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1 (1862) Mécanisme de la physionomie humaine : ou analyse électro-physiologique de l'expression des passions
tive de l'action musculaire partielle m'a révélé la raison d'être des lignes , des rides et des plis de la face en mouvement. O
re des lignes, des rides et des plis de la face en mouvement. Or, ces lignes et ces plis sont justement les signes qui, par le
rai pas à formuler ces lois; je représenterai par la photographie les lignes expressives de la face pendant la contraction éle
ue, et à l'aide de la photographie, l'art de peindre correctement les lignes expressives de la face humaine, et que l'on pourr
eposaient sur la différence et sur la combinaison des contours et des lignes , des profils et des silhouettes. Il n'aurait cert
? C'est ce que l'on ignorait. (1) A l'époque où Bérard écrivait ces lignes , mes Recherches électro-physiologiques sur la mai
rait, comme la nature elle-même, peindre sur le visage de l'homme les lignes expressives des émotions de l'âme. Quelle source
couverts, de manière à laisser voir l'ensemble de la physionomie, les lignes expressives de la partie inférieure de la face se
érale de la face n'était qu'une illusion produite par l'influence des lignes du sourcil sur les autres traits du visage. Il
effet successivement en jeu, et l'on vena tour à tour apparaître les lignes expressives de la joie, depuis le simple contente
quelques-uns d'entre eux (en très petit nombre) ne produisent aucune ligne expressive apparente, bien que leur contraction p
leur progression elles se complètent par l'apparition successive des lignes propres à chaque expression primordiale. Est-il
entre les expressions primordiales contraires. J'ai vu en effet les lignes qui trahissent la joie s'associer merveilleusemen
xemple, met toujours en mouvement deux muscles, dont l'un dessine les lignes fondamentales d'un sentiment, tandis que l'autre
ose des muscles qui, de môme que ceux du premier ordre, dessinent les lignes expressives d'une passion dont ils sont les uni
r quelques passions, mais qui ne produisent sur la physionomie aucune ligne expressive apparente : ce sont les muscles auricu
me de la physionomie humaine, qui foi! connaître la raison d'être des lignes , des rides, des saillies, des creux du visage, es
lus tard par une analyse scientifique et rigoureuse. Les règles des lignes expressives de la face en mouvement, ce que je vo
Les traits propres à tel ou tel mouvement expressif se composent de lignes fondamentales, qui en sont les signes patho-gnomo
lignes fondamentales, qui en sont les signes patho-gnomoniques, et de lignes que j'appellerai secondaires. Celles-ci peuvent m
sujet, etc. Les maîtres de l'art n'ont pas toujours su trouver ces lignes fondamentales : tantôt, après les avoir instincti
n que ces hommes de génie ont, en général, merveilleusement senti les lignes fondamentales de l'expression. Quand il leur est
la peinture d'une passion, c'est presque ton jours à l'occasion des lignes expressives secondaires. Ainsi, quand je me suis
ence de leurs chefs-d'œuvre, j'ai quelquefois été surpris de voir des lignes secondaires, compagnes habituelles des passions l
assions les plus sympathiques, les plus touchantes, figurer à côté de lignes fondamentales représentant les plus mauvaises pas
ure ait rendu de telles associations mécaniquement impossibles. Les lignes secondaires expressives ne seraient-elles qu'une
qu'une sorte d'ornement dont le Créateur se serait plu à décorer les lignes fondamentales, qu'elles n'en seraient pas moins s
e de la nature. J'ai dit, et je démontrerai qu'elles enrichissent les lignes fondamentales en fournissant certains renseigneme
nements importants. Eh bien ! malgré l'utilité incontestable de ces lignes secondaires, on n'a pas craint quelquefois, dans
aux goût. Peut-être aussi n'ont-ils pas reconnu l'importance de ces lignes , par le seul fait de la difficulté d'observer les
essort des considérations critiques précédentes que, dans l'étude des lignes expressives de la face, l'artiste a manqué jusqu'
voit poindre et se développer les traits secondaires, satellites des lignes fondamentales. Ajoutons que tous ces phénomènes
ysionomie humaine et en faisant connaître l'harmonie naturelle de ses lignes expressives, elles peuvent empêcher ou modérer le
pour que le dessin ou la peinture puisse reproduire exactement les lignes expressives qui se développent alors sur la face.
on Essai de la physiogno-monie, des histoires avec des chapitres, des lignes , des mots : c'est de la littérature proprement di
ge distribution de la lumière, savoir mettre en relief telle ou telle ligne expressive. C'est ce que ne pouvait faire seul l'
ctions photographiques ne nuisent pas à la vérité et à la netteté des lignes expressives. De plus, on remarquera qu'en génér
n de la lumière est parfaitement harmonisée avec les passions que ces lignes expressives représentent. Ainsi les figures qui p
l'Album sont assez grandes pour que l'on voie très distinctement les lignes expressives : elles sont d'un quart environ de la
sous l'influence des contractions musculaires, se dessiner toutes les lignes expressives de la face (les lignes fondamentales
usculaires, se dessiner toutes les lignes expressives de la face (les lignes fondamentales et secondaires). 2° La maigreur d
ires). 2° La maigreur de mon sujet favorise le développement de ces lignes expressives, et facilite en même temps l'élec-tri
urant et sont posés au niveau des muscles de la joie (I, %. 1). — Les lignes expressives de la joie se seraient montrées incom
droite, excitation électrique, à un degré modéré, du muscle frontal; lignes fondamentales (élévation et courbe du sourcil) et
cle frontal; lignes fondamentales (élévation et courbe du sourcil) et lignes secondaires (plis frontaux, curvilignes, et conce
, repos de la physionomie. Fig. 8. — Destinée à montrer comment les lignes secondaires expressives de l'attention se réuniss
ires expressives de l'attention se réunissent et se continuent sur la ligne médiane pendant la contraction des deux muscles f
gauche, repos de la physionomie. Fig. 10. — Destinée à l'étude des lignes expressives du muscle frontal chez une petite fil
t, fig. 5). A droite, électrisation du frontal, développement de la ligne fondamentale (élévation et courbe du sourcil, san
pression d'une lumière trop vive. Fig. 11. — Destinée à l'étude des lignes secondaires (rides frontales, irrégulières et nom
ve considérablement le sourcil, mais qu'il lui fait aussi décrire une ligne courbe plus prononcée que du côté où le sourcil a
nt des courbes à concavité inférieure, qui, en se réunissant sur la ligne médiane, forment une nouvelle courbe à concavité
le privilège de l'enfance et de l'adolescence de ne dessiner que les lignes expressives fondamentales, pendant le jeu de la p
u naître sur ce jeune front une ou deux rides frontales, qui sont les lignes secondaires expressives, produites par le muscle
urs produits par la contraction partielle et modérée du frontal. La ligne verticale que l'on voit sur la figure 12, en deda
t, fîg. 3 (j'ai expliqué ailleurs la raison de cette anomalie). Cette ligne verticale n'aurait dû apparaître qu'avec un mouve
igure 12. Le mouvement de corrugation était très prononcé; aussi deux lignes verticales profondes se sont-elles dessinées en d
aire remarquer que notre vieillard est peu favorable à l'étude de ces lignes verticales, qui sont un des signes caractéristiqu
musculaire, est unie, comme on l'observe à un âge moins avancé. Ces lignes verticales intersourcilières sont bien rendues su
ts qu'elles représentent, parmi lesquelles il faut mettre en première ligne la différence d'âge. L'un est vieux et laid (voye
âme, la volonté. Enfin, clans son espace intersourcilier, deux belles lignes verticales ont été creusées par les efforts de la
dont la tête se gonfle, dont l'espace inter-sourcilier est creusé de lignes verticales; ces sourcils, en uu mot, tourmentés p
comme il s'est gonflé et ridé de chaque côté, en même temps que deux lignes verticales et profondes se creusaient en dedans
se creusaient en dedans de sa tète. Cet ensemble de mouvements et de lignes résultait de la contraction énergique de l'orbicu
contraction du pyramidal du côté droit. Par la môme raison aussi, les lignes transversales de la racine du nez s'étendent un p
opposé.) Fig. 19. — Destinée, ainsi que la figure 20, à l'étude des lignes expressives, fondamentales et secondaires, produi
(photographiée en plein soleil). Fig. 23. — Destinée à l'étude des lignes expressives propres à l'iiction du sourcilier à u
ortionnellement plus douloureuse. Fig. 28. — Destinée à l'étude des lignes expressives fondamentales, produites par la contr
venu oblique de haut en bas, et de dedans en dehors, en décrivant une ligne sineuuse composée de deux courbes, l'une interne,
en bas dans la partie qui correspond à ses deux tiers externes. Ces lignes , ces reliefs et ces méplats sont plus réguliers e
avité supérieure ; enfin ils se terminent, en dehors, au niveau d'une ligne fictive verticale, qui tomberait sur la réunion d
; mais chez la femme qui est représentée dans les figures 26, 27, les lignes médianes du front sont plus nombreuses. — J'en ai
lle a séjourné longtemps à Naples). Dans ce cas, on le conçoit, ces lignes médianes du front sont plus rapprochées les unes
ians du front produits par le sourcilier sont moins nombreux; que les lignes n'en sont pas interrompues par de petites brisure
que la contraction de ce muscle y est plus forte. — La courbe de ces lignes médianes du front est gracieuse et plus prononcée
prononcée que sur la figure 20. Les reliefs cutanés placés entre ces lignes sont plus pleins, plus arrondis, et forment avec
entre ces lignes sont plus pleins, plus arrondis, et forment avec ces lignes une sorte d'ondulation. Chez deux petites fille
res 28 et 29, la contraction moyenne du sourcilier n'a pas produit de ligne médiane sur le front. Le maximum d'excitation a f
ts imprimés par ce muscle au sourcil, des reliefs, des méplats et des lignes qui se développent sous son influence. On a vu
xposé plus haut, ont été photographiées spécialement pour l'étude des lignes ou rides médianes douloureuses du front, chez un
n action ; j'ai vu alors se reproduire exactement les mouvements, les lignes et les reliefs que l'on observe dans la figure 2/
igure, il semble que tous les traits de l'autre moitié (la bouche, la ligne naso-labiale) se sont contractés douloureusement,
nce à une contraction générale des traits de la face. La bouche et la ligne naso-labiale attiraient avant tout leur attention
ouche est souffrante et à la fois résignée, me disaient-ils! Et cette ligne naso-labiale, comme elle semble tirée par la doul
opposé.) Fig. 30. — Destinée, ainsi que la figure 31, à l'étude des lignes expressives fondamentales et secondaires, produit
te parfaitement limitée dans le grand zygomatique ; développement des lignes fondamentales et des lignes secondaires du grand
le grand zygomatique ; développement des lignes fondamentales et des lignes secondaires du grand zygomatique : rire faux. A
u plus forte des deux grands zygomatiques ; ] développement des mêmes lignes fondamentales et secondaires cle la joie, avec lé
ques et des sourciliers : grimace. Fig. 35. —Destinée à l'étude des lignes expressives produites par la contraction forte et
zygomatique avec excitation légère des palpébraux ; développement des lignes fondamentales propres à l'action du muscle de la
rfaitement localisée dans le grand zygomatique, montre l'ensemble des lignes fondamentales et des lignes secondaires, qui, à u
grand zygomatique, montre l'ensemble des lignes fondamentales et des lignes secondaires, qui, à un âge avancé, se développent
contraction énergique de ce muscle. J'ai dit ailleurs : 1° que ces lignes fondamentales, qui se développent à tous les âges
missure labiale, par une courbe légère, à convexité inférieure, de la ligne naso-labiale, par le gonflement de la pommette, e
e, enfin par l'élévation légère de la paupière inférieure; 2° que les lignes secondaires sont formées par les rides rayonnante
s avancé en âge et que sa peau a été plus brûlée par le soleil. Les lignes et les reliefs produits par le grand zygomatique
aussi fortement en contraction que dans la figure 30, on voit que les lignes secondaires de l'angle externe des paupières ne s
t soumise à ces expériences n'était pas encore arrivée à l'âge où ces lignes apparaissent habituellement sous notre climat.
atomiques de la peau, rendent parfaitement compte de la formation des lignes fondamentales et secondaires qui régnent dans les
communicatif. On remarque cependant, dans toutes ces figures, la même ligne courbe qui sépare les lèvres, la même sinuosité d
t les sillons et les reliefs fondamentaux qui lui appartiennent, sans lignes secondaires, ainsi qu'on l'observe ordinairement
ette expérience facile. Les figures 38 et M montrent l'ensemble des lignes expressives, fondamentales et secondaires, produi
la direction de l'épine nasale. Le mouvement de l'aile du nez, les lignes et les reliefs qui en sont la cause, sont beaucou
ieure; que la lèvre inférieure est un peu attirée en avant, et que la ligne naso-labiale est allongée, tend à devenir rectili
M, et en masquer le côté opposé.) Fig. h6. — Destinée à l'étude des lignes qui caractérisent le pleurer avec attendrissement
uance du même pleurer. Fig. 48.— Destinée à l'étude comparative des lignes expressives différentielles du petit zygomatique
au-dessous du bord libre de la paupière inférieure et au niveau d'une ligne verticale abaissée de l'angle externe des paupièr
héophore est placé à la même hauteur, plus en dedans, au niveau d'une ligne verticale fictive, qui passerait parla partie moy
u'elle s'exerce sur la partie médiane de la lèvre supérieure et de la ligne naso-labiale. 11 en est résulté qu'à ce degré de
refoulement dans la môme direction, des tissus placés au-dessus de la ligne naso-labiale, a produit un gonflement de la pomme
ment excité, la courbe décrite par le bord libre des lèvres et par la ligne naso-labiale est un peu moins prononcée que dans
n observe que l'action qu'il exerce sur la lèvre supérieure et sur la ligne naso-labiale a une direction moins oblique en deh
nez s'est élevée et a entraîné avec elle l'extrémité supérieure de la ligne naso-labiale, qui s'est allongée en devenant moin
s franchement que du côté gauche. Quoi qu'il en soit, on voit que les lignes expressives (la courbe de la ligne naso-labiale,
oi qu'il en soit, on voit que les lignes expressives (la courbe de la ligne naso-labiale, le mouvement de la lèvre supérieure
précédemment, en traitant du mécanisme de ces mouvements, en quoi ces lignes différaient entre elles. Enfin le côté gauche d
bouche et son œil souriaient d'abord; mais aussitôt la courbure de la ligne naso-labiale donnait à sa physionomie l'expressio
igures 54, 55, 56, 57. LÉGENDE, Fig. 54. — Destinée à l'étude des lignes , des reliefs cutanés et du modelé, produits par l
re inférieure. Pour bien comprendre le mécanisme des mouvements des lignes et des reliefs produits par le peaucier et l'impo
ux; mais cette combinaison musculaire qui produit des mouvements, des lignes et des reliefs analogues, au pre niicr abord, à
Arrotino (l'Espion, le Rémouleur, etc.) vue de face et de côté. Les lignes frontales transversales qui s'étendent sur toute
le frontal et le sourcilier, muscles qui produisent, le premier, ces lignes transversales du front, et le second, ce mouvemen
—Même tête, dont la courbe du sourcil est mise en harmonie avec les lignes frontales, telle qu'on l'observe sous l'influen
uscle frontal (voy. %. 7 et 8). 12 Fie. 69. — Même tête, dont les lignes frontales et le modelé des parties latérales du f
y. fig. 19, 20, 2/i, 25). Fig. 70. — Tête du Laocoon de Rome. Les lignes médianes du front sont en parfait accord avec le
este, de les justifier. A.— Mécanisme. Recherchons d'abord si les lignes , les reliefs et les modelés qui existent sur le f
canisme des muscles moteurs du sourcil. Évidemment, d'une part, les lignes frontales de Y arrotino (fig. 66 et 67), d'autre
rapports de concordance qui, normalement, devraient exister entre les lignes frontales de YArrotino et le mouvement de son sou
de YArrotino et le mouvement de son sourcil, et vice versa? Si les lignes qui sillonnent transversalement son front, dans t
ourcil ; il faut que ce dernier décrive une courbe concentrique à ces lignes frontales, comme cela s'observe sous l'influence
res les mouvements des sourcils et le modelé du front, en imitant les lignes , les reliefs et les méplats qui se produisent pen
mettre cette hardiesse. Quoi qu'il en soit, je suis convaincu que les lignes expressives modelées sur les figures 68, 69, 71,
onne de l'incertitude à l'expression de sa physionomie, parce que les lignes et les reliefs pi'oduits par ces mouvements appar
ur que doit causer la morsure du monstre. La courbe décrite par les lignes naso-labiales et le renversement des lèvres en av
hez le Laocoon, parce que le mouvement du sourcil qui seul produit la ligne fondamentale de cette expression est merveilleuse
ude expressive du muscle sourcilier, sur la valeur différentielle des lignes expressives fondamentales et des lignes expressiv
la valeur différentielle des lignes expressives fondamentales et des lignes expressives secondaires. — Je me borne à rappeler
fait tache, et contraste avec la perfection et la justesse des autres lignes expressives et à la fois si complexes de la physi
ns la figure 71, où j'ai essayé de rétablir les rapports naturels des lignes médianes du front et du méplat de ses parties lat
és. Dans la crainte de nuire à la perfection et à la tranquillité des lignes , les artistes faisaient taire les passions, et re
uit ce mouvement (du sourciller),— est caractérisé par un ensemble de lignes et de reliefs inséparables, à savoir : l'obliquit
Praxitèle? ou bien a-t-il craint de troubler l'harmonie des belles lignes de sa Niobé par une imitation trop servile de la
mais il me fallait avant tout exposer scientifiquement la raison des lignes expressives de la face, et un Adonis aurait bien
ûreté que sur le cadavre ; — sa vieillesse avait développé toutes les lignes produites par les muscles expressifs, lignes que
ait développé toutes les lignes produites par les muscles expressifs, lignes que j'ai divisées en lignes fondamentales, qui co
nes produites par les muscles expressifs, lignes que j'ai divisées en lignes fondamentales, qui constituent l'expression, et e
divisées en lignes fondamentales, qui constituent l'expression, et en lignes secondaires, qui indiquent l'âge du sujet et les
l'esthétique. Bien qu'à l'aide de mes rhéophores j'aie pu tracer les lignes des sentiments les plus élevés et des pensées les
la partie scientifique, où j'ai sacrifié tout à la démonstration des lignes expressives et à la vérité de l'expression ; pour
es lignes expressives et à la vérité de l'expression ; pourvu que les lignes expressives de ces dernières figures fussent parf
tête), l'expérimen-laleur l'éclairé de manière à mettre en relief les lignes expressives qu'il veut peindre par l'excitation é
exciter exactement les muscles dont l'action individuelle produit les lignes , les reliefs et le modelé caractéristiques de la
75). Au même instant, j'ai éleclrisé le muscle sourcilier gauche; les lignes et le modelé dus à Faction de ce muscle se sont d
t la différence d'âge des deux sujets (voyez, pour la description des lignes expressives du muscle de la douleur, le chapitre
urcil décrit la même sinuosité, et la tête est également gonflée, les lignes frontales médianes sont semblables (J), et enfin
ons de ces deux figures. — Dans la figure 75, en effet, la bouche, la ligne naso-labiale et les commissures labiales sont au
, en conservant et même en augmentant la courbe du sourcil. (I) Les lignes médianes de la figure 76 sont moins visibles que
les figures 75 et 76, où l'on voit que ce relief du sourcilier et ces lignes frontales, dessinés par la contraction du muscle
motion que j'avais à peindre, je développai modérément, à gauche, les lignes expressives de la douleur, en électrisant le sour
les expressions pri-» mordiales contraires. » J'ai vu en effet les lignes qui trahissent la joie s'associer » merveilleusem
ions combinées expressives » discordantes. » Lorsque j'écrivais ces lignes , j'avais oublié que le plus grand poète de l'anti
rdante doit rapidement se résoudre par l'accord parfait de toutes les lignes expressives du bonheur. —Elle diffère essentielle
r est si complet, qu'à sa première apparition sur la physionomie, les lignes de la douleur doivent avoir déjà disparu, en gran
ue jusqu'aux larmes, comme l'indique un peu de concavité en bas de la ligne naso-labiale. En somme, de cette combinaison de
en bas de la ligne naso-labiale. En somme, de cette combinaison de lignes très légèrement accentuées et produites à la fois
e n'existe pas du côté gauche. En effet, le sourcil gauche décrit une ligne courbe; sa tète n'offre pas le relief qui, du côt
commissure des lèvres se mouvoir obliquement en dehors et en haut, la ligne naso-labiale former une courbe à convexité inféri
èvres et sur le sillon naso-labial. Telles sont, à tous les âges, les lignes fondamentales expressives de la joie. (1) Loc.
(1) Loc. cit., p. 29. Que l'on veuille maintenant rappeler une des lignes fondamentales développées par le muscle du pleure
que), sous l'influence de l'électrisation localisée de ce muscle : la ligne naso-labiale, ai—je dit, décrit une courbe à conc
re. Eh bien! lorsque, par l'électrisation du grand zygomatique, les lignes fondamentales du sourire s'étant développées, j'a
s'est transfigurée d'une manière si ravissante, sous l'influence des lignes expressives de l'amour divin ou humain, et d'une
jets ne conviennent pas également à l'étude électro-physiologique des lignes expressives produites par les passions agressives
son sourcil. C'est plus qu'une faute d'orthographe; car bien que les lignes expressives fondamentales de la haine et de la cr
ues, la présence des rides transversales médianes qui constituent les lignes secondaires de la douleur, expression toujours sy
qui n'a pas permis que l'on pût facilement dissimuler ou feindre les lignes expressives à l'aide desquelles l'homme peut dist
me chez le vieillard des figures 30, 32, parce que ces rides sont des lignes expressives secondaires qui n'apparaissent qu'à u
s faites, et rendent ainsi plus facile et plus évidente l'analyse des lignes expressives de la physionomie humaine. Ils suffis
ns le texte de l'ouvrage. 2° L'influence modificatrice de certaines lignes expressives sur les autres traits du visage est
ent l'étude de ce phénomène, que j'appellerai contraste simultané des lignes expressives de la face (1). Lorsque l'on regard
rent l'utilité des tableaux synoptiques pour l'étude du contraste des lignes expressives de la face 2° J'ai également fait e
bleaux synoptiques, composés chacun de 46 figures. Conséquemment, les lignes expressives sont moins apparentes et moins facile
2 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
présentent des directions très variées; elles se confondent dans les lignes (l'intersection entre elles et avec les cloisons
pophysaires, se rejoignent en avant par la suture entre-croisée de la ligne blanche, tendue entre l'appendicesternal et le pu
osée de quatre feuillets, elle s'écarte des deux côtés, le long de la ligne blanche, pour former la gaine verticale de récept
rticulier, par sa fusion avec l'enveloppe du grand pectoral, la seule ligne réelle de démarcation entre la région sous-clavic
bas par la racine du nez et l'arcade sourcillière, en dehors par une ligne extérieure qui, de l'apophyse orbitaire externe,
es ; elles sont tracées en dedans par le plan moyen ; en bas, par une ligne qui suit l'attache des muscles extenseurs de la t
terne vers l'apophyse mas-toïde ; en dehors et en haut, par une autre ligne , indiquant à l'extérieur le trajet de la suture o
al, joint au frontal par l'aponévrose intermédiaire. Au-dessous de la ligne courbe inférieure existent, par trois plans super
tour des attaches du muscle temporal, sont indiquées : en bas, par la ligne transversale de l'apophyse zygomatique; en avant,
ale de cette région est la temporale superficielle, qui monte à trois lignes au-devant de l'oreille, et s'y divise en ses deux
ntinuée par l'angulaire. L'aire triangulaire comprise entre ces trois lignes forme à l'extérieur une dépression très prononcée
urs de la tête, limitée en haut par la bosse occipitale externe et la ligne courbe supérieure, en bas par le bord supérieur d
ieur de l'omoplate, latéralement par la région sus-claviculaire et la ligne osseuse en fer à cheval, qui a pour centre l'arti
sus-sternale et les articulations sterno-claviculaires, en bas par la ligne courbe des cartilages costaux ; latéralement elle
x ; latéralement elle ne peut être indiquée que arbitrairement par la ligne oblique que constitue dans le squelette la succes
éralement avec les hypochondres, elle est limitée en bas par les deux lignes déclives des bords cartilagineux à partir de l'ap
stre. Supérieurement cette région ne peut être déterminée que par une ligne fictive qui, de l'appendice xiphoïde, passe trans
e au-dedans. En arrière la région diaphragmatique est indiquée par la ligne des deux dernières côtes. Parties constituantes
supérieure ou thoraco-épigastrique. Elle est bornée en haut par les lignes déclives des cartilages costaux ; en bas par la l
n haut par les lignes déclives des cartilages costaux ; en bas par la ligne transversale de flexion sus-ombilicale. RÉGION
eure de l'abdomen, séparée de sa congénère par le sillon médian de la ligne blanche, elle s'étend de la fossette xiphoïdienne
ligne blanche, elle s'étend de la fossette xiphoïdienne à la première ligne transversale d'intersection du muscle sterno-pubi
-pubien, limitée en dehors par le bord externe de ce muscle et par la ligne oblique du rebord cartilagineux des côtes. A l'ex
des quatre aponévroses qui passent d'un côté à l'autre, constitue la ligne 1 Planche 1, n° 23. blanche. L eraillement de
'existe rien qui puisse le représenter que l'appendice xiphoïde et la ligne blanche. La région épigastrique est le lieu le
ie. 2° zone moyenne ou mésogastrique. Elle se renferme entre deux lignes fictives transversales : l'une, sus-ombilicale, p
ombilicale, étendue de l'une à l'autre crête iliaque . entre ces deux lignes est celle indiquée par la flexion du tronc. 1 P
éforme rectangulaire, elle est inscrite de haut en bas entre les deux lignes précitées, limitée latéralement par les deux sill
é dans sa quadruple enveloppe fibreuse; la suture aponévrotique de la ligne blanche, plus large en ce lieu par l'écar-tement
uation, configuration, délimitation. Comprise de haut en bas entre la ligne sous-ombilicale et la crête iliaque, cette région
horax et du bassin, qui constitue le mince de la taille, indiquant la ligne transversale de flexion du tronc. La peau n'off
alement , elle est limitée de haut en bas par la douzième côte et une ligne étendue en travers de l'une à l'autre crête iliaq
ansverse. 3° ZONE inférieure ou pelvienne. Limitée en haut par la ligne sus-ombilicale, elle comprend trois régions appar
prement dit, de forme triangulaire de haut en bas, elle s'étend de la ligne sous-ombilicale aux pubis, au-devant de l'extrémi
s les sujets maigres, la double saillie, entre le sillon médian de la ligne blanche et les sillons latéraux indiquant les bor
nférieure du sterno-pubien lui-même, et le pyramidal ou tenseur de la ligne blanche; (c) en arrière, le double feuillet posté
Sur le plan moyen se continue la suture des aponévroses formant la ligne blanche; sa largeur diminue de l'anneau ombilical
. Il n'est pas rare, après les fortes distensions abdominales, que la ligne blanche, malgré son étroitessc normale, ne vienne
de la précédente, sa forme est celle d'un triangle qui a pour base la ligne sous-ombilicale, et dont les lignes concaves des
e d'un triangle qui a pour base la ligne sous-ombilicale, et dont les lignes concaves des côtés sont formées en dedans par le
par bandelettes concaves, qui s'étendent des fibres musculaires à la ligne blanche et aux pubis. Au-dessus du pli de l'aîné,
ane antérieure ou pubienne du bassin ; limitée supérieurement par une ligne transversale étendue de l'un à l'autre anneau ing
re anneau inguinal externe, elle est bornée latéralement par les deux lignes déclives de flexion de la cuisse, qui continuent
nence triangulaire sensible à l'extérieur par la dépression des trois lignes qui la renferment. La peau, couverte de poils épa
s, rempli par du tissu adipeux, et dont l'épaisseur est de cinq à six lignes . En second plan se présente une couche fibreuse à
st situé plus en avant que dans la femme, sur l'entrecroisement de la ligne transversale des tubérosités sciatiques avec la l
roisement de la ligne transversale des tubérosités sciatiques avec la ligne médiane antéro-postérieure. Parties constituant
lus volumineuses, destinées au pénis, ne commencent à approcher de la ligne médiane qu'en arrière des bulbo-caverneux, et par
trois portions : la première ou proslalique, longue de douze à seize lignes , enveloppée par la glande qui lui donne son nom,
roisement de leurs fibres, dans l'espace intermédiaire, de huit à dix lignes de largeur, qui constitue à lui seul la portion m
onsidérable entre les tubérosités sciatiqueset le coccyx, fait que la ligne horizontale in-ter-sciatique qui, dans l'homme, p
n, configuration, dilimitation. Le pli inguinal, ou l'aine, est cette ligne oblique à concavité supérieure, étendue de l'épin
rieure, étendue de l'épine iliaque antérieure à celle du pubis. Cette ligne intermédiaire entre l'abdomen et la cuisse et qui
bas la double région lombaire sans autres limites déterminées qu'une ligne arbitraire, dirigée horizontalement cle l'une à l
tue la fesse proprement dite, elle est limitée verticalement par deux lignes précises, en haut le contour osseux postérieur de
t à l'extérieur, on ne peut les déterminer qu'arbitrairement par deux lignes parallèles au sillon cutané principal, l'une 1
es sont encastrés des ganglions lymphatiques. Épais de trois à quatre lignes au centre du creux axillaire, chez les sujets d'u
nt par le deltoïde et le grand pectoral, cessent inférieurement à une ligne transversale étendue entre les deux points d'étra
ar la naissance des supinateurs et des fléchisseurs de la main. Cette ligne fictive intermédiaire sépare les régions brachial
mites, absolument arbitraires, sont déterminées supérieurement par la ligne oblique de rétrécissement indiquée plus haut, et
oblique de rétrécissement indiquée plus haut, et en bas par une autre ligne transversale purement conventionnelle, coupant la
, du bord interne du biceps vers le milieu de l'articulation ; à deux lignes plus en dedans le tronc du nerf médian. Ces vaiss
u nerf médian. Ces vaisseaux, comme nous l'avons dit, croisent, à une ligne et demie de profondeur, la direction de la veine
est totale a l'articulation du poignet se pratique également dans la ligne des articulations métacarpo-phalangienne ou se li
u bassin, et le sommet au genou, a pour limites, supérieurement, deux lignes obliques formant ensemble un angle droit : en ava
p plus bas, un second angle, ouvert en haut et formé en dehors par la ligne descendante de l'attache aponé-vrotique et fémora
genou, sont encore plus vagues. Habituellement on les indique par une ligne horizontale fictive, passant à un travers de doig
n plus anatomique, il vaut mieux les déterminer en avant par les deux lignes courbes d'insertion des deux muscles vastes sur l
des deux muscles vastes sur le tendon rotulien, et en arrière par une ligne horizontale passant au sommet du triangle supérie
de la cuisse, de forme triangulaire ; elle est limitée en haut par la ligne oblique du pli inguinal, en dedans par la saillie
ation fémoro-tibiale et rotulienne, vaguement circonscrite entre deux lignes horizontales dont la supérieure passe au-dessous
latéral interne rotulien et celui de l'articulation, fortifiés par la ligne des tendons fléchisseurs. Au milieu existe la rot
culation fémoro-tibiale, comprise vaguement de haut en bas entre deux lignes horizontales formant une ceinture ou dépression c
supérieur, les jumeaux formant en commun une saillie terminée par une ligne courbe à concavité inférieure, indiquant le pli d
rfs. Procédant de la surface vers la profondeur : au milieu, à quatre lignes derrière l'aponévrose, se présente le nerf sciati
é à sa partie moyenne. Sa limite est déterminée supérieurement par la ligne circulaire de rétrécissement qui a marqué plus ha
ante, a longée ou oblongue de haut en bas, large de quinze à dix-huit lignes en travers, et terminée dix lignes plus bas que l
en bas, large de quinze à dix-huit lignes en travers, et terminée dix lignes plus bas que l'interne par un sommet obrond. Tout
lette est formé par la malléole interne, débordant en bas de quelques lignes la poulie astragalienne, qu'elle enchâsse de ce c
erminale ou pour un orteil, et, en plus grande masse, dans toutes les lignes transversales articulaires, soit la ligne des art
nde masse, dans toutes les lignes transversales articulaires, soit la ligne des articulations métatarso-phalangiennes en avan
al en saillie, alternant avec des cassures assez profondes, forme une ligne très irrégulièrement continue, comparée à celle d
s dimensions les plus avantageuses de la lame sont deux pouces quatre lignes de longueur sur quatre lignes à quatre lignes un
uses de la lame sont deux pouces quatre lignes de longueur sur quatre lignes à quatre lignes un quart dans sa plus grande larg
sont deux pouces quatre lignes de longueur sur quatre lignes à quatre lignes un quart dans sa plus grande largeur. Pour que ce
le ventre doit porter, tandis que la pointe se relève d'environ deux lignes , et la portion de la lame qui touche le talon, du
dos , qui est resté droit ; en sorte que la convexité commence à neuf lignes de l'extrémité , et décrit toute la largeur de l'
ncée en piquant. 3° La lame du bistouri droit boulonné n'a que deux lignes et demie de largeur vers le talon, et cinq quarts
que deux lignes et demie de largeur vers le talon, et cinq quarts de ligne vers l'autre extrémité, qui se termine par un bou
e toutes les fois que des parties importantes sont situées à quelques lignes de profondeur ou immédiatement sous la peau. C'
l'indicateur de chaque main les tégu-mens à droite et à gauche de la ligne que doit suivre l'instru- 1 Planche 16, fig. 5.
de 45 degrés, de manière à ne couper que dans une étendue de quelques lignes au-dessus de sa pointe. Sans cette précaution, le
l'épaisseur de la peau, et, en outre, il diviserait inévitablement en ligne droite, d'autant plus que son inclinaison se rapp
r peu qu'il se néglige à cet égard, la main, par l'habitude d'agir en ligne droite, se dévie fréquemment en-deçà ou au-delà d
t indispensable que le chirurgien ait toujours présente à l'esprit la ligne qu'il doit suivre. S'il n'est pas assez sûr de sa
il, il fera bien, avant de commencer les incisions, de tracer par une ligne à l'encre le chemin que doit parcourir le bistour
de la tige, à une distance de la pointe qui n'excède (pie de quelques lignes d'épaisseur des parois T. V!. «à perforer. Il
ose de petites boules d'os, de bois, de corne ou d'ivoire de quelques lignes de diamètre, percées d'un canal central, et dispo
l'escharre que l'on veut obtenir. Cette couche doit avoir une à deux lignes d'épaisseur, et dépassera un peu la circonférence
olides. i° Nitrate d'argent. Il s'emploie en petits cylindres de deux lignes de diamètre environ coulés dans des lingotières.
e la grosseur d'un grain de chenevis, pour une escharre de six à huit lignes de largeur. Si on veut l'étendre à un pouce, il e
d'alcool pour éviter les traînées ; il suffit d'une épaisseur de deux lignes ou environ cinq millimètres. Il faut surveiller a
ès quatre à six minutes, la peau est détruite dans son épaisseur; une ligne circulaire grisâtre, au contour de la pâte, indiq
nie, préfère aujourd'hui l'incision inoffensive pratiquée suivant une ligne déterminée , à l'emploi de ces instrumens, qui do
e aux luxations, et, dans les fractures, aux fragmens détournés de la ligne de continuité de l'os. Poulies parties molles, el
res : placer les parties dans le relâchement, et diriger, suivant une ligne déterminée, les efforts du chirurgien. Relâchem
orme appropriée, l'affrontement terminé doit se résumer en une simple ligne , que l'on incline de manière à offrir un angle dé
. Pour les points en regard cpii doivent se correspondre sur une même ligne , il faut à chaque fois, à l'entrée et à la sortie
e du bord de section de la peau, on lui donne rarement plus de quatre lignes et moins de deux. 6° Quanta la succession des s
médius qui environnent la convexité, la pointe dépassant de cpuelques lignes la pulpe des doigts. Soit cpie l'on perce le lamb
istait en une succession d'anses renfermant les deux lèvres clans une ligne continue en pas de vis, (pic l'on serrait à chaqu
présentée presque perpendiculairement à la surface de la peau, à une ligne et demie ou deux lignes de l'un des bords de la p
endiculairement à la surface de la peau, à une ligne et demie ou deux lignes de l'un des bords de la plaie, soit ensuite incli
quand il y en a un; elle suffit, si la plaie n'a que trois ou quatre lignes d'étendue, et on la maintient immédiatement par u
habituelles seront de dix à seize pouces de longueur pour six à huit lignes de largeur. 3° Dans leur application, les bande
érieure doit être posée en dehors de la tubérosité sciatique, sur une ligne horizontale, tirée au-dessous du grand trochanter
ts de la nature, lors même que le vaisseau a été dénudé dans quelques lignes d'étendue, (b) Les plaies transversales, qui inté
de forme appropriée, diriger la résultante de la pression suivant une ligne perpendiculaire à-la-fois au vaisseau et à son po
ou le plus souvent du malade lui-même, la pression se détourne de sa ligne , au lieu d'appuyer immédiatement avec plus de for
3o). Pour le tronc principal, qui monte verticalement à deux ou trois lignes devant l'oreille externe, il convient d'appliquer
se pose verticalement, pour l'artère sous-orbitaire , au milieu d'une ligne oblique étendue de l'angle externe de l'œil à l'a
t, après avoir posé perpendiculairement la pelote de pression dans la ligne de l'artère au fémur, on abat la charnière qui pl
ote doit être présentée dans son plus grand diamètre en travers de la ligne blanche, à deux pouces au-dessus de l'ombilic, un
les chairs à une demi-ligne du vaisseau, et la faire ressortir à deux lignes au-dessus de l'autre côté par un mouvement demi-c
légère traction, attirer le vaisseau et le faire saillir de quelques lignes au-devant du plan des chairs, où il vient s'offri
vec une seconde pince, le vaisseau, et le faire saillir de cinq à six lignes au-devant du niveau de la plaie ; puis, remplacer
a gélatine solide du volume du calibre intérieur, qu'on insinue à dix lignes ou un pouce de profondeur. D'après les expérience
Procédé de Desault. Muni d'une petite plaque de fer blanc de dix-huit lignes de longueur, de quatre lignes de largeur, terminé
petite plaque de fer blanc de dix-huit lignes de longueur, de quatre lignes de largeur, terminée par un bord recourbé, il ins
er d'un seul coup le lambeau étendu de l'extrémité de l'orteil à deux lignes au-delà de sa racine, en inclinant un peu en bas
avec le bistouri tenu en troisième position, on cerne l'ongle à trois lignes en arrière par une incision demi-circulaire étend
scier en une fois qu'une épaisseur médiocre, une demie à un tiers de ligne , remettant à continuer l'opé-pération après quelq
ment en dedans ou en dehors; mais, pour la seconde , la saillie de la ligne oblique externe et le rétrécissement du sillon in
tés de vaccine, fait usage de petits tubes de verre fusiformes de six lignes de longueur sur une demi-ligne de diamètre, à par
gne de diamètre, à parois très minces; les extrémités de deux à trois lignes de longueur chaque, effilées en capillaires le pl
absorption reprenne de nouveau. Lorsqu'enfin il ne manque plus qu'une ligne pour qu'un tube soit plein, on saisit entre le po
un petit vésicatoire posé préalablement dans une étendue cle quelques lignes . Dès qu'il suppure, on y applique un pois que l'o
ntenir la solidité. Le cylindre formé , on en coupe un morceau de dix lignes de hauteur, qui constitue le moxa proprement dit.
nault. C'est un petit cylindre de coton peu pressé, de trois à quatre lignes de diamètre sur une hauteur double. Son auteur l'
fication étant faite, on en dispose plusieurs au très en une série de lignes parallèles. Souvent les chirurgiens entrecoupent
. Prolonger l'une des incisions latérales du pédicule trois ou quatre lignes plus loin que l'autre, en laissant adhérer de pré
primer avec le nitrate d'argent. Mais pour peu qu'elle ait huit à dix lignes de surface, il vaut mieux l'exciser en rasant à p
inférieurs nous paraît le plus convenable (voy. t. IV, pl. 28), cette ligne de section étant la plus éloignée des deux princi
a direction du sterno-mastoïdien et qui dépasse ses bords de quelques lignes . Le muscle étant à découvert, la section peut se
ue opération se fait avec un bistouri spécial, mince et large de deux lignes , à tranchant courbe, concave clans le premier ca
signe, comme le lieu le plus convenable pour la section du tendon, la ligne horizontale qui part du milieu de la malléole ext
s étaient cicatrisées et le tendon offrait un allongement de quelques lignes . Le pied ayant été mis clans un appareil contenti
u de l'autre côté que le chirurgien, retirant le bistouri suivant une ligne courbe en haut, achève, mais sans toucher à la pe
au-dessus des articulations métacarpo-phalangiennes, c'est sur cette ligne que devront se rencontrer le plus fréquemment les
iculation métacarpo-phalangienne une incision transversale de 8 à i o lignes d'étendue, coupe les brides aponévrotiques dans t
vre la section du nerf de son excision , dans une étendue de quelques lignes , précaution fondée sur la crainte du retour des a
e ensuite avec ménagement. M. Russell l'a fait pénétrer à cinq ou six lignes seulement de profondeur ; M. Conquest, à deux pou
ur ; M. Conquest, à deux pouces (6 centim.); M. Malgaigne, à dix-huit lignes (5 centim.). La tige du trocart étant enlevée, on
s douleur; enfin l'exciser en emportant un fragment de quatre ou huit lignes sur le bout inférieur. Nerfs de la face. Nerf
ée sur la région temporo-pariétale droite, l'opérateur fait, à quatre lignes au-dessus de l'arcade sourcilière, une incision d
-orbitaire, situé à la partie supérieure de la fosse canine, à quatre lignes au-dessous du rebord osseux de l'orbite, sur le t
e lignes au-dessous du rebord osseux de l'orbite, sur le trajet d'une ligne verticale écartée d'un demi-pouce en dehors du ne
la lèvre inférieure, il incise en haut, dans une étendue de dix-huit lignes , dans la gouttière de réflexion génio-gingi-vale
contrent : la veine nasale d'anastomose avec la faciale, puis à trois lignes de l'aile du nez, dans les élévateurs, l'artère f
du nez, dans les élévateurs, l'artère faciale, et, à trois ou quatre lignes plus en dehors, la veine du même nom. Tous ces va
s et en dehors la lèvre inférieure et fait une incision de huit à dix lignes dans la gouttière muqueuse labio-gingivale en reg
molaires au milieu desquelles correspond le trou mentonnier. A trois lignes de profondeur se rencontre ce trou, d'où sort le
périeur du canal dentaire. ( Procédé de M. Warren.) Diriger de quatre lignes au-dessous de l'articulation temporo-zygomatique,
la surface externe de la branche de la mâchoire dans un cercle de dix lignes de diamètre, en partantde deux ou trois lignes au
dans un cercle de dix lignes de diamètre, en partantde deux ou trois lignes au-dessous du bord de l'échancrure sigmoïde. Appl
surface osseuse mise à nu une petite couronne de trépan de huit à dix lignes de diamètre, dont le centre corresponde au milieu
e par une incision en U la branche de la mâchoire, en longeant à deux lignes ses bords postérieur et inférieur, laissant, un p
ser. On ne peut le confondre avec le nerf lingual situé à une ou deux lignes plus en avant et en dedans, et qui, du reste, n'e
en profondeur jusqu'au trou stylo-mastoïdien, c'est-à-dire à quatorze lignes de la peau, dans un sillon très profond qui renfe
convénient en fixant fortement la veine, avec le pouce, à six ou huit lignes seulement de la ligature, et en piquant perpendic
interne; {b) en vlan profond, le danger est encore plus grand ; à une ligne et demie de profondeur derrière l'aponévrose biei
onde, appuyée qu'elle est sur l'aponévrose tibiale postérieure, à six lignes de la malléole, entre cette apophyse et le bord i
entre cette apophyse et le bord interne du tendon d'Achille. A quatre lignes de profondeur sous cette veine, et séparés d'elle
terne. Inférieure en volume à la saphène interne, elle passe à quatre lignes au-dessous, puis monte en arrière de la malléole
rs, M. Magistel fait à la peau, avec le bistouri, une incision de six lignes qui peut intéresser la veine du même coup. Mais s
Au-dessus de l'arcade zygomatique où elle monte verticalement à trois lignes en avant de la conque auriculaire; elle est recou
e. Appliquant le médius gauche en dehors de l'artère, à deux ou trois lignes du point où il veut piquer, tandis que l'index ex
cendante de dedans en dehors. Son étendue est de quatre à six ou huit lignes , suivant la profondeur du vaisseau. En précepte,
qui la recouvre, puis, avec une seconde aiguille présentée à quelques lignes au-dessous de la première, perforer la veine dans
sue du sang au dehors. On fait ainsi plusieurs incisions sur une même ligne , ou sur plusieurs lignes parallèles, de manière à
n fait ainsi plusieurs incisions sur une même ligne, ou sur plusieurs lignes parallèles, de manière à vider complètement les v
i° Rechercher, d'après les données anatomiques, la direction de la ligne de l'artère, et s'assurer, en faisant contracter
e de l'artère, et s'assurer, en faisant contracter les muscles, de la ligne réelle des interstices musculaires sous-cutanés p
our être senti au toucher : inciser d'abord en se guidant suivant les lignes déterminées par les éminences osseuses et les sai
vec les quatre doigts assemblés de la main gauche déprimer suivant la ligne du sillon musculaire superficiel, qu'il faut d'ab
ement en travers la peau comme à l'ordinaire, puis inciser suivant la ligne reconnue. 3° Si l'artère est superficielle, inc
en diagonale sa direction; de telle sorte que l'intersection des deux lignes correspondant au milieu de la plaie, il y a plus
tres sur le trajet de l'incision, on peut diviser un peu à côté de la ligne de ces vaisseaux ou, ce qui est préférable , soul
s aides, le chirurgien placé en dehors du membre, inciser suivant une ligne qui s'étend, un peu obliquement , du milieu de l'
a moitié postérieure, où sa direction est croisée en diagonale par la ligne de l'incision. 1 Voy. Anatonrie chirurgicale, p
u muscle pour tracer le sillon dans lequel on doit inciser suivant la ligne indiquée plus haut. Tout étant disposé et le lieu
be, chercher, à l'œil ou au toucher, soit le sillon celluleux soit la ligne fibreuse intcrmusculaire du jambier antérieur et
péroné vers la crête du tibia, de manière à croiser en diagonale les lignes d'intersection musculaire; avant d'inciser l'apon
gé de haut en bas, avec une légère inclinaison en dedans, suivant une ligne qui s'étend du milieu du creux poplité sous la ma
t une incision curviligne suivant la courbure du vaisseau. Quant à la ligne de section, M. Lisfranc l'indique à cinq millimèt
rière de la malléole et M. Velpeau au moins à sept millimètres. Cette ligne est trop interne, l'espace situé entre la malléol
ensiblement le milieu. C'est donc avec raison que M. Manec choisit la ligne moyenne. Procédé opératoire. Le membre en demi-
tournée vers l'opérateur, inciser du premier coup la peau, suivant la ligne verticale et moyenne indiquée, dans une longueur
ticalement la peau et le pannicule adipeux d'un seul coup, suivant la ligne indiquée, dans une longueur de six à neuf centimè
eau et l'aponévrose dans une longueur cle huit centimètres suivant la ligne indiquée, presque verticale dans les sujets maigr
chez ceux fortement musclés. Si la veine saphène externe traverse la ligne de section, l'écarter en arrière , refouler en de
profonde étant mise à nu, l'inciser sur la sonde cannelée suivant une ligne verticale. Parvenu sur le muscle long fléchisseur
l'incision obliquement suivant un angle de trente-cinq degrés avec la ligne verticale de l'artère ; c'est-à-dire du bord exte
quart inférieur de la cuisse, jusque sous l'arcade du soléaire sur la ligne médiane, et au cinquième supérieur de la jambe, e
éprimer à l'extérieur le sillon decartement des muscles jumeaux et la ligne moyenne du creux poplité; puis, de la main droite
imètres de manière que l'écartement des j umeaux soit à moitié cle la ligne d'incision ou, en d'autres termes, inciser, dans
e avec certitude l'interstice, y suppléer en se dirigeant, suivant la ligne connue de l'artère, au milieu du plan interne de
lions lymphatiques, et la peau. Rien de plus facile que de trouver la ligne des vaisseaux. Le pouce et le médius étant appliq
n dedans, le chirurgien placé en dehors du membre, tracer en idée une ligne oblique qui de la saillie de l'épine iliaque post
nd trochanter : c'est environ aux deux cinquièmes supérieurs de cette ligne que l'artère fessière sort du bassin. Inciser alo
scle se présente obliquement à un ou deux centimètres en dedans de la ligne indiquée : on doit l'isoler, l'écarter un peu en
tère à la région antibrachiale est assez exactement déterminé par une ligne qui, du milieu du pli du bras, ou du bord externe
loïde du radius en dehors et le tendon du grand palmaire en dedans. Ligne d'incision. A. M. Roux incise, suivant la ligne i
palmaire en dedans. Ligne d'incision. A. M. Roux incise, suivant la ligne indiquée, dans une étendue de six à sept centimèt
dente en le faisant contracter par le malade, et incise le long de la ligne qu'il trace à l'extérieur. G. M. Lisfranc fait
u'il trace à l'extérieur. G. M. Lisfranc fait observer que ces deux lignes d'incision ne peuvent être déterminées chez des s
, le point de départ étant fixé, l'incision doit se faire suivant une ligne fictive qui vient tomber obliquement à huit centi
par M. Lisfranc, conduit son incision de huit centimètres suivant une ligne qui aboutirait entre l'apophyse styloïde du radiu
origine de l'artère. Terminaison de l'opération. Quelle que soit la ligne plus ou moins favorable de l'incision ; parvenu d
tant placé dans l'extension et la supination, tirer par la pensée une ligne qui de la saillie interne de la trocblée vienne t
terne de la trocblée vienne tomber en dedans de l'os pisiforme. Cette ligne indique la direction générale de l'artère, à part
a saillie du rond pronatcur et du grand palmaire; inciser, suivant la ligne indiquée,la peau et le pannicule adipeux dans une
doit lier un peu haut l'artère, inciser les fibres à plat, suivant la ligne indiquée ci-dessus, en terminant la section sur l
est nécessaire d'inciser le fléchisseur sublime. Si, se rappelant la ligne indiquée plus haut, on établit le point de départ
r le bord interne du biceps et de son tendon , il fait, suivant cette ligne , une première incision à plat de six centimètres
à ses battemens. La direction du faisceau vasculaire est suivant une ligne verticale niais légèrement oblique en bas et en d
le bord axillaire est déjà rappelé en haut; inciser alors, suivant la ligne indiquée, dans une longueur de six à sept centimè
édiaire du deltoïde au grand pectoral, puis abaisser le long de cette ligne une incision de sept à huit centimètres à partir
s sont insuffisans , le chirurgien pour l'étendue et la direction des lignes de section devant s'inspirer à chaque fois des in
us de la clavicule, en partant du sommet de sa convexité, suivant une ligne qui, dans la rectitude de la tête, atteindrait l'
plus eu saillie que l'artère. 1 " Ligature sur la première côte. Lignes d'incision. Les chirurgiens varient d'opinion sur
on fait tomber une autre incision oblique. La combinaison de ces deux lignes d'un seul côté constitue l'incision en V de M. Ph
x, puis inciser la peau dans une longueur de trois centimètres sur la ligne courbe occipitale dans le lieu indiqué ; après la
se clu menton. Nous ne voyons pas pourquoi il incline en dedans cette ligne , qu'il fait tomber sur le sterno-byoïdien. Au res
tère fémorale à l'arcade crurale étant reconnu, d'une part tracer une ligne fictive qui de ce point s'étende à l'ombilic ; d'
sillon, à cinq centimètres au-dessus de l'arcade crurale, suivant la ligne indiquée plus haut, est le point où l'artère épig
tronc, ce grand chirurgien fit à la région ombilicale, le long de la ligne blanche, une incision de huit centimètres incliné
le de comprimer une artère avec un petit rouleau de linge long de six lignes sur trois de large (quatorze millimètres sur sept
mit à découvert la face antérieure du fémur à treize millimètres (six lignes ) au-dessus de la rotule et, par deux traits de sc
membre n'était plus court que l'autre que de quatre millimètres (deux lignes ). EXOSTOSE (pl. 5o, fig. i et l). On distingu
uspend la section d'un côté pour l'amener à la même profondeur sur la ligne opposée; on l'achève ensuite des deux côtés, mais
ation métacarpo-phalan-gïenneetqui se prolonge six millimètres (trois lignes ) au-dessous de l'articulation de la première phal
angle droit une seconde, de dix-huit à vingt millimètres (huit à neuf lignes ), qui s'étende sur la face dorsale du poignet au
dius et du cubitus, du milieu de chacune des plaies latérales vers la ligne moyenne du membre, de manière à faire rencontrer
de la plaie pour pratiquer la section au travers du carpe suivant la ligne déterminée par la limite de la maladie. L'opéra
ans l'incision longitudinale, autant qu'on le peut, on doit suivre la ligne du long supinateur, puis des radiaux, et ne coupe
versale qui divise les fibres deltoïdiennes à treize millimètres (six lignes ) au-dessous de leur insertion supérieure et rabat
îne destinée à pratiquer une première section de la clavicule sur une ligne plus rapprochée de l'acromion que de l'apophyse c
tion fut rapidement terminée, il en résulta une cavité d'environ huit lignes (dix-huit millimètres) de profondeur; la plaie fu
taquer les parties qu'on veut extirper en faisant une incision sur la ligne médiane cle la face; de cette manière il dissèque
ne, l'autre part à environ quatorze ou seize millimètres (cinq ou six lignes ) en dehors cle l'angle externe cle l'orbite et se
externe cle l'orbite et se prolonge jusqu'à onze millimètres (quatre lignes ) au-devant du lobule de l'oreille; ce même point
s, ayant la forme d'un triangle dont la base était représentée par la ligne d'adhérence allant de la commissure labiale gauch
sion. Alors d'un seul coup l'opérateur la divise verticalement sur la ligne médiane jusque l'os, et prolonge inférieurement,
érisation avec le fer rouge. Les deux lambeaux sont rapprochés sur la ligne médiane et réunis à la partie supérieure par la s
ens sont envahis par la maladie; au lieu d'une incision simple sur la ligne médiane, il convient alors de cerner l'altération
l lambeau, qui, devenant plus court que l'autre, n'arrive plus sur la ligne médiane, et déplace ainsi la cicatrice sur les pa
ser deux verticales : l'une interne divise la lèvre inférieure sur la ligne moyenne, l'autre externe part de l'arcade zygomat
levé en haut et en dedans. On commence par scier la mâchoire sur la ligne moyenne ; puis, en rasant avec le bistouri la fac
e vertèbre lombaire était déjetée à droite de sept millimètres (trois lignes ) de sa position nor mille. Au moyen d'une incis
n conçoit que, de cette façon, on puisse bien ne pas s'écarter cle la ligne circulaire, mais l'opération ne saurait être régu
temps plus cle régularité dans leur disposition relative et dans les lignes articulaires qu'ils forment par leur union latéra
ur la main droite, incise circulairement les tégumens au niveau de la ligne articulaire métacarpo-phalangienne, les dissèque
l'étendue de la maladie le permet, il faut, avec la scie, suivre une ligne intermédiaire et sensiblement parallèle à l'obliq
oivent fixer l'attention, soit pour le manuel opératoire soit pour la ligne de réunion des chairs. Considérés en eux-mêmes,
ong de quatre pouces ; le relever, disséquer à la hauteur de quelques lignes les tégumens antérieurs à la base du lambeau, cou
tLangenbeck. Hey calcule la longueur du lambeau par un échafaudage de lignes bien plus embarrassant qu'utile. Grœfe, pour avoi
lagineux, dont l'influence physiologique doit être placée en première ligne dans l'appréciation des deux sortes d'amputations
rgées. 2° Assigner les plis de la peau qui suivent immédiatement la ligne articulaire ou s'en écartent d'une distance connu
le couteau, et autant que possible suivre sans désemparer toute la ligne articulaire; couper les liganiens à travers les i
, et la faire retirer en haut par un aide pour couper au-dessus de la ligne de section le tendon extenseur, entrer en plein d
l'articulation des incisions longitudinales de douze millimètres (six lignes ), les réunir en avant par une incision circulaire
'état sain des chairs, à vingt ou vingt-cinq millimètres (neuf à onze lignes ) du pli de flexion interdigital. En tirant sur le
putation des quatre derniers doigts ensemble (pl. 68, fig. 3). La ligne des quatre articulations se traduit par une courb
te. Comme en définitive le lambeau ne peut s'étendre plus loin que la ligne des plis de flexion digito-palmaires, avec une ma
apèze, sépare le premier os métacarpien du second. La direction de la ligne courbe articulaire est'inclinée en bas et en deda
franc (pl. 70, fig. 3 ). La main placée en pronation, s'assurer de la ligne articulaire, facile à déterminer du premier coup,
nd os et le troisième métacarpien. Ce troisième métacarpien forme une ligne simple oblique en bas et en dedans; le quatrième
ù trois métacarpiens sont enlevés ensemble, il y aura évidemment deux lignes de réunion à angle : une horizontale carpienne et
succès : M. Blandin a été moins heureux. L'amputation dans toute la ligne carpienne, par cela même qu'il s'agit de tout enl
e des désarticulations partielles. Il nous suffit de constater que la ligne articulaire dans son ensemble, indépendamment de
r les doigts les têtes phalangiennes des métacarpiens, luxer toute la ligne articulaire, y introduire le couteau, couper les
ui trace la délimitation de la main avec l'avant-bras. 3° Traçant une ligne de l'un à l'autre sommet des apophyses styloïdes
limètres au-dessus. Ajoutons à ces données, que la grande ou première ligne de flexion sus-palmaire correspond au plan inter
ître à l'extérieur. Si on tire entre le sommet des deux éminences une ligne horizontale, elle se trouve coupée, presque à ang
droit, par l'axe du membre; le plan inter-articulaire forme une autre ligne légèrement oblique avec la première, du bord exte
. La réunion est des plus simples, seulement il importe de diriger la ligne cutanée de manière que la surface numérale soit a
o-coracoïdien, est à peu près de deux centimètres et demi (dix à onze lignes ). Les deux courbes, sensiblement concentriques, s
x différences essentielles : quant à l'opération, la continuité de la ligne de section; et quant à la réunion, la possibilité
on; et quant à la réunion, la possibilité de l'effectuer en une seule ligne . Cette observation explique les débats qui ont eu
Le résultat définitif. Eu égard à la forme de la plaie sur une seule ligne , dont la direction peut être commandée à volonté,
océdés à lambeaux, au contraire, donnent pour résultat au moins trois lignes de réunion. — 2° Les difficultés de [opération. L
). Pour procéder à cette opération il est bon de se rappeler que la ligne des têtes articulaires, convexe antérieurement av
e du second métacarpien, le premier et le troisième étant sur la même ligne , et les deux derniers déclives vers le bord exter
2° Avec un couteau étroit tenu de la main droite, tracer, suivant la ligne inter-articulaire, une incision semi-circulaire é
, deux petites incisions latérales inclinées suivant la direction des lignes articulaires tarsiennes, de manière à former deux
our l'autre surface, cette articulation, dans son ensemble, forme une ligne courbe, oblique de dedans en dehors, où le grand
nd cunéiforme proémine, sur le côté interne, de vingt millimètres (10 lignes environ) au-devant de la facette externe du cuboï
) au-devant de la facette externe du cuboïde. Dans sa longueur, cette ligne , décomposée en articulations partielles, est extr
res seulement : à trois millimètres en arrière de ce dernier, sur une ligne qui continue celle du petit cunéiforme, se trouve
et os et au delà celui du cunéiforme; dans l'enfoncement moyen est la ligne articulaire. Ce point doit être de vingt millimèt
sale du pied de dedans en dehors, à douze millimètres au-devant de la ligne articulaire, une incision semi-lunaire, à convexi
manœuvre la pointe de l'instrument divisant les ligamens dorsaux, les lignes articulaires s'entrouvrent à mesure. A ce point d
re du pouce et à un centimètre au-devant du point où on en est resté, ligne correspondante à l'articulation cunéo-méta tarsie
le premier métatarsien et sciant les têtes des quatre derniers sur la ligne transversale qui fait suite au grand cunéiforme :
puis disséquer et relever le lambeau dorsal au niveau de la première ligne articulaire cunéo-métatarsienne. 3° Le métatarse
de ce sommet, l'astragale en arrière et les cunéiformes en avant. La ligne extérieure articulaire astragjalo-scaphoï-dienne,
d'après une lettre qu'il nous en a écrite. Arrêtant par la pensée une ligne horizontale qui traverse la région tarsienne sur
pied gauche à partir du milieu de la voûte du tarse répondant, sur la ligne indiquée, à l'angle postérieur d'encastrement du
talement l'un des bords du pied, une incision cutanée qui traverse en ligne courbe, à convexité antérieure, le milieu du méta
ce fémorale est recouverte par une large coiffe cutanée qui laisse la ligne de réunion en arrière du sommet de pression. C'es
n. i° De l'épine iliaque antérieure et supérieure, en abaissant une ligne verticale à cinq centimètres (un pouce neuf ligne
e, en abaissant une ligne verticale à cinq centimètres (un pouce neuf lignes ) au-dessous et deux centimètres plus en dedans, e
de la cavité cotyloïde. 20 Du milieu de la symphyse pubienne ou de la ligne médiane, point plus facile à déterminer que l'épi
gne médiane, point plus facile à déterminer que l'épine du pubis, une ligne horizontale prolongée de huit centimètres (trois
, situé en arrière et en dedans, à six centimètres (deux pouces trois lignes ) au-dessous du contour interne de la tête, forme,
à dix ou douze ligatures. Quant à la réunion, en principe général la ligne en doft être déclive pour faciliter l'écoulement
on a fait usage. La méthode ovalaire se traduit naturellement par la ligne que nous venons d'indiquer, la méthode circulaire
circulaire se prête indifféremment à toute inclinaison voulue dans la ligne de réunion. Quant à la méthode à lambeaux, on est
réunion. Quant à la méthode à lambeaux, on est plus commandé par les lignes de section. Le seul lambeau interne ou même antér
lambeaux égaux imposent presque nécessairement, pour la réunion, leur ligne intermédiaire : c'est-à-dire verticale pour les l
se rapprochent des points où, par la suite, portera la pression. La ligne de réunion déterminée ou par le choix du chirurgi
oir chaque jour, au besoin, augmenter ou diminuer la pression sur une ligne déterminée. Quant au choix de la méthode et du
t les surfaces musculaires de section les plus considérables avec des lignes de réunion plus longues et à trois côtés, mais ce
en les circonscrivant dans des espaces motivés en profondeur par les lignes du squelette osseux ou aponévrotique, et par les
gaines; reçoit, en dehors, l'aponévrose brachiale, et forme la seule ligne réelle de démarcation entre la région sous-clavic
arence derrière la loge du couturier dont ils coupent la direction en ligne diagonale. 17. 17. Vaisseaux de nutrition du co
mbaires. 11, 11. Filamens antérieurs des nerfs lombaires. 12, 12. Ligne blanche. 13. Anneau ombilical. 14. Ligament t
Ligament triangulaire inférieur , formant l'attache pubienne de la ligne blanche. 15, 16. Coupe des feuillets aponévroti
4° La pelotte mobile (L), étroite et longue [fig. 3), est large de 10 lignes à sa base, et seulement de 6 à son sommet. Get
aisseau volumineux. La pelotte mobile, étroite et d'une hauteur de 18 lignes , refoule en dehors le sterno-mastoïdien, et vient
ttre les inclinaisons de la pelotte en différens sens, pour varier la ligne de compression de manière à éviter de comprimer e
es, quoique fortement dilatées, sont néanmoins hypertrophiées, de une ligne à une ligne et demi d'épaisseur. La tunique moyen
fortement dilatées, sont néanmoins hypertrophiées, de une ligne à une ligne et demi d'épaisseur. La tunique moyenne, blanchât
ndiquer le trajet de l'artère, il suffit de tracer, parla pensée, une ligne passant par les trois points, le pouce, à l'arcad
ajet de l'artère humérale s'indique de lui-même sur la fig. 1 par une ligne continuée par la pensée, des doigts qui comprimen
en avons fait la remarque dans notre anatomie chirurgicale, la seule ligne réelle de démarcation entre les portions axillair
seule malade, le chirurgien a incisé verticalement les chairs sur la ligne médiane , en continuant la section de la peau jus
uverte de tégumens. B. Surface cutanée du moignon. Au milieu est la ligne étoilée, résultat de la réunion par première in
articulation. La plaie, légèrement inclinée en avant et en bas sur la ligne verticale, est maintenue affrontée par des bandel
'arrêt du couteau qui a opéré la section du ligament inter-osseux; la ligne ponctuée (s) indique le trajet parcouru par le ma
on. Une seule bandelette agglutinative est posée pour laisser voir la ligne de réunion. Par l'angle déclive sortent les fils
nté tenu par la main droite du chirurgien (m), n'ayant qu'à suivre la ligne ( n ) pour revenir au point de départ. Les partie
3 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
re pré-occipitale. Page 49, procédé rapide de Golgi, avant-dernière ligne , au lieu de : dans la solution de nitrate d'arg
. 100. Page 114, figure 56, au lieu de : P, lire : STh. Page 182, ligne 33, au lieu de : lig. 101 et 11 lire : fig. 101 e
33, au lieu de : lig. 101 et 11 lire : fig. 101 et 105. l'age 229, ligne 32, au lieu de : Pansini, lire : Pisani. Page 4
ni, lire : Pisani. Page 46H, légende de la figure 253, au lieu de : Lignes 811 des lig. 2 ? i et 286, lire : .- des fig. 2
es fig. 23b et 230. Page 569, légende de la ligure 29 : i, dernière ligne , au lieu de troisième -circonvolu- tion frontal
nvolutions frontales. Page 618, légende de la lig. 311, quatorzième ligne , au lieu de fi, sillon limbrio- godronné, lire
, au lieu de fi, sillon limbrio- godronné, lire : t'ri. Page 080, ligne 29, au lieu de : chlorate, lire : chlorure de van
e 29, au lieu de : chlorate, lire : chlorure de vanadium. Page 698, ligne 19, au lieu de : (L2 [w], lire : (L2 ; ANATOMIE
l). Malgré la pauvreté de ces moyens, Vicq d'.\zir avait reconnu la ligne brisée, formée par la lame de substance blanche
tie postérieure de la nuque, le cuir chevelu est incisé suivant une ligne transversale allant d'une oreille à l'autre, et
encore de la briser circulairement à l'aide du marteau, suivant une ligne passant environ il un centimètre, au-dessus de
suivant une ligne passant environ il un centimètre, au-dessus de la ligne d'incision des parties molles. L'enlèvement de la
épineuses, la section des lames vertébrales s'effectue suivant une ligne passant en dehors de la moelle épinière. Il suffi
faut pratiquer, sur les hémisphères séparés l'un de l'autre sur la ligne médiane, une série de coupes dans dif- férents
yau caudé et par la partie moyenne de la couche optique, (lig. : i, ligne .4F). La coupe de Flechsig se pratique de la ma
périeur avec les deux tiers inférieurs de la couche optique (fig. ? ligne XY). A Bicêtre, nous avons l'habitude de prendr
pas droits comme après l'emploi d'autres méthodes, mais forment une ligne brisée. Enfin, et c'est là un gros inconvénient
n neural, situé dans l'axe de la tache embryonnaire, en avant de la ligne primitive; l'existence de cette dernière est tr
es en avant et en arrière, et séparées l'une de l'autre par une ligne claire, la gouttière neu- rale ou médullaire
e neurale s'élar- git et encadre l'extré- mité antérieure de la ligne primitive (pp), en formant le situes ? ? on ! -
- 5, limites latérales de la région céphalique de l'embryon. - pp, ligne primitive. - Si, sinus terminal formant les limit
sinus terminal formant les limites de l'aire vasculairc. - a, b, c, lignes de coupes. 60 "- ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
. 41. - Trois coupes transversales du même embryon^ passant par les lignes a, b, c. (D'après Mathias Duval.) / - Pp, proto
près Mathias Duval.) A, extrémité antérieure de la tête. - ]Jp, ligne primitive. - FI, vésicule cérébrale. Cet embryo
médullaire largement ouvert et encadrant la partie antérieure de la ligne primitive pp. Fig. 15. Région céphalique de ce
lion du pueumo -gastrique. IX. ganglion du glosso-pharyngien . - La ligne pointillée de la fig. 19. indique la limite antér
her du cerveau intermédiaire se continue directement et sans aucune ligne de démarcation, avec la partie basale de la vés
outtière encéphalique, et l'axe longitudinal affecte la forme d'une ligne plusieurs fois coudée. Les inflexions du canal en
brane obturatrice du 4° ventricule présente de légères hachures; la ligne à rlouble contour représente la ligne d'in- ser
résente de légères hachures; la ligne à rlouble contour représente la ligne d'in- sertion des taenias du 4e ventricule; lig
our représente la ligne d'in- sertion des taenias du 4e ventricule; ligne pointillée, la la profondeur du sillon labial ext
'anneaux presque complets. Puis apparaissent,de chaque côte de la ligne mé- diane, des artères anastomoti- ques longi
anche collaté- rale, puis se dirigent en arrière ci atteignent la ligne de pénétration des racines postérieures (iig. soj
t les deux artères du sillon médian antérieur, se rapprochent de la ligne médiane et se fusionnent l'une avec l'autre ver
e la vie intra-utérine, les deux couches optiques se soudent sur la ligne médiane, au-dessus du sillon de Monro, pour for
isième ventricule n'est pas rectiligne, mais affecte la forme d'une ligne brisée dont le segment postérieur, presque vertic
rne de la circon- volution du crochet à l'extrémité temporale de la ligne suturale opto-striée secondaire. Tronc et bou
externe (Mantelschicht de His), riche en neuroblastes, n'atteint la ligne médiane ni en avant ni en arrière; il en résult
encore au travers de la corne antérieure; puis elles atteignent la ligne médiane, s'entrecroisent avec celles du côté oppo
ame fondamentale et de la lame alaire. Sur le prolongement de cette ligne , émergent également les fibres du facial. Plus
. La racine motrice du trijumeau apparaît sur la prolongation de la ligne d'émergence du facial, du glosso-pharyngien, du
'isthme, envoie ses fibres en arrière; elles s'entrecroisent sur la ligne médiane, traversent la partie supérieure de la va
la valvule de Yieussens et deviennent libres de l'autre côté de la ligne médiane. C. GANGLIONS CÉRÉBRO-RACHIDIENS. - NER
él'ieur. -Ep, cellules épendymaires. IVq, cellules névrogliques. La ligne pointillée indique les limites des cornes antérie
ces cellules décrivent tous des courbes à peu près parallèles à la ligne qui sépare la corne postérieure du cordon posté
rme un petit seg-. ment inter-annulaire (segment intercalaire). Les lignes placées au voi- sinage des segments indiquent l
argent, le renflement biconi- que est limité des deux cotés par une ligne plus claire, au delà de laquelle se montrent le
face inférieure. A la face interne, elles s'arrêtent le long d'une ligne courbe qui correspond au seuil ou limen de l'hémi
nom de circonvolution ou de lobe limbique. A la face inférieure, la ligne d'arrêt des circonvolutions, très sinueuse et trè
occi- pital. Néanmoins on lui assigne, comme limite inférieure, une ligne fictive prolongeant la direction de la scissure
de la scissure de Sylvius, et comme limite posté- rieure une autre ligne , fictive également, s'étendant de la scissure per
- occipital de Meynert (ipo) (fig. 1HO, 170). Sur le trajet de la ligne qui réunit ces deux encoches, on trouve souvent t
xterne et inférieure. La face inférieure, concave, se continue sans ligne de démarcation avec la face inférieure du lobe oc
. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 27o ou convexe sont représentées par une ligne fictive, qui s'étendrait de l'ex- trémité posté
émisphères, elle se dirige obliquement en dehors et en arrière. Une ligne prolongeant la direction de l'insula se rencont
e que de son bord interne; elle se porte en avant, en décrivant une ligne courbe à concavité externe, et se termine au ni
ec du corps calleux. Parallèles et adossées l'une il l'autre sur la ligne médiane, en avant du bec du corps calleux, les
ta- tions qui sont devenues aujourd hui au moins dans leurs grandes lignes d'un usage courant pour la majorité des auteurs
se du cerveau, dont les bords corres- pondent assez exactement à la ligne sinueuse, le long de laquelle s'arrêtent les ci
andelette diagonale de Broca que nous venons d'étudier. 2° Sur la ligne médiane par une mince membrane grise, la commissu
elle est un peu . plus épaisse sur ses parties latérales que sur la ligne médiane, où elle est très mince et déprimée, au
s, arrondies, de 6 millimètres de dia- mètre, très rapprochées delà ligne médiane et séparées l'une de l'autre par un sil
7p;E ? ). Chez les rongeurs ce faisceau forme, de chaque côté de la ligne médiane, une bandelette étendue du tubercule ma
n dedans. Ce triangle est légère- ment déprimé à son sommet, sur la ligne médiane, par un sillon longitu- dinal antéro-po
quadri jumeaux. La base est fortement échancréc et présente, sur la ligne médiane, un sillon profond, médian et antéro-po
e; l'émergence de la troisième paire se fait en effet le long d'une ligne irrégulière, analogue à la ligne d'émergence de
ire se fait en effet le long d'une ligne irrégulière, analogue à la ligne d'émergence des racines antérieures de la moelle;
19° ? , 19 ! ). Quant au champ du triangle il présente : 1° sur la ligne médiane, le raphé du pédoncule, et au voisinage
e l'encéphale; l'interne, le sillon du ne1'f uculo-motr'III'. Une ligne oblique passant par le locus niger (Ln), une deux
I'. Une ligne oblique passant par le locus niger (Ln), une deuxième ligne , antéro-postérieurc passant par le raphé, et un
me ligne, antéro-postérieurc passant par le raphé, et une troisième ligne , tranvcrsale, passant par l'aqueduc de Sylvius,
niveau de son point de pénétration dans l'hémisphère, et établit la ligne de démarcation entre le pied du pédoncule et la
rieur ou , pied du pédoncule. Laban'ictcttcopti- que établit la ligne de démarcation entre le pied du pédoncule e
se confond, et dont elle est séparée artificielle- ment par une ligne trans- versale passant par l'aque- duc de Syl
cule. Du côté du cerveau, la calotte du pédoncule se continue, sans ligne de démarcation bien nette, avec la région soît.
saillies mamelonnées, disposées deux par deux de chaque côté de la ligne médiane; un sillon médian antéro-postérieur, croi
lvule de Vieussens. Ch, ganglion de l'li rhcnula. l, Insuta. - iep, ligne le long de laquelle s'insère l'épendyme ventricul
illon transversal des tubercules quadrijumeaux, peu accentué sur la ligne médiane, sépare les tubercules quadrijumeaux anté
u des tubercules mamillaires (Tm) (fig. 19(i). On rencontre, sur la ligne médiane et de haut en bas, la vaste et épaisse
paisse commissure du corps calleux (Ce), qui donne insertion sur la ligne mé- diane à la mince membrane verticale du sept
dessous du trigone et de la toile choroïdienne, on aperçoit, sur la ligne , médiane, l'étroit ventricule moyen, ou troisième
et s'entre- croisent avec les fibres du grand soleil de Reil. La ligne d'intersection des radiations du corps calleux et
reste partie du sillon de l'hippocampe foetal (Voy p. 12'1). Sur la ligne médiane, cette face présente deux saillies blanch
eure ou voûte des ventricules laté- raux, et donne insertion sur la ligne médiane, en avant, au septum luci- dum (SI), en
ou et le bec du corps calleux, un espace triangulaire occupé sur la ligne médiane par le septum lucidum (fig. 201 à 203).
convexe dans le sens antéro-postérieur, elle donne insertion sur la ligne médiane au septum lucidum (SI), tandis que ses
lucidum. Le septum lucidum, ou c oison transparente, occupe sur la ligne médiane l'espace triangulai- re, large en ava
res, les ventricules la- , téraux (VI), situés de chaque côté de la ligne médiane et séparés l'un de l'autre par le septu
trous de Monro (TM). Plus rapprochés de la base du cerveau et de la ligne médiane en avant, ils divergent en arrière, et
la média des anciens auteurs). Son bOl'd interne est formé par la ligne d'union du corps calleux avec le trigone cérébr
faisceau uncinatus.-iep, insertion de l'épendyme ventriculaire. Cette ligne d'insertion sépare la partie du noyau caudé ent
ec la membrane épendymaire qui limite les trous de Monro, et sur la ligne médiane, avec l'épendyme qui tapisse la face ve
très bien décrite et dessinée par Vicq d'Azyr qui la compare à une ligne brisée, porte depuis Beil, lenom décapsule intern
. Ni, noyau len- ticulaire. - CNC, colliculus du noyau caudé.- El', ligne correspondant au point de réflexion de l'épendy
e substance grise reliant le noyau caudé au noyau lenticulaire. Les lignes verticales xx et 55, divisent le corps strié en t
entail dont la limite antérieure est située un peu au-dessous de la ligne de réflexion de l'épendyme et dont la limite post
cule du noyau lenticulaire (PNG,) et le noyau amygdalien (NA). * La ligne horizontale y-/ qui passe il l'union des deux tie
isceau uneinatus. - iep, insertion de l'épendyme ventriculaire. Cette ligne d'insertion sépare la partie du noyau caudé ent
re et du pilier antérieur du trigone où il est très rapproché de la ligne médiane, et où il n'est séparé de celui du côté
é antérieure ou tête, régulièrement arrondie, très rapprochée de la ligne médiane, où elle n'est séparée de celle du côté o
e de Reichcrt au locus niger de Soernmering (Ln) et se confond sans ligne de démarcation nette, avec l'étage supérieur ou
26) elle se présente dans la région thalamique, sous l'aspect d'une ligne brisée, ainsi que Vicq d'Azyr l'avait déjà rema
t encore indiqué par ' des figures spéciales, sur lesquelles chaque ligne de coupes est rapportée f avec son numéro corre
es de longueur, d'un hémisphère droit durci dans le bichromate. Les lignes de repère indiquent, en millimètres, la dis- ta
pose de 1G coupes, pratiquées de haut en bas et cor- respondant aux lignes de repère indiquées dans les figures 217 et 218.
nt à 35 millimètres au-dessous du bord su- périeur de l'hémisphère ( lignes 3o des fig. 217 et 218). . Cette coupe située a
émisphère droit durci dans le bichromate. - Grandeur naturelle. Les lignes de repère indiquent, en millimètres, la distance
nt à 35 milli- mètres au-dessous du bord supérieur de l'hémisphère. Lignes 3a des fig. 217 et 218. (Grandeur naturelle.)
sant à 41 millimètres au-dessous du hord supérieur de l'hémisphère. Lignes 41 des fig..217 et 218. (Gran- deur naturelle.)
(fig. 220), passant à G millimètres au-dessous de la précé- dente ( lignes 41 des fig. 2'17 et 218). . Cette coupe intéres
(fig. 221), passant à 4 millimètres au-dessous de la précé- dente ( lignes 45 des lig. ? 17 7 et 21 8) . COUPES MACROSCOPI
ant à 4o nnillimèlres au-dessous du bord supérieur de l'hémisphère. Lignes 4 des fig. 217 et 218. (Grandeur naturelle.)
(fig. 222), passant à 3 millimètres au-dessous de la précé- dente ( lignes 48 des fig. 217 et 218). Cette coupe passe par
l séparé du segment postérieur de la capsule interne (Cipi, par une ligne de libres blanches, répondant à la zone réticulée
ant à IF8 millimètres au-dessous du bord supérieur de l'hémisphère. Lignes 48 des fig. -217 et 218. (Gran- deur naturelle.
(fig. 223), passant à 4 millimètres au-dessous de la précé- dente ( lignes 52 des fig. 217 et 218). Cette coupe passe par
ant à ti2 millimètres au-dessous du bord supérieur de l'hémisphère. Ligne 52 des fig. 21 et 218. (Grandeur naturelle.)
La capsule interne (Cia, Cip, Cirl) se présente sous la forme d'une ligne brisée, on y reconnaît, quoique moins nettement
(fig. 224), passant à 3 millimètres au-dessous de la précé- dente ( lignes 85 des fig. 217 et 218). Cette coupe passe par
sant à 55 millimètres au-dessous du bord supérieur de l'hémisphère. Lignes ;;5 des lig. 217 et 218. (Grandeur naturelle.)
(fig. 225), passant à 3 millimètres au-dessous de la pré- cédente ( ligne 58 des fig. 217 et 218). Cette coupe passe au-d
nt il ;;8 millimèlrcs au-dessous du Lord supérieur de l'hémisphère. Lignes b8 des figures 21 et 218. (Grandeur. : nature l
(fig. 226), passant à 3 millimètres au-dessous de la précé- dente ( lignes 61 des fig. 217 et 218). Cette coupe passe au-d
ant à 61 millimètres au- dessous du bord supérieur de l'hémisphère. Lignes 01 des figures 217 et 218. (Gran- deur naturell
ivie jusqu'à deux centimètres de la pointe occipitale le long de la ligne droite qui correspond au diverlicule du lobe oc
sèrent d'une part, au bord libre du trigone et d'autre part, sur la ligne qui sépare le pulvinar (Pul) de la queue du noy
dans cette région qu'elle affecte le plus nettement la forme d'une ligne brisée, dont l'angle obtus est ouvert en dehors.
(fig. 227), passant à 2 millimètres au-dessous de la précé- dente ( lignes 63 des fig. 217 et 218). Cette coupe passe par
sant à 63 millimètres au-dessous du bord supérieur de l'hémisphère. Lignes 03 des figures 217 et 2)8- z (Grandeur naturell
sant à Ou millimètres au-dessous du bord supérieur de l'hémisphère. Lignes Ça des figures 217 et 218. (Grandeur naturelle.
a. 228), passant il deux millimètres au-dessous de la pré- cédente ( lignes 65 des fib. 217 et 218). Cette coupe passe au-d
(fig. 229), passant à 3 millimètres au-dessous de la précé- dente ( lignes 68 des lig. 217 et 218). Cette coupe passe au-d
sant à 68 millimètres au-dessous du bord supérieur de l'hémisphère. Ligne 68 des figures 217 et 218. (Grandeur naturelle.
sant à 70 millimétrés au-dessous du bord supérieur de l'hémisphère. Lignes 70 des fil{. 217 et 2t8. (Gran- deur naturelle.
(fig. 230), passant tu 2 millimètres au-dessous de la précé- dente ( lignes 70 des Ji-. 217 et 218). , Cette coupe passe pa
° ? 31), passant à 2 millimètres au-dessous de la coupe précédente ( lignes 72 des fig. 217 et 218). COUPES MACROSCOPIQUES
ant à .î2 millimètres au-dessous du bord supérieur de l'hémisphère. Lignes 72 des fig. 217 et 218. (Gran- deur naturelle.)
g. 232), passant à 3 millimètres au-dessous de la coupe précédente ( lignes 75 des fig. 217 et 218). Cette coupe passe par
Ù. 7;) 73 millimètres au-dessous du bord supérieur de l'hémisphère. Lignes '7a des flg. 217 et 218. (Gran- deur naturelle.
(fig. 233), passant à 6 millimètres au-dessous de la pré- cédente ( lignes 78 des fig. 217 et oh8).. Cette coupe passe par
78, passant à 78 millimètres - (lu bord supérieur de l'hémisphère. Lignes 78 des fig. 217 et 218. (Grandeur naturelle.) C
(fig. 234), passant à 4 millimètres au-dessous de la précé- dente ( lignes 82 des fig. 217 et 218. sillon frontal ou sillo
ant il 82 millimètres au-dessous du bord supérieur de l'hémisphère. Lignes 82 des fig. 217 et 218. (Gran- dur naturelle.)
en arrière, du pôle frontal au pôle occipital, et correspondant aux lignes de repère indiquées dans les figures 233 .et 23
ée au repérage des coupes vertico-transversales macroscopiques. Les lignes verticales correspondent aux numéros des coupes e
transversales macroscopiques. (Grandeur naturelle.) Les numéros des lignes correspondent à ceux de la figure précédente. 4
nt à 30 millimètres en arrière du pôle frontal et correspondant aux lignes 30 des figures 235 et 236. Coupe n° 33 (fig. 23
à 3 millimètres en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 33 des figures 235 et 236. Coupe n° 37 (fig. 23
t à 4 millimètres en arrière de la précé dente et correspondant aux lignes 37 des figures 235 et 236. Coupe n° 40 (fig. 24
à 3 millimètres en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 40 des figures 235 et 236. Coupe n° 43 (fig. 41
à 3 millimètres en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 43 des figures 235 et 236. Coupe n° 46 (fig. 24
à 3 millimètres en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 46 des figures 235 et 236. Ces six coupes appar
droit, n° 30, passant à 30 millimètres en arrière du pôle frontal. Lignes 30 des fig. 235 et 230. (Grandeur naturelle.)
droit, n° 33, passant à 33 millimètres en arrière du pôle frontal. Lignes 33 des fig. 23o et 230. (Grandeur naturelle.)
émisphère droit, n° 37, passant à 37 millimètres du pôle frontal. Lignes 37 des fig. `>3 et 236. (Grandeur naturelle.)
'hémisphère droit, n° 40, passant à 40 millimètres du pôle frontal. Lignes 40 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.)
roit, n" 43, passant à 43 milli- mètres en arrière du pôle frontal. Lignes 43 des fig. 23 et 236. (Grandeur naturelle.) Ar
roit, n° 46, passant à 46 millimètres en arrière du pote frontal. Lignes 46 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) A
nt à 5S millimètres en arrière du pôle frontal et correspondant aux lignes 35 des ligures 235 et 236. Coupe n° 60 zig. 244
à 5 millimètres en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 60 des figures 235 et 236. Coupe n° 63 (fig. 2f
à 3 millimètres en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 63 des figures 235 et 236. Coupe n° 66 (fig. zi
à 3 millimètres en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 66 des figures z et 236. Ces quatre coupes inté
roit, n° 55, passant à 55 milli- mètres en arrière du pôle frontal. Lignes 55 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) A
oit, n° 60, passant il 00 milli- mètres en arrière du pôle frontal. Lignes 60 des fig. 233 et 236. (Grandeur naturelle.) A
roit, n° 63, passant a 63 miiii- mètres en arrière du pôle frontal. Lignes 63 des fig. 233 et 236. (Grandeur naturelle.) A
roit, n° 66, passant à 66 milli- mètres en arrière du pôle frontal. Lignes 66 des fig. z et 236. (Grandeur naturelle.) Al,
à 3 millimètres en arrière de la précé-- dente et correspondant aux lignes 69 des figures 235 et 236. Coupe n" 71 (tin. 24
à 2 millimètres en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 71 des figures 235 et 236. La coupe n° 69 passe
oit, n° 69, passant il 69 milli- mètres en arrière du pôle frontal. Lignes 69 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) A
roit, no 71, passant à 71 milli- mètres en arrière du pôle frontal. Lignes 71 des fig. 235 et 236. (Grandeur nature.) Alv,
(zr) (coupe n° 69, fig. 247). Sa paroi inférieure correspond à une ligne horizontale passant par le sillon de Monro (sM),
es en arrière de lê1-ptill. : è.t.1.C : 1Ue" ' et correspondant aux lignes 75 des figures 235 et 236. Coupe n° 78 (fig. 25
il 3 millimètres en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 78 des figures 235 et 236. Coupe n° 80 (fig. 2;
a 2 millimètres en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 78 des figures 235 et 236. 458 ANATOMIE DES CEN
roit, ne 75, passant à 73 mil- limètres en arrière du pote frontal. Lignes '75 des flg. 235 et 230. (Grandeur naturelle.)
roit, n- 78, passant à 78 mil- limètres en arrière du pôle frontal. Lignes 78 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) A
roit, n° 80, passant à 80 mil- limètres en arrière du pôle frontal. Lignes 80 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) A
t à 3 millimètres en arrière de la précé- dente et correspondant au lignes 83 des figures 235 et 236. Coupe n° 86 (fig. 25
nt à 3 millimètres en arrière de la précédente et correspondant aux lignes 86 des figures 235 et 236. Coupe n° 88 (fig. 25
à 2 millimètres en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 88 des figures 235 et 236. Coupe n° 89 (fig. 25
ant à 1 millimètre en arrière de la précédente et correspondant aux lignes 89 des figures z35 et 336. Ces coupes intéresse
és sur le trajet d'une COUPES MACROSCOPIQUES. DU CERVEAU. 4<Ki ligne courbe, qui relie les (leux)cGtiQns de la queue d
oit, n° 83, (passant à 83 mil- limètres en arrière du pôle frontal. Lignes 83 des 235 et 236. (Grau deur naturelle. .V, av
roit, no 8b, passant à 86 mil- limètres en arrière du pôle frontal. Lignes 811 des fig. 235 et 2jô. (Grandeur naturelle.)
roit, n° 88, passant à 88 milli- mètres en arrière du pôle frontal. Lignes 87 des fig. 35 et 236. (Grandeur naturelle.) il
oit, n° 89, passant il 80 milli- mètres en arrière du pôle frontal. Lignes 89 des Hg. 235 et 236. (Grandeur naturelle. Aq,
à 3 millimètres en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 92 des figures 235 et 236. Coupe n° 93 (fig. 25
t à 1 millimètre en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 93 des figures 235 et 236. Coupe n° 95 (fig. 25
à 2 millimètres en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 95 des figures 235 et 23G. Coupe n° 97 (fig. 25
à 2 millimètres en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 97 des figures 235 et 236. Coupe n° 99 (fig. 26
à 2 millimètres en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 99 des figures 235 et 236. Ces coupes extrêmeme
roit, n° 92, passant à 92 milli- mètres en arrière du pôle frontal. Lignes 92 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) A
roit, no 93, passant à 93 milli- mètres en arrière du pôle frontal. Lignes 93 des fig. 233 et 236. (Grandeur naturelle.) C
droit, n- 95, passant à 9 mil- limètres en arrière du pôle frontal. Lignes 9o des fig. 233 et 236. (Grandeur naturelle). C
droit, n° 97, passant à 9 mil- limètres en arrière du pôle frontal. Lignes 97 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) C
roit, n° 99, passant à DU mil- limètres en arrière du pôle frontal. Lignes 99 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) /
à 6 millimètres en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 105 des figures 235 et 236. Coupe n° 107 (fig.
à 2 millimètres en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 107 des figures 235 et 23tri. 4-78 ANATOMIE DES
à 9 millimètres en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 116 des figures 235 et 236. Coupe n° 122 (fig.
foi millimètres en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 122 des figures 235 et 236. Coupe n° 133 (fig.
à Il millimètres en arrière de la précé- dente et correspondant aux lignes 133 des figures 235 et 236. Coupe n° 137 (fig.
t à 4 millimètres en arrrière de la précédente et correspondant aux lignes 137 des figures 235 et 236. Ces coupes intéress
émisphère droit, n° 107, passant à 107 millimètres du pôle frontal. Lignes 107 des fig. 235 et 23G. (Grandeur naturelle.)
n° 116, passant à t 16 milli- i- mètres en arrière du pôle frontal. Lignes 116 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.)
it, n" 133, passant à 133 millimètres en arrière du pote frontal. Lignes 133 desfig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) C
oit, no 137, passant à 13'7 millimètres en arrière du pôle frontal. Lignes 137 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.)
interne vers la face externe de l'hé- misphère et correspondant aux lignes de la figure 267. Coupe n° 5 (fig. 268), passan
en dehors de la face interne de l'hémisphère et correspondant à la ligne 5 de la figure 267. Cette coupe, parallèle à la
vec-lignes de repère, pour la série des coupes sagit- tales. Chaque ligne indique en millimètres la distance à laquelle c
leux (Voy. fig. 181). Le diver- ticule inférieur, très petit sur la ligne médiane, s'élargit considérablement en dehors (
nc d'autant plus antérieure que la coupe sera plus rapprochée de la ligne médiane. Au sur et à mesure que l'on se porte e
e nom d'arbre de vie du cervelet. Comme elle passe assez près de la ligne médiane, elle intéresse un noyau gris irrégulie
à 2 millimètres en dehors de la précé- dente et correspondant à la ligne 7 de la figure 267. Cette coupe passe par le tr
ssant à 7 millimètres en dehors de la face interne de l'hémisphère. Ligne 7 de la figure 2G7. (Grandeur naturelle.) Al,
e-ci présente le noyau rouge (NR) et le corps de Luys (CL). Sur une ligne oblique de haut en bas et d'arrière en avant, é
nt à 3 millimètres en dehors de la précédente et correspondant à la ligne 10 de la figure 267. Cette coupe passe par la c
sant à 10 millimètres en dehors de la face interne de l'hémisphère. Ligne 10 de la figure 2G7. (Grandeur na- turelle.)
à 8 millimètres en dehors de la précé- dente et correspondant à la ligne 15 de la figure 267. Cette coupe passe au nivea
ant à 1;; millimètres en dehors de la face interne de l'hémisphère. Ligne 1;i de la figure 2cl. (Grandeur na- tourelle.)
à 2 millimètres en dehors de la précé- dente et correspondant à la ligne 17 de la fig. 267. Cette coupe passe en dehors
où il est réduit à quelques îlots de substance grise, situés sur la ligne de limite inférieure de la substance grise sous-é
sant à 17 millimètres en dehors de la face interne de l'hémisphère. Ligne 17 de la figure 267. (Grandeur na- turelle.) ,
à 4 millimètres en dehors de la précé- dente et correspondant à la ligne 21 de la figure 267. Cette coupe passe en dehor
ant à 21 millimètres er/ dehors de la face interne de l'hémisphère. Ligne 21 de la figure 267. (Grandeur naturelle.) .
sant à 27 millimètres en dehors de la face interne de l'hémisphère. Ligne 27 de la figure 267. (Grandeur na- turelle.) .
à 6 millimètres en dehors de la précé- dente et correspondant à la ligne 27 de la figure 207. Cette coupe passe par le t
en dehors de la face interne de l'hémisphère et correspondant à la ligne 33 de la figure 267. Cette coupe passe au nivea
sant à 33 millimètres en dehors de la face interne de l'hémisphère. Ligne 33 delà figure 267. (Grandeur naturelle.) . ,
sant à 37 millimètres en dehors de la face interne de l'hémisphère. Ligne 37 de la figure 267. (Grandeur naturelle.) 1
à 4 millimètres en dehors de la précé- dente et correspondant à la ligne 37 de la fig. 267. Cette coupe passe en dehors
à 6 millimètres en dehors de la précé- dente et correspondant à la ligne 43 de la fig. 267. Cette coupe passe en dehors
sant a 43 millimètres en dehors de la face interne de l'hémisphère. Ligne 43 de la figure 207. (Grandeur naturelle.) F2
nant à deux cerveaux distincts (Voy. si ? de repérage 278). Les unes ( lignes COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. : il9 plein
parallèles au plan vertico-transversal de l'encéphale, les autres ( lignes pointillées) sont très légèrement obliques en bas
CROSCOPIQUES Cette série se compose de 12 coupes, correspondant aux lignes de repère indiquées dans la fig. 278. COUPES
OPIQUES DU CERVEAU. 321 Coupe n° I (fig. 279). Coupe passant par la ligne I de la fig. 278 et en arrière de la coupe macr
hémisphère droit durci au bichromate, 2/3 grandeur natu- relle. Les lignes de repère correspondent aux nos des coupes vertic
g. 9). Le FiG. 279. Coupe vertico-transversale n° I, passant par la ligne I de la figure 278. Méthode de Weigert. Agrandi
ibres tangentielles de la partie moyenne de l'écorce qui forment la ligne externe de Baillarger. L'épa- nouissement des f
é plus ou moins serré. Coupe n° II (fig. 280). Coupe passant par la ligne II de la fig. 278 et correspondant à peu près à
s avoir FiG. 280. Coupe verlico-transversale, n° II, passant par la ligne II de la figure 278. Méthode de Weigert. Agrand
UES DU CERVEAU. 1;2-1 Coupe n° III (Fig. 281). Coupe passant par la ligne III de la fig. 278 et en arrière de la coupe ma
ent Fil;. 281. - Coupe vertico-transversale, n° III, passant par la ligne III de la figure 278. Méthode de Weigert. Agran
a couronne rayonnante. Coupe n° IV (fig. 282). Coupe passant par la ligne IV de la lig. 278 et correspondant à peu près à
ERVEUX. Fie. 282. Coupe vertico-lransversale, no IV, passant par la ligne IV de la figure 278. Méthode de \'1'ei7crt. Agr
ssure de Meynert (CM). Coupe n° V (lig. 283 ). Coupe passant par la ligne V de la fig. 278 et correspondant assez exactem
. ho. 283. - Coupe vei-Lico-1 i-illisvel-saie, no V, passant par la ligne V de la figure 218. .Méthode de Weigert. Agnlll
r- convolutions. Coupe n° VI (fig. 284). Cette coupe passe par la ligne VI de la fig. 278 et appartient à une autre sér
RVEUX Vu : . 284. Coupe vertico-transversale, n° VI, passant par la ligne VI de la ligure 278. Méthode de Weigert. Agrand
ys, se détachent des fibres qui se portent en dedans, traversent la ligne médiane au niveau de la substance perforée post
appartient à la même série que la coupe précédente et passe par la ligne VII de la fig. 278. Cette coupe sectionne les c
s- 1 m. 2tj : J. Loupe verlico-transversalc, no VII, passant par la ligne VII de la ligure 2/8. Méthode de WeigerL Agrand
ou « faisceau de TÜrck ». Coupe n° VIII (fig. 286) passant par la ligne VIII de la fig. 278 et cor- respondant assez ex
EUX. Fiu. 286. -Coupe vertico-transversate, no VIII, passant par la ligne VIII, de la figure 2 ? 8. Méthode de Wcigert. A
trigone (Tg-p). Coupe n° IX (iig. 1-187). Cette coupe passe par la ligne IX de la fig. 278 et correspond à peu près a, l
EUX. Fie. 287. Coupe vei-lico-Li-aiisversale, n° IX, passant par la ligne IX de )atfigu ? 8. Méthode de Weigert. Agrandis
rcule qiiudrijumeau antérieur. Coupe n" X (fig. 288) passant par la ligne X de la fig. 278, en arrière de la coupe vertic
lum de la corne d'Ammon (H). Coupe n° XI (fig. 289), passant par la ligne XI de la fig. 278 et en avant de la coupe verti
es. Fi&. 289. Coupe vertico-transversale, nO XI, passant par la ligne XI de la figuré 278. Méthode de Weigert. Agrand
e ventriculaire. Coupe- n° XII (fig. 290). Cette coupe passe par la ligne XII de la fig. 278 et correspond à peu près à l
n° XI rrc. 290. - Coupe vertico-transversale, n°XII, passant par ]a ligne XII de la figure 278. Méthode de Weigert. Agran
qué par les figures z01 et 294. Coupe A (fig. 292) passant par la ligne A de la fig. 291. 36 562 ANATOMIE DES CENTR
lingual et qui FiG. 291. - Face interne d'un hémisphère droit avec lignes de repère pour les coupes horizontales microsco
les deux fiers postérieurs de l'hémisphère droit et passant par la ligne A de la figure 291. Méthode de Wei- COUPES MICR
les deux tiers postérieurs de l'hémisphère droit et passant par la ligne de la figure 291. Méthode de Weigert. 3/2 grand
es perpendiculairement à leur axe. Coupe B (ng. 293) passant par la ligne B de la fig. 291. Cette coupe intéresse la part
ait se confi- j- 10. z'j-t. race interne a un Hémisphère droit avec lignes rie repère pour les coupes horizontales microsc
t les deux tiers antérieurs de l'hémisphère droit et passant par la ligne C de la figure '294. Méthode de Weigert. 3/2 gr
es suivantes (séries III et IV). Coupe C (fig. 295), passant par la ligne C de la fig. 294. Cette coupe inté- resse les d
MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 51l Coupe D (fig. 296), passant par la ligne D de la fig. 294. Cette coupe, très voisine de
t les deux fiers antérieurs de l'hémisphère droit et passant par la ligne D de la figure 294. Méthode de Weigert. 3/2 gra
radiations de la calotte (RC). ' Coupe E (lig. 297) passant par la ligne E de la figure 94. Cette coupe passe par le seu
t les deux tiers antérieurs de l'hémisphère droit et passant par la ligne E de la figure 294. Méthode de Pal. 3/2 grandeu
ires de la troisième paire (Nm). Coupe F (fig. 298), passant par la ligne F de la fig. 294. Cette coupe qui appartient il
horizontale microscopique F, du lobe temporal droit, passant par la ligne F de la figure 294. Méthode de Weigert. 3/2 grand
es à différentes hauteurs. - Coupe n° 1 (lig. 300) passant par la ligne 1 de la fig. 299. Celte coupe intéresse le cent
299. - Partie moyenne de la face interne de l'hémisphère gauche avec lignes de repère pour les coupes horizontales microsco
us lm. : 300. Coupe horizontale microscopique, n° 1, passant par la ligne 1 de la ligure 299. Méthode de Weigert. 2/1 gra
e gros fascicules de fibres, correspondent assez exacte- ment à une ligne droite antéro-postérieure, limitant en dedans les
avec celle de cette dernière. Coupe n" 2 (fig. 301), passant par la ligne 2 de la ligure 299. Cette coupe passe par la su
. Fin. 301. - Coupe horizontale microscopique, n° 2, passant par la ligne 2 de la figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 gra
s-corticale non différenciée. Coupe n° 3 (fig. 302), passant par la ligne 3 de la ligure 299. Cette coupe passe par la pa
s Fie. 302. - Coupe horizontale microscopique, n° 3, passant par la ligne 3 de la figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 gra
tage de la paroi, ventre- culaire du tronc du corps calleux. Sur la ligne médiane, au voisinage du nerf de Lancisi (NL),
s du ventricule latéral (VI). Coupe n° 4 (fig. 303), passant par la ligne de la figure 299. Cette coupe passe parla parti
en tourbillon; ces dernières sont surtout abondantes le long d'une ligne antéro-postérieure, qui passe par la moitié ant
passe par la moitié antérieure du corps calleux et correspond il la ligne d'insertion du septum lucidum, (iSl). Comme sur
ule FiG. 303. Coupe horizontale microscopique, n° 4, passant par la ligne 4 de la figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 gra
(n° 3, fit('. 303); il doit être cherché, sur le prolongement d'une ligne transversale, passant par la lame cornée (le).
ntérieur et postérieur de la capsule interne dépassent en dehors la ligne courbe qui réunit les extrémités externes des î
piques (voy. fig. 281 à 286). Coupe n° 5 (fig. 304), passant par la ligne 5 de la figure 299. Cette coupe passe par les s
ne FiG. 304. - Coupe horizontale microscopique n° 5, passant par la ligne 5 de la figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 gra
régulière de substance grise, nettement délimitée en dehors par une ligne courbe, mais il contours très accidentés en ded
celle de l'écorce cérébrale. Coupe n° 6 (fig. 305), passant par la ligne 6 de la figure 299. Cette coupe passe par la pa
l'avant-mur (AM), qui suit très exactement dans ses cour- bures la ligne des circonvolutions insulaires et se renfle au ni
38 FiG. 305. Coupe horizontale microscopique n° 6, passant par la ligne 6 de la figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 gra
sur le corps du trigone (Tg). Coupe n° 7 (lig. 306) passant par la ligne 7 de la figure 299. Cette coupe intéresse les d
591 FIG.-306. Coupe horizontale microscopique n° 7, passant par la ligne 7 de- la figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 gr
le noyau antérieur a disparu. Coupe n° 8 (fig. 307), passant par la ligne 8 de la figure 299. Cette coupe passe par le tr
s hori- FiG. 307. Coupe horizontale microscopique" n.passant par la ligne 8 de la figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 gra
la fente cérébrale de Bichal. Coupe n" 9 (fig. 308 passant par la ligne 9 de la fig. 299). Cette coupe intéresse la cou
UX. luc. 308. Coupe horizontale microscopique n° .9, passant par la ligne 9 de la figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 gra
et à la capsule externe (Ce). Coupe n° 10 (ng. 309), passant par la ligne 10 de la figure 299. Cette coupe passe par la r
. loc. 309 ? Coupe horizontale microscopique, n° 10, passant par la ligne 10 de la figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 gr
ans la masse grise sous- épendymaire qui forme de chaque côté de la ligne médiane le seplum lucidum (SI) et qui recouvre
et de la lame cornée (le). Coupe n° 11 (li ;. 310), passant par la ligne Il de la figure 299. Cette coupe intéresse la r
UX. FIG. 310. Coupe horizontale microscopique n° 11, passant par la ligne 11 de la figure 29tu. Méthode de Weigert. 2/1 g
ijumeau antéicfyr ? (t)i'== Coupe n° 12 (fig. 31 L), passant par la ligne 12 de la ligure b.4. 1 , 41 ? Cette coupe int
UX. FiG. 311. Coupe horizontale microscopique n° 12, passant par la ligne 12 -de la figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 g
r (Qa) (Tiefliegcndes Mark). Coupe n° 13 (fig. 312), passant par la ligne 13 de la ligure 299. Cette coupe intéresse déjà
La FIG. 312. Coupe horizontale microscopique, n° 13, passant par la ligne 13 de la figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 gr
missure postérieure (cop;. . Coupe n° 14 (fig. 313), passant par la ligne 14 de la figure 299. Cette coupe passe par la s
r- FIG. 313. Coupe horizontale microscopique n° 14, passant'.par la ligne 14 de la figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 gr
meau antérieur Au postérieur. Coupe n° 15 Ci-. 314), passant par la ligne t : i de la ligure 299. Cette coupe intéresse l
-. Tic;. 314. Coupe horizontale microscopique n° 15, passant par la ligne 15 de la - figure 299. Méthode de Weigert. 2/1
ATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Coupe n° 1 x (fig. 316), passant par la ligne 1 x de la figure 315. Cette coupe sectionne la
fines libres t''[G. 313. Face. interne d'un hémisphère droit, avec lignes de repère pour les coupes horizontales obliques
quelques-unes de ces fibres. FiG. 316. Coupe n° 1 x, passant par la ligne 1 x de la figure 315. Méthode de Pal. 2/1 grand
re circonvolution limbique. Coupe n° 2 x (fig. 317), passant par la ligne 2 x de la ligure 31 S. Celle coupe intéresse la
commissure antérieure (coa). Inc, 317. Coupe n° 2 x, passant par la ligne 2x de la figure 315. Méthode de Pal. 2/1 grande
e la couche optique (PaTh). Coupe n° 3 x (fib. 318), passant par la ligne 3 x de la ligure 315. Cette coupe, pratiquée im
vante, n° 4 z (fig. 319). Fil;. 318. Coupe n° 3 x, passant par la ligne 3 x de la figure 3ta. Méthode de Pal. 2/1 grand
'espace per foré antérieur. Coupe n" 4 x (fig. 319), passant par la ligne 4 x de la ligure : 31 : i. Cette coupe intéress
OSCOPIQUES DU CERVEAU. 639 FIG. 319. Coupe n° 4 x, passant par la ligne 4 x de la figure 315. Méthode de Pal. 2/1 grand
du renia semi-circularis. Coupe n° 5 x (fig. 320), passant par la ligne 5 x de la figure 315. ¡ : Il ! . 3°30. Coupe n°
5 x de la figure 315. ¡ : Il ! . 3°30. Coupe n° 5 x, passant par la ligne 5 x de la ligure 315. Méthode de Pal. 2/1 grand
CROSCOPIQUES DU CERVEAU. 043 Coupe n° 6 x (fig. 321) passant par la ligne 6 x de la figure 313. Cette coupe passe par la
dedans à un certain nombre de fibres fines, qui se portent vers la ligne médiane dans la substance grise de l'espace perfo
uber cinereum (Te). En arrière, de la commissure de Meynert, sur la ligne médiane, on trouve un petit faisceau de fibres
mmissure de Meynert (CM) est FiG. 321. Coupe n° 6 x, passant par la ligne 6 x de la figure 315. Méthode de Pal. 2/1 grand
e segment interne du noyau lenticulaire (NL,, ¡') en arrière, ni la ligne médiane en avant. La substance perforée antérie
rconvolution frontale (oF,). Coupe n° 7 x (fig. 322) passant par la ligne 7 x de la figure 315. Cette coupe passe par la
du segment pédonculaire de Fit;. 322. Coupe n° 7 x, passant par la ligne 7 x de la figure 315. Méthode de Pal. ` ? /I gr
mamillaire (Tm), formé par un gros noyau gris situé très près de la ligne médiane, entouré d'une mince couche de fibres b
au faisceau uncinalus (Fu). Coupe n° 8 x (fig. 323) passant par la ligne 8 x de la figure 315. Cette coupe intéresse le
dehors par les fibres de la Fig. 323. Coupe n° 8 x, passant par la ligne 8 x de la figure z. Méthode de l'al. 2/1 Grande
nci- nalus (Fu). La bandelette optique (II) s'entre-croise sur la ligne médiane pour former le chiasma des nerfs optiqu
e l'autre, on trouve les noyaux de la troisième paire (III). Sur la ligne médiane il existe un petit noyau impair, allong
le constater (Voy. t. II). Coupe n° 9 x (fig. 324), passant par la ligne 9x de la figure 315. Cette coupe passe par le c
e de substance grise sépare Cc. 324. - Coupe n° 9 x, passant par la ligne 9 x de la figure 315. Méthode de Pal. 2/1 grand
fibres radiculaires de la lzoi- sième paire (III). Arrivées sur la ligne médiane, elles s'entre-croisent à angle extrême
cette écorce rudimentaire. Coupe n° 10 x (fig. 325), passant par la ligne 10 x de la figure 315. Cette coupe passe par le
lenticulaire est formée par Fie. 325. Coupe n° 10 x, passant par la ligne 10 x de la figure 315. Méthode de Pal. 2/1 gran
TOMIE DES CENTRES NERVEUX. Coupe n° 11 x (fig. 326), passant par la ligne dix de la figure 315. Cette coupe passe par la
sont remplacées par un 42 FiG. 326. Coupe n° 11 x, passant par la ligne 11 x de la figure 3t5. Méthode de Pal. 2/1 gran
nt naissent du noyau rouge et entrent après entre-croisement sur la ligne médiane, dans la constitution de la substance r
certain nombre d'exemples. Coupe n° 12 x (fig. 327), passant par la ligne 12 x de la figure 31b. La partie antérieure de
me ainsi que le locus niger Fic. 327. Coupe n° 12 x, passant par la ligne 12 x de la figure 313. Méthode de Pal. 3/1 gran
ventral de la calotte de Forel (xF), on trouve de chaque côté de la ligne médiane un groupe de cellules nerveuses assez abo
otrice du trijumeau. Coupe n° 13 x (fig. 328), correspondant à la ligne 13 x de la figure 3-1 S. Cette coupe passe, en
ert, de telle sorte que les FlG. 328. Coupe n" 13 x, passant par la ligne 13 x de la figure 315. Méthode de Pal. 3/1 gran
s cette région des hémisphères; connue sous le nom - de ruban ou de ligne de Vicq d'Azyr et de Gennari, elle acquiert son m
- lules pyramidales se conti- nue ainsi insensiblement, et sans ligne de démarca- tion nette, avec la zone des gran
réparations traitées par la méthode de Weigert, sous l'aspect d'une ligne foncée correspondant à la. strie externe de Baill
antes. Leur cylindre-axe, qui naît parfois d'une dendrite, monte en ligne droite dans la zone moléculaire, où il se divis
nomenclature employée par différents auteurs pour les désigner. Les lignes pointillées séparent les cinq couches cellulaires
la- tivement épaisse de myéline et qu'elle est limitée, non par une ligne régulière, mais par une ligne festonnée ou crét
e et qu'elle est limitée, non par une ligne régulière, mais par une ligne festonnée ou crétée, qui empiète sur la couche
éralement comme limite, entre le subiculum et la corne d'Ammon, une ligne passant par le point où la circonvolution godronn
ée et il existe à ce niveau deux écorces cérébrales superposées. La ligne poinlillée ..... correspond au bile de la circo
rbe en arc à une hauteur variable du stratum radiatum, redescend en ligne droite et parallèlement a lui-même, clans la co
dedans vers la partie antérieure du corps calleux, traverserait la ligne médiane au niveau du genou du corps calleux, po
és qui s'entre-croisent dans tous les sens, au niveau de la *&* ligne médiane. Les faisceaux superficiels deviennent pr
es faisceaux superficiels deviennent profonds de l'autre côté de la ligne médiane, les fibres des régions antérieures d'un
érieures d'un hémisphère s'irradient, après entre-croisement sur la ligne médiane, dans les régions plus postérieures de
u lobe olfactif et de la pointe temporale), s'entre-croisent sur la ligne médiane, à la manière des fibres de la commissu
les régulièrement superposées; elles ne s'entre-croisent pas sur la ligne médiane et constituent vraisemblablement de vérit
olfacti f (\Ieynert), et 2° des fibres qui s'entre-croisent sur la ligne médiane, et unissent le lobe olfactif d'un côté a
4 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
du diamètre transverse du crâne, elle s'incurve peu à peu suivant une ligne située immédiatement au-dessou de l'arcade zygoma
de deux ans, et presque horizontale chez l'adulte. Au-dessus de la ligne d'incurvation de l'écaillé et en avant du méat au
prolongement de la racine postérieure de l'apophyse zygomatique, une ligne de démarcation sur laquelle s'insèrent les faisce
temporal et qui n'avait pas attiré l'attention des anatomistes. Cette ligne à peu près horizontale, quoique un peu relevée en
e la surface d'insertion du muscle temporal. Elle se continue avec la ligne temporale inférieure, et n'est bien apparente qu'
int de vue ont fourni les renseignements suivants : Direction de la ligne temporale et indice cëphaliqae Fois ( 4 — 4
che II, on voit que la crête se trouve située, tantôt au-dessus de la ligne pointillée qui marque le plancher de la fosse cér
vaient décidé Kôrner, Schultzke et Garnault à prendre comme repère la ligne horizontale tangente au pôle supérieur du méat, q
l était possible de déterminer avant l'opération, par rapport a cette ligne , la hauteur de la fosse cérébrale moyenne. Il cru
ique par la méthode de Welcker, et rapporta toutes les mesures à deux lignes , l'une (ligne a) tangente au bord postérieur du m
hode de Welcker, et rapporta toutes les mesures à deux lignes, l'une ( ligne a) tangente au bord postérieur du méat, et perpen
postérieur du méat, et perpendiculaire à la base du cerveau, l'autre ( ligne b) tangente au pôle supérieur du méat, et parallè
un crâne donné, il mesure au niveau du plan frontal passant par la ligne a la distance qui sépare la ligne de l'étage moye
veau du plan frontal passant par la ligne a la distance qui sépare la ligne de l'étage moyen du crâne de la ligne b. De son
gne a la distance qui sépare la ligne de l'étage moyen du crâne de la ligne b. De son premier tableau, qui donne les mesure
. Formée au dépens de l'occipital latéral, elle continue en dehors la ligne demi-circulaire supérieure et augmente ainsi la s
blique en bas et en avant. (1) In Thèse do Lucy. Si Ton trace une ligne horizontale, rasant le bord inférieur de la lèvre
La hauteur de l'apophyse, prise verticalement entre le sommet et la ligne horizontale qui passe par l'épine de Ilenle, mesu
........................... 25,07 —" La largeur, déterminée sur une ligne horizontale qui s'étend de l'épine au bord postér
le bord postérieur se dirige en haut et en arrière pour rejoindre la ligne courbe demi-circulaire supérieure de l'occipital.
ous l'avons rencontré soit au niveau du bord postérieur, soit sur une ligne prolongeant en arrière la crête ou bulle digastri
la crête ou bulle digastrique, soit au confluent du bord et de cette ligne , soit, enfin, près de la scissure occipito-mastoï
yse. Okada a établi la situation du trou mastoïdien par rapport à une ligne tirée de la commissure externe de l'œil à la prot
Il l'a trouvé : A droite A gaucho Au niveau ou tout près de cette ligne ................................. 3g,53 °/„ 32,5 °
— Le sommet de l'apophyse comprend la région située au-dessous de la ligne horizontale qui rase le bord inférieur de la lèvr
rtion chirurgicale de l'apophyse». Quelques chirurgiens mènent deux lignes , l'une horizontale, 1 autre verticale, et délimit
le moyen veineux, le postérieur cérébelleux. Bonomo trace : i° une ligne horizontale supérieure, asterion-zygomatique, qui
aire chez l'adulte, à 3o-35 millimètres chez l'enfant; 2° une seconde ligne horizontale, pasant à égale distance du sommet de
e distance du sommet de l'apophyse et de l'astérion; 3° une troisième ligne horizontale, ligne de Ihcring reliant le rebord i
t de l'apophyse et de l'astérion; 3° une troisième ligne horizontale, ligne de Ihcring reliant le rebord inférieur de l'orbit
bord inférieur de l'orbite au centre du méat auditif externe ; 4° une ligne oblique qui s'élève du sommet de l'apophyse et cr
blique qui s'élève du sommet de l'apophyse et croise en son milieu la ligne astérion-zygomatique, en la dépassant de io-i5 mi
res; c'est le vrai plan médian mastoïdien. La moitié antérieure de la ligne astérion-zygomatique marque le plancher de la fos
es. L'antre occupe un espace quadrilatéral circonscrit en haut par la ligne astérion-zygomatique, en bas par la ligne de Iher
circonscrit en haut par la ligne astérion-zygomatique, en bas par la ligne de Ihering, en arrière parle plan médian mastoïdi
ure du sinus sigmoïde. Son extrémité supérieure est comprise entre la ligne astérion-zygomatique et le plan médian; la second
ise entre la ligne astérion-zygomatique et le plan médian; la seconde ligne horizontale indique la limite inférieur du canal
anal sinusal. Le procédé que nous proposons exige le tracé de trois lignes : i" une ligne horizontale AB, légèrement ascen
Le procédé que nous proposons exige le tracé de trois lignes : i" une ligne horizontale AB, légèrement ascen dante en arriè
ssant à 3-/| millimètres au-dessus du pôle supérieur du méat : 2" une ligne horizontale CD qui rase le bord inférieur de la l
tympan aie ; elle sépare le corps de la pointe de l'apophyse : 3° une ligne EF, oblique à /|5°, élevée au point N (intersecti
zone triangulaire, antéro-supérieurc, anlrale, limitée en haut par la ligne horizontale supérieure, en avant par le bord anté
B, en bas l'horizontale CD, en avant l'oblique EF, et en arrière la ligne GI1, qui suit le bord postérieur de la pointe ; e
end toutes les cellules de la pointe. L'horizontale AB rencontre la ligne oblique EF au point L. En haut, en arrière, et en
avait été sciée, l'épaisseur de la zone de l'antrotoinie, suivant une ligne tirée entre le sillon siginoïde et la zone de Chi
e condyle du maxillaire inférieur et son col. » (Saint-Martin.) Une ligne horizontale, passant, non pas par le sommet de l'
rrière et en dedans. Sur la figure i de la planche IV, on aperçoit la ligne de soudure de ces deux os, la scissure pétro-tymp
stéro-inférieur du tympan droit, une zone bleuâtre, et, en avant, une ligne jaunâtre qui marque la limite de 1 ' exsudât. Inc
rane. Ces dimensions ne varient pas sensiblement chez l'enfant. Une ligne reliant l'orifice tubaire à Yaditus ad antrum rep
ce du canal postérieur de la corde (Pl. VII, fig. 3). Au-dessus de la ligne horizontale passant par cet orifice, entre la pyr
encore nommée sinus posterior. (Schwalbe-Grivot.) Au-dessous de cette ligne horizontale, entre la pyramide et le cadre tympan
anche : on les a appelés pour cela ligaments tympano-malléaires. La ligne des replis, qui passe par l'apophyse externe du m
ntes méthodes. Urbants-chitsch la divise en quatre segments, par deux lignes dont l'une n'est autre que le diamètre malléaire
stéro-inférieur. flamon du Fougeray la divise en deux régions par une ligne horizontale passant par l'ombilic . « 11 existe,
le tympan. » Courtade divise le tympan en quatre segments par trois lignes horizontales équidistantes. La courte apophyse, c
e apophyse, chez l'adulte, est située un peu au-dessus de la première ligne horizontale, et l'extrémité du manche vient affle
gne horizontale, et l'extrémité du manche vient affleurer la deuxième ligne . La longue branche de l'enclume ne descend guère
oitié supérieure ; elle est comprise entre la première et la deuxième ligne horizontale. Au point de vue pratique, on peut ad
postéro-inférieur; son centre correspond à peu près à notre troisième ligne horizontale, son bord supérieur étant à la hauteu
térieur du cadre tympanal, le plus souvent très bas, au-dessous d'une ligne horizontale passant par l'ombilic de la membrane.
tympanique par la pyramide et le canal postérieur de la corde. Les lignes suivantes, empruntées à la remarquable monographi
uait que la commissure labiale gauche s'éloignait petit à petit de la ligne médiane pour occuper sa situation normale ; Je ma
elet, à droite de la protubérance occipitale interne, et se dirige en ligne droite vers le golfe de la veine jugulaire droite
x, caverneux et la veine faciale. Topographie cranio-sinusale. — La ligne temporo-sinusale de Chipault s'étend du tubercule
horizontale du sinus latéral répond à la moitié postérieure de cette ligne . Le coude du sinus latéral est compris entre deux
dant au lobe occipital. Cette limite postérieure est indiquée par une ligne fictive reliant la scissure préoccipitale de Meyn
olando, la scissure de Sylvius, le bord supérieur hémisphérique et la ligne unissant la scissure perpendiculaire externe k l'
délire et une hémiplégie gauche complète. Trépanation au niveau de la ligne rolandique, ponction du cerveau sur la partie moy
encore, surtout dans le plan sagittal. Cette dernière présente sur la ligne médiane une grande et profonde scissure, en rappo
s anciens anatomistes. Au sein de la substance blanche, et près de la ligne médiane, on aperçoit l'olive cérébelleuse ou corp
obulus ; 4° Le bouchon ou embolus. Le noyau du toit est accolé à la ligne médiane; le corps dentelé appartient à l'hémisphè
enfoncé dans l'eau que celui du côté sain. La nage est impossible en ligne droite : l'animai dévie constamment vers le côté
........................ 4 — — postéro-inférieurs, rapprochés de la ligne médiane...... 3 — central hémisphérique........
an, enfin la trépanation de l'écaillé occipitale, sur le milieu d'une ligne tirée entre le sommet de l'apophyse mastoïde et l
montre les proportions normales sur la figure 5. La direction de la ligne temporale ou crête sus-mastoïdienne est très vari
r les figures 2 et [\, et devient oblique à 45° sur la figure i. La ligne pointillée indique le plancher de la fosse cérébr
essous (figures i et 4), soit au-dessus (figures 2, 3 et 6); ces deux lignes coïncident sur la figure 5. PHOTOTYPIE PEUSER
te. La capsule labyrinthique, compacte et lisse, détache nettement sa ligne sur ce fond spongieux. Figure 3. — C'est un agr
présinusale a été conservée. Elle est limitée extérieurement par une ligne oblique en bas et en dedans, qui indique le bord
it bombe sous la dure-mère intacte. Celle-ci se montre aplatie sur la ligne médiane, au niveau du vermis inférieur. Le sinus
as par Je bord inféro-externe de l'hémisphère et, en arrière, par une ligne fictive (pointillée), reliant l'incisure préoccip
t troisième circonvolutions temporales. On trouve, en arrière de la ligne pointillée, la face externe du lobe occipital ave
lobes postérieur-supérieur et postérieur-inférieur du cervelet. Une ligne verticale, élevée sur l'axe du méat auditif exter
uditif externe, passe par le milieu du lobe temporo-sphénoïdal. Une ligne verticale, tracée sur le milieu de l'apophyse mas
le milieu de l'apophyse mastoïde, coupe le centre de Wernicke. Une ligne verticale, passant par l'astérion, coïncide à peu
inte de blesser le sinus ni d'ouvrir la fosse cérébrale moyenne. La ligne horizontale, passant par le rebord triangulaire d
u grand diamètre transversal, tout contre le sinus sigmoïde. Sur la ligne médiane, entre le bulbe et le vermis, on voit le
5 (1844) Traité complet de l'anatomie, de la physiologie et de la pathologie du système nerveux cérébro-spinal. Première partie. Anatomie
s quadrijumeaux et la glande pinéale. Le cervelet a été divisé sur la ligne médiane ; son hémisphère gauche a été excisé, et
e du même tronçon pédonculaire. B, valvule de Vieussens fendue sur la ligne médiane. U, coupe du pédoncule céré-belleux. A, F
ce de ce plancher traversée par des tractus nerveux allant jusqu'à la ligne médiane. A F, relief longitudinal du faisceau moy
ef longitudinal du faisceau moyen de la moelle allongée le long de la ligne médiane de ce plancher ventricu-laire. On voit en
es; le sommet de ces pyramides se continue à droite et à gauche de la ligne médiane en un petit faisceau distinct qu'on peut
qu'on peut suivre jusque dans la région lombaire de la moelle. ZZZZ, lignes d'origine des racines postérieures des nerfs spin
lombaire on voit se prolonger deux petits faisceaux conjugués sur la ligne médiane. Ces petits faisceaux font partie de l'ax
les suivantes jusqu'à celle du n° 15 inclu-sivement), on voit sur la ligne médiane un point noir qui représente la lu-mière
trijumeau. FIGURE 4e. Cette figure représente l'écartement sur la ligne médiane en arrière des deux moitiés congénères de
culés. DD, tubercules quadrijumeaux. S, glande pinéale divisée sur la ligne médiane. J, aqueduc de Sylvius ouvert sur la lign
ale divisée sur la ligne médiane. J, aqueduc de Sylvius ouvert sur la ligne médiane.NN, Région fasciculée du pédoncule. UU' U
onverger vers le sommet de la pyramide se rendent successivement à la ligne médiane pour s'en-trecroiser avec leur congénères
ramide au con-tact de la protubérance. FIGURE 2e. Division sur la ligne médiane de la moelle allongée. E E', piliers anté
ecroisement de la région fasciculée, de l'autre côté se portent de la ligne médiane en dehors et en arrière dans le faisceau
elques faisceaux de la région fasciculée qui s'entrecroisaient sur la ligne médiane, d d', convexité ex-terne de la région fa
2. Dans cette figure le cervelet a été divisé verticalement sur la ligne médiane. On voit l'arbre de vie des éminences ver
l de la moelle épinière. FIGURE 3. Le cervelet a été coupé sur la ligne médiane comme dans la figure 2, puis renversé en
restiforme, toutes les fibres qui l'enveloppent se rapprochent de la ligne médiane après l'avoir, dépassé, et forment les pa
e de la lame grise. Cette lame grise est formée par la réunion sur la ligne mé-diane des racines grises des nerfs optiques de
b, sa région temporale. B', son crochet. D D', principe de la grande ligne circonvolutionnaire de second ordre. C E E', prin
'', triangle orbitaire. Dans ce triangle, du côté droit, l'on voit la ligne circonvolutionnaire n° 2, g, naître du bord inter
2, g, naître du bord interne de ce triangle ; du côté gauche la même ligne 2, g, naît du bord externe n° t, nerf olfactif. F
eux figures destinées à montrer la disposition d'un certain nombre de lignes circonvolutionnaires et celle de quelques parties
intrinsèques du cerveau. FIGURE l'e. Cette figure montre les deux lignes circonvolutionnaires du second or-dre décrivant l
re de l'hémisphère, voy. en D F A le premier fragment de cette grande ligne . De l'extrémité antérieure de l'hémisphère elle d
D' D' D'. B, ce grand arc de cercle, second fragment de cette grande ligne circonvolutionnaire. De l'extrémité postérieure d
r pres-que droit de cette scissure. De là le second fragment de cette ligne cir-convolutionnaire se porte à l'angle postérieu
re incomplète. S, tra-verse pariétale postérieure incomplète, ff' {", ligne circonvolutionnaire simple du côté de la scissure
ion de deuxième ordre, par sa branche f" la traverse surcilière. g g, ligne d'union de la traverse occipitale à la grande cir
misphère cérébral du côté gauche. Le corps calleux a été coupé sur la ligne médiane. J C/ surface de cette coupe. R, cloiso
s optiques. On voit dans le centre de celte figure, en arrière sur la ligne médiane en C, le bourrelet postérieur du corps ca
rigine sur la partie adhérente de la circonvolution de l'ourlet d'une ligne de qua-trième ordre placée dans l'aire du triangl
re en dedans de l'an-fractuosité de l'olfactif ; du côté gauche celte ligne n°2, E, n'est pas aussi simple que la ligne corre
if ; du côté gauche celte ligne n°2, E, n'est pas aussi simple que la ligne correspondante, 2 f, du côté droit. On voit de ce
en C, de la circonvolution d'enceinte de la scissure de Sylvius, une ligne circonvolutionnaire, C e, qui n'existe pas de l'a
. Toutes les circonvolutions de la convexité de l'hémisphère sont des lignes allant de la circonvolu-tion d'enceinte de la sci
Sylvius à la grande circonvolution d'en-ceinte de l'hémisphère. Ces lignes d'union de la seconde avec la première circonvolu
e leur connexion avec les deux circonvolutions de deuxième ordre, les lignes circonvolutionnaires de quatrième ordre s'anastom
de Sylvius à l'extrémité postérieure de l'hémisphère. Outre ces trois lignes principales de circonvolutions de quatrième ordre
verse pariétale antérieure KK K, se détache en avant et en dehors une ligne , L'Sfl", qui s'anastomose en l" avec la traverse
une traverse parié-tale postérieure. En 0 0 0 se trouvent quelques lignes circonvolutionnaires très-cour-tes qui réunissent
nt des circonvolutions de cet hémisphère est pauvre ; la plu-part des lignes circonvolutionnaires qu'il présente sont épaisses
eur l'une de l'au-tre, et la plus interne du faisceau moyen. Sur la ligne médiane à la hauteur d'Y, on voit la lumière de l
e cerveau de nouveau-né. FIGURE \™. i, corps calleux coupé sur la ligne médiane. K , chiasma. K7, tuber cinereum. M, émin
des parties déjà connues de cette figure ne sera pas donnée ici. M, ligne médiane du corps calleux, en dehors de laquelle o
différentes régions du cerveau. Le corps calleux a été coupé sur la ligne médiane ; c'est la moitié gau-che de l'encéphale
6 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
e dans un bureau. En 1884, il fait ses 28 jours dans un régiment de ligne et éprouve les mêmes phénomènes, plus accentués
rande, et lorsque cesse l'excitation, le muscle reprend aussitôt sa ligne de repos. Dans la minute suivante, après un rep
ale entière se déplaçait. Si par conséquent, dans les limites de la ligne A C, nous introduisons au point F le fil de fer
d un petit tronçon de la moelle épinière, on l'incise le long de la ligne médiane et l'on écarte chaque côté de la dure-m
houppe du men- ton est tirée à gauche (Pl. III, IV), et dépasse la ligne médiane. Le muscle élévateur gauche du menton é
sans aucune apparition de spasme myotonique. Sur la même figure la ligne supérieure, B, représente le tracé recueilli su
ère minute de l'ex- ploration, montre bien, par comparaison avec la ligne A, la différence qui existe entre la réaction é
e, qui se décontracte lentement et met 9 secondes pour revenir à la ligne de repos. A ce moment ÉTUDE DE L'EXCITABILITÉ É
apide- ment, elle est presque totale après la ae excitation (f). La ligne supé- rieure, B, représente à titre de comparai
rtent les muscles dans le cas d'excitations réitérées. Entre chaque ligne il s'est écoulé un intervalle de repos de 2 à C
ments volontaire*, font bien ressortir ces analogies. Ainsi la l''e ligne A de la ligure 9 représente l'inscription de cont
ons, mais encore par le niveau occupé par la courbe au-dessus de la ligne de repos du muscle. A mesure que les con- tract
'étendue et le muscle finit par atteindre à chaque décontraction sa ligne de repos. Des résultats à peu près semblables s
tion totale dure donc 34 secondes. - Lorsque le muscle a atteint sa ligne de repos nous 'provoquons une deuxième excitati
décontraction se fait très lentement jusqu'à ce qu'il ar- rive à sa ligne de repos ((3 à 2°). La déconlraction totale a mis
il se décontracte lell- tement et il met 35 secondes à regagner sa ligne de repos. Il en est de môme après l'excitation
ns différentes du droit antérieur de la cuisse gauche. Entre chaque ligne il s'est écoulé un temps de repos de 2 à 3 minute
d'ailleurs, la succession des lettres capitales qui désignent chaque ligne ). Le courant induit était celui de la bobine à
courant induit était celui de la bobine à gros fil. Sur une première ligne , que nous n'avons pas reproduite ici, la bobine
0 centimètres el il n'y avait aucune excitation du muscle; pour les lignes suivantes la distance de la bobine était, comme i
ment dans une deuxième. Pour les dernières excitations de chaque ligne , répétées à quelques secondes d'intervalle, et
us verrons celle dernière influence des plus nettes sur la dernière ligne du tracé suivant (C. fig. 14). Ce tracé, fig. 14,
quement avec un plus grand éloignement du chariot (10 CI11. pour la ligne A, et ! ) cm. pour les lignes B el C). Celte exci
éloignement du chariot (10 CI11. pour la ligne A, et ! ) cm. pour les lignes B el C). Celte excitabilité plus grande pour la b
sur ce tracé comme sur beaucoup d'antres (1). - Les deux premières lignes de celle figure ont été inscrites dans les mêmes
rée de celle décontraction pour les premières excitations de chaque ligne , enpar- liculier pour celle de la ligne H, où c
ières excitations de chaque ligne, enpar- liculier pour celle de la ligne H, où celte durée atteint 4S secondes (f à 11).
teint 4S secondes (f à 11). Les deux dernières excitations de celle ligne , répétées aussitôt l'une après l'autre, montren
le à l'étal de repos, après la der- nière. excitation. La troisième ligne . C, a élé prise dans des conditions semblables
'é- puisent que lentement le trouble myotonique du muscle; ainsi la ligne C inscrite après un repos de deux minutes seule
epos de deux minutes seulement, il la suite des excita- lions de la ligne B, nous montre à un point 1res développé la produ
une minute, excepté plusieurs des dernières ex- citations de chaque ligne laites peudantie môme 10111' (111 cylinttl'e Ù in
excitations répétées Ù courts intervalles (dernières excitations des lignes B et C), ou après des excitations prolongées pe
prolongées pendant un temps plus long (der- uiére excitation cle la ligne E). Nous n'insisterons pas sur ces phénomènes a
e le style inscripteur qui s'élève presque perpendiculairement à la ligne de repos du muscle, w- G a Il z 1 I
près, le style s'abaisse de nouveau sans toutefois atteindre ici la ligne de repos du muscle, puis il remonte graduellement
le un abaissement de la courbe qui descend souvent au-dessous de la ligne de repos du muscle. Ces sillons el par suite le
condaire du muscle sont encore des plus nets sur les deux premières lignes , A et B de la figure 1(i qui repré- sentent d'a
n constate le même phénomène, comme le montre la figure 16. Pour la ligne C le nombre des interruptions était seulement de
t semblables à ceux que nous avons étudiés précédemment. De même la ligne D, pour laquelle les interruptions sont encore
quentes, mais nous croyons inutile de les reproduire ici. Les trois lignes , D, E, F, de la figure 16 ont surtout pour but
e de durée et que le muscle revient de plus en plus rapidement à sa ligne de repos, dès que cesse l'excitation. On peut c
e produit avec des interruptions peu fréquentes (4 1/2 par seconde, ligne D), assez peu fréquentes (8 par seconde, ligne
(4 1/2 par seconde, ligne D), assez peu fréquentes (8 par seconde, ligne E) et très fréquentes z25 par seconde, ligne F)
uentes (8 par seconde, ligne E) et très fréquentes z25 par seconde, ligne F). En résumé on voit que, dans la maladie de T
(notamment sur les tracés de la figure 15 et sur les deux premières lignes de la figure 16, etc.), au moment où cesse l'ex
nstater sur les tracés des figures 13, 14, 15, dans lesquels chaque ligne d'inscription a été prise après un repos de 2 o
se produisent les mouvements ondulatoires. Pour les deux premières lignes A et B, qui représentent le début de l'expérience
une partie précédente de cette étude. La première excitation cle la ligne A est prolongée pendant six secondes, elle mont
e d'instruc- tion militaire, dite des 28 jours, dans un régiment de ligne qui ma- noeuvrait près de Laon. Du 1er au 10 du
ueur des deux membres inférieurs ; les talons sont bien sur la même ligne et la distance qui s'étend de l'épine iliaque a
avec les fémurs sont profondément modifiés. Sur un homme normal, la ligne sus-trochantériennedontje viens de déter- miner
arrière au sommet du sacrum (fig.19 et fig. 30). Sur le malade, la ligne sus-trochalltéricnne rencontre les épines iliaque
En ar- rière le sacrum est également descendu environ d'autant. La ligne sus- trochantérienne, qui doit passer par son s
ndroit où les téguments s'enfoncent sous la pression du doigt. La ligne horizontale menée par ce point de repère peut s'a
pine iliaque antérieure et supérieure, au-dessus de la clavicule en ligne directe ou à la fourchette sternale en directio
il n'en est, plus de même si nous re- cherchons les rapports de la ligne épitrochantérienne. Vous savez que cette ligne,
s les rapports de la ligne épitrochantérienne. Vous savez que cette ligne , chez l'homme normal, répond en avant au milieu d
ser est situé à environ 5 centimètres au-dessous. En arrière, cette ligne qui devrait aboutir au sommet du sacrum, rencon
cervicale et la portion < supérieure de la colonne lombaire. Une ligne tirée de la 7" apophyse. épineuse \ cervicale i
perpendiculaire abaissée du point culminant de la courbure sur cette ligne mesure 8 centimètres. La partie supérieure du r
t suivant une v 11 154 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ligne verticale que condiment les apophyses des 5 premi
à trois centimètres de la crête iliaque, à quatre centimètres de la ligne médiane ». Eu ce point aucune modification obje
oir à travers l'abdo- men, à un centimètre environ au-dessous d'une ligne réunissant les deux épi- nes iliaques antéro-su
mbonpoint. On sent néanmoins ;i environ 1 centimètre au-dessous d'une ligne unissant les épines iliaques antéro-supérieures
n muscle normal. Il en est de même pour les trois excitations de la ligne suivante, inscrite après un re- pos d'une minut
et complètement à son état de repos, R, surtout en B' el li". A la ligne C la force du courant esl augmentée, la bobine,
e que de8 centimètres, au lieu de 9 centimètres comme pour les deux lignes précédentes, l'excitation du muscle est prolong
en tétanos incomplet, et déjà apparaissent des ondulations dans la ligne du tétanos. Au moment où cesse l'excitation, f,
déjà signalée précédemment, Voy. section B), puis il ne regagne sa ligne de repos qu'après une demi-minute, et pendant tou
ent les sinuosités de la courbe cle la décontraclion lente. Pour la ligne D la première excitation, faite après un interv
LA SALPÊTRIÈRE. convexité de la courbe, puis lorsqu'il a atteint la ligne de repos en d, il continue à être agité de faib
contraction lente. C'est seulement après 22 secondes qu'il regagne sa ligne de repos en d'. En continuant l'expérience, l
ine induite était écartée de 10 centimètres pour les deux premières lignes , et de 11 centimètres pour la troisième, mais c
nt, excite davantage la conlractilité des muscles. Pour la première ligne l'excitation a été prolongée pendant 49 seconde
muscle se contracte for- tement comme le montre l'élév ation de la ligne d'inscription, puis le spasme myotonique se pro
e minute, ce n'est qu'à ce moment, en W, que le muscle a regagné sa ligne de repos, Il. (En raison du format de la Nouvel
écontraction lente et des mouvements ondulatoires.) Pour la seconde ligne , B, au lieu de prolonger l'excitation pendant 3/4
ire, puis le muscle se décontracte assez ra- pidement et atteint sa ligne de repos en p, mais aussitôt commencent de nouv
ÉTUDE DE L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. 173 de nouveau sa ligne de repos, et pendant une dizaine dé secondes, on
de décontraction lente et de mouvements ondulatoires. -La troisième ligne , C, du tracé, se comporte presque identiquement
dant le second tour du cylindre en «qu'il regagne définitivement sa ligne de repos. Le tracé suivant, figure 19, montre c
ondulatoires à un haut degré de développement. Les trois premières lignes représentent l'ins- cription recueillie sur le
ros fil écartée de 8 et de 7 centimètres. Pour les deux pre- mières lignes l'excitation est prolongée de 45 à 50 secondes. O
es, montre également ces mouvements ondula- toires très développés, lignes D etE, figure 19. Les mouvements ondulatoires s
tion, régulière maintenant et sans trem- blement, à N. La troisième ligne , C, représente des tracés de décon- tractions l
ement analogue à celui des tracés précédents. (Sur cette ligure les lignes a', b', c', représentent la suite de l'inscriptio
des alternatives de gonflement et de relâchement et n'at- teint sa ligne de repos qu'après une vingtaine de secondes. A ce
muscle et décontraction lente pendant près d'une minute. Les deux lignes suivantes représentent les tracés myographiques d
e avec un courant plus fort. Ils montrent à la première excitation ( ligne D, figure 21), prolongée pendant 39 secondes, l
il se faire régulièrement jusqu'à ce que le muscle ai t atteint sa ligne de repos, en w, plus d'une minute après la fin
de repos, en w, plus d'une minute après la fin de l'excitation. -La ligne suivante E montre comment les muscles se compor
tations courtes, de quelques secondes seulement. En comparant cette ligne à la ligne C de la figure 16 on se rendra compte
rtes, de quelques secondes seulement. En comparant cette ligne à la ligne C de la figure 16 on se rendra compte de la diffé
ations extrêmement variées, des déviations de côté et d'autre de la ligne droite. La parole est défectueuse dans l'athéto
sée, les jambages des lettres sont sinueux, formés par une série de lignes brisées. La démarche avec propulsion ne ressemb
la 3e vertè- bre dorsale est très notablement déviée à gauche de la ligne médiane ; l'épine de la 4e vertèbre dorsale se
ou 9° dorsale environ. Celte déformation porte exclusivement sur la ligne épineuse ; c'est à peine si, au regard de chaqu
restent accolés l'un à l'autre, les cuisses et le tronc forment une ligne oblique dirigée en arrière jusqu'au niveau de l
t en général plus accusés pour les premières contractions de chaque ligne , mais se retrouvent aussi aux contractions suivan
ousse initiale, surtout pour les premières contrac- tions de chaque ligne , une dépression profonde, comme l'indique sur les
autre malade de la clinique (homme hystérique). Les deux premières lignes représentent les secousses produites par la fer
e, à l'état normal, des contractions toniques et durables. Ainsi la ligne 3 de la figure 27 repré- sente des secousses pr
même courant de 26 milliampères, ne sont pas brèves comme pour les lignes précédentes (1° et 2°), mais au contraire la con-
très appréciable et il se produit à PO de petites contractions. La ligne suivante, 4°, avec un courant plus faible, de 2
ons des muscles normaux devien- nent tétaniques. Enfin dans la De ligne de la figure 27, nous avons reproduit les tracés
entes, paresseuses et toniques, sur- tout au début de l'expérience, ligne 1°. Plus tard, lignes 3° et 'il', elles sont pl
toniques, sur- tout au début de l'expérience, ligne 1°. Plus tard, lignes 3° et 'il', elles sont plus brèves, mais resten
s sont également toniques. A NO avec un courant de 20 milliampères, ligne 2°, il y a une petite secousse, mais elle est b
l'influence de la répétition des secousses, principalement pour la ligne 2e ; les dernières secousses de cette ligne, en
principalement pour la ligne 2e ; les dernières secousses de cette ligne , en effet, deviennent beaucoup plus brèves el s
duit pas de secousse et le muscle se décontracté lentement. Pour la ligne suivante, 2°, où le courant avait la même intensi
, où le courant avait la même intensité de 25 milliam- pères, et la ligne 4°, où l'intensité du courant était plus faible,
courants d'une même intensité. Ce n'est que pour les deux dernières lignes , G° et 7°, où le courant est seulement d'une in
scle, moins prononcé toutefois pour les dernières excitations de la ligne 1°. Les con- tractions toniques d'ouverture per
niques d'ouverture persistent également pour toute cette pre- mière ligne , bien que vers la fin elles diminuent d'étendue,
courbe des secousses. On voit qu'il se trouve bien au-dessus de la ligne de repos du muscle, surtout au com- 236 NOUVELL
s'abaisse ensuite graduellement pour se rapprocher, à la fin, de la ligne de repos du muscle. Ceci indique que le muscle,
les excitations se répètent. Dans la seconde partie de la figure, ligne 5, nous voyons pour le pôle négatif des effets
avec le pôle négatif. Nous devons faire remarquer toutefois que la ligne 5, représentant les se- cousses du pôle négatif
du pôle négatif, n'est comparable que dans une certaine mesure à la ligne 1, relative aux secousses du pôle positif. Non se
articularités que la figure 31 nous permet encore de constater. Les lignes 2, 3 et 4, représentant des secousses produites a
mparables, par suite des conditions où ces tracés ont été pris, aux lignes 6 el 7 représentant des secousses produites au
n produisant de 3 à 4 fermetures du cou- rant par minute. Entre les lignes 8 et 9, il s'est écoulé un intervalle de re- po
de 17 à 20 milliampères. (Sur cette figure nous avons supprimé les lignes 4, 5, 6 et 7, identiques aux lignes 3 et 8.) No
figure nous avons supprimé les lignes 4, 5, 6 et 7, identiques aux lignes 3 et 8.) Nous voyons ici qu'au début de l'expér
cés précédents du pôle positif. Ici. encore nous avons supprimé les lignes , 4, 6 et 8 qui ne présentaient pas de différences
6 et 8 qui ne présentaient pas de différences appréciables avec les lignes les précédant immédiatement. Entre les lignes 10
appréciables avec les lignes les précédant immédiatement. Entre les lignes 10 el Il il s'est écoulé aussi un intervalle de
négal1f : 10 à 1C. XX éléments, 15 milliam- pères ; pour les autres lignes comme il est indiqué sur le tracé. (Réduit au i/3
n Père. - Pour plusieurs raisons nous nous. sommes départi de notre ligne de con- duite habituelle de ne reproduire que d
athétosiques de tous les doigts pendant une demi-minute environ. La ligne épineuse des ver- tèbres fait saillie sous la p
ue nous présente ce canon consiste dans la « hauteur prise du sol à ligne articulaire du genou (limite du tibia, au-desso
li fessier. Mais supérieurement la délimitation est mauvaise, et la ligne qui touche aux clavicules devrait être reportée
a la figure d'un ovale plus court que celui de l'adulte, et que la ligne horizontale qui divise la tête en deux parties ég
au-dessus du nombril ; à 2 ans, il est au nombril ; à 3 ans, sur la ligne qui joint les hanches ; à 10 ans, sur celle qui
orps se trouve situé au-dessous du nombril, un peu au-dessous de la ligne qui joint les hanches. La grande envergure est
poignet qui existe sur les deux mains raccourcit la mesure prise en ligne droite et mar- quée par de petites croix. Enfin
lées, nous ne saurions mieux faire que de les renvoyer encore à ces lignes de M. le professeur Charcot qu'il faut citer dé
droite du corps, membres, face et tronc, exactement à partir de la ligne médiane, pour toutes les impressions de tact, de
dépres- sion du crâne située sur le pariétal droit, très près de la ligne moyenne de la tête. Cette lésion est la derni
.. Nous passons maintenant aux preuves cliniques qui justifient les lignes précédentes et aux interprétations de l'efficac
7 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
t dans le petit doigt et l'annulaire. Au 5e espace intercostal sur la ligne mamillaire existait d'une façon constante un poin
t héréditairement sur le développement de la criminalité. En première ligne se place l'alcoolisme, puis viennent les césanies
t. « Si on entend, dît-il, par beauté, la pureté, la régularité des lignes , l'harmonie parfaite de toutes les parties, dont
fférence qui les sépare des vrais régicides, je résumerai en quelques lignes l'histoire de l'un d'eux, Mariotti. d'après les d
me parait avoir la tète coupée. Si vous voulez insérer ces quelques lignes dans votre journal, vous ferez peut-être une œuvr
inomanes de plusieurs vices, parmi lesquels il faut citer en première ligne le vol et l'assassinat. Or, il est intéressant de
i-Mire fait constater vagin légèrement gonfle, le col se trouve sur h ligne médiane. il est long de 3 centimètres environ et
les. C'est probablement l'idée qui l'inspirait lorsqu'il écrivait les lignes suivantes : « Depuis que ma méthode de traiter
Sur le sommeil et les états analogues, paru en :û66. il écrivait les lignes suivantes, dans lesquelles sont indiquées déjà to
enclave dans e bas, dans l'excavation. De Caque coté, elle atteint la ligne verticale passant par les épines iliaques antérie
r ces sortes d'industries. Les progrès médicale en reproduisant les lignes qui precedent leur donne pour titre : Hypnotis--m
une baguette de plomb se montrent garnies d'un flamboiement haut de 4 lignes , si d'autres baguettes: en bismuth, en cuivre, en
en cuivre, en zinc, en antimoine, en étain, en argent, donnent 5 à 6 lignes , on voit flamboyer des morceaux de fer, d'acier e
laiton (de 5, 12 et 20 livres de poids}, sur une hauteur de 50 a 120 lignes . Même phénomène au pourtour d'un poêle en fer, au
cylindres de fer. longs de 6 pieds ; la hauteur varie alors de 6 à 24 lignes Elle est de : 48 lignes pour une enclume de for
6 pieds ; la hauteur varie alors de 6 à 24 lignes Elle est de : 48 lignes pour une enclume de forgeron ; • _ ' I épaisseu
quintaux avec les accessoires. Sa gueule, soufflait un effluve de 36 lignes de long; à la pointe de chacune de ses oreilles,
s de long; à la pointe de chacune de ses oreilles, l'effluve avait 27 lignes . fluides J'expérimentai alors des fluides. Je
e profil de sa surface; il se développa une bordure flamboyante de 31 lignes de hauteur. De l'eau, versée de même dans un ré
pient de 10 pouces de profondeur, montra à sa surface une vapeur de 6 lignes d'épaisseur. On plaça ensuite à côté l'un de l'
ux de profil. Le bord du flacon vide ne présentait qu'une frange de 2 lignes de haut; mais dans le flacon plein, l'eau fournis
lle expérience répétée sur de l'acide acétique donna une lohée de 6 lignes de haut, sur de l'alcool — 8 . — sur de l'éther
des sujets très sensibles. Si nous avons tenu à citer, en première ligne , les expériences de M Bottey, c'est qu'elles nous
hypnotisés aux impulsions suggérés, a résumé son opinion en quelques lignes concluantes (1) : - « En tous cas, même quand l
nnée; et aujourd'hui encore, il me serait difficile de retrancher une ligne de ce que j'ai écrit alors. Cependant, j'aurais
dans la direction du parallèle terrestre, donna des effluves de 4 à 6 lignes de longueur à ses deux extrémités. Une poutre en
sapin, de 7 pieds de longueur et de 2 pouces d'équarrissage, donna 9 lignes . Bien mieux, des meubles d'appartement, une table
ple, laissèrent échapper de leurs encoignures des effluves de 12 à 16 lignes ; nn secrétaire à ses deux coins, 12 et 25 lignes
effluves de 12 à 16 lignes ; nn secrétaire à ses deux coins, 12 et 25 lignes . Le faite de ma maison était garni sur toute la l
de ma maison était garni sur toute la longueur d'une émanation do 108 lignes ; la voûte d'une cheminée en pierre, refroidie, 14
tion do 108 lignes; la voûte d'une cheminée en pierre, refroidie, 144 lignes . Tout ce que j'ai pu me procurer: corps simples
in la campagne, laissait voir, à sa surface, un voile flamboyant de 3 lignes de haut. Vieille seulement de quelques heures, ma
elques heures, mais épaisse de 2 pieds, son tapis flamboyant avait 25 lignes de hauteur. Un pied de neige toute fraîche, où to
, où tombaient encore les derniers gros flocons, était couverte de 36 lignes de flammes. C'est un cristal diamantin héxaédri
e 36 lignes de flammes. C'est un cristal diamantin héxaédriqne de 3 lignes de côté, qui offrit, à proportion de sa grandeur,
de cuisine portaient des effluves dont la longueur allait jusqu'à 26 lignes ; grisâtres à leur base et bleuâtres au sommet Ou
es crustaux croisent pointe) Spath gypseux de 6 pouces de long*.. 3 ligne *. 6 lignes. Spath gypseux de 10 — — 3 — 8 — S
x croisent pointe) Spath gypseux de 6 pouces de long*.. 3 ligne*. 6 lignes . Spath gypseux de 10 — — 3 — 8 — Spath gypseu
17 — * 36 - Colonne cristalline de 5 pieds de loue/ 36 — 78 113 lignes . 251 lignes. Ainsi, la longueur des Lohées, pou
- Colonne cristalline de 5 pieds de loue/ 36 — 78 113 lignes. 251 lignes . Ainsi, la longueur des Lohées, pour les crista
de 1 pied de long, se montrèrent flamboyants sur une hauteur de 1 à 2 lignes , avec un minimum au milieu; de ce point, les effl
seur plus grande, était garni sur les arêtes d'un flamboiement de 9 lignes de haut, qui se perdait vers les angles, et, réun
ait la pointe polaire sur les plans latéraux ; le duvet s'élevait à 3 lignes . ORIENTATION En.plaçant dans la direction du
pôles allaient en augmentant. La longueur au pôle positif monta à 40 lignes , au pôle négatif à 84; dans un autre cas, de 56 à
cas, de 56 à 144; dans un troisième cas, elles montèrent à 86 et 165 lignes . Lors même que les cristaux étaient disposés dans
iné avec l'œil gauche, présentait, au pôle positif, une effluve de 15 lignes de hauteur et de 40 lignes au pôle négatif; dans
entait, au pôle positif, une effluve de 15 lignes de hauteur et de 40 lignes au pôle négatif; dans le même temps, l'œil n'indi
es au pôle négatif; dans le même temps, l'œil n'indiquait que 16 a 18 lignes , et, en usant les deuxjeux réunis, on obtenait 36
6 a 18 lignes, et, en usant les deuxjeux réunis, on obtenait 36 et 83 lignes . Les yeux ne se comportent donc pas, vis-à-vis de
irect (le pôle négatif vers le nord}, donna une effluve ardente de 30 lignes de long a son pôle positif, tandis qu'elle n'étai
0 lignes de long a son pôle positif, tandis qu'elle n'était que de 12 lignes ù son pôle négatif. Pour un barreau aimanté de
mêmes condi-tisns, les effluves à l'extrémité négative étaient de 23 lignes , et de 48 à la positive ; renversé bout par bout
sé bout par bout dans le méridien (sens inverse), l'aimant donnait 40 lignes à l'extrémité négative et 18 à la positive. Qua
en sens direct, donnait alors à son extrémité négative échauffée, 48 lignes ; à son extrémité positive, restée libre, 16 ligne
tive échauffée, 48 lignes; à son extrémité positive, restée libre, 16 lignes ; un barreau de 5 pieds, i son extrémité négative
ative échauffée, 50 Agnes; à son extrémité positive restée froide, 18 lignes ; placé en sens inverse, au bout négatif échauffé,
roide, 18 lignes; placé en sens inverse, au bout négatif échauffé, 55 lignes ; au positif, 7 lignes. L'od négatif du feu ajouta
é en sens inverse, au bout négatif échauffé, 55 lignes; au positif, 7 lignes . L'od négatif du feu ajoutait donc en général à l
uest, on obtenait d'un fer à cheval de 4 pouces : du côté négatif, 14 lignes ; du côté positif. 18 lignes d'effluve. — Un aiman
cheval de 4 pouces : du côté négatif, 14 lignes; du côté positif. 18 lignes d'effluve. — Un aimant formé de cinq plaques de m
if du côte* du sud, donna, au pôle négatif, une flamme bleuâtre de 17 lignes ; au pôle positif, une flamme grise de 20 lignes,
flamme bleuâtre de 17 lignes; au pôle positif, une flamme grise de 20 lignes , avec une pointe rouge. De toutes ses arêtes, les
e cinq plaques métalliques, donna : dans le sens direct, au pôle 24 + lignes ; au pôle — 21 lignes dans le parallèle terrestre
ques, donna : dans le sens direct, au pôle 24 + lignes ; au pôle — 21 lignes dans le parallèle terrestre. A l'ouest, an pôle
rect dans le méridien, donna à sa branche positive dirigée au sud, 84 lignes ; à la branche négative, dirigée au nord. 72 (effl
pôle positif restait en-dessus, l'effluve s'y allongeait environ de 3 lignes ; au pôle négatif, qui se trouvait légèrement en c
aux, donna à chacune de ses branches des vapeurs de hauteur égale, 54 lignes , en raison sans doute de l'égalité d'action qu'ex
es, on prit un rouleau de fil de fer de 8 toises de Ion- guenr et 3 lignes d'épaisseur, dans l'état où le livrent les fabric
nsidéra les deux extrémités : l'effluve était aux deux bouts de 4 à 5 lignes . On le déroula alors de toute sa longueur et on s
ative, tournée vers le pôle nord terrestre, il donna une effluve de 8 lignes ; à l'extrémité positive opposée, une de 16 lignes
na une effluve de 8 lignes; à l'extrémité positive opposée, une de 16 lignes . La première était d'une épaisseur inusitée. Le m
n mot, récemment remuée, se montra recouverte d'une effluve de 6 à 12 lignes de haut; cela ne pouvait être mis qu'au compte de
on dans un plan horizontal. II donna : dans la direction du nord, 9 lignes d'effluve. — — à lest, 6 — — — au sud, 17 —
ume, amenée dans le plan du méridien, la pointe vers le sud, donna 60 lignes d'effluve à cette pointe et 36 sur la face oppoaé
tte pointe et 36 sur la face oppoaée au nord; sur la surface polie, 3 lignes de fumée seulement. — Un cylindre de fer forgé de
es bouts appointés, fut plaeé dans le méridien et donna : au sud, 114 lignes ; au nord, 78. La partie supérieure de la surface
ux chantiers en bois, donna, aux quatre angles tournés vers le sud, 6 lignes ; aux quatre angles nord, 4 lignes ; le long des a
uatre angles tournés vers le sud, 6 lignes; aux quatre angles nord, 4 lignes ; le long des arêtes, 3 lignes d'effluves.—Une co
d, 6 lignes; aux quatre angles nord, 4 lignes ; le long des arêtes, 3 lignes d'effluves.—Une colonne en fonte de 9 pieds de lo
lacée dans le méridien sur deux chantiers en bois, donna, au sud, 216 lignes , au nord, 168, c'est-à-dire des effluves de 18 et
lieu à des effluves massives qui, à l'extrémité sud, atteignaient 264 lignes , et au nord 192 lignes, c'est-à-dire 22 et 16 pou
sives qui, à l'extrémité sud, atteignaient 264 lignes, et au nord 192 lignes , c'est-à-dire 22 et 16 pouces de longueur, avec o
é. Il vient el, devant la Cour et le jury, réédite dans ses grandes lignes le plaidoyer qu'il avait déjà infructueusement pr
urdine, on poussait une forte exclamation, donnaient une effluve de 1 ligne de hauteur; mais en frappant rapidement l'une apr
de cordes et en répétant rapidement le mouvement, on obtint plus de 6 lignes sur tout le tableau des cordes. — Une cloche méta
vec un marteau en bois dur, se couvrit sur ses bords de franges de 42 lignes de haut. Le flux du côté du nord, c'est-à-dire do
donna, en hiver, à 8° C au-dessous de zéro, à la pointe négative, 20 lignes ; à sa base positive, 8 lignes. Transporté dans un
ssous de zéro, à la pointe négative, 20 lignes; à sa base positive, 8 lignes . Transporté dans une chambre chauffée à 20°, les
dans une chambre chauffée à 20°, les émanations furent de 25 et 10 lignes de haut. — La colonne cristalline de 5 pieds de h
s une chambre froide à 5° C au-dessous de zéro ; au pôle négatif, 108 lignes ; au pôle positif, 3G lignes. Portée à la températ
au-dessous de zéro ; au pôle négatif, 108 lignes; au pôle positif, 3G lignes . Portée à la température de + 15", elle donna 120
if, 3G lignes. Portée à la température de + 15", elle donna 120 et 50 lignes . — Un barreau de fer cylindrique de 5 pieds 1/2 d
0 lignes. — Un barreau de fer cylindrique de 5 pieds 1/2 de long et 4 lignes d'épaisseur, placé sur deux chantiers en bois dan
chambre d'habitation, à température normale, un effluve simple de 10 lignes à son extrémité sud. Mais quand, avec une lampe d
e n'en possédait pas; en le battant, on fit s'élever une vapeur de 36 lignes de haut, qui tendait de la circonférence au centr
ureuse, donna, pendant l'action chimique, sur tous les rhéophores, t2 lignes d'une Lohée montante; les bords des récipients en
re de l'appareil en étaient garnis et la hauteur en était aussi de 12 lignes . LUMIÈRE. — COULEURS Une pointe de coloration
it plus frappant lorsqu'on amenait la colonne dans la direction de la ligne d'inclinaison magnétique. — Un spath gypseux de 1
tique. — Un spath gypseux de 1 pied de long donna, au pôle négatif, 6 lignes de Lohée d'apparence bleuâtre; au pôle positif, 3
e négatif, 6 lignes de Lohée d'apparence bleuâtre; au pôle positif, 3 lignes gris rougeâtre. Sur ses faces latérales, un duvet
ôle positif. — Une pœonïa arborea, qui venait de fleurir, présenta 24 lignes de Lohée d'un bleu intense inusité. — Le cône int
ermée. Aussitôt, des extrémités restées à l'ombre, s'élevèrent 6 et 7 lignes de Lohée; puis on ouvrit les fenêtres, laissant l
influence directe de la lumière solaire : la Lohée s'éleva alors à 12 lignes snr le bâton de bois et à 15 lignes sur le bâton
ire : la Lohée s'éleva alors à 12 lignes snr le bâton de bois et à 15 lignes sur le bâton de verre. — On prit deux barres de f
ponce 1/2. A l'ombre, les deux extrémités libres donnèrent chacune 3 lignes de Lohée.—Au moyen d'un prisme de verre, on proje
la lumière bleue, le flamboiement du premier barreau se renforça de 8 lignes ; dans la lumière rouge, sor le second barreau, de
força de 8 lignes; dans la lumière rouge, sor le second barreau, de 5 lignes . Ces expériences eurent lieu en janvier, le mat
nse de M. Bernheim, M. Gilles de la Tourelle a cru devoir ajouter les lignes suivantes : « Nous croyons la question doctrina
ans ce compact in-octavo. Je me contenterai d'en indiquer les grandes lignes . Les théories que développe M. Tarde ont trait
il leur fait leur procès en quelques mots. Telles sont les grandes lignes de l'ouvrage de M. Tarde. J'ai peut-être dépassé
sons du cœur fœtal était à gauche en dessous de l'ombilic et sur une ligne allant (Il Lu rédacu'on de ce travail, sauf les
amassaient les parcelles de sucre, on voyait une couche grisâtre de 4 lignes , tandis qu'au-dessus du verre, qui était plein d'
ait plein d'eau jusqu'au bord, formait voûte une Lohée bleuâtre de 18 lignes de haut. Un verre sans pied, empli d'eau, au fond
es, développa, lorsqu'il y eut versé de l'acide muriatrique étendu, 6 lignes de Lohée sur tout son pourtour; une autre fois, p
reux 0) V. IUrue «V rHypnotisme, p. a>|, 233 et 3UU étendu, 12 lignes ; une troisième fois, en versant une proportion pl
une troisième fois, en versant une proportion plus forte d'acide, 36 lignes sur le bord du verre et 72 lignes à l'extrémité d
e proportion plus forte d'acide, 36 lignes sur le bord du verre et 72 lignes à l'extrémité d'une petite baguette de verre qu'o
une petite baguette de verre qu'on y avait plongée; un jour môme, 108 lignes d'une part, et 120 de l'autre. La respiration p
manifesta, extérieurement au tube, une Lohée qui atteignit 9, puis 12 lignes de longueur. Que la combustion, pendant la péri
e à sa partie inférieure, une Lohée vaporeuse s'y développe sur trois lignes de hauteur tqut le long de ses arêtes, pour se ré
es, pour se réunir à celle qui émane de la partie supérieure, avec 18 lignes de hauteur. En couvrant latéralement la flamme d'
nnaît, le récipient de verre se frange incessamment d'une Lohée de 15 lignes de hauteur, qui, sur une baguette de terre plongé
, sur une baguette de terre plongée dans la masse, s'élève à 40 et 42 lignes ; elle est, en bas, un peu brouillée, et plus clai
u celui-ci, fait apparaître aussitôt la Lohée sur une hauteur de 18 lignes . — l'a bâton en bois de 1 pied 1 "2 de longueur,
, laissait s'écouler, à son autre extrémité, un courant lohique de 26 lignes de long. L'n tube de verre long de 2 pieds et sou
tube de verre long de 2 pieds et soumis au môme traitement, donna 38 lignes de Lohée. — Pour opérer le frottement par l'air,
courant d'air. On donna ainsi naissance, à l'extrémité dn tube, à 21 lignes de Lohée, que le courant d'air, malgré sa violenc
ir, malgré sa violence, n'empêchait pas d'observer. De cette Lohée, 3 lignes étaient imputables au tube même, qui les eût four
ent de l'air dans le soufflet et dans le tube augmentaient donc de 18 lignes la hauteur du Lohée. , condessations gazeuses
a germination, étaient couvertes, sur tontes leurs surfaces, de 3 à 6 lignes de Lohée. Des brins d'herbes isolés en donnaient
s, de 3 à 6 lignes de Lohée. Des brins d'herbes isolés en donnaient 9 lignes , et bientôt après, les herbes en pleine croissa
es, et bientôt après, les herbes en pleine croissance donnaient -îO lignes . Un beau champ de luzerne alla jusqu'à 72 lignes.
ssance donnaient -îO lignes. Un beau champ de luzerne alla jusqu'à 72 lignes . Au-dessus du limbe des pétales ou de l'ombelle e
rappes de leurs fleurs, on remarquait : sur des seringas en fieur, 12 lignes de Lohée; sur des rosiers, 18 lignes; sur des cer
: sur des seringas en fieur, 12 lignes de Lohée; sur des rosiers, 18 lignes ; sur des cerisiers à grappes [Pr.Padtts) et sur l
r des cerisiers à grappes [Pr.Padtts) et sur la staphilea pinneta. 20 lignes ; sur la pceonia arborea, 24 lignes; sur des tulip
s) et sur la staphilea pinneta. 20 lignes; sur la pceonia arborea, 24 lignes ; sur des tulipes, 5 lignes; sur des jacinthes, 6
eta. 20 lignes; sur la pceonia arborea, 24 lignes; sur des tulipes, 5 lignes ; sur des jacinthes, 6 lignes; sur une primula sin
a arborea, 24 lignes; sur des tulipes, 5 lignes; sur des jacinthes, 6 lignes ; sur une primula sinensis, 4 lignes. On prit de
s, 5 lignes; sur des jacinthes, 6 lignes; sur une primula sinensis, 4 lignes . On prit des croefus et des jacinthes, que l'on
guilles d'if, à deux rangs, donnèrent des filets ténus de Lohée, de 8 lignes de longueur; le pin unilatéral, à la pointe de se
pin unilatéral, à la pointe de ses nombreuses aiguilles, seulement 2 lignes . VIE ANIMALE Elle donne lieu aux observations
hez les enfants et les malades, on ne l'a souvent trouvé que de 1 à 2 lignes ; chez les adultes, il s'élève de 4 à 6 ; chez les
l s'élève de 4 à 6 ; chez les hommes vigoureux et actifs, à 8, 12, 20 lignes et plus. Mais j'ai cependant rencontré une femme
n portante, mère de onze enfants, dont les doigts donnaient encore 10 lignes . — On pouvait de bien des façons renforcer et aff
us longue aux doigts de ma main droite qu'à ceux de ma main gauche, 5 lignes d'un côté. 1 ligne 1/2 de l'autre; mais, si j'éle
de ma main droite qu'à ceux de ma main gauche, 5 lignes d'un côté. 1 ligne 1/2 de l'autre; mais, si j'élevais les mains, les
devenait la plus courte, et celle de ma main gauche la plus longue, 4 lignes d'une part et 9 de l'autre. Peu importait, dans c
mière du gaz, que ses doigts, garnis, en temps ordinaire, de quelques lignes de Lohée seulement, donnaient alors des effluves
re de i pouce. Livré à lui-même, il ne montrait à son extrémité que 3 lignes de Lohée; il me suffisait de le tenir entre mes b
ffisait de le tenir entre mes bouts de doigts pour lui faire donner G lignes . En le comprimant fortement avec le bout de mes p
tement avec le bout de mes pouces et ceux de mes doigts, il donnait 9 lignes ; si je l'entourais simplement de mes deux mains,
si je l'entourais simplement de mes deux mains, la Lohée montait à 12 lignes , et si je le comprimais entre mes mains, aussi fo
mprimais entre mes mains, aussi fort que je pouvais, elle était de 26 lignes . La Lohée suivait donc le développement de la for
encié des autres. Le gros doigt du pied gauche donna une effluve de 9 lignes , les autres seulement 5 et même 4 lignes. Le so
auche donna une effluve de 9 lignes, les autres seulement 5 et même 4 lignes . Le souffle, dans les jours chauds de l'été, qu
chaque poil blanc isolé émettait à sa pointe un courant ténu de 3 à \ lignes de long. Mes cils eux-mêmes laissèrent apercevoir
ton, 36 et 31 «L'écriture devient de plus en plus ferme; il trace une ligne droite qui ne présento plus le moindre tremblemen
st localisée à une zone du diamètre d'une pièce de 10 centimes sur la ligne médiane, à i travers de doigts do l'appendice xip
8 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques
tervalle qui les sépare est limité en dehors, de chaque côté, par une ligne courbe, concave en OLB^OI Schéma 2. — Face in
C), elles sont paires et symétriques, mais reliées entre elles sur la ligne médiane par des fibres commissurales qui constitu
e. La branche de bifurcation interne, adjacente à sa congénère sur la ligne médiane, se perd, au-dessus et en avant du chiasm
, les tubercules cpiadrijumeaux antérieurs ou supérieurs (QA). Sur la ligne médiane, entre les tubercules quadrijumeaux antér
x supérieurs s'enfonce la fente de Bichat (Bf). Elle s'avance, sur la ligne médiane, au-dessus des tubercules quadrijumeaux a
ient, et il y a presque toujours avantage à diviser le cerveau sur la ligne médiane. D'autre part, il est préférable d'enle
illon bulbo-protubérantiel), est parcourue d'arrière en avant, sur la ligne médiane, par l'artère basilaire. Si l'on relève d
fisants pour permettre de diviser l'encéphale, symétriquement, sur la ligne médiane. Mais d'abord il faut séparer le cerveau
viendrait de sectionner la protubérance au-dessus ou au-dessous de la ligne moyenne. Le cerveau proprement dit une fois sép
s. Pour cela, il suffit de se guider sur les nombreux repères de la ligne médiane : le milieu du chiasma, la tige pituitair
). Si l'on veut être sûr de diviser les hémisphères exactement sur la ligne médiane dans toute la hauteur, il faut se guider
le corps calleux et lui, lorsque la coupe est faite exactement sur la ligne médiane, on voit s'étendre, comme un voile, une c
septum lucidum. Mais lorsque la coupe ne passe pas exactement sur la ligne médiane, le septum lucidum reste en dehors ou en
ercules antérieurs et les deux tubercules postérieurs, divisés sur la ligne médiane par la coupe interhémisphérique, sont réu
che optique (GI1). C'est qu'en effet la glande pinéale, située sur la ligne médiane, se confond latéralement avec le ganglion
issure antérieure est un faisceau transversal, compact, divisé sur la ligne médiane par la section interhémisphérique. Placée
arente est le double feuillet de substance blanche qui réunit, sur la ligne médiane, la face inférieure du corps calleux (ce)
SH, sillon de l'hippocampe (ce sillon n'esl représenté ici que par la ligne sinueuse qui sépare la substance réticulaire (LMA
au trigone, décrit une grande courbe à concavité postérieure. Sur la ligne médiane, la fìmbria du côté gauche est reliée à l
s par un exposant, mais par un indice (chiffre situé au-dessous de la ligne ). On évite ainsi plus facilement la confusion de
frontale ascendante (F), mais au voisinage du sommet du cap (CAP). La ligne verticale qui, sur le schéma, réunit les trois fo
sur la face interne, y compris les portions centrales situées sur la ligne médiane et divisées par la section inter-hémisphé
a série horizontale. Ici les coupes ont été faites parallèlement à la ligne horizontale qui passe à la fois par la commissure
itale du ventricule latéral droit. Le corps calleux (ce) coupé sur la ligne médiane envoie la plupart de ses fibres au centre
deux gros noyaux, proémiiiant dans les cavités ventriculaires sur la ligne médiane; le noyau antérieur est le noyau caudé; l
rizontales, à la partie profonde du tamia; le lamia, en effet, est la ligne de démarcation de la couche optique; et du noyau
QA). Le bourrelet ne se réfléchit pas comme le genou, du moins sur la ligne médiane; la réflexion d'arrière en avant existe e
rière en avant existe en réalité, mais seulement de chaque côté de la ligne médiane, et lorsqu'on peut la reconnaître sur une
rapports un peu plus loin. Le sinus du corps calleux représente la ligne de démarcation qui sépare les parties médullaires
ché de la masse cérébrale, une coupe sagittale a été pratiquée sur la ligne médiane. L'hémisphère se présente alors comme une
iforme (0*), situé au-dessous. Son extrémité antérieure va, en droite ligne , se confondre avec la circonvolution de l'hippoca
e a été séparé de l'hémisphère droit par une section sagittale sur la ligne médiane. Le trait de section a divisé en deux le
nquième circonvolution temporale. Cette circonvolution rejoint sur la ligne médiane le cap du lobe carré (CQ), auquel elle es
obe occipital, n'émet pas ses fibres transversales, directement de la ligne médiane à l'écorce. Les fibres frontales, en maje
tale (GSf) ; puis, d'avant en arrière nous voyons s'étendre en droite ligne la première sous-frontale (GSF) : elle est limité
n limbique (C). La commissure blanche antérieure (CA) coupée sur la ligne médiane est séparée du tubercule de jonctiori par
um lucidum est donc la continuation de la tête du noyau caudé vers la ligne médiane, où elle se confond avec celle du côté op
ond avec celle du côté opposé au devant de la commissure (CA). Sur la ligne médiane, la très mince couche de substance grise
celles qui sont faites transversalement, et perpendiculairement à la ligne horizontale qui réunit la commissure blanche anté
eus était sujette à de grandes variations. Il no faut pas prendre les lignes de repère que nous indiquons ici comme des lieux
idus, les rapports profonds, dans leur ensemble et dans leurs grandes lignes , sont à peu près invariables. afl'cctcr avec ce
occipitale interne {sQ) pour se porter en avant et en dedans vers la ligne médiane. Au-dessous du cuneus nous retrouvons l
du forceps major est nettement limité à sa partie supérieure par une ligne oblique en haut et en dehors, parallèle au fond d
nt un aspect caractéristique : le profil de la section représente une ligne droite, appartenant à l'écorce; et celle-ci envoi
s (14 et 15), lorsque les fibres moyennes se portent en masse vers la ligne médiane, tandis que les fibres inférieures, toujo
sensitif (FS). Il longe ce dernier de haut en bas, sans qu'au cunc ligne de démarcation les sépare nettement. Un grand nom
'élargit de plus en plus, son angle supéro-interne se rapproche de la ligne médiane ; cela tient à ce que le faisceau moyen (
e externe. Il est nettement séparé de la lame festonnée (LFE) par une ligne courbe à convexité interne. C'est qu'en effet ses
sceau moyen du forceps, proéminant dans la cavité sous la forme d'une ligne sinueuse (BCP), marquant la section du bulbe de l
oir sur la surface de section trois plans horizontaux séparés par des lignes de démarcation très arrêtées. Une coupe pratiquée
gures 57 et 42, on distingue au-dessous du corps calleux (ce), sur la ligne médiane, la moitié de la section transversale de
ts. Dans la région supérieure, elle s'incurve de plus en plus vers la ligne médiane, et sa face supé- BRISSAUD. H rieure
. XX, coupe vcrtico-transversale du corps godronné (coupe 42). La ligne de section intéresse le repli ou godron Fd et le
ajet. s, portion sagittale. xy, une coupe vertico-transver-sale. La ligne pointillée indique la direction sagittale, parall
olution frontale, on voit le faisceau (FPF) se confondre, sans aucune ligne de démarcation, avec le faisceau diffus du fornix
corps godronné sur deux saillies successives, ainsi que l'indique la ligne 50 de la ligure schématique 82. On verra plus loi
e sur la planche précédente établit, comme nous venons de le dire, la ligne de séparation de la couche optique et du corps st
des fibres transversales du pont de Varolc (PV) on distingue vers la ligne médiane un tractus foncé (Lem) nettement isolé en
bstance grise du plancher du quatrième ventricule, au voisinage de la ligne médiane. Pcs. Le pédoncule cérébelleux supérieu
t passent au niveau de son entre-croisement avec son congénère sur la ligne médiane. Sur un plan horizontal, on peut se figur
A la face interne, la masse protubérantielle est sectionnée sur la ligne médiane, depuis la commissure postérieure (CP, fi
e planche), au niveau de son entrecroisement. Il forme à gauche de la ligne médiane un demi-cercle régulier, clair au centre,
, 65) est d'une teinte toujours foncée. Il est juste au contact de la ligne médiane; ses fibres sont antéro-postérieures, d
ruban de Reil proprement dit (B). Schéma 96. arrière, suivant la ligne A, paraîtront foncées, tandis que les fibres supé
t, suivant la ligneR, paraîtront claires. Sur la coupe passant par la ligne B, on trouvera encore une partie du faisceau fonc
lan de la coupe, c'est-à-dire en haut et en avant, parallèlement à la ligne médiane, à gauche de laquelle il est situé. Puis
au-dessus de la substance grise de l'aqueduc (SG), franchit ainsi la ligne médiane, aborde le tubercule quadrijumeau postéri
sous-jacent au précédent, remonte, comme ce dernier, à gauche de la ligne médiane, appartenant ainsi à la couche de Reil. P
à concavité interne, en avant et au-dessus du premier, et franchit la ligne médiane en se mettant en contact avec la substanc
Le troisième ruban (LM3) remonte comme les précédents à gauche de la ligne médiane, puis s'infléchit en dehors (Laq3); mais
rium et sus-jacent à l'aqueduc de Sylvius. Il franchit, lui aussi, la ligne médiane en avant des deux rubans précédents, pass
est en contact, en avant, avec un gros faisceau qui se croise sur la ligne médiane avec son congénère et qui n'est autre que
; elle se compose de fibres compactes, situées juste au contact de la ligne médiane ; à aucun moment de leur trajet postéro-a
c à concavité interne; il arrive ainsi au-dessus de l'aqueduc, sur la ligne médiane, où il s'entre - croise avec son congénèr
in). BP. Les fibres du faisceau de la commissure qui ont franchi la ligne médiane représentent donc, pour la couche optique
ceau isolé, dont nous avons déjà parlé, qui est, de chaque côté de la ligne médiane, dirigé directement d'arrière en avant, i
ig. 62, 65), sur toutes les figures de cette planche, présente sur la ligne médiane une épaisseur qui répond à sa hauteur pro
rieur (fig. 69) continue de s'entre-croiser avec son congénère sur la ligne médiane, limité en haut par le faisceau longitudi
oprement dite de la calotte; et de celle-ci on voit se porter vers la ligne médiane les fibres qui vont former la commissure
laqueus ; et comme celui-ci s'entre-croise avec son congénère sur la ligne médiane, au-dessus des tubercules quadrijumeaux,
ssure. La plus grande partie de ses éléments franchissent en effet la ligne médiane obliquement; ils ne sont pas transversaux
olé de fibres blanches transversales, venues de la commissure, sur la ligne médiane, et se portant horizontalement en dehors
ssation. A l'extérieur, la lame latérale correspond exactement à la ligne de jonction imaginaire du pied du pédoncule et du
bénule (GH, fig. 76) forme une convexité qui peut arrriver jusqu'à la ligne médiane, au-dessus de la commissure postérieure (
ts; leur convexité interne est toujours à une certaine distance de la ligne médiane. Substance grise. CAM. La corne d'Amm
isser passer les faisceaux descendus de l'hémisphère (FP), gagnent la ligne médiane, la franchissent et se répartissent de la
t particulièrement derrière le faisceau pyramidal (FP), arrivées à la ligne médiane, s'entre-croisent, elles aussi, dans le r
isceau longitudinal postérieur (FLP, fig. 73), réunit au niveau de la ligne médiane les régions de la calotte de l'un et l'au
ses fibres sont obliques, (;MT, la commissure de. Mey-nert, sur la ligne mcdiane, à la partie la plus interne des deux fai
ure; Tes, pédoncules cérébelleux supérieurs s'entre-croisant sur la ligne médiane, au-dessous de la commissure de Meynert.
eau de la commissure se porte au-dessus de l'aqueduc pour franchir la ligne médiane, le faisceau de la décussation antérieure
in, sur la coupe 78, il réapparaît au moment où il se rapproche de la ligne médiane et se porte en arrière. FM. Le faisceau
peut d'ailleurs remarquer que celles qui sont le plus voisines de la ligne médiane ont la coloration la plus accentuée. FS
oit reprendre une direction antéro-postérieure de chaque côté de la ligne médiane, juste au-dessus des pédoncules cérébraux
moyenne de l'étage supérieur du pédoncule. Il est assez voisin de la ligne médiane, ce qui fait qu'en pratiquant des coupe
itudinal postérieur (FLP, fig. 81), se place presque au contact de la ligne médiane, au-dessus de la commissure de Meynert (P
che superficielle du laqueus, s'cntrecroisantavec sa congénère sur la ligne médiane pour former le bras du tubercule quadriju
queus (Laq*); FCP, faisceau de la commissure, passant au dessus de la ligne médiane, pour former le bras du pulvinar du côté
nom de lamina tegmenti (LTE) ; — Lm, lamina medialis, adjacente à la ligne médiane et poursuivant son chemin de bas en haut,
s libres dans le faisceau du laqueus; mais, à sa teinte foncée sur la ligne médiane, on reconnaît qu'elle poursuit son trajet
i-ci ; en d'autres termes, le locus niger paraît s'étendre jusqu'à la ligne médiane; il n'en est rien : la substance noire de
mering s'arrête précisément à la lamina medialis, qui le sépare de la ligne médiane. FM. Le faisceau de Tiirck-Meynert (fig
urbe à concavité supérieure; son extrémité interne atteint presque la ligne médiane, où il arrive au contact clc la lamina
mêmes rapports en dehors; mais en dedans il ne vient plus jusqu'à la ligne médiane. CL. Le claustrum ou avant-mur (fig. 86
pédoncules cérébelleux supérieurs (Pcs) ; ils s'entre-croisent sur la ligne médiane avant d'aller se jeter, en décrivant une
e de celle-ci, dans la lame médullaire externe (LML), indiquée par la ligne ponctuée. couche optique. Ces fibres forment un
re dans le troisième ventricule que se trouvent, de chaque côté de la ligne médiane, les noyaux de la troisième paire. Mais c
fig. 85, 86) poursuit son chemin d'arrière en avant, au contact de la ligne médiane, insensiblement confondue en dehors avec
rieur, après que celui-ci s'est entrecroisé avec son congénère sur la ligne médiane au niveau de laquelle il a été sectionné
menti (fig. 85) est dirigée en haut et en dehors ; elle s'étend de la ligne médiane à la région inférieure de la couche optiq
ibres de la lamina tegmenti (LTE) viennent en effet directement de la ligne médiane, au-dessous de la partie la plus antérieu
faisceau sensitif externe (FSe) ; FSi, faisceau sensitif interne. La ligne pointillée indique le contour de la couche optiqu
est au contraire franchement arrêtée sur tout son bord supérieur. La ligne sinueuse que décrit la face supérieure du faiscea
ju'un très petit nombre (Pcs, fig. 91), passant de l'autre côté de la ligne médiane. Au moment où toutes les fibres du pédonc
yau rouge; le prolongement interne se rapproche de plus en plus de la ligne médiane et se termine un peu plus en avant (pl. X
sont, dans le plan de la coupe, dirigées en bas et en dedans, vers la ligne médiane, où elles se terminent dans les noyaux de
ale transversalement sous la couche optique, jusqu'au voisinage de la ligne médiane, dont il n'est séparé que par la couronne
lobus medialis le segment interne, celui qui est le plus voisin de la ligne médiane. Les stries du putamen et celles du glo
, le plan de l'équateur du disque forme un angle de 35 degrés avec la ligne horizon-talc Xy. rieur n'est d'ailleurs qu'appr
ique (BSO). Sur la figure 100, ses fibres sont transversales (voy. la ligne 100 du schéma 155); elle a donc ici une coloratio
nouveau foncées sur le plan de section vertico-transversal (voy. les lignes 101 et 102 sur le schéma 155). On voit aussi que
ulaire (AjNL), qui vont se placer à sa partie interne, tout contre la ligne médiane, immédiatement en arrière de l'espace per
mblable que les lames en question envoient, d'un côté à l'autre de la ligne médiane, des fibres commissurales à la partie la
erpédon-culaires G1P. Derrière elles s'avancent, de chaque côté de la ligne médiane, deux petits tractus clairs, perforés d'o
'épuisent dans la substance grise centrale, soit de chaque coté de la ligne médiane, soit, plus en dehors, dans la portion de
ur traversant le noyau de la calotte après s'être entre-croisé sur la ligne médiane avec le pédoncule cérébelleux du côté opp
ppocampe de l'hémisphère opposé. La commissure antérieure franchit la ligne médiane en avant du pilier descendant de la voûte
(10) coupé transversalement sur le schéma 171, s'entre-croise sur la ligne médiane avec un faisceau homonyme du côté opposé
s (GLP), puis sous l'anse du globus medialis (GLM), et va, gagnant la ligne médiane, se confondre avec la substance grise du
rsque, toujours sous-jacent à la commissure antérieure, il atteint la ligne médiane, il la franchit dans la substance grise d
lette optique (lig. 110, 112, 113) se rapproche progressivement de la ligne médiane. FG. Le faisceau géniculé (fig. 111) es
edans et en avant, mais sur un plan à peu près horizontal, jusqu'à la ligne médiane. On remarquera sur les coupes 119, 120,
antérieure du thalamus (ThA), dont elles ne sont séparées par aucune ligne de démarcation. Sur les coupes horizontales (voy.
le se porte de haut en bas et de dehors en dedans (fig. 120), vers la ligne médiane où elle est brusquement sectionnée, entre
issure blanche antérieure (CA, fig. 124, 125, 126) est divisée sur la ligne médiane. Au-dessous de la commissure antérieure,
euses. PUT. Le putamen (fig. 121, 122, 123, 125) se rapproche de la ligne médiane et aussi du noyau caudé (NC, fig. 125). L
est, comme nous Vavons dit, toujours sous-jacent. De là il gagne la ligne médiane au-dessus et en arrière du chiasma (CH).
n dedans, s'amincissant toujours, de façon à ne plus présenter sur la ligne médiane qu'une épaisseur tellement insignifiante
es rayonnantes au-dessous du corps strié (NC), sont indiquées par des lignes ponctuées au-dessous des deux noyaux. Elles conve
, fig. 125 et 124), et, devenant brusquement transversale, atteint la ligne médiane (CA, 124, 125, 126), au-dessus de la lame
e soit visible à la fois (fig. 124) sous le globus pallidus et sur la ligne médiane, puisqu'elle décrit un arc à concavité an
égulière; mais, non moins souvent, elle s'avance de chaque côté de la ligne médiane, au-dessus de l'espace perforé antérieur,
x points de son trajet : d'abord sous le globus pallidus, puis sur la ligne médiane. Tel est le cas (très fréquent d'ailleurs
commissure antérieure (CA), vue de profil. Elle est sectionnée sur la ligne médiane, juste au devant du pilier descendant du
ion de l'hippocampe (Hip) et du lobule de l'hippocampe (IIL). de la ligne médiane, elle s'abaisse vers l'espace perforé (fi
'ailleurs jamais. Tantôt elle s'incline insensiblement à partir de la ligne médiane, tantôt elle plonge brusquement en bas, e
on, et leur terminaison dans la commissure à un demi-centimètre de la ligne médiane nous paraît un fait d'une absolue constan
ère, mais nous doutons que leur nombre soit bien considérable. Sur la ligne médiane, elle n'est déjà pas, chez l'homme du moi
dès son entrée dans ce canal, à quelques millimètres en dehors de la ligne médiane. Le canal de Gratiolct est un canal lymph
fig. 124, 126). BO. La bandelette optique (fig. 121) arrive sur la ligne médiane au chiasma. CH. Chiasma optique (fig. 1
oncule du septum. LÂT. La lame terminale (fig. 127), blanche sur la ligne médiane, foncée en dehors, reçoit dans sa substan
izontale, ou légèrement oblique en haut et en dehors, séparée par une ligne de démarcation bien arrêtée, de la capsule extern
s côtés. Mais sa face supérieure est encore nettement arrêtée par une ligne convexe, au-dessus de laquelle passent, sans s'y
te occupe le milieu de la région protubérantielle, au voisinage de la ligne médiane. 11 est enveloppé par les faisceaux de la
P. Le ganglion interpédonculaire situé, immédiatement en dehors de la ligne médiane, en avant du noyau rouge (NR), reçoit un
e (GAP) qui la dépasse en dedans (fig. 5). En avant, elle franchit la ligne médiane, au-dessus de la lame terminale (LAT) et
fig. 4) est, parmi les' faisceaux de la calotte, le plus voisin de la ligne médiane. Il est coupé perpendiculairement à son a
H). Substance blanche CA. La commissure antérieure, coupée sur la ligne médiane, s'enfonce obliquement sous la substance
ant la plus grande étendue du sillon olfactif interne [soi). Sur la ligne médiane, la moitié droite du chiasma (CH), le tub
ction de telle ou telle coupe. Seules, les coupes qui avoisinent la ligne médiane peuvent être faites sur quelques points d
ventricule latéral. VL. Fibres du pont de Varole se croisant sur la ligne médiane pour s'adjoindre au lemniscus. VM. Vcnl
Wer), (ÏSË)........ 399 Fibres du pont de Varole se croisant sur la ligne médiane pour s'adjoindre au lemniscus..........
9 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857. Déviations de la colonne vertébrale. Atlas de XX planches
entraînée à droite par la courbure dorsale, et elle déborde un peu la ligne médiane du côté gauche. Le thorax est oblique d
troisième dorsale à la douzième, se porte, aux lombes, à gauche de la ligne médiane presque autant qu'il s'en était écarté à
si que la disposition des corps vertébraux et leur croisement avec la ligne des apophyses épineuses. Fig. 5 et 6. — Scolios
res déviées sont portées toutes dans le même sens, ici à gauche de la ligne médiane. Les quatre premières lombaires, les qu
trouve plus de 12 centimètres entre le sommet de cette courbe et une ligne qui passe par les deux extrémités du rachis. Le
x autres, ne s'est pas assez développée pour entraîner à droite de la ligne médiane les vertèbres placées au-dessus et au-des
st pas visible en arrière ; les apophyses épineuses lombaires sont en ligne droite. Les corps vertébraux présentent les déf
s, le milieu de la courbure est deux ou trois fois plus distant de la ligne médiane du rachis. La courbure accessoire supér
côtés de cette courbe sont si rapprochés, que leurs prolongements en ligne droite se rencontreraient sous un angle de 18 deg
a partie postérieure droite du thorax, située très haut et près de la ligne médiane, est courte, comme ramassée et très proém
présente une très légère courbure en retour et se continue ensuite en ligne droite jusqu'au sacrum ; il s'unit à cet os sous
courbure, longue et peu marquée, mais en partie située à gauche de la ligne médiane, de sorte que la colonne lombaire forme,
La colonne lombaire est remarquable par son inclinaison presque en ligne droite; ce n'est qu'inférieurement qu'elle se rec
; leur milieu correspond à la neuvième dorsale. Elles reviennent à la ligne médiane par des incurvations secondaires placées,
des incurvations secondaires placées, comme elles, à droite de cette ligne ; seulement, la colonne lombaire est plus incliné
té le milieu de la courbure principale à plus de 13 centimètres de la ligne médiane. Cette courbure, prise isolément, a, dans
ure supérieure est insuffisante pour ramener le haut du rachis sur la ligne médiane, et le tronc reste fortement incliné à dr
d'une de ces vertèbres à l'autre ligure assez bien la direction de la ligne médiane; il n'y a pas moins de 9 centimètres entr
huitième et neuvième dorsales, se trouve ainsi à 9 centimètres de la ligne médiane. Aussi le corps des vertèbres dorsales mo
d'apparence fibreuse, Les trois dernières lombaires sont presque en ligne droite et légèrement inclinées à gauche sur la ba
convexité gauche, est plus prononcée ; elle est située à gauche de la ligne médiane, et sa corde est à peu près verticale, au
bure générale, formée par toutes les vertèbres placées à droite de la ligne médiane, est à 8 centimètres de cette ligne dans
es placées à droite de la ligne médiane, est à 8 centimètres de cette ligne dans son milieu, qui répond k la huitième dorsale
st très abaissé à droite, quand on replace l'apophyse épineuse sur la ligne médiane. Le corps présente une autre particularit
point le plus saillant en avant se trouve sur le côté, à droite de la ligne médiane. Fig. 8. — Septième dorsale, vue par sa
isième et quatrième lombaires dépend de ce que le rachis revient à la ligne droite après avoir décrit la troisième courbure,
férieurement un pli assez profond. L'œsophage, plus rapproché de la ligne droite, se recourbe pourtant un peu dans le même
ures. Aorte concentrique à la courbure dorsale. OEsophage dirigé en ligne droite, de manière à croiser l'aorte et à représe
aire, incliné en arrière, éloigne encore le sommet de la courbe de la ligne naturelle de direction du rachis. Aussi ne trouve
u rachis. Aussi ne trouve-t-on pas moins de 8 centimètres entre cette ligne et le milieu de la concavité dorsale, répondant à
re principale. Les vertèbres lombaires supérieures, situées sur une ligne presque horizontale, ont entraîné avec elles les
t que l'aorte, avec laquelle elle forme un angle aigu. OEsophage en ligne droite, écarté des vertèbres dorsales vis-à-vis l
es. L'artère iliaque primitive droite, née de l'aorte fort loin de la ligne médiane, est beaucoup plus longue et aussi plus v
n s'éloignant d'elle et de la colonne dorsale pour gagner, presque en ligne droite, l'ouverture du diaphragme qui lui est des
es dorsales. Le milieu de cette courbure était à 67 millimètres de la ligne médiane. Une gibbosité costale étroite, allongée,
s apophyses épineuses les plus déviées n'étaient plus distantes de la ligne médiane que de 27 millimètres. La flexion des côt
a hanche gauche, et le galbe du tronc, dans ce sens, représentait une ligne droite. Au contraire, le flanc droit, profondémen
dorsale moyenne. Le point le plus dévié était à 26 millimètres de la ligne médiane. Les vertèbres dorsales supérieures décri
rnativement dans des directions opposées, ondule d'un seul côté de la ligne médiane. On observait, comme on le voit dans la
e. Le milieu de la courbure dorsale n'était qu'à 12 millimètres de la ligne médiane. Les courbures accessoires étaient très l
courbure dorsale, situé un peu plus bas, était à 25 millimètres de la ligne médiane. La saillie du côté droit du dos était un
milieu de la courbure principale n'est plus qu'à 13 millimètres de la ligne médiane. La saillie du côté droit a diminué ; l'é
10 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
cervelet et le névraxe. Ces organes, disposés de chaque côté de la ligne d'axe, comme deux moitiés com-posées d'éléments m
terminée (2). La première couche se présente sous l'apparence d'une ligne claire. Elle est presque exclusivement formée par
postérieures (forceps posterior). Toutes ces fibres passent sur la ligne médiane, les unes au-dessus des noyaux opto-strié
veau du bourrelet du corps calleux, chaque fascicule se porte vers la ligne médiane, s'étale en une bandelette aplatie, s'a
pois, et sont situés en arrière du corps cendré, de chaque côté de la ligne médiane; ils sont composés de cellules fusiformes
dissociant dans les interstices des fibres ascendantes, croise sur la ligne médiane les fibres du groupe congénère, continue
ndelettes s'infléchissent en dedans, s'entre-croisent au niveau de la ligne médiane, passent dans le côté opposé à celui d'où
a moelle et se prolonge, dans toute son étendue, de chaque côté de la ligne médiane sous la forme de deux colonnes grises à p
a commissure grise de la moelle. Sa partie antérieure renferme sur la ligne d'axe le canal central de la moelle. Ce canal s
du cerveau jusqu'à l'extrémité inférieure de la moelle, en suivant la ligne qui occupe l'axe de la colonne de substance grise
de Deiters) qu'ils séparent en deux parties, s'entre-croisent sur la ligne médiane, se redressent et continuent en avant leu
ment les cornes postérieures en deux parties, s'entre-croisent sur la ligne médiane, s'accolent à la face postérieure des pyr
dons de la moelle, en quatre colonnettes formées de chaque côté de la ligne médiane par la tête des cornes antérieure et post
cavité; la base des cornes an-térieures se place de chaque côté de la ligne médiane, la base des cornes postérieures vient se
de substance grise. La base de la corne antérieure se prolonge sur la ligne médiane; la base de la corne postérieure envoie u
ce. La base de la corne antérieure se prolonge de chaque côté de la ligne médiane sur toute la longueur du plancher du quat
tué sur l'extrémité postérieure du raphé médian, de chaque côté de la ligne médiane. Ces deux noyaux sont adossés l'un à l'au
arrondis delà partie supérieure, elle renferme, de chaque côté de la ligne médiane, un groupe de cellules multipolaires de 3
ieure de l'aqueduc de Sylvius deux intumescences de chaque côté de la ligne médiane ; ce sont les tubercules quadrijumeaux.
es qui vont s'amortir séparément dans leur ganglion, sous la forme de lignes concentriques régulièrement emboîtées les unes da
protubérance, un amas de substance grise forme, de chaque côté de la ligne médiane, dans chaque pédoncule cérébral, un noyau
s. Ils présentent un petit orifice, une sorte de hile, tourné vers la ligne médiane et un peu en haut. Cette substance grise
a moelle. — Les cordons latéraux de la moelle s'entre-croisent sur la ligne médiane, se redressent verticalement et continuen
ostérieurs de la moelle s'inclinent en avant, s'entre-croisent sur la ligne médiane, au-dessus des précédents; s'accolent à l
nd, par sa portion interne, entre les pédoncules cérébraux, côtoie la ligne médiane, gagne le côté opposé, s'entre-croise ave
nne. Le muscle occipital se fixe en bas aux deux tiers externes de la ligne courbe occipitale supérieure; en haut, les fibres
misphères du cerveau. Le bord supérieur convexe est en contact sur la ligne médiane avec la surface concave de la lame vitrée
pédoncules cérébelleux supérieurs après leur entre-croise-ment sur la ligne médiane. En avant et en bas est la substance gris
7). Les fibres commissurantes forment, par leur condensation sur la ligne médiane, le raphé médian (9) et la portion cavita
es vers la région centrale ; les fibres commissurantes passent sur la ligne médiane pour se rendre dans les régions homologue
des lobes latéraux du cervelet. Les fibres médullaires traversent la ligne médiane, mettent ces deux lobes en connexion. Cet
férentes, appartenant aux pédoncules cérébelleux supérieurs. Sur la ligne médiane est l'ouverture du quatrième ventricule,
substance grise. Ces noyaux présentent un hile tourné en haut vers la ligne mé-diane (14). 15. — Faisceau de fibres efféren
es cérébelleux supérieurs, processus cerebelli ad testes (26). Sur la ligne médiane, un groupe de fibres commissurantes met e
des régions antérieures et inférieures se portent en arrière vers la ligne médiane ; les fibres convergentes pénètrent par q
périeurs qui se dirigent en avant et en haut, s'entre-croisent sur la ligne médiane, puis de là se portent vers les noyaux ro
dullaire à l'intérieur de chacun des lobes cérébelleux, réunie sur la ligne médiane par des fibres commissurantes. A l'intéri
s commissurantes du lobule orbitaire se dirigeant en arrière, vers la ligne médiane. 2. — Fibres arciformes dépendant du gr
ont coupées par des fibrilles très fines, qui s'entre-croisent sur la ligne médiane, appartenant à la région antérieure des p
. XXX) occupent le centre ; elles se réunissent Tune à l'autre sur la ligne médiane. En avant est la substance grise de l'esp
pect et le volume d'un pois ; ils sont situés un de chaque côté de la ligne médiane, entre le tuber cinereum et l'espace perf
t dans sa Gavoy. — Encéphale. 15 masse et s'entre-croisent sur la ligne médiane, sous le nom de pédoncules cérébelleux mo
ce grise de la protubérance annulaire ; elles s'entre-croisent sur la ligne médiane, où elles forment un raphé médian. 14.
u corps rhomboïdal ; ces deux centres mé-dullaires sont réunis sur la ligne médiane par un groupe de fibres commissurantes.
cérébrale de Bichat ; leur entre-croisement constitue un raphé sur la ligne médiane (2). 3. — Fibres convergentes des régio
écrivent un trajet curviligne et consti-tuent, parleur passage sur la ligne médiane, le bourrelet du corps calleux. Les fibre
ant et en dedans. Les fibres de ces cordons s'entre-croisent sur la ligne médiane et vont former la portion motrice des pyr
érance et la substance grise qu'elle renferme et s'entrelacent sur la ligne médiane avec leurs homologues issues du lobe du c
portion sensitive des pyramides (25; Pl. XL) s'entre-croisent sur la ligne médiane du bulbe, mais elles ne sont plus en cont
es du corps olivaire traversent sa substance grise pour gagner sur la ligne médiane les fibres homologues du côté opposé. X
ce grise de Sœmmering. La substance grise interpédonculaire occupe la ligne médiane au-dessus de la protubérance. De chaque
des antérieures ou portion motrice, s'cntre-croi-sent plus bas sur la ligne médiane (25, Pl. XLII) et se continuent, du côté
res spinales constituent un faisceau qui descend de chaque côté de la ligne médiane, à travers la protubérance annulaire et l
d'un lobe à l'autre dans les régions homologues et constituent sur la ligne médiane la portion antérieure du corps calleux. L
érieures se portent en dedans, puis se relèvent et convergent vers la ligne médiane (voir PL VII). Les fibres convergentes
dans les régions homologues du lobe du côté opposé, en formant sur la ligne médiane la portion réfléchie ou genou du corps ca
des régions inférieures. Ces faisceaux curvilignes s'adossent sur la ligne médiane où ils forment la portion réfléchie du co
11 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
inférieur des fosses nasales est d'environ vingt-cinq millimètres; en ligne verticale, du fond de la gouttière muqueuse du mé
istouri se trouve amené au devant de la racine du sourcil suivant une ligne qui, de ce point, passe en dehors de l'aile du ne
t une ligne qui, de ce point, passe en dehors de l'aile du nez. Cette ligne , qui indique le trajet ultérieur du conduit lacry
rés ouvert en bas et s'en-trecroiserait sur ce plan avec une pareille ligne du côté opposé, non pas, comme on l'a dit, à ving
la région malaire. En thèse générale, l'angle le moins obtus entre la ligne médiane des deux plaies est le plus favorable; la
e cas les parties sont accolées par une membrane mince qui laisse une ligne interciliaire indiquant le trajet suivant lequel
d'un bistouri droit, à lame étroite, qui achève la section suivant la ligne interci-liaire (pl. 6, fig. 5). L'opération termi
irconférence interne de la capsule, puis sa face anté-rieure par deux lignes obliques, ascendante et descendante, en V ; enfin
par diamètres décrite plus haut, d'autres conseillent la division par lignes verticales entrecoupées par des sections horizont
pière supérieure, la des-censión du cristallin continuant suivant une ligne courbe, cet organe soulève le lambeau cornéal par
huit centimètres de l'ouverture anté-rieure des narines, tombe sur la ligne nasale antéro-postérieure, de manière que cette l
s, tombe sur la ligne nasale antéro-postérieure, de manière que cette ligne forme avec l'axe de la trompe un angle de 135 deg
tés. L'autre se termine en une pointe de forme conique. Jus-qu'à deux lignes de cette pointe, elle est reçue dans une petite c
r un lam-beau triangulaire de chaque côté, pour les rapprocher sur la ligne médiane de manière à former le dos du nez. Proc
t et en bas. Alors une troisième incision verticale, pratiquée sur la ligne moyenne, divise en deux cette portion cutanée méd
externe des fosses nasales, ne commence qu'à treize millimètres (six lignes ) en arrière du rebord osseux de l'o-rifice nasal
u point le plus aminci de la paroi, à treize millimètres environ (six lignes ) au-dessus des deux petites molaires. 4° La paroi
Armé d'un bistouri aigu, ponctionner avec précaution au milieu de la ligne qui correspond au trajet de la fente naturelle de
ile que cette incision, en ayant soin de reconnaître préalablement la ligne de jonction des deux lèvres. 20 Coarctation. Da
couper du premier coup ; mais alors on risque de dépasser la première ligne . L'essentiel est de bien combiner tout d'abord la
pointe d'une première aiguille sur la peau, à six millimètres (trois lignes ) en dehors de la plaie et un millimètre (une demi
cédemment en leur faisant traverser les trois fragmens à la fois. Les lignes de réunion prennent a lois une forme différente
était très large à sa base, et les scissures très latérales, les deux lignes de réunion ou convergent en haut vers les narines
ord labial dont il peut ou non former le tubercule moyen, et les deux lignes prennent la forme d'un V (fig. 4); ou ce tubercul
'occupe qu'une portion de la hauteur de la lèvre et souvent donne aux lignes de réunion la forme d'un Y. IÎEC-IE-LlÈVIlE COM
nce en tendant la lèvre inférieure pour reformer la bouche. Les trois lignes de réunion mentonnières et la perte de sub-stance
ener par traction ces deux lam-beaux l'un au-devant de l'autre sur la ligne médiane, les réunir par un premier point de sutur
suture entortillée, et successivement fixer les deux lambeaux sur la ligne médiane jusqu'en bas par autant de points de sutu
ian et triangulaire latéral étant affrontés au contact, restent trois lignes de réunion, une oblique génienne et deux vertical
u'il ne s'agit plus que de fixer par des sutures en commençant par la ligne génienne, puis la ligne verticale externe, l'inte
de fixer par des sutures en commençant par la ligne génienne, puis la ligne verticale externe, l'interne où les parties ont é
ner le bord de la lèvre vers la commissure pour n'avoir qu'une double ligne de réunion à angle obtus dont le sommet est réuni
eur du lambeau horizontal. Enfin on termine, sur le trajet des quatre lignes de réunion, par autant de sutures simples qu'il c
on, dans un cas où les mâchoires pou-vaient à peine s'écarter de deux lignes , eut recours à l'emploi de morceaux de liège coni
en dedans, sort de la glande parotide à peu près sur le niveau de la ligne • Voyez tome vi, Anatomie cliirurt/icale, régio
ion naturelle, il importe d'avoir toujours présentes à la mémoire les lignes qu'ils occupent, sauf les quelques milli-mètres d
ffecte jamais une configuration si régulière, qu'il se limite sur une ligne horizontale, et, au con-traire, forme toujours, e
ale. Procédé de M. Mirault d'Angers. Pratiquer préalablement sur la ligne médiane une incision étendue de deux centimètres
urbe, garnie d'un fil qui vient traverser la base de la langue sur la ligne médiane, faire sortir l'aiguille par la bouche, e
s'étendait des angles maxillaires et des régions parotidiennes, à la ligne sterno-claviculaire, et des trois lobes qui la co
ures partielles. Il suffit de la traverser longitudinalement sur deux lignes pa-rallèles, chaque fois avec un double fd, pour
muscles sterno-hyoïdiens et sterno-thyroïdiens, tantôt accolés sur la ligne médiane, tantôt séparés par un intervalle cellule
onvexe, tenu de la main droite en première position, pratiquer sur la ligne médiane une incision étendue de-puis le cartilage
er, M. Fouilhoux a conseillé de couper le cartilage sur le côté de la ligne médiane; mais cette modification n'empêchant pas
thyroïde. Le bistouri, plus facile à gouverner avec précision sur la ligne médiane , est préférable. L'instrument étant cond
t décimètres (environ 2 pieds et demi), et d'un centimètre et demi (6 lignes ) de diamètre, dite sonde œsophagienne, seule ou g
tre, de manière à enlever graduellement la tumeur, du contour vers la ligne du grand axe postérieur, le précepte d'isoler d'a
dans une longueur de trois à quatre centimètres (un pouce à dix-huit lignes ), parallèlement à la di-rection de l'espace inter
de couteau , brisée près de sa pointe, ne pénétrait cpie de quelques lignes en dedans, Gérard, introduisant par l'espace inte
autrement. Dans la zone sous-ombilicale, on a encore à éviter, sur la ligne médiane et en bas, la vessie ; à gauche , l'S ili
giens fran-çais, depuis Sabatier, adoptent en général le milieu d'une ligne tracée de l'épine iliaque antérieure et supérieur
. La crainte de la lésion de l'artère épigastrique fait préférer la ligne blanche par la plupart des chirurgiens anglais; c
vent qu'il existe quelquefois anormalement, suivant la direction delà ligne blanche, une grosse veine sous-péritonéale , qui
de la tige, à une distance de la pointe, qui n'excède que de quelques lignes l'épaisseur présumée des parois abdominales. 11 p
de pratiquer l'opération sur le lieu d'élection, c'est-à-dire sur la ligne blanche où l'on ne trouve sur le trajet de l'inst
eux centi-mètres au-dessous de l'appendice xiphoïde , abaisser sur la ligne médiane, dans une longueur de 8 à 9 centimètres,
r couche, d'un angle à l'autre de la division, dans l'épaisseur de la ligne blanche jusqu'au voisinage du péritoine. Dès qu'o
umineux, qu'il convient d'ouvrir ce viscère, c'est-à-dire sui-vant la ligne longitudinale intermédiaire de la grande à la pet
soin de ne pas porter la torsion jusqu'au point de rendre sinueuse la ligne longitudinale de la plaie. Le faisceau de fils es
Petit, Garengeot, Arnaud, Hoin décrivirent ensuite des hernies de la ligne blanche , du pé-rinée , du trou ovalaire, etc., e
la vaginale, la périnéale, la cliaphragmatique, et enfin celles de la ligne blanche, con-nues sous le nom d'exomphales. Toute
estomac a plus de tendance à s'échapper à travers une ouverture de la ligne blanche; la vessie, les ovaires et les organes lo
guinal et crural et des ouvertures natu-relles ou accidentelles de la ligne blanche, étaient bien propres à donner gain de ca
al, qui a une lon-gueur de quatre et demi à six centimètres (dix-huit lignes à deux pouces) environ chez l'adulte, est creusé
l'épaisseur de la paroi musculaire. Il est situé vers le milieu d'une ligne conduite de l'épine iliaque antéro-supérieure à l
ture située à quelque distance de cet anneau, sur un des points de la ligne blanche, ce qui a fait donner le nom de hernie de
ints de la ligne blanche, ce qui a fait donner le nom de hernie de la ligne blanche à cette dernière variété. Nous avons donc
u, quoique fibreuse, est plus mince et plus souple que le reste de la ligne blanche. Supposant que, dans de telles conditions
, adhèrent fortement tant au péritoine qu'à la face postérieure de la ligne blanche, en sorte que le péri-toine ne peut plus
mbilicale accidentelle se fait toujours à travers une éraillure de la ligne blanche. Mais à cet égard il est besoin de s'ente
al résiste moins à la sortie des viscères que les autres points de la ligne blanche. Ainsi que l'ont judi- t. vii. cieuse
dre par les ti-raillemens exercés sur les fibres aponévrotiques de la ligne blanche, ou par la pression des viscères intérieu
inutile d'exposer longuement l'anatomie opératoire de la hernie de la ligne blanche. Ses rapports sont à-peu-près les mêmes q
donne passage n'est point circulaire, mais qu'elle est formée de deux lignes courbes, de manière à représen-ter une ellipse pl
oup de modifications. Camper veutque l'écus-son termine le ressort en ligne droite, et il pense que son incli- naison sur l
avec une lame de métal mince et flexible, larges de i3 millimètres (6 lignes ), terminée par une plaque semblable à celle qui d
ns, ne diffère plus que par la largeur de sa pelote qui fait suite en ligne droite au ressort, et par la longueur de sa courr
uisses. Dans la hernie qui s'échappe par la partie supérieure de la ligne blanche , et que l'on appelle hernie de Vestomac,
bistouri de Pott, a réduit le tranchant à une petite étendue, 6 ou 8 lignes (i3 ou 17 millimètres), à quelque distance de l'e
t, et on a recommandé cle ne pas faire une incision de plus de 2 ou 3 lignes (4 à 6 millimètres); mais il est impossible de do
l'on ne porte point l'instrument à plus de 2 à 5 mil-limètres (1 ou 2 lignes ) au-dessus de l'anneau. S'agit-il d'un étrangleme
posée, on en place une se-conde à i et demi ou 2 centimètres (G ou 8 lignes ) plus en de-hors et. parallèle à la première, en
loyer des ciseaux droits gradués pour diviser la cloi-son suivant une ligne droite, ou bien pour en emporter Un seg-ment en V
sse commune; au sacro-lombaire et au long dorsal, et en avant par une ligne perpendiculaire tombant sur le milieu cle la crêt
en dedans du bord externe de la masse com-mune et s'étend jusqu'à la ligne latérale moyenne du corps à quatre ou cinq traver
en regard, sur le plan moyen, dans une longueur de 2 centi-mètres (8 lignes ). Puis il divise successivement, et couche par co
stin. Chez les trente autres sujets, l'orifice se trouvait à quelques lignes de l'a-nus, comme l'indique M. Ribes, ou même enc
lle-ci, ouverte à ses deux extrémités, de 12 a 16 millimètres ( 6 à 7 lignes ) de calibre, est creusée au dehors, à diverses h
laire et la peau à une profon-deur d'environ un centimètre et demi (6 lignes ), comme dans l'opération de la fissure à l'anus.
borne à ne faire qu'une excision partielle. Une incision de quelques lignes est pratiquée sur le scrotum, avec une lancette o
les enveloppes , la fait sortir à 3 ou [\ centimètres (i pouce ou 18 lignes ) de son entrée. Le scrotum est ainsi tra-versé de
e externe, hors l'action des mors, un pédicule de peau d'environ deux lignes de largeur. Dès que la pince est convenablement p
pourra, sinon servir de mo-dèle, du moins aider à se diriger dans la ligne de conduite qu'on aura à tenir. Procédé de Delp
ce en avant pour tracer, avec de l'encre ou du nitrate d'ar-gent, une ligne qui doit limiter les parties qu'il veut inciser.
veut inciser. Puis il abandonne la peau à elle-même pour savoir si la ligne tracée est située trop en arrière ou trop en avan
ersalement avec les mors d'une pince à pansement entre le gland et la ligne tracée , et tranche tout ce qui est au-devant. En
ps caverneux, il vaut mieux l'inciser d'abord circulairement à 3 ou 4 lignes (7 à 8 millimètres) au-dessus de l'endroit où l'o
uivant tous ses contours avec un fil, il n'a que 6 pouces et quelques lignes (environ ^centimètres); il est vrai que cette lon
variables suivant les régions où on l'examine; Home lui ac-cordait 4 lignes (9 mil.), excepté à son orifice où l'on trouve un
c-cordait 4 lignes (9 mil.), excepté à son orifice où l'on trouve une ligne de moins; mais, ainsi que nous allons le voir, ce
aut en bas , puis en haut et en avant, pour se continuer au-delà sans ligne de démarcation bien tran-chée , avec la portion s
ine qui le séparent de la peau; ces muscles, unis par un raphé sur la ligne médiane, sont con stitués par divers plans de fib
'urètre, elle fait suite à la précédente, n'en est séparée par aucune ligne de démarcation bien tranchée, et se termine par u
sième les bourses sont séparées l'une de l'autre par une fente sur la ligne médiane, de sorte que la mala-die présente assez
a non-réunion congéniale des deux moitiés de cet organe le long de la ligne médiane supérieure. Le pénis ne présente que fort
perforer la vessie. Leur diamètre varie de 2 et 6 millimètres (1 à 3 lignes ). Pour sonder les enfans du premier âge, il fau
ui regarde les parois de l'abdomen, il la présente parallèlement à la ligne blanche, en introduit le bec dans le méat urinair
rnit la sonde d'un pavillon d'argent; ce pavillon qui a en-« viron 10 lignes (a3 millim.)de longueur est presque cylindrique «
s'oppose à l'introduction de la sonde, on retire celle-ci de quelques lignes , on abaisse son pavillon en lâchant la verge, jus
ns le plan vertical, nous avons pris pour plan de départ à o degré la ligne verticale de la symphyse pu-bienne, représentant
èrement sur la paroi inférieure, et sont caractérisées par de petites lignes blanchâtres, filiformes, situées transversalement
de partie complètement, et l'on n'observe plus sur la muqueuse qu'une ligne blanchâtre si-tuée transversalement comme les bri
, sur la-quelle étaient tracées les divisions du pied en pouces et en lignes (depuis on leur a substitué celles du mètre). Il
ssement est peu profond ; en effet, la cire formant avec la sonde une ligne droite , au lieu de s'infléchir pour suivre la di
enchâssé un morceau de ni-trate d'argent qui ne la dépasse que d'une ligne environ, et dont le bout est arrondi. Il introdui
cent. ), garnie à son extrémité d'une douille en platine, longue de 6 lignes ( i3 millim. ) fixée sur elle à vis, et portant d
mité. Cette douille renfermait un cylindre de même mé-tal , long de 5 lignes ( 11 millim.) et de 2 millim. de diamètre, suppor
t arrondie, était creusé en avant d'une cuvette profonde, longue de 2 lignes , et large de un quart de ligne, destinée à recevo
t d'une cuvette profonde, longue de 2 lignes, et large de un quart de ligne , destinée à recevoir le nitrate d'ar-gent ; on ne
ou mandrin de même métal, portant le caustique, de 16 millimètres (7 lignes ) plus long que le tube, et bouchant exactement l'
te : un malade présente un rétrécissement long de i4 milli-mètres ( G lignes ), commençant, à G centimètres ( 3 pouces) de l'o
te le mandrin à son extrémité externe , est fixé à i4 millimètres ( G lignes ) de l'extrémité correspondante de la canule, et l
e d'argent, jusque-là resté intact, est introduit de ^mil-limètres (G lignes ) dans la coarctation ; si, saisissant alors le ma
ce second rétrécis-sement ; en supposant qu'il ait 7 millimètres ( 3 lignes ) de lon-gueur, on fait descendre l'écrou du mandr
escendre l'écrou du mandrin jusqu'à ce qu'il soit à 7 millimètres ( 3 lignes ) du bout extérieur de la canule, et le curseur es
r de la canule, et le curseur est fixé à 11 centimètres ( L\ pouces 7 lignes ) de son au-tre bout. L'instrument fermé est, por
se termine par un bout de platine long de 9 à 1 1 millimètres(4 ou 5 lignes ), creusé, dans le sens de la lon-gueur, d'une pet
voir le caustique, et qui ne s'étend que jusqu'à 1 millimètre (1 demi ligne ) de l'extré-mité du mandrin. Celui-ci s'implante
ité du mandrin qui dépasse la canule de 4 centimètres ( 1 pouce ou 18 lignes ), se trouve un manche cannelé, fixé au moyen d'un
llons donc d'adopter celte marche déjà tracée par M. Velpeau dans les lignes suivantes : «Dilater d'abord, ne cautériser une «
n extrémité antérieure par un cylindre d'acier conique, long de 6 à 7 lignes , et qui offre à son pourtour huit petites crêtes
i offre à son pourtour huit petites crêtes tranchantes, d'un quart de ligne chacune. Ce cylindre peut être fixé sur la canule
ce du mandrin jusqu'à l'obstacle qu'il cherche à franchir de quelques lignes . Quand il y est parvenu, il allonge le mandrin en
e celle-ci soit arrêtée; on tire ensuite à soi la canule, de quelques lignes , de manière à laisser, entre son bord tranchant e
pour inciser le canal et prolonger la section en arrière, à quelques lignes au-delà de l'obstacle ; faisant alors glisser la
ous les sens la fistule dans une cer-taine étendue ; de sorte que les lignes des sutures, étant moins éloignés du trajet de l'
mer deux lambeaux fixés et maintenus par une compression douce sur la ligne médiane, ainsi que le propose M. Velpeau, revient
re l'urètre et la branche de l'ischion, de 7 à 9 millimètres ( 3 ou 4 lignes ) au devant de l'anus, pour tendre le périnée, et
sa main droite du trocart, il en porte la pointe sur le milieu d'une ligne qui, partant de la tubé-rosité de l'ischion , se
inférieure du muscle droit; mais la seconde fois il ponctionna sur la ligne blanche, entre les deux muscles pyramidaux, imméd
idaux, immédiatement derrière la symphyse. C'est effectivement sur la ligne blanche à a ou 3 centimètres au-des-sus de la sym
des pubis, et l'enfonce perpendiculairement à l'axe du corps, sur la ligne blanche, à 3 centimètres de la sym-physe, jusque
ion préalable faite à la paroi hypogastrique dans la di-rection de la ligne blanche, comme la fit P. Franck sur le cadavre d'
r, on pourrait commencer par faire une incision lon-gitudinale sur la ligne blanche, diviser toute la couche graisseuse, et p
ngue de 27 à 31 centimètres (10 à 11 pouces), de 7 à 9 millim. (3 à 4 lignes ) de diamètre, sert de chemise au reste de l'appar
ours réguliers, et saisis de manière que leur centre corresponde à la ligne de l'instrument, une portion de leur con-tour fai
il y aura toujours des cas réfractaires qui empêcheront d'établir une ligne de démarcation bien tranchée entre les deux catég
dérangement notable de la santé. ire série, pierre solitaire ayant 10 lignes (22 millimètres) de diamètre et au-dessous, ou pl
Civiale range tous les calculeux qui ont une pierre solitaire de 1 5 lignes (34 millimètres) de diamètre au 63 moins, et
nt plusieurs calculs dans la vessie, ou bien un seul ayant au plus i5 lignes (56 millimètres) de diamètre. Ici, dit M. Ci-vial
haut par l'arcade pubienne qui répond à son sommet, et en bas par une ligne fictive tirée d'un ischion à l'autre, et passant
upe verticale, allant de la symphyse pubienne à l'anus, en suivant la ligne médiane, on obtient pour résultat un triangle, do
e est beaucoup plus considérable sur les parties latérales que sur la ligne médiane; 3° Lfaponévrose superficielle du périnée
qui vient s'insérer sur le bulbe de l'urètre, et se confondre sur la ligne médiane avec l'extrémité inférieure du bulbo-cave
néales. 5° Plus profondément que la couche mus-culaire, existe sur la ligne médiane le bulbe et la partie membra-neuse de l'u
. 4^7 L'urètre pouvant admettre, dans son intérieur, une sonde de 4 lignes (9 millimètres) de diamètre, ou de 27 millimètres
Le chirurgien plaçait le cathéter, et renversant sa plaque vers la ligne blanche, de manière à ce que sa convexité fît sai
sse-ment dans la cannelure du cathéter, il incisait le périnée sur la ligne médiane depuis la racine des bourses jusqu'auprès
té dégoûtante; et en outre, comme on ne divise la prostate que sur la ligne médiane, ou suivant son plus petit diamètre, on n
cathéter placé comme de cou-tume , Lecat incisait la peau suivant une ligne oblique partant du raphé à 27 millimètres au-deva
pans présentent les numéros 5, 7, 9, 11, i3 et 1 5, qui indiquent en lignes la quantité dont la lame s'éloigne de sa gaîne lo
f degrés, de manière que le tranchant incisât la prostate suivant une ligne faisant un angle de même valeur avec l'axe de l'u
arde en arrière et à droite, figure un arc dont la corde, d'environ 7 lignes ( 16 millim.), doit pouvoir s'agrandir, sans déch
16 millim.), doit pouvoir s'agrandir, sans déchirure, de deux à trois lignes (4 à 6 millim.) quand on vient à l'allonger penda
, dont les rainures numérotées exprimaient en chiffres « le nombre de lignes d'écartement que recevaient les extrémités « des
ispensable. Scarpa, A. Cooper et d'autres fixaient le cathéter sur la ligne médiane. Au reste, qu'on le place droit ou obliqu
s et le tissu graisseux du périnée dont nous avons déjà parlé. Sur la ligne médiane il n'y a aucuns vaisseaux dont on puisse
urètre, on trouve qu'il a 8 à g centimètres. C'est le long « de cette ligne que doit être pratiquée la taille recto-vésicale.
e bistouri, en suivant exac-tement sa cannelure et la direction de la ligne médiane du corps, jusque dans la cavité de la ves
te incision, qui commence derrière la prostate, s'étend en suivant la ligne médiane jusque vers le milieu de l'espace compris
nné la préférence sur le pre-mier, l'avait du moins rangé sur la même ligne . Cet abandon est motivé sur ce que les faibles av
ie; cet intervalle est rempli par du tissu cellulaire qui l'unit à la ligne blanche et à ses parties latérales. C'est par là
dispositions étant prises, il incisait, avec un rasoir, le long de la ligne médiane, la peau, le fascia superficialis et les
ne médiane, la peau, le fascia superficialis et les aponévroses de la ligne blanche, dans l'étendue de 8 à i i centimètres; p
ncisait la peau de l'hypo-gastre et le tissu cellulaire le long de la ligne blanche jusqu'au pubis, dans l'étendue de 8 à 10
'une bascule (fig. 39), et incisait ainsi la partie in-férieure de la ligne blanche. Pour agrandir cette, incision, il sub-st
ti, qu'il faisait glisser entre le péritoine et les aponévroses de la ligne blanche. Il lui était facile alors de couper cell
stouri par une tige tranchante; après avoir incisé les tégumens et la ligne blanche avec un bistouri convexe, il reconnaît la
res. Incision ik i.a l'Aitoi abd jiminai.e. Incision médiane sur la ligne blanche. Le chirurgien placé à la droite du malad
it une incision de 27 millim. (un pouce) à la partie inférieure de la ligne blanche, soit avec le bistouri droit ordi-naire ,
ellulaire par l'ouverture qu'on a faite. Mais après la sec-tion de la ligne blanche se trouve plus profondément le feuillet f
les doigts. La vessie étant reconnue, pour agrandir l'incision de la ligne blan-che et du feuillet fibreux sous-péritonéal,
ogastri-cpie, on fait glisser son bec derrière la symphyse jusqu'à la ligne blanche, en abaissant comme nous l'avons vu , son
issant comme nous l'avons vu , son pavil-lon d'un arc de i3o° avec la ligne blanche (Pl. 68, fig. 5) et on prescrit à un aide
quel on prolongera l'incision vers le pubis. Incision latérale a la ligne blanche. Elle comprend seule-ment le procédé de M
é de M. Baudens. Au lieu de pratiquer son incision directement sur la ligne blanche, M. Baudens trouve préférable de la faire
e, M. Baudens trouve préférable de la faire un peu en dehors de cette ligne , entre elle et le bord interne du muscle sterno-p
e avec l'ongle le point où commence la symphyse du pubis, et trace la ligne que doit parcourir l'incision jusqu'à sa limite s
la peau et le tissu adipeux sous-cutané, puis, après avoir reconnu la ligne blanche, il incise à 6 ou 8 millim. au dehors, da
de quelques vaisseaux sous-cutanés, ou placés dans l'épaisseur de la ligne blanche, et à l'exhalation sanguine de la vessie;
de l'urine , puis après font une petite incision tout au-dessus et en ligne droite de Forifice du col delà vessie, et non à c
grosse pierre ayant pour noyau un morceau de bois long de 3 pouces 3 lignes (près de 9 centim.). Plusieurs autres praticiens,
me ; légèrement concave en haut, long de 25 à 3o millimètres (11 à i4 lignes ), pour une largeur de 16 à 18 millimètres en diam
r l'ongle de ce doigt, et en le faisant glisser de haut en bas sur la ligne médiane, il tombe presque de lui-même dans le méa
onducteur; le méat ne peut pas être à plus de 2 à l\ millimètres (une ligne ou deux) de dis-tance. Après quelques tâtonnemens
ice, l'indicateur décrit à mesure qu'il pénètre plus profondément des lignes horizontales, d'abord de droite à gauche et ensui
he le pli sur les côtés, puis de haut en bas, à 6 ou 7 millimètres (3 lignes ) en dedans des fils. La même opé-ration est recom
lignes) en dedans des fils. La même opé-ration est recommencée sur la ligne médiane antérieure. M. Vel-peau termine en nouant
ant la forme d'un triangle isocèle dont le sommet, correspondant à la ligne mé-diane, serait placé à 7 ou 8 centimètres de l'
ont observé ces tumeurs, leurs fibres se con-tinueraient sans aucune ligne de démarcation avec celles du col ou du corps de
t8 centimètres (4 pouces et demi), et le petit 7 centim. (a pouces, 7 lignes ). Après un état assez grave, causé par une phlébi
le, elle varie néanmoins, en général, entre 7 a i5 millimètres (3 à 6 lignes ), et. souvent plus. Le vagin s'étend plus haut su
manche, qui servait à le glisser dans le vagin; puis qu'on fît sur la ligne blanche, et au-dessus de la vessie, une incision
celui indiqué par Gutberlat. Une incision ayant été pratiquée sur la ligne blanche, depuis la symphyse pubienne jusqu'à deux
tie la plus déclive de la tumeur. Cette incision devait porter sur la ligne blanche, ou bien en dehors des muscles droits, su
it pour objet l'ablation de l'ovaire, il pratiqua son incision sur la ligne blanche ; mais, ayant trouvé en ce point des adhé
ien, placé entre les jambes de la malade ou à sa droite, fait, sur la ligne blanche, une incision qui s'étend depuis l'ombili
, et on tranche la tumeur avecle bistouri en deçà, à 2 centimètres (8 lignes ) environ delà li-gature, afin que celle-ci ne gli
a plus convenable. Avant d'adopter définitivement l'incision sur la ligne blanche, M. Mac Dowel avait eu recours, dans un c
ors du muscle droit, et, dans un autre, il joignit à l'inci-sion delà ligne blanche une incision oblique, partant de l'ombili
e Macdonnald [Siebold's J., tom. v) ; de M. Chrissmann, qui fendit la ligne blanche de l'appen-dice xyphoïde au pubis, et ext
tous les traités spéciaux, qu'entre 9 et 8 centimètres (3 pouces 4 lignes , et 3 pouces) l'accouchement est encore possible
égard. Dans quelques cas il arrive que la symphyse est déviée de la ligne médiane, et qu'elle ne se trouve pas derrière l'i
symétrie du bassin est détruite, ces os s'écartent inéga-lement de la ligne médiane. Il n'est point utile, comme on l'a presc
eur du bassin a moins de 3 centimèt. et demi à 4 centimèt. (i pouce 4 lignes à i pouce 6 lignes), que l'enfant soit mort ou vi
ns de 3 centimèt. et demi à 4 centimèt. (i pouce 4 lignes à i pouce 6 lignes ), que l'enfant soit mort ou vivant, il faut prati
e droit, et de la placera égale distance de son bord externe et d'une ligne fictive, tirée de l'épine antérieure et supérieur
et transverses, se rétractaient en sens opposés. 1" Incision sur la ligne médiane, ou procédé de Mauriceau. Voici comment s
at. Ce chirur-gien qui avait d'abord beaucoup vanté l'incision sur la ligne blanche, préconisa plus tard dans un ouvrage inti
nne, une incision trans-versale longue de 18 centimètres (6 pouces, 8 lignes ), étendue sur le flanc à partir du muscle droit,
nt une incision oblique, di-visait les parois abdominales suivant une ligne qui, commençant à l'extrémité de la dernière faus
i, commençant à l'extrémité de la dernière fausse côte, traversait la ligne blanche et venait se terminer à la branche horizo
e horizontale du pubis de l'autre côté. Zang, partant du milieu de la ligne blanche d'un côté, ve-nait terminer son incision
il ne put réussir, et fut obligé d'avoir recours à l'incision sur la ligne blanche pour terminer l'accouchement. Jusqu'ici c
nt nous venons de parler, celui dans lequel on fait l'incision sur la ligne blanche est généralement pré-féré. Voici la maniè
i la manière dont il doit être exécuté. Opération césarienne sur la ligne blanche. j° Préparatifs. Lorsqu'on a donné des so
vexe, se place à la droite delà femme, divise la peau en regard de la ligne blanche, dans l'étendue de i3 centimètres (5 pouc
né, et enveloppé d'une bandelette de linge jus-qu'à 20 millimètres (8 lignes ") de son extrémité. On est quelquefois obligé de
tgen, MM. A.Baudelocque, Physick, Marchai, 347, 343. Opération sur la ligne blanche, 348- 3 5o. — Hysterotomie vaginale, 3o5,
aupières, sans qu'il fût possible au sujet de les ramener d'une seule ligne vers le centre de l'orbite. M. Baudens a nommé ce
un tendon membraneux quadri-latère, long de 7 à 8 millimètres (4 à 5 lignes ), à-peu-près de même largeur, légèrement étranglé
é par un épanouissement sur cette membrane à environ 9 millimètres (4 lignes ) de la cornée. Par leur mode d'insertion au-delà
it externe le plus long; la différence est d'environ 4 millimètres (2 lignes ). Le mouvement d'élévation de l'œil étant le moin
r écrivait dans « ses Beitrage zur operative orthopœdie (Hanover) les lignes « suivantes : [Suit la traduction du procédé op
cet état, nous séparons la face en deux parties, en « plaçant sur la ligne médiane une cloison ; puis, faisant alterna-« tiv
rochet dans la conjonctive plus près de la cornée, à la distance de i ligne et demie (3 à 4 milli-mètres) de celle-ci, et le
, et l'a divisée verticalement, de bas en haut, dans une hauteur de 5 lignes (i i millimètres) , avec un petit bistouri (Phill
sit alors avec des pinces un petit point de la conjonctive à quelques lignes de la cornée, la relève et la divise d'un seul co
rne et la conjonctive par une seule incision qui eut pour étendue une ligne égale à la hauteur du muscle et à l'épaisseur de
naissance de son tendon. Ce faisceau charnu s'était rétractée de neuf lignes (i8 millimè-tres), en arrière de la section , mai
par une forte bande de tissu cellulaire. Cette bande, large de trois lignes et longue de six, est fixée au globe oculaire à 2
rge de trois lignes et longue de six, est fixée au globe oculaire à 2 lignes environ derrière la ligne de section tendineuse.
ue de six, est fixée au globe oculaire à 2 lignes environ derrière la ligne de section tendineuse. La'résis-tance est telle q
celle du droit supé-rieur, il suffit d'agrandir en haut, suivant une ligne en quart de cercle, l'incision delà conjonctive e
rti convenable de ce texte de Fabrice de Hilden si fécond en quelques lignes , nous invitons les chirurgiens à joindre leurs ef
-phyloraphie, derrière l'os maxillaire inférieur, dont nous rasons la ligne médiane, en ayant soin d'embrasser l'insertion de
me mousse, le tranchant tourné en avant, derrière le menton et sur la ligne médiane, jusqu'à ce que le doigt, placé dans la b
ières pour être bien exécuté. D'abord, pour péné-trer sûrement sur la ligne moyenne et à la distance convenable du menton , o
ien accroche avec un fil la pointe de la langue qu'il traverse sur la ligne moyenne, à % centimètres de son extrémité, et la
rtion du squelette déviée, tendent à se raccourcir et à se diriger en ligne droite entre leurs deux points d'insertion. » i
l'espace qu'elles mesurent et par conséquent, au lieu de se porter en ligne droite suivant la direction des cordes et courbur
tendent comme les muscles, quoiqu'à un moindre degré, à se diriger en ligne droite. Ainsi dans les déviations anciennes de la
d à mobiliser, faire correspondre la plus grande somme d'action et la ligne d'action des machines, à la corde des courbures q
J. Guérin. « Je fais la section du sterno-mastoïdien à six ou huit lignes au-dessus de son insertion sternale. Je fais cett
Une fois le muscle soulevé et tendu, je fais à la peau, à six ou huit lignes au-dessus de l'insertion sternale du muscle, un p
cle. Je plonge à la base de ce pli un bis-touri mince , large de deux lignes et légèrement concave sur le tranchant. Dans le p
t tourné du côté de la tète; lorsqu'elle a été enfoncée de six à huit lignes , c'est-à-dire de manière à dépasser le bord inter
de la sonde dans le sac lacrymal où on le voit en saillie (a). Une ligne ponctuée de 1 en 2 et en 3 indique le parcours ex
Comme dans la figure précédente, la position des doigts varie; une ligne ponctuée de 1 en 2 et en 3 indique le parcours ex
l qu'ils forment plus aigu qu'on ne le suppose, la rencontre des deux lignes convergentes, suivant que nous nous en sommes ass
rcades sourcilières pour une largeur moyenne de la racine du nez. Une ligne prolongée indique le trajet continué du canal, ré
ngle de la plaie; tandis que l'autre reste à une distance de quelques lignes , le pédicule vasculaire se trouvant compris entre
s taillé ce lambeau presque à angle droit avec la plaie et non sur la ligne horizontale qui la prolongeait sur la tempe; suiv
règle générale de l'autoplastique, de tailler le lam-beau suivant la ligne la plus rapprochée du parallélisme pour diminuer
re de la sonde, on glisse un bistouri qui opère la section suivant la ligne nor-male dont ordinairement la trace est apparent
e un peu au-dessus de l'angle externe de l'œil et se prolonge de huit lignes en dehors sur la saillie fronto-jugale. Elle diff
nstrument est abaissé obliquement, la convexité de sa pointe en haut ( ligne a, b, ficj. 8). Le point d'appui est pris avec le
et la demi-circonférence interne de la capsule cristalline jusqu'à la ligne e, f, où elle se trouve à la partie supérieure du
ieure du cristallin. Figure 7. Abaissement du cristallin (suivantla ligne g, h, fig. 8). Figure 8. Résumé du trajet de l'
de l'aiguille. La pointe, qui a pénétré d'abord au point A suivant la ligne a, b, se trouve, au commence-ment de l'opération,
au commence-ment de l'opération, au-devant du cristallin, suivant la ligne c, d : puis, par une série de mouvemens de bascul
ir incisé la capsule, elle se trouve en haut du cristallin suivant la ligne e, f : enfin élevant le manche de l'instrument en
le manche de l'instrument en haut, en avant et en dehors, suivant la ligne g, h, la pointe abaisse le cristallin en bas, en
beaux latéraux sont réunis par des sutures, l'un avec l'autre, sur la ligne médiane, et chacun d'eux avec la joue corresponda
art). Figure 3. Cancer de la lèvre inférieure avec l'indication des lignes des trois incisions. — De a en b. Les deux incisi
es, descendent sous la mâchoire jusqu'au-dessous de l'os hyoïde. — c. Ligne de l'incision horizontale qui circonscrit en bas
est de cette manière que l'opération est pratiquée, afin que les deux lignes de l'in-cision inférieure n'aient que la longueur
les lambeaux pour en faciliter l'affrontement. Figure 8. Tracé des lignes d'incision. — De a en b. Incision verticale exter
lambeaux verticaux e, f, de la figure 8 venant se joindre suivant une ligne (m) qui prolonge la commissure; tandis que le lam
beau 1 de la figure 8 rejoint les deux lambeaux verti-caux suivant la ligne (n) de la première incision verticale interne. A
à hauteur moyenne entre l'épine iliaque et l'ombilic, et suivant une ligne fictive (e, f ) étendue de cette épine à l'append
ngent, contre l'ordinaire, en dedans, où elles s'entrecroisent sur la ligne blanche. Au pourtour de l'anneau inguinal (c) (fi
s est indiquée au premier aspect par leur éloignement respectif de la ligne blanche. A. Hernie inguinale externe. Ici le co
paroi du sac et pratique des scarifications sur le sac herniaire. Des lignes ponctuées indiquent le trajet des instrument sous
la verge; l'autre à la por-tion bulbeuse, dans le prolongement de la ligne moyenne des pubis, où la coudure représente un pe
s le plan vertical, nous avons pris pour plan de départ à o degré, la ligne verticale de la symphyse pubienne représentant se
e-cinq millimètres (20 li-gnes); en largeur, quarante millimètres (18 lignes ) Nous discuterons dans le texte, ces dimensions d
nal, deux centi-mètres de chaque côté; en tout, quatre centimètres en ligne droite et par les courbes qu'elle décrit, quarant
oite et par les courbes qu'elle décrit, quarante-cinq millimètres (20 lignes ). On voit que si elle formait la courbe régulière
résente celle de la taille latéralisée, vingl-et-un millimètres (neuf lignes . Seulement celle dernière étant plus oblique en
ostatique de la taille recto-vésieale, vingt-cinq millimètres ou onze lignes sans le diamètre du canal. d. Incision sous-pub
la vessie entre la prostate et le pubis, dix-huit millimètres ou huit lignes sans le diamètre du canal. e. Incision de la ta
e qui intéresse le rectum à une profondeur de dix-huit millimètres (8 lignes ). — C. Vaisseaux honteux internes. — D. Incision
YPOGASTRIQUE (Demi-nature). Figure 1. L'incision sus-pubienne de la ligne blanche étant pratiquée , puis la vessie incisée
Procédé de M. Mac-dowell ). Une incision (a) a été pratiquée sur la ligne blanche pour pénétrer dans la cavité abdominale ;
cédé de M. Langenbeck). Une incision (a) ayant été pratiquée sur la ligne blanche, un aide, de ses deux mains (b, c) écarte
RATION CÉSARIENNE MÉDIANE. L'incision, pour cette figure, occupe la ligne blanche, du dessous de l'ombilic au-dessus du pub
de gauche à droite , et d'avant en arrière, en sens rétrograde de la ligne suivant laquelle la tête s'est engagée dans le dé
e la rétraction, l'apophyse mastoïde étant, située à-peu-près dans la ligne verticale de l'attache sternale, pour mettre le m
12 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
ayonnante) (pCR) avant de se continuer avec la capsule interne. Une ligne oblique en bas et en dehors qui unit le bord ex
ous- thalamique et le pied du pédoncule cérébral se continuent sans ligne de démarcation nette. Il n'en est pas de même s
et rétro-lenticulaire (Cirl) situés sur le prolongement d'une même ligne ; le sommet de l'angle porte le nom de genou de
- ment postérieur de la capsule interne est comprise entre les deux lignes pointillées. Une troisième ligne pointillée pas
terne est comprise entre les deux lignes pointillées. Une troisième ligne pointillée passant sur la bandelette optique étab
us-thalamique (6, 7, 8) et dans le pied du pédoncule cérébral (9). La ligne poin- tillée verticale de ces coupes appartient
'l, ventricule latéral. - II, bandelette optique. ment d'une même ligne , oblique en arrière et en dehors. Le segment ré
la lèvre calcarine du lobule lingual et ne dépasse pas en avant une ligne verticale rasant l'extrémité postérieure de la co
ansversale de la partie supérieure de l'hémisphère pas- sant par la ligne A, A de la figure 111, et intéressant le segment
t le segment postérieur de la capsule interne (en particulier, par la ligne B Il de la fig. 11 i). Dégénérescence de la sub
culaire unique, commune aux deux hémisphères, mais étranglée sur la ligne médiane et limitée à ce niveau, en avant, en haut
ant que corps, ses deux moitiés étant rejetées de chaque côté de la ligne médiane et occupant à peu près la situation des
toujours nettement accusé, parfois même très saillant suivant que la ligne d'arrêt des circonvolutions correspond à une cr
ssèdent une cavité ventriculaire unique, étranglée en bissac sur la ligne médiane par la scissure inler- z hémisphérique,
e. La paroi inférieure de la cavité ventriculaire présente : sur la ligne médiane, le corps du trigone, formation triangu
ry. La cavité ventriculaire unique (VI), étranglée en bissac sur la ligne médiane par la scissure interhémisphérique (sih),
contient à sa partie antérieure un tronc calleux rudimentaire. Les lignes de repère 1,2, 3, 4, 5, G, correspondent aux co
ords de la porencéphalie paraissent de prime abord correspondre à une ligne courbe qui passerait par la deuxième circonvolu
lutions l'JI;. 21 L - Cas Richard. Face latérale de l'encéphale. La ligne a a indique la direction suivant laquelle les g
a face externe de l'hémisphère gauche. Lor, lobe orbi- taire. - Mp, ligne d'insertion de la membrane qui ferme incomplèteme
l'espace perfore antérieur, la circonvolution du crochet, et, sur la ligne médiane, le losange opto-pédonculail c. Le ce
Coupe vertico-transversale du lobe occipital gauche, passant par la ligne de repère 6 de la Fig. 213. Méthode de Weigert 2/
immédia- lement en arrière, l'autre au niveau de la porencéphalie ( lignes de repère \\ et 4 de- la Fig. 213). - CR, couro
e vertico-transversale du manteau céré- bral passant en avant de la ligne de repère 4 de la figure 213, dans la région de l
d'une coupe vertico-transversale du manteau cérébral passant par la ligne de repère 3 de la Fig. 213. Cing, cingulum. - F
ico-transversale du manteau cérébral du cas Richard, passant par la ligne de repère 2 de la Fig. 213. Les fibres du faisc
es deux hémisphères entre eux : elles atteignent, puis dépassent la ligne médiane, s'irradient dans l'hémisphère du côté
tionnant la partie antérieure du manteau cérébral et passant par la ligne de repère 1 de la Fig. 213. La partie inférieur
différentes régions excitables de l'écorce du macaque, on tire des lignes obliques qui, partant des foyers des différents c
mais complète. La vision centrale est en général conser- vée, et la ligne de démarcation, qui sépare la moitié aveugle du c
é aveugle du champ visuel de la moitié saine, passe, non pas par la ligne médiane, mais à 5 ou 10 degrés en dehors, respe
fail suite (Fig. 30 et 256). Il correspond assez exac- tement à la ligne d'insertion des plexus choroïdes de la corne sphé
passent au-dessous de la lame névroglique, s'entre-croisent sur la ligne médiane avec des fibres de même nom du cùlé opp
e vei- tico-transversale passant par le bourrelet du corps calleux ( ligne L, b) et le forceps postérieur. Dégénérescence
volution de l'hippocampe. Coupe vertico-transversale passant par la ligne aa du schéma (Fig. 2Gi), et sectionnant le bour
Il l'orme la paroi interne dn ventricule latéral et se soude sur la ligne médiane à la corne d'Ammon du côté opposé. De c
est le plus volumineux; il se poite en dedans, s'enchevêtre sur la ligne médiane avec le faisceau homologue du côté oppo
des Septum [Ganser]). Le fornix longus forme, de chaque côté de la ligne médiane, un faisceau aplati et compact de fibre
avité ventricu- laire par la substance grise centrale, mince sur la ligne médiane et il la partie interne du ganglion int
s supérieures, le noyau in- terne et le pulvinar se fusionnent sans ligne de démarcation appréciable (Fig. 21, p. 31). Da
Fig. 48, 25, 12). En haut et en avant, le pulvinar se continue sans ligne de démarca- tion nette avec la face supérieure
ec la face supérieure du thalamus; la limite est constituée par une ligne transversale passant par la commissure postérieur
liculepinéal; les fascicules du bord inférieur se continuent sans ligne de démarcation nette avec la couche des fibres
du pulvinar. Un 'petit nombre de ces fibres, après avoir dépassé la ligne médiane, se termine dans le ganglion de l'habenul
nser) dont les fibres se détachent du ganglion de chaque côté de la ligne médiane (Fig. 332), se portent sagittalement d'av
tance perforée anlérieure et se continue en arrière et en bas, sans ligne de démarcation nette, avec la calotte du pédoncul
commissure de Meynert et se rendrait après entre-croisement sur la ligne médiane dans le noyau lenticulaire du côté oppo
où la membrane épendymaire tapisse seule les plexus choroïdes : sa ligne d'arrêt correspond au tiL'nia thalami, tu gangl
8 et suiv.). Son épaisseur n'est pas partout la même : mince sur la ligne médiane GANGLIONS INFRACORTICAUX : RÉGION SOUS-
ux (Kulliker). Un diverticule du troisième ventricule sépare sur la ligne médiane les éminences latérales du tuber cinere
éminées dans la lame perforée postérieure, puis se dirigent vers la ligne médiane qu'elles dépassent pour aborder le corp
la longueur de son trajet; chez le lapin, elle est profonde sur la ligne médiane où elle est située au-dessus du chiasma,
arrière en avant et de dehors en dedans, puis s'entre-croise sur la ligne médiane avec celui du côté opposé, au voisinage
s s'entre-croisent dans toute la hauteur et toute l'épaisseur de la ligne médiane du chiasma avec des fibres analogues du
même des courbes dont la convexité se rapproche plus ou moins de la ligne médiane du chiasma, sans toutefois jamais l'att
ERFS CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. 429 1 la bandelette. La ligne médiane du chiasma ne contient, par contre, que d
cervelet située au-dessus du quatrième ventricule et en avant d'une ligne courbe qui atteint le fond de l'échancrure mars
alors sous l'aspect d'un petit lobe triangulaire qui mesure sur la ligne médiane, dans le sens vertical, 8 à 12 millimèt
apissée de lamelles transversales au nombre de quatre à sept sur la ligne médiane et de deux à quatre sur les freins. Ces d
us accusée que la partie médiane est plus développée. Simple sur la ligne médiane, plus rarement bifide, il n'affecte avec
n aspect général et des dimensions qui varient peu dans les grandes lignes : une partie hémisphé- rique absente ou rudimen
ée par un léger étranglement, le collet du bulbe, ou encore par une ligne fictive qui passe au-dessus de la première paire
tiel; il la sépare du pied des pédoncules cérébraux el forme sur la ligne médiane le trou borgne supérieur, profond diverti
n formant les pédoncules cérébelleux moyens (Pcm, Fig. 333). Sur la ligne médiane elle présente un sillon longitudinal pe
par l'émergence du trijumeau et le pédoncule cérébelleux moyen. Une ligne fictive qui unit l'émergence du trijumeau à cel
la partie supérieure du bulbe. Ils s'incurvent en même temps sur la ligne médiane au niveau des trous borgnes supérieur e
ire de la face antérieure du cer- veau rhomboïdal présente : sur la ligne médiane, le sillon médian aillé- rieur du bulbe
ite l'olive en dehors et loge une artériole. Il aboutit en bas à la ligne d'émergence des racines antérieures et il est f
es du bulbe où il reçoit le sillon des nerfs mixtes. On voit sur sa ligne médiane la fossette médiane de la base du bulbe,
es pyramides et forment le ponlicule d'Arnold. De chaque côté de la ligne médiane, le sillon buibo-protubérantiel sépare
distinctes, une partie inférieure, cylindrique qui se continue sans ligne de démarcation avec la moelle épinière, ci une
ar deux cordons divergents, les corps restiformes (Crst), et sur la ligne médiane par une mince membrane demi-transparent
stérieure et le faisceau latéral du bulbe et qui se continuent sans ligne de démarcation avec le cordon de Burdach (CB) de
dedans, et les pédoncules cérébelleux moyens, situés en dehors. Une ligne fictive passant par le coude ou col du corps re
bulbaire du spinal (XIe paire). Au niveau du collet du bulbe, la ligne d'émergence des filets radicu- laires du spinal
lbe, la ligne d'émergence des filets radicu- laires du spinal et la ligne de pénétration des racines postérieures du pre-
u pre- mier nerf cervical sont presque superposées; au-dessous, ces lignes diver- gent : la ligne du spinal se porte petit
l sont presque superposées; au-dessous, ces lignes diver- gent : la ligne du spinal se porte petit à petit en avant et se p
férieur du toit du quatrième ventri- cule. Sa base est fixée sur la ligne médiane à la substance blanche du nodule (SbNo)
bien compte de la différence de profondeur de ce diverticule sur la ligne médiane et dans la région des valvules de Tarin
alvule de Tarin et qui en dedans s'avance plus ou moins loin sur la ligne médiane à la rencontre de la ligula opposée. Tant
térieure , est une lamelle étroite et allongée qui se continue sans ligne de démarcation avec la languette postérieure et c
encent dans le calamus par une extrémité effilée très voisine de la ligne médiane, connue sous le nom d'aile blanche in
e est dans ce cas couverte par la substance grise centrale. De leur ligne d'émergence qui peut occuper toute la hauteur de
c du calamus et la partie fermée du bulbe; sa base n'atteint pas la ligne d'insertion de la voûte du quatrième ventricule
aroi membra- neuse. L'extrémité renflée etlo trou de Luschka. ligne médiane un noyau irrégulièrement arrondi, qui doi
CONFIGURATION INTÉRIEURE DU CERVELET écorce cérébel- leuse. Sa ligne d'arrêt pérmcntriculaire. Le cervelet est sur
ères. Elle s'arrête à la face antérieure du cervelet, le long d'une ligne d'arrêt irrégulièrement losan- gique qui corres
nal antérieur. La partie supérieure, S2lS-vetl)'tC2llatt'e de celle ligne d'arrêt, décrit dans son ensemble une courbe à
nvexité supérieure (Fig. 3.8). Très accen- tuée et saillante sur la ligne médiane, où elle correspond à l'insertion de la
pond à l'insertion de la lingula sur la valvule de Vieussens, celle ligne s'abaisse brusquement de chaque côté, au niveau
marginal antérieur. La partie inférieure, sous-venlriculaire de la ligne d'arrêt, est plus irré- gulière et plus acciden
ère et plus accidentée que la supérieure (Fig. 315 et 31ls); sur la ligne médiane, elle correspond à l'insertion de la toil
ailes de la luette et à la base d'insertion de l'amygdale. Puis la ligne d'arrêt de l'écorce cérébelleuse se relève au niv
inférieur sur le pédoncule cérébelleux moyen. En dehors de cette ligne d'arrêt si nette, l'écorce cérébelleuse se trou
lobe médian du cervelet. - Coupe sagittale passant en dehors de la ligne sagittale médiane par le noyau du toit, les lamel
867, le noyau du toit du i.e ventricule occupe de chaque côté de la ligne mé- diane une partie assez considérable de la s
(1 ? ca)(hig. 31.G et 465), le noyau du toit, très rapproché de la ligne médiane du vermis, est séparé de celui du côté
profondes ou intermédiaires, s'entre-croisent à angle obtus sur la ligne médiane (Fig. 362). Les fibres antérieures se c
au niveau du raphé (xPcs) : ils se reconstituent de chaque côté de la ligne médiane en deux faisceaux courts, volumineux et
C 1,), le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) se rapproche de la ligne médiane; il est séparé du faisceau de même nom
n réticulée avec laquelle il se fusionne en avant et en dehors sans ligne de démarcation nette. b) Segment protubérantiel
e place en dehors et un peu en arrière du ruban de Reil médian. Une ligne sagittale oblique, passant par ce faisceau, div
n de Reil médian (Rm) et le faisceau de la calotte (Fcc), et sur la ligne médiane un prolongement médian qui s'insinue entr
ux changements. Dans la formation réticulée blanche apparaît sur la ligne médiane Y entre-croisement supérieur, sensitif, o
Ve nerfs crâniens en deux segments : l'intemc reste profond, monte en ligne droite dans le pédoncule cérébral et se place e
uer grâce à l'obliquité de ses fibres, n'est plus situé sur la même ligne transversale que le ruban de Reil médian; il se
- interne de la formation réticulée ; il forme de chaque côté de la ligne médiane un petit faisceau de fibres fortement c
edans par le raphé, mais qui en avant et en dehors se continue sans ligne de démarcation nette avec la formation réticulée.
du cervelet, sectionne le tronc encéphalique un peu en dehors de la ligne médiane et passe par la couche inter-olivaire e
elle série, à laquelle elle appartient du reste et qui passe par la ligne sagittale médiane du tronc encéphalique. Pour n
RVEUX. et S2 (Fig. 408 et 410), le vermis, sectionné à gauche de la ligne mé- diane, n'esl pas représenté dans cette figu
3, Fig. 408, 410 et 411). Coupe SI (Fig. 408). Coupe passant par la ligne sagillale médiane du vermis et sectionnant le t
r de la protubérance, le genou du facial et le noyau du toit - avec lignes pour le repérage des coupes sagittales S 1 as 9.
érieur du pont. Coupe sagittale médiane SI du vermis passant par la ligne de repère SI de la fig. 407. (Méthode de Weiger
éphalique de la coupe S 1 (Fig. 408) étant sectionné à droite de la ligne médiane, nous ferons précéder sa description de l
oupe sagittale médiane SI bis du tronc encéphalique, passant par la ligne de repère SI bis de la fig. 407. 2/1 grandeur n
du tronc encéphalique. - Coupe sagittale S du vermis passant par la ligne de repère S2 delaFig. 407. Méthode de Weigert-Pal
latineuse de Rolando. - Coupe sagittale S 3 du vermis, passant par la ligne de repère S 3 de la Fig. 407. Méthode de Weiger
be semi-lunaire inférieur), s'implantent d'avant en arrière sur une ligne oblique (comparer les coupes S4 et S 5, Fig. 112
3, avec les coupes S 6 et S 7, Fig. 414 et 415) qui fait suite à la ligne d'implantation de la partie hémisphérique du lo
lobe grêle, lobe digastrique, amygdale) s'effectue bientôt sur une ligne assez régulière à légère convexité supérieure (
à légère convexité supérieure (Coupes S 8 et S 9, Fig. 416 et 417), ligne sur laquelle s'insèrent en avant les lobules du
hémisphères cérébelleux (région du nid d'hirondelle) passant par la ligne de repère S4 de la Fig. 407. 2/1 grandeur nature.
au. - Coupe sagittale S 5 de la région de transition passant par la ligne de repère S 5 de la fig. 401. 2/1 grandeur nature
u.- Coupe sagittale S 6, de la région de transition, passant par la ligne de repère S 6 de la Fig. 407. Méthode de Weigert-
e cérébral au voisinage de la région de transi- tion, passant parla ligne S 7 de la Fig. 407. Méthode de Weigert-Pal. 2/1 g
e. - Coupe sagittale S 8 de l'hémisphère cérébelleux, passant parla ligne de repère 8 delà fiv. 407. 2/1 gran- deur natur
en. - Coupe sagittale S9 de l'hémisphère cérébelleux passant par la ligne de repère 9 de la fig. 407. 2/1 Gran- deur natu
protubérantiel et sont par suite obliques en haut et en avant. (Voy. lignes de repère, Fig. 431, p. 613.) Elles sont favora
encéphalique. Fig. 418. - Face latérale du tronc encéphalique avec lignes de repère indiquant le plan des coupes horizont
onnent le trou borgne supérieur, profonde dépression, située sur la ligne médiane entre les pédoncules cérébraux et la pr
ce décrivent une courbe à convexité supérieure et atteignent sur la ligne médiane un niveau plus élevé que sur les parties
ue-totalité de la calotte pédonculaire; ils s'entre-croisent sur la ligne médiane, puis se portent en dehors et en arrière,
al, au voisinage du sillon pédonculo-protubérantiel, passant par la ligne PI de la Fig. 431, p. 043. Méthode de \Veiert-Pal
et en avant de la région pédonculo-protubérantielle, passant par la ligne de repère P2 de la Fig. 431, p. 643. Méthode de W
et en avant de la région pédonculo-protubérantielle, passant par la ligne de repère P3 de la Fig. 431, p. G43. Méthode de
en avant de la région pédonculo-protubérantielle, pas- sant par la ligne P4 de la Fig. 431, p. Gr3. Méthode de Weigerl-Pal
rpendiculaire il l'axe longitudinal de la protubérance passant par la ligne H 1 de la Fig. 118, p. 615. Méthode de Weigert-
des fibres transversales de la protubérance s'entre-croisent sur la ligne médiane à angle plus ou moins obtus avec celles d
endiculaire à l'axe longitudinal de la protubérance, passant par la ligne H2 de la Fig. 418 p. 615. Méthode de Weigert-Pal,
pendiculaire à l'axe longitudinal de la protubérance passant par la ligne de repère H3 de la Fig. 418, p. 613. Méthode de W
u cervelet. Coupe horizontale H 4 du rhombencéphale, passant par la ligne H 4 de la Fig. 418, p. 615. Méthode de Weigert-
e vermis et les hémisphères; elles s'entre- croisent ensuite sur la ligne médiane du vermis, le long de l'axe du lobe cen
u rhombencéphale, passant au-dessous des noyaux du trijumeau par la ligne H5 de la Fig.418, p. Gl;i. Méthode de Weigert-Pal
dernières fibres radiculaires de la Ve paire. De chaque côté de la ligne médiane, en arrière du faisceau longitu- dinal
ouvrent les noyaux du toit et s'entre-croisent à angle droit sur la ligne médiane du vermis en formant l'entre-croisement d
externe. - Coupe horizontale H 6 du rhombencéphale, passant par la ligne H6 de la Fig. 418, p. 613. Méthode de Weigert-Pal
yaux arrondis, les noyaux du toit (Nt), situés de chaque côté de la ligne médiane du vermis, très bien déli- mités en arr
ervelet. - Coupe horizon- tale H7 du rhombencéphale, passant par la ligne H 7 de la Fig. 418, p. 615 Méthode de Weigert-P
e faisceau en con- Fie. 431. - Face latérale du rhombencéphale avec lignes de repérage des séries de coupes P et C. Les Co
la protubérance au niveau des noyaux du trijumeau et passant par la ligne C 1 de la Fig. 431. Méthode de Weigert-Pal, 2/1
ouchon et le tiers infé- rieur de la protubérance et passant par la ligne C2 de la Fig. 431. Méthode de Wei- gert-Pal.9/1
es des nerfs moteur oculaire externe et facial, et pas- sant par la ligne C 3 de la Fig. 431. Méthode de Weigert-Pal. 2/1 g
sectionnant le tiers inférieur de la protubérance et passant par la ligne C 4 de la Fig. 431. La cavité du quatrième ventri
stérieures ont encore diminué, et qui présente de chaque côté de la ligne médiane les noyaux du toit (Nt). De ces noyaux
tubérantiel, intéresse le noyau d'origine du facial et passe par la ligne C 5 de la Fig. 431. La cavité du quatrième ventri
stérieure de l'olive; on ne peut le suivre sur cette coupe jusqu'à la ligne médiane du vermis. A droite, le pédoncule cér
cculus et la partie supérieurè du bulbe rachidien et passant par la ligne C 6 de la Fig. 431. (La cavité du quatrième ventr
e sur cette coupe une fente transversale étroite, plus large sur la ligne médiane, limitée en avant par le bulbe, en arrièr
ontale H 8 du bulbe, aux confins de la protubérance, passant par la ligne H 8 de la Fig. 418, p. 615. Méthode de Weigert-
est toutefois pas très intime. La coupe intéresse, en effet, sur la ligne médiane entre les deux pyramides, le trou borgne
NATOMIE DES CENTRES NERVEUX. - Coupe transversale H9 passant par la ligne H9 de la Fig. 418, p. 615. Mé- thode de Weigert
passant par le plan d'émergence du nerf glosso-pharyngien et par la ligne H10 de la Fig. 418, p. 615. Méthode de Weigert-
blanche et grise. - Coupe transversale Hll du bulbe passant par la ligne Hll de la Fig. 418, p. 615. Méthode de )'eigert
latéraux du bulbe. - Coupe transversale H 12 du bulbe passant par la ligne H12 de la Fig. 418, p. 615. Méthode de Weigert-
s noyaux latéraux du bulbe. - Coupe transversale H13 passant par la ligne H13 de la Fig. ·'r18, p. 615. Méthode de Weiger
e noyau.juxta-olivaire interne. Coupe transversale H14 passant par la ligne H14de la Fig. 118, p. 615. Méthode Weigert-Pal.
noyaux latéraux du bulbe. - Coupe transversale H 15 passant par la ligne H 15 de la Fig. 418, p. 615. Méthode Weigert-Pal.
l'entre-croisement piniforme.-Coupe transversale H16 passant par la ligne H 16 de la Fig. 418, p. 015. Méthode de Weigert-P
tions; ses dimensions antéro-postérieures se sont très réduites. La ligne médiane est occupée par l'e ? tîe-c2,oise ? ? i
- tre-croisement piniforme. - Coupe transversale H17 passant par la ligne H 17 de la Fig. 418, p. 615. Méthode de Weigert
formation réticulée grise. Coupe trans- versale H18 passant par la ligne H18 de ! a Fig. 418, p. 015. Méthode [de Weiger
ion réticulée grise. Coupes transversales H19 et H20 passant parles lignes H19 et H20 de la Fig.18, p. 615. Méthode de Weige
res du cordon antérieur (Ca) qui la recouvre, de telle sorte que la ligne oblique, qui limite sur la coupe H 18 (Fig. 448)
entoure le canal épendymaire, on trouve en avant de chaque côté de la ligne médiane, les derniers vestiges de la colonne nu
région du collet du bulbe. - Coupe transversale H21 passant par la ligne H21 de la rig ? r18, p. 013. Méthode de Weigert
fins de la moelle cervicale. Coupe transver- sale H22 passant parla ligne H22 de la Fig. 118, p. 015. Méthode Weigert-Pal.
ostérieures, qui étaient situées (coupe H 21, Fig. 451) sur la même ligne transversale que la substance grise centrale, se
e le bord postérieur de la substance grise centrale s'excave sur la ligne médiane et que les cordons postérieurs s'étendent
e l'émergence de la première racine cervicale. Coupe passant par la ligne H23 de [la Fig. 418. Méthode de Weigert-Pal. 6/
médiatement d'une gaine de myéline (I)e- nissenko), traverse en ligne droite ou légère- ment courbe la couche e gra
toit d'une véri- table capsule de fibres et s'entre-croisent sur la ligne médiane du vermis au-dessous de l'entre-croisem
, en dehors et en avant, où elles se continuent directement et sans ligne de démarcation nette avec les pédoncules cérébe
lumineux en haut et en avant, où il se continue directement et sans ligne de démarcation avec le pédoncule cérébelleux infé
n voit les fibres semi-circulaires externes s'entre- croiser sur la ligne médiane en décrivant un grand arc ouvert en avant
13 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
ouve dans le sillon qui sépare la protubérance du bulbe, près de la ligne médiane,le nerf de la Ge paire ou moteur oculaire
est aussi anormal ; sa diaphyse est amincie ; elle est bordée d'une ligne sombre qui indique un épaisissement du tissu co
. Il déborde de 10 centimètres le rebord des faus- ses côtes sur la ligne mamelounaire. Il est très congestionné, rougeàtre
latineuse de la corne postérieure, la périphérie de la moelle, et une ligne virtuelle parallèle au sillon médian postérieur
gions lombaire et dorsale, celte zone est limitée : en dedans par une ligne virtuelle, parallèle au sillon médian postérieu
rant 7 cm. 5 de long et 2 cm. 5 de large : elle ne dépassait pas la ligne médiane. L'autre parlait de la queue du sour- c
ez les individus âgés et amaigris. A la nuque, de chaque côté de la ligne médiane, on constate une masse os- seuse sembla
rdée latéralement par le bord in- terne des omoplates écartés de la ligne médiane, et limitée, en haut, par les faisceaux
et les insertions musculaires qui vont jusqu'à la bifurcation de la ligne âpre. Cette disposition est surtout marquée à g
ors une démarche surtout titubante dépassant droite et il gauche la ligne de marche, avec quelques mouvements de projection
a fosse crânienne antérieure on ne voit que des os et le long de la ligne médiane courent des faisceaux qui commen- cent
). 2° Front à bosselures latérales, présentant de chaque côté de la ligne médiane un soulèvement, une bosselure comparabl
trie plus ou moins prononcée. 3° Front en carène, présentant sur la ligne médiane une saillie qui suit le trajet de la su
a région occipito-parié- tale ; 2° C'est un crâne parcouru sur la ligne médiane et dans le sens antéro- postérieur par
e et la face sont loin d'être divisés en deux moitiés égales par la ligne médiane représentée ici par un trait. Le segmen
, principalement du côté gauche, où la dépression est d'environ une ligne dans quelques endroits ; ces mômes os sont plus
on congénère. Il en est de même de la crête de la face postérieure ( ligne oblique du tibia). La forme de l'os est d'aille
e du côté droit la limite antérieure de la corne se traduit par une ligne sensiblement horizontale, du côté opposé, elle se
Réduction de 1/2. 268 ACHARD ET LÉOPOLD-LÉVI manifeste par une ligne courbe présentant deux renflements dont l'un plus
mite antérieure, au lieu d'être convexe, d'être représentée par une ligne courbe, se traduit par une ligne rectiligne. On c
onvexe, d'être représentée par une ligne courbe, se traduit par une ligne rectiligne. On compte 101 cellules il gauche, 9
u côté droit, la limite externe de la corne est représentée par une ligne droite qui unit la corne antérieure la postérieur
ment manifeste. Du côté opposé, la corne antérieure limitée par une ligne courbe fait saillie. Quant aux cellules elles-m
: 1° Une portion du temporal droit, longue d'un pouce et large de 2 lignes , soudée à la fois à l'apophyse coronoide du max
longue de 10 pouces 1/2, large de 8/10 à 2 pouces, épaisse de 2 à 4 lignes , s'attache par des fibres tendineuses à la crêt
située comme celle de gauche, large de 1/4 à 1/2 pouce et de 2 il 3 lignes d'épaisseur. Elle s'insère, par des fibres tend
- tout abdominale. Dans la paroi abdominale, il 7 centimètres de la ligne blanche, sous la peau, se voient des bandelette
osseuse de sept centimètres et demi insérée un peu -en dedans de la ligne axillaire, sur la 4e côte. Elle était réunie à la
ossifiées du trapèze (1). Circonfé- rence du thorax au niveau de la ligne mamelonnaire, 68 centimètres, la plus grande ex
dans un même plan vertical. Donc, en allant de bas en haut on a une ligne droite allant jusqu'à la partie moyenne du dos ;
moment donné contact avec le plan, puisque l'un et l'autre sont des lignes droites ; ils ne pourront loucher la table si
ylosé de Duf...; les colonnes lombaire et dorsale infërieuressonten ligne droite; la partie supérieure du rachis est incl
lan. · UN CAS DE SPONDYLOSE RnIZ011ÉLIQUE 325 au-dessus vient une ligne droite qui s'étend jusqu'à la partie moyenne de l
ie supérieure parait redressée, et sa crête épineuse se continue en ligne droite avec les apophyses épineuses des vertèbr
à gauche, ankylose en flexion de la cuisse gauche) ; la distance en ligne droite de l'épine iliaque antérieure et supérie
n avant, ou se ploie au genou si les deux pieds restent sur la même ligne (position très instable, qui ne peut guère être
le plan incliné des oreillers. La partie inférieure de son rachis, ligne droite, repose sur le lit. La cuisse gauche reste
cuisses soudées en l'extension complète, dans le prolongement de la ligne droite de son rachis. Les articulations des épa
nstinctivement dans le but d'éviter ou de diminuer la dou- leur. La ligne droite dorso-coccygienne est le complément de cet
mbo-sacrée s'est produite chez un malade alité. Elle s'est faite en ligne droite et en môme temps l'ankylose des hanches
stance qui sépare la commissure buccale du tragus est de 3 pouces 8 lignes il gauche, de 4 pouces 2 lignes et demie à droi
buccale du tragus est de 3 pouces 8 lignes il gauche, de 4 pouces 2 lignes et demie à droite. La malade éprouve une sensatio
u nez est dévié vers la droite, de un demi-centimètre au delà de la ligne médiane. La déviation de la lèvre supérieure dans
e point. Traînée pigmentaire avec poils frisottés (de nègre) sur la ligne médiane antéro-postérieure, dans la ré- gion oc
se frontale saillante. La saillie anormale de la face s'arrête à la ligne médiane dé- viée du côté gauche : un trait pass
iteurs. IIÉ\IIIIYPERTROPnIE FACIALE 31 centimètres à gauche de la ligne médiane. Les tissus mous ainsi que les os sont
s) ; toute la physionomie semble participer à cette déviation et la ligne médiane du visage forme une courbe à concavité
e conservé leur diamètre normal. » D'autres causes entrent-elles en ligne .de compte, telles que traumatis- mes, émotions,
régulièrement quadrilatère; elle peut être délimitée au moyen d'une ligne qui, commençant au sommet de la tête et à l'extré
xtrémité antérieure du la suture sagittale et descendant suivant la ligne médiane du front, du nez et du menton, irait ga
e poussée. Elle s'étend en dedans jusqu'à une faible distance de la ligne médiane ; en bas bien au-dessous de l'angle infér
rige vers la première vertèbre lombaire et une deuxième qui suit la ligne axillaire jusqu'à la crête iliaque. Godlée a as
dorsal ; son extrémité inférieure correspond à la 10" côte, sur la ligne scapu- laire. L'autre se trouve sur le côté gau
ôté gauche ; elle offre la même forme et s'étend de l'aisselle à la ligne scapulaire de la 8e côte ; toutes les deux sont m
lace aussi. Il peut être porté sur le côté, mais non en arrière de la ligne axillaire postérieure, en avant de 45°. Cette d
la région lombaire, une masse plate très mobile. Elle s'étend de la ligne médiane à deux pouces en dehors, et verticalement
rées. Bras droit. Abduction et flexion de 15°, extension jusqu'à la ligne axil- laire médiane. ' Bras gauche. Abduction
1/2 dont deux pouces à droite et deux pouces et demi à gauche de la ligne médiane. Les vertèbres sacrées sont à peine un pe
une matière moins durable ! Retracer cette oeuvre dans ses grandes lignes fut ma première préoccupation, lorsque m'échut
ntes; les accidents, toutes sortes d'empoisonnement et, en première ligne , l'alcoolisme. Pour déraciner le mal, il faut d
auche d'une physiologie pathologique de la moelle, dont les grandes lignes se retrouvent dans notre conception na- turelle
ver ces fonds, les ouvriers se placent d'un seul côté, sur une même ligne , puis dans un premier temps élèvent la pièce ju
'est aperçu, qu'il ne pouvait éle- ver son bras droit au delà de la ligne horizontale. Il a pourtant continué son travail
sain : ainsi,au niveau de l'épine scapulaire, il est distant de la ligne médiane de 9 centimètres tandis que au même niv
En outre ce même bord spinal de l'omoplate droite est parallèle à la ligne ra- chidienne, tandis que la gauche est netteme
cusée. Le bord spinal de l'omoplate est toujours plus éloigné de la ligne médiane que du côté sain (7 1/2 à droite, 5 1/2
PI. XLIII, C). 2° Les bras élevés directement en avant jusqu'à la ligne horizontale . La déformation a changé complètem
e par la portion claviculaire du trapèze, autrement dit derrière la ligne du cou il l'épaule. 422 A. SOUQUES ET P. DUVAL
n accen- tuée : l'angle inférieur est à 4 centimètres environ de la ligne médiane, l'angle supéro-interne à 10 centimètre
ans l'attitude précédente ; en effet l'angle inférieur vient sur la ligne médiane, tandis que l'angle supéro-interne en res
ants plus élevé et plus oblique. 4° Elévation du bras au delà de la ligne horizontale. - L'élévation volon- taire du bras
ion volon- taire du bras, soit en avant, soit en dehors, atteint la ligne horizontale mais ne la dépasse pas. Si on a soi
NTELÉ 423 bord spinal du scapulum reste toujours plus éloigné de la ligne médiane à droite qu'à gauche, et l'os in loto p
Dans cette attitude, l'omoplate reste notablement plus éloignée de la ligne médiane que du côté sain, eu même temps qu'un p
considérable de la moitié droite du thorax et une altération de la ligne latérale du thorax. Cette ligne, au lieu d'être o
e du thorax et une altération de la ligne latérale du thorax. Cette ligne , au lieu d'être oblique, comme du côté sain, en
thoracique disparaît dans la partie inférieure de la paroi. - La ligne latérale du thorax en S allongée est aussi accent
te du thorax est plus large et plus bombée que la moitié gauche. La ligne latérale décrit une courbe identique il celle que
vant tout du scapulll1n alat1l97t. Au-dessous du prolongement de la ligne bi-mamelonnaire se voit, sur la paroi latérale
t, en outre, le bord supéro-interne du scapulum pointer derrière la ligne qui va du cou à l'épaule. - y) Bras en élévat
xiste plus, mais la voussure est tout aussi accusée, de même que la ligne en S allongée. Le creux de l'aisselle est tout à
e trapèze scapu- laire rapproche le bord spinal de l'omoplate de la ligne médiane, fixe ce bord contre le thorax et lui i
s. D'autre part, ils sont antagonistes : le premier rapproche de la ligne médiane le bord spinal du scapulum, le second l'e
péremptoirement prouvée, s'il en était encore besoin, par quelques lignes de Duchenne, qui nous ont frappés. Duchenne (1)
masse de l'omoplate. 3° Eloignement du bord spinal par rapport à la ligne médiane. 4° Obliquité du bord spinal. 5° Ecar
lontaire du bras. 1° Impossibilité d'élever le bras au-dessus de la ligne horizontale. 2° Déformation en aile du scapulum
masse du scapulum. 2° Rapprochement du bord spinal par rapport à la ligne médiane. 31, Parallélisme de ce bord par rappor
1° Possibilité (dans quelques cas) d'élever le bras au-dessus de la ligne horizontale. 2° Déformation en aile de scapul
roportion de l'abaissement de l'angle externe et se rapproche de la ligne médiane, en faisant une saillie sous la peau. »
ison de l'éloignement du bord spinal de l'omoplate par rapport à la ligne médiane. Cet éloignement relève évidemment de l
force tonique suffit à le maintenir à cinq ou six centimètres de la ligne médiane. Il est vrai que le rhomboïde et l'angula
s, en réalité, ces deux mus- cles rapprochent très faiblement de la ligne médiane le bord spinal du scapulum. Ils ont sur
pos, à l'état normal, ce bord spinal est à peu près parallèle il la ligne médiane, dont il reste distant de six centimètr
ent à élever l'angle inférieur du scapulum et à le rapprocher de la ligne rachi- dienne. Mais la « pathologie ne confirme
aisse pendant que son angle inférieur s'élève et se rapproche de la ligne médiane. On doit donc prévoir que, si le grand de
e mouvement, c'est l'impossibilité d'élever le bras au-dessus de la ligne horizontale. L'élévation volontaire ou physiolo
dans la paralysie de ce muscle, le bras peut être élevé jusqu'à la ligne horizontale par la contraction isolée du deltoïde
Mais l'action élévatrice s'arrête là, et le bras ne dépasse point la ligne horizontale, quelque effort que fasse le malade
n se rappe- ler le mécanisme de l'élévation du bras au-dessus de la ligne horizontale. Pour que le bras dépasse l'horizon
Il a donc double raison pour ne pas élever le bras au-dessus de la ligne ho- rizontale, le mouvement de rotation nécessa
chez cet homme, est obligé de borner son mouvement d'élévation à la ligne horizontale, faute d'adjuvant, c'est-à-dire faute
grand dentelé est paralysé et que le sujet élève le bras jusqu'à la ligne horizontale, c'est le muscle deltoïde qui se co
que le trapèze n'intervient pas dans l'élévation du bras jusqu'à la ligne horizontale. La paralysie du grand dentelé en s
e. Il a surtout pour rôle d'éloigner lebord spinal du scapulumde la ligne médiane, tout en le maintenant contre le thorax,
s'élèvent, et que l'angle inférieur en s'élevant se rapproche de la ligne médiane. Le bord spinal du scapulum devient ain
lé est paralysé, l'angle inférieur de l'omoplate se rapproche de la ligne mé- diane et l'obliquité du bord spinal, de has
ment de bascule qui élève l'angle infé- rieur et le rapproche de la ligne médiane. Tandis que Duchenne incrimi- nait la p
, il élève davantage l'angle inférieur et le rappro- che plus de la ligne médiane. Il s'ensuit évidemment une obliquité plu
sse de cet os, le rapprochement de son bord spinal par rapport à la ligne médiane, le détachement de ce bord spinal par rap
t qui, comme nous l'avons mon- tré, rapproche plus l'omoplate de la ligne médiane que l'élévation du bras en avant. Dans
n avant que dans l'élévation en dehors ; 2° La modification de la ligne latérale du thorax; 3° La voussure de la paroi
le scapulum alatmn rend compte, en grande partie de l'aspect de la ligne latérale du thorax. D'autre pari, la paraly- si
e son bord spinal, d) l'éloignement de ce bord spinal par rapport à ligne médiane, e) l'écartement de ce même bord par ra
GRAND DENTELÉ 445 a) l'impossibilité d'élever le bras au delà de la ligne horizontale, b) l'élévation en masse de l'omopl
ord spinal, d) le rapprochement de ce bord spinal par rapport il la ligne médiane, e) la situation en aile du scapulum.
déprimé, tandis que l'angle inférieur s'élève et se rapproche de la ligne médiane ; en même temps le bord spinal de l'omo
de la poitrine en un point qu'elle détermine très précisément, sur la ligne axillaire postérieure au niveau de la dixième c
mité sur le prolongement de la dixième côte, un peu en dehors de la ligne blanche (bouton diaphragmatique.) : entre les deu
ce de la clavicule, De la paroi antérieure des aisselles, entre une ligne qui passerait au niveau du mamelon et la ligne
aisselles, entre une ligne qui passerait au niveau du mamelon et la ligne axillaire, part un véritable cordon dur, de l'é-
formation des gros-orteils ; ils sont raccourcis et repliés vers la ligne médiane du pied de sorte que leur extrémité est a
r de la tumeur lombaire et finalement celle-ci s'étendit jusqu'à la ligne axillaire. Dernière attaque en 1890. Depuis, fo
de facture, une tendance évidente à saisir vite et bien les grandes lignes d'un ensemble. Paysages naïfs, mais témoignant dé
, un véritable schéma; mais ce schéma n'a rien d'artificiel, chaque ligne y résumant un faisceau de lignes naturelles. De
chéma n'a rien d'artificiel, chaque ligne y résumant un faisceau de lignes naturelles. De ta l'impression de la vérité, souv
bserver. Il recommandait de chercher d'abord à saisir les « grandes lignes », les « gros SYIIIP- tômes n. Foill des menus
énuées par les ails. meubles d'un luxe sobre, aux ors élcillls, aux lignes irréprochables, peintures, sculptures et bibelots
n a fait la reproduction, avec uu sens si précis de l'archaïsme des lignes qu'il l'aul y regarder de bien [très pour découvr
u quelque type local : homme, femme, enfants, esquissés eu quelques lignes , mais toujours pris sur le vif cl d'un réalisme
collines où quelques villages sonl perchés. Tout cela en quel- ques lignes , nelles, fermes, décidées, sans hachures/ sans ép
14 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
plus essentielles sont corrigées dans l'errata suivant : Page 127, ligne 24, au lieu de : « des extenseurs du tronc; il ré
es 361, 363 et 364, au lieu de : anormale, lisez : anomale. Page 384, ligne s , au lieu de : « deux courbures régulières », l
ulières », lisez : « deux courbures d'abord régulières ». Page 480, ligne 31, au lieu de : « comme on l'a vu » , lisez : «
tournée en arrière. Cette coaptation est en général irrégulière ; la ligne suivant laquelle les surfaces nouvelles se réunis
mise dans mon service. Il n'existe sur sa colonne aucun vestige de la ligne de coaptation ; on ne voit qu'un seul os formé pa
cas précédent ; mais le rachis s'incline en avant, et représente deux lignes droites formant un angle dont l'apophyse saillant
èvent en pointe, et la courbe est pour ainsi dire formée de plusieurs lignes droites brisées ou de plusieurs angles. Les apoph
antes dans le mal vertébral ; elles se continuent, au contraire, sans ligne de démarcation bien tranchée avec le reste de la
bien, descendant au-devant des scalènes, il vient se collecter sur la ligne médiane, en arrière des cavités du pharynx et du
à ce jour permettent toutefois de la placer dès à présent sur la même ligne que les autres méthodes. Je termine en vous mon
ces deux éminen-ces osseuses ne se trouvent plus situées sur une même ligne verticale. Ce signe a de la valeur et doit toujou
; on éprouve quelquefois, il est vrai, de la difficulté à établir une ligne de démarcation précise entre cette dernière catég
l'échancrure sciatique, se trouve encore sensiblement placée sur une ligne horizontale passant par le centre de la cavité co
pose le bassin de manière que les épines iliaques soient sur une même ligne transversale, perpendiculaire à l'axe du corps. D
, malléoles, rotules, etc., sont situées à une hauteur inégale, et la ligne qui les unit est oblique par rapport à la ligne d
auteur inégale, et la ligne qui les unit est oblique par rapport à la ligne des épines iliaques. Si, au contraire, le sujet é
oule de cire. Cet instrument a l'avantage d'indiquer les distances en ligne droite, au lieu des lignes courbes que décrit le
nt a l'avantage d'indiquer les distances en ligne droite, au lieu des lignes courbes que décrit le ruban en s'adaptant à la fo
nter résulte de ce que cette éminence osseuse se trouve séparée de la ligne médiane du corps, chez les sujets atteints de lux
r rapport à l'autre. La distance qui sépare le grand trochanter de la ligne médiane du coccyx est moins considérable du côté
ins habiles. Mes deux pouces étant placés sur les crêtes iliaques, la ligne qui les unit est transversale à l'axe du corps. V
nit est transversale à l'axe du corps. Vous voyez au contraire que la ligne qui va d'un trochauter à l'autre est fort oblique
auche ; le grand trochanter droit est plus reculé, plus éloigné d'une ligne verticale abaissée de l'épine antéro-supérieure q
il y a abaissement du col, si la tête fémorale est située sur la même ligne que le trochanter. L'étendue des mouvements de la
ré. Les cornées sont exemptes de taies. L'œil droit n'aperçoit qu'une ligne noire là où l'œil gauche distingue nettement des
t elles coïncident enfin lorsqu'il n'est plus distant que de quelques lignes du dos du nez. * Si l'on ferme l'œil gauche, on
n avant avec le métatarse pour replacer la pointe du pied sur la même ligne que le talon. A ce degré, les mouvements normaux
on obliquité permanente. Le muscle, qui tend toujours à se diriger en ligne droite, s'est trouvé porté à son côté interne et
es souliers, p. 51, 1781. Cependant Delpech, dès 1823, écrivait ces lignes remarquables , qui renfermaient tout l'avenir de
vement au lieu d'application, il faut se rappeler que les différentes lignes articulaires du pied sont affectées de diverses m
s du pied sont affectées de diverses manières. Les principales de ces lignes sont les lignes tibio-tarsienne (1) Chirurgie c
ffectées de diverses manières. Les principales de ces lignes sont les lignes tibio-tarsienne (1) Chirurgie clinique de Montp
illet 1856. et médio-tarsienne. Mais il faut aussi tenir compte des lignes astra-galo-calranienne et tarso-métaiarsienne, ai
K Les déviations sont simples quand elles n'affilient qu'une de ces lignes , composées lorsque plusieurs sont atteintes. Da
les déviations composées, la force mécanique doit agir sur toutes les lignes articulaires déviées, sur toutes les déviations é
dit, c'est-à-dire après avoir effacé les inclinaisons des os dans les lignes astragalo-calcanienne, médio-tarsienne et tarso-m
Dans le traitement, il faudra agir dans le même sens pour toutes les lignes articulaires. La mère de cet enfant nous dit qu
Au pied, le tendon du court péronier se trouve sur le trajet d'une ligne étendue du bord postérieur de la malléole externe
-peau (1) conseilla de couper le tendon au pied. On le trouve sur une ligne étendue du scaphoïde à la malléole interne; il de
e. Paris, 1839, t. Ier, p. 570, 2e édit. manifeste le long de cette ligne , quand le sujet porte fortement le pied dans l'ad
es conditions anatomiques. Dans la subluxation du varus, en effet, la ligne que j'indiquais tout à l'heure disparaît, le scap
'examen d'une coupe comprenant le tendon et la cicatrice, on voit une ligne de démarcation entre le tissu nouveau et le tendo
, brillant des fibres tendineuses; elles ne sont point fasciculées en lignes parallèles, mais finement entrelacées en tous sen
rbure du cubitus et du radius ; celle des muscles fixés le long de la ligne âpre, dans la courbure du fémur; des muscles de l
ariétale est déjà fort rétrécie; elle se trouve située à gauche de la ligne médiane, sur laquelle on sent une saillie osseuse
Une longueur de k centimètres séparait le côté externe du genou d'une ligne droite tirée du grand trochanter à la malléole ex
s des sens et du mouvement. Il suit de là que, de même que dans cette ligne brisée que vous avez sous les yeux , s'il se prod
'articulation sacro vertébrale correspond directement au-dessus d'une ligne qui joindrait les deux têtes des fémurs. Or, da
ère afin de rester dans le prolongement de la verticale élevée sur la ligne interfémorale. De là la courbure lombaire, qui re
a station, il faut que la verticale du centre de gravité tombe sur la ligne qui joint les deux cavités cotyloïdes. La lordose
cotyloïdes. La lordose porte le centre de gravité en arrière de cette ligne ; il faut donc qu'un mouvement inverse le reporte
sque, une sorte d'angle arrondi, au-dessus duquel le rachis forme une ligne presque droite , fortement inclinée en arrière. C
représente la courbure, mais à la corde de cet arc, c'est-à-dire à la ligne qui joint ses deux extrémités. La courbure vertic
La courbure verticale se termine donc par ses deux extrémités sur une ligne verticale. La courbure oblique a son extrémité su
le. La courbure oblique a son extrémité supérieure en dehors de cette ligne verticale ; elle est oblique droite, oblique gauc
e ; elle ne fait que ramener l'extrémité supérieure de la courbe à la ligne médiane. Les enfants, les femmes encore jeunes pr
rachis. Le mouvement qui se produit pour ramener les vertèbres sur la ligne médiane donne lieu à une courbure verticale, form
ple du tronc, et en ramenant en sens inverse le haut du corps vers la ligne médiane ; ou bien en courbant d'abord le haut du
r redressée au point d'être transformée, en tout ou en partie, en une ligne droite, de sorte qu'une surface tout à fait plane
nullement en arrière, où les apophyses épineuses sont placées sur une ligne sensiblement droite. C'est une disposition très-f
vient du côté de la concavité de la courbure et reviennent ainsi à la ligne médiane, dont l'inclinaison de la vertèbre tend à
que par une déviation des apophyses épineuses qui les rapproche de la ligne médiane, sans les y ramener complètement. Il est
droite ; saillie lombaire gauche très-légère, presque inappréciable; ligne des apophyses normale. IVe cas. — Garçon de onz
ale gauche par flexion habituelle à droite. Les apophyses forment une ligne onduleuse en S très-peu accusée, qui devient tout
sacrum, revient à droite par une inclinaison opposée, s'écarte de la ligne médiane dans ce sens d'autant à peu près qu'il s'
écarté dans l'autre, et se porte de nouveau à gauche pour regagner la ligne médiane vers la région cervicale, qui ne particip
marqué aux deux extrémités de l'arc, à leur point de jonction avec la ligne verticale. Ces petites courbes en retour, produit
ttent aux muscles de ramener les deux extrémités de la courbe dans la ligne médiane. Mais il y a plus : l'équilibre rompu p
mplète, et la partie supérieure du tronc reste inclinée et hors de la ligne verticale passant par le centre de gravité. Cette
impossibles. Le cou, en totalité, est porté à droite, très-loin de la ligne du centre de gravité; le rachis, dans son ensembl
ico-dorsale, qu'une courbure en retour; elle ne fait que ramener à la ligne médiane l'extrémité inférieure de la courbe princ
e les vertèbres de la courbure principale s'éloignent davantage de la ligne médiane, elles entraînent de leur côté les vertèb
es courbures voisines. La corde de celles-ci ne se trouve plus sur la ligne médiane; elle s'incline à droite ou du côté conve
i les (1) Voy. pl. 3, fig. 2; pl. 6, fig. \. 15. ramène vers la ligne médiane. La figure du rachis, ainsi fortement cou
n dorsale; l'espace manque pour que son sommet s'éloigne autant de la ligne médiane (3). Cette pièce est une de celles où la
concavité de chacune d'elles, restent toujours plus rapprochées de la ligne médiane. De là résultent les faits suivants : 1
ées de la ligne médiane. De là résultent les faits suivants : 1° La ligne des apophyses épineuses, dans les courbures multi
igne des apophyses épineuses, dans les courbures multiples, croise la ligne des corps vertébraux une ou plusieurs fois, suiva
, comme dans la courbure normale, que les apophyses épineuses sont en ligne droite, quoique les corps décrivent une courbe ma
ongue, et il semble qu'elle ait été forcée de se replier autour d'une ligne plus courte et moins flexible. La rotation des
ncé à son extrémité xiphoïde. Cet os reste ordinairement situé sur la ligne médiane, et n'est plus en face du rachis porté ve
ité. Les plus déformées, celles donila courbure est remplacée par une ligne droite, font saillie dans l'intérieur du thorax;
culaires, en vertu de leur tonicité, tendent à parcourir, suivant une ligne aussi rapprochée que possible de la ligne droite,
nt à parcourir, suivant une ligne aussi rapprochée que possible de la ligne droite, l'intervalle qui sépare leurs insertions
périeur, attirent les vertèbres horizontalement et les écartent de la ligne médiane. C'est une erreur de Levacher de la Feutr
, une génération. D'autres fois cette transmission semble se faire en ligne collatérale ou indirecte. Lorsqu'il y a plusieurs
ec la courbure latérale normale; les apophyses épineuses sont sur une ligne droite, ou bien leur déviation est si peu sensibl
ale à la crête médiane du sacrum, et en mesurant la distance de cette ligne aux apophyses les plus déviées, ce qui donne la f
à la hauteur des lombes : le flanc gauche, saillant, est sur la même ligne que la hanche; le droit décrit, au contraire, une
t sur la même ligne que la hanche; le droit décrit, au contraire, une ligne concave fortement rentrée. Il y a compensation ex
La base de cette sorte de protubérance se confond en dedans avec la ligne courbe des apophyses épineuses ; le milieu de cet
ans avec la ligne courbe des apophyses épineuses ; le milieu de cette ligne est souvent caché sous les muscles de la gouttièr
t celle des corps vertébraux, et qu'elles peuvent être ramenées à une ligne droite sans que la colonne antérieure cesse d'êtr
rachis dans les conditions les plus favorables à son développement en ligne droite. Elle est particulièrement nécessaire s'il
ntale les place dans, la meilleure condition possible pour croître en ligne droite, et supprime , au moins momentanément , l'
dos, le massage de la même région, etc. Il faut placer sur la même ligne que ces médications la gymnastique, c'est-à-dire
pas le rachis à changer de direction; il peut continuer de croître en ligne courbe, si cette tendance de l'acte formateur per
de l'épaule tirent sur les vertèbres déviées et les rapprochent de la ligne médiane, ou que, dans l'action du membre thoraciq
les membres inférieurs. Les progressions ou locomotions se font en ligne horizontale, verticale ou oblique; la progression
re avancer par une suite de sauts sur les mains. .La progression en ligne verticale ou oblique, de bas en haut et de haut e
comme sur cette enfant, elle disparaît complètement en apparence ; la ligne des apophyses est droite, ce qui ne veut pas dire
hyses est droite, ce qui ne veut pas dire qu'il en soit de même de la ligne des corps vertébraux ; on n'obtient pas ici cette
oportion que par le seul effet du décubitus. L'écartement de ces deux lignes au crayon, marquant la ligne médiane et la courbe
du décubitus. L'écartement de ces deux lignes au crayon, marquant la ligne médiane et la courbe des apophyses, déjà moindre,
res accessoires diminuent également et peuvent même s'effacer dans la ligne des apophyses épineuses. L'inclinaison de l'arc l
ant que vous avez déjà vue, les pressions courbent en sens inverse la ligne des apophyses épineuses. On fait une remarque a
l'S, on ramène plus ou moins les apophyses des deux courbures vers la ligne médiane, de même que par les extensions, si la dé
e partie l'inclinaison de la courbe lombaire ; nous rapprochons de la ligne médiane le milieu de la courbure dorsale ; il se
15 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
os orteil est très gros et carré. L'extrémité des orteils forme une ligne oblique très pro- noncée de façon que l'extrémi
t, au niveau du cartilage de conjugaison du radius on peut voir uue ligne un peu sombre qui témoigne d'une calcification
l'extrémité inférieure du radius est séparée de la diaphyse par une ligne sombre. Or il ne faudrait pas interpréter cette
yse par une ligne sombre. Or il ne faudrait pas interpréter cette ligne comme une imperfection de la soudure épiphysair
a soudure épiphysaire, il en est tout autrement au contraire. Cette ligne qui est plus claire sur la plaque radiographique
que est là pour nous révéler une calcification plus accentuée de la ligne épiphysaire. Celle irrégularité de l'ossificati
é- sordonné ou pathologique. Il n'est pas rare de retrouver cette ligne cicatriciel le chez les géants infantiles et c'
le avec croissance décidément arrêtée) et en plus elle montrait une ligne un peu irrégulière à la place de l'ancien carti
au niveau des grands trochanters : les doigts louchent à peine une ligne qui passerait par le pubis. Les membres inférie
ppé, ainsi que la phalangine qui, pour s'adapter, a dû dévier de la ligne médiane, ce qui explique l'accolement du médius
sont douloureuses des deux côtés, surtout dans l'espace qui sépare la ligne axillaire antérieure et postérieure. Des douleu
Ie espaces intercostaux et dans les côtes correspondantes (entre la ligne axillaire antérieure et postérieure), la douleu
hors du mamelon droit. Dans le Xe espace intercostal gauche, sur la ligne verticale qui passe par le sommet de l'aisselle
i de l'aine gauche, sur la poitrine, sur le tronc, la nuque. Sur la ligne médiane du cou un peu il gauche de la pomme d'Ada
s dans la région supérieure de l'abdomen, sous les côtes, et sur la ligne ombilicale. La force musculaire des membres sup
uelques travers de doigt de la colonne vertébrale et surtout sur la ligne axillaire). Les Ve et VIe espaces intercostaux
uve une petite tumeur dans le Xe espace intercostal gau- che sur la ligne axillaire qu'on extirpe et examine (endothéliome
e est atteinte sur les membres inférieurs et l'abdomen jus- qu'à la ligne passant à deux travers de doigt au-dessous de l'o
sifs : Le membre supérieur droit peut être élevé en haut jusqu'à la ligne horizontale, plus loin le mouvement est impossibl
ce fait que la douleur est provoquée non par la compression sur la ligne médiane mais un peu vers le côté (aux lieux cor
serve qu'à un certain moment (lorsque le tronc a presque atteint la ligne horizontale ) la jambe du côté paralysé fléchit d
ostérieurs de la cuisse et au moment où le tronc s'approche de ¡ la ligne horizontale, une contraction du quadriceps. Il
ymétrique, la bouche est bien en place, la langue est tirée dans la ligne médiane et projetée dans toutes les directions.
a difficulté à sou- lever le membre supérieur droit au-dessus de la ligne horizontale ; la force musculaire de la main dr
nstate une matité sur le sternum et en arrière,des deux côtés de la ligne médiane, une respiration prolongée. La figure est
corps des vertèbres. La matité à la percussion des deux côtés de la ligne médiane et les vertèbres cervicales douloureuses
euses à la pression. Le Ve espace intercostal est douloureux sur la ligne parasternale et mamillaire. Les nerfs crâniens
rdon postérieur droit, près de la zone périphérique, non loin de la ligne médiane. -- " La structure de tous ces foyers e
volume d'une grosse orange, aplatie. En avant elle n'arrive pas à la ligne médiane (deux travers de doigt), en haut jusqn'
laire, en arrière elle est séparée de quatre travers de doigt de la ligne médiane, en bas, de deux travers de doiglau-des
o-cléido-mastoldiens se tendre. L'omoplate droite est séparée de la ligne médiane par une distance de cinq tra- vers de d
rmaux. Le membre supérieur gauche ne peut pas être élevé jusqu'à la ligne horizontale. Quand la malade porte le membre supé
avec une force moyenne. Le mouvement des épaules en arrière vers la ligne médiane est tout à fait aboli. Les deux omoplat
stéréographisme et qui consiste en un bourrelet blanc bordé de deux lignes rouges. Séglas et Darcanne ne foulque constater l
lle cyanose des mains et des pieds. La plus légère irrita- tion,une ligne tracée par un objet mousse est suivie immédiateme
parition d'une raie d'un blanc de craie, dermographisme .blanc; une ligne tracée avec force, amène l'apparition d'une rai
g n'était pas inutile ; il nous permettra de pré- ciser en quelques lignes ce que l'on peut observer en matière d'hystérie
ommeori- gine du spasme voici ce que l'on trouvait : à droite de la ligne médiane, dans la paroi abdominale, un peu au-de
tre irrégulier ; la tête du péroné surpasse en partie en hauteur la ligne articulaire et ainsi elle prend part à l'articula
elle aussi, déformée ; sa pointe atteint à peu près le niveau de la ligne articulaire. La rotule ne présente rien de part
ri- ces épiphysaires sont aux lieux et dans les limites normaux. La ligne interar- ticulaire ne présente rien d'anormal.
terne. Le péroné parvient avec sa pointe supérieure au niveau de la ligne articulaire. L'extrémité supérieure de cet os e
- dère la tête et la figure dans leur ensemble et que l'on vise une ligne imagi- naire passant par le sommet des bosses p
, dolichocéphale. Cheveux noirs avec un seul tourbillon occipital ; ligne d'insertion antérieure semi-circulaire ; ten- d
eurs et à l'abdo- men, à un à deux travers de doigt au-dessus de la ligne ombilicale. La sensi- bilité thermique y est ab
olontaires des jambes. Affaiblissement de la sensibilité jusqu'à la ligne passant à un ou deux travers de doigt au-dessus
la moelle épinière. (La tumeur est vue par sa face antérieure, les lignes horizontales correspondent à une série de coupe
ur de la tumeur, c'est-à-dire au niveau du VIe segment cervical (la ligne 5, fig. 18), la sub,tance grise reprendre sa form
es sont élargis. Au niveau du Ve segment cervical (au-dessous de la ligne 4 dans la fig. 18), on ne constate pas de tumeur
ieurs et sur le tronc (deux à trois travers de doigt au-dessous de la ligne ombilicale) ; cette abolition n'est pas complèt
iction en ceinture dans la région abdominale. L'anesthésie atteint la ligne ombilicale à droite, à deux travers de doigt au
ne ombilicale à droite, à deux travers de doigt au-dessous de cette ligne à gauche (En arrière jusqu'à la crête iliaque).
ÉPINIÈRE ET DE LA .COLONNE VERTÉBRALE 339 thésie arrive jusqu'à la ligne à deux travers de doigt au-dessous de l'ombilic,
ère. La moelle semble être à ce niveau un peu dilatée. En haut la ligne de séparation entre la tumeur et la moelle est bi
plus dou- loureuse. Les troubles sensitifs à droite dépassaient la ligne ombilicale. La malade est restée dans notre ser
ait surtout difficile. Vu la limite de l'anesthésie au-dessus de la ligne ombilicale, nous pen- sions que la tumeur corre
droit. 352 , ' . 1. ' FLATAU la dégénérescence se déplace vers la ligne médiane, vers les faisceaux de Goll, elle reste
gne médiane, vers les faisceaux de Goll, elle reste pourtant sur la ligne de démarcation entre ce faisceau et celui de Bu
sistance. Le membre gauche ne peut pas être soulevé même jusqu'à la ligne horizontale à cause des douleurs. D'autres* mou
ure de cette circonvolution les cellules sont disposées suivant une ligne ayant t à peu près le même parcours que. le con
la vie intra-utérine (Unna) ; puis les nævi développés suivant les lignes de Voigt,classés sous le nom de dermato-mé- tam
e, ce qu'entendent MM. Klippel et Pierre Weill. IV. Nævus sur les lignes de Voigt, c'est-à-dire disposé suivant la fron-
du 2e intercostal gauche (fig. 1, PI. XL), limité en dedans par une ligne généralement parallèle à l'axe médian du sternum,
jusqu'à la partie interne de la clavicule, et en dehors jusqu'à la ligne mamillaire. De cette masse se détache, au nivea
e, au niveau du 2° espace intercostal, et sur le prolongement de la ligne mamillaire, une bande s'incurvant au-dessus de la
ers le bord postéro-interne du bras, l'autre croisant légèrement la ligne médiane de la face antérieure du bras, descendant
ane de la face antérieure du bras, descendant parallèlement à cette ligne pour venir mourir au-dessus du pli du coude. Ce
pigmentée pour s'étaler en éventail, au niveau du creux poplité, en lignes analogues aux vibices, en atténuant progressiveme
vus présente la forme générale d'un triangle, limité en bas par une ligne sensiblement parallèle à la 5e côte sur une lon
à la 5e côte sur une longueur de 24 centimètres ; en dehors par la ligne axillaire postérieure, prolongée par le bord in
ostérieure, prolongée par le bord interne du bras ; en haut par une ligne partant du ster- num, passant au-dessus du sein
intercostal, la région mammaire, le creux de l'aisselle jusqu'à la ligne axillaire postérieure, et la partie postéro- in
e nerf perforant latéral du 3e intercostal, émergeant au niveau de la ligne axillaire antérieure, envoie son rameau postéri
la largeur moyenne d'une main. Il part en arrière (fig. 4), sur la ligne médiane, au niveau de la Se vertèbre dorsale, s
tement descendant pour croiser le bord inférieur de la 5' côte sur la ligne 1 SUR LES NÆVI SYSTÉMATIQUES 405 mamillaire (
rd inférieur de la 7e côte, pour venir mourir sans estompage sur la ligne médiane antérieure entre la pointe de l'appendice
tronc,où elle devient plus horizontale (fig.8) ; puis à partir de la ligne axillaire antérieure, elle devient nettement de
t descendante (fig. 9) pour gagner la région péri-ombilicale sur la ligne médiane, la dépassant légèrement il gau- che, p
diane, la dépassant légèrement il gau- che, puis envoyant sur cette ligne médiane un prolongement vertical, étroit, desce
es 8e, 91 et 10° segments médullaires, elle vient recouvrir vers la ligne médiane la zone d'enchevêtrement des rameaux pe
ombilic ; s'arrêtant en arrière comme en avant, très nettement à la ligne médiane. La lésion porte exclusivement sur ra p
lVxvus fissuraire pigmentaire et verruqueux, suivant notam- ment la ligne médiane de la face et du cou, et se réfléchissant
phé de la voûte palatine, du voile du palais et de la langue. Une ligne étroite de noevus pigmentaire brun, légèrement ve
te de noevus pigmentaire brun, légèrement verruqueux, suit toute la ligne médians DE la face (PI. XXLII), depuis la naissan
ssance des che- veux jusqu'à la région hyoïdienne, suivant toute la ligne médiane frontale, na- sale ; le lobule du nez,
illon labial; puis arrivant sur la muqueuse, il se réfléchit sur la ligne médiane de la voûte et du voile du palais, pass
nérales de médecine, 1901, I, p. 117. 410 ÉTIENNE voit ensuite la ligne verruqueuse reparaître sur le dos de la langue, s
la ligne verruqueuse reparaître sur le dos de la langue, suivre sa ligne médiane ; puis sur le raphé de la langue, la lign
angue, suivre sa ligne médiane ; puis sur le raphé de la langue, la ligne médiane du plancher buccal ; reparaissant sur l
divisant le menton et la face antérieure du cou. Sur cette grande ligne médiane, viennent se greffer des naevi linéaires
ires éga- lement verruqueux et pigmentaires, paraissant dessiner la ligne de réunion des différents bourgeons maxillaires
ards s'étend entre le sternum et le scapulum. Il est évident que la ligne médiane est une zone intermédiaire entre les de
riques innervant les tissus voisins ; elle est donc forcé- ment une ligne frontière de Voigt. D'autre part, les filets nerv
nerveux se déve- loppent nécessairement dans les bourgeons, et les lignes de réunion de ces bourgeons coïncideront fatale
e réunion de ces bourgeons coïncideront fatalement avec les futures lignes de Voigt. Par conséquent, les différentes porti
s différentes portions de ce nævus seraient développées suivant les lignes de Voigt. * .... Sur 7 observations, 6 inté
dant plus avec un territoire nerveux, mais au contraire suivant les lignes de Voigt, c'est-à-dire la frontière entre plusieu
nis. Reste l'interprétation des noevi sur les 'lignes de Voigt. Ces lignes ne constituent pas des régions neutres mais au
une face concave, gauche, par déviation à gauche de son sommet. La ligne des sommets tend il se rapprocher de la corde d
matières fécales. La sensibilité est notablement troublée depuis la ligne passant au-dessus des mamelons vers le bas. La se
membre su- périeur gauche et dans une zone limitée en avant par la ligne mamillaire jusqu'en bas de l'abdomen et en arri
La limite supérieure pour la région hypoesthésique est en avant une ligne passant au- dessus des mamelons, en arrière, la
en avant une ligne passant au- dessus des mamelons, en arrière, la ligne réunissant les bords supérieurs des omoplates.
La sensibilité était profondément troublée sur le tronc depuis une ligne située un peu au-dessus des mamelons jusqu'en bas
), ce qui arrive dans les cas où la tumeur siège en avant ou sur la ligne médiane. Dans certains cas les douleurs étaient
le temps ils se prononcent, deviennent plus profonds et tracent une ligne de démarcation qui correspond au pôle supérieur d
es de la sensibilité y compris le sens musculaire (au- dessus de la ligne de limite, la zone insensible apparaît quelquefoi
ocytes et de fibrine). ' Diagnostic différentiel. Ici en première ligne il faut indiquer les difficultés qu'on rencontre
puiser maints renseigne- ments utiles, mais où l'absence de grandes lignes laisse transparaître une incertitude qui décour
urs ont soutenu que le corps calleux n'avait été détruit que sur la ligne médiane et que ses parties la- térales ou intra
e qui résulte du fait que les fibres calleuses n'atteignent plus la ligne médiane.Plus loin encore ce fais- ceau se bifur
is pour une raison qui nous est incon- nue, au lieu de traverser la ligne médiane, elles ont formé dans chaque hémisphère
ajet intra- hémisphérique, fait complètement défaut au niveau de la ligne médiane. -La lyre et la cloison transparente ma
ie essentielle, des sujets qui enfin correspondent dans les grandes lignes aux individus dont nous donnons la description
les incisives supé- rieures sont très usurées par l'usage, car leur ligne de contact avec les dents liomologues inférieur
seaux. Abdomen. -Le ventre est arrondi, mais à peine proéminent; la ligne qui sépare le ventre de la région inguinale est
ns âgé que l'autre liai ni et de toute trace d'obésité ; toutes les lignes de son corps sont plus harmonieuses et ses muscle
re, de chondroépiphyse, il s'agit d'une disjonction au niveau de la ligne d'ossification. Or cette lésion n'entrave en ri
ême étudié la pathogénie de l'achondroplasie. Nous reproduisons les lignes suivantes, qui se rapportent étroitement à notr
um cameram ascendere et ibidem cum illis convivari ». Ces premières lignes du document montrent que le chroniqueur Gas- pa
ucinations, ne peut- il pas non plus nous survenir ? » » Dans les lignes précédentes, se manifeste avec abondance et ingén
nsuite dans la substance cérébrale dont elles sont séparées par une ligne sinueuse, irrégulière, mais très nettement dess
sont, comme nous l'avons dit, nettement tranchées sous forme d'une ligne irrégu- lière. Lésions épendynàires à distanc
ment dégénérée. A l'endroit où la commissure antérieure franchit la ligne médiane (PI.1,XXIII- C), la paroi interne du ve
ssure interbémisphérique. Le ventricule n'est donc plus clos sur la ligne médiane. La masse de fibres située à l'angle supé
fascicules inférieurs se dirigent horizontalement en dedans vers la ligne médiane et semblent se rendre au tubercule cendré
ngueur à la surface du noyau caudé dont il n'est séparé que par une ligne fibreuse irrégulière représentant la paroi yent
rtie laté- rale du trigone, mais il est séparé de ce dernier sur la ligne médiane par un prolongement de la pie-mère. D'a
au trigone pour former un prolongement conique qui s'avance vers la ligne médiane en passant entre le bord inférieur de l'é
ur de la circonvolution limbique pour se déferler au dehors vers la ligne médiane, mais on voit très nettement, toutefois
ntricule latéral. Le trigone est séparé du faisceau sagittal sur la ligne médiane par une incisure et plus en dehors par
face interne de l'hémisphère qui n'attei- gnent pas à ce niveau la ligne médiane. Le long du bord inférieur de la circon-
nt les fibres cons- tituantes sont dirigées pour la plupart vers la ligne médiane. Ces fascicules qui émanent de la zone
nettement séparé du trigone sous-jacent par un sillon profond sur la ligne médiane, mais plus en dehors les deux systèmes
est que son volume est moindre et qu'il s'avance moins loin vers la ligne médiane au-dessous de l'écorce limbique. Le faisc
et du faisceau sagittal médian, entre lesquels il n'existe plus de ligne de démarcation précise. Toutefois, on parvient en
on de l'hippocampe. Les fibres du trigone e ainsi refoulées vers la ligne médiane se laissent suivre à leur tour à travers
éveloppement maximum des ganglions de la base et à l'arrivée sur la ligne médiane de la commissure antérieure, un foyer hém
sur les coupes précédentes. La commis- sure antérieure traverse la ligne médiane entre les feuillets d'une membrane déli
e évidemment la commissure hypothalami- que. En arrivant près de la ligne médiane, l'anse lenticulaire semble être le siè
. Ces deux forma- tions se colorent très mal et sont réunies sur la ligne médiane par un repli pie- mérien très altéré, q
ssent pour former un long faisceau sagittal au lieu de traverser la ligne médiane et de s'irradier dans l'écorce de l'hémis
voir que dans leur cas, la commissure antérieure fait défaut sur la ligne médiane alors qu'elle se retrouve très nettement
e qu'une commissure interhémi- sphérique peut ne manquer que sur la ligne médiane. Il s'en suit naturel- lement que, du f
rmis de constater que l'état de l'ossification est dans les grandes lignes correspon- dant à celui d'un individu normal du
re de Lucerne, notre ville natale, et nous ont décidé à puhlier ces lignes . Nous donnons ci-contre des photographies de ce
; les axes du fémur et du tibia sont presque absolument sur la même ligne , au lieu de former l'angle obtus ouvert en dehors
t en dehors qui permet le rapprochement des genoux. Normalement une ligne droite par- tant du milieu de l'articulation ti
ture. A la face externe des os iliaques on ne remarque pas les deux lignes semi-cir- culaires, par contre le sourcil de la
tendon du muscle pyramidal. La face interne de l'os iliaque avec la ligne innommée, la facette auriculaire destinée à s'a
e ce fait leur face postérieure regarde en avant. On y reconnaît la ligne âpre, bifurquée à son extrémité inférieure et se
16 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
r. Fémur. Très volumineux, sensiblement pareil au fémur droit. La ligne âpre est plus effacée que du côté opposé. Le gran
ositives. Je me contente de résumer mes résultats dans les quelques lignes sui- vantes : a., En suggérant l'idée d'nne f
périence suivante : La malade lisait avec l'oeil droit la cinquième ligne du tableau de Snel- len à une distance de 104 c
es. Mais auparavant nous cher- cherons à définir la direction de la ligne de gravité dans la station droite. De la ligne
r la direction de la ligne de gravité dans la station droite. De la ligne de gravité du corps dans la station droite. La
xamen des photographies en question que, dans la station droite, la ligne de gravité passe bien en avant de l'articulation
e l'apophyse du cinquième métatarsien. Prolongée par en haut, cette ligne passe en avant du moignon de l'épaule et traver
ures forment son centre d'appui. Lorsque le visage est vertical, la ligne de gravité qui part du centre de gravité de tou
tion des muscles de la nuque a pas peson cl être énergique, caria t ligne de gravité passant très peu en avant du centre d'
visage légèrement en haut pour que Fig. 18. DE LA STATION 75 la ligne de gravité passant par le point d'appui même, l'é
de- meurant toujours au milieu, au niveau des corps vertébraux. La ligne de gravité du torse passe en effet en arrière d
es antagonistes placés en avant et en arrière de l'articulation, la ligne de gravité passant par le plan même de l'articu
par le plan même de l'articulation. Certains prétendent même que la ligne de gravité passe en avant de l'articulation et
indrait le centre des deux articulations coxo-fémorales, que passe la ligne de gravité du tronc, et que c'est en avant qu'i
ids des parties du corps situées au-dessus. Ceux qui pensent que la ligne de gravité passe au niveau ou en arrière de l'art
l'action seule de la pesan- teur. Mais il n'en n'est pas ainsi, la ligne de gravité passe en avant du cen- tre articulai
ation. En quoi consiste et où réside cette action musculaire ? La ligne de gravité du corps ainsi que je l'ai montré plus
circonscrivent la base de sustentation par laquelle doit passer la ligne de gravite de tout le corps pour qu'il y ait équi
ligne de gravite de tout le corps pour qu'il y ait équilibre. Celle ligne passe exactement, dans la station dont il est que
il est question ici, à distance égale des deux pieds en avant d'une ligne qui joindrait les apophyses des cinquièmes méta
sont absolu- ment symétriques. La verticale passe exactement par la ligne médiane de la tète, du cou etdu tronc, puis des
anches sont parfaitement horizontaux. J'appelle axe des épaules une ligne transversale qui passerait par le cen- tre arti
s deux articulations scapulo-humérales. L'axe des han- ches est une ligne de même direction traversant le centre des deux a
les uns sur les autres, de telle sorte que leurs axes décrivent une ligne brisée intéressante il bien connaître (fig. 22).
une ligne brisée intéressante il bien connaître (fig. 22). / . ? La ligne transversale qui joint les centres ar- liculair
les perce le profil en un point qui se trouve situé au milieu d'une ligne horizontale passant par la 2e pièce slernale (E
ns en avant et plus encore si les mains sont chargées de poids. Une ligne tracée du centre des hanches au centre des épaule
e des hanches au centre de l'articulation tibio-tarsienne une autre ligne représentera bien qu'im- parfaitement l'axe des
re des épaules au centre d'articulation de la tête et du cou une 3e ligne formera l'axe du cou (E 0). Et de ce dernier po
ra considérée comme représentant l'axe de la tète (0 V). Ces quatre lignes représentant les axes des différents segments du
ouvons dire que la station verticale se compose d'une succession de lignes obliques alternativement de sens inverse. Les ang
nativement de sens inverse. Les angles for- més par ces différentes lignes sont des angles obtus très ouverts. Ces angles
tendons des muscles antérieurs de la jambe. Nous avons vu que la ligne de gravité du corps devait passer sous peine de
couverte par deux pieds et de tout l'espace qui les sépare. Mais la ligne de gravité peut rencontrer cette base en divers
ion du triceps sural au calcanéum, la résistance représentée par la ligne de gravité du corps, au niveau de la nouvelle b
ctement d'après ces différents mécanismes suivant la position de la ligne de gravité, mais qu'il n'existe de stabilité que
Éditeurs DE LA STATION 88 qu'a lieu la station droite, puisque la ligne de gravite passe bien en avant de l'articulatio
ds est réalisée, il est bien clair, puisqu'il y a équilibre, que la ligne de gravité passe par la nouvelle base de susten
doit être cherchée d'abord dans l'ac- tion delà pesanteur. Si la ligne de gravité du corps passe en avant de l'articulat
re insertion c'est-à-dire du talon. Remarquons que, dans ce cas, la ligne de gravité du corps peut passer indistinctement
ibio-tarsienne ou bien en un point situé en arrière du talon. Si la ligne de gravité passe par l'articulation, le sys- tè
ticulation, le sys- tème forme un levier du 2e genre. Si cette même ligne passe en arrière du talon, nous sommes en prése
é invoqué loti Nous savons en effet que, dans la station droite, la ligne de gracile passe bien en avant de l'articulatio
saire de soulever le talon. Mais comme, dans celle expérience, la ligne de gravité ne passe pas par la nouvelle base de
e espèce de station, ne peut être maintenu qu'à la condition que la ligne de gravité passe par la base de sustentation. I
t être fait dans n'importe quelle position de la DE LA STATION 85 ligne de gravité, c'est-à-dire d'après le mécanisme var
vers gen- res de leviers. Mais la position n'est stable que si la ligne de gravité passant par les orteils, le système
axes des diffé- rents segments du corps formaient une succession de lignes alternative- ment obliques en sens contraire. D
es deux côtés du corps absolument symétriques avec accentuation des lignes droi- tes, des verticales, des horizontales, au
, pas deux régions homologues qui n'aient la même conformation. Les lignes droites ont dis- paru, partout des sinuosités o
parfois qu'un rôle un peu plus actif lui est dévolu, et lorsque la ligne de gravité tend il dépasser l'aire de sustentat
ante. Ce dé- placement latéral est nécessité par le transport de la ligne de gravité dans l'aire de sustentation du pied
uve dans l'articulation si puis- sance en dedans représentée par la ligne de gravite du torse et la résis- tance en dehor
ion verticale en considérant les différents axes déterminés par des lignes joignant entre eux les diffé- rents centres d'a
a face antérieure ou postérieure offre le plus grand intérêt. Une ligne transversale passant par les centres d'articulati
deux articulations scapulo-humérales forme l'axe des épaules. Cette ligne sur le nu se trouve la hauteur de la deuxième p
pli de l'aine mesuré de l'épine iliaque il la racine de la verge. Une ligne tracée par ces points constitue l'axe des hanch
Une ligne tracée par ces points constitue l'axe des hanches. Une ligne qui joint le milieu de l'axe des épaules au milie
s forme l'axe du tronc. L'axe du membre inférieur a été tracé de la ligne des hanches prolongée jusqu'au niveau du trochant
léchie, et l'axe des épaules incline aussi mais du côté opposé. Une ligne verticale menée du creux sus-sternal tombe sur le
bio-tarsienne de la jambe portante. L'axe du torse, c'est-à-dire la ligne qui joindrait le creux sus-sternal au milieu du
affaissée du côté portant se déve- loppe largement de l'autre. La ligne des seins est oblique dans le même sens que la li
de l'autre. La ligne des seins est oblique dans le même sens que la ligne des épau- les. Je ne parlerai pas ici de la f
r, et la condition première de la station sur un pied, c'est que la ligne de gravité du corps passe par la nouvelle base
moins accentuée, suivant que le pied s'éloigne plus ou moins de la ligne médiane. Elle s'accompagne en outre d'inclinaison
ouve- ments, contribuent, à la manière d'un balancier, à ramener la ligne de gra- vité dans la base de sustentation lorsq
la longueur de la jambe. Lorsque le corps est droit (Fig. 29). la ligne de gravité passe au niveau des genoux. Si le co
ité passe au niveau des genoux. Si le corps penche en arrière, la ligne de gravité ramenée plus en arrière passe plus p
auteur du siège, les pieds touchent ou ne louchent pas le sol. La ligne de gravité passe alors par une base de sustentati
sans crainte de chute. Il n'en n'est pas de même en arrière, où la ligne de gravité dépassant facilement la base de sust
la sériedes coupes d'arrière en avant et perpendiculairement il la ligne idéale qui réunit lacomiiiissui-e antérieure à
CONUCR. DE LA SALPLIRIIIjE T. \ Il. PL XI A XII DÉTERMINATION DE LA LIGNE DE GRAVITÉ DU CORPS DANS LA STATION DROITE L
e profil dans la station debout et si l'on se rappelle la série des lignes obliques alternativement de sens inverse qui pe
tudiées tout à l'heure et en particulier de cette disposition de la ligne de gravité en arrière de l'articulation de la han
. L'axe transversal du bassin est parfaitement perpendiculaire à la ligne de la marche. Puis l'obliquité se reproduit à n
la chute de tout le corps. Pour garder l'équilibre et maintenir la ligne de gravité dans la base de sustentation formée
en haut les épaules. La distance du bord spinal de l'omoplate a la ligne médiane est de 7 centi- mètres et cette distanc
ux côtés et les bords spinaux de l'omoplate fortement écartés de la ligne médiane, mais verticalement dirigés, tandis que
euse de la 7° vertèbre cervicale, il se trouve presque sur une même ligne transversale que l'angle du maxillaire inférieu
trophiques parmi lesquels les arthro- pathies figurent en première ligne . Le temps a eu raison de toutes les hésitations,
ès de l'apo- physe articulaire. Puis il ouvrait la dure-mère sur la ligne médiane pos- térieure, la rabattait en dehors e
partir de la 9° ou 10e apophyse dorsale jusqu'à la De lombaire, la ligne apophysaire. En effet, si l'on prend le niveau
as droit et de la jambe gauche, complètement tendus suivant la môme ligne oblique, tandis que le m ... Il bras gauche e
photographique vivant, Elle n'a pas gardé l'empreinte de toutes les lignes , de toutes les couleurs et de toutes les ombres
s'est montrée sous forme de petits abcès successifs au niveau de la ligne opératoire dans les cas de Wolff, de Sokoloff e
réc1. llous- say (10) établissent l'homodynamie des ganglions de la ligne latérale et (1) His, Zur Entwicklungsgeschichte
hogéni- quement l'oreille du vertébré est un organe sensoriel de la ligne latérale ; de plus, Houssay a signalé chez l'ax
place d'une l'ente branchiale avortée, comme tous les organes de la ligne latérale. Si l'on se reporte à ce que cet auteur
ation ectodermique homologue Il tous les organites sensoriels de la ligne latérale. C'esl, non une hranchie avortée, mais
stribution des troubles sensitifs chez le malade de l'obs. I. - Les lignes horizontales indiquent l'anesthésie et l'analgési
Les lignes horizontales indiquent l'anesthésie et l'analgésie, les lignes obliques la ther- manesthésie. LE NERF LABYRI
'opération, qu'une cicatrice linéaire placée un peu il gauche de la ligne médiane, et comme stigmates de la lésion médullai
l Richer, XXIV. Lamneclomie pour paraplégie traumatique, XLV. Ligne de gravité du corps humain (détermi- nation de
17 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
faces avivées de telle sorte que la réunion se fasse sans plis, et en ligne droite ; d'aviver profondément jusqu'à la muqueus
les uretères du côté de la vessie pour éloigner leur ouverture de la ligne de réunion. Beaucoup d'obscurité plane encore sur
ait cette opération avec 9 ou 10 fils métal-liques placés sur la même ligne . § 6, OPÉRATION DES FISTULES VESICO-UTERINES.
prises et à plusieurs jours d'intervalle, il trace sur la tumeur deux lignes transversales à l'aide du cylindre de nitrate d'a
paroi du vagin ; ceci fait, il avive avec le bis-touri les bords des lignes attaquées d'abord par le caustique, puis il repou
que, puis il repousse en haut toute la portion intermédiaire aux deux lignes transversales et réduit la hernie de la vessie ;
ie de la vessie ; il s'a-git alors de réunir l'une à l'autre ces deux lignes distantes de 2 à 3 centimètres, en laissant sous
été retirées. Les premières aiguilles sont placées aux extrémités des lignes ; on traverse d'avant en arrière la lèvre antérie
que les solutions de continuité de ce groupe suivent ordinairement la ligne médiane, on les a vues quelquefois s'écarter en f
s variétés très-inté-ressantes. Tantôt elles se trouvent juste sur la ligne médiane ; et c'est même souvent ainsi que commenc
seur de la cloison recto-vaginale ; puis on noue tous les fils sur la ligne médiane. Troisième temps. — Des incisions latér
e superficielle assurent la réunion parfaite de la peau le long de la ligne médiane. Pour vérifier l'exactitude du rapprochem
ure. Les deux surfaces symétriques ainsi avivées sont limitées sur la ligne médiane par la ligne verticale des bords de la dé
s symétriques ainsi avivées sont limitées sur la ligne médiane par la ligne verticale des bords de la déchirure, depuis son s
sommet au bord interne de la grande lèvre; en avant et en bas par une ligne droite qui réunit les deux autres, et dont la dir
randes lèvres vers l'anus. Après la suture, la réunion de la première ligne avec sa symétrique de l'autre côté formera le fon
re côté formera le fond de la plaie du côté du rectum; la réunion des lignes courbes for-mera la paroi postérieure du vagin ;
bes for-mera la paroi postérieure du vagin ; la réunion des dernières lignes formera le raphé du nouveau périnée. 2° On aviv
puis on l'en-fonce sur le même bord à la même distance à droite de la ligne médiane, pour la faire ressortir sur la peau du c
ales qui se mettent aussitôt en contact par leur bord saignant sur la ligne médiane ; le rectum est alors fermé. Ce fil ainsi
mes allongées, confondus avec l'une des lèvres et se con-tinuant sans lignes de démarcation avec le cul-de-sac vagino-utérin c
ncision. Pour réussir il faut fendre la par-tie postérieure du col en ligne droite et en arrière, depuis l'orifice du museau
ier mouvement s'opère en élevant l'anneau et le tirant en arrière, en ligne droite, pendant qu'on pousse le corps de l'instru
la chaîne qui, avant d'y pénétrer, a dù couper les tissus suivant une ligne étroite, et non les broyer largement, condition i
du cône qu'il formait avant la précipitation se confond pres-que sans ligne de démarcation avec le vagin renversé. Si l'on ve
l'utérus; pendant que dans le prolapsus il fait sentir un vide sur la ligne médiane, et des espèces de cordes sur les côtés,
uit dans la ves-sie et qu'on dirige vers le rectum est arrêtée sur la ligne mé-diane par le col hypertrophié, pendant que dan
, de ligature simple et d'étranglement. Nous terminerons par quelques lignes sur les indications, mises en regard des espèces
t peuvent être intro-duites séparément ; les crochets peuvent être en ligne droite ou à angle avec les branches, à volonté,
ure que le doigt opérait le décollement,, en suivant toujours la même ligne ; il parcourait ainsi toute l'étendue du corps fi
édicule trop haut. J'eus l'idée de faire une section verticale sur la ligne médiane du polype, de bas en haut. Le bistouri co
ation. Le premier acte est l'in-cision de la peau de l'abdomen sur la ligne médiane. La longueur de cette incision varie avec
ent diviser : peau, tissu cellulaire sous-cutané, tissu fibreux de la ligne blanche, seconde couche de tissu cellulaire dite
te couche on trouve l'ouraque, et si l'on n'est pas exactement sur la ligne mé-diane, les cordons fibreux qui représentent le
dans Eexé-cution de ce temps consiste à s'égarer sur les côtés de la ligne médiane et à prendre les aponévroses postérieures
x parties égales, est passée à travers le col utérin, en avant sur la ligne médiane, dans sa portion sus-vaginale ; l'instrum
le kyste est plutôt situé du côté droit ou du côté gauche que sur la ligne médiane; ordinairement les côtés du kvste sont en
l est épais ou chargé de flocons; la piqûre peut se faire soit sur la ligne blanche, au milieu de l'intervalle qui sépare l'o
les côtés au point le plus saillant de la tumeur; la ponction sur la ligne blanche a l'avantage de faire éviter les vaisseau
inale, et elle convient surtout lorsque le kyste est développé sur la ligne médiane. La pa-tiente doit être placée horizontal
les kystes de l'ovaire à l'aide de la pâte de Vienne appliquée sur la ligne médiane, à 27 ou 55 millimètres au-dessous du nom
pronation , pen-dant très-longtemps, après une incision faite sur la ligne mé-diane, pensa qu'il valait mieux inciser sur le
isant au-dessus de l'ombilic et les deux indi-cateurs parallèles à la ligne blanche ; si les intestins ou l'épi-ploon viennen
et le pansement. i" Section abdominale. — L'incision se fait sur la ligne blanche , à égale distance de l'ombilic et du pub
. Ces bouts de sonde, empiétant les uns sur les au-tres, forment deux lignes parallèles également distantes de la plaie dont l
mètres de la plaie, et serre ensuite for-tement les deux chefs sur la ligne médiane : c'est cette obli-quité du trajet des fi
; il se sert pour cela de deux ves-sies placées de chaque côté de la ligne blanche, et contenant chacune environ i kilogramm
ntu est introduit, comme le montre la figure, et suit le trajet de la ligne ponctuée; il enlève ainsi un biseau qui comprend
en bas on a fait parcourir à la lame le trajet oblique indiqué par la ligne ponctuée, tracée sur la coupe de la paroi utérine
nt une incision double qui a la forme d'une ellipse, indiquée par les lignes pointillées. On remar-quera que la section de la
cette espèce de paire de ciseaux, on fera une section indiquée par la ligne ponctuée. Figure ix. Figure d'ensemble montrant
rès M. Marion Sims, les sec-tions opérées par différents procédés. La ligne ab montre le résultat obtenu par les ciseaux coud
s. Les Hgnes ac, bc, le trajet parcouru par le bistouri boutonné. Les lignes de, df tracent la marche des deux la-mes du métro
que cette tige est retirée les ailes s'écartent comme le montrent les lignes ponctuées, et l'instrument se maintient seul dans
écartement. Les deux manches peuvent se replier comme l'indiquent les lignes ponctuées, ce qui en fait un instrument très-port
. Pessaire de Meigs ; ressort de montre recouvert de gutta-percha. La ligne ponctuée indique la forme qu'on lui donne pour l'
polype. Pour obtenir cet effet, l'une des branches est fendue sur la ligne médiane, et un écrou placé sur l'autre branche se
au de tanche. Q portion sus-vaginale du col de l'utérus. R rectum. SS lignes indiquant la marche du bistouri dans l'amputation
le du col. V bas-fond de la vessie faisant hernie dans la tumeur; une ligne ponctuée montre sa limite en avant. X clitoris. Y
tures métalliques profondes serrées sur des bouts de sonde ; les deux lignes ponctuées indiquent le trajet caché de ces suture
ne moitié transversale du col de l'utérus. UUU tracé schématique en lignes ponctuées, indiquant la forme de l'utérus avant l
IQUE Fjgure i montre l'incision faite à la paroi abdominale, sur la ligne mé-diane. Pour ouvrir le péritoine, sans crainte
, il fit un avivement trans-versal dans le point indiqué par les deux lignes ponctuées V de la figure VI. Plus tard il arriva
chaque côté ; c'est à cette distance que doivent se trouver les deux lignes internes formées par les anses latérales, qui son
nes à explorer; cependant il ne doit jamais s'éloigner beaucoup de la ligne horizontale. M est le miroir oblique percé d'un t
u-devant de l'anus, en lui faisant parcourir le trajet indiqué par la ligne ponctuée 0, puis on retire le poinçon et on fait
al. Remarquez que le trocart en venant sortir au pé-rinée, suivant la ligne ponctuée, suit un trajet rétrograde qui fait évit
k deux lames, que l'on peut réunir en une seule comme l'indiquent les lignes pointillées. 25. Scarificateur de Charrière rec
laie cuta-née la figure triangulaire, à bords latéraux formés de deux lignes courbes , qu'on voit ici. a. Section de la peau e
celluleux qui se font sur le raphé, et dont on voit les débris sur la ligne médiane en I. Au-dessous de la lèvre inférieure d
— Le manche est relevé ; quand il est abaissé il prend la place de la ligne ponctuée. La pression qu'il produit varie de 1 à
la première opération, au moment d'entreprendre le second temps. Des lignes noires ponc-tuées indiquent le tracé des lambeaux
18 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
surer, l'une des cicatrices est située immédiatement à droite de la ligne médiane du dos, au niveau de la 7e vertèbre cervi
et de dehors en dedans. L'autre cicatrice est située à gauche de la ligne médiane ; son extrémité supérieure se trouve à
ns. Sa démarche était empreinte d'incertitude; il n'avançait pas en ligne droite; il décrivait une ligne légèrement festo
d'incertitude; il n'avançait pas en ligne droite; il décrivait une ligne légèrement festonnée. Il avait de la peine il S
droit. Je vais faire marcher le malade. Vous voyez qu'il avance en ligne droite, sans difficulté. N'empêche que le malad
me il y a augmentation de l'angle formé par l'axe des pieds avec la ligne directrice : cet angle est d'environ 36° chez not
des parties symétriques, ce remplacement de la roideur uniforme des lignes de la station droite par des courbes qui altern
et cet art de répartition ju- dicieuse suivant les exigences de la ligne et de la couleur, constituent une des qualités
tantes. Le bord cubital de la main est privé de sa musculature ; la ligne que dessine ce bord,au lieu d'être convexe comm
ion des doigts ne se fait pas comme l'état normal. Le contour de la ligne d'insertion n'est pas souple. Les doigts pris d
partie supérieure de la face antérieure du thorax, il existe sur la ligne médiane une excavation qui se relève sur le côt
sorte que les axes de l'avant-bras et de la main ne forment plus une ligne droite, mais un angle obtus et celui de la main
idérable du diamètre trans- %ers.il, son bord cubital est evcavé,la ligne de la racine de l'index est rentrante, les doig
ans par la main droite. Ce qui a 'attiré son attention en première ligne , c'est une parésie dans les mouvements du pouce,
n qui sont. modi- fiés. Le changement qui porte sur lecontour de la ligne cubitale de la main et sur celui du bord intern
celui du bord interne de la racine de l'index. A l'état normal les lignes qui partenl de la 2e et de la 5c articulations mé
en s'écartant de l'axe de la main. Chez nos malades au contraire la ligne cubitale, au lieu d'être convexe est excavée el
icularité existe pour le contour du bord externe de l'index dont la ligne de profil est rentrante. C'est une particularité
einture.L'at- tache des doigts manque de souplesse au lieu que leur ligne d'insertion se continue légèrement sur la parti
, 112 PAUL RICHER ET A. SOUQUES atteint et dépasse même un peu la ligne des apophyses épineuses corres- pondantes. La d
e où sont figurés un hibou,des lunettes et une chandelle, avec deux lignes d'écriture illisible au-dessous. Les mêmes embl
leau L'Orgie de la collection van der Hoop à Amsterdam. Là les deux lignes écri- tes sont lisibles : A quoi servent chan
re un petit dossier auquel est fixée une courroie ou sangle. Sur la ligne médiane à l'union du tiers pos- térieur et des
x de M. Marinesco, nous voyons qu'ils concordent dans leurs grandes lignes , surtout en ce qui concerne les cellules de la
re les 9e et 10e vertèbres dorsales, il 3 centimètres environ de la ligne des apophyses épineuses et à droite. D'abord, l
sale entre les 9e et 10e dorsales, à 3 centimè- tres à droite de la ligne médiane ; seulement le trajet de pénétration étai
ait été blessé d'un coup de couteau à 2 centimètres ci droite de la ligne médiane du dos, entre les 8° et 9° vertèbres do
la région des 6e et 7e apophyses épineuses dorsales à gauche de la ligne médiane. Une année après l'accidenl, on constat
Schultz (2), l'instrument tranchant a pénétré un peu à droite de la ligne médiane du dos, entre les 5e et 6e vertèbres dors
é; en outre il y avait de l'hyperesthésie qui remontait jusqu'à une ligne horizontale passant par la 7e vertèbre dorsale ;
u niveau de la 3e vertèbre dorsale, à 5 centimètres il gauche de la ligne des apophyses épineuses. In- dépendamment du sy
nétré entre les 1'" et 2e vertèbres dorsales, un peu à droite de la ligne médiane. Le lendemain de l'accident on a constate
é et de l'anesthésie du côté gauche, qui s'arrêtait exactement à la ligne médiane du corps, et qui remontait jusqu'au niv
hant qui avait pénétré entre l'occipital et l'atlas, à droite de la ligne médiane, on avait constaté : une paralysie motr
t pas déviée ; l'axe général du carpe et du métacarpe con- tinue en ligne droite celui de l'avant-bras. L'articulation radi
illir un liquide, sont tendus et lisses; à peine sont dessinées les lignes normales des plis de flexion, la flexion cepend
le doigt, sans que pour cela son angle de flexion fût ouvert d'une ligne . Il semble que le doigt soit empêché de se redr
r une photographie de l'un de ces cas; on voit de chaque côté de la ligne médiane une petite dépression en cul de poule u
trophiques et un peu de parésie de la main. Ce n'est qu'en seconde ligne que la corne antérieure est touchée et comme da
st l'abduc- teur du petit doigt qui semble être atteint en première ligne , d'atrophie musculaire. En tout cas, et cela es
maire de la main à la face antérieure de l'avant-bras, et en première ligne , c'est le cubital antérieur qui serait pris. Il
dymaire qui se dirige dans le sens ver- tical et touche en première ligne les noyaux les plus rapprochés du canal épendym
Simon nous a laissé un très intéressant portrait; j'en extrais ces lignes : ce regard majestueux et gracieux quand il y p
érie; toutes ces branches s'éteignent un peu avant d'arriver sur la ligne médiane qui, en aucun point, n'est atteinte.
ées siégeant au niveau du menton, entre la commissure labiale et la ligne médiane. En arrière, le noevus s'étend derrière
s, se terminant là, comme, du reste, sur toute son étendue, par une ligne très nette. Mais une tache indépendante, allong
roit de la figure, et débordant à gauche, sur toute sa longueur, la ligne médiane d'environ 4 millimètres. Cette tache,
gion sous-palpébrale s'étendant en dehors du nez jusque environ une ligne verticale partant de l'union du 1/4 externe et
evus, au contraire réunies dans sa portion latéro-antérieure en une ligne à peu près continue, ayant environ 2 centi- mèt
latérale externe du thorax, dans lé 7e espace intercostal, sur la ligne axillaire antérieure. De ! part : 1° La portion
uement d'arrière en avant et de haut en bas, et s'arrête entre la ligne mamillaire et la ligne mé- diane. 2° La porti
nt et de haut en bas, et s'arrête entre la ligne mamillaire et la ligne mé- diane. 2° La portion postérieure, qui i
ns le 7° espace intercostal gauche (PI. XXVIII, B), au niveau de la ligne verticale axillaire postérieure, existe une tache
t en éventail, de dehors en dedans, un naevus limité en bas par une ligne basale à peu près horizontale, et en haut par u
bas par une ligne basale à peu près horizontale, et en haut par une ligne supérieure allant obliquement en haut. Ce naevus
le de 18 centimètres, arrivant en arrière jusqu'à G cent. 1/2 de la ligne vertébrale, et ayant une largeur de centimètre
L'affection est constamment unilatérale et exactement limitée à la ligne médiane ; 2° Les lignes d'agencements répondent
ent unilatérale et exactement limitée à la ligne médiane ; 2° Les lignes d'agencements répondent à l'épanouissement périph
exister des deux côtés du corps ; ou bien déborder légère- ment la ligne médiane, comme dans notre observation III, comme
rung, caries filets nerveux ne s'arrêtent pas rigou- reusement à la ligne médiane, comme le montrent entre autres Galewsky
rap- port existant entre la disposition anatomique des naevi et les lignes de Voigt, c'est-à-dire les districts de séparat
Galewsky et Schlossmann semblent se rapprocher d'assez près de ces lignes ; mais cela n'est pas général, et, en particulier
nos huit obser- vations, les naevi siègent non pas au niveau de ces lignes de démarca- tion, mais au contraire bien dans l
ons des rameaux nerveux des territoires voisins, et ne sont que les lignes de Voigt. Du reste, cette interprétation n'est
er). IV. Jadassohn (9 ) signale d'une part la concordance entre les lignes de Voigt et les lignes suivant lesquelles se dé
signale d'une part la concordance entre les lignes de Voigt et les lignes suivant lesquelles se développent normalement les
i et les points « Haarstroeme » où convergent ou d'où divergent les lignes d'implanta- tion des poils. Cela du moins, dans
eld, Thomsen, Mackenzie, Gerhardt, Müller).Si,conclut l'auteur, ces lignes de Voigt jouenl un rôle important dans le dével
rêtes épidermi- ques,on ne considérera pas la concordance entre ces lignes et les nmvi comme (1) JADASSORN. Zur Kenntniss
n particulier mes huit cas personnels, ne siègent pas au niveau des lignes de Voigt. Ces hypothèses n'ont donc pas, en tou
disposition des noevi paraît bien concorder avec l'orientation des lignes de Voigt, notamment dans celles de Philippson, Pé
e territoire du nerf atteint, ou plus activement à ses limites, aux lignes de Voigt. DES NTVI DANS LEURS RAPPORTS AVEC LES
ion de la constitution segmenlaire du corps », et plus loin : « Les lignes de démarcation de Voigt, soumises à quelques co
selme. - Sur un nævus lichénoïde et semi-linéaire correspondant aux lignes de Voigt. Annales de dermatologie et syph., 1894,
légiques gauches. Chez les deux derniers le tourbillon reste sur la ligne médiane, et chez les six hémiplégiques droits i
les six hémiplégiques droits il est dévié aussi à droite ou sur la ligne médiane. Dans les cas d'hémiplégie gauche la dé
ts du membre supérieur droit. Circonférence du bras au niveau de la ligne axillaire : 27 cent. 1/2 à droite; 30 centimètres
exactement,'mais en accentuant aussi dans le sens cari- catural les lignes qui lui paraissaient insuffisamment expressives.
é du cou, deux tumeurs mamelonnées qui semblent se rejoindre sur la ligne médiane. Cela peut être un goitre. Mais les deu
ur le front, au- dessus des sourcils, et sur les côtés auprès de la ligne limite de l'implan- tation des cheveux. Sur la
de molluscum seulement siègent sur le front, un peu à gauche de la ligne médiane ; au-dessus du sourcil droit, il semble
5 centimètres; elle était située à la nuque, un peu à gauche de la ligne médiane. Le patient était faible sur ses jambes,
os une blessure par instrument tranchant, située latéralement de la ligne des apophyses épineuses, de telle sorte que vous
ires postérieures. Parmi ces collatérales, il distingue en première ligne : a) Les collatérales pour la commissure postér
es. IV Lieferuno Berlin, t895, p. 13; Fig. 3. 316 F. RAYMOND la ligne médiane, elles se ramifient dans le foyer ou cent
on qui intéresse la moitié droite de la moelle en a b (Fig. 4). Les lignes que vous voyez dessinées en noir repré- sentent
des collatérales col, qui, sur ce dessin, sont représentées par des lignes noires plus fines. Sur le dessin placé devant v
e cellule cordonale c; ces prolonge- ments sont représentés par des lignes pointillées. On peut donc se figurer ainsi le t
droite du corps, par les fibres radiculaires FRS, au-dessous de la ligne a b, que ces impressions, dis-je, trouvent à cont
S2, S3, 8, racines sensitives du côté droit, s'entrecroisant sur la ligne médiane pour gagner la colonne sensitive gauc
fibres nerveuses, s'étend à une certaine distance au-dessus lie la ligne de section. Vous voyez qu'on s'explique très bi
muscles des éminences thénar et hypothénar : la main est plate. Les lignes d'opposition y sont profondément creusées. Les
IERRE-PAUL RUBENS (1577-1640). Rubens, ce prodigieux virtuose de la ligne et de la couleur qui peignit avec une égale ais
dies, dont plusieurs semblent ulcérées. ` L'oeil est atteint, ses lignes ne sont plus régulières ; un bandeau sur le fro
19 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
Vue antérieurement (fig. i, pl. i) la fracture occupe exactement la ligne oblique, étendue du grand au petit trochanter. On
fragment inférieur. La direction du corps du fémur est telle que la ligne âpre LA regarde en dedans, le bord interne du fém
artère fémorale était bifurquée au niveau de l'arcade fémorale, à six lignes environ de l'origine de l'épi-gastrique. Les deux
présentait du côté de la fracture : raccourcissement du membre de i5 lignes ; rotation du pied en dedans. Saillie et volume du
olume du grand trochanter qui est rapproché de la crête iliaque de i5 lignes environ, c'est-à-dire d'une quantité égale à cell
guleuses, qu'elles étaient formées de tissu compacte, tandis qu'à une ligne et demie, deux lignes de la surface, le tissu éta
aient formées de tissu compacte, tandis qu'à une ligne et demie, deux lignes de la surface, le tissu était spongieux et pénétr
ente, l'artère fémorale était bifurquée sous l'arcade fémorale, a six lignes au dessous de l'origine de l'artère épigastrique.
r. Douleurs vives à la région trochantérienne; raccourcissement de 18 lignes du membre inférieur avec forte déviation du pied
nne de la partie la plus excentrique de cette saillie avait plusieurs lignes de plus que le même intervalle du côté opposé; la
ue le même intervalle du côté opposé; la différence n'était que d'une ligne , en faveur du côté malade. Cette mesure a été pri
les dimensions de cette apophyse sont marquées sur la fig. 1 par une ligne ponctuée. Il résulte de cette disposition, que le
nt sa circonférence, le bord externe de l'os regardant en avant et la ligne âpre en dehors. lia tête du fémur est dépourvue d
du col du fémur. Le raccourcissement du membre était de quatre à cinq lignes ; le membre était porté dans l'adduction, la jambe
our tout traitement deux moxas sur la tumeur, un de chaque côté de la ligne médiane. Au bout de quinze jours, amélioration lé
t aréolaire. Fig. 2. La coupe représentée fig. 2 a été faite sur la ligne médiane, et verticalement d'avant en arrière. On
insi que cela a été fait en GC , et, dans plusieurs autres points, la ligne de démarcation des lobules, la disposition mamelo
est extrêmement compacte au centre, dans l'épaisseur de quatre à cinq lignes , et qui ne devient stalactiforme qu'à la circonfé
n : ces deux ordres de tendons se continuaient l'un avec l'autre sans ligne de démarcation : les tendons réunis du fléchisseu
re, et que les côtés externes de ces deux extrémités sont unis sur la ligne médiane : et voilà pourquoi la concavité des fému
ion non moins remarquable. Les deux pubis, complètement soudés sur la ligne médiane, présentent une crête saillante, dirigée
e membraneuse : les petits orteils distincts occupent les côtés de la ligne médiane, les gros orteils regardent en dehors, la
rvalle qui sépare le sacrum des tubérosités de l'ischion, était d'une ligne d'avant en arrière. Il est malheureux que nous
ral, Fautre inférieur ou tibial,lesquels sont dirigés suivant la même ligne ou disposés à angle. La jambe est constituée par
fice, était arrêté à une petite profondeur. Cette appendice occupe la ligne médiane:elle est formée par une languette cutanée
e, renversement tel que l'occiput se continue sans interruption, sans ligne de démarcation avec la région fessière, que le me
tervalle considérable, sans vestige de nez ; réunion des joues sur la ligne médiane ; 4° la bouche, largement ouverte, a la f
i consiste essentiellement dans l'atrophie des parties situées sur la ligne médiane avec fusion des parties latérales, il me
érieure du fœtus, vu par la face postérieure. Point de fesses. Sur la ligne médiane, ouverture anale A , de laquelle sort un
'y a point de valvule iléo-cœcale, point d'appendice vermiculaire. La ligne de démarcation entre l'intestin grêle 1,1 et le g
auche, LPL,CPL,qui sont distincts postérieurement de chaque côté delà ligne médiane. Les muscles jambier antérieur JA, exte
res syrènes. Les os iliaques sont comme étalés et horizontaux. Sur la ligne médiane, on trouve d'arrière en avant, le sacrum,
première. A la jambe, les péronés sont situés de chaque côté de la ligne médiane, et, par conséquent, au lieu d'occuper le
vus par leur face postérieure; bassin et os ilium étalés, et, sur la ligne médiane, sacrum et coccyx; orifice inférieur du b
ssement « subit percé d'un pertuis circulaire, à bords froncés, d'une ligne de diamètre, sans aucune trace de la « moindre al
petite « ouverture conduisait par un canal de même dimension, de huit lignes de longueur, garni de plis longi-a tudinaux, tapi
nt de manière à « offrir à sa partie inférieure, un diamètre de trois lignes . » Les plis longitudinaux qu'on remarquait à la
oints : elle offre dans toute son étendue un plan de trois à quatre lignes d'épaisseur, formé par des follicules muqueux hyp
ects. « Les uns sont sessiles, aplatis, lenticulaires, d'une à deux lignes de diamètre, de couleur blanchâtre, semblables à
même; les parois en sont assez épaisses, molles, et peuvent avoir une ligne d'épaisseur. « Dans la première moitié de l'int
ise de la membrane muqueuse elle-même. Ces plaques font saillie d'une ligne au moins, leur consistance est peu considérable,
es orifices. L'épaisseur de l'estomac au voisinage du pylore est de 5 lignes ; elle est due à l'hypertrophie des membranes fib
ie des membranes fibreuse et musculeuse : la membrane fibreuse a deux lignes d'épaissenr et la membrane musculeuse trois ligne
ne fibreuse a deux lignes d'épaissenr et la membrane musculeuse trois lignes . On voit ces deux membranes diminuer graduellemen
ique musculeuse présente, comme dans tous les cas d'hypertrophie, des lignes alternativement rouges et blanches; les stries bl
é par une couche pseudo-membraneuse très dense, épaisse d'une ou deux lignes , qu'il a été facile, malgré sa densité , de sépar
reconnaître à son insertion utérine, peut être suivi pendant quelques lignes et se confond ensuite avec la tumeur. Réflexion
ondent aux régions temporo-pariétales que sépare en arrière et sur la ligne médiane un angle très saillant; la troisième répo
rence du ventre au niveau de l'ombilic est de 8 pouces moins quelques lignes ; cette région est un peu aplatie d'avant en arriè
molles. L'ombilic est très visible, mais le cordon a disparu. A deux lignes au-dessous on voit s'insérer une bride que j'avai
parfaitement conservé, mais atrophié; sa longueur est de 4 pouces io lignes .Le droit est réduit à son squelette vers son arti
ppait la totalité du fœtus autour duquel elle formait une coque d'une ligne d'épaisseur, et même de deux lignes dans quelques
uquel elle formait une coque d'une ligne d'épaisseur, et même de deux lignes dans quelques points : c'était cette croûte qui c
aire : la peau du périnée et du pourtour de l'anus P se continue sans ligne de démarcation avec la surface muqueuse de l'in
singulièrement atrophié, ses fibres sont pâles et se continuent, sans ligne de démarcation tranchée, avec les fibres circulai
e constater l'existence d'une tumeur dure, eylindroïde, de 7 pouces 6 lignes de long et de 5 pouces de circonférence (fig. 4)-
ombilic sous la forme d'un point dur ou plus ferme que le reste de la ligne blanche. 3° Le pourtour de l'anneau ombilical est
s amincies. On sait quelles énormes dimensions en largeur acquiert la ligne blanche distendiie par des grossesses répétées; c
latation porte principalement sur la région ombilicale, où j'ai vu la ligne blanche acquérir jusqu'à trois pouces de largeur;
sur l'une de ces régions ou sur les deux régions à-la-fois. Alors la ligne blanche se trouve convertie en une sorte de besac
e, suivant qu'elle occupe l'une ou l'autre de ces trois régions de la ligne blanche : elle peut également occuper l'une ou l'
le peut également occuper l'une ou l'autre région iliaque, lorsque la ligne blanche et les muscles droits ayant résisté, la p
) des éventrations for- (1) « Le relâchement et les éeartemens delà ligne blanche sont quelquefois si grands, surtout chez
ute l'étendue que je viens « de marquer : ce n'est quelquefois que la ligne blanche qui se dilate depuis le nombril jusqu'au
mac et les intestins sont vides. D'autres fois, la dilatation « de la ligne blanche est dans la partie inférieure, c'est-à-di
ie lorsqu'elle est pleine d'urine. Si, dans la dilatation de toute la ligne blanche, l'ombilic se maintient et résiste, « alo
ccompagnent cette maladie. » (T. n, pag. 235 et 2'36. ) mées par la ligne blanche distendue et amincie, et sur ce qu'il con
la tumeur; elle pendait entre les cuisses et était parcourue par des lignes noires que je reconnus être produites par l'usage
ter que des incisions avaient été pratiquées dans ce point. Quant aux lignes blanches qui se voient sur divers points de la tu
nche v correspond une bride fibreuse falciforme B, qui établissait la ligne de démarcation entre les deux tumeurs : les parti
s deux côtés, avant la dissection , il était impossible d'établir une ligne de démarcation entre le testicule et la tumeur he
es : i° poche herniaire transparente, hémisphérique, naissant par une ligne de démarcation bien tranchée d'une perte de subst
l'ombilic n'était pas plus ouvert que sur un fœtus de cinq mois : la ligne médiane n'offrait aucune trace de fissure. A qu
ion, succède une portion d'intestin rétrécie IG, qui se continue sans ligne de démarcation avec elle. Cette tumeur est précéd
té de la réduction. Le gros intestin était attiré en bas, suivant une ligne obliquement étendue de l'hypo-chondre gauche à l'
lon , au niveau de l'ombilic. Une perforation elliptique PF, de six lignes sur quatre, se voyait en deçà de l'obstacle, et c
ns qui tuent, elle ne l'est pas moins, d'une part, en établissant une ligne de démarcation entre les lésions curables et les
st que la cicatrice cutanée se continue avec la peau, nettement, sans ligne de démarcation autre que celle qui résulte de la
onsidérables, m'ont présenté un bourrelet circulaire, établissant une ligne de démarcation tranchée entre la surface muqueuse
orservation. Rouant, soldat au dix-neuvième régiment d'infanterie de ligne , entre, le 3 septembre i84i, à l'hôpital militair
. Troisième orservation. Malard, soldat au dix-neuvième régiment de ligne , caserne au Gros-Caillou, entra , le 3 octobre 18
s ou deux, dans trois verres d'eau: il m'assurait qu'en suivant cette ligne de conduite, il n'avait pas perdu un seul malade
ait très superficiel; il était supporté par une base dure, ayant deux lignes d'épaisseur; le rectum était parfaitement sain.
e paille: j'introduis le doigt dans le rectum et je suis arrêté à six lignes de l'anus par un rétrécissement excessivement dur
ne pareille erreur ne serait plus pardonnable aujourd'hui. A quelques lignes au-dessus de l'anus, sous la muqueuse soulevée et
nd à cet épaississement et la tunique musculeuse qui offre en bas six lignes d'épaisseur,et le tissu cellulaire sous-péritonéa
énération cancéreuse du foie. Ainsi, dans une épaisseur de « quelques lignes , on trouve: i° une inflammation de la plèvre, car
lon très prononcé. La douzième côte est marquée sur la figure par une ligne ponctuée. Toute la partie du foie qui est au-dess
onférence inférieure. A cette empreinte s'ajoute presque toujours une ligne ou zone blanche très prononcée, qui résulte de la
eure du cartilage thyroïde une perte de substance circulaire de trois lignes de diamètre. Cette ouverture conduisait dans une
de ces plaques, établit qu'elles sont tout-à-fait superficielles. Les lignes blanches qu'on voit à sa surface ne me paraissent
uaient dans une grande étendue. Le sac herniaire se continuait sans ligne de démarcation marquée avec la plèvre costale : m
de ces vaisseaux nouveaux sont sous la plèvre, les divisions dans les lignes cellulaires qui séparent les lobules, et les dern
and dorsal eux-mêmes. On voyait, dans l'épaisseur de ces muscles, des lignes rouges alternant avec des traînées de pus, occupa
de. Son tissu était mollasse, infiltré de liquide trouble, parsemé de lignes ardoisées, disposées en ramifications. Quelques n
tion que plusieurs de nos bons élèves de la Salpêtrière suivent cette ligne d'observation avec une grande persévérance. Voici
omplète consistait dans des masses blanches, sphéroïdales,marbrées de lignes et de points noirs, séparées par des lamelles fib
moitié inférieure de la cuisse. 80 sangsues ont été appliquées sur la ligne de l'artère, 4o le matin et 4o le soir. — Sachets
a dilatation; et comme la circonférence du caillot se continuait sans ligne de démarcation bien évidente avec la surface inte
its, « décolorée et amincie notamment dans une étendue de huit à neuf lignes aux environs « de l'éperon, en sorte que, dans ce
AL et faciale A F. La perforation elliptique P est située à quelques lignes au-dessous du point de bifurcation de l'ar- (1)
en voyait une autre beaucoup plus petite, sphéroïdale, placée sur la ligne médiane, immédiatement au dessus de la fourchette
rès étendus et très multipliés. Les mammaires internes avaient deux lignes ,et les diaphragmatiques supérieures une ligne et
nternes avaient deux lignes,et les diaphragmatiques supérieures une ligne et demie de diamètre. Ces dernières étaient extrê
ulière. Son diamètre était celui d'une plume de corbeau, savoir d'une ligne et demie, tandis que celui de l'aorte, à un pouce
tandis que celui de l'aorte, à un pouce de son origine, était de dix lignes et demie. L'artère sous-clavière droite, remarqua
nuaient avec les épigastriques. Il en résultait, de chaque côte de la ligne médiane, un tronc, dont le volume dépassait celui
auche. Sur le bord droit du cœur, vers la pointe, fente linéaire de 8 lignes de longueur avec décollement de la membrane séreu
oitié postérieure de ce ventricule présentait, dans une hauteur de i5 lignes environ, une transformation fibreuse, laquelle oc
fibro-cartilagino-osseuse de 5 à 6 pouces de long sur 1 de large et 6 lignes d'épaisseur. Cette plaque est restée adhérente à
ais avec des circonstances bien remarquables. Ainsi, à quatre et cinq lignes au-dessus du point où elle est croisée par l'artè
it notablement hypertrophié. La cloison des ventricules avait de onze lignes à un pouce d'épaisseur. Les tuniques artérielle
la couleur jaune de bois contraste d'une manière remarquable avec les lignes du sang infiltré, disposition qui donnait à la co
u côté des ventricules, percée à son centre d'une ouverture de deux « lignes et demie de diamètre, parfaitement circulaire. Ce
Dans le cas de M. Burnet, «l'orifice pulmonaire, de trois à quatre lignes de diamètre " environ, est fermé incomplètement p
percée à son centre par une ouverture ovalaire et permanente d'une a ligne et demie de diamètre. Cette ouverture a un bord f
érent, offrait dans ce dernier point une ossification partielle d'une ligne d'épaisseur; dans celui de M. Philouze, l'orifice
partie moyenne de la région dorsale par une tumeur olivaire de vingt lignes de longueur, adhérente à la dure-mère par un pédi
première vertèbre lombaire était comme écrasé : il n'avait que quatre lignes , au lieu d'un pouce de hauteur. Cet écrasement ét
était cette saillie anguleuse, et surtout une pointe osseuse de trois lignes de long, née de la paroi antérieure du canal rach
vait macéré dans l'alcool concentré. Protubérance un peu déformée ; ligne médiane saillante; parties latérales déprimées. P
n jusqu'à l'épigastre. Ses limites sont parfaitement établies par une ligne circulaire,partant de l'épigastre et obliquement
ité était parfaite dans toutes les parties situées au-dessus de cette ligne . La transition était brusque, sans intermédiaire.
surface de la moelle, mais elle s'étend encore à une demi-ligne, une ligne de profondeur, et cela d'une manière irrégulière.
bandelette qui borde la corne d'Ammon. Ici comme partout ailleurs, la ligne de démarcation est bien tranchée entre la substan
g. 1'', qui a été faite à la hauteur indiquée sur la figure i par une ligne ponctuée, montre que cette dégénération , qui a e
lle. Je ferai remarquer que, relativement à la dégénération grise, la ligne médiane n'est pas une limite, que les sillons de
ns la cavité même de l'arachnoïde, se voit une couche de sang de deux lignes d'épaisseur, moitié liquide, moitié coagulé. (2)
veau et de la moitié correspondante de la protubérance, jusque sur la ligne médiane; ce foyer est parfaitement circonscrit, e
c le sang, est déchirée, rougeâtre et ramollie dans l'épaisseur d'une ligne . Il y avait, en outre, dans le cerveau, deux pe
parence scorbutique , et dans son épaisseur, sur l'un des côtés de la ligne médiane (je n'ai pas noté lequel), de petites cic
e de la veine jugulaire, où se voyait un caillot, qui établissait une ligne de démarcation bien tranchée entre le sinus et la
es cérébraux. Sous l'arachnoïde cérébrale, couche de sérosité de deux lignes d'épaisseur. La sérosité écoulée, le cerveau ne r
ant diverses nuances de coloration. Ces plaques sont limitées par des lignes en zigzag, assez semblables pour l'irrégularité à
par des lignes en zigzag, assez semblables pour l'irrégularité à ces lignes flexueuses qui limitent un département sur une ca
exueuses qui limitent un département sur une carte de géographie. Ces lignes sont constituées par une série de globules sangui
it à la surface du cerveau des globules sanguins disposés suivant des lignes irrégulières. (1) La fig. 2 présente en outre u
ale très saillante, qui représentait la protubérance occipitale et la ligne courbe supérieure des carnassiers, mais qui n'éta
sions exactes du crâne : « Circonférence du crâne, 260 millimètres; ligne courbe supérieure, 135 millimètres; ligne courbe
du crâne, 260 millimètres; ligne courbe supérieure, 135 millimètres; ligne courbe « transversale, 135 millimètres; diamètre
t déjà rapprochées de manière à ne pas laisser entre elles plus d'une ligne d'intervalle. La perforation du crâne, par laquel
t la base du sacrum. C'était aux dépens des ligamens jaunes et sur la ligne médiane qu'avait lieu cette perforation : il n'y
ois des kystes étaient formées par une membrane qui avait un quart de ligne d'épaisseur. La surface interne de cette membrane
qui environnait les kytes présentait,dans l'épaisseur de deux à trois lignes , un ramollissement très considérable, sans change
it oblitéré, et l'oblitération, qui avait eu lieu dans l'espace d'une ligne ou deux, offrait les caractères d'une adhésion.
us, et chaque lamelle était représentée par les points saillans de la ligne flexueuse formée par ces lames: ces lames adhérai
ans l'ampoule rectale et au-dessus. L'utérus n'était pas juste sur la ligne médiane, mais bien dévié à gauche, et cette dévia
ome u, page 28.Ï. XXXVIIe LIVRAISON. qu'une demi-ligne, un quart de ligne de largeur, et l'altération peut être limitée à l
dans l'espace d'un mois et demi, la saillie était augmentée de 5 à 6 lignes . Du reste, la peau était parfaitement libre d'adh
à facettes qui correspondaient les unes aux autres : ils avaient deux lignes de longueur, leur extrémité libre était comme tro
iamètre antéro-postérieur, 2 pouces ; diamètre transverse, 2 pouces 9 lignes . La fig. 1 représente le canal de l'urètre et l
ie et le canal de l'urètre ouverts par leur face supérieure et sur la ligne médiane. Indépendamment de l'hypertrophie de la
ortion membraneuse. Ce rétrécissement était fibreux et avait de 8 à 9 lignes d'étendue. Au centre du rétrécissement, la transf
t petite, considérablement hypertrophiée. Ses parois avaient de 4 à 5 lignes d'épaisseur. Le trigone était constitué par une s
oyers puru-lens, à parois très anfractueuses, un de chaque côté de la ligne médiane. RÉFLEXIONS GÉNÉRALES SUR LES RÉTRÉCISS
longueur plus ou moins considérable du canal,quatre, six, huit, douze lignes et même davantage. Indépendamment de cette diff
ntrer ensuite dans l'urètre. Le rétrécissement avait de quatre à cinq lignes de longueur: il était dense, fibreux, et la trans
là portion membraneuse du canal de l'urètre ; il avait de huit à neuf lignes de longueur ; le canal était converti en tissu fi
considérablement hypertrophiée; son épaisseur était de quatre à cinq lignes ; elle présentait la double disposition décrite so
it (fig. 3'), qui occupe la face dorsale de la verge, au niveau de la ligne médiane; l'autre inférieur (fig. 3), qui présente
J'ai fait mention ,dans le cours de l'observation, d'une hernie de la ligne blanche ou éventration située au dessus de l'ombi
ment au dessus du pubis. Dans le sens transversal, elle atteignait la ligne blanche. Les urines étaient rares, peu abondant
ombes. Le trois-quarts qui lui servit à cette ponction n'avait qu'une ligne de diamètre. 11 s'écoula trois pintes d'un liquid
u cellulaire placé entre ces deux membranes. Ces parois avaient trois lignes d'épaisseur dans les points les plus ténus; dans
e, il présentait une dilatation telle que son diamètre avait dix-huit lignes . Le pus contenu dans cette ampoule ayant été évac
; la moelle est remplacée par un tissu cancéreux qui se continue sans ligne de démarcation avec le tissu également cancéreux
la tumeur formée par toutes ces parties dégénérées, n'était que de 6 lignes environ. On pouvait parfaitement distinguer ce qu
resque visqueux ; les parois du kyste sont épaisses de trois à quatre lignes , coriaces, organisées. Les parois du kyste sont
une surface ulcéreuse, supportée par une hase indurée, de cinq à six lignes d'épaisseur, qui s'étend bien au-delà des limites
ie moyenne de la convexité de l'hémisphère gauche, au voisinage de la ligne médiane, j'aperçus quelque chose d'insolite; c'ét
le avec laquelle elle se continuait sans kyste qui établît la moindre ligne de démarcation. Son adhérence à la pie-mère perme
— L'utérus, le vagin, la vessie et le rectum ayant été divisés sur la ligne médiane , nous avons vu (xxme livr., pl. vi, fig.
e col de l'utérus. Le corps de cet organe était parfaitement sain. La ligne de démarcation entre la portion altérée et la por
le a soustraite, il est question d'une ulcération du col utérin de 10 lignes de diamètre. Après neuf cautérisations avec le ni
postérieure de la portion de vessie déplacée ayant été divisée sur la ligne médiane, on est arrivé à un cul-de-sac formé par
onduit : l'aspect du tissu du vagin et de l'utérus est le même, et la ligne de démarcation entre l'utérus et le vagin n'est p
urale présente un autre caillot décoloré et dense , de trois à quatre lignes de longueur, auquel faisait suite un caillot tout
de chaque trompe ; en sorte qu'une cloison incomplète établissait une ligne de démarcation entre la portion de la cavité utér
tumé, le trois-quart serait tombé sur une des tumeurs : on choisit la ligne blanche. Cette femme fut ponctionnée huit fois,
es qu'ils ont apportées dans l'étude de l'anatomie normale, effacé la ligne de démarcation qui séparait les monstruosités des
pas les hypo-chondres, mais bien les régions épigastriques, que leur ligne médiane répondait à l'axe d'union des deux fœtus,
cachée par l'aorte dans la figure. Une cloison incomplète établit la ligne de démarcation entre les parties aortiques, et le
de la précédente : elle avait eu lieu à travers un éraillement de la ligne blanche : elle était également formée par l'épipl
ez un enfant mort trois heures après la naissance; pointillé rouge et lignes rouges à la surface interne de l'estomac. 15e liv
un enfant mort trois heures après la naissance : pointillé rouge , et lignes rouges à la surface interne de l'estomac. 15e liv
20 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
ne. L'exploration du rachis montrait une déviation très nette de la ligne 1, t t r , , "bZ41 ? A & t DES SUITES
l'union de la colonne cervicale et de la colonne dorsale. Là, cette ligne se dirigeait non plus verticalement, mais un peu
rtie inférieure, une saillie plus faible à gauche qu'à droite de la ligne médiane. Le toucher vaginal a donné les renseigne
tait en ceinture et envahissait tout le tronc jusqu'au niveau d'une ligne circulaire s'arrêtant en haut au niveau de la pla
ès, on constate ce qui suit : La région de la nuque, à droite de la ligne médiane, est criblée de trous de profondeur var
s du sujet, l'avant-bras en demi-flexion, aussi à l'état normal; la ligne supérieure fournie par la main droite la plus f
ulières ; et sur- tout que' leur ampleur a notablement. diminué; la ligne d'inspiration est très courte, peu profonde et
e y dénoter un caractère saccadé que révèlent les irrégularités des lignes d'expiration et d'inspiration qui sont légèrement
ans secousses et la plume qui correspond au membre étendu trace une ligne droite parfaitement régulière. En même temps le t
dorsale de la main droite, le bras étendu Iorizoutalement. - Chaque ligne icpi-ésente une fraction de Seize secondes et d
ur la main droite. Le tracé, pris pendant10 minutes, nous donne une ligne droite parfaitement régulière tout le temps de l'
un sujet sain nous donne au contraire, dès la première minute, des lignes irré- gulières et légèrement tremblées (fig. 24
reproduit les fractions des 11 dernières minutes), on voit que les lignes sont régulières, bien que présentant de petites o
e 2G reproduit une fraction des premières minutes), on voit que les lignes sont absolument irrégulières et les oscillation
ignalé chez elle : une respiration .superficielle, la brièveté delà ligne d'inspiration, le caractère irrégu- lier des li
la brièveté delà ligne d'inspiration, le caractère irrégu- lier des lignes d'inspiration et d'expiration. Si l'on fait tenir
s dans aucun cas il n'y a ensuite de chute brusque au- dessous delà ligne ordinaire de la respiration qui reprend tout de s
Les deux cubitus paraissent égaux. La demi-envergure mesurée de la ligne médiane du sternum est de 85 centimètres à droi
e-ci ne pouvaient s'adapter à celles de la mâchoire supérieure. Les lignes de la tête étaient peu ou pas altérées, de façon
, comme la pièce des Docteurs modernes, date de 1784. Au-dessus des lignes qui nous l'apprennent on remarquera deux chats
irs, crépus, abondants, frisés, rappellent un peu ceux du nègre. La ligne d'implantation s'arrête en avant à G centimètre
ésente rien d'anormal, les poils du pubis sont abondants, mais leur ligne d'implantation s'arrête brusquement et ils ne se
rd sternum au sommet de l'appendice ensiforme 14 centimètres; de la ligne médio-axillaire d'un côté à celle du côté opposé,
au-dessous du bord inférieur de la clavicule, et en arrière par une ligne transversale située un peu au-dessus de l'épine d
ngue contracturée. Or, en exami- nant la figure 56, on verra que la ligne d'anesthésie se termine en bas au niveau de la
n verra que la ligne d'anesthésie se termine en bas au niveau de la ligne d'insertion des fibres du peaucier. Chez Leiog...
avers de doigt au-dessus de l'arcade sourcilière, en dehors par une ligne passant au devant de l'oreille, suivant la branch
n haut, elle gagne la région fronto-pariétale et se termine par une ligne elliptique située à quatre travers de doigt au-de
et les sinuosités et les fossettes plus larges que d'habitude. Les lignes , les crêtes, les apophyses sont très saillantes
étitions je me limiterai seulement à noter que l'oc- cipital sur la ligne médiane présente un développement extraordinaire
e vertèbre dorsale ; mais cette déviation, avant de se faire sur la ligne médiane, s'est produite latéralement à droite;
trois lèvres plus saillantes el plus rugueuses que d'habitude; les lignes semi-circulaires de la face externe de l'os ili
e pages admirables où elle a laissé une si forte empreinte. » Les lignes précédentes empruntées au travail très intéressan
ton, dans sa moitié gauche, est manifestement plus petit, et que la ligne qui limite en bas l'ovale du visage est sensibl
oite, c'est-à-dire que, le milieu des lèvres tout en restant sur la ligne médiane, la commissure gauche en est bien moins é
ase de cerveau sur la W.1'IO\IIC PATHOLOGIQUE DE L'ACROMÉGALIE. 7 ligne médiane aux lieu et place du corps pituitaire une
auf une dépression parsemée de nombreux foramina au voisinage de la ligne sus-orbitaire. Toutes les sutures ont disparu,
paru, sauf quelques traces de la sagittale et de la coronaire. La ligne semi-circulaire de la tempe est très saillante en
factive, puis le septum et le vomer retournent graduellement sur la ligne 'médiane pour se soucier avec l'épine nasale, c
nte un accroissement de volume notable limité supérieurement par la ligne oblique, ce qui, joint à la longueur extraordinai
faire saillir le menton de 3 centimètres et demi hors du plan de la ligne sus-orbitaire (fig. 67, 68). Le corps du maxill
les autres vertèbres cervicales ont le corps un peu saillant sur la ligne médiane, les lames de l'arc postérieur raboteuses
ie postérieure des côtes est grosse, arrondie avec rehaussement des lignes obliques ; la parlie latérale est aussi plane que
profonde. Hauteur de la face externe 40 mill., entre le sommet et la ligne horizontale qui prolonge en arrière la racine t
deux travers de doigt au-dessus du coude où elle se termine par une ligne circulaire très nette. Champ visuel rétréci à GO°
nomène de la 'chair de poule. 30 secondes : rougeur faible sur la ligne tracée, entourée de deux zones pâles. z1 minu
ique, s'étendant au loin. Fin de la 2° minute : apparition sur la ligne centrale d'élevures blanches d'abord isolées et
région excitée. Entre deux points distants de 8 cen- timètres, huit lignes transversales ont été tracées. Mais à aucun mo-
c toutes réserves, un fait de pigmentation consécutive. Six petites lignes transversales avaient été tracées voisines l'une
qui actuellement, au bout de trois semaines, est manifeste sur les lignes précédentes. Mais il faut avouer que c'est la seu
OUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. pendant 1 ou 2 minutes) une ligne tracée, partie sur la peau intacte, partie sur
hénomène acquiert t une intensité égale sur toute la longueur de la ligne . Unefois la saillie bien développée, les applic
des avant-bras et dans une zone limitée en haut et à droite par une ligne horizontale passant par l'ombilic, sur la ligne
et à droite par une ligne horizontale passant par l'ombilic, sur la ligne médiane par la ligne blanche, en dehors, par le
igne horizontale passant par l'ombilic, sur la ligne médiane par la ligne blanche, en dehors, par le bord externe du flan
mains et des avant-bras et dans une zone limitée : en haut par une ligne horizontale passant par II. 120 316 NOUVELLE
20 316 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. l'ombilic, sur la ligne médiane par la ligne blanche, en dehors par le bo
NOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. l'ombilic, sur la ligne médiane par la ligne blanche, en dehors par le bord externe du flanc
leur contingent, aujourd'hui c'est l'armée alle- mande qui entre en ligne , et avec un cas tellement caractéristique que n
large de 9 mill. Chacune des lames palatines, de chaque côté de la ligne médiane, est convexe en bas. On pourrait presque
it en avant que les os intermaxillaires ne sont pas soudés sur la ' ligne médiane, leur suture palatine latérale est très n
ACROMÉGALIE. 39 existe une cloison verticale, placée à gauche de la ligne médiane. Ils sont t fort dilatés. Etage moyen
nt de même en retrait sur le menton auquel elles sont unies par une ligne fortement ru- gueuse. Des rugosités compactes r
ière de lui entre le bord alvéolaire et laligne oblique externe. La ligne oblique interne est très saillante, et la partie
e crête antérieure, mousse. Fig. 08. A. Courbures présentées par la ligne des apophyse» épineuses sur le ? l{l1clcLLe consi
à droite surtout). Fosse sous-scapulaire nettement anguleuse sur la ligne répondant à l'épine. Très forte insertion muscula
arrière et en dedans et est séparée de la face postérieure par une ligne ru- gueuse. Face postérieure. La crêle vertical
é en haut 28 mill. Fémur. - Corps et bifurcation inférieure de la ligne âpre normaux. Tri- furcation supérieure très ép
aissie, la branche externe surtout. Angle du col de 130° à 135°. La ligne inter-trochantérienne antérieure forme près du
rps. Bords très arrondis; gouttière de la face externe peu marquée; ligne oblique peu accentuée ; trou nourricier normal.
21 (1911) La pratique neurologique
d'acuité visuelle correspond à un angle de 55°, au-dessus de chaque ligne on a placé un chiffre qui indique la distance
un chiffre qui indique la distance à laquelle les lettres de cette ligne devraient être lues par un oeil possédant une .
i son acuité était normale. Ce dénominateur est indiqué entre les lignes . Supposons par exemple que le malade, placé à
par exemple que le malade, placé à 5 mètres, ne lise que la seconde ligne , son acuité visuelle sera ne UJalalle peut, ê
as, on le fait approcher il mi-chemin du tableau Il lit )a première ligne . S611 acuité visuelle est de 50 = 20' deux fois
suelle est de 50 = 20' deux fois moindre que s'il lisait cette même ligne à 5 mètres. Le malade, si près qu'on l'approche
typographi- que, pour la vision au loin, on réduction. Entre les lignes , la distance D il laquelle les . lettres devr
eil fixant le point 0, les objets environnants, compris en deçà des lignes l' l", vont fairc imago sur la rétine périphériqu
ion, peut ainsi embrasser autour du point de fixation, autour de la ligne visuelle, c'est le champ visuel. ' Le champ v
à l'oeil (fig. 6). Les sections de ce cône perpendicu- laires à la ligne visuelle sont d'autant plus grandes qu'elles sont
tion gra- phique d'une section du champ visuel perpendiculaire à la ligne visuelle. Il se place en avant du malade et peu
la révolution de l'arc périmétrique. En joignant ensuite par une ligne circulaire ' toutes les marques du schéma, on
uez les points m, 11,0, ]J" q, r, s. En joignant ces points par une ligne circulaire vous déterminerez avec exactitude l'ét
ommet de l'arc périmétrique. finis ces conditions, la pupille et la ligne visuelle de l'oeil sain se dirigent vers l'objet
l'oeil sain se dirigent vers l'objet 0; tandis que la pupille et la ligne visuelle de l'oeil strabique se portent dans une
bisme est divergent. Supposons que le strabisme soit convergent. La ligne a L, marquant la direction pathologique de l'oe
ne a L, marquant la direction pathologique de l'oeil, forme avec la ligne z0 0 un angle d proportionnel ! lIa déviation d
'oeil. Pour mesurer cet angle, il suffit d'établir en quel point la ligne visuelle a li rencontre l'arc périmétrique. Pou
le péri- mètre donne, en degrés, la mesure de l'angle d que fait la ligne visuelle déviée avec la ligne visuelle en direc
s, la mesure de l'angle d que fait la ligne visuelle déviée avec la ligne visuelle en direction normale c'est ce qu'on appe
x blanc sur lequel sont gravées quelques lettres d'impri- merie, en ligne horizontale pour explorer les méridiens horizonta
explorer les méridiens horizontaux ou voisins de l'horizontale; en ligne verticale pour explorer les méridiens verticaux
lumineux (une bougie) vu par l'oeil droit se trouve remplacé par une ligne lumineuse verticale. Si les yeux sont .en bonne
nor- male par l'oeil- gauche est traversée verticalement par une ligne lumineuse (fig. 21). Si la fixation est incorre
ar une ligne lumineuse (fig. 21). Si la fixation est incorrecte, la ligne lumineuse est à droite ou à gaur che de la flam
même -oeil droit. Si la fixation binoculaire est bonne, on voit une ligne lumineuse qui coupe trans- versalement la flamm
ougie (fig. 22). Si la fixation est défectueuse, le malade voit une ligne lumineuse horizontale au- dessus ou au-dessous
de ltaddux. En 1, ia Uamme de la bougie est traver- sée par une ligne lumineuse vcrti- cale la fixation est enrre
igne lumineuse vcrti- cale la fixation est enrreele. En 2, la ligne verticale lu- mineuse est à côté de la llamme
ette de Maltdox. En 4. la flamme de la bougie est traversée par une ligne lumineuse transversale : la >fixation est co
gne lumineuse transversale : la >fixation est correcte. En 5, la ligne transversale lumineuse est au-dessus de la flam
ommence l'insuffisance du muscle parésié. Ensuite, il joint par une ligne la série des points et obtient ainsi une ligne ap
te, il joint par une ligne la série des points et obtient ainsi une ligne appelée ligne de démarcation. Sa direction et s
ar une ligne la série des points et obtient ainsi une ligne appelée ligne de démarcation. Sa direction et sa position var
isceau direct. L'autre portion vient de la rétine nasale, croise la ligne médiane au niveau du chiasma, passe dans la ban
issent tout d'un coup, comme par enchantement, après avoir passé la ligne médiane; leur sortie est plus lente, normale quan
e le mot qui suit. Dans l'hémianopsie gauche, la lecture d'une même ligne est facile, mais difficile le passage d'une ligne
ecture d'une même ligne est facile, mais difficile le passage d'une ligne à la suivante. Très nombreux sont les autres tr
partie manquante du champ visuel. On présente à t'hemianopsique une ligne droite tracée sur du papier ou une règle, et on
tracée sur du papier ou une règle, et on lui demande de diviser la ligne ou la règle en deux parties égales. Il n'y parv
che du ma- lade, en allant progressivement de la périphérie vers la ligne médiane. Le malade ne voit ni les doigts ni la
u côté hemianopsique, il ne voit qu'au moment où la main atteint la ligne médiane. Même expérience peut être faite avec u
s schémas ne sont pas identiques dans tous les cas. 1° Souvent la ligne de démarcation entre portion restante et portion
ation en suivant le méridien vertical du schéma (fig.41,A). 2° La ligne de démarcation empiète quelquefois sur la moitié
PPAREIL OCULAIRE Fig. 41-(-.%). Hémianopsie homolatérale gauche. La ligne de démarcation verticale - passe exactement par
int de fixation. Fig, 41 (B). llcmianopsie homolatérales gauche. La ligne de démarcation empiète un peu sur la moitié man
point de fixation. Fig. 41 (C). Hémianopsie homolatérale gauche. La ligne de démarcation empiète un peu sur la moitié man
quelques caractères propres aux hémianopsies sous- corticales : La ligne de démarcation coïncide avec le méridien vertical
la bandelette optique. L'hémianopsie est ordinairement absolue. La ligne de démarcation passe par le point de fixation.
des circonstances d'ailleurs très rares, signalé des hémianopsies à ligne de démarcation transversale. Variations de l'
portion altérée de la rétine est toujours située dans le point où la ligne visuelle partant de l'objet fixé et passant par
a pupille en dehors de sa situation habituelle. A l'étal normal, la ligne visuelle, allant de l'objet à la macula passe prè
l'oeil (allongement, myopie; raccourcis- sement, hypermétropie) la ligne visuelle peut passer légèrement en dedans ou en
vant. , Sur l'un des murs de la salle d'examen, on trace des lignes ver- ticales et horizontales circonscrivant d
mière (bougie) est placée à côté de lui, à 1 mètre environ, sur une ligne formant un angle de 45° avec la ligne visuelle.
i, à 1 mètre environ, sur une ligne formant un angle de 45° avec la ligne visuelle. L'observé, regardant toujours devant lu
ler se sert de crayons colorés et demande a l'observé de tracer des lignes avec tous les crayons qui lui paraissent avoir
st une des plus intéressantes : un diapason vi- hrant, placé sur la ligne médiane (dents, vertex), est perçu dans l'oreille
ent ici. Les suppurations de la caisse et de l'antre et, en seconde ligne , les labyrinthites suppurées en sont le point d
tc. Quant aux objets environnants, ils se déplacent en cercle ou en ligne droite, ils se rapprochent ou s'éloignent, ils
nalogues. L'écriture est tremblée, parfois diminuée de hauteur. Les lignes cessent d'être parallèles et deviennent en géné
tous ceux qui concentrent leur personnalité. Chez les premiers, les lignes sont parfois enchevêtrées, désordonnées, parfoi
bonne position (cas habitue)). , Faire lire à haute voix quelques lignes d'un livre ou d'un journal. Faire lire son prop
oints disposés plus ou moins régulièrement en chaîne, en cercles ou lignes courbes, points dont chacun ne peut fournir que
le côté du corps opposé à la lésion cérébrale. Elle s'arrête sur la ligne médiane du corps, en la dépassant ordinairement
fin, les bandes de distribution radiculaire dépassent légèrement la ligne médiane (Sherrington). Les schémas donnés par
rieure et postérieure. lluelduefois l'anesthésie s'avance jusqu'à la ligne médiane (6''et 7" cervicales). Aux troubles s
en avant au niveau du pli génito-cural, et en arrière, suivant une ligne passant par le bord supé- rieur du sacrum. , .
dernier cas cependant, en envisageant les choses dans leurs grandes lignes , on peut dire que le diagnostic différentiel est
arrêter brusque- ment au niveau du tronc ou des membres suivant une ligne franche. 'Mais il est à remarquer que cette lim
ais il est à remarquer que cette limite supérieure ne forme pas une ligne perpendiculaire, mais oblique par rapport au gran
t limitée à un segment de membre, elle s'arrête brusquement par une ligne perpendiculaire à son grand axe; au-dessus la s
toire éloigné du nerf malade. Je n'ai pas épuisé, dans les quelques lignes précédentes, l'énuméra- tion de toutes les caus
hona- IGUILLAIN.} 588 .NEVRALGIES ET ALGIES. - tion suivant une ligne qui se dirige de la dernière molaire à la pointe
écrétion salivaire) ; névralgie du nerf buccal (douleur suivant une ligne allant de l'oreille à la partie- moyenne delà jou
Jousset a décrit un point médio-slernal situé n l'interseclion de la ligne médiane avec une horizontale passant par les qu
les accès, d'un scotome scintillant, d'une tache noire entourée de lignes brillantes en zig-zag; elle s'accompagne parfoi
e : le trochanter, l'ischion, l'articulation sacro-coccygienne. Une ligne droite réunit le trochanter et l'articulation s
t par la contraction des adducteurs qui rapprochent la cuisse de la ligne médiane : c'est le réflexe contralatéral des ad
on îles adducteurs se traduira par un déplacement- du genou vers la ligne médiane, et le réflexe produit par la percussion
au niveau de l'abdomen successive- ment à droite et à gauche de la ligne médiane : il se produit, une con- traction des
u-dessous de l'ombilic successive- ment il droite et à gauche de la ligne médiane. Il se recherche de même au niveau de l
limitée par les cornes postérieures en dehors et en dedans par une ligne parallèle au sillon médian postérieur et amenée
s par les différents auteurs, nous ne ferons que tracer les grandes lignes de celte question et les acquisitions récentes
onte plus ou moins haut sur le tronc : la limite supérieure est une ligne transversale il peu près horizontale. Au contra
e un contour particulier, en chaussettes, en caleçon, dessinant des lignes de vêtement ou des régions du corps, suivant pa
S3, SI', racines sensitives du côté droit, s'entre-croisant sur la ligne médiane pour se rendre à la colonne sensitive C
rôle dans l'acte de l'écriture en conduisant la main le long de la ligne écrite ; aussi l'écriture est très gênée quand il
sur le bord cubital du cinquième métacarpien, il le rapproche de la ligne médiane du corps (adduction) ; si l'on rapporte
a partie la plus reculée, sur la MUSCLES DU MEMBRE INFERIEUR. mis ligne courbe postérieure de l'os coxal et sur la surfac
de l'os coxal et sur la surface osseuse située en arrière de cette ligne , sur le ligament sacro-iliaque postérieur, sur l'
eaux du muscle se dirigent en bas et en dehors et s'insèrent sur la ligne rugueuse qui s'étend du grand trochanter à la l
insèrent sur la ligne rugueuse qui s'étend du grand trochanter à la ligne âpre; les faisceaux les plus inférieurs du musc
n de la fosse iliaque externe qui se trouve comprise entre les deux lignes courbes, sur l'aponévrose fessière dans l'espace
, sur la position de la fosse iliaque externe située en avant de la ligne courbe antérieure. En bas, le tendon du muscle
chion, sur la surface quadrila- térale qui s'étend au-dessous de la ligne innommée entre le trou obtura- teur et l'épine
nter-trochanterlenne. mais un peu en dehors de, celte crête, sur la ligne il peu près verticale qui l'ait suite au bord p
le bord antérieur et le bord inférieur du grand trochanter, sur la ligne rugueuse qui réunit le grand trochanter à la lign
ochanter, sur la ligne rugueuse qui réunit le grand trochanter à la ligne âpre, sur la lèvre externe de la ligne âpre, su
nit le grand trochanter à la ligne âpre, sur la lèvre externe de la ligne âpre, sur le tendon du muscle grand fessier et
laire externe. Le vaste interne s'insère sur la lèvre interne de la ligne âpre et sur la ligne rugueuse qui réunit cette li
te interne s'insère sur la lèvre interne de la ligne âpre et sur la ligne rugueuse qui réunit cette ligne âpre au col du
interne de la ligne âpre et sur la ligne rugueuse qui réunit cette ligne âpre au col du fémur, il recouvre la face inter
tions sur cette face. Le crural s'insère sur la lèvre externe de la ligne âpre où il confond ses fibres avec celles du vast
rat. En bas. les fibres du muscle s'insèrent sur le fémur sur cette ligne rugueuse qui s'étend de la ligne âpre au petit
s'insèrent sur le fémur sur cette ligne rugueuse qui s'étend de la ligne âpre au petit trochanter dite crête du pectine.
tions. Les trois adducteurs de la cuisse s'étendent du bassin il la ligne âpre. Le premier ou moyen adducteur s'insère en
hyse et l'épine, en bas sur la partie moyenne de l'interstice de la ligne âpre. Le deuxième ou petit adducteur est situé au
r qui se porte sur la partie la plus élevée de l'inter- stice de la ligne âpre, un faisceau supérieur qui se rend il la bra
supérieur qui se rend il la branche de bifurcation externe de cette ligne âpre. Le troisième ou grand adduc- teur s'insèr
en un vaste triangle, ils viennent s'insérer sur l'interstice de la ligne âpre du fémur dans toute son étendue, sur sa br
culaire externe et sur la partie inférieure de l'in- terstice de la ligne âpre. En bas le tendon commun du biceps s'insère
externe, sur le tiers supérieur de sa face postérieure, puis sur la ligne oblique du tibia immédiatement au-dessous du mu
se porte en bas et en dedans, et vient se terminer au niveau de la ligne oblique du tibia, en partie sur cette ligne obl
erminer au niveau de la ligne oblique du tibia, en partie sur cette ligne oblique, en partie sur l'aponévrose du poplité. E
en bas et en dedans et vient se fixer sur la lèvre supérieure de la ligne MUSCLES DU MEMBRE -INFÉRIEUR. 551 oblique du
portion de la face postérieure de cet os située -au-dessus de cette ligne . 1 Innervation. Nerf sciatique poplité interne
ommun des orteils s'in- sère en haut. sur la lèvre inférieure de la ligne oblique du tibia, sur le tiers moyen de la face
. GUILLAIN.] 55'2 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. s'insère en haut sur la ligne oblique et sur la face postérieure du tibia au-
hit le gros orteil sur le métatarse elle rapproche légèrement de la ligne médiane du corps (adduc- tion). Court fléchis
ne de l'apophyse mas- toïde, en partie sur la portion externe de la ligne courbe supérieure de l'occipital; le chef clavi
rection du chef sternal avec lequel elles se confondent, gagnent la ligne courbe supérieure de l'occipital, et se terminent
eure de l'occipital, et se terminent sur la partie externe de cette ligne courbe. Innervation. La branche externe du spin
ien s'in- sère en bas sur la face postérieure du sternum jusqu'à la ligne médiane et sur la face postérieure du premier c
lo-hyoïdien . Insertions. Le Imlo-hroïdil'n s'insère en haut sur la ligne , oblique interne du maxillaire inférieur, ses lib
llaire inférieur, ses libres se portent en bas et en dedans vers la ligne médiane et s'insèrent sur la face, antérieure d
iane et s'insèrent sur la face, antérieure de l'os hyoïde et sur la ligne blanche sus-hyoïdienne qui s étend de l'os hyoï
Quand le bras est ver- tical, elle l'abaisse en le portant vers la ligne médiane jusqu'à ce qu'il soit devenu horizontal
uand le bras est étendu transver- salement, elle le rapproche de la ligne médiane (geste d'embrasser) ; quand le bras est
hras en avant que dans son élévation en dehors; modification de la ligne latérale qui prend la forme d'une Sa boucles très
e et l'épine, lise termine en haut par une extrémité effilée sur la ligne blanche en un point également distant de la sym
onction utile. Certains auteurs lui attribuent le rôle de tendre la ligne blanche, mais, comme le fait remarquer très jus
ès justement Testut, on ne voit pas dans quelles circon- stances la ligne blanche aurait besoin d'être tendue. Grand obli
(arcade crurale), sur le pubis (piliers du canal inguinal), sur la ligne blanche. Innervation. Nerfs intercostaux inféri
le, il s'étend de la région lombo-iliaque aux dernières côtes, à la ligne blanche, au pubis. Il s'insère sur le tiers ext
e aponévrose, l'aponévrose antérieure du petit oblique qui gagne la ligne blanche. Innervation. Nerfs intercostaux. Grand
rse. En avant l'aponévrose anté- rieure du transverse se fixe il la ligne blanche ; la partie tout inférieure de cette ap
èze s'insère en dedans sur le tiers interne (lèvre inférieure de la ligne courbe occipilalc supérieure), sur la protubéra
on, font basculer l'omoplate dont l'angle inférieur s'éloigne de la ligne médiane. Les libres de la portion moyenne qui s'i
i s'insèrent en dedans des précédentes rapprochent l'omoplate de la ligne médiane, effacent le moignon de l'épaule; elles
s, le bord spinal du scapulum se dévie à 10 ou 12 centimètres de la ligne médiane, le moignon de l'épaule se porte en ava
mouvement de rotation qui porte la face palmaire en dedans vers la ligne médiane. Quand le bras est placé dans une directi
l'omoplate, le tiers supérieur du muscle rapproche l'omoplate de la ligne médiane de deux a trois centimètres; en se cont
, il fait basculer cet os dont l'angle inférieur se rapproche de la ligne médiane, tandis que le moignon de l'épaule s'ab
re et en dedans. Les omoplates peuvent encore se rappro- cher de la ligne médiane grâce au grand dorsal (Haillon). Angula
e ou splénius de la tête s'insère sur les deux tiers externes de la ligne , courbe occipitale supérieure, sur la portion m
ipital et s'insèrent sur l'empreinte rugueuse située entre les deux lignes courbes. Innervation. Grand nerf occipital. Le
rt sur l'empreinte rugueuse de l'occipital qui est au-dessous de la ligne courbe inférieure. Innervation. Branche postéri
tlas, d'autre part sur l'empreinte rugueuse située au-dessous de la ligne courbe inférieure de l'occipital en dedans du gra
ipital. Physiologie. Le grand oblique de la tête, rapprochant de la ligne médiane l'apophyse transverse de l'atlas, déter
: I" les faisceaux internes s'entre-croisent le plus souvent sur la ligne médiane au-dessous du menton avec ceux du côté
ière; 2° les faisceaux moyens s'insèrent sur le tiers interne de la ligne oblique du maxillaire en s'entre-croisant à ce
muscle 'occipital naît en arrière sur les deux tiers externes delà ligne occipitale supérieure et sur la partie correspond
rsaux a conca- vité inférieure raccordés de droite il gauche sur la ligne médiane par des plis à courbure inverse, 1 asce
Physiologie. Le dilatateur des narines écarte l'aile du nez de la ligne médiane. Il se contracte dans la dyspnée pour fai
. Le triangulaire des lèvres naît en bas sur le tiers interne de la ligne oblique externe du maxillaire inférieur, les li
ions. Le carré du menton s'insère en bas sur le tiers interne de la ligne oblique externe du maxillaire infé- rieur, immé
se dirige en haut et en dedans, s'entre-croise partiellement sur la ligne médiane avec celui du côté oppose et vient se f
x du demi-orbiculaire supérieur naissent à droite et à gauche de la ligne médiane de la face profonde de la peau et de la
URS Temporal. - -Insertions. Le temporal s'insère. en haut sur la ligne temporale inférieure, sur la fosse temporale, sur
centres moteurs corticaux. La figure 8 montre la topographie de la ligne rolandique et de la ligne sylvienne d'après Poi
. La figure 8 montre la topographie de la ligne rolandique et de la ligne sylvienne d'après Poirier. Pour déterminer l'
ienne d'après Poirier. Pour déterminer l'extrémité supérieure de la ligne rolandique il faut « mesurer avec soin la dista
épare le fond de l'angle naso-fronta) de l'iuion en suivant bien la ligne sagittale ou ligne médiane antéro-pos- téricurc
angle naso-fronta) de l'iuion en suivant bien la ligne sagittale ou ligne médiane antéro-pos- téricurc, prendre la moitié
oûte qui , [G. GüI.LLAIN ] Fig. R. Topographie cr11nio-cérébrnlc. Ligne rolandique et ligne sytviennc (d'après Poirier).
.LLAIN ] Fig. R. Topographie cr11nio-cérébrnlc. Ligne rolandique et ligne sytviennc (d'après Poirier). "598 TOPOGRAPHIE M
enne à 18 cm. 5 de la suture nasale. , L'extrémité inférieure de la ligne rolandique s'obtient ainsi : . « Recon- naître
n l'arcade zygomatique qui est sensiblement horizontale ; sur cette ligne de l'arcade, élever une perpendiculaire passant t
» (Poirier).. .. - . En réunissant ces deux points on obtient la ligne rolandique. La direction de la scissure de Sylv
ure de Sylvius s'obtient par le procédé de Poi- rier, procédé de la ligne naso-lanlbdoïdiennc. « Cette ligne oblique réiuii
cédé de Poi- rier, procédé de la ligne naso-lanlbdoïdiennc. « Cette ligne oblique réiuiit l'angle fronto-nasal au lambda;
ron à 6 centimètres an- dessus du trou auditif. On trouve sur cette ligne en partant du lambda : à 7 centimètres le lobul
li courbe), au-dessus du trou auditif la scissure de Sylvius que la ligne suit sur une longueur de 4 à 6 centimètres, au-de
apo- physe épineuse proéminente est la septième cervicale, que la ligne horizontale passant par le sommet des crêtes il
un on deux travers de doigt au- dessus du coude, limitée ta par une ligne plus ou moins irrégulière (De- jcrme). L anesth
du membre supérieur tandis que l'angle inférieur se rapproche de la ligne médiane, le bord interne de l'os s'écarte de la c
pour le côté gauche; qu'il présente une portion inférieure, curvi- ligne , qui embrasse dans son anse, à droite l'artère so
ment, ce qui tient à ce que la corde vocale saine tend à dépasser la ligne médiane dans une adduction forcée et à rejoindr
forcée vraie (Garel), mais si la corde n'est pas exactement sur la ligne médiane, du moins s'en rapproche-t-elle beaucoup.
occipitale s'efface et la face postérieure du crâne se continue en ligne presque verticale avec la colonne cervico-dorsa
e devient oblique en bas et en dedans au lieu d'être parallèle à la ligne des apophyses épineuses, son angle supéro-intel'l
nterne vient faire saillie en'arrière du creux sus-claviculaire; la ligne légèrement concave qui joint la l'ace latérale du
ant que le malade a les yeux ouverts (lig-ne supérieure) ou Termes ( ligne infé- rieure) . 758 INCOORDINATIONS. partie
ystème nerveux. Un certain nombre de toxiques, l'alcool en première ligne , quelques médicaments, l'iode, le brome, le chl
auche, parfois même en arrière, toujours Irrëgullè- ment loin de la ligne droite qui mènerait au but à atteindre; les pieds
s et que les pieds res- tent à peu près normalement écartés de la ligne de direc- tion. Petite asynergie. Les petit
urter violemment la joue. Si on lui dit de tracer sur un papier une ligne horizontale jusqu'à un point donné, il dépasse ce
pidement altérée, irrcgulière et anguleuse, formée d'une série de lignes brisées ; mais elle ne présente pas les irrégul
e des mouvements démesurés : porter le doigt sur le nez. tracer une ligne jusqu un point donné. 4° La recherche de la cat
tation de la jambe en dehors, de façon que l'angle du pied et de la ligne de direction ne dépasse pas 45°; -l'exagération
volonté du malade, sera ensuite indiqué par le médecin au. moyen de lignes tracées sur le sol. Marcher les genoux fléchi
ée ou non de barres d'appui, sur laquelle se trouvent dessinées des lignes numérotées indiquant, en partant du centre, la
de marche, parce qu'un faible genu recurvatum fait mieux reposer en ligne droite qu'il l'état normal les condyles articulai
ens sur un support. L'exercice consiste à parcourir la gouttière en ligne droite avec la pointe d'un crayon; le crayon en
e et Renault, ce tremblement peut se transmettre aussi bien dans la ligne paternelle et ne pas atteindre nécessairement tou
des inégalités de l'allure, dans le projettement du pied hors de la ligne médiane pendant la marche, dans l'élévation tro
le. sujet essaye d'écrire; il trace d'abord quelques mots, quelques lignes , parfois même une page, ou deux, de façon assez
ension maxima de la jambe sur la cuisse, cette extension dépasse la ligne droite qui est l'attitude normale ; il y a hypere
atine ou d'acier est enfoncée verticalement un peu au-dessous de la ligne des tubercules sacrés jusqu'à ce qu'on sente qu'e
ointe et l'un des bords, quelquefois les deux côtés ou seulement la ligne médiane, brûlent atrocement le patient. Ces cri
ngés, ou courts et boudinés; leur attache manque de souplesse, leur ligne d'insertion s'arrondit brus- quement à cause de
hie pourra rendre des services en montrant l'intégrité des inter- lignes articulaires et l'existence de taches blanche
s s'écartent non plus selon un arc de circonférence, mais selon des lignes parallèles. On se sert, des pointes si l'on pré
ompas-glissière dont on retiré le couteau mobile. Se réglant sur la ligne des yeux (Manouvrier), . - [F. MOUTIER.] - 10
ure de l'ophryon au point mentonnier. L'ophryon est le milieu d'une ligne passant tangentiel- lement au bord supérieur de
a disposition féminine, et ne gagnent pas l'ombilic en remontant la ligne blanche. Les testicules et la verge sont rudime
anato- miques, la classification de Mayet, du moins en ses grandes lignes . Nous avons également puisé de précieux renseig
de garder une direction régulière (marges croissantes ou diminuées, lignes ascendantes, plongeantes, chevauchantes, etc.), l
lures latérales, chaque bosselure étant située de chaque côte de la ligne médiane, ou encore le front en carène bossue pa
pratiquée dans l'espace situé entre la 4e et la 5e lombaire ; or, une ligne transversale unissant les deux crêtes iliaques
omme point de repère les deux crêtes iliaques, on cherchera, sur la ligne transversale qui les unit, une crête saillante
sur le côté interne de ce doigt, à un demi centimètre environ de la ligne médiane, ou même, suivant Aubourg, au niveau de l
iron de la ligne médiane, ou même, suivant Aubourg, au niveau de la ligne médiane. L'aiguille sera dirigée légèrement en
inique de l'épendymite médullaire et, après avoir consacré quelques lignes à la physiologie pathologique, nous aborderons le
sentent pas tous la même résistance électrique, et l'on sait que les lignes de flux du courant suivent de préférence les vo
ochées l'une de l'autre sur l'espace à électriser, de façon que les lignes qui les réunissent le plus directement au-desso
plique les électrodes sur la même surface, l'une près de l'autre. Les lignes de llux inertes sont ponctuées. La zone de la p
u (A. fig. 1 ! ) ; éloignées, au contraire, un plus grand nombre de lignes de flux pénètrent dans la profondeur (B. fig. 1
la profondeur de l'hémi- sphère cérébral gauche dans la zone des lignes de flux les plus denses et les plus actives.
a profondeur des tissus, sur l'espace interpolaire parcouru par les lignes de flux du courant. On sait que, lorsque deux é
s et des muscles que l'on veut exciter, le plus généralement sur la ligne médiane (par exemple sur l'une des régions suiv
ions est placée loin des régions à examiner et de préférence sur la ligne médiane du corps e); 1. Lorsque l'électrode ind
maintenue en place, sur un point assez éloigné, très souvent sur la ligne médiane du corps et notamment sur la colonne vert
nsportable. z) 3 1) APPLICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ. atteindre la ligne de repos, c'est la période d'énergie décroissante
rante à la seconde; les autres, avec Vigouroux, placent en première ligne la dilatation même des vaisseaux et l'augmentat
s électrodes, l'anode géné- ralement, est placée il la nuque sur la ligne médiane ou sur le côté opposé à celui de la par
de petits ciseaux mousses la dure-mère à droite et il gauche de la ligne médiane, puis une nouvelle incision est faite p
22 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
t de ses quatre neveux ou nièces, tous sont bien portants. Dans les lignes collatérales, aucun fait n'est à relater se rappr
rtement. Evi- demment, nous ne pouvons nous rendre compte, ni de la ligne de sa mar- che, ni de la régularité de ses pas,
pathologique en avaient été suffisamment fixées dans leurs grandes lignes par ces nouvelles observations. En France, vers
la lésion transverse primitivement limitée à gauche eût franchi la ligne médiane, gagné la face postérieure de la moelle,
mon malade, et vous verrez combien son observation dans ses grandes lignes , dans ses si- gnes capitaux, parole scandée, tr
ndent au bord inférieur des grands dorsaux, ou plus exactement à la ligne d'insertion des fibres du grand dorsal sur l'ap
forme d'une saillie étendue 10llgitudiualement de chaque côté de la ligne mé- diane du rachis. Parfois les deux muscles s
xterne de ce côté devient plus ouvert, tout en se rapprochant de la ligne médiane du dos (lig. 3 et 4). En même temps les
e celui-ci) ; l'épaule du côté portant est abaissée. Il faut que la ligne du centre de gravité ne tombe point en dehors d
hauteur de l'an- gle sternal à l'angle xyphoïdien, en largeur d'une ligne parasternale à l'au- tre. Le fond correspond à
en résulte qu'au lieu de trouver une surface convexe, on voit de la ligne para-axillaire postérieure à la ligne mamelonna
urface convexe, on voit de la ligne para-axillaire postérieure à la ligne mamelonnaire en avant une surface plane, un vérit
ant toute la face latérale du thorax : il est limité en avant par une ligne ohH- que nettement dessinée du bord inférieur d
ôte, lorsqu'on la suit d'arrière en avant, le doigt la perd dans la ligne scapulaire. Malgré cet affaissement du thorax,
riangle de Scarpa est aplatie, et se continne souvent en haut, sans ligne de démarcation appréciable, avec la face antéri
ous avons obtenu est néanmoins inté- ressant, et dans leurs grandes lignes les mensurations sont conformes aux données cli
qui interrogent les morts, chiromanciens, ceux qui interrogent les lignes de la main, hydromanciens, ceux qui devinent par
mbe sur la cuisse, dénotant une certaine asynergie delà marche ; la ligne de ses pas est irrégulière : Vous avez reconnu
xagère dans l'attitude du serment; l'écriture est en zigzag, et les lignes droites sont incurvées. Il n'existe pas de mouv
'il écrivait, des soubresauts musculaires le faisaient dévier de la ligne . La marche, de plus en plus difficile, lui devint
l'angle externe de l'orbite et ne peut plus être ramené jusqu'à la ligne médiane.Dès la fin de 1898, l'oeil gauche reste
a ligne médiane.Dès la fin de 1898, l'oeil gauche reste fixé sur la ligne médiane. Les efforts du malade pour le mouvoir
ur tout le côté droit du corps, faoe et langue comprise, jusqu'à la ligne médiane. Perte du sens musculaire et du sens st
la bouche est tirée en haut vers la gauche, la langue reste sur la ligne médiane. Il n'y a pas de contractions fibrillai
montent par le faisceau longitudinal postérieur, se croisent sur la ligne médiane en bas des tubercules quadrijumeaux et
artie postérieure où les bosses occipitales sont bien marquées. Les lignes courbes du temporal et du pariétal sont très accu
osseuse est de 23 milli- mètres, elle est de 18 millimètres sur la ligne frontale médiane ; les bosses temporales sont m
maxima; le cartilage thyroïde mesure 15 millimètres de haut sur la ligne médiane; ses faces latérales ont 26 milli- mètr
ne. Profil du crâne. Coupe demi-schématique passant en dehors de la ligne médiane. En noir : les sinus. En hachure : les os
un double foyer de ra- mollissement ocre; l'un, sous la forme d'une ligne oblique en dehors et en avant, part du tiers mo
t plus les tendons sous la peau, et cette tuméfaction commence à la ligne interarticulaire du poignet. La peau pâle, plus
L'examen spectroscopique nous démontre avec une extrême évidence la ligne de l'hémoglobine, tandis que l'examen micros- c
t et à 16 centimètres du gauche et à 7 centimètres de l'ombilic. La ligne ombilico-mamelonnaire (Sa- brazès) est de 25 ce
) est de 25 centimètres à droite : de 28 1/2 à gauche. En avant, la ligne des poils dessine sur le ventre une courbe à conc
et dans la région axillaire, silence respira- toire au-dessus de la ligne mamelonnaire. - Le signe du sou n'est perçu en
base. Il s'entend très bien en avant et sur le côté, à partir d'une ligne passant à trois travers de doigt au-dessus du mam
nt comme en arrière, respiration normale. Mais en arrière et sur la ligne axillaire, au-dessous d'une ligne passant par le
ormale. Mais en arrière et sur la ligne axillaire, au-dessous d'une ligne passant par le mamelon, on perçoit des frotteme
ir ses doigts et-reprend l'écriture. A peine a-t-elle fait quelques lignes , qu'elle ressent de nouveau la même gêne dans l
ongés, ou en croix, qu'il exécute en deux temps. Les exer- cices de lignes horizontales, verticales, diagonales, etc. Ces di
de lignes horizontales, verticales, diagonales, etc. Ces différentes lignes doivent s'exécuter en déplaçant le poignet seul
inférieurs et des fesses restent 'sensiblement les mêmes. La double ligne de contour qu'on aperçoit sur la photographie c
oncules cérébraux, et que les fibres dégénérées ne dépassent pas la ligne médiane. En un mot, chez ce chien, l'atrophie d
de présentent un certain intérêt : c'est ce qui justifie les quelques lignes de description et les reproductions photographi
observer sur la peau des di- vers sujets, ou même du même sujet une ligne rouge plate ou bien une ligne pâle pour un peti
ers sujets, ou même du même sujet une ligne rouge plate ou bien une ligne pâle pour un petit oedème localisé. Est-ce que ce
PoecMe de l'éléphantiasis comme dans le trophoedème s'arrête à une ligne de démarcation supérieure qui le sépare d'une r
'autres fois elle ne peut pas faire terminer une lettre sur la même ligne que les précédentes. Elle en finit la partie infé
fi- culté est telle qu'il faut plus de deux minutes pour écrire une ligne . Ces accidents se produisent uniquement avec la
amène de la gauche dans la rectitude. Quand elle l'a ramenée sur la ligne médiane, elle ne sent pas si sa tête est bien dro
sont très limités. Le moignon de l'épaule est plus rapproché de la ligne médiane du côté malade ; cette asy- métrie est
supplémentaire au niveau du rebord alvéolaire supérieur, près de la ligne médiane. Léger progna- thisme : nez normal mais
L1,IDO-CRANICNLYE HÉRÉDITAIRE 309 amener au contact en avant sur la ligne médiane, et en arrière, passage possible par de
postérieure. L'occipital aplati descend verticalement rejoindre la ligne de la nuque. Les diamètres de la tête sont les
en avant. Les deux épines iliaques postéro-supérieures sont sur une ligne horizon- tale et à égale distance de la ligne m
érieures sont sur une ligne horizon- tale et à égale distance de la ligne médiane. Les diamètres externes du bassin sont
placent tous les intermédiaires et, en définitive, il n'existe aucune ligne de démarcation bien tranchée entre la pseudencé
cé- phalique, il est assez difficile de fixer avec précision cette ligne postérieure ; en réalité, d'ailleurs, cette lig
c précision cette ligne postérieure ; en réalité, d'ailleurs, cette ligne postérieure est tracée sur la peau du dos avec
es et de Pseudencéphales, la tumeur encéphalique est continuée sans ligne de démar- cation par la tumeur qui se substitue
tie de la région pariétale. Elle s'arrêtait brusquement suivant une ligne courbe et se trouvait immédiatement continuée p
t au-dessus de la peau saine.La plupart des auteurs ont avancé que la ligne de séparation superficielle de la tumeur et de
ait différentes : les masses latérales, loin de se rejoindre sur la ligne médiane, sont étalées à droite et à gauche du pla
l suit : l'apopliyse basilaire forme un bloc co- hérent occupant la ligne médiane, elle s'articule latéralement de part et
largement ouvert ; ou bien, au contraire, ils se réunissent sur la ligne médiane et forment vraiment une voûte. Nous tro
andis que le sommet opposé va rejoindre l'occipital. Par rapport à la ligne médiane du crâne, la hauteur du triangle pariét
ions, les papilles s'atténuent, puis disparaissent, de sorte que la ligne de séparation épithélio-dermique est une ligne
ent, de sorte que la ligne de séparation épithélio-dermique est une ligne droite. Le derme lui-même est sensiblement réduit
grande que d'habitude, le thorax paraît plus long et se continue en ligne oblique avec l'abdomen, for- mant un cône, dont
os cubitus et radius. Les bords de l'avant-bras ne forment plus de lignes convexes, celle du bord externe est remplacée par
s de lignes convexes, celle du bord externe est remplacée par r une ligne droite, et celle du bord interne par une ligne co
remplacée par r une ligne droite, et celle du bord interne par une ligne concave. Les bras ne présentent plus qu'une lég
s muscles épicondyliens sont disparus et ils ne forment plus qu'une ligne droite sur le bord externe de l'avant-bras. Au
. Grand dentelé, contractions assez fortes à 150 divisions, sur une ligne de 10 centimètres parallèle avec la ligne médio
à 150 divisions, sur une ligne de 10 centimètres parallèle avec la ligne médio-axillaire. Muscle trapèze, contractions t
S enfants 459 droite. A la palpation, aucun point douloureux sur la ligne des apophyses, ni sur les flancs latéraux de la
ie pottique : l'enfant fut tournée sur le ventre, et nous vîmes une ligne épi- neuse parfaitement droite. Mais nous savon
yses courtes, d'épaisseur sensiblement normale, sont tantôt recti-' lignes , tantôt incurvées. Mais cette incurvation se prod
es élargies, comme écrasées, restent séparées des épiphyses par une ligne transparente. Chez Claudius, à l'âge de 18'ans (P
ble des lésions dans les diverses épiphyses et l'irrégularité de la ligne d'ossification. L'allongement s'effectuera donc
eux dû à son mode de formation. Son siège plus ou moins distant de la ligne d'ossification permet donc d'estimer approximat
chez l'adulte on peut observer soit de récentes coudures près de la ligne d'ossification, soit, plus ou moins loin de cette
près de la ligne d'ossification, soit, plus ou moins loin de cette ligne dans la diaphyse, de plus anciennes remontant à
res, on plus probablement d'un accroissement inégal au niveau de la ligne d'ossification, les axes de ces deux portions s'é
copiques, aujourd'hui bien déterminées, au moins dans leurs grandes lignes , offrent des caractères plus pathognomoniques que
cage thoracique qui devra' être étudiée spécialement. les grandes lignes de l'ossification normale. 1° Ossification chon
ne d'une rangée de 40 à 60 cellules dont les plus rapprochées de la ligne d'ossification sont un peu plus' grosses que le
ranslucide de 1 à 2 millimètres d'épaisseur (couche chondroide). c) Ligne d'ossification (Couche ossiforme). Elle se présen
voisine, d'où la direction droite et absolument régulière de cette ligne d'ossification. A ce niveau les cloisons hyalin
de la diaphyse. Celles qui passent uni- quement sur les bords de la ligne d'ossification sont moins démonstratives et off
lonnettes courtes formées de 3, 4 à 6 éléments au niveau même de la ligne d'ossification. Cette disposition rudimentaire es
nt disposés et d'épaisseur variable le long du bord supérieur de la ligne d'ossification (Voy.c. PI.LIV, fig.l0 et PI.LY,fi
s (Voy. b. PI. LIV, fig.'l3). Ces nodules, dont la base arrive à la ligne d'ossification et dont sommet atteint et même d
mme le ferait, en plus petit, une co- lonne normale au niveau de la ligne d'ossification (Voy. b. PI. LV, fig. 14). d) La
niveau de la ligne d'ossification (Voy. b. PI. LV, fig. 14). d) La ligne d'ossification est extrêmement irrégulière. Le; c
ent pas toutes au même niveau, d'où un aspect très sinueux de cette ligne normalement régulière (Comparez Pl. LIV, fig. 9 e
r un collet plus ou moins étroit avec les espaces médullaires de la ligne d'ossification. Ils renferment souvent il leur
physaires et ceux de la diaphyse osseuse. e) Les travées nées de la ligne d'ossification sont petites, grêles, essentielle-
a) zone cartilagineuse de prolifération. b) zone de rivulation. - c) ligne d'ossi- fication. d) moelle et travées osseuses
ord inférieur de cette zone se calcifié par places c) au niveau de la ligne d'ossification qui est irrégulière. - o) travée
bstance interstitielle hyaline plus ' abondante que normalement. c) ligne d'ossification au-dessous de laquelle se prolon
n très nette, plus haute et plus régulière qu'à l'état normal. - c) ligne d'ossification formée par l'ouverture individuell
s deux parties. La faiblesse du tissu osseux formé au-dessous de la ligne d'ossification aux dépens du cartilage altéré r
ont très variables d'un sujet à l'autre, même à l'état normal. La ligne d'ossification est fine, horizontale, ou légèreme
eux marquée au niveau de l'encoche périostale et à la hautenr de la ligne d'ossification chondrale que dans la continuité
ons vasculaires pénètrent dans les colonnes cellulaires et rendent la ligne d'ossification irrégulière; ils découpent de la
bascula-> risation anormale des épiphyses, l'irrégularité de la ligne d'ossification, la non- ossification des travée
tion,l'aliongement des colonnes cellulaires, la calcification de la ligne d'ossification et n'ont aucun rapport avec cell
et les poils sont longs .et luisants. Les dents se superposent sur la ligne médiane, tandis que sur les côtés les inférieur
de la protubérance et du bulbe. Sur une coupe pas- sant près de la ligne médiane et correspondante à la coupe S S 1 bis du
hors de la précédente et cor- respondant à une coupe passant par la ligne de répère S 2 de la figure 407, on ne trouve ri
la zone claire du stratum complexum. Sur une coupe passant par la ligne de repère S 5 le pédoncule cérébelleux in- féri
opposée par l'encéphale, le crâne s'ouvre partiellement suivant la ligne sur laquelle s'exerce le plus grand . effort. C
uivant la ligne sur laquelle s'exerce le plus grand . effort. Cette ligne , médiane, est nécessairement la suture inter-occi
ions musculaires. Dès lors, la voûte crânienne éclate suivant cette ligne , tandis que la compression continuant à s'exerc
ecourbés de bas en haut (avant en arrière) et soudés entre eux sur la ligne médiane de façon à constituer un canal rachidie
e et néces- saire, une solution de continuité de la peau suivant la ligne dorsale : nous trou- verions le tissu nerveux à
-il, j'ai composé mon tableau, avec le seul souci de l'harmonie des lignes et de l'effet pic- tural ; j'ai groupé autour d
n, la vie et la légende d'un saint qui fut médecin. Au surplus, ces lignes dispenseront peut-être dans l'avenir quelque cr
latie ; la dernière, renflée en forme de massue, se rapproche de la ligne médiane par son point d'implantation. Au niveau d
s épaisse, qui est composée de cartilage hyalin et que délimite une ligne de démarcation bien tranchée. Elle renferme des
mort suivit, due peut-être à la septicémie. Voilà les précédents en ligne directe. En ligne collatérale, deux frères de n
t-être à la septicémie. Voilà les précédents en ligne directe. En ligne collatérale, deux frères de notre malade moururen
rrompue par un léger sillon, qui traverse toute la tumeur selon une ligne parallèle à son dia- mètre longitudinal, et un
ouse de feu Gaétan, 33 ans. Dans ses antécédents nous trouvons : en ligne ascendante, sa mère qui mourut à 35 ans d'une mal
es six mois de sa maladie le malade avait toujours de la toux. En ligne collatérale : 4 soeurs mortes, 3 de phtisie (10,
ulier, sa pointe sont également distants à gauche et à droite de la ligne médiane; le moignon de l'épaule est en place, n
es lésions de voisinage aux alentours de la voûte du crâne et de la ligne médio- dorsale. Dans l'intérieur du corps,il n'
monter assez haut dans la série des générations, aussi bien dans la ligne paternelle que dans la ligne maternelle. Mais e
ie des générations, aussi bien dans la ligne paternelle que dans la ligne maternelle. Mais elle peut être d'acquisition tou
le cerveau de la boîte crânienne. La paroi de la boîte cède sur la ligne médiane, le cerveau passe entre les deux moitiés
23 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
IG remplace le ganglion cervical supérieur ; elle a deux pouces trois lignes de long sur un pouce de diamètre; sa surface est
vrai que les parties molles, comme les parties dures, situées sur la ligne médiane, se développent par des points latéraux q
organique épaisse, sont précédés par un tube épidermique de plusieurs lignes de longueur (**) ? Pourquoi supposer que l'absorp
urs TSA, TSA n'étaient pas symétriquement placés des deux côtés de la ligne médiane. Les deux muscles fessiers étaient réunis
de la ligne médiane. Les deux muscles fessiers étaient réunis sur la ligne médiane, au niveau de l'ouverture postérieure O,
le troisième métatarsien 3e M avec le troisième cunéiforme 3e C. Une ligne anguleuse indique seulement la trace du point d'u
ière rangée du tarse avec la deuxième ; la première rangée est sur la ligne de la jambe, la deuxième rangée est sur la ligne
re rangée est sur la ligne de la jambe, la deuxième rangée est sur la ligne du reste du pied; d'où un angle très-obtus sailla
ui avoisinait la caverne était gangrenée dans l'épaisseur de quelques lignes ; tout le reste du lobe inférieur présentait une
aminci, réduit à une lame mince, fibreuse dans l'étendue de quelques lignes NI; il m'a paru qu'il était complètement interrom
Le kyste d'enveloppe était fibreux comme de coutume, d'un quart de ligne d'épaisseur; sa surface interne était rugueuse, c
l'épaisseur des kystes acéphalocystes, j'en ai vu qui avaient quatre lignes d'épaisseur. Le malade a succombé non à l'altér
rieure FAP (fîg. i). Comme dans ce dernier sens, il ne dépasse pas la ligne médiane; mais cette ligne médiane est déjetée à d
dans ce dernier sens, il ne dépasse pas la ligne médiane; mais cette ligne médiane est déjetée à droite; le sang semble être
et du mouvement de toute la partie du corps qui est au-dessous d'une ligne qui passe par les mamelles. Le chatouillement de
était variable. Ici elle n'était que d'une demi-ligne, et là d'une « ligne et demie à deux lignes. Cette matière était friab
lle n'était que d'une demi-ligne, et là d'une « ligne et demie à deux lignes . Cette matière était friable; elle avait la consi
antérieure de la rotule en était recouverte dans l'épaisseur d'une « ligne et demie. Le siège était évidemment entre cet os
ations tarso-métatarsiennes et métatarsiennes étaient ankylosées. Des lignes blanches indiquaient le lieu de la soudure : la m
loïdienet ligament capsulaire infiltrés sous la forme de points et de lignes . Cavité cotyloïde droite tapissée d'une couche mi
'aponévrose et les muscles, couche de matière crétacée épaisse de six lignes . — A F oreille gauche, entre le derme et le carti
négaux pour les dimensions, et l'incision du col de chaque côté de la ligne médiane démontre deux cavités bien distinctes, do
es par une dépression ou rainure superficielle qui règne sur toute la ligne médiane et se prolonge le long du vagin. A cett
e ne pense pas qu'il y ait défaut, absence des parties situées sur la ligne médiane; car, dans tous les faits connus, les deu
ume du testicule est considérable (fig. 1 ) : il a quatre pouces neuf lignes dans son diamètre vertical, deux pouces neuf lign
uatre pouces neuf lignes dans son diamètre vertical, deux pouces neuf lignes dans sa largeur, et une épaisseur proportionnelle
se des cartilages du larynx dans ce cas, doivent être mis sur la même ligne que la destruction et l'usure si fréquentes du pé
it, près de son extrémité pylorique, une ulcération de trois à quatre lignes de diamètre, à bords durs, épais, taillés à pic,
nt théorique : le kyste de l'ovaire se place en effet de suite sur la ligne médiane, par la raison qu'il se développe dans le
s minces et demi-transparentes sur lesquelles se dessinent, comme des lignes sinueuses, les traces des circonvolutions et des
ps calleux n'était atrophié ni d'un côté ni de l'autre : c'est que la ligne médiane n'est pas la limite de ce qui appartient
autour des ramifications veineuses, le long desquelles il formait des lignes d'un blanc jaunâtre. La pie-mère intérieure est i
bord antérieur de la protubérance annulaire; de chaque côté par deux lignes , dont l'une est formée par les pédoncules cérébra
ont l'une est formée par les pédoncules cérébraux, et l'autre par une ligne imaginaire étendue de l'extrémité interne de la s
t enfant portait à la partie inférieure de la région lombaire, sur la ligne médiane , une tumeur hémisphérique de quatorze li
lombaire, sur la ligne médiane , une tumeur hémisphérique de quatorze lignes de diamètre, violacée, fluctuante, indolente. Tou
ertical est de deux pouces 5 son diamètre transverse est de vingt-une lignes . Les tégumens amincis et violacés sont excoriés a
postérieure du corps de la douzième vertèbre dorsale, établissait la ligne de démarcation. Au-dessus de la tumeur, les deux
venèbies lombaires ( i', 2 ); 20 deux pièces, une de chaque côté delà ligne médiane, pour le corps des troisième, deuxième, p
illée représente assez bien l'écorce d'un vieux chêne, deux ordres de lignes ; les unes dirigées suivant leur longueur, les aut
inéaire des productions cornées normales et accidentelles, savoir des lignes circulaires qui répondent à la base de chaque cor
es lignes circulaires qui répondent à la base de chaque cornet et des lignes qui tiennent à la disposition linéaire des papill
une coupe de l'ongle et de la phalange desséchée. On y voit : 10 des lignes ou stries qui attestent la lamellation de l'ongle
intérieur de la vessie cinq ou six petites loges ou sinus de quelques lignes de profondeur qui ne contenaient rien, mais qui f
intérieur de la vessie cinq ou six petites loges ou sinus de quelques lignes de profondeur qui ne contenaient rien, mais qui f
ntre l'arachnoïde et la pie-mère du cervelet C, mais seulement sur la ligne médiane et au voisinage. L'infiltration s'étendai
ses membres, et l'homme de cabinet ont les mêmes apophyses, les mêmes lignes saillantes ; quelle différence cependant entre le
e d'un pouce; je fais ensuite une ponction exploratrice de cinq à six lignes de profondeur à l'aide d'un bistouri; il ne s'éco
eure du radius; C, celle du cubitus qui déborde le précédent de 5 à 6 lignes . Les tendons réunis des radiaux postérieurs et de
e corps du radius est-il plus volumineux que dans l'état naturel, ses lignes d'insertion et ses apophyses plus saillantes. L'e
rieures ou carpîennes EC des deux os de l'avant-bras sont sur la même ligne et sans aucune espèce de déformation, ce qui prou
lquefois à un degré prodigieux, car je l'ai vue présenter sept à huit lignes d'épaisseur. On peut encore la séparer aisément d
u'elle prenait. En palpant l'abdomen, on reconnaissait à droite de la ligne blanche, un peu au-dessus de l'ombilic, une tumeu
longeait sur la membrane muqueuse duodénale dans l'espace de quelques lignes . Du reste, la surface interne est hérissée de vég
e gélatiniforme. Les fibres musculaires ont disparu, à peine quelques lignes pâles en indiquent-elles des vestiges. Au milieu
de l'estomac, à un pouce environ du pylore, un trou du diamètre d'une ligne et demie , arrondi comme s'il eût été fait avec u
domen , était environné d'un cercle rouge de la largeur d'un quart de ligne (*). IIe fait. — Le savant chimiste Darcet, âgé
dépens de la face interne du viscère, avait à peine « trois à quatre lignes de diamètre en dedans, une ligne et demie à deux
ère, avait à peine « trois à quatre lignes de diamètre en dedans, une ligne et demie à deux lignes au plus en dehors. Son « b
rois à quatre lignes de diamètre en dedans, une ligne et demie à deux lignes au plus en dehors. Son « bord circulaire, dans ce
C, fig. 2 (pl. 6), existe une ulcération profonde, circulaire, de six lignes de diamètre , circonscrite par un bourrelet très-
présentait (fig. 3, pl. 6) sur sa paroi postérieure, à quatre à cinq lignes de la petite courbure PC, un ulcère de cinq à six
uatre à cinq lignes de la petite courbure PC, un ulcère de cinq à six lignes de diamètre. Cet ulcère était profond, à bords du
urait été complète. Je n'ai aucun renseignement sur cet individu. Des lignes radiées indiquent très-bien le froncement qui exi
nt, surtout en haut, en traçait exactement les limites. On voyait des lignes radiées partir de cette ulcération comme d'un cen
a offert la même couleur lie-de-vin dans l'épaisseur de quatre à cinq lignes : un globule mercuriel était au centre de chaque
'étendue du foyer, c'est-à-dire dans l'espace de quatre pouces quatre lignes ; cette veine contenait un pus visqueux et rougeât
ongueur du foyer, c'est-à-dire, dans l'espace de quatre pouces quatre lignes , qu'elle contenait un pus visqueux et rougeâtre t
r de l'orifice utérin du cul-de-sac vaginal V. Cette hauteur est de 8 lignes environ. Pour contenir ce corps étranger, l'utéru
d de l'utérus. On voit que le tissu du polype se continue sans aucune ligne de démarcation avec le tissu propre de l'utérus,
tres, que le foie en a été farci; car, le plus souvent, il existe une ligne de démarcation parfaitement tranchée entre le tis
'il est presque toujours impossible de poursuivre au-delà de quelques lignes , parce qu'ils paraissent s'anastomoser entre eux.
oitié. Les deux calculs réunis ont un diamètre vertical de 2 pouces 4 lignes et des diamètres horizontaux d'un pouce 5 lignes.
rtical de 2 pouces 4 lignes et des diamètres horizontaux d'un pouce 5 lignes . M. Fiedlcr, qui rapporte ce cas, fait observer q
re présentant une forme conique assez régulière, ayant un pouce trois lignes de hauteur, un pouce deux lignes de diamètre à sa
ssez régulière, ayant un pouce trois lignes de hauteur, un pouce deux lignes de diamètre à sa base, légèrement renflé à sa par
le; la partie de Pintestin, supérieure au calcul, avait un pouce huit lignes de diamètre; la partie inférieure avait un pouce
e. Un calcul biliaire, d'une forme pyramidale triangulaire, ayant six lignes de hauteur, était engagé par sa base dans cette o
ont élevés dans mon esprit sur l'étranglement. Un calcul d'un pouce 6 lignes de diamètre ne pourra jamais obstruer hermétiquem
rme dans tous les points de la circonférence du pylore. Il était de 5 lignes . Je me suis attaché à bien analyser l'altératio
e mais encore la partie adjacente de l'estomac dans une hauteur de 18 lignes . L'analyse de cette altération m'a présenté : i°
deux fois plus d'épaisseur que la membrane musculeuse, c'est-à-dire 5 lignes environ, qui offrait une densité extrême, dont la
couvre la tumeur et le tissu cellulaire sous-cutané, parcouru par des lignes blanchâtres, dont quelques-unes avaient le volume
res, dont quelques-unes avaient le volume d'une plume de corbeau. Ces lignes étaient évidemment des vaisseaux absorbans; en ef
'utérus d'une autre part. Les intestins présentent à leur surface des lignes ponctuées de rouge, dirigées suivant leur longueu
u plus rare du côté gauche, que du côté droit. De chaque côté de la ligne médiane, la face postérieure de l'utérus était pa
igne médiane, la face postérieure de l'utérus était parcourue par des lignes saillantes noueuses, disposées en réseau. Ces lig
arcourue par des lignes saillantes noueuses, disposées en réseau. Ces lignes saillantes étaient formées par des vaisseaux lymp
péritoine et la couche la plus superficielle du tissu de l'utérus. La ligne médiane seule était respectée : les troncs lympha
dait son énucléation difficile ; cependant, on saisissait aisément la ligne de démarcation qui séparait le tissu utérin du ti
un enfant mort trois heures après la naissance '.pointillé rouge, et lignes rouges a la surface interne de V estomac. Un en
ente un pointillé rouge très prononcé, ici irrégulier, là disposé par lignes . Les intestins grêles et gros contiennent du méco
. Le pointillé rouge de l'estomac soit par points isolés , soit par lignes , est-il un signe d'inflammation ? S'il en était a
cavité. Quelquefois il y a deux thymus parfaitement distincts sur la ligne médiane; dans d'autres cas, les deux thymus commu
e pouces et demi. L'écartement des deux pariétaux est d'un pouce huit lignes . La face de l'enfant exprimait l'idiotie la plu
névrose fémorale , le long du bord interne du muscle pectine, dans la ligne celluleuse qui la sépare du bord externe de l'add
c'est une coque osseuse ou plutôt pierreuse, ayant une, deux ou trois lignes d'épaisseur, recouvrant uniformément ou par large
plaque osseuse : et toutes ces plaques, qui avaient de trois à quatre lignes d'épaisseur , étaient liées aux autres par un tis
a disposition de ces mamelons, qui avaient depuis deux jusqu'à quatre lignes de longueur, et leur imbrication rappellent la fo
' , où sa partie inférieure était ramollie dans l'espace de quelques lignes . Un caillot gros comme la tête d'une épingle occu
sous du méat urinaire, tubercules disposés régulièrement, suivant des lignes parallèles. Ces tubercules appartiennent à l'entr
eaux distincts, l'un interne plus petit , qui longe de chaque côté la ligne médiane, l'autre externe, plus considérable, que
nes, dont le tronc commun se jetait dans la veine crurale, à quelques lignes au-dessous de l'arcade. Ce tronc se divisait pres
u'à la symphyse ; de là se portait verticalement en haut, derrière la ligne blanche; arrivée à l'ombilic , elle gagnait le bo
es flexuosités; là elle sortait de l'abdomen par un éraillement de la ligne blanche formait sous la peau une anse de trois à
utions, soit en long, soit en travers. Ces points sont si petits, ces lignes si étroites, qu'elles échappent même à une observ
sidérable. Les limites de la perte de substance sont marquées par une ligne irrégulière coupée à pic, comme les ulcérations i
s points. Cette membrane, soulevée à l'aide d'une pince, présente des lignes radiées qui sont peut-être quelques fibres cérébr
en diminuant d'arrière en avant. Mais, comme il est positif qu'aucune ligne de démarcation ne sépare cette portion moyenne de
oirâtre. Dans l'épaisseur de l'enveloppe transparente se voyaient des lignes blanches N, n n9 n3 qu'une dissection attentive m
s pulmonaires. Pasquier (Joseph), 21 ans, soldat au 52e régiment de ligne , entre à l'hôpital militaire du Val-de-Gràce le 1
l'une est située en dehors et en avant, Fautre en arrière près de la ligne médiane. Leur forme était irrégulière. D'une part
ée de haut en bas , détermine la sortie de plusieurs poils noirs de 6 lignes de longueur. Comme je manifestais ma surprise , l
s présentent de très grandes différences de longueur, depuis quelques lignes jusqu'à plusieurs pieds. Il en est qui ne le cède
très dur, comme ridé et moulé sur le corps du fœtus, il avait quatre lignes d'épaisseur. Gene-ratim ovaria tubœ Fallopianœ di
osseuse et en partie cartilagineuse; elle avait presque par-tout deux lignes )) d'épaisseur et quatre dans la partie contiguè
région occipitale et leur position relative, l'une lre TO occupant la ligne médiane immédiatement derrière la suture sagittal
our des fragmens : le périoste, décollé dans l'étendue de sept à huit lignes , pouvait encore se détacher avec facilité jusqu'à
ie correspondante du cœur qui était ramollie dans l'épaisseur de deux lignes . Une tumeur fibreuse , moins considérable, s'étai
rencontré dans l'abdomen. Les parois de l'estomac avaient six à sept lignes d'épaisseur; la face postérieure de cet organe se
à découvert l'orifice interne de la perforation qui était large d'une ligne , et à bords frangés. Cet orifice avait son siège
, c'était seulement à son centre que la circonvolution présentait une ligne jaunâtre. Les circonvolutions qui répondaient a
oisines de celles qui ont été détruites présentent à leur surface des lignes , des points jaunâtres qui occupent soit le bord l
oin du pylore, une perforation arrondie, P ( Pl. vi, fig. 4)i de deux lignes de diamètre. L'estomac ouvert (fig. 3), présent
, au dessous duquel est une rainure ou rigole circulaire de plusieurs lignes de profondeur qui le détache complètement des par
24 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
a durée de l'observation, la plume qui correspond au membre trace une ligne droite parfaitement régulière (fig. 2,11). Pend
ues minutes, des différences considérables commencent à s'accuser; la ligne droite se change en une ligne brisée, très accide
onsidérables commencent à s'accuser; la ligne droite se change en une ligne brisée, très accidentée, marquée par instants de
nante des jumeaux; en d'autres termes, les segments du membre sont en ligne droite, le pied offrant la position du pied-bot é
barre rigide, est dans l'adduction; si on parvient à l'écarter de la ligne médiane et qu'ensuite on l'abandonne à lui-même,
. Mais on les voit sur la partie antérieure du tronc, au niveau de la ligne médiane (poignée du sternum, appendice xyphoïde)
le de l'omoplate, dans la région lombaire, à droite ou à gauche de la ligne médiane, au coccyx ; chez l'homme, il n'est pas r
inlerosseux palmaires ont pour action de rapprocher les doigts d'une ligne fictive passant par l'axe longitudinal du médius,
réaction appliqué sur le bras, trace sur le cylindre enregistreur une ligne droite parfaitement régulière ; chez le simulateu
e droite parfaitement régulière ; chez le simulateur au contraire, la ligne droite d'abord, puis brisée, finit par présenter
xe ; déjà nous avions réuni des preuves nombreuses et fig. 20.— Les lignes A et B, représentent les mouvements resj ir-itolr
t B, représentent les mouvements resj ir-itolres de l'hystérique; les lignes G et D ceux du simulateur. suffisamment probant
n spinale ; à chaque coup, on voit la cuisse droite entraînée vers la ligne médiane par un mouvement très prononcé d'adductio
opique. 2° L'hémianopsie latérale homonyme droite est limitée par une ligne parfaitement verticale, passant parle point de fi
imprimés, comme le ferait un peintre de lettres. On lui fait lire une ligne en caractères imprimés : le malade met 8 minutes
e met 8 minutes à la déchiffrer et 3 minutes seulement à lire la même ligne en lettres cursives. On remarque que toujours, en
oissante des progrès accomplis : 21 mars : 1 minute 43 secondes par ligne . 23 — 1 — 53 — 24—2—11 _ 25 — 1 — 36 — 26
ctrisation du grand sympathique au cou : 13 avril : 31 secondes par ligne . 14 — 30 — 15 — 39 — 16 — 25 — Pour bien
Fia. 24. — Etendue du champ visuel de P..., le 3 mars 1 883. bre de lignes , en s'aidant des mouvements instinctifs des doigt
ussi accentué que chez notre malade, dans les cas, par exemple, où la ligne qui limite le défaut visuel s'éloigne plus ou moi
lle qu'elle résulte d'une lésion d'une bandelette optique, puisque la ligne de démarcation passait exactement par le point de
Deux ou trois lectures avaient fixé dans sa mémoire la page avec ses lignes et ses lettres et il récitait en lisant mentaleme
iné la rade d'A..., il essaie aujourd'hui en vain d'en reproduire les lignes principales, qui lui échappent complètement. Pr
t que c'était une tour carrée et haute, il trace sur le papier quatre lignes , deux verticales, plus longues et égales, deux ho
il fasse des efforts d'audition pour reproduire, par l'écriture, deux lignes que nous lui donnons à lire dans un journal du jo
vements darticulation de la laïujue et des lèvres pour comprendre les lignes qu'il lit. M. X... paraît avoir très bien analy
eprésente le tremblement intentionnel de la sclérose en plaques. La ligne horizontale A B indique le stade du repos. Le poi
de ce mouvement, pendant lequel le tremblement est représenté par la ligne brisée xy z... dont chaque segment est d'autant p
eux tracés diffèrent dans la portion B G. Soit comme ci-dessus A B la ligne de repos ; elle est coupée par de petites lignes
omme ci-dessus A B la ligne de repos ; elle est coupée par de petites lignes brisées correspondant au tremblement continu. Au
le mouvement volontaire. A partir de ce point, les composantes de la ligne brisée xy z sont un peu plus longues et plus irré
ntraire, dans la maladie de Basedow, par exemple, il est réduit à une ligne droite ou du moins interrompue par de très petite
ras et épaule. Du côté du tronc, cette anesthésie est limitée par une ligne circulaire déterminant un plan à peu près vertica
ice, se limite du côté des parties voisines restées sensibles par des lignes qui offrent une disposition singulière et, surtou
n, la limite de l'anesthésie est marquée, du côté des doigts, par une ligne perpendiculaire au grand axe du membre, située à
andis que, sur la face palmaire, cette limite est représentée par une ligne parallèle au pli du poignet et située au-dessous
a par-lie antérieure et interne de ce dernier, elle se limite par une ligne qui atteint à peine sa partie moyenne ; sur le cô
rête, par en bas, à la main (Fig. 5i et 55). Or, la disposition de la ligne qui, de ce côté, marque la limite de l'anesthésie
. En effet, c'est, nous l'avons dit, du côté de la face palmaire, une ligne droite perpendiculaire au grand axe du membre, pa
e l'articulation du poignet, et du côté de la face dorsale, c'est une ligne légèrement courbée, à convexité inférieure, s'éte
6, 57. Cette disposition par segments géométriques que délimitent des lignes circulaires déterminant un plan perpendiculaire a
s du XVIe siècle, destinée à protéger cette région. Par en haut, la ligne qui limite l'anesthés„ie commence au niveau de la
t se limite, par en bas, cette plaque anesthésique. Vous voyez que la ligne déterminée par des piqûres successives et très ra
e coude et l'avant-bras ; sa limite inférieure est constituée par une ligne circulaire horizontale, située à environ deux tra
t maintenant 1. Voir plus haut la note 1, p. 326. marquée par une ligne horizontale coupant en avant la main, dans une di
de l'articulation métacarpo-phalangienne du pouce ; en arrière, cette ligne passe notablement plus bas qu'en avant, elle se t
vant, elle se trouve à quelques millimètres seulement au-dessus de la ligne formée par la tête des métacarpiens, et se retrou
. du côté de la main, la limite de l'aneslhésie n'a pas varié d'une ligne . On retrouve au bras, surtout en arrière et à l'a
sujets de ce genre, ont les plaques d'anesthésie à se limiter par une ligne circulaire déterminant un plan fictif perpendicul
otre malade. En avant [fig. 84), cette limite est représentée par une ligne qui suit le pli de l'aine de chaque côté, jusqu
ue antérieure, réservant les organes génitaux ; en arrière, c'est une ligne qui suit (fig. 85), l'insertion des muscles fessi
'abdomen, et se délimiterait, on le sait, des parties saines, par une ligne à peu près perpendiculaire à l'axe du tronc, et
En avant comme on l'a dit, la limite en question est marquée par une ligne qui passe par le pli de l'aine, réservant les org
énitaux et remontant jusqu'à l'épine iliaque, tandis qu'en arrière la ligne frontière suit l'insertion des muscles fessiers,
e l'abdomen où elle se limiterait du côté des parties saines, par une ligne perpendiculaire à l'axe du tronc, passant au vois
nes d'anesthésie ainsi produites, sont représentées également par des lignes circulaires déterminant un plan fictif perpendicu
le dans toute son étendue; elle est limitée du côté du thorax par une ligne non brisée, déterminant un plan circulaire, perpe
ipes, p. 216) : « La volition est une décharge initiale le long d'une ligne qui, par l'effet des expériences antérieures est
une ligne qui, par l'effet des expériences antérieures est devenue la ligne de plus faible résistance. Le passage de la volit
corde vocale gauche était immobilisée, que le bord libre occupait la ligne médiane et divisait l'aire gloltique comme la per
eur rôle, on voit les cordes vocales s'écarter ou se rapprocher de la ligne médiane, quand on dit au malade de chercher à cri
'un morceau de papier et y trace rapidement et sans embarras quelques lignes qui font comprendre sa pensée : « Je ne peux pas
uel et auditif ne sont rattachés au monde extérieur que par une seule ligne à direction centripète. Ce ne sont, en effet, que
culation et de l'écriture sont rattachés au monde extérieur par deux' lignes (double flèche) : l'une centrifuge, l'autre centr
25 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
sé de balayer passivement le sol qu'il ne peut quitter, suivant une ligne droite à empreintes variant avec les diverses o
écartement latéral et l'angle d'ouverture du pied par rapport ;1 la ligne d'axe, l'usage de béquilles viciant singulièremen
on lombaire, une concavité à la région sacro-coccygienne. Mais la ligne formée en arrière par la série des apophyses ép
ent que très-imparfai- tement la direction des corps vertébraux. La ligne tangente à leurs sommets devient presque une li
s vertébraux. La ligne tangente à leurs sommets devient presque une ligne droite qui descend directement des dernières ve
Schéma pour montrer les différences de courbure des corps vertébraux ( ligne continue) et des apophyses épineuses (ligne poi
e des corps vertébraux (ligne continue) et des apophyses épineuses ( ligne pointillée). Ceuedispositionnous paraît en rapp
CONOGRAPHIE DELA SALPÊTRIÈRE. 1 avant et en arrière au niveau de la ligne médiane; elle est également plus 1 faible à la
très prononcée ; il festonne et il lui est impossible de suivre la ligne droite mal- gré toute l'attention qu'il y appor
ent de son tremblement, les lettres sont assez régulières, mais les lignes qui les composent sont un peu tremblées. La p
, elle frappe le sol du talon et il lui est impossible de suivre la ligne droite; cette titubation augmente manifestement p
mbes en avant il la façon des ataxiques et est incapable de suivre la ligne droite : sa démarche rappelle celle d'un homme
ement le sol du talon; le pas est petit, l'écartement latéral de la ligne d'axe ou base de sustentation fortement élargi;
les pieds de même nom passant alternativement des deux côtés de la ligne d'axe, ainsi qu'on en pourra 1. Gilles de la To
is d'ajouter que la lecture des observations justifie pleinement la ligne de conduite que nous préco- nisons. ' P. BLOC
fréquemment dans l'ornementation grotesque du moyen âge, descend en ligne droite de la Gorgone des Grecs et du dieu Bès d
s, qui ne sont autres que des taches de lentigo, s'arrêtent sur une ligne à peu près verticale située à peu près à un cen
peu près verticale située à peu près à un centimètre à gauche de la ligne médiane. A gauche de cette ligne, il n'existe a
rès à un centimètre à gauche de la ligne médiane. A gauche de cette ligne , il n'existe aucune tache, la peau est d'une coul
e côté droit, y compris le bras, cst hypocsthésic]ue au-dessous de la ligne mammaire indiquée. En arrière, hémianeslhésie
n constante, qui consiste en ce que le crochet s'émousse [et que la ligne de descente s'arrondit, se bombe, d'une manière
s les tracés.. 1° Tantôt l'ascension se fait verticalement, puis la ligne se brise pour se diriger brusquement obliquemen
u pouls cérébral (fig. 65, 66, 67) ; 2° tantôt, à la place de cette ligne oblique qui prolonge l'ascension verticale, on vo
VELLE ICOXOCUAPIHE DE LA SALPÊTRIÈRE. se cont.it.u6nt en fumant une ligne plus ou moins uniformément ar. rondie (ti. liJ)
s ou moins uniformément ar. rondie (ti. liJ). Dans tous les cas, la ligne de descente présente une convexité supérieure
mbe un allgle 1 l'ès obtus, l'axe du pied étant presque sur la môme ligne que celui de la jambe. Sur le dos du pied exist
e malade fait un ou plusieurs pas de côté, après quoi il reprend sa ligne de marche. Ces mouvements sont plus ou moins fréq
ébelleuse serait au contraire bien exprimée schématiquement par une ligne droite coupée par des déviations plus ou moins no
nom- breuses, mais n'arrivant jamais, dans son ensemble, à la vraie ligne brisée. En résumé, on pourrait caractériser l
s. Le pouce peut être considérablement écarté des autres doigts, la ligne droite menée entre l'extrémité de l'auriculaire
pendice xyphoïde est énorme. La circonférence du thorax suivant une ligne horizontale passant par l'extrémité libre de l'
CROSNJER b DAHÉ, ÉDITEURS L'ACROMÉGALIE. 170 Longueur du tibia en ligne droite 442 millimètres. 1 Les pieds sont volumi
rès amateur de pêche, il a l'habitude de confectionner lui-même ses lignes ; il coupait, étant plus jeune, avec ses dents, le
; la pro- L'ACROMÉGALIE. 181 tubérance occipitale externe et les lignes qui en partent font une saillie considérable, a
ès saillants et ils débordent de deux on trois travers de doigts la ligne qui dessine les contours du torse; les cuisses
pho-scoliose. La flèche abaissée de son maximum de courbure, sur la ligne axiale de la colonne vertébrale est de 2 centimèt
, et les bords spinaux des omoplates sont presque au contact sur la ligne médiane. L'épaule gauche paraît abaissée. , Lor
nt latéral du pied. Nous terminerons le diagnostic par ces quelques lignes emprun- - tées à M. Blum : « Si, jusqu'à ce jou
En effet, toute la partie du visage qui se trouve au-dessous de la ligne des yeux se fait rcmarquerpar une pla- cidité e
blement. Douleur assez vive dans la région lombaire, à droite de la ligne médiane. En mai 1886, saison de trois semaines
l'amputation qu'on fit de la deuxième phalange; sur un point de la ligne cicatricielle, à l'extrémité sail- lante du moi
cavité antérieure très prononcée. La saillie du genou au-dessus de la ligne formée par la crête antérieure du tibia égale e
on siège sur le pariétal; son extrémité postérieure touche presque la ligne articulo-bregmatique; son centre est à environ
est peu élevé ; il n'y a que 5 centimètres de la racine du nez à la ligne d'implantation des cheveux, mais, au-dessus de
nez à la ligne d'implantation des cheveux, mais, au-dessus de cette ligne , le -frontal se continue sur le même plan que l
ue le front proprement dit sur une hauteur de 4 à 5 centimètres. La ligne des cheveux se trouverait donc. o peu près au mil
us marquée que l'antérieure et ne se trouvait pas exactement sur la ligne médiane, mais s'inclinait du côté droit produisan
la face présente un développe- ment insolite; elle se confond sans ligne de démarcation avec la partie supérieure de la
icnncs et sous-maxillaires d'une façon uniforme, se continuent sans ligne de démarcation avec la partie supérieure de la po
Fis. 87. - Obs. X (d'après Henrot). Contour de la main du malade; les lignes pointillées représentent la main d'un homme sai
26 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
il lui est impossible d'écrire et il ne trace sur le papier que des lignes brisées absolu- ment illisibles, au milieu desq
mètres ; sa base a 4 centimètres de longueur et 2 de largeur, et la ligne courbe de sa surface supérieure mesure 6 centim
il d'Edinger, qui montre très nettemeut les contours et les grandes lignes des préparations, mais qui ne permet pas de voi
tie inférieure de la région du pont de Varole à gau- che près de la ligne médiane est le point le plus comprimé par l'anévr
r et inférieur est presque complètement détruite à gauche depuis la ligne médiane. Il n'en existe plus qu'un mince lacet de
n arrière, et qui atteignent la lar- geur d'un centimètre depuis la ligne médiane. Le resle de l'hémisphère céré- belleux
tère. A la base du crâne, entre l'hémisphère gauche du cervelet et la ligne médiane se trouvait l'anévrysme, gros comme un
aplati et élargi dans le sens trans- versal. De plus en avant de la ligne axillaire le rebord costal est recourbé en deda
ar le dos d'âne de la deuxième pliure sternale, les latéraux par la ligne des « tuyautages » costaux. Des modifications d
pas séparés du tissu environnant par une capsule limitante, mais la ligne de démarcation est nette. A côté de ces blocs
« neu- rofibromatose généralisée ». Ce tableau est dans ses grandes lignes bien connu aujourd'hui et l'un de nous dans ses
sent jamais, à la partie supérieure et postérieure de la nuque, une ligne réunissant la base des deux apophyses mastoïdes
nt fré- fluents : ils peuvent s'étaler en deux bandes le long de la ligne blanche ou saillir comme deux grosses bosses. Q
aré en avant du maxillaire inférieur par un sillon. En avant sur la ligne médiane la masse lipomateuse mesure cent. 1/2 d
bras, du côté interne de l'avant-bras, de la région lombaire, de la ligne blanche et de la cuisse. La tumeur du cou causa
n quadrilobée dont la limite supérieure correspond exac- tement aux lignes courbes occipitales supérieures. A ce niveau la p
de l'avant-bras, à la face dorsale de la main, de chaque côté de la ligne blanche, dans la région inguino-scrotale et dans
pendue par une large pédicule à la partie inférieure du dos, sur la ligne médiane, de l'é- paisseur d'un doigt environ, d
filant; en largeur, il s'étale sur 10 à 15 cm. de chaque côté de la ligne médiane. L'épaisseur de la tumeur est de 20 cm.
u pourtour du pédicule sur la région lombaire et s'ar- rêtant à une ligne nette, irrégulière. Cette peau est oedématiée, di
s ovales, ne contenant plus de sang, mais qui sont limitées par une ligne endothéliale : c'est la seule paroi propre qu'on
e irrégulière, longue de trois pouces, large de deux pouces et huit lignes , haute d'un pouce et cinq lignes. Une autre de
uces, large de deux pouces et huit lignes, haute d'un pouce et cinq lignes . Une autre de figure rhomboïdale, longue de deu
nes. Une autre de figure rhomboïdale, longue de deux pouces et sept lignes , large de deux pouces six lignes et de l'épaiss
ale, longue de deux pouces et sept lignes, large de deux pouces six lignes et de l'épaisseur de quatre lignes, sans parler
lignes, large de deux pouces six lignes et de l'épaisseur de quatre lignes , sans parler des morceaux de cailloux, de fer e
idérable des observations qu'elle comprend tiennent dans quel- ques lignes et ce sont des documents d'une valeur douteuse. L
aité de médecine de Charcot et Bouchard, P. Marie consacre quelques lignes à t'ostéo-arthropathie vertébrale. cite la préc
tie supérieure de la colonne forme un angle de z50 environ avec une ligne horizontale fictive passant par la première lom
gouttière du corps vertébral est remplacée,un peu à gau- che de la ligne médiane, par une saillie osseuse dirigée en avant
ci est la suivante : toute la partie gauche du bord supérieur,de la ligne médiane au trou de conjugaison correspondant, d
e sa gouttière transversale. Ce casque, situé un peu à gauche de la ligne médiane, surplombe d'environ trois centimètres
ns sous-maxillaires, rétro-mastoï- dienne, pectorale, le long de la ligne blanche, au-dessus du pubis, aux aines, dans le
on mammaire, à la paroi interne du creux axillaire, au niveau de la ligne blanche abdominale, de chaque côté de la colonn
la balle entra au niveau du bord inférieur de l'orbite droit sur une ligne verticale passant par le trou sous-orbitaire. A
souvent atteintes dans l'hémiplégie traumatique ? C'est en première ligne la région du parié- 216 RENÉ MARTIAL tal gauc
d'une manière plus générale la région des pariétaux, y compris leur ligne de suture, puis la région tem- porale droite, p
exactement au niveau du rebord inférieur de l'orbite droit, sur une ligne verticale passant par le trou sous-orbitaire. I
orbitaire externe, et à trois ou quatre centimètres au-dessus d'une ligne horizontale passant par la partie supérieure du
euse. Il était placé suivant un trajet ascendant en haut et vers la ligne médiane, la con- vexité dirigée vers cette lign
en haut et vers la ligne médiane, la con- vexité dirigée vers cette ligne . La blessure fut lavée et pansée simplement à l'i
apparition de deux tumeurs presque juxtaposées de chaque côté de la ligne médiane, à la nuque : celle du côté gauche a gr
paraissant sous-musculaires, adroite et à gauche et tout près de la ligne verticale des apophyses épineuses, dans la régi
al, on sent très nettement à plusieurs centimètres au- dessus d'une ligne passant par les épines iliaques antéro-supérieure
a lordose nor- male et la saillie des apophyses épineuses forme une ligne verticale que conti- nuent les apophyses des ci
urbure peu accentuée, à concavité tournée à droite, qui traverse la ligne médiane du corps au niveau de la huitième wertif-
imètres au-dessus de la crête iliaque et à quatre centimètres de la ligne médiane. Un examen même très attentif ne permet
rofondeurs de l'ab- domen, à un centimètre environ au-dessous d'une ligne réunissant les deux épines iliaques antéro-supé
. Abaissement de l'épaule droite. Plis cutanés loin- baires droits. Ligne médiane du thorax reportée à gauche. Colonne lo
, on remarque un pli cutané peu profond allant de droite à gauche. La ligne médiane du thorax est reportée il gauche : auss
obs. II de Kroenig, c'est-à-dire il un centimètre au-dessous d'une ligne unissant les épines iliaques antéro-supérieures),
ne vertébrale. En particulier, la crête épineuse apparaît en longue ligne sinueuse. Les apophyses épineuses sont sur- tou
bures disparaissent, les apophyses épineuses se rangent suivant une ligne droite, la ligne médiane du corps. La voussure th
nt, les apophyses épineuses se rangent suivant une ligne droite, la ligne médiane du corps. La voussure thoracique gauche p
que et plus à droite qu'à gauche. Inclinaison latérale du bassin. Ligne apophysaire peu saillante. Pas de développements
on supérieure et atteint son maximum de cour- bure, au niveau d'une ligne passant par l'angle inférieur de l'omoplate, vers
sternum est comme enfoncé; au niveau de sa partie moyenne, vers la ligne mamelon- naire,. Ic segment supérieur fait avec
3 centimètres, l'hémithorax gauche ne mesure que 39 centimètres. La ligne du cordeau est déviée d'un centimètre sur la gauc
et répond évidem- ment au point culminant de la cyphose dorsale. La ligne médiane de l'abdomen est déviée à gauche. Le ba
ne personne qui ne serait pas sûre d'elle; elle suit à peu près une ligne droite, sans lancer les jambes comme l'ataxique
s les lobules du lobe semilunaire supérieur les plus rapprochés de la ligne médiane ; on peut les reconnaître dans les couc
trophie OLIVO-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 339 pondant assez exactement à une ligne transversale réunissant les bords anté- rieurs
re ne sont plus fas- ciculées et sont groupées de chaque côté de la ligne médiane, en un gros faisceau unique, circulaire
ervalles inégaux. Le corps est raide et ne s'avance pas suivant une ligne droite ; à cause des oscillations dont il est a
ce n'est pas la démarche de l'homme ivre qui décrit en marchant une ligne sinueuse, et dont les ondulations sont rapides
et dont les ondulations sont rapides ; ici très peu d'écarts de la ligne droite, ondulations très lentes ; ce qui frappe
s'incline du côté gauche ; à l'arrêt brusque, la tête revient à la ligne médiane, puis se porte légèrement à droite et enf
de même, les enjambées sont courtes, irrégulières et décrivent une ligne festonnée. Le corps se porte trop en avant ou e
ncer sans regarder le sol ; la progression ne se fait pas suivant une ligne droite, le corps se porte tantôt trop il droite
és aussi normalement que pos- sible sur la région temporale,sur une ligne si tuée 7 centimètres au-dessus du tragus de l'
le interne de l'orbite et en pénétrant presque parallè- lement à la ligne sagittale, un peu de bas en haut qu'elle a plus d
uivant le plan sagittal, portant un peu en dehors et à droite de la ligne médiane. La broche est obliquement dirigée vers l
st diminuée dans tous ses modes aux pieds et aux jambes jusqu'à une ligne circulaire passant au-dessus des condy- les fém
a parti- cularité plusieurs fois signalée d'être héréditaire (1) en ligne paternelle. Accessoirement on peut noter quelqu
tronc, le gonflement ne dépas- sait pas en avant ni en arrière une ligne circulaire passant par le pli de l'aisselle (PL
42q Quelle que soit la déviation, cyphose, lordose ou scoliose, la ligne apo- physaire, saillante sous la peau, du fait
s la peau : les apophyses épineu- ses unies entre elles forment une ligne discontinue, ponctuée quelque- fois par la sail
t sa paroi : ces replis sont transversaux, surtout accentués sur la ligne mé- diane, ou bien, nés dans une seule échancru
côté gauche. Dans la substance blanche sous-corticale auprès de la ligne médiane on ren- contre parfois de petits foyers
es battements de l'artère ; à droite la palpation reconnaît, sur la ligne médiane et légèrement en de- dans, deux petites
t se localiser en véri- tables travées linéaires de résorption. Les lignes de moindre résistance ainsi créées réaliseront
ite. Les champs visuels sont reproduits dans la figure ci-après. La ligne pointillée figure la limite pour le rouge. Pour
partie des régions temporale et pariétale gauches, elle dépassait la ligne mé- diane en avant du vertex et s'étendait sur
n droite derrière la tête. Dans ce mouvement il ne peut dépasser la ligne médiane pos- térieure.. , Mains. - Dynamomètr
10 centimè- tres de la pointe inférieure de l'oreille, serpente une ligne de 1 cm. 1/2 avec des bords déchiquetés oblique
tte présente un enfoncement intéressant le pariétal, directement en ligne de tragus, à 8 cent, au-dessus, de ferme demi-l
août z On reconnaît sur le crâne le point d'eutrée de la balle, en ligne verticale à 7 centimètres du tragus, et en ligne
ée de la balle, en ligne verticale à 7 centimètres du tragus, et en ligne oblique de bas en haut et d'avant en arrière à
ents incontestables sur la myélite aiguë, je dois citer en première ligne , le professeur Babès. Dans les derniers temps,
nsécutive à la variole, parmi lesquelles il faut citer, en première ligne , le cas de Auché et IIobbs, et celui que j'ai pub
les symptômes qu'il s'agit de combattre, on doit éviter en première ligne les infections secondaires qui produisent la cyst
t moins dit sur l'auteur lui-même que le curieux fac- tum en quinze lignes , trouvé, après sa mort, dans la doublure de son
n effet sont écrits de cette sorte; « à peine de, loin en loin, une ligne en sens ordinaire » (1). Il faut faire une except
i essayent cette expérience. On fait commencer l'écriture depuis la ligne médiane, les deux mains rappro- chées. Les lign
écriture depuis la ligne médiane, les deux mains rappro- chées. Les lignes écrites, surtout celles qui sont tracées les yeux
a main droite. Ce qui revient à dire que si, par rapport à cet axe, ligne d'orientation, les mouvements physiologiques sy
de savoir lire, ce qui avait frappé son entourage. Pour copier une ligne d'écriture il n'est sans doute pas néces- saire
ompte exact de ces différentes opinions, que de résumer les grandes lignes du débat qui a été si explicitement exposé dans
oint de vue héréditaire, de se trouver le plus habituellement dans la ligne maternelle. Higier (3), s'occupant des oedème
elle sortit du chaos, on voit, autour du type primitif aux grandes lignes sim- plifiées, se multiplier sous des aspects d
27 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
e vos trois zéros? » En effet, la personne avait placé trois zéros en ligne . Cette preuve de vision a généralement convaincu.
traits de ces étranges phénomènes. Première expérience. — Soit deux lignes de craie tra- cées snr le sol (figure ci-dessou
e et robuste, est placé, tout éveillé, au point A, un pied sur chaque ligne . M. du Polet, qui a reconnu précédemment sa sensi
tience manifeste se montre, et il commence aussitôt à marcher sur les lignes sans pouvoir les quitter, en devier, les fuir, le
ette curieuse tentative. Deuxième expérience. — Ce sont encore deux lignes crayeuses tracées avec volonté déterminée (figure
nt, éveillé. Placé, les pieds dans l’&pace compris entre les deux lignes , qui sont assez éloignées pour y marcher sans les
les toucher, et abandonné à la seule jfetion du fluide déposé sur les lignes , le magnétisende est bientôt attiré dans ce plan,
heurte tantôt h droite, tantôt à gauche. De l’extrémité, ensuivant la ligne ponctuée,il arrive au point A, où il fait de vain
oint A, où il fait de vains efforts pour continuer sa route en droite ligne ; la pointe de ses pieds heurte la ligne magique s
continuer sa route en droite ligne; la pointe de ses pieds heurte la ligne magique sans la pouvoir franchir. Un brusque mou-
t obliquer et suivre jusqu'au point B la direction figurée p;>r la ligne ponctuée, et de là au point C, à chacun desquels
les magnétisés du plan magnétique, leurs pieds sont attirés vers les lignes et s'y fixent de nouveau, de telle sorte que, pou
craie d’une main et du charbon de l’autre, trace sur le parquet deux lignes djroites, parallèles, l’une blancbc et l’autre no
conférences précédentes, de magie magnétique. A l’extrémité B de la ligne blanche se trouve dessiné de la même manière un n
se trouve dessiné de la même manière un niveau N; l’extrémité D de la ligne noire se termine par un serpent S; deux étoiles d
ont tracées, sans intention magnétique, à une égale distance des deux lignes (figure ci-dessus). Maintenant M. du Potet nous
qu’il soit, devra être attribué à l'unique influence exercée par les lignes etsym*-boles. » Un jeune homme de vingt-quatre
t un caractère d’inquiétude; il fixe alternativement ses yeux sur les lignes , et ne regarde déjà plus l’assemblée. C’est alors
son corps et l'ébranlent fortement. Il avance enfin d’un pas vers la ligne noire, puis retourne volontairement à sa place; m
repart dans la même direction. On remarque déjà manifestement que la ligne noire l’attire; il s’en approche en oscillant, et
rer dans le plan, mais quelque chose semble le retenir; il regarde la ligne blanche , et son corps se penche latéralement ver
penche latéralement vers elle, les pieds restant immobiles près de la ligne qu’ils touchent presque. Un brusque demi-tour le
ligne qu’ils touchent presque. Un brusque demi-tour le replace sur la ligne qui l'attire, et il y marche rapidement jusqu’au
issant de côté, forme presque un demi-cercle, la tête inclinée sur la ligne blanche. C’est dans cette position, ainsi courbé,
on, ainsi courbé, qu’il avance luléraletnent vers l’extrémité D de la ligne noire, regardant avec anxiété ce qui la termine.
ifs se manifestent dans les jambes; le regard est fixé entre les deux lignes ; on peut remarquer une grande hésitation ; son c
tantôt à droite, tantôt à gauche; enfin un premier pas a lieu vers la ligne blan- clie. Toute l’assemblée croit qu’il va s’
plus eu plus, mais il n’eu est rien : il est jeté brusquement sur la ligne noire au point E, et puis la cotoie jusqu’au poin
r! Par un effort désespéré, il s’éloigne et se dirige au point 1 delà ligne opposée qu’il touche du bout du pied; mais il laq
personne n’avait remarqué dans uu coin de la salle s’élance vers les lignes aye« b* rapidité d’un trait; renversant tout ce q
u’entraîné par un pouvoir invincible, il avait été comme jeté sur les lignes . Comme on le voit, les émotions les plus grande
ues résultant du principe magnétique déposé sur le parcours des trois lignes circulaires. Il croit que ce fluide va être senti
otet trace un nouveau cercle, figure ci-dessous. I! fait partir une ligne du point. A au point B, puis une autre parallèle,
'action capable d’agir sur les personnes qui s’engageraient entre ces lignes . Voici les plus curieux résultats que l’on puisse
au point étoilé. Leurs jambes s’écartant ne lardent pas à toucher les lignes crayeuses; mais, chose singulière et digne d’atte
ls avancent vers lecerele. Tout le corps est tordu et incliné vers la ligne A Bsans que les pieds aient quitté les deux tracé
s ces expériences. « On a pu remarquer, dit-il, que pour tracer les lignes , je ne suis pas parti du même point: l'une a été
éprouvées par les personnes qui se sont prêtées aux expériences , uue ligne étant, attractive et l'autre répulsive par le seu
a personne placée au point A est attirée et parcourt une*partie de la ligne , remuée* secouée par l’agent magnétique, tandis q
, s’adressant à l’assemblée, notre maître a dit : « Si le tracé des lignes influe sur le résultat de l’expérience, s’il n’es
e magnétique. Nous allons donc, devant vous tous, tracer de nouvelles lignes de craie, et pour qu’il ne puisse y avoir d’incer
ue l’épreuve soit complète. Soit la flèche ci-dessous : «Toutes les lignes de l’extrémité A, cônvergeant au point B, se prol
e personne est moins impressionnable ou plutôt parce que l’action des lignes était affaiblie. Cette supposition est très-proba
ition est très-probable, et l’on eût dû à chaque essai renouveler les lignes en partie effacées, car il doit y avoir soustract
lorsqu'il était redevenu très-calinc, suivre le trajet d'une ancienne ligne faite pour d’autres opérations il y avait déjà tr
i ce qu’on observe en faisant l’expérience suivante. Si je trace deux lignes parallèles A B partant da même point comme ci des
oint d’effets moraux avoir lien. Si, au contraire, on trace une autre ligne partant du point C pour arriver à D, et que deux
our arriver à D, et que deux êtres marchent ensem- ble, l’un sur la ligne A et l’aulre sur celle C, de manière à se rencont
e étrange d’antagonisme et d'antipathie. Arrives à la limite de leurs lignes respectives, ils se considèrent, s’animent, la fi
périences. Un effet non moins bizarre résulte de la disposition des lignes . Si vous placez à l’extrémité de l'une d’elles, m
es, mais sans qu’il bouge, un être quelconque ; celui qui parcourt la ligne depuis son extrémité est pris de sympathie pour c
ntie suffisante delà véracité de ce triste récit. Si vous jugez ces lignes de nature à intéresser vos lecteurs, je vous lais
..El fils, un seul. S’en ira guerroyant jusqu'oii se i croisent les lignes longitudes et latitudes, cinquante-« cinq mois. L
r, tatou; de ce dernier à la tortue de terre, du pangolin au caret la ligne de démarcation est si mince qu’en mathématique on
. Ce n’est qu’après avoir profondément réfléchi que nous écrivons ces lignes ; le vulgaire ne nous comprendra pas, mais l’homme
oysel, assisté de M. le docteur Flcury, aidc-major au 62e régiment de ligne , qui lui a prêté le concours obligeant de scs tal
en sous-préfet de Cherbourg; — d’Alphonse, colonel du 62° régiment de ligne ; — Obel, D.-M., P., membre correspondant de l’Aca
sement et du conseil municipal ; — lïériard, major du G2C régiment de ligne ; — de Mont-cla, chef de bataillon au 02' ; — De
s écrits. C’est par incidence qu’on trouve dans celui-ci ces quelques lignes : « Passionné pour la science, je cherchais ave
constituer le parti de l'opposition, parmi lesquels sont en première ligne B., C. et Ganil. Voilà l’événement qui force à
état je m’en fis suivre quelque temps, puis l'abandonnant, il alla en ligne droite jusqu’au bout de l'enclos, où il se heurta
ie des nerfs compliquée.) 'in. Louise, fille Bena, sergeut au U* de ligne , (fn champignon au genou droit, le talon pris à
in. N’importe, je vais essayer. » Puis il prit un crayon; traça une ligne aux deux .tièrs de la page. • ' « Jc vais lir
» ' ■‘ Etil lut sans hésitation, écrivant les yeux bandé«, les deux lignes suivantest ! « Nous ne nous arrêterons pas sur
livre dèamainS ; et à lapügè 240, aux deux tiers de la page, à la 35. ligne commençant un alinéa, nous lûmes exactement les m
us que je vous en lise quelque chose? j — Oui, lis-nous la première ligne . . Presque sans hésitation, Alexis lut «J’air
On ouvrit la lettre, elle était de M. de Lamennais, et la première ligne était exactement ce qn’Alexis Venait delffàMcrihe
, Le numéro 48 de votre journal, pages 366 et 367, émet en quelques lignes une idée à laquelle nous donnons l'assentiment le
'Alliénée magnétique de Lyon vous prie donc de l'inscrire en première ligne des Sociétés qui probablement viendront bientôt s
agie magnétique ont excité en Angleterre un enthousiasme général. Les lignes et surtout le miroir ont été très-diversement int
uze ans, et unpolypr au-dcssuus de l'œil droit, qui avait environ six lignes de diamètre.) il). 93. Marie Lacrouts, dernière
leurs désirs. (¿a suite au prochain numéro.) Errala. — Page 178, ligne 3, au lieu de saint suaire, lisez sanctuaire. — M
178, ligne 3, au lieu de saint suaire, lisez sanctuaire. — Môme page, ligne 22, au lieu de Rede, lisez Judc. ATHÉNÉE MAGNÉT
droit cation. Paris, eu 20 «rpleinlire I8i7. Errata. — Page ¿31, ligne 1(i, au lieu de iftu, lise/, sed : et ligne 18, a
i7. Errata. — Page ¿31, ligne 1(i, au lieu de iftu, lise/, sed : et ligne 18, au lieu de Scoperunt, lisez pofucrunt. Docu
des esprits sérieux. (Journal de VArrondissement du Havre). — Les lignes qui précèdent sont dues à la plume de M. Gaffeney
it en m’assurant qu’au bout de quinze jours je pourrais lire quelques lignes . Celle assurance me donna bon espoir, et le ven
resse d’une lellre, et au bout de vingt-cinq jours je lisais quelques lignes . Les yeox n’étaient presque plus ronges; je les s
a contrainte que, sans aucune hésitation, il dirige son vol en droite ligne vers la demeure qu'if affectionne. Pour prendre c
28 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
de la calorification, amyotrophies, etc., ont long- temps servi de lignes de démarcation entre l'hystérie et les affections
marquera en passant que sur ce crâne l'os frontal présentait sur la ligne médiane une crête verticale assez saillante dans
s j'ai pratiqué des incisions en T, la branche verticale suivant la ligne rolandique, la branche horizontale étant parallèl
Quand le thorax est immobilisé le tracé normal est remplacé par une ligne à peine lui NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR
lorsque l'on fait compter, siffler ou rire le malade (fig. 23). La ligne de la respiration abdominale normale est égalem
la respiration abdominale normale est également remplacée par une ligne presque droite (fig. 24). L'amplitude des mouve
isant attentivement un point fixe situé sur le prolonge- ment d'une ligne passant par le sommet de l'une ou l'autre épaule
on voit alors celle-ci se déplacer au-dessus et au-dessous de cette ligne fictive. , Les mouvements de la marche s'exécut
bilité; elle est délimitée supé- rieurement (fit. 31 et 32) par une ligne très nette qui suit le pli de l'aine jusqu'à à
à l'épine iliaque antéro-supérieure, longe la crête iliaque ou une ligne paral- lèle située au-dessous, puis à la face p
ace postérieure du tronc s'incline est bas et en dedans, suivant la ligne d'insertion du muscle grand fessier, et vient, au
V antérieur el postérieur étant réunis à droite et à gauche par une ligne courbe à convexité supérieure). Le sens muscula
s inférieurs et dont la limite supé- rieure est représentée par une ligne bien nette reproduite par les figu- res 8 et 9.
nitaux et la région sacrée; elle est limitée supérieurement par une ligne courbe que nous avons déjà démarquée (fit. 29,
ou de la compres- sion médullaire. Elles sont représentées par une ligne droite, plus ou Fin. 17. Pic. 4R. Distributio
ROMES HYSTÉRIQUES tt SIMULATEURS)). 1d.9 moins perpendiculaire à la ligne médiane du corps, passant, suivant les cas, au-
us ou au-dessous de l'ombilic. Parfois on trouve au-dessus de cette ligne une zone étroite d'hyperesthésie. Non seulement l
t pas sérieusement atteints. Les autres étaient rangés en plusieurs lignes , genoux et les mains jointes (PI. XV). Le roi arr
s, les tissus sont d'une femme de vingt ans; du reste, les quelques lignes suivantes nous dispenseront d'entrer dans de pl
tiers inférieur du bras. Cette zone d'analgésie est limitée par une ligne circulaire; 20 un rétrécissement concentrique à 7
tement sur les tracés photographiques que nous avons recueillis. La ligne du tremble- ment est constituée par des traits
e dans le tracé fourni par Claw...); parfois même l'extrémité de la ligne d'ascension forme une boucle avec le commenceme
de la ligne d'ascension forme une boucle avec le commencement de la ligne de descente, indiquant ainsi le mouvement ellip
s. Celle réserve faite, on ne retrouve chez ces ascendants, dans la ligne directe comme dans la ligne colla- térale, aucu
e retrouve chez ces ascendants, dans la ligne directe comme dans la ligne colla- térale, aucun élément d'hérédité névropa
laire. Cette anesthésie complète s'interrompt brusquement sur une ligne qui contourne l'épaule et le creux de l'aissell
n la pression est douloureuse, mais il y a un point il gauche de la ligne médiane qui semble plus particulièrement doulou
examen de la tête, qui est celui qui a toujours été mis en première ligne . Sans doute nous ne croyons plus aujourd'hui à
père qu'il vous faut connaître sont les suivants (fig. 50) : Sur la ligne médiane : a. La glabelle, rendement situé au-de
res- sion légère. b. L'oplaryon (ocppvç, sourcil) au milieu de la ligne transverse sus- orbitaire ou diamètre frontal i
e la ligne transverse sus- orbitaire ou diamètre frontal inférieur, ligne qui correspond sensi- blement chez le vivant à
tête et amenée à l'autre oreille. Son point d'intersection avec la ligne médiane antéro-postérieure est le bregma céphal
llants, le plus souvent les bosses pariétales, en ayant soin que la ligne qui unit les deux pointes reste toujours dans u
à caution surtout la première, parce qu'elle varie beaucoup avec la ligne d'insertion des cheveux. Je n'insisterai pas ma
nnut aussi qu'il lui était impossible de tracer réguliè- rement ses lignes . C'est alors qu'apparurent cet abattement, cette
bord supérieur de la protubérance annu- laire, envahir suivant une ligne courbe à concavité inférieure toute la portion
ote le même nanisme dentaire. Inci- sives et canines présentent une ligne crénelée transversale avec usure consi- dérable
ses deviennent d'autant plus vives qu'on s'approche davantage de la ligne médiane où elles se montrent normales. Pour la
dans le mouvement en dedans, les yeux atteignent à peine jusqu'à la ligne médiane ; d'ailleurs les mouvements en haut et
cial. Les points de repère à connaître sont les suivants : Sur la ligne médiane, a. L'ophryon. b. Le point mentonnier
e' : .10 L'angle facial. C'est l'angle formé par la rencontre de la ligne faciale (ophryo-dentaire) allant de l'ophryon a
e (ophryo-dentaire) allant de l'ophryon au point sous-nasal avec la ligne auriculo-den taire (plan de Camper) qui est horiz
RIÈRE. la base, formée d'une lame d'acier élastique représentant la ligne anri- culo-dentaire et portant à chaque extrémi
un cadran gradué ; l'indicateur, composé d'une tige représentant la ligne faciale, portant un curseur et terminée par une
ixée au mur, et regarde à l'horizon de façon que le plan de Camper, ligne auriculo-sous- nasal, soit horizontal. - On p
ophryon. Pour construire le triangle facial ACO, on tire d'abord la ligne CB' de longueur connue. A partir de B' on porte
e à BB' pour déterminer le point A. Il ne reste plus qu'à tirer les lignes CA et AO pour avoir le triangle facial de Cuvie
e disparaît et que le bord inférieur de la conque paraît suivre une ligne régulière. Dans ces cas la racine de l'antitrag
trente-deux dents en tout. Ces dents sont numérotées à partir de la ligne médiane. Pour leur forme, les incisives sont tran
différentes dents de même espèce, il doit décroître à partir de la ligne 1. Ilourneville, Journal des connaissances médi
mâchoires s'éloignent d'un angle qui va en augmentant jus- qu'à la ligne médiane. Lorsque la bouche est fermée, il reste e
Cette anoma- lie peut tenir à deux causes : d'une part à ce que la ligne de l'arcade supérieure se re- lève fortement su
ce que la ligne de l'arcade supérieure se re- lève fortement sur la ligne médiane au niveau des os incisifs ; d'autre part
e la main par rapport aux autres doigts, son peu d'opposabilité, la ligne palmaire unique, la forme large et aplatie du p
hyperesthésie superficielle très exquise, limitée exactement par la ligne médiane. Cette hyperesthésie, surtout prononcée
sommet de l'enton- noir est situé à 3 centimètres au-dessous de la ligne bimamelonnaire. Pas de troubles fonctionnels.
. Profondeur 72 millimètres. La pointe du coeur bat au niveau de la ligne axillaire gauche, dans le cinquième espace interc
s de profondeur, dont le fond est à 17 millimètres au-dessous de la ligne bimamelonnaire. Longueur maxima de la dépressio
à faire allusion à la poitrine en entonnoir d'Ebstein et ajoute les lignes suivantes : « Chaque année les conseils de revi
oir. La profondeur de l'excavation dont le som- met correspond à la ligne bimamelonnaire est d'environ 75 millimètres. Le t
eur .55. Distance entre le fond de l'entonnoir et le milieu de la ligne bimamelon- naire, 40. Distance entre le fond
lit ti 1391 ). 331 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. de la ligne médiane et s'étendant du bord supérieur de la tro
ndeur, 32. Distance entre le fond de l'entonnoir el le milieu de la ligne bi-mamelon- naire, 40. Distance entre le fond
pointe. Dans un des cas d'Ebstein, celle-ci battait au niveau de la ligne axillaire gauche, en un point correspondant au
sychopathiques, les in- toxications des ascendants; puis en seconde ligne viennent les maladies 342 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
ns la moitié gauche de la protubérance, doit évidemment dépasser la ligne médiane et empièter sur la moitié droite dans le
égion lombaire sont remarquablement uniformes : c'est à peine si la ligne des apophyses est indiquée par une légère dépre
cutanés, au nombre de 3, A, 5, descendant adroite et à gauche de la ligne médiane; ces plis se retrouvent plus petits, mo
PHOLOGIE DE LA NUQUE. 36 apophyses déviées latéralement, hors de la ligne apophysaire; le fait est signalé par tous les c
iègent dans le territoire d'un nerf ou bien sont délimitées par une ligne perpendiculaire il l'axe du tronc. 2° Les tro
z une femme atteinte de tumeur siégeant dans le corps vitré, sur la ligne mé- diane et comprimant deux points symétriques
00°) et délimitée en avant par le pli de l'aine, en arrière par une ligne passant au niveau du sillon fessier. Dans les aut
ge1 que nous venons de citer, et que nous compléterons par quelques lignes . « Il n'y a guère d'hybrides en nosographie, di
embre, un membre entier, et sé- parées des régions intactes par des lignes à contours nets. Jusqu'ici, la ressemblance ent
is le commencement d'octobre 1890, date u laquelle nous écrivions ces lignes , nous avons eu l'occasion de voir à la Salpêtri
ncurrence compliquées ou non de lésions organiques*. » Ces quelques lignes donnent une explication anticipée de la remarqu
du sternum, tandis que le grand pectoral gauche s'insère jusqu'à la ligne médiane sur la face antérieure de cet os (fig.
tion de la marche et du signe de Romberg, et ne place qu'en seconde ligne la diminution des douleurs, le retour de la sen
29 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
aître par l'excitation des téguments du tronc jusqu'au-dessus de la ligne mamelonnaire. En excitant la face interne des deu
ale ou inférieure du putamen, et ne semble pas dépasser en haut une ligne horizontale prise au niveau du bord supérieur d
diat du putamen. En arrière, la lésion ne s'étend pas au delà d'une ligne rasant le bord postérieur de la couche optique.
poral. Fio. 2. - Deuxième observation. Les zones délimitées par une ligne pointillée représentent les foyers hémorragique
ôté sain), le malade le sent pesant et lui fait à peine dépasser la ligne médiane. A l'intérieur de la cavité buccale, lo
ent annihilée depuis la zone supérieure démarcative au niveau de la ligne xyphoïde (schéma de Ed. Flatau), jusqu'aux pieds
; la sensibilité tactile est également affaiblie à partir de cette ligne démarcative, et en outre le degré d'affaiblisse
e la diminution de la sensibilité sur tous les modes, à partir dune ligne supérieure de démarcation située au niveau de l'a
niveau de la 6° vertèbre dorsale (8e segment dorsal) tout contre la ligne dorsale de la dure-mère ; elle adhérait à sa surf
pied droit, rapproche les membres écartés, dans la direction de la ligne médiane. 15. - Il remue facilement sur son lit
bilité à la douleur, au toucher et à la chaleur affaiblie depuis la ligne ombilicale (schéma de Flatau) jusqu'aux pieds i
r, avec limite segmentaire très clairement indiquée au niveau de la ligne xyphoïde,. traitement CHIRURGICAL DES TUMEURS D
upérieure de l'in- sensibilité, de 3-4 doigts en travers jusqu'à la ligne ombilicale (d'après le schéma de E. Flatau). Il
normal, la limite supérieure de l'anesthésie tomba du niveau de la ligne xyphoïde (5e segment dorsal) jusqu'à la ligne om-
tomba du niveau de la ligne xyphoïde (5e segment dorsal) jusqu'à la ligne om- bilicale, répondant au 7 ? 8° segment dorsa
fois la localisation exacte commence à varier ; la douleur gagne la ligne médiane du dos, apparaît dans la partie basse des
ger affaiblissement de toutes les formes de la sensibilité depuis la ligne du tronc (D. I. E plus ou moins) jusqu'aux pied
s inclusivement. 31 août 1910. Douleurs au côté droit le long de la ligne axillaire, des deux côfés au niveau de l'arc co
u toucher,à la douleur, au froid et au chaud diminue à partir de la ligne du tronc (d'après le schéma de E. Flatau) jusqu
souvent même, rejet du liquide ingur- gité. 16. Douleurs dans la ligne médiane de la cage thoracique ; nausées ; T1L11
é à la douleur, au toucher et à la chaleur affaiblie à partir de la ligne ombilicale jusqu'aux pieds inclusivement. 18 ju
t dessous. Après la suppression des adhérences ou mit à jour sur la ligne médiane une masse abondante néoformée, molle, aya
ibilité à la douleur et à la chaleur affaiblie aussi à partir d'une ligne de démarcation horizontale TRAITEMENT CHIRURGIC
oucher, de la douleur, du chaud et du froid, décroît à partir de la ligne supérieure démarcativepassant 2 doigts plus bas
de la ligne supérieure démarcativepassant 2 doigts plus bas que la ligne ombilicale; sur les extrémités inférieures la s
plié, et elle peut dans une faible mesure ramener la jambe vers la ligne médiane ; lui arrive-til de tenter un effort pour
sensibilité sur le ventre, au niveau du sacrum et des fesses, avec ligne supérieure délimitative répondant plus ou moins i
ses, avec ligne supérieure délimitative répondant plus ou moins il la ligne ombilicale (schéma de E. Flatau). Tonicité des
cas décrits avec une symptomatologie similaire, au moins dans leurs lignes générales, en prenant pour base les secousses mus
ont l'amplitude va en décroissant progressivement jusqu'à ce que la ligne de niveau soit définitivement atteinte ; quelqu
mps » de soldat. Il a tiré le n° 40. Il a été incor- poré au 92e de ligne à Paris, caserne Reuilly; puis il a été envoyé à
e anomalie avait été relevée aussi chez le père et la grand'mère en ligne paternelle du sujet étudié. Enfin dans ma premi
24 centimètres. Entre l'ombilic et le pubis : 17 centimètres. La ligne médiane entre l'ombilic et le pubis est couverte
brication. Le nez est normal sans l'enfoncement de sa racine sur la ligne médiane. La voûte palatine ogivale, les dents s
de la clavicule : 8 centimètres. Le corps thyroïde impalpable sur la ligne médiane. Les lobes latéraux semblent perceptibl
bserve deux tubercules correspondant à l'extrémité inférieure de la ligne oblique. En ce qui concerne les os longs (PI. X
angle aigu ouvert en bas. Sur l'os normal, cet angle est obtus. La ligne âpre est rugueuse et présente nn sillon médian
issures buccales. La voûte palatine est excavée avec une crête sur la ligne médiane. Micromélie surtout rhizomélique, le
ne plume. Si on lui donne du papier et la plume elle trace quelques lignes sans signification, puis nous dit en riant qu'e
s la marche, il a l'allure d'un véritable ivrogne et ne suit pas la ligne droite. L'ataxie est du type cérébelleux. II ré
or- mal il la face ; la langue est poussée hors de la bouche sur la ligne moyenne, RÉACUTISATION DE L'HYDROCÉPHALIE INTER
remblement, les crochets, les zig-zags sont des plus accentués. Les lignes n'ont plus aucune direc- tion. Quelle est, ic
bras, donnée par l'épaule, est essen- tielle pour l'écriture d'une ligne entière et le passage aux lignes inférieu- res.
essen- tielle pour l'écriture d'une ligne entière et le passage aux lignes inférieu- res. Déplus, le pivotage sur le coude
nd il reste debout; quand il marche, il traîne la jambe gauche ; la ligne de sa marche présente une déviation à gauche.
lus réduites. Ces taches occupent le côté gauche du thorax entre la ligne scapulaire el celle axillaire et vers l'union d
t donc conservé intactes leurs aptitudes régénératrices. Dans les lignes qui précèdent nous n'avons guère parlé des effets
'accord actuellement pour élonger le ou les nerfs qui traversent la ligne de section et pour les couper tous de manière à
lle a lu. Lecture mentale. Est très atteinte ; après avoir lu trois lignes relatives à un bombardement d'une ville, elle n
hrase est un peu longue. On lui lit à haute voix et lentement trois lignes , où il est question des ouvriers italiens arrivés
de la rééducation. Son jeune âge, son intelligence entrent encore en ligne de compte, pour expliquer le degré de restaurat
ées en haut et en arrière, le menton se creuse de chaque côté de la ligne médiane, les peauciers, enfin, tendent la peau
contractions fibril- laires et que nous venons de rappeler quelques lignes plus haut, s'appli- quent intégralement aux cas
gauche, y compris le peaucier. Elles sont surtout apparentes sur la ligne qui va de l'oeil au menton. Elles existent encore
compris entre l'arête du nez en dedans, la ligue' buccale en bas, la ligne inter- palpébrale en haut,et,en dehors, la ligu
ut le triangle formé par l'aile du nez, le sillon naso-génien et la ligne supérieure d'implantation des moustaches : ce s
e domaine du facial paralysé. Ils apparaissent de préférence sur la ligne oculo-men- tonnière, au niveau des muscles zygo
dant de celle-ci'se voit une membrane mince, coupée au niveau de sa ligne médiane, et qui n'est très vraisemblablement qu
aisemblablement qu'un vestige du trigone; en somme, au niveau de la ligne médiane, on ne constate aucun vestige de VtiVEL
trouble de la vue. La radiographie montra une balle siégeant sur la ligne médiane au niveau de la partie postérieure de l
giocéphalie. Enfin il y a oxycéphalie pro- prement dite lorsque les lignes crâniennes ont une direction fuyante et converg
clavicule à l'interligne du coude = 38 centimètres, 2° de l'inter- ligne du coude à l'interligne radio-carpien= 26 centimè
ânes secs, le plus atteint (tir 7),est coupé sagit- talement sur la ligne médiane : on voit t nellemen sur celle coupe l'ép
s de sa portion écailleuse (schéma 3). Aussi, si l'on joint par une ligne médiane le bord antérieur et le bord postérieur
diane le bord antérieur et le bord postérieur du trou occipital, la ligne aboutit à l'état normal au niveau du tiers infé
resque de la voûte pa- latine ; dans tous nos cas de Paget, la même ligne aboutit au niveau du tiers supérieur des choane
eur des choanes, tout prés du sphénoïde; et sur le crâne 7, la même ligne s'arrête sur l'apophyse basilaire elle-même, à qu
les voûtes orbitaires sont hypertrophiées, qu'aux envi- rons de la ligne médiane, où les fosses ethmoïdales et la partie a
emble on regarde un crâne de pagétique coupé sagitlale- ment sur la ligne médiane, on est frappé de la similitude des défor
rl'épaississement t et l'aspect flou des os de la base : au lieu de lignes noires, nettes, franches et bien limitées, on v
sagés. xxvi 31 FIG. 2. 478 . CHARPENTIER Sur le 20 orteil, la ligne suivant laquelle la phalangine est soudée à la
lée sur elle sont fortement déviées en dedans. Sur le 3e orteil, la ligne de soudure des 1 re et2" phalanges est marquée
uminoï- des du sang clans le liquide céphalo-rachidien. En première ligne c'est l'in- flammation, c'est-à-dire le procès
Eu effet dans- ce complexus symptomatique, caractérisé en première ligne par la coa- gulation massive, Mestrezat a trouv
t qui passe par les séreuses enflammées est caractérisé en première ligne par l'abon- dance des substances albuminoïdes e
ulafoy pour la patho- génie de l'appendicite, considère en première ligne comme élément patho- génique la stase du liquid
30 (1857) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Atlas
lumineuse du cervelet de l'homme, et qui est ici seulement en seconde ligne . 3. Flocons. Ces flocons ont été assez rarement
Plus en arrière, la moelle épinière côtoyée par le nerf spinal. La ligne ponctuée S S correspond au niveau de la scissure
singe. Fig. 2. Face latérale de l'encéphale du même animal. S. Une ligne ponctuée partant de cette lettre,descend jusqu'à
ourbe, de la partie antérieure du cerveau à sa partie postérieure :1a ligne ponctuéeS qui les coupe en travers, pour se divis
e III. Fig. 3. Encéphale du renard, coupé d'avant en arrière sur la ligne médiane. A. Circonvolution antérieure. 0. par
e circonvolutions divisées en antérieures et en postérieures par la ligne ponctuée S. + Point de jonction entre la première
lable à celui du chat : les circonvolutions cérébrales présentent des lignes peu flexueuses, et le point de jonction -h entre
enard. Dans le chat comme dans le renard, pas d'ondulations, mais des lignes régulières, et sur les circonvolutions, aucune ou
et 265 de son atlas) a donné un prétendu encéphale de lion, dont les lignes régulières et parfaitement symétriques, ne peuven
t; la troisième est multi pie, et, à trois millimètres en avant de la ligne ponctuée S, venant de la scissure de Sylvius, ell
que l'on voit à la face supérieure du cerveau de Fours brun. S. La ligne ponctuée qui coupe transversalement le cerveau en
des circonvolutions cérébrales en antérieures et en postérieures. La ligne S se trouve placée au point de jonction des unes
deux côtés du cerveau sont presque symétriques. De chaque côté de la ligne médiane, en arrière, se trouve une petite circonv
ns ondulées qui marchent obliquement en avant et en dedans jusqu'à la ligne S où elles se réunissent l'une à l'autre, pour se
imal vu du côté externe et contenu dans le crâne que j'ai scié sur la ligne médiane. 0. Circonvolution orbitaire. 1. Port
le cerveau du bœuf (Pl. VIII, fig. a). La réunion continue jusqu'à la ligne ponctuée S où se trouve une bifurcation dont une
dente. Fig. 4- Encéphale de mouton coupé d'avant en arrière, sur la ligne médiane. Comme dans la fig. 3, on voit ici quels
z le mouton. Maintenant ces circonvolutions, ou si vous voulez, ces lignes qui vont d'avant en arrière, courbez-les de maniè
circonvolutions postérieures et antérieures, au point 4- placé sur la ligne S. En arrière du lobe cérébral, on voit les trois
S. S. Point correspondant à la scissure de Sylvius, en avant de la ligne ponctuée qui réunit ces deux lettres, sont les ci
à gauche du ventricule de la moelle. h. Fibres entrecroisées sur la ligne médiane con- stituant la commissure antérieure.
m. Prolongement de la masse du corps strié externe qui rejoint sur la ligne médiane un prolongement analogue venu du côté opp
31 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
itubation aug- corps s'écarte brus- mente d'une façon quement de la ligne très accusée quand droite vers l'un ou la mal
ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 29 Olga S. illicltel S. Nicolas S. rentes, la ligne est malade écrivait tou- oblique. jours mal, ma
début('" à l'âge de première enfance et se caractérise en première ligne par l'ab- sence des réflexes rotuliens, sans pa
p. 185 et 368. 38 NICOLAS SOLOVTZOFF vante : des deux côtés de la ligne du milieu se trouve une accumulation de cellule
le noyau de Goll duquel s'écartent les fibres entrecroisées dans la ligne du milieu. Le canal central de la moelle et celui
ou les signes localisés à des tronçons de membre et limités par des lignes circulaires d'amputation, présentent une topograp
éruption restait encore très bien limitée en haut et en bas par des lignes d'amputation correspondant aux extrémi- tés n
de la cuisse gauche, les troubles sensitifs et cutanés Fig. 1.- Les lignes obliques mar- quent le territoire du tégument
comme une onde perpendi- culaire à l'axe des membres. Sans doute la ligne de démarcation entre les tissus malades et les
e ans (Cas de Radcliffe Crocker). - Remarquez l'horizontalité des lignes où la dermopathie s'arrête ou com- mence ; aux
l'individu étant noire, toute la moitié postérieure est blanche; la ligne de démarcation des deux couleurs est une circon
ers doigts. Les os des doigts (Ire, 2°, 3e phalanges) sont -sur une ligne droite al- lant des os du carpe à l'extrémité d
té de la 3° phalange. La mensuration sur les radiographies donne en ligne droite : I. De la base des métacarpiens à l'ext
e dorsale une courbe à concavité supérieure ; la 7e cervicale va en ligne droite de la moelle au sommet du plexus brachia
ong du tronc ? L'élévation volontaire du bras peut-elle dépasser la ligne horizontale ? Ce sont là deux questions auxquelle
u élevée en masse ; son bord spinal est un peu plus rapproché de la ligne médiane à droite qu'à gauche : cette différence a
e que, en réalité, le bord spinal reste sensiblement parallèle à la ligne médiane. Ajoutons que, de plus, il ne semble pa
aché du thorax. Le méplat normal compris entre ce bord spinal et la ligne médiane. du corps est moins marqué du côté droi
parties inégales : la partie située au-dessus du trapèze, entre la ligne médiane et le hord spinal, a la forme d'une rigol
ET J. CASTAIGNE niveau de l'épine, le bord spinal est éloigné de la ligne médiane de 2 centimè- tres 1/2 environ, tandis
oché du rachis à droite qu'à gauche, tout en restant parallèle à la ligne médiane. En dedans de ce bord on voit un relief
particulièrement dans la partie supérieure, et la modification de la ligne qui réunit la paroi postérieure à la paroi laté
qui réunit la paroi postérieure à la paroi latérale de l'aisselle ( ligne en S avec boucles très ouvertes). B) Vue de f
plus le thorax est très voussuré, au- dessous du prolongement de la ligne bimamelonnaire. 3° Lorsque les bras sont élevés
Aussitôt après il ne peut élever le bras correspondant au-dessus de ligne horizontale. Il conti- nue son travail durant q
long du tronc ; 2° Sur l'élévation possible du bras au delà de la ligne horizontale ; : 3° Sur la déformation du thorax.
t vrai, pendant ce mouvement, maintenir le scapulum rapproché de la ligne médiane, malgré l'intégrité du grand dentelé, m
centimètre environ ; il est en outre un peu porté en de- hors de la ligne médiane. Le malade de Voodmann avait l'angle in
assez souvent élevé (de 1/2 il 3 centimètres) et rap- proché de la ligne médiane. Dans le fait de Wiesner et dans un cas d
s faits, l'élévation du bras n'atteint pas ou atteint exactement la ligne horizontale , mais ne la dépasse pas. C'est la rè
déprimé, tandis que l'angle inférieur s'élève et se rapproche de la ligne médiane ; un mouvement de rotation sur un axe v
ns la paralysie du grand dentelé, l'élévation du bras s'arrête à la ligne horizontale et ne la dépasse point. C'est, du r
sur son angle interne, mouvement qui élève le bras au-dessus de la ligne horizontale, il faut qu'elle soit très développée
st médiocrement musclé. Il est vrai que son bras dépasse à peine la ligne horizontale, Il nous reste, en terminant, à sou
bras en avant que dans son élévation en dehors; modification de la ligne latérale qui prend la forme d'une S à boucles t
de la tête. Cette plaque se continue jusqu'au lobule du nez par une ligne blanchâtre, peu apparente, large d'un demi-centim
ades d'amour dont on ne puisse en dire autant. La disposition des lignes et les oppositions des couleurs jouent assuré-
tails avec une remarquable expression de vérité, aussi bien dans la ligne que dans la couleur. Et sa malade d'amour resse
à coup sur, ne s'en tiendra pas là. Buschau consacre à peine deux lignes aux formes frustes du myxoedème des adultes : «
érieure, la déprédation sourcilière et celle de la chevelure sur la ligne médiane. Les pommettes sont plaquées de rouge é
n'est pas constante. La nuque commence à se dépouiller ainsi que la ligne mé- diane du cuir chevelu. Les mains sont hiver
mment chez les parents des hypothyroïdiens, le plus souvent dans la ligne maternelle. La tuberculose, si souvent relevée
le grandir. D'autres fois, les cheveux commencent par tomber sur la ligne médiane. La ligne s'élargit beaucoup, et chez l
es fois, les cheveux commencent par tomber sur la ligne médiane. La ligne s'élargit beaucoup, et chez les sujets à cheveu
la paroi abdo- minale. La chevelure est notablement dégarnie sur la ligne médiane. Les enfants mâles issus de cette femme
sus-claviculaire des deux côtés. Hyperesthésie au froid depuis une ligne transversale passant par l'ombilic jusqu'à une li
froid depuis une ligne transversale passant par l'ombilic jusqu'à une ligne obli- que allant aux deux jambes depuis le tier
u. - B. Face postérieure. - Hyperesthésie, à la chaleur, depuis une ligne trans- versale passant par l'angle inférieur de
ns- versale passant par l'angle inférieur de l'omoplate jusqu'à une ligne oblique allant de l'articulation du genou au ti
sie aux membres inférieurs, mon- tant à gauche sur le tronc dans la ligne mamillaire ; elle rejoint dans l'aisselle une z
nesthésie absolue à la cuisse dans une bande étroite, située sur la ligne médiane au-dessous du pli fessier, qui se prolong
à la face, au cou et il la partie supérieure du thorax jusqu'à une ligne passant par les creux axillaires. L'extrémité des
gauche ; hyperesthésie à la chaleur dans une bande s'étendant de la ligne bi-atillairo à la ceinture et aux éminences théna
x cuisses; hyperesthé- sie au froid dans une bande s'étendant de la ligne bi-axillaire à la ceinture, et à la'cuisse dans
le malade ne peut arriver à amener sa 4re phalange au niveau de la ligne palmaire. Tout mou- vement d'opposition est abs
I). I. Tact. A. Face antérieure. - Anesthésie remontant jusqu'à une ligne transversale, passant au-dessus des seins, s'ét
droits et dans une zone en ceinture remontant il gauche jusqu'à la ligne axillaire. On retrouve l'hypoesthésie cubitale qu
re. - Hypoalgésie depuis l'articulation tibio-tarsienne, jusqu'à la ligne bi-axillaire. L'aisselle droite est insensible, i
ie crânienne s'étend en arrière jusqu'à deux travers de doigt de la ligne sus-auriculaire. IL DouLEUR. - A. Face antérieu
oigt au-dessus des malléoles. Hyperesthésie remontant jus- qu'à une ligne passant par les deux aisselles ; hypoesthésie en
n demi-calotte. Une zone de dysesthésie s'étend en corset depuis la ligne axillaire jusqu'à la ceinture ; le froid y doun
le et les trois quarts du thorax depuis le flanc gauche jusqu'à une ligne horizontale passant par le creux axillaire. Hypoe
et en faisant de la main le geste de tracer une division nette sur la ligne médiane du corps. La langue est un peu tremblan
tres d'un mot, plus inexactement encore le nombre des mots dans une ligne . Quand on lui a fait compter le nombre des lign
des mots dans une ligne. Quand on lui a fait compter le nombre des lignes d'une page, après avoir compté à haute voix 1, 2.
a continué cependant à mettre successivement le doigt sur cha- que ligne en paraissant compter des yeux ; elle s'est arrêt
de type classique qui refoule les parties voisines eu dehors de la ligne médiane. Il ne présente aucune lésion corticale
au fond du sillon parallèle et invisible sur la pho- tographie. Les lignes verticales numérotées indiquent les coupes. Cou
rbres par la fenêtre). Rose ? - Du noir (Il y a en effet quelques lignes imprimées sur le papier et comme on insiste : N
t jambe. C'était une hémi-hypoesthésie nettement arrêtée suivant la ligne médiane et accompagnée d'une anesthésie en bott
au point de vue héréditaire, c'est le plus ordinai- rement dans la ligne maternelle qu'on le retrouve. Le diagnostic, aj
han- tiasis. Cette notion de l'hérédité, et de l'hérédité dans la ligne maternelle, chez les sujets du sexe féminin, es
médius (3° phalange) 6 c. 5 à gauche, 6 centimètres à droite. La ligne cubitale de la main, surtout dans la pronation, a
main, surtout dans la pronation, apparaît légè- rement excavée ; la ligne de profil de l'index est également un peu ren-
l'index est également un peu ren- trante mais beaucoup moins que la ligne de l'auriculaire. La face dorsale de la main es
32 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
uel l'angle inférieur de l'omoplate s'élève en se rapprochant de la ligne médiane, tandis que son bord spinal s'écarte de
, le long de la péri- phérie du renflement sont gravées des petites lignes verticales, au-des- sus de ces lignes se trouve
ment sont gravées des petites lignes verticales, au-des- sus de ces lignes se trouvent gravés les chiffres des nombres pairs
uvent gravés les chiffres des nombres pairs jusqu'à 14. inclus; les lignes entre deux chiffres, indiquent les nombres impair
les. Le long du tube cylindrique parallèle à son axe est gravée une ligne assez longue. En imprimant un mouvement circula
on peut mettre n'importe laquelle des divisions en regard de cette ligne . En bas de l'instrument se trouve un bouton, au
e du cylindre. En tournant la renflure à gauche jusqu'à l'arrêt, la ligne du tube se trouve en regard du zéro de la divis
es la sensibilité douloureuse augmente graduellement. Le long de la ligne médiane sur la surface antérieure du corps la sen
r le nez, dont le dos est beaucoup moins sensible que les côtés. La ligne médiane antérieure du tronc est moins sensible il
médiane antérieure du tronc est moins sensible il la douleur que la ligne médiane postérieure. Aux pulpes des doigts la s
l. Sur la figure, la sensibilité douloureuse augmente le long d'une ligne droite qui va de l'angle de la bouche au méat a
emonte haut. La cuisse est large en haut et s'amincit au genou. Les lignes en sont très féminines. Un peu au-dessus du con
hez la femme au-dessus du mont de Vénus sans remonter le long de la ligne médiane. Il en existe aussi, mais très peu, sou
rodites dont Platon et ses disciples vantent la beauté hybride. Les lignes du corps tiennent à la fois de celles de l'homme,
eschare unilatérale, située il la région sacrée gauche, près de la ligne médiane, de forme losan- gique, mesurant 4 cent
par regorgement. Sur la région fessière du côté gauche, près; de la ligne médiane du sa- crum, eschare, de forme irréguli
tôme- nouveau méritant d'être noté, je vous aurai exposé, d'ans ses lignes essentielles,. l'évolution de l'alfection dont
n point douloureux profond à la région sacrée, de chaque côté de la ligne médiane, dans une étendue de 4 centimètres carr
E effilée du renflement lombaire, avec lequel il se continue sans ligne de démarcation bien nette. On a donc été obligé
igne de démarcation bien nette. On a donc été obligé de fixer cette ligne de démarcation d'une façon arbitraire. Voici
de traverser la moelle vers la base du cône terminal. Fig. 9. z Les lignes verticales pleines indiquent la longueur du traje
l'aspect étaient également normaux fut,incisée au bistouri, sur la ligne médiane, dans toute la hauteur de l'ouverture o
voir ses doigts, prit et soutint son verre rempli, écrivit quelques lignes (fig. 21), sans souffrance et sans autre gêne des
ire, constatée chez le malade le soin de l'opération, et marquée en lignes obliques. Les lignes horizontales rappellent la d
e malade le soin de l'opération, et marquée en lignes obliques. Les lignes horizontales rappellent la dis- tribution des a
sa main pour manger sa soupe et pour écrire sous nos yeux quelques lignes : tous ceux qui l'avaient vu la veille étaient
la 11'0 lombaire. A ce niveau, une esquille faisait saillie sur la ligne médiane du canal rachidien, et s'enfonçait dans
tails avec une remarquable expression de vérité, aussi bien dans la ligne que dans la couleur. Sa malade est une chloro
econnaissable : sur la région fronto-pariétale vers la droite de la ligne médiane, il existe une plaque dénudée beaucoup
les hanches. Les cuisses sont grasses, ont une forme fuselée et des lignes féminines ; les fesses sont très développées et
nce et du, pédoncule cérébral droits passant un peu en dehors de la ligne médiane. 8, noyau du moteur oculaire externe du
oculaire gauche. Ces centres, situés en effet de chaque côté de la ligne médiane, sont presque au contact. N'oubliez pas
entres droits et gauches de la troisième paire sont contigus sur la ligne médiane et qu'un foyer atteignant ceux du côté
ronc basi- laire, se dirigent directement en arrière, en suivant la ligne médiane, et viennent s'épanouir au-devant et un
s prédispositions morbides héréditaires ou acquises, et en première ligne l'hystérie, jouent un rôle considérable dans le
se sur laquelle siège l'ul- cération, dans une zone limitée par des lignes circulaires passant en haut à deux travers de d
abolition remonte sur le tronc, où elle se limite en dedans par la ligne médiane, en haut par une ligne horizontale passan
, où elle se limite en dedans par la ligne médiane, en haut par une ligne horizontale passant par l'épi- gastre ; au memb
érieur gauche l'anesthésie à la piqûre ne remonte pas au delà d'une ligne passant en avant par le muscle couturier, en ar-
plètement en avant dans toute la moitié droite du corps jusqu'à une ligne horizontale passant par l'épigastre ; en arrièr
oid est abolie dans toute la moitié inférieure du corps, depuis une ligne horizontale passant par l'épigastre. En somme i
du sens de la température répartie symétriquement au-dessous d'une ligne passant à l'épigastre, tandis que la sensibilit
e très nombreux corps granuleux, séparés les uns des autres par des lignes de points arrondis qui ne sont autre chose que
DE LA SALPÊTRIÈRE La sensibilité est complètement abolie depuis une ligne horizontale qui passe par la 4° vertèbre dorsal
rizontale qui passe par la 4° vertèbre dorsale ; au-dessus de cette ligne elle est amoin- drie sur une hauteur de trois t
lus haut, se glissent entre les faisceaux conjonctifs, en formant des lignes par place des amas très caractéristiques. Ils s
ble n'être plus retenu au tronc que par des liens insuffisants. Une ligne passant par les deux acromions loin d'être hori
loin d'être horizontale est fortement abaissée vers la gauche et la ligne horizontale tirée par l'acromion gauche passe env
n effet, toute la par- tie du visage qui se trouve au-dessous de la ligne des yeux se fait remar- quer par une placidité
nt. respectivement in- clinés les uns sur les autres, et formés des lignes obliques alternativement de sens inverse. Les a
de sens inverse. Les an- gles que font entre elles ces différentes lignes sont des angles obtus très ouverts. Une ligne
es ces différentes lignes sont des angles obtus très ouverts. Une ligne tracée du centre des hanches au centre des épau
s hanches au centre de l'articu- lation ,tiLio-tarsienne, une aulre ligne représente approximativement l'axe des membres
paules au centre d'articulation de la tête et du cou, une troisième ligne forme l'axe du cou. Le quatrième axe, celui de
arrière, il est incliné en bas et en avant. De là résulte que la ligne brisée formée par la réunion de ces 3 dernières
ésulte que la ligne brisée formée par la réunion de ces 3 dernières lignes forme deux an- gles obtus ouverts en avant. L
le corps. A l'abdomen où il existe une éventration au niveau de la ligne blanche, - accident fréquent chez la femme qui
ous-ombilicale. Comprimés par les deux muscles droits écartés de la ligne médiane, les intestins forment une saillie médi
33 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
permanente, ne pouvait presque plus marcher, ne pouvait pas lire deux lignes , etc., parce que tout augmentait la douleur du co
caux ou scientifiques, le nôtre est le seul qu'il lise de la première ligne à la dernière, — et avec plaisir ! Lesuccèsdela
l'éducation du caractère, notre ami Bérillon lui-même a consacré des lignes intéressantes à l'étude de cette question. Pour
e la guerre — le soin de porter les dépêches militaires à travers les lignes ennemies. Il a fait preuve de courage civique,
que la .Revue de l'Hypnotisme a rendus, il faut inscrire en première ligne l'organisation des deux premiers Congrès do l'hyp
ieurs de ses représentants les plus éminents. Je saluerai en première ligne le Dr Go-don, fondateur et directeur de l'Ecole d
la méthode et la théorie de son devancier, avant de publier une seule ligne de sa Neurypnology, mais nous le faisons aussi, s
pour la navigation sur les fleuves, canaux et rivières. Les grandes lignes do la Circulation humaine peuvent se résumer en t
La Direction, l'Indication, le But à atteindre. La Direction est la ligne suivant laquelle on se meut pour se diriger vers
ins de fer ont leur direction à gauche. En Allemagne, on trouve des lignes ferrées allant à droite. C'est au nom du 6on or
que nous appellerons centre. On peut vouloir aller au-dela ou sur la ligne du centre où nous sommes. On peut vouloir aller
peut vouloir aller au-delà, en face, à droite ou à gauche, en deçà en ligne directe, à droite ou à gauche; sur la ligne du ce
e ou à gauche, en deçà en ligne directe, à droite ou à gauche; sur la ligne du centre, à droite ou à gauche. Les formes qui
son devoir de définir d'une façon précise le rôle du professeur. Les lignes éloquentes dans lesquelles M. Lépine exposait la
çait son âme d'enfant. Nous ne pouvons mieux faire que de citer ces lignes où la précision des détails atteste l'impression
engage à se défier des embûches, ci c'est avec raison qu'il écrit les lignes suivantes : « Dons la lutte que nous poursuivro
s, répétiteur à l'Ecole polytechnique, a établi sur l'influence de la ligne , de la forme et de la couleur en architecture et
dit, ont de tout temps obéi à des effets suggestifs produits par les lignes , les volumes, les couleurs elles mouvements. •
à peu près nulle. Pourtant les effets de suggestion produits par la ligne , la forme et la couleur, n'ont pas été ignorés de
dans tout costume militaire, il faut rechercher à la fois l'effef des lignes , produisant ou présentant Faction de l'individu;
impressionne puissamment le soldat. Ces effets de suggestion de la ligne , de la forme et de la couleur sont doubles ; ils
d'action, de force et d'intensité puissamment exprimées. Le coq a la ligne vibrante de sa crête comme ligne géométrique, la
é puissamment exprimées. Le coq a la ligne vibrante de sa crête comme ligne géométrique, la couleur rouge de celle-ci comme i
, la couleur rouge de celle-ci comme intensité et le bec pointu comme ligne formant angle aigu, et cet angle aigu se reprodui
militaire par M. le capitaine Michel (suite) T. — Influence de la ligne Toute ligne occupe par rapport à son point de r
r M. le capitaine Michel (suite) T. — Influence de la ligne Toute ligne occupe par rapport à son point de repère deux pos
sons variées, ne sont à considérer que comme intermédiaires. Les deux lignes verticales et horizontale indiquent les deux équi
libres rationnels dans la nature dont tous les autres découlent. La ligne verticale, par rapport à son plan de repère, est
verticale, par rapport à son plan de repère, est essentiellement une ligne d'action. Elle ne touche le sol ou le plan de rep
l reste debout, il est vivant. Il y a elïet ascendant, d'action. La ligne horizontale, au contraire, représente un équilibr
ne peut se soustraire, et qui serviront de base pour admettre que les lignes et les angles descendants sont tristes, les ligne
r admettre que les lignes et les angles descendants sont tristes, les lignes et les angles ascendants sont gais. Le geste au
n d'intensité et d'action qui résulte de la combinaison des effets de lignes et d'angles. Dans la verticale, l'effet vivant
a donc dans la verticale terminée en éclatement, c'est-à-dire par des lignes ascendantes rappelant les bras levés au ciel. C'e
te, d'action, de combat. Le principe contraire sera dans la chute des lignes , c'est-à-dire dans toute combinaison de lignes de
sera dans la chute des lignes, c'est-à-dire dans toute combinaison de lignes descendantes rappelant les bras dirigés ou tomban
d'ascendance et de combativité ainsi produit rachetant tout ce que la ligne horizontale pouvait représenter d'inactif et de m
ÏT. — Influence de la forme. Les formes géométriques ont, comme les lignes dont elles dérivent, leurs lois de suggestion par
achetée ou corrigée, par les directions ascendante ou descendante des lignes qui composent les formes. On peut dire que tout
égère. Le casque des uhlans est un bel exemple aussi d'harmonie des lignes avec leur adaptation à un but de guerre. La trist
indication de mouvement, l'écrasement de la forme, la tristesse de la ligne doivent nécessairement être corrigés d'après les
début, éprouvent beaucoup de difficulté à tracer péniblement quelques lignes , ne tardent pas à remplir, sans aucune fatigue, d
elle suit une marche que l'on peut préciser au moins dans ses grandes lignes . Elle est la môme pour tous les vieillards auxque
ment de la question de forme extérieure, dans laquelle l'harmonie des lignes , la décoration et leurs effets de suggestion joue
nt entièrement et en sont la base : Io L'ossature, c'est-à-dire les lignes maîtresses de l'œuvre, ses gros points d'appui ;
aules, sur la poitrine et sur les jambes. Il s'agit ici de véritables lignes de force à représenter et à rappeler dans l'unifo
aient quelques brandebourgs, judicieusement espacés et étages sur une ligne unique de boutons qui, rappelant la cage thoraciq
cette ossature, le sternum, point d'attache des côtes, par une seule ligne nettement tracée de boutons espacés le moins poss
ore en usage dans notre gendarmerie, vient fort à propos souligner la ligne boulonnée dont nous parlions. Les effets de la
l'heure, se retrouvera dans l'équipement de guerre de nos soldats, la ligne de boutons parallèle a, au contraire, une tendanc
ire réside dans l'effet de la bande du pantalon. On rappelle ainsi la ligne des solides os de la jambe. C'est là, à notre avi
ité chez nous) et d'autres revêtus d'un pantalon à bande. Au repos la ligne droite sur le côté rappelle bien la ligne du fému
ntalon à bande. Au repos la ligne droite sur le côté rappelle bien la ligne du fémur et du tibia; en marche, on voit dsitinct
re entre les deux modèles, unis ou non, est déjà une indication de la ligne d'action, indication insuffisante toutefois. La b
suggestion dans le costume, est excellente à ce point de vue, car les lignes parallèles augmentent encore l'intensité d'effet.
, soit autrement... Le contreventement vient s'ajouter à toutes les lignes de force indicatives de l'ossature et en augmente
34 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
c’est donc avec une double satisfaction que nous avons enregistré les lignes ci-dessus qui témoignent d’un revirement favorabl
condescendance en faveur des spiritistes, qu’au moment où j’écris ces lignes un procès est entamé entre deux hommes qui se dis
ercle est là, toujours entier : animant, communiant les points et les lignes , les profondeurs et les sommets, dans l’harmonie
rriger dans les deux derniers numéros dn journal : N°104, page 205, ligne 10, au lieu de: qu'ils adressent, lisez : qu’il a
ation, la phrase suivante n’offre qu’un non-sens. N° 104, page 209, ligne 10, au lieu de: vous le stigmatisez lisez : vous
vous le stigmatisez lisez : vous les stigmatisez. N* 105, page 234, ligne , au lieu de : Nous tromperons-nous ? lisez : Nous
tromperons-nous ? lisez : Nous tromperions-nous ? N‘ 105, page 242, ligne 4,de la note, au lieu de : L'éther »ù on est, lis
numéro , dans le discours du docteur Clever de Maldigny: Page 275, ligne 25, au lieu du mot : échecs, lisez : échos. Pag
ge 275, ligne 25, au lieu du mot : échecs, lisez : échos. Page 270, ligne 0e, après ces mots : la raison pure, ajoutez : à
de la concevoir comme un des attributs de l'Absolu, etc. Même page ligne 20*, an lieu de : ne ressemblent aux marchands d'
nds d'orviétan (t), lisez : sont des hommes (¡raves, etc. Page 277, ligne 1", après ces mots : serviable et pratique, suppr
ces mots : serviable et pratique, supprimez la virgule. Même page, ligne 21e, au lieu de : aura sa place, lisez : marquera
votre œuvre. C’est parce que j’y tiens, que j’ai écrit ces quelques lignes d’une cordiale et alfeclueuse sympathie. J’ai l
e pareille inadvertance ne saurait effleurer. Vous, l’auteur de ces lignes : « L'Académie de Médecine et celle des Science
lammes bleue et rouge s’élèveront avec une certaine énergie en droite ligne vers le plafond, bien qu’elles soient constamment
ar un picotement particulier sur la langue. » Zschokke écrivait ces lignes en 1812, bien longtemps avant que M. Reichenbacb
112, doivent être rectifiées ainsi qu’il suit; , ,. .. Page 42), ligne Cl, au lieu de : Réponse aux quelques objections;
x quelques objections; lisez : Réponse aux quelques mots. Page 421, ligne 37, au lieu de : Confession d'un spiritualiste; l
ion d'un spiritualiste; lisez : Confession spiritualiste. Page 425, ligne 30, au lieu de : Liquible; lisez : Liquide. Pag
ge 425, ligne 30, au lieu de : Liquible; lisez : Liquide. Page 423, ligne 51, au lieu de : Qu'il se meut d la crasse de nos
umeurs-, lisez : Qu'il se meut à la crdse de nos humeurs. Page 424, ligne 2, au lieu île : F.ndiomètres; lisez : Eudiomètre
ligne 2, au lieu île : F.ndiomètres; lisez : Eudiomètres. Page 420, ligne 30, après les mots : De la lucidité somnambutique
: Simples observations à M. Jobard, n" 112, 25 août 18lU. Page 435, ligne 15, au lieu de : Faculté; lisez : Facultés. Pag
e 435, ligne 15, au lieu de : Faculté; lisez : Facultés. Page 43(i, ligne 1, au lieu do : Je n’en vois l'utilité; lisez : J
n’en vois l'utilité; lisez : Je n'en vois pas l’utilité. Page 436, ligne 15, au lieu de: De phénomènes; lisez: Des phénomè
gne 15, au lieu de: De phénomènes; lisez: Des phénomènes. Page 437, ligne 6, au lieu de : Croyants; lisez : Crayons. Page
age 437, ligne 6, au lieu de : Croyants; lisez : Crayons. Page 440, ligne 5, au lieu de : Ce qu'il a vu faire; lisez : Ce q
Ce qu'il a vu faire; lisez : Ce qu’il a vu, fait et dit. Page 440, ligne 32, au lieu de : Partie; lisez : Portée. NOUVEL
, page 35.) Dr Clever de Maldigny. ERRATUM ESSENTIEL: Page 434, ligne 29 ; au lieu de ces étais d'expansibililé, lisez
ieu de ces étais d'expansibililé, lisez : tes états, etc. Page 4ü8, ligne 9 de la deuxième colonne, au lieu de : la matière
ième colonne, au lieu de : la matière; lisez : ta nature. Page 458, ligne 36, au lieu de: la lumière blanche est au-dessus;
ieux magistrat à qui son expérience, bien compétente, avait dicté ces lignes , fort bonnes à nous rappeler fréquemment : « L’
de Maldigny. (La suite au prochain numéro.) ERRATUM. Page 48*, ligne 10 de la note 2, au lieu de : par rapport au rest
pport au reste de leur origine, lisez: de leur organisme. Page 489, ligne 39, au lieu de si les organes, lisez: li des orga
(La suite au prochain numéro.) ERRATUM. N" 1 H> page o I !, ligne 33, lisez : Abercombec, au lieu de Abercom-bec!;.
ous croyons utile de donner avant la traduction annoncée les quelques lignes dont M. le vicomte E. de Rougé a jugé convenable
d, qui chasse les ennemis. « L’inscription se compose de vingl-lmit lignes gravées en beaux caractères hiéroglyphiques. »
. Le texte rend compte, en ces termes du résultat de son examen : « Ligne 12 » (correspondant au verset 17 de la traduction
renseignements suivants sur le suqcôs de cette nouvelle mission ; « Ligne 18» (correspondant au verset 28 de la traduction
heur, la stèle est brisée à la partie supérieure, en sorte que des 36 lignes copiées par Sharpe, les 11 dernières seulement so
ables. « Le premier de ces passages commence par un paragraphe à la ligne 5 de la planche 11-12 ; je le lis ainsi : « 0 b
sur les adjurations suivantes que je rencontre dans l’inscription : Ligne 8 ; « O loi qui entres, n’entre dans aucun des
; « O loi qui entres, n’entre dans aucun des membres du défunt. * Ligne 13 : o Ne permets pas que Je haplenl [es influe
, selon les fonctions qui leur sont naturelles ici-bas. On trouve aux lignes 18-17 du chapitre 1(58 du rituel une mention dont
offrent certainement des exemples. « Au surplus, nous trouvons à la ligne là de notre texte la mention d’un véritable exorc
l’invasion des mauvais esprits ou des revenants. « Plus loin, à la ligne 16 , le texte nous offre une adjuration tendant a
médecin, après avoir tâté le pouls et examiné la langue et écrit six lignes , ce qui n’est pas très-fatigant, se retire prompt
escription de délicatesse, une loi de galant homme, d'en répandre ces lignes , honorables pour leur auteur et pour l'étranger q
se portait bien. » « Est-ce la nature, » ajoute cependant quelques lignes plus loin le correspondant de cette cure miracule
lpté, mais d’un relief plus léger et inégal dans la profondeur de ses lignes , un serpent enlacé. Les quatre lettres D, S, L, F
35 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
veau de la styloïde cubitale. « La pression exercée en avant sur la ligne médiane, auniveau du médian, est très douloureuse
re, sans plaques de sensibilité disséminées. Elle est limitée par une ligne assez régulière passant par le sommet du creux de
act, à la douleur, au froid et au chaud, se terminant en haut par une ligne régulière semblable,comme direction et comme situ
ne ligne régulière semblable,comme direction et comme situation, à la ligne d'emmanchure d'une manche de veste. La sensibibit
hésie, qui occupe un ou plusieurs segments du membre, limitée par une ligne circulaire plus ou moins parfaite, ne porte pas s
éiologie de l'œdème blanc des hystériques se trouve dans ces quelques lignes . Depuis Sydenham on a naturellement plusieurs f
environs de l'articulation scapulo-humérale et se limitant là par une ligne circulaire caractéristique. Ici la filiation de
thermoanesthésie absolue persiste dans tout le membre au-dessus de la ligne de sensibilité complète, de telle sorte que la se
ouver une confirmation plus éclatante des prévisions émises clans les lignes précédentes, écrites un an plus tôt. une grande
iant la position des deux épines iliaques, en les plaçant sur la même ligne transversale, on voit qu'il disparaît. D'ailleurs
décèlent rien de bien particulier. Son père est bien portant. Dans la ligne paternelle : son grand-père est mort d'une attaqu
inconnue, de durée courte. Une tante est morte poitrinaire. — Dans la ligne maternelle : le grand-père est mort emphysémateux
malade de l'Observation VII. a) sur la face antérieure de la jambe: ligne oblique en bas et en dedans jusqu'au tiers inféri
la plus interne, est laissée intacte; — b) à la face postérieure, la ligne limitante commençant au-dessous de la tête du pér
s pouvons répéter ^ pour la sensibilité, ce que nous disions quelques lignes plus haut pour la motilité. Cette légère hypoesth
s un territoire limité en avant parla crête tibiale,en arrière par la ligne médiane et la face postérieure de la jambe il y a
rière par les articulations tarso-métatarsiennes, en dedans par une ligne se dirigeant vers le deuxième orteil, et s'étenda
e l'atrophie musculaire ne permet pas le doute un seul instant. Les lignes qui précèdent étaient écrites au mois de juin 189
En 1856, dans une leçon sur la paralysie hystérique ïodd écrivait les lignes suivantes 1 : « L'étendue de la paralysie des mem
ui complète, étendue à tout le côté droit du corps, coupée en haut en ligne droite du côté de la face qu'elle respecte. Messi
outre un point très douloureux dans la région sacro-lombaire, sur la ligne racbidienne. Au bout de ce temps, la motilité rev
ment abaissé ; il est dans toute sa longueur situé à peu près sur une ligne droite transversale au lieu de décrire l'arc norm
une petite fossette située à huit millimètres environ au-dessus de a ligne sourcilière et limitée en dedans par un pli verti
tres plis moins saillants est situé à deux centimètres à gauche de la ligne médiane du front. Cet abaissement du sourcil, cet
d'hui par une petite cicatrice arrondie, située à un centimètre de la ligne médiane, à la hauteur de l'apophyse épineuse de l
férieur gauche et la moitié correspondante du tronc, au-dessous d'une ligne horizontale passant par les aisselles, sont attei
ppée au cours de la maladie. J'ai fait marquer sur le dos du sujet la ligne des apophyses épineuses. Vous voyez à droite de l
centimètres au-dessus du point B et à 3 centimètres en arrière do la ligne bi-auriculairo DE. — DE. Ligne bi-auricu-laire. —
B et à 3 centimètres en arrière do la ligne bi-auriculairo DE. — DE. Ligne bi-auricu-laire. — E. Bregma. — 1. Contre de Broc
miopie. Eh bien ! ce trouble existe et de la façon la plus nette : la ligne de démarcation passe exactement par le point de f
s apoplectiformes ou épileptiformes, etc. Tel est, dans ses grandes lignes , le tableau classique de la sclérose en plaques c
visuel à gauche, d'un écartement de un mètre et se fusionnant sur la ligne médiane. En outre, la papille droite est décoloré
s que Vagitation choréiforme apparaît. » Vous avez reconnu dans ces lignes la description très précise et très transparente
vant sa mère d'une méningite. Point d'oncles ni de tantes dans aucune ligne . Les grands-parents maternels sont peu connus ; c
rne, l'œil n'exécute qu'un très léger mouvement, sans s'écarter de la ligne médiane, puis, si l'on insiste, il se porte brusq
convergent prononcé des deux yeux, comme si l'objet fixé était sur la ligne médiane, près du dos du nez, alors qu'il est à dr
ital droit avec un autre petit tubercule dans la protubérance, sur la ligne médiane. Tout concorde donc en faveur de l'hypo
utives. Pendant les deux premières minutes, représentées par les deux lignes inférieures (la figure représente 32 secondes de
par des bâillements. Pendant les deux autres minutes (voir les deux lignes supérieures), des secousses de toux apparaissent
onsécutives (11 août 1888). — Amplitude du levier au maximum. —Chaque ligne représente une fraction de minute de 32 secondes
te la respiration de la malade pendant 8 minutes consécutives (chaque ligne correspond à 32 secondes de chacune de ces 8 minu
tives (1er septembre 1888). — Amplitude du levier au minimum. —Chaque ligne représente une fraction de minutes de 32. seconde
piration de la malade inscrite pondant 5 minutes consécutives (chaque ligne reproduite ici Fig. 56. — Respiration costale s
sécutives (15 octobre 1888).—Amplitude du levier au minimum. — Chaque ligne représente une fraction de minute de 49 secondes
onsécutives (15 octobre 1888). — Amplitude du levier au minimum. — La ligne des temps est divisée oA demi-secondes (une demi-
36 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
hors les deux épaules, limitée ainsi à la partie supérieure par une ligne circulaire à la nais- sance du cou. Cette bande
une bande s'étendant jusqu'au pli du poignet et ne dépassant pas la ligne médiane des faces antérieure et postérieure des b
tié interne de la main, de l'avant-bras et du bras (Planche II). La ligne de démarcation passe par la partie médiane des
s bras ; au niveau de l'épaule elle va rejoindre horizontalement la ligne médiane en passant un peu au-dessus du mamelon ;
ve en effet fréquemment des cas qui retracent bien dans ses grandes lignes le tableau clinique de la myopathie atrophique pr
ents héréditaires. Il n'existe pas d'atrophie musculaire ni dans la ligne paternelle ni dans la ligne maternelle. Le père
te pas d'atrophie musculaire ni dans la ligne paternelle ni dans la ligne maternelle. Le père, très sobre, non alcoolique
presque horizontaux. De même les omoplates sont rap- prochés de la ligne médiane et leur bord interne fait saillie par la
récis où commence l'atrophie visible, c'est-à-dire au-dessous de la ligne (jarretière) qui sépare le tiers inférieur des de
t, cette dénomination d'affection de la queue de cheval Fig. 1. Les lignes verticales pleines indiquent la lon- gueur du t
ouvent puisque nous en avons relevé 24 cas. Rarement situées sur la ligne médiane, elles se trouvent ordinairement en plein
int de faire disparaître toute cavité et de ne former qu'une simple ligne colorée en plein tissu cérébral. On sera assu
sités. Il est en effet d'une irrégularité remarquable, et dessine une ligne festonnée montrant des sortes de lacunes second
étendue de la clavicule au-dessous du mamelon, d'une part, et de la ligne médiane à la ligne thoraco-brachiale. d'autre par
cule au-dessous du mamelon, d'une part, et de la ligne médiane à la ligne thoraco-brachiale. d'autre part. Le sillon thorac
rétrac- tée et moins colorée. Il est en outre plus rapproché de la ligne médiane du corps (de 1 cent. environ) et de la
e à droite. On peut juger du degré de cette déviation, en tirant la ligne médiane du corps depuis la fourchette sternale ju
rnale jusqu'à l'ombilic. Il est facile de constater alors que cette ligne médiane se superpose presque au bord gauche de
sensiblement égal du côté droit et du côté gauche, par rapport à la ligne médiane du corps, devient plus petit à droite (
tre bord sternal. Cette mensuration a été pratiquée au niveau de la ligne bimame- lonnaire. La clavicule droite est de
é actuel, qui annule tous les précédents, en arrê- tera les grandes lignes . Elle a son point de départ dans ce que M. Clap
scussion, voilà qui donne une vive idée de sa pénétration. Quelques lignes de mon livre sur l'Orientation (1) l'ont jeté dan
la façon suivante : « J'avoue que j'ai dû. lire plusieurs fois ces lignes avant d'être assuré que je ne rêvais pas. J'adm
tend... » - Ce qui n'empêche pas M. Claparède de s'écrier, quelques lignes plus bas : « N'importe ! Je serais obligé à M. Bo
rs un peu plus en arrière. A mesure que s'incurve vers la gauche la ligne des boulevards, son point de départ se place plus
coupant directement par l'hypoténuse, c'est-à- dire par la première ligne droite qu'il trouvera dans cette direction, à laq
aux bons offices du sens des attitudes. Je reproduirai ici quelques lignes de mon rapport au Congrès de philosophie. Une
est comme sertie dans le tissu nerveux de l'hémisphère, mais que la ligne de démarcation n'est pas très nette, la tumeur em
onné naissance à une lame osseuse s'amincissant graduellement vers la ligne médiane ; les 2 lames restent distantes de 2 cm
osseuse droite moins développée que la gauche empiète un peu sur la ligne médiane. Il y a en somme à ce niveau comme une
es et souples. C'est le pariétal gauche qui empiète de 1 cm. sur la ligne médiane, environ 3 fois plus développé que le gau
iquant vers l'axe antéro-postérieur, se dirige en avant, dépasse la ligne médiane à droite et n'est plus apparent après un
n voit qu'il subit une légère déviation vers la droite, formant une ligne courbe à concavité ouverte sur la droite. La dist
interne de l'oeil droit au-dessus duquel elle se continue avec une ligne cicatricielle ayant 1 centimètre de long. Entre
partie gauche, à peu près sagittale, dirigée d'avaut en arrière, à ligne inférieure horizontale,séparée de la première par
interpréter cette malformation complexe, rappelons-nous les grandes lignes du développement de l'appareil olfactif. De cha
prolonge le lobe droit du cervelet avec lequel elle se continue sans ligne de démarcation. Voici ses dimensions : MONSTR
onférence cérébelleuse, l'angle à droite est à 18 millimètres de la ligne tangente au bord postérieur, le gauche à 22 mil
rd postérieur, le gauche à 22 millimètres de distance de cette même ligne . Quant à son mode de segmentation périphérique,
forme d'un S allongé, interrompu à sa partie moyenne par une courte ligne horizontale. Elle est oblique d'arrière en avan
ylvius (pi. XXVIII, fig. D) une scissure profonde allant jusqu'à la ligne médiane dont la direction est analogue à celle
hes. Nous devons exprimer nos plus vifs remerciements en pre- mière ligne à l'ambassade des Etats-Unis. Son Excellence le g
ière, d'un peu plus que la moitié de l'angle droit. En arrière, une ligne concave arron- dit l'angle. En avant, nous voyo
; le corps thyroïde existe, mais semble bien moins développé sur la ligne médiane. En raison de l'amaigrissement du malad
s longitudinales. Cet examen peut se résumer d'ensemble en quelques lignes . Les altérations des racines consistent dans un
s éditions et dans les mêmes termes, avec les mêmes dispositions de lignes . Au bas de chaque page et même des enveloppes son
et à la douleur, comprenant la face, ces- sant régulièrement sur la ligne médiane, mais épargnant néanmoins quelques zone
s de crampe douloureuse. Les lettres sont de même hauteur et sur la ligne droite, mais les jambages, surtout ceux des maj
ite, mais les jambages, surtout ceux des majuscules, sont formés de lignes brisées. A main levée, l'écriture est à peu prè
e poser sur le bout de votre doigt, sans hâte, et sans dévier de la ligne droite. Il n'y a point d'ataxie statique pour l
s deux pieds conservent leur position respective des deux côtés de la ligne d'axe, mais la distance des pieds à cette ligne
es deux côtés de la ligne d'axe, mais la distance des pieds à cette ligne n'est pas partout égale, surtout pour la gauche
pour la gauche. Cette épreuve ne nous montre pas ces déviations de la ligne droite qui surviennent par instants, parce que,
s, bien voisins de ceux étudiés chez nos malades, nous relevons les lignes suivantes : « En pré- sence d'un cas de myoclon
de la cuisse. En haut, cette zone d'anesthésie est limitée par une ligne horizontale qui passe par l'épine iliaque posté
de Reil gauche et qui provient de fibres sectionnées à gauche de la ligne médiane avant leur entre-croisement; ce sont na
as elles sont séparées du faisceau pyrami- dal direct par une mince ligne pâle (PI. LV, fig. H), puis cette ligne de déma
i- dal direct par une mince ligne pâle (PI. LV, fig. H), puis cette ligne de démarcation disparaît; elles descendent dans
e, enfin le long des fibres arciformes externes ; là elles font des lignes incurvées de petits grains, lignes qui épousent
ormes externes ; là elles font des lignes incurvées de petits grains, lignes qui épousent la direction de l'incurvation des
act et un territoire atrophié. On a toujours l'impression que cette ligne de cellules est mise en vue par la raréfaction de
de cellules est mise en vue par la raréfaction des grains, comme la ligne de galets, par un Ilot qui se retire, car elles p
comme une bordure ou un feston : nous la comparons volontiers à la ligne de galets laissée par le flot qui se retire. Ce
Le thorax est assez bien conformé; sa circonférence au niveau de la ligne mamelonnaire, est de 1 m. 04. Les quatre membre
te zone laissa reconnaître assez bien le cartilage conjugal : cette ligne épiphysail'e se retrouvait ainsi sur les os de
urt. Cette déformation n'est pas due à l'obliquité originaire de la ligne épiphysaire, puisque les con- dyles descendent
la ligne épiphysaire, puisque les con- dyles descendent le long de lignes qui sont parallèles au grand axe de la diaphyse
amais été trouvés hypertrophiés, bien qu'occupant une place dans la ligne moyenne carac- téristique. En réalité, on les a
allongement des membres postérieurs qui, chez le boeuf, redresse la ligne du dos, qui est généralement descendante sur le
37 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
ouve notamment à la lèvre inférieure gauche à 0,5 centimètres de la ligne médiane, une petite place d'environ un cen- tim
immédiatement l'ascension du grand trochanter, la disparition de la ligne de Nélaton, Roser, en un mot, les signes d'une
us, un léger mouvement de latéralité de la jambe en dedans, vers la ligne médiane. L'état des muscles du membre est excel
tionne un fait sembla- ble, mais il se contente de le citer en deux lignes , sans en rapporter l'his- toire et sans insiste
ntale, mais inclinée, sont disposés de haut en bas par rapport à la ligne médiane. En bas le cervelet prend une forme con
e lamelle passent les fibres myéliniques pour s'entrecroiser sur la ligne médiane dans l'espace compris entre le fond de
ventricule élargi au plus haut degré; son plancher se pré- sente en ligne droite. Les changements correspondent à la moelle
épinière), après sa fusion s'aplatit et il la fin prend l'aspect de ligne droite (Phot. 17). Ainsi, par l'allongement ext
dehors par la substance gélatineuse de Rolando. Sur les côtés de la ligne médiane, plus en avant, apparaît une partie trian
Parmi les prédispositions héréditaires, il faut mettre, en première ligne , l'alcoolisme des parents. Quelquefois on trouve
pianiste. Le pronostic dépend de plusieurs facteurs. En première ligne , on doit tenir compte du temps pendant lequel l
i, dont nous avons déjà parlé incidemment, diffère dans ses grandes lignes , suivant le stade auquel est arrivée l'affection.
substance du lobe frontal ; en longueur, la tumeur s'étend depuis Une ligne correspondant au grand diamètre transversal du
un aspect mar- bré. Les limites de cette tache sont : à droite, une ligne allant du bord supérieur de la fourchette stern
a fourchette sternale à l'appendice xyphoïde et suivant exactement la ligne médiane; en bas une ligne horizontale passant à
pendice xyphoïde et suivant exactement la ligne médiane; en bas une ligne horizontale passant à un centimètre au-dessous du
la région deltoïdienne. Face pos- térieure : tache s'arrêtant à la ligne médiane et allant de l'angle supéro-in- terne d
entre le bord spi- nal de l'omoplate et le rachis, s'arrêtant à la ligne médiane, et se continuant en haut avec la tache
cuvette en spirale). 1. Températures prises à 6 centimètres de la ligne médio-sternale, un peu au-dessous du mamelon.
ions (28 déc. 1900). 4. - Températures prises à 6 centimètres de la ligne médio-sternale un peu au-dessus du mamelon. 2
correspoudants, à 6 centimètres en dehors du mamelon et suivant une ligne verticale occupant la paroi interne du creux axil
upant la partie postérieure de la tête et limitée : en haut par une ligne transversale passant près de la suture pariéto-
rsale passant près de la suture pariéto- occipitale, en bas par une ligne horizontale passant vers le milieu du cou, en a
ligne horizontale passant vers le milieu du cou, en arrière par la ligne médiane. En avant cette plaque n'a pas de limites
2° A droite. 1° Dans une région de la face limitée : en haut par une ligne horizontale passant vers le milieu du front, en
e ligne horizontale passant vers le milieu du front, en bas par une ligne horizontale aboutissant à la narine droite, en
e ligne horizontale aboutissant à la narine droite, en avant par la ligne médiane, en arrière par le bord postérieur du p
er- vicale. 2° Dans une région du tronc limitée : en haut par une ligne à peu près horizon- tale passant au-dessous du
eu près horizon- tale passant au-dessous du mamelon, en bas par une ligne oblique passant à 25 centimètres au-dessus de l
rotule et à 5 centimètres au-dessous du pli fessier,en avant par la ligne médiane ,en arrière par la ligne médiane. 3° A
ous du pli fessier,en avant par la ligne médiane ,en arrière par la ligne médiane. 3° A la main, face dorsale et face pal
s toute l'étendue d'une molletière ayant pour limites : en haut une ligne passant en avant à 19 centimètres au-dessous du s
11 centimètres au-dessous du bord supérieur du tibia ; en bas par une ligne passant en avant à 11 centimètres, en dehors à
ou anesthésiques pour le chaud. NOEVUS VEINEUX ET HYSTÉRIE 221 t ligne passant en avant à 14 centimètres au-dessous du s
ns toute l'étendue d'une bottine ayant pour li- mite supérieure une ligne passant, en dehors à 15 centimètres au-dessus de
e assez intenses. En même temps les lettres se brouillent et chaque ligne n'apparaît plus que comme une barre indistincte
t, pour le tronc, s'arrêtant en avant et en arrière exactement à la ligne médiane. Mais de plus, et bien qu'il ne s'agiss
s'arrê- tent sur le tronc, en avant et en arrière, exactement à la ligne médiane. Cette vaso-paralysie cutanée congénita
n'est pas vrai, je demande des excuses sincèrement. » Et encore ces lignes : « Je demande des excuses à M. T... d'avoir prié
ques disposées en deux larges faisceaux, suivant les deux côtés de la ligne médiane ; sur le devant ils diminuent subitemen
t à sa périphérie, en forme de deux croissants, sur les côtés de la ligne médiane. A côté de la moelle allongée se trouve
re eux, dans sa partie dor- sale, apparaît l'entrecroisement sur la ligne médiane des fibres du ruban de Reil, partant de
myéliniques horizontales, entre lesquelles, plus rapprochées de la ligne médiane, se mon- trent des masses grises. Du cô
- çant aux noyaux des cordons postérieurs et s'entrecroisant sur la ligne mé- diane. Elles se réunissent entre les faisce
tenant aux cordons postérieurs, sont disposées aux deux côtés de la ligne médiane à l'ex- trémité de la moelle, limitant
phérie les poils se raréfient graduellement et la peau reprend sans ligne de démarcation brusque son aspect gla- bre » (1
crées.En largeur elle s'étend, sur la droite, à 5 centimètres de la ligne médiane ; à gauche, les premiers poils s'implan
9 voisinage de la crête iliaque. A mesure qne l'on s'approche de la ligne des apophyses épineuses, ils deviennent plus dr
au contraire nous a paru plus opaque et surtout on ne voit pas cette ligne normale de démarcation très claire et rectilign
hez eux une telle malformation ; ils n'ont en effet ni épiphyse, ni ligne régulière d'ossification, et l'os cartilagineux
on pourrait croire à une luxation de la hanche de ce côté, mais la ligne de Néla- ton est conservée. Les tibias se reg
avant que normalement ; l'axe- du tibia droit s'écarte un peu de la ligne médiane et présente une légère con- cavité anté
t. La moitié de la face interne du médius est disséquée suivant une ligne qui doit conduire sur la collatérale de ce doig
a table interne de cet os éclatée 'de manière qu'une portion de dix lignes de diamètre, tenant encore par quel- ques point
uel- ques points de sa circonférence, s'écartait de trois ou quatre lignes de la sur- face interne de l'os, et pressait la
oyaux paraissent sous le plancher ventriculaire et rapprochés de la ligne médiane. Sur le côté supéro-externe nous voyons
ffre une image relativement sombre, opaque surtout aux bords,où une ligne plus ombrée limite la cavité médullaire. Les trav
ées osseuses se trou- vent figurées dans la diaphyse par de longues lignes noires parallèles ou très légèrement obliques,
dentaire est digne d'attention. Les dents sont très espacées sur la ligne des incisives. Quelques chicots de dents de lait
rtie inférieure des membres pelviens et est limitée en haut par une ligne circulaire au tiers inférieur de la cuisse (dens
ge. Enfin la périphérie du cartilage au lieu de se limiter par 'une ligne régulière de démarcation avec le périoste, était
9 millimè- tres sur la face droite, 3 millimètres seulement sur la ligne médiane et 9 mil- limètres sur la face gauche.
imbriquent étroitement les unes sur les autres ; les déviations de la ligne des apophyses épineuses sont moins marquées que
38 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
e léser un assez grand nombre d'os situés tous d'un seul côté de la ligne médiane : un cas sem- blable n'avait pas encore
istinctes appartenant à deux individus différents, séparées par une ligne transversale, qui répond à la base du thorax. L
ête iliaque ne semble pas déjetée plus que l'autre par rapport à la ligne médiane. Sur les radiographies du bassin on const
périeurs qu'aux membres inférieurs. Sensibilité. - Au-dessous d'une ligne circulaire correspondant à peu près à la ceintu
x font à ce niveau des larges et longs plis qui dépassent un peu la ligne médiane. Les mamelles sont peu développées. S
ace, aucun signe d'atropine des lèvres, la langue est tirée dans la ligne médiane et projetée en avant, à droite, à gauche
ent on voit les deux omoplates qui vont un peu en s'éloignant de la ligne médiane avec une inclination de haut en bas et de
s. Dans la démarche normale la position de la tête est telle qu'une ligne droite verticale passant par son centre de grav
lume était arrêtée par des phénomènes semblables : pendant quelques lignes les lettres étaient tracées avec régularité, puis
mêmes phénomènes reparais- saient avec même ténacité au bout d'une ligne ou deux, surtout s'il fallait écrire vite, et l
quelques lettres, commençait correctement, mais au bout de quelques lignes sa main ne pouvait plus se mouvoir ; la plume s
érente, de 3 centimètres de longueur, située à deux centimètres de la ligne médiane à droite et un peu au-dessus de la sail
tement, pas d'améliora- tion appréciable. En résumant les grandes lignes de cette observation, on voit qu'il s'agit ici
ations qui vont suivre. Et tout d'abord afin de limiter les grandes lignes de cette courte dis-' cussion, il ne paraît pas
intercostaux peu accen- tués. Aucune trace de rosaire rachitique.La ligne xipho-ombilicale très allongée ; la ligne ombil
de rosaire rachitique.La ligne xipho-ombilicale très allongée ; la ligne ombilico-pubique au contraire très courte. En r
euxième, troisième et cinquième orteils, sont disposés sur une même ligne ce pendant que le quatrième orteil apparaît des d
yons en effet que l'épiphyse péronéale supérieure arrive jusqu'à la ligne articulaire du genou et dépasse même le plateau t
ose lombaire accentuée; le ventre est en conséquence proéminent; la ligne xipho-ombilicale est plus longue que la ligne o
quence proéminent; la ligne xipho-ombilicale est plus longue que la ligne ombilico-pubique (16 à 12 centimètres). Le bass
ssionnelle, soit exogène,- plus ou moins latente. ' ' En première ligne vient l'alcoolisme, que Berger relève chez 38 de
ique devra, comme nous le verrons plus tard, s'adresser en première ligne à cet élément morbide, et pourra même par cela
brusques échappées de la plume ; 200 MACÉ DE LÉPINAY souvent les lignes sont irrégulières, les lettres petites, illisible
un certain temps de-repos permettait à nouveau d'écrire quel- ques lignes , puis bientôt reparaissaient les mêmes troubles f
s caractères devenaient irréguliers, puis illisibles a ¡ la fin des lignes ; enfin l'impotence devint telle qu'au bout d'un
site qu'un mouvement de la main, au lieu d'exiger une succession de lignes et de points. Le surmenage local est donc moind
et épiphyse est normalement marquée sur la surface de l'os par une ligne courbe à concavité supérieure qui répond à l'in
ure générale de la statique du corps est formée par la rencontre de lignes obliques au niveau de la onzième dorsale, les deu
contre de lignes obliques au niveau de la onzième dorsale, les deux lignes lombaires et thoracique se rencontrent en un an
timètres à droite et 25 centimètres à gauche ; 2° l'obliquité d'une ligne passant par les deux mamelons ; 3° la direction,
. En examinant de près sur un cliché normal on peut voir de longues lignes noires parallèles ou très légèrement obliques,
dehors de la marginale droite et à gauche elle se porte jusqu'à la ligne mamillaire. Les bruits du coeur sont nets, tout
6e côte et son bord inférieur déborde sous l'arc costal jusque à la ligne ombilicale transverse. Alors que le malade est
s cercles, des S, mis bout bout,et qu'on exécute en deux temps, des lignes horizontales, verticales, diagonales, faites en
, dit M. Paul Faurt (d'Alger) abandonner le « travail de vitesse en ligne » pour s'adonner aux exercices cl en local » comm
'une manière convenable les travaux de leur spécialité, et dans les lignes plus ou moins longues qu'ils tracent à main levée
ifestèrent, non seulement après quelques pages, mais après quelques lignes . Dans ces derniers temps même, la gêne apparaissa
olier suivant la formule; peu, lent, rond, gros, droit. Au début, 3 lignes d'écriture par jour suivant cette formule ; augme
d'écriture par jour suivant cette formule ; augmenter ensuite d'une ligne par jour. Au bout d'un mois, s'exercer à écrire
correcte. Vers la fin du mois d'août 1905, il écrivait près de 300 lignes par jour très correctement, éprouvant quelquefo
igts et le bras, mais très passagère. Il arrive à écrire environ 60 lignes à l'heure. Au commencement de septembre 1905, l
les cylindriques, groupées sur une seule rangée, se continuant sans ligne de démarcation avec les portions voisines, forman
e, d'abord par les cornes postérieures, puis s'entrecroisent sur la ligne médiane, passent dans les cordons latéraux et m
tion analogue. L'extrémité des orteils forme dans son ensemble une ligne fortement oblique en arrière et en dehors : cel
LA CONNAISSANCE DU GIGANTISME 459 la percussion au 5e espace sur la ligne hémiclavéaire, Le diamètre oblique du coeur mes
néale ne contient aucuu épanchement. L'estomac arrive en bas sur la ligne parasternale gauche à moitié de la ligne xipho-
estomac arrive en bas sur la ligne parasternale gauche à moitié de la ligne xipho-ombilicale. La limite supérieure arrive à
la parasternale. A droite la limite de l'estomac dépasse un peu la ligne moyenne du sternum ; à gauche l'estomac arrive
en, Galewski, constataient que le naevus pouvait être limité parles lignes frontières de Voigt et fondaient t la théorie d
ries; ils reconnaissent, en outre, un rapport entre le naevus et la ligne d'implantation des poils. Que devons-nous pense
non pas toute la surface d'un dermato- métamère, mais seulement la ligne d'union de deux del'1118to-Illétalllé- res (2)
a été désignée jusqu'ici sous la rubrique « localisation selon les lignes frontières de Voigt » : les lignes de Voigt éta
rubrique « localisation selon les lignes frontières de Voigt » : les lignes de Voigt étant, on le sait, les lignes qui sépa
frontières de Voigt » : les lignes de Voigt étant, on le sait, les lignes qui séparent l'un de l'autre les territoires cu
pression, au point de vue descriptif, n'est pas erronée puisque les lignes de Voici et le pourtour des dermato-métamères se
il¡ue» doit remplacer le terme « de naevus à distribution selon les lignes de Voigt » : la première de ces expressions signi
naevus en question est de la variété wvus-vascularite ; le mot de « ligne de Voici ), renferme au contraire implicitement u
au contraire implicitement une idée de dis- tribution nerveuse, la ligne de Voigl étant en somme la ligne d'union de deu
dée de dis- tribution nerveuse, la ligne de Voigl étant en somme la ligne d'union de deux 1/érro-mélamères cutanés. La
use de cetle localisation si élective do cerlains naevi le long des lignes périderma lo-méla mérifll1es peut être interprété
(le la '12° ver- tèbres dorsales un naevus pigmenté à droite de la ligne médiane; il en porte un autre sur la face antér
s de l'ombilic qu'il déborde légère- ment en haut ; il s'arrête sur ligne médiane. L'autre, oblique en bas et en avant, c
limites du naevus sont licitement marquées : il atteint en avant la ligne blanche abdominale et en arrière la colonne ver
ère la colonne vertébrale; il est limité en haut et en bas par deux lignes parallèles et légèrement obliques ; la supérieu
n demi-centimètre au-dessus du grand trochanter; en avant, ces deux lignes changent de direction, la supérieure s'abaissant,
ste naevus : il occupe la région mammaire, confinant en dedans à la ligne médiane, atteignant en bas le pli mammaire inféri
ctérisent par leur topographie en bandes nettement limitées par des lignes perpendiculaires à l'axe du membre. Quant aux n
tte diminution de la sensibilité avait, pour limite supérieure, une ligne passant à peu près au niveau de l'articulation ra
bital de la main, où, à droite, elle montait un peu au-dessus de la ligne de démarcation indiquée ; 4° Aux membres inféri
imite supérieure la racine du membre, et pour limite inférieure une ligne circulaire passant à la hauteur de l'articulati
crête iliaque, il est éga- lement dévié en dedans relativement à la ligne médiane. A gauche, il s'est déplacé du côté ext
rontal gauche ou note une dépression peu profonde qui s'étend de la ligne médiane presque 3 centimètres latérale- ment et
écialement le long de la portion gauche de la suture lambdoïde. Les lignes osseuses d'insertion des muscles sur l'apophyse
s le décubitus latéral gauche, dans le Ve espace intercostal sur la ligne hémiclaviculaire ; il existe aussi une légère pul
ment. La limite inférieure de l'estomac est abaissée et arrive à la ligne transversale. L'examen du contenu gastrique ext
au dernier moment peut être caractéristique. Puisque j'ai écrit ces lignes , je trouve que Leegaard, qui a rapporté 84 cas
et dans le gigantisme pour démontrer la correspondance qu'il y a en ligne générale entre les résultais de nos études dans
a pas atténuée. Au-dessous de la figure du Président Carnot, sur la ligne médiane, on voit un masque tragique, et, de cha
uche, un matelot, quelques fleurs et une figure d'Espagnole. Sur la ligne médiane une femme nue dont le sexe est voilé fa
squ'au corps restiforme et à des fibres postérieures qui suivent la ligne médiane pour se recourber et aboutir au corps r
es extérieures de ces organes étaient conservées dans leurs grandes lignes . La fissure médiane antérieure, le sillon bulbo
phies semblables à nos observations, et nous résumerons en quelques lignes les connaissances plus précises sur le rôle de ce
nt à l'opinion de Bouin et Ancel, et admettent aussi qu'en première ligne il faut incriminer l'insuf- fisance interstitie
ications importantes dans le métabolisme des tissus, et en première ligne dans celui des autres glandes endocrines. Il es
mbres inférieurs, le patient ne peut pas tenir la jambe sur la même ligne que la cuisse, mais forme avec celle-ci un angl
la dysplasie périostale. Toutefois (p. 32), ils consacrent quelques lignes aux formes partielles et citent l'observation d
39 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
la rue Benserade; le pavillon des contagieuses. le tout sur la même ligne . lit Fondation Vallée. Au-delà, en descenc an
ay jusqu'aux murs de l'hospice, soit, Discussion. LXRZI en droite ligne , sur une longueur d'environ 200 mè- tres (1).
tements. 4 XCIV Assistance LES aliénés; Telles sont, dans leurs lignes principales, les dispositions qui sont encore e
transparentes à 15 mm. environ de la suture fronto-pariétale sur la ligne médiane. La zone droite a 15 mm. de largeur sur
plus grandes pendant 3 cm. environ pour redevenir presque recti- ligne à son tiers inférieur. La suture lambdoide, régul
x étages, supérieur et inférieur, par la scissure de Sylvius et une ligne d'adhérences pie-mériennes s'étendant de la bra
l'omoplate du côté droit est plus rapprochée que la gauche de la ligne médiane. Les membres supérieurs sont bien muscl
Respiration surtout diaphragmatique. La pointe du coeur bat sur la ligne mamelonnaire, à la partie supérieure du 8e espa
tanelles.- Cheveux châtains foncés, un tourbillon en arrière sur la ligne médiane. Les cheveux empiètent beau- coup r : u
èvre inférieure plus étroite. Même duvet au-des- sous d'elle sur la ligne médiane. Les doux lèvres sont pâles) Dentition
semble pas être désagréablement impressionné par la quinine, Sur la ligne médiane, la face antérieure du maxillaire infér
Quelques faux pas du coeur. Pouls à 132, assez résistant. Sur la ligne mamelonnaire, la matité hépatique commence à la
côte et s'étend à 5 centimètres au-dessous dans l'abdo- men. Sur la ligne médiane, elle occupe à peu près l'étendue de l'
vers le bord supérieur du pariétal droit à un centimètre );2 de la ligne médiane. L'antérieure est éloignée de 4 centimè
e aussi bien qu'au toucher. - Cheveux châtains; tourbillon sur la ligne médiane, à l'union de la face postérieure et de l
rticulier. Sur la lèvre inférieure nous notons de chaque côté de la ligne mé- diane deux cicatrices distinctes d'environ
té- rieur, court, peu profond, est situé à demi distance entre la ligne médiane et la partie inférieure gauche de la sutu
ement mince en arrière. A gau- che, elle est à 15 millimètres de la ligne médiane ; elle est d'une épaisseur à peu près u
rme. A la partie moyenne du frontal, à un centimètre à gauche de la ligne médiane, existe une autre dépression de la tabl
ricophyton. Le tourbillon postérieur est régu- lier et situé sur la ligne médiane. Visage allongé et ovale. - Front assez
sente à droite, dans la région pariétale, à 4 centimètres 1/2 de la ligne médiane, une cicatrice cutanée répondant à une
de dépression se détache à droite de la première dans le sens de la ligne bi-au- riculaire. On ne sent pas la brèche de l
o-pariétales. A la face interne, les sutures apparaissent comme une ligne rouge, finement dente- lée mais ne formant pas
dentelures très fines et devient presque rectiligne au niveau de la ligne médiane. La suture sagittale présente aussi des
s à la face interne du crâne se montrent sous la forme d'une simple ligne sinueuse. De nombreux pertuis vasculai- res per
tes sur les parié- taux en arrière de la suture coronale près de la ligne médiane. Ces plaques sont au nombre de deux à l
niveau de l'appendice xiphoïde, à 2 centimètres en dehors de chaque ligne mamelonnaire, se trouve une dépression profonde
ont et de l'occiput, elle offre 0, 01 centimètre d'épaisseur sur la ligne médiane vers le front, et 0, 007 millimètres au
ièrement implantés, avec tourbillon postérieur un peu à droite delà ligne médiane. Veinosités sous-cutanées au niveau du
petit. Pas de prognathisme inférieur. - Voûte palatine en ogive. La ligne médiane de la voûte est déviée a gauche. Pas de
andises et la nourriture. - Le menton est rond, petit, situé sur la ligne médiane. - Les oreilles sont bien conformées.
çant sur les tempes, à tourbillon postérieur, situé àgauche de la ligne médiane. Tête volumineuse, d'apparence symétri-
re, parfaitement symétrique. Sur la coupe, elle a. en avant, sur la ligne médio- frontale, 5 millimètres d'épaisseur et 1
nt tout-à- fait étalées et les sillons réduits presque à de simples lignes , est amincie et répond à la partie supérieure d
ération consistait en une incision à deux travers de doigts de la ligne médiane, 9 centimètres sur 6 millimètres. Puis,
laire nor- mal. l'ointe du coeur battant dans le 4*' espace, sur la ligne mamelonnaire. Abdomen peu proéminent. Ombilic
droit; la pro- tubérance occipitale semble reportée à droite de la ligne médiane, l'épaisseur des parois crâniennes vari
o-pariétales. A la face interne, les sutures apparaissent comme une ligne rouge finement dentelée mais ne formant pas de
dentelures très fines et devient presque rectiligne au niveau de la ligne médiane. La suture sagittale présente aussi des
s à la face interne du crâne se montrent sous la forme d'une simple ligne sinueuse ; de nombreux pertuis vasculaires 308
e* sur les parié- taux en arrière de la suture coronale, près de la ligne Fig. 33. 310 Sutures DU crâne dans l'idiotie.
rente à 15 millimètres environ de la suture fronto-pariétale sur la ligne médiane. La zone droite a 15 mil- limètres de l
40 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
s arrangement appréciable. En dehors de cette partie, se trouvent des lignes d'abord éloignées les unes des autres, et converg
ts de leur étendue. Dès la naissance du nerf, on voit quelquefois une ligne qui en parcourt la longueur et la divise en deux
nerfs de l'escargot sous la lentille du microscope, on y découvre des lignes parallèles, et entre ces lignes, une substance
ille du microscope, on y découvre des lignes parallèles, et entre ces lignes , une substance ponctuée, globuleuse. En comprim
objet multiple; il resterait nécessairement dans l'objet multiple des lignes qui ne trouveraient jamais, dans l'objet simple,
t la nature des premiers. J'ajoute qu'ayant examiné au microscope les lignes qui parcourent le côté dorsal et le côté ventral
dant j'avais pris toutes les précautions possibles pour bien voir ces lignes et en apprécier la structure. Je suis très porté
et il disparaît en grande partie par l'allongement de la moelle. Une ligne médiane sépare la moelle en deux parties et sur l
sangsue, des ganglions véritables et pas de nerfs intermédiaires. Une ligne médiane règne tout le long de la moelle, qu'elle
ces ganglions, interception complète de la séparation, et même de la ligne médiane (1). Un ganglion anal termine la moelle ;
le phyllosome, ces deux moitiés latérales tendent à se réunir sur la ligne médiane à l'extrémité antérieure du corps ; elles
deux noyaux médullaires et les segmens du corps sont confondus sur la ligne médiane en une seule masse ganglionaire ; mais le
sition semblable et ne constituent plus qu'un seul tronc placé sur la ligne médiane. Enfin dans le palémon celte réunion des
rce que les ganglions ne présentent plus de traces de division sur la ligne médiane et que les cordons de communication ne so
mps que les parties latérales du système nerveux se rapprochent de la ligne médiane, des modifications analogues se font rema
de la nature de celles qu'Ehrenberg nomme fibres articulées ; car les lignes qui en indiquent le trajet marchent toutes dans u
roit, un léger sillon tracé dans l'épaisseur du terrain ; il était en ligne droite et pouvait représenter l'ébauche d'un sent
rche et se joindre à la troupe. La colonne s'organise, elle avance en ligne droite et bientôt on ne voit plus aucune fourmi a
distinguer que la soie de la coque était coupée cir-culairement à une ligne et demie au dessus de la pointe ; mais II. 8
des gâteaux irréguliers dont les cellules ont quinze et même dix-huit lignes de profondeur. (1) (i) Op. cit. t. a,"p. 257.
et non pas les influences extérieures, qu'il faut placer en première ligne . Quelques philosophes ont dit que les facultés
tance nerveuse est pour Delia Torre, composée de globules disposés en ligne et maintenus réunis par un fluide visqueux. Il di
position, il faut couper l'encéphale d'un goujon, par exemple, sur la ligne médiane, et en placer une moitié sur le compresse
cent, un individu très fort placé en tête, les autres rangés sur deux lignes qui se réunissent à angle aigu au premier de la t
u premier de la troupe ; les saumons se placent au contraire sur deux lignes parallèles, une femelle en tête et la première mo
deux lignes parallèles, une femelle en tête et la première moitié des lignes composée également de femelles; en arrière sont l
ussi malencontreuse que la phrénologie. On sait que Camper tirait une ligne qui, partant du front, descendait jusqu'au bord a
u'au bord alvéolaire de la mâchoire supérieure et qu'il coupait cette ligne par une autre qui, partant du trou occipital, se
de la mâchoire. Le degré de l'angle formé par la réunion de ces deux lignes indiquerait, s'il est grand, une grande intellige
aldesi (1), Cuvier (2), M. Carus (3) et par moi, Je place en première ligne , comme je l'ai fait pour les poissons (Zi), les e
de la lame optique croisant les racines du nerf, se dirigent vers la ligne médiane où elles se continuent sans aucune inte
Zoologie, t. l.p. 206. cans se réunissent sur l'eau, se placent en ligne , poussent le poisson devant eux cl l'enferment da
e supérieure du cerveau du renard (fig. 1), immédiatement derrière la ligne SS, un petit sillon qui existe à gauche sur la qu
s très nombreuses. Voyez (pl. vi, fig. 3) le cerveau de la loutre. La ligne S indique la scissure de Sylvius bordée par une c
roisième : on voit cette communication (fig. 3) un peu en avant de la ligne S, et l'on peut s'assurer qu'elle existe des deux
ns qui les séparent. Elles ont une direction très appro chant de la ligne droite, et sont placées dans le sens longitudinal
rmé d'après un même type, cependant avec quelques modifications. La ligne S (pl. vu, fig. 3) tracée sur le cerveau du mouto
au fond de la scissure de Sylvius, chez l'homme. En arrière de cette ligne , et à la dislance de 12 et de 20 millimètres (pl.
roit où les deux circonvolutions se réunissent. De l'autre côté de la ligne S, se trouvent un signe + et deux lettres ÀA; les
e supérieure du cerveau, présente des dispositions analogues. La même ligne S (pl. vu, fig. lrc, et pl. vin, fig. lre) indiqu
du côté droit et celle du côté gauche forment, parleur adossement, la ligne médiane du cerveau; elles commencent l'une et l'a
(même pl., fig. lre), dont les circonvolutions qui s'éloignent de la ligne médiane n'ont pu être comprises dans la section.
pris indistinctement, 517 grammes. Les étalons marchent en première ligne , ensuite viennent les chevaux hongres, puis à la
'abducteur et le trifacial, le chien est trois fois placé en première ligne , c'est-à-dire que le volume de trois de ces nerfs
éniture a son siège dans la seconde circonvolution à commencer par la ligne médiane. Cette circonvolution est plus large et p
d le plus en arrière sur le cervelet; mais Gall n'indique pas soit en lignes , soit en millimètres, de combien la circonvolutio
admettre que le porc-épic, l'éléphant et le marsouin sont en première ligne , parmi les mammifères, pour le courage, la ruse o
choisir leur habitation sur des lieux élevés, il est situé ce sur la ligne médiane du crâne, immédiatement au-dessus de l'or
v, p. 36tf, (2) Id., id., p. 399. circonvolutions placées vers la ligne médiane et séparées seulement par l'interposition
rte, le chevreuil et les singes (1),- puisqu'ils placent sur une même ligne la tête du serpent (2) et celle des grands généra
arfois l'on montre des cer veaux d'animaux, et que l'on y trace des lignes , que l'on y grave des chiffres, on les laisse tou
non fiexueuses, celles qui sont séparées les unes des autres par des lignes régulières, droites ou courbes; elles appartienne
ype, mais on y rencontre quelques modifications dans les détails; les lignes ont perdu de leur régularité; ce n'est ni un cerv
ns cérébrales; le cochon tonquin, moins féroce que le sanglier, a des lignes plus régulières que le sanglier, à la surface du
41 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
é même le premier « soupçon de son existence. » Si j'ai retracé ces lignes qui peignent si bien la véritable émotion qu'épro
du canal médullaire, est ainsi conjuré. Si l'on ne touche pas à la ligne de séparation de l'épiphyse avec la diaphyse, dit
filtrer à travers la suture suffisamment serrée et présentant, sur la ligne médiane, une sorte de crête saillante avec deux r
uteur, de l'anus à la commissure vulvaire, trois centimètres ; sur la ligne médiane se voit un raphé, trace de la suture, et
doute aux attaches que les muscles et les aponévroses prennent sur la ligne courbe de l'occipital. La peau n'est pas adhére
t un noyau de o,3; enfin, en bas du noyau externe, mais du côté de la ligne médiane du tronc, est un noyau plus petit. Tous
ent formé de deux autres disposés symétriquement de chaque côté de la ligne médiane. Leur bord inférieur est au niveau de la
e, s'étend un autre groupe de tumeurs, maintenant amollies, qui, sans ligne de démarcation distincte, se confondent en haut a
M. Baudot qui vend à deux éditeurs différents la propriété des mêmes lignes , nous nous abstenons de le qualifier. A. B. U
vre supérieure est le siège d'un double bec de lièvre, formant sur la ligne médiane une vaste solution de continuité. La pert
3° Le dédoublement médian de la lèvre inférieure a lieu suivant une ligne horizontale, allant d'une commissure à l'autre Je
affectent la forme tuberculeuse présentent au milieu, et suivant une ligne horizontale, une dépression dont on soulève facil
ouve le flanc gauche libre; mais à gauche, à quatre centimètres de la ligne blanche, on sent une masse dure, irrégulière, don
ontours dans une hauteur de 12 à 14 centimètres. Au voisinage de la ligne médiane, en se portant à droite, on a bien la sen
order deux scrotum; ces derniers sont adhérents l'un à l'autre sur la ligne médiane ; la moitié interne de chaque scrotum est
située à la région palmaire de la main droite; elle s'étend depuis la ligne demi-circulaire, qui limite en bas et en dedans l
complètes rédigées par des savants belges, et nous les prions, si ces lignes tombent sous leurs yeux, de vouloir bien nous adr
ù la lèpre est connue, la suppression de la transpiration en première ligne , les insolations répétées, l'abus des boissons al
d avoir trouvé le remède à ce mal si pénible. Puissent ces quelques lignes lui tomber sous les yeux et l'engager à dévoiler
tionnai alors le cartilage thyroïde de haut en bas exactement dans la ligne médiane, et je pus ainsi, sans notable résistance
la thyrotomie, c'est-à-dire la division du cartilage thyroïde sur la ligne médiane. Le choix de ce procédé opératoire est, à
piglotte, au point d'attache antérieur des cordes vocales, une petite ligne transversale j, très peu accusée, qui représente
lés, en outre, partout où l'on combattait. Les ambulances de première ligne , placées cependant hors de la portée des projecti
n'y a aucun point douloureux, ni dans les fosses iliaques, ni sur la ligne médiane : on sent encore l'utérus au niveau de la
section et non ablation du cartilage thyroïde. Page 157, G'' et 12e ligne , lisez roideur au lieu de rougeur. Page 172, 9« l
157, G'' et 12e ligne, lisez roideur au lieu de rougeur. Page 172, 9« ligne , lisez 135 centigrammes au lieu de centigrades. P
Anatomie descriptive et dissertation, lisez dissection. Page 176, 3r ligne , initiation, lisez imitation. Òóð. Alcan-Lévy,
42 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
exact tement, c'est-à-dire que les supérieures n'affrontent pas en ligne droite les inférieures et que chez eux la bouch
Berlololli) X, nation. 13, basion. O, opisthion. S, ephippion. NB, ligne naso-basilaire. 013, ligne pistho-basilaire. AC
3, basion. O, opisthion. S, ephippion. NB, ligne naso-basilaire. 013, ligne pistho-basilaire. ACF, angle facial. 1\513, ang
ur se présente dans son profil radiographique avec un trajet recli- ligne assez régulier et dirigé un peu d'avant en arrièr
gulier et dirigé un peu d'avant en arrière et du haut en bas. Cette ligne est constituée par l'union de l'elhmoïde et de la
che ho- rizontale du sphénoïde. J'ai donné à cette région le nom de ligne ethmoïdo- sldaénoïdale. Tout de suite après le
stosique. N, nasion ; B, basion ; 0, opisfhion ; S, éphippion ; NB, ligne naso-basilaire ; OB, ligne opistho-basilaire ;
basion ; 0, opisfhion ; S, éphippion ; NB, ligne naso-basilaire ; OB, ligne opistho-basilaire ; NSB, angle sphénoïdal; Al'C
des condyles devient très oblique, de façon que leur plan prolongé ( ligne opistho-basilaire), au lieu dépasser, comme à l'é
ètres au-dessus du nasion. L'angle basilaire de Broca, formé parles lignes naso-basilaire et opistho-basilaire. devient ains
océphale. N, nasion ; B, basion ; 0, opislhion ; S, éphippion ; NB, ligne naso-basilaire ; Or., ligne opistho-basilairej
ion ; 0, opislhion ; S, éphippion ; NB, ligne naso-basilaire ; Or., ligne opistho-basilairej AFC, angle facial ; NSH, angle
érieure du trou occipital vient donc à altérer les rap- ports de la ligne opistlio-basilaire et de la ligne naso-basilaire
nc à altérer les rap- ports de la ligne opistlio-basilaire et de la ligne naso-basilaire ; en effet, tandis que dans le c
aire de Broca mesure à peine quelques degrés dans l'oxycéphalie, la ligne opistho-hasilaire peut des- cendre à la hauteur
ycéphale. N, nasion ; B, basion ; 0, opisthion ; S, éphippion : NB, ligne naso-basilaire ; OB, ligne opistho-basilaire ;
basion ; 0, opisthion ; S, éphippion : NB, ligne naso-basilaire ; OB, ligne opistho-basilaire ; AFC, angle facial ; NSB, an
oblique du trou occipital dans l'hydrocéphalie qui peut donner à la ligne 32 BERTOLOTTI opistho-basilaire une direction
che est titubante. Il fait de petits pas irréguliers en suivant une ligne en zig-zag. Ces troubles sont plus manifestes q
hypersécrétion de celui-ci et un nouveau facteur vient d'entrer en ligne : l'hydrocéphalie. C'est de celle manière que les
existence des troubles psychi- ques. Pendant que nous rédigions ces lignes (20 novembre 1911), nous apprenons que le malad
nion des régions lombaire et dorsale et limitée : en dedans par une ligne virtuelle parallèle au sillon médian postérieur
nt de tabès incipiens, à propos duquel M. Nageotte (1) écrivait les lignes précédentes, paraissait présenter le signe de W
mètres de diamètre et qui semble se propager à travers l'os; sur la ligne médiane de la tête, cm. 1/2 au-dessus de la pro
rge débridement en réunissant les deux plaies anté- rieures par une ligne transversale qui en outre fut prolongée en arrièr
ligne transversale qui en outre fut prolongée en arrière jusqu'à la ligne médiane. La longueur totale de l'incision était d
1\1 tout. correspond assez exactement au point d'intersection de la ligne temporale et de la linea limitons de Kocher (Fi
porale et de la linea limitons de Kocher (Fig. 9 ). Au-dessus de la ligne temporale on doit trouver le pli supramarginai et
le pli courbe, séparés par la linea limitons, et plus bas cette même ligne séparerait les lobes temporal et occipital. T
sur le crâne une distance de 10 centimètres, ce qui correspond, en ligne droite, à un trajet de 8 centimètres et nous do
une hémianopsie binoculaire intéressant le côté droit de l'oeil. La ligne de délimitation entre la lumière et l'obscurité q
en caractères capitales d'imprimerie, ou si on place les lettres en ligne verticale : B.. parait donc reconnaître ces mot
- siner lui-même un arbre, incapable de produire autre chose qu'une ligne courbe et mal venue. Même son « bonhomme » est
tions, les nudités abondent. Les hommes ont des chairs roses et des lignes el1'élllinées,lenr ceinture pelvienne est particu
la peau. Les deux colorations très différentes se heurtent sur une ligne de démarcation assez nettement indiquée : ce qu
re par une formule très simple, à laquelle correspond exactement la ligne Am, et qui est celle-ci : dans un groupe d'un â
37 0/00, etc.. La courbe théorique donnée par celte formule est la ligne Ta figurée eu pointillé sur le gra- phique 1 ;
nt icy les choses qui représentent en quelque sorte la position des lignes et des superficies des objets, mais aussi toute
utes sur sa véracité et parmi ceux-ci nous devons citer en première ligne Hardy, A. Mayer, Botazzi, etc. Hardy a fait des e
vec le sublimé (solution saturée à 0.6) (Na CI), de 7. En seconde ligne , la grosseur des mailles dépend delà concentratio
naît des granulations fines. Cette zone granuleuse se continue sans ligne de démarcation avec la zone périphérique voisin
mènes caractéristiques parmi lesquels nous devons citer en première ligne la production d'un vide nucléaire plus ou moins
au-dessus de la clavicule, et paraissent atteindre en projection une ligne ho- rizontale, passant par la bouche, lorsque l
ons cli- niques). 232 IvLIPPEf. ET FE1L L Face postérieure : La ligne des apophyses épineuses n'est pas régulière, les
osition normale, les sommets des deux pou- mons sont situés sur une ligne fictive passant par la bouche. Coeur. -- Positi
'état du crâne. Eu effet on constate que le frontal présente sur la ligne médiane un sillon assez large et assez prononcé
rtout vers leur partie supérieure. La moitié droite du front (de la ligne médiane à l'insertion latérale des cheveux) est p
xiste qu'une seule molaire. Le cou est plutôt court, n'ayant sur la ligne médiane qu'une longueur dé 56 millimètres. Le
observe un développement modéré des poils. Ils se continuent sur la ligne médiane en haut jusqu'au voisinage du manubrium
es os. « Les conceptions étiologiques actuelles, qui font entrer en ligne de compte dans la production de troubles trophi
e la moelle. L'épaisseur de la corne est en effet remplacée par une ligne de tissu cica- L'ATROPHIE ISOLÉE NON PROGRESSIV
rs. Elles sont plus indécises au niveau des cordons latéraux, où la ligne de démarcation entre le gliome et les zones de dé
r s'écartent de plus en plus dans leurs parties périphériques de la ligne médiane vers la droite ; en un endroit distant
de 200 micrones du bord supérieur du 7e cervi- cal ils forment une ligne courbe, arquée dont la convexité est tournée vers
En percutant sur la face dorsale de l'avant-bras, tout le long de la ligne médiane, on a les mêmes résultats que du côté g
la 2e phalange, la phalangine et la phalangette étant ankylosées en ligne droite ; le doigt et le métacarpe correspondant
sion à la capsule, parallèle à la néphrotomie. mais en dehors de la ligne de suture au catgut, des deux côtés, et en rabatt
adolescent, tandis que le train postérieur, dans la lourdeur de ses lignes , l'ébauche du bourrelet fessier et l'épais capi
e un nou- veau bourrelet un peu moins développé, et qui répond à la ligne biclavi- culaire ; au niveau de chaque clavicul
iron, réu- nissant à peu près les deux apophyses coracoïdes ; cette ligne cicatricielle résulte de l'incision pratiquée l
43 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
à un plus fort grossissement, on voit que sa paroi se continue sans ligne de démarcation avec les tuniques du vaisseau qui
re antéro-postérieur. Le foyer s'étend également des deux côtés de la ligne médiane, en débordant toutefois un peu plus à dro
u. La protubérance offre dans son épaisseur, sur l'un des côtés de la ligne médiane, de petites cicatrices irrégulières, d'
ilis très prononcé. Dans le tiers inférieur du pont de Varole, sur la ligne médiane, existe un caillot récent du poids de 8 g
hors du sillon interfessier, et à 3 ou 4 centimètres au dessous d'une ligne fictive qui partirait de l'extrémité supérieure d
à la région sacrée et s'étendent également à droite et à gauche de la ligne médiane. portaient également sur le lit. Dans u
ion; etles sont accumulées principalement des deux côtés de certaines lignes transparentes, plus ou moins ramifiées, et à bord
ansparentes, plus ou moins ramifiées, et à bords parratlèfes; or, ces lignes correspondent à des vaisseaux. Les granulations d
la dixième vertèbres dorsales, à trois centimètres et à droite de la ligne médiane. Le trajet de la plaie était oblique de d
isseur se produisit sur la fesse droite, à quelques centimètres de la ligne médiane au-dessous du niveau de l'extrémité du co
dans une étendue égale de la région.,symétrique de l'autre côté de la ligne médiane. (Travail collectif de la commission, 1er
n, 2e rapport; et Charcot, Gazette des hôpitaux, 1878.) 1. Dans les lignes qui précèdent, il n'a été parlé que de la sensibi
eux, trois centimètres et plus). L'approche d'un seul pôle suffit. La ligne neutre est sans action. (Charcot, Vigouroux, labo
analogue à la catalepsie de l'homme, en lui plaçant le bec devant une ligne blanche tracée sur le sol. L'expérience est repro
du cylindre. Chaque tracé obtenu dans ces conditions présente deux lignes en courbes superposées. —La ligne supérieure corr
dans ces conditions présente deux lignes en courbes superposées. —La ligne supérieure correspond au tambour appliqué sur le
s modifications survenues dans l'état de contraction de ce muscle. La ligne inférieure offre la même signification relativeme
côté du corps. Mais, la propagation de l'excitation peut dépasser la ligne médiane et la contracture, qui en est la conséque
autant plus facilement que ces muscles étaient situés plus près de la ligne médiane. En tout cas, nous avons bien des fois re
ion produit sur les traits de la face les modifications suivantes : Lignes fondamentales : etevation et courue du sourcil :
suivantes : Lignes fondamentales : etevation et courue du sourcil : Lignes secondaires : plis frontaux curviliques et concen
ique de haut en bas et de dedans en dehors. Il affecte la forme d'une ligne sinueuse composée de deux courbes : l'une interne
es schémas suivants: Grand zygomatique : Muscle du rire (Fig. 21). — Lignes fondamentales : mouvement oblique en haut et en d
en haut et en dehors de la commissure labiale ; — courbe légère de la ligne naso-labiale ; gonflement de la pommette ; — él
ment de la pommette ; — élévation légère de la paupière inférieure. — Lignes secondaires : rides rayonnantes de l'angle extéri
parlé. Si l'excitation, tout en demeurant unique, se rapproche de la ligne médiane, comme sur la Fig. 3 de la Planche VI, le
avité inférieure, la lèvre inférieure est un peu attirée en avant, la ligne naso-labiale allongée tend à devenir rectiligne,
s tampons (le tampon négatif) était placé et maintenu sur le sternum ( ligne médiane), et l'autre tampon était appliqué succes
x était maintenu sur le sommet de la tête, à 2 ou 3 centimètres de la ligne médiane, à l'extrémité d'une ligne verticale qui
a tête, à 2 ou 3 centimètres de la ligne médiane, à l'extrémité d'une ligne verticale qui passerait par le conduit auditif ex
ectrode sur le sommet du crâne à quelques centimètres en dehors de la ligne médiane ; l'autre, un peu au-dessus et en arrière
graphiques, en effet, accusent de longues poses, représentées par des lignes horizontales qu'interrompent de loin en loin des
de l'observation, la plume qui correspond au membre étendu, trace une ligne droite parfaitement régulière (Fig. 28, II). Fi
es minutes, des différences considérables commencent à s'accuser ; la ligne droite se change en une ligne brisée, 1res acci
nsidérables commencent à s'accuser ; la ligne droite se change en une ligne brisée, 1res accidentée, marquée par instants d
ec une extrême lenteur. Elle est représentée sur les tracés par une ligne très légèrement descendante interrompue quelquefo
B, Fin de l'expérience : la contracture a complètement disparu. — X, ligne horizontale. Dans les dernières expériences la
disparu. — X, ligne horizontale. Dans les dernières expériences la ligne de descente est plus rapide et marquée de crans p
sens de la flèche. — Trois expériences consécutives : A, B et C. —X, ligne de niveau. courbe musculaire offre les mêmes pa
une demi-révolution, arrive en face d'un second peigne placé sur une ligne horizontale, symétriquement au premier. Là se pas
de l'observation, la plume qui correspond au membre étendu trace une ligne droite parfaitement régulière, tandis que chez le
d à celui du cataleptique, se modifie au bout de quelques minutes; la ligne droite se change en une ligne brisée, très accide
modifie au bout de quelques minutes; la ligne droite se change en une ligne brisée, très accidentée, marquée par instants de
t de suggestion une feuille de papier divisée en deux parties par une ligne , et qu'on lui donne sur une des moitiés l'halluci
44 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
one il ne reste qu'un très petit nombre de fibres disposées sur une ligne mince qui borde la commissure et la partie antéri
septum et envoie de là jusqu'à la périphérie de la moelle une mince ligne de fibres accolées au septum.Les fibres conserv
commence à se regarnir de fibres. Ici le triangle médian forme une ligne minuscule vers l'u- nion du tiers postérieur av
l'on constate le dernier vestige du triangle médian, qui forme une ligne presque imperceptible vers l'extrémité postérie
s. 4r° Lombaire. Les deux zones scléreuses sont ici séparées sur la ligne mé- diane par une bande saine beaucoup plus den
ndelette externe devient extrême- ment net et est constitué par une ligne de sclérose dont l'intensité tranche sur le res
éreuse est devenue très large. En dedans elle est limitée par cette ligne nette de sclérose interne que nous avons vue débu
s se touchent en avant sur le tiers antérieur du septum médian ; la ligne de sclérose intense qui marquait le bord intern
nstate qu'elle est limitée, du côté de la corne antérieure, par une ligne courbe assez nettement tranchée : c'est là une
bservation I, où elles sont conservées toutes les deux, sans aucune ligne de démarca- tion. Pour faire la part de ce qui
e de la moelle, par un tout petit faisceau qui semble naître sur la ligne médiane aux environs de la tre sacrée, qui s'élar
me triangulaire, mais semble plus limitée au cordon de Goll. Sur la ligne médiane, au milieu de ce faisceau, on constate un
AD1E Le RÉFLEXE PLANTI-CRURAL se traduit assez uniformément par une ligne courbe le plus souvent régulière, quelquefois l
1° Le graphique du premier type (tracé nO 1) offre à considérer une ligne d'ascension, un sommet et une ligne de descente.
cé nO 1) offre à considérer une ligne d'ascension, un sommet et une ligne de descente. La ligne d'ascen- sion est brusque
dérer une ligne d'ascension, un sommet et une ligne de descente. La ligne d'ascen- sion est brusque, presque verticale, p
t. Le sommet est tantôt très aigu, tantôt plus ou moins arrondi. La ligne de descente est brusque ou prolongée; elle décr
e plus ou moins ouverte, mais qui ne s'abaisse pas au-dessous de la ligne (1) Ce (race et les tracés suivants ont été rdj
2° Le graphique du,deuxième type (tracé n° 2) présente de même une ligne d'ascension brusque, peu oblique, un sommet plus
il. diffère manifestement du graphique du premier type en ceci : la ligne de descente, toujours rapide, dépasse la ligne ho
er type en ceci : la ligne de descente, toujours rapide, dépasse la ligne horizontale de départ au-dessous de laquelle el
'état 74 VERGER ET ABADIE · normal. Il se traduit de même par une ligne courbe, plus ou moins régu- lière ou sinueuse.
e (tracé n° 5). Le graphique est entièrement situé au-dessous de la ligne horizontale de départ ; il présente une ligne de
itué au-dessous de la ligne horizontale de départ ; il présente une ligne de descente immédiate, peu oblique, un sommet p
escente immédiate, peu oblique, un sommet plus ou moins aigu et une ligne d'ascension qui rejoint le niveau primitif dust
s empreintes très délicates sur lesquelles se lisent facilement les lignes papillaires qui peuvent permettre d'affirmer l'
che. Si l'enduit est trop épais, il ne permet pas de distinguer les lignes papillaires ; s'il est trop ténu, il ne laisse pl
ger peut supporter le poids du corps dans la station et laisser des lignes papillaires distinctes; il peut être utilisé po
les empreintes digitales de quelques : M ! M(t6M., 1900, p. 255). Les lignes papillaires de la paume de la main (ibid., p. 3
Les lignes papillaires de la paume de la main (ibid., p. 316). Les lignes papillaires de la plante du pied (ibid" p, 602).
et le bas du dos aplati, la région lombo-sacrée se continuant sans ligne de démarcation avec les fesses atrophiées. La c
uscles de la nuque. La pression est d'ail- leurs douloureuse sur la ligne des épines et sur les côtés de la colonne cervi-
mianesthésie gauche, complète au tact et à la piqûre ; limitée par la ligne médiane. Autant qu'on peut en juger, il semble
r- nel était de taille ordinaire. Enfin, il parle d'une tante de la ligne ma- ternelle, morte à 16 ans de la fièvre typho
bi- trochantérien ne surpasse guère le diamètre bia-acromial, et la ligne qui circon- scrit le tronc réalise plutôt le qu
lant, perceptible au toucher et à la vue. A droite et à gauche de ces lignes surélevées blanches, apparaît une zone de conge
nous avons vu apparaître assez nettement quelques-unes des lettres ( lignes blanches entourées d'un nuage congestif), princ
rs une quantité assez considérable de pigment jaune-brun disposé en lignes irrégulières, et il est important de ne pas confo
tactile et douloureuse en bande depuis les clavi- cules jusqu'à une ligne horizontale passant par la partie antérieure des
d'un crayon sur la peau (expérience de Vulpian) ne détermine aucune ligne blanche, mais, quelle que soit sa légèreté, est
indépendants de ce qui représente le reste du tissu nerveux, et une ligne blanche marque souvent la limite entre les deux
eons ou d'éléments épithéliaux. Telle est au moins dans ses grandes lignes l'interprétation admise, nous ne nous en portons
ur lesquelles nous avons attiré- l'attention, marquent justement la ligne de pénétration des vais- seaux ; maintes fois o
tal. D'une part, la forme des lettres, l'agencement des mots et des lignes impriment à certaines écritures un cachet spéci
rappelle, lui aussi, que le commencement du fait divers de quelques lignes que je viens de lui faire lire. J'attire votre at
dans la lecture, sans intermède, de deux petits récits de quelques lignes faciles à retenir. Ce premier malade, âgé de 41
est certain, par exemple, que divers troubles de la lecture (mots, lignes oubliés) reconnaissent pour origine un défaut d
les sinuosités de l'écriture ; les lettres ne sont pas sur la même ligne , les unes sont au-dessus, les autres au-dessous
la même ligne, les unes sont au-dessus, les autres au-dessous de la ligne horizontale. En outre, les lettres sont de dime
malade un modèle à copier, vous pouvez voir (fig. 1) que la fin des lignes est située plus bas que le commencement; les li
que la fin des lignes est située plus bas que le commencement; les lignes , au lieu d'être horizon- tales sont descendante
L'ÉCRITURE 41 n'est pas ménagé, il y a de nombreux blancs entre les lignes et au bout des lignes : les graphologues reconn
s ménagé, il y a de nombreux blancs entre les lignes et au bout des lignes : les graphologues reconnaîtraient la prodigalité
horéisme final, indiquant une fatigue précoce. Voici enfin quelques lignes d'un paralytique déprimé, l'écriture est pe- ti
nes d'un paralytique déprimé, l'écriture est pe- tite et lente, les lignes sont descendantes. Enfin dans l'écriture de cette
si que dans l'aspect inattendu de certains mots et la petitesse des lignes , des stigmates évidents de dé- mence. Ce malade
le d'un tabétique : il lance les jambes en avant, mais bien dans la ligne droite, la pointe du pied retombe la première,
r : Crête sus-épineuse (épaule) ; scissure de l'os crochu (genou) ; ligne du bourrelet (pied). Membre postérieur : Angle
let (pied). Membre postérieur : Angle externe de l'ilium (hanche) ; ligne du bourrelet (pied). Mensurations : Membre an
45 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
par des irradia- tions douloureuses et par la paraplégie. » . Ces lignes , empruntées au beau livre deM. Ménard (deBerck) (
tact conservée partout : thermo-anesthésie limitée en haut par une ligne horizontale passant, à droite au-dessous du sei
mond à propos d'un cas de mal de Pott cer- vical probable, dans les lignes suivantes (1) : «Au début, surviennent des doul
remontant jusqu'au-dessous des seins et limitée à ce niveau par une ligne horizontale ; la sensibilité tactile était moins
é- rieurs avec troubles sphinctériens, hypoesthésie limitée par une ligne horizontale passant un peu au-dessous des seins
r droit existait une saillie irrégulière (pl. IX, fig. 3) ; sur les lignes intertrochantériennes antérieures droite et gauch
niliforme de la 6e à la 12e vertèbre dorsale, un peu à droite de la ligne médiane ; or cette bande osseuse néoformée siég
urs. ACROMÉGALIE PARTIELLE AVEC INFANTILISME 81 gauche jusqu'à la ligne mamillaire. Les bruits du coeur sont faibles mais
j'applique une irritation mécanique, alors seulement vous voyez une ligne étroite, rouge bientôt remplacée par une élévatio
né l'état mental de la malade. Le dermographisme est très net, avec ligne centrale, anémique très surélevée et zone de co
6°5 le matin, et 35°4 le soir. Le dermographisme est très net, avec ligne ortiée anémique très surélevée, large de 2 mill
lus léger grattage de la peau avec l'ongle ou un crayon produit une ligne blanche, ortiée qui se surélève rapidement et e
en dehors ; le bord interne du scapulum est à 4, 5 centimètres delà ligne des apophyses épineuses au niveau de la racine
ntimètres, et les distances du bord interne du scapulum gauche à la ligne épineuse sont aux deux points de repère déjà sign
ensibilité est normale. Sur la poitrine, la peau comprise entre une ligne horizontale qui passe au-dessus des mamelons et
entre une ligne horizontale qui passe au-dessus des mamelons et une ligne qui correspond aux clavicules la peau est seuleme
ne la bande d'hypoesthésie qui existait entre les clavicules et une ligne horizontale mamelonnaire est devenue aussi anesth
a sensibilité à la dou- leur. Hypoalgésie. 154 NOICA . ' et une ligne horizontale inter-mamelonnaires. Le dos des pieds
rieurs. Sur les premiers, les troubles sont limités en haut par une ligne horizontale immédiatement au-dessus de la ligne a
tés en haut par une ligne horizontale immédiatement au-dessus de la ligne axillaire et sur les seconds par une ligne hori
iatement au-dessus de la ligne axillaire et sur les seconds par une ligne horizontal à 4-5 travers de doigt au-dessous de l
onds par une ligne horizontal à 4-5 travers de doigt au-dessous de la ligne inguinale. On remarque que la peau de la paume
remarquer que l'anesthésie de la cuisse est limitée devant par une ligne courbe qui passe légèrement au-dessus du pénis.
que tandis que la peau des fesses est anesthésique, la peau sur la ligne inter-fessière. est seulement hypoesthésique (F
male). La peau de l'abdomen est normale et limitée en bas par une ligne qui passe au-dessus du pénis correspondant à la
n bas par une ligne qui passe au-dessus du pénis correspondant à la ligne du sens tactile et en haut par une ligne qui pa
u pénis correspondant à la ligne du sens tactile et en haut par une ligne qui passe au-dessous de l'appendice xyphoïde, la
e générale », signalent la fibromatose ou lui consa- crent quelques lignes qui n'ajoutent rien à nos connaissances sur le
courte d'ailleurs, il n'avait gardé qu'une mèche du côté droit de la ligne mé- diane de la moustache (fig. C). On ne trouv
i dégénéré le long de la paroi ventricu- laire interne. On voit une ligne blanchâtre au niveau de l'ergot de Morand, en-
7, 8, 9). La couche sagittale externe renferme par- tout de petites lignes blanches qui lui donnent un aspect strié. Cet éta
partie du lobule fusiforme comprise entre le pôle occipital et une ligne imagi- naire passant par la partie antérieure d
erne elles occupent et la couche externe et la couche interne ; une ligne imaginaire reliant le noyau coudé (partie sphéu
faisceau optique central s'est portée en dedans et correspond à une ligne imaginaire reliant le noyau caudé à l'angle infér
stituent, au niveau du passage de la commissure anté- rieure sur la ligne médiane, la presque totalité du segment horizonta
e nerf radiculaire lombaire à l'état normal, pratiquées suivant les lignes a, b, c, du schéma, Pl. XXXV, fig. 1. a', b', c',
cient (à gauche) (Pl. LX, 3 et 4) : une centrale (démarquée par une ligne pointillée) se colorant mal au Weigert-Pal. Ell
qu'on doit rapporter la rigidité des muscles.» D'après ces quelques lignes , on se rend compte qu'il s'agit bien d'une mala
s de l'épine iliaque antéro-supérieure gauche. Si on réunit par une ligne l'épine iliaque antéro-supérieure droite à la mal
liaque antéro-supérieure droite à la malléole externe droite, cette ligne passe à 10 centimètres d'écartement du plateau du
haque fois 4 à 5 filets radiculaires, toujours d'un seul côté de la ligne médiane. Ces filets répondaient habituellement,
ystème nerveux. Cette action toxique se ma- nifesterait en première ligne sur le proto-neurone sensitif et sur les proto-
ROS (t6mai,30 mai, 13 juin, 20 juin,. 27 juin), traçant les grandes lignes de son tableau clinique. Ces leçons, publiées e
ades ne peuvent écrire une seule lettre et ne savent que tracer des lignes informes, d'au- tres écrivent des lettres sépar
finis. Pour cela, tout ce que l'on sait des aphasies peut, dans ses lignes géné- rales, s'appliquer aux amusies ou aphasie
du langage musical. Nous combinons la division de Morselli, en ses lignes générales, avec le schéma particulier de Brazie
Le projectile a pénélré par le vertex à gauche à 1 cent. 1/2 de la ligne médiane, et est ressorti à 7 centimètres transv
s cellules. Il n'y a qu'à la région immédiatement avoisinante de la ligne de section qu'on trouve des fibres de nouvelle
terminales. Ces dernières du reste, arrivées à la hauteur de cette ligne suivent une direc- tion oblique et rétrograde,
ns son ensemble, la cicatrice a la forme d'un x irrégulier, dont la ligne de jonction serait très épaisse. Les extrémités d
es tégu- ments (sauf le creux poplité) et se limite en haut par une ligne qui suit la limite supérieure des fesses et le
tuée sous le sein gauche et s'étendant transversalement de- puis la ligne médiane antérieure jusqu'au-dessous de l'angle de
ement et marche la tête baissée, comme un automate. Il va tantôt en ligne droite, mais plus souvent tourne d'un côté ou d
issu néoplasique se confond insensiblement avec le tissu sain, sans ligne de démarcation nette. Il n'existe aucune autre
re normale. Du côté du tube digestif : la lèvre est fissurée sur la ligne médiane. La langue est normale. Les dents, cari
çant légèrement ses jambes en avant et de côté, il ne marche pas en ligne droite, mais en festonnant comme un cérébelleux.
nte : « La corde vocale gauche est contracturée en adduction sur la ligne médiane. Le cartilage aryténoïde gau- che est l
intacte. XII° dorsale. - La dégénérescence est plus marquée vers la ligne médiane ; il ne persiste à ce niveau qu'une trè
opsies fournissent des résultats assez concordants dans les grandes lignes mais qui diffèrent un peu dans les détails. Sai
(thermo-anesthésie de toutes les parties si- tuées au-dessous d'une ligne circulaire passant au-dessous des seins, analgé-
ités superficiel- 528 ALQtJIER les et profondes, au-dessous d'une ligne horizontale,passant par la 6e dorsale. Rien aux
'observation X sur la colonne cervicale isolée et sectionnée sur la ligne médiane n'a pu, même alors, déceler la lésion m
xterne de la substance grise antérieure du pont. Il s'arrête sur la ligne médiane. Il a détruit la partie profonde de la co
eutrage intra-ciliaire. Les granulations sont orientées suivant des lignes courbes à concavité aritéro-supérieure. Sur une
(PCSD) dans l'axe du pédoncule cérébelleux supérieur est formé de 4 lignes se croisant , à concavité antéro-interne et obliq
la lèvre calcarine du lobule lingual et ne dépasse pas en avant une ligne verticale ra- sant l'extrémité postérieure de l
t le faisceau pyramidal direct est, au contraire, dé- placé vers la ligne médiane au niveau de la moelle mais il faut dire
46 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
res locales qu’on commisse. C'est il peine s’il leur accorde quelques lignes . Devant les documents les plus nombreux, les plus
une flotte sur la mer Noire dans un miroir magique, les vaisseaux de ligne lui paraissaient tout petits, comme si la vision
vous êtes obligé de l’exciter à franchir le fleuve et à continuer en ligne droite. Le voici arrivé à la limite du continent
e est subtile et plus l’immatériel a d’action sur elle. , Ainsi les lignes , les formes, les images existent indépendamment d
ues et difficiles à traiter ; si je l'ignorais, l’imperfection de ces lignes m’en instruirait. Je ne demande pas mieux que de
ayer de le soulever, mais je pus à peine le faire glisser de quelques lignes en le poussant horizontalement. Une autre personn
rrection et à l'intelligence du texte; ainsi il faudra lire: A la ïi* ligne de la pago 42, sur une expérience, au lieu de car
•pogo 44, d’une flotte, au lien de dans la flotte. A la dertiitti'B ligne de la jnie *e, paraîtraient au lieu de paraissaie
la jnie *e, paraîtraient au lieu de paraissaient. A l’anlé-pénultièmc ligne de la page 47, les au lieu de ces. A la 16e lig
l’anlé-pénultièmc ligne de la page 47, les au lieu de ces. A la 16e ligne de la page 48, il faut esquissés, au lieu de expr
de la poge 49, il faut ce qui reste, au lieu de ce qui exilU. A la iV ligne le la nrtnie page : les yeux fermés et convulsés,
page : les yeux fermés et convulsés, au Iha da mouillés. , . A la r ligne du dernier alinéa de la page 51 : du temps, au li
rnier alinéa de la page 51 : du temps, au lieu de« pays. A.la 10* ligne du même alinéa : des sujets, au lieu de des espri
ucun soulage- « nient, * Un pense involontairement, en lisant ces lignes , Job sur son fumier, aux tentations de saint Anto
e est dans les plus vives inquiétudes. En quelque lieu qu’il lise ces lignes , qu’il écoute l’appel des siens, qu’il revienne a
ciles à saisir; mais ce n’est que dans la pratique; théoriquement une ligne de démarcation assez tranchée, beaucoup plus que
lques erreurs d'impression, dont voici la rectification : Page 134, ligne 8, au lieu de jours, lisez source. Page 134, li
on : Page 134, ligne 8, au lieu de jours, lisez source. Page 134, ligne 19, au lieu de puissants, lisez saillants. Page
age 134, ligne 19, au lieu de puissants, lisez saillants. Page 136, ligne H, au lieu de contribuer à,- lisez contrôler. P
136, ligne H, au lieu de contribuer à,- lisez contrôler. Page 136, ligne a, au lieu de des autographes, lisez a des autogr
e a, au lieu de des autographes, lisez a des autographes. Page 136, ligne 34, au lieu de coté, lisez être. Page 136, lign
aphes. Page 136, ligne 34, au lieu de coté, lisez être. Page 136, ligne 39, au lieu de s'il en est ainsi, lisez s il n en
re qu’il ne fait que hasarder une hypothèse, mais ¡1 ajoute, deux lignes plus bas, que cette hypothèse est plus rationnell
expliquant ce que signifie le mot magisme que vous employez à chaque ligne ? Qu’est-ce que cette science universelle à laquel
ous écrire sans ouvrir le volume ce qu’il y a à telle page et à telle ligne de cette page. Il hésite, il éprouve de la diff
ments les plus éprouvés, les spécifiques môme ne sont rien-Témoin ces lignes que vous écriviez au n° 5 du journal, r On n'ira
gné : D' Hochftaedlbr. I,a soussignée atteste el cerlifie par ces lignes que M. Brunei do üttlkuis l'a traitée par les moy
e 1er, demeurant à Bruxelles, rue des Alexiens, 32, certifie, par ces lignes , que M. Brunet de Ballans m'a traité par les moye
lans de ma paralysie au poignet droit, et d'être parvenu à écrire ces lignes au bout de neuf magnétisations. Bruxelles, le î
publiant. Les faits que je viens raconter aujourd’hui sortent de la ligne habituelle de la clairvoyance, et je pense qu'ils
re sans l’ouvrir ? Et Alexis de tracer aussitôt au crayon plusieurs lignes qui furent trouvées dans le livre. — Je crois m
23 mai : Page 257, li^'ne 28, au lieu uo ces, lisez ses. Page 208, ligne 9, au lieu de l'amour, lisez l'apôtre. Page 470,
s. Page 208, ligne 9, au lieu de l'amour, lisez l'apôtre. Page 470, ligne 19, au lieu de passer, lisez planer. Page 270,
tre. Page 470, ligne 19, au lieu de passer, lisez planer. Page 270, ligne 27, au lieu de fait, lisez sait. Baron uo POTET
bli. Parmi les circonstances propres au sabbat figurent en première ligne les voyages aériens que confessaient avoir faites
ion d’un pareil fait me semble la chose la plus simple du monde. Deux lignes écrites sur un morceau de papier, enfermé dans un
uments scientifiques, les seuls qui doivent et puissent ici entrer en ligne décompté. Ces documents, nous les trouvons dans l
Pages 383 h 300, au lieu de JVitleaul, lisez Yitleaut. Page 384, ligne 6, au lieu de travail, lisez talent. Page 386,
t. Page 384, ligne 6, au lieu de travail, lisez talent. Page 386, ligne t i, mettez une virgule après voulus, et un point
rgule après voulus, et un point et virgule apirts papier. Page 388, lignes 33-31, au lieu de ce poète, lisez ce mol du poète
lignes 33-31, au lieu de ce poète, lisez ce mol du poète. 'Page 390, ligne 32, au lieu de vellléilé, lisez velléité. Baron
en mouvement, et que ses oscillations avaient lieu dans le plan de la ligne méridienne, et jamais dans une aulre direction. M
aux deux côtés, la première se mit à osciller dans la direction de la ligne méridienne, et les deux autres dans une direction
, le sujet nes’y trompe point, il avertit du point correspondant à la ligne droite qu’indique votre main. J’ai pu sur des ave
dre pour isoler les poudrières quand elles étaient sur la route d’une ligne télégraphique. Il résulte de l’accident de Zara q
sonnes dignes de foi, que M. Mi-viel, sergent de voltigeurs au 25' de ligne , en 1852, en garnison à Nîmes, aujourd’hui à A.rl
ieurs fautes typographiques qu'il est utile de rectifier. Page 559, ligne 26, uu lieu de depuis, lisez rfèi. Page 542, li
ier. Page 559, ligne 26, uu lieu de depuis, lisez rfèi. Page 542, ligne 15, au lieu de à chaque, lisez chaque. Page 543
Page 542, ligne 15, au lieu de à chaque, lisez chaque. Page 543, ligne 36, au lieu de qu'il y a, lisez quil a. Page 5«
Page 543, ligne 36, au lieu de qu'il y a, lisez quil a. Page 5«, ligne 10, nu lieu do témoigner le, lisez témoigner du.
«, ligne 10, nu lieu do témoigner le, lisez témoigner du. Page 550, ligne 2, article sur le jury spiritualiste, au lieu de
dans ces trois mots : Imposition des mains ; il y en a un dans cette ligne : se recueillir, penser à Dieu, vouloir le bien d
faciles pour des sociétés magnétiques (I), (1) Celui qui écrit ces lignes connnlt plusieurs sociétés magnétiques. Il appart
faitement rétablie, et à la date du 11 de ce mois, elle m’a écrit ces lignes : « Je m’empresse de vous donner de mes nouvell
fourchette, qui par hasard étaient croisés , et les remettre sur des lignes parallèles : et, comnieje lui témoignais ma surpr
Revue de thérapeutique médico-chirurgicale, 15 juillet 1857, quelques lignes d'un remarquable, mémoire sur le dosage du chloro
e sur la puissance du magnétisme anesthésique, nous citerons quelques lignes dUm ouvrage philosophique de l’abbé Cau-pert, pro
47 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
ure, pré-sentait une ulcération hypertrophique d'une longueur de deux lignes environ ; elle était partout un peu opaque. Plus
uisit sur la région sacrée du côté droit, àquelques centimètres de la ligne médiane, immédiatement au-dessous de l'extrémité
us delà rotule; un autre groupe plus nombreux est disposé suivant une ligne verticale qui descend jusqu'au niveau du tiers mo
art : un des orifices siégeait en haut du front, un peu à gauchede la ligne médiane; veau, exclusivement du côté correspond
hors du sillon interfessier, et à 3 ou 4 centimètres au-dessous d'une ligne fictive qui partirait de l'extrémité supé-rieure
ge de prédilection des esehares de cause cérébrale : là, il occupe la ligne médiane et s'étend aux parties voisines, symé-tri
tion anormale, ainsi que les ecchymoses s'arrêtaient brusquement à la ligne médiane. La moitié droite de l'épicrâne, au contr
istinctif qui permettrait déjà de poser entre les deux affections une ligne de démarcation tranchée. Toutefois, ce n'est pas
n absolue entre la paralysie agitante et la sclérose en pla-ques . La ligne de démarcation entre ces deux maladies a été indi
s trabé-cules du réticulum qui les constituent, pour ainsi dire, sans ligne de démarcation appréciable ; dans le cas où la fo
nt des parties saines d'une manière heurtée, sans transition, par une ligne de démarcation nettement tran-chée. Or, c'est là
és. En somme, c'est là un symptôme qui, à lui seul, écrit les trois lignes dont nous donnons le l'ac-simile, tandis que, en
que, en octobre elle était capable d'écrire facilement une dizaine de lignes . Nous avons choisi une partie de la premièreligne
t principalement la moelle allongée — la sclérose occupe, en première ligne , les cordons postérieurs, puis les cor-dons latér
et la comparaison des courbes consignées sur le tableau, c'estque la ligne des vomis-sements s'élève, d'une manière générale
uvent parfaite et correspond, je le répète, à peu de chose près, à la ligne médiane. Un autre trait qui mérite bien d'être me
L'anesthésie affecte toute une moitié du corps et s'arrête juste à la ligne médiane. La moitié correspon-dante de la face, la
tration cellulaire). La paroi antérieure de cette lacune siège à deux lignes en arrière de l'extrémité antérieure de la couche
rière de l'extrémité antérieure de la couche optique. A deux ou trois lignes plus loin, on voit une autre lacune, moins grande
it une autre lacune, moins grande, qui s'étend jusqu'à quatre ou cinq lignes en arrière de l'extrémité postérieure de la coupe
sorte que, comme la longeur habituelle de la couche optique est de 18 lignes , la portion de la couronne radiée qui avoisine or
rrière par l'ancien foyer de ramollisse-ment dans une étendue de onze lignes . Un foyer semblable intéresse la partie externe d
cours ces deux foyers n'étaient plus éloignés, en un point, que d'une ligne , il en résultait que, à cet endroit, presque tout
rt le 31 octobre 1858. Autopsie. Cicatrice ancienne, plate, ayant 5 lignes environ de largeur et 8 de longeur, située à la p
t externe de la couche optique droite. La cicatrice commence à quatre lignes et demie en arrière de l'extrémité antérieure du
e l'extrémité antérieure du noyau lenticulaire ; elle commence à deux lignes en arrière de l'extrémité an-térieure de la couch
émité an-térieure de la couche optique et se termine à peu près trois lignes en avant de l'extrémité postérieure delà couche o
que gauche et tout près de la queue du corps strié. Il commence à six lignes en arrière de l'extrémité antérieure de la couche
mité antérieure de la couche optique et s'étend jusqu'à deux ou trois lignes en avant de l'extrémité postérieure de la couche
ique. En avant, il est à une demi-ligne et en arrière à deux ou trois lignes au-dessus de la face supérieurede la couche optiq
plus souvent les extrémités delà couche optique. Ils avaient de huit lignes à un pouce de longueur, atteignant dans la substa
de voir lesmalades le désigner avec une concordance parfaite. Sur une ligne horizontale pas-sant par les épines iliaques anté
par les épines iliaques antérieures et supérieures, faites tomber les lignes perpendiculaires qui limitent latéralement l'épig
ulaires qui limitent latéralement l'épigastre et à l'intersection des lignes verticales avec l'hori-zontale se trouve le foyer
ncore les muscles et peut-être les os ; elle s'arrête exactement à la ligne médiane. Cette sorte de généralisation de l'ane
ures. A partir de là, les accès s'éloignent et cessent le 3e jour. La ligne ponctuée répond au pouls. Il y a d'ailleurs, da
une sur Vautre les deux parties ainsi divisées symétriquement, x y, Ligne d'intersection des deux plans (horizontal et vert
e et E. Lecrosnier Editeurs. PLANCHE IX ischurie hystérique. La ligne bleue indique la quantité d'urine rendue en 24 he
La ligne bleue indique la quantité d'urine rendue en 24 heures et la ligne rouge celle des vomissements. d p . Charcot,
Œuvres complètes, t.. i . 31 PLANCHE X ischur1e hystérique La ligne bleue indique la quantité d'urine rendue en 24 he
La ligne bleue indique la quantité d'urine rendue en 24 heures et la ligne rouge celle des vomissements. Les petits carrés
et E. Lecrosnier , Editeurs. PLANCHE XI ischurie hystérique. La ligne bleue indique la quantité d'urine rendue en 24 he
La ligne bleue indique la quantité d'urine rendue en 24 heures, et la ligne rouge celle des vomissements. Les petits carrés
— Les urines ont été également recueillies à l'aide de la sonde. La ligne bleue indique la quantité d'uree rendue en 24 heu
La ligne bleue indique la quantité d'uree rendue en 24 heures. La ligne rouge indique la quantité d'urine rendue en 24 he
48 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
feuille, de l'autre sa plume. Tout à coup, il trace sur le carton des lignes , on le voit réfléchir, faire mentalement des calc
te.de sa plume en disant : là... là... Il corrige, trace de nouvelles lignes , regarde de nouveau son dessin, on voit qu'il n'e
omber doucement, sans impatience, le carton sur lequel il a écrit ces lignes et il se met à dessiner sur un autre. Cette fois,
l'impartialité. ERRATA Dans le numéro dé juillet 1909. Page 8, lignes 12 et 18. lire : il constitue on procédé commode
de et efficace; il donne des résultats rapides et durables. Page 9. lignes 15 et 16. lire : les conditions psychologiques et
s et physiologiques dn patient, en particulier son sommeil. Page 9, ligne 34. au Heu de : opération nu choroforme, lire : o
cy est restée, en émigrant à l'étranger, telle qu'elle était dans ses lignes fondamentales, et, si elle a été victorieuse, ell
ues. Je ne crois pouvoir mieux faire que de citer intégralement les lignes dans lesquelles il a résumé cette démonstration.
me on dirait aujourd'hui, le plasma commun de la vie. Aux dernières lignes de sa Psychologie des Sentiments, M. Ribot a form
nellement visé ; et c'est, en quelque sorte, Pro domo que j'écris ces lignes . Binet-Sanglé affirme qu'il n'y a pas de libre
al des Praticiens dn 16 octobre 1909, on peut lire, sur ce sujet, les lignes suivantes : « Tel médecin Israélite on libre pe
sienne, heurte son entendement : il ne peut pas la comprendre (p. 52. ligne 20). Je présume,— sans déprécier, le moins du m
ur. Réplique du Docteur Paul Farez J'ajouterai seulement quelques lignes , car je m'en voudrais de prolonger le débat. J'
à'état de veille hypnotique. Pour celui qui sait lire à travers les lignes , ces contradictions ne sont pas faites pour susci
e 22 millimètres de diamètre) devait se trouver à 3 centimètres de la ligne médiane du rachis et à 2 centimètres au-dessus de
lative. Lasègue, dans son étude sur le Sommeil, a consacré quelques lignes à ces réveils difficiles ou incomplets : « Ce qu'
où se montrent plusieurs réveils, je désirerais répondre en quelques lignes à mon honorable confrère. En ce qui concerne le
eu ternie» d'une haute élévation. Xous extrayons de son discours les lignes suivantes dans lesquelles il analyse les divers é
la phase de l'excitation son écriture paraît toujours incorrecte. Les lignes sont vivement accentuées et exécutent ordinaireme
bages, surtout dans les majuscules, sont maladroitement dessinés. Les lignes n'ont jamais de précision dans leur parcours et o
beaucoup d'autres signes qui. si vous savez lire, comme elle, sur les lignes et entre les lignes, vous permettront de découvri
gnes qui. si vous savez lire, comme elle, sur les lignes et entre les lignes , vous permettront de découvrir les traces d'excit
en d'exprimer clairement sa pensée : mais il ne peut pas empêcher les lignes qu'il trace de révéler ses défaillances qui sont
resque toujours certaines particularités dignes d'être signalées. Les Lignes renferment souvent des mots inachevés se rapproch
lui que les perturbations psychiques infligent à leur conscience. Ces lignes ont des traits plus on moins effacés auprès desqu
que de la plupart des mots ou des lettres qui figurent dans certaines lignes bizarrement confectionnées. Les traits manquent d
hes ; les lettres sont parfois illisibles et à peine esquissées ; les lignes descendent vivement et ont un aspect disgracieux
vinerez sans effort qu'elle est facturée par une main tremblante. Les lignes ne sont jamais droites ; elles ont des courbes mo
ans une spirale. Si nous menons ten-gentiellement à cette spirale ane ligne droite parallèle à son axe, chaque homme peut êtr
parallèle à son axe, chaque homme peut être, à chaque point de cette ligne ce qu'il était déjà précédemment à tout autre poi
gne ce qu'il était déjà précédemment à tout autre point de cette même ligne . Et de sorte qu'une journée bonne peut ainsi se r
dire au ;tout premier rang, elle est franchement avouée aux dernières lignes . L'auteur y professe « une certaine confiance>
ère page de son livre n'empêche pas qu'elle nous apparaisse entre les lignes , et qu'elle y occupe virtuellement la fonction ra
heureuses qu'il en a faites, nous croyons pouvoir mettre en première ligne sa façon de voir au sujet des deux phénomènes qu'
ns, les sentiments ; et, inversement, en constatant, par le tracé des lignes et des lettres, les mouvements qui dominent dans
ctère, qui saute aux yeux encore, dès l'abord, c'est la sinuosité des lignes . Elle n'est peut-être pas apparente partout, pour
r dans l'adresse, et principalement dans les 4«, 5e. 6e, 7®, 8e et 9® lignes du texte de la lettre. Ce caractère graphologiq
s accès de colère. Voyez ces traits bizares, dans son écriture, ces lignes jetées d'une lettre à l'autre, puis ces interrupt
et l'Equateur. Ces degrés servent de points de repère à l'enfant. Les lignes courbes pointillées représentent le trajet des ba
orce l'enfant à l'attention et à la réflexion. D ne doit pas dans les lignes horizontales de la mer dépasser les limites avec
exé nn enseignement ménager et professionnel. Le fait de tracer des lignes horizontales et verticales sur la sphère par la m
erticales sur la sphère par la méthode Mulot, de ne "pas dépasser ces lignes , produit, comme je l'ai dit plus haut, de l'atten
les aveugles en particulier. C'est grâce à cette méthode de faire des lignes horizontales et verticales et non des points comm
s d'Angers. L'aveugle a plus de peine à percevoir par le toucher la ligne horizontale que le point. Cette difficulté nécess
server que ce système d'écriture repose aussi sur la connaissance des lignes horizontales et verticales et sur l'éducation du
emain. 2° La sédation produite par diverses drogues, et en première ligne , par le bromure de potassium, à la dose de deux à
49 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
r par le palper abdo-minal. Le foie n'avait que 7 centimètres dans la ligne axillaire, 6 dans la ligne mammaire, et ne dépass
Le foie n'avait que 7 centimètres dans la ligne axillaire, 6 dans la ligne mammaire, et ne dépassait pas le rebord costal. V
la droite. H résulte delà que toute la partie située au-dessous d'une ligne hori-zontale qui continuerait la bouche en dehors
à son derme, et privée de parties musculaires. A partir de cette même ligne , jusqu'au bord inférieur de la branche horizon-ta
rices. (Voy. Planche IV.) De ces cicatrices, la principale décrit une ligne sinueuse en S, laquelle part de la commissure lab
de toutes siège vers le milieu de la hauteur et un peu à gauche de la ligne dorsale. Elle a la forme d'une petite poire pen-d
ge adulte. Observez bien ce malade : le nez n'est plus vertical, la ligne des sourcils n'est plus horizontale. L'angle de l
côté sain. Et, pour ne pas vous tromper, comparez la direction de la ligne sourcilière à celle des autres diamètres transver
viés par suite de l'inclinaison vicieuse, mais que l'obli-quité de la ligne sourcilière l'emporte notablement sur l'obliquité
ntrocart courbe, on ponctionne la paroi abdo-minale antérieure sur la ligne blanche, à 6 ou 7 centimètres au-dessous d'une li
ntérieure sur la ligne blanche, à 6 ou 7 centimètres au-dessous d'une ligne horizontale, qui réunirait les deux épines ilia-q
phérique s'étend sur toute la tumeur. Elle se trouve, en haut, sur la ligne médiane ; elle dévie ensuite légèrement à gauche.
le un angle très-aigu ouvert en bas. Leur ensemble consti-tué par des lignes parallèles et presque verticales donne à la cage
ydrencéphalocèle, il dit que celte hernie ne se produit jamais sur la ligne médiane, qu'elle correspond toujours à l'extrémit
d'inflam-mation du tissu osseux. L'orifice de la hernie occupait la ligne médiane, et ce siège est assez fréquent. (Leriche
Celle- 1 L'image photographique est dans la proportion de 2/5. Les lignes noires transversales répondent à des incisions.
e celles qu'on observe habi-tuellement. Dans une des observations, la ligne thermique est abso-lument droite pendant les 6e,
ec l'épididyme, sans limite de séparation, excepté à la coupe par une ligne celluleuse...; les élé-ments normaux de la glande
et la comparaison des courbes consignées sur le tableau, c'est que la ligne des vomissements s'élève, d'une manière générale
la description de l'anomalie du rein : Les reins sont soudés sur la ligne médiane par leur extrémité inférieure présentant
extrémité supérieure, l'autre à 1 centi-timètre et demi environ de la ligne médiane, tout à fait à la partie inférieure du re
un sillon situé à la partie antérieure du rein à 2 centi-mètres de la ligne médiane. Dans le hile du rein droit l'on trouve
2 centimètres de largeur. Celte dépression est à 4 centimètres de la ligne médiane. L'uretère droit passe comme le gauche à
iquer une affection qui semble avoir été si longtemps méconnue. Les lignes suivantes, où l'auteur a pris soin de se résumer
R, la surface liquide li-bre des différents tubes sera située sur la ligne inclinée MO ; 3° Au moment où l'on ferme l'orif
ntale abc, et puis reprend son niveau primitif correspon-dant à cette ligne horizontale. L'induction d'un courant au moment
, mais a également lieu avec les courants continus. A partir de la 9e ligne (Fig. 7), c'est-à-dire après 9 minutes de passage
onsidérable des vaisseaux qui arrivaient près de la surface en droite ligne , tous parallèles les uns aux autres jusque dans l
...... 0m,09 6° Circonférence du corps au-dessus du bassin, par une ligne passant au-dessus des crêtes iliaques par la colo
par la colonne lombaire : 0m,52; 7° Circonférence du corps par une ligne passant au niveau du trochanter droit, perpendicu
ures. A partir de là, les accès s'éloignent et cessent le 3" jour. La ligne ponctuée répond au pouls. même de Chevalier qu'
du muscle sterno-cléido-masloïdien; en avant, elle a pour limite une ligne verticale qui couperait le masséter par la moitié
— sous-mentale................. 114 Hauteur au-dessus du sol de la ligne articulaire du genou..................... 420
ettre que la suppuration du rein se fait au même titre, sur la même ligne , sous la même in-fluence générale que la parotidi
s; — V.S, bords du vagin renversés, après l'incision pratiquée sur la ligne médiane de la face postérieure du vagin; ¦— OU, c
ite des balsamiques est passible des mêmes reproches. À part quelques lignes très-succinctes sur l'action de l'eucalyptus glob
rivons d'abord la portion sous-ombilicale. Au-devant du pubis, sur la ligne médiane, se trouve une saillie arrondie, se prolo
les membres inférieurs, un peu plus développée que la droite. Sur la ligne médiane se voit en avant un sillon prononcé qui s
geons secon-daires, de volume différent. Il est à 6 centimètres de la ligne mé-diane, à 8 centimètres i /2 de l'ombilic. En
t prêt à des-cendre dans le scrotum. L'urèthre s'ouvre à droite de la ligne mé-diane du gland parmi méat vertical. Le systè
mation de la symphyse, et l'on parcourt du côté droit une partie delà ligne innommée; la branche horizontale du pubis droit e
rtébral que celle de gauche et, de ce dernier côté, on ne sent pas la ligne innommée; le bassin est donc oblique, ce qui se c
50 (1934) Oeuvre scientifique
enir, ils ont dû prendre la responsabilité, tout en n'insérant aucune ligne qui ne frit de la main même de Babinski. de fai
s textes dans le présent volume dont voici le plan dans ses grandes lignes : la méthode en sémiologie ; la sémiologie; les
s de cent individus des deux sexes. » A partir de l'époque où ces lignes ont été écrites jusqu'à ce jour, c'est- à-dire
en est d'autres où, à première inspection, elle est douteuse, car la ligne de démarcation entre l'état physiologique et l'
rie avec forte exagération des réflexes tendineux », j'écrivais les lignes suivantes : « S'il est vrai, comme le prétend M
membre supérieur droit et la main gauche se trouve plus près de la ligne médiane que la droite. Le membre supérieur gauc
bitude. Ces différences sont souvent suf- fisantes pour établir une ligne de démarcation nette entre l'état physio- logiq
e en extension avec troubles de la sensibilité remontant jusqu'à la ligne mamelonnaire. La paralysie des membres inférieu
base de ce travail. On trace, par exemple, un trait le long de la ligne médiane du corps ; on prévient le sujet en expé
n pratiquera des excitations diverses à droite et à gauche de cette ligne ; on l'invite à fixer son attention et à indiqu
, glace, etc.). Or, voici ce qu'on observe : A une distance de la ligne médiane variant, suivant.les individus, de 2 à
ctes. Bien souvent le malade déclare qu'une excitation porte sur la ligne médiane, tandis que le point excité est séparé
ur la ligne médiane, tandis que le point excité est séparé de cette ligne de 2 à 3 centimètres. Cette erreur est surtout
où la limite sera atteinte. Si maintenant, au lieu de choisir la ligne médiane comme limite, on trace sur une partie q
on trace sur une partie quelconque du corps ou d'un des membres une ligne transversale qui doit servir de frontière artif
qui occupe les membres inférieurs et le tronc jusqu'au-dessus de la ligne mammaire. Quand on applique les électrodes d'un
bat dans le 5e espace intercostal, à un centimètre en dehors de la ligne mamelonnaire. A droite, dans le 2e et 3e espace
ans le 5e espace intercostal gauche, à i centimètre en dehors de la ligne mamelonnaire. La percussion donne, à la hauteur
séparent ne sont pas assez tranchées pour qu'on puisse établir une ligne de démarcation entre les deux ordres de faits q
e bord radial. A la droite d'une feuille de papier on abaisse une ligne verticale, et l'on prie le malade de tracer à s
t l'on prie le malade de tracer à son tour, de gauche à droite, des lignes horizontales partant d'un point quelconque, mai
isons : il par la localisation de l'ataxie : elle porte en première ligne sur le tronc, et l'on examine la sensibilité, e
s quoi il est normal, il doit se retrouver sensiblement sur la même ligne et dans la même orientation qu'au départ. S'i
a main, les yeux fermés, trace de haut en bas et de bas en haut des lignes qui doivent' se recouvrir à peu près, s'il n'y
iation du bras. S'il existe une déviation, elle se traduira par une ligne brisée indiquant la direction et l'amplitude de
commissure labiale droite et à 1 centimètre et demi au-dessus d'une ligne horizontale qui prolongerait la fente buccale,
protubérance occipitale externe. La convexité du lambeau atteint la ligne médiane au niveau de la ligne bi-auriculaire et
rne. La convexité du lambeau atteint la ligne médiane au niveau de la ligne bi-auriculaire et la base est dirigée vers l'or
le muscle trapèze de ce côté est tendu, le dos de la main regarde la ligne médiane du corps ; de plus, l'avant-bras se flé
de Reil gauche et qui provient de fibres sectionnées à gauche de la ligne médiane avant leur entre-croisement ; ce sont n
bas elles sont séparées du faisceau pyramidal direct par une mince ligne pâle, puis cette ligne de démar- cation dispara
s du faisceau pyramidal direct par une mince ligne pâle, puis cette ligne de démar- cation disparaît ; elles descendent d
s et thermiques occupant la moitié gauche du corps au-dessous d'une ligne séparant les 10. et 11e ter- ritoires cutanés r
duc- tion de tous les phénomènes spontanés sympathiques et spinaux ( ligne séparant les 10e et 1 ie territoires cutanés ra
: comme on le voit sur le schéma, elle se présente sous forme d'une ligne nettement horizontale. Si nous la comparons à la
ns à la limite supérieure de l'anesthésie, nous voyons que ces deux lignes , qui se (') L'autour, pour expliquer ces faits,
36o PARAPLÉGIES - AFFECTIONS DE LA MOELLE croisent presque sur la ligne ombilico-xyphoïdienne, s'écartent en gagnant la
ous du pli fessier ou à la fesse à plus de 6 ou 7 centimètres de la ligne médiane, on n'obtient aucune contraction ; mais
l'ouverture de la dure-mère. Une longue incision est tracée sur la ligne médiane dorsale correspondant aux apophyses épine
ce gouge. La dure-mère étant largement mise à nu, on l'ouvre sur la ligne médiane et l'on aperçoit de suite une tumeur bien
'une grosse olive, de couleur rouge violacée, située à droite de la ligne médiane et comprimant la moelle qui présente sur
aître par l'excitation des téguments du tronc jusqu'au-dessus de la ligne mamelonnaire. En excitant la face interne des deu
uée est nettement séparée de celle de l'hypoesthésie légère par une ligne relativement fixe. Or, cette ligne correspond, d'
de l'hypoesthésie légère par une ligne relativement fixe. Or, cette ligne correspond, d'après nous, avec une grande appro
en extension, avec troubles de la sensibilité, remontant jusqu'à la ligne mamelonnaire. La paralysie des membres inférieu
re être provoqués au tronc jusqu'à une frontière constituée par une ligne à peu près horizontale, située à deux ou trois
mamelon ; à la face postérieure, ces troubles se délimitent par une ligne allant de la Ve apophyse épineuse en dehors et un
ensibilité ; pour la chaleur, la limite se confond à peu près avec la ligne ombilicale ; pour la piqûre elle forme une lign
à peu près avec la ligne ombilicale ; pour la piqûre elle forme une ligne courbe, à concavité tournée en bas, située au-des
ut se trouve la limite de l'anesthésie au froid. Au-dessus de cette ligne , qui passa à peu près à égale distance entre l'
Au dos, la sensibilité est conservée beaucoup mieux; au-dessus d'une ligne horizon- Fig 61. 1. Limite de l'hypoesthésie.
s membres inférieurs, le tronc et remontaient jusqu'au-dessus de la ligne mamelonnaire. M. Foix, consulté à cette époque,
M. Foix.) 4d¡ PARAPLEGIES S AFFECTIONS DE LA MOELLE sus de la ligne mamelonnaire. Au-dessus de ce vaste territoire pr
aître dans une zone dont la limite supérieure dépassait légèrement la ligne mamelonnaire et se trouvait distante de 1 centi
moins atteint. De plus, des troubles sudoraux s'étendant jusqu'à la ligne mamelonnaire ont apparu. Fig. 67. 422, PARAPL
Ce qui le prouve d'une façon péremptoire et contribue à établir une ligne de démarcation tranchée entre les deux états ne
à des règles que j'ai déjà indiquées autre part, dans leurs grandes lignes . 2° Sachant qu'un sujet suggestionnable subit t
connaît des limites. J'ai eu l'occasion d'écrire sur l'hystérie les lignes suivantes : Dans toutes sortes de circonstances
nt-ils à cet égard ? Clovis Vincent, qui est resté longtemps sur la ligne de feu où il s'est fait remarquer par son coura
qui fonctionna dans une zone comprise entre 3 et 6 kilomètres de la ligne de feu, en Alsace d'abord, aux environs de Sain
ats des observations sont tout différents dès qu'on s'éloigne de la ligne de feu. A 15 ou 20 kilomètres des premières ligne
n s'éloigne de la ligne de feu. A 15 ou 20 kilomètres des premières lignes , dans les formations sanitaires de la zone des
epuis la première année de la guerre, a bien spécifié quelle était la ligne de conduite à suivre en présence de manifestati
divers modes de la sensibilité. Au-dessus de l'ombilic, jusqu'à la ligne mamelonnaire, il existe des troubles de la sensib
anesthésie complète, tantôt beaucoup moins marqués. Au-dessus de la ligne mamelonnaire il y a une bande d'hypoesthésie lé
té sont conservés. Cette bande est séparée de la précédente par une ligne de démarcation TRAITEMENT DES TUMEURS JGTt-DIGD
51 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
un point quelconque de l'intestin. Nous nous bornons à ces quelques lignes ; il nous a fallu re-monter jusques en 1838 pour
es REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX ANUS CONTRE NATURE de la ligne blanche. La direction du trajet est légèrement ob
e supérieure, à sommet dirigé un peu obliquement en bas du côté de la ligne blanche. C'est dans l'angle interne de ce triangl
la dixième vertèbres dorsales, à trois centimètres et à droiie de la ligne médiane. Le trajet de la plaie était oblique de d
aralysés chez les hémi-plégiques. Nous ne consacrerons que quelques lignes à chacune des pre-mières variétés, nous proposant
ccou-chement, -t- Tempéra-ture aussitôt après la délivrMice. — Chaque ligne verticale corres-pond à une heure. 1 Les notes
njection de chloral. -+- Température aussitôt après la mort. — Chaque ligne correspond à deux heures. tête est dans l'excav
rière et en dedans, sur le prolongement de la di-vision interne de la ligne âpre, existe un petit ostéophyte. —A quatre centi
considérable. La petite circonférence delà portion décollée lorme une ligne droite qui, en haut et en bas, se continue à angl
as, se continue à angle droit avec le reste du bord pupillaire. Cette ligne à peu près verti-cale est très-rapprochée de la p
le anormale présente en haut une cer-taine largeur. Ce bord forme une ligne un peu sinueuse et comme déchiquetée. La pupill
ci s'é-tend jusqu'au milieu de la pupille ; de son extrémité part une ligne brun foncé, qui se dirige vers le côté opposé de
mé de cellules remplies de graisse et de cristaux de cholestérine. La ligne brune qui avait traversé la pupille était formée
es, ressemblant à du cuir, avaient une épaisseur variant d'une à deux lignes . Nulle trace de substance cor-ticale ou de pyrami
d'un crochet. (Voy. Planche XVI.) La malade élève le bras jusqu'à la ligne horizontale, porte la main au front ; l'abduction
ndications et les contre-indications de l'uréthrotomie interne. Les lignes consacrées au Manuel opératoire sont écrites à un
près tout à fait abolie, si ce n'est au ventre, de chaque côté de la ligne médiane, où la pression est encore assez douloure
iques enregistrés dans les observations pré-cédentes. Fig-. a. — La ligne pointitlée repré-sente le tracé du pouls (P); la
Fig-. a. — La ligne pointitlée repré-sente le tracé du pouls (P); la ligne pleine celui de la tempéra-ture. — et II correspo
minutes après le début. = température aussitôt après la mort. Chaque ligne verticale ré-pond à une heure. Des faits que no
constatée dans un point qui se trouve à peu près sur le milieu d'une ligne oblique dirigée de l'épine iliaque antérosupérieu
préciation plus exacte des lésions existantes. Tel est, en quelques lignes , le résumé des faits contenus dans la thèse de M.
pourra consulter avec fruit. F. Villard. Ebratim. A la page 109, ligne 8, il faut ajouter après « Comateuse él convul-si
grand droit, a dû faire naître l'idée d'une hernie au voisinage de la ligne blanche. La sensation de réduction d'une portion
ncore les muscles et peut-être les os ; elle s'arrête exactement à la ligne médiane. Cette sorte de généralisation de l'ane
n par le docteur reliquet Gimel, 25 ans, soldat au 124e régiment de ligne , né à Strengel (Lot), est apporté à l'ambulance d
re suivre le mou-vement d'écartement du tronc qu'exige le tracé de la ligne . Je crois que les mouvements spontanés de ce me
rande qu'à l'état normal, atteignant le bord sternal droit et, sur la ligne du mamelon, le sixième espace intercostal. La mat
nt la vie du malade, les renseignements rap-portés dans nos premières lignes , dit M. Th. Simon, j'aurais indu-bitablement reco
de cette ca-vité.—J'ajouterai quela tumeur ne s'avance pas jusqu'à la ligne mé-diane du cou ; en bas elle ne dépasse pas la r
ure droite des lèvres semble un peu abaissée et plus rapprochée de la ligne médiane que celle du côté sain. Cette déformation
et gagner un peu en largeur : elle s'avançait progressivement vers la ligne médiane. 1871. D'après les renseignements qui n
dans une grande étendue, mais surtout au voisi-nage et à gauche de la ligne médiane. Une fois détaché, soit par déchirure, so
52 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
de cinq. La première est pratiquée à un centimètre en dehors de la ligne mé- diane. Elle passe par le genou de la capsul
latéral. Or, comme ce bord est distant de deux centimètres de la ligne médiane, il est évident que les deux autres cou
Première coupe. La coupe sagittale pratiquée à un centimètre de la ligne médiane tombe sur le genou de la capsule intern
t la base du cerveau. Donc à 15 millimètres environ en dehors de la ligne médiane, la partie postérieure du lobule orbita
capsulaires. Quatrième coupe. A deux centimètres en dehors de la ligne médiane, la coupe tombe sur le trajet du bord e
corps calleux, l'autre sagittal, à deux centimètres en dehors de la ligne médiane. Ces faisceaux extrinsèques, qui passen
ntales. Ce sont donc ces faisceaux, qui sont les plus voisins de la ligne fornicato-syl vienne. On comprend maintenant po
res les plus externes du groupe antérieur des irradiations curvi- lignes sont franchement antéro-postérieures et sur le
aque bord (segment capsulaire) de cet angle diverge également de la ligne médiane avec laquelle il forme un angle de 40°.
if de cette gerbe au sur et à mesure que la section s'éloigne de la ligne médiane. Le tiers antérieur du segment postérie
que. Or, la coupe sagittale faite à 2 centimètres en dehors de la ligne médiane (Pl. III) nous a démontré qu'à ce nivea
lus ou moins arrondis, si elles sont isolées, soit sous la forme de lignes ou lamelles plus ou moins longues, si elles son
corps calleux . La coupe sagittale pratiquée à un centimètre de la ligne médiane tombe sur ce fais- ceau dans presque to
ce faisceau, la section doit porter à 3 centimètres en dehors de la ligne médiane. Le faisceau longitudinal supérieur ou
tant courbes, parallèles entre elles, d'autant plus éloignées de la ligne médiane qu'elles sont plus élevées, la section
u cylindre. Chaque tracé obtenu dans ces conditions présente deux lignes en courbes superposées. La ligne supé- rieure c
dans ces conditions présente deux lignes en courbes superposées. La ligne supé- rieure correspond au tambour appliqué sur
modifications survenues dans l'état de contraction de ce muscle. La ligne inférieure offre la même signification relative
GIE PATHOLOGIQUE. rieur qui correspond au biceps brachial trace une ligne droite (B. b.). Fig. 1. Diffusion des réflexe
ain nombre de travaux, parmi lesquels il faut citer en ~ première ligne ceux de M. Charcot et de M. Verneuil, ont bien
e pathologique, comprend les affections diathé- siques, en première ligne la syphilis, la scrofuluse, la tuberculose, et
tant plus facilement que ces muscles étaient situés plus près de la ligne médiane. En tout cas, nous avons bien des fois
n produit sur les traits de la face les modifi- cations suivantes : Lignes fondamentales : élévation et courbe du sourcil
suivantes : Lignes fondamentales : élévation et courbe du sourcil : Lignes secondaires : plis frontaux curviliques et conc
de haut en bas et de de- dans en dehors. Il affecte la forme d'une ligne si- Fig. 17. Contraction du muscle frontal.
émas suivants : , , Grand zygomatique : Muscle du rire (Fig. 31). Lignes fondamentales : mouvement oblique en haut et en
aut et en dehors de la commissure labiale ? courbe lé- gère de la ligne naso-labiale; gonflement delà pom- mette ; - él
delà pom- mette ; - élévation légère de, la( paupière inférieure. Lignes secondaires : rides rayonnantes de l'angle exté
Si l'excitation,' tout en demeurant' unique, se rap- proche de la ligne médiane, comme sur la Figure de la Planche X, l
infé- rieure, la lèvre inférieure est un peu attirée en avant, la ligne naso-labiaile allongée tend à devenir réctiligne,
Devenu subitement aphasique, le Dr Spalding put écrire * quelques lignes avec des traits aussi bien formés qu'il n'avait
dipeux, normale ' 16 243 REVUE DE pathologie NERVEUSE. dans ses lignes et dans ses mouvements, fait un singulier con-
vertébrale, la cathode est alternativement amenée sur l'hypogastre ( ligne médiane) 244 REVUE .DE PATHOLOGIE, NERVEUSE,
53 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
longueur du tronc dans toute sa hauteur, exactement limité par deux lignes verticales tirées par les aisselles. Pas de bas
re que, très vraisemhla- blement, l'hypophyse, agissant en première ligne et en première date, produit le gigantisme et l
te une cyphose très prononcée. Les épaules très rap- prochées de la ligne médiane. Le bord supérieur des muscles proéminent
se de la position des épaules qui sont haussées et rapprochés de la ligne médiane. On constate une fracture consolidée de
radial nous assistons simplement à un déplacement de position de la ligne articulaire. En somme l'on au- rait affaire à u
suis efforcé d'ébau- cher au début de ce travail, dans ses grandes lignes . Je dois encore faire observer que la difformit
à contour régulier. Che- veux châtains à un seul tourbillon médian, ligne d'insertion antérieure semi- circulaire. Front
ndance des femmes comme dans la famille Hartmann, soit seulement en ligne de descendance mâle comme dans la famille Kalle
ne peuvent être éle- vés passivement ou activement plus haut que la ligne horizontale ; il existe un bruit de frottement
vertébrale, dès les ver- tèbres dorsales supérieures, présente une ligne presque droite. La lordose lombaire a presque d
ux extrémi- tés supérieures ne peuvent se soulever plus haut que la ligne horizontale ; l'an- kylose desdeux articulation
le, à partir des extrémités inférieures des omoplates, présente une ligne droite. Immobilité absolue de toute la colonne
ns dorsale et lombaire de la colonne vertébrale se profilent en une ligne droite et. de cette manière, la cyphose physiolog
ntimètres), les deux bras ne peuvent se sou- lever plus haut que la ligne horizontale ; difficulté des mouvements des han-
ale et lombaire. Les deux bras ne peuvent se lever plus haut que la ligne horizontale ; crépitation dans les articulations
stature, il est pâle et maigre. La colonne vertébrale présente «ne ligne droite, les déviations physiologiques sont apla
ne noix, se trouve située sur les 7° et 8*' côtes droites et sur la ligne axillaire, ayant exactement les mêmes caractères
d'hypertension intra-crànienne ; au contraire, la 29 située sur la ligne médiane, semble obturer l'aqueduc : les trois pre
re, sous les tubercules quadrijumeaux inférieurs, à peu près sur la ligne médiane, qu'elle déborde de chaque côté, davantag
ant au bord externe du trapèze. Les placards n'empiètent pas sur la ligne médiane; leur extrémité inférieure correspond,
en avant, au bord inférieure de la deuxième côte, et en arrière, une ligne horizontale passant par le sixième espace iuter
to-métaméres ; ils ne paraissent pas exactement localisés selon les lignes frontière de Voigt. Si on passe en revue les di
ion d'une pièce d'un franc. En avant ces taches ne dépassent pas la ligne médiane du membre autrement dit une ligue réuniss
lie) sur une surface limitée en haut, à la naissance du cou par une ligne sensiblement horizontale dont le pro- longement
à 3 centimètres environ de la crête des apophyses épineuses, cette ligne séparative se recourbe en bas ; elle descend sur
nt la convexité tournée vers la colonne vertébrale n'atteint pas la ligne médiane. Plus bas, au niveau de la 7e côte, ell
quart inférieur et remonte vers le sternum ; elle atteint enfin la ligne médiane au niveau de la 3° côte et gagne obliquem
e placard vasculaire est limité sur le cou et sur le thorax par des lignes sensiblement horizontales et parallèles qui répon
RIÈRE. T. XXIV, PL.XXXVI1. Fie 8. - Coupe sagittale, prise sur la ligne médiane d'un disque interv. (H) normal avec les
la colonne vertébrale a été sciée en deux parties égales suivant la ligne sagittale médiane. De la partie antérieure de
ure des vertèbres ; le cartilage, bleu, il un demi-centimètre de la ligne antérieure, n'est plus coloré par le bleu de méth
dispari- tion du cartilage.- B, absence absolue de cartilage. - C, ligne calcaire. - D, tissu spongieux de l'os. Grossis
sissement : Il fois. LA SPONDYLOSE RHIZOMÉL1QUE 243 osseuxpar une ligne de démarcation très foncée en zig-zagde dépôt cal
etrouve que la mince couche du tissu conjonctif périphé- rique etla ligne de démarcation calcaire qui sont posées sur l'os
e, l'absence d'incurvations du rachis (la colonne vertébrale est en ligne droite), la participation des petites articulatio
lésions fines qui vont être passées en revue, de consacrer quelques lignes de ce mémoire à la descrip- tion de l'appareil
déplacer. A ce sujet, R. Collin (1) a lrès judicieusement écrit les lignes suivantes : « Quand 'une particule solide est e
e en haut, en bas et en dedans. En dehors l'oeil dépasse à peine la ligne médiane. Il en est de même en haut et en dehors
une bande mince. En arrière l'omoplate gauche est éloignée de la ligne médiane, le creux sus- épineux paraît amaigri.
peau. Au contraire, du côté gauche l'omoplate reste éloignée de la ligne médiane. Ce sont les faisceaux du rhomboïde que
ité normale en haut, en bas et en dedans. L'oeil dépasse à peine la ligne médiane dans le regard en dehors, en haut, et e
du trapèze. (1) Dans le champ d'excursion reproduit ci-contre, une ligne ondulée indique dans quelle direction du regard
ier, re- couvert de cheveux noirs, à un seul tourbillon médian et à ligne d'insertion antérieure semicirculaire. Front de
e pathologique, et par conséquent, c'est aux cliniciens en première ligne que s'impose la nécessité de résoudre le mécani
nelles, car elles ont toujours lieu pour maintenir le corps dans la ligne de gravité. J'ai constaté, en effet, que, lorsque
large. Les sourcils bien développés sont légèrement imbriquées sur la ligne médiane. Les pupilles sont égales et leurs réfl
ologique et un rappel de la vie antérieure, fait passer en première ligne l'habitus général et les troubles relatifs à la
ne pas le poser trop loin, ou trop en dehors, ou en de- dans de la ligne de direction. Car s'il ne regarde pas, ou s'il dé
sustension et nous traçons sur le parquet avec la craie blanche une ligne horizontale, immédiatement derrière ses talons. O
e son pied à côté de l'autre sans que son talon dépasse en arrière la ligne horizontale que nous avons tracée. En effet le
ent le pied eu arrière et le met à côté de l'autre sans dépasser la ligne . Jusqu'ici, sauf la légère oscillation, il exéc
ours son talon est placé quelques centimètres plus en arrière de la ligne horizontale. Cette expérience a été répétée plu
a- tion de sa jambe. Voilà pourquoi le pied se pose en dehors de la ligne de direc- tion. Si maintenant il met le pied pl
on (Amnésie et -.Etude du syndrome presbyophrénique), par DEVAUX et Ligne , 90. Fracture spontanée (ilrihropalhie avec -
54 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
iouicni môuio vous vous dites que la foi (le celui |ui vous écrit ces lignes n’est pas cette fol enthousiaste et sans hésitati
entde leur côté. Le public, hébété par les ««iwii#, place sur la même ligne et les tours de gibecière et les merveilleux résu
Dli PIIUÉ\OLO-MAC\ÉTISME. H Monsieur le baron, (I Les quelques lignes que j’ai l’honneur le vous adresser anjourd’liui
H J’opérai en présence de MM. Poœonti, chirui'gien-major au 72' de ligne ; Delaunay, professeur adjoint ; Jallet, 'chef de
r de la racine du bec, dont l’extrémité touchait le banc de bois, une ligne droite qu’il jîrolongea sur toute la longueur du
arrassée delà couche de blanc d’Espagne qui recouvrait son bec, et la ligne tracée sur le banc étant effacée, la poule témoig
les piqûres d’aiguille. Chez une autre poule, on tira également une ligne blanche avec du blanc d’Ëspagne, à partir de la r
en faisant toujours maintenir le bec de la poule dans l’axe de cette ligne . Deux minutes après, immobilité des globes oculai
elles on venait d'expérimenter fut de nouveau placée dans l'axe d'une ligne tirée à terre avec du blanc d’Espagne, son bec ét
on bec étant aussi blanchi avec la môme substance et touchant à cette ligne . L’hypnotisme le plus complet, accompagné de tous
bile, tracez à la craie, sur le parquet et en figurant une corde, une ligne droite (mi, partant de l'œil de la poule, se prol
nt ; elle restera immobile sur la table, et, les yeux dirigés vers la ligne de craie, elle ue cessera pas de la regarder fixe
s,quand on l'eut ouverte, on vit au pied même de la promesse quelques lignes , qui avaient été écrites depuis peu de la main du
en rendirent grâces à Dieu. On assure môme que cettc promesse où ces lignes avaient été écrites de la main de ce philosophe c
Prix, S fr. '>■6 « Sympatliiqnc-magiiéti()iie, — à un degré hors ligne , en général, au point fie vue particulier de Ja m
ose espérer, Maître, que vous daignerez bien accorder une place à ces lignes dans les colonnes de votre journal. Veuillez ag
ocolrlbuent i rendre toute pensée de l'auleurpeu claire. Page t89, ligne 1'*, I»x.' sympathique, — magniiliqae. — 8», {&
niiliqae. — 8», {>m.-dont ia perpétuation l'élablit. Page 180, lignes *, Km; eU'ewellenco du magiiéliame de la prière.
iéliame de la prière. — 31*,fiH2.’l'augmentdecalorique. Page 191, ligne 37*. lins ; oe rassasient. __32»^ aux vêlements
la mère, & ce qu’ello examlse, É ce qa'elle manie. Page t9S, ligne i‘, K>» : ou y ttclia. — 2S*, Uiit ! Irituie
roduit aussitôt une perturbation dans tout le système. Ces quelques lignes suffiraient au besoin pour expliquer tous les phé
a la croix et l’inscription de son mausolée. Puis il nous écrivit ces lignes : K Ooftwtÿ patxm voty -7 tu in carcvrem aniy aq
tre, en désigne la position sur la poitrine du docteur, en compte les lignes ,.... voit, toujoura sousle manteàu, et sans conta
naître des vibrations de môme espèce qui rayonnent en tous sens et en ligne droite. Une cerlaine quantité d'ondulations éthér
on. Nous avons hâte de les rectifier. N" —2&j(ûUet I860: Page ligne » »n eayerem. Usez ; m» eareei'«m. Page 3~i, lig
ûUet I860: Page ligne» »n eayerem. Usez ; m» eareei'«m. Page 3~i, ligne , au lieu de o^ute« il faut : aqvæ-, etc. Même p
3~i, ligne, au lieu de o^ute« il faut : aqvæ-, etc. Même page, 2t* ligne , au lieu de unüalem, U fauti ; u»t- tatîm, etc.
hiques se sont güsséa dans mon article précédent : Ainsi, page 239, ligne 4, lisez : On etl donc forcé d'admettre qu'il y a
rcé d'admettre qu'il y a ici enjeu un agent nouveau, elc. Page 261, ligne 12, lisez : Mais celle méthode est vicieuse. Pa
e 261, ligne 12, lisez : Mais celle méthode est vicieuse. Page 262, ligne 32, lisez : Toute contention d’esprit entraîne né
a topographie. Voici les fautes principales à corriger : Page425, ligne 13, au lieu dn : Us lisez : iU y pui'i«n. Page
Page425, ligne 13, au lieu dn : Us lisez : iU y pui'i«n. Page 428, ligne 27, au lieu de: c'éiait la pierre céleste, tisfcz
e’eiaii fWmeniaire, lisez: ectail l'iUmentaire céleste. Page 432, ligne 19, au lieu de : gangut naturelle, lisez ■ gangue
gne 19, au lieu de : gangut naturelle, lisez ■ gangue matérielle. — ligne 21, au lieu de : les idées fondamentales de la re
cnèbres. (1) Dans la sujétion de médium écrivain, ma main traça ces lignes : _ « Vos prétendus cspi'lt» furts ne se douten
striction.n Malgré toute la déférence que j’ai pour l’auteur de ces lignes , je ne puis laisser accréditer de pareilles hérés
je n'ai pu parvenir à m’expli- qiier le sens de ce logogryplic. Ces lignes présentent une subtilité de langage qui est tout
élucider clairement les petites contradiciions qui existent dans les lignes précitées. Je me permettrai de lui poser quelques
s ré* prùbateurs excessifs de toute satisfaction corporelle, quelques lignes récentes d'un ecclésiastique savant ; « Le syst
(la jeune comtesse enceinte) jeta un regard doux et pénétrant sur les lignes tracées, et la vision coiamença à se produire : m
objets avec lesquels ils veulent se mettre en rapport. Ces quelques lignes suffisent pour expliquer Yisolement el rtnsenstfn
el rtnsenstfn'iiiii. Le courant dont il s'agit ne se propage pas en ligne directe comme l’électricité; il est soumis aux lo
nclature des maladies guéries par le magnétisme, figurent en première ligne les névroses, l’hystérie, l’é-pilepsie et la cata
à 166; chap. XVI, pag. 166 aph. 309; cbap. xvti, aph. 338, pag. 173, ligne 31 et suivantes? 7» Pourquoi tous les bons prat
ssance d’actes secrets. C’est le vœu que nous formons en écrivant ces lignes . F. Beruud. (Extrait de VEcho de Numidie du 7
re mieux. Baron du Potet. ERRATA. PREMIERE PARTIE. l’ago SIC, ligne IS, après te raot efflwei, un point et virgule ;
spròt le mot une virgule au lieu d'un [loint. Page 520, 6 U16> ligne , au lieu do : h/ama{i pof(« en tu (ti vtrtui, 11
(ti vtrtui, 11 Taut : le jamais porle en lui ces vertus. l*ugeS33, ligne 50, lisez d'aire, an lieu d’a«e. Page SâS, les
ren-scrvaiit son genre et son espèce?) — à travers, eie. Page SS9, ligne 30, au lieu de Cuffie, lisez CsITre. Page S31,
il faut le nom : De Poix de Ciusalls DEÜXIESIE PARTIE. Page 567, ligne 4, ou lieu de ; Vtttor involontairt, lisoz ; l'es
z ; l'essor vo> lonteire. . Dans le n" QS : Page 644, les cinq lignes qui ooBincDcont par : > Blea qae oM opus» culo
55 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
la névrose par ex-cellence, l'hystérie, n'est pas restée en dernière ligne . Dans ses Leçons sur les maladies du système ne
e voir les malades le désigner avec une concordance parfaite. Sur une ligne horizontale passant par les épines iliaques antér
laires qui limitent latéralement l'épigastre, et à l'intersection des lignes verticales avec l'horizontale se trouve le foyer
nt pour les zones hystérogènes postérieures, n'est pas situé sur la ligne médiane. Il se trouve sur les limites de la régio
et de la région dorsale, du côté gauche, à un travers de doigt de la ligne médiane et à trois travers de doigt environ au-de
de donner naissance aux attaques. L'une est située en arrière, sur la ligne médiane. Semblable à celles de Gen... et Bar...,
nsister da-vantage. Postérieurement la zone est unique, située sur la ligne médiane, mais beaucoup plus bas que Gen..., Bar..
à I'hémianesthésie. Très souvent la zone hystérogène existe sur la ligne médiane, comme c'est le cas chez Bar..., qui es
t le poing fermé. Quel-quefois les deux poignets se rapprochent de la ligne médiane, au point de venir se heurter par leur fa
débute d'une façon brusque ou s'accuse par degrés, comme le montre la ligne de début de nos tracés. Mais avant d'ar-river à Y
uve représentée sur nos tracés (fig. 11,30, 31, 32, 33 et 34) par une ligne dont la courbe générale s'élève au-dessus du nive
procher de p]us en plus du plateau de la tétanisation. De plus, cette ligne est ondulée, et cette ondulation répond aux grand
remarquer une petite dentelure fine et assez irré-gulière de toute la ligne qui correspond à une légère trépidation de tout l
voit (fig. 15, n° 3) que le gonflement du cou débute brusquement. La ligne du graphique descend presque verti-calement et le
aire portée à son comble. Ce moment est marqué sur nos tracés par une ligne droite, un pla-teau qui est le point culminant de
cés par une suite de dentelures, d'abord très fines, qui succède à la ligne droite du tétanisme. Peu à peu les dents s'accuse
vements cloniques. semble la phase clonique est représentée par une ligne de descente. Les secousses élémentaires, dont le
art di-crotes, et dont la base ou point de départ est au niveau de la ligne de la résolution musculaire. Les mouvements clo
où l'on remarque : 1° D'abord un petit tremblement fin de toute la ligne , qui n'existe qu'au commencement de la phase clon
et l'aiguille immobile du myo-graphe ne saurait tracer qu'une simple ligne droite située au ni-veau le plus bas de la courbe
ion, le poignet et les doigts fléchis. Les poignets, rapprochés de la ligne médiane se touchent parleur face dorsale et se cr
-vent sans expression. La contracture de la face et la distorsion des lignes du visage qui en résulte, se rencontrent plutôt d
nouir le rêve et ramènent la malade à la réalité : c'est, en première ligne , l'excitation des zones hystérogènes et particuli
quel-qu'un qui, feuilletant un volume, lirait au hasard les premières lignes de quelques pages. Ce délire de la quatrième pé
urée est à peu près égale à celle de la période épileptoïde. Enfin la ligne de démarcation est bien moins nette entre les att
l'une sous-mammaire du côté gauche, et l'autre lombaire située sur la ligne médiane. Le bruit du gong la rend immédiatement c
corps dans l'extension, les bras dans l'adduction se croisent sur la ligne médiane, l'avant-bras en pronation, le poing ferm
eurs de la face dorsale de l'avant-bras et à peu près au niveau de la ligne médiane se trouve le point moteur de l'extenseur
analogue à la catalepsie de l'homme, en lui plaçant le bec devant une ligne blanche tracée sur le sol. L'ex-périence est repr
les mains de B... un livre ouvert en attirant son regard sur Tune des lignes . Aussitôt elle lit à l'endroit indiqué et n,e s'a
re, qu'elle peut écarter une feuille de papier qui lui cache quelques lignes , (dans ce dernier cas elle saute sans s'arrêter l
e quelques lignes, (dans ce dernier cas elle saute sans s'arrêter les lignes ou les mots qui sont cachés, et la lecture contin
le que ce genre de catalepsie imparfaite signalée par vVzam, dans les lignes suivantes, peut bien être mise sur le compte de l
L'attouchement du sternum, au niveau de la première pièce et sur la ligne médiane provoque une attaque. La malade possède
caractères. Dans Vhémianesthésie hystérique un plan passant par la ligne médiane du corps étabUt la limite de l'insensibil
té, qui déborde cependant un peu en avant le sternum et en arrière la ligne des apophyses épineuses. La tête, les membres, le
métalliques. Ils agissent à distance. L'approche d'un pôle suffit. La ligne neutre est sans action. Les électro-aimants et
dans une étendue égale de la région symé-trique de l'autre côté de la ligne médiane. oscillations consécutives Indiqué po
5'r2. Les couleurs sont figurées ainsi qu'il suit : le rouge par des lignes verticales ; le jaune par un pointillé le bleu pa
par des lignes verticales ; le jaune par un pointillé le bleu par dos lignes transversales ; le vert\m des lignes obliques de
par un pointillé le bleu par dos lignes transversales ; le vert\m des lignes obliques de gauclio à droite; enfin le violet par
rt\m des lignes obliques de gauclio à droite; enfin le violet par des lignes obliques do droite à gauche. Fig. 99. — Suite d
observation qui précède. Sur une feuille divisée en minutes par des lignes verticales, nous avons noté avec soin sur des lig
minutes par des lignes verticales, nous avons noté avec soin sur des lignes horizontales le moment d'apparition et de dispari
. Un pareil dis-que, en tournant, donne aux points d'interruption une ligne rose intense (purement subjective) par contraste
fer à cheval étaient successivement présentés par les pôles ou par la ligne neutre. De faux aimants de même forme ont été con
les, i. 1, p. 285, « La démence, ajoute Morel, après avoir cité les lignes qu'on vient de lire, et dans tous les cas l'affai
acher à la grande hystérie. Je n'en veux pour preuve que ces quelques lignes qui terminent l'observation du Morel. « ..... L
ou mieux dans l'obscurité un cône lumineux, strié dans sa longueur de lignes plus vives, s'élancer de la pointe et s'appuyer p
'à une fuite aussi rapide que périlleuse; et nous retrouvons dans les lignes suivantes du docteur Constans comme un écho des s
ha-langes du troisième et quatrième doigt. Le clou entre de plusieurs lignes dans le bois, ce que j'ai vérifié depuis en sonda
la lame. Je juge par la. marc[ue de sang, qu'elle est entrée de deux lignes et demie, près de trois lignes; la plaie est moin
ue de sang, qu'elle est entrée de deux lignes et demie, près de trois lignes ; la plaie est moins longue que celle d'une saigné
r-Dupin demande un des clous, il entrait dans le bois de plus de cinq lignes . Françoise éprouve les mêmes symptômes de douleur
près ronds, s'étendant un peu en longueur, présentant trois ou quatre lignes de diamètre, et fixés de part en part aux deux ma
; la bouche est entr'ouverte ; les membres inférieurs sont étendus en ligne droite et la robe les recouvre jusqu'au talon. A
iode des contorsions et des grands mouvements (clownisme). Page 73, ligne 8. — Au lieu de : nom pittoresque de clonisme; li
resque de clonisme; lisez :nom pitto-resque de clownisme. Page 196, ligne 17. —Au lieu de : Mouvement médical, 1872, page 2
e 203; lisez : Mouvement médical 1872, page 303. Page 274, dernière ligne . —Au lieu de : Pathologie de Reuin; lisez : patho
ne 2 de la note. — Au lieu de : (p. 344); lisez (p. 310). Page 324, ligne 25. — Au lieu de M. Duboisag; lisez : M. üubnsaij
. — Au lieu de M. Duboisag; lisez : M. üubnsaij. Page 334, dernière ligne du titre. — Au lieu de : aux autres périodes de l
ttaque; lisez : aux autres périodes de la grande attaque. Page 343, ligne 4. — Au lieu de : les observations d'attaque d'hy
Au lieu de : chapitre VII; lisez : chapitre VI. Page 441, dernière ligne . — Au Heu de : D' Alexandre de Livry; lisez : D'
de : D' Alexandre de Livry; lisez : D' Alexandre de Sivry Page 494, ligne 14 et 15. — Au lieu de : aux quatre périodes de l
56 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
tour se fait aussi bien par la terre que par le fil, non point par la ligne la plus courte, comme on a cherché a 1 expliquer
r donner environ un mètre de longueur, et les joignit par deux autres lignes parallèles, l’une à la craie, l'autre au charbo
qui étaient autour de lui : « — Vous allez voir qu’il va suivre la ligne blanche, c’est « celle à laquelle j’ai attribué l
e vîmes s’avancer perpendiculairement, mais en conservant toujours la ligne blanche tracée entre ses deux pieds. 11 fit ainsi
ant les mêmes traits jusqu’au triangle. Là il traça avec sa craie une ligne en S qui aboutissait à une chaise, il frotta cett
culant par les mêmes mouvements, s’y diriger à reculons en suivant la ligne courbe tracée par cèlui qui le dominait, enfin s’
d’Espagne, le nomma chef de bataillon au 76* régiment d’infanterie de ligne . « 11 lit avec distinction les campagnes de 180
u egyptiorum, in-â°, publié àLeyile en 1718, les résumant en quelques lignes décisives, arrivera à cette conclusion toute en f
que et si rapide, que d’un élan convulsif il se dirigea vers moi en ligne droite. Les témoins de cette scène furent effrayé
e, et se mit à tracer rapidement, quoique il’une main ferme, quelques lignes qu’elle lisait à haute voix à mesure qu’elle les
la nature expansive de l’àme humaine. 11 faut cependant assigner une ligne de démarcation entre les visions prophétiques et
nds antagonistes du magnétisme; il ne se doutait pas, en écrivant ces lignes , qu’un médecin magnétiseur s’en emparerait un jou
soi, inquiète beaucoup ceux qui en sont témoins. Citons en première ligne la tranquillité de l’opérateur; car si celui-ci s
dans la journée, les ouvre les uns après les autres, en lit quelques lignes ; rien ne l'intéresse. Enfin il en ouvre un autre
us êtes né le septième garçon d un môme père, sans interruption de la ligne mâle, vous êtes marcou, vous avez une fleur-de-li
it-elle un symbole de la méthode qu’on veut suivre ? D’un [côté de la ligne est une étoile sur un fond obscur; de l’autre côt
inet, toujours par esprit de bonne confraternité, ait mis sur la même ligne , comme connaissances positives, la physiologie et
rès, sais-je quels mouvements mes doigts ont exécutés pour tracer les lignes que je viens d’écrire ; — quels ont été les mouve
a tournure d’esprit mystique, feront bien de no pas lire ces quelques lignes , qui ne seront pour eux qu'un amphigouri ; « Lo
x forces « est dirigée suivant le parallélogramme construit sur les « lignes qui les représentent en grandeur et en direction
dition des coups on examine si le grès s'est rassemblé ou non sur les lignes nodales, et l’on saura positivement si le son est
nt bientôt aux premiers, ils se donnent le bras et forment une longue ligne ; puis, peu à peu, ils se dépouillent de tout ce
bouches volentde tous côtés; l’état somnam-bulique commence; toute la ligne s’incline en avant, à la fois et en cadence. Les
entier. 11 m’a semblé qu’on ne lirait pas sans intérêt ces quelques lignes éloquentes par leur simplicité. La guérison dont
cette considération restrictive, la conduite de M. Houlet lui paraît ( ligne d’éloges; en conséquence il le porte candidat pou
s plus simples et moins fatigants; c est seulement à l’inspection des lignes de la main, et en prononçant à voix basse quelque
utes à l’œuvre fluidique de ses dix doigts, répétera mot pour mot ces lignes ; seulement, à la place du mot électricité, il met
e le dégagerait? » L’expérience répondit affirmativement sur toute la ligne , et dès lors le mesmérisme entra dans une voie d’
est là le premier mérite de M. du Potet, et, quoique enfermé dans dix lignes d’écriture, il suffit cependant pour le placer im
roduire des convictions partout, c’est que nous ne connaissons qu’une ligne d’expérimentation positive : l'expérimentation de
on positive : l'expérimentation des phénomènes physiques ; hors cette ligne , tout est compromission et hasard. Vous ne trouve
ous forme de pamphlets ou de brochures. Nous n’allons pas, dans ces lignes , quelque facile que soit la tâche, entamer aucune
-là croit être agité par l’âme de la terre, et il écrit là-dessus des lignes incroyables, des théories renversantes. Un autr
e lu force émanant de lu foi i/ue chacun porte en soi. Ces quelques lignes ne sont qu’une simple indication de quel côté il
on. Quand, comme lui, on se fait l’historiographe des inventions hors ligne , on est en droit d’espérer une récompense. L’In
visite, il lui semblait voir le doigt du fantôme tracer entre chaque ligne le chiffre menaçant. ;i Enfin le jour parut. Le
t lors de la publication de ce livre. Cette citation est précédée des lignes suivantes, qui sont aussi 1111 hommage rendu la v
3, j’écrivais dans un journal d'Orléans un article dont j’extrais les lignes suivantes : « Je ne puis donner ici la théorie
rnante la question suivante : « Quelles sont les lettres formant la ligne initiale de la page du second livre, correspondan
la place qu’elles occupent dans l’alphabet, les lettres composant la ligne demandée, et, vérification faite, ces désignation
pas qu’aucun des expérimentateurs ne pouvait connaître à l’avance la ligne demandée ! Cette expérience répétée de même dans
aux tables tournantes, convaincus d une intervention surnaturelle. La ligne mise en'question n'étant connue de personne, la p
’eau des filons métalliques. Lorsqu’on a déterminé la direction de la ligne sur laquelle tourne la baguette, on la parcourt d
uvent être tout la fois vues et senties distinctement au toucher. Les lignes commencent par présenter une couleur blanchâtre ;
bras, depuis les poignets jusqu’aux épaules ; ça forme deux ou trois lignes , qui souvent commencent à un bras et finissent à
le et de retourner dans cette maison, où les malades furent placés en ligne pour être successivement examinés par le jeune so
rs, vit trois autres jours sur elle-même une niasse de feu divisée en lignes innombrables et ténues comme ses nerfs, sentit tr
Au nombre des signes certains de la mort, on doit mettre en première ligne l'absence des battements du cœur à Y auscultation
; dans son livre, il ne consacre à cette grande question que quelques lignes où il se montre fort dédaigneux et fort superfici
trouver. Elle suivit l’indication ; elle fut ainsi conduite en droite ligne à l’endroit où était la bague, et la main se fixa
rocédé qui en rend le succès plus facile. La chaîne formée à quelques lignes au-dessus du plateau, s’arrange pour marcher dans
’il n’est pas permis de discuter et qui a tracé à l’esprit humain une ligne au delà de laquelle il ne peut s’aventurer sans u
mènes intellectuels et moraux. Il est aisé de voir par ces quelques lignes , que l’auteur comprend bien son sujet, et nous de
re compris, il faut qu'il entreprenne l’éducation du monde entier. La ligne droite était sou chemin, le voilà forcé de prendr
ntier. La ligne droite était sou chemin, le voilà forcé de prendre la ligne courbe. Voilà pourquoi il faut un siècle pour rép
ts. Grâce au ciel, ils ne se sont pas réalisés. » A l’époque où ces lignes ont été mises au net (1789), rien ne justifiait c
-t-on lu ces réflexions que les yeux s’arrêtent avec snrpjise sur les lignes que voici : «............On me prévint un matin
57 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
e, les bras retombent : lentement, jusqu'à ce qu'ils aient atteint la ligne horizontale, puis brusquement; et, à ce moment, i
es que nous connaissons aujourd'hui occupent le siège suivant : 1° la ligne médiane de la tête, à partir de la réunion du fro
la clavicule; — 5° et 6° ou au-dessus ou en dehors des seins sur une ligne verticale qui descendrait du milieu de l'aisselle
re gauche, au niveau du 4e espace intercostal, un peu en dedans d'une ligne verticale qui passerait par le mamelon. Elle a le
mètres à peine au-dessus du rebord des fausses côtes gauches, sur une ligne verticale qui passerait à un centimètre en dedans
e. — Il est situé au niveau du vertex *, s'étend de chaque côté de la ligne médiane, davantage à gauche, et a une largeur éga
épineuses ; en avant, l'insensibilité commence un peu à gauche de la ligne médiane du corps. Le thorax, dans les limites ind
e région circonscrite en haut par la clavicule droite, en bas par une ligne horizontale passant à deux centimètres au dessous
ale passant à deux centimètres au dessous du sein ; en dehors par une ligne verticale qui partirait du milieu de l'aisselle,
gne verticale qui partirait du milieu de l'aisselle, en dedans par la ligne médiane du sternum. P... assure qu'elle ne ress
à la face, au cou, au membre supérieur, au tronc; elle s'arrête à une ligne horizontale passant à égale distance du sein et d
passant à égale distance du sein et de l'ombilic. Au-dessous de cette ligne , la sensibilité existe, mais est obtuse, si ce n'
bitude à gauche disparait. 30 août. — Les lettres ressemblent à des lignes tracées sur de la cire. — Pendant la nuit, douleu
n; mais, un peu en arrière de l'angle antérieur des pariétaux, sur la ligne médiane, il survient parfois une douleur lancinan
e de la poitrine et supérieure de l'abdomen (entre les seins et une ligne horizontale passant à 12 centimètres au-dessus de
rmine sur-le-champ une attaque; — 4° clou hystérique, siégeant sur la ligne médiane et à droite, ayant une largeur d'environ
Elle se trouve au-dessous du sein, et à peu près sur le trajet d'une ligne verticale qui passerait par le mamelon. Elle a en
. ............ 227 — XXXIX, XL............. 228 ERRATA Page 27, lignes 21 et 22, au lieu de paupières droites, lire paup
nes 21 et 22, au lieu de paupières droites, lire paupières gauches ; — lignes 24 et 25, au lieu de paupières gauches, lire paup
25, au lieu de paupières gauches, lire paupières droites. Page 121, ligne 31, après les mots : sont moins développées, ajou
les mots : sont moins développées, ajouter : Planche XI. Page 128, ligne '12, après: 10 minutes, ajouter Planche XII. Pa
e 128, ligne '12, après: 10 minutes, ajouter Planche XII. Page 220, ligne 26, après le mot : catalepsie, ajouter : Planche
58 (1854) Mémoire sur les plis cérébraux de l'homme et des primatès
la fois des renflements et des rétrécissements successifs. De là des lignes alternativement opaques et grises; les lignes opa
s successifs. De là des lignes alternativement opaques et grises; les lignes opaques correspondant aux points renflés des fibr
; les lignes opaques correspondant aux points renflés des fibres, les lignes grises transparentes correspondant, au contraire,
laire, dont l'étendue est petite, mais qui ne manque jamais ; 3 * une ligne de troisième ordre qui se détache de la circonvol
trémité postérieure du cerveau; 4** M. Foville signale, en outre, des lignes circonvolutionnaires qui se détachent de la conve
Leur disposition générale est celle d'un réseau dont la plupart des lignes , anastomosées les unes avec les autres, serpenten
volution du premier ordre; c'est là leur caractère essentiel. Trois lignes principales ou traverses divisent l'espace compri
s verticales de Rolando; la troisième est la traverse occipitale. Ces lignes séparent sur la face externe de l'hémisphère plus
réduction .'Íes appareils cérébraux est poussée si loin, que nulle ligne circonvolutionnaire ne se iessine sur la surface
le profil médian de l'hémisphère. Nous nommerons bord supérieur la ligne courbe suivant laquelle la face externe se réunit
e externe se réunit à la face interne au-dessus de l'hémisphère. La ligne beaucoup moins régulière suivant laquelle ces deu
u deuxième pli ascendant se disposent fort régulièrement sur une même ligne , et forment ainsi la lèvre antérieure de la sciss
latif à la mesure de l'angle que forme la scissure de Sylvius avec la ligne qui mesure la plus grande longueur de l'hémisphèr
relevée en arrière, suit, dans tous les Macacjues, la direction d'une ligne à peu près droite. La proportion des deux branc
u cerveau des Guenons, et parmi les Macaques nous séparerons, par une ligne de démarcation tranchée, le cerveau du Rhésus et
s appartiennent-ils à un même genre? » A l'époque où j'écrivais ces lignes , je n'osais point conclure. Les bases nécessaires
s-remarquables. La scissure des hippocampes est presque absolument en ligne droite et horizontale. La scissure perpendiculair
ssures pariéto-fron-tales et pariéto-occipitales correspondraient des lignes indiquant des sections naturelles des hémisphères
59 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
ième plis frontaux ; — le chiffre 3 qui manque devrait être entre les lignes ponctuées D et E ; — p va, pli pariétal ascendant
blir la démarcation, il faut prolonger la scissure de Sylvius par une ligne imaginaire passant par un pli désigné sous le n
rt, des cellules fusiformes et des fibres médullaires parallèles à la ligne limitante ; — 3° au-dessous, les cellules de Purk
érieu-res. — 1,2, 3, 3, 4, 4, groupes des- artères nourricières. — La ligne ponctuée ---circonscrit le cercle ganglionnaire.
(V, V), dirigées obliquement d'arrière en avant, convergent vers la ligne médiane et s'unissent en un seul tronc, le tronc
braux; ils nourris-sent une grande partie des couches optiques. Une ligne circulaire, tracée à deux centimètres du polygone
n occipitale. — o, sulcus occipitalis transversus. Artères. — 1° La ligne (...) circonscrit la distribution de la cérébrale
(...) circonscrit la distribution de la cérébrale antérieure : 2° la ligne (.—.—.), du côté gauche de la figure, limite la d
(lobulus lingualis). — Artères. — 1° Les régions circonscrites par la ligne (...) représentent le champ de distribution de l'
ta-les, interne et postérieure. — 2° Les régions circonscrites par la ligne (.—.—.) représentent le champ de distribution de
— KK, pediculi cerebri. — G, genou du corps calleux. Artères. — La ligne (.....) circonscrit la distribution de la cérébra
érébrale antérieure {Artères frontales internes et inférieures). La ligne (.—.—.—.—) circons-crit la distribution de la cér
), et sur lesquelles les territoires vasculaires sont séparés par des lignes ponctuées, vous rendront plus facile la compré-he
relativement exceptionnels. Un plan antéro-postérieur, passant par la ligne médiane du corps, établit la limite de l'in-sensi
ondeur de l'hémisphère (L 0 G, L 0 DJ, sur un point indéterminé de la ligne médiane, peut-être dans les tuber-cules quadrijum
aché le noyau caudé dont les contours se trouvent représentés par une ligne pointillée ; on a enlevé également son appareil r
ans le chiasma, se rapprochent de nouveau les uns des autres, vers la ligne médiane. Est-ce sur ce point que se fait l'entrec
udre par les seuls moyens de l'anatomie. Sans doute, il existe sur la ligne médiane, entre les tubercules quadrijumeaux, de n
a section horizontale de l'un des hémisphè-res cérébraux, suivant une ligne parallèle à la fissure laté-rale postérieure (de
rticularités suivantes. En arrière et en dedans, au voisinage de la ligne médiane, est la couche optique ; en avant de la c
n-tale post-rolandique ou pédiculo-frontale, passant d'un côté par la ligne fictive qui sépare les deux tiers antérieurs du s
rieure correspondante, et s'é-tend en avant, jusqu'au voisinage d'une ligne transverse qui passerait par l'extrémité antérieu
scle correspondant du côté sain (1). (1) Sur ces tracés la première ligne représente les variations du raccourcis-sement du
ons du raccourcis-sement du muscle pendant la contraction. La seconde ligne , coudée vers la gauche, indique le moment précis
e moment précis où le marteau frappe le tendon rotulien. La troisième ligne , graduée, indique la durée du temps du réflexe, e
ibres, venues d'une des cornes de la substance grise, franchissent la ligne médiane et vont faire partie du faisceau antérieu
nt être suivies, jusqu'à une certaine distance, de j'autre côté de la ligne médiane. Ces fibres pénètrent-elles dans les fa
es dernières conférences de la Salpêtrière, a pris place, en première ligne , l'analyse détaillée d'un cas typique de sclérose
se latérale amyotrophi- (i) Quelques faits nouveaux, depuis que ces lignes ont été rédigées, sont venus augmenter la série d
60 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
observateur immédiatement par l'aspect géné- ral du corps, dont les lignes rappellent le type féminin. Les membres sont lo
x aisselles. Au pubis les poils sont épars, limités en haut par une ligne horizontale. Seins développés. Mains de grandes
ppement pileux à la région pubienne, terminé supérieurement par une ligne horizontale. Des poils fins et rares sur les me
lotti (3), Charon et Courbon (4), Meltzer (5), font aussi entrer en ligne de compte le rachitisme. Quoi qu'il en soit, pr
sur 10 coupes sagittales de l'hémisphère gauche, rapprochées de la ligne médiane ; e' et /' sur une autre série de 10 coup
sie, les circonvolutions frontales droites dépassaient nettement la ligne médiane, empiétant sur le côté gauche. Les coup
étendus, le pouce et le petit doigt tendant à se rapprocher vers la ligne médiane au-dessous des trois autres doigts, eux
essus de l'interligne articulaire inférieur du radius, presque sur la ligne médiane ; la cicatrice de sortie il la face pal
es adducteurs et élévateurs de l'omoplate, qui est rapprochée de la ligne médiane. Le membre, qui parait plus court que l
ion d'esquilles. A la face palmaire on note, un peu en dehors de la ligne médiane, la cicatrice de sortie allongée transver
e, mais s'accompagne d'un endolorissement qui remonte le long d'une ligne médiane, depuis la face antérieure du poignet j
state à ce niveau, au dos de l'avant-bras et un peu en dedans de la ligne médiane, la cicatrice de l'orifice d'entrée. La
la balle (de 5 mm.) pénétra, en direction presque sagittale, par la ligne moyenne de la région fron- tale supérieure. Il
érieure. Il y a une lordose dorso-lombaire notable, de sorte que la ligne des apophyses épi- neuses s'enfonce en cette ré
e. ces douleurs, la malade ne pouvait plus déverses bras jusqu'à la ligne horizontale, ni mettre ses mains sur la tête :
urement ou latéralement, même avec le plus grand effort, jusqu'à la ligne horizontale : pendant le mouvement d'élévation an
avant et latéralement ses bras, mais il n'arrive pas à atteindre la ligne horizontale si on ne lui fixe pas les omoplates c
pposé. La commissure labiale droite est abaissée. Elle fait avec la ligne qui prolpngerait la commissure gauche un angle
de la joue droite sont plus colorés que ceux du côté opposé. Sur la ligne médiane au niveau du philtrum, on remarque nettem
in- férieure de l'organe. Le raphé lingual ne se trouve pas sur la ligne médiane, la moitié droite de la langue mesurant
coeur, on trouve que l'impulsion, évidemment trop forte, atteint la ligne du mamelon gauche. La matité à la percussion est
la percussion est exagérée de la largeur d'un doigt à gauche sur la ligne du mamelon gauche. L'auscultation sans rien à s
urface interne du lobe frontal se bombait furtemeut au-dessus de la ligne du milieu, exerçant une forte pression sur l'hé
en arrière et en haut par le plan sagittal du corps, en bas par une ligne qui va de l'apophyse de la 7e cervicale en pass
itoire adjacent empiétant sur l'épaule et le thorax et limité par une ligne qui, partant de l'apophyse épineuse de la 7* ce
nidrose cervicô-faciale est strictement unilatérale. Limitée par la ligne médiane verticale de la face et du cou, elle s'ét
terno-mastoïdien droit à un centi- timètre environ au-dessous d'une ligne horizontale passant par le bord supé- rieur du
orde vocale gauche absolument immobile, mais de peu en dehors de la ligne médiane : la voix est aiguë dans sa tonalité, c
ptembre. La corde vocale gauche est toujours un peu en dehors de la ligne médiane, mais la droite se juxtapose, sauf an cen
gauche est en position cadavérique, mais la corde droite dépasse la ligne médiane et se juxtapose à sa congénère. 16 octo
du larynx. - ' 1er mai 1916. - Corde vocale droite immobile, sur la ligne médiane, rouge, l'aryténoïde basculé en avant :
arge, dans la région thyroïdienne, commençant à 2 centimètres de la ligne médiane. 31. - Corde vocale droite toujours imm
de vocale droite toujours immobile et roséè, un peu en dehors de la ligne médiane. Pouls : 120. 4° septembre. - Corde voc
lèvres de la glotte, grâce à la corde gauche qui dépasse un peu la ligne médiane. 27. La radioscopie du thorax (D' Barjo
s : 80, corde vocale gauche mobile, corde droite rectiligne, sur la ligne médiane. - 11 septembre ? Pouls : 80, corde dro
ne. - 11 septembre ? Pouls : 80, corde droite un peu rouge ; sur la ligne mé- diane, immobile. · . 20. Malade à peine e
gauche en position cadavérique, la corde vo- cale droite dépasse la ligne médiane pour se juxtaposer, son aryténolde passan
ui a proposé la division que nous adopterons dans,ce travail en ses lignes générales. Au point de vue physiologique et évo
la configuration propre à la femme, limités supérieurement par une ligne horizontale. La voix garde en absolu où relativ
métabolisme sur le développe- mens somatique, on compte en première ligne ceux qui portent sur le squelette, dont la croi
on prend alors comme dans le type féminin une forme limitée par une ligne supérieure horizon- tale (obs. VI et IX). Il n'
rémités inférieures du radius et du cubitus se trouvant sur la même ligne (op. cit., p. 342). OUVI 1 r F 1( : O' : OGlt.%
61 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
au gaz. - La figure 3 repré- sente la coupe du bâtiment suivant la ligne A B du plan. Le nombre total des lits est de 22
que de- vra se terminer la visite médicale. Fin. 3. Coupe sur la ligne A B du plan (fig. 1;. Le crédit autorisé se mon
mite à la première lombaire en avant et latéralement à gauche de la ligne axillaire verticale. A droite, elle empiète un
ulation sacro-verté- brale environ. Du côté gauche, elle dépasse la ligne axillaire et gagne le mamelon. Du côté droit, e
envahi tout le bras et l'avant-bras, s'arrêtant brusquement par une ligne circulaire àcinq centimètres du poignet. Consti
icula- tion sacro-vertébrale environ; du côté gauche, elle gagne la ligne axillaire antérieure et le mamelon ; du côté dr
vahi tout le bras et l'avant-bras, s'arrê- tant brusquement par une ligne circulaire à cinq centimètres du poignet. Pas d
Des deux côtés, l'érysipèle dépasse le mamelon, tendant à gagner la ligne médiane. De même, la rougeur descend sur le côt
érieure des pariétaux et la partie antérieure du tem- poral. Sur la ligne médiane, ils s'avancent sur le milieu du frontal
et une poche globuleuse, d'un volume considérable, apparaît sur la ligne médiane. C'est le péricarde distendu par une gran
mons et l'oesophage, après une incision de la peau pratiquée sur la ligne médiane, on recherche le corps Tux- ROIDE entre
morbide. On trouve de pareilles tuméfac- tions sous-cutanées sur la ligne axillaire postérieure. L'abdomen est pendant, c
ombilic fait saillie et les droits de l'abdomen n'adhèrent pas à la ligne médiane. La malade peut marcher lentement et en
l, les crétins des idiots. « - Il nous suffit de citer ces quelques lignes pour montrer que M. Bail ne paraît pas être au
, mais auparavant nous croyons nécessaire de relater, en quelques lignes , un des rares cas de myxoe- dème opératoire sui
t plus petit que le droit. Les deux hémisphères sont séparés sur la ligne médiane. Cette coupe, ainsi que plusieurs autre
osseur d'un noyau de cerise ; 2° à sa partie inférieure, près de la ligne médiane, un renflement analogue; 3° au-dessus d
ofondément deux gros noyaux à gauche, un moins volumineux vers la ligne médiane et enfin un autre, à droite, du volume d'
sceaux les plus internes, contigus à la substance grise; il y a une ligne de démarcation brusque entre le tissu sclé- ros
llante; protubérance occipitale peu marquée. Front étroit, légère ligne en gouttière au niveau de la suture bi-frontale,
blanche, il n'y a que peu ou pas de corps granuleux, mais toute la ligne de transition, entre les deux substances, est inf
sions sont au-dessous de celles qu'on s'attend à rencontrer la ; la ligne de grandes cellules du corps bordant ne paraît
ion est irrégulière, présente une coloration rouge foncée. Sur la ligne médiane, il existe une dépression infundibuliform
fente d'où sortent, assure-t-on, les excréments. Egalement t sur la ligne médiane, à la partie la plus saillante, on trouve
AFFAIBLISSEMENT PROGRESSIF; MORT ; AUTOPSIE. 199 à peu près à la ligne médiane du corps. Sur sa face infé- rieure et e
écupère sa liberté,, les températures élevées disparaissent 1 Les lignes précédentes ont mis en lumière que le fond immuab
scissure. a3, Rameau antérieur horizontal de cette scissure. 1, ligne marquant la démarcation entre la 3c frontale et l
62 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
de jours. L'amélioration a ensuite rapidement progressé sur toute la ligne . On observe cependant encore quelques mouvements
la hauteur de la lésion spinale : elle est limitée de ce côté par une ligne presque horizontale; — obnubilation ou perte du s
r l'abdomen ou le tronc où elle se limite, plus ou moins haut,par une ligne plus ou moins horizontale; —2° Pas d'élévation de
as glisser et qui aura dû vous frapper, c'est que du côté du tronc la ligne qui limite l'anesthésie dysesthésique ne remonte
) qui pour la plupart des détails est comparable au 9 nôtre cette ligne remontait jusqu'au niveau de l'aisselle tandis qu
nférieurs vus Figv19. — Les membres inférieurs vus de de profil. La ligne imaginaire A, B,°C, profil. montre l'angle obtu
écédents héréditaires qui méritent d'être gnalés. Il faut dire que la ligne maternelle lui est fort mal connue et pour ce qui
pour se distraire il prend un journal, à peine en a-t-il lu quelques lignes qu'il est obligé de le quitter. C'est qu'alors il
lecture lui devenait difficile : « à chaque instant, elle perdait la ligne » ; il lui semblait que « les lettres dansaient »
leur extrémité jusqu'à leur racine où elle se limite en avant par une ligne qui suit exactement le pli de l'aine et en arrièr
une ligne qui suit exactement le pli de l'aine et en arrière par une ligne qui suit le pli fessier inférieur. Eh bien, messi
voyez, l'amélioration dans les symptômes s'est prononcée sur toute la ligne , et l'on ne saurait guère invoquer ici, je pense,
ion depuis 2 ou 3 ans se soit très notablement améliorée sur toute la ligne . Nous devons insister maintenant sur les caract
loi des toniques, il s'est produit un peu d'amélioration sur toute la ligne . Ces résultats sont encourageants; mais nous somm
ig. 63 contre ; ainsi du côté du pied la limite est marquée par une ligne circulaire déterminant un plan perpendiculaire à
sus du pli de l'articulation du cou-de-pied ; du côté de la hanche la ligne limitante suit en avant le pli de l'aine, empiéta
la moitié gauche de la face, la moitié supérieure du tronc jusqu'à la ligne médiane, l'épaule enfin et le membre supérieur to
té constaté lors de la terrible collision de Charenton en 1881 sur la ligne du chemin de fer de Paris-Lyon-Méditerranée (1).
de l'anesthésie du côté des parties restées sensibles se fait par une ligne courbe de façon à déterminer la disposition aujou
e : Anesthésie cutanée en manchon se limitant par en haut suivant une ligne parallèle au pli de l'aine et par en bas suivant
uivant une ligne parallèle au pli de l'aine et par en bas suivant une ligne circulaire, perpendiculaire au grand axe du membr
il veut écrire, on voit qu'après avoir tracé quelques mots, quelques lignes même, parfaitement lisibles et régulières, il se
, de plus en plus rapprochés et qui finissent par se fusionner en une ligne tremblée. Il est à remarquer que les premières li
fusionner en une ligne tremblée. Il est à remarquer que les premières lignes de la page d'écriture, et les premiers mots de ch
remières lignes de la page d'écriture, et les premiers mots de chaque ligne , ainsi que les premières lettres de chaque mot so
que mot sont d'une manière générale les mieux tracés, comme si chaque ligne , chaque mot, étaient pour lui un nouveau départ,
ré par cette circonstance qu'il est capable d'écrire correctement des lignes entières,et que, toujours, le commencement des li
orrectement des lignes entières,et que, toujours, le commencement des lignes est parfait. Il ne s'agit pas non plus de la cram
e, quelques nouveaux traits nous permettant de suivre de plus près la ligne qui doit nous conduire au diagnostic étiologique.
nos salles il s'est produit chez elle de l'amélioration sur toute la ligne : La mémoire est toujours fort en défaut sans dou
d la main entière et cesse un peu au-dessus du pli du poignet par une ligne droite circulaire passant au niveau des apophyses
me guérison soudaine; même mode de limitation de l'anesthésie par une ligne droite circulaire (anesthésie en forme de gant),
one anesthésiée et des parties normalement sensibles, se fait par une ligne circulaire, nettement tranchée, déterminant un pl
ras. De ce côté, ils se séparent des parties restées normales par une ligne tranchée, horizontale, déterminant un plan circul
out de ce temps, le retour à l'état normal était complet sur toute la ligne . La paralysie nouvelle qui s'offre aujourd'hui
d'hui jusqu'au-dessus du coude où ils se terminent d'ailleurs par une ligne droite, perpendiculaire à l'axe du membre. (Not
nts. Cette réserve faite, on ne retrouve chez ses ascendants, dans la ligne directe comme dans la ligne collatérale, aucun él
ne retrouve chez ses ascendants, dans la ligne directe comme dans la ligne collatérale, aucun élément d'hérédité névropathiq
d'une gêne douloureuse siégeant à la partie inférieure du dos sur la ligne médiane, un peu au-dessus du sacrum. Cela lui fai
re en bas âge. Il n'a jamais ouï dire qu'aucun de ses parents dans la ligne collatérale fût atteint d'une maladie nerveuse qu
ôté. Cette aneslhésie s'interrompt brusque- rie. 125. ment sur la ligne médiane à la tête et au cou, mais à la partie sup
paule et si l'on en délimite les contours à ce niveau, on voit que la ligne de démarcation partant de la ligne médiane antéri
ntours à ce niveau, on voit que la ligne de démarcation partant de la ligne médiane antérieure du cou descend en décrivant un
c de cercle à convexité inférieure au devant des côtes, et,coupant la ligne axillaire très près du creux de l'aisselle,remont
qu'au membre supérieur et à la face. La zone anesthésique dépasse la ligne d'attaches de la cuisse ; sa limite remonte même
63 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
s irradiations capsulaires frontales se présentent sous la forme de lignes courbes plongeant vers la base (lobule orbitair
ostérieure (PL. II), pratiquée à deux centimè- tres en dehors de la ligne médiane. La coupe transversale (PL. IV), à deux
esure de trois dis- tances, ayant pour point commun le milieu de La ligne 4 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. fornicato-syl vienne
ilieu de La ligne 4 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. fornicato-syl vienne', ligne dont je me sers comme point de repère, pour lim
ai en vue. Ces trois distances s'étendent donc du milieu de cette ligne : la première au fond de la deuxième scis- sure
élevées de la capsule interne occupent l'espace compris entre la ligne fornicato-sylvienne et le bord externe du ventr
ont influencées par des altérations de voisinage. Toutes les ' La ligne fornicato-sylvienne s'étend du fond de l'anfractu
levées. De plus, elle m'offre l'occasion de faire obser- ver que la ligne fornicato-sylvienue ne possède sa va- leur que
forn i cati). Il n'est donc pas surprenant que, sur cette zone la ligne en question coupe les faisceaux, au lieu de les
la déclivité anormale de l'anfractuosité sus-jacente. Quand cette ligne sera consultée, il ne faudra donc pas perdre de
blanche du lobe pariétal. Les bords mal limités se continuent sans ligne de démarcation distincte avec le tissu cérébral
res. PLANCHE III a, Fond de la deuxième scissure frontale. F S, Ligne fornicato-sylvienne. c, Noyau caudé. il, Dent
ntrale. 4, Lentille. 22 CLINIQUE MENTALE. 5, Avant-mur. F, S, Ligne fornicato-sylvienne. C, c, c, c., Circonvolutio
x. planche V C i, Capsule interne. C op. Couche optique. F S, Ligne fornicato-sylvienue. Ne, Noyau caudé. N 4, No
s idées maladives, tom- bent dans l'état si bien décrit en quelques lignes par le savant aliéniste; et quand, après des an
lque temps après d'une affection cérébrale. Un cousin germain de la ligne 42 -') PATHOLOGIE NERVEUSE. maternelle estné
é- trer par le trou optique une fine pince et s'en va, en rasant la ligne médiane,arracher la bandelette optique. Cet arr
électrisa- tion, la période de la \ie du patient, doivent entrer en ligne de compte quant à leur rapidité. La longue énum
ef le droit de vote. Clraqueasileestdcstiué, d'abord et en première ligne , aux malades de la province correspondante, mai
ne* dé- pression allongée correspondant à'uné`cavitéldëçiuq à six lignes d'étendue, ou 12 millimètresleîiiron9t"rai- ver
e 5 millimètres carrés, à peu près, à 2 centimètres en dehors de la ligne médiane. RECUEIL DE FAITS CONTRIBUTION A L'ÉT
us loin), sur les confins antérieurs de la frontale ascendante, une ligne verticale limitante complète qui, partie du pied
utôt s'en défaire. , En résumé, la scissure interpariétale séparela ligne desreplis pariétaux supérieurs de la ligne des
interpariétale séparela ligne desreplis pariétaux supérieurs de la ligne des replis pariétaux inférieurs. Elle rattache
la contourne pour gagner la seconde du'mème nom. Elle constitue la ligne d'arrêt de la première scissure occipi- tale. E
temporal,' et constitue alors le fuî,cheeiconflitx de Jensen. Une ligne élevée de cette incisure dans la direction du sil
a traduc- tion, l'auteur n'a d'autre but que d'indiquer les grandes lignes du traitement : « 4° Il ne faut jamais exiger
s hypocbondriaquesqui dominent Ja scène ; mais qui pourra saisir la ligne de démarcation qui tranche entre la mélancolie
etc. A droite, on a placé le quartier des femmes; soit, sur la même ligne que le bâtiment d'administration, un pavillon p
gaux ; chaque oscillation a une forme régulière et se compose d'une ligne ascendante et d'une ligne descendante formant un
a une forme régulière et se compose d'une ligne ascendante et d'une ligne descendante formant un angle très aigu, sans pl
présenté à la Société des aliénistes allemands '. L'auteur suit la ligne grise trou- vée par lui sur le cerveau d'un tab
HES. PLANCHE III a, Fond de la deuxième scissure frontale. F S, Ligne fornicato-sylvienne. c, Noyau caudé. d, Dente
nd de la scissure précentrale. 4, Lentille. 5, Avant-mur. F, S, Ligne fornicato-sylvienne. C, c, c, c., Circonvolutio
PLANCHE V C i, Capsnle interne. ' C op, Couche optique. F S, Ligne fornicato-sylvienne. Ne, c, Noyau caudé. N 4,
64 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
1830. Aujourd'hui les points principaux sont acquis; les grandes lignes sont tracées; néanmoins, dans ce do- maine si v
ferme aucune trace d'albumine. L'éphidrose s'arrête exactement à la ligne médiane de la face. En passant la main dans ses
provoque de la douleur à la partie moyenne des côtes le long de la ligne axillaire. Il n'y a pas d'amiotrophie du membre
région DES éphidroses de la face. 67 frontale. Elle commence à la ligne médiane, envahit la tempe, la racine du nez à s
t ce que nous venons de dire se trouve parfaitement résumé dans les lignes suivantes empruntées à MM. Bourne- ville et Reg
l'im- primé, peut même spontanément écrire une lettre de quelques lignes , mais son style est périphrastique comme son éloc
aires, mériter la confiance du ministre de l'intérieur. En première ligne , il y placera les anciens notaires et les ancie
' Voy. Archives de Neurologie, t. XIV, p. 368. - ERRATA. Page 383, ligne 1 ; au lieu de : S A M. 1 M S... 5 AI S; lisez :
ieu de : S A M. 1 M S... 5 AI S; lisez : 0,8 M A. 1 il A... 5 AI A, ligne 3; au lieu de : " " lisez : (11) -(11) Archives
la huitième vertèbre thoracique, distante de 2 centi- mètres de la ligne verticale moyenne. Dans la partie lombaire exis
t inférieur du sternum regarde légèrement à droite, de sorte que la ligne moyenne, allant de l'incisure jugulaire vers l'
rmique. 11 est à remar- quer qu'à mesure qu'on se rapproche de la ligne moyenne du côté droit apparaît d'abord la sensa
e de la moelle épinière du côté droit, nette- ment limitée par la ligne moyenne (fig. 4). En haut et en arrière, l'anal
plus faibles, la main gauche ne s'élève pas du tout au-dessus de la ligne horizontale. Au dynamo- mètre : main droite, 14
ésies précédentes; cette zone est limitée en haut et en bas par des lignes horizontales, tandis que par derrière et par deva
ales, tandis que par derrière et par devant elle s'étend jusqu'à la ligne passant par le plan médian du corps. L'ombilic
, délimité non par les expansions des nerfs sensibles, mais par des lignes plus horizontales, sont, à notre avis, des sign
sale du quatrième doigt en descendant. Sur la paume de la main la ligne séparant la partie anesthesiee forme dans le tier
n- tourne la partie inférieure du thénar et vient se joindre à la ligne frontière de l'anesthésie venant à sa rencontre
ant que le permet l'intrication des filets nerveux qui dépassent la ligne médiane. Puis tantôt lentement, tantôt rapide
e d'Arc. On lui a présenté un tableau noir, et il n'a tracé que des lignes informes. Après les accès, ou les vertiges, qui
vons un certain nombre. les uns admettant au moins dans les grandes lignes , les autres critiquant les descriptions et les
dicales. 1877, t. VII, p. 69. 340 CLINIQUE NERVEUSE. écrivait ces lignes on est parvenu à classer et à com prendre un bo
ie est repoussé à droite, que son lobe gauche atteint tout juste la ligne médiane, que son bord antérieur ne descend pas
s de balance- ment ont donné des tracés diaphragmatiques avec des lignes superficielles, peu étendues, à peine visibles;
oit que le tracé fait une inclinaison. Alors, la table dépassant la ligne horizontale descend Fig. 29. - Tracé pris sur u
vons ainsi la chute. Ce mouvement est marqué sur le tracé par une ligne droite de haut en bas sans courbure, ce qui s
nt simple. Ensuite, par la faradisation n° 2, nous avons obtenu les lignes droites sans courbures, à savoir l'arrêt comple
alancé en continuant l'excitation, et alors nous voyons d'abord des lignes DU VERTIGE MARIN. 413 tout à fait irrégulière
l'arrèt complet des respirations : Tout à fait à droite, Fig. 41. Ligne supérieure : fespiration diaphragmatique. Ligne
à droite, Fig. 41. Ligne supérieure : fespiration diaphragmatique. Ligne moyenne : respiration thoracique. Ligne inférie
espiration diaphragmatique. Ligne moyenne : respiration thoracique. Ligne inférieure : respiration dia- phragmatique dire
sent pas en totalité sur le sol. La marche s'effectue à peu près en ligne droite et se complique presque toujours demouve
ambes de côté à l'instar d'un polichinelle et ne s'écarte pas de la ligne droite comme l'ataxique. Quant à DEUX CAS D'ATH
s), ou incom- plète (treize faits de zones épargnées, deux faits de ligne médiane dépassée ou non atteinte) - hémianalgés
lement exceptionnels qu'ils ne peuvent en rien modifier les grandes lignes assignées au délire chronique. Cette espèce pat
opératoire, mais elle est au-dessus du point le plus élevé de cette ligne . En somme, il n'est guère possible de savoir ce
ntre quand il s'agit de paralysies segmentaires et limitées par une ligne que sa configuration permet de nommer, avec M. Ch
une ligne que sa configuration permet de nommer, avec M. Char- cot, ligne d'amputation. Du reste, les réactions électriques
65 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
arrière par une autre crête à concavité postérieure (voy. pl. VI, une ligne noire incomplète). La moitié droite de cette surf
limitée en haut par la crête osseuse figurée sur la planche VI par la ligne noire que nous avons signalée (base du triangle)
z rares, nous 1 A la partie inférieure de la même planche et sur la ligne médiane, on aper¬çoit une ligne noire qui n'a rie
férieure de la même planche et sur la ligne médiane, on aper¬çoit une ligne noire qui n'a rien de pathologique : elle répond
dire au niveau du 8e espace intercostal et des 7e et 8e côtes, sur la ligne axillaire. En ce lieu, le tissu pulmonaire étan
a canine gauche et vers l'angle de la mâchoire et refoulement vers la ligne médiane de la portion d'os comprise entre ces deu
Partout où la lumière arrive, la plaque sensible est atteinte. La ligne d'intersection détermine la forme du battement ét
masquant qu'un point à la fois, la lumière laissera sur la plaque une ligne déliée, comme aurait pu le faire l'écriture à l'e
euves obtenues avec les deux planches, certaines lettres et certaines lignes ne paraissent pas sortir du plan du papier. C'est
l'histoire de l'eczéma des parties génitales; nous n'avons écrit les lignes qui précèdent que dans le but de réunir sous une
sa pointe un peu au-dessous de la première ou même sur le côté de la ligne de chute. Les deux ventricules ayant une cloiso
s grande, en obtient facilement le dicrotisme de la systole. Sur la ligne de chute de la systole, on voit une première sail
en arrière des autres ; son extrémité unguéale arrive à peine à leur ligne d'implantation. Il ne paraît plus formé que par l
ue le pouls d'un vieillard de cent ans. Le premier soulève à peine la ligne horizontale, tandis que le der¬nier est sur le po
ferme. Qu'on nous permette, en finissant, de rapporter les quelques lignes par lesquelles M. Herrgott terminait son rapport
es droit et gauche de l'os intermaxil¬laire ; plus en arrière, sur la ligne médiane, séparation complète de la voûte palatine
ent du côté de l'abdomen. Le foie percuté sui¬vant la direction de la ligne mammaire, avant l'ouverture du ca¬davre, donne un
e hauteur 21 centimètres. Son bord inférieur se continue presque sans ligne de démarcation avec le bord tranchant du foie.
¬loureuse à la pression, et qui, parla percussion, se continuait sans ligne de démarcation avec le foie. A l'autopsie, nous t
e façon presque constante, nous avons vu le tracé du pouls suivre une ligne à peu près parallèle à celle du tracé ther¬mométr
; elle peut cependant être ramenée en dehors, de manière à former une ligne droite avec la cuisse. Elle peut se renverser com
vec la cuisse un angle droit. Mais, en dehors, elle ne dépasse pas la ligne droite. Les mouvements, soit spontanés, soit prov
s. Mais cela est loin d'être absolu, et si l'on représentait par deux lignes les oscillations de l'une et les oscilla¬tions de
s les oscillations de l'une et les oscilla¬tions de l'autre, ces deux lignes ne seraient pas, et il s'en faut de beaucoup, rig
66 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
Paris, septembre 1857. FAUTES ESSENTIELLES A CORRIGER. Page 286 ligne 9, autochtones, lisez : autochthones. 324 — 25,
e du trapèze répond au bord postérieur du pont. Elle présente, sur la ligne médiane, une petite échancrure qui forme la marge
manière intime. Toutefois, vers le côté du pédoncule, qui touche à la ligne médiane, un prolongement de cette masse grise dép
auche en un raphé médian; ou bien ces fibres, s'entre-croisant sur la ligne médiane, poursuivent leur trajet au delà. Nous di
du noyau d'enroulement (voir p. 57), et se porte obliquement vers la ligne médiane où il rejoint le corps calleux. Dans tout
trale des faisceaux moyens par des racines qui s'entrecroisent sur la ligne médiane d'un côté à l'autre, si bien que la pyr
sans plis. Dans les ruminants les olives sont très-rappro-chées de la ligne médiane et cachées derrière les pyramides. Dans l
faisceaux moyens, se dirigent sous la couche grise des axes, vers la ligne médiane, traversent le bulbe d'avant en arrière d
ces divisions qui va aux tubercules quadrijumeaux s'anastomose sur la ligne médiane avec sa congénère et forme, au-dessous d'
ps calleux, dit-il, doit manifestement naissance à la jonction sur la ligne médiane d'extrémités de fibres des deux pédoncule
outes dans le genou postérieur du corps calleux; après avoir passé la ligne médiane, elles marchent vers le côté opposé, s'en
l'hémisphère, la seconde paraît y tendre, mais n'y va pas en droite ligne , et semble ne devoir agir sur le cerveau que par
ons ici fait ses réserves, et nous lisons, à la fin de son livre, ces lignes remarquables : a La comparaison du crâne avec l
e ventricule, où quelques-unes de leurs fibres s'entrecroisent sur la ligne médiane avec celles du côté opposé. Ces fibres pa
laires superficielles qui s'entre-croisent d'un côté à l'autre sur la ligne médiane. Mais j'avoue ne les avoir pas aperçues d
ne : « En plaçant de profil le bulbe rachidien, on aperçoit sur une ligne fictive qui, dirigée un peu en avant, continuerai
TRE VII. DÉVELOPPEMENT DES CENTRES NERVEUX. § *. Prolégomènes. La ligne que l'on observe dès le débutde la formation de l
épart des premiers linéaments du système nerveux. Suivant Baër, cette ligne est l'indice d'un léger renflement. La plupart de
bris irréguliers demeurent attaches aux couches optiques, le long des lignes où l'on distinguera plus tard les habenœ de la gl
quelques plis ; mais ces plis, dessinés au hasard et semblables à des lignes transversales, n'ont aucune conformité avec la na
is il est, à son tour, recouvert par l'opercule. De chaque côté de la ligne médiane on remarque, à sa face inférieure, deux p
erfs de la dure-mère. « Je reconnus, » dit-il, c de chaque côté de la ligne médiane deux filamens nerveux étendus de la cinqu
is déterminé sur le frontal le point précis par lequel doit passer la ligne faciale. A cet égard, Blumenbach a critiqué Campe
sauvages, ce qu'on en voit sur le profil du crâne est parallèle à la ligne faciale, mais dans la race blanche elle s'incline
auvages, le sommet de la grande aile du sphénoïde dépasse à peine une ligne menée par la suture orbitaire externe, parallèlem
e. Dans la race blanche au contraire elle dépasse plus ou moins cette ligne , et en s'éle-vant soulève l'angle sphenoidal de l
drilatère formé par le pariétal, se rapprochant de la direction de la ligne faciale, au point de lui devenir parallèle, pose
s. Il est bon de signaler encore un fait bien évident, c'est que la ligne ou plutôt l'arc qui suit la suture sagittale est
la microcephalic. Toutefois, observons qu'il ne s'agit pas ici d'une ligne , mais d'une surface courbe, et que, en conséquenc
et, on coupe le nerf qui résulte de l'union des deux racines à quatre lignes environ en dehors du point de conjonction, l'irri
orme d'impressions semblables réveille aussi bien en lui l'idée d'une ligne droite que celle d'une ligne courbe, et il est im
réveille aussi bien en lui l'idée d'une ligne droite que celle d'une ligne courbe, et il est impossible de distinguer une co
ires (2); ce prisme doit être placé sur un plan et compris entre deux lignes parallèles tracées à droite et à gauche, à deux m
regardons le prisme de manière à le voir distinctement entre ces deux lignes ; on pourra ainsi constater un fait important, à
toujours l'une à l'égard de l'autre dans une direction parallèle à la ligne idéale qui unit les centres optiques des deux yeu
e points, résultant de la duplication de l'image, seront sur une même ligne droite. Cette situation est indispensable pour l'
et distante de celle-ci de quatre centimètres. L'ensemble de ces deux lignes limite une bande contournée en spirale sur l'ense
blanc. On a fait aussi la remarque que, dans des dessins où plusieurs lignes se croisent, l'œil peut distinguer à volonté des
st de détruire la coaptation de l'œil aux objets. C'est ainsi que les lignes d'un livre s'effacent graduellement sous les yeux
naturelles. Paris, 1816. (5) Tie generatione animalium. V, p. 380, ligne 9, de l'édit. de Herlin. médiaire, en disant qu
n a cru doués de cette faculté merveilleuse, on doit citeren première ligne le célèbre Angelo Cattho, archevêque de Vienne au
67 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
et des bras qui se rapprochent et s'éloignent successivement de la ligne médiane et des membres inférieurs. Ni ronflemen
]'unilatéralité de la cause qui produit la saillie pilastrique, la ligne âpre qui couronne cette saillie n'est pas recti
odifications : l'os malade n'en possède pas : les deux lèvres de la ligne âpre qui normalement surmontent la saillie pila
t les cas. Sur la Planche IV le fémur malade (situé à gauche) a une ligne aprerecti- ligne, ce qui n'existe pas sur l'os
lanche IV le fémur malade (situé à gauche) a une ligne aprerecti- ligne , ce qui n'existe pas sur l'os opposé. Sur la Plan
expliquer la forme de l'os malade. Il existe une modification de la ligne âpre qui indique encore mieux la part considéra
on des formes pathologiques. Normalement, sur l'os de la cuisse, la ligne âpre présente deux lèvres et un interstice ; ma
aillie pilas- trique. Sur les os pathologiques, ou bien les de la ligne âpre sont éloignées l'une de l'autre, ou bien ell
ette dernière alternative est cons- tituée par ce fait que les deux lignes qui sont confondues normalement sur un espace d
s et quelquefois moins. En un mot la bifurcation inférieure de la ligne âpre se fait a un niveau plus ¡'a]7]J¡'oclté de l
VI, IX. La 1"IAN(IIE I\7 représente une dissociation complètcdes lignes âpres. U en est de même sur la PL. IX.SurlaPL.
Or c'est pour cette cause, que, sur un os normal, les crêtes de la ligne âpre sont d'autant plus rapprochées que le déve
ire est relativement faible, et comme conséquence, les lèvres de la ligne âpre sont écartées ou tendent à s'é-. carter. S
sur une coupe la forme de plusieurs fémurs,- e, lèvre externe de la ligne âpre; i, livre interne de la ligne ;lpre. - Fig
fémurs,- e, lèvre externe de la ligne âpre; i, livre interne de la ligne ;lpre. - Fig.1,eoupe du fémur d'un gorille, ou d'
s'aperçoit au contraire fort bien que le prolongement externe de la ligne âpre est plus marqué sur l'os sain et y descend
le pilastre est à peu près absent ; le plan poplité est aplati, la ligne âpre n'a pas ses éléments confondus : ces carac
e, la moindre saillie de la branche externe de la bifurcation de la ligne âpre, la faiblesse de l'indice poplité il 4 cen
pose sur une seule jambe : le tronc est alors placé de façon que la ligne verticale passant par le centre de gravité vien
traînant sur le sol par son bord inter- ne et en décrivant non une ligne droite mais un arc de cercle ; il passe ensuite
beaucoup d'insistance, elle a lu très couram- ment une quinzaine de lignes . Elle a pleuré ensuite et n'a plus suivi la lec
abord s'in'7 cline sans- tarder en avant pour continuer sans aucune ligne de démarcation avec le sillon qui sépare la tro
ysail'e sur l'os malade ; 3°) L'écartement des deux lèvres (le la ligne Apre sur l'os malade ; leur rapprochement sur l
; le contraire existe sur l'os sain ; 4" Que la bifurcation de la ligne Apre est située pins haut sur l'os malade ; ? Q
nterne (côté malade) semble plus saillant ; 2° Les éléments de la ligne Apre restent écartés sur l'os ma- lade et la bi
68 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
u transversaux du point lumi- neux se reproduiront sous forme d'une ligne continue sur la plaque sensible ou sur la feuil
cas de maladie de Basedow, on n'obtient avec cet instrument qu'une ligne peu tremblée et dont la direction générale peut
s avons obtenu, tantôt un tracé exacte- ment rectiligne, tantôt une ligne irrégulièrement ondulée, selon que nos malades
lue qui a souvent la forme d'un losange à deux angles situés sur la ligne médiane.-ne présente aucune altération visible
ie; les poils se raréfient graduellement, et la peau reprend,' sans ligne de. démarcation brusque, son aspect glabre : Ce
i dure cinq mois et l'anesthésie qui l'accompagne se limite par une ligne cir- culaire juste au niveau du passage présumé
tenu à citer le tableau tout entier, on y voit se dessiner à chaque ligne l'état mental de l'hystérique .homme, avec ses rê
rrivé au terme de cette étude, nous voudrions résumer en quel- ques lignes ce que nous venons peut-être d'exposer trop longu
que les autres; il rapproche l'angle. inférieur de l'omoplate de la ligne médiane en même temps qu'il le porte en haut et
bas du dos, à la partie inférieure de la région lombaire et sur la ligne médiane ; cette sensation n'était pas continuelle
nsécutives (11 août 1888). -'Amplitude du levier au maximum. Chaque ligne représente une fraction de minai 'e z secondes (u
es. Pendant les deux premières minutes, représen- tées par les deux lignes inférieures (la figure représente 32 secondes d
par des bâillements. Pendant les deux autres minutes (voir les deux lignes supérieures), des secousses de toux apparaissent
la respiration de la malade pendant 8 minutes consécutives (chaque ligne correspond il 32 secondes de chacune de ces 8 m
1er sep- li' tembre 1888). Amplitude du levier au minimum. - Chaque ligne représente une fraction de ' minute de 32 secon
ELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. 5 minutes consécutives (chaque ligne reproduite ici correspond à 49 secondes de chac
u moins ne retirent que des bénéfices trop passagers pour entrer en ligne de compte dans les résultats favorables à mettr
exie (grand-père et tante), délire des persécutions (oncle) dans la ligne paternelle.- En outre, la mère est strabique et
outissant à la cécité, tels sont les signes qui complètent dans ses lignes générales le tableau morbide présenté par Alpho
ez les sujets normaux, la propulsion de la langue s'inscrit par une ligne d'ascension brusque (fig. 48) : la conservation d
noyau d'Edinger-Westphal, qui contourne les pré- cédents ; enfin la ligne médiane est occupée par un 'dernier noyau dit c
'autre infé- rieure, en leur donnant comme limite de séparation une ligne trans- versale passant par les noyaux de l'abdu
e M. Charcot, relatait l'état de la malade à cette époque, dans les lignes suivantes : Etat de A. P... le 2 mars z1587. -
des membres sont insensibles au froid et au chaud. Au-dessous d'une ligne passant par les con- dylcs du fémur, de chaque
ue d'ordinaire la sensibilité à la douleur est atteinte en première ligne ainsi que le sens du tact, que la sensibilité à
nt sa mère d'une méningite. Point d'oncles ni de tantes dans aucune ligne . Les grands-parents maternels sont peu connus ;
al droit avec un autre petit tubercule dans la protubérance, sur la ligne médiane. Tout concorde donc en faveur de l'hypo
69 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
isons : demyxoedè- me à divers degrés.Ceux-)à mettaient en première ligne et en première date l'abolition ou l'insuffisan
i dans le Millier et comprenant la protubérance peu au-dessus d'une ligne transversale passant par le point de sortie de
5. xx 6 82 ITALO ROSSI surtout la droite; il marche suivant une ligne brisée (démarche ébrieuse) ; sa démarche tient
ond et saillant à cause de l'obésité, présente dans la région de la ligne blanche un développement modéré « du système pi
t appelés à interpréter la forme humaine, et parmi eux, en première ligne , les cli- niciens, on peut même dire tous les p
: P. Bouchez. ERRATUM Dans le ne 6 de l'année 1906 : Page sou. ligne 7, au lieu de face interne, lire face externe.
sou. ligne 7, au lieu de face interne, lire face externe. Page 520, ligne 13, au lieu de fig. 1, lire fig. 2. Page 524, l
ne. Page 520, ligne 13, au lieu de fig. 1, lire fig. 2. Page 524, ligne H, au lieu de fi,g. 3, lire fig. 4. Imp. J. The
une étude histologique partielle. Dans ce but on a prélevé dans la ligne d'amputation, c'est-à-dire dans la région du coud
ban- delette optique, l'hémianopsie est totale, c'est-à-dire que la ligne de sépa- ration passe perpendiculairement par l
mbolisées. Le siège de prédi- lection des nécroses est, en première ligne , les cordons postérieurs et puis les cordons la
givale, très haute, elle n'est pas soudée complè- tement et, sur la ligne médiane, le doigt sent un sillon net. Mais si les
ANCE DlASTÜ¡ATIQUE INFANTILISME ET INSUFFISANCE DIASTÉMATIQUE 239 ligne l'insuffisance interstitielle, l'adiastématie pré
e la phonation la corde vocale droite se porte sans vigueur vers la ligne médiane ; c'est la corde gauche qui achève l'occl
à-dire des fibres qui émanées.du noyau du triju- meau traversent la ligne médiane pour gagner le faisceau sensitif (2). Il
ives latérales supé- rieures qui sont sensiblement en arrière de la ligne normale d'implanta- tion. (Pl. LIV). Son memb
d'avant en arrière, et au sommet duquel on voit, rangés suivant une ligne transversale, quatre petits tubercules arrondis
llaire et nucléaire, qui épouse parfaitement tous les contours delà ligne des cellules de Purkinje ; celle prédominance s
constants. Pour la première fois on constate une tuméfaction sur la ligne médiane de la tête, commençant un peu eu arrièr
eau. Cette tumeur a perforé la dure-mère sur un petit]espace de la- ligne médiane et envahila voûte crânienne. Elle est sit
ligne médiane et envahila voûte crânienne. Elle est située, sur la ligne médiane et à droite et à gauche de la ligne méd
Elle est située, sur la ligne médiane et à droite et à gauche de la ligne médiane, au-dessous de la dure-mère à la quelle
on malaire en dehors ; en dedans débordant légèrement en deçà de la ligne médiane et euvahissant l'angle droit de l'oeil
ement, en retrait et abaissée par rapport à la gauche ; a gauche la ligne innominée est redressée,' l'acétavulum est un p
evait donc s'exercer uniquement de ce côté, d'où redressement de la ligne innominée et asymétrie du bassin. Ce fait expliqu
teront tous les os du carpe, sauf le pisiforme. Le scaphoïde est en ligne avec le radius, le semi-lunaire avec le cubi- t
rne de la cavité, siégeant à 2 centimètres environ au-dessous de la ligne par où passerait lebord supérieur de cet hémi-
re a été plus mauvaise autrefois : elle était très irrégulière, les lignes chevauchaient les unes sur les autres. Actuelleme
ppuyé, les mains posées sur une table. Sur le miroir est tracée une ligne verticale qui doit couper en deux parties égale
e qui doit couper en deux parties égales l'image de la face, et une ligne horizontale passant par les angles des deux yeu
izontale passant par les angles des deux yeux ; au-dessous de cette ligne , une seconde ligne hori- zontale passe par la b
r les angles des deux yeux ; au-dessous de cette ligne, une seconde ligne hori- zontale passe par la base du cou, au-dess
doivent rester fixés sur le point d'intersection des deux premières lignes . Grâce a ce dispositif, le moindre déplacement
nt ; puis elle repart, lentement à cause de ma résistancejusqu'à la ligne médiane, ou rapidement quand ma résistance est
en effet, lorsque mes yeux se trouvaient en face du croisement des lignes tracées sur la glace, la tête était prise d'une s
aire sentir ; j'arrive à lire un peu et quelquefois à écrire quelques lignes en position correcte ; je tiens ma tête bien mi
u bord d'une rivière. Je me suis procuré un outillage de pêche à la ligne ; ce sera ma distraction. Etant placé sur la rive
t placé sur la rive droite de la rivière, la nécessité de suivre la ligne dérivant au courant de l'eau me fera un exercic
ins que, pendant cette courbe des progrès un peu en des- sous de la ligne d'ascension, les séances d'exercices que, sauf le
le cou était déplacé vers la droite, la tête restant à gauche de la ligne médiane du corps ; le cou portait la tête comme
n auxiliaire précieux agissait en sens inverse; le croise- ment des lignes au lieu d'exercer une sorte d'attraction, produis
e se portait violemment à gauche, dès que je jetais les yeux sur la ligne verticale ; j'ai essayé de faire disparaître cett
les paupières supé- rieures, qu'on peut noter une divergence de la ligne visuelle. En effet, si un individu endormi tent
, l'observa- teur put regarder avec l'oeil qui était resté libre en ligne directe sans éprouver aucune douleur. D'après c
70 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
lliydrate introduit dans l'estomac, à gauche, du côté latéral de la ligne méridienne, un peu en arrière de l'extrémité anté
section du cerveau démontra que l'instrument avait déjà atteint la ligne du milieu à la hauteur du corpus callosum et qu'i
i, edit. Milano. 76 GAETANO BOSCHI au moins dans ses plus grandes lignes , ne correspondent pas généralement à ceux qu'on
te et la conserver même longuement, invaria- ble, au moins dans ses lignes générales. En effet, de tous les maniaques, por
le trop forte. 96 HU LT.ItANT2 crânienne, surtout le long de la ligne médiane. Il en était ainsi dans 5 des 6 cas que
trou occipital est orienté en avant au point que son plan prolongé ( ligne opisthobasilaire), au lieu de passer, comme d'or-
1 à 4, 5 cm. au-dessus du nasion. L'angle basilaire (formé par les lignes naso- basilaire et opisthobasilaire, Broca) dev
fois observé chez des sujets vivants un sillon assez profond sur la ligne médiane, un examen attentif ne m'a jamais permis
mem- braneux, l'enfoncement des bords des os, surtout le long de la ligne mé- diane, et parla fermeture irrégulière des f
esaient, ensemble, 160 grammes.Une autre tumeur se trou vait,sur la ligne médiane,au-dessous du corps thyroïde. Une autre
ient l'étalement complet de la dure-mère section- née le long de la ligne médiane postérieure. En avant les adhérences comm
ucture intime du cylindraxe. Il me plaît de la résumer ici dans ses lignes principales : 1° Fixation pendant 48 heures dan
e est en extension : le membre entier en adduction, rapproché de la ligne médiane, la cuisse étendue sur le bassin, le geno
ONT : Trophoedème chronique, variété congénitale unique, page 68, lignes 2 et 3, lire : le cas de Rapin-Long-, observation
tit naevus pileux à la face interne de la cuisse gauche. page 72, ligne 16, au lieu de Miron, lire Milroy. page 72, lig
auche. page 72, ligne 16, au lieu de Miron, lire Milroy. page 72, ligne 29, au lieu de Milnoy, lire Milroy. Le gérant :
ute. La cuisse droite, la jambe, le pied, exactement à partir de la ligne du ligament de Poupard, étaient rouges, énormém
r droit et sur le thorax, limitée assez exactement en avant par une ligne tangente au mamelon, en arrière par une ligne q
ment en avant par une ligne tangente au mamelon, en arrière par une ligne qui passerait par l'angle inférieur de l'omopla
qui passerait par l'angle inférieur de l'omoplate, à gauche par les lignes médiosternale et médiovertébrale. Après quelq
GY L'ouverture buccale ne paraît pas horizontale, mais suivant une ligne légère- ment oblique en bas et à gauche. Par co
uvements d'élévation, les globes oculaires ne dépas- sent guère une ligne transversale passant par la commissure palpébrale
eur partie périphérique et a fait dis- paraître en grande partie la ligne de démarcation qui les sépare. Sur certains poi
noter aussi, au niveau de la région lombaire, l'aplatissement de la ligne sus-épineuse, qui parait bien en rapport avec l
apophyses articulaires cor- respondantes se continuent partout sans ligne de démarcation ; nulle part on ne voit de dépre
é des grands-parents paternels et mater- nels et des collatéraux en ligne ascendante. Le père et la mère de nos deux mala
sont bien dessinés ; dans l'ensemble on n'observe aucune trace des lignes arrondies propres à la puberté féminine et les
. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 31 1 La ligne externe arrondie des hanches n'a pas d'ampleur ;
ndre hésitation, ni aucune trace de spasmodicité.La déviation de la ligne droite ne se fait pas d'un côté plutôt que de l
se inférieure du cubitus est de même séparée de sa diaphyse par une ligne claire;9npent en dire.autant de l'apophyse styloï
seulement à l'extrémité inférieure du radius on reconnaît encore la ligne d'os- sification comme une ligne brune qui ne s
e du radius on reconnaît encore la ligne d'os- sification comme une ligne brune qui ne se voit pas dans la radiographie de
n au col anatomique qu'au col chirurgical de l'humérus on voit deux lignes nettes cartilagineuses qui n'apparaissent pas d
i déborde environ de deux travers de doigt [l'arcade costale sur la ligne hémiclaviculaire. ' II° cas (PI. LVI, B). Felin
èrement en pointe, ou plutôt en carène, la suture sagittale formant ligne de faîte que viennent rejoindre les deux pariét
ontour légèrement en carène, la suture sagittale faisant saillie en ligne de faîte. De même que précédemment les surfaces
à droite. Lorsque les paupières sont fermées, les yeux sont sur la ligne médiane, dès qu'elles sont ouvertes la déviation
externe du ventricule latéral ; base : celle du cerveau, depuis la ligne médiane jusque près de l'écorce de l'insula. Les
igneurs les presidens, S. d. [v. 1505], in-4 golh. de 132 If. de 30 lignes à la page, sign. a-x par 6. L'édition est orn
ui doivent être relevées. Le r° du 1er f. ne contient que les trois lignes xylographiées de l'intitulé ; le qua- train a é
et à la correction individuelle. Ces sujets présentent en somme les lignes fondamentales d'une consti- tution psychique qu
lyser un peu les faits connus. Et dans mon analyse je ne mettrai en ligne décompte que les observations qui présentent un
en Amérique..., constitue un fait bien étrange bien digne d'entrer en ligne de compte lorsqu'on étudie la definition et la
l'alcoolisme surtout, et certaines intoxications, doivent entrer en ligne décompte, sans parler du rôle capital que joue
71 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tributs d'une débilité mentale assez pro- noncée. Voici en quelques lignes son histoire : Le père est mort d'un cancer de
'angle ouest extrême de ce dernier aux pavillons les 1 Les quelques lignes d'analyse qui vont suivre complètent les indica
ntdedeuxgangtionsindépen- dants l'un de l'autre. L'un, placé sur la ligne médiane, est formé de petites cellules. L'autre
ôté par le faisceau de la calotte ; l'entrecroisement a lieu sur la ligne médiane ; la méthode de préparation et l'associ
, les rameaux vasculaires et se recourbent, à leur côté concave, en lignes arquées, de sorte qu'il est un point où le paysag
sion augmente, les capillaires cérébraux sont comprimés en première ligne . Cette assertion est inexacte; car, bien que le
épiphénomènes de « l'atavisme morbide. » On voit par ces quelques lignes , l'importance du problème posé par M. Semai et
tembre 1862. Le projectile péné- tra dans le crâne, au niveau de la ligne médiane, à un pouce et quart au dessus de la pr
occipitale externe, et sortit en un point situé à deux pouces de la ligne médiane et à trois pouces du point d'entrée. 11
it le patient fut reconnu être une hémianopsie latérale droite avec ligne de division verti- cale. J'ai pu voir le mala
le plan ahéolo-condyloidien de Broca. L'orifice d'entrée est sur la ligne médiane à 3 centim. 5 au dessus de la protubéra
e à 3 centim. 5 au dessus de la protubérance occipitale externe. La ligne tirée du bregma à la cicatrice en suivant la li
tale externe. La ligne tirée du bregma à la cicatrice en suivant la ligne médiane, mesure 1 cen- tim. 5. L'orifice de s
é frontale est à 6 centim. 5 du bregma; le milieu correspond à la ligne médiane (à S centimètres de distance). Son extrém
18 pouces de I'oeil droit une hémianopsie latérale droite, avec une ligne verticale passant en dehors du point de fixatio
a portion ombrée, dans la partie occipitale de la tête, coupant les lignes 2 et B. - ) j i I . ; . Vas d'hémianopsie dan
ût, ouïe et odorat normaux. Hémianopsie latérale droite typique, la ligne verticale passant par le point de fixation. Pas
dés ordinaires, révéla une hémianopsie latérale gauche typique avec ligne de division verti- cale n'embrassant pas le poi
capsule interne, les fibres du faisceau latéral croisent encore la ligne médiane de façon que le centre visuel reçoit de
centes cons- tiluant le centre v isuel cortical chez l'homme. - Les lignes grasses ou ombrées repré- sentent les parties e
entriculaire est bien au- dessus de la cinquième côte gauche sur la ligne mamelonaire; (un peu d'hypertrophie), mais le m
au de la cellule est tantôt obscur, tantôt nettement limité par une ligne fine; il est homogène et brillant, et contient,
prin- cipalement dans la partie du corps rhomboïdal placée vers la ligne mé- diane. Quant aux relations du corps restifo
inée ultérieure chez l'homme ; nous en repro- duisons les dernières lignes : c..... Le progrès cérébral ou intellectuel...
e bras obéissait à la volonté, nous aurions obtenu sur le tracé une ligne droite qui, à sa terminai- son, correspondrait
pondrait au point de départ; dans le cas contraire, nous aurons une ligne irrégulière présentant des zig-zags, qui la fin
devant le kymographe et je prenais le tracé de leurs mouvements. La ligne de ce tracé était presque droite, et le point d
uisions l'expérience plusieurs fois, et nous obtenions toujours une ligne droite, sauf certaines secousses acci- 246 REVU
ue musculaire survient plus rapidement et, comme règle générale, la ligne de la courbe s'abaisse; quelquefois, cependant,
issé à la suite de fatigue musculaire, reste station- naire sur une ligne droite; ceci provient de ce que la fatigue musc
rs états, mais je crois que nous ne mettons pas au même niveau la ligne de démarcation qui les sépare. Il me semble aussi
u trois jours qui suivent l'abstinence (At'c/t.y. Psych. XV) '. Les lignes qui précèdent confirment précisé- ment cette de
n. Au-dessus et au-dessous de chaque noyau de l'oculomoteur, sur la ligne médiane par rapport au noyau principal, existe un
de l'oculo-moteur apparaît dans toute sa vigueur on trouve, sur la ligne médiane, c'est-à-dire entre les deux noyaux, un
On mande de Huy le 26, à la Gazette de Liège, qu'un soldat du 9° de ligne cantonné à Marchin, pris d'un accès de folie, a
72 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
é ne dénote il peu près aucune oscillation : le tracé est celui d'une ligne à peine ondulée, comme si les capillaires dilat
nte violacée s'arrête au 1/3 ou au 1/4 inférieur du poignet par une ligne circulaire. Aux pieds, la coloration n'est pas au
ar l'appareil « plé[y- smographe digital », est caractérisé par une ligne à peu près horizontale avec une élévation à pei
la 24'' ou 36" heure. M. Bertherand (2) a confirmé dans ses grandes lignes ces résultats dont la plupart des cas de tubercul
de sa mère. Ces deux faces sont assez nettement délimitées par une ligne médiane : la réunion ne se lait pas à des nivea
centigrammes de nitrate de pilocarpiue sous la peau au niveau de la ligne médiane de l'abdomen a pro- duit une sudation b
ative se perpétue, et de proche en proche s'effectuera, suivant des lignes seg- mentaires, la réaction sympathique jusqu'a
graisseux comme de l'huile coulait par gouttes à l'extrémité de la ligne de suture. Au bout d'une quinzaine de jours tou
ns accuse subitement son contradicteur d'avoir oublié de définir la ligne droite * A PROPOS DU SOI-DISANT « SENS DES ATTI
gues de l'ancienne école ? Je me permets de reproduire ici quelques lignes tirées d'un travail (2) dans lequel je cherchai
t donc se représenter l'âme et le corps évoluant sous forme de deux lignes rigoureusement parallèles. La tâche du psycho-phy
ore de tout à l'heure, nous voulions représenter sous forme de deux lignes parallèles le cours de la pensée et ce que nous
ing ou de celle de Zoellner, nous voyons courbes ou divergentes des lignes dont les images rétiniennes sont droites ou par
la thermo-aneslhésie, elles sont limitées l'une et l'autre par une ligne horizontale situéeau niveau de l'ar- ticulation
nt vers la surface on voit d'abord, à la limite du tissu infiltré, la ligne parfois très précise, formée par les premiers n
tration cellulaire. Du côté de la moelle se dessinent de nombreuses lignes cellulaires pénétrant le long des septa. Vers l
ection. On ouvre ensuite la dure-mère en avant et en arrière sur la ligne médiane de façon à découvrir la moelle dans tou
nces blanche et grise disposées symétriquement de chaque côté de la ligne médiane. Le tissu néoplasique apparaît sous forme
u d'attention, on reconnaît le sillon médian antérieur ; une légère ligne foncée en bas est le vestige du sillon médian pos
tiois cl Pierre Roy.) Le géant Pierre K..., tambour-major au lof de ligne . GIGANTISME ET ACROMÉGALIE AUTOPSIE D'UN GÉAN
our le poste de tambour-major (PI. XXXV) ; dans le 101" régiment de ligne , où il avait été incorporé, il ne tarda pas à l
bas et en dehors, la pointe du scapulum est à 41 centimètres de la ligne des apophyses épineuses du rachis à droite, à 8
elle est agitée, en outre, d'un tremblement qui écarte la plume delà ligne écrite, et le malade est obligé de s'aider de l
s ; il intervient dans l'écriture en conduisant la main le long de la ligne écrite ; sa paralysie entraîne l'abolition de c
n mouvement convulsif de l'épaule qui élève la main au-dessus de la ligne écrite, et par un autre mouvement du bras qui fai
ù les provinces et les États sont fortement marqués par des grosses lignes de confin, de façon qu'il ne nous paraît pas trop
ROPATHIE NERVEUSE TRAITÉE PAR LA RÉSECTION 259 continue la jambe en ligne droite ; au bout de quelques instants, celui-ci s
i. La voûte plantaire n'existe plus; les métatarsiens prolongent la ligne calcanéenne. Le tibia et le péroné, auxquels l'ex
ans son beau livre l'Art et la médecine, n'a pas consacré une seule ligne à l'iconographie des maladies vénériennes. Aux
ette reproduction (n°1786 du catalogue). Il porte ce titre, en deux lignes : FLUGBLATT des ARZTES THEODORICUS ULSEnIUS m
demi. Une inscription complète l'expression du tableau, la deuxième ligne très nette spécifie que : ...plusieurs malades
e le fait se produisit, ce que déterminerait évidemment la première ligne de l'inscription. A quelle époque remonte cette
de la main, on rencontre, sous l'aponévrose, un peu au-dessus d'une ligne transversale partant de la commissure du pouce,
duire ici cette discussion et nous nous bonrerons à en indiquer les lignes principales. D'après la doctrine classique, l'u
udinale au niveau du col du névrome périphérique, montrant de fines lignes noires (myéline ou cylindraxe colorés par le Pal)
ement connue pour qu'il soit besoin de la vanter. Mais les quelques lignes qu'il a consacrées à la critique médicale des o
Virchow d'avoir simplement paraphrasé les idées exprimées dans ces lignes , quelle que soit leur antériorité. Mais n'est-i
73 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
de soutiens éclairés, mais à condition qu'il ne s’écartera pas de la ligne sérieuse et mesurée qui convient aux sujets qu’il
iques d’Alexis, j’étais accompagné de M. R., ex-capitaine du 29° de ligne ; il n’admettait guère que jonglerie dans le magné
a, après la production du phénomène, disposée en figures régulières. ( Lignes nodales) (1). Nous avons, chez le Drde M"", vu
plaisez si justement à louer dans vos leçons, n’a-t-il pas publié ces lignes , que vous ne pouvez, que vous ne voulez mettre so
s prospères. D' CLEVER DE MALDIGNY. Post-Scriptum. Depuis que ces lignes sont écrites, M. Hébert cl moi nous avons, de nou
erceau des siècles? A ceux qui, m'ayant suivi jusqu’à ces dernières lignes , les accuseraient d enthousiasme et d’exagération
aire admettre par les seconds, d’effacer la première et la plus belle ligne de votre profession de foi : • L’âme occupée à fa
vous l’avez cru. Un mot encore avant de finir. Vous avez écrit ces lignes : « L’esprit i/ni conduit ma plume me dit que ces
Le lendemain ou le surlendemain, le chirurgien-major d’un régiment de ligne étant venu passer la revue de santé à mes hommes,
i souffre ne peut ni tuer sa grenouille ni renverser son pêcheur à la ligne , ni terrasser un cheval comme M. de Humboldt l’a
mit pour servir de rapport entre elle et la somnambule, dans quelques lignes de son écriture, une série de questions pour la c
ci, et nos œuvres avec nous. Nous n’en voulons pour preuves que les lignes suivantes que nous traduisons de cette nouvelle r
l’opération du débarquement, où des centaines de barques nageaient en ligne vers le rivage. Elle en vit sortir les troupes à
s’est servi du crayon pour tracer les pronostics que j’ai dits et les lignes qui précèdent ; si, comme il le prétend, il conna
n’est-ce pas le cas de répéter: quel somnambulisme ?... C’est que ces lignes du docteur Chaqngnon sont l’expression de la véri
une garçon de 14 mis, tel, qu’après avoir avoir lu seulement quelques lignes , il lui devenait impossible de continuer : les ca
re. C’est assez dire. Voulez-vous prendre la peine de lire quelques lignes encore, je vais rapporter un fait de ma pratique
es « qu’il met en œuvre, le mesmérisme se présente tout à fait u hors ligne dans la série médicale de l’ordre physique (1),
inies dans la puissance de leurs facultés ; » vous mettez sur la même ligne l’âme de l’homme et celle de la monade! Plus de l
en portez le même jugement que moi, vous pourrez insérer ces quelques lignes dans le Journal du. Magnétisme. Ma femme, en ce
distraction sur un objet quelconque ( procédé de l’hypnotisme). Une ligne de points, qui termine l’article consacré à ce su
ux du livre de M. Philips. La partie théorique en fait une œuvre hors ligne . La partie qui concerne les applications ne doit
t fondée la méthode de suggestion que nous avons énoncée en quelques, lignes : le rapprochement des idées très-voisines, mais
ure, et elle enéprouvait même de l’impatience. Plus tare, écrivit des lignes dans le sens vertical, à la manière des w nois.
sept langues différentes, et peut-être en huit, car il y a plusieurs lignes d’hiéroglyphes qui semblent avoir un sens. L’angl
é un plan aussi vaste en consacrant, tous les quinze jours , quelques lignes à Y Histoire du fluide : il se borne à des causer
u sommet du triangle, les deux dames se disputent la possession de la ligne que j’ai tracée. Elles viennent se coller à ma ja
commettent parfois de lourdes bévues ; dans le n° dernier, page 497, ligne S, ils nous font dire effrayante au lieu de attra
ne S, ils nous font dire effrayante au lieu de attrayante ; page 485, ligne 18, révéla au lieu de réalisa. La sagacité du lec
a continuité d'existence de l’homme? On 11e distingue pas mieux les lignes de démarcation entre les différentes formes de la
trois centimètres du plafond. Elle ne descendit pas rapidement, ni en ligne droite jusqu'à la table, mais doucement et en osc
on en était telle que ce qui1 paraissait de la jambe était presque en ligne droite avec le pied. Ce pied se montra ainsi plus
es affaires, qu’elle m’obsède à tel point qu’à l’heure où j’écris ces lignes , je me prépare à ne plus résister. Le moyen le pl
e ; se présentant ici comme un esprit bienheureux, arrivant en droite ligne d’un des cinq cieux habités par les élus : là , c
sez à la 3e ligno : terreur, au lieu de l'arme. ... A la dernière ligne , lisez le magnétisme, cette autre lumière, on ne
e bien chaud, mais pas excessif ; le vaisseau n’a pas encore passé la ligne ; il me paraît qu'à présent il est à 10 degrés de
e que ce qu’on peut expliquer. Il a mille fois raison , mais quelques lignes sur cette question auraient suffi ; il a cru devo
affirmer que la puissance de l’homme ne parviendra pas à franchir la ligne qui jusqu'ici avait dépassé la portée de nos forc
dénaturent le mus dulcite. Dan» l'arliclo sur l’inquisition, p. 636, ligne 7. eu lieu, de capablt,, lis-'i toapabUi. Page
. Page 637» ligna 2U, au lien de affùwr, User, allirtr. Page 638, ligne 10, au lieu de voir, I isea croire. Le Gérant :
74 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rtie va au noyau du droit interne du même côté; l'autre franchit la ligne médiane pour aller au noyau du droit externe op
e qu'on se rapproche du plan antérieur du corps, tout en gagnant la ligne médiane, il faudrait placer la partie antérieur
reuses fibres dégénérées qui, des cordons postérieurs, à côté de la ligne mé- diane, entrent dans la substance grise just
de la mastoide et que son bord supé- rieur demeure au-dessous d'une ligne partant du bord inférieur de l'orbite et passan
ord inférieur de l'orbite et passant par le centre du méat auditif ( ligne basale de Reid), à évacuer par cette ouverture
mbres titulaires, et propose, au nom de la commission : en première ligne , M. le Der Brunet; en deuxième ligne, M. le Dr
de la commission : en première ligne, M. le Der Brunet; en deuxième ligne , M. le Dr Deny; en troisième ligne, ex xquo, MM
e, M. le Der Brunet; en deuxième ligne, M. le Dr Deny; en troisième ligne , ex xquo, MM. Boissier et Legras; en quatrième
; en troisième ligne, ex xquo, MM. Boissier et Legras; en quatrième ligne . M. H. Meige ; en cin- quième ligne, M. Lefiliâ
oissier et Legras; en quatrième ligne. M. H. Meige ; en cin- quième ligne , M. Lefiliâtre. MM. les Drs DENY, Brunet et Boi
possible, mais nettement ébrieuse ; la malade ne peut conserver la ligne droite, oscille à droite et à gauche. menace pa
voyés à l'asile, et les Malais eux-mêmes établissent d'ailleurs une ligne de démar- cation très nette entre le Latah et l
mpris entre le bord inférieur de la cage, thoracique, en bas, et la ligne qui passe parle mamelon et le'bord supérieur de l
e très abaissée, de même que du côté droit du corps, à partir de la ligne mamellaire et plus bas (y compris la jambe), bi
dation spinale du côté gauche) ; anesthésie du tronc à partir de la ligne qui passe en arrière, au niveau de la 9° vertèb
ntaires, destruction (abrasion) ou expul- sion, viennent ensuite en ligne . Les mêmes considérations nous obligent à en éc
e signalé plus haut, à direc- tion horizontale et rejoignant sur la ligne médiane celui du côté opposé. Cet organe canali
arier que je n'aurais pas besoin aujourd'hui d'écrire les présentes lignes . ' D' Legrain. Du principe de la liberté indivi
lle ne connaît pas d'aliénés, ni de gens excentriques; mais dans la ligne maternelle il y a plusieurs jumeaux. , Elle-m
forte saillie, son angle inférieur est soulevé et rappro- ché de la ligne médiane; lors de l'élévation du bras, l'omoplate
s aurait des résultats déplorables; il faudra de même éta- blir une ligne bien tranchée entre les soins à donner aux malade
nation. Parlant des causes morales de la folie, M. Luys écrit les lignes suivantes, qui s'appliquent encore mieux à la mél
on dorsale. Les deux blessures siègent immédiatement à gauche de la ligne dursale, Tune au niveau de la septième vertèbre
s l'influence de la digestion, le pouls augmente d'am- plitude ; la ligne d'ascension et la ligne dedescente deviennentplus
stion, le pouls augmente d'am- plitude ; la ligne d'ascension et la ligne dedescente deviennentplus rapides; le sommet de
ulsation devient plus aigu; le dicrotisme est placé plus bas sur la ligne de descente; il est plus accentué. Les tracés a
iels et capillaires pris à la même heure ont été placés sur la même ligne horizontale. En les étudiant on voit que : 1° i
protubérance dans le faisceau géniculé, s'entrecroisent là sur la ligne médiane et abordent le noyau d'origine situésousl
ensibilité objective s'étendent sur le tronc, jusqu'au niveau d'une ligne horizontale passant un peu au-dessus des mamelo
. La dure-mère est sectionnée le long de sa face postérieure sur la ligne médiane. Jusqu'à la quatrième cervicale, la moe
ra-médull,;ire de la tumeur, -p, e. portion cvra-médullairc ; 1. i, ligne en Nue en perslectne, représentant les limites
autour d'elle on voit encore, semées de distance en distance, des lignes concentriques de cellules semblab'es; dans l'inte
gnes concentriques de cellules semblab'es; dans l'intervalle de ces lignes est un tissu granuleux; nulle part nous n'avons v
rieure de la lésion était donc cliniquement la suivante : en avant, ligne horizontale passant entre la sixième et la sept
ntale passant entre la sixième et la septième cervicale en arrière, ligne oblique passant à gauche entre la septième et h
trajet ultérieur est encore fort mal connu. Après avoir franchi la ligne médiane (comme le montre le syndrome de elles s
ssous des tubercules quadrijumeaux antérieurs, de chaque côté de la ligne médiane, et renferme des cellules moyennes mult
ttement comment les fibres dégénérées, après entrecroisement sur la ligne médiane du côté opposé, vont des deux côtés du
dix centimètres au-dessus de la rotule et à sept centimètres de la ligne médiane, qu'exaspère d'abord la pression, bient
tion des noevi s'étendait entre les territoires nerveux suivant les lignes de Voigt, on doit reconnaître deux groupes de f
ymptomatique. Aucun neu- rologiste n'aurait le courage de tracer la ligne de démarcation entre l'épilepsie partielle et l
75 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
n- dant pas complètement. Elles siègaient un peu en arrière d'une ligne , partageant par moité la partie de la capsule in-
s postérieurs, et dans le sens trans- versal un peu en dedans d'une ligne antéro-postérieure partageant cette moitié de l
rieure avec la moitié postérieure du faisceau de Goll, près de la ligne médiane, et s'étendant un peu dans l'intérieur de
tance blanche près de la périphérie de la moelle, au niveau d'une ligne horizontale passant par l'angle externe de la cor
trouve quelques-uns dans le faisceau cérébelleux direct, depuis une ligne frontale pas- sant par les angles externes des
té adhérente d'une longueur égale à lui-même et constitue ainsi une ligne antéro- postérieure située dans le cordon de Go
n en trouve dans les autres parties du faisceau latéral jusqu'à une ligne frontale passant par la face antérieure des cor
ections citées, tellement grande était leur tendance à revenir à la ligne médiane. L'insuffisance du droit interne des de
doigts réunis); on en dirige la paume en haut en l'orientant sur la ligne mamillaire ou entre cette ligne et la ligne axi
paume en haut en l'orientant sur la ligne mamillaire ou entre cette ligne et la ligne axillaire, de façon à ce qu'elle aill
t en l'orientant sur la ligne mamillaire ou entre cette ligne et la ligne axillaire, de façon à ce qu'elle aille d'avant
oivent pas être longs ; il ne peut pas être question de deviner une ligne entière. SUR LA TENSION DES MUSCLES. 1 19 * P
eviner des lettres et des chiffres. Il s'agit de tracer différentes lignes courbes comme dans les chiffres et les lettres.
vement doit être un mouvement d'abduction pour tracer la première ligne horizontale. Ayant proposé ce problème à la fem
racture. Il était évi- dent quelle bras s'était préparé à tracer la ligne supé- rieure du chiffre 7; de l'existence de ce
tracer la ligne supé- rieure du chiffre 7; de l'existence de cette ligne je conclus le reste. Ayant fait plusieurs essai
de confondre ces deux chiffres, puisqu'ils commencent par la même ligne ; alors j'eus l'idée d'exiger que le suggesteur
bien minime, comme s'il craignait de se laisser aller à tracer une ligne qui remplirait le carré de haut en bas. Au moye
pour deviner le chiffre 3 : m'étant convaincu de l'existence de la ligne horizon- 156 PHYSIOLOGIE. SUR LA TENSION DES MU
nsion musculaire dans une direction perpendiculaire à la première ligne . Si l'obstacle rencontré se manifeste à un degr
l'obstacle rencontré se manifeste à un degré moyen, cela indique la ligne plus longue du chiffre 7, tandis qu'une forte r
e résistance du bras qui paraît craindre de se déplacer indique une ligne plus courte, c'est-à-dire répond à la ligne per
se déplacer indique une ligne plus courte, c'est-à-dire répond à la ligne perpendicu- laire du chiffre 3. Quant à l'exist
uant à l'existence de l'autre moitié du chiffre, c'est-à-dire de la ligne courbe qui en forme la partie inférieure, j'y a
a eu dans sa jeunesse un goitre, gros comme le poing, situé sur la ligne médiane du cou, et qui disparut en un mois à la
ndis que la période de relâchement (qui correspond sur le tracé aux lignes descendantes) se raccourcit très notablement à
e dont se plaint M. M... Parmi elles, il faut signaler, en première ligne le froid. Son influence est des plus manifestes
de Bicêtre. Or, un instant après, il récite à haute voix plusieurs lignes d'un livre qu'il lisait cesjours derniers, à Bicê
ns ces deux états est bien intéressante, et pour compléter dans ses lignes princi- pales l'histoire des altérations de la
t homme qui s'accusait, puis se défendait si naïvement était par la ligne maternelle, un héréditaire vésanique, et, dans so
passant quelquefois de- vant les yeux en dansant et en faisant une ligne tordue eu zigzag ; nausées, vomissements : paré
e au niveau de la bosse pariétale gauche (à 5 centi- mètres sur une ligne verticale distante de 3 centimètres de l'in- se
et, jusqu'à nouvel ordre, il nous paraît prudent de main- tenir une ligne de démarcation entre les symptômes liés mani- f
L'anes- thésie du côté droit est absolue et nettement limitée à la ligne mé- diane du corps. L'oeil droit a une acuité t
76 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
nt, nettement circonscrite à une moitié du corps, délimitée par une ligne mé- diane qui passe par l'axe du sujet, tantôt
alement bien marquées des deux côtés; les sourcils sont sur la même ligne . La paupière gauche est en état de ptose complè
des ailes du nez. Les commissures labiales sont situées sur la même ligne transversale. Les sillons naso-géniens sont éga-
ien. Les pupilles sont légèrement inégales. Légère mydriase gauche. Ligne d'Argyll à droite. - A gauche, les deux réfle
En définitive, il faut, à côté des continuateurs de la tradition des lignes , donner une large place aux peintres qui, moins
l'arc, courir ou pugiler, chasser, canoter, pêcher au filet ou à la ligne , cari- caturant les exercices des athlètes et l
bleu éteint. Ici, les contours ne sont pas toujours arrêtés par une ligne nette ; mais les ombres sont crues, faites de l
haque côté : il gauche, l'anesthésie s'arrête nettement suivant une ligne qui corres- pond à la 3e côte et qui suit cet a
meurs T et T'et leurs adhérences Adh aux méninges antérieures. (Les lignes horizontales numérotées correspondant/ aux coupes
picondyle et de l'épi trochlée, le cubitus et le radius suivant une ligne horizontale passant par le col de ce dernier. Dép
'on constate aujourd'hui. L'ulcération palatine est à cheval sur la ligne médiane, peu près à égale dis- tance du bord al
et le médius, et, la saillie osseuse qui leur correspond est sur la ligne qu'elle occuperait s'il s'agissait d'une articu
r du deuxième métacar- pien : lui, qui normalement vient en seconde ligne après le métacarpien du médius, est devenu le p
rticu- larités pathologiques, évidemment copiées sur la nature : la ligne irrégu- lière formée par les apophyses épineuse
e irrégulière, longue de trois pouces, large de deux pouces et huit lignes , haute d'un pouce et cinq lignes. Une autre de
uces, large de deux pouces et huit lignes, haute d'un pouce et cinq lignes . Une autre de figure rhomboïdale, longue de deu
nes. Une autre de figure rhomboïdale, longue de deux pouces et sept lignes , large de deux pouces six lignes et de l'épaiss
ale, longue de deux pouces et sept lignes, large de deux pouces six lignes et de l'épaisseur de quatre lignes, sans parler d
lignes, large de deux pouces six lignes et de l'épaisseur de quatre lignes , sans parler des morceaux de cailloux, de fer e
tiraillés ou pressés se déforment, leur lumière est limitée par une ligne sinueuse très irrégu- lière comme gondolée, leu
-al'adllloï- dien. L'arachnoïde subit le même sort. Au lieu de la ligne mince et sinueuse , LOCALISATIONS SPINALES DE L
re pas à la moelle à cause de la rétraction de celle-ci ; forme une ligne mince légèrement sinueuse, contenant quelques cel
troma conjonctif léger. , Arachnoïde, se montre sous l'aspect d'une ligne très fine, absolument nette, sans infiltration.
'en arrière elle est considéra- blement augmentée d'épaisseur, sans ligne de démarcation elle se réunit au périoste par u
ls peuvent se manifester, et parmi eux l'amnésie figure en première ligne .De même qu'il y a une amaurose alcooli- que, il
qui pout contribuer au relèvement de l'état général, et en première ligne une alimentation reconstituante, est indiqué.
lles de la corne postérieure. r Des noyaux très abondants réunis en lignes serrées le long des vaisseaux forment des rayon
ure-mère très épaisse dont elle a à peu près les dimensions par une ligne plus foncée. A la région dorsale supérieure la
tes, il semble possible d'admettre que ce dédoublement atteint,sur la ligne médiane, environ la moitié de la hauteur de l'o
ore coupée en manche de veste. En arrière, elle est limitée par une ligne oblique qui, par- tie du milieu du poignet, att
77 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
bituelles, sont constitués par une course ou propulsion rapide en ligne directe dans l'axe horizontal du corps, ou avec
, il ne savait rien de ce qui s'était passé. Eraste en ces quelques lignes a retracé le tableau exact de l'épilepsie procu
n IX. - Début des accès procursifs à onze ans. - A um. - Courses en ligne droite avec perle de connaissance. - Transforma
et perdait subitement connaissance. Puis il se mettait à courir en ligne droite devant lui avec une rapidité incroyable,
fois que, saisi d'un paroxysme au pied de l'escalier, il montait en ligne droite avec une rapidité incompréhensible. Si o
orme. Au début de l'accès, le malade tombait à terre, se roulait en ligne droite dix ou douze pas autour de son axe longi
de celle de Grand... (voir t. XIII, p. 323) : même course rapide en ligne droite, même fréquence des accès, puis même tra
evenus rapidement quotidiens, consistaient en une course suivant la ligne droite, accompagnée d'une forte injection de la
ux joues; - retour subit à la connaissance. La course se produit en ligne droite ou parfois cir- culaire (à grands arcs d
sus. On ne sait dire si, en revenant, il suivait exactement la même ligne , ni si, comme à Bicêtre, il se garait des perso
ux accè, ordi- naires des accès procursifs; la course avait lieu en ligne droite, était accompagnée de pâleur de la face.
; les jambes s'écartent également de 50 centimètres envi- ron de la ligne médiane. Pas d'urination, ni de défécation', ni
lève et se confondant en bas avec la matité du foie sans donner une ligne de séparation nette entre la percussion du foie
e d'Arc. On lui a présenté un tableau noir, et il n'a tracé que des lignes informes. - Après les accès, ou les vertiges, q
ie est repoussé à droite, que son lobe gaucho atteint tout juste la ligne médiane, que son bord antérieur ne descend pas
droit se dirige un peu en dedans. Il arrive à suivre assez bien la ligne droite, mais parfois il est entraîné malgré lui d
que de raison. Le malade a une légère tendance à s'écarter de la ligne droite et sort quelquefois du tapis, large de 45
lèvre supérieure de sorte qu'il s'y forme des plis verticaux sur la ligne médiane et sur les côtés, obliques en dehors et
sent pas en totalité sur le sol. La marche s'effectue à peu près en ligne droite et se complique presque toujours de mouv
ambes de côté à l'instar d'un polichinelle et ne s'écarte pas de la ligne droite comme l'ataxique. Quant à 184 DEUX CAS D
près les indi- cations mêmes de Bourneville, ne sauraient entrer en ligne de compte, et l'on doit rattacher à des conditi
ara- ban a publié celte année, dans son articlesurlepéritoitte, les lignes suivantes : Mentionnons que dans quelques cas l
dentaires, qui au lieu d'être elliptiques étaient formées de trois lignes droites, une antérieuro Fia. 8\ fit, 2;. 23
78 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l droit. La cicatrice qui résulte de la trépanation ala forme d'une ligne parabolique, aboutissant en avant, àl'angle sup
m., la longueur de l'axe 1G cm. Dans l'espace circonscrit par cette ligne la paroi crânienne est déprimée. A la pression,
et déglu- tition régulières. Menton avec une petite fossette sur la ligne médiane. Pas de prognathisme. Oreille externe :
ères peu saillan- tes ; sourcils noirs, épais, se rejoignant sur la ligne médiane; cils longs, noirs; orbites profondes.
re servis du chemin de frr pour arri- ver plus vite, couperaient la ligne , et obligeraient ainsi leurs camarades à aller
les droits abdominaux en traçant avec le doigt appuyé fortement une ligne transversale au niveau de la région ombilicale.
Au niveau de la région lombaire, environ il 2 cm. au-dessus d'une ligne passant par les crêtes iliaques, il existe une dé
descendant jusqu'à l'ischion. Cette escharre dépasse légèrement la ligne médiane, elle s'étale un peu sur la fesse droit
légèrement adhérente à la dure-mère sous- jacente, au niveau de la ligne médiane et du pôle frontal droit, elle est asym
upérieur correspondant à la faux du cerveau, l'autre représente une ligne courbe, par- tant de l'extrémité antérieure de
état normal : l'hémis- phère gauche, au contraire, est écarté de la ligne médiane et son diamètre transversal est très di
. Accniveau.le pôle postérieur de l'hémisphère, très écarté de la ligne médiane et déprimé surtout dans la région du cuné
ulions sont aplaties. La protubérance cl le bulbe sont écartés delà ligne médiane et déjetés il droite. La face supérieur
- chées et les yeux fermés ; marchesans aucune difficulté sur une ligne . Quand il a voulu remettre ses bas que nous avi
tie supérieure du mol- let. Caresse-t-on ensuite avec l'aiguille la ligne médiane du creux poplité en descendant le long
,rrcs des premier et cinquième métatarsiens. 6° Fi'appe-t-on sur la ligne médiane lu sacrum, le sujet élanl REVUE DE PA
petits mem- bres sont perçus en avant, à la fois des 2 côtés de la ligne mé- diane. Les bruits du coeur foelal, transmis
acromégalie : il s'agissait presque toujours alors de tumeurs ma- lignes , donc destructives de la glande ; or n'est, une c
hromélalgique, s'arrêtant au niveau du front et se limitant par une ligne qui suit à 1 centim. la racine des cheveux. Var
ier du la suggestion. La moindre parole inconsidérée leur trace une ligne de conduite el elles «'y conforment automatique
réalisé de notables progrès. 11 trace régulièrement les principales lignes , quelques surfaces d'une façon très élémen- tai
ontinuent, Chai ? commence à repro- duire un modèle et à suivre les lignes ce que nous n'avions pu obtenir jusqu'à présent
a cicatrice de la plaie siège à la région pariétale droite. Sur une ligne partant de la racine du nez, il faut compter 14 c
laire de G centimètres et de- mie, abaissée à 21 centimètres sur la ligne médiane à partir de la racine du nez. Au poin
globe oculaire quitte la position d'adduction pour se fixer sur la ligne médiane, sans que le droit externe puisse l'en dé
ue. La philosophie de Tarde. M. Lionel Dauriac expose les grandes lignes de la philosophie de Tarde. En particulier, par
journaliste surmené, tabagique, devenu incapahle d'écrire une seule ligne ; l'autre, un employé d'administration qui avait
jamais de mise avec la législation nouvelle votée depuis que ces lignes furent écrites, en ce qui concerne les ac- cide
quelquefois à l'aura seule, il est presqu'impos- siblede tracer une ligne de démarcation entre l'épilepsie avec migraine,
paraître, parfois entre ces deux états pathologiques en effaçant la ligne de démarcation qui les sépare. Les phénomènes p
- Chorée ; guérison. 51, 52 et 53), (date, nom) et l'ait tracer une ligne horizontale, ce qui permet de se rendre un comp
onations, IL Bastin, entrepreneur des travaux de construction de la ligne d'Orange au Buis et maire d'Annemasse (Haute-Sa
x. C'est à peine si les auteurs classiques étudient en quel- ques lignes la structure microscopique de l'abcès cé- rébra
e de la paroi de l'abcès cérébral, et confirment dans leurs grandes lignes les travaux des auteurs que nous avons cités. O
i. Nos recherches confirment donc complètement dans leurs grandes lignes les descriptions des auteurs et en particulier
79 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
1856, dans une leçon sur la paralysie hystérique Todd écrivait les lignes suivantes ' : « L'étendue de la paralysie des m
culaire, sensi- bilité articulaire), depuis les orteils jusqu'à une ligne circulaire située à quelques centimètres au-des
eurs. Le territoire atteint s'étend de l'extrémité des doigts à une ligne circulaire située à la partie moyenne de l'avant-
n, anesthésie complète au niveau d'une zone limitée en haut par une ligne horizontale située à quelques centimèties au-de
e située à quelques centimèties au-dessous desseins, en bas par une ligne horizontale située au tiers supérieur de la par
ur de la partie antéro-interne des cuisses et sur les côtés par une ligne verticale séparant les parties externes et laté
ar un collier situé au niveau du cartilage thyroïde, en bas par une ligne horizontale passant au-dessus des seins, latéra
oïdes. La partie postérieure du tronc est insensible à partir d'une ligne horizontale passant à six centimètres au-dessus d
IE NERVEUSE. aux deltoïdes ne sont pas touchés par l'anesthésie. La ligne mé- diane correspondant au rachis semble avoir
evenue sensible jusqu'à l'arcade de Fallope. Tronc. Au-dessus d'une ligne horizontale passant à quelques centimètres au-d
PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 41 doigts, et limitée en haut par uue ligne circulaire supérieure et parallèle à la série d
édente, les deux faces de la main, et qui se limite en haut par une ligne d'amputation correspondant aux apophyses styloï
té à la température a gagné du ter- rain ; elle remonte jusqu'à une ligne circulaire correspondant au coude (fig. 6). La
avec la distribution des nerfs, et se limitait au contraire par des lignes circulaires perpendiculaires à l'axe des membres
ur étendue. La sensibilité était intacte aux cuisses à partir d'une ligne située à quelques centimètres au-dessus du geno
de la configura- tion normale en conséquence de la curvature de la ligne médiane centrale, dont j'ai parlé plus haut.
hui par une petite cicatrice arrondie, située à un centimètre de la ligne médiane, à la hauteur de l'apophyse épineuse de
eur gauche et la moitié correspon- dante du tronc, au-dessous d'une ligne horizontale pas- saut par les aisselles, sont a
ée au cours de la maladie. J'ai fait marquer sur le dos du sujet la ligne des apophyses épiueuses. Vous voyez à droite de
bandes de tissu conjonctif, grâce auxquelles je n'aperçois point de ligne qui sépare les deux moitiés de la section de là
evient d'abord rare par prolonga- tion de la diastole cardiaque. La ligne systolique artérielle s'abaisse beaucoup, le po
aux moyens et inférieurs du trapèze, entre le bord scapulaire et la ligne des apophyses épi- neuses : en cet endroit exis
ourbe tétanique moins abrupte, la hauteur en est moins grande et la ligne de descente est plus plane; si l'on agit avec les
essoire, ne jouer qu'un rôle secondaire, effacé, un rôle de seconde ligne , - et alors il est logique de ne pas le prendre
mentale. Mais quand, au contraire, ce symptôme apparaît en première ligne , qu'il domine la scène morbide, que les autres
ié gauche de la face, du cou, du thorax et de l'abdomen jusqu'à une ligne horizontale passant par l'ombilic; sur le bras
le corps devient rigide, les bras en extension se rapprochent de la ligne médiane, les faces des mains tournées l'une con
e nerveux central; par 0. Damsch. (Neurol. Centralbl., 1890.) Les lignes visuelles étant parallèles (regard au loin) et l'
eigert) cylindriques. Le plus volumineux mesure 240 P; il occupe la ligne médiane du cûté gauche du raphé et est séparé d
aut en bas, elles forment un trousseau compact, des deux côté de la ligne médiane, et se dirigent en dehors; dans le ruba
iques); le sommeil devient meilleur, la courbe du pouls s'élève, la ligne de. descente est plus droite. Elle parait avoir
imité, ont demandé que, dorénavant, le règlement portât en première ligne le service médical et les attributions qui lui so
souvent. La France vient en deuxième et l'Angle- terre en troisième ligne . (Bulletin méd., 11 nov.) - . UN alcoolique par
80 (1925) Charcot artiste
arcot, tel qu'on peut encore se le rappeler? N'a-t-on pas exagéré les lignes du visage sans en faire ressortir l'expression im
s de facture, une tendance évidente à saisir vite et bien les grandes lignes d'un ensemble. Paysages naïfs, mais témoignant dé
t, un véritable schéma ; mais ce schéma n'a rien d'artificiel, chaque ligne y résumant un faisceau de lignes naturelles. De l
schéma n'a rien d'artificiel, chaque ligne y résumant un faisceau de lignes naturelles. De là l'impression de la vérité, souv
d'observer. Il recommandait de chercher d'abord à saisir les grandes lignes , les gros symptômes . Foin des menus détails, du
atténuées par les ans, meubles d'un luxe sobre, aux ors éteints, aux lignes irréprochables, peintures, sculptures et bibelots
en a fait la reproduction, avec un sens si précis de l'archaïsme des lignes qu'il faut y regarder de bien près pour découvrir
ou quelque type local : homme, femme, enfants, esquissés en quelques lignes , mais toujours pris sur le vif, d'un réalisme sai
tes collines où quelques villages sont perchés. Tout cela en quelques lignes , nettes, fermes, décidées, sans hachures, sans ép
81 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
adicteur. Mais auparavant je tiens à donner un supplément de quelques lignes aux déclarations de principes ci-dessus. Non se
de fermer le gouffre de la dépravation, etc.. » Encore ces quelques lignes du même vieux livre pour montrer qu'en exposant,
nt à l'Université de Berlin, et de M. Du-meste, capitaine au i 13e de ligne . La Société désigne, pour la représenter au Con
-dessus des malléoles, comme des bottines, et étaient limités par une ligne circulaire. L'anesthésie et l'analgésie étaient c
larité très intéressante, est celle-ci. Je fais tracer sur le sol une ligne à la craie, présentant les sinuosités les plus im
ues, je place mon sujet en état médianique passif à l'extrémité de la ligne et je me tiens derrière lui. Je fixe, avec la plu
à pas : il parcourt ainsi très fidèlement toutes les sinuosités de la ligne . Mais le fait le plus intéressant de cette expéri
ormé d'un parquet, il arrivait on certains- points que, forcément, la ligne de craie formait un angle plus ou moins aigu avec
ément, la ligne de craie formait un angle plus ou moins aigu avec les lignes du parquet ; or, mon sujet s'arrêtait dans ces po
on s'applique à suivre par le regard une direction déterminée par une ligne , l'attention est légèrement troublée quand cette
rminée par une ligne, l'attention est légèrement troublée quand cette ligne se trouve en bifurcation avec une autre ligne, tr
nt troublée quand cette ligne se trouve en bifurcation avec une autre ligne , trouble qui ne se produit pas quand la ligne est
urcation avec une autre ligne, trouble qui ne se produit pas quand la ligne est parallèle ou coupe perpendiculairement là lig
duit pas quand la ligne est parallèle ou coupe perpendiculairement là ligne étrangère. Le même fait se reproduisait dans d'au
e reproduisait dans d'autres circonstances où, sur un sol carrelé, la ligne à la craie revenait plusieurs fois sur elle-même
les buveurs dans le département de la Seine est dans ses plus grandes lignes . L'auteur fait ensuite la description des quatre
'est dans un grand journal presque officiel qu'on a pu lire aussi les lignes suivantes : « Un faux préjugé, qu'on baptise de
ment automatique, les caractères de l'écriture sont remplacés par des lignes ou des traits obliques. Il reprend la phrase aprè
pliquait, autrement qu'avec le fatalisme, que nous naissions avec des lignes de la main absolument déterminées et qui ne varia
pourquoi je voudrais, dans cette leçon, étudier avec vous les grandes lignes de la médication dont le rôle est de provoquer le
ais avant d'aller plus loin, qu'il nous soit permis de citer quelques lignes extraites du Traité de physiologie de M)!. Frèdè-
s. Parmi ces névroses, M. le Dr P. Hartenberg distingue en première ligne l'hystérie, type accompli des névroses par auto-s
ans les ouvrages récemment parus, celui du professeur Panas, quelques lignes sont consacrées aux effets de la foudre, mais non
Pour ne pas fatiguer l'attention de la Société, je termine par les lignes suivantes empruntées à la page 168, dernier aliné
uel exercice la malade est soumise. On lui fait lire un passage de 35 lignes . Sur ces 35 lignes il y a 15 mots pour lesquels e
ade est soumise. On lui fait lire un passage de 35 lignes. Sur ces 35 lignes il y a 15 mots pour lesquels elle présente une de
somnambulisme provoqué, puis en état de réveil, trois passages de 35 lignes chacun. Elle ne montre plus aucune hésitation. Il
ture. On arrive pendant l'hypnose à lui faire écrire un passage de 15 lignes sous la dictée, sans une hésitation, alors qu'au
ion, alors qu'au début elle laissait en blanc, pour un même nombre de lignes , 7 ou S mots dont elle ne savait plus l'orthograp
82 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
; chez les deux autres, c'était l'hémisphère droit; mais quelques' lignes plus bas, nous lisons que, chez un vigoureux !
. 259. " ' REVUE DE Pathologie mentale. Ii : j représenté par une ligne qui, placée en avant du sillon perpendi- culair
e de celui-ci; à gauche, la direction est la même, seulement ici la ligne passe dans le sillon perpendiculaire lui-même et
On veille à ce que le patient suive exactement avec le doigt chaque ligne et chaque mot, ou a examiné auparavant son acui
h. XLI, 4-.1.) Les causes de la paralysie générale sont en première ligne la lutte pour la vie, puis l'ivrognerie (du moi
a suture sagittale et située à 3 centimètres au-dessous d'elle; une ligne menée perpendiculairement de la suture sagittal
spinale (un cas), immobilité de la corde vocale gauche, près de la ligne médiane, puis elle reprend ses fonctions ainsi qu
es présentaient une tension telle, une fixité si solide, près de la ligne médiane, que le courant phonétique expiratoire
u. le long des vertèbres cervicales et dor- sales, sans dépasser la ligne médiane (rougeur et douleurs accou- tuméesl. Po
la tête s'appuie au coussin, le cou et le menton ne forment qu'une ligne ; la face est bleue; on voit la pulsation des ve
ce de tumeur thyroïdienne. On sent distinc- tement le larynx sur la ligne médiane en plaçant la tête dans l'extension et
mite à la première lombaire en avant et latéralement à gauche de la ligne axillaire verticale. A droite, elle empiète un
ulation sacro-verté- brale environ. Du côté gauche, elle dépasse la ligne axillaire et et gagne le mamelon. Du côté droit
vahi tout le bras et l'avant-bras, s'ar- rêtant brusquement par une ligne circulaire à cinq centimètres du poignet. Const
icula- tion sacra-vertébrale environ; du cote gauche, elle gagne la ligne axillaire antérieure et le mamelon ; du côté dr
vahi tout le bras et l'avant-bras, s'arrê- tant brusquement par une ligne circulaire à cinq centimètres du poignet. Pas d
Des deux côtés, l'érysipèle dépasse le mamelon, tendant à gagner la ligne médiane. De même, la rougeur descend sur le côt
érieure des pariétaux et la partie antérieure du tem- poral. Sur la ligne médiane, ils s'avancent sur le milieu du frontal
et une poche globuleuse, d'un volume considérable, apparaît sur la ligne médiane. C'est le péricarde distendu par une gran
mons et l'oesophage, après une incision de la peau pratiquée sur la ligne médiane, on recherche le corps THY- RoiDE entre
morbide. On trouve de pareilles tuméfac- tions sous-cutanées sur la ligne axillaire postérieure. L'abdomen est pendant, c
ombilic fait saillie et les droits de l'abdomen n'adhèrent pas à la ligne médiane. La malade peutmarche)- lentement et en
ral, les crétins des idiots. » Il nous suffit de citer ces quelques lignes pour montrer que M. Bail ne paraît pas être au
, mais auparavant nous croyons nécessaire de relater, en quelques lignes , un des rares cas de myxoe- dème opératoire sui
lon que la corde forme sur le cou arrive-t-il en arrière jusqu'à la ligne médiane à gauche, tandis qu'à droite il s'avance
la corde arrivée dans la région de la nuque, se prolonge jusqu'à la ligne médiane, qu'elle dépasse même un peu. A droite,
éniquée est assez élastique pour obtenir des meilleurs résultats. Ligne de l'incision. - On a l'habitude d'enlever les pa
ure à l'angle supérieur et antérieur du pariétal gauche, près de la ligne médiane. La cicatrice et le cuir chevelu environn
is- sure. a,, Rameau antérieur horizontal de cette scissure. 1, Ligne marquant la démarcation entre la 3- frontale et l
83 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
oppements pour vous la remettre en mémoire, au moins dans ses grandes lignes . Tous, vous savez que l'ataxie locomotrice progre
, en somme, elles sont plutôt rares. a) Le gliôme vient en première ligne , non en raison de sa fréquence, car c'est une lés
douleur occupe souvent une région très limitée : c'est un point, une ligne qui sont douloureux et non pas une surface. Le do
rale de la moelle épinière lésée dans toute son épaisseur, jusqu'à la ligne médiane. La lésion doit avoir, par conséquent, in
t aussi les parties correspondantes de la sub-stance grise jusqu'à la ligne médiane. Dans ces conditions spéciales, et dans c
hésie, limitée supérieurement au niveau de la lésion spinale, par une ligne horizontale bien tranchée et en dedans très exact
e ligne horizontale bien tranchée et en dedans très exactement par la ligne médiane. Vous comprenez aisément, d'après ce qu
(Fig. 6 et 7, a.) Elle est située à cinq centimètres au-dessus d'une ligne fictive qui diviserait en travers la partie la pl
ns de la moelle. {Fig. 7, b.) Elle n'est pas placée exactement sur la ligne médiane, mais bien un peu à gauche du sillon médi
re dit, et limitée exactement, géométriquement, pour ainsi dire, à la ligne mé-diane, sur presque tout un côté du corps, rapp
an légèrement incliné de bas en haut, viennent s'entre-croiser sur la ligne médiane. 11 y a lieu d'admettre, en outre, que le
s venant de ce même côté de la moelle suivront leur trajet jusqu'à la ligne médiane et s'y entre-croiseront avec ceux du côté
oyer d'altération, pourvu que celui-ci s'étende réellement jusqu'à la ligne médiane, et ils subissent tous, par conséquent, d
sez prononcée, mais qui, ne s'étendant pas rigoureu-sement jusqu'à la ligne médiane, épargnant des faisceaux dont il s'agit,
upe répondant au second groupe droit et un autre situé à gauche de la ligne médiane, à égale distance de l'ombilic et de l'ex
t, l'un immédiatement en arrière de la commissure postérieure, sur la ligne médiane, de manière à intéresser à la fois les de
gèrement condensée, formait la paroi des foyers et se continuait sans ligne de démarcation bien tranchée avec le tissu avoisi
ceaux latéraux proprement dits. Cette région se voit en arrière d'une ligne fictive transversale, qui passerait par la commis
t plus circonscrite. [Fig. 19.) En avant, elle n'atteint même pas une ligne fictive trans-verse qui passerait par la commissu
e la partie moyenne du noyau de l'hypoglosse. — A, B, (à droite de la ligne fictive R,'R') représentent l'état normal. — A, n
teres. — B, noyau du pneumogastrique. — A', B', etc., (à gauche de la ligne fictive R, R') représentent les mêmes parties dan
térieure. Il me sera facile aussi, je le crois, de tracer ensuite une ligne de démarcation tran-chée entre la sclérose latéra
sur les maladies du système nerveux, t. I, 1884, p. 316. Suivant la ligne de conduite que je me suis tracée en repre-nant c
pres-que vertical. — Le grand trochanter est remonté et placé sur une ligne qui joindrait transversalement l'épine iliaque an
palais n'y fait reconnaître aucune déformation : la luette occupe la ligne médiane et elle n'est pas pendante à l'excès : le
ge 62, note 1, au lieu de Planche VII, lisez : Planche VL Page 348, ligne 28, au lieu de Gall, lisez : Goltz. Page 362, l
VL Page 348, ligne 28, au lieu de Gall, lisez : Goltz. Page 362, lignes 20 et 30, au lieu de trémulation, lisez : trépida
84 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
(fig. 8). Ici les deux formations ammo- niques se rapprochent de le ligne médiane, et une de leurs parties arrive presque
(celle de droite et celle de gauche), qui se sont soudées sur la ligne médiane, et, en passant en revue, des séries de
r- tions sous-calleuses des deux cornes d'Ammon sont soudées sur la ligne médiane; V, cavité de l'hémisphère ; CC, partie
de compter et de recompter plusieurs fois de suite les fleurs, les lignes , les clous, les carrés, les petits détails en u
stions des troubles psychiques, il y a lieu de méditer ces quelques lignes placées au seuil des Leçons sur les 112 BIBLIOG
. L'anesthésie cutanée n'est d'ailleurs pas limitée exactement à la ligne médiane : il existe une plaque sensible de la l
ns son plus petit axe, de 6 p. 100 dans son sens le plus étendu; la ligne basale de Welker est de 4,3 p. 100 au- dessous
, entre la première et la deuxième vertèbre dorsale, à droite de la ligne médiane, existe une plaie large de trois centim
re et de 18 centimètres du pubis. Si on mène, de chaque côté, une ligne , fictive de l'ombilic à l'épine iliaque antéro-
e côté, se trouve du côté gauche, à 55 millimètres au- dessus de la ligne indiquée et à 85 millimètres en dedans de l'épi
roit, le point douloureux est à 35 mil- limètres au-dessus de cette ligne , et à 70 millimètres en dedans de l'épine iliaq
rmalement. Le point doulou- reux ovarien gauche se trouvait sur une ligne allant de l'épine iliaque antérieure et supérie
ombilic. Le point droit était à un centimètre au-dessous de la même ligne , et seulement a 8 centimètres de l'épine iliaqu
ures. Le point ovarien gauche est à 2 centimètres au- dessous de la ligne qui va de l'ombilic à l'épine iliaque et à 5 ce
ette épine. Le point droit est à 1 centimètre au-dessous de la même ligne et à centimètres en dedans de l'épine iliaque.
ètres en dedans de l'épine iliaque. On voit donc que, bien que la ligne ilio-ombilicale prise pour point de repère se soi
rizontale, les points ovariens ont encore subi, par rapport à cette ligne , un mouvement'de descente très appréciable. '
- mètres en dedans de l'épine et à 2 centimètres en dessous de la ligne bi-iliaque. 302 CLINIQUE NERVEUSE. Le 20 déce
t à peu près symétiiquement placés à G centimètres au-dessous de la ligne passant par les deux épines iliaques supérieure
its ovariens, sont situés envi- 'ron 2 centimètres au-dessous d'une ligne passant par l'om- bilic et symétriquement à 15
ts douloureux, qui étaient redescendus : le gauche, au niveau de la ligne bi-iliaque, et 4 centimètres en dedans de l'épi
dedans de l'épine ; le droit, à 1 centimètre au-dessous de la même ligne et à 5 centimètres en dedans de l'épine iliaque
r ou de raccourcir le bandage et de faire avancer la pelote vers la ligne médiane ou de la rapprocher de l'épine iliaque.
re grise. On voit au-dessous de l'expansion pédon- culaire, sur une ligne verticale passant en dehors de la couche optique,
découpent de plus en plus, il ne consiste plus finalement qu'en une ligne verticale brisée et irisée qui disparaît. Duran
apeute. Nous nous proposons donc simplement de retracer les grandes lignes de ce travail. L'auteur le divise en quatre cha
r- tions sous-calleuses des deux cornes d'Ammon sont «ondées sur la ligne médiane; 1', cavité de l'hémisphère; - CC, part
85 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
), Leyden a rappelé que sa théorie du tabes, déjà indiquée dans ses lignes essentielles en 1861, est aujourd'hui généralem
abitude amène celui qui la possède ou qu'elle possède en deçà de la ligne forcé- ment arbitraire qui sépare la folie de l
gislateur anglais a appliqué à la folie, sans tenir compte de cette ligne arbitraire, un critérium aussi facile que grossie
l'étiquette de folie gémellaire : on y trouve dans leurs grandes lignes , deux au moins des caractères qui appartiennent à
du sujet'sur des objets clairs ou sombres placés sur le côté de la ligne du regard (réflexes corticaux, réflexes dus à l
'atten- tion du sujet sur un objet brillant placé sur le côté de la ligne du regard (réflexe cortical de la pupille propr
e l'attention du sujet sur un objet sombre, placé sur le côté de la ligne du regard (phénomène pupillaire de Piltz). - II
LOGIQUES. 147 serait précipité en avant dès qu'il aurait dépassé la ligne du centre de gravité, et toute flexion graduell
n'y a pas de transitions brusques et des dispositions segmentaires ( lignes d'amputations) et capricieuses qui se voient da
courbe se présente sous forme d'une ascension brusque suivie d'une ligne de descente très allongée. 11 n'en est pas de m
ngue pratique de la médecine légale. On ne sanrait leur ajouter une ligne , mais il n'y en a pas une : i retrancher. La pl
. Celui qui concerne les taches de sperme a été enrichi de quelques lignes sur l'examen chimique du sperme. La docimasie
e. Il a été soldat et a fait un an de service militaire au 103° de. ligne , à '19G CLINIQUE NERVEUSE. Alençon ; mais à s
serve encore à l'heure actuelle une cicatrice double à gauche de la ligne médiane. En même temps, le cheval lui faisait u
ation du corps enseignant dont nous, venons d'esquisser les grandes lignes . Ce système a d'ailleurs été emprunté à l'Alle-
rs seraient aptes à rendre de réels services. Note : Depuis que les lignes qui précèdent ont été écrites, l'internat des a
Que faut-il ici pour assurer le succès ? Il faut certes en première ligne l'activité du guide. C'est lui qui doit avant t
ues psychiatriques, ajoute le professeur Wernicke, sont en première ligne des instituts pour faire progresser le travail
st le sulfonal, prescrit aussi à hautes doses, qui vient en seconde ligne pour donner les mêmes résultats. R. de Musghave
e chez une jeune fille de treize ans. Il résume ensuite en quelques lignes l'historique de la question, et il ajoute quelque
ors de la bouche, ses mouvements de droite à gauche s'arrêtent à la ligne médiane. Les muscles de la moitié gauche du pha
rosper ilfoulin, a été trouvé pendu dans un petit bois qui longe la ligne de Boisset à Evreux. Moulin ne jouissait pas de
ablation, la poche kystique se vide et on sent de chaque côté de la ligne médiane, un peu au-dessus et le long des nerfs
ement ; 2° La présence de la folie chez les parents, que ce soit en ligne directe ou en ligne collatérale doit être consi
ce de la folie chez les parents, que ce soit en ligne directe ou en ligne collatérale doit être considérée comme une preu
marche, ce membre, légèrement en rotation en'dehors, s'écarte de la ligne médiane;' la cuisse se fléchit sur le bassin et
ade pour le praticien qui sait, mais a besoin de se remémorer les lignes essentielles de ce qu'il a vu déjà à l'hôpital au
à l'hôpital au milieu de la variété des cas courants. Les grandes lignes capitales sont esquissées surtout au point de v
bout de six ans. , Résumé. - En résumé, si nous faisons entrer en ligne de compte le cas de notre malade, nous arrivons
même de nos premiers examens. Le sujet a essayé dans les premières lignes , d'écrire ses nom, prénom et lieu de naissance
ès musclés : pour eux on se sou- viendra de la règle de Jacoby (une ligne partant du sommet des crêtes iliaques passe par
ce du bord supé- rieur de l'apophyse épineuse inféneute, et sur.une ligne située un peu en dehors d'elle, c'est-à-dire à
un peu en dehors d'elle, c'est-à-dire à quelques millimètres de la ligne médiane; l'aiguille est dirigée très légèrement
médiane; l'aiguille est dirigée très légèrement en haut et vers la ligne médiane de manière à ce qu'elle soit sur cette li
aut et vers la ligne médiane de manière à ce qu'elle soit sur cette ligne médiane au moment où elle pénètre dans l'espace
ernant les différentes discussions en cours du travail. En première ligne se discute le régime des aliénés. Les élèves du p
Saint-Pétersbourg. Les psychoses épileptiques viennent en première ligne , 15,4 p. 100; la p. p. g. vient ensuite, 14,G p
86 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
e montrerai comment elle en fait; il s'agit seulement d'indiquer la ligne de pensée qui peut conduire à une concep- tion
rière les trous de conjugaison : elle repose de chaque côté de la ligne médiane, sur la série des lames vertébrales et de
de manière c'est-à-dire celle qu'ils placent « de chaque côté de la ligne médiane ». Plexus postérieur. D'un ou de plusie
n de la paroi postérieure avec l'antérieure, on voit d'abord sur la ligne horizon- tale qui joint cet angle à la partie m
e naissante du nerf trijumeau et, se détour- nant plus loin vers la ligne médiane, se dirige dorsalement, à par- tir du c
a colonie belge, mais on aurait avantage à en conserver les grandes lignes et à s'inspirer des idées générales qui ont pré
. Parmi les malades de cette catégorie on peut ranger en première ligne les épileptiques, et non seulement les épileptiqu
trouve une sorte d'épaissis- scment du derme, rayonnant autour des lignes d'incisions faites par le bistouri. 0 DES TUM
e trapèze. - Les omoplates sont détachée^ et un peu éloignées de la ligne médiane (davantage à droite). 0 10 : 2 PATHOL
plus ou moins obliquement, ils forment des polygones étoilés ou des lignes rami- fiées. Le tissu de la tumeur étant d'orig
ans l'impossibilité pour le mode de ramener la langue déviée sur la ligne médiane un élément plus important que dans les
is une incision d'environ, trois quarts de,,pouce; à droite(de ''la ligne médiane/ commençant au bord : antérieur" de,s]a c
e. Nous croyons devoir rappeler à nos confrères des asiles que la ligne de l'Etat délivre des billets dits billets de bai
es mentales. La Faculté de méde- cine a présenté jeudi, en première ligne , notre ami M. Joffroy, agrégé, pour la chaire d
les honneurs militaires ont été rendus par le bataillon du z1030 de ligne dont la musique a joué une marche funèbre. Derr
peut-être nous trom- pons-nous, mais il nous semble lire entre les lignes , que pour juger sainement de la valeur réelle d
la paume de la main, encore adhérentes, tendant à se réunir sur la ligne médiane; de plus on aperçoit une plaque noirâtr
ux, on tombe immédiatement sur une tumeur volumineuse située sur la ligne médiane à un centi- mètre du bord antérieur des
u est érodée et détruite à ce niveau. On sectionne la tumeur sur la ligne médiane et, les hémisphères étant séparés, on c
ct translucide, qui remplace la l, Fig. 13. La tumeur coupée sur la ligne médiane; son prolongement en arrière dans la ci
on de Fi ! }. IL - La tumeur vue sur une coupe pratiquée suivant la ligne . aa' de la figure 13 ; compression des deux lo
a formé une masse très largement pédiculée qui s'est avancée sur la ligne médiane en refoulant à droite les circonvolutio
s sur des Fig, 15. La tumeur vue sur une coupe pratiquée suivant la ligne ce' des (lgtll'es 13 et 1 L 580 - CLINIQUE NE
Fi. 26. Tumeur du cerveau vue sur une coupe pratiquée suivant 'la ligne B B' de la figure 25. (Loc. cil.) Fig. 27. Tume
Fig. 27. Tumeur du cerveau vue sur une coupe pratiquée suivant la ligne C CI des figures 25 et 26. (Loc. cil.) UN CAS D
cipaux à rez-de-chaussée surmonté d'un étage disposés sur une seule ligne s'étendant duN.-O. au S.-E. et séparés par une
uche, il faut qu'on la lui amène de gauche à droite en dépassant la ligne médiane, ce qui prouve . ' Voir Archives de Neu
^établissait ses organes. ».-7-,On,ne peut s'empêcher en lisant ces lignes de songer aux extases et aux longs jeûnes des hys
, VU, VIII, racines de l'abducens, du facial et de l'acoustique. La ligne pointillée (destinée à remplacer la fig. 37) repr
lisée à une moitié du cervelet, nous les montrent franchis- sant la ligne médiane, pour se terminer dans les cellules ner-
mposent la croyance à la ma- « ladite. » L'histoire qui précède ces lignes dans le travail de Lasègue, est celle d'un jeun
e déboutonner, et quand j'ai été près d'elle, je l'ai fait. » Ces lignes ont été écrites par B... le jour même de son arri
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. cheveux. De chaque côté de la ligne médiane, on remarque cinq sillons profonds alla
llons profonds allant d'arrière en avant; les plus rapprochés de la ligne médiane sont rectilignes, les autres sont légèrem
urvés et d'autant plus courts qu'ils s'éloignent davantage de cette ligne ; ils ne sont d'ailleurs visibles que lorsque le
e3passant trayersja ? base du ,c'ei'veau,et-du,cerveletrsuivant une ligne dirigée, de haut ? en bas, et d ayant, en arriè
ilité à l'égard'dë'Ia'chaleur, du froid' et de la dbùleur"è'ntra eh ligne de compté ! La'chéiromêgaiie fut notée une fois
87 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
vail. Nous allons maintenant tâcher de faire ressortir, en quelques lignes , les quelques points qui nous paraissent dignes
dian de la racine ascendante du trijumeau et va, incli- nant sur la ligne médiane, à l'olive supérieure du même côté et du
) Quand un individu, invité à partager en deux parties égales une ligne horizontale, en ne la regardant que d'un oeil, co
nyme latérale qui siège du même côté que la moitié trop petite à la ligne horizontale partagée en deux. Ceci permet de se p
ar l'intermédiaire de la ceinture, du sacrum et des os iliaques. La ligne de gravité, c'esl-à-dire la ligne qui passe par
du sacrum et des os iliaques. La ligne de gravité, c'esl-à-dire la ligne qui passe par le centre de gravité du corps, ar
e l'apophyse du cinquième métatarsien. Prolongée par en haut, cette ligne passe en avant du moignon de l'épaule et traverse
tation verticale. La tête en' station sur la colonne vertébrale, la ligne de gravité passe un peu en avant de l'articulat
orps de la vertèbre, la résistance est un peu eu avant de lui, à la ligne de gravité, et la puissance est représentée par
ce est représentée par les muscles du dos et du cou. Aux lombes, la ligne de gravité passe en arrière des ver- tèbres, la
prime abord, pour maintenir la station du tronc sur les cuisses. La ligne de gravité passe en arrière de l'axe transversa
nc penche en avant. Quant à la station des cuisses sur le tibia, la ligne de gravité passant en avant de l'articulation d
des muscles jumeaux. Dans la station des jambes sur les pieds, la ligne de gravité passant en avant de l'articulation,
ième pièce du sternum. Les différents segments du corps forment une ligne brisée dont les angles sont très ouverts. L'axe
arret est tendu, les muscles du mollet sont nette- ment marqués. La ligne de gravité tombe dans l'espace recouvert par le
le corps prend quand il supporte des fardeaux, etc. Ces quelques lignes suffiront, je l'espère, pour faire saisir l'im-
s mécaniques connues maintenant, et en particulier du passage de la ligne de gravité en arrière de l'ar- ticulation de la
s le sens antéro- postérieur. On a établi deux types selon que la ligne de gravité passe très en arrière du centre arti
du torse, elle, est une action de compensation pour main- tenir la ligne de gravité dans le pied portant. Ces explications
nt les hermaphrodites dont Platon admi- rait la beauté hybride. Les lignes du corps tiennent à la fois de celles de l'homm
de mort la plus commune a été la phtisie pulmonaire, et, en seconde ligne , l'épuisement résultant de la mélancolie elle-mêm
rieurs et la partie inférieure du tronc limitée en haut suivant une ligne circulaire passant par la sixième ou septième ver
ée par un coin sur ma casaque. Il y avait dessus un zéro, et quatre lignes d'écrit entourées d'un cadre bleu ou violet. Ce
s forts grossis- sements, on voit que cette substance qui forme des lignes ou de petits lacs entre les fibres, est formée
très régulière de noyaux ronds; ces noyaux, qui forment tantôt des lignes , tantôt des amas dans le- interstices des fibre
arrey la circulation capillaire normale d'un doigt, on constate une ligne onduleuse qui répond à l'ondulation physiologiq
à la main avec une épingle), on cons- tate la transformation de la ligne onduleuse en ligne droite. Ceci veut dire que,
épingle), on cons- tate la transformation de la ligne onduleuse en ligne droite. Ceci veut dire que, par l'intermédiaire
oici ce qu'on observe : Sous l'influence de la douleur provoquée la ligne onduleuse du tracé persiste et ne se transforme
uée la ligne onduleuse du tracé persiste et ne se transforme pas en ligne droite comme à l'état phy- siologique. Ainsi do
eine). Voici d'abord quelques renseignements relatifs à l'hérédité. Ligne pater- nelle : le grand-père est mort à soixant
alcoolique qui a été traité pour un accès de délire hypocondriaque. Ligne maternelle : la grand'- mère, morte à quatre-vi
s qui innervent les muscles extenseurs sont situées plus près de la ligne médiane que celles qui innervent les muscles fl
placée au point le plus éloigné; elle doit être la dernière sur la ligne des quartiers afin que les autres malades soien
ux. A Villejuif les deux infir- meries réunies, sont placées sur la ligne centrale de l'asile et font en quelque sorte pa
88 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Nous donnons quelques explications sur ce tracé; les deux premières lignes verticales qui sont rappro- chées indiquent le
rappro- chées indiquent le moment où la tête se trouve en bas; la ligne qui suit indique le moment où nous avons soulev
suit indique le moment où nous avons soulevé l'appareil presque en ligne horizontale; la Fig. 3. Trace» du même ctucit a
a tête était en bas, pour recommencer une nouvelle évolution. Ces lignes ver- ticales ont été prises d'après l'action du
urbure supérieure indique la respiration thoracique. Entre les deux lignes verticales, il va une évolution complète de l'a
oit les secondes. A droite, du début des tracés jusqu'à la première ligne verticale, nous avons les pressions en repos. E
rmanesthésie de la moitié gauche du corps, neltement limitée par la ligne moyenne (fig. L7). La main ne z sent pas une di
dans la moitié inférieure gauche du thorax, limitée en haut par la ligne passant par l'ombilic, en bas par le niveau de
supérieures cervicales. L'analgésie est nettement limitée par la ligne du milieu. Par derrière, elle descend jusqu'à la
rès accusée des régions normales et anesthésiées du thorax par la ligne moyenne. De même que dans l'observation précéde
(Voy. fig. 18.) La ther- manesthésie est nettement limitée par la ligne moyenne du corps et au-dessous de la courbe cos
des fibres radiculaires dans la substance grise. Si l'on trace une ligne partant de l'angle qui, de la substance gélatin
e sillon médian, et qu'on la dirige en arrière paral- lèlement à la ligne médiane, la zone radiculaire des cordons postér
ne radiculaire des cordons postérieurs se trouve en dehors de cette ligne . Or, pour qu'il y ait disparition du réflexe te
ibles, car l'animal peut parfaitement parcourir un chemin étendu en ligne droite ; il est rare qu'il exécute des mouvemen
uit, selon l'atteinte de telle ou telle suture ou de l'ensemble des lignes suturales, de la dolichocéphalie (suture sagitt
rédisposés, puis les protestants, enfin les catholiques en dernière ligne . 3° Moments étiologiques individuels. La princi
être rappor- tées suffisent amplement pour constituer les grandes lignes de l'histoire clinique de notre forme spinale c
a therma- nesthésie se délimite souvent en haut et en bas par des lignes marquées et presque horizontales. Chez M. B. (C
nerveuses, mais suivant les seg- ments de la peau, limités par des lignes horizontales, arrivant par exemple en haut, jus
te la région adjacente du thorax est éga- lement envahie jusqu'à la ligne moyenne; le membre inférieur correspondant peut
lle prédo- mine d'un côté, qu'elle est nettement délimitée par la ligne moyenne, là où la région analgésique d'un côté
ité d'eau, mais restant presque à la superficie , ne décrit pas des lignes sinueuses trop élevées, non plus trop brusques
et médullaire. Ces différentes coupes, nous les réunissons par des lignes pointil- lées de colorations différentes et qui
e, les mouvements du globe oculaire en dedans ne dépassant pas la ligne médiane. La paralysie du muscle droit externe, ai
ifs : la dolicocéphalie très exagérée, la disposition simiesque des lignes temporales, le développe- ment disproportionné
ère catégorie de malades que nous avons indiquée. De ces quelques lignes , il ressort que les termes : folie communiquée,
us venons de relater, nous allous essayer d'esquisser les grandes lignes de l'histoire clinique de notre forme centrale
esthésie partielle est limitée par la ligue médiane du corps et des lignes ho- rizontales, ne correspondant pas aux sphère
maladie quelques caractères distinctifs. Elle ne s'arrête pas à la ligne médiane : 1) des îlots anesthésiques peuvent se
pilles en même temps que le tracé pâlit. Après quelques minutes, la ligne tracée se dessine en relief de deux ou trois mi
89 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
à la définition que nous ' avons donnée des tics dès les premières lignes de cet article. » Et, en effet, ces phénomènes
ce qui revien- drait à dire qu'il n'y a que des nuances, et non une ligne de démarcation nette, entre la raison et la fol
éner- gique, niais brusque, la tension artérielle est faible, et la ligne de descente présente des ondulations nombreuses
cèlent rien de bien particulier. Son père est bien portant. Dans la ligne paternelle : son grand- père est mort d'une att
connue, de durée courte. Une tante est morte poitrinaire. - Dans la ligne mater- nelle : le grand-père est mort emphyséma
péroné, et limitée ainsi : a) sur la face antérieure de la jambe : ligne oblique en bas et en dedans jusqu'au tiers infé
a plus interne, est laissée intacte; - b) à la face postérieure, la ligne limitante com- mençant au-dessous de la tête du
pouvons répéter pour la sensibilité, ce que nous di- sions quelques lignes plus haut pour la motilité. Cette légère hypoes
erri- toire limité en avant par la crête tibiale, en arrière par la ligne médiane et la face postérieure de la jambe il y
ère par les arti- culations tarso-métatarsiennes, en dedans par une ligne se diri- geant vers le deuxième orteil, et s'ét
fection organique devienne à son tour une névrosée. Dans ce cas, la ligne de démarcation entre les troubles anatomiques e
t au cinquième doigt en son entier; il a pour limite supérieure une ligne circulaire passant au-dessus des apo- physes st
e l'anesthésie, gagnant du terrain, s'est reportée du poignet à une ligne circulaire située au niveau du pli du coude.. L
¡i7eolltraction de l'extenseur est puissante, car l'ascension de la ligne myographique est plus rapide que celle qui appa
ne figure ayant l'aspect suivant : la périphérie est formée par une ligne eu zigzags, faisant 320 CLINIQUE NERVEUSE. un
ntes, rouges, bleues, vertes et jaunes, l'espace délimité par cette ligne est sombre. Cette figure, petite au début, s'ag
de migraine, ils appa- raissent plus rarement, et les couleurs des lignes lumineuses sont bien moins brillantes qu'aupara
ndirait petit à petit, dont la périphérie serait constituée par une ligne en zigzags d'un jaune lumineux et dont le centr
ère aussi vive que celle du soleil, limitée à la périphérie par une ligne brisée, douée de vibrations occupant toute l'ét
partie externe; elle est limitée, non plus comme autrefois par une ligne brisée, fermée de tous côtés, mais par des zigz
28 CLINIQUE NERVEUSE. même temps du côté gauche elle apercevait des lignes lumineuses en zigzags, se déplaçant sans cesse,
être simple. Cette conception admise - au moins dans ses grandes lignes pour les nerfs tributaires des seg- ments de mo
anlé, j'ai repris courage et me suis senti raffermi en lisant les lignes suivantes de Broca : Après avoir examiné les se
qu'un seul, et celui-ci est supposé rabattu en dedans autour d'une ligne pas- sant par le tubercule antérieur de la couc
'est un petit tractus blanc qui, né du bec du corps calleux, sur la ligne médiane, chemine d'avant en arrière le long de
eux, sur la ligne médiane, chemine d'avant en arrière le long de la ligne médiane jusqu'au niveau de la lame grise dite r
st pas une quantité constante (ce qui exigerait sur la courbe une ligne parallèle à l'axe des abscisses), mais que la p
ouve aussi sur la circonvolution postfrontale, mais plus près de la ligne médiane que celui du membre anté- , localisatio
if des fibres radiculaires dans le cordon posté- rieur gagne sur la ligne médiane le faisceau de Goll ; la section des ra
90 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de la nuque jusqu'à la septième vertèbre cervicale, excepté sur la ligne médiane et dans un espace de deux centimètres d
diane et dans un espace de deux centimètres de chaque côté de cette ligne , etc.) devaient inspirer une méfiance bien natu
est entrée dans sa phase de fixation définitive, et que les grandes lignes du moins sont arrêtées. Il ne semble pas que la
tendait en bas jusqu'à la base du cou où elle était limitée par une ligne de démarcation très nette. Mais juste au niveau
érébrale sépare d'abord com- plètement les deux parties ; une mince ligne de dépression super- ficielle s'y dessine bient
ne du bulbe, sous la forme d'un triangle dont le sommet vient de la ligne médiane et qui est en dehors de la corne antéri
net à la tète et dans la première pariétale droite, tout près de la ligne médiane, en arrière de la ligne bi-auriculaire.
e pariétale droite, tout près de la ligne médiane, en arrière de la ligne bi-auriculaire. 11-21. Resensibilisation de la
mianesthésie sensi- tivo-sensorielle, qui s'arrête franchement à la ligne médiane du corps. L'examen oculaire a été pra
cés dans la moitié interne du champ visuel, limité en dehors sur la ligne mé- diane par une verticale avec encoche centra
cicatrice descend de la racine des cheveux, à égale distance de la ligne médiane du crâne et de la fosse temporale gauch
ontre que l'os frontal est à ce niveau nettement enfoncé suivant la ligne de la cicatrice. L'exa- men du reste du crâne n
intéressant les centres psychiques du cerveau; par conséquent la ligne de démarcation entre l'état sain et la folie se t
re- mière, deuxième, troisième, quatrième dorsale avec cyphose en ligne brisée, atrophie musculaire avec contractions fib
une brûlure siégeant sur le cuir chevelu à gauche, empiétant sur la ligne mé. diane, brûlure profonde ayant atteint toute
'elle, ses pupilles sont moyennement dilatées. A côté du plan de la ligne du regard est mis un chapeau noir qu'elle peut au
successifs d'une attention décroissante, explicables par ce que la ligne du regard n'est pas directement dirigée sur l'o
es sensilivo-moteurs des membres inférieurs étaient limités par des lignes circulaires perpendiculaires à l'axe de ces mem
une dissociation syringomyélique de la sensibilité, limitée par des lignes circulaires bien tranchées; il existait en outr
sa vie. On trouve le reflet de cette sollicitude dans les quelques lignes où, après avoir décrit avec une émouvante simpl
une seule réflexion : Le senti- ment qui vous a dicté ces dernières lignes dément cette fois la pensée que vous exprimez,
ans l'exemple que vous nous laissez. Le devoir, telle était votre ligne de vie. L'indulgence, telle était votre philoso
e et l'enseignement d'une noble vie. » Écoutez aussi, ces dernières lignes d'une notice publiée dans le Progrès médical pa
er, dit Dlatliias Duval ', un gonflement très accentué sur toute la ligne transversale selon laquelle l'instrument a frap
la moelle lombaire et charrie de bas en haut le sang, le long de la ligne médiane de la moelle. C'est dans celte directio
emière paire lombaire quelques grosses mottes, des deux côtés de la ligne médiane ; au niveau de la deuxième paire lombai
dire qu'il y a bien un faisceau posléro-médian des deux côtés delà ligne médiane , dont le trajet en bas est court ; qu'
édian occupe les plans supérieurs de la moelle des deux côtés de la ligne médiane et s'éparpille dans les parties antérie
nes. Parmi les causes de cette maladie, il faut citer en première ligne la dégénérescence psychique, dont tous les sujets
présente un malade qui, il y a trois mois, offrait dans ses grandes lignes , la symptomatologie de la maladie de Par- kinso
d'absinthe qui présentent une écorce hyperesthé- siée ; en seconde ligne viennent les consommateurs de ver- mouth, amer,
IE PATHOLOGIQUES. 507 petit nombre d'entre elles se dirigent sur la ligne médiane et, gagnant le bord antérieur du pied d
ypothalamique moyenne deMeynert,et arrivent, après avoir franchi la ligne médiane par un chemin analogue entre la pédoncule
re une anesthésie des deux membres inférieurs jusqu'au niveau d'une ligne horizontale passant par la septième côte. De la
d'entrée était une plaie de la racine du nez occupant exactement la ligne mé- diane. Si l'on rapproche ce cas de ceux où
. Les Anglais en pra- tiquant ce système, au moins dans ses grandes lignes , ont vu diminuer la criminalité juvénile et, ch
91 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
s à l'avènement de la vraie science, ce grand homme range en première ligne : derisio vêtent M. Quelle confiance, en effet, v
du décès de M. le professeur Bail. Voici cette liste : Fit première ligne M. Joflroy ; en seconde ligne M. Gilbert Ballet.
ail. Voici cette liste : Fit première ligne M. Joflroy ; en seconde ligne M. Gilbert Ballet. M. Joffroy remplacera douc M.
nne. Nous croyons devoir rappeler à nos confrères des asiles que la ligne de l'Etat délivre des billets dits hîll ets de ba
lques disciples trop zélés : elle jugera celle œuvre dans ses grandes lignes . M. Charcol fut un puissant remuetir d'idées. I
ise. qui ovait échappé à loules les investigations antérieures. » Ces lignes sont tirées d'une lettre que j'ai demandes» a M.
particulièrement du sommeil que j'envisage seulement dans ses grandes lignes et sous ses deux aspects opposés, en tant qu'il e
vec palpitations un jour en traversant avec sou mari un tunnel sur la ligne «lu chemin de fer de ceinture. Heureusement le tr
elle que nous la présente M. Dumas en parcourant avec lui les grandes lignes qui sont le fond essentiel de son étude. Je ter
n même temps que la monoplégie, existe une anesthésïe se terminant en ligne d'amputation à cinq travers de doigt au-dessus de
gatives du corps médical fait suivre le compte rendu à l'Académie les lignes suivantes : « N. D. L.. R. —Nous sommes heureux
idée dos nombres, des jours de la semaine ou des mois. etc. (Quelques lignes sont consacrées aux phénomènes de synes-thésîes,
géométrique par exemple, ou encore en un diagramme, consistant eu des lignes , une série de chilires ou un espace d'une teinte
ze parties, celui-là imaginera la «éric des nombres comme formant une ligne ondulée, etc. Un le voit, les faits de syucsthé
des deux somnambulismes il me serait facile, ayant tracé les grandes lignes qui les séparent, d'exposer maintenant les traits
n, mais la lecture lui est très ilillieile. En lisant trois ou quatre lignes il hésite dix fois el il répète plusieurs fois le
amélioration. Il m'a récité deux fables sans arrêter, il a lu quinze lignes d'un jounal sans hésiter, j'ai tenu une conversat
ade consulta de nombreux spécialistes et tous les movens (en première ligne l'électricité) furent employés mais sans résultat
Dans quelques numéros, l'annonce de M. Chassaing portait en dernière ligne : Véritable poudre de Méchy: il faut lire : Vérita
d'avance avec toutes les conditions à remplir, concevrait à peine une ligne de conduite différente de celle qui lui est tracé
est dans les difficultés de détail. Toute velléité d'écart hors de la ligne tracée serait immédiatement écartée par la somme
morceau oratoire qu'il vous faut avaler, au dessert, vient en droite ligne du gaule-manger médical. J'en demande humblement
me folâtre — il s'en faut de beaucoup — a écrit sur ce sujet quelques lignes qu'il faut citer : « La gaieté, dit-il, est te le
ïern-heim. j'entends de la suggestion thérapeutique? Voici quelques lignes de mon livre « De la suggestion et de ses applica
faut que nu sorcier pour on taire cinq cens. ¦ Bodin. en écrivant ces lignes (Demonomante, p. 80(. ne songe pas à limitation,
nouveau remède est de premier ordre, d'une valeur thérapeutique hors ligne , au moins égale aux meilleurs médicaments, et d'u
pas entreprendre un trajet en chemin de fer, dès qu'il existe sur la ligne à parcourir, un tunnel de courte étendue. L'n aut
92 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
eau, s'écartant de la direction perpendiculaire, formait toujours une ligne droite du point, où le rideau était fixé en haut,
étincelle s'élevait si vite que pendant une seconde j'ai vu comme une ligne lumineuse. J'ajoute que j'ai observé ce phénomène
Après lavage au sublimé, de la vaseline iodoformée fut étendue sur la ligne de réunion. Un pansement antiseptique sec immobil
ide du crayon, des signes d'une forme indéterminée ou bien de simples lignes ; les signes paraissent écrits à l'aide du crayon
ts des Dri IL et D. sur les manchettes du Dr M., y produisit quelques lignes épaisses. Une autre fois Eusapia produisit sur la
tance thérapeutique. Parmi les monographies, je citerai en première ligne le travail d'Obersteiner1. Les observations perso
aux mains de s'éloigner, et que la sonnette s'ébranla au moment où la ligne unissant les doigts des deux mains atteignit son
ux mains atteignit son bord antérieur, et se balançait comme si cette ligne poussait le bord antérieur et lui cédait alternat
elle approcha de nouveau les mains de l'archet, sans plus dépasser la ligne de l'archet, et la sonnette sonna. 11 est donc év
ois, ayant les mains plus éloignées qu'ordinairement, elle dépassa la ligne de l'archet, derrière laquelle les mains s'approc
sonna : mais ses doigts se trouvaient alors devant l'archet et sur la ligne du bord antérieur de la sonnette. — Eusapia porta
les mouvements des mains d'Eusapia étaient égaux des deux côtés de la ligne de l'archet, et considère cette expérience comme
un obstacle ; ainsi on ne pouvait plus atteindre la planchette sur la ligne droite, et il aurait fallu, dans ce but, courber
incts ; elle avait au bord supérieur comme un segment, limité par une ligne oblique plus sombre. J'ai conclu que c'était une
e praticien, le médecin d'hôpital du professeur, il résumait dans les lignes suivantes le rôle de celui auquel l'Etat confie l
départir du doute scientifique, opérer néanmoins, telle doit être la ligne de conduite des chercheurs. Il n'est pas inutil
a parole de MM. Liébeault et Beaunis, j'écrivais à la fin de 1886 les lignes suivantes (3) : « Ce qu'avance M. Beaunis... es
ux impulsions de tuer qui surgissent dans son esprit. Ce médecin hors ligne a rapporté autrefois, dans une brochure concernan
car, je me plais à le reconnaître ici, c'est un prestidigitateur hors ligne , un hypnotiseur remarquable, et, vraies ou fausse
ués de toute mimique interne, en aucune façon moteurs, qui liront ces lignes , ne comprendront certainement pas le fait; il est
trice) est la suivante: l'induit, les yeuxbandés, suit sur le sol une ligne tracée à la craie dirigée par l'influence de l'in
oulu faire : à un moment donné, que l'inducteur quitte mentalement la ligne tracée; si l'induit voit ou simule, il la continu
rvenue, on voit cinq ou six petites ondulations disposées suivant une ligne ascendante, puis une suite de courbes peu élevées
à un candidat pour une thèse dont il n'a pas pensé ni même écrit une ligne . Jamais le dignus est intrare n'a été plus abai
ar exemple, il trouvait un livre caché, et dans ce livre, la page, la ligne et la lettre demandées, qu'il marquait à l'aide d
vestiges d'un gibier ou d'un ennemi. Ce sont également les premières lignes de la première page d'une pareille histoire, qui
tion siéger dans cette région. En effet, c'est aux pieds, première en ligne , aux mains, au territoire innervé par le trijumea
93 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
dimensions horizontales. Le bras, dont le bord externe dessine une ligne concave en dehors, est d'une maigreur encore ac
es mus- cles sont atrophiés. Le bord interne de la cuisse forme une ligne à concavité interne. A droite l'articulation du
membre ou le segment de membre paralysé et elle se termine par des lignes nettement circulaires qui sont perpendi- culair
à plus haut, le rhéophore au-dessus de la poignée du sternum sur la ligne médiane. Ce rhéophore doit être petit. Je le re
la région claviculaire ; il doit être renversé et ne toucher qu'une ligne au-dessus de l'insertion du sterno-cléido-masto
u'il faut éviter. Je pose .les rhéophores en lâchant de toucher des lignes et non des surfa- 54 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
ais agir le second rhéophore en même temps, je lui fais toucher une ligne qui est située immédiatement en arrière de la b
nt la faradisation de la ré- gion claviculaire, je ne touche qu'une ligne du cou qui est située à peu près un doigt au-de
conser- vés dans les parties supérieures du bras ; au-dessous d'une ligne oblique passant, en arrière, à 20 centimètres d
yringomyélique dans toute sa pureté. Au membre supérieur gauche, la ligne à partir de laquelle on constate la dissociatio
iste partout, mais le malade est insensible à la piqûre suivant une ligne qui limiterait la moitié interne de l'aire de l
à mesure que la température s'élève. Au moment où nous écrivons ces lignes (14 février), elles sont à peine visibles. IV.
ble-t-il, que la symptomatologie de la lèpre peut, dans ses grandes lignes , se superposer pour ainsi dire, il celle de la
dissociation sensitive intéressait le visage jusqu'au niveau d'une ligne circulaire qui circonscrirait le sommet du crân
sur la partie posté- rieure du corps : les poils s'arrêtent sur une ligne transversale passant un peu au-dessous de l'apo
rgissement des hanches est manifeste. Grâce à cet élar- gisement la ligne du bassin prend une forme arrondie exagérée comme
-fémorale dont est atteint notre malade : « Chez un sujet normal la ligne épitrochantérienne est située à environ (1) P.
u et aboutit en arrière au som- met du sacrum. Chez le malade, la ligne épitrochantérienne est située à 5 centimètres a
iron 5 centimètres au-dessous de cette épine, il s'ensuit que cette ligne qui normalement devrait passer en ce point, en
mmet du sa- crum qui est placé chez un sujet normal au niveau de la ligne épitrochan- térienne se trouve chez notre malad
sur les deux cuisses. Cette hyperesthésie a pour limite en haut la ligne ombilicale, sur le bas-ventre en particulier el
eut-être n'existe plus. » M. Gilles de la Tourette qui rapporte ces lignes vient de publier ici même (1) une note fort int
qu'il devait illustrer par une thèse sur la 'goutte, il établit les lignes de démarcation qui séparent le rhumatisme chroniq
u moyen d'une vis qui entre dans un écrou, et qui la surmonte d'une ligne au plus. Cette pyramide sert à assujettir la cour
rier de mes recherches personnelles, je veux rappeler en quel- ques lignes les résultats très intéressants obtenus par MM. I
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. intense. Mais dans l'itéiniopie, la ligne séparant la moitié voyante de la ré- tine de la
? Assurément. Et il faut savoir faire le Diagnostic. - En première ligne , il faut citer l'affection que M. Charcot a déc
94 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et sont des plus intéressantes nous voyons se présenter en première ligne toutes les formes, précises ou vagues, du nervo
. L'alcoolisme et l'hystérie viendraient ensuite; puis, en dernière ligne seulement, les psychoses proprement dites. Nous
eux supérieurs et du thalamus. Ils sont situés de chaque côté de la ligne médiane, ceux d'un côté presque en contact avec
i renferme les criminels instinctifs, sans qu'on puisse établir une ligne de démar- cation précise entre les deux classes
-commissurales qui, dans la région précédente, se touchaient sur la ligne médiane sont ici très écartées, l'une de l'autr
l il a dû céder une large place, est refoulé symétriquement vers la ligne médiane et vers la hase contre lesquelles il es
qu'elles ren- ferment, les substances aromatiques n'entrant pas en ligne de compte. - LA RICHESSE ALCOOLIQUE DES BOISS
sait dans une auberge appartenant au père de la jeune fille, une ligne de chemin de fer pasoail à côlé de l'auberge.Robe
mouvement sans saccades et en quatre temps : abduction, retour à la ligne médiane, adduction et de nouveau retour à la li
n, retour à la ligne médiane, adduction et de nouveau retour à la ligne médiane. ? 6° Lever la jambe d'une seule pièce,
t avec chaque pied. 2° Placer un pied devant l'autre sur la' même ligne et rester en équilibre; 3° faire vingt pas en a
. Le malade doit compter ses pas à haute voix; 4° mar- cher sur une ligne tracée ; 5° marcher à reculons ; 6° marcher lat
défendent le traite- ment de Frenkel nous devons placer en première ligne les lé- sions articulaires. Nous avons publié l
vant-bras, se voit une forte cicatrice, répon- dant à peu près à la ligne médiane du membre, d'une longueur de 9 centimèt
une pression de 17 dans le premier cas, et de 14 dans le second. La ligne d'ascension est alors très courte, dicrotisme n
second. La ligne d'ascension est alors très courte, dicrotisme nul, ligne de des- ' A. Alélékoff. Archives de Neurologie,
uelconque. Le pouls donne un tracé graphique à l'ordinaire normal : ligne d'ascension droite, sommet aigu, ligne de desce
hique à l'ordinaire normal : ligne d'ascension droite, sommet aigu, ligne de descente d'inclinaison TROUBLES VASO-MOTEURS
y a déjà légère surélévation. Au bout de trois minutes à peine, la ligne a grossi, gonflé, pris un relief arrondi à l'extr
phénomènes moteurs que nous venons de décrire, figurent en première ligne les in- fluences morales : la vue d'un inconnu,
encier de l'affection présentée par K... sont nombreux. En première ligne le début par les membres inférieurs et l'intégr
source de revenus difficile à remplacer que parce qu'ils entrent en ligne parmi les moyens efficaces auxquels on peut rec
laque. Les psychicones sont caractérisés par l'absence de traits de lignes , ils sont une relation de lumière, une forme nu
'Encyclopédie Leallié. Il nous a paru d'actualité d'en extraire ces lignes après le Congrès-de Nancy où les délires halluc
1. 132 CLINIQUE MENTALE. On peut rapprocher de ce qui précède les lignes suivantes de Calmeil « L'individu (le théomane)
édé l'organisation de l'asile actuel, on lui avait accordé les cinq lignes suivantes : « Avant 1827, les aliénés de Loir-e
xation, que l'axe de chaque membre inférieur est représenté par une ligne courbe à concavité assez prononcée et antérieure.
and un mot était trop long pour être écrit en entier à la fin d'une ligne , ne pouvait pas se décider à le scinder en deux
ties, de façon à reporter la seconde partie au commence- ment de la ligne suivante, comme c'était l'habitude déjà. Il l'écr
comme c'était l'habitude déjà. Il l'écrivait en entier sur la même ligne , qu'il était obligé de prolonger en en changean
.\. Les anomalies de développement se montrent fréquemment sur la ligne médiane. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 471 L'
finit par se confondre. Une série de petits trous, disposés sur la ligne médiane d'avant en arrière, se forme dans la ma
l central augmenté de la cavité placée derrière lui et les trous en ligne droite médiane, signalés plus haut, finissent par
ommeil hyp- notique et des sciences occultes, par les cartes et les lignes de la mam, suivant la méthode de Cagliostro et
95 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
anière à ce que l'on puisse tracer aisément dans cet intervalle une ligne droite, sans être obligé de s'appuyer sur un de
ir perpendicu- lairement au sol. L'enfant est exercé à tracer une ligne verticale dans l'espace ménagé entre les deux r
manière restreinte. Lorsque l'idiot est parvenu à nous donner une ligne à peu près parfaite, nous plions l'appareil et
remercier d'avoir bien voulu m'autoriser à préciser devant vous les lignes principales d'une réforme qui me parait appelée
de l'intervention médicales. Nous avons, alors, tracé les grandes lignes du programme des réformes que le Conseil munici
e ; la glabelle, le bregma et le lambda, au lieu d'être tous sur la ligne médiane, sont placés dans un plan fortement obl
NCÉPHAUE. formant un réseau serré au lieu d'être d'être disposés en lignes verticales parallèles. En résumé il existe un
oncés que les cheveux et séparés par un no- table écartement sur la ligne médiane. Les fentes palpébra- les sont larges e
brèche produite par la première craniectomie, à 2 centimètres de la ligne sagittale. Elle mesure 5 centimètres et demi de
âchoire laté- ralement déprimée et préominant anguleuse ment sur la ligne médiane. Mâchoire inférieure : Douze dents sain
irrégularités de la surface osseuse; une crête est saillante sur la ligne médiane, son origine ,est à la racine du nez, a
ssure gauche est t 136 Description du malade. plus éloignée de la ligne médiane que la droite. La moitié gauche de la l
éloignée de la ligne médiane que la droite. La moitié gauche de la ligne supérieure est plus mobile que la moitié droite
roduits. Décembre. - Puberté. Quelques poils courts dessinent une ligne étroite sur la lèvre supérieure; un groupe de poi
eux bruns, abondants ; deux épis sur le front, de chaque côté de la ligne médiane. - Crâne de volume nor- mal, symétrique
ication DES planches. Planche VIII. Traitement du myxoedème. La LIGNE rouge indique la température rectale. La ligne
t du myxoedème. La LIGNE rouge indique la température rectale. La ligne bleue indique les modifications du poids. Les g
96 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
us, et, en outre, chez l'adulte et surtout chez le vieillard, par une ligne noire plus ou moins foncée, tandis que le som-met
sur la base des lobules superficiels où il est parfois marqué par des lignes pig-mentaires. Il y a donc lieu de distinguer sur
l serait bien difficile d'établir, au point de vue de la texture, une ligne de démar-cation tranchée entre les diverses parti
(Fig. 6, c). Du côté de la cavité bron-chique, elle se limite par une ligne onduleuse. Les saillies des ondes correspondent a
fossettes. L'imprégnation par l'argent, vous le voyez, a dessiné des lignes noires dont la réunion forme des figures polygona
lignes noires dont la réunion forme des figures polygonales (b). Ces lignes se voient aussi bien sur les fossettes que sur le
le capillaire du triton. — La coupe est faite dans la direction de la ligne ab. — aa, ca-pillaires.— c, noyaux. — dd, cellule
ez fortement la lumière etdontle contour arrondi est complété par une ligne également demi circulaire de fines granulations (
vable de cette œuvre de débrouillement. Il faut citer ici en première ligne le nom de Gillette qui, dans un article très cour
lupart noté avec soin, c'est la présence sur la surface de section de lignes blanchâtres, régulièrement entre-croisées, et cir
lle pré-sente une couleur violacée ou rouge pâle; elle est marquée de lignes blanches circonscrivant des surfaces anguleuses q
munément, disposée sous forme d'une couche qui n'a guère que quelques lignes d'épaisseur. M. Grisolle l'a cependant vue quelqu
e, p. 31, 1810. ce cercle peut s'étendre dans une largeur de 6 à 1S lignes au delà de l'endroit ulcéré ; ce qui établit alor
dia-phragmalique, au pourtour du centre phrénique, des taches et des lignes noires analogues à celles du poumon. Knauff. —
ne coloration rouge brique in-tense à peu près uniforme, sillonnée de lignes déprimées plus noires répondant aux espaces inter
ar en bas, jusque dans le flanc gauche, et qui atteint, en dedans, la ligne médiane, vers laquelle elle se dirige en forme de
ertaines fièvres pa-ludéennes. La percussion pratiquée en suivant une ligne qui part de l'aisselle pour se rendre à l'épine i
dessus du rebord des côtes et 4 dans le flanc gauche ; en suivant une ligne qui forme avec la précédente un angle légèrement
nt moins droites, et les sommets plus ou moins infléchis, suivant des lignes courbes, témoignent de la diminution de consistan
ntend aussi à droite, quoique plus faiblement, jusqu'au ni-veau de la ligne sous-axillaire. Par l'examen de la poitrine, on
est sem-blable à celui qu'on a trouvé dans le cœur. 11 a environ cinq lignes de diamètre et quatre pouces de long. En arrière,
scription générale, et qu'il devient alors impossible de maintenir la ligne de démarcation avec une rigueur ab-solue. Nous no
rtère splénique; S0 aorte abdominale, etc. Rokitansky met en première ligne l'aorte ascendante; viennent ensuite la crosse ao
he anévris-male perforer directement le sternum, et se montrer sur la ligne médiane, ou proéminer en arrière et se montrer su
génitaux de l'aorte. —A, aorte. — C, canal artériel, —ab. a'b', a"b', lignes indiquant la direction suivant laquelle s'opère l
lieu au point i, la rétraction du canal artériel s'opé-rant selon la ligne a'b', le rétrécissement aura lieu au niveau même
and l'insertion se fait au point 2, la rétraction ayant lieu selon la ligne ab, le rétrécis-sement sera placé au-dessus du ca
nd l'insertion se fait au point 3, la ré-traction ayant lieu selon la ligne a'b", le rétrécissement sera placé au-dessous du
e. Son étendue, extrêmement variable, peut n'offrir que deux ou trois lignes , ou embrasser les trois quarts de la circonfé-ren
aux dépens de l'iliaque primitive droite et située à peu près sur la ligne médiane, au milieu de l'angle sacro-vertébral. Ce
97 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tiques. La courbe de contraction volontaire se pré- sente comme une ligne brisée; l'innervation motrice est désordonnée et
ns la thèse de Lebreton 2, consacrée à la paralysie hystérique, les lignes suivantes, qui montrent que l'abasie existait e
elle généralement le lobe préfontal (tout ce qui est en avant d'une ligne tirée à angles droits de l'extrémité antérieure
d'une façon très douteuse à l'excitation électrique. Entre cette ligne et celle du sillon précentral, continuée jusqu'à
ements du poignet et des doigts. La main se mit en extension sur la ligne médiane et du côté cubital ; à différentes repr
que le trouble de la vision est dû à cette cause ; car, lorsque la ligne de . section des lobes occipitaux était bien sé
spondants desdeux rétines. Il l'a obl'11lle par une section dans la ligne de scissure occipito-pariétale, et il localise
bjet, un raisin par exemple, qu'on présente sur le côté droit de la ligne visuelle, ou n'est pas remarqué, ou sa nature n
s ce résultat n'est point nécessaire et il ne pouvait pas entrer en ligne de compte pour la perte complète de la vision d
mment dans mon service, au Kinr Collège Ilospital· , dans lequel la ligne de séparation passait par dans lequel la moitié
étrique fait avec soin par le professeur -Mac Hardy démontra que la ligne de division passait exactement par le point de fi
cérébrale, laquelle devait être presque certainement située sur la ligne médiane, au voisinage du plancher du quatrième ve
s fibres entre- croisées varie selon les divers animaux. Près de la ligne médiane, de chaque côté, au milieu même des fib
le ruban de Reil, elles occupent un plan inférieur tout près de la ligne mé- diane et descendent on ne sait où. 138 SO
la science n'a rien à apprendre à J'artiste sur la direction d'une ligne , sur l'aspect extérieur d'une surface. L'artiste
hognomonique précoce. Au nomhre de ces signes figurent, en première ligne , les paralysies oculaires transi- toires, puis
volution sinueuse bien prononcée, avec la convexité dirigée vers la ligne médiane... D'un côté, cette circonvolution se c
corps, et vice versai Nous pensons, au contraire, qu'il existe une ligne de démar- 1 Le même, p. 23. * Binswanger. Loc
ique, par un ballon assujetti à un tuyau de verre in- troduit parla ligne blanche à travers le duodénum; - 3° de la parti
t plutôt énumérés qu'étudiés, nous ne trouvons guère que quel- ques lignes en particulier sur le tremblement, l'état du coeu
te, etc.... Au milieu de toutes ces ba- livernes, nous relevons les lignes suivantes : CONSEIL A SUIVRE . LECTRICES, LEC
complète, étendue à tout le côlé droit du corps, coupée en haut en ligne droite du côté de la face qu'elle respecte.- Me
utre un point très douloureux dans la région sacro-lombaire, sur la ligne rachidienne. Au bout de ce temps, la mobilité r
e petite fossette située à huit millimètres environ au-dessus de la ligne sourcilière et limitée en dedans par un pli verti
es plis moins saillants est situé à deux centimètres à gauche de la ligne médiane du front. Cet abaissement du sourcil, c
c le sens sur lequel l'excitation aura été portée. » Ces quelques lignes contiennent en germe tous les détails des reche
ensé M. Ballet, le phénomène dominant. Mais si, sortant des grandes lignes que nous avons tracées, nous entrons dans le dé
le nom de bégaiement hystérique. J'ai déjà dit, dès les premières lignes de ce mémoire, que le cas de M. Ballet ne resse
té opposé, ne voit pas un objet, jusqu'au moment où il passe sur la ligne médiane ; mais le champ visuel est autrement no
autres problèmes à résoudre parmi lesquels se placent en pre- mière ligne les troubles de la digestion et en particulier ce
98 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
et normalement à sa surface, une tige, toujours du même métal, d’une ligne de diamètre et de quatre pouces de long; à son ex
s sens. » Il est à regretter que l’auteur à qui nous empruntons les lignes qui précèdent, ne soit pas entré dans quelques dé
and nous sommes morts. EURATOM. Dans le dernier numéro, page 6C5, ligne 5, au lieu de considération, lisez comécraKo*.
llet 1843) vous dira assez ce que mon cœur éprouve eu traçant ces lignes ; mais que votre cœur ne se trouble pas , que vot
ce résumé les belles et poétiques expressions de l’auteur. Ainsi, les lignes qui finissent sont précédées d’un hymne magnifiqu
urs un coquin, aurait peur de nuire aux capitaux engagés dans les lignes télégraphiques ? « La llernc spiritualiste de P
re île son art ; il jouit d’une vogue immense, il’une popularité hors ligne : ce n’est pas seulement un très-habile escamoteu
isme. M. Robert Houdin pourra nous aider à nous maintenir dans la ligne du bon sens. 11 y a quelques années, il inventa
(Extrait du Glaneur du Gard., 10 avril 1859.) err.ua. Page 141, ligne 3, au lieu de jusqu'au,pic, Usez jusqu'au pied.
41, ligne 3, au lieu de jusqu'au,pic, Usez jusqu'au pied. Page 169, lignes 13 et 26, au lieu de 31. Monchaanoff, lisez Jff.
ont Robert Houdin a fait une exhibition en 1836. « Ainsi il y a une ligne de démarcation bien tranchée entre lu lucidité et
ux ou trois minutes, M. Benaud lut ou plutôt épela une phrase de deux lignes , que plusieurs personnes écrivirent sous sa dicté
qui fait l’objet du défi. Si, par exemple, un somnambule lit quelques lignes d’un livre fermé et pris au hasard dans la biblio
aron du POTET, propriétaire-gérant. ERRATUM. Les deux premières lignes delà page255 du n° 58, 23 mai,.doivent être trans
j’aurai soin, eu égard à la nature du recueil pour lequel j’écris ces lignes , d’élaguer autant que possible tout ce qui a trai
magnétique s’échappait de son abdomen, courant qui paraissait fuir en ligne droite. Si alors je tenais la main à deux ou troi
tournait sur son côté, il fuyait à travers la chambre en suivant une ligne horizonlale. Le magnétiseur s’assurait de cette d
t l’annotateur en terminant. Permettez-moi de citer encore quelques lignes ^ : « Quant au somnambulisme naturel ou artifici
de sensibilité sur les Martyrs de la science. ÆRRA.TA. Page 330, ligne 35, au lien de ces travaux se reproduisent, etc.,
reproduisent, etc., lisez : Ces iabteam se reproduisent. Page 3iH, ligne n, an lieu de l'assurance de l’Esprit, etc., lise
evant l’opinion , et le condamné ne sera mis par personne sur la même ligne que les êtres hideux qui méritent le titre à'escr
vailler sans modèle, comme un peintre qui, avec son pinceau, suit les lignes que lui trace son imagination. Ce n'est pas tout
lus anciens médecins clairvoyants des Etats-Unis. Celui qui écrit ces lignes a eu, tout récemment, l’occasion d’observer les r
ment en songe, pourvu que ce fussent des faits neufs, des objets hors ligne , remarquables. Mais, pour les chosesqui touchaien
maintenant Lacordaire dans une de ses conférences. « Dieu créa deux lignes ou deux séries d’êtres, une série « descendante d
r, au lieu de consister en un cercle ou un polygone régulier, est une ligne brisée, irrégulière, avec des angles rentrants et
nversé, une écrevisse et un vautour. Voici la clef de ce pantacle. La ligne brisée indique indécision, manque de suite dans l
errestres, culte de la matière) ; et après une nouvelle inflexion, la ligne se dirige en bas (déchéance, dégradation). Le fla
te, sont les points culminants; le réseau capillaire représente la la ligne neutre. Aussi le mouvement du sang assez lent en
ante de la vélocité d’un train express que je vous écris ces quelques lignes , « La locomotive, volcan mobile aux entrailles
es à l’heure, ayant dcvantles yeux ces filsélec-triques sillonnant la ligne , aussi rapides que la pensée, puis songeant que t
aventure personnelle y ayant trait, que je vous ai jeté à la bâte ces lignes écrites sur mon carnet de voyage. «Nous entrons
S. c Monsieur le baron, « Permettez-moi de vous adresser quelques lignes que j’extrais d’un numéro du Spectateur, Revue en
des suites fatales. Je ne crus pas devoir suivre cet avis. Je pris la ligne de démarcation à demi-distance du pied à la joint
eur le baron, « J’espère en votre impartialité pour l’insertion des lignes suivantes dans le prochain numéro de votre excell
99 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
nte du parement de nos artilleurs corrige notablement le défaut de la ligne circulaire continue ; "ici c'est un effet d'angle
mbinaison un manque de caractère, un défaut de sens de l'harmonie des lignes et de leur valeur suggestive au point de vue de l
s de ceinturons brillants qui rehaussaient sensiblement une tenue aux lignes par trop hybrides, sans valeur suggestive de comb
de ceinturons brillants qui rehaussaient sensiblement une tenue aux lignes par trop hybrides, sans valeur suggestive de co
, bien entraînés d'ailleurs, produisaient, par la netteté accusée des lignes de force de leur tenue, un effet de suggestion sa
favorise le jugement, donne l'amour de la symétrie, de l'harmonie des lignes absolument comme le dessin. Le travail, couture
e pariétal gauche, de manière à aboutir à un centimètre au plus de la ligne médiane. Le diploe contenait des sinus artériel
suite et fin) Influence de la couleur. A toutes les conditions de ligne et de forme, s'ajoute un troisième facteur, d'une
fonction, tout est là ; c'est de ce côté qu'il faut chercher, avec la ligne et la forme, l'harmonie complète. Quand on aura
vêtement au but poursuivi. Or, puisque les lois de suggestion de la ligne , de la forme et de la couleur existent très réell
ne et le but à atteindre. Ces liens, s'imposant à l'attention par des lignes , lui seront une direction et un soutien. -L'écr
dans la vie scolaire de l'enfant, y remplit habituellement ce but. La ligne par sa direction lui apprend à aller librement et
nscience de son propre mouvement ; par les combinaisons avec d'autres lignes , elle lui apprend encore à connaître l'espace dan
t tous mes procédés d'enseignement. Le carré qui fournit toutes les lignes nécessaires à la formation de nos lettres en est
etc., nous retrouvons toujours un champ d'exploration limité par des lignes que l'enfant aveugle peut associer lui-même. C'es
es par des maîtres presque toujours très dévoués. Dans ces quelques lignes , je veux démontrer que l'enseignement de la lectu
pénétrons dans le domaine de l'idéal pour esquisser dans ses grandes lignes les caractéristiques d'un tel établissement. Pl
nt dans l'ordre de nos études psychologiques, je citerai, en première ligne , le très remarquable travail de M. le professeur
Gaudin). Une parenthèse est ici nécessaire : indiquons en quelques lignes l'origine de ces statuettes. Longtemps on nia q
inférieur gauche en manchette, s'arrêtant très nettement, suivant une ligne horizontale qui coupait le bas de la fesse et le
que la solution votée à Genève n'a pas satisfaits — si toutefois ces lignes leur tombent sous les yeux et qu'ils aient la pat
sés, frappés de stupeur, hantés de l'apparition de l'ennemi sur notre ligne de retraite. » On remarquera l'expression « hyp
selon le type conventionnel de l'époque, front fuyant qui prolonge la ligne du nez. Mais deux de ces nains, représentés deb
ce que je sais sur ce cas, à titre d'exemple ; puissent ces quelques lignes inspirer plus de circonspection aux reporters et
s, Le programme de l'Ecole de Psychologie demeure, dans ses grandes lignes , ce qu'il était l'an dernier : la plupart des cou
peuples .contre une situation moins enviable. Voltaire, en quelques lignes où se retrouve sa spirituelle ironie, fait ressor
100 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
es trous des espèces de boutons à tige, suivant un ordre donné : en ligne horizontale, en ligne verti- cale, en ligne obl
e boutons à tige, suivant un ordre donné : en ligne horizontale, en ligne verti- cale, en ligne oblique, en croix, en car
t un ordre donné : en ligne horizontale, en ligne verti- cale, en ligne oblique, en croix, en carré, en étoile, etc. Co
divers. - En même temps que nous apprenons à l'enfant à tracer des lignes et des figu- res, nous 1 exerçons à les recon-
les Ecoles municipales d'infirmiers et d'infirmières. Tableaux des lignes et de leurs applications, des volumes, méthode
ulation dont les besoins ne lui étaient connus que dans les grandes lignes . Il s'est donc d'abord attaché il observer et à
ns- tituteur de chaque classe arrête de commun accord les grandes lignes de l'enseignement; il appartient alors à l'inst
on parotidienne, la lèvre supérieure, et s'arrête sur le front à la ligne de striction formée parle bord du béret. Pas de
ts : nous avons vu, en effet, le gonflement limité nettement par la ligne de striction formée par le bord d'un béret. Une
suit la direction de l'espace intercostal. Arrivée au niveau de la ligne mamelonnaire, elle va se con- fondre avec une é
l'aisselle et en bas avec une autre plaque descendant jusqu'à une ligne horizontale passant par le mamelon. 2 En faisan
uche, la joue droite est un peu plus dévelop- pée que la gauche, la ligne de la bouche se; relève un peu a gauche, la lig
que la gauche, la ligne de la bouche se; relève un peu a gauche, la ligne médiane du nez accuse également une légère dévi
s courts et abondants il la région pubienne commençant à envahir la ligne blanche et la face antérieure des cuisses. Poil
s d'un certain nombre de malades suffisamment Fig. 7. - Tracé d'une ligne horizontale d'un point à un autre (5 juin 1898).
82 1 Explication DES planches. Planche XI. LEÇONS DE CHOSES : LES LIGNES ET LEURS APPLICATIONS. (Page XLVI.) LIGNES ET
LEÇONS DE CHOSES : LES LIGNES ET LEURS APPLICATIONS. (Page XLVI.) LIGNES ET LEURS APPLICATIONS "1.1 ? t ? ),I ? IJ ? I\E t
M i Explication DES planches. Planche XII. leçons DE choses : LES LIGNES et LEURS combinaisons ; applications. LIGNES
çons DE choses : LES LIGNES et LEURS combinaisons ; applications. LIGNES ET LEURS APPLICATIONS ASïïi,K,fîi,lS1,B 28C Exp
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