ique est peu énergique. 4° La teinture de cantharides, 5" Vammoniaque liquide ^ 6" la teinture d'iode ont été aussi employées po

de plomb. Cet appareil j)rotége bien les surfaces avivées contre les liquides du vagin, et empêche les fils de s'enfoncer dans

des règles, et M. James fit une ponction de l'utérus, il s'écoula un liquide aqueux, et deux jours après eut lieu l'expulsion

illeurs ouvert à ses deux bouts, de manière à permettre la sortie des liquides utérins et vaginaux. Les pessaires de M, Gariel

c'est un vrai cloaque qui reçoit l'urine, le sang des menstrues, les liquides leucorrhéiques' du vagin et de l'utérus, les gaz

une voûte les parties importantes de l'opération et les préserve des liquides du vagin ; elle reconstruit le côté antérieur de

raisons particu-lières de redouter la désunion par l'infiltration des liquides , ce lambeau puisse être utile comme pansement déf

vertir en ulcération, surtout quand elle est faite par des caustiques liquides , et que cette ulcération peut être suivie d'adhér

, ont été ajoutés dans ces dernières années à la liste des caustiques liquides ; le caustique de Filhos qui n'est autre que la p

ignent facilement lors-qu'on les porte sur des tissus mous, gorgés de liquides ; il faut donc dessécher la surface malade avant d

indre à chaque instant quand on l'applique sur des parties gorgées de liquide ; ce dernier inconvénient peut être souvent évité

gtemps sur le même point; si la combustion du col en fait jaillir des liquides qui éteignent la flamme, il est très-facile de la

argent en solution ou à fétat solide. Pour appliquer les caustiques liquides , on commence par dilater le col si la maladie ne

nt, car la plupart des injections intra-utérines sont faites avec des liquides caustiques ou cathérétiques ; solutions de nitrat

ns de cette espèce de péritonite instantanée, c'est la pénétration du liquide injecté, dans les trompes de Fallope et dans la c

es coliques utérines dues à la distension de la cavité utérine par le liquide injecté, ou bien encore elles sont le résultât d'

périences ont établi qu'avant tout il faut assurer la libre sortie du liquide injecté, en dilatant préalablement le col, soit à

ue son orifice supérieur se contractera toujours un peu au contact du liquide . Il est évident que, s'il existe une déviation ou

gères, et graduellement on arrive aux plus fortes. Quelle quantité de liquide peut-on injecter? La capacité de la cavité utérin

e reflux par les trompes ; mais si l'on a bien assuré la sortie de ce liquide par le vagin on peut aller bien au delà, surtout

de ce liquide par le vagin on peut aller bien au delà, surtout si ce liquide est simplement détersif. Enfin il est important d

trument dont on se sert jusqu'au fond de l'utérus, afin que le jet du liquide lentement injecté s'y brise et revienne le long d

avait pas de tendance aux hémorrhagies, c'est de chauf-fer un peu le liquide avant de l'injecter •, on provoque ainsi beaucoup

graduée, lorsqu'on veut employer des quantités bien déterminées d'un liquide énergique. Le plus souvent on adapte l'un de ces

onde à double courant; c'est en effet un moyen d'assurer la sortie du liquide et de prévenir ainsi la distension de la cavité u

ne; on peut avec cet instrument injecter sans danger des quantités de liquides bien supérieures à la capacité de l'utérus. Il es

tes à cette occasion et prouvèrent qu'avec une injection mo-dérée, le liquide ne passe pas dans les trompes. En 1848, M. West,

armants, un fut suivi de mort; ce malheur ne fut pas dù au passage du liquide dans la cavité abdominale, mais à l'action direct

t avec succès des injections de chloroforme, d'eau-de-vie et d'autres liquides dans la cavité utérine pour traiter l'hystérie. L

té ; à mesure qu'elle sort on absterge avec des boulettes de coton le liquide icho-reux et le sang qui s'en écoule ; et lorsque

ès la ponction, il en résulte qu'il se vide incomplètement et que les liquides qui y stagnent s'altèrent, ce qui peut amener des

s accidents est lent ; il se peut même qu'avec une petite quantité de liquide il n'y ait pas d'accidents bien prononcés ; le pl

érine cesse sous l'influence des contractions répétées et qu'alors le liquide fasse brusquement irruption au dehors avec un bru

et très-courte. Bien que la distension des trompes de Fallope par le liquide accumulé dans la cavité utérine soit plus rare ic

rie, on a vu cette distension aller jusqu'à per-mettre l'irruption du liquide dans la cavité abdominale, ce qui a déterminé une

Lorsqu'il n'est pas possible de lever l'obstacle à l'écoule-ment du liquide , comme on peut le faire dans les cas de flexions,

elles peuvent être très-violentes, elles cessent aussitôt que du sang liquide ou un caillot a été expulsé. Comme conséquence

é ces bourdonnets entre les doigts pour les débarrasser de l'excès de liquide , on en porte un dans un des angles de la plaie, e

de l'inflammation qu'il peut provoquer dans la cavité utérine, et des liquides putrides qui stagnent dans cette cavité. La cau

ès qu'elle a été pla-cée ; son but est d'éviter les inconvénients des liquides putrides que la ligature produit, tout en conserv

su cellulaire lâche. Dans la transformation ccdémateuse on trouve des liquides infiUrés soit partiellement, soit dans toute la t

Le con-tenu peut être de la sérosité citrine ou sanguinolente, ou un liquide gélatineux. Cette transfor/nationgéiatineuse -peu

en n'en empêche la reproduction, et que, si l'on enlève la tumeur, le liquide se reproduit avec une rapidité extrême qui condui

audes enveloppées de laine ; une poire en caoutchouc pour aspirer les liquides ou pour avoir un jet de liquide en faisant le ])a

poire en caoutchouc pour aspirer les liquides ou pour avoir un jet de liquide en faisant le ])ansement; un plat à barbe peu pro

de manière à pouvoir être appli-qué contre le pubis pour recevoir les liquides qui pourraient souiller le lit; un clysopompe et

-sants et on combat les vomissements en évitant de faire pren-dre des liquides sucrés, en donnant de la glace, ou même du Champa

uption en dehors à plu-sieurs reprises, de l'air, du sang et d'autres liquides avaient pénétré dans la cavité abdominale ; pour

ble que le contact de l'air favorise la décomposi-tion du sang et des liquides épanchés ; mais ces inconvénients sont largement

rences nouvellement établies et de permettre ainsi l'infiltration des liquides morbides dans la cavité du bassin. Cette tympanit

enu. Ainsi, c'est dans les kystes uni-loculaires qu'on trouve soit un liquide clair comme de l'eau de roche et ressemblant à ce

l'eau de roche et ressemblant à celui des kystes hydatiques, soit un liquide séreux, hmpide, facile par conséquent à évacuer;

ile par conséquent à évacuer; les kystes végétants font exception, le liquide qu'ils contiennent est souvent visqueux, et filan

es dont ils sont le siège, chan-gent très-facdement la consistance du liquide qui de séreux et citrin peut devenir albumineux,

lat, ou même très-purulent. Les kystes multiloculaires présentent des liquides dont l'aspect peut varier dans chacune des loges;

loppées et à peu près de même grosseur; mais on peut aussi trouver un liquide clair dans une loge à côté d'un liquide épais, ou

mais on peut aussi trouver un liquide clair dans une loge à côté d'un liquide épais, ou sanguinolent ou chargé de cholestérine

uoi la ponction ne peut donner issue qu'à une très-petite quantité de liquide . Rien n'est variable comme le contenu des kystes

colloïde, du squirrhe, de l'encéphaloïde, de la mélanose ; tantôt des liquides albumi-neux, sanguinolents, purulents, chargés de

on-tenu, tout tend à se confondre en une même masse. Les quantités de liquide que peut contenir un kyste de l'ovaire sont très-

son intérieur un grand nombre de petites poches qui nageaient dans le liquide du kyste. Les cloisons qui séparent les loges des

ntenu du kyste ; elle ressemble à une membrane pyo-génique lorsque le liquide est purulent. Les kystes aréolaires et les kyst

e ponction on voit que le retrait du kyste s'effectue à mesure que le liquide s'écoule, on est fondé à croire que le kyste est

rhagie interne ; la ponction donne une certitude en faisant sortir un liquide san-guinolent, mais c'est déjà une opération qui

nière fâcheuse le contenu des kystes de l'o-vaire; ainsi, au heu d'un liquide séreux, l'inflammation pro-duira du pus, des faus

l'existence du kyste lorsque l'abdomen est fortement distendu par le liquide ; il faut toujours beau-coup d'attention et des ex

es caractéristiques des deux maladies, et pour déplacer une couche du liquide ascitique de manière à percevoir plus profondémen

nction. — On la pratique à l'aide de trocarts assez gros, pour que le liquide s'écoule facilement, s'il est épais ou chargé de

yncope, on arrête momenta-nément ou mieux définitivement la sortie du liquide . La main gauche de l'opérateur et même celles d'u

une solution styptique suffiront. Il n'est pas rare de voir sortir du liquide pendant plusieurs heures ou même plusieurs jours

usieurs heures ou même plusieurs jours après l'opération ; souvent ce liquide vient d'une ascite qui accompagne les kystes volu

et qu'en ou-tre, quand on peut l'atteindre, ce n'est pas toujours du liquide qu'on trouve dans cette partie inférieure, mais d

on 5 centi-mètres dans la cavité du kyste. On retire le stylet, et le liquide s'écoule; si sa consistance fait obstacle à sa so

t de la malade par l'évacuation ra-pide d'une très-grande quantité de liquide et les changements qui en résultent pour les visc

etarder le développement du kyste, en empêchant sa disten-sion par le liquide ; quelquefois elle détermine la résorption du cont

éritoine. Employée après la ponction, elle retarde la reproduction du liquide , probablement en comprimant les vaisseaux qui le

ion est surtout utile pour les kystes uniloculaires sans adhérences à liquide non albumineux, et lorsque la malade peut persévé

les kystes uniloculaires en deux catégories seulement : les kystes à liquide séreux, ou sanguin, ou hydatique, ou purulent, et

iquide séreux, ou sanguin, ou hydatique, ou purulent, et les kystes à liquide albumineux, épais, filant, huileux. Les premiers,

rale. La ponction faite, on retire le poinçon et on laisse écouler le liquide par la canule, sans imprimer le moindre mouvement

variées pour que toutes les parois du kyste soient en contact avec le liquide ; ce contact n'est pas douloureux. La sonde que

actant ; elle permet de malaxer le kyste sans danger d'épanchement du liquide dans le péritoine, de re-tirer tout le liquide in

anger d'épanchement du liquide dans le péritoine, de re-tirer tout le liquide injecté, de faire même le vide dans le kyste, de

ale près du point ponctionné, de ma-nière à éviter la pénétration des liquides dans le péritoine et l'introduction de Pair dans

ardes de ouate et enfin un bandage de corps modérément serré. Si le liquide est assez épais pour s'écouler difficilement, on

e soit grand ou petit, M. Boinet injecte toujours la même quantité de liquide , loo ou 120 grammes d'un mé-lange à parties égale

annique. Le point important, dit-il, n'est pas d'injecter beaucoup de liquide , mais d'en introduire assez pour que toute la sur

u kyste en soit imbibée par la malaxation. Quand un kyste contient un liquide clair comme de l'eau de roche, la guérison a pres

resque toujours lieu après une seule in-jection ; les kystes séreux à liquide citrin sont un peu moins favorables. Quand on est

ste soit rempli de nouveau; on doit opérer dès qu'on a reconnu que le liquide se forme de nouveau et dès que la ponction est po

quand on est obligé de faire plusieurs ponctions, ou encore quand le liquide est purulent, on augmente la proportion de la tei

es. Au bout de six ou huit mois le kyste ayant de nouveau sécrété des liquides , on a fait tout de suite une autre ponction suivi

la tarit pas toujours, mais elle la transforme presque à coup sur en liquide séreux et de bonne nature ; cet effet a été quelq

tirer la sonde, on s'est aperçu qu'il y avait un nouvel écoulement de liquide et fon a bien reconnu qu'il venait d'une ascite ;

les uns aux au-tres, une des poches s'est rompue et l'épanchement de liquide a déterminé une péritonite ; c'est là un fait tou

ous du premier; en faisant alors l'injection dans ce second kyste, le liquide peut s'écouler le long des parois de la sonde et

aut pour l'exécution de l'opéra-tion ; tantôt c'est la composition du liquide qui n'est pas con-forme au précepte ; tantôt c'es

plusieurs des kystes ainsi guéris aient contenu plus de 20 litres de liquide . 18 fois il a été fait deux injections seulement

t-il, retiré d'au-tres avantages qu'un retard dans la reproduction du liquide . Mais nous nous hâterons d'ajouter que cette méth

lusieurs succès, notamment dans un cas de kyste multiloculairedont le liquide était filant et visqueux. Ces témoignages nous pa

ifica-tion a été appliquée aux kystes uniloculaires qui renferment un liquide filant, huileux, épais, difficile à évacuer. Aprè

as de l'abdomen, on laisse sortir par la canule de ce trocart tout le liquide qu'on peut obtenir, puis on introduit une sonde d

ntre. La malade débouche la sonde plusieurs fois par jour pour que le liquide s'écoule ; et le chirurgien fait tous les 2 ou 3

s les 2 ou 3 jours des injections dans le kyste pour le laver ; si le liquide s'altère, on fait des injections plus fréquentes.

râce au retrait de ses parois et de celles de l'abdomen ; si alors le liquide s'é-coule encore difficilement, on le délaye avec

pendant tout ce temps sur les lavages et les injections iodées. Si le liquide ne s'altère pas, ces dernières peuvent être fai

r lui-même et qu'il ne peut plus contenir même une demi-cuil-lerée de liquide , ce qui suffirait pour qu'il pût se reproduire ;

ux et impropre à remplir les indi-cations dans le cas de viscosité du liquide . Ce jugement n'est pas sans appel, et depuis cett

servateurs sont la fièvre hectique, la constipation, la réten-tion du liquide , la sortie de la canule, le ramollissement pu-tri

aplasmes émollients ont triomphé de la constipation ; la rétention du liquide a paru due le plus sou-vent à l'obstruction de la

En résumé, ce traitement paraît convenir aux kystes unilo-culaires à liquide filant, aux kystes uniloculaires qui ont suppuré,

tes uniloculaires qui ont suppuré, et même aux kystes uniloculaires à liquide séreux, quand la ponction et l'injection iodée ne

ble beaucoup, puisqu'il n'en diffère que parce qu'on n'injecte pas de liquide irritant. Le but est d'établir une ouverture perm

ises ponctionnée et injectée avec la teinture d'iode sans succès ; le liquide était devenu purulent, et la malade se mou-rait d

t, pénétrés de l'utilité qu'il y a à obtenir un écoulement complet du liquide , en empêchant le contact de l'air avec la cavité

accompagnent par-fois la sortie trop prompte d'une grande quantité de liquide ; 1° de maintenir le kyste parfaitement vide, en

qui dispense d'attendre la formation des ad-hérences pour évacuer le liquide . Voici comment l'auteur dé-crit sa méthode. L'a

, placé près du pavillon de la canule, permet de ne laisser sortir le liquide que lorsque le tube de l'ampoule a été vissé sur

u manche placé en haut. On laisse s'écouler le quart ou la moi-tié du liquide , on ferme le robinet, et l'on place la ceinture à

visse au pavillon du trocart; alors on ouvre les deux robinets, et le liquide con-tenu dans le trocart passe dans l'ampoule ave

ièrement abandonnée ; il est certain que pour les kystes remplis d'un liquide qui peut s'écouler facilement, elle est inférieur

eure à la ponction ; il faut aussi reconnaître que les kystes dont le liquide est consistant sont souvent des kystes multilocul

ète. — Cette opération a été pratiquée dans l'intention de laisser le liquide couler dans la cavité péritonéale et s'y résorber

ires, ne présentant pas d'adhérences ou en ayant fort peu, et dont le liquide est très-peu albumineux, et d'un poids spécifique

rminer l'espèce. S'il s'agit d'une kyste uniloculaire, renfer-mant un liquide séreux, clair comme de l'eau de roche, on ne doit

dangereuses. On peut aussi espérer la guérison par l'injection, si le liquide est sanguinolent ou purulent, sans qu'il y ait d'

ailleurs de complication. Mais si le kyste unilocu-laire, renferme un liquide épais, filant, soit déprime abord, soit consécuti

parois soient épaissies, soit qu'il y ait à sa base d'autres tumeurs liquides et solides. Les kystes multiloculaires ou compo

ce cas s'abstenir, parce que les reins sont altérés. Relativement au liquide ascitique, il faut y voir un contre-indication lo

ribue. Elles font reconnaître la nature du kyste et les caractères du liquide qu'il contient ; elles démontrent dans certains c

, soit en diminuant la gravité de cette opération lorsqu'on évacue le liquide quelques jours, ou même peu d'heu-res avant d'enl

caoutchouc pour vider rapidement le kyste ; un seau pour recevoir le liquide du kyste. 5° Un clamp pour serrer le pé-dicule et

ie; tubes à drainer; seringue ou poire de caoutchouc pour aspirer les liquides et faire des lavages. 12" Du perchlorure de fer à

e la malade près de son bassin ; c'est lui qui leçoit dans un vase le liquide de la ponction. Un quatrième aide est chargé des

linée de la tête aux pieds, dans le but de faciliter l'évacuation des liquides ; ce très-petit avantage est contrebalancé par un

ir saisir convenablement le kyste qui s'échap-perait et verserait son liquide dans l'abdomen ; à éprouver des difficultés dans

déchirer ces pa-rois et produire ainsi un épanchement considérable de liquide dans la cavité abdominale. Pendant ce premier tem

res bien appliquées sur le kyste, de telle sorte que s'il s'écoule du liquide entre le trocart et le kyste, il ne puisse au moi

b, qui tombe dans un baquet placé à la droite du lit pour recevoir le liquide du kyste. L'instrument de Thomson, modifié par MM

le trocart qu'on aura choisi, plus on aura à craindre cette fuite des liquides , parce que les gros trocarts déchirent les kystes

il y a donc un vide dont il faut se défier. Au fur et à mesure que le liquide s'écoule dans le baquet et que le kyste tend à s'

gts, les empêche de s'échapper, et préserve la cavité abdo-minale des liquides qui pourraient sortir du kyste. Une manière trè

e cette liga-ture. 11 est extrêmement important de retirer tous les liquides qui ont pu s'épanclier dans le péritoine pendant

organes pelviens pour bien examiner tous les replis du péritoine. Les liquides seront abs-tergés avec des éponges fines et douce

n fait descendre jusqu'au fond de l'excavation et qui déverseront les liquides au-dehors. Quand toutes les épingles sont placé

déve-loppée dans l'autre ovaire ; il la ponctionna ; il en sortit un liquide clair, et on y trouva un fœtus mort. La plaie fut

îo centimètres, et il sortit un fœtus de cinq mois, avec beaucoup de liquide amniotique. On détacha le placenta, mais l'utérus

ans les replis et les culs-de-sac du péritoine ; dans ce cas. si le liquide suinte ou s'écoule le long du pédicule, on en fa-

on qu'il fit par le vagin, donna lieu immédiate-ment à la sortie d'un liquide fétide et les accidents cessèrent aussitôt. Dans

trante et le contact de l'air, que la présence de ces corps étrangers liquides qui s'infiltrent dans tous les replis, comme le s

du péritoine. La ponctionpar le vagin, dans le cas de collection de liquide dans le bassin, a été préconisée par M. Wells; so

pendent à la vulve, et conduisent au-dehors les moindres quantités de liquide épanché dans l'abdomen ; lorsque l'anse est placé

res de la Société de biologie. Paris, 1852, t. IV. Méhu. Analyse du liquide des kystes de Vovaire. Archives générales de méd.

vante : sans retirer du kyste la canule qui a servi à l'évacuation du liquide , on soulève d'une main une partie de la paroi, pu

de la canule ; cette ligature empêche l'écoulement dans l'abdomen des liquides qui peuvent en-core rester dans le kyste ; on a a

on dans sa canule. En retirant le poinçon d'une certaine longueur, le liquide s'écoule par un tube qui est soudé obliquement à

acuateur en caoutchouc, il y a un tube de verre qui permet de voir le liquide . Figure xiii et Figure xiv. Appareil de M. Buys

et à fermer l'ouverture ; un long tube en caoutchouc c donne issue au liquide . Figure xvi. Trocart pour la ponction vaginale

est mousse ou pointu à volonté ; un robinet b permet Fécoulement des liquides lorsque le poinçon est retiré ; la lame a sert à

e le poinçon est retiré ; la lame a sert à agrandir l'ouverture si le liquide sort avec peine parla ponction vaginale. Figure

à l'endoscope, M ouverture fermée par une petite glace, pour que les liquides de la vessie ne puissent passer dans la sonde et

Figure ix. Sonde à double courant pour injecter dans la vessie des liquides pulvérisés (Foucher). Figure x. Extrémité d'une

La portion qui est à droite montre la sonde et le tuyau de sortie du liquide . La portion de gauche montre l'hémisphère en plom

aoutchouc qui joue le rôle de corps de pompe, et le tuyau d'entrée du liquide . TV. B. La fécondité des chirurgiens et des fab

irrigateur Éguisier dont le tube vient s'adapter en c, et les jets de liquide sortent parles fentes de la boule o. Au lieu d'un

rmée par un bouchon. Extrémité percée de trous par lesquels sort le liquide injecté. 0, Large ouverture pour la sortie du liq

esquels sort le liquide injecté. 0, Large ouverture pour la sortie du liquide . Là commence le con-duit de retour. Figure xix.

crachats qui obstruent la canule ou la trachée, et pour instiller des liquides par l'ouverture faite à la trachée. Figure xxvi

nication, une pression légère exercée sur la vésicule fait refluer le liquide dans le pédicule. Souvent une ou deux vésicules p

dans la main, par le seul fait du battement des artères, une masse de liquide , et d'une autre part n'ait pas été induit en erre

ns toutes ses périodes : je ne parle point de la couleur rougeâtre du liquide contenu dans les vésicules, couleur que j'ai eu o

ve, a présenté : i" au centre, une cavité C anfractueuse contenant un liquide séreux ; 20 la presque totalité de la tumeur étai

trace de substance tubuleuse. Des poches fibreuses, remplies ici d'un liquide transparent, là de matière trouble et noirâtre, s

'une masse celluleuse dont les mailles auraient été dissociées par un liquide trouble interposé : on ne pouvait d'ailleurs expr

t énorme et transformation du rein en un tissu spongieux pénétré d'un liquide lie de vin. Les figures 3 et 4 de la même planc

ésente tous les signes d'une ascite commençante. A travers un flot de liquide on reconnaît une tumeur volumineuse, sensible à l

ne se sont manifestées qu'après l'évacuation d'une grande quantité de liquide purulent contenu dans son épaisseur. Si on faisai

in, on exprimait, par la plus légère pression, une grande quantité de liquide lie de vin épais P, formé comme par un mélange de

e divisée à un jet d'eau continu qui enlevait le 1VG LIVRAISON. 1 liquide à mesure, j'ai trouvé au lieu de la substance rou

minant sous l'eau plusieurs fragmens de ce rein entièrement privés du liquide qui les pénétrait de toutes parts, j'ai vu à l'œi

musculaire de la cuisse d'un cheval. 11 fallut une énorme quantité de liquide et une pression long-tems continuée pour pouvoir

ais, d'une part, on a vu des pieds-bots naître au milieu d'un flot de liquide très-considérable (j'ai recueilli dans ma pratiqu

ire à sec ? Quant aux influences extérieures, tel est le mécanisme du liquide de l'amnios, que le fœtus ne saurait éprouver auc

aux, lors même qu'il ne serait es***™* «F^ Far une petite quantité de liquide . C'est ainsi qu'on voit toxnc ico jours des enfan

ans un point seulement j'ai trouvé un petit foyer pisiforme FP de pus liquide . Du reste, la partie saine du tissu de la rate es

rée dans un état voisin de l'ordre, pourra opérer la résorption de ce liquide épanché, résoudre, cicatriser. Elle peut au besoi

arron. J'ai conservé pendant plusieurs années du papier teint avec ce liquide . Il n'est pas fort rare de rencontrer le ramoll

: une douleur très-vive à l'épigastre est la suite de l'ingestion des liquides les moins irritans, même de l'eau sucrée. La mala

ment de cet organe, en ajoutant toutefois une plus grande quantité de liquide . Les vaisseaux du foie étaient gorgés de sang,

é ; sa mollesse était telle qu'on eût dit qu'elle était formée par un liquide boueux contenu dans une poche unique. J'y fis une

J'y fis une ouverture, et à l'aide d'une pression légère j'obtins un liquide de consistance de bouillie claire,que je reçus da

ance de bouillie claire,que je reçus dans une fiole; la couleur de ce liquide était d'un brun marron foncé; étendu sur du papie

e persiste ; il n'obtient de soulagement qu'en se couvrant la tète de liquides réfrigérans ; mais il ne peut nullement subvenir

auxquels était entièrement uni et comme combiné un sang noir, encore liquide en quelques points, coagulé dans d'autres. L'hé

partent du cœur ou qui s'y rendent. Il existe en outre un peu de sang liquide dans le péricarde. La couche de sang enlevée, on

aire adjacente offrait une grande mollesse; elle était infiltrée d'un liquide brunâtre non fétide qu'on exprimait avec la plus

mollasse , d'une couleur bleuâtre dansloute son étendue, pénétré d'un liquide séreux trouble, non fétide ;»il était traversé ça

M. Pinault. Il existait tout le long du bord postérieur du poumon un liquide sanieux et fétide, circonscrit par des adhérences

umon un liquide sanieux et fétide, circonscrit par des adhérences. Ce liquide communiquait avec une excavation gangreneuse situ

es le volume d'une noix, le plus grand nombre celui d'une aveline. Un liquide brunâtre et fétide était infiltré au loin dans le

endre pour des débris de tubercules quelques grumeaux blancs mêlés au liquide sanieux et horriblement fétide qui remplissait qu

mparant peu à peu et de la matière colorante et de la portion la plus liquide du sang. Ces concrétions s'organisent-elles? Leur

uefois l'impulsion du sang l'emporte sur leur résistance, et alors ce liquide se fraie un passage au travers d'elles, quelquefo

rgement ouverts d'arrière en avant, ces kystes étaient remplis par un liquide boueux jaunâtre, au milieu duquel j'ai trouvé, et

ration, sont peu à peu attaqués, entamés, et versent dans la poche le liquide qu'ils contiennent. On y trouverait du sang, si l

ie - mère qui recouvre le foyer sanguin FAP, et que la partie la plus liquide du sang s'est épanchée dans le tissu cellulaire s

u tissu cellulaire sous-arachnoïdien (fig. 1'), que la partie la plus liquide du sang s'est fait jour dans le tissu cellulaire

les du cerveau. Il s'écoule du sang assez abondamment. Rachis. « Ce liquide coula de nouveau en grande quantité quand j'ouvri

rande quantité quand j'ouvris ce canal osseux. Il y avait peu « de ce liquide à l'extérieur de la gaine méningienne ; la plus g

yen du foie. Sa grosse extrémité était très-volumineuse et remplie de liquide . A sa surface, comme d'ailleurs dans l'épaisseur

leur surface interne et les autres contenues dans leur épaisseur. Le liquide qu'elles contenaient était trouble comme de la ch

nt rotulien, existait un kyste gros comme une noisette, rempli « d'un liquide rougeâtre au milieu duquel nageaient une immense

volume d'un œuf de pigeon, à parois transparentes , et rempli par un liquide visqueux. Il y a réellement deux vagins adossés d

urdement miné par l'absorption, se détache entraîné par le torrent du liquide qui l'entoure. Alors le pus se mêle au sang, et à

qui est formé de toutes pièces dans les veines. L'absorption du pus, liquide très-composé, s'exerce successivement sur les div

ns qui le constituent : il est d'abord dépouillé de la partie la plus liquide ; sa partie la plus solide n'est absorbée que plus

cèles qui n'étaient autre chose qu'une hydrocèle à parois épaisses, à liquide trouble et opaque, qu'une hématocèle! Il m'a donc

t à ce corps fibreux, dont elle est séparée par une couche épaisse de liquide . A la partie supérieure de la tumeur, il existe u

res. Dans la première espèce, la matière contenue est le plus souvent liquide ; dans la seconde, elle est le plus souvent filan

variable. Tantôt c'est une sérosité limpide; d'autres fois, c'est un liquide filant, albumineux, une gelée rougeâtre, souvent

oppé, en forme d'outre. Fluctuation obscure; on dirait que le flot du liquide n'arrive aux doigts explorateurs qu'à travers une

pratiquer la ponction; on se proposait de n'évacuer que la moitié du liquide pour prévenir la syncope qui accompagne souvent u

ecours à une seconde, puis à une troisième qui amena une cuillerée de liquide gélatineux, jaunâtre, et démontra l'inutilité de

ée de l'ovaire et de l'ascite sont les suivans : i° dans l'ascite, le liquide occupe toujours les parties les plus déclives; en

aux lombes, et cela dans une étendue variable, suivant la quantité de liquide épanché; de plus, le son mat changera de place av

ité de liquide épanché; de plus, le son mat changera de place avec le liquide dans les différentes positions que vous ferez pre

u soit par lepaississement des os du crâne, soit par la présence d'un liquide ; 3° à l'induration partielle ou générale du cerv

lle est destinée à remplir un vide, de la même manière que la graisse liquide qui entoure le cerveau des poissons : il est une

les cerveaux petits sont toujours entourés par une couche épaisse de liquide . Ce fait intéresse encore sous le rapport de la

e gauche du cerveau contre la faux, en sorte qu'après l'évacuation du liquide il restait un grand vide, surtout en arrière, ent

eau; et, en effet, il s'est échappé par une incision superficielle un liquide brun marron foncé : les caillots qui remplissaien

quelques concrétions ossiformes sous l'arachnoïde; grande quantité de liquide sanguinolent, au moins un verre dans le canal rae

a manière la plus manifeste qu'il existait une petite quantité de pus liquide dans la cavité de l'arachnoïde spinale. Le crâne

arois du kyste. La matière contenue m'a paru être constamment soit un liquide qui conserve encore quelques-unes des propriétés

a substance tubuleuse est oblitérée, se distend par l'accumulation du liquide qu'elle fournit (et l'anatomie démontre que tous

des kystes; et les différences que l'on observe dans les qualités du liquide contenu sont sans doute en rapport avec les modif

ement, on en voit suinter comme du pus qui trouble la transparence du liquide . Elles sont tantôt d'une couleur rosacée, ou noir

ollientes qu'il faudrait appliquer? Seraient-ce de l'acétate de plomb liquide , de légers astringens, une décoction de quinquina

ge de sang et de pus, et la prédominance de l'un ou de l'autre de ces liquides déterminait la différence de couleur. L'estomac s

maladie, la fluxion se faisant d'une manière extrêmement rapide, les liquides soient infiltrés dans les tissus (*) C'est à to

perforation P à travers laquelle s'étaient épanchés et les gaz et les liquides contenus dans l'intestin. Entérite folliculeuse

fut facile d'exprimer de cette substance ramollie des gouttelettes de liquide poisseux. Le reste du cerveau et tous les autres

rateur, sourdement miné par l'absorption, se détache, entraîné par le liquide qui l'entoure. Alors le pus se mêle au sang, et à

e au moindre attouchement dénote la présence d'une grande quantité de liquide dans le ventricule correspondant. En effet, le ce

n pure et simple du volume de l'organe, soit par la soustraction d'un liquide qui pénètre les mailles du tissu cellulaire, soit

clus qu'il n'y avait dans cette tumeur qu'une très-petite quantité de liquide , et j'affirmai que la maladie avait son siège dan

nt on les enduit, de même il existe dans toute articulation mobile un liquide filant connu sous le nom de synovie, que fournit

sculeuse ne se contracte plus, les vaisseaux faméliques absorbent les liquides surabondans appelés par l'irritation, et peut-êtr

n'ai jamais rencontrée ni dans les parties désorganisées ni dans les liquides contenus. Je regarde l'épanchement des matières d

dinaire des cadavres, c'est dans cette extrémité que s'accumulent les liquides abandonnés à leur pesanteur. Ainsi, le ramollisse

tie en une sorte de pulpe, diversement colorée suivant la couleur des liquides contenus dans l'estomac, le plus ordinairement br

ne maladie, soit aiguë, soit chronique, 1 estomac ne contient que des liquides . Ce ramollissement occupe toujours le grand cul-d

ramollissement pulpeux s'explique, d'une part, par l'accumulation des liquides dans la grosse tubérosité de l'estomac; d'une aut

té de la plèvre. La cavité de la plèvre,contenait un verre et demi de liquide trouble; la plèvre pulmonaire correspondante avai

mité de l'estomac seulement, parce que là seulement était accumulé le liquide , parce que là aussi la muqueuse est beaucoup moin

ce que ces plis étant la partie la plus saillante plongeaient dans le liquide dont ils ont dû recevoir l'action la plus immédia

ue. Il est vrai que cet estomac contenait une très-grande quantité de liquide ; tous les vaisseaux qui le parcourent sont noirs,

de laisser séjourner dans l'estomac, pendant un temps suffisant, les liquides qu'il contient, ou même d'introduire de l'eau dan

c, pourra-t-on récuser celle de l'altération de l'œsophage? Où est le liquide contenu dans ce dernier conduit qui puisse, par u

ues, la coloration de la membrane ramollie est brunâtre, parce que le liquide contenu offre la même couleur. L'estomac représen

nté aucun symptôme du côté de l'estomac. Une assez grande quantité de liquide était accumulée dans la grosse extrémité de ce vi

l'abstinence doit être complète et s'étendre même quelquefois sur les liquides aussi-bien que sur les solides. S'il y a douleur

du péritoine une grande quantité de gaz , des fausses membranes et un liquide boueux. Pour mieux reconnaître le lieu de la perf

la pâleur de l'estomac et de l'intestin grêle. L'estomac contient un liquide sanguinolent dans lequel nagent quelques caillots

s; la porosité de nos tissus qui, suivant les anciens^ permettait aux liquides de filtrer d'un lieu dans un autre comme à traver

llulaire à travers les cellules duquel Bordeu faisait voyager tant de liquides et même tant de causes morbides; l'imbibition; l'

r vers les extrémités); si les veines collatérales n'ont pas porté le liquide dans le torrent delà circulation, cas dans lequel

démonstration toute la rigueur des expériences physiques, trouver un liquide qu'il fût possible de reconnaître et de suivre da

ses plus petites molécules, quelque part qu'elles fussent nichées; ce liquide , c'est le mercure. Or, si l'on parvient à faire p

s veines hépatiques. Mais les injections de mercure, en montrant ce liquide subtil, franchissant le système capillaire du foi

qui n'est que l'expression de ces mêmes faits : toutes les fois qu'un liquide susceptible de s'imbiber est en contact avec une

e de s'imbiber est en contact avec une surface en suppuration, que ce liquide soit sécrété par nos tissus, qu'il soit étranger

ide soit sécrété par nos tissus, qu'il soit étranger à l'économie, ce liquide est absorbé. L'absorption du pus se fait incessam

tre heures. L'absorption du pus, comme, d'ailleurs, celle de tous les liquides sécrétés, entre si bien dans le plan de la nature

. Le pus en particulier parait d'abord dépouillé de sa partie la plus liquide ; sa partie solide n'est absorbée que plus tard, e

des gencives et de là muqueuse buccale : eh bien! aucun tissu, aucun liquide , soumis à l'analyse, n'a présenté de traces de me

ales ; i° une attraction puissante est exercée par les veines sur les liquides au milieu desquels est plongée l'ouverture béante

n se décèle alors par la diminution et l'augmentation alternatives du liquide introduit au fond de la plaie. U absorption veine

is artérielles. On voit que la veine céphalique VC est remplie de pus liquide , ainsi que les veines médianes VM, VM, et la vein

des vaisseaux; i° du pus au milieu des caillots sanguins ; 3° du pus liquide remplissant la cavité de la veine : les veines mu

alogue au tissu du corps caverneux : cette trame était remplie par un liquide couleur lie de vin. XIV. Les différences qui ré

le plus souvent ils sont le résultat de la composition chimique de ce liquide , qui contient des principes, sinon étrangers à la

ns dans la vésicule; là, se trouve en effet la condition du séjour du liquide , condition si favorable à la précipitation des ma

, la bile se dépouille par l'absorption d'une très grande quantité de liquide dissolvant. Or les calculs biliaires de la vésicu

e et sèche. L'abdomen est légèrement tuméfié à l'épigastre ; bruit de liquide par l'effet d'une petite secousse imprimée à cett

stomac, le duodénum et le tiers supérieur du jéjunum distendus par un liquide jaune-brunâtre d'une odeur fétide, semblable à la

e la dilatation, et si étroitement embrassé par cet intestin, que les liquides ne pouvaient franchir l'obstacle; la partie de Pi

, et même la mort surviendront par le seul fait de la rétention de ce liquide . C'est ainsi que nous voyons tous les jours l'ind

était mou, peu granuleux et comme atrophié. La bile était extrêmement liquide , à peine teinte en jaune. Les coupes, faites dans

XIII. Lorsque l'obstacle au cours de la bile est peu considérable, ce liquide peut arriver dans le duodénum par une sorte de re

idérable, sans trouble appréciable dans la circulation de la bile, le liquide se frayant un passage entre les calculs et les pa

ables par leur diamètre, par l'épaisseur des parois, et on exprime un liquide à peine teint en jaune, souvent de simples mucosi

Ces kystes, complètement isolés des canaux biliaires, contenaient un liquide fortement teint en jaune. MALADIES DU FOIE; 1

les vaisseaux lymphatiques superficiels. La planche III nous offre ce liquide tout à la fois, et dans les vaisseaux lymphatique

mpe ne pourrait pas s'exercer aussi bien sur le pus ou sur tout autre liquide contenu dans la cavité de Putérus. Les ovaires

ans les vaisseaux lymphatiques, et non dans les veines qu'existait ce liquide crémeux indiqué par Astruc et autres, et qu'ils o

t évidemment des vaisseaux absorbans; en effet, lorsqu'on poussait le liquide depuis l'origine de ces vaisseaux jusqu'aux gangl

s par des enfoncemens circulaires qui répondaient aux valvules, et le liquide ne pouvait pas circuler. Les ganglions lymphatiqu

rendre la chose évidente, il aurait fallu que l'identité du pus et du liquide contenu dans les vaisseaux lymphatiques eût été b

ues était un fait physiologique d'absorption, on devrait retrouver ce liquide toutes les fois que la matière à absorber et les

vident que cette altération présuppose un état pathologique, et qu'un liquide pathologique physiologiquement absorbé, au lieu d

veineux ? XVIII. L'observation me parait répondre négativement. Les liquides en circulation dans le système lymphatique, n'arr

e plusieurs ganglions lymphatiques, espèces de filtres vivants, où le liquide est en quelque sorte jugé et le plus souvent arrê

able : elle est d'un noir,'d'ardoise foncé, et une grande quantité de liquide de même couleur est infiltrée et même épanchée da

né, dans toute son étendue, de l'odeur du camphre. J'ai teint avec le liquide exprimé de ces poumons le mur de l'amphithéâtre ;

doit être considérée comme la conséquence, non de l'absorption de ce liquide , mais de l'inflammation propre de ces vaisseaux.

boissons acides et froides. L'ingestion de la plus petite quantité de liquide leur faisait l'effet d'un morceau de plomb qui re

ssements que provoquent le moindre mouvement, la moindre ingestion de liquide . La saignée, les sangsues à l'épigastre, les déri

ons; dans d'autres cas, l'ingurgitation d'une très grande quantité de liquides pour opérer une sorte de lavage de l'estomac, ont

r. L Le dévoiement ne mérite le nom de cholérique que lorsqu'il est liquide , incolore, généralement inodore ou presque inodor

r intestinale. Les malades remplissent de pleins vases de nuit, et le liquide s'échappe à la manière d'un lavement. L'émission

it, et le liquide s'échappe à la manière d'un lavement. L'émission du liquide peut se faire avec ou sans coliques, avec ou sans

les que l'on observe dans certains dévoiements dyssentériques ; ic le liquide , quelquefois aussi limpide que l'eau distillée, p

nthe poivrée, de fleurs d'oranger, sirop d'éther aa une once; laudan. liquide Sydenham xxv gouttes; à prendre par cuillerées to

ix heures du matin. Depuis trois heures du matin, selles continuelles liquides avec coliques. Le besoin d'aller est si pressant

es liquides avec coliques. Le besoin d'aller est si pressant j que le liquide s'échappe malgré elle pendant la marche et inonde

és droites et l'oreillette gauche du cœur sont distendues par du sang liquide et quelques caillots. Le ventricule gauche contra

it un gargouillement qui annonce la présence d'une grande quantité de liquides . Mort une demi-heure après ma visite. Dévoiemen

ts sécrétés. Il est d'ailleurs facile de s'assurer de la présence des liquides dans les intestins, en imprimant aux parois abdom

t l'abdomen qui rend un son particulier annonçant la prédominance des liquides sur les gaz. Il y a souvent épreintes comme dans

est propre aux matières rendues par le dévoiement : assez souvent le liquide est vert; rarement ressemble-t-il à de l'eau de r

ements opiacés. Efforts de vomissements et vomissements continuels de liquide séreux. Je lui fais prendre six gouttes de laudan

site de midi, l'état du malade s'est aggravé. Vomissements répétés de liquide verdâtre; bâillements, hoquets; soif très vive; m

coliques. Le 14, la malade se croit guérie. Le 15, plusieurs selles liquides qui deviennent plus fréquentes après son déjeuner

ents, vomissements que provoque l'ingestion de la moindre quantité de liquide . 11 y a plutôt sécheresse de la bouche que soif r

la bouche que soif réelle, et il suffit, à la malade, de promener un liquide frais dans cette cavité pour se soulager. La lang

il n'y a nulle douleur, nul vomissement: à peine deux ou trois selles liquides ; la mort arrive sans la moindre réaction. Il est

point de réaction ; pour toute lésion, quantité très considérable de liquides dans les intestins ; développement remarquable de

lée. U intestin grêle est distendu par une quantité considérable de liquide cholérique d'une odeur fade. Six vers lombrics na

de cholérique d'une odeur fade. Six vers lombrics nagent au milieu du liquide . La face interne de fcet intestin est d'une cou

ements d'érosion. Le gros intestin contient une moindre quantité de liquide que l'intestin grêle, et ce liquide un peu plus c

contient une moindre quantité de liquide que l'intestin grêle, et ce liquide un peu plus consistant ressemble à du lait qui vi

ule évacuation alvine, et pourtant leur gros intestin était rempli de liquide . C'est ce qu'on verra dans l'observation suivante

int de réaction. Mort de la mère, mort de Venfant. Grande quantité de liquide cholérique dans le gros intestin. Couleur hortens

tat naturel : les gros intestins distendus par une énorme quantité de liquide inodore, semblable à de l'eau de riz ; couleur ho

Mort dans la stupeur. Travail complètement arrêté. Grande quantité de liquide cholérique dans l'intestin grêle. Intégrité de Ve

vre. Estomac sain; intestin grêle distendu par une grande quantité de liquide cholérique teint en jaune. Les parois de cet inte

eux. Larges plaques rouges çà et là. L'intestin grêle est rempli de liquide cholérique; emphysème sous-muqueux au commencemen

à la selle, et rend, coup sur coup, plein quatre vases de nuit, d'un liquide d'abord safrané, ensuite blanc comme du petit-lai

ans la cavité abdominale. L'estomac renferme une grande quantité de liquide jaunâtre 3 au milieu duquel nagent des flocons mu

emière moitié supérieure de l'intestin grêle. Un enduit muqueux, plus liquide , légèrement coloré en rouge et semblable à de la

; soif inextinguible ; vomissements aqueux, à la moindre ingestion de liquide ; attitude désordonnée; nausées; angoisse; étouffe

. La vessie urinaire contractée, ne contient que deux cuillerées de liquide .Le cerveau et les méninges ne présentent rien de

ller à la selle se fait sentir en ma présence ; il a pour résultat un liquide cholérique. Commémoratifs. Dévoiement peu consi

missements verdàtres très considérables au moindre mouvement ; selles liquides jaunâtres, tenant en suspension des flocons album

Péritoine. Sécheresse de la surface libre du péritoine; viscosité du liquide sécrété^ si bien, que lorsqu'on écarte les circon

us les caractères anatomiques de la péritonite, il ne manquait que le liquide séro-purulent, purulent ou pseudo-membraneux. Ce

ue; d'autres fois enfin, l'estomac avait son ampleur accoutumée. Le liquide contenu dans l'estomac était variable pour la qua

umineux, Dans les estomacs contractés, il n'y avait pas une goutte de liquide , mais leur face interne était enduite d'une couch

é quelques cas d'invagination sans trace aucune d'inflammation. Les liquides contenus, présentent des variétés non moins nombr

on moins nombreuses, et pour la qualité et pour la quantité , que les liquides de l'estomac. Chez un certain nombre d'individu

trouvé l'intestin rempli et même distendu par une énorme quantité de liquide cholérique; plusieurs avaient eu ce qu'on appelle

a le i5 avril, fut prise le 16, à midi, et mourut en douze heures: le liquide contenu dans l'intestin grêle avait une couleur r

ombe plus ou moins long-temps après la réaction, on ne trouve plus de liquides , mais à leur place une matière pultacée, plus ou

d'imaginer. L'épaisseur de l'intestin, augmentée par l'abondance des liquides , rend quelquefois nécessaire une demi-dessiccatio

intestin. Son volume varie beaucoup : il est tantôt distendu par les liquides qui remplissent sa cavité, tantôt resserré sur lu

dans le gros intestin que j'ai rencontré, le plus habituellement, le liquide cholérique avec sa limpidité, et ses flocons muqu

irait d'un intestin rempli jusqu'à distension par de l'eau de riz. Le liquide cholérique pur ne se rencontre que chez les indiv

rimées. Lorsque le malade a résisté pendant deux ou trois jours, le liquide cholérique est moins pur et souvent on ne rencont

cement complet de la cavité. Les grosses artères sont pleines de sang liquide , les petites artères n'en contiennent pas du tout

urs médecins, plaçant dans le sang la cause du choléra, ont soumis ce liquide à toute sorte d'expériences. La chimie a vainemen

es symptômes, sont souvent en raison inverse. 3° Que la présence du liquide cholérique dans le canal intestinal est le seul c

inaison fâcheuse. Enfin, les qualités particulières et l'abondance du liquide rendu par les selles, ont fait admettre que le ch

e part, sur les effets d'une concentration rapide d'innervation et de liquides sur une surface aussi sensible et aussi vasculair

asie de la muqueuse gastro-intestinale, à moins qu'on ne considère le liquide séro-muqueux, qui constitue les selles cholérique

t être supportés dans la période asphyxique. La pression qu'exerce le liquide sur les parois thoraciques, l'attitude que nécess

rs les boissons froides. Leur figure mourante se ranime à la vue d'un liquide , et sur-tout d'un liquide frappé de glace. Ils dé

eur figure mourante se ranime à la vue d'un liquide, et sur-tout d'un liquide frappé de glace. Ils dévorent les morceaux de gla

rent par des boissons abondantes, réparer la déperdition excessive de liquides qui a lieu par les évacuations alvines. Cette idé

nt au malade d'emboucher le tube de verre et de respirer à travers le liquide contenu dans le flacon à double tubulure. C'est p

ordinaire, une espèce de masque qui emboîtait le nez et la bouche. Le liquide contenu dans le flacon était animé avec le baume

eurs veines ont été piquées: le bras, le pied ont été plongés dans un liquide chaud; des pressions exercées; des mouvements imp

ents du crâne et tissu cellulaire sous-jacent CC, très injectés. Sang liquide entourant la moelle épinière. Fig. 2 et 3. Cail

veau-nés a pour caractère anatomique constant, un épanchement de sang liquide dans la cavité de l'arachnoïde. Le plus souvent,

s que j'ai observés, la dure-mère spinale était distendue par du sang liquide contenu à la fois et dans la cavité de l'arachnoï

nde quantité de sang noir autour du cerveau et du cervelet. Sang plus liquide et d'une couleur moins foncée dans le rachis. Auc

hement de sang sous l'arachnoïde qui entoure le bulbe raehidien. Sang liquide dans la cavité de l'arachnoïde spinale. Troisiè

e rachidienne très distendue et bleuâtre; moelle nageant dans du sang liquide . Une couche mince de sang entourait le cerveau; u

extraction fut laborieuse. La tête resta au passage. Ouverture. Sang liquide autour du cerveau, du cervelet et de la moelle. G

nt naturel. Apoplexie. J'ouvre la colonne rachidienne pour voir si le liquide de l'hydrocéphale avait pénétré dans la cavité ra

'une couleur vert sale. Je pratique une ponction au crâne; il sort un liquide sanguinolent. J'ouvre largement le crâne; des cai

parties. Nous avons parlé ailleurs de l'apoplexie placentaire. Du pus liquide ou pseudo-membraneux peut être sécrété dans le ti

géniale. Ouverture du cadavre. Double pleurésie caractérisée par un liquide lactescent pseudo-membraneux ; base des poumons i

res après sa naissance : l'abdomen volumineux contenait évidemment un liquide . Ouverture du cadavre. Grande quantité de séros

infiltrées de pus étaient traversées par des brides pénétrées du même liquide . On peut dire que ces masses de pneumonie lobulai

nombreuses différences, lesquelles sont relatives i° à la quantité de liquide et au volume du crâne, i° à l'état du cerveau.

idiotie, le pas est glissant, et l'addition de quelques cuillerées de liquide suffit souvent pour opérer cette métamorphose.

dans l'hydrocéphalie, n'est nullement en rapport avec la quantité de liquide que mesure en général assez exactement le volume

a compression exercée sur le crâne n'a pas fait arriver une goutte de liquide dans le canal vertébral. Je dirigeai alors mon

cale. Une ponction ayant été faite à la membrane, aussitôt un flot de liquide s'est échappé. Le cerveau et le cervelet étaien

ression; vomissements continuels : la malade vomit, en ma présence ce liquide provenant de l'intestin grêle, qu'on désigne impr

ux dimensions de l'intestin grêle, il contenait beaucoup de gaz et un liquide trouble. Une disposition insolite de l'intestin

, est le bout supérieur qui était distendu par une grande quantité de liquide ; IGI, est le bout inférieur qui était rétréci; M

sus de la vésicule biliaire. Cette poche contenait au lieu de bile un liquide muqueux et transparent. Les abcès hépatiques so

ance, car elle présentait des signes non équivoques de récence, et le liquide qui s'écoulait par l'ouverture était parfaitement

nomènes, savoir l'écartement des lames vertébrales, et la présence du liquide dans le rachis; si bien que l'une ou l'autre de c

distension exerce sur les enveloppes l'accumulation progressive d'un liquide . Cependant, en raisonnant par induction^ il est é

par induction^ il est évident que les effets de cette accumulation de liquide par rapport au rachis devraient se borner à une d

e entre les vertèbres? Les enveloppes de la moelle, distendues par le liquide , feraient-elles d'abord hernie dans l'intervalle

je ne crois pas à la nécessité d'une augmentation dans la quantité du liquide raehidien pour se rendre compte du spina bifida.

s établie, le canal osseux étant imparfait, il est tout simple que le liquide céphalo-rachidien se porte dans le point qui lui

ins de résistance. II est d'autant plus probable que la présence du liquide dans le canal vertébral n'est pas tout pour l'exp

uelquefois peu considérable, à tel point qu'on réduit complètement le liquide par la pression, sans que des accidents notables

des téguments? Vient-elle de l'irritation qu'exerce sur la moelle le liquide refoulé? Quoi qu'il en soit, l'influence de la re

t exercée ; la compression qui, d'une part facilitera l'absorption du liquide , et qui, d'une autre part, en permettant aux enve

ne autre part exposée aux accidents qui résultent de la rétention des liquides contenus dans la cavité utérine. Tels ne seraie

, et qu'en même temps le déficit du cerveau n'est pas remplacé par du liquide , les os éprouvent un retrait proportionné à l'at

re sous-arachnoïdien, et lorsque l'atrophie est très circonscrite, le liquide remplissant l'intervalle qui sépare deux circonvo

palmaire des mains sont rouges au niveau des sillons et sécrètent un liquide d'une odeur désagréable. Les cuisses sont à demi-

l'ouverture de l'un deux fut suivie de l'évacuation de la totalité du liquide . La fig. 1 représente le cerveau vu du côté gau

sente la face externe de l'hémisphère droit HD, après l'évacuation du liquide . Les parois des kystes affaissées, plissées sur

ntes, et interceptant un espace triangulaire par lequel s'écoulait le liquide . Voici, du reste, la description anatomique d'u

prostate était d'ailleurs traversée par des canaux sinueux, pleins de liquide , offrant des dilatations et des rétrécissements a

, quelquefois incomplètement satisfaits, et avec diminution du jet du liquide , 2°dans une hématurie plus ou moins considérable,

t le thorax, j'ai trouvé dans la cavité gauche une grande quantité de liquide noirâtre, huileux, qui ne ressemblait nullement à

également perforée, lacérée, comme corrodée. Une petite quantité d'un liquide noirâtre était épanchée dans l'hypochondre gauche

ous avons dit ailleurs, 14e livraison, que ce pus a été préalablement liquide , et le résultat de l'inflammation des vaisseaux l

empli la poche qui s'est progressivement agrandie et dans laquelle ce liquide a pris les caractères que nous avons indiqués.

s qu'épanchement de sang, suppuration, décomposition d'une partie des liquides épanchés-Dans le cas représenté pl.IV, ire livrai

cave inférieure, il aurait été impossible que la moindre quantité du liquide injecté arrivât jusque dans le tissu propre du re

de l'eau au milieu de laquelle nageait le fœtus, mais encore celle du liquide qui pénétrait le corps du fœtus lui-même. On conç

e kyste avait été primitivement beaucoup plus considérable, et que le liquide contenu ayant été absorbé graduellement, la membr

mbrasse i° les colorations noires qui doivent être examinées dans les liquides , dans les tissus normaux, et dans les tissus acci

is m'exprimer ainsi, est celle de la sépia, qui n'est elle-même qu'un liquide mélanique existant naturellement chez la sèche, o

tum forme le plus souvent une boue noire; quelquefois il est à l'état liquide ; d'autres fois enfin , il se présente sous l'aspe

tranche avec la couleur noire du pigmentum. Lorsque le pigmentum est liquide ou boueux, on l'exprime comme d'une éponge; et si

t de rate soumis à la même opération. Lorsque le pigmentum à l'état liquide est sécrété en quantité très considérable, la dis

vent être remplacées par deux états, celui de mélanose avec pigmentum liquide , et celui de mélanose avec pigmentum solide : on

um solide ne suit pas nécessairement celui de mélanose avec pigmentum liquide ; que l'un et l'autre de ces états peuvent exister

dans le cas où l'un vient à succéder à l'autre , l'état de pigmentum liquide qui répond à la période de ramollissement de quel

'état de crudité. B. Des colorations mélaniques.— i° Coloration des liquides . Le liquide de l'hématémèse peut être considéré c

ité. B. Des colorations mélaniques.— i° Coloration des liquides. Le liquide de l'hématémèse peut être considéré comme un liqu

des liquides. Le liquide de l'hématémèse peut être considéré comme un liquide mélanique. La coloration noire, couleur de bistre

au sang. J'ai rencontré plusieurs fois des kystes ovariques dont le liquide offrait tous les caractères des liquides mélaniqu

des kystes ovariques dont le liquide offrait tous les caractères des liquides mélaniques. J'ai vu une bydrocèle dont le liquide

les caractères des liquides mélaniques. J'ai vu une bydrocèle dont le liquide était couleur de bistre. L'impossibilité d'acquér

ne couleur brun-marron foncé, qui a beaucoup d'analogie avec celle du liquide mélanique. Il faut bien distinguer cette colorati

lement ils sont pénétrés d'une quantité plus ou moins considérable de liquide mélanique. Il n'est pas douteux que la fréquence

ide mélanique. Il n'est pas douteux que la fréquence de ces dépôts de liquide mélanique, dans les ganglions bronchiques , ne so

communiquent largement avec la cavité du crâne : elles contenaient un liquide sanglant et quelques caillots = une membrane minc

la pie-mère réunies x\P, tapissait la coque fibreuse et contenait le liquide sanguinolent dans sa cavité. La coque fibreuse se

ieure : ces hernies étaient formées par les méninges soulevées par un liquide . i° Déplacement ou hernie thoracique ; savoir l

ira ; et si le cerveau ne prend pas son accroissement, s'il existe du liquide dans la cavité crânienne, ce liquide remplacera l

on accroissement, s'il existe du liquide dans la cavité crânienne, ce liquide remplacera le cerveau. Dans tous les cas , il y a

lusieurs points. Ces perforations avaient sans doute donné passage au liquide noirâtre rencontré dans l'abdomen. Les parois de

Prus, le péricarde, fortement distendu, contenait huit onces de sang liquide et quatre onces de sang en caillots; le cœur avai

te, et s'est affaissée, après l'écoulement d'une certaine quantité de liquide trouble jaunâtre qui la pénétrait. La substance c

aire, tout-à-fait semblable à un lait de chaux, qui s'écoule comme un liquide des coupes pratiquées au niveau de l'altération.

hépatisé au premier degré : la pression fait suinter des bronches un liquide grisâtre abondant : engouement du lobe inférieur

unâtres et très denses, traversé par une cellulosité qu'infiltrait un liquide séreux. Une dépression sensible dans le ventricul

uvertes récentes ont mis il notre disposition (examen du sang et du liquide céphalo-rachi- dien, recherche du spirille, réa

Le véritable agent de la névrite et de la papillite paraît être le liquide céphalo-rachidien sécrété, lypcrsécrété, pendan

e. L'hypertension ne crée pas la névrite; elle facilite l'action du liquide céphalo-rachidien; elle le fait pénétrer dans l

enant des cas où ces signes sont corroborés par l'examen positif du liquide céphalo-rachidien), puis au moment où l'on attend

leurs la ponction lombaire a plusieurs fois démontré l'intégrité du liquide céphalo-rachidien. Il est probable que, dans un

tu de cette disposition et de cette communica- tion, la pression du liquide qui remplit ces canaux varie dans chacun d'eux

organe central de la coordination des mouvements, et au cerveau. Le liquide qui baigne le labyrinthe baigne aussi le limaço

onc dues, en bonne partie au mains, à l'augmentation de pression du liquide céphalo-rachidien dont on connaît les relations

e céphalo-rachidien dont on connaît les relations directes avec le. liquide labyrinlhique. La résistance auor- male au vert

ne objectif per- mettant de déceler une augmentation de pression du liquide céphalo- rachidien sY11lptomatiqlle d'une tumeu

rse; ces sensations sont dues aux modifications de pression dans le liquide des canaux semi-circulaires. Dans les cas de

esti- bulaire peut être excité par les modifications de pression du liquide qu'il contient. 5" Toutes les maladies infect

yant pour point de départ une brusque modifica- tion de pression du liquide labyrinthique. De même, c'est peut-être son- ve

paces sous-aracimddicns : il y aurait un trouble de la sécrétion du liquide labyrinthique et du liquide dphalocr : 1chirlien

y aurait un trouble de la sécrétion du liquide labyrinthique et du liquide dphalocr : 1chirlien ana- logue au trouble de l

l'innée, une émotion, par l'ingestion d'une très petite quantité de liquide ou spécialement par l'ingestion, même- en abond

pouvoir curatif ; elle agit sans doute en diminuant la pression du liquide )abyrinthiqne('). Elle atténue ou fait disparaîtr

tisme : le diagnostic se précise si l'on constate un écoulement de liquide céphalo-rachidien par le ne ? l'oreille, ou si

la région des grands Lacs. On peut déceler des trypanosomes dans le liquide céphalo-rachidien. Il existe une asthénie extrê

ne), reconnaissant un facteur purement mécanique, l'hypertension du liquide céphalo-rachidien. - -. Lésions. On distingue l

igne de l'élernuemenl), qui provoque, par suite du choc transmis au liquide céphalo-rachidien, une douleur très vive dans l

bilité vésicale à la distension; il faut injecter deux fois plus de liquide qu'à l'étal normal pour provoquer le besoin d'uri

la présence de lympho- cytes trouvés par ponction lombaire dans le liquide céphalo-rachidien. A la période tertiaire, la c

des (roubles moteurs il topographie radiculaire. La leucocytose du liquide céphalo-rachidien est un symptôme souvent const

certains auteurs elle serait occasionnée par une hypersécrétion du liquide labyrilllhillue (glaucome auriculaire ou surdit

tumeurs et d'abcès de l'encéphale, dans les cas d'hy- pertension du liquide ; céphalo-rachidien. Rappelons la valeur de la c

ue l'exsudat rachidien influence les réflexes et que la présence de liquide céphalo-rachidien en excès les abolisse, soit p

a cachexie, peut-être est-elle due à l'accroissement de pression du liquide cérébro-spinal. Les réflexes peuvent être aboli

La ponction lombaire peut également, dans les deux cas, montrer un liquide céphalo-rachidien mélangé de sang. Au contraire

i explique la production de cette con- tracture. 1° La théorie du liquide céphalo-rachidien, soutenue par Bull, corro- bo

médullaire correspond au corps de la deuxième vertèbre lombaire. Le liquide céphalo-rachidien 7. s'arrête en Il (deuxième v

ane arachnoïdo-pie-mpriennc. La queue de cheval baigne au milieu du liquide ciltltalo-rachilien (D'après Sicard, in Pra- l

joue. Quand la bouche est remplie d'air ou de substances solides ou liquides et fermée par l'orbiculaire, la contraction du bu

qu'avec celle de t'ary-epigtottiquc, d'où la pénétration facile des liquides et des aliments dans le larynx. Zieinssen a mêm

ur une variation insignifiante de l'air inspiré, une gouttelette de liquide pénétrant dans le vestibule détermine du spasme.

origine laryngée. Le plus commun est la toux. Qu'une gouttelette de liquide , qu'une parcelle alimentaire pénètre dans le ve

t parfois provoqué par l'impression du froid, par la déglutition de liquides froids ou irritants (alcool, etc.), par le séjour

amyotrophies les plus sûrement syphilitiques; 2" La lymphocytose du liquide céplalo-rachidiez, que nous avons plusieurs foi

r des secousses de toux, et cette douleur, due peut-être au choc du liquide céphalo-rachidien au niveau des culs-de-sac sous-

lle que l'on décapite, que l'on jette à l'eau et qui, au contact du liquide , se met il nager. L'Iiémiat;iYie ne fait pas pa

oute, il faut recourir à l'examen cytologique et bactériologique du liquide retiré par ponction lombaire. Nous avons vu comme

e des lèvres, le tremblement s'exagère, les dents se choquent et le liquide est répandu : on mettra ce fait en évidence dan

ant Raymond et Sicard. Enfin l'existence de la lymphocytose dans le liquide céphalo-rachidien et la présence de. traces de

uide céphalo-rachidien et la présence de. traces de mercure dans le liquide ont semblé il ces der- niers auteurs les argume

té (le la chorée et. le développement des troubles psychiques. Le liquide céphalo-mchidien a été étudié dans la chorée, et

orée ne s'accompagne pas de présence d'éléments cellulaires dans le liquide céphalo-rachidien. Complications de la chorée.

yoclonie, Papillon et Gy ont constaté une abondante lymphocytose de liquide céphalo-rachidien. L'évolution des myoclonies

entre l'éruption, les phénomènes névralgiques, la lymphocytose du liquide céphalo-rachidien traduisant l'irritation méningé

is centrant la lésion primitive, pertuis par lequel va s'écouler un liquide plus ou moins franchement purulent. A ce stade

lent, sans tendance il la guérison. On peut voir cepen- dant le liquide se résorber. Nous avons dit que les symptôm

ournant l'attention des malades, y injecter une quantité normale de liquide sans provoquer le besoin d'uriner; par le touch

t d'observer le méat pendant quelques instants pour voir sourdre le liquide qui s'écoule en bavant. La miction involontaire

te liberté de ) centimètres environ et on pratique, l'injection. Le liquide primitivement employé était une solution de coc

de la pointe du coccyx permet d'injecter une centaine de grammes de liquide . Quelques succès ont été publiés. Ces moyens co

e, en ayant soin d'injecter dans la vessie une petite quantité d'un liquide aseptique avant le retrait de la sonde, pour ma

cter avec une certaine force, sans violence, une petite quantité de liquide , de 50 à 60 grammes au plus, qu'on laisse res-

ales. L'eau bouillie, avec ou sans addition d'acide borique, est le liquide de choix; si après évacuation régulière l'infecti

On s'efforcera plutôt de diminuer progressivement la quan- tité de liquide ingérée.. La suggestion a donné des résultats à B

cas. - t " " SPERMATORRÉE Nous désignerons ainsi toute issue du liquide spornialiquc non pro- voquée par le coït ou des

montre assez souvent, il est vrai, quelques spermatozoïdes dans le liquide ainsi excrété, mais leur rareté même permet de

l'aide d'une pression modérée sur sa face postérieure on expulse du liquide , tandis 'qu'en agissant de même sur les vésicules

avoir remarqué un phénomène qui les étonne, tel qu'un suintement de liquide urétral après une demi-érection, sont hantés de

de quelle nature est-elle ? Les causes d'erreur sont nombreuses. Le liquide observé après une érection, clair, filant, anal

près une érection, clair, filant, analogue à du blanc d'oeuf est du liquide des glandes de Cowper. Le, liquide plus visqueu

nalogue à du blanc d'oeuf est du liquide des glandes de Cowper. Le, liquide plus visqueux, laiteux, expulsé pendant les eff

le som- mcil. le p et le b sont, prononcés me ou fI ! : enfin, les liquides chauds puis froids sont avalés de travers, et c

taphylins. Dans l'un et l'autre cas, il existe un reflux marqué des liquides par le liez; mais la voix est nasonnée dans la pa

elle aussi est marquée par de la dysphagie, mais dans celle-ci les liquides sont plus fréquemment détournés vers le larynx qu

le trouble peuvent être indifférents : il s'agit, au contraire, des liquides chauds chez celui-ci, des solides chez cet autr

que les antécédents du malade, présomption de cancer, ingestion de liquides caustiques, déglutition de corps étranger, aide

symptotuatotogie : fréquemment les solides glissent mieux que les liquides , la sonde passe un jour et ne passe pas le lendem

éral inquié- tant. Il précède le rejet périodique d'une quantité de liquide , toujours la même, correspondant il ce que l'oe

jours la même, correspondant il ce que l'oesophage peut contenir du liquide d'hypersécrétion pharyngo-oesophagienne avant d

ux. On vomit ou plutôt on régurgite ainsi de 80 il 1 O grammes d'un liquide filant, de teinte sirop de ratanhia ou sirop de g

se produisent. Le vomissement est muqueux, incolore ou verdâtre; le liquide rejeté est abondant et acide. L'estomac est dil

nn » un syndrome constitué par hypersécrétion chlorhydrique, stase, liquide le matin il jeun dans l'estomac avec débris alime

triques, ulcère, cancer, dyspepsie. L'ingestion des aliments ou des liquides glacés, la simple pression au creux épigastrique

es (Argyll, «'esilr,ll, llollllrer, etc.). Cette diarrhée est semi- liquide : il s'agit même plutôt de selles fréquentes que

peut s'installer dune façon plus tenace encore; elle est cette fois liquide , et il y a de ai '20 selles par jour. Elle cach

ée, à des crampes douloureuses du pylore, trahissant la présence de liquide hyper- acide encore dans l'estomac. L'ingestion

ype oesophagien, caracté- risé par le rejet de gorgées claires d'un liquide incolore et filant. Là -encore l'alimentation r

les se rompent ou se dessèchent; rompues, elles laissent écouler un liquide séro-purulcut et forment une légère excoriation ;

inégalité pupillaire, à l'aortite chronique et à la lymphocytose du liquide céphalorachidien constitue le syndrome de Babin

presque à coup sûr syphilitique (Pierre Marie). La lymphocytose du liquide céphalo-rachidien en dehors de la tuber- culose

on, un agran- dissement du ventricule latéral par l'accumulation du liquide céphalo- rachidien. En effet, la zone sonore n'

ux ans : à ce moment, toute dilatation vcntricuhure par un excès de liquide exagère la sonorité (signe de Mac Ewcn'l. Le ma

ite cérébro-spinale et d'une façon générale dans tous les cas où du liquide s'interpose entre le crâne et le cerveau, on cons

lisations vertébrales de l' « arilrnlis deformans ». [F. MOUTIER] LIQUIDE CÉPHALO-RACHIDIEN PONCTION LOMBAIRE ET SÉMÉIOLO

ion lombaire, dont le but est l'extraction d'une petite quantité de liquide céphalo-rachidien comme moyen thérapeutique ou

réoccupera d'avoir une aiguille, des tubes destinés à recueillir le liquide céphalo-rachidien, et enfin tous les objets néc

est mis dans la position en chien de fusil, on lui fait fléchir les LIQUIDE I;IPII1L0-R : 1CIIIDIG\. 1121 I genoux et rappr

nal rachidien. PRATIQUE 1(I- : UI\OL" 71 I [O. CROUZON.] 'il 22 LIQUIDE CÉPIIALO-nACIIlDIEN. L'aiguille sera entrée à c

tres chez l'adulte, de 1 /2 à 5 5 chez l'enfant. 6" Écoulement du liquide . Le liquide s'écoule normalement goutte à goutt

adulte, de 1 /2 à 5 5 chez l'enfant. 6" Écoulement du liquide. Le liquide s'écoule normalement goutte à goutte, on enlève

ur de l'aiguille, l'écoulement devient alors un peu plus rapide, le liquide est recueilli dans des tubes effilés, destinés

entrifugation; on recueille, en général, trois centimètres cubes de liquide . 7° Incidents au cours de la ponction. A) L'aig

ction. A) L'aiguille est dans le canal rachidien et l'écoulement du liquide ne se produit pas; c'est ici qu'apparaît l'util

Mais, malgré ces manoeuvres, il arrive, de temps en temps, que le liquide céphalo-rachidien ne s'écoule pas, et cet échec s

méninges spinales, qui pouvait rendre impossible l'écou- lement du liquide céphalo-rachidien (cas de Furbringer). ' B) L'a

uis sont suivies de gouttes san- guinolentes plus claires, enfin le liquide céphalo-rachidien s'écoule lim- pide. On le rec

r le retour de quelques gouttes de sang qui viendraient souiller le liquide céphalo-rachidien. D) Le malade pourra se plain

y appliquer un peu de collodion ou une goutte de teinture d'iode. LIQUIDE CI : PHALO-RACIIIDIEIV. 1125 9° Accidents de la

ertiges pendant huit jours après la soustraction d'un centimètre de liquide . Ces accidents étaient attribués autrefois à la

is à la piqûre des méninges, ou à la soustraction d'une quantité de liquide . Sicard pense qu'il y a ouver- ture des méninge

en un point déterminé ; que cette ouverture permet l'écoulement du liquide céphalo-rachidien dans le tissu cellulaire sous-

delenburg ; cette position évitera, suivant Sicard, l'écoulement du liquide céphalo-rachidien par les pertuis restés ouverts.

minution des mou- vements réflexes à la suite de la soustraction du liquide . i . [O. CROUZON. H24 LIQUIDE CÉPIIALO-RACH

onction lombaire. Résultats de la ponction lombaire. Pression. Le liquide s'écoule en général goutte à goutte, c'est là l'é

goutte, c'est là l'écoulement normal, mais il peut se faire que le liquide s'écoule en jet, ou très rapidement; dans ces c

e de verre gradué, d'un côté et de l'autre, un tube permet- tant au liquide de s'écouler dans le tube à essai. La pression

souvent se passer du manomètre et l'on appré- ciera la pression du liquide d'après l'écoulement, à condition que l'ai- gui

le ait été bien nettoyée et bien ramonée au trocart. La pression du liquide céphalo-rachidien a pu être étudiée dans divers

iété mé- dicale des Hôpitaux, i 7 janvier 1902) ont constaté que le liquide s'écoule avec rapidité chez la plupart des mala

ument de l'absence de cette augmentation de pression. Quantité du liquide céphalo-rachidien. La quantité de liquide cépha

de pression. Quantité du liquide céphalo-rachidien. La quantité de liquide céphalo-rachidien que l'on retire par une ponct

dans ce but, il est important de con- naître la quantité normale de liquide céphalo-rachidien que Magendie déclarait être d

, suivant certains auteurs, d'après Mya au contraire, elle attelli- LIQUIDE CÉPIiALO-RACfiIDIEN. H21 drait son maximum vers

année de la vie; puis irait graduellement en diminuant. Aspect du liquide . Le liquide céphalo-rachidien normal est clair

vie; puis irait graduellement en diminuant. Aspect du liquide. Le liquide céphalo-rachidien normal est clair comme de l'e

o-rachidien normal est clair comme de l'eau de roche, comparable au liquide du kyste hydatique (Milian), sa mobilité est tr

rissaud), Widal, Lemierre et Boivin. Dans certains cas, cet état du liquide était dû à la syphilis des centres nerveux. La

cas le début seul de l'écoulement est teinté. 10 En recueillant le liquide dans trois tubes successifs, .on verrait que le

hnoïdienne; en effet, dans les hémorragies intra-rachi- diennes, le liquide sanguinolent obtenu n'est pas coagulable, les glo

e, on trouvera seulement quelques flocons fibrineux nageant dans le liquide ; 3° Il peut se faire que le sang s'écoule mêlé

t dans le liquide; 3° Il peut se faire que le sang s'écoule mêlé de liquide céphalo-rachi- dien quand une aiguille à biseau

des trois tubes avec différence de coloration, non coagulabilité du liquide , disparition de l'écoulement rosé par les mouve

ure à l'origine arachnoïdienne du sang. Variations de coloration du liquide céphalo-rachidien hémorra- gique. A) Teinte san

et on voit apparaître le plus souvent la lym- [O.CROUZON.] ))2fi LIQUIDE CL'l'IIALO-I; : 1CIIIDII\. phocylose qui est l'

iennes dont une partie est déjà résorbée. C) Coloration jaunâtre du liquide céphalo-rachidien (xantlwrromie .) Cette colora

être observée par Tuffier et Milian au décours d'une hémorragie du liquide céphalo-rachidien dans une frac- ture du crâne

e frac- ture du crâne ; on peut observer donc cette teinte jaune du liquide dans les hémorragies; la première explication q

sus du caillot, persistera un sérum qui par serochromie teintera le liquide en jaune. Milian et Chiray ont rapporté une obs

nt pathognomonique de l'hémorragie arachnoïdienne. Coagulation du liquide céphalo-rachidien. Babinski a observé un cas où

dien. Babinski a observé un cas où la ponction lombaire retirait un liquide légèrement hémorra- gique, prenant en masse : i

s analogues avec xantoclrromie et hémalo-lymphocylose. Densité du liquide céphalo-rachidien. La densité est variable sui-

tabetiqucs et les paralytiques généraux. La composition chimique du liquide céphalo-rachidien est la suivante d'après Ch. R

liquide céphalo-rachidien est la suivante d'après Ch. Robin : 4V- LIQUIDE CÉI'lIALO-R : lCIlIDIGV. , 1127 On a pu voir ce

centres nerveux suivant Sicard, Quincke, etc. A l'état normal, le liquide céphalo-rachidien contient une substance réduct

s plus grande qu'à l'état normal. On a pu voir le glucose dans le liquide céphalo-rachidien des diabé- tiques (Achard et

tionnellement après un régime, à la fois dans les urines et dans le liquide céphalo-rachidien. L'urée a été trouvée en fort

céphalo-rachidien. L'urée a été trouvée en forte proportion dans le liquide céphalo-rachidien des urémiques (Comso). Dans l

on dans le liquide céphalo-rachidien des urémiques (Comso). Dans le liquide céphalo-rachidien l'azote total égale l'azote d

trouvé augmentée considérablement que dans deux cas d'urémie. Le liquide céphalo-rachidien n'est pas toxique. Cryoscopie

o-rachidien n'est pas toxique. Cryoscopie. Le point cryoscopique du liquide céphalo-rachidien est de 0.72 à 0.78 suivant Wi

a proposé un procédé clinique de détermination de l'isotonicité du liquide céphalo-rachidien, à l'état normal; le liquide

de l'isotonicité du liquide céphalo-rachidien, à l'état normal; le liquide céphalo-rachidien a un degré cryoscopique inférie

e goutte de sang de l'individu mélangé à une petite quantité de son liquide céphalo-rachi- dien lui donne une coloration in

oscope, les globules rouges sont intacts et après centrifugation le liquide est inco- lore ; au contraire, un liquide hyper

t après centrifugation le liquide est inco- lore ; au contraire, un liquide hypertonique a un aspect limpide, d'un beau rou

rouge, et les globules rouges sont dissous; après centrifugation le liquide est jaune, on peut donc, par ce procédé, apprécie

le liquide est jaune, on peut donc, par ce procédé, apprécier si un liquide est hyper ou hypotonique ; mais on ne peut pas

pas mesurer le degré exact de l'isotonie; cependant en ajoutant au liquide céphalo-rachidien, goutte à goutte, une certain

goutte à goutte, une certaine quantité d'eau distillée on ramène le liquide céphalo- rachidien à une teneur moins élevée et

dû ajouter pour arriver à l'iso- tonie l'écart de tonicité entre le liquide céphalo-rachidien et le sang. Perméabilité méni

ingée. A l'état normal, la méninge rachidienne [0. CROUZON.] 1128 LIQUIDE CLPIiAT.O-RAClIIDIC1. n'est pas perméable aux s

ingérer au malade deux grammes d'iodure et on les cherchera dans le liquide céphalo-rachidien par le réactif classique, à l

due à l'action de l'iode sur l'amidon, s'il y a de l'iodure dans le liquide céphalo-rachidien. Le passage du bleu est plu

a fesse, on recherchera l'apparition de la coloration bleue dans le liquide céphalo- rachidien. Cette recherche se fera dir

rachidien. Cette recherche se fera directement ou en versant dans le liquide céphalo-rachidien une quantité de chloroforme,

halo-rachidien une quantité de chloroforme, que l'on mélangera à ce liquide ; le bleu sera pris par le chloroforme qui mettra

bdomadaire de calomel de cinq centigrammes. CYTO-DIAGNOSTIC ,- Le liquide est recueilli dans un tube à. essai effilé comme

par capillarité. Pour cela il suffira, le tube étant tenu renversé. LIQUIDE CÉPHALO-RACHIDIEN. 1120 d'introduire la pipette

N. 1120 d'introduire la pipette, de l'appliquer au fond du tube; le liquide du culot montera de lui-même et on recueillera

fine extrémité de la pipette le long des parois du fond du tube. Le liquide monte alors dans le tube capillaire sur une haute

tube capillaire sur une hauteur d'un centimètre au minimum. 4° Le liquide recueilli dans la pipette sera déposé sur deux la

eux lames de la façon suivante : on déposera sur chacune d'elles le liquide , de façon à ne former sur chacune qu'une goutte

es d'alcool et d'éther (on pourra se servir également de tout autre liquide fixateur du sang). 7° On colorera les lames, av

d'Alzheimer qui consiste à ajouter de l'alcool goutte il goutte au liquide cépha ! o-ra- chidien, à centrifuger, à durcir

e couper. Résultats généraux du cyto-diagnostic. A l'état normal le liquide céphalo-rachidien ne renferme que quatre à cinq

. Dans les processus inflammatoires méningés on rencontrera dans le liquide céphalo-rachidien une abondance de polynucléair

ophages, les mononucléaires sont l'indice d'un [0. CROUZON.] 1150 LIQUIDE CÉPIIALO-RACIIDIEN. processus qui se termine; a

nvient, de plus, de faire toutes réserves sur le cyto-diagnostic du liquide céphalo-rachidien retiré après la mort (Villa...,

RECHERCHES CHIMICIUES SUR LE LICIUIDE RECHERCHES CHIMIQUES SUR LE LIQUIDE CÉPHALO-RACHIDIEN . Recherche des albumines. La

IEN . Recherche des albumines. La recherche de l'albumine dans le liquide céphalo-rachidien se fait par ébullition. A l'éta

e à la lymphocytose. Cependant, on trouve l'alhu- mine même dans le liquide céphalo-rachidien privé d'éléments cellulaires

s par centrifugation. Recherche de la choline. La choline dans le liquide cuhllalo-ra- chidien peut être recherchée ctini

ctiniquementde la façon suivante. On prend dix centimètres cubes de liquide céphalo-rachidien qu'on place dans une éprouvet

l'alcool absolu de chlorure de platine. On obtient un précipité de LIQUIDE ( : Ll'IIALO-lt.1C111DfG\. 1151 chlorure double

1-loti et Ally Burton. Cette substance ne se rencontre pas dans le liquide céphalo-rachidien normal. Elle ne se rencontre

e ne se rencontre pas dans l'hystérie. Elle a été constatée dans le liquide cérébro-spinal des tabétiques, scléroses combinée

léroses en plaques par Mott et Ally Burton. Elle a constaté dans le liquide céphalo-rachidien des épileptiques et des malad

plus abondante dans les cas de désorganisation myélinique rapide. Liquide céphalo-rachidien dans les ictères chroniques. Gi

des accidents. Le passage de ces pigments et sels biliaires dans le liquide céphalo-rachidien est mal expliqué par ces aute

ard, Widal, Sicard et Ravaut ont constaté un pigment dérivé dans le liquide céphalo-rachidien d'un ictère chronique. Ils pen-

Enfin Bard, de Genève, a pu dans un épanchement hémorrhagique du liquide céphalo-rachidien constater la transformation de

nette de Gmelin et de Pettcnkoner. Recherche des chlorures dans le liquide céphalo-rachidien. Le chiffre des chlorures dan

dans le liquide céphalo-rachidien. Le chiffre des chlorures dans le liquide céphalo-rachidien an cours des maladies des enf

oncho-pneumonie aiguë et diminué dans les méningites. Toxicité du liquide céplznlo-rachidien. Elle a été étudiée dans l'é

s entrer ici dans les détails de la technique bactério- scopique du liquide céphalo-rachidien. Elle ne diffère en rien de cel

rges, peuvent être faites pour le diagnostic de la syphilis avec le liquide céphalo-rachidien. Les résultats généraux de la

résultats particuliers que nous allons maintenant étudier. ÉTUDE DU LIQUIDE CÉPHALO-RACHIDIEN DANS LES MALADIES NERVEUSES L

ÉTUDE DU LIQUIDE CÉPHALO-RACHIDIEN DANS LES MALADIES NERVEUSES Le liquide céphalo-rachidien, dans les maladies nerveuses ch

d'une façon pratique, surtout au point de vue du cyto-diagnostic. Liquide céphalo-rachidien dans le tabes. Le cyto-diagnost

es de polynucléose comme dans les deux cas de Vaillant et Tixier. Liquide céphalo-rachidien dans la paralysie générale. - L

de la lymphocytose dans la paralysie générale a été faite par René LIQUIDE CPHALO-RACHIDIF Monod, Widal, Sicard et Ravaut

lysie générale. On a constaté aussi d'autres faits anormaux dans le liquide céphalo-rachidien ; Belin et Bauer ont constaté e

idien ; Belin et Bauer ont constaté en dehors d'une polynucléose un liquide louche pendant plus de trois mois; ces faits pe

paralysie générale, la réaction de Wassermmn a été trouvée dans le liquide céphalo-rachidien (Charrier, Marie et Levaditi)

dans le liquide céphalo-rachidien (Charrier, Marie et Levaditi). Liquide céphalo-rachidien dans les maladies mentales. Les

phocytose avérée chez des malades arrivés à la phase ter- minale. Liquide céphalo-rachidien dans le zona. 1° Cytodiagnostic

ssant : les lymphocytes de la période avancée. [O. CROUZON.} 1154 LIQUIDE CÉPHALO-RACllIDlEN. dans le zona sont plus peti

être considérés que comme des constatations d'attente. Examen du liquide céphalo-rachidien dans les hémorragies du névra

mble donc, d'après Tuffier et Milian que la teinte sanguinolente du liquide céphalo-rachidien conserve toute sa valeur. Tou

en ce qui concerne cette coloration jaunâtre. Dans d'autres cas, le liquide céphalo-rachidieu n'est pas rouge en apparence, m

it tout à fait la même que celle des cellules hémato-macrophages du liquide céphalo-rachidien. Nous venons de voir les di

divers aspects que peut revêtir t'épanchcmcnt hémorragique dans le liquide cél>halo-racliüen; quelle est la significa-

halo-racliüen; quelle est la significa- tion de cette hémorragie du liquide céphalo-rachidien ? : elle est le témoin d'une

tre le témoin d'une hémorragie cérébro-méningée, c'est-à-dire d'une LIQUIDE CÉI)HALO-1 ? CIIIDIELN. 1 t35 hémorragie encéph

rale, mais sans rapport direct avec elle ; l'aspect hémorragique du liquide pourra donc être causé par elle, aussi Crouzon

tre causé par elle, aussi Crouzon pense que la couleur sanglante du liquide céphalo-rachidien n'est pas nécessairement imputa

ure-Beaulieu et Fage et confirment cette manière de voir. Examen du liquide céphalo-rachidien dans les méningites. 1) Ménin

card et Ravaut qui ont constaté la présence des lymphocytes dans le liquide céphalo-rachidien. Il nous suffira de mentionne

Salomon, Sicard nous ont mis en garde contre le cyto-diagnostic du liquide céphalo-rachidien pris sur le cadavre. Tel liquid

cyto-diagnostic du liquide céphalo-rachidien pris sur le cadavre. Tel liquide renfermant des lymphocytes sur le vivant, renfe

rver dans certains cas, à une première ponction, la polynucléose du liquide céphalo-rachidien, mais peu après des ponctions

ment l'apparition de la lymphocytose. L'examen bactériologique du liquide sur sang gélose de neZm1\On et Griffon permet d

e consiste dans la disparition progressive, au [0. CROUZON.J 1150 LIQUIDE CÉI'UALO-RACllIDIEV.. moment de la convalescenc

ne réaction pl'écipitante déterminée par le sérum spécifique sur le liquide céplralo-rachidien centrifugé qui constitue, en

variable. Raymond et Sicard ont observé des cas de polynucléose du liquide céphalo-rachidien au cours d'une évo- lution de

ne. Depuis lors Achard et Laubry ont publié un cas d'endothéliomedu LIQUIDE cuvLO-t ? cmu : v. 1137 i cervelet avec lymphoc

gite sarcomateuse. Laper et Crouzon ont constaté la sarcouiatose du liquide céphalo-rachi- dicn dans un cas de sarcome céré

e cérébral. Widal et Abrami ont trouvé des cellules néoplasiques du liquide céphalo-raclridien au cours de cancer du cervea

ostic dans la maladie de Friedreich. Barjon et Cade y ont trouvé un liquide très pauvre en éléments cellulaires, présentant

rijumeau. Pitres a observé dans ses trois cas de la lymphocytose du liquide céphalo-rachidien. Cyto-diagnostic dans un cas

les travaux de Nobecourt et de Voisin, qui ont fixe la cytologie du liquide céphalo-rachidien dans les affections broncho-p

tômes ménin- gés. Dans la moitié des cas environ, alors même que le liquide était clair et limpide on a trouvé les lymphocy

lymphocytes., Quelquefois même on a constaté des polynucléaires. Le liquide est en général plus abondant dans les cas de sy

mination méningée. Pratique nedroi.. , ,'l [O. CROUZON ] 1158 . LIQUIDE CLP11AL0=RACF11Uf1s1T : ' Dans la scarlatine, D

e), Thaw a constaté exceptionnellement une lymphocytose discrète du liquide céphalo-rachi- dien. -- Dans le tétanos, Héli

dien. -- Dans le tétanos, Hélion et Legros ont deux fois examiné le liquide céphalo-rachidien, ont constaté l'absence d'élé

s subaigus du rhumatisme (Jean-Lépine) dans le té- tanos, etc. Le liquide céphalo-rachidien dans le coup de chaleur était n

ra exanthématique, dans la lèpre, Emile Weil et Tanon ont trouvé un liquide céphalo-rachidien normal. Dans les herpès génit

re syphilitique est incontestable, a eu pour conséquence l'étude du liquide céphalo-rachidien dans les cas de manifestation

Dans un cas de syphilis médullaire probable, Sabrazès, Muratet et LIQUIDE CII'll : lLO-11 : 1GIIIDII : \. 9139 Bannes (So

ils pouvaient surprendre le début de ces accidents, par l'examen du liquide céphalo-rachidien. Dans ce but, ils ont examiné d

nté la réaction leucocytaire en même temps que de l'hypertension du liquide céphalo-rachidien, cette constatation présenta un

utanées profondes. Enfin, nous avons mentionné plus haut les cas du liquide céphalo-ra- chidien puriforme au cours de la sy

uffit pour faire admettre le diagnostic de fracture et la clarté du liquide écarte complète- ment ce diagnostic. Cette vale

tait claire au huitième jour. Par conséquent, même en présence d'un liquide clair, il ne faut pas se hâter de conclure l'abse

sion peut donc, comme la fracture, provoquer l'état hémorragique du liquide céphalo-rachidien. C'est là l'opinion de de Pio

que l'hémorragie cérébrale peut provoquer aussi la teinte rosée du liquide céphalo-rachidien. Enfin Sainlon et Ferrand ont

errand ont montré par une observation que la teinte hémorragique du liquide avait disparu quatre jours après la fracture. C

Guégain dans leurs thèses ont montré que la teinte hémorragique du liquide céphalo-rachidien ne saurait être considérée co

thognomonique. C'est là la conclusion à laquelle il faut s'arrêter. LIQUIDE CI ? t'll1L0-1B1CII1DIE\'. 1 HI La teinte hémor

LIQUIDE CI ? t'll1L0-1B1CII1DIE\'. 1 HI La teinte hémorragique du liquide ne permet donc pas de faire le diagnos- tic de

u que la quantité retirée par la ponction lombaire pour l'examen du liquide céphalo-rachidien était de 5 ce. environ. Dans ce

h, Raczynski. Chaque ponction doit retirer 20 à 50 c. c. environ de liquide . Une ponction en général n'est pas suffisante,

etrouva la parole quelques heures après l'évacuation de 10 c. c. de liquide céphalo-rachidien. Ponction lombaire contre l'u

t observé des cas avec soulagement passager. [0. CROUZON.] 1142 LIQUIDE CÎ;P(1 : 1T.0-R : 1CIIIDIE\. Vigouroux a observ

existe de fortes céphalalgies, a vu souvent de fortes pressions du liquide céphalo-rachi- dien. Dans dix cas sur vingt, la

ons labyrinfhiques con- sécutives il une exagération de pression du liquide de l'oreille interne. Elle provoque la disparit

oc, médit, des tlypit., 19 avril 1001), trente centimètres cubes de liquide enlevés guérirent une crise gastrique instantan

guérirent une crise gastrique instantanément. 10. CROUZON ] 1144 LIQUIDE ctt>it : r,o-tcittnit;v.. Castaighe a observ

onction lombaire. Ponctions accidentelles et écoulement prolongé du liquide céphalo- rachidien. On peut observer des écoule

du liquide céphalo- rachidien. On peut observer des écoulements de liquide céphalo- rachidien par le nez, par l'oreille ou

ures de la base du crâne. Enfin, il peut exister des écoulements de liquide céphalo-rachidien par le nez ou par le pharynx

halie (Vigouroux). D'autre part, il peut exister des écoulements de liquide céphalo-rachidien à la suite de plaie pénétrant

resse médicale, 1909). Nous n'étudierons pas ici ces écoulements de liquide cérébro-spinal au point de vue de la pathologie e

es étudierons qu'au point de vue de la quantité et de la qualité du liquide recueilli. 1° Quantité : L'écoulement du liquid

t de la qualité du liquide recueilli. 1° Quantité : L'écoulement du liquide peut atteindre des quantités considérables. ,

il, de Routier et de Tillaux, il s'agissait de un il deux litres de liquide en vingt-quatre heures. Dans le cas de Guido-No

mmes environ en vingt-quatre heures. Dans un cas de Vigouroux où le liquide s'écoulait par les fosses nasales d'un débile,

plaie pénétrante du rachis un écoulement de deux il trois litres de liquide céphalo-rachidien par jour; puis cet écoulement d

t-quatre heures. Au total, au bout de cinq semaines, la quantité de liquide perdu était de trente litres. 2° Caractères d

uide perdu était de trente litres. 2° Caractères différentiels du liquide céphalo-rachidien. Dia- gnostic d'avec Thydrorr

dien. Dia- gnostic d'avec Thydrorrhée zcusule el l'écoulezrtez7l du liquide de Colugno. Les véritables caractères différent

Les véritables caractères différentiels sont les suivants : 1° Le liquide céphalo-rachidien a un pouvoir réducteur très mar

ré se retrouve dans l'hydrorrhée nasale, ne se retrouve pas dans le liquide céphalo-rachidien. LIQUIDE CÉPII.LO-RACIIIDII ?

hée nasale, ne se retrouve pas dans le liquide céphalo-rachidien. LIQUIDE CÉPII.LO-RACIIIDII ? Il;) ! i INJECTIONS SOUS ARA

alement être le premier temps de l'injection intra-rachidienne d'un liquide modificateur. La plus répandue de ces injection

i produit l'isotomie ou par la dilu- tion de cette solution dans le liquide céphalo-rachidien lui-même retiré, puis réinjec

s injections sous-arachnoïdiennes : la (ihrolvsine injectée dans le liquide céphalo- rachidien des labétiques (Lhermilte et

la température n'a pas baissé ou tant qu y y a des microbes dans le liquide céphalo-rachidien. On injecte ce liquidé dans l

, Tf¡¿'se de Pl/fis, 11)00. Les injections sous-aiaelmoïdiennes et le liquide céphalo-rachidien. [O. CROUZON ] 1140 LIQUI

lmoïdiennes et le liquide céphalo-rachidien. [O. CROUZON ] 1140 LIQUIDE CLIli,1,0-1(ACIIIDIEY. - liquide céphalo-rachid

-rachidien. [O. CROUZON ] 1140 LIQUIDE CLIli,1,0-1(ACIIIDIEY. - liquide céphalo-rachidien, au moins égale à celle du séru

lbaires); b) des symptômes toxi-infectieux; c) des modifications du liquide venlriculaire. Signes nerveux. Déterminés en gr

, enregistre du ralentissement, mais il suffit de retirer 40 ce. de liquide ventriculaire pour que, de 54, le pouls revienne

maladie, elle est remplacée par de l'hypothermie. Modifications du liquide ventriculaire. Elles sont d'ordre phv- sique, c

use), ou qu'il devienne hémorragique, séro-purulent ou purulent, le liquide ventriculaire aug- mente de façon considérable

as d'hypertension rachidienne. Dans le premier cas. l'évacuation du liquide céphalo-rachidien amène une amélioration des sy

tifs ou non fournis par l'examen Gylologi(J1w et bactériologique du liquide rachidien. Dans la crainte d'exagérer la différ

ie est confirmé lorsque la ponction ventriculaire donne issue il un liquide clair; il est infirmé, lorsqu'elle donne issue

e il un liquide clair; il est infirmé, lorsqu'elle donne issue à un liquide sanglant (hémocéphalie) ou purulent (pyocéphali

urulent (pyocéphalie ou cmpyèllie cérébral). Hydrocéphalie. Si le liquide clair, de densité peu élevée, pauvre en albumin

au même, celle d'une épendymite séreuse, toxi-infectieusc. Si le liquide est très abondant et dénué, comme cela arrive fré

tomie, voire de l'histologie pathologique. Hémocéphalie. Lorsque le liquide ventriculaire est, malgré les pressentiments cl

ocoques, de pyocyaniques (Delamare et Merle). Pyocéphalie. Quand le liquide ventriculaire est ambré, jaune, vis- queux, lou

es, on ponctionne, à tout hasard, les ventricules et l'on évacue un liquide clair et abondant. Les accidents disparaissent

ifier cette supposition par l'ophtalmoscopie et par la cytologie du liquide céphalo-rachidien. Ce type clinique qui parait

compression exercée sur les mêmes centres par 1'('I)aiielieiiieiii liquide . L'existence de. symptômes d'ordre toxique est

et bulbaires (bradycardie), sous l'influence de la soustraction du liquide ventriculaire. Dans le même sens, plaident égal

n'implique en aucune manière une résistance analogue vis-a-vis des liquides virulents ou toxiques ? En fin de compte, l'int

élill\l1 ventriculaire prend une part quelconque à l'élaboration du liquide céphalo-rachidien. L'hydropisie de certains cul

contrer dans des épendymites sèches ou manquer dans des épendymites liquides . Un seul fait est certain, c'est l'action sur l

ntriculaire qui, seule, esl capable d'évacuer rapidement l'excès de liquide seplique ou toxique. Dans certains cas, il est

nt assez nombreux. On se sert le plus généralement de rhéostats à liquide parmi lesquels nous citerons plus particulièrem

euse suffisamment épaisse et capable de retenir dans ses mailles un liquide bon conducteur dont on l'a imbibée (eau simple,

eau simple, solution de chlorure de sodium, ou autre). En somme, ce liquide constitue l'intermédiaire con- duisant le coura

lectrode, établissant le contact avec le corps, par un hain dans le liquide duquel on fait plonger la pièce de métal ou de

is celle-ci a l'inconvénient de laisser écouler trop abondamment le liquide de l'élec- trode quand elle se trouve pressée u

ez com- pliquées qui doivent être souvent renouve- lnes. - Le liquide dont on imbibe les électrodes est le plus habit

fois on emploie de l'eau salée ou de l'eau légèrement acidulée; ces liquides ont l'inconvénient de rendre les applications d

est-à-dire le transport de particules, principalement de particules liquides entraînées par le courant. Les phénomènes de ca

ts. Le corps est composé de tissus divers, contenant des substances liquides , colloïdes et électrolytes. Ces derniers sont en

ès prédominante. Les autres substances minérales dissoutes dans les liquides de l'organisme sont aussi pour la plupart des sel

es ions et Ci, de beaucoup les plus nombreux dans les tissus et les liquides de l'organisme, nous voyons que du coté du pôle

soit qu'il sorte du corps, soit qu'il provienne de la sueur ou des liquides qui imbibent l'électrode, se porte sur le inéta

u avec des revêtements spongieux plus ou moins épais et humectés de liquide et en ayant soin de ne pas employer une trop gr

ent sur les organes du labyrinthe que l'augmentation de pression du liquide céphalo-rachidien rendrait plus grande la résis

t multiples : c'est tout d'abord l'humeetation de l'épiderme par le liquide contenu dans les électrodes. Ce sont ensuite les

ervenir que la cataphorèse; à l'anode l'épiderme est pénétré par le liquide des électrodes, à la cathode il est pénétré par l

par le liquide des électrodes, à la cathode il est pénétré par les liquides contenus dans les tissus sous-jacents. Actuelleme

seaux, et pour une autre partie à l'augmentation de la quantité des liquides organiques dans les espaces cellulaires et inte

le spasme oesophagien cède, de faire avaler une petite quantité de liquide ou d'aliments demi-solides, pour montrer au malad

ant continuant passer, on fait boire une petite quantité d'aliments liquides ; s'il se produit des nausées, et des menaces d

plus faible, entre 10 et m. A. On fait prendre de nouveau un peu de liquide et l'on se tient prêt à relever l'intensité du

n arrive souvent il faire conserver une notable quantité d'aliments liquides . S'il est néces- saire, on renouvelle une ou de

le de liqueur de Millier, puis avec des « ciseaux on incise sous le liquide la dure-mère, soit eirculaireinent, « soit en c

ns, il devient facile d'extraire l'encé- « phale qui flotte dans le liquide . Il faut avoir soin, en employant ce « procédé,

le. - - On laissera le cerveau et la moelle plusieurs jours dans le liquide fixa- teur et durcissant, avant de pratiquer de

er la fixation, la moelle, au bout de quelques jours passés dans le liquide durcissant, sera divisée en plusieurs segments pa

DES CENTRES NERVEUX. faciliter le durcissement et la pénétration de liquides fixateurs et durcis- sants, une ou plusieurs co

ent après l'autopsie qu'il faut mettre les centres nerveux dans les liquides fixateurs et durcissants. Au fond du récipient

iquides fixateurs et durcissants. Au fond du récipient contenant le liquide fixateur, on déposera une couche épaisse d'ouate

s à durcir; ces fragments devront être fréquemment retournés. Les liquides fixateurs suivants sont d'un emploi fréquent dans

ts sont d'un emploi fréquent dans les études neurologiques : ' cf Liquide de Müller. , INCLUSIONS. 155t de petits fragm

ont maintenus pendant un ou deux jours dans de grandes quantités de liquide que l'on renouvelle quand il se trouble, puis i

de 1/5 à li2 centimètre d'épaisseur sont fixés et mordancés dans le liquide de llüllcr pendant 4 il 8 semaines, lavés penda

UDE DES CENTRES NERVEUX. différencialeur de substance colorante. Le liquide différencialeur a la composition suivante : M

u de toluidine. le rouge Magenta conviennent fort bien. Parmi les liquides diftérenciatcurs proposés, je citerai : le L'al

s, je citerai : le L'alcool absolu; 2" L'alcool aniline ; ° 1.c liquide de Gothanl : 15GO MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES

de de Marchi. Les pièces sont fixées et mordancées il froid dans le liquide de .Millier pendant quatre à six semaines. Le séj

tiliser des fragments ayant séjourné pendant plusieurs mois dans le liquide de \Iüller; on peut utiliser aussi des pièces fix

'eau courante pen- dant 24 ou 4K heures avant de les mettre dans le liquide de Millier. Pour activer le durcissement qui es

de Millier. Pour activer le durcissement qui est plus long dans le liquide de llüller, on peut, après une autopsie, fixer

formol à l0 pour 10U les fragments que l'on mettra ensuite dans le liquide de Miillcr. ' Les fragments qui sont traités pa

car l'acide osmique ne pénètre pas très profondément. Au sortir du liquide de .\Wller ces fragments sont mis dans le liqui

ent. Au sortir du liquide de .\Wller ces fragments sont mis dans le liquide suivant ..1 . MÉTHODES DE COLORATION. - 1505

de 15 à 20 fois supérieur à celui des pièces à fixer; on change le liquide dès qu'il prend une coloration noire. Après cin

inconvénient peut être évité en décolorant les préparations avec le liquide de Pal ou l'eau de Javel diluée. Méthode de Nag

mètres cubes de la solution II. ' MÉTHODES DE COLORATION.. 1567 Liquide d'Angladc : ` , 1568 MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTR

fond de la préparation est gris. 2° Mélange, à parties égales, de liquide de lliiller et de formol. 5" Liquide de Bouin.

Mélange, à parties égales, de liquide de lliiller et de formol. 5" Liquide de Bouin. - - MÉTHODES DE COLORATION. 1575 1

ar faisceau, sur la lame porte-objet, dans « quelques gouttes de ce liquide . On recouvre avec une lamelle que l'on « borde

ue \EUROt.. Akinésie algère, douleurs, 570. 584. Albumine dans le liquide céphalorachi- dien, 1150. Alcoolisme. Névrite

Syndrome de ), ), phénomènes oculaires, 73, 472. Bactériologie du liquide céphalorachi- dien dans les maladies nerveuses,

face, 1070. - Capacité crâ- nienne, 1071. Céphalorachidien. Voy. Liquide cépha- lorachidien. Certificat médical pour l

46. Charcot-Marie. 1'oy. Amyolrophie Char- col-Marie. Chimie du liquide céphalorachidien. Ite- cherche des albumines. d

ures, 1151. Chiromégalie syringomyélique, 1019. Chlorures dans le liquide céphaluraclli- dien, 1151. INDEX ALPHABÉTIQUE

uraclli- dien, 1151. INDEX ALPHABÉTIQUE. 1581 Choline dans le liquide céphalorachidien, . Il ;'0, Chorée chronique,

, 864. Choriorétinite, 15. Choroïdite, 15. Chromo-diagnostic du liquide céphalo- rachidien, 1125. Circonférences crân

li- ques. Ponction lombaire, thérapeutique, 1145. Cryoscopie du liquide céphalo-rachidien, 9127. , Cubital antérieur.

te et pyélite, 960. Symptômes. Traitement, 961. Cytodiagnostic du liquide céphalorachi- dien, '1'128, -Résultats généraux

essives, traitement. électrique, 1510. E Écoulement prolongé de liquide céphalo- rachidien, 1144. Écriture, troubles.

typhoïde, atrophie musculaire, 725. Fixation des centres nerveux. Liquide de Millier, liquide de Fol, 1350. -Formol, li

usculaire, 725. Fixation des centres nerveux. Liquide de Millier, liquide de Fol, 1350. -Formol, liquide de Orth, liquide

ntres nerveux. Liquide de Millier, liquide de Fol, 1350. -Formol, liquide de Orth, liquide de Nageotte, - 1551. I\UI :

quide de Millier, liquide de Fol, 1350. -Formol, liquide de Orth, liquide de Nageotte, - 1551. I\UI : \ 11.1'lltI.TIQUI

des cuisses et du bassin et asynergie cérébelleuse, 771. b Fol ( Liquide de) Voy. Fixation. Fond de l'oeil, exploration

de l'oreille, '127. du laly- rinthe, )5). du névraxe. examen ' du liquide céphalorachidien, 1135. méningées, signe de Ker

yopies. 1 Ichtyose, trouble trophique, 915. Ictères chroniques. Liquide céphalora- chidien, -1 [ : il . Idées déliran

eurofibrilles. Névroglie. Liepmann (Apraxie ideo-motriee de), . Liquide céphalorachidieu. Séméiologie, 11 ` ? 0..lspcct

Méningites, lésions de l'oreille consé- cutives, 120. - Examen du liquide céphalorachiclien, 1155. - Ponction lombaire

gie, 464. Moyen fessier. Innervation, physiologie, 559. Müller ( Liquide de -). Vo. Fixation. Muscles (Lésions des -), r

155. - Inflammations, syphilis, 13,i. - Labyrinthites, 155. Orth ( Liquide de). Voy. Fixation. Os. Atrophie chez les myopa

e repère. Asepsie et anesthésie de la peau, 1121. - Ecoulement du liquide . Inci- dents, 1122. Accidents, 1125. Résultat

veux, 1147. - Symptômes toxi-infectieux, 1149. - Modifications du liquide ventriculaire. Evolution, zou. - Comparaison av

cke (Aphasie de -), 217. Z Zona trophonévrose, 91G. - Examen du liquide céphalorachidien, M 55. - ol)h- talmique, 955.

On a également cons- taté, en petite quantité, ce parasite dans le liquide céphalo-rachidien; il faut alors inoculer le li

rasite dans le liquide céphalo-rachidien; il faut alors inoculer le liquide à des animaux sensibles pour que le parasite ll

squ'à présent) de syndrome pselldo-cérébelleux, par hypertension du liquide céphalo-ra- chidien. Je note en passant que, da

dans ces deux cas d'ataxie pseudo-céré- helleuse, l'inoculation du liquide céphaio-racbidien il des cobayes révéla le para

complètement, des ponctions lombaires qui ont diminué la tension du liquide . Nous avons encore observé, dans cette maladie,

ons de la mastication et de la déglutition. L'ingestion de substances liquides se fait avec une grande difficulté. Lorsque le

ement compréhensible. Dysarthrie trés accentuée. L'inoculation du liquide céphalo-rachidien et du sang périphérique de ce

lymphocytose nette; la réaction de Wassermann est positive dans le liquide céphalo-rachidien. L'état général de cette mala

evions attribuer cette com- pression cervicale ; la lymphocylose du liquide céphalo-rachidien avec réaction de Wassermann p

premiers jours de sa maladie, il ne pouvait pas du tout aspirer les liquides ; depuis il ne « pipette » pas aussi facilement

elle, par une incision longitudinale de la dure-mère (écoulement du liquide céphalo-rachidien), déplacer la moelle dans la

stérien droit faible, le gauche plus vif.Poids 981ciI.Ecoulement du liquide céphalo-rachidien à faible pression : quantité

e céphalo-rachidien à faible pression : quantité d'albumine dans le liquide considérablement augmentée, pas de pléacytose.

particulièrement d'un côté la présence excessive d'albumine dans le liquide céphalo-rachidien,tandis que d'un autre côté il y

un cas. Pareille disproportion dans le résultat de l'observation du liquide céphalo-rachidien n'a jamais été cons- tatée pa

attention particulière ; la présence de l'excès d'albumine dans le liquide céphalo-rachidien, dans le cas présent, doit être

ée comme dépendant d'un mélange du transsudat, de la lymphe avec le liquide céphalo-rachidien, en relation avec des phénomè

le par la tumeur, il s'était formé un oedème et une accumulation de liquide céphalo-rachidien causés notam- ment par l'engo

ucture anatomique. Le néoplasme une fois enlevé, la circulation des liquides , dans les espaces d'écoulement et sous-arachnoï

égion du sternum (moins le manubrium sterni). Sensation d'arrêt des liquides dans l'oesophage, souvent même, rejet du liquide

ation d'arrêt des liquides dans l'oesophage, souvent même, rejet du liquide ingur- gité. 16. Douleurs dans la ligne média

onc; parfois douleurs au côté gauche. La ponction lombaire donna un liquide transparent sans albumine et sans augmentation

gmentation de la quantité d'éléments morphologiques ; écoulement du liquide à tension très minime; paralysie des extrémités

tudinale de la dure-mère, la moelle a été mise à nu ; écoulement du liquide céphalo-rachidien minime ; au niveau des vertèbre

erficielle de la plaie. 9-14 février. - Accroissement des escarres. Liquide céphalo-rachidien jaunâtre, stérile, transparen

pronostic quoad vitam devenait douteux. Soulignons, que l'examen du liquide céphalo-rachidien après l'opération n'a pas déc

ré l'ablation de la tumeur, la dynamique de la circulation libre du liquide céphalo-ra- chidien dans son conduit un peu cha

considéré et nous considérons l'écoulement t rapide et excessif du liquide céphalo-rachidien comme étant un fait souvent t

amais de somno- lence. Il est droitier. XI. Ponction lombaire. '- Liquide clair, hypertendu. Pas d'hyperalbumi- nose. Pas

rigine congénitale. A l'ouverture du kyste, 45 grammes en- viron de liquide trouble s'écoulent. Résultats post-opératoires

à l'aide de microtome congélateur, colorer après le passage par le liquide de Fol-Anglade (3 jours) dans l'hematéine 0 gr. 5

ire, l'abdomen et les organes abdomi- naux. Ponction lombaire : 'le liquide sort d'abord très rapidement, après il vient go

après il vient goutte à goutte : on obtient 50 centimètres cubes de liquide cérébro-spinal, globuline absente, l'albumine 1

herche du réticulum après 24 heures de repos est négative ; dans le liquide les lymphocytes sont rares. Le 27 mai 1912, c'e

juin. - On pratique la deuxième ponction lombaire ; la pression du liquide obtenu au moyen de l'instrument de Quincke donne

6 juin, troisième ponction lom- baire. On extrait 30 centimètres de liquide cérébro-spinal, on constate 180 mil- limètres d

anes abdominaux, négatif. Avec la ponclion lombaire on a extrait un liquide à pression fortement augmentée, avec un contenu

nière) après laquelle on put constater une diminution dépression du liquide céré- bro-spinal, lequel avait alors un caractè

genre de celles déjà nommées. Ensuite les résultats de l'examen du liquide cérébro-spinal étaient en RÉACUTISATION DE L'HY

dit qu'un certain indice peut être également donné par l'examen du liquide cérébro-spinal, puisque le contenu d'al- bumine

uel, au contraire aurait témoigné l'augmentation d'albumine dans le liquide extrait par la ponction lombaire. ' On devait e

presque toujours intactes. D'autre part les caractères chimiques du liquide cérébro-spinal évacué avec une si notable press

e la plus probable. Pour ce qui regarde la façon de se comporter du liquide 220 l'U13LI0 CIUFFINI cérébro-spinal, Bonhoef

é- phal ie on arrive à des élévations de pression considérables. Le liquide a un aspect clair, incolore, avec une forte aug

ers cas augmentée ; il n'existe pas de tendance à la coagulation du liquide . Selon l'expérience de cet auteur, aussi bien le

liquide. Selon l'expérience de cet auteur, aussi bien le sang que le liquide cérébro-spinal ne présentaient la réaction de W

ro-spinal ne présentaient la réaction de Wassermann. Selon Leube le liquide hydrocéphalique serait incolore et sans albumine,

our Oppenheim, l'albumine serait normale. Dans notre observation le liquide cérébro-spinal sortit avec une pres- sion notab

ble de la pression intrarachidienne et le retour à l'état normal du liquide cérébro-spinal. C'est dans les jours qui suiven

oyenne nous avons extrait plusieurs fois 30-50 centimètres cubes de liquide cérébro-spinal, autant-que dans l'hydrocéphalie i

ue la ponction lombaire répétée avec extraction modérée et lente de liquide cérébro-spinal réussit à ramener les conditions d

ancé, car l'orifice utérin était presque complètement dilaté, et le liquide amniotique était déjà écoulé depuis plusieurs h

u est- elle produite par la stase et augmentation de la pression du liquide céré- bro-spinal dans la région lombaire ? Dans

les autres auteurs les attribuent aux changements de la pression du liquide céphalorachidien. Nous som- mes portés à croire

nomène peut être expliqué tout simplement par l'action mécanique du liquide cé- phalo-rachidien augmenté de volume et prése

d'après Hoche, à la même cause, à l'augmentation de la pression du liquide cérébro-spinal. Le mécanisme par lequel la pres

ES MODIFICATIONS DANS LA MOELLE ÉPINIÈRE 255 une forte pression, le liquide cérébro-spinal présente un obstacle, d'une part

ux et surtout les veines dont les parois sont moins résistantes, le liquide cérébro-spinal provoque aussi la stase vei- neu

x francs dans la région su péro-i nterne de l'avant-bras gauche. Le liquide céphalo-rachidien est clair et sans albumine ni r

nt que le malade a été couché durant 15 jours on n'y trouve plus de liquide ; mais ce testicule parait à présent deux fois

urcissement dans le formol, les pièces ont été con- servées dans le liquide de Millier. Plus tard, après inclusion dans la

, la malade était dans l'impossibilité de fermer l'oeil gauche, les liquides s'écoulaient par la commissure labiale gauche qua

'urée par cette voie est satisfaisante. Le dosage de l'urée dans le liquide céphalo-rachidien (0.1 centigr.) montre que cet

normales. On sait en effet que la quantité d'urée contenue dans ce liquide est égale à celle contenue dans le sang. Il n'y

ns aucune trace d'épidémie locale dans l'entourage de la malade. Le liquide de la rachicentèse est clair, ne renferme aucun d

. Aussi, malgré les recherches négatives du bacille de Koch dans le liquide de ponction lombaire, recher- ches directes et

x). La lésion durale était-elle tuberculeuse ? L'examen chimique du liquide céphalo-rachidien, si l'on s'en tient aux règle

résultat. Nous ne croyons pas, d'ailleurs, que l'examen chimique du liquide céphalo- rachidien permette de différencier ces

a- lée fut bien amendée par soustraction de 20 centimètres cubes de liquide . Celte évacuation n'amena pas le moindre malais

-durale chez un syphilitique. Dissociation llibumino-cytologiqne du liquide céphalo-rachidien, Soc. des Sciences médicales,

méd. de Buda- pest, 1909. DUFOUR et Mairesse. Eyperalbuminose du liquide céphato-mchidiP/1 sans lympho- cylose. Tubercul

Archives italiennes de Biologie, 9 septembre 1911. MESTREZAT. - Le liquide céphalo ? achidien normal el pathologique, 111alo

D. - Th. Paris, 1899, 1900, n° 124. et Fois. L'albumino-réaclion du liquide céphalo-rachidien. Dissociation albumino- cytol

s sa thèse (1909), et puis par Mestrezat dans sa monographie sur le liquide céphalo-rachidien normal et pathologique. Avant

ue Froin s'est mis à étudier de près les modifications que subit le liquide céphalo-rachi- dien au cours des épanchements s

sur la richesse des substances albumi- noïdes qu'on trouve dans le liquide obtenu. SUR LE SYNDROME DE LA XANTOCHROMIE ET D

Sicard en France et par Nonne etRaveneiiAlleiiiaciie sur l'état du liquide céphalo-rachidien dans les différentes compress

e (111°-IV8 vertèbres lombaires). On obtient 4 centimètres cubes de liquide jaune citrin, limpide. Deux heures après l'ex-

liquide jaune citrin, limpide. Deux heures après l'ex- traction, le liquide se prend en un coagulum fibrineux massif. Réactio

ibrineux massif. Réaction de Wassermann négative dans le sang et le liquide céphalo-rachidien. SUR LU SYNDROME DE LA XANTOO

on (lr8-Ile vertèbres lombaires). On obtient 4 centimètres cubes de liquide jaune citrin. Après un quart d'heure on voit des

citrin. Après un quart d'heure on voit des flocons dans la masse du liquide et après 2o minutes la coagulation est complète.

lle. 20 avril. Ponction (11-lIl° vertèbres dorsales). On extrait un liquide peu opalescent, qui est resté sans se coaguler.

e entre les XIe et XII° dorsales, on obtient 2 centimètres cubes de liquide qui se coagule immé- diatement sur l'aiguille.

ui se coagule immé- diatement sur l'aiguille. On constate dans le liquide céphalo-rachidien la présence de 0 gr. 62 0/0 d

x entre la VIe et la XIe vertèbres dorsales sans pouvoir obtenir du liquide . Nous nous sommes expliqué ce résultat toujours

10 septembre. -Nouvelle ponction (111°-IVe vertèbres lombaires). Le liquide est sous petite pression, jaunâtre, faiblement

action Nouue-Spelt franchement positive. Un quart d'heure après, le liquide prend une consistance sirupeuse. Après une demi

-heure on voit nager un petit coagulum fibrineux. Après 2 heures le liquide se prend en une masse consistante, translucide.

s urines et constipation. 1 A la ponction lombaire, on extrait un liquide cilrin sous pression diminuée. La réaction des

e sulfate d'ammonium donne un gros nuage occupant toute la masse du liquide . A lacenlrifugation on constate une fai- ble ly

nlrifugation on constate une fai- ble lymphocytose. Une guantilé de liquide laissée en repos se prend en masse après deux h

réduits pres- qu'au squelette Eschare sacrée. Ponction lombaire : liquide /aune citriii qui se coagule quelques minutes a

I quelque temps (1/2 heure), on obtient une coagulation en masse du liquide extrait dans les deux tubes. 5 janvier 1912.

come vertébral, et regarde ainsi la question encore controversée du liquide céphato-rachidien dans les néo- plasmes rachidi

en sorte que nous n'avons pas pu suivre les étapes de transition du liquide céphalo-rachidien. L'examen du liquide céphalo-

les étapes de transition du liquide céphalo-rachidien. L'examen du liquide céphalo-rachidien réunit ces diagnostics variés

ns un même chapitre. En effet la ponction lombaire rend toujours un liquide présentant les trois signes caractéristiques :

t de quelques pigments dérivés de l'hémoglobine. La coloration du liquide varie d'un cas à l'autre, ayant parfois un reflet

Blanchetiére et Lejonne 25 gr. et 27 gr. 0/00. La coagulation du liquide est sans doute le symptôme caractéristique du s

absente. Dans ces occurrences, Mestrezat conseille d'ajouter à tout liquide xanto- chromique, comme précaution, quelques go

in) et pour les nitrates (Mestrezat el Roger). Les caractères des liquides obtenus chez nos deux premiers malades coïncide

, fut attribué par Mestrezal à un trouble mécanique, il la stase du liquide céphalo-rachidien, el par conséquent considéré

l de Pott, etc. Avec notre 'le malade, nous abordons la question du liquide céphalo- rachidien après la rachianesthésie. Gu

s troubles de différente nature, ottsetvés en telles occasions. Les liquides extraits après la rachi- cocaïnisation, montren

ort avec les troubles méningés observés. On trouve même parfois des liquides fran- chement opalescents, laissant déposer un

sanguinolent, avec formation d'un coagulum f1brinenx, comme dans un liquide de pleurésie. Guinard met celle réaction, qu'il

s, et isolant de cette manière dans la cavité formée, une partie du liquide céphalo-rachidien circulant. Cestan et Ravaut q

I a) Xantochromie. La coloration jaunâtre plus ou moins foncée du liquide doit être attribuée incontestablement il l'invasi

lobule rouge et le pigment hémoglobinique depuis l'invasion dans le liquide céphalo- rachidien jusqu'à leur destruction. La

l'hémoglobine en pigments dérivés se l'ait sur place dans tous les liquides d'épanchements sanguins et aussi dans le liquid

ace dans tous les liquides d'épanchements sanguins et aussi dans le liquide céphalo-rachidien xantochromique, suivant le phén

l hraset et Mu ratet ont nolÓ la présence de l'ut obi- line dans le liquide céphalo-rach id ien de l'hémorragie cérébrale, Ba

e l'hémorragie cérébrale, Bard a décrit « la coloration biliaire du liquide céphalo-rachidien d'origine hémorragique ». L

lo-rachidien d'origine hémorragique ». La coloration jaunâtre des liquides xantocllromiques est certaine- ment l'expressio

oqué par la formation de la cavité close et la stase consécutive du liquide céphalo-rachidien. Contre la deuxième hypothèse

TOCHROMIE ET DE LA COAGULATION 499 manifeste dans la circulation du liquide céphalo-rachidien - et dans lesquels la xantoch

on massive. - Au point de vue biologique, la coagulation massive du liquide céphalo-rachidien représente le même phénomène qu

le sang après toute émission sanguine. Une substance albuminoïde du liquide (le fibrinogène) sous l'action d'un ferment (le

tances albuminoïdes et surtout du fibrinogène qu'on trouve dans les liquides céphalo-rachidiens étudiés, étant donné que norma

nts permet l'invasion dessubstances albuminoï- des du sang clans le liquide céphalo-rachidien. En première ligne c'est l'in-

ée principalement par l'augmentation de la quantité d'albu- mine du liquide céphalo-rachidien. Il est vrai qu'en de telles ci

l, à chaque cadre clinique correspond une composition déterminée du liquide cèphalo-rachidien. Chaque agent infectant pro

ion Nonne-Apel t (1 r. phase) est particulièremen t i utense dans les liquides contenant du fibrinogène. Quelques fins filam

arfois nous pouvons retourner complètement l'éprouvette sans que le liquide coule (Donatii). La quantité de fibrine a été d

our le chien), nous montre que l'accumulation de la fibrine dans le liquide céphalo-rachidien surpasse dans ces cas patholo

ement nous pouvons concevoir qu'une hémorragie méningée, rendant au liquide céphalo-rachidien tous les éléments du sang, mett

morragies méningées, cliniquement diagnostiquées, la coagulation du liquide céphalo-rachidien extrait n'a jamais été observ

ms librineux occupant diverses régions delà surface- dû névraxe. Le liquide extrait par la ponction sera donc exempt de fibri

m sous-arachnoïdien en état cl'intlam- mation laisse passer dans le liquide céphalo-rachidien le fibrinogène.' - 502 MARINE

feste Losung) le fibrinogène du sang, et parallèlement le passe au liquide céphalo-rachidien par diosmose. Dans quelques i

uis, l'exsudation fibrineuse serait favorisée aussi par la stase du liquide céphalo-rachidien, provoquée par la compression

rragies. L'examen cytologique du culot obtenu par centrifugation du liquide céphalo-rachidien des cas de xantochromie et co

ie, dans lesquels la quantité excessivement abondante d'albumine du liquide céphalo-rachidien coïncidait avec une lymphocytos

Considérant que les aulres caractères physiques et chimiques de ces liquides ont présenté plusieurs fois de la ressemblance av

onstitution du syn- drome décrit parFroin. Entre les caractères des liquides céphalo-rachi- diensde toute compression médull

onsidère en première ligne comme élément patho- génique la stase du liquide céphalo-rachidien produite par la « cavité clos

. » BIBLIOGRAPHIE Aubry. Le syndrome de la coagulation massive du liquide céphalo-rachidien. Thèse Paris, 1909. BABINSI

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ur le syndrome de la xantochromie et de la coagulation massive du liquide céphato-rachidien, 484. Mersey (P.) et LatcaE

e syn- drome de la xantochromie et de la coa- gulation massive du liquide céphalo- rachidien, 484. RumsTE (J. M.) et NE

pendant l'année 1893. Nous avons essayé en outre les injections de liquide testiculaire dans le il] Nous avons trouvé que

l'ingestion de site thyroïdien et les injections sous-cutanées de liquide thyroïdien dans trois cas d'idiotie avec cache-

s'est effectué lentement, d'une façon chronique, par la poussée du liquide céphalo-rachidien, au''fur et à mesure qu'augme

e. Il s'échappe des bronches du lobe supé- rieur, à la pression, un liquide purulent. Pas de bronchite des lobes moyen et i

e bronchite des lobes moyen et inférieur. A gauche, il y a moins de liquide dans la plèvre ; fausses membranes plus abondan

Trente cas d'épilepsie traités par les injections sous- cutanées de liquide testiculaire ; PAR BOURNEVILLE et Paul CORNET.

en collaboration avec M. d'Arsonval, a employé les in- jections de liquide testiculaire dans un grand nombre de maladies.

Ibidem. 30 mai 1892. (3) Ibidem. 24 avril 1893. 110 Injections de liquide testiculaire. testiculaire dans la lèpre et div

ent neuf malades. Ils ont reçu chaque jour deux centimètres cube de liquide dilué par moitié. Les expériences, commencées l

aque série un champ opératoire distinct. Pour cha- cune d'elles, le liquide testiculaire injecté a été de pro- venance diff

it autant de piqûres que nous avons injecté de centimètres cubes de liquide . L'état intellectuel et moral des enfants a été

nfants ont été réexaminés. Ire série : DIX enfants. Provenance du liquide . L'extrait testitulaire de taureau, nous a été

, à 1 pour 2 ? Durée totale du traitement : 40 jours. Quantité de liquide injecté : de 1 à 4 injections, progressivement

: de 1 à 4 injections, progressivement ; ce qui signifie, comme le liquide a toujours été dédoublé avec de l'eau stérilisé

accès en ·1591. Traitement par les injec- ..tiens hypodermiques de liquide testiculaire en février 4893. Mort clans un acc

de sa naissance. Traitement .-suppression de l'élixir; mjecttonsde liquide testiculaire du 14 février au 3 mars (17 jours)

, si brutalement interrompu, n'a duré que 17 jours. Injections de LIQUIDE testiculaire. 121 OB9. II. Épilepsie symptoma

vec la solution dite faible. Du 16 au 19, 2 injections avec le même liquide . Du 20 au 27, 1 injection avec la solution dite

e (service de M. Bourneville), le 18 novembre 1890. Injections DE liquide testiculaire. 123 Tableau cles accès et cles ve

124 : ÉPILEPSIE. Tableau des accès et des vertiges. INJECTIONS DE LIQUIDE testiculaire. 125 ges. En janvier, 3 accès, a

brale. Mère morte à 66 ans, d'une paralysie probable- INJECTIONS DU LIQUIDE testiculaire. 127 ment due à un ramolissement c

r, 52 miliimètres ; circonfé rence, 60 millimètres. Injections DE LIQUIDE testiculaire. 129 1890. Janvier. Série d'accès,

des vertiges. 132 ÉPILEPSIE; MÉNINGO-ENCÈPHALITE. Injections DE liquide testiculaire. 133 sur toute son étendue, princi

134 Épilepsie. Tableau des accès et des vertiges. Injections DE liquide testiculaire. 135 tré à Bicêtre (service do[. B

uillet 1890. Même traitement du 6 mars au Il mai. INJECTIONS DE liquide testiculaire. Tableau des accès et des vertiges

écembre 1891. Même traitement du .3 mars au 11 mai. INJECTIONS DE LIQUIDE TESTICULAIRE. 139 L'intelligence s'est affaib

nce d'âge de 11 ans. Un seul enfant : notre malade. INJECTIONS DE liquide testiculaire. j'il Notre malade. Rien de partic

icilement pénétrer par ses voies naturel- les. '. , Injections DE liquide testiculaire. 143 Température après la mort.

. 143 Température après la mort. 144 Épilepsie. INJECTIONS DE LIQUIDE testiculaire. 145 Dure-mère non sensiblement co

de la tente du cervelet donne issue à une assez grande quantité de liquide céphalo-rachidien. Les différentes parties de l

: 7 injections. Tableau des accès et des vertiges. INJECTIONS DE LIQUIDE testiculaire^ 147 Diminution des accès. Pas d

148 Épilepsie. Tableau des accès et des vertiges. INJECTIONS DE LIQUIDE testiculaire. 149 est entré à Bicétre (servic

e, par comparaison, il a été soumis aux injections sous-cutanées de liquide testiculaire du 2 mai au 30 juin. Malgré ce tra

nce intellectuelle, afin de nous rendre mieux compte de l'action du liquide testiculaire sur la rénovation intellectuelle :

pour titre : Contribution à l'élude thérapeutique des injections de liquide lenticulaire dans certaines (ormes de l'aliénat

nfant était en déchéance lorsqu'il a été sou- mis aux injections de liquide testiculaire. Celles-ci n'ont pas amélioré la s

st survenu des idées mystiques. Le traitement par les injections de liquide testi- culaire n'a aucunement amélioré son état

rsqu'on enlève le cerveau, il s'écoule une assez grande quantité de liquide C(inllérl0-1'lClttclrn; on en recueille 150 gr.

pect d'un pseudo-kyste. Quand la lige pituitaire a été détachée, le liquide céphalo-rachidien est sorti en jet. En séparant

eux hémisphères, les ventricules latéraux appa- raissent remplis de liquide céphalo-rachidien, et très dilatés. La dilatati

côtés et porte sur les trois cornes. On recueille encore 240 gr. de liquide ; en tout 390 gr. Le corps calleux est moins ép

nes frontales, sphé- noïdales, plus prononcée à droite qu'à gauche. Liquide cëphato-rachidien, 120 gr. - Ectopie du rectum.

nt l'ouverture de la dure- mère, sans que l'on ait donné d'issue au liquide . La dure- mère, adhérente au crâne, présente au

eet s'affaisse; peu àp'rè's. Il s'est écoulé environ 960 grammes de liquide ; céphalo-rachidien. Le cerveau échappe ainsi à

fonta- nelle antérieure. - l)s wormiens sur la suture lambdoïde. Liquide céphalo-rachidien abondant. - Cerveau très dila

e visage était- livide, la bouche remplie d'écume. Il avait vomi un liquide , bilieux et avait eu de l'incontinence fécale.

Hydrocéphalie ; antécédents.. Fontanelles. Os wormiens. Analyse du liquide hydrocéphalique. Description du cerveau. - Cong

0,64 centimètres. . Mensurations cle la tête. 53Û Hydrocéphalie : LIQUIDE CÉPHALO-RACHIDIEN. suture sagittale sur un traj

'os wormiens à la suture lambdoïde. La quantité consi- dérable de liquide hydrocéphalique (1.000 gr.) dont nous avons don

erveau était très altéré, surtout à gauche, par la compression du liquide tandis que le cervelet, le bulbe, la protubé- z

ès mince. L'encéphale apparaît, après son ablation, distendu par le liquide et offrant l'aspect d'un disque. " 40 : .Hydr

atisé. La plèvre présente quelques adhérences et contient un peu de liquide . - Powilon droit (380 gr.), nor. mal. Coeur (22

e 3 ï,2. ( ? ) HYDROCÉPHALIE - CERVEAU. 247 248 Hydrocéphalie ; liquide CÉPHALO-RACHIDIEN. s'affaisse, laissant écouler

aissant écouler deux mille cent quatre-vingts grammes (2180 gr.) de liquide ltidieii. (Le cerveau ayant été mal soigné, est

été que petit à petit atrophié par le développement progressif du liquide hydrocéphalique. L'autopsie de cet enfant est p

opsie de cet enfant est particulièrement inté- ressante. D'abord le liquide hydrocéphalique atteint l'énorme poids de 2.180

su cellulaire insufflé ; 3° cet- te poche a été trouvée pleine d'un liquide séreux, en tout ana- logue au liquide céphalo-r

che a été trouvée pleine d'un liquide séreux, en tout ana- logue au liquide céphalo-rachidien avec lequel il paraissait com

ns de décrire et le cerveau, on trouve ce dernier nageant dans le liquide céphalo-rachidien. En avant, l'extrémité antérieu

erons seulement que, dans la cavité arachnoïdienne, une partie du liquide était enkystée entre la dure-mère et l'arach- n

Blache et Guersant, quand ils disent que « dans quel- ques cas, les liquides sont accumulés dans des espèces de kystes ».

vie faire prévoir ces par- ticularités. Il est bon d'ajouter que le liquide hydro- céphalique n'était pas en quantité très

sse ellipsoïde, à grand diamètre antéro-postérieur. Il n'y a pas de liquide cep/wlo-rachidien sous l'arachnoïde. Pie-mère t

éraux sont considérablement dilatés et contiennent 570 grammes d'un liquide clair, limpide ; sous- traction faite de ce liq

70 grammes d'un liquide clair, limpide ; sous- traction faite de ce liquide ventriculaire, l'encéphale ne pèse plus que 770

premier groupe sont morts entre 2 ans et 2 ans et demi. Chez eux le liquide hydrocéphalique est très abon- dant et le crâne

Ceux qui, pour nous, forment le second groupe, ont une quantité de liquide relativement faible dans les ventricules, tandi

e leur encéphale oscille entre 1.200 et 1.600 gr. et la quantité de liquide varie de 500 à 1.000 gr. Les seconds sujets de

leur encéphale pèse de 1.100 à 1.700 gr. environ et la quantité de liquide hydrocéphalique at- teint 100 gr. et ne dépasse

s derniers crânes et l'encéphale se sont développés aux dépens du liquide et que très vraisemblablement les lésions moins

Cerveau, .281 . AUTOPSIE. - A l'ouverture du crâne, il s'écoule un liquide hydrocéphalique abondant qui, collecté iL la fi

de scaphocéphalie. OBS. XIII. HI DRO-SCAPHOCÉPHALIE. Résorption DU LIQUIDE . . Cachexie progressive. Sommaire. Père, rhum

tuberculeuse. En détachant le cerveau une assez grande quantité de liquide céphalo-rachidien s'écoule : 294 HYDRO-SCAPHOCR

l'histoire de ce malade et entre autres, l'oubli de la quantité cle liquide hydrocéphalique que contenaient les ventricules

l'encéphale où elle n'adhère pas. La base du cerveau est baignée de liquide , dont il s'écoule environ 55 grammes. Les confl

ide, dont il s'écoule environ 55 grammes. Les confluents normaux du liquide céphalo-rachidien, surtout le chiasma et l'orig

gine des scissures sylviennes, sont les points d'accumulation de ce liquide . La substance nerveuse paraît lavée par le séjo

e liquide. La substance nerveuse paraît lavée par le séjour dans ce liquide . Les ventricules latéraux, tant à droite qu'à g

tés et il s'écoule de leur intérieur environ 15 autres grammes de liquide , ce qui porte à 70 grammes environ la quantité

, il s'écoule des ventricules latéraux une quantité considérable de liquide limpide (600 gr.) Les ventricules latéraux sont

téraux, en un mot une hydrocéphalie symptomati- que. La quantité de liquide céphalo-rachidien, recueil- lie quand on a sépa

service de M. 130TJR- NEVILLE). . CRANE : ET cerveau. -* 319 de liquide céphalo-rachidien mêlé de sang. La dure-mère es

considérablement, et hors de proportion avec la petite quantité de liquide qui s'est écoulée. Il y a un paquet Fig. Go. Cr

Lorsqu'on sépare le cerveau du cervelet, il s'écoule 70 grammes de liquide céphalo-rachidien. Le cervelet est très volumin

énéral une étape en avant cle la maladie. Lorsque l'augmentation du liquide cesse, les crises disparais- sent ordinairement

'évolution de la maladie. Dans la plupart des cas, l'épanchement du liquide n'a lieu que quelques mois après la naissance,

âne par le fait d'une sorte de congestion passive déterminée par le liquide . L'examen des crânes des hydrocéphales, ayant a

es sutures. Lorsque la cause de l'épanchonment est une tumeur, le liquide se produit plus rapidement que dans le premier

ites au niveau de la région lombaire et on retira cle 2 10 c. c. de liquide . Hayes A-IleN7 (University medi- Cl%l iliigtzii

peut aboutir à une mort rapide. Enfin la ponction, en supprimant le liquide épanché, n'empê- che en rien la cause pathogène

argeur. L'oreille droite aurait à deux reprises laissé s'écouler un liquide un'peu épais et louche. 22 jui71. L'otorrhée ne

la panse, est beaucoup plus petit; c'est le véritable réservoir des liquides . - Le feuillet, ainsi que son nom l'indique, pr

rieur de l'oesophage des aliments très délayés, et le second, des liquides ; l'oesophage semble alors se relâcher et se dilat

alors se relâcher et se dilater pour permettre aux aliments et aux liquides de s'introduire dans la cavité; puis il se refe

s une con- traction antipéristaltique qui porte les aliments et les liquides vers la bouche. Les matières alimentaires y arr

grand état de mollesse et mélangées avec une forte propor- tion de liquide qui est dégluti par l'animal en une ou plusieurs

nviron un quart d'heure après le repas, s'il y avait eu beaucoup de liquides absorbés, sinon un peu plus tard. Si ce repas a

onservation de l'app,jtit; voracité; constipation habi- tuelle. Les liquides ne sont ruminés que s'ils sont pris en grande q

ull. méd ? t. LXXIV, p. 417. DU MÉRYCISME. 19 après ses repas les liquides ingérés qui avaient alors un goût aigre. Cette

ère. C'était les premiers ava- lés qui revenaient les premiers. Les liquides ne remontaient que s'ils étaient pris en grande

tude au cardia. Mais quelque temps après, les ali- ments solides et liquides , devenus acres, amers, revenaient tout à la foi

I), un fait curieux qui ressort de cette observation, c'est que les liquides qui, à l'origine, étaient seuls ruminés, ne le

eloppa une montée invo- lontaire de coagula de lait nageant dans un liquide très acide, avec ou sans éructations. D'abord,

ois qu'il buvait delà bière ou du vin. Dans le cas seulement où les liquides n'étaient pris que long- temps après le repas,

ée il une bouteille dans laquelle le vide avait été fait, ramena un liquide clair, neutre, sans mucus ni albumine. Pour o

iments. La bouillie alimentaire, d'abord, épaisse, devient à la fin liquide et amère. Le soir, il ne rumine pas. Langue tou

t ainsi qu'un repas co- pieux, l'ingestion d'une grande quantité de liquides ou de certains aliments particulièrement agréab

plutôt en une bouillie qu'en parties ali- mentaires distinctes. Les liquides ingérés ne reviennent jamais seuls à la bouche;

us nombreuses quand le malade avale de grandes quantités d'aliments liquides qu'il affec- tionne, vu la perte de ses dents e

rique un gargouillement comme celui d'une outre à moitié remplie de liquide . Toute celte région, depuis l'ombilic jusqu'à l

trouve une matité relative dans les parties qui corres- pondent au liquide évidemment accumulé dans l'estomac dilaté. Les

de la façon suivante : Suppression des légumes, soupes, bouillies, liquides . Usage de viandes blanches rôties, de pain et d

sans boire. A peine peut-on lui faire accepter quelques gouttes de liquide . Dès qu'on a cessé de lui remplir la bouche, il

l'ingestion des autres substances qui composent le repas. Parmi les liquides , c'est le lait qui remonte le plus facilement;

ées, d'ailleurs l'enfant souvent ne boit pas. Cependant lorsque les liquides sont ingérés en grande quantité et coup sur coup,

? 1. 56 DU MÉRYCISME. Il ne manifeste pas de répugnance pour les liquides ; néanmoins, la plupart du temps il boit peu, et

dant ce sont toujours les matières solides qui le sont le plus. Les liquides ou les potages ne le sont pas constamment, et, s'

ns les solides, entrer tous à la fois dans chaque gorgée; quant aux liquides , s'ils remon- taient, c'était de suite après l'

la volonté, ou accé- lérée par l'ingestion d'une grande quantité de liquides (Uns. VI, VII) ou même d'aliments solides flatt

C'est ainsi que nous pourrons nous expliquer comment les po- tages liquides et les boissons sont toujours, chez nos malades,

subs- tances seules qui sont ruminées. Nous avons vu souvent les liquides en grande quantité favoriser la rumination, mais

nous avons observés à Bicètre où le mérycisme ne porte que sur les liquides sans qu'il soit besoin de les prendre en grande

XII. - Idiotie, épilepsie. - Tics, tournoiement, mérycisme partiel ( liquides ). - Secousses : traitement par le curare. Obstr

l'oeil droit. Il boit généralement d'un trait. La rumination des liquides est loin d'être constante ; lorsqu'elle se prod

l'ingestion, sans effort, avec une éructation; l'enfant tourne les liquides deux ou trois fois dans la bouche et les ravale

quelquefois quatre ou cinq régurgitations successives. Les potages liquides remontent quelquefois et de la même façon. Les

e quelquefois un grand nombre de repas sans que la ru- mination des liquides se produise. Souvent on est tenté de croire que

s été précédés d'éructations ni de régurgitations comme lorsque les liquides reviennent, et ils ne sont pas suivis de mouvemen

après le repas, une heure et plus, c'est-à-dire à un moment où les liquides ne doivent plus être dans l'estomac : quelquefo

erdâtres. Degr... ramène dans sa bouche les aliments et surtout les liquides ; au bout de quelques minutes, il en rejette une

ce cas se présente surtout si Degr... n'a ingéré que des substances liquides (potages), ou s'il y a eu simultanément ingestion

dominales dans un effort correspondant à l'expiration. Des flots de liquides remontent à ce moment, s'arrêtent quelquefois I

liments semi-liquides, comme les soupes, le sont souvent; la partie liquide , bouillon ou lait, revient la première; plus tard

l'enfant, on voit apparaître des bouchées de pain. L'ingestion des liquides diminue d'ailleurs l'intervalle des renvois. D'

: premiers indices de l'absence d'in- telligence. - Rumination des liquides . - Amélioration. Ictère. - Rougeole; 6roncho-pn

, après le repas, on note des régurgitations (rumi- nation pour les liquides ) : il ramène dans sa bouche non seulement le li

tion pour les liquides) : il ramène dans sa bouche non seulement le liquide de la soupe, mais encore le pain ; puis ravale le

donc des cas de mérycisme partiel ne portant que sur les substances liquides , boissons, potages, sans qu'il soit besoin de l

ion est excessivement court; et par suite, si l'enfant a ingéré les liquides au début du repas, il rumine et mange à la 74 D

propos, que le mérycisme était partiel et ne s'exerçait que sur les liquides . Nous avons vu encore la rumination disparaître

ans l'oesophage et pouvait quelquefois les repousser en avalant des liquides . Eructations rares. Les boules étaient composée

blent favoriser la rumination, tels que les légumes (OBs. XXI), les liquides en grande quantité (Obs. VII et XVII), est auss

tissu cellulaire insufflé; 3° cette poche a été trouvée pleine d'un liquide séreux, en tout analogue au liquide céphalo-rac

poche a été trouvée pleine d'un liquide séreux, en tout analogue au liquide céphalo-rachidien avec lequel il paraissait com

ns de décrire et le cerveau, on trouve ce dernier nageant L dans le liquide cépltalo ? aclziclien. En avant, l'extrémité an

veau. - Le cerveau, par suite de la distension de ses parois par le liquide céphalo-rachidien, a une surface très grande; i

et chronique. Cette forme offre elle-même des variétés : tantôt le liquide est collecté entre la dure-mère et l'arachnoïde

arfois, chez le même sujet, on trouve une collection abon- dante de liquide et dans la cavité arachnoïdienne et dans les ve

erons seulement que, dans la ca- vité arachnoïdienne, une partie du liquide était enkystée entre la dure-mère et l'arachnoï

Blache et Guersant quand ils disent que « dans quel- ques cas, les liquides sont accumulés dans des espèces de kystes (2).

riétés d'asymétrie que présente le crâne des hydrocéphales. d) Le liquide , renfermé dans la cavité crânienne, re- cueilli

océphalie ven- triculaire 250, 500, quelquefois plus de 1000 gr. de liquide . La quantité serait à peu près la même dans l'h

es et 6 à 7 li- vres. M. Bouchut écrit que l'on a vu la quantité de liquide atteindre le chiffre énorme de 20 à 25 litres (

r une poche renfermant 50 livres de sérosité (1). c) L'analyse du liquide céphalo-rachidien a été prati- quée par notre a

r notre ami Yvon qui nous a remis la note sui- vante : Analyse du liquide céphalo-rachidien. Composition pour 1,000 f/1 ?

alo du musée do Cruikshank avait environ 27 livres de sérosité. . LIQUIDE CÉPHALO-RACHIDIEN. 135 Aspect légèrement troubl

nces. Base du crâne, symétrique, régulière. Encéphale : 1100 gr.; liquide céphalo-rachidien en quantité normale; légère v

petite compresse graduée sur la tumeur après en avoir fait évacuer le liquide , ou par le point lacrymal infé-rieur, ou par le c

s étranger, étant réunie immédiatement comme celle d'une saignée. Les liquides retrou-vant une voie pour être versés dans les fo

rale, une bandelette agglutinative bien collante, pour em-pêcher tout liquide de s'insinuer entre les bords palpébraux; puis av

our siège la chambre antérieure. Elles ont pour objet d'évacuer des liquides purulens dont l'o-pacité nuit à la vision dans le

de la circonférence delà cornée (pl. 8, fig. 9). Si l'on soupçonne le liquide très épais, on pique avec une lancette [Scarpa)qu

avec une lancette [Scarpa)qui donne une ouverture assez large; si le liquide est aqueux, comme dans l'hydato-capsulite, une ai

ulaire et capsulo-lenticulaire. Une quatrième espèce est l'opacité du liquide capsulaire ou la cataracte interstitielle. Par ex

humeur de Morgagni. — 2° Consistance. La cataracte est dure, molle ou liquide . La cristalline peut offrir l'un ou l'autre de ce

psulaire, les deux premiers seulement: l'interstitielle est tou-jours liquide . L'extrême densité est le fait du cristallin. La

c.; la cataracte molle, gélatineuse, gommeuse, crétacée; la cataracte liquide , hydatique, lactée, purulente. —3° Couleur. La ca

t essentiel, pour mettre la surface du cristallin en contact avec les liquides , est de diviser autant que possible la capsule pa

n connaît des cas nombreux où la sortie d'une certaine quantité de ce liquide a paru concourir plutôt que nuire au succès de l'

ons trop considérables, et que les mi-lieux de la chambre antérieure, liquide et membranes, aient conservé leur transparence;

er avec force des injections d'eau tiède dans le conduit au-ditif. Le liquide pénètre derrière le corps étranger et, s'acen-mul

nt on se sert pour diriger des injections dans l'oreille moyenne. Les liquides médicamenteux sont injectés par le pavillon de la

sion, hors de cette cavité, de tous les produits morbides, solides ou liquides , qu'on y ren-contre, tels que des épanchemens sér

insectes vivans il faudrait avoir recours à des injections cle divers liquides , mais préférablement d'huile d'olive. tamponnem

renfermé, se coagule et s'oppose ainsi à une nouvelle' (''mission du liquide . Pour pratiquer ce tamponnement, on passe par l

athérétiques. Pour toucher le polype ou sa racine avec les caustiques liquides , en iinhiber une mèche ou tente de charpie en for

es fois que le sinus maxil-laire est distendu par une accumulation de liquide ; c'est pour un fait de ce genre que Jourdain l'a

ation per-mise, pour éviter la mastication, doit être de potages très liquides introduits dans la bouche avec un vase à bec, en

préalables doivent être pris; et d'abord les fils, agglutinés par des liquides sèches, doivent être humectés lente-ment avec de

olle, des linges fenêtres, etc. On nourrit le malade avec des alimens liquides , qui peuvent être portés dans la bouche par un va

Dubois et la plupart des chirurgiens de nos jours le nitrate d'argent liquide ou solide. C'est ce dernier moyen qui a prévalu.

escrit de ne la fermer qu'imparfaitement, en ména-geant une issue aux liquides le long des fils à ligature, pour éviter qu'il ne

tions de nature très différente: les uns ont trouvé dans le kyste, un liquide visqueux qu'ils ont cru être de la salive épaissi

r de le détacher en dedans, avec des ciseaux courbes, de sorte que le liquide étant évacué, le fond du kyste forme im-médiateme

che. On appelle du nom de tumeur salivaire, des kystes remplis d'un liquide albumineux et incolore, qui se rencontrent sur de

simples ou aidées de la cautérisation avec un pinceau trempé dans un liquide caustique. Une autre variété de tumeur, bien pl

sang et permettre au malade de respirer et de se garga-riser avec des liquides astringens; s'il survient une hémorrhagie, on l'a

s contractions spasmodiques du voile du palais, la présence de divers liquides , les efforts d'expuition, de déglutition, de toux

n obtenir de bons effets, quand la tumeur est formée par des matières liquides ou diffluentes. Dans les trois cas de guérison ob

et les incisions employés seuls ou combinés, pour les goitres à demi liquides , les incisions seules pour l'hypertrophie, la lig

e centre, sur les membres et sur le tronc, avec des linges imbibés de liquides exci-tans et de température variée, suivant la ca

de la plaie, pour ingérer clans l'estomac des substances alimentaires liquides ou demi liquides. Il suffit alors de les verser a

ingérer clans l'estomac des substances alimentaires liquides ou demi liquides . Il suffit alors de les verser avec un entonnoir

aptée à la sonde, se remplit par la succion du piston des sub-stances liquides ou pâteuses contenues dans l'estomac. Pour cet us

age une tige flexible terminée par une boulette de linge imbibée d'un liquide caustique. Le malade, dit-on, éprouva d'abord un

et qu'à l'in-stant même de l'accident ; tels sont : la déglutition de liquides visqueux, huiles douces ou mucilages, ou celle de

du corps étranger, et de l'y laisser se gonfler par l'absorption des liquides ; de sorte qu'en la retirant, lorsque, par son vol

d'accidens. Pour facili-ter la déglutition et prévenir le passage des liquides alimentaires et des boissons par la plaie, on int

nte. Elle doit être telle, que la plaie donne un libre écoulement aux liquides ; ce n'est donc que par erreur, que quelques chiru

ne, après le pansement, une inclinaison convenable pour la sortie des liquides . Pour pratiquer la section cutanée, tout étant

Léonidas); la section avec une lame rougie à blanc ou trempée dans un liquide caustique (J. Fabrice); l'ablation d'un seul coup

yème s'ap-t. vu. plique à l'opération dont l'objet est d'évacuer un liquide de la cavité pectorale, non moins qu'au liquide l

bjet est d'évacuer un liquide de la cavité pectorale, non moins qu'au liquide lui-même, et s'étend indistinctement à toute coll

répanchement est nouveau, rien ne faisant obstacle au déplacement du liquide , il gagne les points déclives, 23 et, suivant

u ou avec le temps, si une portion s'en ré-sorbe, et surtout quand le liquide épanché , du sang, du pus , est plastique et irri

t irritant, des zones d'adhérences s'établissent et circonscrivent le liquide en un ou plusieurs foyers. Les anciens, pour pose

ax où la ponction révéla que la suffocation était due non pas tant au liquide qu'à des gaz qui sortirent avec violence au dehor

e convient que pour les épanebemens séreux ou séro-sangui-nolens très liquides , et n'offre pas une issue assez facile quand le l

-nolens très liquides, et n'offre pas une issue assez facile quand le liquide est épais, grumeleux ou floconneux comme le pus,

une saillie bombée avec fluctuation évi-dente, indice certain que le liquide est derrière, il ne s'agit plus cpie d'y faire un

éable, on conçoit que, l'organe remplissant la cavité à mesure que le liquide s'écoule, l'évacuation complète et brusque puisse

ns la science prouvent les fâcheux effets de la putrescibilité de ces liquides en contact avec l'air, pour que, même avec la res

enfin le foyer est ouvert, on laisse pendant quelque temps écouler le liquide , en surveillant avec attention l'état du pouls et

out cas, il convient de n'é-vacuer approximativement que la moitié du liquide , en aidant , s'il esl besoin, à sa sortie, par u

u un ruban de fil qu'on laisse à demeure pour servir de conducteur au liquide , et favoriser l'évacuation lente du foyer dans le

ins consécutifs. Dans les premiers jours qui suivent la ponction , le liquide continue de suinter le long du ruban con-ducteur

de surveiller l'état général du malade et les ebangemens que subit le liquide à différens temps. Si la santé générale s'amélior

e , c'est un indice de la guérison : dans le cas, au contraire, où le liquide s'altère, devient fétide, et que les symptômes lo

s pour déterger les surfaces pleurétiques, dissoudre et em-porter les liquides viciés dont la résorption serait promptement fune

ède ou de solutions mucilagineuses dans l'épanchement séreux, soit de liquides légèrement astringens ou antiseptiques dans les é

malade s'améliore , on en est averti par les changemens de qualité du liquide qui diminue d'abondance et devient de meilleure n

ns la cavité du foyer, on retire la tigedutrocartetonlaisseécouler le liquide par la canule, en ayant soin de la déboucher avec

des pinces, à mesure que des flocons viennent l'obstruer. Lorsque le liquide est évacué, on laisse la canule dans la plaie pou

is pouces) du point de son entrée. Retirant alors la tige à dard , le liquide sort par la canule dont le trou moyen est dans le

; on en gradue à l'avance le calibre, suivant la na-ture présumée du liquide épanché. Enfin la courbure du trocart est avantag

trumens ont été imaginés. 4' Instrumens à ponction et aspiration du liquide par la ca-nule. M. ÏFalsch de Worcester, voulant

ces derniers temps , divers appareils pour ponctionner et aspirer le liquide , ont été imaginés par MM. Bouvier, Récamier, Mai

cher l'introduction de l'air; •i" en ce qu'il existe pour recevoir le liquide un récipient garni de robinets d'entrée et de sor

Mais si cet ingénieux instrument permet ri-goureusement d'aspirer le liquide intérieur, sans laisser intro-duire directement a

une ouverture d'un diamètre assez considérable pour donne] passage au liquide le plus épais. Le disque d'os étant enlevé la plè

ner la plèvre et on la fixe en place immédiatement. Jus-que-là, si le liquide étant écoulé, on se contentait de fermer la ca-nu

ée vide et mouillée, après en avoir bien exprimée l'air, s'em-plit du liquide de l'empyème et peut être vidée au fur et à me-su

ire, il y a menace d'asphyxie, laisser écouler une petite quantité de liquide , et dès cpie la res-piration devient plus libre,

éan-moins le pus, et pour remplir l'espace, d'y suppléer plutôt parle liquide moins offensif de l'injection, qu'on laisserait s

s chirurgicaux proposés contre l'ascite ont pour but, ou d'évacuer le liquide contenu dans la cavité péritonéale, ou d'obtenir

quinze jours. On obtient quelquefois, par ce moyen, une diminution du liquide , mais ce résultat n'est que passager, et de l'ave

y a qu'un seul traitement dans tous les cas d'ascite, l'évacuation du liquide . Si l'hydropisie est idio-pathicpie, l'issue de l

premier cas, on devra faire la ponction aussitôt que la collection de liquide est bien formée et qu'on s'aperçoit qu'elle a5

git d'une hydropisie symptomatique, ¡1 faudra au contraire évacuer le liquide le plus tard possible, et seulement pour empêcher

éralement par un bec de cuiller qui sert à faciliter l'écoulement des liquides . Il y a des trocarts de plusieurs dimensions , su

ageons l'avis de M. Malgaigne qui conseille de choisir le point où le liquide fait le plus de saillie et où la fluctuation se f

cart; 20 deux vases, l'un de peu de capacité, dans lequel est reçu le liquide , et l'autre beaucoup plus grand, dans lequel on v

foulent l'abdomen du plat des deux mains pour augmenter la tension du liquide dans le point où l'on veut opérer. Le chirurgien

omme dans toutes les ponctions, au milieu d'une cavité remplie par un liquide , le défaut de résistance et la mobilité de l'ext

ilité de l'extré-mité de l'instrument indiquent qu'elle nage clans le liquide . L'opé- rateur alors, saisissant la canule entr

re main; la sérosité s'écoule immédiatement. Lorsque la quantité de liquide à évacuer est considérable, l'é-coulement a lieu

ant de son orifice abdominal. Dans la nécessité de rétablir le jet du liquide , on a recours à l'introduction d'un stylet mousse

re, qui suit l'évacuation, on comprime plus exacte-ment en amenant le liquide des divers points du bas-ventre vers l'orifice de

inue jusqu'à ce que la gêne produite par une nouvelle accumulation de liquide force d'en suspendre l'usage. Divers accidens p

. Velpeau propose un bouchon d'é-ponge préparée qui, en s'imbibant de liquide au fond de la plaie, exercerait une compression e

nable dans la cavité de l'abdomen. On retire ensuite la canule, et le liquide s'écoule parla sonde. L'objet de cette modificati

et de cette modification est de n'opérer qu'avec lenteur la sortie du liquide , la sonde laissée à demeure pendant plusieurs heu

é d'ascite chez lequel l'anneau ombilical dis-tendu par la collection liquide avait fini par former une petite ul-cération par

ul-cération par laquelle s'était préalablement évacuée la collection liquide , puis une fistule avait continué de donner lentem

courbure, cpii baigne dans le foyer, d'un trou ovalaire par lequel le liquide s'introduit dans la canule. Pour s'en servir, l'i

rument. Il ne s'agit plus que de retirer la tige pour donner issue au liquide épanché. Du reste, les préceptes ultérieurs sont

de ponction. La possibilité qu'offre ce procédé de faire évacuer le liquide à tout moment quelconque, a permis à M. Baudens d

s. Il préfère ne donner d'abord issue qu'à la moitié de la collection liquide ; tin petit couvercle qui s'adapte à l'extrémité s

tions , mais encore plus modé-rées, en laissant exprès une portion de liquide ; rien de plus simple que cette opération nouvell

et les jours suivans, et c'est le malade lui-même qui donne issue au liquide . Il suffit pour qu'on se confie en lui qu'il soit

OIE. Le foie est assez fréquemment le siège de diverses collections liquides , du pus , de la sérosité , des hydatides dont l'a

ort du malade, si la nature ou l'art ne parviennent à donner issue au liquide ou aux matières organiques épanchées. Les exemple

anal muqueux accidentel dans le tissu du poumon , que les collections liquides du foie ont. pu être éva-cuées par la trachée-art

in par ponction avec le bistouri ou un trocart. Après que la masse du liquide a été évacuée, l'auteur facilite l'expulsion par

faire saillir au dehors, pour recevoir et faire évacuer au dehors les liquides et les matières quelconques renfer-més dans la ca

t que toutes les parties herniées se soient gonflées par l'afflux des liquides dans leurs vaisseaux , il arrive fréquemment qu'u

ie. A son intérieur, il existe assez souvent une certaine quantité de liquide analogue à celui que l'on trouve dans la cavité d

séreuses , mais dont cependant la quantité et la qualité varient. Ce liquide , ordinairement clair et transparent, est quelquef

anglée. Des chirurgiens ont affirmé que le sac renfermait toujours du liquide dans la hernie étranglée, et se sont appuyés de c

hernie. Cette inflammation a pour résultat d'augmenter la quantité de liquide que contient souvent le sac d'une hernie un peu a

u considéra-blement élargi et la cicatrice décomposée soulevée par le liquide . Plus tard une hernie ombilicale pourra donc arri

n des réfrigérans sur la hernie a pour effet de diminuer l'afflux des liquides , de condenser les vapeurs de l'intestin et de sol

ression, par la présence presque constante d'une certaine quantité de liquide dans son intérieur; quelquefois à sa teinte légè-

n intérieur; quelquefois à sa teinte légè-rement livide qui accuse un liquide brunâtre sous-jacent. Mais par-fois un ou plusieu

s abeédés, un sac herniaire, an-cien, oblitéré et épaissi ou plein de liquide , ou encore les divers élémens du cordon spermatiq

part, en effet, il existe presque toujours une cer-taine quantité de liquide à son intérieur, et alors l'intestin est protégé

ment tranchant; d'une autre part, lorsque le sac ne contient point de liquide , que la hernie est sèche comme on dit, il n'arriv

on est effectivement parvenu dans l'intérieur du sac. L'évacuation du liquide de la poche ouverte en quantité variable est le s

jà parlé de la présence de plaques graisseuses et de kystes pleins de liquides au-devant du sac. Le kyste une fois ouvert, si on

il est clos de toutes parts, et T. VII. que, ne renfermant que du liquide , il ne contient ni intestin ni épiploon. Supposez

ppes, et surtout parce que le sac contient très peu, ou même point de liquide . Il est souvent nécessaire d'avoir recours à une

ucun travail d'oblitération , ce cpii fit penser cpie probablement le liquide n'avait pas été porté clans sa cavité. Le second

a cavité de l'intestin, par la sortie des gaz et de quelques matières liquides ; alors on agrandit la petite ouverture faite par

ma-tières suffisent. Dans les premiers jours, les selles sont d'abord liquides et glaireuses, bientôt elles prennent de la consi

le constitue le fond, et dans lequel se mêlaient et séjour-naient les liquides stercoraux et ceux sécrétés par l'ulcération elle

le complète, facile à reconnaître à ses caractères et à la nature des liquides qui en exsudent, a toujours été reconnue par les

ur habituelle. Sa chemise est toujours sa-lie par une exsudation d'un liquide rougeâtre et sanguinolent ou par un pus grisâtre

i, outre ces caractères, il s'en exhale des gaz fétides et surtout un liquide muqueux plus ou moins mélangé de ma-tières sterco

n s'as-sure en tendant la peau avec les doigts. La sortie d'un peu de liquide et bientôt l'apparition de l'orifice lui-même, ac

un stylet d'argent boutonné et l'injection par l'orifice cutané d'un liquide coloré, inerte, du lait, ou une solution de tourn

r recours à une injection colorée par l'orifice cutané. L'ar-rivée du liquide dans le rectum indique que la fistule est com-plè

facilite la recherche de l'orifice interne. Si, au contraire, tout le liquide ressort par l'orifice cutané, il est presque cert

on de l'orifice rectal de la fistule en empêchant les matières et les liquides stercoraux d'y pénétrer, et de produire l'adhésio

rois du foyer en les maintenant en contact et s'opposant à ce que les liquides puissent y séjourner. Pour obtenir ce mode de com

la plaie d'une masse de charpie brute destinée d'abord à absorber les liquides . On applique par-dessus des plumasseaux maintenus

injec-tion, d'abord, puis aux matières fécales, après avoir laissé le liquide séjourner un temps assez long pour qu'elles puiss

e exposé à l'inconvénient d'une fil-tration habituelle de mucus ou de liquides stercoraux , M. Chau-met pratique son incision su

t la chemise montée sur une canule , et chargée de charpie imbibée de liquides astringens, pourrait avoir de bons effets. Mais s

faudrait placer dans la plaie une éponge imbibée; d'eau froide ou de liquides astringens et sfyptiques, ou même tamponner comme

ir pé-nétré dans la cavité du sac vaginal, et en avoir fait sortir le liquide , à gratter la surface interne de la membrane sére

le feuillet pariétal de la tunique vaginale. Enfin, donnant issue au liquide de l'hydrocèle, il procédait à l'aide de forts ci

s est pratiquée sur le scrotum, avec une lancette ou un bistouri ; le liquide s'écoule en partie, puis avec une pince, on cherc

ig- 5, a, b, c), et d'une seringue à an-neaux (pl. 47» fig- 6)- Les liquides qui ont été employés pour irriter la surface in-

es de Provins, fin résumé, le vin rouge a donc prévalu sur les autres liquides ; il est injecté aujourd'hui à une température d'e

qu'avec la main droite il retire le trois-quarts pour donner issue au liquide qui s'écoule dans un bassin préalablement placé e

re le scrotum et la tunique vaginale, ou bien par une infiltration de liquide au travers de déchirures de cette membrane qui au

u'on ait la précaution de malaxer le scrotum, de ma-nière à ce que le liquide passe sur tous les points delà face interne du sa

qui compte déjà un grand nombre de succès. Elle consiste à forcer le liquide de l'hydrocèle de s'écouler, à mesure qu'il se fo

et on la laisse ainsi six à huit jours. Pendant ce laps de temps, le liquide sécrété sort goutte à goutte; on débouche de temp

ébouche de temps en temps le canal qui tend à s'obstruer, et quand le liquide s'échappe par la circon-férence de la canule, com

ction d'iode est celle qui convient le mieux. Il en est de même si le liquide est légèrement sanguinolent, tandis que l'on doit

a pré-caution de comprimer le sommet de la tumeur, pour éviter que le liquide ne pénètre dans le péritoine, par la communicatio

iguerie. Ce chirurgien pensant, avec raison, que la majeure partie du liquide vaginal, à cet âge, pro-vient de l'exhalation sér

pelote d'un brayer sur le trajet de canal inguinal, pour empêcher ce liquide de re-descendre dans la tunique vaginale. L'enfan

a-quelle il avait préalablement le soin de faire descendre le plus de liquide possible. Desault employait le vin en injection;

ser-virait aujourd'hui de l'iode avec d'autant plus d'avantage que ce liquide allât-il dans le péritoine , l'irriterait encore

our la seconde une seule seringue et Tin bassin suffisent. Les autres liquides étant fort peu usités, nous n'en parlerons pas. A

ement non interrompu avec des compresses imbibées du t. vii. même liquide . A partir de celte période, le traitement est à-p

ancienne. Quelquefois la matière colorante du sang se résorbe , et le liquide qui reste dans la tumeur est d'une couleur citr

ence existe dans les deux cas ; toutefois dans l'hématocèle, outre le liquide , il existe de la fibrine décolorée qui s'est préc

scrotum dans le lieu d'élection comme pour l'hydrocèle ; on évacue le liquide , et quand bien même il resterait quelques grumeau

lle. Toutefois, pour éviter l'irritation qui résulte du contact de ce liquide avec les lèvres de la plaie, on a recours à des l

t, il en reste toujours quelques gouttes clans la cavité du gland; ce liquide s'altère et irrite les parties avec lesquelles il

se de la surface interne du prépuce, accompagnée de l'écoulement d'un liquide analogue à celui qui sort par l'urètre dans la bl

bis, pour éviter que le scrotum et les cuisses soient mouillés par ce liquide . La plupart des auteurs qui ont eu l'occasion d

Le défaut d'excrétion urinaire dépend alors non de la rétention « du liquide , mais de la suspension de sa sécrétion. La vessie

st introduite, l'urine sort entre elle et les parois du canal ; si ce liquide ne peut être excrété, et que cependant le malade

ue l'on fait rendre au malade en bouchant la sonde, de manière que le liquide injecté, passant entre les parois de cet instrume

ur de celui-ci, cherchait en pressant avec le doigt à faire passer le liquide plus avant, et répétait cette manœuvre jusqu'à ce

ression de l'urine, de ma-nière à faire obstacle un premier jet de ce liquide . Partant de cette idée, il pensa qu'un liquide in

e un premier jet de ce liquide. Partant de cette idée, il pensa qu'un liquide injecté d'avant en arrière, s'in-sinuerait plus f

ec la droite il comprime graduellement la seringue pour en chasser le liquide qu'elle contient. Celui-ci ne pouvant ressortir d

ouchon de mucosités. La résistance qu'oppose l'obstacle au passage du liquide injecté est quelque-fois si grande que, la force

sse l'injection, de cette double action et de la pénétration des deux liquides , l'eau et l'u-rine, en sens opposé, il résulte or

contact de l'urine, ne se laissent plus imprégner et infiltrer par ce liquide , et le malade ne court plus les chances de se voi

uler dans la vessie, l'irriter et en solliciter les contrac-tions. Le liquide sort continuellement par la sonde et pas une gout

elque manière qu'on s'y prenne, on a toujours à redouter que l'urine, liquide si pénétrant, ne s'in-filtre entre les lèvres de

duel de l'urine. On pourrait craindre de voir une in-continence de ce liquide succéder à une aussi grande dilatation du canal;

ge naturel de l'urine, et qu'on n'a pu réussir, il faut créer pour ce liquide , sinon un urètre, du moins un passage artificiel,

il serait facile de placer entre ses jambes un vase qui recevrait le liquide ; toutefois, comme ce vase serait gênant, il vaut

trument est parvenu dans la vessie. Il retire alors le poinçon, et le liquide sort par la canule; on bouche cette dernière, lor

mposition chimique; de là tant d'essais d'injection dans la vessie de liquides divers, acides ou alcalins. Mais comme il arrive

e passage des substances solubles dans l'urine, il est certain que ce liquide se maintient alcalin pendant tout le temps que l'

négale et poreuse qui indique l'action dissolvante ou disgrégeante du liquide dans lequel il avait séjourné; le sixième laisse

uvés de même nature chimique que les calculs corrodés par l'action du liquide . Il serait inutile d'insister plus long-temps sur

ligence : « Au travers de la fistule qui , d'abord a donné passage au liquide épanché, quelques chirurgiens sans pratiquer de p

alement garnie d'une boîte en cuir ou en liège destinée à empêcher le liquide de sortir, et d'un renflement quadrilatère long d

e rondelle renfermant une boîte à cuir qui a pour usage d'empêcher le liquide de passer entre lui et le stylet; cette rondelle

ire tomber dans la vessie. Aussitôt que l'instrument est retiré, le liquide de l'injection mêlé aux urines s'écoule et entraî

ois frapper avec force les parois de la vessie, malgré la présence du liquide de l'injection, et peuvent donner lieu à une cyst

té rendue à la branche de l'instrument. On agite alors un peu dans le liquide l'extrémité du brise-pierre, pour en détacher le

s, accident qui peut arriver malgré la distension de la vessie par le liquide de l'injection. Lors-que le calcul est pris, de d

usieurs fois avec succès; il consiste à laisser échapper peu-à-peu le liquide à travers l'instrument ouvert, et monté convena-b

se à chaque instant l'urine qu'elle contient, et ne peut conserver le liquide de l'injection sans lequel il est presque impossi

ur ainsi dire; M. Leroy a agi de même en injectant dans la vessie des liquides narcotiques et caïmans, et même du lauda-num à un

s dans le réservoir urinaire qui peut contenir une grande quantité de liquide ; mais en raison précisément de son état de paral

'urètre lorsqu'on veut évacuer l'urine, et s'oppose à la sortie de ce liquide . Les engorgemens de la prostate qui durent depu

f-ficulté qu'on éprouve à pouvoir conserver, dans la vessie, assez de liquide pour pouvoir y faire manœuvrer avec facilité et s

s viscères, et forme une barrière qui ré-siste au pus et aux matières liquides qui s'accumulent au-devant de la vessie, de maniè

rni par l'aponé-vrose superficielle, par suite de la facilité que les liquides trou-vent à en opérer le décollement. Dans le deu

amponner, est de bien s'assurer que la vessie ne contient pas de sang liquide ou caillé, et, s'il y en a, de l'enlever d'abord,

continence de l'urine est incomplète, de telle sorte qu'une partie du liquide passe par l'urètre et l'autre par la plaie, on pe

ncave, en évitant de la faire trop grande, dans la crainte de voir le liquide sortir en entier, et la vessie s'affaisser sur el

e, que les fréquens besoins d'uriner empê-chent de pouvoir retenir le liquide en quantité suffisante pour distendre la vessie.

à un aide de comprimer la verge vers son extrémité, pour empêcher le liquide de sortir, et l'on procède à l'incision des parti

ibant d'urine, a pour usage de servir de filtre et de conducteur à ce liquide , et de l'em-pêcher de fuser dans le tissu cellula

n, parce que, après cette épo-que, les tissus habitués au contact des liquides et déjà enflammés, ne sont plus aussi perméables.

ution de con-tinuité , attendu que, rien ne s'opposant à la sortie du liquide de la poche urinaire, il s'infiltrerait dans le t

dité des parois de la vessie, qui succède inévitablement à l'issue du liquide après l'incision. De tant de motifs qui militent

verture en rapport avec celle du péritoine; il est vrai aussi que les liquides ont beaucoup plus de tendance à s'échapper au deh

ure, en se contentant d'appliquer dessus des compresses imbibées d'un liquide résolutif; mais lorsqu'elles ont un certain volum

que dans les cas où le sang contenu dans le kyste est encore à l'état liquide ; mais comme le plus sou-vent on le rencontre sou

é, il suffit d'appliquer sur la tumeur des cataplasmes imbibés d'un liquide résolutif, ou sim-plement émolliens, s'il y a un

ir, et la mort serait certainement occasionnée par la rétention de ce liquide si on ne lui procurait une issue artificielle ; s

pour empêcher que l'air ne prît la place du sang et, en se mêlant aux liquides , dont il altérerait chimiquement la nature, ne dé

nt la nature, ne déterminât des inflammations graves. Si cependant le liquide qui s'échappe contractait une mauvaise odeur, et

n, à 13 centimètres 1/2 (5 pouces) de profondeur, avant de trouver le liquide retenu ; tels sont aussi ceux de Delpech, de MM.

différentes sortes de tumeurs produites par des matières solides, des liquides ou des gaz. Le meilleur moyen est d'étendre à pla

si l'on a affaire à un gaz, à une matière solide, ou à un mé-lange de liquide et de gaz. ia Toucher vaginal. Il y a deux mani

fistules avec chacun de ces organes, en-tretenues par le passage des liquides ou des matières contenues dans leurs cavités. De

aie. Cette position et la sonde ne pouvaient entièrement détourner le liquide du bas-fond de la vessie, et le tampon ne s'oppos

une ouverture artificielle, a complètement intercepté le passage aux liquides . Cependant leur application sur le vivant n'a jus

des urines qui les baignent, et à cher-cher à rendre l'écoulement des liquides moins incommode, en employant l'instrument que J.

de sachets remplis desubstancesastringentesou cl'é-ponges chargées de liquides de la même nature. Restent les opéra-tions qui co

t une autre plus grande en avant, afin de laisser une libre issue aux liquides et de pouvoir plus tard rétablir la vulve dans so

ets de charpie environnés d'un linge fin, et trempés dans l'un de ces liquides , peuvent également servir. On peut encore employe

ontraire la retirer un peu, afin que son extrémité se trouvât dans le liquide . Lorsqu'on opère pour la rétention des règles,

u'elle reste en place, de faire des injections dans le vagin, avec un liquide émollient, dé-tersif ou antiseptique, suivant les

s astringentes et absorbantes, tels que la colophane, ou imbi-bées de liquides styptiques. Enfin, si l'on voulait avoir plus de

arton mouillé vaudrait mieux encore. Lorsqu'on emploie un caustique liquide , il faut avoir soin d'exprimer légèrement le pinc

ennent, soit une sérosité ou claire et incolore , ou citrine, soit un liquide couleur café ou de chocolat, lactes-cent ou séro

ompit dans un effort et guérit après qu'il se fut écoulé beau-coup de liquide par le vagin. Chez une autre, la tumeur s'ouvrit

tre, la tumeur s'ouvrit à la paroi latérale gauche du vagin , tout le liquide s'écoula par t. vii. cette ouverture, et la t

ie de l'ovaire comme dans celle de toutes les poches qui sécrètent un liquide , la ponction ne produit en général qu'une guériso

u'une guérison momentanée; elle doit être répétée cha-que fois que le liquide s'est reproduit en assez grande abon-dance pour g

s sûre, en prenant toutefois les plus grandes précautions pour que le liquide ne s'égare pas au dedans ou au dehors du péritoin

er sur ces moyens qui, du reste, sont loin d'être sans dangers. Si le liquide est trop épais ou trop visqueux pour pouvoir être

he une canule qui servait tout à-la-fois à donner issue permanente au liquide à mesure qu'il se sécrétait de nouveau, et à fair

enter l'extirpation de la tumeur, il l'ouvrit et évacua une partie du liquide qu'elle contenait; le doigt, porté par cette ouve

dans une des parois du kyste, pour l'attirer au-dehors et empêcher le liquide de tomber dans le ventre, plaça de la charpie dan

stique, et fit une incision à l'o-vaire affecté d'hydropisie. Mais le liquide que contenait la tumeur étant trop épais, et ne s

mis à nu, détruire ses adhérences aux lèvres de la plaie ; évacuer le liquide contenu dans son intérieur; séparer le sac du pér

Pansement. L'opération terminée, on enlève avec une éponge tous les liquides qui peuvent s'être épanchés dans le ventre, on ra

intestins ; on laisse l'angle inférieur libre, pour l'écoulement des liquides , et l'on termine le pansement par l'addition de b

Monteggia voulait qu'on se servît, d'un gros trocart pour extraire le liquide , puis qu'on introduisît à travers cette ouverture

s (Expér. t, 1, p. 355); de M. Samuel, qui retira autant de livres de liquide (Hufeland J., i83o). MM. Jeaffreson, King, (Annal

t d'exposer à blesser la vessie, s'il ne permet que difficilement aux liquides de s'écouler, soit pendant, soit après l'opératio

mieux rompre la poche, parce qu'on ne court pas le risque de voir le liquide amniotique s'épancher dans le péritoine et la ma-

ois abdominales n'aban-donnent pas la matrice, afin d'empêcher que le liquide amnioti-que ne se répande dans la cavité péritoné

à suivre les mouvemens de retrait de la ma-trice, pour éviter que le liquide ne s'épanche dans le ventre. Si la cavité utérine

laie; l'angle inférieur doit être laissé libre, pour donner issue aux liquides , et on en favorise l'écoulement au moyen d'une mè

e au-devant des paupières fermées une compresse trempée dans le. même liquide et prescrit de la renouveler toutes les demi-heur

M. Bouvier, sans fon-dement dans certains cas. Le peu d'abondance du liquide amnio-tique a été signalé dans un cas par Bruckne

vides se soient formés, on les remplit en y coulant de nouveau plâtre liquide . Ajoutons, en dernier mot, quant à ce mode de tra

ecouvrait. Peu de sang s'écoula au dehors; une pe-tite quantité de ce liquide , épanchée sous la peau, forma un trombus assez sa

aire pour que la pointe arrive à la hauteur du robinet. Une goutte de liquide qui vient s'échapper au dehors indique que ce rap

ainsi autant defois qu'il est nécessaire pour évacuer la totalité du liquide . L'opération terminée, reste à dégager la canule

se trouve essuyé de manière qu'au-cune goutte de pus ou de tout autre liquide intérieur que ce soit, ni qu'aucune bulle d'air e

uant à l'opération elle-même. Ponction des abcès ou des collections liquides de diverse nature, situés profondément. Ayant s

lluleuses et vasculaires, en même temps que la sortie d'une goutte de liquide le long delà cannelure lui en indique la qualité.

de cette manière. Que si, au contraire, il existe un grand volume de liquide , on en pratique ultérieurement la ponction avec l

anée de l'empyème. Ponction sous-cutanée des abcès et des collections liquides de diverse nature, situés profondé-ment, xlix-lil

est l'opération, le bistouri venant de faire la ponction , le flot de liquide se fait jour au dehors. Figure 2. Mode d'incisi

ient de ne pas permettre, comme l'incision directe , l'issue lente du liquide le long d'une mèche conductrice. Figure 3. Proc

'animal ou autre, qui donne facilement passage de dedans en dehors au liquide dans les mouvemens et les efforts inspiratoires,

domen, prêt à pratiquer la compression méthodique pour l'expulsion du liquide après la ponction. Le chirur-gien placé à droite,

petit trocart. La canule est laissée à demeure après l'évacuation du liquide , comme on le voit sur la figure, et fait ultérie

pour laisser voir ce qui, chez le sujet vivant, se passe au milieu du liquide dans sa cavité. Autour de la vessie se voit l'e

ocart. H. Utérus. Sur les deux figures l'organe est distendu par le liquide qu remplit sa cavité. Mais dans la figure 1 sa si

roscopique. Celui-ci faisait reconnaîlre que, dans les alvéoles où le liquide avait pénétré, l'épithélium était aplati tandis q

sec-tion des récurrents, l'animal a été soumis à la trachéotomie, le liquide qui s'écoule de la la plaie à l'intérieur de la t

à peu près sèche ou laissant écouler à peine une petite quantité d'un liquide clair. Elle paraît habituellement, quand on l'exa

re, très distendu, gros comme une plume d'oie, sinueux, rempli par un liquide trouble, jaunâtre. Au-dessous du lien constricteu

bre bien supérieur (10 fois au moins) à celui de l'uretère gauche. Le liquide qui distend l'uretère, examiné au microscope, ren

ume du rein droit tient uniquement à la distension du bassinet par un liquide analogue à celui que contient l'uretère. Une inci

e conjonctive sur la-quelle ils reposent, sous la seule influence des liquides inter-stitiels, influence nécessaire à l'entretie

t une surface plane, lisse, sans granulations ; il s'écoule un peu de liquide brun ; le tissu est peu friable et peut s'insuffl

moins saillants, un peu friables et granuleux, laissant s'écouler un liquide purulent. Cette lésion a souvent l'aspect d'une p

ncho-pneumonies produites expérimentalement: 1° par les injections de liquides irritants dans les bronches ; 2« par la section d

cho-pneumonies chez les animaux en injectant dans les bronches divers liquides irritants (ammoniaque, térébenthine, nitrate d'ar

nes de plusieurs substances étrangères, parcelles ali-mentaires, pus, liquide buccal, etc.. Il existe ainsi des bron-cho-pneumo

ie des apoplectiques peut encore être expliquée par la pénétration du liquide buc-cal dans les voies aériennes, résultant des t

le conçoit à priori, la plus grande influence sur la composition des liquides déversés dans l'organe enflammé. Depuis longtemps

des, irréparables; les exsudais qui infiltrent les tissus sont encore liquides ou liquéfiables, et ils possèdent à peu près les

ême alors qu'on la comprime fortement, qu'une très petite quantité de liquide séreux. — Un caractère qui paraît avoir frappé to

ce de section, quand on fa comprime, qu'une très petite quantité d'un liquide légèrement trouble. Nous dirons plus loin quels s

il n'y a point de re-couvrement membraneux. Cette cavité renferme un liquide d'une coloration verdàtre, ayant l'aspect de pus

embraneux, et semble sculptée dans l'épaisseur des tissus indurés. Le liquide contenu dans cette excavation avait l'aspect du p

us grande, qui eut contenu une petite pomme d'api, était remplie d un liquide puriforme, rosé, pa-raissant être du pus mêlé à d

neau. Autopsie le 15. Temps froid. Poumon droit. — 600 grammes de liquide séro-purulent dû à un épanchement. Le poumon es

, presque fibreux, duquel ne s'écoule, par une forte pression, que du liquide séreux. A son bord postérieur, emphysème extra-vé

eure se trouve une cavité de la grosseur dune noix, renfermant du pus liquide . La paroi est for-mée par du tissu pulmonaire dur

ant, non granulé, rougeâtre et ne laisse écouler qu'à grand'-peine un liquide séro-sanguinolent. La membrane muqueuse des bro

nd jusque dans les plus petites bronches. Celles-ci sont pleines d'un liquide purulent, blanchâtre et très épais. Les ganglio

pulmonaires plus ou moins spacieuses ; ces exca-vations renferment un liquide ichoreux, séro-purulent, d'au-tres fois même puru

noirâtres irré-gulièrement disposées. Il ne s'en écoule qu'un peu de liquide jau-nâtre, lequel paraît venir surtout des bronch

tuyaux bronchiques des parties hépatisées par une grande quan-tité de liquide visqueux ou par un bouchon d'exsudation con-crète

bres serrées et peu distinctes. Quand on le presse, il s'en écoule un liquide séreux, peu abondant. Un grattage modéré n'enlève

un petit pois, jusqu'à une grosse amande de noisette, et remplie d'un liquide muco-purulent opaque, d'un jaune verdâtre ; ces a

éliales détachées des parois. Le dernier terme est la production d'un liquide muqueux, chargé de granulations graisseuses, qui

incomplète; 6° coupe lisse, sèche, laissant couler à peine un peu de liquide séreux, sans granu-lations, présentant, en un mot

qu'il en soit, on obtient avec une grande facilité la résorption des liquides introduits dans la plèvre (bleu de Prusse, par ex

édicule et possédant une extrémité renflée flottant librement dans le liquide quand on les examine sous l'eau. Ces petites houp

ment noire, sans noyaux d'induration. A la coupe, il s'en écoulait un liquide colorant les doigts en noir, à la manière de l'en

n noir, à la manière de l'encre de Chine. Examiné au microscope, ce liquide se montrait rempli des mêmes particules que l'on

es particu-larités suivantes : Des surfaces de sections s'écoulait un liquide rouge dans lequel l'examen microscopique montrait

face aussi bien qu'à la coupe. De la surface de section s'écoulait un liquide noir tachant les doigts. Cette substance noire ne

re un vaisseau lymphatique et que l'injection est réussie, on voit le liquide injecter d'abord un grand nombre de cercles pér

e ; un peu de pus qui, au contact de l'air, se transforme aisément en liquide ichoreux, plus ou moins fétide. Or, la phtisie en

u moins abondante de leucocytes qui entrent dans la composi-tion d'un liquide qui tantôt se concrète en une mince couche grisât

iation et disposée de façon à flotter plus ou moins librement dans le liquide de la préparation, on reconnaît qu'elle est munie

celle du ventricule droit contient une certaine quantité de sang très liquide : on n'y rencontre pas trace de caillots. Abdom

ssement dans les parties voisines de la fracture. Abdomen. — Pas de liquide dans le péritoine ; foie de volume et de consista

tion du sang consiste essentiellement dans la présence, au sein de ce liquide , d'un nombre plus ou moins considérable de granul

ombre et le volume des corpuscules pigmentaires qui circulent avec ce liquide , arriver à préjuger assez exactement l'état des v

t tourner ces cristaux sur leur axe en établissant un courant dans le liquide de la préparation. Charcot. Œuvres complètes, t

'avons examiné. Six semaines après la nécropsie, le sang est devenu liquide , bru-nâtre; on n'y reconnaît plus, comme éléments

s le sang. Cette matière, qui se voyait aussi à l'état libre, dans le liquide ambiant, peut être par suite de la rupture des ce

ion des globules rouges, les modifications chimiques qu'a dû subir le liquide nutritif, con-stituent une vicialion complexe don

upe le tissu pulmonaire, il s'en écoule une très-grande quantité d'un liquide clair, aéré, très fluide. Un pratiquant cette sec

r de la paroi est uniforme et de deux millimètres ; le contenu est un liquide vert, épais, crémeux, lout-à-fait analogue au muc

piquant ce dernier, qui est d'aiileurs fluctuant, il s'en échappe un liquide puriforme, en tout analogue à celui qui a été sig

in nombre de granu-lations analogues à celles qui sont libres dans le liquide ambiant; ils ne contiennent pas de noyau distinct

ions sont autant de kystes dont la cavité contient en général soit un liquide sanieux, soit un liquide offrant tous les caractè

s dont la cavité contient en général soit un liquide sanieux, soit un liquide offrant tous les caractères physiques du pus. 2

aisse s'écouler une petite cuillerée de pus blanchâtre, opaque, assez liquide . Ce pus était contenu dans deux poches placées à

brine, présente une enveloppe toute semblable, contenant un semblable liquide . (Durand-Fardel, loc. cit. 14e an-née, p. 200.)

it ; mais, dans ces deux cas, la couche membraniforme qui contient le liquide , est bien distincte de la concrétion au sein de l

ées, il en est un certain nombre (cas de la première catégorie) où le liquide contenu est, en effet, du pus; on les rencontre d

s, au moins dans un bon nombre de cas, du pus véritable, mais bien un liquide d'appa-rence purulente, composé de granulations p

ai eu l'occasion d'ob-server deux faits qui démontrent que la matière liquide qu'on rencontre dans certains kystes de la cavité

sont molles, fluctuantes, et, quand on les incise, il s'en écoule un liquide épais, trouble, d'un vert plus ou moins franc, mé

centrales ; puis le ramollissement a gagné de proche en proche, et le liquide ainsi produit ne se trouve bientôt plus séparé de

me. — Ven-tricule gauche rempli par un kyste volumineux renfermant un liquide puriforme. — Caillot se prolongeant dans l'aorte,

. — Les méninges sont épaissies, légèrement opa-ques, infiltrées d'un liquide transparent qui les rend comme œdé-mateuses. Le c

uand on l'incise, il s'en écoule environ trois cuillerées à café d'un liquide épais, opaque, d'un vert légèrement roux,. Fig-

nt la cavité du kyste sont verdâtres et très friables (Fig. 43). Le liquide extrait du kyste présenle, à l'examen microscopiq

ent épaissies fig. 44 et 45. — Eléments microscopiques composant le liquide puri'orme contenu dans le kyste. — Avant l'action

rempli en grande partie par un kyste très volumineux et contenant un liquide puriforme. — Pendant la vie, souffle intense is

arole et ne peut s'exprimer que par signes. Elle ne peut avaler les liquides qu'à l'aide d'un biberon; si elle essaye de boire

avités sont recouvertes par l'arachnoïde ; elles sont remplies par un liquide transparent, communiquant avec le liquide sous-ar

elles sont remplies par un liquide transparent, communiquant avec le liquide sous-arachnoïdien. Le cervelet est sain dans tout

. Poumons. — La plèvre droite contient une assez grande quantité d'un liquide transparent, citrin, mais dans lequel nagent, sur

xe de l'organe. Pas d'adhérences péricardiques. Quantité notable de liquide citrin dans le péricarde. A la surface du cœur, s

tains points, très épaisses dans d'autres (4 millim.) et d'un contenu liquide , épais, opaque, d'un vert brun ayant l'aspect du

tenu liquide, épais, opaque, d'un vert brun ayant l'aspect du pus. Ce liquide , dont la quantité est considérable, présente à l'

oute nourriture; il boit sans cesse avec avidité, rend des excréments liquides jaunâtres et teints de sang. La veille de sa mort

tre. Soif vive. Le malade a vomi plusieurs fois après l'ingestion des liquides , tisane ou bouillon ; le liquide vomi est verdâtr

lusieurs fois après l'ingestion des liquides, tisane ou bouillon ; le liquide vomi est verdâtre. Pas de douleur abdominale, pas

le purgatif prescrit, il y a eu ce-pendant une dizaine de garde-robes liquides très abondantes. Agitation et délire hier dans la

on. 12 novembre. — Le malade a eu encore hier plusieurs garde-robes liquides . Il a déliré pendant toute la première moitié de

e gaz. 'L'intestin grêle renferme une grande quantité de matière très liquide , trouble, comme boueuse, d'une teinte grise tir

horacique. — Cœur. Le péricarde ne contient qu'une petite quantité de liquide ; il n'y a de pseudo-membranes, ni sur son feuille

re et ont leur paroi tapissée d'une pseudo-membrane assez épaisse. Le liquide contenu dans ces abcès a une teinte gris-jaunât

ndres fibrino-purulents sont environnés d'une très petite quantilé de liquide purulent. On n'a pas pu dé-couvrir, au milieu de

eur. Autopsie. — Abdomen. La cavité du péritoine ne renferme pas de liquide . La membrane péritonéale est saine dans toute son

lu-mière des vaisseaux est à peu près libre ; ils contiennent du sang liquide , et çà et là des fragments fibrineux de couleur e

e-là avait bien dormi, se réveille, demande le bassin, fait une selle liquide et rend douze onces d'urine. A peine avait-il fai

r faisant saillie à l'exté-rieur, des applications d'acétate de plomb liquide peuvent amener quelque soulagement. On a égalem

oration pratiquée au sac anévrismal dans le but d'y faire pénétrer le liquide coagulant. La ligature de l'aorte abdominale a

celluleuse comme incapable de résister seule à l'effort du sang. Les liquides injectés avec force, dans une artère dont les deu

vancée de la maladie, on voit survenir de l'œdème et des épanchements liquides dans les cavités séreuses : mais le fait est rare

granula-tions moléculaires et de globules graisseux, nageant dans un liquide séreux. Chez une femme qui mourut à la Salpêtrièr

t d'une minceur extrême : toute la cavité du kyste était remplie d'un liquide offrant la plus grande analogie avec du muco-pus

lui, il rend en vomissant une pleine cuvette de sang rouge, en partie liquide , en partie coagulé. Les syncopes se reproduisent

uperficiel. L'examen microscopique est venu démon-trer que la matière liquide n'était pas formée de pus, mais bien de fibrine d

n survenue dans les propriétés plastiques du sang, et supposer que ce liquide a acquis une tendance particulière àla coagulatio

érielles ; on les voit parfois creu-sés de petits foyers contenant un liquide verdâtre et d'aspect pu-rulent. Quant aux parois

ang dans les vaisseaux est évidemment la conséquence du retard que ce liquide a subi dans son cours, par suite de la pré-sence

cée. Ils sont friables el laissent s'écouler, quand on les presse, un liquide visqueux. L'examen microscopique y a fait reconna

ncho-pneumonies produites expérimentalement: Io par les injections de liquides irritants dans les bronches ; 2 par la section du

utres, et qui sont remplies par les organes ou leurs élémens, par des liquides , des vapeurs ou des gaz. Ce point de vue, au pr

es hauteurs, dans les épanebemens ou les infiltrations des difieren s liquides . Cette membrane, formée de mailles fibreuses ju

la peau. Cette membrane renferme de nombreux cryptes qui sécrètent un liquide protecteur, le cérumen. Pour ïappareil olfactif

nt s'établit nécessairement au travers d'une membrane qui sépare deux liquides de densité différente, a nommé endosmose le coura

s deux substances en action, d'une part les tissus, et de l'autre les liquides . En théorie, et 1 expérience le confirme pleineme

tte propriété, comme un moyen puissant de transport et de mélange des liquides , toujours et partout en action dans l'exercice de

aux tissus et à leurs élémeus ou aux molécules solides, ainsi qu'aux liquides très plastiques, par l'effet de l'imbibitionqui s

nt en physiologie un vaste moyen auxiliaire de communication pour les liquides les moins denses, les vapeurs et les gaz; d'où il

périences si exactes de M. Magen-die, sur l'absorption des substances liquides et gazeuses; celles encore plus originales et non

s organes perspiratoires ; dans l'état normal, elles exhalent, non un liquide , mais seulement une vapeur; du moins, les observa

ogique, l'exhalation , plus abondante, y donne lieu à un épanchenient liquide . Les mêmes fonctions appartiennent au tissu cel

s, toute maladie, à son début, est caractérisée par une congestion de liquides , qui, une lois produite, devient le point de dépa

opère, et avec elle le retour à l'état normal, soit que l'afflux des liquides continuant, mette sur la voie d'une altération or

itune gêne mécanique de la respiration, et que, quelques gouttes d'un liquide épanché dans l'intérieur du crâne, suffisent pour

e transforment en agens conducteurs des diverses substances gazeuses, liquides ou solides; mais les effets varieront suivant la

u'elles peuvent s'épancher ou se déplacer au loin. Tel est le cas des liquides épais ou plastiques, le pus dans les abcès profon

s deux sangs artériel et veineux. Mais si, déjà, l'infiltration des liquides épais ne peut s'opérer que par une destruction ce

de communication. En pathologie, les vaisseaux, charriant les divers liquides sains ou altérés dans leur composition, sont les

sion des maladies qu'ils répandent dans tout l'organisme, lorsque les liquides sont eux-mêmes primitivement affectés, ou lorsqu'

s résultats inverses. Ces canaux eux-mêmes servent de conducteurs aux liquides dans les abcès des médiastins et les divers épanc

our du bassin, mais sur-tout au périnée. Les épancliemensdes divers liquides , soit la bile, le sang ou le pus, fusent dans la

duit. De cet aperçu général, il résulte qu'en physiologie, tous les liquides sécrétés par les membranes muqueuses trouvent une

ace tégumentaire. En pathologie, la même observation s'appliquera aux liquides altérés et aux produits morbides; mais déjà on co

outissant au point de départ, que fusent les infiltrations des divers liquides , soit que, provenant de la cavité du bassin ou de

ment dans l'épaisseur de la cuisse ou du bras; soit que la collection liquide , ayant son origine à l'extrémité terminale, la ma

s malades, transportent, comme aqueducs, des produits morbides ou des liquides avariés. L'importance des vaisseaux, comme agen

à l'influence des brusques variations atmosphériques ; d'absorber les liquides qui exsudent de la surface des solutions de conti

irculation générale, de l'appauvrissement et de la flui-dification du liquide nutritif qui succèdent aux causes d'affai-blissem

ces incisées, la direction doit être calculée de manière à ce que les liquides que doit sécréter la plaie puissent s'écouler fac

'ouvrir de vastes abcès avec décollement. Dans ces cas, en effet, les liquides s'écoulant au dehors aussitôt qu'une issue leur e

séparé de l'ouverture par des sinuosités qui retardent la marche des liquides , on doit pratiquer en regard du foyer une contre-

s. Comme on le voit, son objet est de donner issue à des gaz ou à des liquides : c'est encore dans ce sens qu'on l'emploie comme

nce, bien sensible pour une main exercée , et l'issue d'une goutte de liquide sur les côtés de la lame, avertissent que la poin

loie fréquemment pour ouvrir de petits abcès ; on aide à la sortie du liquide par de légères pressions : toutefois on ne doit p

omme le trocart. On s'en sert pour obtenir l'évacuation du pus et des liquides séro-purulens ou sanguinolens de l'empyême et des

ec l'indicateur gauche. On retire le bistouri aussitôt que l'issue du liquide indique que l'on est parvenu assez profondément;

s du foyer s'effectuant au fur et à mesure qu'il s'évacue, le flot du liquide qui s'écoule par la plaie est toujours assez abon

nce, en continuant de presser derrière, pour que le jet interrompu du liquide reprenne son cours aussitôt après leur expulsion.

ancette. Cette opération a également pour objet de donner issue à des liquides , le pus, le sang, la sérosité, ou les divers méla

s trocarts varient de dimensions, suivant la nature et la quantité du liquide à évacuer et l'épaisseur des parties (pic l'on do

ser. Toutefois on n'emploie cet instrument (pie pour donner issue aux liquides aqueux : telles sont les collections séreuses de

résistance et la mobilité de sa pointe, indices qu'elle nage dans le liquide . L'opérateur alors, saisissant la canule entre le

anche avec les mêmes doigts de l'autre main. Lorsque la quantité de liquide à évacuer est considérable, l'écoulement a lieu p

lque organe appliqué à son orifice abdominal. Pour rétablir le jet du liquide , on a recours à l'introduction d'un stylet mousse

nt des parois de la cavité, on comprime plus exactement en amenant le liquide des divers points de son étendue vers l'orifice d

vers onguens, les savons très alcalins et les pâtes métalliques. 3° Liquides . Ce sont les acides concentrés, sulfurique, nitri

trisation est déjà opérée. APPLICATION DES CAUSTIQUES. Caustiques liquides . Les caustiques liquides s'appliquent avec un pin

. APPLICATION DES CAUSTIQUES. Caustiques liquides. Les caustiques liquides s'appliquent avec un pinceau, un bourdonnet de ch

cautérisante, et que l'on dépose sur la partie malade en exprimant le liquide par pression, et pénétrant avec soin dans la prof

ou même en injections dans les clapiers. L'application des caustiques liquides est suivie de très vives douleurs, et il est asse

ant, mais leur action s'épuise sur la première surface, la portion de liquide qui imbibe plus profondément perdant de son énerg

térisations de ce genre, il faut, après quelques mo-mens, absorber le liquide avec un linge sec pour en réitérer l'application.

prennent d'eux-mêmes la forme conique par liquéfaction au contact des liquides . Cette propriété déliquescente assimile ce genre

liquescente assimile ce genre de cautérisation à celui des caustiques liquides , et met le chirurgien dans la nécessité d'en surv

rispent violemment et sont immédiatement convertis en escharres ; les liquides se décomposent ou se volatilisent, et absorbent,

ement de toute autre manière. Enfin, celle que l'on pratique avec des liquides ne s'emploie guère que comme moyen de vésication.

ticulier, pour écraser les kystes séreux et faciliter l'absorption du liquide qu'ils contiennent; enfin , elle agit seule, par

nière qu'on l'exerce, la compression continue, en gênant l'afflux des liquides , condense les tissus et diminue, à la longue, leu

e proprement avulsion. 2° Extraction. Les corps étrangers, solides, liquides ou gazeux, dont on doit faire l'extraction, se di

lité. Toutefois on peut les indiquer d'une manière générale. Gaz et liquides . L'opération qui leur donne issue se nomme évacua

mpression, des frictions variées et la dilatation pour les gaz et les liquides contenus dans des cavités ouvrant au-dehors par l

l'on incline de manière à offrir un angle déclive qui donne issue aux liquides . Dans les solutions de continuité de forme irrégu

tant que possible en sens inverse du côté déclive qui donne issue aux liquides . On ne doit les serrer que jusqu'au degré convena

plus ou moins embarrassés et collés entre eux par le dessèchement des liquides exsudés de la plaie; puis, les nœuds étant coupés

lèlement, en laissant des intervalles pour permettre l'écoulement des liquides et faciliter le rechange de l'une d'elles qui vie

e résul-(ent les faits su ivans : i0 Section complète avec issue du liquide au-dehors. En cas cle section complète, il se pro

nutrition des nerfs. 2° Sections variées avec obstacle à l'issue du liquide . Lorsque le sang ne peut se foire jour au-dehors,

sus environnans, et au plus ou moins cle plasticité ou de fluidité du liquide lui-même. Ainsi l'infiltration peut se borner à l

ame les secours les plus prompts. 3° Sections variées avec issue du liquide au-dehors. L'observation clinique n'ayant pu donn

fibres principales de la tunique moyenne et à la force d'impulsion du liquide , ne tend point à s'écarter. Enfin, dans les plaie

morrhagies, d'autant qu'à mesure que, par la soustraction du sang, ce liquide devient aqueux. l'hémorrhagie récidive avec plus

e rougeâtre, très différente du rouge vermeil du sang artériel. i° Le liquide , au lieu de sortir par saccades ou par un jet con

ant faite, les artères non encore aperçues se trahiront par un jet de liquide , en faisant suspendre pour un instant la compress

ères qui fournissent le sang en saccades, il est assez commun cpie ce liquide continue de suinter pendant quelque temps des trè

c une éponge imbibée d'eau froide ; alternativement laisser tomber le liquide d'une certaine hauteur, 28 de manière à produ

au de o à + 4 degrés, les applications de compresses trempées dans ce liquide , les lotions avec les mélanges vaporables d'eau a

s de s'imbiber de sang, ou des poudres inertes pouvant former avec ce liquide une sorte clc magma solide. La toile d'araignée,

e pellicule que l'on ouvre obliquement avec la pointe du bistouri. Le liquide s'écoule immédiatement et il s'évacue en entier p

ans avoir besoin de récidiver. 20 Caustiques. On emploie sous forme liquide les acides concentrés, et sous forme solide, par

sensibilité, mais qui ne désorganisent pas les tissus. Les caustiques liquides ou diffluens comme la potasse, ne peuvent s'appli

qu'autant que la dent présente une cavité de réception. Pour fixer le liquide caustique, on en imbibe une petite boulette de co

une fois la dent replacée, sauf à nourrir le malade avec des alimens liquides , il est bon de maintenir l'écartement des mâchoir

, les différentes manières de conserver ce dernier à l'état solide ou liquide , et les caractères physiques du fluide lui-même.

a source première. Caractères physiques du vaccin. Le vaccin est un liquide incolore, transparent, inodore, visqueux. Exposé

sez pour offrir une résistance sensible. 3° Un bouton étant piqué, le liquide ne sort qu'avec beaucoup de lenteur. 4° Il prend

ègne la pointe sur une face, puis sur l'autre; on laisse dessécher le liquide à l'air, et, pour empêcher qu'il ne soit essuyé p

érie de piqûres étant faites à la circonférence du bouton, essuyer le liquide en y appliquant la surface de'deux plaques de ver

par son extrémité la plus effilée, le tube couché horizontalement; le liquide monte dans l'intérieur. Lorsque la première goutt

e s étant écoulé entre l'aspiration d'une gouttelette à une autre, le liquide a eu le temps de se concréter à l'orifice capilla

cependant risquer de la briser, on la comprime assez pour empêcher le liquide de refluer; on approche alors, pour la fermer, l'

du tube, qu'il ne soit pas tout-à-fait plein , par l'obstacle que le liquide ou la tension élastique de sa vapeur opposerait à

et laissant refroidir la boule, il monte dans le tube une quantité de liquide proportionnée à la différence de tension entre la

avec un tuyau de paille ou un chalumeau très délié, on fait tomber le liquide sur une lame de verre, où on le prendra pour inoc

e produirait la cautérisation. Au reste, cette manière d'employer des liquides libres a toujours, par le fait de leur écoulement

ie que l'on veut produire Trempant ensuite un linge dans l'ammoniaque liquide , après l'avoir exprimé, on l'applique sur la peau

iquent sur presque toutes les parties du corps, en cas de collections liquides , mais surtout d'œdème partiel ; on en fait usage

d l'indication est de ponctionner ou d'inciser pour donner issue à un liquide ou faire cesser un étranglement, l'objet étant d'

le retrait des parois osseuses, à mesure que l'on donne écoulement au liquide par des ponctions ménagées à intervalles. Quoique

r renouveler la ponction sur un autre point. Quant à la quantité de liquide évacué et au volume de la tête avant et après les

is, ce chirurgien fit évacuer, une première fois, vingt-huit onces de liquide , sans autre accident qu'une légère pâleur; après

nir dans la plaie une tente de charpie pour favoriser l'écoulement du liquide . Sir Astley Gooper, dans un cas où il avait opéré

confirme, il nous semblerait que la compression, qui fait remonter le liquide dans le canal, pourrait agir en répartissant, sur

sent localement sur la circulation capillaire : ou sans évacuation de liquide , ce sont les ventouses simples; ou avec issue de

application de toute ventouse a pour effet de déterminer l'afflux des liquides sur une partie, en la soustrayant plus ou moins c

extérieure, plus forte que l'intérieure, s'élève dans la cloche; les liquides , attiués des capillaires voisins, y affluent et e

toutes les coupures. Si on a employé la cloche simple, la chaleur du liquide raréfiant l'air intérieur et sa vapeur remplissan

isonnées, par la méthode du docteur Barry, pour attirer au-dehors les liquides et empêcher l'absorption des venins, moyen peu ef

chaque sangsue pendant !e temps de la succion. Quant à la quantité de liquide fourni par la piqûre, sans tenir compte des terme

l écoulement de sang cpii peut être d'autant plus considérable que ce liquide lui-même est déjà moins plastique. (c) Cautéris

l'air intérieur condensé plus forte que celle de l'air extérieur; les liquides alors sont en quelque sorte exprimés de la partie

ant enveloppé par l'air extérieur, la pression par le vide attire les liquides des centres circulatoires vers la partie contenue

ns l'appareil, et la pression par refoulement au contraire chasse les liquides de cette partie vers les centres circulatoires.

ffrayante énergie, peut toujours être gouverné par l'opérateur; et le liquide , une fois l'action produite, est rendu à la circu

de la profondeur vers la surlace, disposition favorable à l'issue du liquide au dehors. 4° L'étendue cle la plaie. Lorsque l'i

'incision cutanée est trop étroite, le jet du sang est très délié; ce liquide se coagule, bientôt à l'orifice de la plaie et s'

me interrompt la circulation artérielle, en sorte que l'écoulement du liquide , qui d'abord se faisait librement, est supprimé t

er le bras clans l'extension et la supination, sauf, pour recevoir le liquide , à faire tourner tout le membre en dedans par un

s quelques jours, autour de la plaie non cicatrisée et d'où exsude un liquide séreux. Les accidens locaux, tels que l'engorgeme

ain est, pour l'opérateur, de ne jamais être assuré de la quantité du liquide évacué, car il est facile de s'en laisser imposer

e par l'injection, dans ses veines , du sang artériel d'un animal. Le liquide doit être dû sang humain pris sur un individu sai

les disposées à part, on saigne alors l'individu sain et on reçoit le liquide par l'orifice du corps de pompe auquel s'adapte l

la reporter sur la veine et la canule. Le chirurgien alors injecte le liquide en pressant avec lenteur sur le piston pour ne pa

njecter le sang que l'on doit se hâter pour ne pas donner le temps au liquide de se coaguler ou de se refroidir. Un autre dange

sang qui gonfle les vaisseaux variqueux. L'évacuation, qui exprime le liquide au dehors quand les veines sont lésées, et qui le

bre est posé dans le relâchement en situation convenable pour que les liquides qui exsudent de la plaie trouvent une issue facil

erminer dans quel cas il convient de donner issue au sang épanché. Le liquide infiltré dans le tissu cellulaire inter-organi-qu

ue, la poche anévrismale isolée de la circulation se vide d'abord des liquides et s'affaisse; les couches fibrineuses contenues

e Volta et surtout que la bouteille de Leyde. Remplissant l'auge d'un liquide peu acidulé, on commencerait d'abord par un petit

t graduellement d'autres couples, et en augmentant la conductilité du liquide par l'addition de quelques gouttes de l'acide don

né, il convient de lui donner issue pour empêcher que, la présence du liquide ajoutant à l'irritation, une nouvelle quantité n'

e bien sensible pour une main exercée, et par l'issue d'une goutte de liquide sur les côtés de la lame, on soit averti qu'elle

é proportionnée à la vascularité de la partie. On aide à la sortie du liquide par de légères pressions. On ne doit pas cependan

maintenir écartée par l'introduction d'une mèche enduite de cérat; le liquide , à mesure qu'il est sécrété, s'évacue le long de

s du foyer s'effectuant au fur et à mesure qu'il s'évacue, le flot du liquide qui s'écoule par la plaie est toujours assez abon

xtraire avec une pince, en continuant de presser derrière pour que le liquide suive aussitôt leur expulsion. On obtient, suivan

mer assez pour l'évacuer en totalité, une nouvelle accumulation de ce liquide étant inévitable : outre que l'expérience a prouv

touri, pénétrer obliquement dans la cavité du foyer; faire évacuer le liquide contenu par la canule et, dès qu'il commence à ta

te, suivant l'indication à remplir, puis vider de nouveau le foyer du liquide étranger qu'il renferme soit par la canule, soit

seul temps pour abréger la douleur. 2° Pour faciliter l'écoulement du liquide , diriger l'incision de manière à ce que l'une de

s relativement à la situation que doit occuper le malade, afin que le liquide tende à s'écouler de lui-même par le seul fait de

ns le cas contraire , on attend que la chute de l'escarre permette au liquide de s'évacuer. Quand un abcès froid a une étendue

exuosités détruiraient le parallélisme et s'opposeraient à l'issue du liquide . 2° Inflammation des couches intermédiaires. Ap

inatives, ou, au besoin, avec un point de suture. KYSTES A PRODUITS LIQUIDES . i° Kystes de la peau. Produits par le développ

squ'au tissu fibro-cartilagineux. A l'intérieur ils sont remplis d'un liquide d'aspect variable et ressemblant soit à du miel o

catrice de peu d'étendue. 2° Kystes du tissu cellulaire. Remplis de liquides variés, séreux, muqueux ou purulens, ils sont ave

il s'agit d'obtenir la déchirure du kyste et l'épanchement diffus du liquide dans le tissu cellulaire ambiant, pour en augment

icier, par la pression, le double kyste des petits corps blancs et du liquide dans lequel il baigne. Cette ponction n'entraîne

ndant, ne doit jamais avoir une grande étendue. Après l'écoulement du liquide la peau revient sur elle-même et recouvre naturel

ordinairement il ne tarde pas à se produire une nouvelle quantité de liquide qu'il s agit d'évacuer de nouveau. Alors si les b

effilé ou une petite mèche de charpie. Souvent, après avoir évacué le liquide de l'articulation, il reste dans les replis de la

upart des chirurgiens. Dans le but de donner une issue permanente aux liquides Boyer conseille un séton qui traverserait l'artic

me et contenant dans leur cavité soit des matières concrètes, soit un liquide séreux ou des hydatides. D'une part, comme leur d

ation durait de quinze jours à un mois. L'inconvénient des caustiques liquides est qu'ils s'étendent sur les surfaces, attaquent

t de changer fréquemment le cautère d'autant plus vite éteint que les liquides sont plus abondans, de sorte que sa chaleur soit

avait pour intention d'extraire des corps étrangers ou d'évacuer des liquides anormaux épanchés dans cette cavité; mais on l'a

s de tête, et avait pour but, comme aujourd'hui, de faire écouler des liquides épanchés ou d'extraire des esquilles d'os. En eff

psie et la nécrose des os du crâne. Glandorp, pour évacuer un amas de liquide épanché dans la dure-mère, incise cette membrane,

es os enfoncés, ou d'extraire des esquilles, ou de donner issue à des liquides accidentellement épanchés dans la cavité du crâne

enêtre, qui fait ainsi l'office d'une espèce de mèche pour guider les liquides au dehors. Le tout sera recouvert par un plumasse

serrée. Si, par l'extraction d'une esquille et l'évacuation de divers liquides , les symptômes de compression cessaient immédiate

signalées, nous ajouterons certains vices généraux ou altérations des liquides : le scorbut, une anémie profonde, la diathèse ca

général la ligne en doft être déclive pour faciliter l'écoulement des liquides ; plutôt un peu interne que tout-à-fait inférieure

s cutanées. Ligature, excision, extirpation, 191. — Kystes à produits liquides . Excision, ponction, séton, 192. — Tumeurs graiss

'où résulte l'écartement des fragmens. Il ajoute que la résorption du liquide qui a lieu au bout d'un certain temps, ne se fait

ées, nullement tapissées par une membrane, et néanmoins remplies d'un liquide visqueux, assez analogue à la synovie. L'une de c

des géodes, qui, pendant la vie, devaient être remplies, soit par un liquide , soit par des parties molles, qui se sont effacée

èces d'ampoules appartenant à de larges canaux juxta-posés remplis de liquide synoviforme, et se ramifiant à la manière des vai

bien à un vice local ; i° il ne s'accompagne pas de la sécrétion d'un liquide qui irait infecter toute l'économie par l'intermé

tumeurs sont très molles, flaccides, comme incomplètement remplies de liquide . Pendant la vie, elles étaient turgescentes , d'u

, d'une mollesse élastique. Ces tumeurs divisées présentent du sang liquide , contenu dans des aréoles d'inégales capacités. L

de l'un des praticiens qui m'ont remis la pièce) une poche pleine de liquide . Les deux os ischions, unis dans leurs branches a

ltrée de pus, se voyait une espèce de foyer, formé par du pus presque liquide . Réflexions. Dans le cas précédent, les granula

mais comme elle ne s'opérait, à la fin de la vie, que sur les alimens liquides et encore fort incomplètement, il est impossible

érosion très superficielle. C'était de ces érosions que provenait le liquide noir contenu dans l'intestin grêle et dans l'esto

nt inévitablement suivies du vomissement. Deux voies sont ouvertes au liquide accumulé dans la cavité de ce viscère : les voies

êle et gros d'une couleur noirâtre, couleur évidemment due à celle du liquide ou des matières qu'ils contenaient, je les ouvris

ice sur aucun d'eux. En les comprimant modérément, il n'en sort aucun liquide . Si on les comprime un peu plus fort, on les écra

attement on les enlève. En les ouvrant avec le scalpel, il en sort un liquide visqueux analogue à celui qui tapisse les parois

'intestin ; pourraient en quelque sorte exprimer de ces follicules le liquide qu'ils contiennent, en amener l'évacuation complè

t parfaitement la tête sous le diaphragme. C'est à travers un flot de liquide facile à déplacer, qu'on distingue le corps du fœ

uve quand elle est en mal d'enfant; cependant il ne s écoula point de liquide amniotique. « Un médecin ayant été appelé, pens

et se composait ; comme cette substance, d'une partie solide et d'un liquide huileux analogue à l'oléine. « La partie solide

ompes T et ses deux ovaires O. — La vessie V ne paraît contenir aucun liquide . 70 Les membres supérieur et inférieur disséqué

, il s'échappe une grande quantité de matières ster-corales jaunes et liquides ; dans les points déclives se voient quelques gru

ec l'enveloppe du cordon ombilical. Du reste, la tumeur contient un liquide transparent qui change de place dans les diverses

e coupe circulaire et renversée ( fig. 2' ), j'ai reconnu : i° que le liquide transparent, que je croyais contenu dans la cavit

e par deux membranes transparentes, entre lesquelles était épanché un liquide séreux et quelques flocons albumineux adhérens au

erreur que j'avais commise avant l'autopsie relativement au siège du liquide . L'autopsie seule pouvait démontrer que ce liquid

vement au siège du liquide. L'autopsie seule pouvait démontrer que ce liquide était intermédiaire aux deux membranes. Je me s

ques syncopes. Le lavement a été rendu sans matières stercorales ; le liquide était teint de quelques gouttes de sang : la sécr

une autre tumeur très considérable ^formée par le duodénum rempli de liquides , dont elle est séparée par un étrangle- (1) Obs

onvolutions voisines. L'estomac peu développé contient des matières liquides , jaunâtres, semblables à celles vomies pendant la

La vaste ampoule duodénale qui précède l'invagination est remplie de liquides de même couleur. Le gros intestin contient des ma

et un épanchement mortel suivrait immédiatement la précipitation des liquides accumulés au-dessus de l'étranglement au moment o

rénitente, irréductible , sans bruit de gaz, offrant une fluctuation liquide manifeste, et d'ailleurs indolente à la pression

hement considérable dans la plèvre gauche, et l'air ayant remplacé le liquide , un emphysème considérable ne tarda pas à se mani

use, dans tous les trajets accidentels destinés à porter au-dehors un liquide naturellement ou morbidement sécrété. J'ai examin

'il protège efficacement les parties qu'il revêt contre l'atteinte du liquide avec lequel il est en contact, que sa surface est

paraissait plein et comme tendu , et cependant il ne contenait aucun liquide . Sa surface interne présentait un aspect gangrene

e, la malade pouvait recevoir des lavemens ; depuis quelque temps, le liquide injecté sort par le vagin et par les pertuis du p

it presque en totalité transformé en une vaste poche distendue par un liquide très jaune, au milieu duquel nageaient de nombreu

même communication pourrait permettre l'évacuation par le duodénum du liquide contenu dans le kyste, et peut-être celle des mem

livraison, pl. v, il y avait dans le foie deux kystes remplis par un liquide boueux, jaunâtre, au milieu duquel nageaient des

c la dégénération cancéreuse : aussi n'est-il pas rare de voir du pus liquide ou concret et de la matière tuberculeuse au centr

e diaphragme fut-il entamé,qu'il s'écoula une très grande quantité de liquide sanglant, qui venait de la plèvre droite. J'estim

Thorax. — Dans la plèvre droite, épanchement d'une grande quantité de liquide de couleur citron, sans fausse membrane, sans auc

ue, était évidente; toute la différence consistait dans la qualité du liquide infiltré. Comment donc ne pas admettre pour l'inf

res et les trompes adhéraient intimement entre eux. Cancer a l'état liquide ou abcès cancéreux enkystés dans le foie par suit

bcès. Une ponction pratiquée dans une de ces tumeurs donne issue à un liquide bien lié, ayant la consistance du pus, mais prése

pu rester quelques doutes dans mon esprit sur la nature cancéreuse du liquide contenu dans ces poches, ils auraient été dissipé

ns qu'il en résulte le moindre inconvénient pour la circulation de ce liquide et pour la digestion. Aussi, tandis que l'obturat

idérable de la vésicule comme dans le cas représenté fig. i, i, 3. Le liquide contenu est limpide, tantôt séreux, tantôt filant

n s'effectuant sur un des points non adhé-rens, il y a épanchement du liquide de la vésicule dans la cavité du péritoine ,et ce

péritonite partielle a pu être lasuited'un suintement, par lequel le liquide , versé goutte à goutte, a permis à des adhérences

is éraillée; la membrane muqueuse était perforée, une infiltration du liquide purulent de la vésicule avait eu lieu dans l'épai

ppelle celle des eaux de l'ammios. Ne désirant pas que la totalité du liquide s'écoulât, j'applique sur l'ouverture un emplâtre

e un emplâtre de diachylon. Le 12, le malade est soulagé, bien que le liquide ait cessé de couler. Une sonde cannelée, insinuée

énètre difficilement dans le foyer et n'amène que quelques gouttes de liquide . Le 12 au soir, je me décide à agrandir l'ouver

ettre librement une pince à anneaux. Cette difficulté dans l'issue du liquide tient probablement au rapprochement des faisceaux

elque influence sur la mort; car le pus, en partie concret, en partie liquide , était parfaitement circonscrit par des caillots

tic d'un kyste du corps thyroïde vient non-seulement de la qualité du liquide , mais encore de l'épaisseur et de la densité des

onstituée par un kyste à parois épaisses et fibreuses, remplie par un liquide lie-de-vin, tapissée par une couche pseudomembran

; alors, les faisant tousser après l'ingestion de quelques gorgées de liquide , j'obtiens un crachat caractéristique. La pneum

ort deux heures après la visite. autopsie. — Une petite quantité de liquide est épanché dans la cavité pleurale. Le poumon ga

l'épanchement pleural et d'un travail éliminatoire à l'aide duquel ce liquide aurait été évacué en dehors : point du tout. Il n

t une seule bulle de ce fluide. Son tissu était mollasse, infiltré de liquide trouble, parsemé de lignes ardoisées, disposées e

noirâtre qui en avait l'apparence. Le tissu ambiant était pénétré de liquide de diverse nature, qu'on exprimait comme d'une ép

iverse nature, qu'on exprimait comme d'une éponge. C'était du pus, un liquide gris. Relativement aux abcès multiples, observé

ec la plaie, et pourtant je ne pouvais m'expliquer ce que devenait le liquide versé dans la plaie. Comment n'était-il pas rendu

n purulente; ou bien le pus aurait été éliminé dans sa partie la plus liquide par les lois ordinaires de la résorption, et à sa

si on me demande l'explication du fait de la présence du sang le plus liquide au centre du caillot, je répondrai que de même qu

e ces caillots sanguins qui se laissent traverser par le sang le plus liquide . Mais le plus habituellement les veines frappée

ne tumeur variqueuse à l'aide d'un tube plongé dans son épaisseur, le liquide de l'injection passe immédiatement dans les veine

n de quelques sangsues sur le lieu. Pansement avec l'acétate de plomb liquide étendu d'eau. L'état local s'améliore ; mais l'

der l'emploi de compresses imbibées d'une solution d'acétate de plomb liquide , animée de quelques gouttes d'eau-de-vie camphré.

tions du sang, et de la possibilité de la coagulation spontanée de ce liquide , qui renfermerait en lui le principe de cette coa

s modes de décomposition doivent tenir exclusivement à la quantité de liquides contenue dans le membre au moment de la mort loca

ction dans toute leur longueur; cette injection était mêlée à du sang liquide . Du côté droit, où il y avait gangrène des extr

état d'intégrité, celles-ci doivent pomper en quelque sorte tous les liquides contenus dans la partie morte et la dessécher ave

ers de la cavité thoracique. Péricardite récente, caractérisée par un liquide trouble mêlé de flocons albumineux. Le cœur offra

s étaient réduits au tiers de leur volume ordinaire. Un demi-verre de liquide lactescent occupait la plèvre gauche (pleurésie).

mière période de la péricardite, le sac du péricarde, distendu par le liquide sécrété, acquiert un volume considérable; plus ta

ar le liquide sécrété, acquiert un volume considérable; plus tard, ce liquide disparaît et est remplacé par une pseudo-membrane

rétions sanguines décolorées et très denses en même temps que du sang liquide . Les parois de la tumeur étaient formées par un t

faut pas moins d'énergie pour se débarrasser par l'expectoration des liquides qui engouent les cellules pulmonaires et les dern

représenté Pl. 2, xxe livraison. Le péricarde contenait et du sang liquide qui s'écoula au moment de l'ouverture de cette me

dérable qui ait été signalée est de 11 onces, savoir: 8 onces de sang liquide et 4 onces de caillots. On a lieu d'être étrangem

soit pendant la vie, soit après la mort, aurait-elle pour résultat un liquide qui ne se trouve pas dans le sang, savoir le pus.

ieurs très infiltrés, abdomen tuméfié dans ses parois et contenant du liquide dans sa cavité. Le malade ne peut se réchauffer.

poumons très sains. Le péricarde contenait à peine deux cuillerées de liquide . Cœur double du volume naturel. Cette augmentat

dans l'épaisseur des adhérences est absorbé dans ses parties les plus liquides et réduit à sa partie compacte. Le fait représe

re en ma présence , il projette dans la bouche une petite quantité de liquide , et il le conserve là quelques instans,afin de fa

le péricarde a été entamé, et il s'est écoulé quelques cuillerées du liquide contenu dans sa cavité. Ce liquide était une séro

'est écoulé quelques cuillerées du liquide contenu dans sa cavité. Ce liquide était une sérosité brunâtre, dont j'évalue la qua

un état local, savoir, la gêne des contractions du cœur étreintpar un liquide incompressible dans une membrane inextensible.

mé est mou, flasque, comme infiltré. Dans la pneumonie œdémateuse, le liquide qui découle des incisions est une sérosité jaunât

en, laquelle était soulevée en poche demi transparente par un flot de liquide séreux. Cette selle turcique était réduite à un

répondait à la perforation du crâne. Cette poche était remplie par un liquide puriforme, et par la substance cérébrale qui s'en

aient à sa surface. Vessie racornie extrêmement épaisse, contenant un liquide purulent. Poitrine. Pleurésie diaphragmatique a

e porter à la bouche. Elle ne mange pas seule: elle renverse tous les liquides , ne sait pas tenir sa cuiller. On ne peut lui con

ée, molle, fluctuante , et paraît convertie en une poche contenant un liquide . Du reste, à partir de ce point, les cordons mé

férence de couleur était de beaucoup diminuée par l'immersion dans ce liquide . Péricardite ancienne ; adhérences celluleuses

rasse, légèrement soluble dans l'éther. Ces vésicules renfermaient un liquide incolore, que j'ai trouvé formé d'eau en quantité

qui, à raison de sa consistance, ne jouissait pas de la mobilité d'un liquide , a dû parfois intercepter cette communication. Il

hol de mélisse, 2 onces. Teinture de quinquina, 2 onces. Ammoniaque liquide , 1 once. Il ne fit usage que très peu de temps

hnoïde, se voit une couche de sang de deux lignes d'épaisseur, moitié liquide , moitié coagulé. (2) Rien à la face supérieure

t aucune force. La déglutition est très difficile , surtout celle des liquides , dont une très petite partie parvient jusque dan

du lobe occipital, présente, i° une cicatrice celluleuse infiltrée de liquide lait de chaux; 2° un ramollissement hortensia cla

equel était en grande partie converti en une cellulosité infiltrée de liquide trouble jaunâtre. Hémisphère gauche. Trois circ

oyers celluleux, sans coloration, sans kyste distinct, contenaient un liquide lait de chaux. Réflexions. Voilà bien des altér

ltérations anciennes sont les cicatrices, la cellulosité infiltrée de liquide lait de chaux, et les pellicules peau de chamois;

agement. Le soir, redoublement de la douleur, vomissement de tous les liquides ingérés. La nuit, à onze heures, difficulté dans

oeéphalie avec vice de conformation du cerveau, mais sans présence de liquide ; 3° microeéphalie avec présence de liquide et des

eau, mais sans présence de liquide; 3° microeéphalie avec présence de liquide et destruction plus ou moins considérable du cerv

blancs, figurés tout autour de la figure 3"' étaient contenus dans le liquide de la poche, et j'ai cru devoir les faire représe

des kystes séreux ou de ces collections de sérosité mal enkystées, à liquide trouble et quelquefois avec flocons pseudo-membra

ier ce fait à raison de la forme insolite de la poche, remplie par le liquide . On voit que la peau est entièrement étrangère au

n pouvait prévenir la rupture de la poche, et, après l'évacuation des liquides , la pénétration de l'air, qui devient presque iné

anée, flasque , ridée , vide. Cette poche avait évidemment contenu un liquide et présentait, sur le côté, une eschare blanchâtr

té, une eschare blanchâtre , lenticulaire, qui avait donné issue à ce liquide . La peau qui recou- (1) Voyez Dictionnaire de m

t, un coup violent sur la tumeur, qui se perfora , et d'où jaillit un liquide extrêmement clair ; la tumeur, qui avait, avant c

pace:fluctuation sensible qui établit la présence d'une collection de liquide au-dessous d'une couche mince de substance cérébr

observe très souvent lorsque le malade succombe, l'estomac rempli de liquides ; il est tout simple que le bord libre des replis

e le bord libre des replis muqueux plongeant en quelque sorte dans le liquide soit plus particulièrement ramolli ; et c'est pou

tate, de 2 pouces ; sa cavité pouvait admettre quelques cuillerées de liquide . Le fond ou la paroi inférieure de cette espèce d

inaire. Un malade entre à l'hôpital pour une rétention d'urine : ce liquide suinte goutte à goutte. Le malade fait remonter l

eux orifices par lesquels la prostate verse xxxe livraison. i son liquide dans le canal de l'urèthre. J'avouerai même que c

tiques proprement dits, c'est-à-dire les calculs formés aux dépens du liquide prostatique, des calculs urinaires qui siègent da

al. Urines toujours troubles et purulentes. Le pus forme la moitié du liquide rendu et se dépose par le repos au fond du vase :

té de sang contenue dans la cavité de l'arachnoïde était au contraire liquide . En écartant les bords de la scissure de Sylviu

tte à goutte, et, pour ainsi dire, à chaque instant, du trop-plein du liquide , je placerai celui d'une femme de la Salpétrière,

ction n'avait qu'une ligne de diamètre. 11 s'écoula trois pintes d'un liquide trouble, d'une odeur spermatique très prononcée,

ns (2), mais avec des alternatives d'exacerbation et de di- (1.) Le liquide , retiré par la ponction , fut analysé immédiateme

ut analysé immédiatement par M. Chevallier. Examiné au microscope, ce liquide présentait une agglomération de globules en masse

ultiloculaire, dont chaque cellule remplace un cône du rein, alors le liquide contenu dans la poche rénale ne renferme aucun pr

des appareils de sécrétion, savoir, que toute rétention complète d'un liquide excrété a pour conséquence définitive la suppress

'apporte le rein distendu à l'accumulation d'une nouvelle quantité de liquide , la dilatation qui s'étend par degrés jusqu'à la

déplacement de ce calcul, doivent avoir pour résultat l'évacuation du liquide : tel est le cas de cette malade de la Salpétrièr

orbide chaque jour à la vessie; alors les urines seront un mélange de liquide normal, sécrété par le rein du côté sain, et de l

un mélange de liquide normal, sécrété par le rein du côté sain, et de liquide anormal, albumineux, purulent, ou autre, qui vien

l'état sain. L'incision de la tumeur donna issue à sept pintes d'un liquide trouble, en partie rougeâtre, en partie jaunâtre,

ui tient, dune part, à ce que le rein distendu a cessé de sécréter un liquide morbide; d'une autre part, à ce que le rein malad

érisée par la tendance à la production du pus dans les solides et les liquides coagulables de l'économie, et cette disposition p

dification inconnue de l'organisme, cette tendance des solides et des liquides à la production du pus, que comme une hypothèse g

-il pas s'imbiber à travers le caillot obturateur et se mêler au sang liquide ? Ne voit-on pas tous les jours un phénomène analo

ais que j'ai vainement cherchées. Je ferai observer que le sang était liquide et qu'il s'écoulait en totalité lorsqu'on ouvrait

rmation. La tumeur est fluctuante, à la manière d'une collection de liquide , dans une partie de son étendue, dans celle où se

réoles que constituaient des fila-mens noueux étaient remplies par un liquide d'apparence synoviale. La partie supérieure du ky

oyez fig. i'). La substance de cette tumeur est partout pénétrée d'un liquide filant , visqueux comme la synovie, qui englue le

synovial; qu'elles sont quelquefois creusées de géodes remplies d'un liquide d'apparence synoviale ; que leur tissu ne présent

Exprimé, le tissu de cette tumeur donna non du suc cancéreux, mais un liquide synovial. Certes, cette altération ne ressemble

nature fibreuse. La pression la plus forte n'en faisait soudre aucun liquide . Point de vestige de suc cancéreux. Le tissu de l

a tumeur un grand nombre de canaux galacto-phores dont j'exprimais un liquide jaunâtre, semblable à du colostrum. Cette mamelle

ssu d'une dureté pierreuse, dont je n'ai pu exprimer aucune goutte de liquide . L'atrophie était telle que l'épaisseur la plus g

s: la plupart des membres présens pensèrent qu'il y avait fluctuation liquide , et par conséquent ou grossesse ou kyste utérin.

es autres tissus atrophiés, qu'est déposée la matière, tantôt presque liquide , analogue au cerveau d'un jeune enfant, tantôt pl

e enfant, tantôt plus ou moins concrète. On conçoit que la qualité du liquide épanché, que sa quantité, que l'atrophie ou l'hyp

développé, qu'il est constitué par des veines gorgées d'un sang, ici liquide , là coagulé, lesquelles s'entrecroisent sous tout

'autre, fussent complètement xxviie livraison. i entraînés par le liquide , il me fut impossible d'établir la limite entre l

glandes sont donc sujettes à l'atrophie par suite de la rétention du liquide qu'elles sécrètent et de la compression exercée p

qu'elles sécrètent et de la compression exercée par la présence de ce liquide sur les grains glanduleux. Il serait curieux de v

uleuse, mais un mode de guérison d'abcès multiples du rein. La partie liquide du pus a été absorbée, les résidus solides et la

n début; la partie malade était comme infiltrée d'un suc cancéreux et liquide qu'on exprimait comme d'une éponge. C'est un des

on catarrhale aiguë, dans les maladies puerpérales; et à la vue de ce liquide purulent qu'on fait passer à l'aide d'une pressio

eprésentent assez bien une ruche à miel, étaient toutes remplies d'un liquide albumineux, ayant la consistance et l'odeur du bl

cu par ses sollicitations, et persuadé d'ailleurs que l'évacuation du liquide pourrait prolonger sa vie de quelques jours, je m

rs la conviction de l'inflammation du kyste : jusque-là, en effet, le liquide évacué par la ponction avait étéalbumineux, parfa

lle s'est crevée : aussitôt s'est écoulée une très grande quantité de liquide trouble, semblable à celui qui avait été retiré p

ées par une fausse membrane, circonstance qui, jointe à la qualité du liquide contenu dans sa cavité, ne pouvait pas laisser le

tes, ici transparentes, là opaques. Leur structure était fibreuse. Le liquide contenu était transparent et albumineux pour un g

ques de divers ordres, on en vint à la ponction, qui donna issue à un liquide de couleur foncée. Malgré la compression très c

mmédiatement après la ponction, d'après la méthode de M. Récamier, le liquide s'amassa rapidement, des vomissemens survinrent,

les hy-dropisies ascites, ne se borne plus à constater la présence du liquide dans la cavité périto-néale;cet épanchement const

par leà dérivatifs dirigés sur les voies digestives et urinaires. Les liquides épanchés obéissent, pour ainsi dire, à l'appel fa

ent perspirables et sécrétantes, mais il est rare que l'absorption du liquide soit complète; la cause organique de l'ascite dev

cite devient tôt ou tard plus puissante que les moyens dérivatifs; le liquide se reproduit, et souvent, dans les courts instans

ession brusque, exercée dans divers points, opérait le déplacement du liquide et donnait la sensation d'un corps dur profondéme

toute pression considérable; il est certain que, sans la présence du liquide contenu dans la cavité péritonéale, une pression

, douleur que n'augmente nullement la plus forte pression; soupçon de liquide dans la cavité abdominale ; légère réaction fébri

e de l'infection cancéreuse. 23e liv., pl. v, p. 4- — Cancer à l'état liquide , ou abcès cancéreux enkystés dans le foie par sui

nés; elle a pour caractère anatomique constant un épanchement de sang liquide dans la cavité de l'arachnoïde. 15e liv., pl. i,

rtel ; point de réaction; pour toute lésion, quantiié considérable de liquides dans les intestins; développement remarquable des

nt de réaction. Mort de la mère, mort de l'enfant. Grande quantité de liquide cholérique dans le gros intestin. Couleur hortens

Mort dans la stupeur. Travail complètement arrêté. Grande quantité de liquide cholérique dans l'intestin grêle. Intégrité de l'

use dans tous les trajets accidentels, destinée à porter au dehors un liquide naturellement ou morbidement sécrété, est une err

apeutique. — Cancer du foie. 23e liv., pl. v, p. 4- — Cancer à l'état liquide ou abcès cancéreux enkystés du foie. 23é liv., pl

s les glandes sont sujettes à l'atrophie par suite de la rétention du liquide qu'elles sécrètent. 27e liv., pl. n, p. 4. GLOT

euse dans tous les trajets accidentels destinés à porter au dehors un liquide naturellement ou morbidement sécrété est une erre

rtel ; point.de réaction ; pour toute lésion quantité considérable de liquides dans les intestins ; développement remarquable de

nt de réaction. Mort de la mère, mort de l'enfant. Grande quantité de liquide cholérique dans le gros intestin. Couleur hortens

t de bien-être inexprimable. Mort dans la stupeur. Grande quantité de liquide cholérique dans l'intestin grêle. Intégrité de l'

d'être de la mélanose. Des colorations mélaniques : 1° coloration des liquides ; 2° coloration des tissus normaux. 19e liv., pl.

énorme et transformation du rein en un tissu spongieux, pénétré d'un liquide lie-de-vin. 1" liv. ,pl. v,p. 5-, — Néphrite coïn

t énorme et transformation du rein en un lissu spongieux pénétré d'un liquide lie devin. lie liv., pl. v, p. 5. — Indépendanc

'in-digo. On tue l'animal deux heures après et l'on aperçoit alors le liquide bleu dans les reins et dans le foie (vésicule du

séparent les vaisseaux capillaires des cellules, sont remplis par le liquide de l'injection. Quelques conditions pathologiqu

nguification. Les veines mésa-raïques étaient chargées de conduire le liquide nutritif venant de l'intestin au foie par la vein

1655, p. 8. d'une fistule biliaire, se présente sous l'aspect d'un liquide clair, limpide, d'une couleur jaune d'or, d'une s

ls après la mort ou dans certaines conditions pathologiques, c'est un liquide d'un brun sombre, verdâtre quelquefois, de consis

. La Cholesterine se trouve dans le sang. Mais, sa présence dans le liquide sanguin, depuis longtemps constatée, ne suf-fit p

réquemment sous forme de masses amorphes ou cristallines, au sein des liquides ou des tissus, dans un grand nombre de lésions or

ar l'action du chloroforme, du sulfate de car-bone, delà benzine, des liquides alcalins, qui sont les prin-cipaux dissolvants de

rée, puis amère. Vacide taurocholique ne cristallise pas ; c'est un liquide sirupeux, d'une saveur amère très prononcée. Les

une réaction qui permet dé reconnaître leur présence dans les divers liquides de l'organisme : c'est la réaction de Petten-kofe

place du globule rouge, on voit se former, sur la plaque de verre, un liquide jaunâtre, susceptible de cristal-liser et qui n'e

tières grasses qui en-trent aussi dans la composition régulière de ce liquide . Si nous étions astreints à nous conformer rigo

s matières pigmentaires que, pour une part importante, la bile est un liquide excrémentitiel. On peut assurer à ce sujet que,

tion biliaire. Mais il ne faut pas oublier que l'examen de ce dernier liquide est entouré de difficultés que le clinicien ne re

uvent alors cesser d'être tenus en solution et se déposent au sein du liquide sous forme solide. a) C'est en particulier ce q

aire, dans la vésicule, par exemple. Par suite de la concentration du liquide biliaire et aussi de certaines modifications chim

s artificiellement provoquées fourniraient le moyen de re-cueillir un liquide dans lequel se trouveraient les acides bi-liaires

M. Ritter s'est cru en droit d'admettre que tous les faits relatés de liquide incolore observé dans les voies biliaires, à l'au

ngée du canal cholédoque, l'existence, dans les voies biliaires, d'un liquide blanc, transparent, insipide, légèrement visqueux

), qui est surtout digne d'atten-tion, à cause du soin avec lequel le liquide a été examiné. Il s'agit d'une oblitération ancie

canaux cholédoque et hépatique) étaient dila-tées et renfermaient un liquide transparent, légèrement mu-queux, un peu alcalin.

ntité de sels biliaires. Au microscope, on découvrit, nageant dans le liquide , un grand nombre de corpuscules muqueux. L'acide

ombre de corpuscules muqueux. L'acide acétique fit apparaître dans ce liquide incolore, un précipité gélatineux (réaction de la

iquide incolore, un précipité gélatineux (réaction de la mu-cine). Ce liquide n'était donc pas de la bile incolore, il n'en pos

dropisie de la vésicule. La bile, longtemps retenue, se résorbe et un liquide séro-muqueux, sécrété par les parois, prend sa pl

désignerait, d'une façon générale, les cas où ces voies renferment un liquide séro-muqueux pour les distinguer de ceux où, au c

roupe à'altérations de la bile, caractérisées par la présence dans ce liquide de substances qui sont étrangères à sa constituti

s mammifères, l'urée existe à l'état nor-mal un peu partout, dans les liquides de l'organisme. On l'a (1) Renies Zeitsch., Bd.

ang, dans la lymphe et le chyle (Wurtz), dans la sueur, la salive, le liquide cérébro-spinal, etc. Mais se forme-t-elle au sein

, le liquide cérébro-spinal, etc. Mais se forme-t-elle au sein de ces liquides , ou au contraire se pro-duit-elle dans les organe

ires, une fermentation acide de l'urine analogue à celle que subit ce liquide , dans les condi-tions normales, un certain temps

és dans l'eau et la bile, surnageaient. Toujours, ils vont au fond du liquide quand ils sont frais. Quelquefois les calculs des

une collection, surnagent ; mais si on les maintient plongés dans le liquide , on voit se dégager des bulles d'air et bientôt l

grande part, à la formation des calculs qui se conerè-tentau sein du liquide urinaire. Après la cholestérine, le pigment bil

un des premiers phénomènes qui s'observent dans la putréfaction de ce liquide . L'acidité de la bile a pour conséquence le déd

vomissements, composés au début de matières alimen-taires, puis d'un liquide muqueux, rarement biliaire, qui accompagnent si s

res sont remplis, comme l'indique une-observation de Frerichs, par un liquide muqueux, incolore, dans lequel les réactifs ne dé

tique, d'un poison morbide pyrétogène, résul-tant d'une altération du liquide biliaire. Ce principe, bien entendu, est inconnu,

erminer une inflammation suraiguë dont les produits confondus avec le liquide biliaire agiraient à l'instar d'un ferment et occ

sie, les parties qui, par l'action de la transsudation cadavérique du liquide biliaire sont teintées en jaune. Chez certains

. Laboulbène, le malade avait une expec-toration verte, composée d'un liquide purulent mêlé de bile, ainsi que les réactions ch

rendus par cette voie, peuvent avoir le volume d'un œuf de poule. Le liquide qui s'écoule par la fistule est tantôt du pus mêl

, dont la quantité s'élève de 240 grammes à deux pintes ; — tantôt un liquide glaireux. Si le canal cystique est oblitéré, il n

lkmann's Vortraege). Un gar-gouillement spécial annonce le passage du liquide biliaire dans l'intestin et l'ictère cesse bientô

a-gulé dans l'épaisseur de l'épiploon gastro-hépatique et très peu de liquide dans la cavité peritoneale. Le foie était granu-l

u'à mesurer 14 à 15 millimètres de diamètre, tendant à montrer que le liquide , par ces voies, pénètre beaucoup plus facilement

parées par des fentes, où il existe toujours une certaine quantité de liquide dont la constitution ne s'éloigne pas de celle de

a rétention de l'urine dans le rein, il se produit un œdème rénal; le liquide extravasé occupe les espaces lymphatiques et de l

et ceux du hile. D'un autre côté, lorsqu'on injecte sur le vivant un liquide coloré, une solution d'indigo, par exemple, dans

sur les parties où elle s'élimine, et ne se concrète pas au sein des liquides de l'orga-nisme. Mais il n'en estpas de même pour

rés par des produits sécrétés avec l'urine, ou qui se sont mêlés à ce liquide dans son parcours. 1° Je citerai en premier lie

6e Dans l'ictère très foncé, la bilirubine peut se concentrer dans le liquide urinaire et former des infarctus biliaires qui ob

lorsqu'on examine au microscope les dépôts qui se sont formés dans ce liquide par le repos. a) Le volume et la forme des cyli

es et du scrotum, consécu-tive à des ponctions faites pour évacuer le liquide de l'œdème, A l'autopsie, on trouve les reins trè

énéral au-dessous de la nor- maie (15, 20 gr.). L'existence dans le liquide des hydropisies dune certaine quantité d'urée, et

nées par les bains de vapeur, et qui amènent une rapide résorption du liquide des hydropisies. Il n'est pas douteux que la ma

rs, qu'est fondée la théorie hu-morale de M. Dickinson. Le pus est un liquide riche en albu-mine et en sels alcalis ; la contin

ins. Par l'artère émulgente on in-jecte sous une certaine pression un liquide quelconque. Ce liquide s'écoule à la fois, tant q

ente on in-jecte sous une certaine pression un liquide quelconque. Ce liquide s'écoule à la fois, tant que dure l'irrigation ar

eine ou à l'oblitérer complètement, il s'ensuivra que l'écoulement du liquide par l'uretère diminuera ou cessera tout à coup. C

es parts par un réseau capillaire riche et baignant comme eux dans un liquide lym-phatique. Ces parties semblent donc en quelqu

Vous savez ce qu'on entend par là. Mêlée au contact de l'air avec des liquides contenant delafibrinogènè mais peu ou point de fi

nurie, l'existence d'une altération du sang due à la présence dans ce liquide d'une quantité d'eau en excès (hydrémie, hypoalbu

convient d'ajouter doit représenter trois ou quatre fois le volume du liquide à examiner. Dans ces conditions, la réaction estp

es minutes, onpeutxroir, dans l'éprouvelle qui contient la serine, le liquide tout à fait trans-parent, tandis que, dans celle

rofonde du derme. Ces follicules paraissent en outre distendus par un liquide , et l'emportent au moins d'un tiers en volume sur

is. — Nasonnement de la voix. — Déglutition difficile swtout pour les liquides . — Troubles de la prononciation. — Affaiblissemen

difficulté. La déglutition des solides est très difficile ; celle des liquides à peu près impossible, ceux-ci sont presque en en

cas les plus graves sont ceux dans lesquels le malade rend des selles liquides , noirâtres, et vomit une ma. tière noire, semblab

s'opère des hémorragies par diverses voies, le malade rend des selles liquides , noirâ-tres, et vomit, comme cela se voit dans la

s cavités de l'estomac et des intestins sont parfois remplies de sang liquide ou en partie coagulé. e. Il y a enfin une pléni

etées; puis il se manifeste des vomissements d'un mucus clair ou d'un liquide vert de mer et d'une saveur très amère. Quelquefo

a-lade veut changer de position ; ils sont entremêlés de hoquets. Les liquides et les matières rejetés par l'estomac, acquièrent

caus-tique qui les accompagne. Bientôt, on voit nager au milieu d'un liquide transparent et visqueux des flocons noirâtres qui

tenir des masses fibrineuses décolorées.— Les selles elles-mêmes sont liquides , sanguinolentes, noirâtres ou tout à fait noires,

y, le mélanhème à la présence d'une grande quantité de bile mêlée aux liquides de l'es-tomac. D. Etat du sang. — Le sang qu'on

es cancéreux d'un petit volume et renferment une certaine quantité de liquide séro-purulent; à droite, les ganglions de l'aisse

ous la rencontrâmes, il s'échappa par l'orifice anal de ce conduit un liquide séreux, trouble, blanchâtre, puis trois ou quatre

celles des plus petites paraissaient composées de deux feuillets. Le liquide contenu dans l'intérieur des vési-cules ayant été

crochets étaient fort visibles; on rencontrait aussi ça et là dans le liquide des crochets isolés. Nous n'avons pu, malheureu

t remplie par une ma-tière gélatineuse. Aussitôt, il s'en écoula un liquide séro-sanguinolent entraînant avec lui un certain

le volume varie de celui d'un œuf de dinde à celui d'une noisette. Le liquide a l'aspect du pus séreux. Un kyste hydatique semb

mais, au premier coup de bistouri, il s'écoula une grande quantité de liquide incolore et un grand nombre d'acéphalocystes de t

asset, Soc. anat., 1818. d'une tête d'adulte ; qu'elle contenait un liquide purulent et de très volumineux hydatides ; que la

. La tumeur était d'ailleurs composée en totalité des hydatides et du liquide qui les entourait ; le volume de son contenu pouv

sson un peu ramollie par l'eau ; dans un troisième, on rencontrait un liquide transparent avec de très petites particules granu

xaminant au microscope les petites granulations qui nageaient dans le liquide hydatique, Hunter n'a pu y rencontrer ni su-çoirs

prendre au malade ; cependant, on supposa qu'une certaine quantité de liquide ascitique s'était accumulée dans le péritoine. On

meurs, parurent libres et exempts d'altéra-tion ; il n'y avait pas de liquide dans la grande cavité séreuse. 2° Dans la dupli

nt été pratiquée dans la tumeur, il s'écoula une grande quantité d'un liquide clair, avec plusieurs hydatides volu-mineux. Le k

pratiquée avec un trocart courbe. Il sortit aussitôt par la canule un liquide limpide, incolore, et presque en même temps l'uri

e coula par la verge avec facilité et a plein canal. Les deux jets de liquide continuent pendant quelque temps; mais celui qui

je fus frappé, dit M. Lesauvage, de la différence de couleur des deux liquides . Je goûtai et trouvai une différence de saveur; j

ure qui conduisait dans une cavité qui aurait pu contenir un /erre de liquide . Cette ouverture était de forme ovalaire et avait

ressant besoin d'aller à la selle, le malade rend alors par l'anus un liquide purulent mêlé de débris hydatiques ; les hydatide

ontenu est arrivée, époque que rien ne peut faire prévoir, soudain le liquide où nagent les acépha-locytes devient lactescent,

r les kystes hydatiques; ce n'est en effet qu'accidentellement que le liquide obtenu par la ponction de ces derniers sera charg

eure du foie et la paroi abdo-minale antérieure, sont remplies par un liquide d'un jaune foncé, ayant tout à fait l'aspect de l

vif, et il est comme pelotonné, recoquillé. Une certaine quantité de liquide d'un jaune foncé se rencontre dans les parties le

dominale, mais il y est peu abondant. Traité par l'acide nitrique, ce liquide présente un dépôt albumi-neux très abondant, mais

pas de débris d'hydatides ; on n'en a pas rencontré non plus dans le liquide épanché dans l'ab-domen. Il est hors de doute q

a bile. Enfin, l'examen microsco-pique fait reconnaître, au milieu du liquide qui les baigne, l'exis-tence des crochets, qui so

ment hydatique. Une ponc-tion exploratrice fut faite, et il sortit un liquide limpide, transpa-rent, incolore, qui se troublait

écoula, tant le matin que pendant la nuit du 30 juin, une quantité de liquide qui peut être évaluée à 3 litres environ. Ce liqu

une quantité de liquide qui peut être évaluée à 3 litres environ. Ce liquide contenait des poches hydatiques dont le vo-lume v

s celui d'un gros œuf de poule jusqu'à celui d'une tête d'épingle. Le liquide était trouble, d'une couleur jau-nâtre, et conten

e fertile est incomplète et présentait des lambeaux flottants dans le liquide de l'hydatide; 3° des fragments de la membrane fe