire dans les numéros d'août et de septembre derniers
malade. 11 a été très précoce à l'école, très intelligent, et savait lire à 3 ans. Or. à l'âge de 6 ans, il fut enivré par
re soumis à cette épreuve, où ils courraient risque de contracter lu paralysie du cœur. De même, dans cet état, il peu
ueras tes cuisses l'une contre l'autre. » Pendant son sommeil, nous lut demandons à plusieurs reprises si elle nous enten
un somnambule susceptible d'avoir subi une suggestion, il l'endort et lut demande les détails du fait, mais la défense fait
ne s'accentuent pas. Or. plus tard, à 5 heures 10, quand l'enveloppe lut décachetée, nous constatâmes que le flacon n° 4 c
. L'enfant, à ce moment, est déjà assez influencé pour qu'on puisse lut ordonner formellement de continuer à dormir et a
M. le professeur Donders. le docteur A.-W. Renterghem, d'Amsterdam, a lu un mémoire intitulé : De l'hypnotisme et de la su
elle Louis Chassin se laisse prendre ; de lui donner une seconde fois lu suggestion du meurtre et de favoriser son évasion
e jetés; mais ils font partie du monde réel. Il n'est personne qui ne lise , sous le pseudonyme, le vrai nom du docteur qui i
les élèves eussent les cheveux coupés ras, qu'à leur entrée leur tète lût visitée par le médecin de l'établissement, et que
e racontait, quelques lignes plus haut: Jai acheté un journal et j'ai lu que M. Clemenceau avait querellé M. Rouvier. Un
'arbrisseaux, à grand travail. » Et cette expression, que l'on peut lire dans le serment de Louis le Germanique, de ce jou
itudes particulièrement élevées. « Dans un voyage, dit-il (1), que je lis à Terre-Neuve et au détroit de Belle-Ile, à bord
irection en 1878 par MM. Bourne-ville et Regnard. Je vous engage à la lire , vous y trouverez des renseignements très intéres
eur de Londres aurait beaucoup moins ému nos confrères, s'ils avaient lu le travail de MM. Bourneville et Regnard. Il ne s
èmes de la clinique, on risque fort de se tromper grossièrement. Je lisais l'autre jour dans une lettre de Darwin que ce qui
surle col d'une bouteille de vin, maintenue assez élevée au-dessus de lut pour provoquer une fatigue considérable des yeux
logie générale, de l'étendue desquelles on ne doutera pas après avoir lu « qu'il sera possible d'économiser les coups de b
arder comme essentiels les caractères que ses sujets présentent. Je lis , par exemple, dans le livre de MM. Fontan et Séga
janvier 1888, p. 199). Mais il y a mieux. Ceux de mes lecteurs qui lisent la Revue philosophique savent que j'ai, ie premie
ons qui suivent : « Il y a dans le rapport de M. Dujardin-Beaumetz, lu i la dernière séance, une omission que je serais
n avec la morale et la religion officielles tombaient sous le coup de lu justice. L'hérésie et la sorcellerie n'étaient po
ui n'appartient pas à l'Ecole de Nancy. Que M. Brouardel veuille bien lire , dans mon livre sur la suggestion (i), les pages
toutes ces malades étalent hystériques. Mais en supposant que cela lût exact, et il n'en est pas ainsi, la guérison de c
car le Sultan, en présence d'un miracle éclatant, dut se soumettre et lut laisser toute liberté de faire des prosélytes dan
s dangers qu'il présente entre des mains inexpérimentées, M. Masoin a lu les conclusion* suivantes acceptées à l'unanimité
rpoint. » (Tallemant des Réaux.) Suggestion sans hypnotisme. Nous lisons dans l'intéressante revue le Sphynx, publiée par
, professeur à l'Université de Liège, un ardent défenseur. Nous avons lu avec le plus grand intérêt le plaidoyer dans lequ
eulement une seconde édition, revue et augmentée, du Mémoire que j'ai lu , il y a quatre ans. sur le même sujet, à l' Acadé
tat de veille que. à la fin de 1883, (et, ce me semble, avant d'avoir lu le livre de M. Ch. Richet, mais, sur ce point, me
ssiers qui jouent a s'entre-frapper. Lorsque le coup est un peu rude, lu secousse un peu forte, on ne manque pas de dire à
lement: il marchait à 13 mois et parlait à 18. A 7 ans 1/2, il savait lire et écrire. A l'école, il passait pour être très i
ient patents, indiscutables, puisqu'on propose de les interdire. J'ai lu le rapport, mais on ne parle que d'accidents surv
. Pueri flagellantur consuetudinaliter, disent les Coutumes de Cluny. Lisez la vie de sainte Adélaïde, et, avec édification,
aduc et à l'hystérie, à celui de la puberté. Dans 1 appréciation de lu part d'influence qui appartient à la profession s
PONDANCE ET CHRONIQUE Condamnation de l'hypnotisme par un evêque. Lu question de l'hypnotisme n'avait pas encore été t
36 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et approuvé. M. le secrétaire général donne lec
ibition commencée. Penser, a dit très justement Albrecht Rau, c'est lire les Evangiles des sens, en les rattachant l'un à
M. le D' Jules Voisin Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le D' Bèrillon, secrétaire, donne l
inspecteur des asiles d'aliénés, professeur à l'Ecole de psychologie, lis seront répartis de la façon suivante : Luxdi3 A
t une lettre, etc. Ce procédé a plusieurs avantages. Il les amène à lire un certain nombre de passages avant de choisir. P
leur collaboration. Un autre moyen d'exciter l'émulation, c'est de lire en classe quelque bon devoir d'une autre section
lus significatives. Dans une proportion qui dépasse 90 pour 100. Nous lisons des diagnostics tels que ceux-ci : X. Onychopha
morales et politiques, chevalier de !:l Légion d'honneur et admis ft lu retraite 11 y quelques années, il uvait été nommé
me, le disciple le plus fidèle et le plue dévoué. Membre fondnteur de lu société d'hypno-logle et de psychologie. Il avait
ofesseurs de l'Ecole de psychologie s'associent a l'éloge suivant qui lut rédigé par les élèves directs de l'éminent biolog
l'unique moyen d'éliminer la peur. Le réveil est un des moments les (; lus importants du procédé hypnotique et doit être eff
quelqu'un, apprendre la mort d'un proche, assister a un enterrement, lire son propre article nécrologique ont pu également,
rk Bell, un capitaine, il est vrai centenaire, mourut après qu'il eut lu dans un journal une notice nécrologique racontant
a classe, que voit-il Son inspecteur, assis à son bureau, en train de lire la lettre de dénonciation. Boulversé d'êtreainsi
e de dégénérescence ? (1) (Suite) Mon cher Directeur, Je viens de lire avec le plus vif intérêt l'article, je devrais di
uand tu m'auras rejoint. Les esprits ont décidé que ta ne terrais pas lu fin de 1903 ; il faut qu'A VANT NOEL tu aies quit
é des éducateurs en ce pays. (2) Par exemple, La Fontaine enteudant lire nne ode de Malherbe prend conscience de ses dons
é les exploits quelque peu licencieux. Dans Claudine à Paris, on peut lire en effet, les lignes suivantes : « comme disait l
isse pendant les neuf jours ainsi que l'enfant. Si le quêteur revient lis soirs chez loi, qu'il demande l'hospitalité, comm
uel de la mémoire qui lui permet entre autres d'exceller souvent dans lu musique. Sa faculté de se soureulr est dans certa
e de morale, comme on les fait dons les écoles françaises ; Mme Kuntz lut un rapport snr les sociétés d'écolières établies
discutables, etc.) aussi bien que celle des sanctions ; il préconisa lu morale appuyée sur des sentiments comme le sentim
sa passion, se faisant les plus grands reproches, jusqu'au jour où il lut * Le Banquet » de Platon et « L'Idiosynchrasie ho
e est ouverte à i h. 40. Le procès-verbal de la séance annuelle est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
r, Dans le numéro de Juillet 1808, de la fîecui de l'Hypnotisme, je lis que la méthode de l'hypnotisation par l'occlusion
de suivre les acquisitions scientifiques réalisées dans le domaine do lu psychologie positive et de la sociologie. Les lec
aussi et surtout un philosophe au sens précis dn mot. Qne deviendrait lu philosophie, maintenant que les recherches scient
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la séance annuelle est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
(Compte-rendu du Nearolog. Centralblait, juin 1906). On s'étonne de lire une pareille appréciation, car c'est un fait reco
infirmité très pénible pour leur amour-propre. Us n'apprennent pas à lire , ou quand ils y arrivent, c'est très tard et avec
'enfant entend fort bien, retient ce qu'on lui dit. mais n'aime pas à lire . Voici un petit gamin de 13 ans 1/2, intelligent,
comprennent pas. Que deviendra cet enfant dans la vie ? Sans doute il lira plus tard comme tout le monde ; il pourra même se
maladie. Elle semble assez répandue. Certains enfants n'apprennent à lire qu'avec une difficulté incroyable. On met cette i
est ouverte à 4 h. ?d. ¦ Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
tés mystérieuse ? Nous (1) Un chasseur provençal, ? l'affût pendant lu nuit, a vu un renard pousser l'astuce jusqu'à tou
notique avec la jurisprudence et la médecine légale. Un mémoire qu'il lut à l'Académie des Sciences morales ou 1884, un ouv
oiseaux familiers, peut-être serions-nous mieux servis, moins volés. Lisez La servante criminelle, regardez autour de vous,
irige dans ses entreprises militaires contre les autres Princes. Au LU * siècle A. D., Tsing-Hé-Hoang. le fameux Roi des
mettre le feu à toutes les bibliothèques et tontes les librairies lu Royaume. Cette Grande-Muraille appelée en chinois
ppelée en chinois "Wan-Li-Tch'Ang-Tch"Eng, ou muraille des dix milles lis , Fut construite sous les ordres du Général Moung-
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le Secrétaire-général donne lectu
ces ont, en effet, finalement très bien réussi. Toutefois si ce sujet lisait véritablement la pensée de son conducteur, il dev
cette parole : Ne vous exposez point à la tentation ». Enfin, il doit lire des ouvrages contre le tabac afin d'enraciner ses
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. il. le Secrétaire Général donne lect
séparation n'est pas toujours si tranchée entre les deux procédés. LU . Bjs torique. — Partisans et adversaires de l'édu
HRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de psychologie Lu séance de rentrée de la Société d'hpnologie et de
icilement au praticien de se plier à une discipline qui lui impose de lire , en un temps donné. les chapitres d'un ouvrag
st ouverte A 4- h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le Secrétaire Général donne lectu
yeux pour supprimer en elle toute perception. Si l'on veut la faire lire , elle n'y parvient pas, car elle confond les cara
c'est parce que vous avez trouvé en M. le Dr Dubief vice-président de lu Chambre des Députés d'une paît, eu M. le Dr Cleme
longé. Le centre du réveil serait donc un centre moteur présidant à lu mise enjeu d'un ensemble d'activités motrices d'o
r une gymnastique méthodique, par la lecture, le travail, le théâtre, lu musique, le choix d'une carrière, la thérapie oni
convient de faire un choix parmi les projections, d'en montrer peu ? lu G??ß, nu lieu d'en faire défiler une cinquantaine
hologie Le mardi 15 juin 1908. La dix-huitième séance auuuelle de lu Société d'hypnologie et de psychologie aura lieu
thodes de rééducation en psychothérapie. Inscrits : 1° D* P. Mxoxix : Lu rééducation motrice. â° D' Békillox : Le rôle d
rôle de l'hypnotisme : 1° Dans les rééducations sensorielles. 2° dans lu rééducation de la volonté. 3" D' Paul Fabejs :
ibuer par leur présence et par leurs communications a la solennité de lu séance annuelle. L'aOnfluis?ratear : j- bérillo
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adoptée M. le Secrétaire général donne lectu
e. Observation VIII. — II n'est pas jusqu'à la douleur maîtresse de lu volonté qui n'ait son action sur la pupille : sou
37 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
venue en grande partie ainsi que la parole en écho ; la malade peut lire un peu, mais ne peut écrire spontanément. « Je
le. En effet, elle avait encore de la cécité verbale et n'aurait pu lire le testament après l'avoir dicté, ce qui peut ê
é l'école primaire de sept à treize ans et y a appris péniblement à lire , à écrire et à compter. Il travailla ensuite da
e lui, il hésite à le croire. II parlait très bien; il ne savait ni lire ni écrire; en outre, il avait la tête un peu lo
ien ce qu'on disait ». Il pouvait parler très bien, il ne savait ni lire ni écrire. d). Augmentation du volume de la têt
, qu'on lui parlait mais qu'il ne com- prenait pas. Il ne savait ni lire ni écrire. En même temps il était pris d'une in
a même profondeur, `r5 minutes de séjour. linii2é- diatement u,.a'è lu G1 usrlHC décompression, douleurs violentes à A
'on me parlait, mais je ne comprenais pas. « Le malade ne savait ni lire ni écrire. Ces espèces d'aphasie n'ont pas duré
et pncumographiques révèlent des différences fondamentales : chez lu simulateur, le tremblement du membre et l'irrégul
tent en quelque sorte les phases ou périodes du même processus. « lu Etat cataleptique. Il peut se produire : a). Prim
pos, rectifions une erreur : au lieu de la Société 1)silchial),ique lisez des aliénisles. Sociétés savantes. 1°t 11), l
ui pourrait venir à l'esprit de ceux qui, comme lui, n'auraient pas lu le rapport sur la nécessité et l'utilité qu'il
dits volontaires. Il suffit, pour s'en convaincre, je le répète, de lire l'article 31. M. le Président. Personne ne dema
ls ou tels points de tels ou tels organes du système nerveux 'il en lire le diagnostic : 3° Examen de la parole. Revue d
idée bien imparfaite, mais suffisante, je pense, pour engager à le lire . Paul BLOCQ. IV. De la suggestion et du somnamb
de mai 1884, M. Liégeois, professeur de droit à la Faculté de Nancy lisait devant l'Académie des Sciences morales et polit
aisonnant d'ha- bitude sur des faits, sur des observations. Qu'on lise en effet les lignes qui suivent la tirade désespé
lion externe du faisceau de Goll. I). Le faisceau de Burdach. - 1)' Lu portion posléio- penphen<)neduYaisseandcUtud
a malade épousa un ivrogne atteint peu avant le mariage de syphi- lis ; plus tard, la malade eut des maux de gorge, fut
endent; et, quoique la vision soit parfaite, ils sont incapables de lire et de comprendre les mots écrits ou imprimés qu
visuelle et kinesthésique étaient intactes, car le malade pouvait lire , parler et écrire. Comme c'est seulement depuis
t exactement dans la même position que s'il n'avait jamais appris à lire ; mais, chose curieuse, il peut écrire sous la d
eut même exprimer ses pensées par écrit; mais il est incapable de lire ce qu'il a lui-même écrit. Il faut, .encore une
r la lettre qu'il venait d'écrire, mais il lui fut impossible de la lire ! Ce qui monlre ainsi, dans toute son originali
té capable d'écrire, mais qu'il lui était tout à fait impossible de lire sa propre écriture. En examinant plus en détail
rtante. « J'écris, dit-il, comme si j'avais les yeux fermés ; je ne lis pas ce que j'écris. » Défait il écrivait aussi bi
i bien les yeux fermés. Il vient d'écrire son nom; on lui dit de le lire : .< Je sais bien, dit-il, que c'est mon nom
bien, dit-il, que c'est mon nom que j'ai écrit, mais je ne puis le lire . » Quelques jours après, on observa un autre cu
quante-sept ans, atteint de diabète, qui, quand on lui demandait'de lire , se livrait à un travail d'application soutenue
au Du* Ross : «Je savais à peine que faire avec lui; il essaya de lire le journal, et continuellement disant : « Je ne
le journal qui était mal écrit, mais que c'était lui qui ne pouvait lire . » Ce malade était atteint d'hémianopsie bilaté
e paraître de la cécité verbale ? r Quand on demandait au malade de lire un livre, il se servait d'expressions impropres
il comprenait parfaite- ment le langage imprimé, qu'il continuait à lire un journal chaque jour, et que, quand on l'a ex
tait certain qu'il avait une complète notion de tout ce qu'il avait lu , quoiqu'il employât un jargon incom- préhensihl
qu'il employât un jargon incom- préhensihle, si on lui demandait de lire à haute voix. Un tel cas peut certainement ne
proteste énergiquement par la mimique. Je lui ai donné un journal à lire ; lui ayant demandé s'il comprenait, il m'a fait
n lui disait, mais il ne pouvait y répondre. Le malade ne savait ni lire ni écrire. ' ' Dans l'après-midi, vers z heures
voir y répondre, il n'émettait que des cris. Le malade ne savait ni lire ni écrire. Au bout de trois à quatre minutes, c
correctement qu'avant son accident. Ce scaphandrier n'a appris ni à lire ni à écrire. Le malade n'aurait eu ni vertiges,
ceau de papier, il me donne l'encrier. Si on lui donne un journal à lire , on constate qu'il ne comprend plus; impossible
bien, qu'il concevait parfaitement bien ce qu'on lui disait, qu'il lisait et qu'il écrivait tout aussi bien qu'a- vant l'
tion XXX11 qui possédait ces facultés d'exprimer sa pensée et qui lisait , mentalement, tout avec facilité; il écrivait c
il écrivait couramment et il concevait parfaitement tout ce qu'il lisait et tout ce qu'il écrivait. Or, nous étions là e
mémoire- des mouvements gra- phiques. Il n'avait jamais appris ni à lire ni à écrire. Nous n'avons pas observé de cas de
un seul mot : b), la mémoire visuelle des mots : il ne pouvait pas lire , mentalement, ce qui était écrit; c), la mémoir
uel M. Ladame a constaté les particularités suivantes : c J'avais lu dans le Progrès médical la relation de l'expé-
cles intercostaux ; sinon, le diaphragme étant paralysé, la mort se lût produite. Il est probable qu'il s'agissait de név
188 : i. M. BALL remercie la Société de l'honneur qu'elle vient de lu faire. Homicide commis par un paralytique gén
ndre, les voilà pris de céphalalgie, vertiges ; qu'au contraire ils lisent sans attention six ou sept fois de suite, mais
d'aisances, lit. Une phrase, un vers, un objet qu'on vient de leur lire ou dénommer, sortent deleur esprit en quelques mi
esi delta epilessia. Studio critico sperimentale de- prof. Luciani. lu Rivista sperim. di fi·eniatria,1877-8. Coi ? t-,
dividu voit parfaitement les lettres et les mots sans pouvoir les lire ni les comprendre. » De même pour ces trou- ble
un signe d'hérédité. Buvait, parfois même avec abus. Le malade sait lire et écrire, est intelligent et sensé, par conséque
inique de l'accident. Voici ces deux observations : Observation LU . Alexandre Microgeorgis, âge de vingt-deux ans,
criait. Il concevait très bien la parole entendue ; il ne savait ni lire ni écrire. A 5 heures du soir, ce malade commen-
itement bien ce que l'on disait autour de lui. Le malade ne sait ni lire ni écrire. -- i Au bout de vingt minutes, le tr
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. il. Charcot. Le malade habitué surtout à lire des lettres com- merciales, présentait cette pa
re des lettres com- merciales, présentait cette particularité qu'il lisait avec moins de difficulté l'écriture manuscrite
format et de sa reliure semble destiné aux gens du monde, mais sera lu avec intérêt par le public médical en raison de
38 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
couvra la parole dans un élan d'amour filial et s'écria: « Soldat! ne lue pas, Crésus! » La stupéfaction et surtout l'int
s cas de timidité; j'ai vu des malades m'affirmer qu'ils parlaient et lisaient très bien dans leur chambre (je n'ai jamais pu le
crainte, absence d'énergie). Au bout de 6 semaines le malade -pouvait lire son journal et marcher deux heures. (Correspond.
une façon permanente, ne pouvait presque plus marcher, ne pouvait pas lire deux lignes, etc., parce que tout augmentait la d
gmentait la douleur du cou. Elle arriva à marcher une demi-heure, à lire plusieurs pages et à jouer du piano; je sentais l
des globes oculaires et de toute la région frontale. Puis je lui fuis lu suggestion suivante : « Reposez-vous bien, soyez
a puissance. Passons à la qualité de la voix. * Si nous donnons à lire à haute voix un même passage à différents lecteur
'évanouit à nouveaux. Un homme examina alors ses mains et prétendit y lire : « Je suis la résurrection et la vie. » Le lende
avait entendu d'étranges nouvelles. A ce moment, l'homme qui avait lu la veille dans les mains de la u femme merveilleu
us les journaux médicaux ou scientifiques, le nôtre est le seul qu'il lise de la première ligne à la dernière, — et avec pla
sant ainsi, j'ai l'espoir de mettre plus en relief sa personnalité et lu certitude de lui causer un plus grand plaisir qu'
ant peut-être qu'on avait touché à son larynx. L'assistant, qui avait lu récemment les expériences de Charcot, voulut essa
u'occupé à écrire un livre sur l'hypnotisme, M. Grasset ait oublié de lire l'enquête allemande ! Crocq lui-même n'en parle p
voquer et d'augmenter l'instabilité mentale. Mais M. Dubois n'a pas lu cette enquête ! Son opinion théorique est faite s
e est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Président annonce à la Société
cale, surtout quand, suivant les méthodes nouvelles, on veut faire de lu prévoyance et de la prophylaxie. Les médecins des
mettant la date c'est mars que j'avais écrit, c'est avril qu'il faut lire . Cette note peut se résumer ainsi : « Il y a
ès littéraire mais probablement trop peu circonstancié qu'on vient de lire . De plus, M. de Champville n'a pas jugé utile d
Elle a parlé d'un vieillard de 60 ans, (dont les journaux que j'ai lus ne parlent pas). Elle a parlé, d'après M. Fabiu
té de médecine légale. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le Dr Bérillon, secrétaire généra
15 ans. Très intelligent, mais absolument sans culture, ne sachant ni lire ni écrire, très suggestible. Avait été arrêté pou
cte de justice. (Applaudissements.) Dans un traité Célèbre que j'ai lu il y a bien longtemps, Cabanis a exposé les rappo
e s'intéresser très vivement à notre Revue. Il ne se bornait pas à la lire attentivement, il en annotait les articles. A div
, des crimes et délits commis par les aliénés libres est effrayante à lire pour tous ceux qui pensent que si la protection d
76 pages. — Siraudeau, Angers 1906. D'Ritti : Eloge de Jules Falret lu à la séanee solennelle de la Société médico-psy
gens surmenés par le travail et la privation de sommeil. On pouvait y lire , en quelque sorte à livre ouvert, l'état de surme
te à livre ouvert, l'état de surmenage de celui qui avait écrit. On y lisait aussi le retour à la santé morale et physique de
ère, selon moi, dit Braid, de connaître l'opinion d'un auteur, est de lire son résumé. » Appliquons ce précepte à son travai
e s'exercer à plusieurs reprises, à se placer dans cet état, avant de lire les suggestions, afin de 1 habituer à s'abstraire
premier état d'hypnose. Les cinq minutes suivantes il regardera et lira attentivement les suggestions qu'il tient à la ma
le centre du globe, pensant fortement aux suggestions qu'il vient de lire , et cherchant à percevoir l'image des lettres et
pper le regard, trois séries de trois suggestions. Le malade devait lire les trois premières pendant la première semaine,
trois dernières la troisième semaine. La quatrième semaine, il devait lire successivement les trois séries de trois suggesti
ur intention était de tuer des lions. Il est vrai qu'il n'avait guère lu autre chose que des romans d'aventures, en partic
est ouverte à 4 h. 45- Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le secrétaire génér.d donne lectu
Angleterre qu'on rencontre le plus grand nombre de cas de phobies de lu rougeur. D' Paul Magnin. — Je partage complètem
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend des lettres
e est ouverte à 4 h. 45. Le procès verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend des lettr
clarté du style et la richesse des illustrations, mérite-t-il d'être lu et médité par tous les confrères qui se plaisent
e est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. La correspondance manuscrite compren
s autres (J.-J. Rousseau nous en offre le type dans ses Confessions), lis sont embarrassés par la crainte de voir leur méri
an m'amène un jour une fillette de six ans, en me disant qu'elle sait lire . Ravie d'avoir une petite élève si avancée, je ve
tite nouvelle qui épelait à peine, et je la chargeai de lui montrer à lire . Je les laissai ensuite. Deux jours après, passan
tement la leçon à sa petite camarade moins avancée. * Ah ! vous savez lire ! » dis-je. Elle ne pouvait nier. La glace se tro
lique ont lieu les mardis, jeudis, samedis, de dix heures à midi, 49, lue Saint-André-des-Arts (les médecins, les étudiants
ychonévrose, les plusimportantes sont les suivantes : — « Pouvez-vous lire ? Aimez-vous la lecture ? Lisez-vous ? » Tant q
s sont les suivantes : — « Pouvez-vous lire ? Aimez-vous la lecture ? Lisez -vous ? » Tant qu'un malade trouve de la satisfa
e est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. La correspondance comprend des lettr
aee?58à la page 266. (î) Consulter le rapport du juge Abraham Daily lu au Congres psychique de Chicago en 1893. sord
t ouverte à 4 h. ;>Û. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lecture
39 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
nes) ; DE PACKIBWICZ (do Riga) ; OBLITZKY (de Moscou); PITRES, prof.k lu Faculté de Bordeaux; RAPFEGEAU (duVésioei); Pélix
sitconon NÉTKOSES. maladie» mentales et xeiiveuse-s, medecine léo a lu , pédagogie CIMUIKOLOOIE, psychologie physiologiqu
. Celte jupe est un peu courte et laisse voir 11 naissance du mollet. Lu ceinture,nouée au-dessous de l'abdomen,Tait resso
m et le lieu de naissance (Fig. IV). Au-dessus du portrait, on peut lire la mention suivante : « Jûngfrau Helena Anthonia
à l'homme; Malgré la barbe, tu ne pourras jamais être un homme, mais lu peux être une chèvre. Souvent ton conjoint, au mi
e est ouverte à 4 h. 35. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire Général donne lectu
ur famille atteint de cet affreux vice. Voici cette lettre : « J'ai lu dans les journaux le compte-rendu de l'infirmerie
J'ai bien mangé, j'ai bu ¦ et je n'ai pas eu mal au cœur. J'ai même lu cl causé avec des personnes « qui voyageaient ave
souvent c'est le mot seul que je vois. Je dois dire que j'ai beaucoup lu et que, soit habitude, soit organisation innée, j
e j'ai beaucoup lu et que, soit habitude, soit organisation innée, je lis des yeux seulement et très rapidement. i Dans m
importants de mes rêves. Je ne suis pourtant pas un moteur; quand je lis un mot, je ne le prononce jamais mentalement; cet
émêlés avec son frère, elle s'est imaginée que celui-ci voulait aussi lu faire emmener. Dans ses hallucinations, clic voit
éminins sécrètent certaines toxines qui vont influencer plus ou moins lus systèmes nerveux prédisposés. Pendant la durée do
qui mourut à Vienne en 1600. (') I! habita longtemps Inspruck, c'est lu qu'il oxécuta vraisemblablement le portrait do qu
utes, je l'hypnotise; il tombe en catalepsie légère. Dans cet état je lut suggère, a plusieurs reprises, la disparition des
t suivante, il dort très bien et cette amélioration dure huit jours à lu suite d'une seule suggestion. Le traitement est c
ujours été bonne. Depuis huit jours, elle se trouve à l'hôpital où on lut fait prendre du bromure. Le traitement par l'hy
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire Oénéral donne lectu
ant, c'est-à-dire un gentil peut garçon. Je ne veux pas dire que je lis pousser la dent plus vite, je veux dire que je gu
. (Mémoires de rAcadimic des Sciences, année 17*2.) ment do mars. Lu , ces attaques la tourmentèrent pendant tout ce mo
laquelle l'avait condamnée sa difformité. Elle en avait profité pour lire et surtout pour réfléchir. C'est ainsi qu'elle av
e est ouverte à 4 h, 10. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
le retour à la vie normale fut complet, elle demanda son ngc. Sa mère lut répondit 22 ans, faisant abstraction des années d
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le Secrétaire Général donne lectu
ellement d'une manière à peu près exclusive chez les jeunes filles et lus femmes après des maladies aiguCs et chroniques.
e en proche, le mal s'étend et se propage. Vous avez, probablement, lu , quelque part, l'apologue du voyageur et de la Pe
de compensation. * Dans les premiers jours de 1876, on pouvait lire , sur les murs d'un hôtel meublé de Fribourg, en S
. le professeur b s acmé Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général expose la s
vé lui adressait la parole, et qu'il était son ministre sur la terre, lut un homme orgueilleux, sujet à violentes colères e
mpératrice. a OENÉVE A la librairie Allioth et Cie. £1 CHU TOUS LIS LliSAimOf IStlCt ET DE l'iTHJJCEl On s'abonne s
Il ne faut pas un mois do vie commune pour se détester. Il suffit de lire les études sincères faites sur ce sujet par les o
ychothérapie et de la, psychologie. Les conférences sont publiques. LIS VENDREDIS A IICIT HEURES ET DEMIE Vendredi 13 j
gie du courage et l'éducation du carac- tère I.' d'ouverture pur M. lu h' BëHilion. médecin ¦inspecteur des asiles d'ali
-même au début d'une action, il se disait : « Tu trembles, carcasse ; lu tremblerais bien davantage si tu savais où je vai
és universitaires. Pour être édifié, sur cette question, il surfit de lire les admirables conférences faites à l'Ecole de ps
Ampoules dosées * 1/2 militer, de Cacodylate de strychnine etO gr. lu de Giyeéropnosph&lc de sonde psr ccaUmctre cu
ointe de l'aiguille. On constate, au bout de quelques minutes, dans lu majorité des cas, un mouvement d'attraction de l'
e déplacement obtenu avec chaque main successivement, on constate que lu déplacement obtenu avec la main droite est normal
us complète un processus essentiellement progressif. Il suffît de lire les descriptions qu'ont données des états de l'hy
ent de plus en plus. Il présente un tremblement presque continuel qui lu ! rend l'écriture très difficile. Il refuse caté
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
agréable. Les suggestions qu'il reçoit ne réussissent pas ; néanmoins lu dépression neurasthénique disparait. Voilà, me se
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. A l'occasion du procès-verbal, M. le D
s la première séance, elle fut plongée au 4e degré de sommeil. Je lui lis les suggestions appropriées aux circonstances, lu
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est lu cl adopté. M. le Secrétaire Général donne lectu
ce torrent débordant d'appels et de vociférations la galvanisent, et lus sanglots, les gémissements montent dans un chroma
ns navrées, des apostrophes partent du tous tes coins ; les hommes et lus fommes, dans des postures désolées, abandonnées s
er.................. 12 — Les abonnements partent du 1"" juillet et lu I" janvier de chaque année. LES ABONNEMENTS SON
ala vli. El fATTE, 138. boulevard Hageoia. I » WISOII HACHETTE. — Lu * biblinlhtquo* da chemins da (er. IM». 01 ]¦ wj
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopte. M. le Secrétaire Général donne lectu
ts et Suédois, Massage vibratoire Gymnaae, Salle d'armes Lumière. — B» lu « de lumière colorée. Bains de lumière électrique.
ux bureaux de la Revue, 4, rue Castellane. A la librairie étrangère Lu Soudibr : i'i,, boulevard Saint-Germain ; Société
sont arrivés à celte conclusion que ce cheval ne peut ni compter, ni lire , ni calculer; les réponses qu'il doit faire lui s
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lecture
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. Les communications annoncées sont fait
des jeunes gens de son âge; elle était bien, seule à travailler ou a lire , la lecture étant sa distraction préférée. Très a
out et à tous, elle ne s'intéresse plus & rien; elle ne peut plus lire , d'abord parce qu'elle n'en a nulle envie et ensu
Salci-Michel. BO0UUIIl.il. raad*TAiwUM«-C«B«i«- i':.7,: i.a KoAm. LU *t»milt, m* KadM. Itff W^rt,'-. «• Caaimlr-D^arlf»
40 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
paraplégies spasmodiques. De plus, en certains cas, elle se montre lu où elle n'existe que rarement à l'état normal,
1. --Présidence de 1,UYS. Le procès-verbal delà dernière séance est lu et adopté. M. DALLY prend ensuite la parole pou
sion du cerveau » . L'heure avancée ne permet pas au De SAVAGE de lire un mé- moire « Sur quelques cas de paralysie gé
ais été mal informé ; ils sont intelligents, savent pour la plupart lire et écrire, soutiennent très bien une conversati
us, qui écrit des notes et des lettres très sensées et qui, ne peut lire ce qu'elle vient d'écrire elle- même, parce que
à ce que l'on observe chez les sourds- muets auxquels on apprend à lire en leur dessinant un objet qu'ils connaissent,,
bien formés qu'il n'avait jamais fait de sa vie, mais il ne put les lire pendant quelques ► heures. C'est un cas de céci
à faire. Lorsque je voulus jeter un coup d'oeil sur le livre que je lisais , quand ma maladie m'avait atteint, je me vis da
and ma maladie m'avait atteint, je me vis dans l'impossibilité d'en lire le titre, etc. » On comprend plus facilement ce
, à la suite d'une attaque d'apoplexie, fut dans l'impossibilité de lire et même de distinguer une lettre d'une autre; m
et avec la plus grande exactitude. Néanmoins, il était incapable de lire ou de distinguer ce qu'il avait écrit. '' b) Un
n homme, à la suite d'une blessure à la tête,' était inca- pable de lire , mais il était cependant en état d'écrire très co
et hémiplégique,' droit à la ( suite d'une attaque. Il ne peut plus lire ce qu'il vient,[d'écrire , très correctement lu
même. Après une attaque cérébrale aiguë, impossibilité absolue de lire les mots écrits ou imprimés (excepté le propre no
a Société d'Anthropolo- gie de Berlin un aphasique qui n'arrivait à lire ce qu'il écrivait lui-même qu'au moyen d'un art
açait avec son doigt ,les lettres des mots qu'il venait d'écrire et lisait ces derniers tout en les traçant. M. Kùssmaul c
ien rédiger les lettres d'affairés, mais il lui était impossible dé lire . Il voyait nettement les lettres, mais il en av
mais il en avait oublié la signification. Il pouvait en" même temps lire l'heure sur un cadran. L'auteur ajoute, et avec r
tellement une action automatique, instinctive, qu'il ne pouvait pas lire les ' mots 112. Hormis a donné, en 1877,' un ré
voir M. Magnan, il rédige une note relative à son état. Invité à la lire , il s'en montre absolument incapable. Le malade
ots impri- més, mais sans comprendre leur signification, comme s'il lisait dans une langue étrangère dont il ne connaît qu
certains objets. La malade reconnaît son nom écrit, et elle ne peut lire que quelques mots, « Pont-Neuf», par exemple, m
les comprendre. Elle écrit spontanément et peut copier; elle peut lire un nombre de trois chiffres sans comprendre la va
n ayant conservé la lecture mentale, tout en comprenant ce qu'ils lisent , ce dont il est facile de s'assurer, sont en même
e dont il est facile de s'assurer, sont en même temps incapables de lire à haute voix, parce qu'ils ont perdu la mé- moi
n mot. De la main gauche et d'une écriture « en miroir » qu'on peut lire par transpa- rence (écriture décrite par Erlenm
pprocher de ce cas le cas de M. Westphal, dont le malade ne pouvait lire qu'en traçant ainsi les lettres avec son doigt.
nan, de ce testament si bien écrit par une personne, ne pouvant pas lire , si l'on est dans l'ignorance de ces faits qui
our se f faire comprendre d'elle, on se servait de l'écriture. Elle lisait et écrivait facilement. Elle entendait le tic-t
'il était accompagné de gestes expressifs. Le malade ne pouvait pas lire . 228 . REVUE CRITIQUE. A l'autopsie, on trouv
t des lèvres. Il ne sait écrire spontanément que son nom qu'il sait lire . Il peut copier ; si ,on liai donne à lire quel
t que son nom qu'il sait lire. Il peut copier ; si ,on liai donne à lire quelque chose, il émet toute une série de sylla
'il est atteint aussi de la cécité ,es Mot ? Pu ,9, Sa manière de lire , très défectueuse, il est vrai, mais où l'on sa
t, en résumé, les traits principaux de l'observation qu'on vient de lire ? En 1872, à l'âge de seize ans, première crise
nt de décrire en détail ces spasmes partiels. CH.TF. - 'f,; 1 '4 )( lu XX' HÉMIPLÉGIE ACCOMPAGNÉE D'APHASIE ET SUIVIE
, compétents', .'consciencieux P , 't)..<ti;if '"uu L . im mrm 1 lu b,et suffisamment rémunérés, lui paraît 1 meill
1 lu b,et suffisamment rémunérés, lui paraît 1 meilléu ? Eql4p au lu fâcheux état de choses qu'il signale. ig i,li ii.
'un travail sur les1-' Co,anulatioiis de Pacchioni 1. 1 >-"[) °9 lu 1 " ? c( ? lf;q zmn's La prochaine séance est f
< ? *, - sq9S ! .tt,sa7j6S'n-L<iJ% h 4"l ="- "' xil ? >J 1 lu ? 1 .5J-).) ? t". -x uu ? >> i ? tua-,
41 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. de Coynard présente son livre sur
r le Diable. Je voulus l'ouvrir, mais on ne me donna pas le temps d'y lire . C'était un vieux bouquin écrit en lettres gothiq
. Voici, à titre de curiosité, le passage du grimoire qu'il fallait lire ou réciter pour chasser les esprits gardiens des
t pas moins intéressants. Tous les curieux, tous les érudits voudront lire ce livre, l'un des plus documentés sur la questio
rit qu'elle avait été au service d'un pasteur qui avait l'habitude de lire à haute voix, et dont le cabinet d'étude était co
e est ouverte à 4 h. 15. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général expose la s
é les hommes les plus compétents sur la question de l'hypnotisme sera lu avec fruit par tous ceux qui s'intéressent aux pr
tion, le président du Congrès, M. le professeur Régis, de Bordeaux, a lu , aux applaudissements de tous, un travail plein d
ntière d'Avicenne et affirme, tant grecs qu'arabes et modernes, avoir lu et annoté plus de six cents ouvrages de médecine.
lu et annoté plus de six cents ouvrages de médecine. Plus tard, il lira Paracelse, qu'il trouvera très obscur, mais qu'il
logie avec celles de sainte Thérèse, qui vivait de son temps, qu'il a lue et dont les hallucinations ont été considérées pa
se et la fierté d'y voir apposée une plaque en marbre blanc où il put lire l'inscription suivante: Dans cette maison naqui
J'espère qu'il y réussira ; en tous cas sa consultation mérite d'être lue par tous, car elle n'émane pas, — comme c'est le
ci livrée à elle-même, fouilla dans la bibliothèque sitôt qu'elle sut lire et s'empara d'un Agrippa dont elle se délecta, ap
nt: « Mais tu es fatigué! .. Mais tu traînes la jambe gauche!... Mais lu boites !... » Rentré chez lui, il le raconte à sa
rver et au devoir qui lui incombe d'améliorer les criminels, voudront lire le livre du professeur Paul Kovalewsky, car ils y
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
i sur le compte de l'intervention de Dieu ou du Démon. Il suffit d'en lire les relations pour comprendre qu'on se trouve en
s'établissant dans l'immense basilique de Montmartre. II suffira de lire la relation de ces faits miraculeux pour comprend
d'en avoir écrit une excellente, que ne pourront pas se dispenser de lire et de discuter tous ceux qui aborderont, de près
e est ouverte à 4 h. 45. Le procès verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire-Général donne lectu
notre visite : Intelligence peu développée, — cet homme sait à peine lire et écrire. Il est manœuvre, il sert les maçons. D
res de dévotion de l'époque. Il est probable que Marie Alacoque avait lu la relation de sœur Clément conservée dans la bib
eau malade n'a fait que reproduire en hallucinations ce qu'elle avait lu dans les livres de dévotion de son siècle et ce q
s sont répandues avec le talent d'un Toussenel. Pour vous convaincre, lisez plutôt le récit suivant qui a trait aux hirondell
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
le pendule explorateur (l'odomètre d'Herbert Mayo), qui dirigent les lisent s de pensées (1) (Cumberlandisme) et le crayon de
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
ion cérébrale ne sont pas trop accentués. Condamnés à peu sortir, ils lisent , ne se renferment pas, comme le phtisique, dans l
iosité dans le cadre des affections qui touchent à la leur. Ce qu'ils lisent , ils le jugent avec finesse. C'est une qualité qu
t beaucoup intéressé aux esprits ; il se figurait être un médium ; il lisait les journaux et les livres se rapportant au spiri
é les hommes les plus compétents sur la question de l'hypnotisme sera lu avec fruit par tous ceux qui s'intéressent aux pr
juand l'ange Gabriel lui apparut sous forme d'un homme et lui dit : « lis » ; mais il répondit : « Je ne sais pas lire ». A
d'un homme et lui dit : « lis » ; mais il répondit : « Je ne sais pas lire ». Alors Gabriel l'étreignit si fort qu'il pensa
-frère qui s'étaient secrètement convertis, il les trouva en train de lire des sourates du Coran; il les lut et la puissance
nvertis, il les trouva en train de lire des sourates du Coran; il les lut et la puissance de ces versets fut si grande qu'i
y et la critique historique, par A. Hamon, docteur ès-lettres. J'ai lu avec le plus vif intérêt les articles publiés dan
ligieuse, celte restriction n est certes pas indifférente. On lit à lu page 152 : Les hallucinations de la vue vont se j
s'exposer à ne pas donner une exacte solution. A la même p. 152. je lis : « Les hallucinations du sens génital se produis
y. Un jour mon Divin Maître me demanda après la Sainte Communion de lut reitérer le sacrifice que je lui avais déjà fait
uerite-Marie Alacooce. Il me demanda, après la Sainte Communion, de lut réitérer le sacrifice que je lui avais fait déjà
ent il établit la seconde: « II est probable que Marie Alacoque avait lu la relation de sœur Clément conservée dans la Bib
biliothèque de Paray ; 2° Il est probable que Marie Alacoque a pu la lire . Elle l'a lue en effet; les religieuses contempor
Paray ; 2° Il est probable que Marie Alacoque a pu la lire. Elle l'a lue en effet; les religieuses contemporaines l'affirm
veau malade n'a fait que reproduire en hallucination ce qu'elle avait lu dans les livres de dévotion de son siècle, et ce
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire Général donne lecture
tout notre temps est occupé à parfaire deux mémoires que nous devons lire au Congrès de Madrid, dans quelques jours par con
l y a hallucination et hallucination de l'ouïe, et qu'il suffisait de lire et de citer la phrase suivante pour en avoir la p
42 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e la volupté cl lru· ccllc tlu elt : y·iu. » 11 y ctt u tl'aulrcs à lu vrilé ct, parmi celles-ci, l'une des plus fréqu
on 4. CLINIQUE NERVEUSE. égoïste calculateur, s'il s'en réservait lu meilleure part, il les distribuait parcimonieus
alin on se réveil- lait bien un peu maL èI l'aise,énerv,suulll·etew, lu ;'uilL(; mais quelques injections avaient vile,
ette idiosyncrasie n'est pas dosa- ])le sans doute, mais l'argument lire toutefois quelque valeur de l'ignorance général
cadémie ecclésiastique, j'ai commencé à m'occuper de ma santé et il lire quelques manuels sur ce sujet ; j'y ai appris q
dans les yeux. Il s'accusait quelquefois que sou regard provoquait lu loux de- autres, que cela lui était désagréable
regard d'autrui persistait toujours ; comme auparavant,pas de de- lire ni d'hallucinations. La conduite du malade était
me demandant conseil, elle me présenta une lettre dans laquelle je lus ce qui suit : « Je me suis décidée d'écrire mon
l'idée maladive ; el quand je reste à la maison toute seule, si je lis tran- LA PHOBIE DU REGARD. 23 quillement et s
n. Je me retrouve moi dans chacun de vos mots comme si vous aviez lu tous ces tourments dans mon coeur et dans mon âme
s trouvons en ouLreici l'Ltnleclnnanimne monolinn. (H'ir. 1,' eL3); lu nanisme rachitique (M<7. 4 el 5) ; du nanism
riétaire à Ley- mieux (commune de Chagnon), près' de 1ti -de-Giei@, Lirait , sans provocation aucune, deux coups de revolve
atteint d'aliénation mentale et laissé en liberté. Le 8 juin, Meley lirait plusieurs coups de fusil sur son voisin, le sie
peuvent se rattacher aux lésions que nous avons constatées dans la lire et la 2e racine sacrée antérieure droite, surto
! Le diagnobticen l'espèce était déjà établi avant que la ponction lut faite. Sans doute il pourra arriver que le cyto-
près. Ce mécanisme inapplicable aux gens qui n'ont coutume ni de lire ni d'accommoder, inapplicable aussi aux cas, rare
mon respectueux dévouement. l)' 1)onouanrrU. P. -S. .le viens de lire un article fort intéressant de M. le Dr Uuhaiao
la tête et des membres, il existe de rapides mouvements rythmi- ( lues du ventre et même des mouvements de vomissements,
aque (Morel), neuro-psychose hypochondriaque (Israfft-Lbing), dé- lire hypochondriaque , systématisé rSchüle), hypochond
- tres représentants de la psychiatrie, parmi lesquels il mc suf- lira de rappeler les noms deGeorget, desdeiix Falret,
es personnages doués de volonté et d'intelligence, et de tels dé- lires rappellent bien plutôt les délires de possession
néan- moins excellent : la démence précoce à forme paranoïde évo- lue en quelques années et les malades ayant parcouru
équents. Chez un jeune homme de 1\1 ans, le frôlement des cheveux lut l'origine d'un tic des' muscles auriculaires et d
t les gardes-malades : il est trop modeste ; ce livre mérite d'être lu et conservé parmi les volumes devant être fréqu
ajorité des cas de psychoses infectieuses, la cause réelle du dé- lire , c'est l'infection. Il existe donc de véritable
tion des mouvements passifs et actifs des membres. Le sujet loca- lise très mal. Si, au lieu d'une perte de substance re
ent hérédo- syphilitique tardive ; par M. Rose (ivotio. Iconogr. de lu Salpètrière 1904 ,n°4.) Observation, avec pho
lmonaires chez un alcoolique por- teur d'une cirrhose latente ; par Liriez . [Revue de médecine, juillet t'J04.) - Un suj
ire ont t trait à une jeune fille de 14 ans, Sophie Schtarkcrr, qui lisait surtout bien la pensée do son père. ! Il. Itaim
culier, de l'ouïe, percevait ces sons et avait, par suite, l'air de lire dans la pensée de son père. ' P. KrRAVAL. il
4 et 996 fin 1904. Dans le tableau des « catégories mentales » nous lisons -.névroses, 17. 11 serait bon d'indiquer en quo
salion presque générale; ça et là quelques plaques ecchy- moliques. Lus lobes frontaux sont accolés par leur face inter
ère droit. Face interne. La décortication se fait assez facilement. Lus ci rcou vol niions sent volumineuses. Il n'y a
linique nerveuse. Aùdoll ! Cl1. -Foie cl rate l'OIl8'l'StiOHIlé ? - Lus rnics, éa- Il'mcn ! congestionnés, se décortiqu
uis 1 ? ans : a eu (i enfants el deuv fausses couches (pas de s phi lis chez elle.) La maladie actuelle remonte il un m
ociété de Ncurolo- flic et la Société de Médecine Mentale de ]3elgi( lue ont décidé de se réunir périodiquement sous la
ieux sur la 378 SOCIÉTÉS SAVANTES. présence d'un clonus fruste de lu rotule dans certains cas de neurasthénie trauma
généraux cumpren- ncnLnial et, oublient vite ce qu'ilslisenf, aussi lisent -ils fort peu. Les trouble* oiil fi-ail à la mon
la marche normale chez l'homme ; par Lvmy (.1'111 £ 1'. Iconogr. de lu Salpètrière, In05, Il" 1., Les 1111l"cle spin
t un heinatnra- chies avec double paraplégie tla"qUl'. Cet accident lut de courte durée, la résorption de l'épanchemenl
de \fI)a- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 39U ertlipuruil. I : uliu lu mutimne 'in·lallt·. \pri·s la guérison du mutis
malacie. F. T. BIBLIOGRAPHIE \1 I. - Les unomnlies meatcrL·.s chc lu .s rolicrs, par les H1'» .1. Philippe el G. P.\U
triere se compose de sept «membres, savoir : Trois membres ti- l' lis au sort parmi les médecins aliéniste : ; chefs de
phxsiologie du système nerveux, pour laquelle il sera accordé lrois lu : nres; 2° une épreuve clinique commune sur un
hommes. 11 fallut donc télégraphier il 1'.\- sile pnur Ileman(ler ( lu renforl. - D'où la nécessité en pareil cas, d'ê
zone cornu-commissurale qui, surfout dans le segment L1 ? enriclli( lu libres saines ; la zone dégénérée occupe de pré
ité dans les seg- ments immédiatement supérieur et inférieur (D 12, LIS ), diminuent progressivement d'intensité dans le
AIRES. zigs Dans toute la substance blanche. dans les aerm.L3, L'i, Lu ), déco- loration dilrue qui toutefois est plus
ses conclusions,'identifie le neurocoque de Bra au microl'occus agi lis , lui dénie un rôle quelconque dans la pathogénie
aves ; ces recherches furent pra- tiquées au moment de l'accès. Ils liront ainsi *)8 préparations fixées ou à l'état frais
palliologische, Anatomie der hanochen, 1597, dans lequel il monlre ( lue la synostose tribasilaire est réel- lement un s
ue, l'ii\per- trophic de la thyroïde existe déjà chez le foetus,tan¡ lis que dans le crétinisme la maladie de la glande
ultat. asiles d'aliénés. 485 - A l'autopsie. Tumeur cérébelleuse ( lu volume d'un oeuf, déve- loppée au niveau des mé
. , Ce fut seulement, au bout de 8 mois d'internement, que ce dé- lire organisé, en quelque sorte paradoxal, s'évanouiss
s qui sont employés hors de propos et ne correspondent plus àl'idée lue le malade voulait exprimer (paragraphie littéra
'autres cas, ils servent à symboliser les hallucinations et les dé- lires qui les accompagnent avec leurs différents caract
re fois ses qualités de précision et de clarté. Nos lectenrs ont pu lire dans le Pro- grès Médical le compte rendu qu'il
ns une an- cienne faciale, par Lamy, n. 53. - énérale et syphi- lis cérébrale diffuse, par Du- pré et Dcvnw, p. 53.
S13 Sclérose en plaques infantiles, 55. - latérdle amyotrophi- ( lue , pnr l\1 : ontier et GrHsct, par Haymond pt Bau
20G, 2.i0, : 30 : 3, 337, 481. Boulin, 495 13o-cr (.I.), 411. lira . 409. 111 ? 111<1. 1. 131'Hn : 111f3 JJ. 1
43 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
alade atteinte de délire des persécutions avec, lia 11 uci ii'ali o lis verb"al é's* psycho-motrices et accès de mutisme.
le ., A. Jalousie morbide; par Dimitl'1 STEFNONSRI, de Iaroslawl ( lu au Congrès de Jurisprudence Médicale de Chigago,
mentale ou nerveuse est laissée au choix de l'auteur ? 0 ? . , cll, lu , Cozditiorzs9·ducotzcoürs : ï-. 10 (Le concours
u de la quatrième dorsale ; sur une coupe '' ' ., 1 1 -jt> Z A*l lu (, IL16tu colorée par la méthode de Pal, la`moel
s fins et moyens. La lésion se propage dans, la, substance blanche. lu . n aim "1 nu -·.dn un pro Toutes les circonvolu
e). ' P. K. XIII. LES découvertes récentes sur LE système nerveux : lu par F. BAFER, professeur d'anatomie à l'univers
(hémianopsie gauche). Un second accès lui fait perdre la faculté de lire les nombres, ce qui indique un' foyer pariétal du
reconnaître, en les dessinant, les lettres écrites, c'est-à-dire de lire par imitation, possédait donc, dans sonlobe occ
ites par le mouvement qui retrace les lettres, le malade arrivait à lire , à écrire sous la dictée, à écrire spontanément
ire, à écrire sous la dictée, à écrire spontanément, sinon, comment lire et écrire, si les images commémoratives optique
peuvent évidemment être poursuivis que par ceux qui ne les ont pas lus ou pas compris. ' ' « Tout ami de la vérité et
de plaisir. Mais nous croyons qu'en insistant on découvrirait chez lu 172 CLINIQUE MENTALE. bien d'autres stigmates
course à travers le village il rencontre quatre (personnes, et les lue toutes les quatre en quelques instants, entleurjj
'WpU7Î 5922 288jt.1'l.lr9 r`ri ·'et : .if ? · , - - r - ? L)6ds ..3 lu b : o't ab eaiJiisc ,89bio)tn ? o ? ïh. ~ ·., .
seux-de ce'côté;i doigts : en griffe.^Au' niveau de larphalan,ine' ! lu médius, bulle gangreneuse der mêmes qu'àda main
')n\ ? 4a ? t<n/ .eqtfinfn v t - ? xxxvi. Un cas D incapacité de LIRE (alexie); par. Ph. ZEtuElt. ,. , - , Ju y`iJytn
' c'est que la malade peut rassembler. les lettres, en,, unmol. et, lire , intellectuellement, au, moment où elle ne voit
3 ) ' J'. ' ? 228 REVUE, DE THÉRAPEUTIQUE. - - ailo e.,n2t,il 'lu lu JN. niementtrde»`l'agent curatif sera, mieux co
iie d1 iJ.llUl, : l1 1 ttilu .Ü1 : 7YUUIJ MtCtUV 4 ! 1.1 la"j - il lue EfI01S501bC1t a3ClY 887(b Ps3r'f s brusosH "' hh
,plusipi,oche, cependant de,ce dSïïïieJ;o8 elle'up lus9 11 .luoJ SM lira " 9 ! iMr.PAMp ? » " sum KM*b 29St't95x9 29S ? S
a être prochainement publiée. Nous en extrayons le passage qu'on va lire dans lequel sont exposés, avec une grande netteté
itation aux, questions qu'ils n'ont pas enten- dues mais qu'ils ont lues sur les lèvres de leurs interlocuteurs. La conc
' . r ' v Je me suis souvent posé cette question' depuis que j'ai lu , et 'relu ? 1- le'livre'de"'Gûfnev',1' Mycrs'et
llemets sont tirées, textuellement de la préface ilé' M.' 1 ç ' pro lu s s e t ; r t 11 i c h ii t .' ? j,...... ? . ,
; i , La seconde explication soulevé. des problèmes 'bien autre- LU . ? "t vtt -rtnv y ? tv· t1r'vy f ws.v.cr if ? r.
ce qui n'est pas encore ? ^(Kànt; locïcit., p. 111.)' a**™ ? ? Dt ? lu ? i i 1, rttx. tt,vri ,t">î Zoé ct<' P. 2
terminées i ? n-4 -1 ,opa8 £ 442noiJplc ? *M JS .v-llHJ ! a) -«JU-, lu «JU «ui»..«i-.Jl.lUU J J «/««;«;^j 't<.)in ?
ir debout ni mai-cher seul. .1. - âToiBq si tuO ne tenir debou lnym Lue i,et 8 Ptigl znr. 910-irq sI ttt h Opération^ l
qu'après3 la, description minutieuse. de,chaque cas ol)séi-vépendâ, Lu 1 temp, -- suffiât -. - -- - j £ J giopni t, .L
topsiesquet,nous' avons pratiquées la corroborent o(voir 9 p : s 31 lu l,article,( de , M.°Eloy) : >îli -h* &1
a. Cet doit être péri- phérique 1),t t i,a,I)po i,L lala, lésioii .( lu i, ëaus l'immobilité, fixe et réflexe'des z dan
culture; intellec- toels, de 1'li(,rédité. des à à consulter et à lire en entier, ? .,oïi, ru < : '> J. S.. REVU
flfSp %w u ? M' -<ffti ? t' 9;1.30 Quelle,est , l'in/lueaace, de lu pa'éclispositinn ? , La prédisposition, représe
ration; Les réflexes tendineux sont exagérés, 65 fois, p.i00 ? abo- lis ,16 fois p. 100;'c'est-a.-dire 4 fois plussouvent,
ndre1 que lé ministère de l'inté- rieur, animé de l'Esprit nouveau ( lisez ancien et réactionnaire),ine visât tout simplem
lus récente mérite surtout l'atténtionD déspra- ticiens. On peut en lire le texte dans la revue spéciale'qu'ûn'con- frèr
etvue microsco- ,pique. r ,, ? ,yr · r, -<'-\) ? <. R''j ^.1R lu ). r ? a ..Nous ne rappellerons également que p
dire de sa soeur,' l'habitude ! de'1 parler seules En -la' faisant lire mentalement nous'avons- constaté que là 'lectur
sch. f. Psych. 1878, p. 551. ? f>-JUfvi c : lzrtr" n'tq9nt "'JLJ lu n Ueber, Sinesli 'iuschuitgen, pa2,al. Frauen'fil
Nouvelet, quoiqu'il fut'l]un des plus laids]hommes'qubse voye.».icm lisait allé .2noib Y Du nombre^ de ces religieuses éta
e en lesr observant,- et;de les;juger,enjetantcontre t9 . etc an sb lut ) no up 3-ro si acrnuyo-iiiib ix/sl aBa rr- i 'C
onneries messes, ni de s'appliquer à l'étude; car-lorsqu'il voulait lire toutes les lettres du livre lub paraissaient) t
velet, Bretin et Denizqt, . exorcistes, tinrent conseil et réso- lurent de faire dans le monastère une 'procession solenn
jàiriâisî·éii-' contré cette lésiorTautour du cervelet.' Or, il est lise 'de déduire lés raisons anatomiques pour lesque
i ejbu)< i 'dit9,lDF I I'jsvf* no ? tb tj'fq «bnoa9* : 1 «ni ) t LU . L'AgE,lCR);BRO-SPINAL (CONSIDERE. comme CENTRE T
'u-ui 1 ? 4 w.if @ ^ - q tes, je * el 3Î) 7E''Ir191 fl. ijitiiiijob lut 29'IiAT J .sa ! 1" '1M> aux LXXX. Idiotie sy
ti,ctiteme21t sezi-ziueiz, .,Jtlim 1 Ji ? vll, ! eljol ! J`1 AtiA;tl lu '14 -En voici les conclusions : 1. 777- La foli
résentée à son ^esprit cette* idée^ que < si la pierre s'enfonce lu es perdu ». Voici maintenant une femme de vingt
désordrëet le renversement d'imagination possible."IS af 3J '·1 « A lire , la 'rage mue; la : rage'tombante; la'1 rage' end
rudition, conçu- avec méthode, écrit avec le style d'un homme qui a lu et pensé beaucoup. Charpentier. uLfv..W w`1 t
ur de la brique, du par- quet, sur un tapis,' une natte, elc- , , , lut Réflexes conjonctival, cornéen, pituitaire, pha
,' dans la-pratique,' les 'choses ne ' ` ru. '9 3- ''i ? i% ? «»* ? lu ? »l ? &" "ilC -Ta x I` -> J >"» - '
'irnpuretez; 1 les avoit-i sollicitées, de se . faire sorcières ù, - lue 9uz2t ? ox bvuon nu rt9nürrota : i ? irciii -L'
e'l'hypoglosse, où il y avait aussi atteinte du facial. r ? --m non lut Il est intéressant de constater la faible parti
, Bibliothèque" spéciale," collec- tion des travaux*'que nous avons lus avec fruit et qui nous paraissent de nature à f
: ' - . La connaissance des deux rapports d'Itard nous a entraîné à lire l'Éloge de ce savant prononcé à'l'Académie de m
nt la source de procès; la multiplicité des symptômes subjectifs et lu , rareté des autopsies en rendent l'étude, très
e'l'hôpital des Paralytiques; qui fut tout exprès fondé -. 1... 1 . lu il il 2`i115u.fr : . =`isba r .,E ? 9 p.s&ri7
n .tuberculeux ? , --n , -f > «>>., '.< ? » -, ^.r1 ' .$ lut '0 . : $ Les accidents chirurgicaux ont été fré
a^ llarandon de blontyel, 285. 'z' Alexie, , un cas d'incapacité de lire , ou , parZemmer, 190., . ",P,4r 'Aliénés, les
A ? rTO Médecine mentale en Belgique, par ? ' · Francotte, 398. , lu ^rr' 11} z MÉDICO-LÈG,%L E, étude ~ sur J.-M. ,t
étiologie de la-, par Chris- tiani, 29; - survenant vers l'épo- ( lue de la puberté, par Wigles- , worth, 296; syphil
44 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
enus propres (1); 5 ont appris à manger seuls (2); 3 ont appris à lire couramment (3) et 6 sont en bonne voie (4). (Ij
Félix, (etc). X PETITE école complémentaire. Un enfant a appris à lire couramment, Lcro.... (Félix), entré le 29 juin
on plus loin). Deux enfants sont en bonne voie pour la lecture et lisent couramment : COTI'... (Henri), Ch,y". (Emile).
tite école complémentaire. xiii pour l'orthographe des mots qu'il a lus . Il fait l'addition, la soustraction, ébauche l
pour la parole qui était devenue presque normale; pour la lecture, lisait et reco- piait un certain nombre de mots imprim
nt ait été élève et moniteur il son tour. 50 enfants environ savent lire les notes et en connaissent la valeur. » Fanf
end facilement ses résumés de leçon et oublie peu. Pourra passer en lu , classe. ? « classe. 8" ScliarL... (Gustave. Maur
des résultats assez appréciables. C'est ainsi que Sim.. commence à lire dans la 11 partie du Syllabaire Regim- beau, al
pprentis de ceux que nous avons cités, c'est qu'ils ont des peur- LU Enseignement professionnel. missions de sortie
'cli- mutité; G de surdité; 3 étaient bègues ; 12 présen- taient ( lu nlllfismc volontaire; ;29 des impulsions violen
pour les anormaux et les enfants de plus de huit ans ne sachant pas lire ; 2" une autre pour les retardés, mixte égaleme
on. Pas d'épi. l'eau fine, blanche, glabre, sans cicatrice sauf aux liras des cicatrices de vaccin. Pas de gan- glions.
. Imliecilily lI{inç¡'s Coll. Hosp. Rep., vol. Vis, 188-l8'ltl) : - liras . 1V'iez. 7\'/tn. 1Voc/wns- chrifl, 1890. p. 73.
réussir, met et dessert le couvert. Elle n'a jamais pu apprendre à lire , il écrire et à compter. État à l'entrée. - E
une ser- viette au feu.- Balaye, essuie, range. 1900. Mars. Sait lire v et ch dans les syllabes simples et les mots u
seule, Traitement niI : DICO-I'T;D : 1GOGIQU. 31 . Juin. - Sait lire d, f, au, ou, ai et les mots formés de ces élé-
lasse, quelques progrès, écrit sous la dictée les mots qu'elle sait lire : donne des boules jusqu'à 30. Fait du crochet.
tés de mesure. Sait compter jusqu'à 100, connaît les chiffres. Sait lire et écrire tous les mots formés de syllabes simp
tirée, sur la scoliose comme manifestation du mvxH. : clèll1e. J'ai lu bon nombre de traités et d'études sur la scolio
( ? ) sans aller à la selle. On n'ajamais essayé de lui apprendre Ù lire . La parole est assez limitée, comme nous le ver
uses, ni les 128 8 Idiotie lIlYXOEDÉMATEUSE. couches dpn<ps de lis =u fibreux, qui se voient toujours dans les cas
97-1902 : Développement progressif de l'intelligence, l'enfant sait lire , écrire, faire les premières règles, etc. -Notion
l est heureux quand on le fait travailler. Lorsqu'on l'appelle pour lire , il se frotte les mains et saule en signe de sa
ltiplication. Il a une mémoire extraordinaire pour les mots qu'il a lus . 11 fait quelques exercices élémentaires de gram-
seul, en un mot à ne plus avoir besoin d'aide. Enfin il a appris à lire , à écrire, à compter, à faire les trois pre- mi
ent que superficiellement les malades, n'ont quelque- fois ni vu ni lu , le demandent, les considérant comme insus- cep
entive, assez aimable, de donner de la peine aux autres. Elle avait lu les Cordes fantastiques illustrés d'Hoffmann et
nt, il serait certainement plus avancé. Il a appris à placer et à lire les couleurs et les chiffres, établit bien le rap
rès très sensibles en lecture dès qu'il nous est permis de le faire lire quelques jours de suite. Ler... éprouve beaucou
éalisé de grands progrès pour la lecture, il est en bonne voie pour lire bientôt couramment. Il fait l'addition et la so
e Rolando. LOC, Lobe occipital. LO, Lobule orbitaire. T',T2,T3, lire , 2e, 3°, circonvolutions temporales. tpc, Pli d
T'r,. IX. ERRATA Page 114, dans la note, au lieu de Planche III, lire PL. V. , 161, lire Chap. XIII au lieu de XI.
Page 114, dans la note, au lieu de Planche III, lire PL. V. , 161, lire Chap. XIII au lieu de XI. 169, XIV XII. 172,
45 (1895) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1894
enfants ont été rendus propres (2) ; 7 enfants qui ne savaient pas lire ont appris (1) Voir Compte-rendu de Tannée ISÎ1
Boivi ? Dessertain ? Eel... Lauren ? Lemaîtr. vi Petite ÉCOLE. à lire couramment (1) ; 6 enfants ont été notablement
endront un repas (1) Nous reviendrons en ilétuil une autre fois sur lu préhension, à propos <li l'éducation de la m
ions à Mrao Bru. » Maladies épîdémiques. L'enfant Gauche... ayant lu Mouvement de la population. contracté la variol
r décem- bre 1892). Dans la séance du 9 mars 1893 nous vous avons lu un troisième rapport relatif à la cons- tructio
Figaro, mars 95). Ciiers Lecteurs, Tous, probablement, vous avez lu clans votre jour- nal politique un résumé plus
service d'enfants nerveux de l'hospice de Bicêtre. Vous qui nous lisez et qui savez quel soin scrupu- leux nous apport
s un journal qu'il dirige. Ce journal est fort (1) Si ces personnes lisent le réquisitoire de M. Deville, elles se féliciter
érêt scientifique. » M. Deschamps. Dans le paragraphe que vous avez lu (1) Bourneville. De l'examen physique des enfan
drai comme sur plusieurs autres; mais, dans tous les cas, je vais lire intégralement, ce sera plus simple. Il ne faudr
ce sera plus simple. Il ne faudrait pas conclure du passage que je lisais avant l'interruption que l'on ne fait à Bicêtre
nt disposer, nous avons dû y renoncer. » L'arti'cle que je viens de lire (2; contient des indications vagues, et le syst
a paru dans « l'Eclair » du jeudi 14 mars courant. Je ne vous le lirai pas tout entier et je me contenterai de vous donn
ouvelle, le surplus étant dans l'article du « Progrès médical ». Je lis : « Depuis longtemps, je me livre à des études
e Trousseau et Hardy sont clas- siques et que tous les médecins les lisent . Il y a bien d'autres auteurs que je pourrais c
s, le rappelle au respect de l'exactitude. M. Deville pro- met de lire dorénavant l'article intégralement. Bien- tôt,
m- plètement disparu. Au point de vue intellectuel, il a appris à lire , un [jeu à compter, à écrire, quoique d'une man
it de température, relevons aussi la marche de la température après lu mort. Les notations qui ont été faites indiquen
enfants de Hieêtrc (14 volumes), sur le ivi.'e île l'alcoolisme dans lu produc- tion des enfants atteints de maladies n
signification que Planche I. Bourneville, Bicêtre, 1894. Pl. III. lis Explication des planches. Planche IV. Hémisph
verses LI Cours cle dessin LI Maladies épidémiques .' LI Teigne lu Maladies intercurrentes .................. LU
miques .' LI Teigne lu Maladies intercurrentes .................. LU IL Statistique : mouvement de la popifialion. l
.................. LU IL Statistique : mouvement de la popifialion. lu Décès ; utilisation des malades lui Sorties;
46 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
S Lettre au docteur Liébeault Cher confrère et ami, Je viens de lire votre article sur les suggestions criminelles; in
en 1855, c'est-à-dire il y a juste quarante ans. Voici ce qu'on peut lire à la page 305 : « Ainsi, disais-je, j'ai établi
rt pour accroître la contraction des fléchisseurs des doigts ! Est-ce lut , est-ce la même volonté, la même pensée, la même
e de m. Dumontpallier. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. La correspondance manuscrite compren
jours, au contraire, l'attention ne s'est pas portée sur elles. Nous lisons dans le traité sur l'hérédité de Lucas (t. I, p.
s d'un ton ferme que dans son sommeil elle entendrait ma voix et elle lirait ce que je lui montrerais écrit. Le sommeil obte
entendirent le sermon, puis ils déposèrent à ses pieds la malade qui lut dit avec une grande foi : « Père, voyez en que, é
e de M. Dumontpallier. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend des excuses
e de m. Dumontpallier. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend des lettr
oulues. » ¦ C'est dans un grand journal presque officiel qu'on a pu lire aussi les lignes suivantes : « Un faux préjugé,
historique de l'anesthésie, le secrétaire général. M. Francis Jean, a lu le rapport annuel. II a constaté que, dans cet ét
ont devant lui et n'attendent que le signal du départ. Il les voit et Lire le coup de pistolet toujours en doutant. Cet état
des malades atteints de sycosis. La communication a été préalablement lue au malade qui l'a trouvée rigoureusement exacte.
gent, raconte l'auteur, s'est aperçu un jour qu'il était incapable de lire les devoirs qu'il avait à corriger. Un examen oph
nt, mais il ne pouvait plus dire ce qu'elles signifiaient. Il pouvait lire les chiffres imprimés avec les plus petits caract
re du malade lui-même. Il y a six mois, il a recommencé à apprendre à lire , tout d'abord les lettres, et ensuite il s'est mi
ts familiers et fréquents, comme par exemple, l'article the, sont lus par lui à première vue. Il écrit sous la dictée a
que dans ce dernier quart de siècle ? Nous savions bien, pour l'avoir lu bien des fois, que la bibliothèque de Marly était
oujours tenu à l'écart ; c'est très bien cela !. » J'avais, en effet, lu mon rapport à la Société de biologie, et mes conc
rché à cinq ans, elle a parlé à huit ans, on a pu lui apprendre à lire et à écrire, et elle a fait son apprentissage de
e de ces mots conventionnels. Sa destruction amène l'impossibilité de lire ; c'est la cécité verbale. Si 1 est détruit, le s
l dit : « Je connais l'image des objets qu'on me montre, mais ne puis lire les lettres. » Si 3 était intact et que le conduc
e moteur articulaire fût détruit, il dirait: « Je comprends ce que je lis , mais ne puis l'articuler, ? Si 2 et 3 sont aboli
nvoyer un filet émissif vers A : d'où ce fait qu'un sujet qui ne peut lire si son conducteur 3 V— A est lésé, écrira grâce à
intact et pourra ainsi comprendre et répéter indirectement ce qu'il a lu , grâce à la transmission G A. Nous n'avons pas
lueu. Le procès-verbal de la séance annuelle du 25 Juillet 1895 est lu et adopté. M. le Président met aux voix la cand
6. ? Monsieur le Rédacteur et très honoré Confrère, « Je viens de lire l'article de M. le Prof* Delbœuf dans la Revue de
us délivre des conceptions vagues et des formules métaphysiques. Nous lisons par exemple dans un ouvrage récent (') : « Le som
ogie et de psychologie Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend les lettr
es, tous tes médecins, tous les experts du monde au a défi de prouver lu réalité d'une scène d'hypnotisme que les auteurs
ar les soins du Comité et distribués à tous les membres ne seront pas lus en séance ; les orateurs ne pourront occuper la t
e de M. Dumontpallier. Le procès-verbal de la précédente séance est lu ét adopté. La correspondance comprend des lettr
automatiques chez les enfants vicieux ou dégénérés o, que je viens de lire dans le numéro de novembre de la Revue de l'Hypno
e le fil, l'aiguille, les ciseaux. On constate de plus, en la faisant lire , qu'elle présente de la cécité verbale qui se mon
cation (Aphasie de réception); 3e La malade ne comprend, ni ne peut lire le mot qu'elle a devant les yeux (Aphasie totale)
e. En effet, voici à quel exercice la malade est soumise. On lui fait lire un passage de 35 lignes. Sur ces 35 lignes il y a
n répète la même expérience, avec des passages qu'elle n'a pas encore lus , et après six séances on lui fait lire successive
passages qu'elle n'a pas encore lus, et après six séances on lui fait lire successivement à l'état de veille, puis en état d
e de M. Dcmoxtpallier Le procès verbal de la séance de Décembre est lu et adopté. La correspondance comprend des lettr
ndant le sommeil hypnotique qu'il a été possible de lui réapprendre à lire , à compter et à écrire. Enfin, étant devenue en
'en étais déjà ennuyé, j'en suis un peu plus inquiet, depuis que j'ai lu le Sommeil tiers de notre vie. Madame Marie Manac
vrai que pour en arriver à cette conclusion, je n'avais pas besoin de lire le chapitre sur Yhygiène dît sommeil. Dans celu
à la volée dans un article de journal. Le livre vaut la peine d'être lu ; outre que le mystère de la question a par soi-mê
saurait, en tous cas, rencontrer d'adversaires parmi ceux qui auront lu son livre, et elle leur apparaîtra comme indispen
47 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
avoir à réfléchir au nombre cinq ou iL le prononcer. Elle n'ose pas lire de crainte d'être entraînée à composer des mots
était forcé parfois de pro- noncer, et aussi pour empêcher qu'on ne lise sa pensée sur ses lèvres, il enveloppait son vi
avait été soignée, etc. ; mais le lendemain 'quand il s'apprêtait à lire l'observation à M. Charcot, la malade amenée de
fois d'attirer son attention sur la parole. Je lui donne un livre à lire , ou mieux je lui donne une multiplication à fai
musculaires m m' m", visuelles v v' v" et auditives a a' a". Nous lirons alors l'expression graphique de ce fait : la perc
onner sur eux aucune espèce de renseignement. Du côté des diverses. Lire dans American Journal of haanily, années 1886 et
campagne, à Villier-le-Bel, dans une institu- tion où il a appris à lire , à écrire et à compter, mais il n'a pas poussé
e. Le malade lit trois à cinq mots et dit qu'il ne peut continuer à lire . Pas de prodromes. Intégrité de la vue. Autres
is ne peut réussir, ce qui le navre ou l'irrite. Enfin, après avoir lu correctement quelques mots, il continue à recon
égrité des centres acoustiques et moteurs n'est pas nécessaire pour lire . On peut être aphasique et comprendre les carac
ant très bien, comprenant la parole, peut avoir perdu la faculté de lire . D'autre part la capacité de lire les mots avec
e, peut avoir perdu la faculté de lire. D'autre part la capacité de lire les mots avec impossibilité de recon- naître le
collec- teur spécial; c'est B. Par suite, pour qu'un homme cultivé lise , il lui faut seulement l'intégrité des voies de
en un mot; c'est la dyslexie. Totale quand il y a impossibilité de lire . Partielle quand la lecture est traînante. C'es
viennent plus au centre de la notion complète C. On lit comme si on lisait une langue inconnue avec un alphabet connu (plu
exercice des gens éduqués. L'individu un peu cultivé utilise, pour lire A6BDE + DC. Si DC est interrompu, nous avons le m
roche de la claudication intermittente du cheval. Quand le malade a lu quel- ques mots correctement à tous égards, voi
ent à tous égards, voici qu'il lui est difficile ou impossible d'en lire d'autres; en même temps il éprouve des sen- sat
se. Les difficultés repa- raissent quand il recommence à essayer de lire . Bruns a observé un dysleclique qui présentait
rticale et non corticale, car il a conservé la faculté mécanique de lire et qu'il n'existe que de faibles troubles de la p
mer les légitimes scrupules de M. Briand que j'ai été invité à vous lire le rapport de M. S. Garnier par son auteur lui-
Elle ordonne l'affichage au tribunal et dans les feuilles les plus lues du jugement rendu sur l'état mental de l'aliéné
ie d'Eulenbourg, écrit sur ce thème un article que je vous engage à lire . Que le médecin ne traite pas devant les magistra
teurs. - Il est avant tout entendu que le mémoire de M. Sommer sera lu après ces rapports, avant qu'on n'entame la dis
arant l'image du son du mot à l'idée qu'il représente. On apprend à lire en unis- sant à des mots déjà connus, représent
nominations par la simple vue de l'i- mage écrite et qu'on arrive à lire des caractères écrits en appelant à son aide l'
on particulièrement FUNESTE DE CER- tains MOTS (PENSÉS , PRONONCÉS, LUS , ÉCRITS) MOTS COMPROMETTANTS. L'onomatomanie
oûte pour éviter le mot malfaisant, non seulement, ils cessent de lire , d'écrire, mais limitent parfois à quelques pa-
ndonné sa dernière robe, d'ailleurs toute neuve parce qu'elle avait lu sur une grande toile étalée devant une baraque
sinat, diable, etc. Tout d'abord, il s'agissait d'un mot entendu ou lu ou bien pro- noncé ou écrit par mégarde, puis,
s moins à les accomplir. . Depuis longtemps il a cessé d'écrire, de lire , il fuit la société, ne trouve du plaisir qu'à
ncés. Très péniblement impressionné, il finit par ne plus vou- loir lire et pour ne pas entendre prononcer un mot comprome
bule de l'insula. Certes une observation semblable à celle qu'on va lire eût été mieux à sa place en 1865 ' qu'en 1892,
voués ni constatés. Le 8 août 1891, Kerl..., couché dans son lit, lisait le journal, quand brusquement il s'aperçut qu'i
ionne au contraire nettement le centre mo- teur ; quand on lui fait lire le mot encrier, le malade le dit parfai- tement
eut arriver à trouver.. Pas de paraphasie. Depuis longtemps il peut lire aussi bien qu'avant son accident. Pas de troubl
s cette tendance est ma- nifeste ; et quelques personnes ne peuvent lire en comprenant ce qu'elles lisent, sans refaire
e ; et quelques personnes ne peuvent lire en comprenant ce qu'elles lisent , sans refaire réellement toutes les opérations
e malade, peu lettré, qui s'aperçoit tout à coup qu'il ne peut plus lire le journal qu'il tient à la main. Mais point n'
saisir le sens de l'écriture ou des symboles représentés, ou même à lire la lettre DES LOCALISATIONS CEREBRALES. 245 d
paralytique général ; par B. FEIST. (Neurol. Centrnbl., 1891.) A lire en entier. Car la description tout entière fait,
rons que notre trop courte analyse engagera néanmoins les curieux à lire l'ori- ginal dont ils tireront le plus sérieux
nt au nombre de quatre-vingt-trois. M. Albert Carrier (de Lyon) a lu ensuite un rapport sur le compte rendu financie
3° Le pronostic ne peut être aujourd'hui fixé d'une manière abso- lue . Les idées de négation hypochondriaque semblent i
rre, etc., au traitement et à l'éducation de ces malheureux; qu'ils lisent les travaux publiés sur cette partie de la pathol
rs'effor : cer de ne plus penser, évitant de parler, d'écrire, de lire , de regarder, s'éloignent dès qu'ils entendent
e à l'école, mais elle apprenait difficilement et elle sait à peine lire et écrire. Depuis un an, on s'aperçoit qu'elle
e le mot chien, elle est prise d'angoisse jusqu'à ce qu'elle ait pu lire le nom d'un autre animal, boeuf, cheval, mouton
it (Obs. VII), quand il ne le trouvait pas, la famille l'aidait, on lisait le dictionnaire et l'on ne se couchait qu'après l
couverte du mot. La fille aînée de la malade, très émolive, ne peut lire un fait divers dans un journal sans en être viv
des prennent part à la conver- sation de l'entourage, se décident à lire des journaux, des livres, et au bout de quelque
e de l'attention chez les hystériques. ' 460 CLINIQUE NERVEUSE. lisent , elles n'ont jamais l'esprit à ce qu'elles font,
délirante ce que nous appelons délire alcoolique. L'homme qui dé- lire à besoin de soins spéciaux qu'on ne peut lui donn
mal sous la dictée, il copiait relativement bien. Encore capable de lire , il comprenait peu ce qu'il lisait. D'après le
lativement bien. Encore capable de lire, il comprenait peu ce qu'il lisait . D'après le schéma Lichtheim et Wernicke, il s'
plus nets pour la théorie des locali- sations. Le Dr A.-D. Waller a lu un grand travail sur les fonctions attribuées à
es recherches sur le sens musculaire des aveugles; le Dr Bernheim a lu une étude sur l'amaurose unilatérale des hystér
présentés au Congrès et peu- vent encourager quelques chercheurs à lire les travaux eux-mêmes dont beaucoup sont indisp
48 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
était atteint. Il comprenait t fort bien tout ce qu'on lui disait, lisait bien, et jusqu'au jour où sa para- lysie brachi
intellectuelle. Il faut dire, cependant, que la malade ne pouvait pas lire , ce qui était peut-être dû. à une hémianopsie,
lace dans la boutique familiale. Il se consola derrière l'étal en lis : mt Buffon, et les oeuvres de Dumas père contr
18. Dejerixk. In Path. générale de Bouchard, t. V, 1900. Jnson. - lu Atlas man. du Syst. nerv. (trad. française), 1900
, ordonnant d'en modifier en sa présence les mesures. Il se faisait lire dans les Ecritures toutes choses concernant la mo
Z LES HASBOURG 153 d'Ezéchiel : r'r Ta propllétiseras sur ces ns et lu leur diras : vous, os dessé- chés, écoulez la p
LASIE 165 Extrémités inférieures. 166 FERRUCCIO RAVENNA Il sait lire , ne sait pas écrire, il lui manque les notions él
HONDROHYPOPLASIE 173 quelque peu de la culture de son père. Il sait lire et écrire en italien et, comme il a vécu longte
fichet et la sclérodermie n'a pas, que je sache, encore été fait. A lire pourtant attentivement les observations, rares
Marie et Crouzon (3) ont également insisté sur le rôle de la syphi- lis dans l'étiologie du vitiligo. Ils ont observé un
évident que ce dernier cas n'exclut nullement le rôle de la syphi- lis dans l'étiologie du vitiligo ; il montre seulemen
s par Griffith et Newcome appartiennent à ce groupe, car je n'ai pu lire leurs propres écrits. Le nombre des membres des
de mots et de noms, mais est incapable de comprendre une phrase, de lire un journal ou un livre. La parole du reste n'est
s... toute la nuit... sans rêves ne cauchemars. Je peux écrire et lire sans la moindre fatigue et sans la moindre émotio
s la moindre fatigue et sans la moindre émotion - je peux écrire et lire ... sans fatigue... sans la moindre... é... motion
anglant ? Oui, c'est sanglant. Lecture à haute voix. Je lui donne à lire le texte imprimé suivant : « Nous avons établi
re est extrêmement lente ; il faut plus d'une demi-heure pour faire lire à la malade les deux phrases précédentes. Elle
térale. Elle comprend la lecture et se rappelle ce qu'elle vient de lire .L'émission des syllabes est difficile, quelquefoi
t cou écrits avec des cubes alphabétiques placés verticalement sont lus four et cour. Les mots soir et loi ne sont pas
rticalement sont lus four et cour. Les mots soir et loi ne sont pas lus verticalement, ils le sont horizontalement. Poire
sont pas lus verticalement, ils le sont horizontalement. Poire est lu Paris. Jamais écrit verticalement n'est pas lu, é
ntalement. Poire est lu Paris. Jamais écrit verticalement n'est pas lu , écrit horizontalement les let- tres écartées i
t pas lu, écrit horizontalement les let- tres écartées il n'est pas lu non plus ; il n'est lu qu'horizontalement les let
talement les let- tres écartées il n'est pas lu non plus ; il n'est lu qu'horizontalement les lettres accolées. Il y a
, L'étendard est arrivé... Lecture à haute voix. - Je lui donne à lire : L'hirondelle est un oiseau voyageur dont le v
da. Pour certains mots. elle devine la dernière syllabe au lieu de la lire ; ainsi pour paradis elle dit parapluie : pour
Pour BOULET, elle lit BOULA ; le même mot écrit horizontalement est lu bouleverse, puis boule. FOURMI est lu FOURNI. L
mot écrit horizontalement est lu bouleverse, puis boule. FOURMI est lu FOURNI. Le mot MAJUSCULE n'est pas lu verticale
verse, puis boule. FOURMI est lu FOURNI. Le mot MAJUSCULE n'est pas lu verticalement; il l'est avec difficulté, écrit ho
ais- sance des objets parfaites. Reconnaît bien les dessins, sait lire l'heure exacte, reconnaît la valeur des différe
e pouvait dire quelques mots spontanément, répéter tous les mots et lire à haute voix les mots les plus usuels et les plus
ques phrases courtes. Lecture à haute voix. - Très améliorée ; elle lira consécutivement plu- sieurs phrases d'une maniè
ière très correcte ; mais elle ne se rappelle pas bien ce qu'elle a lu , et ne comprend pas ou comprend mal le texte, si
ée ; la malade ne comprend la plu- part des mots qu'après les avoir lus à haute voix. Elle ne comprend pas, sans les pr
s celte lecture elle ne se rappelle pour ainsi dire plus ce qu'elle a lu . Lecture mentale. Est très atteinte ; après avo
s ce qu'elle a lu. Lecture mentale. Est très atteinte ; après avoir lu trois lignes relatives à un bombardement d'une
Quand avez-vous pu comprendre ? Trois ans... six ans. Saviez-vous lire et écrire avant d'être malade ? - Oui, oui .. trè
eu des crises ? Non, non... Cochin... la tête. Avez-vous essayé de lire ? - Oui... peux pas... la tête. Et d'écrire ? M
sais pas ». Lecture à haute voix. Lecture mentale. - Je lui donne à lire : u Ay- mousseux », elle lit » ay pousseuse ».
l un solitaire à Paris. Texte : Que veux-tu de moi, ma bien-aimée ? Lu : Un faut tu de moi, ma bien-aimée ? Je voula
t tu de moi, ma bien-aimée ? Je voulais te voir et être avec toi. Lu exactement. Etes-vous triste, êtes-vous fatigué
ce que vous m'aimez. - Cela ne vous ennuie jamais ? - Tout ceci est lu très exactement. La lecture est assez ra- pide
troubles latents de la lecture mentale. Les mots PARIS et RUE sont lus écrits les lettres placées les unes au-dessous de
UTON, BE131'ADAU1 (le nom de son mari), RICHE, IVRY ne peuvent être lus qu'écrits horizontalement les lettres juxtaposées
re. Reconnaissance et désignation des objets parfaites. Elle sait lire l'heure et les minutes, reconnaît la valeur des d
r avec l'éducation d'un enfant auquel on veut apprendre à parler, à lire et à écrire ; le premier a en- registré dans so
tions psychiques ; entraîner les aphasiques à parler, à écrire et à lire par tous les procédés dont on se sert usuelleme
s vers l'oreille gauche. Examen de la face à l'état de repos (PI. LU ). - Au front, les rides sont totalement absente
e. Soc. de Neurologie, 7 novembre 1912. Feliciangem. Contribution à lu la connaissance de la fonction du lobe frontal du
u recueillir aucun renseignement sur ses antécédents. Il ne sait ni lire ni écrire, ni compter, a été incapable d'appren
técédents héréditaires duquel on n'a pas de renseignements. Il sait lire , écrire, compter, a assez bonne mé- moire et ne
Riva-Rocci est dans les chiffres normaux. D'après ce qu'on vient de lire , on voit qu'il y a chez notre malade deux NOUVE
ssermann négative dans le sang et le liquide céphalo-rachidien. SUR LU SYNDROME DE LA XANTOOHHOMIE ET DE LA COAGULATION
TEURS Aamc (J.) et PIfH> ? lIél1lispasl1les synci- nétiques de lu face liés un clignement des paupières dans les
49 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
; 4 enfants ont appris à manger seuls (2); 4 en- fants ont appris à lire (3). (1) 13oÍ ? lia ? Troc ? lien ? Dup... ("
s agissons de même pour la soustrac- tion. Ce boulier sert encore à lire et écrire les nom- bres de plusieurs chiffres,
enfant serait certainement plus avancé. Trois enfants ont appris à lire couramment : 10 Mugn ? (René), 10 ans, atteint
on arrivée en novembre 1891). Cet enfant, d'une inattention abso- lue , nous faisait souvent douter de sa lucidité par s
il passe à la lecture courante, mais il sera long, croyons-nous, à lire tout il fait couramment. Il ne s'habitue pas à
croyons-nous, à lire tout il fait couramment. Il ne s'habitue pas à lire du regard un mot entier pour le prononcer ensui
u'il lit lentement, en laissant un trop long temps d'arrêt avant de lire la suivante. Couri... ne lit bien couramment qu
même méthode, c'est-à-dire : placer le mot sur la chose, le faire lire il l'enfant, le lui faire poser lui-même et enfin
mprimés qu'ils con- naissent déjà ; ils commencent donc d'abord par lire couramment un mot sans connaître les parties do
oire des enfants puisqu'ils les reconnaissent à première vue et les lisent couramment lorsqu'ils les rencontrent dans le S
faisons copier les mots appris ainsi isolément afin qu'ils puissent lire indifféremment les mots imprimés ou reproduits
ces enfants, sauf une quinzaine appartenant à la fanfare, ne savait lire la musique et ne possédait de notions sur la th
la théorie musicale. Aujourd'hui, pres- que tous les enfants savent lire les notes, en connais- sent la valeur, en un mo
e la musique. Quand les enfants sont suffisamment avancés pour bien lire un morceau de chant et l'apprendre avec fruit,
ment par les projections. Fig. 61. - On projette le mot coq qui est lu il haute voix par les enfants, puis Promenades
ercurrentes. - 4 enfants ont été atteints d'état de mal 6,I)ilel)ti( lue ; G atteints de bron- cho-pneuzonie; un de pneum
nts, à part quelques- unes récemment entrées à la Fondation, savent lire les notes et en connaissent la valeur. Le procé
me qu'à Bicêtre : dès que les enfants sont assez avancées pour bien lire un morceau de chant, on leur fait chanter des c
s instructions dans ce sens au directeur de l'hospice de Bicêtre. Lu Préfet de la Seine. .1. DE SELVES. Secours A
l Tableau des accès el des vertiges Eosinate de sodium. Il; ! r lu ! miple- Cousine ! ]ernwine (;pileplir¡ue. - AutJ
.' vue, myopie assez prononcée, à la distance d'un mètre ne peut lire des lettres de 3 centimètres de long ; l'oeil gau
ttaques de somnambulisme dans la nuit du 7, du 17 et du 24. Dans la lu ... a saisi une canne qu'il a fait tournoyer au
is mois il ne survient aucun accident con- vulsif ou somnambulique. Lu ... continue il s'améliorer il tous les points
n entrée dans le service (septembre 1882), on note qu'il commence à lire convenablement mais qu'il a beaucoup de peine à
m'arrive de me mordre la langue, il cause des efforts.» On le fait lire , il lit sans difficulté notable : « Il y a des
t lire, il lit sans difficulté notable : « Il y a des moments où je lis des yeux sans pouvoir bien articuler. » Si on l
lsions qui se répétèrent quotidiennement pendant plusieurs jours et lurent suivies de paralysie des membres, compliquée ul
i il 10 mois; intelligence médiocre ; il a pu cependant apprendre a lire , à écrire, à compter, et à aider élans le métie
crises, elle sent, dit-elle, qu'il lui est arrivé quelque chose, m lis elle ne se souvient plus. 17 bien conservée.
ait plus exister de troubles de la vue, car notre malade' peut bien lire , et voit l'heure à huit mètres. 11 est sans ouv
ières. 291 ERRATUM A la page 219 au lieu de ]'L.\ ! \CIIE 111111, lire Planches IX et X. 1900. - Imp. des Enfants de B
50 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
hystérose, pour moins choquer les personnes pieuses qui peuvent nous lire . Mais il ne suffit pas d'affirmer que Bernadett
ants les maladies nerveuses, l'épilepsie parfois, l'hystérie souvent. Lisez à ce sujet les statistiques des ouvrages de mé-de
tons ; naïve, crédule, un peu niaisotte, on ne put lui apprendre ni à lire , ni à écrire, ni même à réciter un peu de catéchi
a, sive mas est, lia uti alma noctiluca est. (3} Phllochorus quoque lu Athride eamdem veneren» affirmât esse lunam ; et
Jules Voisin. La séance est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal est lu et adopté. M. le Secrétaire général adjoint don
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
pas là un danger ? Rappelons ces malheureux sans défiance, donnant à lire le livre de leur vie, ou faisant leurs confidence
a vainement de le convaincre de la puérilité d'un pareil motif et lui lut par trois fois l'article du code militaire relati
ons un peu longues, mais pour emporter la conviction de ceux qui nous lisent , il le fallait, dussions-nous être ennuyeux. Co
llantes roulaient parmi ses sourires, » Dans un autre chapitre nous lisons ceci : a Bernadette en arrivant prend son rosaire
toucher ? Oui, il y a chez elle obnubilation des sensations : Que lisons -nous à ce sujet dans les livres précités? Un jour
ident de la Société. Le procès-verbal de la séance précédente est lu et adopté. U. le Dr Bérillon, secrétaire généra
s. Dans ce but nous faisons circuler des feuilles d'enquête dont on lira plus loin la teneur. Depuis que les phénomènes
chez les personnes en bon état de santé normale, plus considérable de lu main droite que de la main gauche. Les chiffres i
racousie hystéro-traumatique. Rapport de M. le Professeur Brissaud, lu en audience publique du Tribunal de la Seine. — M
grave dans son esprit. L'autre lit sa leçon tout haut ou se la fait lire à haute voix ; attentif aux sons qui frappent son
int, il l'apprend par cceur, en silence, à tète reposée. Quand il l'a lue des yeux, un certain nombre de fois, il la possèd
exemple, les visuels et les graphiques devront, en même temps qu'ils lisent des yeux et écrivent de leur propre main, articul
fonctionnel dont elle n'est fréquemment que la conséquence. » Chez lut le philosophe reparait encore lorsque, traitant u
aux de M. Grasset et, à cet égard, les remarques que je viens de vous lire me semblent essentiellement justes. Mais, ici,
ur. Alors, sur le conseil du souchantre de sa cathédrale, il se mit à lire le traité du Sacerdoce de Ioannès, dit Bouche d'o
e sa vie, sans en manquer un seul jour » (2). Au retour de Matines.il lisait ou méditait l'Ecriture. A 7 heures et quart, il d
grand'messe de la cathédrale. Le reste de la journée était employé à lire les Pères, les Canons des conciles et les meilleu
e est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
tisan du travail dans les asiles d'aliénés, et, ironie des choses, il lisait son rapport dans un asile d'aliénés où nous eûmes
Cet ouvrage original et précis est écrit dans un style clair, et sera lu non seulement par les hommes de science, mais par
avait vu naître il vît une plaque de marbre blanc sur laquelle il put lire l'inscription suivante : Dans cette maison naqu
ence, de lui en donner l'ordre lorsqu'il était endormi. Après avoir lu le Manuel du M&gnêtiseur du Dr Teste, il essa
u'il était déjà depuis quelques années plongé dans la retraite, ayant lu l'exposé de certaines théories qui tendaient à ré
plus complète, un processus essentiellement progressif. Il suffit de lire les descriptions qu'ont donné des états de l'hypn
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
iologique ; le moyen curatif qui est la possession de l'être aimé, ne lire pas à conséquence. Van Helmont ne recueillit jama
rères. Il est incontestable que la majorité des médecins n'ont jamais lu un des livres de Liébeault, Durand de Gros, Bern-
mmes persuadés, seront partagées par beaucoup de médecins- Quand on a lu ce livre, on a l'impression d'un kaléidoscope dan
ystérie, de neurasthénie ou de mélancolie simple ? Quand on a fini de lire l'histoire de ce cas on ne peut diagnostiquer que
in ainsi que l'étudiant entendent parler beaucoup de la suggestion et lisent parfois quelque chose là-dessus. Ceux qui émetten
e puisse être le résultat final, le mécanisme mental a été faussé par lu Suggestion et la déterminaison est plus ou moins
e est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
r dans leur tète, les fait pénétrer dans leur cerveau sous le couvert lu raisonnement tandis qu'en réalité il agît par des
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. il. le Secrétaire général donne lect
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le Secrétaire Général donne lectu
51 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
e, en partie du moins, les alarmes suscitées par mon Mémoire de 1884, lu à l' Académie des Sciences morales et politiques,
soigner chez elle. » Cette fille vint consulter M. Charpignon; elle lut raconta « que » ces sommeils existaient, parce
et les dieux du paganisme étaient des personnages identiques. J'ai lu , — et il y a quelque courage à cela, — les 400 pa
saisir au vol, étant sous l'influence hypnotique, des paroles qui ne lut étaient pas adressées, je vais directement a l'au
ionnés fortuitement par ce qui se dit autour de nous, par ce que nous lisons , par les spectacles qui frappent nos regards et n
lement des autres états de même espèce par la cause occasionnelle qui lut donne naissance, par sa durée apparente, qui est
qui a eu Heu à Buffalo, le Rév. Oscar Mae-Culloch, d'Iodianopolis, a lu un remarquable travail sur la dégradation sociale
ppelle Dieu s'il s'agit des miracles des mysti- eues... - il fjut lire alors : - L'explication précédemment fournie par
me, ce jeune homme répondait avec justesse à toutes les questions qui lut étaient posées : qu'il prédisait l'avenir, voyait
outes les circonstances propres à expliquer la genèse de l'épilepsic, lu frayeur est celle qui réapparaît avec le plus de
isin n'est responsable des souffrances aigués qu'il endure, il n'esi, lut , responsable du sentiment de crainte inopinée qu'
médecin l'ensemble des troubles organiques est un langage dont il ¡1 lu clef, qu'il enund, malgré les obscurités dont il
ouvent enveloppe. Et cependant c'est sur cette conception fausse de lu maladie que repose toute la thérapeutique d'H
lusieurs volumes imprimés en '.ictère* condensés, non seulement ne se lisent plus, mais, en raison de leur prix élevé, ne trou
a voir le professeur, fut stupéfait et ravi, et songea u se servir de lut comme d'un auxiliaire dans l'instruction qui n'ab
t alors ¦ échec et mat ». II fut un adepte du magnétisme animal. Il lut conduit h admettre que, dans certaines conditions
tous las mouvements des acteurs sur la scène en leur tournant le dos. lire un biBet doux avec le coude. Les expériences mode
r les avantages et les dangers de l'hypnotisme,et M. Auguste Voisin a lu un sur la classification des maladies mentales.
ndons; ces phénomènes ont duré plusieurs années. A l'âge de 40 ans, lu ménopause s'établit sans amener de change-; ments
e dirigeais principalement la suggestion en ce sens, et j'excitai par lu parole et de douces friction- les glandes salivai
t vingt minutes. Au réveil, les diverses suggestions sont réalisées : lu salut militaire se fait très correctement. Le l
par le seul secours de l'olfaction (Organon, pp. 121 et 277). II faut lire de pareilles assertions dans l'original pour les;
. Urine au lit depuis sa naissance. Intelligence assez médiocre. Sait lire et écrire. Caractère doux. 11 a éié renvoyé de l'
ilan de nos connaissances positives. (i) Exirai; du Rapport général lu par M. Proust, secrétaire annuel, dans la séance
i profondes et si vastes, et qui revendique pour l'enfance le droit à lu culture intégrale et harmonique des facultés, éca
a mémoire dur. des grand» promoteur» de la neuropathologie moderne en lut élevant un monument dans i'en-cetnte de la Salpct
llais étendu dans un fauteuil : je cherchais à me remuer, cela me lut impossible. J'arrivai à ouvrir les yeux, et j'ape
rage !e plus complet sur ce sujet, de 4*0 pages, édité en iSS;. Des lisions des méninges et du cerveau dans la fièvre typhoïd
nement et de sa compréhension. II sait, comme quand il a appris à lire , qu'à un signe graphique donne correspond un son
conversation languissait: bientôt le silence s'établit. A. se mit à lire la gazette et B. se blottit confortablement dans
e, surtout de l'œil gauche. Il y a cinq mois que le malade a cessé de lire les caractères ordinaires et de faire la messe. E
erbale, comme elle me l'a dit après la séance. Je lui ai suggéré de lire distinctement â la distance de 35 centim. et de d
ggestion : Vous devez distinguer les objets à la distance de 4 pas et lire à la distance de 45 centim. Réveil obtenu en
ggestion : Vous devez distinguer les objets à la distance de Ó pas et lire à la distance de 55 centim. Le résultat de la séa
ensibilité s'émousse. la personnalité du sujet s'affaiblit et on peut lut suggérer quelques mouvements automatiques. A la q
octeur P. BU ROT • - i - • .: A l/ÉCOLE du KtlDfcC:- DE KOCHKFORT Mme Lire ..., Agée de vingt-huit ans, atteinte depuis plus
e nature douce et affectueuse. Un an après son mariage, en i8Si, elle lut atteinte de suette miliaire, affection qui régnai
elle. A l'âge de t? ans, sans cause occasionnelle appréciable, clic lut prise de eboréc. Ce fut là, chez elle, la premièr
bles accès d'aliénation mentale. Coiii-m à l'Ecole |»-iitit|iie «le lu Faculté. M. le docteur Berillon. directeur de l
re : i. Faire plusieurs fois le tour de la place Neuve en courant, i. Lire et déclamer à haute voix. 3. Applaudir le précéde
If. T. F... sur les dangers de l'hypnotisme, que tout le monde voudra lire dans la Tribune d'aujourd'hui samedi. 6 avril.
i ans. — Ijt guerison se maintient depuis 1887. Mme X.... 45 ans. — Lu guerison se maintient depuis 1887. Fa..., 3i an
tasie-abasie (Montpellier mi- dica', 1889). de tout ce que j'ai lu et de mes propres observations. Je crois, d'aille
ses à distance. Cet interrogatoire ne peut être clair que si l'on a lu l'ouvrage lui-même, et il serait certainement uti
52 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
hui les intéressants résultats de ces recherches, dont vous pourrez lire tous les détails dans un mémoire très documenté
pour montrer la lan- gue. » La prière d'écrire quelque chose ou de lire adressée au malade, reste sans résultat. On a e
bserve chez elle une verbigération, par exemple : elle com- mence à lire un alphabet slave avec une intonation très expres
ws. (1'lae Journal of Mental Science. Avril 1902.) Ce travail a été lu au moment où le Dr Orr venait de montrer à l'ai
de ce que Fort Hobert- son a désigné sus le nom de « réactivité des lisons ». - fi. de VIUSGRAVE-CL1Y. III.. Différencia
le langue on lui parle. Après cela, le sujet arrive graduellement à lire sans comprendre-le sens de ce qu'il lit : le ce
à la pensée à écrire, la ,.dyscopie ou copie défectueuse des textes lus , et la dyséchographie ou exécution vicieuse des
t l'imprimé en cursive, mais qu'il lui est absolument impossible de lire quoi que ce soit. Une observation anatomo-clini
réflexes tendineux, troubles sphinctériens, thermoanesthésie abso- lue jusqu'à l'ombilic, diminution des sensibilités pr
ociales mettent de plus en plus en danger. Ce livre mérite d'être lu par tous les médecins, car il donne des indicat
ombre de faits cliniques très intéressants, à conclure : que le dé- lire de grossesse, toujours secondaire, est en quelque
; tous les médecins qui se sont intéres- sés à cette affection ont lu tellement de redites à ce sujet qu'il serait ab
mE. (Obozi-énié psichiat1'ii, VI, 1901). Travail très intéressant à lire en entier. P. KERAVAL.. XIII. L'élément histrio
t remarquable, et les quelques pages qui y sont consacrées sont à lire en entier. SIMON. XXXVI. Fréquence comparée de
. Tabès affirmé par les signes suivants : analgésie presque abso- lue , à topographie radiculaire, dans les domaines sui
leur apprendre à marcher, se laver, s'habiller, manger seuls, voir, lire , écrire, compter : on est étonné des résultats
mal de Pott cervico-dorsal à cause d'une immobilité presque abso- lue de la.tête rentrée dans les épaules, accompagnée
particulière à mettre à côté des démonomanes dans le cadre des dé- lires religieux. La première malade se rapproche en tou
bre 1903 un débile achondroplasique (Claudius) qui est incapable de lire et d'écrire sous la dictée, mais qui sait bien pa
ce du 20 septembre 1902 B. W. Mouravieff. Sur la symptomatologie du lues cérébral (avec présentation de la malade). Mala
à s'améliorer. Le rap- porteur compte assez caractéristique pour le lues cérébral les symptômes suivants : la somnolence
koff avec la dépression psychique n'est pas caractéristique pour le lues cérébral et que ces symptômes peuvent aussi se re
générales du cer- veau. ' N. P. PosTOVSKY trouve le diagnostic du lues cérébral trop géné- ralisé et aurait voulu que
a justesse du diag- nostic. W. P. SERBSKY doute de l'existence du lues cérébral dans le cas donné, vu l'absence complè
ral dans le cas donné, vu l'absence complète des indications sur le lues dans l'anamnèse de la malade. F. A. GElER. Su
te par la justice vient de nous faire connaître son identité C'est \ lire Ilenée Dumont, âgée de seize ans, habitant Nogent
issons à penser les critiques intéressantes de Storch; elles sont à lire en entier. Il faut lire aussi la critique de l'
iques intéressantes de Storch; elles sont à lire en entier. Il faut lire aussi la critique de l'obnubilatiou crépusculai
e précoce, dont il constituerait une variété particulière. il. C. LU . Observations cliniques et expérimentales sur la
. Froussvrd. L'ezzléro-c6lile muco-memb1'aneuse. 1 vol. in-8° (le lût pages, librairie A. malouine, 25-27, rue de l'Eco
nt et fixer un point blanchâtre au mur, ou s'il le peut, on le fait lire à haute voix les grosses lettres d'une échelle
le malade. Il y a un choix souvent difficile à faire. Un fils qui lue sa mère. Ce matin, 13 avril à Lorient, vers sept
ne parait pas comprendre les paroles du'ou lui adresse. Ou lui fait lire un fait divers, on le prie de le résumer et il
rs. Le 31 octobre le malade cause plus facilement : il commence à lire et ne ressent plus de fatigue lorsqu'il veut fair
s le malade au moment où il écrivait chacun de ces mots. Je les lui lis les uns UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCO
n d'eux. ftomn. - « J'ai pensé au crime de Sylvestre Bonnard que je lis en ce moment : je me suis dit que le litre ne c
sé que Daudet avait voulu décrire Tarascon, port de mer (il n'a pas lu le livre). Gustave. - A pensé ci Gustave 1ymard
t mental moindre; il écrit un certain nombre de proverbes qu'il a lus Jans l'almanaclr Hachette. Je lui propose alors d
autres personnes, il prend un livre sur la labié du salon, se met à lire , ne s'apercevant pas que tout le monde est parti
ai fait barrer certaines let- tres d'un passage déterminé,je lui ai lu vingt séries de six chiffres en le priant de le
mais il serait bien embarrassé pour résumer ou analyser ce qu'il a lu . Les troubles de la compréhension apparaissent
alade de reproduire ou résumer par écrit une anec- dote qu'on lui a lue à haute voix. J'ai répété très souvent cet exer
- ple, il écrit : « Il s'agit du départ d'un bateau », je lui avais lu les cinq ou six premières lignes de Education s
: « Je serais, dit- il, bien embarrassé de savoir ce que vous avez lu . » Il se refuse a faire l'effort nécessaire pou
leur résultat'que j'aie obtenu à la suite d'une lecture. Je lui avais lu le fait divers suivant : « Urzr> vinlle 7J
uatre ans, la veuve Mouillet, qui /LIlbii'Lit une petite maison sur lu route des R,co'lets, avait conduit son troupeau
33 mètres par seconde. La quantité d'énergie libérée par le stimu- lus n'est pas nécessairement proportionnelle à ce sti
des changements métaboliques de la myéline au moment où le stimu- lus traverse le neurone. 2° L'activité métabolique
le peuvent exister aussi des pro- cessus purement syphilitiques. Le lues et le p'J1'alues ne s'excluent pas l'un l'autre
à fait perdu la capacité de la parole indépendante, mais il pouvait lire libre- ment de même que répéter les paroles des
ble elle avait laissé une feuille de papier sur laquelle on pouvait lire ces quelques mots : « Adieu je pars pour le pays
? par Ijinel-Saiiglé. 239. AP.1\-DI;CBE\NE. Voir Paralysie sa- lu mine. Archives de médecine expéninenlale et d
les-, par Brissaud et Bauer, 62. Logl3o-*POI\CTION. Voir Urémie. Lues cérébral. Sur la symptomato- logie du , par Mou
bution à l'étude des manifestations initiales de la - , par Pick, lu . Pirapiiasie. L'examen des malades atteints d
53 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
est ouverte à 4 h. 35. Le procès-verbal de la séance précédente est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
ion de se lever le lendemain à deux heures de l'après-midi pour aller lire un billet relatif à sa santé et que j'avais eu l'
conservation personnelle. M. Grollet. — L'euphorie de l'auto m obi lis me n'est pas identique à celle du cavalier ; celu
je un héritier? L'homme du silence hoche la tête comme s'il pouvait lire dans le livre occulte du Destin. — Je donnerais
e est ouverte à 4 h. 35. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
ment dans les classes supérieures de la société. M. Volkov n'a jamais lu ni entendu dire que cette opération fut pratiquée
xvi* siècle, Paolo Catania [*] — l'opération ne réussirait pas : Cu lu meli lu sgàrgia Îa mammana, Senza lu meli, l'opra
cle, Paolo Catania [*] — l'opération ne réussirait pas : Cu lu meli lu sgàrgia Îa mammana, Senza lu meli, l'opra Sarria
ération ne réussirait pas : Cu lu meli lu sgàrgia Îa mammana, Senza lu meli, l'opra Sarria uana. Ce qui veut dire : La
ania continue : In nasciri chi fa l'homu a la luci, Di lapa pigghia lu primu alimentu, A pena chi dat'ha la prima vuci,
, Di lapa pigghia lu primu alimentu, A pena chi dat'ha la prima vuci, Lu so licuri è primu civimentu. (I) Extraits de l'
té. Ainsi le médecin peut" surprendre certaines idées-fixes ignorées ( lu malade lui-même pendant son état de veille. II y
est ouverte à 4 h. 1/2. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
problèmes du plus haut intérêt social et pathologique. Il suffit de lire l'index bibliographique des auteurs et des commun
clergé et des autorités municipales, et, dans une harangue qu'on peut lire au Moniteur, déclara que la Révolution touchant à
Tout d'abord, M. Pierre Brun, professeur au lycée de Monte pellier a lu une ode intitulée : « Le siècle à Charcot », puis
St-Marcel et de Verneuil avec quelque terres à Épinay-sur-Seine, et, lu consentement de sa femme et de Bouchard IV son fi
n certain rapport présenté en 18.. à l'Assemblée Nationale vous aurez lu l'énormité suivante : a Nous ne pouvons accepter
; elle est connue de longue date. « Id quoque viris evenire solet », lisons -nous dans Galien, a cela aussi arrive aux hommes
utre mission, eut un dilTé-rendavec l'archevêque de Bordeaux en 1251, lut entraîné dans le parti d'opposition contre Henri
tarde à me répondre, je lui souffle sa réponse : « Tu l'entends bien, lu appelleras, tu crieras : Maman, pipi ! C'est bien
e est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
tomber leur fourchette, leur couteau, leur verre; s'ils se mettent à lire , au bout de quelques minutes le livre leur tombe
jusqu'à l'obnubilation. Pour de plus amples détails, je vous engage à lire le livre magistral de M. le Dr Jules Voisin sur l
pas morte, elle n'est qu'endormie o. Voyez aussi Jean XI, 11, et vous lirez ceci : « Notre ami Lazare dort, je vais le réveil
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Président communique à la Soci
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lecture
tout ce qu'il y a de plus scientifique — et c'est de là qu'est sorûo lu Sorcière, jouée chez Sarah Bernardh, actuellement
us publions cette première liste dans le présent numéro. Nos lecteurs liront également avec intérêt les articles élogieux que
mission avec une exquise solennité. Puis M. le professeur Vergely a lu une adresse chaleureuse signée de tous les assist
des règles qu'il s'était imposées. Rentré chez lui à cinq heures, il lisait les journaux, puis il s'installait à six heures d
un précurseur de lapsychothérapie. Des extraits de son œuvre ont été lus à la dernière séance de la Société d'hypnologie e
tisme un saignement du nez. Le soir même, intrigué, au restaurant, il lut un rapport de Dubois à l'Académie de médecine, su
on. Une fois docteur, il s'installa à Nancy, 4, rue de Bellevue; tous lus matins, 50 à 70 malades allèrent consulter ce sor
our l'œil, ni d'imprégnant pour la mémoire. Il faut un effort pour le lire , un autre pour le retenir. L'Image, au contrair
est ouverte à 4 h. 40. L'ordre du jour de la séance précédente est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
rses qu n'étaient que des troubles vaso-moteurs de nature hystérique. Lisez , à ce propos, la thèse de mon regretté élève Apt
différeront pas moins les uns des autres, parce que chaque artiste a lu à sa manière la figure de son modèle et a conçu à
vent alors un écho dans l'âme de ceux qui les entendent ou qui les lisent . Il est cependant bien clair que, pour obtenir
urs communications à la solennité de la séance annuelle. Il fau^t lire , dans les journaux d'outre-Manche, les a trucs »
54 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
ou que l'on accepte (l) Souques et J.-B. Charcot. — Tuberculose de lu région paracentrale. — Fréquence et raisons anato
l des deux côtés, et c'est avec une grande satisfaction que l'on peut lire la leçon dans laquelle M. Rendu, avee une bonne f
des objets perdus, faire des pronostics pour les courses de chevaux, lire des lettres à travers l'enveloppe, dire l'heure l
. » Il met ses deux mains sur ses yeux en abat-jour, puis cherchant à lire et déchiffrant comme avec peine : «C'est un grand
s que l'on voulait trop attirer l'attention du malade en le forçant à lire quelques lignes improvisées, il s'est réveillé sp
un délire hallucinatoire qui rappelle beaucoup celui dont on vient de lire la description, présente au point de vue de la du
En outre, les attitudes s'accompagnent d'un délire actif, bruyant. On lira plus loin la description de ce délire. L'attaque
e chez les sœurs à Persan, toujours maladive, elle n'a pu apprendre à lire . Vers 1878 elle entre, comme infirmière, à l'hôpi
uis cette époque. Enfin, particularité bien intéressante, elle sait lire , écrire et calculer dans cet état B ; c'est qu'un
e clinique qui se sont succédé de 1880 à 1885. Elle ne sait plus ni lire , ni écrire, ni calculer et affirme que la malade
Voire mesme fut besoing recommencer dès son ABC pour la r'apprendre à lire . Et prononçait du commencement le tout avec langu
it, et il fallut tout lui enseigner à nouveau. Elle dut réapprendre à lire , à écrire, à compter, ce qu'elle fît avec une ass
oublie cependant certaines figures. Elle continue à savoir marcher, lire , écrire, chanter, jouer du piano. * * Il en e
s frères, que cependant elle voit à chaque instant. Elle ne sait plus lire , ni écrire, ni toucher du piano. La mémoire des c
t-Urbain. Là, il fut employé à travailler la terre et on lui apprit à lire et à écrire. Pendant son séjour dans cet établiss
1). Il était alors toujours paraplégique, d'un caractère doux, savait lire et écrire. Là, on lui apprend le métier de taille
malade se croit à Mâcon, en 1881, et a oublié tout le reste. Il sait lire , mais il est incapable de dire où on lui a appris
otions acquises dans l'état I et devenues plus ou moins automatiques, lire , écrire, marcher, etc.. « En 1858, cette conditio
temps l'enfant perd complètement la mémoire du passé. Il ne sait plus lire , ni écrire, ni compter ; il cause mal et a totale
à celui de la dame de Mac-Nish à qui l'on fut obligé de réapprendre à lire et à écrire. J'ai eu l'occasion d'observer, à l
e personne ordinaire, se trouvent la lecture et l'écriture. Elle sait lire et écrire et elle ne fait pas plus de fautes d'or
orrectement, sans maladresses ni défaillances de mémoire. Elle sait lire les chiffres et les nombres composés de deux chif
ances se bornent là en fait d'arithmétique. Si on cherche à lui faire lire le nombre 354 par exempte, elle lit : trois, cinq
t épisode. Si on lui demande où elle a été élevée, qui lui a appris à lire , si elle a été en pension, et où, elle est dans l
struction qu'elle a pu acquérir a également disparu. Elle sait encore lire , écrire, coudre, il est vrai, mais elle ne peut p
e donne sur sa famille et sur son enfanco (voir plus loin). Elle sait lire , écrire et fait couramment des opérations d'arith
t de passer dans la vie, sans avoir l'air trop empruntée. Elle sait lire couramment, écrire et compter à peu près bien et
tendu parler de lui ; il est mort il y a quelques années. Elle sait lire aujourd'hui, écrire et compter, mais elle ne sava
trière. C'est la jeune L..., une de ses compagnes, qui lui a appris à lire , à écrire, à compter et à faire du crochet et de
orties plus tard. En ce qui concerne la jeune L... qui lui a appris à lire , « elle l'a toujours connue. » Comme on le voit
à l'état prime. Dans cette condition première, elle ne sait plus ni lire , ni écrire, ni compter. Elle sait coudre grossièr
été élevée à Persan, chez les sœurs. On n'a jamais pu lui apprendre à lire « bien qu'elle fût intelligente, mais elle était
l'état B). On lui présente la jeune L..., celle qui lui a appris à lire , à écrire, à faire du crochet dans l'état B. « C'
exemple que celui de notre malade, Marguerite D..., qui savait encore lire , écrire et composer un nombre de deux chiffres, m
crire et composer un nombre de deux chiffres, mais était incapable de lire un nombre de trois chiffres et de faire une opéra
ans l'état de veille. On a vu plus haut que Marie H... avait appris à lire , à écrire, à compter et à faire du crochet dans l
spontanément la main à sa poche, en tire ce carnet et l'ouvre pour en lire la réponse, quand par hasard elle s'y trouve. Ce
brales. Mort aliéné. Un idiot. Un diabétique. Andral, dans une note lue à Y Académie des Sciences, en 1875, cite le cas d
ndormie, ou encore durant le jour pendant que la malade est occupée à lire à haute voix ; mais à peine a-t-elle fini que la
stérique combinée avec l'alcoolisme ? La plupart des faits que j'ai lus me paraissent se prêter à cette interprétation, e
55 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
étend la loyauté de nos adversaires. Monsieur le Rédacteur, Ayant lu dans le numéro du 3o décembre derr nier du journa
mourront à la peine! Le ciel ne s’escalade point, on ne parvient à y lire qu’en possédant les vertus les plus pures, et qu’
us prie, quel était celui d’Adam ; d’où pouvait-il venir? D’ailleurs, lu nombre des morts depuis la création, excédant de
ous ullendail un boni do voire course. Eh! messieurs, vous avez nié lu circulation , el le sang circule; l'inoculation s
eur forme de la manière la plus distincte. Peu de jours après avoir lu ce qui précède, je tombai inaltendument sur un ph
t elle n'eut aucun souvenir de m’avoir vu dans la journée, mais il en lut de même pour tout ce qui lui était arrivé durant
nt sa réponse aux insinuations de son agresseur, M. deCourson; nous y lisons : « Je suis magnétiseur! et en quoi ai-je préva
-ci. « Du 20 mars. Aujourd'hui très-tourmentée par une douleur au liras ; la nuit je nie suis levée avec un tintement d’or
en présence des personnes qui ne se seraient ja- mais rencontrées. Lus anciens font connaissance avec les nouveaux ; ils
tés1aux pattes de ces animaux, lorsque la maladie avait cessé. Nous lisons dans le Journal de Paris (avril 1784). une observ
des suites d’une affection tuberculeuse; pendant tout le temps qu'il lut en rapport avec chacune d’elles, il éprouva tous
us produirons. Et pendant que nous parlions ainsi, l’article qu’on va lire s’écrivait. La précision et la clarté qui régnent
OGRAPHIE. ÉTUDES PHYSIQUES SUR LE CHOLÉRA DE 1832. Nous venons de lire une brochure d’un haut intérêt. Ce travail, intit
mais'au moins neuf fois sur dix. Pour s’en convaincre , il suffît de lire dans ce Journal les procès-verbaux relatifs aux a
du prêtre qui magnétise? Ah ! que nos pasteurs catholiques osent donc lire les écrits si lumineux, si orthodoxes, de l’abbé
e fait le blond Lindor Avec marn’ Aristide, Lorsque le mari sort, Lisent -ils l'Énéide? (Parlé:) la Somnambule. • Ils lis
le mari sort, Lisent-ils l'Énéide? (Parlé:) la Somnambule. • Ils lisent l’Énéide. » — Eh non , non, non, Vous n’êtes
nnaît , et quelle que soit son erreur il y persistera. DU POTET. ( Lu suite prochainement.) Athénée Iroycn de UeMiiér
ateur (1). A la séance du 28 mai, MM. Despretz et Becquerel vinrent lire chacun un mémoire sur ce sujet. Tous les deux ava
’il ne consen- ti) Voyez Journal du Magnétisme, (ome V, page 268. lirait jamais à être opéré en état de veille , et mainte
le. Longtemps traité sans succès, il désespérait de guérir, lorsqu’il lut dans un journal bengali qu’un hôpital avait clé é
te de sommeil divin. Durant les extases de ce sommeil, disait-on, ils lisaient en leur propre corps ainsi qu’en un livre ouvert;
me répondit instantanément : Piirmi les fous il sera mis, Kl je « lirai que c'est dommage; L'esprit qu'il perd était co
ns. Cette personne a l’esprit tout-à-fait inculte : elle ne sait ni lire ni écrire. Servante dans la maison d’un abonné de
e temps à autre les récits. Enfin, un beau jour, M. Despretz (i) vint lire une note sur ces phénomènes surnaturels, et les f
juillet. (Droit.) — Peu de jours avant ce triste dénouement, on lisait clans le Tintamarre , la pompeuse annonce que voi
e pittoresque et dramatique , des annonces industrielles dont on peut lire dans les journaux le détail libellé. On a choisi
aHticiperit la rfiàin du bourreau; et celuy qu’on dèsbnndàitpour luy lire sa grâce, se trouva roide mort sili1 l’eschaffâüd
. (2) Pline. Hist. nalur. (3) Ouvr. cité, p. 1G3. paroles. Nous lisons dans la‘ Philosophie de F Histoire, qu’un aveugle
lement employés, furent inventés, dit-on, par les philosophes arabes, lis étaient formés de pierres et de métaux qu’ils app
lle. A ceux qui doutent de l’existence du magnétisme, nous dirons : Lisez les œuvres contenues dans les rapports qui ont mo
e, puisqu’elles remontent jusqu’à l’époque où l’intervention du démon lut admise dans la direction de nos destinées. Les
s démonographes, pour avoir la propriété de chasser le diable. Nous lisons dans la Bible que toutes les maladies qui présent
jours à l’abri des maladies dont ils entreprenaient la cure. « Nous lisons , ès actes des Apostres, dit Bodin (4), (1) Ouvr
passait pour avoir la propriété de dissiper la démonomanie (3). Nous lisons dans le Lé-vitique, ch. I, que Dieu recommande l’
fit alors l’ouverture de la boîte, qui ne contenait que du poil et de lu plume. « Ali, monsieur ! s’écria le moine, pour
ier numéro, p. 514, ligne 28; au lieu de ■ mémoire des génies, etc. ; lisez : mémoire, génies, etc. Avis. — L’abondance des
oyant mon état s'améliorer, j’y eus une grande confiance; puis, ayant lu quelques ouvrages qui traitaient de cette science
cliente, qui envoya des cheveux à une somnam- bide do Paris, et je lus la lettre, qui ne donnait assurément aucun indice
yait Mesmer pour faire admettre sa découverte. La pétition qu’on va lire est inédite; nous en devons la communication à l’
aux. Le gouvernement ne voudrait pas faire cela pour un million. Je lis toujours votre journal, mais je ne le trouve pas
sous les yeux, en lisant des milliers de feuilles que vous ne pouvez lire , et que les grands gazetiers, incrédules et dédai
56 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
seille enfin, dans ses moments de loisir et surtout de défaillance de lire , soit la Médication par l'exércice, de Lagrange,
que des femmes et des hommes de haute culture et de haute situation, lisent et vénèrent le livre ennuyeux et illettré de Mrs
il y a à la prison un soldai en prévention de Conseil de guerre. Il a lu , en effet, dans les journaux, que des hommes en p
venu « en se livrant aux pratiques magnétiques.....et en donnant de lu ouate c aimantée, ne peut être considéré comme
éon Lavcysstàre. Voyez aussi le compte-rendu que j’ai donné du livre « lu D’ Van lienterghem : Liébeault et son école, numé
nier Congres International de Psychologie tenu ù Munich en 1897, j'ai lu un compte-rendu détaillé de mes expériences de di
s, luttaient à coups de prodiges; et, dans scs débuts, tout au moins, lu religion de Simon, beaucoup plus habile que son r
es prêtres égyptiens qui se servaient de celle lète faisaient donc de lu ventriloquie religieuse par des procédés artistiq
nt notre première séance, en prononçant le remarquable discours qu'on lira plus loin, en faisant aux Congressistes les honne
qui ont pour objet l'étude des phénomènes du sommeil hypnotique et de lu suggestion, n recherches empreintes du plus pur e
radieux, l’arc-en-ciel. » • * * Nous avons aussi le plaisir de lire dans l'indépendance luxembourgeoise l'article sui
1880. il n’y ait rien d'infaillible, pas plus que dans le reste do lu médecine, c'est indéniable. L’électricité aussi a
ÉRAUX I L’évolution de la psychothérapie en Hollande (1), Rapport lu par le Dr A. W. Van Renterghem, d'Amsterdam, délé
èche depuis 1887. Il a doté la science hypnologique de maints travaux lus dans les différents congrès et publiés dans la Re
se comme délégué au prochain congrès de Psychologie et se propose d'y lire un travail sur l’Autosuggestibilité pathologique
résultats ont contribué en certaine mesure à (1) Compte-rendu etc., lu au î-' Congrès de l’Hypnot. expér. et thérap. Bru
r de l’hypnotisme comme moyen d'investigation psychologique Rapport lu par M. le Dr Oskar Vogt, de Berlin. C’est seule
r de l'hypnotisme comme moyen d’investigation psychologique Rapport lu par le Dr Félix Regnaült. La philosophie classi
malade et l'accroissement de température est très faible. Je lui fais lire un livre sérieux et la température augmente un pe
ans les séries représentatives du sommeil ; dès lors, les pensées qui lu sont transmises par simple affirmation deviennent
rte esquisse et qu’ils voudront se reporter au texte original pour le lire , le relire et le méditer ; ils seront étonnés de
semble rentrer dans le cadre de notre société et je tiens à vous les lire in extenso. a II existe au Soudan de petites ri
'insectes comme la fourmi. Ils s’endorment aux premières atteintes ( lu froid pour s’éveiller aux premières chaleurs. L
cine a eu lieu le mardi 18 décembre dernier. Le professeur Debove y a lu un très remarquable éloge de Charcot. Nul mieux
ifiquement, c’est-à-dire en tâchant de m’en rendre compte ■ et 2° par lu force de ma volonté. J'ai souvent senti la folie
dence de M. Jules Voisis Le procès verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire-Général donne lectu
rue de Tournon. IflOfl. tains détails tels que l'instantanéité de lu guérison de plaies, d’abcès et de fractures, pour
graves dans sa jeunesse. Instruit à l’école primaire, il a appris à lire , à écrire, à compter et a acquis, comme les enfan
e le rez-de-chaussée, s’est habillé seul et est allé se promener dans lu jardin. Malgré toutes les objurgations, il ne réi
est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
le Parlement, autoriser le juge à substituer, dans son application de lu loi, cette interprétation individuelle au sens no
rquée et le vocabulaire est limité à trois ou quatre mots. 11 ne peut lire , mais remai'que très bien les fautes d’orthograph
s faites pour écrire avec la main gauche ont échoué. Le malade parait lire les livres et les journaux avec intérêt; il sembl
tale et psychothérapie, Par M. ie Docteur Paul Faiiez. Nous avons lu , dans l’un des derniers numéros de la Revue de VH
des malades partiellement guéris ou améliorés. Généralement, on peut lire pour le mot améliorés : récidivistes. Si les bu
e est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lectu
t psychique spécial. Nous en avons la preuve dans les propositions « lue nous avons énoncées plus haut, car toutes les lés
est ouverte à 4 h. 35. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le Secrétaire Général donne lectu
itement moral chez (t) Lettre adressée par M. le D' Binet-San^lé et lue en séance de la société. (2) Revue de ¡'Hypnoti
57 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
vons invoqués, le diagnostic de sciatique s'impose, et il suffit de lire attentivement l'observation pour ne conserver a
on service à l'hospice de la Salpê- trière. La définition qu'on a lue implique l'idée de para- lysie de synergies mus
e l'était, elle serait venue me le dire. Je vou- drais bien qu'elle lût venue me réclamer, je me serais amusé avec elle
e donc que la Terre sainte ? R. Rli ! eh ! eh ! je ne sais pas. D Lisez donc. - R. Mais ce n'est pas écrit. Fig. 11. Sp
OEuvres de Platon, trarl. Cousin, t. XII, p. 12. 3 Loc. cit., chap. lu , p. 975. De la suffocation de la matrice. 9t RE
86.) Homme de trente-quatre ans, atteint il ya sept ans de syphi- lis . Un an après l'infection, ictus apoplectique lége
toutes deux développées au même degré, il pourra écrire, dessiner, lire . La prédominance, chez lui, de l'intelligence d
orme, l'entraî- nera à apprendre à écrire et à dessiner, mais non à lire . Si c'est la mémoire de la forme qui tient la t
la mémoire de la forme qui tient la tête, l'enfant apprendra bien à lire , mais non à écrire ni à dessiner. C'est aussi du
utre à un érysi- pèle. La dyslexie consiste dans l'impossibilité de lire , qpel que soit le caractère imprimé, plus de tr
trois, quatre, cinq mots l'un après l'autre. Ces quelques mots sont lus correctement sans para- phasie, puis le malade
te fraction d'efforts il ne peut former un tout satisfaisant, qu'il lise à haute voix ou des yeux. Intégrité complète de
e du département de la Seine s'occuper seul de ces fonctions-là. Je lis dans un document sérieux ces observations aussi
rticle pareil ! 152 SÉNAT. M. le Rapporteur. Vous ne l'avez pas lu , 11. de Gavardie ! Ce comité ne peut rien impos
manquerait plus que ce comité lui impo- sât ses ordres ! Sans même lire votre article, je ne pouvais pas supposer qu'il
e article, je ne pouvais pas supposer qu'il y aurait cela ! Mais je lis mieux que vous ne pensez. Messieurs, ce comité-
vait été présentée par la commission. L'article 15, tel que vous le lisez dans le projet de la commission, faisait partie
rédaction est modifiée dans le sens du texte qui vient de vous être lu , il ne reste dans les attributions de la commis
esquels il demeura sans dormir, sans s'asseoir, ni même se coucher. lise tint constamment debout et immobile, ou se prom
- ERRATA. Page 383, ligne 1 ; au lieu de : S A M. 1 M S... 5 AI S; lisez : 0,8 M A. 1 il A... 5 AI A, ligne 3; au lieu d
AI S; lisez : 0,8 M A. 1 il A... 5 AI A, ligne 3; au lieu de : " " lisez : (11) -(11) Archives, t. XV. 1 1 162 ^ patho
tendit plus ceux qui l'ac- compagnaient. » Il nous arrive à tous de lire à haute voix sans savoir ce que nous lisons et
Il nous arrive à tous de lire à haute voix sans savoir ce que nous lisons et d'écrire un mot pour un autre quand nous som
s dans les centres spéciaux. Des groupes corticaux part le stimu- lus , à l'occasion duquel ces centres spinaux entrent
à été publié par l'un de nous*. Il s'agit dans ce cas d'au toi ? îa lis ine pg,éépilop tique. Qu'il soit endormi dans s
inté- ressé aux petits événements de leur existence. La manie de lire , de déclamer, de réciter à haute voix (Redesucht)
éla aucune lésion du système cérébro-spinal. Quoi qu'il en soit, on lira avec intérêt le complément de l'observation de
it les réponses à des phrases proposées; à côté de cela, il ne peut lire l'écriture, quoique l'on ne puisse cons- tater
Gavardie. 1li. LE Président. La parole est à 111. le Rapporteur. Lut . le Rapporteur. Messieurs, je demande à dire un m
ux qui se permettent ces plaisanteries indécentes. (Exclamations et lires .) Ils ne connaissent pas le premier mot de ces
comprenez même pas cette allusion aux livres bibliques que vous ne lisez pas colombes blanches portant le rameau d'espér
on, le délire des grandeurs, etc... Mon Dieu ! on n'a pas besoin de lire les livres de médecine. Tous les ministres, excep
oute M. Séglas, plusieurs années à l'école mais n'a jamais appris à lire . » Or, elle n'allait à l'école que très irrégul
ux ou trois mois de l'année et néanmoins elle a appris et elle sait lire . « Elle jouait, dit-on, presque toujours seule
, à la parole facile, aux réponses nettes et pré- cises ; elle sait lire et n'offre pas traces d'anomalie sexuelle, elle
ne domestique âgée aujourd'hui de quarante-neuf ans, ayant appris à lire et à écrire, en allant à l'école du village com
que dans des conditions données, elle puisse coexister avec le dé- lire chronique dont le développemcntréclame toujours u
i concerne la parole et l'instruction de la malade qui n'a appris à lire que vers vingt ans, une fois sortie de l'école. P
SLIt\'1TIOY 111 ait eu de la folie du duute; et M. Magnan, s'il eût lu exactement mon texte, n'eût pas pris un renseig
ions d'un adversaire qui n'est pas suspect de tendresse pour le dé- lire chronique, de notre collègue M. Séglas qui, du re
tre que pathologique. On n'a pas encore démontré que cette anomalie lût atavique. On comprend au contraire très bien qu
ronique. Obser- vation très longue avec autopsie et étude bislologi( lue confirma- tives. C'est décidément la lésion des
pas «un rapport détaillé conformément aux dispositions ci-dessus]», lisons -nous dans le septième paragraphe de l'article 16,
58 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
3 enfants ont appris à manger seuls (2) ; 8 enfants ont appris à lire (3). . Tous les enfants sont exercés à la gymna
ses besoins et ne se salit plus jamais. Trois enfants ont appris à lire couramment : 1° Buz... (Albert), 11 ans, entré
s classiques : il commença à syllabe en juin 1896 pour arriver il lire couramment en juin de cette année. Il fait aussi
ès indicipliné, il a fini cependant par s'intéresser à la classe et lisait presque cou- ramment lorsqu'on avril de cette a
vons surprenants. Nous croyons pouvoir aflir- mer qu'il arrivera il lire dans le courant de 1899, ce qui sera pour nous
re marchant de pair avec la parole, il est à espérer que cet enfant lira couramment dans l'année 1899. Tous les enfants
ceux de la. grande école en trois sections. Aucun d'eux ne savait lire la musique et ne possédait de notions sur la th
rtement à la fanfare. Presque tous les enfants savent, aujourd'hui, lire eux-mêmes les notes, en connaissent la valeur e
musique. Quand les enfants sont su ! 11samÚlCl1t avancés pour hien lire un morceau de chant et l'apprendre avec fruit,
us haut. Voici la statis- tique des bains et des douches en 1898. lu Améliorations diverses. Statistique. lui I I
classe ont été des plus encourageants : « Comme l'année précédente, lisons -nous dans le rapport pour 1897, ces résultats d
'particulier1,' 'se . dèc()l-trque fac'rlément; cqpsnie surrénale1 lira [peu grosse ? pas ? de noyau)c tuberculeux ? Rein
uel et moral de C... 13ornons-nous à rappeler qu'il était parvenu à lire couramment, à écrire, à con- naître les quatre
75 ans, huissier retraité du ministère des finan- ces, ne sait pas lire . Bien portant ; caractère faible, sujet à de vi
rnel de l'entant est mort en 186. à l'àge de 80 ans, d'un cancer de lu jonc. - Son grand-père, maternel est mort en 1898
, mais le travail est de plus en plus irré- ulicr. Edouard se met à lire beaucoup, se cache pour satis- faire sa passion
lettre qu'il a écrite de Belfort à ses parents est très difficile à lire . Aptitude pour le calcul et la comptabilité en
ris. Le sommeil est variable : quelquefois, elle dort pendant 10 ou lu heures de suite; d'autrefois elle se réveille p
tologique ; par 1),, Cli. Philippe. Technique. ? Après fixation par lu solution de formol aL 10 0/0, le lobe occipital
s minces avec le microtome à glissière. Les colora- tions employées lurent : l'hcmatoxytine de Weigert-Pal- Kulscliitky (t
1'(;pilppsie. Thèse de Paris. Errata . Page 82, au lieu de ? 17, lire fig. 7. Page 170, ligne 13, au lieu de Rungès,
u lieu de ? 17, lire fig. 7. Page 170, ligne 13, au lieu de Rungès, lire Hungis. EXPLICATION DES PLANCHES . ' . ? ? J.
et hydrothérapie ................... LI Promenades m Distractions lu Améliorations diverses lu Teigne,- Maladies i
........ LI Promenades m Distractions lu Améliorations diverses lu Teigne,- Maladies intercurrentes lui ..II. St
59 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
able de toute application intellectuelle. L'idée seule d'essayer de lire une ligne lui était pé- nible. Le sommeil, qui
maux de tète avaient presque totalement disparu. Le malade pouvait lire eltra- vailler plusieurs heures par jour, sans
ntua très vite. Un mois à peine s'était écoulé qu'il recommençait à lire et à étudier une heure par jour. Il partit pour
ne, elle avait presque totalement cédé, et l'enfant put commencer à lire un peu. On se contenta cependant de lui donner
ndu : nous ne nous occuperons ni des délires toxiques, ni des dé- lires liés à quelque névrose (épilepsie,- hystérie ? et
Jaùxi. interprétations délirantes les-plus-variées. Mais ce dé- \ lire ,lui-même 'peut ,se développer de différentes ^ma-
enfiiir apporte, i lui, -aussi ? une tobservationrn-rtq WH' 3HHL lire hypochondriaqueehronique; c'est.quetle débutl c1e
ches dé nt Moréau (de Tours) sur la l1anie'li;s'- térique : l|1' ! ( lis "II 1, ,... J ;11" , 1\' pl ? '' '' ? ,,1 '** !
deux jours avec 41° de température, 120 au pouls, et avec un dé-'1 lire violent. La conscience avait coiiipètement dispar
, Ih . r jusqu a 1 âge de trente-deux ans. Durant 1 année 1878, Mec lu .. eut'des niâux dé1 tête, des insoiruiié's'] de
1¡ 'CIL itl6tf.l ,1 £ 19J¡lUW t-o 'jL .'J1 cJ'llji, 1, ,f0'Ji : 0ll lu ? " Il..11 ew : ! hfIE{,1( ? 11 11 Vit, ,/IHl ",J
liusensibilité, n,{Jén.é : rrle, 1 ¡ÍÚMm1 gr.t¡ql.te : , ? iIIIS/J,{ lu ! ¡saljonl P/ ! l : j l1a{Jlf ? ¡ tlsme. ^ 1U'\
ob v.'H ? il'j »n -")b 'j 'ii'jinolii^'Hii 'Il u111uiu raid yile nu lu pcuswJl. Jlmautlbu : l3.jl(lt;'I ,Il )1 ,¿'(jjJif
la 'conscience ? ? 4"^ 'mn*tvt0 .. u 1nu b ·m r'1001r n9nlJn0`ni lu ? Íb1 ? H,çi\ ? i9n, e/ ? t, de tous tles-élément
SOÎIIrCj(()11l est ,L5,1')ide sa ilé ? iai,che, ses gestes, tout en[ lu ,i ? rolJe,la lqul;deu>i ? Lll;lii;Létemeut : l
t des gesticulations incohérentes; il salive de temps en temps. J ", lu Parole. - Son vocabulaire est excessivement res
rière Lparpune,;loifurcation qui représenleflaipartie supérieul'ej\( lu , sillon 1 prérolandique; ,ù. droite, elle, gagne,
Quand, étant 'assise,' elle appuie la pointe du Í, 1.) '.Mémoire lu à la Société de Thérapeutique ' (9 novembre 1881)
uyant sur sa pointe, tout le membre1 se mettait JIISLIU "' a ce "' ( lu "'I'laisâOl ' 1 talon retomber sur 'le sol. Ses
t,ici une digestion¡tdtéJ-ieure.' IIJ 1 m »--<. ? \,;1 1, ln 1. " Lu ,... »(, 1·si , Ce phénomène, comme on le voit,-
1 mmuutd ? tt"'P" aux ? ,,] ? ) ? "t t<1 "'fiJ'lTft,.lh U'Hl11 2,() lu .J ? e" ! lbullJd mettre aux muscles 1 incitati
ns les artères de la basd'tld FeÚêéphale'(artéritq £ I syphiJitii : lue )11,'La' nfoelle' Óffre>J'sul'" tolIte fa' èaup
1 primé ISOLr : IfE\T11EJ' FILETS'J1\ISnVÉiJI'I : SIC.ÙI : parli.' lu .1G1111L1\\f : 1 ,,(AI'ch : 'f.Psych ! J1Í, Nerv
rgument 'est "une ' vieille^ observation délJôliri vHûntêc Junior,' lue 'le ! 23'juin' 1824" à''lâJ'Société)médico-chifû'
anesthésie générale à l'exception de 1,-t, tt, te. h3,pel,estliési ( lue ,, amaurose à peu près, complète,, en ce sens qu
t , n .ment les caractères principaux de ces trois états. un ni m lu IU.1 ? J) JUI.lq J n. y, -n {'» l'1 ' l'U'I" i- "
il Test resté. En même temps, il. a été atteint dans la faculté de lire et .d'écrire. Il n'a donc pas été à même d'acqu
r n'en dire qu'un mot en passant, lorsqu'ils sont atteints de dé- lire , sont soumis, eux aussi, à la loi d'évolution; en
IONS.Malgré son apparente complexité l'ob- servation qu'on vient de lire comporte certains ensei- gnements. Elle se résu
ériques non traumatiques. 201 III Les observations qu'on vient de lire sont trop peu nombreuses pour qu'on puisse en t
l de tète et l'application du cerveau il y ait une relation abso- lue .Commenous l'avons établi plus haut, la céphalée p
front. Ils- ,)Il) 2 CLINIQUE NERVEUSE. ne pouvaient ni écrire, ni lire , ni s'occuper de leurs affaires ; mais c'était
ALITE CHRONIQUE; par UOURNRV1LU; et LFrt.mvH : . Le fait qu'on va lire fournit un nouvel exemple de la forme d'idiotie
l\ par,(,mois ? céplalalgie"lrullupinstio.ns,aitalion, mélaç,çoie ? lus .LaJ;'d,(ICLtraieme.nl,<,lU1;a, ! quatl'eA c
t l'âme do Thérèse fut le théâtre. " i " «Comme lemrationalistes ne lisent guère la' Vie des Saints, et que, en dehors de
e, mis eu disponibilité sur sa demande. - Dans la séance du 22 mai, M. Lu .nier a été élu membre de l'Académie de médecine
infirme à Bicêtre ; un cousin germain maternel est atteint de dé- lire chronique; d'abord persécuté, il en est arrivé au
irconvolution centrale antérieure. Sc. S., Scissure de Sylvius. lus ., Insula de Reil. L. t., Lobe temporal. A. m.
rouvé le contraire dans l'observation suivante. (Biblioth. néd., t. LU , p. 117.) Observation XXVI. Anne Ferry, fille
UE DE PATHOLOGIE MENTALE. li 07 forme fixe, ne soit pas stéréotypé. lis sont parfaitement aptes à apprécier les droits
31Ns-W ? Nc.En. (Neurol. Cent1'ltlbl., 1883.) L'observation est à lire en entier. Le malade avait des accès de cette f
es ont disparu; elle travaille avec les in- firmières, mais ne peut lire , ni coudre à cause des troubles de la vue. M. C
obtiendrons sur tous les tracés des signes qui nous permettront de lire ce caractère commun. Mais si, à côté du paralyt
du médicament. Dans l'autre, qui concerne aussi une femme, il fal- lut des mois pour que les hallucinations disparussent
- (effets acces- soires de l'), 426. H\ .1)110tit[LiCS liystéi-i( lues cousidétés comme sujets d'expérience en médec
60 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
jusqu'à la découverte de la laryngoscopie. Il suffit aujourd'hui de lire les ouvrages parus en Allemagne, en Russie, en An
au ie diverses mesures prises soigneusement sur différentes parties lu corps de la jeune fille : Circonférence du crân
carbone, vient d'être définitivement jugée par la note de M. Coulier, lue à l'Académie par M. Vernois. M. Coulier admet t
par des applaudissements unanimes. „*, — Le même jour, M. Lagneau a lu sur la population parisienne un mémoire plein d'i
al des montagnes, a tout récemment terminé ses travaux. M. Bouley a lu devant l'Académie des sciences le rapport de M. A
phie musculaire progressive de l'enfance, dont le [diagnostic peut se lire pour ainsi dire sur la face du malade. Dr Duche
ce d'une journée. Sa démarche était moins assurée, il pouvait à peine lire ou écrire, de sorte que ceux qui le virent le cru
ciaux ont analysé comme il suit un important mémoire de M. L. Lefort, lu à l'une des dernières séances de l'Académie de mé
es mous et indurés, des chancres uniques et multiples, etc. La partie lue à l'Académie constitue en quelque sorte un mémoir
ossession de sa place et à signer la feuille de présence. Je n'ai pas lu la lettre de M. Laffon de Ladébat, mais on peut s
nts de l'enfant s'étaient adressés pour une consultation. JNous avons lu des observations fort complètes rédigées par des
s d'écrire, le nom de laryngotomie thyroïdienne restreinte. RAPPORT lu le 4 AOUT 1869. M. Guy on. M. Krishaber vous a
en effet tenir compte de l'observation de M. Prat, car après l'avoir lue on se demande où était implanté le polype et même
os musées. Bien des lecteurs viendront, sans pour cela s'en vanter, lire ces conseils pratiques qu'on ne trouve que là, da
nner l'observation, et nous avons fait avec lui l'autopsie dont on va lire les détails. L'endocardite puerpérale se présen
s des leçons du professeur Gavarret, nous ne croyons pas avoir jamais lu de description plus claire de l'acte de la vision
Dr Hermann................... 187 ERRATA Page 129, dans le titre, lisez section et non ablation du cartilage thyroïde.
et non ablation du cartilage thyroïde. Page 157, G'' et 12e ligne, lisez roideur au lieu de rougeur. Page 172, 9« ligne, l
' et 12e ligne, lisez roideur au lieu de rougeur. Page 172, 9« ligne, lisez 135 centigrammes au lieu de centigrades. Page 175
lieu de centigrades. Page 175, Anatomie descriptive et dissertation, lisez dissection. Page 176, 3r ligne, initiation, lisez
ve et dissertation, lisez dissection. Page 176, 3r ligne, initiation, lisez imitation. Òóð. Alcan-Lévy, 01, nie de Lafayett
61 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tés de la parole, qui sont identiques, que le malade parle ou qu'il lise . Le premier caractère important, qui se retrouv
en une scène piquante, que je vous demande la permission de vous lire , les nécessités impérieuses de l'obsession. Le hé
ré les lettres annonçant la perte qu'il venait de faire. C'est pour lu prendre ce qu'il a qu'on fait courir ce bruit.
ntée par beaucoup d'épileptiques est encore peu connue. Après avoir lu le mémoire de M. Cul- lerre, j'ai cherché si el
centripètes. Quant à l'immobilité fixe et réflexe, adhuc sub judice lis est ! P. K. XX. La DURÉE DE la VIE DES ÉPILEPTI
. Dans l'un des cas, il est à noter que le malade avait eu un dé- lire presque maniaque au cours d'une scarlatine. Dan
'historique de la syringomyélie est expose avec des critiques qu'on lira avec profit, bien que l'auteur ail une certaine t
pre-que impossible de faire une analyse d'un tel livre, qu'il faut lire pour en tirer profit. Dans la première partie s
0 suicides il y ' Voyez Archives de Neurologie. ' C'est le cas de lire la Bibliothèque diabolique, au Dr Bourneville. (P
/tm ! 'tH : e6</ttue; lui-même re- marqua qu'il ne pouvait plus lire avec t'oeil gauche. - Pendant l'Exposition il s
jeune MALADIE DES TICS ET' TREMBLEMENT. '189 fille n'a pu bientôt lire et coudre qu'avec peine. Les mouvements, légers
ue un second fait semblable amélioré par la faradisa- tion. P. K. LU . UN cas DE convulsion DE la langue idiopathique;
me question 2. La critique présente se termine par une invitation à lire et à mé- diter le travail de Kandinsky, qui « p
. M. RÉGNIER fait une communication sur les rapports de la syphi- lis cérébrale et de la paralysie générale progressive
M. LAURENT fait remarquer que la paralysie générale et la syphi- lis sont plus fréquentes dans la Seine-inférieure que
. M. ROLLER (de Brake) sur la folie héréditaire. Ce mémoire a été lu dans la dernière séance 2. Disctission. - M. Mo
tel ouvrage ne s'analyse pas. Il se lit ; quand on a commencé à en lire les premières pages, on le dévore jusqu'au bout,
inhérentes aux sujets traités par le profes- seur. Et quand on l'a lu , ou y pense sans cesse, on le médite silen- cie
iagnostic s'impose en effet, dans ces divers cas, et il suffit de lire avec attention la description des symptômes pré-
la marche que j'ai adoptée, car il n'est pas douteux que si j'avais lu , avant de commencer mes recherches, ce que j'ai
x que si j'avais lu, avant de commencer mes recherches, ce que j'ai lu depuis dans les auteurs, une fois celles-ci ter
donnée, il faut encore distinguer la forme de cette ombre, il faut lire les lettres. Les exigences sont ainsi bien plus
l'alpha- bet de Suellen, des difficultés presque insurmontables, lisent ensuite avec une surprenante facilité nos tableau
is cela est possible), dont ils sont si fréquemment atteints, ils lisent souvent à un éclairage suffisant 1 'écri Lme de S
ouvait s'em- pêcher de parler de ces sortes de tortures, car elle a lu autrefois les Mystères de l'Inquisition et cela
lait apprendre quelque chose, elle se contentait le plus souvent de lire des yeux; quelquefois en même temps elle parlai
i- tuelle de l'attention ; c'est ainsi que, si on lui commande de lire à haute voix un passage d'un livre, elle peut en
'image visuelle en l'associant à une émotion. Si, par exemple, elle lisait une date, le mot jeudi, nous lui annoncions en
sa famille à laquelle elle est très attachée. Si nous lui'faisions lire notre nom, nous 404 CLINIQUE mentale. lui don
n. Pour aller plus sûrement, nous avons même fait souvent épeler et lire à haute voix l'inscription du papier coloré, in
minelle et du système pénal que Lombroso propose d'adopter. P. K. LU . Communications PUISÉES A la CLINIQUE psychiatriq
llabes; notons que la malade lit bien mais qu'elle est incapable de lire de longs mots parce qu'elle oublie la première
importance de premier ordre en ce qui concerne le rôle de la syphi- lis comme agent morbigène du tabes et de la méningo-p
xcuse. - Interdiction DES séances publiques d'hypnotisme EN Russe.- lue département de médecine du ministère de l'intér
ofonde émotion dans notre ville. » . UN ivrogne DANGEREUX. - Nous lisons dans le Temps : Un indi- vidu nommé Lef'evre, d
s ivrognes. B. Les hallucinations chez LES personnes saines. - Nous lisons dans the Journal of nervous and mentul diseuse
compte rendu de la première séance (nominations du bureau), il faut lire : « M. le Dr G1R.\UD a été nommé secrétaire gén
reaux du Pro- grès Médical. Bourneville. - Rapport fait au nom de lu commission chargée d'exa- miner le projet de lo
é (N°s 51 à 100). Prix : 3 fr. Pour nos abonnés 2 fr. MASSALOXGO ( lut ). Paralisi dissociata delnervo sciatico popliteo
62 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
a même place. D'autres fois ce sont des scènes des romans qu'elle a lus , dont elle devient l'héroïne. Elle voit des jardi
ans les auteurs. Elles acquièrent parfois une violence extrême, et on lira avec intérêt l'observation rapportée à ce sujet p
une foi entière et profonde en la réalité de leur halluci-nation. On lira avec intérêt dans le deuxième volume de Y Iconogr
liè-rement attachés. Nous avons fait usage de l'appareil myographique lu Dr Marey. Le tambour explorateur a été appliqué l
ujuo a om up^it^uo sur ig mcou* iu.uai-.«i pour îu trace ir i, c. sui lu jauijier antérieur pour ie iraco 11" i. T. Convul
e de Marc... Ler... est une femme sans instruction, elle ne sait ni lire ni écrire et n'a jamais rien appris. Elle n'en es
récit déjà entrepris, ou comme quel-qu'un qui, feuilletant un volume, lirait au hasard les premières lignes de quelques pages.
cole! » je m'en fiche; je vais à l'école chez lui... il m'apprenait à lire et à écrire..., etc. » Ce délire de la quatrièm
IQUU A. Marche des attaques. Durée. — Les périodes dont on vient de lire la description se succèdent dans l'ordre que nous
is le diagnostic difficile. Au sujet du petit malade dont on vient de lire l'observation, je ferai remarquer de quelle impor
sent à la première un rôle exclusif ou pour le moins prédomi-iianl. Lu , période épileptoïde est alors régulière et compl
rtie supérieure du corps, sans que les jambes y participent. » Le |) lus souvent il n'y a pas de chute, mais certains mala
» Chez cinq malades la commotion était presque toujours accompagnée ( lu cri épileptique, mais moins prolongé qu'aux attaq
ouve surtout représentée par un de ses éléments, les altitudes illogi lues ou conforsions. Les grands mouvements n' occupent
nie particulière; elle soupire, chancelle, perd ses forces, ne sait |) lus ce qu'(dle veut, C(; qu'elle fait; accuse des dou
s. « Oui c'est moi qui l'a choisi, Ei-iiest!... Te rappelles-tu quand lu me chantais : Ne parle pas, Bose,... ); A ce mo
teille à la figure? Tu m'en contes des mensonges... Tu es un lâche... lu as peur de ta sœur, d'une gosse!... Tu ne seras j
s parmi celles qui m'ont paru le plus dignes d'intérêt. Obs. L Nous lisons dans Schurigius ^, que la fdle unique de Himpseli
venir de ce qui s'était passé dans le paroxysme (elle priait alors et lisait avec ferveur), ces intervalles, dis-je, furent pl
ection de la vision de l'œil droit, les tentatives que fait B... pour lire pendant que l'œil gauche est fermé, l'exclamation
tes, mais elle se refuse à d'autres. Le plus souvent elle ne veut pas lire , bien que nous nous soyons assurés, par d'autres
ériser ce symptôme que je n'ai point encore rencontré et dont je n'ai lu aucune description dans les ouvrages qui sont à m
lui levait un bras, ensuite l'autre, ils ne retombaient point; on les lu tournait en arrière, et on les élevait si haut qu
er à la malade ses actes et ses paroles, elle ne peut croire ce qu'on lu dit et en demeure très affectée..... 11 juillet
. cit. p. 75. 2. Au point de vue spécial oi^i nous nous plaçons, on lira également avec beau-coup d'intérêt robservation I
ler des baisers dont il me couvrait. D'autres fois le ca-davre venait lire par dessus mon épaule dans le livre que je tenais
aliénation mentale, par J. Moreau (de Tours). Paris, 18-45 p. U. On lira avec intérêt, dans le même ouvrage, le compte ren
st fait le champion des mêmes idées. 11 nous semble qu'il suffit de lire attentivement le récit des diverses expériences d
La démence, ajoute Morel, après avoir cité les lignes qu'on vient de lire , et dans tous les cas l'affaiblissement progressi
lion de l'oreille, de l'œil, à l'exci-tation musculaire, etc. On peut lire la description de cet arsenal dans le beau mémoir
s. Le seul coupable est la maladie. « Il est seulement à remarquer, lisons -nous dans l'extrait des preuves du procès, que to
ées pen-dant les longs mois que dura cette étrange procédure. Il faut lire tous ces volumi-neux procès-verbaux, la plupart é
fois de l'eau sur ce qu'elle disait avoir l'hostie au palais: puis à lu gorge. Peu avant la communion, ainsi que Barré lu
roulant, il conduisit son corps jusques au bout de la chapelle, où il lira une grosse langue bien noire, et lécha le pavé av
its contre cotre nom^. » i. Histoire des Diables, 'H.'Jl. Il faut lire la scène de l'exorcisme du 23 juin 1034, pendant
ssant et criant : « C'est à ce coup que je te réduirai en poudre, car lu es à moi ; » et tantôt dans un furieux éclat de t
s'y passaient. Il a laissé de son voyage une relation fort curieuse à lire aujourd'hui, adressée à Sa Majesté, et dans laque
par l'instruction (c'est à peine si un dixième de la population sait lire et écrire) les habitants sont d'ailleurs doux et
de ayant accepté, cette dame lui posa sa montre sur le front (c'était lu prétendue rjîiquej, et à linstant môme une crise
des scrupules religieux, obligea sa garde à prier pour elle, et elle lut elle-même plusieurs pages de ses livres pieux. Ve
t étudiés avec soin, et la résolution fut prise qu'une adresse serait lue le 1"" janvier 1858, recommandant les moyens prat
cris tels, qu'ds rappelaient à l'auteur les descriptions qu'il avait lues des champs de batadle ». La scène suivante avait
ns, les promesses, et autres passages de la Parole divine qui ont été lus ou entendus dans la jeunesse sans avoir été rappe
depuis, ou bien encore qui après avoir été dans ces dernières années lues d'une façon incomplète, à cause de l'in-suffisanc
et les hysté-riques est traitée dans son ensemble. Je n'insiste ici « lue sur le point particulier des at-taques d'extase.
e chapitre. — au heu de : Période des grands mouve-ments (c/onisTOe); lisez : Période des contorsions et des grands mouvement
sme). Page 73, ligne 8. — Au lieu de : nom pittoresque de clonisme; lisez :nom pitto-resque de clownisme. Page 196, ligne
Page 196, ligne 17. —Au lieu de : Mouvement médical, 1872, page 203; lisez : Mouvement médical 1872, page 303. Page 274, d
e 303. Page 274, dernière ligne. —Au lieu de : Pathologie de Reuin; lisez : pathologie de Requin. Page 303, premier mot d
de Requin. Page 303, premier mot du titre. — Au lieu de : Vriétés; lisez .• Variétés. Page 306, hgne 2 de la note. — Au
.• Variétés. Page 306, hgne 2 de la note. — Au lieu de : (p. 344); lisez (p. 310). Page 324, ligne 25. — Au lieu de M. D
344); lisez (p. 310). Page 324, ligne 25. — Au lieu de M. Duboisag; lisez : M. üubnsaij. Page 334, dernière ligne du titr
ière ligne du titre. — Au lieu de : aux autres périodes de l'attaque; lisez : aux autres périodes de la grande attaque. Pag
Au lieu de : les observations d'attaque d'hystérie accom-pagnées de : lisez : les observations d'attaque Jiystérique accompag
Jiystérique accompagnée de : Page 429, — Au lieu de : chapitre VII; lisez : chapitre VI. Page 441, dernière ligne. — Au H
VI. Page 441, dernière ligne. — Au Heu de : D' Alexandre de Livry; lisez : D' Alexandre de Sivry Page 494, ligne 14 et 1
494, ligne 14 et 15. — Au lieu de : aux quatre périodes de l'attaque; lisez : aux quatre périodes de la grande attaque. PAU
63 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
, en la priant de lui envoyer différents objets. 11 n'a plus le dé- lire de jalousie. On lui pratique une ponction lomba
s altérations des fibres à myéline des troncs sympathiques. Ce sont lu des examens peu faits pour l'étude de l'hypothè
PAR ARME A FEU A LA 1);'I'E 117 7 d'un examen de champ visuel, B... lut spontanément le nom du fabri- cant imprimé tout
eau en question et aussi de nommer les lettres compo- sant les mots lus auparavant. Lorsqu'au cours de l'examen suivant,
e mot A ! 6ert, il n'arriva point, malgré plusieurs exhortations, à lire ce mot, mais lorsqu'on y ajouta le mot Stille, il
nt que B...possède encore des fragments desôn ancienne e faculté de lire , et à l'aide de ces fragments on peut obtenir cer
rtains aperçus sur le mécanisme normal de la lecture. La faculté de lire couramment présuppose que le liseur dispose d'i
orrigées par la conscience, et donnent lieu à une révision du texte lu . L'exclusion visuelle à la lecture doit, pour êtr
es à un et à deux chiffres, mais, le plus souvent, ne réussit pas à lire les nombres à plusieurs chiffres; il est capable
e de B... est également sous la dépendance directe de sa faculté de lire : il peut écrire les mots et parties de mots qu'i
culté de lire : il peut écrire les mots et parties de mots qu'il sait lire , mais rien de plus. Lorsqu'on lui soumet le mot
compte de la forme des différentes lettres, sans pourtant arriver à lire ce qu'il vient d'écrire lui-même. Le nO'1l très p
st, Hullaryd, Sonamayd) tandis qu'il reste incapable d'écrire ou de lire le mot «heur » (monsieur) isolé : il garde l'im
sile) et Tyskland (Allemagne) que pourtant, à d'autres reprises, il lisait sans difficulté : du premier mot, il écrivit im
son alexie : il ne peut pas écrire autre chose que ce qu'il arrive à lire . D'autre part, ses exercices d'écriture nous se
s semblent pouvoir servir pour contrôler la valeur de sa faculté de lire : s'il a bien saisi le commencement d'un mot, e
ON ET FBOEDlm;;TIW1 une dizaine, et les lettres isolées que B. sait lire et écrire ne sont pasplus nombreuses. Les cas
one motrice n'exerce donc pas d'influence notable sur la faculté de lire . Par contre, B. arrive presque toujours à recop
frer immédiatement avant ; souvent il lui est arrivé de ne pouvoir lire la même lettre quelques instants après, et alor
il nous semble aussi qu'au cours de nos expériences, sa faculté de lire s'est quelque peu améliorée à mesure que ses im
cinq ans, et elle le reconnaissait première vue. Elle ne sait ni lire ni écrire,mais elle a voulu montrer un jour qu'el
nets pour prouver cette hypothèse et la légitimer d'une façon abso- lue . Ce n'est ni une forme mixte, ni une forme systém
glande pinéale, et Male- branche pourtant son disciple el qui avait lu le Traité de l'Homme avec tant d'admiration que
, comme on le voit dans la figure 5. Plus rarement une cellule très lu mineuse aurait tendance à devenir moins lumineuse
homogène contenant a son intérieur quelques grosses granu- lations lu .nineuses clairsemées. Contour du noyau lumineux.
Docent de Neurologie, médecin en chef il l'hospice Marcoutza. lue uucuresy. Peu de problèmes peuvent offrir aux p
un ancien proviseur de collège, M. Goijer, de Mônsleraas, elle peut lire couramment, et raconter ce qu'elle avait lu, el
Mônsleraas, elle peut lire couramment, et raconter ce qu'elle avait lu , elle paraissait d'une intelligence normale, se r
ement, le pouvoir d'accommoda- tion semblait être très bon, et elle lisait sans difficulté un texte imprimé en très petits
corps », ce qui avait duré jusqu'au cours de l'été. Caroline savait lire et écrire, mais à part cela, ses connaissances ét
n'avoir pas d'hallucinations ni d'idées fixes, disant que « C'était lu des idées ? » Son entourage était d'avis qu'il
raumatismes et que rien ne permettait de croire à une hérédo-syphi- lis , c'est précisément il un âge tardif que survient
s, mais un de ses camarades lui prête un autre livre de magie qu'il lisait le soir très tard en cachette. Trompant la surv
vaillait chez des jardiniers (1910-1911) ; seul dans sa chambre, il lisait , avant de s'endormir, des histoires de magie et n
it des gestes comme pour escamoter quelque chose)... Mauvais livre, lira pas des lectures « indécentes... les a lues tou
hose)... Mauvais livre, lira pas des lectures « indécentes... les a lues tout de même... étais forcé » On lui offre le l
ngera... Pour voir quoi... malheur ! magie ! magie ! Tropjeune pour lire ça. Pourquoi chanter cela ? » D. Voulez-vous qu
... Je sais tout... » qui me commande et qui m'a créé. Tant que je lirai cela, je saurai tout jus- ce qu'aux plus secrèt
raréfaction de la partie centrale du gliome. Puis au niveau de LI, Lu , on se trouve de, nouveau en présence d'une cav
musculaires striées ac- compagnées de tissu cellulo-graisseux (Pl. LU , B). La membrane papi I- laire s'applique exact
sphincters. Maintenant il est obligé de se servir de lunettes pour lire . Ce trouble date de l'année dernière. Le mala
des cas semblables parmi les nombreuses observations que nous avons lues .. Souvent, ce fait peut être expliqué parce qu'il
ja pierre, l'or, etc.) seulement comme un phénomène pur (phenomena } lu /'u11t) ». Dans le paragraphe 29 il continue : -
logie surtout du système nerveux central qui valent la peine d'être lus dans l'original. Il connaît l'effet de la paral
64 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
hésitation dans les mouvements. Dans l'observation qu'on vient de lire , une hémi- plégie de la motilité et de la sensi
D'O. III. Trois cas DE maladie DU cerveau; par W. M. OSLER ? Mém. lu à la Société médic. chir. de Jlont2,éal. (Canada
ues honteuses dont les Grecs ont fourni le nom. C'est après avoir lu dans un livre latin l'histoire de Tibérius et de
odermie, l'ostéomalacie des aliénés et la trophonévrose faciale. On lira avec beaucoup d'intérêt le chapitre IV, consacré
rophique en elle-même. Ces considérations sont fort intéressantes à lire et agréablement écrites, mais elles ne jettent
hèse de M. Chauvet a un avantage, c'est de rendre sa thèse facile à lire et à consulter. IV. M. Landouzy avait un sujet
plus grand profit pour des points de détail; mais, après l'avoir lue , il faudra que chacun se résigne à chercher, selo
« une grande difficulté, quelquefois même une impossibilité abso- « lue à se procurer un emploi. « Mme George Riley s'e
aux candidats dans le Progrès méd., 1880, p. 260, 358, 380. ! Voir lu programme dans le Progrés ntéd.,9 ss0, p. 300.
son lau=, gage est incohérent. Elle avait pu autrefois apprendre à lire et'à'écrire'mais n'a jamais'su faire^aucun méti
e droite un peu plus saillante. I....l - " (f '" 01, ., 4 L 1 li. lut J 41 'i. zip Encéphale. Poids total : 1260 gr.
sparu. L'année suivante, l'enfant put aller en classe et commença à lire et à écrire. Cette rémission prolon- gée parait
note d'entrée porte : « Intelligence ordinaire; apprend bien ; sait lire , écrire et compter ; bonne santé habituelle. »
le nombre beaucoup plus considérable des - U,.>\..j(jb r 1,( , l lu 1 -. ,ir· p.'1. · J 1 .. noyaux et le développe
s le même pour tous les individus; en second lieu,'lorsqu'on trouvé lu ;un certain métal agit sur un individu donné, ôn
Société de biolo- logie ; ce n'est que plus tard que nous avons pu lire les publi- cations originales italiennes : La m
raphie, bien plus riche qu'on ne serait tenté de le supposer; on la lira avec profit dans Mauduyt. Ce qui nous intéresse
c. antlaroph., p. 245). Il est très intelligent, mais il ne sait ni lire , ni écrire, il compte de mémoire avec la plus g
uye,,deiveloppeeûaurmaximiim. et .avec, le plus.de IIILJQ GllIJlJ", lu ..LI111J.J]' ,.G1 ? f. .* ? i- . "1 jj ? IJ.i'-1 c
jij.ij" >. ^jn . si.p c "...fjjj ? njt.'jm 1879.) b zltloq Ils , lu '1" ,971GT,ttI09 m;t)u'nb sbioq na MnûiTÎqn ? ,
(1 ! e ¡fptale, de toutes les[bran-, fI ? és 1 q'fJfqc[q ? pelte¡J [ lu goûthdans la moitié antérieure^ du é6té gauche-
4 ans, fut prisai dans le cours de la'première année rl'Linèsvphi ! lis .grave^de céphalalgie et de' douleurs le'lbng duJÍ
4 ? 'i annee de sa syphilis, ayant .plusieurs gommes sur, les bras, lut frappé'd'une hémiplégie droite. 1 Un,an apres ,
IGUE, ET SURAIGUE, avec huit observations; par S. G.·WEBBER. - Mém. lu à la 6'oc..me< ? c. de Boston'. (Boston met,
électricité en thérapeutique des mala- dies du système nerveux : on lira avec intérêt les développements que M. Beard a
mble du travail de M. Blaise est intéressant; ces recherches seront lues avec profit, elles font honneur à la jeune Ecol
c un malade de la même salle, atteint de cette affection. H. D'O. LU . Convulsions puerpérales ; par ALEX. BECKER. (Bos
otte dans l'ataxie a été rapportée par Cruveilhier. Dans un mémoire lu à la Société des hôpitaux, M. Féréol a décrit e
ne la relèveront point. Bien au contraire, même les cliniciens qui liront le plaidoyer de M. Despine condamneront sa client
ëntimëtrEnirëanche, ,léllgetioutduqcorpscalleuxtest °'ëgaissi' (5 ? lu §lgrâüiléi`épaisseur estr,del1 rhillimètres)';risa
du p.pi,e - C çpiaffelfgEssgoilejr 91) 9to·r tT9 retzJ2 2q tU9 nu lus ,B'jbnoiv ,9(G7d9'I9J 9JrÎT1J2 Et 21Tf.9b tf9 te
orité des -(800.0 ypRsV, y,0finH)B0J su aJi-tiiMtJp 900 idyinuy ijq lu t coupes frontales. , . , , " ' z anoilaoup a
uuu 000010090 <»09qay 930 no 19ùiicla0Bil f;I interne o'il'JU lut ) .9%f>l0Oi)09l fr.^Vn0,<A' tfT'AIfl^Mln'ï'n
, 9)Ç JR) démanseaisons si insupportables, que la malade redou- f lut ) 'ÉliiDil(1 Ill) » .a''U rU^.<; : .(i '"ov) oo
, ± ,, , . moins ''i*V,'\tJ'iÛ,rA )I191,6)9 , =000 . .9 ? uit9)'n ( lu Les éruptions et ces troubles vasculaires de. l
t atteints. Il ressent -''ni r.'ii, nui . e r. - - 'juj> i t'y i lu "a. ; , t" , 1, ? dans le bout des.doigts, surt
e la plante es,, - dsj est, senti ^mais n^ ? provoque ? aucun 1 i Lu .«e3î ? /odjB li jrid3 ailla 2EJIi 11111JfIDJ (tm
s qu'il ne peut être question pour aucun agent d'une valeur abso- lue . Il faut toujours tenir compte, en appréciant com
, l'étude des affections systématiques combinées de la moelle. On y lira avec intérêt de nouvelles observations : I. D
ronique cérébro-spinale. P. K. 608 REVUE DE pathologie mentale. LU . SUR LES hémorrhagies stomacales dans LE COURS DE
ont souvent des enfants hypermétropes que l'on a forcés à' tort de lire ou de travailler à la distance normale et qui,
et «151'il avait accepté de faire des, cours a l'Union française de lu jertrasst, qui cherche iL)répandre¡l'instruclio
cier. NÉCROLOGIE. 639 scientifiques. Dans cet ordre d'idées, il a lu récemment il la tYctv- Y01'/¡ Academy of Scienc
premier numéro est plein de travaux et de documents intéressants à lire , et, à en juger par ce premier fascicule, les'sui
ire, et, à en juger par ce premier fascicule, les'sui- vants seront lus avec soin et largement répandus.» " ' '* . ° 1
des. , , , 1" «-;or. Dans les fascicules que nous avons reçus, nous lisons les noms ! de MM. Charcot, Debove, Gombault, Bo
nd, 6l ? Alcool (emploi de 1' contre le delirium tremens, 33'v ;-( lu (lucn- ce de 1'), sur la production du la foli
tion du la folie, 33b. .llcuolisme (traitcment le l') et du dé- lire aigu, harBenett, 495;-par Rousseau, 496. Alié
des batraciens, par Mason. Tabès dorsal (rapports de la syphi- lis et du), par Westphal, 580 Températures cérébral
dé. N l, noyau lenticulaire. N r. SI., noyau rouge de Stilling, Lut . S, locus niger de Soemméring. L. par., lobule
65 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
ependant de déterminer d'une façon exacte la (1) Raton Y CAJAL, Tex/ lira del sistema nervioso del hombre y de los vertebra
rie,on peut obtenir des empreintes très délicates sur lesquelles se lisent facilement les lignes papillaires qui peuvent p
a vie. Pas de délire. Affaiblissement de la mémoire. Ne sait ni lire ni écrire; ne peut compter jusqu'à 20. Elle ne pe
- ment et seulement jusqu'à l'âge de sept ans, et cependant il sait lire et écrit correctement. A 7 ans il a été placé «
, elle n'a pas de surdité verbale, il a été impossible de lui faire lire ou écrire quoi que ce soit. Le 20 avril, nous a
'à 20 ans sa vie s'est passée à l'hôpital général. Il sait très peu lire et écrire. Il fut ensuite placé chez un cordonn
d'accès d'épilepsie. A l'école jusqu'à dix ans et demi, a appris à lire très rapidement, possédait une mémoire excellen
é de congestion plus marquée dans le pôle central du ganglion. Le lue ganglion dorsal présente le même aspect, les lési
améliorent par le repos. Si, la malade étant assise ou en attitude de lire , on lui fait regarder en bas, vers le milieu de
me paraît très efficace. Il suffit de donner au patient un livre à lire , qui l'oblige à diriger la vue par en bas durant
tivement les ouvrages des aliénés, on apprend pour ainsi dire à les lire et on finit par relever certains carac- tères p
racle. A ses pieds, un petit ange tient un livre ouvert où l'on peut lire une invocation au Saint.- Tout autour, au sec
ns-nous con- sidérer comme exceptionnelle l'observation que l'on va lire et qui se rap- porte à un spasme bilatéral du s
tives. Disparition des libres nerveuses. Méningite intense. PLANCHE LU p, q, r, s) Début de la sclérose dans la portio
, c'est-à-dire des troubles de l'articulation des mots. En écoutant lire les malades que je vais vous présenter, vous n'au
intonation, qui souvent est tout à fait en désaccord avec la phrase lue par le malade. 'On voit en effet des paralytiqu
vec la phrase lue par le malade. 'On voit en effet des paralytiques lire sur un ton emphatique un banal fait divers, ou
te, montrant ainsi soit une incom- préhension absolue de 'ce qu'ils lisent , soit au moins un trouble profond dans le mode
ar la lecture. Interroge-t-on ces malades sur ce qu'ils viennent de lire ? On constate ou bien qu'ils en ont perdu tout
it possible de lui poser dix fois la même question, ou de lui faire lire dix fois la même chose sans provoquer de sa part
atégories : ceux qui comprennent et retiennent assez bien ce qu'ils lisent , mais seu- lement pour un temps plus ou moins c
t pour un temps plus ou moins court; ceux qui comprennent ce qu'ils lisent mais ne le retiennent pas ; et enfin ceux qui ne
laires après l'audition des paralytiques généraux que je vais faire lire devant vous (1). La première malade que je vous
je pense, de la malade un récit complet de ce qu'elle vient de vous lire ; et, de fait, vous la voyez faire de grands ef
s, comptable, dont l'affection date de quatre ans, et à qui je fais lire devant vous une historiette courte et (1) Nous
malade n'a conservé qu'un souvenir extrêmement confus de ce qu'il a lu . Sa seule préoccupation semble avoir été de pro
'il a retenu à peine le commencement de l'his- toire qu'il vient de lire , oubliant complètement le fait le plus saillant.
nce de souvenir, plus complète encore, pour une autre histo- riette lue la veille. Ce troisième malade, âgé de48 ans, e
ncement du fait divers de quelques lignes que je viens de lui faire lire . J'attire votre attention sur le ton monotone e
ès réduite, et la malade, sollicitée de répéter ce qu'elle vient de lire , se contente de répondre : « Je ne sais rien. »
rappeler un ou deux points très vagues de l'histoire qu'il vient de lire . A d'autres malades que je désire vous montrer
depuis un an à peine, est dans l'impossibilité absolue, après avoir lu , de se souvenir du moin- dre fait. Cet autre
des malades que je vous ai montrés,n'a eu autant de peine que lui à lire et à articuler les mots. Peut-être seriez-vous te
s sont dans l'impossibilité de conter l'histoire qu'ils viennent de lire . Quel- ques-uns comprennent assez bien, mais la
s comprennent assez bien, mais la mémoire ne retenant ce qu'ils ont lu que pour un temps très court, on assiste bientôt
t capable de faire un récit à peu près correct de ce qu'il vient de lire . Et je profite de cette constatation pour vous ra
taine intelligence de leur sujet; inversement d'autres malades, qui lisent de façon assez satisfaisante, n'ont qu'une appare
es inintelligibles, les lettres suivantes : z T . 1 . ' l .. .. LU IJv1 Lv Uv VUIIW;ICIIG Ut7V1116 ensuite 0117plete
OIS, Agrégé, médecin des hôpitaux de Lyon. L'observation qu'on va lire pourrait aussi bien être intitulée l9gopa- thie
ts de IYest Australien, de l3errer en particulier dont M. d'Etreil- lis écrit « qu'il ne serait pas West Australien s'il
au Docteur faire la nique. » Au-dessous du troisième personnage, on lis « Pierrot apportant un remède pour la guérison
' Mon moyen est sûr et savant, Mettez-le de suite en pratique : Lisez -lui, sans perdre un instant, · Tout un discours
), XXII. Nerf optique dans l'amaurose tabétique (A. Léri), L, LI, LU . Neurofibromatose (F. RUDLSIt), XXIX, XXX.
66 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
dit à propos quelques petites phrases. Trois enfants ont appris à lire couramment. 1° Bouil... n'avait rien appris jus
t aux ques- tions qui lui sont posées. 2° Goup... (E.) a appris à lire couramment, à faire des dic- tées, des problème
les, mais sa para- lysie l'empêche d'écrire. - Trois autres enfants lisent pres- que couramment. Beli.. (Charles), Derep..
et ceux de la grande école en trois sections. Aucun d'eux ne savait lire la musique et ne possédait de notions sur la th
er le timbre de leur voix. Les enfants sont ainsi parvenus à savoir lire eux-mêmes les notes, à en connaître la valeur e
e de la musique. Quand je les trouve suffisamment avancés pour bien lire un mor- ceau de chant et l'apprendre avec fruit
enfants se répartissant ainsi : MOUVEMENT DE LA POPULATION. LI lu PERSONNEL DU SERVICE. Évasions. Comme les année
n'a pas été recherchée. - Poids : H. gauche (90 gr.) ; - IL droit ( lis gr.). (L'hyperhémie est plus prononcée à gauche
availleur et bon père de famille. Son instruction se borne à savoir lire et écrire. -[Père, 58 ans, cultivateur dans l'O
e bornée; son ins- truction est à peu près nulle, elle sait à peine lire et écrire ; n'est pas nerveuse. - [Père, mort à
amarades il tel point qu'on fut obligé de la rendre à sa mère. Elle lisait déjà avec difficulté, comme une myope. II y a
à la lumière, mais celle de gauche parait un peu plus petite. Pour lire , l'enfant appro- che le livre qu'on lui présent
r semaine. A l'école, elle n'a jamais rien appris : elle ne sait ni lire , ni écrire. - Pas de mauvais instincts, pas de
téressant les circonvolutions frontale et pariétale 'ascendantes et lu /mie paracentral (Société anatomique, 1876, p. 558
em- pérament très nerveux caractère exalté, a contracté le syphi- lis avant le mariage (35 ans). Un ou deux mois après,
cusé. Néanmoins, dés le début, me fondant sur le caractère du dé- lire , je l'ai considéré comme atteint de paralysie gén
frayeur : un incendie s'étant déclaré dans le voisinage, il vou- lut mettre à l'abri un fût d'eau-de-vie; celui-ci se
et pourra bientôt sortir. Antécédents personnels. 129 mari. Elle lisait alors un livre de vulgarisation de Debay, inti-
et en écriture ; elle écrit iL ses parents des lettres qu'elle sait lire ; les spasmes persistent. Octobre. - Suspension
: il i nativement; l'intelligence se développe, l'enfant arrive à lire et écrire couramment, à compter jusqu'aux nom-
ions ; transferts ; population au ., .. 3) décembre 1895. Personnel lu III. QQI.1 ! 5lrnction d'un bâtiment de cent li
67 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aient encore une acuité visuelle suffisante pour se diriger, pour lire même, autant toutefois que leur état mental le pe
lirante=. Mmo R..., trente-deux ans, avait déjà, étant jeune fille, lu crainte d'une grossesse si elle se mariait, à c
rises différentes, j'ai observé chez lui le fait suivant : Il avait lu dans un journal le récit d'un crime dont l'auteur
la crainte obsé- dante d'avoir pu commettre le crime dont il avait lu le récit. Apre* une courte période de doute con
e De MaLHERBE. Ce n'est pas sans un peu d'étonnement que nous avons lu le compte rendu d'un travail de MM. Charrin, De
, inti- tulé Grundriss der Psychiatrie. 1894-1900. C'est un livre à lire , cela vaut mieux qu'une analyse de seconde main
syphilitiques. M. Grasset (de Montpellier) envoie une communication lue par M. Marie au sujet de plusieurs cas de lésio
construction particulière rend le livre très captivant et facile à lire . Il traite par ordre de fréquence de chacun des d
, la nouvelle méthode si simple, inventée par lui, pour apprendre à lire à son propre chien. Il avait commencé par prend
auvage de r4t)e'o ? t et par nous pour des idiots qui ne savent pas lire mais reconnaissent l'image du mot, comme ils re
du mois d'août, moment où le délire du sujet passif est entré dans lu ' CLINIQUE MENTALE. une phase active, que le su
sensible et émotive. En pension et au couvent elle aimait beaucoup lire les récits de descriptions fantastiques. Elle a
mais pour se donner de l'air, disait-elle, car elle étouffait. Elle lisait continuellement son livre de messe et à haute v
point de vue chirurgical. Déjà en 1887, dans un travail intéressant lu à la Société médico-psychologique 1, )[. Charpe
Comme le Dieu des chrétiens, elle va mourir sur la croix, elle l'a lu dans les journaux. Elle reconnaît de ses parents
, ses enfants, on va bientôt la guillotiner, la crucifier, elle l'a lu dans les journaux. On va la prendre à la place
ait un désordre des opérations mentales comparable à celui du rêve. Lire le mémoire. ~ P. IGRAVAL. XVI. Altérations des
xes patellaires ; hémianopsie gauche. Le malade ne peut presque pas lire , même l'imprimerie en gros carac- tères ; et dé
rases d'un livre, il doit avant déchiffrer le mot ; si il réussit à lire le mot, il l'écrit alors vite et régulièrement.
c une certaine difficulté. En lisant il oublie bien vite ce qu'il a lu , et souvent repète plusieurs fois une seule et mê
peut se rappeler que quelques mots isolés de tout ce qu'il vient de lire . Il déchiffre en épelant les mots écrits par lu
uchers. L'auteur s'associe à l'opinion de ceux qui pensent que nous lisons avec les deux hémisphères. La particularité du ca
ne alexie de ce genre a été décrite par GRASHBY (le maladie pouvait lire le mot s'il l'avait devant ses yeux en entier ;
mot s'il l'avait devant ses yeux en entier ; mais si on le faisait lire ce même mot par syllabes et qu'il ne voyait qu'
ait qu'une seule lettre et puis une autre, alors il ne pouvait plus lire ce mot. DISCUSSIONS. D' Mouravieff trouve que
à répondre. ».« Le cordonnier a soixante-dix-huit ans, ne sait ni lire , ni écrire et se trouve forcé d'avoir recours à u
stesse et crainte. La supérieure du couvent de Mont-Cenis lui ayant lu une lettre où le cardinal Louis-Antoine de -Noail
s sensations subjectives, il ne joue pas le rôle d'un simple stimu- lus anatomique venant exciter le centre sensoriel cor
elles. Fillette de sept ans, née à terme et sans accident. Point de lues chez les parents. Le père mort à la suite d'un
. Mère provenant d'une famille tuberculeuse, mais bien portante. Le lues et l'abus des boissons fortes sont exclus. Dix
ecins lui ayant interdit de travailler, il ne lit plus que prier et lire des livres de piété. En 1697 (soixante-trois an
sse dans la chapelle de cette abbaye. Mais sa soeur, lui ayant fait lire une lettre de Jean du Vergier de Hauranne sur l
t. Pour assurer la continuité du traitement, le rapport de nuit est lu chaque matin par le personnel de jour, et quand l
sûre. Le Dr Ro- bertson et le Dr Keay voudraient que cette personne lût une infir- mière d'hôpital diplômée : l'auteur
n de se lever le lendemain à deux heures de l'après-midi pour aller lire un billet relatif à sa santé et que je venais d
es, tous ceux qui s'intéressent aux questions de psychopathologie liront et consulteront avec fruit l'oe'uvre nouvelle des
phénomènes « hystériques » et sur les guérisons pas sug- gestion ( lisez persuasion). Après avoir ainsi défini les accid
om qu'il a vu écrit là-bas).- Saturne est une terre abandonnée dont lis habitants parlent un grec écorché (,ic). Il est
c. AI. Doissier donne le résumé d'une observation analogue de dé- lire chez un médium. Observation qui sera communiquée
renga oublie de dire qu'il peint des exceptionnels. Si bien qu'à le lire , on croirait tous les Israélites d'Algérie bons
vre documentée, originale, utile et-ce qui ne gâte rien -agréable à lire , en écrivant cette thèse. lia montré la fréquen
l compris. Une notice mobile était jointe à l'ouvrage, et comme j'y lis « prière d'insérer », j'en extrais l'impression
ivres de premier ordre que chacun devrait avoir, et surtout devrait lire , car le sujet nous touche essentiellement et ce
d et l'hilippe, 103. Contri- bution à l'étude anatomo-patho- lo.i( lue et clinique de l' Cliar- cot ? lat-ie. par Sain
68 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
enus propres (1) ; 5 ont appris à manger seuls (2) ; 8 ont appris à lire (3). Le traitement du gâtisme, qui consiste à p
ture de chaque jour. La lecture au Syllabaire va lentement mais ils lisent et comprennent un grand nombre de nos mots impr
.. (Geor- ges) (2) et COTTE.. (Henri). Deux enfants ont appris iL lire couramment : 12° Ctinno.. (Victor) Idiotie prof
assistent aux visites du samedi et qui participent au chant savent lire leurs notes de musique. , En maintes circonstan
n octobre ne sachant rien. Lit maintenant quelques petites phrases; lira couramment sous peu. Est passé à la 2 ? = parti
es plus usuels. 13° COUDFYII.. (Georges), 13 ans. Il est arrivé à lire à peu près couramment. Plus en retard pour le cal
mai 1901 il la grande école, ne sachant pas syllaber. Est arrivé à lire à peu près couramment dans le syllabaire Hégimb
Sa mauvaise articulation de l's et du ch l'a beaucoup retardé pour lire couramment. Il est cependant passé à la 2e part
7 de trop la section ayant été conçue seulement pour 400 enfants. LU Décès, SORTIES. SORTIES, évasions. lui main
chez cette enfant n'indiquait l'intelli- gence. Elle ne savait pas lire , mais formait les lettres et les chiffres; elle
rtiges et accès nombreux). Cette enfant, à son entrée, ne savait ni lire , ni compter, ne faisait que quelques copies, sa
elle le développement physique et intel- lectuel. Elle a appris à lire couramment, donne à la lecture une bonne intona
e découvrir dans les écoles ordi- naires les arriérés de toutes soi lis et les idiots à diriger soit dans les asiles, s
essentiellement intuitif. - Tous les enfants arrivent Ù apprendre à lire , il écrire, à calculer, à parler assez correcte
és en liberté : Attentat contre le Dr Loir. Il est très commun de lire dans les journeaux politiques des articles cont
ne fait que reproduire en les exagé- rant maladroitement des récits lus dans des aventures de voyages, qu'il aime par-d
l'école, ses camarades se mo- quaient d'elle, ce qui l'irritait. - lire dentition en retard. Parole à vingt mois ; marc
a cause de la moindre inclinaison du col du fémur malade ? Quel est lu mécanisme de cette déforma- tion y Beaucoup d
pposé et limité par deux bords minces et tranchants. - Sur un avant liras de nouveau-né l'espace est relativement large,
sa famille qu'elle semble aimer beau- coup. Elle lit avec plaisir, lirait les journaux, si on les lui laissait prendre, l
lui a donné un livre de lecture ; son tour arrivé, on l'a forcée à lire comme toutes ses com- pagnes. Après beaucoup d'
e comme toutes ses com- pagnes. Après beaucoup d'insistance, elle a lu très couram- ment une quinzaine de lignes. Elle
érature rectale, est toujours au-dessous de 37°. (Voir page 169). lu Fcld ? idiote microcéphale à un haut degré, âgée
alleux. CGC, circonvolution du corps calleux. La lige indique le ( lu parus, parlant du bord supé- rieur de l'hémisph
69 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de son poids total. Im- médiatement après la saignée, nous avons lu dans le tracé que les Fig. 8. 'tracés pris sur
pression des artères carotide et fémorale. Les tracés doivent être lus de droite à gauche. Le tracé de la carotide se
s, t. III, 1882, p. 173. 2 NothnageL Maladies de l'encéphale, 1885. Lire les observations réunies p. 346 et suivantes.
eille. Or, jamais dans les observations de catatonie que nous avons lues l'hysté- rie n'a été sérieusement recherchée ;
uite). M. J. Séglas. Messieurs, ce n'est pas sans surprise que j'ai lu à la page 445 du dernier numéro des Archives, t
les dispositions de ces deux articles 20 et 21 qui nous occupent : ( Lisez ! lisez ! ) « Comment ne pas reconnaître, disai
ositions de ces deux articles 20 et 21 qui nous occupent : (Lisez ! lisez ! ) « Comment ne pas reconnaître, disait M. Bru
M. DELSOL. Il s'agit ici du médecin inspecteur. M. le Rapporteur. Lisez : le médecin inspecteur. 110 SÉNAT. M. de Gav
ssée de difficultés et d'obstacles, même pour le médecin or- SÉNAT. lis j dinaire, pour celui qui ne s'est pas spéciale
n vertu de la loi, ont le droit de les recevoir et le devoir de les lire et de voir la suite à donner. Il n'y a qu'avant
urs, dont l abonnement expire à cette date, de nous envoyer le plus lut possible le mon- tant de leur renouvellement. I
s heures après » ; pas d'autopsie. Le 10 mars 1883 , M. Charpentier lisait à la Société de médecine de Paris un mémoire re
araissent bien fonctionner. Observation IV. Accident occasionné par lu jroisiènte immersion; profondeur de 25 brasses;
'entendait un peu avec son entourage parla mimique. Il ne savait ni lire ni écrire. Pas de perte connaissance, pas de ver-
entendait, d'ailleurs assez bien, était la mimique. Il ne savait ni lire ni écrire. Pas d'aphonie. 168 CLINIQUE NERVEUSE
le membre tiré, en faisant un mouvement dans le même sens. Quand on lire , au contraire la jambe droite, la gauche fait a
mots, ni mémoire des mouvements graphiques, car ils ne savaient ni lire ni écrire. Ce trouble du langage est survenu br
egré élevé. (4). Les troubles par étiques des mouvements se loca- lisent surtout dans les membres supérieurs; la fai- bl
on relative ci la diminution de la responsabilité ? AI. Schuele. De lu valeur et de la recevabilité des sorties préma-
ques et les mieux conçues que j'aie jamais vues et que j'aie jamais lues . Jamais l'esprit humain n'a fait un effort auss
, comme internes dans un asile ' Cette commission était composée de LU . ) ! ourrt(*\'iUe, président et Doiiiiet, médec
se trouvent en communion d'idées délirantes. 1 Celte étude a été lue 1 la Société de Physiologie psychologique, séance
forcément in- complète, en.raison même de la complexité de ce dé- lire . C'est aussi dans ces cas qu'on observe une autre
un nombre plus considérable d'années, elle est en proie à un dé- lire de persécution qui forme aujourd'hui tout un syst
l'on jette un coup d'oeil sur l'historique de cette observation, on lira « ses pieds « tremblent surtout au réveil et sô
dait et il pleurait, parce qu'il ne pouvait répondre. Il ne sait ni lire ni écrire. Il avait, en outre, des vertiges de tr
is il lui était impossible d'articuler un seul mot. Il ne sait ni lire ni écrire. L'invasion, aussi bien que la disparit
r les lésions du cervelet et de ses pédon- cules chez les épilel)ti( lues ; ils attribuaient à ces lésions un rôle importa
oncules cérébelleux. « M. Bethomme, dans un mémoire sur le tournis, lu à l'Académie de médecine en 1833, cite l'observ
BtUAXD. SOCIÉTÉ PSYCHIATRIQUE DE LA PROVINCE DU rein '. Séance du lu novembre 1884. Après la réélection du même bure
système nerveux central. Sans doute, en bien des cas, elle se loca- lise surtout dans le cerveau antérieur, c'est-à-dire d
; mais il dépassa le but, prétendant, par exemple, ne plus pouvoir lire le journal, et énonçant 7ht)td au lieu de Deuls
chambre du conseil se contentera, après avoir examiné es pièces, et lu notamment le rapport détaillé qui lui aura été
sceaux, ministre de la justice. Il n'y a pas de jugement de sortie. Lisez l'article 27. M. le Rapporteur. C'est le même j
principales conclusions de cet ouvrage, que tout neurologiste devra lire en entier. Le type cérébral primitif des primat
la question si importante de la responsabilité des aliénés. - On lira avec intérêt ce travail riche en bibliographie et
s ? S'il en était ainsi, ce serait profondément regrettable. Nous lisons à l'article 4 que « tout admissible qui n'aurait
70 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e récite plutôt de mémoire les courtes lettres que nous lui faisons lire : c Monsieur le docteur, je vais mieux. Je n'ai p
dans les beaux jardins de la Salpêtrière, et l'avais encouragée à lire . Un jour ses mains reprirent pendant deux heures
clé de cette nouvelle crise, elle nous raconta que le roman qu'elle lisait lui avait rappelé certaines scènes de sa vie in
à leurs injures. Elle entend répéter ce qu'elle vient de dire ou de lire , mais non pas ce qu'elle pense. « Ceci, ajoute-
PHIQUE sur le CINQUIÈME NERF; par David FERMER. (Brain, part. I, , lu , p. 1.) L'auteur expose dans son discours d'ouv
qu'ils pensaient embrasser, le jeune Calmeil qui, la veille, avait lu l'éloge de Tournefort, ré- ponditavec enthousia
erdu la vue mais je dois avoir les yeux atteints puisque je ne puis lire que quelques minutes. Je dors généralement très
té nettement indiqué, est due à Armain- gaud. En 1876, cet auteur a lu devant l'Académie de médecine de Paris, un mémo
e par la lecture des ouvrages spé- ciaux. Le premier livre que j'ai lu , cefut celui d'Esquirol et je dis, encore aujou
tc.; Les faux témoignages des en- faîzts devant la justice. Mémoire lu à l'Académie de médecine (Anzz. d'hygiène et de
int devne historique de la question capitale de la responsabilité», lire : «Au point de vue historique, dans la question
Page 343, ligne 21. Au lieu de : « Grand-père Louis de Bourbon.» lire : «Grand-père Louis de Bourbon, épouse la fille d
Etant enfant il a fréquenté l'école pendant quelque temps, il sait lire et écrire; mais, en somme, son instruc- tion es
. La graud'mère paternelle est morte à vingt-sept ans de tuber- 1 Lire pour les rapports de la maladie de Raynaud et de
ration. Enfin, contrairement à Meynert, M. Korsakow sépare le dé- lire aigu de l'amentiaà cause de l'élévation thermique
sychologues aussi bien que les psychiatres auront grand profit à la lire . P. S. XIV. Les nouvelles recherches sur les él
s textes, et, ce qui est mieux en conversant avec les maîtres. Nous lisons , en effet, dans le travail déjà cité de 11. Cra
des psychiatres dési-' reux de bien comprendre les mémoires qu'ils lisent , à l'aide de l'exacte définition des termes ado
e ]X", t. XVI, p. 22 ? ) DELASL1UVE. Dit diagnostic différentiel de lu lypémaatie. (Annales médico-psychologiques, III
semaines. En quittant le lit, elle s'aperçut qu'elle ne savait plus lire . Elle pouvait voir et reconnaître les lettres ;
plus lire. Elle pouvait voir et reconnaître les lettres ; mais elle lisait des mots qui n'étaient pas écrits, pendant la d
ine intelligibles et raisonnables. Soit qu'ils parlent, soit qu'ils lisent , ils associent toute une pléiade de mots qui ne c
e des masticateurs. Fatigue rapide des muscles du corps. Quand elle lisait un vers, elle prononçait très nettement les deu
comment la chose peut être possible. -pfrrni "Xll7 t ? il ? ·rç.vn1 lu ", P'"Y, ..11, 4r.rlem j nJ elloj La première c
'e.ti Jiltf GIJY1/ OC 1J./ll Aiiti L ttit tttjt" .tt ? rj.l ? t Les lu nse ne, ^chez^-nos malades pourtobtenir ,duzsan
s,troubles, de la parole, qui peuvent-jpèmel dan xio-v ? ii'.m 'l - lu ..a 11 c^xx ? ^i^o.i 4 1, ,x,f. ,i(,. ? i ? q qu
c.'oni ? -,... ? "...... ? 1" , ^ 1 * : i ff s aperçoit bientôt qu' lis se retournent lorsque 1 on lait.du.bruit dans l
ie, mais il est impossible^ de communiquer avec eux. Ils ne peuvent lire "une 1 phrase ,éritë;iet cependant ils 'regarden
dentition. Les accès ont paru ensuite. A onze ans et demi sait bien lire et écrire. Les accès augmentent; elle a une sér
ttement le sens de ce qu'il lit, mais n'articule pas mieux les mots lus que ceux qu'il prononce de lui- même ou après l
édical Journal, 22 septembre 1894, et Brain, octobre 1892.) A. M. LU . Anatomie pathologique DE la paralysie infantile
ourquoi M. Fleclisig m'a envoyé la lettre rectificative que je vais lire . D'après cette lettre, Feldmann avait des idées
einer. - L'observation du jeune homme de seize ans qui vient d'être lue , ne doit-elle pas, à raison de cette forme obsé-
Je crois intéressant de rapprocher de cette publication une note lue par M. Lambert àla Société de biologie (séance du
ions de M. Fried- 476 bibliographie. mann.Il est indispensable de lire en entier ce long travail. II sou- lèvera, je l
peut donner qu'une idée vague de l'ouvrage. Ce livre mérite d'être lu et médité, même par ceux si nombreux qui y sont
bibliographie. psychiatrique russe à l'académie de Pétersbourg. On lira aussi avec intérêt l'histoire de la femme possé
de ces dessins, l'un d'eux représente la guérison d'un épileptique, lisez hystérique, on y retrouve très bien reproduits
sie, faisant suite à des excès et violences de tout genre, ou qu'on lise au 1VO chapitre du livre de Daniel, l'histoire de
nfantile, par Leblais, 480. t·ur.nrcaamré, classification des dé- lires , liés à la-, p,r Evbot, 24-1. Baciudien, note s
71 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
à s'améliorer d'une façon remarquable. Cinq enfants ont appris à lire couramment : 1° Bel... (Charles), atteint d'ins
) atteint également d'arriération intellectuelle. Ces trois enfants lisent couramment, font des dictées, des exercices, et
et ceux de la grande école en trois sections. Aucun d'eux ne savait lire la musique et ne possédait de notions sur la th
rtenant a la fanfare. Presque tous les enfants savent, aujourd'hui, lire eux-mêmes les notes, en connaissent la valeur,
la musique. Quand les enfants sont suffisamment avancés pour bien lire un morceau de chant et l'apprendre avec fruit,
e tableau ci-dessus qui figure dans le Rap- port (I) que nous avons lu en décembre 1895 à la Délé- gation cantonale.
ilité intellectuelle n'est pas moindre. A peine ont-ils commencé il lire qu'ils veulent écrire ou compter, etc. Ils n'ob
fluence, de remédier Ù l'état de choses existant, qu'un rapport lui lut adressé, pour être discuté en temps et lieu ».
surveillé. Il aime assez les exercices de lecture, mais ne sait pas lire couramment, fait les trois premières opérations,
riture (de la main gauche) est restée lisible, mais il sait à peine lire . Sa tenue laisse à désirer. Ses mains surtout s
LS. pas de fièvre typhoïde, de rhumatismes, de dartres, de syphi- lis , de traumatismes céphaliques. - [Père, 64 ans, mé
l'orbite sous l'influ- ence de l'atrophie du globe oculaire. Nous lisons , en effet, sur l'observation : l'oeil droit est
est sclérosé et atrophié dans toute la région qui borde la corne ( lu lobe temporal. La face interne de l'hémisphère dr
pprenait rien, puis elle s'y est mise progressivement et a appris à lire et à écrire. Elle connaissait ses quatre règles
de mémoire, de raisonnement, d'atten- tion. Elle sait encore un peu lire , écrire et coudre, ressemble physiquement plus
ssez tranquille, mais n'apporte aucune attention ; elle ne sait pas lire et peut à peine épeler quelques lettres. Elle s
écolage médiocre, avait fini par être entraînée et avait appris à lire , écrire, compter, etc. Jusqu'à 11 ans, la situati
a la manie de se sauver sans cesse dans les jardins. Il ne sait ni lire , ni écrire, ni compter, etc. La sensibilité gén
gique dans ses déductions. A l'entendre causer, on constate qu'il a lu beaucoup de romans-feuilletons, a fré- (IL[enté
raîner. S'y est mis au bout de deux se- maines. Se rend utile. Fait lire de petits camarades plus jeunes que lui. A eu c
e de vingt-quatre élèves, il occupe le huitième rang. Nous avons pu lire ses bulletins trimestriels, ils fournissent tou
n soin méticuleux iL concourir au nettoyage du service des bains, lise conduit bien, n'est plus grossier, est affec- t
72 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
up d'étudiants se plaignent d'être réduits à l'impuissance absolue de lire et d'appliquer leur attention au travail. Ils man
e de M. Dumontpallier. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend des lettres
ments suivants: le malade a été à l'école jusqu'à treize ans, il sait lire et écrire ; il est d'un caractère entêté, menteur
ons, qui ont entre elles ce lien commun de dériver d'un (1) Rapport lu au Congres des aliénistes français (Clermont-Ferr
en cachetées et faites de papier épais et opaque (Eusapia ne sait pas lire ), et contenaient autant de feuilles de papier ave
lui-même, ces mêmes mots venant de nouveau à se présenter à ses yeux, lu sans épeler mais en embrassant d'un seul coup l'e
e, lettre par lettre, dans d'autres mots à lui inconnus et qu'il a pu lire en entier, appliquant, de son propre mouvement, l
propre main. La leçon, une fois écrite, Charcot se gardait bien de la lire ou de la réciter comme un exercice de mémoire.
, Bernadette Soubirous, chétive bergère âgée de 14 ans, ne sachant ni lire ni écrire, prétendait qu'une belle dame lui était
iscine. Au sortir elle reprend ses sens, ses yeux revoient, elle peut lire , elle se lève, affirme sa guérison et court écrir
la critique d'une expérience faite en vue de me convertir (2). (1} Lire les réflexions qui, dans mes articles sur la Veil
iothèque circulante aura une salle de lecture à Paris. Pour pouvoir y lire ou y emprunter des volumes, il suffira d'être abo
Le retour aux châtiments corporels. Le Dr Curier, dans un travail lu devant l'Académie de médecine de New-York, demand
les ultérieures, ne nous laissons pas trop émouvoir par ce qu'on peut lire clans des livres, ni surtout par les articles sen
Le procès verbal de la réunion annuelle du mois de Juillet 1894 est lu et adopté. La correspondance écrite comprend de
n travail. Charcot fit sur la pneumonie chronique, une thèse que nous lisons encore avec intérêt ; il la défendit avec beaucou
e en partie détruits : Zola en donne une description réaliste qui fut lue devant rassemblée. Tout de suite après, Marie f
ant transmis son journal à M. Durand (de Gros), celui-ci, après avoir lu le compte-rendu du procès criminel, n'hésita pas
première fois, a été signalée dans la science. J'ai souvenir d'avoir lu une relation de deux cas identiques extraite d'un
nir près de son lit un ange que Dieu lui-envoyait en vision. Cet ange lut apparut entouré d'une grande lumière, et lui prés
isuelle. Verbo-visuelle (une chose vue mentalement par I (1) le mot lu mentalement par i) id. Verbo-auditive id. id. e
NS VERBO-VISUELLES Induction verbo-visuelle. Verbo-auditive (un mot lu mentalement par I, entendu mentalement par i) I
ormule endo-physique ? On sait que Charcot a découvert que tout homme lisait , entendait ou parlait les mots de ses pensées ; d
sujets dénués de toute mimique interne, en aucune façon moteurs, qui liront ces lignes, ne comprendront certainement pas le f
e que parce qu'elle était une sanction sérieuse des études médicales, lisez et soyez édifiés : « Vous avez consciencieuseme
e de M. Dumoxtpallier. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. La correspondance imprimée comprend
n rappelant brièvement les faits que nous avons tous observés. Pour lire les pensées d'un des assistants, M. Wassilieff se
it prendre et serrer fortement les poignets par celui dont il voulait lire les pensées. Puis il prenait une attitude extrême
à fait différentes de son fonctionnement psychique. D'abord, pour « lire » nos pensées, il ne s'est pas adressé aux mouvem
sante observation que je n'ai pas eu malheureusement le temps de vous lire à notre séance du mois de Février: « Miss D...
e de M. Dumoxtpallieb. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. La correspondance-manuscrite compren
73 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nt le zona (considérations étiologiques). In-4° de î7 pages. Colin ( lu .). Sensibilité comparée des réactifs chimiques
ant, mais sa maladie restait un pro- blème pour l'auteur, lorsqu'il lut par hasard l'article du D1' Oswald dans le Gltt
cas de crime, inutile même en cas de survie au suicide. R. DE il LIS (3 RAVL- CLAY. XIV. La folie dans la cientôle pr
voire même modifier mes conclusions. Pour la paralysie générale : lu signalons par un anamnèse détaillé, un examen m
t d'enlrain, que, depuis « un certain temps », il ne peut plus rien lire , quoiqu'il soit encore capable d'écrire courammen
capable d'écrire couramment. Il est dans l'absolue impossibilité de lire son nom et son adresse qu'il vient d'écrire de
grandes. Elles ont suivi l'école jusqu'à quinze ans et ont appris à lire et à écrire. Elles ont été réglées à peu près e
fo- leiller » et qu'elle ne pourrait prendre le dessus. Son père en lirait * prétexte pour la battre étant ivre. Prudenc
'obser- vation. Ils ont suivi l'école et ont appris tous les deux à lire et à écrire et n'ont jamais quitté, sauf l'un d
lphabet de Snellen des difficultés souvent insurmontables, mais ils lisent avec une grande facilité nos tableaux servant à
es différents degrés de la percep- tibilité différentielle; ils les lisent même jusqu'aux numéros les plus élevés de la sé
s caractères de nos tableaux d'un ton grisâtre encore net, mais ils lisent souvent à un éclairage suffisant l'écriture'de Sn
r à porter un diagnostic définitif. Aussi ai-je été très heureux de lire le travail de Babinski qui jette une vive lumiè
que dans les cas organiques ou douteux. Peut-être si l'on généra- lisait à tous les malades cet examen, arriverait-on à dé
c- compagnait de paralexie, de perte de la compréhension des mots lus et de troubles de l'écriture. L'état maniaque s
nt avec de la paralexie et de la perte de la compréhension des mots lus paraît relever de l'in- terruption des voies d'
femme a été guérie après cinq séances de suggestion hypno- tique. Lu fonction' sudorale, la vaso-motricité et la sugge
qui ont tendance à se replier sur eux-mêmes. Le malade a appris à lire péniblement au service militaire. Il peut à pei
ndés en 1870, sont organisés parla « Société des privat-docenten ». lis ont lieu deux fois par an, à Pâques et pendant
;OMt ! <es. C. Formes paranoïdes : 1° Démence paranoide ; 2° Dé- lires systématisés fantasques. ' VI. La démence paral
e de M. Proal est, en résumé, très instructif et très intéressant à lire . On y trouvera étudié avec le plus grand soin les
un déséquilibré ? Dans les nombreuses observations que nous avons lues dans cet ouvrage, nous avons retrouvé dans la p
tion- naire élaboré pour fournir des documents sur ce point, nous lisons : « Quel est le développement de l'enfant (observ
on de la plupart des circonvo- lutions, etc. L'observation qu'on va lire appartient à cette caté- gorie. Les cas analogu
ter la congestion active du cerveau au moins chez l'enfant, nous ne lisons pas moins dans un récent travail de M. Pierre M
e la pie-mère nous apparaissent énormes, tortueux, gonflés de sang. Lu pie-mère se détache facilement du cerveau, aprè
s tout cela sa chambre, l'appartement et tout ce qui l'environne. lise remit à rire et me dit qu'il était prit. Je décri
368 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. RITTI (A.). Eloge au Dr 7f. l31llocl lu f't la séance publique annuelle de la Société m
fibres nerveuses, et à la leucocytose des cellules. P. 11ERAVaL. LU . Troubles de l'équilibre consécutifs à une tumeur
s avec conservation par le malade de la faculté d'écrire et même de lire à haute voix les mots écrits sous la dictée. Déje
prouver la légitimité de cette subdivision. R. DE Musgrave-Clay. LU . Notes sur une épidémie de colite à l'asile du co
la plus importante, est celle relative à l'existence de la syphi- lis héréditaire, qui est pour moi, et j'ajoute pour l
r 1 centimètre de largeur. La dure-mère avait son aspect normal. Je lis la section de la dure et en séparant les lambeaux
l- leurs résultats dans les cas où l'opération vise à supprimer ' Lu ! gi Roncoroni. Trait, clini. dell' Epilepsia, 18
pendant l'emploi des doses fortes, le malade doit être maintenu au lis , et y rester pendant quelques jours après la su
dans divers sens (d'une étendue de 2 mm. en- viron). La malade peut lire et faire des fleurs, sans accuser de diplopie.
Les collègues, élèves et amis de notre directeur, M. Lacassagne, lisons -nous dans les Archives d'anthropologie criminelle
s palustres, par Sacquepee et Uupler, 141. - multiple epi- léi-ni( lue , par Bon(itirdtit, z périphérique avec optique
ie. par Régis. 449. infauto-juvéulle, har Giaunuli. 'c91. - cllez lue 1)érécio-sylbilltique, par Marchand et Vtirpa
153, 181, 182, 3 4-i, 343, 369. liayner, 330. Ré"is 419 Regn; lu ;t, J0, 18ï, 188, f89, 315. Richer (P.), î`3.
74 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de l'aphasie, car on constate, non une perte de la mémoire des mots lus ou entendus et des images d'articulation, mais
a remarqué chez lui une certaine paresse de cette fonction. Il sait lire et écrire, son TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTA
clefs qui, placées sur des dépêches chiffrées, permet- tent de les lire et de les comprendre ? De même, en super- posan
s à la maison par un oncle qui les rencontra en chemin, ils réso- lurent de se faire ermites, et pour cela construisirent
e et dans cette intelligence supérieure. Causes DE la maladie. Je lis quelque part, dans sa vie, que Thérèse fut atte
âge de deux ans on la trouve en retard, elle ne peut apprendre ni à lire ni à écrire, mais elle sait compter. Elle s'occ
s. Signes de nanisme. Au point de vue mental, n'a pu apprendre ni à lire ni à écrire, a mis longtemps à apprendre à parl
ikt. (The Journal of Mental Science, juillet 1901.) M. Benedikt a lu avec d'autant plus d'intérêt le travail de M. B
t on distingue bien la forme et le caractère; mais sans pouvoir les lire . Enfin l'élément vital de l'image; ce sont les
o de la sensation originelle : 'par exemple, les mots que l'on peut lire à leur place, sans le secours du contexte, dans
dualité de cette aflec- tion. Des recherches anatomo-pathologiques lurent communi- quées par plusieurs auteurs, entre aut
, qu'il n'administrait probablement pas lui-même à l'épileptique ? ( Lu Chronique médicale du 1 ? mai 1902.) " * Dr DAu
A la date du 18 juillet, les dépressions ainsi observées se loca- lisent de la façon suivante : 1" Deux de forme lenticula
ozz qui nous ont révélé ce que nous sommes. C'est là que Clotilde a lu que nous étions des « Castors », D. Qu'appelez-
c'est ce que j'ai cru comprendre. Il y aussi les demi-castors. J'ai lu dans le dictionnaire : « Castor, mammifère amph
ment. C'était encore rue Caulaincourt, par conséquent en 1900. Nous lisions ses papiers ensemble, dans la cuisine. D. Pou
rdinier se récrée à sentir le parfum des fleurs. » Si nous savons lire entre les lignes, sainte Thérèse a eu raison d'
eu raison d'appeler ainsi l'oraison d'union : il n'est pas diffi- lis l'hystérie DE sainte Thérèse cile de démêler, a
on jardin intérieur, je voyais que ce n'était pas un songe. » Que lisons -nous dans nos livres classiques sur l'extase ?
le diagnostic de la maladie : au sujet de la crise convulsive, que lisons -nous dans nos livres classiques ? Le plus souve
de ronger les vêtements. Etait à son entrée dans l'impossibilité de lire ; il ne savait pas non plus écrire et avait peu
ses antécédents personnels. Elle a été à l'école où elle a appris à lire et à écrire. Le début de l'affection se fit à s
stri- bution des lésions et par la rapidité de leur évolution. De lu mort subite parruplure du cceur chez les déments.
; mais elle brûlait ses écrits, au sur et à mesure, n'osant pas les lire à autrui, par crainte de n'être pas comprise, et
rs lettres à M. J..., qui déclarait : « C'est étonnant. on croirait lire un écrivain ! » Ce fut une période de bonheur
eurs et ses protestations. Les passants s'arrê- taient, étonnés, et lisaient ces incohérences, les uns souriants, les autres
parlait de la guerre du Transvaal, sa mère s'écria : « Comment, tu lis le journal et tu ne vois pas que c'est nous les
que les troubles respiratoires, la polypnée, le hoquet, la toux, le lire , etc., qui constituent des accidents fort fréqu
auteur, dont les rapports sur l'asile de Stéphansfeld sont toujours lus par nous avec le plus grand intérêt, parce qu'i
r le Dr Dubuisson, le successeur du D1' Dagonet à l'Asile clinique ( lu parle D Quesneville), l'autre par le Dt L. Picq
ance, dont il avait toujours pleuré les désastres. BIBLIOGRAPHIE. Lu liquide céphalo-l'achidien; par J.-A. Sicann, che
é son livre en quatre chapitres. Le premier, que tout étudiant doit lire , a trait à la technique de la ponction lombaire
r; l'enseignement du Pr Raymond. Le second, sous une forme concise, lira avec fruit un chapitre nouveau dont s'est enric
frères Lionnet... Les aliénés en liberté Lugubre individu. Nous lisons dans la Gazelle des Bains de mer de Royan du 14
océdé protecteur qui semblait soulager la peur. L'obsession n'est lis 7 1 CLINIQUE MENTALE. souvent que la forme aggr
lles. 526 - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Quand il ne pouvait plus lire , il écrivit, et la suite de ses volumes est le
n terminant, se demande comment les livres de Nietzche peuvent être lus , et surtout loués. 11. de MUSGHAVK CLAY. M. I
etzche un des plus rigoureux penseurs de l'Allemagne moderne et ont lu et admiré ses oeuvres sans s'apercevoir qu'il é
75 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
bouche, voient par ses yeux, etc. - Un jour (juillet 1888) qu'elle lisait le journal, elle l'a jeté de colère parce que c
isait le journal, elle l'a jeté de colère parce que c'était eux qui lisaient ; en effet, t, sa langue marchait malgré elle pe
saient; en effet, t, sa langue marchait malgré elle pendant qu'elle lisait . Ils lui parlent intérieurement, sans qu'elle l
uvements de la langue. » Les deux observations que je viens de vous lire me paraissent des plus nettes à ce même point d
t constate d'abord lui-môme que, depuis qu'il se connaît, il n'a pu lire ou penser qu'à l'aide de l'articulalion mentale
t. Il a crevé deux jours et demi après l'opération. , . Autopsie. Lu cote atoll, ue lu LULU, un 1 ullint Littij une pl
jours et demi après l'opération. , . Autopsie. Lu cote atoll, ue lu LULU, un 1 ullint Littij une pluiu fraîche, arr
termine au niveau' du bord postérieur du pavillon pédonculaire. » l' lus loin, il DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLF
locq. - Nous retrouvons, chez nos deux malades, l'impotence abso- lue pour les mouvements associés de la station 'debou
et escrocs ; 4° les meurtriers. M. Cramer vient soutenir le mémoire lu par lui il la dernière séance. D'un groupe déte
r, ce qui a été unanimement accepté par l'assemblée. - M. EPOFF a lu ensuite une communication « sur la structure des
atomiques et fonctionnelles du système nerveux. - - " M. Tokarski a lu les principales conclusions de son travail « sur
éréditaires, mais elles dépendent plutôt de l'alcool ingéré. Le dé- lire alcoolique des dégénérés ne ressemble pas au déli
est-il pour quelque chose ? Réponse doublement affirmative, Il faut lire ces mémoires pour se rendre compte de la discussi
nt et sous la dictée sans se tromper, mais il lui est impossible de lire l'imprimé ou l'écriture manuscrite; elle écrira
lle écrira par exemple fort bien son nom, mais sera incapable de le lire . Elle reconnaît relativement bien les nombres,
des résultantes de fonctions, ne peuvent avoir d'organes. Il faut lire page par page les recherches sur le centre de l'a
d'être distinctes, coïncident et ont un siège anatomique commun. A lire aussi les organes nerveux musculo-tendineux, ces
'épilepsie corticale, déjà très résumé par l'auteur, demande à être lu et per- drait à l'analyse. En résumé, ce trav
ployée ne fait que relever l'esprit de ce livre, qui demande a être lu et relu. Charpentier. VI. Des mouvements de sal
nseil général du Var,' M. MICHEL demandeque lebudgetde l'asile soit lu , article par article, en séance publique. Plusieu
urn., 4890, p. 804.) LES ALCOOLIQUES. - Hier soir, vers dix heures, lisons -nous dans le Pans du 27 mars, un journalier nom
ancienne, car, de toute éternité, il y a eu des persécutés. On peut lire dans Pinel et Esquirol, pour ne citer que ces d
Délire de Persécution sous le nom de Lypémanie ambitieuse. On peut lire ses observations dans les Ann. méd. psychol., 187
x ans, est arrivé à l'âge où l'on devient presbyte; il ne peut plus lire sans lunettes. Loin d'at- tribuer ce fait, si s
tte nouvelle manoeuvre de ses ennemis : t quand je vais quelquefois lire à la salle de lecture, on me sup- prime la vue.
. Les deux tiers des pensionnaires fréquentant la salle de lecture, lisent et écrivent sans lorgnons. Je me suis fait envoye
non de conserve. Pendant les premiers jours que je m'en servais, je lisais parfaitement. Les gens qui me dirigent la vue son
e nie dit : c Fainéant, t'en veux ? * Je n'ai pas compris. Quand je lis , on suit mes idées et on me les vole... Tout ce
1870 l'ont vivement affecté et ont compromis sa situation. Le dé- lire s'est développé peu à peu : il a éclaté avec une
sonne; il se renferme dans un silence dédaigneux, passe son temps à lire et à dessiner, tout en étant resté très irritable
ICULAIRE BRACHIALE TOTALE; Par le D' ONANOFF. La note que l'on va lire est en quelque sorte le résumé d'une leçon fait
e. Jamais il ne parlait du suicidé, ni de son embourbe- ment. Il ne lisait pas de romans, mais seulement.des livres de sci
tement DU LOIEET. Dans la séance du mercredi 19 août M. Verdureau a lu le rapport sur le service des aliénés. Le Conse
76 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
fois les hallucinations persistant, la malade systématisait un dé- lire de persécutions, dans lequel le diable et les prê
té leur appartement avait oublié quelques livres de piété; elle les lut , découvrit alors qu'elle avait tous les vices,
gazouillements d'oiseaux), une complète surdité même au contact de lu montre sur les os du crâne ; en même temps inca
lte]; par C. Eisenlohr. (Neurol. Cetttrrll6l., 1882.) Observation u lire en entier. P. K. iI. L.f.1'l' .\NA'10110-L'.IIH
ollissement de la partie postérieure de la troisième frontale et de lu partie inférieure de la frontale ascen- dante d
. VARIA. 109 11. BnraNU. Daus l'intéressant mémuire tu'rl meut de lire , 11. Ké- raval nous parle de l'action narcotiqu
neumonie chez les enfants ; par SAUDOST. Thèse de Paris, 4884. De lu pe)'m't<0 ! 'r/t<}6; par 11a1.Ccu'r. Thèse
.., sur lesquels nous devons insister dès main- tenant. Après avoir lu dans tous ses détails la relation de ce cas, on
consi- dérable dans l'étude de l'aliénation mentale. j Iti- ,1 , lu . REVUE CRITIQUE , ' 1 1 14 LA SYNONYMIE DES
llze greal giiaîgiiîalgyî,tis(Ttirner); Gyrus orbilalis iîz tt>î, lus (M'ci ssba eli 1). Tout le segment situé on deh
le ou lobule temporal supérieur d'Hugueuin (erreur typographique' ! lisez pariétal); Ancienne seconde pariétale des Franç
p ! 'a;<0 ! ')', et ceux de ses collègues de France qui pourront lire cet article (impossible à analyser en raison mê
loië; lâ, s3=pliilis éntyévanf I...i il. - i ? , l 1 1 ? ,. e ) i'd lu f elle, lient une alacé çôusi(3eyavlé âa riint"
nul. ' ? 1;EVUDEP1'HOLOG1H IL11 ? 1LE. 21 t -r^J ? ir Déut;yrc7 ? lu PSPS* ? Ai l'gsssepb4e c>ies cL s elle ^ 91JÎ9
1'rrfz 9«b f29 911lq0711;. 111^ C.nLynD ssl Jno6 ,xuonurlulov osa 8 lu ovuoij no q4ffil-iqffloj oy's'1 et 3b XXX. Tnoz
rhvr JII : ,poi. L-^mim mes iIEDPûHi iFsÛdûtiri 215 J aujil /.il lu ^lliJU.lOlliA-i tin du *Vl.>i fL, V; luiopsi
utieuse information, une ,lrOlÛ'dlll : l ia, JeT9dtte.r( t.tJLth.(LÛe lut p rPiicd'urlé11 £ 9(t ? t'nu .113q jnu'taùunq &
ment jlçs, folies, véritables, mais J1..(.% 1 iJn n IIJJ 1r .(J .fi lu ·.GI . `J uF1- ? Jf u a. de simples ,, nçviooi e
ar"t e·() ? )=iItliSIDEnGE DE.11L`Jor.Lr (de Strasbourg).1 ! itn ? lu ;> ,'(J;1f38 8(xz.f ? 97J(1. > «*<xi~
blës'1 locüï °dul'sj·sténie' `ïzéivëûâ central,6de`foÿershémorrhaôi` lues `et`emboliques, ellncidemment dé troubles 'génér
st une'encéphalite'interstitielle.riD I * .1." ,u M. Witkowski. Sur lu névroglic. L'auteur rappelle que. dans un trava
fournissent un premier jalon sur le mode d'application, le genre, lu dose des enseignements pédagogiques à mettre en c
eil de fermeture. Quand 0 : 1 n'y touche pas, il faut sur l'échelle lire de 0 à i milliani- pères en passant par des dix
s, les soixante premières heures de la nais- sance. (Ohs.deM. Féré, lue à la Société de biologie, octobre 48831. Charpe
isant que nous avons remarqué les causes d'erreur que l'on vient de lire . Puissions- nous avoir rempli notre programme !
(Journal of mental Science, avril 1883, p. 55.) Ce mémoire a été lu devant l'Association niédico-ps3 chologiqlle an
le texte typographique soit petit, moyen ou gros, le malade, qu'il lise à haute voix ou à part soi, ne peut as- sembler
côté, et, après une suspension de quelques instants, il se remet à lire quelques mots comme tout à l'heure. L'analyse d
ade succombait quelques mois après l'apparition de la difficulté de lire , à une apoplexie; un autre mourait un an plus t
rreur, qui n'a pu être réparée, de l'imprimeur lithographe, il faut lire les lettres 1 rebours. ? /%, F3, Première, second
77 (1852) Journal du magnétisme [Tome XI]
tion des- quelles est attaché le progrès, cl nous pouvons vraiment « lire que ce Journal est le Moniteur de la science nouv
; mais pour continuer celle copie, vaudrait autant et encore mieux le lire dans son entier; nous nous attacherons donc par l
en mal. Son état s’est amélioré dans ce mois, ainsi que la surdité; » lu 21 mai au 5i , les bains ont été pris à quarante-
précises à ce sujet. HÉBERT (do Garnay). INSTITUTIONS. Société « lu Journnl du BSapirtlsnir, {raison în.Btru et c°.
eur, Nous nous y attendions, M. Barlhet nous avait promis de porter lu sujet en discussion entre le magnétisme et l’homé
gent très-actif, dont la principale propriété est d’entraîner hors « lu corps, et principalement par les extrémités, tout
euve que saine, L’on peut créer des maux dont on guérit sans peine. Lisez plutôt les faits écrits dans l’Organon , L’on n
de ses adversaires, et parfois appelait les cartes pour eux. « Il a lu aussi avec assez de facilité des phrases écrites
ait agréablement surpris de ce concours de monde. Un des assistants lira sa montre, cl, quand arriva la minute fixée, Féli
bre, à F hôpital homéopathique de Londres, en présence des membres de lu Société homéopathique anglaise et de plusieurs pa
78 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
7. FAUTES ESSENTIELLES A CORRIGER. Page 286 ligne 9, autochtones, lisez : autochthones. 324 — 25, ne peut s'appliquer a
es, lisez : autochthones. 324 — 25, ne peut s'appliquer au cerveau, lisez : au cerveau des bêtes. 340 — 17, que suit, lis
iquer au cerveau, lisez : au cerveau des bêtes. 340 — 17, que suit, lisez : qui suit. 357 — 22, ils tournent, lisez : il
es. 340 — 17, que suit, lisez : qui suit. 357 — 22, ils tournent, lisez : il tourne. 360 — 22, en quelles circonstances
tournent, lisez : il tourne. 360 — 22, en quelles circonstances il, lisez : en quelles circonstances ce mouvement. 361
sez : en quelles circonstances ce mouvement. 361 — 4, adducteurs, lisez : abducteurs. 395 — 23, mais cette, lisez : mai
t. 361 — 4, adducteurs, lisez : abducteurs. 395 — 23, mais cette, lisez : mais toute. 396 — 3, ces propriétés, lises :
395 — 23, mais cette, lisez : mais toute. 396 — 3, ces propriétés, lises : ses propriétés. — — 5 de la note (1), regrett
opriétés, lises : ses propriétés. — — 5 de la note (1), regrettent, lisez : rejettent. 419 — 2, sans doute, lisez : il est
5 de la note (1), regrettent, lisez : rejettent. 419 — 2, sans doute, lisez : il est vrai. — — 28, évoquer dans, lisez : év
nt. 419 — 2, sans doute, lisez : il est vrai. — — 28, évoquer dans, lisez : évoquer ainsi. 490 — 2 de la note (1), rêvant,
évoquer dans, lisez : évoquer ainsi. 490 — 2 de la note (1), rêvant, lisez : veillant. 513 — 4 de la note (1), il est arri
), rêvant, lisez : veillant. 513 — 4 de la note (1), il est arrivé, lisez : il arriva. 519 — 14 delà note (1), infectaret
est arrivé, lisez : il arriva. 519 — 14 delà note (1), infectaret, lisez : insectaret. 563 — 28, raisonner avec, lisez •
note (1), infectaret, lisez : insectaret. 563 — 28, raisonner avec, lisez • penser avec. 577 — 15, qu'ont poussé, lisez .
— 28, raisonner avec, lisez • penser avec. 577 — 15, qu'ont poussé, lisez .-qu'ont poussés. 594 — 14, les tristes, lises
— 15, qu'ont poussé, lisez .-qu'ont poussés. 594 — 14, les tristes, lises : ces tristes. 617 — 24, explique, lises : impl
. 594 — 14, les tristes, lises : ces tristes. 617 — 24, explique, lises : implique. 624 — 28, la démonstration, lises :
617 — 24, explique, lises : implique. 624 — 28, la démonstration, lises : la réalité. ANATOMIE COMPARÉE DU SYSTÈME
être considéré comme une sorte de roman. Toutefois, il mérite d'être lu et médité ; on y verra une preuve de la grandeur
s sont si compliquées, qu'il faut les résumer en priant le lecteur de lire ce résumé en ayant toujours les figures sous les
s, l'habile anatomiste que nous citons ici fait ses réserves, et nous lisons , à la fin de son livre, ces lignes remarquables :
ie, mais aveugle, mais sourd, mais absolument dépourvu (1) Mémoires lus à l'Académie des sciences en 1822 et 1823. —M. Fl
hez les mam- (1) Mémoires sur la physiologie de la moelle épinière, lus à l'Académie des Sciences, le 27 août et le i sep
ce genre, et elles arrivent fréquemment aux gens qui, ayant beaucoup lu et beaucoup entendu, ont plus de sensibilité que
. Un de mes amis, musicien distingué et doué d'une ouïe très-subtile, lisait à côté de moi. Voilà qui est singulier, lui dis-j
, de Montauban, que dans cet état on puisse voir dans les ténèbres et lire les yeux fermés ou même au travers d'une feuille
t. Tel était cet Oporinus, compagnon du père de Félix Plater (5), qui lisait , tout endormi les textes grecs que son ami corrig
m carere potest, nisi tanta esset cerebri nervorumquc col-lapsio, tan lus succi nervei defectus aut crassities, ut cerebrum
tigia sunt. — Ni-eephnri, Scholia in Synesium interprète A. Piehonio. Lu !eti{E, 1580, fo!. 22 a. nés ont en quelque sort
e, car je suis ton image; le lendemain du jour où tu auras deux fils, lu viendras dormir à ma place. » Cette femme eut mal
res, dit Plutarque, et qu'il lui « restait du temps, il l'employait à lire jusqu'à la troisième « garde, heure à laquelle le
mère le meurtre de son enfant. Mon ami, M. le docteur Archambault, a lu à la Société des Sciences médicales, plusieurs ob
ants prophétisent, donnent des nouvelles des lieux les plus éloignés, lisent au travers des corps opaques, de manière à justif
juste eût été une preuve de lucidité, sans réplique. Les somnambules lisent , dit-on, à la page qu'on leur indique (1) Bulle
79 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
c'était l'hémisphère droit; mais quelques' lignes plus bas, nous lisons que, chez un vigoureux ! jeune homme, tantôt le
ment bactério-typhoide. P. K. IX. SUR LES TROUBLES DE la faculté DE LIRE CHEZ LES paralytiques généraux ; par G. R.1BD.S
orceaux de prose ou de vers dépourvus de mots peu usités, faciles à lire et à comprendre pour tous les prolétaires (voy.
n note cependant que tous les autres aliénés conti- nuent à pouvoir lire correctement de même que les gens les plus avan
lésion et les interprétations de l'auteur, il est indispensable de lire le mémoire. P. K. XXXII. De l'influence exercée
entrés pour délire consécutif à l'usage du haschisch, 13 pour dé- lire alcoolique, 6 pour paralysie générale; 403 sont s
hmétique sur des nombres de plus de trois chiffres, les seuls qu'il lise encore, qu'il est obligé de compter sur ses doi
. Sur les rapports qui existent entre les phénomènes ten- dineux et lu réaction dégénérative. - Mémoire publié à part'.
sont recueillies et mises sous cachet par le président; elles sont lues publiquement par leurs auteurs sous la surveillan
tionnellement larges et longs. Les membres et le dos étaient poi- lus . La tête était grosse; les fontanelles n'étaient
- Idiotie avec arrêt de développement du corps et type crêtineux de lu face d'origine congénitale ( ? ). - Pas de goitre
usqu'à dix-huit ans. [Son père, journalier aux champs, ne savait ni lire ni écrire; il était sobre, bien conformé et est m
son âge on doit lui laisser une entière liberté, ne sait pas encore lire , mais écrit un peu; stationnaire sous tous les
e; rien à l'auscultation. 30 janvier. - Poids : 31 kilog. Taille : , lu .23. Juillet. Poids : 34k5OO; Taille : i m24.
. , Par le Dr BABLNSKI, Chef de clinique des maladies nerveuses à lu Sdtpctriere. Observation III (résumée). R..., b
ection organique de la moelle ou des nerfs. Il suffit, en effet, de lire attentivement l'observation pour rejeter d'une
mental. Intelligence moyenne, cul- ture rudimentaire, sait à peine lire et écrire. Il a un peu d'am- DE L'ATROPHIE MUSC
une paralysie hystérique, et bien que le temps me pressât je vou- lus essayer si la suggestion hypnotique n'en aurait p
oment dans sa lecture ou dans sa conversation, et puis recommence à lire ou à parler très lentement et avec attention, i
ucune. Le développement de la mala- die, ses particularités, sont à lire dans le mémoire, ainsi que l'examen objectif du
erveux central, par Tu. RUMPF. (A9'CIE. f. Psyeh., XVI, 2.) I. De lu syphilis du cerveau et de la moelle. - Un homme d
veuses des cornes antérieures sont aussi atteintes. Intégrité abso- lue des petites cellules nerveuses de la moitié supér
tal gauche. Telles sont les principales particularités de ce fait à lire en entier. P. K. XLVII. Communications NEUROP
ci n'offre originellement aucune défectuosité cérébrale. SARDINE. LU . Automatisme EPILEPTIQUE ; par le Dr ALTHAUS (Ana
lle ne différait en aucune façon des autres enfants et elle pouvait lire un chapitre de la bible ou une histoire aussi b
ements et si stupide que toutes les tentatives pour lui apprendre à lire et à écrire .furent vaines. A huit ans, elle vint
pour formuler la réponse. I Système nerveux.-La malade ne peut ni lire , ni écrire, et tout essai pour lui apprendre qu
adier, 54. Hypnotisme (de 1'), par Jendras- sik, 43. 'l'.lltLti LU : MATIÈRES. 427 Hystérie (traitement de l'atta-
yphiliques), 409. Paralysie générale (troubles de la faculté de lire dans la), 67 ; - (et sclérose latérale), 71 ;
80 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
ient dans l'impossibilité de distinguer aucun objet, sont arrivés à lire les caractères les plus fins, et ils se considère
e un tremblement tellement fort que l'écriture est très difficile à lire . Amélioration notable du tremblement pendant le
u de décembre, la patiente a observé tout d'un coup qu'elle pouvait lire des lettres écrites sur les murs, qu'elle ne pou-
vent plus d'un quart d'heure. - Une de ses soeurs est aliénée (dé- lire des négations avec idées mystiques) ; l'autre est
empêcher autant que i Ce rapport, dont nous exprimons le suc, a été lu par son auteur au Congrès annuel de la Société
prêtent pas du tout à cette opération. Il se trouve qu'on ne peut lire facilement que les pensées qui supposent un mou-
nt venu'à Paris pour ses affairés, et se reposant au café, il avait lu dans un journal' un fait divers dans lequel il ét
pas couronnés de succès, on avait recours à un dictionnaire dont on lisait parfois un grand nombre de pages avant de trouv
il n'avait jamais eu l'intelligence déve- loppée : il ne savait pas lire ; son caractère était doux. Il fumait beaucoup e
sidérablement amélioré depuis son entrée. A ce moment, il ne savait lire que les lettres, n'écrivait que mal et en gros
moins éducablé.'1 r1ü'mom'eilt''de"sonadmission, il ne savait guère lire que les lettres et syllabait avec'peine en béga
gayant beaucoup;til écrivaitlun.peu,"unais très-mal et ne pou- vait lire son écriture; il était- à peu près nul en calcul,
ant après, il récite à haute voix plusieurs lignes d'un livre qu'il lisait cesjours derniers, à Bicêtre même. Après quelqu
de posséder un semblable monstre. Voici les points discutables : lu Surveillance de chaq'ue'aliéiié par l'Etat; ^ 'vu
M. STARK (d Illenau). Sur la situation actuelle de la question de lu pa ? '«MJ/t)/(/e.Historique. Voir" a e'sujet, lal
1 J. ' 1 il 1 Il, Il 1111, lit t c 11,.1. * '- lit ' ! ]U J '1'1"" lu ..{ ? ou 'lt.H," t tul ¡j( t 1 hl if; J i" ' ,1
? ...... z i\1. RICHTER (de Dalldorf). Sur les connexions des trac lu s' optiques conducteurs dans l'encéphale humain
des maladies mentales ? Une commission fut nommée et le rapport fut lu eu séance le 2,'i mars 11;78, Per- mettez-moi d
bach; médecin assistant (change chaque année). ' Canton DE ZUIIICH. lu Bti7,ghol,i. Asile de l'Etat t (330-350 lits, p
uée des plus mauvais instincts.. Elle n'avait jamais pu apprendre à lire , pas même un métier ; tout au plus était-elle p
tte était réputée absolument imbécile ; elle n'avait pu apprendre à lire ni se plier à un métier. Je me convainquis que
depuis son entrée; à ce moment (septembre 43-I), il savait à peine lire , n'écrivait qu'un peu, faisait un peu de calcul,
qui n'ont fait que s'accentuer depuis. Aujourd'hui (1884), il sait lire et d'une façon assez expressive, il écrit assez b
ue l'observation de M. Bernheim et les mémoires de M. Aug. Voisin lus aux congrès de Blois de t88t et de Grenoble, 1885
équente. Nous l'avons rencontrée six fois (OBs. XI, XXVII, XXXVIII, LU , LIV, LV). Comme la sciatique, elle annonce par
embre, on procédait à l'examen des enfants. Il est intéres- sant de lire , par le menu, les rapports remis à M. Bcrkhan p
re d'entendre que la fin des mots. Il sait SOCIÉTÉS SAVANTES. 4ft lire , mais ce vice de prononciation rend inintelligibl
nette, mais le langage incorrect, impersonnel, enfantin. Il ne sait lire ni écrire; il épèle seulement les lettres capital
langage, son atti- tude, concordent parfaitement. Il sait très bien lire et convena- blement écrire. La mémoire embras
bain, que dirige M. Pasquier. 11 apprend SOCIÉTÉS SAVANTES. 443 à lire à l'école de Mlle Breuille. Il est employé aux tr
? II. OEBEKE. On sait que parmi les prostituées, chez qui lasyphi- lis est fréquente, on observe également plus de paral
e d'une opération chirur- g'iL : lde a\'e.; anestliésic), par Va- lu de, 226. Ictère (endémie d' à l'asile do \Ier
81 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t renfermé autrefois du mercure. En octobre 1887, le Dr Magitot a lu à l'Académie de médecine un mémoire sur la glos
la difficulté à parler (nous avons pu constater le contraire) et à lire à voix basse. Le maxillaire inférieur, disait 1
iné que ceux qu'on rencontre habituellement. C'est ainsi que M. a ? lisait tous nos poètes dans le texte original et profess
mis en quête de nouvelles médications il tenter, sans compter qu'il lisait des livres de mé- decine et s'efforçait, suivan
par de la contracture des maxillaires. La conclusion que j'en tirai lut : pas d'appareil ou tout au moins l'appareil le p
s l'étude que M. Charcot a publié, en 1883, avec M. Ri- cher», nous lisons aussi : « Cette affection survient tout à coup
Dled. Sciences. April, 1874. / ' Archiv.. di. Psychiatrie, 1882. Lu devant le Congrès de Washington, 1887. (Brain, 18
(a) A la page 423, du t. XX, dans la légende de la fig. 39, il faut lire Eyes et non Yes, et Tangue au lieu de longue. 7
au de mes premieis animaux en expériences Les deux lobes occipitaux lurent enlevés en même temps. Il survient un peu d'enc
s- copiques et photographies à l'appui. M.Moos (d'Heidelberg). De lu néoplasic vasculaire dans le laby- l'inthe memb
tes un livre exclusivement technique qu'ils puis- sent sans efforts lire ou consulter et dans lequel ils trouvent l'aide
rouvent l'aide nécessaire non pas pour choisir un modèle, mais pour lire et comprendre le modèle qu'ils auront choisi. »
ne soit pas utile au médecin, et le livre de M. Richer ne sera-t-il lu et utilisé que par les sculpteurs et les peintr
résentent les localisations sur le rein, le cerveau et le coeur. On lira avec intérêt, dans le même livre, les chapitres
e la commission. Espérons que non ! si M. Lockroy peut ne pas avoir lu les aiticles spéciaux relatifs àce sujet et en pa
actuelle est encore insuffisante à nous démontrer. Vous avez tous lu , je suppose, les leçons de M. Charcot sur les a
mentaire du travail mécanique utile produit par la 1 J. Béclard. De lu chaleur produite pendant le travail de la con-
erte de la notion de position. Dans un autre 1, la seule note qu'on lisait était que le malade avait conservé la faculté d
urtout le pli courbe. La discussion clinique est particulièrement à lire . L'auteur groupe ensuite quarante- deux cas tir
e par la Société médicale de Budapesth : 17 novembre 1888. Il-est à lire en entier. Nous en extrayons ce qui suit : En
t, directeur de l'hôpital Lariboisière et librettiste bien connu, a lu une pièce de vers adressée à Allie Bottard ; M.
bronze au nom de tout le personnel de l'hospice; enfin, M. Peyron a lu une lettre de M. Demagny, chef de cabinet du Mi
, con- damné à 500 fr. d'amende. Le remède d'une somnambule. Nous lisons dans l'Eclair : Toulon, 15 janvier. D'un corres
MMIS SUR UN épileptique EN état d'automatisme AM- BULATOIItE.- Nous lisons dans le Temps, du 2 février : « Un indi- vidu,
quelque sorte un signe pathognomonique de cette affection. Tel qui lira et parlera des heures entières sans bégayer ne
à la vé- rité, que m'adresse l'auteur du mémoire que l'on vient de lire . J'ai eu tort, d'après lui, d'appeler bégayemen
teurs est si frappant qu'on ne peut douter que dans le dernier cas, lu sensibilité est conservée tandis que dans l'aut
enfin les faits qui donnent naissance à la personnification du dé- lire ne sontjamaisdes faits récents, mais remontent dé
ué que dans ces cas les malades, si on plaçait un livre devant eux, lisaient le plus souvent en 'prononçant bien les mots. D
ar un processus pathologique quelconque. M. MOURaTOFF (de Moscou) a lu son travail a sur la pathogénie des atrophies m
e musculaire de l'individu malade. M. le professeur KojEWMhon'- a lu un travail sur la paralysie alcoolique fondé su
e et de la physiologie du cerveau. M. Greidenberg (Simpheropol) a lu un travail « sur le type 7-écui,- rent dans la
82 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
qui voudront s'assurer de la parité trouveront de la satisfaction à lire l'histoire de cette maladie » (1). Qu'était ce
nsuffisant. J'ai donc tâché d'examiner les observations. Je n'ai pu lire toutes celles qui sont publiées ; elles s'élève
- tèbre sus-jacente. - ' Celle-ci, deuxième lombaire (PI. XIX, F, Lut ), est peu altérée sur son tiers la- téral droit
nsible à la pression. Les détails de l'observation qu'on vient de lire ne laissent pas le moin- dre doute qu'il s'agit
elligence et la mémoire sont demeurées intactes, aucun trouble pour lire , écrire ou compter. Le caractère s'est aigri, l
fou.... ; au bout d'une demi-année il avait recouvré la faculté de lire . Il pouvait écrire comme auparavant. L'hémianop
ultivées, mais ne paraissent pas avoir été altérées. Le malade sait lire et écrire aussi bien qu'avant son accident. ~ E
es érections sont toujours nulles. Les réflexes rotuliens sont abo- lis , les plantaires aussi. La sensibilité testiculair
7) - 0,0027 millimètres. Nous n'avons pas réduit en u les divisions lues , car il nous a semblé plus Nouv. Iconographie D
vons chiffré les rapports directement en divisions micromé- triques lues , ce qui facilite la lecture de ces nombreux chiff
0027 millimètres. Nous transcrivons comme précédemment les chiffres lus directement au micromètre; le numérateur de la
on le voit par sa face inférieure et sa face interne (Fig. VI, PI. LU ). La tige arrive obliquement d'avant en arrière e
en haut : l'iC, noyau caudti (extrémité antérieure); l', pédoncule, lu cansy=mterncst.intércss·n1'Gvrntrr,d ? tr,cr1 ? ·
peu intelligent, paresseux d'esprit au- tant que de corps. Il sait lire , mais n'écrit qu'imparfaitement. Son caractère et
bile du contraste, van Ostade a su introduire au'-si une note conii lue qui t3 : np3r.; toutr' impreîsi ou pénible. Deux
i les malheureux savaient ce qu'ils achètent ! Je me souviens avoir lu , dit Cohausen, que les rois et les grands de l'In
pathie marquée pour certaines odeurs : comme la rose, le jasmin, le lis . : Il est vrai de dire que les Pétophiles, s'il
ine de perdre la vue. Ami, lui dis-je, car il était lettré, as-tu lu Martial ? Oui. Eh bien ceci peut te rendre prud
dre du tabac : ' « Va-t-en au diable, Puisque dans cette maladie, lu m'es insecourahle. , Tu me mèneras au trépas,
décéda à l'âge de 45 ans. Il y a plus de 20 ans qu'il a supporté un lues . Cinq ou six ans avant la mort apparurent des sym
e la mort a eu lieu un nouvel accès épilep- toide. L'existence d'un lues est très possible. Le trouble de la parole portai
LYSE 531 Nous transcrivons directement les divisions micrométriques lues ; le numé- rateur de la fraction représente le p
he lit le n° 10 du tableau décimal à 4 mètres, l'oeil droit ne peut lire ce même numéro qu'à 2 m. 50. Notons que le malade
e ne plus voir qu'avec l'oeil gauche. Avec l'oeil droit seul, il peut lire l'écri- ture ordinaire à 0 m. 40 ; à 0 m. 55 il
paru, mais la parole ne s'est pas améliorée. Il ne peut presque pas lire , son écriture est très défec- tueuse. Janvier
l accusa de la diplopie pendant quelque temps . Aujourd'hui il peut lire aussi bien qu'auparavant. Pas de dyschromatopsi
B. Bramwell. - Case of left hemiplegia due to a perforating wamd ouf. lue i-ight oi-bit. Scottish med. and Surg. J., août
ne écriture en miroir : pour la déchiffrer en effet il suffit de la lire par réflexion dans une glace, où elle apparaît av
uble caractère d'être au moins originale et de pouvoir cependant se lire assez aisément. On n'a peut-être pas suffisamme
e sont ses frères et soeurs. Dès un âge très tendre elle a appris à lire , toute seule, en voyant et en en- tendant lire
ndre elle a appris à lire, toute seule, en voyant et en en- tendant lire sa soeur aînée. Mais elle a appris à écrire avant
lire sa soeur aînée. Mais elle a appris à écrire avant d'apprendre à lire , » et en voyant écrire sa soeur : elle prenait
peu plus tard de la main droite, en même temps qu'elle apprenait à lire . On assure qu'elle lisait en miroir l'écrit et
n droite, en même temps qu'elle apprenait à lire. On assure qu'elle lisait en miroir l'écrit et l'imprimé aussi aisément que
t et plus péniblement à l'envers. Il parait qu'étant plus petite elle lisait ,. 0 l'imprimé à l'envers mieux qu'aujourd'hui :
écrire exclusive- ment en écriture centrifuge de la main gauche, à lire par conséquent cette écriture : pour elle l'écr
relles. Les nécessités sociales font que tout le monde a intérêt à lire et à écrire comme tout le monde, aussi apprend-
d'ordinaire déjà appris la signification ; en d'au- tre termes nous lisons d'abord et nous copions ensuite les lettres ou le
nous lisons d'abord et nous copions ensuite les lettres ou les mots lus . Mais on voit immédiatement que les choses doiven
rire sa soeur de la main droite et qu'elle écrivait avant de savoir lire , ce qui avait frappé son entourage. Pour copier
versés ; que d'autre part elle ai commencé à écrire avant de savoir lire ; la lecture n'est venue qu'après, car elle n'ava
lecture n'est venue qu'après, car elle n'avait sous les yeux, pour lire , d'autres exemples que ceux qu'elle traçait elle-
t encore à rebours de la main gauche une écriture qui ne pouvait se lire qu'avec un miroir ou en regardant le papier à l'e
IE CONGÉNITALE 627 (cas de Heuck). Le malade de Mauthner ne pouvait lire que lorsque le livre était placé à sa droite. D
Dentistes, qui suivez ses pas. Bientôt vous n'en douterez pas, Lisez sa mémorable histoire : Elle annonce pour évide
83 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
onnaît pas une seule étude d'ensemble sur les fugues des aliénés. A lire les auteurs, elles semblent ne pas exister. Cep
avec une évidence irréfragable. La paralysie générale et la syphi- lis coïncident en distribution topographique ; les st
u'un prêtre catholique; or il avait autrefois souffert de la syphi- lis ; d'autre part, les cas juvéniles de paralysie gé
contrôle du cerveau, dans certains cas pathologiques. En- fin, nous lisons : « 11 ne peut pas exister de centre spécial pour
ENY. XVI. Encéphalite aigue chez les enfants ; par Comby. (Bulle- lire médical, n° 5, 1906.) L'auteur laisse de côté l
e aboutisse à la démence ; les délirants chroniques d'un âge avancé lisent en- core lesjournaux. Il reproche au mot parano
d'avoir changé de sens,depuissacréation. .M. DENY.- Si les déments lisent les journaux, c'est sans les comprendre. M. T
ue moderne, il classe les demi-fous en 3 groupes ; sont demi-fous : lu certains fous internés dans les asiles, c'etl-à-
orts avec la neurasthénie, soit qu'elles en dérivent, soit qu'elles lu provoquent ; il définit la neurasthénie comitie
re du 1)' OREL. Page 80, àlaf4e ligne du second paragraphe, il faut lire , «... des' impressions de nos sens en grammes.» &
rtant qui ait paru jusqu'ici sur la question ; celle-ci y est réso- lue affirmativement d'après les expériences de Dumont
gTossièl'cl1lell t pell tagollnle, a' cc 1111 an ! .(le saillant ! LU nord-cst \1'1'3 le houl'g- (lJ Jlinlll'bio tlu :
toutes les chambres assure le- service ; nous en donnons la vue. Lu Pavillon des demi-tranquilles contraste avec le p
fs décoratifs qui en agrémentent heureusement l'aspect et atténuent lu carac- Il1 1 I·'ic. a3- l'Inn, cuupc, i·l·v : a
et atténuent lu carac- Il1 1 I·'ic. a3- l'Inn, cuupc, i·l·v : alimn lu ·crviuc Ic cemi-U..uyuil·. 240 ASILES D AL1UN
auto. suggestionnes sur la verlu curative de leurs remèdes, apporte lu preuve que ce processus doit être généralisé à
je suis frappé de ce fait que les véritables abouliques évitent de lire et ont le plus grand dédain pour l'écri- ture.
évrose la plus importante est la suivante : Aimez-vous la lecture ! Lisez -vous ? Tant qu'un malade aime la lecture et y t
tal pathologique. Au contraire le retour progressif du l'aptitude à lire et à écrire SOCIÉTÉS SAVANTES. 261 constitue
ur 100 à peu près ; elle a débuté par de l'excitation maniaque dans lu % ; le début en a été indéterminé dans B-1 %. L
re hallucinatoire aigu. L'analyse des 20 observations publiées dans lu thèse de Trepsat (1 nous permet de les répartir
extrême- ment fréquentes. Les idées de possession corporelle (dé- lire métabolique) aboutissant des idées de transforma-
remières manifestations deviennent évidentes au mois de décembre 19( lu (il 20 ans).Ce sont de nombreuses idées hypocon
ligent parce que j'étais faible pour bien juger; je dois aller chez lu médecin pour savoir si je 'vais être sauvé ou sij
sme. .Yovembre, Nouvelle tentative d'évasion. Il demande qu'on le lue . « Il se sent mourir. » Janvier 1900. Il demand
En 1902, meuler avait publié un cas de « délire unilatéral », dé- lire des actes de la moitié droite du COI'p8.11 admet'
il y a dps lacunes dans sa mémoire et « il a oublié à écrire et à lire » : l'hémisphère malade est donc l'hémisphère gau
ore, d'après l'ouvrage cité de Ribot, le cas d'un sujet en train de lire et dont la lecture est interrompue par l'occlus
du MoiJ qui classe et burine ses archives » (p. 62). Pourtant nous lisons ailleurs : « Chacun de ces deux co-êtres dissoc
nullité, que s'il pense, à la majorité, que proposition de LOI sur lus aliénés. lux l'accusé ou l'un des accusés est i
idées,la marche est variable ; la présence d'idées fixes et de dé- lire systématisé indique ordinairement que le cours de
audouin. Un cas de maladie de Dercum. MM. CROuzoNct Marcul Nathan lisent une note sur une ma.. lade atteinte de celle al
c association probable de poliomyélite. ' Il. CLAUDE et CHARTIER, lisent l'observation d'une malade de 17 ans frappée so
ves ; z317 instituteurs, 81 institutrices et 31 maîtresses techni- ( lues les instruisent, et,chose encourageante, 82 ? des
action littéraire, celle de faire de la science au coin du feu : on lisait une scène d'accouchement, un tableau de viol, une
ième, qui est dénoncé comme hérétique à François 1 ? mais le roi le lut et s'en amusa fort. Rabelais restait d'ailleurs
membres. XII. MM. les rapporteurs disposeront de 20 minutes pour lire leur rappott, tandis qu'ils ne sera pas accordé p
84 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et mal plantées, voûte palatine irrégulière. Intel- ligent, sachant lire et écrire. De deux à trois ans il a souffert de
se quelque temps après la syphi- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 47 lis et le traumatisme, et qui se manifeste surtout pa
Aucune altération musculaire. Depuis quelque temps, il ne peut plus lire , sinon il ressent des douleurs dans les yeux.
ÉTIi9DEDEFLECFISIG; par HABBAS. (Allg. Zeilschr. f. Psychiatrie, t. LU , fasc. 4.) Gowers avait déjà essayé d'associer
bulbe étaient eux aussi altérés. (Allg. Zeitsch1'. f. Psychiatrie, t. LU , fasc. 3.) .. Paul Sérieux. 70 SOCIÉTÉS SAVAN
, extraordinaires ou obscènes. (Allg. Zeitscler. f. Psychiatrie, t. LU , fasc. 3.) ' Paul SÉRIEUX. BIBLIOGRAPHIE. I
Bossu. Archiv. ilal. de Biologie, 1890. ' Berdez. Revue médicale de lu Suisse Romande, mai 1892. " Marinesco. Comptes
nséquemment recouvert d'un petit crâne, ici l'opération est super ! lue j 2° celles où il s'est produit une ossifica- t
oût 189, avec l'asepsie la plus rigoureuse, la craniotomie linéaire lut pratiquée du côté droit (plus déprime que le ga
ix enfants dont quatre étaient absolument illettrés : un a appris à lire et à écrire, un à lire, un à épeler, 1 à reconn
étaient absolument illettrés : un a appris à lire et à écrire, un à lire , un à épeler, 1 à reconnaître ses lettres. Les de
sur le degré de toxicité de l'urine des aliénés. Brochure in-8' de lu pages. - Gand, 1896. Imprimerie Vander Haeghen.
leu avec le phlegmon, puisque, dit Thi- bierge, il « suffit d'avoir lu la description de Charcot pour le reconnaître à
sures spéciales. M. Giraud termine en disant qu'il a été heureux de lire le chapitre du rapport concluant à la nécessité
procédés, plus ingénieux les uns que les autres (faire semblant de lire un journal, se couvrir le visage avec les mains
a pénible infirmité lui rendait la vie insoutenable. Un jour, ayant lu dans un journal espagnol, qu'il existait à Paris
térique est une paralysie psychique, pour ainsi dire, qui se loca- lise mal anatomiquement, qui ne se fixe pas sur un sys
psychiques; par le De Luhrmann. (Allg. Zeitschr. f. Psychiatrie, t. LU , fasc. 4.) Les tumeurs du cerveau peuvent donne
amenés A la VIE; par LUIIRMAmN. (Allg. Zeitschr. f. Psychiatrie, t. LU , f. l,p. 185-195.) Après le retour à la vie de
ral qui, je l'espère, suffira à inspirer à nos lecteurs le désir de lire et de connaître en son entier un livre d'un carac
donner qu'une idée bien imparfaite de son importance. Quand on l'a lu attentivement, on ne sait ce qu'on doit louer l
n DE la cataracte; par R. Lowy. (Allg. Zeitschr. f. Psychiatrie, t. LU , fasc. 1, p. 166-184.) \ Le médecin aliéniste
ans. Signes craniens de dégénérescence; impossibilité d'apprendre à lire , à écrire, à compter. Pararniiésie, incapacité
ère étant délicate nous transcrirons une partie de la communication lue à la Société de médecine de Paris en juin 1890.
caractérisé par la perte de compréhension de la parole entendue et lue avec paraphasie et agraphie. La lésion de ce sy
entendus ou surdité verbale, la perte de la compréhension des mots lus ou cécité ver- bale, la paraphasie et l'agraphi
iste pas par- fois pour les symboles. Ainsi un malade, incapable de lire les mois « République Française », les prononça
rmant les lettres R. F. Le malade atteint de cécité verbale ne peut lire ni l'imprimé ni le manuscrit; s'il écrit, il ne
e très variable; le plus sou- vent le malade conserve la faculté de lire son nom ou quelques mots spéciaux toujoursles m
ne parle pas spontanément et ne peut répéter la parole entendue ni lire , mais il comprend, peut écrire et répondre en é
mystique. Dans les Aventures de ma vie, de Henri Ho- chefort, nous lisons (p. 37, t. I) le passage suivant : « Une autre
fait voir qu'il a le caractère épileptique au plus haut degré. Il ne lut est pas difficile de démontrer, en résumé, que
e ces soi-disant investis ; les livres publiés sur eux, ils les ont lus et s'en font des boucliers en même temps que de
ut être une cause de trouble. M. FREY (Schwetz). Désodorisation par lu formaline. La forma- line est une solution aque
85 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
s propres (1) ; 3 ont appris il manger seuls (2) ; 4 ont appris à lire (3). Le traitement du gâtisme, qui consiste à p
ronger les vêtements, était il son entrée, dans l'impossibilité de lire , il ne savait pas non plus écrire et avait peu
le Compte- rendu de 1899 com- me très amélioré, est enlin arrivé il lire couramment grâce à l'emploi simultané du syllab
suivent les visites du samedi et qui participent au chant savent lire leurs notes de musique, ces enfants sont au nom
nt était imbécile et hémiplégique (côté droit). Elle ne savait ni lire , ni compter, ni écrire. L'écriture présentait mêm
entrées L111 Enseignement professionnel. - à la Fondation, savent lire les notes et en connaissent la valeur. Le procé
v.l31; (-être : dès que les enfants sont assez avancées pour bien lire un morceau de chant, on leur fait chanter des c
hes et les pauvres. Les enfants envoyés par les provinces paient 40 lires par mois On prend l'observation des enfants et le
rieurs sont peu développés. Une soeur (11 ans) est très arriérée. Lu autre frère a été circoncis. - Cette série de mal
mémoire est très faible, le raisonnement nul. L'enfant sait un peu lire et compter. Il ressemble il son père, au double
eu près correcte, il écrit quelques lettres et commence il savoir lire , seul son caractère laisse encore à désirer. Il
on de la plupart des circonvo- lutions, etc. L'observation qu'on va lire appartient à cette caté- gorie. Les cas analogu
IV. La température après la mort montre que progres- sivement, en lu heures, elle s'est mise de niveau avec la tem-
e de l'alcuolisme. Ceux qui s'intéressent à cette question pourront lire un grand nombre d'obser- vations détaillées, au
seul, ne casse plus ses ongles. Il écrit sur l'ardoise, commence à lire les lettres. La photographie collective n" 7
e autres). (1) Pour être convaincu de tous ces faits, il n'y a qu'à lire la série des Compte-rendus du service de Bicétr
86 (1911) La pratique neurologique
dical, celui qui a trait h l'examen des yeux et de la vision. Qu'on lise ce chapitre de la « Pratique Neurologique ». Nu
la distance à laquelle les lettres de cette ligne devraient être lues par un oeil possédant une .acuité normale. '
lignes. Supposons par exemple que le malade, placé à 5 mètres, ne lise que la seconde ligne, son acuité visuelle sera
é visuelle sera ne UJalalle peut, être incapable, il 7 mètres, de lire les plus grosses lettres de l'échelle. C'est que
ne. S611 acuité visuelle est de 50 = 20' deux fois moindre que s'il lisait cette même ligne à 5 mètres. Le malade, si près
à 5 mètres. Le malade, si près qu'on l'approche du tableau, ne peut lire aucun caractère. Il faut alors employer le proc
es lignes, la distance D il laquelle les . lettres devraient être lues par un oeil d'acuilé visuelle nor- male. !
mençant par les plus faibles. ' , ft) Ils permettent au malade de lire l'échelle.. C'est qu'il était hyper- métrope av
férence entière si vous voulez.' , - , ' a) Le cylindre permet de lire l'échelle optométrique; concluez à une diminuti
d, e, ? g, h. On explore de la sorte un plus ou moins grand nom- lire de méridiens de la calotte sphé- rique engendré
isparaît pas en un point de son parcours. Vient-il il disparaître ? lisez l'indication périmé- trique au point de dispari
l'index poursuivre son chemin, et bientôt il sera perçu à nouveau. Lisez l'indication périmétrique au point de réapparitio
l observé suit ces lettres et les lit. A un moment, il cesse de les lire en partie ou en totalité. Les pre- mières à dis
es l'une de l'autre. Grâce à un calcul préalablement fait, on petit lire sur le tableau, dans le point occupé par la fau
r cet inconvénient, le malade contracte vigoureusement son frontal, lire , en haut son sourcil, et, par suite, élève un p
pour plus de commodité, nous les diviserons de la façon suivante : lu Rapports des maladies de l'oreille avec les mal
d'apo- plexie qui mérite d'être connue; c'est l'apoplexie troU/na/t' lue tardive de Marie et Crouzon ou Spàlapoplexie de
ne, c'est-à-dire qu'il ne peut parler, mais qu'il comprend les mots lus ou entendus, et qu'il peut s'exprimer librement
ver d'aussi violents efforts pour émettre les sons du langage. Dans lu paralysie agitante, le malade; parle encore avec
le, tremblement, ]'afa,1. : Íe, la clrorée, les spasmes ou crampes, lu paralysie. Dans le tremblement, quelle que soit
riture en miroir, c'est-à-dire une écriture renversée que l'on doit lire de droite il gauche ou redresser soit en la regar
be, ce qui est fort, rare). On peut aussi. lorsque le malade savait lire . lui demander combien il y a de lettres dans te
enter à l'envers au malade le papier sur lequel se trouve la phrase à lire , noter s'il retourne immédiatement le papier da
iatement le papier dans la bonne position (cas habitue)). , Faire lire à haute voix quelques lignes d'un livre ou d'un j
lire à haute voix quelques lignes d'un livre ou d'un journal. Faire lire son propre nom au malade. Si le malade ne peut
ournal. Faire lire son propre nom au malade. Si le malade ne peut lire à haute voix, s'assurer s'il comprend ce qu'on
lire à haute voix, s'assurer s'il comprend ce qu'on lui présente à lire en lui donnant par écrit des ordres simples : E
ouvrez la bouche », « fermez les yeux », « mouchez- vous ». Faire lire des ordres plus compliqués : « Levez votre peti
ite votre oreille avec le pouce gauche » . ' Si le malade ne peut lire un ordre, peut-il, du moins, lire un mot isolé
gauche » . ' Si le malade ne peut lire un ordre, peut-il, du moins, lire un mot isolé ? Connaît-il encore les lettres ?
caractères imprimés ordinaires capitales écriture cursive ? Faire lire des mots constitués par l'assemblage vertical des
és que chez des sujets ayant n'eu une certaine instruction. Faire lire en ne montrant les lettres qu'une il une. Faire
ction. Faire lire en ne montrant les lettres qu'une il une. Faire lire en permettant au malade de suivre avec ses doigts
abolies ou en tout cas fort limitées. Quelques mots sont compris ou lus correctement, mais les troubles para et jargona
sibles sont d'ailleurs souvent déformés. L'anar- thrique ne peut ni lire il haute voix, ni répéter les mots entendus; en
et constamment la feuille qu'on lui présente renversée : il ne peut lire , mais il sait qu'il y a là quelque chose à lire
versée : il ne peut lire, mais il sait qu'il y a là quelque chose à lire : l'agnosique au contraire ne retourne pas la f
e d'images sensorielles auditives ou visuelles, de mots entendus ou lus , mais sous la forme d'images motrices à l'aille
ucinations ne peu- vent se produire quanel ils parlent eux-mêmes ou lisent il haute voix en articulant, ou inversement qu'
vorable dans les étals d'excitation dus à la congestion encépha- 11( lue . Anglade fait remarquer que ce sont les meilleurs
tres (/o0f< ? </c) ; certains hémiplégiques par exemple loca- lisent à la paume de la main les excitations portant sur
cliniques particuliers aux troubles sensitifs hystériques, signes ( lue nous avons décrits plus haut et que nous résumons
s Ù ceux observés par Dejerine et Roussy dans les lésions thalallli( lues (1). i IV. - ALGIES CENTRALES OU TOPOALGIES I
Les altérations profondes du sens céneslhésique ne se voient guère ( lue dans les maladies mentales; mais ce sens peut êtr
cubital légèrement, incliné en dedans, les doigts fortement 11l'('\ lis , l'avant-bras en extension. L'ouvrier doit dépl
ns l'une sur l'autre. mais la traction se fait au commandement de « lirez B. elle n'est que passagère et immédiatement ap
iosenhach recommande d'occuper l'attention du malade en lui faisant lire à haute voix et rapidement un [CROUZO.\'.] Fi
t dans certains cas en imposer pour l'hémi- plégie organique, c'est lu paralysie agilccrtle, qui. connue on sait, a un
re en bas au-devant du corps du pubis entre la symphyse et l'épine, lise termine en haut par une extrémité effilée sur l
dernières cotes. Le tendon d'insertion supérieur du grand dorsal se lise , en avant de celui du grand rond, dans le fond
uriculaire antérieur, avec le temporal superficiel qui le prolonge, lire l'oreille en avant et en haut. L'auriculaire su
culaire supérieur est un élévateur direct, l'auriculaire postérieur lire le pavillon en arrière. Tous ces muscles sont d
Ceci correspond ELANNOIS.] Fiir. 1. - Centres moteurs corticaux ( lu larynx (d'après Semon et Horsley). - CS, sillon c
ts respirent tout fait normalement, mais dès qu'ils veulent parler, lire ou chanter, il se produit une aphonie com- plèt
srh, Bernhardt, Stange (8) ont cru pouvoir considérer bon nombre 1. LU (H. C01l(ll'ès de Pau, 1 ! 104. 2. LI.;mE. Soc.
llantes et évcrsées. Fig. 8. Myopnthie facio-scapulo- humerait-. / lire en travers, faciès inintelligent. ATROPHIES M
mmune la élite 1. P. Maiîik. Leç. sur les mal. de la moelle, Paris, lu . 2. <CO ! .MX. Th. Paris, 1885. 0. Raymond
), rarement par la racine (type scapulo-huméral) : elle s'y loca- lise parfois. - Toujours cette atrophie est accom-
re sont ensuite traînés péniblement sans quitter le sol comme s'ils liraient un boulet (démarche traînante décrite par P. Mari
étose vraie tous les caractères que nous avons déjà indiqués, niais lu les spasmes sont peu marqués, le malade est il
ette très singulière affection, la peau ri- gide, dure, immobi- lise dans un véritable étui les doigts qu'elle déf
ceux des tabétiques. Les crises vésicales peuvent être preta- ]Jéti( lues , et apparaître longtemps avant la maladie confirm
règles du catheterisme en les adaptant à la pratique journalière. Lue sonde de caoutchouc rouge (sonde de Netaton) est
déficit intellectuel variable et le reliquat d'une double hémiplégie. Lue paralysie ou mieux une parésie totale, sans atr
femme jeune, au ventre énorme, non douloureux au palper (Mathieu). Lue dyspnée considérable existe par refoulement en
moins complètement soudées (le géant in- fantile « s'acroméga- lise » quand les épi- physes se soudent), et Y acr
relief les points intéressants. Mesurer est peu de chose en effet; lire ses mensurations, comme on lit une coupe, est b
n irré- guliere de la selle. Enfin des distinctions un peu subtiles lurent propo- sées ''par d'autres auteurs suivant les
5 ans, les progrès furent sen- siblés; mais un peu moins nets ; ils lurent nuls dans un troisième cas (évolution très avan
re en circuit, et, le courant passant par le corps et le voltmètre, lire la valeur des volts en même temps qu'on lit la
source du courant. Il ne faudrait pas en conclure, avant d'avoir lu l'intensité du courant sur le milliampè-. rcmèt
abial, secousses spasmodiques dans les muscles en état de contrac- [ lire ., soit au repos, soit surtout à l'occasion des mo
galvaniques interrompus, mais avec intensités plus faibles de 5 à 5 lu . : 1., et parfois des excitations par courants
on a même conseillé des courants plus intenses atteignant 50 ou 40 lu . 1., parfois plus, si les malades peuvent les s
dans la solu- tion de carmin aluné selon la formule de Ramier. - lue " Il importe, pendant toutes les manipulations, de
uditif (Appareil). Résultats de l'examen des réactions électriques, lu )77. Voy. Nerf. Audition colorée, z, ' Auscu
iges, 109. Syndrome cérébelleux, 776. Tremblement, 859. (Tumeurs ( lu -), Radiothérapie, 1189. Cervical supérieur (Sy
les rayons X, 1166. (Lésions de la réaction de dégéné- rescence, lu )56. - Maladies, Traite- ment par l'électricité,
87 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
du mot sclérose qui termine la ligne 7 de la 1>ane 58 ? il faut lire : diffuse, inflammatoire ou non; et reporter ensu
dans le tabès ne permet qu'une série REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. lût d'hypothèses pendantes'qui sont : ou avant la m
vaillé et a pu obtenir un certificat d'études. Depuis il a toujours lu . Plus tard, apprenti, ou employé de commerce, i
mation des cornes grises; mais contrairement au Dr Weber, il loca- lise la lésion de la paralysie saturnine dans la moell
nt contenant plusieurs observations curieuses empruntées au rapport lu , en 1780, par Andry et Thourct la Société royale
nstituées : PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 163 peut, lire plus facilement en fermant un oeil. Plus tard la
manche extrêmement oblique, enfonçure énorme; pas de vais- seaux. lue , tympan gauche, au contraire, mat, gonflé, ballon
OIRE DE L'HI'S'fLRO-1 : 1'1LL.PSIG OU GRANDE HYSTÉRIE. [Identité de lu nature des phénomènes qui composent la grande a
des hommes noirs, j'ai appris de la malade elle-même qu'elle avait lu un livre qui l'avait vivement impressionnée. Ce l
ette observation et .revue DE PHYSIOLOGIE. 231 cellesquel'on peut lire dans Y Iconographie photographique delà Salpêtr
que de ménin- GITE aiguë. - 1 : \IPLOf des courants continus. (Note lue à la Société de médecine de Paris, dans la séan
- tème nerveux et en particulier du l'ataxie locomotrice. Pour lui, lu sylli- lis n'est qu'une cause occasionnelle, un
veux et en particulier du l'ataxie locomotrice. Pour lui, lu sylli- lis n'est qu'une cause occasionnelle, un agent provoc
ra les- liiediiis ` tés antérieurement aux nôtres, : on pourra les' lire dans toutes les monographies relatives aux loca
vl-1111111`·' tl( 17lt'tl ·t.;n ? sucre mi-r », 11*11 ·· >"[ ? I lu /'i'1 41 v W t1n17a ? f . . L'examen, microscopi
dans l'alcool absolu a pns.une.cQns'staneessuihsante pdur'nn )t'' y lut possible d y pratiquer desj. coupes. On;m'.5 reéQ
par desilmpulsions dé'sôrdomïée"s,`sont`-projett ? es'brusqueinent " lu a Il du I)ut'0laiteincite. -'l Si'oùl-luirdit'de
uite lentement. Elle plèrsi''s Le 1 toujours, elle fau"tnent(, lj-1 lu ? II..11 il > «l.i'fMl' n ! "' (T - ', . ,, .1
11 s'a- gissait'la première fois d'une arthropathie''dû''gehbu]a' lu mm .1 1 `f .·lt.ar niT ,·VTV;livrltr· l.i ? i,i ,
aire con- ' i .d.. , ? t ..fff«.i. - .Mit .f ? tn<v. kI l-it »-, lu ; JilMilj .'(1 sécutive a'une excitation mécaniq
quarante-cinq ait,- m1191( iab rlab 91,J ; 'f'Jttl).c.ii am.U... J· lu .. ". 1 ? 1 1 ans, domestique, que nous pûmes, o
t4 , ft l^çp^l.Kj uq t , rtr De c constitution moyenne, elle, est, lis déiiiné de rhumatisme, (de scrpfujq,. de1luberc
normal' La malade contracte très bien les muscles ce ce côté lors- ( lu elle ve 1 soufilei; f ? t,"Ili eC* esl ey1a01 oL
rsr'avaient disparue' `'il' n,'uo'-w'ti-'m-`ÿr ? 9nu91TSia1 81/01 £ lue liolebi ni '1t7 E : 1·ItiJ'lW/iJ ;^J ysxii inca
gène électro-galvanique, reprend son ? et l'eéil devient capable de lire du'petittextei'Ces résultats théra- zutiques, n
"" .I et anastomoses dé l'artère wertébrale - 1 artère carotide, lu i-* ? .tu -. 1lit ill. < ,... , If m o ► ..»i
ns de Fauteur. ( (Une planche facilite l'intelligence du texte.) .l/ Lu ? l ? H ? î,i,,n1".Mi iVllôil- t CTUII3AULT ? ,,
V. 0))PF.RVATION D'O't'UËMATOMK chez un enfant SYt')nHT)Qrn (Note lue à la Société de médecine de Paris dans la séance
ption-.demeurent, inexpliquées (voir ifij iiiO / -i ? '.al ? i ; ' « lu Jim. i '.i.' aii,l.iii'i1.î.i» »., ' n V'' 'L n
re alcoolique, cause commune d'erreurs de diagnostic, mérite d'être lu pour quiconque veut se familiariser avec ce gen
88 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ir le barbier penché sur leur visage et les regardant. Ils ont beau lire un journal, fermer les yeux, essayer de penser
à se cacher la figure derrière un journal en faisant semblant de lire , à se couvrir le visage avec les mains ou avec' u
lus; un autre se couvre de son parapluie; un autre fait semblant de lire des affiches ; un autre, si on lui adresse brus
ser par une autre rue, de revenir sur mes pas, de faire semblant de lire un journal de très près pour me cacher. Je m'im
nte le sang qui commence à me monter à la tête, je fais semblant de lire les affiches, en attendant que la rougeur soit
dessus, quand je suis par trop écoeuré, j'éprouve un réel plaisir à lire Epictète, Schopenhauër, Hartmann, Léopardi, et to
s sentiments s'en allèrent naturellement c'est-à-dire avant d'avoir lu aucun ouvrage opposé à la religion, avant même
urs en public, les mots précis lui échappent, il se trompe, ne peut lire quelques nombres écrits. Les jours suivants exa
ng, et de recueillir et d'enregistrer dans la conscience les images lues , c'est-à-dire le contenu de l'ecrit. Le malade se
t-à-dire le contenu de l'ecrit. Le malade se met de bonne volonté à lire ; il se sent vigoureux et bien dispos; mais après
lonté à lire; il se sent vigoureux et bien dispos; mais après avoir lu quelques mots, quelques lignes ou, dans les cas l
ment, avec les mêmes caractères, chaque fois que le malade se met à lire .. La plus grande partie de ces individus sont d
l'acte en question. Au contraire, ces individus brûlent du désir de lire , ils regardent avec volupté les livres, les jou
pas- modique, ces termes s'appliquant à la prédominance des symp- lûmes physiques et nullement à la nature de la maladie.
celles des cornes antérieures de la moelle épinière. Les fibres de lu deuxième catégorie sortent de cellules qui ont
cécité verbale qui conservent le pouvoir d'écrire; il doit, pour se lire , suivre avec les yeux le contour des caractères
conditions. En comparant les chiffres entre eux on espère arriver à lire exactement dans la profondeur du méca- nisme ps
our intéres- sante qu'elle soit, n'est pas complète. Il nous a bien lu les certificats et les rapports du médecin de l
rose cérébro-cardiaque constitue une entité morbide et il essaie de lu différencier de la neurasthénie et de l'hystérie,
es cérébraux correspondants. Il est clair que celui qui ne sait pas lire et dont l'écriture ne se fait pas automatiqueme
uvoir souffrir d'hallucinations visuelles de paroles, il faut avoir lu beaucoup ; pour les graphiques il faut que l'éc
rd- muet dont l'instruction n'est pas complétée, qui dans ses rêves lisait les paroles sur les lèvres de son père. Ce suje
31 p. 100 l'intempérance; dans 7 p. 100 l'intempérance et la syphi- lis ; dans 100 p. 10 le surmenage cérébral. Sur les 3
hique. It reproche à ses contradicteurs de l'avoir condamné sans le lire . Jusqu'à pré- sent semblable enquête n'avait ét
bornons à indiquer, sans plus préciser, qu'il s'agit lit de symp- lûmes souvent rencontrés en clinique. Symptômes. Pour
l'audition, de l'olfaction, de la sensibilité générale, etc., réa- lise les conditions nécessaires et suffisantes. Nous a
et les femmes qui ont le plus soeurs folles. R. DE Musgrave CLAY. LU . PSEUDO-PARALYSIE générale; par B. HYSLOP. (The J
ception délirante en elle-même. (Allg. Zeitsch. f. Psychiatrie, t. LU , f. 6.) Paul Sérieux. SOCIÉTÉS SAVANTES. SO
ne grande importance pratique. (Allg. Zeitsclvr. f. Psychiatrie, t. LU , fasc. 0). Paul Sérieux. SOCIETE DE NEUROP :
intérêt, montre que cliniquement on devait admetlre que la syphi- lis héréditaire frappe la moelle comme elle frappe le
s très appréciables du jour où elles seraient absolument libres. Je lis dans le compte rendu de la Compagnie de chemin
e jeune fille avec V=l, qui devenait myope dès qu'elle se mettait à lire ; il paraît que dans ce cas jouait un grand rôle
IEUX, médecin du service des alcooliques. l3anewv (P.). The idiot lus place in création ttncl liis daims on sociely.
89 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Le notaire transcrivait à mesure et, quand elle eut achevé, il lui lut à haute voix la pièce et la malade montra par sa
port avec la sphère limitée de conduite dans laquelle sa folie évo- lue , une punition est légitime; 3° Le mot punition
lui parler des anciens avant de s'occuper des modernes, lui faire lire Homère avant Platon, l'initier aux beautés simple
, je le répète, ne se l'imagine. Il suffit, pour s'en persuader, de lire l'histoire des doctrines et des théories sur la
st à peine conscient dans un esprit sans maturité ? Il est exposé à lire dans l'esprit de l'enfant ce qui est dans le sien
chaque lettre. C'est pourquoi les adultes et les gens sachant bien lire et écrire n'écri- vent en miroir que dans des c
ive avoisinante. L'épreuve de Harlan fut employée, et la malade put lire facilement avec l'oeil soi-disant « aveugle »,
onsciencieuse due à Matter. ' BIBLIOGRAPHIE. '163 puis il a fallu lire les innombrables autant que volumineuses oeuvres
es et posséder déjà des notions élémentaires sur la réfraction pour lire et apprécier le traité classique de Donders. L'
élioré la vision de l'oeil droit d'une façon notable, on la prie de lire les gros caractères des échelles colorées de Stil
nt les lettres des optotypes, les unes après les autres, et ne peut lire d'une façon suivie. On en reste là pour le mo
s réagissent bien à la lumière et à l'accommodation, qu'elle peut lire ou reconnaître les objets, à peu près aussi bien
îte de Fiées, c'est bien l'oeil droit qui voit ; si nous la faisons lire avec la règle ou l'écran, il n'y a toujours que
auche qui voit maintenant presque aussi bien que l'autre : ellepeut lire , voir l'image degaucheau stéréoscopeet le point
uche amblyope et le rouge devant l'oeil droit,puis, qu'on lui fasse lire ensuite l'échelle de Stilling, elle distingue e
observation d'un garçon de treize ans et demi qui, au stéréoscope « lisait sans hésitalion les lignes ou les numéros compo
vous en fournir la preuve. A mon retour du congrès de Marseille, je lis part à M. Monod, directeur de l'assistance publ
toutes leurs formes et à toutes leurs phases. Le corps dei2lelé ( lu cei-velet, les noyaumbulbaires, les cellules des.
e petits bâtonnets et de corpuscules punctiformes. L'examen du sang lu révéla aussi la diminution des globules rouges
du torticolis qui, disparaissant encore à la ren- trée de l'école, lut de nouveau remplacé par le tic de l'épaule. Il
la descendance des vésaniques et de la descendance des alcooliques. lis la rapprochent au contraire entièrement de la d
vidus prédisposés par l'hérédité nerveuse ou congestive. La syphi- lis , en effet, se retrouve presque constamment dans l
e de l'alcoolisme. Ceux qui s'intéressent à cette question pourront lire un grand nombre d'observations dé- taillées, au
ux profes- sions insalubres, alcoolisme et syphilis. Nous ne vous lirons pas ces tableaux, nous ne demandons pas non plu
ronger les vêtements, était, à son entrée, dans l'impossibilité de lire , il ne savait pas non plus écrire et avait peu
s le Compte rendu de 1899 comme très amélioré, [est enfin arrivé il lire couramment, grâce à l'emploi simultané du sylla
e laissent aucun doute sur la possibilité de parvenir à apprendre à lire , écrire, compter, chanter, à coudre, rempailler
La suggestion hypnotique dans un cas d'éclamj)51e puerpérale. AI. Lu Menant des rapporte un cas d'éclampsie puerpé-
ies et mises sous cachet par le membre délégué du jury : elles sont lues publiquement par leurs auteurs sous la surveillan
nt, n'use pas de la terminologie technique, qui rend si difficile à lire les ouvrages traitant le même sujet. Il se propos
ndes et parlait sur tous les sujets avec netteté et préci- sion, il lisait même à haute voix, mais dès qu'une heure de l'a
ns trouvé que la température maxima moyenne dans les cas recueil- lis sur des hommes était de 9906; 7° L'amélioration p
de sérum chez les aliénés. M. Marié, revenant sur la communication lue à la dernière séance par M. Pactet, dit qu'il s
90 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
transfèrement à la Co- lonie avaient été soigneusement choisies par lis . le Dr .1. 'oisin ; même le distingué médecin d
ire, elle parvient se l'aire assez bien comprendre. Elle ne sait ni lire , ni écrire. Placée dans un des villages annexes
rmerie. Bien que la surveillance incessante exigée par coite petite lut effectivement difficile, je voulus tenter un no
...... avait commis je ne, sais quelle incartade quilui avait va- lu une giffle magistrale, devant qui, je dois le dir
d'onanisme très accentuées. Elle est bien développée, sait un peut lire , écrire, compter et coudre. Mise en observation à
compétence pour que nous puissions hasarder quelques heures à vous lire ? - Oh ! je le confesse : je n'ai ni titres, ni
Bonne s'indigner d'une telle et si audacieuse proposi- tion, et je lis le nom des nombreux organes dont il affirme en so
La question des rapports de la sclérose en plaques et de la syphi- lis est loin d'être résolue ; la plupart des auteurs
e permet aux aveu- gles d'écrire lisiblement pour les voyants et de lire par le toucher l'écriture des voyants. Les an
1897). B1.1UTE. Annales 111édico-psycllOlogiques, 11.)o4. K. LrRoy. Lu responsabilité des lzystrriques, rapport au XVI
l en était ainsi on pourrait discuter le voeu suivant : Après avoir lu et discuté l'important Rapport du Professeur Gi
le de la si- tuation dégradante où elle est manifestement tombée. Lu nécessité de l'expertise médico-légale contradict
faut de régulation dans les pro- cessus réflexes élémentaires. Elle lire son caractère propre de lu faculté qu'acquiert
ro- cessus réflexes élémentaires. Elle lire son caractère propre de lu faculté qu'acquiert le sujet d'isoler, d'une fa
r- vir de contribution à l'étude analomo-clinique du tabès dorsa- lis . le D1' Long et Nicki (Genève) présentent en pr
cérébrale diffuse appartient au groupe des formes vasculaires de la lues cerebralis. Ses lésions sont diffuses et d'inte
cote ; elle s'étand non seulement sur la période remplie par le dé- lire mais encore sur l'idée même qui a rempli le délir
qui rappellent la danse de Saint-Guy du Moyen-âge. [Petit Parisien, lu août;) . la FOLIE EN ANGLETERRE Le livre bleu
ordinaire. Un peu plus tard, à l'épo- que où il avait déjà appris à lire , lorsque le malade rencontrait dans un livre ou
dans un livre ou dans un journal la description de cas pareils, il lisait et relisait plusieurs fois ces récits en éprouvan
it les sensations d'un homme mis aux fers.... Lorsque le ma- lade lisait une histoire d'aventures arrivées en pays indien,
ou si les Indiens me ligotaient de la même manière n. Une fois Z. a lu dans le journal que des malfaiteurs avaient ent
rps d'armée, sortait hier matin vers onze heuies de son do- micile, lue Saint-Georges, lorsqu'un homme correctement vêtu,
brusquement sans période initiale d'excitation motrice, ni de dé- lire . Elle a été accompagnée, au début, de vomissement
i a dit plusieurs fois que son mari était mort; or chaque fois elle lisait sur sa figure, dans ses yeux, que ce n'était pa
igure, dans ses yeux, que ce n'était pas vrai. D'autre part, elle a lu chez les V..., un roman du Petit Journal qui ré
ce- pendant apparemment épuisé réagissent parfaitement aux stimu- lis volontaires et galvaniques ; l'inexcitabilité mêm
ésion peut être loca- lisée dans la région thalamique. F. TISSOT. LU . Sur les variétés «en largeur » du syndrome de Br
aractère Mtnxique si prononcé que sa lettre était très difficile il lire ) ; les 401 i clinique Nerveuse. paresthésies
rmes évolutives de manie et de dépression pures. Il semblerait, à lire les pages consacrées au « développement t histo
un terrain de 4S.2' ? 0 mètres carrés cultivable pour pâturage et lu ).000 mètres carrés pour faire un jardin maraîcher
ions étroites entre la tuberculose des procréa- teurs et l'idiotie ( lisez : tous les arrêts de développement intellec- tu
u- lettes domptent les chevaux, font peur aux crocodiles, neutra- lisent le venin des vipères, font dévier les balles des
91 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
u'on lui en présente l'image écrite. Lecture ; écriture. Il ne peut lire lettres, mots, nombres, imprimés ou écrits. Mai
a première lettre, et immédiatement après, il est encore capable de lire le mot écrit en question et aussi de l'écrire san
voisinage des éléments blancs autour des noyaux du bulbe ». R. C. LU . Un cas de ladrerie cérébrale; par MM. Léopold Lé
uïe et de la vue avec paralexie, perte de la compréhension des mots lus et troubles de l'écriture. Les troubles halluci
té chez un jeune soldat qui sait très bien écrire, mais pas du tout lire . Il - cite, à ce propos/ un autre cas de cécité
relevé comme une conclusion neuve, la constatation que les mots se lisent et se retiennent plus facilement que les syllabes
e les syllabes, et l'auteur en déduit l'avantage qu'il y a de faire lire aux enfants les mots avant les syllables. Dès 1
IBLIOGRAPHIQUE. blée de l'association va avoir lieu incessamment. l' lus de mille ataxiques s'y feront véhiculer et cett
moment par les grands journaux médicaux, où tout le monde a pu le lire ; tandis que, par une erreur inverse, le premier t
lle-ci venait à cesser,.il la longue, l'obsession cessait aussi. On lira avec grand inté- rêt ce qu'écrit à ce point de
ide, intensif. Bien à dire sur « avant ». Je ne pense à rien, ou je lis un jour- nal, ou je regarde une personne, un ob
la peur de rougir. L'intelligence passive, celle qui me permet de lire , d'étudier, d'assimiler est intacte. L'intell
Monsieur l'instituteur; jesuisà à Ain-Turc ; je ne sais pas encore lire et écrire. Je viens de France, des Pennes, banlie
ux des tables de statistique, mais de ces matériaux statistiques on lire souvent des erreurs (Exemple). Les tristesses
ralysie géné- rale sans cependant que celle-ci soit évidente. Qu'on lise avec soin l'observation de folie à double forme
int ¡¡l'expérience, La brochure de M. Vires est liés intéressante à lire et prouve que son auteur possède en perfection
ituation ; je pre- nais habituellement un livre, je me mettais à le lire ou à le feuil- leter, mais mes yeux voyaient à
ment d'angoisse, que je parcourus pendant les premiers jours les ' lues de la ville. Les cours ne devant pas encore com
ne fait que reproduire en les exagé- rant maladroitement des récits lus dans des aventures de voyages, qu'il aime par-d
il l'a essayé et les résultats qu'il en a obtenus; il y a surtout à lire les pages où il ex- pose comment il comprend ce
teur de la lumière. Le détail et'la .variété des expériences sont à lire dans l'original. Il trouve ainsi qu'un arc de 1
ue. fait chez le second malade, j'ai pu constater que le premier ne lisait pas de côté comme le font les hémiopiques. M. B
d'hyperchromie sur le tronc. Quoique niant de bonne foi la syphi- lis , cet homme est un syphilitique avéré. Son signe d
b... (Alphonse-Désiré), né le 11 mai 1849, bobineur, indigent, sait lire et écrire, entre àl'asile d'Armentières, le 14
on frère jumeau, Quinzeb... (Jules Victor), filtier, indigent, sait lire et écrire, entre à l'asile d'Armentières, le 3 no
dont elle n'apprécie plus l'usage : il est impossible de l'amener à lire et à écrire. Pas du tout, jamais de paralysie,
own-Sequard montrait que les cochons d'Inde devenus épileptiques ci lu suite de la section de la moelle ou du sciatique
mp visuel. Avec cela, elle éprouvait une cer- taine difficulté pour lire ; elle était obligée de reculer le papier, quand
qui a reçu peu d'instruction et qui a une intel- ligence médiocre, lisait quotidiennement un journal, avant de tomber mal
gauche, les malades éprouvent habituellement une certaine gêne pour lire . Assez souvent, on note, en fait de manifestati
om ! 1/e de quarante-huit ans, garçon bras- seur, indigent, sachant lire et écrire. Antécédents héréditaires : un oncle
dans l'étiologie de cette affection soit comme cause initiale, soit LU SOCIÉTÉS SAVANTES. comme cause aggravante. Un a
lter Cham- sing, 219. -et aliénés c1Jmmels, par Drew, 404. , DL, LIRE par introspection mentale, par I. Vaschide, 238
de lucale, par Lannois, 3G. HÉIIORHHAGIE cérébrale. Voir Fme- 1 lire . Hémorrhagie méningée spinale en dehors de la
92 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
wlstv (J.). Liétlacleto en chef : D0U11NEVII.I.E Secrétaire de lu rédaction : Cil. 1 H tt Bi'M ! '<m;<;Mr.L
es fonctions involon- tcziz'es des appareils de lcz locomotiozz, de lu Pz·é7zezzsion et de lcz voix. (Arch. gén. de mé
Jachson, nous ont dit n'avoir jamais observé de semblables cas, ni lu une descrip- tion de cette maladie. D'autre par
té fort négligée, par suite de sa maladie, et qui passe son temps à lire des récits de voyages. L'état général est satisfa
onnaient avaient parfaitement entendu. Il lui est arrivé, lorsqu'il lisait , d'être poussé par le besoin irrésistible de pr
rare. Nous ne nous sommes décidés à l'expérimenter qu'après avoir lu les nouvelles observations publiées récemment par
nature ont été rarement mentionnées par les auteurs que nous avons lus . Nous n'avons rencontré que deux cas dans lesqu
et avril 1883, p. 18.) On est quelque peu déçu lorsque, après avoir lu les deux articles consacrés au caractère et aux
mploie aussi bien que jamais la table de multiplication ; elle peut lire , définir un objet, le nom- mer quand on le lui
d on le lui présente ; mais elle n'a pas plus la mémoire des choses lues que des choses entendues. Elle n'a pas plus oubli
le et émanent de la formation d'un centre des signes écrits 0. Pour lire , il faut que ce centre soit joint à A, la lectu
riture; ils sont incapables de répéter, d'écrire sous la dictée, de lire à haute voix. Mais ils peuvent encore copier, p
ontaire, l'écriture spontanée; mais répéter, écrire sous la dictée, lire à haute voix, comprendre la parole et l'écriture
phe de l'écriture volontaire. Mais les individus atteints répètent, lisent à haute voix, écrivent sous la dictée, sans com-
euuto-gastriquc,du glosso-pharyngien. 11. Srmea (d'lleidelbcr). Sur lu marche a reculons de la yn - nouille. Enlevez l
de Bonn). Contribution ci la physiologie et ci 1(i p(itho- logie de lu sensibilité tactile. Les recherches du professeur
es rapports médico-légaux contradictoires, longue épopée qu'il faut lire par le menu pour en apprécier les détails. Elle s
arque qu'il a barbouillé les murs de sa chambre et les livres qu'il lisait d'ins- criptions dépourvues de sens. Dans la nu
ntouraient avaient parfaitement entendu. » Il lui arriva, lorsqu'il lisait , d'être poussé par le besoin irré- sistible de
DU CURARE DANS LEI'ILEL'SIE. 205 Avantde s'endormir il s'amusait à lire , à compter, puis « il balan- etzil sa tète en l
e qui nous intéressent exclusivement. Au point de vue anatomique, lus faits se présentent encore avec des variétés pl
tes. 140 La vésanie traumatique n'a pas de signes anatomopatliologi( lu *. 11 est rare que l'on trouve à l'autopsie des
évolution inverse du mode, suivant lequel elles ont été acquises. lis en arrivent à méconnaître les injustices qu'ils c
acide phosphorique éliminé est diminuée, soit d'une manière abso- lue , soit d'une manière relative à la somme des matiè
r l'invitation de M. Falret, donne communication du mémoire qu'il a lu à l'Académie de médecine sur les ano- malies, l
droite ? M. Bernhardt. Je n'ai rien trouvé. MM. MENDEL et REMAK. lise pourrait qu'on ait affaire à un hys- térique. L
ntée par 111. le Préfet de la Seine. NI. Ritti, secrétaire général, lira un éloge de Pinel. Nous croyons savoir égalemen
93 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
accommodation était tellement diminuée à droite que le malade, pour lire les caractères d'impression de gros- seur moyen
e libre de John Bost à Bétel (Dordogne), on est parvenu à lui faire lire quelques lettres. Dès l'enfance, G... était v
eux et ballonné. L'haleine exhale cette odeur pénétrante (Oss. VII, LU , CIV), qui im- prègne parfois la chambre du mal
ns le cours du diabète, sans conséquences graves (OBs. VII, XL VII, LU , CIV). On voit ainsi des diabétiques présenter,
puis une chute dans l'escalier faite à l'âge de deux ans. Elle sait lire et écrire, A quinze ans, sa mémoire diminue et
n le matin; recrudescence dans l'après-midi, les douleurs affectant lu forme d'accès névralgiques ; grande lourdeur da
même dans les deux cas. Il est probable, en résumé, que la syphi- lis est une cause de tabès, mais d'autres causes auss
dans le corps du journal par la publication in extenso des mémoires lus dans le sein de la Société. On en trouvera l'an
n les voyait cesser tout à fait pendant quelques minutes en faisant lire l'enfant à haute voix devant quelqu'un ; lui pr
, inspecteur général des établissements d'aliénés de la Belgique, a lu un travail sur la Colonisation des aliénés. En
impossible d'en traiter complètement dans un travail destiné à être lu dans une séance ordinaire de Société savante. D
auparavant, ainsi qu'il était facile de le constater en lui faisant lire un journal. Le docteur C. R. Agnew fut mandé le
vent chez les hé- mianopsiques). Quelques semaines avant sa mort il lisait et écri- vait facilement lorsque, la faiblesse
soit en faveur de Charcot ' tandis que les seize cas que je vous ai lus parlent hautement contre elle. A la vérité il n
i. Allg. Zeitschr. f. Psych., xli., 1885, p. 637. 44. 1883. Idem. lu idem. Fall in., p. 638. 216 G RECUEIL DE FAITS.
ésordres inflammatoires décroissent dans le poi- DE 1/HYSTÉRIE AVEC LU RHUMATISME ARTICULAIRE AIGU. 231 gnet pour s'ex
s a montré que la respiration même rendait cette immobilité abso- lue , impossible, le bras prenant part aux mouvements
. L'immobilité, chez l'homme, peut difficilement être aussi abso- lue que celle de la grenouille, pour toutes sortes de
de force, ni de chaînes. On ne les occupe pas; ils s'entretiennent, lisent , fument. Quelques femmes cousent, ou font de pe
r à la réorganisation de l'assistance des aliénés dans sa patrie. M. Hans Lu ;an. Contribution à l'acéloiiu7-ic des aliénés. Au
rche de la maladie est très rapide. M. ZEKKER rappelle un mémoire lu au congrès international de Copenhague, suivant
de de la coloration à la sa- fi,aiiille 2. C. 013LRsiFlrçElt. Sur lu rraorplaiomwie <;<60H traitement. (En alle-
un certain nombre de tubes complètement dégénérés. Dans une note lue à la Société anatomique', M. Gom- bault a insis
corps thyroïde. D'une intelligence médiocre, la malade sait à peine lire , et pré- sente un léger embarras de la parole.
cher, 30S ; ^zones motrices), pat Hu- blé, 29; - (ramollissement ( lu ) ; 85 ; (masses risestlu), parJley- nert,1 15
NévropatUies et ozone, 111. Névroses vaso-motrices et trophi- ( lues , par Eulenbnrg, 290. Nitrite d amvle (convulsio
ew, 80. Friedmaim, 315. Fritsch, 87. Fuerstnsr, 305. Garnier, LIS . Glaser-, 426. Uollstein, QS6. Grasset, 156
94 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e et le pli courbe étaient sains. Si l'ob- servation qu'on vient de lire devait, en raison de l'exiguité de la localisat
ique, dont le type est fourni par le délire alcoolique ; 3° les dé- lires par intoxication médicamenteuse(chloroforme et io
toires d'excitation, ou plus rarement de dépression; tantôt le dé- lire qui en est l'expression est systématisé (délire a
s corps d'armée. Y a-t-il au contraire des réserves à faire ? Qu'on lise les lignes écrites par M. Bourneville. Les au
- Loco cilcclo. 3 Allr/emeine %eil.scln·if1 filr l'sycliktlrie, t. LU . RECHERCHES SUR l'aNALGÉSIE DU CUBITAL. 99
e ne présentait ni cécité verbale ni surdité verbale ; elle pouvait lire et écrire et comprenait ce qu'on lui disait. L'
dant, comme M. Ballet, que si l'on fait une enquête sur la syphi- lis des paralytiques généraux on rencontrera le plus
M.Jules Voisin, vice-président et M. BÉRILLON, secrétaire général, lisent les discours qu'ils ont prononcés aux obsèques de
ransverses, est tout récent, datant à peine de sept mois ; il a été lu en présence de M. Marinesco ; les conclusions et
de places pour les idiots dans les établissements spéciaux ? J'ai lu votre rapport de 1894 avec un grand intérêt. Dite
ons songer ici, à présenter un résumé de ces ouvrages où tout est à lire ; c'eût été, d'ailleurs, franchir les limites d
atoire. A noter, dans ce très intéressant travail qui mérite d'être lu , qu'au moment de l'amélioration il semble au mala
du mot. Un enfant qui copie d'après l'abécédaire sans savoir encore lire se sert- de 6, v, y. Un enfant qui lit sans a
motet l'écrit utilise b, l, o, v, y. Un enfant qui écrit ce qu'il a lu en silence et compris se sert de 6, l, A, v, y.
isme épileptique. (The alienisG andneurologist, oct. 1898.) E. B. LU . Sur la dysostose cléido-crânienne héréditaire; p
ique littéraire et de science. Les romans d'aventures sont les plus lus , particulièrement ceux d'Alexandre Dumas; aussi f
es fatigues et les veilles suppor- tées dans différentes places, il lisait beaucoup, mais n'im- porte quoi, sans suite et
on d'attention, de mémoire, d'une idéation étendue; ils s'occupent, lisent , écrivent des lettres; nous en avons même vu fa
parler automatique- ment. La même chose se passe quand on apprend à lire ou à écrire; le centre moyen doit alors associe
on frontale. La parole intérieure est conservée, les sujets peuvent lire et écrire sans pouvoir parler ' ; 3° L'aphasie
). Malgré le pouvoir de répéter machinalement les mots entendus, de lire et d'écrire aussi machinalement (action automat
s et les phrases qu'on prononce ; 3° alexie avec impossibilité de lire les mots quoiqu'il soit possible de lire les lett
exie avec impossibilité de lire les mots quoiqu'il soit possible de lire les lettres, ce dernier processus étant moins c
56 THÉRAPEUTIQUE. il arrive également que le sujet, tout en pouvant lire , est incapable d'écrire, car il ne retient pas
la durée de son accès, il comprenait très bien ce qu'on lui disait, lisait et écrivait parfaitement. Il quitte alors les H
lulaires évidentes et profondes ; par G. DADDi et SII,E ? Til],Nl. ( Lu Sperirnentule, n° 3, 1898.) Au cours de recherc
'un héritage qu'il vient de faire est chez lui bien ancrée et il en lire des conséquences logiques. On est donc loin de
réveiller l'instinct de la conservation. (Je me trouve très bien de lire et de commenter quelques passages de John Lubbo
nérescence mentale. Etat nevro- pathique, appoint alcoolique, dé- lire hallucinatoire, par Truelle, 337. Di'générescen
teur oculaire com- mun dans 1' organique, par Mirallié, 1. H6 : lu ;nrrc. L' comme (acteur dans l'étiolonie de la I
gine bulbaire, par Malty, 59. Un cas de - juvénile avec syphi- lis héréditaire, par Saporito, 62. )1%oli,mie dans
334. d'llypnolo- rie, ilti. Sommeil. Rapports entre la maladie ( lu - et le m\'xoede[ne, par Cri- quet, 62, par Mon
95 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
'ont pu y prendre part (1888, p. ix). 4 de ces enfants ont appris à lire . . 20 enfants de la petite école et de la petit
ellement il accourt au devant de nous, vient de lui-même demander a lire , écrire, et reste docilement il sa place tant q
prend quelques exercices de grammaire, fait chaque jour une dictée lue sur les lèvres. Il a été envoyé à l'atelier des t
leurs où son patron en est satisfait. ' Deux enfants ont appris à lire couramment : la 13oo... (Louis), nature apathiq
ceux de la grande école en trois sections. Aucun d'eux ne savait lire la musique et ne possédait de notions sur la th
rtenant à la fanfare. Presque tous les enfants savent, aujourd'hui, lire eux-mêmes les notes, en connaissent la valeur,
e la musique. Quand les enfants sont suffisamment avancés pour bien lire un morceau de chant et l'apprendre avec fruit,
visité la section des enfants le 17 octobre ; un jeune malade lui a lu un compliment d'usage et lui a offert un superb
larges, plus que dans un hôpital ordinaire afin d'éviter les col- lisions , les rixes entre les malades; 9° Il y aurait in
r il Bicêtre. J'ai entre les mains un rapport récent que je ne puis lire publiquement, 14 Imbécillité intellectuelle et
ons tous les ans, que M. Caplain pourrait apprécier s'il daignait lire le Rapport général sur le service des alié- nés
hysté- rique ; pas de paralysie, d'hémianesthësie. Pas de syphi- lis . Assez grand fumeur. - [Père, mort à 48 ans, ouvr
d'accès. Traitement : 2 bains salés; 2 capsules de bromure de camp lire ; aller jusqu'à 4. 1894. Peu de modification da
! i). Décembre. - L'enfant est très paresseux, refuse souvent de lire et de faire ses devoirs, ricane, si on le réprima
ai- tement (exercices de la prononciation et de la parole) ; - il lire , écrire, compter d'une manière passable ; à avo
96 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
et la suture métopique sont fermées. (1'ir/. 12). i Les Fig. 13, lu , 15 et 16 donnent une idée précise de la mal- f
âge de 5 ans. - Soeur morte de convulsions. - Soeur, colé1'cuse : -¡ lut ¡'e sceur, vagabonde, actuellement en correc- ti
blèmes sur les 4 règles. Son écriture a peu changé, mais il sait la lire ; fait des dictées et des rédactions. A acquis
. A acquis quelques notions de géographie et d'histoire. A appris à lire la musique, fait partie de la fanfare des enfan
t des progrès en classe, se con- duisant bien, travaillant, sachant lire , écrire, compter. Début apparent des troubles m
assez bonne. A la sen- sation du chaud et du froid. Il a dû savoir lire couramment, car il lit bien des noms difficiles
ppe, assez rapidement même : l'enfant est 1)on écolier, apprend à lire , à écrire, il compter. Puis, à la suite d'une b
on XXI (p. 140). I. Dû côté du père nous devons relever la syphi- lis survenue à l'âge de 19 ans, bien qu'elle ne sembl
llement stationnaire ; sa soeur a en vain cherché à lui apprendre à lire . La déviation du pied droit, qui s'accroit de p
s résul- tats de l'autopsie du crâne et du cerveau qui seront uti lises tout-à-l'heure dans la description qui termine l'
nouvelles de lui. Son état de santé était satisfaisant; ni syphi- lis , ni rhumatismes, ni dermatoses. Grand-père patern
a jamais envoyé à l'école;- on a vainement tenté de lui apprendre à lire , il sait compter' jusqu'à 40. Il se sert plus p
, ni clastoillanie, ni onanisme. Observation. 335 Elle ne sait ni lire , ni écrire, mais elle a une mémoire assez dével
nt et tient compte des observations qu'on lui fait. Elle ne sait ni lire , ni écrire et préfère bavarder en classe qu'y t
que. aurait néanmoins joui d'une certaine intelligence, il savait lire et écrire. Aucun autre antécédent pathologique ou
est onychop liage effrénée. Son intelligence est moyenne. Elle sait lire , écrire, faire les quatre règles, mais travaille
émoire est faible, mais son juge- ment est assez développé; il sait lire , écrire et compter. 1884. Juin. - Quelques prog
oeil droit. Peti ? n'a ni vertiges, ni tournements de tête, il peut lire mais est fatigué au bout de très peu de temps.
t nécessaires (1). ERRATUM. Page 202. Après les mots : Ne le...., lire : 18 décembre 1890. (1) Voir, pour compléter
97 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sé, dans ces attaques mêmes, un nouveau caractère de certitude. 1 Lu à l'Académie de médecine en 1875, ce mémoire, des
elui dont les dimensions s'en rapprochent le plus; on n'a plus qu'à lire le numéro et à en déduire le diamètre ce qui es
ssez malin. Son instruction a été un peu négligée, il sait pourtant lire , écrire et faire les quatres règles. Il était a
lir. En somme la perte totale des fonctions de sensibilité, dévo- lues à un hémisphère, ne saurait s'observer que dans d
ne des facultés de l'intelligence, celle d'inter- préter les signes lus ou entendus, qui est parfaitement compa- tible
e souvenir facile des anciennes sensations. Ainsi l'épileptique qui lira péniblement une ligne, résoudra aisément des éq
es de l'asile; il recevait avec plaisir les visites de ses parents, lisait , jouait aux échecs, etc. En outre, alors que du
jt)<ycAtM ? e, t. VI, 1879. Brochure mu de 24 pages, avec 2 gra\ lires hors texte. Wesiphal. ? 7;)'aH/fKay der hinters
e, ils entendent des voix qui leur reprochent ., leurs crimes, leur lisent leur arrêt de mort ou qui leur répètent qu'ils
mes imaginaires', était obsédée jour et nuit par une voix qui lui lisait son arrêt de mort et décrivait les supplices, t
nt le carac- tère morbide. Ceux qui nous feront l'honneur de nous lire , voudront bien, pour nous comprendre et partant
nstruction nulle. L'exception signalée prouve sans doute que savoir lire et écrire n'est pas indispensable pour apprécie
bien plus que pour les gens du monde, malgré son titre ; doit être lu en entier, mais ne peut être résumé; l'auteur exa
e la séance est consacré à la discussion sur le travail de M. Pohl, lu à la séance du 12 janvier. Séance du 27 avril.
de culpabilité. Mm, G... se croit magnétisée, s'imagine qu'on peut lire dans ses pensées et que ses pensées peuvent êtr
s'imagine qu'elle est persécutée par des gens qui ont le pouvoir de lire dans la pensée et qu'elle appelle des r(ii-igaf
failli succomber. D'une intelligence extrêmement précoce, il savait lire à trois ans ; mais d'un autre côté, il ne march
heure du jour, fait jusqu'à cinq repas, passe souvent ses. nuits à lire des romans ou des journaux; parle avec vivacité,
rait eu une fièvre typhoïde; il est allé à l'é- cole, il a appris à lire et à écrire, mais il a été peu appliqué et touj
l. i. 3 Louer. .l'-e/i. sur opltlh., 187. * Marchai (de Calvi). - Lue . cil., p. 2oS. Wickerslieiiner. Thèse de l',ma;
rogrès médical, 1875, 1). 1) Î. ' H. Lcpiue. Lyon médical, 1880, u" lu . 356 . REVUE CRITIQUE. l'ait caractéristique.
érale de la société ilarvéienne de Londres, le Dr C.-G. Henderson a lu l'observation d'un cas de variole confluente su
s ou moins facile ; nous souhaiterions que le travail de M. Fox fût lu et médité par tous les directeurs d'asile ; nou
98 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
rès couvent un mot à la place d'un autre (para- phasie). Il ne peut lire ni mots ni syllabes, ni chiffres, présentant le p
et principalement sur ceux qui se trou- vent dans le corps humain, lu à la séance du 26 pluviôse an XII 1804. In mém. d
s'ac- compagne de paralexie, de perte de la compréhension des mots lus et de troubles de l'écriture. L'excitation ma
é verbale, mais paralexie avec perle de la compréhen- sion des mots lus . Aum. ne présente pas de cécité psychique. Il rec
tée à l'envers, l'écriture est mise eu place et le malade cherche à lire , mais un certain nombre de mots sont déformés : i
t pas exé- cutés : il ne comprend pas les phrases qu'on lui donne à lire , même celles qu'il lit à peu près correctement.
urd ? 2 rouette... brouette. Vincennes (Imprimé). (Le mot n'est pas lu ). Mairie ( id. ). Meunier. Les lettres sont b
mot n'est pas lu). Mairie ( id. ). Meunier. Les lettres sont bien lues , mais si on les entoure d'un cartouche pour for-
F. » et s. v. p. il ne comprend pas. Les chiffres sont correctement lus mais de la façon suivante : ' 8 ........... 82
« je ne vois plus et la boussole n'est plus bonne ». j L'heure est lue correctement à l'horloge. , 5° Il existe des tr
exposés ci-dessus. Paralexie et perte de la compréhension des mots lus . - Il n'existait pas de cécité verbale, mais so
Il n'existait pas de cécité verbale, mais souvent, quand le malade lisait à haute voix, les mots étaient déformés ou même
nt d'être signalés (paralexie et perle de la compréhension des mots lus ) paraissent devoir relever de l'interruption de
si curieux que rares et on a peine à concevoir, à moins que d'avoir lu cet ouvrage, comment il fut possible à son aute
com- mune dans le département de la Marne, et a appris rapidement à lire ; quel- ques mois après il a voulu imiter ses ca
ent, l'examen complet du malade décelait : d'abord, la cécité abso- lue , sans myosis, ni mydriase, ni inégalité papillair
it faire rejeter l'influence, même à titre accessoire, de la syphi- lis , dans cette névrite optique, dont l'histoire étio
V. Système NERVEUX. - L'intelligence semble ordinaire. Le malade sait lire , écrire et compter. Sommeil bon, pas de rêves n
supérieure une ligne passant, en dehors à 15 centimètres au-dessus de lu pointe de la malléole externe, en arrière à 8 c
VIII. Intelligence. - L'intelligence semble ordinaire. Le malade sait lire , écrire et compter. Sommeil bon. Pas de rêves n
s les pieds, elle voit des morts. Elle prétend que depuis qu'elle a lu « les mémoires de Monsieur Claude » on lui fait
e a lu « les mémoires de Monsieur Claude » on lui fait ce qu'elle a lu . Dans la jeunesse et l'adolescence L... avait f
elles qui relèvent du myxoedème congénital ; enfin celles de syphi- lis osseuse congénitale, de fractures multiples intra
l'accommodation. La malade accommode ce- pendant assez pour pouvoir lire couramment de l'oeil droit quand son vice de ré
os de une minute qui les séparent. Les résultats des expériences se lisent facilement dans les tableaux suivants où sont ind
u une pression NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XIV, PI. LU 1 Cliché Aubert Photot) pie Berthnud SEIN HYS
de volume de 2 centimètres soit actif. Lorsqu'on saisit la peau du liras à pleine main, l'on tient un pli plus épais à d
vé avec un intérêt d'autant plus vif l'observation dont on vient de lire le résumé, qu'elle parait entièrement calquée sur
celles du tibia et du péroné, c'est-à-dire une sorte de rebrous- lu cartilage articulaire, formant une crête Fig.3.
Saignée d'un homme, gravure sur bois extraite de Liber pestilienta- lis , de H. Bnurrscnms (Strasbourg, Grûninger, 1500).
botomiste des siècles précédents explique leur abondance. « Plus on lire de l'eau d'un puits, disait Botal, plus il en rev
99 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
aturelle. Réflexions. — Il résulte de la description qu'on vient de lire : i° que les ganglions nerveux sont sujets à une
e, fere per totum intestini tenuis tractum haec vasa modo minus sueto lu cul en rissima inveni. Clandulae mesenterica? fer
n thèse générale que la (*) Pendant l'impression de cet article, je lis dans un journal de médecine (Nouvelle Bibliothèqu
médication, et par l'absence de douleur. Dans le cas qu'on vient de lire , bien que la rate fût le siège de suppuration, ne
est point un antiphlogistique. Non, je ne pense pas que cette maladie lût au-dessus des ressources de l'art bien dirigées.
tance, éventuelle, peut-être même cadavérique. C'est ainsi que nous lisons , dans les recueils d'observations, des exemples d
d'une malade qui succomba à la même époque que celle dont on vient de lire l'histoire. Voici le précis de son observation :
on le pense ; ayant eu occasion de faire part de celui qu'on vient de lire à M. Duméril, il se rappela un fait analogue cons
traites, par M. Barruel, de l'ovaire malade d'une jument. On vient de lire dans cet article plusieurs exemples de cholestéri
J'ai cru devoir appeler apoplexie du cœur l'altération qu'on vient de lire ; je trouve dans cette dénomination le double avan
récédent. Je préfère donc rapprocher de la description qu'on vient de lire un cas analogue décrit avec une rare exactitude p
anes fibreuses n'a été plus manifeste que dans le fait qu'on vient de lire . Nous avons vu qu'elle avait servi de barrière im
icoïdes étaient entièrement détruites. » Dans le cas qu'on vient de lire , M. Bouillaud attribue la mort du malade à la dés
aura été résorbée. Réflexions. — Dans l'observation qu'on vient de lire , point de céphalalgie, point de vomissemens; mais
ciences et arts, de la Haute-Vienne ; et sur la demande du préfet, je lis une Notice qui fut adressée par le ministre de l'
presque toujours sous la forme ataxique. L'observation qu'on vient de lire m'a paru être le type de cette forme de maladie.
ique fibreuse de l'intestin. Peut-on dire, dans le cas qu'on vient de lire , que l'éruption intestinale était une éruption cr
Cancéreuses des Méninges) (les sinapismes, des boissons délayantes lurent prescrits. Ces moyens devinrent inutiles, les sym
cancéreuses des Meninges.) des sinapismes, des boissons délayantes lurent prescrits. Ces moyens devinrent inutiles, les sym
nces de symptômes que présentent les deux observations qu'on vient de lire ? Pourquoi dans un cas existait-il de la fureur,
rophié du même côté PA'. Réflexions. — L'observation qu'on vient de lire peut fournir matière à un grand nombre de réflexi
et les chances de repullulation seraient infiniment plus grandes. On lira peut-être avec quelque intérêt l'observation suiv
ge cité une faute typographique. Au lieu de en avant de T avant-bras, lisez en arrière de Vavant-bras. 9e. Livraison. Pl. 2
l'autre qui ne pouvait la toucher que dans une flexion exagérée. Je lis dans le Journal hebdomadaire de médecine (compte
Je n'ai donc pas été surpris que tout dernièrement un Mémoire ait été lu à l'Académie royale de Médecine, dans lequel on r
voulurent assister par députation à l'ouverture du malade dont on va lire 1 histoire, persuadés qu'ils étaient que ce malad
rine en particulier, recherches dont les principaux résultats ont été lus à la Société anatomique, en janvier 1828, et sont
isent cette objection à sa juste valeur. XXV. L'expérience qu'on va lire va prouver directement que le pus produit dans un
re. Le fait suivant a beaucoup d'analogie avec celui qu'on vient de lire ; je regrette de n'avoir pas pu retrouver les note
çant. J'avoue qu'à la vue des pièces pathologiques dont on vient de lire la description, des doutes se sont élevés dans mo
e des vaisseaux lymphatiques, j'invoquerai : i° une observation qu'on lira plus bas, dans laquelle je trouvai pour toute lés
ns l'état le plus parfait d'intégrité. L'observation qu'on vient de lire est le seul exemple que j'aie rencontré de maladi
avait pu se faire transporter chez lui. Dans le cas qu'on vient de lire , la rapidité de l'amélioration après la cessation
ui se renouvelèrent toute la nuil. XVL L'observation qu'on vient de lire peut servir de type pour un certain nombre de cho
ité le nom de spasmodique ou d'as-phyxique que celui dont on vient de lire l'histoire. On conçoit, en effet, que les crampes
phleg-masie, soit aiguë, soit chronique. L'observation qu'on vient de lire prouve que l'inflammation, suite du choléra, surv
ître le rapport qui existe entre les deux observations qu'on vient de lire . Dans le dernier cas, la femme était dans un état
Hunter, Desault, puis reprises par Everard Home, qui, dans un mémoire lu à la Société royale de Londres en 1806, leur a do
la perforation de la base de cette végétation. C'est le fait qu'on va lire qui m'a suggéré cette idée, que je soumets bien v
ns. Toutes les circonstances relatives à l'observation qu'on vient de lire , rentrent parfaitement dans les généralités par l
pêtrière, en même temps que j'observais en ville celui qu'on vient de lire . 20e. Livraison. Pl. 5. Perforation spontanée
inue en aucune manière avec le tissu de la cicatrice. Gastrite chro lue ulcéreuse par suite d'un choléra léger ; hématémè
100 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
ésite pas à corriger ou plutôt à atténuer les caractères trop abso- lus qu'il avait d'abord attribués à ce type dans sa p
QUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 41 de l'aphasie hystérique. On lira plus loin l'observation d'un syndrome hystériqu
e et fréquent. Impossible de vérifier à cet âge s'il y a faculté de lire ou d'écrire. Mais il n'y a certainement pas de su
souffrir. Le visage de l'enfant était déchirant ; sur ses traits se lisait la douleur. Dans ces conditions, je conjurai le d
d'église en langue latine, il entrait dans une rage furieuse. Si je lisais au contraire un passage d'un classique, il me lai
Si je lisais au contraire un passage d'un classique, il me laissait lire tranquillement. Après l'expulsion du diable, l'
state, en outre de ces troubles trophiques, une insensibilité abso- lue des deux dernières phalanges du médius et de l'in
de phénomènes trop nombreux et trop complexes pour que l'analyse en lire quelque profit. Mais alors même que nous ne sau
SUR UN CAS D'ARTIII ! OI'ATlI18 TABÈT10UI ! DES DEUX UANCUES 149 lu . 57 au lieu de 1 m. 65 qu'il avait z 21 ans. Comm
, pendant son séjour à l'hôpital, elle a eu de l'incontinence abso- lue . Comme stigmate extérieur de syphilis, on const
ularité également bien digne d'intérêt, dans l'observation qu'on va lire , c'est qu'il s'agit d'un névropathe, et que l'app
e d'une façon intermittente. L'incontinence d'urine est aussi abso- lue qu'au début ; mais il n'existe pas de symptômes d
son de Neuilly qu'il aimait tant. Je lui avais porté, pour qu'il le lût et le cor- rigeât, un des derniers chapitres du
s auteurs qui ont étudié les complications médullaires de la syphi- lis se sont peu attachés à faire ressortir les partic
tance au même point de vue. Dans un important travail sur la syphi- lis des centres nerveux, Oppenheim (l)a émis cette op
e tabes dorsal spasmodique développés sous l'influence de la syphi- lis , qui ne sont pas sans analogie avec le suivant.
Vach., 1889. VI 19 274 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. lis , jusqu'ici bénigne, avait été parfaitement soigné
Son origine devait être fort obscure : jamais il n'avait appris il lire ni il écrire et cependant, comme ses congénères
incapable de se rappeler un seul motif entendu. Mais il continuait à lire la mu- sique couramment. En 1885, il alla con
lir ce long voyage à la Salpêtrière. Et sa confiance était si abso- lue , la certitude du succès si parfaite qu'elle a imm
uict sortes de langues toutes différentes, et en chacune d'icelles, lire et escrire, et s'il eust ouy parler un homme di
de souf- frir des yeux, de ne pouvoir fixer longtemps un objet, ni lire , ni écrire, sans ressentir une fatigue douloure
Plancy, loc. cil., p. 104. (2) Collin de Plancy, loc. cit. vt 24 lue 354 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
médie en 1,2 scènes. Nancy, 1882, in-16. [Ylh. 20. 905J (cote de la lis . Nat ). Blechmann (Bernhard). Ein Beilzvtg sur
/ 195